S DE , NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE 1 DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
f Fondée PAR,J.-M. CMARCOT ' FUItLIf : E SO
DIIIKC11ON DE A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNA
tdevergues (Vaucluse), est promu à la il" classe du cadre. CLINIQUE
MENTALE
. Contribution à l'étude de la démence catatoniq
ment un tableau de mélanco- lie, de manie, de stupeur, de confusion
mentale
et de démence; pourtant quelquefois l'un ou l'a
lbaum, le cas typique de la catatonie présente un tableau de lésion
mentale
à cours périodique (dont les périodes viennent
(11 et 23), Jensen (12), Sommer (13), Fschige ('111,), 16 CLINIQUE
MENTALE
. Aschaffenburg (24), Ilsberg (26)], et les troi
onie passent quel- quefois dans la guérison, avec un certain défaut
mental
pourtant, et quelquefois elles ont une tendance
it à peine. Concernant l'état psychique on constata line, confusion
mentale
, un affaiblissement de combinaison et de mémoire,
mps et de l'endroit où Archives, 2° série, t. XVIT. 2 18 CLINIQUE
MENTALE
. il il se trouve. Lorsqu'on le questionne sur l
le même appétit. La nuit, le malade dort dans son lit, 20 CLINIQUE
MENTALE
. , r mais durant la journée il ne se couche p
exes concernant l'entourage, est très faible aussi. 1 22 CLINIQUE
MENTALE
. Nous avons eu l'occasion d'observer le malade
me temps, depuis le début de la -maladie, on remarqua une confusion
mentale
, un délire, des illu- sions sensorielles et des
mois d'avril, six mois après le début de la maladie, la con- fusion
mentale
chez notre malade et une certaine limitation in
condement, nous avons déjà noté que d'une mélancolie 24 ik CLINIQUE
MENTALE
. initiale, légère, avec idées délirantes isolée
initiale, légère, avec idées délirantes isolées et une confu- sion
mentale
, commença à se développer chez lui, en trois- q
qu'il paraît. Un balancement automatique en avant et en 26 CLINIQUE
MENTALE
. arrière, en se tenant près d'un mur. On remarq
e malade deux états, état de dépression et état d'exci- 28 CLINIQUE
MENTALE
. tation, mais toujours avec la prédominance d'u
tatonie pure, mais ils peuvent compliquer aussi d'au- tres maladies
mentales
. Dans le but d'un diagnostic dilféren- tiel, le
e la malade à l'hôpital en mars, le Dr Doubensky nota une confusion
mentale
, parfois un délire d'auto-accusation et une gra
matelas, déchirait ses habits, barbouillait les murs. 30 . CLINIQUE
MENTALE
. Dès le premier temps, on observa déja des symp
iso- diquement. De symptôme primaire-cardinal sert la confu- sion
mentale
avec abaissement très marqué de la faculté inte
iode initiale, la stéréotypie du cours de la maladie et 32 CLINIQUE
MENTALE
. l'affaiblissement très marqué de la capacité p
en nous basant sur des Archives, 2- série, t. XVII. 3 34 CLINIQUE
MENTALE
. combinaisons du caractère général. En faveur d
l'existence des symptômes catatoniques dans d'aul1't's mala- dies
mentales
; deuxièmement, le manque de connexion organique
posons la question ainsi : Pour combien et de quelle 36 ' CLINIQUE
MENTALE
. manière la sphère motrice est-elle intéressée
t connu que la catalepsie peut se manifester dans diverses maladies
mentales
et nerveuses, elle peut même être provoquée art
trouvant en état de stupeur ou en état comateux malgré 38 CLINIQUE
MENTALE
. le phénomène ordinaire de disjonction de l'éco
it pas non plus les autres phénomènes catatoniques. 40 " CLINIQUE
MENTALE
. L'argument le plus persuasif, qui peut être ci
seur Fehige. Puis survient une réci- dive de maladie avec confusion
mentale
, qui se développe très rapidement, avec prédomi
un affaiblissement temporaire de maladie, accompa- gné d'un défaut
mental
plus ou moins marqué ; ensuite apportait de nou
uveau une exacerbation de maladie avec délire épisodique, confusion
mentale
et catatonie, qui finit tôt ou tard par une dém
catatoniques d'amentia de Meynert, nous aurions envisagé le défaut
mental
très pré- 42 CLINIQUE MENTALE. coce et très s
ynert, nous aurions envisagé le défaut mental très pré- 42 CLINIQUE
MENTALE
. coce et très stable qui ressort nettement dans
du cerveau; par A.-R. URQUHAUT et W. Ford HOBIIT50N. (TM Journal of
Mental
Science, octobre 1902). L'intérêt de ces cas ré
plus importants. Dans un cas publié en jauvier dans le Journal of
Mental
Science par l'auteur, l'épilepsie avait été consé
r l'étiologie du tabes dorsalis ; par R. G. Rows. (1'lae Journal of
Mental
Science. Avril 1902.) Ce travail a été lu au mo
le plus subi sa dégénérescence stéato-piamentaire. 10. La confusion
mentale
, la désorientation, etc., rapprochées de la pré
le Dr Cuylitz ; par le Ur voN IsENDitycK (Bull. de la Soc. de méd.
mentale
de Belgique, juin, août 1903). Cet examen a dém
rome d'astasie-abasie ; par le Dr de Bock (Bull. de la Soc. de méd.
mentale
de Belgique, 1900, juin-août). Il s'agit d'une
. E. BLIN. . ici. De l'emploi du phosphate de codéine en pathologie
mentale
; - - par le Dr DHEUIt. . En présence de la vo
é sur son étude physiologique ; par T. CLAY SIAN. (The Journal of
Mental
Science, Juillet 1902). Après quelques considér
quelques cas de morphinomanie; par Robert Jones. · (The Journal of
Mental
Science. Juillet 1902). Très bon résumé de la q
sonnementpar lesulfonal; par H. de M. ALEXAN- , der (The Journal of
Mental
Science. Octobre 1902). Femme de trente-deux an
male : l'ar- ticulation de la parole un peu lente mais nette ; état
mental
meil- leur que depuis bien des mois. La malade
les vomissemenis, l'incoor- dination des mouvements, et la torpeur
mentale
, avec prostration considérable et pouls un peu
Mort dans le coma, après un syndrome psychapothique de con- fusion
mentale
, délire onirique, optimisme, stupeur, qui traduis
dans l'état normal, car son action est neutralisée par les facultés
mentales
de contrôle, par contre, dans certains états pa
t le criminel, ' M. Maxwell s'efforce de la retrouver en pathologie
mentale
; et s'il z fallait indiquer en une équation mat
at- tachent probablement à l'épilepsie». 1 Esquirol. Des maladies
mentales
, t. I, pages ` ? sur et suivantes, 1838. ' Art.
ures, 38°,2; 'il à 5 heures, 38°, et de l'excitation avec confusion
mentale
extrême se développa, tellement per- sistante e
hyroïde, et le troisième jour elles avaient aussi de la confu- sion
mentale
beaucoup plus accusée qu'elles ne l'avaient 110
première semaine et surtout de la seconde semaine, une confusion
mentale
extrême avec désordre des actes, mobilité incons-
ve, rapide et seul accès dans toute l'année 1900. Du côté de l'état
mental
: reste de l'affaiblissement intellectuel et de
hystériques et des phénomènes hypnotiques. Le caractère psychique,
mental
et uniquement men- tal, y est affirmé par la dé
otiseur, d'accomplir des actes commandés par lui, nécessite un état
mental
(ou psychique) un état du « moi » spécial, le m
ur a pu guérir un malade hypnotisé sans succès auparavant. L'état
mental
du sujet hypnotisable, loin d'être inconscient
'hypnose : « Je vais vous endormir et je vous guérirai. » Si l'état
mental
d'une femme atteinte de monoplégie brachiale hys-
corps. Cette transformation, résultat de l'acceptation par son état
mental
pathologique de votre suggestion, la convainc de
n il ne faut pas oublier que les sujets hypno- tisables ont un état
mental
spécial, caractéristique de l'hystérie ', du pi
ous convainc au contraire, avec Babinski, que l'hypnose est un état
mental
particulier, dans lequel la personnalité du sujet
rasset nous demande de préciser la nature intime de la perturbation
mentale
caractéristique de l'hypnose et de l'hystérie,
stion. C'est par le rassemblement des hystériques, par la contagion
mentale
, et par l'intérêt que l'on porte à l'étude de l
que le plus complet. Tel sujet fait preuve seulement d'une docilité
mentale
suffisante pour la guérison per- suasive, tel a
phénomènes de l'hypnose avec leur véritable caractère de perception
mentale
. Si on compare encore à ce point de vue l'amnés
détails pourvu que l'on ait la curiosité de stimuler ses fonctions
mentales
et de lui montrer que l'on désire qu'il en soit
ques de la person- nalité, ressortissent en réalité à la pathologie
mentale
(perturba- tion du centre 0 dirait Grasset). C'
able ne sont pas deux termes synonymes, ils représentent deux états
mentaux
séparés par une nuance seule. Les troubles hyst
nous croyons avoir montré que la conception de REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 135 M. Grasset, théorie et schéma du centre 0
importants : 1° Dans l'hypnose comme dans l'hystérie, c'est l'état
mental
du'sujet qui n'est pas normal ; c'est sur le mo
e lignes, une large partie de la neurologie. - REVUE DE -PATHOLOGIE
MENTALE
. 1. Crétinisme ; par WALTER SANIJS MIL (The New
vingt-sept ans). 1 H . DE ilUSGRAVE-CL9Y. 136 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. II. Les rapports des symptômes mentaux avec le
. 136 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. II. Les rapports des symptômes
mentaux
avec les maladies soma- * tiques; par Nathan Ra
x avec les maladies soma- * tiques; par Nathan Rac. (The Journal of
Mental
Science, Octo- bre 1902). Le point principal
aque ville, il faut créer un hôpital de réception pour les maladies
mentales
; il pourra être ou non rattaché à l'hôpital gén
tuellement à se familiariser avec l'étude des cas aigus de maladies
mentales
. R. DE Musgrave-Clay. III. Note sur la pathogén
thogénie de la folie diabétique; par W.-R DAw- son. (The Journal of
Mental
Science. Octobre 1902). Il résulte des considér
s est ici plus complexe. R. DE Musgrave-Clay. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 'l31 IV. L'évolution du délire dans quelques c
uelques cas de mélancolie; par Lionel Ÿl°EATIiERLY. (The Journal of
Mental
Science. Juillet 1902). Dans ce court mémoire,
s chez les aliénés et leur valeur; par T. P. CowEN. (The Journal of
Mental
Science. Juillet 1902). Il est commun de rencon
hysiologiques relatives au fonctionnement 138 , REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. de la pupille, et constate que chez les aliéné
ques sur les hallucinations ; par CONOLLY 1TORhfAN (The 'Journal of
Mental
Science. Janvier 1902). Lorsqu'on se trouve en
n de ces deux sens est celui de la vue, l'autre celui de l'activité
mentale
. Personne ne conteste l'importance du sens de l
vue de nos relations avec le monde extérieur. Le sens de l'activité
mentale
a échappé à l'attention des physiologistes parce
age de nos facultés sans avoir la sensation nette de notre activité
mentale
, et si nous devenons conscients de REVUE DE PAT
vité mentale, et si nous devenons conscients de REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 139 cette activité,nous sommes ordinairement s
nnement normal une lumière inattendue, le sentiment de l'acti- vité
mentale
a souvent une grande importance, car ses manifest
les suppositions ou inductions, mais que la sensation de l'activité
mentale
(s'exerçant d'une façon anormale) est aussi nette
e, amère ; l'auteur pense qu'il en faudrait 140 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. admettre au moins deux autres, la saveur astri
it avoir vu qu'à ses hallucinations de l'ouïe. Sensation d'activité
mentale
: il ne paratt pas y avoir d'hallucinations de
ère de voir. Un point intéressant, c'est que la REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 'J 41 malade entend les bruits et les voix ave
du côté sourd ? R. DE IUSGR.1VE CLAY. VII. Deux cas de confusion
mentale
polynévritique; par le Dr J. CRocQ. (Bull, de l
ntale polynévritique; par le Dr J. CRocQ. (Bull, de la Soc. de Méd,
Mentale
de Belgique, 1903,. n° 108). Ces deux cas con
uteur devrait être placée désor- mais dans le cadre de la confusion
mentale
. G. DENY. 142 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. VI
le cadre de la confusion mentale. G. DENY. 142 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. VIII. La paralysie progressive d'après les doc
la ° grossesse, puis 3 années se passèrent. En REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 143 1883, après la naissance du 8e enfant, sur
colie. Cette dernière, qui n'avait jamais présenté aucun trouble
mental
, est devenue, à la suite de la mort d'un parent,
t retrouver dans ces deux affections la même dépression physique et
mentale
profonde, les mêmes idées de ruine, de culpa- b
accès, les mélancoliques intermittents ne présentent aucun stigmate
mental
, les déséquilibrés se font remarquer par les sing
uvant être alterne, à double forme oucircu- 144 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. laire. Elle est souvent héréditaire. Cette aff
LOGIE MENTALE. laire. Elle est souvent héréditaire. Cette affection
mentale
ne sévit pas toujours sous les traits accusés e
2). L'auteur fait quelques critiques au travail de Head : Certain
mental
changes thaï accompany viscéral diseases. Brain X
malgré l'amélioration graduelle aussi des acci- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 145 dents paralytiques. Nouvelles attaques ult
entier. P. KERAVAL.. XIII. L'élément histrionique dans les maladies
mentales
; par THÉODORE A. KELLOGG. (The New-York Médical
de la manière suivante : , L'élément histrionique dans les maladies
mentales
est dans cer- tains cas le résultat direct d'im
imitation, loi qui est fondamentale dans les processus de formation
mentale
. Au point de vue clinique, les actes histrioniq
une certaine lumière sur quelques phases obscures de la pathologie
mentale
, éclaircit le caractère embarrassant des cas où
E-CLAY. Archives, 20 série, t. XVII. 10 146 ' REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XIV. Un cas d'idiotie avec amaurose; par A. Hy
1'n. 30 may 1896 ; Deux cas d'idiotie familiale REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 147 amaurotique, par Latrick et par Ch. H. Bea
as de fétichisme; par le Dr DE 111ooa. (Bzill. de ltt Soc. de n.éd.
mentale
, de Belgique, 1903. juin-août). 11 -s'agit d'un
ie circulaire se rencontrerait dans 1,94 p. 100 des cas de maladies
mentales
et s'observerait deux fois plus souvent que la
e tare héréditaire, 60 accu- saient de l'alcoolisme ou des maladies
mentales
chez le père ou la mère et 7 des tares analogue
manifeste entre quinze et vingt-cinq ans. 148 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ' Sur 80 sujets qui en étaient atteints il n'y
intenant éveille en lui les idées les plus cour REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 149 pables, c'est une dame de soixante ans, à
forment dans l'organisme, on est contraint 150 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. de reconnaitre que l'immense majorité d'entre
us les cas d'allochirie si on considère celle-ci comme un phénomène
mental
, un phénomène de réception erronée des sensatio
ensations (Leyden, Fischer), le produit d'un désordre de l'activité
mentale
. Et on le peut en s'appuyant sur le phénomène d
ssement du champ dela conscience. P. KERAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 1S1 XXI. Une affection spéciale du système ner
enfance et se traduisant par des troubles moteurs et de la débilité
mentale
; par W.-Ai. BECHTEREW. (Obozrênié psichiatrü, V
des tremblements des membres, une certaine rigidité, de la débilité
mentale
. Cette observation diffère des cas de 0. Giese
a progressé lentement mais sans arrêt. Les phénomènes de débilité
mentale
, les tremblements des membres, les troubles par
1901. Ncurolog., Celit1'Ctlbl., XX, 1901). 152 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Ce sont des états anxieux caractérisés par la
ident devient le choc psychique qui donne le coup de fouet à l'état
mental
. Dès lors le sujet s'observe en mangeant, appré
de médicaments cardiaques, de codéine. P. Keraval. XXIV. Confusion
mentale
et syndrome cérébelleux au cours de l'urémie. E
urémie cérébrale, empruntant le double masque du syndrome confusion
mentale
et du syndrome cérébel- leux. Une ponction lomb
d'un mois et demi, engagea l'auteur à faire une REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 153 nouvelle ponction de 30 centimètres cubes,
la glycosurie. La présente observation fait 154 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. exception à cette idée généralement admise et
enne, si les Juifs ont une disposi- tion plus grande à l'aliénation
mentale
, relativement à la popula- tion aryenne, et, si
rouvé 11 p. 100 d'aliénés juifs admis à la cli- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 155 nique. Les chiffres deviennent plus intére
a disposition des Juifs pour les types nosologiques de l'aliénation
mentale
diffère de celle de l'autre population en plusi
s fournissent un grand contingent au pourcentage de cette maladie
mentale
sur laquelle, après la syphilis, le facteur du su
ies organiques du corps (cerveau, etc.) par opposition aux maladies
mentales
ou de l'esprit ( ! ). Mais son tra- vail prend
paragraphe 104, section 2, incapacité pour celui qui a des troubles
mentaux
caractérisés. § 3. Incapacité pour l'aliéné séq
liéné, comme des mineurs de 7 ans auquel il 156 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. est assimilé, ne s'étend qu'aux dommages causé
re criminelle allemand admet l'interrogatoire de l'aliéné ou débile
mental
, comme du mineur au-dessous de 16 ans, mais en
ule permis d'arriver à un diagnostic précis. En deux années, l'état
mental
, loin de s'aggraver, est devenu meilleur ou tou
est celle de démence épileptique. ' R. LEROY. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. un XXXI. Séméiologie générale de l'idée de gro
ler. La genèse de l'idée de grossesse peut avoir un point de départ
mental
ou organique. G. Carrier. XXXII. Les rémissio
eu à faire, et de ne tenir aucun compte des 158 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. successions et des superpositions de causes va
tion. L'épilepsie réflexe a une base expérimen- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. , 1J9 tale solide, elle s'appuie sur l'expérie
les femmes; 5° sa terminaison est fatale 160 ' REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. et, le plus souvent, en moins de deux ans et d
e pas toujours, comme on a l'habitude de le dire, une suracti- vité
mentale
. SIMON. 1,X1. Les signes auxquels se reconnaît
ence. Aucun signe physique n'y suffit. SIMON. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 161 XLII. Sur les, psychoses liées à la fièvre
ou provoquer, au contraire, tous les de- grés possibles de troubles
mentaux
. La gravité des troubles men- taux n'est pas né
attaque de fièvre typhoïde s'accompagnent plus souvent de'troubles
mentaux
que la pre- mière. - Quant aux types morbides
Il est l'occasion fréquente d'erreurs de diagnostic. Tout trouble
mental
, accompagné de fièvre, doit faire soupçonner la f
ux troubles men- taux est surtout fonction de son degré de réaction
mentale
. - / Smox. XLIII. De quelques éléments de dia
E rapporte l'observation d'un ancien alcoolique atteint de débilité
mentale
à hérédité mentale très chargée qui eut au cour
ation d'un ancien alcoolique atteint de débilité mentale à hérédité
mentale
très chargée qui eut au cours de sa vie plusieu
ble forme doit être réservé et il lui préférerait celui de débilité
mentale
avec alter- native d'excitation et de dépressio
trait à une malade qui présenta simultanément un état de confusion
mentale
profonde, des phénomènes névritiques du côté de
e semble avoir eu pour effet de favoriser l'éclosion des trou- bles
mentaux
, chez une malade, dont le système nerveux était
de la prédispo- sition, dans l'éclosion de ces troubles nerveux et
mentaux
, la pré- disposition est caractérisée ici par u
ulose dans l'étiologie et la pathogénie des maladies ner- veuses et
mentales
. Etude critique et expérimentale; A. MopsELLi,
qu'on appelle la folie tuberculeuse est représenté par des troubles
mentaux
sans rapports avec ceux qui accompagnent les dé
bacillaire et ne peuvent suffir à expliquer les différents troubles
mentaux
du ma- lade. Telle est l'analyse très succinc
ssé. Le malheureux ne jouissait pas de la plénitude de ses facultés
mentales
. (Progrès de Lyon, décembre). Suicide. Depuis
le vide. Cette femme paraissait ne pas posséder toutes ses facultés
mentales
. (Progrès de l'l;ue, 6 janvier 1904). - La mère
à Londres le 16 juil- let 1903, par Ernest W. VHITC (The Journal of
Mental
, Science, octobre 1903). Comme ceux de ses préd
f. Vol. XVII. Mars 1904. N° 99. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. L'état du fond de l'oeil chez les paralytiques
uche. Nous en donnons les observations résu- mées et quant à l'état
mental
et quant à l'état ophthalmos- copique. Observ
903, page 826. ' Archives, 2' série, t. XVII. 13 194 -il CLINIQUE
mentale
. de dépression mélancolique avec quelques idées
e 1903, affaiblissement intellectuel considérable, grande confusion
mentale
; désorientalion excessive. Hallucinations nombr
ns indéniables. Voici d'ailleurs les traits principaux de leur état
mental
au moment de l'examen et le relevé correspondan
de parésie linguale et de bégaiement pendant quelques 196 CLINIQUE
MENTALE
. jours. 'Au moment de l'entrée, accès d'agitati
ralysie générale. Aujourd'hui, 8 septembre 1903, les manifestations
mentales
sont en rémission, la malade s'occupe régulière
sent plus ni à la lumière, ni à l'accommo- dation. 0 198 CLINIQUE
MENTALE
. L'examen du fond de l'oeil permet de constater
t nécrosée ; elle n'existe plus; bien plus, sa mala- 200 - CLINIQUE
MENTALE
. die s'est propagée à tout l'univers, aux végét
rt embarrassée. Pas d'inégalité pupillaire; les pu-. 202 . CLINIQUE
MENTALE
. pilles moyennement dilatées ne réagissent plus
s. Aucun trouble sensoriel. Le gâtisme a disparu. 204 .. CLINIQUE
MENTALE
. , A l'ophthalmoscope, la papille droite blanch
upil- laires très marqués.. Examen du 9 septembre 1903. Confusion
mentale
, demi- stupeur, attaques épileptiformes fréquen
e des épileptiques agités, alors qu'elles ont parfois une confusion
mentale
qui ne permet guère de donner à ces manifestati
veux par tels ou tels signes bruyants ou bien manifestes, confusion
mentale
, irritabilité, vertige ou convulsions, ou par l
originelles et autres persistant, on observe habituellement l'état
mental
lié aux lésions devenues indé- lébiles et, de t
ne rencontre que troubles psychiques ou de sensibilité et confusion
mentale
, vertiges, etc Je reviendrai, dans la dernière
bien, entre les symptômes de la maladie et les symptômes expéri-
mentaux
, certaines analogies, mais moins frappantes en so
e même l'écriture de l'homme froid est plus droite, celle du senti-
mental
plus conrbée. L'écriture droite, raide, positivem
reconnu tel et puni par la loi ; par EDWIN GOODALL. (The Journal of
Mental
Science, Avril 1903)- Il s'agit d'un homme de t
il donne des REVUE DE MÉDECINE LEGALE. - 245 signes d'aliénation
mentale
et fut transféré à l'asile le 1er juillet. La f
si. A son entrée à l'asile, il fut reconnu atteint d'in- suffisance
mentale
congénitale, avec nouveaux troubles surajoutés,
ble avec les mensurations et descriptions nor- males. Les symptômes
mentaux
aigus et nouveaux ont disparu, laissant subsist
ux aigus et nouveaux ont disparu, laissant subsister l'insuffisance
mentale
; c'est un minus habens. L'auteur ajoute avec r
son, mais soumis à un traitement éducationnel à la fin physique et
mental
. ' R. de nlUSG9A1'E-CLAY. II. Les mesures à pre
gard des idiots et des imbéciles; par J.-H. SPROAT. (The Journal of
Mental
Science. Octobre 1902). 1 L'auteur n'entend p
sprit (principalement les enfants arriérés ou dont le développement
mental
est lent) ; 2° les imbéciles ; 3° les idiots. P
ces mesures. R. de M.-C. III. Jugement, exécution, autopsie et état
mental
de Léon Czolgosz alias Fréderic Nieman, meurtri
été conduits par des voies différentes, l'un par l'étude de l'état
mental
, l'autre par l'examen nécrospique du cerveau es
de ses actes. . . ' lt. M.-C. iv. Rapport sur l'examen de l'état
mental
de Machetto Charles; ' par les Dr Weber et KOHL
ée d'un asile spécial pour les malades chez les- quels l'aberration
mentale
est compliquée de criminalité grave. , ' G. D.
té, que c'est un héréditaire prédisposé aux affections nerveuses et
mentales
, qui a accompli son crime en état de mala- die.
islation anglaise sur la folie ; par Ernest Wiiite. (The Journal of
Mental
Science. Avril 1902.) Une dame est admise à l'a
a folie chez les imbéciles ; par E.-F. 'l'fiEDGOLD. (The Journal of
mental
Science. Janvier 1903.) La folie ne s'observe q
souvent chez eux un état qu'on peut définir par le mot instabilité
mentale
et on peut par conséquent diviser les imbéciles l
ntalement stables et celui des mentalement instables. L'instabilité
mentale
paraît être chez eux le facteur le plus importa
e paraît être chez eux le facteur le plus important de l'aliénation
mentale
; et dans la pro- duction de ce facteur, l'héré
tres supérieurs, et si ce con- trôle vient à manquer, l'instabilité
mentale
s'établit. 11 y a une caté- gorie de ces imbéci
à 85 p. 100). Qu'il s'agisse de manie ou de mélancolie, le trouble
mental
n'est pas ordinairement de longue durée ; dans
Constantinople ; par le D1' Luigi Mongeri (Bull. .de laSoc. de méd.
mentale
de Berme, juin-août 1903). asiles D aliénés. 25
cide dans les asiles publics ; par Harry A. BEXHAM. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1903.) Les recherches de l'aut
lissements destinés aux aliénés; par Bedford PIERCE. (TheJournàl of
Mental
Science. Janvier 1903.) 252 asiles d'aliénés.
es par l'urée et ses sels ; par J. Longheed Baskin. (The Journal of
Mental
Science, Janvier 1903.) L'auteur a employé ch
iés de traitement aux cas de début et aux cas passagers de maladies
mentales
dans les hôpitaux généraux : ouverture de la di
ouverture de la discussion; par M..T.-S. CLOUSTON. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1902). N'ayant d'autre rôle qu
questions tous les médecins qui font de la consultation de maladies
mentales
répondront oui, avec quelques réserves sans dou
le savoir et l'expérience des prati- ciens en matière de pathologie
mentale
? On peut répond- e que l'avantage serait énorm
récisément ce qu'ils ne voient pas à l'asile, le début des maladies
mentales
, et ils apprendraient à les soigner de bonne he
erait l'idéal des mesures à prendre pour le traitement des maladies
mentales
dans les classes pauvres ? - Pour M. Clouston,
au nombre de quatre : a, à l'hôpital général une salle de maladies
mentales
, telle qu'elle vient d'être décrite'; b, un hôp
contribuer à établir les rapports du spiritisme avec l'aliéna- tion
mentale
. La première malade distraite et rêveuse, n'ayant
le premier cas. Il peut être une étape, une épisode dans un état
mental
grave comme dans le second cas. Il permet d'attir
« Fac et spern ». 2° Des rapports du paludisme et de l'aliénation
mentale
. Epi- graphe : « Jeunes gens, vivez dans la pai
inte de pseudo-oedème catatonique que l'homme. Ecriture et débilité
mentale
. M. R. FOERSTER (de Bonn) qui avait présenté da
nie. - Très honoré Rédacteur, Dans le récent Traité de pathologie
mentale
, publié sous la direc- tion de M. Gilbert Balle
direc- tion de M. Gilbert Ballet, livre X, concernant la pathologie
mentale
au point de vue administratif et judiciaire, au
basant sur les comptes rendus du Congrès international de médecine
mentale
de Paris en 1889, où M. Soutzo parle de l'assista
Par leur physionomie un peu différente dans les diverses affections
mentales
où elles se présentent, les idées de négation p
aine. Il a aussi insisté sur l'accroisse- ment des cas d'aliénation
mentale
causés par l'abus des boissons alcooliques. M
er, sera décerné au meil- leur manuscrit sur un point de pathologie
mentale
. , Année 1905. - Prix Belhomme. - 900 francs. -
a décerné au meilleur travail manuscrit, sur un point de pathologie
mentale
. Prix Moreau(de Tours). - 200 francs.- Ce prix
vant les facultés de médecine de France, sur un sujet de pathologie
mentale
ou nerveuse. - 7 ? KSeme/'< ? ) ! e. - 500 fra
t. Il survient de l'incontinence de l'urine et des matières, l'état
mental
, déjà très précaire, caractérisé par de la torp
s : il n'en reste d'ailleurs pas moins acquis que la cause fonda-
mentale
réside dans l'imprégnation plombique. Dans notr
s indiqué d'insuffiance rénale. L'une d'elles fit de la confu- sion
mentale
, l'autre, un délire à physionomie ancestrale bien
MM, Bouveret et Devic. Les contractures avaient REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 331 L débuté par les extrémités, avaient gagné
des accidents toxiques tétaniques. G. Carrier. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XLV. Symptômes hystériques de la folie simple
ie. Finalement le tableau carastéristique 332 , REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. de la phase maniaque ; l'identité quasi-absolu
er le méca- nisme des accès de folie, l'influence sur eux de l'état
mental
, des accidents psychopathiques et somatiques. i
t de 14,4 p. 100, sont depuis de 11,2 p. 100. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 333 Ayant reproduit le fond de la doctrine et
ation crépusculaire et leurs modalités dans les diverses affections
mentales
, M. Raecke les détaille et discute successiveme
n'a pas troublé la marche. Il s'agit d'une 334 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. paysanne de ;il ans buveuse mais bien portante
n syndrome catatonique composé d'un ensemble de REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 33d 5 symptômes psycho-moteurs dont le terme c
pilepsie, paralysie générale, démence sénile, mélancolie, confusion
mentale
, délires auto et exataxiques : avec ses carac-
xpérimentales sur la katatonie; par Lewis C. BRUCE. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1903.) Les conclusions tirées
a période d'invasion aiguë avec hallucinations de l'ouïe, confusion
mentale
, paroxys- mes d'excitation, actes impulsifs, sp
de la température, aug- mentation des réflexes cutanés et hébétude
mentale
. Chez les lapins bien portants, la maladie tend
s de folie d'origine toxique; par Emc M. Thom- son. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1903.) Le premier de ces cas m
orielles et les troubles cutanés. Le second 33G REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. présente une variété assez commune d'auto-into
ay. LIV. La folie du haschich; par John \VAnNOCE. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1903.) L'auteur, qui dirige un
ute que le haschich parait être en Egygte un fac- teur d'aliénation
mentale
plus important que l'alcool en Angle- terre, et
ans l'Inde anglaise, et qu'il donne lieu à plus de cas d'aliénation
mentale
et à plus de crimes. II. DE IOSGIi.IVE-CL : 1Y.
ment la manie de l'adolescence; par Lewis C. BRUCE. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1903.) Dans un précédent trava
e de Korsakow » chez des femmes; par John TURNER, (titre Journal of
Mental
Science, octobre 1903.) Il y a une quinzaine d'
es qui se rencontrent très fréquemment chez les REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 337 alcooliques chroniques, et'il a donné à ce
au ayant causé la folie; par Lui. Sm : LAIR-(3LACK. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1903.) La présence de cysticer
uverts. ! j Archives, 2' série, t. XVII. 22 338 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Dans le quatrième ventricule, cinq kystes étai
1T. LVIII. Un cas d'anévrysme; par Robert Pucn. (The Journal of -
Mental
Science, juillet 1903.) Observation curieuse d'
e : rapide terminaison fatale; par li.-D. Hotchkis. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1903.) Il s'agit d'un 'homme
peut être utilisé par les malades pour s'ex- pliquer leurs troubles
mentaux
. Croyant innover, ces malades reviennent à la p
'est-elle pas toujours caractérisée par l'altération de la synthèse
mentale
, terrain propice à tous les automatismes psycho
ns de parler. M. VOISIN. - Ce malade a dû présenter de la confusion
mentale
après la mort de sa femme; il est maintenant be
cupait chez sa fille ; elle ne jouissait pas de toutes ses facultés
mentales
et l'on pense qu'elle aura mis involontairement
Universités des Etats- Unis; par Charles-S. Mayens. (The Journal of
Mental
Science. Octo- bre 1903.) ' - - Dans ses visi
iques présentées par H commission DE la tuberculose (The Journal of
Mental
Science, octobre 1903). Travail accompagné de p
elle avait déjà manifesté des symptômes d'abaissement des facultés
mentales
. Ii y a quelque temps, à la suite de remontranc
THE\uME (André-Alphone-Louis), ancien chef de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de médecine ^de Paris, inspecteur
e Itacine. Prix : 3 fr. 50. Pnov. Influence de l'estomac sur l'elat
mental
et les fonctions psychiques. 1 vol. in-18" de 1
: 2 francs. ' SCliUTTLFWORTII. Les enfants anormaux au point de vue
mental
, - Leur traitement et leur éducation. 1 vol. in
4, Vol. XVII. Mai 1904. N° 101. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. Des signes oculaires dans la pàralysie général
n de caractéristique. Archives, 2'série, t. XVII. 23 354 CLINIQUE
MENTALE
. Il convient cependant de reconnaître que dans
bles iriens qui sont de beaucoup les plus fréquents. 356 CLINIQUE
MENTALE
. Le premier signe, noté depuis longtemps par Ba
un, le réflexe lumineux, est très fréquemment atteint, 358 CLINIQUE
MENTALE
. on peut dire presque constamment; l'autre, le
ernier malade est sorti du service peu après, mais' il 360 CLINIQUE
MENTALE
. est probable que dans un temps plus ou moins r
Mickle (1886) que chez les paralytiques généraux : 362 ? CLINIQUE
MENTALE
. 1° On trouve très fréquemment l'immobilité des
ies commençantes), 22 aspects flous de la papille avec 364 CLINIQUE
MENTALE
. bords indécis. En somme 42 fois des lésions du
pour notre part, que, abstraction faite des cas où les trou- bles
mentaux
rendent cet examen impossible, et ceux où des l
rvice de M. Tou- louse, avec le certificat suivant : « Déséquilibre
mental
. Accidents hystériques. Impulsions génitales. »
de ce même mouvement, le tout commandé par l'évolution d'une image
mentale
motrice. Cette image s'ac- compagne d'une vague
vement était la résultante inconsciente et immédiate de l'avalanche
mentale
de l'image motrice. Et lorsque le mouvement aug
à l'acte sexuel. Ce qui caractérise l'acte sexuel au point de vue
mental
c'est avant tout une impulsion motrice qui se r
par un état vague et flou de la conscience, véri- table distraction
mentale
, se détachant pour ainsi dire de son objet qui
t elle invite au rapprochement sexuel, mais on peut dire que la vie
mentale
provoquée par l'audition d'airs musicaux se rap
nal. La similitude résidait surtout dans la vie psychique et l'état
mental
dû très probablement à l'évolution parallèle et
st sou- vent d'un précieux secours pour la connaissance de l'état
mental
d'un sujet. , Dans un précédent travail nous av
s muscles de l'oeil qui elle-même n'est que la traduction de l'état
mental
du sujet « et par suite est l'expression de l'a
gue motrice. Et, lorsque nous disons fatigue motrice, c'est l'image
mentale
du mouvement que nous voulons désigner. C'est l
tat soi-disant normal, il en résulte un état d'épuisement de l'état
mental
et principalement des impressions et repré- sen
it et se complai- sait dans le plein épanouissement de son activité
mentale
. ' C'est là une expérience rare, peut-être même
e d'immobilité vertigineuse, correspondant au summum d'excitation
mentale
. De nouveaux groupes d'images, véri- tables sat
et nourris par une émotion toujours plus intense, donne à l'image
mentale
sexuelle une physionomie bien définie et bien.
ns la folie; par R. WILSO ? et D. Chalmers `VATS01. (The Journal of
Mental
Science, juil- let 4003 ) Deux observations t
romhy- drate d'hyoscine ; par J. L)lt-40,ND-GOLDAN (The New-l'o·l :
Mental
Journal, 3 janvier 1903.) bans ce travail, ac
stème nerveux central de l'homme ; par John TUnNER. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1903). Très intéressant mémo
ration cellulaire parait avoir un rapport défini avec les symptômes
mentaux
de la maladie où on l'observe, dans l'autre cla
cas de manie aiguë continue; par Lewis C. BRUCE ( 7'Ae Jour- nal of
Mental
Science, avril 1903.) REVUE D'ANATOMIE ET DE PH
dans la paralysie générale; par J.-V. 13LACHFORD (The Journal of
Mental
Science, juillet 1903.) De ses propres recherch
e stigmates de dégénérescence; par E.-H. Haurisson. (The Journal of
Mental
Science. Janvier 1903.) Les conclusions de l'
nt simulé une tumeur du médiastin; par Robert PuGH. (The Journal of
Mental
Science. Avril 1903). Il s'agit d'un homme de
n cas de cyticerque du cerveau; par W.-C. SULLIVAN. (The Journal of
Mental
Science. Janvier 1903). Homme de 27 ans, aurait
cas de poren- céphalie ; par J.-O. WAKELIN BARRATT. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1903.) , L'observation du ma
a névroglie et ses prolonge- ments ; par R. LEEPEI\ (The Journal of
Mental
Science. Oct.i902). Les altérations des cellule
anormal de poids anormal ; par John SUTc- , LIFFE. (The Journal of
Mental
Science. Avril 1902.) La conclusion de l'auteur
LXXVI. Influence du travail intellectuel prolongé et de la fatigue
mentale
sur la respiration ; par le Dr Omci. (Riv. Sp. di
respiration sont généralement liées à des irrégularités du travail
mental
, soit dans sa rapidité du calcul, soit dans l'in-
es (atten- tion, aperception, mémoire...) prennent part à des actes
mentaux
déterminés. 2° Quand les actes mentaux sont de
.) prennent part à des actes mentaux déterminés. 2° Quand les actes
mentaux
sont de durée égale et coûtent au sujet un effo
les actes mentaux sont de durée égale et coûtent au sujet un effort
mental
égal, la respiration prend aussi un cours unifo
due au fait que le langage intérieur accompagne et aide le travail
mental
. 4° Les irrégularités de la respiration se mani
deviennent d'autant plus accentuées que plus intense est la fatigue
mentale
du sujet. 5° La rapidité de l'inspiration est d
a rapidité de l'inspiration est d'autant plus grande que le travail
mental
est plus intense et plus rapide, peut-être parc
correspond très souvent soit au petit intervalle entre deux actes
mentaux
successifs, soit à celui qui sépare le calcul men
re deux actes mentaux successifs, soit à celui qui sépare le calcul
mental
accom- pli de l'acte musculaire d'écrire les ch
acte musculaire d'écrire les chiffres obtenus. Quand durant un acte
mental
(A. M.) le sujet fait quelques respirations, les
des, mais plus brusques et rapides qu'à l'ordinaire. -7° Le travail
mental
du calcul est plus intense durant l'expiration,
s pendant quelques pauses. 8° L'expiration contemporaine du travail
mental
est à l'ordinaire allongée, non uniforme dans l
9° L'allongement de l'expiration semble être l'indice d'un travail
mental
contemporain, tandis que d'autre part la longueur
M. 11° La modification de l'expiration, contem- poraine au travail
mental
, peut aussi manquer; mais elle est un bon indic
habituelle des diverses pauses est d'indiquer une période de repos
mental
relatif ou absolu. 15° Très souvent les diverse
qu'une pause quelconque peut être associée à une période de travail
mental
, et être alors l'expression, soit d'un phénomèn
oute espèce deviennent d'habitude très fréquentes durant la fatigue
mentale
, et alors sont peut-être l'expression de la. fa
ation et l'intensité 390 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. du travail
mental
n'est pas toujours constant. 19° Spécialement c
- tal absolu ou relatif. - 20° Au contraire aux périodes d'activité
mental
correspondent des respirations peu profondes ; si
e respiratoire aux variations d'intensité et de rapidité du travail
mental
est très sensible et très vive. 22° D'ordinaire,
ental est très sensible et très vive. 22° D'ordinaire, à un travail
mental
représenté par des phénomènes d'aperception et
compliqué de scarlatine; par George WATTERS Green. (The Journal úr
Mental
Science. Avril 1903). Il s'agit d'un garçon de
cou) a le premier fait remarquer qu'une forme spé- ciale de trouble
mental
que l'on avait auparavant décrite comme étant c
uns locaux, des brûlures ; les autres sont des REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 399 accidents nerveux qui consistent en perte
appelées les kéraino-paralysies. G. Carrier. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. LX. Quelques considérations à propos du rappor
LX. Quelques considérations à propos du rapport sur l'aliénation
mentale
; présenté par M. LENTZ, au Congrès International
e maladie de Graves avec manie ; par J.-P. Grikves. (The Journal of
Mental
Science. Octobre 1903). Intéressante observatio
avec accompagnement de manie. La mort sur- 400 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. vint en quatorze jours, sans complications pul
II. Un cas de double conscience; par Albert WiLsox. (The Journal of
Mental
Science . Octobre 1903.) Nous regrettons de ne
pour des tentatives de suicide; par Robert JoNEs. (The Journal of
Mental
Science. Avtil 1903.) Relation intéressante de
et la mélancolie avec stupeur; par W.-Il. Dawson. (Tite Journal of
Mental
Science. Octobre 1903.) Deux observations intér
ue. R. M -C. LXVI. Un cas de chorée et de grossesse avec aliénation
mentale
; par Robert Joues. (Tlc Journal of Mental Scien
rossesse avec aliénation mentale; par Robert Joues. (Tlc Journal of
Mental
Science, juillet 1903.) Observation intéressant
otes cliniques et pathologiques; par M.-J. MOLAN, (fin - Journal of
Mental
Science. Avril 1903). Ce travail se compose de
rne un homme qui avait avalé en état de démence REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 401 des corps étrangers : passage facile de gr
de ; mort. H. DE IUSGn.avE-CL1'. 1.'\1'\. Nomenclature des maladies
mentales
; par A.-R. Urguiurt. (Tlte Journal of Mental Sc
clature des maladies mentales; par A.-R. Urguiurt. (Tlte Journal of
Mental
Science. Avril 1903). C'est à propos d'une nouv
a pensé qu'il y avait lieu de reviser la nomenclatnre des maladies
mentales
. Il pense qu'il faut se rallier, dans les gran-
y. L'il. Un cas d'hébéphrénie ; par W.-R. Dawson. (The Journal of
Mental
Science, avril 1903.) On sait que le mot d' « h
ployé par Stecker et Kahlbaum pour désigner une série de phénomènes
mentaux
pathologiques commençant à la puberté ou à l'ad
t devient Archives, 2' série, t. XVII. 26 402 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. morose, absorbé, il recherche la solitude, ou
nt expansif. Tout d'abord il a conscience d'un certain détraquement
mental
. La masturba- tion est fréquente. La conduite d
émissions, surtout dans les commencements. Puis l'affaiblisse- ment
mental
s'accuse, mais les idées délirantes et les halluc
nt les rapports de l'hébéphrénie avec les autres formes de maladies
mentales
. Il est évident qu'elle constitue essentielleme
onnelle, la distribution ne porte peut-être que REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 403 sur les mots. Enfin on peut se demander qu
t que l'excès de cette pratique soit de nature à hâter le déchéance
mentale
, il ne parait pas y avoir de raisons suffisante
lui attribuer une autre valeur que celle d'un symptôme de troubles
mentaux
généralisés. R. de lIIUSGU.vVE-CL.1Y. LXXL Quel
arques sur les hallucinations ; par CONOLLY Mormon (T'he Journal of
Mental
Science, avril et juillet 1903). La première pa
nions, et les théories nouvelles ne peuvent 404 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. guère que l'étendre ou la compléter. C'est ce
p plus complexe que le mouvement,, il n'est pas REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 405 surprenant que les associations sensoriell
du nIUSGRAVE-CL : 1Y. LXXIII. Les hallucinations et les phénomènes
mentaux
qui leur sont connexes; par Sir LAUDER BItuwTOV
ux qui leur sont connexes; par Sir LAUDER BItuwTOV. (The Journal of
Mental
Science, avril 1902.) , . Pour analyser ce lo
ière captivante ; les faits ont rapport plus souvent aux phénomènes
mentaux
qui sont connexes aux halluci- nations qu'aux h
athologie de la folie; par T. DUNCAN GREENLEES. (rA6youn ! a< of
Mental
Science. Octobre 1902) . '. ' Ce travail est
n ; mais il ne saurait être analysé ; étant 406 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. composé presque exclusivement de chiffres et d
ts. nE lIlUSGRAVE-CLAY. - - R. DE Musgrave-Clay. L11VI. Les états
mentaux
qui aboutissent à l'homicide; par G.-T. REVINGT
qui aboutissent à l'homicide; par G.-T. REVINGTON. (Tlee Journal of
Mental
Science. Avril 1902.) Les conclusions de ce tra
ychologique de la Grande-Bretagne et de l'Irlande. (7'he Journal of
Mental
Science. Juillet 190z.) Ce travail, très docume
ades atteints de phthisie; 3D la construction à REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 407 l'avenir d'asiles moins grands ; 4° les me
cises et une méthode corrélative; par C. HUBER Bond (The Journal of
Mental
Science, octobre 1902). Travail intéressant mai
tableaux. R. M. C. LXXIX. La toxémie dans l'étiologie des maladies
mentales
. Ouverture de la discussion; par M. T.-S. CLOUS
Hohertson, G.-B. Wilson, Yellowlees, Bruce et Marr (The Journal of
Mental
Science, juillet 1902). M. Clouston en ouvrant
ladie mentale » est un état primitif et que 408 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. .la « maladie somatique » qui l'accompagne est
étiologique des maladies men- tales. 2° La conscience- et les états
mentaux
peuvent se modifier considérablement dans diver
es ne produirait-elle pas les phénomènes observés dans les maladies
mentales
? 3° Beaucoup de maladies mentales ont une appa
mènes observés dans les maladies mentales ? 3° Beaucoup de maladies
mentales
ont une apparition et une disparition dont la s
ues les plus im- portants au point de vue de la folie : sa fonction
mentale
est assu- rément celle qui réagit le plus vivem
lle qui réagit le plus vivement à l'égard des stimulations purement
mentales
, mais elle réagit aussi d'une façon bien accusée
ble de l'hérédité est la démonstration clinique REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 409 de cette proposition. 6° Les processus du
de cette proposition. 6° Les processus du développement cérébral et
mental
jusqu'à vingt-cinq ans, ceux de l'involulion et-
nvolulion et- de la déchéance après soixante ans, et les phénomènes
mentaux
qui les accompagnent sont rigoureusement physio
ionnement de la cellule nerveuse, mais non pas donner aux symptômes
mentaux
le caractère d'un" âge ou d'un autre. 7° Dans b
. 9° Il n'y a dans l'histoire clinique et pathologique des maladies
mentales
aucun phénomène qui soit le moins du monde anal
i sans aucun doute capable d'accentuer et de prolonger les troubles
mentaux
que d'attribuer à la toxémie une importance fon
de tout l'organisme, des sécrétions, des If] 0 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. excrétions, de la nutrition, que par conséquen
e théorie permet d'attribuer à la toxémie, dans la genèse des états
mentaux
, un rôle non pas primordial mais secondaire. 1;
rôle de la toxémie dans la genèse et la prolonga- tion des maladies
mentales
, mais elles sont trop complexes, trop manifeste
sions sensorielles peuvent être la cause déterminante de phénomènes
mentaux
, mais que la nature de ces phénomènes est subor
suivante : « Au début d'une maladie mentale aiguë les symptômes «
mentaux
précèdent-ils les symptômes physiques, ou bien le
t rapportées quatre observations de sujets i 12 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. atteints du délire de dépossession et de reven
le coup d'une affection aiguë. BOUR1,EVILLE. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 413 nairemeut une tare héréditaire souvent trè
une fâcheuse tendance à reparaître : '). chaque accès d'aliénation
mentale
.' {Annales médico-psychologiques, août t f 903)
a dysenterie d'asile; par N. H. i\I : 1C\IILL : 1N (Tite JOllmal of
Mental
Science. Juillet 1902). L'auteur indique avec d
ment qui ont été employés. R. M.-C. XIV. Le traitement des troubles
mentaux
à leur début; son ensei- gnement clinique dans
alles des hôpitaux généraux; par Sir John SIB13ALD (Tite Journal of
Mental
Science. Avril 1902). Le but de ce travail est
suffisance actuelle des moyens d'enseignement clinique des maladies
mentales
, et les moyens d'y remédier : cet enseignement
généraux des salles spéciales consacrés au traitement des maladies
mentales
à leur début. Les malades n'y resteraient qu'un
ouble. D'abord les étudiants se familiariseraient avec les maladies
mentales
, avec leur diagnostic au moment même où il est
nette que possible, les lésions du système nerveux dans un syndrome
mental
de nature auto-toxique, le delirium tre- mens,
tomie patho- logique était encore confondue avec d'autres syndromes
mentaux
toxi-infectieux.. 422 - BIBLIOGRAPHIE. Pour
essentiel. Il se caractérise cliniquement par un état de confusion
mentale
hallucinatoire suraiguë accompagnée de fièvre et
I. L'association des idées dans la manie aiguë et dans la, débilité
mentale
; par le Du Madeleine Pelletier, 1 vol. in-8° de 1
t à ce processus psychique présentent chez le maniaque et le débile
mental
, les mêmes caractères que chez l'in- dividu nor
ait que débuter dans cette voie. - Le travail psychique du débile
mental
est supérieur à celui du maniaque. Il y a chez
Il y a chez lui une ébauche de coordination d'idées, mais le niveau
mental
subit à chaque instant des dépressions qui font
des idées. Les lois d'association sont les mêmes dans l'aliénation
mentale
et la débilité que dans l'état normal. L'affaib
ans un asile public ou privé consacré au traitement de l'aliénation
mentale
, soit comme chefs de clinique ou internes des h
1900, qui dispensait du concours le chef de clinique- de pathologie
mentale
et des maladies de l'encéphale, à la Faculté de
Vol. XVII. Juin 1904. ' N° 102. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. Un cas de forme fruste de démence précoce 1.
Dr Sérieux. Archives, 2' série, t. XVII. ' ? 8 . 131· li CLINIQUE
MENTALE
. faible affection pour le reste de sa famille;
anément du moins un certain trouble dans l'harmonie de ses facultés
mentales
, néan- moins il s'acquitta fort bien des foncti
iode de trou- UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 435 bles
mentaux
aigus a duré plus de temps que le malade ne le cr
cinations. A ce délire semble avoir suc- cédé une phasede confusion
mentale
qui a dû persister plusieurs mois jusqu'à la so
- grand- père. Je tâcherai d'élucider plus loin quel était l'état
mental
de )1. N... à cette époque, état mental qui a d
plus loin quel était l'état mental de )1. N... à cette époque, état
mental
qui a déterminé son mode de vie depuis 1890. Le
ivons aux faits qui ont motivé sa dernière entrée. De- 436 CLINIQUE
MENTALE
. puis le mois de février 1902, nI. 1\... était
res entières, ne paraissant penser à rien. Incapable de tout effort
mental
, il ne cherche aucune occu- pation. Il dit lui-
cune réaction. On voit qu'il s'agit en somme d'un état de confusion
mentale
, d'imprécision extrême des idées, qui se tradui
oles prononcées pour ainsi dire automatiquement, etc., 438 CLINIQUE
MENTALE
. etc.) Remarquons enfin que les perceptions son
'est à la faveur de cette imprécision des perceptions et des images
mentales
que se développent les illusions de fausse recon-
t ne ressent plus de fatigue lorsqu'il veut faire un certain effort
mental
. La phase aiguë n'a laissé en lui que des souveni
iminution des désirs, mais est liée aux troubles de tout l'exercice
mental
; ce n'est qu'après avoir passé en revue toutes
e semble guère ressentir les émotions bien profondé- 440 ' CLINIQUE
MENTALE
. ment. Il est assez difficile d'étudier d'une f
. N... n'a plus de conceptions délirantes, il n'a rlus de confusion
mentale
ou d'imprécision des idées. Il ne parait pas av
ixe spontanément sur rien, il n'a pas de souvenirs 442 "-) CLINIQUE
MENTALE
. spontanés, il ne songe'pas à sa vie passée, il
st en désaccord avec ce que nous apprend le malade sur 444 CLINIQUE
MENTALE
. sa pensée spontanée. Mais je crois que ce désa
nt pas tant de ne pas pouvoir penser volontairelneutque de l'effort
mental
qu'il lui faut faire pour penser, il se plaint d'
'est pas troublée, mais ce qui l'est, c'est l'évocation; les images
mentales
n'ont plus une vivante assez grande pour appara
ente de rassembler quelques souvenirs, ce qui nécessite un effort
mental
moindre; il écrit un certain nombre de proverbes
rases, espérant ainsi le forcer à un certain effort de construction
mentale
; ici encore, ce sont des rmiuis- cences qui s'i
s'exerce jamais à vide et on ne peut l'étudier qu'à 446 6 CLINIQUE
MENTALE
. travers une autre fonction. M. Binet fait rema
sse à des tests, dans lesquels l'intelligence, la faculté d'analyse
mentale
n'interviennent que peu, M. N... four- nit des
évoquer plus de détails qu'il ne le fait, mais grâce à un effort
mental
assez considérable qui le fatigue et l'ennuie. Vo
lixent dans son esprit et subsistent. Celte difficulté de l'effort
mental
se manifeste encore quand on prie le malade de
réponse est inexacte et il ne cherche pas à la cor-' 448 8 CLINIQUE
MENTALE
. riper ; à la fin de l'exercice, il ne prête pl
ies qui trahissent l'affinité qu'ont les diverses repré- sentations
mentales
les unes pour les autres. M. N..., pour reprodu
'applique qu'à des objets sim- ples, si la combinaison des éléments
mentaux
est peu com- pliquée ; elle est impossible ou p
d'adaptation spon- tanée, une certaine rapidité dans les processus
mentaux
qui permettent aux touts complexes, que forme l
e consistant en une diminution de la viva- cité des représentations
mentales
. Voilà donc une forme morbide dans' laquelle, à
s chez lui. i. Archives, 2' série, t. XVII. 2'.) . 450 CLINIQUE
MENTALE
. d'un épisode hallucinatoire confus survenu à l
craintes dans les moindres modifications de son état physique et
mental
. A cause du retour de plusieurs accès à peu prè
antécédents héréditaires, on ne e trouve aucune trace d'aliénation
mentale
, de dégénérescence dans sa famille. Jusqu'à son
e. Jusqu'à son premier accès, 1\1. N... n'a ma- nifesté aucune tare
mentale
ou névropathique bien appré- ciable. Noterons-n
-être là des faits suffisants pour que certains concluent à la tare
mentale
congénitale. Mais en élargissant à ce point le
on de la psychose observée; mais il ne s'agit pas là 452 ) CLINIQUE
MENTALE
. de prédisposition héréditaire, il s'agit de pr
sion de l'état de deséquilibre fonctionnel congénital des facultés
mentales
. Or, ce n'est pas le cas ici; il n'y a rien de
commun entre un délire à base de confusion hallucinatoire et l'état
mental
des dégénérés. La maladie de M. N... scinde sa
sa vie en deux périodes bien tranchées; son mode de vie, son état
mental
, son activité intellectuelle sont changés, modi
son contraire entraînent. Ce sont bien là les caractères de l'état
mental
de 111. N... Nous avons vu que, chez lui, c'éta
ité intellectuelle, nous les avons retrouvés dans toutes les formes
mentales
de notre malade, depuis la diminution de l'atte
que les formes extrêmes d'un état intellectuel dans laquelle la vie
mentale
se réduit à un nombre de plus en plus restreint
s ne portent que sur les élé- ments les plus délicats de l'activité
mentale
. Que pour une cause quelconque (cause que nous
he en conceptions, fugaces d'ailleurs et peu précises, 484 CLINIQUE
MENTALE
. le second en a été extrêmement pauvre, le déli
l'asile, enfin l'activité de l'intelligence sans laquelle toute vie
mentale
un peu élevée est impossible. La conception deK
N... soit en apparence normal, l'examen de ses diverses facultés
mentales
nous a permis de déceler chez lui lés traits esse
ntellectuel restreint, mais toute profession demandant des facultés
mentales
étendues, de la présence d'esprit, de la plasti
capital intellectuel existant encore. C'est là une 4S6 6 ' CLINIQUE
MENTALE
. simple hypothèse, mais elle mérite d'être appr
s à ce sujet par Magnan et Sérieux *. Dupré, in traité Pathologie
mentale
de Ballet, z1903), écrit à peu près dans le mêm
s imaginaires qui en voulaient à ses jours, et qu'il a 458 CLINIQUE
MENTALE
. - cherché une nuit à se jeter par une fenêtre
nte trois-ans, tous les deux jouissent d'une assez 460 ' · CLINIQUE
MENTALE
. bonne santé. D'après eux, pas de maladies nerv
QUE MENTALE. bonne santé. D'après eux, pas de maladies nerveuses ou
mentales
dans les ascendants. Antécédents personnels.
rines et se ruina. Excès alcooliques de toutes sortes. La ma- ladie
mentale
actuelle date de trois ans. Elle a débuté par des
ce sujet. Père mort d'accident, mère en bonne santé. 462 CLINIQUE
MENTALE
. Antécédents personnels. A eu la rougeole. D'un
iologique, autre que le syndrome paralysie générale. 464 CLINIQUE
MENTALE
. Baillarger soutenait que quand il y a un délir
érédité intervient sans doute ici, comme dans toutes les maladies
mentales
, mais elle ne joue pas un rôle prépondérant. No
CAS DE DELIRIUM TREMENS. 467 duit à admettre que la désorganisation
mentale
est moins profonde au cours du délire auditif q
i-ci atteint d'hallucinose auditive, affection avec désorganisation
mentale
vraisembla- blement moins profonde ne réussisse
plus longtemps que l'ouïe. Il en résulterait alors qu'une affection
mentale
com- portant déjà des troubles graves des centr
dé- chéance du système nerveux; par F.-W. IIOTT. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1902.) Tout le monde sait que
eaucoup. Mais il n'y a aucun rap- port de proportion entre l'effort
mental
qui implique l'attention et la masse musculaire
tteints, l'idéation est gro- tesque, confuse et anormale. Ces états
mentaux
relèvent surtout des stimulations visuelles, pa
héréditaire ou acquise. Enfin il est incontestalbe que le surmenage
mental
est un facteur déterminant de la production de la
l'écorce cérébrale chez l'homme ; par John TURNEP (The Journal of
Mental
Science. Janvier 1903.) Nous ne pouvons, en rai
par H.-E. HiDWOLD, avec remarques par Robert JONES, (The Journal of
Mental
Science. Juillet 1903). Il s'agit d'une malade
iques démontrent que dans les cas de tumeur cérébrale, les troubles
mentaux
ou intellectuels. se rencontrent dans la moitié
thénie, de l'intoxi. cation saturnine et de l'urémie, les symptômes
mentaux
et physi- ques pouvant dans ces divers états pa
. de nIUSGR.1'E-CL4S'. LXXX. L'alcalinité du sang dans les maladies
mentales
; par ' Robert Pucu. (Tlee Journal of Nental Sci
acksonnienne et la volition ; par A.-B. KINGSFORD. (T)ce Journal of
Mental
Science. Juillet 1903). Le caractère de l'épile
l'effort volitionnel, l'auteur le considère comme l'accompagnement
mental
d'un frottement nerveux (s'il est permis d'empl
dans les « Nursing Homes »; par Ernest W. WU1T1 ? (Tice Journal of
Mental
Science. Avril 1903.) Dans ce travail l'auteur
e traitement des cas aigus ; par R.-R. LI E- PER. (titre Journal of
Mental
Science. Octobre 1903 ) L'auteur rapporte plusi
s ses rapports avec les narcotiques dans le traitement des maladies
mentales
; par Henry n.\Y<ER, (The Journal of Mental S
tement des maladies mentales; par Henry n.\Y<ER, (The Journal of
Mental
Science, juillet 1902). L'auteur se demande si
me, d'irritation gastrique, de consti- pation, et de cette hébétude
mentale
si commune dans les cas anciens de sédation par
diagnos- tic de méningite, avec pronostic fatal. En réalité, l'état
mental
est sous la dépendance d'un trismus, avec infec
tion buccale permet de triompher rapide- ment du trismus, et l'état
mental
disparait. L'hypnotisme en Russie. M. ORLITZ6
neste. Je disais expressément ceci : L'état d'incapacité, d'inertie
mentale
de cette malade, les mauvaises conditions hygié
générale, le milieu familial est souvent funeste aux nerveux et aux
mentaux
; aussi leur prescrit-on l'isolement. Tou- tefo
une mesure bienfaisante et très grave dans la thérapie des maladies
mentales
. N.-N. l3acaor.r présume que la définition exac
pense que l'appréciation du temps se fait à l'aide des combinaisons
mentales
et non à l'aide de la seule per- ception et, pa
qu'il n'existe pas jusqu'à ce temps de théorie scientifique fonda-
mentale
sur la formation de cette catégorie des représent
ose sur trois grands ordres de faits : 1° l'apparition des troubles
mentaux
à l'adolescence; 2° l'évolution clinique qui év
ntes se méienl, se choquent dans l'esprit du malade créant un chaos
mental
indes- criptible. Le langage et les écrits de
It- pool, le 24 JUILLET 1902; par G. Wiglesworth. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1902). Le discours présidentie
géné- rations. Quant il la fréquence relative de tel ou tel trouble
mental
chez les sujets à prédisposition héréditaire, c
héréditaires; d'autres l'assimilent à cet égard aux autres maladies
mentales
. La statistique de l'auteur porte sur 433 cas -
apport général sur les soins et le traitement au début des maladies
mentales
. Il pré- conise un système que M. le professeur
eur Clouston a depuis égale- ment défendu et développé (Journal loi
Mental
Science, octobre 1902). Il demande la création
'un échelon inter- médiaire qui .est l'hôpital simple pour maladies
mentales
sans internement. De la sorte, promptitude de
a l'asile fermé. L'auteur combat l'idée de fonder pour les maladies
mentales
des hôpitaux à part, établissements distincts des
taux généraux eux-mêmes, tout en répondant aux besoins des maladies
mentales
au début, devraient comme dispo- sition et admi
nseul832, domiciliéeàCurebhem- Anderlecht, avait perdu ses facultés
mentales
à la suite de la mort de son fils. Enfermée à l
exie chez un achondroplase, par Fiirsler et Marie, 80. Aliénation
mentale
. Quelques con- sidérations à propos du rapport
èg- ! pment du - des médecins adjoints des asiles. 426. Confusion
mentale
. Deux cas de polynévritique, par Crocq, 11J.
marques sur les - par 1>lorma/l, 403. Les et les pilé- nomènes
mentaux
qui leur sont connexes, par Brution, 405. Des
ar Decroly, 08. )1 \LADIES somatiques. Les rapports des symptômes
mentaux
avec les , par Haw, 136. L'élément, his- trio
aux avec les , par Haw, 136. L'élément, his- trionique dans les -
mentales
, par Kellogg, 145. - mentales. Voir Auto-into
'élément, his- trionique dans les - mentales, par Kellogg, 145. -
mentales
. Voir Auto-intoxication. - ner- veuses et men
ellogg, 145. - mentales. Voir Auto-intoxication. - ner- veuses et
mentales
. Voir Tuber- culose. l,a possibilité d'assurer
opriés de traite- ment aux cas de début et aux cas passagers de -
mentales
dans les hôpitaux généraux : ouver- ture de l
, 252. organiques Voir Traitement hypnotique. Nomen- clature ries
mentales
, par Ur- quhart, 401. Manie. Nouvelles observ
hterew, 333. Phosphate de codéine. De l'emploi du - en pathologie
mentale
, par Diseur, 71. Phtisie. Le traitement de la
on. Influence du travail intellectuel prolongé et de la fa- tigue
mentale
sur la - par Ob,ict, 388. Rêves. Contribution
uce, 378. - Voir Méningite. L'alcalinité du - dans les mala- dies
mentales
. par Pugb. 481. Pré- sentation des préparations
otiques dans le traitement TABLE DES MATIÈRES. o37 i des maladies
mentales
, par Ray- ner. 490. SoMELLEmn. Le merveilleux
Un cas d'empoisonne- ment par le , par Alexander, 76. Symptômes
mentaux
. Voir Maladies somatirliies. pupillaires. Voir
ant l'enfance et se traduisant par des troubles et de la débilité
mentale
, par Bech- terew, 151. - Voir Cancer. Le - et
que, par Destarac, 70. Toxémie. La- dans l'eiiologie des maladies
mentales
. Ouverture de la discussion, par Cloustun, Ro-
RICHUTILLU)1.\NIE chez les aliénés, par Iiaplan, ` ? 5J. Troubles
mentaux
. Contribution à l'étude ries - périodiques, par
ladle de Thomsen, par Leclerc et Agniel, 325. Le traitement des
mentaux
à leur début, son ensei- gnelllent clinique dan
lique, par Uidwolil. 480. Urée. Voir Phtisie. Urémie. Confusion
mentale
et syn- drome cérébelleux au cours de ] ? Exo
HIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
Fondée par J.-M. CHARCOT & BOURNEVILLE PU
07 Vol. I. Janvier 1907. Ne 1 : ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
Contribution à l'étude de l'oeil chez lessàiién
ins au bout de quel- AnctnvLC, 3° séria, 1907, t. I. 1 2 CLINIQUE
MENTALE
. ques-unes, des renseignements exacts et parfai
lajvue. - Ous. 122. Fig. 2. O. G. Elal de dépression. 4 CLINIQUE
MENTALE
. tique du trouble hallucinatoire, portant on ha
cination della vue. OBS. 67. Fin. 7. - Etal dépressif. 8 CLINIQUE
MENTALE
. générale. a. Etats mélancoliques délirants ; p
11,'et 12). , Ons. 17. FIG. 11. OBs. 17. FIG. 12. 12 CLINIQUE
MENTALE
. Le tracé il pris le 15 septembre représente le
OBs. 117. Fac. 16. 0. G. OBS. 117. Fir. 17. O. G. 16 CLINIQUE
MENTALE
. Le tracé 16, pris le 20 octobre, est plus rétr
es à vingt-quatre Archives, 3' série, 1907, t. I. 2 18 CLINIQUE
MENTALE
. heures les ascensions de l'agitation. Le champ
lésions nous ont paru absolument indépen- dantes de toute affection
mentale
, atteignant l'aliéné comme elles auraient attei
es cas) dans la paralysie géné- rale que dans les autres affections
mentales
. ' Le signe d'Argyll Robertson se rencontre enc
aire, nous avons trouvé des vaisseaux un peu fins, mais 30 CLINIQUE
MENTALE
, ces différences de calibre pourraient n'avoir
e autre modification se soit produite du côté de la pa- 32 CLINIQUE
MENTALE
. pille. Enfin, presque toujours, en même temps
noté la déco- Archives, 3' série. 107, L. XXIII. - 3 34 CLINIQUE
MENTALE
loration du segment externe et le bord flou de
sidérable pour établir le diagnostic et le pro- nostic des maladies
mentales
. Néanmoins, nous parait intéressant de faire re
quer que, chez le plus grand nombre d'aliénés que nous 36 CLINIQUE
MENTALE
. avons examinés, et en particulier dans des cas
ptômes pupillaires chez les aliénés et leur va- leur The Journal of
mental
science, juillet 1902. DE GouvÉA. Les manifesta
hGNOT (R.). Etude des troubles pu. pillaires dans quelques maladies
mentales
. Thèse de Paris, 1900 . OTTOLENGHI. Le champ vi
paralytiques généraux. Obezrénié psychiatrii, 1900. - 3S CLINIQUE
MENTALE
. SANE NI (de). Nouvelles recherches et considér
G.Surles modifications des réflexes pupillaires dans les - maladies
mentales
. AU. Zeitsch. f. Psychiatrie, t. LUI. Stefani e
int de vue social n'a ' pas eu d'importance pratique. 40 CLINIQUE
MENTALE
. Pour ètrejuste, M. Tissié a parlé des fugues d
Si tous nos malades partent et vagabondent sans motif, 42 CLINIQUE
MENTALE
. étudier des vagabonds d'habitude avec lesquels
de pouvoir lui témoigner ici toute ma reconnaissance. 44 f CLINIQUE
MENTALE
. liques ne sont pas des fugues. Les fugues alco
que. Un frère, une sneur bien portants. Pas de tares nerveuses ou
mentales
dans la famille. tttccfepet'sottK.ek. A 20 ans,
r P. Keraval in Arch. Neur. 2° s. XII, 1901, lr. 130, 46 CLINIQUE
MENTALE
. ans maladie infectieuse indéterminée avec fièv
gique ; par le professeur A. I'IC>; (de Prague).(T/re Journal of
Mental
Science, janvier 1905.) Remarques intéressantes
mes et les causes des délires toxémlques. R. M. C. V. La dépression
mentale
et la mélancolie considérées dans leurs rapport
et de sa valeur clinique ; par Arthur A. D. TowSED. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1905.) Voici les déductions
symptômes et des si- gnes de toxémie ; 3° dans les cas d'exaltation
mentale
l'indoxyl est rarement augmenté ; son taux est
rmal ou inférieur au taux normal ; 4° dans quelques cas de troubles
mentaux
, l'indoxyl est en excès aussi bien pendant la p
phase maniaque que pendant la phase mélancohque ;5° plus l'atteinte
mentale
est grave plusl'in- doxyl est en excès ; 60 plu
ont accusés ; ; 5° dans les cas rapportés par l'auteur, la guérison
mentale
a été précédée par le retour à l'état normal du
if et qualitatif des leucocytes dans différentes formes de maladies
mentales
; par A. S. 11. PEEBL s. (The Journal of Mental
ormes de maladies mentales ; par A. S. 11. PEEBL s. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1904.) Recherches intéressante
n de la fonction cérébrale; par Alfred W. Campbell. (The Journal of
Mental
Science, Octobre 1904.) Travail intéressant a
rine chez un épileptique, par, II. HO\\'E JEREMY. (The JOll/'1laloj
mental
Science, janvier 1905.) Il s'agit bien ici d'
es avec - remarques sur l'observation; par D. Rire (Th Journal of
Mental
Science, avril 1904.) Il s'agit d'une femme de
tatives restent presque toujours à l'état de simple représentation
mentale
, quelquefois cependant elles sont assez fortes po
te hémorragique; par T. K. Monro et John Findlay. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1904.) Il n'est pas facile dan
prises des résultats temporaires; par ? 10RAH KEMP, (The Journal of
Mental
Science, Janvier 1904) Observation intéressante
sous l'influence de la Salicine; par W. T. Vincent. (The Journal of
Mental
Science, avril 1904.) Le titre de ce travail
l peut lui servir de résumé. R.M.C. III. Les rapports des symptômes
mentaux
avec les maladies somatiques, considérés princi
itement hors des asiles d'aliénés; par ? 1ahan RAw. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1904.) Une longue observation
de prunes dans le rectum; ft par J. OGILVIE VEITCH. (The Journal nf
Mental
Science, . avril 1904.) Il s'agit d'une femme
antisérums dans la folie aiguë; par Lewis C. BrtucE (The Journal of
Mental
Science, avril 1904.) Les sérums expérimentés
des jeunes épileptiques ; par G. E. SHUTTLEWOR1'J[. (The Journal of
Mental
Science, oc- tobre 1904.) L'auteur a été amen
traitement des neuro-psychoses : par Edward BLAKE.(77je Journal of
Mental
Science, juillet 1905.) L'auteur relate sommair
onal étudié comme hypnotique et comme sé- datif dans les affections
mentales
; par H. de M. Alezan- DER. (The Journal of men
les affections mentales ; par H. de M. Alezan- DER. (The Journal of
mental
Science, janvier 1905.) Le véronal ressemble pa
chauds. L'auteur l'a employé dans les diverses formes de maladies
mentales
, toujours avec succès, et voici le résultat de se
Musgrave Cl.1)-. X. Le travail dans la thérapeutique des maladies
mentales
; par le Dr CUYI.ITES ((3ull. de la .Soc. de méd.
ider dans le traitement; par Lionel A. Wc ? THERLY. (The Journal of
mental
Science, juillet 1905.) C'est un inconvénient d
le traite- ment de l'insomnie; par M. Maule SMlTII.(The Journal of
Mental
Science. Juillet 1905) On considère avec rais
s que soient les causes, elles sont, les unes physiques, les autres
mentales
. Passant ensuite au traitement de l'insomnie,l'
s, sa persistance peut devenir la cause d'un véritable effondrement
mental
et chez les aliénés elle aggrave la maladie et
rtant que par sa persistance elle ne menace d'avoir des conéquences
mentales
. Dans les cas où la mentalité est en - core sai
faut s'en abste- nir le plus longtemps possible. Dans les maladies
mentales
, au contraire, leur emploi doit être considéré
La paralysie générale et le crime ; par John BAKER. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1904.) L'auteur rapporte avec
is long- temps par M. Bourneville. L. WAML. - REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 61 III. Expertise médico-légale; par les D5 de
t rendue et la collocation mainte- nue. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
I. Rapport de la commission nommée par l'Associ
r un cas de double cons- cience ; par Alfred Wilson (The Journal of
Mental
Science, Juillet 1904.) 11 s'agit d'une femme
nce, et dont l'observation abrégée a été publiée dans le Journal of
Mental
science de 1903 et l'observation intégrale dans
nts états, quelques-unes de ses facultés ou gaz REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. de ses possibilités normales étaient également
douzième conclusion qui n'est utile que pour la REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. G3 lecture de l'observation indique la classif
bservation intégrale avec fac- simile d'écriture dans le Journal of
Mental
Science. On trouvera cette observation avec tou
e sur l'automatisme alcoolique; par W. C. Sullivan. (The Journal of
Mental
Science, avril 1904.) L'autour rapporte avec dé
l'histoire de la manière dont les maladies aiguës affectent l'état
mental
; par LEwis BRUCE. (The Journal of Mental Scien
s aiguës affectent l'état mental ; par LEwis BRUCE. (The Journal of
Mental
Science, avril 1904.) L'observation que publi
E DIUSGRAVT;-CLAY. IV. Obsessions ; par James SHAW. (The Journal of
Mental
Science, avril 1904.) Etude intéressante, rel
l'hystérie et de la folie; par F. W. EDRIDGE GREEN. (The Journal of
Mental
Science, avril 1904.) Ce travail se résume ains
araissent souvent. R. de l\[rrS<1RAVE Ct.AV. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 65 VI. Un cas de folie aiguë hallucinatoire d'
atoire d'origine trauma- tique ; par Thomas Drapes. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1904.) - , Observation intér
I. Un cas de démence précoce; par Henry M. EusTACE. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1904.) . Les .cas de démence p
« psychologie» de Jane Cakebread; par ROBERT JONCS (The Journal of
Mental
Science, avril 1904.) On ne peut que signaler c
ons cliniques de psychose de KoRsAKow; par J. ToTE. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1904.) L'auteur a pu recueilli
de Rieger Archives, 3- série 1907, t. I. 5 00 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. qui collationna les résultats de onze observat
. l. (t.cs confércnccs do llinrison pour 190G.) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 67 Ses vues et celles de ses collaborateurs co
) British med. Joii ? ? jiiiie 21 Ilr. 1901. 68 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Dr Bulloch trouvent le fluide cérébro- spinal,
s le 21 et le 22 juillet 1904 ; par R. PERCY SMiTH. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1904.) L'orateur s'est proposé
en tant qu'entité clinique, ses rapports avec 'les autres troubles
mentaux
, et la valeur de l'assertion suivant laquelle e
par opposition avec les maladies que l'on a qualifiées de troubles
mentaux
affectifs. Les conclusions de ce discours en cons
lleurs ce serait une faute grave lorsqu'on étudie un cas de trouble
mental
, de laisser de côté l'examen des différentes fo
ectifs d'avec les troubles primitivement intel- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 69 lectuels est purement artificielle. Ceci po
reconnaïtre que cer- tains cas de paranoïa débutent par un désordre
mental
aigu fonc- tionnel de la nature de la mélancoli
uel) ou même peuvent succéder à un état de délire ou de confu- sion
mentale
. 5° Sauf cette exception, la folie confusionnel
n groupe important de cas dans lesquels on obser- ve de la débilité
mentale
terminale. Il est possible que la démence préco
la paranoïa elle-même. R. de Musgrave CLAY. 70 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XIII. Hystérie infantile, avec hallucination;
ute à des traumatismes extrêmement légers. G. C. XV. Les troubles
mentaux
dans la lèpre à propos d'un cas de psychose pol
ale, de l'irido-choroïde double et des troubles REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 71 mentaux caractérisés par de la dépression,
o-choroïde double et des troubles REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 71
mentaux
caractérisés par de la dépression, des idées de p
lques caractères inusités; par S. F. E. RAINS- Fotn (The Journal of
Mental
Science, Juillet 1904.) Le premier cas est celu
els, ni même avec les crimi- nels-aliénés. 72 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. L'asile pour pervers devra être à la fois un a
auses sociales de l'alcoolisme; par W. C. SULLIVAN. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1904.) Les recherches de l'a
Y. XIX.- «Morison Lectures»; par John MACPHERSON. (The Journal of
mental
Science, juillet 1905.) A. Lecture V. - Sur la
Irlande le 20 Juillet 1905 ; par J. OUTTERSON\VOOD, (The Journal of
mental
Science. octobre 1905.) Comme beaucoup de dis
C. XXIII. Démence précoce; par Thomas Johnstone (The Jour- nal of
mental
Science, octobre 1905.) Le sujet a été à mainte
. -- Les folies de déchéance; par Georges A. RORIE, (The Journal of
mental
Science, juillet 1905.) L'auteur a observé quel
imbéciles et épileptiques. R. DE liZUS4RAYE CLAY. XXV Non-sanité
mentale
et maladies mentales dans une prison locale; pa
eptiques. R. DE liZUS4RAYE CLAY. XXV Non-sanité mentale et maladies
mentales
dans une prison locale; par William COTTON (The
mentales dans une prison locale; par William COTTON (The Journal of
mental
Science', janvier 1905.) Etude intéressante s
olie : un schéma universel ; par C. C. EASTERBROOK. (The Journal of
Mental
Science. Avril 1905.) Travail très étendu, très
rès le système décimal de DEWEY; par A. R. URQUHART (The Journal of
Mental
Science, avril 1905.) - L'auteur propose d'appl
ées; par John MAcpHEnsoN (Mori- son Lectures n IV). (The Journal of
Mental
Science, avril 1905.) Leçon intéressante qui se
titution névropathique, bien loin d'être une 76 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. abstraction et une entité intangible, sera dev
s idées se rapportant à cette sensation. L'explication de ces états
mentaux
se trouve dans la suggesti- bilité souvent exce
réactions du neurocyme (onde nerveuse) obéissent à la loi fonda-
mentale
delà conservation de l'énergie ; l'amené peut êtr
n obsessionnelle, les troubles nerveux qui ne sont pas des maladies
mentales
, sontpassés en revue, et suivis des formes ment
des maladies mentales, sontpassés en revue, et suivis des formes
mentales
et nerveuses, M. Forel divise ces formes en 4 gro
maladie par évolution rétrograde ou sénile, Les causes des maladies
mentales
et nerveuses se rapportent à l'huez rédité ou à
est primordiale ; l'exercice doit s'étendre à toutes les activités
mentales
et nerveu- ses, et aussi au sommeil qui est néc
nt connu qu'explique le chiffre élevé des épileptiques, des débiles
mentaux
^imbéciles et idiots, presque tous écartés du ma-
nard P. » ? *" IV, - Leçons cliniques sur les maladies nerveuses et
mentales
, par le professeur Alexandre Stcherbvx, 40 figu
nt, traite des différentes questions de la patho- logie nerveuse et
mentale
. Dans la première leçon, l'auteur analyse un ca
ictement distinguer des formes cliniques, c'est-à-dire des maladies
mentales
; l'auteur est d'avis que l'étude de ces états
ntif, dans ses formes variées ; a) simple état amentif (conclusion'
mentale
], b état amentif hal- lucinatoire et délirant ;
exandre AQUMAN, Assistant à la Clinique des Maladies nerveuses et
mentales
(Varsovie). VARIA FAMILLE FOLLE. Niort. Une
ihan, âgée de 73 ans, qui ne jouis- rail pas de toutes ses facultés
mentales
, a misfinà ses jours en se noyant dans son lavo
nouvelle : les établissements destinés au traitement des maladies
mentales
ne s'appelleront plus « asiles » mais hôpitaux.
ntitulée : « Des établissements destinés au traitement des maladies
mentales
et à la garde des aliénés ; des aliénés traités
tous que la première condition, pour la curabilité d'une affection
mentale
, est que l'a- liéné soit enlevé au milieu où se
chefs le respect dû à l'expérience ; en se souvenant qu'en médecine
mentale
la pratique seule compte, les expressions nosol
té sans ces précautions. C'est parce que la pratique de la médecine
mentale
exige le contact continu du médecin et du malad
ront les médecins du dehors qui feront passagèrement de la médecine
mentale
. Il suf- fira à d'anciens internes des hôpitaux
ne se fasse pas. Car j'estime que, si l'on désire que la médecine
mentale
réalise de plus rapides progrès, on doit laisser
au- tre, un malheureux débile, atteint soudain d'une confu- sion
mentale
grave, prélude d'une méningite qui l'em- porta
s l'état du malade. Une modification temporaire dans la situation
mentale
de l'aliéné n'intéresse que le médecin, et lors
qui terminent la section, sont de pure forme (A suivre.) CLINIQUE
MENTALE
Les fugues dans les psychoses et les démences ;
Archives de Neurologie, n° 1, janvier 1901, page 38. ) 122 CLINIQUE
MENTALE
. sentent des accès légers de manie dans lesquel
que, manie aigué ». Père et mère morts de vieillesse, sans troubles
mentaux
; un frère et une soeur sont morts poitrinaires
einte de noire malade (éclamp- sie' ? ) Père, sans tare nerveuse ou
mentale
, mort à 51 ans de pneumonie. Un frère alcooliqu
ux deux mains « lesjambes glacées jusqu'aux genoux o 124 CLINIQUE
MENTALE
. la tête congestionnée, les yeux brillants ; il
ohérent. 11 se calme rapidement, a nettement conscience de son état
mental
, présente à nouveau un accès maniaque, se dit a
Evrard, le 4 juillet 1906, avec le diagnostic de « dégénéres- cense
mentale
», etc. La mère a eu une méningite avant la nais-
nait pas. » Dans, les intervalles où il est « normal », sa débilité
mentale
est évidente. Il est très en retard pour ses él
e temps après, il part de Paris à 2 hem es de l'après- 126 CLINIQUE
MENTALE
midi, se rend à la gare Saint-Lazare, pénètre s
xemples de fugues accomplies par des malades atteints de debilité
mentale
. Le premier est le frère aîné du circulaire précé
, au mois de janvier 1905. avec le diagnostic de « dé- générescence
mentale
». C est un débile congénital; il a des no- tio
de Ville-Evrard en septembre 1905 avec le diagnostic de «Confusion
mentale
, idées hypocondriaques, hal- lucinations auditi
mort prochaine. Interné à nouveau pendant' deux mois. 128 CLINIQUE
MENTALE
. Rentré chez lui, il reste inactif, se plaint d
il n'a pas exécuté Aucun-ES, 3' série, 1007, t. 1. 9 130 clinique
mentale
. l'acte dont il a l'idée. Il cède tout de suite
ue générale, entrée il l'asile de Vauclusc au mois de 132. CLINIQUE
MENTALE
. mai 1904 et dont Mlle la doctoresse C. Pascal
D'une façon générale, les fugues seront rattachées à l'all'ection
mentale
qui en est la cause, moins par leurs caractères
que par la constatation des signes concomitants de cette altection
mentale
. En ce sens,elles pourront souvent, par la pert
malade de fuir les conséquences d'actes délictueux. IV. Débilité
mentale
. La conscience et la mémoire des fugues sont in
pari, chez tous les vrais spé- culaires il existe de l'instabilité
mentale
, des lies variés et d'autres signes de dégénére
anosome de la maladie du sommeil; par ROBENT JoxEs. (The Journal of
Mental
Science, Avril 1904.) Cette question alors nouv
la marche de la maladie de Duchenne. L. 1VuL. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XXX. Folie communiquée (folie à deux, folie sim
rvenue chez une mère et sa fille; par JoHx R. Lord. (The Journal of
Mental
Science, avril 1904.) Observation intéressante,
ire était la paranoïa chronique. 1.11LC. XXXI.-Les effets moraux et
mentaux
de la guerre sud-africaine (1899-1902) sur le p
-1902) sur le peuple anglais; par R. S. STE-\VAItT. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1904.) Voici le résumé de cett
à écarter les ennuis et les responsabilités de la vie. La stabilité
mentale
de la nation a été en progrès ainsi que le pouvoi
irante, de la stéréotypie graphique. Pour l'au- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 141 leur, celle stéréotypie était secondaire a
sie générale de développement; par Jas. Middlemass. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1904.) - Deux remarques : 1°
dans le sud du Pays de Galles; par R. S. STwv.RT. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1904.) - En s'appuyânt sur des
3RAVR CL.1Y. XXXV.-Le « Stress »; par Ch. 11-PRCIEE.(The Journal of
Mental
Science, avril 1904.) XXXVL-Eneore le « Stres
04.) XXXVL-Eneore le « Stress "; par Ch. Mercier.) The Journal of
Mental
Science, octobre 1904.) Il y a une quinzaine d'
ité la proposition de 1\I. Mercier, mais en 112 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. attribuant au mot stress un sens manifestement
logie de l'hallucination; par W. H. B. STOV - DABT. (The Journal ot
Mental
Science, octobre 1904.) Travail interressant ac
n et l'hallu- crnalrun. H. de 111uaR.wL Cl1Y. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 143 XXXVIII. Traumatisme et Paralysie générale
isme et Paralysie générale; par James Mid- dlemass. (The Journal of
Mental
Science, juillet · 1904. ) Ce n'est pa3 un mémo
ence dans le Comté de Dorset ; par George A. RORIE. (The Journal oi
Mental
Science, avril 1904.) - Etude intéressante ma
rimitives, et n'apparaissent plus au sujet comme une image purement
mentale
. 3° Enfin il faut distinguer des obssédanti hal
d'un accès mélancolique. M. I I v n ra.. 144 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XLI. Note sur l'épilepsie massive : par Ch. Fé
cré à la réorganisation des statistiques en matière de pa- thologie
mentale
, demanderait une traduction et non une analyse.
d'une phase de la paranoia; par Conolly NOR ? IAiN. (The Journal of
Mental
Science.Janvier 1905.) L'auteur rapporte avec
us attentive du poids du corps et de ses rapports avec les maladies
mentales
: par C. Hu- / bert BoND. (The Journal of menta
vec les maladies mentales : par C. Hu- / bert BoND. (The Journal of
mental
Science, janvier 1904.) L'auteur n'ignore pas q
lique aussi bien à la méthode des médecins qu'à REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 145 celle des gens du monde ; ensuite il suggè
ensuite il suggère l'idée que la méthode des pesées, en aliénation
mentale
, pourrait non seulement être uti- lisée comme e
ais encore pour arriver à une meilleure classification des maladies
mentales
. R. DE IUSGRAVE CLAY. XL ? - Maladie mentale av
cation des maladies mentales. R. DE IUSGRAVE CLAY. XL ? - Maladie
mentale
avec goitre exophtalmique; par R. H. STEEN. (Th
mentale avec goitre exophtalmique; par R. H. STEEN. (The Journal of
mental
Science, janvier 1905.) L'auteur rapporte l'obs
ations existent et sont souvent intenses; 3° le début des symptômes
mentaux
bien prononcés est souvent soudain; 4° la guéri
tation de poids très accentuée accompagne l'amélioration de l'état
mental
; 6° l'extrait de capsules surrénales donne des ré
'idiotie amaurotique de famille ; par James BuRNET. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1905.) Les cas de celle maladi
a première et la seconde enfance; par Henry Rayner. (The Journal of
Mental
Science, juillet 19010.) La nécessité de survei
ent ou Archives, : 1° série 1907, t. I. 10 Ho REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. passivement, presque toutes sont fonction du d
ces buts divers puissent être atteints,il faut que la défectuosité
mentale
soit d'abord connue. Le service d'ins- pection
n'est pas sain en Irlande; par CONOLLY TOi : mArr. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1904.) L'auteur insiste sur le
s psychoses et leur signification; par T. CLOUSTON. (The Journal of
Mental
Science, avril 190 ? ) On n'a pas fait suffisam
en psychiatrie, des symptômes précoces dépourvus de tout caractère
mental
, tout comme il y a en neurologie des symptômes
peuvent fort bien n'être que les préludes d'une crise d'aliénation
mentale
.L'auteur examine et discute avec l'autorité d'u
gue et savante expé- rience les principaux prodromes des affections
mentales
,c'est-à- dire les symptômes sensoriels, et part
de la digestion,les modifications menstruelles, enfin les troubles
mentaux
eux-mêmes. Il conclut <le celle élude SOCIÉT
s organi- ques du corps. Ils semblentindiquor en outre que l'écorce
mentale
est le centre de l'organisme et que les centres
ire in- fectieux. Note sur l'emploi, du véronal dans les maladies
mentales
. MM. Lof et RENON font connaître les résultats
i- mentation qu'ils ont faite du véronal, dans différentes formes
mentales
. Troubles mentaux dans la sclérose en plaques.
ont faite du véronal, dans différentes formes mentales. Troubles
mentaux
dans la sclérose en plaques. (Présentation de.
ade est hystérique. M. Colin incline vers le diagnostic de débilité
mentale
avec sclé- rose en plaques chez une hystérique.
frappé de sclérose en plaques, qui présentait une grande confusion
mentale
. Celle-ci s'est amé- liorée et le malade a pu q
ullaire. II insiste sur les services que peut rendre, à la médecine
mentale
, ce mode d'investigation. M. Vallon fait remarq
Un cas comparable a encore été communiqué par M. Dheur. Troubles
mentaux
consécutifs à un accident de travail. MM. Vigou
lité d'un rapport de cause à effet entre l'accident et les troubles
mentaux
consécutivement constatés. M. VALLON. - Lorsq
trois grandes catégories ; a) les délires à base de représentations
mentales
exagérées ou obsédantes (per- sécutés-persécute
e la démence vésaniquo n'est pas une démence. C'est de la confusion
mentale
. Le paralytique gé- néral seul est un dément ty
UPR I ne peut se résoudre à considérer, comme atteints de confusion
mentale
, les vieux sociétés savantes. 153 \éS[lI1ÏI[U
e, où l'on retrouve une phraséologie caractéristique de sa débilité
mentale
Un cas de délire chronique à forme nxégalomania
ésions destructives peuvent expliquer la progres- sion des troubles
mentaux
chez les épileptiques, et la sclérose dans ce c
des zones diffé- rentes, et il y a deux catégories de malades : les
mentaux
, qui sont des fous, et les psychiques ou demi-f
dans les manies chroniques, est de la demi-folie ! Certains confus
mentaux
sont des demi-tous; certaines psychoses systémati
is les propos qu'elle tint ne laissèrent aucun doute sur son état
mental
. Comment avait-elle déterré les trois morts' ? On
e grand in-8° de 180 pages. - DELASIAUVE (J.) Journal de médecine
mentale
, résu- mant au point de vue médico-psychologiqu
AS (B). Balnéation et hydrothérapie dans le traitement des maladies
mentales
. Rapport présenté au Congrès des médecins alién
de l'auteur. Prix 10 fr. Pour nos abonnés 8 fr. The Journal of
Mental
Sciences. Published by Anthority , of the Medic
faites sur ce sujet et basées surtout sur l'observation de troubles
mentaux
, notamment d'hallucinations unilatéra- le, sont
chez un inculpé, prévenu ou accusé, il y a présomption d'aliénation
mentale
, soit en raison de ses antécédents héréditaires
que la Cour ne prétende "serez- dre compte par elle-même de l'état
mental
du prévenu : dès lors, à quoi aura servi l'expe
t un prédisposé qui n'est point maître de se débarrasser de sa tare
mentale
et que le moindre' choc moral peut faire retomb
les art. 56 à 63 inclus.Cette dépense restera une charge départe-
mentale
, mais les aliénés, sans domicile des ecours, sero
ine, surtout dans l'anatomie pathologique des maladies nerveuses et
mentales
. J. S. LEGISLATION. Proposition de loi sur le
Des hôpitaux et établissements destinés au traitement des maladies
mentales
et à la garde des aliénés ; des aliénés traités
Des hôpitaux et établissements destinés au traitement des maladies
mentales
et à la garde des alié- nés ; des aliénés trait
crites d'office par le ministre de l'Intérieur au budget départé-
mental
. - AnT. 5. Dans chaque département, il est inst
ltés de mé- decine, chargés de l'enseignement clinique des maladies
mentales
, qui sont de droit médecins traitants des asile
t caracté- risée avant tout par une faiblesse énorme de la synthèse
mentale
. L'étude des troubles de la mémoire et de la vo
nt facteur de res- tauraLionde la volonté et surtout de la synthèse
mentale
. Les divers agents physiques, qu'ils agissent u
permettant de ne pas jeter à la rue un certain nombre d'infir- mes
mentaux
dont il serait possible de débarrasser les asiles
xacte que possible, sur l'importance du rôle joué dans l'aliénation
mentale
par l'alcool et les boissons à base d'alcool, c
les cas d'alcoolisme simple, quelle qu'en soit la forme (confusion
mentale
, délire hallu- cinatoire, épilepsié; allaibliss
savoir : que le cas soit compliqué de dégénérescence ou de débilité
mentale
, ou qu'il y ait de l'alcoolisme caractérisé che
PUBLIQUE. B. - Alcoolisme compliqué de dégénérescence ou débilité
mentale
ou d'hérédité alcoolique. VARIA Internat des
. 1. 3e Série. Avril 1907. No 4 ARCHIVES DE ..NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
Formes mélancoliques de la démence précoce (P
orrespond pas il tous les faits cliniques et qu'il y a des maladies
mentales
dont le début est caractérisé par un état spéci
épression morale. Archives. 3° sério, 1007, l I. 18 '274 clinique
mentale
. En étudiant ces états dépressifs prodromiques,
li cas : mélancolies. 6 cas : états maniaques. 5 cas ! confusion
mentale
. 2 cas ! démence d'emblée. ! cas : délire hallu
démence pré- coce. Thèse de Paris, 1 <.JO : ; , . 76 CLINIQUE
MENTALE
. ' 3 cas : confusions mentales. 2 cas : début
aris, 1 <.JO : ; , . 76 CLINIQUE MENTALE. ' 3 cas : confusions
mentales
. 2 cas : début fébrile. Dans la thèse de CUcn
(icas : états maniaques. 5 cas : états mixtes. 1 cas : confusion
mentale
. Notre étude sur 75 déments précoces nous fait
le est le résultat de la conscience que le sujet prend de son arrêt
mental
par suite du relèvement de ses tendan- ces fond
e précoce. <Presse\médicale, 19 jan\ ier 1907). - 278 CLINIQUE
MENTALE
telligence. Les épreuves de Masselon (1), de Zi
aus (3), permettent de déceler les moindres troubles de la synthèse
mentale
: attention volontaire, attention spontanée, as
malades pour expliquer les modifications survenues dans leur état
mental
. Griesinger écrit : La loi de causalité exige que
iction avec eux-mêmes ou avec les choses. » Par contre, la synthèse
mentale
des déments précoces n'a au~ cime tendance à l'
d'anxiété des déments pré- coces mélancoliques, comme une activité
mentale
présen- (1) IIIASI3t.ON. - Psychologie des déme
N. Tanzi, professeur il Florence, insiste sur ce fait que l'état
mental
des déments p-,»-coces se manifeste mieux dans
e qu'ils font que dans ce qu'ils pensent. C'estunvrai 2b0 CL1NIQL1;
MENTALE
. délire des actes riche en extravagance et puér
(1) Iiltmr. Maladies de la pérsoll11alité, page. 01. 282 CLINIQUE
MENTALE
Idées de négation. Les idées de négation annonc
ux troubles cénésthési- ques et aux premières lésions delà synthèse
mentale
. Ces idées pathologiques concordent bien avec l
l'effon- drement psychique a la suite de l'effacement des images
mentales
et des éléments affectifs aux dépens desquels el-
aucune valeur diagnostique. Pourtant leur étude m'a a 28 i CLINIQUE
MENTALE
. , permis de distinguer certains caractères. El
toutes les réactions de ces malades portent l'empreinte de l'état
mental
démentiel. Les tentatives de su : cide marquent
ce de \IU. Lwo(l' et 13cnon. (1) Lo= cit , p. 277. , 280 CLINIQUE
MENTALE
. Résumé : Anxiété extrême. Prédominance des idé
'uni laissé aucun souvenir dans son esprit, elle reste 288 CLINIQUE
MENTALE
. comme obnubilée el inconsciente de son état. E
ù Sainte-Anne. Le certificat médical (1), Dubuisson) relate l'étal
mental
suivant .-Etal de mé- lancolie anxieuse ; idées
a parlé de lui. Archives, 3' série, 1007, t. I. , 19 290 CLINIQUE
MENTALE
. A son entrée, le malade n'est pas du tout déso
atre fois de suile. Les manifestations caractéristiques de son état
mental
résident dans les phrases suivantes : « On es
hases de dépression sont interrompues brusquement par ? ü2 CLINIQUE
MENTALE
. des impulsions violente.11 s'est jeté plusieur
oit que l'anomalie soit durable, comme il advient dans les maladies
mentales
, soit qu'elle n'ait qu'une durée pas- . (1) Voi
elles sont les conditions psy- chologiques des troubles de synthèse
mentale
observés à l'état normal ou pathologique, par e
plus souvent, l'une est réglée d'avance.Chez les sujets à synthèse
mentale
insuffisante ou sujette à se restreindre, chaque
es organiques et états de conscience. Dans tous les cas de synthèse
mentale
défectueuse il peut y avoir groupement exclusif
que le change- ment s'accompagne ou non de modifications de l'état
mental
. La thèse de Lebar (Paris 1906) (d'après une an
re et à lui démontrer, non seulement que la coexistence de tel état
mental
avec un trouble donné de la senso-mo- tilité ét
assistent les deux co-êtres, sont pour chacun de ceux-ci des actes
mentaux
, si les sensations de l'un sont communiquées à
mal de la loi. On constate dans une famille un changement de l'état
mental
d'une per- sonne, on s'inquiète autour d'elle,
distingués par leur enseignement ou leurs écrits sur les ma- ladies
mentales
, seraient l'objet d'une présentation du Conseil s
peuvent recevoir une personne présentée comme atteinte d'aliénation
mentale
s'il leur est remis : 1° Une demande d'admissio
Code civil ; 2° Un rapport au procureur de la République sur l'état
mental
de la personne à placer.signé d'un docteur en m
ute personne majeure qui, ayant conscience de son état d'aliénation
mentale
, demande à être placée dans un éta- blissement
nt l'admission de la personne présentée comme atteinte d'aliénation
mentale
, le directeur de l'établissement public ou priv
rsonne désignée dans ce bulletin, à l'effet de cuiibtatei- son état
mental
et d'en faire un rapport sur-le-champ à lui-mêm
u de consigner sur ce registre les changements survenus dans l'état
mental
de chaque malade, au moins chaque semaine penda
n constate également sur ce registre la date de la sortie et l'état
mental
au moment où elle a lieu, la date et les causes
'admission. Néanmoins, si le médecin traitant est d'avis que l'état
mental
du malade pourrait compromettre la sécurité, la
nom, la résidence des personnes qui ont retiré le malade, son état
mental
au moment de la sortie et, autant que possible,
lcoolisme, crime et folie ; par nI. MI. Bevan LEws. (The Journal of
mental
Science, avril 1906.) - L'auteur se propose dan
D'autre part, les arrêts de développement, révélés par la faiblesse
mentale
congénitale, l'im- bécillité, l'idiotie,paraiss
assistance des aliénés,par le Dr CLAUSES, (Bull. de la Soc. de méd.
mentale
de Belgiqne, juin 1906.) Vigoureux et éloquent
, par les Drs de muon et Ducrtn- TEAU. (Bull.de la Soc. de 7K<M.
mental
: de B : : lgiq .oe, octobre 190G.) La dissimul
erve surtout dans la mélancolie, la pa- ranoïa et la dégénérescence
mentale
. Son importance médico-lé- gale est beaucoup pl
e convenant au traitement d'un être malade, atteint d'une affection
mentale
. Le parquet de Saint-Xazaire a découvert l'an d
minant, que M. Giaute fait tous les ans des leçons sur les maladies
mentales
et sur la médecine légale des aliénés. Tous les
vingt-neuf ans, qui ne jouit pas de la pléni- tude de ses facultés
mentales
. Cette jeune fille était naturelle- ment soumis
livJ'al'd et Ils soins à donner aux personnes atteintes de maladies
mentales
, parles IJlb P- 5- rieux cl : \11GI"Or. \'(JI.
siste le pouvoir de représentation,où se font les représen- tations
mentales
: dans les centres de projection ou dans les ce
l'être. C'est qu'il ne s'agit en tout ceci que de désagréga- tion
mentale
, dit un huitième. Si ce malade est para- lysé d
d'un bras, c'est que le système d'impressions et de représentations
mentales
inhérentes à ce membre s'est séparé de sa synth
dédouble- ment du moi. Mais si, par suite de cette désagrégation
mentale
,le sujet se trouve en possession de deux person-
paralysie s'accompagne d'anes- thésie et de perte de représentation
mentale
.L'évoca- tion des mouvements ne se transmettant
hèse personnelle ne se fait plus, qu'il existe de. la désagrégation
mentale
, ce n'est pas expli- quer les choses, c'est con
us que personne, la merveilleuse analyse qu'il a su faire de l'état
mental
des hystériques. Où j'ai toujours différé d'avi
us possible des données du duplicisme : supposons que la syn- thèse
mentale
qui, à l'état normal, forme la personnalité, soit
émontrer tout de suite. A Toulouse, en 1897, au Congrès de Médecine
mentale
, dans un rapport sur l'organisation médicale de
faire exception ». «Le DT Lunier dans un travail sur l'aliénation
mentale
enSuisse,prétendait que dans tous les asiles fo
communes,ordonnent à l'égard des personnes atteintes d'a- liénation
mentale
toutes les mesures provisoires nécessaires, à la
ent ou sur la demande des particuliers, et dans le cas où leur état
mental
pourrait compromettre la sécurité, la décence o
t inculpé, prévenu ou accusé qui, à raison de son état d'aliénation
mentale
au moment de l'action, a été, à la suite d'une
rmes : « A la majorité, l'accusé, à raison de son état d'aliénation
mentale
au moment de l'action, est irresponsa- ble. » 1
encore internés ou pour les ex- pertises médico-légales sur l'état
mental
des inculpés ; 5° Les con- ditions dans lesquel
les pourront être admis et hospitalisés pi'ovi- revue DE pathologie
mentale
. 415 soirement, dans les asiles d'aliénés et pl
t rendus pour l'exécution de la présente loi. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
1 . Modifications hématologiques dans le délira
iques et sur le système nerveux. F. TtssoT. 4L6 revue de pathologie
mentale
. LI. Euphorie délirante des phtisiques. Hétérot
nus qui caractérisent l'euphorie délirante des phtisiques. Cet état
mental
semble manifestement en rap- port avec les lési
oxica- tion thyroïdienne ; c'est à elle qu'il faut rapporter l'état
mental
des haserlowiens, les troubles psychiques plus
rs révélateurs de lares constitutionnelles (névroses dégénérescence
mentale
) et qui coexistent fréquemment avec le goitre e
le riiy ? (2(lètiie consiste en un arrêt de dé- revue DE pathologie
mentale
. 417 veloppement qui est d'autant plus complet
et fort difficile de préciser le rùle de l'ovaire dans les troubles
mentaux
de la menstruation et de la'ménopause, comme au
on crée l'hypertension et l'athérome artériels, origine de troubles
mentaux
. Trop rares sont les documents sur les troubles
ance réciproque faite de synergies et d'antagonismes, les syndromes
mentaux
liés leurs altérations sont ordinairement compl
re justi- ciables. F. TISSOT.. LIV. - La poésie dans les maladies
mentales
; par E. Régis. (L'Encéphale, n° 3, 19oO.) De
- Ancntvrs, 3" série, 1907, t. I. 27 .1 418 revue DE pathologie
mentale
. ques, plus ou moins adonnés aux intoxications
xylurie) ; note critique; par M. C. C. EASTEILBROCK.(The Journal of
mental
science,octobre 1906.) Après une étude critique
dans les salles d'autopsie ; par M. F. W. l\IOTT, (The Journal of
mental
Science, octobre 1906.) Travail très nourri de
nnerait qu'une idée très imparfaite. R. M. C. revue DE pathologie
mentale
. - HO L\'II1. Sur la psychologie des croisades
ologie des croisades ; par MM. William W. Iner.AND. (The Journal of
mental
Science, octobre 1906.) M. Ireland se plaît aux
e cas d'idiotie épileptique ; par M. HARVE7 B.11RD. (The Journal of
mental
Science, juillet 1906.) Les conclusions général
lésion positive par une augmentation du pig 420 revue DE pathologie
mentale
. ment et un déplacement du noyau,c'est-à-dire u
; par '1'. Ford RoBERTSON. (Morison Lectures V.) (The Journal of
mental
Science, avril 1906.) Ce travail renferme des r
uvelles dont nous essayons de donner un aperçu, REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. , 421 qui sera forcément incomplet, le texte p
preuves les plus nettes que le paralytique 422 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. général subit une réelle toxémie bactérienne :
sur l'étude de la folle ; par A. Graham Crookshank. (The Journal of
mental
Science, janvier 1906.) Au sens conventionnel o
auses psychiques de la folie, pas plus que du trai- tement moral ou
mental
de la folie qui n'est qu'une partie d'un traite
rveux, mais se rencontrent concur- remment avec eux. Pour tout état
mental
il y a un état nerveux corrélatif mais sans int
physiques essentiels de la folie se rencontrent REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 423 0 dans les états ou dans les rapports de
nées, Lewes a défini l'« esprit » comme la som- me des « phénomènes
mentaux
», cette définition rappelait fâcheu- sement ce
l serait trop long de le suivre sur ces diverses formes de maladies
mentales
. La conception que propose l'auteur de la march
; on verra aussi que nous n'a- vons point à faire à des « maladies
mentales
», mais à des dissolu- REVUE DE PATHOLOGIE MENT
des « maladies mentales », mais à des dissolu- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 425 tions de l'esprit et du système nerveux, l
des paroles vi- des de sens « sur les remèdes appropriés moraux et
mentaux
», mais en employant les moyens physiques, sach
assification psychiatriques ; par M. Thomas Drapes. (The Journal of
Mental
Science, jan- vier 1906.) L'observation que n
C. LXIII. - Sur quelques rapports entre l'aphasie et les maladies
mentales
; par M. Sydney J. CoLC. (The Journal of mental
e et les maladies mentales ; par M. Sydney J. CoLC. (The Journal of
mental
Science, janvier 1906.) Ce n'est pas d'aujour
re nous conduire à une connais- sancj plus approfondie des maladies
mentales
, et Wernicke en particulier a signalé l'importa
symptôme aphasique : elle se rencontre en effet dans d'autres états
mentaux
où l'aphasie n'est pas signalée. L'écholalie co
s de folie aiguë à forme confusionnelle, on 428 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. constate, pendant de courtes périodes, des deg
s la paralysie générale ; par M : Conolly NOR ! AN, (The Journal of
Mental
Science, janvier 1906.) Il s'agit d'un cas de p
1891). Du fait actuel, l'auteur en rapproche un REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 427 autre, qu'il doit à l'obligeance du Dr Tra
de la démence paralytique ; par M. Georges Greens, (The Journal of
mental
Science, avril 1906.) L'auteur se propose d'étu
cool-; 4° variations dans la marche de la maladie suivant les états
mentaux
concomitants; 3° renseignements fournis parl'ex
- Industrie et alcoolisme ; par M. W. C. 3ULLIV \N. (The Journal of
mental
Science, juillet 1906.) L'auteur rappelle que,
asthénifor- mes ; par le Dr Crocq. (Bulletin de la Soc. de médecine
mentale
de Belgique, décembre 1906.) L'auteur s'effor
rcot), qui seraient en réalité des stigmates de la dégénéres- cence
mentale
. 3° Les syndromes neurasfhéniformes accompagnan
colo- niaux ; par 113. Dr A. l\IAIlIE, (Bull. de la Société de méd.
mentale
de Belgique, 1905, n° 124.) L'auteur établit
dans les asiles du midi de la France. G. D. II - Les gardes-malades
mentales
(ou dressées au service des asiles) ; leur situ
n et leur enregistrement ; par T. OUT- TERSON WooD. (The Journal of
mental
Science, avril 1906.) Travail concernant des qu
r un projet de promotion ; par Frank ASIIDY ELKINS. (The Journal of
mental
Science, avril 1906.) Même observation. R. M. C
iel Lewens, à Manehestor; par M. Alcan MAC DOUGALL. (The Journal of
mental
Science, janvier 1906.) Nous ne pouvons pas s
t au profit des imbéciles ; par M. F. E. RAINSFORD. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1906.) ' Le titre de ce trav
la dysenterie des asiles; par M. W. Bernard KNOBEL. (The Journal of
mental
Science, avril 1906.) Ce très intéressant trava
tuberculose dans les asi- les ; par W. F. Menzies. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1905,) Non seulement la tube
riser ses ravages, mais au point de vue du pro- nostic des maladies
mentales
, il est certain qu'elle active d'une manière tr
uberculose dans les asiles ; par M. Georges GREENE. (The Journal of
mental
Science, janvier 1906.) On peut noter au passag
et les interpréter. L'amaigrissement et les modifications de l'état
mental
sont des si- gnes d'une grande importance ; la
différentes formes de folie; par John MiLsoMRnoDEs (The Journal of
mental
Science, octobre 1905.) Suivant l'auteur, il fa
Les tableaux statistiques; par CHARLES A. Mercier- (The Journal of
Mental
Science, octobre 1904.) Etude critique de la fo
la forme usuelle des tableaux statistiques en matière d'aliénation
mentale
et proposition d'une classification nouvelle. R
istoire de l'hôpital Saint-Luc ; par WILLIAM RawFS. (The Journal of
Mental
Science, Janvier 1904.) Etude intéressante mais
dition à l'hôpital de Cheadle ; par JORAN SUTOLIFF. (The Journal of
Mental
Science, avril 1904.) Nous ne pouvons que menti
IV. Causerie à propos de Gheel; par CONOLLY Norman. (The Journal of
Mental
Science, Janvier 1904.) Causerie variée et inté
XV. Imbécillité mongolienne ; par C. H. Fenhell. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1904.) Ce type, assez commun e
ion suivante : un arrêt intra-utérin du développement physi- que et
mental
, caractérisé par de la brachycéphahe, par une ten
us aux inflammations atones et chroniques et par des particularités
mentales
caractéristiques. L'obliquité de bas en haut de
olition des réflexes profonds qui ont été signalés. Au point de vue
mental
il n'a pas constaté que l'imbécillité atteignit
tes de mise en garde dans les asiles, par J. Marna. (The Journal of
Mental
Science, avril 1904.) Ces fiches sont destinées
itionnelle écossaise ; par J. CARLYLE JOH : 7STONE. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1904), , Examen critique de ce
s aliénés par voie législative; par M. W. Y. NOLAN. (The Journal of
mental
Science, octobre 1906.) L'auteur ne se dissim
uteur ne se dissimule pas que beaucoup des causes de l'alié- nation
mentale
échappent nécessairement à l'influence de la lé-
ce but les mesures suivantes : une meilleure éducation physique et
mentale
des enfants ; l'enseignement aux adolescents de
de lois sévères sur la tempérance; l'enregistrement des incapables
mentaux
; l'interdiction des ma- riages précoces et con
es précoces et consanguins et des mariages des sujets dont la santé
mentale
est atteinte ; la création d'un ministère de la s
tion d'un ministère de la santé publique qui donnerait aux maladies
mentales
l'attention qu'elles méritent ; l'organisation
ation d'un laboratoire d'Etat en vue des re- cherches de pathologie
mentale
. R. DE li1·URGRAVE CLAY. XXI. La loi sur l'assi
s résultats ; par le Dr ME au s. (Bulletin de la Soc. de médecine
mentale
de Belgique,décembre 1906). Après un exposé his
nie familiale. Tout -médecin qui délivre un certificat d'aliénation
mentale
devrait être à même de juger du traitement prov
thyrofdie qu'on re trouve si fréquemment dans les cas d'arriération
mentale
. Il con- vient d'insister particulièrement sur
es de l'encéphale, cause de la mort, sexe, race, pro- fession, état
mental
etc.). La méthode employée fut celle de \Vei- g
ales qu'il'en a tirées. Ch. Donne. XI. De la Pathologie nerveuse et
mentale
chez les anciens hébneuxet dans la race Juive.
e Dr VULFING- LUER. L'étude clinique de la pathologie nerveuse et
mentale
des Juifs n'existe pas encore ; et tous les tra
vés sont ceux qui sont décrits chez les auteurs. Quant aux troubles
mentaux
, ils paraissent offrir un pronos- tic plus somb
-de-Calais) ; Dupouv,main- tenu comme chef de clinique des maladies
mentales
à l'Asile cli- nique (Seine) ; I\LBHS, appelé a
uteau) une nouvelle série de conférences cliniques sur les maladies
mentales
elles continuera les dimanches suivants à la mê
ns ce dernier cas comment se fait le passage d'une repré- sentation
mentale
, suggérée ou non, à un phénomène somatique ? Il
s idées générales, Paris, Alcan, 1890. Romanes (G. J.). L'évolution
mentale
chez l'homme. Origine des facultés humaines, tr
TANZL-Una teoria dell' allucinazione,Rivista di patol. nervosa e
mentale
, VI, f. 12, 1901. UGOLOTTI (Ferdinando).-(Hyper
ans un cas de cérébroplégie infantile), Rivista di patol. nervosa e
mentale
, X, n° 9, p. 413 à 422, septembre 1905. (D'aprè
e qu'en gé- néral les actes ne suffisent pas pour apprécier un état
mental
, qu'un diagnostic ne peut être posé qu'à la sui
cas d'infantilisme vrai, type Brissaud,associé à la dégénérescence
mentale
, compliqué de my- xoedème et d'obésité, à la pr
é- dité convergente des plus chargées au,x points de vue nerveux,
mental
et dégénératif. Influence favorable du traitement
ganes génitaux et sur les fonctions sexuelles, ainsi que sur l'état
mental
. F. T. XXX.- La spondylose rhizomélique ; anato
yses d'urine et leurs résultats ; par Robert JoNES. (The Journal of
mental
Science, Janvier 1906.) Cette étude est basée
jets en état d'infection ; par M. Lewis C. BRUCE. (The Journal of
mental
Science, août 1906.) L'auteur a observé le séru
le plus tôt et le plus facilement compromis dans le cas de trouble
mental
; 3° que lorsque le système moteur instinctif e
que de l'indoxyl dans Purine;par M. Lewis C. Bruce. (The Journal of
mental
Science, juillet 1906.) Les conclusions de ce m
entre, la présence d'un excès d'indoxyl dans l'urine et le symptôme
mental
«dépression » ; 2° à en juger par les résultats d
manière leur activité fonctionnelle peu- vent déterminer des effets
mentaux
prolongés alors même que la toxine ne peut plus
ort rigoureux, nécessaire, entre la lésion cellulaire et le trouble
mental
; l'un et l'autre exprimeraient chacun à leur ma-
)E PATHOLOGIE MENTALE. YI1.-L'applieation et la recherche des tests
mentaux
de Binet chez les enfants des écoles communales
chez les enfants des écoles communales de Garni, au moyen des tests
mentaux
modifiés de Binet, de la faculté de comparaison
ants par rapport aux enfants parisiens. G.-D. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
LXVL- Note sur quelques cas de trichotillomanie
de troubles vaso-moteurs et trophiques. F. T. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 495 LXIX. - La légende de l'immunité des Arabe
n vi- suelle dans la folie ; par Sydney J. Cote. (7'he Journal of
Mental
Science, juillet 1905.) Travail intéressant mai
la démence précoee ; par le Dr DEROUBAIX. (Bull. de la Soc. de méd.
mentale
de Belgique, aoùt 1906). Les troubles spinaux
tisme chronique. F. TISSOT. XXXI\7. '- Encéphalite avec confusion
mentale
primitive ; par KLIPPEL. (L'Encéphale, 1906, n°
ar divers syndromes : démence simple, paralysie générale, confusion
mentale
: c'est qu'en effet l'encéphalite, si diffuse e
a tête. Depuis quelque temps. Jouve donnait des signes d'aliénation
mentale
. Les EFFETS du spiritisme. On écrit de Saint-
est à 500 mètres du cet Arrêt. Hospice delà Salpêtrière. Maladies
mentales
M. le D-- 1>ENx, dimanche à 10 heures. BUL
e-Evrard et les soins à donner aux personnes atteintes de. maladies
mentales
, par les D", P. Sérieux el R. '01. gr111(i in-S
ladie d' et délire; par Vigouroux et Delmas, p. 155. Affections
mentales
. Voir Vé- ronal. Alcool et folie. Effets de l
men, p. 48. Baresthésie ; par Egger, p. 502. * PINET. Voir Tesl
mentaux
. CAIOEBREAD. La psychologie de Jane par Rober
loi de médecin- adjoint des asiles d'aliénés, p. ttp. Contusion
mentale
. Voir Encé- phalite. Congrès. XVII0 des médec
Demi-fous et demi-responsabhs; par Grasset, p. 157. Dépression
mentale
. La et la mélancolie considérées dans clans l
par Boulenger, p. 135. Voir Psf/e/ic//)et'n/)ie. Effets moraux et
mentaux
, de la guerre sud-africaine (1899- 1902) sur
te aiguë chez les en- fants ; par Comby, p. 137. - avec confusion
mentale
pri- mitive ; par Klippel, p. 497. Enfants. V
voir Bac- téries. rachidiens ; voir Frie- drich. Gardes-malades
mentales
(ou dressées au service des asiles) ; leur si
p. 53. Goitre exophtalmique. Voir Os- léomalaric. Voir ^Maladie
mentale
. Hallucination. Voir Hystérie. La psychologie
ux. Les - et établisse- ments destinés au traitement des maladies
mentales
et à la garde des aliénés ; des aliénés trait
r Kéraval, p. 148. Leçons cliniques sur les maladies nerveuses et
mentales
; par Stcherbax, p. 88. Législation. Examen c
teurs ; par Dubour(licu, p. 401. Voir Loi. Lèpre. Voir Troubles
mentaux
. Lésions. Sur la coexistence des syphilitique
titatif et qualitatif des dans diffé- rentes formes de maladies
mentales
; par Peebles, p. 51. Lipomes multiples dans la
de la sur les aliénés, p. 350. Lunettes. Contribution expéri- .
mentale
à la psychophysiologie ' de l'usage des ; par F
oir Caractère. .Maladies somatiques. Les rap- ports des symptômes
mentaux
avec les -, considérés princi- palement au po
de leur traitement hors des asiles d'aliénés ; par Raw, p. 55.
mentales
; voir Travail. ai- guës ; voir Manie. mentales
; par Raw, p. 55. mentales ; voir Travail. ai- guës ; voir Manie.
mentales
. Voir non-sanilé mentale. - du sommeil ; voir
; voir Travail. ai- guës ; voir Manie. mentales. Voir non-sanilé
mentale
. - du sommeil ; voir Trypanosome. mentales ;
ales. Voir non-sanilé mentale. - du sommeil ; voir Trypanosome.
mentales
; voir Poids. mentale avec goitre exoph- talm
entale. - du sommeil ; voir Trypanosome. mentales ; voir Poids.
mentale
avec goitre exoph- talmique, par Steen, p. 145.
oids. mentale avec goitre exoph- talmique, par Steen, p. 145. -
mentales
; voir Véronal. La poésie dans les - mentales;
ar Steen, p. 145. - mentales ; voir Véronal. La poésie dans les -
mentales
; par Régis, p. 417. mentales; voir Aphasie. V
; voir Véronal. La poésie dans les - mentales; par Régis, p. 417.
mentales
; voir Aphasie. Voir Tics. Malformation congén
- toire de la manière dont les maladies aiguës affectent l'état
mental
; par Lewis Bruce, p.6 1. 4. Marche. Voir Phobi
nsomnie,; par 1\laule Smith, p. 59. Mélancolie. Voir Dépression
mentale
. Mémoire. Voir Suggestion. Mémoire. Contribut
entale. Mémoire. Voir Suggestion. Mémoire. Contribution expéri-
mentale
et statistique à l'élude de la - ; par Guicciar
des tuberculeux ; par Dumesnil p. 138. - Voir Cours. NOK-SAXITÉ
mentale
et maladies mentales dans une-prison lo- cale
r Dumesnil p. 138. - Voir Cours. NOK-SAXITÉ mentale et maladies
mentales
dans une-prison lo- cale ; par Cotton, p. 75.
e. Voir Idiotie. - Voir ]'amll/sie- générale. De la - nerveuse et
mentale
chez les anciens hébreux et dans la race juiv
. 435. Pneumogastrique. Voir Né- viroses. Poésie. Voir Maladies
mentales
. Poids du corps. Plaidoyer en fa- veur d'une
DES MATIERES. 537 tive du et de ses rapports avec les maladies
mentales
; par Bond. p. 144. POLIENCÉPIIALITE. Oplltal
ses. Voir Fugues. Voir Korsakow. polynévri- tique ; voir Troubles
mentaux
. Les prodromes des et leur si- gnification ;
uture ; par Graham, p. 49. Sclérose en plaques. Voir Trou- bles
mentaux
. Scoliose. Voir Rachitisme. SCOI01,A',NIINi ?
ée. Sydenham. Voir Scopolamine. Symétrie. Voir Corps. Symptômes
mentaux
. Voir 111C/- ladies somatiques. Syndrome méni
a et la classification psychiatrique : par Drapes, p. 425. Test
mentaux
. L'application et la recherche des de Binet c
dlemass, p. 143. Travail. Le dans la thérapeu- tique des maladies
mentales
; par Cuylites, p. 58. 1 Tremblement. Pathogé
sclérose en pla- ques ; par Lhermitte et Hal- bcrstadt,'p. 149. -
mentaux
consécutifs à un accident du travail ; par Vi
es ; par Alexander, p. 57. Note sur l'emploi du dans les maladies
mentales
; par Lwof et Renon, p. 149. Vieillards. Voir
HIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
Fondée par J.-M. CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRE
RECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies
mentales
a la Faculté de médecine de Paris. ' V. MAG
Vol. XII. Juillet 1901. - N° 67. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. Hallucinations psycho-motrices dans la paralys
onnaît le rôle prépondérant que joue l'hallucination en séméiologie
mentale
. Ainsi que l'a dit Séglas, l'hallucina- tion «
; elles sont assez souvent persistantes et identiques à 4 CLINIQUE
MENTALE
. elles-mêmes dans les formes dépressives, dans
e la personnalité ; la maladie évolue trop rapidement, les facultés
mentales
sont trop touchées pour qu'il en soit ainsi.
nérale. b) Leur association étroite avec des convulsions 6 CLINIQUE
MENTALE
. , des muscles masticateurs. c) Leur apparition
es corticales-motrices. Tels sont les documents que nous 8 CLINIQUE
MENTALE
. 1 avons pu rassembler dans la littérature médi
ltiples faits ensemble auparavant (délire rétrogade). 12 CLINIQUE
MENTALE
. Cet état n'a persisté que quelques semaines; l
entrer à l'asile; mais. il ne la désigne pas autrement. 14 CLINIQUE
MENTALE
. Quand on l'interroge, il répond assez correcte
térations en moins, 100 p. 100, s'est trouvée avec les trois formes
mentales
où il n'y a eu ni alté- ration en plus ni norma
ues généraux. Le tableau sui- vant nous l'apprendra : 16 CLINIQUE
MENTALE
. vrai de prétendre que la self-satisfaction des
tant altéré, cas qui fournissent le tableau suivant : 18 CLINIQUE
MENTALE
. les ont vivement frappés ; si, comme nous, ils
il reste tel d'ailleurs jusqu'à la mort. Or en février 20 CLINIQUE
MENTALE
. et mars 189, il eut durant deux mois des hallu
orts de défécation pour lâcher de s'en débarrasser. Au point de vue
mental
il avait la forme expansée calme; il se prétend
plus aucune trace de ce délire hypocondriaque et génital ; la forme
mentale
est redevenue exclusivement expansive avec déli
'abord un délire génital dépressif puis expansif. A ces 22 CLINIQUE
MENTALE
. conceptions délirantes de grandeurs et de rich
ormal que les troubles moteurs étaient moins accusés. 24 CLINIQUE
MENTALE
. On sait combien à la seconde période surtout c
ion ou au contraire l'affaiblissement et l'impuissance. 26 CLINIQUE
MENTALE
. · V. En dehors de ces trois troubles fondament
z, Ferrier, Charcot, IIorsley, Flechsig t. La psychologie expéri-
mentale
, aussi bien que la clinique et l'anatomie normale
t de l'Irlande ; par le professeur Monrrz Benedikt. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1899.) La première de ces lett
bruit en Autriche. L'auteur y examine les rapports de la faiblesse
mentale
avec la folie morale, le damier de créer une lé
sabilité chez les criminels; par A.-R. WI ! ITEWAY. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1899.) La question fondamental
pour la résoudre, il faut faire l'analyse quantitative de son état
mental
et moral; et cette analyse est nécessaire, quelle
sponsabilité des criminels; par Charles Mercier. ' (Tlee Journal of
Mental
Science, avril 1900.) Nous ne pouvons qu'indiqu
que à l'article de M. Whiteway paru dans l'avant- dernier numéro du
Mental
Science, et qui concerne tout spéciale- ment le
ogie et de physiologie cérébrale; par A. H. NEwTdt. (The j01tmal of
Mental
Science, avril 1899.) 1 . Une grande somme de
lles justifiées dans les asiles ; par Thomas Drapes. (The joumal of
Mental
Science, juillet 1899.) L'auteur ne dissimule p
ui- de la responsabilité de aliénés, déjà traité dans le Journal of
Mental
Science, par 11111. fercier,iVoott et bien d'autr
° 11 existe une folie partielle, et la forme et le degré du trouble
mental
influent directement, dans chaque cas particulier
les ; par F. ASHEY ELKINS et JAMES 1\hDDLE : .IASS. (The Journal of
Mental
Science, octo- bre 1899.) Le système préconis
nement pendant une année : par Ha- MII,TON C. Marr. (The Journal of
Mental
Science. juillet 1899.) Il y a vintg ans que La
ment à désennuyer les malades, elles ont paru utiles à leur état
mental
1. A la fin de l'année, on a fait une vente des o
moderne de ces établissements ; par R.-ll. SnEEIV. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1900.) Ce travail très intéres
fléchissent les manières de voir des contemporains sur les maladies
mentales
: on y saisit aussi le degré de leur conscience e
familial en Hollande; par le Dr PEETERS. (l3ull. de la Soc. semez.
mentale
de Belgique, mars 1901.) Il résulte de cette no
le but de se perfection- ner dans l'étude des maladies nerveuses et
mentales
; 5° d'appeler désormais la séance ordinaire du
ue ou psy- chique. BIBLIOGRAPHIE. I. La pratique de la médecine
mentale
; par P. KERA V AL. (1901, Vigot frères, éditeur
faut de psychologie pour la bonne com- préhension de la pathogénie
mentale
dans les deux chapitres sur le mécanisme des se
e » est réduit à sa juste valeur et distingué de celui d'aliénation
mentale
, et chaque type morbide est étudié en lui- même
ques et mélancoliques; ce qui facilite l'étude ultérieure des états
mentaux
survenant comme symptômes ou épiphénomènes BIBL
nos espérances effrayées. » J. BOYER. III. Rapports de l'aliénation
mentale
cl de la tuberculose; par le Dr L. la Bonnaudiè
onnaudière. (Thèse de Lyon.) La tuberculose peut créer l'aliénation
mentale
. - A cette propo- BIBLIOGRAPHIE. 73 sition on
chaque fois que se pose la question des rapports entre l'aliénation
mentale
et une maladie infectieuse. Voici la réfutation
adie infectieuse n'est qu'un épisode, un acci- dent de l'aliénation
mentale
. Elle n'arien créé, elle s'est surajoutée simpl
qu'un état infectieux peut engendrer de toutes pièces des troubles
mentaux
et non seulement des délires aigus, mais de vérit
aigus, mais de véritables psychoses; les liens entre la pathologie
mentale
et la pathologie générale se serreut de plus en
La tuberculose crée des formes spéciales et favorites de maladies
mentales
. Cette proposition est appuyée sur un nombre trop
e est morte sur le coup. Angèle Chemin paraît atteinte d'aliénation
mentale
. Elle a tenté, hier, de se suicider en se tiran
ier de Navarre, nommé Biou, ne jouissant pas de toutes ses facultés
mentales
, avait pris la détermination de se tuer. Il se
arié avec une veuve, la dame Bouillanne. Dans un accès d'aliénation
mentale
, il s'est précipité sur l'enfant de sa femme, le
sse du cadre. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. DEaroors (J.). -La chorée
mentale
el son traitement Brochure in-8" de 7 pages. Br
des médecins dans ' le traitement des malades atteints d'affections
mentales
et confiés à la société. N'est-il pas afflige
nient de le condamner à une immobilité qui peut aggraver son état
mental
. L'un de nous se propose prochainement d'envisage
l'oxyde de carbone ; Par MM. TRUELLE et PETIT. Parmi les troubles
mentaux
qui peuvent surveniràlasuite d'une intoxication
tro et antérograde, débarrassée à peu près de tout 'autre phénomène
mental
y a persisté au delà des limites signalées jusq
. Sans doute, les exemples d'amnésie survenant à titre de trouble
mental
isolé ou prédominant, à la suite d'une intoxi-
o- tre malade, durer l'exclusion de presque tout autre symp- tôme
mental
, une amnésie de forme continue. Ce qui géné- ra
stater, lorsqu'il persiste après un aussi long temps des troubles
mentaux
, un affaiblissement généralisé des facultés intel
'. Récemment, M. Greidenberg2 reprenant cette question des troubles
mentaux
consécutifs aux empoi- sonnements aigus par l'o
oire -ou plus exac- * tement comme l'a signalé M. Magnan, confusion
mentale
avec ou sans amnésie rétrograde. 2° Accidents
moins pour faire connaître qu'outre un certain degré de confusion
mentale
, caractérisée surtout par de l'apathie et de la l
la rue, etc. ne doit pas être mis sur le compte de cette confusion
mentale
dont M. Magnan a mon- tré la fréquence dans ces
s1 signale l'amnésie continue dans la convalescence de la confusion
mentale
primitive ou comme prolongement de la maladie,
ra de connaître enfin les origines, et partant la nature, de sa vie
mentale
, de ses instincts, de ses passions, de son ente
t complexes, telles que le langage, la lecture, la vision. .. "tion
mentales
. Chaque jour, au sentiment d'Edinger ;me, nous
formation congénitale de l'oreille; par Hugh KEnn. (77ee Journal of
Mental
Science, juillet 1899.) Il s'agit d'une jeune f
agit d'une jeune femme de vingt-cinq ans, ayant une double hérédité
mentale
très accentuée entrée à l'asile avec des idées de
de avant et après la mort; par E. 13. M'IIITCOM13E. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1899). Il s'agit d'un homme de
de méthylène polychrome; par T. ALDUUS CL1 ! '\cu. (The Joul'nal of
Mental
Science, juillet 1899.) Courte notesurles avant
sgraye-Clay. V. Les sentiments; par Harry Campbell. (The Journal of
Mental
Science, avril 1900.) 1 L'auteur divise son t
s de la manière suivante : il est com- mode de considérer la partie
mentale
de l'homme, ou le moiT comme composé de sentime
ensée : la pensée consiste à formuler les idées ; et tout processus
mental
ayant pour fin l'acte, nous appelons volonté ce
ents constituent une portion très considérable de la person- nalité
mentale
, ou du Moi. Dans le deuxième chapitre de ce tra
I. La psychologie nouvelle ; par Henry NI UD3LI,'Y. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1900.) Ce travail est un disco
une psychologie positive. On a essayé d'interpréter les opérations
mentales
des nouveau-nés et des jeunes enfants; malheure
arfois soutenu qu'il n'y en avait pas. Au-dessous de tous les actes
mentaux
, il y a des courants ou des ondulations très su
age peut éclaircir ou une tourmente de neige obscurcir l'atmosphère
mentale
aussi bien que l'atmosphère phy- sique. Sans do
tement chez deux personnes différentes la durée d'un même processus
mental
par la notation rigoureuse de son commence- men
si. En fin de compte, c'est au substratum physique, et non à l'état
mental
lui-même que s'atta- quent les mensurations les
défini, dit, en terminant, M. llaudsley, l'étude d'une organisation
mentale
concrète, et travaillez à cette étude, d'une ma
s commencent à écrire de la main gauche. Et, selon les combinaisons
mentales
qu'ils adoptent, les uns écrivent correctement,
euse, Archives, 2° série, t. XII. 9 leO7 REVUE ^ DE ; PATHOLOGIE.
MENTALE
. mais dont la compression provoquait une sensat
ès prononcée au moment de l'opération. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
I. Lesr absences , psychiques chez. les hystéri
e.distinguent pas des actions irréfléchies com- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 131" munes. En février 1895, les hallucination
ans la stupidité, mais c'est une stupidité dans laquelle l'activité
mentale
n'est pas suspendue complètement, tandis que la c
gemeinen Paralyse der Irren. P. KER.W.4L. 132 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. IV. Les rapports de l'alcoolisme et du suicide
près les statistiques récentes; par W.-C. Sullivan. (The Journal of
Mental
Science, avril 1900). Ce travail est très docum
inductions de l'expérience clinique. Le suicide REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 133 impulsif de l'alcoolique caractérisé en ta
de recueillir les observations ; par A.-I3. NEwTn. (The Journal of
Mental
Science, avril 1900.) L'auteur regrette que les
e folie- puerpérale aiguë; par C. C. EASTERBROOE. (The Journal of f
Mental
Science, janvier 1900.) Le cas est intéressant
usage pour les internes et les infirmiers. 13 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ,status epilepticus, et la chorée- a été remar
nes physiques de la folie; par F. GRAHAM Caooxsuaw. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1900.) L'auteur pense que les
t non des signes proprement dits de folie. . REVUE-.DE pathologie :
mentale
. ' 135 Il est légitime de supposer, pourtant qu
isance générale des tractus nerveux de la vision. Cécité verbale et
mentale
dans les cas de démence' et de manie : insuffis
re, de douleur, sont émoussées : elles sont 136 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. abolies dans le coma. Les réflexes spinaux son
. Un cas de folie syphilitique; par R. D. HOTCRKIS, (The Journal of
Mental
Science, avril 1900.) lomme de cinquante-deux a
pagnée de symptômes 'actéristiques de la syphilis : au point de vue
mental
, perte de mémoire, incohérence, idées délirante
ans com- plication. An bout d'environ un an, amélioration de l'état
mental
; le malade obtient sa sortie, et continue à se
agie cérébrale avec hémiplégie droite, et réapparition des troubles
mentaux
: il rentre à l'asile, en état d'hémiplégie dro
. Mais dans le cas actuel, en l'absence de toute hérédité fâcheuse,
mentale
ou somatique, en l'absence de tout alcoolisme,
séjour à l'asile, est restée sans retentisse- ment aucun sur l'état
mental
; d'autre part l'hémorragie cérébrale survenue u
, la manie soupçonneuse. R. de Musgrave-Clay. - REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 137 IX. Sur la parole des épileptiques; par CA
ur la parole des épileptiques; par CAèIPBELL CLARK. (The Journal of
Mental
Science, avril 1900.) La faculté du langage che
eux, et cependant divers suivant les sujets, et que lorsque l'état
mental
normal se rétablit, après une de ces explosions
l se rétablit, après une de ces explosions périodiques d'excitation
mentale
motrice qui caracté- risent la folie épileptiqu
fient proportionnellement à cette excitation; 3° que lorsque l'état
mental
habituel a reparu et lorsque la tension nerveus
comme complication delà folie ; par G.-J. CONFOIID. (The Journal of
Mental
Science, avril 1900.) L'auteur étudie successiv
odificatrices réciproques des maladies organiques et des mala- dies
mentales
. Il montre que les lésions anatomiquesqui entra
que, et peuvent ainsi devenir le point de départ d'une défectuosité
mentale
qui ne s'éteindra qu'avec le groupe familial da
u'avec une grande incertitude la mesure dans laquelle les symptômes
mentaux
chez un sujet donné dépendent d'une maladie org
mas, dans la Revue Philosophique), un ac ticle intéressant à l'état
mental
d'Auguste Comte. Il résume tout d'abord la vie
résume tout d'abord la vie singulière du grand REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 139' philosophe, et nous le montre faisant à v
a vie intellec- tuelle est interrompue par une attaque d'aliénation
mentale
, pour laquelle il est enfermé pendant sept mois
manité. A diverses reprises, il fut menacé de récidive des troubles
mentaux
dont il avait été atteint; il essayait d'en pré-
ut une liaison, qui resta platonique malgré 140 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. lui, peut-être par une série de fausses manoeu
lorsqu'il mourut, d'un cancer, en 1857, que la question de son état
mental
fut soulevée à propos de son testament dont 111
la moindre trace de trouble intellectuel ou moral- ou d'aliénation
mentale
; que bien au contraire ils ont été frappés, jusq
e la folie ». v. Le tribunal en 1870 refusa d'admettre l'aliénation
mentale
et valida le testament. « Sans mettre en doute
côtoya la folie ; et si par son système d'hygiène et par son régime
mental
, il réussit à éviter une nouvelle attaque, il r
latoire épileptique ; par D. J. Me CARa-nY, (Journal of Neruous and
mental
Besease, Mars 1900.) L'automatisme ambulatoire
d'autopsie par" w Dr B." "' 0,NLJF. (Tlte Journal o' ' Nel'vous and
mental
Desease, Alarch 1900.) L'intoxication saturni
ilepsie; par le docteur William G. SrItLEa. (Journal of nervous and
Mental
Desease, février 1900.) Les formes graves de
Philip COOMBS KNAPP et John Jenks Thomas. (Journal of Ne¡'vous and
Mental
Desease, février 1900.) Il s'agit de trois nouv
la syringo- myélie ; par James Hendrie Lloyd. (Journ. of Nerv. and
Mental
Desease, février 1900.) Premier cas. Le malad
sur l'astéréognose ; par F.-X. Dercum. (7oM)') : . of ' Ne¡'v. and
Mental
Disease, novembre 1900.) Ces études ont porté s
ivent être combinées dans le cortex pour donner naissance à l'image
mentale
de l'objet senti. Supposons un cas dans lequel le
d'un côté et dont la face est asymétrique. Après quelques troubles
mentaux
très légers (idées vagues de persécution, crain
énorme de la tumeur ; d'autre part, ils montrent que les désordres
mentaux
présentés par la malade sont différents de ceux q
ue et en quelque sorte prévu, les étapes régulières d'une évolution
mentale
univoque. Commençant en 1088 l'enfance même de
e se produisit, préparée par une longue retraite de contemplation
mentale
intensive, par un travail cérébral excessif, par
t les mauvais esprits, tout cela sans que chez lui la désagrégation
mentale
ait jamais été complète, sans démence terminale
ans l'histoire du voyant, il y avait un beau chapitre de pathologie
mentale
à édifier. C'est ce que M. Ballet a si complète
de la réfraction. POULARD. VIII. Du sérum artificiel en aliénation
mentale
; par le De E. FAURE, ex-interne de l'asile de B
jections intrarectales, peuvent rendre des services en alié- nation
mentale
. Elles paraissent agir de deux façons : 1° En éli
garanties de sécurité. Les médecins qui, par ignorance des maladies
mentales
, consen- tent à soigner de. tels malades à domi
de nature hystérique. Martin. Observations sur un cas de torticolis
mental
. - Pailhas. 1° De la dégénérescence dans les vi
quide céphalo-rachidien (projections) ; 2° Nouveaux cas de troubles
mentaux
toxi-infeetieux avec examen histologique de l'é
eër. d'oculistique, fév. 1897, p. 51. 2 Journal of ne1'VOllS and
mental
diseases, 2 fév. 1886. 204 CLINIQUE NERVEUSE.
- Bresci, le régicide, vient d'être subitement frappé d'aliénation
mentale
. La police italienne a fait tous les efforts pos-
e expérimentation qui, normalement est irréalisable. Lapa- thologie
mentale
fournit parfois l'étude delapsychologieetde la
aide à déterminer le mécanisme et les conditions de certains actes
mentaux
particuliers. Nous avons eu la bonne fortune d'
normale, le jugement est juste. La malade ne présente aucun trouble
mental
. Elle se rend parfaitement compte de son état,
ue à 214 zut PSYCHOLOGIE MORBIDE. ce moment chez elle, des images
mentales
terrifiantes, ana- logues à celles que la plupa
, ils suivent immédiatement l'idée. ou même plus exactement l'image
mentale
. L'hallucination par son intensité trouble la p
rimentale. En effet, ici ce que nous pouvons provoquer c'est l'état
mental
, qui dans le cas particulier est principale- me
u désordre dans les idées et les actes, est le résultat de cet état
mental
. Il se passe donc à peu pi es le contraire, de
nd nous inférons des désordres présentés par un malade à son état
mental
et surtout aux causes génératrices de ce désordre
se ce tableau symptomatique, c'est en résumé l'état de distractions
mentales
du sujet joint à de l'agitation motrice, le dés
es auteurs propo- seraient pour cet état le diagnostic de confusion
mentale
hallucinatoire. On sait que la confusion ment
tic de confusion mentale hallucinatoire. On sait que la confusion
mentale
présente elle-même plusieurs formes cliniques d
otre malade il n'y a pas d'idées persistantes ni fixes, tout l'état
mental
est sous la dépendance de nombreuses hallucinat
ue qu'on la persécute. Il s'agit donc ici d'une véritable confusion
mentale
, dans laquelle les hallucinations se succèdent
dent comme en une véri- table fantasmagorie kaleidoscopique. L'état
mental
de G... indépendamment des réactions motrices,
tteint de delirium tremens auquel on a souvent comparé la confusion
mentale
hallucinatoire. La connaissance de l'état menta
paré la confusion mentale hallucinatoire. La connaissance de l'état
mental
de notre sujet, peut donc assez bien nous faire
dans celui qui doit présider à l'évolution de certaines confusions
mentales
, quelque soit l'élément étiologique qui ait cau
ient engendrées, existe également à la suite des états de confusion
mentale
hallucinatoire. La.- durée seule, est plus- lon
n qui s'extériorise détruit le pouvoir d'atten- tion et la synthèse
mentale
s'oriente intimement et presque instantanément
intense, à la distraction fait place un véritable état de confusion
mentale
. Le rapproche- 220 PSYCHOLOGIE MORBIDE. ment,
ques, semble jeter quelque lumière sur le mécanisme et la structure
mentale
qui préside à l'état de confusion. L'idéation p
ocessus psychiques qui concourent à une structure et une synthèse
mentales
normales. La distraction est ébranlée dans son
n microscopique; par Fi. X-DERcm. (7'/tc Joziî-nal of Nervous and
Mental
Deseasc, août 1900.) L'adipose douloureuse, aff
er la diminution des sueurs, la lenteur de parole et l'irritabilité
mentale
présentées par notre malade et également observ
nski; par G. L. VaLTO et W. E. PAUL. (Tite Journal of' Nc1"vOUS and
mental
Deseuse, juin 1900.) On peut résumer de la faço
e. Aujourd'hui, les cadres de la neuro-pathologie et des affections
mentales
sont mieux dessinés et mieux remplis. Mais que
le département de jour en jour plus peuplé, hélas ! de l'aliénation
mentale
, indépendamment du riche domaine qui lui appart
ns le maniement de cet outil. Plus que toute autre, la pathologie
mentale
a eu à pàtir, dans son développement, des vices
lupart des myélites, de beaucoup de délires ou d'états de confusion
mentale
, n'ignorons-nous pas encore quelle est, par exe
de l'entendre et de l'écouter. , Parler dans un congrès de médecine
mentale
du péril alcoolique, c'est s'exposer au reproch
y, la pathologie du système nerveux, en particulier la pathologie
mentale
, au point de vue social. Pour ma part, je vois so
à cette séance excusent cette hardiesse), j'entrevois la pathologie
mentale
contribuant, de concert avec l'anthropologie cr
nfectieuse. Son histoire est une des plus confuses de la pathologie
mentale
. Avant 1881, les opinions sur la nature de cett
aralysie générale. Brierre de lioismont le séparait de l'aliénation
mentale
et de l'encéphalite, et en faisait une entité m
ts toxi-infectieux. D'autre part, les travaux récents en pathologie
mentale
établissent l'existence de troubles mentaux par
x récents en pathologie mentale établissent l'existence de troubles
mentaux
particuliers accompagnant les infections et les
et les intoxications. Ces troubles sont constitués par la confusion
mentale
décrite d'abord par Delasiauve, puis par Chaslin,
sensorielle très 'accentuée intéressant tous les sens. Le trouble
mental
consiste en un délire général dont l'incohérence
n, les hallucinations, la perte de con- science. C'est la confusion
mentale
hallucinatoire de Delasiauve, Chaslin, Séglas,
ermie), l'aspect général ; au point de vue psychique : la confusion
mentale
avec torpeur ou agitation, le délire onirique o
céphalalgie, les troubles des fonctions organiques, la confusion
mentale
, le délire onirique, l'amnésie (céphalée). Il est
s de l'hypother- mie. Quant aux symptômes psychiques : la confusion
mentale
est de règle, parfois elle peut être marquée pa
traitement que j'ai préconisée dans la thérapeutique des mala- dies
mentales
et dont M. S. Maleit a montré, en 1882, l'efficac
oit occuper le- délire aigu dans le cadre neurologique des maladies
mentales
, trois courants se partagent l'opinion : les un
nt, de septicémie consécutive à un gros abcès du sein. Les troubles
mentaux
initiaux ont consisté, après une insomnie de pl
, décrit un type clinique qui est le suivant : un fond de confusion
mentale
sur lequel se greffe un état délirant onirique
técédents héré- ditaires ou personnels aucune affection nerveuse ou
mentale
, ni syphilis, ni alcoolisme. Porteur d'un kyste
s de nostalgie, manifestant le désir de quitter l'hôpital. Son état
mental
alla en s'aggravant jusqu'au 268 ' SOCIÉTÉS SAV
sa sortie de l'hôpital. Depuis son entrée, il a pré- senté un état
mental
caractérisé par de la confusion mentale, des id
rée, il a pré- senté un état mental caractérisé par de la confusion
mentale
, des idées de persécution, des alternatives de
lsifs. En somme, je note immédiatement après l'opération un trouble
mental
passager, puis, le huitième jour, un véritable
t, par M. Babinski. 270 SOCIÉTÉS SAVANTES. Deux cas de torticolis
mental
chez des aliénées, observations relatives au tr
- tement indiqué par M. le professeur Brissaud pour le torticolis
mental
est institué. Le malade est soumis à des séances
. M. Martin fait remarquer que dans les observation ? de torticolis
mental
publiées jusqu'à présent, l'état mental, ne parai
observation ? de torticolis mental publiées jusqu'à présent, l'état
mental
, ne parait pas aussi modifié et aussi profondém
andonnée dans ce dernier cas. En somme, le traitement du torticolis
mental
par l'éducation des mouvements n'est pas applic
de chance de réussir que l'affection physique dépen- dra d'un état
mental
moins atteint. La prolongation du traite- ment
plusieurs travaux, en collaboration avec M. Feindel. Le torticolis
mental
est en effet curable dans- la grande majorité des
pparaît que chez des dégé- nérés, tant au point de vue physique que
mental
, qui ne présentent pas de graves troubles menta
e vue physique que mental, qui ne présentent pas de graves troubles
mentaux
mais qui cependant frisent la vésanie. Chez le
itude que M. Meige n'hésite pas à assimiler aux tics. Le torticolis
mental
ne serait qu'une variété de cette affec- tion e
olis mental ne serait qu'une variété de cette affec- tion et l'état
mental
des malades atteints de torticolis mentaux. ren
tte affec- tion et l'état mental des malades atteints de torticolis
mentaux
. rentre dans l'étude de l'état mental des tique
lades atteints de torticolis mentaux. rentre dans l'étude de l'état
mental
des tiqueurs. Comme l'a dit . M. Martin, il est
. M. BRISSAUD fait remarquer que non seulement dans le torticolis
mental
, mais que dans beaucoup d'affections du système n
gymnastique et de la rééducation des mou- vements amène dans l'état
mental
des modifications salutaires. Il a toujours con
ue l'amélioration physique précédait l'amé- lioration des symptômes
mentaux
. M. Briand. - J'ai observé plusieurs cas de ce
and. - J'ai observé plusieurs cas de ce qu'on appelle le torticolis
mental
et dont M. le professeur. Brissaud a donné une; J
le description. Je le considère comme un stigmate de dégénérescence
mentale
. En effet, si .l'on se donne la peine de fouill
avant, un craintif et un obsédé. Les malades affectés de torticolis
mental
sont souvent des neu- rasthéniques, J'en connai
sorte d'astasie-abasie que je qualifierais volontiers de paraplégie
mentale
incomplète. Le malade qui en est atteint ne voy
énique, et la soeur mélancolique hypo- chondriaque. Le torticolis
mental
peut se montrer sous des influences très divers
n rauque, véritable tic rythmé des organes phonateurs. Torticolis
mental
et tics divers ne sont donc que l'apanage de la
ntal et tics divers ne sont donc que l'apanage de la dégénérescence
mentale
. Ils sont de nature essentiellement récidivante
stigmate plutôt psychique que physique de la dégénérescence. L'état
mental
de ceux qui en sont porteurs est celui des dégéné
i des dégénérés. M. Lannois (de Lyon) rapporte un cas de torticolis
mental
chez une jeune fille et dont la cause détermina
en effet souvent une cause de ce genre qui détermine le torticolis
mental
, aussi bien que les tics. Comme l'a dit M. Bria
e l'a dit M. Briand il est fréquent de voir récidiver le torticolis
mental
. Mais ces récidives sont de courte durée et fac
t facilement curables par la même suggestion. De plus le torticolis
mental
s'accompagne parfois de tics de l'épaule et du
u remarquer que l'amé- SOCIÉTÉS SAVANTES. 273 lioration de l'état
mental
a été précédée de l'amélioration de l'état phys
aractère des troubles psychiques des malades atteints de torticolis
mental
. M. Meige insiste sur les troubles mentaux chez
es atteints de torticolis mental. M. Meige insiste sur les troubles
mentaux
chez ies dégénérés atteints de torticolis menta
sur les troubles mentaux chez ies dégénérés atteints de torticolis
mental
. Il assimile cet état psychique à l'état mental
eints de torticolis mental. Il assimile cet état psychique à l'état
mental
des liqueurs. Tous ces malades ont une instabilit
n certain degré d'incohérence dans leurs actes. C'est sur cet, état
mental
bien particulier que viennent se greffer des dé
sile avec le diagnostic de paralysie géné- rale. A l'entrée, étal
mental
. On constate des .lacunes dans la mé- moire sur
s cette époque. A vingt ans, à son entrée, voici l'état physique et
mental
: Tremblement fébrillaire de la langue, des lèv
'insomnie des affec- tions dans lesquelles n'entrent pas d'éléments
mentaux
; ainsi, un rhumatisant aigu, un tuberculeux, u
IX. Thèses DE la Faculté DE MÉDECINE DE Bordeaux SUR les maladies
mentales
ET nerveuses (1899-1900) ; par le Dr L. de PERRY.
bénéficiaires d'ordonnances de non-lieu' en raison de leur trouble
mental
et envoyés dans un asile d'aliénés. De la sorte
her tous les autres signes individuels, héréditaires, organiques et
mentaux
de l'individu avant d'en faire un dégénéré. 8.
à Rochepaul, donnait, depuis quelque temps, des signes d'aliénation
mentale
. Mais comme il était de son naturel très doux,
signes de dérangement cérébral, vient d'être frappé d'aliéna- tion
mentale
. M. Fourest demeurait avenue Parmentier. Hier mat
à Villedomer (Indre-et-Loire), qui ne jouissait pas de ses facultés
mentales
, s'est suicidé d'une singulière façon. Le malhe
nommé Royer donnait, depuis quelque temps, des signes d'aliénation
mentale
. Comme il revenait des champs, hier, portant un
tumeurs du cerveau; par William H. WILDER. (Journal of nervous and
Mental
Desease, août 1900.) La névrité optique vient p
grand mal épilep- tique ; par Pierce CLAHK. (Journal of Nenuous and
Mental
Desease, octobre 1900.) La perte du langage s
t pas le résultat d'une lésion matérielle, mais sont des phénomènes
mentaux
, des phénomènes de perception mauvaise ou nul,
rg. Dynamo- mètre : U. 3^, G. 27. Presque pas de vomissements. Etat
mental
parfait. On porte le diagnostic de tumeur de la
on particulièrement mar- quée, surtout en ce' qui concerne la forme
mentale
. Dans une excellente monographie du Tarn, le do
système nerveux chez les enfants (idioties, épilepsies, aliénation
mentale
.) M. Bourt-il ? VILLF. - Ainsi qu'en font foi l
ques-unes : 1° Dans les cas 1 E. Régis. Manuel pratique de médecine
mentale
, 2 édition, 1892. 2 Pitres et Régis. L'Ir'z·eul
certaines lésions cellulaires corticales accompagnant les accidents
mentaux
des maladies géné- rales (Laboratoire de M. le
, tuberculose, lésions du foie, lésions du rein), avec des troubles
mentaux
plus ou moins accen- tués. On constate que, dan
lésion, dont nous rappellerons seulement ici les caractères fonda-
mentaux
: forme globuleuse de la cellule, migration périp
ce le parallélisme d'intensité des lésions corticales, des troubles
mentaux
et des accidents généraux de la maladie. Si d
intoxication, etc.); il en est ainsi, d'ailleurs, pour les troubles
mentaux
qui les accompagnent, et qui varient peu malgré
e de la psychose polynévritique et de certaines formes de confusion
mentale
primitive (en collaboration avec M. le professe
les lésions cellulaires corticales observées dans G cas de troubles
mentaux
toxi-infectieux. Revue neurologique, décembre 189
on avec G. DES%'AULX). Médecine moderne, août 1899. Sur un syndrome
mental
fréquemment lié à l'insuffisance des fonctions
rien de leur valeur ni de leur importance. , - Deux cas de troubles
mentaux
loxi-infeclicux avec examen hislotogique. 1\1
stine, interne des hôpitaux de Paris, rapporte deux cas de troubles
mentaux
toxi-infectieux avec lésions cellu- laires cort
prarce]), onze ans. Microcéphale atteint d'idiotie et d'ustthilité
mentale
, d'une turbulence excessive, reste maintenant v
Microphale à un degré prononcé, atteint d'idiotie et d'instabilité
mentale
. L'instabilité est un peu moins grande qu'à l'arr
arrive aussi, mais l'état s'est aggravé : à la maladie nerveuse et
mentale
se sont ajoutées des habitudes vicieuses. La de
ceux de la mélancolie, de la manie, de la stu- peur. avec confusion
mentale
, finalement de la démence, et par des symptômes
les pupilles démesurément grandies, le corps froid. Au point de vue
mental
, la stupeur est profonde ; le malade profère de
disparaissant tout d'abord, puis l'agita- tion, enfin la confusion
mentale
, et le malade arrriva ainsi à une guérison comp
insolation. Les troubles observés furent d'abord de la confu- sion
mentale
, puis de l'amnésie, surtout de l'amnésie de fixat
que un état d'intoxication ainsi que l'aspect clinique des troubles
mentaux
semble le mon- trer. Astoso-basophie. AL11.
t ainsi 29 p. 100 dans les cas normaux, 47,9 p. 100 en alié- nation
mentale
. Epilepsie consciente, etc., par le Dr LALANKE.
énérales qui seront discutées à Grenoble : Question de pathologie
mentale
: Des états anxieux dans les maladies mentales,
uestion de pathologie mentale : Des états anxieux dans les maladies
mentales
, M. le Dr Lalanne, rapporteur. Question de path
s facultés et aptitudes normales, mais encore faire de l'orthopédie
mentale
et morale dans les cas suivants : troubles du c
s délires transitoires revêtant de préférence les types : confusion
mentale
ou mélancolie anxieuse, avec hallucination de la
fisante pour entraîner la mort, ne laissant derrière eux que l'état
mental
sénile antérieur parfois un peu aggravé. Des co
ou anormaux, le travail se termine par l'étude légale des maladies
mentales
provoquées par des tiers, A noter la partie his
xcès de division. Quel- ques aperçus nouveaux au sujet de faiblesse
mentale
post-vésa- .nique, de l'influence de la menstru
ès que l'explosion d'un premier symptôme le trahit. Tant que l'état
mental
le permet, il doit autant que possible continuer
en sections adoptées à chaque catégorie d'épileptiques selon l'étal
mental
et physique et les aptitudes de ces malades. Dé
Mail, semble devoir établir que Ferrari était atteint d'aliénation
mentale
et qu'il a agi sous l'empire du délire de la pe
nge, demeurant 12S, rue d'Aboukir, au cours d'un accès d'aliénation
mentale
, a blessé grièvement sa femme d'un coup de mart
indre. Sirigue donnait depuis quelque temps des signes d'aliénation
mentale
, et proférait souvent des menaces de mort à l'a
à 21 369. Le D' Claye Shaw attribue cet accroissement d'aliénation
mentale
aux influences de la guerre du Transvaal. Beauc
primerie Gillet. CATALA. Essai d'un nouveau traitement des maladies
mentales
el de l'épilepsie. In-8° de 92 pages. Toulouse,
action que sur le travail 2. Il n'est pas plus favorable au travail
mental
qu'au travail physique3. Les effets de l'alcool
luence de l'alcool sur le muscle fatigué. (Bull. de la Soc. de méd.
mentale
de Belgique, 1899, p. 307.) °- J.-W. \Varren. T
'INFLUENCE DE L'ALCOOL ET DU TABAC SUR LE TRAVAIL. 383 384 CLINIQUE
MENTALE
. surtout à l'irritation des organes sensitifs e
int de vue, et elle entraîne l'intoxication. (A suivre.) CLINIQUE
MENTALE
, Contribution à l'étude des réactions de la pea
ominationd'alcooliques, ils n'ont compté que ceux dont les troubles
mentaux
ne s'étaient produits qu'à la suite d'excès alc
des idiots... f . . Archives, 2° série, t. XII. 25 386 . CLINIQUE
MENTALE
. Voici ce très instructif tableau : RÉACTIONS
ait aussi accentuée en avant qu'en arrière et six '388 · " CLINIQUE
MENTALE
. C 'fois beaucoup plus à la poitrine qu'au dos.
t en réalité aussi sains qu'ils le prétendent et s'ils 390 CLINIQUE
MENTALE
. n'auraient pas été porteurs d'un nervosisme mé
fréquence les différences que nous avons relevées : 392 . CLINIQUE
MENTALE
. - Mais si ces tableaux nous permettent d'appré
plus et en moins des réactions de la peau dans chacune des variétés
mentales
. Une pourtant nous fait défaut : l'alcoo- lisme
t MM. Féré et Lance sur 19 alcooliques n'ont rencontré 394 CLINIQUE
MENTALE
. aucun cas de dermographie. Mais nous n'avons p
e fournissent nos 3112 sujets. Mal- heureusement pour deux variétés
mentales
, l'hystérie et la sénilité, le nombre de ceux q
que suit de très près la démence et d'assez près encore la débilité
mentale
. Ces trois aliénations constituent le groupe ri
- A l'extrême opposé se trouve la sénilité qui est la seule variété
mentale
sans dermographie aucune, ni modérée, ni excess
nôtres occupent au contraire le dernier rang parmi les six variétés
mentales
qui ont eu de la dermographie. Pour la débilité
x variétés mentales qui ont eu de la dermographie. Pour la débilité
mentale
notre proportion est à peu de chose près celle
M f M M t" Fi. Z H. en M co va 396 . CLINIQUE
MENTALE
. 23 p. 100 ; inférieure, par conséquent, de 12,
une seule fois le degré excessif. Quant aux quatre autres variétés
mentales
qui restent, elles n'ont entre elles que de fai
tenant l'état normal nous consta- tons que dans toutes les variétés
mentales
il a été inférieur à l'état anormal, toutefois
emporté avec une formidable proportion. Pour les autres aliénations
mentales
l'état normal a été plus fréquent. Après l'hyst
lité et la démence qu'il s'est montré le moins souvent. La débilité
mentale
est l'aliénation avec la normalité la plus fort
de réactions affaiblies que de dermographie. C'est dans la débilité
mentale
que le phénomène qui nous occupe est le plus ra
nous savons n'a pas d'altérations en plus. Les deux autres variétés
mentales
ne diffèrent pas beaucoup entre elles à cet éga
e céphalalgie, qui persista jusqu'au développement de l'affection
mentale
, qui a commencé en 1854. A cette époque, il eut u
publicain d'Orléans, du 27 septembre 1901.) . REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XII. Discours présidentiel prononcé à la cinqu
à Londres le 26 juillet 1900; par Fr ? TCHEa Beach. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1900.) . , Dans ce discours, l
Foreign Archives, 2° série, t. XII. 26 Il. 0 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Medico- Chirurgical Revint) un article du Dr C
et venant en aide à 8.492 idiots et imbéciles. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 403 Revenant ensuite en France, l'orateur rema
construit un bâtiment de 100 lits à Vallée. 404 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Paris et de la France, et à l'appui de cette r
faut penser aussi à ceux qui sont de simples malades, sans trouble
mental
. Le premier asile pour les épilep- tiques de ce
s cliniques et thérapeutiques de 1890 à 1900. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 405 XIII. Quelques remarques sur les différent
colie; par Lewis BRUCE et H. de Maine ALEX.1,NDE[t. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1900.) Au cours d'une série de
nie. Au début de l'attaque, à la période d'agitation et de troubles
mentaux
aigus, cette pres- sion était élevée et équival
subaigu est caractérisé par les 'phénomènes suivants : 1° Symptômes
mentaux
moins accentués. Sommeil généralement bon; hall
umine; 5° langue propre, alimentation mieux 406 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. acc' ptée. Pouvoir digestif du suc gastrique,
ll1'. L'homicide alcoolique; par W.-C. Sullivan. (The Journal of
Mental
Science. Octobre 1900.) L'auteur conclut des re
CL,\ Y. XV. Le juif aliéné ; par Cécil-F. IiEADLES. (The Journal of
Mental
Science. Octobre 1900.) Il ne résulte pas des
d'ailleurs intéressants, recueillis par l'auteur, que l'aliénation
mentale
se présente dans la race juive avec des caractè
causes et sa guérison; par William Gyrin Westcott. (The Journal of
Mental
Science. Octobre 1900.) L'auteur se propose de
douteux que les habitudes d'intempérance soient REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 407 fréquemment, héréditaires; mais elles peuv
es sur les glycosuries nerveuses; par David BL.vrR. (The Journal of
Mental
Science. Octobre 1900.) Contrairement à ce qu'i
ui expliquerait sa rareté chez les aliénés. 408 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Mais l'émoussement considérable de la sensibil
des aliénés; par David ORR et Thomas Philip Corsez. (The Journal of
Mental
Science, Octobre 1900.) Cet intéressant travail
fs. Il est encore trop tôt pour donner une opi- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 409 nion dogmatique sur l'étiologie de la para
avec la syphilis héré- ditaire ; par W.-J. KOENIr.. (The Journal of
mental
Science, juillet 1900.) L'auteur rappelle som
avec symptômes cliniques consistant en un abaissement des facultés
mentales
de nature non progressive, de la paraparésie sp
te, suffit à nous mettre en garde contre un 410 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. pronostic trop hâtif. D'au Li part, quand les
rébrale infantile, et dans tous les cas, sauf trois, l'insuffisance
mentale
remontait il la naissance. Tous ces malades éta
de ce fait que, en analysant les onze cas dont REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 411 il s'agit, on constate qu'il n'y en a qu'u
la perte de la réaction pupillaire, dans les cas d'affaiblissement
mental
infantile, doit nécessairement diriger notre at
élancolie avec stupeur; par Thomas-Philip Cowcv. (The Jour- 1(al of
Mental
Science, juillet 1900.) Voici le résumé de cett
de mélan- colie, de manie, etc.; par John i'URVER. (The Journal ouf
mental
Science, juillet 1000.) C'est une question tr
juillet 1000.) C'est une question très embarrassante en pathologie
mentale
que celle de savoir comment se produisent les é
ices de l'exaltation et de la dépression. 412 - REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. C'est à ces questions que l'auteur veut essaye
psie associée à la folie ; par Ernest-W. \VIIITC. (The Jour- nal of
Mental
Science, janvier 1900). Le but de ce travail es
ques qu'elle comporte est favorable au développement des affections
mentales
ou convul- sives. L'auteur toutefois n'a vu que
le est caractérisée par l'absence de tonicité ' REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 413 dans les attaques, la brièveté du stade to
assez rares chez les aliénés ; par Thes.-B. HYSLOP. (The Journal of
Mental
Science, jan- vier 1900.) Tous les médecins d
cations de couleur, de souplesse de la peau dans certaines maladies
mentales
: l'auteur se propose dans ce travail de n'étud
ports des affections de la peau avec les modifications des maladies
mentales
et leur pronostic ; ces conclu- sions se résume
es aussi : souvent la marche de l'un des éléments soit cutané, soit
mental
,-fournit le pronostic de l'autre élément; car a
« lement, vous ne tarderez pas à voir apparaitre l'amélioration «
mentale
; mais une peau rebelle présage une guérison tard
iles, 7; malades encore en traitement, 5. 414 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Ces guérisons qui donnent une proportion de 83
rapports avec la folie ; par Geoffrey Hun- gerfohd. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1900.) On peut poser en princi
tuits et de faciliter l'internement des sujets atteints de maladies
mentales
en temps opportun, dès le début de l'atfection ;
des idées justes sur la nature des maladies 432 asiles d'aliénés.
mentales
et sur les mesures qu'elles exigent; de détruire
n est de même des inculpés en observation au point de vue de l'état
mental
, malgré qu'en pratique il soit passé outre parf
à certaines formes de folies sensorielles et surtout à la confusion
mentale
pour laquelle l'internement, ainsi que nous l'a
islation comparée des aliénés ; par A.-Wood REUTON. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1900.) Selon notre coutume, no
'hospitalisation rapide, immédiate, des sujets atteints de maladies
mentales
, ces avantages ont rappelé l'attention sur l'ut
ys ruraux se compose : pour 1/4 d'alcooliques; pour 1/4 de maladies
mentales
organiques (para- lysie générale, démence sénil
euvent réunir les conditions nécessaires au traitement des maladies
mentales
. Il montre comment doit être assuré le service
uand le terrain est insuffisant. Une policlinique pour les maladies
mentales
et nerveuses doit être annexée à l'hôpital. L'a
Notre être est soumis à une sorte d'automatisme physiologique et
mental
, quels que soient d'ailleurs le rôle et le pouvoi
posté- rieurs il la naissance, imbécillité, épilepsie. Les maladies
mentales
acquises sont dans la proportion de 6 p. 100; i
Vol. XII. Décembre 1901. N° 72`. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. Délire aigu et urémie ; Par le D' A. CULLERR
'on est évacuée sur l'asile, le 27 mars 1897, en raison de son état
mental
, caractérisé, d'après le certificat d'admission
i formulé : « État Archives, 20 série, t. XII. 23 ,450 1 CLINIQUE
MENTALE
. démentiel avec confusion complète des idées, a
s complet d'aliments; la malade est nourrie à la sonde : l'obtusion
mentale
est très profonde, le délire confus, les parole
nce d'excès alcooliques. Le malade n'est pas alcoolique. Le trouble
mental
actuel est la conséquence d'une vive déception
ement dans une large mesure et qui s'est terminée au point de vue
mental
par le syndrome du délire aigu, et au point de vu
s de la commission ; M. Defrance, directeur des affaires départe-
mentales
; M. Pelletier, chef du service des aliénés à la
Ilelbelinclc, Gand, 1852, tome I, p. 224 et seq. * Esquirol. Mal.
mentales
, t. I. 3 Tardieu. Traité de médecine légale.
I. 3 Tardieu. Traité de médecine légale. blorel. Traité des Maul,
mentales
, p. 360. Ci,iesinger. Mal. mentales, p. 285.
ale. blorel. Traité des Maul, mentales, p. 360. Ci,iesinger. Mal.
mentales
, p. 285. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES STÉRÉOTYPIE
t due à Brugia et Marzocchi13, l'autre à ' Dagonet. Traité des Mal.
mentales
. Paris, 1894. - ° Cotard. Art. Folie. Dict. enc
leur, 0. Doin. Paris, 1892, 144" p. - ' Scinde. Traité des Maladies
mentales
, traduit par J. Dagonet et Duhamel, Paris. 1
Berlin, 1889, p. 628-644. " lIIorsel11. Séméiologie des Maladies
mentales
, vol. II, p. 826. " vit. Brugia et S. Marzocchi
cchi. Dei movimenti sislemalizzali in alcune forme di indebolimento
mentale
. Archivio 1taliano per le malatie ne1'vose e pi
ta spel'i1aenlale di Frenialria e medicina légale délie alienazioni
mentale
. 1899, vol. XXV. Fasc. I et IL) 2 Mondio. Héréd
consécutive mérite-t-elle un chapitre particulier en noso- graphie
mentale
? (Rivista mentale di neuropatologia et psychiatr
-t-elle un chapitre particulier en noso- graphie mentale ? (Rivista
mentale
di neuropatologia et psychiatre. Rome, 1900. No
fournissait le certificat trimestriel : ' Ph. Chaslin. La confusion
mentale
primitive. Annales médico-psy- cytologiques. 50
de. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES STÉRÉOTYPIES. 483 « Dégénérescence
mentale
avec excitation. Désordre complet dans les idée
les idées délirantes. » Alors qu'à cette période, survient la ruine
mentale
du sujet, les stéréotypies ' ' J. P. Falret. Le
et, les stéréotypies ' ' J. P. Falret. Leçons cliniques de médecine
mentale
(faites à l'hospice de la Salpêtrière). 1r. par
anicomio mode1'llo. Année XVI, n°3). ' Morel. Traité des Maladies
mentales
, p. 360. 496 PATHOLOGIE NERVEUSE André L...,
iques, ni clo- niques, méfiez-vous, quand ils font preuve d'un état
mental
défectueux, de quelque chose de bien plus redou
ts automatiques des hystériques, des épileptiques et enfin les tics
mentaux
. Chez l'hystérique, c'est surtout dans les chor
plus haut des tics d'habitude. Il nous reste àparler des tics dits
mentaux
. « Le tic, a dit Charcot, est une maladie psych
te similitude est d'autant plus accentuée que sou- vent sous le tic
mental
, il y a une idée inconsciente qui fait exécuter
- Mais faisons remarquer que, d'abord, en règle générale, les tics
mentaux
peuvent être arrêtés par des efforts d'attentio
·; il avait rêvé qu'un homme était tombé dans 1- rivière et le choc
mental
produit par ce rêve avait suffi pour\ lui rendr
pièces anatomiques jouis- sait pendant la vie d'une parfaite santé
mentale
ou s'il était malade ? La poursuite des altérat
le. Ainsi Alzheimer et Rins- wanger ont formulé que dans les formes
mentales
légères il existe des altérations de la substan
ltérations de la substance chromatique, tandis que, dans les formes
mentales
graves, dans la démence, etc., il y a des altéra-
siles de Londres, à Claybury ; par J. 5nw Boston. (The Journal of
Mental
Science, Octobre 1900.) LIX. Démonstration par
dans la paralysie générale ; par George A. WATSON. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1900.) LX. Quelques altérati
nom de,« réaction à distance » ; par John 'foRNER. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1900.) Travail accom- pagné de
des cellules de la névroglie ; par Ford, Rodertson. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1900.) L'auteur a imaginé une
cas de leptoméningite ; par J.-O. W AKELIN BARRATT. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1900.) Dans ces deux cas on a
broncho-pneu- monie. Mort; par Francis-O. SimpsoN. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1900.) Malade atteint de dém
de gliome du corps calleux; par C. Mahel BLACKWOOD. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1900.) Les tumeurs de la subst
Les tumeurs de la substance cérébrale déterminant des affec- tions
mentales
sont relativement rares; le nom de gliome a été
es conditions différentes ; par le Rev. H. HAWKINS. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1900.) L'auteur s'attache à dé
hologiques des asiles irlandais; par W. R. D.%WSON. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1900. Etude intéressante, mais
apeutique de la folie; par IIARRINGTON SAINSBURY- (1'lae Journal of
Mental
Science, juillet 1900.) On ne peut qu'indiquer
et démence primaire, particulièrement quand ces formes d'aliénation
mentale
ne répon- dent pas aux méthodes ordinaires de t
QUE. .XVI. La valeur pratique de la prophylaxie dans les maladies
mentales
; par A.-B. RICHARDSON. (Amenean Journal of lnsani
charges et à faire effort ; 2° Reconnaître que beaucoup de maladies
mentales
ont leur origine dans le surmenage, c'est-à- di
neuse du caractère de l'en- fant et du développement des phénomènes
mentaux
pendant la croissance ; 8° Les agents principau
tion plus soigneuse du médecin en tout ce qui concerne les maladies
mentales
et leur développement et une meil- leure prépar
chez les aliénés. - Le sérum'est applicable à toutes les affections
mentales
. C'est SOCIÉTÉS SAVANTES. 539 un stimulant de
liquide thyroï- dien. - En face d'un myxoedémateux avec troubles
mentaux
, trois questions peuvent se poser : la psychose
rait à faire admettre la dernière hypothèse, c'est que les troubles
mentaux
observés se rapprochent beaucoup du tableau que
FF. (Recueil des travaux de la cli- nique des maladies nerveuses et
mentale
du professeur 13FCIiTCnEV, Saint-Pétersbourg, 1
t. XII. 35 546 avis A NOS abonnés. COURS DE CLINIQUE DES maladies
mentales
ET DES maladies DE l'encéphale, asile clinique.
ique. M. le Pr JoFFROY a commencé le cours de Clinique des maladies
mentales
le lundi 18 novembre 1901, à deux heures et dem
le ou pathologique du cer- veau, ou sur la Séméiologie des maladies
mentales
, les lundis et vendredis, à deux heures, avant
Hickmet, 359. Cellulaires. Lésions corticales dans les accidente
mentaux
des maladies générales, par Faure, . 340. C
,11ÉLALGIE. Réflexes dans t ? par Cavazzani et Brocci, 124. Etai1
mental
d'Auguste Comte, par Ireland, 135, Expertise.
traités sans médica- tion sédative, par Hitchcock, 413. Médecine
mentale
. Pratique de la - , par Kéraval, 68. I nIIsDI
397. MËMNGO-MyEUTE tuberculeuse avec autopsie, par Crocq, 116.
Mentaux
. Troubles - toxi-infec- ticux, par Lalgnel-Lava
s en- fants, par Bournemlle, 331. Prophylaxie dans les maladies
mentales
, par Richardson, 554 Psychologie. Anatomie cére
, 535. Tic et paralysie, par Ballet, 154. Torticolis. Deux cas de
mental
chez les aliénés, par E. Martin, 270. Tonus
tFCnon urs MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies
mentales
3 la [''acuité de médecine ie l',u m. V. MA
platine ; par \V. Ford ROBEUTSON et Jales MACDONALD (The Journal of
Mental
Science, Avril 1901). , Les auteurs décrivent
s patho- logiques des cellules corticales dans les cas d'aliénation
mentale
. - ' R. de MUSGRAVE Clay. IV. Un cas de sarco
la 110 question du programme : Des états anxieux' dans les maladies
mentales
. Rapporteur : M. LALANNE, deiBor-1 4 deaux. 8 h
ns un asile public'ou. privé consacré au traitement de l'aliénation
mentale
, soit comme chefs de clinique ou internes des h
; 2° trois professeurs, agrégés ou chargés de cours des ma- ladies
mentales
, en exercice dans des Facultés ou Écoles de médec
1900, qui dispensait du concours le chef de clinique de pathologie
mentale
et des maladies de l'encéphale à la Faculté de
quetin, journalier,'âgé'de' soixante ans, qui, atteint d'aliénation
mentale
depuis plusieurs années, est devenu tout à coup
utre élément qui entre en ligne de compte : c'est la person- nalité
mentale
de l'individu faite de l'ensemble de ses dispo-
éterminera telle manifestation délirante selon la nature du terrain
mental
qu'il viendra frapper. C'est, comme le montre l
ral patholo- gique, au lieu que dans l'observation actuelle, l'état
mental
subconscient n'a jamais fait naître que des pré
Ce travail n'est pas seulement une étude sur un point d'aliénation
mentale
; sous sa forme scientifique, il éclaire un chap
point quelconque du membre inférieur. G. U. XXII. Sur les troubles
mentaux
qui sont sous la dépendance de la toxémie; par
le, à discerner leurs rapports avec les diverses formes de troubles
mentaux
. R. de hIUSGRAV1 CLAY. REVUE D'ANATOMIE ET DE
Un cas de gliome du cerveau; par W.-J.-A. Erskïne. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1901). Observation : Femme de
cas de fracture spontanée : par Herbert SIIICER. (Tlte ' Journal of
Mental
Science, octobre 1901.) Il s'agit d'une fractur
support ramolli par l'usage. P. KER1V.1L.. , REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. I. Contribution à l'étude de la maladie de Kor
querait qu'à la conservation des attitudes pas- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 151 sives, à la lle.,ribilitas cerece des Alle
x cas d'idiotie syphilitique par L. HARRis Liston; (Tite Journul of
Mental
Science, octobre 1901). Obs. 1. Femme de vingt-
, l'irrégularité et la faible abondance des règles. Au point de vue
mental
, dès l'âge de deux ans on la trouve en retard, el
ces pigmentées sur leurs crêtes. Signes de nanisme. Au point de vue
mental
, n'a pu apprendre ni à lire ni à écrire, a mis
vérité, souvent dans 1'liéré(lo-sypliiiis, de légères défectuosités
mentales
mais beaucoup de sujets porteurs de cette malad
s mais beaucoup de sujets porteurs de cette maladie ont une vigueur
mentale
intacte. Dans certaines autres maladies du cerv
intes de mélan- colie aiguë ; par Arthur W. Wilcox. (The Journal of
Mental
Science, avril 1901.) Après un court historiq
et dans le Pays de Galles; par lt.-S. S'rEw,l1'r. (Tite Journal of
Mental
Science, janvier 1901.) A l'aide de chiffres et
clinique peu ordinaire ; par 13.-R. LE>;Pl : n. (Tlte Journal of
Mental
Science, octobre 1901.) loi REVUE DE PATHOLOG
Journal of Mental Science, octobre 1901.) loi REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Ces trois malades, dont l'observation est rela
son, et chez le troisième,. le début d'une amélioration physique et
mentale
. L'auteur n'affirme pas que la codéine administ
u D1' C.-F. Beadles, par le professeur M. Benedikt. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1901.) M. Benedikt a lu avec
e l'on appelait autrefois la prédisposition.. REVUE LE PATHOLOGIE
MENTALE
. · 155 Maintenant, la folie. chez les juifs, se
abstraites sur la Cosmogonie et à concevoir les problèmes fonda-
mentaux
de la métaphysique. C'est ce que Moïse avait comp
voir des femmes qui, depuis la puberté jus- 156 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. qu'à la ménopause, sont condamnées à une série
de durée, ils ont une grande aptitude à l'adaptation physique et.
mentale
, et si l'on peut se servir de cette expression, i
égard, parce que les Juifs dissimulent souvent les cas d'aliénation
mentale
, soit à cause de leur antipathie pour les asile
cide ; par J.-M.-S. Wood et A.-ri. Urquiiart. (1'lve Journal o/'
Mental
Science, octobre 1901.) Il faudrait pour donner
persistance dans une même famille de formes semblables d'aliénation
mentale
. R. M.-G. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. De
du 28 avril. Présidence DE M. Motet. Sur les éléments de nos images
mentales
. M. J. PHILIPPE présente à la Société les résul
été les résultats d'un certain nombre d'observations sur les images
mentales
visuelles, étudiées au point de vue des élément
pour l'examen clinique des aphasies d'évocation et de la confusion
mentale
. Quand une image est assez nette pour être décr
coup, à mesure que nous nous en servions pour diverses opéra- tions
mentales
. Ce sont donc des éléments étrangers ou extérieur
e cette silhouette quand nous évoquons une image pour une opération
mentale
: cela permet à la fois d'aller plus vite et. d
ne voit pas très bien la différence qui peut exister entre l'image
mentale
et le souvenir dont cette image est'au moins la
t cette image est'au moins la base. . ' ' M. J. Philippe. L'image
mentale
et le souvenir'se différencient surtout par la
uvenir comme uniquement consti- 'tué d'une série de représentations
mentales
. Même dans l'expé- rience qui vient d'être décr
rience qui vient d'être décrite, je ne vois que des représentations
mentales
. En effet, votre observateur s'atralyse mal quand
énérale, c'est l'élément logique qui domine. Dans la représentation
mentale
de la page de dictionnaire, c'est le réveil d'u
rger, un organe destiné à centraliser les recherches d'alié- nation
mentale
fut fondé et comment bientôt Baillarger, aidé sur
était très vaste. Il comprenait, à côté de l'étude de la pathologie
mentale
et de la neuropathologie, celle de l'anatomie e
: « l'hygiène morale, l'éducation ou la prophylaxie de l'aliénation
mentale
et des névroses, l'hygiène pénitentiaire, des é
du procédé exclusivement psychologique sur l'étude des aliénations
mentales
, méthode dont la stérilité se faisait déjà sentir
précisée. Le problème de l'influence de l'hérédité sur les maladies
mentales
et nerveuses fut abordé des 1867. mais il s'agi
rait de repren- dre et de compléter. La symptomatologie de l'état
mental
des aliénés avec conscience de leur état, l'étu
inion de la Société sur les bases d'une classification des maladies
mentales
, un débat s'engagea, et dès le commencement il
té la coïncidence d'insuffisance hépatique passagère et de troubles
mentaux
également passagers, éta- blissent une relation
ur servait de pierre de touche quand dis- paraissaient les troubles
mentaux
(confusion mentale, délire oni-. rique. halluci
e de touche quand dis- paraissaient les troubles mentaux (confusion
mentale
, délire oni-. rique. hallucinations provoquant
quelque temps ; 2° Celles où des accès intermittents de confusion
mentale
avec délire hallucinatoire ou agitation ont évo
hépatique a servi de guide au point de vue thérapeutique. L'état
mental
de ces malades présente une grande diversité. M
ez eux les caractères des délires toxiques et infectieux (confusion
mentale
, cauchemars, hallucinations, perte de conscienc
og iq ite (1858), soit au premier Congrès international de médecine
mentale
(1878) . Nommé médecin de Bicêtre en 186î, puis
, sur les Principes à suivre dans la c/tts- sification des maladies
mentales
(1800), sur l'Et(it iiei2l(tl des épilepti- qit
deux volumes, sous le titre de : Etudes cliniques sur les maladies
mentales
et nerveuses, et les Aliénés et les asiles d'al
sissant encore comme président du Congrès international de médecine
mentale
(1889) et comme président de la Société'de méde
ion, il laisse une trace ineffaçable dans l'histoire de la médecine
mentale
au xixe siècle, et tous ceux qui l'ont connu ga
un préambule physiologique, sont indiqués les centres supé- rieurs (
mental
et automatiques spéciaux). les voies efférentes e
l'appareil nerveux central du langage, etc. M. B. VII. Des maladies
mentales
, introduction à l'étude de la folie, par I. HIA
l fau- drait payer. Le Conseil général, l'administration départe-
mentale
et les communes sont donc coupables. FAITS DIVE
ueur DE femmes. Les médecins aliénistes de Lyon chargés de l'examen
mental
, le tueur de femmes de Nice, se sont réunis hie
, 1 N 81. * ? 7 z ARCHIVES DE NEUROLO^È le, X - CLINIQUE
MENTALE
. La paralysie générale d'après les données de l
nous recevrons les données suivantes : Tableau I - 194 CLINIQUE
mentale
. Ces données ont été examinées par nous : 1° co
s nous aurons les résultats suivants : Tableau III 196 ' CLINIQUE
mentale
.. du nombre des femmes paralytiques les dernièr
ent être répartis ainsi : PARALYSIE GÉNÉRALE. '199 200 . CLINIQUE
MENTALE
. sion qui répond aux opinions des autres auteur
être envisagé, comme tout aussi grave, que dans d'au- tres maladies
mentales
. Passons à présent à l'examen de la fréquence d
67 femmes ont été répartis de la manière suivante : 202 CLINIQUE
MENTALE
. La période la plus longue (dans un cas) était
es con- cernant ce sujet un peu autres ; de 75 cas : 204 CLINIQUE
MENTALE
. vait constater alors, entre autres, l'abolitio
constaté que chez les paralytiques hommes (528 cas) 206 CLINIQUE
MENTALE
. 1 s'étaient adressés dans la salle de consulta
uinzaine porte : » Psychose maniaque où pré- dominent l'instabilité
mentale
, la mobilité des émotions, des pen- sées et des
ur à l'hôpital de Béziers et après lequel persistèrent des troubles
mentaux
. Dans ces derniers temps seule- ment ces troubl
normal comme à l'état morbide, mettent en communication l'activité
mentale
avec le regard, donnant à celui-ci son expressi
n de boule hystéri- que, aucun autre phénomène insolite, nerveux et
mental
. Les dernières règles remontent au 12 janvier 1
poques continuent, tou- tefois la perte sanguine est minime. L'état
mental
est à peu près normal, à part un certain état d
oureux des deux seins, du ventre et de la région épigastrique. Etat
mental
bon. Arrêt des époques dans l'après-midi ; les
mènes morbides. Les seins ne sont le siège d'aucun gonflement; état
mental
satisfai- sant ; appétit bon. Les règles coulen
s n'ayant jamais eu jusqu'alors de manifestations convulsivantes ou
mentales
; troubles de la fonction cataméniale provoquant
al. i A notre époque de vie intense et de surmenage, les maladies
mentales
font des progrès inquiétants. Si de vos études, s
de la physiologie. Vous cherchiez a démêler l'écheveau des troubles
mentaux
, et ce sont les lois physio- logiques de la pen
stes, ses jeux, tout vous apporte un renseigne- ment. Par le calcul
mental
, par la chronométrie mécanique, vous mesurez la
, la médecine, dont cela a toujours été la destination, la médecine
mentale
, plus que toute autre, a le droit d'être écouté
ie sociale ? C'est bien à la médecine, en particulier à la médecine
mentale
, à la neurologie et à la psychologie expériment
s les maladies men- tales » : DES ÉTATS ANXIEUX DANS LES MALADIES
MENTALES
M. Gaston Lalanne, médecin-directeur de la mais
ogie à la clinique. La question des états anxieux dans les maladies
mentales
vient donc bien à son heure, car l'anxiété ou l
es états anxieux. La question des états anxieux dans les maladies
mentales
se réduit donc en quelque sorte à la séméiologi
te de la mémoire, le défaut de jugement, la confusion, la faiblesse
mentale
. Il y a tantôt arrêt subit des représentations,
eut admettre que toute psychose débute par de l'anxiété. Les formes
mentales
dans lesquelles l'an- goisse se montre le plus
és mélanco- liques, dans les psychoses d'intoxication, les troubles
mentaux
névropathiques, la paralysie générale. Etiolo
tic certains gestes d'habitude variables à l'infini. Les phénomènes
mentaux
du tic, méconnus d'abord, bien étudiés depuis p
élèves, ont encore augmenté la confusion; l'importance des troubles
mentaux
est très grande mais les troubles moteurs ne sa
les troubles moteurs ne sauraient être négligés. Le tic pure- ment
mental
(tic psycho-mental de Cr'uchet) ne saurait être a
conds, ils s'imposent également depuis la description du torticolis
mental
par Brissaud et les observations relatées par R
de Gilles de la Tourette. par l'écholalie et la coprolalie. V. Etat
mental
des liqueurs. - A. Il ne suffit pas pour devenir
er ». Les tiqueurs présentent, d'après MM. Meige et Feindel, l'état
mental
de l'infantilisme; le rapporteur n'adopte pas c
al de l'infantilisme; le rapporteur n'adopte pas cette idée, l'état
mental
du tiqueur ne rappelle celui de l'enfant que pa
celui de l'enfant que par certains côtés; c'est z en réalité l'état
mental
du déséquilibré simple; la tendance con- traire
obsessions, le tiqueur a les siens; le geste efficace du torticolis
mental
n'est qu'un moyen de défense contre le tic, pou
nstitués par deux ordres de phénomènes, les uns moteurs, les autres
mentaux
, il était légitime qu'on pensât à leur applique
ourrait appeler objectif, l'autre ayant pour but de modifier l'état
mental
(traitement subjectif). 1° Le traitement object
nfantilisme psychique des tiqueurs, à ajouter une nouvelle anomalie
mentale
à la liste déjà si longue de celles qu'on relèv
ps une expli- cation. J'ai soutenu avec M. Feindel que le trouble
mental
prédominant est une imperfection de la volonté.
é, la versatilité de la volonté sont les caractéristiques de l'état
mental
du tiqueur. Cette manière d'être témoigne de l'
'indice d'un arrêt partiel du développement psychique; aussi l'état
mental
du tiqueur peut-il être qualifié d'infantile. L
ce. 1 Tout le monde est d'accord pour reconnaître le déséquilibre
mental
des tiqueurs. Nous y avons longuement insisté, av
te le développement psychique a subi un arrêt partiel, que son état
mental
a conservé une partie des attributs qui apparti
qui appartiennent à celui de l'enfant. La constatation de l'état
mental
infantile des tiqueurs nous a paru utile à sign
ne distinction, que je crois justifiée, entre les mots psychique et
mental
. Est psychique tout acte cortical où il y a de
que (polygone et 0). Au contraire, me rappelant les mots « maladies
mentales
, aliéna- tion mentale », j'appelle mental le ph
contraire, me rappelant les mots « maladies mentales, aliéna- tion
mentale
», j'appelle mental le phénomène et par suite le
ant les mots « maladies mentales, aliéna- tion mentale », j'appelle
mental
le phénomène et par suite le trouble qui a pour
quement vraies : tout ce qui est psychique n'est pas nécessairement
mental
; une maladie psychique n'est pas nécessairemen
nt une maladie men- tale : si elle reste polygonale, elle n'est pas
mentale
. Ainsi, par exemple, l'hystérique est toujours
est toujours un psychique ; je ne crois pas qu'il soit toujours un
mental
. Dans l'hystérie, il y a toujours des troubles
ée qui m'a fait donner un sens différent au mot psychique et au mot
mental
; on comprendra, je l'espère, après ces explica
on puisse soutenir que tout tiqueur soit un aliéné, c'est-à-dire un
mental
au sens que je viens de préciser. Donc un liq
préciser. Donc un liqueur qui est un psychique et qui n'est pas un
mental
est un polygonal. Sans doute le mouvement du ti
ipation de 0 (quand il y 260 SOCIÉTÉS SAVANTES. · a vraiment état
mental
, aliénation) et les tics polygonaux (quand il y
et les tics polygonaux (quand il y a état psychique, mais pas état
mental
). M. Cruciiet (de Bordeaux) part de cette idée,
pensable pour qu'il y ait véritablement tic, l'élément psychique ou
mental
étant essentiellement contingent. Il dit que
forme tonique du tic n'existe pas ; en particulier, le tor- ticolis
mental
d'ordre tonique doit être éliminé, le torticolis
ulaire ou non musculaire (cicatriciel, névritique, osseux, etc.) ou
mental
enfin. Et si nous pensons qu'il est mental, nou
itique, osseux, etc.) ou mental enfin. Et si nous pensons qu'il est
mental
, nous chercherons a savoir, en dernière analyse
appeler dorénavant que lie rotatoire ; 5° le seul nom de torticolis
mental
devrait être réservé à toutes les altitudes en
s les altitudes en torticolis d'ordre men- ental ; 6" le torticolis
mental
et, d'une manière générale, toutes les formes t
générale, toutes les formes toniques ou simples, attitudes d'ordre
mental
, doivent être nettement différenciées du tic av
ptomatiques de la folie héréditaire (More)) et de la dégénérescence
mentale
(Magnan). Ce sont deux choses différentes et qu
observé le tic indolent chez des nerveux, candidats à l'aliénation
mentale
, sans y arriver, et aussi chez des gens nulle-
loin- taines analogies, tels que les tics dits toniques et les tics
mentaux
, je crains qu'on ne prépare aux pathologistes d
ivité pathologique (dix fois) d'obsession psychique ou d'aliénation
mentale
(trois fois). La quatrième, il cas, où il a été
t le travail de mon excellent ami le professeur Brissaud sur le tic
mental
. Je ne diffère d'opinion avec lui que sur le nom
et si bril- lamment contribué à nous faire connaître. Le nom de tic
mental
me parait mauvais, parce que je ne crois pas qu
ud soit un tic, et parce que je ne suis pas bien sûr de son origine
mentale
. Pour moi, le tic est un symptôme étroitement d
e suis tout a fait de l'avis de M. Noguès en ce qui concerne l'état
mental
des tiqueurs ; comme lui, je crois que cet état
cerne l'état mental des tiqueurs ; comme lui, je crois que cet état
mental
se confond avec celui des dégénérés, et que c'est
ts. Le tic doit être considéré comme un trouble delà représentation
mentale
d'un mouvement qui est repro- duit consciemment
ération de cette tendance qui constitue le côté infantile de l'état
mental
du tiqueur; mais il y a chez lui, en plus, l'im
xes que suscite la question des tics, il en est un, celui de l'état
mental
dss tiqueurs, à propos duquel je désire présent
seraient qu'une des mul- tiples manifestations de la dégénérescence
mentale
. C'est en vérité se payer de mots. Je me suis d
restait en parfaite concordance avec le caractère propre du trouble
mental
. Tant que cette concordance existe, on ne peut
s : 1° Traitement de l'agitation et de l'insomnie dans les maladies
mentales
. Rapporteur : " M. Trenel ; 2° Histologie de la
u ler octobre 1902. M. le De Mignot, chef de clinique de pathologie
mentale
et des maladies de l'encé- phale à la Faculté d
Vol. XIV. `Octobre 1902. - No 82. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. Infirmerie spéciale. Service DE M. Paul GAUNIE
ne, septembre 1877). Archives, 2- série, t. XIV. 19 290 CLINIQUE.
MENTALE
. contagion des idées délirantes est très rare d
ologique, 30 juin et 28 juillet 1873 et Recherches sur les maladies
mentales
, t. I, p. 557. Quelques exemples de folie commu
. 557. Quelques exemples de folie communiquée, 1890. 292 CLINIQUE
MENTALE
. , pas. Enfin l'organe passif ne tarde pas à se
ra- tion n'a généralement aucune influence heureuse sur leur état
mental
. Telle est la folie simultanée 1. La distinctio
Paris, 1880. larancloii de llontyel. Des conditions de la contagion
mentale
mor- bide (Ann. nécl.-psycJe., 1894, p. zig et
ge en ' Baillarger, loc. cil. Régis, thèse, p. 22. 294 CLINIQUE
MENTALE
.. quelque sorte et soutientle délire, jouant, d
sion : fabricant de soieries en province, il devient 296 , CLINIQUE
MENTALE
. ' marchand de confections à Paris zig). Là enc
même est typique ; assise, elle se plie sur elle-même, 298 CLINIQUE
MENTALE
. non pas se reposant, mais tout le corps visibl
ffection mutuelle. Nous avons continué d'habiter l'ap- 300 CLINIQUE
MENTALE
. partement où elle est morte, en reprenant le b
ais nous avons eu parla suite les preuves d'un complot 302 CLINIQUE
MENTALE
. contre lui. Nous avons eu des présomptions en
gner d'une façon positive sur l'état de la mémoire ni sur le niveau
mental
exact. Jusqu'en mai, on n'a pas remarqué de per
, ses propos sont souvent 'incohérents et dénotent un faible niveau
mental
. Tremblement des mains et de la langue, inégali
* Loin de s'améliorer dans les jours qui suivent l'entré^' l'état
mental
semble plutôt s'aggraver : l'agitation et l'incoh
a femme qu'il croit dans la misère. Nouvelle amélioration de l'état
mental
. Le 20 octobre G ? part en congé de huit jours, e
prédominance d'idées de satisfaction et de richesses ; instabilité
mentale
, grande difficulté de fixer son attention. La par
lomel) ; néan- moins le malade s'alimente bien ; grande instabilité
mentale
, au milieu de laquelle il est possible de perce
à 39°,4 4 pour retomber le 27 à la normale et s'y maintenir. L'état
mental
est le même : période de lucidité avec phases d
ousse un peu la conversation, on s'aperçoit bien vite que le niveau
mental
s'est affaibli : sans parler de ses tendances a
ur ce faire, elle établit cinq classes d'oraisons : il, L'oraison
mentale
; - 2° L'oraison de quiétude ; 3° L'oraison d'
avissement de sainte Thérèse s'appelle d'un autre nom en aliénation
mentale
, c'est le mal hystéro-épi- leptique. LE châte
e pénètre peu à peu : la pre- mière enceinte correspond à l'oraison
mentale
; la dernière, ou bastion principal, à l'oraiso
ment mé- thodique des différentes catégories et formes d'aliénation
mentale
, l'éloignement de celles dsnt le voisinage pour
à faire dans cette voie. Les trau- matismes antérieurs aux troubles
mentaux
et nerveux peuvent appeler l'intervention chiru
rurgicale. Celle-ci peut être faite avant l'apparition des troubles
mentaux
et nerveux pour remédier aux conséquences ordin
e à l'opération seule et à ses suites ou bien encore au traumatisme
mental
, ou à l'un ou l'autre. Elle peut rester aussi san
Une première intervention opé- ratoire peul, sans compliquer l'état
mental
ou nerveux, rester sans action curative : il ne
encore un nombre élevé d'éléments dans 4 cas de tabès avec troubles
mentaux
, et dans un cas d'excitation maniaque associé à
ents blancs. Par exemple, lorsqu'un tabétique présente des troubles
mentaux
, on doit se demander s'il s'agit de troubles pas-
ompagnée de délire, une explosion subite a heu, sorte de convulsion
mentale
qui se traduit par une fureur destructive. Ap
est beaucoup plus morale qu'intellec- tuelle, il existe un vertige
mental
particulier dans lequel des actes homicides ou
uxquelles peut aboutir l'obsession sont la mélancolie, la confusion
mentale
et le délire onirique, les délires systématisés
er au simple scrupule conscient et obsédant. Les états de confusion
mentale
peuvent être plus ou moins accen- tués : ils re
ires oniriques représentent l'exagération de l'autre face de l'état
mental
des obsédés constituée par l'automatisme de l'i
ngés. Ils s'accom- pagnent toujours d'un certain degré de confusion
mentale
L'obsession une fois acceptée par le sujet peut
forme de l'obsession, mais du complexus symptomatique et de l'état
mental
sous-jacent dans chaque cas particulier : trouble
l sous-jacent dans chaque cas particulier : troubles de la synthèse
mentale
, plus ou moins complexes dans le domaine de la
, 2c série, t. NIV. - 21 338 SOCIÉTÉS SAVANTES. aggrave leur état
mental
et les rend plus aptes à contracter des maladie
nes qui ont assisté aux premières mani- festations de son affection
mentale
; le moindre bruit l'émotionne, un rien le cont
a pu les garder assez long- temps à l'asile pour modifier leur état
mental
de buveurs, pour leur faire perdre l'habitude d
e éliologique, dans les états mélancoliques, dans la dégénérescence
mentale
, dans les psychoses toxiques, dans les état- dé
Je l'étudié successivement dans la débilité et la déséquitibration
mentales
, au cours des obsessions, enfin dans les différen
ssociations des autres facteurs étiologiques avec la dégénérescence
mentale
, dans la pathogénie de l'idée d'auto-accusation
elques jours, sur un fond d'amnésie. d'obnubilation et de confusion
mentales
, en imposant au "malade la conviction qu'il vie
rante et d'une procédure barbare, atteintes d'hystérie, de débilité
mentale
et des diverses formes démonopathiques du délir
e problème qui se pose à l'expert est celui du diagnostic de l'état
mental
de l'autoaccusateur, lequel se déduit, non pas de
urs d'un premier accès de délire avec phénomènes aigus et confusion
mentale
, s'accuse d'avoir violé une petite fille, tandi
garder le vol secret. Ce récit ayant éveillé des doutes sur l'état
mental
de cet individu, ou le soumit à une expertise m
géné- raux francs. Cinquante et un seulement étaient dans un état
mental
compatible avec ce genre d'examen. Nous les avons
ont plusieurs à la première occasion, sont tombés dans l'aliénation
mentale
. Nous apportons l'observation de deux d'entre e
maladie ; que dans la même famille, se trouvent des manifestations
mentales
très diverses. L'auteur responsable du mauvais
d'expérience pour ne pas avoir alors quelques soupçons d'un trouble
mental
; mais souvent ces troubles ne sont qu'ébauchés.
action et dans l'interrogatoire du prévenu; les signes d'un trouble
mental
possible. Il me semble que le Congrès ferait un
calculs simples, comme de réciter la table de Pythagore; la fatigue
mentale
se manifeste chez le malade au bout de quel- qu
eur caractère, de leur ? moeurs et de leur constitution physique et
mentale
. 11 nous semble que l'intérêt prochain de cette q
efficient uro-toxique est d'une grande importance dans l'aliénation
mentale
. De la responsabilité des demi-fous devant les
BoLTi3y (d'Alger) signale la possibilité de l'existence de troubles
mentaux
chez plusieurs personnages ayant joué un rôle dan
cessaire et suffi- sant. Symptomatologie : Stigmates physiques et
mentaux
vulgaires de la neurasthénie vraie, frustes par
règle, les stigmates neurasthéniques disparaissent d'abord, l'état
mental
avec sa systématisation pessimiste ne cédant qu
ssique ses stigmates physiques, mais qui s'en distingue par un état
mental
spécial. C'est ce que l'auteur appelle la neura
et crises épilep- tiformes jaclcsonieunes; 4° l'évolution de l'état
mental
, qui a été caractérisé par l'état transitoire d
n surmenage récent, les symptômes d'un état temporaire de confusion
mentale
, d'hébétude et d'obtusion intel- lectuelle : De
s de Cotard n'est pas seule- ment un synchronie, mais une affection
mentale
distincte avec une - étiblo-ie. une symptomatol
ulement un symptôme susceptible de se montrer au cours d'affections
mentales
diverses. Voici les photographies d'un cas typi
les causes détermi- nantes de cette dégénérescence au point de vue
mental
. Aussi lui a-t-il paru intéressant de relater l
ysiques de toutes sortes, et fréquem- ment des désordres nerveux et
mentaux
, on conviendra que les . tentatives comme s'en
t d'une nature impressionnable, eut la tête tournée et ses facultés
mentales
s'altérèrent. Il avait toujours peur qu'on lui
Vol. XIV. Novembre 1902. N° 83. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. Contribution à l'étude de la pathogénie des id
as d'al- coolisme. Archives, 2' série, t. XIV.. 2U 402 CLINIQUE
MENTALE
. Début de délire en janvier 1902. : J... R... e
de son innocence, chercher toujours à se démontrer 4<)4 CLINIQUE
MENTALE
. coupable. Pourquoi, si le rôle de la tare orig
siste ensuite : voilà ' 1 S11Gus. Leçons cliniques sur les maladies
mentales
, 4S95, p. 301. .. i - , PATHOGÉNIE DES IDÉES DÉ
plus jeune disparaissent, elle accepte plus volontiers 406 CLINIQUE
MENTALE
. les aliments. Bien qu'accessoire, l'influence
s fondamentaux du carac- tère mélancolique antérieur à l'aliénation
mentale
. De sorte que, même dans la mélancolie dite à d
nd (Charente-Inférieure) est promu à la 4 classe du cadre. CLINIQUE
MENTALE
Infirmerie spéciale. Service DE M. PAUL GARNIER
risienne. D. Vous appelle-t-on aussi « Castors ` ? » 408 CLINIQUE
mentale
. R.- C'est ce qu'on nous reproche d'être, des «
conduites au commissariat pour avoir été injuriées. 410 CLINIQUE
mentale
. Durant leur séjour au Dépôt les trois soeurs f
un de nous quand nous voulûment les questionner sur 412 1) CLINIQUE
MENTALE
. divers points de leur aventure, leur attitude
bles, continuaient leur oeuvre de destruction, car il lfl4 CLINIQUE
MENTALE
. - ne s'agissait de rien moins que de les faire
atigué, J... fils se présente dans l'attitude d'un mé- 416 CLINIQUE
MENTALE
. lancolique. Il paraît profondément débile et n
ale et en par- ticulier du mensonge comme symptôme de cette forme
mentale
; Par BOURNEVILLE et J. BROYER Voici une nouv
trie qui l'accompagne. it. C. \yin. Acromégalie et dégénérescence
mentale
; par F. Farnarier. (Nous. lconogr. de la Salpêl
es auteurs, desquelles il ressort que : les mala- dies nerveuses et
mentales
sont fréquentes dans les familles d'a- cromégal
l'extrait de capsules surrénales dans le traite- ment des maladies
mentales
; par W.-R. Dawsuy. (The Journal of Mental Scien
te- ment des maladies mentales; par W.-R. Dawsuy. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1901.) Les conclusions de ce t
si l'on a des raisons de penser qu'elle n'est pas associée à l'état
mental
, car une pression anormalement élevée peut être e
'alitement exerce sur chaque malade et sur chaque forme de maladies
mentales
; 3° c'est cette étude qui importe ; 4° les con
ela coïncide avec une influence favorable de l'alitement sur l'état
mental
et physique; 19° tout ce qui vient d'être dit d
berculose dans les asiles; par Lionel A. WEATUËRLY. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1901.) Ce travail est lui-même
Vit. L'usage et l'abus des voyages dans le traitement des troubles
mentaux
; par G. H. S1YAGE. (The Journal of Mental Science
traitement des troubles mentaux; par G. H. S1YAGE. (The Journal of
Mental
Science, Avril 1901.) - - L'auteur estime que
n'est pas appliqué spécialement à telle ou telle forme d'aliénation
mentale
, mais indistinctement à toutes. Il y a plu- sie
mps; la seconde, c'est qu'on évite ainsi le certificat d'aliénation
mentale
et l'internement; la troisième, la seule sérieu
- de ceux à qui le voyage est conseillé comme traitement d'un état
mental
, et il est d'avis que le groupe formé par ces der
l y a. une différence entre l'épuisement nerveux et la perver- sion
mentale
. Tous ceux qui ont expérimenté le traitement clas
es mécomptes. Il convient aussi de considérer les causes du trouble
mental
; et si le voyage peut être utile, par exemple,
eu l'habitude de beaucoup voyager, présentent une simple faiblesse
mentale
ou un peu de dépression, les voyages pourront ê
ulation, ce qui peut de même produire un effet favorable sur l'état
mental
du malade. L'auteur applique la méthode de l'al
s lésions cellulaires corticales observées dans six cas de troubles
mentaux
infectieux; par le Dr ! II. IeonE. (Revue Neuro-
ommunique les résultats de l'étude de deux nouveaux cas de troubles
mentaux
, d'origine toxi-infectieuse, à forme de confusi
troubles mentaux, d'origine toxi-infectieuse, à forme de confusion
mentale
, accompagnés de lésions cellulaires corticales.
i- tuent le tableau du délire des maladies aiguës et la confusion
mentale
. Considérant que les grandes cellules pyramidal
nue parait devoir être attribuée plutôt à la modification de l'état
mental
du sujet, de son état affectif fondamental, qu'à
r de ces émotions stliéniclues. « C'est à la modification de l'état
mental
, écrit M. Hartenberg, que nous devons attribuer
ant pour titre : Des considérations médico-légales sur l'aliénation
mentale
. Cette thèse révélait chez le jeune docteur une
ut consi- dérable. Il inspira de nombreuses thèses sur l'aliénation
mentale
, mais il eut surtout le mérite de' fonder à Str
e aux médecins de l'armée, qui ont à juger il chaque instant l'état
mental
de jeunes soldats traduits devant les tribu- na
de Bade, lui demanda en 1894, une préface à son Traité d'aliénation
mentale
, qui venait d'être traduit en français par les
n 1862, il publia en même temps que Marcé, un Traité des ma- ladies
mentales
; bien que cet ouvrage n'ait pu être traduit, il
DAGONE'r. ' " 453 En 1877, des conférences cliniques de pathologie
mentale
furent organisées à l'Asile par les soins des m
publié en 1855 une Etude statis- tique remarquable sur l'aliénation
mentale
clans le département du Bas-Rhin. Le D1' Erlenm
ue avec bien d'autres : « Il est de toute importance, en méde- cine
mentale
, de pouvoir traiter les aliénés au début de la ma
fois un type ne rentrant dans aucune autre catégorie : la confusion
mentale
». Cette classification devrait être adoptée, ju
le Dr Belletand, directeur de l'hôpital départemental des maladies
mentales
de Pierrefeu (Var), a, dès longtemps, traité de
Vol. XIV. Décembre 1902. N" 84. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. \ CLINIQUE MEI\ITALE. 1 Des obsessions en pa
QUE MENTALE. \ CLINIQUE MEI\ITALE. 1 Des obsessions en pathologie
mentale
Par le D, ALEX. ATII1NAS10, Ancien chef de cl
logie mentale Par le D, ALEX. ATII1NAS10, Ancien chef de clinique
mentale
, médecin adjoint à l'hospice des aliénés de Bucar
Prix CI Vl'leux. Archives, 2° série, t. XIV. 30 . 466 ? CLINIQUE
MENTALE
. représentations qui nous captivent et nous fix
pations intellectuelles, il faut préalablement une déséquilibration
mentale
et contrai- remuent à ce qui a été avancé à div
que l'obsession et l'impulsion'morbide DES OBSESSIONS EN PATHOLOGIE
MENTALE
. 467 7 sont de véritables stigmates psychiques
allé, où l'obsession s'est .définitivement imposée, une affection
mentale
s'est désormais constituée. » Historique. Décri
ence, s'y. impose contre la volonté, ne se lais- , \ 468 CLINIQUE
MENTALE
. sant pas chasser, empêche et traverse le jeu n
fait secondairement et non primitivement. 11 obéit à la situation
mentale
au lieu de la commander. Bien des circonstances
minance du trouble de la pensée, de la DES OBSESSIONS EN PATHOLOGIE
MENTALE
. 4G9 volonté ou de la sensibilité, d'où l'habit
- tions neuro-vasculaires (Lange) et l'élément primitif et fonda-
mental
de l'obsession. » , De même que pour l'impulsio
alpropreté, puis celle des pièces de monnaie, etc. 4770' CLINIQUE
MENTALE
. D'autres ont à la fois, en même temps plusieur
, une sensation quelconques suffisent, DES OBSESSIONS EN PATHOLOGIE
MENTALE
. 471 1 le moment venu pour provoquer la décharg
obsédant avec anxiété systématisée ou monophobique; 472 CLINIQUE
MENTALE
. . 11lonophobies ou phobies proprement dites. C
motive, absolument comparables aux stigmates de la déséquilibration
mentale
. Cette peur spéciale isolée n'est sou- vent qu'
'état de veille, soit dans le sommeil, DES OBSESSIONS EN PATHOLOGIE
MENTALE
. 473 constituant alors d'après Féré une véritab
l dans une thèse récente fait une classification d'après le trouble
mental
et distingue aussi trois classes : '10 Phobies
r qui semblait soulager la peur. L'obsession n'est lis 7 1 CLINIQUE
MENTALE
. souvent que la forme aggravée ou intellectuali
e manifestationaiutellectuclle sans. » DES OBSESSIONS EN PATHOLOGIE
MENTALE
. 475 être pathologique. L'idée fixe physiologiq
t dire non seulement aune la volonté n'a aucune action 476 CLINIQUE
MENTALE
. - sur elle, est impuissante à la chasser, mais
le-ci revête une forme particulière. DES OBSESSIONS EN PATHOLOGIE
MENTALE
. 477 Dans un certain nombre de cas, il existe d
a conservation de la conscience est toute relative, et 478 CLINIQUE
MENTALE
. qu'il y a un commencement de désagrégation, de
l, de.la. foule, du- vent, des orages, DES OBSESSIONS EN PATHOLOGIE
MENTALE
. Il.-19 d'un cataclysme, du pétrole, de l'huile
voient avec appréhension l'indice d'un affaiblissement 480 CLINIQUE
MENTALE
. mental. L'idée obsédante peut se modifier et s
appréhension l'indice d'un affaiblissement 480 CLINIQUE MENTALE.
mental
. L'idée obsédante peut se modifier et se transfor
ublions nous a paru intéressante à plusieurs points de vue : l'état
mental
du malade dont il s'agit, d'une part, et, d'aut
ile public d'aliénés de Maréville. Nous réservons l'étude de l'état
mental
pour la fin : Observation. Phlegmon du thorax,
éricardite fibriazo-purulente. Epingle implantée dans le foie. Etat
mental
. I. Antécédents. Etat physique. T... est âgé de
bien en arrière ? C'est ce que nous ne pouvons décider. III. Etat
mental
. § 1. Les renseignements très brefs donnés par
ède, le diagnostic de notre malade est : Dégénérescence et débilité
mentales
originaires, avec idées délirantes polymorphes
e couchent et s'endorment. Cinq observations à l'appui. Le désordre
mental
en question est apparu, soit après les grandes,
ngues et intenses. Il. ne faut pas le confondre avec l'obnubilation
mentale
longue des épileptiques, qui précède, suit ou r
eu. L'automatisme passager postparoxystique tient à une confusion
mentale
générale, avec hallucinations et illusions sensor
le, avec hallucinations et illusions sensorielles en masse, surdité
mentale
et cécité mentale qui dessinent toujours le mêm
tions et illusions sensorielles en masse, surdité mentale et cécité
mentale
qui dessinent toujours le même tableau morbide
dalités variées. Le passage de cet état méntal inconscient à l'état
mental
ordinaire s'accomplit néanmoins tout à coup. De l
malade peut commettre, sans le savoir, des crimes, et son désordre
mental
, par suite de sa courte durée, peut passer inap
rébrale de la mélancolie ; par Bernard IIOLLANDER. (Tite Journal of
Mental
Seicnce, juillet 1901.) Travail étendu, très in
tervention chirurgicale ; 2° cela est démontré par les symptômes
mentaux
qui accompagnent les tumeurs qui prennent naissan
branes ou à des kystes) à la suite d'une frayeur brusque, d'un choc
mental
, ou de tout autre trouble émotif de nature dépr
tre trouble émotif de nature déprimante, ou enfin dans les maladies
mentales
qui s'annoncent par une crise de mélancolie; 5°
partir d'une certaine époque de l'évolution, cette matière fonda-
mentale
amorphe ne puisse plus réunir avec la même facili
juger et de vérifier constamment ses impressions et ses sensations
mentales
les unes parles autres. Deux vérifications cons
actuelles d'investiga- tion appliquées à la pathologie des maladies
mentales
, avec quelques suggestions en vue de recherches
cciforme double intracrânien ; par B. Henry Sii.%w. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1901.) Observation : Femme de
Théories de Darvin, de Weisman et d'Adami, 50G REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. sont sommairement passées en revue ainsi que l
et après l'application de l'aimant. ' AI. II. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. X. Introduction à l'étude psychologique des en
convenablement les enfants arriérés ou présentant une défectuosité
mentale
, il faut se placer au triple point de vue du ps
° enfants t esprit actif et brillant, ayant une REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 507 personnalité nette, plutôt rebelles à la s
paraissent lui appartenir soit par leurs actes, soit par leur état
mental
, et qui sont tout simplement des épileptiques,
11 est curieux de voir combien les livres consacrés aux maladies
mentales
accordent peu d'attention aux états psychologique
u d'inin- telligents, alors que parfois une seule de leurs facultés
mentales
est défectueuse. - " Dans des cas de ce genre
ostic suffisant, et il faut étudier séparément chacune des facultés
mentales
, comme pour faire un diagnostic ordinaire, on e
ant lois de l'hérédité. 11 convient d'examiner d'abord les facultés
mentales
de l'enfant, en se déga- geant temporairement d
de qui pré- sentait en apparence un cas type ordinaire de faiblesse
mentale
, et qui est surtout destinée à montrer la diffé
ens traités de psychologie ne manquaient pas de donner des facultés
mentales
des divisions et des subdivisions nettement 508
divisions et des subdivisions nettement 508 8 - REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. tranchées, que la science moderne a cessé d'ad
a cessé d'admettre à cause de la solidarité manifeste des facultés
mentales
. Mais dans l'état pathologique ou nettement ano
les, les sourds, les muets qui ne peuvent acquérir de développement
mental
que par une éducation vicariante de leurs autre
lisation de son esprit, vient s'ajouter chez l'enfant une faiblesse
mentale
qui l'em- pèche de diriger son attention pendan
il en est tout autrement à l'état pathologique. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 509 3° La troisième classe est caractérisée, n
fin il y a un dernier groupe qui se caractérise par de la stupidité
mentale
, ce mot étant pris ici pour désigner une insuff
idité mentale, ce mot étant pris ici pour désigner une insuffisance
mentale
portant uniformément sur toutes les facultés en
as; sous sa forme la plus légère, cet état 510 REVUE DE PATHOLOGIE.
MENTALE
. caractérise la stupidité ; sous sa forme extrê
démence. 13. nE \fuscn.wE CLnr. XI. L'état présent de la science
mentale
(le premier d'une série de mémoires qui traiter
série de mémoires qui traiteront de la localisation des fonctions
mentales
, par Bernard 13oLr ? nuFn. (tif Juurzul o/'3lezlc
la diversité du caractère de l'homme, ni la variété de ses troubles
mentaux
; ils sont le substratumdes centres mentaux, et
variété de ses troubles mentaux; ils sont le substratumdes centres
mentaux
, et par suite, ils sont des centres psycho-mote
stique de soixante-huit cas ; par George-A. Rorie (1'lac Joumzul of
Mental
Science, Avril 1901). Les conclusions générales
la vie ne parait en favoriser particulièrement REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. âii le développement. La forme d'aliénation me
DE PATHOLOGIE MENTALE. âii le développement. La forme d'aliénation
mentale
le plus souvent observée est la mélancolie sous
à noter dans les cas de mélancolie et de manie, c'est la confusion
mentale
et la stupidité qui font penser à un état d'aut
on a noté une aggravation. R. DE jMfJaGRAVË CL\Y. XIII. Troubles
mentaux
dans le cours des affections cardiaques, par A.
et qui peuvent exister entre les lésions cardiaques et les troubles
mentaux
. Les autopsies n'ont pas sensi- blement éclairé
a question. On peut avancer toutefois que le caractère des troubles
mentaux
peut, dans une assez large mesure, dépendre de
rémie passive, que dans le rétrécissement aortique, où les troubles
mentaux
seront plutôt ceux qui relèvent de l'anémie cér
de psychose que l'on rencontre le plus souvent est la dépression
mentale
, aboutissant progressivement à la mélancolie simp
ion des rapports entre les lésions du coeur 512 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. et la folie. Toutefois la manie et la mélancol
philis : revue critique ; par W.-H.-B. STODD : 1RT. (The Journal of
Mental
Science, juillet 4901.) Les conclusions de cet
n civilisées où la syphilis est florissante. Il REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 513 nous incombe donc de rechercher et de déco
ave-Clay. Archives, 2e série, t. XIV. 3S 5'14 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XV. Études cliniques sur le rêve pathologique
Pick (de Prague), traduction de James lIIDDLEUss. (The Journal ol
mental
Science, juillet 1901.) Travail renfermant plus
reconnaître ce prurit chez les paralytiques, en raison de leur état
mental
et l'obscurité qui entoure la pathogénie de ce
chez les spirites, ne diffèrent pas de ceux que REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 515 peuvent présenter certains aliénés ou névr
le spiritisme, en tant que dissociation progressive de la synthèse
mentale
, fournit à la folie son tribut de systèmes déli-
re, à proprement parler, une psychose, mais elle repose sur un état
mental
fétichique qui mène fatalement certains prédisp
ichique qui mène fatalement certains prédisposés à une dissociation
mentale
telle que les déclenche- ments automatiques dev
vant nous, mais non psychose. A. ICN.1YROU. 516 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XVML Auto-intoxication et délire ; par M. J. S
re lorsqu'ils se développent chez des individus en période de santé
mentale
, peuvent se montrer aussi sous le même aspect,
ne auto-intoxication intercurrente, au cours d'un état d'aliénation
mentale
préexistant, à titre d'épisode transitoire, de
une auto-intoxication d'origine gastro-intestinale et des troubles
mentaux
caractérisés par un état de mélancolie anxieuse
ractérisés par un état de mélancolie anxieuse d'abord, de confusion
mentale
ensuite. Malgré l'existence d'une prédispositio
développement de ces désordres psychiques. Mélancolie et confusion
mentale
relèvent, à son avis, de l'auto-intoxication. L
e l'auto-intoxication : le pas- sage delà mélancolie à la confusion
mentale
s'est produit à l'oc- casion d'une augmentation
nifestations délirantes s'est modifiée à son tour et la con- fusion
mentale
a cédé la place à la mélancolie ; enfin, tandis q
sordres intellectuels ont disparu. A. Fenayrou. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 517 XIX. Sur les névrites périphériques des al
cellules qui occupent cette région. E. B. 518 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. \I1. De la démence précoce des jeunes gens. Co
s de quinze à vingt-cinq ans, survient fré- quemment une, affection
mentale
qui se termine rapidement par la démence. A c
utes les manifestations délirantes, flottantes, REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 519 incertaines, portent déjà l'empreinte de l
Quelquefois c'est par une phobie, d'autres fois par la confusion :
mentale
que se manifeste le début, mais, en tout cas, il
ombreux exemples qui vont à la prostitution 520 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. instinctivement, fatalement, comme les fous mo
lissement ou une abolition : celui-là plus fré- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 521 1 quent pour le tact et la douleur, celle-
ais. Notons aussi que le pre- mier diagnostic qu'on pose sur l'état
mental
d'un enfant est sou- vent trompeur et que ce n'
nces et un certain degré de désorientation. 522 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Ces différents accidents ne peuventêtre attrib
ie consécutive à la chorée : par Rotusay G. SrEWART (The Journal of
Mental
Science. Juillet 1901). L'un de ces cas s'est t
talité comparée pour l'Irlande ; par Thomas Drapes (Tite Journal of
Mental
Science. Octobre 1')01). C'est une question trè
très importante que celle de savoir s'il y a un REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
; 823 lien entre la phtisie et la folie, ou en d
e la même manière en dehors des asiles. 52 4- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. On a dit aussi que pour parvenir à une appréci
SGItrIVI : -CL : 1Y. XXXI. Friedrich Nietzche : Étude de pathologie
mentale
, par liam W. Ireland (7'/te Journal Of3lel2l(tl
étrécissement du champ visuel, le tout souvent accompagné d'anxiété
mentale
. Il était atteint de myopie héréditaire. Sa soeur
e plan d'étudier les sciences naturelles. 526 - REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Quand il ne pouvait plus lire, il écrivit, et
endu chronologique de ses diverses croyances et de ses divers étals
mentaux
. Sa tournure d'esprit, maintenant qu'il n'y ava
trait vers la philosophie. « Dans ses goûts et dans ses « processus
mentaux
, dit M. Ireland, dans sa nature tout entière «
est de considérer le philosophe allemand comme un cas de pathologie
mentale
. Son premier ouvrage sur l'origine de la tragéd
a chasteté. Il ne voulait-ni du mariage, ni des REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 527 i relations sexuelles en dehors du mariage
rvalle de ses souffrances, il écrit Aurore; 528 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. puis, en 1883 et 188;r, il publie l'oeuvre que
sus. « Comme on l'a vu, dit Je. Ireland, Nietzche passa de la santé
mentale
à la folie par des périodes de transition D, et c
ait (2 août 1000), à une hémorrhagie cérébrale. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. - 529 Les admirateurs de Nietzche font remarqu
rits ne rendent d'autre service que celui d'indiquer son aberration
mentale
: comme contribution à la psychologie, ils sont
Freland, était né avec une tendance héréditaire à un fonctionnement
mental
anormal ; dans sa première enfance, il était ar
ttus... Les rapports de ses -souffrances nerveuses avec son trouble
mental
ne sont pas clairs, mais il n'est pas douteux que
t de l'hérédité névropathique et il est mort en état-d'alié- nation
mentale
, mais de sa folie avant les accidents termi- An
ts termi- Ancmvrs, 20 série, t. XIV. 34 ' 530 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. naux, M. Ireland ne nous en donne aucune preuv
e comme d'origine viscérale (autointoxicatiou). REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 531 XXXIV. Troubles moteurs chez les paralytiq
ociations, leur pathologie; par Alex. 11013LeRTSON. (The Journal of
Mental
Science. Avril 1901.) L'auteur a pu rassembler
il convient de les varier et de les combiner dans les divers états
mentaux
, en particulier dans la mélancolie et la manie.
nement des buveurs d'habitude, même ne pré- sentant pas de troubles
mentaux
, l'assimilation de l'ivrognerie a l'inconduite,
-deux ans, don- nait, depuis quelque temps, des signes d'aliénation
mentale
. Or, hier, dans l'après-midi, pour un motif des
tale, par Farnarier, 429. Affections cardiaques. Voir troubles
mentaux
. AGENÉSIE. Voir spina bificla. Aimant. Voir s
Sur l'emploi de l'extrait de - dans le traite- ment des maladies
mentales
, par i Ddwson, 440. Caractère. Le -, par Mala
aiguë, par Wilcox, 153. Voir Arbre généalogique. Voir Ma- ladies
mentales
- du vieillard, 190. Contribution à l'étude de
orale et en particulier du mensonge comme symptôme de cette forme
mentale
, par Bourne- ville et Boyer, 418. Images ment
de cette forme mentale, par Bourne- ville et Boyer, 418. Images
mentales
. Sur les éléments de nos , par J. Philippe, 165
es. Voir Mystiques. LÉSIONS CELLULAIRES CORTICALES. Voir Troubles
mentaux
. LEUCOMAINES. Les de la substance nerveuse, p
que, 60. - Main de prédicateur. Voir Syringo- nzyélie. Maladies
mentales
, introduction à l'étude de la folie, par Mac Ph
uie. par Janet, 386. Voir Idées délirantes. Des - en patho- logie
mentale
, par Atlianassio, 465. 'DÉ1(Ehystérique, par Du
es, par Ballet et Bernard, 435. Parasite. Voir Sang. Pathologie
mentale
. Etude de . par Ilelanrl, 525. Personnalité m
)e, Cestan et Oboi tlitir, 361. Scuoefer. Voir Réflexe. Science
mentale
. L'état présent de la -, par llollaucler, 51u.
ement et guérison,. par Hartenberg, 447. » Toxémie. Voir Troubles
mentaux
. Traumatisme. Voir Folie. Tremblements infant
lUe to- tale et familiale, par Raymond et Sicard, 175. Troubles
mentaux
sous la 'dépen- dance de la toxémie, par Sir Dy
ngomyélie. L'usage et l'abus des voyages dans le traite- ment des
mentaux
, par Savage, 444, Sur les lésions cellulaires
Sur les lésions cellulaires corticales observées dans 6 cas de -
mentaux
infectieux, par Faure, 447. mentaux dans le c
les observées dans 6 cas de - mentaux infectieux, par Faure, 447.
mentaux
dans le cours des affections cardiaques, par
ge psychique, par Vaschide et Vurpas, 531. Voraces. Voir Troubles
mentaux
. VESTPHA1.L. La contraction parado- xale de e
H1VËS DE NEUROLOGIE KEVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
Fondéiî PAR J.-îll. CHAttCOT l'UI31le,E SOUS
C11ON ne niat. A. JOFFROY Fiofes·eur de clinique des maladies
mentales
a la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNA
Au repos tout le facial gauche - Iiivisict di palologia nervosa el
mentale
, février 1898, p. 49. - Pandi. Wien. lilizz. IV
s avons éliminé systématiquement tous les hémiplégiques dont l'état
mental
était trop affaibli pour obtenir des renseignem
1898. Anal, u : Presse médicale, 1898, II, p. 324. 28 PATHOLOGIE
MENTALE
. au bout d'un certain temps; c'est ce qui expli
ère supérieure sont placés dans la zone psychomotrice. PATHOLOGIE
MENTALE
. LES MÉLANCOLIQUES. (ÉTUDE clinique) ; Par
clinique) ; Par le D' Alex. ATIIANASSIO, Ancien chef de clinique
mentale
, Médecin adjoint à l'hospice d'Aliénés Marcoutz
ar sympathie pro- duisent des troubles cérébraux. 30 PATHOLOGIE
MENTALE
. La mélancolie est l'opposé de la manie où il y
es de manger. Souvent il y a des hallucinations 112 PA'1HOLOGlIs'
mentale
. et des illusions surtout internes, viscérales,
hant pas, n'accom- Arciiives, 21 série, t. VII. 3 34 PATHOLOGIE
MENTALE
. plissant qu'a peine leurs besoins, finissent p
brale, cette dernière forme souvent confondue avec la confu- sion
mentale
. Mais ici malgré l'apparence d'abolition de toute
- . LES MÉLANCOLIQUES. 35 tains auteurs, il existe une activité
mentale
intense, consti- tuée par un délire interne cac
tristesse, de ruine, d'humilité, de culpabilité, et 3C PATHOLOGIE
MENTALE
. à la suite des hallucinations et illusions ils
t, se nourrissent mal ; l'assimilation ne se fait 38 ' PATHOLOGIE
MENTALE
. pas, la circulation est en défaut (pouls ralen
ments d'oreille. Le patient vivait toujours retiré, 40 PATHOLOGIE
mentale
. était très déprimé et émotif. Les parents supp
nuée et retardée. La sensibilité spéciale paraît bonne, mais l'état
mental
du malade ne permet pas de s'en rendre un compt
ul mot, après ce mot obtenu, il est même impossible 42 PATHOLOGIE
MENTALE
. d'arracher un seul autre mot à la malade, malg
urs dans les muscles de la face et de la langue. 44 if PATHOLOGIE
MENTALE
. La parole est bonne, mais toujours lente, il p
ux à sa tristesse, toutefois il parait cou- vaincu que ses facultés
mentales
sont ébranlées. Souvent il pleure, en nous disa
ons; il. demande des journaux, qu'il lit en se pro- 46 PATHOLOGIE
MENTALE
. menant dans le jardin. Il rit quand nous le qu
e relevée; le corps incliné; les mains pendantes. z 48 PATHOLOGIE
MENTALE
. La malade est en état de rester des heures ent
eur étant éclairé, elle s'est effrayée ; depuis ce moment, son état
mental
devient anormal, en présentant les symptômes su
avail intellectuel devient de plus en plus difficile. L'instabilité
mentale
augmente. Abus du tabac (cigarettes, pipes et c
éparalytique. Les symptômes physiques ont dominé la scène : du côlé
mental
, il n'y ? eut qu'une simple démence, croissant
PATHOLOGIE NERVEUSE. , intéressante à noter, amélioration de l'état
mental
. (lnzer ican jour- nal of insanity, janvier 189
eurs membres d'une famille pour aboutir généralement à l'aliénation
mentale
, cette chorée a été rarement décrite avec autop
(cl. IV) : a) il joint des formes en rapport avec la dégénérescence
mentale
; ce serait l'hyperhidrose dégénérative par mig
s jusqu'ici autonomes sont bien en rap- port avec la dégénérescence
mentale
. P. IEIlA1'AL. XVIII. La neurasthénie et le com
Handlingar, nu 10, octobre 1898, p. cxlv.) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. I. Du délire psychique post-opératoire ; par l
jours qui suivent l'opération. Contraire- 72 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ment aux états d'excitation, les formes mélanc
ructure compliquée un grand nombre d'éléments REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 73 qui constituent les représentants du futur
se distingue guère de la vraie que par l'état du pouls, sur l'état
mental
, et montre comment ces symptômes se groupent pa
histoire du Conscrit de l31cët·e traite des rapports de la débilité
mentale
avec le service militaire. Elle est d'un intérê
mise à un examen médical, elle a été reconnue atteinte d'aliénation
mentale
et con- duite dans une maison de santé. » Fac
dé, à Paris, Mille D.... atteinte depuis quelque temps d'aliénation
mentale
, a été trouvée pendue au baldaquin de son lit,
Vol. VII. Février 1899. ? 30 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. RECHERCHES SUR L'ANALGÉSIE DU CUBITAL (signe
sles Cenlralblall, 1894. Archives, 2e série, t. VU. 98 CLINIQUE
MENTALE
. douleur, voire même des exclamations de souffr
Cramer, en discutant ces données au Congrès psychia- 100 CLINIQUE
MENTALE
. trique de Berlin (1895) exposa ses études anat
e de leur maladie, les résultats sont les suivants : 102 CLINIQUE
MENTALE
. Le nombre de nos paralytiques généraux qui pré
té et l'analgésie, se ren- contrent de préférence dans les maladies
mentales
à type dépressif, et principalement dans les af
clinique) ; Par le D' ALEX. ATIIANASSIO, Ancien chef de clinique
mentale
, Médecin adjoint à l'hospice d'Aliénés Mareoutz
7. Fig. 9. Groupe de mélancoliques (hommes). ' 106 PATHOLOGIE
MENTALE
. une' ancienne cicatrice adhérente à l'os, prob
ium, on observe une légère amélioration dans l'état de ses facultés
mentales
. Il reste pourtant toujours couché, absolument
se levait debout. Il n'a pas d'auto-accusations. 25 octobre. L'état
mental
est complètement rétabli. Il parle et répond im
pâtissier, entre à l'hospice [e 27 juillet 1896. 108 PATHOLOGIE
MENTALE
. De ses antécédents nous apprenons qu'il a touj
ue. Les oreilles perpendiculairement insérées. Les 110 PATHOLOGIE
MENTALE
. dents irrégulières et usées. La voûte du palai
rés. Fig. 10. Groupe de mélancoliques (femmes). 111) PATHOLOGIE
MENTALE
. Elle a un délire hypocondriaque; elle dit qu'e
Après l'accouche- .lncEnves, 2° série, t. VII. 8 114 PATHOLOGIE
MENTALE
. ment, son caractère commençait à changer, elle
qui y ont mis le feu et pas elle. Une autre fois, 116 PATHOLOGIE
MENTALE
. elle a détruit une cheminée; elle a fait tout
elle et l'a réprimandée d'avoir fait tant de maux; 118 PATHOLOGIE
MENTALE
. même les images saintes pendues aux murs parle
sens du toucher est conservé. La sensibilité '120 0 ' PATHOLOGIE
MENTALE
. cutanée est diminuée, mais il n'y a pas de pla
té piquée, mais il nous est impossible d'avoir une 122 PATHOLOGIE
MENTALE
. réponse de la part de la malade, nous ne pouvo
enfant. Elle nie absolument être folle maintenant; 124 PATHOLOGIE
MENTALE
. mais peut-être que la maladie qu'ella a, lui a
rvés. Il n'y a pas de trépidation épi- leptoïde. 126 PATHOLOGIE
MENTALE
. La sensibilité générale au toucher est conserv
e et dans cet état de mélancolie depuis six ans. 128 PATHOLOGIE
MENTALE
. Il se plaint aussi de souffrir de la constipat
ts, peuvent ordonner à l'égard des personnes atteintes d'aliénation
mentale
toutes les mesures provisoires nécessaires, à l
t que le médecin ne soit appelé à constater officiellement son état
mental
; mais par contre, l'autorité administrative aura
s, etc... Il fait tous les six mois un relevé de l'état physique et
mental
des indi- gents et chaque année un rapport déta
e ce côté il y a quelque chose à faire. L'enseignement des maladies
mentales
est plus avancé en Ecosse que chez nous, mais i
l'acide urique à l'urée n'est pas en relation constante avec l'état
mental
(American Journal of insanity, avril 1898.) E.
re partie de l'orga- nisme, et leur existence au cours d'un trouble
mental
aigu n'a avec ce trouble mental qu'un rapport d
eur existence au cours d'un trouble mental aigu n'a avec ce trouble
mental
qu'un rapport d'association, et non de causalité.
ment, puis le staphylocoque ; mais en se reportant aux conditions
mentales
des malades chez qui se trouvèrent ces micro-orga
es, la présence de ces derniers n'a aucun rapport avec le trouble
mental
et n'a de rapport plus ou moins constant qu'avec
oclamer le suicide comme un remède, l'auteur estime que les débiles
mentaux
ou moraux, les criminels et les vicieux qui se
été arrachées du champ. Le suicide pré- coce d'un imbécile moral ou
mental
est une sorte de grâce pour la société qui se t
fois.à la présidence de la Société, pendant le Congrès de médecine
mentale
de 1900. Il n'aurait pas assumé celte lourde tâch
énéral qui l'aidera à tenir haut et ferme le drapeau de la médecine
mentale
. SOCIÉTÉS SAVANTES. 1G9 Folie sympathique.
tenue complète, définitive. L'origine sympathique de l'aliéna- tion
mentale
ne pourrait, à notre avis, être niée ou mise en d
récissement apparent du diamètre transverse du crâne. Son affection
mentale
était essentiellement caractérisée par des symp
persistance de l'agitation et du délire. L'amélioration dans l'état
mental
est survenue par degrés, sui- vant pas à pas l'
amme comprendra : 1° questions mises à l'ordre du jour : Pathologie
mentale
: Délires systématisés secondaires. Ray- porteu
nferiore. 1898. Tipografia del Manicomio. Danien (G.). Orthopédie
mentale
. Enfants arriérés. Brochure in-8" de 20 pages.
ielh. De l'épilepsie considérée dans ses rapports avec l'aliénation
mentale
(Ar. gêné., liée. 1825 et janv. 1826). J. Morea
ses vêtements. On n'espère pas sauver la femme tiret. PATHOLOGIE
MENTALE
. DU SENS TACTILE ÉTUDIÉ CHEZ LES MÊMES MALADES
rchives de Neurologie, n° 35, t. VI, 1893, p. 376. 190 PATHOLOGIE
MENTALE
. affaiblissement manifeste du sens tactile chez
t, d'avoir toujours rencontré le tact normal sous toutes les formes
mentales
dépressives pures et même dans les formes menta
outes les formes mentales dépressives pures et même dans les formes
mentales
mixtes quand elles ne s'accompa- gnent pas d'ag
s après le retour du sens tactile à l'état normal. 192 PATHOLOGIE
MENTALE
. Que prouvent ces divers faits ? Etablissent-il
i se généralisèrent par tout le corps et parurent influencer l'état
mental
, car le malade passait une grande partie de la
légère; on trouve - 21 séiie, '. VII, i : " 19ît Il PATHOLOGIE
MENTALE
. même des sujets gâteux, par conséquent à la de
u tact chez les paralytiques Première période. 196 PATHOLOGIE
MENTALE
. LE SKKS TACTILE ET LA PARALYSIE GENERALE. 19
es quatre mémoires que nous avons déjà publiés sur 198 PATHOLOGIE
MENTALE
. Il nous reste à nous demander si les altératio
la moitié des constatations à la phase ultime. - )00 PATHOLOGIE
MENTALE
. VIII. D'après nos constatations parmi les anom
taire. ARCIIIVES, 2* sét@ie, t. VII. Il c REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. IV. Les dermatophobies; par M. G. Tiiidierge.
x externes, celle qui engendre le plus souvent des phobies ; l'état
mental
des malades qui en sont atteints, est caractérisé
pi- phénomène d'un état psychique grave, relevant de l'aliénation
mentale
. - Parmi les conditions susceptibles de modifie
susceptibles de modifier le pronostic de ces REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 213 dermatophobies, il faut signaler l'état ps
type; 2° ces délires ont tous pour formule clinique la confusion
mentale
, sous l'une quelconque de ses variétés ; 3° le dé
re psychique se rencontrent des formes 214 jl REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. de transition qui constituent des formes plus
gnostic, la thérapeu- tique et surtout la prophylaxie de ces formes
mentales
. Ces der- nières, qui se rencontrent toujours s
penser à un début de paralysie générale. Le pronostic des désordres
mentaux
périodiques est favorable en tant que termi- na
constituera dans un trai- tement préventif des désordres nerveux et
mentaux
. Lorsque surviendra la première crise, le trait
ux dangers que peut faire courir à la société REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
215 un homme occupant une haute situation et at
t à l'orgasme sexuel pendant le sommeil 216 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. L'auteur, dans une intéressante élude, passe e
rubrique à cause de l'identité du terrain sur lequel les troubles
mentaux
de ces malades ont évolué et parce qu'elles peuve
les médico-psychologiques, août 1898.) E. B REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 2L7 Les paralysies générales progressives ; pa
, l'auteur décrit le syndrome paralytique 218 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. fugace, non paralytique proprement dit par son
ns hypodermiques, lui semblent les plus iudi- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 219 quées et les meilleures; la saignée serait
tement précoces ; et comme, d'autre part, un grand nombre de formes
mentales
débutent par des phéno- mènes de dépression men
mbre de formes mentales débutent par des phéno- mènes de dépression
mentale
, on comprend l'intérêt qui s'attache au diagnos
iable avant de se caractériser par les signes suivants : dépression
mentale
; insomnie persistante; céphalalgie ou psychialg
uite de délire ou d'excitation maniaque 220 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. L'auteur, dans le présent travail, rapporte de
'auteur, dans un travail intéressant, passe en revue les affections
mentales
au cours desquelles peut se présenter l'agitati
, de la mélancolie, de la folie intermittente, de la dégénérescence
mentale
, de l'épilepsie, de l'hystérie, de la chorée, d
dressent aux troubles subjectifs accompagnant REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 221 des lésions souvent insignifiantes et qui
dissolution de la personnalité physique. 222 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Pareille désagrégation de la conscience peut ê
ys et dont l'auteur trouve l'énumération dans REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 223 un ouvrage du Dr Wolff(de Strasbourg). Au
se où elle rend de grands services. A. Vicounoux. XIX. Aliénation
mentale
commençante; par Crochley Claphxn. (Qzici7,te ?
es à différents degrés de l'affection, les modifications locales et
mentales
consécutives, les altérations intimes de la gla
ème, où domine, ce qui est bien autre chose, la torpeur physique et
mentale
. L'hypertrophie du corps thyroïde, de même que
, l'augmenta- tion de la morbidité et de la tendance à l'aliénation
mentale
et au crime; son influence sur la race se tradu
variées peuvent produire le type de la polynévrite, avec désordres
mentaux
d'amnésie. De nouvelles observations permettron
e de temps progres- saient de 6,7 p. 100, tandis que les infirmités
mentales
crois- saient de 12,3 p. 100. Ces hospices devi
Les asiles régionaux sont, par définition, destinés à l'aliénalion
mentale
ancienne et aux malades avant besoin de l'assista
aralysie générale et de ceux conçus après l'apparition des troubles
mentaux
. M. Arnaud croit, en effet, que cette distincti
s doivent trouver place dans les traités de maladies ner- veuses et
mentales
; c'est dans ce cadre qu'il faut faire rentrer les
son mari. Cette malheureuse ne jouissait pas de toute ses facultés
mentales
et on suppose qu'elle aura voulu jouer'avec le
Vol. VII. Avril 1899. ? 40 ARCHIVES DE NEUROLOGIE . CLINIQUE
MENTALE
. MYSTICISME ET FOLIE 1 ; ! Par le D' A. MARIE
1898, n°5 29 et 30. Archives, 21 série, t. Vil. 17 2S8 CLINIQUE
mentale
. par Calmeil dans un traité de la folie considé
pathologique que patrony- mique 2 ' P. Bail. Traité des maladies
mentales
, p. 492. Edition 1887. ' La Roche-Gandon. Rappo
oche-Gandon. Rapport 91, p. 12, D's Friese et Marie. 260 CLINIQUE
mentale
. Ajoutons la débilité physique par privations e
physique par privations et mauvaise hygiène sociale et la débilité
mentale
congénitale, compli- quées de causes dépressive
sées. On peut classer en deux sous-groupes distincts les affections
mentales
où s'observe un délire systématisé de teinte my
e part les cas où les idées religieuses sont l'expression d'un fond
mental
congénital ou acquis particulier; l'aberra- tio
eçons cliniques. (l'ro. Dléd., 1887, p. 182.) 5 Griesinger. Maladie
mentale
, 65. Trad. Daumie et drch. of I'sych., M. I, li
, Bd. lI, - lrl., 1881 et 1888. - Irrenfreund, XX. 262 CLINIQUE
mentale
. Kroepelin distinguant aussi des formes primair
ouet, P., 1888. ' Spitska. Lzizaite delzzsions. (Journal of nem and
mental
dizcises, 1881.) ' Morsetti et Buccola. La pi
me ET FOLIE. 263 le reverrons dans la suite de notre étude, le fond
mental
dé- génératif est de règle pour les autres para
opalhies. Gand, 1852. ' Magnan et Sérieux, p. 110. 264 CLINIQUE
mentale
. dérant avec Morel la période d'inquiétudes (an
e sensoriel pousse le malade à attribuer More). Traité des maladies
mentales
, p. 703, 1860. MYSTICISME ET FOLIE. 265 à d
gique de Morel. Pour lui, le délire religieux peut 266 " CLINIQUE
MENTALE
. résulter effectivement, soit de] l'exagération
vroses (épilepsie et surtout hystérie). 1 Morel. Traité de maladies
mentales
, 1860. P. ! Moreau de Tours. Psychologie morbide,
gie morbide, p. 227. 3 J. Fabret. Etudes cliniques sur les maladies
mentales
, P., 1889. 4 Calmeil. De la folie, p. 81. M
de maintenir en équilibre et sans effort apparent les constructions
mentales
les plus instables. » (Pas de systématisation d
en principe.) ' Cottird. Loc. cit., p. 422 et 423. 268 CLINIQUE
MENTALE
. L'éréthisme moteur des anxieux, présente un ca
les éléments moins atteints de la mentalité. ' Thivet. De l'état
mental
des vieillards. (Thèse, Paris, 1889.) Séglas. P
1888, n« 43. Psychoses séniles et la ? -- dives. Lwoff. De l'état
mental
dans les lésions circonscrites du cerveau. (Thè
, Paris, 1890.) Christian. Archives de Neurologie. 270 CLINIQUE
MENTALE
. Bien que cela paraisse une assertion paradoxal
mme el l'intelligence, p. 500. 4 B.-A. More). Traité des maladies
mentales
, p. 701. 272 CLINIQUE MENTALE. que l'inacti
4 B.-A. More). Traité des maladies mentales, p. 701. 272 CLINIQUE
MENTALE
. que l'inactivité de ces malades est fréquemmen
ion imitatrice. « Il y a, dit M. Gilles de la Tourette, dans l'état
mental
des hystériques, quelque chose d'absolument spé
uvre par la suggestibilité, qui est la caractéristique de leur état
mental
(p.S`3). L'hystérique peut être, à ce point de
istinction avec des Archives, 1° série, t. VII, is 274 CLINIQUE
MENTALE
. documents historiques insuffisants. Cependant
es combinant les psychoses plus ou moins dégénératives, à un fond
mental
hystérique. Dans ces cas, on pourrait objecter
tématisées chez le même malade. Pouvant se développer sur un fond
mental
dégénératif, celles-ci peuvent coexister avec cet
es ; c'est parce côté que la neuropathologie confine à l'aliénation
mental
; il s'agit là, certainement, de phénomènes ide
avons nous-mêmes suivi celui d'entre ces malades dont les troubles
mentaux
ont persisté. Il figure au rapport de 1891 sur
, p. 27. Aî,chives de N'eiii-oloqie, 1897, 11- 15. 276 CLINIQUE
MENTALE
. nage; puis s'y adjoignirent, les pratiques d'u
ommune se manifestant par l'hystérie et aussi par la dégénérescence
mentale
ordinaire, est assez nette ici pour qu'il ne so
nombreuses coor- ' Feré. Sensation et mouvement. 278 PATHOLOGIE
MENTALE
. donnent plus soigneusement leurs conceptions d
900, le prix de la collection sera porté à 150 francs. PATHOLOGIE
MENTALE
. LES PSYCHOSES D'AUTO-INTOXICATION. CONSIDÉRA
IONS GÉNÉRALES'; Par le D' E. RÉGIS, Chargé du Cours des maladies
mentales
à l'Université de Bordeaux. Arrivé au terme de
eux que la doctrine des auto-intoxications trouve dans les maladies
mentales
une de ses plus impor- tantes applications. Les
s, et nous croyons qu'à chacune des grandes formes 280 PATHOLOGIE
MENTALE
. d'auto -intoxication correspond pour ainsi dir
us piquantes de l'histoire des auto-intoxications dans les maladies
mentales
que la concordance absolue de toutes les donnée
gie. On peut assurément observer la céphalalgie dans l'aliénation
mentale
proprement dite, mais elle y est relativement rar
début ou dans le cours d'un délire, doit éveiller 282 PATHOLOGIE
MENTALE
. l'attention sur la possibilité d'un état toxiq
ur, la stupidité, c'est-à-dire jusqu'à la suspension des opérations
mentales
. D'autres fois, comme des vieillards sénilisés,
e- dème. (La Presse médicale, 1 ? octobre 1898.) 284 PATHOLOGIE
MENTALE
. est l'amnésie. Cette amnésie, en effet, est to
s sur l'Aphasie amnésique (Progrès médical, 1898). 286 PATHOLOGIE
MENTALE
. Voilà ce que nous entendons par onirisme et vo
rsonne ne saurait contester, en effet, qu'il s'agit là de confusion
mentale
. La chose est tellement frappante qu'aucun des
les psychoses auto-toxiques se présentaient sous forme de confusion
mentale
. Les diverses descriptions que nous avons donné
d.- Nous n'avons pas à refaire ici la description de la confusion
mentale
qui a été magistralement tracée par M. Chaslin, s
et de la division, pure- ment provisoire d'ailleurs, des confusions
mentales
en primi- tives idiopathiques , primitives symp
to-intoxications répond trait pour trait au tableau de la confusion
mentale
LES PSYCHOSES d'auto-intoxication. 287 / z
OSES d'auto-intoxication. 287 / z donné par Chaslin. La confusion
mentale
est donc le type clinique des psychoses d'auto-
ntoxication. Ce type lui est-il exclusif, c'est-à-dire la confusion
mentale
n'appartient-elle qu'à l'intoxication ? est-ell
t ce qui résulte de l'en- semble de notre travail, que la confusion
mentale
peut affec- ter, dans les psychoses auto-toxiqu
lètement isolées, on peut cependant reconnaître : 1° une. confusion
mentale
simple ou asthénique; 2° une confusion mentale
: 1° une. confusion mentale simple ou asthénique; 2° une confusion
mentale
aiguë et subaiguë; 3° une confusion mentale ave
nique; 2° une confusion mentale aiguë et subaiguë; 3° une confusion
mentale
avec stupeur ou stupidité aiguë; 4° une confusi
confusion mentale avec stupeur ou stupidité aiguë; 4° une confusion
mentale
suraiguë, méningitique, ou délire aigu, typhoma
ou délire aigu, typhomanie; 5° enfin, si l'on veut, une con- fusion
mentale
pseudo-paralytique. Toutes ces variétés, quelle
forme d'auto-intoxication. Il semble néanmoins, que les confusions
mentales
du délire aigu se rencontrent plus souvent dans
t dans les auto-intoxications gastro-intestinales et les confusions
mentales
de la stupeur dans les auto-inloxications hépat
a forme clinique des psychoses d'auto-intoxication est la confusion
mentale
. Nous voudrions montrer maintenant, les analogi
pport au congrès de La Rochelle. Legrain, Jacobson 288 pathologie
mentale
. et beaucoup d'autres ont fait de même. Et déjà
e même. Et déjà Delasiauve, quand en 1831 il décrivait la confusion
mentale
stupide, sans se douter que de longues années a
ica- tion externe sont similaires et que, par suite, la confusion
mentale
est le type de tous les délires toxiques, quels q
plets, hypnago- giques, où la persistance d'action de l'automatisme
mental
et somatique est des plus remarquables. Et il s
ribune médicale). Archives, 2° série, I. VII. 19 290 pathologie
mentale
. de voir. Nous l'avons exposée tout à fait en d
e auto-toxique et de sa similitude avec le somnam- 292 PATHOLOGIE
MENTALE
. bulisme hypnotique. J'ai eu, d'ailleurs, une p
que quelques-uns, parmi ceux surtout qui sont atteints de confusion
mentale
subaiguë avec délire d'action, peuvent être end
aussi que cet état de rêve existe dans tous les étals de confusion
mentale
, même quand ceux-ci sont trop aigus pour le lai
des psychoses d'attio-iî2toxicatioîî et par suite de la con- fusion
mentale
. ' Cette idée de faire du délire des intoxicati
par la façon dont ont été envisagées la stupidité et la confusion
mentale
. Déjà Gcorget disait en 1820, à propos du Délir
on, Geoi ? et. De la folie, p. 238. Paris, 1820. 294 PATHOLOGIE
MENTALE
. les perceptions vicieuses appartiennent à un s
ue la manière dont quelques conva- lescents caractérisent leur état
mental
antérieur. Il me semble, dit une femme à M. Eto
st passé en eux durant ce long sommeil 2. » Depuis que la confusion
mentale
a été ressuscitée à l'étranger par les Allemand
upeur du Dicl. encycl. des sciences médicales. î96 ' PATHOLOGIE
MENTALE
. - journée sont remplacées : par d'autres appar
us lointaines. La théorie psychologique de Meynert sur la confusion
mentale
, si ingénieuse et si bien exposée par Chaslin d
variétés admises par lui des psychoses asthéniques : confu- sion
mentale
, délire de collapsus, démence aiguë. Le délire
outes les fonctions psychiques les plus élevées. Enfin la confusion
mentale
, pour ainsi dire intermédiaire aux deux autres,
I, 1802). 4 Kraepelin. Psychiatrie, 1896. Gliisliii. La Confusion
mentale
primitive. Paris, 189u. LES PSYCHOSES D'AUTO-
'AUTO-INTOlIC.TION. 291 cialement de comparaison entre la confusion
mentale
et le rêve, parait rapprocher à diverses repris
apitre de la Psychologie pathologique, à propos de la désagrégation
mentale
des sujets il dit : « A un degré de plus l'inco
glas a, lui aussi, été frappé du caractère onirique de la confusion
mentale
et dans maints endroits, notamment dans son art
, affection qui correspond jusqu'à un certain point, à la confusion
mentale
des Français, à la Vei,ivii-theit des Alle- man
M. Marandon de 111ontyel, dans sa Revue générale sur la Confusion
mentale
primitive et secondaire (Gazette des Hôpitaux,
ant à identifier la lypémanie stupide de Baillarger et la confusion
mentale
, s'appuie tout particulièrement sur leur analog
s, après 1 l'rancotte. Classification (l3ull. de la Société de méd.
mentale
de Belgilue, septembre 1807). 298 PATHOLOGI
té de méd. mentale de Belgilue, septembre 1807). 298 PATHOLOGIE
MENTALE
. avoir montré par quelques cas frappants que ce
d'un usage déjà fort long, pour les remplacer par ceux de confusion
mentale
, amentia, paranoïa aiguë, qui désignent des éta
Le malade se croyait recherché par la police ; on 300 PATHOLOGIE
MENTALE
. l'arrêtait, on le mettait en prison, on le con
être très bref. Le délire auto-loxil2ce et, par suite, la confusion
mentale
, n'est pas la vésaitie, la folie commune. Des c
nales et j'en suis à me demander à l'heure actuelle si la confusion
mentale
aiguë du début ne tourne pas chez la malade, à
lie anxieuse, une forme larvée de la fièvre typhoïde avec confusion
mentale
halluci- natoire. A noter, dans ce très intéres
ou passaient près de lui le regardaient avec des 302 ) PATHOLOGIE
MENTALE
. yeux étranges, qu'on le soupçonnait d'être la
. Nous avons essayé une fois, chez un malade atteint de confusion
mentale
aiguë prolongée, le séjour au lit systé- atcttq
ent le repos au lit systématique dans le traitement de la confusion
mentale
. Lorsque les périodes d'agitation aiguë sont pa
il offre ici quelque chose de spécial, en raison de la faiblesse
mentale
dans laquelle se trouvent la plupart des malades
e de la psychose polynévritique et de certaines formes de confusion
mentale
pri- mitive ; par 111\1. 6. Ballet et M. FAURE.
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 311 de confusion
mentale
primitive, à l'autopsie desquelles ils ont trou
e avec lésions de cirrhose ; chez toutes deux, la symptomatologie
mentale
était la même, associée chez l'une à des signes m
rt bien ce qu'il voulait dire ; il avait conservé la représentation
mentale
des mots, il pouvait indiquer par gestes le nom
s. M. CII.4.111'ENTIER. Les signes physiques de la dégénérescence
mentale
ne sont pas plus fixes que ceux de la criminalité
signes physiques de dégénérescence ont une importance en pathologie
mentale
; mais cette importance est beaucoup moindre qu
te importance est beaucoup moindre que les particularités de l'état
mental
du sujet, observé avant l'apparition des troubl
a; Civrieux : 1.000 francs. Question : Des obsessions en pathologie
mentale
. Un prix de 800 francs est décerné à M. le Dr F
p. - 499 Vol. VII. Mars 1899. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT 1VÉYROPA1'IIIQUE.
s 1899. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. DÉGÉNÉRESCENCE
MENTALE
. ÉTAT 1VÉYROPA1'IIIQUE. APPOINT ALCOOLIQUE. DÉL
nnés, véritableg Archives, 2° série, t. l'II, . 22 338 CLINIQUE
MENTALE
. réflexes de défense, en rapport avec ses illus
, de poissons, de serpents qui rôdent sur son lit. DÉGÉNÉRESCENCE
MENTALE
. ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 339 Dans les jours qui sui
du 13 mai, on supprime définitivement jusqu'au 23 le 340 CLINIQUE
MENTALE
. chloral de la nuit et on fait prendre le soir
au milieu de ses hallucinations, elle répond assez DÉGÉNÉRESCENCE
MENTALE
. ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 34'1 correctement : « Ça v
et dure encore actuellement, offrant généralement 342 1) CLINIQUE
MENTALE
. le même caractère pénible. Les nuits continuen
parfaitement systématisé, compliqué d'un certain degré de confusion
mentale
avec, dans les sphères alfective et motrice, de
ns dans la suite. Devons-nous étiqueter cette observation Confusion
mentale
? Outre que la confusion mentale est loin, elle
queter cette observation Confusion mentale ? Outre que la confusion
mentale
est loin, elle aussi, d'être reconnue par tous
. Chaslin pour écarter immédiatement ce diagnostic : « La confusion
mentale
primitive, idiopathique, est une DÉGÉNÉRESCEN
confusion mentale primitive, idiopathique, est une DÉGÉNÉRESCENCE
MENTALE
. ÉTAT N1 : VROPATÜIQUE. 343 affection habituell
se par des phénomènes somatiques de dénu- trition et des phénomènes
mentaux
; le fond essentiel de ceux- ci, résultat premi
rme d'affaiblissement et de dissociation intellectuels, confu- sion
mentale
qui peut être accompagnée ou non de délire, d'h
nnel'. » Reste alors ce qui a été décrit sous le nom de Confusion
mentale
hallucinatoire (Hallucinatorische ireî-ivii-iilie
nfusion hallucinatoire décrite pour la pre- 1 Chaslin. La confusion
mentale
primitive. Paris, 1895. 5 Kroepelin. Psychiatri
s ihr Venlauf. ( ? i)'6«e/t. fiii, Ilsych ? 1880.) 344 CLINIQUE
MENTALE
. mière fois par Fritsch', d'autres auteurs, de
ssent pas ou ne lui assignent pas la même place dans la Nosographie
mentale
et désignent, sous un autre nom, les faits qui
' Wahnsinn. oeil, sur Psych. Bd. XLII, 1, 1885.) DÉGÉNÉRESCENCE
MENTALE
. ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 348 Schûle 1, s'il fait re
t; ? e. Leipzig, 1886. * Magna.n. Leçons cliniques sur les maladies
mentales
. Paris, 1897. 346 CLINIQUE MENTALE. de conn
ns cliniques sur les maladies mentales. Paris, 1897. 346 CLINIQUE
MENTALE
. de connaissance, avec contracture généralisée,
ments, ni pendant l'allaitement, Mm0 Il ... n'a présenté de trouble
mental
. Depuis quinze mois environ, Mm0 II... était so
atile, à émotivité exagérée, jouissant, en un mot, DÉGÉNÉRESCENCE
MENTALE
. ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 347 de cet état mental, qu
ot, DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 347 de cet état
mental
, que l'on sait être si souvent le substratum me
7 de cet état mental, que l'on sait être si souvent le substratum
mental
desdégétiérésl; en outre, 1-e H... aprésenté àplu
'on peut facilement reconnaître cette évolution. ' Magnan. L'étal
mental
des dégénérés. {Revue Neurologique, 4891.) Leço
érés. {Revue Neurologique, 4891.) Leçons cliniques sur les maladies
mentales
, 1893, 1897. 2 Magnan. De l'alcoolisme. Paris,
ons sur les maladies men taies. Paris, 1893, 1897. 348 CLINIQUE
MENTALE
. La première est une femme de trente-deux ans,
comme un syndrome d'une affection plus générale : la dégénérescence
mentale
, et à en faire une variété de ces délires que l
secon- dairement chez les dégénérés alcoolisés. DÉGÉNÉRESCENCE
MENTALE
. ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 349 Du même coup, nous pou
tourmentée, très décevante aussi par les sautes brusques de l'état
mental
. Il y a, par exemple, des journées entières où
ÉLANCOLIQUES; Par le D' ALeX. ATOANASSIO, Ancien chef de clinique
mentale
, médecin adjoint à l'asile d'aliénés Marcoutza
n nombre de cas leur guérison peut amener la disparition du trouble
mental
. Les statis- tiques de l'auteur apportent une c
aliénées. Sur 1G hysté- rectomies, il y eut 4 guérisons du trouble
mental
et 3 améliora- tions ; Sur 12 ovariotomies, i
ora- tions ; Sur 12 ovariotomies, il y eut 7 guérisons du trouble
mental
et 4 améliorations; Sur 22 redressements de l
Sur 22 redressements de l'utérus, il y eut 4 guérisons du trouble
mental
et 9 améliorations; Sur 30 opérations relatives
s, principalement des amputations, il y eut 13 guérisons du trouble
mental
et 9 amélio- rations ; Sur 21 curettages de l
; Sur 21 curettages de l'utérus, il y eut 12 guérisons du trouble
mental
et 2 améliorations ; Enfin sur 8 opérations pou
lésions vaginales, il y eut seule- ment 3 améliorations du trouble
mental
. Les affections les ovaires, du col utérin et d
use utérine paraissent donc avoir dans la production des troubles
mentaux
un rôle plus actif que les autres affections utér
emment accom- pagnée de la guérison ou de l'amélioration du trouble
mental
. (Arnel-icel2z joiii,ital of iiisanity, j juill
s qui n'altèrent pas, du moins en apparence, l'état intellectuel et
mental
de l'individu. Vous aurez, sans doute, apporté
cience, des con- ceptions erronées que se faisaient de l'aliénation
mentale
, ou les anciens qui l'attribuaient aux dieux, o
sieurs, Le premier devoir du président du 10° Congrès de Médecine
mentale
et de neuropathologie est de remercier, en votre
ou la réorganisation. Initié par Ferrus à la pratique des maladies
mentales
, Aubanel fut,en 1840 nommé médecin adjoint.du D
t, la première maison de santé consacrée au traitement des maladies
mentales
et nerveuses; son initiative et ses efforts fur
ent en substance ce qui parait aujourd'hui sous le nom de confusion
mentale
. Le D'' Sauze mourait prématurément en 1884, à
les éléments de sa discussion se dispersent à travers la médecine
mentale
tout entière. Bien plus, ces-éléments n'ont pas p
pés sur des états secon- daires aux principales formes d'aliénation
mentale
, notamment à la manie, à la mélancolie, à la fo
somme, à leur place ni dans l'une ni dans l'autre de ces maladies
mentales
. En fait, ce sont des délires mixtes parce qu'ils
s. Il a signalé et décrit sommairement dans son Traité des maladies
mentales
(2° édi- tion, 1892), l'es délires systématisés
pathologique dont la guérison suffit à faire disparaître le trouble
mental
. Que devient, dans ce cas, la constitution para
existe également un délire systématisé secondaire à la confu- sion
mentale
. Les auteurs étrangers qui l'ont signalé, ont sur
n observe aussi des délires systématisés à la suite d'une confusion
mentale
vraie : les uns sont de vrais délires vésanique
iquats monoïdéiques de ce véritable état second qu'est la confusion
mentale
tonique, en tout point comparable aux idées fix
différentes, après toutes les psycho-névroses et même la confusion
mentale
. Pour l'instant il est bon de s'en tenir là et
aurait ainsi' moins de médecins incompétents, en fait d'aliénation
mentale
. Personnel DE surveillance (Hommes). Un surve
délires systématisés secon- daires, consécutivement à la confusion
mentale
primitive aiguë, et qui sont susceptibles d'un
t persister pen- dant un temps, du moins u la suite d'une confusion
mentale
primi- tive, elle-même de nature hystérique, et
ion : M. Ballet. Lorsqu'en 1889 Ko'rsakofl' décrivit les troubles
mentaux
accompagnant les polynévrites, un sentiment de su
ychose polynévritique ? On doit comprendre sous ce nom des troubles
mentaux
à physionomie clinique variée qui s'associent d
ons névritiques et les lésions cérébrales produi- sant les troubles
mentaux
ne sont que deux manifestations juxta- posées s
démence. 3° La troisième forme est la forme amnésique : altération
mentale
, accompagnée ou non de délire, amnésie singulière
une grande importance au point de vue de la conception des maladies
mentales
. Peul-être arrivera-t-on par la connaissance pl
llule. Peut-être cette conception ferait-elle descendre la médecine
mentale
où l'a placée la métaphysique, mais elle n'a ri
constitutionnels. Il ne pense pas qu'il y ait une différence fonda-
mentale
entre les trois variétés de délires qu'il indique
ne sont que les variétés d'une même espèce clinique : la confusion
mentale
avec son symp- tôme fondamental : l'amnésie.
sans doute, mais elle s'observe dans un grand nombre d'affections
mentales
, notamment dans la paralysie générale, dans l'épi
lition des réflexes tendineux. Iu° 1... présente aussi des troubles
mentaux
graves ; presque dès le début de son mal, elle
es, disait-elle. Peu à peu, il se développa une véritable confusion
mentale
; la malade parlait, sans qu'on put établir de l
observe dans de tels cas affectent surtout la forme de la confusion
mentale
; pour notre part, nous ne comprenons guère qu'
nts, (l.) SOCIÉTÉS SAVANTES. 399 l'enseignement de l'aliénation
mentale
à Marseille dont nous ne devons pas nous désint
ux abords de la ville une clinique pour l'enseignement des maladies
mentales
. Le premier des pro- jets dont nous avons parlé
expliquer la production des mouvements cho- réiques et des troubles
mentaux
dans la maladie d'Huntington. Interventions chi
ables et des moins étudiées on ne sait pourquoi, de la patho- logie
mentale
. Que nous disait-on jadis, à propos des médecin
er monsieur Anglade, et à celle de votre premier maître en médecine
mentale
, le docteur Régis de la Faculté de Bordeaux.
la question, les auteurs s'efforcent de démontrer que les troubles
mentaux
et notamment ceux de la mémoire dans la psychos
at des épileptiques dans l'intervalle des crises; la dégénérescence
mentale
de l'épilepsie; des soins à donner aux épilepti
e ces notes et leur utilité pour les malades. IL IX. La confusion
mentale
; par le Dr G. Gombault. (Thèse Paris, janvier 1
par le Dr G. Gombault. (Thèse Paris, janvier 1898.) La confusion
mentale
n'est, d'après l'auteur, qu'un syndrome comme l
st conservée mais opprimée par un délire terri- fiant. La confusion
mentale
a un domaine plus vaste; par sa forme moyenne e
psychiques particuliers, elle peut disparaitre seule ou avec l'état
mental
morbide qu'elle accom- pagne pour enfin évoluer
nce commune. A. Marie. BIBLIOGRAPHIE. 419 q X. L'Iiistabilité
mentale
, essai sur les données de la psycho-patho- logi
es, qui relè- vent de la seule psychologie. Telle est l'instabilité
mentale
qui ne sera pas considérée comme une forme larv
manente intervention d'une énergie psychique qui dirige l'évolution
mentale
. Chercher à expliquer par la biologie seule tou
arable de l'appétition et de la finalité. Mais dans cette évolution
mentale
, dans ce devenir mental, il se présente des solut
de la finalité. Mais dans cette évolution mentale, dans ce devenir
mental
, il se présente des solutions de continuité : n
te des solutions de continuité : non pas la véritable discontinuité
mentale
, qui ne saurait se produire, mais des solutions
ale ne présente pas toujours en effet la même activité : le devenir
mental
est constitué par une sorte de progression suiv
blissement de la vie psychique, mais non une suspension. Le travail
mental
ne peut se poursuivre uni- formément, l'attenti
s divers états tendent à la réalisation d'un système unique, la vie
mentale
est continue. Cette continuité psychologique
al une solution de continuité, elle est une véritable désagrégation
mentale
et entraîne comme conséquence l'automatisme des
tématiser et de faire durer les synthèses morales. La discontinuité
mentale
se mesure à la fré- quence des hiatus et à l'él
ude morbide de varier sans cesse constitue la véritable instabilité
mentale
. L'instabilité mentale se présente sous des for
s cesse constitue la véritable instabilité mentale. L'instabilité
mentale
se présente sous des formes variées. Elle peut
s. Elle peut être intellectuelle; sous l'action de la discontinuité
mentale
provoquant distraction et confusion, les apérce
thies. Ils sont, comme les autres, consécutifs à la discontinuité
mentale
qui a fait disparaître l'aperception nette de la
affective vient s'ajouter à l'instabilité pratique. Les troubles
mentaux
étudiés jusqu'ici ne doivent pas être con- sidé
té et l'attention peuvent faiblir, et peut apparaître l'instabilité
mentale
. L'épilepsie est encore une forme d'instabilité
est des hystéries larvées. La léthargie se produit quand l'activité
mentale
devient nulle en apparence, et il y a cata- lep
elève également de l'instabilité pathologique. De même la confusion
mental
? , qui conduit à toutes les formes de l'aliéna
ou l'absence de but apparent, doit être identifiée à l'instabilité
mentale
. On pourrait croire à première vue que certaine
élire systématisé, l'extase, etc., ne relèvent pas de l'instabilité
mentale
. Il n'en est rien : si le monomane parait distr
nstabilité, et dans la démence, forme la plus grave de l'aliénation
mentale
, nous trouvons la discontinuité psychique la pl
colie et le délire systématisé. La femme présente moins d'énergie
mentale
, moins d'esprit systématique, moins de puissance
te de la psychologie normale, qui nous donnera la raison de devenir
mental
, il faut non seulement étudier les faits psychi
é qu'il faudra agir. Pourquoi n'existerait-il pas une thérapeutique
mentale
à côté de la thérapeutique du corps. Les plus g
plutôt l'irrita- bilité. On a fait des tentatives de thérapeutique
mentale
et on 1' : ). appliquée en particulier aux enfa
du corps ; c'est à elle qu'il appartient de prévenir l'irritabilité
mentale
. L'éducation telle qu'elle est comprise aujour-
it aller un peu loin, lorsqu'il essaie de rame- ner à l'instabilité
mentale
tous les troubles psycho-pathologiques; il exis
sont pas seulement de simultanéité. Les attributions des désordres
mentaux
suivant les âges est aussi critiquable. Chez le
d'accord avec l'auteur, c'est lorsqu'il nous parle de thérapeutique
mentale
, et qu'il expose les principes d'une pédagogie
issante, on n'observe que les épisodes caractéris- tiques de l'état
mental
des déséquilibrés ; mais dès que cette ré- sist
même, qui lentement, progressivement, provoque une prédis- position
mentale
. Les troubles psychiques succèdent à la longue
longue seulement apparaissent d'une manière insidieuse des troubles
mentaux
. La symptomatologie est à peu près la même dans
Paris, 1898. - Librairie G. basson. Duphat (G.-L.). L'instabilité
mentale
. (Essai sur les données de la ps\'c))o-j)aUio]o
Vol. VII. Juin 1899. No 42 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
MENTALE
. LE DÉLIRE SYSTÉMATIQUE PRIMITIF D'AUTO-ACCUSAT
ire d'auto-accusation n'est nullement caractéris- tique d'une forme
mentale
déterminée et peut se rencontrer dans bien des
urd'hui comme ARCIIIVES, 2° série, t. vII, 28 434 Il PATHOLOGIE
MENTALE
. atteints de mélancolie, mais sont classés à ju
Kraepelin. Compendium de psychiatrie. Schuele. Traité des maladies
mentales
. Marandon de Montyel. Aîin. médico- psych., 189
cine Charcol- l3ouclarcl. Séglas. Leçons cliniques sur les maladies
mentales
et nerveuses, et communications au Congrès d'An
tion de l'entourage ait été attirée sur l'existence d'une affection
mentale
avant l'appa- rition du délire. L'explication
ment déjà, ont pu présenter des signes divers de désé- quilibration
mentale
. Souvent même on retrouve chez eux certains tra
. Aussi pourrait-on presque dire que l'humilité du 436 PATHOLOGIE
MENTALE
. ' délire n'est qu'une étiquette trompeuse, qu'
ent la possibilité de leur existence. Lorsque l'on examine l'état
mental
sur lequel repose ce délire, on n'y retrouve au
ou suffisamment bien : et malgré tous ses efforts, 438 PATHOLOGIE
MENTALE
. il n'arrive pas à se maintenir au niveau d'un
ette analyse rétrospective, refait ainsi toute son 440 PATHOLOGIE
MENTALE
. existence dans le sens de ses convictions actu
cle, frère du père, a présenté également des symptômes d'aliénation
mentale
. Rien de particulier dans son enfance. Intellig
ui-même. Plus lard, il fit preuve d'un véritable état d'instabilité
mentale
, changeant de métiers sans motif sérieux, sans
f ne lui permet pas d'atteindre; malheureux de son 442 PATHOLOGIE
MENTALE
. , impuissance, qu'une certaine dose d'orgueil
ction considérée dans son ensemble et dans ses rapports avec l'état
mental
antérieur du sujet, le tableau clinique actuel,
N. 443 proques nous permettent de retrouver ici les traits fonda-
mentaux
de la folie systématique primitive. Seule, la for
lière, mais sous laquelle on retrouve néanmoins les traits fonda-
mentaux
et caractéristiques de cette affection. Quel es
permettent pas de l'affirmer catégorique- ment. 444 PATHOLOGIE
MENTALE
. II. Passons maintenant aux cas aigus. Si nou
lémique, il se trouva mêlé indirectement à cette 446 ' PATHOLOGIE
MENTALE
. affaire. Il n'avait rien à se reprocher pour s
preuve de son indignité, de son manque de coeur. Au point de vue
mental
, le délire ne s'est nullement modifié ; les idé
sitoirement chez les persé- cutés systématiques. 448 pathologie
mentale
. En règle générale, il n'y a ni dépression, ni
vantes, une amélioration progressive se manifeste dans les troubles
mentaux
, sans qu'ils aient d'ailleurs changé de caractè
n automatique du centre moyen) ; 3° Yaphasie optique ; 4° la cécité
mentale
. La même classification s'applique aux mutismes
tisme véritable est pour la plupart dû à Y arrêt de développement
mental
; si l'intelligence est plus ou moins intacte, on
ologique, mais le plus souvent il est dû à l'arrêt de développement
mental
ou à l'aphasie motrice en voie de décroissance.
x lésions pathologiques du tissu célébrai en l'absence des troubles
mentaux
. C'est en seconde ligne seulement qu'il faut in
la santé de P... n'a cessé d'être excellente, tant au point de vue
mental
qu'au point de vue physique. Il a tra- vaillé a
et recevoir dans un service d'aliénés un homme exempt de troubles
mentaux
. Depuis nous n'avons plus eu aucune nouvelle de
par contre, de la voir se développer sur un fond de dégénérescence
mentale
du genre de celui qui existait chez notre malad
ractions nettement symptomatiques d'un état quelconque d'aliénation
mentale
et à faciliter la critique médico-légale des in
ifs consistent dans le développement de l'enseignement des maladies
mentales
permettant aux médecins de remplir auprès des t
'autre part, dans la comparaison de ce qui se passe au point de vue
mental
chez eux et chez leurs camarades n'ayant pas eu
en chacun de ces groupes a subi de réformes du fait de l'aliénation
mentale
, par conséquent comment il se comporte vis-a-vi
des travaux publics. Dans ce groupe on a réformé pour « aliénation
mentale
, paralysie géné- SOCIÉTÉS SAVANTES. 479 rai
p. 100. On réforme donc aux bataillons d'Afrique pour aliénation
mentale
en moyenne chaque année 0,8 d'homme pour 1.000.
t afférent aux trois groupes précédents, on voit que « l'aliénation
mentale
, la paralysie générale, l'idiotie » ont nécessi
l'on rapproche les résultats précédents, on voit que l'aliéna- tion
mentale
nécessite chaque année : 1.5 réforme dans les pri
'armée. Comment peut-on interpréter la prédominance de l'aliénation
mentale
dans les pri- sons et dans les corps d'épreuve
es catégories qui peut expliquer la prépondé- rance de l'aliénation
mentale
dans les prisons et corps d'épreuve, et voici s
sons cette opinion : En réalité, les manifestations du déséquilibre
mental
qui se pro- duisent dans l'armée peuvent être d
aliéné a été méconnu parce que les experts ont méconnu les troubles
mentaux
. Il en rapporte un cas au nom de M. Samuel Gar-
serait à désirer que tous aient des notions suffisantes de médecine
mentale
pour pouvoir constater l'anormalité psychique des
l soit bien facile de démontrer qu'ils étaient atteints de troubles
mentaux
antérieurement à leur condamnation. A mon sens,
mieux que les médecins les plus habitués aux choses de la médecine
mentale
éprouvent eux- mêmes quelque hésitation lorsqu'
tilité d'un enseignement plus approfondi des choses de l'aliénation
mentale
. M. DnoUINC : 1U. Il estévidemment utile que le
Ce qui importe surtout, c'est de vulgariser l'étude de l'aliénation
mentale
dans les Écoles de Médecine; en outre, l'expert
préalable avant l'incor- poration. La connaissance de l'aliénation
mentale
par les méde- cins militaires devraitétre plus
ter le voeu suivant : « 1° Que l'expertise médicale au point de vue
mental
soit organisée devant les tribunaux militaires
le l'est devant les tribunaux civils; 2° qu'en particulier l'examen
mental
de tout militaire, en prévention du conseil de
béciles, arriérés ou atteints d'imbécil- lité morale, d'instabilité
mentale
, etc. Il se bornera à prendre, dans la discussi
t d'un traitement médical appro- priés à leur situation physique et
mentale
et où leur état s'aggrave au lieu de s'améliore
et le voeu que les expertises médico-légales ayant trait à l'examen
mental
des inculpés soient toujours confiées à des méd
iguës de l'alcoolisme. M. Magnan. Le délire alcoolique est la forme
mentale
à laquelle convient le mieux le traitement par
amme des cours. Puis, M. Rey a donné le mouvement de l'alié- nation
mentale
dans les Bouches-du-Rhône. La population de son
à 3.000 francs. Chalopin a été arrêté. Il est atteint d'aliénation
mentale
. (Le Temps du 29 avril 1899.) - Des épileplique
Les persécutés, par Cololian, 42;). L' meurtrier, 431. Aliénation
mentale
. L' commen- çante, par Croohley Clapam, 224.
ébrale. Un caS d'anky- lose de la - -, par Popolf, 333. Confusion
mentale
. La -, par Gom- bault, 418. ' Congrès des ali
is cas d'impulsion chez des -, par Iscovesco, 216. Dégénérescence
mentale
. Etat nevro- pathique, appoint alcoolique, dé-
nsés. Les - au XM ? siècle, par Cossa et Mouton, 405. Instarilité
mentale
. L' - essai sur les données de la psycho-patho-
iologiqie, de la psy- chose - et de cet Unies formes de confusion
mentale
primitive, par Ballet et Famé, 310. Porencépi
NEUROLOGIE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
l'0\DI : L PAR J.-M. CIIAIICOT l'UI31lCE SOUS
RECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNA
- sement pendant l'hypnose. (À suiv ? ,e.) (A suivre.) CLINIQUE
MENTALE
. ASILE CLINIQUE (s AINTE- ANNE) . M. MAGNAN.
cueillie par M. le D' Pécharman. Archives, t. XXIX. 2 18 CLINIQUE
MENTALE
.. plus en plus étroite : Spirites ; mari et son
Elle est la victime de l'optimisme et il y a des opli- 20 CLINIQUE
MENTALE
. mistes partout; elle se plaint de faiblesses,
me Ch ? 53 ans. Pas d'antécédents héréditaires. Intégrité de l'état
mental
jusqu'à 39 ans. Première période dure 3 ans, de
qui ne laisse aucune trace après elle. Jusqu'en 1879, l'équilibre
mental
d'Augustine se maintient ainsi, ferme et parfai
nière avec une sorte de fronde qu'elle a fabriquée avec 22 CLINIQUE
MENTALE
. un fragment d'obus; elle gifle des gamins qui
ées de vengeance; dès qu'elle sera proclamée, elle fera 24 CLINIQUE
MENTALE
. passer la loi sur le divorce; fatiguée de vivr
ts chroniques marchent graduellement vers la démence. Leur niveau
mental
baisse peu à peu, leur activité intellectuelle se
ai d'atteindre en vous exposant dans les leçons prochaines l'état
mental
des dégénérés. LES DÉLIRES PLUS OU MOINS COHÉRE
Fritsch a désigné ces cas sous le nom de Verwirr- theit (confusion
mentale
) et les a considérés comme tout à fait distinct
ceptions qui constituent l'autre partie du Moi : de là, un désordre
mental
évident, une incohé- rence intellectuelle inévi
s avec nuance maniaque ou amoeno-maniaque de l'humeur. La confusion
mentale
ainsi constituée est un symptôme de l'épilepsie
imoere, ce n'est pas de la Verrucktheit primoere. Si la con- fusion
mentale
hallucinatoire (hallucinalorische Verivirrlheit)
Verivirrlheit) ' Voir Archives de Neurologie, n" 94. 26 CLINIQUE
MENTALE
. présenteavec la primoere Yerrücktlteit ( Wahns
n évolution qui assez souvent aboutit à la guérison. La con- fusion
mentale
aiguë ainsi esquissée n'a donc rien à voir avec
ence, et elle en fait, sous la forme d'entité morbide, la confusion
mentale
hallu- cinatoire aiguë, tout à fait distincte d
une l'e ? -i-ùch-lheit ad libitum. Le chaos s'éclaire. La confusion
mentale
en question est un DE LA PARANOÏA. 27 délire
d'une grande partie des maîtres français, attribue à la dégénérence
mentale
une notable influence sur la forme des psychopa
, un hallucinalo- rischer Wahnsinn. Il rattache à la dégénérescence
mentale
une or'Moere Paranoïa, une paranoïa acquise tar
iatoire seraient, de même que la folie par obsessions, des maladies
mentales
dues à des névroses constitutionnelles. Le Wahn
allégories les sensations morbides qu'ils éprouvent. 28 CLINIQUE
MENTALE
. La Paranoia, au contraire, toujours d'après de
ion; c'est un délire peu cohérent; c'est l'analogue de la confusion
mentale
hallucinatoire aiguë, tandis que la folie systé
aux questions de doctrine basées sur la notion de la dégénérescence
mentale
et des névroses cons- titutionnelles nous en pa
que dans le délire systématique chronique, il s'effec- 30 CLINIQUE
MENTALE
. tue souvent des rémissions et des exacerbation
it, comme autant de modalités distinctes et séparées , la confusion
mentale
hallucinatoire (hallucinatorische Veiwiiilheil)
Wahnsinn hallucinatoire dans lequel il existe une grande confusion
mentale
, des hallucinations sensorielles abondantes et
le, ajoute-t-il,que, danslesdélires du collapsus. dans la confusion
mentale
hallucinatoire, et dans certaines formes du dél
des processus morbides analogues. La confusion DE LA PARANOÏA. 31
mentale
(V erwirrtheit) produit rapidement un trouble pro
ion, sa terminaison favorable, ou son rapide passage à la confusion
mentale
(Verwirrtheit). La Verrùcktheit àe Kroepelin, c
ité, une interprétation pathologique et élaboration mor- 5 CLINIQUE
MENTALE
. bide des impressions externes et internes. Les
intes ; le raisonnement est avant tout insuffisant, et les facultés
mentales
sont dans un état d'infirmité qui préside à l'é
A la folie systéma- tique, rarement curable, il oppose la confusion
mentale
hallu- cinatoire aiguë (acule hallucinatorische
Verrùcktheit. Dans cette dernière, il s'agit d'un état de faiblesse
mentale
ayant pour symptômes cardinaux la démence accom
ive de folie systématique, dans le sens de Westphal. La confusion
mentale
hallucinatoire aiguë (acute hallucina- torische
ns les maladies cérébrales les fonctions troublées, qu'elles soient
mentales
ou physiques, doivent être im- médiatement attr
faces excitées. L'auteur rapporte un certain nombre de cas expéri-
mentaux
avec schémas à l'appui pour montrer quel secours
hermique ; par W. H. RILEY, B. S. M. D. (The Journal of nervous and
mentale
disease. Septembre 1894.) Ce travail très soign
hémorragies; par Ch.-L. 1)a ? IVI. D. (The Journal of nervous and
mental
diseuse, septembre 1894.) Dans bien des cas, il
roïde DU mouton; par Samuel AYREs M. D. (The Journal of nervous and
mental
Disease, août 1894.) Revue rapide de la théor
intéressant des progrès réalisés dans le traitement de l'aliénation
mentale
, depuis Pinel etEsquirol. L'auteur rappelle les
art et de ré- clamations processives qu'on a soupçonné l'aliénation
mentale
. Il n'a pas d'idées délirantes, ni en particuli
eux qui n'étaient pas atteints SOCIÉTÉS SAVANTES. 57 d'aliénation
mentale
. Dans ce vieux château à trois étages, cons- tr
eux qui dépassent quatre-vingts ans. L'an- née dernière, la science
mentale
perdait un de ses plus illustres adeptes, le Dr
venus dans leur état. Rien ne lui échappait, aussi bien dans l'état
mental
des malades que dans leur santé générale. Il s'
de son siège et de son influence sur la production de l'aliénation
mentale
. Thèse, 17 juin 1824 ; De la paralysie considér
puis trépané et guéri de son amnésie primitive. Il persiste un état
mental
curieux, consistant en une tendance à la répartie
sortir la loi, plus on retarde les admis- sions, moins l'aliénation
mentale
a de chances de guérison. En 1888 on a dû trait
e processive au rang d'espèce nette et bien définie de l'aliénation
mentale
, « c'est un accident important dans le domaine
tuelles », rien déplus. VARIA. 77 '1 Il y a dans l'espèce trouble
mental
partiel; c'est donc un conseil judiciaire ou un
Or, une interdiction n'est légitime que suivant le degré du trouble
mental
. Une maladie mentale partielle, fût-elle une fo
tout malade chez lequel le médecin établit l'existence de troubles
mentaux
partiels. L'interdiction est parfaitement justifi
pour cela il faut qu'ils déterminent, précisent, établissent l'état
mental
de la personne qu'ils examinent. Les preuves à
de la personne qu'ils examinent. Les preuves à l'appui de cet état
mental
sont nécessaires, or celles qu'ils apportent ic
capable de gérer ses affaires et d'exercer son jugement. Le trouble
mental
dont il est atteint n'a pas jusqu'ici dissocié
Caractère parfai- tement normal; intelligence intacte. L'origine
mentale
de ces troubles de la marche nous parait indisc
ntion d'une cause occasionnelle. Chez les neurasthéniques, l'état
mental
exerce, comme on sait, une grande influence sur
légèrement rhumatisant. Dans la famille, aucune maladie nerveuse ni
mentale
, pas de déformations congénitales ; tous ses pa
tard à nouveau, sous l'in- fluence d'un refroidissement. CLINIQUE
MENTALE
. LES DÉLIRES PLUS OU MOINS COHÉRENTS DÉSIGNÉS
t) elle-même n'est pas-toujours aisée à distinguer delà confusion
mentale
( l'eriuirrlheit), parce que, parfois, pendant pl
même plusieurs mois, elle est entrecoupée d'une phase de confusion
mentale
hallucinatoire totale, d'agitation très vive, p
ve, phase passagère qui représente, symptomatiquement, la confusion
mentale
hallucinatoire aiguë. Notons cette opinion pers
e de l'agitation qui peut, à bon droit, s'ap- peler de la confusion
mentale
. Meynert, dans ses leçons cliniques sur la psyc
ôle, une confusion cérébrale qui est la Verrwirrtlieil ou confusion
mentale
. Le malade, incapable de fusionner les images d
ce, subit 1 Voir Archives de Neurologie, 11°' 91, Ou. 92 CLINIQUE
MENTALE
. les perceptions sans les comprendre. Les hallu
Les hallucinations n'ac- compagneraient pas forcément la confusion
mentale
(Ve2,ivoi- q,e7zhell. C'est l'illusion qui lui
térieur. Mais il ne faut pas oublier les cas complexes de confusion
mentale
(amentia) avec manie, ayant été précédée de fol
lie systématique (paranoïa) dans lesquels, ce syndrome de confusion
mentale
cédant de nouveau, on voit se produire la systé
reils cas, désignés sous le nom d'ameiata'a, c'est-à-dire confusion
mentale
, avec stupeur. Wille en a donné des exemples tr
caractérisée par ceci que, dans le cours de délires avec confusion
mentale
(verzuorrene .Ce/M'e) ou délires diffus, il exi
matique chronique. Ils montrent aussi l'association de la confusion
mentale
à ces deux aspects de la folie systématique et
ant les caractères différentiels. Mayser propose -pour la confusion
mentale
'{ Verwirrtheit), ou la folie systématique aigu
on morale, ni sans réllexion préalables, il ne tend pas 94 CLINIQUE
MENTALE
. à rien expliquer comme dans la mélancolie ou l
une allure extrêmement aiguë, fougueuse, et engendrer une confusion
mentale
(Verwirrtheit) secondaire par leur énorme abond
tes. Les conceptions délirantes dominent, sans opposition, la vie
mentale
du malade ; aucune conception contradictoire ne
tôme que nous avons l'habitude de désigner sous le nom de confusion
mentale
générale (Allqemeine Verwirr- theit), auquel se
uit du travail intellectuel, tombés en désuétude. Quand 96 CLINIQUE
MENTALE
. l'obnubilation de la conscience est légère, le
n de la conscience s'accompagner de phénomènes d'excitation d'ordre
mental
, tels que concep- tions délirantes et hallucina
et hallucinations. Dans l'immense majorité des cas, cette confusion
mentale
(ou somniation avec obnubilation de la conscien
u- rasthénie. Il va de soi que, dans tous les cas où la confusion
mentale
est la phase ou le stade d'une psychose complexe,
oïa aiguë hallucinatoire. M. Werner sépare tout à fait la confusion
mentale
aiguë (acute Verwirrrtheit amentia de Meynert)
ur les raisons suivantes. « Les symptômes cardinaux de la confusion
mentale
sont, comme son nom l'indique, l'incohé- rence
chronique simple, une folie systématique secondaire, une confusion
mentale
pour les uns, indépendante de ce genre de délires
plus souvent peu à peu. Elle se Archives, t. XXIX. 7 98 CLINIQUE
MENTALE
. montre exclusivement chez les héréditaires et
Verrucktheit. « Nous voici arrivé, dit M. Kirchhoff, à la confusion
mentale
llalluci- natoire (acute hallucinalorische l'e)
de manie; quand celles-ci passent à l'état chronique, la confusion
mentale
, géné- ralement produite dès le début par les h
ystématisée dans la Vej ? iielitlteil. La Verwirrtheit ou confusion
mentale
, quelles que soient son origine et ses relations
et c'est pourquoi les auteurs ont décrit des accès de ! 00 CLINIQUE
MENTALE
. confusion mentale qu'ils ont divisés en deux g
auteurs ont décrit des accès de ! 00 CLINIQUE MENTALE. confusion
mentale
qu'ils ont divisés en deux groupes : l'un, dans
on des hallucinations. Tel est l'essai analytique de la confusion
mentale
et de ses rela- tions avec la folie systématiqu
n dans tous les cas est le thème exposé par M. Ziehen. La confusion
mentale
paraît en fait un simple accident de la paranoï
la. L'amentia aciita aurait pour symptômes cardinaux : la confusion
mentale
[Verwirrtheit), des troubles de la sensibilité
nsidérable à la période d'acmé delà maladie. Du reste, la confusion
mentale
généralisée (All.- gemeine Verwirrtheit) se mon
és et au con- traire la dissociation parlée et agie de la confusion
mentale
. (A suivre.) PATHOLOGIE NERVEUSE. D'UNE FOR
une ma- lade à hérédité nerveuse chargée (névropathie, aliénation
mentale
), ayant présenté une perte de connaissance hystér
une aberration et une cruauté qui ne peut qu'aggraver les désordres
mentaux
déjà existants. C'est aux mains des médecins qu
s comme les aliénés des déments aux yeux de la loi ? Si l'infirmité
mentale
du délinquatit-né était considérée comme une dé
ir comparaître devant les tribunaux des inculpés présentant un état
mental
douteux. Liemann, Kasper, Loran, Krafft-Ebing,
OEDÈME cérébral; par Georges-J. PRESTONM. D. (Journ. ofnervous and
mental
disease, août 1894.) L'oedème du cerveau suit l
omure et, depuis le 8 août 1893, elle n'a plus d'attaques. Son état
mental
s'est modifié; elle a récupéré la netteté et le
à suspendre l'opium, on constate de l'excitabilité, de la confusion
mentale
, de la pleurnicherie qui doivent être attribuées
ndant de reconnaître qu'à la période prodromique de toute maladie
mentale
, il y a un état sentimental particulier, mais il
oïa qu'il propose. Reste un point grave. Que penser de la confusion
mentale
(Ver- wirrtheit- amentia délire hallucinatoire
ptôme à tel autre. Ceci s'applique aussi bien au syndrome confusion
mentale
(Ver2viwzcngszustaad) aiguë des alcooliques qu'à
rien d'alcoolique. Evidemment le complexus morbide de la confusion
mentale
(amentia Verwirrtheit délire hallu- cinatoire)
huele, et Kroepelin attachent à chacun de ces mots, et la confusion
mentale
ou Verwirrtheit, ameuta de Meynert, Wille, Chas
evrions admettre une paranoïa hallucinatoire aiguë avec confu- sion
mentale
(Verwirrtheit) et une paronoïa hallucinatoire aig
(Verwirrtheit) et une paronoïa hallucinatoire aiguë sans confusion
mentale
. Il serait à désirer qu'on établit les élé- men
che Yerworrenlteit) de Fuerstner, elle-même adéquate à la confusion
mentale
( Verwirrtheit), de Wille, etc. MVI. Jastrowitz
olie intellectuelle aiguë dans lesquels il n'y a guère de confusion
mentale
, que les hallucinations soient actives (ce qui es
mbres inférieurs et légère parésie des membres supérieurs, débilité
mentale
très légère entrecoupée par de légers accès d'exc
M. Motet eut l'occasion d'être chargé par un magistrat de l'examen
mental
d'un inculpé. Son rapport ayant donné pleine sa
-experts près les tribunaux et de la Cour d'appel pour les maladies
mentales
. M. Motet a suivi sa voie avec une énergie pati
que toutes les grandes affaires de médecine légale, en alié- nation
mentale
. Il nous a indiqué lui-même sa façon de procéder
ne indépendance absolue et de ne me préoccuper jamais que de l'état
mental
de l'individu que j'exa- minais. De toutes les
ralysie générale ci double forme (Congrès international de Médecine
mentale
, 1878), etc. BIBLIOGRAPHIE. IX. Eludé sur la
intellectuelle des âges extrêmes de la vie; soit par la dépression
mentale
et l'irritabilité nerveuse acquises par tous le
vement exécuté par M. Keraval.' FAITS DIVERS. Congrès DE médecine
mentale
ET nerveuse. Le sixième Congrès annuel des alié
x, sous la présidence de M. le Dr Joffroy, professeur de pathologie
mentale
à la Faculté de Médecine de Paris. Le program
roïde et goitre exophtalmique ; rapporteur, M. Brissaud. Pathologie
mentale
: les psychoses de la vieillesse ; rapporteur,
rs texte. Bruxelles, 1891. Imprimerie Ilayez. CONGRÈS DE MÉDECINE
MENTALE
DE CLERMONT-FERRAND , Errata DU ? 92. Page 34
1392 ; folie qui dure trente ans. Forme des rémissions : confusion
mentale
, comme on pouvait s'y attendre par la nature in
is une présomption seulement. En effet les prodromes des maladies
mentales
sont généralement très peu accusés et il faut un
provoqué, alors que cet acte a été commis en dehors de tout trouble
mental
. Il est constant, en effet, que la secousse mor
le crime et la crainte du châtiment peuvent déterminer l'aliénation
mentale
. C'est donc dans l'examen direct que nous avons
té appelée sur Maumy, l'envoie comme présumé atteint d'alié- nation
mentale
à l'infirmerie spéciale du Dépôt, où nous avons p
lté pour nous la conviction suivante : Maumy simule l'aliéna- tioji
mentale
avec une persévérance et une obstination peu comm
e immédiate de l'affec- tion et de procurer la guérison. CLINIQUE
MENTALE
. LES DÉLIRES PLUS OU MOINS COHÉRENTS DÉSIGNÉS S
oute ' Voir Archives de Neurologie, n°' 94, 95, z. , 188 CLINIQUE
MENTALE
. équivoque. Mais il nous paraît préférable de r
cktbeil, Paranoïa, Verwirrtheit désignent des variétés d'aliénation
mentale
, sans lésions, ayant pour élé- ment symptomatiq
ristallisée, diffusion des éléments de systématisation, confu- sion
mentale
complète quoique elle-même imprégnée de bribes
it de savoir si cette division est légitime, si la dégéné- rescence
mentale
joue un rôle dans les psychoses ? S'il y a une
les psychoses ? S'il y a une folie caractérisant la dégénérescence
mentale
? S'il y a une folie systématique progressive à
génératif d'un délire chronique pur il faut envisager : < l'état
mental
du sujet, les syndromes épisodiques développés
mental du sujet, les syndromes épisodiques développés sur cet état
mental
, enfin l'évolution, l'allure particulière et le
Magnan concernant des faits exceptionnels (Christian) 190 CLINIQUE
MENTALE
. C'est aussi l'avis de M. Bail qui critique l'e
des dégénérés » méritent en effet, d'après lui, le nom de confusion
mentale
primitive. Il la définit : .« une forme de mala
oit être attribuée à l'épuisement rapide et brusque du 192 CLINIQUE
MENTALE
. système nerveux central (très souvent consécut
intoxication chronique. Elle me paraît mériter le nom de confusion
mentale
sous laquelle elle a été décrite en France, en
vations de Kahlbaum (catatonie cataleptiforme) sont de la confusion
mentale
ou Verwirrtheit. Il se réfère aussi aux travaux
matisés ayant pris naissance sur un terrain préparé, sur une unité
mentale
ayant subi préalablement des anomalies de dével
t Tonnini présentent la classification suivante : -. 194 CLINIQUE
MENTALE
. ' DE LA PARANOÏA. 195 quant à la paranoïa ai
ques, j'ai en vue : 40 d'appliquer à chaque forme de dérangement
mental
une dénomination définie; 2° de fournir une class
manières de voir. ' Kours psichiatrii. Moscou, 1893. 196 CLINIQUE
MENTALE
. PREMIÈRE CLASSE. DÉSORDRES PSYCHIQUES, SYMPT
ES, SYMPTOMATIQUES ET ÉPHÉMÈRES. DE LA PARANOÏA. 197 198 CLINIQUE
MENTALE
. - DE LA PARANOÏA. 199 Dans la grande majorit
nséquence, quand il débute, dans les premiers jours d'une confusion
mentale
asthénique, il est im- possible de dire si nous
'idées incorrectes; il en résulte des assemblages sem- 200 CLINIQUE
MENTALE
. blables à des idées fausses (superstitions, pr
u pour un état particulier pou- vant se joindre à diverses maladies
mentales
. Le dosage des éléments morbides qui nous occup
st par conséquent affirmé à chaque pas dans ce traité de pathologie
mentale
. La classifi- cation en représente nettement la
de par pendaison; par le D1' E. Régis, chargé du cours des maladies
mentales
à la Faculté de médecine de Bordeaux. (Ar- chiv
Je dois dire que cet événement n'eut aucune influence sur l'état
mental
du malade, dont le délire mélancolique et anxieux
tion était complète et les nerfs avaient été le REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 207 f siège d'un processus de régénération qui
de ruine avec des idées de culpabilité aux- 208 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. quelles vinrent s'ajouter des idées de non-exi
ici dans le sens de celui de « pathogénie n. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 209 Toutefois, M. Kovalewsky n'admet pas que l
es, et amélioration Archives, t. XXIX. 14 210 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. nette dans deux cas seulement. Jacobi confirme
galité ne portant que sur la partie antérieure. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 31l 1 En effet, dans la position naturelle des
cool, pouvait intervenir à son tour dans la production des troubles
mentaux
. L'alcool peut avoir terminé depuis long- temps
, faisant songer à un délire fébrile. Ce délire aigu avec confusion
mentale
, c'est la brusque intervention de l'auto- intox
délire à début brusque, apyrétique, à forme 12 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. maniaque, auquel conviendrait peut-être mieux
maniaque, auquel conviendrait peut-être mieux le nom de confu- sion
mentale
, n'était qu'un délire toxique secondaire à une lé
ace n'est plus dans un hôpital de traitement. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 213 II. L'édification de l'asile doit être dif
out en faveur de son hypothèse. On sait, en effet, que la confusion
mentale
, avec ou sans stupeur, accom- pagnée ou non d'h
rrhagique comme jouant le rôle de cause déterminante de l'affection
mentale
. Dans le premier cas, il s'agit d'une femme de
absurdes de satisfaction et de richesse. 214 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Cette malade qu'on aurait pu croire atteinte d
l'influence d'une prédisposition hérédilaire certaine, l'affection
mentale
a évolué prématurément vers la démence. E. B.
st peu active, le surmenage peu fréquent. E. B. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 218 XIV. NOTE SUR TROIS cas DE guérison, après
ces faits, dit M. Féré, c'est que le pro- 216 6 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. nostic des chocs moraux de l'enfance doit être
observations empruntées à la biblio- graphie. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 217 Conclusions : ioll y a folie induite qua
e jusqu'alors psychiquement saines; 2° la transmission d'un trouble
mental
par contagion est un phénomène relativement rar
stitue le principal facteur étiologique pour la genèse d'un trouble
mental
induit.; 6° les éléments étiologiques qui favor
brale) ; la ressemblance psychique avant la maladie ; l'harmonie
mentale
; l'intimité de la vie en commun dans l'isolement
inée ; 7° le phénomène psychologique de l'implantation d'un trouble
mental
provient de l'imitation en vertu d'une impulsion
topsie nous fournira la certitude. P. K. 218 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XXI. LES hallucinations ET LE dédoublement DE
ombre de ces persécutés n'en ont même jamais. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 219 C. A côté de la forme précédente à laquell
la base fondamentale de la personnalité. 220 0 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. A mesure que la maladie progresse, les trouble
aire de leur demander un avis. M. Garnier appelé à constater l'état
mental
d'un sieur B..., inculpé de tentative de meurtr
endit, sans hésitation, une ordonnance de non-lieu basée sur l'état
mental
de B... ; celui-ci fut placé dans un asile. Jus
e de cet interrogatoire, commit le D''Magnan pour examiner son état
mental
. L'éminent aliéniste de Sainte-Anne conclut que
i a affirmé qu'au- cun des hommes de l'art appelé à examiner l'état
mental
de l'in- terné n'était allé jusqu'à dire affirm
ersistent à vouloir tran- cher eux-mêmes les questions d'aliénation
mentale
au lieu de conformer leurs décisions aux avis m
rapporteurs. M. Beyer. Contribution à la pathologie de la confusion
mentale
(Vg)'tt)on'Ë ? t6t<) hallucinatoire aiguë. C
ar rapport aux autres modalités morbides, d'en séparer la confusion
mentale
. (Vermorrtheit) symptomatique et de traiter de
chapitres : épilepsie,' alcoolisme, etc. Sous le titre de confusion
mentale
(Verwirrtheit) idiopathique, ou amentict au sens
c'est-à-dire à un age de la vie où la forme typique de la confusion
mentale
(Ve7,wo7-i-enheit) parait manquer. On ne constate
ines. Tous les symptômes sont moins prononcés que dans la confusion
mentale
(Verworrenheit) typique. De temps en temps les
De temps en temps les hallucinations font défaut, mais la confusion
mentale
(Verwirrtheit) subsiste; fréquemment les malade
sixième et la huitième semaine qui suit l'explosion de la confusion
mentale
(Verwirrtheit). Diagnostic différentiel. On c
folie systématique aiguë (paranoia acuia) que dans la confu- sion
mentale
(Yerworrenlceil). On ne saurait penser à une fo
dont il a été question. Comment distinguer cette forme de confusion
mentale
halluci- natoire aiguë de celle qui a été décri
s pour décider de la justifi- cation de l'existence de la confusion
mentale
hallucinatoire aiguë de ménopause, ainsi que de
s, il est plus malaisé d'établir le diagnostic. Dans la confusion
mentale
idéopathique ou amenda, le rôle proéminent des
le une observation d'urémie suraiguë caractérisée par une contusion
mentale
grave avec hallucinations terrifiantes, agitati
ssi bien dans la mélancolie que dans les autres formes d'aliénation
mentale
. Suivant que ces idées délirantes seront ou non
tion, dans la folie systématisée hypocondriaque et dans la débilité
mentale
, où il se montre encore plus ou moins systémati
ilité, dans les lésions cérébrales circonscrites, dans la confusion
mentale
primitive, le délire fébrile, l'alcoolisme, la
stématisés, lesquels peuvent se rencontrer dans d'autres affections
mentales
que la mélancolie. * Les idées de négation, d
Pierret et dans les nombreux travaux de ses élèves. L'aliénation
mentale
est une maladie du corps et non une maladie de
s somatiques les symptômes intellectuels Envi- sager les phénomènes
mentaux
en dehors de tous les autres signes organiques
vue physique, délaissant presque complètement la forme d'aliénation
mentale
. De cette recherche découle le traitement; et l
es agrandir, cela tient, non pas à la pro- gression de l'aliénation
mentale
, mais à ce que les malades affluent dans les as
inscriptions, et voulant se consacrer à la spécialité des maladies
mentales
, 1,200 fr. par an et les avantages en nature.
e permet d'affirmer ou non la fin d'une série d'accès ou de trouble
mental
consécutif. Chaque fois qu'un épileptique est e
est des accès isolés et des accès sériels qui entraînent un trouble
mental
consécutif d'une durée et d'une intensité va- r
velles crises survenaient dans le premier cas, ici c'est le trouble
mental
qui s'établit. La langue devrait donc rester da
C'est ce que l'on constate invariablement; tant que dure le trouble
mental
, l'état saburral persiste et il augmente s'il d
nce à devenir meilleure, et c'est l'indice certain que le trouble
mental
touche à sa fin. Chaque jour la langue se rapproc
e quelle que soit sa nature ou sa forme, vertiges, accès, trouble
mental
ou accidents larvés, est annoncée et accompagnée
, tantôt avant l'accès, tantôt pendant la série, pendant le trouble
mental
et, enfin, quand les accidents viennent de disp
ielle. Jamais ils ne manquent, pen- dan t toute la durée du trouble
mental
, augmentant si un nouvel accès doit survenir, e
e lorsque la série est réellement achevée. - Au Congrès de~médecine
mentale
tenu en août 1893, à la Rochelle, la question d
eille et celles du sommeil. Or, chez les 1 Voir Congrès de médecine
mentale
à La Rochelle, 1893. Jules. Voisin et Raymond P
a totalité des'vingt-quatre heures. En outre, lorsqu'il y a trouble
mental
consécutif aux accès ou agitation maniaque, le
a inversion des phosphates. (Analyse suivante). , 274 CLINIQUE j
MENTALE
. se,présente,sous,forme d'un magma ou dune poud
4 1 ? j , .4 , 1 ? , é 1 1 Il 1 1 1 J, , 1 , e i lm) r,j .CLINIQUE-
MENTALE
^ . 1 t ? i-ia I.. i i - 1 , 1 h » ..., , ,i .
lie aiguë (Parchappe), syndrome épisodique de la dégénéres- cence
mentale
. Ce n'est pas que ces vocables résolvent la que
, quia pour caractère apparent une manifestation symp- 276 CLINIQUE
MENTALE
. tomalique suraiguë.' Nous y rencontrons un nou
ouvel élément, sous la donnée, qui n'est pas neuve, de la confusion
mentale
plus ou moins vive; ou Verwirrtheit.' Qu'il s'a
e la folie systématique moins cohérente (Wahnsinn); de la confusion
mentale
(Verwirrtheit). Ces symptômes sont : les idées
rvir de boussole pour distinguer DE LA PARANOÏA. 277 la confusion
mentale
(Verwirrtheit. amentia) des deux autres types,
tion) dans les deux autres, et que, si, sous le nom de confu- sion
mentale
primitive (Chasiinj, elle semble réaliser une ma-
ion mentale primitive (Chasiinj, elle semble réaliser une ma- ladie
mentale
indépendante, on ne tarde pas à reconnaître que
L'étiologie est elle-même en défaut, car il n'est pas de ma- ladie
mentale
dans laquelle on n'ait constaté les causes de d
et psychique que l'on accuse d'être les créatrices de la confusion
mentale
, par exemple. Toutefois, il paraît légitime de
nsécutif à cette altération intellectuelle; 3° un élat de confusion
mentale
susceptible aussi bien de se montrer seul que s
omine, et, avec elle, le plus ordinairement déjà, ij2.18 8 CLINIQUE
MENTALE
. .,une incohérence obnubilant'la conscience, au
ant'la conscience, au plus 'haut point tttroublée dans la,confusion
mentale
(Verwirrtheit). bnw )b4 ,1-e, Parallèlement ? 1
ière- enfance ; s elles ont, créé unjétattmental spécial..Cet, état
mental
( est-il grossier et témoigne-t-il d'un arrêt de
ne-t-il d'un arrêt de, développement, ili s'a'p- 8, pelle débilité,
mentale
, imbécillité, idiotie;. est"-ilpsychopa- thique
ité, idiotie;. est"-ilpsychopa- thique, il devient de l'instabilité
mentale
, deladésequi)ibra- tion intellectuelle, on alor
es, ou, svndrômes, épiso- - , diques,"sôrtes ,d'accès d'ali;énâtiôn
mentale
à, modalités (fort variables, comprenant l'obse
la paranoïa aiguë, en un mot, compliquée, . au besoin, de confusion
mentale
aiguë hallucinatoire. Le délire chronique,, au
,lidiq'uez par exemple : épi- sode syndromique de la/dégénérescence
mentale
;ou, rentrant - ).dans le cadrer,de Chaslin : =c
nce mentale;ou, rentrant - ).dans le cadrer,de Chaslin : =confusion
mentale
.-aiguë) primitive. » ' Si 'vous' êtes^én'"1 pr
aigu que l'on paraît vou- loir aujourd'hui rattacher à la confusion
mentale
et'dont on repousse l'origine' microbienne' prô
iner'la notion du délire chronique de Magnan ? " " ' ' 280 CLINIQUE
MENTALE
. .L'étude de la bibliographie démontre que les
ve (acide p)'z;KOE;'e Yezwücktheit) de ? estpbal et de la confusion
mentale
hallucinatoire (hatlucinatorische Ve7-ivi ? ,i,-
ttachables à celles-ci, tandis qu'il place dans les dégénérescences
mentales
justement les formes chroniques, c'est-à- dire
ieurs années, et ne se construit pas sur un, fond de dégénérescence
mentale
, mais la marche en est très variable. L'évolu
, conformément à la théorie de Magnan, ne rattache pas la confusion
mentale
au délire des héréditaires dégénérés, et suit e
lin), un trouble partiel de la conscience ou une espèce d'infirmité
mentale
empêchant le malade de recti- fier ses erreurs
a forme aiguë : Elle serait au demeurant la Verwirrtheit (confusion
mentale
) susceptible d'apparaître aussi dans la folie-
allucina- toire (hallucinaloî,ischeî, Wa ? ? si21n) de la confusion
mentale
hallucinatoire (hallucinalorische Ver2virrtheit
s systématiques diffuses (Scholz), ou, suivant le cas, de confusion
mentale
générale (allgemeine Verwirrtheit). La même c
ion mentale générale (allgemeine Verwirrtheit). La même confusion
mentale
généralisée est, ajoutent-ils, capable de se pr
ormes aiguës' de trouble paranoïque fquand il dit que'la'confusion'
mentale
,' tantôt' épisddiqué, tan- " tôt à l'état d'acc
le délire aigu, c'est de la veî,2,iiektheit primcere avec confusion
mentale
(verwirrtheit) intercurrente. Il en, résulte qu
ou Verrùcktheit aboutira la genèse classique du syndrome confusion
mentale
( Tjerzvirrtheit). On nous accordera volontiers
on éclectique, ,en, attendant qu'on .),ait appliqué à la pathologie
mentale
, le. principe, de. la subor- dination des, cara
ie correspo,ndant,à,,la,,vâriété.desllésiols., Depuis, 284 CLINIQUE
mentale
. on a pu déterminer cliniquement et microscopiq
nde M. Cramer, un groupe paranoïa, qui embrasse toutes les maladies
mentales
à idées- systématisées, plus ou moms coordonnée
qui permettent de distinguer le groupe paranoïa des autres maladies
mentales
. S'il est accordé que, de même que le mal de Br
s sans intérêt de séparer nettement la paranoïa des autres maladies
mentales
de môme que la pléiade symptomatique du mal de
tes d'un système mieux coordonné imputable soit à la dégénérescence
mentale
, soit à toute autre cause, il y a souvent matiè
il faut encore faire la part de l'hérédité ou de la dégénérescence
mentale
, suivant les goûts. Cette part peut se faire as
ceux qui tiennent le délirium tremens subaigu pour de la confusion
mentale
et le délirium tremens grave pour une forme sur
e et le délirium tremens grave pour une forme suraiguë de confusion
mentale
. On peut accuser de ces derniers phénomènes les
) ou que le délire aigu, expres- sion la plus aiguë de la confusion
mentale
ou paranoïa aiguë, est fonction d'une lésion or
me que de celles de la manie et de la mélancolie. 386 t» CLINIQUE.}
MENTALE
.* r De même, également que les maladies ordinai
manie furieuse, qu'il n'est guère facile de séparer de la confusion
mentale
(Vecve) ? dit encore que les cas les plus carac
secondaires,' tandis que la mé'21 lancolie et la' manie; affections
mentales
caractérisées par des* ° anomalies de'l'humeur;
tes' et lucmatioiis.1'' ' '" '' "'constantes. ' ? '' 288 CLINIQUE
MENTALE
. PARANOÏAS .mélancolie manie Fureur raisonnée
s : PSYCHOSES FONCTIONNELLES SIMPLES. (3 GROUPES.) 290 CLINIQUE
MENTALE
. BIBLIOGRAPHIE. «ESTPIL1L. Allgemeine Zeitsch
p. 65. MoREL. Etudes cliniques, 1852. MOREL. Traité des maladies
mentales
, 1860. Fo1'ILLE. Elude clinique sur la folie av
MARANDON DE 111OTYEL. - Ibid., II, p. 261. CIIASLLN . La confusion
mentale
primitive. (Annales médico- psycholog., série ]
p. 169, et mars, p. 305.) DAGONET. De la stupeur dans les maladies
mentales
. (Annales médico-psychologiq., 1872, t. VII, p.
nées en s'affaiblissant de plus en plus au point de vue physique et
mental
. A l'autopsie, on trouva une tumeur occupant l'
vicale, on voit les racines antérieures se réu- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 309 nir en trousseaux compacts dans l'intérieu
ter une autre affection. Figures. P. Keraval. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XXII. Les états affectifs ET la mémoire; leçon
ns que M. Ribot essaye de résoudre. Il y a 310 REVUE 'DE PATHOLOGIE
MENTALE
? deux formes distinctes'de mémoire : la mémoir
R DES, signes DE dégénérescence ' ' DANS. D'ÉTUDE D E,s' 1 maladies
mentales
; par e')) j\ 1ECEE.y., 1 . . ' Les stigmates mo
igmates.pourront fournir .quelque indice, quel- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
, i 311 que appui au diagnostic : un homme qui p
dégénérescence sera toujours suspect pour ce qui concerne son état
mental
, nerveux ou moral; il pourra devenir plus facile-
iaire ou d'erreur dans le diagnostic et dans le pronostic de l'état
mental
et moral des malades. (The alie- nist and 22eu7
cessairement contaminés, et l'on peut dire, 312 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ' tout au moins, que pour produire leurs'néfas
ée, s'il a une tendance aux mala- dies nerveuses et à l'instabilité
mentale
; il en est de même de la bière, du vin; du thé
ducation est un puissant moyen de traitement de l'affaiblis- sement
mental
ou moral; quelques enfants, il est vrai, malgré l
ue et auatomo-pathologique des troubles va : o- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 313 moteurs et trophiques qu'on observe aux di
merican jozt;-nai of insaiiity, 1894.) , t E. B. XXVII. CONFUSION
mentale
; par le Dr `VOIlCESTER. r L'auteur en donne ave
énérale, sans trouble émotionnel, avec abattement marqué du pouvoir
mental
, accompagné souvent d'hallucinations et d'excit
us les autres troubles men- taux sont subordonnés, est la confusion
mentale
, l'égarement : il existe un affaissement de l'a
de manie devraient, d'après l'auteur, être rapportés à la confusion
mentale
. Il y a, du reste, deux sortes de cas où on peu
itable affaissement de l'intelligence, ce sont les cas de confusion
mentale
.- Il existe de même' une distinction nette' ent
de même' une distinction nette' entre la mélancolie et la confusion
mentale
: le désordre mental dans la mélancolie est pri-'
on nette' entre la mélancolie et la confusion mentale : le désordre
mental
dans la mélancolie est pri-' mitivement émotion
de la plu-1 part des facultés intellectuelles; lorsque la confusion
mentale
revêt une forme mélancolique, c'estàla suite d'
mélancolie avec stupeur ne sont en réalité que des cas de confusion
mentale
. * En somme, sous le nom de confusion mentale,'
des cas de confusion mentale. * En somme, sous le nom de confusion
mentale
,' l'auteur décrit un' groupe de symptômes qui p
anition, par exemple, présentent parfois les signes de la confusion
mentale
; mais l'en- semble symptomatique de la confusio
confusion mentale; mais l'en- semble symptomatique de la confusion
mentale
est assez net pour' en faire une entité morbide
des tlSSUS...'IW r c ,' là,. j 1> N 4 ( ? j REVUE,DE PATHOLOGIE
MENTALE
. t 315 ,Chaque individu naît avec une certaine
nque de coordination dans les manifestations de toutes les facultés
mentales
. L'auteur, à ce propos, passe ensuite en revue
st une étude intéressante pour le médecin; et la folie, la débilité
mentale
se rencontrent si fré-- quemment chez lui qu'il
nière générale;'ce ' sont des types simples de>folie; le trouble
mental
le plus commun est une forme tranquille, subaigûë
e, et souvent est associée'à.un arrêt de. développement physique ou
mental
: ' ' - "Ce qui : rend ces aliénés' criminels '
tion et l'intempérance. »' *-'> ' 1- j 1 316 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Mais que faire de ces aliénés criminels, au bo
place'en prison, le régime'cellulaire affaiblit encore leur pouvoir
mental
; mis en liberté, ils deviennent des réci- divis
f insa- ,nity, 1894.) E. B. XXX. Jurys d'examen pour l'aliénation
mentale
; par le Dr Stearus. Les conclusions de l'auteur
vices que pourront rendre les con-' seils déjuges pour l'aliénation
mentale
. (American journal of insa-' azity, 1894.) E. B
e malade ne trouve plus sa chambre), perte de la mémoire, confusion
mentale
, désordre dans les idées, em- barras de la paro
, l'attention sur les malades atteints de la plus extrême confusion
mentale
en parlant (Verwirrtheit irn Retleil) avec parf
te dissociation dans le discours ne correspond point à la confuston
mentale
vraie, au désordre des actes et des idées. Elle
de suicide ou de, mutilation. Comme dans la plupart des affections
mentales
puerpérales, elle présentait la complication sy
alheureuse femme, qui ne jouit plus de la plénitude de ses facultés
mentales
, s'est jetée dans le puits d'où elle a été retiré
rican Journal of lhe Médical Sciences. CHASUX (PU-). La confusion
mentale
primitive (stupidité, démence aigué, stupeur pr
Leçons sur l'hystérie, 1891, t. I, p. 98. 2 Pierre Janet. Stigmates
mentaux
des hystériques, 1893, p. 73. ' Sigm. Freud. Pa
forme hystérique. Les idées fixes constituent dans la pathologie
mentale
un véritable chaos, et la plupart des classificat
el également .. ' ' 0 ? tl,·rq 1 Op. cil., p. 1't(i, et Stigmates
mentaux
des hystériques, p. 76. , 2 Op. cit., p. 115. 5
51-il~ôr . noimiiqt Il ajoute que pendant l'agitation et le trouble
mental
, la . " * *- . r ,)< ? < T-.1R 't)'< ?
es moteurs du côté des or- ganes de la phonation et de la confusion
mentale
. Troubles de la H ! o< ! 7<<e. Des tro
mais les régions anesthésiées persistèrent et ont persisté. Etat
mental
du blessé.-Pendant les quinze premiersjours, asso
ge, le vert et le bleu). Le blessé est devenu très gras. Son état
mental
présentait quelques particularités intéressantes
e l'ennuyer REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 385 pour cela. Cet état
mental
s'accuse de plus en plus, d'abord il n'y avait
ans, morte à Charing Cross Hospital. " ' ' 388 .REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. . La moelle entière fut examinée ; d'après les
une origine vasculaire et interstitielle. A. M. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XXXII. La perversion DE la sensation sexuelle ;
ous le double point de vue moral et physique, - REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 389 comme objet de p ! aisir sexuel. Il est do
uteur conclut à l'hystérie. P. K. XXXIV. DES formes DE l'aliénation
mentale
QUI ONT déterminé LES procès DE sorcellerie; pa
victimes et les auteurs des procès de sorcellerie. Quelles maladies
mentales
ont occasionné les procès des sorciers. Voyons le
uicide ; il y a d'autres mélancoliques con- 390 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. damnées pour accointance avec le diable et que
ions, la plupart avec autopsies. Analyse de l'ensemble des maladies
mentales
étu- diées à l'asile de Lappviks de 1875-1892,
nature syphilitique spécifique. - P. IERAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. - 391 XXXVI. Contribution A la PSYCHOLOGIE DE
ne névrose; l'amoureux, un dégénéré. , .. 392 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 3° L'homosexualité. En tous temps et chez tous
rleur propresexe. Un bel homme fait à l'urninge REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 393 le même effet psychique et physique qu'une
les de se modifier. P. Keraval. XXXVII. INFLUENCE DE l'aliénation
mentale
sur LE ùI0LIiEN mens- TRUEL; par A. Scuoefer. (
de vue 263 aliénées se répartissant en : 394 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. choses intellectuelles aiguës et des psychoses
du maximum vespéral et apparition de nombreuses REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 395 ascensions accessoires, notamment forte ex
rande incohérence, peut-être aussi des maintes formes de débilité
mentale
congénitale et acquise ; 10° différences hémilaté
x magistrats, sinon une compétence absolue en matière de maladies
mentales
, du moins le pouvoir de libérer d'office des mala
démontrer l'incompétence de la magistrature en matière d'aliénation
mentale
. Nous pourrions ensuite, ajoute-t-il, faire un
ui doit revenir au magistrat seul. Supposez qu'au lieu d'aliénation
mentale
, il s'agisse d'un traumastisme et vous comprendre
intérêts généraux en matière d'interdiction pour cause d'aliénation
mentale
, ne jugea pas à propos de provoquer un jugement
XIX. 26 402 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. LIEBiANN. Cleorée et aliénation
mentale
. M. TnoMSEN. Elude clinique sur l'obsession. Ci
ychiat., LI, 3.) P. KERAVAL. BIBLIOGRAPHIE. XVIII. La Confusion
mentale
primitive ; par le Dr Chaslin. Paris, 1895; Ass
. Le Dr Ph. Chaslin vient de publier sous le titre : La Confusion
mentale
, une monographie des plus intéressantes, qui ne p
on des médecins qui se livrent spécialement 'à l'étude des maladies
mentales
. Ce travail a nécessité de la part de l'auteur
n est entourée. - La stupeur, démence aiguë d'Esquirol, « confusion
mentale
», constitué en effet une des formes complexes
riables, mais reposant en définitive sur un même état, la confusion
mentale
, c'est-à-dire l'affaiblissement plus ou moins d
l on retrouve des symptômes souvent caractéristiques de l'affection
mentale
antérieure; la confu- sion mentale détermine en
caractéristiques de l'affection mentale antérieure; la confu- sion
mentale
détermine en outre dans le système nerveux des
verses intoxications, etc., reposant sur le même fond, la confusion
mentale
, l'obscurcissement intellectuel et l'automatisme
cine (mai et juin 189). Ce der- nier auteur distingue une confusion
mentale
secondaire, une symptomatique, une autre épisod
elle le symptôme psychique prédominant et primitif est la confusion
mentale
, idiopathique dans un cas, symptomatique dans l
expose d'une ma- nière succincte la symplomatologie de la confusion
mentale
primi- tive idiopathique. L'attitude du malade
les autres formes d'aulres particularités, tantôt, c'est le trouble
mental
qui prédomine dans le tableau clinique, la conf
nitive le symptôme confusion se présente dans une série de troubles
mentaux
les plus différents. 11 peut se présenter primi
aux aliénés ; par Samuel-B. LyoN M. D. (The Jouî-n. of neruous and
mental
diseases, août 1894.) J.-B. C. XI. L'ENSEIGNE
d'une force et d'une hauteur variables selon la nature des maladies
mentales
hospitalisées dans les sections, sera planté d'
lades tous les après-midi et les promener au dehors quand leur état
mental
le permet; je considère ces relations fréquente
issance à l'épi- lepsie, et l'on verrait ensuite paraître les états
mentaux
, les vésanies, l'idiotie, et finalement comme d
1884). » Jules Voisin. L'idiotie (1893). 0 Echeverria. Journal o/
mental
science, october 1880. 438 PHYSIOLOGIE patholog
té maternel est plus fréquente, comme cela existe pour les maladies
mentales
. D'ailleurs, les expériences de Brown-Séquard '
es rendus, mars 1882.) * Luciani. Archivio italiano per le maieilie
mentale
, p. 208, 1881. * Voir A. Voisin. De la consangu
l'ivresse au moment du coït sur le produit de la conception. L'état
mental
des parents au moment de la conception joue du
u moins longtemps, et qui peut être suivie d'une période de trouble
mental
ou d'agitation d'une durée variable. Mais, quan
s où les attaques se présentent en série et sont suivies de trouble
mental
, de folie épileptique. Pendant tout le temps qu
ie pourront varier, les accès remplaceront les verliges, le trouble
mental
succédera aux accès, il y aura de l'agitation,
icité persiste pen- dant toute la durée des accidents convulsifs ou
mentaux
. Au contraire, l'urine qui est émise après la f
état saburral commence à dispa- ' Jules Voisin. Congrès de médecine
mentale
, La Roclielle, 1893. Archives, t. XXIX. 29 45
présenter de délire, d'autres, au contraire, présentent du trouble
mental
et de l'ivresse, après l'absorption d'une très mi
s expériences au point de vue théra- peutique surtout en pathologie
mentale
. Cependant, il faut se défier, car certaines pa
rie. Dr L.-R. Régnier. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. XIV. LES symptômes
mentaux
DU MYXOEDÈME ET l'influence exercée sur eux par
par LE traitement thyroïdien; par T.-S. CLOUSTON. (Tite Journal of
mental
Science, janvier 1894.) Après avoir rappelé la
nvier 1894.) Après avoir rappelé la grande variabilité des troubles
mentaux
qui accompagnent le myxoedème l'auteur indique
e, dans les cas qu'il a observés, la marche générale de l'affection
mentale
a été à peu près la suivante : d'abord ralentis
tude, hébétude, aboutissant au moment de la mort à l'anéantissement
mental
. En ce qui louche le traitement thyroïdien l'au
t administré, la maladie datait de cinq ans au moins : les troubles
mentaux
suffisamment caracté- risés pour constituer la
ure et dimi- nution du poids. Chez toutes deux aussi l'amélioration
mentale
fut manifeste avant la fin du premier mois. Apr
nt à interpréter la manière dont le myxoe- dème agit sur l'activité
mentale
de l'écorce cérébrale ne pourra être considérée
tient pas- compte de la merveilleuse accélération du développement
mental
et trophique qui succède à l'emploi de la médic
s du chanvre ET la folie ; par J.-H. TULL Walsii. (1'Ize Journal of
mental
Science, janvier 1894.) Les conclusions de l'au
diopathique ou hystéro-épilepsie), par la puissance de l'impression
mentale
produite sur le malade : cette vérité est depui
TS DE l'alimentation thyroïdienne DANS QUELQUES FORMES D'ALIÉNATION
MENTALE
; par LE'1S-C. PRUCE. . (Tlae Jo2clnal of mental
ORMES D'ALIÉNATION MENTALE; par LE'1S-C. PRUCE. . (Tlae Jo2clnal of
mental
science, janvier 1895.) Les conclusions de l'au
des prépa- rations thyroïdiennes dans le traitement de l'aliénation
mentale
présente un certain danger par suite de la faib
st enrichi d'un nouveau et précieux moyen de combattre l'aliénation
mentale
. R. DE MUSGRA\E CLAY. XXI. DE l'importance DE
: à savoir que l'auteur range dans le cadre de la dégénérescence
mentale
caractérisée essentiellement par la « convulsibil
e fait, que dans la plupart des universités, l'étude des ma- ladies
mentales
est obligatoire. Telle est en peu de mots la su
huit années, le Dr Hack Tuke se chargea de l'édition du Joui-nal of
mental
science, et il ne recula devant .au- cune fatig
Les services des asiles sont, à toule heure, la scène d'un conflit
mental
; d'une part, l'usure atroce, la détérioration fai
ou indifférentu de l'esprit sain sur l'esprit malade. Des désordres
mentaux
ou physiques ne sont pas rares dans le per- son
t rétablissement, tant au point de vue physique, qu'au point de vue
mental
et moral : moins de médicaments mais une meille
suite au rapport de Francis Warner sur les conditions physiques et
mentales
des enfants des écoles. Sur 50,000 enfants ayan
coles de 1892 à 1894, 101 ont été reconnus «arriérés » par débilité
mentale
congénitale. Mais, en outre, si l'on compte les
des enfants et de les classer par un examen approfondi physique et
mental
. L'état de la nutrition générale et l'hygiène a
LES endroits qui CONVIENNENT le mieux au traitement DE l'aliénation
mentale
; parjosephj. O'Go.4- NELL. (The New-York Médica
tion de l' -, par Smith, 225. Aliénation, jury d'examen pour 1'
mentale
, par Stearns, 316. Aliénés, progrès dans les so
les bains élec- trcstattyues, llar Réânier, 380; - et aliénation
mentale
, par Lieb- mann, 402. Cliniques psychiatrique
: d'épileptiques en Angleterre, par A. Marie, 157. 0 Confusion
mentale
hallucinatoire aigué, par Iluyer, 230; - par
s de la -, par Ribot, 309. Menstruel, influence de l'aliénation
mentale
sur le molimeu -, par Sclioeffer, 393. · "' ^
par la glande thy- roïde de mouton, par Ayres, 43 ; les symptômes
mentaux
du et l'influence exercée sur eux par le trai
de Berlin, par Iieraval, 137. Sorcellerie, formes d'aliénation
mentale
qui ont déterminé les procès de -, 1ar Snell, 3
ES DE Il NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
Fondiïiï par J.-M. CHARCOT PUH A. JOFFROY
CHARCOT PUH A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies
mentales
a la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNA
bout des pieds'; des mouvements correspondants à la représentation
mentale
voulue. En appréciant ce nouveau traitement de
. 1n-4° de 82 pages. FAURE (E.). Dit sérum artificiel en aliénation
mentale
. In-4° de 114 pages. Guérinot (A.). Recherches
de médecine a tenu, en effet à assurer l'enseignement des maladies
mentales
par la création d'une cli- nique spéciale. Sur
sent. Grâce à cette décentralisation de l'enseignement des maladies
mentales
, chaque province bénéficie de l'activité d'un c
ongtemps on s'est préoccupé de l'enseignement clinique des maladies
mentales
dans les universités allemandes. Cinq universit
l'histoire du développement de l'enseignement clinique des maladies
mentales
dans les universités allemandes : l'une antérie
dans lesquelles était donné jusqu'alors l'enseignement des maladies
mentales
. A l'époque où Griesinger commença d'exposer se
nieke, Kraepelin, Ziehen. 2 La création de la clinique des maladies
mentales
à la faculté de Paris ne remonte âu8re au delà
chiffre aussi considérable (cent) d'aliénés. » (Traité des maladies
mentales
, p. 578.) . Un pavillon spécial avec salle de s
'. Pourquoi faut-il que, si fréquemment, l'histoire de la médecine
mentale
nous montre les réformes réclamées par les maît
e la maladie que dans la première. » (Esquirol. Traité des maladies
mentales
, 1.11, p. 404. Paris, 1838.) ' Griesinger. Weit
ue, montre par le fait même qu'il tient l'enseignement des maladies
mentales
pour peu important et l'étudiant, par suite, es
et aux magistrats des médecins ayant quelques notions des maladies
mentales
. 2° La clinique de psychiatrie doit être assimi
onséquence la fondation d'établissements de traitement des maladies
mentales
. Combattus avec âpreté par la plupart des alién
ions (1894-99), sur le repos au lit dans le traitement des maladies
mentales
, n'hésitant pas à affirmer que ce procédé était
Il oct. 1899. Travail et alitement dans le traitement des maladies
mentales
. Arch. Neurologie, déc. 1899. 40 . - ENSEIGNE
. Arch. Neurologie, déc. 1899. 40 . - ENSEIGNEMENT. - symptômes
mentaux
bénéficient largement du repos. Citons rapi- de
re de l'importance des ' Voir le Bulletin de la Société de médecine
mentale
de Belgique, n, 85, juin 1897, p. 144, et tirag
ses conférences. Il possède aussi la plupart des types des maladies
mentales
et nerveuses et sa collection s'en- richit tous
faisant fonction de cliniques psychiatriques. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. I. Quelques remarques nouvelles sur les rappor
les rapports du diabète (y compris la glycosurie) avec l'aliénation
mentale
; par Hubert- C. Bond. ( ? 71e Journal of Menta
avec l'aliénation mentale ; par Hubert- C. Bond. ( ? 71e Journal of
Mental
Science, avril 1897.) Ce travail est la continu
ifier les conclusions. R. M. C. Il. Les guérisons dans les maladies
mentales
; par J. G. SouTAR. (1'he Journal, of Mental Sc
ns dans les maladies mentales ; par J. G. SouTAR. (1'he Journal, of
Mental
Science, juillet 1897.) Pendant la période de c
ories : 1° ceux qui ont promptement donné des signes de dérangement
mental
, ou qui, en d'autres termes, n'étaient pas guér
° ceux qui après leur sortie ont donné des signes d'affaiblissement
mental
ou de bizarrerie, leur permettant de continuer
an au moins après leur sortie n'ont donné aucun signe de trouble
mental
et ont repris à la fois leur place dans la sociét
; pertes, dont deux paraissent avoir été des 46 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. fausses couches ; douleurs de tête, quelquefoi
hémorragies qui se produisent à l'intérieur ou REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. · 47 autour de sa substance ; il est probable
e Musgrave-Clay. IV. Quelques cas tirés de la pratique des maladies
mentales
, par H.-J. iIAN : 11NG. (7'/te Journal of Menta
que des maladies mentales, par H.-J. iIAN : 11NG. (7'/te Journal of
Mental
science, avril 1897.) Ce travail se compose de
ingt ans : en 1894, paralysie faciale passagère suivie d'excitation
mentale
et de violences de caractère : tout cela passe, m
s avoir commis inconsciemment. Il demande sa 48 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. sortie qui lui estaccordée; actuellement, il e
chez des femmes. R. M. C. V. L'habitude considérée comme un état
mental
morbide et son traitement; parW. Henry KE5TEVEN
l morbide et son traitement; parW. Henry KE5TEVEN. (Tlte Journal of
Mental
Science, juillet 1897.) ' L'auteur définit l'
A un moment de la vie de l'animal ou de ses as- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 49 cendants, ces actions ont été intentionnell
vie. Mais ces faits ont un intérêt encore supérieur au point de vue
mental
, quand on y cherche un moyen de jeter quelque lum
moyen de jeter quelque lumière sur ce que l'on appelle les maladies
mentales
. Il est évident qu'il y a des habitudes et des
, ne présente aucun signe de maladie nerveuse. Dans chaque région
mentale
, on peut observer des habitudes de pensée qui s
habitudes peuvent avoir des résultats anormaux soit physiques soit
mentaux
. Si bonne que soit une habitude mentale, sa prédo
normaux soit physiques soit mentaux. Si bonne que soit une habitude
mentale
, sa prédo- minance a un effet fâcheux sur l'ens
ces pour qu'elles deviennent prépondérantes et plus notre puissance
mentale
s'ac- croît. L'habitude n'est donc pas un état
r sur une idée Archives, 2 série, t. XI. 4 50 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. sans la comparer ne peut pas être avantageuse
abitudes apparentes et objectives, il y a le groupe des habi- tudes
mentales
, qui pour être de nature subjective et peut-être
encontrent dans les processus complexes du rai- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. SI sonnement. L'auteur poursuit l'étude de ce
a- lyse ; et il conclut ce paragraphe en disant que les habitudes
mentales
qui produisent des folies objectives ayant trait
habitudes, comme d'ailleurs au fond de presque toutes les habitudes
mentales
morbides, on trouve l'égoïsme; c'est lui qui est
tement des fractures en général, par J.-F. l3mscoE. (The journal of
Mental
Science, janvier 1898.) L'observation ne prés
à des sujets dépourvus de raison. R. M.-C. 52 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. VII. Un cas de concussion du cerveau simulant
mmencé avant l'accident, et était la cause de cer- · tains troubles
mentaux
observés avant le traumatisme ; celui-ci a déte
cusée au coude qu'au poignet, au poignet qu'au* REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 53 doigts, etc. Les raisons de l'auteur pour f
ntes : elle ne se rencontre pas dans les autres formes d'aliénation
mentale
; elle disparait au sur et à mesure que le mala
divers mélancoliques. R. DE MUSGRAVE-CLAY. 54 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. IX. Les rapports de la syphilis acquise et de
t de la folie; revue cri- tique ; par W.-R. DAWSON. (The Journal of
Mental
Science, avril 1898.) Intéressante revue, don
ferme que les cas dans lesquels il existe comme cause des symptômes
mentaux
de grosses lésions anatomiques, certaines ou pr
ème osseux chez les aliénés ; par J.-F. BRLSCOE. , (Tite Journal of
Mental
Science, avril 1898.) L'auteur résume l'état de
psychologie et d'une classification scientifiques dans les maladies
mentales
; par W. Lloyd ANDRirZEN. (Itte Journal of Ment
ns les maladies mentales ; par W. Lloyd ANDRirZEN. (Itte Journal of
Mental
Science, avril 1899.) Ce travail à la fois phil
sycho-pathologie, cet organe central réunissant REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 55 nécessairement en lui les fonctions sensori
ières variations accentuées de sa vie senso- 56 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. rielle, kinesthétique et organique. La vie vég
répétition des processus psychiques sur lesquels repose l'évolution
mentale
; 12° La reconnaissance progressive du moi empi
tuent la base des différentes formes de folie ; REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 57 16° Les folies, envisagées à ce point de vu
sification de la folie, par EDWIN STEPHEN PAShtORE. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1899.) L'auteur a été frappé d
été frappé dans ses recherches du groupement de certains symptômes
mentaux
: par exemple dans un état particu- lier de dép
aux recherches de l'auteur, il a trouvé cet ensemble de symptômes
mentaux
associé à des états psychiques pathologiques qui
aucun agent extérieur. Au premier abord, il semble que ce complexus
mental
soit fréquent; en y regardant de plus près on c
e) ; 2° maladies du coeur, des reins, etc. 58 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. De la classification de ces états morbides phy
s morbides physiques, de la cons- tatation de ce fait que les états
mentaux
ne s'associent à eux que lorsque ces états phys
olisme normal. C'est à l'ensemble de ces phénomènes soma- tiques et
mentaux
que l'auteur réserve le nom de deprimentia, et
s éléments du diagnostic diffé- rentiel avec diverses autres formes
mentales
. Puis il expose que la taxonomie actuelle de la
e la démence symptoma- tique terminale de la plupart des affections
mentales
) : a) altéra- tions séniles : 1° Athérome et dé
ux maladies du système ner- veux (ataxie locomotrice avec symptômes
mentaux
, etc.). V. Folie hystéroïde : 1° Grande hystéri
ie de la masturbation ; 4° hypocondrie et neurasthénie ; 5° Stupeur
mentale
aiguë, catalepsie, « trance », extase, etc.). R
e aiguë, catalepsie, « trance », extase, etc.). REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 59 VI. Folie congénitale : 1° Idiotie ; 2° imb
que seule qui nous renseigne sur l'évolution des faits physiques et
mentaux
qui aboutissent à l'acte. Il faut ajouter que lor
folie dans la cientôle privée; par H. C. Bristowe. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1899.) Les cas d'aliénation me
(The Journal of Mental Science, janvier 1899.) Les cas d'aliénation
mentale
sont une source d'embarras et de difficultés da
rment. Puis c'est la famille, c'est l'entou- 60 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. rage du malade qui s'oppose à son internement
s aux soins spéciaux que réclament les diverses formes d'aliénation
mentale
. R. DE nIUSGRAVE-CL.1Y. XV. Notes pathologiqu
des premiers symptômes de la paralysie générale REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 61 semble être en moyenne de dix à quinze ans.
ui ne détruisent pas la person- nalité du malade ; il y a confusion
mentale
généralisée suivie d'une amnésie totale sous ce
ne perd pas aussi absolument sa personnalité que dans la confusion
mentale
. Ces paranoïaques pensent qu'on est derrière eu
, ils ont toutes sortes d'idées, de grandeur 62 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. d'idées hypocondriaques, en un mot toutes les
ux cas d'idiotie familiale amaurosique. (The Journal of nervous and
mental
Disease,mai 1900.) L'un de ces cas est présenté
ale de la papille est nettement blanche, et les REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 63 vaisseaux rétiniens sont tous un peu diminu
Société de ? hôp. de Paris. 21 oct. 1898. ' Journal of nervous and
mental
diseases, 1899, Mardi. SOCIÉTÉS SAVANTES. 79
u, la symptomatologie ressemble tout à fait à celle de la confusion
mentale
, avec accidents aigus d'éthylisme; il est extrê
ructif que la chirurgie cérébrale puisse ainsi guérir une confusion
mentale
acquise. , Un lahzzo-nzélro7aonze. M. PAU d
ÉS. Ford Robeiitson (W.). A text-book of palhology in relation to
mental
diseuses. li,-8- de xv-380 pages, avec 29 planche
s texte. London, 1900. Adlard and Son. Mohselli (E.). Sullo slalo
mentale
del conte Cesare Dfatlei. In-8- de 136 pages. G
0. Vol. XI. Fe-^% 3JSÛir rr s2. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. Deux nouveaux cas de folie gémellaire ; . Pa
connus jusqu'à ce jour. ' Archives, 21 série, t. XI 7 98 CLINIQUE
MENTALE
. de les isoler et d'en former un groupe spécial
n. Dans un grand nombre de cas, c'est sur le terrain de la débilité
mentale
native et même de l'imbécillité que se développ
rro. La folie gémellaire, Annali di Freniatria, 1893. '100 CLINIQUE
MENTALE
. : 1° G..., vingt-deux aus, admis pour un accès
: il s'agitd'un individu atteint d'épilepsieet de dégé- nérescence
mentale
avec syndrômes épisodiques, obsessions et impul
sychologiques, mai 1900.) , , Séance du 29 mai 1899. 102 CLINIQUE
MENTALE
. meille au fond de chacun de nous, est en somme
âgée par con- séquent de près de vingt ans. Peu à peu les troubles
mentaux
de la dix-septième année avaient fait des progr
face est plus développée que celle du côté opposé. 104 ... CLINIQUE
MENTALE
. - . A son entrée, on constate une certaine exc
udence G... a été admise d'office le 10 avril 1891, mais le trouble
mental
remonte à plus de six ans, ayant débuté à peu prè
ns, ayant débuté à peu près Fig. 3. - Célestine G... 106 CLINIQUE
MENTALE
.. 1 . ' en même temps que celui de sa soeur. C'
- ties du corps. , Le médecin certificateur décrit ainsi son état
mental
: « Diffi- cile, hargneuse et portée irrésistib
uis en idées obsédantes l ig. i. - Prudence 13... 108 .. CLINIQUE
mentale
. ; : i de nature mélancolique et hypocondriaque
. Célestine était d'humeur rieuse et Prudence acariâtre : leur état
mental
reflète exactement, à ses diverses périodes, ce
ison de ces deux éléments pathogéniques est issue la dégénérescence
mentale
des deux soeurs jumelles dont nous venons de do
raissent avoir joué un certain rôle dans l'éclo- sion des désordres
mentaux
. d'accidents cérébraux indéterminés qualifiés d
« sorte de ménin- gite » et qui sans doute étaient de la confusion
mentale
avec agi- tation. A la suite de cet épisode pat
qu'il se voit hors des murs de sa division, il prend - ho CLINIQUE
MENTALE
. la fuite à toutes jambes pour s'évader. L'expé
près cor Fig. 5. a. Constant T... b. IIenri T... 112 ' CLINIQUE
MENTALE
. ' rectement aux questions qui concernent sa vi
ilitaire. Depuis l'âge de vingt ans, il donne des signes de trouble
mental
. On ne pouvait s'aider de lui. 11 ne songeait q
n organique, celui de la dégéné- rescence héréditaire avec débilité
mentale
; même simulta- néité dans les premières manife
isté, ce sont les excès Archives, 20 série, t. XI. 8 114 CLINIQUE
MENTALE
. alcooliques, auxquels étaient portés les deux
ue très vraisemblablement Constant T... a du son accès de confusion
mentale
pendant son service mi- litaire ; c'est à cette
e faut-il attribuer l'évolution divergente ultérieure des symptômes
mentaux
chez les deux frères aux modifications apportée
au, considé- rées principalement dans leurs rapports avec le status
mental
: étude de morphologie de la surface cérébrale
ogie de la surface cérébrale ; par W. Junus Mickle. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1898.) On ne peut ici que cons
utilité ; sa publication a duré près de deux ans dans le Journal of
Mental
Science : c'est une oeuvre considérable qui mér
e. R. M. C. II. Flechsig et la localisation cérébrale des processus
mentaux
; par W. IRELAND. (The Journal of Mmtal Science
aux de Flechsig sur la - localisation daus le cerveau des processus
mentaux
; mais pour être analysé, ce travail exigerait
térieurs et postérieurs, par CIioCIILEY-CL.11'IiAN. (The Journal of
Mental
Science, avril 1898 ) , Suivant la doctrine act
ques ; on peut ajouter que la fréquence et le degré de la déchéance
mentale
qui accompagne l'aphasie sont rigoureusement pr
annexes chez les aliénées, pal' T.-G, Gordon-Munn. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1899 ) - Ce travail, beaucoup
DÙLLREN et le Dr Nissl. Résumé par W.-W. 1REL\ ? D. (The Journal of
Mental
Science, jan- vier 1898.) . Nous nous bornons
ogie de la cellule nerveuse ; par Joux . Turner. (1'leeJouraul 1 of
Mental
Science, juillet 1898.) La méthode employée con
ur a constaté cet excès de pigment dans un grand nombre de maladies
mentales
, et a relevé le résultat de 'ses recherches sur
particulier des variétés d'aspect très remarquables : la mala- die
mentale
où les altérations dont il s'agit ont été particu
constater une déviation du type normal dans des cas d'aliéna- .tion
mentale
dont un certain nombre ne présentait à l'oeil nu
te de l'envahissement progressif de la dégénéres- cence physique et
mentale
. Il importe de combattre énergiquement ce péril
physiques et par l'énergie nerveuse, particulièrement sous sa forme
mentale
. L'auteur mentionne les travaux faits dans ce sen
, spasmodiqne surtout après un exercice prolongé. Du côté de l'état
mental
on constate de l'hébétude et aussi une véritabl
A. 131AilCllI (de Parme). - Revision iconographique du torticolis
mental
, trois cas nouveaux; traitement, par E. IErNns
F... et H. M... rappellent les principaux caractères du toi ticolis
mental
, tels que M. Brissaud- les a fait connaître. Ce t
s à la volonté. - Un des points les plus intéressants du torticolis
mental
est ce fait que chaque malade peut complètement
ra- 170 SOCIÉTÉS SAVANTES. phiques de la correction du torticolis
mental
par la main du malade qui. en est affecté et do
ns l'exis- tence d'un appoint alcoolique et dans le mode d'activité
mentale
antérieure du sujet, habitué de longue date à u
fut obtenu. Il voudrait que les expertises en matière d'aliénation
mentale
soient unique- ment confiées à des aliénistes.
est, dans une certaine mesure, en rapport avec notre fonctionnement
mental
; la sudation très abondante va de pair avec la
. Présidence DE M. LE D'' Jules Voisin. Stigmates de dégénérescence
mentale
et psychothérapie. ni. PAUL PAREZ expose les am
présentait un cas de folie à deux, avec stigmates de dégénérescence
mentale
, tels que phobies, obsessions, impulsions, etc.
cs d'aliénés. - M. Roque de 1'unsac, chef de clinique de pathologie
mentale
et des maladies de l'encéphale à la faculté de
docteur »ile médecin qui désire se consacrer à l'étude des maladies
mentales
ou qui a l'ambition de. faire sa carrière dans
suffisance des connaissances des médecins praticiens en pathologie
mentale
a des inconvénients sérieux. Griesinger réclamait
dans une clinique psychiatrique et neurologique et que les maladies
mentales
fassent partie du programme de l'examen d'Etat.
es médecins praticiens auront des notions précises sur les maladies
mentales
et nerveuses, mais encore on verra, par ces mes
) est également partisan de l'enseignement obligatoire des maladies
mentales
et nerveuses et réclame un examen portant spé-
'actuellement, une instruction théo- rique et pratique des maladies
mentales
. La psychiatrie doit faire partie du programme
illeurs, il n'est pas dans ses attributions de soigner les maladies
mentales
, ces affections exigeant le placement dans un é
es à nombre d'étu- diants ne s'intéressant nullement à l'aliénation
mentale
; qu'il met LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 221
e leurs internes qui s'adonnent sérieusement à l'étude des maladies
mentales
, précisément au moment où ces derniers seraient
seront accomplies. A Halle, on inaugura la clinique des maladies
mentales
et ner- veuses, placée à côté des autres cliniq
ans les hôpitaux des -1-aw- des villes les cas récents d'aliénation
mentale
sont fréquemment.' admis, comme j'en ai fait l'
nt pour but de donner aux méde- cins les connaissances dès maladies
mentales
nécessaires aux besoins de leur pratique. Or, l
réalisé l'idéal de Griesinger, et possède une clinique des maladies
mentales
et nerveuses offrant pour l'ensei- gnement un c
p- pement et le perfectionnement de la thérapeutique des maladies
mentales
. Nous ne relèverons ici que l'organisation nouvel
. Au point de vue scientifique, l'action des cliniques des maladies
mentales
est incontestable : vingt foyers scientifiques
ste, en Allemagne, onze revues spécialement consacrées aux maladies
mentales
et nerveuses. Il L'Allgei)ieiiie Zeitschrift su
ésultats féconds au point de vue du progrès de l'étude des maladies
mentales
, de l'en- seignement professionnel des médecins
n des préjugés ayant trait à la prétendue incurabilité des maladies
mentales
. C'est en effet dans ces établissements qu'on a
rsités ! Qu'ils cessent de consi- dérer l'enseignement des maladies
mentales
comme une clinique accessoire, d'importance sec
tentent plus la répugnance à placer les sujets atteints de maladies
mentales
dans les asiles ordinaires, encombrés d'incurab
lacer leurs malades dans un hôpital de traitement pour les maladies
mentales
, dans une clinique psychiatrique, dans un établ
, Bordeaux, ne peuvent moins faire pour l'enseignement des maladies
mentales
que telle ville de 12000 habitants, capitale d'
d'un pays qui a été l'initiateur dans l'enseignement des maladies
mentales
, ne serait-ce pas porter atteinte au développemen
t FARNAROER. Travail et alitement dans le traite- ment des maladies
mentales
. Arch. neurol., (léc. 1889. ' - 1'nscranea. L'o
Paris, 1887. î. P. Sérieux. La nouvelle classification des maladies
mentales
du Prof. liraepelin. Revue de psychiatrie, avri
loi du sulfate de duboisine ; par J. H. SICGE : v. (Tite Journal of
Mental
Science, juillet 1897.) Le sulfate de duboisine
ui refusent de man- ger ; par 11. Harold GREENWOOD. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1898.) , Il est au moins vra
gestion avec et sans hypnose ; par John F. WooDs. (1'Ive Journal of
Mental
Science, avril 1897.) En parcourant les dix-hui
: 26 cas d'alcoolisme chronique, 10 de sciatique, lo de maladies
mentales
, 7 de goutte, 22 de mal de tête, 10 de dyspepsie,
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. était utile non seulement dans les maladies
mentales
, mais encore dans toutes les affections nerveus
sie nerveuse, l'alcoolisme chronique et diverses formes de maladies
mentales
, particulièrement la mélan- colie.-Il a eu auss
s chez les malades atteints d'une forme psychique de dégénérescence
mentale
. Parmi les malades ayant une forme aiguë ou cur
n les a trouvés deux fois sur les trois cas cérébelleux. L'hébétude
mentale
, l'apathie, la dépression intel- lectuelle exis
leur importance : 1° Céphalalgie ; 2° Névrite optique ; 3° Apathie
mentale
; 4° Nausées et vomissements. Enfin à titre de s
de la santé, l'anémie sont des causes prédisposantes. Les angoisses
mentales
, l'excita- tion, la perte du sommeil, le surmen
femme enceinte; par J.-W. Geddes et Aidons Clincii. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1898.) Jeune femme de vingt-si
rendant la marche impossible, amenant des sueurs pro- fuses. L'état
mental
s'aggrave en même temps que la chorée. Le soir
- sabilité. Leur histoire biologique, leur état de dégénérescence
mentale
, BIBLIOGRAPHIE. 2G3 permettent de trouver sou
psychiatriques résulte de -l'accroissement progressif des maladies
mentales
, de l'extension que prennent aujourd'hui les qu
t pour conséquence la condamna- tion de sujets atteints de maladies
mentales
par les tribunaux civils ou militaires, etc. En
expert ont à s'exercer. 11 passe en revue la plupart des affections
mentales
, insiste sur les simulateurs et les dissimulate
liénés méconnus, etc. L'organisation de l'enseignement des maladies
mentales
en France et à l'étranger est examiné en détail
périodes délirantes qui se montrent parfois sous forme de confusion
mentale
ou de mélancolie anxieuse avec hallucinations d
la maladie qui les a causés, ne laissent derrière eux que l'état
mental
antérieur parfois un peu aggravé. Aussi doit-on l
ie Duvernois qui depuis quelque temps ne jouit plus de ses facultés
mentales
. Elle a été envoyée à l'infirmerie du Dépôt.
rieure, double, congénitale ; - Vera Salomon, Recherches expéri-
mentales
sur la rage; de Martines, Recherches sur les trou
Mignot (R.). Élude des troubles pupillaires dans quelques maladies
mentales
. In-8° de 121 pages. Paris, 1900 ? Jouve et I)oye
leciiie coîilei)7p., 1861, p. 298); Uelasiauve. Jourzaal cle 2nétl.
mentale
, p. 65 et 97, 1861); Moreau (de Tours)) dlécl. co
. et de la fonction est mise en lumière pour certaines affections
mentales
caractérisées par des altérations cérébrale bien
Depuis la naissance jusqu'à l'Age adulte, à mesure que l'activité
mentale
augmente, les connexions entre les centres supéri
aissance de la structure cérébrale. La classification des processus
mentaux
, normaux ou anormaux demeure actuellement impos
lement impossible. Tous les efforts faits pour étudier les maladies
mentales
par leur côté exclusivement clinique ont aussi
du cerveau chez les aliénés; par Francis 0. SmrsoN. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1898.) ' Les recherches de l
pour suivre l'auteur dans ses recherches sur les diverses maladies
mentales
; nous nous bornerons donc, pour ne REVUE D'ANA
ur la physiologie de la cellule dans ses rapports avec l'aliénation
mentale
. Une note sur l'emploi du picro-formol en génér
cules latéraux du cerveau ; par John Waniman Fmcer. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1898.) L'auteur rappelle d'abo
euses corticales (surtout dans leurs rapports avec 1'tiliéib ilioii
mentale
); par W. Ford 110BItRTsoN et Uavln-0 (Tlte Journa
oii mentale); par W. Ford 110BItRTsoN et Uavln-0 (Tlte Journal of
Mental
Science, octobre 1898.) Les auteurs décrivent d
t dans les hôpitaux généraux, et l'étudient enfin dans l'aliénation
mentale
. Ce n'est que dans les folies aiguës et dans la
l'interprétation. R. DE IlUSGn.I'E-CL1Y. 320 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. La Colite; par Alfred Camphell. (The Joii,lici
ur la colite et sa bactériologie. Ii. 111.-C. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XIX. Recherches sur les troubles du goût et de
e. ' G. D. XX. De l'influence de la détention cellulaire sur l'ét t
mental
des condamnés; par le D' de Rode. (Bull, de la
t disciplinaires des établissements. Le nombre des cas d'aliénation
mentale
dans les prisons cellu- laires n'est pas ou n'e
celui des cas observés dans les prisons en commun. Les affections
mentales
que l'on constate dans les prisons cellu- REVUE
tales que l'on constate dans les prisons cellu- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 321 laires sont généralement moins graves et d
ns n'im- Ancmves, 2' série, t. XI. 21 " 322 ) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. porte quelle circonstance, un médecin et un ma
dépend que de la réitération continuelle de sugges- tions orales ou
mentales
allant de l'opérateur dirigeant au sujet dirigé
bien entendu, l'examen des signes physiques pe REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 323 doit jamais être omis ni négligé : les deu
cette prédiction implique nécessairement des suggestions orales et
mentales
, et quelquefois personne n'est plus surpris du
quelle heure est-il ? Il était sept heures 324 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. un quart. -- Immédiatement je fis appel à tout
n'avait jamais vu ni la malade, ni le village, REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ` 323 ni la route qui y conduisait, ni la cham
. XXIII. Acromégalie avec folie; par David f3Laa. (The Journal of
Mental
Science, avril 1898.) Le cas d'acromégalie rela
uantité de l'urine. R. DE IUGft\'E-CLY. 326 6 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Contribution a l'étude de la mélancolie, avec
aurait admettre comme exacte « que l'améliora- « tion des symptômes
mentaux
coïncide toujours avec une amélio- « ration de
s fonctions digestives qui accompagne inévitablement un pareil état
mental
, le sang devient plus pauvre en matière coloran
ychiatrie et de neurologie; par Ira -Va.11 Giesen. (1'he Journal of
Mental
Science, octobre 1898.) Pour donner un coup d
3) hématologie; 0° Anthro- pologie. li. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 327 X1\'1. Faits cliniques : 1° Hystérie post-
anomalies cuta- nées indiquent souvent l'existence de l'aliénation
mentale
. Il. DE Musgrave-Clay. XXVII. Analyse des cau
lie chez mille malades; par J.-V. 1;1 ? CIIFORD. (7'/te Journal 0/'
Mental
Science, juillet 1898.) Le groupe des malades e
gure pour 30 p. 100. L'alcoolisme (hérédité 328 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. exclue) figure pour. 11 p. 100. Les chiffres r
sgrave-Clay. XXVIII. L'hérédité dans ses rapports avec les maladies
mentales
par W.-F. Karqijhakson. (7'Ae yo : < ? o/'Af
berland et de Westmorland, on a trouvé des antécédents d'aliénation
mentale
dans la famille de 30,7 p. 100 des malades admi
e : 10 imbecilité congénitale ; 2° mélancolie ; REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 3l9 9 3°manie; 4" folie épileptique; 5° démenc
ération peuvent présenter des variétés très différentes de maladies
mentales
ou d'autres troubles nerveux. Une forme de foli
avoir été précédée dans l'hérédité de famille non par l'aliénation
mentale
, mais par d'autres formes de maladies nerveuses.
autres formes de maladies nerveuses. 11° La propension aux maladies
mentales
peut s'accentuer gra- duellement de génération
ge plus tardif de génération en génération. 330 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 20o La proportion des célibataires est considé
sme et l'impulsion au suicide; par \V.-C. Sullivan. (The Journal of
Mental
Science, avril 1898.) ° Les conclusions de ce t
, d'hébéphrenie, la plupart des faits étiquetés REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 331 catatonie, mélancolie « attonita » et cert
tement au-dessus des indigents, par 1) ? VID-BOWER. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1899.) Ce travail est consac
médico - psychologique ; par T. OUTTERSOri WOOD. (1'Iae Journal of
Mental
Science, juillet 1897.) . - L'Association méd
e de certaines défectuosités physique et de certaines insuffisances
mentales
; mais il convient de ne pas se contenter de ces
AY. IX. Le logement des aliénés ; par, H. RAYNER. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1897.) L'auteur désigne par là
'aliénés. XIII. L'État de New-York et la pathologie de l'aliénation
mentale
; par P. M. Wize. M. D. (The American Journal o
central, pour l'étude de l'étiologie et la pathologie des maladies
mentales
. A noter le souci d'encourager et de faciliter
ux divers attachent tout le monde à la ferme; le succès physique et
mental
dépasse toute attente; c'était la vie qu'ils av
YCHOLOGIE Séance du 13 janvier 1901. Stirn.ates de dégénérescence
mentale
et psychothérapie. M. Paul Farez expose les amé
résentait un' cas de folie- à deux avec stigmates de dégénérescence
mentale
, tels que phobies, obsessions, impulsions, etc.
éfinie, on détacha, grâce aux travaux de Delasiauve, la con- fusion
mentale
. Baillarger montra encore que nombreux étaient
uite le délire de persécution. Enfin Magnan, avec la dégénérescence
mentale
, Krupelin avec la démence précoce, ont encore r
trent la plupart des mélancolies hypocondriaques; 4° La confusion
mentale
, la psychose hallucinataire aiguë, le délire à
tion qui font mieux comprendre la pathogénie des faits où la lésion
mentale
semble seule en cause. Ce trouble morbide, uniq
er- veuses. En voici les titres : De l'inhibition dans les maladies
mentales
, par Libertini; Contribution à l'étude dct)'6)
ons du njvraxe. Rapporteur, M. Crôcq (de Bruxelles) ; 2° Pathologie
mentale
: Du délire aigu au point de vue clinique, anot
ans. qui, depuis quelque temps, présentait des signes d'aliénation
mentale
. Celle-ci. profi- tant de l'absence de son mari
é de ses amis, donnait depuis quelque temps des signes d'aliénation
mentale
et déjà, il y a un an environ, à la suite d'une
ue par M. Jackson. Naturellement, dans cette voie d'étude expéri-
mentale
, on a pris d'abord pour sujets, des animaux supé-
) THÉRAPEUTIQUE. Le traitement par le repos au lit, en médecine
mentale
; Par le D' Alexandre PARIS, Médecin du servic
s déjà, j'ai remarqué les bons effets du traitement de l'aliénation
mentale
par le repos au lit ; si je ne peux pas dire qu
e, facile à constater, dans la plupart des formes de l'aliénation
mentale
. Mais l'alitement n'est pas seulement utile com
traite- ment auxiliaire ou comme base de traitement d'aliénations
mentales
, il présente d'autres avantages qu'il est bon de
és, non moins intéressants, de la question «traitement des maladies
mentales
par l'alitement me sem- LE TRAITEMENT PAR LE RE
ur la mémoire des poissons ; par W.-C. Mac Intosii. (The Journal of
Mental
Science, avril 1898.) L'auteur rapporte un cert
ng, de 1884 a 1896 inclus; par Frédéric-P. Harder. (T/te Journal of
Mental
Science, janvier 1898.) Ce travail est bien en
t un peu diminués. Réflexes du genou légèrement exagérés, Confusion
mentale
, état vertigineux, plus ou moins vague, lour- d
t l'abdomen. Les troubles nerveux, consistant dans de la dépression
mentale
, de l'irritation spinale et de la migraine, qui
V111. Un cas de porencéphalie ; par Samuel EDGEXLEY. (Tite Jour, o/
Mental
Science, juillet 1899.) Ce cas est intéressant
tait une femme de 43 ans, sur laquelle pesait une lourde hérédité
mentale
et qui présentait depuis sa petite enfance des si
ciles à recueillir' chez elle en raison de la grande insuffisance
mentale
; elle mourut de péritonite. A l'autopsie, la d
eure, les membranes étaient séparées par du 416 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. liquide, formant ainsi un second petit kyste.
mpagné de deux planches. R. de Musgrave-Clay. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XXXI. De la réticence médicale; par Charles .M
XI. De la réticence médicale; par Charles .Mercier. (The Journal of
Mental
Science, avril 1897.) L'auteur traite ici du se
la règle suivante : « Les renseignements four- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 417 « nis au médecin par un aliéné peuvent êtr
n sexuelle Archives, 2' série, t. XI. 27 '418 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. se manifestait aussi à la vue d'autres sports
ais qu'il se rencontre dans le cours d'un grand nombre d'affections
mentales
. R. de Mugraves-Clay. XXXVIL, L'alcoolisme; par
excellent hypnotique chez un alcoolique, et n'a REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 419 besoin d'être donné qu'à faibles doses. Pa
et il a employé deux procédés, la piqûre et le pin- cement, l'état
mental
de la plupart des malades observés nécessi- tan
as encore'rassemblé assez de fait pour pou- 420 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. voir dire quels sont les autres symptômes qui
sthésie arrive à n'occuper que la face dorsale des doigts. La forme
mentale
où cette anesthésie se rencontre le plus sou- v
hilitique, avec types cliniques; par G.-A. Welsch. (Tite Journal of
Mental
Science, avril 1899.) . L'auteur en a observé
traitement anti-syphilitique. La première ques- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 421' tion qui se pose à l'occasion de cette ma
diquent l'existence d'une lésion irritative des cellules nerveuses (
mentales
et motrices). L'auteur estime que l'agent irrit
chromo- philique : tout ce qu'il faut dire, c'est que les cellules
mentales
et les cellules motrices sont atteintes les une
faut tenir compte de l'état général du sys- 422 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. tème nerveux, et par là l'auteur entend la pré
: c'est un trouble du système nerveux caractérisé par des symptômes
mentaux
avec phénomènes moteurs concomitants; cette con
constante et nécessaire; sans elle la maladie n'existe pas. L'état
mental
est en état d'exaltation et d'agitation qu'on p
t quel- quefois des idées de persécution. Les autres manifestations
mentales
sont l'insomnie, l'affaiblissement mental, la v
s autres manifestations mentales sont l'insomnie, l'affaiblissement
mental
, la variabilité alternante de l'état mental, et
mnie, l'affaiblissement mental, la variabilité alternante de l'état
mental
, et les rémissions : la troisième de ces manifest
donner la préférence. * R. de Musgrave-Clay. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 423' XL. Considérations sur l'état mental dans
. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 423' XL. Considérations sur l'état
mental
dans l'aphasie ; par CONOLLY NoRMAN. (The Journ
l'état mental dans l'aphasie ; par CONOLLY NoRMAN. (The Journal of
Mental
Science, avril 1899.) Ce travail débute par des
sens générique, est intimement associée à des formes de troubles
mentaux
que nous rencontrons quotidiennement, et que comm
être, ne saurait exister sans entraîner une diminution des facultés
mentales
, diminution qu'on doit s'attendre à trouver d'au-
cas d'aphasie ou d'un cas similaire, si l'on veut pré- ciser l'état
mental
, il faut d'abord chercher dans quelles limites le
, qui peut empêcher le malade d'écrire. ' 424 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. La forme d'aphasie qui entrave le moins la fac
'expression et qui permet le maximum de conservation de l'intégrité
mentale
est celle où la lésion est rigoureusement limit
a cécité des objets est associée à la cécité des mots, la déchéance
mentale
est plus avancée que quand les derniers de ces
ncore que la malade avait 35 ans au moment où les premiers troubles
mentaux
se sont manifestés alors qu'ils apparaissent gé
e, vers le moment de la puberté, et en tout cas REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 42S rarement après l'âge de trente ans ; enfin
uit ans, et souvent depuis présenta de petites crises de dépression
mentale
, précédées de symptômes assez bizarres : sensatio
plus élevé que le taux de la mortalité par 426 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. - phtisie chez les hommes de 35 à 45 ans,' c'e
s tableaux statistiques. R. DE Musgrave-Clay. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 427 XLIV. Rapports de la Syphilis avec la Foli
lie, ouverture de la discus- sion ; par F.-W. Mott. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1899.) 1 ' Quand on étudie l
1 ' Quand on étudie les rapports de la syphilis avec les maladies
mentales
, il faut avant tout étudier les différents modes
sgrave-Clay. XLV. Folie et mariage; par G. E. Moum. (The Journal of
Mental
' Science, octobre 1899). L'auteur examine la
liéné guéri, soit à un sujet portant le poids d'une lourde hérédité
mentale
; et il conclut que malgré la grande res- ponsab
iage contracté dans de bonnes conditions, 428 . REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. il peut résulter un avantage pour le malade (v
de prendre ou de conseiller une détermination : nature du trouble
mental
, antécédents dans les deux familles, et surtout d
ion du nombre des suicides; par William W. Ireland. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1899.) Malgré les efforts de
e .ceux qui s'ôtent volontaire- ment la vie sont en état de trouble
mental
: d'ailleurs la'plupart des causes qui poussent
l'auteur estime que la cause la plus puissante doit être une cause
mentale
et parmi ces causes men- tales, l'auteur signal
u sentiment religieux. . R. DE Musgrave-Clay. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 429 XLVII. Emphysème du tissu aréolaire sous-c
mté de Glamorgan de 1867 à 1896; par J. G. SMITII. (Tite Journal of
Mental
Science, juil- let 1899). 1 Ce travail est in
ù elles avaient déterminé de l'inflammation 430 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. et de la suppuration, et dans l'estomac. Ces q
factives chez les aliénés; par F. St-Joun · Bullen. (The Journal of
Mental
Science juillet 1899.) , L'organe olfactif de l
t, et encore dans deux de ces quatre cas, elles REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 431 alternaient avec des odeurs désagréables).
qué dans les processus de dissolution qui constituent l'aliénation
mentale
. R. de Musgrave-Clay. LI. Courte note sur le Bé
ssus sont-ils probablement au-dessous de la 432 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. . vérité, car L'auteur a la certitude, que dan
e à l'asile du comté de Derby ; par R. F. LI : cGE. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1899.) Cette épidémie a frappé
s on constatait chez lui un affaiblissement progressif des facultés
mentales
. L'autre présente depuis trois ans un état anal
berculeuse, l'autre est d'une bonne nutrition générale, et son état
mental
est meilleur que chez le premier. En résume, il
d'alimentation, hallucina- tions visuelles et auditives, confusion
mentale
. La température oscille entre 37,2° et 39,5°. L
es est vive. Amaigrissement rapide. Etat général grave. Confusion
mentale
profonde. Mort le huitième jour de la maladie.
ie, pal- 436 SOCIÉTÉS SAVANTES.' pitations, cauchemars, confusion
mentale
et hallucinations, ensuite confusion mentale, e
cauchemars, confusion mentale et hallucinations, ensuite confusion
mentale
, excitation générale, refus d'alimentation, ins
our l'établir sur les maladies périodiques y compris les affections
mentales
, viscérales, etc., sur la périodi- cité des pol
est envisagée dans tous ses rapports avec l'étiologie des désordres
mentaux
et nerveux du génie, souvent, dans ses inconvén
ces un rentier espagnol, M. Aurélanio Yanès, atteint d'alié- nation
mentale
, tua un agent d'assurances, M. Henri Bellencon-
dans des maisons spéciales les personnes atteintes d'aliéna- tion
mentale
. Malheureusement la loi du 30 juin 1838. n'est
rimentale. M. le D" Antheaume, ancien chef de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de Médecine, fera, à l'issue du co
arnier (P.) et Cololian (P.). Traité de thérapeutique des maladie s
mentales
et nerveuses (Hygiène et prophylaxie), In-8° dexv
Ilf. Vol. XI. Juin 1901. N, 66. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. 1 Un nouveau cas de paralysie générée' ave
aire ; * Nv\ Par le D' E. RÉGIS, ·1 * Clargé du cour des maladies
mentales
à l'Umvm·silL de Bordeaux. J'ai eu la bonne for
nce du 20 mai 1893.) , Archives, 2« série, t. XI. 29 450 CLINIQUE
mentale
. d'aliénistes autorisés de tous les pays, elle
on lui commandait ; en un mot, notablement affaibli au point de vue
mental
. C'est dans ces conditions qu'il tira au sort et
de deux mois. Pendant ces deux mois, sa déchéance et son incapacité
mentales
, qui s'étaient progressivement accrues, se mani
e même de trémulation de l'orbieulaire des lèvres et 452 . CLINIQUE
mentale
. des muscles de la face. Après un instant de ce
lents. L'urine ne présente rien de particu- lier. Au point de vue
mental
, l'état se caractérise par un affaiblisse- ment
un spécimen démonstratif, caractéristique à la fois de la déchéance
mentale
et de l'altération de l'écriture. Il remonte à
t labiale sont très accusées, etc. Seule, 1 Fig. li. 454 CLINIQUE
MENTALE
. l'exagération du réflexe rotulien du côté droi
rale des adolescents. (Thèse de Bor- deaux, 1899.) 456 ' CLINIQUE
MENTALE
. aine, antérieur à la syphilis paternelle, est,
res, souvent aux prises avec des pro- blèmes délicats de pathologie
mentale
, m'a été confirmé dans les termes suivants par
assez accusées pour appeler l'attention du chirurgien sur son état
mental
. Doux et discipliné, n'étant astreint à aucun t
jamais été appelé à l'examiner et à donner son avis sur son état
mental
. Il semble donc ressortir nettement de ces fait
songer et de la rechercher chez les adolescents en \oie de déclin
mental
, si on ne veut pas s'exposer à la méconnaître.
nue chez mon malade pendant sou séjour au régiment. 458 CLINIQUE
MENTALE
. - - - Les conditions dans lesquelles s'est pro
s avec steppage, quatre enfin ne présentaient plus que des troubles
mentaux
divers. Sur neuf cas négatifs, trois fois il n'
du public, et de pouvoir être facilement appliqué. En patho- logie
mentale
il pourrait montrer dans quelle mesure des excè
e légère étaient conséquence et non cause de l'altération de l'état
mental
. Le signe de Quinquaud pourrait être encore un
s de jour, soit qu'ils fassent suite à l'alcoolisme, à la confusion
mentale
ou à un choc cérébral. Il en serait de même pou
traitement des buveurs, par George R. Wilson. (7'Ae7oM)' ? ? a<
Mental
Science, octobre 1898.) On ne trouve guère à
X. Un cas d'hématoporphynurie; par Keitii-Campbell. (Tne Journal of
mental
Science, avril 18987) L'hématoporphynurie et se
par la médication thyroïdienne ; par J. Middlemass. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1899.) Nous reproduisons ici t
ation thyroïdienne exerce aussi une influence bien nette sur l'état
mental
; 19° Chez beaucoup de malades, elle exerce une a
lupart des cas, il y a une tendance à la reproduction des symptômes
mentaux
primitifs; 21" L'interprétation de la façon don
llemens tout à fait impos- sible de dire quel sera, au point de vue
mental
, le résultat du trai- tement thyroïdien. - 25
If est également impossible de dire dans quelles formes de maladies
mentales
il donnera des résultats avantageux; 26° Dans l
e douloureuse de la conduite; par Charles Mercier. (I'he Journal of
Mental
Science, octobre 1899.) L'auteur rappelle que
tif à son emploi; par John S111'Cllrl.n : . (7'lte Joli ? '- nal of
Mental
Science, octobre 1899.) Il s'agit d'un malade a
qui n'est pas généralement connue; par A. Il. NEWT. (The Journal nf
Mental
Science, octobre 1899.) Après avoir passé en re
quable à l'égard du chloral; par Arthur \V. Wilcox. (The Joumtul of
Mental
Science, avril 1900.) Il s'agit d'une malade de
ze cas traités de cette manière; par David 13r..ma. (The Journal of
Mental
Science. avril 1900.) L'auteur résume ainsi l
aques, hys- lériques, doivent être mis sur le compte de la débilité
mentale
congénitale. Les succès scolaires et les examen
onscrits de l'interprétation erronée et de l'ignorance de leur état
mental
. Les classes supplémentaires annexées en'beauco
entaires annexées en'beaucoup de villes aux 490 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. écoles ordinaires, ou qui doivent leur être an
anes des sens, de la parole, etc. '. P Keraval. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. LUI. Fausse grossesse; par G. 1lliNDL,Y. (Tlie
MENTALE. LUI. Fausse grossesse; par G. 1lliNDL,Y. (Tlie journal of
mental
Science, janvier 1900.) 11 s'agit d'un de ces
ndre à l'Administration de notre pays. (11.). REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 491 et en faisant appeler l'auteur pour la dél
sibilité hygrique ne semble plutôt pas être 492 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. une sensation indépendante de la sensation tac
ttribuent'une grande importance à l'hérédité et REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 493 ne pensent pas qu'il s'agisse là d'acciden
es, tels que : hémiparésie passagère, excitation motrice, confusion
mentale
et hallucinations. Bientôt se développe une dém
ne corticale, comme en témoignent de l'agitation, de la confusion
mentale
, un' délire interrompu, des hallucinations de la
it, pour réapparaître dès qu'il y pense. II 494 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ne le tourmente qu'en face du monde. Ce sourir
traits communs avec l'épilepsie vraie. P. KEHAYAL. LI Y. Des états
mentaux
qui sont à la limite de l'aliénation mentale et
HAYAL. LI Y. Des états mentaux qui sont à la limite de l'aliénation
mentale
et de la raison; pari'. 1. Itosr : w.vcu. (Oo'o
t'tt, IV, 1899.) L'auteur examine les allures des diverses formes
mentales
qui ne REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 495 sont
les allures des diverses formes mentales qui ne REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 495 sont pas de l'aliénation mentale confirmée
qui ne REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 495 sont pas de l'aliénation
mentale
confirmée. D'abord un nombre énorme de psychose
s fréquente que dans les affections soma- tiques. Quelques maladies
mentales
, telles que le délire chronique primitif et la
une maladie qui a nui au système nerveux, depuis môme une affection
mentale
incomplètement guérie, ou sont, sous le coup d'
erse pas dans la. ! vraie démence sénile. Etude delà dégénérescence
mentale
, notam- ment de l'imbécillité, de la folie mora
es de produire, avec d'autres éléments morbides, de vraies maladies
mentales
, mais qui, par eux-mêmes, ne sont pas de la fol
u terrain propre au talent et aux tendances 496 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. géniales. Récemment, Flechsig a essayé de ratt
l'on constate un'talent unilatéral associé à diverses défectuosités
mentales
. Il n'y a pas de lien intime entre le génie et
obtusion intellectuelle, retard et espèce d'extinc- tion de la vie
mentale
. Contracture des muscles deltoïdes, tra- pèzes
sensation pathologique ou désagréable quand ils REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 497 touchent de leurs doigts n'importe quel ét
KEHAVAL. Anciiivi : s, 2° séiie, I. XL 32 498 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. LX11. Cas de folie communiquée; par E. W. Ciii
LX11. Cas de folie communiquée; par E. W. CiiiFri ? (The journal of
mental
science, janvier 1900.) , Cette intéressante ob
. et 11 ? T... vont voir leur soeur M1110 C... atteinte de troubles
mentaux
, Pendant toute une semaine elles soignent la ma
t emmenée par son mari. Les deux malades ont attribué leur désordre
mental
temporaire au manque de sommeil et de repos. D'
aire l'agent véritablement actif; 2° la forme de la folie et l'état
mental
ont été absolument similaires; 3° dans les deux-
s signes très nets d'hérédo-syphilis et d'infantilisme. L'affection
mentale
débuta à dix-sept ans par un affaiblissement pr
par une lésion circonscrite devenue plus tard diffuse. La débilité
mentale
qui traduisit cet état, était peu aisée à différe
s habituels, malgré ses essais répétés. En avril 1900. des troubles
mentaux
deviennent manifestes. La malade exprime des id
des yeux », analogue aux tics d'habi- tude et en particulier au tic
mental
. Je faisais remarquer que dans l'affection déno
al. Je faisais remarquer que dans l'affection dénommée torticolis
mental
ou spasme du cou, le malade .est en mesure d'acco
ictus et qu'on n'observe jamais rien de pareil dans le torticolis
mental
. Ces arguments me paraissent avoir toujours la mê
un traumatisme, d'un bégaiement qui semble dépendre' d'un processus
mental
morbide de. nature hystérique. · Aphasie hyst
GRAPHIE. XIX. Elude des /roubles pupillaires dans quelques maladies
mentales
; par le D' Iloger ! llicwr. 'l'hèse de Paris, 1
s troubles pupillaires ne sont spéciaux à aucune forme d'aliénation
mentale
, et trouvent des altérations dans 74 p. 100 des
ataires est relativement élevé parmi les habitants; 20 les troubles
mentaux
subis par les jeunes gens les empêchent de se m
ous arrêtons seule- ment sur le mode de classification des maladies
mentales
adopté par M Beckhtereff. 11 divise ces maladie
,17,chiv I*ii- I'sychial-ie. KEHAVAL. - La pratique de la médecine
mentale
. - Conférences faites avec l'autorisation du co
cional de Actes y oficios. Report on lhe scientifc sletcly of lke
mental
arzcl physical conditions of chilhood witli par
e de l'instinct sexuel et de ses transfoi mations dans les maladies
mentales
. In-8° de 98 pages. Tou- louse, 1901. Imprimeri
'état de New- York et la pathologie de 1' , par Nvize, 338. Etats
mentaux
à la limite de l ? par Itosenbach, 19-4. Alié
érique, par Gasne, 401. Aphasie sensorielle, cartouche, 313. Etat
mental
dans l ? parNorman, 423. hystérique, par Guilla
ie), 113. DECUI31TUS aigu, par Doutrebente, 498. Dégénérescence
mentale
et psycho- thérapie, par Il. Farez, 189, 3î6.
gnault, 348. Détention. Influence de la - cellu- laire sur l'état
mental
, par de Rode. 320 Diabète. Rapports du - et d
tal, par de Rode. 320 Diabète. Rapports du - et de l'aliénation
mentale
, par Bond, 45, insipide dépendant d'un gliome
-. par Finrllay. H)0 ? ILIItITLDE. L' considérée comme un état
mental
morbide, par K.es- teven, 48. IIailucimtio.ns
orragie méningée spinale, par llnpkins. 407. Hérédité et maladies
mentales
, par Fiirquharson, 328. t;tlsli, 343. I)arSwi
au , par Paris, 388. Flechsig et la - cé- rehratedes processus
mentaux
. par li,elitil(l, 135. lloii31111 ? Technique
5. lloii31111 ? Technique de la fonction z Conner, 487. J1 wmes
MENTALES
. Guérisons dans , les par Soutar, Quelques ca
ar Thompson, 398. Pupillaires. 'froubles-dans quel- ques maladies
mentales
, par )li- gnot, 520. Pyramide. Disposition an
. 537 Réticence médicale, par Mercier, 416. Revue de pathologie
mentale
, par 1(et-ival, 14, 320, 490, d'ana- tomie et
0, Causes provocatrices des par Meige et Feindel, 508. Torticolis
mental
, par Feiiidel et Meige, 169. Tremblement chez
OLOGIE PARAISSANT TOUS LES MOIS REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-M. Cil ARGOT
1 taire, et qu'elle se réclame de la monomanie et de l'aliénation
mentale
. A côté de ces notions très justes que les trav
d'attaques de nerfs, pas de stigmates hystériques. Au point de vue
mental
, elle raisonne juste; caractère doux, mais très
original dans ses idées et la manière de se vêtir. Au point de vue
mental
, un exalté, mais s'acquittant à la satisfaction
ent pas de signe d'une lésion quelconque. Non encore réglée. L'état
mental
n'offre aucune particularité; pas d'idées bizar
s pour ses caractères intrinsèques que pour sa relation avec l'état
mental
du malade. Dans tous les cas une grande difficu
des phénomènes persistants des maladies orga- niques ; -4° à l'état
mental
des malades. '1° L'étude du développement et de
nifestations très vagues et des phénomènes peu accentués. 4" L'état
mental
de nos quatre malades est bien celui qui est ca
et une intensité qui sont tout à fait carac- téristiques de l'état
mental
hystérique. Faut-il voir, dans leur réveil, leu
circonstances qui démontrent dans nos malades l'existence d'un état
mental
, croyons-nous, très caractéristique et qui conf
is ou quatre mois il resta dans un état très proche de l'aliénation
mentale
, il avait perdu toute acti- vité psychique et p
Puis petit à petit, il recommença à tra- vailler, et ces conditions
mentales
et physiques revinrent à l'état normal. Sa sant
ques; de plus, la façon dont ils se sont établis nous révèle l'état
mental
de B..., et comme cet état mental est très inté
e sont établis nous révèle l'état mental de B..., et comme cet état
mental
est très intéressant à connaître pour nous expl
ision pour ainsi dire 62 PATHOLOGIE NERVEUSE. mathématique l'état
mental
de B...; en outre des stigmates physiques, nous
on- sécutive. En d'autres termes, en connaissant à présent l'état
mental
de B..., nous avons une puissante raison en plus
ne de ses mani- festations les plus typiques; à savoir avec un état
mental
très caractéristique, qui a donné origine à une
ert, occasion favorable pour achever de dominer complètement l'état
mental
de B... Quoi qu'il en soit, nous croyons avoir
ais il faut les interpréter, en étudiant leur rapport avec l'état
mental
des malades. Seulement, à cette condition, le dia
ades, en particulier, les malades gravement atteints dans leur état
mental
paraissent avoir une hypotoxicité constante (vo
épileptiques, et ce ne sont pas les moins atteintes au point de vue
mental
, dont l'état normal est l'hypotoxicité. 6° Le
vue mental, dont l'état normal est l'hypotoxicité. 6° Le trouble
mental
des épileptiques parait toujours s'ac- compagne
le permet au médecin de prendre des précautions en vue d'un trouble
mental
possible consécutif à un accès. Un malade qui a
eurs et concomi- tants de l'accès convulsif ou du trouble de l'état
mental
? En tenant compte de l'état urinaire, on doit
endant les paroxysmes. Cette toxicité du sang explique les troubles
mentaux
et phy- siques que présentent les malades au dé
vec ferveur et implorent leur guérison. Dans ces conditions, l'état
mental
ne tarde pas à dominer l'état physique. Le corp
rale du malade. Là s'arrête le premier temps. . REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ' 89 Deuxième temps. - Après quelques instans
ossible, nous nous en estimerions très henreux. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. I. DE la LOGORRHÉE, par 0. Klinke. (Allg. Zcil
ent, par intervalles, et nettement, comme en 90 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. scandant, jamais le flux n'est difficile ; il
s de foyer dans la zone motrice droite. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 91 IV. Un cas DE PSYCHOSE chez un saturnin; pa
ve (voir les détails dans le mémoire). Conclu- sion. Dégénérescence
mentale
; psychopathie; décadence morale; inversion du s
d. de la Suisse Ro- mande, 1891.) G. D. 92 z2 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. N'Il. CONTRIBUTION A l'étude DE la toxicité ur
ystiques, les scléroses lobaires anciennes plus REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 93 ou moins étendues, ne sont que les effets d
ugmente dans de grandes proportions. G. D. 94 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XIII. Contributions A L'ÉTUDE DE L'ÉPILEPSIE s
inéluctable imposée par le deslin à elle-même. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 95 aussi bien qu'à ses proches. A partir du jo
s ; par M. SAILLER. Dans une communication à la Société de médecine
mentale
de Belgique, MM. de Boeck et Slosse ont fait co
rès ces auteurs, ce n'est pas seulement dans certaines affec- tions
mentales
que l'on trouve de l'acétone dans les urines ; l'
aliénés n'avait aucun point d'attache avec telle ou telle affection
mentale
. Malgré leur affir- mation de l'existence const
onstante de l'acétone dans l'urine des alié- 96 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. nés, MM. de Boeck et Slosse en arrivent cepend
it beaucoup de spontanéité dans l'apparition du REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 97 sommeil : sinon, comment expliquer ces trou
culièrement frappantes. Aacmvu ? t. XXV. 7 98 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. .XIX. OCCLUSION accidentelle DE L'OUVERTURE DE
on deux heures, puis une crise arriva soudaine- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 99 ment, la température descendit à 36°, l'app
ulisme : elle a vécu pen- dant ces trois journées une véritable vie
mentale
différente de sa vie normale. Lorsqu'on met c
e à chaque tentative : il est stéréotypé. 100 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. .Lorsqu'on la fait sortir de l'état léthargiqu
l'a plongée, elle rentre dans l'existence ordinaire avec son état
mental
spécial et tout différent de celui où elle est qu
. (Annales méclico.psychologiques, 1892.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. '101 XXIII. Aliénation mentale par TROUBLES DE
1892.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. '101 XXIII. Aliénation
mentale
par TROUBLES DE la nutrition; par MM. Mairet et
osc. Lorsqu'on recherche l'étiologie de certains cas d'aliénation
mentale
, on se trouve parfois amené, en l'absence de tout
anie, la manie avec agitation ont, au con- 1 02 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. traire, une toxicité beaucoup plus énergique ;
ce qui existe che; l'individu atteint de cette forme d'aliénation
mentale
. L'urine des lypémaniaques donne naissance non
phique ou puerpéral, par exemple, qu'il faut rattacher l'aliénation
mentale
, mais à un autre élément commun à toutes ces pe
ouble subi par la nutrition, force est de rattacher ces aliénations
mentales
à ce trouble. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 103
attacher ces aliénations mentales à ce trouble. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 103 De sorte qu'à côté des aliénations mentale
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 103 De sorte qu'à côté des aliénations
mentales
, névroses, doivent prendre place des aliénation
iénations mentales, névroses, doivent prendre place des aliénations
mentales
par troubles de la nutri- tion lesquelles réuni
i- tion lesquelles réunissent dans un même groupe des aliénations
mentales
étudiées par certains auteurs sous autant de noms
éthode fonctionnelle très active. P. K. XXV. Mensonge ET aliénation
mentale
; par MOELI. (Allg. Zeitsch. f. . Psychiat., XLV
accusé d'escroquerie. Ment- il ? Simule-t-il ? Etablir la débilité
mentale
et samodalité. Conclusion irresponsabilité . P.
personnelle, c'est-à-dire les différences individuelles du travail
mental
ou des impressions qui sont dans des limites no
., etc. On mesure le temps que demande chez chaque sujet ce travail
mental
à l'aide d'une montre à déclancliement podaliqu
à faire du délire chronique une classe à part de la dégénérescence
mentale
. SOCIÉTÉS SAVANTES. 119 Certains persécutés,
ctuel faible descendant d'alcoolique, qui, après quelques accidents
mentaux
très fugaces, a d'abord présenté un véritable a
ien la systématisation de son délire porte le cachet de sa débilité
mentale
; c'est, en effet, une systématisation pauvre, s
e une dégénérée et ce qu'il entend par le terme de dégéné- rescence
mentale
. M. RITTI exprime l'hypothèse que le cas de M.
élires de persécution. Ils constituent peut-être entre ces maladies
mentales
comme un groupe mixte de transi- tion, et me se
stique de la dégénérescence, nous n'au- rons plus alors en médecine
mentale
d'autre maladie que la dégé- nérescence. D'aill
une systématisation toute spéciale, grâce au terrain de débi- lité
mentale
sur lequel il s'est développé et que c'est justem
intellectuelles est bien la caractéris- tique de la dégénérescence
mentale
. Il y a en conséquence lieu, selon lui, de main
ie dans la psychiatrie pour déterminer tout un groupe de maladies
mentales
. II). M. le Dr D.abcuEwmcH. Sur les altérations
héorique que pratique. Paul BLOCQ. 111. Manuel pratique de médecine
mentale
; par le Dr E. Régis. 2e édition. Paris, 0. Doin
représente dans une forme concise un véritable traité des maladies
mentales
d'après les données les plus récentes de la sci
lecteur le chapitre sur les Éléments symptomatiques de l'aliénation
mentale
, dans lequel z BIBLIOGRAPHIE. M. Régis, s'ins
façon très précise, très claire, toute la séméiologie des maladies
mentales
, les chapitres de la Folie systématisée, de la
olie des diathèses rajeuni par l'application à l'étude des troubles
mentaux
des doctrines mo- dernes, professées par M. Bou
; la psychologie n'est que la physiologie spécialisée ; la médecine
mentale
n'est qu'une spé- cialisation de la médecine gé
peut objectiver, en quelque sorte, à l'aide de la méthode expéri-
mentale
. Tous les agents physiques qui concourent à l'ent
stance del'organisme à l'infection, détermi- nant même des troubles
mentaux
; puis l'influence de la uuit sur l'ap- parition
oppement et la marche des maladies BIBLIOGRAPHIE. z7 nerveuses et
mentales
,- de même que, dans des cas inverses, les effet
e signes physiques extérieurs, de même le diagnostic des troubles
mentaux
ne peut être basé que sur les signes physiques. L
rieures... Il est à remarquer aussi que la constitution physique et
mentale
peut influer sur la localisation des troubles p
érence qui sépare le régime médical pour le traitement des maladies
mentale
s de celui que réclame le traitement des maladi
que les autorités considèrent comme donnant des signes d'aliénation
mentale
, d) recevoir des aliénés criminels. 2° L'asil
s que le cocher fantaisiste ne paraissait pas jouir de ses facultés
mentales
, et ils se disposèrent à l'emmener au poste voi
'a pas encore été retrouvé. (Eclair, 25 juillet 1892.) Aliénation
MENTALE
. - Il y a quelques jours, une femme, demeu- ran
-neuf ans, qui depuis quelque temps donnait des signes d'aliénation
mentale
, s'est jetée dans un puits profond de 20 mètres
es Archives est consacrée à des Mémoires originaux sur /'aliénation
mentale
ou la NEUROLOGIE. Ces mé- moires sont inédits e
te ou consécutive aux attaques, aux malaises; un état de dépression
mentale
, d'incapacité intellectuelle, qui est parfois l
lte affection avait été précédée du- rant plusieurs jours d'un état
mental
tout particulier et bizarre. « Il s'arrêtait su
t à cogner les personnes ou les autres brebis. 'REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
? J1 l'idiotie méningitique et peuvent concouri
chercher quelle est leur valeur diagnostique. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
Avis. - Nous rappelons à nos lecteurs, que, dan
travaux qui paraissent dans les journaux con- sacrés à /'aliénation
mentale
et à la Neurologie, en Angleterre, en Allemagne
le pouvoir moteur de l'estomac semble un peu 2M REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. accru. D'un autre côté, l'auteur a pu enregist
merycisme (Archives de Neurologie, 1883-188L) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. -) 1,; 1) toxicité. Dans la folie pellagreuse,
psie. J. Séglas. XXII. L'acide URIQUE dans les formes DE dépression
mentale
; par le or Marzocchi. (Riv. sp. di (l'en., t. X
tion. Depuis cette épo- que, il a toujours été obsédé par la vision
mentale
des cheveux de 2û'l- 1, 1. REVUE DE PATHOLOGIE
ar la vision mentale des cheveux de 2û'l- 1, 1. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. femme épars et flottants. Le contact ou la rep
MENTALE. femme épars et flottants. Le contact ou la représentation
mentale
de ces cheveux suffit chez lui à provoquer l'or
des images absolu- ment fausses. D'autre part, quelques conditions
mentales
qui sont universellement considérées comme cara
vérité objective que ne le sont les soi-disant conditions de l'état
mental
sain. M. Bucke cite quatre points sur lesquels
us les considérons comme aliénés : par exemple, REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 2 : J : J 5 les malades qui s'imaginent voler
s, menottes, cachots, barres de fer, an- 2.V")6 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. neaux, etc., qui, il y a à peine quelques anné
ais aucune solution exacte n'était possible tant que ces conditions
mentales
particulières ont été attribuées à l'oeuvre de
première condi- tion dans les effets hypnotiques doit être un état
mental
personnel au sujet : par suite d'un trouble pro
al personnel au sujet : par suite d'un trouble profond du mécanisme
mental
, les sensations et les pensées sont privées de
er le caractère et le but de l'attention en rapport avec l'activité
mentale
ou physique. Il existe dans toute matière vivan
l'attention et nous ne pouvons comprendre l'o- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 257 péralion que quand nous reconnaissons deux
tention organique; mais quand elle agit en obéissant à des facultés
mentales
supérieures, ou à une volonté intelligente on p
la capacité automatique de l'attention organique aussi dans l'état
mental
normal de l'homme, beaucoup de mouve- ments peu
us pouvons mouler, pour ainsi dire, la base physique de notre vie
mentale
supérieure et donner une signification au terme é
de l'idée est une fois ébauché, il devient une partie de l'appareil
mental
, et quoi que ce soit que l'esprit se soit assim
acides (urates) avec oxalate de chaux). P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 259 XXX. DÉVELOPPEMENTS A L'APPUI DE TABLEAUX
écutives. Il est encore pas mal de régions au Japon où l'aliénation
mentale
est considérée comme, soit le châtiment d'une h
rapide, se relève très promptement et très haut quand le trouble
mental
dure depuis longtemps. Dans la mélancolie, le poi
espace sous-arachnoïdien : en effet, dans quelques cas d'aliénation
mentale
, comme la paralysie générale, cas dans lesquels
l'hémiparésie est revenue avec les convul- sions, mais les facultés
mentales
n'ont pas subi d'atteinte et le ma- lade peut e
tres nerveux. Etudiant les effets de ces médicaments sur l'activité
mentale
, par la méthode des mensurations psychophysiques,
aissance ou dans leur plus tendre enfance sont atteints de débilité
mentale
, d'imbécillité, de dé- mence. Sous l'influenc
t surtout graves et longues. Dans 17 p. 100 des cas, l'alié- nation
mentale
était indéniable à l'époque du dernier crime ou
tions et agitation maniaque). Il note également la dégé- nérescence
mentale
préalable et dans ce cas la terminaison de la m
géniteurs. Ce qui le prouve c'est la fréquence de la dégénérescence
mentale
congéni- tale chez les criminelles. Sans doute
es causes de déchéance physique, vien- nent s'ajouter à la débilité
mentale
et au vice d'organisation céré- brale du prédes
n soi minime qui fai- sant déborder le vase provoquera l'aliénation
mentale
par laquelle un hasard différent eût pu le fair
s criminels, prédomine la folie systé- matique et la dégénérescence
mentale
. Mais on constate aussi souvent la mélancolie s
par des chirurgiens de cette ville, et par Keen, que l'amélioration
mentale
s'en est suivie. M. le Dr HURT dit : le D'' Bau
Il passe ensuite en revue les hallucinations verbales en clinique
mentale
. Il montre que contrairement à ce qu'on croyait j
ogique au point de vue du diagnostic et du pronostic des affections
mentales
où ils se rencon- trent. En tout ce qui touche
.relevons ceux qui ont été accordés à des travaux sur la pathologie
mentale
et nerveuse. Pria; Alvarenga de Piarchy (Brésil
pour 1895. Pria; Civrieux (800 fr.) : Des obsessions en pathologie
mentale
. Prix Baillarger (2,000 fr., 4894). Au meilleur
0 fr., 4894). Au meilleur mémoire sur la thérapeutique des maladies
mentales
et sur l'or- ganisation des asiles publics ou p
vent la compétence scientifique et pratique du candidat en médecine
mentale
, et dans la pratique des asiles. 314 FAITS DIVE
trois jours à Paris avec sa famille. Il était atteint d'aliénation
mentale
. Sa folie cependant n'avait jus- qu'alors prése
Washington, 1892. Government printing Office. JA/OE1" (P.). - Etat
mental
des hystériques. - Les stigmates mentaux. Volum
ffice. JA/OE1" (P.). - Etat mental des hystériques. - Les stigmates
mentaux
. Volume in-12 cartonné de 234 pages. Prix 3 fr.
lsaresallskapels Ilandlingar, fev. 1893.) , Magnan (V.) ? yVach'M
mentales
. Leçons faites à l'asile clinique (Sainte- Anne
et tremblement hystérique. L'Encéphale, 1881.) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 373 La névrose hystérique chez la malade de ce
ités cssentielles obser- vées dans notre cas. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XXXI. Suit CERTAINS CAS D'ABOULIE AVEC OBSESSI
'il s'agit d'un trouble du sens du toucher. g74 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Les divergences qui existent encore sur cette
l- ques-unes des manifestations les plus saillantes de ce trouble
mental
. Deux ordres de faits ont été presque entièreme
le fonctionnement général des facultés, autrement dit le dynamisme
mental
; 2° l'état des mouvements volontaires. Tout d'a
vements volontaires. Tout d'abord s'impose la distinction de l'état
mental
général et des symptômes plus en relief qui pou
qu'ils dé- pendent : 1° de {'inactivité (instabilité, irritabilité
mentales
; pano- phobie, arrêt en présence de ce qui est
des fonctions nerveuses, en un mot le trouble profond du dynamisme
mental
. Ce trouble primitif et général qui porte sur les
elligence et à la volonté, déter- mine, dans chacune des opérations
mentales
, des symptômes de même ordre : hésitation intel
ctes correspondant au délire du toucher (lavage REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 375 des mains, craintes des contacts, gestes a
il s'agit là d'un trouble primordial et très général de l'activité
mentale
considérée surtout dans ses manifestations volo
la volonté qui est, sans conteste, la plus diminuée des facul- tés
mentales
. Elle est diminuée dans sa double action : et com
terne, l'autre motrice et externe, d'une 376 () REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. seule et même lésion des centres idéo-moteurs.
aliénés dans ce sens : en effet, pour mettre en évidence ce trouble
mental
, il faut le rechercher avec soin, interroger les
sé, à évolution progressive (type Cotard), plus REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ON 1 fréquent chez la femme, peut être consid
dico-psycholo- giques, décembre 1892.) E. B. XXXIII. La confusion
mentale
primitive; par le Dr CHASLIN. Il est un groupe
ant d'être admis défini- tivement à l'étranger : c'est la confusion
mentale
primitive. Après un historique aussi complet qu
rançais, en particulier par Delasiauve, dans la création de ce type
mental
, l'auteur donne une esquisse précise de l'aspec
eur donne une esquisse précise de l'aspect clinique de la confusion
mentale
primitive. Après un stade prémonitoire qui pe
ème céré- bral avec trouble des méninges, en sorte que la confusion
mentale
primitive serait une psychose constituant une f
purement fonctionnelles comme la manie, la Bit) REVUE DE rATHOLOGlE
MENTALE
. mélancolie, la paranoïa et les folies à base a
s présentent des phénomènes catalepliformes. Souvent la confusion
mentale
primitive revêt le caractère d'une véritable ma
délire d'emblée est le plus souvent l'exagération du déséquilibre
mental
plus ou moins latent ; le diagnostic avec le déli
igu, le moment de son apparition, l'état grave, REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 379 la température, serviront à tenter d'établ
par Wille, comme un caractère diagnostique. Pronostic. La confusion
mentale
est plus grave que la mélan- colie ou la manie.
8 , déc. 1892.) E, B. XXXV. Modifications 013SERN iES dans l'état
mental
DE certains ALIÉNÉS ATTEINTS DE CHOLÉRA; par le
qui a sévi à l'asile de Donneval,a permis à 380 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. M. le D1' Camuset de faire plusieurs observati
1' Camuset de faire plusieurs observations intéressantes sur l'état
mental
des aliénés atteints. 1° Etats maniaques. - L'a
- Un seul para- lytique général fut atteint du choléra et son état
mental
, déjàtrès mauvais, ne fut nullement modifié. Pl
et mourut avec une grande frayeur de la mort. 5° Idiotie, débilité
mentale
, - Les idiots ne paraissent pas avoir une grand
n'a aucune action sur les délires systématisés. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 381 Presque tous les malades, sauf les idiots
ormes symptomatiques de la même maladie : 38.-) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. « la facilité de production des phénomènes cat
eptique ne peut ni agir ni être suggestionné. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 383 Dans la dernière partie de son article, M.
il a trouvé des troubles trophiques el un degré marqué de déchéance
mentale
. Un homme de trente-sept ans, avec de bons anté
oteurs des mélancolique* sont décrits par 384 4 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. tous les auteurs; l'auteur nous en fait connaî
malade a des antécédents héréditaires assez chargés au point de vue
mental
et, comme antécédents personnels, on note deux
. Cette affection vaso-motrice a-t-elle un rapport avec l'affection
mentale
du malade ? Ces deux affections se sont dévelop
eat) de York, le 21 juillet 1892; par ROBERT BAKER. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1892.) Discours très bref où s
MENT DE LA FOLIE EN ANGLETERRE; par J.-A. CAMPBELL. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1892.) Nous nous bornons à sig
ecteurs qui s'intéressent à la législation comparée de l'aliénation
mentale
. R. M.-C. XLII. UN cas DE la maladie appelée
s DE la maladie appelée KATATONIE; par Percy-Smitu. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1892.) Observation intéressant
sante et détaillée, recueillie avec soin et que REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 385 l'auteur a fait suivre de quelques comment
nérale DES aliénés avec la SYPllILIS; par Jacobson. (The Journal of
Mental
Science, avril 1892.) Les recherches poursuivie
La parotidite chez les aliénés; par Th.-B. HYSLOP. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1890.) Les trois observations
nte a provoqué la rémission ou la disparition momentanée du trouble
mental
chez les aliénés; les cas de ce genre sont asse
après l'ablation DE Le barbe; par George rINDL.11. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1890.) Observation curieuse,
procher d'un fait semblable publié par M. Savage dans le Journal of
Mental
Science de juillet 1886. R. M.-C. XL VI. Note
ues points concernant les criminels; par John BAYER. The Journal of
Mental
Science, juillet 1892.) Etude intéressante, fai
ns médico-légales relatives à la responsabilité et à l'alié- nation
mentale
; on y remarquera le peu de cas que font certains
ême qu'elles ne sont Archives, t. XXV. 25 386 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. pas contestées, et qu'elles sont l'exprcssioe
e du CCEUR chez une mélancolique; par Vincent Nash. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1892.) L'auteur a cru devoir p
rvations sur la « katatonie i ; par Edwin GOOD.1LL. (The Journal of
Mental
Science, avril 189.) L'auteur a résumé ou rappe
Sur l'affection dite « Paranoïa » ; par E. L. DUNN. (The journal of
mental
science, janvier 1893.) La première question qu
mieux caractérisée, ou bien succéder, pour le terminer, à un état
mental
pathologique antérieur. Parmi les formes les plus
quand elles existent, ne se rapportent presque REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 387 jamais au délire) et se systématisent : le
ls biliaires chez les aliénés; par CECIL F. BEADLE. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1892.) Etude très documentée s
s aliénés : en terminant, l'auteur rappelle 388 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. . que la cholestérine qui entre pour une si
sur l'hématome DE la dure-mère; par Edwin GOODALL. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1892.) Note intéressante sur l
cas DE paraplégie ataxique; par F.-S.-John BULLEN. (The Journal of
Mental
Science, avril 1892.) Deux observations recueil
e intoxication peut dans un esprit robuste occasionner un trou- ble
mental
de très courte durée, elle ne déterminera certain
gie du délire sensoriel comporte un rétrécisse- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 389 ment et une obnubilation du champ de la co
et de toute la personnalité. Dans le processus de dégénérescence
mentale
qui constitue la paranoia chronique, on disting
- noia. En général la paranoia est un processus de dégénérescence
mentale
. Selon le fonds du caractère, elle prend des form
ison sans déchéance no- table. J. SÉGLAS. 390 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. LV. UN cas d'imbécillité associé A UN arrêt de
sé ; délire mixte de persécution et de gran- deur ; affaiblissement
mental
; durée de huit ans environ. II : Hé- rédité lég
délire de persécution systématisé, idées de grandeur; désagrégation
mentale
; durée cinq ans. III : Hérédité légère, début à
ssez longue; période de persécution; période de grandeur; confusion
mentale
. VII : pas d'hérédité ; développement de la mal
mment identique ; mais, outre qu'il y a des cas REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 391 dans lesquels manque une des périodes, spé
UE DES PRISONNIERS ; par le Dr J. M01\EL (de Gand). (The Journal of
Mental
Science, janvier 1893.) Tous ceux qui sont au c
ait pas, dans un certain nombre de cas, être attribuée à un trouble
mental
, et qui a pres- crit une enquête médico-psychol
il y en a avait huit qui présen- taient des symptômes d'aliénalion
mentale
tels que leur interne- ment immédiat dans un as
pas à créer, spécialement pour les prisons, un service de médecine
mentale
. L'auteur pense évidemment avec raison, que les
e et classer les défectuosités psychiques 392 ) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. des divers délinquants, et faire en outre, dan
personnel ad hoc. Tous les prisonniers appartenant à la catégo- rie
mentale
des imbéciles devraient être l'objet de soins par
soins particuliers tant au point de vue physique qu'au point de vue
mental
; leur peine en outre, ne devrait jamais être ab
UELQUES formes DE folie aiguë; par John MACPHERSON. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1893.) L'auteur résume dans le
icament a échoué dans un certain nombre de cas, REVUE DE pathologie
mentale
. 393 mais à l'heure actuelle, l'auteur attribue
la nutrition et la production du som- meil normal. 4° Sur l'état
mental
, le médicament a agi en modifiant et en atténua
, pesanteur DE tète, KOPFDRUCK; par HARRY CAMPBELL. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1893.) On sait avec quel luxe
aire (maladie de Huntizzgtolz); par \ ? h. MENZIES. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1892 et janvier 1893.) . Les
wig Meyer est nommé à Goettingue à la première chaire de pathologie
mentale
. En réalité il n'y a plus maintenant de différe
pendant deux ans (1875-1876), le cours complé- mentaire de maladies
mentales
, il fut nommé, le 18 avril 1877, à la chaire de
mentales, il fut nommé, le 18 avril 1877, à la chaire de pathologie
mentale
et des maladies de l'encéphale, (lui venait d'ê
aire était ambigu, puisqu'elle comprenait, d'une part, les maladies
mentales
et, en même temps, non pas les ma- ladies nerve
incipaux travaux de M. le professeur Ball : Leçons sur les maladies
mentales
, 1883; 2e édition en 1890; La morphinomanie, 18
ion avec M. CHAMBARD); Leçons professées à la Clinique des maladies
mentales
; Erythème symptomatique des tu- meurs cérébrale
rds (1866). B. BIBLIOGRAPHIE X. Leçons cliniques sur les maladies
mentales
; par le Dr Magnan Les leçons cliniques sur l'ép
heure actuelle, la base de l'enseignement classique de l'aliénation
mentale
en France. Dans un nouveau chapitre, M. Magnan,
toire de la manie et des états maniaques dans les di- verses formes
mentales
. Tout le monde est d'accord pour admettre une m
lui de la manie vraie, sont très communs au cours de l'alié- nation
mentale
. Le paralytique général s'agite souvent au point
données psychologiques dif- férentes et sans s'inquiéter de l'état
mental
provoquant la sugges- tibilité, peut aggraver c
'état mental provoquant la sugges- tibilité, peut aggraver cet état
mental
tout en semblant modifier avantageusement telle
s différents buts; son influence; par D. Hack Tuke. (The Journal of
mental
Science, juillet 1892.) La maison de retraite
JAMES Murray; par A.-R. UnQeR.aRT et A. IIEITON. (The Journal of
mental
Science, avril 1890.) Ce mémoire, très intéress
; par les docteurs DODDS, STR : 111AM et GREENLEES. (The Journal of
mental
Science, janvier 1890.) Nous reproduisons ici,
st contraire à l'intérêt bien entendu des malades et de la médecine
mentale
de laisser augmenter la population de nos asiles
les observées dans DIVERS asiles; par ROBERT BAKER. (The Journal of
mental
Science, janvier 1890.) Les différents appare
devrait-il pas être plus varié; par J.-A. Campbell. (The Journal of
mental
Science, juillet 1892.) Après l'exposé de que
ge DU travail fourni par eux ; par CHARLES Mercier. (The Journal of
mental
Science, janvier 1893.) Tout le monde sait qu
successivement interne des Asiles et chef de clinique des maladies
mentales
et médecin du bureau de bienfaisance du XIV° ar
ochure in-8" de 16 pages. Saint-Louis, 1893. Journal of nervous and
mental
diseases. Bremer (L.). Itching of central origi
50 ils n'ont habituellement pas sur la santé générale et sur l'état
mental
des sujets qui en sont atteints le retentisseme
étude, nous considérons surtout les auteurs qui ont examiné le côté
mental
, psychologique de l'hystérie. C'est donc simple
influences morales qui modifiaient non l'état physique mais l'état
mental
pathologique de l'hystérique. Cette conception
actérise est un état maladif de l'esprit'. » Mais ces modifications
mentales
ne se manifestent pas seule- ment par des délir
oins en apparence, des accidents qui dépendent d'une représentation
mentale
. Au début, peut-être, le sujet a eu conscience
étudiées avec plus de détails dans notre travail sur Les accidents
mentaux
de l'hystérie. 430 REVUE GÉNÉRALE. avait dans
rait, disions-nous à ce propos, passer en revue toute la pathologie
mentale
et une partie importante de la patho- logie phy
en est pas ainsi, en raison de la dissociation facile de leur unité
mentale
, disait M. Charcot, ^certains centres peuvent-ê
son idée ' Jules Janet, op. cil., p. 622. s L. Laurent. De l'état
mental
des hystériques d'après les théories psychologi
l'action sédative ET HYPNOTIQUE DE ! la DUBOISINE dans LES maladies
mentales
; parle Dr BELMONDO. (Riv. p. di (l'en.) t. XVIII,
tion psychique ou motrice accompagnant diverses- formes de maladies
mentales
. Comme telle, on doit la pré- REVUE DE thérapeu
il y eut pendant deux mois une amélioration très marquée de l'état
mental
en même temps que les troubles de la motilité a
e de perdre leurs mauvaises habitudes. Ils éprouvent une excitation
mentale
très marquée, comparable il celle que produit l
ligature DE l'artère vertébrale; par Telford-Smitu. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1890.) On se souvient qu'il
malheureusement la réapparition des attaques a renversé l'é- difice
mental
et intellectuel si laborieusement restauré. R. M.
Usage ET abus de l'hyoscine, par Lionel Weatiierly. (The Journal of
Mental
Science. Juillet 1891.) L'auteur conclut de ses
e prudence attentive, mais qui peut, dans certains cas d'aliénation
mentale
ou d'affec- tions nerveuses, rendre des service
vec hallucinations, elle a paru plutôt nuisible; dans la dépression
mentale
, elle est sans effet. On la trouvera utile, au
sédatif ET hypnotique; par J. CAIILYLE-JOIiNSTOVE. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1892.) - Les conclusions de ce
fluence sédative très nette dans le cas d'agita- tion ou d'angoisse
mentale
, particulièrement dans les cas récents et aigus
ées. R. M.-C. IX. NOTES DE thérapeutique CLINIQUE dans LES maladies
mentales
; » ? par AKGnisANi. (Il ilianicomio, fasc. 2-3
r de l'agitation. Voici la formule employée : REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 457 l'influence de ce médicament, la circulati
la nutrition s'améliore notablement. J. SÉGLAS. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
LXI. UN cas DE folie DU doute avec délire DU to
t par un véritable état de démence. G. D. 458 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. LXIV. BOULIMIE hystérique par accès s'accompag
yant disparu brusquement pour faire place à un état d'automa- tisme
mental
, avec amnésie complète de l'accès et amnésie rétr
yogène. Il n'y a aucune importance à rechercher dans quelles formes
mentales
se déve- loppe de préférence l'otématome et cel
début de l'othématome; les lavages doivent être REVUE DE pathologie
mentale
. 489* répétés, abondants et doivent être poussé
graphie d'un crimimel simulateur; par James MURRAY. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1890.) L'histoire de ce prison
UMEUR CÉRDITALF (r[13110-KY--TIQUE); parJamesRoRIE. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1890.) Observation détaillée,
olie homicide ET suicide; par Frank ASIIB1 1;LKINS. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1891.) Observation détaillée,
LES aliénés DE 1890 en ANGLETERRE; par Percy Smith. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1891.) Travail impossible à
ogie ET DE son évolution ; par George M. Robertson. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1890.) Après avoir étudié ph
LXXII. Insolation ET folie; par Théo. B. IIYSLOP. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1890.) L'auteur pense que l'on
ion (sous la double forme de coup de soleil 460 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. et de coup de chaleur) dans l'étiologie des af
GIE MENTALE. et de coup de chaleur) dans l'étiologie des affections
mentales
, surfout dans les pays chauds. Mais son mémoire
x de paralysie générale ; par BOVVILLE BRADLEY Fox. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1891.) Il s'agit de quatre. ca
on DE manie POST-ÉCLAMPTIQUE j par E.-A. ALExANDER. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1891.) L'éclampsie a probablem
cès de manie parait avoir eu pour cause prédisposante l'instabilité
mentale
congénitale, et pour cause déterminante les cri
INGHAM, le 23 juillet l891, par E.-B. `1'DITCOJIBE. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1891.) Dans ce discours, le
u proposés pendant les dix dernières années en manière d'aliénation
mentale
, tant au point de vue administratif ou légal qu
SÉCU- TIVE A une insolation; par E.-B. WHITCOHBE. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1891.) Observation d'un cas in
la relation détaillée de l'autopsie. R. M.-C. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 461 LXXVII. Hystérie mâle D'ORIGINE TOXIQUE ET
XXVIII. Influenza ET névrose; par Geo.-H. Savage. (The Journal , of
Mental
Science, juillet 1892.) On sait que l'influenza
la diminution du pouvoir musculaire. Plusieurs formes d'aliénation
mentale
se sont montrées à l'état de conséquence de la
rapport entre la gravité de la maladie primordiale et les troubles
mentaux
dont elle a provoqué l'éclosion ; ce qu'il y a
s prédisposés. On a dit que l'influenza pouvait modifier le trouble
mental
chez un aliéné; l'auteur n'a constaté ce fait q
poraire; en revanche dans quelques névroses anciennes, sans trouble
mental
, dans la surdité nerveuse par exemple, il a pu ob
la DISSOLUTION DE L'Ex- pression; par John TURNER. (The Journal of
Mental
Science, jan- vier et avril 1892.) Dans ce tr
e que si l'on étudiait avec soin, et paral- 462 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. lèlement, les symptômes de paralysie du mouvem
.-C. LXXX. Un cas DE cocaïnisme; par PERCY Smith. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1892.) Ce cas s'écarte du type
LXXXI. GÉNIE ET folie; par Arthur i·1.1CD0\.1LD. (The Journal of
Mental
Science, avril 1892.) L'auteur termine son étud
cette conclusion, il n'y a pas lieu de supposer REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 463 « que la valeur de ce qu'il y a d'élevé et
le génie lui-même. » Remarquons que les directeurs scientifiques du
Mental
Science, MM. Hack Tuke et Geo. Savage ont cru d
. LXXXII. La KATATONIE EST-ELLE UNE forme particulière DE TROUBLE
mental
; par M. J. NOLAN. (The Journal of Mental Science,
me particulière DE TROUBLE mental; par M. J. NOLAN. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1892.) LYŸlIII. QUELQUES obs
YYI\'. UN cas DE tumeur cérébrale; par James RORIE. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1892.) Observation intéressant
ure du ventricule GAUCHE du COEUR; par Jolin BRUCE. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1892.) Observation d'un homme
homme de soixante-dix ans, mort subitement 464 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. au déclin d'une période d'excitation; le coeur
s la pratique médicale ordinaire; par A.-II. NEWTH. (The Journal of
Mental
Science, janvier et avril 1892.) - A l'aide d
tement de la folie; il signale notamment certains cas où le trouble
mental
est sous la dépendance d'une lésion organique q
tre que si le milieu ambiant paraît agir défavorablement sur l'état
mental
, si les ressources du traitement à domicile son
Y : NOTES d'un visiteur ; par M. George ROBEIiTSON. (The Journal of
Mental
Science, octo- bre 1892.) L'auteur a visité s
soit relativement. Lorsque, chez ces malades on REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 465 provoque l'hypnose, ils manifestent les di
s dits psychiques ou Archives, t. XXV. 30 466 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. somatiques de l'hypnotisme; tels que les décri
étendre à des affections nerveuses très diverses. Dans l'aliénation
mentale
, l'hypnotisme pourra certaine- ment être employ
at de rêve intermédiaire entre les deux autres. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 467 - Dans l'état de sommeil profond, les vibr
e partout où il y a illusion, il y a folie; 468 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. mais partout où il y a folie, il y a illusion.
conclusions de l'auteur sont les suivantes : 1° Toutes les facultés
mentales
se sont manifestées chacune à son époque; elles
les familles les plus progressives de la race aryenne, les facultés
mentales
depuis quelques milliers d'années, se sont déve-
grande rapidité. 7° Dans celte race, le grand nombre des déchéances
mentales
, communément appelées folie, sont dues à la rap
folie, sont dues à la rapide et récente évo- lution de ces facultés
mentales
dans la race. Aussi dans la race Aryenne améric
ependant probable que nombre de personnes ne doivent leurs troubles
mentaux
qu'à l'épuisement produit par la rétention de p
tielle : oedème considérable, coeur très hypertrophié. Comme état
mental
: stupidité avec des périodes d'excitation caract
vec des périodes d'excitation caractérisées par REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 469 des idés de persécution. Son urine contena
épithéliaux avaient disparu de son urine et son état phy- sique et
mental
était excellent. 3° Mélancolique, trace d'album
etit nombre de cylindres hyalins. Pas d'cedème. Un an après, état
mental
très amélioré et plus de signes de néphrite.
ins. Coeur normal. En quelques mois, l'oedème dis- paraît et l'état
mental
se guérit. 6° Mélancolie avec idées de suicide.
le Kreisphsiken dans son rapport. Il conclut à la dégénères-, cence
mentale
, c'est-à-dire à l'existence d'un état psychopathi
par le retour des règles qui avaient cessé au début de l'affection
mentale
. M. NEISSER présente un malade affecté de paral
ef de clinique médicale, est institué chef de clinique des maladies
mentales
, en remplacement de M. LAPON, dont le temps d'e
rait du compte rendu du Congrès de Blois. Mairet (A.). Aliénation
mentale
syphilitique. Volume in-8° de 182 pages. Paris,
z les aliénés, par de Bocke et Slasse, 93; Sailler, 9. Aliénation
mentale
par troubles de la nutrition, par Mairet et Bos
stème nerveux, par Gowers, 308; leçons cliniques sur les maladies
mentales
, par Iagnan, 40 ? ;-thérapeutique sug- gestiv
fenburg, 282. Commotion cérébrale, parFriedmann, 262. Confusion
mentale
primitive, par Chaslin, 377. Congrès des méde
Twos céphalique, par Nerlich,271. Thérapeutique dans les maladies
mentales
, par Anarisani, 456. Tics, maladie des, par Cha
ar de Boecke et Slasse, . 93. Urique (acide) dans la dépression
mentale
, par Marzocchi, 253. table des -auteurs ET DES
VES DE E NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
Fondée par J.-M. CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRE
RECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNA
nté au moment de ses différentes entrées quel- ques légers troubles
mentaux
dus à l'alcoolisme, il en serait de lui comme d
les caractères d'un acte pathologique. Quant aux accès d'aliénation
mentale
présentés autrefois par Delannoy ont-ils été .r
nous dirons pour conclure : Delannoy n'est pas atteint d'aliénation
mentale
; rien n'au- torise à penser qu'il était hors d
elonaie pathologique de la paralysie générale. (Congrès de Médecine
mentale
. Blois, 1893.) 1 Minnich. Zeilsclu'illliil' kli
es arthritiques notoires qui sont atteints de maladies nerveuses ou
mentales
, on trouve des traits communs devant être mis à
SOIN : 1L ET SULFONAL; par MEMOM et SCALLT. (Journal of Ncruous and
Mental
Diseases, juin 1874.) Le D'' Memom donne le som
intra-cranienne (céphalées, vomissements, névrite optique). L'état
mental
commençait à s'altérer ainsi que la sensibilité à
THYa01- DIEN; pal' ThomaÓ-SamuelMAc CLAL : GIIIIY. (The Jourltal of
Mental
science, octobre 1894.) , L'auteur se propose
négales au point de vue des résultats obtenus relativement à l'état
mental
. La préparation employée dans les deux cas consis
mi- neux. Au bout de quinze jours, amélioration marquée de l'état
mental
et du goitre. Au bout d'un mois l'amélioration
r l'extrait thyroïdien; par Telford Telford-Smitii. (The Journal of
mental
science, avril 1895.) Les cas étudiés par l'a
ien, avec une amé- lioration tout juste appréciable au point de vue
mental
, mais extrêmement frappante au point de vue phy
tement DES dégénérés; par Jules MUREL (de Gand). (The J021r)tcLl of
Mental
Science, octobre 189t.) L'obligation de pourvoi
où des indications thérapeutiques possibles du trépan en aliénation
mentale
. Tout d'abord l'auteur passe en revue les tenta
t craniectomies dans l'idiotie microcéphalique. Pour les troubles
mentaux
d'origine traumatique en revanche, les résultat
oncerne la cure des épilepsies jacksonniennes avec ou sans troubles
mentaux
consécutifs (la cure des troubles mentaux eux-m
nes avec ou sans troubles mentaux consécutifs (la cure des troubles
mentaux
eux-mêmes étant subordonnée au temps plus ou mo
lisations pas plus que la chirurgie cranio-cérébrale et la médecine
mentale
n'ayant dit leur dernier mot. L. A. Marie. XV
la méningite, avec UNE observation; par John laEAY (The Journal of
Mental
Science, octobre 1894). Il s'agit d'un cas de l
était continue et siégeait à la région frontale gauche. L'hébétude
mentale
était très accusée; en somme, on paraissait avo
au tamponnement, elle était à peu près complètement effacée. L'état
mental
du malade s'était rapidement 'amélioré dès le d
n de la plaie que l'on voit apparaître les symptômes d'alié- nation
mentale
. Quelquefois aussi, un traumatisme, même grave,
tion. Ce cas est remarquable par la tardive apparition des troubles
mentaux
, et l'absence de toute lésion pathologique, au
Sur LE traitement séparé des cas récents ET curables D'ALlÉ- nation
MENTALE
DANS DES HOPITAUX DÉTACHÉS FT SPECIAUX; par' Jo
HOPITAUX DÉTACHÉS FT SPECIAUX; par' John A. «ALLIS. (The journal of
Mental
Science, juillet 1894.) Dans ce travail, accomp
observation clinique) ; par T. DUNCAN GREEi'\LEES. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1894.) . 11 s'agit d'une fem
esque simultanément à la première attaque, appari- tion de troubles
mentaux
d'abord légers, et aboutissant à des hallu- cin
eparurent bientôt, mais moins fréquentes et moins intenses : l'état
mental
était sensiblemenl amélioré. La céphalalgie, su
tion du salicylate DE soude; par G.-B. 1VDI1VSUY. (The Journal of
mental
Science, octobre 1895.) Chez une aliénée de qua
aitement DINS LES ASILES D'IftL 1NDE ; par Finegan. (The Journal of
mental
Science, avril 1895.) Tous les aliénistes saven
irresponsabilité. 11 manque une corré- lation directe entre l'état
mental
de l'individu et l'acte incriminé. M. LECRAIN r
ul de la durée de la peine pour les condamnés atteints d'aliénation
mentale
: A, Quand ils sont enfermés dans des asiles sp
ire quand l'aliéné n'a pu échapper à la prison que grâce à son état
mental
, le magistrat devrait pouvoir tenir au criminel l
ouvoir tenir au criminel le raisonne- ' ment suivant : « Votre état
mental
vous rend irresponsable, par con- séquent, vous
ce d'un individu ayant com- mis un crime sous l'influence d'un état
mental
pathologique, prendra une mesure temporaire ou
al, une diminution de l'ivresse, de la criminalité, de l'aliénation
mentale
. L'orateur veut favoriser la coopération de la
hologique.Psycho-thérapie, suggestions thérapeutiques, sug- gestion
mentale
, télépathie, transfert psychique, statistique int
hure in- de 11 pages. Extrait du Bulletin de la Société de médecine
mentale
de Belgique. 1891. CAU\IVE.1U. Un nouveau type
a/;o< ! 7'<'M. SÉGLAS (J.). Leçons cliniques sur les maladies
mentales
et nerveuses (Salpêtrière 1887.189), recueillie
xcellents, peut-être même Archives, 2e série, t. 1. 7 98 CLINIQUE
MENTALE
. trop optimistes, ont eu pour rejetons des indi
e à un observateur de localiser des phénomènes de ce 100 ' CLINIQUE
MENTALE
. genre dans l'oeil droit ou dans l'oeil gauche.
ne erreur de l'activité cérébrale qui s'est manifestée 102 CLINIQUE
MENTALE
. tout à fait en dehors des conditions habituell
nde en quelque sorte réelle, vivante el- objective, il faut un état
mental
particulier, assez rare puis- qu'en somme les h
e cité, p. 68 et smv. 1 Bail. Encéphale, 1892, p. 1. 104 CLINIQUE
MENTALE
. ces deux ordres de phénomènes morbides. Mais l
in Neurologisclies Cen- tralblall, 1889, p. 22. ' . 106 CLINIQUE
MENTALE
. mais il y a lieu de se demander par quel mécan
6. ' Hughes Bennett. The Lancel, 1889, t. I, p. 674. 108 CLINIQUE
MENTALE
. auras sensorielles unilatérales peuvent être t
tionnables. Nous la retrouverons encore chez certains dégé- nérés
mentaux
, comme chez cette ancienne religieuse que je vo
le, qui doit vous guider dans l'observation des faits en pathologie
mentale
, ne doit pas non plus vous faire négliger de re
ervé la forme pyramidale ou triangulaire et possédant '112 CLINIQUE
MENTALE
. un noyau à contours nets; elles ont des formes
SSEMENT DF; la folie EN IRLANDE; par Thomas DRAPES. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1894.) Ce travail, très richem
des exceptions. D'autre part, les signes caractéristiques moraux et
mentaux
de la criminalité sont assez nets et assez défi
violation de la loi naturelle, les anomalies ou les particularités
mentales
ou morales peuvent être utilisées en vue du dia
utile à notre système social ; il pré- sente toujours des anomalies
mentales
et morales caractéristiques. Ces criminels sont
est impossible. Comme acte de sauvagerie, Il-)6 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. l'exécution d'un criminel dépasse le cannibali
e- ment aptes à occuper. R. DE Musgrave CLAY. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. I. Sur la FOLIE morale ET ses rapports avec la
iminologie; par le professeur BENGDIKT (de Vienne). (The Journal of
mental
Science, octobre 1894.) Les termes « folie mo
sonnes entachées de dépravation morale congéni- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. '1Î tale ou acquise ne doivent pas être traité
cause de la non culpabilité que si elle est fondée sur l'aliénation
mentale
démontrée. Il faut se souvenir aussi qu'un nive
vicieuses sont bien réellement le résultat d'un état d'alié- nation
mentale
aigu, chronique ou périodique; 3° la combinaison
tes dits irrésistibles comme relevant effectivement de l'aliénation
mentale
que lorsqu'ils se présentent sous la forme de v
uelle congénitale. R. DE Musgrave CLAY. Il-)8 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. II. Sur LES affections DE la faculté musicale
ns LES maladies cérébrales; par William W. IRELAND. (The Journal of
mental
Science, juillet 1894.) - Les documents n'abo
de la faculté musicale avec les maladies cérébrales et l'aliénation
mentale
; aussi pensons-nous qu'il sera agréable au lect
s impossible à rompre. Tout langage possède des REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. "129 intonations modifiables par les émotions.
ux facultés. Archives, 2° série, t. I. 9 '130 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Oppenheim a publié l'observation de dix-sept c
tion, ce qui tient probablement surtout à leur défaut d'application
mentale
, à leur indolence générale et à leur gaucherie
eauté. Enfin, dans l'exaltation de la manie, la REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 131 puissance d'expression musicale est quelqu
ical; mais il en est de même, en ce cas, de la plupart des facultés
mentales
. Ribot a établi, comme une loi de régression, q
ors même que celles-ci ont plus profondé- ment atteint les facultés
mentales
plus complexes. » . R. DE MUSGRAVE CLAY. IIL
faculté musicale dans la folie; par Richard LEGGE. (The Journal of
mental
science, juillet 189 ? ) La faculté musicale co
la musique soit vocale, soit instrumentale; 132 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 4° la faculté de composer de la musique origin
ce les aptitudes esthétiques subissent la même REVUE DE PATHOLOGU !
MENTALE
. 133 déchéance, et peut-être plus rapidement en
peut-être plus rapidement encore -- que toutes les autres aptitudes
mentales
; mais la faculté de jouer d'un ins- trument peu
d'un sens esthétique rudimentaire, alors que les autres attributs
mentaux
font totalement ou presque totalement défaut, et
s organes pelviens sont quelquefois suivies 134 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. d'heureux effets au point de vue mental, alors
134 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. d'heureux effets au point de vue
mental
, alors même que ces opé- rations sont légères e
les. R. DE MUSGRAVE CLAY. V. La législation relative A l'aliénation
mentale
EN IRLANDE; par John EusTACE. (The Journal of m
l'aliénation mentale EN IRLANDE; par John EusTACE. (The Journal of
mental
science, octobre 1894.) Travail intéressant et
consécutives; guérison; par A. C. BUT- LER SCYTHE. (The Journal of
mental
science, octobre 1894.) L'observation dont il s
a paroisse DE BARONY DE GLASGOW; par John CARSWELL. (The Journal of
mental
Science, juillet 1894.) ' . \ . Cette expér
ntéressent spécialement à la législation com- parée de l'aliénation
mentale
. R. M. C. VIII. Contribution A L'ÉTUDE ANATOfO-
SIE GÉNÉ- RALE des aliénés; par Alfred W. C.amBELL. (The Journal of
mental
Science, avril 1894.) Ce travail est basé sur
l de la science, nous restons forcément dans le REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 135 domaine des conjectures lorsqu'il s'agit d
is ce qui est incontestable, c'est que dans 136 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. des cas rapidement mortels de paralysie généra
générale, dans lesquels les altérations cérébrales et les troubles
mentaux
n'avaient pas eu le temps d'atteindre une pério
as DE folie ataxique; par J. Vincent 13L.1CHFOIiD." (The Journal of
mental
Science, juillet 1895.) Ce cas est un nouvel ex
ficulté qu'il y a différencier avec quelque précision les symptômes
mentaux
qui se rencontrent dans quelques cas d'alaxie l
alysie générale. S'agit-il ici d'une ataxie locomotrice à symptômes
mentaux
, ou d'une paralysie générale à symptômes alaxiq
statait en outre la perte précoce et permanente REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. '137 du réflexe du genou, la'démarche ataxique
É- PARATIONS anatomiques; par W. Lloyd Andriezen. (The Journal of
mental
Science, octobre 1894.) Les recherches du D'' A
LLETTE DE NEUF ANS ET neuf mois; par Edwin L. Dont. (The Journal of
mental
Science, juillet 1895.) , Par ses symptômes,
pendant le cours de la maladie men- tale. 138 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. , Il est incontestable que les cas de paraly
LE PLUS CONSIDÉRABLE; par T. ALGERNON CHAP : .IAN. (The Journal of
mental
Science, juillet 1894.) Travail intéressant,
UES OBSERVÉES chez ces malades; par John TunNEl\, (The Journal of
mental
Science, janvier 1895.) L'auteur a résumé le ré
ternant avec DE la verbigération; par John Warneck. (The Journal of
mental
Science, janvier 1893.) Homme de quarante-tro
nte-trois ans, intelligent, actif, très cultivé REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 139 sans hérédité nerveuse : interné pour la p
E CELLULITE PELVIENNE; par J. CHOIS- TIAN SIUPSON. (The Jou1'nal of
Mental
Science, juillet 1895.) Cas intéressant dans le
d'une inflammation péri-utérine. Les deux guérison ? , physique et
mentale
, ont marché aussi parallèlement que pos- sible,
DE corps étrangers du vagin; par W. HUSSEL STRAPP. (The Journal of
mental
Science, juillet 1895.) Il s'agit d'une alién
rrhée rebelle chez les aliénées. R. M. C. 140 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XVIII. Observation d'un cas d'épilepsie avec a
d'un cas d'épilepsie avec aphasie; par Franck IIAx. (The Journal of
mental
Science, avril 1895,) -~ Cette observation est
LES EFFETS DES maladies somatiques INTERCURRENTES SUR LES troubles
mentaux
; par E. GOOD.1LL et Saint-John 13CLLEN. (The J
es mentaux ; par E. GOOD.1LL et Saint-John 13CLLEN. (The Journal of
mental
Science, avril 1895.) Ces effets ont été signal
A DES TRAUMATISMES anciens DE la tète ; par Drapes. (The journal of
Mental
Science, avril 1895.) L'observation dont il s
icités de conduite très accusées, et se livra à REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 141 l'usage des boissons alcooliques ; l'étend
signalés par M. Drapes sont les suivants : d'abord, au point de vue
mental
, le passage brusque, presque violent d'un état
se demander si cette dépression constituait véritablement un état
mental
de mélancolie, ou bien et l'auteur inclinerait ve
hypothèse si elle n'était pas le résultat d'un retour à la santé
mentale
mettant le malade en état de se rendre un compte
une conversation parfaitement rationnelles. En fait, les symptômes
mentaux
ont été remplacés par des symptômes d'ordre bea
ne pouvait être que fort incertain. Pendant les paroxysmes, l'état
mental
du malade est assez sin- gulier, et correspond
arrive dans le rêve pendant le sommeil, ou 14'2 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. mieux encore au moment même où l'on s'endort :
maux dans 20 p. 100. Lwoff. XXII. SUR la pathologie DE la CONFUSION
mentale
hallucinatoire aiguë (Venvo ? '1'enheit) ; par
1.) 11 règne une grande confusion dans les idées sur la confusion
mentale
. Après avoir cité une vingtaine d'aliénistes et n
ait nécessaire de trou-" ver une base psychologique de la confusion
mentale
. Le schéma donné par M. Beyer suppose, en outre
, donnent lieu à tel ou tel symptôme de la maladie dite « confusion
mentale
». C'est un travail d'analyse très intéressant;
e tableau d'ensemble de la maladie en question. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 143 Il serait peut-être bon de rappeler en ter
on a essayé jusqu'ici de faire entrer dans le cadre de la confusion
mentale
; ce cadre est très mal limité, et tel auteur a
s; - h) Sensation obsédantes; c) Mouvements 144 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. obsédants (impulsifs) qui, n'étant le plus sou
euses sont négligeables comme facteurs d'hérédité ; 3° les maladies
mentales
et les caractères excentriques sont les facteur
me prédispose les descendants aux excès alcooliques et aux maladies
mentales
; 5° l'hérédité éloignée n'a que peu d'action s
deux systèmes entraîne une dystrophoneurose et par suite une action
mentale
défectueuse, et qu'en fait, pendant que le cervea
autre, son rapport avec le système nerveux est REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 145 atteint et le malade sort de sa stupeur. S
ement de tension du pouls coïncidant avec un changement dans l'état
mental
peut être observé dans certains cas de stupeur
des médicaments qui dilatent les vaisseaux est favorable sur l'état
mental
. P. S. XXVII. Fréquence DES TROUBLES FONCTIONNE
ce DES TROUBLES FONCTIONNELS DU pneumogastrique dans LES affections
mentales
; par le Dr KELLOG. Les troubles fonctionnels d
revue, en procédant par divisions du nerf, les diverses affections
mentales
où peuvent se rencontrer les altérations du pne
zity, octobre 1894.) ' E. B. XXVIII. POIDS du corps ET aliénation
mentale
; par le Dr MOUTON. Les troubles mentaux sont fr
OIDS du corps ET aliénation mentale; par le Dr MOUTON. Les troubles
mentaux
sont fréquemment accompagnés de troubles de la
nt possible. Archives, 2e série, t. I. 10 146 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Il est certain que, malgré tous les soins, cer
mplexus symptomatique désigné chez l'homme sous le nom de confusion
mentale
. (Revue neurologique, janvier 1895.) E. B. XX
ue, janvier 1895.) E. B. XXXI. Trois nouveaux cas DE c torticolis
mental
» ; par les Drs BRISSAUD et Meige. Le nom de
is mental » ; par les Drs BRISSAUD et Meige. Le nom de torticolis
mental
peut être appliqué à une variété de spasme inte
atives et montrent combien les mouvements, tout REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 147 d'abord appropriés à un but, ont de tendan
out état de cause, ce qui décide du diagnostic dans le torti- colis
mental
, c'est l'état mental du malade toujours plus ou m
qui décide du diagnostic dans le torti- colis mental, c'est l'état
mental
du malade toujours plus ou moins débile et anxi
XXXII. INTRODUCTION D'UN TESTICULE artificiel ET GUÉRISON D'UN état
mental
morbide chez un SIONO-CIiYPTORCIIIDE; par le Dr H
el doit par conséquent être regardée comme 148 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. une résultante des conditions sanitaires de l'
onditions de moindre résistance dans lesquelles les place leur état
mental
, les malades trouvent en général, dans les asiles
an Journal of insanity, oct. 1894.) E. B. XXXIV. SUR LES troubles
mentaux
dans la maladie DES TICS CONVUL- siFS; par le D
ça à être obsédée du désir d'avoir un enfant. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 149 Pubère, elle interrompt ses habitudes d'on
imposer au magistrat. Mais en'général 1 1duo REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. l'anxiété et la dépression apparaissent, ainsi
'un autre accès délirant. Dans d'autres cas, le REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. loi délire du début se continue durant tout le
er que le mot démence du code ne veut pas dire folie, ni aliénation
mentale
, ni fureur, ni imbécillité : il signifie perte du
allucinations elles ivrognes). Il critique les expressions maladies
mentales
, maladies de l'esprit, qui, pour lui, n'ont auc
x-ci sont créés, ils ne doivent pas être motivés par l'alié- nation
mentale
. et relèvent uniquement d'une loi d'administratio
outeau; nous remontons dans son passé et nous trouvons une hérédité
mentale
très chargée : à un certain moment il a présent
ime. Qu'on les enferme si l'on veut; mais pas au nom de la médecine
mentale
. Us doivent être con- damnés comme de vulgaires
traitement individuel que réclament les sujets atteints de maladies
mentales
? Comment peuvent être mis en oeuvre et cette a
ule raison qu'on ne les traite pas ». (Traité pratique des maladies
mentales
. Paris, 1862, p. 656, 657.) Les observations de
1'evision de la loi de 1838. Comptes rendus du Congrès de médecine
mentale
de Lyon, 7 août 1891. Masson, 1892. 158 asiles
cela se conçoit, d'une étude approfondie et prolongée des maladies
mentales
. Aussi n'en- trent-ils dans les services d'alié
gage inutile, pourraient-ils s'intéresser aux choses de la médecine
mentale
et à la tâche toute spéciale qui leur est réser
ment provisoire, ils se désintéressent plus ou moins de la médecine
mentale
et du traitement des aliénés. Nous n'entendons
t être, c'est-à-dire des hôpitaux pour le traitement des maladies
mentales
, au lieu de rappeler des établissements de détent
arrive qu'un certain nombre d'internes prennent goût à la médecine
mentale
, et se sentent attirés vers la carrière des asi
ecine ordinaire, ne saurait se passionner pour l'étude des maladies
mentales
. Pourquoi ce licenciement de jeunes médecins ex
t se désintéressant en général de tout ce qui touche à l'aliénation
mentale
? C'est là une sélection à rebours. Combien plu
ambition à prendre « une connaissance superficielle de l'aliénation
mentale
de manière « à en reconnaître les formes, après
Girard de Cailleux. Études pratiques sur les maladies nerveuses et
mentales
. Paris, 1863, p. 191. l'internat DES asiles d'a
à nombre d'étudiants qui ne s'intéressent nullement à l'aliénation
mentale
. Il met obstacle à toute stabilité des internes
e leurs élèves qui s'adonnent sérieusement à l'étude des maladies
mentales
, et cela précisément au moment où ces derniers
tour l'hérédité, les stigmates physiques de dégénérescence, l'état
mental
, la coexistence des psychoses liées à la tare d
xiste dans le département 298 en- fants ;< ! teints d'affections
mentales
dont 183 garçons et 115 filles. Ce, 298 enfants
issent de la manière suivante : 1° Suivant la nature de l'affection
mentale
: 126 arriérés ou im- béciles, 118 idiots, 54 é
est très diminuée ; elle ne contient ni albumine, ni sucre. L'état
mental
du malade présente quelqups singularités. Le no
andes affections de la mémoire, mais cependant, en examinant l'état
mental
du ma- lade scrupuleusement, on voit qu'il ne p
lesse des muscles abdominaux s'accroissait. L'observation de l'état
mental
du malade indiquait qu'il avait des singularité
· 1° Greffe. - C'est à la physiologie et à la pathologie expéri-
mentales
que sont dues les notions exactes de la pathogéni
e de l'avoir trop gâté. Ils pensent qu'il a du boire en INSTABILITÉ
MENTALE
. 201 cachette dans le débit de vins qu'ils tien
coups de poing. On ne peut l'approcher. Par moments son INSTABILITÉ
MENTALE
. 203 corps se raidit et parait agile de mouveme
.-S. CLOUSTUN, James Middlemass et W.-F. Robertson. (The Journal of
mental
science, octobre 1894.) Il s'agit ici d'une dém
RENCÉl'HALIE j par CONOLLY NoRUAN et Alec. FRAISER (Tlae Journal of
mental
science, octobre 1894.) Nous regrettons vivemen
RVEUSE DÉMONSTRATION PRATIQUE ; par J. B.ITTY-TuKE. (The Journal of
mental
science, octobre 1894.) Il s'agit ici d'une dém
s conduiront à penser que dans le processus morbide de l'aliénation
mentale
, les actes nutritifs sont dirigés en sens inver
tendances presque religieuses, qui durant une attaque d'aliénation
mentale
a une tendance irrésistible à com- mettre des a
quée cinq ans plus tard, elle est demeurée indemne de tout désordre
mental
: cette immunité dure déjà depuis deux ans, alo
es précédentes, elle n'a pas eu moins de cinq attaques d'aliénation
mentale
, ces attaques devenant chaque fois plus prolong
é de l'action céré- brale, il faut reconnaître que les discordances
mentales
dont cette jeune fille est un intéressant exemp
nal chez LES aliénés âgés; par Alfred-W. C.11PDELL. (The Journal of
mental
science, octobre 1894.) Durant ces dernières
es n'ont guère été étudiées au point de vue spécial de l'aliénation
mentale
: c'est le point particulier que l'auteur se pro-
rophie ET sclérose du CERVELET; par C. HUBERT-Bo\D. (The Journal of
mental
Science, juillet 1895.) La physiologie du cerve
mément qu'elles l'étaient. Un autre point intéressant, c'est l'état
mental
de la malade; c'était une imbécile, présentant
gie DE l'hématome DE l'oreille; par Edwin GOOD.1LL. (The Journal of
mental
Science, octobre 1894.) L'auteur, après des exp
cas 1)'IIÉMIATROPHIE cérébrale; par John J. CowAN. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1895.) Le malade était un imbé
xagéré dans la neurasthénie, l'hystérie, l'alcoolisme, le surmenage
mental
, on est conduit à admettre que, dans bien des c
mitive est très souvent suivie d'un trouble ou d'un atlaiblissement
mental
qui peut se terminer par la guérison, la démenc
PATHOLOGIQUES. DYME granuleux; par Cecil-F. Belles. (The Journal of
mental
science, janvier 1895.) L'auteur se propose d
le peut d'ailleurs se rencon- trer ailleurs que dans les affections
mentales
. Quelle est l'explication des phénomènes de dég
sont primitives et précèdent de longtemps l'apparition des troubles
mentaux
. Il pense donc que l'état vacuolé et la dégénér
LA FOLIE Er DE l'ÉPILEPSIE; par SALUT-JOLIS BULLEN. (The Journal of
mental
science, avril 1895.) L'objet de ce travail est
istinction qu'il convient d'établir entre le délire et l'aliénation
mentale
, distinction qui ne peut être solidement basée qu
nique, il est impossible de méconnaître que certaines aber- rations
mentales
, aiguës ou chroniques, peuvent être provoquées
manière aiguë, son action réitérée peut donner lieu à des désordres
mentaux
systématisés. Le surmenage mental, le surmenage
ut donner lieu à des désordres mentaux systématisés. Le surmenage
mental
, le surmenage physique peuvent donner lieu à des
ulmonaires paraissent moins actives dans la production des troubles
mentaux
. Parmi les causes les plus puissantes au contra
atteintes d'irrita- bilité nerveuse, de nymphomanie et d'aliénation
mentale
, était un * crime contre la société et un désho
: (ovaires atrophiés et salpingite). Amélioration notable de l'état
mental
, disparition des accès maniaques. Dans la cinquiè
candidats aux places d'in- terne. 'Esquirol. Traité des maladies
mentales
. Paris, 1838. 244 - asiles d'aliénés. ' encou
ie du système nerveux, mais en outre sur une question de pathologie
mentale
. Nous arrivons à des réformes plus importantes,
es médecins qui s'intéressent à l'étude des maladies nerveuses et
mentales
, de prolonger leur séjour dans les riches service
- - sements d'aliénés du départemcut de la Seine (asiles départe-
mentaux
et autres). Ce concours sera spécial, et unique p
siologie du système nerveux, mais encore sur un sujet de pathologie
mentale
; 4° Limitation de la durée des fonctions d'int
rtageons pas son avis sur l'adjonction d'une question de pathologie
mentale
à l'épreuve écrite. C'est déjà trop d'avoir lim
médecine et non pas s'ils sont déjà des spécialistes en aliénation
mentale
. " 'R* ? ^ BIBLIOGRAPHIE. II. 34° Rapport s
compte 250 pensionnaires répartis suivant le sexe, l'âge, l'état
mental
, l'éducabilité, et une colonie de 50 sujets. L'
et considérer comme « idiots » tous les sujets atteints de maladies
mentales
caractérisées par un état de faiblesse intellec
. Psychiatrie, t. XIV, f. 1, 2'.) P. Sérieux. Congrès DE médecine
mentale
ET NERVEUSE. Le septième Congrès annuel des méd
Le programme comprendra : I. Questions à discuter : 1° Patholo- gie
mentale
. Pathogénie et physiologie pathogénique de l'hall
grandeur et la noblesse de cette vie labo- rieuse. (The Journal of
mental
Science, juillet 1895.) R. M. C. CONCOURS d'adm
ans un asile public ou privé consacré au traitement de l'aliénation
mentale
, soit comme interne nommé au concours dans un h
médical de Philadelphie en 1887 sur une classification des maladies
mentales
, et une communication sur la législation concer
ramollissement cérébel- ARCHIVES, 2° série, t. I. 17 258 CLINIQUE
mentale
. Jeux est encore plus rare, et il ajoute : « Le
lique. Vit à l'écart, affaissée, sans au- cune réaction physique ou
mentale
. Quelques périodes d'excita- liou. 1884. Même
progressif. 1889. Erysipèle de la face sans modification de l'état
mental
. Adipose généralisée. 1890-91-92-93-9 ! 4. In
al. Adipose généralisée. 1890-91-92-93-9 ! 4. Inertie physique et
mentale
complète. Ne ma- nifeste plus aucune idée délir
ère. Celle-ci incisée donne issue à environ 00 grammes 260 CLINIQUE
MENTALE
. de sang rouge provenant des artères carotides
mort après avoir entrainé la démence. Cette évolution dans l'état
mental
de B... avait paru singu- 362 REVUE DE PATHOLOG
ur r..1 compression cérébrale; par John MACPHERSOK. (The Journal of
Mental
Science, oelo]¡re 1894.) L'auteur formule en ce
dépasser une heure. Ils augmentent sous l'influence de l'excitation
mentale
ou de l'attention. Les contractions muscu- lair
re et cessent pendant les mouvements intentionnels. Au point de vue
mental
on note la perte de la mémoire et l'affaiblisseme
z les hommes ; elle est ordinairement accompagnée d'affaiblissement
mental
ou de mélancolie, avec ou sans délire ; - si un
euvent'alors subsister sont d'origine spinale. - Quant aux troubles
mentaux
qui accompagnent, tôt ou tard, mais inva- riabl
objets environnants. Pendant les années de cécité le développement
mental
avait été presque nul, et les actions du malade
nist and zze2crologist., avril 1895.) E. B. III. Rapport SUR l'état
mental
DU SIEUR A..., inculpé d'outrage aux MOEURS. Pe
plus de trois ans et qui s'étend à la plupart des faits de la vie
mentale
. Le malade reconnaît tout ce qu'il voit, tout ce
D'INFIRMIERS dans LES asiles; par W. F. Menzies. (F/tC Journal of
mental
Science, juillet 1894.) La difficulté toujours
directeur d'asile privé; par Lionel A. WEATiIERLY. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1894.) L'auteur énumère, sou
LE ET DU COMTÉ DE WORCESTER ; par E, MARRJOTT COOK. (Thc Journal of
Mental
Science, juillet 1895.) Compte rendu intéressan
IV, Les aliénés au « WOIlKHOUSE »; par M. J. VoLAN. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1894.) Le « '\Vll1'l¡ho¡ise »,
ciation médico-psycuiatrique ; par CO-40LLY Norman. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1894.) Comme la plupart des
que, ni au point de vue du groupement des malades d'après leur état
mental
. En outre la possibilité d'ac- cidents tels que
un classement meilleur des alié- nés en tenant compte de leur état
mental
et de leur situation sociale. L'auteur conseill
LES habitations particulières ; par John SIBBALD. (The Journal of
Mental
Science, janvier et avril 1895.) 11 y a beaucou
e VISITE A UN asile hollandais ; par M.-D. MAcLEOD. (The Journal of
Mental
Science, avril 1895.) Relation intéressante, ma
LEPTIQUES ; par le Dr 1\IASOIN. (Bulletin de la Société de médecine
mentale
de Belgique, décembre 1894.) L'auteur établit d
e croient pas à la possibilité d'améliorer la situation physique et
mentale
de leurs malheureux enfants. D'autres enfin, aprè
nfants. Leur caractère s'irrite, ils deviennent violents, leur état
mental
s'aggrave. Quant au dernier groupe composédes
« On n'y admet, ni les enfants atteints de maladies corporelles ou
mentales
, ni les enfants corrompus. Le nombre des élèves d
L'influence salutaire des maladies graves intercurrentes sur l'état
mental
des aliénés est depuis longtemps reconnue et, si
d'hui n'affirment plus, comme au temps d'Esquirol, qu'une affection
mentale
ne peut réellement gué- rir qu'à la suite d'une
ron z50 aliénées indiquent des modifications favorables de l'état
mental
au cours des maladies suivantes : érysipèle de la
ffaiblis, par une amélioration plus ou moins considérable de l'état
mental
. Près des deux tien de nos malades étaient des
et, dans les deux seuls cas où nous l'avons vu se produire, l'état
mental
normal ne s'est maintenu que pendant trois sema
Or, pendant l'instruction, cette femme fut atteinte d'aliénation
mentale
et, après observation, reconnue réellement folle.
econnue réellement folle. Il s'agissait de savoir quel était l'état
mental
de cette femme pendant les années qui ont précé
ilité criminelle CHEZ les aliénés; par Oscar WooDS. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1894.) La jurisprudence en mat
est punissable; 2° pour que la défense puisse invoquer l'aliénation
mentale
, il est indispensable de prouver clairement que
tion relativement au SUICIDE; par S.-A.-K. Strahan. (The Journal of
mental
science, octobre 1894.) Après avoir résumé l'hi
rendant un verdict de suicide dans un accès temporaire d'aliénation
mentale
, . verdict qui n'est presque jamais basé sur la
r elle-même la preuve suffi- sante d'un état dangereux d'aliénation
mentale
et un motif non moins suffisant d'internement d
ntretenir l'incertitude et le doute. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XXVII. La forme spasmodique ET L1 FORME tabéti
e dans la para- LYSIE générale ; par R.-S. STEWARD. (The Journal of
Mental
Science, avril 1895.) , La forme de paralysie
, l'autre qui est associée, secondairement dans REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 341 l'ordre chronologique, à des symptômes ind
ions chroniques DES reins ; par Hubert C. BRISTOWE. (The Journal of
Mental
Science, avril. 1895.) Les points principaux su
La folie DE la PERSÉCUTION ; par René SEMELAIGNE. (Tlee Journal of
Mental
Science, octobre 1894.) Après avoir résumé, au
ntes (faire). Dans la seconde, apparaissent 342 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. les hallucinations de l'ouïe auxquelles peuven
ébut, et sont même antérieures à l'apparition des premiers troubles
mentaux
. , Le délire des persécuteurs raisonnants, ou p
dier à fond ; ils présentent généralement les signes phy- siques et
mentaux
de la folie morale, et des stigmates physiques
és; mais ce qui, cliniquement, caractérise sur- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 343 tout cette forme du délire de persécution,
-à-dire 28 p. 100 étaient dus à la tubercu- 344 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. lose, et que sur 116 décès survenus chez les m
ie a été faite. R. M.-C. XXXI. Recherches expérimentales SUR l'état
mental
dans LE VERTIGE, ET SUR LE VERTIGE CONSIDÉRÉ CO
utes, sans exception, capables d'eutraver, soit REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 34b 5 directement, soit indirectement (par voi
lysie générale des aliénés ; par REGINALD FARRAR. (The Journal of
Mental
science, juillet 1895.) Ce long et intéressant
appliquée à d'autres branches des sciences 346 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. médicales ; mais il pense qu'elle pourrait êtr
t il le prouve en signalant un grand nombre de points de pathologie
mentale
qui ne peuvent guère être éclairés que par un t
ntation DE la FOLIE en IRLANDE ; par D. [JACK TUEE. (The journal of
mental
science, octobre 189 L) Nous résumons ici les c
XXXV. QUELQUES indications relatives ALLA prophylaxie DES TROUBLES
mentaux
; par Curven. (The jou1'1ll[l of mental science, o
LA prophylaxie DES TROUBLES mentaux; par Curven. (The jou1'1ll[l of
mental
science, octobre i 87/k.) C'est par les modific
l'auteur voudrait surtout travailler à la prophylaxie des désordres
mentaux
. R. M.-C. XXXVI. UN cas d'ecchymoses accompagna
agnant DE l'excitation délirante; par W. R. DAWSON, (The journul of
mental
science, octobre 189 : >.) L'histoire des hé
ues sur le siège, l'anatomie pathologique et la REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 347 pathogénie de ces ecchymoses, l'auleur rap
SUR LA FOLIE ET DE QUELQUES DIFFICULTÉS PRATIQUES. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1895.) Les conclusions de l'au
s symptômes à la maladie, sans posséder la 48 ô REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. notion certaine et précise des lésions patholo
OPHIQUE CHEZ LES aliénés; par Thomas-Philip CowEi\. (The Journal of
Mental
Science, avril 1895.) On voit de temps en tem
es à l'autopsie : nous ne pouvons le suivre ici REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 349 dans cette description minutieuse et nous
influence est très active sur des tissus de 380 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. résistance et de vitalité fort amoindries. L'a
CÔTES CHEZ LES aliénés ; par.Alfred-W. CAMP13ELL. (The Journal of
Mental
Science, avril 183r.) , Tous les aliénisles con
, qui se répartissent ainsi au point de vue des formes d'aliénation
mentale
: paralysie générale, 18 cas ; démence sénile,
pour la concavité. 3° Dans presque toutes les formes d'aliénation
mentale
, la résis- tance est diminuée : dans les 58 cas
moitié moins résistantes que chez les hommes. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 351 5° La résistance aux fractures varie propo
lysie générale DES aliénés; par Hubert-C. Bristowe. (The Journal of
Mental
Scéezzce, julllet 9895.) Ce travail est le co
Ce travail est le complément de celui que l'auteur a publié dans le
Mental
Science, et dont nous avons donné les conclusions
munément atteints. Il ajouterait volontiers 352 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. que, dans certains cas, cette maladie peut aus
ÈNES DE L'AFRIQUE DU SUD; par E. DUNCAN f,REENLEES. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1895.) L'Afrique du Sud est pe
au cerveau d'un enfant européen ; à bien des égards, les attributs
mentaux
de ces peuplades ressemblent à ceux d'un enfant
rès longue durée DE lv maladie ; par James NEIL. (Tlte Journal of
Mental
Science, janvier 1895.) Chez ces trois malades,
autopsies; or, 74 fois, soit dans 48 p. 100 des REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 3S3 cas, il a trouvé des altérations du rein.
utôt la cause d'une auto-intoxication qui entraînerait les troubles
mentaux
secondaires. (British médical journal, 2 mars 1
.) A. M. XLIV. Deux cas d'hystérectomie SUIVIE d'accès d'aliénation
mentale
; par Macpherson LAWRIE. (British medical journa
LCy-Firth,) A. M. XLV. Extraits D'UN rapport DU comité DES maladies
mentales
ET nerveuses; par VHIT<<'ELL. (Occidental
tels sont les deux noms donnés aux deux grandes formes d'aliénation
mentale
qu'on observe chez les Malais. L'amok est un ra
est au contraire une sorte d'hébétude avec dépression et confusion
mentale
. Les deux formes peuvent alterner comme dans la
aire. A. M. Archives, 2e série, t. I. 23 z354 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. .XLVII. Observation DE paralysie générale asso
expérience. De quelle manière et en quel lieu s'effectue le travail
mental
correspondant aux mouvements acquis par l'expérie
nergie des cellules reliées entre elles par des REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. "355 faisceaux d'association bien exercés et s
excitation des centres corticaux du cerveau jeu REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. peut, chez l'animal adulte, provoquer des accè
ique, sans attaques convulsives nettes. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 357 LII. Une observation DE PSYCHOSE menstruel
Contribution A L'ÉTUDE DES altérations DE l'urine dans LES MALADIES
MENTALES
, ET, EN PARTICULIER, DANS LA PARALYSIE PRO- GRE
éné. P. K. LIV. Paralysie hystérique avec contracture ET troubles
mentaux
; par le Dr II. Bonnet. Il s'agit d'une jeune
édico-psychologiques, janv. 1890.) E. B. 358 REVUE DE PATHOLOGIE.
MENTALE
. DIIUX cas DE folie hystérique d'origine infect
res pur sang ou demi-sang. D'après divers témoignages, les maladies
mentales
sont incon- nues chez les tribus sauvages afric
nt dans l'étude de la folie chez la race nègre, REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 3J· c'est la rareté de la mélancolie et la fré
it ans. Trabécule solitaire du chiasma, avec un état de confusion
mentale
aiguë fébrile, sans hémianopsie temporale. P. KER
al périphérique recevant les fibres collatérales. Les fibres fonda-
mentales
paraissent n'envoyer de fibres collatérales que d
les arborescences collatérales de chaque groupe de fibres fonda-
mentales
ou centre sensoriel semblent en effet pourvues de
ésie, dyses- thésie et incoordination des membres, sans altérations
mentales
. F. B. LXXI. Essai théorique sur la NATURE ET
du philosophe qu'à celle du médecin. Symptôme de la dégénérescence
mentale
, le fétichisme peut être défini : l'anomalie de
au féminine, et entrant aussitôt en érection à cette représentation
mentale
. L'amour morbide qui pousse l'homme vers l'homm
nt amender. E. BLIN. X. Des étals cataleptiques dans les maladies
mentales
; par le D'' P. Lr;uairaE (1. Steinheil, éditeur
revue les délires toxiques, la manie et la mélancolie, la confusion
mentale
, les folies périodiques et les états de faibles
avec divers états pathologiques. Quelques considérations sur l'état
mental
l'amènent à définir la nature de cette névrose
uérir ? (Rapp. : Dr Magnan, à Sainte-Anne, Paris.) fi, Inspection
mentale
des détenus dans les prisons. (Rapp. : Dr P. Ga
le D' A1. KLIPPEL, Chef de laboratoire de la Clinique des maladies
mentales
. La pathologie a généralement profit aux notion
, contusion très légère à l'oeil gauche. Ce malade est dans un état
mental
qui exige son placement dans un asile d'aliénés
d'aliénés. » Certificat du Dr Magnan (20 février 1887) : « Débilité
mentale
avec excitation passagère; ankylose du genou dr
ou droit. » Certificat du 0" KERAVAL (27 février 1887) : « Débilité
mentale
compliquée de manifestations strumeuses d.u côt
bre. Grossièreté, trivialité, indocilité. Aucun progrès dans l'état
mental
. Janvier 1888. Panaris ostéomyélitique de l'ind
ogiques du sang sont restés négatifs. J. S. 480 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ' LXXXIX. RECHERCHES expérimentales sur L'INFL
(Riv. di pat. nerf. et ment., fasc. 3, 896.) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. LX. Sur l'évolution du délire paranoïaque ; pa
paranoïaque peut être regardée comme un processus de dégénérescence
mentale
qui trouve dans plusieurs formes paranoïaques i
u'inégale dans ses. résultats) en face d'un travail de dissociation
mentale
, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 481 qui se déve
) en face d'un travail de dissociation mentale, REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 481 qui se développe de façon à irriter la fon
i se développe de façon à irriter la fonction aperceptive (synthèse
mentale
), loin de l'anihiler et parles conséquences qui e
ychoses hys- Archives, 2e série, t. I. 31 482 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. tériques. La thérapeutique des psychopathies é
truation, contrairement à ce que l'on observe à REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 483 l'état normal. Les stimulus périphériques
s'agit et non de pseudo-paralysie. J. S. 484 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. LXVII. VIEILLESSE ET FOLIE, par le Dr VERGA. (
elle-même. On peut rencontrer dans la vieillesse toutes les formes
mentales
: il n'y a pas de type constant. La démence de
sitôt après; son degré est en relation avec la REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 485 violence et la durée des convulsions. Il e
veloppe. N'y a-t-il pas des hommes ayant les attributs physiques et
mentaux
de la femme ? Les eunuques n'ont-ils pas un car
séparer l'hystérie de certains états relevant de la dégénérescence
mentale
(tics et surtout tics généralisés, etc.). L'hys
dérations cliniques sur les rapports de la syphilis et des maladies
mentales
. Sera publié in extenso et analysé ultérieureme
ans la lutte contre l'alcoolisme. Parmi les facteurs des maladies
mentales
, l'alcool vient en pre- mière ligne après l'hér
critique d'une hypothèse (les auto -intoxications dans les maladies
mentales
); par M. leur Santenoise, ex-préparateurde thér
de la médecine men- tale : d'une part faire l'histoire des maladies
mentales
, d'autre part en établir la physiologie. 11 exa
lence, ne peut avoir qu'une application bien restreinte en médecine
mentale
, et que, même employée complè- tement et systém
tio il reproche de n'avoir pas encore déterminé de lois en médecine
mentale
, l'aliénation mentale n'ayant été jusqu'à prése
voir pas encore déterminé de lois en médecine mentale, l'aliénation
mentale
n'ayant été jusqu'à présent que purement descri
te nouvelle, la. théorie des auto-intoxications dans les ma- ladies
mentales
» est l'objet des chapitres m, iv, v et vi. Dan
e d'observation » ; il passe en revue toutes les formes de maladies
mentales
, et cherche si à chacune d'elles cor- respond u
intitulé du chapitre v : « Les auto-intoxications dans les maladies
mentales
. - Hypothèses connexes. - Conséquences pratiqu
res relatifs à l'hypothèse de l'auto-intoxication dans les maladies
mentales
, conclusions d'un travail d'une logique presque
siomlthe, par Hess, 368. -, par Motschutkowsky, 469. . Aliénation
mentale
. Traitement sé- paré de l ? par Wallis, 74. Lég
bigération, par Warneck. Cataleptiques. États - dans les maladies
mentales
par Lemaitre, 407. CÉCI1É. Un cas de - absolu
ncours des médecins adjoints des asiles d'aliénés, 255. Confusion
mentale
hallucinatoire aiguë, par Re%-er, 142. Congrè
l'écorce sur son exci- tabilité par de Bechterew, 51. Instabilité
mentale
, par Bourneville etJ. 130yel', 199. Intestina
e, par Muratow, 369. Effets des - intercurrentes sur les troubles
mentaux
, par Goodall et Bullen, 140. - mentales et nerv
currentes sur les troubles mentaux, par Goodall et Bullen, 140. -
mentales
et nerveuses, par Witwell, 353. Maniaque. Exc
hose - avec ¡('oille exophtalmique périodique, par Thomas, 357.
Mentales
. Rapport du comité des maladies -, par Whitwell
e, par Schuter, 354. - hystérique avec contrac- tures et troubles
mentaux
, par Bonnet, 35ï ? bulbaireumlatérale subaigu
Pneumogastrique . Troubles fonc- tionnels du dans les affections
mentales
, par Kellog, 145. Pollutions nocturnes et épile
ants en justice, 90. TESTICULE artificiel et guérison d'un état
mental
morbide chez un mo- no-cryptorcliide, par Ilerm
en médecine interne, par Metzler, ri3. Tics convllsifs. Troubles
mentaux
dans la maladie des -, par Ke- monchamps, 148
ntaux dans la maladie des -, par Ke- monchamps, 148. Torticolis
mental
, par Brissaud et Meige, 146. Trépanation dans
Stefa- nowsl ? 293. Urine. Altération de l'- dans les maladies
mentales
et la paralysie générale, par Siegmund, 357.
ression médullaire, lamnectomie, par Sinitli, 4b. Vertige. Etat
mental
dans le -, par Cornmng, 344. Vibrations. Infl
DE E NECROLOGIE- HEVUE MENSUELLE Il DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
Fonder par J.-1H. CIIA1VCOT 1 l'UISL11·,E S
CTION DE bl3l. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies
mentales
a la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNA
quelles sont les influences qui les favorisent. En dehors de l'état
mental
de la crise ou du paroxysme, que nous venons d'
dans un couvent au lieu de faire des enfants ». Tel est leur état
mental
dans l'interparoxysme. Telles sont les pensées
faire ressortir et de mettre en évidence, dans certaines affections
mentales
, la prépondérance du trouble émolif, de l'angoi
oint de vue, c'est-à-dire au point de vue des rapports de l'élément
mental
et de l'élément affectif de l'obsession, de l'i
e absence complète d'idée fixe, et, d'autre part, une préoccupation
mentale
très vive peut accompagner une disposition des
soit d'ailleurs primitif ou secondaire à une incita- tion purement
mentale
. On peut donc admettre que, dans la crise de ro
appuyer sur l'étude expérimentale des réflexes vaso- 26 . CLINIQUE
MENTALE
. moteurs dans la série des divers états psychiq
t comme un cristal transparent, ne s'appartenant plus, 1)8 clinique
mentale
. n'ayant plus un mouvement de libre (dédoubleme
. cil., t. Il, p. 359. * Cazilnvirlh, Du suicide et de l'aliénation
mentale
dans les cam- pagnes, p. 166. 3 Magnan. Leçon
pagnes, p. 166. 3 Magnan. Leçons cliniques, p. 2G9. 30 CLINIQUE
MENTALE
. Une autre malade de M. Magnan, rapportée sous
., p. 101 et 105. 3 Dupain. Obs. VIII, p. 56. 1 Legrain. Débilité
mentale
, idées mystiques, délire religieux à évolution
' V. Théâtre sacré des Céve.ines, Londres, 1707, in-12. 32 CLINIQUE
MENTALE
. « Ces théomanes, dit .Montgeron (théomanie des
la volonté, p. 131-132. Archives, 2° série, t. III. 3 34 CLINIQUE
MENTALE
. a L'extase, suivant saint Martin, a pourcaract
uitte la terre et la manoeuvre qu'elle répète à REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. I. Diagnostic différentiel DE la folie ; par l
ut en reconnaisant qu'une classification étiologique des mala- dies
mentales
présente un grand intérêt clinique, l'auteur divi
and intérêt clinique, l'auteur divise, pour son étude, les maladies
mentales
en cinq groupes : étals de dépression mentale é
étude, les maladies mentales en cinq groupes : étals de dépression
mentale
états d'excitation mentale folies inter- mitten
es en cinq groupes : étals de dépression mentale états d'excitation
mentale
folies inter- mittentes états d'affaiblissement
aiblissement intellectuel maladies céré- brales avec manifestations
mentales
prédominantes. Puis il donne une énumération de
délirante chronique et non une hystérique. 36 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Dans les cas douteux et criminels une attentio
nd neurologist, juil- let 1896.) E. B. III. Diabète ET aliénation
mentale
; par H. Band. (British médical Journal, 28 sept
u système musculaire. . A. M. V. Névrite alcoolique avec TROUBLES
mentaux
caractérisés; par D. NEIR, 0, d'Oxford. (Britis
ait relativement faible, mais fut longtemps continuée. Les troubles
mentaux
consistaient en hallucinations multiples, perte
ue très marqué. Les symptômes physiques cédèrent avant les troubles
mentaux
par la suppression de toxique, les massages, RE
ux par la suppression de toxique, les massages, REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 37 la strychnine et la morphine employés duran
actif, quelquefois elle est frappée au sceau d'un affaiblissement
mental
évident. Ces deux caractères en éclairent la genè
rsonnalité qui la transforme en maladie. , 38 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Les chicaniers non aliénés se décomposent en d
tématisée (paranoïa querelans). P. KE11.\VAL. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 39 VIII. CON'rRIBU'l'fON A LA QUES1'IOV de la
ener à trois groupes : : - 1° celui, le plus étendu, de la débilité
mentale
pathologique. y compris la débilité mentale phy
étendu, de la débilité mentale pathologique. y compris la débilité
mentale
physiologique ; il y faut mettre le gros des ré
s sans les idées délirantes du groupe numéro 2, et sans la débilité
mentale
du groupe 1. En réalité les groupes 1 et 2 sont
réalité les groupes 1 et 2 sont des aliénés même quand la débilité
mentale
est physiologique. Le troisième groupe se compose
oisième groupe se compose d'individus sur la limite de l'aliénation
mentale
. Au point de vue du traitement, les débiles pat
cyclique; par le D' UMBERTO Steffani, aide de clinique des maladies
mentales
à l'Université de Padoue. (Padoue, Calderini et
e des psychoses sur l'élimination de l'acide 40 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. phosphorique. Ses observations n'ont encore po
e le trouble nutritif qui se manifeste dans les REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 41 éléments du cerveau, et qui en vertu duquel
ce la diminution de l'activité psychique. CAMUSE. X. L'aliénation
mentale
chez les Arabes ; par le Dr MEILHON. D'une long
le Dr MEILHON. D'une longue et substantielle étude de l'aliénation
mentale
chez les Arabes, d'après les indigènes musulman
0 à 1890, l'auteur tire les conclusions suivantes : 1° l'aliénation
mentale
est très rare chez l'Arabe; la proportion des a
imitives d'alié- nation et surtout la manie, dominent la pathologie
mentale
des Arabes; 14° l'Arabe devient maniaque, le Ka
n résultat des progrès de la civilisation. 42 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 20° L'imbécillité et l'idiotie se rencontrent
robable que les éléments dont provient la mala- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 43 die psychique avec le délire défini et syst
lément de la folie raisonnante, à savoir Je terrain de dégérescence
mentale
, existe dans ce cas comme dans tous les cas ana
besoin d'une prédispositon héréditaire, à savoir une dégénérescence
mentale
. (Annales médico-psychologiques, oct. 1596.) 1.
déviation de l'instinct de conservation de la propriété », cet état
mental
de certains individus qui, expropriés de leurs bi
Parmi les tremblements qui intéressent la clinique des mala- dies
mentales
, celui de la langue des aliénés paralytiques est
décrit un autre qui, s'il n'est pas absolument spécial aux maladies
mentales
et s'observe à peu près identique dans certaines
ment physique normal, mais atteinte depuis la puberté d'instabilité
mentale
greffée sur un fonds d'imbécillité : accès de v
poison. Deux stades peuvent être distingués : 1° l'incubation. Etat
mental
caractérisé par de la dépression dans la dissocia
osophiques des peuples et les théories ayant cours sur l'aliénation
mentale
. Les idées sur la folie de la période hippocrat
e le goût de l'observation clinique dans le domaine de l'aliénation
mentale
et par suite onvre une voie nouvelle aux médeci
que, mais les classifications allemandes ont conservé en pathologie
mentale
une large place à l'hypothèse et à la théorie d
niques alle- mandes et cherche leurs équivalents dans la pathologie
mentale
française contemporaine. Il débute par la démen
ance, cependant le plus souvent elle correspond à la dégénérescence
mentale
avec dépres- sion mélancolique accompagnée du n
tale avec dépres- sion mélancolique accompagnée du nom de confusion
mentale
. Sous le nom de Wahnsinn, Iarafît-l : bing comp
çon suivante : Excitation maniaque avec hallucinations et confusion
mentale
par intervalles chez les dégénérés. La verrii
s allemands comprend tous les délires systématisés de la pathologie
mentale
française, entre autres le délire chronique à é
art, l'aliéné qui a commis un crime sous l'influence de son trouble
mental
ne diffère pas de nos malades des asiles : le c
estation, que les épileptiques perdent leurs aptitudes physiques ou
mentales
. Tout le reste du temps ils se portent bien, so
a également il fournir la preuve de ses connaissances en maladies
mentales
, mais il n'est pas nécessaire qu'il remplisse tou
s d'adversaire et domi- nait toute la thérapeutique de l'aliénation
mentale
, quand, le 20 mars 1857, fut promulgué le règle
u où il a été placé, de toute la liberté compatible avec son état
mental
et vivre le plus possible de sa vie habituelle. I
uement le permis à tout aliéné non allié qui, par suite de son état
mental
ou physique, est dans l'impossibilité de se ren
équent dans la Seine, en dehors du bien qu'elles procurent à l'état
mental
de l'aliéné et du plaisir qu'elles lui apporten
bien développée. (Mère hystérique ayant subi une crise d'aliénation
mentale
; père nerveux, dissipé, mort d'angine de poi-
a, depuis 1866, repris les travaux de Golgi 128 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. (nitrate d'argent) avec ses collaborateurs, Te
stions au sujet d'un cas de médecine légale en matière d'aliénation
mentale
. M. 13ARGY, interne à Villejuif. - Un jeune hom
à l'auteur du meilleur mémoire sur la thérapeutique des maladies
mentales
et sur l'organisation des asiles publics ou privé
rage et obtenu les meilleurs résultats de guérison sur les maladies
mentales
, en en arrêtant ou en en atténuant la marche te
titre de prix entre M. le Dr E. Régis, chargé du cours des maladies
mentales
à la Faculté de médecine de Bordeaux, auteur d'
le n° 2, et M. le D1' Ed. Tou- louse, chef de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de mé- decine de Paris, pour son t
francs (annuel). Question : de l'hallucina- tion dans les maladies
mentales
. Deux mémoires ont concouru. Le prix est décern
dée à llIll. les J. Toy et Th. Taty, chefs de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de médecine de Lyon, auteurs du mé
à l'auteur du meilleur travail sur la thérapeutique des maladies
mentales
et sur l'organisation des asiles publics ou privé
age et obtenu les meilleurs résultats, de guérison sur les maladies
mentales
, en en arrêtant ou en en atténuant la marcheter
, 1,000 francs (annuel). - Question : des obsessions 'en pathologie
mentale
. Prix Falret, 900 francs (bisannuel). - Questio
n chapitre sur l'influence des opérations gynécologiques sur l'état
mental
des opérés. Simple confirmation de ce fait conn
se, ce qui n'est pas absolument exact. En tout cas, au point de vue
mental
, la pseudo-grossesse vésa- nique est inséparabl
nfluence au POINT DE VUE DU développement DES maladies NERVEUSES ET
mentales
. Aperçu MÉDICO-LÉGAL ; par DE PERRY. Travail
ui, plus grande que jamais, et leur action néfaste sur les maladies
mentales
et nerveuses, tant au point de vue cliniqne que
e à démontrer que ledit pessimisme n'est autre qu'une manifestation
mentale
de la neurasthénie, ou, si l'on veut, une forme
a paralysie agitante, l'hystérie, l'épi- lepsie, par les affections
mentales
et encore par des troubles pure- ment dynamique
liser ce malheureux à l'asile de Navarre près Évreux ? L'aliénation
mentale
est d'autant plus curable que le malade est hos
Vol. III. Mars 1897. - N° 15. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
MENTALE
. i SUR LES HALLUCINATIONS SYMBOLIQUE^ dans
ycho-molrices. Communication au congrès interna- tional de médecine
mentale
de Paris, 1889, in Arch. de Neurologie Du mutis
(Comm. à la Soc. méd. psych., in Leçons cliniques sur les maladies
mentales
et nerveuses, p. 107, Archives, 2c série, l. II
erveuses, p. 107, Archives, 2c série, l. III. 11 i 162 PATHOLOGIE
MENTALE
. et à d'autres de Tamburini, Pierraccini et Mor
(qu'on me pardonne ce néologisme) extériorisées sous 164 PATHOLOGIE
MENTALE
. forme hallucinatoire en vertu de l'excitation
tre tinsse .. Los traslornos psico-sensoriales en las e71el'medades
mentales
. » Zara- goza, 1896. HALLUCINATIONS DES SOURD
-psycholoqiq tic, 26 nov. 1891, in Arch. de Neurol. 166 PATHOLOGIE
MENTALE
. lique qui nous occupe, est en tout analogue au
produit dans les hallucinations verbales, quelle que soit la forme
mentale
sous laquelle elles se présentent. Quelles sont
cinations (Annales médico-psychologiques, vol. V et VII; Aliénation
mental
, traduc. espagnole de J. Munoz, 1861). A. Maury.
Seglas. Les troubles du lan ! Jage,etc" Paris, 1892. 168 PATHOLOGIE
MENTALE
. ressant relativement à la manière donl s'all'e
ouvrages qui ont été publiés sur cet état, si pareil à l'aliénation
mentale
en général, et à quelques-unes de ses formes en
que. Les rêves ont déjà plus de ressemblance avec d'autres formes
mentales
, telles que le « délire hallucinatoire » de Men
ent par cet auteur avec la variété hallucinatoire de la « confusion
mentale
primitive ». Mais où la ressemblance est plus e
. Paris 1881. = Moreau (de Tours).-Utt haschisch et de l'aliénation
mentale
. Paris, 1845, p. 14. 3 Ph. Chasiin. Du râle d
élire hallucinatoire (Médecine scientifique, n° 21). 170 PATHOLOGIE
MENTALE
. Quel que soit le degré d'éducation atteint par
s pas la mimique naturelle et conven- tionnelle. 172 ' PATHOLOGIE
MENTALE
. giques actuelles, chacune de ces trois classes
ermain ; il a une soeur hystérique, et un frère atteint de débilité
mentale
. On commença son éducation à douze ans, et ses
angage mi- inique et le langage dactylologique. 174 Il PATHOLOGIE
MENTALE
. | lation aux paupières, l'année suivante une o
l'interprétation (erronée à notre avis) de l'auteur. 176 CLINIQUE
MENTALE
. sourds-muets spécialement pour l'étude de ses
onie avec les diverses formes de leur langage particulier. CLINIQUE
MENTALE
. DES PSYCHOSES RELIGIEUSES A ÉVOLUTION PROGRESS
Calmeil. De la folie, t. II, p. 359. 2 Schùle. Traité des maladies
mentales
, p. 155. Archives, 2° série, t. III. 12 178 C
ies mentales, p. 155. Archives, 2° série, t. III. 12 178 CLINIQUE
MENTALE
. natoires d'un côté, c'est dans le côté corresp
s avons nous-même suivi celui d'entre ces malades dont les troubles
mentaux
ont persisté. Il figure au rapport de 1891 sur
non seulement chez lui mais chez toute la famille. 180 . CLINIQUE
MENTALE
. Cette fois, grâce aux conseils du Médecin de l
om- binée aux psychoses mystiques, et aussi par la dégénérescence
mentale
ordinaire ; la dégénérescence est assez nette ici
e le degré de systématisation est d'autant plus élevé que le niveau
mental
est moins faible. Ces délires mystiques systéma
fées délirantes correspond-elle au degré le plus marqué de débilité
mentale
. On sait que chez les dégénérés les obsessions
tes de nature religieuse. Une de nos ma- lades atteinte de débilité
mentale
avec idées de persécution persistant depuis six
ut ' Binet et Ferré. - Sensations et mouvements. , 182 . CLINIQUE
MENTALE
. alors me faire parler et agir. C'est ainsi que
enons de le voir, ces syndromes peuvent s'observer à 184 . CLINIQUE
MENTALE
. l'état permanent et incorporés à un délire mys
cordes, à cause de leurs facultés par- tielles, de leur instabilité
mentale
, se traduisant par la folie im- pulsive ou les
ntes chez ces dégénérés s'allient aussi très souvent à des troubles
mentaux
de teinte mystique. Moreau (de Tours) signale c
ades conciliait d'une façon originale les deux sortes de perversion
mentale
; elle se masturbait avec un crucifix, croyant
SCUSSION ; par MM. T.-S. Clouston ET J. BATTY TUKE. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1895.) Opinion de M. Clousto
nage physique, il en est un bien plus grand nombre dus au surmenage
mental
. M. Tuke pense que dans ce dernier cas il exist
corticale est l'unité d'activité psychique, et aussi que l'activité
mentale
est une fonction basée sur des connexions d'élé
système lymphatique; or, ce rôle est surtout net dans les maladies
mentales
qui ont pour cause un surmenage cortical dû à u
REPOS et l'exercice dans LE traitement DES maladies NER- VEUSES ET
mentales
; par le professeur L. MEYER (de Gottingen). (Th
entales; par le professeur L. MEYER (de Gottingen). (The Journal of
Mental
Science, avril 1896.) Il y a plus de trente-cin
lus remarquables du succès de cette méthode. Bien que les symptômes
mentaux
bénéficient lar- gement du repos, ce n'est pas
E SES SUITES CHEZ DEUX opérés ; par TELFORD-SMiTII. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1896.) Lorsque Lannelongue p
ussent plus complètes et plus explicites au point de vue des suites
mentales
de l'intervention. Toutefois, dès à présent, l'
IRURG1CAL de l'idiotie ; par G.-E. SfIUTTLE- WORTH. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1896.) Les conclusions de l'au
EVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 211 également dans les cas d'affaiblissement
mental
avec hémiplégie ou athétose par hémorragie intr
r un caillot ou une fausse membrane. III. Dans les cas d'altération
mentale
due à un épanchement hydrocéphalique, et dans l
DE traitement cuez LES aliénés ; par P. MAURY DEAS. (The journal of
Mental
Science, janvier 1896.) L'auteur déclare tout d
z le malade des effets fâcheux, soit d'ordre physique, soit d'ordre
mental
. Elle est purement théorique, et, fort de son e
systématiques DES aliénés; par EDWARD D. 0' NEILL. (The Journal of
Mental
Science, avril 1896.) L'auteur estime qu'il y a
nt DE la folie épileptique; par J. H. 'l'ULL VLS11. (The Journal of
Mental
Science. Avril 1896.) - Ce travail est accompag
vation pour l'hystérie et pour l'laystéro-épilepsie. Les maladies
mentales
ne sont que peu ou point influencées. L'alcooli
ion FORCÉE DES aliénés malades; par A. R. TURNBULL. (The Journal of
mental
Science, ' octobre 1895.) - L'auteur s'est pr
SECONDE SÉRIE DE soixante cas; par LEWIS-C. BRUCE. (1'he Journal of
mental
Science, octobre 1895.) . .Nous avons analysé à
s déjà dit, ont reparu comme auparavant (B.). REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 221 traitement thyroïdien détermine incontesta
est tonique grâce à l'hémoglobine. P. KERAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XIV. La PSYCHOLOGIE DE l'idiot; par le Dr F. P
de comparaison, le développement normal des 222 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. facultés pendant les quarante premiers mois de
tres facultés sont aussi nécessaires au développement de l'activité
mentale
, la volonté et la mémoire, par exemple. L'absen
distinction de cet état de l'esprit comparé aux autres altérations
mentales
. Il y a deux formes d'attention, une attention na
i sépa- rent l'état normal de l'idiotie, en passant par la débilité
mentale
et l'imbécillité. L'imbécile de M. Sollier, é
rté peut arrêter tout à la fois les progrès des REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 223 sensations, des sentiments et de l'intelli
riminels doivent être traités de façon à améliorer leurs conditions
mentales
et physiques, à leur permettre par des habitude
ou incorrigibles, ils devraient être placés 224 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. dans des maisons de surveillance où leur serai
érée ou l'énergie convaincue pour la propagande REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 225 de ceux dont la voix est étouffée par une
donnée se rapportant à une forme clinique quel- conque d'aliénation
mentale
. La pensée de cet homme se présen- tait avec un
- male. (Revue neurologique, oct. 1896.J J E. B. XIX . DU TROUBLE
MENTAL
DANS LE GOITRE EXOPHTALMIQUE; par le Dr Serge S
MIQUE; par le Dr Serge SOUKHANOFF. Différentes formes de maladies
mentales
accompagnent le goitre exophtalmique à titre de
plication secondaire. Dans le plus grand nombre des cas, le trouble
mental
qui accompagne le goitre exophtalmique prend ex
e, à l'heure actuelle, considérer aucune forme typique de maladie
mentale
comme se rapportant spécialement au goitre exopht
culation cérébrale. Dans les deux cas cités par l'auteur de trouble
mental
accom- pagnant le goitre exophtalmique, on retr
la dégéné- Archives, 2e série, t. III. 15 226 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. rescence mentale dont M. Raymond et Sérieux on
s, 2e série, t. III. 15 226 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. rescence
mentale
dont M. Raymond et Sérieux ont indiqué les rapp
es Orientales et parce qu'elles ont une grande influence sur l'état
mental
des indigènes, et 2° l'état émotif, la susceptibi
e grande ostention. Aces causes prédisposantes, REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 227 il faut ajouter, comme facteur complémenta
avail, c'est que les idées fausses se manifestent dans l'aliénation
mentale
sous des formes très différentes qui peuvent se
fausses ne peuvent plus être réveillées. 228 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Ces considérations seraient applicables à tout
tement; ce sont là plutôt des causes occasion- nelles. Les maladies
mentales
se développant durant l'état puer- péral n'ont
les se présentent fré- quemment sous la physionomie de la confusion
mentale
agitée ou stupide. Le pronostic est généralemen
alement favorable : les éléments se tirent, comme pour les maladies
mentales
en général, des données étiologiques et de la f
ladies mentales en général, des données étiologiques et de la forme
mentale
particulière à chaque cas. J. SÉGLAS. XXV. De
mais encore dans la folie systématique, dans la REVUE DE pathologie
mentale
. 229 folie épileptique et hystérique et même da
éphaliques; on trouve chez eux une tendance 230 REVUE de pathologie
mentale
. à l'affaiblissement de tous les actes psychiqu
UI PORTENT A LE penser; par T ? 1. CH.11')1 : 1N. (1'lte Journal of
mental
Science, janvier 1896.) L'auteur résume son o
R trois cas de gangrène spontanée; par W.-B.MoRTON. (The Journal of
mental
Science, janvier 1896.) Malgré l'abaissement du
sibilité générale que l'on observe si fréquemment dans les maladies
mentales
et qui sembleraient devoir être des causes pré-
DE l'amour, étude sur L'ARIOSTE, par 11. Kornfeld. (The Journal of
mental
Science, octobre 1895.) L'auteur se livre à une
océlrlealie la collection des Comptes rendus du REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 231 est absolument le contraire de la haine de
e DE la CONDUITE; par Geo. H. Savage et C. Mercier. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1896.) Les deux auteurs relate
cas très inté- ressants de folie morale, dans lesquels l'aliénation
mentale
s'est caractérisée et révélée non par des troub
TYPES DE folie traumatique; par Thomas Pmup C01VAN. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1896.) Ce travail renferme cin
ouchement) ayant donné lieu à un arrêt du développement physique et
mental
dû à une hémorrhagie de la surface du cerveau :
ec notre ancien interne le D Noir. (B.) . 232 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Le second cas parait être un cas ordinaire de
e un cas de manie traumatique chez uu homme prédisposé aux troubles
mentaux
par l'action toxique de l'alcool sur les cellul
ol sur les cellules corticales. Toutefois le caractère du ^désordre
mental
fait pencher la balance en faveur de la manie a
sez suprenant. Les deux derniers cas sont des exemples de symptômes
mentaux
et nerveux déterminés par des lésions traumatiq
NS SES rapports avec la folie; par W. H. R. RivERs. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1894.) Travail intéressant d
logie physiologique surtout dans leur appli- cation à la pathologie
mentale
; et dans lequel aussi il décrit quel- ques-unes
pliquées par le professeur de IIeildeberg. R. M. C. XXXIII. Etats
mentaux
associés DES lésions viscérales chez l'homme sa
ons viscérales chez l'homme sain; par Henry HEAD. (Tfec Jourlaal of
Mental
Science, janvier 1896.) Parmi ces états, il en
ts anormaux ou d'altérations de tissus, comme c REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 233 IL il arrive dans le myxoedème ; on n'en p
tions de l'attention, de la mémoire et du caractère. Ces troubles
mentaux
sont associés à la présence de douleurs dites à
Les douleurs locales d'autre nature ne provoquent pas ces troubles
mentaux
: c'est ainsi que chez un des malades observés la
ausée par un point pleurétique n'a nullement déterminé ces troubles
mentaux
, qui se sont développés quelques semaines plus
o- voqué par le début d'une tuberculose pulmonaire. La dépression
mentale
parait accompagner surtout les cas où il existe d
fébriles survenues chez DES aliénés ; par J. KEAY. (The Journal of
Mental
Science, avril 1896.) L'auteur rapporte d'abo
lle survint une scarlatine qui détermina la guérison de l'affection
mentale
. A l'occasion de ce fait, il a étudié 44 cas de
s, on serait amené à penser que l'améliora- 234 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. tion de l'état mental survient plus souvent à
r que l'améliora- 234 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tion de l'état
mental
survient plus souvent à la suite de la scarla-
e de l'influence des maladies aiguës sur l'évolution des affections
mentales
, question qui malgré de nombreuses recherches,
UN cas DE manie RÉCURRENTE ; par John G. HAYELOCK. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1896.) Le sujet de cette curie
et demi qu'il n'a présenté aucun trouble intellectuel, et sa santé
mentale
et sa santé physique sont égale- ment parfaites
fugaces et changeantes, les délirés non systématisés, la confusion
mentale
et la verbigération lorsqu'elles s'accompagnent
douches intestinales, l'antisepsie gastrique et REVUE DE pathologie
mentale
. 23b intestinale au moyen de l'acide chlorhydri
ports DU diabète avec la folie; par C. Hubert Bond. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1896.) Les conclusions de ce
e démence secondaire : dans deux une légère rémission des symptômes
mentaux
fut observée lors de l'apparition du diabète ;
e prédomi- nant était la mélancolie, en même temps qu'une confusion
mentale
très accentuée, allant dans quelques-uns jusqu'
de simples traces jusqu'à 3910 grains (236 236 REVUE DE pathologie
mentale
. grammes). La quantité de l'urine elle-même ne
de ces poussées. ' R. DE Musgrave-Clay. XXXIX. SUR LES symptômes
mentaux
QUI PEUVENT SURVENIR dans LES maladies somatiqu
maladies somatiques; par Ernest Septimus REYNOLDS. (The Journal of
mental
Science, janvier 1896.) L'auteur est amené par
e somatique, en sorte qu'il est impossible de déduire des symptômes
mentaux
la nature de la maladie soma- tique primitive.
que primitive. Il y a cependant lieu de faire exception pour l'état
mental
particulier qui accompagne les paralysies alcoo-
éléments du cerveau et trouble ainsi les diffé- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 237 Î rentes réactions cérébrales normales qui
tions, fièvres, tranmatismes accidentels, opérations) les symptômes
mentaux
dis- paraissent dans la grande majorité des cas
t les principaux symp- tômes sont les suivants : 1° affaiblissement
mental
constaté dans les quelques premiers mois de la
s non dans tous, figurent le nystagmus, le 238 REVUET DE pathologie
mentale
. strabisme et l'hyperacuité de l'audition. Quel
t une semaine environ, au bout de laquelle tout REVUE DE pathologie
mentale
. 239 rentre dans l'ordre, et il se fait une des
et par instants totale, parallè- lement à l'amélioration de l'état
mental
. R. DE MUSGRAVE-CLAY. SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCI
s de la société se des- sinent vers l'évolution des diverses formes
mentales
. Il exprime enfin le souhait que la Société fer
r- tises d'hommes compétents lorsqu'ils ont des doutes sur l'état
mental
d'un inculpé; d'où leur désir de voir des aliénés
à l'existence ou à l'absence d'une maladie mentale. Les maladies
mentales
se traduisent avant tout par des symp- tômes ps
est chose indivisible. M. \'VEmGnaT fait remarquer que les maladies
mentales
peuvent ètre plus ou moins accusées et demande
stes allemands on a proposé de substituer à l'expresion « maladie
mentale
» le mot « trouble psychique », afin de ne point
de tour ne constitue pas à lui seul une prédisposition aux maladies
mentales
, mais on connaît toute une série de cas dans le
par Manson; - Des maladies du bassin chez les femmes et aliénation
mentale
, par Rohe ; Signification des troubles moteurs
dson ; - Médication thyroï- dienne dans quelques formes de troubles
mentaux
, par Clarkee; - Observations cliniques sur l'us
S les 25 et zig JUILLET 1g95; par David NicoLSON. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1895.) L'orateur a lui-même ré
lyse l'équivalent psy- chologique du crime, et de montrer l'origine
mentale
dominante pour chacune des trois catégories sui
avoir montré dans quelle large mesure le type du crime et l'origine
mentale
du crime diffèrent chez l'aliéné criminel et ch
O TASSO ET SES biographes ; par William-W. IRELAND. (The Journal of
Mental
Science, juillet et octobre 1896.) Dans unelong
ntéressante étude AI. Ireland examine d'après ses biographes l'état
mental
du grand poète ; on a beaucoup discuté sur ce p
demment prolongé et obscurci la controverse, c'est que les troubles
mentaux
présentés parle poète n'ont jamais été caractér
ujet seulement à la mélancolie et de temps en temps à des illusions
mentales
, ne nous cache pas néanmoins que ses ennemis le
cil- lité morale, dont les principaux caractères sont l'instabilité
mentale
et la perversion des instincts. Ces enfants doi
e guéris. 1\IAG : >AN (V.). - Leçons cliniques SUI' les maladies
mentales
, faites à l'Asile clinique (Sainte-Anne), 1 ecu
Althaus, p. 62. ' Cité par Althaus sous la dénomination de troubles
mentaux
, p. 61. 8 Thèse de 1896. 0 Erben. Wiener merl
peut devenir dans ces cas très ' Voir rierret. Congrès cie médecine
mentale
. Blois, 1893, et la thèse de M. Rogipr (Lyon).
proliférer, quoiqu'on puisseadmettre, selon Cajal, que * l'exercice
mental
suscite, dans les régions céré- brales les plus
ommissuration pour réaliser les différents processus d'associations
mentales
(sensitivo-moteurs, conscients, inconscients);
iable, auquel on doive rapporter les changements infinis du travail
mental
. Cajal n'ignorepas les hypothèses suivantes, invo
uspendant le passage des courants nerveux : c'est la phase de repos
mental
, et du sommeil, soit naturel, soit provoqué (na
nerveux. L'hypothèse des « états latents » des principaux processus
mentaux
, si par ces mots Cajal entend autre chose que l
olie : OUVERTURE DE la discussion; par H. MAUDSLEY. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1895.) M. Maudsley a ouvert ce
n'est peut-être pas un médecin, ayant quelque pratique des maladies
mentales
, qui oserait sou- tenir qu'un aliéné est respon
lement éclairer le jury, il n'a qu'à faire en matière d'aliénation
mentale
ce qu'il fait lorsque les débats impliquent des q
LINQU.1NTS ; par A. WOOD- RENTON et D. YELLOR-LRES. (The Journal of
Mental
Science, jan- vier 1896.) Dans ce double trav
Un cas DE médecine légale ; par 130N'ILLG li. Fox. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1890.) Ce cas s'ajoute aux cas
trent l'insuffisance et l'inexactitude du critérium de l'aliénation
mentale
selon la jurisprudence anglaise, critérium basé
les contre-balancer, et il y a lieu d'appliquer à ces con- tagions
mentales
des mesures analogues à celles qu'on applique a
dans le sens d'une sélection voulue au point de vue de l'aliénation
mentale
. A. M. IX. Du SOMNAMBULISME ALCOOLIQUE CONSIDÉR
enfin une d'aphonie hystérique. R. M. C. L. SUR LES modifications
mentales
QUE l'on observe dans L1 MALA- DIE DE Graves; p
observe dans L1 MALA- DIE DE Graves; par A. IIAUDE. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1896.) Bien que la littératu
connu, sur lequel l'auteur insiste d'autant moins que les troubles
mentaux
n'empruntent à cette origine aucune allure partic
e aucune allure particulière. Il en est autrement de certains états
mentaux
, qui ne vont pas jusqu'à la folie, qui sont ass
die de Graves. Mais ce sont là les moins accusées des modifications
mentales
: les suivantes sont plus marquées et plus caract
à terminer sa coupe par celle d'un corsage. Une autre modification
mentale
intéressante, c'est un sentiment véritablement
'agitation nerveuse qui viennent d'être décrits et l'état d'apathie
mentale
des myxoedémateux : une autre dissemblance, c'e
mplexus symptomatique spécial ; combinai- son d'un état de débilité
mentale
avec une atrophie musculaire progressive (et fr
teuir leur guérison par la lecture des livres sacrés : les maladies
mentales
sont considérées comme une punition divine. Le
mme comprendra : 1° Questions mises il l'ordre du jour : Pathologie
mentale
. - Diagnostic de la paralysie générale. Rapport
du cours de : médecine légale à l'Université de Liège. IV. Médecine
mentale
. ire question : De la responsabilité, notamment
téres- sait particulièrement aux questions relatives a l'aliénation
mentale
et à l'organisation des asiles d'aliénés. Penda
de l'hérédité qui a les rapports les plus intimes avec les maladies
mentales
, est la dégénérescence; c'est ce qui explique l
es phénomènes de démence plutôt que par des phénomènes d'excitation
mentale
. Il faut encore remarquer dans ce curieux cas q
sent de se,produire, si la tension devient très REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 369 forte. Dans l'hydrocéphalie, la fontanelle
par eiLE5Sl. (Il l11anicomio, XII, fasc. 1.) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XLIII. La menstruation ET SON INFLUENCE SUR LE
nq et qua- Archives, 2° série, t. III. 24 370 REVUE DE pathologie
mentale
. rante-cinq ans. La moitié des malades était in
uis moins de trois ans. Formes des maladies : REVUE DE pathologie
mentale
. 371 XLV. DE l'aortite chronique chez les alién
'aptitude à la désagrégation psychologique, 372 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. le grand développement des facultés imaginativ
lire paranoïaque est ainsi nommé parce qu'il se REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 373 relie à des changements profonds de toute
s psychopatlliques d'autre nature, tantôt par suite de l'épuisement
mental
qu'ils ont déter- miné.. J. SÉGLAS. XLIX. DE
r- miné.. J. SÉGLAS. XLIX. DE l'influence DE l'élément nerveux ET
mental
dans LES maladies EN général; par CLOUSTON. (B1
démontrée par les observation^ inverses de modifications de l'état
mental
, à la b74 REVUE DE pathologie mentale. suite
ses de modifications de l'état mental, à la b74 REVUE DE pathologie
mentale
. suite d'intervention chirurgicale sur des orga
ec les troubles intellectuels; ainsi crue M. H. Head, sur les états
mentaux
liés d certaines affections viscé- 1'ales. A. M
entre l'état du système circulatoire et les anomalies des processus
mentaux
. Dans certains cas les troubles de l'appareil c
ervés A l'asile du comté D'EsSEX; par JOIIn ToRNER. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1896 .) 1 Etude très intéres
congénitales, on trouve que le père aliéné transmet son instabilité
mentale
à un plus grand nombre de ses enfants que la mè
érablement supérieur à celui des pères aliénés. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 375 Hérédité 1'ével'sive et collatérale. A). D
AY. LU. PSEUDO-PARALYSIE générale; par B. HYSLOP. (The Journal of
Mental
Science, avril 1896.) Bien qu'il se défende de
ET DE suicide; par E.-S. TALBOT et Havelock ELLIS. (The Journal of
Mental
Science, avril 1896.1 Cette observation concern
dant trois ans dans un asile, où le diagnostic porté snr son état
mental
fut celui de GO paranoïa». Son examen physique à
rmalement petits, pénis rudimentaire. Crâne 376 REVUE DE pathologie
mentale
. asymétrique, front bas, indice céphalique norm
Visions : RÉCIT PERSONNEL DES phénomènes MORBIDES. (The Journal of
Mental
Science, avril 1896.) Ce récit a été écrit et e
pour y être publié par un journaliste expérimenté : les aberrations
mentales
qu'il décrit ont précédé un accès de manie aigu
pouvons suivre le narateur dans tout son récit; REVUE DE pathologie
mentale
. 377 Î nous en relevons seulement les points le
dents héréditaires; syphilis; autres facteurs étiologiques; état
mental
et développement intellectuel avant l'apparition
ysie générale a été confirmé par l'autopsie 378 revue DE pathologie
mentale
. et l'examen histologique. Il est difficile de
ntrairement à ce qui est observé chez l'adulte, REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 379 la forme précoce de la paralysie générale
hilis certaine et très probable 93 p. 100.) 380 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. cours de la maladie, tandis que les troubles p
romiques, des troubles neurasthéniques : à la clinique des maladies
mentales
de Heidelberg, sur cent- quatre-vingt neuf cas,
utalité, sont tout à fait en faveur de la para- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 381 lysie générale. Alors que les signes évide
s postes, quarante-deux ans, a eu à trente- 382 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. quatre ans, pour la première fois, un accès dé
les injections déterminèrent des phénomènes d'excitation. L'état
mental
des individus soumis au traitement ne fut pas amé
e psychique épileptique. Ces épileptiques dégénérés au point de vue
mental
tombent sou- vent sous le coup de la loi. Les u
l'acte incriminé à ces troubles psychiques. On cherchera si l'état
mental
habituel du sujet présente les caractères de la
. Sur 10 sujets en rémission dont la famille a suivi et noté l'état
mental
, un seul a été considéré par son entourage comm
e, peignier à Ezy, ne jouissait pas de la plénitude de ses facultés
mentales
; à diverses reprises, il avait manifesté l'inte
rir, avec les maladies de l'âme et les diverses formes d'aliénation
mentale
, un moyen d'études des plus importants. A ce pr
ne). V. Influence de l'accouchement sur les mala- dies nerveuses et
mentales
que présentent ultérieurement les enfants. Rapp
magne). IV. Des relations entre les Psychoses, la dégénéres- cence
mentale
et la neurasthénie. Rapporteur : Dr 1.ENTZ, de To
nfluence au point de vue du développement des maladies nerveuses et
mentales
(Aperçu médico-1t ? al). - 111-8- de 226 pages.
. Vol. III. Juin 1897. N° 18. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
MENTALE
. SUR LA PÉRIODE TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉR
Gabon et C", 1826. Archives, 2° série, t. III. 28 434 PATHOLOGIE
MENTALE
. mouvements volontaires » (p. 309). Au 3° degré
l'écorce sont anéanties (p. des 1 B. Bail. Leçons sur les maladies
mentales
, 2° édition. Paris, Asselin et Houzeau, 1890.
Asselin et Houzeau, 1890. 2 E. Régis. Manuel pratique des maladies
mentales
, 2° édition. Paris, 0. Doin, 1892. 3 Magnan e
générale, collection Léauté. Paris, Masson, 1894. 436 PATHOLOGIE
MENTALE
. Les paralytiques meurent de façons très divers
o Vasard], Milano, 1886. 2 II. Schule. Traité clinique des maladies
mentales
. Traduction Dagonet et Duhamel. Paris, Lecrosni
lytiques généraux. Je laisserai de côté tout ce qui concerne l'état
mental
pour m'occuper seule- ment de l'état général de
s mes malades étant des hommes, c'est à la paralysie 438 PATHOLOGIE
MENTALE
. générale masculine seule que devront s'appliqu
ésumé, la mort de nos 33 paralytiques généraux a été 440 PATHOLOGIE
MENTALE
. due 26 fois à un ictus cérébral, 6 fois à une
ico-psycholo,qiques, 1897, t. V, p. 94 et suivantes. 442 PATHOLOGIE
MENTALE
. le plus souvent épileptiforme. Il me semble en
dans la paralysie générale. Paris, Steinheil, 1894. 444 PATHOLOGIE
MENTALE
. I. S'il est très vrai que beaucoup de paralyti
ué a étudié surtout les rap- ports des signes physiques avec l'état
mental
et le délire, et il conclut aussi à l'existence
rande que celle qu'aurait justifié l'âge, de la vigueur physique et
mentale
. Un jour on nota un certain degré d'égarement m
r physique et mentale. Un jour on nota un certain degré d'égarement
mental
avec congestion de la faceetincertitude de la d
sans perte de connaissance, sans trouble du langage : l'abaissement
mental
devint tel qu'il dut renoncer à ses occupations
lle à droite. Vision obscurcie, inaptitude à l'activité physique et
mentale
depuis trois ou quatre mois. Gêne légère de la
xer avec plus de précision qu'on ne l'a fait jusqu'à présent l'état
mental
dans les paroxysmes hystériques, que les lois q
ui, à part leur infirmité spéciale, ont un degré normal de capacité
mentale
. (American journal of insanity, oc- tobre 1896.
teur pense que les troubles de la parole, accompagnant la confusion
mentale
, sont des phénomènes épisodiques que l'on remar
diques que l'on remarque pendant le plus haut degré de la confusion
mentale
; c'est pourquoi on ne doit pas regarder la con-
, existent des embarras de la parole indépendamment de la confusion
mentale
et que l'étude de ces derniers présente un inté
esseur KORSAKOW pense que les troubles du langage dans la confusion
mentale
peuvent dépendre du degré de la confusion menta
dans la confusion mentale peuvent dépendre du degré de la confusion
mentale
, quand disparait la connexion entre les mots et
enté en fréquence et en intensité, d'où il résulte que les maladies
mentales
ont dû devenir plus fréquentes ; citons par exe
veulent s'imposer à la majorité par la violence. L'étude de l'état
mental
des anarchistes montre qu'il faut grou- per ces
e, est excellente. Paul Sérieux. XII. Elude médico-légale de l'état
mental
des vieillards ; par le Dr SCIlAEFFER. (Th. de
commerce agréable et même leur vigueur physique. Au point de vue
mental
, l'évolution sénile peut se diviser en trois pé
ises, soit à des infections, soit à des intoxications. Les troubles
mentaux
sont identiques, ou à peu près à ceux qu'on obs
énérale exposé toute l'importance de la prédisposition et de l'état
mental
, « les deux jalons directeurs de l'étude des ps
lution systématique. Le diagnostic de ce délire est basé sur l'état
mental
primordial et sur l'évolution de la maladie. Ju
La systématisation du délire existe aussi dans la dégénérescence
mentale
, mais n'offre plus les mêmes caractères. M. Mag
le, mais n'offre plus les mêmes caractères. M. Magnan étudie l'état
mental
des dégénérés qui est surtout caractérisé par u
lectuelles. 11 montre le vaste champ qu'occupe la dégénérescence
mentale
s'étendant de l'idiot à l'imbécile, au débile, et
aisonnante et la folie morale ne sont que l'exagération de cet état
mental
: l'une dans la sphère intellec- tuelle, l'autr
délire hypocondriaque est encore fréquent dans la dégéné- rescence
mentale
. Il peut être rapide, complexe et polymorphe ou
'alcoolisme éclatent des délires étrangers liés à la dégénérescence
mentale
ou symptômes d'une autre psychose. Les délire
lquement, par Munson, 220. Sur 1' -, par Luhrman, 246. Aliénation
mentale
chez les Arabes, par Jleilhon, 41. Aliénés. R
ée de la tête et des yeux, par Bresler, 59. Diabète et aliénation
mentale
, par Uand, 36. - Rapports du - avec la folie,
- et de l'odorat dans le tabes, par Kllppel, 257. GRHES. Troubles
mentaux
dans la maladie de, parMaude, 322. Hallucinat
ence des maladies aiguës sur la -, par Todd, 52. * Lésions. Etats
mentaux
associés à des - viscérales, par Ilead, 232.
espace sous- arachnoïdien, par Jacoby, 211. Maladies nerveuses ET
mentales
. Le repos et l'exercice dans le traite- ment
et son influence sur les psychoses chroniques, par Najcke, 369.
Mental
. Élément nerveux et dans : les maladies, par Clou
Mental. Élément nerveux et dans : les maladies, par Clouston, 373.
Mentaux
. Symptômes pouvant survenir dans les maladies s
sions des - périphériques, par Williams, 328. Nerveux. Elément et
mental
dans les maladies, par Clouston, 373. Névri
s maladies, par Clouston, 373. Névrite alcoolique avec troubles
mentaux
, parNeil, 3fui. -périphé- rique, parSharl : ay,
et - toniques de quelques -, par Guilhon, 149. Vieillards. Etat
mental
des -, par Scha-Her, 493. ' Vision. Récit per
ARCHIVES NEUROLOGI REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
FONDÉE par J.-M. CHARCOT & BOURNEVILLE PU
IRECTION DE MM. A.JOFFROY Professeur de clinique des maladies
mentales
à la Faculté Je médecine de Paris. V. MAGNA
VoJ. XXII. Juillet 1906 NI, 127 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
\> Hospice de la S.LP>Jrltlialc : Dr G.
U ! Mg-6 ? rg.s- AncllIY¡ ? 2' série 19Ce, '. XXII 1 2 CLINIQUE
MENTALE
. sive, je vous demande la permission, avant d'a
rocher et à les fondre dans une même espèce morbide. 4 Clinique
mentale
. IL Période française (1831-1899). On peut fair
ment et la période d'excitation de Informe circulaire des maladies
mentales
cette forme consiste, non comme on l'a dit fréq
qui prouve l'exactitude de celte interprétation, c'est 0 CLINIQUE
MENTALE
. la phrase suivante extraite de son mémoire : «
ve mention à la folie à double forme dans son Traité des maladies
mentales
, sans lui donner davantage droit de cité dans s
core aujourd'hui reproduite dans la plupart des traités de médecine
mentale
. Malgré cela, la légitimité de la nouvelle enti
i sur la folie à double forme. (1)nI0lt>rr.. Traité des maladies
mentales
, 1868, p. 477. S CLINIQUE MENTALE. A partir
lors, dit cet auteur, un cercle morbide dans lequel ces deux formes
mentales
alternent souvent d'une façon régulière (c'est
variantes de terminologie, ce (1) GtUESINf'.ER. Traité des.maladies
mentales
, 1873 p. 275. DE LA FOLIE MANIAQUE DÉPRESSIVE
n Traité de Psychiatrie, une nouvelle classification des maladies
mentales
, complètement différente de celle qui avait par
des cas de manie récidivante ou intermittente, Ivre;- 10 CLINIQUE
MENTALE
. pelin émit l'opinion que la manie classique, l
ar Morel, devait être définitivement exclue du cadre des maladies
mentales
, comme forme clinique indépendante, et que tous
ouer, de mettre en valeur la nouvelle classifi- cation des maladies
mentales
du professeur de Munich, mais jusqu'à présent s
lution « Cette théorie unitaire peut sembler sédui- 12 CLINIQUE
MENTALE
santé au premier abord ; cependant, elle nous p
i : wOt'ITCn ? Atlas manuel de t'·ychiat ie, l. 306. il, CLINIQUE
MENTALE
. même plus loin et met en doute l'existence de
t trop effacée, surtout li on la compare à l'autre. 16 CLINIQUE
MENTALE
. En d'autres termes, les accès de manie intermi
902, p. 4G2. Archives 2- série, 190G, t. XXII. 1. 2 18 CLINIQUE
MENTALE
. naturel ultérieurement, je me borne à les sign
lades. REVUE DE THERAPEUTIQUE I. La ponction lombaire en médecine
mentale
; par le D DEUOUnmx. (l3ull, cle la ,oc. de nu·
Il s'agit d'une fillette de 3 ans dont le développement physique et
mental
était notablement retardé pour son âge, mais qu
stinc (Congrès de Lisbonne, section de neurologie.) Les syndromes
mentaux
accompagnés de lésions macroscopi- ques sont ex
croscopique restreignent, d'année en année, le groupe des accidents
mentaux
sans lésions d'aucune sorte. Encore peut-on, sa
armi les lésions cérébrales microscopiques accompagnées de troubles
mentaux
.il en est qui sont franchement inflammatoires,
urement toxiques. Les psychoses d'origine toxique sont les troubles
mentaux
pro- duits par l'action du poison sur le foncti
, au cours de divers empoisonnements accompagnés ou non de troubles
mentaux
appréciables. 11 ne paraît pas possible, ac- tu
hépatique et rénale), etd'au- tre part au syndrome de la confusion
mentale
. Toutefois, est utile défaire remarquer qu'une
utefois, est utile défaire remarquer qu'une évolution de trou- bles
mentaux
peut être foudroyante et dramatique, sans avoir l
s profondes, et qu'aueou- traire, une longue maladie, avec troubles
mentaux
plus effacés, peut aboutir insidieusement à des
lulaires considéra- bles : c'est précisément le cas de la confusion
mentale
, Il en ré- sulle une certaine indépendance entr
éphalile et autres malades du bulbe. L. WAHL. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 39 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1, - Contribu
e. L. WAHL. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 39 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
1, - Contribution à l'étude des troubles physiq
rgeait en prison une condamnation pour crime politique, de troubles
mentaux
(hallucinations, idées de persécution, confu- s
plus souvent que tem- poraire. C.. Deny. 40 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 111. - Autour d'une épidémie de démonopathie ;
halluci- nations et leur contingence, la persistance de l'intégrité
mentale
. Le contenu du délire est variable, pouvant s'a
phohiquo et onirique, avec hallucinations et illusions, confu- sion
mentale
, refus d'aliments, et entrecoupé de périodes d'ex
atolyse des cellules nerveuses, lésions habi- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 41 fuelles des intoxications. La marche des ph
ne trace d'hémorrhagie en. foyer, mais une 42 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. dégénérescence systématique du faisceau pyrami
e du faisceau pyramidal gauche. Il est rare de trouvera cette forme
mentale
un substratum ana. fornique. Dans le cas partic
ace) ; par Antheaume et PARROT. (L'Encéphale 190fi, n" 1.) Troubles
mentaux
survenus chez un psychopathe constitution- nel
ar contre les victimes d'une ivresse fortuite REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 43 et non volontaire doivent être considérées
vorisé l'apparition. T. T. Xr. - La démence précoce est un syndrome
mental
toxi-infectieux subaigu ou chronique ; par Maur
e. La paralysie générale n'est pas l'aboutissant de toute maladie
mentale
, comme le voulait Esquirol; elle n'est pas non pl
IiCitl(',Ieill·0107gue, avril 1905). E. H. 44 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XIII. - La pseudo-paralysie générale progressi
onclusions sui- vantes. Le diabète produit des accidents nerveux et
mentaux
. Tous les symptômes qui constituent le syndrome
n- trèrent en décembre 1887. A ce moment.on constata des troubles
mentaux
(excitation maniaque, affaiblissement intellectue
ENTALE. 45 XY. Les causes morbides prédisposantes en patholo- gie
mentale
; par M. MARANDON de OIONTYEL. (Rev. de )1t<'(
tte infection un rôle trop considérable dans la genèse des maladies
mentales
; mais même réduit le plus possible, le rôle de
out des troubles iL caractère démentiel et 46 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. en particulier d'une P. e. marche assez spécia
e pathologie géné- ralequi montrent l'étroite relation des maladies
mentales
avecles autres affections de l'organisme. L. WA
période délirante de 20 jours, dont la fOl'll1ediniljlWCOil- fusion
mentale
hallucinatoire caractérise les états anlitoxiques
é l'ilJ11dclI1entcL sans amener l'apparition d'aucun attire trouble
mental
, comme cela se voit souvent lorsqu'il y a un él
les échanges nu- tritifs, pouvant réaliser à lui seul une confusion
mentale
printi- tite. Discussion. JJ. Carrier père si
par des étran- gers ; mais il n'y a pas extériorisation de l'image
mentale
; ce senties « idées autochtones » de Werniele,
e mal,mais elle est possible lorsque le malade est capable d'effort
mental
. Les troubles de la synthèse se réduisent aux t
ont déterminé sa direction ; mais elle s'accompagne aussi d'effort
mental
, d'attention. Il faut donc étu- dier l'attentio
éant lemonoidéisme, et les éléments simples de celle-ci, les images
mentales
. L'atten- x tion est spontanée ou volontaire. L
pressifs opposent aux tendances motrices renais- santes. Les images
mentales
forment des groupes susceptibles de reproductio
souvenir isolé ; il y a effacement des images 56 BIBLIOGRAPHIE.
mentales
et difficulté de reviviscence. En résumé, le rale
dances, en raison donc de leur activité même, en face de leur arrêt
mental
. Cer- taines crises anxieuses cependant naissen
ient d'envisager : 1° les états mélancoliques liés à des affections
mentales
; 2° la mélan- colie pure de certains auteurs,
ctive. Les premiers se rencontrent surtout dans : la dégénérescence
mentale
, la démence précoce, la folie périodique, la ne
morbides connus, les autres encore isolés, parce que la pathologie
mentale
est encore une terre fort peu connue. Un dernie
nécessaire. E. Coui.onjou. VARIA Condamnés atteints d'aliénation
mentale
et d'epilepsik PLA- CES DANS LES ÉTABLISSEMENTS
du quartier de Gaillon, réservé aux condamnés atteints d'aliénation
mentale
ou d'épilepsie, me fait un devoir d'appeler vot
) ! < le but d'établir el de combattre les causes des maladies
mentales
. Le progrès considérable qui s'est vérifié réce
nt avantageux à la connaissance des tableaux cliniques des maladies
mentales
et des méthodes pour les soigner ; mais nous so
s qui se rapportent à la diagnostique et à la thérapie des maladies
mentales
peut être analysée et développée grâce aux élud
iliqueà il l'égard de la prophylaxie et de l'étiologie des maladies
mentales
ne peut naître, au contraire, que delà coopérat
tut International pour établir et combattre les causes des maladies
mentales
, - se propose d'indiquer l'ordre des travaux au
ntaires dirigées contre les autres causes de tout genre de maladies
mentales
. Le Congrès nommera un Comité international qui
énéralités. lu Recherches sur la progression numérique des maladies
mentales
, et aussi de certaines formes spéciales de ma-
l et choix du matériel regardant l'appad- tionde forme d'aliénation
mentale
chez les animaux. IL Hérédité. -- 1° Il faudra
- riel existant ayant trait aux questions d'hérédité des maladies
mentales
ou nerveuses : ce matériel sera ensuite complété
ux. z 2. lt) Prédisposition aux ma- ladies, et surtout aux maladies
mentales
et à l'imbécillité, chez les individus directem
x central. 2. Organisation du ma- tériel concernant les aliénations
mentales
causées parla syphilis. 3° «(.Effets delà conta
asile de la Seine pour « épilepsie avec, attaques rares et débilité
mentale
». Il savait lire et écrire. Quelques mois après
es scissure ? (calcarine,limbique, etc.),apparaissent 90 CLINIQUE
MENTALE
. vers le milieu du quatrième mois ; peut-être l
ésie céré- belleuse, du moins d'une origine postérieure. CLINIQUE
MENTALE
Les symptômes oculaires de la Paralysie génér
LOUSE et UIlPA3. ? Journal de Neurologie, n° 3, 1904. 92 CLINIQUE
MENTALE
commodation, est rarement pur, mais se présente
paralysies qui se présentent au cours de la paralysie 94 CLINIQUE
MENTALE
. générale leur valeur diagnostique spéciale. Il
) Jean Gai.I'.zoxyski. Thèse de l'nris, Juin 1901. 1. 96 CLINIQUE
MENTALE
. moscopiques est liée à thémianestluisie, et dè
érale, 1904. Archives, 2' série, 190f, t. XXII. 7 . 98 CLINIQUE
MENTALE
. là encore un clément précieux de diagnostic. L
s du système nerveux. Thèse de Paris, juin 1904. 100 , CLINIQUE
MENTALE
. complet des yeux du paralytique général aux di
e passé des choses qui touchent de près ou de loin à l'aliénation
mentale
. On sent que les réformes sont nécessaires, on a
. Puis M. Dide aborde l'étude bactériologique : Dans les maladies
mentales
toxi-infectieuses, l'hémoculture est souvent po
rapport de M. Dide est de nature àsimplifier beaucoup la nosologie
mentale
; d'abord les constatations de labora- toire on
peler les manifestations mé- tatoxi-in/'ectieuses. Dans les états
mentaux
chroniques de ce groupe, la même pathogénie int
atomi- que s'édifie lentement et on conçoit que ce sont des états
mentaux
dépendant non seulement de la sénilité du cerveau
t, dans le sang et dans les humeurs, une explication des troubles
mentaux
. La recherche des microbes porta sur 206 cas que
d'affections du système nerveux (méningite chronique, con- fusion
mentale
, démence précoce, stupeur mélancolique, dé- gén
ureuse de certaines infections sur l'évolution de quelques maladies
mentales
. Dans ces derniers temps, des CONGRÈS DES MÉD
nolences ou insomnies, troubles du caractère, fatigue physique et
mentale
rapide ; amnésie, embarras de là pa- role, apha
avec ou sans quelques modifications symptomatiques ; les troubles
mentaux
seraient plus constants et plus rapides. Onlui
e ou acquise,d'une aptitude convulsive. B. Psychiatrie. - 1° L'état
mental
des vieillards. - On trouve toute une série d'é
ence sé- nile. Les vieillards les mieux conservés au point de vue
mental
ont une diminution de la mémoire des faits ré-
des épisodes délirants, prenant surtout la for- me de la confusion
mentale
et de la mélancolie anxieuse. L'affaiblissement
ffisance fonctionnelle par le fait de l'athérome. 2° Les troubles
mentaux
de l'artério-sclérosL'\ spéciale- ment étudiés
t- tent ou paroxystique. La forme légère se révèle par la fatigue
mentale
rapide, la faiblesse de l'idéation et des conce
conceptions. Les formes graves se manifesteraient par des troubles
mentaux
sérieux ayant pour caractère do- minant la rapi
longtemps conscience de son état. Ces diverses variétés de troubles
mentaux
de l'artério - sclérose s'accompagnent d'un plu
mencé l'étude du cerveau sénile par la description de la déchéance
mentale
, c'est que le cerveau est, non seulement l'orga
rdiale de l'étude de l'inculpé, de ses antécédents, de son niveau
mental
, des particularités de son caractère, des inciden
ti- ve, est une insensibilité par inconscience, par désagrégation
mentale
, une insensibilité psychique indiquantun dédouble
lité. Il est bien évident, d'autre part, que l'examen des stigmates
mentaux
, le degré de suggestibilité, d'aboulie, d'amnés
8 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. sonnels, niveau
mental
, degré de la maladie) afin d'éclairer le tribun
différente. Lorsque la dégénéres- cence s'affirme par une débilité
mentale
avérée, l'expert de- vra naturellement faire en
ncon- trer simultanément un état de débilité ou de dégénérescence
mentale
plus ou moins accusé. Dans cette triple associati
'alcool, la morphine et l'éther. L'in- toxication réagit sur l'état
mental
du malade, mais il est tou- jours possiblede re
suite d'impulsions déréglées, sans qu'on puisse parler de troubles
mentaux
proprement dits. Quelquefois l'automatisme ambu
lière qu'elle diminue un peu la fréquence des attaques, mais l'état
mental
n'en demeure pas moins ag- gravé. L'expert devr
é, la malignité et la perversité dans le domaine moral, la débilité
mentale
dans le domaine in- tellectuel, l'impulsivité d
tifs et ne comporte aucun élément objectif, aucun critère expéri-
mental
de solution. Au point de vue de la responsabili
er aussi en ligne de compte, comme cause prédisposante, l'affection
mentale
dépressive elle-même (cedèmes, cyanoses, purpur
ôt, s'est len- tement amélioré par ingestion de fruits. De l'Etal
mental
des Hystériques. M. Joinre, professeur de l'Ins
ons de la force : contractures et paralysies,etc. De même leur état
mental
a toujours pour cause un manque d'équilibre cér
it comme prévenus, il est indispensable de faire examiner leur état
mental
par un médecin spécialiste. De l'emploi d'un
s en l'absence de toutes autres manifestations morbides : stigmates
mentaux
hystériques, stigmates mentaux épileptiques, sy
manifestations morbides : stigmates mentaux hystériques, stigmates
mentaux
épileptiques, symptômes en foyer (dans les cas
eption de ces images, qu'il y ait distraction musculaire, vocale où
mentale
. L'auteur termine son article par quelques cons
nd secours dans l'anato- mie pathologique des maladies nerveuses et
mentales
. J. Séglas. - Atrophie cérébrale expérimental
contusion men- tale, catatonie, psychose polyné\ rilique, confusion
mental
", mé- lancolie, manie, paralysie générale) et l
e l'émotion primitive, ou s'il y a eu intervention d'un nouvel état
mental
. Dans le pre- mier cas, on trouve une notahle d
de psychométrie pédagogique en rapport avec la crainte du surmenage
mental
à l'école; par ETTOLŒ (111 Kioista di
roportion entre la somme de travail exigée à l'école et la capacité
mentale
des élèves ? » L'auteur a employé les méthodes
conséquences qu'elles peuvent avoir sur l'évolution de l'affection
mentale
sont connues depuis long- temps : à plus forte
l1< ! l1tale di 1·'^axiatrira e medicina légale délie alienapone
mentale
, 1904. Vol. fascicule Il. Ce travail accompagné
e..1. SG1,AS. XXXV. Contribution nouvelle à l'étude de la fatigue
mentale
chez les enfants ; par Giusseppe-Rei LE[. (tir Ri
sta sperimentale di Freniatria e medi"ma legale délie alienazione
mentale
, 190L Vol. XXX, fascicule 1.) L'auteur, étudian
dépendance d'une intoxication par le brome ; d'autres, des troubles
mentaux
, d'une interprétation plus difficile ; d'autres
. (1) Jules VOIS[ ? Roger Voisix el A. Ilcyou.-I3romisme,lrouhlcc
mentaux
et état de mal épileptique au cours de la dcehtor
n plaques, par J. l3;rhinsl : i. Thèse de Paris, 1889. CLINIQUE
MENTALE
Délire de persécution à base de fausse interp
sante d'un malade chez lequel existaient différentes affec- tions
mentales
, et il a montré que la possibilité de recon- na
toine C ? se présente à la consultation de la Clinique des maladies
mentales
de Toulouse, se plaignant de délire et d'halluc
en philoso. .lttcnrvrs, 2' série, 1OG, 1. XXII 12 178 CLINIQUE
MENTALE
. 1 ]'hie ; il nous donne sur sa maladie un ense
de 1890 à 1894. Cette période est caractérisée par 180 CLINIQUE
MENTALE
. un ensemble de préoccupations religieuses qui
atuité d'inscriptions,les nécessités administratives 182 CLINIQUE
MENTALE
. coutumières dont on lui parle, et les nombreus
oix : « Il a tait sa mai. » .le suis convaincu que 181 ' CLINIQUE
MENTALE
. ma mère est morte et. que mon absence à Paris
ropathique ; nous notons de l'hy- perexcitnbililé. 186 CLINIQUE
MENTALE
. Au moment de l'examen, pas d'hallucinations. «
ieux sur lesquels elle s'appuie, porte l'em- preinte de la débilité
mentale
. Il est inutile de revenir sur les psychoses à
îzédico-psy chologiquesno de mai- juin 1902, p. 441.) La débilité
mentale
chez notre malade est l'aboutissant de tares éc
trop grossiers, et ne se considère point comme étant 190 CLINIQUE
MENTALE
. né pour cultiver la terre, alors qu'en réalité
portante et développée comme un enfant de son âge, au point de vue
mental
comme au point de vue physique. Le troisième en
e la démence précoce. La forme mélancolique se distingue par l'état
mental
parli- culier : douleur morale mal justifiée pa
'a eu, pendant huit mois, comme unique symptôme, que des troubles
mentaux
spéciaux, puis, deux mois et demi avant sa mort
obnubilation intellectuelle progressive avait obscurci le syndrome
mental
au début, lorsque le malade vint consulter à la
en dehors du corps calleux et qu'en som- me il n'y âge les troubles
mentaux
qu'on puisse considérer comme un symptôme à pro
proprement parler d'origine calleuse. Et encore parmi ces troubles
mentaux
, il y a un départ à faire. L'obnubilation intel
lésions vasculaires). Il reste, comme caractéristique, un syndrome
mental
spé- cial : il consiste en des troubles du cara
lligence qui peut faire illusion à l'entourage. A part ces troubles
mentaux
spéciaux pour soupçonner la localisation d'une
tant bien rarement limitée au corps calleux. C'est donc ce syndrome
mental
particulier qui est le signe caractéristique d'
le pouvait contre cette obsession morbide. Deux cas de confusion
mentale
liés ci la fièvre typhoïde el à la . scarlatine
on) présentent au Congrès les observations de deux cas de confusion
mentale
d'origine in- fectieuse ayant évolué chez deux
TES ET NEUROLOGISTES. 211 paux symptômes notés ont été la confusion
mentale
allant jusqu'à la stupeur, la sitiophohie, l'al
s et de l'hématurie. La convalescence, accompa- gnée d'amélioration
mentale
, a été troublée par des poussées fébriles conco
l, sous forme de tableau, les résultats de l'examen au point de vue
mental
de 68 récidivistes âgés de 18 à 30 ans. II ré
t de fois exprimée, d'organiser sérieusement un service de médecine
mentale
ou plutôt d'attacher un médecin aliéniste à tou
ité, on peut affirmer que les affections dénom- mées : insuffisance
mentale
, imbécillité, idiotie morale, etc.,sont celles
Il s'agit d'une jeune fille de 22 ans, infantile au point de vue
mental
, mais non hystérique, qui était atteinte depuis S
par la méthode de Ceni ; par GIOYANNI TIEUGO, (In Rivista speri-
mentale
di ],'¡'e¡¡iatria, \'ol. III. fasc. II. 111.) L
particulier au point de vue de la mé- decine légale de l'aliénation
mentale
; ensuite parce que les cir- constances obscure
d'insolation existent réellement et revêtent la forme de confusion
mentale
sous l'une quelconque de ses variétés, délire o
dire qu'il s'agissait dans les deux cas de malades dont l'affection
mentale
était récente et il est à peine besoin d'ajoute
consacré au traite- 234 asiles d'aliénés. ment de l'aliénation
mentale
, soit comme chefs de cliniques ou internes des
nt-Louis, un lecal est affecté aux malheureux atteints d'aliénation
mentale
en attendant que l'on statue sur leur cas. Or,
ges. Enrico Woghera. SIlCPHE11D IVORY FIIAN7. - 1 ! le time of some
Mental
processus in the rctardatiore and excilemellt o
Vo'. XXII. Octobre 1306. ? 130 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
MENTALE
La Folie Gémellaire; Par le D' E. IARAN1)ON D
poursuivre leur oeuvre néfaste en réalisant, pour la con- tagion
mentale
et la folie gémellaire, la confusion très regre
, d'après cette théorie, c'est-à-dire atteints d'un affaiblissement
mental
lié à la destruction des cel- lules cérébrales
ire de M. Archives, 2' série, 1())G, t. XXII. 16 242 pathologie
mentale
. Kraepelin lui-même, dans la proportion de plus
ien de par- ticuler que cette arrivée foudroyante de la déchéance
mentale
due à la faible résistance du cerveau qui n'a en-
olie gémellaire, laquelle peut revêtir, en effet, toutes les formes
mentales
et dont les caractères spéciaux, dont nous parl
e M. Kraepelin, elle n'a non plus au- cun rapport avec la contagion
mentale
de laquelle cer- tains voudraient la faire déri
franchise dès les premières pages que sous le titre de « contagion
mentale
», ils se proposent d'étudier la contagion des
s ne doivent pas les séparer. On peut tout rattacher à la contagion
mentale
avec la vaste définition de nos deux éminents c
prouver et nous espé- rons établir que la seule, la vraie contagion
mentale
, ne joue aucun rôle dans la folie gémellaire.
ent établi que parmi les vésanies qui frappent les 2.H PATHOLOGIE
MENTALE
. jumeaux et les jumelles il en est une très r-a
ortance en neurologie, parait être moins bien définie en pathologie
mentale
; que le terme même y est peu employé. Et c'est
Œ. 2,15 suite de cette négligence de l'étude des maladies
mentales
familiales, nombreux sont encore les aliénistes
La première condition réalise une véritable exception en pathologie
mentale
. En effet, dans nos deux mémoires, publiés l'un
e et mise en travail par un élément occasionnel. 246 pathologie
mentale
. Et à cette occasion nous avons rappelé l'appré
ain d'esprit, alors celui-là agit sur celui-ci et par une contagion
mentale
qui ici existe arrive à lui trans- mettre ses c
nc indispensable pour la vraie folie gémellaire. 248 PATHOLOGIE
MENTALE
. La troisième et dernière condition est sans co
t séparés, devinrent alié- nés en même temps. Le tableau du trouble
mental
chez l'un et l'autre présentait la plus grande
munication psychique de l'un à l'autre, c'est-à-dire delà contagion
mentale
. Nos deux jeunes et distingués collègues me per
tant ce nom est ou n'est pas explicable, mais bien 250 PATHOLOGIE
MENTALE
. si elle existe ou non avec les trois condition
xistence est incontestable et qui sont inexplicables ! La contagion
mentale
, si elle était indis- pensable, comme le croien
eux qui appartiennent exclusivement aux jumeaux et 2G2 PATHOLOGIE
MENTALE
. aux jumelles et ceux qui se retrouvent chez to
maternelle, soit dans la ligne paternelle, et très 254 PATHOLOGIE
MENTALE
. souvent dans les deux lignes, surtout quand il
re. Il dit que si l'existence en général de celle-ci aux maladies
mentales
dans une famille donnée fait faire dans beau- c
qu'il existe une dépendance réciproque et intime entre nos facultés
mentales
et la structure physique de notre organisation.
il dit que la folie gémellaire, dans ces cas, n'est, en pathologie
mentale
, que l'analo gue de ce qui est connu et accepté
s; rien donc d'extraordinaire qu'il en soit de même de l'aliénation
mentale
,alors la preuve acquiert une force supérieure e
e paraît absolument irréprocha- ble au point de vue de l'aliénation
mentale
. Dans ces cas il s'agit, à son avis, d'une affi
ce délire. Archives, 2' série, 1906, t. XXII 17 258 PATHOLOGIE
MENTALE
. Le Professeur Ball exigeait donc comme nousune
comme on a étendu celle des mots « précoce démence », et confusion
mentale
», au point d'englober dans elle' la double ges
rence dans cette direction fâcheuse. Il en résulte 200 PATHOLOGIE
MENTALE
. que si deux cousins germains, atteints simplem
cause de l'autorité de son auteur qui fut profes- seur de Clinique
mentale
à la Faculté de Médecine de Pa- ris, et ensuite
re unique observation, recueillie en trente ans 2G : ? PATHOLOGIE
MENTALE
. , et qui est un souvenir de jeunesse, car elle
pieux et les romans les plus inconvenants qu'elles 264 PATHOLOGIE
MENTALE
. trouvaient moyen de se procurer en cachette, m
it qu'elles apprirent que le dérau- 26G ÉTUDE CRITIQUE. germent
mental
, comme tout le reste depuis leur naissance, avait
rapports existant entre les affections pulmonaires et les troubles
mentaux
. Esquirol (1) et (1) Esquirol. Des maladies men
et les troubles mentaux. Esquirol (1) et (1) Esquirol. Des maladies
mentales
, vol. II. Archives, 2° série, 1906, t. XXII. I.
fréquence de la phtisie parmi les individus frappés d'aliénation
mentale
et le rapport qui existe entre ces deux maladie
ronage s'occupent aussi « des personnes prédisposées à l'aliénation
mentale
; qu'elles se cons- tituent dans tous les pays e
naissances assu- rées à propos des causes des maladies nerveuses et
mentales
et en général de la dégénération humaine soit a
e l'on croit opportuns à la prophylaxie des maladies ner- veuses et
mentales
; le Congrès approuve la proposition de fonder
tieux pour m'édifier aussi complètement que possible sur son état
mental
et contrôler ses allégations en ce qui concernait
Ville-Evrard, par MM. Sérieux et Mignet IBLIII. de la Soc. de mid,
mentale
de Belgique, 1905, noq 1 ? -2 et 1-23.) Les a
«.Nous ne dirons pas que l'alitement abroge la durée des mala- dies
mentales
, ce serait contraire à notre observation ; mais n
es agiles, les mé- lancoliques, ceux qui sont atteints de confusion
mentale
aiguë. stupide ou délirante : enfin les périodi
- bementdélini les caractères de l'anesthésie suggérée et expéii-
mentale
, il rapporte longuement plusieurs observations cl
é- lire chronique systématique, la folie périodique, la confusion
mentale
, enfin la démence précoce, sur laquelle l'accord
est plus probable qu'il y a seule- ment un haut degré de confusion
mentale
tendant à devenir chro- nique, mais il est diff
n anatomique irré- médiable. » Viennent ensuite la dégénérescence
mentale
, les vices de déve- loppement, les folios toxiq
x les abus ont précipité tout au moins l'apparition de la mal,- die
mentale
. L'alcobla joué le rôle d'appoint : ce rôle reste
enir. Une autre vérité, qui a la valeur d'un axiome en pathologie
mentale
, est que,plus la maladie est récente, plus elle a
u protégés russes hospitalisés gratuitement pour cause d'aliénation
mentale
, ou autre mala- die incurable dans les établiss
ubuisson. Routier ayant continué ses escroqueries, un nouvel examen
mental
fuL ordonné, et le D1' Ilouhinovitcli ayant cet
vol. xjai Novembre 1906. N 131 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
Mutisme, aphonie, amnésie, aphasie aphasie mo
, estimé de ses Archives 2- série 190G 1. XXII. 22 338 CLINIQUE
MENTALE
. patrons, il ne buvait pas, se conduisait bien.
bras est revenu, leur dit-il, nous allons descendre 34b CLINIQUE
MENTALE
. et prier » . Il allume la lampe et descend, la
mporo-pariétale gauche : « J'ai toujours mal là ». 342 CLINIQUE
MENTALE
. D. Depuis quand ? - R. Je ne sais pas. ' D.
fait suivre d'un court aperçu du langage intérieur, puis de l'état
mental
provoqué chez le sujet par l'apparition de l'am
cherche pendant cinq minutes et ne retrouve pas. 314 . CLINIQUE
MENTAL
? 3 3 mai. Trois minutes après lui avoir fait l
à signaler sur les modifications de l'intonation. 346 CLINIQUE
MENTALE
. Lorsque D ? reparla à voix haute on put noter
5 avril. L'amusie est un peu moins absolue ; lorsque 31S CLINIQUE
MENTALE
. l'on siffle la Marseillaise, le malade en reco
ant chacun de ces mots. Nous lui montrons le chiffre 350 CLINIQUE
MENTALE
2. il le dit aussitôt; puis le chiffre 14, un,
des arrêts fréquents, après sa, il arrête plusieurs 352 CLINIQUE
MENTALE
, secondes il savait bien nous dit-il, qu'il dev
e et ne trouve pas l'image visuelle du mot ou inver- scmenL. Etat
mental
. 13 avril.- Dès le moment où D ? recommença à p
caractère si dncnlvss, 2' série 1906, t. XXII. ·'3 354 CLINIQUE
MENTALE
. fréquents chez les hystériques, peu attentif,
ètres, un autre il est perçu jusqu'à 25 centimètres. 356 CLINIQUE
MENTALE
. Lorsqu'il est plus troublé, le malade accuse u
a photographie reproduite ici permet de constater. 3JS CLINIQUE
MENTALE
. Le muscle frontal gauche se contractait parfoi
traumatisme de l'épaule droite à la suite duquel une 360 CLINIQUE
MENTALE
. paralysie flasque du bras droit s'installa pro
- antérograde, l'aphasie irrégulière, survenus après des troubles
mentaux
que nous considérons comme des équivalents de l
un acte insensé tendant à allumer la fièvre, soit que l'excitation
mentale
due au changement de milieu pro- duise le même
tains tuberculeux de fâcheux résultats au point de vue de leur état
mental
. Il est peut-être difficile d'isoler en- tièrem
é- rébrales, et à la seconde la démence aiguë (ancienne contusion
mentale
), la démence précoce, et les démences alcoolique,
idien ; par les 1)" de Buck et ])EROUB.\lX (Bull. delà Soc. de méd.
mentale
de l3e'yiyuc, juin 1905). Voici les principales
, puisqu'elle manque dans la plus grande partie des autres formes
mentales
. Au sujet des principes antitoxiques, l'auteur
s intermédiaires également prolongés ; verli- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 3G') gcs causés par les déplacements rapides d
res dans la cavité du 4" ventricule. CH, Bonne. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
X\'II.- Démence précoce paranoïde. (Diagnostic
la différence qui existe outre la démence 400 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. paranoide et la paranoïa. La conception cliniq
d'un délire systématisé parannique. Ce délire dépend donc de l'état
mental
plus ou moins élevé, plus ou moins restreint du
gage.parlé comme du langage écrit. Un ne peut REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 401 1 prétendre décrire un mode d'altération d
générale juvénile ; par le dur DsROUBAIx (Bull, de 1(1 Soc..le Méd,
mentale
de Belgique, 1905, n" lu0). Il s'agit d'un je
es enfants anormaux ; par le D" Deckoly (l3tclf. de la Soc. de méd.
mentale
de Belgique, n ? 1' et 1 ? 3). L'auteur passe
e Aucun LS, 2, série, 1906, t. XXII. 2û 402 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. variété des termes et de leurs multiples accep
idérable- ment les limites de l'irrégularité et que les irréguliers
mentaux
, idiots, imbéciles, débiles, etc.), ne constitu
s divers (infirmités physiques, troubles du caractère, insuffisance
mentale
) confirment nettement les observations de Binet
sion en Egypte, Marie a étudié cette question REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 403 si controversée dans le service du Dr Warn
es ; parles 1) ? Boulanger et Hermant. (Bull, de la Société de méd.
mentale
de Belgique, 1905. nos 123 et 124.) Travail enr
,au moins à le supporter, grâce à l'influence des représen- tations
mentales
. M. PaulMAGNiN. Mon expérience personnelle conf
née nous livrer à des études diverses ayant pour objet les maladies
mentales
et les lésions qui les déterminent.Les résultat
ppose que le vieillard, qui ne jouissait pas de toutes ses facultés
mentales
, se sera enfermé par mégarde et sera mort d'ina
présent, rien de bien particulier sur les maladies nerveu- ses et
mentales
, à part quelques caractéristiques telles que tr
i"tell1elll après l'exposé du Parallèle en queslion. 426 CLINIQUE
MENTALE
bel (Sarthe), le 22 mai 1889 ; entrée à la Fond
ie. Ecolage : l'enfant est d'une nullité complète. 432 CLINIQUE
MENTALE
. les mouvements : assis, debout, en avant, en a
xtrémité antérieure de l'hélix et la branche infé- 438 CLINIQUE
MENTALE
. rieure de l'anthélix, existe dans cette portio
ar la glande thyroïde. Cott ? pèse alors 24 k. 4 ! 40 - CLINIQUE.
MENTALE
. 500 et mesure 1 mètre 17. L'administration de
ndant le troisième tl ait ! 11/el, t thyroïdien. ii2 CLINIQUE
MENTALE
. surtout avec ses compagnes. Elle a fait aussi
re, l'enfant a encore gagné un cenli- mètre. 11111, '¡ CLINIQUE
MENTALE
. de septembre. On suspend alors le traitement à
yen, foyers de congestion avec râles très fins. z in CLINIQUE
MENTALE
. La respiration est superficielle, rapide. L'ex
illet. Aggravation, soif intense, Cott.. demande à ii8 CLINIQUE
MENTALE
. boire 1/4 d'heure encore avant sa mort. Elle s
ourent à Archives, 2* série, 1900, t. XXII. 2 .) - 100 clinique
Mentale
. sa surface et semblent l'envelopper d'un vérit
de LaloucLLe aLLcignamL presque le sommet des lobes. 452 CLINIQUE
MENTALE
. Abdomen. Pas de liquide à l'ouverture de la ca
morte de méningite, une soeur de tuberculose. 4 : J't CLINIQUE
MENTALE
. II. Vers la fin de la grossesse, au début du n
é relative et d'apathie, se manifestant au point de vue physique et
mental
. Cette interprétation du syndrome parkinsonnien
une inaptitude particulière et inexplicable au travail physique ou
mental
. Parmi les psychoses, c'est à la mélancolie que
dans l'Amérique du Nord et en Suisse où les hiérarchies gouverne-
mentales
et autres ne comprennent pas de personnages très
(du Caire). En Turquie et en Egypte la timi- dité constitue un état
mental
endémique et héréditaire. Elle a pour cause un
séquestration qui ne serait pas en- tièrement justifiée par l'état
mental
de l'interné qui en est l'ob- jet, constitue un
. Or il convient à ce propos de signaler que l'étude des mala- dies
mentales
forme une branche particulière etspéciale des sci
tion sur un médecin aliéniste, spécialisé dans l'étude des maladies
mentales
et offrant ainsi une compétence de nature à don
ure, Diane et Aphrodite que voyaient apparaître les désé- quilibrés
mentaux
; les femmes avaient commerce avec le dieu Pan e
ous font ainsi revivre les phases les plus éloignées de l'évolution
mentale
dans l'histoire : expres- sion matérielle et fi
de même que l'allégorisme des psychologues allemands. L'affec- tion
mentale
interrompt les associations normales qui prennent
inné, identique à celui qui a constitué et constitue encore le fond
mental
de certains peuples; elles répondent au besoin
lution de l'espèce, nous naissons avec une somme de stratifications
mentales
(Sergi); que la couche la plus récente s'altère
re que « l'éréthisme psychomoteur est objectivé lorsque la synthèse
mentale
incomplète amène l'automatisme involontaire et
des travaux sur les relations entre la tuberculose et l'aliénation
mentale
, il conclut à une influence réciproque : observ
e s'étonnerait plus des différences qui séparent encore les malades
mentaux
des autres au point de vue de l'assistance ; ta
rimum vivere ! (v. p. 483). E. COULONJOU. XIV. Eléments de médecine
mentale
appliqués à l'étude du droit ; par le Dr LÈGRAI
rois faits qui sont mis en évidence à la lumière de la patho- logie
mentale
par l'observation d'un grand nombre de malades.
dits affectés lent- entretien et inscrits dans le budget départe-
mental
de 1906. Ces renseignements devront m'être four
ures, à partir du lundi 14 janvier. 2° L'hypnotisme et l'orthopédie
mentale
: Les enfants et les adolescents anor- maux : R
le, par Rouco- roni, p. 140. Causes morbides. Voir Patio- logic
mentale
. Cécité. Voir Hystérique. Cellule nerveuse. R
pathologique par Besta, p. 386. Condamnés atteints d'aliénation
mentale
et d'épilepsie placés dans les établissements d
nsuffisance hépatique, par De- ny et Renaud, p. 40. Deux cas de -
mentale
liés à la fièvre typhoïde et à la scarlatine.
monini, p. 225. Fatigue. Contribution nouvelle à l'étude de la -
mentale
chez ruo TABLE Dl.S MATIERES. les enfants
Munzer et Fischer, p. 397. Fièvre typhoïde. Voir C071/1l- sion
mentale
. Folie. De la maniaque dépres- sive, par G. D
ystériques. La lesponsabll1té des -, par Leroy, p. 124. De l'état
mental
des -, par Joire, p 133. Mutisme, aphonie, ap
al ayant le but d'établir et de combattre les causes des maladies
mentales
, par Franck, P. ;9. i Instructions concernant
. 315. ;. Insuffisance hépatique. Voir Confusion. Irrégularités
mentales
. Voir Anormaux. Ivresses. Les délirantes tran
ans les établissements d'aliénés, par 1\Ieens,, p. 316. Mi-decine
mentale
. Éléments de - appliqués à l'étude du droit,
acoustiques ct usuelles de la -, par Grasst, p. 141. Pathologie
mentale
. Les cau- ses morbides prédisposantes en - ,
du brome, par Vaschide. p. 266. Ponction lombaire. La en médecine
mentale
, par Derou- baix, p. 23. dans l'état de mal,
méthodes de pédagogique en rapport avec la crainte du surmenage
mental
à l'école, par Patini, p. 146. Psychoses. Les
ssry ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-M. CHARCOT
Vol. IV. Juillet 1882. N" 10. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
MENTALE
CLASSIFICATION DES FOLIES. - DISCUSSION A PROPO
, médecin honoraire des hôpitaux. Nous avons établi, en aliénation
mentale
, une no- menclature quia suscité beaucoup de dé
es, indépendantes de la volonté de l'auteur. D.. 4 2 ' PATHOLOGIE
MENTALE
. ' Cependant les années s'écoulent. L'occasion
qui l'exprime, lui serait beaucoup mieux approprié. z4 PATHOLOGIE
MENTALE
. Quant à Renaudin, tout en approuvant fort la d
aleur, il nous a fallu pénétrer dans les mystères du fonctionnement
mental
. D'UNE PRÉTENDUE MONOMANIE RELIGIEUSE. 5 En m
anisme, la lésion, évidemment, à cause de l'inces- sance du travail
mental
, aura pour signe la généralité et la permanence
pro- duit dépendra du grain lui-même : irréprochable 6 PATHOLOGIE
MENTALE
. ou défectueux, selon que celui-ci sera sain ou
ison, ne serait-il pas présumable que certains ordres d'aliénations
mentales
eussent ainsi leur point de départ dans des imp
roi, étonné, sur la pente du crime ou de la folie. 8 . PATHOLOGIE
MENTALE
. Ce n'était. point de la monomanie, mais une fa
lir une place vide. Il éveillait notre attention sur des situations
mentales
analogues, que nous avions observées. Nous y en
Un sermon sur la damnation éternelle, prêché par 1 () PATHOLOGIE
MENTALE
. un prédicateur fameux,jette immédiatement le t
ase pathologique est arrivée à ses dernières limites. 12 PATHOLOGIE
MENTALE
. More), aussi peu précis, voit, dans l'espèce,
xtatiques que l'on rencontre quelquefois dans les diverses maladies
mentales
, notamment dans la manie, l'obtusion hallucinat
as, était restreint, confus et sans rela- tion avec une disposition
mentale
antérieure. Quant à la catalepsie, où l'intensi
des intervalles d'un à deux mois. X... subit tout à 1 te PATHOLOGIE
MENTALE
. coup la transformation suivante. Tous ses musc
lien, sans suite. Dans les rémissions, de l'inertie, 16 PATHOLOGIE
MENTALE
. aucune initiative. « Justine, dit Renaudin, ne
ui offre. Ce monstre a assassiné douze personnes. 2 18 PATHOLOGIE
MENTALE
. Son ventre contient septenfauts, qu'il doit à
constaté la coexistence d'une lucidité appa- rente avec un désordre
mental
, quelquefois très intense. 'Le sujet, selon not
s'affaiblit et disparut, en moins de quinze jours. Mais l'obscurité
mentale
ne fut complètement' dissipée qu'au bout de six
la longue léthargie subie dans la famille. Nul indice d'activité
mentale
. Le D' Ancelon soupçonne l'extase ou la cata- l
epsie. Justine n'a ni de la première la pensée errant 20 PATHOLOGIE
MENTALE
. dans les régions féeriques, ni de la seconde l
ssistance divine, quitte à la retirer et à traiter de 22 PATHOLOGIE
MENTALE
. folles les personnes qui, par leur dérogation
nts occultes, sont en leurs mains. Ils en jouent à 2t le PATHOLOGIE
MENTALE
. distance ; on lui souffle des odeurs qui lui d
gues aux siens, elle lit avec avidité plusieurs traités de médecine
mentale
, scrute et commente particulièrement 1 les obse
, une tante paternelle a été frappée pendant douze ans d'aliénation
mentale
. Quanta lui, appelé le 4 eT décembre 1847 aux f
ortie. » Depuis cette époque seize mois se sont écoulés et l'état
mental
de G... n'a subi aucune atteinte; entré au bure
ister à une sorte d'épreuve en faveur de la résistance des forces
mentales
de G... Le 18 mars, en effet, il a été pris d'e
n prononcée par le tribunal soit levée, ce que permettrait l'état
mental
actuel de G..., s'il croyait devoir en faire la
justification dans ce fait que son frère a été atteint d'aliénation
mentale
. II. L'épilepsie est survenue à 18 ans, sans au
cérébrales ou de troubles psychiques. Cn. F. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
I. Folie postépileptique ; par Wilhelm Sommer.
otons ici, qu'à l'inverse de ce qui était admis revue de pathologie
mentale
. 93 jusqu'alors, la statistique de M. Sommer fa
de l'acmé paroxysti- que) ; les autres perturbations de l'activité
mentale
qui s'y ajoutent dérivent précisément de l'impo
xysmiques telles que -la double sensation 94 le revue de pathologie
mentale
. auditive, les illusions et hallucinations spéc
après des années que l'épilepsie se double de l'état d'obnubilation
mentale
continue, la psychose augmentant d'abord de fré
de l'épilepsie, la fréquence des perturbations REVUE DE pathologie
mentale
. 95 mentales et la durée de l'épilepsie avant q
e, la fréquence des perturbations REVUE DE pathologie mentale. 95
mentales
et la durée de l'épilepsie avant qu'elles n'appa-
aliénés, à Perth, en Ecosse. (Bulletin de la Société de médecine
mentale
de Belgique, année 1880, 2e fascicule, p. 31-53.)
d'aliénés. E. CH. III. LE traitement médical rationnel DES maladies
mentales
aiguës ET curables; par le Dr Wiltie 13URDIANN,
hef du « Wilts country lunatic asylum, Devizes. ), (7lie Journal of
mental
science, octobre 1879 et janvier 1880) (Bulleti
, octobre 1879 et janvier 1880) (Bulletin de la Société de médecine
mentale
de Belgique, année 1880, 2° fascicule, p. 8,e-9
ique, cette séparation est avan- tageuse ; 96 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. , 3° Cette division déconsidérerait moins le m
DE folie ; par M. le D BILLOD. (Bulletin de la Société de médecine
mentale
de l3elgz jzce, année 1880, 21 fascicule. p. 9z
ignale comme caractère distinctif de l'aphasie, REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 97 l'intégrité de l'intelligence et des organe
al- gies diverses, intercostales, viscérales. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. <j9 VI. Dans la sphère sensorielle, on a ob
ssentiellement chronique et fatalement pro- 100 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. gressive, les malades augmentant chaque jour l
plus faillies d'atropine; en douches, etc. 102 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. fraîchement exprimé, ou du « fluid méat», dans
ités, constipation opiniâtre, perte complète de REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 103 l'appétit, vomissements surtout le matin,
e 3,700 grammes du 30 janvier au 12 mars. lot REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Elle n'a pris en secret aucune dose de morphin
e un traitement et un enseignement conve- nables. VII. Aliénation
mentale
chez UN sujet atteint d'anémie et DE cachexie p
? a6'7/0- ner, novembre 1881, p. 338.) z Cas curieux d'aliénation
mentale
, chez un sujet qui ne présentait ni antécédents
s, on voit apparaître des signes d'anémie et de revue de pathologie
mentale
. 105 cachexie avancées ; teinte jaune sale de l
ques, alté- ration des globules sanguins, etc. Cet état physique et
mental
dont le début remonte à environ six mois, n'a p
arfaitement guéri, tant au point de vue physique qu'au point de vue
mental
. R. de M.-C. VIII. De l'influence des maladies
VIII. De l'influence des maladies aiguës sur la genèse des maladies
mentales
; par Emile KPGEPELIN. (f1 TCIt. f. Psych. u. I
Voir Archifct de Neurologie, t. il. p. 203, 106 revue de pathologie
mentale
. Aux termes des indications, ni l'alcoolisme, n
s forte part à la mortalité d'ensemble causée par les complications
mentales
du rhumatisme (69 à 70 p. 100). Atteignant surt
s par 11t. ICroepelin dans cette caté- gorie. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 107 108 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. par le
gorie. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 107 108 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. par le rhumatisme. Leur développement est évid
ermet toutefois la systématisation suivante : REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 109 en rapport avec les récidives du rhumatism
euphorique (mégalomanie exaltée, expansion 110 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. joyeuse exultante), soit circulaire, produit e
ue qu'il convient d'avoir recours alors que les REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 111 I modalités du délire dépendent de la dive
ans le quart des cas. Les deux autop- 11 -) REVUE t) ! ! PATHOLOGIE
MENTALE
. sies relevées ne jettent aucune lumière sur la
rziques de la desquamation se rapprochent bien plus de l'aliénation
mentale
vraie ; elles en ont la lenteur gra- duelle d'é
une àge (faible résistancedii système nerveux). REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 113 Ceux qui accompagnent la fièvre se bornent
période. En cette double occurrence, on a affaire à une exaltation
mentale
caractérisée par de la mégalomanie, de la loqua
ctent d'ime manière générale la 8 11 le '< REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. forme de la mélancolie active : ressemblant à
nslanutrition du systèmenerveux central. Aussi, REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 115 5 malgré les 71,8 p. 100 de guérisonsde ce
alme, parfois stupide accompagnée d'idées délirantes ; 4° faiblesse
mentale
. Les indications ressortissant à la communauté
relever les forces, stimuler l'énergie cardiaque; l'amé- lioration
mentale
une fois obtenue, on peut essayer de la gymnast
e qui brille par la fré- quence et l'accentuation des perturbations
mentales
: quelques jours après l'évolution des première
nt à une famille dans laquelle on compte plusieurs cas d'aliénation
mentale
et d'affections nerveuses. Son père a suc- comb
est vrai surtout - SOCIÉTÉS SAVANTES. dans l'examen des débilités
mentales
, où chaque individu, tout en appartenant à un t
qui a le droit de se défendre. Le divorce pour cause d'aliénation
mentale
. M. B.\ll fait obser- ver que le divorce, cette
olie et l'opportunité d'inscrire dans la nouvelle loi, l'aliénation
mentale
parmi les causes de divorce. La réponse faite par
os sa- vants confrères, qui semblent vouloir repousser l'aliénation
mentale
comme cause de divorce parce que, parait-il, il
sées peuvent se résumer à peu près ainsi : Quelles sont les formes
mentales
dont vous pouvez affirmer la constante incurabili
si vous refusez la dissolution du mariage pour cause d'a- liénation
mentale
, vous allez ainsi favoriser la procréation d'in
s'empresser de la saisir et admettre, en conséquence, l'aliénation
mentale
très nette- ment caractérisée, au nombre des ca
travail concerne à la fois les aliénés criminels qui, vu leur état
mental
, sont innocents de tout crime, à la fois les cr
ccompli par lui, 3° les formes de la psychose, 4° le degré d'empire
mental
qu'il a récupéré. Une longue observation peut d
égion du corps. M. Richter est d'avis dans l'espèce que l'affection
mentale
, si elle peut retarder la SOCIÉTÉS SAVANTES. 13
sité égale, l'aphasie par ammésie se rattache à une perturbation
mentale
plus grave que l'aphasie par akinésie. La pathogé
acte. ? (6 : <m : MU}'tee<fK< ! Ct symptôme de l'affection
mentale
d'autant qu'il n'y avait pas d'oedème et qu'on no
ité de ses premiers accidents, a d'ailleurs été reprise de troubles
mentaux
quelques années plus tard et se trouve aujourd'
sile d'aliénés et professeur chargé du cours clinique des maladies
mentales
à la Faculté de médecine de Bordeaux, vient de su
it inauguré à Niarseille des conférences cliniques sur les maladies
mentales
. Statue DE Pu. Pinel. Dans sa séance du 17 mai,
nalogues renversés, en trois électrisations successives. CLINIQUE
MENTALE
DU DÉLIRE DES NÉGATIONS; - . Par M. COTARD.
rantes et ses hallucinations, et qu'il en est arrivé à 156 CLINIQUE
MENTALE
. vivre dans un monde imaginaire, mais ses dispo
ves plus profondes où réside la différence essentielle 158 CLINIQUE
MENTALE
. entre les persécutés et les autres mélancoliqu
s DU DÉLIRE DES NÉGATIONS. 159 principaux caractères de leur état
mental
. Dans leur forme la plus atténuée, ces caractèr
travers le même prisme qu'autrefois ». (J. Falret.) 160 CLINIQUE
MENTALE
. Dans ces cas légers, il existe déjà comme un v
croyance eu Dieu, disparaissent souvent, quelquefois 161 CLINIQUE
MENTALE
. de très bonne heure. Griesinger a signalé les
.. 1 , , ,> , partout des flammes, des incendies. 166 CLINIQUE
MENTALE
. L'état hallucinatoire 'des mélancoliques anxie
ruine moins intense, choisissent dans leurs aliments : 168 CLINIQUE
MENTALE
. ils ne mangent que du pain sec par pénitence o
ravail, ou peut dire que le délire des négations est' I 70 CLINIQUE
MENTALE
. DU DEHRb DES NÉGATIONS. un état de chronicité
indisciplinable, les délits et les crimes. Il suivre.) PATHOLOGIE
MENTALE
RECHERCHES CLINIQUES SUR LA FRÉQUENCE DES MALAD
vis différents. Les uns croyaient que la plupart des affec- tions
mentales
et nerveuses de la femme étaient dues exclusive
1 Btrltiet'. Sur les névroses menstruelles, 1874. 172 PATHOLOGIE
MENTALE
. que nombreux, ne présentent pas des données su
airet5 croit que la folie peut être 1 Esquirol. Traité des maladies
mentales
. - Guislain. - Leçons orales sur les p/t;e'(0a&
'(0a</tte.s', 1880. J. Falret. Leçons cliniques sur les maladies
mentales
, 18G4. larcl. Sur la folie des femmes enceintes
femmes enceintes, 18o8. )Iitirft. Maladies sexuelles et aliénation
mentale
. (oef/ïpr mé- dical. Octol)re-iioveiiil)re 1881
erz, Woechitei,i ? aiten uiidSoeugeiede7t, 1877. 1 i p PATHOLOGIE
MENTALE
. plusieurs autres sont du même avis. Emminghaus
orales ne sont liées comme les mala- dies sexuelles et les maladies
mentales
chez la femme (loc. cit., p. 306). En somme,
lupart des auteurs des divers traités classiques sur l'aliénation
mentale
). D'autres, enfin, traitant la question sur le
bes, zur GeM<M-S<oe)'M ? t ? e ? t, 1870. 176 C) PATHOLOGIE
MENTALE
. demander s'il n'y aurait pas à rechercher une
formes gynécologiques qui s'associent le plus souvent aux troubles
mentaux
, on pourrait aussi, par cela même, juger de leu
rd. Post mortenz ayhearezzces izz in,rance persozzes. Jour- 7zal of
mentale
science 1872, p. 93. 3 Hergt. Fi,aitei-Ki-a ? ?
-SoeArM'y. z sur Psychiatrie, 1877, Bd. `17). 12 178 PATHOLOGIE
MENTALE
. ne donne aucun détail ni sur l'âge, ni sur les
IE MENTALE. ne donne aucun détail ni sur l'âge, ni sur les formes
mentales
des maladies observées dans les autopsies. D'ap
psies. D'après mes propres recherches' à la Clinique des maladies
mentales
de mon maître, M. le professeur Mierzejewski, à
a noté quatre-vingt-dix cas associés à diverses formes d'aliénation
mentale
plus ou moins prononcées. En somme, en examinan
'S.DaniUo.SMfe rôle de la menstruation dans le cours des maladies
mentales
. Medesinokaia Bibliotek(i 1881. ? 5 (journal russ
couches et de fausses couches); 4° forme de la'mala- 180 PATHOLOGIE
MENTALE
. die sexiielle. Le diagnostic de l'état de la s
, neuf avaient eu de huit à douze couches). Les formes des maladies
mentales
dans le groupe des malades réglées étaient repr
représentées comme suit : idiotie, un cas; épilepsie avec troubles
mentaux
, quinze; hystérie avec aliénation mentale, onze
; épilepsie avec troubles mentaux, quinze; hystérie avec aliénation
mentale
, onze; paralysie gêné- rale, quatorze; délire c
des après la ménopause se divisaient, d'après la forme d'aliénation
mentale
, de la façon suivante : démence consécutive, vi
ire retard des règles, leur suppression pour un cer- 182 PATHOLOGIE
MENTALE
. tain temps ou leur réapparition trop fréquente
chez les aliénées accompagnant les différentes formes d'aliénation
mentale
, en prenant les chiffres à peu près égaux, on v
de menstruation; des symptômes d'ovarie ont aussi 18 le PATHOLOGIE
MENTALE
. été notés dans huit cas (six fois à droite, de
en prenant à peu près le même nombre de malades et les mêmes formes
mentales
avant la ménopause, on trouve la complication n
nce marquée de lésions plus compliquées ? Ainsi, les 186 PATHOLOGIE
MENTALE
. métrites sont souvent associées à diverses aut
rtaines conditions spéciales, comme hérédité morbide 188 PATHOLOGIE
MENTALE
. etautres causes prédisposantes, qu'elles peuve
z la femme avant le retour d'âge, la compli- cation de l'aliénation
mentale
parles maladies sexuelles est un fait qui se re
« folie avec conscience » est une des plus vagues de la pathologie
mentale
. La faute, pourtant, n'en est pas aux aliéniste
conscience métaphysique, la conscience psychique, la 190 PATHOLOGIE
MENTALE
. conscience réfléchie. Ce n'est pas ce gigantes
nformons d'ailleurs au titre donné à ce travail, car, en pathologie
mentale
, les mots folie avec cons- cience s'appliquent
conscience que celle d'interpré- ter ce point curieux de pathologie
mentale
. Je me bornerai à relater quarante observations
sentent devenir fous. Ils ont la notion claire d'un 192 PATHOLOGIE
MENTALE
. bouleversement de leur esprit. Us voient leur
alalgie, de l'insomnie, de l'anxiété, un besoin 13 194 PATHOLOGIE
MENTALE
. violent de mouvement, et qui souvent laisse la
quand elles augmentent en nombre et en durée. Plus 196 PATHOLOGIE
MENTALE
. rares dans les délires dépressifs aigus, quoiq
, elle ne prenait souci de rien, la conscience était 198 PATHOLOGIE
MENTALE
. restée endormie ; mais elle se réveilla dès qu
début ne se retrouve plus ici. Entre ces deux stades des affections
mentales
existe donc, à ce point de vue, une différence
r et les folies impulsives. La caracté- ristique de ces aliénations
mentales
n'est pas, comme le croit M. Ritti , la présenc
st un élément surajouté. Sur trente-quatre cas de ce 200 PATHOLOGIE
MENTALE
. genre, vingt-sept fois l'hérédité a été consta
au même but que celui qu'il poursuit : le diagnostic des mala- dies
mentales
. Suit une description des modalités diverses qu
on de la voix chez cent soixante-deux malades atteints d'affections
mentales
: trente-neuf fois exagéré, trois fois amphoriq
lus qu'entre ces dernières et les différentes formes d'affections
mentales
. Il pense que la transmission de la voix se fai
la densité du cerveau varie dans les différentes formes de maladies
mentales
. Aussi le la 229 REVUE DE pathologie nerveuse
ue pourra être d'un grand secours dans le diagnostic des affections
mentales
. P. M. XVII. SUR LE centre cortical DE L'IRIS c
s INCIPIENS ; par ERLENMEYER,. ( Bulletin de la Société de médecine
mentale
de Belgique, année 1880, 2e fas- cicule, p. 103
ure. Le frisson, la sensation du froid sont des revue de pathologie
mentale
. 229 phénomènes peu communs. La température a é
sans rémission nouvelle. , ; R. 1) Ei. "C. , REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
IX. AVIS RELATIFS A L'ALIÉNATION, A L'USAGE DES
l de Zwiefalten (Wurtemberg). (Bulletin de la Société de médecine
mentale
de Belgique, année 1880, 4e fascicule,- p. 2t-8
istence d'une maladie mentale ? Situations- 230 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. qui se rapprochent des maladies mentales ; com
230 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. qui se rapprochent des maladies
mentales
; comment faut-il les envisager ? Quelles sont
sur .Ps ? /e ! /ta< ? '/e ; Bulletin de la So- ciété de médecine
mentale
de l3elga'que, année t880, 3e fascicule, p. 87-
ue la distinction établie par Westphal entre la revue DE pathologie
mentale
. 231 conception irrésistible (persistance de la
tradiction avec ses conditions objectives : 232 REVUE de pathologie
mentale
. ici, la personnalité disparait devant la folie
1 Voir Archives de Neurologie, t. II, p. 266. revue dE pathologie
mentale
. 233 le malade, assure aux conceptions irrésist
ues se joignent de l'excitabilité, de la confusion et de l'obtusion
mentales
, de la dipsomanie, des goûts d'aventures, si bi
propreté, agitation, insomnie, paralysie de 23t revue DE pathologie
mentale
. la parole et des mouvements volontaires. Une a
la faiblesse de l'incitation (Fechner) ou à la REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 235 répétition fréquente des mêmes processus,
ie; qu'il s'agisse de l'accès complet, du petit mal ou des troubles
mentaux
, l'amnésie absolue des patients témoigne de leu
ion DE l'hyoscyamine ET sa VALEUR THÉRAPEU- tique dans les maladies
mentales
; par G. Riva. (Rivisla di Freniatria, 1881, fas
tion des mouvements respiratoires. De toutes les formes de maladies
mentales
, c'est dans la manie récurrente que l'hyoscyami
e, le divorce ne devrait pas être ac- cordé pour cause d'aliénation
mentale
, quelle que soit la durée de la maladie. Il ne
ommémora tifs, avec un simple certificat médical indiquant son état
mental
, mais ne faisant nullement mention du crime qu'il
prévenus de crimes, enfin quelques individus atteints d'aliénation
mentale
qui n'ont subi ni ne subiront aucune condamnati
evons pas nous écarter, c'est que « t'individu atteint d'aliénation
mentale
, qu'il subisse ou lieu une condamnation, est av
on, oilur des con- ditions favorables au traitement de l'aliénation
mentale
? C'est au moins fort douteux ! De plus, on s
endraient se porter toutes les questions ayant trait à l'aliénation
mentale
, aux malades qui en sont atteints, à l'organisa
ancs aient apporté aux nègres ou aux hommes de couleur l'aliénation
mentale
. Il suffit à qui possède les éléments d'iwestiga-
rmations de la douleur psychique ou même physiologique en des états
mentaux
tout différents. Telles ces formes d'aboulie en
rable que l'on observe généralement chez eux. Quant à la dépression
mentale
, il ne faut point oublier que sa forme hypochon
-iche; errements et moyens ci employer. M. Fritsch. De l'aliénation
mentale
. Des diverses formes de l'aphasie dans leurs ra
e, aux troubles intellectuels, au caractère, aux mceurs et à l'état
mental
des hystériques. Cette dernière étude si intére
de Paris, 1882. Etude sur le poids de l'encéphale dans les maladies
mentales
; par Bn ? Thèse de Paris, 1882. Du fractionn
, 1882. Du cancer au point de vue de ses rapports avec l'aliénation
mentale
; par Ch. Bessière. Thèse de Paris, 1881. ~ D
intéressants de MM. Hammond et Beard dans le Journal of nervous and
mental
diseuses ; de MM. Falsom et Channinp, dans Bost
rnal of psycltological mediciae; de M. Stearnes, dans le Journal of
mental
science; de M. Gray, dans le Journal of iczsazzit
e subject of nervozcs.stretchinq. Extrait du Journal of Nervous and
mental
discase (janvier 1882). Brochure in-8" de 31 pa
2 fr. 50.) Letters and facts, not eretofore published, louching the
mental
condition of Ch. Guiteau, since 1865. Brochure
ovale et ronde et de la platine de l'étrier. (A suivre.) CLINIQUE
MENTALE
DU DÉLIRE DES NÉGATIONS (Suite)1; ParM.COTARD
ère de famille, est placée le 12 juin 18G3 à la maison 38t CLINIQUE
MENTALE
. de santé de Vanves, après avoir fait plusieurs
S... prétend que personne ne meurt plus, que personne 286 CLINIQUE
MENTALE
. ne se marie plus, que personne ne nait plus. I
880, nouvel accès, début assez rapide, préoccupations; 288 CLINIQUE
MENTALE
. relatives à des questions d'argent, perplexité
testicules, il faut le tuer. Aucun e*, L IV. l'.l 290 CLINIQUE
MENTALE
. Deuxième catégorie. i , Observation IX. M. C
à Vanves au mois d'avril 1880, on constate chez M. C... un trouble
mental
profond. M. C... ne se rend compte ni de l'endr
e de la démarche,inégalité pupillaire.. , ? y ,rsn,l 229 CLINIQUE
MENTALE
. Ces symptômes de paralysie générait ! devienne
concentrèrent sur la personne de son gendre ; elle j 1.. . CLINIQUE
MENTALE
. répétait pendant des heures entières : « Pourq
s-uns partentd'eux-memesaiatroisieme personne. 296 a PATHOLOGIE
MENTALE
. DÉLIRE DE PERSÉCUTIONS. Délire des grandeurs
che, d'abord franchement intermittente, puis continue. PATHOLOGIE
MENTAL
INVERSION DU SENS GÉNITAL (Coiîti,(Ii,e Sexiici
rains que toute approche conjugale est interdite 298 , , PATHOLOGIE
MENTALE
. au malheureux.mari, s'il n'évoque dans son esp
i(l. (Arrti. fiir. psclt., 1, p. 651. Berlin, 1868). 300 PATHOLOGIE
MENTALE
. capital, car une disposition native qui enchaî
l y aurait, dit-il, une attention plus sérieuse à don- ner à l'état
mental
de certains individus convaincus de pédérastie,
st-ce avec la plus grande attention que devrait être examiné l'état
mental
des inculpés, dès qu'apparaîtrait quelque chose
ainsi que le fait remarquer Westphal, apprécié exac- tement l'état
mental
du héros de cette affaire qui, d'après l'observ
ré. Mais il n'est pas toujours facile de se rendre compte de l'état
mental
, à en juger par le fameux Karl Heinrich Ulrichs
naeclic., l3crlm, 1858. l31olog. l'heil, p. 182.. 302 PATHOLOGIE
MENTALE
. rien dans ses relations ordinaires ne trahissa
ALE. rien dans ses relations ordinaires ne trahissait son trouble
mental
'. Pour notre malade également, dont on ne saur
(AI-eh. f. Bd. V ? 1) : i(i a 'i7li, 187 ? ) 1 . 30 re PATHOLOGIE
MENTALE
. timents qu'ils ne comprennent pas : l'homme es
nchés, qu'on pourrait croire à des formes particulières de maladies
mentales
, tandis qu'ils cons- tituent simplement quelque
i,e sexualempfindung, p. 305.) Anctoves, t. IV. 20 306 PATHOLOGIE
MENTALE
. Observation IL Mère hystérique ; migraine chez
de soixante-douze ans, a toujours été et est encore, 308 PATHOLOGIE
MENTALE
. aujourd'hui, dans un état presque permanent de
rd'hui, dans un état presque permanent de surexcitation nerveuse et
mentale
. * Dans sa première enfance, M. X... a eu des c
le lendemain et les jours suivants, il recommençait, 310 PATHOLOGIE
MENTALE
. en ayant soin de s'arrêter dès qu'il sentait q
me, s'il y a beaucoup de clous, et si les clous sont 319 PATHOLOGIE
MENTALE
. gros, s'ils sont posés à des souliers, plutôt
ce s'obscurcit, et la crise ne peut être évitée. 3 I · PATHOLOGIE
MENTALE
. lI. 1... est affecté de phimosis ; chez lui, l
masturber au contact du tablier derrière une haie. 318 PATHOLOGIE
MENTAL
) ? Depuis ce jour, les tabliers l'attirent, il
une faction des plus prolongées, mais ne craint pas 320 PATHOLOGIE
MENTALE
. dc's'exposer à de' grands'dangers pour aboutir
ribune médicale, mars 1881.) Archives, t. IV. 21 322 PATHOLOGIE
MENTALE
. reconnaître, l'histoire de tous ces malades of
eurs qui peuvent conduire au sui- cide. D'autres fois, sans trouble
mental
caractérisé, le malade se trouve dans un état d
n morale est beau- coup plus rare. La plupart du temps ces troubles
mentaux
doi- vent être rattachés à l'affaiblissement gé
s que l'on constate par l'hérédité entre le diabète et l'aliénation
mentale
ou l'épilepsie (Seegen, Westphal, Grie- singer,
ne amélioration portant à la fois sur l'état physique et sur l'état
mental
(Legrand du Saulle), il faut bien admettre une
Loc. cit., p. 217. Il. Leroux. - 1'lt. l'arts, 1881. 5 De l'état
mental
chez certains diabétiques, 1878. a Cotard. Arch
e : Iiatliblogique. P. K. Archives, t. IV. an REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XV. Procédé pour COUPER LES accès d'agitation c
de la solution suivante au début de l'accès : REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 387 Les quatre seringues représentent 80 centi
lques observations montrent que l'exagéra- 388. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. tion du réflexe' correspond à une difficulté m
XVII. Sur la folie morale; par J.-Il. GASQuET. 7 ? e Journal - ! of
Mental
Science, avril 1882, p. 1.) ' M.- Gasquet pense
on ne tient pas suffisamment compte de la' complexité des processus
mentaux
qu'implique le plus simple des actes ! moraux ;
moraux ; il se propose de rechercher à quel point.de ces processus
mentaux
que l'on désigne sous le nom de' moraux, la fol
- intacts ; c'est leur application aux cas par- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 389 ticuliers qui devient impossible : c'est a
coup plus vraisemblable que la première, on voit que le processus
mental
; tant dans sa partie positive que dans sa partie
t et simplement à un phénomène d'attention. 390 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. « Or, il est généralement admis par les physio
l'atropine comme agent sédatif ; par J.-R. GASQuET. (7%e Journal of
Mental
Science, n° d'avril 1882.) L'importance que M
yoscyamine, l'avantage de coûter environ quinze REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 391 fois moins cher que cette dernière, et cet
s de l'ouïe comme caractéristiques de l'incurabilité des affections
mentales
; c'est pourquoi l'auteur a pensé que l'ob- ser
adie d'estomac se garde bien de refuser les 392 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. aliments à son malade ; il se borne à les choi
teurs d'asile ; nous avons la conviction qu'ils REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 393 ne tarderaient pas à instituer, dans la me
ation ou au soulagement de l'état des malades atteints d'affections
mentales
; 4° rompre la monotonie de la vie de l'asile et
e rhumatisme articulaire qui paraît avoir été subaigu; les troubles
mentaux
datent de ce moment ; ils étaient caractérisés
, disparition des mouve- ments choréiformes, amélioration de l'état
mental
. Pendant plus de dix mois reste à l'asile, prés
ale a tout fait dis- paraître.' (B.) ' 394 le REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. an environ, elle est en pleine convalescence :
t. Après six semaines de séjour, amélioration générale, physique et
mentale
.-Les mou- vements choréiformes ont disparu ; pl
trois mois et demi; sa santé générale est bonne; au point de vue
mental
, elle est tout à fait convalescente. L'auteur r
L'auteur rappelle que M. Clouston a publié en 1870 (The Journal of
Mental
Science, n° de juillet) deux cas de folie rhu-
les que l'attention et la mémoire, R. de M. C REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 395 XXII. Localisation SPINALE.- lésions destr
ale. AFFECTION DE LA MOELLE; par W. JULIUS Mickle. (Tlce Journal of
Mental
science, n" d'avril 1882.) Nous ne pouvons donn
en ce qui touchait la mémoire), (le M.-C. 396 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XXIII. LES hallucinations dans la paralysie gé
a responsabilité CRIME- NELLE ; par D. HAciç. TUKE. (The Journal of
Mental
Science, n° d'avril 1882.) Le travail de M. I
garanties les plus élémentaires relativement à l'étude de son état
mental
. Sans doute, il arrive parfois; souvent môme, M
te que, dans les autres pays, on étudie, lorsqu'il y a lieu, l'état
mental
de l'accusé avant les débats, tandis qu'en Angl
ent, quelquefois même par première intention. Cu. F. Des maladies
mentales
et nerveuses; par Ai. 13u,lod, médecin en chef,
e s'est désintéressé d'aucune des questions concernant l'aliénation
mentale
. Charpentier. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Recherche
signes ou des indices qui permettent de reconnaitre qu'une maladie
mentale
est héréditaire, en l'absence de notions sur les
faculté un concours pour une place de chef de clinique des maladies
mentales
. Concours POUR l'internat EN médecine dans LES
rapports de l'infirmier avec l'aliéné dans les diffé- rentes formes
mentales
, petite pharmacie. Ces cours se font sous la di
tôme de l'accès d'épilepsie, par Z Aliénation, 229. Aliénation
mentale
chez un sujet atteint d'anémie et de cachexie
servés chez les), par Bernard et Féré, 336. Divorce et aliénation
mentale
, 120, 239,243. Ecriture dans la paralysie gén
ar- cot), par Féré et Demars, ? ? 0; - par Gellé, 273. Maladies
mentales
aiguës et cu- rables (traitement des), par Bur-
ment des), par Bur- mann, 95. TABLE DES MATIÈRES.. 407 Maladies
mentales
et nerveuses par Billod (bibliographie), 399.
s mentales et nerveuses par Billod (bibliographie), 399. Maladies
mentales
(influence des maladies aiguës sur la genèse
VES DE E NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
Fond 13 FAR J.-M. CHAKCOT f'UIILII.( : S()US
'ION 11F : mn. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies
mentales
a la Faculté de médecine de P.l1 ¡s. V. MAG
Vol. VIII. Juillet 1899. N° 43 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. L'IDEE FIXE; Par le 1), P. KEHAVAL, Médeci
être un peu oublié de nos jours, en tracer les rapports avec l'état
mental
normal et les princi- pales formes psychopathiq
st passé tel quel dans Archives, '2" série, t. VIII. 1 2 CLINIQUE
MENTALE
. toutes les langues en subissant à peine l'adul
ns le fonctionnement des idées et des sentiments, dans les facultés
mentales
. Sans doute toutes les littératures nous fourni
, il a une idée fixe. Quand ' L'Idée fixe et son rôle en pathologie
mentale
. Ville, 1898. 4 CLINIQUE MENTALE. un enfant f
dée fixe et son rôle en pathologie mentale. Ville, 1898. 4 CLINIQUE
MENTALE
. un enfant fixe à son avenir le but de telle ou
présentent une série d'idées fixes. Le désir de parvenir, l'image
mentale
de quelque complica- tion, de quelque événement
d'idées, présentent déjà un élément de fixité. Si l'une 6 CLINIQUE
mentale
. d'elles prend une importance exceptionnelle, e
e il existe des obsessions normales ; ces dernières sont des images
mentales
qui détournent l'attention parce qu'elles n'ont
e à traction ; il plaçait des chevaux dans l'intérieur 8 1 CLINIQUE
MENTALE
. d'un wagon ; on les faisait tourner ou marcher
délirante pouvait émaner de l'intelligence ou des sens, 10 CLINIQUE
MENTALE
. il n'y avait qu'un pas. Faux jugements ou faus
, en effet, l'association des idées, aurait, dès le début de la vie
mentale
, suivi une orientation préala- ble à peu près i
s conceptions ad valorent d'après leur teinte senti- 12 li CLINIQUE
MENTALE
. mentale, d'après la spécificité des vibrations
ns ad valorent d'après leur teinte senti- 12 li CLINIQUE MENTALE.
mentale
, d'après la spécificité des vibrations physiologi
n est de même d'un jugement normal, c'est possible. Et, 14 CLINIQUE
MENTALE
. en tout cas, il est certain qu'à l'idée fausse
és ; les idées délirantes, concernant la personnalité physi- que et
mentale
du sujet, sont toutes accompagnées d'évalua- ti
acte anor- mal. Ces opinions corroborent les nôtres. 16 CLINIQUE
MENTALE
. Étude clinique. A. Physiologie pathologique.
e cadre même de cette Archives, 21 série, t. VIII. 2 lao CLINIQUE
mentale
. théorie du trouble affectif inhérent au souven
nes, les inconséquences ou les contradictions, telles, que la santé
mentale
est inadmissible. Le malade peut avoir conservé
ur, il est incapable de s'en servir utilement ; car, ce 20 clinique
mentale
. qu'il considérait jadis comme vrai, lui semble
; exemple, l'obsession par névralgie ou toute autre 22 '2 clinique
mentale
. sensation physique d'organes. Invariablement e
nt du jugement, et dominant toutes les pensées,-absence 24 CLINIQUE
mentale
. de lutte et de rébellion contre l'idée netteme
la provoquer. En cet état pas de gué- rison possible. 26 CLINIQUE
mentale
. Cet avis est aussi celui de Wernicke. Il affir
ropre des dégénérés, d'être hantés par des symptômes d'aliénation
mentale
isolés, comme les idées prévalentes, ou peu inten
moins que « l'on ne s'obsline à regar- der précisément celte forme
mentale
comme une preuve de dégénérescence. » Pour L.
fixe à sa première période. Une fois, en effet, que les ma- ladies
mentales
ont évolué pendant quelque temps, le mé- lange
disparaissent quand il n'existe aucune autre cause de perturbation
mentale
, avec l'épuise- menl du cerveau qui en a permis
1 Traité de psychiatrie. Édition française, page 536. z8 CLINIQUE
MENTALE
. .longuement sur la question de savoir comment
lalo. (.Allgemeine Zeitschrift (il Psychiatrie, LI, 1.) 30 CLINIQUE
MENTALE
. Observation III. Idée fixe dans la migraine op
de pensées similaires. Ces conceptions constituent un vrai malaise
mental
, car elles s'accom- pagnent d'un retentissement
part du patient, forcé, malgré lui, d'établir une sorte de contrôle
mental
sur chaque phrase qui se présente à son esprit,
phrases, et c'est ainsi qu'il s'aperçoit de la netteté de sa vision
mentale
, de ses obscurités ou de ses oscillations en mi
il est également obsédé par le besoin de savoir où en est sa vision
mentale
, de sorte qu'à la rumination psychique dépendan
ntillant exclusif, ne se répercutant point sur le corps 32 CLINIQUE
MENTALE
.. / ou le cerveau, quelque soit le début de l'h
cotome scintillant il se montre un peu d'affaiblissement des images
mentales
. Quanl à 1' ! tYPcl'idéation obsessive, dont nous
le reliquat d'un accès nocturne discret. (A suivre.) PATHOLOGIE
MENTALE
. MYSTICISME ET FOLIE ' ; Par le D'A. MARIE,
révaut définitive- ment. Nous trouvons le reflet de cette évolution
mentale
, normale, dans les conceptions pathologiques de
U, 1899, p. 257. AnclII\'I : s,2o série, t. VIII. 3 34 PATHOLOGIE
MENTALE
. mânes de ceux des prophètes écoutés comme Jean
s qui les obsèdent. (Cotlard. De la folie, p. 213,) 36 PATHOLOGIE
MENTALE
. celles qu'ils repoussent ; fermant les yeux à
ne font que restaurer des idées abandonnées. L'analyse de cet état
mental
se ramène à un excès de sub- jectivité ; il s'e
ait que parcourir à l'inverse les différents, stades de l'évolution
mentale
normale; il passe ainsi de l'état positif à l'é
me ou du protestantisme, prédispose le plus à ce genre d'aliénation
mentale
. D'après Elus, il y aurait parmi les catholique
te une idée fixe qui conduit presque infailliblement à l'aliénation
mentale
. Je ne prétends point d'ailleurs qu'il s'agisse
l, Iticlrt. L'homme cl l'intelligence, p. 550,553 ? ¡ 38 PATHOLOGIE
MENTALE
. Il faut y joindre une crainte qui surtout aux
e nouvelles erreurs menacent encore la patho- logie encéphalique et
mentale
; or c'est du magnétisme et du spiritisme que dé
ivre dans les phases les plus éloignées de l'évolution his- torique
mentale
. , Ils rappellent l'écriture cunéiforme et hiér
Bail, p, 185. * Revue philosophique, 1881, t. XVII. 40 PATHOLOGIE
MENTALE
. lisant les âmes des trépassés (première manife
r- gie suffisante pour apparaître et pour l'emporter. L'affection
mentale
, « interrompant les associations nor- inhales,
inné, identique à celui qui a constitué et constitue encore le fond
mental
de certains peuples, pour qui elles représenten
hisme psycho-moteur et sensoriel est objectivée lorsque la synthèse
mentale
incom- plète amène l'automatisme involontaire e
ang la tache originelle du péché, car on en a vu plu- 42 PATHOLOGIE
MENTALE
. sieurs tuer avec joie pour opérer, disaient-il
s politiques de leur époque. Ce qui domine chez eux au point de vue
mental
, c'est toujours le mysticisme, mais non pas seu
à des déterminations véritablement pathologiques. C'est cet état
mental
qui produit les régicides vrais, les sauveurs de
s de l'humanité par la dynamite. 4 F. Voisin. Causes des maladies
mentales
, p. 41. 2 Histoire des anabaptistes, 1700, t. 1
. 2 Histoire des anabaptistes, 1700, t. 11, p. 251. 44 PATHOLOGIE
MENTALE
. M. Régis dit de ces malades, que leur tempéram
avril 1806. ' Bibliothèque médicale, p. 76, 1811. 116 PATHOLOGIE
MENTALE
. Le dernier exemple de crucifié volontaire offr
sme, stigmates physiques de dégénérescence) et une déséquilibration
mentale
manifeste, a été atteinte des premiers symptôme
intoxication,. 6'est tou- jours le même trouble à base de confusion
mentale
, le même ensemble de phénomènes hallucinatoires
a polynévrite peut elle-même, d'ailleurs, exister sans les troubles
mentaux
. Ce qui me paraît surtout dominant dans l'étude
lle ne bu- vait que du vin. A son entrée (novembre 1895), confusion
mentale
avec intermittence de calme et d'agitation, tro
modes d'hospitalisation appropriés aux diverses formes d'aliénation
mentale
observées. L'étude compara- .tive de l'hospital
e décom- pose ainsi : 11 guérisons complètes (état physique et état
mental
), 9 améliorations, il états stationnaires, 3 mo
En Belgique, le Dr Cuylitz a communiqué à la Société de Méde- cine
mentale
de Bruxelles, un travail très important sur les o
il très important sur les opéra- rations gynécologiques en médecine
mentale
; mais il a paru sur- tout envisager l'hystérie
mment la question des rapports de la chi- rurgie et de l'aliénation
mentale
. Nous ne voulons pas nous étendre plus longueme
e préconçue sur les rapports qui peuvent exister entre les maladies
mentales
et les lésions de l'appareil génital de la femme,
ier des opérations chirurgicales dans certaines formes d'aliénation
mentale
. Ces observations sont réparties en trois group
e premier groupe comprend les malades chez lesquelles l'affec- tion
mentale
a évolué parallèlement à la lésion des organes gé
i possible ces dernières. Sans guérir l'état antérieur d'aliénation
mentale
, l'acte opératoire met l'organisme en état de l
mprend les opérations faites dans le but d'activer la convalescence
mentale
. Ce groupe est le plus impor- tant ; il démontr
lassitude, dont l'ori- gine est alors trouvée, et la convalescence
mentale
, un instant' enrayée, marche rapidement vers un
, sans période d'excitation bien vive. Au cours de la convalescence
mentale
, alors que la santé intel- lectuelle est si fra
de surveillance. Puis, M. Rey a donné le mouvement de l'aliénation
mentale
dans les Bouches- du-Rhône et quelques considér
arabe offre un intérêt particulier, tant au point de vue des formes
mentales
et des différentes manifestations du délire qu'
é se basant sur 539 observations. Il a trouvé : 1° que l'hérédité
mentale
était la cause dans 17,4 p. 100; 2° l'alcoolism
, 1899. Librairie G. Basson. PL.\1G1\.\HD-FL.\ISSIInEs (IL). L'état
mental
dans le goitre exophtal- tique. Volume m-S° de
799 Vol. VIII. Août 1899. N° 44 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. L'IDÉE FIXE ' ; ; Par le 1K P. KRRAVAL. '
rendu. Voici la lettre qui édifiera amplement le lecteur sur l'état
mental
de P... et sur la nature de son délire. Nous lu
« Napoléon, ç , Il Piiiice Impérial des Français. Il 84 CLINIQUE
MENTALE
. «Voici mon nom sous lequel j'ai toujours voyag
'attitude extérieure et les signes phy- siques de la dégénérescence
mentale
: oreilles très écartées de la tête et très dév
ne duraient pas longtemps, car on se moquait de lui. 86 CLINIQUE
MENTALE
. Il y a plusieurs années, en 1878, en travailla
e parce que la position de comédienne ne lui paraissait 88 CLINIQUE
MENTALE
. pas assez distinguée. Elle se peint elle-même
obscènes. Voilà pourquoi on l'a mise à l'hôpital pour que son état
mental
fût observé. Là aussi, les annonces du journal
ée morbide. 'fout entière à ses pensées du moment, elle 90 CLINIQUE
MENTALE
. ne s'était jamais donné la peine de réfléchir
'était jamais donné la peine de réfléchir aux causes de son malaise
mental
, et ce ne fut qu'en rappelant des souvenirs loin-
le s'emballe à la suite du moindre progrès réalisé en thérapeutique
mentale
. Elle essaye toutes les méthodes nouvelles, et
systématique et même diffus, ne vint à leur succéder. 92 CLINIQUE
MENTALE
. Observation X (Personnelle). Dégénéré. Idée fi
ut à l'heure, et maintenant, cela ne fait aucun doute 94 i CLINIQUE
MENTALE
. dans mon esprit, il descendait certainement de
mations processives qu'on a soup- çonné l'existence de l'aliénation
mentale
. Il n'y a pas d'idées déli- rantes ; il n'y a p
urtout à l'idée fixe du délirant chronique que se rap- 96. CLINIQUE
MENTALE
. portent les développements nosographiques de c
voulut l'assassiner. ' Archives, 2" série, t. VIII. 7 98 CLINIQUE
MENTALE
. C'est vers cette époque, c'est-à-dire vers l'â
endroit à une personne de sa connaissance, et sur son 100 CLINIQUE
MENTALE
. compte, il en est convaincu bien qu'il ne pût
quer sa mise en observation et obtenir qu'il frit taxé d'aliénation
mentale
. A l'asile on ne constate aucune antre interpré
state aucune antre interprétation délirante, aucune autre affection
mentale
. M. Wiîrnicke fait remarquer que le début de l'
a maison desquels les la Trémoille étaient attachés. 102 CLINIQUE
MENTALE
. Voici d'ailleurs ce qu'il écrit il ce sujet.
e j'avais commises, j'allais être roué vif ou brûlé. 104 CLINIQUE
MENTALE
. « Il faut vous dire que ce n'est que depuis qu
ache à celle des persécutés per- sécuteurs mais sans dégénérescence
mentale
, ou tout au moins elle peut être considérée com
erce sa profession dans une école particulière où elle 106 CLINIQUE
mentale
. plait par son activité et sa diligence. Elle a
l'idée prévalente. Il faut accuser l'époque critique, le surmenage
mental
, un mode d'existence peu confortable ; telles o
ne exagération, mes souffrances sont intolérables. ' 108 CLINIQUE
MENTALE
. « La machine fait craquer mes os, brider ma ch
de ce pouvoir qu'il a accaparé toutes ses affaires. 110 CLINIQUE
MENTALE
. Son état actuel est celui du délire de persécu
claireront-elles un jour les phé- nomènes complexes de l'aliénation
mentale
proprement dite. C'est encore un terrain à part
u. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 133 V. Sur le traitement du torticolis
mental
et des tics similaires ; par MM. E. BRISS\l. :
ologie, 1899, n° 8.) Après avoir relaté plusieurs cas de torticolis
mental
ou de tics similaires qui ont été améliorés ou
s portent leur effort respectivement et toutes à la fois sur l'état
mental
du sujet, car un tic, simple ou complexe, et qu
aitement de l'hystérie et bien moins encore dans celui des maladies
mentales
que la thérapeutique suggestive exerce sa vérit
de l'examen médico-légal du meurtrier C.... et rapport sur son état
mental
; par le Dl' S. Garnier. Le maire d'une commun
uants, au contraire, qui commettent des actes . REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 139 répréhensibles au cours d'ivresses anormal
la suite de quelques excès alcooliques. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 1. Les phénomènes de la distraction cérébrale
centres accessoires sont distraits du méca- 140 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
.. nisme cérébral pour lequel ils ne sont moment
a été noté le plus souvent. Chez ceux-ci, comme REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. d41 en général chez les autres malades, l'inte
édico-pschologiqucs, février 1899.) E. B. 142 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. VII. Quelques contributions à la psychologie d
se comme cause étiologique de l'aliénation ; 5° en fait de maladies
mentales
chez les lépreux, on a observé la mélancolie, l
analogie de l'action des autres maladies infectieuses sur la sphère
mentale
, il paraîtrait que la lèpre pourrait plutôt fai
pre pourrait plutôt faire naître l'amentia, que d'autres maladies
mentales
. (Revue neurologique, mars 1899.) E. 13. IX. Du
nérale ; par le De MARANDON de Montyel. (l3acll, de la Soc. de méd.
mentale
de Belgique, sep- tembre 1808.) M. Marandon d
implement retardé. Ces modifications s'obsenent REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 143 surtout au début et à la période ultime de
vue neurologique, avril j1. E. U. XI. Dégénérescence et stigmates
mentaux
; malformation de l'ectoderme ; myoclonie épisod
tomique de l'oreille, mais sans rapport manifeste avec les troubles
mentaux
. Discussion. \V. Jakovenko fait remarquer que l
n groupe ces malades d'api ès la durée ascendante de leur affection
mentale
, on obtient le tableau suivant qui indique, par
e l'outrage public à la pudeur qu i lui est reproché, mais son état
mental
exige la continuation du traitement dans l'asil
bourg) rapporte l'observation d'un malade atteint de dégénérescence
mentale
et dont l'obsession était caractérisée par de l
-intoxication et peu- vent donner naissance à la plupart des formes
mentales
connues, qui varieront selon le terrain préparé
eur action avec l'urémie et provoquer l'explosion de l'aliénation
mentale
. L'urémie délirante se révèle plus spécialement
èle plus spécialement par de la stupeur avec hébétude, ou confusion
mentale
et hallucination. L'hébétude s'accompagne souve
manifestations nerveuses, la neurasthénie, l'hystérie, l'aliénation
mentale
. 8. Essai sur l'état mental dans l'abstinence;
urasthénie, l'hystérie, l'aliénation mentale. 8. Essai sur l'état
mental
dans l'abstinence; par le Dr LASSiGKAMOE. L'abs
, en dehors de l'abstinence dans les maladies (pyrexies, aliénation
mentale
, hystérie), les jeûnes déterminés par la misère
gnons, dans le naufrage de la « Ville-de-Saiut-Nazaire ». L'état
mental
créé par l'abstinence peut se résumer ainsi : 1
ques et de leur gravité. On peut 'établir un parallèle entre l'état
mental
de l'abstinence et celui des intoxications. L'o
ntoxications. L'on trouve très peu de différence entre les troubles
mentaux
de l'abstinence et ceux des intoxications : mêm
pour les confusions men- tales, nous trouvons d'abord une confusion
mentale
primitive pure, puis une confusion mentale seco
ns d'abord une confusion mentale primitive pure, puis une confusion
mentale
secondaire chez une hystérique, ensuite une con
hystérique, ensuite une confusion avec délire, enfin une confusion
mentale
]70 O BIBLIOGRAPHIE. périodique, etc. Telle e
es psychiquenzent bien entendu, c'est-à-dire précédées d'un trouble
mental
préalable qui leur a préparé la voie, tels que :
orrect, M. S..., ingénieur, subitement pris d'un accès d'aliénation
mentale
, se plantait sur la voie, au moment où un train v
ermer un oeil isolé- ment. Pugliese (Revista di Patologia Méiose et
mentale
, janvier'1897, vol. VII, n° 1, p. 14) a fait re
sagréables, incohérence d'idées. A partir du 13 décembre, confusion
mentale
complète, excitation motrice, tendances agressi
la main gauche et une parésie du facial droit inférieur; dépression
mentale
très prononcée; refus d'aliments; pouls 100-110
ulier, Régis, la suggestion est le traitement de choix de ces états
mentaux
. post-infectieux. L'agent infectieux, en effet
'elle stimule et fortifie le pouvoir de coordination et de synthèse
mentale
, qu'elle corrige et redresse la mauvaise habitu
seur dans le traitement hypnotique de certaines formes d'aliénation
mentale
. L'hypnotisme et le traitement de l'agoraphobie
a être doublé ; il portera à la fois sur l'état local et sur l'état
mental
; il suppri- mera la cause des impulsions, et,
s est constante. L'influence de l'extrait d'ovaire sur les troubles
mentaux
qui accompagnent les lésions génitales ou la ca
at de stupeur rêveuse jusqu'à la confusion BIBLIOGRAPHIE. l, Il b
mentale
hallucinatoire aiguë. On distingue le délire palu
mes ou de phénomènes accessoires dans un certain nombre de maladies
mentales
, notamment dans l'exci- tation maniaque pure, l
l sexuel, chez une petite fille observée à la clinique des maladies
mentales
de la Faculté. 17. Moyens de défense et psych
un aperçu sur les variations de l'entropie dans quelques situations
mentales
.Amice (Toussaint). Aphasie traumatique. André (
ulmonaire . - Martin (Georges). Elude sur la neurasthénie et l'état
mental
des neurasthéniques. Maynaud (Armand). La sciat
ez l'en- 2û2 VARIA. faut, ses causes cl ses e ? els en pathologie
mentale
. - Hoseuthal (Moïse). De la douleur dans la syr
s, M. Honoré Parisot donnait des signes non équivoques d'aliénation
mentale
. Pour se soustraire à ses violences, sa maîtres
a gorge avec un rasoir. Le malheureux, qui est atteint d'aliénation
mentale
, croit être une victime de l'affaire Dreyfus et
Vol. VIII. Octobre 1899. N° 46 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE POSTO
ES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. RELATION D'UN CAS DE CONFUSION
MENTALE
POSTOPERATOIRE; Par le D' rwareoo, - Iédcci
oires, et, par suite, sur la constitution de ce groupe d'affections
mentales
. Trois opinions principales sont en présence :
du 1" mars 1898.) Archives, 2' série, t. V111. 17 ï 258 CLINIQUE
MENTALE
. les cas dans lesquels le délire ne relève d'au
s post-opératoires répondent à un même type clinique : la confusion
mentale
. Sur ce fond de confusion mentale survient très
même type clinique : la confusion mentale. Sur ce fond de confusion
mentale
survient très fréquemment un état déli- rant qu
La Presse médicale, G août 1898.) RELATION D'UN CAS DE CONFUSION
MENTALE
. 259 mie ou à une infection accidentelle, soit
n au Congrès des médecins aliénistes. Angers, 1898.) 260 CLINIQUE
MENTALE
. Seule, la clinique peut trancher définitivemen
fection de la plaie opératoire. Septicémie. Apparition des troubles
mentaux
huit jours après l'opération. Confusion mentale
rition des troubles mentaux huit jours après l'opération. Confusion
mentale
avec délire onirique et alternatives irrégulièr
rieux excès de boisson, mais jamais il n'avait présenté de troubles
mentaux
. La mère, décédée par suite d'une affection car
maternel, décédée à un Age très avancé, a été atteinte d'aliénation
mentale
pendant les dix ou quinze dernières années de s
nnées de sa vie. Nous ignorons quelle forme ont revêtu les troubles
mentaux
signalés chez cette parente de notre malade.
sont produits pendant son existence. RELATION D'UN CAS DE CONFUSION
MENTALE
. 261 1 Il a fait sept ans de service militaire
mois de mars. Pen- dant les premiers jours qui la suivirent, l'état
mental
de C... n'attira nullement l'attention; sa sant
usement compromise; en effet, la plaie opératoire s'in- 26 CLINIQUE
MENTALE
. fecta, une fièvre intense apparut, et le malad
er en lui des signes dénotant une légère altération de ses facultés
mentales
. Plus impressionnable que de coutume, il manife
ur ne révèle aucun bruit anormal; il RELATION D'UN CAS DE CONFUSION
MENTALE
. 263 existe, cependant, une légère exagération
sont pas moins accentués. Un élément semble prédominer dans l'état
mental
du malade : c'est la confusion des idées. C...
e par intervalles une attention vague et fugitive à ce 264 CLINIQUE
MENTALE
. qui se passe autour de lui. Toute l'attention
u caractère terrifiant qu'elles ont, d'ordinaire, dans la confusion
mentale
. Ces constata- tions, faites pendant la période
ement; la plaie de l'aisselle con- 4 RELATION D'UN CAS DE CONFUSION
MENTALE
. 26D tinue à suppurer, mais la quantité de pus
l'année exacte de sa naissance. 11 est donc manifeste que l'état
mental
n'a guère changé ; la désorientation d'esprit et
re que, dans une certaine mesure, il se rendait compte 266 CLINIQUE
MENTALE
. de sa position, et que son esprit était except
ois, des noms de son invention. Sur ce fond invariable de confusion
mentale
se greffent des accès d'excitation et de dépres
catrisée, et ne donne que quelques gouttes de pus. Juin. - L'état
mental
ne subit aucune modification. L'amélio- ration
idées persiste avec la même netteté. RELATION D'UN CAS DE CONFUSION
MENTALE
. 267 On n'observe plus de dépression; l'excitat
'état actuel, être déterminée avec précision, à cause de l'obtusiou
mentale
qui persiste encore. Il semble cependant que le
ire; l'amnésie ne porte que sur les événements qui ont 268 CLINIQUE
MENTALE
. suivi l'opération; elle parait être absolue po
ut aujourd'hui être considéré comme guéri de son accès de confusion
mentale
. La crise, qui vient de se terminer, n'a laissé
és dans les lits voisins du sien, et RELATION D'UN CAS DE CONFUSION
MENTALE
. 269 d'avoir appris par eux les incidents de l'
incapable de dire comment et à quel moment ont apparu les troubles
mentaux
. 11 ignore ce qui s'est passé à l'hôpital, à da
et sur le délire entretenu par ces derniers symptômes. 270 CLINIQUE
MENTALE
. Mais lorsqu'on le questionne sur la nature de
ue nous venons de rapporter est celle d'un cas typique de confusion
mentale
. Avant de relater les parti- cularités qu'elle
maternelle une de ses proches parentes avait présenté des troubles
mentaux
. Bien que nous n'ayons pas eu connaissance de l
orce de résistance aux agents morbi- RELATION D'UN CAS DE CONFUSION
MENTALE
. 271 1 fiques, modifications durables et non su
que des états toxi-infectieux : nous voulons parler de la confusion
mentale
avec délire onirique. « Les délires toxi-infect
xiques, dit M. Régis ', ont tous pour formule clinique la confusion
mentale
. Le délire toxi-infectieux, au moins dans sa fo
ire toxi-infectieux, au moins dans sa forme habituelle de confusion
mentale
subaiguë, est un délire de rêve ou onirique...
tion et d'infection. (Presse médicale, 3 août 1898.) 272 CLINIQUE
MENTALE
. une relation de cause à effet. Mais, de ce que
é- ' Professeur Joffroy. Loc. cit. RELATION D'UN CAS DE CONFUSION
MENTALE
. 273 pondérant nous paraît, dit-il, devoir être
chiques post-opératoires. Abstraction faite des cas où les troubles
mentaux
sont la conséquence d'opérations pratiquées sur
a genèse de ces trou- ÀRCmvES, 2' série, t. VIII. 18 i 4 CLINIQUE
MENTALE
. bles psychiques; cet élément, c'est la prédisp
cteurs d'ordre psychique auxquels M. Picqué attribue les troubles
mentaux
qu'il appelle les vrais délires post-opératoires.
l en soit ainsi. On tend à admettre avec M. Régis, que la confusion
mentale
est le type habituel des folies toxiques ; et n
n exemple bien net; cependant, d'une RELATION D'UN CAS DE CONFUSION
MENTALE
. 275 part, il n'est pas encore prouvé que cette
manie ou à la mélancolie par exemple, aussi bien qu'à Id confusion
mentale
. Nous nous rangeons donc, en définitive, à l'op
dans l'observation de C... les caractères typiques de la confusion
mentale
. Pendant toute la durée de la maladie, le sympt
es d'agitation et de dépression, qui auraient pu, par- 276 CLINIQUE
MENTALE
. moments, faire prendre pour des vésanies pures
ou simplement triste qu'elles ont habituellement dans la confusion
mentale
. Les renseignements donnés par le malade sont,
indépendante, jus- qu'à un certain point, de celle de la confusion
mentale
..En effet, celle-ci existait antérieurement à l
et a persisté assez longtemps après sa disparition. La confusion
mentale
proprement dite s'est atténuée pro- gressivemen
excitation péri- phérique. Il convient d'ajouter que l'obuubilation
mentale
pro- gresse de jour en jour. Cependant, M... ne
prédis- posés, la frayeur ou les chagrins produisant une maladie
mentale
, peuvent faire penser à une influence plus forle
e. Remarquons d'abord l'existence de l'aménorrhée dans des formes
mentales
très différentes ; nous avons trois manies, une
ans, à la suite de chagrins après avoir présenté quelques troubles
mentaux
. La mère et les six frères ou soeurs sont bien po
de manie aiguë franche. Le suicide du père après quelques troubles
mentaux
, il y a quinze ans, en fait une dégénérée; il n
ons psychiques ; elle semble normale dans les intervalles. La forme
mentale
ainsi établie en dehors de la névrose hystériqu
avec les accès de manie et les fonctions rétablissant avec l'état
mental
; ensuite par l'inefficacité du traitement emména
ortuite, et que les hermaphrodites sont des débiles au point de vue
mental
. C'est ce que dit en effet E. Laurent : « Au po
douze ans, réputé fille, gaiçon en réalité, et atteint de débilité
mentale
. Christian, Legrand du Saulle avaient déjà mis
es (cryptorchidie, hypospadias) sur le déve- loppement des maladies
mentales
; Raffegeau, dans sa thèse, étudie aussi l'influ
dié la fréquence de la coexistence d'un certain degré de débilité
mentale
et de malformations de l'appareil génital; or, pa
u à peu un syndrome à marche lente en tout semblable à la confusion
mentale
. Ces symptômes s'observent surtout dans les fra
ngestives prédominant à gauche, une hémipa- 324 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. résie gauche persistante. Lésions des cordons
s cellules des ganglions spinaux. P. Keraval. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XIII. Recherches sur la glycosurie alimentaire
XIII. Recherches sur la glycosurie alimentaire dans les maladies
mentales
au point de vue des rapports entre la folie et le
nt .menées con- duisent aux conclusions suivantes : 1° Les maladies
mentales
, par elles-mêmes, ne sont pas capables de dimin
i que l'examen histologique du cerveau. A. M. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 325 XV. Symbolistes et décadents ; par le D' B
xposé par les conclusions suivantes : dans l'organisation évolutive
mentale
, le progrès s'opère par stratifica- tions super
de l'équilibre. Réflexes patellaires très 32G 6 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. vifs, réflexes abdominaux et crémastériens fai
el il résiste en pleine et parfaite connaissance, en complète santé
mentale
. On a depuis lors appliqué le nom d'obsession à
satellite, comme cela a lieu dans le mécanisme REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 327 7 des contrastes psychiques normaux. La pr
e de délire assez rare et dont la plupart des traités de pathologie
mentale
ne parlent qu'incidemment. Il étudie spécialeme
matériques). Son pronostic est relativement 328 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. bénin (08 p. 100 de guérisons) mais elle peut
eté relative de ces cas dans les asiles. De Tiiivet. XIX. Stupeur
mentale
intermittente; par le De Noble. Il se rencontre
médiaire considère que la syphilis ne donne pas REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 329 naissance à une paralysie générale vraie m
me résultat rapide dans un cas de manie et dans un cas de confusion
mentale
. (The alienist and nc2crologist, avril 1899.) E
nist and nc2crologist, avril 1899.) E. B. 330 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XXI. L'imbécillité et la folie de l'imbécillit
aires. En même temps que les observateurs constataient les troubles
mentaux
; ils notaient l'apparition de troubles physiqu
e système nerveux et détermine l'éclosion d'affections nerveuses ou
mentales
variées. , Un cas de paralysie générale avec ha
Contribution à la symptomatologie des signes physiques des maladies
mentales
. (Communication préalable.) Quand on porte avec
nt par séries. Chaque accès est suivi d'exci- tation avec confusion
mentale
et hallucinations, parésies passa- gères des me
femme de cinquante et un ans, qui ne jouissait pas de ses facultés
mentales
depuis quelque temps. Marie Ferret, épouse Gasc
t en retraite, donnait depuis quelque temps des signes d'aliénation
mentale
; sa femme avait introduit contre lui une instan
hant complètement la structure fibrillaire de la substance fonda-
mentale
. Après l'action de l'alcool ces éléments ont conf
pathogénique ces affections de la moelle et des méninges. CLINIQUE
MENTALE
. LES HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES VERBALES
ysiologie des hallucina- tions dans ses recherches sur les maladies
mentales
. 374 CLINIQUE MENTALE. sous. le n4)m d'halluc
tions dans ses recherches sur les maladies mentales. 374 CLINIQUE
MENTALE
. sous. le n4)m d'hallucinations psychiques. Apr
combinées à des auditives verbales ; 3° de simples représentations
mentales
motrices associées ou non. MM. Ballet 2, Ritti3
1 Séglas. Progrès médical, 1888, nO' 33 et 31, et Congrès de méd.
mentale
de Nancy, 1895. 5 G. Ballet. Semaine médicale (
. de neurologie, 1896). * Magnan. Leçons cliniques sur les maladies
mentales
, 1897, p. 17. 3 maison. Contribution à l'élude
578. 6 Ballet. Le langage intérieur, 1886, p. 64. 331(6 CLINIQUE
MENTALE
. MM. Séglas et Londe' ont publié des observatio
s n'avons pu relever que trois cas. Observation I. - Dégénérescence
mentale
et hérédité : grand'mère aliénée. - Début des h
e s'étonnait que la voix intérieure parlât en son nom, 378 CLINIQUE
MENTALE
. répondant comme pour elle; mais souvent cette
nt. Observation II (Service de M. le D' Magnan). - Dégénérescence
mentale
; grand-père et père alcooliques. Habitudes alcool
motrice verbale. facteur il Paris, tlente-six ans. 380 CLINIQUE
MENTALE
. Père alcoolique, mort; s'enivrait souvent. Mèr
.TIO-i III (Service de M. Magnan, asile clinique). Dégrnr- rescence
mentale
et lourde hérédité : grand-père et tante aliénés.
isait beaucoup de romans, et aimait bien la musique. 382 CLINIQUE
MENTALE
. On voit que T... chargé par une lourde hérédit
a bizarrerie des dégénérés, en général, et conservait l'équilibre
mental
. Il n'était point mystique, nous notons ce fait s
été observé plusieurs fois. Comme le malade de M. Val- 384 CLINIQUE
MENTALE
. Ion ', notre malade a eu des idées mystiques.
ce. Observation IV (Service de M. le Dr Magnan). - Dégénérescence
mentale
et hérédité : frère aliéné. - Alcoolisme chroniqu
fflet. Il a remarqué Archives, 21 séi ie, t. VIII 25 38G CLINIQUE
MENTALE
. que le coup de sifflet perçu par l'oreille éve
plus digérer. Régime lacté pendant cinq jours. Le 5 août, son état
mental
est meilleur, mais B... est toujours un peu som
p. 100. a Séglas, Progrès médical, 1888, p. 125. 388 v ' CLINIQUE
MENTALE
. Il est indispensable de voir ce qui se passe d
parole articulée. (Bulletin médical, 2U juin ]89 ? ) 390 CLINIQUE
MENTALE
. ou des états faibles d'innervation périphériqu
tions de Pfeiffer, Sottas, Déjerine et Thomas, les études expéri-
mentales
de Singer et Munzer, les lois de Kahler et Singer
nostic était rendu douteux par des fractures multiples et l'état
mental
du malade. Aucune amélioration de l'ataxie. Dan
out entier au moyen de tous les agents, de toutes les condi- tions,
mentales
ou physiques, qui relèveront son tonus nerveux,
Î pour but que de se faire imprimer sur le corps des motifs orne-
mentaux
. Ce sont en général des musulmans. Chez les Copte
ment à Dijon et à Marseille. S'inspirant de ses idées en méde- cine
mentale
, il écrivit sa thèse de doctorat intitulée : Quel
sérieuse comme élément pathogénique assez fréquent de l'aliénation
mentale
. » Quelques mois après, le 18 janvier 1867, Dau
eu que nous avons émis nous-même dans notre étude sur l"Instabilité
mentale
et dans un article récent du Manuel général de
siles de la Seine, ont été nommés chefs de la clinique des maladies
mentales
, à la suite du dernier concours. Le rédacteur
. L'étude des rapports du ramollissement cérébral avec l'aliénation
mentale
n'occupe, aussi bien dans les traités de psychi
nt et que tout bien considéré - « c'est un chapitre de méde- cine
mentale
qui reste à écrire ». La formation successive d
ou chroniques, d'évolution ou d'invo- lution. Existe-t-il un état
mental
, un enchaînement de troubles psychiques particu
hâtivement et de chercher à dresser le tableau clinique de l'état
mental
qui accompagne les foyers de ramollissement cér
oce constitue un des plus forts appoints du traitement des maladies
mentales
, il ne faut point en prêcher la souverai- neté
fanatisme aveugle qui tendrait simplement à rayer la thérapeutique
mentale
du cercle des préoccupations médicales, comme e
ERAPEUTIQUE. TRAVAIL ET ALITEMENT DANS LE TRAITEMENT DES MALADIES
MENTALES
. (notice historique) ; p A H P. SÉl21GUY, E
t les moyens thérapeutiques que nous pouvons opposer aux affections
mentales
: aussi la croyance à l'incu- rabililé de ces m
adies, bien que démentie chaque jour par LE TRAITEMENT DES MALADIES
MENTALES
. 443 3 l'expérience, est-elle très répandue dan
si chaud par- ' Pinel. Traité médico-philosophique sur l'aliénation
mentale
, 2' édi- tion. Paris, 18U9. . Esquirol. Des m
tion mentale, 2' édi- tion. Paris, 18U9. . Esquirol. Des maladies
mentales
. Paris, 1838, t. Il, p. 5'3. 3 Lefebvre-Duruflé
enté au Conseil général de l'Eure, 1839. LE TRAITEMENT DES MALADIES
MENTALES
. 445 lisan du travail, c'est la visite qu'il a
rison; le travail, comme la base même du traitement de l'aliénation
mentale
. C'est ainsi que pour le D'Lapointe, le « trava
moralisateur, ou mieux esthétique, je ne dirai pas de l'aliénalion
mentale
, mais des aliénés que l'asile renferme. Au résu
gistes de langue française. Nancy, 189G. LE TRAITEMENT DES MALADIES
MENTALES
. 447 une source de bénéfices. Les inspecteurs d
re du travail considéré comme agent thérapeutique dans les maladies
mentales
, en disant que cette méthode a été un progrès d
ment dit; elle a renforcé le préjugé de l'incurabilité des maladies
mentales
; elle a fait perdre de vue la catégorie des suj
plicables ou contre-indiqués chez les malades atteints d'affections
mentales
aiguës. Ces états sont en effet toujours associ
niaques et mélancoliques, les psy- choses périodiques, la confusion
mentale
, les délires halluci- natoires aigus; il faut y
velle comme un progrès considérable dans le traitement des maladies
mentales
. Certes, le repos au lit n'est pas une panacée
nfectieuses, toxiques, puerpérales, etc. LE TRAITEMENT DES MALADIES
MENTALES
. 449 Quant aux indications du repos psychique,
pas douter l'intensité des symptômes les plus pénibles des maladies
mentales
aiguës et écarte les redoutables complications
le dogme de la nécessité du travail dans le traitement des maladies
mentales
, et aussi certaines conceptions erronées sur la
'alitement vient combler une lacune dans le traitement des maladies
mentales
, puisqu'il est appliqué précisément chez les su
Semaine médicale, 11 oct. 1899, p. 331.) LE TRAITEMENT DES MALADIES
MENTALES
. 451 (colonisation agricole) est pour les conva
introduit le procédé en question dans la thérapeutique des maladies
mentales
. « Presque tous nos mélancoliques, écrivait le
sur les phrénopulhies, ou traité théorique el pratique des maladies
mentales
, t. 111, 'p. 2. Gand, 1852. irez THÉRAPEUTIQUE.
mentation et l'électrothérapie 3. ' Griesinger. Traité des maladies
mentales
, p. 518-5G5. (Traduction française.) Paris, ISf
duction française.) Paris, ISfi5. - 3 J.-P. Falret,. Des maladies
mentales
el des asiles d'aliénés. Paris, 181 t. 1. Intro
lltc lrealrnenl of nervous diseuses, in LE TRAITEMENT DES MALADIES
MENTALES
. 433 Dans ces divers états d'épuisement nerveux
les médico-psychologirues, 188S.) 1 Bail. Leçons sur les maladies
mentales
. ? e édition. Paris, 1890. 0 Cullerro. Traité p
? e édition. Paris, 1890. 0 Cullerro. Traité pratique des maladies
mentales
, 1890. II e7-ri THÉRAPEUTIQUE. Régis ', Dagon
haslin en montre les avantages dans le trai- tement de la confusion
mentale
3. II. Guislain, J.-P. Falret. Weir Mitchell, q
r la nécessité de l'alitement ' Régis. Manuel pratique des maladies
mentales
, 1893. ° Dagonet et Duhamel. Traité des maladie
maladies mentales, 1893. ° Dagonet et Duhamel. Traité des maladies
mentales
, 1891. 3 Chaslin. La confusion mentale primitiv
uhamel. Traité des maladies mentales, 1891. 3 Chaslin. La confusion
mentale
primitive. Paris, 1895, p. ? O. , Ludwig 12yer.
l'syclrial., t. 1\\lll, p. 803, 18'i'i.) LE TRAITEMENT DES MALADIES
MENTALES
. 455 chez les mélancoliques- et va mémejusqu'à
, 1883, p. 3.\, et ï : i, ' Scliùle. Traité clinique des maladies
mentales
, 18li. (l'raLlllct. fran- çaise de Duhamel et J
russe). (Obozr. psikhialr., 189G, p. 5.) LE TRAITEMENT DES MALADIES
MENTALES
. 457 A la clinique de l'Académie militaire de m
tl DiseÉtses. A Rest and Exercise in the lrealmeul of Nel'l'OUS and
Mental
Diseuses. A discussion opened by T.-S. Clouston
g of the medico-psycliological association ; july 1895. (Journal of
Mental
Science, 1895, p. M9.) ° Ilurd. The M il/al' lo
nanà l'admission de Sainte-Anne, Joilroy à la clinique des maladies
mentales
, Briand et Toulouse à l'asile de Villejuif, Sér
ur le service des aliénés du département LE TRAITEMENT DES MALADIES
MENTALES
. 459 Bien qu'à l'heure actuelle l'alitement soi
olique. Alagnan et Pecharman. Thérapeutique générale des mala- dies
mentales
. Traitement de la folie intermittente, P. Chashn.
e méd., 1898, n- 37.) 5 P. Keraval. Le traitement de l'aliénation
mentale
par le repos au lit. [Progrès méd. 18 juin 1898
l'ensemble est insuffisant à former à lui seul une représen- tation
mentale
, une image. C'est par association avec des souven
sociation avec des souvenirs visuels antérieurs que se crée l'image
mentale
de la position du membre et de fait cette image
nt. Le mot est peut-être inexact car jugement suppose une opération
mentale
active, une comparaison. Tout en reconnaissant
ette sensation d'innervation c'est l'existence de la représentation
mentale
du mouvement précédant son exécution qui d'aprè
ance et l'appréciation de ces poids est le résultat d'une opération
mentale
beaucoup plus com- plexe dans laquelle intervie
hement au mou- vement ce qui ne saurait se faire sans une opération
mentale
, sans un jugement. Or il nous parait que dans l
10. 468 REVUE CRITIQUE. entre la conscience, d'une représentation
mentale
et ce que les auteurs appellent sensation d'inn
- PCtl'alysie générale survenue chez un labélique. Dégé- nérescence
mentale
héréditaire. Syphilis. Accès maniaque avec idées
excitation s'apaise et est remplacée par un grand état de confusion
mentale
, le malade est inconscient, obnubilé, demande o
is jours plus tard il est presque totalement aveugle. Aucun trouble
mental
. Paresthésies diffuses dans l'occiput et la tem
car la malade avait dès sa naissance l'aspect myxoedémateux. L'état
mental
(idiotie) du myxoedème est donc expliqué par les
lleux ont été plus légèrement affectés. Ainsi s'explique que l'état
mental
de l'enfant ait plus à souffrir que celui de l'
ue son activité soit suspendue par l'action d'un toxique (confusion
mentale
); dans tous ces cas il est urgent de laisser re
t l'auteur, à une lésion cérébelleuse. M. Robinson. Surdité verbale
mentale
. Observation détaillée concernant un homme de q
présentant des stigmates de dégénérescence et de la surdité verbale
mentale
. Cette observa- tion est à rapprocher de celle
comme le disait Charcot, en 1892, il faudrait rechercher les formes
mentales
de la maladie et ses symptômes psychiques, enco
être fait après une séance d'hypnotisme. Il en est résulté un état
mental
particulier qui se manifeste par des phénomènes
les milieux qu'elle fréquente. SOCIÉTÉS SAVANTES. 517 7 Les états
mentaux
impliqués dans l'appréciation post-hypnotique d
it l'objet d'une communication au Congrès international de médecine
mentale
en '1889, M. Fal- licres avait adressé aux préf
oloix, médecin des hôpitaux. Asile clinique. Clinique. des maladies
mentales
: M. le pro- fesseur Joffroy, mercredi et samed
heures des confé- rences supplémentaires. Hôtel-Dieu. Pathologie
mentale
et nerveuse. - M. le Dr E. Dupré, professeur ag
t méningite aiguë, par Klippel, 514. Abstinence. Essai sur l'état
mental
clans l' -, par Lassignardie, 167. ACROJIÉGAL
moelle épinière. Leur physiologie pathologique, 401. Confusion
mentale
. Relation d'un cas de post-opératoire, par .
. Glycosurie. Recherches sur la - alimentaire dans les maladies
mentales
au point de vue ries rapports entre la folie et
ement orthopédio-chirurgical de la , par Lapmski, 231. Maladies
mentales
. Contribution à la symptologie des signes physi
à propos de l'examen - du meurtrier C... et rapport sur son état
mental
, par Garnier, 137. Consultation au sujet d'un
LoNIE. La épileptique, par Dide, 59. Dégénél esceuce et stigmates
mentaux
; malformation de l'ectoderme. - épisodique, par
ritisme. Phénomènes provoqués par le-. par Bérillon, jl6. Stupeur
mentale
intermittente, par Noble, 328. Subconscient.
nd.-v il la suite d'une fracturé du crâne, par Bielkowskv, 402. -
mentale
, par f3oblnson,Sl3. Symbolistes et décadents;
62. Un cas de traité par la suggestion, par Féron.426. Torticolis
mental
. Sur le traite- ment du et des tics similaires,
OLOGIE PARAISSANT TOUS LES MOIS REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
PUBLIÉE SOUS LA DIIIECTION DE J.-M. CIIA11COT
evenir ici, sont résumés dans notre dernier livre sur les stigmates
mentaux
des hystériques. 2 Jolly, op. cit., p. i. 3 O
, op. cit., 1880, p. 3. ' Jolly, op. cit., p. 12. ' Les stigmates
mentaux
des hystériques, p. 137. JGicl.. p. 13. 6 REVUE
ur psych. und physiol der sinnesorgane, t. IV, 1892.) Cf. Stigmates
mentaux
de l'hystérie, p. 156. DEFINITIONS RECENTES DE
es conceptions que nous avions désigné sous le nom de désagrégation
mentale
, et il semble encore, d'après les analyses préc
aujourd'hui c'est le seul mot scientifique pour désigner le rétréci
mental
, le minus habens conscientix, si nous pouvons e
le minus habens conscientix, si nous pouvons exprimer ainsi l'état
mental
de cet individu très intel- lignent peut-être,
dividu très intel- lignent peut-être, mais dont toutes les facultés
mentales
sont marquées d'un stigmate plus fixe certainem
, sont des phénomènes cérébraux, l'hémianesthésie également, l'état
mental
, syndrome important chez les hystériques, relèv
e n'est pas l'affection ? » Dans le récent dictionnaire de médecine
mentale
de M. Hack Tuke, les deux articles consacrés à
nent aussi à faire ren- trer l'hystérie dans le groupe des maladies
mentales
. Il faut cependant examiner les difficultés que
r but de montrer qu'en rattachant l'hystérie au groupe des maladies
mentales
, nous n'oublions pas les nombreux symptômes org
lier, il n'y a qu'une sorte d'a- norexie nerveuse, c'est l'anorexie
mentale
3. » Nous aurions peut-être ici quelques restri
es remarques générales qui ont été faites sur toutes les maladies
mentales
. Ces maladies dépendent d'altérations inconnues d
ies et les manies qui sont cependant considérées comme des maladies
mentales
, pourquoi ne les verrait-on pas dans l'hystérie
ystérique et de l'au- iomafisme épileptique, Congre" ! de 'médecine
mentale
, 1889. DÉFINITIONS RÉCENTES DE L'IIY¡'TÉIUE, 21
tinuons ces études de diagnostic, nous rencon- trons d'autres états
mentaux
qu'il faut comparer avec'celui de l'hystérique.
scients... Revue Philosophique, 1888, t. 1, p. 251. Il. Colin. Etat
mental
des hystériques, 1890, p. 39, il. L. Lau- recul
lérie, p. 163. 22 REVUE GÉNÉRALE. transitoire de la désagrégation
mentale
. Ce diagnostic de l'hystérie et des délires tox
de toutes espèces. Je ' Tabaraud. Les rapports de la dégénérescence
mentale
et de l'hys- térie, 1888. II. Colin. - L'état
énérescence mentale et de l'hys- térie, 1888. II. Colin. - L'état
mental
des hystériques. 1890. DÉFINITIONS RÉCENTES DE
personnes se sont étonnées que dans notre travail sur les stigmates
mentaux
de l'hystérie, nous ayons décrit les troubles d
vons cependant Insisté sur ce point a plusieurs reprises. Stigmates
mentaux
de l'hystérie, p. 112, 231. ? 1· Il. REVUE GENE
ons qu'elles font partie toutes deux d'une vaste classe de maladies
mentales
très voisines les unes des autres et que nous a
s et que nous avons proposé d'appeler les maladies de désagrégation
mentale
. « Nous sommes disposés à croire, disions-nous
comme un des syndromes, il n'y a qu'un pas'. » « La dégénérescence
mentale
et l'hys- térie, disait aussi cl. Roubinovitch
us ceux qui ont étudié la nature psychologique de ces deux maladies
mentales
. Rapprocher et classer ce n'est pas confondre,
exister même entre des faits psychologiques. Le défaut de synthèse
mentale
, la dé- sagrégation de l'esprit ne se présente
en est tout autrement chez les psychasthéniques, la désa- grégation
mentale
ne s'est pas faite de la même manière : il semb
s ne pouvons étudier ici cette nouvelle forme de la désa- grégation
mentale
qui caractérise le psychasthénique, ni mon- tre
pour lui con- server sa place, il suffit de distinguer les maladies
mentales
les unes des autres. Nous avons élargi sur un
liénations qui paraissent le plus s'en rapprocher. La désagrégation
mentale
est plus permanente dans l'hystérie que dans le
ologique joue dans l'hystérie comme dans toutes les autres maladies
mentales
un rôle absolument prépondérant 1, et en prenan
complexe, on dira : « L'hystérie est une forme de la désagrégation
mentale
, caracté- risée par la tendance au dédoublement
depuis longtemps par les méde- cins et les psychologues sur l'état
mental
des hystériques. CLINIQUE NERVEUSE, QUELQUES
lite ; par GJAÈIE111. HAM- MOUND, M.-D. (The Journal of Nervous and
Mental
Disease, janvier 1893.) Il est bien certain q
chez les oiseaux ; par ISAAC OTT, M.-D. (The Journal of Nervous and
Mental
diseuses, (New-York), janvier 1893.) D'après
horéique; par Horatio C. \VooD M. D. (The Journal of Ne ? -vous and
Mental
disease, avril 1893.) L'auteur, s'appuyant sur
NERVEUSES PéRIPHéRIE- QUES ; par F.-S.-John BULLEN. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1892.) Observation d'un gran
DE BETHLEIf, le 15 mai 1890; par R. PERCY S;,flrn. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1890.) Voici l'indication de
les modifications de la physionomie dans les maladies nerveuses et
mentales
. Le rapporteur accompagne sa communication de l
vitch, W. Roth et G. Pribuitkof. - BIBLIOGRAPHIE. I. Aliénation
mentale
syphilitique. - Leçoils cliniques, par Mairet.
istingue, sans les définir, la folie syphilitique de l'alié- nation
mentale
syphilitique et semble accorder à ce dernier term
erme une compréhension plus vaste qu'au terme folie. L'aliénation
mentale
syphilitique a pour critérium clinique les trou
syphilitiques du cerveau pourraient donner naissance à l'aliénation
mentale
; lésions cir- conscrites, localisées à foyer u
itiques de la phrénologie; - Essai de classifica- tion des maladies
mentales
; - Déontologie médicale, 1846; - Noie sur les f
domadaire, de 1854 à 1851, année où il fonda le Journal de médecine
mentale
, dont tous les articles sartaient de sa plume o
de pathologie, de médecine légale et de thérapeutique des maladies
mentales
. Après la guerre de 1870-1871, il ne reprit plu
iquement sur les deux côtés du corps (27 février 1861); - Confusion
mentale
, illusions et hallucinations incohérentes dues
orts avec l'assistance publique, 1877 ; Classification des maladies
mentales
ayant pour double base la psycho- logie et la c
parmi nous que des amis. C'est une grande perte pour la médecine
mentale
, qui vient s'ajouter à toutes cellesque nous av
rger, Morel, etc., etc., noms célèbres qui ont illustré la médecine
mentale
française au xixe siècle, et dont les travaux im-
à des études sérieuses sur les diverses branches de la pathologie
mentale
et ses travaux sur l'organisation médicale, l'édu
x républicains, sans négliger cependant ses travaux sur la médecine
mentale
, NÉCROLOGIE. 73 l'épilepsie et l'éducation de
t son traitement, son oeuvre principale est son Journal de médecine
mentale
, qu'il dirigea seul et à ses frais, pendant dix
s grands développements, ses idées person- nelles sur la pathologie
mentale
et la médecine légale des aliénés, tout en disc
endances purement psycholo- giques qui dominaient alors la médecine
mentale
. Son ardeur pour la science à laquelle il avait
acée, et toute son activité scientifique se porta sur la pathologie
mentale
. Placé à la tête d'un service d'enfants idiots
icêtre. Apartirdecette époque, il marquait sa place dans la science
mentale
par des tra- vaux considérables. Il serait trop
e. Dans un recueil arrêté au dixième volume, le Journal de médecine
mentale
, fondé par lui et dont il fut le principal réda
récis. C'est là qu'on trouve exposée sa classification des maladies
mentales
, si remarquable de logique et de simplicité. A
LE traitement DES aliénés; par E. CLIFFORD-ALLBUTT. (The Journal of
Mental
Science. Octobre 1891.) Il y a deux ans une com
ondres un hôpi- tal destiné au traitement et à l'étude des maladies
mentales
. M. Clifford-Allbutt regrette que la commission
trie, puis- qu'il s'agit de revenir à un traitement de l'aliénation
mentale
qui soit plus « médicinal » que celui des asile
e fait-il que les médecins, même versés dans l'étude des maladies
mentales
, qui ont un aliéné dans leur clientèle, ne réussi
RAVE-CLAY. DE L'UTILITÉ QU'IL Y aurait POUR L'ÉTUDE PE l'aliénation
mentale
A ouvrir LES asiles aux médecins déjà diplômés;
; par Mme MARGAEET A. CLEAVES, docteur en médecine (The Jourltal of
Mental
Science. Avril 1891.) La colonie de Gheel a l
A QUELQUES asiles étrangers ; par Frederik NEEDHAM (The Journal of
Mental
Science. Avril 1892.) M. Needham a profité de s
EL, GLASGOW le 24 juillet 1890 ; par M. Yellowlees. (The Journal of
Mental
Science. Octobre 1890). Discours intéressant
énés après LEUR SORTIE DE l'asile ; par II. RAYNER. (The Journal of
Mental
Science. Octobre 1891.) On a fondé en Angleterr
rains DE la « Retraite » de YORK; par Robert BAKER. (The Journal of
Mental
Science. Juillet 1891). Les administrateurs de
LES colonies d'épileptiques; par C. Théodore EwnnT. (The Journal of
Mental
Science, avril 1892.) Tout le monde est d'accor
E l'hôpital royal DE 1\IONTROSE; par James IIOwDEN. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1890.) Description détaillée
s suffisants dans nos propres contrées pour les besoins physique et
mental
des faibles d'esprit est un reflet de l'esprit ph
clerc, qui, à plusieurs reprises, a donné des signes d'aliéna- tion
mentale
, accusait à tout propos sa femme de le tromper. C
ice de ronde, que son fils Charles, subitement atteint d'aliénation
mentale
, cassait tout dans son appartement. Les agents
itutrice de Passy, qui ne jouit pas de la plénitude de ses facultés
mentales
, Mme Mar- celine Quintallet, âgée de cinquante-
servation recueillie parJouN CLARKE ' " FENWiCK).' (The Journal ofr
Mental
Science,'avri14890.) t ·t l ? JI''I . : ' \ : U
iagnostic : tumeur du centre ovale, basé sur l'absence des troubles
mentaux
et convulsifs ? J ? " ? 1 da y L 1 ¡ .1...1 # c
s caractéristiques du para ? myoclonus se manifestent des désordres
mentaux
, queul'on ren- contre plus habituellement 'dans
psie; (,. par f, William, Osler, 0.-D..(T/tejIoMmao ? e ! u'OMSaM ,
Mental
Diseuse, février 1893.) ? ' ' l. Fflr ? ? ¡ ,- &g
ernicke et Dejerine, que l'acte d'écrire est subordonné à la vision
mentale
et consiste avant tout dans l'acte de, copier l
eurologie, Revues analytiques. 1 1 ? 1 ' lA) ? REVUE% DE pathologie
MENTALE
.7 149 très justement quel par l'hypnotisme ont
? 1 1n·, , ? 1 'r· 1 1 , 1 5· ^;1, ' , 1 - 1 1 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
, ,1 t'bnon t l'¡ ? t Il' ? 1 r 1lnl"' ri j1"'lI
ous,remarquerez que l'enfant la physionomie 152 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. <» plus éveillée qu'avant; l'opération et s
on de sa mère et des infirmières,,dui l'ont) gardé est que son état
mental
s'est amélioré, il est moins agité et moins ner
erpyrexie' : L'autre 'malade'' guérit et il y eut une amélioration'
mentale
très'marquée; Lanne- longue a rapporté vingt-ci
caractériser les troubles de la,parole et le diagnostic de l'état'
mental
lui-même. Il y a évidemment trouble fonctionnel
contrastant avec les impulsions à parler, entée sur une confu- sion
mentale
chronique... , t I .' 1" , I z . 'i· - ' ficult
asile, et, par suite, cela n'a 1)as de,va- REVUE ? DE : PATHOLOGIE -
MENTALE
. 88 leur. » : Puis, la variabilité du délire s'
sous la forme de délire isolée quasi mo-b a REVUE · DE r PATHOLOGIE
MENTALE
. 157 nomaniaque, d'une fixité étrange, recevant
n amélioration fut rapide et il explique au docteur que son-trouble
mental
. [remontait à l'époque où il avait - ) S8 REVUE
par là, stimuler la croissance du cerveau. * REVUE-DE, PATHOLOGIE,
MENTALE
? 159. 1 La microcéphalie est une véritable con
ié des analyses intéressantes. ,, i , , , 160 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. compression se fait sentir. Je reconnais avec
cas, avaient obtenu dans la plu- part des cas sérieux d'arriération
mentale
, quelque amélioration notable comme résultat. C
ter que les os Auciiives, t. XXVI. ' Il I 162 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. étaient plus minces que normalement, d'où il s
ndre quand le poids du corps du malade aug- mente tandis que l'état
mental
, qui s'était d'abord amélioré, rétro- cède. Ell
premiers efforts de HEINROTH et IDELER, ils créèrent la pathologie
mentale
et l'assistance des aliénés. Leurs efforts en m
se des accidents névropathiques. P. S. III. Contribution à l'état
mental
des hystériques ; par le Dr Long- bois (de Joig
mmande contre les névroses. J. Noir. VARIA. Cf ? GRÈs DE médecine
mentale
. (Session de La Rochelle, août 1893.) Mardi 1
salle haute de la Bourse. Des auto-intoxications dans les maladies
mentales
.-Séance de 2 heures à 6 heures du soir. Des auto-
ures à 6 heures du soir. Des auto-intoxi- cations dans les maladies
mentales
. A 6 heures, visite des tours de La Rochelle. R
Questions générales : 1 Les auto -intoxications dans les maladies
mentales
. - Rapporteurs : M. le Dr Régis et M. le Dr Cheva
y admettra ni les enfants qui, à raison d'infirmités corporelles ou
mentales
, sont hors d'état de fré- queuter une école, ni
ée scolaire 1892-1893, aide du laboratoire de clinique des maladies
mentales
, en remplacement de M. Champion. Faculté DE MÉD
l'année scolaire 1892-1893, d'un cours complémentaire des maladies
mentales
. z Université de Vienne. M. le professeur von I
étariat de l'Académie, à Bruxelles. Chaire DE clinique des maladies
mentales
. La Faculté de méde- cine a présenté jeudi, en
tre ami M. Joffroy, agrégé, pour la chaire de clinique des maladies
mentales
laissée vacante parle décès du professeur Bail.
re in-8° de 13 pages. Extrait du Bulletin de la Société de médecine
mentale
de Belgique. Gand, 1893. Le rédacteur-gérant,
emploi prolongé ainsi que l'exige la longue évolution des maladies
mentales
. Pourquoi ? parce que malgré ses brillants avan
observés et en entreprendre l'étude comparative d'après les formes
mentales
. Tout d'abord dans la paralysie générale. Obs
temps continué, ainsi que l'exigerait la thérapeutique des maladies
mentales
dont l'évolution est toujours fort longue. RE
ue nous avons soutenue, que, sauf dans les cas où la défectuosité
mentale
reconnaît pour causes un traumatisme, l'intervent
par L'HYPNOTISME; par M. Percy SUITE etA.-T. MYERS. (The Journal of
mental
Science, avril 1890.) Après un court historique
ue consacré au rôle de l'hypnotisme dans le traitement des maladies
mentales
, les auteurs ont résumé sous forme tabulaire le
pnotisme chez les aliénés; par George M. ROBERTSON. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1893.) Après des expériences,
uggestion verbale pendantl'état hypnotique peut corriger un trouble
mental
encore léger. Au point de vue disciplinaire l'h
est à peu près certain qu'il de- meure impuissant sur les troubles
mentaux
, et il ne saurait, du moins à l'heure actuelle,
injection sous-cutanée : lassitude, vertiges, titubations, obtusion
mentale
, inconscience, mydriase, sécheresse de la gorge,
rétion salivaire et la sensibilité gustative. Elle met fin à l'état
mental
des aliénés qui présentent du désordre dans les i
SAGE GÉNÉ- RAL, ETC. Guérison; par Alex. ROBERTSON. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1891.) Après l'essai de dive
raités par l'hydrate d'amylène ; par EDwIN L. DUNN. (The Journal of
Mental
Science, Octobre 1891.) L'auteur a constaté que
re est tout d'abord donnée du rapport préparatoire Sur les maladies
mentales
dans leurs rapports avec les auto-intoxications.
re que l'auto-intoxication serait la cause et non l'effet de l'état
mental
. Comme cela a été constaté dans certaines malad
nes d'auto- inloxication jouent un rôle important dans les maladies
mentales
, sont confirmés par les récentes recherches nos
la convalescence, on a affaire à la psychose dite asthénique, état
mental
plus ou moins variable d'aspect, cons- titué d'
la stupidité, de l'obnulation, de la pseudo-démence, dela confusion
mentale
; peut- être y aurait-il lieu d'admettre une tro
on qu'il faut surtouts'adresser pour combattre et guérir le trouble
mental
. M. Gilbert Ballet (de Paris) en son nom et au
s son ensemble le problème des auto-intoxications dans les maladies
mentales
, on laisse sans doute le champ plus libre aux d
de mélancoliques, de ma- niaques, de malades affectés de confusion
mentale
et de délire dé- généra tif. . En prenant com
nification de ces dernières expériences. Dans deux cas de confusion
mentale
, l'une post-puerpérale, l'autre consécu- tive à
une dégénérée avec délire mystique, une femme atteinte de confusion
mentale
puerpé- rale. Les ptomaïnes faisaient défaut da
rée avec délire mélancolique, une jeune fille atteinte de confusion
mentale
. Chez deux seulement (mélancolique simple et co
sion mentale. Chez deux seulement (mélancolique simple et confusion
mentale
) les ptomaïnes étaient toxiques, comme l'ont mo
la question des relations des auto- intoxications avec les maladies
mentales
est à son aurore, et qu'en ce moment toute tent
Les cas d'hypotoxicité continués semblent correspondre aux troubles
mentaux
permanents. Un trouble gastrique profond précèd
J. SÉGLAS. - L'influence de l'auto-intoxication dans les ma- ladies
mentales
n'est encore qu'une hypothèse qui demande l'appui
ont trait à des phénomènes d'auto-intoxication au cours de maladies
mentales
préexistantes; les autres se rapportent à des c
e revêt toujours le type clinique décrit sous Je nom de con- fusion
mentale
primitive, simple ou hallucinatoire et allant de
sur les auto-intoxica- tions dans leurs rapports avec l'aliénation
mentale
. Il insiste en finissant sur l'influence, exagé
s à l'examen microscopique des traces de cylindres. Au point de vue
mental
, la plupart de ces malades étaient des mélancol
istinctions nosologiques précises et en privant la dégénéres- cence
mentale
de son rôle généralement reconnu comme impor- t
exions étroites entre les trois états morbides dénommés : confusion
mentale
, délire hallucinatoire et délire aigu, et, d'autr
tanée du délire aigu, du délire hallucinatoire et de la confusion
mentale
. Le lien qui réunit ces états morbides à l'intoxi
présentée, au point de vue clinique, sous la forme de la confusion
mentale
avec délire hallucinatoire. Au point de vue somat
eur, mais à moins d'avoir une connaissance approfondie des maladies
mentales
, nul ne peut être sûr que dans le récit des fai
cas, peuvent faussement témoigner contre eux-mêmes; si l'affection
mentale
est caractérisée, il est facile de rattacher ce
inaire certains paroxysmes psychiques relevant de'la dégénérescence
mentale
acquise ou héréditaire. L'aveu spontané d'un cr
cas un examen médical préalable pour déter- miner nettement l'état
mental
. - 111. BncAlVn appelle l'attention du Congrès
e peuple sur les causes, la nature, le traitement de l'alié- nation
mentale
, rapports des familles avec les malades pendant
ute les conférences à un public étranger aux questions d'aliénation
mentale
, auquel cette demi- vulgarisation ne peut que d
2Õ7 -1 d'aliénés ; Nécessité des asiles ; Les causes des maladies
mentales
; - Conduite à tenir vis-à-vis des aliénés; - La q
présente ensuite plusieurs malades. L'un est un ataxique avec état
mental
et somatique de paralytique général, syphilitiq
été l'urticaire , syndrome éminemment in- fectieux. Au point de vue
mental
il s'est agi dans ces cas d'états mélancoliques
Séance du 4 novembre 1891 . M. I'aixsce. - Mensonge et aliénation
mentale
. ' ( J Nous rappelons que tous les mémoires ins
J.-B. Baillière et fils. Langlois. Contribution à l'élude de l'élal
mental
des hystériques ! dénonciation de crimes imagin
) et Chevalier- La vaure. Des auto-intoxicalions dans le.1 maladies
mentales
. (Congrès des médecins aliénistes des pays de lan
aphie E. Martin. Voisin (J.). L'Idiotie (Hérédité et dégénérescence
mentale
, psyc/w- logie et éducation de l'idiot). Volume
bsence de symptômes paralytiques, la douleur frontale, les troubles
mentaux
prédominants sont au contraire suffisamment car
s la( duplicité des formations néoplasiques et l'existence de tares
mentales
laissent supposer avec beaucoup' de( vraisembla
orisés, ce qui est un obstacle à l'amé- lioration de leur situation
mentale
. Le service du médecin est très mal organisé, i
op rapprochées, trop en dedàns. Les diverses formes de l'aliénation
mentale
dont sont atteints les individus envoyés à l'Ét
ait je citerai le suivant. Depuis la fonda- 318 REVUE DE PATHOLOGIE
mentale
. tion de l'Asile, la profession de forgeron a f
cooliques ont été signalés comme cause déterminante de l'aliénation
mentale
. Ces dix cas se décomposent ainsi au point de v
décomposent ainsi au point de vue nosologique : REVUE DE pathologie
mentale
. 319 sant de la plénitude de leur activité inte
tlièse de Dupain sur le délire religieux.. 320 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. R. Cas à deux stades. Un stade -de début, co
puberté, qui se dé- composent en deux cas de chorée avec aliénation
mentale
(onze et treize aus; guérison chez fillette et
ditaire ; fréquence des hallucinations. P. K. z REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 321 XX. D'une NOUVELLE méthode DE recherche DE
he DES réflexes tendineux et DE LEUR modification dans LES maladies
mentales
ET chez LES épileptiques; par W. DE Bechterew.
es du sang) est un Archives, t. XXVI. 21 322' REVUE/DE PATHOLOGIE
MENTALE
.- peu diminué,, la proportion de l'hémoglobine
ue pour le plus grand nombre des cas. J. SÉGLAS. XXII. SUR l'état
mental
DE CHRISTINE, REINE DE Suède; par DE SARLO. (Ri
endue se trouve le plus altérée. J. SÉGLAS. » REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 323 - 1 XXIV. Un cas(de folie associée A' LA
ée A' LA chorée A'UN AGE avancé; par 1M. llinc, (The lot.i7,iial of
Mental
Science, janvier 1890.) z ' ' . , l) Il s'agi
1 XXV. DE l'action NEURIQUE dans SES rapports avec LES fonctions
mentales
du cerveau; par Francis WARNER. (Tlce.Torl1·TZat
t mémoire. ' L'auteur rappelle d'abord qu'en traitant des fonctions
mentales
du cerveau, il faut écarter toute considération
y a là la première révélation de ce qu'on peut appeler une « action
mentale
», et que durant la période d'inhibition pendan
temporaire de la fonction efférente de ces 324 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. centres,* et le mouvement est le résultat acti
ue pas à tous les cas de folie amnésique. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 32t) . ' il "'1 fr, '1' 1'1 ,.[, .. UN cas D
n mari, elle guérit.'P. K'. 1 - - IL' XXVIII. UN cas d'aliénation
mentale
chez l'enfant; par F. Feulach, , (Allg. Zeitsch
matique chronique non alcoolique, ont ici 32fi revue' de pathologie
mentale
. un pronostic bénin, et guérissent rapidement.
La folie en Norvège (1891); par William HABGOOD. ' (The Journal of
Mental
Science, janvier 1892.) > T En, 1875, date d
êmes qu'en France. Les criminels chez qui l'on soupçonne un trouble
mental
sont diriges sur un asile du gouvernement où il
; en plus de la journée on accorde la nuit aux .REVUE DE pathologie
mentale
. 327 1 E ..1t1. ,HVrn, , ,i · n i 1 , infirmi
dans LES NÉVRITES périphériques; ' par James Ross. (The Journal of
Mental
Science, avril 1890.) ' On a depuis quelques an
(imbéciles) DU type MON- GOLIEN ; par ROBERT JoNES. (The Journal of
Mental
Science. Avril.) Après avoir examiné un grand n
agération de la voussure palatine n'est pas 328 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. aussi commune qu'on l'admet généralement, et q
la'mort subite dans la manie; par James R. WHITwELL (TheJourlial of
Mental
Science, 1891). Après avoir rapporté deux obser
'imbécillité et la FOLIE; par William W. IIIELAND. (Tlte Journal of
Mental
science. Juillet 1891.) La faculté arithmétique
ntition chez les 'enfants idiots et arriérés. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 329 qui se rapprochent le plus de l'état primi
SUR la PRODUCTION DE la folie; par Geo.-H. Savage. (Tlae journal of
Mental
Science, octobre 1891.) L'auteur s'est proposé
tant de savoir et de recon- naître que quelques formes d'aliénation
mentale
liées à une lésion cérébrale sont cependant sou
iant. Pourquoi n'admettrait-on pas l'influence du milieu sur l'état
mental
, puisque toutes nos méthodes d'éducation ont pour
ateur proche Inaudi. (Progrès mec ? 1892.) '330 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. donc à .côté de la tyrannie de l'organisme, il
x, : la folie dépend en grande partie desf rap- ports* des maladies
mentales
; mais l'altération de fonction peut conduire à
es nerveux étaient la cause unique et primordiale de l'aliéna- tion
mentale
, la médecine resterait singulièrement désarmée en
XVII. Manie ET mélancolie; par John MACPHEIisON. (The Journal .. of
Mental
Science, avril 1891.) ' '1> . Les conclusion
utrition constituent le point de départ des symptômes de dépression
mentale
ou d'exal- tation mentales pathologiques; 5° no
int de départ des symptômes de dépression mentale ou d'exal- tation
mentales
pathologiques; 5° nous savons que les poisons qui
t au moins la propriété de produire l'excitation ou la dé- pression
mentale
; 6° il y a des raisons de croire que certaines pt
ée tend invaria- blement à l'exacerbation et au réveil des névroses
mentales
. R. M.-C. XXXVIII. Des symptômes DE la catato
ne fut pas absolument sûr) ; la troisième avait REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. '331 fait des excès sexuels; la première était
blements limités à un membre ou à un seul côté du corps. , L'état
mental
des névropathes voyageurs mérite un'examen spé-
ELLES PAR MSI. H. ROYET J. COLLET Chef de clinique des maladies
mentales
Préparateur du cours de Pathologie générale A
onnisme peut être accompagné chez le même sujet d'autres phénomènes
mentaux
analogues, d'autres fois, à lui seul, il doit l
ernel est mort vésanique. La mère était un type de déséquilibration
mentale
. Migraineuse, inégale, d'une émotivité anormale
qu'il a pu à diverses reprises, dans des périodes où son équilibre
mental
était meilleur, se soustraire, non sans souffri
Exhibitionnistes . Archives, t. XXVI. 25 386 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
soins rationnels '. On n'a pas d'exemples que d
simulé cet état qu'ils ne soup- çonnent pas. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XL. SUR LES THÉORIES PHYSIOLOGIQUES ACTUELLES D
Jules CHRISTIAN (traduction par le Dr Me. Dowall). (The Journal of
Mental
Science. Janvier 1891.) La question de la nat
urer des documents d'une exactitude suffisante. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
387 la région rolandique de l'écorce cérébrale
absence », par exemple, la région hémisphé- 388 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
rique est seule atteinte, et la maladie s'étein
NSÉCUTIVE A l'hypnotisme provoqué; par M. J. NOLAN. (The Journal of
Mental
Science, jan- vier 1891.) Ce cas est intéress
n cas DE PERVERSION sexuelle ; par le Dr URIUD.1RT. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1891.) Ce cas est assez banal
vier 1891.) Ce cas est assez banal au point de vue de la pathologie
mentale
, car il est absolument conforme à la descriptio
qui ne punit que l'attentat ou l'outrage publie REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
389 à la pudeur, est très sévère sur ce point)
malades, la èvre typhoïde exerça une influence heureuse sur l'état
mental
, puis elle aggrava l'état psychique, et la psyc
ement. Puis, il n'est pas rare qu'un accès de manie par suractivité
mentale
nourrisse ou provoque de nouvelles idées de gra
e observations. P. K. XLV. Rapport MÉDICO-LÉGAL motivé SUR l'état
mental
DE L'EXPÉDI- TIONNAIRE C. Fer. A. KRUEGFR, par
NOECKE (AU. Zeitsck. f. Psychiat., XLIX, 3.) REVUE DE pathologie
mentale
391 Les réhabilitations des criminelles qui éta
iathèse DE la paralysie générale; par G. R.-WILSON. (The journal of
Mental
science, janvier 1892.) Le mot « diathèse » n'e
IT-ELLE être subdivisée ? par 6oRGE-,Nl. ROBERSTON. (The journal of
Mental
science. Juillet 1890.) Après des considération
st impossible de le suivre, l'auteur décrit 392 REVUE DE pathologie
mentale
. quatre formes de manie, que l'on peut logiquem
ers celle d'Esquirol. R. M. C. LI. La propagation DE l'aliénation
mentale
ET DES névroses QUI LUI sont connexes ; par S.-
roses QUI LUI sont connexes ; par S.-A.-I. Strahan. (The Journal of
Mental
Science. Juillet 1890.) M. Strahan constate d
tes, admettant a priori que le suicide est un symptôme d'aliénation
mentale
: cela est probablement vrai, disons-le en pass
, chez lesquels le suicide parait bien en effet l'indice d'une tare
mentale
nécessairement héréditaire chez eux; quand il s
- sition est plus contestable, bien que certainement les troubles
mentaux
aient une laarge part dans la genèse de la mort v
causes, mais à peu près incontesté en effet, du nombre des maladies
mentales
, et il cherche les moyens de remédier à cet éta
sur le danger d'une union avec des personnes frap- pées d'une tare
mentale
quelconque, le second consiste dans l'in- terve
et voudrait empêcher le mariage des sujets suspects au point de vue
mental
: il va plus loin, et ne conclut à rien moins q
qu'elle soit réalisable. R. de Musgrave CLAY. REVUE DE pathologie
mentale
. 1 393 LU. Note sur LE COCAINISME ; par CONOLLY
LU. Note sur LE COCAINISME ; par CONOLLY NORL1N. (The Journal of
mental
Science, avril 1892.) Les ravages de l'intoxica
on attrait insidieux; 2° la précocité de ses effets au point de vue
mental
; 3° son pouvoir toxique qui est considérable,
uer la cocaïnomanie. R. M.-C. LUI. LE -VÉLOCIPÈDE dans l'aliénation
mentale
; par C. Théodore EWART. (The Journal of Mental
E dans l'aliénation mentale; par C. Théodore EWART. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1890.) Dans un mémoire de plus
sang et l'urine DES aliénés; par W. Johnson SMYTH. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1890.) On ne peut que résumer
a démence secondaire ; 3° les variations du 394 revue DE pathologie
mentale
. chiffre de l'hémoglobine sont peu marquées dan
nt les périodes d'exaltation très accusée; 4° dans ces divers états
mentaux
, le nombre des globules rouges est au-dessous du
son maximum dans la para- lysie générale : dans les autres maladies
mentales
, les variations peuvent être considérées comme
stitue l'élément lourd, on voit clairement que, dans les mala- dies
mentales
, où nous constatons que le poids spécifique du sa
FFERENTES PARTIES CHEZ LES aliénés; par A. Mercier. (The Journal of
Mental
Science, Avril 1891.) . Mémoire très importan
mportant (dans lequel pour la détermination des REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 395 parties constituantes du cerveau, on s'est
VI. Un cas DE folie avec DILUSIONS; par le Dr KEAY. (The journal of
Mental
Science. Avril 1891.) Cas dans lequel la guéris
. R. M. C. LVII. Richard ET SYSfOND, LEUR INFLUENCE SUR la médecine
mentale
; par D. HACr TUKE. (The journal of Mental Scien
NFLUENCE SUR la médecine mentale; par D. HACr TUKE. (The journal of
Mental
Science, juillet 1891.) Etude biographique sur
E L ÉDUCATION PAR LE SYSTÈME ORAL; par W B. HADDEN. (The Journal of
Mental
Science janvier 1891.) Etude intéressante, mais
DANS SES RAPPORTS AVEC LA FOLIE; par HERBERT SNOW. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1891.) Voici les conclusions d
resque entièrement défaut chez les sujets atteints de défectuosités
mentales
congénitales ; 2° Le cancer n'augmente pas de f
n'est pas rare de voir le cancer précéder et causer les troubles
mentaux
, indépendamment de toute production cancéreuse si
e cancer devrait être rangé parmi les causes reconnues d'aliénation
mentale
. R. M. C. LX. LA PROTECTION DES MÉDECINS PAR LA
LX. LA PROTECTION DES MÉDECINS PAR LA LOI ANGLAISE SUR L'ALIÉNATION
mentale
; par A.-Wood RENTON. (The Journal of Mental Scien
LAISE SUR L'ALIÉNATION mentale; par A.-Wood RENTON. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1891 et janvier 1892.) Nous
la légis- lation et de la jurisprudence anglaises sur l'aliénation
mentale
, et des confirmations ou modifications qui y on
une période DE onze années; par F. ST. JOHN BULLEN. (The Journal or
Mental
Science, janvier 1870.) Ce n'est pas chose comm
de maladies : C'est dans les états aigus accompagnés de dépression
mentale
que l'on rencontre le maximum de minceur et de
cas de manie, et au moins dans les deux tiers des cas de dépression
mentale
. On rencontre assez souvent dans la mélancolie
cutive bien accusée, appartiennent nettement aux états d'exaltation
mentale
, et ne se rencontrent que rarement dans les éta
és dans les autres formes, même les plus chroniques, d'alié- nation
mentale
. L'adhérence des membranes à la substance corti
dans la paralysie générale que dans la plupart des autres maladies
mentales
. A l'inverse de l'affection dont il vient d'êtr
-o-corticales y sont excep- tionnelles, et de toutes les affections
mentales
étudiées dans ce travail, c'est elle qui a donn
ique d'origine syphilitique; par F. St-John Bullen. (The Journal of
Mental
Science, avril 1890.) Observation intéressant
ontaux; par A. HILL Griffitu et T. STEELE Sheldon. (Tite Journal of
mental
Science, avril 1890.) z Il s'agit d'une jeune
nt anormal du cuir chevelu; par 'f.-\V. Mac Dowall. (The Journal of
mental
science, janvier 1893.) L'état du cuir chevelu
mari et dont la première grossesse améliora considérablement l'état
mental
. Malheureusement, sur les quatre enfants, que c
n fût autorisé dans aucun cas à délivrer un certificat d'aliénation
mentale
, sans avoir directement observé l'individu supp
e premier la force pour hypnotiser une malade atteinte d'aliénation
mentale
et peu de temps après M. Herrero a voulu faire
iée ailleurs. BIBLIOGRAPHIE- VII. Traité élémentaire des maladies
mentales
; par le professeur S. S. Korsakov. Moscou, 1893
e série de travaux remarquables touchant aussi bien à la pathologie
mentale
pure qu'aux questions pratiques relatives à l'a
désirent se consacrer d'une façon spéciale à l'étude des maladies
mentales
, de consulter avec fruitles ouvrages de Wundt, de
état d'ex- citation maniaque et état de fureur; l'état de confusion
mentale
avec ses différentes formes : état de rêve, éta
dans l'étude de tous ces troubles qu'on voit combien la pathologie
mentale
est étroitement liée à la neurologie. Du côté des
anomalies du développement physique, de l'évo- lution des maladies
mentales
, de leur classification, de l'anatomie patholog
de la mé- thode graphique dans l'étude de l'évolution des maladies
mentales
. L'application de cette méthode a, en effet, de
aladies générales sans fièvre, le délire du collapsus, la confusion
mentale
asthénique, le délire trauma- tique, l'état com
ue le délire de la fièvre typhoïde, du col- lapsus, de la confusion
mentale
asthénique, tiennent également à une intoxicati
les des psychoses; 2° constitutions psychopathiques, et 3° maladies
mentales
à base organique. Au premier groupe se rattache
excitation ma- niaque, manie aiguë et manie suraiguë); c) confusion
mentale
ou amentia de Meynert ou dysnoïa de Korsakov; d
n- nelles consécutives aux affections cérébrales; m) les maladies
mentales
constitutionnelles consécutives aux intoxications
suivants sont consacrés à l'anatomie et à l'étiologie des maladies
mentales
. Le chapitre qui traite du diagnostic con- tien
u Traité donne une description des diffé- rentes formes de maladies
mentales
d'après l'ordre indiqué par la classification d
i a été décrit surtout avec un soin particulier, c'est la confusion
mentale
, l'amentia de Meynert, dans laquelle l'auteur d
, dans laquelle l'auteur distingue quatre variétés : 1° con- fusion
mentale
primaire à forme stupide, curable (dysnoïa stupo-
e stupide, curable (dysnoïa stupo- rosa de Korsakov) ; 2° confusion
mentale
aiguë hallucinatoire à forme délirante avec ses
hallucinatoire à forme délirante avec ses subdivisions : confusion
mentale
à forme maniaque, confusion mentale à forme mél
ec ses subdivisions : confusion mentale à forme maniaque, confusion
mentale
à forme mélancolique, confusion mentale à forme
forme maniaque, confusion mentale à forme mélancolique, confusion
mentale
à forme récurrente et alternante de Greidenberg;
ale à forme récurrente et alternante de Greidenberg; 3° con- fusion
mentale
à forme démentielle; et 4° confusion mentale à
enberg; 3° con- fusion mentale à forme démentielle; et 4° confusion
mentale
à forme abortive. Dans l'exposé des psychoses d
hoses des dégénérés, on trouve une description très concise du fond
mental
des malades de cette catégorie. La place nous
, depuis six ans, s'occupe de la construction d'un asile départe-
mental
des aliénés devant coûter quatre millions, a enco
Vol. XXVI. Décembre 1893. N- 82 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
PERSÉCUTÉS AUTO -ACCUSATEURS ET PERSÉCUTÉS PO
la Roclielle, août 1893.) Aitcilivus, t. XXVI. 28 434 clinique
mentale
. idées de persécution. Les idées de persécution
i rien dit de semblable. Si, si ! j'ai bien entendu. 436 CLINIQUE
mentale
. 1 Ces phrases que vous m'attribuez, les avez-v
ées sur elle nous ont donné les résultats suivants : 438 CLINIQUE
MENTALE
. Ces caractères sont reliés à une origine génit
elle ne comprenait rien à tout cela ; ce sont les voix 440 CLINIQUE
MENTALE
. - qui lui ont donné la raison de ces misères,
des flammes de feu, c'est qu'on allume des allumettes 442 CLINIQUE
MENTALE
. devant mes yeux; si l'on me tue, tu mourras. M
sécution. C4 ! Mt. médic. psch. janv. 1893, p. 111.) 444 CLINIQUE
MENTALE
. avec elle qu'on arrive à lui faire ressentir p
es hallucina- tions verbales psycizo-motrices. (Congrès de médecine
mentale
de Paris, 1889.) 2 J. Séglas. (4MH. médic. ps
anv. t893, p. 112.) R Houbinowitch. ( Ibid., p. 98.) 446 CLINIQUE
MENTALE
. nous a pu observer deux cas semblables dans le
suggestion à l'état de veille, qui fournit d'excel- 448 ' CLINIQUE
MENTALE
. lents résutats, en donnant aux divers traiteme
x de Paris, 11 nov. 1892.) , Archives, t. XXVI. 29 450 CLINIQUE
MENTALE
. sans bégaiement qu'on lui donne à boire. Elle
t qu'avec peine, d'autant qu'il existait une faiblesse 432 CLINIQUE
MENTALE
. musculaire très marquée dans les deux membres
t fini par copier sa difformité, son sterno-mastoïdien 4S4 CLINIQUE
MENTALE
. s'étant subitement contracture. Un autre jour
u'elle était allée consulter dans cette circonstance. li56 CLINIQUE
MENTALE
. langue, nécessaires pour l'articulation des mo
ns de décrire ? Existait-il chez cette femme de la dégéné- rescence
mentale
? Etait-ce une hystérique, que j'avais devant moi
t. L'agoraphobie, selon moi, peut être un signe de dégénérescence
mentale
, mais là l'hypnotisme n'y fait rien, elle peut êt
et dans une séance de cinq minutes je fais disparaitre 458 CLINIQUE
MENTALE
. immédiatement les troubles psychiques. Je lui
lité à droite, etc. Pas de signe de dégénérescence ni de dé- bilité
mentale
. Ces troubles psychiques je les rapporte à l'hyst
quelconque très anodin, de l'eau avec un peu de sirop 460 CLINIQUE
MENTALE
. 'd'écorces, mais en ayant soin de renouveler l
le n° de janvier 1893 des Archives de Neu- rologie. 462 CLINIQUE
MENTALE
. par son grand âge, les membres inférieurs et s
ue dans l'hystérie, que partout ailleurs ses résultats 464 CLINIQUE
MENTALE
. étaient nuls ou à peu près nuls, que si le mal
tantanément et le résultat est Archives, t. XXVI. 30 466 CLINIQUE
MENTALE
. durable, la neurasthénie, elle, n'est touchée
ais pas d'atrophie, les éminences thénar et hypothénar 468 CLINIQUE
MENTALE
. ont conservé leur relief. Pas d'amaigrissement
uggestion aux douleurs et à la marche et le résultat 470 0 CLINIQUE
MENTALE
. fut complet. Les douleurs que les pointes de f
e est susceptible de coexister avec toutes ! es formes d'aliénation
mentale
.On trouve des dypsomanes hysté- riques, des dég
résultats. Depuis quelque temps j'en arrive même à ne 472 CLINIQUE
MENTALE
. plus prendre la peine d'endormir mes sujets. I
s toujours en quête, comme nous le savons, de trouver 474' CLINIQUE
MENTALE
. un remède aux souffrances qu'ils endurent. Je
milles. Ces mariages consan- guins qui favorisent la dégénérescence
mentale
peuvent éga- lement produire l'hystérie. ZD C
nt chirurgical ET DE l'éducation pour l'amélioration des conditions
mentales
des arriérés; par le Dr P. NORBURY. L'idiotie
L'ovariotomie pratiquée sur les aliénées pour rétablir l'équilibre
mental
n'a pas généralement réussi. Quelquefois même la
manger (action sur les glandes salivaires) parfois modifient l'état
mental
, notamment la stupeur (en relevant la pression
Société donne le soin d'organiser le, prochain, Congrès de médecine
mentale
et de neurologie une commission composée des, m
é de tra- vail dans l'unité de temps ; l'inverse indique la fatigue
mentale
. Si l'on exécute une somme importante de travai
sens, comme stéréotypée ; en même temps le mécanisme de l'activité
mentale
prend les allures de l'excitabilité réflexe ; ell
ait aux symptômes méningo-encépha- liques : céphalalgie, phénomènes
mentaux
, méningites, localisations bulbaires et névrose
n une brève compilation de trente-trois pages. L'étude des troubles
mentaux
et des névroses y est particulière- ment écourt
tains éléments nerveux. Tous les chapitres consacrés aux affections
mentales
, mélancolie, psychopathies, etc., présentent de
rappeler à la vie. Cette malheu- reuse était atteinte d'une maladic
mentale
déclarée incurable; elle manifestait souvent l'
Alexie, cas d' sous-corticale, par 0. Berkhem, 131. Aliénation
mentale
syphilitique, . par' lairet, 61; De l'utilité '
e 1' = à ouvrir les asiles, etc., par Walms- ley, 82; Un cas d' -
mentale
i chez' l'enfant, par Ferlach, 325; J 1 Propa
entale i chez' l'enfant, par Ferlach, 325; J 1 Propagation de 1 ?
mentale
, par Strahan, 392; Le vélocipède dans 1' ment
opagation de 1 ? mentale, par Strahan, 392; Le vélocipède dans 1'
mentale
, par TU. Ewart, 393; la protection des médecins
Brouardel, 262. ' " "' , AUTO-11TO11CA'l'IO : IS,sur les maladies
mentales
`dans leurs rapports avec les -, ` par ' Régis e
ro-lé- ;Ematoayliqne,jparIiaiser; 484., t CoGnÈs, `de, médecine ,
mentale
, u;, 171 ? 1 ? r des, m6decinsalienis- tes de
' Esprit, la disposition de ·l ? par Kroepeiin,500. ' ' ' Etat
mental
, sur l'- de Christine, reine de Suède, par Sarb
r Pelle- blini, 322. Ea.a.umr, - dans les maladies nerveuses et
mentales
, par Ven- tura, 236. ' ' 1 Exercice illégal d
ité, des causes* et de 1' i. ' dans les affections nerveuses et '
mentales
, par Rieer, 162; normale etlrathologtque, parSa
arbo, 138; un cas d'anurie- par Halot, 145; contribution à l'état
mental
des -, par Long- bois, 168. - Idiotie, un cas
dtler, 326. Mensonge, et aliénation men- tale, par Fritsch, 264
Mentale
, Richard et Simon et leur influence sur la méde
des ? tendineux'et - ` de leur modificatioii`dans les ma- ladies
mentales
'et' chez les' épi- leptiques, par dc'Betcherew
ienne congénitale,' par Calvert, 318.' . Syphilitique, aliénation
mentale
? ,' par l\Iairet,' 64. Il I : '1' Syphilis,
acquises par Richardson ? 56." Vélocipède, le dans l'aliénation '
mentale
, par Th. Ewart, 393.' J Villa-Hôpital, descript
ON DE 1)1. A. JOFFROY I Professeur de clinique z des maladies
mentales
. a là Faculté de médecine de Paris. V. MAG
xèè : , StpLle21eTJ ';ufn- t.T ·no vrrr y ? 'U ? 'rOY1 4 CLINIQUE
MENTALE
. 9G .tmt^ tfi fi`lrf" aFr gp^ t^v , nnn` .rr( ,
où'il^est, veut'descendre, mais sans savoir où aller.1 Obtu- ,sion
mentale
profonde : T. s.' 38°,4,Jèülë, décide a' tenter l
T. s. 38 ? 1 t 29 décembre. T. m. 36°,9. Persistance de l'ohtusion
mentale
; ; dit qu'on ne^lui donneras manger alors qu'i
. ,... ? ii ps* : naJ(Dfv av nv aJuTtun vh ai'q )e- ? un» iji-j 6
mentale
SUS NTOU v30 décembre]^ Tq m. 36,9 ? A°trûisheu
» ,zio3enJus Tijavd 27-févrie7 ? 'Uri'exàmén·trèsattentifdéel'état'
mental
f'rêvètee encore quelques idées de persécution
iolént éclate ;'la"*rétention d'urine' devient complète; le trouble
mental
et : rétat'généralfs'aggravent jus'-5^ qu'à'ce'
t, 1 a. 1 for ' m et dés 'délires' toxiques ;fç'estr' la confusions
mentale
avec^hallucina- tib s a 0 110 1 uesl.,Le màlade
yons tous les jours l'alcoolisme produire.deux ordres , de troubles
mentaux
: ceux, qui relèvent exclusivement de l'in- tox
ou moins aigu ;,elle a ? olué, nettement dan.losens)y ? q confusion
mentale
à forme mélancolique avec idées délirantes *,r
r : le 'malade me<parait''manifestement diminuétaun point de vue
mental
, et rien ne prouve^qu'il reprenne jamaisq compl
Il s'agit donc là d'un véritable Institut de Psychologie expéri-
mentale
, qu'on pourrait comparer à notre Ecole d'Anthropo
m ? ? 1.. , > 1.. 0- ? 1, .-Pendant sa pratique de l'aliénation
mentale
, l'auteur a observé quatre cas de névrites mult
élio- ration progressive eri'jàilvier," sans'chan.ereiit'de' l'état
mental
. (Amenicun journal of itisanity, 1893.) ^ ''9°r
e. 84 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. Observation II. Meurtre. Obtusion
mentale
d'origine épileptique ; Impudicité, hallucinati
Soc. de méd. ment, de Belg., juin'1893.)1 ' ) L'étude des facultés
mentales
de certains incendiaires et la'déter- mination
r contre le. système : de Kneipp dans le traitement de l'aliénation
mentale
, surtout au'début, -et dans celui de la neurast
dications de l'hydrothérapie et de labalnéo- thérapie en pathologie
mentale
. Mais il est évident que' la précision nous' fa
nistre, dans le but de faire introduire les matières de la médecine
mentale
, au nombre des épreuves, d'examen Adopté. ^ . I
ou'subaigu, délire qui témoigne simplement d'une profonde débilité
mentale
préexistante ainsi que le montrent le décousu e
ndividu et se -développant, «sans, coup férir, lorsque les facultés
mentales
se développent.».. u t ' "M ? Kirn. 11' y, a ?
s facultés intellec- tuelles. Il faut le distinguer de la confusion
mentale
ou désordre dans les idées , hallucinatoires, c
ant pendant toute la maladie. Grande agitation ; çà et là confusion
mentale
au moment de la surémotivité. Désordre des acte
té. Désordre des actes, souvent dangereux en rapport avec. cet état
mental
. Accidents somatiques multiples; lassitude; ama
si les idées d'auto-accusation étaient pathognomoniques d'une forme
mentale
particulière et j'ai constaté qu'elles s'observ
teur. , MARcEL BRIAND. r- BIBLIOGRAPHIE. I. Traité des maladies
mentales
; par le Dr H. DAGONET, avec la collaboration de
En 1862, M. le docteur H. Dagonet publiait un traité des mala- dies
mentales
constituant l'oeuvre la plus complète de ce genre
emble,laclassification adoptée par l'auteur. Ce Traité des maladies
mentales
comprend d'abord trois parties distinctes. 1
périodiques. Une seconde classe est formée par la dégénérescence
mentale
et les folies dégénératives : débilité mentale,
ar la dégénérescence mentale et les folies dégénératives : débilité
mentale
, débilité morale, psy- choses dégénératives tel
fait remarquer à ce propos que plusieurs de ces formes d'aliénation
mentale
peuvent se développer dans beaucoup de cas en d
discutera spécialement les questions sui- vantes : 1° Pathologie
mentale
: Des rapports de l'hystérie et de la folie. Ra
eunes'praticiens n'ayant jamais étu- diés spécialement les maladies
mentales
, on n'a pas à se montrer si sévère. Au surplus,
Lille, 1894. Imprimerie Le Bigot. DAGONET (H.). Traité des maladies
mentales
, avec la collaboration de DAGONET (J.) et Duham
Travail du laboratoire du Professeur JOFFROY (clinique des maladies
mentales
). La méthode histologique de Golgi, onle sait,
ement sur ces recherches, dans la mélancolie et les autres maladies
mentales
. Ce n'est pas la première fois que la méthode d
Signé : Dr Rouillard. 10 octobre 1803. Affaiblissement des facultés
mentales
. Em- barras de la parole. Tremblement. Paralysi
rle Dr J. Morel. Le traitement de tous les individus ayant une tare
mentale
et conséquemment leur 'préservation des maux qu
s tendre enfance. Les résultats obtenus par l'éducation physique et
mentale
dans les asiles spéciaux sont assez bons pour q
hies, en ce qui concerne l'état phy- sique du moins. Quant à l'état
mental
, ajoute M. Railton, on ne sau- rait prétendre q
r, une alimentation bonne et régulière. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 129 XII. Injections hypodermiques d'extraits D
s hypodermiques d'extraits DE substance cérébrale dans l'aliénation
MENTALE
; par RYAU (de Norfolk). La cérébrine, dite alph
itish med. journ., 3 février 1891.) A. Marie. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
I. Le tonus PALATINUS CHEZ les ALIÉNÉS. par le
ez l'homme. J. SÉGLAS. II. DES auto-intoxications dans LES maladies
mentales
, faits d'ordre chimique et expérimental ; par E
nt pour engendrer Archives, t. XXVIII.. 9 130 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. l'épilepsie. Entre les mains de l'auteur, cett
licates modifications de la mimique, auxquelles REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
131 l'auteur attribue ajuste titre uue grande i
e la S«)<M)'t6)-c, 1893, n° 6.) Femme quarante ans, l'aliénation
mentale
débute quelque temps après une fausse couche. D
s. A mesure que cette vésanie évolue, des d32 . REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. maladies somatiques apparaissent et se succède
tion qui font le sujet principal de cette élude REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 133 démontrent que les régions psychomotrices
ntré la Inicrorchidie chez 9,35 p. 100. Les 134 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. inversions du testicule se sont montrées sous
ifférentiel de la pseudo-paralysie générale est REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 135 -très difficile à établir le plus souvent.
ermie chez les aliénés; par le dOCteUr.L-B. Bouchaud. En aliénation
mentale
, on n'observe habituellemei.t ni élévation ni a
iarrhée ; épuisement avec marasme dans deux 136 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. observations ; alimentation insuffisante et ét
s émises pour expliquer la prédisposition créée par l'alién a- tion
mentale
. Il s'agit pour lui d'un trouble de la nutrition
m et la mort survient-en l'espace de quatre o u REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 137 cinq ans. A l'autopsie, on trouve une sclé
R. M. Cramer présente les conclusions suivantes : 1. La confusion
mentale
(amerxtia), le Wahnsinn et la Verrùcktheit ont un
nèse, proches parents. 6. Le symptôme prédominant de la con- fusion
mentale
et de la systématisation (Wahnsinn et Verrùckthei
n trouble morbide de l'activité intellectuelle c. Dans la confusion
mentale
, le Wahnsinn et la Verrùcktheit, l'affectivité
morale) ne joue qu'un rôle secondaire. d. Il peut y avoir confusion
mentale
(amentia), qui joue le rôle de symptôme soi t d
it. 2° Les éléments du diagnostic différentiel entre la confusion
mentale
, le Wahnsinn et la Verrûcktheit ne peuvent suppri
ants, on a admis, dans les asiles d'aliénés pour cause d'aliénation
mentale
, et par an (moyenne calculée pendant dix années
compliquer sans justi- fication suffisante l'étude de la pathologie
mentale
déjà bien encom- brée de formes d'aliénation me
la pathologie mentale déjà bien encom- brée de formes d'aliénation
mentale
non encore nettement définies. M. Pain a réuni
s et les améliorations dues à ces deux illustrations de la médecine
mentale
. La Fan- fare des Enfants de Bicêtre prêtait so
llustres représentants. La vie de ces deux maîtres de la pathologie
mentale
, malgré les profondes différences de caractère
t déjà fait école, l'enseignement clinique et public des mala- dies
mentales
, à une époque où cet enseignement n'avait pas d
utes les notions qu'ils ont pu acquérir sur la science des maladies
mentales
et qui se sont répandus ensuite en France et à l'
'a donné doublement la vie comme père et comme maître en aliénation
mentale
. Je laisserai ce soin à mes excellents collègue
un dernier hommage à la mémoire de ces deux maîtres de la médecine
mentale
, dont les bustes sont aujourd'hui posés sur leur
ignement : La clinique doit être la véritable base de la pathologie
mentale
. L'ana- tomie pathologique et la psychologie no
auditeurs les pages vivantes et les plus émouvantes de la clinique
mentale
; et comme le disait Lasègue qui se plaisait à s
lle devait avoir, la cons- titution définitive d'une nouvelle forme
mentale
. Vous pouvez être satisfaits, chers maîtres, vo
'École de la Salpêtrière. M. Falret, dans le livre sur les maladies
mentales
et les asiles d'aliénés, publié en 186, s'est a
de réunir en volumes, sous le. titre de Recherches sur les maladies
mentales
, la plupart de ses travaux ; il les a groupés p
e des centres nerveux, la physiologie, la pathologie et la clinique
mentales
, la thérapeutique et la médecine légale des alié-
ants alié- nistes, plusieurs autres sujets intéressant l'aliénation
mentale
seront exposés par leurs auteurs, qui se sont d
ns l'ordre alphabétique, chefs de clinique de la chaire de clinique
mentale
à l'Asile clinique (Sainte-Anne). Nous adressons
mbre 1879, il était chargé du cours annexe de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de médecine de Nancy. « Préoccupé,
enu chercher son fils et a déclaré qu'il était atteint d'aliénation
mentale
depuis quelques jours. La famille va faire le n
; cependant elle ne paraissait atteinte d'aucun trouble nerveux ni
mental
apparent... . L'incendie de la maison où elle h
cause plus ou moins efficiente. Au moment de son entrée, le trouble
mental
principal que présentait Mme B... était donc un
illeurs un fait que je constate souvent dans des états de confusion
mentale
, où il existe une certaine forme d'amnésie. Les
'asile. Elle a d'ailleurs par- faitement conscience de sa situation
mentale
, et sait qu'elle a perdu la mémoire, ce qui la
apparaîtraient. Ce mécanisme parait exister ' Paul Janet. Voir Etal
mental
des hystériques, 2 vol. in Collec- tion Charcot
e époque, d'un, établissement destiné au traitement de l'aliénation
mentale
, il lui manque encore bien des choses pour,, êt
eils hydro- thérapiques employés dans le traitement de l'aliénation
mentale
, on y voit même une grande piscine dont l'utili
e travail en plein air est précieux dans le traitement des maladies
mentales
. En les faisant surveiller attentivement, on peut
voirmontré que de minimes lésions' suffisent à mutiler les facultés
mentales
réputées jusqu'alors unes et indivisibles, il f
folie ne saurait plus consister à énumérer simplement les troubles
mentaux
variés qui se peuvent observer chez une hystéri
nt observer chez une hystérique avérée, mais à préciser l'affection
mentale
caractérisée par ses causes, son évolution aussi
prit; ils auraient pour point de départ certaines repré- sentations
mentales
trop fortes ou des associations d'idées trop fa
C'est un fait qui paraît aujourd'hui avéré et établi que le trouble
mental
élémentaire de l'hystérie, celui auquel tous les
l'autre automatique, nous donne la clef de la plupart des accidents
mentaux
de l'hystérie. Qu'on ait affaire à un spasme, à u
s ces troubles paraissent résulter ,non d'une simple représentation
mentale
telle qu'on en observe dans la vie psychique no
es qu'il de- vient possible de démêler dans l'ensemble des troubles
mentaux
complexes qu'on a, à tort ou à raison, rattaché
anifeste par les formes les plus diverses d'affections nerveuses ou
mentales
. On r conçoit dès lors aisément que plusieurs d
ormations physiques, par de la débi- lité ou de la déséquilibration
mentale
avec perversions habituelles des instincts, ins
sont pas moins distincts, ..Il nous faut maintenant étudier l'état
mental
des hystériques et 224 SOCIÉTÉS SAVANTES. les
i relèvent de l'hystérie et ceux qui dépendent de la dégénérescence
mentale
. Ce qui caractérise l'état mental des hystériqu
dépendent de la dégénérescence mentale. Ce qui caractérise l'état
mental
des hystériques, c'est, dans l'ordre intellectu
ans l'ordre affectif et moral un sentiment habituel d'impuis- sance
mentale
qui porte souvent à la tristesse; une suggestibil
e l'hystérie, il en est d'autres qui dépendent de la dégénérescence
mentale
. M. Falret a décrit chez les hystériques une fo
on voit que l'hystérie est à l'arrière-plan et la dégénéres- cence
mentale
au premier. De même les impulsions' que l'on a
nnent pas toujours à l'hystérie, mais souvent à la dégé- nérescence
mentale
. Il est vrai que nous manquons d'un critérium s
ette du thermomètre, etc. Ces quelques exemples montrent que l'état
mental
des hysté- riques est susceptible de déviations
, des contractures ou des attaques. Pour en finir avec les troubles
mentaux
qui ressor- tissent en propre à l'hystérie, il
ispensable si l'on veut saisir la caractéristique de certains états
mentaux
observés au cours de l'hystérie et s'expliquer
y observe si communément. Chez les hystériques, à côté des troubles
mentaux
qui relèvent directement de l'hystérie, il n'es
à l'apparition de la névrose, elles combinent leurs manifestations
mentales
avec celles de cette dernière affection. Au cou
ser. Les rattacher sans autre forme de procès à la dégénérescence
mentale
, comme le propose M. Colin, c'est aller vite. Il
poser ainsi : c Des rapports de l'hystérie .et de la dégénérescence
mentale
. » M. Ballet, d'ailleurs, semble s'être placé s
ciation de l'hystérie et des nombreuses formes de la dégénérescence
mentale
. On peut dire que l'hystérie se développe habit
lformations physiques, par de la débilité ou de la déséquilibration
mentale
avec perversions habituelles des ins- tincts, i
hystérie et les manifestations indis- cutables de la dégénérescence
mentale
se rencontrent fréquem- ment chez le même malad
em- ment chez le même malade ; 2° l'hystérie et la dégénérescence
mentale
ont le même facteur étiologique principal : l'hér
° l'hystérie et les principales manifestations de la dégénérescence
mentale
sont régies par des altérations identiques du méc
e mentale sont régies par des altérations identiques du mécanisme
mental
. Ne sont-ce pas là des motifs suffisants pour r
SAVANTES. 231 est une des nombreusesmodalités de la dégénérescence
mentale
. Cela n'empêche pas l'hystérie d'avoir son indi
i- vantes : 1° L'hystérie est une des formes de la dégénérescence
mentale
; 2" Sur ses confins, l'hystérie se confond ave
rôle dans les phénomènes hystériques, sur- tout dans les phénomènes
mentaux
. Mais les hystériques n'ont pas la spécialité d
oujours différé des autres, qui a toujours présenté une~instabilité
mentale
. Il ne faut pas ôter ce sens au mot de dégénére
un mot que c'était une prédisposée chez laquelle la dégénérescence
mentale
existait à l'état latent. SOCIÉTÉS SAVANTES. 23
s est une question neuve en France. En 1889, le Congrès de médecine
mentale
de Paris s'en est occupé pour la première fois
igu, aigu ou suraigu;-3° enfin les aliénés dont les diverses formes
mentales
ont pu être occasionnées par des excès alcooliq
uels l'alcoolisme a joué un rôle dans la production de l'aliénation
mentale
. Or, à notre avis, les délirants alcooliques co
entrent pas dans les formes habituelles, classiques de l'aliénation
mentale
. Il vous faut donc, avant de créer un asile pou
e de cause occa- sionnelle pour déterminer l'apparition de troubles
mentaux
passa- gers. C'est surtout pour les malades de
sile d'alcooliques tous les prédisposés qui présentent des troubles
mentaux
, à la suite d'excès de boisson, cet asile spéci
ouve une fois de plus les nombreux liens qui unissent la pathologie
mentale
à la neurologie. Quelle doit être la dominante
auteurs, surtout étrangers, ont décrit, comme on sait, des troubles
mentaux
de la polynévrite. Ces troubles mentaux peuvent
comme on sait, des troubles mentaux de la polynévrite. Ces troubles
mentaux
peuvent se présenter avec des manifestations dé
ariées, mais leur symptôme fondamental est l'obtusion, la confusion
mentale
, pour employer l'expression maintenant cou- ran
, pour employer l'expression maintenant cou- rante. Cette confusion
mentale
se traduit essentiellement, comme tous les aute
tout à fait d'accord sur les caractères symptoma- tiques de l'état
mental
dans la polynévrite périphérique, en revanche o
sa pathogénie. Certains auteurs, comme Korsakoff, font de cet état
mental
une manifestation spé- ciale à la polynévrite,
soit spécial, encore moins subor- donné, et considèrent que trouble
mental
et polynévrite sont deux conséquences possibles
ou l'in- fection. 1 Certains faits dans lesquels le même trouble
mental
s'est observé à la suite d'une maladie infectie
à la suite d'une angine diphtéritique grave, présenta une obtusion
mentale
des plus manifestes. A peine ren- tré au corps,
mort plutôt que de rester indéfiniment dans cet état d'infériorité
mentale
. Tel est, depuis près de huit mois, l'état psyc
ies infectieuses sur le système nerveux. Or, ce malade, dont l'état
mental
est manifestement l'état men- tal caractéristiq
t survenue que près de huit mois après l'ap- parition de l'obtusion
mentale
et que, par conséquent, on ne peut la considére
quent, on ne peut la considérer comme véritablement liée au trouble
mental
. Ce fait vient donc à l'appui de cette opinion
té combinée d'une façon si grossière que l'intégrité des facilitées
mentales
du délinquant fut mise en doute. J'eus l'occasi
vince, l'objet d'expertises médico-lé- gales. Guéri au point de vue
mental
, l'aliéné ne sort de Gaillon qu'à l'expiration
de clinique de ces malades permet de constater chez eux un stigmate
mental
constant, le ré- trécissement du champ de la co
que des états frustes d'hypnose. . Cet état particulier de débilité
mentale
, qui peut coïncider pour- tant dans l'hystérie
verses influences dont l'effet général est d'affaiblir la puissance
mentale
et la répétition peut amener la production arti
e et la répétition peut amener la production artificielle d'un état
mental
analogue à celui de l'hystérique. E. Régis. F
Vol. XXVIII. Octobre 1894. N° 92. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
ASILE CLINIQUE (SAINTE-ANI4F). - M. MAGNAN. D
ÇON. SÉMÉIOLOGIE GÉNÉRALE'. Sommaire. De la méthode en pathologie
mentale
. - 9onoma- nie et délire partiel. La teneur du
la folie intermittente, le délire chronique . et la dégénérescence
mentale
. Différences dans la genèse des délires. Différ
lires. Différences dans leur évolution.-La prédisposition et l'étal
mental
sous-jacent rendent compte de ces différences.
irconscription de Paris. - . Archives, t. XXVIII. 18 274 CLINIQUE
MENTALE
. lequel se traduisent les maladies de l'intelli
'est tout ; aller au delà, c'est consacrer une erreur. 276 CLINIQUE
MENTALE
. Un exemple va vous faire mieux comprendre ce q
r l'hérédité. Mais cette hérédité qui plane sur toute la pathologie
mentale
, n'a pas également marqué ceux qu'elle entache.
rmes intel- lectuels ; et chez eux s'allient souvent à la faiblesse
mentale
des malformations physiques. Il y a déviation d
les jours d'après dans une relative tranquillité. 278 Ô CLINIQUE
MENTALE
. A l'autre extrémité de la pathologie mentale s
ité. 278 Ô CLINIQUE MENTALE. A l'autre extrémité de la pathologie
mentale
se rangent les sujets que l'hérédité n'a presqu
chroniques, à prédispo- sition plus accusée, mais dont l'équilibre
mental
reste intact jusqu'au jour où se développe la m
ie simples, délire chronique, folie inter- mittente, dégénérescence
mentale
sont des synthèses cliniques à caractères fixes
la marche et de la périodicité des accès, de l'intégrité de l'état
mental
dans la période intercalaire, de l'ap- parition
aniaques simples). Restent le délire chronique et la dégénérescence
mentale
, c'est-à-dire la psychose des sujets préalablem
ce cerveau jusque-là valide apte à l'éclosion'de la 280 , CLINIQUE
MENTALE
. folie ? Quoiqu'il soit, au moment précis où le
s et plus tenaces. L'alcoolique chronique, dépourvu au 282 CLINIQUE
MENTALE
. début de prédisposition, peut donc avoir lui a
Au moment de son arrivée à l'asile, au-dessus de l'affaiblissement
mental
, escorté des troubles somatiques classiques, ce
viens d'en- trer tendent à prouver que la prédisposition et l'état
mental
sont les deux jalons directeurs dans l'étude de
rer dans quelques détails; les personnes qui s'occupent de médecine
mentale
au point de vue pratique savent bien de quelle
point de vue de la pathologie ordinaire et à celui de la pathologie
mentale
. La constitution médicale est ordinairement bon
nées d'épidémie... . ' ' ". : ' ! l Au point de vue delà pathologie
mentale
, maintenant, quelques' particularités doivent ê
de la France, et il semble que l'homme conserve, dans l'aliénation
mentale
, plus ou moins du caractère ordinaire de sa rac
une influence très grande sur la fréquence relative de l'aliénation
mentale
, chez les uns ou chez les autres. Cependant, les
conceptions délirantes des seconds, quelles que soient les maladies
mentales
dans lesquelles elles' , entrent comme éléments
se produisaient, une connaissance parfois assez complète, leur état
mental
ne fut pas profondé- ment troublé, car c'est là
compliquée de nymphomanie. Mais le caractère commun de leur état
mental
, intercalaire aux crises, fut sans conteste de le
hallucinations psycho-sensorielles et non de pures représentations
mentales
. Il n'est pas nécessaire de dire que les halluc
a description du malade, présumée impossible à contrôler. Confusion
mentale
, amnésie continue ET anesthésie généralisée che
ès, le mot de dégénérescence tend à devenir synonyme d'aliénation
mentale
. Eh bien, la théorie de la dégénérescence, très v
alret, ne saurait servir de base à la classifica- tion des maladies
mentales
; il faut substituer à ce mot, désignant une fa
casse, et qui a été communiqué au Congrès international de médecine
mentale
de 1889, nous avons montré les photographies du
e, susceptibles d'être améliorés ou même guéris, suivant leur degré
mental
. M. BouRNEViLLE montre les photographies qui re
soeurs internés en même temps, et douze fois la forme d'aliénation
mentale
s'est trouvée sensiblement la même qu'eux. M.
de Plou,jean, nommé Jean Legall. Cet individu, atteint d'aliénation
mentale
, avait quitté le domicile de ses maitres depuis
50. Pour nos abonnés, 1 fr. Joffkoy (A.). De la méthode en médecine
mentale
. Brochure in-8° de 23 pages. Priv : 1 fr. Pour
s abonnés, 0 fr. 70. Magnan (V.). Leçons cliniques sur les maladies
mentales
faites « l'asile clinique (Sainte-Anne). Recuei
ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE HYSTÉRIE. - CONFUSION
MENTALE
ET AMNÉSIE CONTINUE. ANESTHÉSIE GÉNÉRALISÉE. -
deux ou trois fois. Il n'y aurait rien de particulier sur son état
mental
antérieur ; mais il est au moins prudent de fai
nir de ces atta- ques, fait assez explicable eu égard aux accidents
mentaux
qu'elle présente d'autre part. Les plus saillan
re, aucune idée fixe, et l'on ne cons- tate qu'un état de confusion
mentale
assez accentué. Depuis son entrée dans le servi
ainsi à fixer son attention, à entretenir et à diriger son activité
mentale
. Mais supprimons ces deux conditions, et une fo
he l'anesthésie et l'amnésie hystériques à un état de désagrégation
mentale
particulier, de double con- science. Cette anes
venu à l'origine de l'amnésie, de l'état aboulique, de la confusion
mentale
, et dont la persistance depuis lors est sans do
ès quelques efforts. Il persiste même un certain degré de confusion
mentale
, la notion des lieux, du temps, des faits, est
il s'est produit dès lors une très légère amélioration dans l'état
mental
, jusqu'à ce qu'une nou- velle attaque, en rappe
366 CHIMIE PATHOLOGIQUE. quand il s'agit de maladies nerveuses ou
mentales
, car les modifications des échanges nutritifs n
bre de maladies. On l'observe, dans différentes formes d'aliénation
mentale
et si elle est plus fréquente dans la para- lys
xercices au laboratoire et cours (1er et 2e cours); c) Patho- logie
mentale
, hypnotisme, psychologie anormale; d) Psycho- l
ine pendant toute l'année, et s'est occupé de psychologie expéri-
mentale
proprement dite. Il y a à l'université un labor
ienne augmenta de trois quarts de pouce, sans lésions cérébrales ni
mentales
appré- ciables. (British Oled. Journ., 2 juin 1
s cérébrales; on y peut joindre les complexus moteurs sans débilité
mentale
et la paralysie avec idiotie. Deux observations
. sei- ner Organe, Wesbaden, 1893.) P. KMAVAL REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XVIII. Recherches sur LE crétinisme; par WAGNER
AL. P. Keraval. Archives, t. XXVIII. 20 402 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XIX. Contribution A IA 'MÉTHODOLOGIE d'une ant
mmunes) semble vivre en rêve quoique éveillé. P. K. XXI. Troubles
mentaux
dans la syphilis; par P. IOIVALI,NSIil'. (Allg.
lis. C'est une paralysie générale atypique. , REVUE DE pathologie
mentale
. 403 Enfin l'auteur établit l'existence de la s
gauche). Sur 93 paralytiques il y avait : 404 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. mobilité pupillaire bilatérale, sont, comparée
inclus, il a été admis pour la première fois : REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 405 Forme de la maladie : 406 REVUE DE PATHO
OLOGIE MENTALE. 405 Forme de la maladie : 406 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. gauche (48 p. 100) surtout au moment des émoti
34 cas, soit 27 p. 100). Criminalité (délits) de 19 femmes. Forme
mentale
. Psychopathie, surtout aiguë et passagère, soit
e déterminent d'après le délire dont ils dépen- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. li 07 dent. La démence ne se produit que lorsq
été périodique abortive. Il n'y faut pas faire rentrer la confusion
mentale
parce qu'ici l'incohérence domine la scène. Ce
asion brusque, ne puisse en imposer par l'exagération de l'activité
mentale
et des hallucinations pour une confusion mental
tion de l'activité mentale et des hallucinations pour une confusion
mentale
véritable. L'évolution juge le cas. La paranoïa
la dé- croissance des hallucinations et des illusions; la confusion
mentale
, au contraire, surtout dans sa forme maniaque,
et les conséquences de ces habitudes, sans 408 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. mes sensations et le décor qu'elles entraînent
ents sont en rapport immédiat avec l'impression REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 409 centripète et la manière dont celle-ci tro
e physiologique. P. KERAVAL. XXVIII. DES CONDITIONS DE la contagion
mentale
morbide ; par le Dr Marandon DE MGNTYEL. Deux
don DE MGNTYEL. Deux conditions sont essentielles pour la contagion
mentale
mor- bide : une prédisposition psychopathique e
voit un aliéné dans son codélirant actif. 410 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Après avoir bien nettement établi la nécessité
rès faible, et c'est surtout de vingt à trente ans que la contagion
mentale
fait sentir son influence. Ce sont surtout les
emmes sont de beaucoup plus sensibles que les hommes à la contagion
mentale
et il résulte des observations de M. Marandon,
et comme tels, faisaient partie de la maison. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 411 7° La misère, et il faut prendre ce mot da
rouva des lésions de niéningo-ëncéphalite/dis ? REVUE DE pathologie
mentale
. 413 persées symétriquement dans les deux hémis
igu). G. DENY. XXXV. LE czar Jean LE Terrible DE RUSSIE ET son état
mental
; par le Dr P. Kowalewsky. (liull. de la Soc. de
cations spéciales des visites dans les diverses formes des maladies
mentales
. Il éta- blit les conclusions suivantes : , 1
d'un sentiment obsédant. Eclairé sur la nature spéciale de cet état
mental
, il redevient plus calme et finit par être déli
Vol. XXVIII. Décembre 1894. ? 94 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
ASILE CLINIQUE (SAINTE-ANNE). M. AIAGNAN. DES
n délirante. Conception du délire chronique basée : 1° sur l'état
mental
primordial ; 2° sur l'évolution de l'affection
l primordial ; 2° sur l'évolution de l'affection tout entière. Etat
mental
antérieur des délirants chroni- ques. Genèse du
llie par M. le D' Pecharman. Archives, t. XXVIII. 28 434 CLINIQUE
MENTALE
. logue, dialogue, écho de la pensée. Systématis
des persécutions fut dégagé par Lasègue, en 1852, des autres formes
mentales
. Mais, je vous l'ai dit, le caractère du délire
un type morbide, l'évolution de la maladie tout entière et l'état
mental
sur lequel elle est née. Ces deux éléments fondam
ns que rien ait pu déceler, aux yeux de leurs proches, de trouble
mental
, ils n'entrent pas d'emblée dans la folie : une a
dives. Mais cette pensée tenace, continue, toujours la 436 CLINIQUE
MENTALE
. même, cette pensée qui écoute toujours, irrite
ifférents suivant le côté affecté ; les hallucinations 438 CLINIQUE
MENTALE
. pénibles cantonnées d'abord dans une oreille q
témoins ! mais on m'empêche d'en trouver ! » s'écrie- 442 CLINIQUE
MENTALE
. t-elle. Les voix continuent de se faire entend
de leurs ateliers; ils ne parlent pas, ils ne font que 444 CLINIQUE
MENTALE
. chuchoter sur son passage, « rigoler, se moque
elle entend aussitôt ce qu'elle lit; elle entend même 446 CLINIQUE
MENTALE
. la phrase entière avant qu'elle ait fini d'en
aux présidents de ' Magnan. Leçons cliniques, 278. 448 8 CLINIQUE
MENTALE
. République, aux inventeurs, etc. Certains mala
rique. Thèse de Paris, 1893. Archives, t. XXVIII. 29 450 CLINIQUE
MENTALE
. était assez étendue. 11 dessinait bien et joua
sie oculaire, pas de lésions du fond de l'oeil. Acuité 452 CLINIQUE
MENTALE
. visuelle normale. Le malade se plaint parfois
très faible. Elle ne renferme ni albumine, ni sucre. 454 CLINIQUE
MENTALE
. phaturie. Les chlorures seuls sont augmentés e
etc., nous dispenseront d'insister sur ce diagnostic. 456 CLINIQUE
MENTALE
. Mais sa polyurie est-elle aussi de nature hyst
Leçons de clinique médicale. Paris, 1892, p. 467. ZD 458 . CLINIQUE
MENTALE
. à faire connaître la polyurie dite essentielle
la Polyurie chez les dégénérés. Tit. de Paris, 1892. 460 CLINIQUE
MENTALE
. cernent des hommes. D'ailleurs, la présence de
e génito-urinaire. Sur une seule des dix-sept observa- 462 CLINIQUE
MENTALE
. tions étudiées par Ehrhardt, les antécédents d
ns- tatées. Nul doute que les applications de ces données expéri-
mentales
ne s'étendent d'ailleurs au delà du domaine de la
ote dans le prochain numéro des Archives de physiologie. PATHOLOGIE
MENTALE
. LES DELIRES PLUS OU MOINS COHÉRENTS DÉSIGNÉS
Paranoïa, (Allg. Zeilseh f. l'srchial., LI. 2.) . 476 PATHOLOGIE
MENTALE
. M. Cramer. Puisqu'il s'agit de vocabulaire, il
ent delà Ve·rziclctheit, Westphal refuse toute valeur à la débilité
mentale
, que l'on rencontre parfois, entant que caractè
, débilité, suivant lui, préalable et non consécutive à l'affection
mentale
. S'il est, à côté de cela, le premier qui ait p
dans celle-ci, viennent alimenter le délire ; elles 478 PATHOLOGIE
MENTALE
. ne font d'ordinaire point défaut pendant la pé
Verrücktheit aiguë ; dans un autre travail, il sépare la confusion
mentale
( )'<6W<Ae) de la Verrücktheit. Buch co
rücktheit et de la maladie qu'il couvre. Qu'il y ait 480 PATHOLOGIE
MENTALE
. aussi un délire systématique avec désordre dan
ystématique avec désordre dans les idées et les actes, ou confusion
mentale
(Ve ? -wii@i-u71g), cela est admissible, en certa
ent par poussées, pro- voquent le complexus morbide de la confusion
mentale
(Yerwirr- theil), ainsi que le fait voir Merckl
'est la raison pour laquelle on a identifié à cet état deconfusioii
mentale
déjà mis en relief par Westphaije Wahnsinn acut
préciser une donnée jusqu'ici inaccessible : l'énergie de la vision
mentale
des individus. Pour donner un exemple de l'impo
des afin d'éviter qu'on ne perde de vue l'ensemble de la pathologie
mentale
. Il a également raison, à mon sens, de faire re
t sur les opinions des savants allemands en matière de patho- logie
mentale
. On pourra en s'en pénétrant bien, lire et compre
depuis quinze ans. (P. KKHAVAL.) SOCIÉTÉS SAVANTES. 489 fusion
mentale
(Wille), il faut entendre une maladie ayant pour
, de traumatismes, tient aussi bien à un état physique qu'à un état
mental
; on la désigne sous le nom de démence aiguë : i
yse, la marche, la terminaison, plus encore que dans les mala- dies
mentales
à lésions qui permettent de relier entre eux les
illusions, les obsessions, les conceptions délirantes, la confusion
mentale
, la stupeur, peuvent persister seuls ou combinés
ologie une confusion inextricable. Prenons par exemple la confusion
mentale
(Ve ! 't0t ! ')'</tet<). - Elle s'appliqu
plique à l'ameuta considérée comme forme morbide et aussi aux états
mentaux
les plus différents auxquels la langue allemand
née peut-être sous le nom de perturbation et à de nombreux troubles
mentaux
qui ne sont qu'approximativement caractérisés p
la confusion qui s'est établie dans ce territoire de la pathologie
mentale
. Car au lieu de suivre les avis de Westphal et
à la diagnostiquer. Si, en présenced'un malade atteint de confusion
mentale
, on eût essayé de constituer Je type clinique, si
a chronique ou de la démence. Lorsque Mey- nert sépara la confusion
mentale
ou amentia et en fit une forme morbide, les aut
ie qui a cours dans les livres est à mon sens vicieuse. La débilité
mentale
et l'imbécillité sont désignés sous le nom géné
ppelle démence (Bloedsinn) une altération qualitative de l'activité
mentale
; il y a des inconséquences entre les actes et l
g) présentent pour moi un affaiblissement quantitatif de l'activité
mentale
tout entière. Ces derniers conservent leur pers
. Ce qui ne veut pas dire non plus que ce qui leur reste d'activité
mentale
soit absolument sain. D'ailleurs, chez ces déme
, tels que tics, actes impulsifs, agitation maniaque avec confusion
mentale
, survenant par poussées et diminuant leur intel
plus profonde quand elle s'implante sur le terrain d'une faiblesse
mentale
congé- nitale (Schwachsinn) et quand elle frapp
guides quand il s'agira de distinguer, en présence d'une confusion
mentale
avec une agitation, si nous avons affaire à une
acquise, prendre les expressions de débilité men- tale et infirmité
mentale
. Nous devons en séparer la démence (Bloedsinn)
cins légistes s'efforcent en vain de démasquer chez eux la débilité
mentale
, parce qu'ils ne savent pas juger leur juste va
e pronostic et préci- pite le malade dans la démence avec confusion
mentale
, dans la démence confuse, que la même chose se
'agitation, procéder par poussées qui généralement aggravent l'état
mental
. En revanche, s'il ne se produit pas d'ag- grav
eut, ainsi qu'on l'admet aussi sans réserve, aboutir à la confusion
mentale
chronique ou désordre dans les idées chronique
uire après un long intervalle de plusieurs années de parfaite santé
mentale
et pouvant guérir; cette seconde bouffée peut d
rente susindiquée n'entre pas en scène etil tombe dans la confusion
mentale
chronique (chronische Vewirrlheit) sans passer
r les lignes de démarcation qui la séparent de l'amentia (confusion
mentale
, désordre dans les idées). Nous n'y arriverons
s. Quand les hallucinations sensorielles collaborent à la confusion
mentale
(Ve7-wiî,rtheit), dont elles ne sont pas les seul
e souvent pendant des semaines et même plus longtemps une confusion
mentale
, un désordre dans les idées (Verwirrtheit) tout
sistent plus longtemps. Des modalités précédentes de la confusion
mentale
ou désordre dans les idées(Ve·wirrtlaeit), il c
, et nous en avons fini avec le désordre danslesidées, ou confusion
mentale
désignée sous le nom d'amentia. Nous en détacho
née sous le nom d'amentia. Nous en détachons à dessein la confusion
mentale
des épileptiques et des hystériques. Il ne nous
t la signification de toutes choses, le malade atteint de confusion
mentale
a perdu toute notion, con- trairement à ce qui
qui constitue un symptôme d'excitation. En somme, dans la confusion
mentale
ou désordre dansles idées (amentia), l'incohérenc
s-ci sont désajustées ou déplacées (Incon- gruoenz). La confusion
mentale
se distingue donc, de par sa nature, de la foli
s lacunes intellectuelles. Toutes deux peuvent aboutir la confusion
mentale
chronique ou désordre chronique dans les idées,
pparaît encore plus rapide et plus forte à la suite de la confusion
mentale
non guérie. Mais ce qui est certain, c'est que la
mentale non guérie. Mais ce qui est certain, c'est que la confusion
mentale
n'aboutit pas à la folie systématique chronique.
de la folie systématique aiguë (paranoia acuta) et de la confusion
mentale
(amentia) parce que ces trois complexus ont des
oire; on y cons- tate : les formes rapportées supra de la confusion
mentale
, la folie systématique aiguë et chronique (para
conditions. M. Jolly. Les rapports qui existent entre la confusion
mentale
aiguë (acute Yerwirrtlaeit), et la folie systém
si en plein désordre intellectuel; c'est là le type de la confusion
mentale
aiguë. A côté d'eux, d'autres alcooliques sont
dantes de toute influence alcoolique. Les unes sont de la confusion
mentale
aiguë (acute Verwirrtheit) ou désordre intellectu
tique aiguë (paranoia acuta). S02 SOCIÉTÉS SAVANTES. La confusion
mentale
aiguë ou désordre aigu dans les idées, en- core
ue pendant des mois. Il y a, par contre, des syndromes de confusion
mentale
aiguë, dont la genèse est indépendante de malad
conclusions exactes, mais ilsretom- bent bientôt dans la confusion
mentale
(Ve ? ,wi ? ,7-theit). Le polymor- phisme des c
psychique permanent; quelquefois aussi, à la suite de la confusion
mentale
qui cède, on voits'organiser quelques idées dél
ique (poranoiu chronica) ayant été précédée d'un stade de confusion
mentale
(Verwirrtlaeit). Vis-à-vis de ces exemples de d
mencement jusqu'à la fin restent du délire simple ou delà confusion
mentale
, il y en a d'autres dans lesquels de prime abor
folie systématique aiguë aussi on observe des épisodes de confusion
mentale
passagers, soit au début de la maladie, soit da
lie intellectuelle primitive aiguë, sous les rubriques de confusion
mentale
(Veriviri,theit) et paranoïa (folie systématique)
tale, dont nous venons de parler. Dans bien des cas de confusion
mentale
, l'humeur des malades correspond surtout à celle
aque, le mania- que type, on constate souvent un stade de confusion
mentale
hal- lucinatoire caractérisé soit au début, soi
omalie de l'humour est primitive et qu'elle a entraîné la confusion
mentale
, tandis que dans l'autre, les conceptions délir
que dans l'autre, les conceptions délirantes de l'état de confusion
mentale
ont provoqué une cénesthésie gaie. C'est parfait
obligé de reconnaître qu'entre la manie d'une part et la confusion
mentale
et la psranom de l'autre, il existe des formes
manie par anoïque ou paranoia maniaque ; de : manie avec confusion
mentale
, c'est-à-dire manie délirante ; de : confusion me
ec confusion mentale, c'est-à-dire manie délirante ; de : confusion
mentale
maniaque. Il en est ainsi pour la mélancolie qu
is que, d'autre part, il existe des cas de paranoïa et de confusion
mentale
avec état mélancolique marqué et persistant.
es parties du mécanisme psychique. M. IOELI. Dans les perturbations
mentales
aiguës, c'est-à-dire SOCIÉTÉS SAVANTES. 505 c
supposer dans la folie systématique chronique. Quant à la confusion
mentale
hallucinatoire aiguë, on a, dans quelques cas,
que ces troubles affectent l'apparence phénoménale de la confusion
mentale
(Verwirrtheit). C'est ce que Ziehen a oublié de
Les phénomènes d'ordre cérébral sont de deux sortes : les troubles
mentaux
et d'autres phénomènes d'ordinaire rattachés à
mptôme est dû à des causes variées, souvent banales. Les troubles
mentaux
sont caractérisés, d'après M. Korsakow, d'abord
t pas une entité morbide. Dr DEVAY. Chef de clinique des maladies
mentales
. V. Contribution à l'étude des pseudo-méningite
-encéphalite diffuse, la plus grave et la plus commune des maladies
mentales
. Il n'est pas de médecin qui ne puisse à un mom
phies musculaires, les grandes 71é- vroses, Sollier; les affections
mentales
, Rohë; l'alcoolisme, le morphi- nisme et les in
NITE DE SUBSTITUER au MOT asile LE nom d'hôpitaux POUR LES maladies
mentales
ET NERVEUSES; par William REID. C'est une campa
ence. 5 folie systématique chronique hallucinatoire'. 3 confusion
mentale
secondaire'. ' 2 folie systématique chronique s
omme les moutons dans leurs étables, mais n'ont pas perdu la vision
mentale
autant qu'on pourrait le croire. Treize ont bes
s rapports médico-légaux de divers médecins spécialistes sur l'état
mental
des personnes examinées par eux. L'on n'a pu ab
xe. Cela est d'autant plus aisé qu'à Leipzig il existe une clinique
mentale
remarquable. Qu'on oblige donc les candidats au
- anarchiste, par Rist, 268. Auro-IyTOwcnTlov dans les maladies
mentales
, par Régis et Clievalier- Lavaure, 129. Autom
21t, 320; - d'hyiène de Buda- Pesth, par A. Marie, 422. Contagion
mentale
morbide, par Ma- randon de Montyel, 409. Cont
du -, par Schalfer, 316. Czar, le Jean le Terrible et son état
mental
, parKowalewsky, 413. Dmtwwsue, liar Haycraft, 4
ie, rapport de l' et de la folie, par G. Ballet, 219; con- fusion
mentale
, etc., par Séglas et Connus, 353. Hystérique,
ugère, 513. Menstruelle, folie primordiale, par Friedmann, 420.
Mentales
, traité des maladies , par H. Daôonet, avec la
E cérébrale, injections hy- podermiques de -, dans l'aliéna- tion
mentale
, par Ryan, 129. SULFO\.1L, COIItrIÙUt1011 .à la
y, 48. Syphilis, sur un cas de cérébrale, par Bitot, 41; troubles
mentaux
dans la -, par Kowalewski, 402; paralysie gén
ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE ruz, DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE .J.-lU. CHARCOT
veux, reconnaissent, sans doute, une telle pathogénie. 1 CLINIQUE
MENTALE
DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS»; P
cet intéressant persécuté. Voir Ann., jan- vier 1882. 36 CLINIQUE
MENTALE
. jamais nié; mais ces idées venaient et dispara
ts chroniques sont des sujets normaux jusqu'au début de l'affection
mentale
(Magnan). Les persécutés de ce type ne sont pas
s 188C, séquestré à Charenlon. Déjà, avant le crime, il 38 CLINIQUE
MENTALE
. , avait été, pendant plusieurs mois, traité da
t définie; cependant cela me semble peu pro- bable. , 40 CLINIQUE
MENTALE
. · Il en est autrement du malade dont je parle
r, in Ann., mars 1890. Doutrebente, Id., mai 1890. 42 , .. CLINIQUE
MENTALE
. > ' son argumentation. J'éviterai à l'aveni
ver, il couche la fenêtre ouverte; je n'en finirais pas 44 CLINIQUE
MENTALE
. d'énumérer ses bizarreries; cependant il est t
par m'expliquer que être sère, c'est être pris par der- 46 CLINIQUE
MENTALE
. rière (pédérastie) : c'est là ce qu'on attend
t bon, l'intelligence remarquablement lucide. Il n'a rien de l'état
mental
des diabétiques. L'examen des urines n'a révé
glotte. La toux hystérique d'ailleurs, représente un type fonda-
mental
dans ce premier groupe. Les autres bruits sont
sera, vous allez le constater, tout autre chose. La représentation
mentale
d'un acte, a dit H. Spen- cer, c'est déjà l'act
en pareille circonstance et en particulier les représen- tations
mentales
d'un acte, se développent à l'abri de l'influen
même. Notre sujet Gr...rd, placée justement dans les condi- tions
mentales
que nous venons d'indiquer, entend les bruits l
ent fréquemment aliénés, et inversement, dans les diverses maladies
mentales
apparaissent souvent des tendances crimi- nelle
pathologiques chan- archives, t. XXII. 8 114 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. geaient sans cesse et quelquefois si souvent q
on les a répétées cinq fois. Mme C. Bertillon. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
I. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE QUELQUES formes ai
I. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE QUELQUES formes aiguës d'aliénation
mentale
ET DE leurs rapports avec la paranoïa, par M. le
la paronoïa avait indiqué des cas aigus de cette forme d'aliénation
mentale
. A l'assemblée annuelle des aliénistes allemand
nuelle des aliénistes allemands tenue il Nurem- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 115 berg, en 1877, sur la proposition du profe
nan et ses élèves démontrèrent l'existence d'une forme d'aliénation
mentale
, le délire chronique, caractérisée justement pa
rait trop exclusif à M. Rosenbacli qui fait 116 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. remarquer que ni Kralft, Ebing ni Schüle ne pr
rme aiguë de la paranoïa pour une manifestation de dégénérescence
mentale
et qu'enfin le délire d'emblée de M. Magnan n'emb
onnaître les formes aiguës comme un groupe indépendant d'aliénation
mentale
, mais cette question n'est pas encore suffisamm
catégorie distincte et caractéristique d'alié- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 117 7 nation, d'où la nécessité de les séparer
re le carac- tère dégônératif de sujets atteints de cette affection
mentale
. Con- formément à cette idée, étant donné ce fa
e générale, il y aurait lieu de considérer cette forme d'aliénation
mentale
comme un des modes de réaction du cerveau valid
de excitation, avec un trouble de sentiment 118 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. tres prononcé, une grande production d'halluci
automatiques dans la mélancolie. P. Keraval. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 119 III. Observations CLINIQUES DE l'asile pro
diagnostic. P. KERAVAL. IV. Contribution A la' casuistique d'états
mentaux
DOUTEUX au POINT DE vue IIsDICO-L1.GAL j par J.
i a donné l'éveil de la psychopathie. P. KERAVAL. V. Des MALADIES
mentales
dans les U USONS de correction; par A. Kuehn. (
proportion elle-même vingt fois supérieure à celle de l'aliénation
mentale
chez les honnêtes gens non nomades. 120 REVUE D
mentale chez les honnêtes gens non nomades. 120 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Voici 144 aliénés de ce genre (l'auteur a exam
s) se décomposant en : SOCIÉTÉS SAVANTES. 121 VI. De l'aliénation
mentale
, SUITE d'influenza; par A. SCIIUITZ. (Allg. Zei
d'onomatomanie. M. FaLnET. Dans mon rapport au Congrès de médecine
mentale
, j'avais établi que les obsessions n'étaient ja
ou interparoxystique et par un chapitre fort intéressant sur l'état
mental
des hystériques, dans lequel, par l'étude de la
os distingués con- frères envisage donc principalement les troubles
mentaux
dans leurs rapports avec l'arthritisme et ses m
intérêts des élèves qui viennent apprendre chez lui la pathologie
mentale
; qu'arrivera-t-il s'il est chargé en plus de la
médecin de l'asile de la Charité; Pierrot, professeur de clinique
mentale
; suppléant, Dr Fabre, médecin de l'asile de Saint
eaucoup, montrent la nécessité de traiter dès le début l'aliénation
mentale
. Ils viennent - = faits DIVERS. 143 à l'appui
ON et J.-B CHARCOT. RITTI (A.). - Congrès international de médecine
mentale
tenu à Paris du 5 au 10 août 1889 (Comptes rend
pas- sage que nous empruntons à son Traité pratique des maladies
mentales
: « En marchant ils écartent les jambes, se tie
. Voici cependant quelques remarques qui très ' Turnbull. Journ. of
mental
sciences, oct. 1881. z \\'iâles\vorth. Ibid., j
1. z \\'iâles\vorth. Ibid., juillet 1883. 'Clouston. - Journal of
mental
sci., 1877, p. 119, et Edinaburgk med. journal,
ur gaîté, leur entrain, ils sont apathiques, taciturnes. L'activité
mentale
s'é- teint, la mémoire et l'intelligence vont s
les signes d'ordre psychique qui restent au second plan. Le côté
mental
n'est représenté, en effet, dans la majo- rité
ésenté, en effet, dans la majo- rité des cas que par de la débilité
mentale
, un état de démence simple, tranquille, sans co
e opinion de Marcé est bien 1 Marcé. - Traité pratique des maladies
mentales
, 1862, p. 469. 156 CLINIQUE NERVEUSE. conform
ymptôme banal qu'on peut observer dans toutes sortes d'affections
mentales
, mais au contraire, qu'elle est un symptôme pro
aractérisées qui soient, au point de vue symptomatique, eu médecine
mentale
. Elle com- prend trois périodes. La seconde pér
Sa détermination est guidée par la logique. Du reste, ses facultés
mentales
sont conservées, et en dehors de ses idées déli
de la passion plutôt que de la folie dite épi- leptique. ' L'état
mental
habituel des épileptiques est bien connu. On sa
des circonstances pareilles, les médecins appelés à examiner l'état
mental
des accusés concluent sou- vent à la responsabi
ordinairement de diagnostiquer, sans beaucoup de difficulté, l'état
mental
du sujet. , , . '" ' ? ' ' , ? ? ' z . Les im
moins ingénieuse du réveil atavistique, chez un dégénéré, d'un état
mental
antrefois habituel à l'homme antéhistorique. Le
physiques de dégénérescence) des sujets permet de déterminer l'état
mental
de ces derniers tel qu'il était au moment de la
'influence de l'empoisonnement chronique par l'alcool, les facultés
mentales
s'affaiblissent pro- gressivement, et le dernie
important de cas, le résultat, non d'un vrai délire, mais d'un état
mental
pathologique particulier dû à l'empoisonnement
? ' Nous venons de passer eii revue un certain nombre de maladies
mentales
qui présentent, comme symp- tôme plus ou moins
l'imprévu sont les' caractéristiques 'de 'la plupart des maladies
mentales
dont ils' sont atteints.* ' ' Il - r ' Il est i
dégénérescence intel- lectuelle n'est pas le synonyme de 'débilité
mentale
. Les imbéciles, les débiles mentaux rentrent bi
st pas le synonyme de 'débilité mentale. Les imbéciles, les débiles
mentaux
rentrent bien dans la classe des dégénérés,, ma
es' rencontre que là. C'est l'état de déséquilibration des facultés
mentales
qui est le' critère de la dégénérescence intell
que irop souvent chez les dégénérés certains accès d'alié- nation
mentale
. Mais, chez eux, les circonstances qui précèden
très remarquables. Des sujets dégénérés intellectuels, non débiles
mentaux
, c'est-à-dire d'une intelligence normale, sont
estent dans cette folie morale qu'on veut rattacher, à l'aliénation
mentale
? Des individus qui n'ont pas la notion de l'ho
mo- trice simple ou enfin à l'état plus faible, la représentation
mentale
motrice. Cette manière de voir est acceptée aujou
it à l'occasion; mère un peu nerveuse. Développement tardif, niveau
mental
faible. 11 y dix ansaccès de mélancolie, ayant
peut ne pas y avoir de localisation ; c'est la simple conversation
mentale
; c'est ce que les malades appellent la voix de
ttentions pour moi, mais je n'en suis pas digne. » - Conversation
mentale
. - Le matin, quand elle se réveille, elle est a
a mort sans penser à se la donner. Elle présente de la conversation
mentale
très nette et la preuve que chez elle cette con
on mentale très nette et la preuve que chez elle cette conversation
mentale
se fait sur- tout à l'aide de représentations m
conversation mentale se fait sur- tout à l'aide de représentations
mentales
motrices c'est qu'elle arrive ainsi à se parler
cat 206 RECUEIL DE FAITS. portait le diagnostic de dégénérescence
mentale
, dépression mélan- colique. Elle est décédée da
ilité ; et comment elle manifeste le phénomène de la conversa- tion
mentale
. « Aujourd'hui, j'ai encore la tête plus lourde
J'y ai été franchement parce que je suis un âne.. , Conversation
mentale
. J'étais un sujet préparé contre les idées. Une
mme des voix inté- rieures. » (Elle n'a pas remarqué l'articulation
mentale
.) Elle n'a pas d'écho de la pensée non plus. c
e, Mél. Paq. semble avoir dès l'enfance donné des preuves d'un état
mental
spécial. Du côté affectif, elle trouvait le mon
ires, de ses actes même, incapable de. faire de nouvelles synthèses
mentales
à l'aide de ses nouvelles im-. pressions. Au
1 RECUEIL DE FAITS. très haut degré le phénomène de la conversation
mentale
à l'aide des images motrices, puisque la malade
t le malade et le mé- il. Séglas, loc. cit. . REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 217 decin sur le point de départ réel de l'hal
'elle est tout à fait en rapport avec le sujet de sa conversation
mentale
. Cette malade a été considérée comme ayant des'
e sujet aucune sensation précise. ' (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
VII. LE MYXOEDÈME ET sa FOLIE; par J. Cumming M
LE MYXOEDÈME ET sa FOLIE; par J. Cumming MACKENZIE. (The Journal of
mental
Science, juillet 1889.) Le myxoedème est de des
nternement actuel. Diagnostic : mélancolie avec agitation. Son état
mental
, après des hauts et des bas sans grande importa
gmente de poids, et cependant sa faiblesse augmente et les troubles
mentaux
restent très accusés. Eu avril la peau est froide
pâle, charnue, comme bouillie. Mastication 218 revue DE pathologie
mentale
. imparfaite; déglutition difficile surtout pour
e sensation de fatigue, et facilité à se fatiguer.. Au point de vue
mental
, on pourrait réunir les symptômes en trois grou
diverses phases c'est l'affaiblissement intellectuel et l'hébétude
mentale
.- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 219 Enfin il e
blissement intellectuel et l'hébétude mentale.- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 219 Enfin il est intéressant de remarquer que
es globules rouges. La lenteur des réponses parait due à l'hébétude
mentale
plutôt qu'au retard des sensations. La tempér
ou d'état épileptique; par IIAIIRINGTON SAINSDUIIG. (The Journal of
mental
Science, octobre 1889). , Discussion intéress
LYSIE GÉNÉRALE DES ALIÉNÉS; par Joseph Wiglesworth. (The Journal of
mental
Science, octobre 1889.) D'après les faits qu'il
cause appréciable, et qu'à cette lésion se joignent des symp- tômes
mentaux
plus ou moins obscurs, il y a probabilité de para
lie par Malhan RAW, dans le service de W.-C. BLAND. (The Journal of
mental
Science, octobre 1889.) Dans le cas dont il s'a
'un trouble de la vision et de fortes dou- 1220 REVUE DE pathologie
mentale
. leurs lombaires conduit à penser que la maladi
agnostic précis chez LES aliénés ; par llal7at1 RAN.(The Journal of
Mental
Science, octobre 1889.) Il s'agit d'uu cas d'
accusé DU MEURTRE DE sa SOEUR; par Geo. H. SAVAGE. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1889.) Le crime commis par c
XIII. Etude sur la STUPEUR; par James K. 'VHITwELL. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1889.) Nous devons nous borner
ur en donner une idée satisfaisante. R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 221 1 XIV. Sur L'ÉTUDE DES conditions DE DÉVEL
rébrale CHEZ LES enfants ; par Francis W,\R ! OER. (Tite Journal of
Mental
Science, octobre 1889.) L'auteur s'est proposé
des enfants, ainsi que leur puissance cérébrale tant phy- sique que
mentale
, et l'avantage qu'il y aurait à répandre parmi
. R. M. C. XV. Tentative DE SUICIDE; par URQUIIaRT. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1889.) Il s'agit d'un homme
IQUE, le 25 juillet 1889 ; par H. H.1YES NEwINGTON. (The Journal of
Mental
Science, octobre. 1889.) , , Comme la plupart
ortent à l'hospitalisation des cas récents et curables d'aliénation
mentale
. R. M. C, XV11. Cas DE FOLIE associée DES éta
états pathologiques intéressants ; par James RORIE. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1889.) Dans le premier cas, il
elui d'un malade atteint de manie aiguë qui 222 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ne tarda pas à devenir chronique : il succomba
ORTEILS (maladie de Raynaud) ; par J. M.1CPHERSON. (The Journal of
Mental
Science, avril 1889.) Chez ce malade, atteint d
la maladie, a fait totalement défaut. Les modifications de l'état
mental
(substitution d'un calme relatif accompagné d'un
éjà signalées; Raynaud avait lui-même insisté sur les modifications
mentales
que l'on observe en pareil cas, et avait indiqu
ETHLEM : observation de c a10 ; par R. PERcY-SMITH. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1889.) Observation curieuse d'
user pour régénérer l'Angleterre.. R. M. C. XX. Un cas DE STUPEUR
mentale
ou DE démence aiguë POST-FÉBRILE ; par John TUH
ou DE démence aiguë POST-FÉBRILE ; par John TUHNER. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1888.) ' Ce cas est celui d'un
ns suivantes : 1° adhérence de la pie-mère à la REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 223 couche corticale, au' niveau de la région
INQ MEMBRES D'UNE MÊME famille; par Oscar-T. WooDS. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1889.) . Il s'agit d'une fam
la paralysie générale DES aliénés; par John TURNER. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1889.) Ce travail, accompagn
été un peu supérieure à la normale; ou n'a 224 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. trouvé d'albumine que dans un très petit nombr
étranger DE L'OESOPHAGE; par E. Maziere COUIITENAY. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1889.) Ce cas est intéressant
rrondi comme une châtaigne a pu s'arrêter et se REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. - 225 5 fixer dans la situation qu'il occupait
mbarras de la parole; par HARRINGTON SAINSI3URd. - (Tlee Journal of
Mental
Science, janvier 1889.) Courte, mais intéressan
de chorée associée A la folie; par George P. COPE. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1888.) L'auteur relate longuem
du cerveau CHEZ LES imbéciles; par Fletciier Geacu. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1889.) Ce travail repose sur s
des aliénés au CAIRE EN 1888 ; par F.-M. SAXDWITU- (The Journal of
Mental
Science, janvier 1880.) Ce travail donne des re
i que sur les prin- ARCmvES, t. XXIII. 15 226 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. cipales maladies mentales qui y sont traitées
S, t. XXIII. 15 226 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. cipales maladies
mentales
qui y sont traitées et les divers person- nages
UTIVE aux opérations CH1RURGICALES; par C.-T. DENT. (The Journal of
Mental
science, avril 1889.) L'auteur pense que la fol
r, encore plus important, des troubles physiques, c'est la réaction
mentale
, trop souvent méconnue ou passée sous silence.
une dame qui avait subi deux opérations assez graves, les troubles
mentaux
ne firent leur apparition qu'au bout de deux mois
la folie, il y aurait lieu de tenir rigoureusement compte de l'état
mental
antérieur à l'opéra- tion. On peut accuser, - e
e la vie est sensiblement plus grave lorsque la REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 227 manie consécutive à l'opération revêt la f
s observés par lui. R. M. C. XXIX. SUR UNE forme rare d'affection
mentale
(G)'M6et<C/t<) ; par CoIVOLLY NORMAN. (Th
mentale (G)'M6et<C/t<) ; par CoIVOLLY NORMAN. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1888.) Il s'agit d'une affecti
ants ; elle a en effet pour trait principal une véritable obsession
mentale
, qui se traduit par la manie de ques- tionner e
la crise se termine et que le calme renaît, 238 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. lorsque la conviction d'être toujours bien con
iques soient toujours et fatalement des stigmates de dégénérescence
mentale
. Cela est exact pour bien des cas ; mais il en
médico-légal. Telles sont ces absences de cons- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 229 9 cience qui caractérisent l'état désigné
pas de règle chez les malades et ne seren- 230 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. contrent que chez ceux qui présentent le plus
ou permanent, peut se rencontrer souvent dans des cas d'aliénation
mentale
confirmée et peut même exister dès le début.
être méconnue, en particulier chez les aliénés, REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 231 sujets de la part desquels on ne peut trou
ations exactes de l'analgésie avec chacune des variétés de maladies
mentales
: tout au moins peut-on dire qu'on la rencontre
e. P. BLIV, XXXIII. L'activité psychique inconsciente EN pathologie
mentale
; par F. de Sarlo (Riu. sp. difren., t. XVII, fa
l, complète en quelque sorte les études 232 1-) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. récentes de M. Piene Janet sur l'automatisme p
ubjectives ou signification DE certains symptômes dans LES maladies
mentales
; par J. Draper. (Amel'ican jou1'11al of insanit
es phases initiales de la folie. ' Le début de beaucoup de troubles
mentaux
est dû à des épui- sements locaux de force nerv
ral, la dépression est la première preuve évidente de complications
mentales
, et plus tard les illusions marchent de concert
, avec PLUSIEURS observations; par Morgan FjNuc,iE. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1889.) " Le premier mérite d
' III. SUR l'emploi DU bain TURC dans LE traitement DES TROUBLES
mentaux
. (Notes fournies par une expérience de dix années
ar une expérience de dix années); par Robert BAKER. (The Journal of
mental
Science, juillet 1889.) ? L'auteur préconise l'em
. Notes sur L'EMPLOI du SULFONAL; par W.-R. WATSON. (The Journal of
mental
Science, juillet 1889.) Le sulfonal n'est certa
CIBRINE comme antipyrétique; par W. Julius MICELLE. (The Journal of
mental
Science, janvier 1889.) Les recherches de l'aut
T DES habitudes ALCOOLI- QUES ; par W. S. PLAYFAIR, (The Journal of
mental
Science, juil- let 1889. . Le traitement préc
. Séglas. IX. DE l'entraînement physique COMME MOYEN d'amélioration
mentale
; par le Dr Dey. (American journal of insanity,
aura comme résultat un réveil partiel et une stimulation du pouvoir
mental
et moral endormi. Après quelques variations sur
. M. SCHR.1DER (de Strasbourg). Des foyers d'inflammation expéri-
mentale
dans le cerveau des chiens et des pigeons. En ino
accompagnant de fièvre ou de paralysie des extrémités. Les facullés
mentales
disparaissent gra- duellement ; finalement la m
yroïde (trem- blement, hyperexcitabilité neuro-musculaire, troubles
mentaux
) il est ' Voir Archives de Neurologie, Revue an
s hésitent à provoquer la mise en liberté d'indi- vidus dont l'état
mental
leur parait suffisamment amélioré pour rendre i
a valeur diagnostique et pronostique; Le Secret Médical en médecine
mentale
; Les colonies d'aliénés. Un rapport sera fait s
Membre du Congrès sur des questions diverses touchant la méde- cine
mentale
; 3° Les visites aux hôpitaux de Blois, à l'ancien
884, l'observation d'un malade atteint d'instabilité et de débilité
mentales
avec perversion des ins- tincts, qui avait des
INTERCOLONL1L DE iIIELBOUBNEi par F. N. iILINNING. (The Journal of
mental
Science, juillet 1889.) 1 On trouve dans ce dis
ux statistiques, des renseignements intéressants sur l'aliéna- tion
mentale
et la psychiatrie dans les colonies anglaises. No
yal DES aliénés DE h10\TROSE; par James C. IIowDEN. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1889.) , Ce court mémoire, a
aliénés pauvres dans l'avenir ; par D. HACK- TUKE. (The Journal of
mental
Science, octobre 1889.) Etude intéressante et c
s EN DEHORS DES asiles EN Ecosse; par D. HACK-TuKE. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1889.) - Nous résumons ici,
ns sont-elles appliquées en ce qui concerne l'étude de l'aliénation
mentale
2 - Sans nier qu'il y ait, pour un praticien, ;
lus importantes que celles qui portent directement sur l'aliénation
mentale
, cette dernière * présente cependant un intérêt
anum (dose quotidienne quatre onces, en deux fois). (The journal of
mental
Science, jan- vier 1889.) Autobiographie inté
a Seine, que les asiles sont encombrés. - '1 .. DE l'aliénation
mentale
CHEZ LES GENS de. COULEUR aux états-unis; par A
ion de couleur de 6,580,793, on note, 6,157 aliénés. L'alié- nation
mentale
a donc continuellement progressé chez les gens de
ui a repris sa fille, Louise n'a donné aucun signe de dérange- ment
mental
... ' ' Elle travaillait comme une négresse. '
préfet de la Seine prescrivit immédiatement un examen des facultés
mentales
de la jeune fille. Le 14 septembre 1891, j'ai r
traitement et à une surveillance que le désordre de ses facultés
mentales
rendait absolument nécessaires, elle devait être
deuxième session du Congrès international de psychologie expéri-
mentale
se tiendra du 2 au 5 août prochain, à Londres, so
examen médical, il fut constaté qu'elle était atteinte d'aliénation
mentale
. En consé- quence, elle a été conduite à l'Hôpi
. Vol. XXIII. Mai 1892. Nu 69, ARCHIVES DE NEUROLOGIE- CLINIQUE
MENTALE
. SOMNAMBULISME SPONTANÉ DANS SES RAPPORTS . A
e dont il voyait l'état s'ag- ARCU1VES, t. XXIII. 19 290 CLINIQUE
mentale
. graver chaque jour; et me demanda de la prendr
llons retracer les caractères les plus manifestes. 292 ' ' clinique
mentale
. Après une demi-heure de sommeil, la jeune fill
se lève pour tout remettre en place, puis se couche à 294 CLINIQUE
MENTALE
. , côté de sa mère, et passe une excellente nui
lle se lève rapidement, se couvre d'un jupon, approche 296 CLINIQUE
MENTALE
. une chaise de sa table, et mange avec toutes l
it de leurs efforts, et ridiculisait très spirituelle- 298 CLINIQUE
MENTALE
. ment leurs personnes. Son médecin lui-même,- q
les crises, à cette différence près que ce sommeil ne 300 CLINIQUE
MENTALE
. durait jamais plus de cinq minutes, puis elle
elle, étant donné les mutations qui s'étaient produites dans l'état
mental
de cette jeune fille, chaque fois qu'un événeme
singularité de sa maladie; de lui répondre si elle lui 302 CLINIQUE
MENTALE
. disait qu'elle ne guérirait pas - qu'elle avai
e ces manifestations multiples dérivent de la grande 304 CLINIQUE
MENTALE
. névrose; et dire que : quelle que soit leur fo
tômes psychiques reposent sur un fonds spécial, la déséquilibration
mentale
. Les héréditaires dégénérés sont les seuls alié
ont les seuls aliénés chez les- quels se montre la déséquilibration
mentale
. Sur ce terrain spécial, se développent des épi
mprisonné pour avoir, poussé Archives, t. XXIII. DU 30() CLINIQUE
MENTALE
. par sa perversion sexuelle, volé des chemises
ritent de fixer l'attention. D'autre part, si ces dégénérescences
mentales
sont héréditaires, dans quelques circonstances
ets, on observe des cas d'arrêt de l'intelligence et de dégradation
mentale
analogues à l'idiotie, à l'imbécillité, à la dé
ation mentale analogues à l'idiotie, à l'imbécillité, à la débilité
mentale
et même à la déséquilibration de l'héréditaire.
blement poussé à compter et à recompter les fleurs, : 'iU8 CLINIQUE
MENTALE
. les lignes d'une tapisserie, et il eut la rech
ie d'avant en arrière. HÉRÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS. 309 310 CLINIQUE
MENTALE
. Le front est plat sur toute son étendue sauf d
s sont plus intéressants à étudier. Le fond est la déséquilibration
mentale
. Pour bien comprendre ce défaut d'équilibre des
étendue et c'est ce qui explique la multiplicité d'aspect de l'état
mental
de l'idiot, dont les aptitudes s'étendent se co
sur la zone des centres sensoriels et des instincts. 3t2 CLINIQUE
MENTALE
. Les physiologistes ne sont pas d'accord sur le
comme ils sont privés du contrôle et de l'action modé- 314 CLINIQUE
MENTALE
. ratrice des centres -supérieurs, ils se montre
éma de Mey- nert montre bien les différents temps d'une opération
mentale
très simple : l'image de la flamme d'une bougie
l'évolution progressive des facultés HÉRÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS. 315
mentales
aboutit à cet état de conscience qui nous perme
otre grand patriote, notre puissant orateur, quoique 316 ' CLINIQUE
MENTALE
. le poids du cerveau ne dépassât pas la moyenne
épileptique et avait des crises qui étaient suivies de 318 CLINIQUE
MENTALE
. délire et d'actes inconscients. Enfin, pendant
de même nature : le phénomène saillant est la déséqui- libration
mentale
. Chez des individus intelligents, érudits, acco
duite, elle est entrée dans uu' couvent. La mère est 320 CLINIQUE
MENTALE
. bien portante. L... aurait eu le carreau dans
presque entièrement effacées. Archives, t. XXIII. 21 322 CLINIQUE
MENTALE
. HÉRÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS. Quelquefois, il ne se
dans l'amphithéâtre de la clinique des études nouvelles sur l'état
mental
des hystériques qui venaient simplement conti-
s lui offrir. 'Messieurs, j'ai l'intention de vous parler de l'état
mental
de certains malades, mais il faut d'abord nous
dans les ouvrages de médecine,' on réunissait sous ce titre « étal
mental
du malade » quelques remarques plus ou moins gé
portable; des médecins doi- " vent étudier autre chose. Le mot état
mental
d'une malade » .doit désigner aujourd'hui pour
nutes au plus après le début des convulsions; la période de trouble
mental
ayant été extra- ordinairement courte, la malad
pas d'albuminurie, post- paroxystique. : . Deux jours de trouble
mental
consécutif aux accès. Une urine recueillie le 2
e en question est un phénomène clinique, faisant partie d'un état
mental
morbide connu, étudié et bien carac- térisé, et
risé, et qu'il n'a rien d'insolite au point de vue de la pathologie
mentale
. Il faut aussi tacher d'établir sa genèse, c'es
ion de Châteaudun de l'examiner et de faire un rapport sur son état
mental
. C'est ce rapport, légèrement modifié dans quelqu
s qui peuvent fournir des indications quant à l'étude de son état
mental
. Ensuite, je décrirai les symptômes présentés par
ossible, de la syphilis dans ses antécédents. - . Au point de vue
mental
, A... a toujours été normal. C'est ce qui resso
purgatif énergique. 17. L'agitation est beaucoup moins vive. L'état
mental
est redevenu ce qu'il était avant la crise de s
calme, la crise a avorté. On peut définir ainsi brièvement l'état
mental
actuel de A... : Dépression mélancolique légère
Quelques mots encore au sujet du diagnostic de l'accès d'aliénation
mentale
présenté par A.... Tout d'abord, mis en présenc
caractères distinctifs qui existent entre ces différentes maladies
mentales
et l'accès de délire mélancolique dont notre ma
les conclusions de mon rapport : 1° A... est atteint d'aliénation
mentale
(délire mé- lancolique). Il était déjà aliéné q
fut envoyé à l'asile de Bonneval, où il est en ce moment. Son état
mental
(leur février 1892) n'a encore subi aucune modi
L'observation détaillée d'A..., jointe à la connaissance de l'état
mental
réel de ce malade, ne peut, au contraire, que c
acquises aujourd'hui sur les impulsions homicides dans l'aliénation
mentale
. La pathologie mentale ne possède encore de bas
r les impulsions homicides dans l'aliénation mentale. La pathologie
mentale
ne possède encore de bases anatomo-pathologique
nos deux mélancoliques avec conscience, l'une a de la conversation
mentale
, l'autre a une voix de la conscience.-Sur nos d
avec dépression, l'une a une conver- 388 RECUEIL DE FAITS. sation
mentale
si accentuée qu'elle parle elle-même de voix in
ues ont toujours soit des voix intérieures, soit de la conversation
mentale
. Nous ferons remarquer seulement que l'état fai
le mal réside en lui, con- 1 Etudes sur les maladies cérébrales et
mentales
, p. 425. 392 RECUEIL DE FAITS. ' trairement a
olument rien. De plus, cette malade a maintenant de la conversation
mentale
très nette et elle cause toute seule « dans sa
fréquentes et constituer un des caractères importants de leur état
mental
avec lequel elles cadrent bien. - Elles peuvent
ons et des interprétations délirantes. D'une façon générale, l'état
mental
du mélancolique n'est pas propre au développeme
C PACHY3fÉNIN- GITE consécutive; par J,. W, PLUTON. (The Journal of
mental
Science, janvier 1889.) Les renseignements re
DANS L'EXPRESSION DE la PENSÉE; par Francis WARNER. (The Journal of
Mental
Science, avril 1889.) - Il est impossible de
S. (83). Remarque sur la quantité d'usure cérébrale dans l'action
mentale
. Le déploiement de l'intelligence ne dépend pas d
festations les plus précoces de la faculté d'expression de l'action
mentale
. La sensibilité graduellement croissante des ce
UR DE la glande pituitaire; par James-B ? VHITwELL. (The Journal of
mental
Science, juillet 1889.) Ces tumeurs sont rares
races d'hyperhémie récente. , Dans les autres formes d'aliénation
mentale
(folie périodique, épileptique, démence consécu
de la nouvelle loi définisse les aliénés dangereux et les maladies
mentales
ou à défaut de définition continue une énumératio
de voir les sept péchés capitaux transformés en autant de maladies
mentales
. En un mot, pour M. Charpentier, les séquestrat
s de ses collègues de considérer comme aliénés des gens dont l'étal
mental
ne justifierait pas la séquestration. J'admets
à ce qu'il soit en état de gagner sa vie, jusqu'à ce que ses forces
mentales
, sa vitalité intellectuelle, sans doute rétablis,
on dépend de la forme, du degré, de la période de leur perturbation
mentale
. La plupart d'entre eux augmentent de poids. Ce
te, paralysie des jambes. En dehors des crises, intégrité de l'état
mental
, l'enfant est rangé, affectueux, modeste. La guér
s d'hérédité, est, à l'âge de dix-huit ans, atteint d'une affection
mentale
caractérisée par : débilité mentale avec puéril
it ans, atteint d'une affection mentale caractérisée par : débilité
mentale
avec puérilité originale dans ses façons de par
nce horizontale du crâne s'est accrue de deux centimètres. L'état
mental
se résume ainsi : depuis l'âge de dix-huit ans se
, par un autre médecin, déclaré épileptique, et atteint de débilité
mentale
compliquée de dégénérescence morale. Une se pro
ées les maladies chroniques incurables, les affections nerveuses et
mentales
, avant de révéler leurs secrets. A cette époque
s qui affligent l'humanité, la plus cruelle de toutes, l'aliénation
mentale
, ne saurait être privée de ce bienfait. » Dès q
en Digard qui depuis quelque temps, donnait des signes d'aliénation
mentale
et terrorisait les habitants en tirant des coup
-au-Roi, s'est asphyxiée hier. Elle donnait des signes d'aliénation
mentale
. Elle 4â4 VARIA . se prétendait sorcière et c
es hommes de l'art, avaient très sérieusement oblitéré ses facultés
mentales
. A peine acquitté, il recommence à voler. Arrêt
rêté du 24 février.) Le Dr PACTET, chef de la clinique des maladies
mentales
à l'asile Sainte-Anne (1er novembre 1891), est
Brochure il-81 de 4 pages. New-York, 1892. Journal o/' zieruous and
mental
disease. KRAUSs. - Rhus aroznatica in the lreat
Brochure in-8° de 4 pages. New-York, 1892. Journal of nervous ond
mental
disease. KBAUSS. A neuro-topographical bust. Br
Brochure in-8° de 3 pages. New-York, 1892. Journal of nel'vous and
mental
disease. · L¡;FORT (A.). Le type criminel d'apr
-, par Warner, 22te * Entraînement physique dans les ma- ladies
mentales
, par Wey, 236. Epilepsie, psychique, par Ottole
par Bernhardt, 100. - Larynx, nerf du -, par Kagan,440. Maladies
mentales
, dans les maisons de correction, par Kuelm, 119
- gique, 237. Psychique, activité -, inconsciente en pathologie
mentale
, par Sarlo, 231. Pyramides, chez l'homme et l
NEUROLOGIE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
Fondée par J.-M. CIIARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIR
ECTION DE MJI. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNA
térisés par un affaiblissement progressif et continu des facultés
mentales
. La mémoire a beaucoup diminué, elle a même presq
ligents, les autres sont débiles et présentent de la dégénérescence
mentale
. Les enfants intelligents ne seront pas poussés
. Trois accès. 34 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ' REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 35 36 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. rose doub
LOGIQUE. ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 35 36 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. rose double. Les troubles pupillaires ont été
3 cas p. 100; ils peuvent se répartir ainsi : REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 37 Les autres troubles de la motilité ont été
observés dans la pro- portion suivante : 38 ' REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. un phénomène habituel et il n'a peut-être d'au
servations intéressantes de ces formes complexes de l'aliénation
mentale
. En tête des transformations du délire observées
ravité du pronostic du délire primitif. E. B. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 39 V. Un cas DE MOIIPIW¡OMA7'1]E; par M. Seiil
que ce soit une notion superflue pour la connaissance des maladies
mentales
. Il est des incorrections physiques, sans parle
- naissance des malades de l'esprit. E. B. 40 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. VII. Rapport des anomalies morphologiques avec
pport des anomalies morphologiques avec LES maladies NER- YEUSES ET
MENTALES
ENDOGÈNES; par SOMMER. (Ceiltralbl. f. Ner- ven
des troubles intellectuels fonctionnels endo- gènes eslla débilité
mentale
sans substratumanatomo-pathologique. - Mais on
é paternel tandis que le côté maternel, indemne de toute ano- malie
mentale
, leur a transmis l'anomalie morphologique; celle-
¡ 1 Archives de neurologie, t. XII, p. 88. z REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. - 41 malade écrit, il n'a ni images phonétique
'est impossible dans une maison d'aliénés. 42 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Observation D. Pendant un congé une femme a pu
6. Observation de délire du toucher dans le cours d'une confu- sion
mentale
secondaire. - Il est souvent difficile, dit M. Næ
non d'ob- sessions. P. K. X. Contribution A l'étude DES TROUBLES
mentaux
CHEZ LES dégénérés ; par 0. DORN13LUTII. (Allg.
u des hy popsychopathes. Leur histoire, le développement du trouble
mental
, le texte de leurs conceptions délirantes et leur
diotie; 2° l'imbécillité; 3° la démence consti- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 43 tutionnelle primitive, à laquelle il faut r
il se présente des signes de stase veineuse, 44 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. .d'ordinaire il y a augmentation de la densité
ses soeurs tout en louvoyant, quant à son appréciation de leur état
mental
: 2° exemples de transmission de conceptions dé
ter avec une femme. Cet homme a guéri.. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 45 XVI. SUR UNE sensation SUBJECTIVE de l'ouïe
artiellement. Il y a conversion totale ou partielle de l'irritation
mentale
, du traumatisme psychique, sur l'innervation motr
algré l'apparence heu- reuse du résultat psychique obtenu. Le rejet
mental
ou la défense mentale entraine des conséquences
reuse du résultat psychique obtenu. Le rejet mental ou la défense
mentale
entraine des conséquences névropathiques, mais à
disposition préalable. P. K. XVIII. DE l'hypnotisme ET DES troubles
mentaux
; par F. JOLLY. (Archiv. f. Psychiat., XXV, 3)
n à voir avec cet hypnotisme, a enfourché. z 46 REVUE DE pathologie
mentale
. Voici maintenant un autre point de vue : Vou
ux obsessions. Dans certains cas, l'idée origi- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 47 nale au lieu d'être remplacée par une idée,
Svlpétrière, 1895, n° 1. Communication faite au Congrès de médecine
mentale
de Clermont-Ferrand, 1894. L'auteur rappelle d'
constitue une maladie systématique affectant 48 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
.' tout le système sensitif cérébro-spinal, c'es
t prise de l'idée fixe de maigrir. Elle passait REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 49 des journées sans manger et avait des vomis
rganes du système ner- Archives, t. XXX. 4 50 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. veux dont la modalité arrive à la connaissance
de ce dernier. , P. KEnavaL. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. Etat
mental
DE S... Clément, accusé DE VOL ET DE VIOL. Etude
t vu alors " sont unanimes sur ce point. Sa femme exposant son état
mental
pendant les mois de juillet et d'août 1892, au
tc. Mais en l'étudiant attentivement on s'aperçoit que ses facultés
mentales
n'arrivent qu'à un niveau peu élevé. Notez qu'i
. Chez nous, nous dirions qu'il est atteint d'une certaine débilité
mentale
. Si S..., poursuit le Dr Sieraccini, était simp
Si S..., poursuit le Dr Sieraccini, était simplement un débile au
mental
, nous le considérerions comme un individu à respo
ours, du fait des accès antérieurs, plus ou moins d'affaiblissement
mental
et d'irritabilité anormale. C'est le cas de S..
ans un état raisonnant qui, pour lui, représente l'état d'équilibre
mental
. 2° S... était dans un accès aigu de sa manie p
ats ou délinquants, instruits de ce fait que beaucoup de ma- ladies
mentales
ou nerveuses peuvent ne pas se traduire au dehors
e névropathique hérédi- taire, chétive, misérable et d'une débilité
mentale
assez prononcée, contracte la syphilis huit ans
e, la motilité de la langue est demeurée intaete. Quelques troubles
mentaux
. Plus tard aphasie. Gâtisme. La nature de la lé
leur parenté phylogénétique avec la dégénérescence, des affections
mentales
? La réponse doit être affirmative. La caractér
d'instincts endogènes, sans cependant être atteints d'une affection
mentale
. Caractère criminel endogène et maladie psychiq
(de Tours) est décerné à M. HaNNION pour sa thèse sur la Confusion
mentale
. Une mention honorable est acc'ordée à la thèse
troversé qui, à aucun prix, ne doit être confondu avec les maladies
mentales
auxquelles l'hystérie peut s'associer mais sans
e la maladie. Paul Sérieux. II. ORIGINE ET progrès DE la médecine
mentale
; par le D' Régis. (The Alienist and Neurologist
.) , Historiqne intéressant des progrès accomplis par la médecine
mentale
depuis Hippocrate, son fondateur, jusqu'à la réfo
u accroissement DES cas DE folie; par D. HACK TUKE. (The Journal of
Mental
Science. Avril 1894.) L'auteur a fait sur ce po
diminulion dans la proportion qui existe entre les cas de faiblesse
mentale
chez les sujets au-dessous de vingt-cinq ans et l
-ELLE EN Amérique (Etats-Unis); par F.-B. SANEOItN. (The Journal of
Mental
Science. Avril 1894.) En s'appuyant sur des sta
rté à la Morgue aux fins d'autopsie. Quant à Julia Martin, son état
mental
va être soumis à l'examen de médecins aliénistes.
de l'asile d'aliénés de la Roclie-sur-Yon, L'appréciation de l'état
mental
des femmes qui commettent un crime au moment de
normale et présentant tout au plus quelques signes vagues d'un état
mental
peu caractérisé. En pareille occurrence certain
ur homicide transitoire et où la classer dans le cadre des maladies
mentales
? Nous ne connaissons aucun aliéniste ancien qu
comber à l'impulsion obsédante dans ce moment de désorien- tation
mentale
, de véritable affolement, qui accompagne chez c
on enfant nouveau-né ? Mais Tardieu ne connaissait pas les troubles
mentaux
de l'hystérie. Le terme de folie hystérique éta
Saulle', l, qu'en pareil cas, on est en droit de soupçonner l'état
mental
. En admettant avec l'auteur que nous venons de
ncontrer l'hérédité psycho- pathique accumulée et la dégénérescence
mentale
, véritable origine de cette bouffée délirante d
C'est alors qu'il nous commit pour procéder à l'examen de son état
mental
et dire si elle devait être considérés comme re
et très complet de l'inculpée, tant au point de vue physique que
mental
. Et d'abord Marie C..., bien que vivement émue et
accidents hystériques, des manifestations de la déséquili- bration
mentale
dont l'hystérie se complique d'une façon si fré-
1894; 3° Celte maladie a déterminé chez elle une déséquilibration
mentale
réelle dont il doit être tenu compte dans l'appré
e sang de ses règles. Nous observerons enfin que rien dans l'examen
mental
de l'inculpée ne nous a conduit à examiner l'hy
es ? Des études récentes ont bien mis en évidence cette indigence
mentale
des hystériques à stigmates. L'existence de l'ane
d'infanticide et nous tenions à l'indiquer. 1 Pierre Janet. Étal
mental
des hystériques ; les stigmates mentaux. Paris,
diquer. 1 Pierre Janet. Étal mental des hystériques ; les stigmates
mentaux
. Paris, 1892. THÉRAPEUTIQUE MÉDICO-PÉDAGOGIQU
ulsifs sont transformés le plus souvent en vertiges et en trouble
mental
avec obtusion intellectuelle profonde. On peut
des états de mal ou dans des périodes d'excitation ou de trouble
mental
consécutifs aux accès. Ces lavages ont paru produ
oliv... en particulier, à qui nous en avons fait pendant le trouble
mental
. Ce trouble a rapidement t disparu en quelques
restées pendant ces deux mois sans avoir d'agitation et de trouble
mental
, alors que la pre- mière était troublée d'ordin
ical Journal, 22 septembre 1894.) 1 A. Marie. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XXIII. Remarques sur deux cent cinquante cas d'
c seul 2 fois; les excès vénériens 9 fois; le surmenage physique ou
mental
, 9 fois. 3° Convulsions infantiles : notées 29
ie, la menstruation, le mariage, la mas- turbation et la dépression
mentale
. Sur les 250 malades observés, on trouve 138 ho
fois; forme mixte, 69 fois; petit mal, 34 fois; REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 157 haut mal avec épilepsie jacksonienne, 14 f
e jour exclusivement, et dans 20 cas exclusivement la nuit. 5° Etat
mental
: on a constaté dans 36 cas des troubles mentaux
nt la nuit. 5° Etat mental : on a constaté dans 36 cas des troubles
mentaux
caractérisés par de l'affaiblissement des facul
fait le malade de la cigarette. R. M.-C. 158 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. - XXV. Sur la mélancolie : analyse DE 730 cas;
ancolie : analyse DE 730 cas; parW.-F.FARQUIIARSON. (The Journal of
Mental
Science, avril 1894.) Les conclusions de cet im
endant la même période; 5 dans la majo- rité des cas, la dépression
mentale
s'accompagne tôt ou tard de délusions; les cas
moins une tentative; 7° dans un grand nombre de cas, la dépression
mentale
est associée à des lésions organiques bien nett
e proportion que s'accroit l'âge du sujet à l'apparition du trouble
mental
: toutefois, la guérison peut être obtenue, même
s un asile a une grande influence sur la terminaison de l'affection
mentale
: plus on met de promptitude à interner le mala
e est extrêmement variable : dans un très grand REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 159 nombre de cas, la guérison est obtenue en
ment apparente : dans les cas héréditaires, l'apparition du trouble
mental
est ordinairement plus précoce, les rechutes sont
physique; il est moins commun de lui trouver une origine morale ou
mentale
; 15° les indications essentielles du traitement
folie DE la ménopause; par E. GooDUaLL et M. CRAIG. (The Journal of
Mental
Science, avril 1894.) La folie apparaissant d'o
environ 3,5 p. 100 (20 p. 100 pour Krafft-Ebing). Les modifications
mentales
et les troubles somatiques qui accom- pagnent c
s troubles somatiques, qui sont bien connus, mais les modifications
mentales
peuvent se présenter sous des formes très diver
très variables. Sauf pour Krafft-Ebing qui 160 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. donne le premier rang aux hallucinations de l'
, ce qui donne une proportion de 55,8 p. 100. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 161 Au point de vue de l'état civil, les chiff
DE DU DÉVELOPPEMENT PHYSIQUE; par James Middlemiss. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1893.) Les cas de paralysie
e la vie : le trait le plus caractéristique a été l'affaiblissement
mental
à début insidieux et à progrès réguliers. L'éta
istait dans tous les Archives, t. XXX. il 162 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. cas une atrophie cérébrale très marquée. L'adh
er dans les cas de paralysie générale à forme lente avec excitation
mentale
modérée. R. DE MUSGRAVE CLAY. XXVIII. Un diag
II. Un diagnostic A faire; par REGINALD H. l\100TT. (The Journal of
mental
Science, janvier 1894.) Il s'agit d'un aliéné c
son entrée à Broadmoor, il présenta des signes évidents de trouble
mental
, des idées de richesse et plus tard de persécutio
ez les enfants et elle est plus fréquente qu'on REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 163 se l'imagine : dans la majorité des cas, e
l Il Il' ESl1lal'ch elE-seu furent tespre- 164 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. miers à attirer l'attention sur les rapports d
rs, les accidents ont disparu après la suppres- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 165 sion de toute boisson alcoolique. L'intérê
On doit considérer l'hébéphrénie comme un arrêt du développe- ment
mental
survenant au moment critique où l'individu commen
« délire aigu ». Le premier cas est très typique] pour la confusion
mentale
: fièvre très légère (37,7 a 38°,2), incohérence
rès lui, l'efficacité du traitement cardiaque, contre les accidents
mentaux
et tout en l'employant, ne pas formuler des pro
nce de l'affection psychique. M. Charpentier pense que les troubles
mentaux
liés aux affections 168 SOCIÉTÉS SAVANTES. du
roubles décrits relèvent de l'arthritis et non de la dégénérescence
mentale
. M. Voisin. Peut-être faut-il aussi faire inter
rédisposition et des causes dites occasionnelles, dans les maladies
mentales
. M. ToULOuzr étudie d'abord la prédisposition,
ique générale que l'on ne retrouve pas seulement dans la pathologie
mentale
, mais dans toute biologie et, on pour- rait dir
S DIVERS. 175 Les rapports importants du Dr Tuke avec le Journal of
Mental
Science, le rendirent capable de grands service
ich auf die makros- kopische Untersuchung beschrà,nkt. * CLINIQUE
MENTALE
. PSYCHOSES SUR UN FOND DE DÉGÉNÉRESCENCE MENT
kt. * CLINIQUE MENTALE. PSYCHOSES SUR UN FOND DE DÉGÉNÉRESCENCE
MENTALE
CHEZ LE VIEILLARD; Par le Dr TRÉNEL, Médecin
ndre parfois un âge avancé sans qu'aucun accident men- 202 CLINIQUE
MENTALE
. tal grave vienne attirer l'attention. Chez des
hercher avec soin les signes de désé- quilibration et les stigmates
mentaux
qui ont pu passer ina- perçus et qui, quelque a
is, n'en four- nissent pas moins l'explication de certains troubles
mentaux
chez le vieillard. C'est de cette façon que l'o
d'emblée, etc.) pour être valablement attribués à la dégénérescence
mentale
, peuvent être assez défigurés par l'affaiblisse
apparaître. L'une de nos malades a présenté les premiers symptômes
mentaux
à quatre-vingt-neuf ans, l'autre à quatre-vingt
donnant des dates exactes sans la moindre hésitation; 204 CLINIQUE
MENTALE
. elle exprime les idées les plus sensées sur le
, il y eut chez elle un dîner de famille, et qu'elle y 206 CLINIQUE
MENTALE
. a fait peut-être quelques excès de vin.) On va
n'a été traversée, semble-t-il au premier abord, par aucun accident
mental
. Même, l'intégrité actuelle des facultés paraît
d'exécution, fait qui n'est pas ici sans importance. 208 CLINIQUE
MENTALE
. Si nous ne nous attachons qu'à l'évolution mêm
qui rentre bien dans les formes se ratta- chant à la dégénérescence
mentale
. Nous ferons remarquer que ce sont les illusion
ire d'une deuxième malade, âgée aussi, chez qui la dégénérescence
mentale
se traduit tardivement encore par un syndrome cli
l'âge de soixante-dix-huit ans, on n'avait cons- taté aucun trouble
mental
, elle était intelligente, très sensée; sa mémoi
certain temps; la malade disait Archives, t. XXX. 14 210 CLINIQUE
MENTALE
. parfois : « Ah merci Catherine, Catherine est
91, en effet, notre malade, comme la précédente, z) 1 1 1) CLINIQUE
MENTALE
. était restée saine d'esprit ; aucun incident n
vienne, et cet élément nepeut être encore ici que la dégénérescence
mentale
. En l'absence de tout autre renseignement, la f
doute éliminer ici cette cause), d'autre part à la dégéné- rescence
mentale
,c'est bien là le délire d'emblée dans sa forme
n'avons invoqué, pour attribuer les accidents à la dégé- nérescence
mentale
, que la forme du délire, nous retrouvons d'autr
endredi, du 13, tous ces faits qui sont l'expression de la débilité
mentale
, atté- nuée il est vrai. - Ses antécédents héré
endant remarquer que sa fille ne paraît pas indemne au point de vue
mental
. - En somme, les données que nous possédons suf
que l'ont établi Pinel et Eequirol, ces rénovateurs de l'aliénation
mentale
et, plus récemment, Duclieune (de Boulogne) et
ante de la neuropathologie, il nous faut constater qu'en aliénation
mentale
l'organisation n'existe qu'à l'état d'é- bauche
, Messieurs, de vous exposer brièvement la question. L'aliénation
mentale
n'est qu'une partie de la pathologie céré- bral
voir un moment méconnu cette vérité fondamentale que l'aliénation
mentale
a été en quelque sorte distraite de la médecine,
de la médecine, de sorte que les médecins ont délaissé la- médecine
mentale
comme chose étrangère à leur art, et que, d'aut
e générale comme s'adressant à la matière, pendant que l'aliénation
mentale
était afférente à un principe immatériel, suiva
scission qu'elles avaient faite, entre la médecine et l'aliénation
mentale
, n'a pas encore disparu. Et, cependant, il suff
de rencontrer des médecins complètement étrangers à l'aliénation
mentale
et à la psychologie, c'est-à-dire à la partie ess
ce que pendant trop longtemps 218 SOCIÉTÉS SAVANTES. l'aliénation
mentale
n'a pas été enseignée officiellement, à ce que
ongtemps, comme aujourd'hui encore, les connaissances en aliénation
mentale
furent regardées comme une instruction de luxe.
iplôme de docteur sans avoir assisté à une seule leçon d'aliénation
mentale
, sans avoir examiné un seul aliéné. Et, cependant
que si, comme je le réclame, chaque médecin recevait en aliénation
mentale
la même instruction que dans les autres branche
e dans les autres branches de la médecine et étudiait la médecine
mentale
, non pas de façon à être un aliéniste rompu à tou
voix pour signaler l'insuffisance de l'enseignement de l'aliénation
mentale
. Qu'il me suffise de rappeler que le regretté p
On doit entendre, par psychoses de la vieillesse, les affections
mentales
qui se développent chez des individus arrivés au
culier la mélancolie simple et la mélancolie anxieuse; la confusion
mentale
; la manie; la folie morale; le délire systémati
est probable que la fréquence, chez les vieillards, de la confusion
mentale
est due a une auto-intoxication (urémie) ( ? ).
cès maniaque de certains intermittents. Ce qui caractérise cet état
mental
, c'est la surexcitation générale de toutes les
ent en spécu- lations ridicules. Telle est la physionomie de l'état
mental
du malade dont M. Cullerre rapporte l'observati
OCIÉTÉS SAVANTES. 239 malade du service de la Clinique des maladies
mentales
le trai- tement préconisé par Mikulicz (de Bres
, présentait outre les signes physiques de la maladie, des troubles
mentaux
caractérisés par des idées vagues d'empoison- n
ur du cou est resté le même, ainsi que le tremblement. Quant J'état
mental
et à l'agitation, ils n'ont présenté aucune mod
digestifs profonds, selles et urines bilieuses, etc.; enfin un état
mental
particulier tout à fait anormal. Je présente le
ives à l'épilepsie larvée : suivant les uns, cette sorte de trouble
mental
dont l'impulsion irrésistible est le caractère pr
concernent des faits dans lesquels un individu sujet à des troubles
mentaux
divers, ne fussent-ils d'ailleurs pas impulsifs
équence ou même disparaissent lorsque surviennent des perturbations
mentales
. 121l4 SOCIÉTÉS SAVANTES. Un autre argument d
lité : elle peut fort bien laisser à l'individu toute son intégrité
mentale
, la libre possession de lui- même et, par consé
faire intervenir dans un très grand nombre de cas la dégénérescence
mentale
. M. Voisin rapporte à l'appui de cette opinion
op court. M. Jules Voisin a dans son service une malade dont l'état
mental
reste quinze jours incompatible avec toute resp
iniquement et irréfutable- ment la nature .épileptique des troubles
mentaux
impulsifs ou autres. Il ne faut pas oublier qu'
ce genre ont été rattachés à la neurasthénie, il la dégénérescence
mentale
, et constituent ce que M. Régis a appelé la dro
fugue. Cela cadre-t-il avec l'idée que nous nous faisons de l'état
mental
des épileptiques ? Peut-être porte-t-on le diag
e touche pour la distinction de la nature hysté- rique des troubles
mentaux
et nerveux. Il estime, en effet, que les seuls
e dans les parties obscures caractérisant la plupart des affections
mentales
. Le monde savant applaudit à la conscience de v
éjà exprimé, il souhaite qu'un ensei- gnement officiel des maladies
mentales
, avec stage scolaire des étudiants, soit instit
e lamentent beaucoup sur leur situation, ont des accès de confusion
mentale
; ils se rapprochent plus des déments séniles qu
es propositions suivantes : 1° Feldmann est atteint d'une affection
mentale
(paranoïa) depuis 1881; 2° les affirmations des
sont bien soignés dans les bâtiments principaux. » (trie Journal of
mental
Science, juillet.) Depuis bien des années nou
ident, son peu de connaissance de là langue fran- çaise et «on état
mental
rendant l'interrogatoire difficile. Il n'aurait
a paralysie générale. Cette lacune s'explique sans doute par l'état
mental
du sujet et la difficulté qu'il éprouvait à s'e
uloureuses particulière- ment dans le territoire du cubital. L'état
mental
est affaibli, la crédulité est extrême, le cara
d'lrgyll-Rohertson ; il n'y a pas eu de paralysie oculaire. L'état
mental
et le caractère ne paraissent pas altérés. Ev
. Quelques signes de satisfaction attirent l'attention sur l'état
mental
; on constate des lacunes dans sa mémoire, une lég
des mains. Tous ces signes vont en s'accentuant rapidement; l'état
mental
tourne à l'hypocondrie avec délire triste et niai
m-veineuses, M. Paul SOLLIER (de Paris) décrit une forme d'anorexie
mentale
, primitive, spéciale, distincte de l'anorexie h
dans l'hystérie est plus tenace, l'amal- grissement rapide. L'état
mental
consiste en apathie aboulique et dégoût de la v
malade contracte la syphilis à l'âge de dix-neuf ans. Les troubles
mentaux
ont apparu vingt ans après et sont caractérisés p
de rémissions incomplètes de courte durée. A partir de 1890, l'état
mental
s'est transformé, et actuelle- ment la malade d
dans les asiles des aliénés transférés de la prison, et dont l'état
mental
avait été méconnu au moment de leur con- damnat
ants délits. Ces condamnations ne seraient pas prononcées si l'état
mental
de l'aliéné était reconnu à temps et le malade
ait important qui est la caractéristique psycho- physique de l'état
mental
affectif du paralytique général : la dou- leur
rate d'apocodérzie; par M. le Dr Toy, chef de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de Lyon. Il résulte de quarante-hu
prononcés des deux côtés du corps. Tel est le cas. Au point de vue
mental
, le diagnostic de « démence juvénile » nous sem
ariés, aluminium, nickel, argent. M. A. Marie. Remarques sur l'état
mental
de quelques séniles. A propos de trois cents sé
e ab miseria). Il s'attache à montrer l'extrême diversité des états
mentaux
catégorisés démence sénile : il étudie ainsi le
rs mois sont nécessaires au médecin expert appelé à juger de l'état
mental
d'un individu. Il est aussi absolument utile d'
maladie n'a donc aucune influence fâcheuse sur elle au point de vue
mental
. Comme cause déterminante de l'athétose, la mul
hystérie)... . lli. MABILLE (de l'asile de Lafond). - Torticolis
mental
chez un dégénéré héréditaire. MM. BR1 ? ND et
rentra finalement à Sainte-Anne avec un certificat de « débi- lité
mentale
». Il n'y resta que quelques jours. Une, nuit de
gue, habitant Sauveterre (Pyré- nées-Orientales), dont les facultés
mentales
laissaient beaucoup à désirer, avait trompé la
ntative de suicide; elles sont attribuées à un trouble des facultés
mentales
. (Petit Parisien, 31 août.) La nuit dernière, v
du hier dans sa grange, à la suite de pertes d'argent. Ses facultés
mentales
s'étaient affaiblies et il avait déjà tenté de
ité de nos confrères ne sait rien ou à peu près rien des mala- dies
mentales
. Sur quatre à cinq cents docteurs, reçus chaque
ranken. Springer. Berlin, 1893. ' H. Dagonet. Traité des maladies
mentales
. Paris, 1894. ' V. Krafïl-Ebing. Lehrbztch der
later (130-lGlr), qui a laissé d'importants tra- vaux de pathologie
mentale
, qui a défini et décrit l'idiotie, le crétinism
ca Medicina contient des vues exactes sur le pronostic des maladies
mentales
, sur la manie et la mélancolie', dis- ' Laehr.
de cet établissement : aussi 1 Marcé. Traité pratique des maladies
mentales
. Paris, 1862. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS EN ALLEMAG
vue de pourvoir à l'hospitalisation des sujets atteints de maladies
mentales
. En -170, d'après un règlement d'assistance pub
que l'on doit l'inauguration du trai- tement rationnel des maladies
mentales
dans des asiles spé- ciaux ; ils eurent aussi l
el en 1801, dans son Traité médico-philosophique sur l'aliénation
mentale
, traduit en allemand la même année par Wagner.
ravail devenu classique, sur le traitement psychique des maladies
mentales
. Il y trace une émouvante description de la condi
c Kaissler la publication d'une Revue de thérapeutique des maladies
mentales
. Dans ses Iihap- sodieen et dans son étude sur
tement x (/7e</a) ! a/<) pour les sujets atteints de maladies
mentales
curables. La renfermerie de fous fondée en 1791
abuser, ne furent plus employés qu'à titre 1 Esquirol. Des maladies
mentales
, t. II, p. 401. 1 En 1804, Glawnim directeur de
nisait à Leipzig et à Berlin l'enseignement clinique des maladies
mentales
, Nasse fondait à Bonn en 1818, une Revue pour les
ement. En 181, parut la première édition de son Traité des maladies
mentales
, réédité ensuite en 1861'. Grie- singer établit
r état le permet..., on les , 4 ' Griesinger. Traité des maladies
mentales
. 1861. Trad. franc. Paris, 1865. . 364 asiles
es, trop longtemps mécon- nues du traitement rationnel des maladies
mentales
. Pour donner satisfaction aux desiderata de la
desiderata de la science psychiatrique 1 J.-P. Falret. Des maladies
mentales
et des Asiles d'aliénés. Paris, 186'r. ! Moreau
chiffre aussi considérable ('100) d'aliénés. » (Traité des maladies
mentales
, p. 578). Un pavillon spécial était réservé aux
de la maladie, que dans la première. (Esquirol. Traité des maladies
mentales
, t. il, p. 'r01. Paris, 1838. 2 Il. Laehr. Forl
séquence la fonda- tion d'établissements de traitement des maladies
mentales
. Le principe des quartiers de surveillance cont
l) de jadis, mais bien des hôpitaux pour la guérison des maladies
mentales
. L'adoption du non-restraint, la réalisation de
et pour l'isolement et la surveil- lance de ceux auxquels leur état
mental
ne permettait pas de bénéficier de la vie en li
à la fois de véri- tables hôpitaux pour le traitement des maladies
mentales
, et des colonies pour la vie en liberté des suj
tiaires aux criminels devenus aliénés. L'enseignement des maladies
mentales
est actuellement assuré dans 19 universités par a
ersonnel de surveillance. Il existe 6 revues spéciales des maladies
mentales
et dix sociétés de psychiatrie. (Il. Laehr. nie l
le chloralose à la dose de 0 gr. 2 à 0 gr.4 agit dans les maladies
mentales
et nerveuses comme sédatif; à dose plus forte,
895.) E. B. VIII. SUR la chirurgie cérébrale dans LES aliénations
mentales
; par le Il René Semelaigne. Dans une étude d'
vue les divers cas d'intervenlion chirurgicale dans les aliénations
mentales
à l'étranger, car, en France, sauf excep- tions
u sang un apport insuffisant de matériaux nutritifs : les fonctions
mentales
com- mencent, en conséquence, à faiblir en même
on constate un certain degré d'irritation aussi bien musculaire que
mentale
; 2° à une seconde période, l'apport des matéria
ance d'une lésion orga- nique et qu'une classification des maladies
mentales
pourra être établie sur une base pathologique s
e trente cas observés par lui de 1879 à 1880, , REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 399 dans chacun desquels il y avait de la débi
HOLOGIE MENTALE. 399 dans chacun desquels il y avait de la débilité
mentale
à des degrés divers. Il se borne à indiquer aus
, alienist and 71eurologist, avril 1895.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XXXVIII. CARL WiLHELM IDELER ET SON rôle dans l
défendre la mémoire de son père contre les 400 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. reproches que Siemens adressait à sa doctrine,
paralysies générales dans les asiles d'aliénés. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 401 Les recherches antérieures de Baillarger d
ales pour cent admissions : TABLEAU I 402 '1) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. . En 1860 le rapport entre le nombre des paral
générale. De 1877, sur 253 admissions il y eut REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 403 13 cas, soit une proportion de 5,13 p. 100
une proportion de 22,70 p. 100. P. Sérieux. 404 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XL. Jean Wasilewttsch IV, surnommé LE Cruel. É
de l'immobilité réflexe des pupilles. P. K. 406 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 40 p. 100 d'entre eux mouraient après un séjou
s on pourra voir le délirant admettre que les épisodes de confusion
mentale
qui le prennent de temps à autre sont de la mal
ÉS SAVANTES. 409 19 abstinents. 25 à 30 p. 100 des cas d'aliénation
mentale
sont pro- voqués par l'alcool. Le traitement de
'une atrophie des fibres corticales. Pour ce qui est des affections
mentales
primaires, l'apparition des symptômes dits seco
De l'influence de la race sur la fréquence cl la forme des maladies
mentales
et nerveuses. 4 Dans le groupe de la race europ
ique se distingue par la prédisposition de ses membres aux maladies
mentales
; cette prédisposition ne peut s'ex- pliquer suf
cherches de l'auteur ont porté sur 99 femmes atteintes d'affections
mentales
chroniques, dont l'âge variait pour la plupart
traduit dans ses écrits d'une façon qui révèle un état de débilité
mentale
. - Enfin deux autres enfants partageaient le dé
vers les idées de grandeur et la démence. Immobilité. 2° Débilité
mentale
avec délire des perséculés-perséculeurs (le mar
cilement irritable. Mais rien ne montre l'existence d'une affection
mentale
. L'absence de mémoire constatée chez lui est si
simulation bizarre inventée par W....l'indice d'un état de débilité
mentale
. M. PELSIA1V.- Sans doute la vie deW... est ric
-psychologique mettait au concours la question suivante : De l'état
mental
et du délire chez les imbéciles et les idiots.
pagnée de diabète se ren- contre dans certaines formes d'aliénation
mentale
. Sa présence précède ou accompagne des accès de
réquent, elle n'apporte aucune modification dans l'état physique ou
mental
du malade. La durée de cette glycosurie est trè
es. Cette hypotoxicilé coïncidant avec une amé- lioration de l'état
mental
, l'auteur pense à une corrélation. Il s'appuie
cole de la Salpêtrière, notamment pour ce qui concerne les troubles
mentaux
multiples si singuliers qui accompagnent celte
ules et les genoux sont le siège de douleurs. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 461 De retour au régiment, au commencement de
igine influenzique que naguère il communiqua au Congrès de médecine
mentale
et de neurologie de Bordeaux. REVUE DE PATHOLOG
médecine mentale et de neurologie de Bordeaux. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XL VII. La psychose POJ.Y ? ÉVRITIQUE; par R.
ions morbides ayant provoqué la polynévrite. 4G REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Ces conditions morbides sont représentées par
presque instantanée, étendue à toutes les caté- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 463 gories de souvenirs, circonscrite aux acte
ion, délire; l'apparition d'une paralysie 4G'l- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. amyotrophique plus ou moins diffuse. Dans les
nts degrés des désordres psychiques. J. SLGL.U. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 465 1LVIIf. Un cas d'amnésie partielle continu
iques sur les fonc- Arciiives, t. XXX. 30 466 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. tions du système nerveux, dont le trouble maxi
ussi se présenter sous forme d'aura ou d'accès. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 467 L'aura rotatoire est presque toujours préc
sonnalité qui se produit dans tout accès de 468 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. folie. Alors que les malades, guéris d'un accè
rficiels ET PROFONDS comme moyen DE D1.\- gnostic dans LES maladies
mentales
; par AGOS'rlNl. (Riv. sp. di frein., t. 1, fasc
la folie hypocondriaque, hyperalgésie; rapidité REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 469 des réflexes cutanés et muqueux, exagérati
que s'applique en grande partie à l'origine 470 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. de la paranoïa; mais alors le cerveau des mala
qui est la cause de la folie, cette dernière n'étant qu'un symptôme
mental
de l'intoxication ,rémique aiguë ou chronique.
s. (Riv. sp. di fi-ci ? t. XX, fasc. Ill-IV.) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 471 L LXII. Les arcades SOUBCILIi : ftES ET LE
par plusieurs générations ont déterminé une 472 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. atrophie complète du sens moral : cet état de
llectuelle, d'idées hypocondriaques, d'irritabilité, de con- fusion
mentale
, d'amnésie, de cauchemars puis se développa brus-
age du ganglion et qui lui a paru être la caus- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 473 immédiate de la dégénérescence secondaire
ES sentiments ET LES passions dans LEURS rapports avec l'aliénation
mentale
; par le Dr H. Dagonet. Ramenant avec Henaudin l
assions viennent exercer non seulement pour développer l'aliénation
mentale
mais encore pour en déterminer la forme particu
es maladies men- tales, envisageant J'individu atteint d'aliénation
mentale
et au point de vue de l'altération de l'intelli
ssi la forme spéciale du délire. C'est ainsi qu'à côté des folies
mentales
et impulsives et de cer- taines formes de délir
ourraient de leur côté constituer une forme principale d'aliénation
mentale
. Si la classification des maladies mentales sem
principale d'aliénation mentale. Si la classification des maladies
mentales
semble difficile à mo- difier dans l'état actue
de déterminer nettement la forme particulière que revêt l'affection
mentale
. (Annales médico-psychologiques, août 1893.) E.
médico-psychologiques, août 1893.) E. B. 474 l1 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. LTI1. Considérations cliniques SUR l'étiologie
as, la démence précoce qui est la règle, semble, comme les troubles
mentaux
surajoutés, devoir être attribuée moins à l'épi
lie hébéphrénique, elle est capable aussi de provoquer des troubles
mentaux
chez des sujets adultes. La forme de folie ob
lie observée a élé dans un cas un délire mélan- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. j5 5 colique ; dans un autre un état d'excitat
Contracture et atrophie des muscles des extrémités droites. Niveau
mental
d'un enfant de deux ans. A seize ans on constate
omane. Rachitisme dans l'enfance. Instabilité et déséqui- libralion
mentales
; onanisme. Il y a trois ans, début des idées de
aussi l'alcool est-il le grand pourvoyeur du groupe des affections
mentales
. D'après M. Legrain, le tiers à peu près des ca
tales. D'après M. Legrain, le tiers à peu près des cas d'aliénation
mentale
survenant à Paris est imputable à l'alcool. Cel
a faculté d'avoir des enfants. L'accroissement des cas d'aliénation
mentale
a souvent été mis sur le compte de la fiévreuse
a- versées par un même pays. Ainsi il est prouvé que l'aliénation
mentale
est en forte diminution en Norwège depuis que la
t. scientif., 1890.) M. Ed. Toulouse, chef de clinique des maladies
mentales
de la Faculté de médecine, chargé par M. le pro
er l'importance de ce facteur étiologique surtout dans les maladies
mentales
, mais il est essentiel de ne pas tout rejeter sur
a mère pendant la gestation, etc., peuvent prédisposer aux troubles
mentaux
; que l'enfant, par l'édu- cation, les habitudes
et on classe parmi elles les passions et les émotions. La contagion
mentale
doit être rattachée à ce genre de causes et M.
aux maladies nerveuses donnant lieu dans leur cours à des troubles
mentaux
(goitre exoplUalmique, tabès, chorée, épi- leps
e déclare partisan d'un examen obligatoire portant sur les maladies
mentales
. Déjà dans les temps les plus reculés, Pythagore
décadence de la psychiatrie, l'ignorance où l'on était des maladies
mentales
, ont conduit aux pires errements et aux condamn
y- chiatrie. En faveur de l'enseignement obligatoire des maladies
mentales
, on peut encore invoquer les projets considérab
Thiers, qui donnait depuis quelque temps des signes d'aliéna- tion
mentale
, était prise, samedi, vers onze heures du soir, d
puis quelque temps, paraît-il, elle donnait des signes d'aliénation
mentale
. Cette femme vivait seule; elle paraissait être
avoir signé un certificat constatant le dérangement de ses facultés
mentales
et concluant à son internement dans un asile d'al
uire. (Le Petit Parisien, 19 septembre.) Dans un accès d'aliénation
mentale
, le premier-maître du tor- pilleur embarqué sur
ies. Rapports des mor- phologiques avec les maladies nerveuses et
mentales
endogènes par Sommer, 40. Anorexie hystérique
, par de Michèle, 475. Chirurgie cérébrale dans les aliéna- tions
mentales
par Semelaigne, 379. CIII.OR,\LOSf-. Effets h
GUItARIriE dans la tétanie par Hoche, 377. DécÉW nés. Troubles
mentaux
chez les ? par Dombluth, 42. Dégénérescence.
Bombarda, 38. Gliose cérébrale chez les par Tedeschi, 467. Etat
mental
de S... Clément par Sieraccmi, 51 . Faisceau
ention mé- I dicale en -, par Delmas, 336. Hypnotisme et troubles
mentaux
par Jolly, 45. Séances publiques d ? 429. H
ns. Contribution à l'étude des cérébrales, par Shaw, 398 Médecine
mentale
. Origine et pro- grès de la -, par Régis, 87.
eige, 91. PRÉDISPOSITIONS et causes occasion- nelles des maladies
mentales
par Toulouse, 168. Processus. Parallélisme de
criminelle, -par Som- ? 78, ose sur un fond de dégéné- /tescence
mentale
chez le vieillard - par Trenel, 201 ? de la vie
, par Liebmann, 417. Race. Influence de la . sur les 1 maladies
mentales
et nerveuses, par Buschan, il5. Raretés d'un
e la en plaques céré- bro-spinale, par Popoff, 387. Séniles. Etat
mental
de quelques par A. Marie, 334. Sensation. Tro
EC'IION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de médecine tle Paris. V. MAGN
Vol. VI. Juillet 1898. , N° 31 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. SUR UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE AV
, ' l'AR ¡ . A. JOFFROY, Professeur de clinique des maladies
mentales
. ET T Et. RAISAUD, ¡ Chef du laboratoire d'
oratoire d'analomic \ ' pathologique à la clinique des maladies *
mentales
. La question des rapports de la paralysie génér
nistes. Toulouse, 1897. Archives, 2e série, t. VI. t 2 CLINIQUE
MENTALE
. différente. Baillarger', un peu plus tard, abo
ple de Duchenne de Boulogne, s'attache à distinguer les symptômes
mentaux
du tabes de ceux de la paralysie générale, il n'h
médico-psychologiques, 1885.) ' Ibidem, p. 191. 1 4 z CLINIQUE
MENTALE
. quelques-unes de ses observations Cé soit ce d
bliée dans la Revue de Psy- clriïrtnie. juin 1S9S. 6 ' CLINIQUE
MENTALE
. Evolution de la maladie. Le 24 octobre 1894, o
sylviennes, ne présentent pas'de lésions apparentes. 8 CLINIQUE
MENTALE
.- ' grisâtre et paraissent présenter un certain
lement constituées; 1 Fi[/. 1. - Moelle lombaire. ) 10 CLINIQUE
MENTALE
. les fibres ne sont diminuées ni en nombre ni o
Fig. 3. Moelle dorsale. Fig. i. Moelle dorsale. 12 1. CLINIQUE
MENTALE
» , 1 .vers la périphérie de la moelle; mais ell
nt d'être question. Cette Pig. 3. - Moelle dorsale. 14 CLINIQUE
MENTALE
.. bande malade naît en avant presque immédiatem
t manifeste. FI ? 7. - Moelle cervicale supéie ure. 16 CLINIQUE
MENTALE
. Écorce cérébrale. L'examen des coupes de l'éco
n actuellement observée Archives, 2G série, t. M. 2 18 CLINIQUE
MENTALE
. avec celle du tabes dorsalis pour ce qui est d
nous pourrions dire que la maladie d'un neurone n'est 20 CLINIQUE
MENTALE
. pas appréciable à son début, lorsqu'il n'exist
é- rescences. (Archives de Neurologie, L896, no G.) 22 CLINIQUE
MENTALE
. d'invraisemblable à admettre que la lésion pui
merie spéciale du Dépôt. (Le Radical, 17 juin 1898.) PATHOLOGIE
MENTALE
. NOTES SUR LES IDÉES DE NEGATION; Par M. TRÉN
il. l'histoire du délire des négations. (l3zcll, de la Soc. de méd.
mentale
de Jlelgi'lue, 18\H.) Henry. Délire des néga- t
isé de négation (Revis ta di psicologia, I, f. 0;. 4 PATHOLOGIE
MENTALE
jours. Persistance de la mélancolie. Pas de tro
événements ont joué un rôle impor- tant dans la genèse des troubles
mentaux
et sous l'intluence de ces chagrins répétés, de
nne trop à manger. » Il existe un peu d'insomnie. 26 PATHOLOGIE
MENTALE
Depuis son entrée à l'asile elle est restée dan
nt plus) le premier degré de la perte de la vision et de l'audition
mentales
? Elle ne se représentait pas le bruit des mach
dées de négations portant sur la personnalité de la 28 PATHOLOGIE
MENTALE
malade et sur le uzmzd; extérieur : quelque* id
le-même un état semblable. Premier accès.- Les premiers accidents
mentaux
gravesontéclalé d'une façon subite. En août 18S
a plus rien, puisqu'il y a tout ? ... Vous écrivez 30 PATHOLOGIE
MENTALE
toujours. Comment pouvez-vous tenir un- porte-p
la malade devient loquace, va, vient sans motif, 32 li PATHOLOGIE
MENTALE
promène de tous côlés une petite malade, une dé
asymétrie faciale. Archives, 2e série, t. VI. 3 34 PATHOLOGIE
MENTALE
11 ? II... n'a reçu qu'une éducation élémentair
ion utérine et les préoccupa- tions de l'opération. Les symptômes
mentaux
ont éclaté deux mois après l'opération, qui ava
lui a fait aussi avaler des bêtes. Elle avoue que 36 'PATHOLOGIE
MENTALE
tout cela ne lui semblait pas ordinaire et que
'influence de ses hallucinations terrifiantes et se 38 PATHOLOGIE
MENTALE
- livraient à ce propos à la plus vive surveill
apparition des idées de négation a lieu, dès les premiers accidents
mentaux
; plusieurs détails donnent à notre cas un aspe
on ne le voit guère apparaître si vite. Ici les premiers troubles
mentaux
datent d'avril IS9; les prodromes consistent en
dica-psychologiques 1893, 1 p. p. 198), et en dehors de la débilité
mentale
qui ne paraît pas exister dans notre cas. En
les excès vénériens, l'abus de l'al- cool et du tabac, le surmenage
mental
. Il ne faut pourtant pas leur accorder trop d'i
mporter. Il ne faut pas croire non plus qu'on se remet d'un travail
mental
fatigant par des exer- cices corporels forcés,
a lieu d'appeler l'attention sur l'apparition précoce des troubles
mentaux
(état démentiel progressif) et les phénomènes d
, mais un tic. Et quel tic ? Non un tic bulbo-médullaire, ni un tic
mental
(ou psychique proprement dit), niais un tic pol
que l'autre. P. l3Er.L.Y. XVII. LE traitement médical du torticolis
mental
; par E. FEIaDEL. (Nouv. Iconogr. de la Salpétri
1897.) Le tic rotatoire de la tête appelé par Brissaud « torticolis
mental
» est le résultat d'un spasme toniclonique des
il en soit, devant la gravité reconnue du pronostic du torti- colis
mental
, l'auteur a élé amené à appliquer sur quatre mala
rieurs, encore le bassin ne se modifie-t-il guère. Au point de vue
mental
on note toujours au moins un bien-être, une satis
nt que le diagnos- tic exige la réunion des symptômes somatiques et
mentaux
, et de plus que ces symptômes ne sont pas quelc
e un facteur de paralysie géné- rale. 1 L'influence de l'hérédité
mentale
et nerveuse, sur laquelle les avis sont difféce
à son tour être appréciée. Pour MM. Mairet et Vires, cette hérédité
mentale
comprend « les cas dans lesquels on rencontre c
s on rencontre chez les ascendants des malades, soit une aliénation
mentale
, soit ces tares graves morales, comme des senti
fond générale- ment, au point de vue héréditaire, avec l'aliénation
mentale
, soit une des grandes névroses, épilepsie, hyst
pour l'hérédité tuberculeuse et qu'enfin la syphilis et l'hérédité
mentale
et nerveuse ont un rôle absolument nul. ' Abo
e de l'Ouest, donnant depuis longtemps déjà des signes d'aliénation
mentale
, était pris, hier dans la soirée, d'un accès de
perdu sa femme il y a quelques mois, avait été frappé d'aliénation
mentale
. Il s'était introduit dans la maison habitée pa
nts toxiques ? La question des auto-intoxications dans les maladies
mentales
n'est point assez avancée pour nous permettre d
s ses enfants, et qui ne présentait aucun signe de déséquilibration
mentale
avant le début de la ma- ladie qui l'amène à Ma
du service des hommes, appelé pendant un intérim à examiner l'état
mental
de celte malade, commençait ainsi son certifica
délire systématisé chronique, non associé à de la dégénérescence
mentale
, n'est actuellement incurable que parce que nous
avec soin. En Angleterre, notamment, J. Kean (in the Jour- nal of
mental
science) a observé 38 cas de fièvre typhoïde. I
vé avec soin dix ma- lades atteints de dothiénenterie grave. L'état
mental
n'a été modifié d'une façon certaine que pour d
-même qu'elle va très bien. Et de fait l'amélio- ration de son état
mental
persiste; le 18 septembre, la fièvre est tombée
- dente guérit, Mye B... se lève au mois d'août sans que son état
mental
ait jamais changé. Ainsi donc, dans l'observati
t, l'acte de se moucher. Ni douleurs, ni paresthésies, ni affection
mentale
. Ce tic occupe tout le facial, mais surtout la
trique ne fournit, quant à la curabilité par la compression instru-
mentale
, aucune indication, car il existe des cas dans le
ison étaient les plus grandes; ensuite, l'assimilation des maladies
mentales
aux autres maladies et leur traitement dans le
ent dans le même établissement contribuent à enlever à l'aliénation
mentale
son mauvais renom, dernier vestige de la croyan
ction des étudiants, il faut espérer qu'une cli- nique d'aliénation
mentale
sera annexée à chaque hôpital général, comme l'
année 1897; par le D1' Petrucci, directeur-médecin chef. - Médecine
mentale
a la campagne. Un cas de respiration de Cheyne-
D'' Voisin. Application de la suggestion hypnotique ci l'éducation
mentale
des enfants vicieux ou dégénérés ; par le Dr Bé-
dans une séance ultérieure, à en choisir quatre; une de pathologie
mentale
, ' une d'anatomie pathologique, une autre de th
ssistaient. Voici les questions qui ont élé adoptées : Pathologie
mentale
: Psychoses de la puberté; Anatomie patholo- gi
teur de Savigny- sur-Orge, avait été frappé subitement d'aliénation
mentale
il y a environ six mois. Il fut interné dans un
r à Sainl-Julien-de-Ralz. Roulet est sujet à des accès d'aliénation
mentale
. C'est pendant un moment de démence qu'il a tué
niacales; pas d'albumine. Consti- pation opiniâtre. Pas de troubles
mentaux
. Evolution de l'affection. Malgré le traitement
les ont été pro- noncées sur la nécessité de l'union de la médecine
mentale
et de la neuropathologie. Avec moins de talent
ombroso ; mais il est resté quelque chose qui relève de la médecine
mentale
et que nous connaissions depuis bien longtemps,
emps, c'est la détermination de la prédominance des dégénérescences
mentales
chez un très grand nombre de criminels. Ne crai
ura dans une observation sévère, analysé les symptômes d'un trouble
mental
, il pourra s'élever à la notion des mobiles qui
ion du médecin-expert dans les questions relatives à l'aliéna- tion
mentale
, est surtout de rattaclier l'acte incriminé à un
qui déjà trouvent, auprès du professeur de cli- nique des maladies
mentales
, un enseignement qui jadis nous manquait, fusse
a être contradictoire. SOCIÉTÉS SAVANTES. 207 . En aliénation
mentale
, il importe donc qu'on se prépare sérieu- semen
ui se senti- raient attirés vers la médecine légale de l'aliénation
mentale
. Qui mieux que nouspourrait dire les sombres dr
ise Paré et Schrcelter (1804) eussent déjà signalé que des troubles
mentaux
pouvaient survenir après les opérations, c'est
pendant l'année 1889, 1'illlebrown mentionne trois cas de troubles
mentaux
à la suite des opérations gynécolo- giques et G
la mélancolie anxieuse avec refus d'aliments et suicide, confusion
mentale
, délire halluci- natoire, délire aigu, délire d
la Société de médecine de Bordeaux, il s'agit d'un cas de confusion
mentale
avec dépression mélancolique, hallucinations ps
concernait, elle n'avait jamais présenté de symp- tômes nerveux ou
mentaux
, elle n'avait aucune frayeur de l'opé- ration e
s et principalement l'iodoforme peuvent aussi produire des troubles
mentaux
, Koenig, Krcemer, M. le P'' Berger et M. le D''
aitement ont été souvent [incomplets ou nuls. De plus, les troubles
mentaux
consécutifs à l'ovariotomie sont rares et ne sur-
tablement rapporter uniquement à l'auto-intoxication les trou- bles
mentaux
consécutifs à la castration ; il faudrait pour ce
e, dans lesquelles l'intervention seule peut engendrer les troubles
mentaux
, le rôle principal dans leur genèse revient d la
nt diurne lorsqu'il est intense. Il repose sur un fond de confusion
mentale
à laquelle viennent s'ajouter de l'exci- tation
communiquait les observations de trois malades atteints de troubles
mentaux
, liés disait-il, à une déviation de l'instinct
atteinte depuis plusieurs années d'une forme spéciale d'aliénation
mentale
qui s'appelle en psychiatrie « le délire raisonna
plus les rapports de la paralysie générale et de la dégénérescence
mentale
. Il s'agit d'un malade traité pendant plus d'un
s, l'alcool, les excès véné- riens, il s'arrête à la dégénérescence
mentale
présentée par le sujet à un si haut degré. On a
vingt-un ans, présente à partir d'octobre 1892 un état de confusion
mentale
auquel se joint un mois après, la faiblesse des
oglie et de fibrilles fines. Les auteurs insistent sur les troubles
mentaux
et sur la topogra- phie de la lésion. Le déli
point de vue- médico-légal. - M. Vallon étudie tous les troubles
mentaux
transitoires, tous les- états passagers d'alién
oubles mentaux transitoires, tous les- états passagers d'aliénation
mentale
, qui sont de nature à donner- lieu à une expert
légale. Il les classe ainsi : 1° vésanies transitoires; 2° troubles
mentaux
transitoires de la sphère émotive : émotions pa
es mentaux- liés à une intoxication : alcoolisme, etc.; 6° troubles
mentaux
liés- à une névrose : épilepsie, hystérie, neur
hystérie, neurasthénie, migraine oph- thalmique, etc.; 7° troubles
mentaux
liés à une affection des centres nerveux (traum
eux (traumatisme, lésion en foyer, etc., ou des nerfs); 8° troubles
mentaux
dans les maladies autres que celles du sys- tèm
ns les maladies autres que celles du sys- tème nerveux; 9° troubles
mentaux
liés à des troubles du sommeil : état intermédi
uestion, il trace la conduite- de l'expert dans les cas de troubles
mentaux
transitoires et arrive- enfin à exposer la faço
té atteint antérieure- ment d'un ou de plusieurs accès d'aliénation
mentale
. Ces faits- sont d'un autre ordre; ils appartie
ire l'objet d'un rapport spécial. J'avais déjà éliminé les troubles
mentaux
à début brusque, mais à. évolution durable. La
mitée 230 SOCIÉTÉS SAVANTES. à l'accès transitoiie d'aliénation
mentale
. L'hallucination mentale, , d'une façon général
VANTES. à l'accès transitoiie d'aliénation mentale. L'hallucination
mentale
, , d'une façon générale, peut donner lieu à exp
point de vue du droit criminel et du droit civil, mais les troubles
mentaux
transitoires, eux, ne sont guère de nature à de
elle, par exemple, que la contestation d'un testament, ces troubles
mentaux
, en effet, semblent acquérir en intensité ce qu
s. Si par un exceptionnel et heu- reux hasard la crise d'aliénation
mentale
, qui va n'être que passa- gère, n'a pas encore
t relative- ment simple : il consiste à reconnaître si les troubles
mentaux
sont réels ou simulés, c'est-à-dire, dans le ca
bien les caractères d'une des formes transitoires de l'alié- nation
mentale
ou s'ils n'en ont, au contraire, que l'apparence,
Dans l'immense majorité des cas, au moment de l'examen, le trouble
mental
qui a donné lieu à l'acte incriminé a disparu e
spécial, elles se réduisent, comme toujours en matière d'aliénalion
mentale
, à envisager parallèlement : 1° L'acte incrimin
nt. 2° Examen de l'inculpé. Il peut révéler, à défaut de troubles
mentaux
caractérisés, quelques vestiges, par exemple, une
que l'inculpé se trouvait héréditairement prédisposé à l'aliénation
mentale
. ' J'aborde maintenant un dernier point qui me
très petit nombre méritant d'être qualifiés d'états d'aliéna- tion
mentale
transitoire. Tous, sans exception, relevaient man
eption, relevaient manifes- tement soit d'un état de dégénérescence
mentale
, soit surtout de l'in- toxication alcoolique. E
nion. On admet donc en Allemagne qu'une forme au moins d'aliénatien
mentale
transitoire peut sur- venir en dehors de toute
Schwarzen, Kroeplin, Mendel, si j'admets sans réserve l'aliénation
mentale
transitoire, symptoma- tique de divers états mo
roduire un délire transi- toire même en dehors de la dégénérescence
mentale
ou héréditaire de l'épilepsie, des intoxication
ls doivent être traités en malades. SOCIÉTÉS SAVANTES. 235 cine
mentale
et de neurologie à Angers, j'ai été très flatté d
lement si en progrès. « Je salue M. Joffroy, professeur de médecine
mentale
de la Faculté de Paris, MM. Magnan de Sainte-An
, dans la matu- rité de votre talent, êtes la gloire de la médecine
mentale
et de la neuropathologie, vous jeunes gens qui
à des malades atteints de paralysie pseudo-bulbaires, de torticolis
mental
, d'acromégalie, de myxoedème avec ou sans troub
odifications dans le programme des études médicales, les mala- dies
mentales
étant absolument négligées, sacrifiées. Il sera
Il serait donc nécessaire qu'il existât une chaire de pathologie
mentale
dans toutes nos écoles de province; il serait uti
se de demander qu'on donne plus d'importance à l'étude des maladies
mentales
. Dans la même séance, M. IVIEIGE a fait une com
quatre ans après, elle était internée, présentant de la con- fusion
mentale
, de la sensiblerie, etc. A l'asile, elle eut des
ie, et aujourd'hui elle présente tous les stigmates psy- chiques et
mentaux
de cette névrose. Y a-t-il une relation entre l
e semble avoir eu aucune influence sur l'évolution de son affection
mentale
; et c'est surtout dans ses rêves actuels de cara
complétées que par quelques notes, les modifica- tions de leur état
mental
sont moins nombreuses et les rares guéri- sons
cation impossible, mêler ensemble toutes les formes de l'aliénation
mentale
, et cette confusion loin d'accroitre le bien-êt
lades, d'augmenter leurs chances de guérison, aggraverait leur état
mental
. M. Marandon de Montyel propose de supprimer da
avec soin par le service médical pour ne 'pas aggraver leur état
mental
, comme je l'ai vu arriver quelquefois. La liber
s la section des hommes, deux jeunes dégénérés atteints de débilité
mentale
, sans épilepsie, dont l'un est frappé d'hémiplé
ns en moins fré- quentes, à mesure que l'ancienneté de l'aliénation
mentale
aug- mente ; qu'au bout de quelques années, lor
ta. (La Ri forma Medica, vol. II. n" 61 à 65, 1894.) ' CLINIQUE
MENTALE
. TUBERCULOSE ET ALIENATION MENTALE CONTRIBUTI
ude complète de toutes les circonstances de début de l'aliénation
mentale
et l'intérêt du rapprochement des circonstances d
l'hôpital général de Nancy, service de M. le Pl' Spilmann. Son état
mental
est absolument normal. Elle entend dire un jour
brusquement, éclatent de violents maux de tête et de la con- fusion
mentale
avec anxiété. Les troubles intellectuels s'accent
ni le temps qu'elle a passé à l'hôpital, etc... Elle 286 CLINIQUE
MENTALE
. : refuse absolument de se nourrir et a besoin
e l'état physique et une modification favorable parallèle de l'état
mental
. M... arrive peu à peu à se rendre compte de sa
trop longtemps son attention, on détermine encore de la confusion
mentale
avec sensiblerie, un peu d'excitation cérébrale.
qui s'occupent d'elle avec sollicitude, TUBERCULOSE ET ALIÉNATION
MENTALE
. 287 N qui complètent le traitement physique
, à début brusque, absolument dans les mêmes conditions : confusion
mentale
avec anxiété et, de plus, hallucinations terrif
it déterminé une auto-intoxication, que semble accuser la confusion
mentale
anxieuse ou hallucina- 288 REVUE DE PATHOLOGI
images visuelles, auditives et autres. Ils examinent ensuite l'état
mental
particulier des aphasiques et leur capacité civ
intellectuelle s'accentue, il y a lieu- de l'attribuer à un trouble
mental
. La microcéphalie se reconnaît à des signes assez
agréable. , Dans la paralysie infantile d'origine cérébrale, l'état
mental
pré- sente des degrés divers en rapport avec l'
A. Marie. Archives, 2e série, t. VI. 21 t REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 1. TROUBLES psychiques I'oST-oIL`R.1TOIRES; pa
hallucinations terri- fiantes de la vue et de l'ouïe. Ce* troubles
mentaux
ont persisté sans modification appréciable jusq
ctuelle. » L'intervention chirurgicale, agis- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 323 saut sur ce terrain spécial, se compose de
e myxoedème post-opératoire. Si l'on a pu croire que les troubles
mentaux
sont plus fréquents dans les maladies chirurgical
ont les alcooliques, chez qui la fréquence et la forme des troubles
mentaux
, à l'occa- sion d'un traumatisme, d'une interve
lence, c'est-à-dire que certains rêves 324 il REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. constiLuraient de véritables équivalents de la
érive a les caractères des psycho- ses traumatiques ou des maladies
mentales
produites par l'épui- sement ; 2° en pénétrant
rvenant ici soit en plein repos, soit pendant REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 32S 5 le mouvement, soit à l'état de veille, s
un paralytique. G. D. V. LES opérations GYNÉCOLOGIQUES EN MÉDECINE
mentale
; par le Dr CuYLITS. (Bull. de la Soc. de médec
MÉDECINE mentale ; par le Dr CuYLITS. (Bull. de la Soc. de médecine
mentale
de Belgique, décembre 1897.) On sait que quel
souvent on constate chez les épileptiques de nos asiles un trouble
mental
; soit l'excitation maniaque, soit la religiosit
générale ; tandis que le reste de l'année se passe dans la torpeur
mentale
avec quelques signes de paralysie. 1859. Dès le
nt faire disparaître le danger et partant- rétablissent l'équilibre
mental
;, 3° Envies irrésistibles (Zwangssucht), le bi
issement des actes voulus, rétablis- sant immédiatement l'équilibre
mental
. C'est à cette dernière catégorie qu'appartienn
acclamation : 111111. Pierret, professeur de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de Lyon, médecin en chef de l'asil
s noms des rapporteurs qui ont accepté de les traiter. Pathologie
mentale
. Psychoses de la puberté. Rapporteur pour l'All
le depuis trois jours. Ce vieillard donnait des signes d'aliénation
mentale
. LES aliénés EN liberté « Hier, lisons-nous d
(Petit Parisien, 28 septembre.) GO)113.1ULT (G.). - De la confusion
mentale
. - Volume iu-8° de 117 pages. - Paris, 1898. -
Vol. VI. Novembre 1898. N° 35 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. HÉPATISME ET PSYCHOSES ; Par le D' A. CULLER
Le rôle de l'insuffisance hépatique dans l'étiologie des maladies
mentales
n'a jamais été entièrement méconnu, mais l'ince
ues ont souvent une Archives, 2° série, t. \'1. 23 354 CLINIQUE
mentale
. prédisposition héréditaire aux. troubles hépat
auto-intoxication d'origine hépatique dans l'étiologie des maladies
mentales
en géné- ral et de la folie des alcooliques en
patique une influence réelle dans la genèse de cer- taines maladies
mentales
1. Toutefois, dans beaucoup de cas, nous ne pou
il est permis de se demander si le trouble hépatique et le trouble
mental
, au lieu d'être subordonnés l'un à l'autre, ne
que 2 ». ' Klippel. - De l'insuffisance hépatique dans les maladies
mentales
. De la folie hépatique (Archives gén. de Méd.,
rrhoses, peuvent aussi intervenir dans la production des troubles
mentaux
. Nous citerons plus loin une observation de folie
ndérante, ou enfin accessoire. Comme presque toujours en aliénation
mentale
, la prédisposition héréditaire ou acquise préex
concurremment avec d'autres causes dans la pathogénie des troubles
mentaux
, pouvant entretenir et développer le délire, ou
et folie (Société de biologie, 30 juil- let 1892). 356 CLINIQUE
MENTALE
. délires des alcooliques surtout que l'on est a
le ou non, si commun chez les vieux urémiques, des cas de confusion
mentale
, des pseudo-paralysies générales, des mélancoli
n du foie paraît d'une importance telle que' sans elle, l'affection
mentale
n'existe- rait pas ; ce sont ces derniers qui c
la tuméfac- tion et la douleur. Il ne suffira pas que les troubles
mentaux
paraissent liés à ces manifestations hépatiques
hiques. ' Société méd. des hôpitaux, janvier 1896. 358 CLINIQUE
MENTALE
. - II. Notre première observation concerne un
mais sans idées délirantes au moins en apparence. 360 CLINIQUE
MENTALE
. 31. Malgré nos objurgations, et tout ce qu'on
ns soulever des questions intéressantes. Et tout d'abord la forme
mentale
, à l'encontre de ce que l'on eût pu attendre, n
int d'une façon constante, accusent nettement l'origine du désordre
mental
. Ce fait n'est pas pour surprendre. Il en est d
er lieu, et seulement quelques jours avant la mort, que l'affection
mentale
prit nettement l'aspect du délire confus termin
. M. Léopold Lévy a publié il y a deux ans, dans les 362 CLINIQUE
MENTALE
. ' Archives générales de médecine, l'observatio
allant du simple au composé et en remontant l'échelle des accidents
mentaux
d'origine alcoolique nous voyons que l'ivresse
ntivité qui suffi- rait à elle seule à le distinguer des confusions
mentales
d'autre origine. Par son action élective sur la
ool est essentiellement investi d'un pouvoir excito- 364 CLINIQUE
MENTALE
. délirant, nous dirions presque à l'inverse des
u de la tenir pour un progrès réel dans la séméiologie des maladies
mentales
? ' ? Le rêve à demi-conscient du buveur avec s
t de ses excès et il ne faut pas craindre de le dire : la confusion
mentale
du constipé, du convalescent de fièvre typhoïde
tion, tant la puissance perturbatrice de l'alcool, au point de vue
mental
, l'emporte, à notre avis, sur celle des intoxica-
re (astrophobie), achevèrent de jeter la perturbation dans son état
mental
et une violente crise maniaque éclata. La malad
qu'elle souffre souvent dans l'épaule droite. 24. L'amélioration
mentale
continue, mais il y a un grand affaissement phy
r normal. La lucidité revient de plus en plus, ainsi que l'activité
mentale
. La malade se plaint du régime qu'elle trouve i
vons la coïncidence d'un état de souffrance du foie et d'un trouble
mental
, ce dernier, consécutif et, en apparence tout a
que ce dernier conti- nue à évoluer après l'explosion des troubles
mentaux
et que nous assistons successivement, au cours
tons successivement, au cours de ces derniers, à une 368 CLINIQUE
MENTALE
. phase d'acholie, à l'envahissement de l'ictère
toutefois d'être com- plètement rayées des cadres de la pathologie
mentale
. Dans la pathologie du foie l'observation d'act
- Nous répugnons cependant à voir dans le cas présent un trouble
mental
sympathique ou réflexe. La nature de ce trouble
un trouble mental sympathique ou réflexe. La nature de ce trouble
mental
est-elle du moins de nature à nous éclairer et
les psychiques en question soient un cas de folie du type confusion
mentale
primitive. Nous avons bien de la stupeur, mais
les phénomènes généraux somatiques qui accom- pagnent la confusion
mentale
primitive font complètement défaut : l'état gén
gique, se serait établie à demeure sous le masque d'une stupidité
mentale
subcontinue. IV. Un fait digne d'intérêt est
lle accuse de faire Archives, 2e série, t. VI. 24 '370 CLINIQUE
MENTALE
. le mal, de se charger des péchés des autres, d
ence de l'ictère grave terminal a été absolument nulle sur l'état
mental
; aucune complication délirante n'est survenue de
uéri. L'accès actuel n'est donc qu'une recrudescence d'un trouble
mental
déjà ancien. Le malade est agité, avec désordre d
rait pas beaucoup augmentée de volume ; sa capsule 372 ) CLINIQUE
MENTALE
. est opaque, épaissie, recouverte d'une sorte d
ose de ce malade, ou tout au moins à la recrudescence des désordres
mentaux
qui nécessita la seconde séquestration; mais ce
e corp une faible teinte ictérique. Rien de particulier dans l'état
mental
, sauf de l'hébétude. Le 2 mars, pendant qu'on
feste les mêmes idées délirantes, sans que la physionomie de l'état
mental
soit en rien modifiée. 374 CLINIQUE MENTALE.
hysionomie de l'état mental soit en rien modifiée. 374 CLINIQUE
MENTALE
. 28 niai. -Décédée dans le plus complet marasme
s cette catégorie. De ce qu'un individu est atteint d'une aflection
mentale
il n'en résulte pas qu'il soit nécessairement p
aux lésions et aux troubles fonctionnels du- foie dans les maladies
mentales
. Dans la majorité des cas, le trouble hépatique
un état d'imminence morbide. Dans ces conditions, 376 PATHOLOGIE
MENTALE
. l'intervention d'une cause quelconque, physiqu
ous avons observés, nous n'avons jamais vu se superposer au trouble
mental
primitif de nouveaux phénomènes psychiques plus
de faire les frais de nouvelles réactions délirantes. PATHOLOGIE
MENTALE
. DU SENS TACTILE ÉTUDIÉ CHEZ LES MÊMES MALADES
ttre une constatation impossible pour celles que l'état physique ou
mental
des sujets ne nous permettait pas de réaliser c
Nous serons parfois fort embarrassé dans nos cita- 378 PATHOLOGIE
MENTALE
. lions, car souvent les auteurs réunissent ense
onet dans la nouvelle et récente édition de son Traité des maladies
mentales
? A cette ques- tion il répond que ces troubles
dre presque complètement. M. Régis a constaté à la 380 PATHOLOGIE
MENTALE
. période prodromique des anesthésies et des hyp
erre. - « La sensibilité, lisons-nous dans le Traité des maladies
mentales
de Schule, est toujours atteinte. Elle est peu tr
it réelle, soit seulement-apparente, due aux vives préoccu- pations
mentales
des sujets. A la seconde période il a souvent v
convulsions ; elle peut aussi survenir localement 382 PATHOLOGIE
MENTALE
. ou être disséminée çà et là, indépendamment de
us ou moins selon les phases de l'affection ; dans quelles formes
mentales
ce sens est le plus modifié et dans lesquelles il
atation exacte du tact chez les paralytiques par suite de leur état
mental
. Dans les phases initiales, c'est la violente a
v ! ique, ils sont restés à la phase initiale. 384 1 PATHOLOGIE
MENTALE
. Quoi qu'il en soit, nos 108 paralytiques ont d
ussi et par rapport au seul nombre des anormaux. 386 PATHOLOGIE
MENTALE
. Ces chiffres montrent clairement que les affai
ature des modifications d'après les nériodes : 388 . PATHOLOGIE
MENTALE
. de l'exagération et de l'affaiblissement aux d
rait-il un rapport entre les troubles du sens tactile et la variété
mentale
expansive, dépressive, mixte, démente ou en rém
ous avons subdivisé en conséquence chacune de ces quatre variétés
mentales
en deux autres selon l'attitude paisible ou sur
ajorité des cas, tout au moins comme le résultat d'une aberration
mentale
, et il est assez raisonnable d'admettre que les e
e de trente : deux ans, antécédents héréditaires inconnus, débilité
mentale
. Marié vingt- Archives, 2e série, t. VI. 26
ervir d'exemple à cet égard : Un homme de trente-sept ans, à état
mental
bizarre, surmené peut être intellectuellement,
intervalles lucides, dans les cas où les sphères intellectuelles et
mentales
de la vie des épileptiques restent non altérées
nt que des incidents, des épisodes survenus au cours de l'affection
mentale
dont les malades sont atteints. Les deux tiers
tion doit suivre d'aussi près que possible l'apparition des trouble
mentaux
. ' Pour réaliser ces internements précoces, il
nuée, l'auteur fait les remarques suivantes : 1° L'examen de l'état
mental
d'un criminel devant un grand nom- bre de perso
s plus approfondies soient t faites sur la dégénérescence et l'état
mental
des dégénérés. (Ame- j'ican journal of insanity
ge et dort bien, puis confesse au médecin qu'il a simulé un trouble
mental
pour quitter la prison; il raconte en riant tous
d; mais il avait simulé d'une façon si nette, si précise un trouble
mental
bien défini, que le médecin le maintint en obse
gico- gynécologique dans la NÉVROSE hystérique ET LES aliénations
mentales
; par ANGELUCCI et Pieraccini. (iliv. sp. di frela
les lésions de la thyroïde dans un grand nombre de cas de maladies
mentales
ne peuvent pas être considé- rées comme seconda
ance de lésion primitive dans certaines formes données d'aliénation
mentale
, soit que dans d'autres elle puisse être consid
puisse être considérée comme un fait secondaire, aggravant l'état
mental
, dans tous ces cas, si l'on soupçonne une fonctio
isan de l'origine toxique des psychoses en général, de la confusion
mentale
en particulier, l'auteur propose de les combattre
rapide : au bout de six se- maines à deux mois la santé physique et
mentale
semblait totale- ment revenue. Dans la pratique
éniste et surtout avoir grande expérience des maladies nerveuses et
mentales
. Dans beaucoup de prisons le médecin est appelé
et dans des services spéciaux de maladies nerveuses et d'aliénation
mentale
. Le médecin de prison, une fois nommé, devrait
au point de vue de son état psychologique, de ses parti- cularités
mentales
et tenu en observation régulière par le médecin :
nt leur peine atténuée ou seraient, en raison de leurs con- ditions
mentales
, placés ailleurs que dans une prison. Pour faci
pour intervenir utilement, aussi bien dans les cas où l'aliénation
mentale
vient d'être constatée, que là où l'on pourrait
inq minutes de réflexion ; 3° une épreuve clinique sur les maladies
mentales
: un seul malade. -IL sera accordé vingt minute
n après l'examen d'un aliéné, et un rapport sur un cas d'aliénation
mentale
. Il sera accordé au candidat quinze minutes pou
preuve elini- 4W BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. que sur les maladies
mentales
, à un seul malade, 20 points ; pour la deuxième
plète d'altérations des cellules nerveuses, delà substance fonda-
mentale
et des cellules névrogliques dans les cas d'encép
James Sully qui considère l'atten- tion « comme une simple activité
mentale
qui amène : \ sa plus grande intensité, à son a
s anatomiques n'est pas encore assez avancée. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. VI. Des convulsions COl\TICILES prolongées dan
scendantes, moins atteintes, par le processus REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 469 encéphalitique des circonvolutions frontal
ue cet accompagnement de mouvements tech- 470 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. niques est spécial aux mécaniciennes plus qu'a
ations, angoisses, vomituntions, vomissements, agitation, confusion
mentale
, dégoût de la vie, mais d'ordinaire, elle ne dure
la première fois, nous voyons ce qui suit : REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 471 I A cet égard, l'auteur a observé la paral
utres âges se iépartisseut comme suit : 472 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. la mélancolie; mais leur véritable étiologie é
oient bien assimilées. Il est dé- montré aujourd'hui que l'activité
mentale
est le résultat d'une connexion d'éléments cell
nion est qu'une interruption dans ces connexions produit un trouble
mental
. Nous connaissons la marche des excitations ner
t progresser et les recherches anatomo-patho- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 473 logiques des centres nerveux sont de plus
on en psychiatrie du principe d'après lesquels tous les symp- tômes
mentaux
résultent de lésions morbides analogues à celles
t inséparable dont les affections désignées sous le nom de maladies
mentales
ne forment seulement qu'une bien minime proport
à un traitement systématique conforme aux 474 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. habitudes des hôpitaux. L'extrême délicatesse
de la médecine aux étudiants de l'avenir, d'étudier les affections
mentales
pendant les cinq années que durent leurs études
le but de cette étude sera atteint. A. Blanc REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 475 5 X. Du réflexe patellaire étudié chez les
t contre le luxe, faisant brûler sur les. 476 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. routes tous les objets qui ne sauraient conven
en raison d'une dilatation d'estomac. - Toutes les deux ont un état
mental
de nature convulsive; seul le degré diffère. ;\
médico-psyclaologiques, janvier 1898.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
477 I XIII. 1.lTnOGLIrIE ET pronostic DU deliri
lté à cette allégalion : hallucinations 478 8 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. unilatérales de l'ouie. Il soutient celle absu
les peuvent également se produire dans d'autres formes de trou blés
mentaux
. 1'. Keraval. XVII. Epilepsie sénile; par P.-J.
que de la question de l'épilepsie en général. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 479 Deux observations d'épilepsie survenue apr
ts à sa disposition et ne pouvait en pro- 480 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. noncer que les voyelles, mais participait à la
. Il dit qu'il a. trouvé plus de stigmates de REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 481 dégénérescence chez les paralytiques, qu'i
me le dit Archives, 2e série, t. VI. 31 482 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. W. Roux, une espèce de lutte des deux partis o
. Jeune homme de vingt-six ans, d'assez bonne REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 483 constitution, d'une nutrition modérée. Mèr
mba et perdit connaissance momentanément. 484 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Aucune blessure, aucune trace de blessure, mai
ns LES cas DE dégénérescence physique ET d'arrêt DE développe- MENT
mental
avec llÉRIDITÉ PELLAGREUSE; par 11 ! 0RPURGO. (Ri
e celle de la sueur de sujets sains. J. SÉGL4S. L. Le calculateur
mental
Zaneboni, contribution A la PSYCIIO- LOGIE DES
sser de cause occasionnelle pour apparaître : elle comporte un état
mental
beaucoup plus accusé que la neurasthénie vraie ;
journal ou une revue spéciale traitant des maladies ner- veuses et
mentales
qu'offrir dans ses colonnes aux neurologistes e
Drames de l'- 271. Action de l'- sur la production des ma- ladies
mentales
, par liourneville, 527. i. ALCOOl JOUES. Douc
e du -, par Collins, 304. TABLE DES MATIÈRES. 533 Calculateur
mental
de Zaneboni, par Gui(,car(li et Ferrari, 194.
ique, par Meige, 245. - Opérai ions gynécologiques en mé- decmp
mentale
, par Cuylits, 325. OpnnI.1[OPLl'Con : nucléaire
D It NEUROLOGIE , REVUE MENSUELLE . DES MALADES NERVEUSES ET
MENTALES
FOND Itl PAR J.-lI. CIIARCOT 1`UISLIIsN SOUS
l'ION DR 1111. A. JOFFROY Piolesscur de clinique des ma1nùles
mentales
à la (-'acuité de médecine 'ie Pm is V. MAG
Vol. XVIII. Juillet 1904. N° 103. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
, , .' Médiumnité délirante; i. 1 . PAR - 1
e devant la Science. Archives, 2' série, t. XVIII. 1 2 CLINIQUE
mentale
. cation rationnelle et critique de leurs exploi
é. Pour en revenir aux rapports du spiritisme avec les trou- bles
mentaux
, dans la voie ouverte à la Société médico-psy-
» ? Quoi qu'il en soit, il semble pour l'instant, que ces troubles
mentaux
se présentent sous trois modalités différentes
ce délire, débutant et finissant avec lui. Dans ce cas, le trouble
mental
ne diffère de la médiumnité commune que par l'é
- sitoire entre un étal névropatique prodromique et une ma- ladie
mentale
confirmée ; ce dont notre second malade serait
er Allan Kardec dans le livie e des médiums, p. 310. , 4 CLINIQUE
MENTALE
. entraînement spirite préalable du sujet. Une s
r surla voie rapidement parcourue dans la suite de la désagrégation
mentale
. Notre première malade n'avait ja- mais pris pa
ialités médianénémi- ques diverses. Tables tournantes, typtolologie
mentale
intérieure, messages écrits et parlés, dessins,
uence sur la marche de ses Phénomènes dans la suite. 0 6 CLINIQUE
MENTALE
. '- Au printemps 1901, l'état nerveux du ménage
ée, des crises de larmes, une fatigue précoce et doulou- 8 CLINIQUE
MENTALE
. reuse au moindre effort, des troubles vasomote
part, grâce à l'instabilité psychasthénique de sa mémoire, l'image
mentale
de son mari s'est effacée, elle la reconstitue
pendant lesquels tout allait si bien qu'elle put faire 10 CLINIQUE
MENTALE
. venir sa fille auprès d'elle, Cam..., privée d
ais à l'arrivée de cette parente et avant de l'avoir 14 Il CLINIQUE
MENTALE
. vue, Cam... prétendit qu'elle avait vu la nuit
ssin médianimique accompagné d'un message. Ce graphique 16 CLINIQUE
MENTALE
. est constitué par un point noir, arrondi, très
I. 2 l'ig. - Dessin médianimique (novembre 1901). ,1,8 » CLINIQUE
MENTALE
. Tous les dessins de cette époque, combinaisons
ne la voit pas de la terre, elle est superbe d'éclat » 20 CLINIQUE
MENTALE
. par quelques mots seulement : « Fouet du gardi
médiatement après. MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 23 Fig. 7. 24 CLINIQUE
MENTALE
. « nement dans l'amonr appelé perfectionnement
âmes qu'on juge les hommes, non aux corps, seuls signes 26 CLINIQUE
MENTALE
. « distinctifs des races, les questions de race
d'eàu de Cologne qui heureusement ne fut pas administré. Typtologie
mentale
. Plusieurs des messages qui précèdent et notamm
et enfin,. chose plus intéressante, la typtologie devient purement
mentale
. C'est dans la tête, « dans la pensée », que le
mal aux jambes et de la diarrhée. Toute la matinée, la typtologie
mentale
a été très active sans qu'elle ait eu à se recuei
ée par des états toxémiques ; par W. HAMILTON Hall. (The Journal of
Mental
Science. Octobre 1903.) L'auteur soutient éne
gros qu'ils ne le sont en réalité. (Archives de médecine expéri-
mentale
et d'anat. patholog. 1895. 5.) L'auteur en fourni
). Femme épileptique internée depuis vingt-deux ans pour débilité
mentale
, mauvais penchants et impulsions violentes. Depui
nt aux excitations afférentes s'observent aussi dans les phénomènes
mentaux
(souve- nirs éveillés par associations d'idées)
llés par associations d'idées) et une excitation afférente purement
mentale
peut provoquer une attaque d'épilepsie. L'au- t
e la chirurgie cérébrale dans l'épilepsie et dans les défectuosités
mentales
congénitales; par William-D. Sprat- LING. (Tlae
conclut en disant qu'on ne connaît pas un seul cas de défectuosité
mentale
congénitale où l'intervention chirurgicale ait
tale congénitale où l'intervention chirurgicale ait rétabli un état
mental
normal. D'ailleurs l'inutilité de ces opéra- ti
ique, de phosphènes qui peuvent être le point de départ de troubles
mentaux
, pendant laquelle le malade perd toute vision d
ANTONNENT présente deux cas de goitre exophtalmique avec torticolis
mental
et psychasthénie. F. Baissier. SOCIÉTÉ D'HYPNOL
ate chez les idiots, les imbéciles, les sujets atteints de débilité
mentale
accentuée ou d'aliénation. La seconde est d'ord
que ce malheureux ne jouissait pas de la plénitude de ses facultés
mentales
. , D'où la nécessité d'hospitaliser tous les al
ant rue du Ruisseau, à Nancy, qui ne jouissait plus de ses facultés
mentales
, a tenté de tuer sa femme en lui portant un cou
et régulière dont t Archives, 2' série, t. xV111. 9 130 CLINIQUE
MENTALE
. a bénéficié notre malade dans ces derniers moi
on d'une maladie contagieuse et par conséquent évitable. CLINIQUE
MENTALE
. Médiumnité délirante 1 ; r PAR R PAUL SO
ômes, il arrêtera ainsi lui-même ses propres discours typtologiques
mentaux
par des injonctions psychomotrices. Plusieurs
épète à satiété dans sa tête irrésistiblement. C'est comme un appel
mental
qui l'obsède et se fait malgré elle vers quelqu'u
re elle condensait en style sentencieux pour com- /' 132 CLINIQUE
MENTALE
. poser son recueil de pensées. Ce manuscrit est
plir sa mission. Cam... s'est l'ait d'autre part une représentation
mentale
très nette de Deus : « Je me le figure, raconte
-même sans attendre seulement ma venue, car je demeure 134 CLINIQUE
MENTALE
. " « ici pour semer nos idées. Il me dit lui-mê
a cadence. Sa poésie fourmille de fautes semblables. 136 CLINIQUE
MENTALE
. ses travaux poétiques, elle l'appelle « sa mus
. Deus surtout t ne se laisse pas oublier, procédant par typtologie
mentale
quand il ne se manifeste pas autrement. Après u
s en employant même les termes et les menaces qui sont 138 CLINIQUE
MENTALE
. les nôtres. Au mois de janvier, par exemple, C
janvier, par exemple, Cam... écoute une manifestation en typtologie
mentale
de Deus ; et Deus lui-même tout à coup interrom
prendre à Cam..., pour contribuer à lui faire reprendre sa cohésion
mentale
, que cette voix conseillère était, en lui tenan
te cette évolution, la mémoire a suivi les fluctua- tions de l'état
mental
lui-même. Les souvenirs de tout ce qui s'était
nt tout reste dans l'ordre depuis juillet 1902. Cam... 140 CLINIQUE
MENTALE
. ne parle plus de faire tourner des tables, ell
raphe méca- nique et semi-mécanique, typteur à bascule et typteur
mental
. Elle a reçu des messages d'ordre privé, des révé
uivi dans sa longue convalescence, pendant laquelle se 142 CLINIQUE
MENTALE
. sont continuées ses manifestations médiumnique
o- mane. Bien que chez elle l'élément affectif rapproche son état
mental
de celui des mystiques purs, elle est aussi prè
édispositions à ces délires est étonnant quand on y 144 Il CLINIQUE
MENTALE
. regarde de près, beaucoup n'y glissent pas, ca
rès accessibles à un traitement moral bien dirigé. La désagrégation
mentale
est assez facilement com- battue par une vie ré
'après son coup de AncmvLS, 2« série, t. XVIII. 10 146 . CLINIQUE
MENTALE
. soleil, il devenait de plus en plus irrégulier
oup ; il lit longuement son livre d'heures et s'absorbe en oraisons
mentales
. Le lendemain il court plusieurs églises à la r
est la mort qui va l'atteindre. Dans la uuit l'esprit. 148 CLINIQUE
MENTALE
. de D... se manifeste et lui dit : «Laisse la l
sition entre son état de névrose antérieur, caractérisé ho CLINIQUE
MENTALE
. par ses grandes phobies ' et son délire vésani
. Il existe constant. ment à l'état normal et échappe à l'influence
mentale
du sujet. L'os n'a rien à voir en l'espèce puis
the scapulo-humeral reflexe of Bechterew il ! Journal of nerv. and
mental
disease mai 1901.) 111. Steiner répond : Vous a
intentionnel, parole lente et scandée, nys- tagmus) et de débilité
mentale
. La sclérose en plaques est très rare chez les
comment, chez cette femme impression- nable, l'intensité des images
mentales
, la faiblesse des facultés de critique et d'abs
. - Présidence de M. Brunet. , Aperçu médico-légal sur les troubles
mentaux
]Jost-tmumatiques. MM. Marie et VIOLET, à la su
i une centaine de cas de trauma- tismes crâniens suivis de troubles
mentaux
. Ils en tirent l'aperçu médico-légal suivant :
umatisés aliénés ' demanderont des indemnités au sujet des troubles
mentaux
consécutifs. Ces trou- bles peuvent être classé
de la loi. Incapacité immédiate et passagère de travail par trouble
mental
suivi de guérison. Incapacité passagère de trav
sure un traumatisme a déterminé ou hâté l'apparition , des troubles
mentaux
, et dans la pratique, ce problème se pose quelq
musculature de l'omoplate. 170 SOCIÉTÉS SAVANTES. Au point de vue
mental
et comme, conséquence de la préoccu- pation con
étro- céder ; , 2° L'influence exercée par l'obsession sur l'état
mental
: l'idée de suicide et les idées de négation se
, etc., et au début de la maladie on observe un état de con- fusion
mentale
. Un état stable et uniforme avec oubli et fausses
dans la psychose de MoxsAorl7 des accès, ressemblant à la confusion
mentale
pri- maire, ne contredit nullement l'indépendan
rogressif, est accompagné d'une déchéance très marquée des facultés
mentales
. Un tableau d'accès ressemblant, mais pas ident
ace dans la cure de l'alcoolisme il donne, avec une bonne direction
mentale
, la vigueur nécessaire au main- tien de la bonn
ngendre deux prévaricateurs. Samuel fut un dégénéré dont la formule
mentale
peut se résumer ainsi : Hypersuggestibilité, ve
UNis. - Je suis tout à fait d'avis que les manifestations du rythme
mental
dépendent de phénomènes organiques périodi- que
crises, à rendre sa sensibilité normale, à - corriger ses désordres
mentaux
; par surcroit, je m'applique à restaurer sa vo
teints de lésions cutanées : 196 PATHOLOGIE. indemmes de troubles
mentaux
, n'en a trouvé que 34 atteints de noevi. Le siè
le même malade. La proportion serait, par malade : . 202 CLINIQUE
MENTALE
. il concluait que la pathogénie de ces angiomes
leur nombre aug- menté dans les cas de maladie du foie. CLINIQUE
MENTALE
, La phobie du regard ; Par le Dr P. HARTENBER
rotéger leurs prunelles contre les regards d'autrui. , 204 CLINIQUE
MENTALE
. Tel est à peu près, à son degré d'intensité mo
rir de honte. Que n'avais-je lu alors le « Rouge et le 206 CLINIQUE
MENTALE
. Noir ». J'étais dans le même milieu que Julien
les regards fixés sur son visage qui lui sont les plus 208 CLINIQUE
MENTALE
. pénibles. Afin d'être moins aperçue, elle se p
elle-ci représente, en somme, une peur morbide, greffée sur un état
mental
de timidité, à la façon de la phobie de la roug
rénées. Les Conseils généraux sont les grands maîtres en aliénation
mentale
, au point de vue de l'organisation et de l'inst
psie, à la chorée, etc., etc. Dans le récent traité de pathologie
mentale
de M. Gilbert-Ballet, M. Arnaud distingue seule
s lieu, au contraire, de rayer définitivement du cadre des maladies
mentales
l'ancien groupe disparate et hétérogène des dém
catatoniques ne doit pas être cherchée ailleurs que dans le fonds
mental
sur lequel ils reposent : fond commun à toutes le
processus psychiques et l'affaiblissement progressif de la synthèse
mentale
. Il me resterait maintenant, pour compléter le
faite de ces mêmes signes dans quelques autres formes d'aliénation
mentale
, qu'ils sont plus nombreux et plus accusés dans
érale, a déclaré M. Magnan, est la . plus individuelle des maladies
mentales
. Nous avons dit, d'autre part, que, de notre en
infectieuse ne fait plus de doute pour personne, comme la confusion
mentale
et la psychose polynévritique (G. Ballet). Dans
Dans ces deux ordres de faits (psychose polynévritique et confusion
mentale
d'une part, démence précoce del'autre), on note
- tives et de les rattacher avec Kroepeliu au groupe des maladies
mentales
dues à une auto-intoxication. Après les considé
re ou consécutive à certaines psychoses, ilt-ce même à la confusion
mentale
(Régis), et par conséquent d'admettre la théori
nérale, aux folies toxiques, à la demence précoce, à la confu- sion
mentale
, etc, Sur 1.000 maniaques suivis pendant de longu
ccès délirants, diminués intellectuellement. Mais comme leur niveau
mental
, déjà faible congénitalement. était inconnu du
disparaître tout comme dans la paralysie générale, mais le. déficit
mental
sur lequel ils sont greffés est permanent et s'
ns les affections que nous venons de citer (imbé- cillité, débilité
mentale
, paralysie générale, etc.) et dans la paranoïa.
e, ne peut être que le fait d'un effacement progressif des images
mentales
et de la fixation isolée, automatique, de quelque
achsinn » qui signifie simplement : faiblesse d'esprit. En médecine
mentale
, plus peut-être encore que dans les autres bran
ompris les anciennes démences aiguës curables d'Esquirol (confusion
mentale
, stupidité, etc., que nous n'avons pu étudier i
pu étudier ici sous peine de passer en revue toute la pathologie
mentale
. Abstraction faite de ces démences aiguës, nous
indépendamment de toute autre manifestation morbide. Ces affections
mentales
, que l'on appelait jusqu'ici manie, mélancolie,
que l'on appelait jusqu'ici manie, mélancolie, stupeur, confusion
mentale
, voire même délire systématisé chronique, etc., b
démence précoce, et si la guérison se produit sans que les facultés
mentales
aient été amoindries, ce n'est même plus de la dé
émence précoce a actuellement con- quis droit de cité en pathologie
mentale
, et la discussion ne parait porter que sur les
éveloppement complet de l'individu et caractérisés, au point de vue
mental
, par des alternatives d'excitation maniaque et
cinq mois, n'a apporté que d'insignifiantes modifications a l'état
mental
. Les guérisons signalées résultent probablement
des des auteurs allemands, et doivent être rattachés à la confusion
mentale
, car, le plus souvent ces préten- dues formes d
matolyse légère) et les lésions que j'ai décrites dans la confusion
mentale
(tuméfaction, gonflement, modifications de la f
analogie histo-pathologiqne de la démence précoce avec la confusion
mentale
pour en déduire l'origine toxé- mique de la pre
fections. Fussent-elles même com- parables à celles de la confusion
mentale
, les lésions signalées par MM. Klippelet Lhermi
jet de la doctrine assurément trop am- plifiée de la dégénérescence
mentale
. Je suis donc tout prêt à lui enlever encore la
peut-on englober la démence précoce dans le groupe des confu- sions
mentales
. Les délires systématisés chroniques hallucinat
u dogme qui a déjà tous les défauts de celui de la dégénérescence
mentale
, qu'il attaque. MM. Colin, Pactet (de Villejuif)
pt ans, enfant assistée, conduite à l'asile d'aliénés pour troubles
mentaux
, caractérisés par du mutisme, de la sitiophobie
cécité est rare dans la paralysie générale confirmée avec troubles
mentaux
marqués, mais les troubles légers de la vision
té a été assez fréquemment signalée avant l'apparition des troubles
mentaux
de la paralysie générale progressive. B) Pour c
roubles tabétiques minimes, mais très fréquemment aussi de troubles
mentaux
minimes tout à fait ana- logues à ceux du début
si bien considérée comme une cécité « paralytique » si les troubles
mentaux
minimes de la méningo-encéphalite diffuse légèr
né qui a com- mis un crime ou un délit sous l'influence de son état
mental
et qui, pour ce motif, a été reconnu irresponsa
né dangereux difficile, vicieux, dépravé, est un aliéné dont l'état
mental
fait courir aux aliénés avec lesquels il est en
. - c. Etant donné les imperfections de pas mal d'asiles départe-
mentaux
, un devoir étroit s'impose. C'est la réforme comp
ayant commis un crime avant ou après l'apparition de leurs troubles
mentaux
. La question de la mise en liberté de ces malad
en font l'abus. M. Mabille croit qu'il conviendrait, en aliénation
mentale
, de ne pas trop négliger ce facteur étiologique t
? t<Mca<t'( ? t physique appliquée au traitement des maladies
mentales
. Le Dr PHILIPPE Tissié. - Après avoir obtenu de
t pas rendre des services dans le traitement de quelques maladies
mentales
surtout chez les adolescents. M. Tissié s'appui
é de leur état et aussi qu'ils ne présentent pas encore de troubles
mentaux
accentués que le dispensaire anti-llcoolique de
n'est pas applicable aux idiots ni aux enfants atteints de débilité
mentale
accentuée. Nous considérons que dans l'applicat
me contribution à l'étude des rapports du diabète avec les troubles
mentaux
, les auteurs insistent sur l'importance de la r
ailleurs que grâce à une prédisposition délirante (dégénéres- cence
mentale
). Le point de départ de l'infection est naturel
ent, n'est pas douteuse ; elle a sa raison d'être dans un même état
mental
; les mêmes principes de discipline psycho-motr
nombre des aliénés reflète pour une part ces progrès de la science
mentale
, qui ne sont pas étrangers à l'aug- mentation p
Phtisiques. Elude analomo-clinique. M. E. DUPRÉ. (de Paris). L'état
mental
des tuberculeux a déjà fait l'objet d'études no
s l'histoire d'un cas dans lequel l'observation- clinique de l'état
mental
ayant été suivie de l'étude histologique de l'é
péni- ble contraste qui existe entre les manifestations de cet état
mental
et la douloureuse réalité des choses. Le malade
us cette forme chez les tuberculeux qui n'ont pas pré- senté d'état
mental
particulier (Nissl.) Cet état mental, d'ordre d
n'ont pas pré- senté d'état mental particulier (Nissl.) Cet état
mental
, d'ordre démentiel, se rapproche par ses carac-
rce qu'elle établit claire- ment le substratum anatomique de l'état
mental
si spécial de cer- tains phtisiques dans les lé
pporteur : Sicard (de Paris) ; La úalnéothémpie dans les maladies
mentales
. Rapporteur : Paiuias (d'Albi). , BIBLIOGRAPHIE
mie, la psychologie du système nerveux, la patho- logie nerveuse et
mentale
. La composition de ces tables bibliographiques,
ue, conte- nant l'indication de' méthodes utiles pour la pathologie
mentale
, et des articles de Larguier sur la mémoire, de
ysiologie du système nerveux à Fredericq, la pathologie nerveuse et
mentale
à Grasset, Pitres, Simon, l'anthropologie 3 Dén
ces aux méde- cins. J. D. IL Les enfants anormaux au point de vue
mental
; leur traitement et leur éducation ; par G. E.
a classification pathologique des diverses formes de défec- tuosité
mentale
, qui nous conduit à l'étiologie, au diagnostic et
Vol. XVIII..Octobre 1904. N° 106. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. Obsessions et vie sexuelle; P\n LE D' E. MAR
s l'intéressant chapitre qu'il a écrit pour le Traité de pathologie
mentale
de M. Gilbert Ballet. Il m'a semblé qu'il ne se
nstaté dans notre Archives, 2' série, t. XVIII. 19 290 . CLINIQUE
mentale
. pays, et de faire connaître ce 'que nous-même
ns corporelles étaient en honneur, mais son père avait 292 CLINIQUE
mentale
. défendu de les lui appliquer. Au premier camar
ainsi pendant cinq ans. A trente-deux ans, X... dut 294 , CLINIQUE
mentale
. - changer de résidence, et se séparer de ses d
qu'avec une entière franchise sur mes questions, il me 296 CLINIQUE
mentale
. fournit tous les détails que j'ai rapportés. S
ection de son collègue dont le souvenir ne l'avait pas 298 CLINIQUE
MENTALE
. quitté, et il comprit qu'il avait eu tort ; à
, une colonie intertropicale. Dès son arrivée sous les 300 CLINIQUE
MENTALE
. tropiques, son incontinence nocturne d'urine c
l'objet de son fétichisme. Chez Y..., retenu par la honte, l'image
mentale
a toujours suffi ; cependant il faut ajouter qu
l couvrait de baisers et léchait un de ses pieds. Y... 302 CLINIQUE
MENTALE
. ne songea plus à changer, et durant trois mois
me disant que bien que peu versé dans la connaissance des maladies
mentales
et nerveuses, qu'il ne pratiquait pas, sa clien
uait pas, sa clientèle étant exclusivement de Médecine 304 CLINIQUE
MENTALE
. ordinaire, il avait compris mes raisons, qu'il
et ensuite à leurs compagnes, et ils ne cachent rien. PATHOLOGIE
MENTALE
CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE l'Université DE MOSCO
contenu des pro- Archives, 2' série, t. XVIII. 20 306 . CLINIQUE
MENTALE
. cessus obsédants; secondement, cela dépend aus
s sont prédominants et où on ne peut parler d'aucun autre trouble
mental
. Outre les états obsédants essentiels, exis- te
de telles phrases qui contredisaient tout à. fait, sa. 308 CLINIQUE
MENTALE
. manière de voir. Les idées obsessives sacrilèg
forme hallucinatoire des obsessions morbides ; mais il 310 CLINIQUE
MENTALE
. n'y avait point ici d'illusions ou d'hallucina
entrulbl., XXI, 1902.) Une demoiselle de quarante-trois ans, débile
mentale
, mais jusque-là vigoureuse et bien portante, es
ce genre ainsi que ces anomalies elles-mêmes. Sur 112 affec- tions
mentales
diverses on en a rencontré 85. Voir le tableau
onscience consécutif à l'attaque congestive et de l'affaiblissement
mental
. Elle doit tenir aux lésions du lobe pariétal,
foetal (figure à l'appui). P. KERAVAL.. Lit. Influence de l'état
mental
des parents sur là formation du sexe de leurs e
ici intervient la complexité du système nerveux et du développement
mental
. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQU
ctivité psychique interne. Et celle exagération de l'auto- activité
mentale
est l'état du système nerveux qui constitue la co
es différents individus, au prorata des particularités de leur état
mental
et des conditions de leur existence ordinaire.
que et assez souvent aussi chez l'hystérique, il se produit un état
mental
particulier pendant lequel, tout en restant maî
celles de la myélite aiguë. , P. KERAVAL. XXXIII. Des affections
mentales
et nerveuses à la période secon- daire de la sy
ns, caractérisées par : de l'exci- tation maniaque, de la confusion
mentale
avec stupeur et cata- tonie, une paralysie faci
s du diagnostic des troubles syphilitiques de la sphère nerveuse et
mentale
. P. Keraval. XXXIV. De l'ataxie cérébelleuse [a
ve. Ce symptôme est la suite ou l'escorte de certaines pertubations
mentales
de l'état hystérique dont la nature est pour no
ale. - ici. Elles se montrent aussi dans le cours d'autres maladies
mentales
et nerveuses; on ne les observe qu'exceptionnel
ire, et, tout en étant modérément douée, sem- blant jouir d'un état
mental
normal jusqu'alors. L'âge constitue une rareté
la base des enveloppes du crâne. P. Keraval. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. I. Manie transitoire alcoolique; par E.-N. Iwa
iens. Notons qu'il s'agit d'une fillette de 352 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. dix-huit ans, non réglée, malade depuis quatre
es comme des éclairs, tandis que les mouvements REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 353 choréiques sont beaucoup plus lents. Ce n'
et de Archives, 2' série, t. XV111. ' 23 351 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. simultanéité des contractions. L'absence des r
l'auteur annonce un résultat étonnant du trional dans la confusion
mentale
aiguë primitive ou délire général hallucinatoir
ni l'intestin. Mais ce n'est pas un spécifique de quelque affection
mentale
: il faut pour que la substance agisse que la p
nts physiques suggestifs de crétinisme sporadique ; au point de vue
mental
il était brillant et intelligent. Avant que le
onfondus. Le malade ne présentait aucun des caractères physiques ou
mentaux
du crétinisme spora- dique la forme infantile d
s chirurgicalement. 2° Des rapports du paludisme et de l'aliénation
mentale
. BIBLIOGRAPHIE. 361 3° Contribution à l'étude
l, à l'infirmerie spéciale pour le faire exa- miner au point de vue
mentale
. (Le Journal.) Un fou mystique. - Depuis quelqu
nier, 18, rue des Panoyaux, présentait quelques signes d'aliénation
mentale
, prétendant à qui voulait l'entendre, qu'il éta
. Le transport à longue distance des militaires frappés d'accidents
mentaux
pré- sente, en effet, de tristes inconvénients,
Cette malheureuse ne jouissait pas de la plénitude de ses facultés
mentales
. (Semeur de l'Oise, 14 septembre 1904). Pari mo
cependant de bromure de potassium avant d'arriver à l'aliénation
mentale
. Chez de tels malades nous avons obtenu des résul
les troubles sensitifs. G. D. LX.TXVII. Hémimélie et dégénérescence
mentale
; par 1.. LAnUELLE. (ltlcll. de la Soc. de rr.êd
nérescence mentale; par 1.. LAnUELLE. (ltlcll. de la Soc. de rr.êd.
mentale
de Belgique, juin 1902.) Il s'agit d'un homme d
ues. d'aliénés de Volières un séjour d'un mois pour une affection
mentale
aiguë et qui présentait depuis sa naissance une a
réalité venait d'être amputée du bras. La coexistence de désordres
mentaux
et de malformations physiques attribuables à un
pas à rattacher à une dégénérescence acquise ab utero les troubles
mentaux
et les anomalies physiques de son malade. G. D.
ermination de centres viscéraux, etc.) G. DENY. revue DE pathologie
mentale
. 407 LXXXIX. Les syndromes solaires expérimenta
'état normal qu'à l'état pathologique. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. IV. Les psychoses des vagabonds; par K. WILMAN
vingt-deux n'avaient jusqu'ici subi aucune 408 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. z condamnation correctionnelle. L'ivrognerie a
au vagabondage que l'épilepsie, par l'intermédiaire de la débilité
mentale
, des fréquents accès convul- sifs ou syndromes
une démente précoce de vingt et un ans chez qui REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 409 chaque épisode d'exaltation psychique ? él
du cervelet, dans la paralysie générale, dans les névroses, vertige
mental
, vertige de Ménière, névrose d'angoisse, goitre
subjectives de l'angoisse : respiratoire, car- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 411 diaque et pulmonaire, semblent indiquer qu
s lésions somatiques qui peuvent la déterminer. M. H. IX. L'image
mentale
morbide ; par VASCRIDE et Vorpas. (Revue de méd
Les auteurs font ressortir dans cet article l'influence de l'image
mentale
dans l'éclosion du délire des malades classés com
l'éclosion du délire des malades classés comme dégé- nérés. L'image
mentale
peut avoir une intensité telle qu'elle s'impose
uels et aussi dans les délires propres aux dégénérés. Cette image
mentale
doit sa physionomie morbide à sa sponta- néité
eut s'im- planter avec son allure spéciale au milieu d'une activité
mentale
, qui peut rester par ailleurs très bien ordonné
(Revue de médecine. Décembre 1902.) M. H. 412 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XI. La craniométrie chez les aliénés; par 1.-
nés, et qu'on dressât la statistique céphalol11é- trique par formes
mentales
, tailles, sexes, âges, poids, etc. . P. Ki,nV.4
ession ne vienne qu'à propos de cette pratique. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 413 11 ne s'est pas amélioré néanmoins, car l'
un terrain particulièrement favorable au développemen t de troubles
mentaux
. Ceux-ci, caractérises par des hallucinations a
estime qu'il y a là une grosse erreur et à 414 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. l'appui de son opinion il rapporte trois cas d
olo- gique autonome; par le Dr SOUHI1ANOF. L'auteur décrit l'état
mental
des sujets obsédés. Il étudie les rapports de c
nte observation d'un héréditaire présentant à la fois : la débilité
mentale
, l'hystérie, la neurasthénie avec gastropathie et
. (Revue neurologique, septembre 1903.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 415 XVIII. Tics des lèvres, cheilophagie et ch
a cheilophagie. Ces habitudes vicieuses peuvent avoir une origine
mentale
ainsi que le prouve l'observation, rapportée dans
ompte rendu de Bicêtre pour 1902, p. 206. 416 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Discussion : Erb signale l'importance de la
al n'a pas d'action sensible sur les Européens. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 4)7 7 L'action de l'alcool sur ces derniers ne
s. G. D. Archives, 2' série, t. XVIII. 27 418 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XXII. Aperçus et démonstrations sur la folie m
tial, prédomine au niveau du centre du langage. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 419 D'autre part le changement obtenu par l'as
ce chez les jeunes gens i par le Dr MEims (Bull. de la Soc. de méd.
mentale
de Belgique, 1902, nos 104, 105 et 106.) . Et
lectuels et catatonie; par le Dr PEETERS. (Bulf. de la Soc. de méd.
mentale
de Belgique, juin 1902.) L'observation qui fait
sitifs caractéristiques de cette affection. 420 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Malgré ces considérations et bien que les trou
HOLOGIE MENTALE. Malgré ces considérations et bien que les troubles
mentaux
offerts par le malade correspondent assez bien
érations sur la catatonie ; par J. CRocQ. (Bull. de la Soc. de méd.
mentale
de Belgique, juin 1902.) Après un exposé histor
es les plus variés ». G. D. XXVII. La prédisposition en étiologie
mentale
; par le Dr Maras- DON DE MONTYEL (Journ. de Ne
econde, lorsqu'elle est héréditaire, se mani- - REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 421 festerait toujours par une exaltation des
ion simple suivant qu'elle est acquise (manie, hypémanie, confusion
mentale
et leurs variétés) ou héréditaire (folie interm
rations sur l'ampliation des ventricules latéraux dans les maladies
mentales
; par le Dr Marchand (Journ. de Neu- rologie, 1
avabo, et il s'en aperçoit aus- sitôt. t. De l'examen matériel et
mental
du sujet, l'auteur conclut à l'apraxie motrice
il faut sans délai satisfaire aux conclusions en faveur de l'examen
mental
d'un prévenu. » M. Hoche pense que ces préten
que ces prétentions ne tendent à rien moins, dans les cas où l'état
mental
est douteux, qu'à transformer le mé- decin expe
ico-légaux; par les Drs LEKTZ et de l3ce. (Bull. de la Suc. de méd.
mentale
de Belgique, 1902. n° 106.) VI. Organisation d'
Belgique, 1902. n° 106.) VI. Organisation d'un service de médecine
mentale
dans les pri- sons ; par le Dr E. 11ASOIN. (Jou
e. Lorsque la conduite d'un détenu donne lieu de suspecter son état
mental
, le directeur de la prison en avertit le médecin
onnaires etles aliénés; par le Dr BEESAU. (Bull. de la Soc. de méd.
mentale
de Belgique, juin 1902.) Cet appareil se distin
nt l'existence constatée de toutes ces variétés dans les infirmités
mentales
, et la détermina- tion de leur curabilité, qui
son avis, c'était un alcoolique invétéré, can- didat à l'aliénation
mentale
. Au cours des polémiques que la sé- questration
de-Médecine. Prix : 4 fr. IiruLrlni`u (F.). Expérimental sludies in
mental
cleficie7zcy. I ! r8^ de JU pages. (Américain J
Motet dans son article Pyromanie du Dictionnaire Jaccoud. L'état
mental
des incendiaires est, en effet, tout spécial. L
nel. Ce fait a une très grande importapce pour expli- quer son état
mental
.'Elle a trois soeurs âgées de neuf'ans, six ans
nt et qui, réunis, constituent la symptomatologie d'une affection
mentale
. Bien que soumise à une force qui opprimait sa
e du fait de sa lourde hérédité mor- bide un état de dégénérescence
mentale
caractérisé par des stig- mates physiques, la f
acteur anémie est venu jouer un rôle dans la rupture de l'équilibre
mental
de la jeune prédisposée. ASILES D'ALIÉNÉS.
e, mange seul, Tous ses actes sont lents partie à cause de son état
mental
, partie à cause de sa paralysie. Les notions us
ade reste avec son idiotie ou son imbécillité, ou son arriération
mentale
et son hémiplégie. Maintes fois, tant à la Sa
tavisme; par J. 1VOLAN (Clinicnl and palholog. Notes, in Journal of
Mental
Science, janv. 1904, p 69). U.C..., âgé de qu
voisinage de ses organes génitaux. L'examen relatif à ses facultés
mentales
avait aussi un résultat presque négatif. On ne
part, un accroissement de poids accompagne l'amélioration de l'état
mental
. ' Simon, ', REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. LI
éditaire - s'était tou- jours montré normal au point du physique et
mental
est pris tout à coup de troubles qui proviennen
al est pris tout à coup de troubles qui proviennent de la confusion
mentale
. Cet accès guérit, un deuxième se produit un an
prisons ; -, -influence calmante du luxe ; 502 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. les clôtures entretiennent les idées d'évasion
ancoliques, même de la démence précoce. Smox. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XXIX. L'alcoolisme en Bretagne; par Ducrest DE
ural. Arythmie. Mort. A l'autopsie, lésions mé- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 503 ningo-corticales de la paralysie générale.
générescence nerveusé dans la paralysie générale et autres maladies
mentales
; par Isador Il. ComnL, Journal of Insanity, I,
nature, de ce qu'on sait actuellement de la 804 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. chimie des dégénérescences nerveuses, à la foi
es en revue sont les suivantes : Folie pella- - REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 505 greuse (Warpocke). La syphilis comme cause
conséquence d'une intoxication préexistante). - Pre- miers troubles
mentaux
(leur traitement dans les hôpitaux géné- raux,
times. Rôle de la primiparité, etc. 2° Epoque de début des troubles
mentaux
, et forme de l'aliéna- tion selon celle-ci. Pas
les vésaniques chroniques, je ne suis pas de son avis. La confusion
mentale
a été appelée au début démence aiguë. Il est di
ne comprends pas le gâtisme comme un signe de démence. La confusion
mentale
est souvent le seul symptôme invoqué pour faire
ns étrangler le malade ? M. DOUTREBENTE. - C'est vrai. Puérilisme
mental
guéri par suggestion. M. LEROY présente l'obser
? J'ai soigné un peintre déco- rateur atteint d'accès de confusion
mentale
; il sortait complète- ment de son état de confu
exige la pleine possession de soi-même. VARIA. 513 La suggestion
mentale
et les rayons Blondlot, par M. NAOUM KOTIK (d'O
A. Manzoni,' dans Ses Fiancés, a décrit avec un grand soin l'état
mental
des foules durant les émeutes. Nous croyons int
ées, aux pratiques mystérieuses de l'hypnotisme et de la suggession
mentale
, pratiques dans lesquelles il avait obtenu, il
de santé excellente jadis ont vu leur état général physiologique et
mental
pérécliteretlamort même' les atteindre après av
ontribution à la pathologie des -- toxiques par Alter, 151. Des -
mentales
et nerveuses à la période secon- daire de la
ires, par Négel, 65. Lésions du dans quelques formes d'aliénation
mentale
, pai Bri- dier. 486. Chéilophagie. Voir Tics.
Education physique. L ? appli- quée au traitement des maladies
mentales
, par Tissié, 263. Electricité statique Les prin
s âgés, par Pfister, 399. Entants Anormaux. Les au point de vue
mental
; leur traite- ment et leur éducation, par Shut-
tats de la chirurgie cérébrale dans l'- et dans les défectuosités
mentales
congéni- tales, par W. Spratling, 73. Trai- t
? par Flatau, 347. IIÉwnÉme. Voir Phocomélie. - et dégénérescence
mentale
, par La- melle, 405. Sur une forme lare d' ra
sion vésanique. Nature et ge- nèse de 1 ? par Wlierrv. 506. Image
mentale
morbide, par Vas- chide et Vurpas, 411. 1.IBÉ
emi-sommeil, par Le Menant des Cliesnais, 181. - Voir Raynaucl. -
mentales
. Voir Education physique. - nerveu- ses. Voir
dégénérescence nerveuse dans la - génél ale et autres ma- ladies
mentales
, par Corial, 503. aiguë, par Rusk, 504. géné-
- , par Charvet et Bancel, 47U. Prédisposition. La en étiologie
mentale
, par Marandon de Mon- tel, 420, Prisons. Orga
e Mon- tel, 420, Prisons. Organisation d'un service de médecine
mentale
dans les -, par Masoin, 430 Processi s méning
considérations sur les - puerpérales, par Picqué. 273. Puérilisme
mental
guéri par sug- gestion, par Leroy, 509. Pupil
au et des méninges, par Bechterew, 350. Sexe. Influence de l'état
mental
des parents sur la formation du - de leurs en
A11ET. Sydenium. Voir Chorée. Syndromes solaires. Les - expéri-
mentaux
, par Laignel-Lavastme, 407. Syphilis. Un cas
ardive à forme cérébro-spinale, par Richon, 57. - Voir Affections
mentales
. et divorce, par Mor- rouir, 4'9. Syringomyél
nois. 493. Troubles. Voir Tumeurs. Aperçu médico-légal sur les
mentaux
post-traumatiques, par Marie et Viollet, 167.
1'rÉRALX. Considéra- tions sur l'ampllatiou des dans les maladies
mentales
, par Marchand, 421. Vermont. Phases médico-lé
y, 38. Vol avec escalade et effraction. Si. mulation d'aliénation
mentale
. itapp0[ts médico-légauv, par Leutz et de llo
HIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
Fondée par J.-M. CHARCOT PUBLIÉE SOUS I.A DIR
RECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies
mentales
a la Faculté de médecine de Pans. V. MAGNAN
'un aliéné dont la justice lui a donné la mission d'examiner l'état
mental
, doit, en toutes circons- tances, se préoccuper
ification de certificats, jouissait de la plénitude de ses facultés
mentales
ou si au contraire sa res- ponsabilité était ab
s du médecin traitant. Celui-ci, 'en effet, appréciait la situation
mentale
de son client dans les termes suivants : « Le
sté chez moi, quelque chose qui puisse faire douter de ses facultés
mentales
. A l'école du village où je l'envoyais, je n'ai
nourricier sur Cing... : « Je n'ai jamais rien remarqué dans l'état
mental
de cet enfaut, il m'a paru jouir de toutes ses fa
session la plus proche, com- mença à donner des signes d'aliénation
mentale
. Transféré, en fé- vrier 1892, dans un asilé d'
ssous, qui n'avait aucunement mis en doute l'équilibre des facultés
mentales
de l'inculpé. D'autre part, son ancien patron à
ier et je ne me suis pas aperçu d'aucun dérangement de ses facultés
mentales
. Enfin, un ouvrier, son compagnon de travail, a
trois jours avec Cing..., je n'ai fait aucune remarque sur son état
mental
, j'ai seulement vu qu'il était d'une hardiesse
ence, en s'étendant principalement sur la période de son aliénation
mentale
prétendue. Il me remit 12 7 MÉDECINE LÉGALE.
en face des crises qui eurent lieu en sa présence, à une aliénation
mentale
qui rendait sa maintenue nécessaire. Cing... ré
nts suffisants pour porter un jugement motivé sur lui. IV. L'état
mental
de cet individu ne laissait pas que d'être asse
dus néanmoins examiner subsidiairement quel avait pu être son état
mental
à l'époque de sa séquestration, car au cas où i
sitif sur lui, ni même par l'expertise faite autrefois sur son état
mental
, en avançant que cette folie ne pouvait qu'appa
dans son enfance ou sa jeunesse des marques de déséquili- bration
mentale
. Enfin le fou moral, on le sait, ne s'acharne q
lusieurs délires d'origine différente est démon- trée en pathologie
mentale
, du moment où l'hystérie était déjà admise comm
édisposante ou occasionnelle manifeste, presque toute la pathologie
mentale
. Cette discussion avait été omise, comme celle
e et s'assimiler successivement différents symptômes d'alié- nation
mentale
qui s'échelonnèrent d'ailleurs dans un ordre ch
'admettant comme prouvée, venait à l'appui de sa désé- quilibration
mentale
, c'est-à-dire de sa folie ? A cela je répon- dr
t alors qu'il tâtonna dans la voie de la simulation de l'aliénation
mentale
pour s'y jeter définitivement à plein collier,
'lu Cing... (Jules-Xavier) jouit de la plénitude de ses facultés
mentales
; . 2° Il n'a jamais été aliéné et par conséque
ve la plus com- plète, et qu'espérer modifier leur état physique et
mental
c'est se tromper et tromperies autres. Il exist
liberté possible aux malades, en tant que compatible avec leur état
mental
et la sécu- rité publique. Or, il n'est pas dou
il n'y avait qu'une différence d'inten- sité dans la représentation
mentale
. La dénomination de zone motrice reste donc vra
ec des sensations différentes, surtout visuelles, la représentation
mentale
complète de l'objet surgit dans la mémoire. En
aneous andmuscular sensations and memories. (Journal of nervous and
mental
diseuse ? ew-1-orl : , décem- bre 1891.) SENS
- duire une impression assez forte pour éveiller de suite l'image
mentale
de l'objet considéré. Nous avons vu un malade ane
nostique dans les hémiplégies infantiles. 1 ? REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. inférieur de la pariétale ascendante des deux
rmettent d'en espérer bientôt de plus complets. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 1. Génie et folie ; par le De A. Regnard. Da
génie, les héros de l'humanité, dont l'organi- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 43 sation cérébrale parfaite constitue l'épano
t être fait par les tribunaux un examen plus complet des conditions
mentales
des personnes accusées de crime. De meil- leure
devraient être maintenus en traitement jusqu'à ce que les troubles
mentaux
aient disparu. (The A îie ? ica2z Journal of ¡n
de la parésie du côté gauche, de l'embarras 44 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. de la parole, de l'exagération des réflexes, d
t la période florissante de la syphilis. C'est une forme de trouble
mental
assez peu fréquente et toujours caracté- risée
1 est, jusqu'ici, très difficile de dire quelle REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 45 cause agit spécialement dans le développeme
olie post-opératoire peut revêtir toutes les formes de l'aliénation
mentale
; celles-ci peuvent même, selon lui, se confond
de, à une prédisposition à délirer résultant de sa déséquilibration
mentale
, à son âge avancé, à la présence dans son urine
se décider à l'opération. A. Fenayrou. 46 6 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. V. Des troubles comparés du patellaire, du cré
(Crimée) de 1885183U, pour la première fois : REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 47 Ce qui fait, pour cent entrées, plus de q
s. Accroissement de la paralysie générale. 48 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. étaient mariées; 4° ce sont les villes qui en
ctivite avec oedème palpébral, érythème facial, REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 49 surlout chez les myopes courbés sur les vas
des formes dépressives. D'abord agitation hallucinatoire, confusion
mentale
extrême; puis, angoisse impulsive, idées de per
ur aiguë, et ont Archives, série, t. IX. 4 50 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ' généralement guéri après quelques mois de ma
ascendante de la paralysie générale et du tabes REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 51 dans le même ménage. Quatorze observations
, des purgatifs et de l'hydrothérapie. (B.) 52' REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. aiguë se trouve comprise dans les formes mania
st and neurologist, janvier 1899.) E. B. X. Que sont les maladies
mentales
; par le professeur Arndt. De l'ensemble des div
moi, qui est une sensation, dépendent les processus émotionnels et
mentaux
; de lui dépend la détermination de l'état menta
us émotionnels et mentaux; de lui dépend la détermination de l'état
mental
et moral autrement dit, dans un cas donné, la s
e l'état mental et moral autrement dit, dans un cas donné, la santé
mentale
ou la maladie mentale. Les maladies mentales ne
n cas donné, la santé mentale ou la maladie mentale. Les maladies
mentales
ne sont pas seulement des maladies du cerveau m
ler les falsifications du moi, quand ce dernier REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 53 ne peut plus rien apprécier qui corresponde
s de paranoïa alcoolique; par 11. Seaux. (liull. de la Soc. de Méd.
mentale
de Belgiitte, juin 1899.) Il s'agit d'un homme
II. Le rôle de l'auto-suggestion dans certaines formes d'aliénation
mentale
; par 1\1. A. Voisin. (Revue de psychologie cliniq
ternement, après avis médical : a) soit demandé pour établir l'état
mental
, b) soit praticable sans préju- dice pour la sa
-légal; par M. le professeur Iiow,I,EVSSZ. (Bull de la Soc. de Méd.
mentale
de Bel- gique, décembre 1898.) Au point de vu
et des bromures; par le Dl' Spinhayer. (Bulletin de la Soc. de Méd.
mentale
de Belgique, décembre 1898.) L'auteur a fait pr
vec avantage chez un certain nombre de malades atteints de troubles
mentaux
divers : Ainsi M. Van Renterghem attribue au tr
, mais surtout parce qu'elle s'accompagne d'une véritable confusion
mentale
qui lui lait perdre les idées et les mots et la
couchement température très élevée, congestion de la face, troubles
mentaux
. insomnie, pouls à 116, dur, irrégulier : doule
tions men- tales appréciables. Pas d'hallucinations, mais faiblesse
mentale
, perte de la mémoire, inintelligence des choses
du système nerveux qui intéressent plus spécialement les conditions
mentales
. L'auteur se défend de considérer la psycho- th
s à la condition d'y avoir recours pour remédier aux états morbides
mentaux
et moraux qui accompagnent et aggravent sou- ve
au point que l'on risquerait alors de passer en revue la pathologie
mentale
tout entière. Nous pensons en conséquence qu'il
ement t quant aux conditions héréditaires, à la nature du trouble
mental
et à l'époque de l'apparition de la maladie. Mais
ouvements choréiques se générali- sèrent et les crises d'excitation
mentale
devinrent plus fréquentes et plus violentes. L'
moquant, tout ce qui était de nature à provo- quer de l'excitation
mentale
augmentait considérablement les mouvements chor
à cette maladie. Les premiers auteurs qui étudièrent les troubles
mentaux
des choréiques en général, Rilliet et Barthez,
l s'allie communément à l'affaiblissement t progressif des facultés
mentales
, comme nous le dirons tout t à l'heure, et cons
ue où il n'est pas question d'idées de suicide, ni même de troubles
mentaux
. ' En 1885 King, dans le Neiv-York médical Jour
ns les auteurs que King a particulièrement insisté sur les troubles
mentaux
et les idées de suicide dans la chorée hérédita
ue Iluet le dise plus tard (1. c., p. f7G) lorsqu'il discute l'état
mental
des choréiques. Voici ce passage : « Chez beauc
es cas, l'auteur dit que dans la chorée héréditaire les symp- tômes
mentaux
se présentent sous forme de mélancolie, avec te
icide n'appartiennent pas au tableau symptomatologique des troubles
mentaux
dans la chorée de Huntington. Il n'existe pas u
choréiques héréditaires est, en effet, celui de la dégénéres- cence
mentale
, et nous devons nous attendre à y rencontrer to
bien qu'elles existent, revêtent le caractère propre à la débilité
mentale
et n'ont pas celui des cas ordinaires de parano
ndt, en 1868, prétendait qu'il n'y avait pas de chorée sans trouble
mental
. ilalloclc, tout récemment (Journal of nervous
s trouble mental. ilalloclc, tout récemment (Journal of nervous and
mental
disease, 1898, XXV, p. Soi) constatant que les
auteurs qui ont publié des cas de chorée héréditaire sans troubles
mentaux
. Les deux cas de Ewald d'abord, où l'on n'a con
cho- réiques, avait conservé aussi ses facultés. Au point de vue
mental
le malade de Loewenfeld présentait toutefois une
des Plancues sera donnée à la fin du numéro de juin.] ' CLINIQUE
MENTALE
Conditions biologiques des familles des paralyt
anique ou de la folie, mais l'hérédité cérébrale ou, 122 , CLINIQUE
MENTALE
. comme disait M. Doutrebente, l'hérédité des te
ltats : Ages moyens des grands-parents réunis : 76. -124 CLINIQUE
MENTALE
. En se plaçant à un point de vue moins général
6,20. Le détail pour chaque famille est le suivant : 120 CLINIQUE
MENTALE
. Troisième génération (frère et soeur). A la tr
au point de vue de l'âge auquel ils ont succombé : 128 8 CLINIQUE
MENTALE
. 2° Dans les familles normales. PARALYTIQUES
normales. PARALYTIQUES GENERAUX. 129 MORBIDITE 130 . CLINIQUE
MENTALE
. Sur 1565 individus, \111. Ball et Régis trouve
des aliénés; par le même (ibis., 1 ; 1899). Points de vue fonda-
mentaux
de l'assistance territoriale des aliénés ; par le
s, au village, en ville; à raison de l'origine même de l'aliénation
mentale
qui prend sa source dans la vie de la nation. E
normité naturelle de la population russe, et la nature des maladies
mentales
s'y opposerait. Ne sont- ce point des affection
arfaite, il y aura toujours un cer- tain accroissement des maladies
mentales
. Mais on a, par contre, le droit de compter sur
'à forcer étudiants et candidats à passer des examens de pathologie
mentale
'. IL Dans tous les chefs-lieux des gouvernemen
eurs bureaux d'admission respectifs, jugés atteints d'une affection
mentale
longue, ou d'une période aiguë à évolution pro-
lissement d'alié- nés. Déments, indifférents, psychopathes à formes
mentales
finies, immobiles, auxquels on donnera une libe
2° par les rapports différents d'épaisseur de la substance fonda-
mentale
, c'est-à-dire du protoplasma de la cellule qui ex
teurs étiologiques auxquels on impute la neurasthénie. Le surmenage
mental
, la vie sédentaire des intellec- tuels peuvent,
t, comme science d'état, leurs idées personnelles sur la pathologie
mentale
et la responsabilité des aliénés. M. Toulouse
ociété décide que la question restera à l'ordre du jour. . Maladies
mentales
familiales. M. TRÉ1VEL. L'étude de l'hérédité f
e l'hérédité familiale permettra peut-être de décrire en pathologie
mentale
comme en pathologie nerveuse des types morbides
ez deux soeurs. Enfin, il peut y avoir des combinaisons de troubles
mentaux
(démence en particulier) et de maladies nerveus
la Société décide de mettre à l'ordre du jour l'étude des maladies
mentales
familiales. M. B. Séance du 11 décembre 1899. P
mène devait être rangé parmi les tics et rapproché du torticolis
mental
. On a notéaussi un certain degré d'amblyopie, mai
, mais aucune autre altération fonctionnelle ni organique. L'état
mental
est affaibli sans qu'aucun trouble psychique ou
a phtisie se termine par la paralysie générale ; -, 2° Les troubles
mentaux
et la tuberculose peuvent marcher de front ou a
Charcot, à Pierre Janet, à Paul Blocq, à Sigm. Freud, une mala- die
mentale
. » Les troubles de l'intelligence ne sauraient na
ns l'impossibilité de lui nuire, et de tâcher d'améliorer leur état
mental
. L'expert ne doit se préoccuper actuellement qu
RAPHIE. 187 nital, comme dans l'idiotie, l'imbécillité, la débilité
mentale
, ou acquis comme dans la démence. Des impulsion
e les troubles de la volonté dans toutes les formes de l'aliénation
mentale
et adopte, en grande partie, pour cette étude,
agistrats, qui voudraient connaître la médecine légale des maladies
mentales
, de recourir à des traités plus com- plets. Il
e pommes de terre. La victime, qui ne jouissait pas de ses facultés
mentales
, était entrée dans l'église pendant la nuit et
conservation des forces, de l'embonpoint, l'intégrité des facultés
mentales
, toutes choses que nous avons constatées chez n
ersécution, se demandant qui peut la faire souffrir ainsi; cet état
mental
fait place à un excès de religiosité, sans qu'ell
lle, il est midi. Dans l'après-midi, Zoé présente de la confu- sion
mentale
très nette. Le soir, à 9 heures et quart, je l'en
e un de ses membres, elle procède immédiatement à la représentation
mentale
de la partie du corps énervée, endolorie; elle
iju- meau, quoique inconsciente, peut réveiller la représentation
mentale
de l'organe ou bien que des fibres d'association
re idéatif où le fait de la percussion réveille la représentation
mentale
de l'organe. Je réponds : a) que l'extériorisat
malade a dix-neuf ans ; son épilepsie s'est compliquée de troubles
mentaux
assez graves pour nécessiter autour de lui une
repos, les attaques sont revenues comme avant. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 233 Ce fait, très intéressant, s'ajoute à ceux
omie dans le traitement de l'épilepsie. B. '' 1 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XIV. Sur l'origine infectieuse du délire aigu
permanente de la fonction. J. Séglas. 23t Il REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XVI. La polyurie simple est toujours l'express
emps. J. Séglas. XVIII. L'alcalinité du sang dans quelques maladies
mentales
; par Lambranzi. (Riv. di pat. neru. et ment.,
'une, épisodiques dans l'autre. .. J. SÉGLAS. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 235 5 XIX. La sénilité précoce chez les mélanc
nt, qu'en s'en tenant au critérium clinique qui classe les maladies
mentales
suivant l'ensemble de leur évolution et leur te
ent dans différentes maladies, en se super- 236 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. posant aux signes vraiment pathognomoniques et
s équivalents, rée, athétose, pseuclo-attétose, REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 237 hypertonie, exagération des ré- flexes p
iaux toujours les mêmes pour un même malade ZOO REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. qui imprègnent la conscience au moment d'une c
les une seule récidive et sept guérisons ou améliorations de l'état
mental
. Les psychoses ainsi traitées furent quatre mélan
nt de plus de dix ans; dans quatre cas il y eut REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 239 9 lieu à hystérectomie totale, dans les au
moyenne ordinaire. R. DE MUSGRIN'E-CLIY. 240 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XXX. Sur les rapports de l'épilepsie nocturne
iagnostic d'épilepsie. Il. DE 1\lUSGItAVE-CLAY. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 241 XXXI. Le phocomelus de l'humérus dans l'ép
uels Bour- AnCII1YES, 2* série, t. IX. 16 242 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. neville signale un degré très accusé de raccou
u atteinte, aussi a-t-on désigné longtemps cette forme d'aliénation
mentale
sous le nom de folie partielle ; cependant il e
érescence, et les stigmates de cet état s'y ob- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 243 servent très souvent. Elle se présente sou
t sa soeur, ont également eu de l'ictère. 244 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Dans le second cas, où une amélioration fut ob
u observer un cas de la première catégorie ; il REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 245 s'agit d'une fillette de dix ans et demi n
mées de cette maladie. R. DE Musgrave-Clay. 246 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XXXIV. La marche vers la folie; par SmTx Bai;E
éléments peu- vent conduire à une prophylaxie utile de l'aliénation
mentale
. 1;. M. C. XXXV. La nouvelle loi sur la folie
s énoncées dans ce travail aideraient certaine- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 247 ment à dissiper les pires malentendus qui
simulation : l'auteur, pour de bonnes rai- 248 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. sons, repousse cette hypothèse; aussi admet-il
tysies sont rares ou nulles chez les aliénés. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 29 Le type de dégénérescence pulmonaire que l'
ments dégénérés nous montre précisément à quel point la dé- chéance
mentale
rabaisse alors l'homme au niveau de l'animal. O
délire); une forme ambitieuse ou expansive; 250 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. une forme mélancolique; une forme mixte; une f
op peu sur le caractère protéiforme des premiers indices de trouble
mental
, qui sont ordinairement plus apparents pour la
naire, mais qu'elles passent souvent inaperçues en raison de l'état
mental
du malade. Lorsque la maladie débute par des RE
al du malade. Lorsque la maladie débute par des REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 231 attaques épileptiformes, il faut faire le
x sont reconnus plus tôt. Parmi ces symptômes les signes de trouble
mental
ont surtout une importance prépondé- rante, car
iques. Mais lorsque les signes physiques coïncident avec un trouble
mental
quelconque, ils prennent une ' L'auteur emploie
asme fonctionnel ou de crampe fonc- tionnelle du cou, de torticolis
mental
. Il n'est pas rare, du reste, que le spasme du
ais elle ne doit être que secondaire, dans de tels cas le processus
mental
doit toujours être à l'origine. En tout cas l'ath
l'athétose ; je ne nie pas la prépondérance originelle du trouble
mental
,je constate seulement la'présence de l'irritation
ticle 2 accroit dans de notables proportions les charges départe-
mentales
, or, la plupart des députés sont conseillers géné
s sapeurs- pompiers. Les médecins qui l'ont examiné au point de vue
mental
ont conclu il sa responsabilité limitée. L'ivro
n les modifications constatées avec affai- blissement de l'activité
mentale
; en même temps on fait attention à ce que l'ét
cérébrale, diminue évidemment, au sur et à mesure que les capacités
mentales
s'affaiblissent. Demoordans un de ses derniers
rme, applique à l'explication des phénomènes de la région de la vie
mentale
, normale, ainsi que de la région de la psychopa
ie, mais sans souligner la liaison avec l'abaissement des capacités
mentales
. Agapoff (Russie) a constaté chez les paralytiq
ques des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale dans des maladies
mentales
sont pour le moment peu nombreux et ne nous per
doit correspondre, évidemment, à l'affaiblissement des capacités
mentales
, tandis que dans le second cas l'état moniliforme
nell' uremia acuta sperimentale. (Rivista di patolo- gÙ¡ nel'vosa e
mentale
, 1890, vol. I, fasc. 10). Anglade. Sur les alté
roscopiques du système nerveux. (Bulletin de la société de médecine
mentale
de Belgique, 1898. mars, n° 88.) KurpEL (et A
la patologia della cellula nervosa. (Rivista di patologia nervosa e
mentale
, vol. I, fascicule 8, Agosto, 1896.) LUGARO.
namenti per arsenico e per piombo. (Rivista di patologica nervosa e
mentale
, vol. II, fascicule 2 ; Febbario, 1897.) LnGtRO
den- driti delle cellule nervoso. (Rivista di patologica nervosa e
mentale
, 1898, vol. III, fascicule 8.) Von LENUOSSEK
at variqueux DES DENDRITES corticales. 287 Î nity). (The journal of
mental
science, 1898, october, vol. XL1V, p. 729.) O
osi nell'uremia acuta sperimentale. (Rivista di patologia nervosa e
mentale
, 1896, vol. I, fascicule 10.) . PARASCONDOLO (C
Nervecells (specielly in relation to insa- nit\). (Th ? journal of
mental
science, 1898, oclober, vol. XLIV, p. 729.) R
SEY. Voir le Messager neurologique (russe), 1898, t. III. CLINIQUE
MENTALE
Les objets de piété comme instruments de meurtr
i j'en crois ma propre Archives, 2e série, t. IX. 19 290 CLINIQUE
MENTALE
. expérience, car j'ai observé successivement qu
on progressive. (Archives de Neurologie, 1897.) . - , 92 CLINIQUE
MENTALE
. manie. Meurtre de son enfant par suffocation à
un accès de délire ; une soeur de la mère est atteinte d'aliénation
mentale
. Ils ont eu cinq enfants : trois garçons nor- m
ite duquel elle est restée, pendant un an, dans un état d'équilibre
mental
ins- table ; la moindre contrariété lui troubla
lle profonde, grand gâtisme. Vers cinq heures, retour de l'activité
mentale
et du délire, composé d'idées tristes et de diva-
ai. Elle rit des heures entières, voit son mari auprès 294 CLINIQUE
MENTALE
. d'elle, lui parle; voit aussi un poteau avec u
ons reconstituantes mais le délire, qui s'était calmé, 296 CLINIQUE
MENTALE
. s'est réveillé. L'agitation est assez vive et
r. Cependant c'est la pre- mière fois qu'elle présente des troubles
mentaux
graves. L'étiologie de la maladie actuelle est
derniers elle était un peu plus calme sans modi- fication de l'état
mental
mais aujourd'hui l'agitation réparait avec des
t quart, vomissements abondants de sang pur que l'on 298 CLINIQUE
MENTALE
. peut évaluer en volume à 7j centilitres enviro
Trépanation accidentelle; Par le D' G. JACQUIN, Chef de clinique
mentale
à l'Unirersité de Lon. Sommaire. - Antécédents
on. Acuité auditive diminuée surtout à droite. Rien au goût. Etat
mental
. Mémoire un peu paresseuse, pas de troubles de
pécifique se trouve sensiblement altéré. Dans les autres affections
mentales
, accompagnées de désordres encéphaliques aigus
ids spécifique ne parut que rarement mo- difié dans les aliénations
mentales
et seulement dans celles en rap- port avec des
non plus leurs altérations dans toutes les affections nerveuses et
mentales
. M. Bethe exagère le rôle nerveux et conducteur
e personne capable de s'observer et de commander à ses opé- rations
mentales
est placée dans une chambre éclairée au gaz de
s actives, une suffi- sante aptitude du cerveau à la représentation
mentale
. M. Har- tenberg insiste en terminant sur le rô
mple, soit compliqué de télépathie impro- prement nommée suggestion
mentale
). A. FENAYROU. XXII. Le problème de la suggesti
professeur Bernheim. En effet, il n'existe pas de différence fonda-
mentale
, du moins au point de vue symptomatique, entre le
l'observation d'un cas ; par John Punton. (Journal of ne/'vous and
mental
disease, sep- tembre 1899.) 1\1'"0 B..., ving
lbaire asthénique ; par Wharton SrNKLER. . (Journal of nCl'vous and
mental
diseuses, sept. 1899.) La malade, âgée de trent
, manie, puis mort ; par WILLIAM Osier. (The Journal of nervous and
mental
disease, février 1899.) L'auteur rapporte une o
s nerveuses ; par William G. SPILLEIi. (titre Journal ofnervous and
mental
di- sease, novembre 1899.) L'auteur rapporte
qu'une relation existe entre ces lésions anatomiques et la débilité
mentale
du sujet observé, mais elles ne semblent avoir
cromégalie ; par Charles-W. BURR et David RKESMANN. (The journal of
mental
of nervous diseuse, janvier 1899.) .. . Les a
Bailey. New York neurological Society. (The journal of nervozcs and
mental
disease, janvier 1899.) , Il s'agit d'un jeune
r le D1' IL-lI. Thomas, de Baltimore. (The journal of ne1'VOUS aizd
mental
disease, février 1899.) L'observalion porte sur
; gonfle- ment suspect des jointures dans 3 autres cas. Troubles
mentaux
: dans 7 cas. SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ DE N
une glycosu- rique ; traitement hypnotique et guérison des troubles
mentaux
mal- gré la persistance de la glycosurie. M.
ent émotionnel, mais physique, est le point de départ des désordres
mentaux
. Dès lors, 111 ? B... est en proie à une idée f
s grandes commotions politiques sur le développement des maladies
mentales
: le premier lu à l'Académie de médecine dans la
rapidement des connais- sances cliniques très étendues en médecine
mentale
et ner- veuse, durant son internat il la Salpêt
ttaché à la première tentative d'un en- seignement de la pathologie
mentale
fait dans cet asile et qu'un ukase du préfet de
ère fois dans notre pays avec Magnan l'enseignement de l'aliénation
mentale
, et qui, aujourd'hui devenue célèbre même à l'é
udition, le savoir, la compétence en tout ce qui touche la médecine
mentale
, étaient universellement reconnus. C'est au s
insti- tué par le présent arrêté le chef de clinique de pathologie
mentale
et des maladies de l'encéphale de la faculté de
1000. Vol. IX. Mai 1900. N° 53. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. Hyperesthésie corticale dans l'alcoolisme aigu
te hyperesthésie : Archives, 2' série, t. IX. 25 . : 386 CLINIQUE
MENTALE
. il fit naître des hallucinations visuelles en
olique persécuté trouve , Magnan. Leçons cliniques sur les maladies
mentales
, 1S97, p. 207. . Mierzejewski. Contribution à l
des paroles proférées par les espions, en les rendant 388 CLINIQUE
MENTALE
. plus intelligibles et plus nettes. Voilà donc
te alcoolique, bien étudiée par Charcot et ses élèves. 390 CLINIQUE
MENTALE
. Le cerveau, qui réagit sous le moindre choc, e
ooliques très fortement intoxiqués, atteints d'une grande agitation
mentale
et physique, les cas de delirium treanens, avec
uses. Revenons à nos malades. II. Observation I. Dégénérescence
mentale
. Père alcoolique ; frères buveur*. Habitudes al
dents héréditaires. Père charbonnier, mort il y a deux 392 CLINIQUE
MENTALE
. ans; alcoolique, buvait surtout du vin, prenai
dipsomanie apparaît surtout quand une cause physiolo- 394 CLINIQUE
MENTALE
. gique, les menstrues, intervient, augmentant l
dites-moi ce que vous entendez . » « C'est un bourdon- 396 CLINIQUE
MENTALE
. nement lointain, répond-il, qui se rapproche e
pond avec réticence, de même du reste qu'il avoue dif- 398 CLINIQUE
MENTALE
. ficilement ses excès, il signale cependant une
es, publiés par Van Swieten. 3 marche. Traité pratique des maladies
mentales
. Paris, t8j8, p. 317. 414 PHYSIOLOGIE PATHOLOGI
alades en état de stupeur ». Au Congrès international de médecine
mentale
tenu à Paris en z1887, M. le docteur BeLtencour
)ema< ! : e, p. 516, année 1876. 2 Bail. Leçons sur les maladies
mentales
(2* édition), p. 230 et 2G0. 3 Comptes rendus d
. 230 et 2G0. 3 Comptes rendus du Congrès international de médecine
mentale
tenu à Paris en 1889, p. 409. CORDE MUSCULAIR
un travail d'ensemble sur les auto-intoxications dans les maladies
mentales
MM. Régis et Chevalier Lavaure met- tent en lum
e dos d'un couteau 1 Rapport présenté au Congrès annuel de médecine
mentale
, tenu à La Rochelle en 1893, le session. 2 Di
des sensa- tions, c'est-à-dire d'une opération élevée de l'activité
mentale
. Nous avons, dit l'auteur, déjà montré que les
ens stéréognostique ; par Joseph SAILER. (Jou1'1 ! alof nervous and
mental
diseuse, mars 1899.) De l'étude de certains fai
ar les Drs L. WALLON et CHENEY (de Boston). (Journ. of ne¡'vous and
mental
disease, 1899.) C'est le cas d'un médecin âgé d
u sang dans l'épilepsie ; par C.-A. HERTER. (Journal of nervous and
mental
diseuse, février 1899.) C.-A. llerter a fait
tébrale; par Philip ZNr;rn, Cin- cinnati. (Journal of nei-voits and
mental
diseuse, novembre 1899.) L'auteur rapporte un b
COLLINS. New York neurological Society. (The journal of nervous and
mental
discase, janvier 1899.) Cette tumeur, un sarcom
t soudain ; (2) perturbation complète et simul- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 427 tanée des fonctions vésicales et intestina
ession; par le Dr William-M. Leszynsky. (The journal of neuuous and
mental
diseuse, novembre 1899.) Paralysie du plexus
erce entre la clavicule et la première côte. P. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XLII. Un cas d'ivresse furieuse; par le Dr FRA
conclusions suivantes : Certains sujets sont atteints d'un trouble
mental
caractérisé par 428 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
tteints d'un trouble mental caractérisé par 428 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. une jalousie excessive, absurde, injustifiée,
Lamertin, édit., 20, rue du Marché-aux-Bois.) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 429 9 LXIV. Note sur des attaques frustes d'ép
de prendre soin des épileptiques; par John H. Lord. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1899.) L'auteur s'occupera dan
ue du placement des épileptiques, dans quelle mesure leurs facultés
mentales
sont atteintes ou intactes, et aussi à quel genre
plus souvent entre le début de la maladie et le début des troubles
mentaux
un temps qui serait précieux à utiliser pour le
malade, et tout au moins de le surveiller, 430 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. lorsque ses parents et ses amis ne peuvent pas
plus récent projet émane du Conseil de comté de REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 431 Londres, qui a décidé de construire à Hort
ileptique et la folie alcoolique; par R.-H. NOOTT. (T7ee Journal of
Mental
Science, juillet 1898.) Les analogies qui exi
inels de violence commis dans ces deux états et dans les phénomènes
mentaux
qui précèdent ces actes et conduisent à leur ac
manie alcoolique aiguë un état identique à l'état dit d'automatisme
mental
qui est caractéristique de l'état post-épilepti
lation soit particulièrement avantageuse au 432 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. malade, toutes les précautions possibles ont é
e quantité immodérée et toxique d'alcool déter- mine des phénomènes
mentaux
très semblables à ceux que l'on observe dans la
lus élevés ; 2° les deux états sont simultanés, parce que tout état
mental
implique un état nerveux corrélatif; et 3° malg
insuffisant pour permettre à la réflexion et au REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 433 jugement d'exercer leur influence protectr
l'épuisement des centres nerveux impliqués dans l'excès d'activité
mentale
. Il est intéressant de noter que le mal de tête
isément par Archives, 2' série, t. IX. 28 434 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. les médicaments qui, dans tous les autres poin
ltérations ' Telle est notre pratique. (B.) , REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 435 plus importantes et non moins marquées exi
effet dans les centres supérieurs. La nature et le degré du trouble
mental
ont une bien autre importance que l'état convul
gérée ou unifiée, ne reçoit plus de stimulations ou d'im- pressions
mentales
appréciables par les voies ordinaires de com- m
l'épi- lepsie est probablement très rare. 436 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Les troubles mentaux que l'on observe chez les
ablement très rare. 436 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Les troubles
mentaux
que l'on observe chez les épileptiques sont abs
traces permanentes ; il y a là moins de la folie qu'une déchéance
mentale
progressive due au caractère incomplet de chaque
tion incomplète après chacune des attaques. Les formes d'aliénation
mentale
que l'on rencontre dans l'épi- lepsie sont elle
lepsie sont elles-mêmes en harmonie avec le processus de déchéance
mentale
continuelle et progressive qui les provoque : ell
être étudiée de très près parce qu'elle est la REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 437 maladie qui comporte à la fois des phénomè
qui comporte à la fois des phénomènes somatiques et des phénomènes
mentaux
, et qui représente en quelque sorte le lien en
du tissu organique et les modifications in- tangibles de l'activité
mentale
. Par exemple il serait fort intéres- sant de re
rait pourtant une grande lumière sur le mécanisme d'autres troubles
mentaux
, et particulièrement de ceux qui se rattachent
tions de la folie. M. TOULOUSE propose d'appeler psychies les états
mentaux
, fon- damentaux et psychoses les formes morbide
e divisées d'après l'âge où elles se sont manifestées : en débilité
mentale
jusqu'à la puberté et en démence après cette li
incohérents, neutres). Une place à part est réservée à la confusion
mentale
dont une variété serait la stupeur. Enfin comme
es de la Psychiatrie ; 2 T. E. RYBA- koff, Alcoolisme et aliénation
mentale
; 3" W. A. Mouratow, Types de dégénérescence da
s conditions pourraient, en effet provoquer l'éclosion d'un trouble
mental
plus accentué. M. Jules Voisin. - Dans ces cas,
droitiers). La prépondérance de l'hémisphère gauche dans les actes
mentaux
supérieurs explique bien la suffisance de cette u
BOURG, ' le 21 juillet 1898, par A.-R. URUQUIIARDT. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1898.) Comme la plupart des
ET ses critiques ; par Sir James CRICaroN- BROWNE. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1898.) Il y a dans cette longu
veuse héréditaire, qu'elle était atteinte d'une véritable ma- ladie
mentale
dont les symptômes, d'ordre purement émotif, n'on
ilaire-sur-Erre, lime Chau- veau, âgée de 68 ans, dont les facultés
mentales
étaient affaiblies, s'est suicidée en se jetant
émence, Jaume Rozé ne jouissant pas de la plénitude de ses facultés
mentales
. Folie furieuse d'un employé de ministère. Un e
avec sa maîtresse une villa de Chenôve, était atteint d'aliénation
mentale
. Il avait, lorsqu'un accès s'emparait de lui, l
rice de l'école communale de filles, à Breil, atteinte d'aliénation
mentale
, a tenté de mettre fin à ses jours. Elle a été
en l'air pour se faire caresser. . Etant donné l'état de déchéance
mentale
du malade, les mou- vements intentionnels qu'on
lement au sommet. A droite, au sommet, quelques craquements. Etat
mental
. Réaction pour les événements du monde exté- ri
gâte. On l'envoie au quartier spécial Leuret. Toujours le même état
mental
de démence, mais aussi de calme. La première qu
passe assez bien ; rien ne vient ajouter une note nouvelle à l'état
mental
et physique de Brout... Cependant le 18 octobre
plasme souvent imperceptible, dans tout le cortex et 476 . CLINIQUE
MENTALE
. principalement au niveau des circonvolutions -
ment distribuée; nerfs périphériques à peu près intacts. CLINIQUE
MENTALE
. Hyperesthésie corticale dans l'alcoolisme aigu
rvait avant l'expérience, puis elles cessent. t. ' . 478 CLINIQUE
MENTALE
. Si F..., ayant les yeux fermés, on lui fait to
malade est transféré à Ste-Anne à six heures du soir. 480 CLINIQUE
MENTALE
. Le goût seul a réagi ici, et très désagréablem
i le goût fictif de la quinine. Observation VI. - Dénénér·escence
mentale
. Délire alcoolique avec hallucinations multiple
rit au souvenir de ses Archives, 2° seie, t. JX 31 l 482 CLINIQUE
MENTALE
. hallucinations d'hier. Pourtant par la compres
ISME AIGU. 483 cranio-faciale, caractéristique de la dégénérescence
mentale
. Il a été à l'école pendant cinq à six ans, mai
e faire réapparaître les hallucinations de la vue par la suggestion
mentale
, mais nos efforts restent sans résultats : il n
t, nous dit-il, c'est de l'encre, ça sent l'encre. » 484 CLINIQUE
MENTALE
. La langue est impressionnée sous l'action de f
féré à Ville-Evrard'le 30 avril. Observation VIII. - Dégénérescence
mentale
: très émotif, des doides. Alcoolisme aigu ; ha
d'un individu qui l'appelait « assassin, assassin. » . 486 CLINIQUE
MENTALE
. Vue. - Procédé Liepmann : il voit une voiture
e l'hyperesthésie corticale est en rapport avec la dégéné- rescence
mentale
. III Maintenant que nous avons exposé nos obs
tc.), pour ne citer que les principales, on est arrivé 488 CLINIQUE
MENTALE
. avec le progrès de la science physiologique à
es centres sensoriels irrité. Mais de là à dire que les excitations
mentales
ont seules le monopole de produire des hallucin
cela suffit. Que l'hallucination soit provoquée par l'excitation
mentale
des centres sensoriels, ou par l'excitation périp
riques ; et, hallu- cinations centrales, produites par l'excitation
mentale
. Les sensations que nous avons pu produire chez
ue, les caractères intrinsèques de ces hallucinations, 490 CLINIQUE
MENTALE
. relativement à leur point de départ, examinons
alcoolique se rencontre surtout chez les prédisposés, 12 ' CLINIQUE
MENTALE
. 1 voyons si la nature des boissons y apporte s
- Grand-oncle excès de boisson. - Grand' tante, gibbosité, troubles
mentaux
. - Grand-oncle, aliéné. - Deux cousins atteints
s d'acromégalie; par le Dr W.-M. 1,EYriSKY. (Journal of nervous and
mental
disease, février 1899.) Malade de trente-six an
anémie et la toxémie ; par Cn.-L. Dan. (The journal of zzeruous and
mental
diseuse, janvier 1899.) Cette maladie a des car
la méningite séreuse ; par Ch.-L. DANA. (The journal of nervous and
mental
diseuse.) L'auteur réduit à 5 formes communes,
ncolie. L'un des prin- cipaux collaborateurs du Journal de Médecine
mentale
, fondé par son maitre Delasiauve, il y fit para
s travaux, parmi lesquels ses Etudes historiques sur l'aliénation
mentale
dans l'antiquité qui malheureusement n'ont pas ét
E. Diagnostic et traitement de la dipsomanie (Journal de Médecine
mentale
) ; Considérations diagnostiques sur les diverses
l'erreur pathologique (idem); - Eludes historiques sur l'aliénation
mentale
dans l'antiquité (idem) et réunies en volume en
Intervention chirurgicale dans les -, par Fisher, 78. Maladies
mentales
. Que sont les ? par Arndt, 52. - familiales, pa
CIION UR 1111. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies
mentales
à la de médecine de Paris. V. MAGNAN Memb
e observation où l'atrophie du nerf opti- que précède les symptômes
mentaux
. Magnan avait d'ailleurs déjà remarqué que l'at
E FOND DE L'OEIL CHEZ LES PARALYTIQUES GENERAUX. 3 tard de troubles
mentaux
qui se développèrent au cours de la paralysie g
de devint aveugle plus de deux ans avant l'apparition des symptômes
mentaux
; 2° Les mêmes accidents oculaires se produisire
nte pour se diriger, pour lire même, autant toutefois que leur état
mental
le permet- tait. Chez 22 autres malades l'asp
entré en août 1901, donnait depuis six mois des signes d'aliénation
mentale
. Dégé- néré, alcoolique (il était garçon brasse
médicale, Paris, 1868. TEB.1LD1.-L'ottalmoscopia nella alienazione
mentale
, nella epilep- sia. Riv. c ? )t ! \'6[, 1870, p
NATOMIE PATHOLOGIQUE. tal symptoms of gênerai Paralysis. Journal of
mental
science, 1889. GILBEIIT Ballet. Les troubles
D'où la nécessité de l'Hospitalisation des Epileptiques. CLINIQUE
MENTALE
. Note sur l'évolution des obsessions et leur pa
., séance du 20 lévrier 1901. * Charpentier. Congrès inlem. de méd.
mentale
, 1889. 5 Pitres et Régis. Rapport au Congres de
et aussi le même avis. AITCIIIVES, 2- Série, t. XV. 3 34 CLINIQUE
MENTALE
. Ici, comme en toutes choses, il faut laisser p
les circonstances. Ce sont, en général, la mélancolie, la confusion
mentale
et le délire onirique, les délires systématisés
discuter ses obsessions et bientôt apparaissent sponta- 36 CLINIQUE
MENTALE
. nément des idées délirantes de culpabilité, de
la malade rappelle celui des gémis- seurs de Morel. (b) Confusion
mentale
; délire onirique. Il n'est pas exceptionnel de
nts auxquels on pourrait appliquer l'épithète générale de confusion
mentale
. Cette confusion mentale résulte de deux élémen
pliquer l'épithète générale de confusion mentale. Cette confusion
mentale
résulte de deux éléments : d'une part, torpeur,
accentué, depuis le simple engourdissement jusqu'à la confu- sion
mentale
et même jusqu'à la stupeur. Ces accès de stu- p
beaucoup plus longtemps, pendant plusieurs semaines. 38 CLINIQUE
MENTALE
. J'ai observé un jeune homme de dix-sept ans, a
ec l'obses- sion, et les analogies profondes que présente leur état
mental
fondamental avec celui des malades chez lesquel
es choses et se dit : « Suis-je bête (sic) d'avoir eu 40 0 CLINIQUE
MENTALE
. ces idées. » Ce qui ne l'empêche pas d'être re
entuent et les délires revêtent la forme que nous avons 42 CLINIQUE
MENTALE
. - décrite sous le nom de variété psycho-motric
très difficile d'établir des rapports entre la forme 44 Il CLINIQUE
MENTALE
. de l'obsession et son évolution vers le délire
ession, mais du complexus symp- tomatique et de l'analyse de l'état
mental
sous-jacent On se borne généralement à n'envisa
beaucoup plus importante pour le clinicien, c'est l'étude de l'état
mental
sous-jacent, interparoxystique 1, et l'analyse
ications se résument dans leur ensemble en des troubles de synthèse
mentale
, à caractère d'insuffisance, en une dissociatio
D'autres fois, c'est l'idéalion, l'association des représentations
mentales
qui se trouve intéressée, comme dans les cas si
es crises, comme à l'état latent, constituant une sorte de diathèse
mentale
particulière qu'on pourrait appeler avec Tanzi
obsession, cet envahissement devient tel qu'il absorbe 46 CLINIQUE
MENTALE
. momentanément à son profit presque tout le cha
ine de l'obsession et présentant tous le même caractère de synthèse
mentale
insuffisante, viennent à se multiplier, à s'exa
tons alors, suivant les cas, à ces états de stu- peur, de confusion
mentale
, à ces délires de rêve que nous avons signalés,
u cou. Chez les tiqueurs, chez les choréiques, dans le torticolis
mental
. LA RÉÉDUCATION MOTRICE. 65 5° Mouvements des
. La tuberculose peut ajouter un ou plusieurs caractères à l'état
mental
préexistant ; elle ne le modifie pas de fond en c
nte incubation, que le tubercubeux présente des troubles nerveux et
mentaux
. Ce qui m'a le plus frappé à cette époque, c'es
, ils sont extrêmement égoïstes. Un malade me traduisait sou état
mental
par ces mots : « Je suis anarchiste de la santé d
ordinaire ; cette différence du milieu influe sur lés modifications
mentales
ou nerveuses. M. Jules Voisin. Dans mon servi
, d'ordinaire, très bon appétit ; sinon on les gave. Quant à l'état
mental
de ces malades, il faut distinguer ceux qui son
ent femmes par la 1 BIBLIOGRAPHIE. 109 structure physique, l'état
mental
, les sentiments, la moralité, la sexualité, la
logiques, le second englobant l'ensemble des tendances et aptitudes
mentales
propres à chaque individu. Les facteurs qui pré
s aliénés dont le délit était un symptôme de leur état d'aliénation
mentale
. Ce livre est non seulement didactique et scien-
s titulaires : M. le De Mairet, professeur de clinique des maladies
mentales
la Faculté de Médecine de Montpellier; le Dr Ré
e de Montpellier; le Dr Rémond, professeur de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de médecine de Toulouse ; le Dr Ré
voit, ce concours pèche par l'absence de toute épreuve de clinique
mentale
. Asile d'aliénés DE la SEINE : Concours de l'In
D'où la nécessité de surveiller et de traiter de suite les troubles
mentaux
de ce genre. varia. 119 J Folie incendiaire
éprouvé un tel chagrin de la mort de ses parents, que ses facultés
mentales
en furent ébranlées. Sa folie empira encore du
on, Mme Dufois donna des signes fréquents d'absence et d'aliénation
mentale
. Plusieurs fois elle déclara qu'elle en avait a
à l'asile de Marseille (poste créé). Cours de clinique des maladies
mentales
et des maladies de l'eizcé- phale. M. le profes
le professeur Joffroy a commencé le cours de clinique des maladies
mentales
le lundi 17 novembre 1902, à 2 heures et demie,
res (Grand Amphithéâtre). Hospice DE BICÊTRE. Maladies nerveuses et
mentales
des Enfants : M. BOURNEVILLE, le samedi à 9 heu
. Vol. XV. Février 1903. ? 86. ARCHIVES 'DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
, Contribution fui, l'étude des folies par conta
clc., 1885, p. ? 1 ? ). Archives, 21 série, t. XV. 9 130 CLINIQUE
MENTALE
. ce genredefolie, qu'il dénomme folie communiqu
de, 2° partie, ch. i, 1859. Dagron. Archives cliniques des maladies
mentales
el nerveuses, 1863. 8 Maret. Du délire des pers
. A partir de 1892, parurent de nombreux travaux sur la contagion
mentale
morbide et sur les formes de folie qu'elle enge
s. M. de Boeck'2, dans une communication à la Société de médecine
mentale
de Belgique sur la contagion de la folie, tout
ck. De la contagion de la folie (Bulletin de la Société de médecine
mentale
de Belgique, 1893, p. il6). 3 Arnaud. La folie
i-juin 1893). 4 Marandon de lontvel. Des conditions de la contagion
mentale
mon- bide (Annal, méd.-psychol., 1894, t. XIX,
alrobücher f. l'sycltiatrie, v. XVI, 3a f., 1897). 13 ï- CLINIQUE
MENTALE
. auteurs tendent à faire rentrer dans le cadre
auteurs tendent à faire rentrer dans le cadre nouveau des maladies
mentales
familiales (Trénel', Fouque2, Sorel) ; d'autres
e nouveaux faits cliniques sur la transmission de certains troubles
mentaux
comme les phobies (Régis3), les obsessions et l
s cherchent à étudier le phénomène psychologique delà conta- gion
mentale
morbide, comme Schonfeld1 et Sorel5 qui le ratt
tion musicale). (liev. neurol., 1902, p. 106). ' 1'réel. Maladies
mentales
familiales (Soc. niécl. psychol., 27' no- vembr
s (Soc. niécl. psychol., 27' no- vembre 1899). - Fouque. Maladies
mentales
familiales, th., Paris, 1901. 3 Régis. Les Phob
Rev. neurol., 1900, p. 776). ' R. Dewey. Remarques sur la contagion
mentale
et l'infection héritée ou acquise, avec considé
u délire de persécution avec hallucinations de l'ouïe. La contagion
mentale
fut alors acceptée, mais pour ce seul délire. P
s folies 'systé- matisées pouvaient se transmettre, et la contagion
mentale
morbide eut droit d'existence. Cette contagio
rmenlale (Arch. d'anlhrop. criminelle, 1901, p. 168). '136 CLINIQUE
MENTALE
. L'imitation, dit M. Marandon, « est le besoin
les trois facteurs décrits : imitation, persuasion, action inter-
mentale
. Il y résiste différemment ou même peut ne pas y
journalières, tient essentiellement au bon équilibre des facultés
mentales
, qui permet de discerner, relativement au milie
ive dépendra du bon équilibre et du bon fonctionnement des facultés
mentales
, en un mot, de l'état du système nerveux centra
arandon dans son article de 1894 sur les conditions de la contagion
mentale
morbide. L'im- pression morbide dépend essentie
causes peuvent se diviser en trois groupes : un pre- '13s CLINIQUE
MENTALE
. mier groupe qui accentue l'élément suggestif,
ieux et Capgras. ? M/. méd. -psychol., mai-juin 1902. '140 CLINIQUE
MENTALE
. Dans ces trois formes, les éléments pathogéniq
ement remis et très conscient de la mauvaise influence 142 CLINIQUE
MENTALE
. de sa maîtresse. La jeune femme sortit guérie
out elle augmentera la puissance vésanique du sujet 144 ik CLINIQUE
MENTALE
. passif en l'activant sans cesse. Cliniquement,
ommuniquée par la fille à sa mère. 1. - Agent actif. Dégénérescence
mentale
avec prédominance d'idées de persécution, illus
e ne peut plus dormir. Archives, 2° série, t. XV. 10 146 CLINIQUE
MENTALE
. Sa mère influencée la suit. Ses ennemis la sui
e à deux. Signé : Dr LEGUAS. Certificat d'entrée : Dégénérescence
mentale
avec illusions, hal- lucinations, interprétatio
à l'amabilité de mon collègue et ami, le D Ameliue. 148 CLINIQUE
MENTALE
. II. Agent passif. Alcoolisme chronique avec af
t, moment où le délire du sujet passif est entré dans lu ' CLINIQUE
MENTALE
. une phase active, que le sujet actif commence
ps à autre sa sortie sans grande suite dans les idées. 152 CLINIQUE
MENTALE
. Au mois de décembre 1901, elle est tout à fait
ables de leurs actes. Com- Nina Rodriguès. Loc. cil. 154 CLINIQUE
MENTALE
. ment, cependant, considérer comme responsables
tte appellation s'appuie sur la pathogénie de ce groupe de troubles
mentaux
et a l'avantage de comprendre dans un même term
quent irres- ponsables tant qu'ils sont dans cet état. PATHOLOGIE
MENTALE
. Des obsessions et impulsions' (Syndromes épi
e l'individu dégénéré, mais faisant cepen- dant corps avec son état
mental
. M. Magnan leur a, ajuste titre, donné le nom d
de près les malades qui font l'objet de cette étude. 156 PATHOLOGIE
MENTALE
. Quelles que soient les manifestations extérieu
ndubitable le rapport de ces phénomènes avec l'état de déséquilibre
mental
, et la manière dont ces syndromes doivent être
omes en général, demande le premier rôle à l'élément 158 PATHOLOGIE
MENTALE
. intellectuel, l'idée, qui apparaît dans des co
rain. Et si les névroses sont susceptibles d'engendrer des troubles
mentaux
analogues ; cependant on-peut y reconnaître des
e conception et élucider ces considérations. OBs. L- Dégénérescence
mentale
, obsessions et impulsions conscientes à l'homic
, mêmes idées également, sans exécution. Enfin, vers 160 PATHOLOGIE
MENTALE
. soixante-quinze ans, mêmes idées encore, qui n
cause efficiente de la maladie, dont elle souffre. Outre cet état
mental
instable, cependant déjà dès l'âge de douze ans
y toucher la faisait Archives, 2' série, t. XV. il 16l PATHOLOGIE
MENTALE
. fuir. Elle luttait pour maîtriser ces pensées
lui donner les soins nécessaires ; elle était bien portante du côté
mental
, mais soudainement s'éveilla de nouveau en elle
et la malade se trouve alors dans un état d'anxiété 164 PATHOLOGIE
MENTALE
. extrême, mais elle résiste et lutte avec beauc
malade on ne trouve ni convulsions, ni maladie fébrile, ni trouble
mental
nettement caractérisé. Elle a fréquenté réguliè
a au point d'inquiéter son mari, qui lui fit consul- 166 PATHOLOGIE
MENTALE
. ter un médecin. Les soins de celui-ci l'amélio
ons, de sorte que rien ne trahit un trouble quelconque des facultés
mentales
. Lorsqu'on lui demande le motif qui l'a poussée
onc, les syndromes s'imposent à l'expert comme un acte d'aliénation
mentale
et au magistrat comme un fait marqué d'irrespon
comme un fait marqué d'irresponsabilité. OBs. III. Dégénérescence
mentale
; obsessions et iii2l) ? ilsioiis mor- bides, do
linge. Depuis cet instant elle continuait à exercer 168 PATHOLOGIE
MENTALE
. cette manoeuvre plusieurs fois par jour et sou
es, elle cherche à cacher la vérité, mais en réalité 170 PATHOLOGIE
MENTALE
. c'est qu'elle craint la présence des billets m
sont susceptibles au point de vue clinique. OBs. IV. Dégénérescence
mentale
; impulsions (tit vol et au sui- citie, perversi
ssement de celle-ci ; progressivement, elle était 172 -) PATHOLOGIE
MENTALE
. prise par une sorte de convulsion génitale, de
e frappant de la coexistence possible d'une complexité des troubles
mentaux
syndromiques et névrosiques qui, tant variés qu
a suite des nombreux vols commis dans les magasins. 171, pathologie
mentale
. de son entourage chaque fois qu'elle ouvrait u
e, sans nulle résistance ou' réflexion antérieure du 176 PATHOLOGIE
MENTALE
. sujet (seconde observation) ; dans la seconde,
iés qu'ils soient, appar- tiennent au même fond : la dégénérescence
mentale
; d'autre part, elle nous permet de nous placer
la maladie dans les centres corticaux moteurs. Si le foyer purement
mental
du mouvement volontaire semble intact, la paral
elles subissent puisque la plupart des dégénérescences physiques ou
mentales
sont créées par l'alcoolisme, la tuberculose, l
ation synonyme d' « idées impératives », des idées, des impressions
mentales
ou des émotions, presque toujours pénibles ou d
médecin. Il ne s'inspirera, dans sa détermination, que de l'état
mental
de l'aliéné et de la gravité des lésions matériel
iénés : progrès ou régression ; par William Graiiam (The Journal of
Mental
Science. Octo- bre 1901). Etude très spéciale
Un cas d'homicide épileptique; parR. Peucy Smith. (T/te/OKf- nal of
Mental
Science, juillet 1901.) L'histoire de ce crime
tait syphilitique. Dans le troisième cas, il s'agit d'une confusion
mentale
simple. simulant la paralysie générale. Le liqu
t pris de crises convulsives épileptiformes, suivies de con- fusion
mentale
, et continue pendant six ans à revêtir le type co
'agit de tics et de mouvements stéréotypés en relation avec un état
mental
parti- culier, obsession nosophobique qui pouss
le siège de ses douleurs, qui d'ailleurs ne sont que l'hypertrophie
mentale
de sensations banales. Les accidents ont débuté p
ec des phénomènes de catatonisme. 200 SOCIÉTÉS SAVANTES. . L'état
mental
de cette femme est manifestement troublé par des
tant donné l'âge de la malade, cinquante-neuf ans, que son désordre
mental
et moteur ira croissant ; peut-être même est-el
sychologie de l'enfant arriéré et la lutte contre la dégénérescence
mentale
, par M. le De Jules Voisin, médecin de la Salpê
903. Vol. XV. Mars 1903. N° 87. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. Nouvelle contribution à l'étude des psychoses
lelin néclical, 1898). Archives, 2' série, t. XV. 14 210 CLINIQUE
MENTALE
. est de montrer le chemin parcouru depuis cette
'ailleurs d'aperçus judicieux, Gallois dans^ son article sur l'état
mental
des ovariolomisées, n'ont pu se mettre en garde
sonne ne niera qu'il y a des opérés délirants après un 212 CLINIQUE
MENTALE
. traumatisme opératoire qui sont envoyés à l'as
a forme ' M. Lucien Picqué. Soc. de chirurgie, 1897, 214 CLINIQUE
MENTALE
. infectieuse ou septicémique où la prédispositi
Dubousquet (obs. VI), présentait très nettement une dégénérescence
mentale
avec hystérie. La deuxième du même auteur était
ues, suivant le mot si heureux de M. Ma- gnan, de la dégénérescence
mentale
qui permet de penser que tel prédisposé pourrra
' Les idées morbides et les délires de persécution. 216 CLINIQUE
MENTALE
. de savoir que chez une classe de dégénérés, l'
perte de sang ou les préoccupations morales, détermi- 218 CLINIQUE
MENTALE
. ner de la dépression mélancolique ou un vérita
te de l'âge, des antécé- dents héréditaires, des formes de troubles
mentaux
présen- tés par la malade, surtout aussi du deg
u délire ne pourrait pas fournir une indication utile. La confusion
mentale
que l'on tend à con- sidérer aujourd'hui comme
nous a eu souvent l'occasion de le voir, peut trouver 220 CLINIQUE
MENTALE
. son application : tantôt, à la suite d'opérati
réditaires, du degré de la prédisposition, de la forme des troubles
mentaux
; présentés antérieurement par les malades ; enf
éléments précédemment indiqués. Mais il reste encore des affections
mentales
coïncidantes dont la confusion, avec les psycho
naître puisqu'en la connaissant davantage ils pourront 222 CLINIQUE
MENTALE
. diminuer le nombre de ces psychoses en évitant
RATOIRES. 223 Quelques jours après ce simple curetage, les troubles
mentaux
apparaissent. Le 20 mars, IL le De Picqué tro
ers jours d'avril, on note une améliora- lion très rapide de l'état
mental
et de l'état physique ; la malade engraisse.
Réflexions. Il s'agit d'une observation très nette au point de vue
mental
. La malade n'était avant l'opération qu'une sim
s l'opération un délire mélancolique avec des idées de 224 CLINIQUE
MENTALE
. négation, des hallucinations et des idées de s
ient pas précisés et que d'autre part le diagnostic de la confusion
mentale
n'ait pas été discuté. Observation III (communi
s ans de cachexie cancéreuse (cancer de l'estomac). Pas de troubles
mentaux
. Mère morte à soixante-treize ans, cardiaque, t
nt en syncope. Est morte hémiplégique et aphasique. Pas de troubles
mentaux
. Une soeur aînée encore vivante, cinquante-troi
ans après pleurésie tuberculeuse. Aucun n'a été atteint de troubles
mentaux
. Antécédents personnels. Dans son enfance, n'a
e, elle croyait sentir Archives, 2o série, t. XV. la 226 CLINIQUE
MENTALE
. sa tête emportée par un train. L'opération dur
était devenue le siège de vives douleurs. 0 Les premiers troubles
mentaux
remontent déjà à dix-huit mois environ. n'était
était devenu mauvais. Obsédé constamment par des idées 228 CLINIQUE
MENTALE
. chimériques de misère et de ruine, M... passai
mais il reste déprimé. Le gâtisme intermittent dont le 230 CLINIQUE
MENTALE
. .naïade a conscience annonce l'anesthésie des
nis, tant l'amoindrissement était considérable et tout 233 CLINIQUE
MENTALE
. ressort disparu, la situation s'améliora assez
t de la jeune fille alla en s'améliorant, et après deux mois l'état
mental
était redevenu normal. Actuellement, aprèstoute c
rtainement dans ce cas d'une jeune fille atteinte de dégénérescence
mentale
et chez laquelle un délire maniaque s'est décla
irium-tremens. Frère mort dans un asile départemental, d'aliénation
mentale
survenue après la Commune. M... a toujours ét
e ; mais quelques jours après son opération, son état de dépression
mentale
avait considérablement augmenté, et. menaçant s
I (communiquée par M. le D, Mignot, chef de cli- nique des maladies
mentales
à la Faculté de Médecine). Mmo Ch... journalièr
tion. On l'opère sous chloroforme le 4 octobre 1899. 234 CLINIQUE
MENTALE
. Quinze jours après l'opération, elle crache du
hysique autrefois si mau- vais est devenu excellent, quant à l'état
mental
, si les idées mélan- coliques hypochondriaques
par ses paro- les et ses actes, ses gestes, la délibité de son état
mental
sur laquelle parait avoir évolué un délire poly
la fin, une très vive hémorrhagie complica l'ablation 23b' CLINIQUE
MENTALE
. de l'arrière-faix fixé aux annexes gauches et
é du délire. Il n'y a malheureusement que peu de détails sur l'état
mental
et la nature des troubles intellectuels observé
éprouver de l'angoisse. Il présente un accès passager d'aliénation
mentale
caractérisé par des sensations physiques anorma
vient de se demander si les incendies ne dépendent pas d'un trouble
mental
plus profond. Discussion de laquelle il ressort q
es qui aboutit à la volition. Il y avait un désordre des opérations
mentales
comparable à celui du rêve. Lire le mémoire. ~
aleur clinique de la contraction idio- musculaire dans les maladies
mentales
; par les ûrs Soukanoff et SaNNOUCHgINE. Dans
tique comme pathognomonique pour l'une ou l'autre forme de maladies
mentales
; on l'observe aussi bien dans les maladies aigu
chez les ma- lades psychiques est une preuve de plus que la lésion
mentale
est en connexion très proche avec les troubles
d'irritation a disparu. Tout tic comporte donc à la fois un trouble
mental
et un trouble moteur : ce trouble mental consis
donc à la fois un trouble mental et un trouble moteur : ce trouble
mental
consiste dans une insuffisance du pouvoir inhibit
ologique, septembre 1902. E. B. LXIII. Un nouveau cas de torticolis
mental
. Rôle de l'idée fixe, crainte de voir tomber la
tomber la tête ; par le De SCIIEIIB. Observation type de torticolis
mental
, aussi intéressant au point de vue des attitude
ionnel parait être sous la dépendance d'une imperfection, de l'état
mental
, en particulier de la volonté dont l'action fré
. Pendant toute la durée du traitement, l'auteur a examiné l'état
mental
des malades, leur nutrition générale, leur pouls,
t resté le même. Ce traitement peut rendre des services en médecine
mentale
en relevant les forces des malades, en combatta
les manifestations les plus rudi- mentaires de la vie biologique et
mentale
; lorsque les éléments qui la composent évoluent
e excessive. Il était abstinent depuis plusieuts années et son état
mental
s'améliora au moment oùl'oligurie fut remplacée
IIDE communiquent une série de recherches expérimentales sur la vie
mentale
des aphasiques. Comme tech- nique les auteurs o
rrait jouer le médecin, dans les écoles, aussi bien au point de vue
mental
qu'au point de vue physique. 1 M. Bérillon. J
ù celle-ci est loin de suffire. Certains de nos malades, nerveux ou
mentaux
, sont en imminence de guérison, mais ils resten
elle, on n'a pas pu le savoir. A l'entrée, on signale une confusion
mentale
, une mauvaise orientation dans l'entourage; le
côté gauche. Parésie des extrémités gauches, ataxie. La confusion
mentale
commença à disparaître progressivement [et alors
es, se manifestant par une lenteur particulière dans les opérations
mentales
, une amnésie, surtout pour les faits cou- rants
iques, ses publications portant sur la thérapeutique des mala- dies
mentales
protégeront sa mémoire contre l'oubli. Son nom
répit afin de faire bénéficier les personnes atteintes de maladies
mentales
des progrès de la chirurgie contemporaine et pl
des opérations gynécologiques dans certaines formes d'aliénation
mentale
(avec le Dl Picqué), communication faite à la Soc
siblement égal à celui des années précédentes. Les cas d'aliénation
mentale
paraissent donc être à peu près stationnaires d
. Sir John Sibbald a parlé ensuite des soins à donner aux malades
mentaux
hors l'asile fermé. Ce dernier imprime, quelle qu
rofesseur à la Faculté de médecine de Toulouse (chaire des maladies
mentales
); M. Régis, chargé du cours à la Faculté de méd
u cours à la Faculté de médecine de Bordeaux (chaire des maladies
mentales
). Nous adressons nos plus vives félicitations à n
s l'autorisation des auteurs. ' Hospice de la Salpêtrière. Maladies
mentales
et nerveuses, M. J. Voisin : jeudi à 10 heures.
de la Salle Sainte-Anne). Hospice DE Bicêtre. Maladies nerveuses et
mentales
des enfants ; M. Bourneville, le samedi à 9 h.
auches; abaissement de la commissure labiale du même côté. L'état
mental
est caractérisé par une hébétude profonde avec
de More), l'autre de M. Christian et ratta- 361 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. chait la faiblesse congénitale cérébrale de se
pas de nature à me faire changer d'opinion. 1 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. I. Observation d'états psychiques anormaux sur
cile (Annales méllico- psychologiques, 1899). REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 36S Chaque accès est ainsi constitué. Le premi
, provoquant des idées de persécution ; il se produit une confusion
mentale
accusée. Graduellement absorbée par ce qui se p
calme relatif laissant persister un état de 36C REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. confusion incohérente absolue. Ayant constaté
t fut radicalement guéri du jour.au lendemain de tousses troubles
mentaux
. Avec une prudente réserve l'auteur se range avec
malade à la suite d'une lièvre puerpérale est frappée decou- fusion
mentale
. L'auteur déconseilla d'abord l'internement et is
cidents somatiques qui menacèrent encore sa vie. Après un au l'état
mental
restant mauvais la malade est internée avec un no
e psychique caractérisée par des troubles de la REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 367 mémoire, la perte de tout sentiment affect
ler à la selle. Peu à peu il constata qu'il 368 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. lui venait l'envie de prendre l'urine d'une fe
n cas s'en rapprochant, 1902, t. XIV, p. 462. , REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 369 l'individu tend à s'expatrier, cherchant a
IALLON. (Annales médico- psychologiques, juin 1901). Les troubles
mentaux
consécutifs aux états infectieux avec albu- min
e sont fréquents. Ils se traduisent d'ordinaire par de la confusion
mentale
, avec ou sans agitation, et le plus souvent, avec
de la diète lactée, a eu trois rémissions très nettes dans son état
mental
; elle a pu sortir de l'asile une fois pendant
té plus ou Archives, 2- série, t.- XV. 24 370 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. moins longtemps sans présenter de troubles men
E DE PATHOLOGIE MENTALE. moins longtemps sans présenter de troubles
mentaux
. Fait sur- tout digne d'être noté : la cessatio
ntaux. Fait sur- tout digne d'être noté : la cessation des troubles
mentaux
a tou- jours coïncidé avec la. disparition de l
à prédominer à l'heure actuelle dans la pathogénie des affections
mentales
. L'effet incontestable d'une infection très vir
. L'effet incontestable d'une infection très virulente sur l'état
mental
pourrait servir d'amorce à des recherches thérape
res seront les mêmes que ceux qui sont applicables à l'alié- nation
mentale
et non à l'hypnotisme. REVUE DE PATHOLOGIE MENT
l'alié- nation mentale et non à l'hypnotisme. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 371 De ce fait, la responsabilité juridique de
igateurs et les chefs sont toujours suspects d'un fort déséquilibre
mental
. Toutefois, l'analyse psychologique de la foule
rticaux enjeu sont les mêmes et la localisation REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 373 tantôt à droite, tantôt à gauche, ne dépen
nsoriel périphérique, l'existence de sensations subjectives, l'état
mental
du sujet, et des divers facteurs psychiques qui p
achromie cutanée peut affecter aussi des rapports avec les maladies
mentales
. Il en fut ainsi dans l'obser- vation rapportée
et toutes les amyotrophies dites primitives, ainsi que les troubles
mentaux
qui les accompagnent fréquemment; ne sont que d
de d'honneur qui ont rendu les plus grands services à la médecine
mentale
. M. Motet souhaite ensuite la bienvenue à M Balle
ans l'ensemble des phénomènes psychologiques ou plutôt des éléments
mentaux
, qui constituent la nature intime de l'image mo
rs d'intensité et de vitesse jusqu'à ce que le maximum d'excitation
mentale
soit atteint. Cette multitude de fragments d'im
et nourris par une émo- tion toujours plus intense, donne à l'image
mentale
sexuelle une physionomie bien définie et bien p
peu intelligente; la malade sourit continuellement. Les capacités
mentales
sont très affaiblies; dit plusieurs mots seulemen
d'homicide sont survenues tour à tour, et ce tiqueur a gardé l'état
mental
infantile que conservent toujours les liqueurs,
imée. Elude pathogénique. La genèse du tic tient surtout à l'état
mental
du liqueur. Le tic a son origine dans un mouvemen
ion fonc- tionnelle est la conséquence d'une imperfection de l'état
mental
et en particulier de la volonté. ' J. inoin,
s et les idiots itli. de Paris 1893). 396 BIBLIOGRAPHIE. L'état
mental
du tiqueur est bien analysé par 1111. lleine et F
sessions, phobies, etc., sont les principaux caractères de cet état
mental
. MM. Meige et Feindel font remarquer, et nous l
tiologie des tics est celle de la plupart des maladies nerveuses et
mentales
. L'hérédité, l'imitation, le surmenage profession
Signalons tout particulièrement le chapitre cousacré au torticolis
mental
, que les auteurs considèrent comme l'un des tic
crampes professionnelles. Le pronostic dépend absolument de l'état
mental
du tiqueur. Le traitement est un chapitre impor
sociation of Sensation, 111-8- de 1-1 pages. Journal of nervous and
mental
ilisease, 1903. ' Le rédacteur-gérant : f3oowFV
1003. Vol. XV. Mai 1903. N 89 : ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. Clinique psychiatrique DE l'Université DE MOSC
de même que les cas, où l'état maniaque est accompagné de confusion
mentale
(amentia maniaque). D'un autre côté, il faut,
des maladies sus-nom- Arcuives, 2- série, t. XV. 26 402 CLINIQUE
mentale
. mées, que cette maladie ne se répétera pas. Ay
t chez les femmes, doit être envisagée comme l'une des mala- dies
mentales
la plus fréquente. Concernant la question, à qu
nte-six ans 2 fois ; il faut encore noter que parmi 404 ik CLINIQUE
MENTALE
. notre matériel il n'y avait pas un seul cas, o
ale. Année IX, fasc., II. 2 Mendel. Die Manie, 1881. 406 CLINIQUE
MENTALE
. ainsi que de nos données, est confirmée par ce
(12.50 p. 1 00), dans 22 cas sont notées des maladies nerveuses et
mentales
et l'alcoolisme du père et de la mère (68,78 p.
le degré de la tare héréditaire dans d'au- tres formes de maladies
mentales
qui ont été examinées par nous sous ce rapport
u'il redoute, et qui va fondre sur lui à l'improviste; 408 CLINIQUE
MENTALE
. 3° Des crises d'angoisse aiguë, dans lesquelle
era de son martyre. Des troubles somatiques accompagnent cet état
mental
. Céphalée intense, en forme de casque. Dépressi
gée, la malade se rend compte de la fausseté de ses il. 10 CLINIQUE
MENTALE
. scrupules et de l'inanité de ses craintes. Mai
enteux et psychique, poursuivi avec persévérance, que ces accidents
mentaux
s'atténuent, sans avoir . disparu encore entièr
ment, la malade se remarie et reprend sa vie sexuelle. 412 CLINIQUE
MENTALE
. Moins de trois semaines plus tard, tous les sy
es accès de peur à propos de tout : un rien l'émo- 414 ! i CLINIQUE
MENTALE
. tionne.Un choc en chemin de fer, une imprudenc
rologistes. Grenoble, 1902. Bouveret. La Neurasthénie. 416 CLINIQUE
MENTALE
. Paris. Baillière, édit.. 1891. - Brissaud. L'A
enri L.IItGGIt'. '. A côté des stigmates physiques et des stigmates
mentaux
, il y a lieu de décrire des stigmates obstétric
ce joue un très grand rôle, non seulement en pathologie nerveuse et
mentale
, mais encore en pathologie générale; tous les m
coucheurs, un peu troublés par une recherche des tares physiques et
mentales
avec laquelle ils étaient peu fami- liarisés, s
même accueil qu'aux stigmates physiques de Morel ou aux stig- mates
mentaux
de Magnan et de ses élèves, quitte à leur adresse
moraux en stigmates obsté- tricaux. Première génération. Troubles
mentaux
, épilepsie. etc., mais gestations anormales.
morale, mais gestations anormales. Troisième génération. Troubles
mentaux
, épilepsie, etc. Déjà Bourneville, dans les obs
tout à l'honneur des auteurs les mêmes critiques que les stigmates
mentaux
ou physiques, lesquels sont unanimement admis e
hysiques, lesquels sont unanimement admis en pathologie nerveuse et
mentale
, mais 'dont la valeur pathogénique, diagnostiqu
ffet ce qui diminue un peu l'importance des stigmates dégénératifs (
mentaux
, physi- ques, obstétricaux), c'est leur fréquen
able, des tares dégénératives obstétri- cales ou physiques en tares
mentales
. Telle est l'oeuvre des Larger qu'il nous a par
amène un trouble de l'attention et jette la distraction dans l'état
mental
du sujet {Revue neurologique, sept. 1902). E. B
opposition à ces résultats contradictoires de la méthode expéri-
mentale
, les auteurs donnent 4 observations cliniques dét
de Stirling, Larbert ; par George M. Robertson. (Tlee Journal of
Mental
Science. Avril 1902.) Avant d'exposer les métho
i- culièrement irritable : mais dans d'autres formes d'aliénation
mentale
, il existe, sans que peut-être ils soient aussi n
ajouter qu'ils doivent être étudiés non seulement au point de vue
mental
mais au point de vue somatique, beaucoup de troub
mmeil réparateur leurs journées deviennent meilleures, et leur état
mental
et physi- que va s'améliorant. Les narcotiques
malade se remet à dormir la nuit et à s'ali- menter ; ses troubles
mentaux
ne tardent pas à disparaître; en deux mois son
egré de l'hypnotisme, depuis la diminution des facultés de contrôle
mental
jusqu'à l'automatisme le plus absolu. Dans le l
dire dans la sus- pension d'activité de quelques-unes des fonctions
mentales
, et, en particulier de la volonté, peut surveni
éjà de bonne heure à l'auto-observatiou et à l'analyse de leur état
mental
; rarement on remarque chez eux une cruauté gro
vait garder les sujets que pendant qu'ils présentaient les troubles
mentaux
dus à l'intoxication et où il ne conve- nait pa
il 12bellaizi hors de l'asile les alcoolique s dès que les troubles
mentaux
ont disparu, nome croyant pas autorisé à leur f
payes. Ilobers à Bordeaux. Prix : 2 bancs. Ganmrn (Samuel), L'étal
mental
d'un escroc féminin el d'un assas- sin voleur.
ropisme spécial. Du reste elle coïncide en général avec la débilité
mentale
. Cependant il existe des circons- tances indépe
entis- sant pas gravement sur la nutrition générale ni sur l'état
mental
des malades... » ne contenaient pas quoique dits
t du mécanisme dans le domaine des phénomènes psychiques- ? ? (ou
mentaux
) puisqu'il les subordonne d'une manière intime^
à la suggestion ou auto-suggestion et à la persuasion, phé- nomènes
mentaux
. Il y a plus : par sa définition, l'auteur dist
anifestations hystériques d'avec d'autres manifestations, également
mentales
, comme les troubles neurasthéniques, les phobie
nce de la définition c'est que, dans la dénomination des phénomènes
mentaux
, il règne chez la plupart des auteurs une confu
ation psychique ni hystérique. La maladie du doute est un trouble
mental
ou psychique (ces deux mots étant synonymes, l'un
thre, de l'oesophage, etc. ! ) est un trouble fonctionnel, mais non
mental
ni hysté- rique. Ces exemples, que nous pourrio
lle vaut a fortiori pour différencier les manifestations purement
mentales
des manifestations par lésions organiques. Des
souvent associée à la neurasthénie, à la mélancolie, à la confusion
mentale
, à l'anxiété nerveuse. M. Bernheim paraît avoir
00 lits, et insistait sur l'utilité de l'enseignement des maladies
mentales
. La solution fut encore ajournée. En 1848, la F
et au Laboratoire d'anatomie. La « policlinique pour les maladies
mentales
et nerveuses » com- prend une salle d'attente,
nds alcooliques. Les symptômes qu'il présente s'associent à un état
mental
parti- culier, à une instabilité singulière, de
des organes internes dans l'évolution et la constitution de la vie
mentale
. Les organes internes ne sont pas seulement la
une part impor- tante dans l'évolution et la constitution de la vie
mentale
. I. En effet, la vie végétative.régit la nutrit
dia- tement à l'encéphale et modifient plus ou moins le dynamisme
mental
selon que le trouble viscéral, fonctionnel, survi
ut point analogues à ceux que l'on observe chez les médiums. L'état
mental
des « alié- nés » de ce genre semble n'être que
e genre semble n'être que l'exagération, le grossissement de l'état
mental
propre à tous les médiums. Lorsqu'on étudie, en
ie, en effet, au point de vue de sa physiologie pathologique l'état
mental
d'un médium, on voit qu'il restez d'une désagré
Cependant il n'y a aucune différence fondamentale entre le trouble
mental
de ces aliénés et celui des médiums ordinaires.
ts. Des idées de persécution se sont développées aussi. La débilité
mentale
du sujet est le facteur étiologique de tous ces
ue de rechercher comment nous, médecins, pouvons interpréter l'état
mental
des médium*. Il y a des degrés divers depuis le
iminelle, la Psychiatrie juridique, la Thérapeu- tique des maladies
mentales
, sur les étabtiasements d'aiiéiiés et sur la qu
dans les pays tropicaux; par P.-C.-J. van Beeho. ( 77te Journal o/
Mental
Science, juillet 1901.) L'auteur, qui est médec
une législation ultérieure, par Edward D. 0' NEiLL(771e Journal of
Mental
Science. Octobre 1901). Etude d'un caractère
es établissements particuliers ; par 1;LIOT Daunt. (Tlie Journal of
Mental
Science, janvier 1901.) On ne peut que signaler
asile de Ticehurst; par les DIItECTEUItS-IIüDECI\. (The Journal ouf
mental
Scie,nce,,janvier 1901.) Notiee curieuse et i
ique : Traitement de l'agitation et de l'insomnie dans les maladies
mentales
et nerveuses. ltap- porteur : M. le D'' Trenel
e malheureux était malade et semblait ne plus jouir de ses facultés
mentales
. Il avait déjà tenté de se suicider en mélangea
blique et de bienfaisance privée, 400. Contraction. V. maladies
mentales
. Corps calleux. Deux nouveaux cas de lésions
NIGRR. Ramollissement loca- lisé au -, par Guillam, 385. MALADIES
mentales
. Sur la question de la valeur clinique de la co
nternes. Le rôle des dans l'évolutiun delà constitution de la vie
mentale
, par Pron, 5H. Orteils. Phénomène des dans l'a-
ie aiguë produite par le . par Barcia Cahuillero, 365. Torticolis
mental
. Un nouveau cas fle - Rôle de l'idée fixe. Crai
HIVES DB NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
Fondée par J.-M. CHARCOT PUNLIfiE SOUS I.A DI
CTION UR plpl. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNA
or- gane dans la pathogénie du délire. Il s'agit là d'un syndrome
mental
hépato-rénal analogue à celui que décrivit M. Mau
cas plus aigus 3. IL- Dans une excellente revue sur « les troubles
mentaux
de l'urémie», M. le docteur Toulouse 's'étonne
, l'urémie ne figure pas plus souvent dans l'étiologie des maladies
mentales
. « Les aliénés, ajoute-t-il comme explication d
s auxquels il manque le gros symptôme albuminurie, et dont l'état
mental
seul attire toute l'attention du médecin. Toute-
e ; 3° Une albuminurie existante crée de toutes pièces des troubles
mentaux
, temporaires ou définitifs, suivant la prédispo
18 juin 1894) ; 3- à la thèse de M. Maurice Faure. Sur un syndrome
mental
lie à l'insuffisance des fondions hépalo-î,éita
notre étude. Suivant la classification de Koeppen1, les troubles
mentaux
accompagnant l'albuminurie peuvent être divisés
nous verrons que parfois la lésion rénale parait réagir sur l'état
mental
. Enfin si l'étiologie rénale peut échapper à l'
probants à cet égard : dans l'un l'étiologie rénale des trou- bles
mentaux
ne fut établie qu'à l'autopsie. Dans l'autre c'es
llucinatoire, délire onirique, état de rêve prolongé avec confusion
mentale
profonde. Délire alcoolique, délire consécutif
ements précis sur les antécédents du malade, et devant la confusion
mentale
ou le délire hallucinatoire que ce malade prése
égis et Chevalier Lavaure. Des aulo-inloxicalions dans les maladies
mentales
(Rapport-Congrès de la Roclielle, 1893). 6 CLIN
très difficile dans ces conditions, de distinguer, au point de vue
mental
, le délire d'origine hépatique et d'origine int
e «déflorés. » Dans les cas chroniques il peut constater un trouble
mental
persistant après une lésion rénale guérie et qu
diminuait, nous avons constaté souvent des modifications de l'état
mental
. En dehors même du changement d'alimentation, n
quantité d'albumine semble coïncider avec l'aggrava- tion de l'état
mental
. Il est vrai que le régime alimentaire ' -Morea
e immédiatement un disque rougeâtre d'uro-hématine. Au point de vue
mental
, le malade présente encore un certain degré de
. 11 nie énergiquement avoir eu des hallucinations. Cette confusion
mentale
est mise en évidence par le fait suivant. Inter
, peurs imaginaires, appels désespérés, Dl Legras. « Dégénérescence
mentale
avec alcoolisme, préoccupa- tions hypochondriaq
et a été à cette époque mis en liberté sur sa demande. La confusion
mentale
a disparu, ainsi que toutes les idées délirante
liénés, méthodes ayant pour but de mesurer avec précision le niveau
mental
et l'ins- truction des sujets, la durée et l'in
s des aliénés des deux sexes, ainsi que l'enseignement des maladies
mentales
. L'intérêt de la science et les exigences de l'
es de dégénérescence, photographié pendant une période d'excitation
mentale
'. La deuxième partie traite de l'application d
, en effet, présenter aux étudiants des sujets atteints de maladies
mentales
chroniques et non pas seulement des cas aigus;
ous ne pouvons signaler que la création de la clinique des maladies
mentales
de Paris (1879). RECUEIL DE FAITS. Sur un cas
aucun degré de consanguinité : ni syphilis ni hérédité nerveuse ou
mentale
. D'ailleurs, les ascendants, par- faitement con
ts, incohérence des idées, gri- maces, impulsivité), tous d'origine
mentale
, émanent d'un même mécanisme, c'est-à-dire de l
musculaire généralisée, des troubles du lan- gage, de la confusion
mentale
; on diagnostique une démence organique. Elle de
l'opi- nion de Bruns : « l'obtusion intellectuelle est le symptôme
mental
spécifique... et la résultante de la compressio
Calcification du Péricarde; par Francis 0. Simpson. (The Journal of
Mental
science, juillet 1902). C'est une affection rar
II. Note sur les lobes préfrontaux et la localisation des fonctions
mentales
; par P. W. IAC-DON.%LD. (The Journal of Mental
ion des fonctions mentales ; par P. W. IAC-DON.%LD. (The Journal of
Mental
science, janvier 1902). Le malade dont l'obse
e à poser la question suggérée par cet état cérébral, et par l'état
mental
du malade - de savoir s'il y a un rapport, et q
des différentes zones corticales dans la production des phénomènes
mentaux
n'est pas actuellement déterminée ; 8° L'inhibi
izarreries dans l'aspect de l'affection, dans son évolution, l'état
mental
particulier des malades qui per- mettront d'éli
ent à la suite d'un traumatisme. Plus tard, apparurent des troubles
mentaux
sous la forme de catatonie agitée. Réactions él
n'est pas moins profitable aux sujets, qui, par suite d'un trouble
mental
, se croient dans l'impos- sibilité d'exécuter c
cal sans lésion anatomique, ayant leur point de départ dans l'état
mental
particulier des hystériques. Les simulations hyst
intervention sanglante que par la gravité des lésions. IV. L'état
mental
chez les blennorrhagiques; par le De Ducasse. L
dents cérébraux. Mais ce qu'il y a de fort intéressant c'est l'état
mental
des individus atteints de cette affection. - ·
at mental des individus atteints de cette affection. - · Cet état
mental
, le plus fréquemment observé, semble ordinaire-
actéristique de la tête limousine, sont sans conséquence sur l'état
mental
de ceux qui en sont atteints. IX. bu tétanos
edë- maleuse. Compte rendu de 1890, p. 206 (Congrès de méde- cine
mentale
de Roite2î); 7° Etat du squelette d'un nia- lad
e, il a perdu la vue : ce n'est qu'un an plus tard que les troubles
mentaux
apparurent, caractérisés qu'ils étaient par un si
hilitique et alcoolique, qui, un an avant de présenter les troubles
mentaux
de^ la paralysie générale fut atteint de cécité
Hessencourt ne semblait plus jouir de la plénitude de ses facultés
mentales
; il ne voulait plus travailler et s'adonnait à la
a nuit. Il se réchauffe difficilement dans son lit. Au point de vue
mental
on note de l'affaiblissement intellec- tuel, av
qui revient à l'insuffisance rénale dans la pathogénie de cet état
mental
, d'autant plus que malheureusement l'autopsie n
olorées indique laprésence d'une petite quantité d'albumine. L'état
mental
est celui d'un homme fortement affaibli, générale
mine reparait en quantité plus abondante (0,50 par litre) et l'état
mental
subit d'intéressantes modifications. Les pi éoc
ompie à cause de la mauvaise influence qu'il parut avoir sur l'état
mental
. Au régime lacté, le malade est resté euphorique
ale (type Klippel). Chez ce malade, sur le fond démentiel de l'état
mental
, apparaissaient des alternatives d'enphorie et
er signe est souvent fourni par une discordance entre les aptitudes
mentales
qui sont exceptionnellement développées, et les
res affectés de formes de psychoses légères, et les cas de troubles
mentaux
non justiciables de la séquestration, à la limi
. KERAVAL. XIII. Le traitement des enfants atteints de défectuosité
mentale
. (Défectives) ; par Maximihen P.-E. GROSZMANN.
Van Liew a rendu assez heureusement par l'expression d' « anomalies
mentales
mineures ». Dans les deux groupes, l'anomalie p
vie de l'enfant sont des périodes d'élection pour des modifications
mentales
passagères qui demandent à être reconnues et so
ndre un grand développement (faculté mu- sicale, aptitude au calcul
mental
), puis il aborde la question de la folie chez l
a question de la folie chez les enfants, et il arrive aux anomalies
mentales
mineures. Sa conclusion fort logique est que to
les conditions ordinaires dans lesquelles on observe la dépression
mentale
peuvent être classées de la manière sui- vante
oujours lié à des lésions viscérales. Clouston a noté la dépression
mentale
chez presque tous les paralytiques tuberculeux
ement commis. L'auteur n'entend pas se préoccuper ici des symptômes
mentaux
qui accompagnent ce genre de crime, mais plutôt
utôt en disant que l'enfant sera plus heureux au ciel. Les troubles
mentaux
qui dépendent de la gestation sont commu- némen
savons c'est qu'elle s'ac- compagne souvent d'une grande dépression
mentale
pouvant aller jusqu'à la mélancolie. On a dit q
ment pas cette manière de voir.-La folie puerpérale est un trouble
mental
qui survient dans une période courte consécutivem
plus tardivement dans la période puerpérale sont dus à des troubles
mentaux
de type mélan- colique. Par leurs caractères gé
tachent à des causes diverses : épuisement fonctionnel et déchéance
mentale
consécutive, prolon- gation de l'allaitement po
olie puerpérale. Dans les cas d'homicide se rattachant aux troubles
mentaux
qui accompagnent la gestation, certaines circon
prend de la belladone. Surdité à droite. Démarche maladroite. Etat
mental
très affaibli. Confusion des idées et diminutio
anttout aussi sûrement que lapremière à la destruction des facultés
mentales
. Le diagnostic de l'épilepsie psychomotrice est
années inaperçue aux yeux des per- sonnes non exercées. Les crises
mentales
surviennent souvent chez des neurasthéniques, q
La forme zoopathique interne du délire s'explique par la débilité
mentale
. L'interprétation délirante des troubles anesthés
délirante des troubles anesthésiques donne ici la mesure du niveau
mental
de ce dégénéré héréditaire. M. Ballet a vu des
voir fournir la valeur diagnostique. Néiziîtgisiiie et puérilisme
mental
paroxystique chez une hystérique . MM. Ernest D
ique, de deux syndromes, l'un somati- que, le ménirzgisnze, l'autre
mental
, le puérilisme, dont l'apparition paroxystique
ulatrice de l'évolution thermi- que des méningites. Le puérilisme
mental
, qui a succédé à l'attaque de méningisme, est c
e altération de la personnalité, que caractérise le retour à 1 état
mental
de l'enfance : la malade a vécu, pendant une di
n contrôle sur sa fonction vésicale. Impuissance génitale d'origine
mentale
guérie par la suggestion somoonformique. M. P
e. Il ne s'agit ni de trac, ni de timidité, mais d : préoccupations
mentales
qui l'assaillent an moment de l'acte et font inhi
nale, triomphe des doutes et des obses- sions raisonnantes chez les
mentaux
que, trop souvent, on essaie en vain d'hypnotis
ir certains termes, tels que : arrêt de dévelop- pement, aliénation
mentale
, folie. Une telle façon de procéder convient bi
CIIIDE (N ) et Vunpt.s (Cl.). La logique morbide, t. I. L'ana- lyse
mentale
, in-16 de 2B8 pages. Société (l'éditions scientif
ol. XVI. Septembre 1903. N° 93. ARCHIVES DE NEUROLOGIE ' CLINIQUE
MENTALE
. Obsession et délire ' ; Par le D' E. MARANDO
assage au délire. Archives, 2- série, t. XVI. ' 13 . 194 CLINIQUE
MENTALE
. tardives de son oncle paternel sur son véritab
et très riche, elle ne manquait pas de prétendants malgré son état
mental
qu'elle parvenait encore, il est vrai, à assez
re son fils pensionnaire. Au dernier moment, il ne se '196 CLINIQUE
MENTALE
. sentit pas la force de se séparer de lui, d'au
morbides. [Revue de Psychiatrie. 1903. n° 1, janvier). 198 CLINIQUE
MENTALE
. psychiques obsédants est étudiée à un degré su
es idées de jalousie chez la mataue sont accompagnées d'une anxiété
mentale
très accentuée et d'un état d'angoisse, qui attei
es; dans l'esprit de la malade surgit une peur que son 200 CLINIQUE
MENTALE
. mari peut lui être infidèle; en ramassant les
Depuis, l'état est devenu stationnaire ; on note au point de vue
mental
un affaiblissement considérable des facultés inte
as l'atten- tion du côté de l'appareil excréteur. Au point de vue
mental
, on note en premier lieu un certain degré d'aff
uatre soeurs et leurs enfants n'ont pas eu de maladies nerveuses ou
mentales
. [Rien à noter dans le reste de famille.] Mèr
our est une des plus vastes et de plus compliquées de la pathologie
mentale
. En l'étudiant de plus près, en recherchant com
e s'élargit à cha- SOCIÉTÉS SAVANTES. 219 que page. En pathologie
mentale
, plus que dans toute autre science les phénomèn
serait qu'un syndrome morbide commun à toute une série d'affections
mentales
et nerveuses. Enfin un troi- sième groupe d'aut
nées, et qui a abouti à l'introduction, dans le groupe des maladies
mentales
, d'une nouvelle entité morbide, la démence préc
atrie, et qui bouleverserait tous les cadres actuels de la médecine
mentale
en reléguant au dernier plan les facteurs étiol
au contraire, que la démence précoce ressortit à la dégénérescence
mentale
, qu'elle n'est qu'une des modalités déjà si nom
maux, bien doués intellectuellement avant l'apparition des troubles
mentaux
, ou au 222 ), SOCIÉTÉS SAVANTES. contraire de
fit pour affirmer le carac- tère de non-contingence de ses troubles
mentaux
. Je crois donc qu'avant de se prononcer d'une f
section et y inscrit les modifications que subit l'état physique ou
mental
de l'aliéné. Il tient, enfin, un ! 'e- gistre o
endent ainsi leurs malades moins aptes à être soignés, car à l'état
mental
dû aux lésions cérébrales, viennent s'ajouter l
oubles déjà nutrition que présente le rachitisme et son arriération
mentale
, et quelle est la nature de ce rapport ? 1 Des
st revenue également d'actualité dans le traitement de l'aliénation
mentale
. M. Douza calmait les agités dans des cham- bre
tits cris, il a eu toute cette succes- sion de tics variables. Au
mental
, c'est un scrupuleux; il fut obsédé par la craint
maniaque dans ses habitudes journalières. Outre ces particularités
mentales
, il présente un enfantillage de l'esprit qui se
-phÉi ? ,Yiîgie2nes. M. ROYET, ancien chef de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de Lyon. De très nombreuses observ
. Les maladies qui les ont causées, comme aussi la forme du trouble
mental
, étaient diverses. Cependant, si on met à part
trente-huit ans. Polypes,muqueux ignorés jusqu'à l'examen, troubles
mentaux
assez accentués, obnubilation intellectuelle, r
ze ans. Végétations adénoïdes légères, pas de surdité. Insuffisance
mentale
, ne peut suivre les cours de son âge, est toujo
e dernier de sa classe. Agitation incessante, sans but, instabilité
mentale
, mouvements choreiformes. L'adéno- tomie fait d
ilagineuse; rien dans la caverne. Agitation incessante. instabilité
mentale
. Disparition de ces symptômes après rétablis- s
t facile, la malade devient docile. ' La pathogénie de ces troubles
mentaux
peut s'expliquer : 1° par des modifications de
ntellectuelle et une incapacité mar- quée de diriger les opérations
mentales
dont les conséquences sont : l'impossibilité de
des organes internes dans l'évolution et la constitution de la vie
mentale
. LE Secrétaire général donne lecture, au nom de
des organes internes dans l'évolution et la constitution de la vie
mentale
, d'où il résulte que les organes interviendraie
ut point analogues à ceux que l'on observe chez les médiums; l'état
mental
des « aliénés » de ce genre semble n'être que l
e genre semble n'être que l'exagération, le grossissement de l'état
mental
propre à tous les médiums. Lorsqu'on étudie, en
e, en effet, au point de vue de sa physiologie pathologique, l'état
mental
d'un médium, on voit qu'il résulte d'une désagr
Cependant, il n'y a aucune différence fondamentale entre le trouble
mental
et celui des médiums ordinaires. Délire halluci
ts. Des idées de persécution se sont développées aussi. La débilité
mentale
du sujet est le facteur étiologique de tous ces
nique ne doit pas être seulement réservée aux maladies nerveuses et
mentales
; elle a sa place dans le traitement de certains
. 3° Réaliser par des suggestions particulières la représentation
mentale
des conditions dans lesquelles se manifeste le tr
ils mettent en oeu- vre. Le traitement psychologique du bégaiment
mental
. M. J3ERILLO\. Un grand nombre de névropathes s
eux éléments principaux : l'aboulie et l'émotion. Le bégaiement est
mental
avant d'être moteur. Le seul traitement rationn
Présentation d'un appareil pour l'hyp- notisation. M. Doyen. L'état
mental
des opérés. M. DEMOVCHY. Paralysie vésicule, de
fluence des fermentations diges- tivessur le caractère et les états
mentaux
. BIBLIOGRAPHIE. XV. Psychopathologie légale.
iques, c'est-à-dire essentiellement représentés par de la confusion
mentale
et du délire onirique. XVJ,11..Etude sur la céc
nt il a été très longuement parlé dans les Archives. XXII. L'état
mental
des parricides (étude médico-légale); par le Dr
ie un grand nombre de faits médico-légaux qui font ressortir l'état
mental
des parricides, caractérisé par l'irres- ponsab
ns les asiles, dès le début, les malheureux atteints d'alié- nation
mentale
, de même qu'on place dès le début, dans les hôp
94. ARCHIVES DE NEUROLOGIE MEDECINE LÉGALE. Rapport suri état
mental
du nommé D..., inculpé d'outrages ; 1* P.4R L
d'Orléans, en date du 18 décembre 1902, à l'effet d'examiner l'état
mental
du nommé D.. , représentant de commerce, inculp
ses méfaits, afin de faire ressortir la caractéristique de son état
mental
et d'étayer mes conclusions sur des bases soli-
Deux tantes à D... du côté paternel ont été atteintes de troubles
mentaux
. L'une d'elles a été internée à l'asile de Clermo
ant de la mesure qui a été prise ii son égard. rapport SUR l'état
mental
DU nommé D... 291 ment recommandé par son père,
lcoolique avec idées mystiques. C'est, dit-il. un dévoyé de l'ordre
mental
placé sur les limites qui séparent la raison de
tures, un tapissier pour refaire son salon, puis rapport SUR l'état
mental
DU nommé D... 293 un gazier, un maître d'hôtel,
sté d'agents en bourgeois, mercredi prochain. Je rapport SUR l'état
mental
DU nommé D... 295 « pleure, je pleure toutes le
mande son transfert à l'infirmerie spéciale pour cause d'aliénation
mentale
. Le docteur Garnier, tout en reconnaissant le t
r C .. l'indulgence des juges en se ba- sant sur la déséquihbration
mentale
dont il le jugeait atteint. Aussi, grâce à ce r
les rues de Versailles le directeur de la maison rapport sur l'état
mental
du nommé d... 297 centrale de Poissy. Un rappor
il, est un dégénéré eu état à peu près constant de déséquilibratiou
mentale
. Les excès de boisson aggravent encore son état
tituer prisonnier, il trouve le moyen d'outrager rapport SUR l'état
mental
DU nommé D... 299 M. Tomps, commissaire central
mpulsif chez lequel l'alcoolisme aggrave encore la déséquilibration
mentale
. « D..., disent-ils com- « prend trop bien la p
tuellement un malade irresponsable et séquestrable, mais son « état
mental
est de nature à le faire bénéficier de l'indulgen
bon tour aux agents. Le 26, nouvelles cattes in- rapport SUR l'état
mental
DU NOMMÉ D .. 301 jurieusesà M. Temps ; le 29 à
cet établissement, D... paraît véritable- ment atteint de troubles
mentaux
. A chaque instant il appelle les gardiens pour
immédiatement de son examen. C'est un anormal, un dévoyé de l'ordre
mental
; un dégénéré débile, dépourvu de jugement Ces t
e varier sur son compte, soit que l'on considère rapport SUR l'état
mental
DU nommé D... 303 l'état précis dans lequel il
ue D... est atteint de cette forme particulière de dégéné- rescence
mentale
que l'on appelle : La Folie Morale. La caractéris
est irresponsable des actes qui lui sont reprochés ; 3° Son état
mental
nécessite son internement ; 4° De plus, comme il
autre colonie pour les épileptiques en possession de leurs facultés
mentales
est construite par les exécuteurs du Lewis, à C
ée de se fixer sur sa maladie, mais aussi le remplissent d'activité
mentale
et d'espérance. De plus, sa santé générale s'am
EBFNTE Traitement de l'agitation et de l'insomnie dans les maladies
mentales
et nerveuses. (Rapport présenté par M. le 1), T
conséquence grave au point de vue psychique, un état de confu- sion
mentale
. Ces observations de Janet sont, croyons-nous, le
se dépense peu. qui n'utilise ni sa force physique, ni son activité
mentale
, peut supporter une insomnie prolongée avec un
ion du traitement de l'agitation et de l'insomnie dans les maladies
mentales
et nerveuses, c'est demander presque, de résoud
t demander presque, de résoudre celle du traitement de l'aliénation
mentale
, car à l'heure actuelle ce sont là en vérité le
tant de la dose de 2 grammes. Il n'est pas de maladie nerveuse ou
mentale
où les sulfones n'aient été employés avec des s
seront-ils des succédanés utilisables, mais leur emploi en médecine
mentale
et nerveuse, hors les faits de substitution à l
en sont justiciables et il faudrait énumérer toutes les affections
mentales
et nerveuses pour exposer les cas SOCIÉTÉS SAVA
'de la bainéalion froide complètement abandonnée dans les maladies
mentales
. Elle serait formellement indiquée dans le deli
l'anorexie hystén- que (Lasègue, Cliarcot) ou plutôt de l'anorexie
mentale
(Sollier). Cette forme est assez rare; les trou
. Absence de troubles digestifs; modification progressive de l'état
mental
par la diminution des fonctions psychiques et l
lissement irrémédiable et le plus souvent progressif, de l'activité
mentale
. Dans ses degrés inférieurs, l'intelligence con
, hau- tement recommandable pour l'étude approfondie des troubles
mentaux
, ne peut pas encore être généralisé. Observatio
simplement l'attention du Congrès sur la question. Le puérilisme
mental
. t M. Ernest DiilR (de Paris). J'ai observé,
é de nombreux cas dans lesquels coexistaient avec elle des troubles
mentaux
de diverse nature. La syphilis, l'alcoolisme, l
e de la plupart des psychoses, la coïncidence d'une de ces maladies
mentales
avec l'affection médullaire ne présente pas un
is à côté de ces cas. il en est d'autres dans lesquels les troubles
mentaux
observés semblent en rapport avec la syringomyé
e. Schlesinger et Kienbock des premiers, ont été frappés par l'état
mental
spécial présenté par certains malades, notammen
er à montrer l'existence chez certains syringomyéliques de troubles
mentaux
de nature mélancolique. Il s'agit d'un homme de
L'intérêt de cette observation réside dans ce fait que les troubles
mentaux
présentés par le malade, semblent en rapport avec
ns un état de moindre résistance favorable à l'éclosion de troubles
mentaux
. Aussi, rapprochant notre cas de ceux précédemm
, 2° série, t. XVI. 23 354 SOCIÉTÉS SAVANTES. A côté des maladies
mentales
simplement associées à la syrin- gomyélie, on p
à la syrin- gomyélie, on peut observer à des degrés divers un état
mental
caractérisé par un état de dépression mélancoli
d'idées déli- rantes de persécution et d'idées de suicide. Cet état
mental
naîtrait sous l'influence de la perturbation pr
(de Paris). Une jeune femme de vingt-sept ans présente un syndrome
mental
vraiment très cu- rieux : elle semble atteinte
ent pendant vingt-quatre heures tous les deux jours. A ces troubles
mentaux
s'ajoutent des symptômes physiques graves et ca
is héréditaire ; les auteurs recherchent si les troubles nerveux et
mentaux
ne peuvent être rattachés à la même cause.'Aprè
Une vérification curieuse de ce rôle de la syphilis dans un élat
mental
de ce genre a été fourni par le traitement. Après
? 7 : <Ai ? Me. M. Paul Faiez (Paris). En pathologie nerveuse ou
mentale
, de nombreux cas paraissent justiciables du tra
ait à l'état de veille. Cette narcose convient, en particulier, aux
mentaux
qui refusent de se laisser suggestionner parles
t, suggestion éthylméthylique. Ongazzisation du service de médecine
mentale
dans les prisons. M. IASOIN (Louvain). M. Masoi
t les détenus criminels, au point de vue de l'éclosion des maladies
mentales
; il fait ressortir, à côté des aspects funestes d
vie. Néanmoins, en Belgique comme partout ailleurs, l'aliénation
mentale
est beaucoup plus fréquente dans les prisons que
mille ans ! 1 M. Masoin raconte la création du service de médecine
mentale
dans les prisons de Belgique, création due à un
rmi les docteurs qui auraient fait des études spéciales de médecine
mentale
; car l'idéal serait que chaque médecin de priso
'isolement sont au nombre de 47. La plupart des formes d'aliénation
mentale
y sont représentées. C'est ainsi que nous trouv
s faire moins pour les déshérités qu'on nous a confiés'. CLINIQUE
MENTALE
Contribution à l'étude de la catatonie (Cataton
idérée que comme caractérisant une phase d'une variété d'aliénation
mentale
dégénérative. La première phase, mélancolie, pa
opté. - Nous reviendrons sur cette question. (ü.) .) 410 CLINIQUE
MENTALE
. miers faits ci-dessous relatés succinctement.
ongue période de préoccupations, d'idées tristes, et 412 ) CLINIQUE
MENTALE
. après un état intermédiaire de confusion menta
412 ) CLINIQUE MENTALE. après un état intermédiaire de confusion
mentale
. (Si l'on ajoutait foi aux renseignements donné
phase de délire mélancolique, une période transitoire de confusion
mentale
, une phase de catatonie, à laquelle succède l'a
ts sans pouvoir donner le moindre motif à ce refus ; à la confusion
mentale
succède bientôt l'inactivité cérébrale, la malade
alitement de plusieurs mois (avec quelques interrup- 414 r CLINIQUE
MENTALE
. tiens) et une amélioration de l'état physique,
que, cause émotionnelle) ; 2° de la mélancolie ; 3° de la confusion
mentale
; 4° de la catatonie; 50 une rémission, sinon la
nfuses. Aucun souvenir de ses impulsions vio- lentes. Puis l'état
mental
semble s'améliorer, et. le 6 juillet 1902. on p
réoccupation, d'idées tristes, période de transition avec confusion
mentale
, et, enfin, phase de catatonie qui aboutit peu
ération de la santé physique ; des idées tristes ou du 416 CLINIQUE
MENTALE
. délire mélancolique ne tardent pas à apparaitr
'alimentation, de l'auto-intoxica- tion, se produit de la confusion
mentale
qui, s'accentuant progressivement, efface en qu
es troubles primitifs. A cette période intermédiaire de con- fusion
mentale
succède la suspension de l'activité cérébrale,
à celle de démence précoce pour désigner cette variété d'aliénation
mentale
par dégéné- rescence. Ces cas ne sont peut-être
chement et les suites se passent très bien sain* retour de troubles
mentaux
. En 1899 seulement réapparaissent les troubles
xe, sans expression ; Archives, 2° série, t. XVI. 21 418 CLINIQUE
MENTALE
. se tient immobile au milieu de malades bruyant
ues (noie préliminaire , par J.-B. IIL1CIII·'OItD. (Tlte Journal of
Mental
Science, janvier 1902). L'auteur rapporte quatr
Deux cas de lipome du cerveau; par Adèle de Steicer (The Journal o/
Mental
Science, janvier 1903.) Nous résumons ici les d
ionnelles électriques). On constate quelqufois de légers troubles
mentaux
, plutôt des changements de caractère, mais surt
été un symptôme très accusé, par Thomas Pmur CowEN (Tite Journal of
Mental
Science, avril 1902). L'auteur rapporte avec dé
es fâcheuses pour la société, l'auteur rappelle REVUE DU PATHOLOGIE
MENTALE
. 443. que la castration a été proposée pour rem
efois la pocréation. ' R. DE MUSGRA\'E-CL.1Y. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. I. De la démence précoce, par le Dr lfrcos. (J
des numéros mars, juin et septembre du Bull. de la toc. (le naecl.
mentale
de Belgique, 190. 4M' REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
toc. (le naecl. mentale de Belgique, 190. 4M' REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Après cet exposé il est à peine besoin d'ajout
mouvements stéréotypés, ou pas de mouvements du REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 445 tout comme en certains états de stupeur où
est naturellement admissible en bien des cas. Mais l'impossibilité
mentale
d'exécuter un mouvement voulu ou demandé est le
: sou- vent il n'en est rien. P. Keraval. 4t6 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. V. Quelques cas de folie pellagreuse, par John
hexie scorbutique, et du gonflement paroti- dien. Au point de vue
mental
, la forme mélancolique est la forme délirante l
s malades ont une grande ressemblance avec ceux REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ' 447 que l'on observe à la période correspond
t inverse de celle qui vient d'être faite, du moins au point de vue
mental
; elle s'accompagne en effet d'idées de bien-êt
s images psyclio-cérébrales; par Alex. Ii0liEItTSO\ (The Journal of
Mental
Science. Janvier 1902). Ce travail est le com
est le complément de celui que l'auteur a publié dans le Journal of
Mental
Science d'avril 1901. Le cas est celui d'un hom
s unilatéraux est-elle propre à éclairer un 448 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. peu la question, et l'auteur veut se borner à
berg de l'année 1899 analysé in Bulletin de la Société de médecine
mentale
de Belgique, 1900, page 219. z Cette iéforme co
s. (La Démocratie vendéenne du dimanche 15 novembre 1903). CLINIQUE
MENTALE
Hospice de l31céGne. Service du Dr J. Séglas
ude de ces perturbations si fréquentes dans les diverses maladies
mentales
est précieuse et combien les renseignements que
s utiles pour le diagnostic et le pro- nostic des diverses maladies
mentales
. C'est le monologue. Le monologue, en effet, en
, est un excel- lent moyen d'observation de son délire, de son état
mental
réel. On n'a plus à compter alors avec la méfia
i, in Riv. quiiid. di psicologia, fasc. 1 et 2, 1899 480 CLINIQUE
MENTALE
. mulalion, les réticences du sujet ; avec les m
vidu. Tel aliéné, tel Archives, 2' série, t. XVI. 31 482 CLINIQUE
MENTALE
. paralytique général, parle en public à voix ha
haute ou basse, avec ou sans réactions mimiques. 1 484 CI INIQUE
MENTALE
. b) Caractères intrinsèques. En dehors de ces c
ment t'appelles-tu ? Marie-Rose. A1, ah, Marie-Rosé, » 486 CLINIQUE
MENTALE
. il. ETUDE psychologique D'une façon générale
s colonnes pour le personnel à droite et à gauche. » 488 CLINIQUE
MENTALE
. Il prête l'oreille et dit : « Entrez, entrez
des attaques hystériques ou des accès épi- leptiques, la confusion
mentale
, etc. Dans les attaques d'hystérie, plus souven
rare. Généralement c'est à la suite d'une crise, d'un 490 CLINIQUE
MENTALE
. vertige qu'on les voit monologuer ; ils le fon
érent, décousu, illogique. Certains malades atteints de confusion
mentale
se mettent aussi à monologuer ; ces cas sont ra
petite lettre, je suis satisfait de vous voir... » , * 493 CLINIQUE
MENTALE
. On peut remarquer que les mômes phrases revien
ns les formes chroniques que dans les formes aiguës de l'aliénation
mentale
. Que dans les formes chioniques, il nous a paru
vons déjà dit d'ailleurs au début que le monologue 494 -il CLINIQUE
MENTALE
. est encore le moyen le plus sûr de connaître l
homme instruit, dont la préoccupation unique était la 496 CLINIQUE
mentale
. crainte d'avoir la syphilis et de la transmett
une conversation ou Archives, 2» séiie, t. XVI. 32 498 8 CLINIQUE
MENTALE
. d'un dialogue suivi ; ils indiquent alors une
hérent, lors-, qu'il entre dans la phase de démence. 500 CLINIQUE
MENTALE
. Relations des maladies unilatérales de l'oreil
coulement séro-purulent du côté gauche et rien du côté 502 CLINIQUE
MENTALE
. droit. Sous l'influence de lavages boriqués l'
innervations (Traité de Physiologie Moral et Doyon). 504 CLINIQUE
MENTALE
. par des associations d'idées, des habitudes pl
tnantes (Annales mcdico-psycho- logiques, mai 1902). 506 CLINIQUE
MENTALE
. les interprétations délirantes; dans la second
t ? utf de l'ouie. Rapport au Congrès de Nancy, 18%. 508 CLINIQUE
MENTALE
. raies sont « loin d'avoir toute la portée qu'o
ble avantage d'améliorer les accidents physiques et les accidents
mentaux
. En résumé les relations entre les maladies uni
xique. (Revue zacurolo- mars 1901 ) E. Blin. Un cas de torticolis
mental
; par le D' Séglas. Sous le nom de torticolis me
s de torticolis mental; par le D' Séglas. Sous le nom de torticolis
mental
, le professeur Brissaud désigne un tic particul
és d'un asile dans un autre; par A.-H. UIIQUUAIIT. (The Journal o/'
Mental
Science, octobre 1901.) Tout le monde est ass
de nuit dans les asiles ; par Frank Asiii3y ELK[Ns (The Journal of
Mental
Science. Avril 1902 ) Dans un mémoire sur le mê
sujets à la maladie organique desquels s'ajoutent quelques troubles
mentaux
, des cas bizarres qui ne rentrent dans aucune c
ajouter qu'ils doivent être étudiés non seulement an point de vue
mental
mais au point de vue somatique, beaucoup de troub
mmeil réparateur leurs journées deviennent meilleures, et leur état
mental
et physi- ASILES D'ALIÉNÉS. 521 que va s'amél
airement, le place- ment dans l'établissement ouvert. La clinique
mentale
et nerveuse de St-Pétersbourg réunit sous le mê
fermé et la clinique ner- veuse : celle-ci est reliée à la clinique
mentale
par une galerie fermée. Il existe conjointement
qui comprend quelques nevropathies et les formes mixtes de maladies
mentales
et nerveuses telles que : démence organique, et
veuses telles que : démence organique, et aussi quelques affections
mentales
comme : obssessions, para- lysie générale, déme
enhague; par le pro- fesseur KNUD 1'0,'iTOPPIDON. (Tlte Jottrnal of
Mental
Science. Juil- let 1902), L'hôpital communal
in de la cour de justice, on y place aussi les inculpés dont l'état
mental
a besoin d'être étudié. La salle a la forme d'un
in de savoir plus tard, le diagnostic et le traitement des maladies
mentales
à leur début. Enfin, au point de vue médico-lég
gal, les élèves trouvent là une oc- ccasion rare d'apprécier l'état
mental
et la responsabilité des in- culpés, suspectés
t mental et la responsabilité des in- culpés, suspectés de maladies
mentales
. L'hôpital y trouve aussi son avantage, car il
soixante-douze ans. Stigmates 7syclùques tardifs de dégénérescence
mentale
. Le Secrétaire général communique, au non) de M
nue de s'accumuler malgré les intervalles de repos. L'automatisme
mental
des aphasiques. MM. Pierre-Marie et VASCIIIDS.
MM. Pierre-Marie et VASCIIIDS. Il résulte des recherches expéri-
mentales
de ces auteurs, que l'automatisme mental des apha
e des recherches expéri- mentales de ces auteurs, que l'automatisme
mental
des aphasiques ne ressemble guère à l'automatis
t facilitent l'intelligence ou l'exécution d'un acte. L'automatisme
mental
des aphasiques se polarise faci- lement ; les s
leur demande de répéter ou d'exécuter incidemment. Leur automatisme
mental
ne peut pas évoluer ou s'adapter à une autre sé
effort, autour de la première adaptation réali- sée. L'automatisme
mental
des aphasiques est isolé ; il n'évolue pas à ca
aitement thyroïdien qui amena une amélioration sen- sible de l'état
mental
. Les états oedémateux fréquents chez les dé- me
it que les questions de t'hé- rédité pathologique dans les maladies
mentales
et nerveuses sont étudiées le mieux par les sav
. M 'frétât dit que l'hérédité est la cause des causes des maladies
mentales
. Selon M. Déjérine, les affections nerveuses so
s membres de cette famille entre eux. Esquirol dit que les maladies
mentales
se rencontrent fi0 fois plus souvent dans les f
des Sciences méd. el nul. de llruxelles. 2 jmllet 1900. La chorée
mentale
des enfants est un état psychique sur lequel on
gitation extrême avec une attention impossible à fixer. Instabilité
mentale
complète et mobilité musculaire extraordinaire.
ulière- ment les objets les plus petits. C'est un exemple de chorée
mentale
sans insuffisance psychique. Le second garçon
antant, re- muant, courant sans cesse. Mais, en outre, de la chorée
mentale
, il y a chez lui une insuffisance psychique (id
Nystagmus, maslurbation, Intelligence bonne. En somme, la chorée
mentale
est une maladie de l'attention, caractérisée pa
at d'insuffisance psy- chique peu prononcé. L'intérêt de cet état
mental
cou iste surtout dans l'efficacité du traitemen
AGI] mtos Traitement de l'- et de l'insomnie dans les maladies
mentales
, par Trénel, 313. Acnoscrc. - Elude clinique de
par Lerl, 180. Billet. Voir Goitre exol)hlalni- que Bégaiement
mental
, parBenllon,2Sl. 13EGUF.S. Itéparmion géographi
mysticisme, par t.luitiv, ! )0. ti;;mates psychiques i.trils de -
mentale
, par \\'nhl, 524 Délire et petit Lrlglmsme, par
, par llammond, 151. De traitemeni ries -atteints de défectuosité
mentale
,' pargross- mann, 15f. arriéré. \ou'NaeAt- 11
. Quelques cas de - pellagreuse, par Warnock, 416. fONl : l10y5
mentales
. Voir Lobes pré- frortlaux. Friedreich. Voir
('71e'c. Note sur tesprefoutau\etia ! ocah- sattoii des fonctions
mentales
, par Mao-Donald, 63. Un cas de tumeur des fio
a au musée du l'rado, par Meige, 88. Organisation du seivice de -
mentale
dans les prisons, par Miisoin, 3G. )IÉDIUill[
re. Mliancohe. Voir Syringomyeliqiie. Jlhntnclsvr, et pu3rllislne
mental
paroxystique chez une hystérique, par I)ul)i,
ternes. Rôle ries - dans l'évolution et la constitution de la vie
mentale
, par Pion, 277. - nerveux, voir Il'alle ? Org
es . par Ba- binski, 176 Ouïe. Voir Oreille. Outrage. Voir Etat
mental
. OXIDR de C\ItBO\E. \'on Myélite. Pachymémnci
ar Huet et Alquier,7S. 552 TABLE DES MATIÈRES. Parricides. L'état
mental
des -, par Asselin, 8,ï. En(ant-, 38f P.\VILL
Pression sanguine. Voir Neurasthé- nies. Prisons. Voir Médecine
mentale
. PsEUDO-TABESSpondyiitique,part ! a- binski,
que, par h1"e Lipinska, 357. PTASIS. Voir Myopathie. PUÉRILISME
mental
, par Dupré, 349. Rachitisme congénital. Sur un
tude du traitement du spasmodique, par Ethott, loi. Un ces de -
mental
, par Séglas, 511. TRie. Le des artistes et son
Y Pt-uresseut'dechtnque 1 Professeur de clinique des maladies
mentales
à I, Faculté de médecine de Paris. 1 V. MAG
ication, favorisée par l'ischémie cérébrale. (A suivre.) CLINIQUE
MENTALE
. LES TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRA
Traité des maladies du cerveau et des membranes, 1825. 22 CLINIQUE
MENTALE
. lysie générale comme entité morbide, et Calmei
aud', en parlant de la période 1 Régis. Manuel pratique de médecine
mentale
, 1885, p. 318. Il. Schule. Traité clinique des
ine mentale, 1885, p. 318. Il. Schule. Traité clinique des maladies
mentales
, 1888,p. 342. 3 A. Cullerre. Traité pratique de
mentales, 1888,p. 342. 3 A. Cullerre. Traité pratique des maladies
mentales
, 1890, p. 363. y ` B. Bail. Leçons sur les mala
ladies mentales, 1890, p. 363. y ` B. Bail. Leçons sur les maladies
mentales
, 2° édit., 1890, p. 861. 5 Traité de médecine d
généraux (Archives de neurologie, juin 1897, p. 441). 24 CLINIQUE
MENTALE
. terminale de la paralysie générale, dit que ce
la paralysie générale (Gaz. des Hôpitaux, mars 1871). 26 CLINIQUE
MENTALE
. raie et attira l'attention sur les rapports de
es et 33 hommes atteints de paralysie progressive : 28 8 CLINIQUE
MENTALE
. Sur ces 57 paralytiques, neuf n'ont présenté a
s maladies de la peau, 2e édit., Paris, 1892, p. 820. 30 CLINIQUE
MENTALE
. paralytiques généraux, sans qu'il y ait eu auc
. LI, p. 301, i, American Journal of insanity, 1895). 32 CLINIQUE
MENTALE
. 1 normal qu'un état pathologique, » disait M.
: « Est atteint de paralysie générale. Affaiblissement des facultés
mentales
. Embarras de la parole. Iné- galité pupillaire.
and (femmes) à Villejuif. Archives, 2e série, t. V. 3 34 CLINIQUE
MENTALE
. dimension d'une pièce de 50 centimes sur la ma
brun, d'une dimension variable entre la lentille et une 36 CLINIQUE
MENTALE
. pièce de 50 centimes. On en compte une trentai
le (Thèse de Paris, 1884). 9 Schiile. Traité 'clinique des maladies
mentales
, 3° édit., 1886. Trad. française Duhamel et Dag
z les paralytiques généraux (Thèse de Paris, 1889). , 38 CLINIQUE
MENTALE
. 57 malades. La statistique de M. Ramadier est
: « Est atteint de paralysie générale. Affaiblissement des facultés
mentales
, particulièrement de la mémoire. Idées mélancol
é depuis deux semaines qu'on constata un commencement 40 . CLINIQUE
MENTALE
. d'eschare sacrée. Actuellement l'eschare est a
alysie générale (Thèse de Paris, 1876). ' Loc. cil. 42 CLINIQUE
MENTALE
. L'eschare peut apparaître dès le début de la p
aralysie marchait à grands pas. ' Zacher. Loc. cit. 44 CLINIQUE
MENTALE
. Observation XIII. - Eschare. Phlyctène. Ichthy
n : Est atteint de paralysie générale. Affaiblissement des facultés
mentales
. Inconscience de sa situation. Hésitation de la
des amputés; disparition spontanée des sensations illusoires; état
mental
.des amputés. Reprenant ensuite l'étude des fait
le. L'auteur examine ces lésions primitives dans l'anémie expéri-
mentale
les embolies expérimentale, la rage, le botulisme
897.) . E. B. III. Contre LE traitement CHIRURGICAL DU TORTICOLIS
mental
; par le Dr BRISSAUD. Les faits de torticolis
DU TORTICOLIS mental; par le Dr BRISSAUD. Les faits de torticolis
mental
présentent toujours et invariable- ment le même
t que par un subterfuge qui devient servitude à son tour. La nature
mentale
de ce torticolis spasmodique se révèle fortuiteme
une malade, dont l'auteur résume l'histoire, atteinte de torticolis
mental
depuis plus de quatre ans, a vu son état s'amél
ergie, se déchargeant à la façon d'une bouteille de Leyde. L'état
mental
du sujet exerce aussi son action sur la reproduc-
cine Détroit, mars 1896). Existe-t-il, se demande l'auteur, un état
mental
dans lequel un individu est entraîné d'une faço
éprouve ? 2 La folie morale est difficile à préciser. C'est un état
mental
dans lequel l'individu conserve toute son intel
qu'il est inutile de nous consulter sur les phénomènes de leur vie
mentale
; devons-nous continuer à ne point comprendre ce
able de ses acles, en donnant comme preuve de son état d'aliénation
mentale
une série d'actes absurdes qu'il avait commis à
e se dit également revenue à son état normal. Et cependant son état
mental
n'est peut-être pas absolument sain, comme on l
OSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 119 découverte d'une gomme. Etat
mental
particulier. Guérison en apparence complète.
is sans régularité. Rien d'anormal à l'examen des poumons. L'état
mental
parait assez particulier. La malade reste dans so
es réactions pupil- laires. Pas de tremblement de la langue. Etat
mental
. La malade ne reconnaît aucune des personnes qui
taine saillie, les vais- seaux font encore un léger coude. L'état
mental
est bien meilleur et paraît au premier abord pr
aih degré d'aphasie motrice qui auparavant était masquée par l'état
mental
. Dans une phrase un peu longue elle est souvent
complexes résultant de l'association de lésions diverses. CLINIQUE
MENTALE
. LA PARALYSIE GENERALE'; Par le Dr Alexandrk
parvenir à l'élucider, sans 1 Communication au Congrès de médecine
mentale
et neurologie de Bruxelles, 1897. 128 , CLINI
médecine mentale et neurologie de Bruxelles, 1897. 128 , CLINIQUE
MENTALE
. pouvoir rattacher clairement à une cause princ
r affecter ; c'est ainsi Archives, 2e série, t. V. 9 130 CLINIQUE
MENTALE
. que l'on a créé les pseudo-paralysies générale
e et hallu- cinatoire ? J'y souscris volontiers ; mais les troubles
mentaux
ou de sensibilité sont-ils donc les mêmes chez
donc les mêmes chez tous les alcoo- liques, toutes les aliénations
mentales
d'origine alcoolique se ressemblent-elles donc
lie alcoolique : exubérante chez cer- tains cérébraux, l'aliénation
mentale
affectera la forme de manie rémittente, par exe
s ayant une autre organisation nerveuse congé- nitale, l'aliénation
mentale
ne se traduira que par de l'obnu- bilation inte
raduira que par de l'obnu- bilation intellectuelle, de la confusion
mentale
, de sorte que l'on pourra voir, selon la prédis
les cliniciens et par la diversité des rémissions, et ')32 CLINIQUE
MENTALE
. par les variations symptomatiques, et par l'év
ion des rapports étiologiques et symptomatiques ? 1 j4 - CLINIQUE
MENTALE
. Il n'y a donc pas plus lieu, à mon sens, d'adm
établie que par des analyses de faits; j'en ai REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 1 35 déjà recueilli et publié un certain nombr
en présence de laquelle nous nous trouverons. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. . Hermaphrodisme psychique. Notes SUR la PERVE
e me transformer ! » La vue d'un homme beau 136 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. et fort le trouble, le transporte, mais, au co
aient concurremment contribué au développement de la défec- tuosité
mentale
J. Un important agent de production des maladie
tuosité mentale J. Un important agent de production des maladies
mentales
et nerveuses est le surmenage intellectuel, qui
eurologie, soit dans le Progrès médical. (B.) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 137 surmenage se manifeste particulièrement ch
aux responsabilités de la maternité, en même temps que les qualités
mentales
de ses enfants auront bien des chances pour être
ntes : 1" Parmi les con- ditions liées à la pathogénie des maladies
mentales
chez le= émi- grés, il faut tenir compte d'une
médico -psychologiques, févr.1897.) L. R. 138 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. V. UNE forme DE délire systématisé DES persécu
; par le 1)r Cullerre. A côté des gens qui, obéissant à un trouble
mental
ayant pour point de départ une déviation de l'i
rantes, l'auteur donne le nom de délire de revendication au trouble
mental
de ces malades. Les deux observations rapport
syphilitiques. La syphilis agit alors direc- - REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 139 temeut sur le cerveau en y déterminant des
t on peut espérer la guérison, ce qui n'est 140 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. pas le cas, malheureusement, pour la paralysie
, peut être considéré comme un petit accès épileptique avec trouble
mental
de peu de durée. Le rêve nocture accablant étai
ablissent l'intérêt de ce symptôme dans quelques formes do maladies
mentales
. Parmi ces dernières, c'est dans la paralysie g
ans la paralysie générale, ce qui pourrait être REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 141 interprété comme un nouvel argument en fav
s ou moins, un moule commun dans lequel on place tous les désordres
mentaux
survenant chez les gens âgés : elle exerce, en
pas moins vrai que dans la vieillesse se présentent d'autres types
mentaux
dignes de considération tant au point de vue pa
ns lesquelles la folie est associée non à un simple affaiblissement
mental
mais à une lésion plus ou moins diffuse des cen
les penchants à l'avarice des malades, leur 142 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. mobilité, leurs idées délirantes de suspicion,
ive et l'a- menza confusionnelle avec une forme simple ou confusion
mentale
simple et une forme grave ou confusion mentale
simple ou confusion mentale simple et une forme grave ou confusion
mentale
hallucinatoire. , J. SKGHS. REVUE DE PATHOLOG
confusion mentale hallucinatoire. , J. SKGHS. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
143 XIII. Pouls lent chez UNE aliénée, comme ph
cture ils ne tentent pas les chirurgiens. 144 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Les observations de folies guéries par des opé
t, au contraire. Dans certains cas l'opération peut agir sur l'état
mental
comme le ferait une fièvre intercurrente, un ér
s surpassèrent son attente, tant pour l'amé- lioration physique que
mentale
. Il fit 14 curetages et obtint 14 améliorations
améliorations des symptômes physiques et 8 améliorations de l'état
mental
soit 57 p. 400. A l'amputation du col et curettag
e 11 mala- des sur 27 soit 42 p. 100 en bénéficient au point de vue
mental
. '1 1 avaient des déplacements de l'utérus avec
aliénés inconscients toute opération clnrurgi- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 145 cale nécessaire soit pour leur santé physi
it pour leur santé physique, soit dans le but d'améliorer leur état
mental
. Les aliénés à intervalles lucides peu- vent do
our lui les maladies organiques ont une grande influence sur l'état
mental
et surtout les désordres des organes pelviens. La
ladie mentale des Malais; par \V. Gilmork 1LLLIS. (Tlae Joumacal of
Mental
Science, janvier 1897.) La maladie mentale, ou
s ces causes Archives, 2e série, t. V. 10 146 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. peuvent provoquer l'apparition du Latah, mais
parait absolument en contradiction avec t'orga- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 147 nidation physique. Qu'un mot, un regard, u
n ne portent aucune trace appréciable de dégénérescence physique ou
mentale
; quelques-uns même sont, pour des Malais, très
tares Dolt\Lls; par P.-W. MACDONALD et A. Davidson. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1897.) On sait que l'affection
Journal of Mental Science, janvier 1897.) On sait que l'affection
mentale
qui est presque exclusivement annexée au tabes
t bien caractérisé d'affaiblissement intellectuel avec perver- sion
mentale
dépendant de la lésion médullaire et lui ayant ét
sive, et dans le second à un obscur- cissement graduel des facultés
mentales
; mais contrairement à 148 REVUE DE PATHOLOGIE M
des facultés mentales; mais contrairement à 148 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. l'opinion généralement adoptée, l'affection me
DE PATHOLOGIE MENTALE. l'opinion généralement adoptée, l'affection
mentale
n'a nullement revêtu la forme de la paralysie g
énérale. R. DE Musgrave-Clay. XXIII. L'hérédité dans les MALADIES
MENTALES
; par J.-F. BRiscoE. (The Journal of Mental Scie
dité dans les MALADIES MENTALES; par J.-F. BRiscoE. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1890.) L'auteur a recherché le
is et des tempéraments. Il étudie aussi l'hérédité de la débi- lité
mentale
, et conclut que la folie est héréditaire chez 90
SES CAUSES ET SA SIGNIFICATION; par R.-S. STEWART. (T/te Journal of
Mental
Science, octobre 1896.) Les conclusions de l'au
auses qui se rattachent à la vie génitale de la REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 149 femme diminuent d'importance en tant que f
ie générale indique une modifica- tion dans le type de l'aliénation
mentale
, un retour régressif à des formes inférieures d
ement intellectuel sont caractéristiques de 130 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. la paralysie générale. Le malade meurt d'aille
ges commémoratives sont le correctif qui assure REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 181 l'assimilation ou la neutralisation des no
cinations sensorielles; 2° les idées déli- rantes ; 3° la confusion
mentale
(désorientation); tissant ces mélancolies, suic
ordres. Le traitement est l'isolement. P. 6Erlav.L. »IŸ. DÉBILITÉ
MENTALE
ET TREMBLEMENT-, par M. LIBBt;. (Presse médical
u pendant le sommeil, et de se produire dès 182 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ' qu'on examine la malade ou qu'on lui parle;
Revue de psychiatrie, de neurologie et d ! 6pA)/c/tO<o'e expéri-
mentale
, 1897, n" 9.) ROUBINOVITCA. XXXI. L\ confusion
'e expéri- mentale, 1897, n" 9.) ROUBINOVITCA. XXXI. L\ confusion
mentale
primitive; par M. J. SEGLAS. (Presse médicale,
médicale, Il mars 1897.) Laissant de côté les cas ou la confusion
mentale
n'est qu'un symptôme ou un épisode de diverses
ou un épisode de diverses maladies, l'auteur étudie la con- fusion
mentale
primitive idiopathique, qu'il définit en ces term
diopathique, qu'il définit en ces termes : L'expression c confusion
mentale
primitive idiopathique. désigne une affection o
isée par des phénomènes somatiques de dénutrition et des phénomènes
mentaux
, résultat premier de l'état somatique dont le f
forme d'affaiblissement et de dissociation intellectuels, confusion
mentale
(primitive), qui peut être accompagné ou non de
se irritable du système nerveux central auquel est due la confusion
mentale
serait le résultat d'une infection ou d'une int
n avec les données étiologiques et cliniques; en effet la confusion
mentale
apparaît très fréquemment dans la convales- cen
hèse. A. Fenayrou. XXXII. ROUGEOLE, infection secondaire, confusion
mentale
PSEUDO- méningitique; par M. SEGLAS. (Presse mé
alade, âgée de trente ans, qui, au début de 184 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. - . la convalescence d'une rougeole bénigne, e
e de troubles psychiques caractérisés surtout par de la confusion
mentale
. Sept jours après l'apparition de ces désordres m
a confusion mentale. Sept jours après l'apparition de ces désordres
mentaux
se manifestent des phénomènes méningitiques; en
ténuent et disparaissent en une dizaine de jours, sauf la confusion
mentale
qui persiste encore trois semaines environ. '
faire, dans les infections aiguës, par ce fait REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 188 que la neurasthénie paralytiforme commence
e santé. Il ajoute que parmi les classes de 1S6 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. criminels, il existe un groupe psychologique d
s bien des lustres, désignés sous les noms de fous moraux, débilité
mentale
; ce sont les rei nati de Lombroso. Or bien de
té émotive. Le thème de la conception influence REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
187 l'affectivité; le groupe conceptuel, à rais
ire généralisé ; par le D1' X. FRANCOTTE. (Bull. de la Soc. de med.
mentale
de Belgique, septembre 1897.) L'affection que
désigne sous le nom de délire géné- ralisé (verwirrtheitf confusion
mentale
) est caractérisée essentielle- ment par l'aboli
a dose. Après douze mois de traite- ment l'amélioration physique et
mentale
était manifeste. Deux photographies accompagnen
es, moiteur de la peau et perte de poids. Les changements de l'état
mental
furent manifestes : un déprimé devint plus acti
iés, mais d'une façon générale les modifications tant physiques que
mentales
ne persistèrentpas trois mois après la cessatio
t que comme un médicament ; il n'a vu aucune amélioration d'un état
mental
produit par l'emploi de tablettes d'ovaire, de
ints des asiles de la Seine, du professeur de clinique des maladies
mentales
et de MM. Terrier et '1^G 6 BULLETIN BIBLIOGRAP
t pour organiser un stage obliga- toire dans un service de médecine
mentale
que devrait faire tout candidat au doctorat.
e a décerné les prix suivants, concernant les maladies nerveuses et
mentales
: Prix Civrieux. 1.000 fr. Question : Valeur sé
. Vol. V. Mars 1898. NG : 2.7 1 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. LES TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉ\R :
21. , . , . au , . , .. Archives, 2e série, t. V. 12 178 CLINIQUE
mentale
. se parcheminé. Plus tard, elle se desquame en
stic suivant : « Paralysie géné- rale. Affaiblissement des facultés
mentales
. Embarras de la parole. Légère inégalité pupill
en clairière sur les tempes. La peau des mains et des 180 clinique
mentale
. doigts est lisse, brillante; les poils du dos
st entrée à Villejuif le 4 mai 1896. L'affaiblissement des facultés
mentales
est très pro- noncé ; l'embarras de la parole a
ulpe, jaune, entourée d'un tissu blanc grisâtre. , . 182 ' clinique
mentale
. Observation XXIV. Déformation et coloration de
ificat de M. Vallon : « Est atteint d'affaiblissement, des facultés
mentales
. Idées de satisfaction. Inconscience'de sa situa-
en minces lamelles. Les ongles des orteils et celui du 184 CLINIQUE
MENTALE
. deuxième doigt du pied droit ont complètement
peau brillante, unie, lisse (calvitie). Dans quelques 186 CLINIQUE
MENTALE
. cas l'alopécie est symétrique, commence par le
ec le certificat suivant de M. Magnan : « Est atteinte 188 CLINIQUE
MENTALE
. de paralysie générale avec idées de satisfacti
ionné, apathique et inconscient. Inégalité pupillaire. 190 CLINIQUE
MENTALE
. Embarras de la parole très marqué. Idées de ri
ée sur tout le cuir chevelu. Dents légèrement usées. 192 CLINIQUE
MENTALE
. CHAPITRE IV . Troubles trophiques du système
méd. de l'Est, 1890.) Archives, 2e série, t. V. , 13 194 CLINIQUE
MENTALE
. vations sont rares et les travaux peu nombreux
es médicales, t. 111, 1875, p. 253. ° 'P.-W. Mac Dowald. Journal of
mental
science, octobre 1872. ' Grellière. Etude sur l
éciaux. (Aclr. cle médecine expér·inrenlale,lS91.) 196 . CLINIQUE
MENTALE
. Observation LXVII. Eruption de phlyctènes. Déf
re, il ' Déjerine. Archives de physiologie, 1876. , '198 CLINIQUE
MENTALE
. devient obèse. Mais ce faux embonpoint ne dure
l'avons dit déjà, la moindre négligence est préjudi- 200 . CLINIQUE
MENTALE
. ciable à l'épiderme si sensible du paralytique
souvent des sons aigus, se rapprochant de la voix féminine. Etat
mental
. A l'entrée, ce malade présentait un état mania
és dans LES cerveaux des aliénés ; par John TunNER. (The Journal of
mental
Science, janvier 1897.) M. Bevau-Lewis attribue
le que, si on les cherche, on les trouvera dans d'autres affections
mentales
. On rencontre à l'état de liberté dans les espa
e vingt-huit à quatre-vingts ans, et où l'appa- rition des troubles
mentaux
était toute récente. Ici l'auteur rap- porte qu
e figuré; 3° un élément amorphe achromatique, la substance fonda-
mentale
. La substance achromatique figurée est constituée
ue unilatérale parait devoir être rattachée au groupe des accidents
mentaux
par idée fixe. A. FENAYROU. II. Contribution
cortège d'affections névro- pathiques. A côté de divers troubles
mentaux
, de diverses chorées ne pré- sentant aucun sign
en. La malade a présenté, à un moment donné, de véritables troubles
mentaux
avec phobies de toute espèce. Le traitement m
hiques des extrémités ; sous l'influence des bromures, les troubles
mentaux
ont une tendance à se substituer aux crises; de
; enfin à la place des crises se pré- sentent parfois des troubles
mentaux
nocturnes à forme de som- nambulisme. - Deux
après, d'une fièvre typhoïde. Cette maladie a retenti sur son état
mental
et provoqué la trans- formation du regret de so
elle détermine un affaiblissement énorme des phénomènes de synthèse
mentale
qui se manifeste surtout sous forme d'aboulie e
symptômes de névrite sont à peine prononcés; ce sont les symptômes
mentaux
qui domi- nent toute la scène ; la mémoire est
névrite. Ce n'est pas l'opinion de M. SoukhanoS' : Que les troubles
mentaux
soient au premier ou au second plan, le tableau
ans cause appréciable. - Début par une céphalée intense; troubles
mentaux
consécutifs caractérisés par des altérations de
eut, les jours qui suivirent, une notable amélioration des troubles
mentaux
, disparition complète de la céphalée et diminu-
OOLISME AU CONGRÈS DE BRUXELLES. 241 Ce cas montre que des troubles
mentaux
spéciaux, accès de som- meil, automatisme ambul
btenir, a passé entre les mains de plusieurs méde- cins et son élat
mental
a fait l'objet d'une enquête des plus sérieuses
Thèse à consulter au point de vue de l'influence sur.les facultés
mentales
de l'ablation des organes dans les affections pel
seil de discipline ou de conseil de guerre, sera soumis à un examen
mental
absolument obligatoire. Cette expertise sera co
mis, au Congrès de Bordeaux de 1895, le voeu que l'examen de l'état
mental
des inculpés soupçonnés d'aliénation soit organ
t grand temps que celle réforme fut réalisée. 6. Troubles de l'état
mental
atax Antilles; par F.-J.-Ch.-E. GUILLIOD. Trois
'alcoolisme et le climat sont les deux grands facteurs d'aliénation
mentale
. La folie alcoolique, la manie et la lypémanie
ques et des hypermnésies dans les étals symptomatiques d'aliénation
mentale
; 6° des hyper- mnésies toxiques. Il serait tr
souvent avec des stigmates de dégénérescence et de légers (roubles
mentaux
. C'est à la face et au cou qu'on le ren- contre
c sérail, bénin, n'était la prédisposition des malades aux maladies
mentales
ou nerveuses. Les traitements sont le plus souv
me comprendra : 1° Questions mises à l'ordre du jour : z Pathologie
mentale
. Les troubles psychiques post-opératoires. Rap-
né à l'auteur du meilleur travail sur la thérapeutique des maladies
mentales
et sur l'organisation des asiles publics ou pri
- 398. Vol. V. Avril 1898. ? 28 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA DESCENDANCE DES
89î, t. XLIII, p. 494.) AHCI11VC, 2e série, t. V. 18 274 CLINIQUE
MENTALE
. agissant sur les conditions de milieu, sur l'i
ludies in the psychology of sex, 1897, 1.1, I, p. 140. 276 CLINIQUE
MENTALE
. L'existence d'invertis, normaux au point de vu
inct sexuel est un caractère de dégénérescence au pre- 278 CLINIQUE
MENTALE
. mier chef, puisqu'elle a pour suite nécessaire
hommes nus, et ses premières excitations génitales se 280 CLINIQUE
MENTALE
. manifestèrent à celte vue. Lorsque la pubeité
ne paraissent pas avoir affaibli l'intelligence. A ces 282 CLINIQUE
MENTALE
. absences se sont ajoutés depuis le mois de déc
campagne et composée de gens qui paraissaient sains au point de vue
mental
: son père est mort à cinquante-six ans d'une f
dent nerveux jusqu'à la puberté qui s'est établie nor- 284 CLINIQUE
MENTALE
. malement à onze ans et demi sans jamais avoir
es grossesses et les accouchements n'ont amené aucun 286 . CLINIQUE
MENTALE
. changement ni dans les sensations ni dans les
'examiner et par dégénérescence il entend la décadence des qualités
mentales
et morales d'un indi- vidu, associée fréquemmen
mode de traitement sera applicable à un grand nombre d'af- fections
mentales
aiguës. (American Journal of insataily, juil- l
-moteur ; parle D1' H. Nichols. Etudiant les relations du processus
mental
avec l'activité muscu- laire, l'auteur arrive a
conclusions suivantes : f<). Toutes les sensations et les étals
mentaux
sont moteurs. b). L'organisme neuro-musculaire
t universelles pour tout l'organisme nerveux, moteur aussi bien que
mental
. d). Nos capacités ins- tinctives, multipliées
n trouble de la sen- sibilité. II. Garçon de treize ans, débilité
mentale
, trois pneumonies antérieures au début de l'aff
t. G. D. LVII. Des relations entre les psychoses, la dégénérescence
mental
* ET la neurasthénie ; par M. le D1' LENTZ. (Jou
ais ayant des expressions particulières comme les tics physiques ou
mentaux
et comme les aptitudes spéciales (musique, dess
sible de l'hyp- nose par les seuls moyens mécaniques sans influence
mentale
; la division des phénomènes hypnotiques eu tro
paillier. etc.). Quant à l'excitation des phénomènes physiques et
mentaux
par l'influence de métaux, d'aimants ou d'autres
rtificielles. Cette confusion donne plus d'éclat à la concentration
mentale
, monoïdéisme de Braid, ou concentration de l'at
at léthargique profond que dans la somnolence légère; l'inté- grité
mentale
et même raffinement du discernement sonttelsqu'un
que les procédés fallacieux de Mesmer, que 330 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. plus tard les présomptions un peu déconcertant
nature de ces deux formes morbides. J. Séglas. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XXX. Alcoolisme aigu chez un enfant; par l'aI'
etite fille de cinq ans, bien portante, n'ayant REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 331 jamais eu de convulsions ni d'accidents ne
taitaccompagnée des phénomènes concomitants 332 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. classiques. Pour combattre l'obsession, elle r
certain point, reconnaître ce qui appar- tient à la dégénérescence
mentale
et ce que peut revendiquer l'hystérie. - En d
obligée. Il n'est que l'indice d'une faiblesse REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 333 intellectuelle consécutive, et plus souven
é lieu à des accusations de viol ? 2° Avez- 334 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. vous connu des filles atteintes de folie choré
ut particulièrement l'attention de ceux qui s'occupent des maladies
mentales
, ce sont les relations de la folie avec l'organ
onsidérations générales sur l'aura épileptique, REVUE DE pathologie
mentale
. 335 l'auteur rapporte-douze cas de formes rare
ents de Braid dont la plupart rarissimes et 336 REVUE DE pathologie
mentale
. dont plusieurs n'existent plus qu'au 13ritisli
définie comme entité clinique, dans la classification des maladies
mentales
. L'auteur cite une liste de 15 cas de délire gr
du début, aucun des malades n'était dans de bonnes conditions, tant
mentales
que physiques. Le début, dans tous les cas, a é
il y eut un cas suivi de mort, un cas suivi de guérison du désordre
mental
et sur les trois autres malades, l'une, une épi
moins de pré- dispositions spéciales. g, I;. REVUE DÉ PATHOLOGIE
MENTALE
. 337 XXXIX. Carcinome DU PYLORE avec mélancolie
r le Dr ŸALHER. Contribution à l'étude des rapports de l'aliénation
mentale
avec les maladies viscérales. Il s'agit d'un
ce d'origine alcoo- l ligue) ; par le D1' BERKLEY. Les conditions
mentales
connues sous le nom de dédoublement 'de la cons
'avaitjamais Archives, 2e série, t. V. 22 338 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. usé de stimulants alcooliques. Là il se livra
nés EN BELGIQUF,; par le 1)' PEETERS. (Bull. de la Soc. de médecine
mentale
de Belgique, 1897, n', 86.) Le Dr Peeters se
A PROPOS DE LA REVISION DE Li CLASSIFICATION OFFICIELLE DES MAUDIES
mentales
; par le Dr X. FRANCOTTE. (Bull. de la Soc. de
ES mentales ; par le Dr X. FRANCOTTE. (Bull. de la Soc. de médecine
mentale
de Belgique, septembre 1897.) En qualité de pro
linique psychiatrique, M. Francotte propose de grouper les maladies
mentales
dans l'ordre suivant : 1° les psychoses affecti
é, affection qui correspond jusqu'à un certain point à la confusion
mentale
des Français, à la verwirtlaeil des Allemands,
orale; 10° les parapsyclzies ou folies dégénératives (insta- bilité
mentale
, phobies, obsessions, etc.); 11° les arrêts de dé
istre, au moins tous les mois, les changements survenus dans l'état
mental
de chaque malade... » L'auteur, dans un article
part des formes de folie, particuliè- rement dans la dégénérescence
mentale
où il revêt les caractères habituels des délire
ais sorciers; 2° pseudo-sorciers : A. Malades atteints d'aliénation
mentale
. B. Charlatans et escrocs : a) dans les village
distance : ci) action des médicaments à dis- tance ; b) suggestion
mentale
à distance ; c) force neurique rayon- nante (ch
498. Vol. V. ' Mai 1898. ? 29 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
MENTALE
. LE DÉLIRE MÉLANCOLIQUE; PAR si CH. VALLON,
sez grand nombre de malades ont conscience de l'invasion du trouble
mental
. c On peut admettre comme règle générale, dit a
aussi Costard ', que la conscience du caractère maladif du'trouble
mental
appartient surtout aux aliénés atteints de méla
. ' lbid., p. 26. . Archives, 2e série, t. V. 23 354 pathologie
mentale
. Si on analyse le mécanisme de ces conceptions
' Pathologie de l'esprit. Traduction Doumic, 1883. 356 pathologie
mentale
. action spécifique sur le cerveau, action dont
h. De la mélancolie, mémoire à l'Acadé- mie, 189G. 358 PATHOLOGIE
MENTALE
. C'est là l'origine de mainte préoccupation hyp
nscientes n'arrivent plus ou arrivent mal au sensorium, la synthèse
mentale
habituelle est détruite ; il en résulte une imp
14. 3 Traité des maladies nerveuses, Paris, f 81G. 360 PATHOLOGIE
MENTALE
. rien, n'entends rien ; toute action, toute sen
profonde, rupture complète. Les sensations nouvelles 362 PATHOLOGIE
MENTALE
. ne trouvent plus de séries antérieures où elle
rieures également autres qu'elles ne sont 3. » De là deux synthèses
mentales
contradictoires, l'une correspondant aux ancien
nnales médico-psychologiques, juillet 1889, p. 9.) 364 PATHOLOGIE
MENTALE
. tion du moi sur le monde extérieur, et seconda
choses extérieures autres qu'elles ne sont 1. De là, deux synthèses
mentales
contradictoires : l'une corres- pondant aux anc
ych., 183, p. 433. * Luys. Traité clinique et pratique des maladies
mentales
, 1881, p. 239. ' Séglas. Loc. cit. - LE DÉL
ginaires à un sortilège diabolique. Ce sonl les malades d'un niveau
mental
inférieur qui en restent à cette conception dél
lus difficiles à mettre en lumière. A un premier degré, la synthèse
mentale
étant sim- plement affaiblie et les perceptions
p. 238. (Traité des maladies menta- les, 1876.) , 366 PATHOLOGIE
MENTALE
. manie, et ce n'est pas sans raison que Fodéré
et du sens dans lequel son éduca- ' Cotard. Eludes sur les maladies
mentales
, p. 426. Griesinger. Traité des maladies mental
sur les maladies mentales, p. 426. Griesinger. Traité des maladies
mentales
, trait. Doumic, 1865. 368 PATHOLOGIE MENTALE.
. Traité des maladies mentales, trait. Doumic, 1865. 368 PATHOLOGIE
MENTALE
. tion a été arrêtée; delà l'intervention possib
e les délires de culpabilité et de possession ; dans la confusion
mentale
qu'amène l'agitation anxieuse, les malades passen
complèles, p. 375. Archives, 2e série, t. V. 24 370 PATHOLOGIE
MENTALE
. « Il faut signaler. disait déjà Esquirol ', co
ursuit de son anathème. Mais l'intensité même des représentations
mentales
d'une chose redoutée fait qu'on en arrive à croir
sser à soi-même les mouvements *. ' Esquirol. Traité des maladies
mentales
, Paris, 1838, t. I, p. 517. * Fodére. Traité de
mentales, Paris, 1838, t. I, p. 517. * Fodére. Traité des maladies
mentales
, Paris. ' Guislain. Traité sur l'aliénation, Am
est entrée à diverses reprises à l'asile de Lafond, pour troubles
mentaux
consécutifs à des crises nerveuses. J'ai pu, de c
Les cordons latéraux de la moelle se divisent en faisceau fonda-
mental
du cordon latéral, faisceau de Gowers, faisceau p
tique de la paralysie générale, se rencontre dans d'autres formes
mentales
. Je ne demande d'ailleurs qu'à être convaincu de
ur que l'évolution se produise; mais je ne crois pas que l'hérédité
mentale
joue dans cette évolution un rôle aussi im- por
Charles Puy, âgé de trente-quatre ans, qui est atteint d'aliénation
mentale
, s'étant présenté à l'évêché de Perpignan avec
vail.(Petit Parisien, 10 avril 1898). ' Enseignement des maladies
MENTaLES
.- M. le D1' Chénieux, direc- teur de l'Ecole de
ladite école, dit que « les conférences annoncées sur l'aliénation
mentale
ont eu lieu dans le semestre d'été, et que M. le
airie G. Steiiiheit. Bérillon (E.) ? L'Ilypnotisine et l'Orthopédie
mentale
. Brochure in-8° de 48 pages. Paris, 1898. Libra
énale (Detitsch. médic. woclcenscl ? 13 niai 1897. 456 PATHOLOGIE
MENTALE
. répétons, on trouve toutes les transitions sur
ons des coupes. Nous resterons sur cette sage réserve. PATHOLOGIE
MENTALE
. LE DELIRE MELANCOLIQUE'; 11.4 l Z Médeci
326. (Archives de neurologie, t88'2. il et 12.) 458 . PATHOLOGIE
MENTALE
. qu'ils veuillent démontrer qu'ils sont bien ré
itions ultérieures. Cette disso- ciation progressive de la synthèse
mentale
implique donc un processus rétrograde, un délir
1 Dl Vallon. Communication au Congés de Blois, 1892. 460 PATHOLOGIE
MENTALE
. tir, toucher, puisqu'il n'a ni yeux, ni oreill
nales méclico- psychologiques, t. V, 1815 et 1833. 4G2 PATHOLOGIE
MENTALE
. tique aux réactions motrices qui font articule
x mélancoliques à idées de damnation. Ces phénomènes d'articulation
mentale
paraissent même le substratum essentiel des dél
ie qu'il attribue à une personne étrangère. ' Griesiner. Maladies
mentales
, traduction Doumie, p. 285. a Théorie de l'auto
tion Doumie, p. 285. a Théorie de l'automatisme. 46 i' PATHOLOGIE
MENTALE
. « La pensée, abandonnée à elle-même comme dans
l demande à être rebaptisé, et marmotte cons- ' Esqtjirol. Maladies
mentales
: De la démonomanie, t. I, p. 509-511. 1. Mar
e la démonomanie, t. I, p. 509-511. 1. Marcé. Traité des maladies
mentales
, p. 12. Fei,telii, Opéra. Gêneuse, 1. II, ch. x
sorciers. Lyou, 1G03. Archives, 21 série, t. V. 30 466 PATHOLOGIE
MENTALE
. tamment entre ses dents, les yeux fixés contre
, car elle n'est plus que le zéro des zéros. Tout ce 468 PATHOLOGIE
MENTALE
. qui arrive n'est que des expériences diaboliqu
e des idées de négation, Séglas, loc. cil., p. 17. 470 PATHOLOGIE
MENTALE
. à la damnation et aux flammes de l'enfer. Cela
Il. Ddgonet. Loc cil., p. 238, Lypémanic religieuse. 472 PATHOLOGIE
MENTALE
. reau. Tentatives réitérées de suicide, mort de
e période la démonopathie affecte une forme 1 tiriesinger. Maladies
mentales
, p. 2SG-`357. 2 Jlichehs. l'aeunzalololie ou di
illcilleo maleficorum. Nidev I(l. Ed. Lyon, 1604. 474 PATHOLOGIE
MENTALE
. zoanthropique, comme chez les religieuses de C
re crues sous le coup d'un sortilège, pour expli- quer leur malaise
mental
elles découvrent peu à peu qu'elles sont filles
Histoires admirables, p. 46 à 60, t. I, Paris, 1660. , . PATHOLOGIE
MENTALE
. « Le diable m'avait appris au sabbat à dire la
tous les. exemples possibles des diverses destructions du composé
mental
2 * Le Père Surin, si longtemps mêlé à la célèb
ves de suicide. 11 nous a laissé une relation détaillée de son état
mental
. « Je ne saurais vous exprimer ce qui se passe
t eux, celui d'une légion de diables, soit 6.666 ! 478 g PATHOLOGIE
MENTALE
. l'Eglise, que dans mon ministère le diable pas
oit qu'il n'est pas nécessaire de faire intervenir un autre facteur
mental
ou hystéro-traumatique. Dans l'observation prés
ière partie, M. Dumaz étudie la lucidité d'esprit dans l'aliénation
mentale
au point de vue medico- iégal et dans la second
ale. Pour guider les médecins étrangers à l'étude de l'aliénation
mentale
dans leurs rapports médico-légaux, M. Dumaz donne
les psychiques passent inaper- çus, que chaque inculpé ait sa fiche
mentale
de même qu'il a sa fiche anthropométrique. Cett
et quand elle porterait des présomptions en faveur de l'aliénation
mentale
, le juge d'ins- truction devrait charger un méd
te de faire un rapport sur lui. §02' BIBLIOGRAPHIE. Cette fiche
mentale
, à laquelle nous avions pensé nous-même au- tre
sur des rapports de médecins ordinaires, incompétents en aliénation
mentale
, sortie qui peut constituer un grave danger pou
s priver de travail et de toute liberté, ce qui aggravait leur état
mental
. Dans des asiles spécialement organisés pour eux
Eidl, 1807.) Une aura intellectuelle, vive rémi- niscence d'un état
mental
passé, la décharge des souvenirs, si l'on veut,
. Thèses de la Faculté de médecine de Paris, relatives aux maladies
mentales
et nerveuses durant l'année scolaire 1896-1897.
ecins soit plus grand et où il soit procédé à un examen physique et
mental
complet (analyses chimiques, examen du sang, et
cussion SUR LES formalités préalables A la déclaration d'aliénation
mentale
dans SES rapports AVEC L% PROFESSION mégi- cale
nsiste sur l'heureuse influence qu'il exerce d'ordinaire sur l'état
mental
des aliénés chroniques, seule catégorie de mala
urrait sans doute être appliquée avec avantage aux cas d'aliénation
mentale
où le changement de milieu est salutaire et l'i
s, 1 il. Confession ries aliénés, par Kier- nan, 152. Confusion
mentale
primitive, par ijëglas, 153. Rougeole, infectio
algésie du nerf - dans la folie, par Gionnone, liO, 330. Débilité
mentale
et tremblement, par Labbé, 151. Dégénéré. Odv
w du -, 221. Evolution riu , par Il. Marie, 184. Latui. Maladie
mentale
des Malais, 145. Luire aiuhiue. Existence du
har Vithe, 318. - spi- nale syphilitique, par Pelletier, 508. '
Mental
. Troubles de l'état - aux Antilles, par Guilloi
blation des capsules surrénales, par Douetti, 409. Tabès. Maladie
mentale
associée au autre que la paralysie géné- rale
et liobert, 260. -de l'ai is, relatives aux maladies nerveuses et
mentales
en 1896 et 1897, 509. Tic comulsif simple, par
HIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
Fondée par .< M CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DI
DIREC-110-4 DE A.JOFFROY Professeur de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNA
la malade diminuaient, une amélioration très manifeste de l'étal
mental
était constatée. A plusieurs reprises, nous avons
e la malade ; rapidement l'insomnie se reproduisait elles (rouilles
mentaux
reprenaient leur acuiLY. Actuellement, après '7
, après 5 mois d'emploi, il n'ya a pas d'accoutumance. Les troubles
mentaux
se sont améliorés, mais on ne peut, cesser le m
la prise. UBS, XI. M™0 IL, 42 ans. Après uue période de confusion
mentale
(1898) avec excitation maniaque, a laquelle a fai
es physiques,, le délire et les hal- lucinations, tous les troubles
mentaux
s'amendent. Du 15 au 18, le prurit persiste, ma
eut considérer la malade comme complètement guérie de son affection
mentale
et de son intoxication. RECUEIL DE FAITS Sc
riphérie ne réagisse pas, comme dans la narcose, et alors le centre
mental
ne manifeste rien. Mais il n'est pas en notre pou
rticulier. Dès que le système nerveux central est lésé, l'aclil ité
mentale
présente des troubles parce que les communicati
la paralysie générale ; par le Dr de Bock. (Bull. de la Soc. deméd.
mentale
de Belgique, 1,1()'i, no 117.) Se basant sur
stérique de 23 ans qui présenta de l'hématé- 60 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. mèse, des vomissements stercoraux, du méloena,
tion insolite des mu- queuses. - P. KERAVAt . REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
I. Fréquence et étiologie de la~démence précoce
e total de 300 malades, il a trouvé 47 démences REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Gl -précoces, soit 15, 66 % (non compris les d
ans : la démence précoce (précoce eu égard au dé- but des troubles
mentaux
plutôt qu'au point de vue de lage) serait donc
curative ; parle Dr MARANDON de IONTYEL. (73u11. de la Soc. de méd.
mentale
de Belgique, 1904, n° 115.) . L'auteur,dans ce
n outre de maladie de Raynaud et de gangrène 62 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. neurolique cutanée multiple, l'auteur estime q
ire. Nous eu avons touché un mot dans noire Pratique.de la médecine
mentale
, page 260. Plus fréquente est l'imitation des
et muet, qu'il répète souvent cette mélodie, * REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
; 63 longtemps de suite, sur un mode identique o
tpLuma liclue alpartcnanL à,1'alcuolismc chronique, il la confusion
mentale
, à la démence sénile, à l'artério-sclérosc céré
prédisposés sont susceptibles de provoquer l'apparition de troubles
mentaux
par insuffisance fonctionnelle du foie. Les tro
Il l'Il aucun l'é"lIlllll. (UOUHi\r : 1 ILLE.) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 65 des lui fait remarquer les fâcheuses conséq
an-, Archives, 2- série, 190p, l. XIX. 5 66 REVUE lIE PATHOLOGIE
MENTALE
. les malades atteignent l'âge de 17 et 24 ans,
u [uhl' rligl',liJ'. Jamais de copiophagie. . REVUE DÉ PATHOLOGIE
MENTALE
. 01 11 est à penser que le système musculaire d
préalable. Quelques autres, à l'occasion, engendrent des désordres
mentaux
, mais ils sont si passagers qu'il est difficile
auteur dans des cas d'insom- nie dépendant de maladies nerveuses ou
mentales
très diverses : arll'rio ? c1l'rose cérébrale,
le domaine Ile la nwlililé. Trois ans après le début des accidents
mentaux
, l('n"ol) pie, grimaces, attitudes mécaniques,
e retrouvée. L'épreuve à l'induré de potasiunmct.euuath. Torticolis
mental
ou torticolis spasmoilique. )DI. 1>1 : )[\SS
aucune 1(,¡[(;41cylol', le diagnostic reste incertain. S'il y a tic
mental
, la méthode Bi-isstt(1 le guérira ; s'il y a spas
o-hasophobie, etc.) el rendent difficile, dans l'analyse de l'(Olal
mental
, l'évaluation exaele d'un ,1,"lkil (lén1PnlÏl'l q
e sommeil hypnotique je suscite chez le dormeur la représentation
mentale
de la traversée avec tous ses ennuis et je l'entr
ance : Dalul'aLÍon et hydrothérapie dans le traitement des maladies
mentales
. Rapporteur : 31. le D- Paillias, Une place i
âgée du quarante-cinq lll1, cuisinière, dans un accès d'aliénation
mentale
, a mia le feu dans Sa chambre, rue l.aftytllo,
! lI1(/1'(I, depuis quelque temps, donnait des signes d'aliénation
mentale
, Si, contrairement aux préjugés régnant encore,
gt; Jules Voisin, com- menacé ses leçons cliniques sur les maladies
mentales
et ner- veuses le jeudi 12 janvier à 10 heures
peine signalé dans la plupart des traités consacres aux; maladies
mentales
. En ce qui me concerne, je l'ai observé depuis
sion et d'arrêt sont les caractères fondamentaux de cette aifection
mentale
. Les laits que j'ai recueillis et que je vais e
novcmbre 1902). (2) A. Cii.i.Kiim : . Traité pratique des maladies
mentales
. Pari- 1890. EXCITATION SEXUELLE DANS LES PS1
anxieux avec thanatophobieet périodes de mentisme ou confu- sion
mentale
passagère en rapport avec les idées obsé- dante
riques ; à la suite d'un ébranlement émotionnel, accès de confusion
mentale
passagère ; délire mélancolique avec crises an-
ul malade depuis cinq semaine-, mais les premier- signes de trouble
mental
remontent àuu moins six mois. C'est une femme q
r a·. idées. Elle présente depuis plusieurs semaines des troubles
mentaux
que l'on peut ranger sous deux chefs : 10 Idées
entes et complètement anesthésique (crises de mentisme ou confusion
mentale
passagère). Nous n'avons eu il observer, pendan
commune, plus fréquente chez les femmes que chez les 5G , CLINIQUE
MENTALE
hommes, el choz les premières, le phénomène que
; chagrins intimes ; aboulie ; mélancolie avec crises de confusion
mentale
panophobicluu ; an- xiete continue et gémisseme
clis]>araîlrc c11 cm même temps que disparaissent les phénomènes
mentaux
eux-mêmes, mm, cuulraircnumU u la rèlu. 1·s C·m
istent pas chez eux en effet, soit plutôt qu'en raison de leur état
mental
on (1) : \loaI : r.. - 1111 ¡\"li ? pnnophohiql
simples syndromes ! lllss. 1\'. Antécédents névropalhiques ; choc
mental
; mé- lancolie, panophohie, coufllion lI1enlalt
quinze jours, elle éprouve un grand «saisissement à la 90 CLINIQUE
MENTALE
suite d'une discussion avec une voisine ; ce so
stro-entérite aiguë d'origine grippale sans modi- ficationde l'état
mental
. Si l'on néglige les phénomènes d'oblusion el d
tal. Si l'on néglige les phénomènes d'oblusion el de. confu- sion
mentale
qui existent chez cette malade, elle se rap- pr
pliénnmènescata- loniques ; accès de rire spasmodiques ; puérilisme
mental
; ten- tative de suicide ; crises anxil'lIl'S' i
L·1'CHUf'.11'HI1 : S' : 1\\Ii : l'51 : 5 93 10 déccnabr·. - l'i·Lal
mental
s'est modifié depuis quelque- jours ; à la dépr
rbai ion a cessé. Le lalarlu esl Iwlewnu mélancolique avec obfusiou
mentale
: il l'ail des extravagances, gale au lit, dema
olymorphe des (légé- nérés. C'est un héréditaire à déséquilibration
mentale
originelle, caractérisée par des tendances myst
tupidité prolongée, des crises de rires spasmodiques, de puérilisme
mental
, suivant l'heureuse expression ent- 94 CLINIQUE
e puérilisme mental, suivant l'heureuse expression ent- 94 CLINIQUE
MENTALE
llluyéc lctr 11. I : . 1)uyr ; une phase de mél
is- me psychologique. Uss. \'1. - Ili·rérlitairc dégénérée ; choc
mental
; puberté dif- licite ; PS) ClrlN' polymorphe d
ion, d'où suppression menstruelle l'1]Jll'nlil'l'e crise de trouble
mental
de peu de durée qui disparut sans laisser de tr
périodes lucides muisaveeulfuiblissement 1res mi- (leili du niveau
mental
. Aeluelleiiienl on conslale du délire de (le
es tlé5éné- rés. Otis. Vil. Hérédité vésaniquo ; déséquilibralion
mentale
originelle ; deu\ accès antérieurs d'aliénation
uilibralion mentale originelle ; deu\ accès antérieurs d'aliénation
mentale
; troi- sième accès il 70 ans ; démence, exeila
elle. Celle dernière est un phénomène assez banal dans les maladies
mentales
; . on l'observe souvent dans la période d'inva
SYCHOPATHIES ANXIEUSES 97 tané se produise ou que survienne un choc
mental
, et voilà les obsessions mobilisées et l'anxiét
lévrier 1904)... , Archives, 2' série 1905, l. XIX. 7 08 CLINIQUE
MENTALE
z gancs superposés, couches optiques, bulbe, mo
Janct a bien montré que. chez les psychasthéniques, les agitations
mentales
, les rêveries, le délire en un mot sont non seu
ysie générale conjugale, lue. il y a 14 ans. au congrès de médecine
mentale
de Rouen, notre distingué confrère, le docteur
ifesté des symptômes de sclérose médullaire, mais sans trou- bles
mentaux
. En commentant son quatrième cas de pa- ralysie
aré l'accident syphi- litique initial de l'apparition des symptômes
mentaux
. Rappelons ici, cet égard, que chez le cousin p
ître, chez un même ma- lade. la coexistence de plusieurs affections
mentales
dif- férentes et de préciser ce qui revient it
, mais il n'a jamais présenté d'accidents nerveux, ni de troubles
mentaux
proprement dits. Nous manquons de renseignement
suicide ne sont qu'une expression de la prédisposition aux troubles
mentaux
que le récit de son existence nous montre qu'il
ec idées répétées de suicide liés il un terrain de déséquilibration
mentale
d'origine héréditaire, accidents alcooliques, p
concours des asiles nous donnerait le droit de faire de la clinique
mentale
! Sans doute, je paraîtrai quelque peu frondeur
d'Asiles doivent non seulement traiter leurs aliénés, les formes
mentales
, les maladies incidentes, les affections chirur-
s intéressants, les cas aigus en général ; si- tôt qu'une affection
mentale
prend des allures de chroni- cité, ou plus simp
convenir de cette vérité, c'est nier tout progrès, toute science
mentale
. Mais, peuvent dire les profanes, que faites-vo
s toujours ; et. chose admirable, bien que, depuis 1857, la science
mentale
ait fait des pas de géants, bien que le recrute
d'avoir jamais vu un aliéné. Il faut se rappe- ler due la médecine
mentale
, encore à ses débuts, parais- sait si ingrate,
t sur la législation des aliénés ; il y a deux épreuves de clinique
mentale
, et une sur ti- tres, où il est tenu le plus gr
ane principal du mouvement, comme le cerveau est celui des tondions
mentales
. De même que la des- Il'ueLion de l'écorce fait
tération du cervelet supprime la nfulilité sans troubler le travail
mental
. De même que l'écorce du cerveau se compose de
on, gagnent la face externe du lobe occipital (centre d'élaboration
mentale
), les portions supérieures et externes du lobe
ller dans la Il'11' tl'un sujet quelconque quelques représentations
mentales
auditives. ;Ivayoenlil·r (\u ? ) n'en a ltas
ière à re- gard des rayons \ ; il s'eu suit que les représentations
mentales
ou les images provoquées par ces rayons n'armen
l de la conscience. Cela ne veut pas dire que des représenta- lions
mentales
qui n'arrivent pas jusqu'au seuil de la conscienc
lois de l'imitation et d'autres phé- nomènes enigmatiques de l'état
mental
des masses ne peuvent être correclementélucidés
revue d'anatomie ET de physiologie pathologiques. 137 suggestion
mentale
sort graduellement du domaine de l'inconnu. L'é
ggestion mentale sort graduellement du domaine de l'inconnu. L'étal
mental
n'étant, en somme, qu'une manifestation de l'é-
sortent du tissu nerveux en activité, transforment la sugges- tion
mentale
eu un phénomène qui ne heurte en rien nos con-
oriels ou moteurs, et provoquent au contraire la perte des facultés
mentales
supérieures ; c'est celles des lobes frontaux.
liniques de l'alexie. Il termine. Généralement, la représentation
mentale
d'un ob- jet éveille, avant d'en susciter le no
ls analol111qIH'S. En ce qui concerne le centre des représentations
mentales
des mouvements des mots, il existe des syndrome
cité de dénommer les objets. Il y a lieu de croire, quanlaux images
mentales
des objets, que lorsqu'il n'arrive plus à l'hém
1LL,1904.) La catato- nie en tant que forme indépendante de trouble
mental
; par \\'.l'. Osstpow. (0o : t) ? t6).s'tf ? )n
tance active. Il n'a pas été constaté d'action favorable sur l'état
mental
ni sur le poids du corps. Il faut aussi éliminer
s malades. 11 eaL directement el indirectement défavorable à l'état
mental
des malades qu'il peut précipiter dans la dégéné-
hlulùLun lruLuiL arliliciul lu'un5 mi- tome naturel de l'affection
mentale
. Sans doute les agents lylro- thérapiques et ph
t ? I1}¡t'llh, XX : \', X. F. XIII, 1902.) z Partout les maladies
mentales
augmentent, partout l'encom- hl'emenL des établ
des en rap- port avec leur destination. Les professeurs de clinique
mentale
et les neurologistes n'ont pas fait partie de c
ienne (même auteur. Ibid. 1903, n-s eL 3.)-3° Histoire des maladies
mentales
et nerveuses au Cau- case, par E. W. Erikson (I
1)( même, dans l'insomnie d'origine cérébrale, par préoccupations
mentales
, celle narcose coupe court à tout ce qui faisai
ues autonomes ont utilisé pour l'enseignement clinique des maladies
mentales
les asiles provinciaux, cantonaux ou municipaux
nement. Nous ne possédons quequatrechaires de clinique des maladies
mentales
et dans aucune de nos univer- sités le stage n'
e et en Suisse. Les nou- velles méthodes de traitement des maladies
mentales
en usage dans les asiles étrangers font l'objet
; les internes sont trop peu nombreux et peu instruits en médecine
mentale
au dé- but de leurs fondions. Dans un dernier
ultation externe l'l polirlilli- que pour les maladies nerveuses et
mentales
, le samedi it ! ) Il. 1 ? alle Sainl-,\nnl', ,
avail; nous le remercions vivement pour ses indications. CLINIQUE
MENTALE
Etude clinique sur la stéréotypie des déments
mène dans un assez grand nombre d'observations ; les 190 ' CLINIQUE
MENTALE
autres - et ce sont les plus intéressantes - ne
ciii. Dei movimenti sistematiiiati in alcune forme di indebolimento
mentale
(Archivio italiano per le malatic nerti vore e
et effet nous adopterons la division la plus simple. 192 clinique
mentale
de l'activité musculaire, aussi bien que le mou
cé la phrase Aucun I : c, 2" férié, 100 ? I. XIX, 13 194 CLINIQUE
MENTALE
. - stéréotypée qui lui est familière et qu'il a
? - Vous êtes docteur ; je lui donne sa bénédiction. 196 CLINIQUE
MENTALE
. « Saer-vous le nom de l'établissement ? - \ïll
éside il l'acte, et nous n'avons jamais observé que la 202 CLINIQUE
MENTALE
. vue de l'autre sexe filt susceptible de lui do
des (\) Revue de Psychiatrie, n^ 2, lévrier 1001. 1. 204 clinique
mentale
. mêmes mouvements monotones pendant la période
la fixation de nos images kinesthésiques comme de toutes nos images
mentales
. Or la vie affective de la plupart des déments
s pendant la période aiguë de l'affection ; et nous ne 208 CLINIQUE
mentale
. devons pas manquer d'ajouter que cette impress
ent un caractère Archives, 2° série 1905, t. XIX. 14 210 CLINIQUE
MENTALE
. intentionnel : plus forte raison est-il diffic
cément pour elles une apparition aussi tardive qu'on n 212 CLINIQUE
MENTALE
. pourrait le croire. En effet si elles sont l'e
présente avec une pureté toujours croissante, à mesure 214 CLINIQUE
MENTALE
. * \ que progresse la déchéance] de l'individ
er le contenu psy- chologique de ces manifestations. `1G CLINIQUE
MENTALE
. Pour qu'il y ait stéréotypie, il ne suffit pas
Enfin le mutisme lui-même, que nous avons considéré 218 CLINIQUE
MENTALE
. comme ressortissant parfois au cadre de la sté
, après avoir été interné pour des phénomènes passagers dcconfusion
mentale
avec délire hallucinatoire, présenta ultérieure
S. 210 rectifier le diagnostic clans le sens de la dégénérescence
mentale
. Ainsi les pseuio-stéréotypies peuvent exister
fficulté de chacune d'elles, c'est qu'il existe, en un 220 CLINIQUE
MENTALE
. mol, derrière son agitation, un profond engour
s hiérarchiques les plus opposés de notre activité mo- 222 CLINIQUE
MENTALE
. trice, et n'en déduisent aucune signification
rvent un certain degré d'affaiblissement relatif, si 22l t CLINIQUE
MENTALE
. bien qu'il serait plus juste de les considérer
nts il perpétuité ». Or travers cette con- valescence de l'activité
mentale
, quelque chose transpa- raît qui frappe assez r
ctivité stéréotypée leur constitue comme un- « moignon » d'activité
mentale
. Ce moignon, il faudra savoir l'exploiter, et e
er. A l'inverse des cas plusfréquents d'affaiblissement physique et
mental
qui se rencon- trent chez l'hémiplégique, qui d
blépharoptose. Le fond de l'oeil, indemne par définition (amaurose
mentale
), peut présenter quelque modifica- tion à raiso
s peuvent, s'ils sont délaissés, présenter des troubles permanents,
mentaux
uu normaux : 5° Enfants pseudo-atypiqttes : a)
vue de la palhogénie des af- fections de cet ordre. ' ' Confusion
mentale
. Mil. OILBEI2T-Li.WLET et F. Rose apportent les
malade ayant présenté pendant la vie le syndrome de la confu- sion
mentale
, et a l'autopsie de laquelle on ll'oum une pachy-
te Il'plhylisn1l', ill,t ¡WU probable qu'il s'agissait de confusion
mentale
toxique, vu l inté- grité des cellules cortical
rise entre 20 et, 'i0 ans qui est la plus atteinte par l'aliénation
mentale
», Il y a eu 24 sorties par guérison et, 15 par
lles, il -n'existait aucune difformité, aucun accident nerveux on
mental
et qu'eux-mêmes étaient tout, à fait indemnes,
es chel l'enfant, lh, 1904. (2) IL J. l3e.art.er. -...1 treatise on
mental
diseases, 1901, p. 370,- Ch. FÉRÉ. Contrib. à 1
ée déjà de filouterie. On note à ce moment chez elle de la débilité
mentale
, des alternatives d'excitation et de dépression
- 266 CLINIQUE NERVEUSE. Pendant qu'évoluaient ainsi les troubles
mentaux
, des accidents \ de nalUl'e lI1anil'pll'lI1l'll
intervenue chaque fois comme le facteur occasionnel de ses troubles
mentaux
et de ses accidents hystériques. Ce qui fait su
écriture; il ne faut pas perdre de vue que ceux dont l'amélioration
mentale
permettra un jour la sortie de l'asile auront s
acquiert pendant son séjour à l'asile un développement physique et
mental
suffisant, rien ne s'oppose à ce qu'on lui ense
iture ; il ne faut pas per- dre de vue que ceux dont l'amélioration
mentale
permettra a un jour la sortie de l'Asile, auron
acquiert, pendant son séjour à l'asile un développement physique et
mental
suffisant, rien ne s'oppose à ce qu'on lui ense
e est toujours faite par un aliéné ancien insti- tuteur dont l'état
mental
est peu touché, huit enfants la suivent et quel
nifiante au calorimètre de d'Arsonval. P. Keraval. LX. Des maladies
mentales
consécutives aux auto- intoxications expériment
e quelques jours de durée, présentaient, à l'acmé d'une confusion
mentale
, des convulsions graves et. persistantes. Parfois
e, des convulsions graves et. persistantes. Parfois une con- fusion
mentale
persistante suit un spasme relativement court.
un état de mal éllileplique. Quelle est la proportion des accidents
mentaux
chez les ani- maux qui, privés de leur corps th
re partie du processus' tahetiqne. Il, C. 304 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. LXXXllll. Hématomyélie traumatique ; par LAIGN
o-moteurs et des culanéo-scnsitifs. » - IL C. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XIII. Sur une altération singulière de la mémoi
eu près semblable de llonhoefl'er. ,1. SÉGLAS. \1 ? Du torticolis
mental
; par Giglioti. (Rivista critica di clinca mecl
ontré que le tic est le correspondant de l'idée REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 305 fixe dans la zone motrice. 11 faut disting
e motrice. 11 faut distinguer avec le plus grand soin le torticolis
mental
du torticolis spasmodique et du Iiys- lériquc,
cas Archives, 2' série, 1903, l. XIX. 20 30G REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. avant 25 ans; dans 47 % après ; c'est-à-dire q
et jamais une intelligence supé- rieure. ' ' REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 307 10 010 drs déments primitifs présentent av
l marche progressive. (Quelque temps après, 308 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. survint un triple ictus épileptique suivi d'im
° l'existence du syndrome de Kor- sakoll' en dehors de la confusion
mentale
de Chaslin, ce qui est contesté par Crocq, Fran
louti à l'arrestation de plusieurs personnes. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 309 \ \ I ll. - Les névroses dans le milieu sc
t démence sont des termes contradictoires. L. \\'. XXV) Confusion
mentale
; par M. llattaisoort de Montyel. (l3rrll, méd.
d'abord distinguer les cas dans lesquels la confusion estle trouble
mental
primitif de ceux dans lesquels c'est un simple
coolique, le paralyliquogéuéral, l'épileptique, etc. La confusion
mentale
est en somme une démence curable, une 310 REVUE
es, les palpitations de coeur, les vertiges, tin- touins, désordres
mentaux
variés, paresthésies, congestions et, hemorrhag
alopathies congénitales ou précoces (idiotie, imbécillité, débilité
mentale
) ; 2° démences encéphaliques, acquises : a) d'o
es de vieillards, les maladies nerveuses chroniques et les maladies
mentales
; 1 médecin-adjoint avec les cutanés et vénérie
l3esan(;on), Les soeurs des deux services de maladies nerveuses et
mentales
(hommes et femmes) ont passé par l'asile d'alié
tenant ne se contente plus du dogme intangible de la dégénérescence
mentale
, établi par son maître Magnan, et qui, ayant re
le non moins nécessaire, et pensant, d'autre part, que les troubles
mentaux
présentés par la femme aux diverses pé- 332 BIB
- thénie psycho-nerveuse, etc., et déterminant des manifestations
mentales
semblables à celles des autres psychoses par épui
e, neurasthénie, etc.) ou des psychoses par intoxication (confusion
mentale
, délire hallucina- toire, etc.) D'ailleurs, au
es formes aiguës revêtent habituellement l'aspect de la confusion
mentale
hallucinatoire aiguë avec excitation (ancienne ma
sans le secours de la huet'hér'aliL3, d'occasionner des troubles
mentaux
, qui sont la conséquence directe des perturbation
c vital dépend de l'intensité des troubles physiques ; le pronostic
mental
, sur- tout de leur durée et de l'étal du terrai
des qu'on leur a rendus. Hospice de la S.wl·>·'.Taat2E, Maladies
mentales
et nerveuses. : M. le D1' .1. Voisin, le jeudi
1' .1. Voisin, le jeudi à 10 heures. Hospice de 131ClhRE : Maladies
mentales
ou nerveuses des enfants. - Consultations pour
anche qui n'arrivent plus jusqu'à lui (action physique). CLINIQUE
MENTALE
Auto-identification romanesque. (Illusions de
nnées, bien con.li- tuée au point de vue physique, mais dont l'état
mental
semble avoir présenté de tous temps un certain
malade se révèle dans son propre passé comme une per- 3G2 CLINIQUE
MENTALE
. , sonne peu normale. Elle a toujours eu une pe
ant la rencontre du boulevard des Italiens, cet homme ·ul1 CLINIQUE
MENTALE
. avait dû l'épier, el à ce momentnième il devai
n'est d'ailleurs pas pour surprendre sur ce fond de dégénérescence
mentale
. Meurtre dans un asile d'aliénés. On mande de M
de parents intoxiqués ou malades que nous ap- pelons les dégénérés
mentaux
. Chez eux les émotions et les passions, l'entho
ébrale. Cette asymétrie, qui a pour conséquence la déséquilibra don
mentale
, est, selon moi. la condition matérielle du tra
dent, les incartades des hommes de génie. , Ainsi la dégénérescence
mentale
peut consister dans le non développement d'un c
les des sensations, des to- nalités affectives, des représentations
mentales
et surtout de l'association des idées ; et ce s
sence de corps calleux joue un rôle important dans son insuffisance
mentale
. P. KERAVAL. BEVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE LXX
'apparition de manifestations tardives gra- 390 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ves et mortelles, au cours d'un tétanos en app
iait pas pendant les crises de sommeil. G. C. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XXVII. D'une forme originale de fétichisme ; pa
dans de bonnes conditions que quand il fixe les REVUE DE PATHOLOGIE
MENTAL
: . 391 mouchoirs des fCl11lllPS,leul'sjupons b
malade de faire un effort pour parler. G. CRRinR. XXIX De l'état
mental
des épileptiques réveillés de force du sommeil
o Dans l'automatisme post-paroxystique de plus longue durée, la vie
mentale
normale se rétablit graduelle- ment ; on consta
ment ; on constate d'abord une paralysie de toutes les fonctions s
mentales
, les malades ne réagissant pas du tout au, excita
ychiques. Celle-ci cède à son tour la place à une période de cécité
mentale
exclusive, surtout pour les personnes. L'automa
atisme post-paroxystique, et le rétablisse- 302 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. nient des fonctions mentales s'accomplissant n
rétablisse- 302 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. nient des fonctions
mentales
s'accomplissant non simultanément, ni subitemen
s travaux qui ont contribué à éclai- rer l'étiologie des affections
mentales
et leur pathogénie. Impor- tance de la théorie
131NET-SU<;GU; fait un rapport sur un prétendu cas de suggestion
mentale
et de transmission de pensée ; le sujet dont il
me présentant des signes physiques très accusés de dégénérescence
mentale
, chez lequel les préoccupations génitales présent
aux aliénés tubercu- leux quelleque soif la forme de leur affection
mentale
; qu'un régime alimentaire approprié leur été o
nt conventionnelle, car elle n'exclut nullement l'idée d'aliénation
mentale
.... » - C'est la thèse que nous avons toujours
. - Au des- sous de 20 ans, il s'agit, le plus souvent d'infirmités
mentales
constitutionnelles et irrémédiables (idiotie, i
L'intérêt que peut présenter la recherche de la durée des troubles
mentaux
avant l'internement consiste en ce que les chan-
és, nous relevons les suivants décernés à des travaux de pathologie
mentale
et nerveuse. Prix Bailla1'ge1' : ' ! ,000 franc
à l'auteur du meil- leur travail sur la thérapeutique des maladies
mentales
et sur l'organisation des asiles publics et pri
une série de mémoires ayant trait à la thérapeutique des maladies
mentales
et à l'organisation des asiles d'aliénés. Prix
asile de Yaucluse : Essai de diagnostic entre les états de débilité
mentale
. ' Prix Aldophe Jlombinne : 1.500 francs. L'Aca
, lesprisons et les maisons de correction les aliénés dont l'état
mental
a été méconnu au moment de leur procès et qui ont
onial, en congé à Campan (IIau- tes-Pyrénées), atteint d'aliénation
mentale
, a tiré plusieurs coups de revolver sur 51. Dur
ait été un des médecins désignés pour procéder à l'examen de l'état
mental
delà princesse Louise de Cobourg-Gotha, le prési-
ccuperont effectivement les postes de chef de clinique des maladies
mentales
de la Faculté de médecine il Paris, seront con-
projet qui fait honneur à notre payc. Hospice de BICHTRE : Maladies
mentales
et nerveuses des en- fants. Consultations pour
'CS. Vol. 11 ? Juin 1305 No 114 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
Le réflexe lumineux dans la paralysie généràTÎ,
de 30 su- Arciiives, 2' .i·ir, 100,i, I. XIX. 2 d' 41.8 CLINIQUE
MENTALE
jets, nombre insuffisant pour permettre, surtou
et on obtiendra comme nous, à peu de chose près, i'24 i 1 CLINIQUE
MENTALE
. l'égalité de fréquence des deux altérations en
espèces d'altérations aux trois périodes les voici : 4=28 CLINIQUE
MENTALE
. La succession durant les périodes des deux alt
itre très complet qu'il a écrit pour le récent Traité de pathologie
mentale
de )1. Gilbert Ballet. 11 n'est pas vrai qu'à l
LI : 1(1'1,1.1- : \1 : 1.1 UIvJ L.1 l'IIULYII : 429 430 CLINIQUE
MENTALE
. - lysie générale, ceux-ci n'exerceraient pas d
rticulier, ces malades ont une grande tendance, soit par aberration
mentale
, soit dans un but de suicide, 11 avaler toutes
avalent des. corps étrangers sous l'influence directe de leur état
mental
(délire, hal- lucinations, folie morale, affaib
nte-deux ans, est placée il l'asile Sainte-Anne pour dégénérescence
mentale
av ce hallucinations, idées mélancoliques et de
l'influence de la douleur, de l'activité musculaire, de l'effort
mental
, mais il se contracte sous l'influence de l'agent
larté du milieu demeurent sans changement ; '° Toute représentation
mentale
d'une certaine intensité, quel qu'en soit le su
95 décès. En 1(10 ? il n'y en avait eu que 77. Parmi, les variétés
mentales
, c'est la démence (il), en parti- culier la dém
es des fragments de l'une des intéressantes leçons sur l'aliénation
mentale
qu'il fait aux étudiants de l'école de : '\ante
l'a fort justement dit M. le professeur Pierret(t) : « L'aliénation
mentale
peut guérir ; elle guérit môme très sou- vent q
Ces cours ont porté sur les svmplômes généraux communs aux maladies
mentales
, sur la classification, l'étude des formes prin
son et 17 par amélioration. Il est de toute importance, en médecine
mentale
, rappelle M. Doutrehente, de pouvoir traiter le
ir aucune donnée sérieuse relati- vement au progrès de l'aliénation
mentale
dans ces départements puisqu'ils ne nous envoie
s, pour les com- mîmes, pour les départements, puisque l'aliénation
mentale
gué- rit surtout dans les deux premières années
ns, doux'sont atteints d'épilepsie, trois d'idiotie, un de débilité
mentale
». En ce qui concerne la profession des malades
hes et de leurs administrés dès les premiers symptômes d'aliénation
mentale
. Les admissions ne comprendraient plus autant d
elative, tout en leur continuant l'assistance, dès que les troubles
mentaux
tendent à disparaître. « ... Un certain nombre
hydrothérapie sont les principaux agents du traitement des maladies
mentales
et nerveuses. M. Paris aborde ensuite une autre
rie les données de la psychologie moderne. La psychologie expéri-
mentale
doit avoir partout son laboratoire et son enseign
été chargé dernièrement, par la cour de Vienne, d'examiner l'état
mental
de la princesse de Cobourg : le rapport n'était
mps, restaient perdus pour la science. Ses travaux sur les maladies
mentales
sont si nombreux qu'il serait abusif d'en dire
ique et Législation (1898) ; - Traité de thérapeutique des maladies
mentales
et nerveuses (1901). Parmi ses publications dan
896) ; - Le sad¿fétichisme (1900) ; - L'alitement dans les maladies
mentales
et nerveuses (1900) ; -- Séméiologie et traitem
neuves ou des faits nouveaux sur différentes questions de médecine
mentale
, de médecine légale et d'anthro- pologie crimin
de médecine légale et d'anthro- pologie criminelle : Dégénérescence
mentale
et simu-, lation de la folie (1889); La progres
des aliénés atteints des for- mes aiguës ou chroniques des maladies
mentales
sous leurs aspects les plus variés, se trouver
folies héréditaires; sur d'autres points encore de la mé- decine
mentale
qu'il serait trop long d'énumérer. Ja- mais il
l'internement des aliénés, et d .té de thérapeutique des maladies
mentales
et ms l'un comme dans l'autre de 4S0 " NÉCROLOG
rison. Jusqu'aux derniers moments, il a consené toutes ses facultés
mentales
, s'intéressant à tout ce à quoi il a pieusement
Journal TVMZ<M- cet. 11 s'est consacré il l'étude de la médecine
mentale
par in- clination naturelle, et pendant plusieu
ctrices qu'il a conservées toute sa vie : à savoir que les maladies
mentales
font partie des maladies générales du système n
médecin d'asile. Il a été rédacteur cons- ciencieux du Journal of'
mental
Science. Son travail, présenté il la Société Ro
travaux comprenaient les instructions cliniques sur l'aliéna- tion
mentale
, Ghcelat Cottages asylums, Lunacy administration
inant un chronique, je fais appela tout ce qui lui reste d'activité
mentale
ou physique et j'essaie de l'ar- rêter sur la p
votre prédilection, ainsi que le montre votre livre Des affections
mentales
des enfants. Vos travaux et votre pratique médi
mmeil de (rois coups de revolver. Certains symp- tômes d'aliénation
mentale
observés chez le coupable permirent aux médecin
ABINSKI, samedi il 10 h. 1/4. Hospice de la 8ALPTRIÈRE.- Maladies
mentales
Dr D[\Y, le jeudi il 10 heures (section Rambule
: - vreux, voirRapports ? voir l' Enfants idiots. - - départl-
mental
du Doubsfcorrespondan- ce),par Baudin,330. de l
sini et Madia,140. La en tant que forme indépen- dante de trouble
mental
, par Ossipow, 146. Contribution à l'étude de
'aliénés, 416. ConrLItEncE. Voir Enfants attor- maux. Confusion
mentale
, par Gilbert Ballet et Rose, 251 - -, par Mar
.'3. - Voir Traitement . Epileptiques. Voir Fibres. - Voir Etat
mental
. Ergothérapie et psychothérapie, par Bianchin
par Goelze, 66. Etat variqueux. Voir Cellules nerveuses. De l'-
mental
des épileptiques réveillés de force du sommei
- chez le lapin, par Mar- gulies, 231. - thyroïde. Voir Maladies
mentales
. Goitre exophtalmique. Voir Gigantisme. Gou
ar Demonchv, 7b. Maladies nerveuses. Voir Elec- trotlrérapie. Des
mentales
consécutives aux auto-intoxi- cations expérim
épatique, par Jaquelin et Perpère,l5. - des chiens. Voir Maladies
mentales
. L'ori- gine périphérique des-, par de Buck,
- -, par IL Osgood, 73. éthyl-méthylique. Voir Vomis- semeuts. -
mentale
ou tour de 508 table des matières. passe-pass
plégie spasmodique, par Nicolas et Mouriquaud, 389. Torticolis Du
mental
, par Giglioti, 304. Tractus. L'origine du-ist
n ARCHIVES DE Ex NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
PUBLIBF. 30119 LA DIItIW110\ DE J.-M. OU ARGO
fut même, durant sa convalescence, atteint de manie et d'aliénation
mentale
que l'auteur s'efforce de ratta- cher aux oreil
rde l'examen plus INVERSION DU SENS GÉNITAL. 43 général de l'état
mental
habituel à ces prétendus mo- nomanes, on remarq
uver la trace, mais peut-on dire que l'on connaît exactement l'état
mental
d'individus avec qui l'on n'a 44 RECUEIL DE FAI
dans la vie intellectuelle des membres d'une même famille. Cet état
mental
qui se transmet, cet ensemble de syndromes auxq
INVERSION DU SENS GÉNITAL. 45 stigmates psychiques de la déchéance
mentale
. La folie héréditaire n'est autre que cette déc
éance mentale. La folie héréditaire n'est autre que cette déchéance
mentale
qui se transmet, à l'égal des diathèses. C'est
ossible de séparer l'un de l'autre ces deux termes : dégénérescence
mentale
et folie héréditaire si l'ouveut bien attachera
sychiques. Il présente, en outre, tous les attributs d'une débilité
mentale
assez pro- noncée. Voici en quelques lignes son
germaine du père morte folle dans un asile. La l'orme d'aliénation
mentale
ne nous a pas été indiquée. Un oncle paternel a
yndromes et dans l'espèce, ils sont bien caractéristiques de l'état
mental
que notre malade tient de ses ascendants hérédi
ent de la prophylaxie de cette affection. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
I. La MANIE SE PRÉSENTE-T-ELLE SOUS LA FORME DE
alysie générale au début (une observ.). P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 87 IL Tentative D'HOMICIDE D'UN ÉLÈVE D'UN LYC
émoire qui est basé sur cinq belles observa- 88 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. tions accompagnées d'autopsies et d'études mic
Neurologie. Varia, t. X, p. 138, '295 et suiv. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 119 plus voisins destinés aux malades de trois
vitrée; à côté, un grand local sert de lin- 90 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. gerie-vesliaire, et renferme des cabinets d'ai
, Allemagne, France, Angleterre». STATISTIQUE REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 91 travail, la rémunération qu'on leur alloue
des héréditaires. Aliénés sortis en 1881. 92 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. vent aux criminels les bénéfices du traitement
Cas DE folie sénile, AVEC remarques; par G. -H. Swage. (Journal of
Mental
Science. Juillet 1883.) Dans ce travail, auquel
début A L'AGE DE quinze ans; par Joseph YIGLES1VURTH. (Journal Of
Mental
Science, juillet 1883.) L'observation de cette
rchives de Neurologie, /oc. mt., I. IV, p. 122. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 93 ou point réglée. Ecoulement chronique par l
nique, et dont chacune dure de quatre à cinq minutes. Puis son état
mental
s'améliore un peu ; mais une escharre commence
une escharre commence à se former au siège. Le 3 février, son état
mental
s'aggrave de nouveau ; en même temps elle s'aff
'; mais ces deux cas ont trait à des garçons ; le 1 Voy. Journal of
Mental
Science, tin, d'octobre 1877 et d'octobte 1881. 1
e, tin, d'octobre 1877 et d'octobte 1881. 1. 94 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ' cas actuel parait être le plus piécoce de ce
ni même de période quelconque d'excitation, mais que les symptômes
mentaux
étaient plutôt ceux d'une démence lentement 'pr
mort rapide, AVEC symptômes manuques ; par G. SAVAGE. (Journal of.
Mental
Science, juillet 1883.) 11 n'y a entre ces deux
etté. M. Christian rend compte des travaux du congrès de médecine
mentale
tenu récemment à Anvers. Note sur un cas d'amné
s ce fait la manifestation épileptique on conges- tive d'un trouble
mental
; de la sorte s'expliquerait la chute dans l'es
amen précis montre d'autres causes psychopathiques, la perturbation
mentale
s'établissant et cessant sans modification de l
affection, du trouble de nutrition de même ori- gine, d'un réflexe
mental
, tel que la crainte de voir s'aggraver les mala
ion dans mille malaises somatiques très divers, et, au point de vue
mental
, dans de l'indécision, dans la mollesse et le d
s particulièrement. eu à observer des cas fréquents de perturbation
mentale
chez des institutrices et des élèves de l'école
l'homme. Ces faits prouvent que c'est non pas la substance fonda-
mentale
servant de lit aux cellules nerveuses, mais bien
I1R$N(A'PRI ET DE NEUROPATHOLOGIE D'ANVERS La Société de Médecine
mentale
de Belgique avait décidé dans une de ses séance
i leur a souhaité la bienvenue et a remercié la Société de médecine
mentale
d'avoir choisi la ville d'Anvers pour siège du
. More ! (de Gand). M. Desguin, président de la Société de médecine
mentale
de Belgique, a pris ensuite la parole; après av
rcher les bases d'une bonne statistique internationale des maladies
mentales
; de l'autre d'examiner les Relations qui existe
ns ont déjà été l'objet des délibérations de la Société de médecine
mentale
. M. Lefebvre, professeur à l'Uni- versité de Lo
e : « Des bases d'une bonne statistique internationale des maladies
mentales
». 11 est évident que, pour élucider le problèm
nt que, pour élucider le problème si ardu de la genèse des maladies
mentales
et celui encore controversés, des rapports delà
dopter un certain nombre de types morbides, comprenant les maladies
mentales
qu'on rencontre le plus communément dans la pra
ans les statistiques et ensuite quels étaient les types de maladies
mentales
assez uni- versellement reconnus pour être admi
er l'enquête entreprise sous les auspices de la Société de médecine
mentale
de Belgique; 2° qu'une commission ou seront rep
ête qui devra s'étendre : A, aux prévenus soupçonnés d'aliénation
mentale
; B, à tout individu ayant commis, en état de foli
rapports de l'infirmier avec l'aliéné dans les différentes formes
mentales
, petite pharmacie. Ces cours se font sous la dire
ent les malades et à les isoler selon les fluctuations de leur état
mental
. 11 a été construit pour une population primiti
6. Vol. XI. Mars 1886. N" 32. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
MENTALE
CONSIDÉRATIONS CLINIQUES A PROPOS D'UN CAS D'AL
égé. Il y a quelque quatre ans, j'observais un cas d'alié- nation
mentale
qui me frappa à différents points de vue : par
ogénique' enfin qu'avait eue, dans la réalisation de l'aliénation
mentale
, une fièvre saisonnière, cause qui ne figure pa
ns-nous en présence d'un cas de Archives, t. Xi. 9 130 PATHOLOGIE
MENTALE
. folie congestive ou paralytique de M. Baillarg
tre malade entre cet abcès ouvert par l'oreille et l'aliéna- tion
mentale
; y avait-il entre eux une relation de cause à e
enfin avait agi la fièvre saisonnière pour produire l'a- liénation
mentale
? C'étaient là tout autant de questions que sou
il existe des tremblements des doigts. A quel genre d'aliénation
mentale
avons-nous à faire dans ce cas ? Des troubles phy
rouillement de l'intelligence, semblent indiquer l'exis- aliénation
mentale
; FIÈVRE catarrhale. 131 tence d'une paralysie g
Comment s'est développée et à quelles causes rattacher l'aliénation
mentale
que nous constatons chez B... ? Voici ce que no
e, et du malade lui-même une fois guéri. Le début de l'aliénation
mentale
remonte à dix-neuf jours. Depuis quatre ou cinq
se qu'on est obligé de l'attacher sur son lit ; elle 132 pathologie
mentale
. alterne d'abord avec quelques moments de calme
ans cet état que B... est conduit à l'Asile. L'accès d'aliénation
mentale
au développement duquel nous venons d'assister
le développement, tels sont les causes et le début de l'aliénation
mentale
de B... Voyons maintenant la marche et le mode
olente; il nous dit que cette douleur existe depuis 13t. PATHOLOGIE
MENTALE
. le début de sa maladie; il entend toujours ces
ce côté que de l'autre. Pendant les mois de mai et de juin, l'état
mental
de B... reste stationnaire. On constate toujour
ou six jours et entraîne après lui la disparition de la ALIÉNATION
MENTALE
; GUÉRISON. 135 tuméfaction périphérique. En mêm
Depuis lors, c'est-à-dire depuis quatre ans, la santé physique et
mentale
de B... ne s'est pas démentie; cet homme a repris
is absolument son équilibre intellectuel, et l'accès d'aliénation
mentale
qu'il a eue semble avoir été un simple accident.
ubles organiques du cerveau limités, apparaît un accès d'aliénation
mentale
qui se traduit dans les premiers temps par des
le courant d'une même journée. Pendant le cours de l'alié- nation
mentale
, apparaît à l'extérieur, au pourtour de l'oreil
aboutit à la formation d'un abcès qui s'ouvre par 136 PATHOLOGIE
MENTALE
. l'oreille externe. Corrélativement, les troubl
, dans l'état psychique de B..., semble indi- quer que l'aliénation
mentale
n'a été chez lui qu'un accident. Cette exposi
e B..., cherchons à nous rendre compte de la nature de l'aliénation
mentale
et, pour cela, étudions le mode de développemen
t ouvert par l'oreille gauche et le développement de l'aliénation
mentale
? C'est là une première question qui s'impose d
inflammatoires de l'oreille sur le développement de l'aliénation
mentale
; et, d'une manière spéciale, dans le cas actuel
ieur sous forme de tuméfaction que pendant le cours de l'aliénation
mentale
, elles révèlent leur exis- tence dès les premie
e en rapport avec un travail irritatif profond; par DE L'ALIÉNATION
MENTALE
. 137 de l'hyperesthésie auditive et par ce sent
rt entre les lésions inflammatoires périphériques et l'aliénation
mentale
, cela ne peut être un rapport de cause à effet,
à la suite d'une émotion morale que s'est ma- nifestée l'aliénation
mentale
de B..., et tout démontre que, dans ce cas, il
e étiologique des causes morales dans la production de l'aliénation
mentale
envisagée d'une manière générale, je crois être
c la grande majorité des médecins habitués à l'étude des maladies
mentales
, en admettant que certaines condi- tions sont n
ique. Le plus souvent, lorsque ces causes sont suivies d'aliénation
mentale
; ou bien elles trouvent un terrain cérébral to
adie, et cela, soit par une hérédité puissante, soit 138 PATHOLOGIE
MENTALE
. pour tout autre cause, l'intoxication alcooliq
aire fièvre saisonnière, revêtant les caractères de DE L'ALIÉNATION
MENTALE
. 139 la fièvre catarrhale si fréquente sur notr
cause à effet entre cette fièvre et la réalisation de l'aliénation.
mentale
. Si certaines maladies aiguës, le rhumatisme, l
était atteint a joué un rôle dans le développement de l'aliénation
mentale
, devons-nous démontrer directe- ment ce rôle. D
coïncider avec une modification dans la modalité de l'aliénation
mentale
. C'est alors qu'apparaissent en effet ces alter-
ale. C'est alors qu'apparaissent en effet ces alter- 140 PATHOLOGIE
MENTALE
. natives quotidiennes d'agitation et de somnole
ologique qui tenait en même temps sous sa dépendance l'aliénation
mentale
et l'inflammation périphérique. Or, on ne peut
développement est aussi intimement lié que celui de l'aliénation
mentale
, cette cause ne peut l'avoir pro- duite qu'en p
le de la fièvre saisonnière dont était affecté B... DE L'ALIÉNATION
MENTALE
. 141 dans la réalisation de l'aliénation mental
DE L'ALIÉNATION MENTALE. 141 dans la réalisation de l'aliénation
mentale
. La cause émotion morale a agi, en attirant et
.. entre les lésions inflammatoires périphériques et l'aliénation
mentale
; ces lésions ne sont pas la cause de la folie,
de ces rapports pathogéniques entre les lésions et l'alié- nation
mentale
, la nature du travail qui tient cette der- nièr
ous étant connue, la moda- lité qu'a revêtue chez B... l'aliénation
mentale
pen- dant assez longtemps, modalité qui rappela
trocédé ensuite,ainsi que le prouve la marche sui- il,,) PATHOLOGIE
MENTALE
. vie par les troubles cérébraux. Les troubles s
le. D'ailleurs, l'étude comparative entre la marche de l'aliénation
mentale
et celle des lésions inflammatoires périphériqu
lisé, ainsi que l'indique la physio- nomie clinique de l'aliénation
mentale
, il se localise davantage au moment où se forme
f joue un plus grand rôle que l'élément irri- tatif. L'aliénation
mentale
qui a existé chez B... est de nature inflammato
on de cette aliénation ; tels sont les faits qui se DE L'ALIÉNATION
MENTALE
. 143 dégagent de l'observation de B.... Ces fai
dérations et renferment des enseignements utiles. A. L'aliénation
mentale
de B... est de nature itiflai2z- maloii,e; elle
ques, janvier, mars, juillet) et novembre '(883.) 1 44 PATHOLOGIE
MENTALE
. Chez B..., ce n'est.donc pas à une folie paral
la Folie pai-atylirornze. Th. de Muntpeitier, 1885. DE L'ALIÉNATION
MENTALE
. 145 B. L'aliénation mentale de B... se lie int
e Muntpeitier, 1885. DE L'ALIÉNATION MENTALE. 145 B. L'aliénation
mentale
de B... se lie intimement dans son développemen
tte médicale, 1877,)). 357.) Archives, t. XI. 10 o 146 PATHOLOGIE
MENTALE
. nière observation, on retrouve, comme chez not
. Il n'y eut pas de surdité consécutive. La lésion DE 1,'ALIÉNATION
MENTALE
. 147 primitive était donc probablement située e
William, et s'appuient même avec complaisance sur 148 PATHOLOGIE
MENTALE
. elle pour démontrer l'existence de ces dernier
illeurs, enfin, elles donnent naissance à de véritables aliénations
mentales
. Mais la connaissance de l'influence exercée pa
comme causes d'illusions. (Montpellier méd., 1876.) DE L'ALIÉNATION
MENTALE
. 149 points n'a pas encore été abordée pour l'a
MENTALE. 149 points n'a pas encore été abordée pour l'aliénation
mentale
; du moins elle l'a été seulement pour l'épi- le
dre que celui de B..., et, en consul- tant les ouvrages de médecine
mentale
, nous en trou- verions très probablement d'autr
ant sur une observation absolument démonstrative. C. L'aliénation
mentale
de B... reconnaît comme influence pathogénique
re saisonnière . En attribuant dans la pathogénie de l'aliénation
mentale
de B..., à la fièvre saisonnière dont ce mal 1
ion to ear disease. In Brain, avril 1884, p. 20. - 150 PATHOLOGIE
MENTALE
. lade était atteint, au moment de l'application
ntre les différentes fièvres saisonnières ou autres et l'aliénation
mentale
. Ces fièvres donnent lieu d'abord à un délire a
ire continue et on se trouve en présence d'une véritable aliénation
mentale
. Ainsi 1 Esquiroi. Des Maladies mentales, t. Il
d'une véritable aliénation mentale. Ainsi 1 Esquiroi. Des Maladies
mentales
, t. Il, 1838, p. 146. DE 1,'ALIÉNATION MENTALE.
uiroi. Des Maladies mentales, t. Il, 1838, p. 146. DE 1,'ALIÉNATION
MENTALE
. 151 Stol], pour ne citer que lui, admettait ce
l. Traité de' médecine pratique, t. 111, p. 15 î. 1. 152 PATHOLOGIE
MENTALE
. tous, à l'exception de l'éméto-carthartique. E
que des fièvres sai- sonnières sur le développement de l'aliénation
mentale
; en présence de l'absence d'observations cliniq
de cet ordre le rôle qu'on sait dans la pathogénie de l'aliénation
mentale
de B... Et si on songe que cette fièvre n'a pas
mond. - Gazette médicale, 13 septembre 1884, nu 37. DE L'ALIÉNATION
MENTALE
. 153 leur existence. Mais ces localisations de
t des lésions péri-auriculaires et le développement de l'aliénation
mentale
; et que, d'autre part, quand on élargit le poin
ant de maladies aiguës dont l'influence étiolo- gique en aliénation
mentale
, est actuellement admise. Et si pour expliquer
ture si différente peu- vent en effet donner lieu à des aliénations
mentales
semblables; ainsi, à la suite du rhumatisme com
aître des troubles psychiques constituant de véritables aliénations
mentales
, les- 154 PATHOLOGIE MENTALE. quelles dispara
constituant de véritables aliénations mentales, les- 154 PATHOLOGIE
MENTALE
. quelles disparaissent sous l'influence des seu
eur nature même que les maladies aiguës donnent lieu à l'aliénation
mentale
, mais encore par les troubles nutritifs qu'elle
s manifestations, Th. Paris, 1865, n 47, p. 85. - DE L'ALIÉNATION
MENTALE
. 155 nauadie à l'hospice civil de Charenton. Du
'a joué la fièvre saisonnière dans le développement de l'aliénation
mentale
de B... s'ex- plique donc tout naturellement. S
ions se pro- duisent, son rôle dans la pathogénie de l'aliénation
mentale
ne peut être qu'exceptionnel ou même qu'ac- cid
uestion des rapports entre les lésions de l'oreille et l'aliénation
mentale
; 156 PATHOLOGIE NERVEUSE. 3° Elle met en rel
uence pathogénique pos- sible dans le développement de l'aliénation
mentale
d'une cause jusqu'à présent non indiquée, de la
- ment étudiés en ce qui concerne le tabes. Epilepsie, aliénation
mentale
, hystérie, tabes, atro- phie musculaire, etc.,
eurs du père de notre malade s'est noyée dans un accès d'aliénation
mentale
; cette dernière laissa trois filles, l'aînée de
par la traction des membres. A ces mo- ments, elle présente un état
mental
excitable, en partie conscient dont ses voisine
n concluons que nous avons affaire à un malade. Dans certains états
mentaux
que l'on pourrait désigner de « maladies de la
lieu d'incitation, marchant lentement et affec- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 255 tant la forme 'de bourrelet circonscrit :
s- mission elle-même soit un germe. C'est seulement en pathologie
mentale
que l'on admet comme loi de l'hérédité la reprodu
e la plus grande importance à la priorité d'apparition des troubles
mentaux
; les héréditaires sont avant tout des congénita
s distinctes règneiit sur le rôle que l'hérédité joue en pathologie
mentale
: les uns admettent, avec Esquirol, l'hérédité
veulent la faire entrer dans le cadre nosologique de la pathologie
mentale
, n'est pas limitée; 3- les folies comprises sous
de la méthode synthétique qui n'est pas applicable à la pathologie
mentale
laquelle, en raison de son développement tardif
ographie médicale, ait fourni quelques docu- ments sur les maladies
mentales
au Japon. Sakahy lui-même ne peut rien communiq
882, il est mort 108,774 malades atteints d'affections nerveuses ou
mentales
, soit environ 16,26 p. 100 de la mortalité tota
que des symptômes nerveux intenses pro- duits par une perturbation
mentale
ne t''<iceomp<M/Ke) ! ('pas cl'ucéto- nur
. Schroeter (11.). Deux ces de blessure grave du crâne avec trouble
mental
. Il est quelquefois difficile de rattacher nettem
ives de Neurologie. 282 SOCIÉTÉS SAVANTES. joui d'une bonne santé
mentale
; sain d'esprit et normalement développé au poin
. Ou ne connaît aucune tare héréditaire dans la famille. Le trouble
mental
, qui nécessite son entrée à l'asile (13 sept. 4
ible de rattacher à la lésion du crâne et de son contenu le trouble
mental
, postérieur à elle, parce qu'il faut tenir compte
facteur pathogénétique prédisposant à l'explosion d'une affec- tion
mentale
chez un héréditaire; cet élément anatomo-pathoio-
capables d'aboutir, à l'occasion, au suicide ou à une perturbation
mentale
organisée. ' D. Poetz. L'importance des colon
ce des colonies de travail agricole pour le traitement des maladies
mentales
. (En allemand.)- Le système de ces colonies a p
E. KIFLLBERG. Du rôle des écoles dans la production des maladies
mentales
. (En français.) F. Eulenburg. La curabilité de
BEIiG. La valeur des exercices dans le traitement des n4cila- (lies
mentales
. (En français.) 'SOCIETES SAVANTES. 293 P. Ro
Langenhagen. Augmentation de la paralysie générale et des troubles
mentaux
imputables à l'épi- lepsie. La progression rela
: M. Scholz. A Brème, il a plus rarement observé les perturbations
mentales
primitives. MM. KELP et Waurendorfi' ont aussi
son tour d'intensité et le malade apparaît amélioré au point de vue
mental
. Trois mois de cette phase asthmatique font tot
t que quelques périodes de tranquillité. La guérison des trou- bles
mentaux
est demeurée complète; il est parti après un trai
s tout à fait prématurément chez les individus atteints de débilité
mentale
, dans les cas de traumatisme, chez des êtres im
lant proprement dit, et le rapprochent momenta- nément des maladies
mentales
alcooliques véritables. La plupart des auteurs
simples; et, n'ayant aucun renseignement qui l'éclairât sur l'état
mental
de la prévenue qui ne présentait aucun moyen de
a qu'il plût à la cour de nommer des experts pour exa- miner l'état
mental
d'Annette G..., dire si cette fille n'avait pas
des appels de police correctionnelle, à l'effet de constater l'état
mental
de la fille G...'(Annette), appelant d'un jugem
es genoux, vivait blottie dans un coin, sous une table; le désordre
mental
pendant celte période fut complet; elle tutoyait
, c'est que pendant longtemps encore après cette phase d'aliénation
mentale
, il lui était impossible d'articuler le nom de
avec le concours du greffier de la pri- son. Mais, il reste un état
mental
particulier sur lequel nous avons le devoir d'i
plaide la cause de l'électricité dans le traitement des affections
mentales
; il retrace en quelques- tirais )'hisLo ! iqne
RE-MÈRE : Paralysie générale; parT. W. MAC DOWALL. (Tlze Journal of
Mental
Science, avril 1884.) Le cas est celui d'un h
ES DES ARTÈRES CÉDÉ- .; orales ; par JAUNIES SU.W. (The' Journal of
Mental
Science, juillet 1884.) . Femme de soixante-q
là en kystes. Deux planches à l'appui. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XI. Un cas DE perversion sexuelle chez un homme
L%-MIDICATIOiN par le rictum; par 1V.-Juliu Mickle. (The Journal of
Mental
Science, avril 1881.) L'auteur ne se fait pa',
n de conserver la vie, énumère les procèdes 428 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. généralement en usage et signale ceux qui lui
logiques dans LES asiles d'aliénés; par James AD m. (The Journal of
Mental
Science, oc- tobre 1884.) L'auteur de ce mémo
tions utérines ET la folie; par Joseph WiGLESWORTH. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1885.) Nous ne pouvons reprodu
ais sur les réflexions du médecin anglais (B.). REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 429 » faits rapportés dans ce travail, c'est q
on utérine « aient eu, pour conséquence, la guérison de l'affection
mentale
, « je pense que l'on n'en sera pas étonné si l'
taques PILEI'TIFORfES par W. E. R : 1'JiSDEN VVOOD. (The Journal of
Mental
Science. Octobre 1881). Il s'agit d'un homme de
cutive A UN traumatisme DE la 1tète; par H. RAYNER. (The Journal of
mental
Science. Octobre t8SH. Homme de vingt-six ans,
six ans, voyageur de commerce, bien consti- 430 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. tué, mais forcé par sa profession à un usage p
'idée d'une paralysie générale, mais il n'y a aucun affaiblissement
mental
et l'exaltation a disparu. 11 y a de la céphala
OUEDANS une seule famille; par Joseph Wiglesworth. (T/te Journal of
Mental
Science. Jamier 1885). Considérés isolément, ce
ux autres, l'un, le fils aîné a présenté des signes de dépres- sion
mentale
que l'auteur incline fort à considérer comme path
co-psychologique. (Juillet 1884); par Il. Rayner : (Tlae Journul of
Mental
Science. Octobl e -1881). - Dans ce discours im
discours important, AI. Rayner a envisagé l'avenir de l'aliénation
mentale
au triple point de vue de la législation, de l'
it les suggérer à l'auteur. " ' , Zl R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 431 XIX. Remarques sur QUELQUES points seconda
l'administra- TION des asiles; par J.-A. Campbell. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1883.) , . -L'auteur, pensan
qué d'absorption en soi (self-u6sory7tion) aboutissant à la vacuité
mentale
, avec une affection bien définie du système mus
pratique dans notre service à Bicêtre (B.). 432 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. affection inflammatoire primitive des cellules
g des aliénés ; par S. Ru- THERFORD A1.4CPII : 11L. (The Journal of
Mental
Science, octobre 4884 et janvier 1885.) . L'a
blement, dans un grand nombre de « cas, intimement lié aux maladies
mentales
. « 2° Le sang, chez les déments des asiles cont
est considérablement au-dessous de la normale. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 433 « 9° Chez les malades qui guérissent, la q
ids du corps, l'amélioration de la qualité du sang et la « guérison
mentale
. « 110 11 y a, dans tous les cas, une améliorat
ioration bien nette « dans l'état du sang, pendant la convalescence
mentale
, mais « cette amélioration est à la fois plus m
ualité du sang, l'augmentation du poids du corps et la gué- « rison
mentale
, les conditions opposées que l'on observe dans le
, surtout au point de vue du traitement curatif de l'alié- « nation
mentale
, une voie de recherches qui n'a pas, jusqu'ici,
NDIE dans LES asiles d'aliénés ; par James IIONDEN. (The Journal of
Mental
Science, avril 1884.) z L'auteur expose tous le
ger. - - R. M. C. ' Archives, t. XI. 28 434 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XXIII. Recherches SUR la valeur qu'il CONVIENT
e preuves DE leur efficacité ; par T.-A. CHAPMAN (The Jour- 2zal of
Mental
Science, juillet 1884). L'auteur se basant sur
dans les admissions : 4° des malades qui sont atteints d'aliénation
mentale
pour la première fois, et chez lesquels le débu
névropathique exerce une influence appréciable REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 435 sur la forme, la durée ou les conséquences
il arrive à la conclusion que le delirium tremens ou les trou- bles
mentaux
analogues sont plus aisément provoqués, soit chez
ue chez les personnes qui sont à l'abri de ces motifs d'instabilité
mentale
. Chez les sujets nerveux, le delirium tremens p
pètent, les accès de delirium tremens déter- minent une instabilité
mentale
très favorable au développement de la folie ave
ON associée A la FOLIE; par S. RUTHERFORD Macphail. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1885.) Cette observation rap
melles atteintes DE MÊLANCO- LIE; par A.-F. Mickle. (The Journal of
Mental
Science, avril 1884.) L'auteur rapporte dans ce
CQUITTEMENT POUR cause DE folie; par D. YELLOWLRES. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1883.) Il s'agit d'un soldat
ès de folie temporaire; depuis ce moment, on n'a noté aucun trouble
mental
. D'autre part, il résulte de l'enquête faite ul
ait à peu près inévitable au point de vue judi- REVUE DÉ PATHOLOGIE
MENTALE
. 437 ciaire ; mais on peut se demander s'il s'a
ilepsie ordinaire peut quelquefois revêtir la forme de l'excitation
mentale
au lieu de se traduire par une convulsion physi
en- 1 Arch. de Neurologie, t. VI, p. 139. 438 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
Ratten : Guv = Gustav; lon- 16nnen ; Selgel- Se
lexions pratiques sur l'emploi DE l'électricité dans LES affections
mentales
; par A. de Watteville. (The journal of Mental
s LES affections mentales ; par A. de Watteville. (The journal of
Mental
Science, janvier 1885.) .) , Avec la haute comp
lectricité au traitement des 444 REVUE DE thérapeutique. maladies
mentales
. 11 passe d'abord en revue l'appareil instru- m
. maladies mentales. 11 passe d'abord en revue l'appareil instru-
mental
, les notions relatives à l'intensité du courant,
ion. Les applications de l'électricité au traitement des maladies
mentales
ont été jusqu'ici trop peu nombreuses pour que M.
ys qui, depuis plusieurs années, a cherché à traiter les maladies
mentales
par l'hypnotisme, mais sans résultat; il est donc
rses opinions qui ont cours sur le rôle de l'hérédité en pathologie
mentale
. Il regrette qu'on ait confondu la folie hérédi
ucun cas de suicide accompli par des sujets dont l'état d'intégrité
mentale
soit nette- ment établi, il s'agit toujours d'i
chique, quelquefois elle devient la cause occasionnelle de troubles
mentaux
variés. Cu. F. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. Du vert
E M. LE Dr H. LEGRAND DU SAULLE La médecine légale et la médecine
mentale
viennent de faire une perte cruelle dans la per
études médicales. Dès le début, il s'attacha à l'étude des maladies
mentales
et fut successivement interne des asiles de Dij
lle un grand nombre d'ouvrages médicaux ayant trait à la pathologie
mentale
et à la médecine légale. Nous cite- rons entre
a volonté ou étude des lésions de cette faculté dans l'alié- nation
mentale
; Considérations sur les intervalles dits lucides
119. Alcooliques (délire des) par Wit- kowski, 317. Aliénation
mentale
(cas d') intime- ment liée a un abcès s'ouvrant
es et névroses, par Mueler, 292. et iiévroses, Ecoles et maladies
mentales
, 289. Ecriture d'un chroréique, 250. Electric
a, 431. Mélancolie de famille, 430. lfénière (malalie de), 458.
Mental
(trouble consécutif à une blessure du crâne), p
ARCHIVES NEUROLOGIE , REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
Fondée par .T.-eL. CI l ltl PU]31,IÉC SOTIS L
.CTION DE lli. A. JOFFRUY Professeur de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de médecine de Paris. V. IYIAG
ce morale n'est pas toujours corrélatif d'un élut de dégénérescence
mentale
: nos quatre malades curent bien, parfois, des
es les intoxications volontaires se retrouvent souvent le même état
mental
prédisposant, celui des héréditaires ; mais com
osant, celui des héréditaires ; mais comme il arrive que cet état
mental
spécial reste silencieux plus ou moins longtemps,
temps dc'lutter autrement que par une guerre platonique. CLINIQUE
MENTALE
La phobie du regard ; Par le prof. W. nECIITE
ue de Psychiatrie, 189 ? p. 449 0t Xeur. Cenlr. 1900. 12 CLINIQUE
MENTALE
. mon défaut physique et moral éveilla en moi la
veux ; sc l'L'oal1l ingul'ri ? nlJlc il voulut se Ui- i l CLINIQUE"
MENTALE
. cider. Il se conduisait très bien à la maison
ui provoque une forte contraction des paupières et des '10 CLINIQUE
MENTALE
. muscles du globe oculaire et des contractions
ion épou- ,\nCJJ ! VFS, 2" sé1'Ïe 1005, 1. XX. - > 18 CLINIQUE
MENTALE
. vanlablc » à son regard, et il semble au malad
uriner en présence des autres lorsque les regards d'au- 20 CLINIQUE
MENTALE
. trui sont fixés sur moi. Il faut dire que ces
. Il m'arrivait aussi que je rougissais chaque fois que 21 CLINIQUE
MENTALE
. j'entrais dans la chambre ; cela dura, par int
formée chez la malade (1) Mois d'une romance russe. '23 CLINIQUE
MENTALE
. ' - l'idée et la sensation d'avoir l'expressio
avec des personnes étrangères, pour éviter le danger de 2S CLINIQUE
MENTALE
. me montrer ridicule par ce clignotement bizarr
logistes français X", 1896 ; Archiv, de 1'eur., 1897. 30 CLINIQUE
MENTALE
.. - . irrésistible des paupières et des muscles
ints qui tous ont fait la preuve de leurs connaissances en médecine
mentale
et qui tous ont fait, antérieurement au concour
ment où l'activité nerveuse se centralise en les éléments fonda-
mentaux
du système nerveux propres à l'organisme développ
pend la perversion, qui se développe, il est vrai, chez des débiles
mentaux
. L'auteur pense qu'il existe un grand nombre de
ions, signalons 12 cas de manie alcoolique (IL), 37 cas de débilité
mentale
(18 Il. et 19 F.) et .')cas d'imbécillité (il.)
déré comme ce qu'il doit être, comme un hôpital, et l'aliénation
mentale
pour ce qu'elle est, une maladie traitable et gué
ez ces malades, à leur admission, on retrouve, surajoutés à laforme
mentale
pour laquelle on les internés, les signes psy-
er, mais des noms de maî- tres vénérés dans la science des maladies
mentales
; n'est-il pas au moins étrange que,pour donner
Melcy, examiné par un mé- vlecin, fut reconnu atteint d'aliénation
mentale
et laissé en liberté. Le 8 juin, Meley lirait p
l'Administration . Pourquoi cet homme reconnu atteint d'aliénation
mentale
a-t-il été laissé en li- berté ? Probablement p
es, âgé de 26 ans. Le jeune homme, qui ne jouit pas de ses facultés
mentales
, a été interné à la maison d'aliénés de Clermon
e Saint-Ger- main-en-Laye, un habitant de Rueil frappé d'aliénation
mentale
, nommé Jean-Louis-Patriarche, âgé de trente-six
de cheval secondaire à l'ostéite tuberculeuse du sacrum. CLINIQUE
MENTALE
Cholémie et mélancolie ; Par le docteur P. CO
s de notre époque. La mélancolie, dit Marcé (l),est une affection
mentale
, caractérisée par un délire de nature triste et
colie parmi les psycho-névroses, c'est-à- dire parmi les affections
mentales
qui surviennent chez des gens d'apparence norma
ion exclusivement psychique ou psycho-névrosique. ' En pathologie
mentale
on se cantonne trop au centre psychique, au sys
au et les autres organes. (1) Marcé. Traité pratique des maladies
mentales
, Paris, 1802. Archives, 2° série 1905, t. XX. 7
tales, Paris, 1802. Archives, 2° série 1905, t. XX. 7 98 CLINIQUE
MENTALE
. Le mauvais fonctionnement d'un organe, quelle
ait entraîner le crétinisme ? Et ce qui est vrai pour la pathologie
mentale
en géné- ral, l'est particulièrement pour la mé
délire de persécution, le délire chronique. C'est une perturbation
mentale
, ayant des connexions intimes avec les troubles
rd, les symptômes phy- siques apparaissent avant toute perturbation
mentale
. La mélancolie débute par des troubles physique
oxémie nerveuse. (A i-cil. gérr, de Médecine, 1896.) 100 CLINIQUE
mentale
. nous pouvons citer IIammond (1), qui, s'appuya
ction, en guérissant le mal local, fait disparaître* les . troubles
mentaux
. Aussi conseille-t-il, dans tous les cas d'hypo
relevés par tous les auteurs. (1) Giuesingeu - Tmilé des maladies
mentales
. Trad. Doumic, 18fi3. 102 CLINIQUE MENTALE.
- Tmilé des maladies mentales. Trad. Doumic, 18fi3. 102 CLINIQUE
MENTALE
. L' impuissance génitale des cholémiques est ma
nde pour l'individualité psychique, c'est la tare nerveuse, la tare
mentale
. Morel a observé, il y a plus d'un demi-siècle,
e considérable de la dégéné- rescence dans la genèse des affections
mentales
. Magnan et ses disciples ont repris ces recherc
assurer aux malades les soins d'hom- mes au courant de l'aliénation
mentale
, nous avons soumis au Conseil les deux voeux ci
lle (3 cas, II ponctions), ou enfin de préciser l'espèce de trouble
mental
inhérent à la polynévrite cas,l ponc- tion). Or
ient être considérées comme les symptômes physiques d'une affection
mentale
en par- ticulier et l'on peut observer ces trou
outefois ils sont presque exclusivement obsenés dans tous les états
mentaux
s'accompagnant d'inhibition psy- chique. REVU
RAVAL. XVII. Les relations du système nerveux avec les facul- tés
mentales
; par P. 11RONTHAL. (lVex49'olOr. Cen/mlblatt"
904.) Après avoir examiné le système nerveux et le fonctionnement
mental
dans l'échelle ascendante des animaux, l'auteur c
- biles, à quelque intensité lumineuse qu'on les soumette. L'état
mental
est incompatible avec l'examen de la convergence,
de connaissance. Ce n'est que plus tard qu'apparurent les troubles
mentaux
typiques et les symptômes locaux de la méningit
d'interventions opératoires, elle est prise d'accès de confu- sion
mentale
avec agitation auquel elle finit par succomber.
; il manquait chez 6S. 11 est apparu dans presque toutes les forme
mentales
. On a laissé de côté les psychoses de l'enfance e
L'onde musculaire apparaît tout particulièrement dans la confusion
mentale
(100 %) ; la démence paralytique (90 %) ; la dé
Damaye, auteur d'un Essai de diagnostic entre les états de débilité
mentale
; à M. Petit pour sa thèse intitulée : Revue cr
voquant des suppurations, chez les paralytiques généraux. Confusion
mentale
et otite suppurée. 3131. Boy et Cuisez communiq
mmuniquent l'observation d'une jeune fille atteinte d'une confusion
mentale
paraissant liée à une otite double suppurée, po
eracces assez semblable. JI. LEGItAIN a observé un cas de confusion
mentale
chez un étudiant porteur d'une mastoïdite qui n
par des idées se rapportant à ce fait. L'explication de ces états
mentaux
se trouvent dans la sugges- tibilité souventexc
otrices dans le même hémisphère. Le trac par asynergie des images
mentales
. M. Paul FAREZ. Il faut distinguer trois formes
xysmes s'accompagnent de désharmonie fonctionnelle, de déséquilibre
mental
, avec angoisse, troubles va- somoteurs ou secré
sa pensée ; esclave de ses idées parasites et de ses préoccupations
mentales
, il en arrive à jouer, devant un auditoire, mal
et le trac est ainsi constitué, consécutivement, àcette rumination
mentale
maladive; au moment de l'audition, le trac se m
t pourtant bien distincte) est aussi secondaire, non plus à un état
mental
spécial, mais à une asy- nergie fonctionnelle (
nergie fonctionnelle (congénitale ou acquise) des diverses images
mentales
. Chez un homme normal, moyen, bien équilibré, les
s séniles avaient également des parents ayant présenté des troubles
mentaux
dans leur vieillesse. Enfin la tante maternelle
t de 520 et celui des paralytiques généraux de 514. Ces deux formes
mentales
forment le plus fort contingent (plus du quart)
ta- blissement peut servir de modèle aux administrations départe-
mentales
qui voudraient construire des asiles-écoles. P. L
ns un trouble portant à la fois sur le système moteur et sur l'étal
mental
), l'auteur conseille d'amener le sujet, par un
ns un rapport envoyé au Ministère à la suite du Congrès de médecine
mentale
de Pau et que je tiens à votre disposition soif
pport : Assistance. Balnéa- tion et hydrothérapie dans les maladies
mentales
; rapporteur M. le D''Parias, d'Albi. Samedi 5
. Samedi 5 notlt. - 9 heures du matin. Visite de l'Asile départe-
mental
d'aliénés, dit de Saint-\Iéen, 72, faubourg de Pa
é Callus, qui, depuis quelque temps donnait des signes d'aliénation
mentale
, se promenait le long de la ligne du chemin de
l qui puisse affliger l'humanité : l'affaiblisse- ment des facultés
mentales
. « Nous sommes heureux de recevoir chez nous le
. Dans ce pays breton, tout rempli encore de légendes, l'aliénation
mentale
prend une allure et des caractères particuliers
de criminel-né, mais, par un examen complet, à la fois physique et
mental
, elle cherche à déterminer quelle est la respon
aculté des sciences. Le premier rapport, qui concerne la pathologie
mentale
, est toujours l'un de ceux qui intéressent le p
gue discussion soulevée par M. Granjux à propos de l'alié- nation
mentale
dans l'armée. M. Granjux, dont la com- pétence
est bien connue, recherche les causes de la fréquence des maladies
mentales
dans l'armée et signale l'absence d'examen séri
ent illustrée par le ré- cent mémoire de Head sur certains troubles
mentaux
qui ac- compagnent les affections viscérales. A
de l'odorat. Chez tous les malades qui pré- sentaient ces troubles
mentaux
(Inobservations dont aucune ne fut suivie penda
contraire, chez tous les cardia- ques et tuberculeux sans troubles
mentaux
, serait donc la cause directe des modifications
ma du cuir chevelu. Cette action de la douleur réfléchie sur l'état
mental
s'expliquerait, pourllead, dela manière sui- va
primé la distinction nettement établie par Ilead entre les troubles
mentaux
des véritables aliénés etceux des cardiaques et
s qu'il observait. Pour Gamble, un grand nombre de cas d'aliénation
mentale
ne seraient que des manifestations psychiques d
es, viscéralgies, etc. Les lésions du sympathique dans les maladies
mentales
sont attestées par les analgésies viscérales si
les affections les plus variées : dans presque toutes les maladies
mentales
, leur coexistence peut provoquer l'ap- parition
11 en est de même dans les autres états toxi-infectieux (confusion
mentale
typhique, grippale, puerpérale, intoxication pa
éoccupation reste légi- time. 2" Dans le cas contraire, l'analyse
mentale
qu'il fera de son état deviendra morbide; il en
il fera de son état deviendra morbide; il en résultera des troubles
mentaux
, qui pourront, dès lors, le mener ul'intcrnemen
la lésion pourra, par voie de conséquence, mettre fin aux troubles
mentaux
, c'est la voie ouverte l'espérance, mais la pra
it, selon nous, envisager successivement la forme du délire, l'état
mental
du malade, et la nature de la lésion. Forme du
ées et qui caractérise ce délire s'observe souvent dans la débilité
mentale
: la croyance du malade est irréductible, et la
isqu'ils ont quitté l'asile sur des certificats de guérison. Etal
mental
des malades. - Le diagnostic de l'étal mental e
ats de guérison. Etal mental des malades. - Le diagnostic de l'étal
mental
est important. Dans mon article sur le varicocè
chirurgien ne l'est pas moins. Il faut parallèlement un diagnostic
mental
précis et un diagnostic chirurgical exact et je
centres de la cénesthésie est la conséquence de représenta- tions
mentales
pénibles évoquées par des impressions senso- ri
tout à fait opposées pour expliquer la genèse de certains troubles
mentaux
et c'est à ce titre seulement qu'ils ont pu êtr
ls ont pu être mis en vedette. La question des recherches expéri-
mentales
concernant l'hypochondrie a été soulevée par M. R
e de tout état pathologique. Prévention des maladies nerveuses ou
mentales
dans l'armée. D' GR : 1NJUX.- Le nombre des r
bre des réformes prononcées chaque année pour maladies nerveuses ou
mentales
montre l'insuffi- sance des mesures prises en v
l'armée.C'est ainsi que,annuellement,on ré- forme pour l'aliénation
mentale
0,40 % d'effectif,et le reste à l'avenant.Ces m
ement des tableaux de recensement, d'affections soit nerveuses,soit
mentales
, soient, avant les opérations du PRÉVENTION DES
t mentales, soient, avant les opérations du PRÉVENTION DES MALADIES
MENTALES
OU NERVEUSES. 189 conseil de revision,l'objet d
n du corps.et s'ils sont reconnus atteints de maladies nerveuses ou
mentales
, réformés dans les mêmes conditions que les aut
qu'il est sain de corps et d'esprit. Les réformes pour aliénation
mentale
étant, par rapport à ce qui se passe dans les r
produisent. On peut ainsi, dans la zneuras- thénie et les maladies
mentales
, calmer ou exciter volonté. Aux expériences de
E GÉNÉRALE TARDIVE. 203 des courants continus dans la thérapeutique
mentale
et ner- veuse. Ereuthose émotive conjonctival
itude d'attri- buer à l'hérédité seule la production de l'affection
mentale
et, parfois, on néglige de signaler et d'observ
e infantile ont accumulé leurs effets ' pour déterminer l'infirmité
mentale
. Il s'agit d'un enfant de 10 ans lors de son en
des affections multiples et un arrêt de développement physique et
mental
. L'intelligence est à l'état rudimentaire ; tics
ronai aide le sommeil dans l'insomnie simple, lesétats de confusion
mentale
ou de manie subaiguë, et l'agitation automatiqu
d des renseignements in- téressants ; mais dans le cas de confusion
mentale
hallucina- toire, les altérations des centres n
e du 4 août (soir). Balnéation et hydrothérapie dans les maladies
mentales
. M. leDr B. PIIr.HAS (d'Albi), rapporteur. La q
a question de la balnéation et de l'hydrothérapie dans les maladies
mentales
remonte; pour le moins, à Hippocrate.-Successiv
, l'hy- drothérapie directement applicable à la cure des maladies
mentales
semble pouvoir être envisagée au point de vue de
ransformer en délire aigu. D. Etats organiques. Dans les affections
mentales
liées BALNÉATION ET HYDROTHÉRAPIE. 215 à une
ne s'est préoccupé de la prophylaxie hydrothéra- pique des maladies
mentales
, s'efforçant de les prévenir, soit à la période
ns délires toxi-infectieux, comme la folie puerpérale, la confusion
mentale
, certains états mania- ques s'accompagnant d'un
hysique, ne correspondra pas le retour parallèle de ses aptitudes
mentales
. 12° Les états chroniques seront généralement s
és hydrothérapiques peuvent concourir à la prophylaxie des maladies
mentales
. C'est vers l'eau froide que, plus ou moins dir
nes la ques- tion de Y Hydrothérapie dans les maladies nerveuses et
mentales
. BALNÉATION ET HYDROTHÉRAPIE. 221 On ne peut
S MEDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. Une observation de troubles
mentaux
liés à l'existence de lésions chroniques du rhi
accidents syphilitiques secondai- res de cette région les troubles
mentaux
le plus habituelle- ment observés au cours des
ts de la démence précoce à forme paranoïde. 1° Parmi les phénomènes
mentaux
, l'abolition des senti- ments affectifs est com
eurs réac- tions motrices. - Essai de classification des maladies
mentales
. Dr Maurice DIDE. Dans mon cours, j'ai été amen
n cours, j'ai été amené à adop- ter une classification des maladies
mentales
que je soumets à l'appréciation de mes confrère
procher la démence précoce herbe- phréno-catatonique des confusions
mentales
aiguës, c'estque l'analogie symptomatique est m
cès périodiques des folies intermittentes, de même que les troubles
mentaux
qui se substituent fréquemment aux accès épilep
donner. L'agent le plus puissant de traitement dans les ma- ladies
mentales
est l'isolement. La séquestration, tout à fait di
urologie ; M. le Dr Glorieux, président de la Société de Méde- cine
mentale
. Vice-Présidents : M"0 le ! )'' STEFANOWSKA, Vicc
rologie ; M. le Dr UROCQ, vice- président de la Société de Médecine
mentale
. Secrétaire géné- 1'(tl : M. le Dr massant, sec
é- 1'(tl : M. le Dr massant, secrétaire de la Société de Médecine
mentale
. Trésoriers : M. le D1' DECROLY, de la So- ciét
eurologie ; M. le D1' 'Ir.1ERS, trésorier de la Société de médecine
mentale
, Secrétaires des séances ; MM. les 1)" congrès.
aires et bibliothé- caire des sociétés de neurologie et de médecine
mentale
. Comité local DE réception : Président : M. leD
s Meley, examiné par un mé- decin, fut reconnu atteint d'aliénation
mentale
et laissé en liberté. Le 8 juin, Meley tirait p
à Sainte-Anne, car il donnait des signes d'aliénation VARIA. z53
mentale
très prononcés et menaçait de tuer les personnes
. Favrel (Auguste), âgé de 52 ans, a, dans un mo- ment d'aliénation
mentale
, tenté de tuer son beau-frère, M. Charles Macré
(B.). - Balnéation et hydrothérapie dans le traitement des maladies
mentales
. 1 vol. In-8° de 141 pages Simon. Imp. Ren- nes
. Vol. XX Octobre 1905 " Nu 118 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
Sur un cas de délire métabolique de la person
u délire méla- pp. (1) 2G0 H.ct cL vs ? 70. In Traité de paUtutogie
mentale
de Gilbert. Ballet pp. 269 et 270. Il (le 1).tL
Gill)ert BtlIeL Archives, 2« série, 190.ï, t. XX. 17 258 CLINIQUE
MENTALE
. bolique coexistaient, quoiqu'à des degrés diff
, du l'empoisonner pour la punir de l'avoir abandonné. 260 CLINIQUE
MENTALE
. (Peut-être s'agit-il là d'une interprétation d
facile de se rendre compte au ton de ses réponses que 262 CLINIQUE
MENTALE
. - le fonctionnement de ses viscères ne la préo
3. L'Orientation, 1000. Le Sens des altitudes, 1904. 204 CLINIQUE
MENTALE
. pondre au moins dans une certaine mesure, il c
régions correspondantes de l'écorce cérébrale, ne sont 200 CLINIQUE
MENTALE
. plus adéquates a leurs excitants normaux, et l
par rapport (1) .1. COTARD. - Etudes sur les maladies cérébrales et
mentales
, p. 388. ' (2) SÉGLAS. Leçons clin. sur les m
et mentales, p. 388. ' (2) SÉGLAS. Leçons clin. sur les maladies
mentales
et nerveuses, 6S]. juin (3) 1903. L'aschémati
aurait donc, à notre avis, rapprocher les malades de 2G8 PATHOLOGIE
MENTALE
. M. Bonnier des nôtres, car ils introduisent da
paracoenesthésiques du groupe des ccnesthésiopathies. PATHOLOGIE
MENTALE
Les psychoses des infections aiguës (1) ; Par
ue des psychoses dans toutes les infections aiguës est la confusion
mentale
, c'est-à-dire la psychose caractéristique des é
se infectieuse revêt ordinairement l'une des formes de la confusion
mentale
aiguë en particulier la forme de délire oniriqu
n a affaire principalement à Informe asthénique de la confu- sion
mentale
, variable de degrés et de durée mais cons- titu
ou sans délire et agitation. L'amnésie de fixation y 270 PATHOLOGIE
MENTALE
. est d'ordinaire très marquée et, dans certains
point de légitimer la création d'une variété amnésique de confusion
mentale
. C'est ce qui a lieu notamment dans les acciden
s les accidents polynévri- tiques. . Une autre forme de confusion
mentale
qui est suscep- tible de s'observer dans toutes
est la forme à syndrome paralytique, caractérisée par les symptômes
mentaux
et somatiques de la paralysie générale. Le tabl
nts et agités des hôpitaux dans les asiles, qu'après aliéna- tion
mentale
confirmée » . Quoi qu'il en soit, il est des si
olentes et malgré certains signes de déchéance en 272 .. PATHOLOGIE
MENTALE
. apparence graves, les psychoses des infections
n qu'il faut surtout re- courir pour combattre et guérir le trouble
mental
. Parmi les indications spéciales, celle qui s'i
s grippales de la période fébrile se traduisent par de la confusion
mentale
, en particulier par du délire hallucinatoire ai
ntinue, pro- Argihves, 2° série, 1905, L. XX. - 18 274 PATHOLOGIE
MENTALE
. longée et très intense. Rarement cependant le
oms, que certaines variétés que nous avons admises à la confusion
mentale
, en particulier les variétés dans lesquelles domi
quemment la grippe laisse après elle un état d'asthénie physique et
mentale
profond, per- sistant, tenace ; il n'y a donc p
é des pupilles, exagération des réflexes tendineux, affaiblissement
mental
, délires ab- surdes et incohérents, etc.. Mais,
s delà période aiguë que celles de la convalescence, 276 PATHOLOGIE
MENTALE
. aussi bien celles qui affectent des formes d'a
suivies d'une amnésie plus ou moins complète et d'une asthé- nie
mentale
plus ou moins intense et durable, moins mar- qu
vêt habituellement l'une des formes les plus aiguës de la confusion
mentale
, en particulier la forme du délire aigu méningi
n fait place à de la stupeur ou alterne avec elle. 278 PATHOLOGIE
MENTALE
. On peut observer dans le délire onirique de la
s identiques. Elle est essentiellement constituée par une confusion
mentale
aiguë avec halluci- nations multiples et agitat
guës. Elles y revêtent d'ailleurs les mêmes caractères de confusion
mentale
asthénique avec dépression psychique et physiqu
s paraît être des plus importantes au point de vue de la pathologie
mentale
. Elle accom- pagne toujours les transformations
cette époque corres- pondait un notable accroissement de l'activité
mentale
. Comme chez le nouveau-né normal, la sensibilit
chef de clinique des Maladies nerveuses '' Celle-ci et les Maladies
mentales
n'ont-elles pas des liens inlimes ' ? Le" l)i,u
l)i,utiqtie les neurologistes font de plus en plus de l'aliénation
mentale
. Les aliénisles auraient dû, autrefois, s'occuper
lées de la manière sui- vante : 1. Une épreuve écrite de pathologie
mentale
pour laquelle il sera accordé quatre heures. Il
r l'épilepsie ; par le Dr 51asoin. [Bulletin de la Soc. de médecine
mentale
de Belgique, décembre 1904.) Dans ce très imp
processus cavitaire semblent atypiques. La lésion initiale, fonda-
mentale
, consiste dans la néoformation de vaisseaux et l'
titude à la continuité des opérations corticales et dont l'activité
mentale
est vive, la préparation au travail par un trav
s : 869 en 1894 et 996 fin 1904. Dans le tableau des « catégories
mentales
» nous lisons -.névroses, 17. 11 serait bon d'i
3 d'idiotie, 15 de folie alcoolique (t4 Il. et 1 F.), 45de débilité
mentale
, aucun par crétinisme. Malades traités, 1 : 5f
t suffisantes, car il ne s'agit pas de leur appren- dre la médecine
mentale
, mais à être des auxiliaires des méde- cins. M.
V. Des méningites à évolution insidieuse comme cause d'alié- nation
mentale
; par L. MARCHAND, médecin-adjoint de l'Asile d
gites insi- dieuses, passées jusqu'ici inaperçues, divers syndromes
mentaux
qui doivent leur physionomie particulière à la
insidieuses qui nedonnent naissance chez l'adulte qu'à des troubles
mentaux
; chez l'enfant, elles provo- quent souvent l'é
e arrêtée dans son évo- lution : cette forme répond à des syndromes
mentaux
stationnai- res pendant de longues années. Ces
Fertelle, 36 ans, demeurant rue du Mont-Ccnis, atteint d'aliénation
mentale
, s'est suicidé hier matin, en se plongeant sa c
s. Vol. XX Novembre 1905 N" 119 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
Contribution à l'étude de la démence iltfttjq ?
nls afin de 1)\'ll\< : 1111' IIU\CIII l'ourrmsmn. 3b6 clixiqVe
mentale
, donnent une idée exacte (déviation antérieure
ccès sont très fréquents. (Voir le tableau, p. 351) (1). CLINIQUE
MENTALE
Cholémie et Mélancolie {Fin) (2). l\in le li,
jets que nous avons observés, étaient atteints de toutes les formes
mentales
de la mé- lancolie, depuis la forme simple jusq
qu'une cholémie légère ne donnera lieu qu'à une simple dépression
mentale
, et qu'une forte cholémie produira la stupeur.
is qu'un simple appoint pousse les dégénérés au délire. L'équilibre
mental
se maintenait en l'absence du poison ; mais des
. Père mort à 33 ans : buveur. Mère paralysée, aJ]¡\1- 3G2 cl.IQw :
mentale
minulillue ;avait des vomissements avant la par
de contorsions, qui trahissent bien le fond dépressif el la douleur
mentale
. « .I'ai été à l'hôpital le ne sais pourquoi on
, mais nous savons que sur 10 enfants, 5 sont morts en 364 CLINIQUE
MENTALE
bas-àge, de 2 il 5 ans, de méningite. Emilie n'
ale (1885). Pas de renseigne- ments sur cet état, très probablement
mental
et de même nature que celui qu'il a présenté de
ible.. Les urines ne con- tiennent plus d'urobiline. SUS CLINIQUE
MENTAL
13. La température est normale, sans inversion.
mie a diminué avant qu'au- cun changement clinique, au point de vue
mental
, ait pu faire pressentir la guérison. L'urobili
la Misltaritioucomltlètc. Dans l'observation IX, où l'alt'cc- tion
mentale
a été de courte durée, la disparition des si- g
disparition des si- gnes de cholémie été très nette. 3G8 CLINIQUE
MENTALE
. Il nous est donc permis de conclure que la mél
Les troubles et les lésions du foie pa- raissent influencer l'état
mental
des prédisposés ou des dégénérés. Le traiteme
e concert avocat. X. Francotte, professeur de clinique des maladies
mentales
a l'Université de Liège, ont été acclamés prési
nt des mêmes centres. Le travail dans la thérapeutique des maladies
mentales
. Tel était le litre de la (Itiebtioiicie pschia
il tout à fait exceptionnel, d'après M. Cuy- litz, que les maladies
mentales
soient heureusement influen- cées parle travail
u travail, physique ou intellectuel dans le traitement des maladies
mentales
, jusques et y compris celui des démen- ces. Fau
ils n'établissent pas l'action curative du travail sur les maladies
mentales
, semblent du moins prouver qu'il n'y a pas qucl
une ambiance dont la couleur puisse heureusement agir sur leur état
mental
et sur leur tenus nerveux, c'est-à-dire les exc
des parasites ivent aux dépens delà collée- 380 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. en simulant la passion du bien public. Les fau
1. A'crcnollk. La fatiguesuggéréeestproduitepar la repré- sentation
mentale
, plus uu moins intense, de l'effort accompli nu
nse, de l'effort accompli nu il accomplir : et cette représentation
mentale
fait nitre aussitôt l'idée d'impuissance. La fa
comme adjuvant il la suggestion hypnotique.' * REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
1. Leçon sur la paralysie générale ; par le Pro
isphère gauche (cas n" 703 du laboratoire). 382 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ner,à propos du second malade, son opinion sur
émentiel, au sens d'Esquirol, mais un simple état d'affaiblissement
mental
, la « Schvvaechozustande », si bien que l'on es
ie générale (cas 806 du laboratoire}. . 1 384 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. quelle valeur il faut attribuer à cette distin
comme chez Archives, 2' série, l. XX. 25 38G REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. l'homme, la paralysie générale sévit surtout d
'aut point comprendre le vrai délire chronique. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 387 Quanta voir, comme le veut W toss, tlans c
ques lacunes et difficultés relatives au groupement des maladies
mentales
; lan\ISSI.. (('wxtoaLLl.j'. \'w'ccnlz'ill;molr
uotidienne automatique. P. 11ER.\1' tL. - RI-,tUI : DE PATHOLOGIE
MENTALE
. : 3n IX. Des signes extérieurs de l'onanisme h
noter, jamais aucun membre de celte famille n'avait eu d'all'edions
mentales
, nerveuses ou la syphilis. Durant la grossesse,
,l¡ml'ps. "\cluplll'n1Pnt, il il de la : J ! 10 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 3U1 devenir de
l de la : J ! 10 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 3U1 devenir de plus en plus nonchalant cl apat
h F. Patrick, et par Chas. II. llcnml. (ThejoJ/1-nal or ne/'v. and.
mental
. Diseuse., mai 1890, analysé dan» Arc/l. (7c ?
ent les phénomènes de suppléance qui se sont pro- duits dans l'état
mental
de leur malade Bizarre pendant son en- fance, i
cnL ntulicu-1;- Ua;;oriique ; ? les ccstlaaniqws alleints d'inertie
mentale
et d'a- tonie organique. rn chapitre spécial
rande importance au mensonge pour permettre de recon- naître le Lye
mental
. A l'école où ils sont tolérés, les écoliers an
ans une école ordinaire, on le soumettrait à un examen Inologiquect
mental
qui permettrait un diagnostic. On de- vmil s'oc
utes de 1'('. Il e,\ ion ; 3° une épreuve clinique sur les maladies
mentales
: un seul malade. Il sera accordé vingt minutes
ique commune : 20 points ; pour l'épreuve clinique sur les maladies
mentales
, à un seul malade : 20 points ; pour la deuxièm
ndifférent : pas de troubles delà sensibilité (réserves pour l'état
mental
delà ma- lade) ; jamais de troubles sphinclérie
ns r épilepsie est loin d'être absolue. \ 4Î5 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Comme je l'ai fait remarquer, l'agglutination
ffisent d'ailleurs amplement au dia- gnostic. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
Il [. - Du Mongolisme; par ·EYG.1NUT. (777'= Co
. La tuberculose y est tout spécialement fréquente. Au point de vue
mental
les mongoloïdes, d'abord ralentis dans leur dév
1 FIG. 26. Walh.. à 13 tii,. (Myxoedème . 482 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. sérieusement entravée. Le D1' [layon nous dit
après une analyse de Wiffium \\', It'l'Iand, dans The Jour- nal of.
mental
science. (2) Nous avons vérifié celle absence d
ont travaillent les aliénés dans les différentes formes de maladies
mentales
et aux diverses époques d'une même affection ;
es rapports assez cons- tants entre les modifications de l'activité
mentale
d'un sujet et les particularités de ses product
B. Séance du, 30octobre 1905. Présidence DE M. Vallon. Confusion
mentale
et otite suppuree (discussion). ' M. l'IC2uÉ. S
oubles intellectuels se manifestant surtout par de ' i la confusion
mentale
. C'est ainsi que s'expliqueraient les délires c
51. ARNdUD. - Je reconnais trop volontiers qu'entre la patho- logie
mentale
et la pathologie externe, il ne saurait y avoir d
ncoliques. Le second malade était atteint manifestement de débilité
mentale
et son affection survint à la suite d'excès alc
e la sensibilité générale.' Pas de troubles trophiques. Instabilité
mentale
. Lésion cérébelleuse probablement limitée ;t ce
E 11 ? Les écrits et les dessins dans les maladies nerveuses et F
mentales
; par le D''RûGUES nE 1 URAC. On sait et c'est
tion et de son corollaire inévitable, l'exaltation de l'automatisme
mental
. Telles sont les principales données sur lesque
e thèse fut couronnée par la Faculté. Chef de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de Pa- ris de 1903 à 1905, il se s
05, p. 1380, encollab. avec M. D. P. E. L.uivoisl. -30. Compression
mentale
et otite suppurée. (Soc. médico-ps·cltologtyue,
udis, same- dis, de midi 3 heures. COURS DE clinique des maladies
mentales
et des maladies de l'encéphale. il. le Pr JnpFR
ours de n¡ 1 s nlvr. as. : )01 , .... . t clinique des maladies
mentale
^ le samedi 18 novembre 1 ! 10, à 10 heures à l'
(B.). Balnéation et hydrothérapie dans le traite- ment des maladies
mentales
. Rapport présenté au Congrès des médecins alién
personnel médical, p. 335. Les aux colo- nies, p. 335. départe-
mental
de la Haute-Vienne, p. 414. de Bordeaux. Conc
SKI. Voir Sclérose. Balnéation et hydrothérapie dans les maladies
mentales
, par Pailhas, p. 209. - et gâtisme volontaire
LE DES MATIÈRES. Concrétions calcaires. Voir Cerveau. Confusion
mentale
. Voir Otite Sl £ PPU1'ée. Congrès. xv" des mé
h ics. haQUtItor.. Voir 7'rix. Extatique. Voir Obsédé. Facultés
mentales
. Voir 8111,- tème nerveux. - Faisceau longitu
eiler, par Maere, p. 487. Maladies. Prévention des nerveuses ou
mentales
dans l'armée par Granjux, p. 188. mentales.'
ion des nerveuses ou mentales dans l'armée par Granjux, p. 188.
mentales
.' Voir 73nlnén- tion. Essai de classification
188. mentales.' Voir 73nlnén- tion. Essai de classification des
mentales
par Dide, TABLE DES MATIÈRES. Il-)09 p. `28U.
e quel- ques lacunes et difficulté* relatives au groupement des
mentales
, par Nissl, p. 388. Les écrits et « les des-
, p. 388. Les écrits et « les des- sins dans le, - nerveuses et
mentales
, par Rogues de j<'urac; p. 49 : ¿. < Ma
nd, p. 204. Des à évolution insidieuse comme cause d'aliénation
mentale
, par Marchand, p. 332. ' : ¡lÉ ? IXGO-EXCÉPHA
-lbilitiqucs, par ixuillain et Hnntel, p. 133. Otite. Confusion
mentale
et suppurée, par lioy et Guisez, p. 135. ib.
tème nerveux. Voir Fi- bi es. Les relations du a\ ce les facultés
mentales
, par Kronthal, p. 117. Tabès supérieur et mén
uberculeuses. Voir Myélites. Tu \c. Le par asynergie des images
mentales
, par Farez, p. 140. Traitement médico-pédagog
éréb¡ 0 - opinala." pa r J ocqs, 11. 187. Une ot- oervatioll de -
mentaux
liés à l'existence do lésions chro- niques du
CH1 VS DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE ma MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
F 0 N D 1 : ; PAR H J. -]\1. CIIARCOT l'Ulll.
RECTION DR MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de médecine (le V. MAGNAN Me
diffusion de l'épanchement rend une intervention inutile. CLINIQUE
MENTALE
. Du sens génital étudié chez les mêmes malades
s rapprochés et au même moment toute la symptomatologie physique et
mentale
de la paralysie générale. Ce travail, le troisi
ives de Neurologie, 1898-1899. . Bulletin de la Société de Médecine
mentale
de Belgique, 1898. DU SENS GÉNITAL DE LA PARALY
squelles l'attention n'a Aiiciuves, 2e série, t. X. 2 18 CLINIQUE
MENTALE
. pas été, croyons-nous, suffisamment attirée. M
e M. l\lickle que la perte des facultés génitales a été 20 CLINIQUE
MENTALE
. notée dans quelques cas comme symptôme prodrom
ances, leur fréquence absolue et relative selon les diverses formes
mentales
, l'intensité des troubles moteurs aux phases in
s, chez chacun au même moment, toute la symptomatologie physique et
mentale
, étaient des paralytiques généraux exempts de t
uit au point de vue de l'anormalité et de la normalité. 22 CLINIQUE
MENTALE
. est parfois perverti; mais sans indiquer comme
é d'éjaculation par la masturbation. Il ne nous a pas ,)Il CLINIQUE
MENTALE
. été possible de nous renseigner exactement sur
rtissent aux trois périodes de la paralysie générale. 26 CLINIQUE
MENTALE
. alités, incapables de se tenir sur leurs jambe
érations en plus et en moins du sens génital et les diverses formes
mentales
que peut présenter la paralysie générale, forme
gitées ? Le tableau suivant répond à cette question : 28 CLINIQUE
MENTALE
. Un premier fait intéressant fourni par ce tabl
donnée plus haut, ne serait donc fondée que pour cette seule forme
mentale
. En troisième lieu, à noter l'absence d'excitat
e signification que ceux de la Planche II. ZD REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. I. Paralysie générale chez l'enfant; par J. TH
sie qui fait le sujet d'une figure. A. M. IL Un cas de torticolis
mental
; par E. Noguès et J. SIROL. (Nous. Iconogr. de
OL. (Nous. Iconogr. de la Salpêtrière, n° G, 1899.) Le torticolis
mental
est-il un syndrome de dégénérescence tou- jours
, vient confirmer la première opinion il savoir « que le torticolis
mental
est un tic spasmodique et, comme tous les tics,
ental est un tic spasmodique et, comme tous les tics, a une origine
mentale
et se développe souvent, sinon toujours, chez l
ssité d'une nomenclature précise applicable aux cas de défectuosité
mentale
congénitale qui ne peuvent être désignés dans u
un certificat ni comme imbéciles ni comme aliénés. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1898.) L'auteur constate que l
dre de mettre les magistrats, mieux édifiés sur REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 41 L les choses par des mots meilleurs, en éta
ue chez un adolescent; par Thomas-Philip p Cowev. (titre Journal of
Mental
Science, avril 1897.) L'auteur relève lui-même
e de temps considérable s'est écoulé entre l'apparition du désordre
mental
et celle de la chorée ; 3° la chorée a été aigu
été aiguë, mais en restant tou- jours apyrétique ; 4° l'excitation
mentale
se calmait à mesure que les mouvements choréiqu
ernel sur la progéni- ture ; par \\' .-C. Sullivan. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1899.) Ce mémoire, basé sur
sur notre service ne iiicetru. * (tt.) .) 42 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ces conditions, parait s'exercer par une voie
e paralysie générale juvénile; par A. Hrmx 1301'LE. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1899.) Il s'agit d'une jeune f
ervation sont d'abord l'âge de la malade, chez laquelle l'affection
mentale
parait avoir débuté vers 14 ans. Ensuite on not
alysés dans le Journ. of ment. Science. (iL). REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 43 ou plutôt la syphilis congénitale, qui tout
en 1891 ; vers 18ut, ictus légers nocturnes 44 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. suivis d'affaiblissement musculaire généralisé
. La folie chez les enfants; par (LETCfIER 13E.ACU. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1898.) Ce n'est guère qu'au co
ques, les uns légers, les autres plus graves; ce défaut d'équilibre
mental
, commun aux deux sexes, à cet âge, justifie la
ues ne sont pas symptomatiques d'un commencement cl'atl.ihlissement
mental
. Ils ne sont également pas la conséquence d'une
u bleu de méthylène dans l'épilepsie, l'hystérie et quelques formes
mentales
; par H. Bonfigli. (Riv. sp. di frein., fasc. 2,
de phénomènes psychiques. G. D. IV. Traitement de certains troubles
mentaux
par l'extrait thyroï- dien ; par le De Richard
son éducation et son avenir ; par A.-Il. Douglas. (77ze Journal of
Mental
Science, janvier 1899.) 'fout en rendant justic
, avec une observation; par T.TEL- FORD-S)111'11. (Tite Journal or'
Mental
Science, juillet 89;.) Enfant de sept ans, pas
'opération et les parents ne remarquent chezlui aucune amélioration
mentale
; il ne parle toujours pas et parait manquer pr
oi sur les aliénés indigents ; , par John Carswell. (The Journal of
Mental
Science, juillet t8cJ8.) La question est traité
ation des alcoolisés; par le Dr Lgntz. (Bulletin de la Soc. de Méd.
mentale
de Belgique, juin 1899.) Il y a lieu tout d'abo
s aliénés à Anvers; par le D'' SaNO. (Bulletin de la Soc. de illéd.
mentale
de l3elyique, juin 1899.) Il résulte de ce trav
ance des aliénés; par le D1' PEETERS. (Bulletin de la Soc. de Jléd.
mentale
de Belgique, décembre 1898.) Dans cette confére
ain. Cet hôpital très bien situé est destiné à l'étude des maladies
mentales
et à l'enseignement clinique. Il contient 100 m
et à d'autres institutions ; par William-W. Ireland. (The Journal
Mental
Science, janvier 1898.) Garnie Bakkelws. - C'es
s pour les aliénés en Belgique ; par John SicuALD. (Tite Journal of
Mental
Science, juillet 1897.) L'organisation de ces
860, et il a publié le compte rendu de sa visite dans le Journal of
Mental
Science, en 1861. Il y est retourné en 1862, puis
réciser : 1" les aliénés sont-ils un danger public ? et 2° la santé
mentale
des habitants souffre-t-elle de leur voisinage
iège, de 1892 à 1899; par le D1' L11OEST. (Bull. de la Soc. de méd.
mentale
de Belgique, mars 1900.) Les tableaux statist
rouzon avaient déjà présenté, le considérant comme atteint d'un tic
mental
qu'ils avaient rapproché du torticolis mental (
omme atteint d'un tic mental qu'ils avaient rapproché du torticolis
mental
(voir arcs. Neural., 1900, p. 170). Pour M. Bab
vait la manie de couper les robes de soie. Réformée au point de vue
mental
et moral, gràce à l'hypnotisme, 68 SOCIÉTÉS SAV
lors, je me suis appliqué systématiquement à faire de l'orthopédie
mentale
et morale, surtout chez les enfants. Grâce à la
nombreux résultats chez les vicieux et les pa.resseux. Orthopédie
mentale
et morale par suggestion pendant le sommeil nat
sonde manie avec nympho- manie, chez une adolescente, l'instabilité
mentale
alcoolique et héréditaire, celle-ci guérie par
M. Ricue et Pélissier). M. de Fursac, chef de clinique des maladies
mentales
de la Faculté de médecine de Paris, est inscrit
nthropométriques, il est unanimement reconnu aujourd'hui que l'état
mental
des enfants est en relation directe avec leur p
. 75. Iéna, 1900. Verlan G. Fischer. Roubinovitcii. La palhologie
mentale
et la fin du XIX' siècle. Confé- rence faite à
ayante et mirent un instant sa vie en danger (somnolence, confusion
mentale
avec para- phasie, myosis, constipation, anurie
l,li/,oJrnes à rrqneue; croissante . depuis cette époy2lr. Débilité
mentale
; trépanation pendant un état de mal grave; sus
fréquence et d'intensité, quelques-unes furent suivies de troubles
mentaux
et de la Charité l'enfant fut trans- férée d'of
sont devenues plus rares. A l'aige dé vingt-sept ans, des troubles
mentaux
sont venus s'ajouter à ces crises et ont nécess
n sur le front, » - Son certi- ncal de quinzaine porte : « Debilité
mentale
avec idées mélanco- liques et idées de persécut
sortie, délivré le 8 octobre 1898, était ainsi libellé : « Débilité
mentale
avec accidents hystériques et idées mélancoliques
ouver là. » En réalité, on avait dû la faire interner pour troubles
mentaux
. Le 20 mai, on la trouva chez elle, les yeux ha
i. Il est toujours entré ici dans les mêmes conditions : Débilité
mentale
, idées mélancoliques, stupeur, tendances au suici
nt développée. Les règles ont paru, sans aucun accident physique ou
mental
pour la première fois du 4 au 9 mars et se sont
encéphalie imparfaite, relaté par T. ALDOUS CLINCH. (The Journal of
Mental
Science. Avril 1899.) ,- Les planches qui accom
face, exagération du réflexe patellaire, sensibilité intacte, état
mental
sain. Autopsie : l'examen microsco- pique des c
es vertébrés; pdr le D1' Hvvet. (Bulletin de la Société de médecine
mentale
de Belgique, décembre 1900.) L'étude comparée d
lades diminue sans que l'on constate parallèlement une amélioration
mentale
; 5° L'alitement favorise l'onanisme ; 6° Le nom
quelques-unes même très volontiers ; 10° Des 13 aliénées de formes
mentales
différentes soumises à l'alitement cinq ont guéri
cations en faveur de l'alitement en tel ou tel cas, au point de vue
mental
; il ne faut pas perdre de vue que, dans les ca
dement, soit graduellement. C'est ce qui a eu lieu, dans les formes
mentales
suivantes : 144 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE.' des
, plus de 3 mois pour 11. Autant dire que, quelle que soit la forme
mentale
, deux ou trois semaines au plus d'alitement suf
és en Belgique ; par le Dl LEY. (Bulletin de la Société de médecine
mentale
de Belgique, décembre 1899.) \ La Belgique,
onformément aux voeux récemment formulés par la Société de médecine
mentale
, de créer : 1° Pour les idiots et les imbéciles
locomotrice; par le Dr Free- man-F. 1'ann. (Journal of nervous and
mental
discale, février 1899.) Malade atteint d'alro
avec symptômes men- taux, par S. Il. B. Montgomery. (The Journal or
Mental
Science, juillet 1847.) Homme de quarante-deu
ANTES. 161 raison, que dans certains cas où, à côté de la faiblesse
mentale
, on constate l'existence de troubles mentaux po
à côté de la faiblesse mentale, on constate l'existence de troubles
mentaux
pouvant faire soup çonner la coexistence d'une
a valeur séméiologique des idées hypochondriaques dans les maladies
mentales
, appuyées sur des observations personnelles. »
ie. Archives. 2 série, t. X. 11 162 SOCIÉTÉS SAVANTES. Maladies
mentales
familiales {discussion). - M. ARNAUD distingue
une même génération (frères, soeurs, cousins et cousines). La forme
mentale
doit aussi être la même chez tous les sujets at
11 familles chez lesquelles on ait pu constater 23 cas d'aliénation
mentale
susceptibles d'être qualifiés de maladie mental
3 cas d'aliénation mentale susceptibles d'être qualifiés de maladie
mentale
familiale. Peut-on avec un si petit nombre de f
nombre de faits conclure avec M. Trénel à l'existence des maladies
mentales
familiales ? M. DouTREBENTE ne croit pas à l'ex
rouver beaucoup. M. DOUTREBENTE ne nie pas l'existence des maladies
mentales
familiales, mais il n'en a jamais observé. Il c
nécessaire pour expliquer la produc- tion de la lésion. Maladies
mentales
familiales. M. BOISSIeR. - M. Trénel n'a pas vo
l'existence d'un type particulier permettant de faire de la maladie
mentale
familiale un type à part. M. Brunet croit qu'il
clamai ions que celui-ci finit par le rendre à la liberté, son état
mental
ne s'étant nullement modifié. Martel Briand.
les moyens moraux; l'abstinence alcoolique résultera de cet état
mental
préalablement créé. Le traitement qui convient à
ouvoir d'arrêt ou d'inhibition. Les images cérébrales et l'activité
mentale
. - M. PAU de Saint- MARTIN compare le neurone à
es, la réviviscence des souvenirs et les divers modes de l'activité
mentale
. M. Bérillon. On a de même comparé la conductib
ureau ; 2° Discours du président ; 3° Première question, Pathologie
mentale
. Psychoses de la puberté. Rapporteurs, MM. Zieh
ation de la discus- sion. Communications diverses sur la pathologie
mentale
. Contri- bution à l'étude des idées obsédantes,
ribution clinique et anatomo-pathologique à l'étude de la confusion
mentale
, par les Drs Roubinovitch et Vlavianof (de Pari
un danger pour la morale et là sécurité publique », et que son état
mental
nécessite son internement dans un asile spécial
RIA. renton, donnait depuis quelque temps des signes d'aliénation
mentale
. Ce malheureux était pris hier après-midi d'un ac
d'hospitalisation et de traitement des sujets atteints de maladies
mentales
. Comme il arrive toujours en pareille occurrenc
s exigences, trop lentement mé- connues, du traitement des maladies
mentales
. Des réformes décisives ont été réalisées en vu
Grand développement donné à renseignement clinique des mala- ,lies
mentales
. Dans les pages qui vont suivre nous nous propo
avons pensé que ceux qui s'in- téressent aux choses de la médecine
mentale
, de l'assistance des aliénés et de l'enseigneme
iversités provinciales permet d'espérer que la science des maladies
mentales
- science éminemment française sera officiellem
ns- truite-en vue de sa destination : l'enseignement des maladies
mentales
3., · - : Nous emprunterons les éléments de notre
ctent les pires habitudes et, si l'isolement se prolonge, leur état
mental
en est profondément modifié ; on a alors devant
les malades en question ne sont pas à même, en raison de leur état
mental
, de dénoncer les violences dont ils peuvent être
ie de l'université de Giessen (Bul- letin de la Société de médecine
mentale
de Belgique, décembre 1896, p. 393-399). Lada
énés, méthodes ayant pour but de mesurer avec précision le niveau
mental
et l'instruction des sujets, la durée et l'intens
et réclame la création d'un examen spécial portant sur les maladies
mentales
. - Population, le l01' janvier 1898 : 198 malad
rigine syphilitique ; par le D1' SACHE. (The Journal of nervous and
mental
Disease, mai 1900.) Individu de trente-huit ans
dix-sept ans; par \V ARTUN StNKmn. (The Journal u/' iiel-volis and
mental
Discase, avril 1900.) Cette observation offre t
Syphilis; par MM. Sérieux et F.\RNA- RIER. (Bulletin de la.Société
mentale
de Belgique, décembre 1900.) Ce travail se term
ime, l'attitude ou les antécédents peuvent faire soupçonner un état
mental
défectueux ; 3° Chaque fois que la défense allè
les préve- nus et faire rapport aux magistrats sur ceux dont l'état
mental
laisse des doutes. R. C. Il. Les aliénés deva
CINE LÉGALE. 229 du Code civil, dans ses rapports avec l'aliénation
mentale
, particu- lièrement pour ce qui concerne l'inte
a compétence, et employer le terme générique de folie ou aliénation
mentale
. Après avoir passé en revue les expressions dom
e souvent obligé. On eut des doutes sur l'intégrité de ses facultés
mentales
et trois médecins : le D1' Vocke, le profes- se
u'il s'agit d'idées délirantes, vraiment para- noïques, mais l'état
mental
n'est pas tout à fait le même que celui du déli
délire actif de jalousie, sans qu'il y ait non plus affaiblissement
mental
. Néanmoins l'accusé est excusable. P. KERAVAL.
V. Servitude pénale et folie, par A.-R. Douglas. (The Journal of
Mental
science, avril 1998.) L'auteur défend par de no
voirs des médecins en pareil cas, par W.-B. MORTON, (The Journal of
Mental
science, janvier 1898.) , Il s'agit d'un homme
s sa famille et pouvait être considéré comme un cas type de stupeur
mentale
. 11 eut plusieurs intervalles lucides, nette- m
a nouvelle loi sur l'ivresse, par A. WooD-BENTON, (The jour- nal of
Mental
science, avril 1899.) Cette loi a été mise en v
r ? Réponse au D1' Mercier, par REGiNALD Il. NOOTT. (The journal of
Mental
science, janvier 1899.) Jusqu'en 1894 la diff
s les cas curables et de contribuer ainsi à rétablir un équi- libre
mental
qui permette à ces aliénés de guérir et de repren
dans les Basses Pyrénées, atteint depuis quelque temps d'aliénation
mentale
, a été trouvé pendu hier dans son domicile. (Pe
propriétaire au lieu des Noguez, et donnait des signes d'aliénation
mentale
. M. le docteur Cadenaule, de Saint- Ciers-Lalan
ction de psychiatrie. En 1889, le Congrès international de médecine
mentale
était auto- nome. Cette année il a été constitu
intéressants et pratiques, a permis de rattacher les modifications
mentales
à l'activité de certains centres déterminés.
quer certains troubles psychiques, de la confusion, de l'obtu- sion
mentale
, des amnésies de nature diverse suivant le siège
llemague). En se basant sur à peu près quatre cents cas de maladies
mentales
, dont les premiers symptômes remontent à la pub
ans, l'auteur arrive aux conclusions suivantes : 1° La morbidité
mentale
offre un de ses maximums à l'âge de la puberté.
sur la vie psychique, qui se manifeste soit en donnant aux troubles
mentaux
préexis- tants des caractères qu'ils n'avaient
bles puissent en effacer l'évidence; 5° La prophylaxie des troubles
mentaux
exige que l'on prête la plus grande attention à
qui peuvent troubler le développement de l'organisme physique .et
mental
dans cette époque si importante de la vie, telles
: 1° On doit entendre par psychoses de la puberté les affections
mentales
qui se développent dans la période de la puberté,
es de la stupeur, de la dé- mence, de la catatonie, de la confusion
mentale
... C'est ce qui en rend le diagnostic difficile
orme légère ou démence pré- coce simple (stigmate de dégénérescence
mentale
, More]) doit être , SECTION DE PSYCHIATRIE. 21b
essive et de la démence épileptique spasmodique ; 8° La confusion
mentale
présente un délire de rêve ou délire onirique,
a dégénéré en folie systématisée secon- daire avec affaiblissement
mental
; 3° Folies périodiques, 20 cas. Toutes les for
lle devient une idée fixe autour de laquelle s'oriente toute sa vie
mentale
et affective. C'est l'obses- sion de la rougeur
eau et de ses enveloppes, nous en viendrions à opposer les troubles
mentaux
qui se prêtent à un diagnostic topo- graphique
ec une quasi certitude, la possibilité de faire, pour la pathologie
mentale
, ce qui a été fait, dans ces trente dernières a
sur des bases objectives, le diagnostic topographique des maladies
mentales
. Déjà, nous entrevoyons le moment où, neurologi
auté de vues nous unit sur le terrain de l'étiologie. En pathologie
mentale
, comme en pathologie ner- veuse, nous attribuon
le étiologique de premier ordre. Dans le développement des maladies
mentales
et dans le développement des maladies nerveuses
édons ainsi les éléments d'une prophylaxie rationnelle des maladies
mentales
et des maladies nerveuses. Une connaissance 64
ueur croissante, le siège et le mécanisme des maladies nerveuses ou
mentales
, de distinguer celles qui résultent d'une perturb
ue la principale source de bonheur réside dans un parfait équilibre
mental
, dans une parfaite har- monie entre les apparei
rents, à Bruay. (Le Temps, du 12 août 1900.) Hôpital des maladies
mentales
de Pierrefeu. 39° concert offert aux pensionnai
repos au lit) dans le traitement<iies formes aiguës des maladies
mentales
et les modi< fications qu'il pourrait entraî
n fut mise à l'ordre du joùr à la section des maladies nerveuses et
mentales
au Con- grès des Médecins russes, en mai 1899.
e dépres- sion de celte énergie. On dit couramment : les maladies
mentales
sont des maladies comme celles du corps, et si le
repos est nécessaire aux dernières, il en est de même aux maladies
mentales
, mais on ne tient pas compte du fait que même d
- DE l'alitement. 285 5 tantes dans la thérapeutique des maladies
mentales
. Nous avons bien depuis quelque temps toute une
lit par trop prolongé ne pourrait pas, en affaiblis- sant l'énergie
mentale
, contribuer au passage des formes curables de c
ence que l'effet théra- peutique du 'régime au lit sur les maladies
mentales
est incontestable. Certaines formes graves avec
de l'esprit dans les formes si fréquentes d' « amentia » (confusion
mentale
, amentia Meynert, dysnoia). Dans l'igno- rance
lités. CONCLUSIONS 1. Dans la question du traitement des maladies
mentales
par le repos au lit il faut distinguer le « sys
uffrent du délire alcoolique, dans beaucoup des formes de confusion
mentale
et de mé- lancolie. Il peut y avoir des indicat
indications vitales à l'appliquer chez des malades dont le trouble
mental
se rattache à une infection, une haute températ
tro,- capillaire qui transforme de l'énergie, et que les phénomènes
mentaux
obéissent aux lois de la physique générale. '
er (p. 197), à l'aide de ce qu'on observe dans certaines affections
mentales
, que la résistance du cerveau aux impressions q
aussi, mentionne les macrocéphales comme présen- tant des anomalies
mentales
associées à une difformité physique (fait dont
rmation semblable, il ne s'ensuit pas nécessairement que l'atrophie
mentale
résultait de cette entrave à l'impulsion normale
s le nom de microcéphalie. Pinel, dans son Traité de l'Aliénation
mentale
décrit aussi, avec des figures, deux cas de mic
s ulcérations, produites, chez les idiots, dans les cas de troubles
mentaux
. Finalement, Esquirol dans le chapitre sur l'id
le chapitre sur l'idiotie et dans son traité classique des maladies
mentales
, note que les circonvolutions cérébrales des id
s voyons que la façon de penser moderne au point de vue des vices
mentaux
, est de considérer la pathologie et la classifica
tielles et locales. 1° Par microcéphalie en relation avec les vices
mentaux
, nous entendons l'exiguïté anormale de la tête
anormale de la tête avec une conformation ' Esquirol. Des maladies
mentales
, t. II, p. 343, se réfère à des observations d'
est réellement celui d'une phase de la vie foetale ». (Affections
mentales
des enfants.) 5° Dans les cas névropathiques co
idiotie amaurotique congénitale (genetous) bien que les altérations
mentales
et physiques ne puissent être relevées géné- ra
tale nue et découvrant une partie du ventricule latéral (Affections
mentales
des enfants, p. 51. Planche à montrer). Dans un
dix-huit mois et de deux ans, sans toutefois présenter de troubles
mentaux
, des alté- SECTION DE PSYCHIATRIE. 309 ration
convulsions, et si la lésion du cerveau est peu étendue, un progrès
mental
appréciable peut être accompli, alors que l'amé
D1' Wilmurth (Communication sur le traitement précoce des troubles
mentaux
chez l enfant in Annales de l'association médic
idales et des cellules fusiformes et le caractère de l'insuffisance
mentale
. Avec une idiotie profonde, ces cellules sont e
anormalement rares, même dans les cas de plus faible insuffisance
mentale
. C'est à M. le D'' A.-W. Campbell, pathologiste
JI\I\'SKI, membre du Conseil médical, ancien professeur de clinique
mentale
à Saint-Pétersbourg. La classification des diff
anches dans les comptes rendus du Congrès international de médecine
mentale
de Paris'. C'est cette même année, en 1S7S, qu'
cs sur l'idiotie. Compte rendu du Congres international de médecine
mentale
de 1878, tenu à Pans (p. 215 et suiv.). 2 IIe
s les maladies de forme aiguë ; 7° Il faut tenir compte de l'état
mental
individuel, surtout en plaçant et groupant les
de Toulouse). Il est à remarquer que, dans la majorité des maladies
mentales
juvé- niles, l'alitement ne doit passe prolonge
thérapeutique de choix dans le traitement de toutes les affections
mentales
. z 324 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. ` M
nt l'aspect de l'asile est amé- lioré, mais la durée des affections
mentales
n'est pas abrégée. M. Magnan proteste contre ce
ont au nombre de 35 et réunissent les divers genres de l'aliénation
mentale
. Chez celles-là, bien que d'aucunes aient gardé
t utile, quelles qu'aient été la nature et la forme de l'aliénation
mentale
. B. Les secondes sont au nombre de 55 et présen
et présentent toutes une des formes ou l'un des genres d'aliénation
mentale
que l'on regarde comme susceptibles de guérison
ent plus particulièrement la manie intermittente et les aliénations
mentales
post-infectieuses qui bénéficieraient de ces ef
eux, depuis quelque temps, ne jouissait plus de toutes ses facultés
mentales
. (Petit Parisien, 22 septembre.) 4H 6 VARIA.
, rue des Carmes. ToNou (G.) ? Délia clinolel'apia nelle malallie
mental
. Brochure in-8° de 31 pages. Ferrara, 1900. Tip
à Leipzig, qu'a pris naissance l'enseignement clinique des maladies
mentales
en Allemagne. Ileinroth, élève de Pinel, fut, e
levé 562 pa- tients (291 hommes et 271 femmes) atteints de maladies
mentales
proprement dites (psychoses, paralysie générale
pendant plusieurs années, pour l'enseignement clinique des maladies
mentales
, que de l'asile provincial de Nietleben, situé à
struire une clinique modèle 376 G ENSEIGNEMENT. pour les maladies
mentales
et nerveuses, fit. pour la somme de 150 000 fra
ns psychiques normales : il s'agit en un mot d'un état de faiblesse
mentale
qui ne permet pas de rectifier les conceptions
lima, Fischer, 1897. Analysé in Bulletin de la Société de médecine
mentale
de Belgique, 1897, p. 350. LES CLINIQUES PSYC
rmédiaires à l'idée et à l'hallucination vraie, des représentations
mentales
vives, ani- mées, précises, mais dépourvues du
e présente plus ce caractère. Elle reste à l'état de représentation
mentale
vive, précise, sans aller jusqu'à l'hallucinati
ue c'est une pseudo- hallucination 1'eT- baie. Cette « conversation
mentale
» ne-diffère ainsi de la pensée ordinaire que p
e l'innervation de Wundt, faculté locomo- trice ou sens del'énergie
mentale
motrice de Hamilton). C'est cette sensation de
, dont 3 avaient été montrés au Congrès international de médecine
mentale
de 1889. Il indique, à l'aide des photographies d
Sur les déformations spéciales des ongles au cours de l'aliénation
mentale
; par le Dl' Marco Trêves (de 'I urin). Discuss
certaines lésions cellulaires corticales accompagnant les accidents
mentaux
des maladies générales. (Laboratoire de M. Gilb
'tuberculose, lésions du foie, lésions du rein), avec des troubles
mentaux
plus ou moins accentués. On constate que, dans
le parallélisme d'intensité des lésions cor- ticales, des troubles
mentaux
et des accidents généraux de la maladie. Si d
es men- taux dans lesmaladies générales (délires fébrile, confusion
mentale
, hallucinations, etc.) à l'action cérébrale des
ntoxication, etc.) ; il en est ainsi, d'ailleurs, pour les troubles
mentaux
qui les accompagnent, et qui varient peu malgré
ecture, des communications ci-après : . L'alitement en aliénation
mentale
; par MM. hiaIRET et DELTIIEtL . (de Montpellie
appliqué aussi souvent que possible dans le traitement des maladies
mentales
, » La section aborde ensuite la discussion de l
ans l'ensemble des manifesta- tions si variées de la dégénérescence
mentale
, a subi une véritable transformation et nécessi
, elle n'est qu'une expression symptomatique de la dégéné- rescence
mentale
; et, même, ce rapport est si étroit que l'obses-
ondément perturbatrice est l'origine d'une série de représentations
mentales
, d'associations d'idées destinées à l'amplifier
, nos inquié- tudes, nos angoisses. Syndrome de la dégénérescence
mentale
, l'obsession est donc une variété d'automatisme
ésentative du mouvement correspondant et plus ces représen- tations
mentales
s'accumulent et s'irradient, plus leur contenu
au milieu d'une sorte d'éblouissement vertigineux, de con- vulsion
mentale
, quoique la conscience reste présente, sinon in
es mêmes éléments émotionnels qui, sur le fond- de dégénéres- cence
mentale
, président à la formation de l'obsession. L'imp
on sont essentielle- ment des stigmates moraux de la dégénérescence
mentale
, les perversions de l'instinct sexuel, à leur t
s l'enfance ou l'adolescence, point de départ des représentations
mentales
obsédantes et impulsives qui domineront désormais
out un ensemble de signes révélateurs de l'état de déséquilibration
mentale
et parfois, aussi, d'autres syndromes coexistan
vie, le choc émotionnel, à la suite desquels les repré- sentations
mentales
obsédantes se sont développées pour aboutir au
besoin. L'exhibitionnisme impulsif, syndrome de la dégénérescence
mentale
, est donc : Une perversion sexuelle obsédante el
es fessières, cheveux, etc., etc.). Syndrome de la dégé- nérescence
mentale
, le fétichisme est une perversion sexuelle obsé-
tiche étant, soit directement, soit par évocation ou représentation
mentale
, l'élément ci la fois iîéces- saire et suffisan
our marqué par cette commotion émotionnelle, cette sorte de vertige
mental
initial, la subordina- tion devient de plus en
d'un attentat qui révèle un système. Syndrome de la dégénérescence
mentale
, le sadisme pathologique est une perversion sex
superficiels et profonds comme aide au diagnostic dans les maladies
mentales
, 189G. 452 li CLINIQUE NERVEUSE. neurologie d
ilepliques, la majo- rité assurément, ne présentent pas de troubles
mentaux
. Que d'épilepliques ont tenu des places brillan
ous estimons que c'est à un médecin versé dans l'étude des maladies
mentales
que doit en appartenir la direction ; nous ne s
direction ; nous ne saurions admettre en effet le voeu n° 4. L'état
mental
de ces enfants est un état pathologique ; c'est
d'aliénés. C'est que l'idiotie rentrant dans le cadre des maladies
mentales
tombe sous le coup de la loi du 30 juin 1838 su
es; 0 Privat-docenteu ; 1,3-13 étudiants). La clinique des maladies
mentales
et nerveuses de l'Université de Berlin est inst
, a joué un rôle capital dans l'histoire des progrès de la médecine
mentale
en L'russe. Nous croyons devoir le rappeler bri
rs des leçons magistrales, l'enseignement des maladies nerveuses et
mentales
est encore assuré à Berlin (18\H-) par de nombr
extraordinaires; 3 Privat-docenten; 232 étudiants.) Les maladies
mentales
ont été enseignées à l'Université de Tûbingen d
rt à l'enseignement clinique. La création de la chaire des maladies
mentales
à l'Uni- versité d'Erlangen remonte à l'année 1
ts.) L'Université de Heidelberg ne possède une chaire de maladies
mentales
que depuis une vingtaine d'années. C'est le 15 oc
rs, on s'était contenté d'utiliser pour l'enseignement des maladies
mentales
les asiles provinciaux voisins des universités.
aires; 10 Privat-docenten; 233 étudiants.) La clinique des maladies
mentales
et nerveuses de l'Université de Stiasbourga été
est en souvenir de cette impression forte, avec les représentations
mentales
dont elle est l'occasion, que l'idée s'impose p
collatéraux, toutes les formes pos- sibles de maladies nerveuses et
mentales
: en effet, il n'est pas rare d'y rencontrer de
à des troubles psychiques se manifestant sous la forme de confusion
mentale
avec délire à type onirique ; que c'est là un a
e des asiles publics d'aliénés. Morel a démontré que les maladies
mentales
allaient en s'aggra- vant d'une génération à l'
es deux faits, qui sont fondamentaux dans l'étude de l'aliénation
mentale
, héréditaire est incontestable, et nous l'avons s
ution clinique el analomo-palhologique ci l'élude de la con- fusion
mentale
, avec projeclions des préparations histologiques.
anatomo-patbologi<lues concernant le syndrome de la confusion
mentale
. Ils apportent deux faits nouveaux dans lesquels
ent deux faits nouveaux dans lesquels le syn- drome de la confusion
mentale
s'est développé nettement sous l'inlluence d'un
endomé- trite purulente. Dans la première observation, la confusion
mentale
typique était précédée d'un délire systématisé
quarante-huit heures. Le second cas constitue un type de confusion
mentale
psycbo-primitive. Les deux cas se terminèrent rap
très importantes furent constatées chez la malade dont la confusion
mentale
se déclara au cours d'une en- dométrite purulen
ci l'étude de la fréquence de l'hérédité dans l'étiologie des états
mentaux
chez l'enfant. M. Dans -)16 cas de débilité men
gie des états mentaux chez l'enfant. M. Dans -)16 cas de débilité
mentale
ou d'imbécilité, l'hérédité existait dans tous
certaines lésions cellulaires corticales accompagnant les accidents
mentaux
des 'Ina ladies amené- ¡'ales. M. MATRICE Fau
, tuberculose, lésions du foie, lésions du rein), avec des troubles
mentaux
plus ou moins accentués. On constate que, dans
es men- taux dans les maladies générales (délire fébrile, confusion
mentale
, hallucinations, etc.) à l'action cérébrale des
II, 1899.) Il s'agit d'une femme de vingt ans tarée au point de vue
mental
et héréditaire, qui urine toujours en abondance
ue la pauvre femme ne jouissait pas de la plénitude de ses facultés
mentales
. Ils la conduisirent chez M. Blondeau, commissa
levard du Roi, donnait depuis quelque temps des signes d'aliénation
mentale
. Pendant que son mari faisait brûler du café da
ré que sa femme ne jouissait pas de la plénitude de ses' fàout- tés
mentales
. (La France, du 22 octobre 1900.) "' . ", 1.. ? -
ue Franklin, donnait depuis quelque temps des signes d'alié- nation
mentale
qui inquiétaient ses voisins. Hier soir, vers onz
3 ? 0; par Uoutrebente, 323, par Magnan, 324. - dans l'aliénation
mentale
, par Mairet et Dellheil, 429. Discussion sur
Elimination du - dans l'épilepsie, l'hystérie et quelques formes
mentales
, par û0lltlll, 45. Cellulaires. Lésions - cor
0lltlll, 45. Cellulaires. Lésions - corticales dans les accidents
mentaux
des maladies générales, par Maurice Faure, 4
rew, 513. C031PYLOGR ? %IIIE crânien, par Blin, 1187. Confusion
mentale
, par ltoubino- witch et Vlavianos, 491. Conge
301, 127. Crâne. Influence du traumatisme du -dans les maladies
mentales
, par Ehrnrooth, 08. Chamectojiie pour industr
blesse d'esprit. Remarque sur le terme-, 40. Familiales. Maladies
mentales
-, par Arnaud, Doutrebente, Ta- guet, Christi
flat-ris, If 1. Hémiplégie et aphonie hystériques avec symptômes
mentaux
, par Montromery, 149. - sensitivo- sensoriell
isation des - z cérébraux, par Vogt, 174. Hérédité dans les états
mentaux
de l'enfant, par Blin, 492. Nocivité de Il pa
térieure, par Bllceles, 156. Thyroïdien. Traitement des troubles
mentaux
par l'extrait -, par Lee- per, 16. Torticolis
troubles mentaux par l'extrait -, par Lee- per, 16. Torticolis
mental
, par Noguès- et 511'01, 40. TABLE DES AUTEURS
0 G 1 E NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE , DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
Fonder par d.-M. CIItIRC(1T PIIIM1KE SOUS LA
iFcrioN nE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies
mentales
? [J\ Faculté de l11édPl'llIe de Paris. V. MA
yelic type occlIl'in9 in ! 'oll's diseuse (Journ. of iiei-voits and
mental
disease, 1898, p.2571. . PARAPLÉGIE SPASMODIQ
b; . par les Drs de Bucx et BROECKAERT. (Bull. de la Soc. de Méd.
mentale
de Belgique, décembre 1901). Il s'agit d'une fe
avec l'âge mûr, est inéluctable et s'accompagne souvent de troubles
mentaux
, en particulier de démence dans la dernière pér
nt par o, qu'il n'eût, sans cela, trouvés qu'avec un effort. Vision
mentale
des objets. 11 les reconnaît sans exception, sans
es après l'accident, coloration bleuâtre de la peau et phéno- mènes
mentaux
. Absence d'hémoglobinurie, de strangurie, de vo
élire et convulsions. Le lendemain, céphalalgie, vertige, confusion
mentale
légère. A partir du troisième jour, l'étal men-
associées, suivant la direction et les lois fondamentales des états
mentaux
d'où résultent la physionomie de chaque cas par
ets, idiots, masturbateurs pervertis, etc. M. H. IV. L'aliénation
mentale
pour le juge et pour le médecin. Réfle- xions s
mal ne dis- paraît qu'à un stade très avancée de la désorganisation
mentale
; REVUE DE MÉDECINE LEGALE. 77 7 c'est la volo
'est aller contre la loi et la nature même. Si tous les désordres
mentaux
étaient de la notion de la perte du bien et du
a liberté est de première importance. Il faut faire examiner l'état
mental
de l'accusé par un médecin, et, de préférence,
par un aliéniste. SIMON. VIII. Erreurs judiciaires en aliénation
mentale
; par Geo-Villeneuve et E.-P. CIIAGNON. (Americ
magistrats ne sont le plus souvent pas aptes à juger des conditions
mentales
des accusés conduits devant leurs tribunaux pou
n des devoirs de leur charge d'ordonner un examen médical de l'état
mental
des accusés, quand les cir- constances du crime
ur attitude et leurs antécédents paraissent indiquer des conditions
mentales
défectueuses; 3° dans tous les cas où la défens
t compte aux magis- trats de tous ceux qui présentent une condition
mentale
douteuse. (Bibliographie). Simon. IX. Quelque
signe plus ferme. Elles sont seule- ment une marque de défectuosité
mentale
; mais de folie ? - z - seulement si elles sont
criminels qui y sont, permettant de se faire une idée de leur état
mental
. , Pourquoi ne pas continuer le traitement des
leur subordination étroite à des troubles primitifs. » Torticolis
mental
surajouté à des mouvements hémichoréiformes. MM
s spasmodiques choréiformes du bras droit. Récemment, un torticolis
mental
en rotation à droite, est venu s'adjoindre aux
is et améliorer les mouvements choréiformes du bras. Quant à l'état
mental
de la malade, il est resté peu développé. Cepen
on involontaire. Le sujet contemple le vide, il a la représentation
mentale
d'une chute; or toute idée d'acte s'accom- pagn
e appel à une hypothèse aussi extra- scientifique que la suggestion
mentale
. Séance du mardi 19 novembre 1901. Présidence d
qu'à l'état de symptôme ; ce qu'il faut soigner, c'est la maladie
mentale
elle-même, laquelle est très difficile à modifier
1,369. Le Dr Claye Sltaw'attribue cet accroissement de l'aliénation
mentale
aux influences de la guerre du Transvaal. Beau-
çaise sera enchan- tée d'avoir dissipé quelques doutes sur la santé
mentale
de leurs voisins d'Albion. Et voici l'évidence,
dynamomètre. Si l'on demande au malade de Fif}. 13. 102 CLINIQUE
MENTALE
. tapoter des deux mains sur la table, comme s'i
t marque davantage en quoi la théorie doit expliquer les phénomènes
mentaux
, complexité des cellules nerveuses. d'où instab
s entre l'altération des reins (of renal disease) et le dérangement
mental
; par V.-S. WOHCESTEH. (4'lltl'ican Jour- nal of
es causes les plus communes, sinon la plus commune du dérangement
mental
. (Bibliographie.) SI : .ION. VII. Les opinions
mettent de rattacher à la zone corticale déjà indiquée le phénomène
mental
de la sécrétion du suc gastrique qui se produit
côté de la dépression et de la diminution intellectuelles un état
mental
particulier, qui constitue leur note psychopathiq
d'obnubilation intellectuelle auquel peut s'ajouter du ptiérilisme
mental
; - 2° Les endothéliomes des méninges peuvent s
es tumeurs cérébrales. il. C. XXIV. Des rapports entre le contenu
mental
et l'activité nerveuse ; parE.-B. DELABARnE. (T
une certaine mesure, Mais en réalité il n'existe que des phénomènes
mentaux
, sans plus, dont le déterminisme est aussi rigo
ion de l'anniversaire de l'inauguration de la clinique des maladies
mentales
et nerveuses de Saint-Pétersbourg. La péroraiso
orce du cerveau joue le rôle le plus important dans notre existence
mentale
. Pourtant, malgré les progrès faits par la phys
ncmrm avec goitre exophtalmique. M. Sciierb (d'Alger) un syndrome
mental
au cours de l'urémie. M. KLIPPEL au nom de M. l
elativement aux injections de sérum dans le traitement des maladies
mentales
et nerveuses que j'ai fait appliquer dans mon s
outenir cette opinion et tout en reconnaissant la valeur du trouble
mental
dans l'obses- sion, en particulier celle de la
d'hypnose, chez qui la provocation d'une attitude détermine l'état
mental
correspondant. Au surplus, à l'appui de cette o
e puiser en moi des AnclII\'F. 2' série, I. XIII. 13 194 CLINIQUE
MENTALE
. forces de résistance, de me donner du « ressor
ution physique et psychique. 1 - Pans, le 7 mars 1897. CLINIQUE
MENTALE
Contribution à l'étude des réactions de la peau
ues où ils n'avaient pas leurs attaques. Les quatre autres formes
mentales
se suivent de près. Si maintenant nous envisage
arriver toujours en tête avec une énorme proportion et la débilité
mentale
en queue avec un écart considérable de lu3,6 p.
décroissant de fréquence l'hystérie puis les quatre autres variétés
mentales
qui se suivent de très près. Enfin il y a trois
tés mentales qui se suivent de très près. Enfin il y a trois formes
mentales
sur sept : la démence, l'hystérie et la sénilit
e et le dernier à la vésanie, entre les deux se placent la débilité
mentale
et la touchant de près l'épilepsie. Il résulte
ent d'une manière générale mais encore dans chacune des sept formes
mentales
. La plus rare après elle est l'absence de toute
s la paralysie générale, égale à l'affaiblissement dans la débilité
mentale
et supérieure à la dermographie seulement dans
e, néanmoins elle est inférieure à la dermographie dans la débilité
mentale
et la démence et dans la première de ces deux f
bilité mentale et la démence et dans la première de ces deux formes
mentales
égale à l'absence de toute réaction. Quant à la
à l'affaiblissement, elle arrive néanmoins eu tête pour la débilité
mentale
et la démence. V. - Comme chacun sait, on réuni
e chacun sait, on réunit sous la dénomination de vésanies des états
mentaux
fort divers, voire même opposés, qui forment qu
entaux fort divers, voire même opposés, qui forment quatre maladies
mentales
distinctes : lypémanie, manie, double forme, sy
ns des réactions de la peau aux trois périodes de la 198 - CLINIQUE
MENTALE
. paralysie générale et pour cela de suivre les
a peau croissent parallèlement à l'évolution du mal. 200 CLINIQUE
MENTALE
. par rapport à l'intermédiaire de 31,4 p. 100,
enir. 20. Dans la journée du 19, Louis a présenté de la confusion
mentale
. Où êtes-vous ? Je ne sais pas. Quel âge avez-vou
nous permettent la gué- rison de l'hystérie. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. I. Les aliénés criminels; par le D1' Lentz. (b
endus du service des enfants de Bicêtre. (B.) - REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 3)7 ï la paralysie générale. Cette affection s
ir cette question.. M. Il. VI. Sur quelques problèmes en aliénation
mentale
; par F. PETER- son. (NelV-Yol'(Med, Record, 3 j
ventif de la folie puerpérale. - Aendant le travail, les troubles
mentaux
transitoirs rappellent l'épilepsie psychique. L
l'urémie, l'épuisement de la lactation. Les 218 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. signes cliniques sont ceux du délire aigu pouv
re. Prédispo- sitions nerveuses fréquentes. A. M. VIII. Confusion
mentale
; par V. Orz r GiQUP : RDO. (Révista de Méd. . y
. pract., n° G63.) L'auteur relate un cas très typique de confusion
mentale
survenu au cours d'une convalescence avancée de
enu au cours d'une convalescence avancée de typhoïde. L'affection
mentale
fut traitée et guérie complètement en trois mois
ant son malade ? Chaslin, Séglas ou Gombault auraient dit confusion
mentale
; Lasègue aurait dit mélancolie per- plexe ; Dag
e vers les idées de Magnan tout en se servant du terme de confusion
mentale
. F. 13. , IX. Mort par thrombus multiples d'o
idu aux influences qui le sollicitent. SIMON. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 219 XI. Dégénérescence; pal' ÛRPHEUS Everts. (
hives de neuro- logie, 1901, p. 000.) 1 220 0 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. plus complètes du cas d'Amos D. Palmer, imbéci
cessaire expérimentalement à la réparation des~ REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 221 1 désordres cellulaires. Et, pour assurer
nt pour le diagnostic. Smo. XVIII. Pathologie générale des maladies
mentales
; par Henry-J. 13EIIKLEY. (The E1 naericuv Journ
l of lnsanity, 1900, p. 45 i-499.) Extrait d'un traité des maladies
mentales
de l'auteur, actuelle- ment sous presse. Idées
us presse. Idées générales sur les deux grands groupes de désordres
mentaux
: fonctionnels, à guérison fréquente; et types
s vasculaires syphilitiques. 1 SillON. 222 12 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Folie transitoire consécutive à des phénomènes
es faire verser : femme de vingt-trois ans, faisant de la confusion
mentale
, avec excitation par intervalles à l'occasion d
iens, il importerait aussi de les choisir : des REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 223 écoles d'infirmiers et infirmières pourrai
re froide ; et lui apprendre le courage à supporter les détresses
mentales
; G° vie de plein air et à la campagne plutôt que
idérées aujourd'hui comme des formes : 214 Il . REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. d'une même maladie; il en sera de même sans do
sique. Mais que savons-nous de la chimie cellu- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 225 laire du cerveau ? Les conditions essentie
ata journal of Insttmty, juillet 1899, p. 69-88.) Les aberrations
mentales
sont souvent associées aux époques de la vie, p
leurs. Dans presque tous les cas où Tomlinson a trouvé des troubles
mentaux
aux dif- férentes périodes de la maternité, des
es mentaux aux dif- férentes périodes de la maternité, des troubles
mentaux
avaient existé aux époques de l'adolescence et
ces liomi- ActHVhs,2°série,t.X ! )I. 15 22C 6 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. cides contre son enfant ; en somme, manifestat
C'est à Kroepelin surtout qu'on doit de prendre REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 227 7 ainsi en considération pour dénommer et
on appuient ces idées). - SIllON, XXV. Remarques sur la contagion
mentale
et l'infection héritée ou acquise, avec considé
e nous naissent prédisposés ou si imparfaits que leur développement
mental
est impossible ou par lesquels ils acquièrent c
eur vie ultérieure. Contagion n'est pas juste seulement de maladies
mentales
ou nerveuses d'ori- gine microbienne. Ce terme
édité. Et Dewey rappelle plaisamment à ce 228 8 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. sujet qu'un auteur anglais a soutenu récemment
és. SlI01(. XXVI. L'imagination dans ses rapports avec les maladies
mentales
; par liobert-11. Co s1 ? (ilmerican JO ! l1'l !
n'y a cependant pas de forme d'activité intel- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 229- lectuelle plus commune ; c'est qu'elle es
est causé par la sensation seule de la dou- 230 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. leur, purement psychiques par conséquent, sont
n revient de temps en temps; la malade n'en est REVUE DE PATHOLOGIE
MENTAUX
231. 1. d'ailleurs pas troublée; c'est de l'hal
. Névrose d'angoisse ; par le Dr de BucK. (Dull. de la Soc. de méd.
mentale
de Belgique, juin 1901.) .) Observation d'une f
al, de la pâleur, des frissons, etc. La ma- 232 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. lade croit qu'elle va mourir Un tremblement à
e corridor, il rentre et demande pardon : refus REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 33 'net du professeur; l'élève alors frappe, s
erpent se glisser dans son gosier. Il n'a a 234 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. pu en arrêter les mouvements. Depuis l'animal
uc (lésions circonscrites) : deux observations. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ` 23u Inversement, il existe des lésions en fo
ue dès le début et le gâtisme qui ne correspondent pas à l'activité
mentale
suffisamment vive ; - 3° la folie périodique s'ac
ites, l'auteur tire les conclusions suivantes : , . 1° Les formes
mentales
les plus différentes n'ayant rien decom- mun av
ent également en d'autres affections 3° de même, parmi les troubles
mentaux
, il n'en est pas un qui soit exclusivement prop
u moins grande disproportion dans l'atteinte des diverses fonctions
mentales
est pleinement spéciale à la paralysie générale
tant plus valoir de beaux garçons du Caucase. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 237 I Le batcha, danseur. chanteur, acteur, à
a d'elle comme d'un batscha, mais peu à peu 238 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. il eut avec elle des rapports normaux, si bien
aire sa femme légale. 1'. hen.wnr.. XXXIV. Délire par introspection
mentale
; par M. V.sciiii)F, Cl. Vuupas. (Nouv. Iconoyr
e vivre sans s'étudier est normal et que les fouilles de l'activité
mentale
, l'intro- spection en un mot, sont inutiles et
ons générales, S. XXXVI. Friedrich Nietzsche. Étude de pathologie
mentale
; par William-W. 1REL.iND. (The Ilieizibt and Xe
e ses oeuvres et de ses lettres, qu'il ne passa REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 239 pas sans transition de la santé à la folie
au con- traire trouver sans cesse des traces de sa déséqullibration
mentale
. Stuorr. XXXVII. Mort d'un aliéné par fractur
omalies de développement qu'offre cette ma- 240 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. lade, sont limitées à la main et à i'avant-bra
la malade de M. Dupré semble autoriser l'opinion qui en ferait une
mentale
si non une hystérique.. 244 SOCIÉTÉS SAVANTES.
eur-Roche, qui donnait depuis quelque temps des signes d'aliénation
mentale
, s'est dérobé hier soir à la surveil- lance don
nq ans, demeurant à Sain^. Romain de Benet, et atteint d'aliénation
mentale
, s'est suicidé, mardi, en se jetant sous les ro
ovoqua la dési- gnation de trois docteurs pour l'examen de son état
mental
- mit dans la soirée en émoi le personnel de la
Vol. XIII. Avril 1902. N° 76. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
MENTALE
. Sur la théorie de l'obsession ' ; Par le D'
(psychasthéniques, neurasthé- niques, dégénérés), les dissociations
mentales
se produisent facilement, les phénomènes d'auto
es, août 1901. - Archives, 2' série, t. XIII. 17 238 PATHOLOGIE
MENTALE
. bides, mais il doit les subir, en dépit de la
la ' Hibot. La psychologie des sentiments, p. 429. 260 PATHOLOGIE
MENTALE
. colère, parce que nous tremblons que nous avon
démontré que l'idée ne devient obsédante que grâce à une altération
mentale
préalable. Tout le monde a l'idée de la rage et
f, p. 1333 et suiv. - ' Séglas. Leçons cliniques sur les maladies
mentales
. Paris, 1895, p. 80. 3 KrafTt-Ebing. Traité,
, celles qu'il appelait émotions délicates (Subller). 26 PATHOLOGIE
MENTALE
. elle l'est moins encore pour la plupart des ob
- La tristesse ci la joie. l'dlis, Alcali, 1900. 264 - PATHOLOGIE
MENTALE
. réactions paradoxales (vaso-constriction avec
des étals affectifs. Les états affectifs ne seraient que le reflet
mental
, que la conscience des modifications profondes
central. Paris, Carré et Naud, 1899, 11, p. 1336. 266 PATHOLOGIE
MENTALE
. 1 La théorie physiologique, telle que nous ven
qué, elle est surtout cérébrale, intellectuelle ; c'est une anxiété
mentale
plutôt qu'une angoisse organique; elle résulte,
s idées précises, l'existence d'un trouble préalable du dynamisme
mental
est nécessaire. L'émotion ne fournissant pas la r
obsessions et les plus insignifiants, cette véritable insuffisance
mentale
se trahit chez eux par la faiblesse et l'hésita
lté des mouvements musculaires. A cet égard, l'étude 268 PATHOLOGIE
MENTALE
. des mouvements offre, chez les obsédés, un int
nt à la fois, par une série d'actions et de réactions, toute la vie
mentale
et une partie des fonctions organiques. La cond
ntale et une partie des fonctions organiques. La condition fonda-
mentale
en est un trouble primitif et généralisé, affecta
uble n'estque la manifesta- tion d'unaffaiblissementdes « synthèses
mentales
», du pou- voir « d'adaptation de l'être au mil
L'obsession est, avant tout, une maladie de la volonté. CLINIQUE
MENTALE
. Biographie d'une idée fixe. Observation de C
t déjà extrêmement difficile, dans les formes banales de troubles
mentaux
, de découvrir l'origine, le principe du mal dans
pénétrer les parties les plus profondes de son être. Des troubles
mentaux
purement partiels dans l'enfance constituent un
disparut prestement. Cette histoire de sa vie et de sa 272 CLINIQUE
MENTALE
. maladie suscita chez moi un très vif intérêt p
a où je laissais Archives, 2" série, t. XIII. 18 S 274 4 CLINIQUE
MENTALE
. une soeur bien-aimée. Je ne me plus pas parmi
mes meilleurs amis et même de ma soeur, et personne ne 276 CLINIQUE
MENTALE
. savait me venir en aide : je lâchais de conser
nce du monde j'étais pris d'un sentiment d'oppression, 278 CLINIQUE
MENTALE
. je rougissais sans cesse, ce qui m'obligeait à
la pensée d'aller, mon examen terminé, en pays étran- 280 CLINIQUE
MENTALE
. ger : là je deviendrai tout autre » me disais-
s terrifiantes dont je ne pouvais me défendre. J'avais 282 CLINIQUE
MENTALE
. les sens très irrités, j'étais incapable de to
re mourir ; j'ai même tenté un suicide raffiné; je 284 -il CLINIQUE
MENTALE
. . voulais me rendre malade, me ruiner et mouri
un examen clinique rigoureux , dont le résultat fut que ce trouble
mental
ne trouvait aucun point t d'appui suffisant dan
développe en une flamme qui consume la vie, l'étin- 286 , CLINIQUE
MENTALE
. celle d'une manie enfantine couvant sous la ce
on pèse l'origine et la marche de ce cas si singulier de trouble-
mental
, on ne peut s'empêcher de se poser la question :
ale et en par- ticulier du mensonge comme symptôme de cette forme
mentale
; Par BOURNEVILLE et J. BOYI;ft . Nombreuses
eption, le père de l'enfant n'ait pas encore pré- senté de troubles
mentaux
, l'hérédité paternelle est forte- ment chargée,
EUTIQUE. ' 301 VII. Traitement moral dans les maladies nerveuses et
mentales
; par Richard DEWEY. (The American Journal of ln
gissant ainsi comme excitant. Quand ces contractions sont d'origine
mentale
, elles éma- nent des fibres vaso-motrices du sy
, qu'il ait subi une infection, un trauma- tisme, une contamination
mentale
, il devient le jouet de mouve- ments incoordonn
Sur les modifications des réflexes pupillaires dans les mala- dies
mentales
; par Sieuerling. (AIL Zeitsch. f. Psychiatrie,
pendant longtemps comme un signe très important dans les affections
mentales
, n'a pas la valeur qu'on lui a attribuée. On la
ire et vient uniquement de la mère. SOCIÉTÉS SAVANTES. 319 ' Etat
mental
des aphasiques sensoriels. M. ViGounoux communi
graphisme se rencontre dans la plupart des formes de l'aliéna- tion
mentale
. Il est surtout fréquent dans la démence cataténi
sychose à base d'in- tCl1J1'élatio11s, Il n'est guère d'affection
mentale
dont il soit plus malaisé de préciser le début,
fréquents (toutes les demi-heures), s'accompagnent d'une confusion
mentale
et prennent enfin le caractère des accès d'épil
ner la ponction lombaire par crainte d'influence fâcheuse surl'état
mental
des malades. La migration des éléments figuré
int d'excitation maniaqne, aujour- d'hui en voie de démence. L'état
mental
de ce malade ne présente aucun relief intéressa
hanoff dans un travail paru en 1900 ', a réuni les cas de confusion
mentale
avec excitation, folie circulaire, délire de pe
» et depuis cette époque, aurait donné quelques signes d'aliénation
mentale
. Ce n'est toutefois que six semaines avant que
mentale. Ce n'est toutefois que six semaines avant que les troubles
mentaux
devinrent très apparents. « Il ne sait plus ce
ts, pouls normal aucune blessure, occiput un peu sensible. Activité
mentale
intacte. Démarche un peu titubante par suite d'
I, N. F. XI, 1900.) Critique du mémoire de Nissl sur « les maladies
mentales
dites fonctionnelles » (Miinch. inedie. IYochen
malades sont entachés de dégénérescence, d'ano- malies nerveuses et
mentales
datant de leur jeunesse, de prédis- position in
nt de trois semaines fut suivie d'une crise hystérique avec trouble
mental
, tendance aux idées de persécution. En même tem
ts pour faire contracter les muscles; on y adjoignit une suggestion
mentale
énergique. Pendant quelque temps on constata de
relation qui parait exister entre les signes phy- siques et l'état
mental
. 0 SmoN. XVI. Morphine et criminalité; parT.-D.
1901, p. 325-231.) 1° L'habitude de la morphine altère les facultés
mentales
du sujet, diminue son attention, pervertit sa c
correction, lorsque ces sujets ont présenté des signes d'aliénation
mentale
ou des états d'excitation nécessitant un traite
eine ter- minée, ne peut être mis en liberté, par suite de son état
mental
, il est transféré dans un asile d'aliénés dépen
par impulsion homicide pure ; par J. 1'i'tcLswomu. (The Journal of
Mental
Science, avril 1901.) Il n'est pas commun de re
qui en ressort de plus important, c'est l'existence de l'hérédité
mentale
, et qu'elle avait eu des tendances au suicide, ma
Il. M. C. XX. Epilepsie et crime ; par John 13.ncn. (The Journal of
mental
Science, avril 1901.) , La pathologie de l'ép
ci du premier groupe. Le second est plus intéressant : les troubles
mentaux
y ont une durée et une intensité variables : qu
is sous le nom d'équivalents psychiques de l'épilepsie. Ces états
mentaux
présentent des caractères particuliers, qui sont
ernes ont une tendance à rattacher iL l'épilepsie tous les troubles
mentaux
et toutes les impulsions irrésistibles. Sur 26j
crises sont suivies d'un sommeil profond et prolongé, les troubles
mentaux
du réveil sont ordinairement moins accentués; m
de manie furieuse. ' 410 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. Les troubles
mentaux
peuvent se manifester : 1° avant les attaques,
sieurs observations de ce genre; ' 2" Après l'attaque, les troubles
mentaux
varient dans l'époque de leur apparition, dans
ombre d'entre eux sont profondément amnési- ques. 3° Les troubles
mentaux
qui surviennent dans l'intervalle des attaques
lente; leur début est d'une extrême soudaineté; . 4° Les troubles
mentaux
qui remplacent les attaques et se manifestent a
IUSGRAVE-CL.1Y. XXI. Châtiment; par C.-A. Mercier. (The Journal of
mental
Science. juillet 1901.) Les travaux de M. Mer
t morale chez les criminels; par W. 1\'onwooD East. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1901.) , Travail très substant
n moins par un geste antagoniste, est considéré comme un torticolis
mental
. Poliomyélite ou Polynévrite ? M. Brissaud pr
e. ' Double abcès contl'(lvalaires du lobe frontal droit, Confusion
mentale
" et mélancolie. \I11. Dupré et IIElTz. Femme
an- gement de caractère, troubles de la mémoire, légère confusion
mentale
. Elle entre un mois après à l'hôpital, en état de
ex-instituteur nommé Karandjulof a tué, dans un accès d'aliénation
mentale
, le ministre de l'instruction publique, M. Kaut
lectuel. G. Milhaud. La loi des quatre états. -')r G. Dumas. L'état
mental
de Saint-Simon (1" article). E. de CvoN. La solut
G. de IIOBCF1'Y. Qu'est-ce que la philosophie ? Dr G. Dumas. L'état
mental
de Saint-Simon (2' article).-A. BIUER. Des méth
é fournis par sa soeur. Il n'y a jamais eu de maladie nerveuse ou
mentale
dans la famille. L... est marié, père de quatre
e Villejuif).. {asile de Villejuif). - Le rôle que joue l'analyse
mentale
dans la vie psycho- logique des différents suje
Neurologie, 1901, n° 69). - Contribution à l'élude de la structure
mentale
des hal- lucinations (Al'chivio di Psichatria,
ns. 475 même, et là encore tantôt sur le corps, tantôt sur l'état
mental
1. Ainsi selon ces diverses orientations on pourr
lire métaphysique et le délire d'introspection soit somatique, soit
mental
. En forçant la pensée et en parlant une langue
ins phénomènes psychopatiques d'une haute importance en séméiotique
mentale
. Nous voulons parler de la variété d'hallucinat
eniatria, 1901, vol. XXVII, p. 179-186). - Délire par introspection
mentale
(Nouvelle Iconographie de la Salpêlrière, 1901,
métaphysique (Revue Scientifique, 1901, n- 6. p. 171-1T ! ). On the
mental
analysis. The Journal of mental Patliology, 190
, 1901, n- 6. p. 171-1T ! ). On the mental analysis. The Journal of
mental
Patliology, 1902, II, p. 57-69. 476 psychologie
it un examen complet et soigné d'un cas de délire par introspection
mentale
, particulièrement instructif, nous avons remarq
it l'objet d'un précédent travail sur le délire par introspection
mentale
1. 1 III L... Maria, quarante-trois ans. Acci
ailleurs très bien avec son caractère habituel. Cette introspection
mentale
l'abstrait et lui fait oublier le monde extérie
prit réviennent à la mémoire et elle examine attentivement son état
mental
, des craintes de culpabilité engendrent des idé
pable. En un mot, L... cherche à analyser et à expli- quer son état
mental
. Elle cherche à distinguer des actes ou des pen
Voici encore une autre phrase d'elle qui précise bien - ,on trouble
mental
et sa manière intellectuelle de réagir. « Je suis
champ de sa cons- cience. Après une analyse minutieuse de son état
mental
, elle leur trouve une origine en dehors de sa v
de la malade, dont elle prend connaissance par une introspection
mentale
exagérée n'étant pas soutenue par des connaissanc
elle attribue à ces pensées une origine exogène. Et lorsque l'image
mentale
de ces pensées est assez intense elle se tradui
est néces- saire, et lui semble juste et évidente. L'introspection
mentale
nous paraît jouer ici un rôle capital. Nous ne
ituellement on nomme psycho- ' motrice. Mais dans l'étude de l'état
mental
de L..., indépen- damment des conditions physio
e critérium néces- saire pour distinguer l'élaboration d'un travail
mental
ou même les mentalités différentes qui jailliss
tres termes il s'agit d'une fouille intel- lectuelle, d'une analyse
mentale
qui échappe souvent au sujet qui interprète mal
médecins l'ont soutenue que l'élaboration entière de l'acti- vité
mentale
se manifeste presque intégralement sous la form
mpression, etc.; en un mot l'élaboration complète de notre activilé
mentale
se manifeste sous la forme d'un langage parlé i
ait toute surprise d'avoir trouvé en elle- même une vie physique et
mentale
dont elle ne comprenait ni l'essence, ni la sig
comprenait ni l'essence, ni la signification, ni la portée. Sa vie
mentale
et tout ce travail subconscient, avec cette sou
e délire que nous avons appelé délire par introspection. L'activité
mentale
saisie par ce choc, dont nous ignorons positive
ent t de toute préoccupation à des fouilles méthodiques de la vie
mentale
, à moins des condititions voulues, ignore complèt
es personnalités avec les sympathies et antipathies avec qui sa vie
mentale
avait au- paravant de profondes et intimes rela
ans un grand nombre d'autres du même genre où chaque fois l'analyse
mentale
est saisie et entre en jeu, provoque des halluc
jet de l'hallucination évoluant nor- malement dans la même activilé
mentale
. Le langage intérieur serait donc à notre avis,
prêter de même à des croyances pathologiques, surtout quand un choc
mental
ou autre met le sujet sur la piste de la reconn
inverse de ce qu'ils sont normalement. L'examen minutieux de l'état
mental
de notre sujet nous donne l'explication très ne
disions alors contre les psycho- logues qui négligent « trop la vie
mentale
des sujets, champ d'exploration sur lequel l'at
éaction auditive simple ou de choix, en rapport avec le coefficient
mental
(Comptes rendus de la Société de biologie,séanc
mais c'est seulement quinze jours avant l'entrée que les troubles
mentaux
apparurent plus marqués : propos incohérents, idé
gestion céré- brale ; depuis lors, il donne des signes d'aliénation
mentale
, cet état s'est aggravé ces temps derniers, au
es avant de faire de la para- lysie générale. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XXXIX. Un cas de psychose post-opératoire ; pa
pansement et aux questions posées répondit 494 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. par des insultes. Le lendemain l'agitation aug
qu'il peut arriver que là ou la sensation de la REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 495 couleur blanche est anéantie, la sensation
rétro-oculaire périphérique chronique pro- 49G REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. gressive, qui aboutit inévitablement à l'atrop
la contrac- tion de l'orbiculaire palpébral. REVUE DU PATHOLOGIE
MENTALE
. 497 OBs. I. Dilatation des deux pupilles, pupi
immobile. Archives, 2e série, t. XIII. 32 498 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
.OBS. IV. - Les deux pupilles sont insensibles
'autre côté (obs. III et IV).- · ' P. RERAVAL REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 499 XXX,XIII : Etat mental d'un sujet empoison
- · ' P. RERAVAL REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 499 XXX,XIII : Etat
mental
d'un sujet empoisonné par le gaz d'éclai- rage
sur un. papier, pour le cas où il perdrait 800 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. encore connaissance. Il exprime l'opinion qu'i
eurs ; les douleurs rhumatismales si fréquentes REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 501 1 dans cette maladie sont parfois violente
XIX, 1900.) Les éléments de la tare héréditaire sont : les maladies
mentales
et nerveuses, une anomalie du caractère, des ac
le du cerveau propre à la paralysie générale et à d'autres maladies
mentales
, mais elle ne fournit pas de renseigne- 502 REV
les, mais elle ne fournit pas de renseigne- 502 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. · 'Ment' sur le 'genre particulier de la prédi
bvenant à ses propres dépenses; par A.-R. WImTEWAY. (The Journal of
Mental
Science, ' juillet 1900.) L'asile de Saint-Lu
l asile pour l'East Sussex; par H. Hnves Newington. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1900.) Etude très complète d'u
au City'of London Asylum; par Arthur E. PATTERSON. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1900.) Ce travail ne se prête
remaniement d'un vieil asile ; par Ernest W. WHITE. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1900.) L'auteur fait dans ce m
e de la famille. Il serait donc important qu'une étude des maladies
mentales
fût une partie nécessaire du cours d'études. S'
lial en Ecosse ; par le Dr PLETERS. (Bull. de ' la Société de Jléd.
mentale
de Belgique, juin 1901.) . X. Réglementation de
nt été l'objet d'une ordonnance de non-lieu, en raison de leur état
mental
, elles crimi- nels devenus aliénés dont la pein
de la consanguinité, mais du fait de l'hérédité, de dégénérescence
mentale
ou physique, d'épi- lepsie, d'hystérie, d'idiot
etrouvent ici que ceux invoqués pour la genèse de la dégénérescence
mentale
et physique. L'anatomie pathologique n'existe p
s phobies, des obsessions se groupant autour d'un symptôme fonda-
mental
, l'angoisse, avec comme phénomènes satellites ou
x à sa place parmi les syn- drômes épisodiques de la dégénérescence
mentale
, est décrit sous le nom de névrose d'angoisse.
OGRAPHIE. XXVI. Essai sur l'alcoolisme. Causes sociales. Conditions
mentales
. Prophylaxie; par le Dr M. Champeaux. (Th. Lyon
isation à notre époque. Il recherche ensuite les causes sociales et
mentales
de l'alcoolisme, qui permettent de comprendre p
les établissements d'assistance. G. CARRIER. XXVII. L'aliénation
mentale
chez les prostituées. Etude clinique; par Franç
is Gaaz. (Th. Lyon, 1900-1901). Les principales formes d'aliénation
mentale
observées par M. Graz chez les prostituées sont
ie générale, la mélancolie avec ten- dance au suicide, la confusion
mentale
hallucinatoire, exception- nellement le délire
ésentent fréquemment des tares morales, bien qu'elles aient un état
mental
habituellement entaché de tares, les accès de fol
cs en général. Rapporteur : M. NoGuLs (de Toulouse) ; 2° Pathologie
mentale
: Des états anxieux df/1¿ les maladies mentales
use) ; 2° Pathologie mentale : Des états anxieux df/1¿ les maladies
mentales
. Rapporteur : M. LABANNE (de Bordeaux); 3° Méde
u'à la fin de l'année scolaire, d'un cours de clinique des maladies
mentales
. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. BIHUGIA. - Le alte
Achard et Loeper, 48. Activité nerveuse Rapports entre le contenu
mental
et l' -, par Delabaire, 116. Affections organ
ec les -, par Ed. C. Runge, 77. Erreurs judiciaires en aliénation
mentale
, par Geo. Villeneuve et E. Chagnon, 79. Asile
Les criminels, par Lsntz, 216. Quelques problè- mes en aliénation
mentale
, par Petersou, 21,. Quelques-uns des problème
transitoire. Ob- servation slllgullèle d' -, par Gudden, 60. Ktat
mental
des aphasiques seusonds, par Vi- gouroux, 319
-et aliénés c1Jmmels, par Drew, 404. , DL,LIRE par introspection
mentale
, par I. Vaschide, 238. - mélan- . colique che
éné par - et hémorrhagie cérébrale, par Moulton, 239. Gaz. Etat
mental
d'un sujet empoi- i sonné par le- d'éclairage,
Bourneville, 516. Imagination dans ses rapports avec les maladies
mentales
, par R. Chase, 228. Impulsion homicide pure .
miliales, par Long, 46. Voir Extension. Patho- logie générale des
mentales
, pai FI. -J. Beildey, 221. - men- tales. Voir
. Trouble et développement de la -. par Liebmann, 309. Pathologie
mentale
. Voir Nielzche. Revue de -, 493. Patronage fa
moelle dorsale, pal nemak, 134. pupillaires dans les mala- (lies
mentales
, par iSiemerllng. 315. Du scapulo-huméral, par
horée. Reins. Relation entre l'altération des - et le dérangement
mental
, par Worcester, 133. Respiration ET pouls pen
gmann, 53. Sérum. Injections de-dans le trai- tement des maladies
mentales
et nerveuses, par A. Marie, 16ï. Société DE r
teurs chez les délirants chroniques, par Dufour. 86. Torticolis
mental
surajouté il des mouvements hélmchoréiformes ,
HIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
FONDÉE par J.-M. CHARCOT & BOURNEVILLE PU
RECTION DE Vlf. A.JOFFROY Professeur de clinique des maladies
mentales
à la Faculté* de médecine de Paris. V. MAGN
le clinique, du Dr Dagonet, comportant : « est atteinte de débilité
mentale
, cécité, parésie des membres inférieurs, gâtism
présentassent des lésions tuber- culeuses des poumons. CLINIQUE
MENTALE
Dégénérescence mentale et maladie de Basedow
tuber- culeuses des poumons. CLINIQUE MENTALE Dégénérescence
mentale
et maladie de Basedow ; Par les J)" (i. DHOMA
; Par les J)" (i. DHOMAHU et J. LrwsJr. La fréquence des troubles
mentaux
chez les bascdo- wiens a frappé de longue date
asedow ne peut créer de toute pièce un état vésanidue. Les troubles
mentaux
qui l'accompa- gnent sont sous la dépendance d'
hyroïdationllans la genèse du syndrome basedowien. DÉGÉNÉRESCENCE
MENTALE
ET MALADIE DE 13ASI ! DO'% ? 27 Or ce principe,
au lit jusqu'à 7 ans. De bonne heure, on constata chez elle un état
mental
maléqui- ]ibré. Outre qu'elle présentait différ
e l'époque des règles et intéressant une moitié de la 28 CLINIQUE
MENTALE
. face 1)liéiioiiii-ii(s %asi)-iiiol eu rs très
En 1898, c'est-à-dire six à huit mois après le début des troubles
mentaux
, survinrent des manifestations canlio-vasculaires
éraient les palpilalions. Le soir, elle ne pouvait DÉGÉNÉRESCENCE
MENTALE
ET MALADIE DE BASEDOW. 29 s'endormir, inquiétée
te des troubles cé- rébraux. En particulier, la rémission de l'état
mental
en 1901 ne e répondit à aucune amélioration du
a ménopause donna une forte poussée à ce dernier comme aux troubles
mentaux
, qui prirent comme nous l'avons dit un caractèr
'elle esteonduite à l'infirmerie spéciale du dépôt. Examen. A) État
mental
. Excitation intellectuelle : la malade ne cesse
çon désordonnée. Elle pleure et rit sans transition. L'instabilité
mentale
avec impossibilité absolue de fixer l'attention c
usoelLille de diminuer lé; : èl·e111cUL sous un taxis 3U CLINIQUE
MENTALE
. doux.On perçoit à son niveau un frémissement l
ence des mômes causes, ictus émotionnels, troubles DÉGÉNÉRESCENCE
MENTALE
ET MALADIE DE BASEDOW. 31 de la ménopause, etc.
de « psychose basedowienne », sans refouler néanmoins les troubles
mentaux
qui nous intéressent dans tel ou tel cadre auto
d'influer d'une façon secondaire sur la physiononie des troubles
mentaux
en les exagérant ou les modifiant ; sans doute
ire aux gens : « Le concours est ouvert à tous ceux que la médecine
mentale
intéresse (sic). » Est-ce que les concours de l
boratoire et rompus aux diffi- cultés de la pratique des affections
mentales
. -Le Ministre de l'Inférieur, signé : I)UBIEF.
ois semaines supplémen- taire, enfin dans la suppression du travail
mental
et de toute excitation. A. ;\1. IV. Un cas de
trouva une lésion limitée tel la partie pos- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. il Î térieure de la capsule interne, et l'aute
ter par des troubles de l'équilibre. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
1. Discussion sur les rapports de la paralysie
e question de psychiatrie amener à la tri- 48 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. bune. M. le Dr Magnan. Tour à tour les syphili
'accidents spécifiques en voie d'évolution et REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 49 surtout sur la fréquence du signe d'Argyll-
dia- Atscmvr ? 2^ série, 1900, l. XXI. 4 50 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. posé, de même que l'alcoolisme cc fait le lit
accomplissement, l'état de lassitude qui les REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 51 suit et enfin l'élévation brusque de la pre
e autre taro physique ou morale, à classer 52 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. l'individu qui en est atteint, dans la famille
faut de résistance, de la faiblesse naturelle REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 53 ou acquise des centres nerveux : de telle s
mpossible de mettre l'nrtaurose antérieure 54 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. sous la dépendance de l'affection, dont les pr
o-névroses dans lesquelles prédominent la débilité et l'instabilité
mentale
, la facilité de désagrégation sus-poly- gonale,
t née en 1889. Lors de ses pre- mières règles, elle présenta l'état
mental
hystérique. A propos des moindres reproches, el
iresà toute tentative d'hyp- notisation ; quand on étudie leur état
mental
habituel, on ap- prend qu'ils sont des originau
obsédantes et surtout de la rougeur constitue un véritable trouble
mental
. Un est autorisé à la considérer comme une des
idérer comme une des nombreuses manifestations de la dégénérescence
mentale
héré- dataire. Par ce fait, le pronostic acquie
ui, pour s'attirer la vénération populaire, simulent l'alié- nation
mentale
. Dans un récent voyage que je fis en Tuni- sie,
influence hypnotique, avec la persuasion, l'imitation, la contagion
mentale
, etc. Le sens de chacune de ces expressions doi
10 francs. Tous ceux qui s'intéressent aux progrès de la médecine
mentale
en France déplorent les préjugés régnant encore
ler, non pas une troisième édition du Manuel pratique des maladies
mentales
paru pour la première fois en 1884, mais un liv
, tels ceux consacrés à la symptomatologie générale, à la confusion
mentale
, à la dé- mence précoce, aux dégénérescences et
chiques qui constituent bibliographie. 69 les diverses maladies
mentales
. Signalons entre autres les troubles de l'idéat
e l'organisme) : manie, mélancolie, folie à double forme, confusion
mentale
. B. Les psychoses essen- tielles dans lesquelle
hapitres les plus intéressants citons ceux consacrés à la confusion
mentale
typique (délire onirique), à la démence précoce
), à la démence précoce que M. Régis envisage comme une confusion
mentale
chronique. L'auteur ne se fait pas illu- sion s
Régis vient à une heure favorable. Le goût des études de pathologie
mentale
, jus- qu'alors limité à un cercle des plus rest
pre à favoriser ce réveil et cette extension des études de médecine
mentale
. De plus il a le mérite de faire entrer tléfini
doivent les observer et les traiter. Pour les débutants en médecine
mentale
, les médecins des prisons, les médecins des arm
ombre de ces malades étaient atteints de dégénérescence physique ou
mentale
; mais ces accidents psychiques peuvent surveni
ur l'intelligence et le caractère et engendrent lente- ment un état
mental
caractérisé par un amoindrissement des facultés
athiques analogues. La nature de l'otopathie, la forme des troubles
mentaux
, la prédispo- sition cérébrale, l'âge des malad
par excitation des zones idéo- 74 VARIA. gènes modifiant l'état
mental
dans le sens du rire, enfin par excitation de z
s un asile pu- hlic ou privé consacré au traitement de l'aliénation
mentale
, soit comme chefs de clinique ou internes des h
alors que ses vociférations ne laissaient aucun doute sur son état
mental
et sur l'urgence de son admission dans un asile
n des villes où ce Congrès, né du Congrès international de médecine
mentale
de 1889,a siégé avec les noms des présidents et
cutanée. La sensibilité objective est très dimi- nuée, mais l'état
mental
de la malade ne permet pas de l'exami- neravec
vis d'un sommeil prolongé qui s'accompagne, au réveil, de confusion
mentale
accentuée avec idées de préjudice, et réclamati
en profondeur, dénudant le sacrum et les dernières côtes. L'état
mental
a peu varié, mais les troubles de la parole se
me invétéré chez le père, il y a une hé- rédité nerveuse et surtout
mentale
du côté de la mère. 2° L'absence des principaux
Dans le cas actuel, la myotonie constitue une infir- 112 CLINIQUE
MENTALE
. mité gênante mais qui n'empêche pas notre mala
d'ensemble, la parades, le mal serait encore plus grand. CLINIQUE
MENTALE
Mal perforant et paralysie générale : Parle D
avation ; actuelle- ment, quoique toujours affaibli au point de vue
mental
, il est en rémission quant à ses idées délirant
ant à signaler, c'est que, en même temps que s'opérait la rémission
mentale
, les maux perforants s'amélioraient aussi ; la
e potassium par Archives, 2' série 1900; t. XXI. 8 114 CLINIQUE
MENTALE
. M. Ileurteloup (t) au Midi. Depuis 15 ans ? Ta
sur les trains én marche au P. L. M., comme conducteur. ' Examen
mental
. Ne sait pas très bien où il est. Se croit près
suivie dans deux cas d'un état de rémission des signes physiques et
mentaux
. Dans l'autre, l'aggrava- tion finale, prémonit
aralysie générale ». {Union médicale, 1882.) - ' 110 . CLINIQUE
MENTALE
. drait pas adopter, en ce qui concerne l'étiolo
observé lui-même un de ces cas de' suppuration pro- US CLINIQUE
MENTALE
. longée et apporté des observations de phlegmon
eu guère a enregistrer que des échecs. Tableau. 120 CLINIQUE
MENTALE
. Les premiers succès obtenus dans les intoxicat
Bruce, à appliquer les abcès de fixation au traitement des maladies
mentales
. Si les suppurations provoquées semblent donner
uant à l'explication vérita- ble, nous la laissons à une pathologie
mentale
plus avancée que la nôtre. REVUE D'ANATOMIE
igurent sont-ils fournis par des personnes étrangères à la médecine
mentale
ou même à la médecine. .M. Roubinovvitch. Les r
militaire croît en proportion inverse do sa durée,, les non-valeurs
mentales
doivent être plus rigoureusement ex- clues de l
vril 190G, à l'Université de Giesseii,dans la clinique des maladies
mentales
et nerveuses, sous la direction du D'' H. Somme
on. Vol. XXI Mars 1906 N° 123 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
Hospice DE Bicêtre. Service du Dr S1GL.1 Le r
nnée (nolitionisme), de l'arrêt plus ou moins complet de l'activité
mentale
(stupeur ou stupidité). Dans son article. M. Dr
hobic dans la Archives, 2, série, 1906, t. XXI. 11 162 clinique
mentale
. démence précoce résulte d'une quantité de caus
is, se dit courbature.Ne prend rien de la journée. 164 CLINIQUE
MENTALE
. 11 août 1900. S. : Même état : reste couché. A
demi-stupeur, avec confusion des idées, et faisait t 166 CLINIQUE
MENTALE
. tout a\cclcnlcmcxtl'pme. A chaquc instant, on
ousi on oublie sciemment de la huiler, la malade se 16S CLINIQUE
MENTALE
débat et pousse des cris plaintifs, puis aussit
anmoins la transporter à la campagne*; elle y reprit 170 CLINIQUE
MENTALE
. immédiatement ses habitudes anciennes, la même
ce qu'il n'y en a point d'autre en usage courant dans la pathologie
mentale
. Mais si, comme nous l'espérons, le lecteur se
soeurs en bonne santé. Pas d'all'ections nerveuses, ni de maladies
mentales
déclarées dans la famille; nous n'avons pas de
courtes séances, pour éviter de fatiguer la ma- lade. et par l'étal
mental
de celle-ci. S ? estime débile intellec- tuelle
dans leur dégénérescence, parce que, ayant acquis une organisation
mentale
relativemeut dé- veloppée, ils sont capables de
é- bile ; alors tout sera prétexte au développement de trou- bles
mentaux
. Point ne sera même besoin d'émotions violentes
côté similaire du corps. 192 RECUEIL DE FAITS. Au point de vue
mental
, il ne présente pas d'idées délirantes ; il est
saire de faire intervenir une prédisposition spéciale aux troubles
mentaux
; il n'y a qu'un choc moral trop fort pour une
lex ; par EDVARD(> POGGIO. (In Rivista di patho- logia nervosa e
mentale
. Florence, avril 190, t. X., fas. 4.) Dans un c
avail volontaire; par Trêves. (In Rivista di pathologia nervosa e
mentale
, Florence, mai 1905, vol. X, fasc. 5.) L'auteur
rétine ; par Renato l1EBlzzI, (lii- visttt (li pathologia nervosa e
mentale
, Florence, mai 1905, vol. X, fasc. 5.) L'aute
érimentale ; par LUIGO PANICHI. (In Rivista di pathologia nervosa e
mentale
. Florence, juillet 1905, vol. X, fasc. 7.) M.
sions des nerfs ; par PARIAN ! . (Rivista di pathologia nervosa e
mentale
. Florence, juillet 1905, vol. X, lasc. 7.) Dans
e dans la rage ; par 51CILL1N0. (In Rivista di pathologia nervosa e
mentale
. Florence, juillet 1905, vol. X, fasc. 7.) De
sensitifs ; par Gramegna et Segrk. (Rivista di pathologia nervosa e
mentale
. Florence, août 1905,- vol. X, fasc. 8.) Les
nimaux tétanisés ; par 'ft- BERTI. (Rivista di pathologia nervosa e
mentale
. Florence, août 1905, vol. X, fasc. 8. Par se
e de Parkinson; par SONNA SALARIS. (Rivista di pathologia nervosa e
mentale
. Florence, août lu03, vol. X, fasc. 8.) Dans
inisme sporadique ; par O. LUG.1R0; (Wvista di pathologia nervosa e
mentale
, Florence, janvier 1005, jvul. X, rase ? ) .
e diffuse; par Renato lE131ZZI. (in Rivista de pathologia nervosa e
mentale
. Florence, février 1 ! ! Oa, -ol. \, fasc. ` ?
é rare ; par CERLITTI el PFRUSINI. (Rivista di pathologia nervosa e
mentale
. Florence, août 190b, vol. X, fase. 8.) Les aut
tat des réflexes, delà sensibilité, des organes des sens, et l'état
mental
. Ils discutent certains signes spéciaux, tels q
onique progressive ; par Daudi. (In Rivista di pathologia nervosa r
mentale
. Florence, avril 190.'). vols, fasc. 4.) L'au
teur rappelle que l'élément fondamental dans le tic est. le trouble
mental
, le désordre de la volonté, facteur mental de la
s le tic est. le trouble mental, le désordre de la volonté, facteur
mental
de la production. Grâce à la mise en valeur de
; par LIOBCRTO ALFXANDRI ; (7) ! . Rivista di pathologia nervosa e
mentale
. Florence. Février 1\J03, Vol X. Fasc. 2). Il
ail, exécuté à la Clinique infantile, a en vue l'étude des troubles
mentaux
posttebriles chez l'enfant au-dessous de 15 ans.
bien connus en France depuis tes travaux de Régis sur la confusion
mentale
; ils sont rares chez l'enfant , et une introduc-
eur et peu docile. XVI. FAlTO ? (Emile). Imbécillité et instabilité
mentale
. Cet enfant indiscipliné, turbulent, tout à fai
oite; il trace plus ou moins bien toutes les lettres. L'instabilité
mentale
, quoique amoin- drie, existe encore. Pour la va
pltale à un degré très prononcé, atteint d'idiotie et d'instabilité
mentale
. A son arrivée l'enfant ne sa- vêtements. Il ét
tre le chiffre et la quantité correspondante. 1902. L'instabilité
mentale
a diminué sensiblement, il écoute avec attentio
our l'arithmétique, il résout assez vite et avec justesse un calcul
mental
, connaît bien toutes les mesures métriques et f
il a une aptitude particulière, il en est de même pour le calcul
mental
, il compte de tête avec une exactitude et une rap
la plus grande difficulté à lui faire saisir le plus simple calcul
mental
. Tout ce qu'on est parvenu à apprendre à cet en
dré), né le 13 octobre 1893, entré le 20 décembre 1903. Arriération
mentale
, chorée, strabisme, affaiblissement du bras gau
toire de France par J. Miche- lel. V. pages 43, 44, 45.) CLINIQUE
MENTALE
Folies traumatiques et accidents du travail ;
pouvoir en tirer quelques considérations générales sur les troubles
mentaux
en rapport avec ces traumatis- mes crâniens et
niens, 1905. Archives, 2" série, 1903, t. XXI. ? 0 306 clinique
mentale
. La question du diagnostic des psychoses trauma
e le médecin connaisse la pathogénie et le pronostic des troubles
mentaux
consécutifs au traumatisme. Au point de vue pat
ogénique, il faut naturellement envisager deux variétés de troubles
mentaux
: ceux qui surviennent chez les sujets qui prés
ne) éclairer le terrain ; l'adjonction du chirurgien 30S CLINIQUE
MENTALE
. au psychiatre paraît ici indispensable pour ré
ltérieure. Pas d'hérédité, persistance de l'épilepsie avec troubles
mentaux
associés, mais pas de trou- bles moteurs, à la
e ayant entraîné le trépan dans les deux cas. Epilepsie et troubles
mentaux
associés (trépa- nation sans disparition des tr
associés (trépa- nation sans disparition des troubles physiques ni
mentaux
). Dans le deuxième de ces cas, il y eut un élém
s succès d'ailleurs au point de vue de l'épilepsie, ni des troubles
mentaux
, puisqu'il passa à l'asile. La hromuration dimi
de rupture d'anévrisme. Plu- sieurs frères sans troubles nerveux ou
mentaux
. Observation V. - Cerf ? quarante-neuf ans, com
ux mois après, sa figure se contractait par instant, 310 CLINIQUE
MENTALE
. , surtout à droite. Puis, peu à peu, les attaq
tent bien nettement qu'ils sont en rapport direct avec les troubles
mentaux
, indépen- damment et sans préjudice des prédisp
juillet 1900, sur la demande de sa femme. Il s'agit là de troubles
mentaux
transi- toires immédiats ; reste' savoir ce que
Date d'apparition. Pour transitoires que parais z sent les troubles
mentaux
immédiatement consécutifs, ils n'en sont parfoi
sme ancien, devient surtout délicat, d'autant plus que les troubles
mentaux
crui se montrent plusieurs mois ou plusieurs an
si on objectait que, chez plusieurs, l'affaiblisse- 312 CLINIQUE
MENTALE
. ment démentiel fùt plutôt fonction d'épilepsie
n entraîne nécessairement de graves conséquences, au point de vue
mental
, pas plus qu'on ne saurait prétendre que le pro-
es, atteint de paralysie générale considérée comme 314 ' CLINIQUE
MENTALE
. consécutive à une série de chutes professionne
ves à la plupart de ses accidents, sauf toutefois pour l'incapacité
mentale
ultime. Observation X. - Un autre malade, touch
iné par le Dr Dagonot, qui si- gne le certificat suivant : Débilité
mentale
avec alcoolisme; cau- chemars, hallucinations t
de nous adresser les notes suivantes à son sujet. 316 CLINIQUE
MENTALE
. « Peu après son admission à Tournay, Cord ? es
paragraphe II des articles 1 et 20 de la circulaire sis CLINIQUE
MENTALE
. du Ministre de la Justice, en date du lOjuin l
r à M. Régis laconfu- sion d'un délire alcoolique avec des troubles
mentaux
autres, consécutifs aux traumatismes. Or, il no
élbylique des délires lraumaliqucs de ce genre. 320 . CLINIQUE
MENTALE
. malgré les recherches attentives et n'a aupara
e disproportion évidente entre le traumatisme, leschok, physique ou
mental
,et les troubles consécutifs. Cette forme s'obse
r l'acci- dent et crainte de ses suites ; insomnie, introspection
mentale
, hypertrophie du moi, dépression mélancolique à
sation présente; il réalise alors, conformément aux lois du vertige
mental
, ce qui lui est repré- senté fortement, en l'ab
i, elle inhibe le réflexe du vomissement, tont comme, en orthopédie
mentale
et morale, elle réfrène les mauvaises habitudes
ug- gestion, peut suffire à ramener le calme, à équilibrer l'état
mental
. Un vieil adage enseigne que « la nuit porte co
nés nous relevons les suivants relatifs à des travaux de pathologie
mentale
et nerveuse . .. Prit : Alvanettqa de Piauhy «
à l'auteur du meilleur travail sur la thérapeutique des maladies
mentales
et sur l'organisation des asiles publics et privé
rage ou obtenu les meilleurs résultats de guérison sur les maladies
mentales
en en arrêtant, ou en en atténuant la marche te
ix CitJ1'ieu,c, -800 francs. Question de l'homicide en pa- thologie
mentale
. Prix Théodore lier pin (de Genève). 3.000 fran
rix sera décerné il à l'auteur du meilleur travail sur les maladies
mentales
. Nota. Les concours de l'Académie sont clos, to
e Médecine, consacré plus de quarante années à l'étude des maladies
mentales
el, à l'amélioration du sort des aliénés. Ses a
on. Vol. XXI. Mai 1906 Nu 125 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
Folies traumatiques et accidents du travail ;
bservés dans le service nous ont paru/cor- respondre à des troubles
mentaux
développés à assez^n- gue échéance (3 ou 4 anné
-1, page 305. Archives, 2' série, 1906, l. XXI. 23 354 CLINIQUE
MENTALE
. hies, des idées fixes et de persécution du dér
ifficile d'établir le rapport effectif avec les troubles nerveux et
mentaux
actuels;une partie semble toutefois s'y t'éfél'el
blissement des facultés intellectuelles et de la mémoire, confusion
mentale
, consécutives à un traumatisme accidentel datan
uelle il se retranche est niaise et indique la débilité de son état
mental
. Le traumatisme, qui a pu donner un coup de fou
mental. Le traumatisme, qui a pu donner un coup de fouet à un état
mental
antérieur déjà déséquilibré, n'a joué qu'un rôl
e que l'observation clinique nous permet d'affirmer. 356 CLINIQUE
MENTALE
. Oas. XV. M. Tissot a présenté, le 28 décembre
u compte de phénomènes pure- ment subjectifs, conséquence de l'état
mental
de l'ouvrier, la volonté de celui-ci de plus ou
nique de la malade montre chez elle une prédisposition aux troubles
mentaux
qui se révèlent pal' quelques tares et dans div
dmettre des accidents cérébraux traumatiques réalisant des troubles
mentaux
analogues à ceux des dé- générés, sorte de dégé
et très lourds sans que pour cela ils influent forcément sur l'état
mental
morbide dû à l'ac- cident. Celui de nos malades
vation \'1 111azill ? trente-quatre ans, célibataire 358 CLINIQUE
MENTALE
. maréchal ferrant, interné pour paralysie génér
udié par un spécialiste. » Sur le terrain des troubles cérébraux ou
mentaux
as- sociés au traumatisme, la simulation ou du
a famille, qui vint récla- mer peu après un certificat d'aliénation
mentale
. L'entrée à l'asile parut être un moyen d'obten
devra pas borner à- l'état physique ; il devra s'éten- dre à l'état
mental
, en raison de ce fait que l'argument principal
faut qu'il y ait eu quelque modification dans l'état 362 CLINIQUE
MENTALE
. \ mental du malade, ou tout au moins un sympôm
ait eu quelque modification dans l'état 362 CLINIQUE MENTALE. \
mental
du malade, ou tout au moins un sympôme phy- siq
que comportera de même ces deux points de vue, celui des troubles
mentaux
spéciaux en rapport avec le shock récent et cel
e des suites, il faut distin- guer ici des incapacités physiques et
mentales
(mutilés cérébraux). Pour chacune d'elles, il 3
succéder : 1° Il peut y avoir incapacité temporaire par troubles
mentaux
passagers immédiatement consécutifs à l'acci- d
arente des conséquences psychiques immédiates recou- 364 CLINIQUE
MENTALE
. vre souvent une altération lente mais ultérieu
serve une communauté de phénomènes non moins grande dans le domaine
mental
de l'épilepsie et de la migraine. L'obtusion ré
aucune raison. L'une des soeurs de la mère est frappée d'aliénation
mentale
; la seconde seule est bien portante- au point
reprit de la vigueur physique et devint plus calme au point de vue
mental
. Elle n'eut ni migraine, ni attaques d'épi- lep
tat impulsif ou d'une perversion sexuelle avec trouble du domaine
mental
. C'est le premier groupe de cas qui nous intéress
LPÊTRIÈRE. - Le D1- DENY : conférences clini- ques sur les maladies
mentales
, le dimanche à 10 heures, section Rambuteau.
n. Vol. XXI. Juin 1906 No 126 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
Troubles mentaux dans la sclérose latérale #
in 1906 No 126 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Troubles
mentaux
dans la sclérose latérale # amyotrophique ; .
de l'Asile d'aliénés de la Roche sur-l'on. L'existence de troubles
mentaux
dans la maladie de Charcot n'est pas admise san
el, ni perte de la mémoire, ni idées délirantes, ni affaiblissement
mental
. « Les malheureux se rendaient parfaitement com
30 mai 1905.) Archives, 2° série, 1906, l. XXI. 30 434 CLINIQUE
MENTALE
. Des ouvrages de psychiatrie les plus récents,
atrie les plus récents, un seul consacre un paragraphe aux troubles
mentaux
de la sclé- rose latérale amyotrophique. Dans l
la sclé- rose latérale amyotrophique. Dans le traité de médecine
mentale
de G. Ballet, M. Dupré, après avoir rappelé l'o-
émontrer que, dans la sclérose latérale amyctrophique, les troubles
mentaux
peuvent exister, non seulement sous la forme dé
. C'est donc, en quelque . sorte, un nouveau chapitre de clinique
mentale
que j'entreprends d'amorcer dans les pages qui
nique (sclérose latérale (1) Gilbert 13nLLr - Traité [de pathologie
mentale
. Paris, 1903. LA SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHI
e la face, il y a une hémiatrophie de la langue très 43G Clinique
mentale
. marquée à gauche ;la pointe est déviée de ce c
érale amyotro- phique, ce malade présente un ensemble de troubles
mentaux
qui constituent une véritable psychose dont le
mesure que l'affection progresse, de nouveaux signes 438 CLINIQUE
MENTALE
. psychopathiques se font jour; c'est une instab
aire comprendre. Il y a trois ans environ que parurent les troubles
mentaux
à la suite d'une accusation de vol portée menso
u voile du palais. L'impossibilité de la comprendre rend l'examen
mental
assez difficile, surtout en ce qui concerne l'é
ée énorme et passagère ; en ? é ! l\C temps on cons- 440 CLINIQUE
MENTALE
. tate de l'albumine dans les urines. Elle succo
ui l'entourent. Devenu tout à fait impotent, il suc- 442 CLINIQUE
MENTALE
. comba le 19 août 1896 à des accidents bulbaire
seignements de .police délivrés, sur son compte font 444 CLINIQUE
MENTALE
. connaître ce qui suit : « 11 y a quelques mois
es nerveux (sclérose latérale amyotrophique) compliquée de troubles
mentaux
de nature dé- mentielle et d'excitation passagè
s objet fixe. (Les quelques éclair- cissements fournis sur cet état
mental
, permettent de supposer qu'il s'agissait d'une
u'il s'agissait d'une sorte d'hébétude démentielle avec confu- sion
mentale
passagère). Il avait aussi des hallucinations de
ession insensi- ble des phénomènes médullaires et bulbaires. L'état
mental
reste celui de la démence pure et simple avec h
nous voyons évoluer à la fois l'affection médullaire et un trouble
mental
dont la physio- nomie est vraiment remarquable
es instinctifs de nature impulsive. Le soupçon qui 440 . CLINIQUE
MENTALE
a pesé sur le malade, d'avoir à deux reprises d
es-d'Olonne avec le certificat suivant : « Est atteint d'aliénation
mentale
caractérisée par une diminution de toutes les f
, fait ses nécessités sur le parquet. (Accès passagers de confusion
mentale
démentielle.) Madame ,1 ? a fait la déposition
ivante : « Depuis trois ans, mon mari ne jouit plus de ses facultés
mentales
; plusieurs fois il a voulu me tuer ; il prend
es gauches. La circonférence du bras droit est de 34 448 CLINIQUE
MENTALE
. cm. ; celle du gauche de 32 cm. la circonféren
le quantième, le jour de la semaine. Il ignore où il est. Son état
mental
est caractérisé par l'indifférence, l'hébétude
lé- rose latérale amyotrophique peut être accompagnée de troubles
mentaux
d'un caractère plus ou moins grave, depuis la d
raux, dans la Archives, 2. série, 1906, t. XXI. 31 450 CLINIQUE
MENTALE
. maladie de Charcot, se poursuit au-delà de la
- les. Cette induction s'accorde bien avec la nature des troubles
mentaux
observés, qui sont ceux de la démence globalc,
ajoute (page 511) une 4e zone, plus extérieure où le tissu fonda-
mental
névroglique semble conservé, où prédominent des
mieux. Amélioration notable. - LXXXV. Imbécillité et instabilité
mentale
. CHOQU ? (Marie), née le 17 juillet 1892, 12 an
bécillité légère, d'arriération intel- lectuelle,. 2° d'instabilité
mentale
et physique (sans perversion des instincts) ; 3
L. LXXV. - Des altérations cytologiques du sang dans les maladies
mentales
; par Klippel et LEF : 1S. (L'Encéphale, 1906 n
t en revue les résultats des recherches faites dans diverses formes
mentales
et dans certaines mala- dies nerveuses à compli
upçonnée pour d'autres raisons comme étant à l'origine des troubles
mentaux
: c'est ainsi que les déli- res des alcooliques
nt privé ou public peut recevoir une personne atteinte d'aliénation
mentale
si une demande d'admis- sion lui est présentée,
temental de Pau ; par le Dr CRocQ. [Bull, de la Société de Médecine
mentale
de Belgique, loin, no 11').) Le Dr Crocq mont
e Neurologie, M. le I) CROCQ, président de la Société de Méde- cine
mentale
; Vice-Présidents : 11. le Dr Bienfait, vice-prési
ogie; 1[, le Or J1abii.de, vice-président de la Société de Médecine
mentale
; Secrétaire général : M. le Dr )IASS4UT, secré
e général : M. le Dr )IASS4UT, secrétaire de la Société de Médecine
mentale
; Secré- taires des Séances : MM. les D'9 110ULE
étaires et bibliothécaire des Sociétés de Neurologie et de Médecine
mentale
. 1" Rapports, Ces rapports, au nombre de trois,
chologie de l'Université de brucelles. c) Psychologie : Les tests
mentaux
chez les enfants. Rapnor- )1. le Dr Decroly. di
icart Journ. of insanity. SitEpnnRn Ivonv FIt,\N7.. - The time of
mental
processus in the- retardations and excitement o
ogénie de la maladie de -, par Salmon, 418. Voir Dégé- nérescence
mentale
. Basophobie. Observation d'un cas de - il typ
ue, par Féré, 141. Crampe des écrivains et torticolis d'origine
mentale
, par Bonnus, 332. Crétinisme. Le sporadique,
ue précoce consécutive v une pleurésie aiguë, 200. Dégénérescence
mentale
et mala- die de Basedow, -par Dromard et Leva
ires de la - physique au point de vue de la psychologie expéri-
mentale
, et de la séméiotique de la simultalion, par Ce
73. Sang. Des altérations ytoiogi- ques du - dans les maladies
mentales
, pnr Klippel et Lefas, 501. L Sarcoplasma. Vo
male, par Lejonne et 1-hermitte, - - latérale. Voir Trou- 1)les
mentaux
. Scoliose alternante avec lombo- sciatique dr
ur les de la parole chez les écoliers belges, par Romna, 425. - -
mentaux
dans la sclérose latérale amyotrophique, par Cu
SSEY ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
PUBLIEE sous LA DllIgCT¡ON 01 : c il A il c 0
ol. XVII. Juillet 1889.. Nu 52. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
MENTALE
DES TRAUMATISEES DU CRANE DANS LEURS RAPPORTS
E DES TRAUMATISEES DU CRANE DANS LEURS RAPPORTS AVEC [/ALIÉNATION
MENTALE
; Par le D' J. CHRISTIAN, Médecin de la Maison
é avait repris ses occupa- .\.RCIII\'ES, l. X\ïII. I 2 PATHOLOGIE
MENTALE
. tions, était retourné à ses affaires. S'il y a
(Gall, Fonctions du cerveau, Paris, 185, I, p. 411.) 4 PATHOLOGIE
MENTALE
. Ailleurs (Anat. et Physiol. du syst. nerveux e
surprise, la rareté des documents. Ce n'est pas que, 6 PATHOLOGIE
MENTALE
. dans l'histoire pathologique d'un individu, le
à l'influence de ces trau- matismes sur la production des maladies
mentales
, nous devons reconnaître qu'elle ne paraît pas
ur moi, j'incrimine avant tout la lésion du cerveau. 8 PATHOLOGIE
MENTALE
. dès la première enfance, prédisposent à la fol
sur la tête, dit Bayle, peuvent dispo- ser à l'espèce d'aliénation
mentale
que nous décri- vons, en imprimant au cerveau d
a pathogénie des maladies men- tales ». (Morel, Traité des maladies
mentales
, p. 144.) Griesinger est un de ceux qui ont le
rès, que l'on voit éclater la maladie mentale. » (Traité des mal.
mentales
, trad. Doumic, Paris, 1865, p. 211.) C'est Schl
2 hommes, 7 femmes) de folie traumatique. Dans 19 cas, la maladie
mentale
éclata moins de 1 an après l'accident; mais trè
4 suile d'insolation), conclut d'abord à l'identité 10 PATHOLOGIE
MENTALE
. d'effet des coups sur la tête et de l'insolati
ns dire que les effets produits varient singulière- 12 9 PATHOLOGIE
MENTALE
. ment, suivant la nature et le mode d'action de
Les choses ne vont généralement pas jusque-là : la 14 PATHOLOGIE
MENTALE
. perte de la mémoire se borne d'ordinaire aux f
étourdie un instant, mais se relève aussitôt, donne 16 Ô PATHOLOGIE
MENTALE
. "- le bras à son mari et sort de la gare ave
u guérir. On a vu des blessés Archives, t. XVIII. 2 18 PATHOLOGIE
MENTALE
. survivre à des fractures du crâne, à des perte
que Bernadotte est mort octogénaire en 1844, et que, 40 PATHOLOGIE
MENTALE
. jusqu'à la fin de sa vie, il a conservé toute
cas, dont 72 ont guéri. Mais pour combien de temps ? 22 PATHOLOGIE
MENTALE
. tion dans le tissu qu'elles occupent; mais ell
r lequel le choc a porté (Sem. méd., 1888, p. 251). 24 PATHOLOGIE
MENTALE
. De toutes façons, il faut admettre que, chaque
in Gaz. ceci. de Strasbourg, 7 mai 1878, p. 60.) , 26 PATHOLOGIE
MENTALE
. faits, assez nombreux, où jai trouvé ces lésio
à peu près perdu. Cinq ans après, premiers signes de déran- gement
mental
, puis paralysie générale qui nécessite son place-
manicome de Reggio, publièrent leurs premières recherches expéri-
mentales
sur les centres psycho-sensoriels de l'écorce c
ait s'entendre qu'en admettant que le siège des images de la vision
mentale
était distinct de celui des perceptions visuell
dant à la tache jaune de la rétine, abolit, en ce point, les images
mentales
de l'animal, ainsi que la possibilité de nouvel
n quoi consiste cette cé- cité corticale ? Dans la perte des images
mentales
ou dans celle des sensations brutes de la vue ?
te conception d'un « engrenage » du centre fonctionnel de la vision
mentale
, et de tout centre sensoriel ou sensitivo-moteu
p moins à la priorité de l'hypothèse qu'à sa vérification expéri-
mentale
. » Evidemment la pensée fondamentale de Luciani
able à Luciani. On le voit, dans ces nouvelles recherches expéri-
mentales
comme dans les premières, ce physiologiste a pe
ites du lobe occipital, et que chaque partie du centre de la vision
mentale
y est en rapport avec les fibres des faisceaux
ertébrés le même siège que les perceptions distinctes et les images
mentales
. De même chez les mammifères. Cette doctrine pe
du centre cortical correspondant. Si les perceptions et les images
mentales
étaient seules loca- lisées dans l'écorce, l'ab
t et du toucher. Bref, ces singes avaient perdu les représentations
mentales
des objets. Quant auxétudescliniques et anato
rganes, non pas exclusifs, sans doute, mais essentiels de la vision
mentale
. L'hémianopsie bilatérale homonyme, consécutive
des transfor- mations des sensations en perceptions et en images
mentales
ont pu être étudiées par la méthode expéri- men
et en images mentales ont pu être étudiées par la méthode expéri-
mentale
et par la méthode anatomo-clinique. Dès 1878, L
s de perceptions élémentaires des sensations et des dépôts d'images
mentales
. Dès l'origine, ils ont défini l'hallucination
ages intenses de l'hallucination'. Hitzig, Ferrier et ' K Une image
mentale
, quand elle est suffisamment intense, est perçu
le est projetée au dehors comme une sensation extérieure... L'image
mentale
est perçue LES FONCTIONS DU CERVEAU. 57 Munk
une image comme on perçoit une sensation. » Alfred Binet, La vision
mentale
. (Re ? philos., avril 1889,) 00 PHYSIOLOGIE.
omme le soutient Munk, un centre de perceptions auditives, d'images
mentales
de l'audition, et de sen- sations simples, élém
de ces bruits ou de ces sons. C'est bien l'idée, la représentation
mentale
auditive du mot, qui est effacée dans la surdit
t. » (A suivre.) RECUEIL DE FAITS IMBÉCILLITÉ LÉGÈRE. INSTABILITÉ
MENTALE
AVEC PER- VERSION DES INSTINCTS ET IMPULSIONS G
u'à douze ans. - Arrêt de développement intellectuel. - Instabilité
mentale
. Lymphatisme ; salacité. - Idées de moquerie. -
s eu d'attaques. - Grand-père, mort d'un IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ
MENTALE
. '111 cancer de la face. - Cousine, idiote épil
ontrarié et surtout quand on le battait. IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ
MENTALE
. 1 13 Sa mère pense qu'à la maison il ne se mas
de chambre d'isolement dans la section. IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ
MENTALE
. 115 21 octobre. - Roséole à l'état naissant. L
oile est rouge, comme oedématié. Exulcé- IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ
MENTALE
. z17 7 ration de la partie inférieure du gland
e se masturber mais moins fréquemment. IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ
MENTALE
. " 119 9 1884. 27 février. Eruption pustulo-cru
ours pour les épileptiques adultes (B.). IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ
MENTALE
. d21 long de 25 centimètres environ. On fait un
e là, des obstacles à leur placements. IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ
MENTALE
. -123 lève tard, sous prétexte qu'il est fatigu
quée d'épilepsie; du côté maternel, le ner- vosisme et l'aliénation
mentale
. Notons aussi la mort par convulsions de plusie
nt trop fréquente et qui n'a d'autre résultat que d'aggraver l'état
mental
. IV. - Placé à quatorze ans en apprentissage, s
l. IV. - Placé à quatorze ans en apprentissage, son instabi- lité
mentale
devint de plus en plus évidente : il fut renvoyé
s très accusées chez ce malade. De bonne IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ
MENTALE
. Il-)5 heure il se livra à l'onanisme, et essay
ensualités générale et spéciales dans CERTAINES FORMES DES MALADIES
MENTALES
, par M. fI`7FELSTEI\. , (W1'atsch, 1888, 31, 36
27 mai 1889. - Présidence de M. Falret. Classification des maladies
mentales
(suile de la discussion). - M. RALL estime que,
r, tout à coup, un syndrome (la capra- lalie) révélateur, d'un état
mental
défectueux antérieurement. Ces deux manifestati
et l'incoordination motrice) témoins à leur tour de dégénérescence
mentale
de la malade. Il manquerai t le syndrome ectrol
alie. L'un et l'autre relèvent d'une même cause : la dégénérescence
mentale
. J M. A. Voisin qui fait des recherches sur l'a
ine bien faite pour dérouter quand elle ressemble plus par son état
mental
sombre à l'alcoolisme qu'à celui des hystériques
fication. C'est le BIBLIOGRAPHIE. 189 meilleur moyen, en médecine
mentale
, de présenter, fidèlement les manières de voir
des maladies du Système nerveux, le second dans celle des maladies
mentales
. La LOI sur les aliénés en ITALIR. M. A. Verga
orteur); 4° Application de la thérapeutique suggestive aux maladies
mentales
et plus parlicu- lièrement : Peut-on instituer
eut-on instituer une thérapeutique suggestive sérieuse des maladies
mentales
? Peut-elle être mise en oeuvre seulement au mo
IIOE.-Nous trouvons dans le numéro de jan- vier de « The journal of
mental
science » l'historique de cet asile ce mis son
I-XUENCES DE L'APPAREIL GÉNiTAL SUR LE DÉVELOPPEMENT DES MALA- DIES
mentales
. - La Société médico-légale de New-York vient de
re de l'asile d'aliénés de Boreatton-Park et piofesseur de maladies
mentales
à l'Universily *y Collège de Londres - J. Macla
'écorce sont les suivantes : La première composée du tissu fonda-
mental
névroglique, avec ses éléments cellulaires, par
is le sont évi- demment dans la substance blanche. 186 PATHOLOGIE
MENTALE
. La coupe d'une circonvolution du lobe occipita
pèces de cellules de la couche granuleuse. (A suivre.) PATHOLOGIE
MENTALE
DES TRAUMATISMES DU CRANE DANS LEURS RAPPORTS
E DES TRAUMATISMES DU CRANE DANS LEURS RAPPORTS AVEC L'ALIÉNATION
MENTALE
» ; PAR LE 1)' J. CIIRTSTIA\ Médecin de la Ma
vécut jusqu'à quarante ans. 1 Voir le 11- 52, p. 1. 88 PATHOLOGIE
MENTALE
. Observation XVII. - B..., trente-quatre ans, c
un très mauvais caractère. (Gall, loc. cil., p. 32.) 190 PATHOLOGIE
MENTALE
. de Krafft-Ebing ne supportait plus même de min
mois. (Dubois (d'Amiens), Eloge (1'01 filzi.) 'H) : 2 PATHOLOGIE
MENTALE
. l'absorption, au point d'être transparent dans
mme guérit, mais en restant Archives, t. XVIII. 13 194 PATHOLOGIE
MENTALE
. paralysé du côté droit; il eut des mouvements
aumatismes : on en jugera par le tableau suivant : 196 PATHOLOGIE
MENTALE
. d'un arbre, dans une cave, ou une carrière, et
reçus sur la tête, et n'ayant laissé aucune trace. 198 PATHOLOGIE
MENTALE
. folie est nettement déclarée : c'est le temps
tes les causes que nous invoquons dans l'étiologie des mala- dies
mentales
: tantôt il intervient comme cause déter- minan
tombe dans une profonde mélancolie, et meurt para- 200 PATHOLOGIE
MENTALE
. lytique général. Est-il téméraire de supposer
est ainsi que l'on peut voir survenir l'une ou l'autre des maladies
mentales
: manie, délire de persécutions, folie circulai
erreurs qu'il serait facile de commettre, je citerai 202 PATHOLOGIE
MENTALE
. les faits suivants : ils semblent démontrer qu
e la chute, au lieu d'être la cause, a été le résultat d'un trouble
mental
déjà bien prononcé et qui doit être rattaché au
traumatisme (fracture du crâne, épanchement de sang, 204 PATHOLOGIE
MENTALE
. esquilles, etc.), - il en est une autre bien p
fiance des accidents de début, l'expert devra toujours 6 PATHOLOGIE
MENTALE
. - DES TRAUMATISMES DU CRANE. montrer la plus g
rimé et quel est son mode d'action. Main- ' Les causes des maladies
mentales
sont toujours complexes et mul- tiples, même da
PACHYDEXMtQUE (CHARCOT); Par P. KOVALEVSKI Professeur de maladies
mentales
et nerveuses a l'inisersité de KharcofT'. L'his
as de myxoedème chez un enfant ; il émit l'opinion que l'altération
mentale
chez les adultes dépendait d'un procès patholog
e travail fut devancé par celui d'Ord. D'après Hadden, l'altération
mentale
de ces maladies dépendait des troubles du systè
eiues yvaér. de méclec., 1879, p. 677. , °- Savage.- The Journal of
mental
Science, 1880. 3 Goodhart. Médical Time.9 and G
onde anémie, une lésion cutanée et sous-cutanée et une altération
mentale
. Il traite la maladie de souffrance constitutionn
allucinations de la vue et de l'ouïe, affaiblissement de l'activité
mentale
, de la mémoire, difficulté du langage, un somme
hallucinations des organes sensoriels; affaiblissement des facultés
mentales
avec délire de persécution et agitation qui pri
énomènes suivants : lenteur des mouvements, altération des facultés
mentales
, température constamment sous-normale, diminuti
roits chauves de la tête se couvrirent de cheveux. En fait d'état
mental
dépression profonde, irritabilité, mauvaise humeu
ic crétinisme occuring in England. 3 Fletcher Beach. The Journal of
mental
science, 1870, n" 2h . Riess. Bedinei' kt. Woch
oedème avec tous ses symptômes, cependant l'activité psychique et
mentale
ne s'altère que médiocrement; cette altération s'
ence de la glande, car il y a des cas ou l'altération de l'activité
mentale
, du moins le premier grade de cette attération,
nière n'est pas saine, conséquemment, si l'altération de l'activité
mentale
précède l'opération, on peut supposer que c'est
urgien le fasse; donc rien d'étonnant que l'altération des facultés
mentales
chez les sujets soumis à l'extirpation de la gl
ssus, sans ménager les tissus nerveux, et se traduit par l'hébétude
mentale
et le ralentissement de la motilité en général
d'eau de Seltz ou d'eau de Saint-Galmier. 268 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. z69 s'améliora
int-Galmier. 268 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. z69 s'améliora tellement, que l'on put croire
ion DE la barbe chez une femme; par Geo. H. SAVAGE. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1886.) On sait comment certa
que des résultats assez peu satisfaisants au point de vue de l'état
mental
. Mais lorsque l'on eut enlevé près d'un millier d
l'estomac, avec commentaire; par C. S. W. CUBBOLU. (The Journal of
mental
Science, avril 1886). Cetle observation est rel
gnorée, le diagnostic ne put être fait en temps utile; l'incapacité
mentale
où se trouvait d'ailleurs cet aliéné de rendre
inal appréciable jusqu'au moment où l'in- 12-io REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. tetisité de la tympanite rendit impossible le
GENCE ET DU système nerveux; par Alex. ROBERTSON. (The Journal of
mental
Science, juillet 1886.) L'auteur rapporte deux
'en effet, chez la jeune fille de quatorze ans REVUE DE pathologie
mentale
. 27l 1 dont il s'agit, le trouble mental avait
ans REVUE DE pathologie mentale. 27l 1 dont il s'agit, le trouble
mental
avait plutôt la forme du délire que celle de la
gressé d'une façon presque parallèle. R. M. C. VII. UN cas DE folie
mentale
ou DE défectuosité morale congénitale, avec rem
congénitale, avec remarques; par D. RACK 'l'UICE (The Journal of
mental
Science, octobre 1885). L'auteur rapporte avec
orte avec soin l'observation d'un homme qui 272 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ne parait avoir été qu'un malade, - bien qu'il
en avait que deux qui fussent absolument indemnes de toute anomalie
mentale
. Inversement, on voit des aliénés réels, amplif
résultat d'études faites à la prison cellulaire REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 273 de Eribourg, construite d'après les nouvea
ON VOLONTAIRE AVEC PERSISTANCE ; par ERIC SINCLAIE. (The Journal of
mental
Science, avril 1886.) Il s'agit d'un homme, att
e, consécutivement à la castration, aucune amélio- ration de l'état
mental
. Quelque temps après, ce malade réussit à s'int
mie. R. M. C. SOCIÉTÉS SAVANTES CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE
MENTALE
Tenu à Paris du 5 au 10 août 1889. Séance du
'hallucinations ; elles ne se transforment pas en d'autres maladies
mentales
et n'aboutissent jamais à la démence ; elles pe
M. J. MOREL (de Gand) propose, au nom de la Société de méde- cine
mentale
de Belgique, un projet de statistique internation
e de Belgique, un projet de statistique internationale DES maladies
MENTALES
: 1° manie (délire aigu) ; 2° mélancolie ; 3° fo-
quement. Finalement le projet présenté par la Société de méde- cine
mentale
de Belgique est adopté sans modifications. Séan
ainsi que le fait remarquer M. Ballet, beaucoup parmi les maladies
mentales
ne s'accompagnent pas de lésions matérielles do
e Baillarger, ne sont autre chose que des phénomènes d'articulation
mentale
inconsciente rapportés par les malades à des pe
les peuvent parfaitement bien se transfor- mer en d'autres maladies
mentales
(paralysie générale par exem- ple) et aboutir à
s bien distincts, coexistants, mais non confondus; l'un dû à l'état
mental
préexistant, l'autre à l'intoxi- cation cocamiq
ol et l'augmentation du nombre des crimes et des cas d'aliénation
mentale
. En France, de 1873 à 1877 la quantité moyenne an
le ; l'ivresse pa- thologique, c'est-à-dire d'une part les troubles
mentaux
aigus ou chroniques dus à l'intoxication, d'aut
r les applications DE la SUGGESTION A LA PÉDIATRIE ET A L'ÉDUCATION
MENTALE
DES ENFANTS VICIEUX ET dégénérés et conclut ain
s le traumatisme peut jouer aussi un rôle étiolo- logtque (maladies
mentales
, paralysie agitante, etc.). Dans les cas de 7,É
nombreux cas, bien problématique. 1\i. GARNIER se basant sur l'état
mental
des traumatisés, les fait renlrer daus la catég
illes DE la TouRETTE répond qu'il ne nie nullement que des maladies
mentales
et d'autres puissent être provoquées par le tra
s relatives à l'élimination du sucre contrastant avec l'équilibre
mental
. Il rappelle à ce propos la communication de la S
ourra être inter- dite. Toute personne qui, du fait de l'aliénation
mentale
, n'est pas en état de veiller sur elle ou sur s
gnement scolaire. En tous cas, les malheureux atteints de débilité
mentale
, quelle qu'en soit la cause, exigent plus que tou
, ou qui traverse une période de perturbation morbide de l'activité
mentale
; la loi recevra alors son application pour la d
s. Sur les 446 expertises, on en a déclaré 62 indemnes d'aliénation
mentale
(52 hommes, 10 femmes), soit 14 p. 100 d'hommes
t les fonctionnaires, se préoccupant davantage des cas d'aliénation
mentale
douteux ou non, qu'il leur est donné de voir de
temps indispensable pour constater son état. Dès que l'aliéna- tion
mentale
est reconnue, le malade doit être placé dans un é
ndent pas toujours, il 1 Communication faite au Congrès de médecine
mentale
, danssa séance du 9 août 1889. r 2 Voir Archi
I irlandaise sur LES aliénés ; par CONOLLY y Norman (The Journal of
Mental
Science, janvier 1886). Cette étude de quelques
RIA. UNE RÉCENTE visite A GHEEL; par D. RACK TUKE (The Journal of
Mental
Science, janvier 1886). La colonie de Gheel a é
jusqu'au chiffre de 450 LITS; par C.-S.-W. COBDGLD (The Journal of
Mental
Science, janvier 1886). Ce plan est. très ingén
dans LES asiles irlandais; par E. Mazière Couhtenay (The Journal of
Mental
Science, avril 1886). Dans ce travail qui conti
s dans LES asiles d'aliénés; par VilliaM-W. IRELAND (The Journal of
Mental
Science, juillet 1886). ' L'opinion de l'aute
ligion qui défend l'usage des boissons spiritueuses. L'aliénation
mentale
en SuissE.-Suivant une statistique dressée par
alcoolisme qu'il faut attribuer cette progres- sion de l'aliénation
mentale
, la Suisse allemande étant un des pays où les h
ù les habitudes alcooliques sont les plus développées. L'aliénation
mentale
EN RussIE.-Le nombre des cas de mala- dies ment
. L'aliénation mentale EN RussIE.-Le nombre des cas de mala- dies
mentales
augmente graduellement depuis trois ans à Saint-
iénés de Saint-Nicolas et médecin enchef à la clinique des maladies
mentales
. 0. WELLER" directeur de l'asile d'aliénés de S
ive). 11 exislait un léger embarras de la parole, et de la débilité
mentale
. A l'autopsie, sclérose cérébrale (les détails de
isait, il y a déjà bien des années : « De toutes les maladies dites
mentales
, il n'en est aucune sur laquelle l'anatomie pat
l'idiotie. Soc. biologie 1851. Griésinger. = Traité des maladies
mentales
, édition française, p. 449, 1865. Magnan. Thè
et Brissaud. Archives de Neurologie, p, 391, 1880. (Bail. Maladies
mentales
, p. 823, 1880-83. Cornil et Banvier. - Histolog
régions, fonctionnellement différentes, des centres de la vision
mentale
, tandis que des cliniciens, tels que Nothnagel
açon réflexe, mais par évocation de ces images ou représentations
mentales
de la sensibilité générale et du mouvement. Il
répondérant. Quand le substratum organique de ces représentations
mentales
est détruit, il ne peut plus exister de mou- ve
res : ils ont doué ceux-ci des mêmes propriétés psychiques fonda-
mentales
que ceux-là, ce que Ferrier n'a point fait. Tou
et cherche à échapper par la fuite, - que la physiologie expéri-
mentale
constate aujourd'hui dans les lésions du noyau
e la zone excitable) avec ¡ une perte partielle des représentations
mentales
corres-' pondantes, elle viendrait à l'appui de
CHYDERMIQUE' (Charcot); Par P. KOVALEVSKI, Professeur de maladies
mentales
et nerveuses à l'Université de Kharcoff. Le pro
culté de mouvoir la langue, en partie des altérations de la région
mentale
. Du côté sensoriel, on observe parfois des anes
tait loca- lisé et occupait les pieds, les mains et la face, l'état
mental
426 REVUE CRITIQUE. présentait les premiers s
acité de travailler, d'affaiblissement de mémoire et des facultés
mentales
, de pénibles insomnies et de la crainte de deveni
S dans L1 paralysie GÉNÉ- RALE; par Geo. H. SAmAGE. (The Journal of
Mental
Science, jan- vier 1886.) Tout le monde conna
ans la paralysie générale; par le Dr T. CURl5TI.\N. (The Journal of
Mental
science, jan- vier 1886.) Exposées au Congrès
traumatique; DEUX observations; par Julius Mickle. (The Journal of
Mental
science, octobre 988ï.) Dans le premier de ces
mbose DES sinus cérébraux; par Joseph WIGLESWORTII. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1885.) . L'observation de ces
V. Trois cas DE suffocation; par David WELSI ! . (The Journal of
Mental
Science, juillet 188G.) Ces trois cas sont inté
ANORMALES DE LA RESPIRATION ; par Julius 1111CIiLE. (The Journal of
Mental
science, avril ·1ti86.) La première forme que s
11,Niti lit une note sur le cocaïnisme. Classification des maladies
mentales
. Votes. - Les conclusions du rapport de la comm
. Cette classification de laquelle sont exclues les dégénérescences
mentales
, n'est pas acceptee par la Société. Ordre du jo
ute tentative à l'effet d'établir une classi- fication des maladies
mentales
ne saurait s'appuyer que sur des données ou tro
clore la discussion engagée à la demande de la Société de médecine
mentale
de Belgique et passe à l'ordre du jour. M. Dupa
à une néphrite, probablement urémiques. Dans ces cas, l'aliénation
mentale
ne se montre que longtemps après la maladie des
haliques et semble, par ce méca- nisme, avoir engendré l'aliénation
mentale
. L'albuminurie dé- pend ici soit de la constitu
mensliualion. L'auteur a, dans un grand nombre de casd'aliéna- tion
mentale
, obsédé qu'un usage prolongé des injections sous-
pas de limites tranchées entre la santé psychique et l'aliéna- tion
mentale
. Le code pénal doit donc tenir compte des cas dan
oit entrer en ligne de compte, et l'impunité ne saurait d'affection
mentale
. D'ailleurs, c'est ce que l'on trouve dans l'espr
avec les obsessions; le médecin établit l'existence d'une affection
mentale
sans que le libre arbitre ait été atteint. Enfi
ut en outre bien déterminer dans certaines aifectiojs somatiques et
mentales
l'influence exercée par l'alcool et non les cau
émence, l'incurabilité, la terminaison, le pronostic de l'affection
mentale
, ou qui préten- dent qu'on s'est passé du divor
talement mort ? Conclusions : 1° Rejeter tout à fait l'aliénation
mentale
comme cause de divorce, c'est reculer. - 2° Il
tative et relative. 3° Le droit civil devrait spécifier l'infirmité
mentale
ayant déterminé la déchéance de la personnalité
- 4° Si le conjoint resté bien portant est la cause de l'aliénation
mentale
de l'autre époux, le divorce ne sera pas pronon
est surtout indiqué dans les formes les plus graves de l'aliénation
mentale
, dans celles qui sont les agents u'une infirmit
e en réalité que toute per- sonne interdite pour cause d'aliénation
mentale
, même pendant la période d'un intervalle lucide
ticularités. Citons, sur notre terrain, l'épilepsie, l'alié- nation
mentale
à répétition, l'inversion du sens génital. Ran-
ans un asile d'aliénés est justifié par l'existence de l'aliénation
mentale
, que le malade est atteint de telle ou telle form
ide. Il s'agit notamment de malades ayant le sentiment de leur état
mental
et qui, par appréhension, sont bientôt pris d'a
ant un développement défectueux de l'intelligence. M. JEUN. Etals
mentaux
douteux à la suite de blessures céphali- ques,
uotité de la rente à ser- vir à ces invalides du travail. Leur état
mental
n'était pas tel qu'on dût les.envoyer dans les
.envoyer dans les asiles d'aliénés. Mais il y avait bien ano- malie
mentale
. M. Jehn insiste sur cette sorte de cachexie, déj
ar nourrir des idées de persécution. C'est du reste au point de vue
mental
un sujet qui demande une observation exacte 'et
ns la croissance des ongles, ayant débuté au moment où la mala- die
mentale
empirait. La seconde observation a trait à un dém
exercée sur l'innervation et la nutrition du coeur par l'aliénation
mentale
longtemps prolongée, outre que la phy- siologie
s négations (1882) ; de l'ab- solu et de l'inhibition en pathologie
mentale
; et enfin sa dernière communication au Congrès
mentale ; et enfin sa dernière communication au Congrès de médecine
mentale
de 1889 sur l'Origine psycho-motrice du délire.
ag. 317 ; (thé- rapeutique de l' -), par Forel, 447. Aliénation
mentale
(en Suisse, en Russie), 317. Aliénés (assista
la Basse-Saxe. 454; - des médecins aliénistes, 456; -de médecine
mentale
, 274. Coprolalie, par Leerain, ,éâldS, 151. C
Crâne (traumatismes du - dans leurs rapports avec l'aliénation
mentale
), par Christian, 1,187 ; par Jehn, 464. Crime
man, 458. Lvpérmanie hypochondriaque, par "Régis, 276. Maladies
mentales
(classification des), par Bail, 151; - statl>
ard, 289 ; (indica- tions de la - dans le traitement des maladies
mentales
), par A. Voisin, 289; (application de la - à
S DE NEUROLOGFE £ REVUE MENSUELLE . DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
Fondée par .1.-111. CHARCOT & BOUJINEVILLE
ré au moment de son transfèrement à la Colonie indique : « débilité
mentale
avec accès rares d'épi- lepsie ; n'en a pas eu
ques secondes etl'enfant revient immédiatement à elle,sans troubles
mentaux
: consécutifs. Mais la nourricière avait été un
es ont elles-mêmes cons- taté une certaine amélioration dans l'état
mental
. Cinq d'entre elles notamment, enfants retardat
citerai en particulier : Marcelle ? 12 ans, « atteinte de débilité
mentale
avec périodes d'excitation par intervalles » (,
ture, la nourricière en est enchantée. Lucienne... Il ans, débilité
mentale
et périodes d'excitation. Onanisme ». Placée à
nse majorité de nos malades ne sont plus ces « démentes dont l'état
mental
nejustifiait pas d'une façon absolue le maintie
ce sont des aliénées présentant toutes les formes de la pathologie
mentale
, la plupart délirantes et beau- coup en pleine
ont jamais convenu pour l'hospitali- sation d'aliénés que leur état
mental
ne permet pas de 12 ASSISTANCE. placer dans u
s'atténuent, mais il persiste un état assez ac- centué de confusion
mentale
avec désorientation dans le temps et dans l'esp
se au Dr Shan Bolton. par Alfred W. CA 111PBELL. (The Journal ouf
mental
Science, janvier 1907.) Ce travail a pour objet
,qui est en cours de publication depuis deux ans dans le Journal of
mental
Science et n'est pas encore terminé. R. M. C. '
que et pathologie de l'épilepsie ; par John TURNRR. (The Journal of
mental
Science, janvier 1907.) L'auteur fait connaître
érale, l'auteur a constaté que, dans les autres formes d'aliénation
mentale
, on ne rencontrait pas communément les thrombus
s présentant des dé- 68 REVUE bE PATHOLOGIE NERVEUSE. fectuosités
mentales
,- lui a montré que les malades de cette caté- g
tats de l'opothérapie chez son malade en vue d'agir sur la débilité
mentale
et d'arrêter la croissance exagérée des os en c
ical (hypermusies, paramusies). F. Tisser. 76 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Yin. - Sur un cas d'aphasie-apraxie; par d'HoL
pmann a décrite sous le nom d'apraxie. G. Deny. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
I. - Sur la combinaison des états dépressifs ai
'eux à la suite d'un choc moral. F. TI s SOT. REVUE DE PATHOLOGiE
MENTALE
. 77 II. - Délire des préjudices préséniles, par
s, par Pascal et CouRBON. (L'Encéphale, 1906, n° 6.) ; Syndrome
mental
dont.Kroepelin fait une forme spéciale et qu'il
s motrices graphiques sont particulièrement- 78 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. rares (Séglas),car les images mises en jeu ont
e ou de corset, et la face postérieure des mem- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 79 bres pelviens avec la plante des pieds. Ces
u de ceinture plus ou moins large. Ch. Bonne. VI. De la confusion
mentale
aiguë et de ses particularités chez les soldats
voir pas observé une seule fois la forme mania- que de la confusion
mentale
aiguë chez les soldats lusses. La grande majori
persécution des chrétiens, etc. Cependant dans les cas de confusion
mentale
aiguë où l'obnubi- lation n'est pas très pronon
as créé une nouvelle psychose et l'on peut rattacher à la confusion
mentale
aiguë, à ]'amentia de lfeynert,la plupart des é
l'érotisme psychique et les aptitudes fonc- 80 revue bE PATHOLOGIE
MENTALE
. tionnelles périphériques. Il est d'ailleurs co
oins complets. F. TISSOT. VIII. Contribution à l'étude des troubles
mentaux
de la ma- ladie de Basedow ; par Parrhon et llA
La question des rapports de la maladie de Basedow et des trou- bles
mentaux
concomitants est loin d'être résolue. P. et M. ap
diiica- tion primitive de la fonction thyroïdienne. Si les troubles
mentaux
du basedowisme apparaissent fréquemment à la mé
eur de la fonction thyroïdienne, y a hyperthyroidisme et trou- bles
mentaux
symptomatiques. Les troubles psychiques basedo-
l paraît certain que celle-ci peut à elle seule revue de Pathologie
mentale
. Si produire des ictus convulsifs isolés, indép
e irrégulière et peut-être aussi exagérant un peu leur défectuosité
mentale
, les jugeaient irresponsables, les chefs de ser
à-dire sociétés savantes. 85 présentant,à côté des leurs troubles
mentaux
,des perversions, des manies impulsives, des hab
ion, les hallucinations psychiques dominent t les autres phénomènes
mentaux
et agissent sur le délire ; comme une malade cl
es, et afin que les asiles, ces hôpitaux de traitement des maladies
mentales
, puissent se rapprocher, dans la mesure du poss
teints d'hystérie, d'épilepsie, de chorée et même de dégénérescence
mentale
, l'indocilité peut toujours être rattachée à de
tion psychique à peu près complète, consécutive à un certain état
mental
, accompagnée des seules manifestations physiologi
ir dans une même étude les af. fections nerveuses et les affections
mentales
, en montrant les symptômes justiciables de l'un
efois, elle suivit son cours sans incident notable. Les accidents
mentaux
qui se déroulent pendant les quatre premières s
é aucun souvenir de ce qui s'est passé. En dehors de ces troubles
mentaux
, elle se montre acariâtre 100 MEDECINE LÉGALE.
ée le 10 septembre 1900 pour cause de « morphinomanie avec troubles
mentaux
hystériques ». Elle est retirée au bout de troi
e Le terme de folie avec conscience, employé pour désigner l'état
mental
de ces malades, est donc assez impropre, puisque
dividu et faire, dans ses diverses manières d'être au point de vue
mental
, le départ de l'élément sain et de z) A. CuLmuu
édi- cales et s'intéressa particulièrement à l'étude des maladies
mentales
. C'est en visitant les asiles d'Angleterre qu'il
on comme le Congrès de Lille le souhaitait : En matière d'expertise
mentale
, les ques- tions de responsabilité sont-elles d
es condition ? , notamment par le fait de démence ou d'alié- nition
mentale
; il y a alors justification ; et c'est là l'irre
ique ont toujours compris les états intermé- diaires entre la santé
mentale
et la folie. 1\.Ballet concède de la part de l'
. Il y a pres- que pléonasme à joindre à la déclaration d'intégrité
mentale
celle de responsabilité, à la déclaration de fo
dire dans les cas intermédiaires entre l'aliénation et la normalité
mentales
, en d'autres termes quand il s'agit des demi-fo
ents psychopathiques héréditaires, dela ner- vosité, de la débilité
mentale
ont pu exercer sur les détermi- nations du suje
ser aux experts les questions qu'ils ont à résoudre sur la capacité
mentale
de leurs ressor- tissants. J'ajouterai que, à c
un traitement. Le diagnostic comprend la détermination de l'état
mental
de l'inculpé et du rôle joué par les lacunes ou
s pour examiner les délinquants ou incul- pés suspectés de troubles
mentaux
, dit simplement qu'il n'y a ni crime ni délit l
ompétent pour se prononcer sur la réalité et la nature des troubles
mentaux
chez les inculpés, et sur le rôle que ces troub
affection sera toujours l'une des plus difficiles de la pathologie
mentale
, à cause des fréquentes variations d'état chez
si avec soin d'a- vec les états vraiment périodiques les affections
mentales
dont l'intermittence se rattache à des circonst
dents de dépression caractérisés par une diminution de l'activité
mentale
, de l'apathie, de l'aboulie, un caractère sombre
ubles psychiques ont consisté seulement dans un accès de puérilisme
mental
. Ce syndrome bien décrit par M. Dupré est const
olé. Quelle que soit la forme revêtue.par les perversions de l'état
mental
, excitation ou dépression, il ne s'agit en somm
n de la notion pathogénique du ner- vosisme thyroïdien. Confusion
mentale
chez un CLC)20rlClr'Oj)ZCISe. Glycosurie. Acéto
e, fit quelques abus de boissons alcooliques et eut de la confusion
mentale
après une courte période prodromique de mélanco
calins, la glycosurie et l'acétonurie dispa- rurent et la confusion
mentale
alla en s'atténuant peu à peu. Deux périodes de
s la genèse de l'achondroplasie. Ils pensent aussi que la confusion
mentale
épisodiqueaété due à une intoxica- tion d'origi
s dont la mentalité repré- sente un stade primitif dans l'évolution
mentale
de l'espèce, ainsi chez l'enfant. Certaines c
pothèse ci-dessus. Il est natmellement possible que le déséquilibré
mental
produit par ces troubles (primaires) de réactio
en idées ; le rétrécissement du champ cérébral. L'affaiblissement
mental
existait donc déjà à un certain de- gré chez Ro
nique ; il vient même la confirmer. On s'est demandé si l'affection
mentale
de Rousseau était curable. Cette affection, mél
psychoses; qu'en tout cas,la méthode a l'avantage d'éclairer l'état
mental
du mala- de et exerce sur la maladie une influe
t. Epilepsie du Dictionnaire Jaccoud. (5) BAL7,. Leçons de clinique
mentale
. (6) M.\nxAx. Leçons sur l'cpilcpsic. 182 CLI
c. Manuel de Psychiatrie, 1903. (2) AnxAUD. In Traité de pathologie
mentale
de Gilbert Ballet 1904. (3) Masselon. La Déme
atomique (octobre 1905,page 7G0). Méningite chronique et aliénation
mentale
chronique (Observations 11, 12 et 1-1). (16)
'après ces auteurs, il y aurait donc eu dès le début de l'affection
mentale
de leur malade une inflammation méningée qui gu
liquide ' céphalo-rachidien chez des sujets atteints de confusion
mentale
aiguë. Lorsque les cas de confusion mentale gué
atteints de confusion mentale aiguë. Lorsque les cas de confusion
mentale
guérissent avec intégrité de l'intelligencè, le
, le cortex a été altéré, on a les cas qui constituent les troubles
mentaux
chroniques de la démence précoce. Doutrebente e
ur les éléments nerveux et névrogliques. En dehors de la pathologie
mentale
, des évolutions pathogéniques analogues peuvent
LIÉNÉS DE LA SEINE. 203 le Une épreuve épreuve écrite de pathologie
mentale
, pour la- quelle il sera cccordé quatre heures
PAR LES D" LI' ET SANO. La séance de juin de la Société de médecine
mentale
de Belgique a eu lieu à l'asile Fort Jaco. M. L
irmières d'hôpital, mais elles n'avaient jamais soigné les maladies
mentales
. L'échec fut complet, mal- gré des tentatives d
ement au lit et les procédés modernes de thérapeutique des maladies
mentales
. Au début cela fut évidemment difficile ; nous
rasthénie n'est pas une maladie psychique, due à une représentation
mentale
, mais exprime un trouble fonc- tionnel de la ce
'objet de rapports au Con- grès de 1J0. Ce sont : 1° Les troubles
mentaux
par anomalie des glandes à sé- crétion interne.
utes les branches de la science qui s'oc- cupe de l'étude de la vie
mentale
, qui forme le caractère principal de ce congrès
bservations récentes,par lesquelles il est démontré qu'entre l'état
mental
normal et l'état mental mor- bide les différenc
lesquelles il est démontré qu'entre l'état mental normal et l'état
mental
mor- bide les différences ne sont souvent que g
ychologie pourra aider le psychiatre à comprendre les anor- malités
mentales
, à pénétrer dans ces phénomènes, ce qui suppose
st pas rare que le crime trouve sa racine dans certaines déviations
mentales
du délinquant ou du moins se rattache à un état
déviations mentales du délinquant ou du moins se rattache à un état
mental
morbide ? Et bien, que les doc- CONGRÈS INTERNA
ipline sont tous des psychiatres. La descendance, le milieu, l'état
mental
et phy- sique de l'enfant criminel ou moralemen
nniers, qui pendant leur détention, ont montré des symptômes de vie
mentale
. Assez de raisons pour conclure que c'est avec
symptôme et surtout comparer cette maladie avec les autres maladies
mentales
connues. Cette discussion ne doit pas porter su
à mon avis extrêmement original : il rentre bien dans les maladies
mentales
; mais dans toute la pathologie mentale je ne c
tre bien dans les maladies mentales ; mais dans toute la pathologie
mentale
je ne crois pas que l'on puisse trouver un déli
que bien que ces caractères n'existent dans aucune autre maladie
mentale
, il n'y a pas à rapprocher ce syndrome des confus
die mentale, il n'y a pas à rapprocher ce syndrome des confusions
mentales
ou des démences : la dissociation existe bien dan
stent chez beaucoup d'au- tres malades qui n'ont pas du tout l'état
mental
hystérique, je crois qu'ils peuvent se développ
deviennent hystériques que d'aine manière indirecte, quand l'é- tat
mental
qui les détermine est lui-même hystérique c'est-à
,de diminution de la tension psychologique, d'abaissement du niveau
mental
. Ces phénomènes forment une préparation indispe
citations on constatera un relè- vement général de toute l'activité
mentale
qui rend impossible l'apparition de phénomènes
ien peu précises et pouvoir s'appliquer à toutes sortes de troubles
mentaux
. Les définitions dans lesquelles on fait entrer
e. En un mot l'hystérie me semble être une forme de la dépression
mentale
caractérisée par la tendance au rétrécissement du
la veut dire causés par des représentations,ils sont des événements
mentaux
isolés, déterminés par une disposi- tion hérédi
se du système nerveux central. Ils sont comparables à des processus
mentaux
évoluant par le plus court CONGRÈS INTERNATIONA
schluss des auteurs allemands) et ne représentant que des processus
mentaux
trèssimples. 3 : Les stigmates sont des symptôm
les stigmates montrent des analogies nombreuses avec les processus
mentaux
simples. 5. L'hystéiie avec stigmates nous mont
c stigmates nous montre une simplification très prononcée de la vie
mentale
. 6. Les accidents sont des stigmates dans lesqu
accidents sont des stigmates dans lesquels l'intensité du processus
mental
est considérablement renforcé, beaucoup au-des-
étude de la Genèse du génie (The Genesis of Genius, The Journal of
Mental
Patlzology, Vol. VII, N° 5), j'ai souligné le f
laire des parents est au maximum, tant au point de vue physique que
mental
, comme on peut le juger des faits présentés dan
Maître, M. le Docteur V. Magnan (Leçons Cliniques sur les Maladies
Mentales
) ; ces expériences fu- rent faites sur l'épilep
ze, modiste, âgée de quarante-cinq ans, était dans un état de santé
mentale
que son internement dans une maison de santé pa
la Héllnion, donnait depuis quel- que temps des signes d'aliénalion
mentale
. Il était l'objet d'une surveillance spéciale d
. II. 3'Série. Octobre 1907. N 10 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
z Contribution à l'étude des perversions sexuel
femme ; mais les Archives, 3° série, 1907, t. II. 17 258 CLINIQUE
MENTALE
. rapports sexuels de son mari avec une femme ne
loppement du sens génésique doivent être considérés, 260 clinique
mentale
.- certainement, comme un stigmate psychique de
u à la « faiblesse de ses nerfs» de laquelle profitent 262 CLINIQUE
MENTALE
les hommes; une autre fois elle dit qu'elle con
sexuels très forts, éveillés chez elle par une seule représentation
mentale
de sa « bizarrerie » ; ce sentiment spécial, mani
caractère très précis (l'aspect d'un homme excité). 264 CLINIQUE
MENTALE
. Par conséquent, l'anomalie décrite ci-dessus d
hologique dans mes « Leçons cliniques sur les maladies nerveuses et
mentales
Il. Var- sovie 1901, p. 482 (en russe.) 266 C
et mentales Il. Var- sovie 1901, p. 482 (en russe.) 266 CLINIQUE
MENTALE
sons d'admettre que cette « bizarrerie » c'est-
sir secret de les garrotter ou de les mettre aux fers. 268 CLINIQUE
MENTALE
. A partir de cette époque, selon l'expression d
résentation des parties sexuelles de la femme en géné- 270 CLINIQUE
MENTALE
. rai produit chez notre malade un sentiment de
faction complète de ses tendances sadistiques : le ré- 272 CLINIQUE
MENTALE
. sultat était tout à fait analogue à la satisfa
t à fait analogue à Archives, série, 1907, 1. II. 1S 274 CLINIQUE
MENTALE
. l'acte d'accouplement d'un homme avec une femm
gne et lui ayant déjà une fois ligoté les mains, il se zig CLINIQUE
MENTALE
. disait que cette fois-ci il serait plus hardi
ement de l'activité de quelques titulaires d'une chaire de clinique
mentale
; il est, est-il besoin d'y insister dans la co
la Fa- culté voisine. Ce sont des recherches de médecine expéri-
mentale
, pour lesquelles le conseil général, dont l'éduca
est-il logé ? Sont-ils logés, les autres professeurs de clini- que
mentale
? Je sais bien que l'on me répondra que ce sont
changera pas ? Qui ne souhaiterait de voir les chaires de clinique
mentale
occupées toutes par des méde- cins du cadre ? Q
lié- nés, c'est que des services de Faculté aux services départe-
mentaux
voisins, se fasse un échange incessant de docu-
nternement, de médecins suffisamment familiarisés avec les maladies
mentales
pour pouvoir rédiger d'une manière à peu près c
des instables. Les arriérés, sont, il est vrai, en état de débilité
mentale
, ils ne possèdent qu'une in- telligence ou qu'u
affectés d'une incohérence de caractère, d'un manque d'équi- libre
mental
qui leur rendent insupportable la discipline gé
aire. Inutilité du traitement chirurgical dans un cas de torticolis
mental
de Brissaud. MM. SICARP et Desbomps ont essay
BINSKI et 13RISSAUn, à propos d'une ma- lade atteinte de torticolis
mental
guérie par l'excision de la bran- che externe d
e, et très souvent la suggestion se réalise. Faux cas de suggestion
mentale
. M. Félix RcGNAULT. Un alcoolique refuse de se
aurait cessé de le prendre.S'agit-il donc d'un fait de sug- gestion
mentale
? Il ne le semble pas : car cette femme est som-
pense-t-il, pour donner de bons résultats avoir pour base un examen
mental
approfondi des recrues qui pourraient être ensu
e transformée, la prison commune radicalement supprimée. L'examen
mental
approfondi permettrait, dit l'auteur, non seu-
le. Voici bientôt dix-huit ansque j'aifait,au Con- grès de médecine
mentale
de Iloueii,une première communica- tion sur ce
I. 3= Série. Novembre 1907. N° Il ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
; , Sur un cas de délire à deux avec modes dëaéb
t se rétablir ne Archives, 3' série. 1907, t. II. 21 322 CLINIQUE
mentale
falsifiant des titres frappés d'opposition,et f
et peut-être autre chose encore, quand se présenta Mme 324 CLINIQUE
MENTALE
. Granet, qui, après quelques mots lui dit : « V
ons d'où pouvait venir cet espionnage, nous ne savions 326 CLINIQUE
MENTALE
. rien, nous pensions que cela finirait. Pour Ma
elle trouye un emploi chez une jeune femme, qui reçoit z28 CLINIQUE
MENTALE
des messieurs et à qui elle tire quelquefois le
de la chasse »,' aussitôt ses doutes disparaissent, le 330 CLINIQUE
MENTALE
. coffre-fort est bien à elle. De telles sautes
n'a d'ailleurs nullement amoindri leur influence. 332 CLINIQUE
MENTALE
. Accessoirement, ils sont intervenus dans l'aff
uer (un phonographe est installé dans sa chambre). La désagrégation
mentale
se traduit encore par l'écho de la pensée, par
trefois domestique chez un chirurgien des hôpitaux, il 334 CLINIQUE
MENTALE
. était peut-être avec ces gens. » Dix jours plu
sans auxiliaire, que tout au plus Marie Forel l'a ai- 336 CLINIQUE
MENTALE
. dée à en mieux prendre conscience, à la manièr
plus l'écho Archives, 3° série, 1907, l. 11. 22 338 ' ' CLINIQUE
MENTALE
. de la pensée ni le langage des choses.Les symp
nture de moeurs presque autant qu'à la psychia- trie. 8o CLINIQUE
MENTALE
., V. Il nous reste à dire quelques mots de la
r se rappelle sans doute que durant sa période de nar- 342 CLINIQUE
MENTALE
. cose, notre malade u cru se sentir opérée. Ses
otre premier entretien, il était admis que le Comte de 344 CLINIQUE
MENTALE
. Cambert avait soudoyé des individus dans le bu
ertain état de doute au sujet de ses tourments passés. 346 CLINIQUE
MENTALE
. r a Je me trompe peut-être, on peut se tromper
instabilité des synthèses élé- dentaires. Cette lésion du mécanisme
mental
doit avoil joué un rôle primordial dans la prod
e en soi trop am- bitieux, en tout cas impossible ici. PATHOLOGIE
MENTALE
Un cas de délire d'interprétation ; Par le D'
'hallucinations. Pas d'affaiblissement démentiel, soit z PATHOLOGIE
MENTALE
. quantitatif, soit qualitatif des facultés inte
est plus particulièrement à la suite de ces ennuis que les troubles
mentaux
deviennent très apparents. Il est difficile de
avaient remarqué chez notre malade, des réflexions 350 . pathologie
mentale
. bizarres, des réponses inattendues, des parole
de lui « en faire voir de toutes les cou- leurs ». 352 pathologie
mentale
. Ces idées de persécution, banales en somme, se
jour, l'homme Archives, 3' série, 1907, l. II. S3 354 PATHOLOGIE
MENTALE
. lui demande de lui laver les pieds. Il était t
r. Qu'est-ce que cela signifie ? Elle ne sait pas au 356 PATHOLOGIE
MENTALE
. juste ce qu'il y a dans ce livre, mais pourquo
ément quand on la pressait de questions sur un point 358 PATHOLOGIE
MENTALE
. donné, notamment sur le pourquoi' de toutes le
ent du délire des persécutés-persécuteurs. En dehors de la débilité
mentale
qui n'est pas un diagnos- tic clinique, mais un
psychoses chro- niques hallucinatoires, démence précoce, confusion
mentale
, folie périodique, paralysie générale, etc. Nou
nous sommes livrés, montre que toujours il y a quel- 360 pathologie
mentale
. que chose de nouveau clans son délire. Il n'es
gue,le repos et le sommeil; par M. W. BEVAN Lewis. (Tlae Journal of
mental
Science, octo- bre 1906.) Travail très nourri
ouvenir latent d'un acte professionnel mis en branle par un concept
mental
lui-même subconscient, les troubles circulatoir
ique doit être soigné indi- viduellement pour éviter les contagions
mentales
et les exemples. La prophylaxie de cette redout
l de la pellagre dans les Landes. Un cas de pellagre avec confusion
mentale
stupide; par RÉGis.(L'Eiz- céphale, 1907, n° 4.
ythème cutané, diarrhée, trou- bles psychiques à forme de confusion
mentale
, la psychose pella- greuse se manifestant sous
; le moyen âge en offre des exemples (démonomanie). z La débilité
mentale
du moyen âge a sa cause dans les cala- mités qu
ppléants : 1. le 1)1' J.cc2urn ancien chef de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de médecine de Lyon, médecin-adjoi
ules Voisin commencera ses conférences cliniques sur les mala- dies
mentales
et nerveuses, spécialement chez les enfants, le
t de MAL épileptique. 423 Elle fut alors examinée au point de vue
mental
, par le doc- teur Charpentier, qui rédigea le c
formes cliniques de la folie » et à l'étude médico-légale des états
mentaux
douteux. La première partie passe successivemen
ve », parfaitement distincte de tous les autres groupes de troubles
mentaux
: les seules formes intermédiaires connues sont
pent sur le terrain de la neurasthénie », englobe tous les troubles
mentaux
pour lesquels les racines grecques sont si vo-
t redoute les suites, forme qui conduisit à rapprocher les troubles
mentaux
par obsessions des états différenciés par Krse-
analogue (tics, chorées, etc). Les travaux français sur la débilité
mentale
congénitale sont éga- lement laissés de côté, s
ée par le législateur. » Dans les`deux derniers chapitres, l'état
mental
au point de vue pénal, au point de vue civil, o
ances psychiatriques étendues leur permettant t de constater l'état
mental
des condamnés au moment de leur arri- vée et au
: R : 1PI : U11QUl : . 4 ? rite administrative les cas d'aliénation
mentale
constatés à la pri- son. - c) De l'utilité de
rs de faits qualifiés crimes ou délits graves, dont l'infério- rité
mentale
, les anomalies intellectuelles et morales auraien
ce qui concerne les pau- vres) ; par A. HELEN BoYLE.(The Journal of
mental
Science.oc- tobre 1905.) - L'objet de ce trav
avoir la recon- naître et pouvoir la traiter. Une foule de troubles
mentaux
légers passent ainsi inaperçus pour aboutir à u
gites vraies consécutives à ces affections. Les revue de pathologie
mentale
. 4 : : i1 toxines microbiennes pénètrent seules
e le tabes se complique d'une hémiplégie. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
: XII. -Traumatismes craniens et troubles menta
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE : XII. -Traumatismes craniens et troubles
mentaux
; par Jotfroy ? (L'Encéphale, 1907, n° 2.) -1 *;
s la question, / le rôle du traumatisme dans la genèse des maladies
mentales
n'est ; pas nettement élucidé.Pour argumenter s
ète (par déchirure probable des lobes occi- pitaux) et des troubles
mentaux
à forme de démence précoce hé- béphrénique chez
ir chez un individu l'existence d'une prédisposition à des troubles
mentaux
, surtout de prévoir vers quelle forme clinique
estion des rapports entre les traumatismes crâniens et les troubles
mentaux
, la P. G. en particulier, doit être envisagée au
rconstances est-on autorisera dire que le lrJu' revue de pathologie
mentale
, traumatisme a créé la P. G. ? Le Prof. soutien
vements diffus. tics systématisés,émotions angoissantes ruminations
mentales
, ensemble que Janet désigne sous le nom d'agita
manies » les plus diverses, un état général de revue de pathologie
mentale
. 11J3 de doute, la rumination mentale, lès tics
éral de revue de pathologie mentale. 11J3 de doute, la rumination
mentale
, lès tics de réaction, de perfection- nement ou
ne lui reconnaît généralement pas l'impor- 400 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. tance qu'elle a en réalité dans l'étiologie de
uire l'hallucination, il faut la prédisposition REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 461 du sujet, souvent réveillée par les auto-i
en effet, est une vésanie et à ce titie rentre dans la pa- thologie
mentale
; quant à la neurasthénie, son domaine s'est par
i enlevé à la neurasthénie doit être acquis 462 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. à une forme morbide nouvelle, la psychasthénie
oubles digestifs considérés dans leurs rapports avec - les troubles
mentaux
; parM. Page. (Bulletin médical, n° 7 1906.) C'e
la théorie de l'auto- in loxiuation comme cause de certaines formes
mentales
, théorie qui acquiert chaque jour un nouveau de
tte modification amè- nerait rapidement la disparition dès troubles
mentaux
. L. 'WAHL. XXI. Crises d'anxiété avec impossi
t au sein des organismes la distribution suc- ' REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 463 cessive des stades antagonistes de l'activ
ir et à révéler l'intervention du rythme périodique. Dans la sphère
mentale
les manifestations de la périodicité et de l'al
automatisme participant. On conçoit d'après cela que les trou- bles
mentaux
les plus affectés de périodicité régulière soient
du 5 décembre 1907. -PIIÉSIDENCE de M. 13nBrNSxr. Pseudo-lorticolis
mental
. MM. Dufour et Foy présentent un malade atteint
par simple pression du doigt ; ce n'est pas cependant un torticolis
mental
, car il est apparu la suite d'une périoslito '
n de... (et ici inLer- viendra l'énumération des tares physiques et
mentales
ayant déterminé l'acte;. III. Cet acte est impu
é. Constatant que certains cou- pables étaient atteints de troubles
mentaux
, ce qui se traduisait par des réponses incohére
ges. Les Romains se faisaient une idée très nette de l'aliénation
mentale
, Ils la considéraient comme une véritable maladie
nt une expression empruntée à Trousseau1. La protection des débiles
mentaux
dans les campagnes et les ate- liers. M. Tout-Z
ate- liers. M. Tout-ZAC (de Versailles). Au village, les débiles
mentaux
sont exposés aux taquineries et même aux mauvais
oin possible, écrit 31. les excès alcooliques et leurs conséquences
mentales
tant chez les femmes que chez les hommes. Chez
as toujours facile ni même possible, au moins pour certaines formes
mentales
, de faire à l'alcoolisme sa part. Il est curieu
hommes ; 3° Alcoolisme compli- qué de dégénérescence ou de débilité
mentale
ou d'hérédité al- coolique ; 4° Même tableau po
r profession qu'aucune pro- fession ne meL à l'abri de l'aliénation
mentale
. Cependant l'on considère que la population de
uillet 1906 (alcoolisme proprement dit; 1710 (GS,59 %) etallrctions
mentales
avec alcoolisme, 783 ('il, 40 %) nous en avons
c succès le concours d'adjuvat, les chefs de clinique de pathologie
mentale
et des maladies de l'encé- phale à la faculté d
lées de la ma- nière suivante : 1° Une épreuve écrite de pathologie
mentale
. pour laquelle il sera accordé quatre heures 2°
versités belges, un enseignement méthodique et suivi de la médecine
mentale
; 2° que de tout pustulant d'une place dans un
malades de la » Retreat» de York ; par BEVAN Lexis. (The Journal of
mental
Science, janvier 1907.) Dans ce discours l'aute
lrud et \Iercicr, p. 158. .CIIOnn01'L.1SI1·..VOIl' C(Illl(S(01l
mentale
. Acroméc.ai.ie. Un cas d' avec li·sion de l'h
hef des asiles publics d'alié- nés de la Seine, p. 476. Confusion
mentale
. De la ai- guë et de ses particularités chez
(LIO-s.InCOW li. \'oir l : pilepsic. Glycosurie. Voir Confusion
mentale
. Grenouille dans l'intestin. Gué- rison par s
er, p 372. Quel- ques points du traitement pré- coce des maladies
mentales
et nerveuses (principalement en ce qui concer
térieur aiguë, par Huet et Le- jonne, p. 303. Pseudo-torticolis
mental
, par Dufonr el Foy, p, 464. PsYciiATHÉNiE.La
n. Voir Timidité.- et hystérie, par Babinski, p. 167. Faux cas dé
mentale
, par F. Régnault, p. 305. Action de la sur la
aite- ment chirurgical dans un cas TABLE DES MATIERES. 489 de
mental
de Brissaud, par Sicard et Desbomps, p. 302.
teurs, par Bérillon, p. 90. Traumatismes crâniens et trou- bles
mentaux
, par JofTroy, p. 457. Tronc. L'entrecroisemen
paralysie générale, par Diltz, p. 78. Contribution à l'élude des
mentaux
de la maladie de par Par- rhon et Marbc, p. 8
mullsmes. Les digestifs con- sidérés dans leurs rapports avec les
mentaux
, par Page, p. 462. de la parole dans les fond
nt tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES - Rédacteur en chef: Docteur Edg
nt tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES Rédacteru en chef: Docteur Edgar B
nvestigation psychologique ; 2° la clinique des maladies nerveuses et
mentales
; 3° la pédagogie clinique; 4° tous les procédés
ouvait aucune émotion. Apres un certain nombre de ces représentations
mentales
, faites dans l'état d'hypnose, il sentit qu'il ép
trêmes limites : tels étaient les traits les plus saillants de l'état
mental
de la malade. Mais ce qui dominait tout, c'était
à l'état de veille, j'obtins la disparition successive des accidents
mentaux
et des symptômes somatiques les plus gênants. J
es formes cliniques et les complications d'ordre somatique ou d'ordre
mental
. Séance annuelle de la Société d'Hypnologie et
9. M. P. Joire (de Lille). — Nouvelles expériences de suggestion
mentale
. 10. M. Bourdon (de Méru). — Suggestion à l'éta
l normal l'avantage d'obtenir une suspension plus complète du travail
mental
. Il serait à ce point de vue doué de propriétés p
état de sommeil provoque pendant lequel, à l'inhibition des fonctions
mentales
, correspond de la dynamogénie des fonctions de la
e qui lui serait inconnue. » Auparavant, Braid appréciait l'influence
mentale
dans l'hypnose, ce qui l'avait porté à croire à l
et qui appelle à son secours à la fois le jugement, la représentation
mentale
et l'émotivité. Ceci n'enlève rien de sa valeur
ysionomie qu'elles revêtent, les phobies décèlent toutes le même état
mental
sous-jacent, c'est-à-dire émotivité excessive des
inion bien claire de leurs rapports respectifs avec la dégénérescence
mentale
et l'épuisement nerveux. Pour lui, en effet, la p
s graves méritent d'être comptées parmi les symptômes de l'aliénation
mentale
. Enfin, le « trac des chanteurs » ne relêve-t-il
t d'anxiété ? » Ainsi donc, neurasthénie d'une part, dégénérescence
mentale
de l'autre, tels sont les deux pôles autour desqu
s psycho-névropathes, qu'ils soient ou non entachés de dégénérescence
mentale
. Loin de faire nécessairement partie des symptôme
agréation psychologique momentanée : le ressort môme de la régulation
mentale
est faussé. D'où une variété d'aboulie extrêmemen
otion qui le souligne. On se trouve là en présence d'une sorte de tic
mental
, qu'on a compare à une o bouffée délirante » et q
a /occasion de faire valoir celte connaissance particulière de l'état
mental
JURISPRUDENCE MÉDICALE 57 des psychopathe
our titre : De l'application de Vhypnntwne au traitement des maladies
mentales
, et M. le Dr Bérillon fit deux communications : l
sychothérapie ont été également faites, à la section des maladies
mentales
et nerveuses : par M. A. de Joug (de La Haye), su
libéralisme des organisateurs de la section des maladies nerveuses et
mentales
, MM. les professeurs Kojénikoff, von Korsakoff, W
riosité, provoquent chez leurs sujets des expériences de dissociation
mentale
, qui leur font réaliser des hallucinations. Entre
hystériques les expériences les plus capables de déséquilibrer l'état
mental
. Ceux qui soulèvent également cette objection son
ne des manifestations de l'hystérie précoce. En un mot, l'instabilité
mentale
des enfants hystériques semble calquée sur celle
de la psychologie moderne et de procéder à une véritable rééducation
mentale
de l'enfant. II ne dérogera pas en prouvant qu'il
é par la faiblesse et la complaisance du milieu, non seulement l'état
mental
se modifie, mais les troubles spasmodiques et les
itaire. De l'application de l'hypnotisme au traitement des maladies
mentales
('). Par A. A. Tokaksky, privat-doceot à l'Univ
'application de l'hypnotisme chez des personnes atteintes de maladies
mentales
n'a qu'une importance secondaire. 14) L'individ
n peut dire que, par l'hypnotisme, ont été guéries certaines maladies
mentales
, telles que des impulsions et des obsessions morb
lsions et des obsessions morbides, mélancolies, manies des confusions
mentales
— on ne peut* pas en conclure que de l'applic
tirer les conclusions suivantes. 15) Ce n'est que dans les maladies
mentales
, qui se caractérisent par l'excitation générale d
ement de l'activité du cerveau de l'origine organique (dégénérescence
mentale
, démence consécutive) l'application de l'hypnotis
etc. 18) A l'application de l'hypnotisme au traitement des maladies
mentales
, il ne faut pas perdre de vue qu'au début des mal
adies mentales, il ne faut pas perdre de vue qu'au début des maladies
mentales
aiguës la succeptibilité à l'hypnotisation et la
evenir stationnaire. 19) En ce qui concerne les formes des maladies
mentales
, l'hypnotisme peut donner des résultats favorable
otiques proprement dites. 25) Ainsi dans le traitement des maladies
mentales
on ne peut pas mettre l'hypnotisme au dernier pla
fficaces, restent très souvent sans aucune influence sur les maladies
mentales
, et il y a beaucoup de malades qui ne peuvent êtr
1 BotrcBEn.dc Rouen. Au premier Congrès Français annuel de médecine
mentale
tenu à Rouen en 1890, nous avons signalé un cas s
e. Rapprochant ces deux faits, nous croyons qu'il s'agit là d'un état
mental
particulier dont la place se trouve nettement ind
culier dont la place se trouve nettement indiquée à côté des troubles
mentaux
, tels que la claustrophobie, l'agoraphobie, etc.,
ouvoir des attouchements dc l'opérateur de favoriser la concentration
mentale
du patient et do rappeler ainsi la mémoire perdue
ughes Bennett. Le premier donne, dans la C° édition des Principles of
Mental
Physiology, parue à Londres en 1881, une entière
i conclut que l'importante condition de l'hypnose était une condition
mentale
et que le premier agent de ses phénomènes était l
nom de corpus Luysii. Son Traité clinique et pratique des maladies
mentales
(1881) avait été couronné par l'Institut (Prix La
et 1897. —Présidence de m. Dumoktpaluer. {suite) De la suggestion
mentale
: expériences nouvelles. Par le Dr P. Joire (de L
, se présente pour servir de sujet pour les expériences de suggestion
mentale
, je lui couvre les yeux avec un bandeau qu3 j'ai
trois ou quatre mètres environ. Je lui fais à ce moment la suggestion
mentale
de lever le bras gauche. Au bout de quelques seco
sans indécision, avec une précision remarquable. Par une suggestion
mentale
analogue, je fais revenir les bras à leur positio
les mains sur le dos d'une chaise placée derrière moi. Ma suggestion
mentale
porte sur la jambe droite du sujet que jo veux fo
ne alors à environ deux mètres du sujet et je commence une suggestion
mentale
énergique à laquelle je donne pour objectif l'éca
à l'expérience. Observations générales sur ces diverses suggestions
mentales
: Je n'ai lait que des expériences très simples
nt les sujets au moment où ils reçoivent et exécutent les suggestions
mentales
. En apparence, les sujets sont en état de veille,
ètement de réussir. Au sujet de la manière de faire les suggestions
mentales
, je dirai qu'elles demandent, de la part du sugge
es. C'est pourquoi j'ai donné à ces expériences le nom de suggestions
mentales
et non pas de transmission de la pensée. En effet
à l'exécuter inconsciemment et en détail par une série de suggestions
mentales
successives. Manie aiguë intermittente, coïncid
vivent; ils sont bien portants et aucun n'a eu de maladie nerveuse ou
mentale
. La malade a eu la fièvre typhoïde, vers l'âge de
ésultat a été aussi satisfaisant qu'en mars, avril et juin, et l'état
mental
de la malade est absolument normal dans l'interva
'aliéné. Quoi qu'il en soit, dire qu'il y a des aliénés dont l'état
mental
est méconnu par la justice et que chaque jour voi
ndifférents, à la prison ils sont un peu chez eux, et aucune réaction
mentale
fâcheuse n'est à craindre. Deux aliénistes d'ai
jour en cellule, étaient atteints, h un degré quelconque, de troubles
mentaux
à leur entrée. — Au point de vue de l'emprisonnem
s on eût constaté chez ses collatéraux ou ses ascendants des troubles
mentaux
ou des tares uévropathiques quelconques. Il n'a n
à l'excès. Notre malade ressemble à sa mère à la fois au point de vue
mental
et au point de vue physique : il a été très bien
ypnotisme n'est pas seulement un merveilleux instru ment d'orthopédie
mentale
et morale. Il est capable d'assurer, non seulemen
omme de bonne éducation qui souffrait d'une fistule urinaire. Un état
mental
était survenu, qui rendait la guérison à peu près
ns elle n'a pas marché 100 mètres. Insomnie, constipation, dépression
mentale
. La maladie avait résiste à la médication inter
meil. II avait eu quelques convulsions avec aggravation des symptômes
mentaux
. Je l'hypnotisai, il y a quatre ans, et depuis lo
x étals. Selon Braid, l'hypnose est caractérisée par des phénomènes
mentaux
et physiques, particuliers à cette condition. L'h
je les ai tous trouvés en possession d'une connaissance de leur état
mental
et du monde extérieur, aussi claire qu'à l'état d
rmal. Il est à espérer que dans l'avenir on parlera moins de l'état
mental
* automatique », et que les crimes du soi-disant
isme. Peu, depuis Draid, ont eu une conception aussi claire de l'état
mental
et moral du sujet et ont plus fait pour démasquer
énés, n'est pas moins utile que de déterminer l'état de leur activité
mentale
; car, non seulement cet examen donne souvent la
, en conscience, négliger l'examen du système nerveux dont l'activité
mentale
apparaît comme le produit le plus élevé? Serait-i
cas, de l'ensemble des facultés psychiques est telle, que les images
mentales
successivement produites par l'écorce du cerveau
e traduisait ici, en réalité, par la suractivité nébuleuse des images
mentales
. Faut-il encore parler des terreurs nocturnes des
est en général bon signe, mais à la condition que le reste de l'état
mental
s'améliore parallèlement. Sinon le pronostic est
Voisin, pour des accès de fausse angine de poitrine, et des troubles
mentaux
divers non systématisés. Le début de la maladie
. (Auto-observation du malade de Krishabcr). (2) Hack Tuke : On The
mental
condition in hypnotîsm.lJournal of Mental Science
). (2) Hack Tuke : On The mental condition in hypnotîsm.lJournal of
Mental
Sciencet Avril 18S3, vol. xxix, p. 67. Londres, 1
urine est un phénomène d'origine psychique ; c'est le signe d'un état
mental
incorrect. Je vais plus loin et je pose en fait q
nfantile d'urine. Son succès dépend de la gravité du cas et de l'état
mental
du sujet. Je crois donc pouvoir conclure en rés
C'est par nos travaux personnels sur cette question, que l'orthopédie
mentale
est devenue une science positive. Mais il ne su
du sujet. — Dans les cas où il s'agira de modifier un état d'inertie
mentale
, on arrivera par l'image du mouvement et par un e
résistance définitive à l'impulsion ou l'exécution complète de l'acte
mental
, par la seule intervention de son pouvoir inhibit
s. —Los applications do la suggestion à la pédiatrie et à l'éducation
mentale
des enfants vicieux ou dégénérés. (Comptes rendus
rant de toutes les précautions nécessaires pour étudier à fond l'état
mental
du sujet qui lui est soumis, ne manque pas de don
sauf à tenir compte, quant à l'appréciation seméiologique, de l'état
mental
du patient. Dans les limites du cadre où nous
la sensibilité générale de la peau que nous avons relevée dans l'état
mental
des aliénés. En revanche, on constatera de l'an
'on ne saurait contester qu'il ne fût désirable de doter l'aliénation
mentale
de pareils éléments de diagnostic. Séglas et À. V
es expériences de sensations fantastiques nous font pressentir l'état
mental
de ces aliénés dont la sensibilité spéciale est d
ussi des troubles de l'équilibre (signe de Rornberg). Au point do vue
mental
, au sens de l'équilibre confine le sens de l'appr
des exemples où la psychothérapie montre sa puissance. iv.— Trouble
mental
, idée obsédante, guérison par la suggestion dans
ce moyen, non pas seulement dans le domaine des maladies nerveuses et
mentales
, mais dans celui de la rnédecine en général.
les observations qui lui permirent de rédiger son livre des maladies
mentales
. Je ne saurais oublier de rappeler que Luys fut
lon fera une conférence sur : La pédagogie suggestive et l'orthopédie
mentale
. (Cette conférence sera accompagnée de démonstrat
ardis et vendredis, à 9 h. 1/2 (Salpétrière). Clinique des maladies
mentales
: M. le professeur Joffroy, les mercredis et same
à 9 heures du soir, une conférence sur : l'hypnotisme et Vorthopèdie
mentale
. (Cette conférence sera accompagnée de démonstrat
piqûre sur l'objet sensibilisé faisait inconsciemment une suggestion
mentale
qui était reçue et comprise par le sujet hypnotis
sujet placé en face de lui ; et même, dans ce cas, la suggestion
mentale
pourrait venir aussi bien du sujet impressionné q
être aussi rapidement perçue par lui si l'hypothèse de la suggestion
mentale
est directe, elle serait donc instantanée dans un
nsibilité ne peut donc pas être expliqué maintenant par la suggestion
mentale
, pas plus que par les autres hypothèses que nous
teur des études hypnotiques, compare, avec beaucoup de raison, l'état
mental
dans lequel nous avons pu mettre M"' E.. P.. tran
de la psychologie, au même titre que le jugement ou la représentation
mentale
. Après ces deux opinions regrettables, je me ré
délire de persé-« cution, II... n'a présenté aucun signe d'aliénation
mentale
. A sa sortie « d'un asile d'aliénés, il a tue sa
lon fera une conférence sur : La pédagogie suggestive et l'orthopédie
mentale
. {Cette conférence sera accompagnée de démonstrat
mblée si éminente, qui constitue la section des maladies nerveuses et
mentales
, sur les mesures de restriction en question et de
manents et dont un médecin spécialiste pour les maladies nerveuses ou
mentales
ne peut pas et ne doit plus se passer aujourd'hui
GGESTION PENDANT LE SOMMElL NATUREL dans le traitement des maladies
mentales
. Par M. le Dr Paul Farez. Justification histo
tion hypnotique n'est d'aucun secours dans le traitement des maladies
mentales
et que même tous les aliénés sont réfractaires au
otisme et de la suggestion hypnotique dans le traitement des maladies
mentales
et des étals connexes. » (IV, 149.) — Quant aux d
ir, une large place dans le traitement et la prophylaxie des maladies
mentales
, comme un auxiliaire d'autant plus précieux que,
à mon sens, d'occuper une large place dans le trailement des maladies
mentales
. Ainsi, lorsque l'aliéné n'est pas accessible à l
suggestion pendant le sommeil naturel dans le traitement des maladies
mentales
n'a certes rien d'illégitime ou d'irrationnel ; i
ras du choix. Or, « l'agent qui fait, défait ». Dès lors un trouble
mental
causé par un rêve déterminé ne pourra-t-il pas êt
énuent ou se remplacent. Dès lors, la volonté est, scmhle-t-il, toute
mentale
; elle n'agit que sur des représentations; l'être
ue fantuisistc. —Cf. en particulier tout ce qui concerna le « vertige
mental
». Ess.,2° éd., II, 8-41.} Peut-être, dans un pro
provoquée par ce que nous appelons aujourd'hui {'autosuggestion.
mentale
, que devient cette maîtrise de soi ? Pour nous en
é M. Pierre Janèt. Ensuite seulement, on s'occupera de la rééducation
mentale
, proprement dite, de manière que le sujet en arri
usqu'alors on lui avait imposées du dehors. Pour cette restauration
mentale
, l'hypnotisme (ou le sommeil provoqué, comme on v
s. (2) Lettre du 5 novembre 1648. (3) L'Hypnotisme et Vorthopédie
mentale
(Rueff, 1893). II DES CROYANCES RELIGIEUSES
M. Béril-Ion. Ce travail a pour tilre : L'hypnotisme et l'orthopédie
mentale
. La correspondance comprend une lettre de M. le
édianiques. Télépathie. Extériorisation de la sensibilité. Suggestion
mentale
. Transmission de la pensée. Extériorisation de la
(Congé de Pâques.) 20 avril: Hystérie. Etude clinique de. l'éjal
mental
des hystériques. L'hystérie et la médecine léga
de la sensibilité. Sensibilité à distance. 29 juin : De la suggestion
mentale
. Transmission de la pensée. 6 juillet: Extérior
ystérie. — Le traitement psychothérapique de l'hystérie. — L'hystérie
mentale
. — Action complémentaire de la suggestion hypnoti
ggestion hypnotique au traitement de certaines formes de l'aliénation
mentale
. — Le traitement psychothérapique de la morphinom
e et de la dfpsomanie. Mardi 17 Mai. — L'hypnotisme et l'orthopédie
mentale
. — Traitement de la kleptomanie, de l'onychophagi
8, 144 pages. Paris, 1897. Bérillon. — L'hypnotisme et l'orthopédie
mentale
. In-8, 48 p., 1898, Rucff, éditeur, 104, boulev.
UGGESTION PENDANT LE SOMEIL NATUREL dans le traitement des maladies
mentales
. Par M. le D' Paul Farez. (suite) I I Techniq
faudra-t-il s'en rendre maitre avant même de songer à agir sur l'état
mental
lui-même. Donc, nous devrons, au préalable, nou
préalable, la psychologie du malade ; on analysera avec soin son état
mental
; et alors seulement on fera les suggestions spéc
ocution n'est pas adéquate à notre pouvoir d'attention et de synthèse
mentale
, au moins pour cet (1) Rev. de l'Hypnot., I, 49
pris de lui, car nous aurons trop présumé de sa puissance de synthèse
mentale
et réalisé un « temps inadéquat ». Parlons donc t
de présence psychique » et, par conséquent, sa puissance de synthèse
mentale
auront été ramenés dans les limites de la moyenne
ort de ne pas réussir et, pendant tous ces essais infructueux, l'état
mental
eût menacé de s'aggraver. Or, désireux de ne pas
ise, prévenante, normalement affectueuse; elle recouvrait l'équilibre
mental
et la possession d'elle-même; (1) Celte dame pr
avais pas, comme bien on pense, entrepris de modifier d'emblée l'état
mental
de ma malade, car des suggestions trop nombreuses
que, car la tâche est rude : c'est en effet une véritable rééducation
mentale
qu'il faut opérer, laquelle comporte une reconstr
ne des manifestations de l'hystérie précoce. En un mol, l'instabilité
mentale
et les tendances impulsives des enfants hystériqu
de la psychologie moderne et de procéder à une véritable rééducation
mentale
de l'enfant. Il ne dérogera pas en prouvant qu'il
é par la faiblesse et la complaisance du milieu, non seulement l'état
mental
se modifie, mais les troubles spasmodiques et les
nt généraux, et ils naissent les uns et les autres par représentation
mentale
. Tous ont leurs fondements dans les phénomènes pe
pendant la veille, et les y fait réapparaître par une représentation
mentale
vive de l'esprit, au moyen d'un procédé psychique
e. Aussi les voit-on, par exemple dans des cas de troubles nerveux ou
mentaux
, prescrire les potions ou les pilules les plus co
pe, non énoncé mais facile à formuler, à savoir que dans les maladies
mentales
il y a toujours une lésion organique, que toujour
ntécédente, mais encore concomitante ou même consécutive aux troubles
mentaux
. Les trois hypothèses sont légitimes, au moins lo
remier point, l'observation permet d'admettre des cas où la déviation
mentale
précéderait les perturbations organiques et pourr
et nous disons simplement que, pour le moment, ce sont les phénomènes
mentaux
qui, mieux connus, expliquent les faits que l'on
aient alors s'amender en même temps que ces dernières »... « L'action
mentale
est un moyen à la fois légitime et efficace de ré
tance à l'aliénation, en ce qui concerne, bien entendu, la sphère
mentale
('). » Ainsi, le principe qui sert de base à l'
e corticale doit' arto inferiore dell' uomo. Giorn. ai pat. nervosa c
mentale
, inni-aolït 1897, Païenne.) — Est-il irrationnel
e ci-s lOî-ionsdoiK on .postule l'existence dans les cas d'aliénation
mentale
. C'est encore -lu un intéressant exemple de l'act
il s'agit de dissocier minutieusement puis de réédifier tout un état
mental
? Pour paraphraser le similia similibus curantur,
son innocuité demeure complète Ainsi, tous les traités de pathologie
mentale
recommandent l'intervention morale..., intellectu
d'intervention peut encore être très fécond en dehors de l'aliénation
mentale
; en principe même, il se justifie dans toute l'é
toute l'étendue du domaine de la pédagogie clinique, de l'orthopédie
mentale
et de l'hygiène morale (').— En effet, des enfant
Ifypn.. décembre 1-s97, 162;— Bérillox: L'hypauti-ino et l'orthopédie
mentale
, Paris, RueiT, I8&S. - En outre. M Lefrlletie
e, l'un vraimenl malade, l'autre maladive, tous les deux dans un état
mental
particulièrement favorable à la réceptivité des i
' elle détermine un affaiblissement énorme des phénomènes de synthèse
mentale
, qui se manifeste surtout sous forme d'aboulie et
demain vous serez triste, elle proteste toujours; aucune modification
mentale
no s'est encore produiteque l'organisme est déjà
Dumas lui-même. D'après eux, les états organiques précédent les états
mentaux
, le phénomène de l'émotion est donné objoctivomen
ble une variation vaso-motrice antérieure à toute variation de l'état
mental
? MM. P. Parr et Marcel Drouin répondent résolume
Trentième anniversaire de la fondation de la clinique des maladies
mentales
à Saint-Pétersbourg. A cet e occasion, deux mus
8. 144 pages. Paris, 1897. Bérillon. — L'hypnotisme et l'orthopédie
mentale
. In-8, 48 p., 1898, Rueff, éditeur, 10Î, boulev.
peut toujours, dans n'importe quel état d'hypnose, exciter l'activité
mentale
et, en agissant ainsi, on empêcherait assurément
t radical de tous les crimes de laboratoire consiste en ce que l'état
mental
du sujet n'a pas été étudié par des questions pen
té. Ils étaient capables, durant l'hypnose, d'analyser leur condition
mentale
et d'attribuer des raisons logiques à leurs actio
rimé ayant pour titre : Traitement de quelques formes de l'aliénation
mentale
par la suggestion hypnotique. M. le Secrétaire
isme et l'on doit à ce dernier des guérisons authentiques de maladies
mentales
(Aug; Voisin, Tokarsky). Toutefois, dans les cas
aturel n droit à une tres large place dans le traitement des maladies
mentales
; elle trouve aussi se indications dans les dlvern
l'hypnotisme et de la suggestion dans le traite- ment des maladies
mentales
et de l'alcoolisme ; 6. Les applications de l'h
cations de l'hypnotisme à la pédagogie générale et à l'or- thopédie
mentale
; 7. Valeur de l'hypnotisme comme moyen d'inves
Df Petersen, alors que ce dernier étudiait les maladies nerveuses et
mentales
à Paris, à Nancy, â Zurich et à Vienne ; l'auteur
n sait, a le premier appliqué l'hyno-tisme au traitement des maladies
mentales
('). UN APPAREIL NOUVEAU POUR L'ÉTUDE DES TREMB
TTURA, GRAFOGRAFO ; par M. G. Obici, Rivista di patologia nervosa e
mentale
, juillet 1897. — M. Sommer, professeur de Psychia
OUVRAGES REÇUS A LA REVUE Bérillon. — L'hypnotisme et l'orthopédie
mentale
. In-8, 48 p., 1898, Rueff, éditeur, 104, boulev.
(1'), 341. Anniversaire de la fondation de la clinique des maladies
mentales
à Saint Pétersbourg, 349. Application de l'hypn
sbourg, 349. Application de l'hypnotisme au traitement des maladies
mentales
(de l'), par par M. Tokarsky, 73. Application p
57. Magnétiseurs et l'exercice de la médecine (les), 31. Maladies
mentales
(de l'application de l'hypnotisme au traitement d
s criminelles (la question dea), par le Dr Liégeois, 98. Suggestion
mentale
: expériences nouvelles (de la), par le Dr Joire,
pique de l'hystérie infantile (le), par le Dr Bérillon, 68. Trouble
mental
, guérison par la suggestion dans le sommeil hypno
racté- UN CAS d'abasie-astasie. 45 ristiques pour juger de l'état
mental
du malade. Ce n'estpas lui qui s'attend à une a
la partie postérieure de laquelle siège le centre de l'au- dition
mentale
n'est pas capable par l'ischémie de ce vaisseau
e cette manière empirer l'état vertigineux de notre malade. Forme
mentale
. - La pathogénie des accidents en question peut
stion peut aisément expliquer le mode de produc- tion de l'accident
mental
de l'OBSERVATION XLIX. Est-il difficile, en eff
hez un paralytique GÉ- NÉRAL; par T.-W. IAC-DONALL, (The Journal of
Mental
Science, janvier 188G.) Le malade auquel appa
iscence. 2° hall, associative ; le souvenir 118 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. apparent est suscité par une impression actuel
bre de femmes, de forts courants prsduisent une REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 119 fui mydriase évidente; on peut donc consid
1F . Deux cas DE folie larvée ; par CONOLLY Norman. (The Journal of
Mental
Science, avril 1SS6.) L'auteur rapporte, avec d
s l'armée des situations impliquant d'assez 120 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. graves responsabilités ; chez ces deux hommes,
revêtant des formes ordinai- rement dangereuses, sans que leur état
mental
se soit trahi et sans que personne ait jamais s
personne ait jamais soupçonné qu'ils étaient atteints d'aliénation
mentale
. Chez le constable irlandais, les phénomènes dé
aurait pas même soulevé dans les débats, la question de l'intégrité
mentale
, ou si par hasard on l'avait soulevée, la masse
dans la paralysie générale ; par Pritchard D.wrES. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1886.) Les modifications heure
interne hémorrhagique étendue; par Geo.-H. SAVAGE. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1886.) L'observation de ce m
l'excitation maniaque était due à lapachyménin- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 121 gite, ou si, au contraire, celle-ci ne s'é
. M. C. VI. Deux cas DE mélancolie ; par A. PATTON. (The Journal of
Mental
Science. Janvier 1886.) Il s'agit de deux cas
. C. VII. Observations POUR SERVIR A l'étude DE QUELQUES maladies
mentales
; par le D PERCY SnttTa. (The Journal of Mental Sc
QUELQUES maladies mentales; par le D PERCY SnttTa. (The Journal of
Mental
Science, octobre 488;i.) Etude intéressante q
et son fils; 2° deux cas d'amélioration tempo- raire des symptômes
mentaux
ayant coïncidé avec le développe- ment d'inflam
d'hystérie chez un jeune garçon. R. M. C. - 122 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. VIII. U : '\ C \5 de folie saturnine; par Hall
. U : '\ C \5 de folie saturnine; par Hall Willl'r. (The Journal of
Mental
Science, avril 1886.) Chez le malade dont il s'
né d'hallucinations) alors que, dans la plupart des cas, le trouble
mental
persiste pen- danteplusieurs mois, etpeut même
IX. DE l'appétit dans la FOLIE ; par J.-A. CAMPBELL (The Journal of
Mental
Science, juillet 18S i .) Voici le résumé des o
même là un des traits caractéristiques de cette forme d'aliénation
mentale
. Certains maniaques s'abstiennent de manger et
nie ou la mélancolie aiguë, les fonctions d'ab- REVUE DE pathologie
mentale
. '13 3 sorption ne s'accomplissent pas ou ne s'
idiots nés de mères impressionnées pen- 124 lue REVUE DE pathologie
mentale
. dant leur grossesse par la vue d'individus ivr
se qu'il soit donné suite à un vote émis par le Congrès de médecine
mentale
, qui demandait la création d'un comité destiné
leversements se sont produits dans la clas- sification des maladies
mentales
. On peut dire qu'il ne reste guère plus aujourd
ecrétaire général fait un résumé des travaux du Congrès de médecine
mentale
. '. De la mélancolie (suite de la discussion).
Quant aux altérations musculaires elles proviennent de l'affection
mentale
qui nous occupe. Discussion. M. SC11UELE. 11 fa
r quel est l'état des muscles dans les autres formes d'aliéna- tion
mentale
. Il se rappelle un cas de paralysie générale dans
à l'intérieur trois mille unités pharmacodynamiques, quelque forme
mentale
qu'ils pré- sentassent. Les résultats ont été p
ne, de l'imbécillité ou de la démence précoce; de la dégénérescence
mentale
consécutive à« 13G SÉNAT. un traumatisme céph
re du meurtrier. La famille comptait en outre deux cas d'aliénation
mentale
et un cas d'originalité anormale du caractère.
ésultait des débats qu'un individu acquitté présentait par son état
mental
des dangers pour l'ordre public, l'autorité admin
ministrative arrivait régulièrement, puisqu'il s'agissait d'un état
mental
qui pouvait troubler l'ordre. Tout était là ! Vou
rotection duquel et les familles doivent y tenir - se trouve l'état
mental
de l'accusé, vous allez faire une chose grave,
i 'le ministère public ni la défense n'invoquent l'irresponsabilité
mentale
, je ne vois pas comment les débats auront démon
e l'autorité administrative si les magistrats estiment que son état
mental
le constitue à l'état d'aliéné dangereux. « La
iera d'un verdict de non-culpabilité, lorsque la preuve de cet état
mental
lui parait résulter des débats. « L'autorité ad
aisie par suite de ce renvoi, doit 1 40 SÉNAT. provoquer l'examen
mental
du prévenu ou de l'accusé acquitté. Cet examen
sumé aliéné, l'expertise pl'es- crite en vue de déterminer son état
mental
peut avoir lieu soit dans le quartier ou local
tés prescriptes par l'article 20, les aliénés indigents dont l'état
mental
ne compromettrait pas la sécurité, la décence ou
e séance. BIBLIOGRAPHIE. I. - Etudes cliniques sur les maladies
mentales
et nerveuses, par le Dr Jules FALRET. 1890. M
urs, les doctrines de Pinel et d'Esquirol ont prévalu en pathologie
mentale
; mais leurs classifications, basées sur la form
, basées sur la forme, l'étendue plus ou moins grande des- troubles
mentaux
, ont rapproché les malades par des analogies fa
ans se préoccuper des doctrines, que l'acteur passe en revue l'état
mental
des épileptiques, analyse d'une façon générale
une façon générale les troubles du langage, distingue les désordres
mentaux
variés que l'on a groupés sous le nom de folie
a plupart du temps des gens atteints de quelque maladie nerveuse ou
mentale
. A ce pro- pos, l'auteur fait une longue et int
lu de tous ceux qui s'occupent de l'étude des maladies nerveuses ou
mentales
. Introduction à l'étude de la Spécificité cellu
ns, fermier, donnait depuis quelque temps des signes d'a- liénation
mentale
. Hier soir, il prévient sa femme malade et ses
pellier. - M. le Dr LAFON est nom- mé chef de clinique des maladies
mentales
(emploi nouveau). Faculté DE médecine DE NANCY.
colaire 1889-90, d'un cours complémentaire de clinique des maladies
mentales
. La vente DE la morphine par les droguistes. -
égories de mdlades qui constituent les sujets atteints d'aliénation
mentale
dangereuse; 6° les cas de démence se traduisant
cheuse de son système nerveux et un affaiblissement de ses facultés
mentales
. De nombreux témoins étaient cités par le plaig
eaux de l'Encéphale. CULLERIIE (A.). Traité pratique des maladies
mentales
. Volume in-18 de 618 pages. - Prix : 6 fr. Pari
x du Progrès médical. Falret (J.) Etudes cliniques sur les maladies
mentales
et nerveuses. Volume in-8 de 623 pages. Prix :
de l'Encéphale. 0 SCHI ! LE (H.). - Traité clinique des maladies
mentales
. - 3° édition traduite par les D DAGO ! OET (J.
ière circonvolution du lobe occipital, siège reconnu de la vision
mentale
. La FA appartient au type général de structure
e sexe ni l'âge n'apportent de différence à cet égard. L'aliénation
mentale
augmente la différence de poids desdeux hémisph
rouvées dans les formes alcooliques et épileptiques de l'aliénation
mentale
; les plus bases, dans les phrénasthésies et les
plus vaste, pour les hommes, que dans lesautres formes demaladie
mentale
, ce que Amadei attribuaitau degré de culture de
STRES DE L'ASILE ROYAL DE Dundee ; par James RoRIE. (The Journal of
Mental
Science, avril 1887.) Nous ne pouvons que sig
E L'ACÉTO-PHÉNONE (Hypnone) ; par COVOLLY Norman. (The Jour- nal of
Mental
Science, janvier 1887.) L'auteur n'a expériment
age ET l'abus DE la séclusion ; par J.-A. Campuell. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1886.) L'auteur définit tout d
. Sur l'alternance des névroses; par G.-H. SAVAGE. (The Journal of'
Mental
Science, janvier 1887.) L'auteur a choisi ce ti
e folle (excitation maniaque) pour reparaître au retour de la santé
mentale
. Enfin, dans plusieurs cas, l'auteur a vu la pe
s cas des attaques vio- lentes d'épilepsie ont amendé les symptômes
mentaux
. Contre son attente, il a même vu la disparitio
l'on peut ainsi parler, est fréquemment remplacée par une épilepsie
mentale
, laquelle d'ailleurs, abstraction faite du terr
es qui paraissent plus aptes que d'autres à modifier les troubles
mentaux
, par exemple les affections douloureuses et les a
I du système NER- veux ; par J. HUGIiLINGS JACKSON. (The Journal of
Mental
Science, avril 1887.) La concision qui règne
es multiples DU CERVEAU; par F. S. JUHN HULLEY. ('1'heJolll'/lal of
Mental
Science, janvier 1888.) Ce cas est surtout rema
e la maladie a été marqué par un abaissement simultané des facultés
mentales
et physiques. Bien que les tumeurs cérébrales s
e les tumeurs cérébrales s'accompagnent le plus souvent de troubles
mentaux
d'un genre ou d'un autre, il est de règle que l
ntaux d'un genre ou d'un autre, il est de règle que les symptômes
mentaux
, et lorsque les premiers se rencontrent associés
nostic avant le début du coma ter- minal. La présence d'antécédents
mentaux
héréditaires, dans la ligne collatérale, expliq
lement dans le cas actuel l'appa- rition plus précoce des symptômes
mentaux
. 2° Par l'existence d'une démence progressive e
blation antérieure d'une tumeur du sein, la diminution des troubles
mentaux
vers la fin de la maladie (diminution si marqué
Ces mélancolies multiples méritent une place à part, car les formes
mentales
qui se rencontrent ainsi s'influencent ré- cipr
de dégénérescence. M. LEGRAIN base son diagnostic de dégénérescence
mentale
sur l'évolution même du délire, sans parler de
es. En conséquence, l'indication, en ce qui concerne les maladies
mentales
que l'on pourrait soumettre à ce mode d'entraînem
imitant au siège et aux extrémités inférieures. Toutes les maladies
mentales
survenant chez des neurasthéniques et chez des
sthéniques après la guérison de la psychose en question. Le trouble
mental
ne constitue donc par rapport au terrain morbide
on préexistent à l'obses- sion, et que c'est la question du terrain
mental
qui représente la nature de la maladie. L'obses
à l'année 1880. M. Lé lit deux rapports médico-légaux sur des états
mentaux
douteux. - M. SClIROETER traite des colonies ag
demander que tous les praticiens soient interrogés sur les maladies
mentales
. Les formalités visées par le décret ministérie
arurent, l'énergie revint; un mois après le début de l'aliéna- tion
mentale
, le malade se sentait en état de reprendre son se
e de Boismont (Gaz. des hôpit., 7 mars 1843) et Williams (Journ. of
Mental
Science, avril 1875, p. 151) ont signalé des cas
philis, mais dont les deux oncles paternels sont morts d'aliénation
mentale
et dont le père est un débile. Les prodomes ava
s carac- tères, des fautes d'orthographe propres' à cette affection
mentale
, et de lacunes de style marquées au même sceau.
autres atta- ques identiques se montrent avec l'ensemble du cortège
mental
caractéristique d'octobre à février 1886; affai
de novembre, monoplégie com- plète et flasque du bras droit; l'état
mental
reste le même ; il s'y joint des idées de grand
et du champ visuel; intégrité complète du fond de l'oeil. L'état
mental
n'a pas varié. Plus tard, de petites attaques^se
à la diplopie monoculaire, elle subsiste (novembre 1888). Même état
mental
de démence avec mobilité de l'humeur, puérilité
u complet sevrage. La convalescence eut lieu. A ce moment, l'état
mental
se révéla par une faiblesse extrême des facultés
encontrer sur la brèche toutes les fois que l'intérêt de la science
mentale
est en jeu. s'était là comme toujours multiplié,
t arrivé à nous présenter pour ainsi dire une page de thérapeutique
mentale
sous forme de deux comédies jouées d'une façon
1t01 Louis Il DE BAVLÈRE; par Villiam-W. IRE- land. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1886.) M. Ireland qui a consac
ns un état avancé de folie; elle souffre de celte forme d'affection
mentale
que les aliénistes connaissent bien sous le nom
ttendre qu'à un affaiblis- sement encore plus grand de ses facultés
mentales
; , 3° Cette maladie a pour but d'exclure complè
hôpitaux, est nommé chef du laboratoire de la clinique des maladies
mentales
, en remplacement de M. Bellangé, démis- sionnai
nt guéris, 7 améliorés, 2 sans changement et 1 atteint d'aliénation
mentale
. Jusqu'à aujourd'hui, 9 ont gardé l'abstinence
prit pair plusieurs médecins de Bonn. L'Enseignement DES maladies
mentales
en ROUMANIE. En k° an- née, il existe un cours
ils sont toujours inter- faits divers. 299 rogés sur l'aliénation
mentale
, mais seulement à la fin de la 4° année. LES
39, un sieur Provost, originaire du Nord, fut frappé d'alié- nation
mentale
au cours de son congé militaire, à Bordeaux. Il
vice de la variole), il fut nommé, en 1858, au service des maladies
mentales
, où il eut pour maîtres Ideler, von Horn, Gries
ux du Progrès médical. CULLERRE (A.).- Traité pratique des maladies
mentales
. Volume iu-18 de 618 pages. Prix : 6 fr. Paris,
x du Progrès médical. FALRET(J.). Etudes cliniques sur les maladies
mentales
et nerveuses. Volume in-8 de 623 pages. Prix :
sme, diabète) et neuropathologique (ivrognerie, suicide, aliénation
mentale
). En résumé, Messieurs, je crois avoir mis sous
té de près de 5 kilogr. Il se sent plus fort, plus alerte. Son état
mental
est tout diffé- rent de ce qu'il était à cette
de Tùrck; il subit la dégénérescence ascendante. La partie fonda-
mentale
du faisceau latéral (P F, 2) constituée par la
our leur aperception ou quand elles arrivent au moment d'un travail
mental
occasionné par d'autres impressions contemporai
r des lettres, la façon de les écrire, le nombre de lettres, l'état
mental
du sujet, etc.). L'expérience a un tout autre b
e, peut, après un temps plus ou moins long et après une recherche
mentale
, surgir dans sa conscience. Il nous est arrivé
hors de ce champ, il est perçu inconsciemment et il faut un travail
mental
(suggestion ou autosugges- tion) pour que son i
ns ou des centres limités des perceptions, en dehors de tout acte
mental
, crée, par le seul fait de l'état mor- bide de
LÉGALE I. La folie ET LE crime; par S.-W. 1VORTH. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1886.) L'auteur s'est proposé
RESPONSABILITÉ CRIMI- NELLE ; par Geo.-H. SAUVAGE. (The Journal of
Mental
Science, avril 1886.) Il n'est pas nécessaire
diagnostiqué la folie sans indiquer d'ailleurs que l'atiénation Il
mentale
reconnût pour cause des habitudes d'intempérance.
S DEVANT LES TRIBUNAUX civils; par Achille FOVILLE. (The Journal of
Mental
science, avril 188ti.) Les conclusions de ce
tériel qui a instrumenté, n'était au point de vue de l'appréciation
mentale
d'un homme pas plus qu'un profane quelconque, e
. V. Un'cas récent de médecine légale : une question d'aliénation
mentale
, par A. R. TUHDULL, (The Journal of Mental Scienc
e question d'aliénation mentale, par A. R. TUHDULL, (The Journal of
Mental
Science, octobre 1886.) Observation très inté
eut être mis en liberté'/ par H. liA ïES 1EW1\GTO\. (The Journal uf
Mental
Science, janvier 1887.) L'auteur laisse systéma
les difficiles problèmes qui touchent à la guérison de l'aliénation
mentale
. 11 se propose d'étudier les cas où un médecin
NCERNE LES ALIÉNÉS en Ecosse ; par James BORIE. (Tite .fou1'Ilal of
Mental
Science, avril 1888.) Nous ne pouvons que sig
cupent spécialement de législation comparée en matière d'aliénation
mentale
. R. M. C. VIII. DE la séquestration DES crimine
r de l'asile et l'autorité; 7" Toi il criminel atteint d'aliénation
mentale
au cours de sa peine, devient un malade oïdinai
i'a L'en.\ qui, d'api es la nature même de leur REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 397 profession de criminel, sont absolument in
re et les pré- server de découragement, les faire, selon leur étal,
mental
, passer alter- nativement de l'annexe à l'asile
n de faire intervenir la justice. P. KEKAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XI. Un cas d'impulsion INCONSCIENTE A l'homicid
dans les mers de la Chine d'une insolation 398 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. qui l'a forcé à garder le lit durant cinq à si
'comment il a été amené à commettre ce crime. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 399 L'opinion des experts fut que l'accusé, au
de ceux qui correspondent le plus exactement à la forme d'affection
mentale
que M. Clouston a décrit dans son livre dans le
jumeaux ; par le Dl CLOUS- TON et le Dr SAV : 1GE. (T he Journal of
mental
Science, avril 1888.) Il s'agit de deux jumea
jumeau; 2° il y avait dans sa famille des antécédents de névrose
mentale
, mais ils étaient très peu marqués; 3° il apparte
ux et retardés. Démarche incertaine. - Amé- 400 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. lioration légère, puis rechute et état station
étendue AUGMENTATION DE la FOLIE; par D. HACK TUhE. (The Journal of
Mental
science, octobre 1886.) L'auteur signale tout d
echercher le rapport qui existe entre les cas nouveaux d'aliénation
mentale
et la population du- rant les périodes sur lesq
ugmentation atteint près de 50 p. 100 (49.9). REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 40 1 Si l'on compare la période quinquennale d
ébral, etc. R. M. C. Archives, t, XIX. 26 402 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. au moins qu'aucun accroissement ne s'est produ
XIV. DES mariages SANGUINI1S dans leurs rapports avec LES troubles
mentaux
; par G. E SHUTLEWORTH. (The Journal of Mental Sc
s avec LES troubles mentaux ; par G. E SHUTLEWORTH. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1886.) Travail très intéress
lanches nombreuses qui l'accompagnent. R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 403 XVI. FUREUR maniaque chez UNE épileptique,
sentés par sa malade sont l'exagération, par le goitre, de son état
mental
an- térieur. M. B. CONGRÈS ANNUEL DE LA SOCIÉ
cellules nerveuses intéresse-t-elle la conductibilité et l'activité
mentale
? Poury répondre, il convient t de se demander
u'il empêche d'interner à temps des malades atteints d'affections
mentales
récentes. Il est impossible de construire d'énorm
n du chez soi et de l'activité personnelle. Quelles sont les formes
mentales
auxquelles s'applique ce mode de traitement. Je
durent être ramenés, parce que dans leur milieu naturel, leur état
mental
avait de nouveau empiré. Les cinq autres alié
s alcooliques les épi- leptiques les criminels aliénés. La médecine
mentale
est, comme le reste de la médectne, la science
0, la Société émette le voeu qu'on réserve une colonne aux maladies
mentales
et qu'on y ajoute les mentions : congénitale ou
M. Kroepelin (de DorpaL). Des troubles fonctionnels de l'activité
mentale
. - On peut prendre comme mesure de la capacité de
que primitive (primoere verriickthcit) comprend les dégénérescences
mentales
; elle s'an- nexe à la folie raisonnante et à l
te confusion existe dans tous les pays quand il s'agit d'aliénation
mentale
, parce que la physiologie mentale et l'anatomie p
pays quand il s'agit d'aliénation mentale, parce que la physiologie
mentale
et l'anatomie pathologique des psychoses sont t
ique; 5" Paranoïa secondaire, celle qui succède à une autre maladie
mentale
ou qui constitue une stade de transition. Discu
auteurs les plus différents ont indistinctement appelé le même état
mental
des noms de Wahnsinn et Verrucktheit. C'est à M.
avec précision les nombreuses espèces et variétés de l'aliénation
mentale
, d'en tracer nettement les limites. M. KROEPELI
A 1DI11li0URG, le 6 août 1888, par ) ? S. CLOUSTON. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1888.) L'orateur, en terminant
ir à la démence. 3. La démence étant la mort virtuelle des facultés
mentales
les plus élevées, toutes les folies signifient
cultés mentales les plus élevées, toutes les folies signifient mort
mentale
et mort sociale. 4. Les déments constituent l
e secondaire sont primitivement et principalement limitées au tissu
mental
(mind tissue) et constituent en l'ait une malad
s rapports avec les déments tendent à eux seuls à abaisser la force
mentale
du personnel des asiles en vertu de la loi bien
et le plus élevé, comme une mort fonctionnelle prématurée du tissu
mental
, ou comme l'un des plus heureux résultats de la
comme étant causée par les ravages qu'auraient causés dans le tissu
mental
les troubles primitifs aigus ; car on la voit f
démence, peut être considérée comme la forme typique de ma- ladie
mentale
. 428 8 VARIA. 29. Il paraitrait plus naturel
e la ménopause, folie sé- nile) qu'à toute autre forme d'aliénation
mentale
; car alors elle ne ferait qu'anticiper sur la m
dans LES asiles D'ALIÉ- NÉS ; par S.-A-K. SRAH.\M. (The Journal of
Mental
science, octobre 1886.) L'auteur examine succ
hôpitaux destinés aux aliénés ; par Sanger UIONN. (Tlee Journal of
Mental
science, avril 1887.) Les observations de l'aut
EMENT DES MALADIES INFECTIEUSES; par M. D. MACLEOD. (The Journal of
Mental
Science. Avril 1887.) Cet hôpital est situé à 1
1'CIIOLOGIQUE, LE 9 août 1886; par Geo. Il. Savage. (The Journal of
Mental
Science. Octobre 1886.) L'oraleur s'est proposé
des maladies de l'organisme, ou, en d'autres termes, l'expression
mentale
des affections somatiques ; en troisième lieu, il
somatiques ; en troisième lieu, il étudie les troubles des fondions
mentales
; cette dernierecatégorierenferme la majeure par
directeur de l'asile de Washing- ton. ' Enseignement des maladies
mentales
. - Le Loiicloit Country Coiisial a décidé la co
rtance que l'on accorde en Angleterre à l'enseignement des maladies
mentales
et témoigne des efforls faits pour avoir dans l
s de plus la nécessité d'interner les malades atteints d'aliénation
mentale
. La plupart des accidents de ce genre pourraien
, 1889. Governement Printing office. m Manaceim (M.) - Le surmenage
mental
dans la civilisation moderne. (Effets. - Causes
par Rottenbiller, 239. Acromégalie, par Schultze, 264. Activité
mentale
(troubles fonction- nels de 1'), par Kroepelin,
n- nels de 1'), par Kroepelin, 417. Alcoolisme, 156. Aliénation
mentale
(cas d'j, par Turnbull, 395. Aliénés (occupat
Eulenburg, 110. Bibliographie : Etudes cliniques sur les maladies
mentales
et ner- veuses, par Falret, 146; rôle de l'hé
itaux pour les infectieuses, par Macleod, 430; - enseignement des
mentales
, 431. Manie (traitement de la - par l'o- pium
ECTION DE M.I. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNA
ues et hallucinatoires présentés par la malade : A. Les accidents
mentaux
ont précédé les hallucinations et se sont insta
cause ni la con- séquence. A quoi faut-il rattacher les troubles
mentaux
observés, ou, en d'autres termes quel rôle a jo
ré la similitude de la localisation et des symptômes, nul trouble
mental
n'est survenu en l'absence de la dégénérescence
ul trouble mental n'est survenu en l'absence de la dégénérescence
mentale
'. ANATOMIE PATHOLOGIQUE. LA THÉORIE DES NEUR
ts. Nous ne pouvons aucunement attester que la richesse de la vie
mentale
chez des individus humains à part dépende de la
es dendrites et de nouvelles collatérales pour le progrès de la vie
mentale
, nous pouvons admettre que les prolongements des
s et anato- miques relativement à une grande quantité de maladies
mentales
est extrêmement restreint et les faits que nous
mptômes physiques grossiers un affaiblissement général des facultés
mentales
. M. Raymond, tout récemment a constaté, dans un
investigations micros- copiques. Dans quelques formes de maladies
mentales
, particulière- ment dans les maladies organique
. 33 ainsi privé de la parole, du puissant moyen de développement
mental
que constitue l'exercice de cette fonction, ce qu
; opéra- TION ; guérison; par Frédéric-P. IIE.RDER. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1897.) Cette observation est
blation de la tumeur a été suivie de la double guérison physique et
mentale
chez un homme ayant déjà atteint un certain âge
un cer- tificat signé par deux médecins spécialistes en aliénation
mentale
. Notification de l'ordre d'internement doit êtr
iété la dirigent vers l'étude de l'évolution des différentes formes
mentales
. Il exprime enfin le souhait que la société fasse
nir la sortie d'individus dont ils ne sont pas aptes à juger l'état
mental
. M. Charpentier regrette aussi qu'il se présent
t il s'agit. Le D1' Samuel Garnier a été chargé d'examiner l'état
mental
d'un individu qui avait commis un meurtre et de d
ve des aliénés dans un asile consacre au traitement de l'aliénation
mentale
chez les deux sexes, avec la discipline nécessa
A tout cela s'ajoutèrent encore les symptômes suivants : un trouble
mental
manifesté par une forme d'amnésie très marquée,
e. Moscou, 7-14 (19-26) août 1897. Section des maladies nerveuses
mentales
. Comité d'organisation. Les gérants : Pi" A Koj
Treatment in Diseas of the Central Nervous Systèm. » B. Maladies
mentales
. Thèmes de programme. 1. Obsessions et idées fi
hypnotisme et la suggestion dans leurs rapports avec les mala- dies
mentales
et la médecine légale. Rapports prévus : professe
gestion dans leurs rapports avec la médecine légale et les maladies
mentales
. Communications annoncées : Priv.-Docent A. Tok
tion de l'hypnotisme et de la suggestion au traitement des maladies
mentales
. » Dr Alex. Robertson (de Glas- gow) : 0 : Hypn
(de Glas- gow) : 0 : Hypnotism and Suggestion in their Référence to
mental
Diseases. » Dr Gorodichze (de Paris) : « La psy
eur Xavier Francotte (de Liège) : « Le délire généralisé. Confusion
mentale
, Verwintheit), » dry. E. Shut- tleworth (de Ric
G. Ballet (de Paris), A. Voisin (de Paris). UN cas d'instabilité
mentale
avec perversion DES INSTINCTS. Sous ce titre :
9 mars 1897. Son père était un rhumatisant ; sa mère une névropathe
mentale
: double hérédité classique, d'un côté de la ma
température ni d'albumine, mais un mois aupara- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 133 vant je perdais une femme de vomissements
es revêtait une forme absolu- ment semblable. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 1. Sur L\ folie POST-OPLR.\TOWE; par J. Christ
L\ folie POST-OPLR.\TOWE; par J. Christian Simpson (The Journal of
Mental
Science. Janvier l8rJi.) M. Simpson rapporte d'
e formé par les cas de démence Dans le premier groupe les symptômes
mentaux
ont fait leur apparition plus de quinze jours a
ait quatre hommes et quatre femmes'avec une 134 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. moyenne d'âge de soixante-sept ans : un des ho
mence; car tandis que, dans le premier de ces états, la dissolution
mentale
, à la fois plus lente dans son développement et
ans la démence au contraire, qui comporte le maximum de dissolution
mentale
, les malades étaient vingt ans plus âgés que le
sont trouvés soumis. H. de Musgrave CLAY. II. Sur l'auto-infection
mentale
; par Il. KORNFELD. (The Journal of Mental Scien
II. Sur l'auto-infection mentale; par Il. KORNFELD. (The Journal of
Mental
Science. Janvier 1897.) Si l'on admet que toule
de importance au degré, à la durée, et aux intervalles des troubles
mentaux
. Le monologue d'Hamlet met en relief les causes
es plus remarquables de ce que l'auteur appelle l'auto-intoxication
mentale
se rencontrent chez les persé- cutés. Lorsque l
qu'un lien a été créé entre une affection somatique et une anomalie
mentale
, les lois de l'associa- tion entrent en jeu, et
réciation des injustices subies et des rapports REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 135 exacts de malheurs indubitables. L'action
est singu- lièrement favorisée lorsque sous l'influence du désordre
mental
, il vient à surgir quelque maladie somatique, l
cercle vicieux : si enfin cette fâcheuse combinaison phy- sique et
mentale
persiste, il en résulte un affaiblissement généra
ème DES PENSION- NAIRES extérieurs; par J. BRESTER. (The Journal of
Mental
Science, Avril 1896.) On se préoccupe beaucou
s enseigne qu'il n'y a ni augmentation de la diffusion des maladies
mentales
, ni accroissement de la tendance à la folie, ni
être utilement soumis à ce traitement sont 136 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. relativement peu nombreux, et en rappelant que
mann EN M 1TILItE DE folie ; par Georges R. WILSON. (The Journal of
Mental
Scienco. Octobre 1896. - Dans la première par
me décrit pour l'arrêt. La base de cette hyper- trophie d'un organe
mental
doit être cherchée dans une spéciali- sation di
les. Pour atteindre ce résultat, la plasti- 138 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. cité des cellules est de première importance,
tion du milieu ambiant. R. DE MusGRAYE-CLAY. V. UN cas DE stupeur
mentale
prolongée terminé par guérison; par A. E. PATTE
rolongée terminé par guérison; par A. E. PATTERSON. (The Journal of
mental
Science, janvier 1897.) Il a à noter dans cette
ans et demi de maladie. R. DE11USGRAVE-CLAY. VI. UN cas DE stupeur
mentale
: guérison après une durée de six ANS; par n. D
n après une durée de six ANS; par n. D. 110TBHIiIS. (The Journal of
mental
Science, juillet - 1896.) Au point de vue du
ncé que celui où l'on observe d'ordinaire cette REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 139 forme mentale. La guérison fut obtenue au
observe d'ordinaire cette REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 139 forme
mentale
. La guérison fut obtenue au bout de six ans. Ce
DÈS la DISPA- RITION du sucre; par IEITH CAMPBELL. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1896.) Chez la malade dont i
ultanéité de la disparition du sucre et de la guérison des troubles
mentaux
. Cette dernière a été si brusque et si complète
fut elle-même précédée d'un léger retour offensif des perturbations
mentales
. Ce fait vient confirmer la probabilité de l'ex
S locales D'ANGLETERRE (1894-1895); par John BAKER. (The Journal of
Mental
Science, avril 1896.) On a dans ces derniers te
le on est arrivé à trouver une proportion de 273 cas d'alié- nation
mentale
pour 10 000 prisonniers, alors que la proportion
ortion réelle est de 38, 9 p. 10 000. R. M.-C. IX. Sur la fatigue
mentale
ET sa réparation; par W.-H.-R. RIVERS. (The Jou
igue mentale ET sa réparation; par W.-H.-R. RIVERS. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1896.) 11. Rivers poursuit dan
ses de psycho-physiologie employées par le '140 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. professeur Kræpelin dans son laboratoire de He
en se met- tant à l'abri de toutes les causes d'erreur physiques ou
mentales
: il faudrait surtout reproduire les graphiques
nt insuffisant pour neutraliser la fatigue provoquée par un travail
mental
de la même durée ; et que, même après un repos
l'état prenne les épilepfiques sous sa tutelle REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 141 C'est à la fois une mesure de charité et d
cuper qu'à les abandonner. Il. BELTAY. il ? ) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XII. UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE, FORME HYPOC
ine C.-R. L..., âgée de cinquante-quatre ans, souffrant d'affection
mentale
depuis septembre 1895, mourut en février 1897 d
epuis lors son humeur se trouve quelque peu dépri- mée. L'affection
mentale
commença par une grande dépression morale avec
et patellaires, l'ataxie, etc. Il fut alors évident que l'affection
mentale
était un cas bien caractérisé du type nommé par
tion insulaire est fortement détruit à un degré REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 143 à peu près égal dans chaque hémisphère. On
ns1ct A2,liis, 1897, Bd. VIII.) XIII. La découverte DE l'aliénation
mentale
dans les prisons; par J.-J. P1TC : 11RN. (The J
râce auquel il est relativement facile diagnos- tiquer l'aliénation
mentale
chez les individus incarcérés dans cette prison
ve, la démence sénile, la folie alcoolique. 144 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. La genèse des idées délirantes est celle qu'on
Cas montrant l'importance D'UN diagnostic précis dans LES maladies
mentales
; par M. Daniel-H. ARTHUR. (Medico-legal journal
hérédité assez chargée, telle qu'alcoolisme, neurasthénie, troubles
mentaux
chez les ascendants direct ou collatéraux. Dans
XIII, p. 255 du même journal, l'ass. de 32 cas. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 145 3 cas «fillatio » est le mode préféré ; ch
enfin mentalité : habituellement torpeur intellectuelle, déchéance
mentale
, perte de l'attention de la mémoire et de toute
es phénomènes moteurs sont également plus accusés et les phénomènes
mentaux
moins profonds dans les tumeurs cérébelleuses.
la STRUCTURE delà névroglie; par W. FORD HOBERTSON. (The Journal of
Mental
Science. Janvier 1897.) On sait que Weigert,
s DE tumeur du cerveau; par Ii'L8TCI ! 1\ B8.\CU. (The Jour- nal of
Mental
Science. Juillet 1896.) Garçon de six ans, né à
l'arachnoïde chez les aliénés, par W.-F. Robertson. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1895.) L'auteur se propose de
apophyse odontoïde de l'axis ; par C. Hetheiungton. (The Journal of
Mental
Science. Janvier 1897.) Homme de trente-trois a
taté chez ce malade qu'une rigidité des muscles trapèzes : son état
mental
ne lui permettait de donner aucun ren- 156 REVU
latines chez LES idiots; par`Valter Cl ! AN : \I"G. (The Journal of
Mental
Science. Jan- vier 1897.) Les conclusions de
s caractérisés par l'inhibition de l'activité sensitive, motrice et
mentale
, sans lésion organique importante, comme on l'o
er DES aliénés dans LES asiles ; par J. MACPHERSON. (The journal of
Mental
Science, octobre 1896.) L'auteur relate l'évolu
PORTS AVEC LES ALIÉNÉS ISOLÉS-, par A. WE.1TIIERLY. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1896.) La loi anglaise sur les
ires dans LES asiles anglais ; par R. PERCY SuITII. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1896.) Etude sur les condition
rtificat, demander leur internement, et sur les formes d'aliénation
mentale
qui poussent le plus ordinairement ceux qui en
és dangereux accusés DC crimes ; par John CARSWELL. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1896.) Nous ne faisons qu'indi
ET dans LE pays de Galles ; par G.-E. SUUTTLEWORTH. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1895.) Nous redirons ici que l
section 7 DE la LOI DE 1891 ; par E.-S. S'rEwAIIT. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1890.) Nous indiquons simpleme
REMIÈRE année DE fonctionnement ; par Robert JoNas. (The Journal of
Mental
Science, janvier 1897.) Description intéressant
ce genre d'établissement. R. M. C. VII. Les lois sur l'aliénation
mentale
au COLORADO; par E. HOBLIOU9E. (The Journal of
l'aliénation mentale au COLORADO; par E. HOBLIOU9E. (The Journal of
Mental
Science, avril 1896.) Aux États-Unis chaque Éta
NOCII SUR la folie du nAscfuscH/par T.-S. CLOUSTON. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1896.) Lorsque, en 1879, MM.
ré l'influence du chanvre indien dans la pathologie de l'aliénation
mentale
. M. Warnock admet bien que l'usage du has- chis
du poison habituel suffisant pour amener la cessation des troubles
mentaux
avec une rapidité qui est, à elle seule, patho-
us commune, chez les fidèles du haschisch, c'est un affaiblissement
mental
, entremêlé, après chaque nouvel excès de poison
haschisch peut être invoqué comme l'une des causes de l'aliénation
mentale
ne dépassent pas la proportion de 7, 3 p. 100,
Paris) : Influence de l'accouchement sur les maladies nerveuses et
mentales
. D1' FOYEAU de COURIfELLES (de Paris) : 1° L'ob
c- tères histologistes. C'est à la lumière de cette notion fonda-
mentale
, « spécifité du tabès » que nous avons fait l'exa
gno- rons pas que certaines recherches, embryogéniques et expéri-
mentales
, ont démontré l'existence de filets radiculaires
seulement parce qu'il est incontestable que nombre d'affec- tions
mentales
sont sous la dépendance directe de certains éta
lades ordinaires. Arriver à établir un diagnostic sûr en aliénation
mentale
, connaître à fond son sujet et trouver les moye
n jus les etontca usé un réel préjudice aux malades et à la science
mentale
. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. IX. Acciden
urique sur le cerveau peut produire certaines formes de dépression
mentale
(hypocondrie, mélancolie). Il arrive souvent qu
parole et a retracé, en termes éloquents, le rôle joué en médecine
mentale
par les deux aliénistes célèbres, Pinel et Esqu
i compte parmi ses illustrations les deux fondateurs de la médecine
mentale
de notre. siècle. « Nous sommes ici dans la p
e est bien la tâche que Pinel et Esquirol ont accomplie en médecine
mentale
. « S'ils n'ont pas résolu définitivement le pro
té clinique dont il fait preuve dans son mémoire sur l'alié- nation
mentale
des nouvelles accouchées et des nourrices ? Je
it en eux de l'artiste, du peintre : leurs descriptions de maladies
mentales
ressemblent à ces grandes compositions où tout
ne dépareraient certes pas le plus moderne des traités de médecine
mentale
. « Qu'on relise, pour s'en convaincre, ces obse
écises dans son célèbre Traité médico-philosophique de l'aliénation
mentale
. On ne relit pas sans une poignante émotion ces c
goitre et le crétinisme, l'hérédité et la prophylaxie des maladies
mentales
et nerveuses..Ne sont-ce pas là, en effet, des
entiels d'entre eux. Ce sont, dans l'ordre 244 SOCIÉTÉS SAVANTES.
mental
, la démence généralisée et progressive à laquelle
la maladie, l'état démentiel commençant se trahit par l'impuissance
mentale
, par l'absurdité des opérations intellectuelles
e. J'ai déjà insisté ailleurs sur les analogies que présente l'état
mental
, des enfants atteints d'incontinence d'urine av
fois même coexistant avec elle, il existe un état de dégénérescence
mentale
très favorable à l'éclosion, dès les premières
ité, provoquent chez leurs sujets des expériences de disso- ciation
mentale
, qui leur font réaliser des hallucinations. Entre
stériques les expériences les plus capables de déséquilibrer l'état
mental
. Ceux qui soulèvent également cette objection s
e des manifestations de l'hystérie précoce. En un mot l'instabilité
mentale
des enfants hystériques semble calquée sur cell
la psychologie moderne et de procéder à une véritable rééducation
mentale
de l'enfant. Il ne dérogera pas en prouvant qu'il
par la faiblesse et la complaisance du milieu, non seulement l'état
mental
se modifie, mais les troubles spasmo- diques et
on oncle, il se remit àboire etmon- tra une plus grande instabilité
mentale
. Un peu après, il cherchait à se suicider. C'es
ter dans les antécédents d'un accusé, mais encore rechercher l'état
mental
des ascendants. Quant à apprécier le fait parti
D. - L'ivresse avec fureur est caractéristique de la dégénérescence
mentale
ou consécutive à l'ingestion de boissons partic
uait à ' Voir les Annales ) ? ? co-;Mye/;o ? le Journal de médecine
mentale
, la Revue de lleérapeul. 77éclico-chii-iiiflicc
fournissent le plus de travailleurs. Le traitement de la médecine
mentale
est à l'état embryonnaire. Nous ne savons pas c
uf accident. Et il en est de même pour d'autres formes des maladies
mentales
. (B.) -) 218 SOCIÉTÉS SAVANTES. En Écosse, no
o, N. SCH.\TALOFF, A. Tokarsey. BIBLIOGRAPHIE. IV. Dégénérescence
mentale
et neurasthénie; par le Dl' A. Vcac. Lyon, 1897
ium : prédisposition, involution et déchéance finale. La fonction
mentale
n'est pas la seule il obéir, dans des condi- ti
dans des condi- tions données, il la dégénérescence. La régression
mentale
n'est qu'un mode de la régression biologique. D
donnait depuis quelque temps des signes non équivoques d'aliénation
mentale
. Tout récemment, le 23, vendredi dernier, il av
les 23 et 24 juillet 1896; par W.-Julius lllcICLE. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1896.) , Dans ce très long dis
une mono- graphie, l'orateur s'est proposé d'étudier les obsessions
mentales
sous leurs divers aspects; il trace d'abord une
eurs divers aspects; il trace d'abord une esquisse de l'obses- sion
mentale
, puis il en précise la situation psychologique et
les séparer, par voie de diagnostic différentiel, des divers états
mentaux
avec lesquels on les a confondus. Il examine en
lles aboutissent progressivement dans cer- tains cas à des troubles
mentaux
de nature spéciale, quelquefois même à la folie
réalisés depuis quelques années du côté de la science des maladies
mentales
et amélioré le trai- tement des aliénés ? Ce n'
est en route pour cette étude, attendons. (A suivre.) CLINIQUE
MENTALE
. PÉRIODES TERMINALES ET MORT DANS LES SOI-DISAN
Il me ' Archives de Neurologie, numéro de juin 1897. 298 CLINIQUE
mentale
. semble qu'il serait utile, indispensable, de c
tes très nets d'hystérie et signes non moins nets de dégénérescence
mentale
. Mère très irri- table et très impressionnable.
s urines fait par Bertault, chef du laboratoire agricole départe-
mental
, nous le fait connaître. Cette première analyse p
heval reçu sur la partie antérieure de la région frontale. Troubles
mentaux
consécutifs, état maniaque, mort en état de mal
s lui attribuent une grande importance, car les trouhlls moteurs et
mentaux
s'expliquent bien par l'irritation des neurones
nature. Du nycthémère appliqué à l'étude des maladies nerveuses et
mentales
. M. PAILHAS (Albi). S'appuyant sur l'évolution
ts hypersthéniques et hyposthéniques dans les affections nerveuses,
mentales
et autres. Finalement il arrive à ces conclusio
ises tluxionnaires. 4° Ainsi appliquée à l'observation des maladies
mentales
, l'in- tervention nycthémérale permet de consta
ants, arthritisme. alcoolisme, tubercu- lose, cérébralité, maladies
mentales
et nerveuses. Le second groupe comprend : a) le
e de carbone. N'existent jamais seuls : les hérédités tuberculeuse,
mentale
et nerveuse; les infections aiguës, la tuber- c
cherches nous ont amené aux conclusions suivantes : 1° L'hérédité
mentale
et nerveuse n'a aucune influence. La pré- dispo
t se remettre rapidement; mais chez d'autres les troubles de l'état
mental
per- sistent et nécessitent leur envoi dans un
le retour des accès de fièvre amène une aggravation dans leur état
mental
où même une récidive. Nous devons également signa
ew (en 1896), les membres de la section des maladies nerveuses et
mentales
onléluunecommission de cinq personnes pour l'élab
urs sans danger. On voit, en effet, des névroses et divers troubles
mentaux
s'aggraver sous l'influence de l'hypnotisme, de
ourde, CAMUSES se décida à se consacrer exclusivement à la médecine
mentale
, il possédait les connaissances les plus étendu
un nombre considérable d'observations et de recherches en clinique
mentale
, en médecine légale, en anthropologie. La plupa
passé l'honneur de la profession médicale, l'honneur de la science
mentale
et de la solidarité humaine. Sa mort prématurée
Observation XVII. Enfant de sept ans. Hystérie et dégénérescence
mentale
. Vomissements hystériques incoercibles. Peur du t
dans les autres affections nerveuses, neurasthénie, dégénérescence
mentale
, etc., elle est presque tou- jours sans effet.
ervation XVII de ce travail on voit l'hystérie et la dégénérescence
mentale
coexis- ter, le syndrome hystérique s'effacer p
ffacer par la suggestion, et les phénomènes dus à la dégénérescence
mentale
persister. Dans l'observation XVIII c'est de la
dans nos Comptes rendus de Bicêtre de 1880 à ce jour. 13. CLINIQUE
MENTALE
. LES TROUBLES TIIOPIIIQUES DANS LA PARALYSIE
joint à l'asile d'aliénés de Marcoutza (Bucarest), Chef de clinique
mentale
ù la Faculté. Les troubles trophiques sont fréq
ces othématomes qui reconnaissent comme pathogénie ou 392 CLINIQUE
MENTALE
. une lésion nerveuse (racines nerveuses, moelle
aissances nous ont nié l'exis- tence de tout autre cas d'aliénation
mentale
ou maladie nerveuse dans la' famille. Cette nég
us connaissons aujourd'hui la fré- quence des maladies nerveuses et
mentales
chez les individus de cette race ; fait mis mag
'autres malades et le personnel médical. Le malade est 394 CLINIQUE
MENTALE
. renfermé seul dans une chambre où il continue
liquide céphalo-rachidien est abondant et rougeâtre. 39G CLINIQUE
MENTALE
. congestionnés. Le corps pituitaire petit, cong
et de complexité GENÈSE DES CIRCONVOLUTIONS DU CERVEAU, ETC. 403
mentales
. L'abondance et les dimensions des organes de con
ns n'ont pas reparu. P. RELLAY. XXIV. LE TRIONAL dans le ? maladies
mentales
; par AGOSTINI. (ll blani- comio. Anno XI, fasc.
e assertion du Dr Peter- son, suivant laquelle il y aurait un effet
mental
produit sur le malade parla ténotomie; 9° il co
l'assertiou du Dr Peterson suivant laquelle une sorte d'hypnotisme
mental
permanent serait un facteur possible des résult
rguments qu'il a apportés, pouvoir repousser le reproche de «cécité
mentale
» que lui adresse le Dr Peterson; 11° il se croit
résentées au Congrès. A. Marie. SECTION DES maladies NERVEUSES ET
mentales
' Séméiologie des obsessions et idées fixes.
u longtemps prolongée de l'aorte abdominale, les embolies expéri-
mentales
de la moelle épinière, les infections intenses, l
. interne (Nissl, Lenhossek, Marinesco, etc.), la substance fonda-
mentale
ou achromatique de la cellule fut considérée comm
générale est intimement liée aux autres allections céré- brales et
mentales
. Les paralylytiques généraux procréent souvent
général satisfaisant. T. 37° à 37,5. Pas de modification de l'état
mental
. Les attaques reparaissent isolées. Le 30, in
ommeil et l'ap- pétit sont réguliers. Pas de modification de l'état
mental
. Les attaques ont repris leur fréquence habitue
nombreuses (voir tableau plus loin). Pas de modification de l'état
mental
. Poids de la malade avant les injections ; 51 k
ec amaigrissement progressif, sans troubles fonctionnels. Du côté
mental
, un accès passager d'excitation maniaque. , Une
tion est tombée subitement. L'état physique s'est restauré. L'état
mental
est satisfaisant. Les attaques sont devenues tr
sation des injections, B... est resiée, au point de vue physique et
mental
, ce qu'elle était auparavant. Les attaques n'on
nt de plus en plus nombreuses. L'état physique est restauré. L'état
mental
est amélioré. Il se produit en moyenne deux sér
mois après, la malade a repris son embonpoint. Son état physique et
mental
est tel qu'il a été résumé plus haut. Observa
es attaques sont plus violentes. Signes de dégénérescence. Débilité
mentale
avec fond mélancolique. Les attaques sont précé
que. Observation VIL- Nott... vingt-six ans (épilepsie). Débilité
mentale
dans les antécédents héréditaires, antécédents pe
emière enfance. Menstruation régulière. État physique bon. Débilité
mentale
na- tive. Les attaques se produisent en séries
9, 11, 1 septembre, injections de 30 cent. cubes. Etat physique et
mental
satisfaisant. Un peu d'amaigrissement. Poids de
s seulement. Aucune modi- fication importante de l'état physique et
mental
. Diminution du nombre des attaques qui se montr
moins considérable, sans aucun trouble fonctionnels Au point de vue
mental
: apparition d'un violent accès d'agitation ave
intacte; la peau dans son ensemble a une teinte jaune brun. Etat
mental
. - M... C..., qui, de l'hôpital de L... où elle a
t un état maniaque aigu, n'offre à l'entrée qu'un état de confusion
mentale
probablement consécutif. Elle a encore de nombr
ALMIQUE; Par le D' F. DEVAY, Ancien chef de clinique des maladies
mentales
, médecin à ILl m.lison de santé de Saint-Jean-d
nture thébaïque est continuée, mais à dose décroissante. 18. L'état
mental
persiste bon. Suppression de l'opium. Le goitre
. Urines : ni sucre ni albumine. Traite- ment bromure. 25. L'état
mental
est bon. Persistance des accès de suffocation.
t revenu; le corps thyroïde a repris son volume antérieur. L'étal
mental
reste satisfaisant. 10 juillet. Le malade sort
dant ce long intervalle, de vingt-cinq à quarante-trois ans, l'état
mental
du malade actuel n'est point celui des' base- d
e de Graves n'ait apparu qu'au moment de la guérison des troubles
mentaux
. Voici les raisons qui nous guident : le trembl
on morbide temporaire, ou plutôt comme une forme spéciale d'un état
mental
propre au goitre exophtal- mique ? C'est à cett
mique a dimi- nué jusqu'à disparaître complètement, sans que l'état
mental
en subisse un amoindrissement. Le malade est pa
ONGRÈS INTERNATIONAL DE MEDECINE DE MOSCOUI. Section DES maladies
mentales
et nerveuses (Suite). Pathogénie el anatomie pa
itives. De l'application de l'hypnotisme au traitement des maladies
mentales
; par A.-A. TOKARSKY (Moscou). Le sommeil hypn
eut faire disparaître les symptômes isolés par lesquels une maladie
mentale
se manifeste que sous la condition de l'améliorat
tc. Dans l'application de l'hypnotisme au traitement des maladies
mentales
il ne faut pas perdre de vue qu'au début des mala
es mentales il ne faut pas perdre de vue qu'au début des maladies
mentales
aiguës la susceptibilité » l'hypnotisation et la
devenir stationnaire. En ce qui concerne les formes des maladies
mentales
, l'hypno- tisme peut donner des résultats favor
iques proprement dites. Eu somme, dans le traitement des maladies
mentales
, on ne 51 G SOCIÉTÉS SAVANTES. peut pas mettr
les autres remèdes sont restés sans aucun résultat. L'aliénation
mentale
momentanée dans l'intoxication alcoolique. Dis-
ILES D'ALIÉNÉS. Nouvelle réglementation DE la CLINIQUE DES maladies
mentales
A l'Asile CLINIQUE : situation DU chef DE CLINI
nce des asiles de la Seine, M. le directeur des affaires départe-
mentales
a donné lecture de l'arrêté ministériel ci-après,
e 1879 établissant à l'asile Sainte-Anne la cli- nique des maladies
mentales
; Arrête : . Article premier. Le professeur tit
r. Le professeur titulaire de la chaire de la clinique des maladies
mentales
à l'Asile clinique (Sainte-Anne) remplira les f
1897, réglementant à nouveau le service de la clinique des maladies
mentales
à l'Asile clinique. Vous vous rappelez qu'aux t
stion, M. le professeur Bail, titulaire de la chaire des mala- dies
mentales
, remplissait nominalement les fonctions dé médeci
de l'Intérieur, le professeur titulaire de la clinique des maladies
mentales
à l'Agile clinique remplira les fonctions médi-
mes des infirmeries d'asile, par A.-R. TUR-,BULL. (The Jour- nal of
Mental
Science, octobre 1896.) Les points sur lesquels
e seule dans le cours d'un épisode délirant, et à cause de l'état
mental
parliculier du malade, en raison aussi des diffic
pathologie générale, comme toute autre maladie; 3° Les s symptômes
mentaux
ne constituent pas exclusivement la maladie et
la psy- chiatrie est la base naturelle de l'étude de la pathologie
mentale
. (American Joumal of ! Mf;<M ! < ? avril
t de la Seine. Avant de recevoir dans leur établissement départe-
mental
les aliénés de la Seine, ils devraient tout au mo
t probable des rapports sexuels au point de vue de leurs conditions
mentales
et morales ? 4° Quel en serait l'effet au point
cliiii-P tn S° de 15 pages. Denver, 1897 The Journal of nervous and
Mental
diseuses. LESVÉ. Petit manuel du relieur à l'us
171 pages. Pans, 1897. Librairie F. Alcan. Paris (A.). L'aliénation
mentale
, ses causes, ses dangers, ses trai- tements (am
l. Toxicité des -, par An- theaume, 359. - ALCOOLIQUE. Aliénation
mentale
mo- mentanée dans l'intoxication -, par Suthe
neurasthénique, par Bertran, 511. Aliénation. Découverte de l'
mentale
dans les prisons, par Pitcairn, 143. Aliénés.
e, par larinesco, 85.- musculaires, par Pick, 457. AUTO-UiFEC11ON
mentale
, par Korn feld, 134. Bibliographie, 461. 13
ing, 151. Etude des propagées, par Durante, 447. Dégénérescence
mentale
et Neuras- thénie, par Vial, 284. Délire. Le
ion, par Toy et'l'aty, 527. Diagnostic précis dans les maladies
mentales
, par Arthu : , 144. Digestifs. Rôle du spasme e
tre exophtalmique et l' -, par Jonnesco, 522. . Fatigue. Sur la -
mentale
et sa réparation, par Rivers, 139. - FOLIE po
manrl et Petrucci, a2. Hypnotisme dans le traitement des maladies
mentales
, par Tokarskv, 51 i. " Hystérie infantile au
musculaire volontaire, par Roth, 76, par Egllier, 77. Instabilité
mentale
avec perversion des instincts, 93. Inversion
r Richardson, f10. .NYCTIIÉ3lÈnE dans les maladies ner- veuses et
mentales
, par l'ailhas, 33t. Obsession . Notes sur l'é
toire laryngé paroxys- tique, par* Noguès et Sairal, 335. Stupeur
mentale
prolongée, guéri- son, par Patterson, 138, par
dans TABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS. 555 les maladies
mentales
, par Agos- tini, 409. Tumeur du crâne opérée
Y ARCHIVES D Ii NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
- PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE ' J.-1%1. CIIA
Vol. XXIV. Juillet 1892. N" 70. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
MENTALE
DE L'ONOMATOMANIE (suite)'; ) Par MM. CIIARCO
l., n° 19, sept. 1885, p. 157.) Archives, t. XXIV. 1 2 PATHOLOGIE
MENTALE
. modératrice des centres supérieurs. Si bien qu
vec l'état cénesthésique du sujet. Observation VIII. Dégénérescence
mentale
. Alternatives d'excita- tion et de dépression.
oujours eu de longues périodes de tristesse, alternant 4 PATHOLOGIE
MENTALE
. parfois avec des phases d'expansion et de ga !
ns cause déterminante appréciable. Observation IX. Dégénérescence
mentale
. Hallucinations à sept ans; plus tard, idées mé
nt tantôt dans le cours des accès délirants, tantôt au 6 PATHOLOGIE
MENTALE
. contraire, pendant les périodes de repos. Dans
outer des dis- cours involontaires. Observation X. Dégénérescence
mentale
. Déséquilibration de tout l'axe cérébro-spinal
plus rarement avec ces syndromes. Observation XI. Dégénérescence
mentale
, scrupules maladifs dès l'âge de quinze ans. Do
rainte du contact d'un homme qui s'exagère, même après 8 PATHOLOGIE
MENTALE
. la ménopause, lui est suggérée, dit-elle, par
epas à heure plus régulière, le repos la nuit dans le 10 PATHOLOGIE
MENTALE
. lit, parfois même l'administration d'un bain,
projeter à haute voix au dehors. Observation XII. -Dégénérescence
mentale
. Hallucinations. Troubles de la sensibilité gén
des aliénés. (Revue scientifique, 26 février 1881.) 12 pathologie
mentale
. des cheveux, favorable à l'écoulement du fluid
avec la représentation olfactive. Observation XIII.- Dégénérescence
mentale
. Délire polymorphe très actif à la suite d'abus
ès de boissons qui ont provoqué non le délire toxique 14 pathologie
mentale
. habituel, mais de la dépression mélancolique a
je ne pourrai pas retenir le mot. » Observation XIV. Dégénérescence
mentale
. Hallucinations bilaté- rales. Idées ambitieuse
té affecté. (Arch. de Neurol., no 18, novembre 1883.) 16 pathologie
mentale
. ' * sieurs fois les mots grossiers, et il se s
ion et d'impulsion, la coprolalie. Observation XV. Dégénérescence
mentale
. Perversions morales. Accès mélancoliques alter
e du doute et l'onomatomanie. 1 Observation XVI. Dégénérescence
mentale
. Scrupules. Préoccupa- tions hypochondriaques.
. Préoccupa- tions hypochondriaques. Folie du doute. Interrogations
mentales
fréquentes. OnonM[<o)7 : tMHt : . Mots obséd
de douze ans. Elle habitait la Archives, t. XXIV. 2 18 pathologie
mentale
. campagne, et, de très bonne heure, elle donnai
ntérieure subaiguë de Duchenne et la polynévrite, gé- 20 pathologie
mentale
. néralisée à forme de paralysie générale spinal
ence de la deuxième variété établie par Duchenne. 22 s » PATHOLOGIE
mentale
/' J « Il consisterait dans l'extension du proce
ieures, le malade perçoit bien la piqûre, mais la 24 1 " PATHOLOGIE
MENTALE
. sensation qu'il restent n'est pas douloureuse
forçait à se remuer, à s'étirer et ces phéno- 26 1, - o PATHOLOGIE
MENTALE
. ' -- mènes s'accompagnaient d'une certaine cri
ressés. C'est, nous croyons, un diagnostic des plus 58 PATHOLOGIE
MENTALE
. rationnels ; mais il nous semble qu'au milieu
as étudier d'autres problèmes plus simples que nous présente l'état
mental
des hystériques ? D Je vous répondrai que c'est
il ment peut- être quelquefois. Mais il faut tenir compte d'un état
mental
encore insuffisamment étudié, 1 fréquent' surto
sez forte qui avait bouleversé, comme cela arrive souvent, son état
mental
, et elle m'avait complètement oublié. Sa mémoir
des premières et l'une des plus remarquables descriptions de l'état
mental
d'une hystérique : « Quelquefois, dit-il en par
mme une attaque d'hystérie. Elle sortit de son attaque dans un état
mental
tout particulier : 1° elle avait oublié tout ce
- pathique. -On n'a jamais, en somme, noté de maladie nerveuse ou
mentale
chez aucun membre de la famill-e. Il se pourrait
s viscères sont absolument normaux, ainsi du reste que ses facultés
mentales
et affectives. > . Le 14 janvier, on le so
tement bromuré. Depuis lors rien de particulier REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 67 à signaler. L... est actuellement en parfai
ulsion est intense, irrésis- tible, et entre les paroxysmes l'état'
mental
est tout à fait normal. L... n'est pas un alcoo
omaniaque prolongée sous forme ambulatoire. ' REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
1. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE l'anxiété neurasth
s inférieures, rentrant dans la catégorie de 68 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. réflexes, faiblesse pour ce qui a trait aux fo
Observation DE FOLIE A deux ; par M. J. ? ¡OL.\.X. (The Journal of
mental
Science, avril 1889.) Ce cas est celui de deux
, depuis leur entrée à l'asile, non seulement à présenter des états
mentaux
parfaitement identiques; en outre on a vu appar
chez les épileptiques (12 sur 12) que chez les REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 69 criminels congénitaux (25 sur 25) le champ
ugement et pour aliments des hallucinations. 70 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Comment dans les maladies nerveuses évoluent l
aumatisme céphalique, comme cause occasionnelle REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 71 de manie, n'implique pas un pronostic défav
lbuminurie intermittente. Tout guérit, moins 72 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. l'amnésie qui s'aggrave : incohérence dansles
raduellement, mais les paralysies subsistent, et bientôt l'activité
mentale
s'affai- blit dans tous ses modes. P. K. X. O
pportadressé à la Société psychiatrique de Vienne. Dégénéres- cence
mentale
, idées de grandeur, impulsivité. Psychose chro-
accentués appartenant au syndrome paralytique. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 73 Puis, stade dépressif avec angoisse, auto-a
e l'hébéphrénie (qui n'est le plus souvent que de la dégénérescence
mentale
). P. K. XIV. LES psychoses DE l'influenza; par
ut, atteignant les centres psychiques, devenir la cause de troubles
mentaux
. Les psychoses dues à l'in- fluenza sont infini
ns, provenant d'une famille prédisposée aux affections nerveuses et
mentales
. En sortant du bain, le malade était atteint d'
ion; hallucinations de l'ouïe. Depuis quatre semaines, l'aliénation
mentale
a disparu, le trouble de la parole s'est rapide
dies et à la suite d'une ordonnance de non-lieu, basée sur son état
mental
, avait été renfermé à l'asile de Dijon d'où il
nu par la loi, de créer des ennuis àla famille. Le mot d'aliénation
mentale
n'estpas prononcé; au lieu de s'adresser à un a
n la tourne. Quand les autorités sont saisies d'un cas d'aliénation
mentale
, quand elles sont invitées à examiner un état m
d'aliénation mentale, quand elles sont invitées à examiner un état
mental
, ce n'est pas pour un motif d'assistance, c'est
al dont dépend l'aliéné; ce tri- bunal ordonne l'examen de son état
mental
et la communication du résultat de l'examen. Da
l et dans les feuilles les plus lues du jugement rendu sur l'état
mental
de l'aliéné. C'est complet. Au moins pourrait-ell
t en un établissement pénitentiaire sans grand avantage pour l'état
mental
de ces malheureux, car la répression ne peut qu
Présidence DE M. LOEHR aîné. M. LEPPMAIVN. Simulation d'aliénation
mentale
intercalée entre un accès de vésanie et une rec
u, chez lequel on avait constaté des actes procédant de la débilité
mentale
; cet individu pousse son vieux ber- ger à mett
le, c'est-à-dire l'étude scientifique de la spécificité physique et
mentale
du criminel et le déterminisme des conditions du
gereux pour l'ordre éta- bli ; puis, nous verrons dans les maladies
mentales
une explication de la criminalité et non plus u
nts pénitentiaires un psychiatre rompu à la pratique de la médecine
mentale
, qui établisse une indivi- dualisation nécessai
e quelle est l'anomalie qni a débuté, du crime ou de l'alié- nation
mentale
. Il y a, pour ainsi parler, amalgame des deux élé
onvient de se souvenir de la formule de Quetelet : « L'alié- nation
mentale
prépare le crime, le criminel l'exécute. » Le mêm
st question de la faculté psychique, ou, si l'on préfère, d'un état
mental
en rapport avec la responsabilité. Quant à l'at
tinction, la définition même des héréditaires dégénérés ; si l'état
mental
est intermé- diaire entre la santé psychique pa
t intermé- diaire entre la santé psychique parfaite et l'aliénation
mentale
caractérisée, il y a lieu de déterminer la part
responsabilité et de la doser suivant le caractère même de cet état
mental
. Quand vous estimez qu'il ne faut pas considére
s. Discussion : M. BAER. Appuie sur la dégénérescence physique et
mentale
que provoque les excès habituels d'alcool. C'est
els d'alcool. C'est à eux qu'est dû l'accroissement de l'aliénation
mentale
. Par conséquent, les moyens recommandés par M.
ictorieusement cette objection que les enfants atteints de débilité
mentale
ou d'imbé- cillité simple pourraient devenir ép
rrêt de développement intellectuel. Il va de soi que l'aliéna- tion
mentale
et la démence de l'épileptique peuvent sans incon
iétés pathologiques d'ordre psychique et physique que la pathologie
mentale
. Il suffit de l'observer quelque peu afin de s'
sant ces malades d'après leur âge, leur sexe, leur état physique et
mental
, ainsi que d'après leurs moyens d'existence;^-
n matière, qu'il est en mesure d'éclairer les magistrats sur l'état
mental
de ces ma- lades. Le rapport fait par lui arriv
physique qui concernent le temps employé à l'exécution d'un travail
mental
; - 8° A l'exemple de Grasheyt qui a observé par
ychique ou morale congénitale. Mais, dit-il, quand c'est le terrain
mental
, l'organisation cérébrale du sujet qui produit ce
. Il n'est pas mauvais au surplus de répéter quant à l'aliénation
mentale
, qu'abstraction faite de quelques observations is
la vie d'un homme. Gilles de la TOURNETTE. II. Epitome des maladies
mentales
; par le Dr James SHAW. Bristol, John Wright, é
138 bibliographie. aux définitions et classifications des maladies
mentales
. - Le cha- pitre II est un index de tous les sy
ntes formes vésaniques. Le chapitre III est un index des maladies
mentales
avec leurs synonymes et leurs symptômes groupés p
législation et des questions médico-légales relatives aux maladies
mentales
. 1 J. Séglas.. III. Leçons du mardi à la Salpét
tion des aliénés, à l'incurabilité et au traitement de l'aliénation
mentale
. Le concours de la Société s'étend aux enfants
de la deuxième question du programme (le secret médical en médecine
mentale
). - B. A 2 heures du soir, troisième séance : D
Mercredi 3.- A. A 9 heures du matin : Visite de l'asile départe-
mental
des aliénés de Blois; déjeuner offert par l'admin
spéciale pour cette catégorie de ma- lades, atteints d'instabilité
mentale
ou d'imbécillité morale, incapables de travaill
M. Montet, établi rue Mont- martre, donnait des signes d'aliénation
mentale
des plus vifs. Le malheureux se croyait poursui
sept ans, demeurant 35, rue Etienne-Marcel. Atteinte d'aliénation
mentale
, elle se croit dévorée par des sang- sues que d
sses de la société. Des modes d'enseignement, à la fois physique et
mental
, ont été couronnés d'un succès complet, et 2,81
Dr Aug. Voisin a repris ses conférences cliniques sur les maladies
mentales
et nerveuses, le dimanche 19 juin à dix heures
nce médicale perd en lui, dit le Bulletin de la Société de médecine
mentale
de Belgique, le fondateur de l'anatomie moderne
r nouveau. C'est par son esprit génial que la clinique des maladies
mentales
prit une direc- tion toute nouvelle. « Pendan
« Pendant environ trente ans, Meynert occupa la chaire des maladies
mentales
à l'Université de Vienne. Il est impossible de
pages, avec 3 figures. - New-York, 1891. - Journal of Ne,'vous and
Mental
disease. Marie (P.). Leçons sur les maladies de
l. XXIV. Septembre lé92. N, 71. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
MENTALE
' DE L'ONOMATOMANIE (suite)1; ? ` , Par MM.
157, et HO 70, 189, p. 1. Archives, t. XXIV. 11 i 162 PATHOLOGIE
MENTALE
. ils se tiennent constamment sur le qui-vive !
êcher de se demander : « Mais, si c'était vrai ? » 164 pathologie
mentale
. Observation Vil- Doutedèsquatorzealts; répétit
ces, Mmo Il., en dehors de la répétition des actes fait des prières
mentales
et des signes de croix; elle se cache, croit le
s chez elle, les bals provoquent un extrême malaise- 166 pathologie
mentale
. au moment où arrive le treizième invité, elle
s préservateurs de croix. Obskrvation XVIII. Déséquilib ? ,atio2z
mentale
et doute dès le jeune t ! {/e. Amélioration en
de même, il s'interrompt parfois dans le cours de la 168 PATHOLOGIE
MENTALE
. conversation et souvent marmotte promptement q
ou des chansons de Béranger. - Observation XIX. - Dégénérescence
mentale
: dès l'âge de quinze ans, délire du toucher; p
re; ses papiers d'affaires sont là, mais depuis plu- 170 PATHOLOGIE
MENTALE
. sieurs mois elle n'ose y loucher et perd ainsi
ttement formulées, suffisent à la tranquilliser. ' - 172 PATHOLOGIE
MENTALE
. Plus tard, elle a des manifestations singulièr
ier dès qu'un mot mauvais l'obsède. Observation Y\I. Dégénérescence
mentale
. Soif dominicale des tantes. Crainte du toucher
repas que le dimanche seulement. Observation XXII. Dégénérescence
mentale
; folie du doute; im- pulsions ; hurlements subi
orte est bien close; fait vérifier par son entou- 174 -k PATHOLOGIE
MENTALE
. rage l'exactitude de l'adresse qu'elle vient d
e, elle conserve les mêmes ^interrogations et les mêmes hésitations
mentales
; elle se relève plusieurs fois la nuit pour vé
sur le champ répété. 1 Magnan. Leçons cliniques sur les maladies
mentales
. Paris, 1891, p. 171. 176 6 PATHOLOGIE MENTAL
sur les maladies mentales. Paris, 1891, p. 171. 176 6 PATHOLOGIE
MENTALE
. Observation XXIII. - Dégénérescence mentale. O
71. 176 6 PATHOLOGIE MENTALE. Observation XXIII. - Dégénérescence
mentale
. Onontatonzanie : recherches angoissantes du mo
doute et ne peut affranchir son esprit d'une série d'interrogations
mentales
. Pour toute sorte d'objels, il se demande ce qu
art l'impossibilité de pré- voir les accès, d'autre part le trouble
mental
consécutif aux paroxysmes, rendant très diffici
oir, ou après des accès dont la plupart s'accom- pagnent de trouble
mental
. Que fait au contraire M. Féré ? Il calcule ses
de l'attaque. - Quand, d'autre part, les malades avaient un trouble
mental
prolongé à la suite des attaques nous avions so
., atteinte d'épi- lepsie essentielle. Céphalalgie et léger trouble
mental
après les accès de peu de durée. - Intelligence
14 - - de jour. Gauth..., vingt-quatre ans, atteinte de débilité
mentale
avec épilepsie. Père alcoolique, mère hystériqu
Après une journée d'obnubilation, elle est entrée dans son trouble
mental
habituel. Pendant plusieurs jours, elle a été trè
dans cha- cune de ses parties, le théâtre de toutes les opérations
mentales
. Indivisible comme l'esprit lui-même, on pouvai
celer de diverses manières sans diminuer ou détruire les facultés
mentales
, pourvu que la destruction ne fût pas poussée tro
sur des principes similaires, expliquer ces curieuses défectuosités
mentales
qui se traduisent chez un malade par une. inapt
vulsif, tandis que la perte du sen- timent, et autres perturbations
mentales
, auxquelles s'associaient des convulsions, étai
oin, et où on aura déterminé les différentes formes de l'aberration
mentale
avec plus de certitude et de précision, nous ne p
VIII. LE POIDS DU cerveau dépend DU poids DU CORPS ET DES aptitudes
mentales
; par 0. Snell. (Archiv. f. Psychiat., XXIII, 2.)
es; p est le facteur psychique; il exprime le degré des aptitudes
mentales
de l'animal correspondant. Snell a déterminé s
de compte et sou- vent de compagnie; tels : l'hérédité, la débilité
mentale
congé- nitale, les excès alcooliques, la shok t
is). - 1 er.6 août 18\)2. Le troisième Congrès français de médecine
mentale
s'est ou- vert le '1 ? août à 3 heures dans la
e grand honneur et rappelé les progrès considérables de la médecine
mentale
. Ont été enfin élus aussi par acclamation : vic
l'a fait remarquer Cotard, s'observer encore dans d'autres maladies
mentales
, notam- ment dans la paralysie générale, l'hyst
ns fréquemment à titre de symptôme dans un grand nombre de maladies
mentales
diverses, tandis que sous sa forme typique, c'e
otrice, très fréquente chez le mélancolique et même la conversation
mentale
. L'idée d'immortalité de son côté n'est pas plu
es idées délirantes de négationqu'on rencontre dans diverses formes
mentales
. Cotard lui-même a posé cette distinction et n'
M. TIr. Roussel. Deuxième QUESTION : Du secret médical en médecine
mentale
. M. L. Thivet (de Blois), rapporteur. En médeci
médecine mentale. M. L. Thivet (de Blois), rapporteur. En médecine
mentale
comme en médecine générale, ou le secret médica
soit effacé du Code. En ce qui concerne son application en médecine
mentale
, je voudrais seulement demander s'il a raison d
point un chapitre de la seconde édition de mon Manuel des maladies
mentales
. J'ai examiné là la conduite à tenir lorsqu'on
20, 25 ou 30 francs, suivant les ressources de la famille et l'état
mental
du malade ; 4° Les colonies agricoles ou mieu
hérent à la maison privée; a 4° Une modification heureuse de l'état
mental
« Une amélioration de l'état menlal se produit
les que 262 aliénés appartenant à toutes les formes de l'aliénation
mentale
et, par conséquent, le nombre des séniles est d
rlé. Cette physionomie s'explique par la nature du trouble fonda-
mental
d'où l'idée de persécution dérive et qu'elle acco
nce à affecter la marche rémittente qu'ont d'ordinaire les troubles
mentaux
chez ces malades. Leur évolution parait intime-
tc... Un groupe important est étroitement lié à la dégéné- rescence
mentale
que démontrent les antécédents héréditaires psy
les antécédents héréditaires psychopathiques des malades, leur état
mental
antérieur (déséqui- libration), leurs stigmates
ants. L'association de la maladie de Basedow avec la dégénérescence
mentale
n'est pas une coïncidence; elle s'explique par
Or, toutes les fois que cet organe est atteint, il y a des troubles
mentaux
, témoins les crétins, les myxoedémateux. La mal
des traces de l'ancien délire. D'autre part, la forme de trouble
mental
qui accompagne la forme de sclérose systématiqu
que dans nos com- munications au Congrès international de médecine
mentale
de 1889, à l'Association française pour l'avanc
t Henri Maz..., qu'il a montré au Congrès international de médecine
mentale
de 1889. Il rappelle qu'à l'entrée dans son ser
note sur une forme distincte de maladie mentale aiguë, la confusion
mentale
primitive. M. Chaslin rapporte dans ce travail,
te en France, surtout par M. Delasiauve, sous le nom de confusion
mentale
. La conclusion de la note de M. Chaslin est la su
ntoxication chronique. Elle parait bien mériter le nom de confusion
mentale
sous laquelle elle a été décrite par M. Dela- s
ouve pas le terme de confusion men- tale : sans doute, la confusion
mentale
existe dans bien des cas, tels par exemple que
de stupidité. M. Charpentier (de Paris) considère que la confusion
mentale
est un syndrome très fréquent consistant surtou
conscience, angoisse et état vertigineux. On rencontre la confusion
mentale
au début ou au cours des différentes vésanies et
sthénique, M. Chaslin les a signalés : il dit même que la confusion
mentale
est justiciable d'un état d'épuise- ment rapide
de la question, rappelé que les travaux allemands sur la confusion
mentale
n'ont fait que retrouver ce qui avait déjà été
crit en France, surtout par M. Delasiauve, sous le nom de confusion
mentale
, stupidité, chaos. « Je reprendrai, dit M. Chas
s. « Je reprendrai, dit M. Chaslin, cette dénomination (confusion
mentale
) et il me semble opportun de rappeler l'attenlion
harpentier me semblent prouver qu'il applique le terme de confusion
mentale
à toute une catégorie de 324 SOCIÉTÉS SAVANTES.
question qui ne ressortit pas de la pathologie et de la clinique
mentale
, a pour but d'encouiager les médecins directeurs
Malfilâtre, fait une communication sur ['étiologie de l'aliénation
mentale
dans la Seine-Inférieure. Il insiste sur le fai
r le Sulfate neutre de Duboisine dans le traitement de l'aliénation
mentale
. Les auteurs ont, depuis deux ans, essayé le su
s, l'étude et le SOCIÉTÉS SAVANTES. 327 traitement des affections
mentales
, n'est pas restée en arrière de ce grand mouvem
IECTOMIE pratiquée POUR soulager LES malades ATTEINTS D'IMBÉCILLITÉ
MENTALE
DUE A LA RÉUNION PRÉMA- TURÉE DES SUTURES ET la
gé de près de neuf mois, qui présentait les signes de l'imbécillité
mentale
. Au jour indiqué, elle me présenta son enfant.
euvre enlèvera le voile que la microcéphalie étend sur les facultés
mentales
de l'enfant. Cette note de M. Lane est curieuse
e danger de la commotion. Je ne cesserai de l'observer; si son état
mental
ne s'améliore pas, selon mes désirs, j'opérerai
rminée, et nous n'avons plus qu'à attendre les événements. Son état
mental
a été examiné de près, de façon à pouvoir recon
e pour moi il y ait peu de différence. 1891. 2 mars. Les facultés
mentales
de l'enfant se sont en général beaucoup amélior
umer ainsi qu'il suit les résultats heureux apportés à la condition
mentale
dans ces six cas : le deuxième cas de Lanne- lo
une aiguille. On n'a pas de renseignement au sujet de la condition
mentale
. Elle guérit de sa seconde opération, mais celle-
ès sa naissance. C'est à ce fait qu'elle attribue son arriéra- tion
mentale
. Actuellement l'enfant est bien formée, en bonne
par le Dr J.-C. Mac CLINTOCK (de To- peka). (Journal of nervous and
mental
diseases, octobre 1891, p. 645.) Le Dr J.-C.
d'Académie. Faculté DE médecine DE PARIS, - Clinique de pathologie
mentale
et des maladies de l'encéphale. M. Gilbert Ball
rt Ballet, agrégé, a été chargé du cours, de clinique de pathologie
mentale
et des mala- dies de l'encéphale, pendant le se
t chargé, pendant l'année scolaire 1892-93, d'un cours des maladies
mentales
. Faculté DE médecine DE Berne. il. le Dr W. VON
à l'auteur du meilleur travail sur la thérapeu- tique des maladies
mentales
et sur l'organisation des asilespublics et priv
dical. Pour les abonnés des Archives, 8 fr. SHAW (J.). Epitome of
mental
diseases, with the présents méthodes of certifi
; , *- 'r * * ruz ^ « . : ? - ? "*->; ? 1 : ? ? ? PATHOLOGIE
MENTALE
" ' DE L'ONOMATOMANIE (suite)1; Par Mil. CHAR
1, septembre 1892, p. 161. Archives, t. XXIV.. 2't 370 PATHOLOGIE
MENTALE
. soit le mot, soit le mot accompagné d'un mouve
ais angoissé, est forcé d'obéir. Observation XXIV. Dégénérescence
mentale
. Accès mélancolique. Onomatomanie, formule prés
à les chercher. Elle ne comprend rien à ces préoccu- 372 PATHOLOGIE
MENTALE
. pations étranges et elle a parfaitement consci
essions et de ces impul- sions. ' Observation XXV. Dégénérescence
mentale
. Folie du doute. Ono- matomanie : mots préserva
par des voitures. . DE L'ONOMATOMANIE. 373 . La déséquilibration
mentale
de cette dégénérée s'est révélée dès l'enfance
me. agent préservateur : , , . t Observation XXVI. Dégénérescence
mentale
. Onomatomanie ; ., formules préservatrices. S
Nous avons trouvé des formules analogues chez un 374 4 pathologie
mentale
. malade que nous venons de voir récemment. C...
r l'influence funeste du premier. Observation XXVII. Dégénérescence
mentale
. Onomatomanie : .' mots compromettants et mots
er des dispositions maladives les plus pénibles. - 376 pathologie
mentale
. Observation XXVIII. Dégénérescence mentale. Cr
les. - 376 pathologie mentale. Observation XXVIII. Dégénérescence
mentale
. Crainte de la foudre. Folie du doute. Arithmom
les il a beaucoup de dispositions. Observation XXIX. Dégénérescence
mentale
. Accès mélancolique; Ono11 ! atomanie : obsessi
16 juillet 1889, à la suite d'un accès mélancolique 378 pathologie
mentale
. avec tendances au suicide, présentait depuis p
agée et se calme immédiatement. - Observation XXX. Dégénérescence
mentale
. Accès mélancolique. Onomatomanie : mots employ
sorte qu'à l'angoisse morale, que provoque habi - z 380 pathologie
mentale
. tuellement le mot obsédant, vient s'ajouter da
nts bruits perçus et déglutis. Observation XXXI. - Dégénérescence
mentale
. Mélancolie suicide du grand-père maternel ; ag
mère, transmettent à la malade non seulement leur déséquilibration
mentale
, mais des stigmates psychiques similaires, l'un
que lui transmet sa mère. La malade, d'ailleurs, 382 1- pathologie
mentale
. sous le coup d'une hérédité convergente, accum
t d'activité se heurte aux résistances passives des 384 'PATHOLOGIE
mentale
. malades, se décourage devant la répétition mon
t s'accompagne l'angoisse. Archives, t. XXIV. 25 386 pathologie
mentale
. Chez les sujets dont le sommeil laisse à désir
menstruation avec les mêmes caractères. Dans cette période l'état
mental
de Mme Gi... était notablement troublé. Elle avai
ements, une surdité presque complète, une obnubilation des facultés
mentales
, laquelle se manifestait avec une apathie très
ale commença de nouveau à s'améliorer. L'ouïe. la vue, les facultés
mentales
, les forces reprirent; à présent, il n'y a de t
n accès épileptique, est peut-être à rechercher dans les conditions
mentales
propres à l'hystérie; nous ne voulons pas ici f
de l'esprit qui continua pendant longtemps ait épuisé les facultés
mentales
de G.. ? Pas du tout; nous le rappelons encore
aire, l'on peut dire qu'elle constitue l'un des attributs de l'état
mental
des hystériques; elle nous explique bien des phé
ts ». Cette hypothèse nous parait bien être en harmonie avec l'état
mental
de la malade, dans lequel la perte de la mémoir
union avec l'aura indiquée ci-dessus, nous révèle des conditions
mentales
plus propres à l'hystérie qu'à l'épilepsie : du r
de la névrose, et il nous révèle en même temps dans Bar... un état
mental
hystérique des plus caractéristiques. 1 Revue
rticulière sur le système nerveux; les cas d'hystérie, d'aliénation
mentale
. de myélite, de polynévrite consécutives à cett
stante ou bien demande-t-il pour se produire certaines dispositions
mentales
toutes particulières. Je n'hésite pas à dire qu
ques, des idées fixes et de l'aboulie soit en proie à deux maladies
mentales
différentes. Il n'y a là qu'une seule et même m
mites de son pouvoir, ses dangers, ses conséquences en pathologie
mentale
, toutes ces questions et bien d'autres sont forcé
volonté. Ce trou- ble, cette aboulie existe dans plusieurs maladies
mentales
, et en particulier dans l'hystérie dont il form
ui paraîtra prochainement dans la collection Charcot-Debove, l'état
mental
des hystériques. SYNDROME HYSTÉRIQUE DE LA SCLÉ
IES DE LA CRIMINALITÉ ; par le Rév. W.-D. Morrison. (The Journal of
mental
Science, avril 1889.) Partant de ce principe qu
endiaire, avec commentaires; par - b John Baker. (The JOlli'1lal of
mental
Science, avril 188 ! J,) L'auteur a rassemblé d
peuvent en effet appartenir aux diverses catégories de l'aliénation
mentale
. Il cite en outre dans son travail quelques chi
és aux diverses formes REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 479 d'aliénation
mentale
auxquelles ils se ropportent, les chiffres ci-d
ive pour son internement, il faut signaler les chances de contagion
mentale
dans son entourage, dont les observations de fo
tenir compte de l'in- fluence que pourraient exercer sur leur état
mental
d'autres formes d'assistance, telles que la col
re. (Annales médico-psychologiques, 1891.) E. BLIN, V. L'aliénation
mentale
CHEZ LES dégénérés Psychiques; par le Dr H. DAG
ET. A un point de vue général, on peut admettre pour l'aliénation
mentale
chez les dégénérés psychiques deux catégories pri
s dis- positions morales les plus diverses; les formes d'aliénation
mentale
qui en résultent présentent, elles aussi, les v
sumé, on peut observer chez les dégénérés les formes d'alié- nation
mentale
les plus diverses lesquelles revêtent, en général
nérescence psychique do nt l'individu a été atteint. L'aliénation
mentale
revêt elle-même une forme insolite dans ses pha
médico- légal, ne l'est pas moins en ce qui concerne la pathologie
mentale
proprement dite. , On y voit M... entrer sur
par exemple requérir en ces termes : Procéder à l'examen de l'état
mental
du prévenu ou accusé. aux fins de déterminer si
menté l'action thérapeutique dans les diverses espèces d'aliénation
mentale
: folie simple, folie para- lytique, démence sé
olie puisque le vice est souvent fac- teur étiologique des maladies
mentales
. Le second aurait plus de valeur mais, recevant
malade était très* chargée. C'est ce qui explique sa dégénérescence
mentale
. M. G. Ballet insiste sur ce fait à une époque
a rapporté les résultats des dernières recherches sur la suggestion
mentale
. Archives, t. XXIV. 33 514 BIBLIOGRAPHIE. C
cerveau, hypno- tisme, par Charcot, 136; - Epi- tome des maladies
mentales
, par J. Shaw, 137 ; Leçons du mardi, par Char
NIES d'aliénés, par Riu, Chris- tian, Bourneville, 297. Confusion
mentale
primitive, par Chaslin, 322. Congrès, austro-
, 483 ; théorie de la-,par Morroson, r78. DÉGÉNÉRÉS, aliénation
mentale
chez les -, par Dagonet, 480. Dipsomane, auto
iénés à , par Marandon de Montyel, 490. Simulation d'aliénation
mentale
, par Leppmann, 100. SOCIÉTÉS : médico-psychol
HIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
Fondée par J.-M. CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRE
RECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de médecine de Pans. V. MAGNAN
délire, l'épilepsie, les convulsions, le strabisme et la débilité
mentale
. Dans les antécédents héréditaires de quinze su
s, la folie, le suicide, la paralysie générale, la déséquilibration
mentale
, les convul- sions. Nos propres observations
s précédents, l'alcoolisme du père, l'hystérie, la déséquilibration
mentale
, divers accidents névropathiques de la mère, et
formes, précises ou vagues, du nervosisme et de la déséquilibration
mentale
, surtout l'hypo- condrie. L'alcoolisme et l'hys
amme entière des états dégénératifs depuis l'idiotie et la débilité
mentale
jus- qu'à la déséquilibration simple des indivi
de l'hystérique n'est d'ailleurs pas une hypothèse gratuite. L'état
mental
de certains enfants nerveux ressemble en effet
du cerveau avant quelque rapport avec ce qu'on observe dans l'état
mental
des hystériques. Il consiste en un défaut de. s
irmée la justesse du rapprochement que nous avons fait entre l'état
mental
des incontinents et celui des hysté- riques. Il
n tout particulier, qui milite en faveur de l'existence d'un état
mental
anormal. Chez ces sujets on voit au sur et à mesu
ou moins graves, neurasthénie, hystérie, hypocondrie, obsessions
mentales
, ayant toutes pour fondement des préoccupations o
ormes les plus diverses, mais où ne paraît pas dominer l'aliénation
mentale
proprement dite. Ils présentent souvent les sig
femme. La médication de Flechsig a une action favorable sur l'état
mental
des épilepti- ques ; une malade a été, à ce poi
E. B. V. EMPLOI DE l'électricité dans LE traitement DES maladies
mentales
; par le Dr Irwin NEFF. Certaines formes de fol
. VU. Revue DE thérapeutique appliquée au traitement DES maladies
mentales
; par M. LAILLER. Résumé aussi documenté qu'int
mbre 1895.) E. B. VIII. Alimentation thyroïdienne dans LES troubles
mentaux
; par le Dr CLARKE. L'auteur a expérimenté l'
a expérimenté l'alimentation thyroïdienne dans les cas d'aliénation
mentale
à forme chronique. Si le nombre des expériences
même qu'à la suite des améliorations survenues dans les affections
mentales
chroniques au cours d'une maladie aigueë, il se
le de la mémoire pour en expliquer le développement. L'aliénation
mentale
en Tunisie. M. Voisin a pu constater, dans le c
leurs effets dans les diverses formes que peut revêtir l'aliénation
mentale
. D'après ses conclusions, basées sur trente obs
sants, dont l'action, facile à obtenir dans la plupart des maladies
mentales
, est assez variable dans la manie hystérique, l
dans la manie hystérique, la manie puerpérale, la dégénérescence
mentale
, et devient à peu près nulle dans la folie alcool
nel des gardiens des asiles d'aliénés devant la Société de médecine
mentale
de Belgique. Bro- chure in-8°, de 16 pages. Gan
des lésions des racines lpmbo-sacrées ou de leur 'section expéri-
mentale
. IV. Avant de donner les raisons qui nous ont
tion préalable des méninges et surtout de la dure-mère. (Journal of
Mental
Science, 1888 ) 108 PHARMACOLOGIE. suffisamme
l'autre, enfin le sujet rougit avec une faci- lité exirême. L'état
mental
est redevenu normal, mais on a vu plus haut qu'
c en avait rappelé. Camuset. II. EXPERTISE médico-légale SUR l'état
mental
DE V..., accusé d'homicide. Equivalent psychiqu
ent, le DrTam- broni, fut chargé par le tribunal d'étudier sou état
mental
. Le médecin expert devait tout particulièrement
d il jeta M... dans le Iteno ? - Quel rapport y a-t-il entre l'état
mental
actuel de V... et son état mental au moment du
uel rapport y a-t-il entre l'état mental actuel de V... et son état
mental
au moment du meurtre ? V... enfin ne serait-il
par se dissiper complètement. L'accès aigu élait fini, mais l'état
mental
restait très défectueux : erreurs de personnali
que le Dr Tambroni relève toutes les particularités physiques et
mentales
qu'il présente, je les énumérerai seulement. Tous
- D'après lout ce qui précède il est facile de conclure à l'état
mental
véritable de V... Nous trouvons en effet un jeune
riplion clinique qui en est donnée ci-dessus, un accès de confusion
mentale
hallucinatoire. L'auteur préférerait le dénomme
parti- culier de perversion de sa personnalité, véritable hystérie
mentale
, qui lui enlevait la liberté de ses actes; 3° L
stérie mentale, qui lui enlevait la liberté de ses actes; 3° L'état
mental
actuel de V..., son état mental au moment du me
la liberté de ses actes; 3° L'état mental actuel de V..., son état
mental
au moment du meurtre ne sont que deux manifesta
s médico-psycholo- giques, avril 1896.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. I. Des idées impératives ; discussion de l'art
le cerveau pendant le sommeil. Elles sont compatibles avec un état
mental
sain et ne diffèrent des idées normales que par
s idées normales que par le degré. Il n'admet dans ce cas ni état
mental
négatif, ni état mental positif isolé. L'état men
ar le degré. Il n'admet dans ce cas ni état mental négatif, ni état
mental
positif isolé. L'état mental négatif absolu n'e
ce cas ni état mental négatif, ni état mental positif isolé. L'état
mental
négatif absolu n'existe que dans la démence com
us ceux qui ne sont pas conformes à quelque 126 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. type sauvage primitif possédant un syslème ner
es acci- dents nerveux rapides des véroles séniles; les altérations
mentales
dues à l'intoxication par les produits du virus
cet article, la dis- cussion se trouve close. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 127 n-ories, deux surtout sont importantes au
ne bande osseuse de trois pouces anglais et 128 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. demi de long sur un quart de pouce de large fu
l soit, et qui n'est que trop en accord avec le REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 129 caractère agressif et méchant que l'épilep
iule rvalle Archives, 2° série, t. II. 9 130 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. les fonctions gastro-intestinales s'accompliss
ns ces signes de dégénérescence une phrénologie REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. '131 scientifique. Il est probable que, pour l
. Il est probable que, pour longtemps encore, l'étude des capacités
mentales
bénéficiera plus de l'examen des manifes- tatio
examinés à cet égard, l'auteur a trouvé 30 132 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. p. 100 des malades chez lesquels existait une
grante de la folie morale. La folie morale étant une des affections
mentales
qui mettent le plus en contact médecins et magi
nelle de l'écorce forment un tout harmonieux et REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 1 33 la perversion du a moi », dans la folie,
ont la cause directe d'au moins 10 à 12 p. 100 des cas d'aliénation
mentale
, et la cause indirecte de beaucoup d'autres cas
e croire qu'un usage modéré de l'alcool doive conduire à un trouble
mental
un individu normal et même, à priori, la physio
également mise à l'étude au congrès de Ha- '134 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. novre (1892). Wulff, à propos de la contagion
r, pour certains, de fâcheux résultats au point de vue de leur état
mental
. D'autre part peut-on se contenter d'isoler les
; et pour cela il faudrait que l'enseignement clinique des maladies
mentales
devint obligatoire et que la psychiatrie fil pa
e doita\oir une instruc- tion solide au point de vue de la médecine
mentale
, avoir été pendant plusieurs années assistant d
de Kreis- physicus porte entre autres sur des questions de médecine
mentale
et que les candidats aient fait un stage dans u
point de vue de leur état psychique qu'au point de vue de leur état
mental
. C'est en réalité tromper l'espoir 138 " SOCIÉT
lui donner, en toute occasion, des notions exactes sur les maladies
mentales
et leur traitement. Le président propose au con
examens, et un stage d'un semestre dans une clinique des maladies
mentales
doit être exigé des candidats (Comptes rendus du
our le rechercher. Cramer étudie les formes diverses d'alié- nation
mentale
dans lesquelles il a rencontré le phénomène du
aumatique. Mais en raison des classifications diverses des maladies
mentales
on pourra toujours employer le mot de folie des
mme il a été dit plus haut, qu'il y a souvent une certaine débilité
mentale
. Une question difficile à ré- soudre est de sav
onstatations cette conclusion à savoir qu'il n'y a pas de ma- ladie
mentale
spéciale, caractérisée par la manie des réclamati
montrer que le malade est un aliéné, est atteint d'une alfec- tion
mentale
, et qu'un des symptômes de cette affection est la
t souvent des malades qui ne présentent point de signes de débilité
mentale
et dont la cause première de l'affection tient
Si, en outre, on invoque cet argument qu'il y a nombre de maladies
mentales
dans lesquelles on constate le fait de c réclam
e des persécuteurs, comme pour les autres dénominations de maladies
mentales
, un ensemble de symptômes typiques, dont le cor
entes des auteurs en ce qui concerne la classification des maladies
mentales
. C'est aller trop loin que de dire qu'il n'y a
inique de la paranoïa. Cette forme apparaît sur un fond de débilité
mentale
, parfois très accentuée. Les interprétations sur
l'opinion de M. Magnan. C'est aussi le début brusque par le vertige
mental
ou ictus cérébral de Lasègue. On peut objecter qu
s ? M. ARNAUD. - On en pourrait' dire autant de toutes les formes
mentales
. M. Charpentier exagère l'insuffisance de nos moy
rès de tout praticien. Ch. Mirallié. VARIA. Congrès DE médecine
mentale
ET NERVEUSE. (7e Session. Nancy, 1896.) Le se
mbres du Congrès une réduction 1 Les membres du Congrès de Médecine
mentale
et nerveuse, qui voudraient prolonger leur séjo
ibliographiques, statistiques et cliniques 1 sti ? 'lês' maladies :
mentales
d'origine traumatique. - Volume in-8° de ? 189 pa
s, que notamment le symptôme ataxie est souvent aggravé par un état
mental
, neurasthénique, qui se traduit cliniquement pa
ne sont pas là les caractères d'une amélioration par la suggestion
mentale
. Nous allons mainte- nant voir par quel mécanis
tériques ne peuvent pas comp- ter, car le mécanisme des anesthésies
mentales
est très com- pliqué. On pourrait dire des hyst
inique (25 juin 1890) avec le diagnostic suivant : Dégéné- rescence
mentale
avec attaques hystéro-épileptiques graves, suivie
AYS DE LANGUE FRANÇAISE. SESSION DE NANCY. Le Congrès de Médecine
mentale
et de Neurologie s'est ouvert le 111 août, à Na
gue et per- sévérante nous ménage des victoires et que les maladies
mentales
et nerveuses bénéficieront à leur tour des gran
oivent unir l'enseignement et la pratique des maladies nerveuses et
mentales
. Si ce voeu se réalise, vous aurez, Messieurs,
noncé l'allocution d'usage et insisté sur l'alliance de la Médecine
mentale
et de la Neurologie, pour répondre à certaine t
tales et de la médecine légale des aliénés. Le Congrès de médecine
mentale
est alors devenu le Congrès des médecins aliénist
de l'armée des travailleurs s'occupant des mala- dies nerveuses et
mentales
est tout à fait artificielle. Elle ne repose su
e' leur évolution. Remarquez, en effet, que la plupart des maladies
mentales
ne sont, représentées dans les asiles d'aliénés
s les maisons spécialement con- sacrées, au traitement des maladies
mentales
. Inversement, il y aune foule de maladies, de s
rbides qui, par leur nature, appartiennent en propre à la' médecine
mentale
, et qu'on n'a jamais ou presque jamais l'occa-
li une sorte de pénétration continue entre les études de pathologie
mentale
et celles de patho- logie nerveuse, si bien que
nes de la dégéné- rescence et, un peu plus tard, dans la pathologie
mentale
, celle de l'infection. Il y a une trentaine d
ilosophe, Morel, étudiant les conditions de production des maladies
mentales
, com- prit le rôle capital que joue dans leur g
génératrice. Cette notion, tirée uniquement de l'étude des maladies
mentales
et appliquée uniquement par Morel à J'étiologie
la doctrine de la dégénérescence s'étendait ainsi de la pathologie
mentale
à la pathologie nerveuse, la microbiologie prép
à en appliquer les principes à l'étude, de l'étiologie des maladies
mentales
. Leurs travaux se succédèrent alors rapidement.
s dont une bonne partie a été communi- quée aux Congrès de médecine
mentale
de 1890 et 1891, ouvriront la voie. Le remarqua
nt aujourd'hui que beaucoup de cas de psychoses pures, de confusion
mentale
primitive, de manie, .de mélancolie, de folies
limitée, mais extrêmement impor- tante de l'étiologie des maladies
mentales
et nerveuses, les alié- nistes et les neurologi
thologie nerveuse, les seconds ont préparé l'accès dans la médecine
mentale
de la doctrine de l'infection, doctrine dont il
port par des considérations psycholo- giques sur le rôle des images
mentales
, leur extériorisation et leurs lois psychologiq
e une exagération maladive du phénomène normal de la représentation
mentale
, comme une représentation mentale exté- riorisé
omène normal de la représentation mentale, comme une représentation
mentale
exté- riorisée. Or, cette proposition n'est pas
sure qu'ils le com- posent. Dans certains cas, cette représentation
mentale
extériorisée prend une intensité telle qu'elle
r ainsi dire à l'action prématurée de la volonté; la représentation
mentale
extériorisée s'impose avec une persistance obsé
es psychologues, qu'il y ait extériorisation de la représen- tation
mentale
, il faut encore que le sujet perde conscience de
de l'état physiologique à l'état pathologique; la représentation
mentale
se transforme progressivement par une série d'opé
même des alcooliques, on retrouve, derrière et au-dessous, un état
mental
passager ou du- rable, évident ou plus ou moins
décrits par Kandwisky. Ce sont pour Kandwisky des repré- sentations
mentales
fixes et persistantes, mais ne s'extériorisant
cicatrice sup- prime subitement l'illusion et toute représentation
mentale
du pied fantôme devient et demeure impossible p
la vie de leurs semblables. III. Les progrès réalisés en pathologie
mentale
et dans l'hos- pitalisation spéciale tendent à
non à la loi elle-même, mais à l'oubli de ses dispositions fonda-
mentales
. XV. - Le principe essentiel de la loi votée pa
eu près ainsi conçu : Toute personne guérie d'un accès d'aliénation
mentale
qui demande à prolonger momentanément son séjou
le bien des malades et qui sont au bénéfice des finances départe-
mentales
, dans l'esprit des membres des commissions de sur
eux-mêmes que parmi leurs pareils, car ces derniers, tous égoïstes
mentaux
, se complaisant dans leurs idées ' Nous profito
simplement dé- raisonnables est souvent du domaine de l'aliénation
mentale
. M. Charpentier a trouvé comme une contradictio
souvent, d'ailleurs, leur entourage contribue à entretenir cet état
mental
, cette appréhension. La relation qui existe e
central et l'ap- pareil digestif est mise en évidence, outre l'état
mental
, par des troubles de sensibilité de la zone gas
Le diagnostic doit être fait avec l'anorexie hystérique, l'anorexie
mentale
, la dilatation de l'estomac, les diverses dyspe
sans effet dans la sitiophobie liée à d'autres formes d'aliénation
mentale
. La dose employée pour les injections sous-cuta
ndance à rougir les rend très malheureux et leur crée une situation
mentale
des plus pénibles. Ils sont véritablement obséd
Vol. II. Octobre 1896.. N° 10. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
TROUBLES MOTEURS PRÉCÉDANT L'ARTICULATION DE
phtérie en bas âge. Archives, 2e série, t. II. j 7 2§8 · CLINIQUE
mentale
. A. K... avait douze ans lorsque son père, pris
ns l'enfance et il aurait été épargné par les maladies 260 CLINIQUE
mentale
. infectieuses habituelles à cet â2e ; la foncti
uche, mais cependant bien plus atténués qu'à droite. , 262 CLINIQUE
mentale
. La plupart du temps l'épaule gauche, simultané
que le malade a parlé ou un temps relativement long. 264 CLINIQUE
mentale
. Les troubles respiratoires se montrent en même
égaiement et autres défauts de prononciation, page 35. 266 CLINIQUE
mentale
. de les signaler au cours de l'histoire patholo
alisées à la face, enfin elles s'accompagnent d'ordinaire d'un état
mental
spécial qui trouve son expression fréquente dan
pondance chez lui entre les déchéances phy- siques et les stigmates
mentaux
. Dans le domaine moral, il est un émotif, et so
deux stigmates trop communs et trop importants de la dégénérescence
mentale
pour qu'il soit nécessaire d'insister sur leur
aire d'insister sur leur signification pathologique. 268 CLINIQUE
mentale
. K... présente en outre à l'état d'ébauche un p
ur que la confusion ne soit pas possible. C'est à la dégénérescence
mentale
que nous rapportons les, 1 Bl'issaud, - Epileps
ce considère comme nécessaire au traitement curatif de l'aliénation
mentale
. Projet de création d'un laboratoire pathologiq
reçoivent-ils une instruction spéciale en méde- cine et pathologie
mentales
, neuro-anatomie et dans l'usage des instruments
'un malade, en ce qui concerne les examens pour déterminer l'état
mental
et physique du sujet, l'enregistrement des entrée
la plupart, suivi les cours spéciaux des professeurs de pathologie
mentale
. Us savent se servir plus ou moins du microscope
blié des articles et des observations dans les journaux de médecine
mentale
et deux ou trois dirigent même ces journaux.
a puberté devinrent-ils manifestes ? Quel était, auparavant, l'état
mental
et physique ? Quels change- ments sont-ils surv
génitaux ? Maladies des organes génitaux ? Historique du désordre
mental
. Les causes supposées : a) d'après le malade ;
ue ou graduel ? " t1-t-on observé quelques perversions des facultés
mentales
? Fatigue intellectuelle ? Changement dans les
Importunité ? Etat du sommeil juste avant l'apparition du désordre
mental
? A-t-on observé quelque anomalie au réveil ?
minante les traumatismes du sein qui agissent en influençant l'état
mental
des sujets. On l'observe aussi assez fréquemmen
ues sont le myxoedème infantile le nanisme, l'idiotie, etc. Un état
mental
infantile accompagne toujours la malformation c
er. M. B. BIBLIOGRAPHIE. III. Manuel de séméiologie des maladies [
mentales
à l'usage des méde- cins, des médecins légistes
en quoi consistent les effets produits par la maladie ou l'anomalie
mentale
dans l'ensemble des éléments constitutifs de la
fiques consistant essentiellement dans des altérations du processus
mental
. Ce qui ne veut nullement dire que les recherch
clans la grippe. M. Tiberi (Colbert) : Le suicide dans l'hé- rédité
mentale
. FAITS DIVERS. UN rou dangereux. M. Bouteilli
el Bericluhans. SEEUGMANN (A.). Contribution à l'étude des troubles
mentaux
consécutifs aux opérations gynécologiques. - Vo
liéné. Dans la famille maternelle, il y a également de l'aliénation
mentale
. Le malade a deux frères qui sont bien portants
e eux raisonnent et jugent sainement en dehors de leurs aberrations
mentales
, et ne sont pas insensibles aux bons et aux mau
rk. (BUDGET DE 1895.) 378 ASILES d'aliénés. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XIV. Des GUÉRISONS tardives; par le De Cuateli
t années à l'asile, furent rendus à leur famille sans que leur état
mental
se fût beau- coup modifié. L'auteur eut l'occas
es cas d'une cérébropalhie spéciale dans la 380 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. névrite multiple; et que ce n'est qu'en écriva
, Oppenheim, la même année, avaient signalé la présence de troubles
mentaux
chez les alcooliques et, de plus, loin d'admett
, la maladie de Korsakoff, consiste principalement, au point de vue
mental
, en une amnésie. Mais cette amnésie ne se renco
ent que Kroepelin a prouvé que les poisons dits REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 381 nervins agissent principalement sur la vol
eurologist. Janvier 1896.) E. B. XVII. Etat présent DE l'aliénation
mentale
DANS LE üASSACIIUSETTS par le D1' SAXHORN. Au
journal ofinsanity. Avril 1896.) E. fiLIN, 382 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XVIII. Stigmates DE dégénérescence; par le D1'
tes de la consanguinité et la transmission fatale des défectuosités
mentales
et physiques. (Amc- Tican journal ofinsanily. A
pileptique coexistant, telles la mélancolie, la manie, la confusion
mentale
aiguë, la catatonie, la démence paralytique, ma
épileptique. Il y a, chronologiquement, cinq variétés d'aliénation
mentale
dues à l'épilepsie : la folie préépileptique, l
ormal, en général, pendant les premières années REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 383 de la puberté, de treize à quinze ans chez
x quinze ans avant son entrée à l'asile, il 384 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. s'agissait donc, chez lui, d'nne récidive à lo
art fait jouer un rôle important dans la patho- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 385 génie des troubles psychiques observés aux
ersistantes Archives, 2° série, t. II. 25 386 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. de grandeur, instincts destructeurs, impulsifs
t anthropolo- gique, et quand on a reconnu chez eux une infériorité
mentale
ou des perversions psychiques incompatibles ave
e lever la nuit et de se livrer à des excentri- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 387 cités. Le jour il abandonnait son travail
ssi présentait de nombreux stigmates de dégénérescence physiques et
mentaux
, des tics de la face entre autres. Facies sans
ui est acquis, d'où les actes de violence, d'où la déséquilibration
mentale
, d'où enfin le peu de responsabilité de ces suj
responsabilité de ces sujets. Camuset. - 388 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 1 XXVIII. Diagnostic, pronostic ET prophylaxie
ômes différentiels des principales classes de délires et affections
mentales
avec déduction aupoint de vue pronostic, l'aute
pe. Mydriase avec iridoplégie passagère faisant REVUE DE pathologie
mentale
. 389 place à la cyclôpégie; dès le début : exci
nce progressive très accentuée dès le début. A. M. XXX. DE l'état
mental
dans L4 maladie DE BSEDOW; par A. 1\ ! .IUDE. (
ganisme, non seulement humain, mais animal; 390 REVUE DE pathologie
mentale
. c'est un résnltat naturel des causes physio-ps
), déterminant, comme chez les homicides nés, une anomalie fonda-
mentale
et primitive de la trempe morale; b) ceux qui ne
vêtements bizarres, dans le but de se garantir REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 391 d'influences malfaisantes. En réalité il d
médical. En plus leur vie n'était qu'une succes- sion de deux états
mentaux
, de natureopposée, alternant régulière- ment en
un certain degré de surexcita- 392 . REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. tion
mentale
. Pendant les soirées qui précédaient les nuits da
idents nerveux se manifestaient, les malades étaient d'une activité
mentale
excessive et anormale. Ces phéno- mènes morbide
ES résultats favorables DE la CRAnIECT011lE dans UN cas de DÉBILITÉ
MENTALE
ET DE FOLIE MORALE; par A. S ? 1NUOCK. (A'e ! f)'
ble, dans certaines conditions de fortune, et dans certaines formes
mentales
déterminées, d'instituer une mé- thode favoTabl
et pour l'infirmier qui se trouvent forcés d'exercer une direction
mentale
et morale de tous les ins- tants à leur malade
tervient pour une grande part dans la montée énorme de l'aliénation
mentale
, qui va, rien que pour le département de la Sei
1896. Chez l'auteur, à l3uztenzorg (Java). Siiuttleworth (G.-E.).
Mental
Ot7B)'St)'ctilti)xÎleClLlCatt09x. Brochure ici-
Vol. II. Décembre 1896. N° 12. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
. DES PSYCHOSES RELIGIEUSES A ÉVOLUTION PROGRESS
t au type que nous décrivons. 3 Marcé. Traité pratique des maladies
mentales
. Paris, 1862, p. 366. Archives, 2e série. t. IL
s. Paris, 1862, p. 366. Archives, 2e série. t. IL 27 418 CLINIQUE
MENTALE
. police et cette croyance, si commune chez les
érieux. Délire chronique, p. 98. v DES PSYCHOSES RELIGIEUSES. 4t9
mentale
, nous semble avoir une importance non moindre en
Période commune d'incubation. Inquiétudes vaques. 420 0 ' CLINIQUE
MENTALE
. Les mélancoliques poursuivis par le démon perd
parlent dans leur estomac, etc. Il. Dagonet. Traité des maladies
mentales
, 1896, p. 237. DES PSYCHOSES RELIGIEUSES. 421
3 Séglas et Besançon. Ann. Méd. l'sch., janvier 1889. 422 CLINIQUE
MENTALE
. tive des idées délirantes et des troubles psyc
74, 38-2. 2 Calmeil. De la Folie, t. I, p. 37-82. 424 CLINIQUE,
MENTALE
. aux divers souverains de l'Univers ; ils se di
ou une statue ' Sémerie. Th. Paris 1867, p. 35. /1 il 6 CLINIQUE
MENTALE
. longtemps contemplée antérieurement, ou seulem
choses découlent naturellement de l'objectivation de l'articulation
mentale
qui fait attribuer aux bêtes un langage humain.
main. ' P. Garnier. De la Mégalomanie, th. de Paris. 428 CLINIQUE
MENTALE
. l'espace, ils n'étaient rien, ils en arrivent
ésenté par 1 Un malade que nous observons (voir Traité des maladies
mentales
, P. Ball, éd. 1891) offre un exemple très net d
ntgeron, t. il. Calmeil, De la Folie, 2' vol., p. 354. 430 CLINIQUE
MENTALE
. moi, mais en dehors de lui. Plus tard le dynam
auditives, car les malados désignent ces phénomènes d'articulation
mentale
, sous le nom de voix, tout comme les hallucinat
allucina- lions. 2 Baillarger T. I, p. 310 et 311. 132 CLINIQUE
MENTALE
. On peut rapprocher de ce qui précède les ligne
rbide, p. 237. 3 J. Moreau de Tours. Du Hachisch et de l'aliénation
mentale
. Paris, 1845, p. 351. ' .1. Moreau de Tours.
ires, obs. XIII, 1886. Archives, 2e série, t. II. 28 434 CLINIQUE
MENTALE
. ciel un vaisseau lumineux, où Dieu' lui appara
aperçu historique sur la connaissance et l'évo- lution des maladies
mentales
, depuis les temps les plus recu- lés jusqu'à no
épilep- tiques non aliénés, inauguré lors du Congrès de médecine
mentale
, à Blois, en 1892. Le dépôt de mendicité n'ayant
ce publique, principalement à l'égard des aliénés et des infirmités
mentales
; les aliénés ins- piraient encore de l'horreur
les plus fatales et les plus contraires au traitement des maladies
mentales
. Que de gens ignorent ou font semblant d'ignore
olie ou d'épilepsie à un degré susceptible de produire l'aliénation
mentale
et dans un état d'indigence absolue. PART. 3. L
, représente un de ces désordres passagers dont la dé- générescence
mentale
est coutumière. (Revue neurologique, juil- let
té militaire soupçonnant, ajuste titre, l'intégrité de ses facultés
mentales
, le fit examiner par des médecins. Les experts
r toute idée de famille, le médecin peut poser le diagnostic d'état
mental
interdisant toute liberté de disposer de sa for
e expertise très facile au sujet d'un cas d'épilepsie avec troubles
mentaux
caractéristiques ; ce qui la complique un peu,
ropologie complèle de l'accusé et une vraie 1-çoti sur les troubles
mentaux
dans l'épilepsie, avec examen cri- tique des pr
éjouies de son aspect. Cette idée lui causait à lui le même plaisir
mental
que lorsqu'il essayait d'exciter l'imagination
cheval de fer dans le traiter ent des diverses formes d'aliénation
mentale
on a noté, paraît ,1, les meilleurs résultats e
départementales peuvent servir de base. Tus journal or nervous and
mental
diseases L'administration annonce les changemen
à New-York. Asile clinique (3ainte-Atiiie. - Clinique des maladies
mentales
: le professeur A. JOPRROY. Mercredi et samedi,
ster, 133; par Darin, 396, - Lutte contre l' -, 332. Aliénation
mentale
en Tunisie, par A. Voisin, 66; en Iassachu8etts
et du pédoncule cérébral, par 11a- haine, 315. Ii.lSDO`5'. Etat
mental
dans la ma- ladie de -, par llaudle, 389. Bib
médecins alié- llistes allemands, par Sérieux, t35. - de médecine
mentale
de France et des pays de langue française, à
Iteyuer, 3D i. Mémoire dans la folie du doute, par Sollier, 65.
Mentales
. Traitement des maladies - , par Lailler, 63. M
ue. Revue de -, 57. Thyroïdien. Alimentation ne dans les troubles
mentaux
, par CIarl.e, 64. De la médication ? ne, de son
USTRÉE 914 9 8 PSTCHOLOG1E — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES Rédacteur en chef : Docteur Edgar
le. Il m'est arrivé ainsi d'améliorer d'une façon très marquée l'état
mental
de certains épilep-tiques. Dr Bérillon. — Au di
ep-tiques confirmés. Lorsqu'on les amène, ils présentent des troubles
mentaux
caractérisés par de l'aboulie, de la diminution d
auront été impuissantes. Les succès obtenus par ce genre d'orthopédie
mentale
ne se comptent cependant plus et sont trop nombre
organes. Nous nous rappellerons que nous avons affaire à des débiles
mentaux
qu'il ne faut pas fatiguer par la contrainte. Nou
voir pour ne pas aggraver son état et le précipiter dans des troubles
mentaux
de la plus haute gravité. Ce n'est pas dans des
ignée et, en tous cas, doit être recherchée tout d'abord : suggestion
mentale
et communication directe de la pensée, déplacemen
de Cheltenham). D'GAGNIÈRE Ide Lyon) : Prophylaxie de l'arriération
mentale
par l'alimentation lactée. etc., etc. Avis
de Cheltenham). D'Gagnière Ide Lyon) : Prophylaxie de l'arriération
mentale
par l'alimentation lactée. etc., etc. Avis im
e : on interprète par une illusion physique un phénomène vrai et tout
mental
, a Autour d'un fait réel, souvent minime, l'imagi
« radoubeurs d'âme » qui, par la pédagogie suggestive et l'orthopédie
mentale
, grâce à l'hypnotisme et à la suggestion secouren
ées leurs résultats ils seront intéressants à comparer. La débilité
mentale
, son diagnostic et son traitement (1), par le D
tudiées par M. Bourneville pour les échelons inférieurs des débilités
mentales
, mais d'autant plus mal connues qu'on-se rapproch
omme je l'ai déjà dit, le diagnostic des états inférieurs de débilité
mentale
, idiotie ou imbécillité, ne présente ni difficult
çon générale, le diagnostic reste sombre. Diagnostic de la débilité
mentale
. A mesure qu'on se rapproche de l'état normal, la
yée, pour séparer les uns des autres les types supérieurs de débilité
mentale
, a été inspirée par les règles générales de psych
plus de 400 enfants a montré que le chiffre limite entre la débilité
mentale
et l'imbécillité était à peu près de 50,alors que
'intelligence qui forment te subtsratum, la nature même de ladébilité
mentale
,on peut rencontrer des perversions de l'intellige
t rencontrer des perversions de l'intelligence sous forme de troubles
mentaux
; ces derniers sont loin d'être chose négligeable
rniers sont loin d'être chose négligeable dans l'étude de la débilité
mentale
, puisque, sur un ensemble de 900 débiles observés
rement fréquent, lorsque le père est remarié — ce terrain de débilité
mentale
, fertilisé par la débilité morale, constituera un
orales qui mènent au vice, à la criminalité. En résumé, la débilité
mentale
, prise dans son sens le plus large — si elle n'im
as spécialement prédisposé, le débile présente à l'égard des troubles
mentaux
et surtout à l'égard du vice, une réceptivité spé
éducation, un milieu spécial qui réduise au minimum les complications
mentales
et morales possibles. Voila comment le débile, to
ceptions, des opinions émises sur les différentes classes de débilité
mentale
. Et, dans cette voie, on me parait avoir, en géné
entendu parler de psychoses, cependant si fréquentes dans la débilité
mentale
. Enfin, certains philanthropes, qui s'occupent
prédispositions morbides que certains présentent, tant dans la sphère
mentale
que dans la sphère morale, et préserver les autre
de faire germer sur ce terrain favorable les complications morales ou
mentales
qui transforment si vite les débiles en vicieux,
fixes ; on peut modifier ainsi, peu à peu, cette sorte de rumination
mentale
à laquelle le malade " se livre sans cesse. M. Ja
pour détourner de son esprit, par une diversion violente, le concept
mental
qui l'obsédait. Nous savons, d'ailleurs, qu'à l'é
persuasion ne peut rien. C'est alors qu'il faut agir sur les concepts
mentaux
, figés dans le cerveau, avec d'autant plus de per
; 3° rétrécissement du champ cérébral ; 4° prédominance, dans la vie
mentale
, de la réminiscence et de l'automatisme. » Ml
itch — qui dirige, à New-York, avec tant de compétence, le Journal of
Mental
Pathology, auquel le Dr Bérillon et moi nous nous
ommis pour examiner les délinquants ou Inculpés suspectés de troubles
mentaux
, dit simplement qu'il n'y a ni crime, ni délit lo
compétent pour se prononcer sur la réalité et la nature des troubles
mentaux
chez les inculpés, et sur le rôle que ces trouble
oupe sur la reproduction. Le rire bestial de ce sujet prouve son état
mental
. (Fig. I). Comparons un autre sujet (fig. 2 et
r Toulzac, médecin-légiste à Versailles : La protection des débiles
mentaux
contre les sévices dont ils sont l'objet dans les
port, je relève les expressions suivantes : certain degré de débilité
mentale
n'enlève pas à l'inculpé tout discernement ; — pa
s'agit d'obnubilation de la conscience, de discernement, de débilité,
mentale
, de maîtrise de soi, etc., non seulement vous emp
son de... et ici interviendra l'énumération de ses tares physiques et
mentales
). 3° Cet acte est imputable a X... pour une trè
son acception restreinte ; vous prévenez « qu'il désigne les troubles
mentaux
, quels qu'ils soient, susceptibles d'influencer p
ion de l'expert à la constatation des symptômes morbides et des tares
mentales
, sans consentir à « lier plus loin, c'est réduire
seur adjoint à l'Université de Bordeaux, chargé du cours des maladies
mentales
. Les enfants mentalement anormaux ou anormaux p
psychiatrique confiée au Dr de Sanctis, chargé du cours des maladies
mentales
à l'Université. Dans nombre de grandes villes,
D' Toulzac, médecin-légiste à Versailles : La protection des débiles
mentaux
contre les sévices dont ils sont l'objet dans les
surtout si elle se prolonge quelque peu, laisse toujours dans l'état
mental
de l'enfant des séquelles mentales qui affectent
que peu, laisse toujours dans l'état mental de l'enfant des séquelles
mentales
qui affectent et modifient profondément la person
atteints d'hystérie, d'épilepsie, de chorée et même de dégénérescence
mentale
, l'indocilité n'est pas fatalement causée par l'é
acilement à porter le pronostic d'un arrêt définitif dans l'évolution
mentale
. Ce sont des malades dont l'idiotie est acquise
ue donne leur aspect, ils sont susceptibles d'une grande amélioration
mentale
. Leur intelligence, si on la cultive par des soin
t Lionel Dauriac. 3. M. Félix Regnault. — Un faux cas de suggestion
mentale
. Discussion : MM. Bérillon et Paul Farez. 4. M.
renconter des âmes sensibles chez lesquelles la simple représentation
mental
d'un événement, alors même qu'il ne s'est pas réa
ns des pleureuses corses suivant un convoi funèbre. Dans l'aliénation
mentale
on observe souvent des dispositions à pleurer pou
hypnotisme dans la psychothérapie. ¦2° L'hypnotisme et l'orthopédie
mentale
: Les enfants et les adolescents anormaux : retar
es samedis à cinq heures, à partir du samedi 1" février. Pathologie
mentale
appliquée aux religions. M. le D* Bixet-Sakglé, p
sujet de son enseignement porte d'une façon générale sur les maladies
mentales
et nerveuses, mais une partie importante est cons
ais une partie importante est consacrée à l'étude des dégénérescences
mentales
et des psychoses chez les enfants. Les leçons, to
goureux. L'intérêt que présente cet enseignement de la pathologie
mentale
et nerveuse chez les enfants explique son succès
'être étudiée avec soin. S'il est hors de doute que des impressions
mentales
peuvent causer la mort, notre attention ne doit-e
xécution qu'il croyait réelle, et qui de fait n'était qu'une illusion
mentale
insoupçonnée. M. H. Gaxe m'a raconté un cas obs
nal une notice nécrologique racontant sa mort. Cela lui donna un choc
mental
si violent qu'il succomba. Il mourut donc d'une i
hoc mental si violent qu'il succomba. Il mourut donc d'une impression
mentale
. Ce fait nous prouve une fois de plus que nous
ie humaine, et comprendre à quel point cela dépend de nos suggestions
mentales
et de nos conceptions à ce sujet. Exemptes de c
ons javanaises. D'Toulzac (de Versailles).— La protection des débiles
mentaux
contre les sévices dont ils sont l'objet dans les
étude sinon sur les grossesses nerveuses, mais sur les perturbations
mentales
des femelles domestiques. Au moment d'un accouc
janvier 1908, à 10 heures, ses conférences cliniques sur les maladies
mentales
et nerveuses spécialement chez les enfants, et le
e suffise de citer, pour mémoire, ses remarquables travaux sur le tic
mental
et la discipline psycho-motrice ; ce qu'il veut,
que se trouvait privée d'un chef de premier ordre, par le dérangement
mental
de Mourad, le peuple ottoman se trouvait déçu dan
elligence exige une grande sommedauto-suggestion et de représentation
mentale
: l'amour également. L'amour, instinct, passion
mis pour examiner les délinquants ou inculpés suspects de trou-« bles
mentaux
, dit simplement qu'il n'y a ni crime ni délit lor
ompétent pour se prononcer sur la réalité « et la nature des troubles
mentaux
chez les inculpés et sur le rôle que o ces troubl
bien avant ce début j'ai moi-même, dans un cours public de « Médecine
mentale
appliquée à l'étude du Droit ¦¦ (1901-1905), posé
servation clinique, à connaître d'une échelle précise de dégradations
mentales
susceptibles de constituer des degrés d'à norma/i
s l'influence de la divinité, c'est-à-dire par suggestion. Troubles
mentaux
. — Il semble que la pathologie mentale ait été mi
ire par suggestion. Troubles mentaux. — Il semble que la pathologie
mentale
ait été mieux observée, chez les Hébreux, que les
autres mala- (1) Wulfiag-Luer (W.). — De la pathologie nerveuse et
mentale
chez les anciens Hébreux et dans la race juive. (
r les sujets. Je l'ai également observé dans plusieurs cas d'anorexie
mentale
. Le visage spectral, dans ces cas, a disparu en m
roux, médecin de l'asile de Vaucluse, ont signalé des cas de troubles
mentaux
survenus à la suite de séances de spiritisme. L'é
mensonge, la superstition, la cruauté ; telles sont les dispositions
mentales
dont témoignent toutes ses décisions. Porté à l'o
ccidentaux. * Le premier roi des pays d'Orient, dont l'aliénation
mentale
ait été enregistrée par l'histoire, est Saùl. T
ouvait soulagé et le mauvais esprit se retirait de lui. L'affection
mentale
dont souffrait Saul serait aujourd'hui rangée dan
resté sain. Après avoir montré, par ces exemples, que l'aliénation
mentale
a fait son apparition de bonne heure chez les sou
ys n'ont pas cessé de payer leur tribut aux atteintes de l'aliénation
mentale
. (à suivre.) SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCH
ambitieux, ignorants et sans expérience. La protection des débiles
mentaux
contre les sévices dont ils sont l'objet dans les
en psychiatrique et biologique ne révèle point chez lui des anomalies
mentales
et psychiques de nature à atténuer dans une certa
t affaire ici à un faible d'esprit, à un individu atteint de débilité
mentale
; irritabilité morbide, réaction impulsive, faibl
e simples injures. Conclusions. * 1- O... est atteint de débilité
mentale
. « 2* Celle-ci, sans être portée au point de lu
e, je n'ai voulu amorcer une discussion transcendante sur la médecine
mentale
. C'est un cas banal d'observation quotidienne,
ervation de psychologie rurale. Au village, la débilité physique et
mentale
de malheureux pareils les exposent aux taquinerie
rticle 64 du Code pénal reproduit la même disposition. — L'aliénation
mentale
entraine de piano l'excuse ou, ce qui revieot au
ommis pour examiner les délinquants ou inculpés suspectés de troubles
mentaux
, dit simplement qu'il n'y a ni crime, ni délit lo
compétent pour se prononcer sur la réalité et la nature des troubles
mentaux
chez les inculpés, et sur le rôle que ces trouble
it assurément de ramener l'expertise, en ce qui concerne l'aliénation
mentale
, à des conceptions aussi positi- ves que lors
de faire ressortir l'ignorance des magistrats en matière d'aliénation
mentale
. Après les discussions assez confuses auxquelles
toute pénalité étaient les suivantes : L'impuberté. L'aliénation
mentale
. Certaines injures faites aux esclaves. Le ju
nstances, la seule qui se rattache à notre sujet est l'aliénation
mentale
. Elle est d'ailleurs la seule qui comporte, à not
e le juge conserve quelque incertitude sur la réalité de l'aliénation
mentale
de l'inculpé, avant de le faire bénéficier de l'e
L'aliéné qualifié furiosus est évidemment celui dont le dérangement
mental
est très accentué et se traduit par un délire évi
ous des formes différentes. II mentionne, en particulier, la débilité
mentale
légère : insania juncta stultitiœ. Cet état n'est
scriptions les plus scientifiques des diverses formes de l'aliénation
mentale
se trouvent dans les écrits d'Arétée, do Soranus,
, do Soranus, de Cœlius Aurelianus, de Ga-Hen et de Paul d'Egine.
mentaux
impliquait au pointde vue pénal, pour celui qui e
hasard d'un événement quelconque {*). Par le fait de son aliénation
mentale
, l'inculpé échappait à toutes les lois pénales, à
us est tout à fait privé d'intelligence, par l'effet d'une aliénation
mentale
permanente, et sans qu'on puisse soupçonner la si
it, que les Romains se faisaient une idée assez nette de l'aliénation
mentale
. Ils la considéraient comme une véritable maladie
mittence fréquente dans telle autre (furor). L'excuse de l'aliénation
mentale
n'était admise qu'autant que l'acte punissable av
laquelle ils concevaient la persistance dé la disposition au trouble
mental
, c'est lorsqu'il s'agissait de la vente d'un escl
alors qu'il était simplement dans un intervalle lucide. L'aliénation
mentale
intermittente était donc, chez l'esclave, assimil
usé eût le bénéfice de l'excuse légale, il fallait que son aliénation
mentale
fût confirmée ('). Il devait être, dit le texte l
aux signes objectifs, aux symptômes pathogno-moniques de l'aliénation
mentale
, mais en résumé, c'est surtout par les réponses q
rêts légitimes. Quand ils eurent constaté que l'existence de troubles
mentaux
chez certains accusés constituait un obstacle à l
y revenir. * Admettre chez un prévenu l'existence de l'aliénation
mentale
confirmée, équivaut, en jurisprudence, à reconnaî
n de l'intelligence, à l'intégrité du jugement et des autres facultés
mentales
que correspond le pouvoir de répondre saineme
au môme examen chez les personnes atteintes de maladies nerveuses ou
mentales
. Le médecin, je le répète, a seul les connaissa
ient pu trouver jusqu'à ce jour. Qui de nous n'a été frappé de l'état
mental
de ces ouvriers qui, à tout prix, veulent que le
e belle carrière consacrée à l'étude et à l'enseignement des maladies
mentales
, lui ont offert une plaquette, œuvre du professeu
été unanimes à dire quelle révolution il a apportée dans la médecine
mentale
en fondant sa méthode sur l'observation attentive
mais la charpente estrestéela même ; le fond n'a pas changé et l'état
mental
de l'hystérique est aujourd'hui ce qu'il était au
ment physique ». En somme « l'hystérie est une forme de désagrégation
mentale
, caractérisée par la tendance au dédoublement per
e symptôme et surtout comparer cette maladie avec les autres maladies
mentales
connues ; et des arguments qu'il présente à l'app
t conclut que l'hystérie lui semble être « une forme de la dépression
mentale
caractérisée par la tendance au rétrécissement du
mites très nettes qui séparent l'hystérie non compliquée des maladies
mentale
, tout au moins si Ton conserve au mot mental sa s
compliquée des maladies mentale, tout au moins si Ton conserve au mot
mental
sa signification habituelle en psychiatrie ; mais
ions entre les deux psychismes. Certaines hystériques peuvent devenir
mentales
mais c'est par participation du centre psychique
la névrose, d'interpréter par la désunion de leur attelage l'anarchie
mentale
des hystériques. Mais encore faudrait-il tout d'a
es dispositions puisse être légitimement rattachée à une perturbation
mentale
. Ils n'étaient pas différents de leur milieu et c
ale. Il ne faut considérer comme aliénés que ceux dont les troubles
mentaux
peuvent être rattachés à une forme définie de l'a
es mentaux peuvent être rattachés à une forme définie de l'aliénation
mentale
. A la rigueur, on pourrait ranger dans ce nombre
valeur intellectuelle caractérisée par le terme générique de-débilité
mentale
. Mais ces princes insignifiants, dont la faibless
sychopathiques se rattachent plutôt à ces formes de la dégénérescence
mentale
héréditaire dans lesquelles dominent tantôt l'imp
rents. Le premier des sultans ottomans chez lesquels des troubles
mentaux
confirmés se soient manifestés est Sélim II, il f
avait été interné. Il nous parait légitime de rattacher lestroubles
mentaux
présentés par Ibrahim à la folie des dégénérés hé
'absence de la faculté de distinguer entre ces choses. L'aliénation
mentale
dégage l'homme de tout devoir, comme de toute res
omme une formule définitive, individuellement colorée, d'un processus
mental
. Je passerai maintenant à la description de fai
ombreux, de l'influence exercée par des lésions organiques sur la vie
mentale
, notamment en ce qui concerne la production d'imp
pparemment à des affections génitales, cas dans'lesquels les troubles
mentaux
disparurent sous l'influence d'un traitement visa
ébreux, Par M. L. Delmas (suite et fini. Les Prophètes, leur état
mental
. — D'après le Df Wulfîng-Luer, on les distingue
présentaient, tous les deux, des signes manifestes de dégénérescence
mentale
; Myriam était une musicienne exaltée et elle éta
lire. Mais il est un point fort intéressant à étudier, c'est l'état
mental
de ces prophètes. Une des conditions sine qua n
système nerveux : les névroses sont fréquentes ainsi que les troubles
mentaux
qui se compliquent de phénomènes hallucinatoires
es essentiellement croyants jusqu'au mysticisme. D'ailleurs, cet état
mental
était religieusement entretenu par les prophètes
ent à considérer le mysticisme comme aboutissant fatalement à un état
mental
particulier qui relève de la psychiatrie. Ces con
ontré que si l'on avait tenu compte des manifestations de dérangement
mental
signalés par l'entourage, de nombreux crimes pour
n est pas moins vrai que, contrairement à la suggestion, le processus
mental
qui aboutit au retour à l'état normal est raisonn
d Toghlak autre chose qu'un dégénéré atteint de la forme d'aliénation
mentale
désignée actuellement sous le nom de folie hérédi
observation est des plus instructives. Elle nous montre la pathogénie
mentale
de l'affection, sa guérison par le fait de la dis
le fait de la disparition du réve, c'est-à-dire de la représentation
mentale
de l'accident et rinefHcacité de l'application de
L'attitude, les gestes et les mouvements qui favorisent l'application
mentale
, préparent cette application et entraînent son ap
er un parti suffisant de l'imagination visuelle. Cependant, la vision
mentale
est la faculté qui permet, avec le plus de facili
r l'hypnotisme thérapeutique. Une première publication Hypnotism in
Mental
and Moral culture vit le jour en 1901. Il y loue
i de la suggestion dans le traitement de certaines formes de maladies
mentales
au début de leur évolution. Elle fait merveille s
religieuses : manie de la prière, remords de conscience ; de troubles
mentaux
se montrant à l'âge critique du climactérium et d
orité dans l'application de l'hypnotisme thérapeutique à l'orthopédie
mentale
. Il insiste sur le changement de milieu des enfan
s, à l'émotivité primitive. L'hystérie constitue pour lui un syndrome
mental
« un état psychopathologique caractérisé par l'hy
du contrôle cérébral et l'hypersuggestibi-Iité » et c'est sur ce fond
mental
qu'évoluent les divers stigma^ tes et accidents c
ité sans qu'il faille d'ailleurs entendre par là qu'il existe un état
mental
spécial caractéristique de la névrose. Cette hyst
se par rapport à l'âge de l'en- fant ». De par le fait que l'état
mental
infantile peut, dans certains cas, exister chez l
exister chez l'hystérique, il n'en faut pas conclure que ce même état
mental
soit hystérique chez l'enfant. Les termes très im
la névrose, en rapport immédiat avec les pensées, les représentations
mentales
, les sensations, surtout émotives... Le désordre
de ne pas retentir gravement sur la nutrition générale et sur l'état
mental
des sujets qui en sont atteints. » Pour ancienne
stigmates sont en somme la conséquence de ces réactions d'inhibition
mentale
défensive. Et, conséquent avec lui-même, M. Clapa
permet d'affirmer que vingt-cinq d'entre eux étaient doués d'un état
mental
normal. Seize se sont même révélés comme des homm
degré plus ou moins accentué, les manifestations de la dégénérescence
mentale
héréditaire. Plusieurs, bien que possesseurs d'un
le dispute au ridicule. Six de ces derniers ont abouti à l'aliénation
mentale
confirmée. II est pénible de constater que le règ
égitimes de cette conférence pourrait être de décider si des troubles
mentaux
survenant chez un souverain ne constituent pas un
linant toute compétence au point de vue du diagnostic de l'aliénation
mentale
. Mais l'idée énoncée ne tarderait pas à prendre c
grands royaumes de l'Europe occidentale étaient frappés d'aliénation
mentale
, le trône de Turquie fut successivement occupé pa
ombre de cas, des potentats déséquilibrés, atteints de dégénérescence
mentale
, se sont livrés aux pires excentricités. On a pu
s pharyngées ne se rencontrent que chez les sujets présentant un état
mental
particulier, qui les prédispose à s'occuper et à
ée aux paresthésies hystériques, qui sont commandées par un mécanisme
mental
tout à fait différent de celui des neurasthénique
re une hallucination sans appel périphérique, une pure représentation
mentale
. A côté des paresthésies par illusion ou par ha
plus pouvoir l'en distraire. A côté des troubles sensoriels, un état
mental
particulier est indispensable. Suivant les ca
alisation organique, de la réaction urinaire, du sommeil et de l'état
mental
. Un chapitre spécial est consacré à la descriptio
E Danger (Le) des grands bruits dans les villes, p. 377. Débilité
mentale
(La), par BIin, p. 84. Désaccord entre la moral
différents modes, par Van Renterghem, p. 68. Protection des débiles
mentaux
, par Toulzac, p. 269. Psychologie du combattant
DE 7 1 · NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
Fondée par J.-M. CIIAIICOT PUBLIÉE SOUS LA DI
RECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maindies
mentales
à la Faculté de médecine de Paris. Y. MAGNA
que la participation de l'élément noble pour produire les accidents
mentaux
. Ce fait me semble bien propre à prouver que ce
QUE; , Par Paul SOLLIER, - Clief de clinique adjoint des maladies
mentales
à la l'acuité. . i Tous les auteurs qui se sont
e qui empêché le développe- ment intellectuel et amène la déchéance
mentale
; il s'agit là de démence véritable plutôt que
ions cérébrales.' Tantôt enfin l'épilepsie s'ac- compagne de l'état
mental
qui lui est"propre,'et on ne saurait dire qu'il
nerveux. Elle constitue [le degré le plus inférieur de la débilité
mentale
, dont elle se rapproche absolument au point de
fication d'imbécillité,' qui doit être réservée aux cas de débilité
mentale
assez marquée pour empêcher les 'sujets''de'' r
Mil - tl »jiLir,^ i» i...-- . ji, i C - * . 40 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. III. NOTE SUR l'élongation DES nerfs. dans l'h
lète des deux oculo-moteurs externes. Mêmellac- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 41 cidité des muscles de la face. Anomalies mo
qu'un accusé sera reconnu irresponsable, quand atteint d'aliénation
mentale
. i° Il ne sait pas quel acte il commet; , . 2
afolieavec illusions et hall ucinatiolis; 2° la folie avec débilité
mentale
; 3° la folie impulsive. Dans le premier cas, l
E. 1)'. VIII. UN cas DE FOLIE POST-CHOLÉRIQUE A forme DE confusion
mentale
- . PRIVI1T1'IE; par le D' SÉGL : 1S. ' L'aut
bservation, des plus instructives, d'une ma- 42 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. lade atteinte depuis' trois jours d'accidents
toute la durée'de l'affection (cinq mois) par un état de confusion'
mentale
, 'de chaos qui'con'sis- tait dans la perle de l
* i aI X' A côté de ce défaut de toutes les opérations de synthèse
mentale
existe un désordre profond dans les idées, dans
rap- pelant dans ces principales lignes l'histoire de là confusion
mentale
primitive que c'est' bien à ce diagnostic qu'il
èausé9désr'carâe- tères de véritable maladie que revêt la confusion
mentale
primitive, il ne'faut'pas non'plus négliger le
pe progressivement.'1 ? Une 'questionne ' pose REVUE DE ^PATHOLOGIE
MENTALE
. 43 encore dans ces conditions : celle de l'int
^ i . , A i t 1, 1* le- j'io*ji-i 'M-14. e ,uN REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 45 définie' aux trois quarts de mes observatio
ndiquant de quoi il's'aâit.'(13,) '* ? "' ' '*' REVUE DE pathologie
mentale
. 47 Î 1891, sous forme de mélancolie simple, sa
ès l'infection appartient'aux émotions men-, 48 REVUE DE pathologie
mentale
tales,- car dans 26 p. 100 des cas de psychose
ectée de quelque maladie septique puerpé- rale, les fortes émotions
mentales
favorisent l'action toxique de la sepsine sur l
la vie et décroît rapidement après 50 ans. ' ' REVUE DE pathologie
mentale
- 49 . Quant à la condition sociale, la statist
cas curieux de jalousie pla- tonique, relevant de la dégénérescence
mentale
comme tous les cas de ce genre et où le patient
fréquente de ces Archives, t. XXVII. ' 4 gO ' revue DE pathologie
mentale
. ,* I tendances morbides à la jalousie. Consi
allia -i i.. i i. e tf ,.. <j, ! ...' "' i REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. J1. Mitchell, a eu i en >' Amérique un ceit
uméro précédent, le D1' Hughes a rapporté plusieurs cas de troubles
mentaux
et nerveux consécutifs à l'atrophie ou à l'ex-
établir, d'après des documents de l'époque,un diagnostic de l'état
mental
de, cette reine dont il attribue l'abdi- cation
tifit..1.1., rrr", n (M1«K On rencontre souvent dans les, maladies
mentales
des altérations des mouvements respiratoires pa
ychique s'associent,, des troubles graves de la REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 53 sphère sensitive ;"le tracé respiratoire pr
ataviques, doivent être marqués au compte de la condition fonda-
mentale
dégénérative chez qui les emploie. Chez tous'les'
riminologie : par Arthur MACDONALD. - - - , < ? (The Journal' of
Mental
Science, janvier, 1891'.) ,u"'j-* ? lfI ' ' .- 'V
nce DE la menstruation dans la RECHERCHE DE 1 ! il-* responsabilité
mentale
; par DE RR.FFT-EB1NG. (Jalarbùch. f. Psy- chiat
nt et' ceux qui le suivent ; 3° Il y a lieu de conseiller un examen
mental
, quand le fait incriminé coïncide avec cette pé-
e le processus menstruel, exerce une influence puissante sur la vie
mentale
d'un sujet, il faut, même quand on ne constate
DEVANT LES TrtIBUN.1UX ? pa.u GeOiH ? S4V.GE. 'h$1 1t19r/ ' ' · of
Mental
Science) juillet 1 : 7dd .1 Istui n ? rjOT^ 1`
et l'attitude des médecins experts en ma-'1 l tière i d'aliénatioii
mentale
"d6vant] les' tribunaux ? sur -l'usage1 ou l'ab
-c', que'le 1D^ étli6dés'd'e"*x-'p'eér- tiseentmatière'd'aliénation
mentale
; devant lés'trihuriâux.criml- nels, sont par t
rament hystérique; par- L. BREMER, H.-D. (The Journalof Nervous and
Mental
Diseasc, janvier 1893.) t) - ' r w' ' ' ' if s'
faut-il entendre par aliéné ? On ne peut pas juger de l'aliénation
mentale
par les actes'de l'in--l telligence : on la rec
il y a pas crime ou délit quand l'accusé était en état d'aliénation
mentale
au moment de l'exécution de l'acte ou quand il
. peut pas résister,. et, qui ne trouble,pas autrement ses facultés
mentales
..) ? 1·,9r, -m 3. S ? Pour que la loi fût -comp
istelun rapport direct' entre 'l'altération du- coeur et'la'maladie"
mentale
;'i)'en serait' autrement dans les cas d'affecti
n »-> ? - ir ? *;i> t ' : 2''it .)' - - Il est, en pathologie
mentale
, peu de questions plus intéressantes t au point
oui, le malade mérite d'être hospitalisé, quel que soit son état
mental
, selon lequel il, sera placé dans telle- ou, tell
et continue chez les individus privés de sens moral et d'équilibre
mental
; 4° Mania a potu. (American journal o f insanit
n aliéniste et la chirurgie, dans nombre de cas, a pu guérir l'état
mental
des malades. L'auteur termine son discours en i
ournal of lnsanily, 1893.) E. B. Concours DE la Société DE médecine
mentale
DE BELGIQUE. Première question. Etude clinique
mentale DE BELGIQUE. Première question. Etude clinique des maladies
mentales
transitoires ou permanentes, consécutives aux m
Troisième question. Cj Cette. question, relative, à la 8 pathologie
mentale
ou nerveuse est laissée au choix de l'auteur ? 0
tzde=350 francs par, an.' (Bulletin de i la Société t de Médecine ,
mentale
de Belgique,' décembre.1893.) = Nous, rappeller
t les questions suivantes ? e»*wo2 el ArtP2'r ? t - c'io Pathologie
mentale
? des- rapports de l'hystérie et de la folie.'
FAITS DIVERS. Asile clinique (Sainte-Anne). Maladies nerveuses ci
mentales
. M. AlAGNAN : Amphithéâtre de l'Admission, les
tisés dans les diverses psychoses. Cours de clinique des maladies
mentales
et des maladies de l'en- céphale. M. le profess
edis : Interrogatoire des malades. Un cours élémentaire de médecine
mentale
en quinze leçons sera fait par M. le De Pactet,
s'inscrire à l'Asile clinique. Hôpital S.11NT-A : TOiNE. Pathologie
mentale
et nerveuse. M. Gilbert Ballet a repris ses leç
M. Gilbert Ballet a repris ses leçons cliniques sur la pathologie
mentale
et nerveuse, à l'hôpital Saint-Antoine, le dimanc
ron. En 1 889, trois attaques d'aphasie transitoire; aucun symptôme
mental
depuis lors.- Tuber- culose pulmonaire chroniqu
rêt, /le cristal- lisation de certains syphilitiques dans, un état,
mental
qui est, loin d'être sain et qui pourtant n'est
loureux du début, puis les paralysies des 136 , REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. nerfs crâniens et les ictus, avec les troubles
ns ? Je n'en sais rien encore. ,A'' ^ n " ' ' REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
: XXX. Symptomatologie ET PRONOSTIC DE TROUBLES
e monographie statistique de laquelle il résulte que : la confusion
mentale
hallucinatoire aiguë est la plus fréquente des
d'ailleurs le type de la folie aiguë des jeunes REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 137 ' sujets. La mélancolie y est plus rare de
ychose apparaît pendant la convalescence de 138 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
.' K celle-ci, ou dans les six mois consécutifs
orphisme de'leurs tableaux cliniques. La proportion ' des modalités
mentales
est ainsi'répartie : ? '' " <--> a. Mélan
enza survies aliénés ? Il semble y.avoir plus  de cas d'aliénation
mentale
aggravée par( la grippe que de cas,, améliorés
tatation de ce. fait que, sans qu'il y ait de'' REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 139 lésions ophlalmoscopiques, on trouve soit
1 ? I·. " ! ' iv : . - ' . < .' ' 013SERV.Tl '0,-îi. Masochisnie
mental
.' Dégénéré, tourmenté par des obsessions sexuel
que des .agents déterminants tombant sur un 140 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. sol longuement élaboré par voie dégénérative s
urs rapportent l'histoire d'uneimalade atteinte de dégé- nérescence
mentale
avec délire polymorphe et alcoolisme. Au cours
bservées ont été posté- rieures aux premiers symptômes d'aliénation
mentale
. Cette inté- ressante observation permet néanmo
l. (Annales médico-psychologiques, 1893.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 141 XXXVI. L'angoisse neurasthénique dans SES
i le plus souvent ont été surmenés. La maladie «REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 143 débute brusquement' sous des influences re
iblissement notable, de la mémoire, illusions du souvenir, troubles
mentaux
divers; pas d'hallucinations ni d'idées déliran
Genèse : intoxication typhoïde. 1 , P. K. 144 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XLV. Contributions la physiologie ET A la path
blit une distinction, et répond par l'affirmative si, par mala- die
mentale
on entend toute maladie dans laquelle les phéno-
pathologique, car il a conservé de sa person- nalité consciente. Le
mental
, au contraire, croit à la réalité de son Archiv
le rêve, le somnambulisme, et la distraction ne sont pas des états
mentaux
, parce que la personnalité consciente n'est pas
me; l'hystérique croit alors que son rêve est une réalité, c'est un
mental
, il est devenu fou. Donc l'hystérie - n'est une
cette personnalité consciente. Pour nous, l'hystérie n'est vraiment
mentale
que quand elle se complique. » Il vaut donc mie
que les travaux récents sur l'hystérie ont donné non pas la théorie
mentale
de cette névrose, mais, suivant l'expression pr
fasc. 1-2, 1893.) , Revue critique sur les phénomènes physiques et
mentaux
, qui sont comme les notes différentielles du te
initial, accidents aigus et subits,symp- tômes cérébraux : obtusion
mentale
céphalalgie frontale intense profonde ophthalmo
s la paroi du canal central de la moelle. P. K. XII. DES troubles
mentaux
dans la maladie DE Basedow ; par Hirschl. (Jahi
G Vol. XXVII. Mars 1894.. ? 85 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
UN TYPE D'HÉRÉDITAIRE DÉGÉNÉRÉ; Par V. BOURDI
es études, il se rend aujourd'hui un compte suffisant de son état
mental
, et c'est ce qui nous a décidé à publier son obse
ois somatiques et psychiques, qui caracté- risent la dégénérescence
mentale
. - 11 est actuellement bien établi que les dégé
ortant de ce qu'on appelle les héréditaires, si bien qu'en clinique
mentale
les deux termes sont souvent pris comme synonym
ces affections (les maladies Archives, t. XXVII. il 1G2 CLINIQUE
MENTALE
. mentales), on en cache plus soigneusement les
ions (les maladies Archives, t. XXVII. il 1G2 CLINIQUE MENTALE.
mentales
), on en cache plus soigneusement les origines soi
out son individu. Le côté de beaucoup le plus intéressant de l'état
mental
de notre sujet, à l'examen duquel nous sommes a
n'y éprouver aucun plaisir, et il ne se fait aucune représentation
mentale
de femme ou d'image luxurieuse quelconque. In
traduit bien tout le retentissement que doivent avoir sur son état
mental
ses excès d'onanisme. Ses rapports pédérastique
tre malade ne s'étant jamais livré 1 cette pratique. 164 CLINIQUE
MENTALE
. 1 des filles ou même de leur parler de cela. S
est arrivé : je vous certifie qu'il n'y a pas ' f - 166 CLINIQUE
MENTALE
. de ma faute ». -Nous aurions donc grand tort d
, prédominance tantôt d'un centre tantôt d'un autre, et en clinique
mentale
, déséquilibré n'est-il pas synonyme de dégénéré
tait évidemment de donner à son enfant une instruction 168 CLINIQUE
MENTALE
. " soignée.' » Nous trouvons là l'indice de cet
re, qu'on voit son visage s'animer en parlant de la 170' . CLINIQUE
MENTALE
. haute personnalité, il devient rouge, congesti
ont point rares chez les hystériques, ses égaux en dégéné- rescence
mentale
, Retcnons'tout au moins de ce fait qu'il est un
nts, il fera ressortir dans toute son évi- dence, la dégénérescence
mentale
du sujet. Nous voulons par- ler des divers synd
rende compté du caractère très bizarre de toutes ces interrogations
mentales
, de tout ce déluge d'obsessions''qui surgissent
à ce sujet, le rapport de Cullurre au dernier Congrès de méde- cine
mentale
, sur les Faux témoignages des aliénés devant la j
s nous croyons qu'en insistant on découvrirait chez lu 172 CLINIQUE
MENTALE
. bien d'autres stigmates de cette nature : nous
ÉDITAIRE DÉGÉNÉRÉ. 'l î.3 que c'est là le fond de la dégénérescence
mentale
. Le dégénéré est un être essentiellement déséqu
donnée l'intensité de sa prédisposition héréditaire, '174 CLINIQUE
MENTALE
. TYPE D'HÉRÉDITAIRE DÉGÉNÉRÉ. auront vite about
nte,'IeII6 est'aisez-p-Liissantè da-ni tous" les domaines de la vie
mentale
ôû physique d'un individu pour que l'on ait pu se
dant, que si ! on se'démahdece''qù'est'aufond la dégénéres- cence
mentale
? 'cette puissance., dominatrice', ^cette reine i
qu'on rencontre indifféremment dans toutes les espèces de maladies
mentales
, j'avais recherché quelles sont les conditions
l'autre que l'application', à un'point particulier'de la médecine
mentale
; des 'doctrines généï : âles'aûsavânt'irlédeciri
me que : celles quijprécèdent l'apparition d'obsessions (influence ^
mentale
) ou encore.des espèces de crampes des écrivains s
continue l'auteur, provoque la névrose gastrique (malaises et état
mental
connus) qui dégénère'en psychopathie^ Mais le t
DE LA PEAU, CIIEZ UN, ALIÉNÉ; par Epie rr,ANCE.,(Tlae, Joznvzal of
Mental
Science. juillet 189 1.) C'est surtout parce qu
ruagique interne; par Hubert . t,;3,C. BpisTowE. 'T/te/OMnta< of
Mental
Science, octobre 1893.) ' L'auteur examine ces
nsuration du temps de réaction; par BEV : 1N Lexis. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1893.) . 1 1 Perfectionnemen
aux attaques épileptiformes,' à l'état ,d'épuisementphysique;·et
mental
, à la mélancolie : en '.tout cas, ces phénomènes
if. P. K. IL Notes DE thérapeutique. clinique dans LEStII : ILADIES
mentales
; par AUGRISANI. ( Il blcinicomio, fasc. 1-2, 1
e potasse, le phosphate de soude dans le traitement de l'aliénation
mentale
.' Des expériences de l'auteur, il résulte que le
ction hypnotique ET thérapeutique DU CHLORALOSE dans LES j maladies
mentales
; p.r le,D Rossi. (Riv. sp. di f2,en ; 11-111, 109
ose., Il n a pas d influence, sur la marche générale de la maladie,
mentale
: .à doses petites, et fractionnées, il semble êt
PTE RENDU DU . CAS) publiés ; parCEciL F. BEADLES. (Tlie Journal of
Mental
Science, juillet'et octobre 1833.) zJuah pib ..
Jon.an.w im du myxoedèm .u iv.. breux; enrlrevanclie, les troubles
mentaux
plus ou moins accusés y sont très 'communs, si
obstruction intestinale; par. R. f S. STEWART.('r/te.JOMt'H6[0/'
Mental
Science, juillet1891.) , <,< » ? ? f >h.
I. Des INJECTIONS sous-cutanées DE sulfate DE DUBOISINE EN médecine
mentale
; par J. MASSAUT. (Bull.,de là Société, de illéd :
médecine mentale; par J. MASSAUT. (Bull.,de là Société, de illéd :
mentale
de Belgique, déc. 1893.) ' " fil, * ? ) I ? »
de - . , . 1" de.de,a nature et même du traitement des. maladies,,
mentales
. "(Amc·icnn Journal of insanity, 4893.)sllubsfi
psycbiatrie : ê3$1 jsR.-M.iC1 '' Le traitement externe des,maladies
mentales
fonctionne déjà >-. - . -»« .>t.r.<>
UE ? Ie 8 juillet4893;cpar.J : AIUReY-LI\osAY : c(T/ee'Joul7znl.'of
Mental
Science, octobre 1893.) - tllibq aoii. - ,7al
tendance qui ne l'abandonne qu'au : dernier degré» de, la déchéance
mentale
, pour remplacer les vêtements du magasin d'habi
l'asile d'Omagh ;' par1 George7' Francis1 West.11' (Theb journal of
Mental
Science, avri11893.)'9'f ? J' ! i«« WtHwt "iO -
teur louesans réserves cette organisation. Les différentes maladies
mentales
ont été divisées en trois grandes classes et un
fin d'être déclarée vacante. : '' .. .. 1 ? Clinique des maladies
mentales
(Asile clinique). Le personnel auxiliaire du la
e). Le personnel auxiliaire du laboratoire de clinique des maladies
mentales
de- la Faculté de médecine de Paris, est consti
faut . , I- toi 11 . H ' " , imi . i 1 , ". ' Esquirol. Maladies
mentales
, I, p. 80. ' 11 i *" , ' ,l , nl , z 2 J'ai étu
tion de la vue'në s'observe pas dans toutes les formes d'aliénation
mentale
.' Fréquente et habituelle dans les-folies aiguë
q sujets- aux lialluélnâti'ônsLç'ëst,pôûrr,moi ? uneides affections
mentales
où elles, sont au .contraire le plus communes,
tions de la vue sont symptomatiques d'un grand nombre de maladies
mentales
et nerveuses. Mais on' peut les observer égalemen
a été d'une grande effica- cité,-tout Jaavanta- geusement l'état
mental
. A signaler une contre-indication- formelle à l
- l'action hypnotique du trional et'du : tétronal en< aliénation
mentale
. Les conclusions sont les suivantes ? sz(slt6s9
dico-psychologiques, déc. 93.). E. BuN. r286 REVUE DE. PATHOLOGIE ?
MENTALE
. a f -1 i ? 9frhm91 c; `hafar.r Bl lin «^hnniq
u chronique,' y a une diminution '' U ? , REVUE 1 DE 1 PATHOLOGIE
MENTALE
. i 289 très marquée du nombre. des globules ? d
sinat dont il est inculpe'peut'reconnaître pour cause une déviation
mentale
liée à'son évolution physiologique et comporter,
tentes variétés de folies lucides;) ? »- - 7 a'3k . Les ! maladies
mentales
) formeraient ainsi'trois grands groupes dontil'
z fréquemment observé dans des formes vésaniquesàltype de confusion
mentale
. G. DE1 ? , - ? n'isf n[f'1h, i-.» ? »> LV
e complexus symp- * tomatique qui pèse sur- l'Intégralité de la vie
mentale
;, la déso- rientation et l'allure toute siécial
.,l.il1 iWl η P(i.rll .lt;jl 'q . 9l o' 292 REVUE3DE -PATHOLOGIE -«
MENTALE
. d'uneimanie simple pure -(18r, accès), |d'une
! p,n.)e.xcjte)'oreilexLerne d'une, autre ' REVUE»-DE -PATHOLOGIE ^
MENTALE
. 5293 façon/ par des piqûres'd'aiguilles, chezl
-phoide, affaiblissement notable et illusion delà mémoire; troubles
mentaux
divers ; pas d'hallucinations, pas d'idées déli
a.ë dés indi- vidus dont les parents étaient atteints de maladies '
mentales
ou nerveuses. Tous les cas.de neurasthénie pour
dégénérer en-une maladie men- tale ou nerveuse. Parmi les maladies
mentales
/c'est le plus souvent la folie' systématisée pr
rvation;, surtout,, recueillie avec beaucoup de REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
? 297 détails, a suggérera à 1 autëuiv d lntéLV
ERTROPHIE du cuir chevelu ; par GeOfeSfF09' (1/ie Journal ' ? '" of
Mental
Science, octobre'1893.) ' ? b ? t ? ,,um ni) t'tf
lui, sur ce, sujet dans le numéro de jan- viser 1893 du Journal of
Mental
Science. u , , ^, , ,-f t, R. M. C. il. ? I 91
LUS jard ; par. G ? M. P., Braine-Hartnell. (TAe ) ./btfm(t<,.0/
Mental
1 Scielzce, juillet 1893.), o1`·L, , ,3J ,-ta n
a été publié par l'auteur il y a un-an environ dans le- Journal of
Mental
Science. l.,Turilera,ol)sei,vé depuis cette épo
e. , jj.4o,ul , ).. 1 1 ? R.jM.-C] «(-> - . REVUE IDE PATHOLOGIE
MENTALE
. ' 2911 1-- f I ' . -^ n ? t,nrlyu : é ll,>h
DES GT.7S,, INI·L.lllai.lTOIItES·nLOÇ.IUIh SUR,··LIiS · ,. troubles
mentaux
;, par, l : dR'lt1 GOOD.1LL. (TL(' JOLI)'7tCLl O%
la cellulite, en un mot, parait avoir sur la marche des affections
mentales
une .influence bien autrement marquée'que celle
l'influenza; -par Julien "ulq mALTHAU&(r/t6,JoM ? ' ? ta< of
Mental
Science,, 'avril .1893.)a<i) rh., il mdoo an
s sujets atteinte étaient ordinairement plus âgés et où l'affection
mentale
revêtait la 'forme soit dé·la'mélancolie,`sôitd
ndant et trop vigou- " reusement poussé. 'Les premiers, symptômes
mentaux
ont fait leur apparition onze .j jours après l'
té parfaite, tant au point) de vue physique qu'au point de vue u -À
mental
. , . .'Kit.fJ -il ro "nU ir.t·, s311r.cm Il. M ?
itaires se sont développées chez' lui parallèlement à l'affec- tion
mentale
, et les'idées de sexualité. pervertie'leur- ont s
chroniques se développant chez'des dégénérés.'L'a dégénérescence
mentale
constitue'-non'pas-un vaccin'4 pour le délire t c
Brochure in-8°de 22 pages, New-York, 1893. Journal ot. Nervous and
mental
diseases. Rechterew (Von M.). Die Leilungs bahn
' * Vol. XXVII. Mai 1894. N° 87 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
mentale
SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES'
zec durant trois 1 Observation communiquée à la Société de médecine
mentale
de Belgique, séance d'avril 1894. Archives, t
elgique, séance d'avril 1894. Archives, t. XXVII. 21 322 CLINIQUE
MENTALE
. mois d'idées de persécution très actives provo
anquille, réservée et a conscience de la période ; q loi · CLINIQUE
MENTALE
. f ., ,T>, délirante qu'elle vient de^. trav
? "' : >^»ai ? j · .n )6 ! > - < * 330 1 - 1 " ' CLINIQUE
MENTALE
.'^ j '·- *&' "Typ intelligente... vous êtes
ons'pas- devoir insister sur le - -'3d4 ' '- 1 1 ' ! j-r' clinique -
mentale
. '" "' '" * '7"' ? diagnostic de paralysie géné
Dcbovc 1892. j'fil - 1 ' " ? l ' " 1' ." 336 T3 s ? a 3 : CLINIQUE,
mentale
.^ ,tJ T"· 5% 0 l'articulation des mots (écho, m
e qui semble au sujet , Archives, t. XXVII. 22 - 338 y , CLINIQUE
MENTALE
. 0 >- ,a ,Lt SIU2 être le siège des mouvemen
e; t; XLIX, p.° lf3-159.' Berlin 1892. 342* · * · > ? ? CLINIQUE
MENTALE
. "\" Il -' iet, ^ -3 s'agit d'épilepsie"cortica
cérébrale. (Revue de médecine, 1882.) 340 ^ .. < , ...[CLINIQUE
MENTALE
? r ? JTt3 - t. - - - .. ? le' r >j.J d5U .1
9 juillet 1893.) " - "' -1 * >'< 4 " * 348 ' ' ' 1 CL 1 NIQUE
MENTALE
. 1 , "' "<rob table : TarchanoS ? Langl61s'd
o- vembre 1893.) ,}» ..e ? -i % ? > . t - lui ? 3tJ'O CLINIQUE
MENTALE
.. l'amélioration augmentait; à'deux reprises, u
? »'" 71 ? i'· ·r9 t`· i 'r.TL « Qu'elles ont obéi au commandement
mental
quircorisiste en ce que leur ayant commandé,' '
te ? no ? 'rA( ! g : Me); par Géôr=é,111.1tônRisôiv.(The Journal of
Mental
Science, avril et juillet 1893.) ^^"^j ? ^, (J ,'
e, extrait du chapitre Paraiysiegené- raie ».du Traité des Maladies
mentales
(sous presse) du Dr Dagonet, 1 auteur résume le
omplexes et; multiples , : l'auteur les énu 378 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. mère et discute ''leur valeur.. Les ! unes ! s
le mot d'automatisme ambulatoire ne fût créé, REVUE ! DE PATHOLOGIE
MENTALE
- 379 M.' Seinelaiglle fait ressortir toute l'i
'urine ne peut être invoquée comme symptôme 380 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. .. tijtd.nf"Ht ? * delà paralysie "énéi,ale
parce qu'on la' trouve dans les différentes. formes de l'aliénation
mentale
, soit que sa presm nce déendeydé la maladie, ment
e l'aliénation mentale, soit que sa presm nce déendeydé la maladie,
mentale
elle- m'êmeftoil qu'ellé dépendë dcs perturbâti
dans.la paralysie âénéiale,que dans les autres formes de maladies,
mentales
, elle fait généralement défaut au'début de l'af
ient, après d'abondantes sueurspuue détente dans les manifestations
mentales
. [Annales médico-psychologiques] décembre 1893.
ntes ? seljetânt'dans'1'horriblë par 'amour 382 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. de l'horrible ; dans ses moments de calme et d
l'adage / ancien, in oi7zo veritas, s'applique REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 383 ,aux : cerveaux invalides dont l'alcool pe
les biens de toutes personnes soup- çonnées atteintes d'aliénation
mentale
et par suite menacées d'in- terdictions : Il n'
t introduire dans les examens en question la matière de la médecine
mentale
; 2° l'ad- ministration centrale doit s'adjoind
y a, chezun, certain, nombre, de malades contradiction entre l'état
mental
et la manière d'être de la mbtililô ? Oif voit
: .rifr i T.'Yl .rlei-i'r1 : 11- De l'enseignement DE'LA médecine ^
mentale
en BEr;çAei : ; ,pay le "'D^X.' FnANCoTTE"(BMMe
s et il attribue cette indifférence à ce que l'étude des maladies '
mentales
ne fait pas partie du pro- gramme des examens.
' to-uLes'les ? dsitibiis "6t f des ? connais- n sances en médecine
mentale
sont particulièrement indispensables. ' , .3 '.
- ? ff j A part quelques rares pays, l'enseignement des maladies
mentales
laisse beaucoup à désirer. Il serait nécessaire,
a thèse, l'assiduité duement constatée à la clinique des maladies
mentales
, durant au moins un mois. Les jeunes médecins a
de la sorte au moins quelques notions élémentaires sur l'aliénation
mentale
, et ils seraient plus aptes à faire les rapport
fiée, les réflexes rotuliens persistent toujours. *.J"n Le trouble
mental
, pour le moment, paraît fixé ? «* On veut l'emp
408 .'r'r ? ;-3. CLINIQUE NERVEUSE. viîâilàa ^ICYOA^W q -Le trouble
mental
ne s'est pas modifié, seulement les..crises.soiit
sur les tempes. ? ilp;.fr 1 1 4-" , 8, ' 1 , , wtv Au' point de vue
mental
, le délire qui un moment paraissait vou-J loir
, l'autre parais- sent avoir été indemnes.de toute tare nerveuse ou
mentale
. .bUU.m uC...nr ii r.n ,JU ? n m.. , yv ,- vu a
tance représentée par une bobine avec fais- 446 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. - ceau central de fer doux, d'un réducteur de
jusqu'ici : ,i- 'W't *t ? ' P ' 1 ? 1 i''i'" ' REVUE DE pathologie
mentale
. 447 le commencement de l'anthropologie crimine
4° barbe naissante ou développée; 25° teint 448 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. pâle ; 26° et 27° rachitisme aux articulations
yphilitiques il y avait 14 cas de blépharoplose. - - Quant à l'état
mental
, la mélancolie et la démence paraissent apparte
chronique; - 3° Observa- tion, de catatomie- alte2,ne ;- confusion;
mentale
, secondaire, avec alternative de stupidité et ;
dix ans. Ils se répartissent ainsi, selon'la' forme de l'aliénation
mentale
, ' ' * ? "'"' ? t " 1 1 "1 'Ti) -1 ? SF qtti.fi
e, personnelle.. Sur2,200 malades atteints de maladies nerveuses ou
mentales
, nous avons trente-deux fois établi le diagnost
ntes formes de l'Idiotie. On sait que par ce mot on désigne un état
mental
, physique et moral, conséquence, non- pas d'une
; Prix Lacazë (Phÿsiologie,` 1881); ? prix de' physiologie expéri-
mentale
;'1857; = professeur'de médecine au Collège de Fra
(Etats-Unis) : chargé du cours"de pathologie comparée et, expéri-
mentale
à la Faculté de Médecine de Paris (de 1869 à 1872
es' diverses r formes des affections paralytiques, convulsives' et'
mentales
(en'angtais) ? 1861; Recherches sur l'arrêt sou
nc é`pââlytique; ? =`5 cas d'idiotie; enfin, différentes ma- ladies
mentales
périddi4àes ? 9, , " 1't k 1 '' ' tu 1 La morta
lemands comme la seule en rapport avec la nature même* des maladies
mentales
en question ainsi qu'on peut le voir en lisant
du' reste' dans le journal d'Elberfeld il prétend que les maladies
mentales
ont poui\siège,'n6nI]cerveau'Rt le système nerv
dvc-D`;(2 ? cônférence,rp : 11 'dù'Vapport) : c La^cause du troublé
mental
provient,* 3 ÏnL au deux "accidents anormaux (p
ion à l'étude de la maladie de -, par Angio- lella, 146; troubles
mentaux
dans la maladie de -, par Hirschl, 149. BLE
de , - 314. i - , . t 4 ? l 10 CHLORALOSE, le dans les maladies
mentales
,par Hossi,226.f ? CHRISTINE, de-Suède, par Sarb
gt;Ea . ! rT..t' "3 s ? K",v 4yi ? i il, ,-» ? '"q» ? fi'. Maladies
mentales
, classification-,^ des'^', par lirnbius, 39; n
maladies nerveuses, par 1 - Massy,.462 ? r",....A ? rTO Médecine
mentale
en Belgique, par ? ' · Francotte, 398. , lu^rr'
et de West- phalie, par Keraval, 456 ; congrès de la de médecine
mentale
de Belgique, 75; des aliénistes allemands, pa
Y. ARCHIVES DE " NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
PUBLIEE SOUS LA DIRKCTION DE J.-M. CHARCOT
ÉRAPEUTIQUE DE L'EMPLOI DE L'ACËTDPHÉNONE (HYPNOSE) EN ALIÉNATION
MENTALE
; Par MM. A. MAIRET et COMBEMALE. L'acétophéno
gie, séance du 26 novembre 1885). de l'acétophénone EN aliénation
mentale
. 3 des sens. -Pour produire le sommeil chez les
iénés agités et atteints d'insomnie, mais la nature de l'aliénation
mentale
était différente et à ce point de vue, les mala
embre 1885) de 30 à 45 centigrammes de l'acétophénone EN aliénation
mentale
. 11 d'acétophénone, en tout 1 gr. 50; consécuti
t produit sur le système muscu- DE L'ACBTOPI31 : NONE EN ALIÉNATION
MENTALE
. 15 5 laire et sur l'activité cérébrale ni le j
on musculaire a été moindre que dans les autres formes d'aliénation
mentale
. Démence par athéromasie. Observation XXII. M
nte cas), et cela peu importe la forme revêtue par l'alié- nation
mentale
, peu importe la nature fonctionnelle ou organiq
des doses plus élevées, chez des malades présentant une aliénation
mentale
de même nature, c'est-à-dire par alcoolisme (Ca
le dit la malade, des douleurs d'es- tomac, nous ne savons, l'état
mental
du sujet ne nous permet pas d'élucider complète
e M. Dujardin-Beaumetz dit avoir procuré e sommeil. En aliénation
mentale
donc, malgré l'espoir que pouvait faire naître
ence, d'où le nom d'hypnone qu'ils lui avaient donné, en aliénation
mentale
, disons-nous, les faits démontrent que l'acétop
faits dont ils sont accusés; au médecin chargé d'examiner leur état
mental
ils persis- tent à ne rien avouer. Cette ténaci
aladie comme forme mor- bide spéciale, et la rattachant à des états
mentaux
essentiellement différents. Les aliénés qui c
s loin montreront au contraire chez nos pyromanes des défectuosités
mentales
nombreuses, mais ces défectuosités mentales ne
manes des défectuosités mentales nombreuses, mais ces défectuosités
mentales
ne constituaient pas par elles-mêmes une espèce
raison, je le crois, en est surtout dans l'imitation. Les maladies
mentales
ne sont pas à ce point des espèces déterminées
criminels les plus endurcis, mais s'il est une variété d'aliénation
mentale
dans laquelle la préméditation et la ruse se do
position reste absolument latente jusqu'à l'éclosion de l'affection
mentale
, ceux qui, tout en étant bien doués à certains
servent d'éti- quette. D'un autre côté, l'étude des dégénérescences
mentales
étant partout à l'ordre du jour, et se rapporta
s ; qu'il y ait avec le délire coïnci- l dence ou absence d'un fond
mental
faible, présence ou absence d'un état psychoneu
a's paranoi.ra, il a décrit certains états secondaires d'exaltation
mentale
avec conceptions déli- rantes fixes et sentimen
s trouvons une autre forme Wahnsinn (p. 357), état d'exalta- tion
mentale
avec conceptions délirantes fixes de nature ambi-
e der St6rt : ngen des Seelenlebens, 1818. 2 Esquirol. Des maladies
mentales
... T. II, 1838. a Griesinger. Traité des maladi
maladies mentales... T. II, 1838. a Griesinger. Traité des maladies
mentales
. Traduction française de Doumic, 1865. « Elli
dées de persécution, puis de grandeur. Dans soc Traité des maladies
mentales
(1860), il adopte le mot de folie systématisée,
ssant sur un fond d'affaiblissement, ou plutôt de déséquih- bration
mentale
. Le même auteur décrit aussi la fusion des deux
1852, t. 1, p. 163 à 106 et 363 à 367. à Morel. Traité des maladies
mentales
, I S60 . Archives, t. XIII. 5 66 REVUE CRITIQ
quelquefois cependantelles débutent brusquement par de l'excitation
mentale
. Le pronostic est mau- vais, cependant on n'obs
la Paranoïa. Il place la forme primitive parmi les dégénérescences
mentales
: pour lui, c'est une forme morbide qui ne peut
tive, tout en étant classées à côté d'elle dans les dégénérescences
mentales
. Quant à la Paranoia secondaire, l'auteur la re
nce, ainsi dans les maladies qui nous occupent, les représentations
mentales
doivent être le résultat définitif des activité
883) distingue : 1° la Primâre herrüclcllzeit sans état de débilité
mental
et comprenant le délire des persécu- tions, le
s formes du délire chronique dans le cadre nosologique des maladies
mentales
; aussi était-il tout d'abord nécessaire de rap
ssayer de résumer. Du délire chronique.-111. P. Gan,cn. En clinique
mentale
, comme en pathologie ordinaire, il existe des m
oubles de l'esprit, on en voit d'autres chez les- quels l'affection
mentale
ne se développe qu'après une incubation prolong
ésident au développement de la folie en général, ou d'une ma- ladie
mentale
en particulier. En vertu de quelle disposition, v
de langage. Tout médecin familiarisé avec l'étude de la pathologie
mentale
ne saurait se méprendre sur la véritable valeur
ont disposés à accorder, dans le développement de la dégénérescence
mentale
une part prépondérante au côté individuel, c'es
qu'offre le support. En résumé, bien que, en fait de dégénérescence
mentale
, on doive accorder une place importante aux con
res généraux essentiels, tous ces êtres frappés de déséquilibration
mentale
dans un vaste groupe sous le nom de dégénères h
où l'échafaudage délirant s'écroule et où tout dénonce la déchéance
mentale
, la démence irrémédiable. Aujourd'hui que cette
at de manifestation bruyante. Chez les intermittents, l'instabilité
mentale
originelle, la dés- harmonie morale est moins é
fillesqui, avant leur mariage, avaient été atteintes d'alié- nation
mentale
, seraient restées absolument indemnes de toute
agen prétend que sur 22 hommes céliba- taires atteints d'aliénation
mentale
qui se marièrent plus tard, 19 demeurèrent sain
au aucune espèce de trace de sphère visuelle; il conserve la vision
mentale
. La résection du lobe frontal des deux côtés, e
un état d'incons- « cience ou de trouble pathologique de l'activité
mentale
« qui excluait son libre arbitre. » Étude de
s, appuyé sur la statistique, je réfutais l'idée que les mala- dies
mentales
commençaient par un stade initial mélanco- liqu
rganisée. La folie, systématique peut aussi verser dans la débilité
mentale
ou provenir de la débilité mentale. Dans le premi
ut aussi verser dans la débilité mentale ou provenir de la débilité
mentale
. Dans le premier cas, il s'agit d'une folie sys
sthésies de diverses étendues, de même dans la plupart des maladies
mentales
chroniques s'ins- talle un affaiblissement psyc
crimes de cette nature, l'auteur ne se soit pas préoccupé de l'état
mental
des violateurs et de leurs victimes ; s'il l'eût
e; apprécier l'influence de la thérapeutique et du temps sur l'état
mental
; affirmer la guérison et fixer l'heure de la dé
, Cet. article voté et le principe de la contribution du départe-
mentaux
dépenses des aliénés indigents admis pour une. an
e, au sujet des exper- tises médico-légales en matière d'aliénation
mentale
. Ici encore ce n'est pas à proprement parler un
lle une répression pénale, ayant des doutes sur l'état SÉNAT. 151
mental
du militaire qui l'a commis, le font conduire à l
. Tenez ! on vous dit tous les jours que le traitement des maladies
mentales
par certains moyens empiriques très ingénieux d
.) David, voyant son roi Saul en proie à une véritable aliénation
mentale
, eut-il recours purement et simplement aux prière
ce jour-là, sans parler des précédents, le traitement des maladies
mentales
se trouvait, en définitive, éclairé par une expér
as rompus aux difficultés de cette science si délicate des maladies
mentales
et étaient tout à fait insuffisants. J'ai eu l'
octobre 1886 : M. le Dr Pichon, chef de la cli- nique des maladies
mentales
de la Faculté de Paris, est nommé médecin adjoi
ile de Bron, est nommé pour deux ans, chef de clinique des maladies
mentales
à la Faculté mixte de médecine et de pharmacie
tt fut nommé professeur de physiologie et des maladies nerveuses et
mentales
. Le Dr Catlett était très connu et sa mort est
études furent publiées dans le Journal des maladies nerveuses et
mentales
de New-York. (The Journal ofnervous and mental di
adies nerveuses et mentales de New-York. (The Journal ofnervous and
mental
diseuses, n°' 9 et f 0, 1886.) LE nouvel asil
rand nombre seraient mis en mesure de bien connaître les maladies
mentales
; 3° il y aurait moins de dépenses pour le départe
de rêves de mots entendus, et par celle du défaut de représentation
mentale
volontaire de ces mêmes mots : Bien que l'état
e groupe de surdités verbales, que j'appellerai surdités verbales
mentales
, les faits caractérisés par la répétition des m
après avoir été prononcée par l'individu atteint de surdité verbale
mentale
, ou bien elle ne sera pas comprise du tout. D
EVUE CRITIQUE LA PARANOÏA DÉLIRES SYSTÉMATISÉS ET DÉGÉNÉRESCENCES
MENTALES
Historique et critique; Par J. SÉGLAS, médeci
colie. La verrûckteit affecte un rapport semblable avec la débilité
mentale
. Tels sont ces cas de folie systématisée partie
ue la Paranoia ne peut se développer que sur un fonds de débilité
mentale
, parce que les troubles sensoriels peuvent être i
l; aussi la classe- t-il dans le groupe des états d'affaiblissement
mental
, qui sont presque toujours héréditaires et cons
tion, et les délires émotifs dépendant de l'exaltation de la sphère
mentale
par un trouble émotif violent. 1 Buknill et T
de Krafft-Ebing. Ces délires sont pour lui l'expression d'un état
mental
faible par leur étiologie, leur marche continue
te, etc. D'ailleurs, l'exercice physiologique complet des fonctions
mentales
ne se juge pas seulement par la persis- tance d
as guérissent, quelquefois il en résulte un certain affaiblissement
mental
. n° Il n'y a dans les formes psychoneurotiques
mes chroniques psychoneurotiques est en con- tradiction avec la vie
mentale
antérieure du sujet, tandis qu'il n'en est pas
resthésie psychique et sensitive (émotivité mor- bide), de débilité
mentale
(rire à haute voix sans raison), de lalopathie
prît à marcher. En ce qui concerne la cause anatomique, la débilité
mentale
émane probablement d'une lésion diffuse de l'éc
alification de chronique s'applique très heureusement à cette forme
mentale
, mais il faudrait bien se garder de con- fondre
ologique et une véritable entité morbide dans le cadre des maladies
mentales
. La description et l'évolution en sont nettemen
ou même d'aménoorrhie. De la valeur des hémorrhoides en aliénation
mentale
. - M. Char- PENTIER, sur 338 aliénés qu'il a ob
nstitution- nelles réunies soit à des névroses, soit à l'aliénation
mentale
; 59 fois il les a rencontrées sans névroses ni
n mentale; 59 fois il les a rencontrées sans névroses ni aliénation
mentale
et 53 fois seulement, il a trouvé l'aliénation
i aliénation mentale et 53 fois seulement, il a trouvé l'aliénation
mentale
sans maladies constitutionnelles. M. Charpentie
nstitutionnels asso- ciés à l'aliénation qui est une dégénérescence
mentale
. M. B. Séance du 27 décembre 1886. Présidence d
le, d'après ce que nous avons vu, d'appliquer ces données expéri-
mentales
au traitement de certains cas de paralysie hystér
de voir englober dans le délire chronique une forme d'aliénation
mentale
à laquelle il accorde, à juste titre, une existen
ire chronique n'est pas ce qu'elle est dans certaines autres formes
mentales
; elle est loin d'être aussi accusée que les dém
faisant trans- férer dans un asile public les prévenus dont l'état
mental
néces- sitait un examen pouvant être prolongé p
os- téro-supérieure du frontal, mais peu de chose au point de vue
mental
; il est un peu autre qu'auparavant, moins actif
e le tribunal ait entendu un ou plu- sieurs spécialistes sur l'état
mental
...», tandisque le § 368 du Code civil laisse au
propose d'établir le nombre des aliénés, les causes de l'aliénation
mentale
en général, et, si possible, les formebdespsych
internationale, quand ce ne serait que pour savoir si l'aliénation
mentale
s'accroît, la question des rapports entre le cr
és ; ils sont exclusivement consacrés au traitement de l'aliénation
mentale
. . Les aliénés réputés incurables, les épilepti
blissant que ces asiles « sont exclusivement consacrés aux maladies
mentales
». Pourquoi, messieurs, le projet du Gouverneme
es de malheureux qui sont admis' comme aliénés, parce que leur état
mental
les rend plus ou moins impropres à la vie socia
lissements spéciaux seront consacrés « exclusive- ment aux maladies
mentales
», le Gouvernement s'était servi d'un terme bea
le Gouvernement l'a admis, de substituer à l'expression de maladies
mentales
l'expression plus précise d'alié- nation mental
ssion de maladies mentales l'expression plus précise d'alié- nation
mentale
. Je passe au paragraphe 2, dont les disposition
e public est exclusivement consacré au trai- tement de l'aliénation
mentale
, la loi nouvelle édicterait une prescription en
ue les asiles doivent être réservés au traitement de l'alié- nation
mentale
. On est bien obligé, en présence des circonstance
il y a un grand nombre d'individus qui sont affectés de maladies
mentales
qui ne sont pas l'aliénation, d'infirmités mental
tés de maladies mentales qui ne sont pas l'aliénation, d'infirmités
mentales
ou d'arrêt de développement des facultés mental
ion, d'infirmités mentales ou d'arrêt de développement des facultés
mentales
. Ces individus en- combrent les asiles; ils son
sont pas, à proprement parler, des ma- lades atteints d'aliénation
mentale
, il me semble qu'ils peuvent être placés dans l
sements sont exclusivement consacrés au traitement de 'l'aliénation
mentale
û. Et'd'abord, dans le projet du Gouvernement;'
et privés soient exclusivement consacrés à la guérison des maladies
mentales
, vous arrivez à une impossibilité ; vous réduis
existants et ceux qui peuvent se fonder, au traitement des maladies
mentales
seules. 11 faut laisser la porte de la charité
liénés doivent servir à traiter ceux qui sont atteints d'aliénation
mentale
; on reconnaît également que, malheureusement, i
e des plus considérables. Ou il ne faut rien faire sur l'aliénation
mentale
, ou il faut faire tout ce qui est nécessaire po
s : « Ils sont exclusivement réservés au traitement de l'aliénation
mentale
». M. le Président. Je mets aux voix le premier
: «Ils sont exclusivement consacrés au traite- ment de l'aliénation
mentale
», et j'en donne une nouvelle lec- ture : Art.
... Ils sont exclusivement consacrés au traitement de l'aliénation
mentale
». (Cette seconde partie, mise aux voix, est ad
ladies ne pourront recevoir les personnes atteintes d'aliénation
mentale
, à moins qu'elles ne soient placées dans un local
'un pupille qui serait, au cours de la tutelle, frappé d'aliénation
mentale
, prenne sur lui de le soigner dans son domicile
que j'aie un vieux domestique et qu'il soit atteint d'aliéna- tion
mentale
; je le soigne chez moi avec les plus grands soin
verbale. XIII. Un cas de suppression brusque et isolée de la vision
mentale
des. signes et des objets (formes et couleurs).
llée; mais ce sont surtout les questions relatives à l'alié- nation
mentale
, aux névroses et aux maladies simulées qui se t
conditions favorables au (lévelop- pement des maladies nerveuses et
mentales
en Russie et des mesures à prendre pour en dimi
s : l'augmentation rapide' et continuelle des maladies nerveuses et
mentales
en Russie tient principale- ment à trois causes
tablissemenfs d'aliénés sur la diminution des maladies nerveuses et
mentales
. A la séance suivante (le 6 janvier) M. le D''
exandre III, méd.-dir. : M. Niki- foroff ; 5° Clinique des maladies
mentales
de l'Académie médico-chirurgicale militaire, mé
ablissement ne portait pas la marque de la nouvelle théra- peutique
mentale
. Mais grâce déjà aux quelques améliorations san
: Il n'y a pas lieu d'arrêter que, d'une façon absolue les maladies
mentales
seront un motif de divorce, mais bien conformém
midi, la,Faculté de droit de Paris, un cours libre sur les maladies
mentales
au point de vue de la responsabilité et de la c
observées chez 'ce malade. ARCIIIVES, t. XIII. 23 354 clinique
mentale
. CAS DE MÉLANCOLIE AVEC STUPEUR. 355 trouvâme
e sous l'influence d'une médication éthérée. Amélioration de l'état
mental
coïncidant avec la marche de la tuberculose pul
u- Baillarner. Annales médico-psychologiques, 1S 13. 356 CLINIQUE
MENTALE
. tions splaéuo-occiilales. (Cette observation a
a toujours pas eu d'accès épileptiques. Pas de violences. Même état
mental
Même attitude. Trem- blement assez prononcé de
ttences cardiaques et oedème des membres inférieurs. 358 CLINIQUE
MENTALE
, 29 Janvier. On supprime les injections d'éther
musculaire est la même. Mais le visage a un peu chan- 360 CLINIQUE
MENTALE
. gé d'aspect. Il est légèrement coloré, les pau
mais il emploie toujours des mots grossiers. Août. L'amélioration
mentale
que l'on constata en juin s'est maintenue. Le m
enue. Le malade répond de temps en temps aux questions 362 CLINIQUE
MENTALE
. qu'on lui pose. Mange le plus souvent tout seu
che. Rudesse aux deux sommets. Fièvre vespérine. 25 Octobre. Etat
mental
le même. Répond aux ques- tions qu'on lui pose.
ient et qui avaient été posés là depuis sa maladie : 36'(- CLINIQUE
MENTALE
. L'amélioration mentale du sujet, coïncidant av
sés là depuis sa maladie : 36'(- CLINIQUE MENTALE. L'amélioration
mentale
du sujet, coïncidant avec l'ag- gravation des s
es der- nières lésions ont dû jouer un certain rôle dans la forme
mentale
dela maladie decet individu maisrious ne pouvon
lé pouvant stimuler une véritable aphémie. 4° La surdité verbale
mentale
(avec défaut complet d'intelligence des mots),
pète (Echolalie sans intelligence des mots) 5° La surdité verbale
mentale
{avec intelligence des mots consécutive à leur
respondants, (La lésion du trajet mp IV entraîne la surdité verbale
mentale
.) Par la rie mp M les images orales sont mises
lésion coexiste avec celle du trajet mp IV, il y a surdité verbale
mentale
avec défaut complet d'intelligence des mots , qua
uand la lésion du trajet mp IV existe seule, il y a surdité verbale
mentale
, avec intelligence Ces mots consécutive à leur
faudrait pas en conclure que la Paranoia soit une forme de débilité
mentale
. C'est simplement, comme l'ont déjà dit Amadei,
se en évidence que par le délire systématisé qui surgit sur le fond
mental
et en est l'exagération ; et cependant elle est
ne sont-ce pas là des signes suffisants d'un état de dégénérescence
mentale
? Morselli3 (1886) rapporte un exemple de Paran
xposé de la place qu'occupent dans sa classifica- tion des maladies
mentales
les différentes formes de Paranoïa3. A propreme
peuvent se diviser en quatre degrés suivant le niveau de leur état
mental
: 1° l'idiotie; 20 l'imbécillité; 3° la débilité
e leur état mental : 1° l'idiotie; 20 l'imbécillité; 3° la débilité
mentale
; 4° les dégénérés supérieurs. Or, l'état mental
té; 3° la débilité mentale; 4° les dégénérés supérieurs. Or, l'état
mental
de ces derniers, par les anomalies du caractère
logue à celle des délires des dégénérés à évolution chronique (état
mental
particulier, début insidieux et progressif du d
isé. Cette pé- riode de démence est plutôt une période de confusion
mentale
. A l'inverse des auteurs que nous avons passés
mi les observa- tions qu'il rapporte des exemples de dégénérescence
mentale
. Un autre élève de M. Magnan, M. Legrain', décl
s formes de délire que l'on rencontre chez les dégénérés, leur état
mental
, les syndromes épisodiques, les délires d'emblée
ns un travail antérieur de M. Saury 3 qui avait étudié aussi l'état
mental
des dégénérés, les syndromes épiso- diques, mai
e domaine et ne considèrent pas que le terrain de la dégénérescence
mentale
soit indispensable à la production de la Parano
inclinerions assez volontiers à 1 Hégis. jMaMMc/praf/Me de médecine
mentale
. Pans, 1885. 1 Bail. Du délire ambitieux. (Encé
XIII, p. 80. 2 Voy. Archives de Neurologie, t. VI, p. 402 et Vision
mentale
, th. de Cromgneau. Paris, 1884. 4OS REVUE d'a
onsanguin et dispositions névropa- thiques des ascendants. Débilité
mentale
; émotivité dés l'enfance, impulsions; plus tard
mois, guéri de son accès délirant mais non de sa déséquilibration
mentale
. 11 présente une atrophie considérable des test
tritives se sont produites. Observation III. Père ivrogne. Débilité
mentale
sur laquelle se greffe un accès délirant à évol
à marche chronique dont l'exemple nous soit fourni par la médecine
mentale
. Il ne constitue pas une loi évo- lutive nouvel
indéfiniment le cadre nosologique des différents groupes de formes
mentales
. ' Voy. Archives </< Neurologie, année 18
M. JOURNIAC communique l'observation d'un cas de dégénéres- cence
mentale
chez une jeune fille dont le frère est atteint lu
Voy. Aicliîves de Neurologie, XIII, p. Hj. SOCIÉTÉS SAVANTES. 429
mental
avant ou après l'acte. Mention est faite : a. des
un très grand nombre, le plus grand nombre, en proie à la débilité
mentale
; et la proportion de ces débiles criminels cro
traitement est extrêmement difficile parce qu'ils sont dans un état
mental
particulier, qu'ils sont madrés, rusés. Les pro
cette annexe tout criminel soupçonné de simulation ou d'un trouble
mental
. Il serait au surplus fort intéressant que Dall
tuent des exemples sans précédents dans les fastes de l'aliénation
mentale
pure. Sans doute il y a des arguments pour ou con
ctation est donc de rigueur. Nulle part, plus que dans l'aliénation
mentale
le traitement ne s'applique à des individualité
issements actuels d'aliénés en asiles de traitement de l'aliénation
mentale
et en maisons de refuge, colonies ou autres éta
rents ou des personnes qui en tiennent lieu, si l'état d'aliénation
mentale
n'est pas constaté par deux médecins désignés,
rsqu'elle a chez elle un de ses membres qui est frappé d'aliénation
mentale
. Il est facile de faire cette justification, en
que par les hommes qui ont voué leur vie à l'étude de l'aliénation
mentale
et du sort des aliénés. Que le Sénat me permett
rir une expérience personnelle et directe en matière d'aliéna- tion
mentale
? Et puisqu'on a porté à cette tribune la questio
ys, apprend d'abord que l'on ne peut pas appliquer à l'aliénation
mentale
les raisonnements que M. Roger-Marvaise a apporté
maladies, pour tous les cas, un seul excepté, celui de l'aliénation
mentale
. C'est une triste exception, mais elle impose à
parents qui les soignent, l'effet le plus ordinaire de l'aliénation
mentale
est de tendre à altérer les sentiments naturels d
iroir magique), l'Inquisition (1856), le cumberlaudisme (suggestion
mentale
), pour aboutir au braidisme les auteurs arriven
ous les cas qu'il a exa- minés, dans toutes les formes d'aliénation
mentale
que nous avons énumérées, il a toujours trouvé
Colombier-le-Vieux (Ardèche). Un nommé Vercasson, dont les facultés
mentales
étaient dérangées depuis deux ans, a tué d'un c
BLE DES MATIÈRES Acétophénone (De l'emploi de l') - en aliénation
mentale
, par lltairet et Combemalle, 1. Aliénation me
en aliénation mentale, par lltairet et Combemalle, 1. Aliénation
mentale
et mariage, par Schuele, 96 ; et divor- ce, p
par Poutoppidau, 233. Hémorrhoïdes (valeur des -) en aliénation
mentale
, par Char- pentier, 244. Hospices de Bicêtre
)3 ? 2.'j8 I 439. TABLE DES MATIERES. 471 Mandée- et aliénation
mentale
, par Schulle, 96. ' Médecin expert et exclusi
E1'. ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-M. CHARCOT
. 3, Fond de la. scissure précentrale. 4, Lentille. 22 CLINIQUE
MENTALE
. 5, Avant-mur. F, S, Ligne fornicato-sylvienn
ues. 7'. c, Ti,igone cérébral. V. m, Ventricule moyen. CLINIQUE
MENTALE
1NCURABILITÉ ET GUÉRISONS TARDIVES EN ALIÉNATIO
CLINIQUE MENTALE 1NCURABILITÉ ET GUÉRISONS TARDIVES EN ALIÉNATION
MENTALE
; Par le D' E. AIARANDON DE MONTYEL, Directeur
isons tardives et du pronostic de l'incurabilité en DE L'ALIÉNATION
MENTALE
. 23 matière de folie. La discussion qui va s'ou
considérer successivement : la pré- disposition, le délire, l'état
mental
après guérison tar- dive ; et de leur demander,
tat absolument normal. La prédisposition, en effet, - 2 se CLINIQUE
MENTALE
. loin de s'épuiser en fomentant des désordres,
miner ? Pour M. Luys, dans l'immense majorité des cas, les maladies
mentales
, une fois déclarées, consti- tuent dans leur év
ère. Oui, dans l'immense majorité des cas, l'évolution des maladies
mentales
est fatale, surtout quand l'hérédité est en jeu
ous serons peut-être plus heureux avec le délire. DE L'ALIÉNATION
MENTALE
. 25 De toutes les formes vésaniques, seule la d
s les services publics de ces vieuxmalades, aliénés de- 26 CLINIQUE
MENTALE
. puis vingt ou vingt-cinq ans et frappés de des
n accès de manie. Tout semble indiquer une destruc- DE L'ALIÉNATION
MENTALE
. 27 tion réelle des facultés; on se croirait en
principe, quand il s'agit d'une loi comme le divorce. 28 CLINIQUE
MENTALE
. Seuls, les signes perçus par raisonnement font
le der- nier point qui me reste à résoudre par l'étude de l'état
mental
après guérison tardive. La réalité des guérison
. Luys croit les guérisons tardives plus apparentes DE L'ALIÉNATION
MENTALE
. 29 que réelles; il ne paraît pas reconnaître à
e l'intelligence, ni la même fraîcheur de sentiments. 30 CLINIQUE
MENTALE
. J'ai passé en revue la prédisposition, le déli
MENTALE. J'ai passé en revue la prédisposition, le délire, l'état
mental
après guérison tardive et, nulle part, je n'ai
enir pour les quatre autres des renseignements précis sur leur état
mental
après la sortie. Ces malades, il est vrai, n'on
c'est là, à mon avis, une preuve de nulle valeur. DE L'ALIÉNATION
MENTALE
. 31 Observation I. Neuf ans de séjour à l'asile
vre au dehors. » Ce certificat permet d'apprécier exactement l'état
mental
de Brug... sept ans et demi après l'admission d
assure qu'il n'y a pas d'antécédents héréditaires. DE L'ALIÉNATION
MENTALE
. 33 A l'entrée, ce malade refuse de répondre ;
ation s'était de plus en plus accentuée ; enfin, en juillet, l'état
mental
est tel qu'il est question de tenter une sortie
'asile, on a souvent l'occasion de le voir et de constater son état
mental
. Observation III. Sept ans et demi de séjour à
que la famille attribueàdes Archives, t. VIII. 3 34 liez CLINIQUE
MENTALE
. chagrins domestiques. L'agitation surviendrait
tes les qualités qui font une gouvernante modèle. DE L'ALIÉNATION
MENTALE
. 35 Observation IV. Sept ans de séjour à [asile
pparurent de nouveau pour faire place, en février, aune 36 CLINIQUE
MENTALE
. DE L'ALIÉNATION MENTALE. amélioration qui prog
faire place, en février, aune 36 CLINIQUE MENTALE. DE L'ALIÉNATION
MENTALE
. amélioration qui progressa à ce point qu'en se
er- tificat suivant était rédigé : «Cla... présente dans son état
mental
une sérieuse amélioration qui se soutient depuis
nt des plus difficiles qui n'influa d'ailleurs en rien sur son état
mental
. Le début des accidents est en effet de beaucou
i puissant, puisqu'elle ne peut guérir. A quelle forme d'aliénation
mentale
doit-on rattacher cette observation ? Il nous s
n ner- veuse particulière, depuis ceux qui, par leur constitution
mentale
, paraissent absolument subordonnés à la volonté
ns ou gestes de ceux qui les entourent, tout en jouissant d'un état
mental
parfaitement régulier, dans l'intervalle de ces
un spectateur, est parfaitement conscient de son état d'abaissement
mental
et souffre beaucoup de sa dégradation d'esprit.
était involontaire et était la conséquence de la violente confusion
mentale
produite par un réveil subit, succédant à un pr
ne solution de pepsine chlorhydrique, on voit la substance fonda-
mentale
se digérer complètement, ce qui n'a pas lieu quan
hiques). Ci-jointes des photographies. T. Kahn. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
1. Sur la disposition des fibres nerveuses r\ m
, rle Neurolo ! /re, t. Vlf, p. 3 : i5 ;1 3fi9. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 91 Le caractère essentiel et primitif de la ma
sortir des asiles les aliénés qui ont commis 92 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. un crime ou un délit. Ceux-ci seraient, en out
ordre dans les idées, la surdi-mutité, des hal- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 93 lucinations sensorielles. Les conditions da
s transferts, des renvois : détails suivant les formes d'aliénation
mentale
, les sexes, les religions, les classes sociales
trop bien fondée de n'en avoir aucune, il 94 le REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. existe un terme moyen. C'est ce terme moyen do
s conceptions psychiques, témoi- gnant d'un profond affaiblissement
mental
: la niaiserie dans l'exécution du larcin est p
rchnoïdienue. (France méd., 1882; t. 11.) G. D. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 95 XL CON TR1RU l'IOV V LV CVsUIslTQUE DE LV I
cuse, on doit rechercher très exactement 9(> REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. les motifs de cette déclaration, car il n'est
mander si l'auto-accusa- tion n'est pas un symptôme de perturbation
mentale
. Dans le cas en question, on ne trouvait aucun
ire des actes, de la stupidité, du gâtisme, et, REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 97 dans les cinq derniers jours, du sopor avec
ie et de Archives, t. VIII. 7 98 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. l'étal
mental
de l'inculpé, l'examen médical actuel démontrent
nt de tous les appareils, d'où le parfait état de santé physique et
mental
. Les maladies auxquelles convient la faradisati
culier les membres de sa famille qui sont dans un état d'aliénation
mentale
, de les soigner et même de les y séquestrer, lo
itulé : Du délire hypochondriaque dans quelques formes d'aliénation
mentale
. Prix Aubanel. - M. Garnier lit ensuite son rap
signes ou desindices qui permettent de reconnaître qu'une maladie
mentale
est héréditaire, en l'absence de notion sur les a
ui leur sont consacrés. Organisation de l'enseignement des maladies
mentales
et ner- veii%es; par BILLOD, médecin en chef, d
t d'étudier en Italie l'organisation de l'enseignement des maladies
mentales
et nerveuses, M. Billod reproduit, sous forme d
stratif, puismédical, en insistant sur l'enseignement delà médecine
mentale
. En opposition avec un précédent voyage qu'il a
t et une universités italiennes, neuf ont de- chaires de pathologie
mentale
, sept des cours libres. Les professeurs sont di-
auteurs qui, primitivement, ont traité la question de l'aliénation
mentale
. En lisant les classifications établies par cha
oinaux», de «maniaques», dissimulent mal la véritable aliéna- tion
mentale
. Qu'une douleur profonde, qu'une perturbation v
il a réalisé un progrès consi- dérable dans l'étude de l'aliénation
mentale
. j Iti- ,1 , lu. REVUE CRITIQUE , ' 1 1 14
a face interne des hémis- ohères. (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XVI. Du RÔLE DE L\ PROSPÉRITÉ ET DE L'ADVERSITE
SITE CONSIDÉRÉES comme causes ce la folie; par Cttru.w. (Journal of
mental
Science, juillet 188 ? , p. 989.) Il y a quel
venu confirmer depuis, que l'adversité est favorable à la stabilité
mentale
; bien entendu, il tenait également pour vraie l
sans peine qu'un excès de prospérité cesserait REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. '3l)f de jouer à l'égard de l'aliénation, le r
e l'on voit se relever parallèlement la santé somatique et la santé
mentale
. R. M. C. XVII. Paralysie et aphasie congénital
idiot ; atrophie des circonvolutions; par James SffAW. (Journal of
mental
Science, juillet 1882, p. 210.) Il s'agit d'u
e de la paralysie générale; par Joseph 1'I- CLESWOIITU. (Journal of
mental
Science, janvier 1883, p. 41;i.) Le point princ
développement de la névroglie (cellules et -02 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. fibres tout a la fois) ; en effet, il n'a renc
s de la même substance chez des sujets atteints d'autres affections
mentales
variées, l'auteur s'est assuré que l'hyperplasie
s; vingt- deux observations ; par C.-M. C.1'JiPItFf.L. -(Journal of
mental
Science, juillet 1882, p. 212.) Une petite ép
d'étudier l'influence de cette maladie sur lamarche de l'aliénation
mentale
. Lebâtiment affecté aux femmes a seul été attei
s qui atteignaient des aliénés, il n'varu qu'un REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 303 ras de mort, par péritonite au vingtième j
u point de vue de l'influence de la fièvre typhoïde sur l'affection
mentale
, a donné les résultats suivants : 10 La march
a donné les résultats suivants : 10 La marche de la convalescence
mentale
n'a reçu, chez les deux malades atteints, aucun
u, jusqu'à l'apparition de la fièvre, aucune amélioration de l'état
mental
, l'amélioration a commencé pendant le cours del
d'eux, où le pronostic était devenu très défavo- rable, la guérison
mentale
a commencé pendant la fièvre ty- plioide ; 5"
le a commencé pendant la fièvre ty- plioide ; 5" Une amélioration
mentale
très nette a été observée dans deux cas; une am
nostic était soit désespéré, soit au moins très défavorable, l'état
mental
n'a été aucunement influencé par la maladie int
ait amené à penser que la fièvre typhoïde exerce sur les affections
mentales
une influence favorable, sans toutefois que l'o
ce. , R. M. C. XXI. DE l'occupation dans le traitement des maladies
mentales
dans les classes supérieures ; par David Bower.
ontré que peu de résistance chez ses peu- 30t e REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. sionnaires; encore les malades, les plus réfra
')plusièurs" reprisés,' accidents pulmonaires à REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 205 forme congestive, avec température élevée;
Ason entrée on noiiiote aucune, paralysie motrice; au point de vue
mental
, il est irritable, excitable, déraisonnable, inco
\TIVEllE\T.1 L1 PEINE CAPITALE ; par W. Henry Kesteven. (Journal of
mental
Science, juillet )88 ? p. 1 17.) L'état parti
nt insensibles à ces .fines vibrations subsidiaires des pro- cessus
mentaux
qui,se retrouvent au fond de toute pensée, de t
ntaux qui,se retrouvent au fond de toute pensée, de toute opération
mentale
.. Agissent-ils mal, c'est qu'ils n'ont au- REVU
tale.. Agissent-ils mal, c'est qu'ils n'ont au- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 07 cune conscience de ces stimulations plus do
surtout la portion du tissu nerveux qui est affectée aux opérations
mentales
, le danger est éventuel, mais réel; en effet, t
moelle,' bien que des coupes prises dans- ces- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 209 régions aient subi l'action de l'alcool pe
enou D\NS L pahvlysië générale; par W. Ju- uus IIlC6LE. (Journal of
mental
Science, octobre ,1882, p. 343.) . a L'auteur
i/,Ii;111 cir ^J.*l . -j.,1" 71 tj uli ? f^ vv.vN. ( The Journal of
mental
Science, janvier 1884, p.S30.j ? - r`' ,19 91w^
NCÜEUEVT·DE3 LSIPfIR ETiDE PUS; par. J.,MANLEY..(T«e nf Journal, of
mental
Science, janvier 4884,up.,tïl9,)i ? tiq,rY9liu :
e ; y rrm·rlrr .7tn,nrrmn., ;.rn atr·r·.r 214 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
, * 1 quide mêlé de pus. Le tissu cérébral,ét
ise de mélancolie; il y eut une 3< : <} : revue DE pathologie
mentales
améliorationnappréciable;puisi une rechutai ave
dépression diminue; ni ai.41]asstil p eiireloq REVUES DE PATHOLOGIE
MENTALE
.' 2'iff. la t5.eiturnitt : ;subsistent.Iiâaoir,
plusieursifois, dans salami d'abord;'puis3molonlaire;slesusymptûmes
mentaux
! diminuent ,1 maispl'étàt catateptiquopersist.
rt, outre l'absence des signes ordinaires.propres à divers troubles
mentaux
, la'présence de deux formes de délire qui ne se
ellement - ! W , ' L 'i 1 1 I J JJTI . i J ? ...r ? une. maladie,
mentale
; qui sera charge, de- faire la déclaration,. a
sent les accès d'asthme sans qu'il y ait de rechute au point de vue
mental
. Dans le courant de septembre1) le taux de la s
r. On l'arrête, sans qu'il vienne à l'idée de personne que son état
mental
puisse offrir des doutes. Toutefois on délègue
onséquence, le médecin légiste demande et obtient de scruter l'état
mental
. Il découvre l'existence d'une mélancolie avec
osition radiaire. M. Grunewald. Communication sur un cas de trouble
mental
(loti- Une' courte discussion s'engage à ce suj
éréotypé; chez les hallucinés et les érotiques affectés de débilité
mentale
, il est hésitant; chez l'idiot, le sourire fixe
e générale, de la démence, de l'idiotie.1 En somme, si l'aliénation
mentale
défi- gure les traits du visage, il eH certain
artée, b.n '. n t 111. K\HL))\UM.SM)' les affections nerveuses et
mentales
de la jeunesse et, leur traitement pédagogique
IialiILaum comprend la Pédagogie médicale des maladies nerveuses et
mentales
des jeunes gens. Une première proposition la do
tématiques; la différence qui sépare ces deux genres d'a- liénalion
mentale
réside dans ce fait que le ].1)éiiiaiiia(luie tro
sort non guéri. Deuxième entrée en septembre de la même année; état
mental
identique compliqué de formica- lions dans la m
insiste sur l'allernance dans un certain nombre de psr- turhalions
mentales
(alcooliques, puerpérales, consécutives à la ma
prendre une décision en matière de divorce pour cause d'aliénation
mentale
. En elfet, la méno- pause s'accompagna, dans l'
ontatiduc presque identique. M. \\'ES-IPIIr, pense que les maladies
mentales
les pliisanciennes peuvent effectivement guérir
elle générale, apa- thie, tendances à l'isolement, parfois poussées
mentales
avec accès de violence, déchéance morale invoqu
dative de la plaraldélayde dans les différentes formes d'aliénation
mentales
; par iVnc.». (Thèse de Paris, 1884.) ' Quelques
cinq minutes de réflexion; 3° une épreuve clinique sur les maladies
mentales
: un seul malade. Il sera accordé vingt minutes
après l'examen d'un aliéné, et un rap- port sur un cas d'aliénation
mentale
. Il sera accordé au eau- didat quinze minutes p
inique commune, 20 points. Pour l'épreuve clinique sur les maladies
mentales
, à un seul malade, 20 points. Pour la deuxième
ls, âgé de vingt-huit ans, qui avait parfois des accès d'aliénation
mentale
. A peine étaient-ils entrés dans son cabinet qu
ud- den sont par conséquent confirmées par la physiologie expéri-
mentale
. P. K. XIII. LA FONCTION DI.S COUCHES OPTIQUES.
me convulsif de l'orbiculaire, du surcilier, du REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 317 frontal, du même côté. Ce spasme dure sans
mer par l'expression de revue critique. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XXXIV. DE la sclérose miliaire ; par PLAXTO-4.
ENTALE XXXIV. DE la sclérose miliaire ; par PLAXTO-4. (Journal of
mental
Science, avril 1883, p. 27.) La sclérose miliai
Voy. Archives de Neurologie, t. VI, p. 280. 3t8 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. penche pour cette dernière opinion, par deux r
la sclérose miliaire pendant la vie, et pour la REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 3)9 considérer comme le résultat d'une altérat
ROPORTION DES GUEUISONS ET DES DÉCÈS par T.-A. Cu pm (Joui-ii(il of
mental
Science, avril 4 883, p. 4.) Travail intéressan
es personnes qu'il désigne sous ce nom sont 330 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. les sujets qui ont été atteints d'aliénation m
DE PATHOLOGIE MENTALE. les sujets qui ont été atteints d'aliénation
mentale
, d'épilepsie ou de grande hystérie, ainsi que l
e de cas, chez des sujets ayant présenté les signes de l'aliénation
mentale
. Toutefois, je ne conseillerais jamais le maria
atif DES grands et DES petits asiles; par Henry Rainer. (Journal of
mental
Science, avril 1883, p. i.) 11 résulte des rech
es et de la responsabilité médicale. R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
3,51 i XXXVIII. Paralysie générale par lésion D
sie générale par lésion DU crâne; par .IullItS IICKLE. (Jourlral of
mental
Science, janvier 1883, p. 544.) L'auteur consta
râne. R. 111. U. XXXIX. De la folie CHEZ LES jumeaux. (Journal of
mental
Science, janvier 1883, p. 539.) I. Jumelles p
maison paternelle et vivaient séparément. 352 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
Voici le résumé de la double observalion : A.
égorie. L'observation peut se résumer ainsi : REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 353 Fille de dix-huit ans, dont la mère est un
e s'épaissit, et Archives, t. VIII. 23 3 z. i REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. il se fait un épanchement de sérosité sous l'a
UN cas d'imbécillité épileptique; par Herbert-C. Major. (Journal of
mental
Science, janvier 1883, p. 532.) Voici le résu
tissu malade. La couche dite granuleuse, située REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 355 au-dessous des cellules de Purkinje, qui e
ECTION ET LE TRAI- TEMENT des aliénés ; par R. Cimeron. (Journal of
mental
Science, janvier 1883, p. 319.) Ce long mémoi
a façon qui vient d'être indiquée n'est pas 356 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. souvent nécessaire dans un asile bien tenu où
' malheureux malade dans le sentier qui doit le conduire à la santé
mentale
, et peut-être à la guérison défini- tive. Nou
dernière conclusion et du chapitre qu'elle résume, la Rédaction du
Mental
Science a mis au bas de la page une note par la
ant médical d'un hô- pital d'aliénés.. R. M. C. XLIII. Sur l'état
mental
dans l'hypnotisme; par D. IL1CK TUKE. (Journal
Sur l'état mental dans l'hypnotisme; par D. IL1CK TUKE. (Journal of
mental
Science, avril 1883, p. 55.) Ce mémoire a été l
é, d'une façon plus ou moins nette, le souvenir REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 357 de ce qui a été présent à son esprit penda
mulation est J'épuisement d'une partie del'organe ; au point de vue
mental
, c'est la concentration del'attentionsur une id
on. Règle générale, la respiration et l'ac- 358 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. tion cardiaque sont accélérées au début'. Les
donne au sujet l'impression de deux moi; « 5° Quelques fonctions
mentales
, comme la mémoire, peuvent être exaltées; et il
e peut qu'une imitation réflexe inconsciente soit le seul phénomène
mental
qui subsiste; le sujet, en ce cas, copie minu-
e et dans l'état de veille. Chap. IV, p. 45.) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 359 qu'elle ait pris sa source dans un geste,
II, p. 383, et thése de Nercam, Paris 1884. 360 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. pour formuler H12 0, à la dose de cinq à six g
rvations à doses diurnes, l'auteur a obtenu : REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 361 ment : de la paralysie de l'oculomoteur ex
e modification de la manière d'être et des traces de perturba- tion
mentale
. Tout à coup, on constate des attaques épileptifo
allures de cet homme ne sauraient être produites par une maladie
mentale
. Le 26 du môme mois, on le réintègre à la prison,
e mois, on le réintègre à la prison, en lui 362 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. annonçant que, s'il continue à simuler, les so
ion, de la coïncidence, chez un même sujet, de plusieurs affections
mentales
évoluant côte à côte, chacun suivant la modalit
t d'établir que tel symptôme est pathoguomonique de telle affection
mentale
déter- minée. De cette recherche minutieuse ne
r les paralysés généraux agités. Les au très formes de perturbation
mentale
, l'insomnie nerveuse, etc., ne permettent pas d
fesseur ne perd jamais de vue le terrain objectif. C. La pathologie
mentale
vit au moyen de trois syndromes : la mélancolie
rapports de l'infirmier avec l'a- liéné dans les différentes formes
mentales
; petite pharmacie. Ces cours se feront sous la
1854, 48'i5, ;180); - Considérations sur le traitement des maladies
mentales
(Annales médico-psychologiques, 1844); Compte a
et suivantes) ; - Etudes pratiques sur les maladies ner- veuses et
mentales
accompagnées de tableaux statistiques suivie^ d
leur sont consacrés; organisation de l'enseignement des maladies
mentales
et ner- veuses, par Billod (An. Charpen- tier
lissements spéciaux publics et privés), 219. Apoplexie (symptômes
mentaux
précurseurs d'une attaque d'), par Savane,214
ne (action de l') par Richter de (Piaukow), 100. Hypnotisme (état
mental
dans l'), 356). Hystei·ie, 121 ; - (attaqucs
capsulaires, 1, 151. Jeunesse (sur les affections ner- veuses et
mentales
de la), par Kahlbaum, 243. Juges et experts e
ven, 206. Occupation (de l'), dans le traite- ment des maladies
mentales
dans les classes supérieures, par Bo- wer, 20
Rage (commission de la), 127. Rapports medico-tegauxsories états
mentaux
douteux, 360. Bestraint, 355. Réaction dégéné
ARCHIVES DE rut NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
i> il n 1. 1 É t. sons 1,1 n [ il i : c T i
2 Le mémoire de Beard a été publié dans le x Journal of nervous and
mental
diseuses, vol. VII, p. 487 ». Nous en avons donné
n sens, mais tout cela sans délire, sans aucun trouble des facultés
mentales
. Des mois et des années s'écoulèrent dans cet é
dit-elle, une grossesse ordinaire, mais qui s'accompagna d'un état
mental
particulier, causé par le désir de régulariser
vre ensuite à une discussion approfondie sur la REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 67 nature de cette dyspnée et de l'affection q
physiologie et les symptômes observés. P. M. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
1. Sur la pathologie de la manie; par J. `V1GLE
1. Sur la pathologie de la manie; par J. `V1GLESNORTH. (Journal of
mental
Science, janvier 1884, p. 485.), Quand on veut
st une de celles qui jettent le plus de lumière sur la pathologie
mentale
. L'opinion de M. Wiglesworth, déduite de la pro
des phénomènes dans l'accès ordinaire de la 68 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. manie. Voici d'ailleurs l'eX) lication que M.
rronées, sans que celles-là soient atteintes. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 69 Enfin 11. \\'iles-orlli s'explique, en term
spéciale des infirmiers d'asile; par A. CAMPBELL- CLwE. (Journal of
mental
Science, janvier, 1884, p. 459.) L'auteur est c
ons. Le nombre decesleçons fut de dix-huit ; 70 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. le nombre moyen des auditeurs fut de vingt, su
e à tout le monde, aux infirmiers eux-mêmesdont REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
71 1 le niveau social et intellectuel sera élev
Neurologie, t. II, p. 263, et t. IV, p. 105. 72 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. IV. SUR LE CARACTÈRE ET LES R\LLUCIVAT10\S DE
R\LLUCIVAT10\S DE JE\ ? \E D'AnC; par William IRELAND. (Journal of
mental
Science, janvier 4883, p. 483, et avril 1883, p
e retracer les principaux événements de la car- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 73 rière de Jeanne d'Arc de façon à mettre les
S CIRCONSTANCES ENVIRONNANTES LORS- QU'IL s'agit d'apprécier l'état
mental
d'un I\L1D1. ; par SAMUEL Wilks. (Journal of me
pprécier l'état mental d'un I\L1D1. ; par SAMUEL Wilks. (Journal of
mental
Science, janvier 1883, p. 549.) Cette note a ét
nspirée à M. par la lecture d'un article précédemment publié par le
Mental
Science et dans lequel l'auteur insistait sur l
ts et aboutis- sants d'un malade avant de se prononcer sur son état
mental
. En effet, « le vrai peut quelquefois n'être pa
11. 1'illcs, lout à fait inutile de cher- 74 4 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. cher à raisonner avec lui. » Deux médecins l'a
VI. Un C\S de perte aiguë de la mémoire; par G. SAVAGE. (Journal cf
mental
Science, avril, 1883, p. 85.1 Les cas de perte
la campagne. Elle ne se rappelle ni un tableau, REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 75 ni une odeur, ni un goût. Chaque jour, elle
ra d'autres attaques qui affaibliront encore 76 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. sa mémoire eu même temps qu'elles feront tombe
modifications post-apoplectiques. R. 1)1. C. VII. SUR LES maladies
mentales
consécutives a une élévation DE la température
ans les cas d'hyperthcrmie fébrile. Le second groupe des affections
mentales
de cet ordre relève de REVUE DE PATHOLOGIE MENT
des affections mentales de cet ordre relève de REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 77 Î l'insolation ou coup de soleil. Ici, l'ac
les crimiuels femmes sont aussi fréquemment atteints d'aliénation
mentale
que les hommes ; que presque toujours les aliénés
petit nombre d'extraits prouvent que le mé- 78 REVUE de pathologie
mentale
. moire traite non seulement des aliénés crimine
écondité comme dans les familles saines; seules REVUE DE pathologie
mentale
. 79 les incurvations de la colonne vertébrale p
i que les muscles rétracteurs de cet organe, 80 REVUE DE pathologie
mentale
. reçoivent des libres motrices des deux moitiés
xcitation dans les appareils centraux profonds, revue de pathologie
Mentale
. 8t car ces mouvements se manifestent encore ap
sur'ces examens pour préjuger de l'avenir des élèves. La précocité
mentale
est,en effet, un signe d'infériorité plutôt que
de de moins de quinze jours, j'ai été commis, pour constater l'état
mental
de trois aliénés, à la suite de tentatives d'ho
ettre ces trois cas; s'ils appartiennent à la même forme de trouble
mental
, ils diffèrent quant à l'évolution du délire, et
nant un second fait non moins intéressant que le précédent : l'état
mental
de l'individu dont il s'agit avait passé inaper
étais commis par le procureur de la République pour examiner l'état
mental
d'un nommé ))..., inculpe de tentative 'de meur
; plus tard, pendant bien des années, on constata de l'aliénation
mentale
à symptômes alternes, des lacunes croissantes dan
congénitales de I'fril dans leur ! '«/)/)0 ! < t;wc les maladies
mentales
et nerveuses Après une énumération des anomalie
, anomalies observées surles yeux d'individus atteints d'affections
mentales
et nerveuses et rattachées aux signes somatique
système nerveux central, les unes sont symptomatiques d'un trouble
mental
congénital, d'une lésion des organes nerveux ce
st qu'après des condam- nations répétées que l'on flaira un trouble
mental
. L'examen médico-légal, en annulant la pénalité
, les médecins ne se sont aperçus d'aucune perturbation nerveuse ou
mentale
. Il quitte guéri l'hôpital le 20 août, et, aprè
les sensations pathologiques en tant que symptômes de perturbations
mentales
. Les sensations patho- logiques, jadis peu rema
thologiques, arrive à ce résultat que le groupe des perturba- tions
mentales
, dans lesquelles les sensations pathologiques c
tion sur cette partie intéiessante de la séméiotique des mala- dies
mentales
. Discussion : M. Hasse. Tous les persécutés é
decins praticiens' qui ne reconnaissent pas assez vite l'aliénation
mentale
et ne savent pas la traiter méthodiquement asse
travers quatre générations et diagnostiquer le début des affections
mentales
. Aussi, pendant quatorze ans de pratique, l'ora
hrilisme ; par G. SOUL.4. (Thèse de Paris, 1881.) De l'aliénation
mentale
comme complication immédiate ou tardive de la f
sile Sainte-Anne. M. le D Gilson, chef de la clinique de pathologie
mentale
, médecin-adjoint à l'asile Sainte-Anne, est app
leçon à l'amphithéâtre. Asile SA'TE-A\'\E. Clinique des maladies
mentales
. M. le professeur BALL a commencé le cours de c
. le professeur BALL a commencé le cours de clinique des maladies
mentales
, le dimanche 9 novembre à dix heures du matin et
e, le dimanche 16 novembre, ses leçons cli- niques sur les maladies
mentales
et nerveuses, et les continue tous les dimanche
s on avait observé 3,8 p. 100 de l'effectif de l'année. A. Maladies
mentales
. 120 cas : 0,31 p. 100 de l'effectif. Avec ceux
es, etc., etc. Depuis l'année 1873-1874, où le chiffre des maladies
mentales
s'élevait à 0,39 p. 100 de l'effectif, le chiff
: Obs. I. N'ont pu être obtenus. Obs. II. Néant. Obs. III. Etat
mental
tout particulier de la mère pendant sa grossess
arche lorsqu'elle siège dans les membres inférieurs. Quant à l'état
mental
, il est parfaitement régulier et normal : les s
aute en ce moment; il en est presque toujours ainsi dans la lecture
mentale
, sans articulation des mots. Nos malades sont
convulsion et chez des personnes que leur édu- cation et leur état
mental
sembleraient devoir mettre à l'abri de pareille
DE L INCOORDINATION MOTRICE. 185 Quant à l'état physique, moral et
mental
des malades, lorsque la maladie est complètemen
pécial , celui de ! 'oee/7e (col)ï,o- lalie); 4° l'état physique et
mental
des sujets est en pleine intégrité; la maladie
ation nerveuse particulière, depuis ceux qui, par leur constitution
mentale
, paraissent absolument subordonnés à la volonté
tes de ceux qui les entourent, tout en paraissant jouir d'un état
mental
parfaitement régulier dans l'intervalle de ces
même isolés, elles se caractérisaient suffisamment par des troubles
mentaux
, et des actes insolites, des accès convulsifs q
e morte dans beaucoup de cas. L'hystérie, l'épilepsie, l'aliénation
mentale
, etc., échappent au contrôle anatomo-pathotogiq
la nutrition de ce système à l'état pathologique, dans l'aliénation
mentale
, l'épilepsie et l'hystérie. 1. DE LA NUTRITION
ée par maintes 1 Voy. Archives de Neurologie. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 261 complications 1. - A ce propos, le ramolli
a partie; cet organe n'a pas été examiné. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XIII. De la conscience dans LES états connus so
ie. Revues analytiques. 2 W t. V, p. 372. 262 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. d'inconscience avec alexie, avec agraphie, qui
et ne pouvoir écrire lisiblement. C'est là de la perte de la vision
mentale
des objets et des signes ' ; la perte passagère d
- CILUS pourvus d'éducation ? par G.-E. SHUTTLKWORTH. (Journal Of
mental
Science, janvier 1884, p. 467.) L'auteur s'expl
uffisance soit moindre que dans l'idiotie. Il étudie ensuite l'état
mental
des imbéciles au point de vue de leur capacité
la responsabi- lité d'un imbécile est variable suivant sa capacité
mentale
primi- tive et aussi suivant le degré de dévelo
gie, t. VI, p. 403, et Crouigneau, Paris, 1884. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 263 extrême, l'auteur cite le cas d'un imbécil
A la suite de l'exposé détaillé de deux observations d'aliénation
mentale
, l'auteur passe à la discussion symptomatique. Le
P. K. 1 Voy. les Archives de Neurologie. 264 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XVIII. CONTRIBUTION A la pathologie ET A l'ana
1 Voy. les Archives de Neurologie. 2 Idem. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 265 simples concomitances accidentelles. Il. L
ii stir la Ilision nientale. Paris, 1994. : 266 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. constatée de sérosité). Ces deux paralytiques
lle-même le symp- tùme d'une psyclrose. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
267 XX. Sur l'extension de la dégénérescence ph
1 Voy. Archives de Neurologie, Sociétés. 268 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. gnation morbide , ce sont les descendants d'ép
sidérer le jeûne du Dr Tanner comme démontré. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ll69 tion d'eau, et tant qu'on ne constate pas
ers au rôle de somnambule, sorcière, nécro- 270 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. maucienue, devineresse, médecin. Peu à peu ils
ultérieure, une certaine importance aux 27 : 2 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. accidents suivants qui permettent de conclure
té non considérés comme malades. L'auteur s'oc- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 273 cape plus particulièrement de la pédérasti
SOCIÉTÉ MÉDICO-PSYCHOLOGIQUE Séance du 20 janvier. Des troubles
mentaux
dans la sénilité précoce et rapide; par M. Char
as avoir fixé suffisamment l'attention au point de vue des troubles
mentaux
qui l'accompagnent, surtout s'il ne s'y joint a
sont frappés, la marche est rapide quand il s'y joint des troubles
mentaux
; ainsi se trouve justifiée l'expression de sé-
s est étranger à notre sujet, puisqu'il ne présente pas de troubles
mentaux
. Nous n'y insistons pas davantage. Nous ne no
non plus sur les sujets atteints de sénilité précoce et de troubles
mentaux
chez lesquels l'étioiogie est déterminée par de
tous ces états, la séni- lité précoce est fréquente et les troubles
mentaux
ont été souvent signalés. Le délire mélancoliqu
Nous ne ferons au-si que passer légèrement sur d'autres troubles
mentaux
qui existent à l'âge mûr en même temps que la s
en y étant confon- dus parmi les déments sénilisés. Les troubles
mentaux
que nous avons à décrire et que nous dé- signon
ous avons à décrire et que nous dé- signons sous le nom de troubles
mentaux
de la sénilité précoce simple, pour les bien di
tant s'en faut, à l'apparition de la sénilité précoce et du trouble
mental
. La véritable caractéristique de la condition q
n qui préside au développement de celte sénilité et de ces troubles
mentaux
, c'est l'incapacité d'adaptation de l'indi- vid
apide des carac- tères de la ,vieillesse et apparition des troubles
mentaux
qui an- térieurement n'existaient pas; caractèr
eurement n'existaient pas; caractère dépressif des manifesta- lions
mentales
; formes mélancoliques, hypocondriaques, anxieuses
nce d'hallucinations. D'autres sujets présentent aussi des troubles
mentaux
associés à la sénililité prématurée; mais nos o
sième groupe de sujets présentant aussil'as- sociation des troubles
mentaux
et de la sénililité prématurée. Nous en possédo
s en possédons par devers nous deux cas où l'éclosion des symptômes
mentaux
fut pour nous une surprise, tant nous y étions
être constatées. Elles peuvent être ou non accompagnées de troubles
mentaux
que les auteurs ont décrit, mais sans mettre as
elief la précocité de la sénilité concomitante ; 3° Les troubles,
mentaux
de la sénilité précoce peuvent exister sans mal
que comme épisode terminal incapable d'expliquer ni les troubles
mentaux
, ni la précocité de la sénilité. Ces troubles m
es troubles mentaux, ni la précocité de la sénilité. Ces troubles
mentaux
sont à forme dépressive avec certaine conscienc
sister dans l'état d'affaiblissement intellectuel ; 4° Ces troubles
mentaux
, qu'ils reconnaissent pour cause le changement
tenue jusqu'alors par une idée intensive déterminante, des troubles
mentaux
ont toujours pour condition causale commune, l'
tte incapacité d'adaptation apparaît très marquée dans les troubles
mentaux
de la sénilité précoce ; Il y a lieu, au poin
° Enfin il existe une sénilité précoce sans maladies, sans troubles
mentaux
. Les hommes qui en sont frappés savent vieillir,
ns les familles dégé- nérées psychiquement. (Joumt. of tteruous and
mental
diseuses. 1881, l. 103.) Le rédacteur-gérant,
tés par le curare. Chemin fai- 1 Les cérébraux (Etude de pathologie
mentale
), (Arch. de méd., 1880, vol. I, p. 385.) 2 Th
AUX DU CURARE DANS l'ÉPILEPSIE. 3H Observation X1111. Instabilité
mentale
; épilcpsic idiopathiquè. Père alcoolique. Mère
ternel mort du mal de Pott. Onanisme. Début ff trois uns.- Débilité
mentale
consécutive. Rougeole. Erysipèle (mai 4881). Co
UN ABAISSEMENT EXTRÊME DE LA TEMPÉRATURE DANS LE COURS DES MALADIES
MENTALES
; Par N. POPOFF, médecin de l'asile Saint-Nicol
ions de la température du corps durant diverses formes d'affections
mentales
, beaucoup d'autres auteurs ont étudié cette que
s particularités que peuvent présenter sous ce rapport les maladies
mentales
, je m'en tiendrai à l'abaissement brusque de la
tschrift f. psychiatrie, 1880.) DE LA TEMPÉRATURE DANS LES MALADIES
MENTALES
. 355 et dernièrement par Beeliterew et Otto Heb
Essai clinique sur la température dans quelques formes de maladies
mentales
. Thèse 1881, en russe. 2 Otto Hebold. Subnormal
ssesses et les couches furent normales et sans influence sur l'état
mental
de la malade. - Mais elle ne fut pas heureuse e
d'exercer une salutaire influence sur le cours des diverses formes
mentales
, et plus particulièrement dans les cas de violent
u)'M)tMC/ie« ! eeetM, 1867-68.) DE LA TEMPÉRATURE DANS LES MALADIES
MENTALES
. 359 celui que l'on constate dans la stupeur. B
ble de la température peut se produire dans le cours des maladies
mentales
sans entraîner nécessairement un pronostic fatal.
ITION DU SYSTÈME NERVEUX. 361 tionnelles de ce système : aliénation
mentale
, épilepsie, hys- térie. Nous étudierons success
cherches relatives aux modifications que peut produire l'aliénation
mentale
sur la nutrition du système nerveux par l'étude
tres, au contraire, pensent que, sous l'influence de l'alié- nation
mentale
, la quantité de phosphates rendus par les urines
atières so- lides. » - - D'autres enfin pensent- que l'aliénation
mentale
augmente seulement la quantité d'acide phosphor
de l'acide phosphorique par les urines pour savoir si l'aliénation
mentale
modifie ou non la nutrition du cerveau sont en
hosphorique ne peut nous éclairer sur les troubles que l'aliénation
mentale
est susceptible de faire subir à la nu- trition
r l'étude de l'élimination de l'acide phosphorique, si l'aliénation
mentale
modifie la nutrition du système nerveux, s'impo
omme pour le travail intellectuel, nous avons dû, pour l'aliénation
mentale
étudier l'élimination do l'acide phos- phorique
n peut seule nous le donner. Et comme beaucoup des cas d'aliénation
mentale
que nous étudierons sont incurables, c'est avec
l'acide phosphorique. La seconde ne l'est pas moins, l'aliéna- tion
mentale
, maladie essentiellement chronique, permet assez
on des phos- phates qu'on constate sous l'influence de l'aliénation
mentale
, il est encore quelques précautions à prendre.
ie. . Interprétation des modifications produites par l'aliénation
mentale
sur l'élimination de l'acide phosphorique. Supp
r l'élimination de l'acide phosphorique. Supposons que l'aliénation
mentale
produit des modifications dans le rendement de
au et la nutrition générale. N'est-il pas possible que l'aliénation
mentale
retentisse, elle aussi, sur cette dernière ? C'
st l'activité mus- culaire, qui, dans certaines formes d'aliénation
mentale
, la ma- nie avec agitation, par exemple, peut ê
our nous permettre d'interpréter les modifications que l'aliénation
mentale
peut produire dans l'élimination des phosphates
énérale qui domine, et de beau- coup, dans cette forme d'aliénation
mentale
. Nous pouvons, considérant seulement les états
iaque qui s'imagine qu'on va le tuer : chez cet homme, l'aliénation
mentale
est restée très longtemps stationnaire, et nous
re, pour rendre plus précis les résultats qui précèdent, que l'état
mental
de Gib... restant le même, nous avons examiné à
suite, nous pouvons dire comme conclusion générale : L'aliénation
mentale
modifie les échanges nutritifs qui se passent a
ellerons seulement que nous avons institué, comme pour l'aliénation
mentale
et l'épilepsie, des expériences à l'effet de sa
tude de l'élimination de l'acide phosphorique ; REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 391 2° Si l'acide phosphorique se lie à lanutr
cherches et les mettre en relief. (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XXV. DU MÉCANISME PSYCHIQUE DU DELIRE DANS LA V
de professait, jusque vers 1860, que toutes les formes des maladies
mentales
ne sont que des pé- riodes différentes d'un seu
ystématisé puisse être un état secondaire. 392 .REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. , On admet généralement que le délire chroniqu
que le délire chronique ne peut évoluer que sur un fond de débilité
mentale
. Ce ne sont pas les halluci- tions qui fourniss
e sens de son délire prouve qu'il existe déjà une certaine débilité
mentale
. Il est vrai qu'on voit souvent des gens d'une
ucktleeit ou paranoïa des Allemands. tN.-B. ) ' REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 393 couleur donnée, cela tient vraisemblableme
à ce sujet qu'on retrouve des phéno- mènes analogues dans la vision
mentale
des individus normaux. L'idée persistante d'une
(Wundt) brillante, développe une image con- 394 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. séculive de couleur. Ces faits nous montrent l
; secrétaires annuels : MM. Charpentier et Garnier. Des troubles
mentaux
dans la sénilité précoce; par M. CHARPEN- tier
au mémoire le plus méritant sur n'importe quel sujet de pathologie
mentale
. A la suite des rapports de MM. Christian et Ga
hines, des instruments en honneur dans l'école moderne. La débilité
mentale
de l'accusé n'exclut pas l'astuce chez lui; il es
nes de l'abdomen ; liseré bleu-noir du bord gingival ; les facultés
mentales
baissent de plus en plus ; la mémoire est telle-
aliénistes des asiles voisins, ainsi que les amis de la médecine
mentale
, préparassent des matériaux à la société principa
e, t. IX, p. 114. SOCIÉTÉS SAVANTES. 421 rebelle à toute activité
mentale
; en pareille occurrence, mieux vaut décréter l
l'instruction. M. Loehr, tout en exposant magistralement le trouble
mental
de la baronne, lui conseille dans son intérêt d
nications détaillées. Le surmenage psychique et la dégénéres- cence
mentale
jouent un rôle, mais il est difficile de tracer l
garçons; par de CASAUBON. (Thèse de Paris, 1884.) De l'aliénation
mentale
chez les vieillards ; par 601DAL. (Thèse de Par
ra décerné au meilleur mémoire manuscrit sur un point de pathologie
mentale
.-Prix Moreau (de Tours).-Ce prix, de la valeur
les facultés de médecine de France, sur une question de pathologie
mentale
et nerveuse. Les mémoires imprimés et les thèse
il devait étudier les lois qui président à l'hérédité des maladies
mentales
. « Le Dr Prosper Lucas était le frère de M. Cha
de Gaillon; in Compte rendu du Congrès interna- tional de médecine
mentale
. Paris 1880. tÀ2111. t nzéd.-psych.) Inaugurati
rès psychiatrique d'Anvers. Le secrétaire de la Société de médecine
mentale
de Belgique, notre distingué confrère le Dr Ing
ans sa dernière réunion (31 janvier 1885), la Société de mé- decine
mentale
a décidé, conformément aux usages anciens, de t
à l'âge de soixante-quinze ans. On lui doit, d'après The Journal of
mental
science, les travaux suivants : Ele- znents of
rochure 111-8- de 10 pages. Régis (E.). Manuel pratique de Médecine
mentale
. Un volume in-ts, cattonné, de 610 + xxiv pages
onie), 407. Graphique (représentation - de la marche des maladies
mentales
), par ltégis, 87. Gymnastique(la), IrarColhne
.'obe temporal (destruction com- lrlète du), 327, 33 ? . Maladies
mentales
( difficulté de diagnostic), 73; consécutives
r laebius,105. (anomalies ciel ),dans les mala- dies nerveuses et
mentales
. Ophthalmologique (contribution au diagnostic
e, par Sommer 261. l . Sénilité précoce et rapide (des troubles
mentaux
dans la), par Charpentier. 275, 395. Sensatio
l3erger, G2 ; 1* (c)ei ! lesfemmes),pnr.Moebius, 253 avec trouble
mental
, 263; du), 429. Température (importance au po
- sement extrême de la tempéra- ture dans le cours des maladies
mentales
), par Popoft, 355. Tendineux (phénomènes), par
Y ARCHIVES DE 1r NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
PUBLIEE SOUS LA DIRECTION DE J.-111. CHAKCOT
de signes, très variables d'aspect, qui semblent prouver que l'état
mental
du sujet n'est pas absolument normal. - Les t
on; ils ont pu se rendre compte qu'elle est compatible avec un état
mental
encore sain ou réputé tel. Bien qu'on n'aime pa
T TREMBLEMENT. 41 ses rapports dans certains cas, avec l'aliénation
mentale
, sont connus, et les romanciers eux-mêmes, pein
re poussé à l'extrême est pour nous un symptôme de déséquilibration
mentale
, une forme de neurasthénie psychique que j'ai e
e mieux les recoins pour déceler chez notre malade quelque anomalie
mentale
, nos recherches ont été vaines. Notre jeune fil
ur un cas de myélile aiguë diffuse... (Archives de médecine eayéri-
mentale
. Septembre 1889, p. 696.) ! Myehlis acula dissemi
tés sont affaiblies, il y a de la démence. L... a, du reste, l'état
mental
classique des épilep- tiques : irritabilité, ve
son tétanos. C'est un épileptique en voie de démence avec troubles
mentaux
. Il y a, outre la coexistence des deux névroses
e. D'abord, au point de vue psychopathique, L... a tout fait l'état
mental
des épilep- tiques, état mental bien étudié de
hopathique, L... a tout fait l'état mental des épilep- tiques, état
mental
bien étudié de nos jours. Il présente aussi cet
es qui arrivent au délire par l'exagération seule d'une disposition
mentale
parti- culière. Une méfiance physiologique, pou
XX. Hystérie CHEZ l'homme; par FRANCIS-W. CLARK. (The journal of
Mental
Science, janvier 1888. L'auteur rappelle d'abor
e, l'anémie et généralement tous les modes d'épuisement physique ou
mental
déterminent l'appa- rition de l'hystérie et pri
x, ni atrophie des fibres intracorticales. D'ailleurs, l'aliénation
mentale
pure (psychose fonctionnelle vraie), se traduit
XX. LE langage réflexe ; par George M. ROf3EnTSON. (The Journal of
Mental
Science, avril 1888.) L'auteur conclut : 1° que
nelles, reparaître manifestement ; 4° que dans certaines affections
mentales
, le langage réflexe s'observe sous un forme exa
phie des circonvolutions qui accompagne si fréquemment l'aliénation
mentale
s'oppose à ce que les vaisseaux méningés soient
rps OLIVAIRE du coté opposé ; par Wlllla111 DUDLEY. (TIL Journal of
Mental
Science, juillet 1886.) Ce cas est intéressant,
RIETALE ASCENDANTE DROITE ; par Joseph WIGLKSWORTH. (The Journal of
Mental
Science, avril 1886.) Nous traduisons presque e
oite chez la majorité des individus. R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
I. Observations faites avec le 8PIt1'GU0GR.1P11
. SURQU>;LQUES aliénés; par T. DwcAIV Greenless. (The Journal of
Mental
Science, jan- vier 1887.) L'auteur tire de ce
et dans les autres formes de folie qui s'accompagnent d'excilation
mentale
, les centres nerveux sont con- gestionnés, mais
- ptend plus ou moins ses caractères ordinaires. 3° La dépression
mentale
, si elle est récente et aiguë donne une systole
e avec artères incomplètement remplies ; si cependant la dépression
mentale
persiste longtemps, ou si elle est accompagnée
rculation paresseuse, par suite delà distension REVUE DE pathologie
mentale
. 101 incomplète des vaisseaux, laquelle est pro
erveuses dans lesystème vaso-moteur. 7° Dans les cas d'imperfection
mentale
congénitale attribuables à un arrêt de développ
ans un cas DE démence primitive ; par J. STEWART. (The Journal of
Mental
Science, avril 1887.) L'observation du malade p
s ; début par embarras de la parole et alfalblissement des facultés
mentales
; démarche alaxique; absence du réflexe du genou
autre part, le caractère prédominant de la maladie, au point de vue
mental
, était un af- faiblissement progressif des facu
ie ataxique. L'affaiblissement graduel des 102 revue DE patiiologie
mentale
. fonctions motrices, la rigidité des membres et
M. C. III. Folie du doute; par P. J. KoWALEWaKY. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1887 et janvier 1888.) Des fai
rasthénie entre dans une seconde période qui est celle des troubles
mentaux
élémentaires. 3° Que ces troubles élémentaire
fièvre typhoïde chez des aliénés par n. PERCY SMITH (The Journal uf
Mental
Science, avril 1S87.) L'auteur relate sommairem
e plus souvent ne se plaignent de rien. La modification de l'état
mental
sous l'influence de la fièvre REVUE DE patholog
de l'état mental sous l'influence de la fièvre REVUE DE pathologie
mentale
. 103 typhoïde a déjà été signalée : dans deux d
ésentant pas d'ailleurs les caractères ordinaires des modificatious
mentales
qui succèdent parfois à la fièvre typhoïde chez
urs d'une scarlatine. Dans un cas, le malade était en convalescence
mentale
, avant que la fièvre ne fut diagnostiquée; l'am
e mentale, avant que la fièvre ne fut diagnostiquée; l'amélioration
mentale
con- tinua de progresser pendant la fièvre, et
plus calme de la fièvre typhoïde. Dans un autre cas, la dépression
mentale
que présentait le malade ne subit qu'une rémiss
adie : il n'y eut d'ailleurs chez lui aucune amélioration de l'état
mental
. Dans aucun de ces cas, le fait de l'aliénation
on de l'état mental. Dans aucun de ces cas, le fait de l'aliénation
mentale
n'a intro- duit d'éléments capables de modifier
d'imbécillité congénitale; par C.-S, - W. COBUÓLD. (The Jo1t1'nalof
Mental
Science, octobre 1886.) Dans le premier cas, il
d de l'eau. Le second cas concerne un homme 104 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. de 29 ans qui, sous prétexte qu'il est taquiné
cas d'intoxication saturnine chronique avec épilepsie et aliénation
mentale
; par William L. Ruxton. (The Journal of Mental
ie et aliénation mentale ; par William L. Ruxton. (The Journal of
Mental
Science, octobre lôi3li.) Il s'agit d'un homme
ns le t. IV, p. 52, des Archives de 1882 (B.) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 105 jours suivis de stupeur, on vit apparaître
s suivis de stupeur, on vit apparaître des symptômes d'aliéna- tion
mentale
qui, depuis, n'ont fait que s'aggraver. Le malade
1'IQI ? E : par le Dr .\I¡;SCIl8DE, de Koenigsberg. (The Journal of
Mental
Science, avril \8$7.) L'auteur s'attache à démo
es particu- liers de la psychose (disparition en bloc des processus
mentaux
les plus familiers, cécité psychique, etc.); il
UN cas de folie DE l'adolescence ; par John KEA Y. (The Journal of
Mental
Science, avril 1888.) L'auteur a considéré ce c
r plusieurs points essentiel- de cette forme de folie. Les troubles
mentaux
qui précèdent ou accom- pagnent un rapide dével
allucinations sont ou sexuelles ou reli- gueuzes : en somme, l'état
mental
pathologique n'est en ce cas que l'état mental
s : en somme, l'état mental pathologique n'est en ce cas que l'état
mental
ordinaire de la plupart des sujets de cet âge c
exagéré et déformé. Les malades de ce genre 106 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. sont souvent insupportables à l'asile : ils so
es ; urates amorphes dans les urines. Guérison rapide des symptômes
mentaux
; guérison graduelle de la paralysie. 2° Z...,
et sang dans l'urine ; oif intense. - Guérison rapide des symptômes
mentaux
; guérison graduelle de la paralysie. Ces deux
ans hésitation comme des paralytiques généraux; REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 1O1 et, en effet, malgré l'absence des allures
s de plus avec quel soin on doit, dans les affections cérébrales et
mentales
, étudier l'enchaîne- ment des symptômes et rech
u guérison de folie chronique : par Lloyd FRANCHIS. (The Journal of
Mental
Science, janvier 13S .) Dans ces deux cas, la m
ition des symptômes ; dans les deux cas aussi, le retour à la santé
mentale
a été complet, l'amélioration, une fois établie
avoir joué le rôle principal dans le rétablissement de l'équilibre
mental
. Dans l'autre cas, le choc déterminé par une lé
I. Un cas DE folie morale Colin ; par M. CA112PELL. (The Journal of
Mental
Science, avril 'l881.) L'auteur résume dans les
s les termes suivants les points les plus 108 ' REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. saillants de cette observation qu'il a relatée
é du père ; la mère meurt avec abaissement pro- gressif physique et
mental
; les soeurs sont excentriques. 2. Le malade es
récise. Santé générale délicate. 4° Légère amélioration physique et
mentale
au bout d'un temps considérable; cette améliora
», mais il n'y avait chez ce malade aucune im- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 109 perfection du « sens moral » et il serait
al » et il serait peut-être plus exact dit-il, de désigner son état
mental
sous le nom de « folie affective. » R. M. C.
ce de délire religieux (extatique). P. K. 110 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XIV. La QUESTION DE LA LOI SUR LES ALIENES EN
Le poids du cerveau diminue dans toutes les formes de 1'31léuation
mentale
, surtout chez les hommes à partir de soixante-d
s mêmes destructions comme origines des mêmes phénomènes nerveux et
mentaux
; c'étaient des foyers de ramollissement dans l
heureuse tentative de psychologie cxpri- '1 ? 112 bibliographie.
mentale
. Il semble indiquer il s'agit d'une thèse soutenu
faire. - P. S. X. Etudes cliniques sur les maladies nerveuses et
mentales
; par le Dr Jules Falret, médecin de la Salpêtri
paralysie générale; puis son étude de bibliographie. 127 Î l'état
mental
des épileptiques depuis laquelle il u'a rien été
rande satisfaction par tous les aliénistes. P. S. \Il. Le surmenage
mental
dans la civilisation moderne; par \Im° i\la- ri
, 1890. ' M ? Manacéine effrayée comme bien d'autres du surmenage
mental
de notre époque, en a recherché les effets, les c
e l'âme et du corps. Examinant alors à fond les causes du surmenage
mental
, elle constate que ce qu'il faut surtout mainte
s un asile public ou privé consacré au traitement de l'aliéna- tion
mentale
, soit dans un hôpital où ils auraient été appelés
, ce qui n'a pas peu contribué à accen- tuer son état de dépression
mentale
. Il est très maigre : l'état t général est néan
t une certaine valeur. De plus, il existe chez notre malade un état
mental
particulier qui constitue un véri- table stigma
des cas, les autopsies sont très rares et les recherches expéri-
mentales
ont presque toutes échoué. Enfin, dans un certa
de ces troubles moteurs d'origine psychique, à savoir : 1° un état
mental
spécial ; 2° un traumatisme qui est l'agent pro
un traumatisme qui est l'agent provocateur de la paralysie. L'état
mental
spécial qui prépare le terrain sur lequel va ag
ation de la conscience. Ainsi se trouve constituée une modification
mentale
grâce à laquelle les suggestions se réalisent f
, mais il est nombre d'états qui s'en rapprochent : tels sontl'état
mental
des hystériques (Charcot), des alcooliques (Mag
fois constatés avec la dyslexie; le malade 21) REVUE DE pathologie
mentale
. écrit spontanément comme à l'état normal, mais
etit doigt, extenseur commun des doigts). P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XIX. UÉLIRE DE chicane. Recherches ET réflexion
auxquels cèdent les individus atteints de tares REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 253 neuropsychopathiques (hystériques, épilept
rouve. - OBs. VIII. Délits d'immoralité avec des enfants : débilité
mentale
. Ivresse Obs. IX. Incendie. Emotivité pathologi
ncendie. Emotivité pathologique. Imbécillité. OBS. X. Vol. Débilité
mentale
. - Cas. XI, Escroquerie commerciale sur une déb
d'idiotie de la part de celle-ci.-OBS.X11. Simulation de faiblesse
mentale
de la part d'un individu jouissant de la plénit
y. Archives de Neurologie, t. XIII, p. 275. 254 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XXIV. Importance DE la MIMIQUE POUR LE diagnos
ujours de plusieurs causes. Si l'hérédité prédispose à l'aliénation
mentale
en général, la syphilis prédispose surtout à la
peine les relève-t-on de temps à autre. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 255 XXVII. DES allures DU POIDS DU corps dans
, dont 67 phtisiques, soit : 39,7 p. 100. Eu analysant l'aliénation
mentale
chez les morts de phtisie, on trouve que, dans l'
e de l'accès d'épilepsie; il doit en cer- ' 256 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. tains cas être imputé à la même cause, si l'on
selon nous, une action très importante. (B.) - REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 257 Î X111. Guérison d'un cas DE DÉMENCE aiguë
ment, obsessions avec ARCHIVES, t. XX. 17 258 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. dépression mélancolique. « Il faut qu'elle tue
vre de Sancler et t Richter intittilé : Rapports entre l'aliénation
mentale
et le crime. Beziehungen zwischen Geistestoerun
théorie DE l'induction ; par le Rev. W. G. D.1VIES. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1887-avril 1888.) - Les travau
la parole légèrement hésitante, peu intelligente, mais sans lacunes
mentales
grossières, meurt d'urémie (néphrite parenchyma
du diabète, il pense qu'il existe une relation entre la dépression
mentale
et le diabète transitoire des paralytiques géné
ante sur les démences précoces. La démence précoce est un trouble
mental
, incurable et chro- nique, survenant chez les s
tives à des traumatismes sont des formes congestives d'alié- nation
mentale
. Il est important, au point de vue médico-légal,
t intervenir rapidement, car la marche et la gravité de l'affection
mentale
ne sont pas tou- jours en rapport avec l'import
le particulière en s'inspi- rant de certaines règles de la médecine
mentale
pour la conduite disciplinaireetla réforme des
ravail maraî- cher ou agricole; - Que l'enseignement de la médecine
mentale
soit facilité aux étudiants, en rendant les asi
s propositions, la première session du Congrès national de médecine
mentale
a été déclarée close. Son succès a été réel. Le
oniques, mais il nous arrive aussi en nombre notable des affections
mentales
récentes. Nous n'avons pas ou n'avons que très
quand je constate, à propos de mes malades, qu'il y a eu aliénation
mentale
ou épilepsie chez leurs frères et soeurs, chez
La transmission hérédi- taire éclaire la pathogénie de l'aliénation
mentale
et en explique le mécanisme puisqu'elle en révè
e maladie. Discussion. M. SANDER. On a publié les cas [d'aliénation
mentale
consécutive à l'influenza plus vite que cela n'
ves à l'in- fluenza observées à l'asile de Sonnenstein. La modalité
mentale
rappelait les psychoses par épuisement (démence
nt d'ailleurs montrées normales. Dans les deux autres, l'aliénation
mentale
succéda immédiatement à la grippe. M. RIC13TL
ingt six idiots de Dalldorf furent atteints par l'influenza; l'état
mental
ne fut aucunement modifié 1, M. MINDEL. Sans do
n a réveillé le germe. Chez deux paralytiques généraux, l'affection
mentale
paraissait avoir été produite par l'influenza ;
ependant il n'a vu qu'une fois l'influenza pro- voquer l'aliénation
mentale
chez eux, et encore s'agissait-il d'une mélanco
uenza. Cette maladie ne nous a point paru avoir d'action sur l'état
mental
ou sur les accès (B.). 286 SOCIÉTÉS SAVANTES.
n plein air. L'influenza n'agit pas sur l'évolution de l'aliénation
mentale
; elle ne provoqua non plus de psychoses. M. L
Sérieux, médecin de Vaucluse pour son mémoire intitulé : De l'état
mental
et du délire chez les idiots et les imbéciles.
ancolie délirante et de maladie de Basedow. Chez elle, les troubles
mentaux
étaient des plus caractéristiques.. Antécédents
goitre, le tremblement n'était pas cons- tatable à cause de l'état
mental
du sujet, elle ne se plaignait pas de la chaleu
professeur JOLLY (de Strasbourg) est nommé à la chaire des maladies
mentales
et nerveuses de l'Uni- versité de Berlin, vacan
ERSBOURG. - M. le Dr ANFInIOFF est nommé privat-docent des maladies
mentales
et nerveuses. Enfants homicides. - Une dépêch
de vue psychique, des hystériques du sexe féminin, dont l'é- tat
mental
était considéré autrefois comme caractéris- DE
sensorielle. Un autre fait vient à l'appui de ce principe fonda-
mental
, que nous croyons pouvoir établir. On pourrait
ais, quant à savoir si l'inverse Archives, t. XX. 25 386 CLINIQUE
MENTALE
. a lieu, c'est une question dont la solution n'
ent la détermina- tion de troubles chromatiques faibles. CLINIQUE
MENTALE
FOLIE PUERPÉRALE; AMNÉSIE; ASTASIE ET ABASIE.
attaque de paralysie. ' Communication faite au Congrès de médecine
mentale
de Rouen (séance du 6 août 1890). FOLIE PUERP
ersonnels. - Ils sont également assez incomplets étant donné l'état
mental
de la malade et l'absence de famille directe. N
depuis cette époque, nous ayant paru de nature à influencer l'état
mental
de la malade, nous croyons intéressant d'en dir
lle a été, dans une existence antérieure, un des juges 388 CLINIQUE
MENTALE
. de l'Inquisition, et que les souffrances qu'el
uis quinze jours après, elle fut conduite il l'hôpital 390 CLINIQUE
MENTALE
. Tenon. Là, elle s'ennuyait beaucoup demandait
temporales sont très profondes, le front très étroit. 392 CLINIQUE
MENTALE
. jambes, depuis la tubérosité du tibia jusqu'au
si je l'entends tous les soirs frapper chez moi. » 394 . CLINIQUE
MENTALE
. Comme nous l'avons dit, son mari est un adepte
ort de son premier mari, elle reprit son métier de : J96 . CLINIQUE
MENTALE
. reperceuse. Elle ne sait ni où, ni comment ell
rium. Or, chez notre ' Archives de Neurologie, 1888. 398 CLINIQUE
MENTALE
. malade, les altérations profondes de la sensib
la station debout et de la marche. Comment les représenta- tions
mentales
des mouvements de la marche pourraient-elles êt
e calculer de tête, ce qui en général se fait à l'aide de la vision
mentale
des chiffres; or ce calcul abstrait lui est abs
souvenir de la cou- leur et de ce qui y était écrit. 400 CLINIQUE
MENTALE
. Ces faits prennent encore bien plus d'importan
és à des impressions visuelles, et que la malade a encore la vision
mentale
nette de certains endroits où elle est passée s
cela était-il ? Hier. (Inexact.) Aucmvra, I. XX, 26 402 CLINIQUE
MENTALE
. Quel jour sommes-nous ? Lundi, puisque c'était
puisque c'était hier dimanche. Nous en avons assez dit sur l'état
mental
de cette malade pour montrer qu'il ne s'agit là
ès attachée. Si nous lui'faisions lire notre nom, nous 404 CLINIQUE
mentale
. lui donnions en même temps l'espérance d'une p
bation générale, elles furent contestées au point de vue expéri-
mental
, par quelques physiologistes et plus particulière
conciliable entre la pathologie humaine et la physiologie expéri-
mentale
1. Buuillaud 2 rassemblé certains faits cliniqu
et 25 fem- mes atteints de lésions et de divers types d'aliénation
mentale
, ainsi que l'âge de ces malades; variétés d'asp
s proliférations histologiques. - P. KERAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XXXIX. ETUDE SUR'LES rapports DE l'aliénation m
DE PATHOLOGIE MENTALE XXXIX. ETUDE SUR'LES rapports DE l'aliénation
mentale
avec LES maladies DES yeux ; par M. HOYET. L'
n mentale avec LES maladies DES yeux ; par M. HOYET. L'aliénation
mentale
est dans beaucoup de cas (56 p. 100) en relatio
le or Rousseau. (Echo méd. de Toulouse, 1889,) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 437 Î XLIV. Maladies mentales DES vieillards E
oulouse, 1889,) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 437 Î XLIV. Maladies
mentales
DES vieillards ET LEUR influence sur la capacit
7-1886 avec celui des aliénés admis dans le 438 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. même espace de temps, on trouve que, pendant c
ts de presse (lois du 7 mai 1874, du 21 octobre REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 439 1878). Par conséquent : 1° il faut pratiqu
, à la suite du sondage de l'urèthre rétréci, un accès d'aliénation
mentale
très court caractérisé par des halluci- nations
élire par cause périphérique. P. KERAVAL. 440 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. LUI. La classification DES maladies mentales D
40 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. LUI. La classification DES maladies
mentales
DE KAHLBAUM par CL. NEISSER. (Juhrbicch. f. Psy
second se compose de : manie, mélancolie, folie REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 44'1 systématique avec l'affaiblissement psych
dre dans les idées et de l'agitation. P. K. 442 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. LXI. CONTRIBUTION A la connaissance DE la marc
odalités aiguës, subaiguës ou chroniques. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 443 LXV. UN cas D'ÉPILEPSIE psychique; par GER
e. Plusieurs tentatives de suicide. P. K. LXVI. DES DIVERS TROUBLES
mentaux
OBSERVÉS dans la névrite alcoolique multilocula
.) La paralysie alcoolique s'accompagne généralement d'aliénation
mentale
. Le symptôme débute par une amnésie simple qui, l
loppements, de malformations physiques marquées, de dé- fectuosités
mentales
, de dégénérescence psychique vraie dont il faut
ans un asile public ou privé consacré au traitement de l'aliénation
mentale
, soit comme interne nommé au concours dans un h
es ont montrée en laissant en liberté un homme atteint d'aliénation
mentale
. Ces faits donnent réellement prise à la critiq
alades y étaient enfermés, représentant tous les types des maladies
mentales
, maniaques, monomaniaques, idiots et épilep- ti
LANCLOIS est chargé du cours complémentaire de clinique des malades
mentales
. Distinctions honorifiques. M. le D' LE Bègue,
NES. Le Dr GRA1'TSERS se plaint duns'the Journal of 12ffl,vozis and
mental
diseuse, du manque d'asiles de ce genre. Il en
vons bonne mémoire, proposé pareille chose au Con- grès de médecine
mentale
de Paris en 1889. RÉSOLUTION prise par LES NLW-
nos abonnés 6 fr. BAILLAIIGER (1.) - Recherches sur les maladies
mentales
. Deux volumes in-8° formant ensemble lui86 page
Benediht, t, 125 ; études cliniques sur les maladies nerveuses et
mentales
, et les aliénés et les asiles d'alié- nés, pa
LLETIN BIBLIOGRAHHIQUE, 144, 303, 460. Castration pour aliénation
mentale
, par Zenker, 115 ; comme péna- lité, 301. C
es de la Basse- Saxe et de Westphalie, 102; français d'aliénation
mentale
, 269. Coqueluche, hémiplégie consécutive à la
la - , par Freund, 4tU. Méningite cérébrale, par Scltulz, 80.
Mentales
(maladies), classification des -, par Kahlbaum,
S DE NEUROLOGIE REVUE TRIMESTRIELLE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-M. CIIARCOT
rr, a Journal of Neuroloyy. En Amérique. Tle Journal of nervous and
mental
Diseases et The dlienist ami Neurolo- gist. En
i justement estimé, est plus particulièrement consacré aux maladies
mentales
. 3 Chacun, parmi les chercheurs, comprend tôt
ont atténués par une contraction maximum de ces muscles. CLINIQUE
MENTALE
DE LA COEXISTENCE DE PLUSIEURS DÉLIRES DE NATUR
cin de l'asile Sainte-Anne. ' I. Les faits cliniques, en aliénation
mentale
, ne s'offrent pas toujours avec le caractère de
omplexes, mais l'espèce nosologique elle-même peut, 4 50 CLINIQUE
MENTALE
. dans certaines circonstances, se présenter dan
e. II. Pour aller du simple au composé, des faits qui 52 CLINIQUE
MENTALE
. s'imposent à tous, aux observations qui nous s
ysie générale, rend impossible toute appréciation exacte des forces
mentales
. Par les hallucinations, il suscite, en outre,
roubles toxiques. L'épileptique, en effet, qui s'al- 54 le CLINIQUE
MENTALE
. coolise présente peu à peu les signes ordinair
conscience. A 26 ans, après plusieurs attaques épilep- 56 CLINIQUE
MENTALE
. tiques, se développe un accès maniaque de cour
e alcoolique très différent de l'accès dipsomaniaque. 58 CLINIQUE
MENTALE
. Le dipsomane, avant de boire, se trouve dans d
, ne tardent pas à se déve- lopper, et comme pour les autres formes
mentales
, après avoir joué le rôle d'excitant, l'alcool
I. Les combinaisons du délire alcoolique avec les diverses maladies
mentales
n'offrent pas, on le voit, de difficultés très
acée par les ascendants. La grand'mère paternelle était 60 CLINIQUE
mentale
. mélancolique, le grand-père paternel s'est pen
ique, pendant lequel elle exprime des idées mystiques ; 62 CLINIQUE
MENTALE
. elle avale des épingles et cherche à se précip
aladies, ils peuvent même ne pas présenter de dis- B1· li, CLINIQUE
MENTALE
. positions névropathiques. Quelquefois encore l
u de leurs caractères pénibles et désa- gréables. 5 66 CLINIQUE
MENTALE
. Les trois états pathologiques, folie épileptiq
rie, on la menace, elle se croit poursuivie; tout brûle 68 CLINIQUE
MENTALE
. dans sa maison, elle se sent entourée par des
tiques propres. Mais il n'en est pas toujours ainsi, et la clinique
mentale
ne s'offre pas constamment à nous avec cette si
e Morel a NOTES SUR L'IDIOTIE. 69 déjà séparée des autres espèces
mentales
, qui fournit des exemples de ce genre dont la c
quentant les malades de plus longue date, il nous sera 70 CLINIQUE
MENTALE
. facile de nous rendre compte de l'influence du
, à un centimètre de chaque commissure, .une encoche de 72 CLINIQUE
MENTALE
. 4 à 5 millimètres environ, sorte d'esquisse de
e par deux lames indépendantes l'une de l'autre et très 74 CLINIQUE
MENTALE
. obliquement disposées, à peine plus larges en
des taches bleues qui ont disparu sous l'influence des 76 CLINIQUE
MENTALE
. bains sulfureux.-Aucun accident nerveux ni che
s méningitiques très prononcées. Rien à l'auscultation. 78 CLINIQUE
MENTALE
. - La tête est dans l'extension, bien qu'il n'y
sa longueur. - Le lobe paracentral est irrégulier; son 80 CLINIQUE
MENTALE
. sillon est vertical et séparé jusqu'au bord in
vation alors que nous remplacions M. Delasiauve. 6 82 -CLINIQUE
MENTALE
. Rensei{JneJ'iJfrrs(OU1'n1'sp(ll' sa mère (31 m
t toujours de médiocre intensité. Elle ne prend que des 84 CLINIQUE
MENTALE
. aliments liquides. Tendance à l'assoupissement
ngt-huit petits accès. T. R. 37°. Soir : T. R. 37°,2. 86 CLINIQUE
MENTALE
. 26 aur<7.La malade est prise d'un accès pen
L. III ont été dessinées par notre ami, M. E. Brissaud. 88 CLINIQUE
mentale
. Hémisphère cérébral droit. Même aspect de la p
que, juillet 1876 ; Gaz. médicale, 1876, p. 595 et 610. 90 CLINIQUE
MENTALE
. comparable à celui de l'épilepsie commune : c'
sur Psychia- trie. 4861.) - Experiments on the relation of heat to
mental
work ; par Lombard. (New-York med. Journ. Juin
nel'V. disease. Janvier 4879).-De la température dans les maladies
mentales
; par Voisin (France méd. nos 89, 90. 4 878) ; d
ujours en mouvement, même quand le sujet était au repos physique et
mental
: cependant ces écarts de température étaient a
e augmentation de température s'observe aussi pen- dant le discours
mental
, mais moins sensiblement que quand la phonation
rature céphalique qu'il faudra tenir compte en matière d'aliénation
mentale
; pas plus pour la thermométrie cépha- lique que
res de ces auteurs , on voit que dans toutes les formes de maladies
mentales
, comme chez l'homme sain, la région occipitale
omatiques de la folie. On remarquera aussi que, dans les affections
mentales
d'origine congénitale, la température du côté d
érature que l'on peut observer au cours des affections nerveuses et
mentales
, après avoir vu cette thermométrie spéciale ser
ES globes oculaires ; ÉTUDES d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE EXPÉRI-
mentale
; par MM. Mat. DuvAL et J.-V. LABORDE. (Journal
aborde avaient entrepris avec lui une série de recherches expéri-
mentales
, en même temps qu'ils revisaient les pièces anato
es régions nerveuses qu'il a exposée dans le Journal of nervous and
mental
disease, à savoir que les faisceaux qui vont sa
ILES ET DES BATRACIENS; par F. I\1ASON. (The journal of nervous and
mental
disease, 1880. Fasc. lar, p. ,16.) Dans cet art
ère ; par MM. J. OTT et R. MEADE SwITrI. (Journal of nel'VOUS and
mental
disease, 1880, n° 1, janvier, p. 57.) Gluge et
a petite malade comprenait bien tout ce qu'elle REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 145 entendait, mais ne répondait que par le te
uère espérer chez un homme de cet âge. H. de B. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
I. Leçon D'OUVERTURE DU COURS DE CLINIQUE DES m
IE MENTALE I. Leçon D'OUVERTURE DU COURS DE CLINIQUE DES maladies
mentales
; par M. le professeur BALL. En ouvrant la séri
ratifications sur lesquelles repose la 10 146 revue DE pathologie
mentale
. science moderne », M. Ball a substitué à l'exp
renseigner sur les tendances du professeur de clinique des maladies
mentales
. Quand il parle de la néces- sité de remonter a
cultes, que par l'esprit qui anime ses fidèles. REVUE DE pathologie
mentale
. 147 Pour lui, l'esprit vivificateur est l'espr
r M. Dufour ont pour but principal de démontrer que dans les formes
mentales
compliquées, les ictus cérébraux qui y sont si
ête un autre aliéné. (Ibid., janv. 1880.) 148 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. III. LÉSIONS ANATOMIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉR
artérielle chez les lypémaniaques. Les auteurs revue DE pathologie
mentale
. H9 J ne sont pas d'accord sur l'état de la cir
s ne sont pas rares ; des deux cas nouveaux 150 revue DE pathologie
mentale
. publiés par M. Christian, un surtout confirme
ui , travaillent t est extrêmement restreint. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 151 3° L'asile de Woogaroo, destiné aux aliéné
a eu plusieurs fois l'occasion d'observer l'apparition de maladies
mentales
diverses consécutivement à un travail intellect
: 1° que les statistiques ayant trait à l'étiologie de l'aliénation
mentale
ne concernent que ees asiles dont les malades s
de travail, est ordinairement passagère et 152 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. traitée dans la famille; 3° que si une tentati
portantes il apporter dans les programmes d'instruction. (Journ. of
mental
Science, janvier 1880.) II. D'O. X. L'aliénat
Journ. of mental Science, janvier 1880.) II. D'O. X. L'aliénation
mentale
dans SES rapports avec la SYPHILIS ; observatio
s situations particulières. Certaines formes, confinant aux espèces
mentales
connues, échappent à cette loi d'isolement, par
orales ; de l'autre, en pénétrant dans l'intimité du fonctionnement
mental
, pour y saisir la loi de l'enchaînement des idé
,000 fr., à l'auteur du meilleur travail sur un sujet de pathologie
mentale
et nerveuse. Les mé- moires manuscrits doivent
, -i ¡ , lr' ! I)T j, (fIW 1 f Id '* ^1 j, J,rujqb ^ ? CLINIQUE
MENTALE
00 'nb' .1) .Jlf )1 ''11'1 " j'¡j' o'oanrn 'b
une manière générale, la démence ne paraît pas constituer une forme
mentale
comparable à ni iT ., à ! a'paralysie générale,
e chose qu'un mode de terminaison des autres'' espèces d'aliénation
mentale
. Notre vénéré maître, 'MÏ Délasülilve, en a rés
ait, finit par être complètement suspendu'. » i Journal de médecine
mentale
, 1861, p. 110-111. 214 CLINIQUE MENTALE. Tell
. » i Journal de médecine mentale, 1861, p. 110-111. 214 CLINIQUE
MENTALE
. Telle est la démence. Parmi les causes qui la
âgée de 10 ans, lorsqu'on s'aperçut qu'elle se 216 ,, , CLINIQUE ;
MENTALE
. , 3,j trouvait malade') temps,en temps; ces pe
: 1,rqJ f. t £ 14 ? ¡fl ¡[II. 1 -r .J-) aro. 1 '» 218 1 .CLINIQUE
MENTALE
. J. ,, 19 juillet. -"OEdème des deux pieds., ^U
it été malade un * TpjTiaj)"5 J1 ¡T3 'i 1,1 ii- 4L 220 , CLINIQUE
MENTALE
. *,«. ? .h 220 il 9b 19 <¡fl1 : jfjOfi CLINI
¡ .. ? -" ..¡t1ffi' W 'r.Y,T fpr ""{l'.1ff' l ; '.i ;> mil 'Etat
mental
. L'intelligence dont nous n avons rien dit jus- ,
r1 tuelle complète. " l 'f, 111 -t,' h < c 222 " "JI CLINIQUE.
MENTALE
. AUTOPSIE. Crâne, légèrement asymétrique; bosse
e M. A. Leroy : De l'état de mal épileptique, p. 18. 224 CLINIQUE
MENTALE
. qu'elle a succombé à un état de mal le 24 nove
le 26 mai. - Voici qu'elle a été la marche des accès : 226 CLINIQUE
mentale
. Cervelet et isthme. Poids : 1 0 gr. Hydrolho
approches de ses règles des étourdissements de quel- 228 CLINIQUE
MENTALE
. ques secondes de durée; la mémoire s'affaiblis
alade, est né à terme : au deuxième mois de cette der- 230 CLINIQUE
MENTALE
. nière grossesse, la mère eut une frayeur en fa
1878 ; 406 en 1879 et 102 dans les 40 premiers jours 232 CLINIQUE
MENTALE
. de 1880. Ajoutons que T.. avait des vertiges d
. Des lignes tracées sur le ventre avec l'ongle rou- 234 i CLINIQUE
MENTALE
. gissent et deviennent très apparentes au bout
en moyenne 7 ou 8 fois par jour : le malade tombe or- 236 CLINIQUE
MENTALE
. dinaircmcnt sur la face; il est agité de convu
ne au bout de 5 à 10 minutes, sans laisser aucun souvenir. L'état
mental
s'est profondément modifié depuis 15 ans. En 18
lumineuse que la droite, qui est filiforme. 1;s23g r ' . clinique
mentale
. lIJp Au niveau de. l'hexagone, la communicante
es symptômes complexes auxquels sont sujets les épi- 240 CLINIQUE
MENTALE
. leptiques de cette sorte. D'autre part,. les r
tiques qui semblent englobées dans la couche la 16 242 ? CLINIQUE
MENTALE
. T ' plus superficielle de' la' substance 'gris
econnu par nous sur quelques points de l'écorce grise, 244 CLINIQUE
MENTALE
. JI 1 11 loti 1."J "T '¡"<;Jf. Ht J...I ni
s faits signalés dans le "fl'J() Tg.u i; ,"1 ,p .lÜ 26 ô CLINIQUE
MENTALE
. , - .. 211f1f' IStJ "11 'r.y ) ? twr'.j ? )(n)
rente et moins condensée que la substance corticale. 2t8 CLINIQUE
MENTALE
. o ? TII ! 1'Q'.IdTtt5l iLIr11f¡ : cla .l\l ...
e contrôle des facultés intellectuelles. L. Landouzy. XIV. Calcul
mental
ET conformation crânienne ; par l3ROCa. M. Broc
sur le système nerveux paru en avril 1879 (Journal of Nervous and
Mental
Disease). L. LANDOUZY. VI. Altérations DES NERF
" It'1f. ? ' 0'a .t1 -jupidq.n- .. ur, r ' 1 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
" '">' ' ' 'A 1 : rr \'1 .J ? L II ' j...)
bileté relative déployée par, les délinquantes. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 315 Entre la conduite de ces femmes, détournan
i1 1 : \ afJIi I("'U dl oh XII.'Lesicérébraux,étudei-]DEipathologie
mentale
;.i ? )u ? jiftmtdtdparleDCH. LAsÈGUE..v -il ,')1
Il' 1 qùe les1 maladies ultérieures affec- 316 REVUE 'DE PATHOLOGIE
MENTALE
. tant les parties déjà' lésées auront' une phys
une blessure, par une lésion encéphalique, par REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 317 une malformation du,crâne, la guérison, n'
ès,, où pour mieux'dire par exacerbation, il n est guère de forme
mentale
où 'il ne s'observe plus ou moins tranché^ Reste,
es et des paralytiques au début, un résidu de, malades, dont l'état
mental
spécial demanderait une dénomination particuliè
excitation intellectuelle,- des hallucinations, REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 319 et ne s'accompagnant enfin d'aucun de ces
renseigner complètement sur toufce qui s'é- 320 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. - « tait passé pendant le temps qui venait de
d'épi- lepsie ; d'autres enfin attribuent à tous les malades l'état
mental
spécial dont on doit à M. J. Falret l'une des p
e cette ques- tion avec de nouvelles observations, admet que l'état
mental
des épileptiques peut être rapporté aux quatre
iques peut être rapporté aux quatre formes sui- vantes : 1° trouble
mental
intense, se reproduisant à des inter- valles pl
post-épileptique, immédiatement consécutive aux accès ou à un état
mental
équivalent; 3° folie préépilep- tique précédant
nt; 3° folie préépilep- tique précédant l'accès convulsif ou l'état
mental
équivalent ;' 4° folie épileptique n'existant q
ce qu'il entend par équivalence d'un accès épileptique et d'un état
mental
REVUE DE PATHOLGGIE MENTALE. 321 donné,, ni s
ALE. 321 donné,, ni sur, les. caractères qui différencient cet état
mental
de la folie spéciale aux intervalles des accès;
. rLa - t i même sur.. 4- 4 ? - r 21 21 322 REVUE DE pathologie
mentale
. constipation si fréquente, chez les lypémaniaq
uffisant pour justifier une séquestration indé- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 323 finie. M. Proust donne d'intéressants déta
(Ib2d.) ',1 ' ' k, -1 ' " XVIII. Rapport MÉDICO-LÉGAL SUR l'état
mental
DE F... ; "')11< ? Par MM. BIDAULT, FORTIN e
eurs conclusions à l'irresponsabilité et la 324 REVUE DE pathologie
mentale
. séquestration ont-elles été accueillies, et le
bler par certains côtés à l'épidémie de Loudun, REVUE DE pathologie
mentale
. 325 l'épidémie de Verzegnis présente plus d'an
ce des aliénés; in-8", 1863, chez Delahaye. 326 REVUE DE pathologie
mentale
. XXII. Délire ÉPILEPTIQUE avec IDÉES DE PERSÉCU
La curabilité DE la FOLIE ET LES cas DE GUÉRISON dans LES maladies
mentales
; par M. PLINY EARLE, de Nor- thampton (Massachu
Dosage DE l'électricité; par M. G. BEARD. (Journal of zaeruous and
mental
disease. Fasc. ter, 1880, p. 24.). M. G. Beard
gical Association, le mémoire que publie le Journal of neruous and
mental
diseuse. Il s'agit, comme l'indique le titre, des
dente que, dans chaque département, le chiffre des cas d'aliénation
mentale
augmentait proportionnellement à celui de la co
l'alcool est loin d'être la cause de la moitié des cas d'aliénation
mentale
, mais on ne peut dire non plus que son influenc
- lonté ne peut avoir d'autre résultat que de produire l'anarchie
mentale
. M. 1\1oULD (Cheadle). La paralysie générale re
e de ces faits quant à l'influence des troubles génitaux sur l'état
mental
des aliénés, et la nécessité d'intervenir quelq
inq minutes de réflexion ; 3° une épreuve clinique sur les maladies
mentales
: un seul malade. Il sera accordé vingt minutes
n après l'examen d'un aliéné, et un rapport sur un cas d'aliénation
mentale
. Il sera accordé au candidat quinze minutes pou
ique commune, 20 points. Pour l'épreuve cli- nique sur les maladies
mentales
, à un seul malade, 20 points. Pour la deuxième
ment délégué dans les fonctions de chef de clinique de patho- logie
mentale
eu remplacement de AL' Dôntebënte ; q : ~ ? , l
logie mentale eu remplacement de AL' Dôntebënte ; q : ~ ? , logie
mentale
eil t.. de 4J iJ ' b -utrii"J PJ .5U/-Q.~T Asil
Sir James Paget. Il y aura quinze sections. La section des maladies
mentales
sera présidée par M. Lockhart Robertson. , Pr
uvent être utilisées pour caractériser certaines formes de maladies
mentales
, et servir de base à une classification métho-
e. MonaELU (E.) Angelucci (G.). Parère medico-Forense sullo stato
mentale
di un uxoricida, brochure in-8" de 40 pages. Regg
ès prononcées et sa famille présentait de nombreux cas d'affections
mentales
. A 8 mois, X... eut sa première attaque de conv
norma- lities in the brain of a hydrocéphalie imbécile. [Journal of
mental
science , octobre 1879, p. 329.) LOCALISATION
nde -extérieur, je n'ai pu obtenir aucune donnée précise sur l'état
mental
de Bogdanow : tout ce que j'ai pu constater, c'
ionnelle ni à une insolation ou à un trau- matisme. 1- , CLINIQUE
MENTALE
Il CONTRIBUTION. A L'ETUDE DE L'IDIOTIE' 1 II
Pl. IV, dessinée avec le plus grand soin par M. Leuba. 392 CLINIQUE
MENTALE
. Observation IV. ATROPHIE CEREBRALE : IDIOTIE
ez large, médio- crement profond, parait symétrique. 394 CLINIQUE
MENTALE
. , 1 Les oreilles sont longues ; leur partie su
s, réduites à un, deux ou trois millimètres de largeur 396 CLINIQUE
mentale
. diminuée notablement de hauteur. Ce foyer à pe
es convulsions qui prédominaient dans le côté droit. 398 CLINIQUE
MENTALE
. 15 jours , et les convulsions reprirent ensuit
nicante antérieure est double; les autres artères sont 400 CLINIQUE
MENTALE
. normales, ainsi que les différentes parties de
pondant, beaucoup plus volumineuse que les par- 26 402 CLINIQUE
MENTALE
. ties similaires gauches. L'oreillette droite é
llimètres. (Dubrueil. - Anomalies artérielles, p. 23). 404 CLINIQUE
MENTALE
. Sur le bord droit du tronc pulmonaire, au nive
anat., 1880, p. 1, et Progrès médical, 1880, p. 163. 406 CLINIQUE
MENTALE
. rha,gie dans le lobe frontal de l'hémisphère d
a Société médicale de la Suisse romande, 1875, p. 375. 408 CLINIQUE
MENTALE
. cerveau, dontparle également Strümpell, est un
4 0/0. Or, ce que les coupes, colorées au picrocarmin, 410 CLINIQUE
MENTALE
. nous ont permis de constater, peut se résumer
que, très lent, dont le point de départ réside dans la 412 CLINIQUE
MENTALE
. névroglie de la substance grise corticale, mai
excitation. - Rien'du côté de la sensibilité. Fonctions et facultés
mentales
normales, mais un peu de surdité; de temps à au
ntaires ; ces divers phénomènes s'accompagnaient en outre d'un état
mental
spécial. Dès que les malades eurent été envoy
ant d'engoûment inflammatoire des organes, entraîna la mort. Etat
mental
. Décroissance générale et graduelle des facul-
onnent une idée de leur intensité. Aux époques de grande excitation
mentale
se montrait un délire fixe spécial, caractérisé
pitali, 1 ro année, n° 1, 15 janvier ,1880. 476 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. LXXII. Deux cas DE MÉNINGITE suivis DE GUÉRISO
. (Lo Spel'imentale, 4880, fasc. 2.) H. DE B. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
L XXXII. DE L'INFLUENCE DES maladies FÉBRILES
Dr Fiedler, deux aspects différents. Ou bien il s'agit d'affections
mentales
dérivant de maladies somatiques ordinaires, à la
ie localisée dont l'évolution fébrile vient compliquer l'aliénation
mentale
. C'est sur ce second point que porte plus spéci
Voici le détail résumé des trois premières : REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 477 7 Observation 1.-H..., de 4î ans,jouissant
au malade, avec ses forces physiques, la plénitude de ses facultés
mentales
. Guérison complète le 2 mai 1877. Observation I
ique, le typhus abdominal, le choléra asia- 478 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. tique, la fièvre intermittente, la pneumonie,
s une espèce de mue tout à l'avantage de l'amélioration de l'état
mental
troublé; c'est l'hypothèse du Dl Bircli-Hirschfel
'est l'hypothèse du Dl Bircli-Hirschfeld. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. le79 XXXIII. Constipation obstinée (de 35 jour
erimaniaci dell'ospedale di Padova, 1873. 480 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. n'est pas incompatible avec l'explication que
tard se reconnaîtrait aux caractères suivants : REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 148t Anxiété mélancolique ; idée de damnation
tructif envers lui-même ou les autres ; il s'agit surtout d'un état
mental
pénible plutôt que d'une véritable vésanie. H.
dies du système nerveux central, et parti- culièrement des maladies
mentales
, fait l'historique des phases par lesquelles a
l montre le fruit qu'on a déjà recueilli de 482 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. l'application de ce système, et les progrès qu
, et les progrès qu'on peut encore en attendre. Car la pathologie
mentale
est loin d'avoir achevé son évolu- tion ; bien
vation. Après avoir tracé une description générale des maladies
mentales
, des caractères qui leur appartiennent, et montré
avec détails un cas où il a vu des désor- 48 le REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. dres psychiques accompagner la chorée, il rapp
rences. Quant aux symptômes, la distinction est REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 485 moins solidement établie. Si l'on doit adm
s médico-psychologiques, septembre 1880.) 486 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XLIII. Archives CLINIQUES.- 1 Observation de A
s médico-psycholog ., sept. 1880.) XLIV. La CLINIQUE DES maladies
mentales
ET la psychologie ; par M. P. DESPINE. M. Des
pas une part assez large aux études psychologi- REVUE DE pathologie
mentale
. 487 ques », et il a entrepris de démontrer l'i
de démontrer l'impossibilité de faire de la clinique en aliénation
mentale
sans avoir recours à la psychologie. Il nous se
ire l'obser- vation des troubles fonctionnels, le but de la science
mentale
étant premièrement «d'établir un rapport exact
de l'aliéné fonctionne d'abord et longtemps 488 revue DE pathologie
mentale
. régulièrement avec plus ou moins d'activité ;
olie morale, jadis contestée, envahit tout le champ de l'aliénation
mentale
. Selon elle encore, et toujours d'après M. Desp
amenèrent un retour léger de la sensibilité et REVUE DE pathologie
mentale
. 489 de la motilité. Les effets du zinc furent
tion d'Esquirol, présentée comme exemple de 490 REVUE DE pathologie
mentale
. folie simple, se terminant après dix ans par l
chol., nov. 1880.) XLVII et XLVIII. Rapport MÉDICO-LÉGAL SUR l'état
mental
DE J. GAY ; par M. DUFOUR. - Rapport MÉDICO-LÉG
ntal DE J. GAY ; par M. DUFOUR. - Rapport MÉDICO-LÉGAL SUR l'état
mental
DE E. MARTIN ; par M. DUFOUR. De ces deux rappo
, et ce jugement nous paraît irrécusable, Martin est d'une débilité
mentale
, consé- cutive à l'hérédité mentale et à l'épil
able, Martin est d'une débilité mentale, consé- cutive à l'hérédité
mentale
et à l'épilepsie de son jeune âge qui, sans le
endra la place de médecin-adjoint de Bicêtre. CLINIQUE des maladies
mentales
. Concours pour un emploi de chef de clinique ti
- quent inutile. Citons, pour terminer, une particularité expéri-
mentale
intéressante et qui pourrait être utilisée à l'oc
, membres, tronc); 7° Troubles psychiques ou altéra- tion de l'état
mental
;- 8° Phosphaturie, symptôme commun à beaucoup d
erve souvent avant que l'hébétude ou un trouble marqué de l'état'
mental
aient apparu. L'auteur insiste surtout sur les
qui se distribuent aux parties affectées. 601 1 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. En somme, ce que Putnam et Berger décrivent so
le corps portant à faux sur le membre ? C. T. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XLIX. CONTRIBUTIONS A la connaissance DES PSYCH
rie u. l1'e·venkrankheiten, 1880.) Ce travail embrasse les troubles
mentaux
des femmes grosses, des accouchées, et des nour
, pendant les couches 49,3 et pendant la lacta- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 605 tion 33. La plupart de ces désordres psych
ns une très forte proportion. Les manifestations de la perturbation
mentale
revêtent des allures de début lentes, ou sont p
précédée de céphalalgie, pousse souvent la 606 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. malade à des tentatives de suicide, d'homicide
accidentel au point que lés aliénées, ont perdu avec la conception
mentale
du fait, la sensa- tion douloureuse des contrac
e plus de temps pour guérir que l'autre, de même que . l'aliénation
mentale
des couches est plus lente à disparaître que ce
e l'on rencontre chez les autres aliénés. P. IL REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 607 L. Rapports DES affections UTÉRINES ET DE
, tremblements fibrillaires de la face et de la langue, agitation
mentale
, signes de démence). L'autopsie fit découvrir de
éningite chronique cérébro-spinale. P. K. 608 REVUE DE pathologie
mentale
. LU. SUR LES hémorrhagies stomacales dans LE CO
LU. SUR LES hémorrhagies stomacales dans LE COURS DES AFFECTIONS
MENTALES
AVEC PARALYSIE par Julius KRUEG. (A1'chiv. sur
'existence d'une tumeur cérébrale chez un indi- REVUE DE pathologie
mentale
. 609 vidu jeune, lors même que rien dans les an
ente du poumon. P. K. LIV. CONTRIBUTIONS A la CLINIQUE DES maladies
mentales
; par le Dr ARNOLD PICK, médecin à l'asile publi
mt. La seconde mériterait le nom de folie entée sur de la faiblesse
mentale
qui, à raison de la complication ulté- rieure d
binée ; de cette dernière M. P. rap- proche deux cas de Morel (Mal.
mentales
, 185 Il, p. 1 t 5) semblables, pour lui, à ce q
terre sous la forme d'une masse rouge 39 610 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. saignante, portant à son extrémité postérieure
articulation des mots. La guérison de la blessure et de l'affection
mentale
avait lieu bientôt complètement et la malade ne
'apparence de la santé et est raisonnable. Elle REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 611 t admet l'absurdité de ses idées; elle ne
minemment- dangereuse et inutile, sauf évi- 612 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. demment quand il existe des indications spécia
e en 18'4 ! 4 dans le but de favoriser les pro- grès de la médecine
mentale
et d'améliorer la condition des aliénés en Amér
e 1-0 hectares pour les établissements de 200 . REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 613 malades, destiné à la création de jardins
exécuter aux malades. H. D'O. LX. Rapport MÉDICO-LÉGAL SUR l'état
mental
D'UN NOMMÉ SEIZE, inculpé DE VOL qualifié ; par
délire réel ? 2 Etait-ce un fôu exagérant les symptômes de la forme
mentale
dont il était vraiment atteint ? Le rapport de
, mais la répétition des accès n'a aucune influence sur leur état
mental
; ils ont un'caractère moins désagréable et moins
au point de vue clinique et en particulier à celui de la pathologie
mentale
, mais il ne résout t pas la question physiologi
on décentralisée des asiles telle qu'elle résulte des lois départe-
mentales
, la gestion des biens des aliénés non interdits :
et d'une grande valeur.» » ,r f, . The Journal of f llTe·vous and
Mental
disease (1880), signale comme il suit à ses lec
, résumeront toutes les études faites sur les maladies nerveuses et
mentales
. 1 '" « De même qu'il est d'un louable orgueil
es sciences médicales, Lo7zd7'es, août 1881 . Section IV : Maladies
mentales
, sujets proposés. Anatomie : 1° Les méthodes de
e rapport de la localisation céré- brale aux symptômes des maladies
mentales
telles que l'hallucina- tion ; - 2° L'hypnotism
niques M. Magnan a recommencé ses leçons cliniques sur les maladies
mentales
et nerveuses le dimanche 22 janvier, à 9 heures
ses conférences 648' ` FAITS 'DIVERS. cliniques sur les maladies
mentales
et nerveuses, et les continue 4 depuis tous les
ontpellier est si transformée éiï`cliâire`derèliniqûé des 'maladies
mentales
et ii¿i : : 1; a..r., Inm -341 11 1 (I\I C .
ata- ) " ...... "t' ? f, "1" ° l" .......0 l' x 1 j 11 il( I dies
mentales
en remplacement de M. Bouteille, démissionnaire.
tion à l'asile de Perth, il se consacrait en entier à la spécialité
mentale
, tout en publiant uû çéi·tain nombre de travaux
ecine, Lander Lindsay a laissé beau- coup de travaux de psychologie
mentale
et d'administration. Il a concouru, plus que' p
uait-il pas dans son asile; mais; si' nous en croyons le Journal of
mental
science, 650 FAITS DIVERS. Lindsay prenait vo
. Asile de Bnoa. - M. leur Brun, chef de la clinique des maladies
mentales
à la Faculté de médecine de Lyon, a été nommé méd
LETIN BIBLIOGRAPHIQUE DuFOLIx (E.). Rapport médico-léyal sur l'état
mental
du nommé Gay (Joseplz-Et7e7z7ze), brochure iii-
(entrecroisement sensitif du), par Debove et Gombault, 5. Calcul
mental
(conformation crâ- nienne et), par Broca, 281.
ment de la), par Waller, 493. Crâne (conformation du) et calcul
mental
, par Broca, 281. t. Cylindre-axe (dégénération
tisme (phénomènes et nature du) animal, par Berger, 437. Maladies
mentales
, par Pick, 609. Malformations héréditaires, par
SEY. ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
PUBLIEE SOUS LA DIRECTION DE J.-bz. CHAUCOT
r un lien de parenté que trahissait l'hérédité, sont les affections
mentales
. L'hérédité de l'aliénation dans ses différente
accouchées et des nourrices, etc., 18ï8. 3 Esquirol. - Des maladies
mentales
, 183, t. II, p. 74. 4 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. ne
jouent un si grand rôle comme causes déterminantes de l'aliénation
mentale
ou de certaines névroses, comme l'épilepsie, la
n, détermi- ner chez le produit une prédisposition à l'aliénation
mentale
; c'est ainsi que, d'après Flemming, les enfants
maux non héréditaires, mais congénitaux. Les troubles nerveux et
mentaux
, si fréquents chez les sujets dont la naissance
ce n'est pas d'emblée que l'hérédité nerveuse produit l'aliénation
mentale
, il arrive souvent que deux ou trois génération
ÉNÉRALE. Il faut noter d'ailleurs que, parmi les affections dites
mentales
, il en existe une, la seule dont l'anatomie pat
rale constitue en quelque sorte une transition entre les affections
mentales
et les affec- tions cérébro-spinales à lésion c
u'elle a pu être regardée comme la moins héréditaire des maladies
mentales
: et, d'après M. Doutrebente', quand, par excep
anifestations de nombreux troubles psychiques. Les manifestations
mentales
de l'épilepsie sont trop bien connues depuis le
s avant, sous forme d'aura psychique. D'autres fois, les troubles
mentaux
constituent à eux seuls toutes les maladies (pi
quelle que soit leur forme, amène la démence. Outre les troubles
mentaux
qui font partie du mal comitial et ceux qui en
and nombre des affections du système nerveux; mais les affections
mentales
occupent incontestablement le premier rang. Nou
ie et l'hystérie se manifestant par des attaques distinctes. L'état
mental
des hysté- riques en dehors des attaques n'a no
ues un tempérament fou, une véritable insanité morale, ces troubles
mentaux
ne sont pas un apanage nécessaire de la névrose
viennent épileptiques, d'autres aliénés. La fréquence des troubles
mentaux
chez les crimi- nels, déjà constatée par Coinde
129. "Nicholson. The morbid psychologof criminels (The journ. of
mental
science, 1873, 1874, 1875.) 0 Coindet. Observat
, t. XIX, p 27J.) 7 J.-B. Cazauvielb. - Du suicide, de l'aliénation
mentale
et des crimes contre les personnes comparés dan
1. J.-B. Thomson. On hereditary nature of crime. (The jozerzz. of
mental
science, 1870.) "Sauze. /iec/terc/iMSM;' la fol
e génie, le tempérament artistique, se trouvent unis aux affections
mentales
par une parenté facile à mettre en évidence, gr
9 Pascal ' a bien montré la réalité de la coexistence de troubles
mentaux
avec un grand développement intel- lectuel ; le
e point un seul qui soit symétrique, 1 G. Savage. Some relations of
mental
disease to inherance. (Guy's hosp. reports, t.
nous avons déjà considérées, offrent dans leurs cours des troubles
mentaux
qui ne sont point considérés comme des épisodes
IE GÉNÉRALE. tuel. Nous voyons que, dans la chorée', ces troubles
mentaux
sont loin d'être rares. Dans la paralysie agita
ue, mais surtout M. Bail ont signalé des phénomènes de dépression
mentale
, pouvant aller jusqu'à la stupeur. D'autres foi
exophthalmique avec lequel on voit souvent coïncider des troubles
mentaux
signalés par Solbrig, Geigel, Van Deusen, Andre
en seraient pas moins nette- ment liées par l'hérédité aux maladies
mentales
, aux névroses d'une part et, de l'autre, aux ma
elle affecte les rapports les plus étroits avec 1 Marcé. -De l'état
mental
dans la chorée (7eM : .t<e l'Acad. de nzéd"
A FAMILLE NÉVROPATHIQUE. 25 l'épilepsie, l'hystérie ', l'aliénation
mentale
2. (OBs. VI, XII.) Observation XIX. - L..., h
ar l'hérédité aux maladies nerveuses et en particulier aux maladies
mentales
qui peuvent coexister chez le même sujet. Il en
sur les phrénopathies ou traité théorique et pratique des maladies
mentales
, 2. éd. 1880, t. l, p. 428. 3 li.-II. Saltcr. -
m- bécillité ; ils ne sont pas rares non plus dans les mala- dies
mentales
, en particulier chez les mélancoliques. On les
ue, cet état dura une année. Elle recouvra ensuite ses fa- cultés
mentales
; mais les crampes musculaires re- vinrent et du
la paralysie générale, on a depuis longtemps signalé des troubles
mentaux
coïncidant avec le tabes ataxique (Horn, Romber
. cliniques sur quelques cas d'ataxie locomotrice dans l'aliénation
mentale
. (Ann. méd. psych., 187 ? lie série, t. XIV.) 3
maladie de famille °, et elle pourrait s'associer à des troubles
mentaux
6. Observation LIX. - M. D... Paralysie infanti
e hémiplégie droite. 1 Kesteven et Langdon Down. - Tite jOlt1'n. of
mental
science, 1870. . Tlwjolt1"ll. of mental science
on Down. - Tite jOlt1'n. of mental science, 1870. . Tlwjolt1"ll. of
mental
science, 1SS2, t. XXVIII, p. 144. 3Chvostek. -
MM. Bourneville et Brissaud. D'autres se rapprochent des troubles
mentaux
de la paralysie [générale et peuvent s'explique
répond au nom de Bru- tus, n'ont pas besoin d'avouer leur hérédité
mentale
, leur prédisposition était officiellement const
,, et on peut dire qu'un homme qui connaît à la fois les,itialadies
mentales
et nerveuses est un être exceptionnel. 11 n'est
e, nouvelle attaque avec perte de con- naissance suivie de troubles
mentaux
qui durent deux semaines. Actuellement homme d'
al* se rencontre fréquemment chez les sujets at- teints de troubles
mentaux
ou hystériformes. Nous avons noté plusieurs foi
isme"est le 'fait 'de troubles de l'innervation sensitive, motrice,
mentale
, vaso-motrice et que, partant, il constitue une
- tion d'attaques de goutte alternant avec des accès d'aliénation
mentale
(Dagonct) 4. Berthier admettait que toutes les
4, p. 280. 4 Dagonet. - Traité élémentaire et pratique des maladies
mentales
, 1862, p. 210. s Berthier. - Les névroses dia
n inopinée quand les jointures sont prises de nouveau. Le trouble
mental
le plus fréquent chez les goutteux est sans con
); obtenu deux fois la guérison et une fois l'amélioration par un
mental
science, oct. 1880, p. 343). - Clouston. Clinical
mental science, oct. 1880, p. 343). - Clouston. Clinical lectures on
mental
diseases, London, 1883, p. 456. 1 Potain. - G
lle est originale et parait être sujette à des accès d'alié- nation
mentale
; elle fuit de temps en temps de la maison, sans
des phosphates a été signalée dans un cer- tain nombre de maladies
mentales
. Mais MM. Bouchereau et Magnan 2 ont examiné à
te-Anne les urines de 6,000 aliénés, présentant les diverses formes
mentales
, et, en dehors de quelques cas très rares d'épi
res. La maladie a commencé par une période d'excitation de son état
mental
et des convulsions générales, dont 1 F. Guyon.
re, laisser au chef de service seul compétent, pour juger de l'état
mental
de ses pensionnaires, une responsabilité à laqu
l avait déjà remarqué cette coïncidence de l'ataxie avec l'hérédité
mentale
, il y fait allusion dans l'un de ses écrits.
t de relater toute la vie patlio- logique du malade au point de vue
mental
. Généralement le dossier des aliénés, dans les
stion des exper- ' Uses auxquelles peuvent donner lieu l'aliénation
mentale
, soit dans les rapports avec la criminalité, so
seraient aussi exceptionnelles. « En présence d'un cas d'aliénation
mentale
, la justice n'intervient pas; la responsabilité
térique; par DA VID. Thèse, 1884. De l'influence exercée sur l'état
mental
par l'approche de la mort : par Salivas. Thèse
- 384. Vol VII. Mai 1884. Nu 21 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
MENTALE
' ; ,H ¡ 1 4f' ? L^. -PERTE DE LA VISION MENTAL
ROLOGIE CLINIQUE MENTALE ' ; ,H ¡ 1 4f' ? L^. -PERTE DE LA VISION
MENTALE
DANS' LA MÉLANCOLIE ANXIEUSE-; , 41 . 1 '11 fI,
terminer la valeur clinique du symp- tôme et sa place en pathologie
mentale
. J'ai laissé vo- lontairement de côté toute int
le professeur Charcot, et Archives, l. VU. I ! 1 foi 290 CLINIQUE
mentale
. publiée par M. Bernard, dans le Progrès médica
tait perdu et qu'il ne guérirait jamais. M. P... PERTE DE LA VISION
MENTALE
. 291 faisait les plus grandes difficultés pour
s magasins et la maison qu'il habitait. Aujourd'hui cette opération
mentale
est devenue complètement impossible. M. P... ne
y a quelques semaines, auprès d'un homme d'une 292 -) ' CLINIQUE
MENTALE
. quarantaine d'années, dont l'état mental donna
'une 292 -) ' CLINIQUE MENTALE. quarantaine d'années, dont l'état
mental
donnait quel- ques inquiétudes à son entourage.
, autre chose qu'une coïncidence fortuite. Si la perte de.la vision
mentale
était un fait ordinaire chez PERTE DE LA VISION
e.la vision mentale était un fait ordinaire chez PERTE DE LA VISION
MENTALE
. 293 les anxieux chroniques, on serait invincib
tionnels comme ceux que je viens de citer, où la perte de la vision
mentale
étant accomplie, le délire corrélatif ne s'est
ier s'il n'y a pas quelque chose d'analogue à la perte de la vision
mentale
, un dimi- nutif de ce symptôme chez les mélanco
serait pas moins intéressant de rapprocher de la perte de la vision
mentale
l'altération des senti- ments affectifs. L'in
qu'y ont trouvé les mystiques. Parmi les philosophes, 294 CLINIQUE
MENTALE
. Aug. Comte' a attaché la plus grande importanc
r ces rap- ports entre les sentiments moraux et la réprésentation
mentale
: « Ce que d'ordinaire on entend par sensibi- l
t humain. Genève, an XII, t. ¡or, p. 298, 301. PERTE DE LA VISION
MENTALE
. 295 Les mélancoliques avec conscience de leur
vrite optique double, ainsi qu'un visible aliaissement des facultés
mentales
. A l'hôpital, la malade souffrait constamment de
les trois autres sont atteints de l'une des formes de l'aliénation
mentale
(sur quatre cent soixante-onze aliénés. En ce q
a est peu probable, car, dans les ouvrages consacrés à l'aliénation
mentale
, nous ne voyons pas mention- née la rumination.
la genèse de ces manifestations. D'après lui, la condition fonda-
mentale
des phénomènes tendineux réside dans la tonicité
à part des absenses durant jusqu'à une demi-heure, le matin, l'état
mental
était parfait quand les deux derniers mois furent
s. Du rôle de la profession dans le développement de l'aliénation
mentale
. M. Charpentier. On est surpris, en compulsant le
. Dagonet (1882)et les auteurs des différents articles d'aliénation
mentale
des deux dictionnaires de médecine, ne fourniss
. Dans le projet de statistique applicable à l'étude des maladies
mentales
arrêté par le congrès aliéniste international, pr
ce professionnelle a-t-elle si peu fixé l'atten- tion en aliénation
mentale
? Ce défaut de recherches s'explique par plusie
première tient à l'évolution scienti- fique elle-même en aliénation
mentale
. Sans remonter au temps où la folie, considérée
tives qu'é- mouvantes ont été invoquées pour expliquer l'aliénation
mentale
qui déjà n'est que trop développée lors de l'ap
époque, et on peut dire que c'est là sa caractéristique en médecine
mentale
, une autre cause prépondérante a été mise en re
ofessions capables de contribuer au développe- ment de l'aliénation
mentale
? Quel est leur rôle dans ce développe- ment ?
on de la profession a été notée comme pour le plomb. L'aliénation
mentale
a été citée chez les calambristes d'Almaden (Es
hez des mi- neurs californiens. M. Delasiauve a relaté des troubles
mentaux
dans une famille exposée aux vapeurs de mercure
folies ! Ellis rapporte une observation (Obs. 40) où l'aliéna- tion
mentale
due au froid est bien démontrée; c'est, chose sur
mises, et. pourtant nous ne trouvons presque rien sur l'aliénation
mentale
partempérature excessive ; toutefois rappelons le
'il est admis que ces lésions produisent fréquemment l'aliéna- tion
mentale
), pourquoi donc ces mêmes lésions ne produiraient
quoi donc ces mêmes lésions ne produiraient- elles pas l'aliénation
mentale
quand elles sont causées par lefroid, le chaud
ujours la même réponse : c'est qu'on n'a pas recherché l'aliénation
mentale
dans ces conditions. Troisième groupe. Notre tr
SOCIÉTÉS «A VANTES. 3t0 J profession et l'effet ultime : aliénation
mentale
. Toute prufcsii n qui déterminera une maladie d
cette maladie sur le cerveau de produire en définitive l'aliénation
mentale
. Historiquement parlant, pour que ce groupe pût
s professions interviennent dans le développe- ment de l'aliénation
mentale
, d'autant qu'en tenant compte de ces différente
uence et à la gravité des in- somnies prémonitoires de l'aliénation
mentale
, opposée à l'in- fluence bienfaitrice d'un heur
étiologique de la profession dans le développement de l'aliénation
mentale
. M. LE Président donne ensuite la parole à M. T
sa grande expérience de toutes les choses relatives à l'aliénation
mentale
, et de sa compétence toute spéciale dans les qu
s, en effet, se faisant toujours la plus grande illusion sur l'état
mental
de leur malade, ignorent souvent la folie dont
qui rendront difficile, sinon impossible, la constatation de l'état
mental
de tout individu soigné chez lui. Pour les aliéné
quatre ans, il s'est ouvert trois nouvelles cliniques de mé- decine
mentale
(Heidelberg, 1879; Bonn, Leipzig, 1882), que les
trait au placement des personnes aliénées ou suspectes d'aliénation
mentale
qui, pour cause de crime ou délit, sont inculpé
s le groupe 1 a. (affaiblissement intellectuel, idiotie, aliénation
mentale
) ne peuvent être placés que : 1° dans des asiles
ns des asiles d'idiots dont il relèvent, ainsi que l'indique l'état
mental
de la plupart d'entre eux; 3° dans des quartier
sans affaiblissement intellectuel, sans idiotie, sans aliéna- tion
mentale
(Ib.) pourrait tout aussi bien se fondre dans cel
nsidérer le nombre des malades absolument indemnes, au point de vue
mental
, comme infiniment petit. Aussi peut-on recevoir
contiennent des épilep- tiques ; on les répartit d'après leur état
mental
. Le Président propose de ne pas voter sur les c
eu connue mérite d'être étudiée dans ses rapports avec l'aliénation
mentale
; elle est en relation avec l'atteinte de la mo
on, de l'innerva- tion du facial. Sur les six faits avec aliénation
mentale
, quatre se faisaient remarquer parla présence d
alytique, dans les autres formes de la démence, dans les affections
mentales
séniles, dans les démences terminales. Pourquoi
iques sous leur dépendance. Or, c'est précisément dans le complexus
mental
que l'on trouve des points de repère nets capab
e de leurs versements antérieurs. On sait en effet que l'aliénation
mentale
, comme la syphilis ou toute maladie imputable à
it le droit de le recevoir, sauf à faire ensuite constater son état
mental
conformément aux prescriptions légales. La loi
. Tel a été également l'avis du Congrès inter- national de médecine
mentale
, dont les membres se sont ralliés à la proposit
rce qu'au moment de la promulgation de la loi actuelle, la médecine
mentale
était, pour ainsi dire, « une branche morte de
les diverses phases par lesquelles a passé la science des maladies
mentales
depuis 1838 jusqu'à nos jours et constate que,
. M. Billod part de là pour démontrer que l'étude de l'aliénation
mentale
s'impose à tous les médecins et conclut au rejet
dotés d'une institution aussi nécessaire aux progrès de la médecine
mentale
qu'à la dignité et à l'indépendance du médecin.
rme et pour augmen- ter l'importance de l'enseignement des maladies
mentales
, M. Bail demande que tous les élèves soient ast
médecine sont pourvues d'un enseigne- ment officiel de l'aliénation
mentale
, et que, de plus, des cours particuliers foncti
la plus grande partie ont trait à l'étude des maladies nerveuses ou
mentales
. Cette publication sera très appréciée des méde
délire des persécutions, les cérébraux, questions de thérapeutique
mentale
, de la responsabilité légale des aliénés, de= d
xhibitionnistes, la mélancolie perplexe, la folie adeux, le vertige
mental
, des vertiges, le mal de tête, de la spermatorr
BIBLIOGRAPHIQUE. 1197 Etude clinique et expérimentale sur la vision
mentale
; par Gnoui- GNEAU. Thèse de Paris, 1883. Etud
pli pendant deux ans les fonctions de chef de clinique des maladies
mentales
, nommé au concours dans une Fu- culté de médeci
qu'ayant subi des épreuves semblables à celles du chef de clinique
mentale
, n'en sont pas moins obligés de subir de nou- v
n possible entre les épreuves du clinicat de la chaire des maladies
mentales
, et celles du concours pour les places de médec
s des trois concours dont il est question : CLINICAT DES MALADIES
MENTALES
. 1° Épreuve sur un cas de maladie ordinaire (10
cins adjoints des asiles et tous les chefs de clinique des maladies
mentales
relevant d'une Faculté de l'Etat. Ceux qui auro
fs de clinique, nommés au concours auprès d'une chaire de maladie
mentale
dans une Faculté de l'Etat, l'avantage pourra êtr
dixième du maximum. 2° Consultation écrite sur un cas de médecine
mentale
(10 minutes d'examen; le jury déterminera le te
ur la leçon orale), 20 points. 3" Epreuve clinique sur les maladies
mentales
; un seul malade (20 mi- nutes pour l'examen, 20
ion, après l'examen d'un aliéné, et rapport sur un cas d'aliénation
mentale
(15 minutes pour l'examen de chacun des malades
t que d'attirer les jeunes médecins vers la spécialité des maladies
mentales
. Ces craintes sont-elles fondées ? Les partisan
ter sur une voiture et conduire à Besançon ; Considérant que l'état
mental
de la femme Voisard ne présen- tait à ce moment
nt assez à temps pour se prémunir contre les accidents. Instabilité
MENTALE
.- Sous le titre de : L'escapade d'une gamine, l
os de rien. » Il s'agit là fort probablement d'un cas d'instabilité
mentale
, comme on en voit un certain nombre à Bicêtre e
Baillière. LEGRAND du SAULL. Les hystériques. État physique et état
mental
. Actes insolites, délictueux et criminels. Un v
Etablissements qui leur sont con- sacrés. Organisation des maladies
mentales
et nerveuses. Un volume in-8- de 355 pages. Par
on insanity in the united States. Extrait du Journal of nervous and
mental
dzsense. Brochure in-8° de 17 pages. New-York, 18
Acoustique (noyau externe de l'), par Monakow. 124. Aliénation
mentale
(du rôle de la profession dans le développement
isations spinales, 341. Mélancolie anxieuse (perte de la vi- sion
mentale
dans la), par Cotard, 289. Méningite tubercul
o- mènes), par Eulenburg, 123. Tremblements (recherches expéri-
mentales
sur les - dépendants de l'écorce du cerveau), p
rticulier dans l'ataxie loco- motrice), par Ch. Féré, 224. Vision
mentale
(perte de la - dans la mélancolie anxieuse), pa
es témoins affirment qu'il n'a jamais donné de preuves d'aliénation
mentale
. On ne note pas non plus d'hérédité dans sa fam
e connaît pas d'antécédents fâcheux dans sa famille au point de vue
mental
. Il est accusé d'avoir adressé des menaces de m
886.) Dans le cas de R..., on n'a pas trouvé d'hérédité nerveuse ou
mentale
. Et on peut toujours objecter qu'il y a une par
'est pas non plus un héréditaire, n'en présente pas moins un état
mental
particulier qui le place sur les frontières de
trois ans, nomméGeoresR..., atteintd'un certain degré de débilité
mentale
et interné au cours d'accidents alcooliques qui
terrifiantes de l'ouie et de la vue. Etat actuel : Ilubifus et état
mental
; fonctions scazsilives, motrices, génitales, o
d avec les certificats suivants : Certificat de police : débilité
mentale
avec idées confuses de persécution. Hallucinati
cataracte de l'oeil gauche (Magnan). Certificat immédiat : Débilité
mentale
avec idées' de persécution; hallucinations : on
ps qui est quelquefois considérable. État actuel. flexbitus et état
mental
. R... âgé de vingt-neuf ans à son entrée, est a
rynx et des cordes vocales. .E<«(M;/c/tt(jf ! <e.Les facultés
mentales
sont très rudimentaires. Amelina 1... passe sa
moteurs; par IIELWEG. (Arch. f. Psch., XIX, 1.) Dans les maladies
mentales
, il existe invariablement des troubles du systè
est le bleu. On retrouve des phénomènes analogues dans la vi- sion
mentale
de certains individus normaux (\"tin1t), mais l'é
utre, et toujours à gauche, hématome dure- 1112 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. mèrien, hydrocéphalie externe et interne, infl
ilep- sie corticale. Tumeur du cerveau. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
1. La théorie de l'incohérence avec désordre da
nance bien marquée entre les symptômes pulmonaires et les symptômes
mentaux
. En effet dans la première, l'asthme chro- revu
taux. En effet dans la première, l'asthme chro- revue DE Pathologie
mentale
. 113 nique disparaît lorsque la folie s'établit
isparaît lorsque la folie s'établit, et reparait dès que le trouble
mental
devient chronique. Dans la seconde, l'asthme sup-
ATOIRE chez LES aliénés, par T. DUNCAN GREENLEES. (7'/te Journal of
Mental
science, octobre 188S.) Ce mémoire très intéres
ez 12,94 p. 1110 des Archives, t. XVII. 8 114 revue DE pathologie
mentale
. aliénés vivants et qu'elles causent la mort da
énation dans le : quels il est impossible d'assigner à l'aberration
mentale
une autie cause que la lésion cardiaque ou le tro
, chez un malade d'asile, par Ilanax A. 13h\11.1x. (Tite Journal of
Mental
science, 5 aviil 188.) La terreur qu'inspirai
i rares qu'on le pense. Rapport sur la clussificatiorz des maladies
mentales
, M. Garnier, se tenant le plus possible à l'éca
rapport avec le niveau de nos connaissances actuelles en pathologie
mentales
. Nous estimons qu'elle peut représenter digneme
de lllOirTYEL pense qu'une classification écolo- gique des maladies
mentales
est non seulement possible, mais est la seule p
seul auteur qui ait osé baser sur elle une description des maladies
mentales
, a pris une... hypothèse pour point de départ.
st très évident chez cette malade qui est tombée alors dans un état
mental
particulier et dont les attaques débutant à ce
vembre 1888. l'fi 1 nn M. Cotard. Congrès international de médecine
mentale
. )I. LI : SECnÉrvnF général fait connaître les
aux du comité d'orga- nisation du Congrès international de médecine
mentale
de 1889. Ce congrès se tiendra au grand amphith
des sujets étrangers au pro- gramme, mais relatifs à la pathologie
mentale
. Le comité a arrêté le programme suivant : a.
t on peut la considérer comme guérie. Classification des maladies
mentales
. (Suite de la discussion.) M. DAGOpOE'r dévelop
n morbide puisse servir de base à une classification des ma- ladies
mentales
, parce que d'abord, il est impossible de prévoir
OLOGIE. . \I. le Dr SavIES C. lIoNDEN Le traitement de l aliénation
mentale
L'orateur y retrace les progrès faits depuis vi
faits depuis vingt ans dans le trai- tement des diverses affections
mentales
, dus en grande partie à la connaissance des lés
on, influence de celle-ci sur l'intel- ligence, troubles nerveux et
mentaux
de la grossesse, manie tran- sitoire pendant le
n- sitoire pendant le travail, éclampsie puerpérale et aliénation
mentale
, symptômes prémonitoires de la folie puerpérale.
a v mie entretient le congrès des SOCIÉTÉS SAVANTES. 123 troubles
mentaux
associés aux engagements matrimoniaux : mélan-
chez des indi- vidus nerveux, chez les dégénérés. Tous les troubles
mentaux
de l'adolescence et de la puberté, sont pour le
7t2lS p«r' la crcarziométrie et l« céphaloscopie clmas les maladies
mentales
et cérébrales. · Le D'' Hack-Tuke admet que dan
d'autant de régimes que d'individus, selon les nécessités de l'état
mental
. 10° La dépense générale se multiplie quand, en p
les psychiques. Conclusions : Les cas de simulation de l'aliénation
mentale
ne sont pas aussi excessivement rares qu'on veu
typhiques sains d'esprit. Influence de la maladie sur- l'aliénation
mentale
. On en relève 13 observations jusqu'en 1882; 38
as, pendant et quelque temps après la fièvre typhoïde, amélioration
mentale
des plus notables, les symptômes de la psychopa
les 38 observations dernières, deux cas dans lesquels l'aliénation
mentale
, guérie avant l'explosion de la ma- ladie infec
. Jolly a vu la fièvre typhoïde guérir une épilepsie avec trou- ble
mental
, et la scarlatine agir de même dans l'épilepsie.
en modifiant la circulation que la fièvre typhoïde agit sur l'état
mental
. La phtisie détermine souvent la résolution de. l
equel il y avait anesthésie du vagin; celle-ci guérie, l'aliénation
mentale
gu.érit. SOCIÉTÉS SAVANTES. '131 M. ËMM)GH.
de consigner sur ce registre les changements survenus dans l'état
mental
de chaque malade, au moins chaque semaine pendant
n constate également sur ce registre la date de la sortie et l'état
mental
du malade au moment où elle a lieu, la date et
issement ou le médecin inspecteur des aliénés est d'avis que l'état
mental
du malade pourrait compromettre la sécurité, la
nom, la résidence des personnes qui ont retiré le malade, son état
mental
au moment de la sortie et, autant que possible, l
ommunes, ordon- nent à l'égard des personnes atteintes d'aliénation
mentale
toutes les mesures provisoires nécessaires, à l
ment ou sur la demande de particuliers, et dans le cas où leur état
mental
pourrait compro- mettre la sécurité, la décence
r le dépôt des aliénés de passage que, pour l'observation de l'état
mental
des prévenus ou des accusés présumés aliénés. '
ière question des expertises médico-légales en matière d'aliénation
mentale
reviendra dans la troisième section du titre II
res que le temps nécessaire pour constater leur état d'aliéna- tion
mentale
et pourvoir à leur transfèrement dans l'asile des
re placé dans un établissement d'alié- nés, dans le cas où son état
mental
compromettrait la sécurité, la décence ou la tr
ugées nécessaires : -. « 1" Tout inculpé qui, par suite de son état
mental
, a été consi- déré comme irresponsable et a été
onnelle qui a été acquitté comme irresponsable à raison de son état
mental
; 148 SÉNAT. ? 3° Tout accusé ou prévenu, poursu
la défense a soutenu qu'il était irresponsable à raison de son état
mental
ou si le ministère public a abandonné l'accusat
sur le motif que l'accusé était irresponsable à raison de son état
mental
; cet accusé ainsi acquitté sera remis à la dispo
été commis ou qu'il aura choisi, et elle aura pu porter sur l'état
mental
de l'accusé. La décision du jury non motivée, n
sieurs manières. C'est quelquefois l'aliénation habituelle, un état
mental
tel, qu'on puisse réellement considérer comme a
es de l'article 39 du pro- jet, irresponsable, à raison de son état
mental
au moment même 150 SÉNAT. où le fait a été ac
ie des Maladies du système nerveux sans y comprendre les affections
mentales
proprement dites. Il se place à un point de vue
d'éloigner plutôt les jeunes médecins de la spécialité des maladies
mentales
. Mais cette oligarchie médicale existe dès main
qu'on pourrait peut-être, dans l'in- térêt de l'étude des maladies
mentales
dans les Facultés de pro- vince, organiser au s
ie interne ou exlerne ; 6) une question portant sur la pathologie
mentale
et la médecine légale des aliénés. La Commissio
compte si les candidats avaient étudié non seulement la pathologie
mentale
, mais encore et surtout la clinique mentale.
seulement la pathologie mentale, mais encore et surtout la clinique
mentale
. Tel est, monsieur le Ministre, le résultat des
ans un Asile public ou privé consacré au traitement de l'aliénation
mentale
, soit comme interne nommé au concours dans un h
aires : MAI. les Drs Pierret, professeur de cli- nique des maladies
mentales
à Lyon, médecin en chef de l'asile de Bron; Dan
ominations : M. le Dl ROUILL.In1), chef de la clinique des maladies
mentales
à l'asile clinique (SaitiLe-Aiine), est nommé,
est aliéné, qu'il est atteint de telle ou telle forme d'aliénation
mentale
, et qu'il est nécessaire qu'il soit admis dans un
. M. Mairet, vient d'être nommé professeur de clinique des maladies
mentales
et nerveuses. Médecins aliénistes sénateurs. M.
ent que ses paroles n'étaient pas en rap- port avec ses impressions
mentales
, car le D'' Osborne affirme clairement que, en
décembre 1888. Présidence DE M. COTARD. Classification des Maladies
mentales
. (Suite de la discussion.) M. Lo5-s croit qu'il
français, un Slave, cette forme permet de con- clure à l'ali;nation
mentale
. M. AUER13.CII (de Francfort). Des lobes optiqu
formes initiales des psychoses.- Les premiers troubles de la santé
mentale
qui suivent les maladies épuisantes, les effort
des années, disparaître par le repos et la restauration physique et
mentale
. Mais, si la dyserasieet les troubles de la cir-
oenigsberg). Communications thérapeutiques' Quatre cas d'aliénation
mentale
chez des paralytiques généraux, qui ont guéri p
in extenso dans les Arch. Psyclt 1.) M. Leppmann. De l'aliénation
mentale
comme cause de divorce. Une femme mariée, attei
ychique.) . ii. NFissER (de Leubas). La classification des maladies
mentales
proposée par E«/t<6(tMme' : 1863. L'heure av
e. L'étude du pronostic, toujours défavo- rable dans les affections
mentales
périodiques, mérite plus ample. observation, pl
directeur-médecin consulté, affirme la persistance de l'aliénation
mentale
. On lui demande alors si cette malade serait en
ne ou de diverses personnalités. M. LIEBE. Du diabète en aliénation
mentale
. Observation d'une dame de cinquante-trois ans,
récisément parce qu'il n'était pas responsable à raison de son état
mental
. Un sénateur au centre. Habituel ! - )1. DELS
juridiction même qui a prononcé l'acquittement. On me dit : « état
mental
habituel ». Il peut en effet, se produire deux hy
mière, c'est que l'individu soit dans un état habituel d'aliénation
mentale
. Tout le monde reconnaîtra que, dans ce cas, il
lieu, non pas parce qu'il est dans un état habituel d'aliénation
mentale
, mais parce que, au moment de l'acte incriminé, i
iminé, il n'était 316 SÉNAT. pas responsable à raison de son état
mental
. Il a eu un accès de folie et c'est dans cet ac
is par l'accusé, celui-ci n'est pas responsable, à raison de l'état
mental
où il se trouvait au moment du crime. Par consé
ait poser au jury la question d'irresponsabilité à raison de l'état
mental
de l'accusé. . Cette proposition n'a pas été ac
déposer au jury la ques- tion d'irresponsabilité à raison de l'état
mental
de l'accusé était dénature à provoquer dans la
ce qui concerne l'irresponsabilité de l'accusé à raison de son état
mental
, un avertissement analogue à celui qui est rela
i sont de nature à faire supposer qu'il existe un état d'aliénation
mentale
, dans ce cas-là... M. de GAVARDIE. Il n'y a pas
que. Comment savoir si cet individu est ou non atteint d'aliénation
mentale
? Quels sont les indices que l'on peut rencontr
que le ministère public renonce à l'ac- cusation à raison de l'état
mental
qu'il reconnaît avoir existé chez l'accusé au m
eint de folie au mo- ment où le crime a été commis, et que cet état
mental
le décharge de toute responsabiltié. Il lesouti
que cet individu sera déclaré hic et MM ? : c atteint d'aliénation
mentale
, mais qu'il y a une présomption, un indice grav
ndividu acquitté, qui a commis un 'crime dans un accès d'aliénation
mentale
, ne recouvre trop facilement sa liberté. Mais a
teint de monomanie, ou de tout autre genre permanent d'alié- nation
mentale
. Mais le plus souvent, on se contente de dire au
éfense voulait soutenir l'irresponsabilité habituelle, l'aliénation
mentale
confirmée, elle serait, en général, en opposition
défense. D'après le projet de la commission, il suffira que l'état
mental
de l'accusé ait été mis en doute ou que son déf
dre une mesure provisoire à laquelle succéderait l'examen de l'état
mental
de l'accusé acquitté ; cet examen serait, d'aille
tout homme dont l'internement est provoqué pour cause d'aliénation
mentale
confirmée. La mesure que je propose de substi
rresponsabilité de l'accusé et, de l'autre, la négation de cet état
mental
par l'organe de l'accusation. Ne voyez-vous pas
on réquisitoire pour établir qu'il n'est pas atteint d'alié- nation
mentale
, vienne réclamer son internement dans une maison
présomption et que la' détermination de la réalité de l'aliénation
mentale
soit faite dans les mêmes conditions que pour t
'autorité admi- nistrative, si les magistrats estiment que son état
mental
le cocs- SÉNAT. 323 titre l'état d'aliéné dan
era d'un verdict de non- culpabilité, lorsque la preuve de cet état
mental
lui parait résulter des débats. L'autorité admi
ministrative, saisie parsuite de ce renvoi, doit provoquer l'examen
mental
du prévenu ou de l'accusé acquitté : cet examen
relaxé en vertu d'une décision motivée par son état d'aliénation
mentale
est naturellement celle qui doit décider s'il est
en cour d'assises. Or, nion collègue disait : L'indice d'aliénation
mentale
que' vous puisez dans ce système de défense inv
isant. La défense invoque l'irresponsabi- lité à raison de son état
mental
. On ne peut se faire une arme contre l'accusé d
qu'on abuse de l'irresponsabilité et de l'argument de l'aliénation
mentale
en cour d'assises. On en use- rait un peu moins
bre du conseil qui est juge de droit commun en matière d'aliénation
mentale
. Si, après de nouvelles vérifications, dans le
vidu accusé d'un crime, acquitté par le jury et frappé d'aliénation
mentale
. Il sera bien plus à craindre qu'un vulgaire pr
e a soutenu que le prévenu était irresponsable à raison de son état
mental
, ou si le ministère public a abandonné l'accu-
lors que la défense a soutenu l'irresponsabilité à raison de l'état
mental
du prévenu ? La plaidoirie de l'avocat d'assise
qui aura bénéficié d'un verdict d'acquit- tement, mais que son état
mental
constituera à l'état dangereux. La cour d'assis
a cour d'assises aura cette faculté lorsque la preuve d'un tel état
mental
« lui paraîtra résulter des débats ». La cour q
changements dans la conduite et dans le caractère, de l'instabilité
mentale
, et surtout des rêves, dont l'excitation persis
ous ses vices de conformation, de la perversion et de l'instabilité
mentale
, de l'excitation passionnelle. L'étude des trou
e pour reconnaître aux dégé- nérés trois aspects cliniques : l'état
mental
, l'état syndromique, l'état délirant. Pour lui
nt contingent, et qui ne sont que des complications de l'aliénation
mentale
. Le mémoire se termine par deux chapitres fort
e la Seine. - M. le Dr RoUILL.%RD. elief de cli- nique des maladies
mentales
, est nommé médecin-adjoint de l'asile Sainte-An
ormes de la folie. Prix Beluomme. 1,000 francs. Question : De Vêlai
mental
et du délire chez les idiots et les imbéciles.
ra décerné au meilleur mémoire manuscrit sur un point de pathologie
mentale
. Prix Moreau (DE Tours). Ce prix de la valeur d
dans les facultés de médecine de France, sur un sujet de pathologie
mentale
et nprveuse.Ao<(t. Les mémoires manuscrits o
t fournir des indications d'une grande valeur, la méthode expéri-
mentale
de destruction de l'écorce, ainsi que les lé- 3
gie et à la pathologie de l'homme, serait nier le principe fonda-
mental
sur lequel repose toute la biologie moderne...
er que dans le nombre considé- rable. de Juifs atteints de maladies
mentales
, les para- lytiques ne sont qu'une rare excepti
gressive n'est pas une tendance innée aux affections nerveuses et
mentales
, mais la syphilis. Quant à l'influence d'au- tr
Membre de la Société )Iedico-psycliologiqtje de l'aiis. 0. FORME
MENTALE
. Cette forme ne doit pas être très rare. Nous a
e ne doit pas être très rare. Nous avons entendu parler d'accidents
mentaux
présentés par quelques plongeurs à scaphandre q
d'expliquer alors les éléments de son tableau clinique. La forme
mentale
peut-elle revêtir d'autres types, et lesquels ?
Nous nous plaisons à fixer l'attention du lecteur sur les symptômes
mentaux
qui ont suivi la perte, de con- naissance et pr
nt; l'aphasie motrice de la forme aphasique ; une véritable crise
mentale
de notre forme mentale; les vertiges de la form
de la forme aphasique ; une véritable crise mentale de notre forme
mentale
; les vertiges de la forme vertigineuse; enfin u
èce l'aphasie motrice, disparait pour faire place à des symp- tômes
mentaux
suivants. Le malade se met à rire d'une façon é
donc pas possible de donner de preuves plus certaines d'aliénation
mentale
. Nous ne voyons aucune amélioration avantageuse
aire consciente. Mais, dans ce deliquium où est tombé le synergisme
mental
, il surnage un élément dont la rareté lui crée
sseuse des éléments nerveux. Dans les autres formes de l'aliénation
mentale
, on trouve exactement les mêmes lésions du symp
ue, ne diffèrent pas de ceux des autres sujets atteints de maladies
mentales
; ils ne sont plus fréquents dans la paralysie g
la physionomie, chez les aliénés, dépend souvent non pas d'un état
mental
, mais d'une atrophie ou d'une hypertro- phie de
e D' G. CousoT. Dans le n° 51 du Bulletin de la Société de médecine
mentale
de Belgique (1888), M. le D'' G. CousoT a publi
co-psych., 1857, p. 598.) Voir aussi : Langdom Down. On some or the
mental
allectio ? is of Childhood and Youth, etc. tend
M. Vallon, propose aux concurrents la question suivante : De l'état
mental
et du délire chez les idiots et les imbéciles .
ue l'empoisonnement morphinique n'agisse défavorablement sur l'état
mental
, il est contestable qu'il puisse provoquer des ha
5 mars 1889. - Présidence de M. FALRET. Classification des maladies
mentales
. (Suite de la discussion.)- M. Paul Garnier, sa
se, un certain groupe dénom- mé : jolies multiples. Que deux formes
mentales
se juxtaposent chez un même individu, qu'un dél
'aurons pas, pour cela, Messieurs, adressé à la Société de médecine
mentale
de Belgique une classification complète, homogè
n traitement; traduit par P.-J. Kovalevsky, professeur des maladies
mentales
et nerveuses à l'Université de Kharkoff, 1888,
git ici de la représentation graphique de la marche de l'aliénation
mentale
, obtenue à l'aide de courbes qui se meuvent le
nant (compris dans la 3e classe). Congrès international DE médecine
mentale
. La Société médico-psychologique a décidé, dans
octobre 1888 l'organisation d'un Congrès international de médecine
mentale
qui se tiendra à Paris du 5 au 10 août 1889. Le
toute personne s'intéressant aux questions relatives à l'aliénation
mentale
. La souscription des membres adhérents nationaux
portées sur le programme, d'autres travaux concernant la pathologie
mentale
, l'assistance publique, la législation et la mé
sireront faire des communications sur d'autres sujets de méde- cine
mentale
, sont priés d'envoyer' au secrétariat du Congrès
omité espère que tous ceux qui s'intéressent aux études de médecine
mentale
, aux questions si délicates d'assistance publi-
RET. Questions posées par LE Comité d'organisation. I. Pathologie
mentale
Obsessions avec conscience (intellectuelles, émot
Vice-président : M. BaLL (B.), professeur de clinique des maladies
mentales
à la Faculté de médecine de Paris, membre de l'Ac
iblissement de la mémoie cluz les), par Lissauer, 3G8. Aliénation
mentale
(traitement de l'), par Howdcn, 122; par \les-
0. Cerveau (fonctions du), par Soury, 337. Chorée et aliénation
mentale
, par Koeppen. 132. Circulatoire (maladies de
ythrasma chez un imbécile, par Chambard, 8. Diabète et aliénation
mentale
, par Lieb, 314. Electricité statique (Lésions
astrowitz, 313. Jalousie (délire de), par Nadler, 129. Maladies
mentales
(classification des), par Garnier, 115, 485;
ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE E DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
PUBLIEE SOUS LA DIIIKCTION DE J.-M. CHARCOT
tteinte de grande hystérie; son cousin germain a eu de l'aliénation
mentale
, très proba- blement mélancolie anxieuse. Comme
e retrouve dans les deux formes les plus opposées de l'aliéna- tion
mentale
, dans la manie et dans la lypémanie, et même en
la lypémanie que nous en appelerons. Dans cette forme d'aliénation
mentale
, on retrouve dans l'élimination del'azote et de
il y a surmenage (fatigue, refroidissement, 100 REVUE DE pathologie
mentale
. syphilis), les nerfs périphériques; leur lésio
nsi que dans les nerfs sacro-lombaires. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
I. SUR LES allures DE la SENSIBILITÉ générale E
illations. L'anesthésie sensorielle manque dans REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 101 la paralysie générale, chez les délirants
menstruation, l'état gravide et puerpé- 10"2 L) REVUE DE pathologie
mentale
. rai, la ménopause (fréquence de la mélancolie,
1 vos. Archives de Neurologie, t. II, p. 274. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 10 t tèrcs de réalité objective que ceux' qui
nsomnie chez trente-quatre malades atteints des formes d'aliénation
mentale
les plus diverses'. Douze hommes et vingt-deux
; mais simplement pour examiner avec vous un cas de dégénérescence
mentale
, de folie héréditaire dans lequel nous verrons
la folie proprement dite, et celle d'un certain nombre de troubles
mentaux
envisagés isolé- ment, et enfin son Anatomie pa
ie tour à tour le rôle que jouent dans la production des ma- ladies
mentales
: l'hérédité normale et morbide, des mariages con
pendant la vie. Néanmoins, personne ne doute plus que les maladies
mentales
ne soient le résultat d'une lésion primitive de
e faible idée : c'est, en somme, en véritable traité d'aliéna- tion
mentale
qui n'est pas moins remarquable au point de vue
ences ont été faites sur des membres de cette société. PATHOLOGIE
MENTALE
DE L'ONOMATOMANIE; Par MM. CHARCOT et MAGNAN.
ment chez des sujets très élevés dans l'échelle des dégénérescences
mentales
(les simples déséquili- brés), et constituent u
des syndromes épisodiques de la folie héréditaire. 158 pathologie
mentale
. Pour que la préoccupation du mot surgisse au p
d'avril 1884, il rencontre dans l'avenue des Champs- 160 PATHOLOGIE
MENTALE
. Elysées, un monsieur qu'il avait connu pendant
oque, se produisent des périodes .mcuuL, t. X. 1 1 162 pathologie
mentale
. dépressives s'accompagnant parfois d'idées de
médiocrement. Il reprend le chemin de fer et rentre 164 PATHOLOGIE
MENTALE
. chez lui; le soir il se couche comme d'habitud
nsensiblement à se débarrasser de toute obsession. 166 pathologie
mentale
. . Depuis un an environ, la guérison se maintie
ibres coupés perpendicu- lairement à leur direction. 186 CLINIQUE
MENTALE
. PLANCHE III FiG. z Pédoncule gauche, Observa
rieurs. - D, corps granuleux du faisceau pyramidal direct. CLINIQUE
MENTALE
DES FAMILLES D'IDIOTS; Par BOURNEVILLE et SÉG
st surtout manifeste dans la pro- duction des maladies nerveuses et
mentales
; elle est le plus souvent alors, comme l'a dit
é publié par l'un de nous '. 4 Bourneville. Archives des maladies
mentales
et nerveuses, 1861, p. 289. 188 CLINIQUE MENT
es des maladies mentales et nerveuses, 1861, p. 289. 188 CLINIQUE
MENTALE
. I. Famille R... Trois frères idiots. Influen
idiots. Influence de l'hérédité. -111ère affectée d'ÙTé- gularités
mentales
. Affaiblissement paralytique chez les trois enf
ants. Irascibilité chez deux d'entre eux. (Archives des mala- ¡lies
mentales
elnerveuses, 1861, p. 289.) Aucun antécédent du
certaines familles ? Comme antécédents : de simples irré- gularités
mentales
; et cependant dans la nouvelle génération l'ab
mille W... Groupe de sept idiots, frères et soeurs. (The Journal of
mental
science, 1862, t. VIII, p. 429.) Parents exce
ut pas tra- vailler au jardin; aime à laver les bas. 190 CLINIQUE
MENTALE
. 1° William, cinquante-trois ans, affectueux po
arante-cinq ans, lorsqu'on lui a apporté le cadavre de 192 CLINIQUE
MENTALE
. son mari et ne sont plus revenues. -- Elle est
t l'aider. 11 est assez peureux. Archives, t. X, 13 19Ï. CLINIQUE
MENTALE
. DES FAMILLES D'IDIOTS. 195 - Maxillaire supé
en ses parents et surtout lorsqu'ils le font sortir. 196 CLINIQUE
MENTALE
. 188J. La publication de ce travail ayant été 1
t entrainer par celui-ci à faire l'école buissonnière. 199 CLINIQUE
MENTALE
. f 881. Mai. Poids : 30 kil. G00. Taille : l-,3
condamné pour vol, et le représentent comme atteint d'insuffisance
mentale
avec épilepsie. Il est mis dans la section des
qu'il offre de plus spécial, ce sont les modifications de son état
mental
. Il a, en effet, de véritables accès de folie hys
e situation physique ramènera chez notre maladelamème situa- tion
mentale
. Un dernier phénomène a excité notre intérêt et
'hystérie, qui futprisc de monoplégie brachiale REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 231 1 gauche dans une circonstance assez parti
seulement sur le thorax et l'abdomen. CH. F. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
IV. SUR QUELQUES phénomènes d'états épileptique
uelles de tel ou tel épileptique, les accès : 3 revue DE pathologie
mentale
. avec leur phénomènes concomitant et consécutif
4 Voy. Archives de Neurologie, t IX, p. 108. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 233 péri-ccllulaire très peu large (cerveau bi
adies ner- veuses de Berlin. Déc. 1884. 234 ! REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. les états provinciaux, qui en ont soin. Quoiqu
les troubles dans l'équilibration compensatrice REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 235 des deux espèces de liquides et leurs modi
t- schr. f. Psych., XL, 4.) - Le nombre total des perturbations
mentales
comporte 977 se répartissant en : 231; REVUE
ntales comporte 977 se répartissant en : 231; REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.' 237 détaillée)
issant en : 231; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
.' 237 détaillée). On demandait l'interdiction,
i de ce fait, que la grossesse noircit le pronostic d'une maladie
mentale
existant avant elle. A cela rien d'étonnant, puis
nt les femmes affaiblies et fatiguées à deux doigts de l'aliénation
mentale
(excitabilité, maussaderie). Mais la plupart de
e (excitabilité, maussaderie). Mais la plupart des cas d'aliénation
mentale
rassemblés dans la bibliographie, au cours desq
(une guérison, une amélio- ration). P. K. 238 REVUE DE pathologie
mentale
. XIII. COURTE communication SUR UN cas DE TROUB
athologie mentale. XIII. COURTE communication SUR UN cas DE TROUBLE
mental
douteux ; parGpUNEWALD (Allg. Zeitsch.f. Psych.
Voy. Archives de Neurologie, t. VIII, p. 92. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 239 lades après leur renvoi, aux résultats du
et du traitement par rapport aux diverses formes de l'aliéna- tion
mentale
(tableau); enfin quelques mots sur l'emploi des
d'ours). Quatre exemples étudiés avec soin 210 REVUE DE pathologie
mentale
. , Il' 1 1 l' ï i .. . permettent à M. Lind d
ton County lunatic Asylum, Bcrry Wood, à Saint Andrews hospital for
mental
diseases forthe middle and upper classes, à l'a
clÙlsidérerllis' pas moins soit impulsion comirie un Véritable état
Mental
pathdlti- gique. Car la malade souffrait de son
renseigne- ments recueillis près du malade, M. Riu rétablit l'étal
mental
de Michot au moment des meurtres. La première d
e, il en était devenu tout d'abord très mélancolique, puis son état
mental
s'était de plus en plus rapproché de celui',1'û
l'unanimité. , l' ,. IV. Y a-t-il lieu d'admettre que V aliénation
mentale
puisse cyasti- tuer une cause de divorce ? Et d
nt que l'on admette' le. d,iv9 ! 'Gç,}n p.ril,},cipe,.lali ? nation
mentale
en est fun motif, lorsqu'elle doit être ténue pou
rsqu'elle doit être ténue pour incurable , 1 4v. l'examen de l'état
mental
aura lieu;' comme 'dans le1' cas d'intëa'vei ? I
n curateur; 4 (bis) autre rédaction proposée : l'exa- men de l'état
mental
afin (l'établir ¡'incurabilité 1 aura lieu après
grale de, la troisième proposition avec cette addition : aliénation
mentale
durant' depuis trois uns; ,; Il , , , , . l'i j
[ ? 1-, 9. .1 ' SOCIÉTÉS 'SAVANTES. 265 '' 3° L'examen de l'état
mental
comportera les mûmes errements que ceux qui'se
ints épineux : quelle durée permet d'assigner à un cas d'aliénation
mentale
l'épithète d'incurable ? Quelle'1 est la forme,
. Archives de Neurologie, t. VII, p. 379. 266 SOCIÉTÉS^ SAVANTES.
mentale
, de syphilis, d'une affection consécutive à une a
t très peu. Cet état est le même en juin 1883, mais au point de vue
mental
, on constate de la lenteur dans les conceptions
ant ! la vie, exercé une. pression qui permet de comprendre, l'état
mental
.. A la tumeur du nerf optique droit, qui est un
intéressantes, à tous ceux qui. s'occupent de maladies nerveuses et
mentales
. Cil. F. V. Zur physiologie des Gehirnes (Contr
me géné- reux qui, tirant de la barbarie la science de l'aliénation
mentale
, a fait à tout jamais disparaître les traitemen
voira à la fuis la grandeur et la misère de l'homme : l'aliénation
mentale
VARIA. 28 1 « Vous ne pouviez mieux glorifier
accomplis, de nos jours, tant de progrès et où l'étude des maladies
mentales
compte tant d'éminenls représentants. « A la Sa
complir ainsi, dans le traitement des malades atteints d'aliénation
mentale
, la révolution qui est l'éternel honneur de sa
ioration du sort des aliénés. Au bout de quelques mois, la clinique
mentale
était abordée, puis la médecine légale appliquée
ce et qu'il a presque créé de toutes pièces la science des maladies
mentales
? Une commission fut nommée et le rapport fut l
par le génie « de notre aïeul illustre. Le novateur de la médecine
mentale
« a donc des droits imprescriptibles à la recon
ui caractérisent son Traité médico-philoso- phique sur l'aliénation
mentale
. Ce livre fait époque dans la science. On ne le
a ouvert la voie ? N'est-il pas notre premier maître en aliénation
mentale
? Semblable au Virgile du Dante, il nous a serv
s plus difficiles à soulager sont celles produites par l'aliénation
mentale
et le législateur tout aussi bien que le méde-
285.) 302 FAITS DIVERS. Exposition D'ANVERS.- Société DE médecine
mentale
de BELGIQUF. La Société de Médecine mentale de
S.- Société DE médecine mentale de BELGIQUF. La Société de Médecine
mentale
de Belgique se propose de tenir à Anvers, à l'o
ui voudront bien l'honorer de leur adhésion. La Société de Médecine
mentale
serait heureuse de recevoir, à cette occasion,
erversion de la sensation, de l'émo- tivité ou de la représentation
mentale
, je me demande comment elle aura jamais pour bu
INCENDIES MULTIPLES A MOBILES FUTILES. 323 s'excluent en pathologie
mentale
? D'un autre côté, la futilité du mobile ne mil
sifs au feu, n'auraient fait autre chose qu'utiliser leur affection
mentale
pour assouvir leur soif d'alcool et de rancune.
ésultent de la pyromanie, les premiers, indépendants de cette forme
mentale
, sont le produit d'un affaiblissement intellect
. Or, la clinique, c'est-à-dire l'analyse psychologique des états
mentaux
de ces deux catégories d'incendiaires, confirme
ionner tous ces accusés en un seul groupe, existent des différences
mentales
essentielles, quoique plus cachées, qui les sép
é- cédents personnels et de famille, aux conditions d'âge, d'état
mental
habituel, aux circonstances des incendies, à la
lyse psychologique de ces incendiaires les montre sous deux aspects
mentaux
différents. Ceux qui ont agi sans mobile, quand
unir en un seul groupe ces deux catégories d'incendiaires à états
mentaux
si différents ? Voir dans les incendiaires à mo
s à ces deux catégories d'incendiaires prouvent peu leur identité
mentale
. En entrant dans ces longs développements, je n
ou l'affaiblissement in- tellectuel. Les deux premières affections
mentales
étaient exclues aussi bien par les renseignemen
nu affirmaient que jamais il n'avait donné aucun signe d'aliénation
mentale
. Le prévenu, dans ses longs et nombreux entreti
eût trait à une faiblesse d'esprit ou à une tendance à l'aliénation
mentale
. Comme militaire, Berger, lors du tirage au sor
selon les cas, déclarés responsables ou irresponsables. CLINIQUE
MENTALE
DES FAMILLES D'IDIOTS'; Par BOURNEVILLE et SÉ
re : trente-sept ans, assez 1 Voir tome X, page 186. 348 CLINIQUE
MENTALE
. grand, atteintdepuis quatre ans d'une bronchit
es-les-Bains pour une tumeur blanche du genou droit. 350 CLINIQUE
MENTALE
. transféré le 31 août à l'asile de Saint-Alban,
ctuel. Tête ronde, assez volumineuse et régu- lière. 352 CLINIQUE
MENTALE
. musclés, présentent une très légère concavité
deux à l'époque de la conception. Archivas, t. X. X3 354 CLINIQUE
MENTALE
. jamais 'dit autre chose; il n'a marché qu'à se
uée. L'occipital est plat suivant un plan vertical, la 356 CLINIQUE
MENTALE
. moitié droite en retrait sur la gauche; les de
de dix ans, à l31cétre (service de M. Bourneville). 358. clinique
mentale
. Antécédents personnels. (Renseignements fourni
ilement; il ne crache presque plus ; son haleine n'est 360 CLINIQUE
MENTALE
. plus fétide. 11 s'est produit une eschare d'un
, sans rien présenter de particulier dans sa marche. 362 clinique
mentale
. 8 mai. L'éruption est modérément continente ve
est notablement plus développée que la droite. , 36t le CLINIQUE
MENTALE
. tion est normale ; les gencives sont en assez
, que les observations peuvent présenter d'étrangers à 366 CLINIQUE
MENTALE
. notre sujet, nous ne résumerons dans notre tab
erver- sion profonde du sens moral, coexistant avec l'instabilité
mentale
, peuvent, à notre avis, être un signe de plus de
uni par l'hérédité aux maladies nerveuses et surtout aux maladies
mentales
. Guislain s, d'un* autre côté, a fait voir que so
sur les ph¡'énopatlties. * Salter. On asthme, 1860. 368 CLINIQUE
MENTALE
. III. Famille GUI... Grand-père paternel; que
e assez intelligente; idiotie con- lucamEs, t. X. 24 370 CLINIQUE
MENTALE
. génitale, ne dit guère que papa et maman; gâti
u saillantes; au-dessous d'elles, légère dépression. ' 372 CLINIQUE
MENTALE
. Système dentaire très défectueux ; la petite i
ent pas les testicules : Même traitement; viande crue. 374 CLINIQUE
mentale
. 4 mars. Maigreur extrême : la peau est collée
les modifications que les suggestions peuvent apporter dans l'état
mental
d'un névropathe jouissant de la plénitude de so
grands services dans le traitement de certaines formes d'aliénation
mentale
, et si aujourd'hui nous osons avancer ce fait,
ille, s'ajoutent des hallucinations, de l'insomnie, de l'exaltation
mentale
et l'accès délirant s'établit (délire lypé- man
leur des idées ressemble beaucoup au délire constituant l'affection
mentale
, lequel d'ail- leurs s'exaspère à la suite de c
catacombes. A 8. -Attaques de léthargie avec contracture. Même état
mental
que le 15 durant jusqu'au 24. 21. - Ce jour-l
n'a jamais pu que guérir l'accès d'un aliéné sans modifier son état
mental
anté- rieur et d'ailleurs rien n'empêche mainte
taient déjà fréquentes avant l'hypnotisme et même avant l'affection
mentale
. D'un autre côté si l'on ne peut modifier l'éta
'affection mentale. D'un autre côté si l'on ne peut modifier l'état
mental
on agira au moins sur l'état somatique et sur l
urs symétriques A la base du cerveau; parle Dr STRAHAN. (Journal of
Mental
Science, juillet ! 883.) Nous donnons ici le ré
in d'un diabète purement transi- toire. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XVII. Grands ET petits asiles d'aliénés, par T.
I. Grands ET petits asiles d'aliénés, par T. Claye SHOW (Journal of
Mental
Science, juillet 1883.) Dans ce travail, M. Cla
au point de vue du nombre qu'au point de vue de l'état somatique et
mental
des malades admis), pour qu'une comparaison pui
D.1U1'0-tU'rILaTIONS CHEZ LES ALIÉNÉS- par James ADAM. (Journal of
mental
Science, juillet 1883.) Observation 1. Femme de
t n'est plus l'objet que d'une surveillance 416 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. simple, mais attentive et continue; elle'parti
en même temps, dégoût des hommes faits. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 417 XX. Sur les conceptions IRRéSISTIBLES; par
lysie générale est bien moins héréditaire que les autres affections
mentales
; en revanche, on note fréquem- ment l'action c
amené à discuter l'in- Archives, t. X. 27 418 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. fluence d'une psychose primitive comme cause d
i ! faut que la paralysie générale succède directement à un trouble
mental
simple existant depuis un temps plus ou moins l
lutions ascendantes qui est ici surtout en jeu. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 419 La paralysie générale offre, comme altérat
bault, t. III, p. 373 et|t. II., p. 246. ' 420 REVUE DE pathologie
mentale
. 1873. L'acte commis fut considéré comme un act
ALIÉNÉS QUI REFUSENT DE manger; par Henry SUTBEIIL.1ND. (Journal of
Mental
Science, juillet 1883). Nous reproduisons ici
ne fois à l'alimentation artificielle; en pareil cas, la gué- rison
mentale
est d'autant moins probable qu'il a fallu recouri
limentatation forcée; 5. Favorable, si la santé REVUE de pathologie
mentale
. 421 et le poids du malade ne se modifient que
5 b. Défa- voruble aussi, du m'oins au point de vue de la guérison
mentale
, lorsque le malade engraisse trop sous l'influe
urée de la maladie a été exceptionnellement z32 REVUE DE pathologie
mentale
. courte et le coma' très précoce, et que, chez
nvisagée par opposition A l'alcool; par W. BEVAN LEWIS, (Journal of
Mental
Science, juillet 1883.) Nous ne pouvons ici ni
lecture d'un travail de M. Parant, sur la simu- lation des maladies
mentales
. Des signes physiques intellectuels et moraux d
s pensent que l'héréditéjoue un très grand rôle dans l'alié- nation
mentale
, mais qu'elle n'exprime aucun cachet à l'aliéné;
'hérédité dans ses applications aux différentes formes d'aliénation
mentale
. Morel a établi des lois générales et, malgré s
principaux : Quelle est l'empreinte de l'hérédité dansles maladies
mentales
? Y a-t-il des formes mentales caractéristiques
einte de l'hérédité dansles maladies mentales ? Y a-t-il des formes
mentales
caractéristiques héréditaires ? De la paralys
eur sperme circule avec leur sang. Toutes les formes d'aliénation
mentale
portent donc l'empreinte de l'hérité et, de plu
En dehors du rôle général de l'hérédité comme cause d'aliéna- tion
mentale
, il y a lieu d'étudier les formes qui portent plu
cette analyse qui contribuera le plus au progrès de l'aliénation
mentale
. Séance du 27 mai <885. Présidence uc M. UAG
utres, l'hérédité fait sentir son influence sur les diverses formes
mentales
, leur laisse son empreinte et leur donne une ph
'hui il existe une folie héréditaire indépendante des autres formes
mentales
. Il va sans dire que les malades atteints de fo
e des actes et conservent toute leur lucidité. C'est bien là l'état
mental
de l'héréditaire, mais qu'il me soit permis de
ut d'équilibre des facultés. Pour se faire une idée nette de l'état
mental
des héréditaires, il est indispensable de suivr
étendue et c'est ce qui explique la multiplicité d'aspect de l'état
mental
de l'idiot dont les aptitudes s'étendent, se com-
Quand les dégé- nérés s'élèvent jusqu'à l'imbécillité, la débilité
mentale
, ces dis- positions, ces aptitudes sont encore
n ne peut pas passer sous silence, c'est que si les dégénérescences
mentales
sont héréditaires ; dans quelques circons- tanc
ons men- tales analogues à l'idiotie, à l'imbécilité. à la débilité
mentale
, et même à la déséquilibration de l'héréditaire
se rapporte avec autant de vérité aux malades atteints de débilité
mentale
et aux dégénérés les plus élevés dans l'échelle
- monie et le défaut d'équilibre non seulement entre les facultés
mentales
, les opérations intellectuelles proprement dites
remarquer que la fièvre typhoïde guérira aussi bien les maladies
mentales
entées sur de l'anémie que celles greffées sur de
s faits de dédoublement des opérations cérébrales dans les maladies
mentales
. Depuis lors, de nombreux travaux ont paru sur
estion de physiologie cérébrale. P. CAMPER. VIII. De l'aliénation
mentale
chez les vieillards; par F.-A. GOUDAL. (Thèse d
a paralysie générale progressive, thèse, 1849; - De l'a- aliénation
mentale
et du crétinisme en Suisse, 18(i8 ; - Recherches
reux, 4869; Projet de statistique applicable à l'étude des maladies
mentales
, 1869; - De l'augmentation progressive du chiff
commotions politiques et sociales sur le développement des maladies
mentales
., 1874; - Rôle des boissons alcooliques dans l'au
tisme. sommeil provoqué, somnambulisme, suggestion névroses, maladies
mentales
et nerveuses, médecine légale, pédagogie criminol
on avait adopté la lumière verte cela était surtout à cause de l'état
mental
des ouvriers, . « Autrefois, dil-il, quand les ou
plus distingués du barreau de Paris à lui donner mon avis sur l'état
mental
d'un homme de 32 ans, marié, père de famille, inc
n="17"> Lorsqu'on interroge M. P... on constate que son activité
mentale
est ralentie. TI est évidemment doué d'un très fa
sement à ce double traitement. La transformation opéréo dans son état
mental
me dispose à le considérer comme guéri et je ne c
ppale laquelle est maintenant guérie, mais a laissé après elle l'état
mental
actuel. Aucun signe ne permet do penser sérieusem
qu'elle stimule et fortifie le pouvoir de coordination et de synthèse
mentale
, qu'elle corrige et redresse la mauvaise habitude
s de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitement des maladies
mentales
et de l'alcoolisme. Rapporteurs : M. le D' Toka
pplications de l'hypnotisme à la pédagogie générale et à l'orthopédie
mentale
. Rapporteur: M. le Dr Bérillon. VI Valeur de
est venue confirmer l'idée de Bi-chat (2) sur ia division du travail
mental
et la dissociation psychique pendant le sommeil n
naire l'influence du sommeil s'étend progressivement sur des facultés
mentales
différentes. « Le sommeil général, dit-il, est l'
es rêves a fourni la première démonstration de la division du travail
mental
. Les recherches des physiologistes contemporains
qui allait se passer, je ne pouvais pas faire au sujet de suggestion
mentale
, pas plus que je ne lui avait fait de suggestion
des images du rêve dont parlait Anatole. On pourrait comparer l'état
mental
de ces rêves avec le travail inconscient de la ve
end, au sommeil profond, quoique nous soyons loin de connaître l'état
mental
dans ces conditions pathologiques. En somme, comm
conditions pathologiques. En somme, comme il y a une probable inertie
mentale
pour la veille, il y en a une pareille pour le so
phénomènes de l'hypnotisme, quelque point nouveau de notre mécanisme
mental
ou de quelque nouveau rapport entre le physique e
logique? D'autre part, les expériences de dissociation des phénomènes
mentaux
ont fourni le moyen d'analyser d'une façon minuti
psychiques, c'est-à-dire ceux qui s'adressent uniquement aux facultés
mentales
du sujet sont: 1° La suggestion directe (Liébea
pprimant d'une façon passagère la résistance opposée par les facultés
mentales
de contrôle. (Auguste Voisin, Schrenk-Xotzing, Bé
maladie des tics, ni l'imitation des gestes (échokinésie), ni un état
mental
particulier (tic psychique), qui constituent la t
res. Il présente d'abord des nausées, de la dépression, de l'hébétude
mentale
; puis, il perd connaissance, accomplit des actes
conscients telles les alternatives toniques et dont ques. 7A:quilibrc
mental
est normal en dehors des attaques, lesquelles se
vement contemporain, encore faible, vers le traitement des affections
mentales
par des moyens en ? ? rationnels. Et tout cela es
oment, Pinel, non seulement crée le traitement humain de l'aliénation
mentale
, mais encore fonde, avec Esqui-rol et Baillarger,
rétraction des cellules do la névroglie. Avec cette théorie, le repos
mental
, le sommeil, les états de l'hypnotisme s'explique
sie chirurgicale ; mais on n'a pas le droit de mesurer toute capacité
mentale
à celle de la mémoire, et c'est h tort que l'on c
n cas de doute les avocats ce devront pas hésiter à réclamer l'examen
mental
des témoins, par un médecin compétent, au point d
s des intoxications et des infections dans la pathogénie des maladies
mentales
et nerveuses, rapporteurs : Pr D'Abundo et Dr C.
n auditoire aussi empressé que sympathique au professeur. Les états
mentaux
impliqués dans l'appréciation post-hypnotique du
eim, l'hypnose est un état conscient caractérisé par la concentration
mentale
et la mémoire hypnotique n'est pas toujours laten
page n="137"> n'est-il pas raisonnable d'admettre aussi un état
mental
correspondant? Ainsi il existerait un contrôle la
sées, me les communique télépathiqucmcnt et je réponds par une dictée
mentale
. — Dans les choses journalières de la vie les mem
de méfaits qui ne sont pas dénoncés par crainte de vengeance. L'état
mental
du vagabond et de l'homme errant ne tarde pas aie
er de Hauranne. {A suivre.)/page> page n="168"> Les états
mentaux
impliqués dans l'appréciation post-hypnotique du
giné que C. exécuterait mes ordres au moment déterminé par son calcul
mental
pendant l'état d'hypnose. Quelques jours après ce
page n="173"> n'a nullement essayé de découvrir !es conditions
mentales
qui y étaient impliquées, ce qu'il aurait pu fair
plir ses expériences sur le temps, elle doit posséder quelque procédé
mental
qui : 1° résout un problème compliqué d'arithméti
Grâce à l'hypnotisme et à la suggestion, vous avez créé l'orthopédie
mentale
et, ainsi, la psychologie est devenue une science
contentent de supposer la télépathie et la suggestion involontaire ou
mentale
. En tout cas Mrs Pipers est un eujet nrécicux, et
, mais seulement hypnotisée, par cet incube inaccoutumé. Le travail
mental
et la température. C'est une question très disc
discutée parmi les physiologistes, que celle de savoir si le travail
mental
cause une sensible élévation de température dans
eu ou point d'action sur la température profonde du corps. Le travail
mental
entraîne le repos musculaire proprement dit, et i
é, 212 p., Masson, Paris, ï899. D? Marcel Manheimer. — Les Troubles
mentaux
dei'cnfance, 188 p., prix: 5 fr, Société d'éditio
l et bien d'autres. Nous nous bornerons ici à une remarque sur l'état
mental
des hystériques dans les cas qui nous intéressent
ule pour cette seule raison qu'elle est hystérique. C'est dans l'état
mental
qui résulte de sa maladie et qui en est une des c
bien que le mensonge et la simulation sont dus, chez elles, à un état
mental
particulier et à une impulsion irrésistible, c'es
des dangers n'ont, pour ainsi dire, pas de prise sur cette aberration
mentale
. On peut donc dire, ce qui, au premier abord, p
ue le sujet n'est pas malade, qu'il ne présente aucun signe d'un état
mental
anormal. Dans les cas que nous avons étudiés plus
s, en effet,/page> page n="204"> c'est la seule disposition
mentale
du témoin qui leur donne un résultat diamétraleme
manifestation la plus complexe de l'activité nerveuse : les fonctions
mentales
. Sans doute, on ne pénètre encore que leur durée,
r là que la psychométrie peut rendre de précieux services en clinique
mentale
et nerveuse, aussi bien qu'en psychologie et en p
, et alors elle se fait à voix haute et k voix basse. Tantôt elle est
mentale
, ci alors elle se fait dans le langage intérieur.
ui sont aussi les plus suggestîbles, emploient plus souvent la prière
mentale
, alors que les dévots bornés sont obligés de prie
sie détermina la guérison de tout un complexus de troubles nerveux et
mentaux
. Une autre fois encore, après administration de c
igine tuberculeuse par m. le dr Samuel Jïernhf.im. Quels troubles
mentaux
la tuberculose confirmée ou la diathèse tubercule
la raison et de la folie? Quelle est la pathogenic de ces affections
mentales
? Tels sont les points d'interrogation auxquels je
ntendu qu'en étudiant les rapports pouvant exister entre les troubles
mentaux
et la diathèse bacillaire, je n'ai pas en vue cer
ues observations concluantes à l'étude puthogénique de certains états
mentaux
plus obscurs en leur origine, parfois observables
t ce régime et d'après ce que des parents m'ont affirmé, les troubles
mentaux
ont disparu. Obi. IL — Félix t..., âgé de 50 an
dent de temps ft autre son mari qui présente encore d'autres troubles
mentaux
assez nets, tels que violentes colères, menaces d
ables chez des phtisiques où il estdiffleilede rattacher l'aliénation
mentale
à une autre cause que la tuberculose. Cela veut-i
d'esprit. D'autre part, toujours d'après le même auteur, l'aliénation
mentale
est extrêmement fréquente chez les tuberculeux. E
est certain que la phtisie cause, ou, du moins, précède 1 aliénation
mentale
et alterne avec elle, ? M. CV Swell combat ectt
quo la tuberculose n'est qu'une conséquence vulgaire de l'aliénation
mentale
. Telle n'est pas l'opinion de nombreux clinicie
e, plus tard une amélioration passagère de la phtisie et des troubles
mentaux
à la foi?-, et enfin une folie furieuse avec recr
des troubles cérébraux amena îo mutisme, la (t) Traité des maladies
mentales
. (2) Clinical lectures en .'Jental di Prases./p
imposant ou tragique. Mais quelle est l'origine vraie de ces troubles
mentaux
? La peut-on déclarer tuberculeuse, et dans ce cas
a pénétration dan3 l'organisme entraîne presque toujours des troubles
mentaux
sérieux? Ces exemples généraux, que je rappelle
dences et démontrent que la phtisie précède très souvent les troubles
mentaux
. Pourquoi n'en serait-elle pas la cause effective
tance étiologiquc de In phtisie puimoraue dans l'origine des maladies
mentales
me semble à piéscnt ressortir nettement des faits
on, a fait une description clinique spéciale complète de l'aliénation
mentale
des phtisiques. Peut-être cette description est-e
e se termine tardivement par la paralysie générale; 2° Les troubles
mentaux
et les lésions tuberculeuses peuvent marcher de f
rs être fait après une séance d'hypnotisme. Il en est résulté un état
mental
particulier qui se manifeste par des phénomènes i
upérieur droit. En outre cet homme a pu reprendre son travail. Etat
mental
des hystériques, par ie Dr Glorieux, La Policlini
ue des manifestations uniquement somatiques, avec intégrité de l'état
mental
. L'état mental dit hystérique est bien une mala
ions uniquement somatiques, avec intégrité de l'état mental. L'état
mental
dit hystérique est bien une maladie à part. Ceux
est la suivante : « L'impression perçue est cause de représentation
mentale
dans la suite, » Développement. — L'impression
riques. Cette impression est cause dans la suite d'une représentation
mentale
dans le même centre nerveux. (1) Momoîre lu à l
a sconce annuelle./page> page n="260"> Cette représentation
mentale
de l'impression dans le centre nerveux a lieu san
ériques soient intéressés ou soient participants. La représentation
mentale
est un travail, une opération, un acte qui a lieu
n est perçue aujourd'hui. Par suite de la loi sur la représentation
mentale
, cette impression sera perçue de nouveau par le c
produisant spontanément dans le centre nerveux devient représentation
mentale
. Autre exemple : Idée émise, « secourir les mal
qu'elle est formulée, sera l'objet dans l'avenir d'une représentation
mentale
venant se présenter à l'esprit sans qu'elle soit
e par un signe extérieur. L'auto-suggestion prend la représentation
mentale
et l'accepte ou la repousse. L'auto-suggestion
l'accepte ou la repousse. L'auto-suggestion prend la réprésentation
mentale
utile pour l'accepter. L'auto-suggestion développ
'auto-suggestion développe, grandit et multiplie cette représentation
mentale
utile. Le bien, la force, la puissance en résul
ive souvent que l'auto-suggestion naturelle accepte la représentation
mentale
mauvaise ; le mal s'en suit. Celui qui voit vol
. Celui qui voit voler peut accepter avec plaisir la représentation
mentale
de vol. H peut cultiver, développer cette représe
tion mentale de vol. H peut cultiver, développer cette représentation
mentale
; il deviendra voleur. Celui qui voit tuer peut
Celui qui voit tuer peut accepter avec satisfaction la représentation
mentale
de tuer. ? cultive et développe cette représentat
entation mentale de tuer. ? cultive et développe cette représentation
mentale
et devient assassin. ??a?. Nous examinerons l
Cette idée, une fois perçue, par suite de la loi de la représentation
mentale
, se reproduira de nouveau dans notre pensée. Co
t il ne s'est plus livré aux. mômes actes d'auto-mutilatiou. Son état
mental
s'est modifié dans le sens le plus favorable. TI
s de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitement des maladies
mentales
et de l'alcoolisme. Rapporteurs : M. le Dr Toka
pplications de l'hypnotisme à la pédagogie générale et à l'orthopédie
mentale
. Rapporteur : M. le Dr Bérillon. VI Valeur de
rédité nerveuse chargée : père ivrogne, mère hystérique avec troubles
mentaux
; ses frères et sœurs sont nerveux. Dans son enf
ui cette écriture est la conséquence d'une perturbât Ion de la vision
mentale
associée â une déviation constante dans la direct
et il no s'est plus livré aux mêmes actes d'auto-mutilation. Son état
mental
s'est modifié dans le sens le plus favorable. Il
hez une glycosurique. Traitement hypnotique et gruérison des troubles
mentaux
, malgré la persistance de la glycosurie. Par M.
parla ainsi : « Ma femme présente depuis plusieurs mois des troubles
mentaux
qui ne font que s'aggraver; nous avons d'abord pr
urtout d'examen médical Néanmoins, j'ai l'impression que les troubles
mentaux
dont il s'agit sont seulement dynamiques, c'est-à
m'éclaireront de plus en plus sur les modalités diverses de son état
mental
. Pour la commodité de l'exposition, je vais, dès
e la cause occasionnelle, le point de départ, le signal des désordres
mentaux
. Mme B... est, dès lors, en proie à une idée fi
n de ses représentations ; son pouvoir de coordination et de synthèse
mentale
est considérablement affaibli ; son processus int
un état de plus en plus délirant ; de jour en jour, la désagrégation
mentale
s'est accentuée. Mme Iï... est, au sens véritable
st-elle ancienne ou récente? A-t-elle simplement précédé les troubles
mentaux
ou les a-t-elle provoqués? Leur est-elle postérie
nt médicamenteux, si le régime ne suffit pas. • Revenons à l'état
mental
lui-même. Avant de reconstruire une maison, on
les mauvais matériaux qui l'encombrent. De même ici, la restauration
mentale
, la pars mdificans, comme disait Bacon, devra êtr
dissociation des représentations morbides et la rupture des habitudes
mentales
pathologiques; je développe chez Mme B... l'espri
on interprétation psychologique était peut-être erronée? Les troubles
mentaux
dépendaient peut-être simplement de la (!) R. L
SE : Sur le syndrome lévulosurirme de M. P. Marie et sur les troubles
mentaux
consécutifs au diabète, .Sri». méd„ 25 oct. 1899,
semble, la glycosurie, n'a pu. à lui seul, produire les modifications
mentales
signalées plus haut. Cette double constatation
t la même. Ainsi, la glycosurie persiste et cependant les désordres
mentaux
ont disparu. C'est donc bien par l'hypnotisme qu'
. C'est donc bien par l'hypnotisme qu'a été guéri ce cas d'aliénation
mentale
. Avant de prendre contré de Mme B..., que son m
ion spéciale et cède au traitement qui lui est approprié; le désordre
mental
, cn particulier, peut, comme on l'a vu plus haut,
rs, l'hypnotisme est l'arme thérapeutique qui convient dans les états
mentaux
en rapport avec les maladies infectieuses, les en
u même sujet, sur une hystérique, atteinte principalement de troubles
mentaux
. Le résultat fut nul. On peut donc conclure, jusq
e observation, la malade présente un certain nombre de manifestations
mentales
de l'hystérie. Par contre, sous l'influence de la
n'existe aucune lésion oculaire, il s'agit d'une photophobie purement
mentale
. Comme !e dit le Professeur Raymond, a c'est par
faites et appelle de nouveau l'attention sur les reliquats nerveux ou
mentaux
que laissent souvent après elles les maladies inf
e publier un mémoire, traduit dans le numéro de janvier du Journ I of
mental
Science, sur la physiologie du plaisir ou plutôt
ais le traitement psychique, sous forme de suggestion et d'orthopédie
mentale
constitue le seul moyen d'influencer favorablemen
ses conditions pourraient, en effet, provoquer l'éclosion de troubles
mentaux
plus accentués. M. Jules Voisin". — Dans ce cas
ns de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitemen des maladies
mentales
et de l'alcoolisme. Rapporteurs : M. le I>r
pplications de l'hypnotisme à la pédagogie générale et à l'orthopédie
mentale
. Rapporteur : M. le Dr Békillon*. VI Valeur d
14 mai. — Etude psychologique de l'hypnotisme. — Division du travail
mental
dans les états hypnotiques: dissociation des phén
ystérie. — Le traitement psychothérapique de l'hystérie. — L'hystérie
mentale
. — Action complémentaire de la suggestion hypnoti
ggestion hypnotique au traitement de certaines formes de l'aliénation
mentale
. — Les états hypocondriaques. — Les obsessions. —
de la dipsomanie. Vendredi i" juin. — L'hypnotisme et l'orthopédie
mentale
. — Traitement de la kleptomanie, de l'onychophagi
ire de persécution, proprement dit, tel qu'on le décrit en pathologie
mentale
. Ici le somnambulisme est seul en cause. Que s'es
ue jeudi, à la même heure. Ce cours a trait aux maladies nerveuses et
mentales
. Dans sa leçon d'ouverture, M. Jules Voisin a p
ez laquelle, à la suite d'un choc moral, s'est déclarée une confusion
mentale
primitive très accentuée. Après en avoir présente
99 Epilepsie jacksonienne hystérique, par J. Crocq, p. 184. Etats
mentaux
impliqués dans l'appréciation post-hypnotique du
ion post-hypnotique du temps, par Milne-Bramwell, p. 133, 166. Etat
mental
des hystériques, par GIorieux, p. 252. Evolutio
chez une glycosurique. Traitement hypnotique et guérison des troubles
mentaux
, malgré la persistance de la), par Paul Farez, p.
cutives à un traumatisme psychique, par Paul Farez, p. 296. Travail
mental
ot température, par Pembury et Nicol, p. 191. T
Y ARCHIVES Dh n. NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE .1.-1\1. CHAllCO
conseils, et vont souvent s'échouer dans la vésanie, dont cet état
mental
spé- cial n'a été qu'une période préparatoire.
ce symptôme serait déterminé par une né- vralgie et quant à l'état
mental
particulier que ces ulcérations imaginaires occ
lgies lin- guales seraient souvent des candidats à l'aliénation v
mentale
. ' M. Hardy a surtout constaté ces manifestatio
cot m'adressa une malade présentant au plus haut point ce trouble
mental
qu'il a caractérisé du nom d'obsession den- tai
sultés; je veux croire qu'ils n'ont agi que par ignorance de l'état
mental
de la malade. 11 me sera toutefois permis d'exp
momentanément débarrassée de son obsession dentaire; mais l'avenir
mental
de cette malade n'en reste pas moins sombre. '
araît-il, et dans tous les cas se rendant un compte exact de l'état
mental
de son client, ne le soignait pas, mais le prot
urnis. Depuis le mois de janvier 1886, il était atteint de cet état
mental
particulier que ces malades appellent prostrati
Mmo de X... appartenait tout entière à la pathologie nerveuse et
mentale
, c'est pour avoir méconnu la véritable cause des
résoudre à sortir. Cet état de choses ne fit qu'aggraver le trouble
mental
de la ma- lade ; sa contracture ou plutôt la co
venir uti- lement qu'après la disparition des troubles nerveux et
mentaux
qu'elle présente. Il est certain, en outre, que
l'auteur attribue à l'éther lui-même le déve- loppement du trouble
mental
observé. Il est délicat de faire la part de cha
andidats sérieux aux accidents cérébraux. Les troubles nerveux et
mentaux
ayant succédé pendant un temps plus ou moins co
au. ital. per le mal. net., 1881, 82 sq. ' Al. Herzen. - Journal of
mental
seience, 1884 ; Revus philosophique, 1879 et pa
avait demandé Mauds- ley. Herzen répond qu'en effet « le processus
mental
conscient trahit une imperfection de l'organisa
i- que simple à l'automatisme est la condition du déve- loppement
mental
, qui serait impossible sans cela : le naturalis
l'origine, l'instinct et l'automatisme au terme de toute évolution
mentale
2. 1 Herzen. - Les conditions physiques de la c
ois de Herzen à lapatho- génie de l'hypnose et à celle des maladies
mentales
. Ainsi, dans l'hypnose, la répétition de sensat
ex- ternes, et, dans son cerveau, se fixent des représenta- tions
mentales
correspondantes. Aussi le malade con- valescent
e ou cosmique : « Dans ce conflit sans trève, dit Buccola, la forme
mentale
douée de l'énergie la plus grande survit. Mais,
dent, selon lui, au soulèvement tumultueux des repré- sentations
mentales
, dont quelques-unes seulement at- teignent à pe
t à l'extrême vivacité avec laquelle surgissent les représentations
mentales
. Par exemple, si, chez un paralytique, la repré
ntales. Par exemple, si, chez un paralytique, la représenta- tion
mentale
d'une pièce d'or vient à surgir, le concept abs
e pâlisse et s'éteigne, empêche de naître tout autre représentation
mentale
. Ces rapports si étroits d'analogie entre le tr
troits d'analogie entre le tremblement et les autres phéno- mènes
mentaux
des paralytiques généraux indiquent quelle part
ues mêmes que l'on rencontre partout comme fondement de l'organisme
mental
. » Sur la polarisation psychique dans la phase
I. ' Ophthal. Soc. Nov. z, 1889. ' '-Tite journal of Nervous and
Mental
Diseases, vol. XIII, jawier 86. . Neural, Cevlr
ue l'on cesse l'administration du médicament. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Il : 1 de chaux. Il se produit une belle color
s choréiques des psychoses sont un élément surajouté à l'aliénation
mentale
qui émane souvent, comme celle-ci, d'un même fa
ndent du noyau caudé. Archives, t. XXI. 8 114 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ' L'auteur insiste sur le peu de,durée de ces
iles. P. K. IV. DES traumatismes, DE l'épilepsie ET DE l'aliénation
mentale
, ' par J. Wagner. (Jahrbttch. . Psych., VIII, 1
ne chute occasionnée par l'épilepsie convulsive REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 'lI7 antécédente. Le vertige épileptique, dont
st ce que IL Meyer appelle l'origine intentionnelle de l'aliénation
mentale
. Le méca- nisme serait à peu près celui de l'ex
é psychiatrique de Berlin, 10 juillet 1888. 118 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. facteurs nocifs de tous genres jouent ici le p
ation physiologique se communique aux fibres et REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 117 aux organes de l'articulation. Dans ces co
. Type du cerveau hydrocéphale à l'excès. - 118 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Le microscope révèle que les fibres intrci cor
rer comme i 1 Voyez Archives de Neurologie. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 119 vrais stigmates de dégénérescence que les
. Psych. VIII, 3.) Dix observations personnelles. C'est la débilité
mentale
qui constitue le terrain sur lequel évolue la f
une idiotie morale ou une démence morale suivant que la dé- bilité
mentale
est congénitale, héréditaire, ou acquise. Il exis
NER. (Jahrbüch. f. Psych. VIII, 3.) - I. Observation d'aliénation
mentale
provoquée et entretenue par une névralgie front
ations, couvulsions. P. K. XVIII. Deux cas DE simulation DE TROUBLE
mental
; par DE Krafft KBING. (Juhrbitch. f. Psych., VI
vec délusions (Monomanie) ; par Joseph Wigldsworth. (The Journal of
Mental
Science, Octobre 1888.) L'auteur résume lui-m
r dans les tissus nerveux dont les modifi- - 10 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. cations sont susceptibles de donner naissance
at DE PERVERSION, considérées dans leurs rapport* avec l'aliénation
mentale
. I. MENSTRUATION : SES DÉBUTS, ses irrégularité
ossesse, parturition, etc. ; par CAMPBBLL CLUtE. (The Jour- 2zal of
Mental
Science, Octobre 1888.) L'auteur rappelle d'abo
sent le plus facilement sur le cerveau sont les REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 121 fonctions de reproduction. Il examine ensu
te quels sont les rap- ports de la menstruation avec les affections
mentales
; on peut remarquer tout d'abord qu'il y a toute
tales; on peut remarquer tout d'abord qu'il y a toute une évolution
mentale
qui coin- cide avec l'évolution organique qui c
e l'époque menstruelle s'accom- pagne de modifications nerveuses et
mentales
, variables dans leur nature et leur intensité s
enstruation (aménorrhée, dysménorrhée, ménorrhagie) et les troubles
mentaux
. L'aménorrhée peut précéder de quelques mois l'
ue : quatre cas DE guérison; parS.-A.-K. STR\- han. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1888.) Les cas où la folie chr
n asile à un autre. Or, en recherchant dans 122 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. la littérature médicale les cas analogues qui
frappé que dans deux cas rapportés par le Dr Franci (The journal of
Mental
Science, janvier 1887), la guérison avait pa- r
(la ménopause) qui était intervenu. R. M. C. XXV. Sur les troubles
mentaux
liés aux fiançailles; par Geo.-H. z SivAGP. (Th
mentaux liés aux fiançailles; par Geo.-H. z SivAGP. (The Journal of
Mental
Science. Octobre 1888.) M. Savage a été fréquem
les fiançailles avaient été l'occasion de l'apparition de troubles
mentaux
. Ces troubles sont variables ; cependant, la fo
s. En terminant, M. Savage exprime la conviction que ces troubles
mentaux
, pourvu qu'ils soient diagnostiqués en temps util
simulant une tumeur cérébrale , par G.-Il. SAVAGE. (The Journal of
Mental
Science. Juillet 1888.) Il s'agit d'un cas d'au
gnement de leur tamille et de leurs amis. (B.) 'REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 123 jeune femme de dix-sept ans et demi, chez
XXVII. Un singulier cas DE SUICIDE; par W.-B. TATE. (The Journal of
Mental
Science. Juillet, 1888.) La malade dont il s'ag
D1 : 1THÈSE DES dégénérés ; par G,-T, REvi.GTO. (Thejolll'1 ! nl of
Mental
Science. Janvier, avril et juillet 1888.) . N
, la réclusion, on la ramène à l'état normal au double point de vue
mental
et soma- tique. La sensibilité à l'égard des ag
icité. Ayant été plusieurs fois commis il l'effet d'examiner l'état
mental
de sujets ayant survécu à un double suicide auq
qu'au moment du suicide, la malade était sous l'empire d'un trouble
mental
réel. Les conclusions furent confir- mées par l
llf, 2.) P. Keraval. BIBLIOGRAPHIE 1. Recherches sur les maladies
mentales
; par M. B\iLnnGEn, membre de l'Académie de méde
mportants et pourtant restés inaperçus jusqu'alors de la pathologie
mentale
. En 1843, parut le travail sur la stupidité. On
e.) DES hôpitaux d'asiles; par Richard GRi : ENE. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1888.) Travail intéressant dan
olisme et plus particu- lièrement de son influence sur les maladies
mentales
. Concours d'admissibilité aux emplois DE médeci
c 75 points; - 4° M.'l'Invet, avec 62 points. Congrès DE médecine
mentale
DE LyoN.Lesmédecins aliénistes de Lyon viennent
ut l'organisation locale du prochain Congrès français de médecine
mentale
qui doit se tenir en 4891, dans cette ville. Ils
êtrière, ont commencé des conférences sur les maladies nerveuses et
mentales
, le jeudi, 4 décembre à 9 heures 3/t, au petit
du 10 avril 1890.) Nouvelle-Zélande. Statistique de l'aliénation
mentale
. Au 31 décembre 1889, on comptait dans celte co
est celui-là qui est indiqué par M. Binswanger,'que les désor- dres
mentaux
diffèrent essentiellement dans les deux cas. Si
ogressivement. Puis à cin- quante-cinq ans, apparurent des troubles
mentaux
, dépression mentale, mélancolie avec agitation
cin- quante-cinq ans, apparurent des troubles mentaux, dépression
mentale
, mélancolie avec agitation nocturne qui nécessitè
ulé : Recherches sur LES relations ENTRE LE CERVEAU ET L'ALIÉNATION
MENTALE
A LA LUMIÈRE DE SIX encéphales d'aliénés; par J
ire des olives, et que, de là, il se rattache à la substance fonda-
mentale
de la couche de Reil dans la protubérance. Imposs
INPLUENZ1 SUR L'ALIÉNATION MENTALE, par B1RTELS.- CAS D'ALIÉNATION
MENTALE
A LA SU11E DE L'INJ1LUENZA, par C. BECKER. Guér
té des associations, et la transformation continuelle de l'activité
mentale
. P. KERAVAL. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ MÉDICO
de la Société et indique quel a été son rôle au Congrès de médecine
mentale
de Rouen. , M. Bouchereau, prenant le fauteui
gauche. Au bout d'un mois de séjour à l'hôpital l'état physique et
mental
, s'est rapidement aggravé et sans ictus, sans é
eur curabilité dépend exclusivement de la lésion cérébrale fonda-
mentale
. Il parait donc établi actuellement que l'atrop
morphinique ne peut être invoquée à décharge par un accusé, l'état
mental
du mor- phinomane doit au contraire entrer en l
tiqueux, écholaliques, échokinésiques et autres, de désa- grégation
mentale
en vertu de laquelle ils répondent immédiate- t
VARIA Des hôpitaux d'asiles ; par Richard GREENE. (In Journal of
Mental
Science, juillet 1888.) Travail intéressant dan
ÉGARD DES ALIÉNÉS INDI- GENTS ; par A.-R. TURNBULL. (The Journal of
Mental
science. Oc- tobre 1888.) L'auteur étudie suc
par suite soit de la forme, soit de la pé- riode de leur affection
mentale
, les soins particuliers donnés dans un asile ne
Ces catégories comprennent, d'une façon générale, les affections
mentales
congénitales dans leurs formes les moins graves,
es congénitales dans leurs formes les moins graves, et les maladies
mentales
qui, après avoir été traitées à l'asile pendant l
mme donnait depuis quel- que temps des signes évidents d'aliénation
mentale
. Hier soir elle ne parut pas à l'heure du dîner
thique de Griesinger). - Statistique appliquée l'étude des maladies
mentales
: ce mémoire est l'exposé des motifs de la créati
paternel ; du côté ma- ternel, il n'y aurait rien de nerveux ou de
mental
. Antécédents personnels. Lu' ..... est née à Pa
spontanément dans le champ de la vision. C'est une forme de trouble
mental
qui me parait dépen- dre de la perte de la facu
la potion suivante : A\N1LE5 MÉDICO-PSYCHOLOGIQUES. 427 maladies
mentales
. Délire des persécutions. - Persécutés géni- ta
l'atteinte portée à la liberléde l'individu. Au congrès de médecine
mentale
, c'estle point de vue médical qui a domine; M.
nt évitées parce que des médecins, dont la compétence en pathologie
mentale
ne saurait être contestée, auront été contrôlés
othèse et ce qui est certain c'est que ces maîtres de la pathologie
mentale
n'étaient que médecins en chef; la critique ser
cin de s'occuper d'une façon efficace de l'étude de la pathologie
mentale
si bien que cet arrangement pourrait fort bien ne
une ques- tion des plus importantes pour l'avenir de la pathologie
mentale
. 11 est une question aussi qui revient fréquemm
à la Cour d'appel d'Aix, se demande si, en dehors de l'a- liénation
mentale
, il n'y a pas des cas où, par suite de faiblesse
rement ou qu'il acessé d'être responsable par suite d'une ma- ladie
mentale
? » D M. Proal reconnaît que la preuve de la fo
e de se rappeler que la con- séquence la plus fâcheuse d'un trouble
mental
est la perte du libre arbitre. Dès lors, qu'imp
justice, mais elles compromettraient encore la science des maladies
mentales
. Pour justifier la théorie de la responsabilité
sent entre les accusés. Pour tous les cas en dehors de l'aliénation
mentale
, le principe des circonstances atténuantes perm
expériences cliniques sur la digestion stomacale dans les maladies
mentales
et en particulier dans la mélancolie. M. le Dr
de publier une excellente étude sur l'électricité dans les maladies
mentales
. C'est précisément dans la mélancolie simple et
mais dans ces affections, comme dans les autres formes de maladies
mentales
, les indications morbides ne sont pas encore ne
écution vraie, lorsque celui-ci n'est pas associé à d'autres formes
mentales
, telles que l'alcoolisme, la paralysie générale.
ho-motrices et psycho- sensorielles placent le siège des phénomènes
mentaux
. Comme le dit M. Binet : « Qu'on ait la sensati
prédominantes est déterminé par la nature même des représentations
mentales
qui constituent l'idée délirante. En effet, une
in, considérant ensuite le délire du persécuté persécu- teur (forme
mentale
décrite en France par Falrel), remarque avec de
'assimile pour en faire une idée délirante, on rencontre un trouble
mental
analogue mais qui diffère cependant d'une façon
ons : M. Magnan, dans ses études remarquables, considère ce trouble
mental
comme un signe direct et immédiat de l'hérédité
s attaques convulsives contribue à provoquer une désé- quillbration
mentale
de même nature. C'est à cette dernière influenc
1 la grande école d'Esquirol retran- chaient du cadre des maladies
mentales
lé délire qui accompagne ou suit les fièvres. M
a maladie aiguë n'est que l'occa- sion accidentelle de l'aliénation
mentale
qui aurait éclaté tôt ou tard. Les psychoses
commun l'affaiblissement rapide plus ou moins prononcé des facultés
mentales
, affaiblissement ou démence primitive qui s'acc
les autres maladies aiguës, la cause occasionnelle de l'aliénation
mentale
. La nature de l'aliénation mentale y est alors
se occasionnelle de l'aliénation mentale. La nature de l'aliénation
mentale
y est alors tout à fait indépendante de l'in- I
des observations réunies par M. Ladame est que REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 449 l'influenza à elle seule ne suffit jamais
de colapsus, sont générale- ment bénignes. Les autres affections
mentales
, dont l'influenza n'a été qu'une cause occasion
la forme clinique de la psy- chose. D 13r.m. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XXIX. L'INFLUENCE DE LA MÉNOPAUSE SUR LA GENÈSE
L'INFLUENCE DE LA MÉNOPAUSE SUR LA GENÈSE ET LA FORME DES troubles
mentaux
; par 1lLTUSCU. (alla. Zeitsch., f. Psych., XLVI
es iiioi,aux.-50 Elle se rattache étroitement à REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 451 l'hébéphrénie ou folie de la jeunesse ; el
urésie, en stimulant la circulation encéphalique, guérit l'af- tion
mentale
; c'est l'explication de l'auteur. P. K. XXXIII.
à des sujets talés. La folie simultanée est une (orme d'aliénation
mentale
que nous comprenons bien moins que la transmiss
s renseignements, SI ont eu sûrement la 483 U-) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. syphilis, 53 l'ont eue selon toutes probabilit
alGl. 1889.) Névrose RRAUMATIQUF avec autopsie; REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 453 par SpERLiNGet IiR07T1L1L (Ibid.) - Contri
servations sur 206 mélancoliques ; 1¡ ? )/ Il REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XL. EPILEPS11 CLASOAIA SEU 110T.1TOltl.a; par
valeur en tant que causes prédisposantes de la REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 4SS folie. Les asymétries fronto-faciales de m
z les épileptiques, mais dans presque toutes les formes de maladies
mentales
et même chez des individus sains d'esprit. Pour
s une échelle ascendante, des formes élevées de la dégénérescence
mentale
(folie circulaire, manie périodique, paranoia pri
accentuant après l'accès. L'acuité visuelle 436 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. est presqu'intacte, peu troublée après les con
rence d'énergie et antagonisme de fonction tout REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 437 à l'avantage des dernières. La genèse clin
de ses dernieres séances. Toujours attiré par l'étude des maladies
mentales
, il rappelle, qu'il y a cinquante ans, il a été
'autant plus qu'elle peut être avantageusement remplacée par l'état
mental
au moment des actes incriminés. Ce critérium a
nis .1 Moscou le 15 janvier 1891. SECTION DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
. Cette section a eu trois séances dont deux, ce
es aux maladies nerveuses et une, celle du 19 janvier, aux maladies
mentales
. Séance du 17 janvier (Maladies nerveuses). P
tions destructives considérables. Séance du 19 janvier. (Maladies
mentales
.) Présidence de ilI. Ronsar,orr. Piésidence d
olie occupe une place très restreinte dans le nombre des affections
mentales
. Il arrive donc à cette conclusion que les jeun
tentifs ne pou- vaient découvrir des signes déterminés d'un trouble
mental
quel- conque. Sur sept malades, six n'avaient p
it de prédispo- sition héréditaire. Parmi les causes de l'affection
mentale
, chez six se trouvent accusées des grandes pert
commission qui présentera ses conclusions à la section des maladies
mentales
du prochain congrès. - M. BamKOFF (Saint-Péters
e l'organe de l'ouïe sur le développement et la marche des maladies
mentales
». L'auteur a recueilli vingt-quatre observatio
s'observer également dans une foule d'autres maladies nerveuses et
mentales
comme une des manifestations de la dégénérescen
ux dont le sang coule sur les échafauds, sont atteints d'aliénation
mentale
avec ou sans délire. Depuis lors, l'abolition d
avec 2 planches hors texte. New-York, 1890. Journal of nervous and
mental
diseuse. liouws (J.) and Malte\ (G.-L.). - A ca
par Jelgersma, 2G5, ' Bibliographie : Recherches sur les maladies
mentales
par Baillarger, 142; - Anatomie artistique, par
0MA (état du nerf optique dans le), par Manz. Congrès de médecine
mentale
de Lyon, 155; - (les médecins rus- ses, 460.
nopause influence de la, - sur la genèse et la forme des troubles
mentaux
, par Nlattuscli, 119. 11 : SI'llU,\'IIO (influe
s) et aliénation, par Campbell Clark, 120. Simulai-ion de trouble
mental
, par Krafft-Ebing, 119. Société médico-psycho
nt tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES Rèditleur en tief : Docteur Edgar
TISME, SOMMEIL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NEVROSES, MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES, MÉDECINE LÉGALE, PÉDAGOGIE CRIMINOL
estion parlée. Le genre de suggestion que les auteurs qualifient de
mentale
, et qu'il serait plus juste de nommer occulte, ta
écuter. Cette aboulie existe dans certains états morbides et maladies
mentales
. L'opium le donne, et Quincey l'a fort bien décri
nalité psychique est intégrale. D'après lui, au contraire, l'appareil
mental
est en mauvais état aussi bien chez l'obsédé que
au point de vue de l'intégrité apparente ou réelle de leurs facultés
mentales
, il semble urgent, si l'on veut éviter à l'avenir
hallucination rétroactive intervenant dans le cours d'autres troubles
mentaux
, chez un malade de son service. Le malade raconta
ne sont donc pas les sujets peu intelligents ou atteints de débilité
mentale
qui présenteraient le plus d'aptitude à réaliser
nisme passif on observe la transmission de la pensée et la suggestion
mentale
. L'état de médianisme actif se caractérise en c
ont en contact avec lui, en provoquant chez celles-ci des suggestions
mentales
, qui peuvent, dans certains cas, provoquer de vér
tes de Moscou, pour être étudiées au XIIr Congrès de Moscou. Maladies
mentales
: 1° Palhogénie des hallucinations et pseudo- h
ns et pseudo- hallucinations : 2° Symptômes du passage des maladies
mentales
du stade où elles sont guérissables au stade ingu
de la démence précoce ; 3°Les auto-intoxications dans les maladies
mentales
; 4° Délimitation de la paralysie générale prog
aralysie générale progressive d'avec les formes voisines des troubles
mentaux
; 5° Transformation des asiles d'aliénés, en ra
nce; influence du travail et du repos dans le traitement des maladies
mentales
; G0 L'hypnotisme et la suggestion dans les mal
adies mentales ; G0 L'hypnotisme et la suggestion dans les maladies
mentales
et en médecine légale. Maladies nerveuses : 1° Pa
r, parmi ces questions, 6 des plus intéressantes (3 pour les maladies
mentales
et 3 pour les maladies nerveuses) ; on pourra éga
éceptivité émotive, pathologique, que réalise seule la dégénérescence
mentale
héréditaire. « Dans l'espèce qui nous occupe, a
ments, parlant de l'intervention du médecin dans les cas d'aliénation
mentale
,-Troplong écrivait : « Je pense que la médecine l
alable doit être résolue : un tel jouit-il oui ou non de ses facultés
mentales
? Et qui pourra répondre dans une aussi grave alt
ui qui n'est pas même familiarisé avec les rudiments de la pathologie
mentale
?com-ment pourrait-il formuler un diagnostic que
en rapport avec le degré de responsabilité de l'agent. — La médecine
mentale
et l'anthropologie criminelle sont venues indique
des prisons les garanties d'une compétence particulière en pathologie
mentale
. Réunion annuelle de la Société d'Hypnologie et
e qui entretient, multiplie et exagère le mal, par une représentation
mentale
obsédante, pouvant aboutir un jour à l'idée fixe,
rces reviennent, la digestion et le sommeil s'améliorent: mais l'état
mental
est à peine modifié, les idées mélancoliques ramè
ion III. — Neurasthénie viscérale liée à des signes de dégénérescence
mentale
. — Gastro-entéroptose douloureuse ; glossodynie ;
morbide entée sur des troubles fonctionnels anciens chez un dégénéré
mental
. J'essaye d'abord, en fournissant au malade les
sont pas directement attaqués à l'idée obsédante née du désiquilibre
mental
ont successivement échoué. La suggestion hypnotiq
t à vouloir? A mesure que diminuent la désagrégation et la dépression
mentales
, on voit le pouvoir de contrôle s'accroitre, l'ac
s des malades, et de leur rendre par là tout ce que leur constitution
mentale
comporle d'attention, de jugement et de volonté.
bilité des alcooliques, présenté au Congrès international de médecine
mentale
, tenu à Paris en 1889 1, M. Motet fait sienne l'o
Actuellement, on ne constate point d'anomalie notable dans son état
mental
. Une de ses sœurs a été internée à l'asile de S
t eu lieu les actes incriminés, n'ont remarqué aucun signe de trouble
mental
. Pendant son séjour à l'asile, on a constaté de
bilité des actes. Comptes-rendus du Congres international de médecine
mental
tenu à Paris, en 1889, p. 465. A partir de l'
ins, on recherchera les signes, même les plus légers, de perturbation
mentale
, tels que l'expression de la physionomie, le rega
iversité de ces troubles est grande, elle va de la simple instabilité
mentale
à l'aliénation proprement dite. En constituant un
symptomatologie montre des irrégularités de caractère et des troubles
mentaux
. Les mêmes observations seraient applicables aux
t être passé entièrement (1) Peut-être un cenaîn nombre de troubles
mentaux
consécutifs aux ovariotomics peut-il être attribu
ne du sommeil et du réveil provoqués à distance par une simple action
mentale
. Ce phénomène devint pour moi aussi familier, et
rdant au dehors, je lui ordonnai mentalement de se réveiller. L'ordre
mental
fut plus fort que la suggestion verbale, car une
'avoir éprouvé cette même sensation au même point. Du reste, l'action
mentale
nécessaire pour provoquer ainsi le sommeil s'acco
absolument rien. Jusqu'ici je n'avais produit le sommeil par action
mentale
qu'au cours d'une séance déjà commencée, après av
que disait l'un de mes interlocuteurs, j'envoyai à mon sujet l'ordre
mental
de s'endormir; et j'entendis bientôt les exclamat
r la chaise où il s'était assis. La porte refermée, j'envoyai l'ordre
mental
du réveil : et une minute après, on voyait Gustav
re expérimenté, pour provoquer en lui le somnambulisme par une action
mentale
exercée à son insu et à distance. J'ai eu l'hon
lui après sa mort, révéla à quel point était arrivé son détraquement
mental
. Les cas de Pascal et de la famille Pascal ne s
t Ebing, lequel occupe, comme on sait, à Vienne la chaire de médecine
mentale
, a fait dernièrement une leçon d'une heure deva
a le sujet de la leçon, il répondit qu'il voulait traiter « de l'état
mental
des maniaques pendant les attaques périodiques de
on, mais souvent aussi quelque chose de plus est requis comme tonique
mental
et moral ; et ceci, je crois, ne peut être réalis
Le malade présente quelques antécédents héréditaires au point de vue
mental
. La maladie débuta, il y a 15 ans, par un rhume
fets, les formes normales et pathologiques du sommeil et le dynanisme
mental
des névropathes, on est conduit aux conclusions s
ression des idées, la question médico-légale est de décider si l'état
mental
du sujet est suffisant pour rendre valable le tes
ecret est de savoir la concentrer sur un point. C'est une gymnastique
mentale
à renouveler tous les jours par un effort systéma
tion sera donc le salut des imaginations vives. « Dans nos chambres
mentales
, lisons-nous, il existe non seulement de ces émot
est le prix de la liberté. Astreignez-vous chaque jour au même effort
mental
. Par la concentration, les vérités fortifiantes e
pour celui qui est adonné à cette habitude, le diagnostic de trouble
mental
entraînant l'incapacité de tester. » Ces conclu
ous rendre les plus grands services dans le traitement des affections
mentales
. Je ne connais pas. en effet, d'êtres bien portan
inisés dans des catégories très diverses au point de vue de leur état
mental
. Il y a des périodes où Ils sont absolument irres
l faut que le sujet ait présenté dans le cours de sa vie des troubles
mentaux
bien déterminés et incontestables. Parce qu'on pr
e par voie digestive ou par voie sous-cutanée soit sujet a un trouble
mental
qui entraîne son incapacité au point de vue légal
vidu, c'est d'appuyer ses affirmations par un certificat d'aliénation
mentale
, délivré par un médecin. Or, rien ne démontre que
pour celui qui est adonné à cette habitude, le diagnostic de trouble
mental
entraînant l'incapacité de tester. » Hystérie m
'avoir éprouvé cette même sensation au même point. Du reste, l'action
mentale
, nécessaire pour provoquer ainsi le sommeil, s'ac
des paysans norwégiens, robustes et bien portants, au fonctionnement
mental
régulier, dont les rouages cérébraux n'ont pas ét
résence d'une névrosée, d'une véritable hystérique dont l'instabilité
mentale
se prête mal à l'influence suggestive. L'état de
manie raisonnante, à l'irrésolution qui constituent le fond de l'état
mental
des hystériques. Dans ces conditions, rien d'
ménopause », M. Nordau traçait le tableau clinique connu des troubles
mentaux
accompagnant souvent l'âge climatérique do la fem
sus s'aperçoivent et souffrent. Celte nécrobiose n'amène des troubles
mentaux
que chez les prédisposées. L'attitude dans le s
e type moteur, le type visuel, le type auditif. — Division du travail
mental
dans les états hypnotiques ; dissociation des phé
annexe de la salle Grisolle. Hospice de la Salpétriêre. — Maladies
mentales
. — M. le Dr Jules Voisin, le jeudi, à 10 heures d
énie B... présentait des zones d'aneslhésie caractéristiques, un état
mental
propre aux hystériques, et je n'insisterai pas su
erical blindness with violent blepharospasm and mydriasis relieved by
mental
impression (Transact, of the American Ophth. Soc.
ffection de l'oeil dépendant de l'hystérie. (Journal of nervous and
mental
diseases, vol XIII. n° 2, février 1886.) Lasègue.
manipulation du crâne ou du visage, exciter certaines manifestations
mentales
ou corporelles ». Après avoir hypnotisé ses pat
sujets à manifester les passions. les émotions et certaines fonctions
mentales
à un degré que ne peuvent atteindre les mêmes ind
t cet extraordinaire pouvoir de contrôler et de diriger les fonctions
mentales
reste inaltérable..» Les différents phénomènes
sement de la force musculaire et une exaltation de certaines facultés
mentales
. Braid démontra que plusieurs patients, mis dans
temps écoulé entre son ingestion et l'apparition du phénomène, l'état
mental
général dans lequel on se trouvait et les diverse
maladie, la période de son évolution, les traitements suivis, l'état
mental
général où l'on se trouvait, et les diverses circ
onnues, qui se montrent alors sous la double influence de l'obsession
mentale
et de l'aménorrhée. Le mécanisme physico-psychiqu
estion à l'égard d'un certain nombre de symptômes d'ordre physique ou
mental
qu'elle ne vise pas directement ; ce qui prouve q
igurer lui-même. Ces derniers prennent place sur une sorte de tableau
mental
que M. Diamandi se représente avec une grande net
s que sa mémoire vient d'enregistrer. On voit donc que « l'imagerie
mentale
* mise en jeu par chacun de ces deux calculateurs
la mémoire., le visuel apercevra aussitôt ce chiffre sur son tableau
mental
en même temps que le nombre tout entier; l'auditi
ages sonores qui correspondent aux neuf premiers chiffres. Le travail
mental
se fait donc chez l'auditif non pas dans l'instan
ar hasard, qu'il possédait cette très remarquable puissance de calcul
mental
. Eri outre, il ne s'est pas soumis à un entraîn
r la première fois), il ne s'est guère perfectionné comme calculateur
mental
. Enfin, il n'est pas uniquement spécialisé pour l
vres ; or, il n'a pas tardé à s'apercevoir que sa puissance de calcul
mental
avait beaucoup diminué et, pour la conserver, il
aiblesse. Il semble que cette exaltation démesurée de certain pouvoir
mental
entraine nécessairement comme corrélatif l'annihi
ale sont la rançon de son incontestable supériorité comme calculateur
mental
. Si, par contre, M. Diamandi est, entant que ca
i, il en est dédommagé par la richesse et la variété de ses aptitudes
mentales
. En ce qui le concerne, c'est sa faiblesse relati
rrait, peut-être à certains égards, faire rentrer dans la tératologie
mentale
. M. Diamandi, lui, n'est pas un « monstre », il e
que l'état hypnotique était essentiellement un état de concentration
mentale
durant lequel les facultés intellectuelles du pat
tels procédés, je pense qu'ils résultent entièrement des impressions
mentales
ou des idées dominantes excitées dans l'esprit de
éologie, doctrine de l'influence des idées dominantes sur les actions
mentales
et physiques ; « Monoidéiser, action d'exécuter
amique » indiquera tous les changements d'excitation ou de dépression
mentale
et physique qui résultent de l'influence du monoi
es intellectuels et physiques résultaient entièrement des impressions
mentales
et desidées dominantes seulement excitées ou comp
démontrer que tous les phénomènes résultaient et de la concentration
mentale
de l'attention agissant sur la propre organisatio
ion de la motricité. Fakirisme. Transmission de la pensée. Suggestion
mentale
. Le cours est public et a lieu tous les mardis,
ison est complète. Mais en même temps que la peur a disparu, son état
mental
s'est modifié dans un sens favorable, sa physiono
d'exercer une grande variété de sensations physiques et de conditions
mentales
. La relation suivante d'une expérience de Braid
e remarquables cures avaient parfois été causées par l'excitation
mentale
, tandis que de graves maladies et la mort elle-mê
vidu et qui apparaît immédiatement comme le résultat d'une impression
mentale
. * Où est alors la difficulté », demande-t-il, a
, était une action purement subjective, il disait aussi que l'élément
mental
, associé à l'administration des drogues en généra
tion dirigée sur eux ou détournée de l'état morbide... Une impression
mentale
est nécessairement apportée dans l'opération lors
it quelque substance médicale. » Braid pensait que cette impression
mentale
expliquait les révolutions qui s'étaient produite
Les progrès de Braid dans la connaissance du pouvoir des influences
mentales
sur les différents phénomènes de l'état hypnotiqu
oucher appelant à l'action certains muscles d'expression de condition
mentale
, excitant, dans l'esprit des sujets, les idées av
es, c'est une simple inversion qui s'établit alors entre l'excitation
mentale
et l'excitation musculaire : premièrement, le tou
le ; en un mot, dans les circonstances ordinaires, c'est l'impression
mentale
qui précède et qui agit comme cause excitante des
ue qui précède et qui agit comme cause existante des manifestations
mentales
..... Lorsqu'en décembre 1841, je signalais tout
ion de la motricité. Fakirisme. Transmission de la pensée. Suggestion
mentale
. , Le cours est public et a Heu tous les mardis
rapports généraux, nous devons signaler les suivants : IV. — Médecine
mentale
. — i1* question : De la responsabilité, notamment
production : c'est qu'il a fallu un certain délai à la représentation
mentale
pour se former, un certain délai pour laisser une
e représenter au Congres de Moscou {section des maladies nerveuses et
mentales
). 2° Un travail original de M. le Dr Clark Bell
ices graphiques occupent une place à peu près nulle dans son imagerie
mentale
. C'est qu'il est par-dessus tout un visuel et acc
tion névropathique, la plupart du temps héréditaire. Or, le surmenage
mental
ne saurait manquer de réveiller, de stimuler et d
ltés intellectuelles une activité déme- surée, — que ses pouvoirs
mentaux
n'aient subi aucune éclipse, ni aucune diminution
exemples ? Rappelons le cas de Jedediah Buxton qui fut un calculateur
mental
d'une puissance étonnante. « Lorsqu'il vint à Lon
t de devenir tous ces petits prodiges dont on surexcite les aptitudes
mentales
déjà naturellement excessives. En voulant leur re
de stimuler, d'ac-croitre cette affection nerveuse et le déséquilibre
mental
qui lui est concomitant. D'ailleurs, on se prop
ons existantes, soit que la nouvelle impression appartienne à l'ordre
mental
, soit qu'elle appartienne à l'ordre physique. Or,
ais, leur pouvoir est plus remarquable lorsqu'elles excitent l'action
mentale
, soit en fixant l'attention sur une partie ou sur
l doit être bien établi dans l'esprit, dit-il, que les conditions
mentales
opposées peuvent passer de l'une à l'autre par le
decine, à Moscou, du 19 au 26 Août. Section des maladies nerveuses et
mentales
. Comité d'organisation. — Les gérants: P'* A. K
« L'hypnotisme et la suggestion dans leurs rapports avec les maladies
mentales
et la médecine légale, » — A. Tokarski (de Moscou
de l'hypnotisme et de la suggestion au traite- ment des maladies
mentales
. » — Alex. Robertson (de Glasgow) : «* Hypnotism
tson (de Glasgow) : «* Hypnotism and Suggestion in their Référence tq
mental
Diseases. * — Gorodichze (de Paris) : « La psyc
dr Auguste Voisin a repris ses conférences cliniques sur les maladies
mentales
et nerveuses, le jeudi 10 juin 1897, à 10 heures
otisme, sommeil movoQUS, somnambulisme, sitconon NÉTKOSES. maladie»
mentales
et xeiiveuse-s, medecine léo a lu, pédagogie CIMU
repique du Vésinet (S.-ei*0.). D' Pottior. 10, rue Ptcput (Maladies
mentales
et nerveuses). D" Signes (Pavillon Cbarcot). 13
ux auquel puisse se livrer l'intelligence. L'influence que ce travail
mental
exerce sur la formation de nos idées est si consi
ccessivement la façon dont se comportent chez moi les diverses images
mentales
dans le rêve. Images visuelles. — Je suis un vi
me représenter mentalement un objet, un arbre, une personne, l'image
mentale
n'a jamais la netteté de l'image réelle ; les ima
; les couleurs sont un peu passées ; c'est plutôt une sorte de vision
mentale
plus facile a comprendre qu'à expliquer. Si j'ent
eté de l'image. En tout cas, il est très rare chez moi que les images
mentales
visuelles soient aussi vives que dans la réalité.
stence, les caractères mêmes de mes rêves n'ont pas varié. Les images
mentales
se sont toujours présentées dans les mêmes condit
. Quand le délire somnambulique est terminé, on observe une confusion
mentale
secondaire, de nature hystérique : la malade n'en
physiologie du système nórceux, la pathologie nerreuse, la pathologie
mentale
, la pédagogiedesnormauxet des anormaux, fan-Ihrop
Parla, II, ??. des Gobellns (5e). Les malades atteints d'aliénation
mentale
ne sont ??? admis. INSTITUT HYDROTHÉRAPIQUE DU
t tons les moi* PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE HALA.DIES
MENTALES
ET NERVEUSES RtfifiMm M: Docteur Edoar BÉRLLLON
TISME, SOMMEIL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES, MÉDECINE LÉO A LE, PÉDAGOGIE CRIMrN
ihéraplque du Véstnet (S.-ei-O.J. D* Polder. 10. rue Picpus {Maladies
mentales
et nerveuses). D' Signez [Pavillon Charcot), 138,
élève, et qui concernent quarante-deux malades atteints d'aliénation
mentale
, ou de ce qu'il appelait les névroses connexes.
Paris, 14, av. des Gobe!ins{5*). _Les malades atteints d'aliénation
mentale
ne sont ??? admis._ INSTITUT HYDROTHÉRAPIQUE DU
nt lorn I'" moli PSTCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES Riiittcur ti (M: Docteur Edoar BKR
TISMB, SOMMEIL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MALADIES
MENTALES
et NERVEUSES. MÉDECINE légale, PÉDAGOGIE CWMINQLO
théraplque du Véslnei (S.-ei-O.J-LV Pottier, 10. tue PIcpus (Maladies
mentales
et nerveuses). D' Sigoez ^Pavillon Charcol). 138,
Bruxelles). L'éducation physique appliquée au traitement des maladies
mentales
, par M. le Dr i i (de Pau). Traumatisme et délire
neste. Je disais expressément ceci : « L'état d'incapacité, d'inertie
mentale
de cette malade, les mauvaises conditions hygiéni
ans, 14. av. des UobeltM (5->. Les malades atteints d'aliénation
mentale
ne sont pat admis. INSTITUT HYDROTHÉRAPIQUE DU
nt tous les mois PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES Rfliftar m (M: docteur Edgar béril
TISME, SOMMEIL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES, MÉDECINE LÉGALE, PÉDAGOGIE CRIMINOL
hérapique du Vésinet (S.-et-O-;. D' Portier, 10, rue Picput (Maladies
mentales
et nerveuses). D" Signez (Pavillon Charcot), l3*,
'autant plus intéressants qu'ils ne présentent pas encore de troubles
mentaux
accentués, que le dispensaire anti-alcoolique a é
le facteur efficace de la psychothérapie. D' Dérillon : L'onanisme
mental
. D' Fiessinger : Le cœur et les émotions. L'inf
Parts, ?, av. des Gobelin* (5*). _L*t malades atteints d'aliénation
mentale
ne sont ??? admis. INSTITUT HYDROTHÉRAPIQUE DU
NTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES resultarli (iti: Docteur Edgar BÉR
tisme, sommeil provoque, somnambulisme, suqgest10n névroses, maladies
mentales
et nerveuses, médecine legale, pédagogie criminol
iéraplrjue du Vésfnet (S.-et-O.). D* Pottler, 10, me Plcpus (Maladies
mentales
et nerveuses], Dr Signez (Pavillon Charcot). 1M,
ité des faits de télépathie, de transmission de pensée, de suggestion
mentale
, de clairvoyance, etc., etc., n'a été soumise au
pourrait tirer argument de son suicide pour supposer que ses facultés
mentales
étaient troublées dans une certaine mesure. Com
ce, mais par suite de sa discontinuité, un certain degré de confusion
mentale
s'établit; nous ne discernons plus bien les purs
lcool, sous quelque forme que ce soit, en raison de la dégénérescence
mentale
qui est la conséquence de l'alcoolisme. Fils d'
tion précédente. C'était, chez le jeune lévite, le premier accident
mental
. Ce ne fut pas le dernier. Schemouei était du res
le, l'orgueil des théomégalomanes, greffé Bur l'égoisme des dégénérés
mentaux
. Il vieillit avec son idée fixe. Lorsque l'âge
et impulsions homicides et suicides, telle était en effet la formule
mentale
do Schaûul (Saûl), Ois de Qisch. Ce choix du pr
isme pathologique, théomégalomanie, impulsivité, telle est sa formule
mentale
. Tout chez lui procède de la dégénérescence du sy
et demandée en mariage, a repris sa parole ; elle en éprouve un choc
mental
qui amène de grandes crises hystériques. Elle est
scrites : Df Binet-Sanglb : Rapport sur un cas prétendu de suggestion
mentale
et de transmission de pensée. D' BftiiiLLON : L
on mentale et de transmission de pensée. D' BftiiiLLON : L'onanisme
mental
. D' Fibssi.noeb : Le cœur et les émotions. L'in
montrer plus sévères dans la vérification des preuves de l'aliénation
mentale
. Le repos au lit et la folle. Un médecin-expe
rate, détruisent toutes les bonnes intentions et troublent l'activité
mentale
durant toute la journée. ¦ VAdministrateur-Géra
'ani, li, av. de* (k>be!ln*t5"). _Les malades atteints Jaliénation
mentale
ne sont pa* admis. _ INSTITUT HYDROTHÉRAPIQUE D
:;:. SOMMEIL PROVOQUE. S CM A MBDLISME, SUGGESTION NÉVROSES. MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES. MÉDECINE LB6ALE, PÉDAOOOIB CRIMINOL
éraplque du Vésinet (S.-ct-O.). D' l'oiti. r 10. rue Plcput (Maladies
mentales
et nerveuses). D' Signe* (Pavillon Charcol), 13$,
é accompagnée d'aucune modification dans le caractère, ni dans l'état
mental
. Ce qu'il y a de plus frappant c'est qu'on ne ren
la suggestion par hérédité ». Elle crée le type d'une race, son type
mental
, jusqu'à ce qu'un nouveau courant, plus puissant,
soumis à l'influence très variable du milieu. Du côté japonais, le
mental
est tout autre. Nous avons affaire à un insulaire
ci se traduisent immédiatement par des irrégularités ou des anomalies
mentales
. Nous reconnaissons que Ton en doit au premier
ent incompatible avec la vie commune, est constituée par des troubles
mentaux
véritables, moins tenaces toutefois et, par suite
le savons, sous l'influence des facultés, mais surtout de la fatigue
mentale
, dont les préoccupations, les soucis de toute nat
scrites : Dr Binet-Sanolé : Rapport sur un cas prétendu de suggestion
mentale
et de transmission de pensée. D' Fiessisger : L
Paris, h, av. des Gobelins (5*j. Les malades atteints d'aliénation
mentale
ne sont pas admis. INSTITUT HYDROTHÉRAPIQUE DU
tisme. sommeil provoque. somnambulisme. suggestion NÉVROSES. maladies
mentales
et nerveuses. médecine légale. PÉDAG001S criminol
héraplque du Vésine; (S.-et-O.). D* Pottier. 10. rue Plcpus (Maladies
mentales
et nerveuses). D[ Signex(PavIIlon Charcot), 138,
ù, tantôt à la peur morbide de l'Insomnie, tantôt à une surexcitation
mentale
qu'ils sont incapables d'enrayer—, ou bien, s'ils
scrites : D' Binet-Saxglb : Rapport sur un cas prétendu de suggestion
mentale
et de transmission de pensée. D' Bérillon : La
heures, à partir du fundt 16 januier. 2* L'hypnotisme et l'orthopédie
mentale
. Les jeudis à cinq heures, à partir du jeudi 12 j
in de la Salpétrière, reprendra ses leçons cliniques sur les maladies
mentales
et nerveuses, le jeudi 12 janvier 1905 à dix heur
Pans, 14, av. des tiobellns ($•). Les malades atteints d'aliénation
mentale
ne sont pas admis._ INSTITUT HYDROTHÉRAPIQUE DU
héraplque du Vésiaet (S.-et-O.). D* Pottier, 10, rue Plcpus (Maladies
mentales
et nerveuses). D* Signai (Pavillon Charcol), 1M,
formel, réfléchi et raisonnable, l'homme se révèle doué de fonctions
mentales
supérieures: par là sa personnalité s'affirme, et
uction h un cours sur les applications de l'hypnotisme à l'orthopédie
mentale
. Le manque de principes, l'instabilité dans les
il importe de retenir de son enseignement c'est que la transformation
mentale
d'où résulte le caractère s'opérera comme par une
ace dans la cure de l'alcoolisme ; 11 donne, avec une bonne direction
mentale
, la vigueur nécessaire au maintien de la bonne re
aris, 14, av. des Gebelina (5"). _Les malades atteints d'aliénation
mentale
ne sont pat admis._ institut hydrothérapique du
NTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE - PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES MMar m i(!: DocTEOR Edgar bér1llon
ME, SOM MEI I. PROVOQUE, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES, MÉDECINE LESALE, PÉDAGOGIE CRIMINOL
hérapique du Vésiaet (S.-et-O.). D* Potiler, 10. rue Picpus (Maladies
mentales
et nerveuses;. Dr Signez (Pavillon Gharcot), 1M,
Bechterew, à St-Pétersbourg; le premier a pour titre : La suggestion
mentale
et les rayons de Blondlot, l'autre: 17» cas de cl
e supprime de plus en plus les actions et les remplace par des manies
mentales
de plus en plus nombreuses. Puis, elle ne tarde p
an>. 14, av. des Gobciln*(a*). Les malades atteints d"aliénation
mentale
ne sont pat admis.__ institut hydrothérapique o
MM. les D™ Bérillon, Rakfb-gea . Paul Karez, p. 309. 7. L'onanisme
mental
et son traitement psychothéra- pique, par M. le
RENCES. — I. Blôpharospasme psychas- thénlque.— 2. Pseudo-confusion
mentale
hystérique, par M. le professeur Raymond, p. 314.
elle-Orléans, p. 318. — L'odeur des Européens,"p. 319. — L'aliénation
mentale
en temps de guerre, p. 319. VI. — NOUVELLES. — En
héraplque du Vésînet (S.-et-O.). LV Portier, 10, rue Picput (Maladies
mentales
et nerveuses). D' Signez (Pavillon Cbarcot), 138,
st Les femmes à barbe sont-elles plus prédisposées aux affections
mentales
que les autres?Telte est la question qu'une obser
que l'apparition de la barbe ait le moindre rapport avec l'aliénation
mentale
. En effet, il n'est pas légitime de comparer des
grande dans les asiles, avant d'invoquer l'Influence de l'aliénation
mentale
, 11 faudrait se demander si d'autres causes, en p
erver se sont empressés de les signaler dans les recueils de médecine
mentale
. Le D' Mac Dowall, médecin de l'asiled'aliénés
siled'aliénés du Comté de Northumberland, a publié dans le Journal of
Mental
Science {') deux cas de femme à barbe qu'il a eu
menton (Pig. 48). Peu de temps après son entrée à l'asile, son état
mental
s'améliora,-on l'occupa à la buanderie ; mais ass
ois enfants. On peut supposer que parmi les causes de son dérangement
mental
peuvent figurer la maladie et la mort de son mari
. H... était la seule qui présentât une anomalie physique ou une tare
mentale
. Jusqu'à sa maladie, elle s'était montrée d'un ca
lait aussi en faveur de la nature fonctionnelle, ou, pour mieux dire,
mentale
, c'était que le besoin disparaissait aussitôt qu'
mmeil? J'ai soigné un peintre-décorateur atteint d'accès de confusion
mentale
; il sortait complètement de son étatde confusion
'il vient d'élrc nommé, après concours, chef de Clinique des maladies
mentales
et nerveusos à la Faculté de Médecinede Montpelli
M. Bérillon, Raffegeau et Paul Farez. • M. Bérillon. — « L'onanisme
mental
et son traitement psychothérapique. » — Discussio
t le sommeil hypnotique, je suscite chez le dormeur la représentation
mentale
de la traversée avec tous ses ennuis et je l'entr
et la lui laisser pendant toute la durée de son sommeil. L'onanisme
mental
et son traitement psychothérapique par M. le D'Bé
lades prouvent que l'onanisme est toujours précédé de représentations
mentales
à caractère luxurieux dans lesquels des sentiment
nis jouent le rôle déterminant. Dans quelques cas ces représentations
mentales
suffisent à elles seules pour provoquer l'orgasme
ur provoquer l'orgasme vénérien. Le plus souvent, ces représentations
mentales
précèdent et préparent les manœuvres d'onanisme m
romanes. Ce qui est intéressant dans ce cas, c'est le point de départ
mental
. La malade commence à réaliser l'onanisme en évoq
ntal. La malade commence à réaliser l'onanisme en évoquant des images
mentales
lascives ; ce n'est que quand elle a ressenti des
ages, l'acte n'existerait pas. Il s'agit là d'un véritable onanisme
mental
; car pour éprouver les sensations qu'ils recherc
leur suffit de recourir à l'évocation d'images et de représentations
mentales
appropriées, Certains deviennent même fort habile
Les rêveries sentimentales ne sont qu'un premier degré de l'onanisme
mental
et il est prudent de ne pas les encourager. Lor
pulsivité irrésistible, elles compromettent l'équilibre des fonctions
mentales
ou même mettent en danger la vie des malades, le
Dans mon service de la Salpélrière, je vois aussi des cas d'onanisme
mental
, mais ils se manifestent à la suite d'hallucinati
ême, certaines hystériques ne se touchent pas et cependant l'onanisme
mental
les oblige à gesticuler et à pousser des cris ext
ce qui s'est créé tout entier par auto-suggestion. Psendo-confusion
mentale
hystérique (1) par M. le Professeur Raymond.
nd pas aux questions qu'on lui pose : cela milite en faveur de l'état
mental
hystérique. De plus, en septembre 1904, a la suit
es, vous aveztous l'impression qu'il s'agit d'hystérie avec confusion
mentale
. Or, il ne faut pas faire de diagnostic sur une i
e pas faire le diagnostic d'hystérie, car l'hystérique avec confusion
mentale
guérit, tandis qu'ici, tout est à craindre. BUL
D' Demonchv : L'hypnose spirlte. Dr Farez : L'asynergie des images
mentales
, le trac et quelques autres faits de psychologi
re qu'exhalent les nègres et aussi les « jaunes » ?... L'aliénation
mentale
en temps de guerre M. le Dr Jacoby, médecin en
les sacriûer d'avance ». Dans la guerre russo-japonaise, l'aliénation
mentale
sévit surtout dans l'armée russe. Les Japonais en
aris, 14, av. des Gobelios (£*). _Les malades atteints f aliénation
mentale
ne sont pjs admis.__ institut hydrothérapique d
traitées toutes la» questions qui relèvent de la psychologie ot péri
mentale
. CHAQUE NUMÉRO CONTIENT : !• Un bulletin sur
NTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES fWutliLt ti tit\: Docteur Edgar BÉ
TISME, SOMMEIL PROVOQUE, SOMNAMBULISME, SU00B6TI0S NEVROSES, MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES, MÉDECINE LÉGALE, PÉDAOOÔIB CRIMINOL
taérapique du Véainei (S.-el-O.). D* Ponter, 10. rue Picpus (Maladies
mentales
et nerveuses). D* Signez (Pavillon Cborcol), 13s,
nal (1), quatre observations de femmes à barbe atteintes d'aliénation
mentale
. Noua en donnons le résumé : Obs. I. — Femme de
barbue indique qu'on se trouve en présence d'un sujet doué d'un état
mental
anormal. (1) William Hills. Médical Times. Lond
rise la voix masculine, clic parait aussi retourner par ses aptitudes
mentales
au type ancestral de l'homme. Dans ces conditions
al de l'homme. Dans ces conditions elle se rapprocherait par son état
mental
des individusdont la folie consiste surtout en ce
S7S), cas du D'Ernest White- Elle entra à l'asile pour des troubles
mentaux
consistant en une manie avec impulsions à la viol
la violence. Une de ses grand'mcres avait présenté les mêmes troubles
mentaux
. Dans ses accès elle se montrait incohérente, vio
pas la théorie du Dr Mercier. Entre les femmes à barbe dont l'état
mental
est normal et celles qui sont aliénées, il convie
s aurons en vue les sujets présentant des symptômes de dégénérescence
mentale
se traduisant par une irritabilité exagérée et pa
jets chez qui la crise alcoolique est un des symptômes de l'affection
mentale
, affection qu'on observe dans certaines formes de
Le docteur Bérillon (de Paris) a créé un terme spécial « orthopédie
mentale
» pour signifier la « rééducation psychique » des
existence. C'est là qu'apparaît, dans toute sa force, l' « orthopédie
mentale
» de M. Béril-lon. Presque tous les sujets cessen
r obtenir des résultats définitifs, il faut appliquer 1' * orthopédie
mentale
» au moins pendant un an. quoiqu'on puisse avoir
se rappelle ce qui a été dit au sujet de l'importance de l'orthopédie
mentale
, on comprendra facilement qu'il est impossible de
es dont nous avons parlé précédemment ont été soumises à l'orthopédie
mentale
, dont nous avons déjà signalé l'importance et don
mplètement calme et détendue. Il semble que son agitation physique et
mentale
a été terrassée, jugulée, comme le sont, en parei
alme et au sommeil. 11 y a plus. Dans l'insomnie par préoccupations
mentales
, cette narcose coupe court à tout ce qui faisait
hy. 2. M. Binet-Sangle. — Rapport sur un prétendu cas de suggestion
mentale
et de transmission de pensée. Discussion : MM.
Dr Drmonchv : L'hypnose spirite. D' Parez : L'asynergie des images
mentales
, le trac et quelques autres faits de psychologi
Paris, M, av. des Gobellns (5*). Les malades atteints d aliénation
mentale
ne sont pas admis. institut hydrothérapique du
NTAIRE ILLUSTRÉE psychologie — pédagogie — médecine légale maladies
mentales
et nerveuses RUirbir ei ùtl: Docteur Edoar BÉRI
tisme, sommeil provoque, somnambulisme, suggestion KEVROS8S, maladies
mentales
et nerveuses, médecine légale, pedagogie criminol
hérapie;ue du Véslnet (S.-ct-O.). D* PotUer. 10, rue Piepus (Maladies
mentales
et nerveuses). D' Signez (Pavillon Chàrcot), 138,
e sans qu'on puisse percevoir une altération quelconque des processus
mentaux
; tout ce que l'on constate, c'est qu'elle ne se r
c'est qu'ils sont morts. Et ainsi existe un antagonisme entre l'état
mental
de Marie-Louise et les modifications que le temps
nt des impulsions sexuelles. Uf Paul Farbz : L'asynergie de3 images
mentales
et les diverses manifestations du trac. D' Dbli
des), par Bérillon, p. 255. Aliénés en Belgique, p. 160. Aliénation
mentale
en temps de guerre. p. 319. Alcoolique traité
ions universitaires, p. 95. Odeur des Européens, p. 319. Onanisme
mental
el traitement psychothérapique, par Bérillon, p.
iébeault (Rapport sur le), par Paul Pares, p. 147. Pseudo-confusion
mentale
hystérique, par Raymond, p. 315. Renaissance
ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE 1 DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION Dr J.-M. CHARCOT
'enfant ne se plaint plus de ses douleurs. (A suiove.) PATHOLOGIE
MENTALE
QUELQUES CONSIDÉRATIONS SUR L'ÉVOLUTION DU DÉLI
le siècle dernier, ce qu'on peut appeler la science de l'aliénation
mentale
a fait, certes, de grands progrès; pourtant, au
cisément il ces conclusions. . Archives, t, VI. 2 18 8 PATHOLOGIE
MENTALE
. traités classiques de nos maîtres, ! on se rec
ore). - Etudes cliniques. Traité théorique et pratique des maladies
mentales
, IIIe partie.. Paris et Nancy, 1852-183, . DU D
iés à quelque névrose (épilepsie,- hystérie ? etc.). 20 PATHOLOGIE -
MENTALE
; ¡HI n(' dès' délires' liés à quelque lésiônror
,peut;Jà'la rigueur, traverse)la)vie sanstnotable accident du côté
mental
;·s;il;se développent, s'il évolue^dans un milie
es. qu : il,pésente ? l ? ú sa 'Au ! début deEtqute<a ! iénation
mentale
? il) y,,a"une ,dbulèr.,Cette,,vérit6 aLété,)mi
le D ? J. Christian. Paris,' 1876. " ,> : F2 ,¡11 : h\T110LOmc :
MENTALES
1" soit' l'origine, le plus souvent héréditaire
chez lui, sans contre-poids et suscitant le délire, Y hypochondrie
mentale
. Au moins, l'avons-nous obser- véeisans excepti
ble de connaître chez nos. malades les, débuts ,de leur affection
mentale
. Notre expérience est sans doute un peu' jeune,
vé aux' mêmes conclusions. , . , , ,i Parfois, cette1 hypochondrie,
mentale
\ est assez légère pour permettre au, malade de
récisé- ment, il survienne, quelque douleur, cette hypochondrie -
mentale
s'accentue; le ,malade' étant d'ailleurs, dès sa
qu'on, retro,uve'a'u début de'toutel alié- nation : d° hypochondrie
mentale
ou physique; ° dou-i leur, surtoutmorale;'3°.pe
nières ? Ou' bien lennalàde resteicantonnédaiis son, i hypochondrie
mentale
,- dans 'son» hypochondrie phy- sique; pew àvpeu
tl le ? JI.ilf1¡J ? ,l'r ? ¡'HHI 'c/)')fJrrl ' Esquirol ? Maladies
mentales
, t. If,.p. 12 à,16. Paris, 1838. ) ? (M-'l-jI-. r
le, \proposition, en divers endroits, de son Traité des nzcclad,ies
mentales
^. Pour nous, bien que 1 l\. A., Fovi 1 le, fils
" J Ln 1 a i 1 · - J" i i'·J I, ,1, .\Iorel. - Traité des maladies
mentales
, p. 265 et suiv., li 19 et suiv., 714 et suiv.
Cerise et Morel, loc. cil. , > v i, ? , i 1 / 28 ^'PATHOLOGIE*-
MENTALE
. zig t¡,tl 1 déj àdé) datetplús10ümoinsi ancien
, paë exemple, deux, malades1 qui's'èngagènt" dans .30 ' PATHOLOGIE
MENTALE
. la.-période d'expansion : ' l'un arrive à croi
,présentera plus^ou moins de cohérence]' suivant que les 'facultés
mentales
du malade se trouveront là -ce moment'iplus »ou
cette proposition : « L'on s'imagine à torique 32 11'" PATHOLOGIE,
MENTALE
. « Les souverains des Petites-Maisons déplorent
ransitions. N'oublions pas; enfin, qu'au début même 'de l'affection
mentale
,' il y avait déjà-un fond'primitif de débilité,
Au cours de l'évolution vésanique, cet affaiblissement des facultés
mentales
n'a fait que s'accentuer progressivement; il es
bide, c'est la peur- Al\CIl1v¡ ? l. VI. 3 34 ? (1 , si PATHOLOGIE
MENTALE
. ' ! Il 1.rl11-1 \ ? J '1 ! e ? : sio,t iîîëiîî
n être qui entravé sa otiérison,, .. 1, 7 l44 ? ? f '' " PATHOLOGIE
MENTALE
. ff 'SI7H 1 particularité qu'elle 'n'avait pas
ec le retour d'âge, présente des désordres 1,6 ri '/il 1 PATHOLOGIE
MENTAL
! ! ] ? ""1 I affectifs, dont elle a conscience
, isolées, oui- iia,i ou, on i. n'a pas ,2 ;- yt 8r ' * pathologie-
mentale
. yl ? itr'1;3. : r conscience.de' ses. hallucin
mais, loin de s'effrayer ou'de s'affli- 51 < ",1 t ? PATHOLOGIE
MENTALE
. - -'1 ' ·ft.IH . ger de ce désordre mental, el
lt; ",1 t ? PATHOLOGIE MENTALE. - -'1 ' ·ft.IH . ger de ce désordre
mental
, elle s'en' réjouit.- Dans sa conviction; Dieu
oir' diriger.) ses ! , pensées' était, ! la preuveh d'uri9 désordre
mental
;) mais;) pour elle; sa maladie était d'ordre surn
5rr \t.. ? lit" 111 ,¡, i{f', 4 "t) ? 58 '/1"1' r.m, I'·'ftIOLOGI1;
MENTALE
. , Il "1;11[ ..W -.Dans d'autres, cas, plus étr
I )fi,d1( , : or.}' - "'\IV ! La'conscience est1/ ! enf aliénation]
mentale
, tantôt un élément ci7nstüictif,ftântôt-uméléme
inte)iect'et)rinconscienee absolue ; s seules' /M' représentations*
mentales
peuvent* être; cons- l@cientés.Ificb aIEluJ"'3f
iques hystériques considérées comme sujets d'expérience en médecine
mentale
. (Illusions, \ hallucinations, impulsion., irrési
tance au point de, vue- médico-légal) ; ,par,Cb.t rt : nH ? L'état.
mental
ides hystériques al été (le sujet .d'études trè
tJ 111" #1"1 ,-i ? IJI 1< , ? 'IlHI ? vue spécial de la médecine
mentale
et de la .médecine, légale ? '" " On comprend s
l'occlusion avec compression 1 H. Iluchard. Caractère, moeurs, état
mental
des hystériques (Archives-de'Netirologie; t. II
2 H. Legrand du Saulle. Les hystériques; état physique et état "
mental
, actes .insolites, délictueux et criminels; in-8°
during the cataleptic period of hypnotism. [Journal orne/'vous and
mental
science,t : X, 1583.)TIJ ? l'II' il - ! i " Bou
quement voulus ; 1 Billod. ,1nn, méd. psych., 1S47, et Des Maladies
mentales
et ner- veuses, 1882, t. le»-, p. 144. 2 Ribo
L'homme, dont la sensibilité est normale et est réputé en équilibre
mental
, réagit à chaque impression qu'il subit; mais l
and secours pour l'étude des délires spontanés ; 3° que la médecine
mentale
peut trouver dans l'hystérique hypnotisahle un
d'expérience. Mais la possibilité de l'expérimentation en médecine
mentale
n'est pas le seul point intéressant qui soit mi
nt les épileptiques aliénés, qu'ils soient atteints de perturbation
mentale
transitoire ou chronique. 2° Ceux qui, sans êtr
, sur le placement des personnes aliénées ou suspectes d'aliénation
mentale
, qui sont, pour cause de crime oa délit, inculpée
'établissement comme aliénées ou soupçonnées atteintes d'aliénation
mentale
, qu'elles soient préven- tivement séquestrées,
pour la sécurité publique. ° Les personnes qui en état d'aliénation
mentale
ont commis un délit ou un crime, seront traitée
aliénés. 6" Les personnes dont on instruit l'affaire ou dont l'état
mental
paraît douteux à l'époque de l'acte délictueux,
her à la lésion' d'un organe' coordinateur ? La physiologie expéri-
mentale
rapprochée de l'anatomie pathologique, permet de
Eickholdt. Pathogénie des attaques de paralysie dans les mala- dies
mentales
. Sera publié 3. ", ` ".... J 1 i r , 1 1 1 '
s sensitifs de l'hystérie, l'hys- téro-épilepsie, certains troubles
mentaux
, certaines céphalalgies : , 1°' Les nausées et
" des troubles menstruels, étaient en connexion avec des troubles
mentaux
, le plus souvent là''hiéIan'colie,Jqui;oht'quëiqu
emière revue russe consacrée spécialement aux maladies nerveuses et
mentales
. Cette revue, publiée sous la direc- tion de M.
le professeur J. Mierzejewski, porte le nom de Messager de clinique
mentale
et nerveuse (Wiestuick psyckiatrii, nervoi pathol
agnent ou les suivent, Nouaux ne présente aucune trace d'aliénation
mentale
. Il ne croit pas avoir d'ennemis, ne se plaint
e médico-légale sur les épileptiques. Paris, 1877. - - PATHOLOGIE
MENTALE
QUELQUES CONSIDÉRATIONS SUR [.'ÉVOLUTION DU DÉL
, d'incohérence, de puérilité; elles ne peuvent que refléter l'état
mental
de ces êtres, si pro- fondément déchus dès leur
ites à l'asile Sainte- Anne, p. 27. Paris, 1877. 172 3 PATHOLOGIE
MENTALE
. avons pu en recueillir une observation assez n
re, que devient le malade ? Profondément affai- bli au point de vue
mental
, il tombe dans la démence. Mais cette démence,
ment, avec l'activité délirante s'en est allée aussi l'acti- vité
mentale
, qui était son substratum ; et nous n'avons plu
initiative, il peut être rendu à sa famille; dans son affaissement
mental
, il ne délire plus. Quelques auteurs appellent
autres déments, bien qu'au sur et il mesure de leur affaiblissement
mental
la scène délirante soit devenue de plus en plus
u moins de traces de l'activité délirante, et nous 17 'l PATHOLOGIE
MENTALE
. aurons ainsi diverses formes de démence. Ces d
te, le seul qu'on doive retenir, c'est l'état de profonde déchéance
mentale
qui se retrouve partout le même : la variété de
nous trou- verons des sentiments de grandeur, d'expansion. L'être
mental
, en effet, affaissé de longue date, a perdu chez
elles du début. A la fin de l'évolution vésanique, en effet, l'état
mental
est tout autrement affaibli que dans les premie
persécution, il faut, en effet, un effort 176 G l ? l'H 0 L 0 (j 1
MENTALE
. mental plus grand évidemment que pour une inte
n, il faut, en effet, un effort 176 G l ? l'H 0 L 0 (j 1 MENTALE.
mental
plus grand évidemment que pour une inter- préta
te hypochon- drie confuse, survenant au sein d'un affaiblissement
mental
avancé, l'apanage exclusif de la démence vé- sa
leur propre déclin, voyant leur corps se dégrader, leurs facultés
mentales
baisser peu à peu, n'en viennent-ils pas, peu o
t simplement de la période dépressive, de la période d'hyperalgésie
mentale
(perversion douloureuse du sens émotif avec con
Cerise et Morel, 1OC- cit. Archives, t. VI. 1 : ! 178 PATHOLOGIE
MENTALE
. sur et à mesure qu'évolue la vésanie, c'est el
us paraît être un singu- lier artifice pour démembrer la pathologie
mentale
et compliquer l'étude de la vésanie. Pour nou
ituer une entité pathologique, comme on a voulu faire en aliénation
mentale
? Le 180 PATHOLOGIE NERVEUSE. type supérieur
l- lules nerveuses il n'en existe pas moins une différence fonda-
mentale
qui est la suivante : nous n'avons jamais trouvé
ns pas ici sur ce point; on trouvera d'ailleurs revue DE pathologie
mentale
. 261 encore plus loin (OBs. XXVIII) un fait de
le voir dans le chapitre suivant. (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
I. La FOLIE DOIT-ELLE ÊTRE considérée comme une
l'amendement, et que leur avis fut écouté. 262 REVUE DE pathologie
mentale
. Peu de temps après, le 9 mai 1882, M. le D' Bl
ables au bout de quatre ou cinq ans de maladie, REVUE DE pathologie
mentale
. 263 ou, pour accorder à M. Luys le bénéfice de
nous exposer à sortir des limites de notre 264 REVUE DE pathologie
mentale
. compétence, nous étendre davantage sur ce poin
aralytique. D'autant plus que les prostituées, chez qui l'affection
mentale
en ques- : tion parait être assez fréquente, cons
z fréquente, constituent le seul élément social REVUE DE pathologie
mentale
. 2C5 5 féminin souvent infecLé. On sait, au res
les Arch. de Neurologie, t. V, p. 94. 1 i 266 . REVUE DE pathologie
mentale
. cinq francs en argent : on les voit s'élever a
1 V. les Archives de Neurologie, t. II, p. 278. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 267 moyens que l'on sait au niveau des zones p
franc, à l'aide de la pommade que voici : 268 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. d'un usage prolongé et fréquent : aucun inconv
ie'. Les experts nommés conclurent à l'amoindrissement des facultés
mentales
de par le fait d'un défaut d'éducation ; en l'ab-
t. III, p. 53; IV, p. 132; V, p. 374 et 375. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. G9 X. De l'influence des 111L.1DIES fébriles s
Archives de Neurologie, t. le,, p. 476-478. 270 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. le mouvement de rejet primitif inconscient; l'
naissance ne pouvant servir à pareille détermi- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 271 [ nation. La même évolution, les mêmes sym
en constitue le signe principal, comme le délire dans la pathologie
mentale
: souvent aussi, dans la folie, elle n'est que
connus. 80 SOCIÉTÉS/ SAVANTES2 - e111.o5uanr ? Sur.zua t¡,onul L
mental
< co¡¡éwti{ ? â ] nntoxicationJipa1' l'iodof
hes constituera le lieu le plus propre à se rendre compte de l'état
mental
; ,2° Lorsque des actes criminels graves motive
par le D MORDRE. Thèse de Paris, 1883, in-8o. Manuel des maladies
mentales
; par BRA. Paris, 4 883. Des nouvelles acquisiti
hèse de Paris, 1883. Du suicide dans quelques formes d'aliénation
mentale
; par Clament. Thèse de Paris, 1883. Du pemph
cision ministérielle, des consultations gratuites pour les maladies
mentales
et nerveuses auront lieu, à l'asile des aliénés
.; pour nos abonnés, prix : 4 1f. Bna (M.). - Manuel des maladies
mentales
. Un volume in-tS de 282 pages. Prix : 4 fr. Par
age oral s'effectue pas à pas; chaque jour son réper- 33(i CLINIQUE
MENTALE
. toire s'enrichit d'expressions nouvelles, cons
à l'instant plein de sens et rigoureusement conséquent. CLINIQUE
MENTALE
DES HALLUCINATIONS BILATÉRALES DE CARACTÈRE D
élire des sensations, p. 106. Archives, t. VI. 2*2 338 . CLINIQUE
mentale
. du dédoublement et de l'indépendance fonctionn
iète par les mots : « Je n'ai jamais eu de chance» . 31O ' CLINIQUE
MENTALE
. A vingt-six ans, le délire s'accuse; les camar
; l'hémisphère droit répondant au côté gauche dis- 312' ' CLINIQUE
MENTALE
. posé à la joie et faisant presque entièrement
rduriers et l'on par- lait des obscénités du diable. 344 CLINIQUE
MENTALE
. Ce malade adonné à l'absinthe a présenté, en o
à droite qu'à gauche. Ce délire très bruyant se superpose à l'état
mental
préexistant qu'il masque. pour un temps. Puis a
et de leur traitement. Paris, 1874, p. 68 et 255. 3 if, CLINIQUE
MENTALE
. chez tous les trois, nous voyons commencer à p
e région de l'hémisphère doit-on les localiser ? ` ? 350 CLINIQUE
MENTALE
. Lorsque M. Baillarger1 publia son remarquable
882.) 1 Fritsch. Wiener ltlcdlcinische Presse, 1880. 352 CLINIQUE
MENTALE
. (service de Meynert) et le mien' qui désignent
nard rapporte un cas de suppression brusque et isolée de la vision
mentale
des signes et des objets, qui a fait l'objet d'
conserve les images visuelles explique entièrement cette situation
mentale
nouvelle. Quand, au contraire, ce centre cortic
'écorce qu'il faut les rattacher. AncmVES; t. VI. 23 354 CLINIQUE
MENTALE
. Dans un travail sur les hallucinations unilaté
vait ré- tabli. Des faits analogues sont nombreux en pathologie
mentale
sans qu'une filiation intime puisse être établie
dans son Essai sur les moyens de prévenir et de guérir l'aliénation
mentale
, un exemple de mérycisme. Le malade ayant succo
, le résultat de nos Aucuiviis, t. VI. 26 402 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. recherches ne concorde pas avec ce que nous tr
servation XXVI). (La fin au prochain numéro). REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XV. Lux TIIOUBLES DE LA VUE U'OIIIG11E CIsRÉUIi
sement expliquerait la cécité corticale totale; REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. K)3 il reste au surplus indéterminé '. Au lobe
XVI. SUR L'ÉTAT DE LA TEMPÉRATURE DANS QUELQUES FORMES DE MALADIES
mentales
(rapproché du centre régulateur de la chaleur); p
'ecoree. (Archives de Neurologie.) P. K. ' II)4 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. culaire qui est la source de la production de
rce. P. K. XVII. DE la CONSCIENCE DE la maladie dans LES affections
mentales
; par Arnold Pics. (Arch. f. Psych. Il. Nervenk.
chez les hommes dont les pupilles réagissent . REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 05 mal à la lumière. Elle fail exclusivement d
forte sécrétion sudorale. P. K. XX. Rapport MÉDtCO-LËGAL SUR l'état
mental
DE DELY-lIIEUE\IED, ACCUSÉ DE MEURTRE SUR LE LI
ents en vertu desquels l'auteur rejette l'existence d'une affection
mentale
. Détails morcelés sur les moeurs turques. P. K.
on, le délire des grandeurs n'affecte point une REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. li 07 forme fixe, ne soit pas stéréotypé. lis
rédisposés, s'associe assez souvent à certaines formes d'aliénation
mentale
ou à certains états psycho- pathiques. Elle se
morphine, ergotine, digitale) qui agissent 408 REVUE DE pathologie
mentale
. sur la tension vasculaire n'eurent au reste qu
e diminution d'action des vaso-moteurs. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 409 XXVII. Manie transitoire consécutive A la
let entre le cou et l'occiput chez un enfant de REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ,il 1 douze ans; violente frayeur chez un garç
chez les individus atteints de lathyrisme. 412 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. L'auteur signale aussi la fréquence plus grand
Pétersbourg, 1883). L'auteur cite les cas déjà connus de la forme
mentale
appelée hébéphrénia en ajoutant deux observatio
personnelles. L'auteur pense que l'hébéphrénia n'est pas une forme
mentale
sui gene1'is et croit que c'est l'âge où l'enfa
enant sa nourriture que si on la slimulait vivement. Outre cet état
mental
, elle présentait à la ré- gion frontale gauche
malade n'était restée qu'une journée : Affaiblissement des facultés
mentales
avec sensiblerie ; confusion dans les idées, in
ypothèse d'une coïncidence simple entre l'amélioration des troubles
mentaux
et celle des manifesta- tions syphilitiques ext
N'est-ce pas la manifestation d'une lésion circonscrite ? Et l'état
mental
? 11 y a surtout une profonde obtu- sion qui em
- taque d'hémiplégie suivie dès l'abord de symptômes d'aliénation
mentale
qui prennent tout à coup un accroissement brusque
ois. On n'a pas à redouter dans l'espèce d'action nocive sur l'état
mental
, seulement il fauts'entourer de précautions, ex
jour. M. DE Rinecker communique l'histoire d'un cas d'aliénation
mentale
consécutive ci une leucorrhée extrêmement abondan
t toujours trop porté à attribuer à l'épilepsie tous les trou- bles
mentaux
qui se présentent chez un épileptique. M. Magnan
met à exécution un projet récemment combiné, etc. La disposition
mentale
existante au moment de l'ictus n'est pas interrom
dons à nos lecteurs le tableau de ce que M. Dreyfous appelle l'état
mental
du diabétique. Il cite ensuite la narcolepsie,
neurologie. [.Psychiatrie. - 1. Aperçu statistique sur les maladies
mentales
et les institutions psychiatriques des pays du
énés ; i. La valeur des exercices dans le traite- ment des maladies
mentales
; 5. Le rôle des écoles pour la pro- duction de
mentales ; 5. Le rôle des écoles pour la pro- duction des maladies
mentales
; 6. La température du corps pendant les stades
. La température du corps pendant les stades primaires.des maladies
mentales
; -7. L'aliéna- tion mentale dans l'enfance ; -
dant les stades primaires.des maladies mentales; -7. L'aliéna- tion
mentale
dans l'enfance ; - 8. Perversité de l'instinct se
Le rédacteur-gérant, 130URNEV1LLE. TABLE DES MATIÈRES Aliénation
mentale
consécutive à une leucorrhée, 424. Aliènes (h
du sud-ouest, Il-)3. Conscience de la maladie dans les maladies
mentales
, 40 ? Couleurs (perception des), 99. Crimes c
S liystéi-i(lues cousidétés comme sujets d'expérience en médecine
mentale
(illusions, hal- lucinations, impulsions irrési
chez les enfants, par Sikorsky, 319. Loi de 1838, 121. Maladies
mentales
( température dans quelques formes de), 403.
Y. ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE . DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
PUBLIEE 9 0 U 8 I. A D I Illï C T 1 0 N 1)1 !
s mouvements finissent par avoir les symptômes du vertige expéri-
mental
. Il est à remarquer que les animaux ne vo- miss
hisseurs du genou. En revanche, presque tous les symptômes fonda-
mentaux
ont progressé et d'autres nouveaux s'y sont ass
allumé un incendie et tout porte à croire qu'en raison de son état
mental
très affaibli, il a agi d'une façon inconscient
médecine générale, elle est absolument insuffisante en méde- cine
mentale
où la recherche des causes est peut-être un des
présentant différents traits caractéristiques de/ la dégénérescence
mentale
, et quelquefois même des stigmates/ physiques,
onde admet bien la possibilité de la stupeur dans toutes les formes
mentales
: mais ceux-ci s'en tiennent là, ceux-là décriv
r une période de mélancolie simple ou même par un état d'exaltation
mentale
antérieur (manie ou anxiété), faut-il en conclu
? Si cela était, il resterait bien peu de choses de la pathologie
mentale
; car il n'est guère d'affections vésaniques qui s
nt identiques à elles-mêmes dans toute leur durée ; et l'exaltation
mentale
et surtout la dépres- sion, l'hypochondrie mora
nésie (reproduction du geste) et de coprolalie, ainsi que d'un état
mental
particulier qui se manifeste surtout par l'appari
ions cérébrales; par W. J11liUS MlCl, : LE. 77 ! e</OM ? 'Ha/ of
Mental
Science , avril 1885.) L'auteur rapporte briève
ctus de dégénérescence, de forme arrondie, dans REVUE DE pathologie
mentale
. 78 la colonne latérale gauche; un tractus anal
amides était le point le plus atteint. R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
I. Quelques mots ajoutés A ce que l'on sait DE
sychiatrique de la province du Rhin, tss5. 76 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ans. Un seul demeura guéri ; il n'avait paspré
celui qui appartient à la narcose, à l'ivresse REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 77 morphinique. Les symptômes furent ceux qui
'étiologie des difformités congénitales. Son 78 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. attention fut portée sur ce point la première
culation foetale est troublée. La connexion est REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 79 si intime entre la mère et le foetus, que c
t de M. Il... PEINTRE DE portraits; par W.-A. Guy. (Tite Journal of
Mental
Science, juillet 1885.) Nous devons nous borner
st à noter qu'il ne s'agissait pas d'une fièvre typhoïde), son état
mental
commença à s'améliorer, et fina- lement elle ab
ntenue, et sa santé physique était aussi satisfaisante que sa santé
mentale
. L'affection intercurrente a-t-elle eu ici une
fection intercurrente a-t-elle eu ici une influence sur l'affeclion
mentale
? c'est un point sur lequel l'auteur n'entend p
er le fait tel qu'il a été observé. R. M. C. 80 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. VI. UN CAS d'iMBÉCILLITÉ AVEC ANTÉCÉDENTS HÉRÉ
I. Folie morale ou émotionnelle; par D. HACK TUItE. (The Journal of
Mental
Science.) L'auteur rapporte plusieurs observati
s exemples d'un état cérébral morbide , dans lequel les symptômes
mentaux
observés sont d'ordre émotif et surtout automatiq
à la cognition, et peuvent être rapportés à cette forme de trouble
mental
que l'on désigne habituellement sous le nom de
D'OEIL sur la FOLIE EN ESPAGNE; par F.-A. JELLY. (Tlce Jourlznl of
Mental
Science, juillet 1885.) Le lecteur qui chercher
ans aucune participation des centres et en particulier de la sphère
mentale
. La névrite multi- loculaire est donc seulement
présentation d'un certificat de médecin constatant son aliénation
mentale
, ou même, en cas d'urgence, sur la production d'u
e premiers mois que l'on peut arriver à constater le véritable état
mental
d'une per- sonne ! J'ai assité à des interrogat
la liberté individuelle avec le traitement qu'exige l'atié- nation
mentale
. Nous sommes tous unanimes dans ce désir, nous
obstacle à cet abus, il est indispensable, et il suffit que l'état
mental
de la personne soit nettement établi. En sorte qu
ment des choses ordinaires; mais en médecine et surtout en médecine
mentale
, elles ne suppléent ni l'observation des faits
rains pas d'être démenti par les médecins ici présents, la médecine
mentale
est une science hérissée de difficultés et d'ob
bon sens et la raison sont des boussoles impuissantes. La médecine
mentale
seule a le privilège de diriger le médecin à tr
es du principe qu'elle avouait, et, au lieu d'adjuger à la médecine
mentale
l'aliéné comme son sujet naturel, l'internement
magistrats, 116 SÉNAT. pour apprécier la réalité de l'aliénation
mentale
, que les rapports elles certificats des médecin
endre l'aliéné contre l'erreur ou le mauvais vouloir de la médecine
mentale
! Et ces hommes n'ont pour s'éclairer, pour se
pes et pour obéir à des scrupules, le jugement des cas d'aliénation
mentale
, devraient être capables de discerner et de pré
lles, en état de le faire. Vous les con- traignez à ne juger l'état
mental
de l'aliéné que par les rapports écrits par les
ns dont vous suspectez la sincérité ; s'il y a eu erreur sur l'état
mental
de la personne, la même erreur sera 118 S SÉNAT
éprime beaucoup trop l'intervention seule compétente de la médecine
mentale
. (Très bien sur plusieurs bancs.) ' Il ne faut
n disciples de Galieu ou en antagonistes des maîtres de la médecine
mentale
. Ils ne sont et ne peuvent être que des légiste
de cette maladie est de plus en plus démon- trée. Lors d'aliénation
mentale
, il s'agit toujours de la même pié- disposition
, d'un autre côté, qu'elle ne se prolonge pas, dès qu'une affection
mentale
est reconnue afin que celui qui en estatteint r
tion du médecin de l'asile, indi- quant son appréciation sur l'état
mental
du malade. c Mon collègue désirant rester seul
e qu'est un asile d'aliénés et des caractères réels de l'aliénation
mentale
. Ce que doit exiger le ministre de l'intérieur,
açon plus manifeste, de rendre obligatoire l'étude de la pathologie
mentale
; il a montré avec une grande vigueur dans quel
rofessionnelle, mis en demeure de signer un certificat d'aliénation
mentale
ou d'éclairer une cour de justice sur une quest
ou d'éclairer une cour de justice sur une question de pathologie
mentale
. 142 FiAITS DIVERS. Sur la nécessité pour tou
QUES DE MEDECINE PSYCHOLOGIQUE ; par Edward MOOIIE. (The Journal of
Mental
Science, avril 1885). . L'auteur insiste énergi
ite dans les études médicales , à l'enseignement de la patho- logie
mentale
. Il signale les avantages qui en résulteront pour
our; la vie psychique des micro-organismes ; l'intensité des images
mentales
; le problème hypnotique ; note sur l'écriture hy
ervation XLIV. - Atrophie cérébrale. e/n/ë ? <' gauche. Débilité
mentale
et épilepsie. Père et grand-père paternel alcoo
st de l'hémianesthésie que l'on obtient. Avec ses données expéri-
mentales
établies par l'exploration des régions corticale,
gie, d'après quelques observations, presque exclusivement expéri-
mentales
, bien que quelques faits anatomo-cliniques ou cli
ure. 4, -1 ; zone radiculaire antérieure (Pierrot) ou partie fonda-
mentale
(Flechsig). 5, 5; cordon de Goll. 6, G; bandelett
si bien héréditaire qu'acquise. A côté de cet état physique, l'état
mental
se caractérisait par une apathie profonde et se
osé de rechercher, d'après des données positives : 1° si le trouble
mental
qui accompagne les attaques d'épilepsie exclut
adie. Ils sont méfiants et orgueilleux. Il est de règle en médecine
mentale
[que toutes les folies mentales coin SOCIÉTÉS S
eilleux. Il est de règle en médecine mentale [que toutes les folies
mentales
coin SOCIÉTÉS SAVANTES. 283 mencent par de la
de mettre en discussion le projet de clas- sification des maladies
mentales
. M. PALRET fait remarquer que son père avait dé
is le médecin doit avoir soin de signaler que le cas d'aliéna- tion
mentale
qui lui est soumis se traduit par des phénomènes
e la mémoire impossible), névropathies constitutionnelles (débilité
mentale
, hystérie). Enfin, en certains cas, nous obtien
; on l'accordera alors sans s'arrêter aux défec- tuosités de l'état
mental
ou physique Quand il existe un opiniâtre refus
ticable que la procédure actuelle de l'interdiction pour aliénation
mentale
laisse au magistrat la décision suprême de l'ex
siles publics ou des médecins prenant un vif intérêt à l'aliénation
mentale
qui installaient des asiles privés. Aujourd'hui
e cette enfant, dans la famille de qui on ne constate aucun trouble
mental
, présente exactement les mêmes phénomènes. Sa f
les intellectuels en pleine phase diacéturique. M. ZiiN. Débilité
mentale
. Incendie. Rapports contradictoires. Rapport su
e la séquestration d'un aliéné, ou d'une personne dont les facultés
mentales
sont légèrement dérangées sans être pour cela i
nde majorité des citoyens qui ont des parents atteints d'aliénation
mentale
ne peuvent recourir à ce procédé. Eh bien, ne t
estrer un citoyen ! « Est-ce que c'est seulement en cas d'atiéLatmn
mentale
que ce fait se sénat. 313 ii, produit ? Avez-
- titué par le présent arrêté le chef de la clinique des maladies
mentales
organisée à l'asile Sainte-Anne; lorsqu'il sera c
aculté DE médecine DE Paris. Concours pour le clinicat des maladies
mentales
. M. Rouillaiuj vient d'être nommé chef de cli-
Vol. XVI. Novembre 1888. Nu 48. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
MENTALE
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA. FOLIE COMMUNIQUÉE
ue, séance du 27 juin 1887. Archives, t. XVI. 21 322 PATHOLOGIE
MENTALE
. Que de fois le médecin de l'asile n'entend-il
utile d'encombrer la nomenclature déjà si"compli- quée des maladies
mentales
, et d'attribuer à une seule espèce morbide un v
transformée, folie induite, sont synonymes, avec une 324 PATHOLOGIE
MENTALE
. nuance toutefois pour la folie transformée, da
7). ' * Du délire chez les dégénérés. Paris, 1886. 326 PATHOLOGIE
MENTALE
. mouvements de l'opinion, de ces grandes passio
disposés s'émeuvent; certains voient momentanément leur équilibre
mental
se détruire. Il est notoire que les grands évén
, les délires reflètent les idées du moment. Si l'on examine l'état
mental
des malades, on retrouve celui des déséquilibré
a Folie à deux et le Suicide à deux. Th. 1885. 1 338 8 PATHOLOGIE
MENTALE
. cides, qni sont un syndrome du délire mélancol
agion existe. L'intermédiaire obligé est ici cons- titué par l'état
mental
des sujets. Ceci nous amène à la véritable path
eci nous amène à la véritable pathogénie de ces accidents. L'état
mental
, jouant un rôle prépondérant, doit être étudié
associé leurs conceptions délirantes, ne jouissent pas du même état
mental
. L'un joue un rôle actif, l'autre joue un rôle
l'entraînement subi. par l'homme pondéré était bien 330 PATHOLOGIE
MENTALE
. différent de celui que subit l'homme malade. D
elle qu'il faut souvent un long interrogatoire avant 332 PATHOLOGIE
MENTALE
. de mettre à nu l'idée délirante ou l'hallucina
alogues au point de vue médico-légal, Paris, 1887. 334 PATHOLOGIE
MENTALE
. mouvements, et elle dit immédiatement : « Voye
la fille. Elles sont entrées le même jour à Sainte- 336 PATHOLOGIE
MENTALE
. Anne, au bureau d'admission. La mère, M-e L...
égulière, et seu- lement quand elle manque de travail. Sur cet état
mental
se sont greffés des syndromes épisodiques et de
histoire de nos deux malades, Archives, t. XVI. 22 338 PATHOLOGIE
MENTALE
. celui qui a entraîné leur internement le même
ns plus ample informé, qu'elle n'est qu'un écho. ' 340 PATHOLOGIE
MENTALE
. Son délire repose sur trois points principaux
voir la notion exacte de l'acte qu'elle accomplit. 342 PATHOLOGIE
MENTALE
. Observation IV. Délire à trois. Père et mère
sans s'émouvoir. Ces faits donnent déjà une juste idée de l'état
mental
de la malade, qui, absolument sans défense et s
mière influence qui a été funeste, ils peuvent subir 344 PATHOLOGIE
MENTALE
. une' influence contraire, celle du médecin, qu
it jamais défaut, et par cela même il devient le caractère fonda-
mental
de cette forme. Presque toutes, pour ne pas dir
épilepsie à l'hôpital de Schwetz, transféré plus tard pour troubles
mentaux
à l'asile d'aliénés. Observé de 1857 à sa mort
n NET chez un garçon de onze ans, par le Dr S.wcie. (The Journal of
Mental
Science. Juillet 188.) Voici le résumé de cette
tive A une lésion corticale; par W. Julius Mickle (The Journal of
Mental
Science. Avril 1885.) L'autopsie révéla chez le
mbitieux dans l'alcoolisme chronique. * Classification des maladies
mentales
. - La Société de médecine mentale belge ayant d
* Classification des maladies mentales. - La Société de médecine
mentale
belge ayant demandé à la Société médico-psycholog
Société médico-psychologique un plan de classification des maladies
mentales
, en vue d'une statistique internationale, une c
de n'avoir pu répondre plus tôt à l'appel de la Société de médecine
mentale
belge '. Présentation du malade. M. Lwofî pré
. Psych. t. XVI). M. Nasse. Quelques mots relatifs à ['aliénation
mentale
d'origine paralytique, et notamment à la. guéri
lisme1 (Voy. Zcelch. f. PSclt., RLII). M. GOTTLON. Des affections
mentales
chez les montagnards. Qua- rante observations c
manifeste, il est probable, presque certain même, que l'aliénation
mentale
tient à ce mauvais traitement. M. IIEDOLD. Comm
ations casuistiques sur la simultanéité du tabès et de l'aliénation
mentale
. - L'orateur distingue avec soin la paralysie g
le commencement de z, il doit être tenu pour guéri de son affection
mentale
, tandis que le tabès est demeuré tel quel. Ce n
ns pour dresser une stéitistiqzicprofes- siontzelle de l'aliénation
mentale
dans la province du Rhin. L'as- semblée invite
envoyées aux membres de la Société, sur la question de l'aliénation
mentale
d'après sa répartition pro- fessionnelle, n'aya
arks nécessaire à l'établissement d'une statistique de l'aliénation
mentale
dans ses rapports avec les diverses professions
s extrc- - moment pernicieux de la cocaïne sur la santé physique et
mentale
, et « en présence de la constatation alarinatil
s sont de cet avis. M. SNELL parle de la simulation de l'aliénation
mentale
. A ses cinq observations relatives à la simulat
TESTEUR. Je ne voudrais pas vous faire un cours sur l'alié- nation
mentale
, cela me serait très difficile, mais permettez-mo
e caractérise et s'il est démontré qu'il y a là un cas d'aliénation
mentale
, il est nécessaire de pro- céder à des mesures
état et la capacité civile de la personne résultant de l'aliénation
mentale
. M. de Gavardie. Eh bien, cela suffit. li, 6
uve dans le code civil, ne convient pas à tous les cas d'aliénation
mentale
qu'il s'agit de traiter dans les établis- semen
le tribunal un homme -qui n'aura pas donné des signes d'aliénation
mentale
, évidemment; mais com- ment voulez-vous que, sé
nécessaires, afin de statuer en connaissance de cause sur l'état
mental
de l'aliéné ou prétendu tel;qu'elle pourrait, en
té judiciaire consiste beaucoup moins dans l'appréciation de l'état
mental
de la per- sonne en cause que des circonstances
, en pareille circonstance, ne consiste pas tant à apprécier l'état
mental
de la personne que les circonstances dans lesqu
rès consciencieux en tout ce qui touche aux affections nerveuses et
mentales
des enfants, cet ouvrage pourra toujours être c
veuses 1888. (Paris.) ravreau : Du secret professionnel en médecine
mentale
. - Junin : De l'étiologie héréditaire de la par
ution ci l'étude du traumatisme dans ses rapports avec l'aliénation
mentale
. Delacroix : Contribution à l'élude du strophan
ns un asile public ou privé, consacré au traitement de l'aliénation
mentale
. Faut-il en conclure que les internes des hôpit
- titué par le présent arrêté le chef de la clinique des maladies
mentales
organisée à l'asile Sainte-Anne, lorsqu'il sera c
celles dont on a déjà comblé le professeur de clinique des maladies
mentales
de la Faculté de médecine de Paris. Personne ne
e isolé de chaque hémisphère dans les phénomènes de la patho- logie
mentale
. Brochure iii-8- de ii pages. Paris, 1888. Aux
pogialia Calderini e Figlio. 1 Z (11). Traité clinique des maladies
mentales
. 3e édition tra- duite par les docteurs .1. Dag
les; Diseases of Kidneys and Ll : ultler; Uriualyis, chyhuia, etc.;
Mental
4M BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. diseases. Volume
gique de l'axc), par Glover,39, 2Éfl. Classification des maladies
mentales
, 448. Cocainisation, par Hoetcrmanii, 451.
édecins adjoints des asiles), 31 r,'tS7;-(du chnicat des maladies
mentales
), 320. Congrès des neurologues de l'Alle- mag
une' lésion corticale, par Muckte, 439. .Montagnards (affections
mentales
' chez les), par Gottleb, tj0, Morphinisme (p
loi sur les aliénés au), 101, 300, îS. Simulation de l'aliénation
mentale
, par Snell, 456. Société médico-psychologique
sibilité, avec l'ataxie dans le), par Stprn, 65; (et alié- nation
mentale
) par Hebold, 15 ; - - (contribution au), par Ho
eure. 4, 4 ; zone radiculaire antérieure (Pierret) ou partie fonda-
mentale
(Flechsig). 5, 5 ; cordon de Goll. 6, 6 ; bandele
nt tous les mois PSYCHOLOGIE - PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES Rédacteur en Chef: Docteur Edgar B
n plus, son esprit, je le répète, se fait somnambule. C'est là l'état
mental
propre à beaucoup de citadins. Le mouvement et le
r Augnite VoUin reprendra ses conférence* clinique», »ur les maladie»
mentale
» et nerveuse», le dimanche 19 juin, à 10 heure» d
t médical, et en déduire quelques considérationsd'ensemble sur l'état
mental
des régicides, pouvant intéressera la fois la méd
s espérances. Mais c'est un héréditaire, et il a déjà révélé son état
mental
par quel- ques excentricités qui n'ont été connue
e un assez grand nombre de malades chez lesquels le principal trouble
mental
semble consister dans une défaillance de la volon
ain à d'autres médications. Parmi les malades atteints d'obsessions
mentales
graves dont nous avons eu à nous occuper, je vous
est analogue. Il a son point de départ dans un état de dégénérescence
mentale
et il consiste essentiellement en une défaillance
dans l'inter-valle des accès les malades paraissent jouir d'une santé
mentale
parfaite. Il est souvent assezdifficile de dist
n milieu social différent ou dans de meilleures] conditions d'hygiène
mentale
. Tout en admettant le rôle prépondérant de l'hé
M___a vu disparaître successivement tous les troubles physiques et
mentaux
dont il était atteint. De plus il a été guéri de
eut être en reste de politesse avec ses voisins. L'état physique et
mental
de M. X----s'est tellement modilié dans un sens
folie, l'accroissement successif et les formes diverses des maladies
mentales
. Le succès de cet ouvrage est dû au talent avec l
ont le courage de regarder en face le péril imminent de la déchéance
mentale
des masses atïn d'en rechercher les causes et d'e
ge des chiffres qui nous rend compte du développement de l'aliénation
mentale
à Paris. Par exemple, pour une période de 17 ans,
lcoolique et la paralysie générale apportent au total des aliénations
mentales
un notable contingent. Les médecins ont constaté
nnement. Malgré les lois et les mœurs, nous le savons, l'aliénation
mentale
continuera à faire des victimes ; cependant, si n
'auteur ne prétend pas décrire une forme particulière de l'aliénation
mentale
; les paralytiques généraux, les persécutés, les d
déséquilibrés et de brouillons vaniteux. Quant à la dégénérescence
mentale
engendrée par l'hérédité, les réformateurs, les s
r Gairder, M. le docteur Hack Tuke, le savant directeur du Journal of
Mental
Science, et Lloyd Tuckey, de Londres. Au Congrè
'a doué de l'art d'agir sur les esprits et de provoquer des réactions
mentales
, qu'il ne se livre pas à des tentatives condamnée
s, 55. niaque à la faveur d'un terrain special; la dégénérescence
mentale
est la cause première de l'impulsion vraie. » I
r la seconde fois, l'accès de dypsomanie était compliqué des troubles
mentaux
de l'intoxication alcoo-lique. Il se plaignait d'
ique. Sons l'influence des suggestions son état nerveux et son état
mental
se sont promptement améliorés. Elle a eu en 5 m
appliqué qu'à un nombre limité de sujets (1); 2° Il laisse un trouble
mental
, une diminution d'énergie, une faiblesse générale
ivre de plus en plus a la puissance de l'hypnotiseur. » Cet esclavage
mental
est bien pire que les jours et les nuits passés d
hlem Hôpital, et a l'article du Dr .Myers dans le Journal des Saintes
mentales
. Au lieu de critiquer les modes d'emploi de l'h
lirantes, d). Mégalomanie avec ou sans hallucinations. Des troubles
mentaux
tabagiques M. Kjellberg (d'Upsal).— La nicotine
oyée, mais encore et surtout suivant le mode d'emploi. Les troubles
mentaux
tabagiques sont caractérise» par de la faiblesse,
ssion seront publiées dans le prochain numéro). CONGRÈS DE MÉDECINE
MENTALE
Tenu à Rouen du 5 au 8 août 1890 Lors du Cong
Rouen du 5 au 8 août 1890 Lors du Congrès international de médecine
mentale
tenu l'on dernier à Paris, à l'occasion de l'Expo
notre statistique que des malades atteints d'affections nerveuses ou
mentales
qui ont été l'objet d'un traitement suivi et rati
nerveux. 3. La neurasthénie et les névropathies. 4. Les maladies
mentales
. 5. Les affections nerveuses des enfants. 1.
es viscéraux et menstruels, névralgies, etc.); 4° Contre les troubles
mentaux
de nature hystérique. Comme nous le faisions rema
'ici les cliniciens ne se soient pas assez préoccupés de ces troubles
mentaux
. Dans aucun auteur on ne trouve formulée d'indica
ques la suggestion médicale doit être considérée comme le régu-lateur
mental
par excellence. Nous ajoutons à cela que. bien
fréquemment observés chez les malades, pour diminuer leur instabilité
mentale
et favo-riser leur sommeil nocturne. On peut ob
pendant une année à la suite du traitement par lasuggestion. Son état
mental
et son aspect physique se sont aussi très notable
ine. Nous avons noté aussi l'amélioration de la mémoire, et de l'état
mental
. Enfin. chez dix autres, les résultats ont été en
vérance, améliorer dans une certaine mesure, l'état général et l'état
mental
du malade. Asphyxie locale. — Plusieurs auteurs
dits antinévralgiques pour justifier cette indication. IV. MALADIES
MENTALES
. On a prétendu que la suggestion ne pouvait avo
u que la suggestion ne pouvait avoir d'action que contre les troubles
mentaux
qui relevaient de l'hystérie. Si la constatation
i que la suggestion a pu être utilement employées contre des troubles
mentaux
qui n'avaient aucun rapport avec l'hystérie. Ch
es indications dans le traitement des formes curables de l'aliénation
mentale
. V. MALADIES NERVEUSES DES ENFANTS Depuis que
de la paresse intellectuelle, en un mot un grand nombre des troubles
mentaux
et des instincts pervers qui pourraient placer, d
(3)Les applications de la suggestion à la pédiatrie et à l'éducation
mentale
des enfants vicieux ou dégénérés, Comptes rendus
a suggestion trouvera donc dans le traitement des troubles nerveux et
mentaux
chez les enfants des indications d'autant plus fo
onnels et complexes se rapportant autant à l'histoire de l'aliénation
mentale
qu'à celle de l' hystérie. M. Taguet, par exemple
e sur de pareilles observations, on y fera entrer toute la pathologie
mentale
et bien d'autres choses encore. Legrand du Saul
rique et pratique dans ses rapports avec la psychologie, les maladies
mentales
et nerveuses. » Nous ne pensons pas que la nouv
hypnotisme au traitement d'un certain nombre de maladies nerveuses et
mentales
et je n'ai pas obtenu les résultats favorables qu
ommunication de M. Bérillon. Il nous a cité quelques cas d'affections
mentales
dans lesquelles la guérison a été obtenue par sug
lées contre l'application de la suggestion au traitement des maladies
mentales
ne s'adressent pas uniquement a nous. Elles attei
. qui ont recueilli de fortes intéressastes observations d'aliénation
mentale
traitées avec succès par la suegestion. Le cas d'
ce que nous ayions obtenu des succès dans le traitement d'affections
mentales
, puisque nous nous sommes fait une règle de n'app
e traitement suggestif qu'aux formes et aux symptômes de l'aliénation
mentale
qui sont considérés comme curables. Quant au re
l'entrée. un examen plus complet rigoureux et plus détaillé de l'état
mental
de chaque détenu, prolonger pour les douteux le t
ins et les étudiants en médecine peuvent y assister. L'aliénation
mentale
en nouvelle zélande. — Au 31 décembre dernier, on
che Beobachtungen bei Naturvol kern. (Sckriften derges. fur Experi-
mental
psychologie. II-III. 8° Leipzig? 1890.) BISWANG
u doute dans un chapitre spécial des psychode dégénératives — trouble
mental
par obsessions. March (1862) la rangeait dans l
si, chez les auteurs contemporains, tantôt le symptôme des affections
mentales
et nerveuses les plus variées, tantôt un épisode
ique élcmentaire qui relève de la pathologie générale de l'aliénation
mentale
. Ainsi le doute n'est pas seulement chez les ma
ouvés les savants pour lui fixer une place dans le cadre des maladies
mentales
, que pour les symptômes étranges qui la caractéri
, Wien klinische Woternesechrift, 3 mai 1838. N°5 p.119. (2) maladies
mentales
, tome II, p. 63 et suivantes, 1838. (3)Symptoma
se basant sur la: conscience que le pseudo-monomane a de son trouble
mental
. Malheu-reusement le travail de l'auteur est obsc
père répondait au délire du toucher et non pas â la forme de trouble
mental
que Griesinger décrivit deux ans plus tard sous l
s, les observaions II, XXVII, XXVII. 3Archivacliniques des maladies
mentales
et nerveuses, 1866 p140. 5 Séance du 26 Mars 18
former avec la folie du doute unie au délire du toucher une affection
mentale
tout à fait spéciale, une véritable entité morbid
questionneurs , mais il suffît de prendre connaissance des symptômes
mentaux
de ces deux malades pour être certain qu'ils n'ap
la première fols nous rencontrons une étude approfondie de ce trouble
mental
, envisagé au point de vue de la psychopathologie
t, plus souvent qu'on ne le croit, suivies d'une véritable aliénation
mentale
, et en particulier assez fréquemment de mélancoli
d'autre part entre les prédispositions psychopatiques et les maladies
mentales
dé-chrées. Selon Wille les obsédés sont prêts en
'ues, décrit par Morel. Ils représentent les aspects variés de l'état
mental
des héréditaires et de la dégénérescence. Les v
ne fallait pas méconnaitre pour cela l'existence de certaines formes
mentales
avant une symptomatologje et une évolution distin
la face. Onanisme depuis l'âge de 14 ans, scrupules religueux. Crises
mentales
hypocondriaques. Refus de nourriture, à plusieurs
livres de médecine, s'est instruit sur 1' hypnotisme et les maladies
mentales
. H a consulté une légion de médecins et de charla
hypocondriaques variéeset persistantes. Masturbation suive de crises
mentales
dont le malade donne la description suivante. - C
ses mentales dont le malade donne la description suivante. - Cet état
mental
consiste en mauvaises pensées dont je suis assail
mes nécessités comme si les : nerfs du bassin-se resserraient. L'étal
mental
m'obligea à rester pendant plu- sieurs mois. Je
celle de Gènes, et qui occupe les chaires de clinique des maladies
mentales
et d'anthropologie, accueillant l'invi-talion de
veilles de l'hypnotisme. La c lecture de la pensée » et la suggestion
mentale
. VIIe Leçon.- Présentation et étude expérimenta
ponr but loreaniiation lœale du prochain Con g rei françd^H médecine
mentale
oui doit le tenir en 1S91 dan* celte ville, tb o
: l'hypnotisme fait de l'hystérie, l'hypnotisme fait de l'aliénation
mentale
. Mais ceux-là seuls le disent qui n'ont pas l'idé
ment ce traitement, il est, par exemple, des candidats à I aliénation
mentale
, que la suggestion ne prévient, ni ne guérit. Par
germe natif et latent de maladies cérébro-spinales ou de l'aliénation
mentale
. Attribuer à la suggestion ce qui est dû à l'innc
e la perpétration de cet acte, privé de connaissance ou clans un état
mental
qui excluait le libre exercice de la volonté ». D
ambeaux de phrases que je viens de rapporter, peignent mieux son état
mental
que n'eût pu le faire une simple description. On
qu'un intérêt secondaire. Je tenais toutcfois à bien préciser l'état
mental
de G... Or. on peut caractériser cet état de la f
licité. Ayant été plusieurs fois commis a l'effet d'examiner l'état
mental
de sujets avant survécu a un double suicide auque
j'ai conclu à une irresponsabilité complète, en me basant sur l'état
mental
qui a accompagné la tentative de suicide. - Une
qu'a ce moment elle était bien réellement sous l'empire d'un trouble
mental
qui ne lui laissait pas l'entière liberté de ses
faits relatifs a l'anthropométrie et à la dégénérescence physique ou
mentale
. Son livre est la preuve évidente d'un travail la
aire se montre dans quatres cas sur cent, l'épilepsic et les maladies
mentales
en dix cas sur cent. Les prostituées présentent
ux fouiller que nos anciens les mysté-rieurs arcanes de la suggestion
mentale
. A propos du congrès de Berlin M. le rédacteu
pêtriêre, commmenceront des confé rences sur les maladie nerveuses et
mentales
, le jeudi 4 décembre 1890, à ,neuf heures trois q
GES REÇUS A LA REVUE -- Dr Baillrger. — Recherches tur les maladies
mentales
. : vol. in 8,750 pages chaque, G. Masson éditeur,
qui est bien et ce qui est mal. Lille n'est pas atteinte d'aliénation
mentale
; rien n'établit qu'elle ait subi une contrainte d
e mesure, la liaison intime d'un état physique déterminé avec un état
mental
concomitant. Je vous ai déjà dit que, chez Albert
icielle de certains accidents paralytiques évoque, ipso factot l'étal
mental
qui avait autrefois accompagné ces accidents. Les
: l'hypnotisme fait de l'hystérie, l'hypnotisme fait de l'aliénation
mentale
. Mais ceux-là seuls le disent qui n'ont pas l'idé
ment ce traitement, il est, par exemple, des candidats à l'aliénation
mentale
, que. la suggestion ne prévient ni ne guérit. Par
erme natif et latent des maladies cérébro-spinales ou de l'aliénation
mentale
. Attribuer à la suggestion ce qui est du à l'inné
question de la suggestion criminelle est posée et l'examen de l'état
mental
de Gabriette Bompard magistralement traité. Ajo
brielle Bompard venir d'elle-même se constituer prisonnière. Son état
mental
devait dés les premiers interogatoires, paraître
sous ses yeux. Ne devait-on pas regarder comme l'indice d'un trouble
mental
son retour à Paris, son imprévoyance su se mettan
lle MSI. Brouardel, Motel et Ballet étaient chargés d'examiner l'état
mental
de l'inculpée. Les savants experts se mirent au
e qui est bien et ce qui est mal. EUe n'est pas atteinte d'aliénation
mentale
; rien n'établit qu'elle ait subi une contrainte d
re le Dr Carlier. BIBLIOGRAPHIE Études cliniques sur les maladies
mentales
et nerveuses. — Les Aliénés et les Asiles d'alién
rs de sa longue el laborieuse carrière, sur les maladies nerveuses et
mentales
, sur l'assistance, la législation et la médecine
les suivants : Principes à suivre dans la classification des maladies
mentales
. — Séméiologie des affections cérébrales. — Reche
e. — De la catalepsie. — Théorie physiologique de l'épilepsie et état
mental
des épileptiques. — Troubles du langage et de la
is, 1890. BouarDEL, Mottet et Ballet (D"). — L'Affaire Gouffé, état
mental
de Gabrielle Bompard (Annales d'hygiène publique,
arani, dans une communication faite le 6 août, au Congres de médecine
mentale
de Rouen, exposant le résultat de leurs recherche
e M. A. Voisin, hystérique et aliénée; ce sont justement ces troubles
mentaux
qui avaient nécessité son admission à la Salpètri
a Salpètrière, dans un service consacré au traitement de l'aliénation
mentale
. L'état, dit normal par M. A. Voisin, n'était d
r M. A. Voisin, n'était donc — nous le saurons désormais — qu'un état
mental
fort troublé, et les recherches de'ilaircl nous o
achialgie et l'hypperesthésie spinale, les troubles génitaux et Vital
mental
des neurasthéniques auquel l'auteur a consacré un
quel l'auteur a consacré un chapitre à part, par analogie avec l'état
mental
des hystériques. Ces phénomènes capitaux, qui p
l'hypnotisme et de la psychothérapie dans le traitement des maladies
mentales
et nerveuses. Hospice de la Salpètrière (servic
otisme faites sur un certain nombre de malades atteintes d'aliénation
mentale
. Cours a l'Université- de LYon. — Après les con
sur ce sujet, que dans ces dernières années le nombre des aliénations
mentales
dues a l'abus de boissons alcooliques a diminué.
t, près Christiana. accusaient la boisson comme cause de leur trouble
mental
, ce nombre est graduellement tombé jusqu'à i *.'.
éniques. OBSERVATIONS Résume : Tares héréditaires. Dégénérescence
mentale
. Emotivité excessive. Fièvre typhoïde avec délire
les de la Tourette constate qu'elle est atteinte de la dégénérescence
mentale
avec dépression mélancolique, perversions sexuell
e le fait qu'après avoir donné le spectacle d'une sorte de discussion
mentale
. « Cette lutte intérieure (1), écrit M. Beaunis
au point de vue de la question obscure du somnambulisme et de l'état
mental
qu'on appelle la double personnalité. Pour bien f
4 mai, à 9 heures 1/2, une série de leçons clinique* sur les Maladies
mentales
. — 11 continuera son cours les dimanches suivants
pratiques de l'application de l'hypnotisme au traitement des maladies
mentales
. Clinique de psyco-THerapeutihique suggestive d
ous m'avez posées par votre honorée du 10 courant, relatives à l'état
mental
de la femme Madeleine Fay, de Badenweuler (BadenJ
ns sexuelles, ne constituent pas des formes particulières de maladies
mentales
. Loin de voir en elles des entités morbides, des
neuf heures et demie, une série de leçons cliniques sur les Maladies
mentales
. — Il continuera son cours les dimanches suivants
pratiques de l'application de l'hypnotisme au traitement des maladies
mentales
. Clinique db psycho-thbbapectiqub suggestive db
n et lucidité, par A. Forel, 359. Études cliniques sur les maladies
mentales
et nerveuses, 254. Excitabilité de- nerfs et de
(un), 188. Magnétisation-coutume. 4. Magnétisation-mode, 4. Maladies
mentales
, traitées par sugges- tion, 109. Martyrologe de
ique suggestive (observations de), par Bernheim, 321, 371. Troubles
mentaux
tabagiques, 86. Urine dans la léthargie hypnoti
SE). ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
)'LR'fËnSOUSLDH : j;CrtO't)E J ? 11. IIAIti :
' toc cit. Hannover, 1879, s. 738. ' Loc cit. s. 853, PATHOLOGIE
MENTALE
. 53 des tubes nerveux volumineux un îlot de la
ole et des prolongements protoplasmatiques. "' ' , ' k PATHOLOGIE
MENTALE
INVERSION DU , SENS "GÉNITAL" (Contràre seaûalé
La perversion du sens génital s'associe à1 de nom- breuses formes
mentales
, et depuis les naïves obscé- nités du vieillard
iste une longue sérié de faits qui1, loin'de'consti- tuer une forme
mentale
définie, ne sont que des symp- tômes de diverse
re d'idées déterminé, dans lequel leT fait 'étrange 51,. PATHOLOGIE
MENTALE
. dans notre civilisation est l'appétit génital
le désir de pénétrer dans l'homme ou d'être l'objet 56 - PATHOLOGIE
MENTALE
. d'un'homme. Regarder les parties génitales d'u
dives que l'on trouve chez les individus prédisposés aux affections
mentales
. Quoique notaire dans une petite ville; il mena
ns, différents objets, qu'il emportait chez lui, mais 58 PATHOLOGIE
MENTALE
. sans les collectionner ; un jour, il dérobe da
xmdbme des auteurs anglais). OBSERVATION NOUVELLE AVEC ALIÉNATION
MENTALE
TRANSITOIRE ; par le I)rll. BLAISE, chef de clini
nsomnie, 1 Savage. Myxoedema and its zzerccus symptoms. (Journal of
mental
science. Jan. 1880, p. 417.) 6t PATHOLOGIE NE
y ait un rapport nécessaire entre le myxoedème et l'aliéna- tion
mentale
. Cette dernière relève plutôt de la cons- DE LA
la Sal- pétrière. Le docteur Hack Tuke a donné dans le Journal of
mental
science (janvier 1879) la relation des faits dont
bromure DE sodium ET L HTOSCY.1NIUDI; par Ed.-C. MACNA. (Journ. ef
mental
HHM' : )0 ! M cesses, janv. 1881, p. 1 i) fi.)
de galvanisation centrale et de courant bi-temporal. L'ex- citation
mentale
se calma rapidement. A la fin du second mois to
voit apparaître l'épilepsie .traumatique, l'altération dos facultés
mentales
,, etc. 1 eaucou 1 , -J. p d s ce, e s,, ), r app
ntercurrente pouvait., avoir^un^ heureux r résultat sur l'affection
mentale
? tandis qu'au contraire, la . termi- naison ét
. - 11, Le Dr LÉo lit deux rapports médico-légaux concernant l'état
mental
d'unjournaherde trente-deux anset d'un mendiant
ent. Le premier devait être considéré comme à la limite de la santé
mentale
, tandis que le second avait manifestement franc
ranchi les bornes de la normale, et paraissait atteint de faiblesse
mentale
. Le tribunal ayant demandé un supplément d'expe
se. Assurément, l'homme qui avait fait de l'étude de l'aliénation
mentale
un véritable sacerdoce^ l'observateur profond et
iques auxquelles je m'étais livré jusqu'alors, l'étude des maladies
mentales
m'apparut comme la plus ardue. Au moment où je
e la folie, forment la substance des premières leçons. L'aliénation
mentale
est définie par Guislain : un dérangement des f
tion mentale est définie par Guislain : un dérangement des facultés
mentales
, morbide, apyrétique, chronique, qui ôte à l'ho
e savant aliéniste belge. L'essai d'une classification des maladies
mentales
devait tenter Guislain, puisqu'il est avéré que
ureuse. L'auteur constate du reste que le plus souvent l'aliénation
mentale
est un état composé de différentes formes éléme
rattachent à la connaissance de la nature et du siège des maladies
mentales
. Dans les leçons consacrées au traitement, sans
étudier l'organisation de l'enseignement des maladies nerveuses et
mentales
. M. le ministre ne pouvait faire choix d'un hom
oedème des auteurs anglais). OBSERVATION NOUVELLE AVEC ALIÉNATION
MENTALE
TRANSITOIRE ' ; 1; Par la D H. BIAISE, chef de
nstate simplement un peu de diminution de l'acuité visuelle. L'état
mental
est excellent : la malade est raisonnable. Pour
sions cutanées, a tel point qu'il survient une véritable aliénation
mentale
avec délire des persécutions. Puis, on voit ces
nd). Enfin on peut voir survenir un véritable état d'aliéna- tion
mentale
avec ou sans illusions et hallucinations des se
rogrès réalisés par le microscope, n'est-on pas obligé, en clinique
mentale
, d'invoquer à chaque pas l'alté- ration fonctio
indifférent aux choses du dehors. En même temps que les facultés
mentales
, le physique s'est notablement affaissé depuiscet
hez les malades, comme le nôtre, atteints de démence ou de débilité
mentale
. IV. Nous croyons inutile de revenir sur les ca
s du lobule de l'insula. REVUE CRITIQUE CARACTÈRE, MOEURS, ÉTAT
MENTAL
DES HYSTÉRIQUES' Par le Dr Henri HUCHARD, médec
un d'eux n'insiste d'une façon particulière sur l'état des facultés
mentales
ou affectives ; aucun d'eux ne nous montre l'hy
névrose ; d'autres fois aussi, les perversions intellectuelles ou
mentales
peuvent précéder pendant un temps plus ou moins
me complet, restent plongées dans un état de rêverie, de dépression
mentale
dont on peut difficilement les faire sortir ; e
u- i Annales d'hygiène publique et de médecine légale, 1863. ÉTAT
MENTAL
DES HYSTERIQUES. 189 jourd'hui elles ne peuvent
l'Iconographie photographique de la Salpdt;,iè,e (1876-1880). ÉTAT
MENTAL
DES HYSTÉRIQUES. 191 leur absence de conviction
Mlaminond. Maladies du système nerveux. Trad. française, 1879. ÉTAT
MENTAL
DES HYSTÉRIQUES. 193 vent vaniteuse et orgueill
me pour l'anorexie hystérique, qui est plutôt le résultat d'un état
mental
que d'un état gastrique, l'entourage est l'obst
-légale sur la folie, Paris, 1880. Morel. Éludes cliniques.- ÉTAT
MENTAL
DES HYSTÉRIQUES. 195 d'une hystérique, qui ne c
Consultations médico-légales sur deux cas assez rares d'aberration
mentale
. (Acan. (I'hyq. publ. et de med. légale. Paris, 1
8. Duponchel et Chabrun, thèses de Paris, 1874 et 1878; etc. ÉTAT
MENTAL
DES HYSTÉRIQUES. t97 Î Quelquefois elles s'accu
dans cette voie périlleuse elles ont déjà un pied dans l'aliénation
mentale
, et au point de vue médico-légal, elles n'ont d
r XLVI des Causes célèbres de tous les peuples, par Fouqumr. ÉTAT
MENTAL
DES HYSTÉRIQUES. M 99 convulsivement ses voiles
aquelle les laissent toutes les affections d'une durée plus ou ÉTAT
MENTAL
DES HYSTÉRIQUES. 201 moins longue dont elles so
et l'on comprendra quelles différences les séparent au point de vue
mental
: la, première ne verra pas sans une inquiétude
nversation animée, ce qui a pu faire dire avec raison que même ÉTAT
MENTAL
DES HYSTÉRIQUES. 203 avec ces profondes aberrat
- rait-on dire encore. Toutes les diverses modalités de leur état
mental
que nous avons cherché à étudier, peuvent presque
ré ou de force, plusieurs verres d'eau froide coup sur coup. état
mental
DES HYSTÉRIQUES. 205 pouls petit' et misérable,
terminant ces considérations sur le caractère, les moeurs et l'état
mental
des hystériques, il est nécessaire de dé- clare
mobilité de caractère qui est l'un des^ traits principaux de l'état
mental
des hystériques. IX. Cette étude présente doncu
précurseur de l'hystérie qui va naître à un âge plus avancé. ÉTAT
MENTAL
DES HYSTÉRIQUES. 207 D'autres fois, on remarque
thérapeutiques sur les mala- dies des enfants, 1880, p. 135. ÉTAT
MENTAL
DES HYSTÉRIQUES. ' 209 lalgie très intense, ell
unes épileptiques. En est-il de même chez les adultes, et leur état
mental
a-t-il son reflet sur leur physionomie; en un m
e des hystériques. Nous avons suffisamment dé- montré que leur état
mental
est surtout formé de contrastes, qu'une volonté
rica. Briquet. Traité de l'hyslene, p. 02-93. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 21 1 Si ce travail que nous arrêtons ici reste
'activité désordonnée et stérile des volitions. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
I. LE CRANE ET LE CERVEAU D'UNE MICROCÉPHALE; p
ésentée simplement par un défaut relatif de 212 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. substance corticale, tant pour l'ensemble des
n horizontale des voûtes orbitaires. Les dimen- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 213 sions du crâne dans leur ensemble sont d'a
7 millim. d'épaisseur dans le cas présent. 21 t REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Le fait constaté, trouvons-en la pathogénie ?
'on peut s'en convaincre par le détail des men- revue DE pathologie
mentale
. 215 surations crànio-faciales relatées au cour
chiasma; même enfoncement au niveau d'un 216 REVUE DR P1TH()IO.IIs
MENTALE
. ruban de substance blanche qui précède la couc
ncert avec une hydropisie ventriculaire fatale, REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 217 signalée en : de pareilles conditions (Dar
énérale nouvelle qui perpétue et multi- plie le nombre des maladies
mentales
. C. T. 218 REVUE DE pathologie mentale. V. DE
plie le nombre des maladies mentales. C. T. 218 REVUE DE pathologie
mentale
. V. DES psychoses dans l'ergotisme; par Fritz S
lies graves, démences paralytiques) et le signe REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 219 d'une profonde perturbation nerveuse. L'an
le occurrence, et la part qui doit incomber 220 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. aux mauvaises conditions climatériques et hygi
rd-C. MANN. (y7<67oM ? 'Ma/o/'PsyeAooy<ea/meK'M ! 6<M</
mental
Palhology. New séries, vol. VI, part. 2, p. 222.)
t dans la famille de l'inculpé des faits antécédents d'aliénation
mentale
et d'affections nerveuses, remontant à plusieurs
particulier contre une simulation possible les REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. IZI 1 précautions les mieux conçues. L'expert
suite D'UN anthrax grave ; par Geo-H. SAVAGE. (7*/<e Journal of
mental
Science, n° de janvier 1881, p. 566.) Il s'agit
N DE la maladie mentale; par G. Mackensie Bacon. (Tlle Journal of
mental
Science, n° de janvier 1881, p. 554.) Les cas d
éveil intellectuel. Pas d'autopsie. R. DE M. C. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 223 IX. NOTE SUR QUELQUES cas observés a l'asi
M. C. X. HYPNOSIS REDIVIVUS; par D. Hack TutiE. (Tlae Journal of
mental
Science, janvier 1881, p. 531.) On sait que les
la « British Médical Association » invi- 32t I· REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. tait le professeur Preyer (d'Iéna) à faire une
principes physiologiques connus. R. de M. C. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 225 5 XI. Trépanation du crâne CHEZ un aliéné
ête). Guérison complète; par G. MAC- kensie Bacon. (Flic Journal of
mental
Science, n° de jan- vier 1881, p. 551.) L'obs
es grandeurs peut se rencontrer à peu près dans toutes les maladies
mentales
, sauf l'idiotie et la démence. On l'ob- serve e
x avec la plus grande rapidité. Hospice DE la SALPÈTRthRE. Maladies
mentales
. M. LEGRAND du SAULLE, médecin de la Salpêtrièr
ecin de la Salpêtrière, a commencé un cours public sur les maladies
mentales
, avec applications à la médecine légale et à la
, la physiologie et la pathologie du système nerveux, la médecine
mentale
et les questions médico-légales qui s'y rapporten
Tamburini (A.) et Scppirau (G.). Contribuzioni allô studio syeri-
mentale
dell' ! pMO<iS)HO. Broch. grand in-8° de 40 pa
ndant. En somme, les résultats obtenus par la physiologie expéri-
mentale
ne sont pas de nature à entraîner une conviction.
le pour se produire, n'est pas dû à l'exci- 356 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. talion directe du muscle. » La transmission du
e du réflexe et celle de M. Waller. A. MAYOR. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XII. SUR LA CONNEXIONQUI EXISTE ENTRE L'ÉTAT ME
alyse du Dl Ch. Guyot, de Tirlemont. ( Bulletin de la Soc. de Iléd.
mentale
de Belgique, 1880.) D'une statistique établie s
tique établie sur soixante-treize cas, il résulte que la dépression
mentale
est généralement associée, dans la para- lysie
ed. de la Suisse Romande, t. I", 1881, il- 6. ' REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 357 1° La dépression précédant ordinairement l
iale quand il trouvait la pupille droite dilatée avec la dépression
mentale
; à une période plus avancée, quand il rencontra
'impres- sion sensitive du nerf optique par l'impression d'une idée
mentale
, et considère les lobes optiques comme le centr
tions qui n'existent pas. E. ClIAPENTIER. 358 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XIII. LETTRE médicale sur GHEEL ET LE patronag
Peeters, médecin inspec- teur de Gheel. (l3ull. de la Soc. de AIéd.
mentale
de Belgique, 1880.) - , Gheel, dans le départ
rPeeters, dans cette deuxième lettre, insiste ' revue de pathologie
mentale
. 359 surtout sur les avantages du patronage fam
mais ne l'est pas pour la Belgique. E. C. 360 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XV. Rapport médico-légal concernant l'état men
E DE PATHOLOGIE MENTALE. XV. Rapport médico-légal concernant l'état
mental
DU SIEUR M. K. B., ACCUSÉ DE TENTATIVE DE MEURT
personne DE M. W...; par M. le Dl RAMAER. (Bull. de la Soc. de Méd.
mentale
de Belgique, 1 S80.) Folie morale se transforma
DU cervelet; par le Dl SEPPILI. {Bulletin de la Société de Médecine
mentale
de Belgique. Année 1880, il, fascicule, p. 91.)
z les aliénés ; par le Dl Riva. {Bulletin de la Société de Médecine
mentale
de Belgique. Année 1880, 1 ? fascicule, p. 91-9
e Belgique. Année 1880, 1 ? fascicule, p. 91-92.) Dans les maladies
mentales
, et de préférence dans les formes intermittente
ente-neuf ans qu'il a donné des signes bien manifestes d'aliénation
mentale
: il devint vers cette époque triste, maussade,
ure in-8" de 3G pages, Kew-Yoik. (Extrait du Journal o/ nervous and
mental
flese(7.çe, 1882.)' - 71-niipe muscle rcading
ic pul- molaire deux ans plus tard, sans guérison de la maladie
mentale
, par Z 222. Diplopie paralytique, 931. Eczé
rcot et Richer, L ? 9, 310. Hystériques (caractères, moeurs, état
mental
des), par Hucbard, 187. 111'SLet'O-i'1111el1S
(nouvelles exl)é- riences sur le), par Grutzuet, 91. 1. Maladies
mentales
(leçons de Guis- laiu sur les), 110. Maladies
Maladies mentales (leçons de Guis- laiu sur les), 110. Maladies
mentales
et nerveuses (in- fluence de notre civilisation
2'ili. Paralysie générale (Hallucinations dans la), 217 ; - (état
mental
et pupille dans la), 356 ; - Décoiti- cation
tir à la rééducation de l'attention. Substituer à l'état d'activité
mentale
, comme cela se passe dans la production de l'hypn
nt en effet que l'intoxication cocaïnique ne peut amener des troubles
mentaux
. L'occasion nous sera probablement offerte plus
alisation des conditions fondamentales de l'hypnotisme : consentement
mental
et consentement organique du sujet (1). 5° Immi
llon : Les conditions fondamentales de l'hypnotisme : Le consentement
mental
et le consentement organique. (Revue de l'Hupnoti
e une heure ou deux •chaque jour, même des formules adaptées à l'état
mental
du sujet, pour voir disparaître les troubles psyc
ion, dans l'ignorante croyance que la souffrance du sevrage est toute
mentale
. Quant & moi, sachant combien cette souffranc
des dispositions à raisonner d'une façon défectueuse. Le redressement
mental
n'est complet que si l'on se préoccupe de transfo
la guérison que je crois utile à signaler. Un cas grave d'anorexie
mentale
: guérison par M. le Dr Tarrius. directeur do l
--.......36 kg. 500 L'anorexie des adolescents. — Particularités
mentales
et traitement psychologique. par le Dr Bérillos
ypersuggestibles, émotives.ou*dont il ne connaît pas les dispositions
mentales
, ne doitdonc s'exprimer, sur la question alimenta
abstinence presque complète d'aliments. L'idée fixe qui domine l'état
mental
des anorexiques est surtout constituée par une te
uté pour son économie quelque peu sordide ou pour son avarice. L'état
mental
de ces anorexiques n'est que la résultante d'une
xie des adolescents est. pour moi. la manifestation précoce de l'état
mental
qui aboutit a l'avarice. Le traitement de l'ano
des délires de la douleur, augmentés par l'imitation et la contagion
mentale
. Certains psychologues, il est vrai, par une ré
exemple. A qui fera-t-on croire quelles ne dérivaient pas d'un état
mental
pathologique très net les pratiques d'un Siméon s
se nous a donné, avec une précision absolue, la description de l'état
mental
qui nous intéresse lorsqu'elle écrivait : « Les s
évolution. Depuis les encyclopédistes et les progrès de la médecine
mentale
, les Pierre d'Alcantara ou les Rose de Lima ne se
ns la grande majorité des cas. la guérison des mauvaises dispositions
mentales
chez les arriérés du jugement et les sujets dépou
es excellents résultats de la pédagogie suggestive et de l'orthopédie
mentale
, demanda au Dr Bérillon qu'un de ses collaborateu
onte autre manœuvre capable de diminuer ou de supprimer le contrôle
mental
, sans l'Intervention d'aucune mise en scène ni d'
eurs années, ln détourne de son rôle essentiel qui est la rééducation
mentale
sons ses diverses formes, j'ai ln certitude de re
-il nn médecin. Un tel être n'aurait rien de normal et sa disposition
mentale
en ferait une victime et un esclave. Jusqu'à un
n traité du Sommeil limite l'emploi de la suggestion à. une direction
mentale
imprimée à l'esprit d'un sujet hypnotisé. C'est c
de mettre en lumière, nous permettraient de tenir désormais cet état
mental
comme suffisamment distinct et établi, et nous po
tour à tour et contradictoirement, selon sa disposition organique ou
mentale
, soit comme plaisir, soit comme douleur. Combien
e Algomanie des dégénérés s'installera en eux, à la faveur de la tare
mentale
, qui imprimera toujours son cachet à la manie de
e : hystérie, épilepsie, neurasthénie. Un seul de nos élèves, arriéré
mental
léger, fils- d'alcoolique, qui a uriné tard au Ht
ations déjà portées A l'ordre du jour ; Dr békiu.on : L'éparpillemeut
mental
, forme inférieure de l'activité Imellectui-lU-. D
dagogique de Crétell : La rééducation de l'attention chez les débiles
mentaux
pnr la psychothérapie graphique. Dr Paul Fabez
t plus propre que toute autre a satisfaire aux besoins de la synthèse
mentale
, et dont l'étude nous semble un peu trop dédaigné
de la psychiatrie, sans y songer, en s'efforçant à relever le niveau
mental
de ses malades, depuis le guérisseur mystique ou
e d'associations coordonnées et progressives au profit de la synthèse
mentale
. Et bien que Huysmans passe aux yeux des lettrés
mmobilité nécessitée par le traitement, réalisent une sorte dankylose
mentale
, mettant obstacle au rétablissement des aptitudes
cherchera, d'accord avec l'éducateur, à établir les caractéristiques
mentales
permettant de diriger scientifiquement son dévelo
est par une étude approfondie des cas, par une analyse des fonctions •
mentales
au moyen des méthodes psychophysiologiques, que l
gique et les écoles normales pour éducateurs des cours de physiologie
mentale
. La direction de tous les établissements médico-p
érapeutiques que gît toute la question de la prophylaxie des maladies
mentales
et de la criminalité. L'imbécilité au point de
ce d'un fait inattendu il lui faut encore celle des lois du mécanisme
mental
, cet instrument des instruments et une grande et
ment une communication très instructive sur la protection des débiles
mentaux
contre les sévices dont ils sont l'objet dans les
on ; les variations vaseulaires cérébrales participent aux variations
mentales
et peuvent présider aux variations périphériques.
ons soigneusement étudiées par M. le Dr Bérillon et dans les maladies
mentales
par M. Luzicato à l'aide de différentes méthodes
des de rééducation en psychothérapie. 2» L'hypnotisme et l'orthopédie
mentale
: Les arriérés du jn«ement. Les jeudis à cinq h
•'* samedi* à cinq heures, à partir du samedi H janvier. Pathologie
mentale
appliquée aux religions. D' Biskt—Sàxgi-É, prof
t-à-dire dans la suspension d'activité de quelques-unes des fonctions
mentales
, et en particulier de la volonté, peut survenir f
aient préalablement hypnotisé et privé de tous ses moyens de contrôle
mental
, apportait à l'appui de ma thèse la démonstration
mide, c'est, non un poison, non un excitant toxique, mais un excitant
mental
. Par la suggestion hypnotique, il doit être soumi
Revue de l'hypn.. sept. 1903 p. 67. — Impotcntla coeundi d'origine
mentale
, guérie par la suggestion éthyl-méthylique. Revue
iscussioniD1* Bérillonet Paul Farez. Dr Bêbillos. — L'éparpillement
mental
, forme inférieure de l'activité intellectuelle ;
. Elle s'est réalisée spontanément, par l'apparition d'une inhibition
mentale
s'étendant, de proche en proche, et sans qu'ils s
es états hypiioïdes sont au contraire constitués par des dispositions
mentales
ayant un certain caractère de permanence et de co
opulations du littoral de la Méditerrannée témoigne d'une disposition
mentale
analogue. C'est un fait d'observation réelle que
e celle de leur organisme Aussi bien au point de vue des acquisitions
mentales
qu'à celui de la nutrition physique, ils se limit
llon : Les conditions fondamentales de l'hypnotisme : Le consentement
mental
et le consentement organique. {Reçue de lHypnotis
Leipzig. ISSO. Tdke. — Metalloscopy and expectaut attention. Joum. of
mental
science, 1879. Bennet. — Metalloscopy and met
de qu'à l'état de veille, entre en activité, reprend le fil de la vie
mentale
du jour précédent ou vagabonde de ci de là. Pui
uit, non seulement toute douleur, mais tout réveil. L'éparpillement
mental
, forme inférieure de l'activité intellectuelle. —
n traitement par l'hypnotisme par le Dr Bêrillos. L'éparpillement
mental
est une disposition habituelle de l'esprit caract
l'extrême variabilitéde leurs états affectifs, aussi l'éparpillement
mental
est-il l'état normal de la première enfance. On n
cence et surtout lorsqu'il persiste à l'âge adulte. L'éparpillement
mental
ne doit pas être confondu avec deux autres états
éparpillement mental ne doit pas être confondu avec deux autres états
mentaux
chez lesquels on observe également de la difficul
la difficulté a obtenir la continuité de l'attention : l'instabilité
mentale
et le « moral insanity ». Le nom d'instabilité
'instabilité mentale et le « moral insanity ». Le nom d'instabilité
mentale
, dans le langage médico-pédagogique est habituell
ur intelligence que pour concevoir le mal. Tandis que l'instabilité
mentale
et la folie morale sont manifestement sous la dép
générescence héréditaire, il n'en est pas de même de l'éparpillé ment
mental
. Dans les cas nombreux que j'ai l'occasion d'obse
n défectueuse qui n'a su ni discipliner, ni utiliser des dispositions
mentales
primitivement favorables. La surcharge croissante
érable de matières, est une des causes principales de l'éparpillement
mental
. Aujourd'hui.tous les esprits sérieux sont d'acco
et d'initiative. On conçoit également que la multiplicité des images
mentales
et leur superposition indéfinie soient contraires
re université est en train de devenir une vaste fabrique d'éparpillés
mentaux
, c'est-à-dire d'iudividusdestinésàdemeurer, au po
ts, ces sujets n'arrivent à en réaliser pratiquement aucun. Leur état
mental
se rap- proche des primitifs, des nomades, de
l'éducation scolaire ne sont pas les seules causes de l'éparpillement
mental
. Pour être juste, il convient de mentionner le lu
la contribue à former des générations pour lesquelles une application
mentale
de quelque durée apparaît comme une souffrance qu
nvisagé comme créateur du pouvoir d'arrêt chez les sujets à tendances
mentales
incoordonnées ou impulsives. PSYCHOLOGIE SOCIAL
mie et la physiologie du corps humain et n'ignorent pas la pathologie
mentale
. Ils savent que les facultés attribuées à l'âme s
est le médecin connaissant la physiologie des organes et les troubles
mentaux
qui peuvent résulter de leur état pathologique.
r la psychologie même quand il n'étudie pas spécialement les maladies
mentales
; en effet, tous les jours, à l'hôpital, dans la
s. Dans l'histoire des religions, il faut tenir compte d'un trouble
mental
dont sont affectées certaines sectes religieuses
leuses qui se produisenten pareille circonstance affirment le trouble
mental
des assistants. Ds est bien entendu que nous ne
nde. Art. VU. Des Brahmes. (3) Cabanis : Rapports du physique et de
mental
de l'homme. Influence du régime sur les habitudes
si pour rétablir l'ordre et l'équilibre dans l'ensemble des fonctions
mentales
. C'est assurément parce qu'il avait reconnu l'uti
de l'état pathologique ; tant il est vrai qu'il n'est pas de trouble
mental
qui ne se rattache par un lien aux fonctions de l
ogies étroites qui permettent de rapprocher certains états nerveux et
mentaux
dans les diverses modalités qu'on observe dans le
les affections suivantes : 1. — L'hystérie (stigmates, accidents
mentaux
, accès de sommeil hystérique). 2. — Les états s
es, folies post-opératoires, délires oniriques, etc. 7. — Les états
mentaux
spéciaux (état mental des mourants, des paludéens
ires, délires oniriques, etc. 7. — Les états mentaux spéciaux (état
mental
des mourants, des paludéens, de l'inanition, névr
dans l'enfance ou dans l'adolescence. L'hystérie, avec ses caractères
mentaux
, n'en existe pas moins. S'il n'y a rarement de gr
r traitement, étant actuellement bien classés eu clinique nerveuse et
mentale
, le D' Chavlgny cherche à dégager de ces notions
ne les malades atteints de l'une ou l'autre forme sont avant tout des
mentaux
. D'accord avec Meige et Felndel il montre que tou
ord avec Meige et Felndel il montre que tous les liqueurs ont un état
mental
inf«utile, et que chez eux c'est surtout d'un dés
immobilisation et cure de mouvement ; alors, fait remarquable, l'état
mental
s'améliore en même temps que le tic : la discipli
ison due a sa conduite antérieure : le tle réapparaît bleniot, l'état
mental
redevient ce qu'il était avant le traitement. L
des expressions particulières ne satisfait aux besoins de la synthèse
mentale
que dans la mesure où les relations partielles qu
mble plus ou moins complet des symptômes qui constituent l'aliénation
mentale
. La véritable psychose, qu'elle soit d'origine or
e qu'on appelle parfois la maladie de Graves ou de Basedoxv, les tics
mentaux
, les tremblements fonctionnels, certains spasmes
médiate de l'émotion qui a été d'inhiber à un tel point les fonctions
mentales
supérieures qu'il en est résulté l'apparition d'u
ue un dommage comportant réparation » est bien l'expression d'un état
mental
fréquent chez les traumatisés. Il est certain que
la médiumnité sont justifiées, car déjà de nombreux cas d'aliénation
mentale
consécutifs à des séances de spiritisme ont été p
ouver chez les médiums entraînés toutes les particularités des formes
mentales
de l'hystérie. Les médiums, de (1) Allais Karde
sonnes d'un esprit peu fait à la méditation ou à l'attention purement
mentale
, s'endorment sitôt qu'elles veulent méditer ou se
s qui le frappent ; il perçoit, voit, entend. Il y a là nn machinisme
mental
d'une nature fort particulière, et en tout sembla
ensemble des moyens employés dépend entièrement, selon moi. de l'état
mental
du malade, ce qui à son tour dépend de l'atmosphè
ibre moral. Quand il y a trouble sexuel chez l'homme, des symptômes
mentaux
et psychiques très nets sont bientôt observés. Ch
. Sujet du cours : Les enfants anormaux; l'hgpnotisme et l'orthopédie
mentale
. — M. le docteur Paul Fabbz reprendra, à la Fac
on alimentaire. OUVRAGES REÇUS A_U REVUE Aug. Leu ait re : La vie
mentale
de l'adolescent et ses anomalies, iu-12, 238 page
ces de certaines maladies du tube digestif avec quelques défaillances
mentales
souvent aggravées par des perturbations sérieuses
e intervention simultanée de la neurasthénie cérébrale, de l'hystérie
mentale
et de l'hypocondrie matinée d'une légère dégénére
ts' impulsifs presqu'irrésistibles qui accompagnent toujours les tics
mentaux
, la plupart des maladies spasmodiqucs, les crampe
la force motrice qui est presque toujours dominé ou créé par un état
mental
auquel se rattachent des défaillances psychiques
organisme les stigmates de la faiblesse corporelle et de la pauvreté
mentale
est presque toujours victime d'un héritage défect
me périodique. Et quant à ce qui concerne plus spécialement la sphère
mentale
, les manifestations de la périodicité et de l'alt
ue raisonneuse, au fonctionnement nerveux déséquilibré et dont l'état
mental
a été compliqué par le doute et le raisonnement.
Discussion : Dr Bérillon. — L'abus du patinage sportif crée un état
mental
particulier, comme dans la plupart des sports. No
é à plusieurs reprises ; il pourra donner son appréciation sur l'état
mental
de ce malade, sur l'esprit duquel, par un traitem
prochain accès. Dans le cas présent, il s'agit d'un cas d'aliénation
mentale
, d'une psychose, et non d'un cas de neurasthénie
ablissement, ne l'ont représenté comme très calme, exempt de troubles
mentaux
caractérisés. Dr Paul Farez — La somnoformisati
rofesseur Morselli, de Gênes, qui fut chargé spécialement de l'examen
mental
de la Tarnowska, ne tendent nullement à confirmer
ode atténuant sa responsabilité, parce qu'elle se trouve dans un état
mental
qui diminue beaucoup sa force de caractère et sa
ologie médicale. Sujet du cours : les enfants anormanx ; l'orthopédie
mentale
. Jeudi 12 mai : Le traitement médico-pédagogiqu
eil (Seine). Jeudi 30 juin : Rôle de l'hypnotisme dans l'orthopédie
mentale
(avec démonstrations expérimentales). Les consu
ns du temps à venir. H est d'ailleurs bien évident que cette aptitude
mentale
est elle-même une fonction réelle, une fonction d
omme lui en considérations grandiloquentes. Et comme toute régression
mentale
fait prédominer l'égoïsme sur les propensions sup
t pas compatible avec l'observation du devenir physique esthétique et
mental
. Dans son évolution de la mémoire, M. Piéron su
tirer des déductions relatives aux changements survenus dans son état
mental
, mais on ne saurait y trouver de sérieuses indica
Bouchard, p. 29. Anormaux à Bordeaux, par Régis, p. 93. Anorexie
mentale
, par Tarrius, p. 43. Anorexie des adolescents,
de la psychologie, p. 160, 224, 252, 288, 320, 352. Eparpillement
mental
, par Bérillon, p. 215. Erreur judiciaire (Les
srv. ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
PUBLIEE SOUS LA DIRECTION Uh : K .1.-11. CHAH
a été enfermée pendant quelque temps dans un asile pour aliénation
mentale
; elle était sujette à des accès de colère viole
s étudions. Ainsi les indications tirées de l'état morbide fonda-
mental
, sont les mêmes dans le tabes combiné et dans l
ns l'une des branches an- térieure". G. D. 60 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XIII. LES localisations cérébrales DE L HERPÉT
ent à un trau- matisme léger du crâne. Ca. F. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
1. Base anatomique de L'ÉPILEPSIE; parWALTER HA
trépan, qui fut repoussé par un médecin consul- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. () 1 tant. Plus tard, les lésions étaient deve
ement. On y découvre encore un facteur d'or- lU revue de Pathologie
Mentale
, dr<' sexuel (fausses sensations locales). S
2 Voy. Revues analytiques, t. V, p. 259. " ' REVUE DE Pathologie
mentale
. Ii : j représenté par une ligne qui, placée en
1 Voy. Arch. de Neurologie, t. IX p. 106. (;4 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. de vingt-trois jours; puis la malade se remet
ise nécroscopique. Homme de quarante-deux ans, atteint d'aliénation
mentale
depuis six mois (mégalomanie, phénomènes paraly
Siemens, Arch. de Neurologie, t. IX, p. 268. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 65 Observation IL Glio-sarcome cérébral. Epile
ssion brusque, momen- archives, t. XII. 5 6(; REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. tanée, d'obsession optative, de sensation, de
e 0,5 à I chez les typhiques déments. Durée to- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 67 taie moyenne des typhiques sains d'esprit,
exte, le sens qu'il lui donne, les erreur Il 68 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. qu'il a commises. Dans ces conditions, les par
raitement par L'ÉLEC- TRICITÉ; par ALEX. ROBERTSON. (The Journal of
Mental
Science, avril 1884.) Ce cas est celui d'une
a tête était réduite à cinq minutes. R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 69 DE l'exaltation D\NS l'alcoolisme chronique
S l'alcoolisme chronique; par BONVILLE BRADLEY Fox. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1884.) Les conclusions de ce m
. UN cas DE folie circulaire; par HERBERT PACKFR. (The Journal of
Mental
Science, avril 1884.) Il s'agit d'une femme de
d'excitation et de dépression, avec intervalle très court de santé
mentale
; cette malade avait subi deux condamnations, pro-
uasi- \phasique du langage; par Ii.-1S. IIIITCHELL. (The Journal of
Mental
S ielace, avril 188.1.) Le malade était âgé d
des cas de manie. Le pouvoir de formuler une 70 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. proposition était absolument détruit, età ce p
« ou à en diriger le sens. » R. M. C. XIV. SUR QUELQUES symptômes
mentaux
DES affections cérébrales ordinaires; par le Dr
ffections cérébrales ordinaires; par le Dr GASQUET. (The Journal of
Mental
Science, avril 1884.) C'est moins pour en tir
égie), dans les- quelles il a pu constater l'existence de symptômes
mentaux
. Dans ces quatre cas, les troubles intellectuel
N JEUNE garçon DE treize ANS; par S.-A.-K. Strahan. (The Journal of
Mental
Science, juill. 1884.) Cette observation est su
et; on sait en effet que les cas de manie aiguë REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 71 sont extrêmement rares avant la puberté. Le
térale de la MOELL1 : épinière ; par G.-H. Savage.' (The Journal of
Mental
Science, avril 1884.) L'auteur rapporte cinq
ISSON, dans LES asiles d'aliénés; par D. HACK TUEE, (The Journal of
Mental
Science, janvier 1385.) L'auteur a fait, aupr
nous nous hornerons à noter que M. Hack Tuke 72 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. a été étonné de constater qu'un nombre de méde
NFLUENCE SUR LES MALADES DES ASILES par C.4MPBELL. (The JOUI nal of
Mental
Science, juillet 188r.) Après avoir étudié les
uérisons inattendues : deux cas ; par le U Willeit. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1 R8 L) Le premier cas est cel
t devient calme, propre et docile. R. 111. C. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 73 XX. IMPEl\FECrlll : \ mentale congénitale a
R. 111. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 73 XX. IMPEl\FECrlll : \
mentale
congénitale avec idées DE persécution chez DES
rsécution chez DES jumeaux; par T.-VV. Ai4E DONALL. (The Journal of
Mental
Science, Juillet 4884.) Observation détaillée
le avec P.ICÜYMÉNINGIT1 : : par <'h0 H. Sauvage. (The Journal of
Mental
Science, Juillet 1884.) L'observation peut se r
tPLÉGtQUE ASSOCIÉE A LA FOLIE ; par W. BEVAN LEWIS. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1884.) Les réflexions dont l'a
comme rattachant sa maladie à cette cause. - 74 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Si l'on passe en revue les symptômes, on note
regrettable, le cerveau et la moelle ne furent REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 75 l'ohjet d'aucun examen microscopique : mais
capillaires des régions ganglionnaires de la base. Au point de vue
mental
, le phénomène le plus intéressant était une apa
ie extrême, allant presque jusqu'à la torpeur. C'est là un symptôme
mental
que l'auteur dans un précédent mémoire, avait r
sur LES causes DE la folie; par Herbert C. Major. (The Journal of
Mental
Science, avril 1884.) Cette enquête annuelle a
lus élevée) chez la femme crue chez l'homme. 76 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Inquiétudes et peines morales (d'autre nature
est-elle donnée pour les deux sexes réunis : REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 77 viron 1 p. 100. L'auteur ne trouve à cet ab
ns, {'inanition, prédomineut chez la femme comme cause d'aliénation
mentale
. La vieillesse (qui ne figure dans le questionn
puis 1878) fournit les chiffres suivants : 78 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. talée chez l'homme que chez la femme, ce qui c
le tableau suivant en indique la fréquence : REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 79 1) ne se préoccupe guère de l'opinion publi
E l'hémisphère cérébral GAUCHE; par Arthur RANNIE. (The Joumal of
Mental
Science, avril 1884.) Voici les points les plus
sur un cas DE folie impulsive; par Richard UREESE. (The Journal of
Mental
Science, octobre 1883.) Le cas rapporté par M.
f ans, très bon sujet, n'ayant présenté jusques là que des troubles
mentaux
à peine appréciables et méritant plutôt la qual
point de vue médical, l'opinion formulée par 80 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. le magistrat, qui, en s'adressant au jury, déc
iques rétrocèdent. Finalement, l'accident somatique et l'aliénation
mentale
guérissent complètement. La malade était folle
était folle depuis sept mois, quand survint l'érysipèle; sa santé
mentale
n'a plus rien laissé à désirer depuis plus de deu
analomo-pathologique, histologique nit dans les REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 81 conclusions qu'en tirez. Friedmann. Les cel
onclusions. Il est exceptionnel de voir la guérison de l'aliénation
mentale
survenir pendant une grossesse engendrée au cou
grave absolument toujours le pro- nostic, généralement l'aliénation
mentale
devient, sous son in- fluence, plus grave, la g
à celle des gros- sesses et délivrances antérieures à l'aliénation
mentale
. P. K. XXXIII. Contribution A l'étude DE l'inco
la tristesse reparait, Archives, t. XII. 6 82 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. etc...; les actes et les idées sont d'une inco
. ments de sa femme. Irresponsabilité. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 83 XXXV. L1 sensation sexuelle contraire (inve
a production ou la modification des rêves). 'H4 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Dans un dernier paragraphe intitulé : Complexi
de la vue et accès de manie. Trois jours après, REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 85 grande attaque épileptiforme. A partir de c
s sont retenus contre leur gré; cette impul- 86 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. sion est, dans bien des cas, altribuable à d'a
exposés, conformément à l'étude des diverses formes de l'aliénation
mentale
et aux principes mé- dicaux les plus élevés. 11
iste pas non plus de signe anatomo-pathologique REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 87 de la paralysie générale syphilitique, comm
plètement inconnue. P. K. XLIII. De l'hérédité directe DES maladies
mentales
; par E. ScoLl. (Arc%. f. Psych., XVI, 1, 2, 3.
tare héréditaire se reconnaît avant l'explo- 88 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. sion de l'aliénation mentale au caractère de l
ant l'explo- 88 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. sion de l'aliénation
mentale
au caractère de l'individu (tendance à la dé- p
xagérée pour le motif le plus futile), à l'existence d'une débilité
mentale
dès la jeunesse, à un ralentissement dans le déve
section B envisage cinq familles dans lesquelles la perturba- tion
mentale
paraît produite moins par l'hérédité que par des
e, les dépravations, l'imbécillité, la transmission de l'aliénation
mentale
seule appa- raissent chez eux ; on n'y constate
glosse et de tous les muscles de ce côté. C'est REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 89 quatorze jours après l'accident, lorsque le
omme un pont une lame d'arachnoïde. L'hémis- 90 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. phère gauche paraissait plus volumineux que l'
eptiques eux-mêmes, soient qu'ils aient été des REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 91 L ivrognes. L'atavisme est d'ailleurs, quel
pour le motif le plus futile, à raison probablement d'une débilité
mentale
congéniale. Intégrité des muscles des yeux. Auc
es nerfs périphériques représente le substratum anatomique fonda-
mental
du tableau morbide, on note fréquemment aussi des
une épileptique ou une bystero- épileptique débile au point de vue
mental
qui n'est pas en état de discerner la culpabili
simulation, qui, du reste, n'exclut pas le diagnostic de débi- lité
mentale
simultanée. M. LmAN. Les réponses absurdes qui
e aboutit à une excitabilité psychique et nerveuse; affaiblissement
mental
et nerveux. Aucune convulsion, mais accès de cé
fois sur huit malades différent des rémissions des autres maladies
mentales
; elles sont complètes ou incom- plètes : ces de
nfirmiers et les infirmières qui forment l'auditoire. z (Journal of
mental
science, 1886.) CÉRÉMONIE POUR LA CURE DES ÉPIL
depuis des années chez le roi de Bavière, atteint d'une aliénation
mentale
dans laquelle l'hérédité a également joué son rôl
, 1SS6. - Librairie J.-B. Baillirrc. tlec (G ). Classification of
mental
diseases. Report of the progress. Brochure In-8
sporadic cretinism with an account of the Autopsie (rite Journal of
mental
Science, vol. XXII, 18 îG, p. 2f1). l'rg. 6.
de troubles viscéraux. Ne présente rien d'insolite au point de vue
mental
. Intelligence moyenne, cul- ture rudimentaire,
, élancements dans les jambes, affection rhumatismale avec troubles
mentaux
, diminution de J'acuité au- ditive bi-latérale,
e responsable des phénomènes relatifs à la personnalité et à la vie
mentale
; 3° il n'y avait dans l'espèce ni ataxie, ni tr
role ne devint mauvaise qu'à partir de la troisième année. Débilité
mentale
, mais intégrité de la mé- moire. La famille com
l'effort (genèse, mécanisme inconnus). P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
LI. LE crime ET la FOLIE; par le Dr P. DUKoFF.
érences radicales qui les séparent. II. La fréquence des affections
mentales
, chez les criminels détenus, dépend non seuleme
conditions mêmes de l'emprisonnement. III. Les formes des maladies
mentales
qui se développent chez les criminels emprisonn
ue si des hommes compétents se font un devoir ' REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 241 d'étudier le côté moral de ces individus e
à cause du trouble que sa maladie apportait 343 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. dans son service. Il écrit bien, mais son rega
nomènes étaient, non des accidents autonomes en REVUE DE pathologie
mentale
. 2t3 relation avec l'hypnotisme, mais des ictus
t consomment pour 30 pfennigs, soit 40 cen- 244 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. times d'alcool, nous extrayons que le vin et l
git des criminels qui appartiennent au vaste domaine de la débilité
mentale
congé- niale. Il faudrait seulement que les mag
paration qu'on emploie. Ils ôtent l'appétit, donnent de la débilité
mentale
et physique, de l'amaigrissement, de la fatigue
c'est pour faire mieux comprendre, par l'étude des derniers l'état
mental
des autres. L'avantage de cette méthode c'est q
le huileux. Discussion : M. FALK. Quels sont les cas d'aliénation
mentale
dans lesquels le médicament doit être employé ?
c dts prévenus dontl'rz/faire s'instruit, afin d'examiner leur état
mental
au besoin pendant six semaines ». Quel résultat
i conçu : En ce qui concerne la préparation d'un rapport sur l'état
mental
de l'inculpé, le tribunal, peut sur la proposit
ge dont nous recevrons neux exemplaires. ALLIOT (E.). La suggestion
mentale
et l'nctioudes médicaments à dis- tance. Brochu
in-8" de 14 pages, avec figures Extrait du louwnal of ne,'vous and
mental
dtscase. - New-York, 1886. - Put- nam's sons.
six semaines, ré- cidive naturelle en 1882; diminution des facultés
mentales
et physiques. 44° gocher. - Anna D..., vingt-
s nerveux généraux : convulsions, paralysie fonctionnelle, hébétude
mentale
et enfin idiotie com- plète, de la leucocytose,
analyse. Nous ne nous arrêterons pas sur les détails de l'affection
mentale
de cette malade, qui est entrée dans la directi
des accidents qui ont suivi le suicide n'est point la seule; l'état
mental
lui-même est amélioré ; B..., qui, antérieureme
mise depuis deux jours, et qui doit avoir été trop serrée. » L'état
mental
est changé; B... suppliait autrefois qu'on ne l
. La légère amélioration que l'on avait constatée au point de vue
mental
n'a point persisté, et n'a guère duré que huit jo
état intel- lectuel. Nous pourrons ajouter qu'il a de la répétition
mentale
, qu'il compte à l'infini, et qu'il lui laut un
-t-on pu s'aperce- voir des premières manifestations de l'allection
mentale
? ' ? Nous en savons assez pour répondre que dè
lé en 18ï2 à Munich, où il dirigea en même temps l'asile départe-
mental
d'aliénés. Depuis 1870 il a contribué à la public
duction de la folie. SUR LA. statistique des maladies NERVEUSES ET
mentales
EN RUSSIE. - Dans sa communication à la Société
ts de ses recherches sur la statistique des ma- ladies nerveuses et
mentales
en Russie. L'absence absolue des documents immé
ingt et un ans, 15,72'i ont été reconnus comme atteints de maladies
mentales
ou nerveuses, c'est-à-dire 9,72 p. 100. Prenant
6 pages. Neuchâtel, 1886. H. Wolfrath et C'e. SOCIÉTÉ DE MÉDECINE
MENTALE
DE BELGIQUE. - Congrès de phréniatrie et de neu
poslhémi- plégique et folie), 73. Hérédité directe des maladies
mentales
, par Sioli, 187. Hémorrhagies-cutanées par auto
57; - (tu- berculeuse), 59 ; (cérébro- spinale chronique), 60.
Mentaux
(troubles dans les affections cérébrales ordina
ont inhérents, paraît- il, à la profession de tonnelier. CLINIQUE
MENTALE
NOTE SUR LE DÉDOUBLEMENT DE LA PERSONNALITÉ ET
es ambi- ' Communication faite au Congrès international de médecine
mentale
de. Paris 1889. DU dédoublement de la personn
n externe de la Salpêtrière, le 17 dé- cembre 1888. 26 # CLINIQUE
MENTALE
. Antécédents héréditaires. - Mère, morte d'un a
te dano la gorge jusque dessous la langue, - Comme elle 28 CLINIQUE
MENTALE
. n'a plus de pensée, il y en a un qui lui sert
musculaires et consiste avant tout en des phénomènes d'articulation
mentale
involon- taires, parfois inconscients, souvent
o-sensorielles, intéresse les centres sensoricls-corti- 30 CLINIQUE
MENTALE
. eaux. J'ai déjà rapporté dans des études antér
se connaît, il n'a pu lire ou penser qu'à l'aide de l'articulalion
mentale
, puis il ajoute : a 11 y a dans ma poi- trine,
le pensée. » M. Baillarger, dans une ana- lyse minutieuse de l'état
mental
de cet individu, met en relief l'importance de
ental de cet individu, met en relief l'importance de l'articulation
mentale
involontaire dans les cas de ce genre et le déd
e. Poly- sarcie très accusée ayant produit des vergetures. Son état
mental
est celui d'une débile, émotive, très irascible
produira en pareil cas. chez un sujet prédis- posé, la modification
mentale
qui rendra possible la transfor- mation de la p
on de la conscience concomittant à l'at- taque, durant aussi l'état
mental
si profondément troublé de la période délirante
alysée. Enfin, il faut encore mentionner les observations expéri-
mentales
de P. Fraissel, qui eut la chance d'observer une
ui, pour Ferrier, étaient les centres de la vision et de l'audition
mentales
. Albertoni de même. On se rappelle que l'excita
e manière si complexe les divers éléments dont se compose une image
mentale
, un groupe d'images, un rai- sonnement, un juge
iers sont les éléments prédisposants : telles sur- tout la débilité
mentale
et la tendance au délire systématique. Les sign
ette théorie extrêmement plo- bable. L'année dernière le Journal of
mental
science a tenté d'ex- pliquer la mélancolie par
IS A 1110scou LE t5 JANVIER 48911 SECTION DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
. Séance du 20 Janvier. (Maladies nerveuses.)
ntrer que dans la multiplicité des for- mes cliniques en aliénation
mentale
, l'élément individuel joue un 150 BIBLIOGRAPHIE
vralgique , l'hémineurasthénie, la neurasthé- nie monosymptomatique
mentale
; la petite neurasthénie. Les cent dernières pag
adie de Lasè gue (délire des persé- cutions et de la dégénérescence
mentale
héréditaire). A propos de l'épilepsie il étudie
dmettant qu'il existe à la base de toutes les intoxications un état
mental
spécial et souvent un état de déséquilibration.
luence du milieu social. Une même action perturbatrice des facultés
mentales
agirait simulta- nément sur des individus parei
1er avril au31 oc- tobre 1891, d'un cours de clinique des maladies
mentales
. , Faculté DE médecine D'1NNSBRUCK. M. le docte
Froment (A.). - Elude médico-légale sur la simulation des maladies
mentales
. Volume in-8° de 99 pages. Prix : 2 fr. Paris, 18
typo- graphique. Magnan (V.). - Leçons cliniques sur les maladies
mentales
(Le délire chronique a évolution systématique).
s abonnés, 2 fr. 75. Magnan (V.). Leçons cliniques sur les maladies
mentales
, faites à l'Asile clinique (Sainte-Anne). Recue
santé. Au mois d'avril, on constate même une légère amé- lioration
mentale
. La plaie crânienne est aussi en voie de guéri-
SUR le crime ET LES CRIMINELS; par Henry MaUDSLEY. (The Journal on
mental
Science, juillet 1888.) L'auteur estime que,
nel essentiel, celui qui n'est tel que par un vice d'organisation
mentale
: ce vice est le plus souvent constitué par une d
ile de chercher dans leur encéphale les signes de cette infériorité
mentale
: leurs circonvolutions peuvent être peu compli
ports DE L'ÉPILEPSIE avec LE CRIME; par John BAKER. (The Journal of
Mental
Science, juillet 1888.) Les recherches de l'a
par P. NOECKE. (Allg. Zeilsch. f. Psych., XLVII, 3, 4.) Débilité
mentale
congéniale, surtout au point de vue du sens mor
rapports 3fÉD1C0-LGG.1U1 SUR la névrose Traumatique avec aliénation
mentale
; par A. Ricuter. (A1'Ch2U f. Psych., XXII, 2.)
5 mois, sans qu'on ait à déplorer d'accident, quel que soit l'état
mental
, même chez un vieil épileptique, qu'on ait affa
e laquelle est apparue une autre affection. Cependant en médecine
mentale
, les cas de guérison complète survenant presque
tion et le 7 septembre il quittait l'asile dans un état physique et
mental
très satisfaisant; six mois après, on put constat
pseudo-paralysie générale, tandis que c'est de la dégéné- rescence
mentale
mise en activité par un stimulant alcoolique. V
uve une accumulation de présomptions tirées, soit d'autres troubles
mentaux
intérieurs, soit de signes physiques ou psychiq
t. M. LERICHE, ancien médecin en chef de l'établissement départe-
mental
de Saône-et-Loire, donne un aperçu des conditions
voeu proposé au vote du Congrès. Les Membres du Congrès de Médecine
mentale
de Lyon, considérant que la loi de 1838, appliq
commence l'application de l'électricité statique dans les maladies
mentales
à Genève (n'a pas employé d'étincelles électriq
ité statique. Trilogie de Pierret : étiologie générale des maladies
mentales
: insomnie, mal de tête, constipation. L'électr
taires n'ont pas pu être établis ; elle est atteinte d'une débilité
mentale
confluant à l'imbécillité avec obtusion extrême
ançaise de tout ce qu'elle fait pour les aliénés et pour la science
mentale
. M. Rebatel répond au nom du conseil général du
pargnés. , M. SIEMERLING, - Un cas d'hystérie grave avec aliénation
mentale
. A l'autopsie on trouva : une bifidité de la pa
M. WERNicKE présente un malade qui, dans le cours d'une mala- die
mentale
, perdit complètement la parole. Démonstrations
Tous ces types portèrent l'empreinte de l'épuisement de l'activité
mentale
. La marche est toujours lente, la durée est au
, il réagit par une psychopathie. Une psychopathie ou une affection
mentale
.a donc d'autant plus de chances de se développe
i depuis quelque temps ne jouit plus de ses facultés 2H2 VARIA. ^
mentales
, s'est fait une horrible blessure qui a nécessité
conduit hier à la maison d'arrêt de Rambouillet. Comme ses facultés
mentales
sont complètement oblitérées, il n'a a FAITS DI
la 2° classe ;M. le Dr ROUILLARD, chef de la clinique des maladies
mentales
, médecin-adjoint à l'asile Sainte-Anne, est nom
vers pays. LE nouvel asile pour LES criminels atteints d'aliénation
mentale
de l'état de New-York estmaintenant en bonne vo
) Les lecteurs des Archives savent que, avec le Congrès de médecine
mentale
de Rouen et avec la grande majorité des aliénis
mis à Waizen, où un cordonnier, nommé Csermak, atteint d'aliénation
mentale
, a tué un chanoine nommé Etienne Konda, pendant
urnalier, Charles Vaudry, subi- tement pris d'un accès d'aliénation
mentale
, parcourait les rues de Courbevoie en pronunçan
la trace la de fugitive. La pauvre femme a, parait-il, les facultés
mentales
très alfaiblies; c'est pourquoi l'on craint qu'el
r ce sujet, que dans ces dernières années le nombre des aliénations
mentales
dues à l'abus de boissons alcoo- liques a dimin
ès Christiania, accusaient la bois- son comme cause de leur trouble
mental
, ce nombre est graduel- lement tombé jusqu'à 2,
eld et Huchard. Les rapports étroits du diabète avec l'aliénation
mentale
, l'épilepsie, l'hystérie, le goitre exophthal-
mbre étaient morts d'affec- tions cérébrales, d'autres d'aliénation
mentale
. Il relève dans l'hérédité d'un jeune diabétiqu
on the ncurolic Iheory of goût. il, 1880, t. 111, p. 1.) CLINIQUE
MENTALE
DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS; Pa
ictionnaire ' Ann. ? aéd. psychol" 1887, VI, p. 302. 326 CLINIQUE
MENTALE
. de Dechambre, par le Dr A. Ritti. Aussi ne 're
x de la folie (I, p. 306); mais encore dans son Traité des maladies
mentales
, qui parut en 1860. C'est là qu'il signale (p.
er la transformation possible du délire de persécution 328 CLINIQUE
MENTALE
. en délire des grandeurs. Mais il n'a jamais so
décrit plusieurs variétés 3. ' Leçons cliniques sur les maladies
mentales
, Paris, 1891. * Le Délire chronique, in BuGI. d
es, Paris, 1891. * Le Délire chronique, in BuGI. de la Soc. de méd.
mentale
de Delgiqtie, nos 59 et 60. Semaine médicale,
élire de persécution n'est pas une espèce particulière d'aliénation
mentale
, ayant toujours les mêmes symptômes et la même
ution constitue, dans quelques cas, une forme spéciale d'aliénation
mentale
ayant ses caractères propres et surtout ses idé
er que l'idée de persécution se montre dans les formes d'aliénation
mentale
les plus diverses, l'alcoo- lisme, la paralysie
ersécutés. En le faisant, nous appliquons simplement à l'aliénation
mentale
les règles universellement employées en patholo
ides. ' 1890, YII, n°' 2 et 3 (sept. et nov.). ..J 330 CLINIQUE
MENTALE
. Ce n'est pas l'hallucination de l'ouïe qui con
ie une différence radicale, qui en fait bien réellement deux formes
mentales
distinctes, pouvant se combiner l'une avec l'au
e persécution. Art. Folie, du Diction, de Dechambre. 332 CLINIQUE
MENTALE
. III. C'est assurément l'une des particularités
médico-psychologique. Voir ans., sept. 1887. p. 292. 334 CLINIQUE
MENTALE
. pose à nous et malgré nous d'une façon obsédan
que paraissent s'être montrés les premiers symptômes de dérangement
mental
. Il devient sombre, tacitnrne, s'isole de ses c
n duel, ne sort plus qu'armé, et annonce qu'il fera un 336 CLINIQUE
MENTALE
. exemple. C'est alors (1873) qu'il fut conduit
er en duel. C'est à l'occasion Archives, t. XXII. 22 338 CLINIQUE
MENTALE
. de ces démarches que la maladie parut évidente
. Lui-même a toujours été d'un caractère bizarre, mais 340 CLINIQUE
MENTALE
. d'une intelligence remarquable. Il a été l'un
ette ville pour y recueillir des documents. Puis aban- 342 CLINIQUE
MENTALE
. donnant cette idée, il s'installa à Einsideln,
t à cette époque qu'il parait avoir donné des signes de dérangement
mental
: il se plai- gnait amèrement des corvées qu'on
ères observations; les idées religieuses se sont déve- 344 CLINIQUE
MENTALE
. loppées parallèlement à elles, se fortifiant l
incontinence nocturne d'urine jusqu'à (lita- torze ans. Instabilité
mentale
. - Colère, gourmand, menteur. - Stigmates hysté
Dubuisson portant : « Epilepsie( perversion des instincts, débilité
mentale
; atrophie musculaire de la main droite.» 0 Envo
es et soeurs (hystérie, arriération intellec- tuelle et instabilité
mentale
, fièvre cérébrale). II. L'hystéro-épilepsie s'e
s la marche et la parole, incontinence noc- turne d'urine, débilité
mentale
, irritabilité, actes de violences, perversion d
tabilité, actes de violences, perversion des instincts, instabilité
mentale
, en un mot un - état nerveux probablement d'ori
NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTHRIE MALE. 391 de suicide, instabilité
mentale
, hallucinations, attitude du crucifiement, arcs
EVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 397 les affections
mentales
. On doit l'administrer à doses massives variant
e libres appartenant à divers systèmes : Il 0 ) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. A. Des faisceaux de fibres blanches fines alla
2 kilog.). Etat microsco- pique normal. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
I. La paralysie générale A Gucrr.; par le Dr PE
observations soient prises par la même per- 40t REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. sonne, car il serait à craindre, autrement, qu
teints de névralgie tenace : l'union fréquente REVUE *DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ' 405 de l'ataxie locomotrice et de la paralys
une maladie de la - civilisation. E. B. 406' REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. , VII. DE LA FRÉQUENCE RELATIVE DE LA PARALYSI
assez souvent chez eux comme chez les laïques des cas d'aliénation
mentale
simple. Donc, s'ils sont rarement atteints de p
ontinence, c'est un fait de notoriété publique. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 407 Bien qu'on soit loin de s'entendre sur le
d'un homme de soixante ans, présentant un certain degré de débilité
mentale
et ayant encouru toute une série de con- damnat
sous l'influence d'une attaque comateuse. 408 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. , A l'autopsie : foyer hémorrha-ique ancien à
morales de surmenage. P. K. X. DE l'ostéomalacie ET DE l'aliénation
mentale
; par J. WAGNER. (Jahrbuech. f. Psychiat., IX. 1
422; XVII, p. 312; XIII p.314 et VII, p. 393. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 409 d'observation) l'auteur a trouvé six ostéo
Tétanie de Corvisart. Trois observations. Après quoi aliénation'
mentale
; puis disparition simultanée de latétanie et de l
p. 312; t. XIII, p. 31 E ; t. VIII, p. 393. 410 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. voque-t-elle ou aggrave-t-elle une névrose ou
iocre des fibres tangentielles (couche externe) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 411 et peut-être aussi des fibres qui coupent
uvera la preuve de cette assertion. P. K. 412 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. XXI. CONTRIBUTION A la pathologie générale ET
8 juin 1890. Présidence DE M. PEL111N. M. PRiE. Un cas d'aliénation
mentale
dans la névrite multilocu- laire. C'est une obs
à l'appui de la thèse de Iiorsahow=.. M. ScumTZ. - De l'aliénation
mentale
consécutive l'influenza'. Mémoire publié. Dis
klman. A l'asile de Bonn, l'influenza n'a pas amélioré l'aliénation
mentale
; plusieurs paralytiques sont morts de pneumonie
s chefs principaux : 1° L'influenza a-t-elle produit l'aliéna- tion
mentale
? . En aucun cas, elle n'a suffi à déterminer l
rdre dans les idées post-épileptique Elle n'améliora en rien l'étal
mental
; loin de là, ce médicament abrutissant les mala
cette paralysie rétrocéda; la suspension ne modifia en rien l'état
mental
. L'amélioration obtenue chez les cinq paralytiq
ux, ainsi que la nécessité de relever l'enseignement de la médecine
mentale
à Paris, et ' d'avoir dans les asiles un person
la vie psychique des micro-orga- nismes; c, l'intensité des images
mentales
; D, le problème hypnotique; E, l'écriture hysté
itables tics des idiots, les attitudes spéciales à certaines formes
mentales
, le délire du toucher, etc. Il y parle de tout
, qui, lorsqu'elle sort d'un asiie d'aliénés guérie d'une affection
mentale
se trouve elle seule, sans amis et sans argent,
subitement quand il s'agit d'être en contact avec eux. Les maladies
mentales
ne sont pas toutes bien comprises par la généra
convalescents doit convenir, autant que possible, à leur condition
mentale
et physique. Il est donc né- varia. 445 cessa
LES PROFESSIONS ET L'IDIOTIE. M. Galton a publié dans le Journal of
Mentale
Science une étude sur la natalité des membres d
janvier 1801, p. 113.) DE l'instruction DES affaires EN médecine
mentale
; par le Dr Ciiambard. {Annales Médico-psychol.,
it combien l'évolu- tion, et par suite le pronostic d'une affection
mentale
diffèrent selon qu'elle frappe ou non un hérédi
, médecin de l'asile de la Charité; Pierret, professeur de clinique
mentale
; sup- pléant, Dr Fabre, médecin de l'asile de
la, médecin de l'asile de Marseille; mairet, professeur de clinique
mentale
à la Faculté ; suppléant, Dr Maunier, médecin d
Brochure ut-8° de 15 pages. Buffalo, N. Y. - Journal ofNervonsand
Mental
Disease. KURELLA (H.). - Ueber Asymétrie des Sc
itiques. HACK TUlOE. PI'ichU1'd and Symonds in especial relation to
Mental
Science, with chapters on Moral insanity. Volum
, par Bonamaison, 93. ATHOPIXE et duboisine dans lesrnala- dies
mentales
,par Ostermayer, 232. Bibliographie : Entozoaire
uë et rapide, par Gosselet, 291 ; - Etudes de psychologie expéri-
mentale
, par Minet, 440 ; Les aliénés criminels, par Al
er, 362; épidémie il ? par Chatalof, 138; grave avec aliénation
mentale
, par Siemerling, 269. IDÉES DE grandeur chez le
Misspelbaum,409. Injection de suc testiculaire dans les maladies
mentales
, par Fronda, 228. Maladies nerveuses, traitem
ansitoire, par Schwass, 411. Médicaments nouveaux en aliéna- tion
mentale
, 231. Mélancolie, guérie par un érysipèle, pa
myosite, par Siemerling, 271. Névrose traumatique, et aliénation
mentale
, par Richter, 227; - et affections organiques d
s de l’hypnotisme et de la suggestion dans le traitement des maladies
mentales
et de l’alcoolisme. Rapporteurs : M. le Dr Toka
pplications de l'hypnotisme à la pédagogie générale et à l’orthopédie
mentale
. Rapporteur : M. le Dr Bérillon. VI Valeur
hérapie. Barauuc (Paris) : Les vibrations de la vitalité animale et
mentale
mensurée par la biométrie. Bilhaut (Paris) : La
uggestibi-lité et ses adjuvants psychiques, autrement dit l'affection
mentale
, d’autre part la contagion, dans la propagation d
rôle considérable que joue la suggestion dans la genèse des maladies
mentales
, et un encouragement à suivre l’exemple d’Auguste
plus un élément surémotif et passionnel) est un symptôme d'affection
mentale
. 2° Les idées religieuses se propagent par sugg
s, je me proposais d’étudier plus minutieusement son état physique et
mental
pour retrouver, si possible, la genèse et le mode
ffocation, ne sont pas le résultat d'une idée délirante, d'un trouble
mental
, mais d'un souvenir qui, à son insu, a laissé dan
de toutes les indispositions... La crainte produit une surexcitation
mentale
qui jette l’organisme dans un état fiévreux. »
hera à découvrir l’état d’esprit du malade et prescrira un traitement
mental
approprié. 11 est singulier qu’en ces jours de dé
nt sont, en général, des névropathes; ils présentent de l’instabilité
mentale
, manquent de mémoire ou de sensibilité ou d’atten
ou incapacités motrices qui tiennent surtout à un défaut de synthèse
mentale
. « On supprime, ajoute-t-il,des paralysies psychi
sin, fait tous les jeudis, à 10 heures, une clinique sur les maladies
mentales
et neigeuses. Société d'études psychiques de Li
e l'hypnotisme et de la sug g es lion dans le traitement des maladies
mentales
et de l'alcoolisme. Rapporteurs : M. le Dr To-kar
pplications de l'hypnotisme h la pédagogie générale et à l'orthopédie
mentale
. Rapporteur: M. le D1 Bérillon. — Discussion.— Co
. Jules Voisin (Paris) : Application do l’IIypnotisme àl’orthopédie
mentale
. Watteau (Paris) : De la suggestion médicale dans
L'idéoplastie. en effet, par la suggestion verbale, par l’impression
mentale
, suscite dans l’anidéisme un monoïdéisme ou un ol
somme une analyse élémentaire complète par une véritable vivisection
mentale
. 2° Produire isolément, faire fonctionner à par
e insu et môme constituent dans leur entier la plupart des phénomènes
mentaux
que le moi principal s’attribue; leur contenu rep
utre part, le malade en traitement peut être en imminence de troubles
mentaux
qu’un traitement intempestif ferait éclater. II
Séance du 15 mai 1900. — Présidence le M. Jules Voisin. Orthopédie
mentale
et morale par suggestion pendant le sommeil natur
lques phénomènes oniriques, par M. le Dr A. Gianelli, Rivist. sper ¡
mental
. di Frenialr. e med. leg., vol. XXV, fasc. 2.
anelli, il existe des phénomènes oniriques organisés par l’expérience
mentale
antérieure du géniteur et transmis au descendant.
Voisin fait chaque année, dans son service, un cours sur les maladies
mentales
et nerveuses. De ses leçons fort appréciées, il e
t des enfants réfractai res à l’éducation normale et pour l'éducation
mentale
des vicieux, dégénérés ou arriérés. L’œuvre du
a satisfaction irrésistible de l’impulsion alcoolique a amené un état
mental
voisin de la folie, ctde fait, deux ou trois d’en
de l'ivrogne que nous avons à combattre, mais simplement sa faiblesse
mentale
et son manque de volonté. Il n’v a pas à douter q
rnières années, on m’a demandé de traiter beaucoup de cas de maladies
mentales
par la suggestion hypnotique, et j'ai essayé d’ap
ts nerveux. J'ai réussi à guérir plusieurs cas de grande dépression
mentale
, touchant presque à la mélancolie quand ils étaie
ésultat que j’ai eu dans ma clientèle dans le traitement des maladies
mentales
, je m’expose peut-être à être accusé d’avoir manq
ommande, cette malade est aujourd’hui complètement guérie el son état
mental
n’a jamais été aussi satisfaisant. DISCUSSIONS
chologie à la Salpctrière. M. le Dr Joffroy, professeur de maladies
mentales
à la Faculté de médecine de Paris. M. le Dr Joi
e neurologie, de Bruxelles, représenté par M. le Dr Crocq. Journal of
mental
palhology, de New-York, représenté par M. le Dr R
premiers qui introduisit l’hypnotisme dans le traitement des maladies
mentales
. Je suis sûr. Messieurs ot chers Collègues, d’ê
logique? D'autre part, les expériences de dissociation des phénomènes
mentaux
ont permis d'analyser d’ur.e façon minutieuse les
ment des enfants réfrac-taires à l'éducation normale et à l’éducation
mentale
des vicieux et des dégénérés. « On comprendra q
s de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitement des maladies
mentales
et de l’alcoolisme, de môme que les applications
e môme que les applications à la pédagogie générale et à l'orthopédie
mentale
, donnèrent lieu à des communications intéressante
hoses. Ils passent même sur les signes les plus évidents d’aliénation
mentale
, d’hallucinations pathologiques ou d’hystérie, sa
criminalité, le déséquilibre général des caractères et la con fusion
mentale
où aboutissent les effets de notre prétendue civi
et il se peut qu’une personne, débilitée ou atteinte d’une affection
mentale
, s'endorme plus facilement qu’une personne saine
lis, mais sans donner une affirmation plus formelle. Dégénérescence
mentale
avec phobies multiples. — Traitement par la sug
directe l’une de l’autre. Elles sont des signes de la dégénérescence
mentale
du sujet. Et leur présence simultanée chez la mêm
es autres phobies sont des symptômes épisodiques de la dégénérescence
mentale
, comme l’ont bien démontré Magnan et ses élèves.
er la plaque sous elle. Pour achever de vous faire connaître l’état
mental
de notre malade, il me suffira de vous rappeler s
sion unique. On suggère une passion, celle-ci occupe toute l'activité
mentale
; il y a rétrécissement de la conscience que rien
xiste une passion unique, celle-ci occupe tout le champ de l’activité
mentale
; rien ne l'excite en dehors de la passion. Les
sait tout à l’heure allusion, il n’a pas tenu compte de la suggestion
mentale
. M. Félix Regnault. — Il ne faut pas rejeter de
elle croit devenir très légère et s’élever au-dessus du sol. Cet état
mental
dure depuis trois ans. Sous les efforts qu'elle f
Janvier 1901. BULLETIN M. Ch. Renouvier, et la théorie du vertige
mental
, par M. le D«- Paul Farez. « Depuis hier, Ren
grand nombre d’autres ; c’est ce qu’il appelle la théorie du Vertige
mental
. (') Notons que cette explication date déplus de
alyse psychologique et l’observation des faits, la théorie du vertige
mental
s’applique à la fois « au songe, au somnambulisme
hénomènes de l’hypnotisme vont rentrer eux aussi dans ceux du vertige
mental
. En effet, l’individu que l’on hypnotise est av
uement expliqué et justilié l’emploi de l’hypnotisme en thérapeutique
mentale
. * • * M. Renouvier soutient déjà, toujours
dicamenteux, n’est pas le seul qu’on doive opposer aux cas de vertige
mental
et d’aliénation du moi. « Nos aliénistes, écrit-i
remier point, l'observation permet d’admettre des cas où la déviation
mentale
précéderait les perturbations organiques et pourr
ourraient alors s’amender en même temps que ces dernières... L'action
mentale
est un moyen à la fois légitime et eilicace de ré
résister à l'aliénation, en ce qui concerne, bien entendu, la sphère
mentale
. » De ce qui précède, on peut, semble-t-il, con
on de la volonté et de l’habitude, une hygiène morale, une orthopédie
mentale
que nous trouvons exposée de main de maître, dans
es, à propos d'un opuscule où je m’appuyais sur sa théorie du vertige
mental
, M. Renouvier m’apprit, à mon très grand étonneme
e fois qu’elle était remarquée par un médecin s’occupant d’aliénation
mentale
. Je suis heureux de la signaler à l’attention de
psychique dans tous les cas de vertige et principalement en médecine
mentale
. De plus, il a exposé très explicitement quels re
somme une analyse élémentaire complète par une véritable vivisection
mentale
. 2° Produire isolément, faire fonctionner à par
rime tous mouvements, arrête sa pensée et la borne à la prononciation
mentale
du mot mystique om ; il se confine dans une (1)
pratiquants de l'hypnotisme excellaient à opérer de ces vivisections
mentales
dont l'effet le plus ordinaire et le plus inoiïen
es doctrines esthétiques de Wagner. Cours des maladies nerveuses et
mentales
M. le Dr Jules Voisin commencera son cours des
M. le Dr Jules Voisin commencera son cours des maladies nerveuses et
mentales
à la Salpêtrière, section Esquirol, le jeudi 10 j
nvestigation psychologique ; 2* la clinique des maladies nerveuses et
mentales
: 3° la pédagogie clinique; 4* tous les procédés
) 3° La psychologie appliquée (hypnotisme thérapeutique, orthopédie
mentale
, pédagogie suggestive, etc.) ■\° La psychologie
à interpréter, tels que : la lecture des pensées, la sug- gestion
mentale
, les hallucinations télépathiques, la lucidité, l
s et infectieux (1) Par le Dr E. Régis Chargé du cours des maladies
mentales
à l'université de Bordoaux Les idées émanées du
oxi-infectieux : E. Régis :Des auto-intoxications dans les maladies
mentales
(Rapport au 4“* congrès des aliénistes et neurolo
ique. (Thèse de Bordeaux, 1897.) Dr Lassignardie : Essai sur l'état
mental
dans l'abstinence. (Thèse de Bordeaux, 1897-1898.
gtemps dominé par celte idée fixe (*). Cette curieuse particularité
mentale
, capable de se produire chez les individus n'ayan
ésiques passagères, se succédant les unes aux autres, dans l’asthénie
mentale
des infections, sans laisser de traces dans la co
sister durant un temps plus ou moins long, à la suite d’une confusion
mentale
primitive de nature hystérique, et prenant naissa
notion du temps, des lieux et des choses me semble due à la confusion
mentale
qui accompagne généralement les intoxications. En
isme aigu est précisément décrit aujourd’hui sous le nom de confusion
mentale
. Le retour des excès alcooliques chez notre malad
ût à peine tolérées. Il est probable que les hystériques, dont l’état
mental
offre tant d’autres singularités, acquièrent égal
lètent l’une à l’autre. « L’hystérie est une forme de désagrégation
mentale
caractérisée par la tendance au dédoublement perm
omane. (Ncurologischcs Centralisait, 1893.) (2) Pierre Janet : Etat
mental
des hystériques, 1893. plus ou moins les fonc
ale est dans une certaine mesure en rapport avec notre fonctionnement
mental
; la sudation très abondante va de pair avec la d
hypocondrie, hystérie, états névropathiques divers et môme aliénation
mentale
sont notés fréquemment dans leurs biographies.
iner, ou le monoidéiser, que si vous savez l'intéresser à l’opération
mentale
que vous voulez réaliser sur lui. Nous n’entrep
ndre Gratier et Cla, 23, Grande-Rue, Grenoble). 2° The Journal of
mental
pathology, édité par L.-G. Robinovitch, m.-d., 32
ur des termes de la science hypnotique. Stigmates de dégénérescence
mentale
et psychothérapie, Par M. ie Docteur Paul Faiie
venez, d'une femme qui présentait des stigmates de dégénérescence
mentale
avec phobies multiples. Or, j’ai soigné, l’été
r, j’ai soigné, l’été dernier, une femme qui présentait des stigmates
mentaux
de même nature, et je désire vous exposer brièvem
as pour deux raisons : 1° pour contribuer à montrer que ces stigmates
mentaux
de dégénérescence, quoique dérivant d’un fond à p
on père était irritable, passionné, violent. Sa mère présente un état
mental
analogue à celui de sa siile et toutes deux exerc
malade conscient de l'amélioration qui s’est manifestée dans son état
mental
, accepte facilement l’idée de la démorphinisation
ggestion, fixe le jour de la suppression. En prévision des troubles
mentaux
qui accompagnent toujours cette suppression, le m
e la suggession diminue d’une façon appréciable la durée des troubles
mentaux
. Elle dissipe les nombreuses manifestations hysté
e énergie car à l'incapacité physique s’ajoute souvent une perversion
mentale
. Lorsque l'application de l’électricité provoque
rches pédagogiques b, qui a pour mission d’étudier l’état physique et
mental
des élèves des écoles. L’examen avait d’abord é
l’éminent médecin de Sainte-Anne, professeur de Clinique des maladies
mentales
à la Faculté, donne à qui le voit et l’entend pou
attaché à l’histoire d’un très grand nombre de maladies nerveuses et
mentales
, de la méningite hypertrophique, de la paralysie
er ordre, comme du reste ceux qu’il a publiés depuis sur les maladies
mentales
, sur la paralysie générale et sur l'intoxication
ns bien impressionnés par suite des troubles sensoriels. La confusion
mentale
des hystériques résulte souvent du même phénomène
ses. Si Ton fait rentrer l’hystérie fruste dans le cadre des maladies
mentales
, il est certain qu'il y a beaucoup de vrai dans c
. Si N’ se ressoude complètement à X, il en résultera de la confusion
mentale
. Deuxième MODE.— L’agrégat A ’conserve scs comm
e veille. La soudure complète de N et de N: détermine de la confusion
mentale
. Ce n’est pas seulement en deux agrégats N et N
s des malades, et de leur rendre par là tout ce que leur constitution
mentale
comporte d’attention, de jugement et de volonté.
oit tellement invétérée, qu’elle ait fini par constituer une synthèse
mentale
très marquée, que l’hystérie, fille de l’idée, do
’il y ait besoin de la complication d'hystérie ni même de la synthèse
mentale
dont on a parlé.... Je conclurai en disant qu’u
lent. Nouvelles voies de la thérapeutique des maladies nerveuses et
mentales
, par M. Haskovec, Klin. th. Woch, 13 janvier 1901
ndant le sommeil hypnotique, par Paul Farez, p. 311. Dégénérescence
mentale
avec phobies multiples, par Jules Voisin, p. 154.
le avec phobies multiples, par Jules Voisin, p. 154. Dégénérescence
mentale
(Stigmates de) et psychothérapie, par Paul Farez,
. 63. Nouvelles voies de la thérapeutique des maladies nerveuses et
mentales
, par Haskovec, p. 377. Obsession du suicide (L)
Orthopédie morale et hypnotisme, par J. Voisin, p. 15 Orthopédie
mentale
et morale par suggestion pendant le sommeil natur
Record (Etrange), p. 62. Renouvier (M.Ch) et la théorie du vertige
mental
, par Paul Parez, p. 193. Reviviscence du souven
divination inspiration et prophétisme, par Garnault, p. 87. Vertige
mental
(M. Ch. Renouvier et la théorie du), par Paul Far
s, en effet. les attaques continuent à paraître fréquemment et l'état
mental
est resté a peu de chose près ce qu'il était à l'
ux mains des notes probablement diffé- (l) Cf. Espinas, L'évolution
mentale
chez les animaux. Revue philosophique, 1888, I, 3
u 1er au 5 août. Président : M. Moutard-Martin. Congrès de médecine
mentale
, du 5 au 10 août. Président : M. Falret. Congrè
s de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitement des maladies
mentales
. Rapporteur : M. le Dr Auguste Voisin. Question
n IV. Applications de la suggestion à la pédiatrie et à l'éducation
mentale
des enfants vicieux ou dégénérés. Rapporteur : M.
t se confirment ; c'est, enfin, que l'étude de cet agent d'orthopédie
mentale
se généralise et que les esprits sérieux ne saura
1/2, examen des malades. Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies
mentales
. — M. le professeur Ball fait, les dimanches et l
t, les dimanches et les jeudi», des leçons cliniques sur les maladies
mentales
. Hospital. de la Charité — M. le Dr Luys fait l
ystérie vulgaire (hysteria minor); 4° dans le traitement des troubles
mentaux
de l'hystérie. Grande hystérie. La grande hys
grand air. etc., des adjuvants d'une puissante efficacité. Hystérie
mentale
. Tous ceux qui ont eu l'ennui de vivre dans l'i
que les cliniciens ne se soient pas assez préoccupés de ces troubles
mentaux
. Dans aucun auteur on ne trouve formulée d'indica
ait quelques symptômes de la grande hystérie. Chez elle, les troubles
mentaux
dominaient a un tel point, qu'elle rendait la vie
moindre contradiction de son mari provoquait chez elle des désordres
mentaux
allant jusqu'au délire. Il lui était arrivé fréqu
ce pas là par excellence le rôle du médecin qui traite les affections
mentales
, et n'aura-t-il pas rendu déjà un grand service à
viscéraux et menstruels, névralgies, etc.); 4° Contre les troubles
mentaux
de nature hystérique (perversions des sentiments,
e. Lundi 5, à 3 heures. — Séance d'ouverture du Congrès de médecine
mentale
. Séances du 5 au 10 août, au Collège de France.
s de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitement des maladies
mentales
. Rapporteur : M. le Dr Auguste Voisin. Question
n IV. Applications de la suggestion à la pédiatrie et à l'éducation
mentale
des enfants vicieux ou dégénérés. Rapporteur : M.
rmes de l'ivresse pathologique, d'une part, tous les états de trouble
mental
subaigus, aigus ou chroniques dus à l'intoxicatio
Hospice de la salpêtrière. — Conférences cliniques sur les maladies
mentales
. — Le Dr Séglas. médecin suppléant, commencera un
léant, commencera une série de conférences cliniques sur les maladies
mentales
, a l'hospice de la .-alpétrière. le jeudi 1er aoû
sur le diagnostic différentiel des principales formes de l'aliénation
mentale
. — M. le Dr Rommelaere, secrétaire général à l'
procéder avec la plus grande circonspection dans les cas d aliénation
mentale
, lorsqu'on espère pouvoir utilement soumettre un
éussir (1) Communication faite au Congrès international de médecine
mentale
, dans la séance du mardi 6 août. assurément dan
nt efficace, dans certaines circonstances, contre tel ou tel symptôme
mental
, se manifestant comme obsession ou comme impulsio
iques le traitement par l'hypnotisme de certaines formes d'aliénation
mentale
, restera une précieuse acquisition de la thérapeu
date de plus d'une année, n'a apporté aucune perturbations facultés
mentales
, et j'ai eu récemment l'occasion de m'assurer q
niversité de Louvain. M. 1e Dr LOMBROSQ César, professeur de médecine
mentale
a la Faculté de Turin. M. le Dr MARÉCHAL Amédée
es que le magnétiseur lui ordonne, au risque de compromettre sa santé
mentale
et physique, l'hypnotisé des représentations publ
ubliques. Ces conséquence»sont : 1° La propagation d'une épidémie
mentale
, sous forme de manie hypnotique, pouvant donner n
aladies orga- niques du système nerveux, des névroses, des maladies
mentales
, des névralgies, des maladies des autres appareil
in-surmoniable du sujet en traitement, certaines formes d'aliénation
mentale
et ausssi l'état de que'ques hystériques chez les
t se le fournit â lui-même, c'est de l'auto-suggestion. La suggestion
mentale
serait une suggestion où la personne qui suggère
nsmission héréditaire des habitudes acquises, au point de vue social,
mental
et scientifique. Des expériences pourraient êtr
rpé, naturellement, de docteur. — a la suite du Congrès de médecine
mentale
. il a été décidé qu'un Congrès rational de médeci
Falret, Médecin de la Salpétrière, Président du Congrès de médecine
mentale
(1) Le domaine de la pathologie mentale s'agran
dent du Congrès de médecine mentale (1) Le domaine de la pathologie
mentale
s'agrandit tous les jours de plus en plus. Autr
étal pouvait se rencontrer dans un certain nombre de cas d'aliénation
mentale
(2). La folie avec conscience a donc acquis mai
ait d'observation qui est in- (1) Rapport lu au Congrès de médecine
mentale
. _ (2) Delasiauve a même fait de la conscience
à l'étranger, qu'il existe un assez grand nombre de cas d'aliénation
mentale
, surtout caractérises par des idées, des émotions
omme on le taisait autrefois, dans des formes différentes de maladies
mentales
? ou bien enfin, doivent-ils être tous réunis, com
rémissions, et ne se transforment pas en d'autres espèces de maladies
mentales
; 7° Elles n'aboutissent jamais à la démence ;
c les névroses ou folies menstruelles dans le domaine de l'aliénation
mentale
. Une pareille incursion nous entr aî-nerait beauc
de se rendre' compte par une vue d'ensemble, des diverses affections
mentales
traitées dans l'Asile, M. le docteur Briand ava
salle, des malades présentant des formes caractéristiques de maladies
mentales
. Au dessus de chaque -malade un numéro d'ordre av
otisme et de la suggestion hypnotique dans le traitement des maladies
mentales
et dés états connexes. Rapport de M. le docteur
uccessivement ce traitement à tous les états connexes, à l'aliénation
mentale
, aux troubles moraux, aux vices, aux penchants in
orizons de la thérapeutique suggestive et de l'étendre à l'aliénation
mentale
et aux névroses connexes. Je ne saurais trop vo
pas permis. Mes essais de suggestion dans le traitement des maladies
mentales
ont donné des résultats assez conformes à ceux qu
, je n'ai, à part cela, mais réussi à changer le cours des maladies
mentales
par la suggestion, n cas de manie chronique, avec
ug. Voisin s'il a obtenu des résultats favorables contre des troubles
mentaux
graves qui ne dépendaient pas de l'hystérie. M.
i-bourg. nous avons appliqué la suggestion au traitement des troubles
mentaux
chez des aliénés qui n'étaient nullement hystériq
Les applications de la, suggestion à la pédiatrie et à l'éducation
mentale
des enfants vicieux ou dégénérés. Par M. le doc
opportunité de l'application de la suggestion contre ces manifestions
mentales
qui sont sous la dépendance d'un véritable état p
i constaté les faits suivants : Un état d'abattement, de dépression
mentale
, plus ou moins prolongé, précède le premier stade
rand dégoût pour les aliments. Puis, il y a une période de dépression
mentale
, alternant avec de l'assoupissement, laquelle a s
endredí, à 9 heures 1/2 à la Salpétrière). — Clinique de pathologie
mentale
—M. Bill, professeur, dimanche, jeudi, à 10 heures
heures-et (àl'asile Sainte-Anne). — M. Ballet, agregé. — Pathologie
mentale
et maladies de l'encephale. — Lundi. mercredi,l v
x Dessoir. OUVRAGES REÇUS A LA REVUE Traité pratique des maladies
mentales
, par le Dr CULLERRE. — Paris, J.-B. Bail-lière, i
in-12, 489 pages, 1890. — Prix : 4 Etude cliniques sur les maladies
mentales
at nerveuses, par le Dr Jules Falret.— Paris, J.-
fâcheuse de son système nerveux et un affaiblissement de ses facultés
mentales
. De nombreux témoins étaient cites par le plaigna
cru hypnotisé. Il s'agit donc là d'une simple affaire d'aliénation
mentale
, sans aucun rapport direct avec l'hypnotisme. u
rimentées l'hypnose a amené la guérison d'un Grand nombre de troubles
mentaux
, jamais par contre, n'a jamais, provoqué le moind
les applications de l'hypnotisme à la thérapeutique des affections
mentales
et nerveuses. Il étudiera spécialement les procéd
au moyen de la suggestion, faire disparaître les principaux troubles
mentaux
, c'est-à-dire la lypémanie, les plaintes, les gém
ée des autres, est dans une position dangereuse par son développement
mental
. On augmente ses appétits en satisfaisant ses dés
r le maître et le fléau de l'Inde. Dans les Leçons sur les Maladies
Mentales
du docteur Ball, nous trouvons, sous le nom d'exc
ance considérable. Jusqu'à ce jour, le chapitre de la thérapeutique
mentale
, bien qu'étudié par tous les auteurs spéciaux, ét
certains malades qui eux-mêmes, font remonter le debut des accidents
mentaux
ou nerveux dont ils souffrent à des manœuvres d'h
opinion publique, on n'avait pas été sans remarquer le singulier état
mental
présenté par une des personnes les plus gravement
, également consulté par un rédacteur du Gaulois a répondu que l'état
mental
de Gabrielle Bompard lui semblait le résultat d'u
ROUBINOVITCH, interne à l'asile Ste-Annc. SOMMAIRE : Dégénérescence
mentale
avec troubles hystériques. Délire mélancolique su
de 30 ans, originaire de La Forain (Vosges) atteinte d'une aftec-:ion
mentale
qu'il considère pouvant être traitée par l'hypnot
affection. Depuis ce mariage cl surtout depuis sa grossesse, son état
mental
s'est singulièrement aggravé. Actuellement elle
GALE Séance du 13 janvier 1890.— Présidence de M. Brouardel. État
mental
d'un homme arrêté pour avoir coupé des nattes de
commis. MM.. A. Voisin, Socquet et moi, à l'effet de constater l'etat
mental
du nommé X..... prévenu « d'avoir soustrait fraud
miner le caractère. Dans la ligne paternelle, deux cas d'aliénation
mentale
; un cas au moins dansla ligne maternelle. Le pèr
Ballet, professeur agrègé, a repris ses conférences sur la pathologie
mentale
et les maladies de l'encéphale, a la Faculté de M
rte à l'exagération et à la simulation. Elle entraine souvent un état
mental
particulier, qui porte la malade à faire ou à dir
M. Krafft-Ebing admet l'existence chez cette malade de trois états
mentaux
distincts. (« Bewusslscinzusände ») 1 l'état norm
xpérimentale 3° l'état produit par l'autohypnose. La malade a un étal
mental
triple, chaque état reposant sur un mécanisme par
un mécanisme particulier des systèmes nerveux. Ces cercles des états
mentaux
ne se superposent jamais, chaque état mental ayan
. Ces cercles des états mentaux ne se superposent jamais, chaque état
mental
ayant sa mémoire particulière. - K. E. a réussi
l observe desphénomènes caractéristiques de la continuation de l'état
mental
111 dans lequel elle était la veille. Elle cher
ant au suicide s'observe le plus souvent dans les états de dépression
mentale
qui sont fréquents chez le vieillard, l'hypochond
ux que l'homme avancé en âge réagit moins contre les états de douleur
mentale
. Son moi est plus faible et la pensée de suicide,
l'aie- ¦ 1', le dégénéré avec ses irois grands caractères : son état
mental
, ses impulsions, sa propension A délirer pour la
e d'observer chez les buveurs non tarés. Après avoir analyse l'état
mental
dus buveurs, des buveurs conscients et inconscien
n, mais elle met surtout en relief les caractères habituels de l'état
mental
, qui n'est, en somme, psychologiquement parlant,
on, la fréquence des rechutes, l'affaiblissement précoce des facultés
mentales
, le polymorphisme du délire caractérisent 1 alcoo
zisteskranke. (Quelques moyens moraux dans le traitement des maladies
mentales
).( Therapeut. Mtibft., 8). FOREL: Zen den Getah
la dipsomanie intermittente, la folie passagère, toutes les maladies
mentales
à répétition ne sont en réalité que des états de
le de Nancy ne semble pas avoir tenu assez grand compte du substratum
mental
des sujets, de leurs antécédents héréditaires ; e
un mot tous les prédisposés du système nerveux, les dégénérés à état
mental
faible sont plus aptes que tous autres à subir, c
d'une façon lointaine, à l'histoire de l'hypnose ou de la suggestion
mentale
. Or, il est toute une catégorie de délires, obs
observé, émotivité qui est un des caractères fondamentaux de son état
mental
. Ainsi donc, émotivité du sujet trouvant son expl
e forme extèreure ; ses paroles sont rèpercutées. ses représentations
mentales
usuelles deviennent autant d'hallucinations. C'es
lancolique, mus il a repris son état émotif d'autrefos; son équilibre
mental
est toujours chancelant. De plus, ses tendances m
e le dégénéré touche, il le dénature et le marque au coin de son étal
mental
. Dans l'état émotif de notre malade réside ici la
surexcités que l'hallucination prend naissance ; les représentations
mentales
s'extériorisent, et le malade dont la conscience
se au service d'une émotivité qui est la base immanquable de son état
mental
. Notre malade réagit à la façon d'un mélancoliq
objets entrevus par le malade sont rarement extériorisés; ses visions
mentales
ne revêtent pas pour lui une forme palpable, tang
mme dans une rêvasserie pénible, voit défiler devant ses yeux (vision
mentale
) des quantités de tableaux que son imagination de
réoccupations intimes. 11 est figé dans cette sorte de réprésentation
mentale
qui reste à l'état de représentation mentale. Com
sorte de réprésentation mentale qui reste à l'état de représentation
mentale
. Comme la conscience est obscurcie, ces représent
i : 1° Jeune âge du sujet; 2° Cause première résidant dans l'état
mental
du sujet, témoin de la tare héréditaire dont il e
le fera reconnaître, et dont on trouvera l'explication dans son état
mental
originel. ENCORE L'INTERDICTION DES REPRÉSENTAT
isme et de la suggestion dans le traitement des maladies nerveuses et
mentales
. programme du cours Pathologie nerveuses et psy
tions de la suggestion hypnotique dans le traitement des mala- dies
mentales
. VIII. Les applications de la suggestion à la p
conférences : Maladie du système nerveux. Enseignement des maladies
mentales
. — Le London County a décidé la construction d'an
-- portance que l'on accorde en Angleterre l'eseignement des maladies
mentales
et témoigne des efforts faits pour avoir dam les
éjà augmenté d'une façon très appréciable. L'amélioration de l'état
mental
avait marché parallèlement avec celle de l'état p
nt. Asiles u'aîtente pour les périodes de remission de l'aliénation
mentale
M. Gilbert Ballet a donné communication à la so
communication à la société de médecine légale d'un rapport sur l'état
mental
d'un employé d'une cran de administration publiqu
pace, l'action télépathique, la lévitation de Crookes , la suggestion
mentale
, etc. considérable qui soni le résultat d'expér
a plus nouvelle et la plus frappante de cet ouvrage: la désagrégation
mentale
et la multiplication des personnalités. . En ef
al, et toute action du système nerveux est toujours liée à une action
mentale
, claire ou obscure, connue ou inconnue, mais peut
s de l'esprit humain, la destruction de cette unité, la désagrégation
mentale
:— et voici qu'ils aboutissent â la même conclusio
ornerai à vous résumer les résultats de la psychothérapie en médecine
mentale
. Parmi les savants expérimentateurs dans cette
peutique précieux dans le traitement des nevropathies et des maladies
mentales
. Quant aux indications de cette méthode thérape
tion hypnotique a été communiqué par M. Ladame au congres de médecine
mentale
de 1889. MM. Kraft-Kbing et von Schrenk-Notzing o
ence personnelle de la suggestion appliquée dans des cas d'aliénation
mentale
proprement dite est minime, vous avez pu vous en
alade son empire sur lui-même, à supprimer l'influence des obsessions
mentales
à réprimer les impulsions morbides. Permettez-m
tre classée comme agent thérapeutique dans le traitement des maladies
mentales
. Différents orateurs, parmi lesquels les docteu
édecins et aux étudiants en médecine. Congres annuelle d'allenation
mentale
. — Nous rappelons à nos lecteurs que ce Congres a
n, du 4 au 8 août. Le programme comprend : 1° Questions de pathologie
mentale
. Relation de la paralysie générale et de la syphi
ue, 26 Application de la suggestion à la pédiatrie et a l'éducation
mentale
des entants vicieux, ou dégénérés, par Bérillon.
ie subite (l'). 138 Éducation par un sens unique (l');. 63. Éducation
mentale
des enfants vicieux ou dégénérés, 153 Étude s
ucinations (une). 03. Épilepsie procursive, par Ladame. 190. État
mental
d'un homme arrêté pour avoir coupé des nattes de
tisme (les) 188. Cabrielle Bompart (opinion des médecins sur l'état
mental
de) 227, 266. Genèse des idées délirantes par a
(der). par Albert Moll, 30. Hystérie et hypnotisme, 370. Hystérie
mentale
, 43. Hystérie monosymptomatique, 38. Hystérie d
e, 40. Indications de l'hypnotisme dans le traite-ment des maladies
mentales
,par A. Voisin, Influence de l'éducation et des
A. Voisin, 202. Magistrats (l'hypnotisme et les), 315 Maladies
mentales
indications de la suggestion dans les), par A. Vo
ant tous les mois PSYCHOLOGIE - PÉDAGOGIE - MÉDECINE LÉGAL MALADIES
MENTALES
& NERVEUSES Rédacteur en Chef Docteur Edgar
peut même la comparer qu'à cette funeste maladie qui est l'aliénation
mentale
. Nous ne pouvons que plaindre profondément ceux q
'est à la médecine, en effet, qu'il appartient de guérir l'aliénation
mentale
;— il lui appartient de l'atténuer, quand elle ne
r éducation première. Ces enfants sont mal équilibrés au point de vue
mental
. On constate le plus souvent chez eux une hérédit
On trouve dans les délires pathologiques, on trouve dans l'aliénation
mentale
— M. Bernheim nous l'a fait remarquer tout à l'he
t, n° du 19 mai 1888) et le livre de M. Ocho-rowicz sur la Suggestion
mentale
(passim). (2) Cosmos, tome IX, p. 379.1888. — L
jours l'objet touché. J'ai vainement essayé d'obtenir la suggestion
mentale
: impossible de faire exécuter même le mouvement
su les mettre en évidence ; je me suis borné à chercher la suggestion
mentale
et je lai obtenue une fois a l'un de ces états ex
utes, et le sujet, interrogé sur la manière dont il percevait l'ordre
mental
, a répondu qu'il n'en avait pas conscience, mais
quoiqu'il les meuve très facilement quand il y voit. Une disposition
mentale
qui est indispensable, la conscience même du mouv
UEILS DE FAITS APPLICATION DE L'HYPNOTISME AU TRAITEMENT DES MALADIES
MENTALES
M. le docteur G. Burckhardt, directeur de l'asi
érer. Tout à l'heure, dans le deuxième groupe, nous démêlions un état
mental
particulier, un état mental qui, plaçant le sujet
e deuxième groupe, nous démêlions un état mental particulier, un état
mental
qui, plaçant le sujet sur les limites de la malad
désigné sous le nom d'exfra-phj-siologique. A présent, c'est un état
mental
décidément morbide que force est bien d'admettre.
'amour, la vie psychique des micro-organismes, l'intensité des images
mentales
, le problème hypnotique, note sur l'écriture hyst
e de cas de névroses, manies, monomanies, perversions sensorielles et
mentales
de toute espèce et de toute forme, contre lesquel
2* C'est en forçant encore l'analogie qu'on arrive à assimiler l'état
mental
dans l'hypnose avec un rêve ordinaire. Dans ce rê
éciable entre l'hallucination qui s'observe dans certaines affections
mentales
et celle qui se développe pendant l'hypnose ; tou
émisses, si ce n'est celle-ci : que ce qui ressemble le plus à l'état
mental
de l'hypnotisé suggcstiblc, c'est l'état mental d
mble le plus à l'état mental de l'hypnotisé suggcstiblc, c'est l'état
mental
de l'halluciné morbide, et qu'en conséquence on p
stériques des troubles moteurs et sensitifs. en vertu d'une opération
mentale
dont le mécj:ii>ru- c-: sjt»is*ab!c : mais les
qu'au moment o*: ils apparaissent, grâce toujours ô la même opération
mentale
. Les élèves de Charcot croient pouvoir conclure q
déduction beaucoup plus simple et surtout plus logique, te même état
mental
che\ les uns et che^ les autres a suffi à provoqu
pnose, ce qui par conséquent la caractérise nett.-ment, c'est un état
mental
particulier qui, sous le rapport psvchologiquc, p
donne la clef de tous les phénomènes et domine la situation. Cet état
mental
particulier, c'est la suggestibilité, c'est-i-dir
la phase de somnambulisme léthargique où elle ressent les suggestions
mentales
. Mme B... poussa des cris terribles et j'eus de l
ment intimement lié à ceux dont s'occupe le comité de la transmission
mentale
. Nos expériences dirlérent d'ailleurs en ceci des
, justifiées. Mais l'éton-nement le prit quand on parla de suggestion
mentale
, d'influence occulte rayonnant de l'hypnotiseur v
que récemment encore le docteur Masoin, soin, professeur de médecine
mentale
à l'Université catholique de Louvain, a traité ce
us et les enfants abandonnés? Toujours est-il que, sur la direction
mentale
du nerveux, les procédés Mssortissant à la pédago
ue cette science doit rester aux .i. DiLAtuuvt, Journal de médecine
mentale
. T. II, p. 8, i86a. Paris. mains des hcmmes,
is eu de maladie grave dans son enfance. Pas de maladies nerveuses ou
mentales
dans sa famille. Un jour de l'année ¦884. étant a
insi que la dit ave; tant de vérité Dela-siauve (r, le fonctionnement
mental
se résume en un mouvement giratoire, en une succe
c. 27 fois sur 70 par Boucher et 10 DiLASiM-ve, Journal dt médecine
mentale
. — Emotion». Scn* c root il. T. 1, p. 203 ; Paria
— M.le professeur Charcot a commencé le cours de clnique des maladies
mentales
le mardi 23 octobre à l'hospice de la Salpêtrière
M. le professeur Ball commencera le cours de clinique des maladies
mentales
, le dimanche 11 novembre 1888, à dix heures du
Blanche Magnan et Ball, chargée d'organiser un congres d'aliénation
mentale
pendant : l'Exposition de 1880. Dans la même sé
sme,et M. Auguste Voisin a lu un sur la classification des maladies
mentales
. M. Marsudon de Montyel a ensuite donné lecture
am, 1888. L'hypnose dans la pratique ; bourru y burot : La suggestion
mental
y la accion a distancia de las sustancias toxic
Fuster Fernan- dez. Madrid, 1888. In-12°. butlerow : [La suggestion
mentale
.] Saint-Pétesbourg, 1885. codeluppi : Sopra un
s que peu lui importait, parce qu'il agissait sur clic par suggestion
mentale
. Il a. d'ailleurs, voulu lui faire des sugges-tio
éfaillance, mais sans raideurs. L'amélioration survenue dans l'état
mental
se maintint, mais au bout de ces huit jours les a
est doublement évident chez notre malade, qui est tombée dans un éiat
mental
particulier et dont les attaques ont débuté a la
ée dans la Revue de l'Hypnotisme. Chez ces deux malades, les troubles
mentaux
se sont manifes-tés des manœuvres pratiquées par
ucier des conséquences que leurs manœuvres pouvaient avoir sur l'état
mental
des sujets. Quelques-uns faisaient preuve d'une b
depuis deux ans dans les sociétés savantes sur ce point de pathologie
mentale
. Voici le programme du cours : Les vrais persécut
qu'on a tout d'abord cru pouvoir invoquer en faveur de la suggestion
mentale
. On sait ce qu'on entend par ce mot. C'est la sug
euse pénétration et d'une si incomparable puissance? Si la suggestion
mentale
, malgré l'avis de savants dont le nom fait autori
me je le montrerai, peuvent nous renseigner sur le champ de la vision
mentale
. 7* Lorsque deux piqûres sont faites simultaném
nts du doigt et de l'image visuelle. Il résulte de ceci que la vision
mentale
a ses illusions comme la vision extérieure. 11*
ES M. Mairet, agrégé, est nommé professeur de clinique des maladie»
mentale
* ci nerveuses à la Faculté de médecine de Montpel
linique des maladies nerveuses et une chaire de clinique des maladies
mentales
, en Russie l'enseignement des maladies nerveuses
ales, en Russie l'enseignement des maladies nerveuses et des maladies
mentales
est concentré entre les mains d'un seul professeu
rement théorique, ce professeur s'occupant exclusivement des maladies
mentales
. M. Mierjiewsky, nommé titulaire de cette chaire
ire en 1877, enseigne à la fois les maladies nerveuses elles maladies
mentales
; l'enseignement pratique de la neurologie date de
ue l'année prochaine (1888-1889). A Karkoff, la clinique des maladies
mentales
et nerveuses se trouve dans une maison de santé a
service de clinique à l'Université. La nouvelle clinique des maladies
mentales
et nerveuses à Moscou vient d'être Installée. C'e
vendredi de chaque semaine. Maladies du sritême nerveux et maladie»-
mentales
. M. Gilber. Billet ; — phas>-macologic. M. Vin
cenain nombre de malade», et .1 arrivait à cette conclusion, que Ha*
mental
dt ce» malade» peut dire compare à 1 état mental
conclusion, que Ha* mental dt ce» malade» peut dire compare à 1 état
mental
de 1 h? pno us*. M. le Dr Lober avait su s'atti
tion des faits physiques persistants et patho-gnomoniques de son état
mental
, de même qu'à la perte complète de la mémoire au
sion, des troubles que l'hypnose produit dans l'exercice des (acuités
mentales
, et plus particulièrement dans l'exercice de la m
és, dont l'état représente le summum de puissance de la concentration
mentale
. En voici encore quelques exemples empruntés à
sur son propre fonds, sans aucun appel extérieur *aît à son activité
mentale
. Marie était assise devant une table sur laquel
de perturbation que l'hypnose détermine dans l'ensemble des facultés
mentales
, chez ces malades, à l'état de somnambulisme comp
onque pour entrer aussitôt en action-Plus est grande ta concentration
mentale
de l'hypnotisé, plus est grand aussi l'abandon de
peler quelques faits bien connus. Les perceptions dans certains états
mentaux
, dus à une surexcitation des centres percepteurs,
tendu est de nature à intéresser ou à exciter, parce qu'alors l'image
mentale
gagne en intensité grâce à l'excitation émotionne
s la direction de M. Kojewnîkoff, professeur de clinique des maladies
mentales
et nerveuses a Moscou. Ces constructions ne laiss
n vient de terminer à Kazan la construction de l'hôpital des maladies
mentales
et nerveuses ; cet hôpital contient trois cents l
ogrès a cet égard a été réalisé à Moscou, où la clinique des maladies
mentales
et nerveuses est restée ouverte pendant les vacan
la plus importante, en Russie, en matière d'enseignement des maladies
mentales
et nerveuses, et en même temps la plus ancienne,
ofesseur Mierjiewsky fait, par semaine, trois leçons sur les maladies
mentales
et nerveuses, avec présentation de malades et de
uième année. Trois docents sont attachés â !a clinique des maladies
mentales
et ncr- veuses, ils som les aides du professe
chaque semaine, seize heures consacrées a l'enseignement des maladies
mentales
et nerveuses. A cetic liste des membres du corps
es de temps considérables. Les professeurs de clinique des maladies
mentales
et nerveuses dans les Facultés de médecine de Rus
ires annexés aux services des cliniques. Chaque clinique des maladies
mentales
et nerveuses possède un vaste laboratoire, largem
urnaux qui donnent ose large pbce aux travaux concernant les maladies
mentales
et nerveuses. Les principaux sont : i" Le Médec
es Matériaux servant à Tétude de l'anatomie pathologique des maladies
mentales
, par Sokoloff ; publié, en iSSS, dans les Archive
cipation inégale que prennent les lobes cérébraux dans les opérations
mentales
, et la pré- ponJérance constante de l'un d'eu
e à cette étrange conclusion que chez le pianisteen activité, l'unité
mentale
est arrivée à se scinder en deux portions indépen
iennent les interprètes fidèles des phrases écrites; c'est un travail
mental
complexe, qui met en œuvre toutes les ressources
ue note, à chaque accord, et. chose bien merveilleuse, ces opérations
mentales
si complexes qui s'opèrent pour diriger les mouve
deso/.cequi est encore un supplément de complication dans le travail
mental
qui s'accomplit, attendu que la lecture visuelle
1/3, examen des malades. Asile Sainte-Aune. — Clinique des maladies
mentales
. — m. le professeur Balen fait, les dimanches et
t, les dimanches et les jeudis, des leçons cliniques sur les maladies
mentales
. Hôpital de la Charité.— m. le d* Luys fait le
année XX, livr. XII, p. 388-408. Bruxelles. 1889. di'»*av : La vision
mentale
ou dot'ble vue dans le somnambulisme provoqué et
eurs, ai l'hallucination provoquée est en correspondance avec un état
mental
particulier, il faut convenir que nous pouvons co
e comédie jouée avec pleine conscience, et les annales de la médecine
mentale
attestent partout quel mal immense l'abus du mot
à voir de la « simulation » partout, alors qu'il s'agit de phénomènes
mentaux
bien différents, soit d'aliénation mentale, soit
qu'il s'agit de phénomènes mentaux bien différents, soit d'aliénation
mentale
, soit d'auto-suggestions, soit d'hallucinations r
Erimnenm$Ê^ taOschumgtn) décrit* depuis assez longtemps eu aliénation
mentale
, et parce qu'il wè. s'agit pas Dcceuair:ment d'ha
un nombreux auditoire, une série de leçons cliniques sur les maladies
mentales
et nerveuses. Dans la première leçon, le profes
ications de l'hypnc-tisme au traitement de quelques-unes des maladies
mentales
. 11 a pu montrer successivement a ses auditeurs q
scutable, qu'il a guéri, par la suggestion hypnotique, des affections
mentales
graves, rebelles à tout autre traitement. Trop
il est nécessaire de commencer ce traitement de bonne heure. L'état
mental
des mourants M. Féré a dernièrement communiqué
ment communiqué à la Société de biologie une note curieuse sur l'état
mental
des mourants. Il n'est personne qui n'ait entendu
dies du système nerveux. Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies
mentales
. — Clinique des maladies mentales. — M. le profes
ainte-Anne. — Clinique des maladies mentales. — Clinique des maladies
mentales
. — M. le professeur Balen fait, les dimanches et
t, les dimanches et les jeudis, des leçons cliniques sur les maladies
mentales
. Hopital de la Charité. — m. le Dr Luys fait le
nche, à 9 h. 1/2 du matin, des coaférences cliniques sur les maladies
mentales
et nerveuses. Congrès international de thérapeu
s hallucinations produites par la suggestion verbale et la suggestion
mentale
à des intervalles plus ou moins éloignes cl déter
faut pas hésiter a en faire un cas pathologique, car c'est un trouble
mental
véritable qui tantôt fait demeurer ceux qui en so
dans l'une des catégories que comporte la classification des maladies
mentales
: nous l'appellerons la jalousie morbide. La
rie femme C..., âgée de Sa ans, est entrée à la Clinique des maladies
mentales
le 3o janvier dernier. Certificat d'entrée. — D
arlant, il est nécessaire de con* naître de quelle forme d'aliénation
mentale
est atteint le sujet, s'il y a véritablement foli
llement, pour ainsi dire, dans le cours d'un grand nombre de maladies
mentales
de forme et d'origine essentiellement diverses :
ort important de reconnaître qu'il v a un nombre considérable d'états
mentaux
constituant une région intermédiaire entre l'exac
ire entre l'exacte pondération de toutes les facultés et les maladies
mentales
véritables, en d'autres termes qu'il y a, entre l
quent, qu'il serve de porte-greffe à de véritables accès d'aliénation
mentale
. Coiii-m à l'Ecole |»-iitit|iie «le lu Faculté.
ques (pression artérielle dans les paroxysmes), par Féré, 369. Etat
mental
des mourants (l'), par Féré. 317. Etat de luc
e Rochas. 41, 76. Hypnotisme application au traitement des maladies
mentales
), par Burckhardt. 56. Hypnotisme par surprise,
nt les tribunaux (le), 28. Magnétiseurs et brigands, 63. Maladies
mentales
(application de l'hypnotisme au traitement des),
éance de suggestion, 173. Morphinomanie (la), 156. Mourants (état
mental
des, 317. Myélite chronique diffuse, traitée par
S NEUROLOGIE NEUROLOGIE REVUE 1 ? , DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
PUBLIÉE SOUS LA A D t RE C T ! 0 DE J.-M. CHA
que se propose la psychophysique considérée comme science expéri-
mentale
. - Mais les deux phénomènes en question, le pre
ur, dans le même état, conservant toutes ses forces et ses facultés
mentales
. Observation XI. Homme de soixante ans, sujet d
cette faculté, de la force plus ou moins grande de notre « énergie
mentale
motrice » est toujours accompagnée et aidée « p
volonté de mouvoir certaines parties est accompagnée de conditions
mentales
qui représentent devant la conscience le mouvem
En d'autres termes, on ne peut regarder légitimement les opérations
mentales
comme étant en partie immédiatement dues à l'ac
bsence de stigmates hystériques et en particulier absence de l'état
mental
propre aux hystériques ; -2° présence de REVUE
nt défaut, et il existe beau- coup d'hystériques avérés dont l'état
mental
est pourtant tout à fait normal. Passons main
eurs toasts ont été portés aux progrès et à l'avenir de la médecine
mentale
. M. B. Séance du 23 mai 1887. Présidence de M.
existe seul et est assez restreint pour empêcher de juger du niveau
mental
des malades. Le diagnostic de la paralysie géné
aborde l'intéressante question d'enseignement clinique des maladies
mentales
. Sa communication est intitulée ainsi : Sur la
rsitaire spécialement consacrée à l'enseignement de la patho- logie
mentale
, l'auteur s'arrête sur la clinique de Moscou qui
niques aussi bien à cause des rapports qui unissent ta patho- logie
mentale
avec les autres branches de la médecine (et surto
fez SOCIÉTÉS SAVANTES. cription de chaque 'cas nouveau d'aliénation
mentale
chez un ha- bitant. Si le médecin trouve que le
maisons de santé ; il existerait même certaines formes d'aliénation
mentale
qui exigent un traitement en famille, d'autres
rmation au médecin de la circonscription de chaque cas d'aliénation
mentale
est obligatoire pour les autorités du village;
st nécessaire d'avoir des connaissances approfon- dies des maladies
mentales
et une expérience pratique qu'on ac- quiert seu
lorsqu'ils sont malades, même lorsqu'ils sont atteints d'aliénation
mentale
, de leur assurer des soins efficaces et de prés
même être très fréquent, avec une maladie telle que l'aliénation
mentale
, que celui qui soigne le malade, mais qui n'est p
ernière hypothèse, celle où, par suite de la gravité de l'affection
mentale
, la séquestration devient nécessaire. Alors je
tteinte à la liberté individuelle justifiée, il est vrai par l'état
mental
du malade. Je compreuds due dans ce cas, vous d
pporteur tout à l'heure, à cette maladie redoutable de l'aliénation
mentale
, à toutes ses tristes conséquences : il sera to
e venir dé- clarer que l'un do ses parents est atteint d'aliénation
mentale
. Vous aurez beau inscrire cette obligation dans
tre vents de la publicité le malheur qui l'a frappé, l'alié- nation
mentale
de son fils ou de sa fille, serait déclaré coupab
protec- tion s'applique à l'aliéné réellement atteint d'aliénation
mentale
puisqu'il doit être tenu enfermé. Du reste, m
n chez lequel une personne est traitée, même seule, pour aliénation
mentale
est tenu d'en adresser la déclaration écrite, d
ns que pouvait efficacement donner la famille au cas d'alié- nation
mentale
de l'un de ses membres, lorsque c'est par les p
encore internés, ou pour les expertises médico- légales sur l'état
mental
des inculpés, dans l'hospice ou hôpital de tout
t notre système d'asiles tend directement à la culture des maladies
mentales
dans leurs formes chroniques. Les obs- tacles q
re. C'est la sépa- tion entrc les maladies physiques avec symptômes
mentaux
elles 176 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. maladies
sseur d'anatomie, et, depuis 1872, il occupa la chaire des maladies
mentales
et ner- veuses. En 1874, il fonda le Journal de
mentales et ner- veuses. En 1874, il fonda le Journal des maladies
mentales
et ner- veuses, dont la prospérité ainsi que l'
ology. Brochure in-8o de 17 pages. Extrait du Journal ofnervous and
mental
diseuse. - New-York, 1886. - Vail et C°, publishe
France, à tirer des conclusions cliniques. II. Rendu. PATHOLOGIE
MENTALE
RECHERCHES SUR L'ÉTIOLOGIE DE LA. PARALYSIE GÉN
aisser complètement de côté tout ce qui a trait à la 206 PATHOLOGIE
MENTALE
. paralysie générale chez la femme, me bornant s
es. Dans l'intervalle se sont produites les fluctua- 208 PATHOLOGIE
MENTALE
. tions inévitables, mais dans des limites très
den- tique dans ses Recherches sur le mouvement de l'aliéna- tion
mentale
à Paris (1872-85). Le chiffre ;de 1885 (172) es
u point de vue de l'âge, les 'résultats suivants : 210 PATHOLOGIE
MENTALE
. Etat civil. Sur mes 340 paralytiques généraux,
relatif aux professions dans le tableau suivant : 212 PATHOLOGIE
MENTALE
. DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 213 Ce tableau ne
ouer un rôle important, n'intervient pas, puisque nos 91 PATHOLOGIE
MENTALE
. militaires sont frappés, non pas au moment de
lysie générale ne diffère pas essentiellement des autres maladies
mentales
, et qu'il n'y a pas lieu d'ima- giner pour elle
resté très sceptique à l'endroit de cette cause, que 216 PATHOLOGIE
MENTALE
. beaucoup d'auteurs, et des plus recommandables
ranchi d'autant plus facilement, que cette hypothèse 218 PATHOLOGIE
MENTALE
. permettait d'espérer la guérison par un traite
p à la tête par éclat d'obus, coup de sabre, etc.).. 220 PATHOLOGIE
MENTALE
. Si l'influence des- traumatismes du crâne n'es
etc. Ces paralysies généralisées, décrites pour la 222 2 PATHOLOGIE
MENTALE
. première fois par Gubler, n'ont absolument rie
les affaires. Ce malade n'est resté que deux mois 22 le PATHOLOGIE
MENTALE
. à Charenton : pendant ce temps il n'a eu aucun
i, conseiller municipal de . Archives, l, XIV. 1 226 . PATHOLOGIE
MENTALE
. son village en 1870, avait été arrêté par les
un fils aîné âgé de dix- huit ans; depuis ce moment le dérangement
mental
s'accentue. Il meurt dans le marasme en janvier
ées après, violent chagrin de la mort de sa femme. 7 228 PATHOLOGIE
MENTALE
. VI. D ? trente-huit ans, capitaine d'infanteri
fut bientôt renvoyé dans sa famille avec un certificat d'aliénation
mentale
. Devenu chanteur de café-concert, il acquit une
resque tous n'avaient qu'une capacité inlellec-- - * 230 PATHOLOGIE
MENTALE
. tuelle médiocre, ne dépassant pas la moyenne,
échi sous le poids de leurs nouvelles obligations. 232 . PATHOLOGIE
MENTALE
. acquise, par conséquent aucune prédisposition,
sance à des néoplasies scléreuses, etc. » 1) . 5î9). 234 PATHOLOGIE
MENTALE
. DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. ardente, chacun arri
avec complications du côté des méninges, mais l'état physique et
mental
ultérieur est le même qu'auparavant. Jusqu'à pr
la mère qui lui chantaient des chansons ». 270 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Il a toujours été complètement impossible de f
on d'un sens au détriment de tous les autres. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
· I. Paralysie générale, des aliénés; par TH. M
nsi dire à l'intérieur de son oeil, en sollici- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 271 tant la rétine par la mise en mouvement de
andes catégories : l'une est caracté- risée par un fond de débilité
mentale
manifeste. La seconde té- moigne d'un véritable
ffecté cette forme. " P. K. IV. Contribution A L'ÉTUDE des TROUBLES
mentaux
transitoires ; par A. HoLLOENDER. (Jahrbùch. f.
ce importante, grâce aux récents travaux de 272 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. M. Charcot; Un bon nombre de soldats qui étaie
raction et de relâchement des muscles faisant . REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 273 mouvoir cette articulation ne doivent pas
nts de cette crampe. Archives, t. XIV. 18 274 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Les douleurs de la crampe des pianistes ne se
c ou sans 1 Voy Arch. de Neurologie, t. XIII. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 275 modifications de la formule normale) du cô
le congénital, atteint d'épi- lepsie traumatique. IV. Vol, débilité
mentale
. - V. Attentat, faiblesse intellectuelle. VI. A
at. Idiotie. VII. Acte de violence publique. Haut degré de débilité
mentale
et d'émotivité. P. K. X. Du RENVOI DÉFINITIF
e concert, avec les excès et les exigences so- ciales, l'aliénation
mentale
. Aussi, sont-ce les sous-officiers et les offic
z pas à les faire traiter dans un asile dès 276 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. que débute l'aliénation mentale. Quant aux mod
sile dès 276 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. que débute l'aliénation
mentale
. Quant aux modalités morbides et à leur évoluti
n moins pénible pour elle, j'avais été chargé de constater l'état
mental
d'un des siens. J'ai vu M. le baron Seillère pour
4 mai, M. le Dr Laborde constatait, conformé- ment à la loi, l'état
mental
de M. le baron Seillère et adressait au préfet
eillère, il n'y a pas eu dissidence dans l'affirmation d'un trouble
mental
qui, progressivement, a passé de l'excitation m
ent pas brutalement : M. le baron Seillère est atteint d'aliénation
mentale
et qu'il en ait conclu que notre malade n'était
enseignement d'ordre scientifique, il saura désormais qu'aliénation
mentale
est un terme très général qui comprend toutes l
mme le vou- drait M. Gaillard, qu'un homme est atteint d'aliénation
mentale
, nous paraîtrait insuffisant et nous laisserait
héréditaire pourrait expliquer les anomalies que présente cet état
mental
. . M. Voisin se demande si en présence des déra
rt résume ainsi la pensée de de M. Falret en ce qui concerne l'état
mental
du malade : «Monsieur le Préfet. Depuis la dern
nt commandées par les circonstances, par la gravité de sa maladie
mentale
, il est heureux, ajoute-t-il d'avoir rencontré da
ffirme par des signes suffisamment manifestes, bien que l'équilibre
mental
reste instable et fragile. «J'ajoute qu'il se
certificat d'après lequel, lorsqu'il avait pris la fuite, son état
mental
ne saurait être tenu pour normal. Connu jadis pou
port écrit et motivé des experts, afin de décider quel était l'état
mental
du banquier en 1882, et daus les premiers mois
c'est-à- dire à l'époque de l'acte incriminé, et quel est son état
mental
actuel. A cet égard, la fuite de l'accusé est c
dre à la qnestion de responsabilité, je décris l'ensemble de l'état
mental
, en insistant plus particuliè- rement sur la se
vant les juges a pour mission de déterminersi un aliéné, sur l'état
mental
duquel il s'est formé un jugement, est ou non c
devons dire qu'il ne s'agit pas là des symptômes de l'alié- nation
mentale
. Les débats relèvent du magistrat. M. EDEL. Je
'était une aliénée. M. `VENDU. Il faut se borner à expliquer l'état
mental
en détail. M. H.\NS-LOEIIR. Un cas de tumeur cé
ressante par l'étiologie du développe- ment progressif des maladies
mentales
dans ce pays. Pour l'au- teur de ce travail, M.
coercition sous toutes ses formes dans le traite- ment des maladies
mentales
et est allé même jusqu'au « open door syst,eyn
e » par lesquels la loi désigne toutes les formes de l'alié- nation
mentale
. XIX. M. LEVFNSTEIN dans son rapport « à propos
professionnelle dans ses rapports avec les ma- ladies nerveuses et
mentales
». La doctoresse a fait des recherches anthropo
on et de son .importance dans l'étiologie des maladies nerveuses et
mentales
. La proposition est approuvée par acclamation.
V. Ensuite M. KANDtNSKY communique « la classification des maladies
mentales
» élaborée par la Société des psychiatres russes
cation « sur la mimique comme élément de diagnostic de l'aliénation
mentale
». La compa- raison des photographies d'une per
es nerveux par le déve- loppement de la gastropathie. Outre un état
mental
déprimé très fréquent et permanent, on voit sur
son expérience le conduisirent bientôt à enseigner que l'aliénation
mentale
est une maladie dégénératrice, et réclame un ré
e nomma à la même chaire. Il publia ensuite : en 18 ? G, l'Ilygiène
mentale
; en 1877, des Recherches pathologiques ; en 1878,
et essaie sur F... pendant son sommeil l'influence de la suggestion
mentale
: il lui ordonne de penser à la même personne q
sonnes échoue absolument. Il lui ordonne alors d'exé- cuter l'ordre
mental
à son réveil. Mais dès que celui-ci est pro- du
différencient complètement : c'est l'état de la motilité et l'état
mental
. Pour la motililé, il y a des contractures fixe
résolution musculaire, ni les contractures provoquées. Pour l'état
mental
, il y a une impossibilité très remarquable à fa
e. Chez ces auteurs, le panaris apparaît comme l'affection fonda-
mentale
. Chez d'autres : Landois et llosler 13, Dresch-
te commission, c'est-à-dire au médecin chargé de veiller sur l'état
mental
de l'aliéné et à l'homme de loi chargé de l'adm
précisément le symptôme distinctif de certaines formes d'aliénation
mentale
. Le délire alcoolique n'a pas souvent d'autre c
ce exercé une action puissante sur le développement de l'aliénation
mentale
. Les expériences magnétiques, les prétendues co
qui auraient imposé de trop lourds sacrifices au budget départe-
mental
, a dû renoncer au moins pour le moment à vous fai
c'est en grande partie grâce à eux que l'on guérit plusieurs formes
mentales
longtemps réputées incurables. Je n'ai pas cru m'
eudo- simulant une méningite tuber- culense), par Reynaud, 409.
Mentales
(classification des mala- (lies), par Kandinsky
Mentales (classification des mala- (lies), par Kandinsky, 300.
Mentaux
(troubles - transitoires), par Hoellandcr, 271.
llandcr, 271. Mimique comme élément de dia- gnostic en aliénation
mentale
, par Sikowsky, 302. Moelle (stiucture de la -
la perversité morale. là où il n'y a quelquefois que de l'aliénation
mentale
. Les instincts pervertis par la maladie engendren
s enfants, et rapidement se développe en quelques jours une affection
mentale
dont le pivot est une perversion de l'idée religi
la misère. On reconnut qu'il ne jouissait pas de toutes ses facultés
mentales
, qu'il avait présenté autrefois des idées de gran
ues. [Revue philosophique, mai 1887.} Biset: L'intensité des images
mentales
. (Revue philosophique, mai 1887.) De Sarlo : Le
l'état psychique, ou plus simplement entre l'état physique et l'étal
mental
, telles qu'il est impossible de modifier l'un san
certaines époques de sa vie, pour en revêtir le caractère physique et
mental
. DE LA DIPSOMANIE ET DES HABITUDES ALCOOLIQUES
stion hypnotique au traitement de la dipsomanie, variété d'aliénation
mentale
qui emprunte fréquemment sa gravité à son origine
son origine héréditaire et à ses rapports avec les diverses maladies
mentales
et nerveuses. Esquirol a pu dire à juste titre
ession morale. Le dipsomane arrive fatalement à un état de débilité
mentale
qui frise la démence, à moins qu'il ne soit e
aires, parce que la suggestion doit être en harmonie avec leur nature
mentale
, avec leurs tendances personnelles. Toutefois, pa
ntées, n'a encore donné lieu à aucune déception. » DE LA SUGGESTION
MENTALE
Compte rendu du livre de 3. M. Ochorowicz fait
nt acceptées aujourd'hui par tous les expérimentateurs, la suggestion
mentale
l'est moins ; bon nombre d'expérimentateurs, et n
C'était aussi l'opinion de M. Ochorowicz : pour lui, la suggestion
mentale
n'existait pas et elle était en contradiction ave
rien n'est brutal comme un fait, et, s'il y a des faits de suggestion
mentale
, il faut, bon gré mal gré, les admettre, sauf à l
ec une méthode rigoureuse. Tout d'abord, les faits où la suggestion
mentale
n'est qu'apparente : les idées simultanées chez d
urrait se croire obligé de faire rentrer ces faits dans la suggestion
mentale
; mais elle n'est là qu'apparente et on peut les e
ques auteurs et à quelques expérimentateurs de croire à la suggestion
mentale
pour que celle-ci ne soit plus négligée, pour qu'
, certains faits peuvent s'expliquer sans le secours de la suggestion
mentale
, et c'est le cas de ceux qu'il nous présente dans
de ceux qu'il nous présente dans ses chapitres : 1° de la suggestion
mentale
apparente; 2° de la suggestion mentale probable;
hapitres : 1° de la suggestion mentale apparente; 2° de la suggestion
mentale
probable; il en est d'autres qui ne peuvent s'exp
ue par elle. On voit qu'il a pris soin de nous amener à la suggestion
mentale
vraie par des nuances imperceptibles aux personne
-ce avec le plus grand intérêt qu'on lit le chapitre de la suggestion
mentale
vraie et celui qui le suit: les expériences du Ha
n. Là. il faut cous arrêter quelque peu et savoir que la suggestion
mentale
n'est pas possible dans les états divers du magné
aldéie, la monoïdéie, la polyïdéie. Le vrai moment de la suggestion
mentale
, c'est la limite entre l'état aïdéique et le mono
hez lui et la plus petite impression suffit pour qu'ici la suggestion
mentale
trouve sa place. M. Ochorouicz établit une différ
absolu, et c'est ce rapport qui donne toute sa force à la suggestion
mentale
. N'oublions pas que nous avons affaire à un psych
etc. ; 3° D'une action physique individuelle; 4° D'une suggestion
mentale
. Remarquons surtout l'action physique individue
owicz va nous conduire parmi les analogies physiques de la suggestion
mentale
; il nous montrera ce .qu'est le sympathisme orga
'est la clef do voûte de l'édifice. Pour M. Ochorowicz, la suggestion
mentale
est une action physique ; il ne faudra donc pas s
trouver, dans un sujet réglé, sa forme primitive. C'est la suggestion
mentale
! On sent chez M. Ochorowicz la préoccupation c
nées suivantes : Parmi les différentes manifestations de l'activité
mentale
, il est un groupe tout spécial de phénomènes nerv
nt. A l'état pathologique, dans ce domaine spécial de la pathologie
mentale
qui touche aux lypémanies anxieuses, l'état d exa
é tel. qu'elles arrivent à dominer toute la scène et à dominer la vie
mentale
du sujet. — Qui de vous n'a présents à l'esprit c
er, dans la conversation ils s'interrompent par une véritable absence
mentale
; ils vont et viennent dans les cours sans se rend
ines catégories de sujets qui appartiennent au cadre de la pathologie
mentale
, puisque, sur un relevé de 1086 observations, je
'action du surmenage intellectuel sur la développement des affections
mentales
et nerveuses. La question si actuelle et si imp
articulier : c'est celui que M. Meynert a présente sur les affections
mentales
et nerveuses déterminées par le surmenage sco
rapport, basées sur une longue statistique : 1° Certaines maladies
mentales
sont — quoique rarement— produites par le surmena
aussi dans l'âge mûr, par une disposition spéciale pour les maladies
mentales
; 5° Les affections mentales propres à l'âge de
disposition spéciale pour les maladies mentales ; 5° Les affections
mentales
propres à l'âge de la puberté (hébéphrémie. alién
tions mentales propres à l'âge de la puberté (hébéphrémie. aliénation
mentale
juvénile) sont très pernicieuses par la tendance
NATIONAL HYPNOTISME (depuis 1880) M. J.de Bonniot: De la suggestion
mentale
. (Cosmos, 3o avril 1887.) Battandier: Le spiritis
de traces au réveil et ne comptent pas dans l'ensemble des opérations
mentales
gravées dans la mémoire. Ces phénomènes sont pr
r l'explication dans la suggestion, suggestion exprimée ou suggestion
mentale
, suggestion par la parole, la vue des objets, leu
e aptitude ou d'une faculté prédominante, malgré la déséquilibrai ion
mentale
que l'on trouve chez la plupart de ces sujets.
aute-Vienne, août.) Keser : Un cas de sommeil prolongé. (Journal of
Mental
Science, juillet 1887.) Robertson : Traitement
ogie, juillet 1887.) PSYCHIATRIE - NEUROLOGIE Collineau- : L'état
mental
des épileptiques. (L'Homme, août 1887.) Emmingh
ardt.) — In-8°, VIII-293 p., 12 pl. Tubingue. Bouchaud : Aliénation
mentale
et mutisme hystérique. (Ann. Méd.-Psych., septe
25 fig. et 5 planches OUVRAGES REÇUS A LA REVUE De la suggestion
mentale
et de l'action à distance des substances toxiques
us ou moins de succès pour combattre d'autres affections nerveuses et
mentales
. Je n'ai pas besoin de rappeler les conclusions
ler des émotions vives susceptibles de déterminer quelques affections
mentales
chez des sujets prédisposés par hérédité ou par t
dangereuse et ont engendré parfois une véritable épidémie de maladies
mentales
. Aussi, en Italie, le conseil sanitaire a interdi
les bruits pour les répéter, il suffit d'une certaine représentation
mentale
. Les gestes sont parfoi; imités. Elle a beaucoup
plus puissant modificateur à employer dans les maladies nerveuses et
mentales
qui, sous les noms de névralgie, de migraine, d'é
dans ses antécédents héréditaires il n'y a aucune maladie nerveuse ou
mentale
. Marie est née à terme. Elle a été élevée au sein
nique sur les maladies du système nerveux. — Clinique de pathologie
mentale
et des maladies de l'encéphale. — M. le professeu
dimanches, à dix heures du matin, une leçon clinique sur les maladies
mentales
. HOpital de la Charité. — M. le docteur Luys a
nous connaîtrions le contenu, à l'effet de voir si la suggestion
mentale
ou transmission de pensée pouvait expliquer le ph
ne connaissance approfondie de la genèse et de la marche des troubles
mentaux
qui constituent sa maladie. Je conclus en recom
volonté sont endormies. La résistance psychique et la discussion
mentale
sont abolies à tel point que, si vous suggérez a
de la paresse intellectuelle, en un mot un grand nombre des troubles
mentaux
et des instincts pervers qui pourraient placer da
aient que, » dans ses qualités et dans ses défauts, dans toute sa vie
mentale
, chacun » de nous obéit à son organisation. Aucun
ement les cen-» très nerveux d'hommes dont on a bien connu l'activité
mentale
. Or » l'autopsie, qui jadis, sous le règne de L
le docteur Lamotte n'avait pas toujours la plénitude de ses facultés
mentales
. Elle demanda aux pouvoirs judiciaires un examen
nse, Me Arcis, vint me trouver et me pria d'examiner, au point de vue
mental
, le dossier de cette affaire, les renseignements
novembre 1886. M. Max-Simon, dans sa déposition, fit voir qu'un état
mental
profondément perturbé pouvait être soupçonné et c
gré et perversion des instincts. 2° C'est sous l'empire de cet état
mental
morbide que l'accusé a commis les actes qui lui s
à sa défense. Nous demandons, à notre tour, si, dans une situation
mentale
semblable, si, avec un état de maladie cérébrale
lieu sur un tout autre terrain. Il ne s'agissait pas de savoir l'état
mental
du docteur Lamotte, mais quel était cet état au m
On invoque aussi les faits de transmission de pensée ou suggestion
mentale
. Des hommes très éclairés et très honorables ont
l'hysterie, pour tous ceux qui ont en l'occasion d'approfondir l'état
mental
des hystériques, l'événement de Granges se réduit
es plus invraisemblables. En un mot, elles sont atteintes d'un état
mental
particulier et le livre de Legrand du Saulle : Le
oyez sur le même sujet le chapitre IV, p. 118 à 144. de la Suggestion
mentale
de M. Ochorowicz. (a) La distance de chez moi à
out aussi impossible à comprendre d'une manière adéquate que l'action
mentale
è distance. L'aimant attire le fer à distance. Si
; heures. Succès. Elle exécute à l'arrivée de M. Janet une suggestion
mentale
que M. Janet avait faite. Elle se lève quand M. J
ir certaines personnes à cerveau faible soudain frappées d'aliénation
mentale
, de délire ambitieux, de folie des persécutions..
dats à la folie, et consomme vivement la perte complète de leur santé
mentale
. Celui qui a assisté une fois à l'un de ces naufr
in fait tous les dimanches, à 9 heures 1/2, en cours sur les maladies
mentales
et ner-veuses. — Nouveau journal. — Nous avons
père notamment, y prédispose singulièrement les filles. L'aliénation
mentale
de l'un des ascendants est pour la lignée un préc
émarche incertaine, leur bégaiement et la lenteur de leurs opérations
mentales
, ressemblent à des gens ivres. Au moindre cri, au
a population française, reste muet. Il dit seulement que l'aliénation
mentale
se rencontre surtout dans les départements du Pas
érêt aux médecins qui s'occupent de l'étude des maladies nerveuses et
mentales
. Pour comprendre les procès de sorcellerie, il
. Bourneville vient de rééditer, est le premier effort de la médecine
mentale
, a la Renaissance, pour débarrasser la science ps
tres importants, il était, à la suite de cette exagération d'activité
mentale
et d'excitation émotive exceptionnelle, tombé dan
tion. Je trouve, en général, que l'hystérie, de même que les maladies
mentales
, est peu favorable à la suggestion. L'instrument
vaut contre les faits bien observés. TRAITEMENT DE L'ALIÉNATION
MENTALE
PAR LA SUGGESTION HYPNOTIQUE Par M. le Dr Augus
é, depuis l'année dernière, mes études sur le traitement des maladies
mentales
et nerveuses par la suggestion hypnotique. Je me
ance du 3 avril. — Présidence de M. Grasset Traitement des maladies
mentales
et nerveuses par la suggestion hypnotique (i).
es études sur le traitement par la suggestion hypnotique des maladies
mentales
et nerveuses, si résistantes aux moyens thérapeut
certains malades qui, eux-mêmes, font remonter le début des accidents
mentaux
et nerveux dont ils souffrent a des manœuvres d'h
-ci est aussi la source des affections et des passions, la pathologie
mentale
peut éclairer bien des problèmes. A mon avis, on
les vendredis et mardis. Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies
mentales
: M. le professeur Ball a reprit son cours de cli
s : M. le professeur Ball a reprit son cours de clinique des maladies
mentales
, le dimanche 15 avril 1888. à 10 heures du matin,
et dimanches suivant à la même heure. Hospice de Bicêtre.— Maladies
mentales
: M. Charpentier, mercredi, à 8 heures 1/2. Eco
— In-12, Félix Alcan. 1888 (a fr. 5o . Traité clinique des maladies
mentales
, par le docteur H. Schule. troisième édition, tra
ucier des conséquences que leurs manœuvres pouvaient avoir sur l'état
mental
de leurs sujets. Quelques-uns faisaient preuve d'
tes libérales sont au premier rang, parmi celles-là. « La suractivité
mentale
se traduit alors, dit Cullerre, par une susceptib
le vendredi, à 9 heures. Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies
mentales
; M. la professeur Ball, leçons le dimanche, à 9
ur les affections du système nerveux. Hoipice de Bicétre.— Maladies
mentales
: M. Charpentier, mercredi, à 8 heures 1/2. Asi
ion médicameteuse à distance (de l'). par Bernheim, 161. Affections
mentales
et nerveuses (action du surmenage intellectuel
Alssaoua (notes historiques sur les), par Delphin, 334. Aliénation
mentale
(traitement de l') par la suggestion, par Aug.
, .378. Châtiments corporels (dangers des), 36o. Chorée (troubles
mentaux
succédant à la) traitée par la suggestion. 178.
jurisprudence et la médecine légale, par Liégeois, 356. Suggestion
mentale
(de la), par Ochoro-wicz, 60. Suggestion sans h
la perversité morale. là où il n'y a quelquefois que de l'aliénation
mentale
. Les instincts pervertis par la maladie engendren
s enfants, et rapidement se développe en quelques jours une affection
mentale
dont le pivot est une perversion de l'idée religi
la misère. On reconnut qu'il ne jouissait pas de toutes ses facultés
mentales
, qu'il avait présenté autrefois des idées de gran
ues. [Revue philosophique, mai 1887.} Biset: L'intensité des images
mentales
. (Revue philosophique, mai 1887.) De Sarlo : Le
l'état psychique, ou plus simplement entre l'état physique et l'étal
mental
, telles qu'il est impossible de modifier l'un san
certaines époques de sa vie, pour en revêtir le caractère physique et
mental
. DE LA DIPSOMANIE ET DES HABITUDES ALCOOLIQUES
stion hypnotique au traitement de la dipsomanie, variété d'aliénation
mentale
qui emprunte fréquemment sa gravité à son origine
son origine héréditaire et à ses rapports avec les diverses maladies
mentales
et nerveuses. Esquirol a pu dire à juste titre
ession morale. Le dipsomane arrive fatalement à un état de débilité
mentale
qui frise la démence, à moins qu'il ne soit e
aires, parce que la suggestion doit être en harmonie avec leur nature
mentale
, avec leurs tendances personnelles. Toutefois, pa
ntées, n'a encore donné lieu à aucune déception. » DE LA SUGGESTION
MENTALE
Compte rendu du livre de 3. M. Ochorowicz fait
nt acceptées aujourd'hui par tous les expérimentateurs, la suggestion
mentale
l'est moins ; bon nombre d'expérimentateurs, et n
C'était aussi l'opinion de M. Ochorowicz : pour lui, la suggestion
mentale
n'existait pas et elle était en contradiction ave
rien n'est brutal comme un fait, et, s'il y a des faits de suggestion
mentale
, il faut, bon gré mal gré, les admettre, sauf à l
ec une méthode rigoureuse. Tout d'abord, les faits où la suggestion
mentale
n'est qu'apparente : les idées simultanées chez d
urrait se croire obligé de faire rentrer ces faits dans la suggestion
mentale
; mais elle n'est là qu'apparente et on peut les e
ques auteurs et à quelques expérimentateurs de croire à la suggestion
mentale
pour que celle-ci ne soit plus négligée, pour qu'
, certains faits peuvent s'expliquer sans le secours de la suggestion
mentale
, et c'est le cas de ceux qu'il nous présente dans
de ceux qu'il nous présente dans ses chapitres : 1° de la suggestion
mentale
apparente; 2° de la suggestion mentale probable;
hapitres : 1° de la suggestion mentale apparente; 2° de la suggestion
mentale
probable; il en est d'autres qui ne peuvent s'exp
ue par elle. On voit qu'il a pris soin de nous amener à la suggestion
mentale
vraie par des nuances imperceptibles aux personne
-ce avec le plus grand intérêt qu'on lit le chapitre de la suggestion
mentale
vraie et celui qui le suit: les expériences du Ha
n. Là. il faut cous arrêter quelque peu et savoir que la suggestion
mentale
n'est pas possible dans les états divers du magné
aldéie, la monoïdéie, la polyïdéie. Le vrai moment de la suggestion
mentale
, c'est la limite entre l'état aïdéique et le mono
hez lui et la plus petite impression suffit pour qu'ici la suggestion
mentale
trouve sa place. M. Ochorouicz établit une différ
absolu, et c'est ce rapport qui donne toute sa force à la suggestion
mentale
. N'oublions pas que nous avons affaire à un psych
etc. ; 3° D'une action physique individuelle; 4° D'une suggestion
mentale
. Remarquons surtout l'action physique individue
owicz va nous conduire parmi les analogies physiques de la suggestion
mentale
; il nous montrera ce .qu'est le sympathisme orga
'est la clef do voûte de l'édifice. Pour M. Ochorowicz, la suggestion
mentale
est une action physique ; il ne faudra donc pas s
trouver, dans un sujet réglé, sa forme primitive. C'est la suggestion
mentale
! On sent chez M. Ochorowicz la préoccupation c
nées suivantes : Parmi les différentes manifestations de l'activité
mentale
, il est un groupe tout spécial de phénomènes nerv
nt. A l'état pathologique, dans ce domaine spécial de la pathologie
mentale
qui touche aux lypémanies anxieuses, l'état d exa
é tel. qu'elles arrivent à dominer toute la scène et à dominer la vie
mentale
du sujet. — Qui de vous n'a présents à l'esprit c
er, dans la conversation ils s'interrompent par une véritable absence
mentale
; ils vont et viennent dans les cours sans se rend
ines catégories de sujets qui appartiennent au cadre de la pathologie
mentale
, puisque, sur un relevé de 1086 observations, je
'action du surmenage intellectuel sur la développement des affections
mentales
et nerveuses. La question si actuelle et si imp
articulier : c'est celui que M. Meynert a présente sur les affections
mentales
et nerveuses déterminées par le surmenage sco
rapport, basées sur une longue statistique : 1° Certaines maladies
mentales
sont — quoique rarement— produites par le surmena
aussi dans l'âge mûr, par une disposition spéciale pour les maladies
mentales
; 5° Les affections mentales propres à l'âge de
disposition spéciale pour les maladies mentales ; 5° Les affections
mentales
propres à l'âge de la puberté (hébéphrémie. alién
tions mentales propres à l'âge de la puberté (hébéphrémie. aliénation
mentale
juvénile) sont très pernicieuses par la tendance
NATIONAL HYPNOTISME (depuis 1880) M. J.de Bonniot: De la suggestion
mentale
. (Cosmos, 3o avril 1887.) Battandier: Le spiritis
de traces au réveil et ne comptent pas dans l'ensemble des opérations
mentales
gravées dans la mémoire. Ces phénomènes sont pr
r l'explication dans la suggestion, suggestion exprimée ou suggestion
mentale
, suggestion par la parole, la vue des objets, leu
e aptitude ou d'une faculté prédominante, malgré la déséquilibrai ion
mentale
que l'on trouve chez la plupart de ces sujets.
aute-Vienne, août.) Keser : Un cas de sommeil prolongé. (Journal of
Mental
Science, juillet 1887.) Robertson : Traitement
ogie, juillet 1887.) PSYCHIATRIE - NEUROLOGIE Collineau- : L'état
mental
des épileptiques. (L'Homme, août 1887.) Emmingh
ardt.) — In-8°, VIII-293 p., 12 pl. Tubingue. Bouchaud : Aliénation
mentale
et mutisme hystérique. (Ann. Méd.-Psych., septe
25 fig. et 5 planches OUVRAGES REÇUS A LA REVUE De la suggestion
mentale
et de l'action à distance des substances toxiques
us ou moins de succès pour combattre d'autres affections nerveuses et
mentales
. Je n'ai pas besoin de rappeler les conclusions
ler des émotions vives susceptibles de déterminer quelques affections
mentales
chez des sujets prédisposés par hérédité ou par t
dangereuse et ont engendré parfois une véritable épidémie de maladies
mentales
. Aussi, en Italie, le conseil sanitaire a interdi
les bruits pour les répéter, il suffit d'une certaine représentation
mentale
. Les gestes sont parfoi; imités. Elle a beaucoup
plus puissant modificateur à employer dans les maladies nerveuses et
mentales
qui, sous les noms de névralgie, de migraine, d'é
dans ses antécédents héréditaires il n'y a aucune maladie nerveuse ou
mentale
. Marie est née à terme. Elle a été élevée au sein
nique sur les maladies du système nerveux. — Clinique de pathologie
mentale
et des maladies de l'encéphale. — M. le professeu
dimanches, à dix heures du matin, une leçon clinique sur les maladies
mentales
. HOpital de la Charité. — M. le docteur Luys a
nous connaîtrions le contenu, à l'effet de voir si la suggestion
mentale
ou transmission de pensée pouvait expliquer le ph
ne connaissance approfondie de la genèse et de la marche des troubles
mentaux
qui constituent sa maladie. Je conclus en recom
volonté sont endormies. La résistance psychique et la discussion
mentale
sont abolies à tel point que, si vous suggérez a
de la paresse intellectuelle, en un mot un grand nombre des troubles
mentaux
et des instincts pervers qui pourraient placer da
aient que, » dans ses qualités et dans ses défauts, dans toute sa vie
mentale
, chacun » de nous obéit à son organisation. Aucun
ement les cen-» très nerveux d'hommes dont on a bien connu l'activité
mentale
. Or » l'autopsie, qui jadis, sous le règne de L
le docteur Lamotte n'avait pas toujours la plénitude de ses facultés
mentales
. Elle demanda aux pouvoirs judiciaires un examen
nse, Me Arcis, vint me trouver et me pria d'examiner, au point de vue
mental
, le dossier de cette affaire, les renseignements
novembre 1886. M. Max-Simon, dans sa déposition, fit voir qu'un état
mental
profondément perturbé pouvait être soupçonné et c
gré et perversion des instincts. 2° C'est sous l'empire de cet état
mental
morbide que l'accusé a commis les actes qui lui s
à sa défense. Nous demandons, à notre tour, si, dans une situation
mentale
semblable, si, avec un état de maladie cérébrale
lieu sur un tout autre terrain. Il ne s'agissait pas de savoir l'état
mental
du docteur Lamotte, mais quel était cet état au m
On invoque aussi les faits de transmission de pensée ou suggestion
mentale
. Des hommes très éclairés et très honorables ont
l'hysterie, pour tous ceux qui ont en l'occasion d'approfondir l'état
mental
des hystériques, l'événement de Granges se réduit
es plus invraisemblables. En un mot, elles sont atteintes d'un état
mental
particulier et le livre de Legrand du Saulle : Le
oyez sur le même sujet le chapitre IV, p. 118 à 144. de la Suggestion
mentale
de M. Ochorowicz. (a) La distance de chez moi à
out aussi impossible à comprendre d'une manière adéquate que l'action
mentale
è distance. L'aimant attire le fer à distance. Si
; heures. Succès. Elle exécute à l'arrivée de M. Janet une suggestion
mentale
que M. Janet avait faite. Elle se lève quand M. J
ir certaines personnes à cerveau faible soudain frappées d'aliénation
mentale
, de délire ambitieux, de folie des persécutions..
dats à la folie, et consomme vivement la perte complète de leur santé
mentale
. Celui qui a assisté une fois à l'un de ces naufr
in fait tous les dimanches, à 9 heures 1/2, en cours sur les maladies
mentales
et ner-veuses. — Nouveau journal. — Nous avons
père notamment, y prédispose singulièrement les filles. L'aliénation
mentale
de l'un des ascendants est pour la lignée un préc
émarche incertaine, leur bégaiement et la lenteur de leurs opérations
mentales
, ressemblent à des gens ivres. Au moindre cri, au
a population française, reste muet. Il dit seulement que l'aliénation
mentale
se rencontre surtout dans les départements du Pas
érêt aux médecins qui s'occupent de l'étude des maladies nerveuses et
mentales
. Pour comprendre les procès de sorcellerie, il
. Bourneville vient de rééditer, est le premier effort de la médecine
mentale
, a la Renaissance, pour débarrasser la science ps
tres importants, il était, à la suite de cette exagération d'activité
mentale
et d'excitation émotive exceptionnelle, tombé dan
tion. Je trouve, en général, que l'hystérie, de même que les maladies
mentales
, est peu favorable à la suggestion. L'instrument
vaut contre les faits bien observés. TRAITEMENT DE L'ALIÉNATION
MENTALE
PAR LA SUGGESTION HYPNOTIQUE Par M. le Dr Augus
é, depuis l'année dernière, mes études sur le traitement des maladies
mentales
et nerveuses par la suggestion hypnotique. Je me
ance du 3 avril. — Présidence de M. Grasset Traitement des maladies
mentales
et nerveuses par la suggestion hypnotique (i).
es études sur le traitement par la suggestion hypnotique des maladies
mentales
et nerveuses, si résistantes aux moyens thérapeut
certains malades qui, eux-mêmes, font remonter le début des accidents
mentaux
et nerveux dont ils souffrent a des manœuvres d'h
-ci est aussi la source des affections et des passions, la pathologie
mentale
peut éclairer bien des problèmes. A mon avis, on
les vendredis et mardis. Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies
mentales
: M. le professeur Ball a reprit son cours de cli
s : M. le professeur Ball a reprit son cours de clinique des maladies
mentales
, le dimanche 15 avril 1888. à 10 heures du matin,
et dimanches suivant à la même heure. Hospice de Bicêtre.— Maladies
mentales
: M. Charpentier, mercredi, à 8 heures 1/2. Eco
— In-12, Félix Alcan. 1888 (a fr. 5o . Traité clinique des maladies
mentales
, par le docteur H. Schule. troisième édition, tra
ucier des conséquences que leurs manœuvres pouvaient avoir sur l'état
mental
de leurs sujets. Quelques-uns faisaient preuve d'
tes libérales sont au premier rang, parmi celles-là. « La suractivité
mentale
se traduit alors, dit Cullerre, par une susceptib
le vendredi, à 9 heures. Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies
mentales
; M. la professeur Ball, leçons le dimanche, à 9
ur les affections du système nerveux. Hoipice de Bicétre.— Maladies
mentales
: M. Charpentier, mercredi, à 8 heures 1/2. Asi
ion médicameteuse à distance (de l'). par Bernheim, 161. Affections
mentales
et nerveuses (action du surmenage intellectuel
Alssaoua (notes historiques sur les), par Delphin, 334. Aliénation
mentale
(traitement de l') par la suggestion, par Aug.
, .378. Châtiments corporels (dangers des), 36o. Chorée (troubles
mentaux
succédant à la) traitée par la suggestion. 178.
jurisprudence et la médecine légale, par Liégeois, 356. Suggestion
mentale
(de la), par Ochoro-wicz, 60. Suggestion sans h
NTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES Redacteur en chef : Docteur Edgar
'ils étaient extrêmement faciles à intimider. L'examen de leur état
mental
révèle d'intéressantes particularités; ils se pla
un mot, on peut dire que les deux manifestations dominantes de l'état
mental
des bègues sont l'émotivité excessive et l'abouli
t dire de beaucoup d'entre eux qu'ils présentent l'état d'infériorité
mentale
désignée sous le nom de puérilisme. Leur caractèr
qup les cas ne sont pas analogues. C'est possible qu'au point de vue
mental
le malade de M. Dubois était plus atteint que les
tait plus atteint que les miens et qu'en temps normal son instabilité
mentale
était plus forte que celle des miens; mais, au po
ureté, le médecin doit rendre le malade attentif à l'origine purement
mentale
de son insomnie, lui montrer l'inutilité des moye
e phrase parce que les idées ne me viennent pas. * Cette dépression
mentale
le rend furieux, aggrave son état général et suci
r pas même un jour, de ?on bureau. Après la troisième séance son état
mental
et sa lucidité intellectuelle sont tels que le pr
sformé. Son aspect physique dénote une amélioration frappante. L'état
mental
a marché parallèlement à l'état physique. Le 25 m
oute suggestion, peut suffire à ramener le calme, à équilibrer l'état
mental
. Un vieil adage enseigne que, « la nuit porte c
i guérissent sous l'action d'un coup de fouet porté sur les processus
mentaux
du malade ; les maladies organiques sont égalemen
ercions une telle influence sur un de nos semblables, si son contrôle
mental
habituel n'est pas désarmé par l'hypnotisme. Tell
double pas du psychologue. Dr B. COURS ET CONFÉRENCES Confusion
mentale
hystérique (*) Par M. le Professeur Raymond.
oint été précédé de période préparatoire. Il s'agit donc de confusion
mentale
, non pas primitive, mais secondaire. Depuis un an
porte, suivant les cas, le rire, le pleurer, le sommeil, la confusion
mentale
. Cette jeune fille guérira. On la soustraira à
l sérieux » que présente l'hypnotisme, la désagrégation de l'activité
mentale
, la désintégration de 0 avec les centres inférieu
e fût dangereuse ou capable de provoquer et d'augmenter l'instabilité
mentale
. Mais M. Dubois n'a pas lu cette enquête ! Son
eur famille et qui ont retrouvé au moyen de l'hypnotisme un équilibre
mental
qu'ils avaient perdu depuis 20 ou 30 ans? En écri
adressée. Voilà des cas où l'hypnose seule peut ramener l'équilibre
mental
et même pour cela il faut que son action soit pro
cas le traitement n'a ni provoqué ni enrayé l'évolution des troubles
mentaux
qui ne présentaient rien de caractéristique au dé
ué la première fois d'accuser l'hypnotisme d'avoir causé les troubles
mentaux
étendit son accusation à la psychothérapie « qui
ulier par des médecins, seuls compétents pour connaître les anomalies
mentales
. L'application de ces méthodes sera confiée à des
; 3° édifier la science du fonctionnement du système nerveux à l'état
mental
et à l'état pathologique. La psychiatrie et la ne
hypnotique est un agent de premier ordre dans les cures d'orthopédie
mentale
et morale. Vision d'une somnambule relativeme
es hôpitaux où l'on s'occupait de questions de pathologie nerveuse et
mentale
, et surtout de psychologie médicale. Je fus ass
ination dans toute son excitation, l'irritation ou quelque impression
mentale
puissante a opéré ; là où l'esprit seul a été imp
et la santé physique se rétablit, en même temps que subsiste un état
mental
suffisant pour justifier une surveillance, pas as
it que les idées de son sujet erraient au Heu de se lixer. Le pouvoir
mental
, la décision ferme qu'il avait remarqués lors des
lusions ou principes. 1) Braid : « La fixation continuelle de l'œil
mental
et visuel de la manière et dans les conditions in
manipulation du crâne et de la face, exciter certaines manifestations
mentales
et corporelles, selon les parties touchées. » F
s intense par la concentration de l'esprit. » (p. 236.) L'imagination
mentale
et la concentration de l'esprit, dans l'état Ivyp
instinctifs et automatiques, et dès lors, par conséquent l'impression
mentale
ne prouvait qu'une tendance aux mouvements. » (p.
ns de toutes les sortes. Il y a plusieurs références à l'exaltation
mentale
et musculaire, et aux autres points notés dans ce
il hypnotique peut notablement influer sur les émotions et sensations
mentales
. Braid vivait dans une période où la physiologie
t enfin de dire si M"° X..., jouissait de l'intégrité de ses facultés
mentales
. J'ai conclu par l'affirmative. C'est de son pl
isées par son père et son frère. A cet égard, existe chez elle l'état
mental
décrit par tous les auteurs qui se sont occupés d
plus tard chez elle des troubles nerveux d'ordre physique ou d'ordre
mental
accentués, MM. X..., père et fils se trouveraient
ci ne diagnostiquant pas sa maladie (balle dans la téte et aliénation
mentale
), le traita pour faiblesse générale en lui faisan
faculté de transformer ces vibrations en images psychiques ou notions
mentales
, sa personnalité perçoit par un mécanisme qu'elle
appliqué non seulement aux enfants hospitalisés par suite d'affection
mentale
ou nerveuse, mais encore à tous les enfants renvo
i soient ou non complètement développées), soit par suite de maladies
mentales
(psychoses dégénératives), soit par suite de mala
nt être placés en deux sous-groupes : ceux atteints de dégénérescence
mentale
, ceux atteints de névrose. a) Dégénérescence me
dégénérescence mentale, ceux atteints de névrose. a) Dégénérescence
mentale
. — La perversion est la forme la plus fréquente d
. — La perversion est la forme la plus fréquente de la dégénérescence
mentale
chez l'enfant. Elle peut se trouver aussi bien ch
u'aux enfants riches. En dehors de la perversion, la dégénérescence
mentale
se traduit encore, chez l'enfant, par les idées f
e à écouter répéter plusieurs fois la même explication. Leur activité
mentale
, sans cesse en éveil, s'occupe d'autre chose que
soustrait de bonne heure à ce milieu et s'il ne présente pas de tare
mentale
, en un mot s'il est un faux anormal. Il n*en es
st pas de même si ces enfants sont des malades atteints de perversion
mentale
à un degré plus ou moins accusé, issus de parents
faut d'éducation, mais souvent aussi elle relève de la dégénérescence
mentale
. Nous avons remarqué que, pour les enfants morale
ux cas, un examen de l'enfant par un médecin connaissant les maladies
mentales
s'impose. Aussi tout juge, dans les cas de delin-
, soit surtout par l'alcool, les grands facteurs de la dégénérescence
mentale
. Il faudrait donc essayer de prévenir les résul
ation de colonies agricoles. Quand l'enfant, par contre, a une tare
mentale
, l'assistance doit être médico-pédagogique. Nous
surveillés et soumis à un régime de discipline particulier. Si l'état
mental
dégénératif du sujet ne s'améliore pas, ou s'il s
rapides, faciles et durables. COURS ET CONFÉRENCES La confusion
mentale
héréditaire et acquise (') par M. le Professeur R
réditaire et acquise (') par M. le Professeur Raymond. La confusion
mentale
est héréditaire et tient à une déchéance innée du
d'autres causes. Son caractère est le changement à vue des troubles
mentaux
. Voici une malade de 19 ans ; chez elle, la malad
lus rudimentaires. Sur ce terrain psychique peu résistant, les images
mentales
enregistrées à tort et à travers se transforment
é sur cette malade l'étiquette délire polymorphe de la dégénérescence
mentale
. Ce n'est point cela. Dans le délire de la dégé
e mentale. Ce n'est point cela. Dans le délire de la dégénérescence
mentale
, il y a un élément d'angoisse qui fait défaut ici
mières. Il y a bien plus de suite dans le délire de la dégénérescence
mentale
. Dans le cas présent, il y a confusion tout simpl
ante ne varie pas, sont de guérîson autrement difficile. La confusion
mentale
, surtout quand elle est acquise, est d'un pronost
ncore un certain temps, je détourne mon attention sur quelque travail
mental
intéressant. Je concentre mon esprit, par exemple
ice » se développant exclusivement chez des sujets présentant un état
mental
spécial, un état d'infantilisme psychique caracté
Les auteurs les plus récents ont résolument identifié à un processus
mental
la pathogénie de ces accidents, lesquels sont enf
à 10 heures, dans son service, un cours sur les maladies nerveuses et
mentales
. Un certain nombre de leçons seront consacrées à
ures, à partir du lundi 14 janvier. 2* L'hypnotisme et l'orthopédie
mentale
: Les enfants et les adolescents anormaux: Retarda
. 3° La psychologie appliquée (hypnotisme thérapeutique, orthopédie
mentale
, pédagogie suggestive, etc.). 4° La psychologie
ciles à interpréter, tels que : la lecture des pensées, la suggestion
mentale
, les hallucinations télépalhiques, la lucidité, l
point de vue anthropologique et plus particulièrement au point de vue
mental
, je suis arrivé à un certain nombre de conclusion
u'à ce Iaàkob, dit Jacques le petit qui, atteint de la même affection
mentale
que son frère, fut, au témoignage d'Eusèbe, préci
de fétichisme les ont placés sous la dépendance de la dégénérescence
mentale
héréditaire ; ils n'ont pas vu qu'il était plus l
l'occasion de le faire, l'hypersuggestibilité qui caractérise l'état
mental
des adolescents. Chez les adolescents et chez l
gnements que les parents doivent acquérir sur l'étal psychologique et
mental
de leurs enfants. Dans les cas où l'on constatera
à 10 heures, dans son service, un cours sur les maladies nerveuses et
mentales
. Un certain nombre de leçons seront consacrées à
faut se garer. Cela dérange, une idée neuve, bouleverse des habitudes
mentales
, amène bien du désordre. Or, la Faculté aime avan
serait irrégulier, désordonné, manquerait son but. Cette préparation
mentale
des mouvements est l'acte le plus intéressant, le
orsqu'elle voulut organiser chez elle l'enseignement de la pathologie
mentale
, la Faculté de Bordeaux fut mieux inspirée. Elle
ellement, pour sa complète formation, un certain temps d'appréciation
mentale
consciente ou d'incubation mentale subconsciente,
n, un certain temps d'appréciation mentale consciente ou d'incubation
mentale
subconsciente, favorables à ses espérances. Il s'
in ou de l'entourage. Rarement elle puise dans les propres ressources
mentales
du patient les éléments de sa formation. La sugge
rticulier d'augmenter la somme d'attention consciente et de processus
mentaux
subsconscients d'un sujet sur une opération physi
onsécutive au retard intellectuel et à l'affaiblissement des facultés
mentales
chez l'adénoidien. « Major qui, en 1885, fut un
n sur un agent très réel de déséquilibre psychique. La représentation
mentale
trop vive des transes qui l'étrcindront eu face d
névrose caractérisée surtout par une faiblesse énorme de la synthèse
mentale
. Or, nous savons quel rôle majeur jouent manifest
e restauration de la mémoire, de la volonté et partant de la synthèse
mentale
. Ce n'est pas à dire que je veuille nier l'util
ent à des oscillations de l'attention. (tj P. Jankt : Les stigmates
mentaux
des hystériques, p. 91 et 188. (3) P.Mxosin : P
faire, au moment où il place les électrodes sur les muscles, l'effort
mental
nécessaire pour produire le mouvement ». (') Au f
de l'électricité, « qui tout à l'heure suppléait ou aidait son effort
mental
», un mouvementqui jusqu'alors était impossible.
estaurer la volonté, le jugement, en un mot les fonctions de synthèse
mentale
. Cette méthode de rééducation de l'attention es
es exercices d'écriture appliquée. Les progrès réalisés dans l'état
mental
du malade s'enregistrent d'eux-mêmes sur les cahi
mérite incontestable, était incapable d'aborder l'examen de ces états
mentaux
* que le plus grand métaphysicien et prestidigita
fait progresser l'étude de la « clairvoyance » et de la « suggestion
mentale
» au lieu d'augmenter fâcheusement le chi-mérisme
e. 3° .Réaliser par des suggestions particulières la représentation
mentale
des conditions dans lesquelles se manifeste te tr
réformes de l'enseignement médical, par Bérillon, p. 289. Confusion
mentale
hystérique, par Raymond, p. 29. Confusion menta
289. Confusion mentale hystérique, par Raymond, p. 29. Confusion
mentale
héréditaire et acquise, par Raymond, p. 187. Co
es, la paresse intellectuelle, en un mot un grand nombre des troubles
mentaux
et des instincts pervers qui, dans un avenir proc
'il sera facile de retrouver chez lui des stigmates de dégénérescence
mentale
ou physique. Si j'interroge les parents, je vois
ssante à constater qu'une extrême suggestibiiité. Elle dénote un état
mental
particulier, et souvent même un esprit systématiq
é a faitjustement considérer comme des stigmates de la dégénérescence
mentale
; 4° Les troubles mentaux envisagés comme compl
comme des stigmates de la dégénérescence mentale ; 4° Les troubles
mentaux
envisagés comme complication des diverses névrose
iences hypnotiques font preuve, avant comme après le coup, et un état
mental
entièrement semblable que l'on constate chez une
tièrement dupes de l'illusion qui les berce. Les mêmes nuances d'état
mental
se dessinent chez les hypnotisés. *** M. le p
n effet, disais-je, si nous démontrons les propriétés de l'impression
mentale
(suggestion hypnotique exprimée) en lui faisant p
ui faisant produire la paralysie, c'est pour prouver que l'impression
mentale
a la vertu de restituer le mouvement au paralytiq
vertu de restituer le mouvement au paralytique ; si par l'impression
mentale
nous atteignons les facultés intellectuelles,
s facultés intellectuelles, c'est pour apprendre que l'impression
mentale
est une étincelle qui peut rallumer le flambeau d
s en spectacle l'homme pur et jaloux de son honneur qu'une impression
mentale
vient en un instant de dégrader et d'avilir, c'es
st pour que, par cette preuve effrayante de son pouvoir, l'impression
mentale
attire sur elle l'attention de tous, et qu'ils y
yés à l'infirmerie spéciale du dépôt sous la présomption d'aliénation
mentale
s'est élevée à 3.193 dont 1.950 hommes et 1.243 f
M. le Dr Auguste Voisin a commencé son cours annuel sur les maladies
mentales
et nerveuses le jeudi 13 juin, à 10 heures du mat
nsacrées aux applications de l'hypnotisme, au traitement des maladies
mentales
. Cours sur l'hypnotisme a Lille. — Le cours ann
rbitre absolu et la responsabilité absolue, en dehors de l'aliénation
mentale
. La connaissance de la vérité ne bouleverse pas l
Cette action complémentaire ne se manifeste pas seulement sur l'état
mental
et l'état général. Son action propre se révèle :
attachés à une certaine époque à la neurasthénie, à la dégénérescence
mentale
(la dromomanie de Régis). b) Après eux viennent
e la vie. Cela cadre-t-il avec l'idée que nous nous faisons de l'état
mental
des epileptiques ? Peut-être porte-t-on le diagno
s (1), qu'Ignace de Loyola fut souvent atteint de troubles nerveux ou
mentaux
. (1) Voy. en particulier : P. Ribadeneira. Vita
eurs mois sont nécessaires au médecin expert appelé à juger de l'état
mental
d'un individu. Il est aussi absolument utile d'
e fait souvent pour d'autres questions de médecine légale. Anorexie
mentale
. M. Paul Sollier, de Paris. — Sous ce nom, l'au
ment par ces deux phénomènes qui se combinent : l'anorexie et un état
mental
spécial. Ce qui fait l'intérêt de cette forme nou
l'appétit n'est pas revenu, même si les malades s'alimentent. L'état
mental
est caractérisé par de l'apathie intellectuelle,
, dans les asiles, des aliénés transférés de la prison et dont l'état
mental
avait été méconnu au moment de leur condamnation.
grants délits. Ces condamnations ne seraient pas prononcées si l'état
mental
dc l'aliéné était reconnu à temps, et le malade s
le vœu que la flétrissure imméritée subie par les aliénés dont l'état
mental
a été méconnu au moment dc la condamnation, soit
iaux où l'on se gardera de leur rien enseigner qui exige une activité
mentale
un peu forte. Les médecins en Allemagne. Au c
l'ima gination sont réfractaires à la suggestion. Aussi les maladie:
mentales
, la mélancolie, le délire de persécution, etc., s
observe les phénomènes de transmission de la pensée et de suggestion
mentale
. Le plus élémentaire de ces phénomènes est celui
e mes doigts dans l'air. J'ai parlé tout à l'heure de la suggestion
mentale
; voici les expériences que j'ai faites dans ce se
sont en contact avec lui en provoquant chez celles-ci des suggestions
mentales
qui peuvent, dans certains cas, provoquer de véri
ne dégénérée, mais sa dégénérescence est plus marquée au point de vue
mental
qu'au point de vue physique, bien qu'elle soit ar
formes dans les affaires humaines. Il est certain que notre dynamisme
mental
est considérablement modifié par l'influence de t
ar l'omniprésence du rituel a si profondément modifié la constitution
mentale
des peuples de l'Inde, qu'on ne saurait prévoir l
endredis et mardis suivants, à la même heure. Clinique des maladies
mentales
et des maladies de l'encéphale. — M. le professeu
M. le professeur Joffroy a commencé le cours de clinique des maladies
mentales
le samedi 9 novembre 1895, à 9 heures et demie du
rte, — de la distinction du vice et de la maladie ou de la difformité
mentales
, ainsi que des compétences respectives à fixer et
je ne sais, je ne puis « dire ce qui se passe en moi ! » Le trouble
mental
ainsi décrit pourrait être la conséquence d'un tr
éance peut-être. Et aurait-on affaire ici au contraire à un trouble
mental
symp-tomatique d'une lésion somatique, la suggest
tement le sujet à la fois au point de vue physique et au point de vue
mental
. Il faut qu'il ignore la nature des expériences q
athologique. Psychothérapie, suggestions thérapeutiques, suggestion
mentale
, télépathie, transfert psychique, statistique int
sie. On lui doit la création de la clinique des maladies nerveuses et
mentales
, d'un musée neurologique, auquel la Faculté de Mo
ecueil de travaux sur les maladies du système nerveux et les maladies
mentales
. En 1894, au 15me anniversaire de sa carrière de
», p. 416 et suivantes. J.-B. Baillière ; — et « Traité de Pathologie
mentale
., » ; « De l'état de sommeil des appareils cérébe
des multiples du nombre des doigts en question. Cela accuse un calcul
mental
fait pendant le sommeil. J'ajouterai que dans le
ées et musculaires des doigts disparaissent, supprimées par le calcul
mental
. Pour toutes ces sortes de rêves musculaires il
le plus minutieux n'a pu faire découvrir chez lui aucune défectuosité
mentale
. Il n'y avait qu'un petit affaiblissement de la m
dans le lever trop matinal un des facteurs importants de l'aliénation
mentale
. Voici ses arguments. Il signale la fréquence r
en plein air, l'exercice, l'absence de toute excitation ou surmenage
mental
, la rareté de l'alcoo- lisme et de la syphili
n repos suffisant, est la vraie cause de la fréquence de l'aliénation
mentale
parmi les agriculteurs. C'est surtout au moment d
ulièrement ce nouveau moyen de prévenir le développement des troubles
mentaux
. La sieste et la digestion. Une petite sieste
M. W. Bechterew, professeur et directeur de la Clinique des maladies
mentales
et nerveuses à Saint-Pétersbourg. Elle contiend
e) à partir du 5 décembre. M. Jules Voisin. Leçons sur les maladies
mentales
, les jeudis, à dix heures du matin. Hôpital Sai
érencieusement si le rédacteur en chef n'est pas atteint d'aliénation
mentale
. —— Le Comité directeur du Congrès internationa
ris unanimement dans le même sens. Concluons clone qu'un certain état
mental
du malade l'a débarrassé presque brusquement d:un
t volé à sa place. » Au bout de quelques séances de cette gymnastique
mentale
exécutée sous l'influence de la suggestion, l'enf
tés et de la langue, parésie qui fait des progrès constants. Son état
mental
tend rapidement vers la démence finale. La troi
} à partir du 5 décembre. M.Jules Voisin. Leçons sur les maladies
mentales
, les Jeudis, à dix heures du matin. Hôpital de
es maladies nerveuses, les samedis à 10 heures. Congrès de médecine
mentale
et nerveuse. — Le septième Congrès annuel des méd
Le programme comprendra : 1° Questions à discuter : Pathologie
mentale
. — Pathogénie et physiologie pathologique de l'ha
oxtpaluer. Sur le traitement par la médication hypnotique de l'état
mental
, des obsessions et des idées fixes des hystérique
n effet un grand nombre de médecins qui, dans ces cas de perturbation
mentale
, ne songeront pas à employer le traitement hypnot
connue. Et pourtant aucune autre médication ne peut agir sur cet état
mental
, d'une façon aussi rapide et aussi assurée pour l
tait évident qu'il avait exercé une influence considérable sur l'état
mental
de M°"B. ; quelle était la naturede celte influen
arrivai ensuite à des suggestions appropriées à la guérison de l'état
mental
de ma cliente. Je lui suggérai dans ce but d'être
la même façon à chaque séance, et au bout de quatre séances, son état
mental
était totalement changé, elle n'avait plus aucune
nfluence salutaire que peut avoir le traitement hypnotique sur l'état
mental
de ces sujets et vous montre qu'il ne faut pas hé
Beaucoup de cérébrasthéniques craignent d'être frappés d'aliénation
mentale
et ces idées nosophobiques en poussent même quelq
s en poussent même quelques-uns au suicide sans motif. Car un trouble
mental
permanent, tel que l'entendent les profanes, ne p
On ne devrait jamais perdre de vue ce fait acquis qu'une aliénation
mentale
venue brusquement, sans fièvre, sans être précédé
ulsives. — Le traitement psychothérapique de l'hystérie. — L'hystérie
mentale
. Mardi Î2 Mai. — Les névroses par épuisement ne
HYPNOTHÉRAPIE i1) Par le D' E. Réois, Chargé du Cours des maladies
mentales
à la Faculté de Médecine. Le sujet que je désir
les actes morbides de notre sujet. (I) H. Colin : Essai sur l'état
mental
des hystériques, th. de Paris, 1890. (?) Ballet :
lus grande encore dans les maladies, en particulier dans les maladies
mentales
et nerveuses. Pour ce qui est de l'hystérie, leur
x, 1895. (5) Pierre Janet : Revue de l'Hypnotisme, juin 1895.— Etat
mental
des hystériques.: tes stigmates mentaux, Biblioth
l'Hypnotisme, juin 1895.— Etat mental des hystériques.: tes stigmates
mentaux
, Biblioth. Charcot-Debove, IS92. — L'automatisme
n ensemble la délicate question de l'hypno-thérapie dans les maladies
mentales
. Je ne puis cependant m'empêcherde rappeler que l
caces d'ailleurs, auxquels on ait recours d'habitude quand le trouble
mental
ne saurait comporter, comme ici, l'internement.
tants. Cette maladie a duré trois semaines. Amélioration de l'état
mental
pendant la fièvre, mais la maladie a laissé un tr
kleptomanie est un symptôme qui s'observe dans une foule de maladies
mentales
, mais dans chacune le vol présente des caractères
thésie à la piqûre et l'amnésie au réveil. Deux jours après, son état
mental
était très favorablement modifié. 11 déclarait sp
étal profond de l'hypnose ; 2" par la rapidité avec laquelle un état
mental
grave a été modifié favorablement par la suggesti
M. Masoin sont adoptées. PSYCHOLOGIE COMPARÉE Sur les affections
mentales
chez les animaux Par M. Cadiot. Les troubles
traits à l'action des causes qui engendrent chez l'homme le surmenage
mental
et la plupart des psychoses ; d'autre part, en
omme aux animaux, le Dr Féré insiste sur ce point que si les maladies
mentales
sont moins fréquentes chez les animaux, « c'est q
(3), les Aberrations sexuelles [*) sont les plus connues des troubles
mentaux
observés chez les sujets des diverses espèces dom
s les jeudis, à 10 heures (section Rambuleau), leçons sur les malades
mentales
et nerveuses. — Plusieurs des leçons sont consacr
l'esprit, et est appelé à devenir un moyen très efficace d'éducation
mentale
et de redressement moral. A tous ces titres, l'
hibitoire sur les attaques d'épilepsie. par Tissié, 129. Affections
mentales
chez les animaux (sur les), par Cadiot, 363. Al
lumière des éclairs (simulation d'), par de Beauvais, 330. Anorexie
mentale
, par Paul Sollier, 85. Aphonie hystérique (un c
Médecins en Allemagne (les), 94. Médication hypnotique de l'état
mental
, des obsessions et des idées fixes des hystérique
tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES fiêlieltirei chef : Docteur Edgar
it prononcé. Quelquefois la malade présentait une véritable confusion
mentale
. Elle ne comprenait pas la question qu'on lui pos
ents étaient bien portants et je ne trouve aucune maladie nerveuse ou
mentale
à relever dans la famille. Je conseillai ù cett
parfois toute nourriture, tombe peu à peu dans une grande dépression
mentale
touchant à la mélancolie. Une brusque hémorragie
nfants, et les générations qui les suivront restent dans le même état
mental
? Trouvons-nous, au contraire, que celte organisat
ent être adressés. Les cas de ce genre sont bien connus en médecine
mentale
; ils ont été décrits sous le nom de folie morale
HÉRAPEUTIQUE 16e Année — N° 3. Septembre 1901 Des représentations
mentales
et des hallucinations visuelles et auditives post
l'image et les paroles du docteur qui les soigne. Ces représentations
mentales
suffisent souvent pour faire disparaître leurs cr
tement psychothérapique, la reviviscence suggérée des représentations
mentales
. Ce procédé est employé systématiquement par plus
de mer, agoraphobie, onanisme, timidité.etc...). La représentation
mentale
des suggestions faites antérieurement dans le som
nt aliénée*. Mais le législateur ne croit pas beaucoup à l'aliénation
mentale
des personnes non interdites et non séquestrées d
ploi de ces moyens de coercition augmente la disposition des troubles
mentaux
à passer à l'état chronique. L'emploi de moyens
joue le rôle prépondérant dans la guérison de l'onanisme et des états
mentaux
qui s'y rattachent. La durée du traitement vari
p. 193). M. Renouvier avait étudié ce fait et l'avait défini, vertige
mental
. Les doigls sont boudinés, très gros, la mala
migraine, la névropathie, les névralgies, l'hystérie et l'instabilité
mentale
. Enfin, ces nouveaux faits contribuent à établi
imple curiosité, soit enfin de pédagogie, d'éducation ou d'orthopédie
mentale
. Il appartenait au législateur de prévoir les con
gnétiseur lui ordonne d'accomplir, au risque de compromettre sa santé
mentale
ou physique, l'hypnotisé des représentations publ
-lundi 16 Juillet 1901. — Présidence de M. Jules Voisix. Orthopédie
mentale
et morale. La suggestion pédagogique dans le so
a pédagogie suggestive dans le domaine de la pratique et l'orthopédie
mentale
et morale est ainsi devenue une science positive
lles. Et cependant toutes ces choses et toutes les cures d'orthopédie
mentale
et morale sont de celles qui font le plus d'honne
tif au double point de vue du redressement, de l'orthopédie morale et
mentale
et du développement des aptitudes. Non seulement
itophobie. Les causes de cette grave complication de l'aliénation
mentale
sont multiples; mais le plus souvent c'est d'un é
t 1834. Doublement héréditaire du côté des collatéraux, (aliénation
mentale
et crime), atteint de délire hypocondriaque et d'
sinon la guérison totale, au moins une amélioration notable de l'état
mental
. Mais lorsque la maladie dure depuis quelque temp
us que beaucoup de maladies, la tuberculose pulmonaire modifie l'étal
mental
. Aussi, chez Marguerite d'Angennes, qui, à ce qu'
fréquemment observés chez ces malades; pour diminuer leur instabilité
mentale
et favoriser leur sommeil nocturne. 3e Temps. —
toute pensée, pour être produite doit avoir d'abord sa représentation
mentale
dans le cerveau. » Conclusion. — Il faut provoq
Conclusion. — Il faut provoquer dans notre cerveau la représentation
mentale
de l'idée, de la pensée, de Pacte que nous voulon
nes idées. » Il y a deux manières de développer la représentation
mentale
dans notre cerveau : 1° La méditation. 2° L'aut
un sujet et nous le développons dans notre pensée. La représentation
mentale
se développe par ce travail de méditation, d'une
ion. C'est-à-dire, à fixer en soi, en son cerveau la représentation
mentale
de l'acte que l'on veut accomplir, acte, idée ou
idées. • Loi. — Toute impression perçue est cause de représentation
mentale
. Par conséquent, comme première condition, il f
se plonger dans l'abstraction. Pour une fois que la représentation
mentale
« Ecrire, avoir de bonnes idées » aura été provoq
ra : « Ecrire une bonne idée. » Pour dix fois que la représentation
mentale
aura été provoquée, ce qui équivaut à dix représe
ion mentale aura été provoquée, ce qui équivaut à dix représentations
mentales
: « Ecrire, avoir de bonnes idées j>, l'acte o
tre écrite,et.chaque fois une idée différente. Si la représentation
mentale
: Ecrire et avoir de bonnes idées » est provoquée
e. En pratique, il faut solliciter plusieurs fois la représentation
mentale
: « Ecrire, avoir de bonnes idées », pour arriver
e. Chaque idée qui se présente naturellement forme une représentation
mentale
distincte. — Autant d'idées, autant de représenta
tation mentale distincte. — Autant d'idées, autant de représentations
mentales
différentes. 2° L'auto-suggestion. — Avec l'aut
nné au cerveau : o Ecrire, auoir de bonnes idées ». La représentation
mentale
: « Ecrire, a.voir de bonnes idées », se développe
l'autosuggestion : Méditation. — Mille idées, mille représentations
mentales
. Auto-suggestion. — Une idée, mille représentat
ations mentales. Auto-suggestion. — Une idée, mille représentations
mentales
. C'est-à-dire, pour la méditation, mille idées
éditation, mille idées différentes donnent chacune une représentation
mentale
, ce qui donne pour l'ensemble de la méditation, m
ce qui donne pour l'ensemble de la méditation, mille représentations
mentales
différentes. Pour l'auto-suggestion, une seule
l'auto-suggestion, une seule idée donne lieu à mille représentations
mentales
de celte idée par le travail particulier de l'aut
a méditation. Cette idée mille fois fixée par mille représentations
mentales
accumule la puissance utile pour produire l'acte,
autosuggestion de même genre peut se produire dans certaines maladies
mentales
. J'en citerai un exemple dont je possède l'observ
res. Le rôle du rêve dans les psychopathies, puis dans l'aliénation
mentale
est longuement étudié : on a dans les rêves un si
tudié : on a dans les rêves un signe précurseur fréquent des maladies
mentales
, au moment de leur période d'incubation, parfois
re. — Le cours de M. le Dr Jules Voisin sur les maladies nerveuses et
mentales
aura lieu de décembre à mai, les jeudis à 10 heur
ns ? On peut dire que ces divers troubles sont purement fonctionnels,
mentaux
, qu'ils sont susceptibles d'être provoqués par de
ne retentissent pas gravement sur la nutrition générale et sur l'état
mental
des malades qui en sont atteints. Mais est-on e
! existe, en effet, bien d'autres affections qui sont fonctionnelles,
mentales
. L'hystérie n'est pas seule susceptible d'être pr
ions morales peuvent exercer une influence sur la genèse des troubles
mentaux
indépendants de l'hystérie, elles sont même capab
ne retentissent pas gravement sur la nutrition générale et sur l'état
mental
des malades ; la neurasthénie peut durer des anné
int de vue nosographique, car, parmi les affections névropathiques et
mentales
, il n'y en a pas une autre de laquelle on puisse
st même en droit de dire que l'hystérie ainsi définie est l'affection
mentale
qu'il importe le plus au point de vue du traiteme
z une personne intelligente. Le rapprochement qu'il fait entre l'état
mental
de la malade et celui d'une dipsomane est exact.
mer l'irritabilité des cellules nerveuses, d'équilibrer les fonctions
mentales
, d'utiliser ou d'économiser l'énergie potentielle
et la mettre à tel doigt de telle autre personne, etc., etc. L'ordre
mental
ne doit pas être collectif. Un assistant, désigné
eule parole, sa pensée, nous dit-on, sera lue par le sujet et l'ordre
mental
sera effectué fidèlement. En dehors de la prése
rès légitime satisfaction ; quelques adeptes résolus de la suggestion
mentale
triomphent ouvertement. Quant à nous, bien réso
nous les jugeons. * Tout d'abord, nous disons-nous, la suggestion
mentale
proprement dite, si elle existe, implique l'absen
conducteur et du sujet. S'il s'agissait véritablement de suggestion
mentale
, l'expérience, pour être concluante, devrait, ent
er cette loi qu'à tout état psychologique (c'est-à-dire intellectuel,
mental
, moral) est associé un éta physiologique (secréto
à dire ? Ce n'est pas que notre pendule a docilement obéi à un ordre
mental
pur; nos muscles digitaux ont présenté des contra
e, arréte-toi, etc. ». Si toute sa pensée se concentre sur les ordres
mentaux
qu'il formule en lui-même, si son attention est e
e accomplir, il ignore si ses muscles n'accompagnent point ses ordres
mentaux
de tressaillements correspondants ; il ne s'en pr
st persuadé, de la meilleure foi du monde, qu'il ne donne qu'un ordre
mental
, alors qu'en réalité il donne aussi et surtout un
sonne désignée, il n'accomplit pas d'emblée, sans hésitation, l'ordre
mental
, et il serait tout naturel qu'il le fit, s'il lis
formel, parce que, dans l'espèce, il ne s'agit pas plus de suggestion
mentale
que de lecture de pensée. C'est ainsi que notre
é jusqu'alors chez ses conducteurs habituels, — sauf de la suggestion
mentale
. Je veux mentalement, de toute la force de mon vo
es de conducteurs. Les uns ont une volonté molle, leur représentation
mentale
du mouvement est faible ; ils n'ordonnent pas
n devait dissocier et distinguer deux facteurs à savoir la suggestion
mentale
pure, d'une part, les mouvements musculaires de l
même. Celle-ci peut être réconfortant ou déprimante. Des impressions
mentales
réconfortantes ont amélioré la santé générale de
ois, époques fixées. Dans le troisième cas, elle parut par suggestion
mentale
à l'insu de la conscience supraliminale du sujet.
si étant donné ce qu'a présenté cette femme depuis deux ans, son état
mental
et son hyperesthésie psychique actuelle, je ne su
et dans sa thèse de doctorat en médecine expose magistralement Y Etat
mental
des hystériques. Directeur du Laboratoire de ps
ion constitue le fond de toute la pédagogie ainsi que de l'orthopédie
mentale
. 5. Contrairement à l'opinion courante, les ind
ues, à la fois sensitifs et vaso-moteurs, avec modification de l'état
mental
. Toutes les fois que, pour une cause ou pour une
nts. Alors on ne verra plus d'accidents nerveux touchant l'aliénation
mentale
, après des pratiques d'hypnotisme mal dirigées ;
la façon dont on concevait et dont on conçoit maintenant les maladies
mentales
et nerveuses. Dans les ténèbres du moyen âge, écl
e de la superstition religieuse, expliquait les maladies nerveuses et
mentales
par l'influence diabolique, et soignait les fous
somnambulisme hystérique. - Douleurs oculaires résultant d'un trouble
mental
pur (M. Par M. le Professeur Raymond. » La
s. Elle ne présente aucun stigmate d'hystérie ; elle n'a pas l'état
mental
de l'hystérie ; on l'a endormie jadis, mais l'hys
lie sur un terrain nerveux, c'est de la psychaslhénie, un pur trouble
mental
; c'est une question de transformation de la perso
on lui a enlevé son utérus ; j'ai connu un homme de 30 ans, avec état
mental
semblable au sien et à qui on u coupé successivem
Un fait qui nous a souvent frappé lorsque nous avons étudié l'état
mental
des buveurs d'habitude, c'est que dans la grande
résente que de l'agitation stérile, sans but déterminé; la rumination
mentale
et l'angoisse font appel au trouble moteur automa
éjà prévu et énuméré toutes les diverses applications de l'orthopédie
mentale
. • » La doctrine transformiste se compose de
chien (Un cas de), p. 31. Douleurs oculaires résultant d'un trouble
mental
pur, par Raymond, p. 343. Eclampsie (Suggestion
n hypnotique d'un), par Bérillon et Watteau. p. 49. Représentations
mentale
et des hallucinations visuelles et auditives post
DE NEUROLOGIE ' REVUE TRIMESTRIELLE DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-M. CHARCOT
s années avant J. Hunter le fait de l'influence des représentations
mentales
, sur les actes de la vie organique ou de relati
8). TuKE (H.). Dletalloscopj aazd expectant attention. (Journ. of
mental
science, 1879). Influence of the mind on the body
ou sur les mouvements de clignement. CH. FkR. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
I. Contribution A L'ÉTUDE DE la folie A deux; p
s DE contagion DES illusions ; par GEO.-H. SAVAGE. (Ilte journal of
mental
science, n° de janvier 1881, p. 563.) Le plus h
, et dont elle se déclare la fiancée. 9 130 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. Telle est dans ce cas la folie génératrice ; l
e la sorte. M. Lunier rapporte l'observation d'un malade sur l'état
mental
duquel il a eu à se prononcer, trois mois après
épétition d'un même acte dans les mêmes lieux conclure à un trouble
mental
intermittent ? Cet homme n'avait nullement beso
e la part que doivent avoir les dégé- nérescences dans l'aliénation
mentale
, l'orateur fait justement observer que si elles
re une communication du Dr. SAVAGE sur la nomenclature des maladies
mentales
: l'ora- teuraété chargé,deconcertaveeM.BucKNiL
peu correcte et peu complète ; c'est ainsi que les seules maladies
mentales
qui y soient mentionnées sont la manie, la méla
rs, de déterminer les causes parfois très complexes de l'aliénation
mentale
, et sur les voies et moyens, d'ordre surtout ad
ale et discute la place qu'ils doivent occuper dans la pathologie
mentale
. Un historique développé fait ressortir à la fo
de celui qui bondit) est une sorte de maladie nerveuse psychique ou
mentale
, d'ordre fonctionnel. L'affection qui s'en rap
L'affection qui s'en rapproche le plus n'est autre que l'hystérie
mentale
appelée de nos jours «hystérie desservantes», et
ait avoir existé à l'état épidémique au Moyen Age. Comme l'hystérie
mentale
ou psychique, le « jumping » ne survient pas chez
rme névrosthésique ou anémique ((p/M/StM/M/s<6)'M)), et la forme
mentale
ou psychique, « psychicul hysteria », peuvent s
action des métaux et de l'aimant, relèvent bien plutôt d'affections
mentales
que de maladies physiques. VARIA. 1 49 Au res
e d'exécuter. D'autre part, les phénomènes observés dans l'hystérie
mentale
, chez les convulsionnaires ou chez les « saints
usqu'au point de développer le « jumping », qui, soit par contagion
mentale
, soit par hérédité, se serait établi à l'état d
onsidérant que l'article 9, § 3, du règlement de la caisse départe-
mentale
des retraites de l'Orne reconnaît un droit à obte
argé du service de la clinique, comme chef de clinique des maladies
mentales
. Asile DE VAUCLUSE. M. le Dr BOUDRIE, médecin-a
de la rédaction, viennent de fonder un nouveau journal de maladies
mentales
et, nerveuses. Ce journal parait par cahiers tr
sur les phrénopathies ou traité théorique et pratique des maladies
mentales
. Vol. in-8" de 546 pages; avec 54 figures inter
e Neurologie. Luis (J.).T'ra ! /e clinique el pratique des maladies
mentales
. Vol. in-8" de 692 pages, avec 27 figures inter
i et Tamburini ont étudié la question tant au point de vue expert
mental
que sous le rapport de l'anatomie pathologique. C
e cette dernière forme d'aphasie, tout en ayant conservé la lecture
mentale
, tout en comprenant ce qu'ils lisent, ce dont i
ques qui perdent en même temps la parole, l'écriture et la lecture (
mentale
). Ainsi comprise, la cécité des mots devient un
matologie, tant au point de vue de l'épilepsie qu'à celui de l'état
mental
, des, causes de la mort, de la nécroscopie, et
s; au cinquième mois après l'attaque, elle parle couramment; L'état
mental
est', satisfaisante sauf, une^extrême facilité
S SES RAPPORTS AVEC LES MALA- ' ? ufc.iju ? eo.. ein.l. 01 , dies
mentales
; par J. Grichton-drowne. (Ihe journal 0/ psych
par J. Grichton-drowne. (Ihe journal 0/ psycholoqical medicine and
mental
patholoqy. New séries, ? vol Vi, pârt 2,`p; 169).
proprement dits ; le moyen, les sujets 262 REVUE' DE ' PATHOLOGIE --
MENTALE
. que l'on appelle' communément excentriques} ta
Vj INFLUENCE DES maladies' aiguës SUR la genèse DES maladies - I II
MENTALES
; ;' par' le Dr 1 Emile KRAPELIN. (A ? Cltl*V. f.
du,sang lsurchargéJ t dyiréé; 9çôn- 264-Ç, £ REVUE.- DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ! .1 courent au même,résultat : ajoutons-y les
répétition des accès semble, pour, ! 40 p.100; REVUE 'DE PATHOLOGIE
MENTALE
? 265" des faits,' exercer la'plus forte influe
i r emu ? bt ? j) ? ht ? e.1.141 ? il 1 teta)o6o;crainte)un trouble
mental
qui aune grandeanalogieavec u et epoboç crainte
mental qui aune grandeanalogieavec u et epoboç crainte) un trouble
mental
qui aune grande analogie avec Z1'afiection,,étû
.la,crainte de;toucher certains objets,' le REVUE%DE,L PATHOLOGIE,-
MENTALE
. 267 besoin delse,laver.les- mains;lsont.seulem
cune tendance au développement. d'un type plus grave de dérangement
mental
. L'intelligence n'est nullement affaiblie et le
nxiété p : f .IfTY'·.11. aiuoaomAn aa ')a 268 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. t. jJ'. L, il . rm' yl· r, , £ » -il Bjff.pt =
) ; la troisième comprend 189 cas ( ! '2 hommes REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 269 - 147 Xi et 97 femmes) dans lesquels les
o31noign>iJiu . ? jin-niii°l.f-'i' . 270' REVUEI : DÉ PATHOLOGIE
MENTALE
? cence graisseuse de' la névroglie, 1 dés cell
ité augmente' ; elle'est rarement albumineuse. REVUE, DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 271^ quelle ;que,soit sa nature,, est rarement
1 X*-T1A t .rl tnm·r r -r .r., -r , ra'1 ', 272 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. yi 9h .-f.inn ? n *.j ? ) ? Ji'Ti ? 7 ? T ? t"
InD talc 4 opposée (anode )i ? le 1 Inalader recou- vra l lel calme
mental
et physique pour la plus, grandei partie des jo
n aiguë de la folie'systématique"en pro- St h REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 273 ...m. zu .txzm,turtny nu ; 1 ·,1. ! 1^ vi;
au >...ijj-mv ;l ii»n11>»au,.\j 18 274 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. croît et décroît avec les exacerbation psychiq
t;,> ? , , .1111 UIJ . >ij\.i rechercher en d'autres maladies
mentales
ou névroses capables d'engendrer'comme ici des
IJO.IUH'IA9 3u 3J1331 -fVi. . a-, &1 517 , REVUE .DE.PATHOLOGIE^
MENTALE
. SIO'I : lyb J9 7n Î5 lI011Oii91 £ 1 in . eji-j
à cet-effort sur lui- même qu'il attribue la-persistance dé là vie
mentale
et sa guéri- son ? au' moyen1' d'occupations 'i
tioris''ne sont'jamais 1 expression dune suractivité de Jart sphère
mentale
; elles proviennent au con- traire de l'épuisem
, à l'aliénation caractéristique. Leprin- 278' REVUE 'DE PATHOLOGIE
MENTALE
. ! cipe actif,. amorphe,' solubkf dans l'eau-,
livres. 9° L'épilepsie, quand, elle , entrainedes, manifestations,,
mentales
, (épilepsie psychique), produit( une déperditio
eH<aJxe ! 6Hce, janyiel881, p. 520) ? 1) -i-'q p^iti* journal of
mental
sczeŸZCe, janvierf,1881, p. 520) ? i.q afrrrnDr
la, différence reste, capitale, puisque, dans^ un cas, -J'équilibre
mental
subsiste, tandis que dans l'autre, il est détruit
iations bizarres et imprévues d idées. 282. REVUE --DE' PATHOLOGIE,
MENTALE
. ! rLes enfants associent, volontiers desjidées
QUE ET · L'ALC00L ; i par ,9 ! F»PRITCHARD Daviers. (The journal of
mental
science,^ janvier. - '11881,-P.; 526.)-til;ff,
e qu'il dirige,-] celui du- comte dee Kent; REVUE '-DE' PATHOLOGIE.
MENTALES
283- l'auteur, a'complètémeilt rerioncé à i 1 e
par EDWINIWO'OTON.1 J - : (The journahof psychological medicine and
mental
patlaologd > ..Nèvv.seriés,.vol : JVI;part :
e temps-; que séJréalisent7ces) deuxfcohdi- 284 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. tions, il se produit une spécialisation des pr
'être exposés les médecins voués' au' traite-13' nient des maladies
mentales
^Personne .n'hésite ! airendre hommage'au " cou
, au meilleur travail imprimé ou manuscrit sur un sujet de médecine
mentale
. - 'Les ouvrages imprimés ne devront pas avoir
Br. M. Kir(N fait une communication concernant les perturbations
mentales
observées dans les établissements pénitenciers '.
manies périodiques, quatre agitations dans des cas de perturbation
mentale
chronique- et secondaire, une mélancolie avec a
aire, croire à une guérison. f t < v E I , V. Étude sur l'état
mental
et les troubles psychiques des cardiaques ; bno
tuel va parfois jusqu'à se l'approcher de la démence sébile. L'état
mental
et moral des, .aortiques pourrait dégénérer en vé
292. Capsule interne, par Bitot, 1. Cardiaques (étude sur l'état
mental
et les troubles psychiques des), par d'Astros
? i -, ;i. 1.n417 Education dans ses , rapports avec les maladies
mentales
," 201. -ri .Electroderlpourls les applications
'6-ard des), 291. 'Etablissements pénitenciers (per- turbations
mentales
, observées 2ddans les),rl292. ' -i -'u'I I r
ar Vierordt, 124. il Mensonges chez les , hystériques, 133. - 1
Mentale
(psychologie), 261., n Métalloscopie, par Vigou
ique, 155. 1 , '" ttj -Pseudo-monomanie, 131. tu '.Psychologie (
mentale
), 961., ,il 1- 11 . , IL . n i f, Réflexes, p
ARCHIVES DE " NEUROLOGIE REVUE ' DES MALADIES NERVEUSES ET
MENTALES
PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-111. CHARCOT
s dans des cas analogues ren- dant nécessaire l'examen des facultés
mentales
. M. S... jouit d'une intelligence très suffisam
e avait deux soeurs qui présen- tèrent à un âge avancé des troubles
mentaux
, de même que son fils, le grand-père de Thomsen
e étroite entre la raideur musculaire chez les uns et des- troubles
mentaux
chez les autres; enfin, l'influence psychique s
sujet u'a jamais eu de vertige spontané. (il suivre.) PATHOLOGIE
MENTALE
RECHERCHES CLINIQUES SUR LA FOLIE AVEC CONSCIEN
ffectifs de cette femme sont restés intacts ; elle le lb PATHOLOGIE
MENTALE
. adorait ses enfants et même son mari, malgré s
milieu du chemin sa compagne toute interdite de sa ')6 V PATHOLOGIE
MENTALE
. brusque disparition. Cette pauvre femme nous r
e guéri, s'est-elle noyée ? Je l'ignore. S'il y a des aliénations
mentales
qui n'existent pas en dehors de la conscience,
urité, qu'éteinte aujourd'hui, elle semblera renaître 48 PATHOLOGIE
MENTALE
. demain, pour disparaître et reparaître encore
Ne faut-il pas plus de vigueur au ARCHIVES, t. V. 4 50 PATHOLOGIE
MENTALE
. soldat blessé qui continue de combattre qu'à c
ieu de discuter les rapports qui peuvent exister entre l'aliénation
mentale
et la criminalité ; c'est une question qui ne p
Salpêtrière, n'avaient rien présenté de particulier dans leur état
mental
. Un seul autre exemple de cette anomalie, a été
de débiles, d'irréguliers, entrant dans le;domaine de l'aliénation
mentale
par la porte de la folie inorale et présentant
M. Motet propose démettre à l'ordre du jour de la Société, l'état
mental
des enfants et s'engage à développer lui-même plu
ments d'instruction. S'appuyant sur trois observations d'aliénation
mentale
développée chez de jeunes sujets au cours de le
rateur fait remarquer l'in- iluence extrêmement nocive sur la santé
mentale
des travaux que les élèves emportent à faire ch
es moyens capables d'assurer le renforcement véritable des facultés
mentales
: or il s'agit moins d'obtenir des résultats de c
primordialement d'hérédité. Quant au nervosisme et à la dépression
mentale
qui succèdent à l'exagération de travail intell
privés; ils sont exclusivement consacrés au traitement des maladies
mentales
. AM. 2. Les établissements publics comprennent
ux aliénés, ne pourront recevoir une personne atteinte d'aliénation
mentale
, s'il ne leur est remis : 1 une demande d'admis
ou deux rapports distincts au procureur de la République sur l'état
mental
de la personne à placer. Ces rapports seront ci
de consigner sur ce registre les change- ments survenus dans l'état
mental
de chaque malade, au moins chaque semaine penda
Néanmoins, si le médecin de l'établissement est d'avis que l'état
mental
du malade pourrait compromettre l'ordre ou la déc
et la résidence des personnes qui auront retiré le malade, son état
mental
au moment de la sortie, et, autant que possible
s dont le placement aura été volontaire et dans le cas où leur état
mental
pourrait compromettre l'ordre public, la sûreté
aires que le temps nécessaire pour constater leur état d'aliénation
mentale
et pourvoir à leur transfèrement dans l'asile d
qu'elle l'aura considéré comme irresponsable par suite de son état
mental
; 2° Tout inculpé poursuivi pour délit qui aura
ordonnance de non-lieu comme irrespon- sable, à raison de son état
mental
. Si la sortie d'un de ces internés est demandée
és pres- crites par l'article 15, les aliénés indigents dont l'état
mental
ne compromettrait pas l'ordre public, la sûreté
ur le Chloral, propriétés et application au traitement des maladies
mentales
. Nominations. M. le Dr Briand est nommé médecin
sujet, déjà porteur de lésions avancées, a d'abord présenté l'état
mental
qu'on observe fré- quemment chez les individus
à se jeter par la fenêtre. Dans plusieurs observations, aliénation
mentale
avec hallucinations de la vue et de l'ouïe ; tant
eut être expliquée par l'hypothèse vaso-motrice ; 4° Les troubles
mentaux
les plus accusés, tels que l'aliénation survena
omplète ou partielle de la connaissance, à la suite de perturbation
mentale
épileptique sous forme d'accès. Des vertiges
l a également très souventohservé la syphilis précédant l'affection
mentale
. 11 croit être en mesured'affirmerque l'infection
ücl : . Pendant l'été de 1881, un journalier, frappé d'aliéna- tion
mentale
, entend une voix qui lui ordonne de tuer le premi
parti- culier au point de vue de l'évolution de certaines maladies
mentales
; par Rabec Thèse de Paris, 1881. Etude clini
nations. M. le Dr Vallon chef de clinique de la chaire des maladies
mentales
à la Faculté de Paris, est nommé médecin adjoin
l ? H ? î,i,,n1".Mi iVllôil- t CTUII3AULT ? ,, REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
I. DES maladies DES reins considérées comme cau
E I. DES maladies DES reins considérées comme causes d'aliénation
mentale
; par le professeur HAGEN (d'Erlan- gen). (fllly
e cette étude il se dégage que, de même que 360 REVUE DE pathologie
mentale
. les manifestations comateuses et convulsives c
tifs de ces affections. Un premier degré de l'apathie, de l'anxiété
mentale
passe souvent inaperçu, l'équilibre, physiologi
tiellement aux altérations.' Or ? bihnf que 362 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. celles-ci occupassent toute la région dorsale
e génératrice excessive produira un garçon pos- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 363 sédant les qualités transmissibles de sa n
lectuels, présente sur les fesses des cica- 364 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. triée ? syphilitiques spécifiques. Sans être l
n homme de cinquante ans, entaché d'hérédité et REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 365 sujet à des excès alcooliques et vénériens
s; il n'est point encore pubère'... · - » . 366 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. il. Ici, c'est d'une fille de treize ans qu'il
tat général est celui d'une chlorotiquc. L'évolution de l'affection
mentale
n'est pas encore terminée. ,111. Ce dernier fai
is de maladie. Les renseignements postérieurs ont appris que l'état
mental
était redevenu normal bien que la fillette conser
ovoquée; l'autre se manifeste spontanément chez REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 367 des sujets jusqu'alors bien portants. C'es
stituer à l'hypnotisme spontané une autonomie z REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. qui le distingue et de 1 hypnotisme artificiel
rt »"> <>'>n'i- t t / 1 . a'·Innr REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 369 bourrelet et le tapetum. Rien d'anormal au
spéciaux. Tels les épileptiques passagèrement atteints d'aliénation
mentale
, ou qui, à raison d'accès répétés, sont inca- p
au contraire, subi une Archives, t. V. 24 370 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. atteinte plus ou moins profonde dans l'aphasie
erait tous les degrés intermédiaires à la diminution de la tonicité
mentale
et à l'affaiblissement intellectuel proprement di
* Archives de Neurologie, ti' 111, p. 236. ' REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 371 de la démarche. M. Westphal ajoute : « L'e
nalysés lui aitirévélé de relation étiologique entre l'aliéna- tion
mentale
et les maladies, des. organes sexuels en question
conséquence, sans nier l'influence de la vie sexuelle sur la santé
mentale
, M. Ripping est d'avis que la psychose coïncident
affecz , ? -Tl ? 11.» ? I < I î | ' " 372 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
! tion génitale, succédât-elle à la; puerperaHt
ment des maladies des femmes, exercent une action nocive sur l'état
mental
.des aliénées, même quand-ils n'engendrent pas '
t. >H''Wi- -ni" i «op is'i" mn t41('1 nliml REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 373 iVII : ' IALFOR\fATION PARTICUI,1LRE du ce
insi que d'une myélite de fraîche date par- 374 REVUE DE pathologie
mentale
. ticulièrement localisée à la périphérie des co
nre à l'établissement pénitencier de Friliourb; revue DE pathologie
mentale
. 375 la cause de leurs délits résiderait, pour
ces pathologiques et'les autres manifestations de la dégénérescence
mentale
; 4° Le résultat de cet examen décidera de l'ét
opathiquo particulier de , l'inculpé ou, du diagnostic ; aliénation
mentale
. Il faudrait conclure dans le premier cas à l'i
tal (Archives de Neurologie, t.111, p. 53). 376 REVUE/DE PATHOLOGIE
MENTALE
; de l'inversion., des attractions) sexuelles i
iJ,tl ? 211(l : l t" lIUliltJ(11111 'JJ' 1,0. REVUE '-DE PATHOLOGIE
MENTALE
? 377- blesse irritablelduSVStèlllessnerveux ca
e'l'insui'ûsancefdes' relations seuelles,ordinaires,=cluand·l'étatl
mental
'les* permet) (Obs.' III). L'anzlyse,clinirlue
'»«p,-» ? tat'oif de vides intellectuels' et éthiques dans I, état,
mental
? ...'.PV v W , yiii ? 11 .a·,·y J41111 , b - ? a
sion ne constitue ni une immoralité, ni une 378 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. passion, mais un instinct naturel, un besoin o
1 Archives de Neurologie, t. Il[, p. 9,1 ? i / REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 379 délire aigu relevant de la paralysie génér
e vue hygiénique que pour hâter par sa suppression la convalescence
mentale
. Le traite- ment'moral et l'éducation des habit
les Archives de Neurologie, 1.11, h. 29 ? . 380 REVUE DE pathologie
mentale
. f ? t ? 3 ! 3).).t)r'( 1']'t ? ) ! ) q établ
poque do 1 incarcération, quinze nérpossedâirent guèue lassante e'
mentale
normale (deviationspar défaut ou exces'd'iricitab
e 3.tt ' r ETt dl " IfIJii E5 71f a 1 ? ' ? ) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 381 il 1- l'11J10 bf1191T1 9t' 9yQI,`11119t( i
ont eu un grand retentissement : le divorce pour cause d'aliénation
mentale
et la question des aliénés dits criminels.. Il
ons une compétence, une auto- rité égales aux vôtres. La médecine
mentale
est entrée depuis quelque temps dans une voie n
ut pas dire qu'un membre d'une famille étant atteint d'aliéna- tion
mentale
les autres membres doivent l'être fatalement à le
nt ? n..j) ? i, <i.j.< J- - rante-stx sont frappes d hérédité
mentale
.. l .,tt 111·> >t ! rn ? ), i,^-, il'i ,l
ment trois, selon le degré de rapi- dité qu'affecte la perturbation
mentale
, consécutive à la lésion chij rurgicale, le gen
e : Sont appelés idiots tous les psychopathes dont le développement
mental
est entravé ou arrêté par une affection cérébra
agogique. La curabilité est sur- tout vraie pour les manifestations
mentales
émanant du surmenage psychique, de l'onanisme,
us, toute anomalie qua- litative et quantitative d'une des facultés
mentales
ressorti ! il l'alié- nation mentale, au même t
antitative d'une des facultés mentales ressorti ! il l'alié- nation
mentale
, au même titre qu'une entité psychopathique bien
ants ; la première loi prescrivant un placement con- forme à l'état
mental
du criminel (1800) ; la loi de 1816 ordon- nant
et Tic"es sont d'avis que la détermination pure et simple de l'état
mental
suffit, sans qu'on soit obligé de pénétrer si a
tificat contradictoire émané d'un confrère ignorant la pa- thologie
mentale
, à six assignations judiciaires, ainsi qu'à sept
le, des accouchements fréquents et difficiles, enfin une aliénation
mentale
débutant dans la jeunesse et aboutissant gradue
2 et 3.) P. K. BIBLIOGRAPHIE Les hystériques. Etat physique et
mental
; actes insolites, (lélie- tueux et criminels ;
trois degrés : 40 troubles légers des facultés affectives; 2° état
mental
envisagé dans l'enfance, à l'âge adulte et à l'
tendance spéciale à l'onanisme (Ki,airL-11)iiig). A ces troubles
mentaux
s'ajoutent des symptômes d'ordre phy- 'BIBLIOGR
des degrés différents. 4° Ce peut-être un état de simple exaltation
mentale
; 2° d'autres fois c'est une agitation maniaque
encore une véritable mania avec délire des grandeurs. L'exaltation
mentale
caractérisée par une surexcitation physique et
une intensité variable : 1° état mélancolique et simple exaltation
mentale
; 2° mélancolie anxieuse ou avec stupeur et simp
entale; 2° mélancolie anxieuse ou avec stupeur et simple exaltation
mentale
; 3° simple état mélancolique et manie aiguë ;
nt à ce titre ouvrir un chapitre nouveau dans le cadre des maladies
mentales
, ou bien considéré comme un symptôme d'une mala
de au diagnostic. Il ne néglige aucune des affections cérébrales ou
mentales
dont le délire, parfois très actif, peut causer
du bureau d'admission à l'asile Sainte-Anne. CeRTAMEN DE médecine
mentale
. Une réunion aura lieu les 25, 26, 27 et 28 sep
e discuter un certain nombre de ques- tions relatives à la médecine
mentale
. Le nom de Certamen est substitué à celui de Co
s méde- cins qui délivrent à la légère des certificats d'aliénation
mentale
. Infirmerie spécule des aliénés de la préfectur
1. t. Alcoolisme et stryclinisme, par Le- cuyé, 416. Aliénation
mentale
(des maladies des reins considérées comme cau
université de Lemberg, auteur d'un livre français sur la « Suggestion
mentale
» (Paris 1877) et de plusieurs travaux en polonai
résulte-t-il de leur examen ? En suivant nos malades au point de vue
mental
, nous avons constaté en comparant le délire du ma
dans l'étude raisonnée de leurs troubles intellectuels et de la forme
mentale
qu'ils affectaient, étude qui nous entraînerait t
e, quand le malade, par exemple, est arrivé à la période des troubles
mentaux
graves ; dans ce cas, la suggestion est encore in
atténuer d'une façon très appréciable les douleurs et les troubles
mentaux
exagérés momentanément par l'abstinence. La durée
s travaux ont eu une influence si marquée sur l'étude de l'aliénation
mentale
. M. Falret, médecin de la Salpétrière a remercié
cultés de l'examen clinique résultent de l'instabilité môme de l'état
mental
des sujets. Alors qu'ils s'étendent avec complais
l est en effet difficile de considérer comme un symptôme d'aliénation
mentale
des sensations qui ne sont que l'exagération path
ir la distinction qui sépare les phobies neurasthéniques des troubles
mentaux
décrits par Magnan sous le nom de syndromes épiso
que nous lui rendons, par les progrès qu'il a imprimés à la médecine
mentale
. Depuis sa nomination de médecin de la section
et a souvent développé cette nécessité de l'enseignement des maladies
mentales
à donner à tout médecin, et il a prouvé que les c
es leçons cliniques qu'il a faites à la Salpé-trière sur les maladies
mentales
, de 1849 à J869. Il a eu le grand mérite d'inau
au. Baillarger a élucidé un point obscur jusque-là de la pathologie
mentale
; l'étude de la stupidité, que l'on avait cru jus
ent. Baillarger a appris, on peut le dire, à nous tous les maladies
mentales
par une méthode précise, fondée sur la clinique e
stion. Troubles psychiques causés par l'abus du thé. L'aliénation
mentale
est en progression menaçante en Irlande. L'alcool
e boisson, paraissent avoir leur part dans l'étiologie des affections
mentales
. On n'en fait pas une infusion légère, mais une
-il des dangers pour le sujet et pour la Société? 29° La suggestion
mentale
existe-t-elle ? 30° Peut-on produire la congest
fut naguère courante, n'est plus que rarement appliquée aux maladies
mentales
qui passent sous nos yeux dans les asiles. Avec F
(Binet, Myers, Laurent, Breuer et Freud, Pierre Janet). Le trouble
mental
élémentaire de l'hystérie paraît être un rétrécis
nd de dégénérescence, d'où juxtaposition fréquente des manifestations
mentales
de l'hystérie et des perversions instinctives, de
ordres de phénomènes sont-ils régis par des altérations du mécanisme
mental
très analogues sinon identiques les unes aux autr
es, qu'on est, croyons-nous, autorisé à rapporter à la dégénérescence
mentale
. Signalons en particulier les impulsions au vol,
us jetons un coup d'œil en arrière, nous voyons que tous les troubles
mentaux
que nous avons passés en revue, délire de l'attaq
e rêve, tandis que dans le somnambulisme au moins parfait, l'activité
mentale
est assez compliquée pour rappeler l'activité con
ux doléances excessives. A noter encore certains états de confusion
mentale
. Après cette rapide revue des troubles mentaux
s états de confusion mentale. Après cette rapide revue des troubles
mentaux
qui peuvent s'observer chez les hystériques, nous
mbres du Congrès : 1o L'hystérie est-elle une maladie exclusivement
mentale
? Définition psychologique de l'hystérie. Rôle du
ons cliniques et psychologiques entre l'hystérie et la dégénérescence
mentale
; 3° Le caractère et les perversions instinctive
, affecte-t-elle des caractères spéciaux? 8° Y a-t-il une confusion
mentale
hystérique? Ses caractères, sa durée possible;
réalable précisé autant que faire se peut les caractères des troubles
mentaux
qui ressortissent en propre à cette névrose. A la
s hallucinations, l'amnésie et la distraction, les diverses activités
mentales
simultanées, les diverses formes de l'anesthésie
tique. D'après Laxdmann, la diversité simultanée de la personnalité
mentale
consiste soit dans un changement rapide des activ
nnalité mentale consiste soit dans un changement rapide des activités
mentales
qui forment la personnalité, soit dans une action
ssion, de leur situation antérieure et de leurs penchants. L'activité
mentale
des malades est complètement absorbée par le déli
our l'observateur inexpérimenté ou qui ne connaît pas l'individualité
mentale
des malades. Dans son état pathologique (second)
blement de la personnalité, c'est-à-dire d'une division de l'individu
mental
ou deux existences mentales séparées l'une de l'a
, c'est-à-dire d'une division de l'individu mental ou deux existences
mentales
séparées l'une de l'autre. On trouve décrits dans
t, les somnambules n'ont pas la possession complète de leurs facultés
mentales
et des souvenirs de leur vie normale. Dans le pre
ft-Ebing, des reproductions artificielles, dans la vie d'inconscience
mentale
, de phases antérieures de la vie qui, pour la plu
and, quand on voit avec quelle désinvolture il passe à la vivisection
mentale
des patients, sans avoir les connaissances nécess
les avantages et amènent les résultats les plus funestes pour la vie
mentale
des patients. » En réalité, dans toute la disse
tion aux accès spasmodiques, de l'anémie, de la faiblesse physique et
mentale
. Transitions sans motif de la gaîté à la tristess
omplir sans distraction, et elle a aussi pour autre effet une inertie
mentale
et organique telle, que le dormeur restant sans d
s de Griesinger), il voit dans la difficullé d'hypnotiser les malades
mentaux
, une limitation importante de la thérapie suggest
u corps, hors de l'état de repos et de ce qu'on appelle les activités
mentales
des cellules-ganglionnaires du cerveau) se compor
istible de la volonté ou son arrêt, deux manières d'être de l'inertie
mentale
des dormeurs. Car, on en fait journellement l'exp
duise, chez elles, un trouble émotionnel quelque peu durable, un choc
mental
violent, leur peu de fermeté pour se décider à ag
ants de folie; mais le plus souvent l'aboulie accompagne l'aliénation
mentale
dans toutes ses formes, soit qu'il y ait arrêt im
r qui l'avait accablée, elle s'était laissé aller dans une dépression
mentale
qui ne lui permettait plus de se déterminer pour
états passifs. Dès que les sujets sont sous le coup d'une impression
mentale
, intense ou prolongée, et si ces sujets appartien
ès d'hystérie, d'épi-lepsie, etc., et des formes diverses de maladies
mentales
, à la suite d'une grande colère, d'une frayeur ex
ue hypnotique ou rapportés par d'autres écrivains. Ainsi : 1° l'image
mentale
peut voiler la réalité; 2° l'image peut recouvrir
ant dans une variation plus ou moins permanente de l'état affectif et
mental
d'un sujet, à l'occasion de la réalisation — par
sion de la réalisation — par la mise en œuvre fortuite d'un processus
mental
spécialisé — d'une systématisation exclusive et c
vendredis suivants, à la même heure, Cours de clinique des maladies
mentales
. — M. le professeur Joffroy fait son cours le mer
matin, pendant le mois de décembre, des conférences sur les maladies
mentales
et nerveuses. Faculté de Vienne. — M. le Dr Emi
udié quelques faits de ce genre dans ces belles recherches sur l'état
mental
des hystériques. Beaucoup plus intéressants son
M. Cottignies. — La législation des Aliénés au Congrès de médecine
mentale
. Brochure in-4% 32 pages. Millot frère et Cie, 20
eurs progrès aux représentants de l'enseignement libre. La pathologie
mentale
, en particulier, a été entièrement créée par les
non facit saltus. Attribuer ces guérisons instantanées à des émotions
mentales
, et croire que l'imagination ou la volonté ont un
ur le dissuader de cet abus désordonné, je lui proposai la suggestion
mentale
, comme seul remède. Après quelque hésitation, d
ychologie du système nerveux de l'homme et des animaux, la pathologie
mentale
et nerveuse, la psychologie, la philosophie, la m
notre eminent confrère nos vives félicitations. Congrès de Médecine
mentale
et nervedse. — Le sixième Congrès annuel des méde
thyroïde et goitre exophtalmique; rapporteur, M. Brissaud. Pathologie
mentale
: les psychoses de la vieillesse ; rapporteur, M.
u'au millésime des pièces qui s'y trouvent. S'agit-il de suggestion
mentale
? M. Quintard ne le pense pas ; il croit à une vé
même heure. Faculté de médecine de Paris. — Clinique de pathologie
mentale
, M. Joffroy, mercredi et samedi à 9 heures (asile
s plus éminents d'Angleterre le D'Hack. Tuke, directeur du Journal of
mental
Sciences, vient de mourir, après une carrière bie
é Blanco avait montre, était chez lui la conséquence d'une aberration
mentale
, née par auto-suggestion, dans des conditions phy
tout ce qu'il leur affirmait. L'origine et la nature de l'aliénation
mentale
de Blanco, et par conséquent son innocence, ne pu
l'empêchait, non seulement de dormir, mais travaillait même son état
mental
. L'eczéma du cuir chevelu était dû au grattage
e était si suggestible, que mes suggestions, de simples « impressions
mentales
» qu'elles étaient, étaient converties en une aut
oire, en présence d'une habitude automatique si invétérée, que l'état
mental
de celui qui en est atteint doit présenter d'autr
lle, ce qu'il accepta avec empressement. Craignant que l'impression
mentale
fût insuffisante, j'eus l'idée de renforcer la su
es ; enfin des transmissions surnuméraires) celles où telle sensation
mentale
, accessoires au phénomène de la pensée, une sensa
el qu'il est pratiqué habituellement, une étude approfondie de l'état
mental
et des ressources psychologiques du malade. Entre
t. — Rapports de l'idée et de son expression extérieure. — Suggestion
mentale
. — Double personnalité ; 8° Suggestion. — Somna
les influences morales qui modifient non l'état physique, mais l'état
mental
pathologique de l'hystérique. Peu à peu, avec bea
onguement par les aliénistes sous les noms de délire émotif, ver-tige
mental
, obsession, impulsions, phobies, syndromes épisod
une femme de trente-trois ans, d'une famille prédisposée aux troubles
mentaux
(un oncle et une tante du côté paternel sont mort
divers symptômes fondamentaux constituent les signes de la faiblesse
mentales
des stigmates de psychasthénie. Enfin, d'autres
dérive de la première, comme l'idée (1) Pierre Janet. — « Accidents
mentaux
des hystériques » 1894, p. 30, 56. (2) Pierre J
qu'elle est repoussée par le malade qui se rend compte de son trouble
mental
, etc. Mais nous ne pouvons entrer dans ces questi
e, le père et le grand-père étaient (l) Pierre Janet. — « Stigmates
mentaux
des hystériques », 1893, p. 77, 94, 108, HO. iv
ômes que nous présentaient d'ordinaire (1)Pierre Janet.—« Accidents
mentaux
des hystériques », p. 163. les malades obsédées
me. Les stigmates qui caractérisent la suggestibilité et la faiblesse
mentales
sont, chez toutes ces malades, extrêmement import
te étude peut être utile pour préciser la classification des maladies
mentales
. Au lieu de réunir en un seul groupe ces idées fi
s épaules ou lui tenant la main, il est clair que, sauf la suggestion
mentale
qui vient se joindre aux causes du phénomène dans
M. le Dr Auguste Voisin commencera son cours annuel sur les maladies
mentales
et nerveuses le dimanche 9 juin, à 10 heures du m
onsacrées aux applications de l'hypnotisme au traitement des maladies
mentales
. Biographie. — La Médecine moderne du 8 Juin co
ous les mois PSYCHOLOGIE - PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGAI/ê7 MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES Rédacteur en chef : Docteur Edgar
4° L'hypnotisme dans ses rapports avec la pédagogie et l'orthopédie
mentale
, par le Dr Bérillon. • Nous devons encore menti
en général.— Rapporteur: M. Noguès (de Toulouse) ; 2° Pathologie
mentale
: Des états anxieux dans les maladies mentales. —
use) ; 2° Pathologie mentale: Des états anxieux dans les maladies
mentales
. — Rapporteur : M. Lalanne (de Bordeaux); 3° Mé
on intense, parfois une frayeur; on se réveille en sursaut et l'image
mentale
persiste encore subjectivement avec netteté pour
4° Les applications de l'hypnotísme à la pédagogie et à l'orthopédie
mentale
, par le Dr Bérillon. Nous devons encore mention
plaudissements de tous, un travail plein d'érudition sur l'aliénation
mentale
au théâtre, que nous reproduirons dans un de nos
ier, en établissant une heureuse distinction entre le psychique et le
mental
, a montré tout l'intérêt que gagneraient les étud
de la physiologie. Vous cherchiez à démêler l'écheveau des troubles
mentaux
, et ce sont les lois physiologiques de la pensée
gestes, ses jeux, tout vous apporte un renseignement. Par le calcul
mental
, par la chronométrie mécanique, vous mesurez la v
le, la médecine, dont cela a toujours été la destination, la médecine
mentale
, plus que toute autre, a le droit d'être écoutée.
xie sociale? C'est bien à la médecine, en particulier à la médecine
mentale
, à la neurologie et à la psychologie expérimental
y ait une certaine connexion étiologique entre ces vives impressions
mentales
et l'apparition ou la disparition des verrues. La
travail, nous prouvons que Marie Alacoque était atteinte d'aliénation
mentale
et que le Sacré Cœur fut une hallucination. Il
omaine de la médecine et plus spécialement du domaine de l'aliénation
mentale
: les révélations de Marie Alacoque et de plusieur
Marie Alacoque ne sont pas une exception dans l'histoire des maladies
mentales
, ce sont des faits très communs, qu'il est loisib
te et à gauche, se dépense dans une perpétuelle agitation physique et
mentale
. Mais jusqu'alors cette agitation n'est qu'en sur
sionnelle connue sous le nom de trac des acteurs. En résumé, l'état
mental
du malade est essentiellement caractérisé par le
tion des boissons alcooliques, on évite l'apparition des troubles
mentaux
qui accompagnent d'ordinaire la suppression. 5°
ragiques grecs (1); Par le dr e. Régis Chargé du cours des maladies
mentales
à l'Université de Bordeaux. Les grands tragique
(2) J. R. Gasquet. The madmen of the Greck théâtre (The Journal of
mental
Science, april, july, october 1872; january, apri
rétrécissement du champ de la conscience, les troubles de la synthèse
mentale
, le dédoublement de la personnalité sont les caus
dédoublement de la personnalité sont les causes principales de l'état
mental
des hystériques. Au contraire, dans ces dernier
pratique de la psychothérapie, de rencontrer des malades dont l'état
mental
est carac-térisé par une prédisposition à l'hypno
u, il devient également hyper-suggestible. L'hypnotisme, l'inhibition
mentale
, dans l'apparition des phénomènes, précèdent l'in
aquelle il a été soumis a exercé son influence salutaire sur son état
mental
. Nous avons, par un entraînement progressif, trai
faire entendre au sujet une tonalité mélancolique adéquate à son état
mental
et je partage absolument là-dessus l'opinion de P
lète à droite, moins étendue à gauche, lanes-thésie faciale et l'état
mental
, tout cela nous montre qu'il s'agit non pas de lé
OGRAPHIE Influence de l'estomac et du régime alimentaire sur l'état
mental
et les fonctions psychiques, par M. le Dr Lucien
Vlavianos, Spèlios, Anton, Raymond, Damberge, etc., sur le torticolis
mental
, la migraine ophtalmique, l'alcoolisme, l'anthrop
sur le rôle de l'hypnotisme comme moyen de pédagogie et d'orthopédie
mentale
par M. Bérillon. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE
lente incubation, que le tuberculeux présente dos troubles nerveux et
mentaux
. Ce qui m'a le plus frappé à cette période où les
ncée, ils sont extrêmement égoistes. Un malade me traduisait son état
mental
par ces mots : « Je suis anarchiste de la santé d
e ordinaire ; cette différence du milieu influe sur les modifications
mentales
ou nerveuses. M.Jules Voisin. — Dans mon servic
ont d'ordinaire très bon appétit. sinon, on les gave. Quant .à l'état
mental
de ces malades, il faut distinguer ceux qui sont
res religieuses, devenues folles hystériques, basèrent leurs troubles
mentaux
sur la même manière de penser ; elles eurent avec
ues; ce sont des hallucinations de divers sens, c'est de l'aliénation
mentale
. Et de même que sœur Clément est atteinte de fo
psychologie de l'enfant arriéré et la lutte contre la dégénérescence
mentale
par M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètri
uivi ses recherches, s'efforçant surtout » de déterminer la condition
mentale
et la portée des facultés sensorielles » des inse
ence animale, il résume une enquête très approfondie sur les facultés
mentales
des animaux ; dans son second livre, il interprèt
ujours séduit le cœur de l'homme ! C'est par un semblable processus
mental
que le mysticisme aujourd'hui renaissant, plus da
ait susceptible de rendre de grands services à nos malades nerveux ou
mentaux
. Les observations que, les uns elles autres, vous
onales. (1) Pierre Janet. L'automatisme psychologique, 1889. — État
mental
des hystéri-ques; les stigmates mentaux; les acci
me psychologique, 1889. — État mental des hystéri-ques; les stigmates
mentaux
; les accidents mentaux, 1893. (2) De l'automati
— État mental des hystéri-ques; les stigmates mentaux; les accidents
mentaux
, 1893. (2) De l'automatisme psychologique (psyc
taine dissociation entre 0 et le polygone, une sorte de désagrégation
mentale
suspolygonale, qui permette d'étudier à part le f
siologique et en même temps c'est le premier exemple de désagrégation
mentale
, de dissociation fonctionnelle entre les centres
un moi privé des fonctions volontaires ¦ (Cit. Doprat, L'instabilité
mentale
, p. 48). Pour Bergson (Bull, de l'ins-titut psych
nsion dans un cas, de relâchement dans l'autre. Le rêve, c'est la vie
mentale
tout entière, avec la tension, l'effort et le mou
ts montrent déjà que, dans toutes ces questions, il y a désagrégation
mentale
(séparation de 0 et du polygone) mais qu'il y a a
as où elle est loin de suffire. La plupart de nos malades, nerveux ou
mentaux
, sont, lorsqu'on y regarde de près, profondément
uggestions religieuses. Plus cette fraction est petite, plus l'état
mental
du groupe familial se rapproche de la normale. Pl
rapproche de la normale. Plus elle est grande, plus la dégénérescence
mentale
y est prononcée, et plus il faut s'attendre à en
une part l'hérédité, d'autre partie milieu, en l'espèce la suggestion
mentale
, dans la propagation des idées religieuses, et de
. La peur du n° 13 augmentait d'une façon déplorable leurs infirmités
mentales
. 11 n'y a donc plus de salle 13 à l'hôpital de Bi
dans son service, des leçons cliniques sur les maladies nerveuses et
mentales
. Ouvrages repus à la Revue Grasset. — Leçons
t-à-dire dans la suspension d'activité de quelques-unes des fonctions
mentales
, et en particulier de la volonté, peut survenir f
ble, comme la verrue, peut disparaître par simple influence morale ou
mentale
. » Ainsi, M. Gibert, médecin en chef d'un dispe
un individu, de l'état d'hypnotisme et des modifications nerveuses ou
mentales
qui peuvent en résulter, ne sera obtenue que par
aractère qui est touché, c'est un bouleversement complet des facultés
mentales
. Rappelons, pour terminer, que la psychologie d
placés dans un état psychique particulier, dans un état de passivité
mentale
, à leur énumérer toutes les émotions soudaines qu
achèvent de la désemparer et accroissent le déséquilibre de son état
mental
. Impressionnable, exagérée, enthousiaste, roman
4° Les applications de l'hypnotisme à la pédagogie et à l'orthopédie
mentale
, par le Dr Bérillon. Nous devons encore mention
'abord que les établissements consacrés au traitement de l'aliénation
mentale
doivent offrir toutes les garanties nécessaires p
les hystériques. In-18. Vigot, Paris. 2 fr. J. Philippe. — L'image
mentale
(évolution et dissolution). In-12,150 p- Alcan.
constituer l'état de suggestibilité. C'est d'abord la désagrégation
mentale
ou la dissociation suspolygonale, prouvée par ce
t faire contracter volontai- (1) Charcot. Cit. Pierre Janet, Accid.
mentaux
, p. 45. (2) C'est la doctrine de Myers • * Tant
l'hypnotisé. D'ailleurs Duprat déclare (p. 257) « que les fonctions
mentales
du sujet normal ne sont pas, comme celles du suje
semble donc que Binet est l'adversaire déclaré de cette désagrégation
mentale
suspolygonale, qui est pour nous la base de la co
ra et on le guérira très facilement (1). REVUE DES LIVRES L'image
mentale
, par le Dr Jean Philippe (2). Ce livre est une
, par le Dr Jean Philippe (2). Ce livre est une étude de nos images
mentales
considérées non comme des souvenirs ou des invent
ce à l'image, tendent à diminuer pour réduire le nombre de nos images
mentales
des objets de chaque groupe à mesure que l'expéri
., édteur un type déterminé à mesure que se modifie leur ambiance
mentale
.— Chacun de ces chapitre est suivi de quelques-un
l'esprit. On se borne trop, même aujourd'hui, à étudier nos fonctions
mentales
au repos : le philosophe, le médecin, l'éducateur
ie.— Le traitement psychothérapique de l'hys- térie. — L'hystérie
mentale
. — Action complémentaire de !a suggestion hypnoti
e et de la dipsomanie. Lundi 8 juin. — L'hypnotisme et l'orthopédie
mentale
. — Traitement de la kleptomanie, de l'onychophagi
pages. Doin, éditeur, Paris 1903. 4 francs. j. Philippe. — L'image
mentale
[évolution et dissolution}. In-12, 150 p. Alcan,
. 3° Réaliser par des suggestions particulières la représentation
mentale
des conditions dans lesquelles se manifeste le tr
ont reproduit artificiellement l'état anxieux, neutraliser les images
mentales
génératrices de l'anxiété, et arriver à accoutume
emps passés expliqua de même par les démons l'épilepsie, les maladies
mentales
et, à l'occasion, le rêve... » La théorie de la d
ait. Vigoureux, très intelligent, fort bien équilibré au point de vue
mental
, il occupa un poste apprécié dans une de nos gran
un reproche d'avoir souligné les phrases où est mis en relief l'état
mental
de Marie Alacoque ; nous sommes coupable de n'avo
tériques. Dr Bérillon : Le traitement psychologique du bégaiement
mental
et de la timidité. Dr Paul Farez : 1° Incontine
turel chez un enfant de 26 mois. 2° Impuissance génitale, d'origine
mentale
, guérie par la suggestion somnoformique. Dr Fiess
nfluence des fermentations digestives sur le caractère et les états
mentaux
. D-Prosper van Velsen (de Bruxelles) : 1° De la s
Présentation d'un appareil pour l'hypnotisa-tion. D" Doyen : L'état
mental
des opérés. Dr Demonchy : Paralysie vésicale, d
gade La Dardye, p. 367. Estomac et du régime alimentaire sur l'état
mental
et les fonctions psychiques (Influence de l'), pa
rie pur la suggestion hypnotique, par Jules Voisin, p. 209. Image
mentale
(L'), par Jean Philippe, p. 349. Institut psych
NTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES Rédacteur en chef : Docteur Edgar
es physiques qu'elle présente on ne penserait pas à examiner son état
mental
. Dans cet état mental la défectuosité la plus app
résente on ne penserait pas à examiner son état mental. Dans cet état
mental
la défectuosité la plus apparente est une lacune
tre que les spasmes diaphragmatiques sont le résultat d'une opération
mentale
qui consiste à remplacer les perceptions absentes
sommeil nous apparaît caractérisée bien plus par de la désagrégation
mentale
que par un rétrécissement du champ de la conscien
onstitué par un défaut de synthèse men- taie, de la désagrégation
mentale
bien plus que par un rétrécissement du champ de l
déshonneur, à la ruine, au suicide. Je me propose d'étudier l'état
mental
des joueurs en laissant aux médecins le soin de l
systématiquement, à l'écart des études de psychologie ou de médecine
mentale
. Il leur paraissait qu'il y aurait quelques incon
e comprendre. Il nous faut un moment devenir professeur de médecine
mentale
, pour traiter de deux symptômes hystériques, les
cinations chez Bernadette. — On trouvera dans les livres d'aliénation
mentale
beaucoup d'autres faits analogues : ceux relatés
quent, chercher à expliquer un trouble fonctionnel par une altération
mentale
antérieure ce n'est, en définitive, qu'expliquer
ui, comme nous le verrons, ont laissé après eux certaines altérations
mentales
constituant une véritable prédisposition morbide.
me, la caractéristique de son état psychologique est de l'instabilité
mentale
. Ce sont bien là des caractères de déficience psy
ont bien là des caractères de déficience psychique, de dégénérescence
mentale
qui constituent la prédisposition neuropathique.
s ils se trouvent pour les faire vivre d'une vie adéquate à l'énergie
mentale
dont ils disposent. C'est à tous ces prédisposés
poussera plus indistinctement vers le même but des individus à forces
mentales
inégales, lorsqu'on fera à chacun une vie proport
d'un état pathologique, lié très probablement à de la dégénérescence
mentale
. Il eût été intéressant de savoir dans quelles co
hystériques est étudiée et décrite dans tous nos livres d'aliénation
mentale
. Ce qui eût été miracle, c'est que la flamme du c
pendant une assez longue durée, des signes d'un véritable dérangement
mental
. Chez les uns, la frayeur était si intense, qu'il
nous a remis en mémoire, le passage dans lequel Briquet décrit l'état
mental
des petites filles hystériques : « A de très rare
arbues dont .le caractère était irritable ou acariâtre ou dont l'état
mental
présentait quelques dispositions pathologiques. B
utre par ophtalmie sympathique. Cette cécité se compliqua de troubles
mentaux
. « L'ébranlement du cerveau ayant été fort grand,
ffets du surmenage intellectuel producteur de névroses et de troubles
mentaux
. L'Administrateur-Gérant : Ed. BERILLON. ,
rillon, sur les Nouvelles applications de l'hypnotisme à l'orthopédie
mentale
, complété par des projections, a donné lieu à une
tagna. C'était dans son front droit que se conservaient des fonctions
mentales
supérieures dont la richesse formait la plus frap
ical. In-8, 32 p., Vigot, Paris, 0 fr. 50. Dr Lee : L'arriération
mentale
. Contribution à l'étude de la pathologie infantil
; 3° La psychologie appliquée (hypnotisme thérapeutique, orthopédie
mentale
, pédagogie suggestive, etc.); 4" La psychologie
iciles à interpréter tels que : la lecture des pensées, la suggestion
mentale
, les hallucinations télépathiques, la lucidité so
milieu d'une foule en délire, etc. L'effroi, la commotion, l'ictus
mental
ont souvent, dans ces cataclysmes cérébraux une p
ui sont de véritables mouvements automatiques. Ce qui domine l'état
mental
, c'est une extraordinaire suggestibilité ; les mo
iques ; sur ce terrain hystérique, s'est installée une manière d'être
mentale
, caractérisée par l'extrême suggestibilité. Dans
la Salpêtrière, commencera le 14 décembre, un cours sur les maladies
mentales
et nerveuses. Plusieurs leçons y seront consacrée
e des femmes à barbe : lui, a tenu à faire ressortir les dispositions
mentales
et morales de cette personne. On a pu dire de
5. — Présidence du D'Albert Robin. Le trac par asynergie des images
mentales
par M. le Dr Paul Farez Professeur à l'Ecole de P
roxysmes s'accompagnent de désharmonie fonctionnelle, de déséquilibre
mental
, avec angoisse, troubles vasomoteurs ou sécrétoir
r sa pensée ; esclave de ses idées parasites et de ses préoccupations
mentales
, il ën arrive à jouer, devant un auditoire, mal o
en distincte) survient secondairement, elle aussi. non plus à un état
mental
spécial, mais à une asynergie (congénitale ou acq
al, mais à une asynergie (congénitale ou acquise) des diverses images
mentales
. Que faut-il entendre par là? A titre d'exe
es au détriment ou au profit des autres. Cette asynergie des images
mentales
est parfois une raison de supériorité, par exempl
s ou graphiques qu'il a confiées à sa mémoire. L'asynergie des images
mentales
est seule responsable de son trac. III. Un étud
re. Lorsque cette rééducation psychologique aura établi la synergie
mentale
, le trac pourra disparaître de lui-même : Sublata
heures, à partir du lundi 15 janvier. 2° L'hypnotisme et l'orthopédie
mentale
: les timidités. Les jeudis à cinq heures, k part
de M. le Dp Cuylits: a Le travail dans la thérapeutique des maladies
mentales
>, souleva de nombreuses objections. M.leD* Cu
Dr Bérillon sur o L'hypnotisme envisagé comme adjuvant à l'orthopédie
mentale
», qui donna lieu à une discussion assez approfon
leptomane, soigné à l'Institut psycho-physiologique, par l'orthopédie
mentale
, sous forme de suggestion à l'état d'hypnose ; ce
s d'intérêt. La fatigue suggérée est produite par la représentation
mentale
plus ou moins intense de l'effort accompli ou à a
s intense de l'effort accompli ou à accomplir et cette représentation
mentale
fait naître aussitôt l'idée d'impuissance. Elle
ètrière, fait tous les jeudis, à 10 heures, un cours sur les maladies
mentales
et nerveuses. Plusieurs leçons y seront consacrée
paradis Humain, le renouveau de la force et des sèves, L'équilibre
mental
sans lequel l'univers N'est qu'un triste décor et
héréditaire qui, en outre des mouvements choréiques, comporte un état
mental
spécial ; c'est la chorée de Huntington ou démenc
, que la chorée est toujours accompagnée (et même précédée) d'un état
mental
. Or notre jeune fille est une grande suggestive ;
e médecine, a consacré plus de quarante années à l'étude des maladies
mentales
et à l'amélioration du sort des aliénés. Ses amis
idérable qu'occupent les troubles de l'attention parmi les déviations
mentales
des liqueurs. Il a indiqué par sa méthode d'imm
cette psychothérapie inférieure. D'influence nulle sur les maladies
mentales
ou même sur l'élément mental des maladies, elle n
. D'influence nulle sur les maladies mentales ou même sur l'élément
mental
des maladies, elle ne peut avoir aucune action su
t de son engourdissement cérébral, l'hypnotisé ne change pas son état
mental
. II obéit aux mômes incitations qu'un sujet norma
ont appris l'influence des diverses couleurs du prisme sur l'état
mental
elle tonus nerveux. Sans m'étendre sur les effe
ardi de Pâques, la prochaine réunion est remise au lô mai. L'examen
mental
des inculpés M. Chaumié, étant ministre de la J
é aux procureurs généraux la circulaire suivante au sujet de l'examen
mental
des inculpés : « Certains médecins légistes cro
au juge d'apprécier la culpabilité réelle du prévenu d'après son état
mental
au moment de l'action; mais son insuffisance tien
sujets à des impulsions morbides momentanées, ou atteints d'anomalies
mentales
assez marquées pour justifier, à leur égard, une
en psychiatrique et biologique ne révèle point chez lui des anomalies
mentales
ou psychiques de nature à atténuer, dans une cert
es nerveux, détermine de ce fait une atteinte plus grave des facultés
mentales
. Les centres d'arrêt psychiques, l'attention, la
déconcerter et annihiler complètement son initiative el son activité
mentale
. Dans ce fait nous retrouvons encore une analogie
l'on voit apparaître, môme chez les femmes robustes, les stigmates
mentaux
des psychonévroses........... La femme normale
: « Sans doute on retrouve chez l'hystérique les mêmes particularités
mentales
que chez les autres névrosés.... : on peut dire q
(p. 135). « Si utile que puisse être le résultat final, le mécanisme
mental
a été faussé par lu Suggestion et la déterminaiso
ons plus pourquoi ces bonnes suggestions peuvent fausser le mécanisme
mental
et Al. Dubois oublie de dire pourquoi ;3 est obli
ypnotisme qui est un « agent mauvais » — « provoquant le déséquilibre
mental
» et contre les hypnotiseurs « qui sont des succe
e ne veux plus aller à St-Raphaël parce que j'ai peur, n A cet état
mental
(lequel comporte, on vient de le voir, des phénom
ulmane prêche la compassion pour les personnes atteintes d'aliénation
mentale
; elle les décharge de toute obligation et ordonn
ative vient du sujet qui répète cette manifestation et à la contagion
mentale
où l'initiative de la répétition est inconsciente
re. Mais la suggestion, l'imitation et en général tous les phénomènes
mentaux
peuvent être inconscients. On ne peut les disting
t du même coup un premier classement de ces faits. (1) La contagion
mentale
. Bib. iatern. de psych. expér. Paris 1905. Page 2
rde sous le nom d'imitation a réuni non seulement tous les phénomènes
mentaux
, mais encore ceux organiques et cosmiques. Il a p
t de son engourdissement cérébral, l'hypnotisé ne change pas son état
mental
, il obéit aux mêmes incitations qu'un sujet norma
opathologie du goût, de la faim, de la soif ; — psychoses et troubles
mentaux
relatifs à l'alimentation et à la digestion; — ps
leur liberté d'action. Ils ne peuvent être libérés de leur inhibition
mentale
que par ï'éloignement de celui qui les a intimidé
ntie. L'homme qui s'intimide lui-même par l'effet dune représentation
mentale
, témoigne d'une emotivi té véritablement excessiv
s du tout. Cl) Bkrillon : Le traitement psychologique du bégaiement
mental
et de la timidité, Revue de FHypnotisme, 18* anné
oute suggestion, peut suffire à ramener le calme, à équilibrer l'état
mental
. Un vieil adage enseigne que « la nuit porte co
ensation présente: il réalise alors, conformément aux lois de vertige
mental
, ce qui lui est représenté fortement, en l'absenc
insi, elle inhibe le réflexe du vomissement, tout comme en orthopédie
mentale
et morale, elle réfrène les mauvaises habitudes,
soit l'interprétation du trouble psychique, qu'on admette la synthèse
mentale
oscillante de Janet, phénomène en rapport avec un
Liébeault à l'Ecole de psychologie, p. 162, 226, Inculpes (L'examen
mental
des), p. 317 Intelligence chez la chèvre, le chat
ez un éthylique, par Raymond, p. 190. Trac par asynergie des images
mentales
, par Paul Farez, p. 213. « Traqueur », premier pr
nnable, le jeune Mistral donnant des signes évi- dents d'aliénation
mentale
fut, sur la demande de son père, interné pour l
port qui suivit fut le dernier qui ait été rédigé concernant l'état
mental
de l'opulent aliéné. Nous le publions aujourd'h
Légion d'honneur; PIERRrT (A.), professeur de clinique des maladies
mentales
à la faculté de médecine de Lyon, médecin en ch
ésultats de l'enquête à laquelle nous nous sommes livrés sur l'état
mental
actuel du sieur Mistral, pensionnaire à l'asile
à son tuteur ? ' ? Notre enquête a porté successivement sur l'état
mental
actuel de l'interné, les conditions matérielles
oins qu'il reçoit de l'asile privé de Pont- Saint-Côme. § 1. Etat
mental
de Mistral. - Mistral se présente à nous sous l
ion des idées et conservation très incomplète de la mémoire. L'état
mental
actuel n'est que la conséquence d'une longue fo
e. - Maintenant que nous avons étudié d'une façon sommaire l'état
mental
de M. Mistral, décrit son installation, apprécié
doute sur 92 REVUE CRITIQUE. ce fait que dès l'année 1837 l'état
mental
de Mistral était déjà tel que l'incurabilité de
it., p. 87, obs. XVI, 62 ans; obs. XIX, 65 ans. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
I. DES SYMPTOMES DE LA MOTILITÉ DANS LES PSYCHO
n complexus compréhensif autonome. P. IiERAVaL. REVUE DE pathologie
mentale
. 109 II. CONTRIBUTION A l'anatomie pathologique
son graduelle presque complète. Mort subite 110 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. imprévue. Durée totale : quatre ans et demi. N
que les altérations corticales de la périencé- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 111 phalite ne se sont pas étendues de proche
ligé de s'exprimer par des périphrases, 112 C-) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. estropie les mots en les répétant, ne se rappe
emblée, également incompréhensible par -l'omis- REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. '1'13 sion de lettrés. Désordre dans les idées
urru et Burot développent dans leur nouveau livre sur la suggestion
mentale
. Il se sert du texte de leurs observations pour
annexes propres à l'instruction des enfants atteints de débi- lité
mentale
' 1 à Brunswick, Géra, Cologne, Hamhurg, Vienne.
r économie une marche ascendante au double point de vue matériel et
mental
. Ce n'est pas tout; il faut absolument adapter
oncert avec ce dernier, il arrivera à améliorer le sort physique et
mental
des idiots. Discussion. - Quel sera le directeu
t distingués par leur enseignement ou leurs écrits sur les maladies
mentales
, elaient l'objet d'une présentation du comité s
de médecine de Paris chargé de l'enseignement clinique des maladies
mentales
; un directeur du ministère de la justice désign
cal, 14, Rue des Carmes. Bourru (H.) et BunoT (P.). La suggestion
mentale
et l'action à dis- tance des substances toxique
s, le premier stimulus cortical est nécessaire. - La représentation
mentale
d'un escalier à monter est, par exemple, le phé
s associés qui doivent réaliser et objectiver la repré- sentation
mentale
. Pour en revenir maintenant au mécanisme des ph
Leber. Handbuch der hant Kranheil., 1881, t. II. Mickle. Journal of
mental
science, 1884, t. IL EXPLICATION DE LA PLANCHE
l'orifice anormal occupe les deux tiers supérieurs du pénis. Etat
mental
. Affectueux, il dit quelquefois au garçon : « Je
s ri quatre ans, vertiges. - Premier accès à sept ans. - Débilité
mentale
. - Idées mélancoliques après les accès. - Excitat
uns des nombreux faits épars dans le vaste champ de l'aliéna- tion
mentale
, à constituer des espèces pathologiques distincte
, rare pour Kahlbaum dans les autres LA CATATONIE. 2;)V li formes
mentales
. Ce fait seraità opposer à la prédominance de l
mière place Les causes occasionnelles sont celles des autres formes
mentales
; à signaler encore cependant le traumatisme, su
oppement des granulations de Pacchioni. Pour Kahlbaum, les maladies
mentales
en général sont causées par des troubles nutrit
soit dans un état de santé com- plète, soit dans un état de trouble
mental
durant depuis un certain temps et qui, sans dét
fermée; la peau était le plus souvent sèche mais le moindre effort
mental
suffisait à produire une transpiration abondant
r a publié l'observation complète de Chauffât dans « The journal of
mental
science », juillet 1887, p. 267, À case of prol
é pupillaire et un léger embarras de la parole persistent. L'état
mental
et l'état physique se maintiennent encore très sa
ns le cours de la paralysie générale, vu les symptômes d'aliénation
mentale
et son internement dans un asile, à une lésion
éciale du délire chronique suffit à le distinguer des autres formes
mentales
, dont la symptomatologie peut com- prendre égal
s, les altérations du caractère, la déséquilibration et la débilité
mentales
, les névroses hystériformes, le bégaiement, l'a
iétés savantes. l'enfance et ayant présenté au début de l'affection
mentale
des symptômes analogues à ceux de la folie du d
es formes morbides d'ordre si différent, délire chronique, débilité
mentale
, épilepsie ; surtout si l'on pense avec M. Magn
-vingt-sept ans aupara- vant, s'est rendu immortel dans la médecine
mentale
. Ce n'est d'ailleurs pas le premier aliéniste f
. Il arrive très fréquemment, quand on doute de la nature de l'état
mental
d'un prévenu, qu'on cherche à con- naître ses a
eur Oui, monsieur de Gavardie, ses états de service au point de vue
mental
. La magistrature est parfois à ce sujet dans un
de civil ; « 2° Un rapport au procureur de la République sur l'état
mental
de la personne à placer, signé d'un docteur en
reil article. S'il y a un traitement par excellence de l'aliénation
mentale
, c'est je vais vous citer des faits - le traite
qu'il n'y a pas de garantie meilleure, au point de vue des maladies
mentales
, dans les asiles publics que dans les asiles pr
uverez dans les livres quel est le carac- tère général des maladies
mentales
; le caractère, on ne peut pas le définir; il es
i bons que celui-là. Et puis, il y a tant de catégories de maladies
mentales
: il y a le délire de la persécution, le délire
aturels sont rentrés dans le domaine de la pathologie ner- veuse et
mentale
. M. le docteur Ladame (de Genève) a eu l'heu- r
rfection au point de vue humanitaire et économique. (The Journad of
mental
science. London, avril 1887, p. 54.) A. 11.10uL
iques, des individus atteints de paralysie générale ou d'aliénation
mentale
sous une forme quelconque, etc. Et alors cette
a été enfermée pendant quelque temps dans un asile pour aliénation
mentale
. Un oncle maternel mort aliéné, deux scezcrs de
ans paralytique général ; une soeur du père, atteinte d'aliénation
mentale
, s'est suicidée ; un oncle du père est tabétiqu
elle. -Ann. med. psych. 1871, p. 38. . Dagonet. Traité des maladies
mentales
, 187G. " Kroepelin. - Camp, der Psych, Leipzick
catalepsy (Journ. of mcnt, sc" 188 p. 508.) " Sankey. Lectures on
mental
diseases. 2o et). lS81`, p. 208, case XIII. "
rés ci-dessus sont-ils véritable- ment caractéristiques d'une forme
mentale
spéciale ? Consi- dérons-les d'abord en eux-mêm
, fièvre typhoïde) et nous restreignant au domaine de la pathologie
mentale
, nous pou- vons voir que chacun d'eux peut se r
178. 2 Guislain. -Loc. cit. 3 Morel. Traité clinique des maladies
mentales
, 1860, p. 191. 4.\lichéa. - Dict. de Jaccoud. A
els, spasmes, crampes; que l'on rencontre en dehors de l'aliénation
mentale
propre- ment dite, les désordres moteurs eux-mê
des tics, sont aussi fréquents dans les mêmes cas d'affaiblissement
mental
2 avec ou sans coexistence d'un délire qui, lor
. - Dei movimenti sistematizzafl in alcllne' forme diindebolirnento
mentale
. (Arch, ital. per le mal. nerv., sep- tembre 18
de Friedreich. Rio de Janeiro, 1888 (112 cas). REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 439 en arrière, elle ne coexiste pas avec l'im
n de revenir sur ce sujet encore peu connu 2. REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
XII. TABES ACCOMPAGNÉ DE FOLIE SYSTÉMATIQUE ; P
se double (Revue de médecine), 1888, p. 10. 440 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. phalie; oedème chronique diffus); stade conges
lus nettementle complexus symptomatique observé REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 441 et qui ouvre le moins la porte aux fausses
nalytique et critique des observations 442 Gaz) REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. n'en permette encore aucune théorie exacte. Il
'explosion de la maladie mentale, mais il If 14 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. semble qu'il y ait eu simplement coexistence e
ion de la folie peut n'être qu'apparente; c'est REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 445 ainsi que des parents ou des personnes viv
ns complètes persistantes, 9 intermittences 446 REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. de un an à 4 mois, 10 rémissions incomplètes;
une homme âgé de dix-huit ans, s'adOl1nant à la REVUE DE PATHOLOGIE
MENTALE
. 447 masturbation depuis longtemps, et qui se p
il y a une diplopie ' Gancet, mai 1886. 448 sociétés savantes.
mentale
manifeste, tout comme en ophthalmologic on consi-
e pourrais montrer, dit l'auteur, que cela s'applique aux symptômes
mentaux
de maladies sérieuses. Tous les états morbides
symptômes mentaux de maladies sérieuses. Tous les états morbides
mentaux
sont des subdivisions des états mentaux normaux
es. Tous les états morbides mentaux sont des subdivisions des états
mentaux
normaux dans des voies différentes. Par exemple
aux normaux dans des voies différentes. Par exemple, le processus
mental
chez les maniaques de la « mentation » stéréoscop
ortants. - La réminiscence est en réalité placée entre un processus
mental
parfaitement normal et un nettement anormal, ca
ès d'une certaine variété d'épilepsie, comme le font d'autres états
mentaux
(auras intellectuelles). - En conséquence de ce
térise la folie des héréditaires ou dégénérés, c'est surtout l'état
mental
du sujet, les syndromes épisodiques dévelop- pé
ental du sujet, les syndromes épisodiques dévelop- pés sur cet état
mental
et enfin l'évolution, l'allure particulière et
résumons nous voyons d'après l'observation de M. Séglas : Débilité
mentale
, troubles de la parole; ignorance profonde, inv
ique ses difficultés avec la famille, elle offre, en un mot, l'etat
mental
d'une délirante chronique. Dans la deuxième obs
athologique se développe seu- lement chez des sujets dont le niveau
mental
est assez élevé, aussi ne se voit-elle jamais c
cution, puis aux idées ambitieuses et finalo- ment à la dissolution
mentale
; c'est parce que dès le début du délire, nous
au chiffre 3 me paraît devoir être si- gnalé. Son état de débilité
mentale
a été, d'un autre côté, constaté par M. Legrand
More] des délirants persécutés. Morel en 1860 (Traité des maladies
mentales
, p. -103 et suivantes) à propos du délire et de
étrangers à leur délire, il en est d'autres chez lesquels le niveau
mental
a notablement baissé, leur activité cérébrale s
i rapproche ces deux actes de paralytiques, c'est avant tout l'état
mental
, c'est le fond de démence sur lequel reposent t
ion graduelle de la paralysie ; pas d'atrophie; intégrité de la vie
mentale
, de la sensibilité, des fonctions vésico-rectales
par un docteur en médecine au procureur de la République sur l'état
mental
de la personne à placer dans un établissement d
in constate simplement que telle personne est atteinte d'aliénation
mentale
. Le rapport circonstancié devra in- diquer nota
ute personne majeure qui, ayant conscience de son état d'aliénation
mentale
, demande à être placée dans un établissement d'
ls sont surtout excellents pour les malheureux atteints de maladies
mentales
. Et vous empêchez ces voyages... A gauche. Pas
plus complexes et les plus variés de la dégénérescence physique et
mentale
. Malgré cela, les résultats obtenus dans les hô
de ce genre fondé eu Portugal, de même que le cours de pathologie
mentale
et nerveuse, créé il y a deux ans à l'asile d'ali
ique de l'électricité dans les maladies rhu- matismales, nerveuses,
mentales
, etc. Volume iu-8° de 99 pages. Paris, 1887. Ch
Librairie 0. Berthier. SCIIULI (H.). - Traité clinique des maladies
mentales
, 3e éclitioll (1886). Traduite par les docteurs
re in-S° de 38 pages. 1\ew-York, 1886. Journal of ? t6 ? 't)o;M and
mental
diseases. SOARES de Souza. Escudo clinico da at
ivrés à l'onanisme que les idiots et les enfants atteints de débilité
mentale
se mettent à se ronger les ongles. M. Jules Voisi
le. nue occupation néressilanl l'emploi des deux mains interrompait
mentale
des enfants vicieux ou dégénérés. (Comptes rendus
gueur. Les séances suivantes ont été consacrées â modifier son état
mental
, qui s'est prompleinenl amélioré. Il est actuelle
rtes en bas âge. La dégénérescence est plus accentuée au point de vue
mental
qu'au point de vue physique. Elle est grande el d
estion, que cette enfant croit ce qu'elle dit. en un mot que son étal
mental
est anormal. On pourrait I assimiler aux « anim
essé la liste de présentation pour la chaire de clinique des maladies
mentales
, vacante par suite du décès de M. le professeur B
d'hui accepté par l'École de Nancy. J.Delebœuf. Congres de médecine
mentale
. "Session dc La Kochclle. aoùl Mardi Ier août.
salle haute de la Bourse. Des aulo-iiitoxicatioiis dans les maladies
mentales
. — Séance de 2 h. à 6 h. du soir. Des auto-intoxi
ance de 2 h. à 6 h. du soir. Des auto-intoxications dans les maladies
mentales
. A 6 h., visile des tours de La Roehelle. Récepti
ulîquc, de la clairvoyance à travers les corps opaques. de suggestion
mentale
à distance. M. le professeur Poucliet a pensé qu'
la maladie sur son terrain de dégénérescence, héréditaire. Troubles
mentaux
traites avec succes par la suggestion Par M. le
attaques ont continué et elles se compliquèrent de troubles moraux et
mentaux
consistant en aversion pour la mère et la grand m
'expression de tristesse qui trahit la forme lypémaniaque de son état
mental
. L'examen physique ne- montre aucune irrégulari
ences naturelles d'affections du ressort de la pathologie nerveuse ou
mentale
. Quoi qu'il en soit, le nom du docteur Charcot
pensée i deux pôles différents, lorsqu'on esl dans celle indilTéreneo
mentale
de faire plutôt une chose qu'une antre, ainsi, qu
squelles ressemblent aux rêves oubliés d'un court sommeil: le travail
mental
, émotif ou non. qu'on ne saisit pas dans son déve
en voie de formation et de développement, par une représentation
mentale
analogue â celle qui crée les liallucina lions de
ttention, c'est celui qui a rapport a la vivacité des représentations
mentales
, entre autres. Il y a des personnes qui. étant év
u ces résultats au point de vue physique, j'essayai d'agir sur l'état
mental
, ce que je trouvai bien plus dillicile. Quoiqu'el
ne vigueur exceptionnelles, la toux semblait dater d'un grave trouble
mental
survenu trois ans auparavant. Cela avait beaucoup
hystérique. Demande de dommages-intérêts. (The Journal nf Kereons and
Mental
Diseases. 1er janvier 1893. p. 13 ù 27.) BRUGIA
venu à l'esprit de personne de faire examiner M. X... au point de vue
mental
; en admettant qu'un médecin ait été commis, cert
celui-ei. dans lesquels le crime n'est que le symptôme de l'affection
mentale
; on croit punir un coupable ; on frappe nu malad
a justice a frappé un innocent et a puni un premier acte d'aliénation
mentale
, on a vengé la société lorsqu'il fallait seulemen
établissement d'abord et aussi pour éviter les accidents que son état
mental
pourrait occasionner ». Au montent de quitter s
e présence dans la maison de santé, ne donne aucun signe d'aliénation
mentale
: aucune crise de colère ne survient; parfois lors
té condamné à une peine des plus graves. Mais si l'examen de son état
mental
par un médecin allénïstc avait été ordonné, on au
roles que, dans des rêves, l'on m'a adressées, ont été parfois toutes
mentales
et n'ont été entendues par moi qu'avec les oreill
ie. REVUE BIBLIOGRAPHIQUE L'Idiotie, hérédité et dégénérescence
mentale
, psychologie et éducation de l'idiot. par le Dr j
ité morbide en particulier, ainsi que les causes de la dégénérescence
mentale
dont l'Idiotie est le dernier degré. Choisissan
d d'une famille dont aucun membre n'a soufiert de maladie nerveuse ni
mentale
. Il jouît dune santé parfaite. Un jour, entrant d
ents, etc. Mais ce qu'il importe surtout d'examiner, c'est V cl fit
mental
de ces malades. Constamment obsédés par le besoin
. Qu'il s'agisse d'hystérie, d'épilepsie, de neurasthenie.de maladies
mentales
ou de diabète, la proportion d'israélites atteint
des, leur démarche sont typiques. On ne prendra pas non plus l'état
mental
des névropathes errants pour une manifestation de
u l'agent exclusif cl nécessaire de toutes ses activités physiques et
mentales
. Abandonné â lui-même il est absolument privé d
influence souveraîno de l'hypnotiseur diriger l'exercice des facultés
mentales
de son sujet avec une autorité telle qu'il pourra
dans lequel le malade accomplît avec une grande activité physique et
mentale
des actes plus ou moins en désaccord avec son car
s voit l'un comme l'autre développer une somme d'activité physique et
mentale
souvent fort remarquable et agir dans leurs combi
— M. Gilbert Ballet reprendra ses leçons cliniques sur la pathologie
mentale
et nerveuse, â l'hôpital Saint-Antoine, le dimanc
s et A. ChevalieR-LaVaure. — Des Auto-intoxieations dan» les maladies
mentales
(Session de la Rochelle. 1993). — Us rolurac in-4
ouvoir traduire d'une façon physiologique ment intelligible les actes
mentaux
conscients ou inconscients. Je m'étais proposé
d'action, nous ne pouvons rien trouver de plus qu'une représentation
mentale
de l'acte suivie de son accomplissement,— une tra
e positif qui constitue l'accomplissement de l'acte en tant qu'il est
mental
... Ce qui fait voir clairement que la volonté e
... La même volition qui gouverne l'œil du corps peut gouverner l'œil
mental
, parce que l'œil mental n'est encore que l'o-il d
gouverne l'œil du corps peut gouverner l'œil mental, parce que l'œil
mental
n'est encore que l'o-il du corps » (1). — Il est
ois et demi après son entrée, à peu près débarrassée de son affection
mentale
, mais pour redevenir ensuite la proie de crises n
-physiologie. Asile clinique (Sainte-Aune). — Maladies nerveuses et
mentales
. — M. Magnan : Amphithéâtre de l'Admission, les m
iverses psychoses. Asili clinique. — Cours de cliniqur des maladies
mentales
et des maladies de l'encéphale. — M. le professeu
credis : interrogatoire des malades. Un cours élémentaire de médecine
mentale
en quinze leçons sera fait par M. le Dr I'actet,
e Dr I'actet, chef de clinique. Hôpital Saist-Astoise. — Pathologie
mentale
et nerveuse. — M. Gilbert Ballet a repris ses leç
. — M. Gilbert Ballet a repris ses leçons cliniques sur la pathologie
mentale
et nerveuse, à l'hôpital Saint-Antoine, le dimanc
— M. le D' Ricis est chargé, pour l'nonée 1891. du cours des maladies
mentales
près la Faculté de Bordeaux. OUVRAGES REÇUS A
sique (broch. in-4°. 27 pages. Montpellier. 1893). Paul blocq— Etat
mental
dans l'hystérie (broeh. in-8», 30 pages. Paris, 1
de tout ce qui la précède, c'est-à-dire réduite à une représentation
mentale
d'un acte, à une tendance motrice. Que cette repr
e propriété impulsive. Ce n'est pas une simple image, c'est une image
mentale
prédominante, et ce n'est pas seulement une image
conditions, un tel degré d'intensité, qu'ils conGncnt à l'aliénation
mentale
. Malgré leur gravité. M. C... serait cependant
s, il jouit de la plénitude de ses facultés. L'émotivité. le désordre
mental
u'apparaissent que lorsqu'il est expoté â s'avent
ection. Il est difficile de considérer comme un symptôme d'aliénation
mentale
des sensations normales et qui ne sont accompagné
rieur, mais à moins d'avoir une connaissance approfondie des maladies
mentales
nul ne peut être sûr quis dans le récit des faits
s, peuvent faussement témoigner contre eux-mêmes. Lorsque l'affection
mentale
est bien caractérisée, il est on général facile d
ours de certains paroxvsmes psychiques relevant île la dégénérescence
mentale
acquise ou héréditaire. Certains congestifs, cert
d'un acte, d'une volonté, a pour cause l'originalité des combinaisons
mentales
antécédentes à la volonté. M. Ribot a insisté s
la valeur qu'ils ont pu avoir dans l'individu d'après sa constitution
mentale
et les circonstances existantes nu moment donné.
t les circonstances existantes nu moment donné. El celte constitution
mentale
représente à la fois la valeur intellectuelle et
n ou la volonté esl donc l'expression synthétique d'une individualité
mentale
à un certain moment. C'est pourquoi l'on attache
ses volontés dans le déterminisme desquelles sont entrées les images
mentales
qu'il possède selon leurs qualités, leurs associa
, qu'elle constitue un résultat, un effet ultime et non pas une cause
mentale
, l'hysiologiquc-ment cela signifie qu'une volonté
isme et de la suggestion dans le traitement des maladies nerveuses et
mentales
. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE INTERNATIONAL Nous inv
s aflirmer que certains cerveaux fragiles, prédisposés à l'aliénation
mentale
ne puissent recevoir de ces expériences : ino
nes espèces de crimes, ressortissant sans nul conteste » l'aliénation
mentale
, il ne puisse intervenir, comme en d'autre» névro
luencent réciproquement), presque toujours la transmission du trouble
mental
s'effectue d'un sujet à un parent plus ou moins p
sme et de la suggestion dans le traitement tics maladies nerveuses et
mentales
. Facclte de .medecine de Paris — M. Itayiunnd v
de celles que M. Pierre Janet a exprimées dans ses études sur l'état
mental
des hystériques, disait notamment : « En me bas
ique est appelée à rendre dans le traitement de maladies nerveuses et
mentales
. M. Bcncdickt, do Vienne, dont on connaît l'espri
apport étroit qu'il y a entre cet état d'esprit et certaines maladies
mentales
. Il est possible qu'après cette enquête littérair
ns les plus variées et les plus inattendues. C'est donc la pathologie
mentale
qu'il a d'abord interrogée. M. Godfernaux a ens
c de lièvre simple et congénital, monorchidéc, hypoxpadyas. Le calcul
mental
est impossible. Il n'a jamais subi aucune maladie
grès de l'Association française à Besançon, 61. Congrès de médecine
mentale
, 28. Contagion du meurtre (la), par Paul Aubry.
bles du caractère, traités par suggestion, 12, 13, 15. Troubles
mentaux
traités avec succès par la suggestion, par A. Voi
Ste-Anne, avec le certificat d'admission suivant : « Dégénérescence
mentale
avec hallucinations, troubles de la sensibilité g
t, tantôt dans le gauche, au niveau du bras ou de la a main. Etat
mental
. - A cette époque la malade présente des troubles
des troubles psychiques sans grande gravité, exagération d'un état
mental
habituel : loquacité, instabi- lité d'humeur. A
BSERVATION clinique. - Pas d'antécédents héréditaires. Déséquilibre
mental
habituel. A l'âge de 44 ans, début d'une atrophie
rmiques. Notons en passant que cette malade présentait des troubles
mentaux
et que les cas de Dide (12) et celui de Dupré (
la Salpêtrière, p. 347, 1903. 13. DupKÊ. In Traité de pathologie
mentale
de Ballet. r. 14. SICARD et Lwl(3N&L-LAVAST
lorsqu'on appuie sur les paupières. La malade atteinte de débilité
mentale
, et internée dès l'âge de 10 ans, com- prend ce
petit à petit et depuis 1904 s'est complètement généralisée. L'état
mental
de la malade ne permet point de connaître les s
nnent des vomissements bilieux ; le 3le jour, même état corporel et
mental
,et vers lesoir,strabisme droit et coma. Le 35°jou
ee août 1906 avec le diagnostic porté par M. le Dr Dupré : Débilité
mentale
avec arrêt général du développement de l'organism
laires sont forts. La voix est aiguè et en fausset. Au point de vue
mental
, B... est également un enfant aux notions très
s pour faire la part exacte des genèses exotoxiques de l'aliénation
mentale
de ces po- pulations. En Egypte, la culture e
rme galopante sub- fébrile peut s'observer, mais aussi la confusion
mentale
onirique peut passer l'état chronique ; une sys
rend et sa tolé- rance de la dose absorbée. « A mesure que l'état
mental
du malade s'améliore, il est interrogé à nouvea
l'esprit, mais l'usage excessif indique et accroît l'ins- tabilité
mentale
; il tend à affaiblir l'esprit; il peut même condu
la monographie de Kiuus dans ['Encyclopédie de Nothnagel. TROUBLES
MENTAUX
PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR PAR S. WLAD
n (environ 52.000 hommes, y compris les marins) 42 cas d'aliénation
mentale
pou- vant se répartir de la manière suivante :
s entre le 27 janvier et le 13 mai n'a donné que 3 cas d'aliénation
mentale
. Mais quand l'ennemi cerna la forteresse de tou
et l'épuisement du système nerveux atteignit son apogée. TROUBLES
MENTAUX
PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 341 Nos soldats
ed de la colline. Pendant deux semaines il souffrit d'une confusion
mentale
aiguë. Certains aliénés ont pu nous fournir des
tion, elles peuvent se répartir de la manière suivante : TROUBLES
MENTAUX
PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 343 344 WLADYCZ
le saison aidant, 3 d'entre eux, précisément ceux dont la confusion
mentale
(Amentia Mey- nerti) avait pour base le scorbut
absolue au travail. Dans deux cas, nous observâmes une con- fusion
mentale
de courte durée. Un examen découvrit dans tous le
osphère cessa d'être ébranlée par le (1) A. Ozeretskowsky, Troubles
mentaux
causés par la guerre russo-japonaise, pen- dant
née, Journal de médecine militaire (Russe), 1905, livre X. TROUBLES
MENTAUX
PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 345 bruit du ca
(paranoia) ; outre cela, dans deux, des manifestations de confusion
mentale
(dysnoia Korsakowi-amentia Meynerti). Le début
s avons remarquée n'était accompagnée ni de délire, ni de confusion
mentale
. Chez l'un de ces malades nous observâmes des i
rte qu'un résumé sommaire nous donne dans 22 cas sur 38 un TROUBLES
MENTAUX
PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 347 brusque cha
4 ou 5 jours à l'hôpital. Dans un cas nous remarquâmes la confusion
mentale
, dans l'autre un état dépressif fortement accus
les accès partiels de cette maladie. Outre les 37 cas d'aliénation
mentale
cités précédemment rencontrés parmi les soldats
ne l'eut-on dé- sarmé qu'il fut tué par un éclat d'obus. TROUBLES
MENTAUX
PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 349 20 cas. Pen
u canon cessait de retentir. Parmi les sujets atteints de confusion
mentale
(Amentia Meynerti- Dysnoia Korsakowi) les uns n
ocessus psy- chique, parfois, presque jusqu'à l'arrêt de l'activité
mentale
. Plus le mal de mer était violent, plus l'aggra
ence de la pleine mer et du roulis sur certaines formes de maladies
mentales
. Kiff, 1906, p. 144. 352 WLADYCZKO Chez les s
née, sur ce nombre une quarantaine de cas compliqués d'a- liénation
mentale
sont ensuite évacués sur l'asile d'Abbassieh où j
ées et diarrhées, etc.). Nous nous restreindrons aux particularités
mentales
et nerveuses, dont les manifestations sont géné
stituer à eux par une sorte de suppléance en certains cas. L'état
mental
de ces malades se caractérise généralement après
phobie et hyper- thermo-esthésie cutanée douloureuse). La torpeur
mentale
s'accompagne d'amnésie et de spasmes allant jus-
istique.Elle restait immobile, ou presque, présentait une confusion
mentale
à peu près complète, reconnaissant à peine le lie
sez difficile, si la malade avait été moins âgée et si les troubles
mentaux
et sphintériens ayaient été moins accentués. La p
bre 1899 à la suite d'une ordonnance de non-lieu basée sur son état
mental
. Il est le huitième de douze enfants dont un seul
à la boisson, la grand'mère du même côté a versé dans l'aliénation
mentale
. L'instruction et l'éducation de C... sont null
ainsi que Cousin attribue à la tare nerveuse du père (alcoolique et
mental
ensuite), et aux vives émotions consécutives de l
) DEGANELLO, Un caso di porencefalia. Rivista di patologia nervosa et
mentale
, vol. V, rase. 5, p. 193, mai 1900 lExam. Iiist
l'âge de 25 ans, à l'hospice de Bicêtre pour épilepsie et débilité
mentale
; les attaques convulsives, graves et. fréquen-
a Salpêtrière. T. XX. PI. LXXXVIII A B C D E TORTICOLIS
MENTAL
DE BRISSAUD (Sicard et Descomps) A. B. Attitu
DE NEUROLOGIE DE PARIS - (SÉANCE DU 5 DÉCEMBRE 1907.) TORTICOLIS
MENTAL
DE BRISSAUD. INSUCCÈS DU TRAITEMENT CHIRURGICAL
me singulier que M. Brissaud a dé- crit sous le nom de « torticolis
mental
? Le malade, M. B..., âgé de 44 ans, a vu son a
un fait capital, qui permet d'affirmer le diagnostic de torticolis
mental
et qui le différencie des autres tics rotatoire
ventions ni que rage opératoire ». LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS
MENTAL
(HISTOIRE clinique ET thérapeutique). PAR H
que M. Brissaud prononça pour la première fois le nom de torticolis
mental
. On a critiqué cette dénomination, discuté sur
sa longueur même réside, je crois, son intérêt. C'est un torticolis
mental
observé pendant six années, très amélioré d'abord
singulier, qui bientôt s'aggrava. C'était le début d'un torticolis
mental
. Le premier symptôme qui l'ait frappé fut le su
pose fréquemment quand on recherche les prodro- mes d'un torticolis
mental
. Il est certain qu'au commencement la rotation
ert alors une dureté extrême et pré- LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS
MENTAL
465 sente un renflement fusiforme dans son tier
vement de rotation irré- sistible. LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS
MENTAL
467 Dans la rue, les mouvements s'exagèrent enc
fort est nécessaire pour déterminer sa contraction. Au point de vue
mental
, Taurone ne présente aucune anomalie, pas même
mistes. Il connaît presque tout ce qu'on a publié sur le torticolis
mental
. Il a reconnu dans' les descriptions les'signes
rritatif particulier de la substance LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS
MENTAL
469 nerveuse cérébrale. Et il faut bien conveni
examen prolongé n'a pas permis de constater la moindre défectuosité
mentale
, hormis une disposition peut être exagérée à l'in
i, Taurone opère tout autrement : au LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS
MENTAL
471. lieu de contracter volontairement le stern
t devenue souple et blanche, elle est même un peu ridée. ` L'état
mental
est excellent. Le malade poursuit son traitement
ne conserve que difficilement LES PÉIiIPI : '1'IGS D'UN TORTICOLIS
MENTAL
473 la position correcte dans l'immobilité; mai
du trapèze, surtout lorsqu'il fait des mouvements de bras. L'état
mental
de Taurone s'est aussi modifiée ; il est de moins
observations anté- rieures. Enfin, puisqu'il s'agit de torticolis
mental
, n'est-ce pas un récit fait par le patient lui-
ur mon sort et de dissimuler tout le LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS
MENTAL
475 chagrin qu'elle en éprouve. Les victoires q
ce dont les effets seront durables. Le malade atteint de torticolis
mental
a besoin d'être éclairé sur son affection, et n
t souvent ingrat. » Remarques. 1° Les sujets atteints de torticolis
mental
ont ceci de commun avec les tiqueurs qu'ils ne
interventions psychiques est en faveur de l'existence d'un facteur
mental
dans l'affection. 3 février 1903. 1° « Je trave
ne plus à droite comme au début ; en LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS
MENTAL
l ! ·11 même temps qu'elle tourne à gauche elle
tes usuels (repas, écriture, etc.). 1 4° Au cours d'un torticolis
mental
suivi pendant plusieurs mois, il est fréquent d
trop violente pour que je puisse la LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS
MENTAL
47') réfréner ? Ou bien suis-je victime de l'en
peu (le journal, par exemple) en po- LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS
MENTAL
481 sition complètement incorrecte. Faut-il que
, pour me distraire un peu ; je m'é- LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS
MENTAL
483 tais même risqué à prendre la parole et je
us douloureuse que j'ai traversée. LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS
MENTAL
485 . REMARQUES, - Voici un exemple d'une crise
t vers la guérison. Elles sont enfin un reflet très clair de l'état
mental
dé Taurone. 21 juin 1903. -'Vous m'avez deman
de mouvements pendant les exercices. LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS
MENTAL
487 Comme vous le savez, je suis depuis le 22 j
avoir conservé une bonne position, , LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS
MENTAL
489 je m'aperçois souvent en me regardant dans
uemment associés au torticolis ; les LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS
MENTAL
491 uns résultent de compressions laryngées, pa
Voilà exactement un mois que je vous LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS
MENTAL
493 ai envoyé mon précédent bulletin ; je suis
est définitivement constitué, il pa- LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS
MENTAL
495 raît s'être créé un système psycho-moteur (
es à 10 h. 1/2, lecture et écriture. LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS
MENTAL
497 De 10 h. 1/2 ou 10 h. 45 à midi, 26 exercic
pécimen d'écriture. 2 novembre 1903. LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS
MENTAL
499 7° Il en est de même pour la lecture, et j'
° Bon exemple de l'emploi du temps dans le traitement du torticolis
mental
. 3° Dans les crises violentes, les muscles de l
s'exagérant. 5° Il est fréquent d'observer au cours d'un torticolis
mental
, que les meilleures journées succèdent à de moi
prolongée à droite, pour, de retour LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS
MENTAL
501 au centre, trouver l'attitude correcte, et
ège. 5° 11 est souvent impossible de trouver une cause, physique ou
mentale
, aux rechutes. Après tant de tribulations, vo
rendre les mouvements de rééducation restaient vaines; le phénomène
mental
qui avait fait du miroir un auxiliaire précieux
e, puis diminuaient d'intensité. - LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS
MENTAL
503 Vers le commencement de janvier, je pouvais
ntraînant jamais de torticolis », s'observe au déclin du torticolis
mental
. 24 octobre 1904. - 1° La quasi-guérison que je
Il ne faut jamais prédire l'avenir d'un sujet atteint de torticolis
mental
. Si l'on ne peut lui promettre formellement la gu
, souvent plus enfant que ne le com- LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS
MENTAL
507 porterait son âge, manquant surtout d'atten
is aurait été la première manifestation au moins sensible de l'état
mental
que cette affection comporte, et cet état aurait
nvulsifs. Taurone est désormais guéri de son torticolis. Son état
mental
est excellent. Il est, à juste titre, satisfait d
fants. Précaution judicieuse, encore que les exemples de torticolis
mental
héréditaire soient tout à fait exceptionnels.
ni nel nucleo del faciale nell'uomo. Hivista di patologia nervosa e
mentale
, 1904. 16. 110TELaW'SKI. - Zur Lehre vnn Kern d
eo di origine del faciale superiore. Rivista di Patologia nervosa e
mentale
. Vol. XI, 1906, p. 523 28. Nagel (W. A.). - Ueb
t insuffisance diastematique, 238. Descomps et SICARD. Torticolis
mental
de Brissaud. Insuccès du traitement chi- rurg
es Arabes, 353. Meige (Henry). Les péripéties d'un tortico- lis
mental
, 461. Muge (HENRY). Une révolution anatomique
rocéphale épileptique(4 pl.), 423. SICARD et Descomps. Torticolis
mental
de Brissaud. Insuccès du traitement chirur- g
phie mammaire illustré par Horace Vemrt, 41R. Wladyczko. Troubles
mentaux
pendant le sieye d ' Port-Arlhur, 340. ZALPLA
par Horace VPrnet (1 pl.), par L. HAHN et WICIOERSHEBIER), 418.
Mentaux
(troubles) pendant le siège de ('or-l-Artltrrr,
Topographe cet-ebial (3 6g.), parRosso- LINIO, 431. TOI.a. ol"
mental
(les péripéties d'un). Histuire clinique et thé
nique et thérapeutique (3 fig.), par HENHY Meige, 461. Torticolis
mental
de B, issaetd, Irzsrtccès du traitement chirurg
ophiques intenses (RAY- MOND et Lejonne), XLVIII à LI. Torticolis
mental
de Brissaud (Sicard et Descomps), LXXXVIII. T
issant tous mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES Rédacteur en Chef : Docteur Edgar
ée, peut rondre d'importants services dans le traitement des maladies
mentales
et de Taxe cérébro-spinale. Comme l'opium, c'est
ion Bambuteau. à la Salpétrière, une série de leçons sur les maladies
mentales
et nerveuses. Dans la seconde leçon. M- Auguste
p. 226) Rosse. — « Triple personnalité . (The Journal of nervous and
mental
disease, mars 1892.) L'Admimistrateur-Gérant
un simple cas d'hypnotisme. La dissociation des différents processus
mentaux
, dont l'ensemble constitue l'intelligence, aurait
les ouvrages actuels relatif a la localisation du centre de la vision
mentale
, il aurait percuté la région du lobe occipital —e
abilité réflexe du système nerveux, parlant un état de suggestibilité
mentale
plus ou moins intense, allant jusqu'à l'automatis
ès de la suggestion dépend, directement, de l'intensité des processus
mentaux
provoqués ou évoqués, et, indirectement, de l'abs
esprit, a éprouvé, à la suite de visites faites chez P..., un trouble
mental
tel qu'elle a du être internée dans un asile d'al
ues, il était possible d'agir par le seul regard ou par la suggestion
mentale
sur certains sujets; que même de tels procédés, l
omme définitive. Observation VI. — Hystérie, alcoolisme, aliénation
mentale
. Amélioration par l'emploi de l'hypnotisme au moy
s cinq ans, n'avant jamais eu d'enfants. Plusieurs cas d'aliénation
mentale
sont relevés dans sa famille. Plusieurs crises
s de toute suggestion. Ainsi, dans certaines périodes de l'aliénation
mentale
, où l'on ne peut rien tenter pour rétablir l'équi
otrices et rendre aux malades une certaine dose d'énergie physique et
mentale
, par le calme et le repos que leur procurera le s
rtificiel. Quelquefois, comme dans la plupart des cas de pathologie
mentale
, on devra se borner à faire disparaître certains
troubles génitaux, répugnance marquée pour l'acte sexuel, etc. État
mental
avec toutes ses bizarreries. Tous les symptômes
n aussi propre que possible a renseigner sur les caractères de l'état
mental
et physiqne des aliénés et des criminels, et de f
nécessaires à l'étude scientifique des différents types d'aberrations
mentales
ou morales. Parmi les objets de la collection, on
utique qui ne serait pas basée sur l'observation rigoureuse de l'état
mental
du malade, sera vouée a l'impuissance. Ce qui c
té de substituer la cocaïne à la morphine, elle fut prise do troubles
mentaux
assez graves, et surtout d'hallucinations. Elle e
ingt-six ans. vient a ma clinique se plaignant de troubles nerveux et
mentaux
assez graves : hallucinations, cauchemars, idées
é de la démorphinisation n'est nullement en rapport avec les troubles
mentaux
que présentent les malades, ni avec leur état de
indépendamment de l'opinion que nous pouvons en avoir, par suggestion
mentale
immédiate? Est-il sûr que la volonté d'un homme n
le jeudi 26 janvier, à dix heures et demie, une conférence sur l'Etat
mental
et physiologique des morphinomanes et des dypsoma
d'illumination de mes pupilles en vert. Mais, cette fois, un travail
mental
, s'opérant pour ainsi dire instantanément et mach
moi-même dans une prochaine note. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'ÉTAT
MENTAL
CHEZ LES HYSTÉRIQUES DÉNONCIATION DE CRIMES IMA
ie où il me fit demander, à onze heures du soir, pour examiner l'état
mental
de la fillette. Angélina interrogée par moi me
demande de notre rapport, et étant donné que l'appréciation de l'état
mental
exige souvent des examens répétés et une longue o
née ou des organes des sens, nous n'hésiterions pas à ranger cet état
mental
dans celui qui caractérise l'hystérie, mais il no
nous croyons autorisés à conclure : 1° Qu'au point de vue de l'élat
mental
, Angélina, sans pouvoir être rangée d'une façon a
teuse. CONCLUSIONS Nous nous trouvions donc en présence d'un état
mental
tout particulier et de manifestations intellectue
ur elle l'attention publique? M. le Dr Huchard (I) a fait de l'état
mental
des hystériques une étude très complète, et on tr
oubles physiques et confirmée par les seules manifestations de l'état
mental
. Assurément, ce genre d'hystérie est à suivre, et
lheureuses qui ne présentent encore de cette maladie que les troubles
mentaux
. D'un autre (1) Huchard. Archives de neurologie
e est agité par des grimaces incessantes. Le regard est atone. L'état
mental
en tel que les parents croient que leur fille est
passages suivants : « On observe, au Japon, une curieuse affection
mentale
accompagnée d'hallu-cinations internes et de dédo
hérapeutique suggestive et tes applications aux maladies nerveuses et
mentales
, à la chirurgie, à l'obstétrique et à la pédagogi
lbstmordversuchen. (Münch, med. Wochenseh., 6 sept ) — Des troubles
mentaux
coasécutifs aux tentatives de suicide. Schedtler
es d'un tempérament névropaihique excessif et d'une déséquilibrât ion
mentale
de» plus accentuées. Des grossesses nombreuses, d
server toutefois que les bienfaits de l'hypnotisme, dans les maladies
mentales
, sont dus à une action de l'esprit, non sur le co
bles. Toutefois, comme je m'étais déjà occupé avec succès de maladies
mentales
, je voulais bien entreprendre cette nouvelle cure
réalisation de mes prédictions optimistes. Tout en soignant son état
mental
, je régularisai ses fonctions menstruelles que je
re fois, en 1888, et cet état s'était récemment compliqué de troubles
mentaux
graves, consistant en mélancolie, idées délirante
ion et de fonctionnement avaient provoqué â leur suite des phénomènes
mentaux
lypenisniaques. Il est intéressant que la sugge
hérapeutique suggestive et ses applications aux maladies nerveuses et
mentales
, a la chirurgie, à l'obstétrique et a la pédagogi
ns les névropathies dans les alfocllons organiques, dans les maladies
mentales
. Un chapître est consacré à l'action anesthé-siqu
usse a altérer les sensations perçues. C'est une véritable aliénation
mentale
limitée aux perceptions de la sensibilité. C'est
nt commencé à la Salpêtrière leur cours sur les maladies nerveuses et
mentales
, le 21 Janvier, et le continuent le jeudi et le s
uivantes : 1° Pathologie : Des auto-intoxications dans les maladies
mentales
. — Rapporteurs : MM. Régis et Chevalier-Lavaure.
laigne. — Philippe pinet et sen œuvre, au point de vue de la médecine
mentale
. (Un volume in.-8°- de 176 pages. — Imprimeries
ske bogtrykkeri, 1892) Longbois. — Contribution à l'étude de l'état
mental
des hysteriques. (Une brochure in-8° de 25 pages.
ale se manifester deux jours après la délivrance (4). Si les maladies
mentales
sont moins fréquentes chez les animaux, c'est que
ux, 2 vol. in-8, 1839. — Lindsay. Madness In animals. (The Journal of
mental
Science. 1871-1872, p. 181); The Pathology of min
s l'histoire de la criminalité chez les animaux (2), et les épidémies
mentales
se rapportant surtout aux paniques qui se manifes
plus tard chez l'une des deux, remarquable en général par sa débilité
mentale
. La folie (1) Menus, Ueber paralytischen Blodsi
among horses. (The Veterinarian, 1871, t XLIV, 706, 777.) — Lindsay.
Mental
Epidémies among the lower animals. (The Journ. of
) — Lindsay. Mental Epidémies among the lower animals. (The Journ. of
mental
Science, 1871-1872, p. 425.) — Abadié. Panique ch
rinaire de Toulouse, 1887, t. II, p. 496.) (4) Romanes. L'évolution
mentale
chez les animaux, p. 223. communiquée est plus
née dans la région de l'épigastre, affaiblissement général, confusion
mentale
. La malade avait deux fois par jour des accès d
rmation du caractère de l'enfant et même sur le pouvoir de discipline
mentale
de l'adulte, ont presque échoué, vu la complexité
ait, pendant deux ans ( 1875-76), le cours complémentaire de maladies
mentales
, il fut nommé, le 18 avril 1877, à la chaire de p
s mentales, il fut nommé, le 18 avril 1877, à la chaire de pathologie
mentale
et des maladies de l'encéphale, qui venait d'être
e professeur Bail s'est consacré exclusivement à l'élude des maladies
mentales
. 11 a publié de nonbreux travaux de pathologie me
des maladies mentales. 11 a publié de nonbreux travaux de pathologie
mentale
. M. Bail laissera le souvenir d'un professeur élo
à l'Hôpital de la marine, à Brest (service des maladies nerveuses et
mentales
) en juillet 1892, avec la note suivante : Prévenu
la personne de son enfant, envoyé à l'hôpital pour examen de son état
mental
, a eu hier une crise épileptiforme dans te bureau
. E... fut considéré comme un hystérique irresponsable, son affection
mentale
entraînant une obnubilation presque absolue du se
ce cas, de rechercher dans les antécédents héréditaires l'aliénation
mentale
et l'alcoolisme. Nus renseignements, difficiles à
. Il est permis de se demander s'il n'existe pas, chez elle, cet état
mental
particulier que Dufestel a signalé chez les jeune
oute avec délire du toucti't ». (Bulletin de la Societé de médecine
mentale
, de Belgique, 1893.) L'Administrateur-Gérant :
oisses par lesquelles elle a passé en voyant la déchéance physique et
mentale
de sa mère, elle cherchait à reconstituer dans so
M. le D' Charcot : leçons le mardi à 9 h. 1/2 Maladies nerveuses et
mentales
. MM. Joffroy et Jules Voisin : le jeudi et samedi
Voisin : le jeudi et samedi de chaque semaine, à 9 h. 45. Maladies
mentales
. M. Auguste Voisin, le dimanche, à dix heures du
s appréciations plus différentes au point de vue de la responsabilité
mentale
de l'accusé que celle de Valroff, le valet de cha
ce, MM. les Drs Fighiera, Moriez et Planai, avaient rédigé sur l'état
mental
de Valroff un rapport qui trahissait assez nettem
il est permis à on médecin de se faire une opinion précise sur l'état
mental
d'au accusé lorsqu'il a sous les yeux le rapport
ue simule pour cette raison qu'elle est hystérique. C'est dans l'état
mental
, qui résulte de sa maladie et qui eu est une des
u les menaces n'ont pour ainsi dire pas de prise sur celle aberration
mentale
. On peut donc dire, ce qui au premier abord peu
Voisin : le joudi et samedi de chaque semaine, à 9 h. 45. Maladies
mentales
. M. Auguste Voisin, le dimanche, à 10 heures du m
du système nerveux. M. Dejerine, le mercredi, à 10 heures. Maladies
mentales
. M. Charpentier, le mercredi, à 8 h. 1/2. Malad
de la présente année scolaire, d'un cours complémentaire des maladies
mentales
. Faculté de médecine de Paris. — La chaire de c
Faculté de médecine de Paris. — La chaire de clinique de pathologie
mentale
et des maladies de l'encéphale, à la Faculté de m
18, 378. Enseignement de l'hypnotisme à Bru- xelles (l'), 183. État
mental
chez les hystériques, 167. Exercice illégal de là
anter. De- puis il est devenu triste, morose; sauf cela, pas d'état
mental
particulier. On le voit, il y a d'eux états mor
IERE CONSIDÉRATIONS SUR LES ECCHYMOSES SPONTANEES ET SUR L'ÉTAT
MENTAL
DES HYSTÉRIQUES Nous avons eu récemment l'occas
s haute importance et bien propres à jeter un grand jour sur l'état
mental
des hystériques que nous voudrions également él
un développement jusqu'alors inconnu et qu'en ce qui regarde l'état
mental
de l'hystérie masculine, nous aurons il tenir com
faire de l'hystérie J », M. Moëbius a nettement caractérisé l'état
mental
des hystériques, et, en 1889, M. Pierre Janet dan
contribution se bornera uniquement à combler cette lacune. L'état
mental
des hystériques femmes, en dehors des travaux de
xcès, remarquable par son esprit de duplicité, de mensonge, 1. Etat
mental
des héréditaires dégénérés. - Arch. de médecine,
médical, 1888, p. 1126, 11 Il. 3. Des rapports de la dégénérescence
mentale
et de l'hystérie. Th. Paris, 1883. h. Caractère
ntale et de l'hystérie. Th. Paris, 1883. h. Caractère, moeurs, état
mental
des hystériques. - Archives de neurologie, t. 111
t psychique de l'hysté- rique résume à peu près toute la pathologie
mentale
depuis le délire aigu le plus franc jusqu'à la
é il n'en est pas ainsi, et que, comme l'attaque d'hystérie, l'état
mental
hystérique a son déterminisme qui ne ressort pa
UÏËKE. de vésaniques, d'aliénés, d'épileptiques, etc. En pathologie
mentale
, c'est l'arbre héraldique le plus luxuriant qu'
ystérique pourra peut-être plus que tout autre, en dehors de l'état
mental
qui lui est propre, présenter les stigmates psy
est propre, présenter les stigmates psychiques de la dégénérescence
mentale
si bien mis en lumière par M. Magnan et ses élève
uelle inaugurée par les travaux de M. Charcot, ont écrit sur l'état
mental
des hystériques. Hystériques les voleuses dans
olie des antiviv'isectionnistes », autre stigmate de dégénérescence
mentale
, hystériques ces femmes à perversion sexuelle..
ions étiqueter les observations. A nous voir ainsi démembrer l'étal
mental
des hystériques, on pourra peut-être se demande
les stigmates psychiques les plus indéniables de la dégénérescence
mentale
; puis nous avons également soumis à l'ob- serva
prodromes ne sont pas constitutifs, a proprement parler, de l'état
mental
des hystériques, ils appartiennent à l'attaque et
hez les hystériques à attaques, va singulièrement influencer l'état
mental
dans les intervalles des accès. Lorsque l'attaq
a pas moins impressionné le cerveau ; il a modifié à son gré l'état
mental
qui semble d'autant plus bizarre, heurté, que l'h
elle entraîne avec elle, et qui ont une si grande place dans l'état
mental
des hystériques, seraient d'une facile interpré
ainsi dire sans relâche et qui pèsent du plus fort poids sur l'état
mental
de l'hystérique. Nous voulons parler des cauche
de la vie journalière des hystériques et créent chez elles cet état
mental
versatile, inconstant, ou très décidé pendant un
grand, qu'à l'état de veille, ce sont de purs automates ; leur état
mental
est absolument identique à celui des somnambules
omnambule, je parle de faits journaliers qui se passent dans la vie
mentale
de ces esprits faibles. Lucie, en passant dans un
ilà comment, croyons-nons, il faut comprendre dans sa pureté l'état
mental
de l'hystérique, femme ou homme, adulte ou enfant
ons dit, peut se trouver associée à des stigmates de dégénérescence
mentale
. Après ce que nous avons exposé, la question se
: suggestibilité hystérique d'une part, stigmates de dégénérescence
mentale
de l'autre. De plus, il avait bien soin de fair
teur atteN,if pourra parfois, en constatant le changement de l'état
mental
d'un sujet, prédire, ou tout au moins prévoir, la
eurs. Telles sont les réflexions que nous inspire l'étude de l'état
mental
hystérique plus particulièrement peut-être étud
'isolement. A ce propos, il faut bien se garder de confondre l'état
mental
des jeunes hystériques avec celui de ces petits
peut éclore concur- remment avec les stigmates de la dégénérescence
mentale
. Chez eux l'hystérie peut guérir, mais ce qui n
erfs, mais ce qui domine, le fond immuable, c'est la dégénérescence
mentale
. Et pour- tant combien de ces cas ne sont-ils p
s étiquetés purement et simple- ment hystériques 1 - . V L'état
mental
de l'hystérique homme parait au premier abord d
al de l'hystérique homme parait au premier abord différer de l'état
mental
de l'hystérique femme. Il est cependant le même
comme nous l'avons* fait pour la femme, en étudiant d'abord l'état
mental
hystérique de l'homme, pur de tout mélange. Cet
l'état mental hystérique de l'homme, pur de tout mélange. Cet état
mental
existe : il est plus particulièrement l'apanage d
es convulsions. L'allure générale peut être dite efféminée, un étal
mental
commun faisant communs les états phy- siques. C
1. 68 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S \LP);1'RIEItE. dégénérescence
mentale
ne se met pas de la partie, beaucoup plus avare
le tableau tout entier, on y voit se dessiner à chaque ligne l'état
mental
de l'hystérique .homme, avec ses rêves si parti
stigmates, ses attaques, ses paralysies ou ses contractures. L'état
mental
ne se modifie guère, toutefois il s'accentue dans
t toujours du côté qui est le siège de l'hémianesthésiei. Et l'état
mental
de « l'hystéro-neurasthénique » se poursuit ain
, les asiles de nuit et les dépôts de mendicité. » Tel est'l'état
mental
, l'allure générale de l'hystérie masculine si s
'hydrargyrisme, et nous insistons sur ce terme pour dire que l'état
mental
, dans ce que l'on a appelé l'hystérie toxique,
la bonne raison qu'il n'y a pas deux variétés d'hystérie. L'état
mental
dans l'hystérie, ou mieux dans l'hystéro-neurasth
es affirmations dans une bouche aussi autorisée, et étudiant l'état
mental
des hystériques, il nous était absolument inter
rdit de ne pas entrer dans de semblables considérations. Cet état
mental
de l'hystéro-neurasthénie n'est pas absolument sp
ue, on le voit; rien ne se rapporte mieux aussi à la dégénérescence
mentale
dont les stigmates n'épargnent pas plus les hys
72 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ' déré au point de vue
mental
un peu différemment qu'on ne le faisait autrefo
pas en raison directe de son intensité. Aussi l'hystérie et l'état
mental
qu'elle comporte guérissent-ils dans la majorité
lus de même chez l'adulte où les modifications impri- mées à l'état
mental
par la névrose sont le plus souvent a tout jamais
que prend chez l'homme l'asso- ciation de la neurasthénie à l'état
mental
des hystériques. Gilles DE la TOURETTE, Anrie
lbaum, en 187, décrivit le premier une forme nouvelle d'affec- tion
mentale
qu'il désigna du nom de catatonie. Si les auteurs
upart, depuis cette époque, une place dans les traités des maladies
mentales
, on ne la connaît guère en France que depuis l'
e, n'était plus la même, mais rien cependant ne révélait de trouble
mental
. Bientôt, il ne donna plus de ses nouvelles. Il
e assure qu'il n'avait jamais souffert d'aucune maladie nerveuse ou
mentale
. Il était parfaitement sobre et n'avait jamais
e par M. Byrom l3ramwell°- chez deux individus affectés de troubles
mentaux
et le même auteur a observé la combinaison des
oculnr muscles, or ophthalmoplegia externa (Journal of nervous and
mental
diseuses, 1887, Iebruary, p. 65). 192 NOUVELLE
r muscles, or ophlhrilmo- plegia e.4lei-ia (Journal of' nervous and
mental
diseases, 1887, FelJ\'I1.l ? p. 05). 194 NOUVEL
iques (considérations sur les ecchymo- ses spontanées et sur l'état
mental
des - , par Gilles de la Tourette, 49 (Contri-
Facial et abducens (Paralysie du -), 34. Hystérie masculine (État
mental
et facies dans l'-), 8, 9. Mélancolie catalep
REVUE DOCUMENTAIRE ILLUSTRÉE - PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES , ¦-:-; Directeur : Docteur BERI
aine. Les conditions fondamentales de l'hypnotisme. Le consentement
mental
et le consentement organique par M. le Docteur
Bérillox professeur à l'Ecole de psychologie. I. — Le consentement
mental
Braid, dans son livre fameux, publié en 1841, s
plus d'une fois, et de la façon la plus évidente, que le consentement
mental
du sujet est la première des règles auxquelles il
défiance de l'hypnotisme. La facilité avec laquelle le consentement
mental
est accordé est et» rapport avec le développement
est ce qui arrive dans l'idiotie, dans l'imbécilité, dans la débilité
mentale
accentuée, dans les démences confirmées et aussi
I. — Le cossentemext organique Si le fait d'obtenir le consentement
mental
marque un pas vers la réussite de l'expérience d'
tion n'était pas douteuse. On l'observe chez presque tous les débiles
mentaux
et chez tous les aliénés atteints de démence, en
e U raideur permanente observée chez les névropathes, chez les débits
mentaux
, chez Les aliénés fait, depuis plus de quinze ans
oit pas plus fréquemment utilisée dans l'examen clinique des maladies
mentales
ou nerveuses. Notre communication d'aujourd'hui p
e ou chez son sujet, non seulement de la validité de son consentement
mental
, mais aussi de celle de son consentement organiqu
sile. La cure de l'alcoolisme par la suggestion exige le consentement
mental
du sujet. Les entêtés, les orgueilleux, les gens
les dipso-manes. Ceux-ci boivent par périodes ; ce sont des dégénérés
mentaux
. Devenus mélancoliques, déprimés, ils éprouvent l
j'ai laissé aux médecins le soin de décrire les ravages physiques et
mentaux
causés par l'homosexualité. La plume d'un Baudela
rouvent réunis, pour la majeure partie, des militaires ayant une tare
mentale
. Même chose absolument en ce qui concerne les é
'éducation chez les individus aussi avancés en âge et dont la formule
mentale
est déjà établie. Une chose surtout me parait imp
de réforme doit prononcer l'élimination des non-adaptables par tares
mentales
. Discussion D' Paul Joire. — L'hypnotisme éta
urtout arriver à ce que les individus faibles et atteints de débilité
mentale
ne soient pas les victimes de sujets pervertis. S
rises dans les établissements pénitentiaires, pour mettre les débiles
mentaux
à l'abri de pareilles tentatives. La thérapeu
première concerne l'onanisme, car l'onanisme, avec la représentation
mentale
de l'homme, fixe et consolide l'inversion. Par co
d'hiver 1908). rale des êtres humains les porte à éviter l'effort
mental
que nécessite toute application. Pour que l'hom
e nocturne d'urine. N. Onychophagie, tumeurs adénoïdes, arriération
mentale
, et ainsi de-suite. Et il s'agit ici seulement de
meil hypnotique a été suivi de syncope, d'hallucinations, de troubles
mentaux
; d'autres où l'hypnotiseur inexpérimenté ne peut
longévité. Incidemment, il se demandait si et comment les impressions
mentales
peuvent réellement causer la mort. C'est cette qu
ègle, dans les manifestations plus ou moins conscientes de l'activité
mentale
au moment des grands cataclysmes. Ces troubles
personnalité. Ici le mal vient du cerveau ; il confine à l'aliénation
mentale
et sort par suite des limites assignées à cette é
tirent aucun profit par suite de leur instabilité ou de leur débilité
mentale
. Us se trouveront souvent fort bien d'un séjour d
à le détourner sur une autre piste. . Bans son livre sur YEcolution
mentale
citez les animaux. Romanes insiste sur l'intensit
est toujours accompagnée d'une amélioration très marquée dans l'état
mental
. L'instabilité, l'irascibilité dont font preuve
oluptueuses nées d'une impression olfactive produisent une impression
mentale
aussi profonde. (A suivre). Mort par émotion, i
ce qui tue, ce n'est pas, à ce qu'il semble, la simple représentation
mentale
; la suggestion, quelle que soit sa forme, agit i
de phobie ou d'obsessions, pins de troubles de sensibilité, le niveau
mental
s'est relevé et la malade se sent de force à repr
vropathique, chez une scrupuleuse. Et. en effet, ce qui domine l'état
mental
de cette malade est le scrupule. C'est lui qui es
ide. Cette prédisposition névropathique, cet état de dégénérescence
mentale
est bien mis en lumière par l'analyse psychologiq
le début remonte à une vingtaine d'années, ce qui domine dans l'état
mental
de" la malade c'est une aboulie absolue, un senti
us être qu'une charge, qu'un embarras. La caractéristique de son état
mental
, tant dans la période de sa vie où elle était en
et qu'elle en arrive à ne plus aimer sinon à haïr les siens. Cet état
mental
se traduit objectivement au fur et à mesure que s
obie primitive, l'hydrophobie qui a été le premier symptôme d'un état
mental
défectueux et nous dirons alors que c'est là un d
tte idée ou bien si elle n'est elle-même qu'une conséquence d'un état
mental
originairement taré. Revenons k l'examen de notre
e son père. Ce n'est pas là une hallucination mais une représentation
mentale
inconsciente. Et elle pense alors que son père es
et à mesure que diminue la tension psychologique,que baisse le niveau
mental
, plus augmente l'anxiété, l'angoisse, la douleur
la diminution de la tension psychologique, de l'abaissement du niveau
mental
et au point de vue physique de l'excitation qui e
ette voie. Appelé plus tard par la Faculté à la chaire des maladies
mentales
, à l'asile Sainte-Anne, il se montra le digne suc
est en effet difficile de considérer comme un symptôme d'alié' nation
mentale
des sensations qui ne sont que l'exagération path
cation ultérieure de l'hypnose. Impuissance génitale par rumination
mentale
; traitement psychologique et guérison. par ?.
soil*, par désœuvrement et aussi pour faire diversion à sa rumination
mentale
, il demande l'hospitalité à une professionnelle q
e de traumatisme psychique ; elle a été entretenue par une rumination
mentale
incessante ; elle a disparu en même temps que cet
s, je m'appliquerai à combattre chez lui la prédisposition au vertige
mental
. Séance du 15 décembre 1908. — Présidence de M.
que le père Jean présentait à un degré assez accentué la disposition
mentale
propre à certains dégénérés qui les porte à céder
'importance et les causes de la cruninalité ancillaire ; les maladies
mentales
et la responsabilité des sen-antes ; la criminali
té, masochisme, fétichisme, etc...) 2° L'hypnotisme et l'orthopédie
mentale
: Les enfants et les adolescents anormaux : retar
es samedis à cinq heures, à partir du samedi 16 janvier. Pathologie
mentale
appliquée aux religions. Dr Binet—Sàngle, profess
us entier désintéressement. Ses leçons cliniques sur l'aliénation
mentale
, sur les maladies nerveuses et sur l'éducation de
thologique, représentent les formes prodromiques de la dégénérescence
mentale
. « N'écoutez pas les sophistes, écrivait récemmen
te ; c'est sur elles qu'il se guide ; l'ordre de conducteur n'est pas
mental
, il est musculaire ; dès lors notre sujet est non
mais la grande majorité des maladies humaines comprennent un facteur
mental
aussi bien qu'un facteur physique et, par conséqu
i bien être envoyée à Paris ou à Rome qu'à la Côte-d'Azur. La tension
mentale
est soulagée aussitôt que la malade est éloignée
x. En effet, qu'est-ce que la neurasthénie au point de vue purement
mental
, sinon une maladie de la volonté et de la conscie
ications si précises sur l'intégrité des fonctions intellectuelles et
mentales
, que c'est par sa recherche que tout examen doit
ns à l'Ecole de Psychologie, j'ai étudié l'action des représentations
mentales
sur le mouvement, l'influence du geste sur la phy
ves of ethane and methane (ethyl-methylic suggestion), The Journal of
mental
pathology, ÏTew-Yorli, vol. V, u° 2-8, p. 61. — Ï
et Rev. de l'Hypn. sept. 1908, p. 67. — Impotenlia coeundi d'origine
mentale
, guérie par la suggestion éthyl-méthylique, Rer.
on dévouement. A son service de la Salpétrière, consacré aux maladies
mentales
et aux enfants arriérés, l'administration, confia
ilial qu'on diminuera la criminalité et le développement des maladies
mentales
. * Encore une fois : Merci. {Triple sa/re d'a
ne peut être que temporaire, et à la condition que le besoin du repos
mental
ne soit pas très grand. Une seconde preuve rési
ez le Dr Gota, ce psoriasis a suivi toutes les vicissitudes de l'état
mental
, dont, à chaque instant, il fut, en quelque sorte
on génitale. En 1901, à propos de l'influence de l'estomac sur l'état
mental
, je disais que ce n'était qu'à la faveur d'un sys
) : Considérations psychologiques sur la guérison d'nn cas d'anorexie
mentale
. M. QcnîQcr.. directeur de l'établissement médi
atlon de l'attention par la psychothérapie graphique chez les débiles
mentaux
. D1 Jnles Voisin : La déllnquence juvénile et l
es on a ajouté la psycbasténie. terme sous lequel on groupe des états
mentaux
indéfinissables, (aboulies, obsessions, doutes, s
pérées ces modifications des dispositions d'esprit, des tendances
mentales
, des habitudes qui constituent le fonds symptomat
l'étranger, des malades reviennent atteints d'une véritable ankylose
mentale
. Le séjour prolongé au lit qu'on leur a fait subi
e de réforme de la Salpétrière m'ont permis d'étudier au point de vue
mental
un grand nombre d'enfants délinquants ou criminel
parents de celles abandonnées après cet age, que le facteur hérédité
mentale
est le même dans les deux cas : mais, si la propo
être, et je puis ainsi me faire une opinion sur leur état physique et
mental
, sur leur degré de responsabilité, pourrais-je di
.T'ai ainsi noté que snr ces 474 enfanta. 226 présentaient une lésion
mentale
(soit 47,6 0/q), 38 une affection organique impor
tiques avec délire consécutif aux attaques, dont deux cas de débilité
mentale
; 15 cas de débilité mentale ; 17 cas de dégé
ux attaques, dont deux cas de débilité mentale ; 15 cas de débilité
mentale
; 17 cas de dégénérescence mentale avec, dans l
é mentale ; 15 cas de débilité mentale ; 17 cas de dégénérescence
mentale
avec, dans la plupart des cas. débilité et périod
25 indiscipline, soit 32 0/0. On les avait classées au point de vue
mental
de la manière suivante : 35 intelligentes, soit
rendre de bons services. Il est inutile d'insister sur les troubles
mentaux
variés des épileptiques et des hystériques. Ces n
t souvent méconnues, tant au point de vue physique qu'au point de vue
mental
. ? ne faut pas oublier non plus qu'une maladie
faut donc pas seulement lutter contre ces facteurs de dégénérescence
mentale
, la tuberculose. • la syphilis, et surtout l'ai-
st pas comme les autres ».que cet enfant soit examiné au point de vue
mental
, car la constatation d'une anomalie intellectuell
s psgcho-phgsiques éveillés par la détermination d'une représentation
mentale
. Le premier chapitre finit avec l'exposition de
ternelle sur un veau, p. 204. Impuissance génitale par rumination
mentale
, par Paul Farez. p. 204. Inversion sexuelle che
ions pupillaires. Névroses, hystérie, épilepsie, certaines maladies
mentales
aux périodes d'excitation. Des alternatives de
ent pupillaire sont toujours un signe fâcheux au cours des maladies
mentales
. Dans l'accès d'épilepsie, il faut conclure il
s, on peut voir se développer un délire passager ou de la confusion
mentale
: le mode pathogenitptc est ici le même que dans
toute sensation brusque et momentanée d'anéantissement physique et
mental
, sans sensation illusoire de déplacement. DES
e pouvoir être aussi uniquement, psychique, dû Ù la surexcitahilité
mentale
et à la véritable astasie-abasie plus ou moins at
au contraire insomnie, troubles du caractère, l'aligne physique et
mentale
, enfin autres symptômes passagers de « claudicati
rtant sur le labyrinthe; lIitzig veut y voir une origine pure- ment
mentale
, un simple trouble de la conscience du moi, une e
blent être en réalité des vertiges arté- rio-scléreux. Le vertige
mental
de Lasèriuc est une sensation d'angoisse, violent
ifférent du vertige du ma) des mon- tagnes, est un vertige purement
mental
provoqué par la notion du danger il la vue d'un
faiblesse des jambes et troubles de l'équilibre, olJl7lllJillti(Ill
mentale
. Le tabagisme aigu provoque aussi des vertiges
ion systématisée, ou provenir d'une maladie strictement nerveuse ou
mentale
. Les fautes d'hygiène et d'alimentation, l'abus
seulement dans l'insomnie des neurasthéniques, des snr- menés, des
mentaux
en général. I'n.vruye XI : UR01.. 13 [MOUTIER
ossible chez le sourd. On observe dans un grand nombre d'affections
mentales
la bradylalie, la logorrhée, la verbigéraiion,
t de l'aliéna- [MOUTIER] ] 2111 LES TROUBLES DE LA PAROLE. lion
mentale
; beaucoup sont commandés par les hallucinations d
e de simples causes mécaniques, elle peut être liée à des désordres
mentaux
. Liée à des obstacles mécaniques, l'agraphie to
a crampe des écrivains la détermine souvent encore. Les désordres
mentaux
s'opposant il l'acte d'écrire sont de deux ordr
ec leur plein développe- ment dans les diverses formes d'aliénation
mentale
. Nous reviendrons sur l'aphasie dans nn chapitr
s dictée. Les modifications de l'écriture portent dans l'aliénation
mentale
à la fois sur le contenant, c'est-à-dire sur la
ions de mots, les omissions de phrases, de la faiblesse du contrôle
mental
. Ces différents signes de déficit (oubli, autom
ce prééminente. 11 n'existe chez l'aphasique ni délire ni confusion
mentale
au sens des aliénistes; l'intelligence peut être
t, dans la parole spontanée. La lecture il haute voix et la lecture
mentale
sont abolies ou en tout cas fort limitées. Quel
et la jargonaphasie. parole répétée, lecture il haute voix, lecture
mentale
abolies ou très réduites, écriture spontanée, é
ion, de l'émission des mois représente toute la maladie. La lecture
mentale
, l'écriture, l'intelligence sont intactes. De t
un symptôme unique, l'impossibilité ou la difficulté de la lecture
mentale
(le trouble; de la lecture à haute voix étant s
brosse à dents et en saisit l'usage (absence d'agnosie), son étal,
mental
lui permet d'élaborer les raisonne- ments néces
la préparation puis à la réalisation de l'acte (absence de troubles
mentaux
), il peut saisir la brosse et la manier correctem
rodromes, le mode de début, la marche et l'évolution de l'affection
mentale
actuelle. Nous ajouterons. d'ailleurs, qu'il ne
ils ont un affaiblissement intellectuel soit transitoire (confusion
mentale
), soit permanent (démences) ; enfin, il est des m
ent spontanément (manie aiguë, délires hallu- cinatoires, confusion
mentale
délirante, paralysie générale, etc.). 11 faut é
soit, an contraire, qu'on ait méconnu un cas légitime d'aliénation
mentale
et déclaré sain d'esprit un sujet qui pourra êt
udier successivement les manifestations extérieures de l'aliénation
mentale
qui se traduisent dans le langage, la conduite et
du malade. Le mutisme par obnubilation s'observe dans la confusion
mentale
où le groupement des mots pour former des phras
excellent article de M. Séglas publié dans le Traité de pathologie
mentale
de M. Gn.m. : rr BALLET. LES TROUBLES DU LANGAG
ès importante, ils aident bien souvent au diagnostic des affections
mentales
. Certains psychopathes, comme les inventeurs, l
l'asémie des états de dépression, de la mélancolie, de la confusion
mentale
. Certains malades ont de l'asémie volontaire. L
sous le tableau synop- tique donné par Séglas (Traité de pathologie
mentale
de Gilbert Ballet, p. 168). Cette classificatio
qu'on en voi dans la stupidité, la stupeur cérébrale, la confusion
mentale
. Dans ces différents états pseudo-démentiels, q
eur cérébrale. ' 11 faut distinguer aussi la démence de la débilité
mentale
, de l'ioabécil- lité, de l'idiotie qui sont des
es toxiques et infectieux, le délire halluci- natoire, la confusion
mentale
hallucinatoire, dans les délires mystiques, dan
conscience; le malade, qui a conservé la plénitude de ses facultés
mentales
, lutte contre elle, inutilement d'ailleurs le plu
i auto-accusateurs. Les idées d auto-accusation dans la confusion
mentale
il forme déli- mnte sont la résultante de l'aut
s le délire alcoolique aigu, délire hallucina- toire avec confusion
mentale
, les idées d'auto-accusation sont inconstantes,
sécution ont fréquemment l'aspect de la jalousie. Dans la confusion
mentale
les idées de persécution sont peu impor- tantes
ique chronique, elles sont vagues et impré- cises dans la confusion
mentale
délirante. Les idées hypochondriaques. Les idée
de gémissements, de plaintes monotones; elles évoluent sur un état
mental
démentiel. Chez les alcooliques chroniques les
s déterminées par des troubles de la cOEnestMsie. Dans la confusion
mentale
, les idées de négation assez fréquentes. LES ID
à d'éternelles souffrances. Les idées religieuses. « En pathologie
mentale
, le terme d'idées religieuses ou mystiques ne d
(Séglas.) . Les idées religieuses s'observent dans des affections
mentales
très différentes. Certains malades atteints d
es idées érotiques sont observées dans un grand nombre d'affections
mentales
. Elles sont fréquentes dans la phase initiale d
e dans la psychologie des persécuteurs THÉRAPEUTIQUE DES AFFECTIONS
MENTALES
. 247 amoureux qui poursuivent des personnes qui
té ils voient pour la première fois. ' THÉRAPEUTIQUE DES AFFECTIONS
MENTALES
Nous n'avons pas l'intention d'envisager dans t
leurs détails les multiples modalités du traitement des affections
mentales
; notre but est d'indiquer les principales métho
les facteurs les plus importants dans l'étiologie des aftec- tions
mentales
: toutes les mesures qui tendront il diminuer la
s et des psychoses. La thérapeutique proprement dite des affections
mentales
comporte des moyens différents. [G. GUILLAIN]
aiguës, la manie, les délires infectieux et toxiques, la confusion
mentale
; il ne convient pas aux cas de délires systémat
viter la dénutrition qui a une influence mauvaise sur les fonctions
mentales
. Les toxiques comme l'alcool seront proscrits.
hénomènes de congestion encéphalique;. THÉRAPEUTIQUE DES AFFECTIONS
MENTALES
. 249 La douche tiède il ;)2°, ;)1 ? 50° est séd
ATRIQUE. ; . .. Ergotinine : , , , . THÉRAPEUTIQUE DES AFFECTIONS
MENTALES
. 251 252 SÉMIOLOGIE PSYCHIATRIQUE. tique. L'i
d'hallucinations; aux malades qui ter- minent un accès de confusion
mentale
on fera comprendre qu ils ont eu une maladie sé
maladies ne pourront recevoir les personnes atteintes d'aliénation
mentale
, à moins qu'elles ne soient placées dans un loc
ux aliénés, ne pourront recevoir une personne atteinte d'aliénation
mentale
, s'il ne leur est remis : 1° Une demande d'admi
ement d'interdiction. 2° Un certificat du médecin constatait l'état
mental
de la personne à placer, et indiquant les parti
personne désignée dans ce bulletin, -il l'elfel de constater son étal
mental
et d'en faire rapport sur-le-champ, Il pourra a
tre, au moins tous les mois, les chan- gements survenus dans l'état
mental
de chaque malade. Ce registre constatera éga- l
. Néanmoins, si le médecin de rétablissement, est d'avis que l'étal
mental
du malade pourrait compromettre l'ordre; public
et la résidence des personnes qui auront retiré le malade, son état
mental
au moment de sa sortie, et, autant que possible,
communes, ordonneront il l'égard des personnes atteintes d'aliénation
mentale
, toutes les mesures provisoires nécessaires, 1\
s dont le placement aura été volontaire'et dans le cas où leur état
mental
pourrait compromettre l'ordre public ou la sûreté
département ou avec lequel il aura traité. Les aliénés dont l'état
mental
ne compromettrait point l'ordre public ou la sûre
ontaires. L'admission du malade (tout individu atteint d'aliénation
mentale
quelle qu'en soit la l'orme) est demandée par u
le certificat médical. Le certificat médical doit spécifier l'état
mental
, les troubles psychiques de l'aliéné ainsi que
prénoms, état civil, profession, domicile) est atteint d'aliénation
mentale
. Cette aITection, qui remonte environ à se caract
aire à un caractère irritable, rageur, entêté. - . : i° Instabilité
mentale
ou débilité mentale. Elle est' caractérisée par
irritable, rageur, entêté. - . : i° Instabilité mentale ou débilité
mentale
. Elle est' caractérisée par la mobilité physiqu
choI11que peut subir des poussées ultérieures qui aggravent l'état
mental
et peuvent conduire l'enfant à la mort. La po
édents héréditaires une affection .du système nerveux, l'aliénation
mentale
, l'épilepsie, etc. L'alcoolisme, après l'hérédité
sieurs années. Les. crises peuvent se multiplier, et l'a déchéance,
mentale
du sujet s'accentue. - .. Hoffmann (Deutsche Ze
Une autre complication consiste dans la progression de l'aliénation
mentale
qui entraîne les impulsions, les perversions, etc
ébranlée, pour la première fois en 1901, par les recherches expéri-
mentales
de Grùnbaum et Sherrington sur les singes anthrop
En résumé, nous voyons que. jusqua présent, ni la méthode expéri-
mentale
, ni la méthode analoino-cliniepie ne nous permett
is l'exécution de ce mouvement serait précédée de sa représentation
mentale
. La sensation périphérique subjective de la con
les névroses, et se rencontrent dans les psychonevroses : confusion
mentale
, hypocondrie, etc. VII. - TROUBLES DES SENSIBIL
de l'aura sensitive. Enfin, on les observe fréquemment en médecine
mentale
, dans les hallucinations et les illusions, prin
un groupe de sensations subjectives qui sont à la base de notre vie
mentale
: .ce sont les sensations dites internes, partant
névroses ou psychoné- vroses. Mais c'est surtout'dans les maladies
mentales
qu'elles acquièrent, une réelle importance. L
ation de la faim qui est tan- tôt diminuée, tantôt abolie (anorexie
mentale
) ou exaltée (boulimie); de la sensation de soif
des du sens céneslhésique ne se voient guère (lue dans les maladies
mentales
; mais ce sens peut être partiellement troublé d
ie peut agir, car les douleurs d'habitude relèvent de la pathologie
mentale
. Vakinesia n/</c ? Y/, affection décrite par
nal. Les réflexes peuvent être abolis ou diminués dans les maladies
mentales
. Cramer (MÜnchene1' med. 117och., novembre. 189
e diagnostic et le pronostic de ces affections. Dans les maladies
mentales
, la paralysie générale est la seule qui offre d
neux. Le réflexe cutané disparaît également dans certaines maladies
mentales
: mélancolie, catatonie. L'absence des réflex
s'accompagne d une diminution plus ou moins prononcée des facultés
mentales
, avec exagération de l'émotivité : toutes ces m
ON.] 468 HÉMIPLÉGIE. présenter, en outre du gâtisme, des troubles
mentaux
divers, mais on ne peut pas dire que ces troubl
troubles mentaux divers, mais on ne peut pas dire que ces troubles
mentaux
, dans la grande majorité des cas soient sous la
raison, soutenir que l'aphasie doit être rangée parmi les troubles
mentaux
ac- compagnant l'hémiplégie, mais, l'aphasie fa
s malades, chez leurs ascendants ou leurs collatéraux, des troubles
mentaux
, l'idiotie (Duchenne, Langdon-Down, Mobius, Yiz
nedikt, J. Simon, P. Marie et Guinon. West pliai. Vizioli (troubles
mentaux
18 fois sur 50 malades), Borsari, Menut, Pillie
uthrie, Barlow et Batten, Santé de Sanctis, etc. etc., Ces troubles
mentaux
sont surtout fréquents dans la paralysie pseudo
e nou- veaux : cas de myopathies avec troubles psychiques, débilité
mentale
, stig- mates de dégénérescence ont été rapporté
c.... Joffroy a lui-même 'signalé un cas de myopathie avec troubles
mentaux
tardifs et passagers et a insisté sur la nécess
us; beaucoup de ces troubles, et parmi les plus fréquents, débilité
mentale
, anomalies dentaires, thorax en entonnoir, troubl
ence et la préco- cité de troubles sphinctériens, tro- phiques et
mentaux
. La syringomyélie ne s'accompagne pas toujour
système nerveux et musculaire : troubles psychiques, dégénérescence
mentale
; maladies congénitales diverses : myotonie congén
à l'incoordination se joignent toujours des vertiges, des troubles
mentaux
, fréquemment des troubles sensitifs, quelques t
latéralité, et ordinairement accompagnée d'épilepsie ou de troubles
mentaux
graves. L'atrophie Oll.vO-0)t ! o-C('1'Glllll(S
rophie ou sclérose : syndrome pur- ou associé à épilepsie et troubles
mentaux
z Tumeurs : syndrome associé à vertiges, nystag
rax étant en apnée. On a beaucoup discuté pour savoir à quel état
mental
correspon- daient ces larmes ou ce rire : les m
part l'influence dès attitudes- exprimant une passion sur 1 état
mental
de celui qui subit passivement ou même provoque
ines, la paralysie agitattle, la paralysie générale, les mala- dies
mentales
, etc. La plupart des étals chroniques, qu'ils d
aires, de dislocation abdominale ou de simple surmenage physique ou
mental
, s'accompagnent donc d'une dimi- nution de la p
e seulement le muscle, mais se traduire encore par quelque désordre
mental
, par~de l'aboulie principalement. Ajoutons qu'i
s cette affection.. La chorée est souvent accompagnée de troubles
mentaux
, mais il est préférable de faire une descriptio
il est préférable de faire une description complète de ces troubles
mentaux
dans les modalités de la chorée qui y sont le p
oy, Séglas, Breton, que la chorée ne fait que susciter des troubles
mentaux
qui relèvent du tempérament du malade. - . Ce
me dans le cas c.lc l3echtorell' (Réunion scientifique des maladies
mentales
et nerveuses de Saint- Pétersbourg, 1896). Le
s dégénérés. Celte chorée s'observe chez des dégénérés physiques et
mentaux
, les sujets présentent des stigmates physiques
ui caractérise avant tout la chorée chronique, ce sont les troubles
mentaux
; ils ont été étudiés par nombre d'auteurs : Osi
ujets présentent des stigmates avérés de dégénérescence physique ou
mentale
. Quelquefois, on observe chez eux non seulement
Il n'existe aucun trouble des réflexes ni de la sensibilité, l'état
mental
est indemne. Enfin, l'affection, en général, a un
ls. Souvent, ces malades sont des idiots; dès l'enfance ce syndrome
mental
a été lié comme l'athetosc Ü la plegic cérébral
nt répété et fonctionnellement systématisé, conditionné par un état
mental
spécial : c'est un trouble psycho-moteur, les d
s du mouvement qui constitue le tic et les particularités de l'état
mental
du tiqueur. - CARACTÈRES GÉNÉRAUX DES TICS I.
de variété, admise généralement depuis la description du torticolis
mental
par Brissaud, n'entre pas dans le cadre des tic
; mais ce qui domine précisément, comme nous le dirons, dans l'état
mental
du liqueur, c'est l'insuffisance de la volonté.
d'être. Les tics apparaissent d'autant, moins lentement que l'état
mental
est plus atteint, que le déséquilibre psychique
lexe. D'autre part, de nouveaux tics apparaissent, parce que l'état
mental
du sujet le prédispose aux tics, la répétition et
agnostic. La maladie ne va pas sans une atteinte profonde de l'état
mental
, et aux mouvements désordonnés se joignent des
s fréquente que le tic est plus simple et plus récent et que l'état
mental
est moins altéré ou plus susceptible de perfect
lus fâcheux, car ils dénotent généralement le début de la déchéance
mentale
sénile; ceux des vésaniques sont les avant-cour
n psychique sont le meilleur préservatif d'une récidive. II. L'état
mental
du tiqueur. A) Ses caractères. - L'état mental
cidive. II. L'état mental du tiqueur. A) Ses caractères. - L'état
mental
du tiqueur est celui des dégénérés, pris dans le
harmonie et le défaut d'équilibre, non seulement entre les facultés
mentales
, les opérations intellectuelles proprement dites
ut d'équilibre du moral et du caractère ». L'arrêt du développement
mental
qui constitue la dégénérescence peut être globa
papillonnante », éphémère, indice d'un perpétuel état d'instabilité
mentale
(.\'Ieige).' L'insuffisance de la volonté se ma
rendre un caractère obsédant. Chez beaucoup de tiqueurs dont l'état
mental
est plus altéré, surtout au début des vésanies, l
mpulsions. Paris. 1902. 3. Nous devons ajouter, avec que les images
mentales
en général, et les représentations motrices en
une intensité et un éclat réellement morbides ». La représentation
mentale
participe au déséquilibre des facultés et contr
ige et Feindel ont appelé l'attention sur la ressemblance et l'état
mental
des tiqueurs avec celui des enfants : légers, ver
ur développement psychique pourrait être qualifié d' « infantilisme
mental
». Le déséquilibre des facultés mentales peut a
qualifié d' « infantilisme mental ». Le déséquilibre des facultés
mentales
peut aboutir il de véritables syndromes psychiq
s insisté, dans l'analyse tant des réactions motrices que de l'état
mental
du liqueur, sur les nombreuses analogies des tics
nés seu- lement l'un et l'autre sur le même fond de dégénérescence
mentale
; ils peuvent aussi naître l'un de l'autre; c'e
it se plutôt refréné son mouvement ou triomphé du sa représentation
mentale
qu'une nou- velle image se présente il la consc
mportant dans la genèse des tics M. (VASCIIIIJE et Vuiipas. L'image
mentale
, morbide. Revue de médecine, 1 ! 1112.) 1. De.
roubles moteurs que nous avons décrits comme conséquences de l'étal
mental
des tiqueurs : exagération et brusquerie de tous
cOl1Yulsil' ne peut être un tic que s'il est conditionné par l'étal
mental
spécial, dégénéré, déséquilibré, « infantile » de
nés non par l'arrêt, mais par la régression dans le déve- loppement
mental
. Noguès catégorise les tics en trois types : tics
u près analogue enadnietlant des lies psychiques proprement dits ou
mentaux
, tics du psychisme supérieur, et des tics polyg
ou les (roubles musculaires (moteurs ou trophiques) et les troubles
mentaux
qui les accompagnent ne sont que des manifestatio
mplement myopsychies. Pour si capitale que soit la dégénérescence
mentale
dans la définition du tic, elle n'est pas tout,
non, on ! admis une « maladie des tics sans tics », un tic purement
mental
« qui ne se traduit extérieurement par aucun si
é des auteurs précédents, Pitres et Crnchet pensent que. si un état
mental
prédisposant est nécessaire dans la production de
ripital. dans différents cas de tics Ioniques du cou, de torticolis
mentaux
, croit que, dans certains cas au moins, les tic
oit que, dans certains cas au moins, les tics ne sont pas d'origine
mentale
, niais d'origine organique. Pierre ! attire l'a
les habitudes vicieuses de mordillage et de mâchon- nement. Trismus
mental
, décrit par Raymond et P. Jane) : impossi- bili
montrer la gorge, ou simplement pour chanter (Meige). Ce trismus
mental
s'observe chez certains aliénés ; il représente u
rarement isolé (Oppenheim), tic mimique. Torticolis-tic, torticolis
mental
(Brissaud) : rotation de la tète simple ou avec
tc. Selon Babinski, il n'est pas démontré que le torticolis dénomme
mental
par Brissaud soit réellement d'origine psychiqu
sme du cou ayant un aspect clinique identique à celui du torticolis
mental
et dépendant vrai- semblablement d'une affectio
l dont [A. LJBAT Fig, '13, 14, 15 et 16. Deux types de torticolis
mental
avec les a gestes antagonistes n qui les arrête
ffections centrales; une classe à part est formée par le torticolis
mental
, dont le torticolis d'habi- tude est un premier
s ; il peut ou non survenir chez des dégé- nérés, des déséquilibrés
mentaux
; il est particulièrement rebelle à toute espèce
, elle débute dans l'âge adulte, elle est progressive, la déchéance
mentale
évolue en même temps que le déséquilibre moteur
t de la maladie des tics, évoluant sur un terrain de dégénérescence
mentale
. Dans les périodes où les tics prédominent, le
Brissaud l'appliqua régulièrement depuis 1895 aux cas de torticolis
mentaux
d'abord, puis à tous les tics toniques et cloni
s un sens favorable », pratiquer en somme une véritable «orthopédie
mentale
». Les procédés accessoires de psychothérapie, l'
. Brissaud, considérant que la cause du torticolis-tic est purement
mentale
et que la suppression opératoire d'un tic doit êt
moteurs apparaissent nettement comme la consé- quence d'un trouble
mental
, parfois au début d'une vésanie ; dans la plupa
che systématique des stigmates psychiques montre une prédisposition
mentale
analogue, à celle que nous avons décrite chez l
r difficile curabilité, surtout leur déve- loppement sur un terrain
mental
prédisposé, déséquilibré, particulière- ment ém
érl.. 1S ! Ifi. 5. Meige et Frmner,. Les associations du torticolis
mental
. Arch. de médec., 1 ! 10(f. 4. t'rnOEs. Journal
sionnelles ont sans doute une cause organique et non pas uniquement
mentale
et dynamique. Certaines crampes débutent assez
ces d'une dégénérescence physique dont la crampe serait un stigmate
mental
(dans le cas de. Brissaud, Haillon et Meige, l'
té au niveau des ré- gions adipeuses. En revanche, les troubles
mentaux
dépressifs et l'asthénie nerveuse sont de règ
ion ou d'une crise d'épilepsie. On la ren- contre dans l'aliénation
mentale
, le tabès, les tumeurs cérébrales, du côté mala
ales et médullaires, dans presque toutes les formes de l'aliénation
mentale
, chez les idiots, qu'elle soit ou non précédée
ionnent une sonnerie électrique. Ellfin on agira surtout sur l'état
mental
du sujet, en lui démontrant la bénignité de son
RIEURES. 987 î intermittences. Il est sous le coup direct de l'état
mental
du malade. Ce spasme psychopathique ne reste pa
constipation rebelle. Troubles de le défécation révélant un état
mental
. Le diagnostic est simple dans tous ces cas. Pa
divers; ces traitements seront en effet bien différents selon l'état
mental
. Dans tout traitement, il existe, en effet, tro
âtisme. Le gâtisme est le plus souvent épisodique dans la confusion
mentale
et dans les délires. Il lient il des causes div
res, et la persistance, à un rifle donné, d'un syndrome physique et
mental
plus jeune, caractéristique de l'enfant ou de l
aut d'ouverture de l'angle du cartilage thyroïde. Au point de vue
mental
, ces êtres sont plutôt des minus habens, Leurs
drons par « stigmates de dégénérescence » les signes phy- siques ou
mentaux
, le plus souvent héréditaires et 1'éve1'sifs, par
iviserons en stigmates anatomiques, obstétricaux, physiologiques et
mentaux
, et suivrons, pour l'exposé des signes anato- m
Epilepsie, incontinence d'urine. Tremblement héréditaire. Stigmates
mentaux
. Les décrire tous dépasserait, et de beau- coup
verses. Certains troublés per- mettent de prévoir ce qu'est le fond
mental
de l'individu : ce sont ces anomalies et non le
s se placent les tics, les obses- sions, les manies, les impulsions
mentales
. Chez certains, l'instinct même de la personnal
sexuels, inversions sexuelles. Le tatouage lui-même traduit un état
mental
tout particulier chez celui qui subit volontairem
, Marie et Levaditi). Liquide céphalo-rachidien dans les maladies
mentales
. Les études faites sur ce point ont été négativ
x qui paraissent les plus recommandables. Torticolis. Le torticolis
mental
est également souvent rebelle aux divers traite
iniéningo- coccique. Les états d'agitation observés en pathologie
mentale
, les accès d'excita- tion maniaque sont favorab
ltats généraux, 1129. Tabès. Paralysie générale, 1152. Ma- ladies
mentales
. Zona, '1.155 ? Hémor- ragies du névraxe, l -15
r·agique, 1020. sy- philitique, 1026. Daltonisme, 118. Débilité
mentale
, 269. ' Défécation. Troubles révélant un état
Débilité mentale, 269. ' Défécation. Troubles révélant un état
mental
, 998. Défense (Idées de -) chez les aliénés,
s, traitement, 195. - essentielle des veillards, 195. Instabilité
mentale
, 269. Intelligence. Examen dans l'aphasie, 21
ensuration du tronc et des membres. 10 i v. - de la taille, 1075.
Mentales
(Thérapeutique des affections - ). 1'o ? Aliéné
ou- bles de la motilité, du langage, de la sensibilité, 110` ? .-
mentaux
, 1105. - de la syphilis acquise, 1105. - cu-
nt chirurgical, 898. - Traitement électrique, 1559. Tiqueur (Etat
mental
du -). ). Déséquilibre mental, 881. - Insuffisa
t électrique, 1559. Tiqueur (Etat mental du -). ). Déséquilibre
mental
, 881. - Insuffisance de la vo- lonté, 882. - Em
es affections des nerfs, 550. -- dans l'hystérie, 555. Torticolis
mental
,- 888. - Traitement électrique, 15 ! 40. Toux
le réunit les mémoires originaux relatifs aux maladies nerveuses ou
mentales
, ainsi que les travaux ayant trait aux affections
SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE IDES MALADIES
MENTALES
A. FOURN1ER PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALA
U CERVELET, PAR Edmond CORNU Interne à la Clinique des maladies
mentales
de la Faculté de Lyon. Le cas dont nous rapport
M. le Dr Devic (1), à l'Hôpital de la Croix-Rousse ; ses trou- bles
mentaux
ont nécessité son internement à l'Asile, de Bron,
Bron où elle est admise dans le service de la Clinique des Maladies
mentales
. Son certificat d'entrée porte : « Paralysie gé
é entièrement faits par M. le Dr Taty, chef des travaux de médecine
mentale
à la Faculté, qui a bien voulu nous rédiger cet
n consi- dère que toutes les tumeurs peuvent entraîner des troubles
mentaux
sura- joutés, dus, soit à une compression génér
isent l'opinion émise par Phelps à savoir que l'absence de troubles
mentaux
dans les cas de tumeur cérébrale indique que l'
linique totale et non plus seule- ment la ressemblance des troubles
mentaux
est à rapprocher de l'opinion émise par Gianell
lectualité spontanée et de l'activité volontaire (2) : ces troubles
mentaux
se retrouvent au complet chez notre malade et rep
e la Salpêtrière, 1901, p. 119. (3) G. Ballet, Traité de pathologie
mentale
, p. 1162. (4) Précis d'anat. pathol., p. 35.
cidées par la recher- che clinique, nous observons que les maladies
mentales
présentent dans la majorité des cas le fait sui
u définitive. C'est tout le contraire dans la majorité des maladies
mentales
. Dans celles-ci, quel que soit le désordre fond
que se fonde une des plus saillantes caractéristiques des maladies
mentales
, et une des plus singulières parti- cularités q
u'on ne peut obtenir que par le travail physique et la sug- gestion
mentale
. La loi biologique de la finalité des actes hum
ue des psychoses au moyen du travail musculaire et de la suggestion
mentale
. Qu'on me passe le premier mot. Nous pouvons pr
ste possède le maximum d'action théra- peutique ; ici la suggestion
mentale
trouve sa plus précise indication; mais elle ne
RGOTHÉRAPIE ET PSYCHOTHÉRAPIE 141< psychique est vain. La lésion
mentale
est inguérissable; mais elle permet à la vie so
par collapsus, traumatismes, infections, l'amentia sont des formes
mentales
qui se développent souvent accompagnées de fièv
ous expliquer à souhait l'emploi de l'ergothérapie dans cette forme
mentale
. Je crois seulement pouvoir affirmer que, excep
epté les méthodes peu recommandables de l'hypnotisme, la suggestion
mentale
, tout étant la première indiquée, ne peut agir ef
ait admettre l'existence autonome d'un hôpi- tal pour- les maladies
mentales
capable de recueillir tous les cas aigus et rep
s, savoir d'intervention médi- camenteuse directe dans les maladies
mentales
, l'ergothérapie et la psy- chothérapie, savoir
ement de l'intelligence par la rééducation au tra- vail physique et
mental
jouent un rôle prépondérant et fondamental. Elles
lus possible à atteindre d'une façon spontanée à cause de la lésion
mentale
. Il doit être provoqué par l'aliéniste grâce à
la rééducation au travail {ergothérapie) ou grcïce à la suggestion
mentale
{psychothérapie) dès que l'application de ces mét
est ne possède pas seulement l'habitus extérieur, mais aussi l'état
mental
. Cet homme de 40 ans fait preuve dans ses disco
trouve poussés à l'extrême tous les caractères de l'illfrllltilisme
mental
. 172 BRISSAUD ET MEIGE En faisant encore tout
tait devenu indifférent. Son frère avait les symptômes physiques et
mentaux
du myxoedeme, ainsi que la quantité de sucre da
ase of wmsual edema in hemiplegia, dans le Jour- nal of nerrous and
mental
diseuses (1898). Il s'agissait d'une femme de 4
rles Lewis) de Washington rapporta dans le Journal orner- 1'OUS and
mental
diseases (1899) un cas sous le titre suivant : ed
émiplégie. Gombaut a rapporté dans les Archives de médecine expéri-
mentale
(1892) un cas de paralysie alterne du côté droit
le 29 mai suivant, améliorée, mais présentant encore une dépression
mentale
assez grande. 2e Admission, le 12 novembre 1902
père par menaces et violence. Certificat immédiat. - Dégénérescence
mentale
avec dépression mélanco- lique, hallucinations
à l'asile de Ville-Evrard ; jaloux, persécuté, atteint de troubles
mentaux
ayant nécessité l'internement, ce buveur est actu
x symptômes, la coloration spéciale du visage et les particularités
mentales
signalées, on ne s'étonnera pas de l'absence de
Van Gehuchten. Flemming, (1 Luoano, Rivista di patologia nervosa e
mentale
(vol. V, VI, VII, VIII). ' 236 THOMAS ET HAUSER
cit., p. 85. (8) JAMES HEl'i'DRlE Lloyd, The journal ofnervous and
mental
Disease, 1900, t. XXVII, n* 2, p. 92. llGIIA'
En 1890, Considérations sur les ecchymoses spontanées et sur l'état
mental
des hystériques. Contrihution Ú l'élude des bâi
cation de ceux qui sont affligés de divers stades d'un même trouble
mental
, les données mentionnées plus haut acquièrent d
iques, typiques de ces productions, aux modifications de l'activité
mentale
que l'on observe chez leurs auteurs, on constate
savons le rôle actuel de l'écriture dans le diagnostic des maladies
mentales
. Une écriture bizarre, l'omission de syllabes,
malade fut affectée d'un certain stade de déséquilibre, d'instabilité
mentale
et fut rendue à la liberté après sa guérison, l
s variées viennent, généralement augmenter le trouble de l'activité
mentale
en donnant comme ré- sultat un kaléidoscope big
its sur ces pages et qui sont dus à la main de malades, dont l'état
mental
vient d'être ébauché, confirment on ne peut mieux
ca. Les caractères fondamentaux, typiques de cette forme de trouble
mental
viennent d'être indiqués : délire de la persécu
anoïques et les autres chr-oniques..tombés dans un état de débilité
mentale
une foule bigarrée de ce que l'on appelle les p
ôpitaux modèles de nos jours. Dans les classifications des maladies
mentales
, cette foule hétérogène est unifiée en un seul te
imbécillité secondaire de différentes formes pri- maires de trouble
mental
. Nous reproduisons ici l'ouvrage d'une malade att
dant une longue série d'années la diminution générale de l'activité
mentale
ayant graduellement progressé, la malade présente
ssé, la malade présente actuelle- ment un degré profond de débilité
mentale
consécutive. Elle est très-apathique, peu activ
stique en tant que la production d'une malade frap- pée de débilité
mentale
, vu que le trait fondamental de l'imbécillité con
d'ouvrages tant soit peu marquants dus à d'autres formes de trouble
mental
telles que la mélancolie, la paralysie progressiv
ulsifs chez un troisième, le torticolis enfin, peut-être torticolis
mental
- voilà de la bonne clinique en image. S'agit-i
avait constaté que les prétendus prophètes éprouvaient des troubles
mentaux
particuliers, qu'il n'hésitait pas à rapporter à
. ' Les auteurs chrétiens ont insisté longuement sur l'étrange état
mental
des adorateurs de Bacchus. ' « Les Bacchanale
ertains phénomènes qu'on observe au cours d'affections nerveuses et
mentales
. Les uns, comme Calmeil, les ont décri- tes com
i la composent, pris isolément, soit atteint de maladie nerveuse ou
mentale
. De même qu'il existe des lois biologiques applic
e et à la forme décrite par M. Bris- saud sous le nom de torlicolis
mental
. La bilatéralité du spasme est déjà une rareté,
nité. Alors s'est produit un fait qui prouve bien la dégénérescence
mentale
de ce malade. Il a obstinément refusé de quitte
s, de phosphènes, parfois d'hallucinations visuelles ou de troubles
mentaux
. La deuxième période dure un temps le plus souven
UE DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 375 des hallucinations et des troubles
mentaux
, l'aspect ophtalmoscopique de la papille. La di
te-Marne). 17e ANNÉE N° 6 NOVEMBRE-DÉCEMBRE CLINIQUE DES MALADIES
MENTALES
{ASILE DE SAIN1E-AN};E) . DES TROUBLES DELA
ES GÉNÉRAUX (1) A. JOFFROY Professeur de la Clinique des Maladies
Mentales
. Messieurs, Il y a plus de dix ans, je consac
fit, et d'autre part, le contenu de l'écriture, c'est-à-dire l'état
mental
extériorisé par l'écriture, assurément une signif
vent diffi- cile de faire la part du trouble physique et du trouble
mental
, parce que très souvent le trouble physique tra
araly- tiques généraux entre les troubles physiques et les troubles
mentaux
. Ces perturbations physiques de la parole que n
pendre de troubles moteurs ; elles peuvent dépendre aussi de l'état
mental
du sujet. Si celui-ci présente de l'excitation il
ail d'idéation, elle n'en comporte pas moins une série d'opérations
mentales
nécessitant un travail d'attention et de mémoire
x ans en traitement à l'asile, elle présentait un état de confusion
mentale
extrême avec hallucinations terrifiantes. Est s
après elle de troubles cérébraux persistants. Les premiers troubles
mentaux
apparus deux mois 'environ avant son internemen
insisté avec raison sur son caractère douloureux. 30 juin. L'état
mental
est sans modifications. Le pseudo-oedème est plus
cine légale. Ils se traduisent par une dysharmonie morphologique ou
mentale
, par des anomalies physiques ou psychiques, qui
ce chez l'homme sont, les unes pathologiques (maladies nerveuses et
mentales
; intoxications diverses, alcoolisme, syphilis,
spèce humaine, f 857 ; - Magnan, Leçons cliniques, sur les maladies
mentales
, 1882-1891 ; Magnan et LEGRAIN, Les dégénérés,
ye, 1895 ; - Jules Voisin, L'idiotie : hérédité et dé, générescence
mentale
, psychologie et éducation de l'idiot, 1893. 472
riptive adoptée par cet auteur dans sa « Séméiologie des affections
mentales
» (3). Cet emprunt paraîtra d'autant plus justi
onsidérée comme le premier essai d'une « séméiologie des affections
mentales
du cheval », et qu'elle complétera le remarquable
ogie). Il y a lieu d'envi- (1) J. SÉGLAS, in Séméiol. désaffections
mentales
de G. BALLET, ? . 104 et suiv. ; L. MAYET, Les
chez les aliénés et les idiots »i Leçons cliniques sur les maladies
mentales
et nerveuses. Salpètr. 4S8 i-94, recueillies et p
15. (2) Féré et Séglas, Rev. Antliropol. ,4586.- J. Sscnc.s, Leçons
mentales
et nerveuses, XXII" leçon, p. 110, et in G. Bal
7. (3) Schwalbe, Arch. de Neurologie, 1890, p. b6 in Séglas, Leçons
mentales
et ner- veuses, p. 713. (4) ALDEIIT Lévy et F
us les cas, le trouble moteur comme lié indissolublement au trouble
mental
. Il existe d'autres troubles des fonctions motr
(op. cil., p. 51), sur les rapports des tics avec la dégénérescence
mentale
, et en indiquant que les tics aérophagiques peu
1), état psychique artifi- ciel provoqué par des actes d'inhibition
mentale
. 1. LEs troubles DE la mimique, ou troubles psy
individuelle » (Séglas), en rapport avec une affection nerveuse ou
mentale
coexistante, tics ouépilepsie. Sans nous arrête
rés, déséquilibrés, héréditaires, soient prédisposés aux affections
mentales
, mais nous affir- mons,et l'avenir établira que
que à qui elle apporte des faits nouveaux de pathologie nerveuse et
mentale
de l'animal et la zoo- technie à laquelle elle
SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES
MENTALES
A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALA
le. Autant qu'il est permis de l'affirmer avec ce sujet dont l'état
mental
est évidemment un peu obtus, la perception se fai
d'après laquelle celle-ci résulterait d'une : < synthèse chimique
mentale
». Comme je l'ai dit ailleurs, on peut étudier la
souvent au lit. Après ses crises, la malade présentait des troubles
mentaux
graves : elle était violente et menaçait de tuer
a parole articulée. La malade s'exprime facilement. Au point de vue
mental
, B... est une débile ; elle sait son âge mais ne
int de vue physique, la malade présente un degré marqué de débilité
mentale
; elle n'a jamais eu d'idées délirantes. Malgré l
F. W. Edridge-Green, L'évolution du sens des couleurs, The journal of
mental
science, octobre 1901. (2) VIALET, Les centre
sque exclusivement visuelle (Nodet) (2). De plus, la représentation
mentale
de l'espace nécessite le rappel d'images visuel
s, août 1895, p. 190. (2) DANA. Obs. I in the Journ. of nervous and
mental
diseas, nov. 1893, p. 125. (3) Dallemagne. Obs.
du côté de son père, ni de celui de sa mère il n'y eut de maladies
mentales
ni de maladies nerveuses ; aucun parent ne pré-
ela nos remerciements les plus sincères.) Dans l'examen de l'état
mental
de notre sujet nous nous sommes tou- jours souv
a corpulence. Malgré cela, nous avons trouvé chez lui des anomalies
mentales
très accentuées ; il est notablement arriéré. L
gard des femmes et surtout des enfants confirment ses défectuosités
mentales
. Au fond, on ne peut parler de vie mentale chez
rment ses défectuosités mentales. Au fond, on ne peut parler de vie
mentale
chez notre sujet; il est vrai qu'il possède des c
qu'on peut décidément le qualifier de géant ; d'autre part, l'état
mental
, n'ayant pas évolué parallèlement à ce développem
qui l'accompagnent et, quand il s'agit des névroses, suivant l'état
mental
qui y est joint, un même symptôme peut apparten
rs elle dé- termine des phénomènes d'angoisse; elle peut être aussi
mentale
et, dans certains cas, donner naissance à de la
mentale et, dans certains cas, donner naissance à de la rumination
mentale
; enfin cette agitation peut aussi prendre la f
s souvent, elles se systématisent plus ou moins : il y a des manies
mentales
au lieu de la rumination diffuse, des phobies s
la source des agi- tations. Plus on connaîtra avec précision l'état
mental
psychasthénique, plus on pourra diriger utileme
ni de troubles de l'accommodation, ni de troubles pupillaires. Etat
mental
: L... est intelligent, il a même des aptitudes s
ionnelles et les tics chez des sujets atteints du même déséquilibre
mental
. » (1) Il n'en importe pas moins d'établir entr
n'est constitué que par la réunion, au trouble moteur, d'un trouble
mental
lié, lui-même, à des imperfections psychiques o
t l'irritabilité augmente avec l'âge ; il présente lui-même un état
mental
particulier, il est émotif, impatient, colère ;
le point de départ de tics du membre supérieur droit. Le torticolis
mental
reconnaît parfois ce mode de début ; il arrive mê
que. Vivant constamment dans de semblables préoccupations, son état
mental
est loin d'être satisfaisant; non pas que, à 22
rison, et on observe aussitôt une transformation complète de l'état
mental
entraînant des modifications très heureuses du
fait que le pronostic d'un tic est lié d'une façon absolue à l'état
mental
du liqueur ? TIC TONIQUE DU MEMBRE SUPÉRIEUR DH
lectrique ; il présente une attitude analogue à celle du torticolis
mental
ou du trismus mental. Le trouble moteur « se ma
te une attitude analogue à celle du torticolis mental ou du trismus
mental
. Le trouble moteur « se manifeste par l'immobil
e à ses exercices journaliers, et chez lui par une mère dont l'état
mental
est ab- solument sain, puisque les tares psycho
vant tout, elle est in- différente, apathique, au physique comme au
mental
. Elle a horreur de tout exercice, de tout effor
E FORME RARE D'HÉ11MÉLIE RADIALE 1NTEKCALAIRE 239 robuste. Son état
mental
n'indique aucune disposition cérébrale anormale o
é d'une façon tont à fait normale, aussi bien du côté somatique que
mental
, le nommé M. A ? âgé de 48 ans, a été, jusqu'à qu
, avec une tentative de sodomie et une symptomatologie de confusion
mentale
absolue. La constitution physique de notre pati
e ? Il y a des auteurs qui nient absolument l'existence de troubles
mentaux
non paralytiques dans le tabès; cependant Topin
t pour- tant vrai que dans le tabes peuvent exister des altérations
mentales
non paralytiques (cela est prouvé par les obser
lique. (Denv et Le Play.) Figure extraite du Traite de Pathologie
mentale
(Dom, éditeur). Masson, et C[e, Éditeurs. NOU
le n'existait pas lorsqu'il a été obligé, en raison de ses troubles
mentaux
, de placer sa femme à l'asile Ste-Anne. Ce re
LVI porte l'indication de trophoedème dans le Traité de Pathologie
mentale
de Gilbert Ballet, p. 1242. Doine, éditeur. 2
ulose. Parmi les consanguins, il n'y a pas de maladies nerveuses et
mentales
. r Le malade jouissait toujours d'une bonne san
ics, crampe des écrivains, impulsions à la marche, ré- criminations
mentales
, comme les angoisses elles-mêmes, n'étaient que d
Apathy. Sulla fibrille nervose ultraterminale (Rev. di pat. nerv. e
mentale
, 1900). Sachs. Ilow doas the neurone theory aff
le repos au lit tout à fait au début de l'évolution de l'affection
mentale
, atténue et peut même faire disparaître le symp
même peut rétrocéder.(V.1'I. LXVI,Gg.4921. Les variations de l'état
mental
semblent exercer une réelle influence sur le ps
nt, j'ai vu les modifications importantes se produisant dans l'état
mental
, avoir un retentissement sur le pseudo-oedème.
de rendre le diagnostic plus clair. Etudions d'abord les troubles
mentaux
. L'idiotie myxædérnateuse ne nous arrêtera pas
'il en soit, pour rester dans le domaine du classique, un caractère
mental
doit être considéré comme fondamental du myxoed
us nous sommes attaché à établir une distinction nette entre l'état
mental
du myxoedémaleux et celui du catatonique, c'est q
tonique, il semble que l'infiltration soit intimement liée à l'état
mental
, pouvant se mo- 'dlfr,elsae : lûi', étant même
de 14 ans. (.Lf. Dide ) LE PSEUDO-OEDÈME CATATONIQUE 361 l'état
mental
n'avait subi aucune modification dans deux cas et
c est simple puisque dans le pseudo-oedème catatonique les troubles
mentaux
sont primitifs et très spéciaux ; que l'oedème pe
me famille peuvent être atteints de cette affection. Les troubles
mentaux
n'avaient point été signalés à l'origine et peuve
ribuer une valeur diagnostique quelconque à l'existence de troubles
mentaux
qui souvent manquent et qui, quand ils existent
a rapide revue symptomatique que nous allons tenter. Les troubles
mentaux
sont très fréquents mais non constants cependant;
c'est souvent de l'affaiblissement intellec- tuel ou une affection
mentale
par involution sénile (4). Des recherches (1) L
cas examinés dans ce sens, nous fixerait sur la nature des troubles
mentaux
, la plupart des observations présentant de nota
n cérébrale- On voit donc que d'après cette conception les troubles
mentaux
seraient primordiaux. Les altérations thyroïdie
un certain degré d'affaiblissement ou tout au moins de déséquilibre
mental
. Pour la première fois, à notre connaissance ,
de l'ours, et qui offrent de réelles analogies avec ceux de l'état
mental
des tiqueurs hu- mains. Mais, avant d'aller p
d'ITppolorie, t. I, p. 241 et 413. (2) G. Ballet, Traité de Pathol.
mentale
, Paris, O. Doin, 1903. - In Psychose constituti
rticle Psychoses ; G. Bal- let, p. 1152 et suiv.- Traité de Pathol.
mentale
Gilbert-Ballet, Article Sémeiologie des affecti
Pathol. mentale Gilbert-Ballet, Article Sémeiologie des affections
mentales
de J. 56 : atas, p. 14 et suiv. et Article Psycho
ui ne va jamais à la recherche d'une sensation particulière. Etat
mental
. - Intelligence moyenne; instruction primaire élé
typie. Le malade ne présente pas les signes d'un grand déséquilibre
mental
: mais il a des habitudes motrices vicieuses :
ant un temps assez long de boissons fortes; très souvent ce trouble
mental
se manifeste dans la dipsomanie; presque toujours
cette question il faut avoir en vue ce qui suit : bien des maladies
mentales
, d'origine alcoolique, qui sont provoquées exclus
». A.-F. Erlitzky (3) dans ses « Leçons cliniques sur les maladies
mentales
», sans examiner le délire alcoolique continu à
cipalement auditives, comme seul reliquat de la maladie. Le trouble
mental
, décrit il y a peu de temps par le professeur W
u (en russe). (3) A.-F. ERLITZKY, Leçons cliniques sur les maladies
mentales
, Saint-Pétersbourg, 1896 (en russe). (4) W.-M
à la paranoïa alcoolique, d'autre part, est peu défini. Le trouble
mental
, noté en 1847 par Marcé (1), et qui s'observe p
ansitoires et ceux où l'on pouvait remarquer ou supposer un trouble
mental
d'un autre genre, étaient éliminés. En déterminan
L'alcoolisme, 1874. (2) CLOUSTON, Leçons cliniques sur les maladies
mentales
, Traduction russe. Saint- Pétersbourg, 1885.
alcoolique se renconlre dans 0,69 p. 100 de lous les cas de trouble
mental
; c'esl donc comparativement une maladie rare.
alcoolique continu, par rapport au nombre total des cas de trouble
mental
, sera chez les hommes 0,96 p. 100 et chez les f
cation clinique de la contraction idio-musculaire dans les maladies
mentales
, notent que dans lous les cas de délire alcoo-
cation clinique de la contraction idio-musculaire dans les maladies
mentales
, Journal (russe) clinique, 1901, no 5. LE MAI
SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES
MENTALES
A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALA
rolifératives de la cellule nerveuse (Rivista di Pathologia nerv. e
mentale
, oct. 1896). DES CELLULES NERVEUSES DE LA MOELL
ie pathologique. Nous verrons en quoi il se rapproche du torticolis
mental
dé Brissaud et peut-éti'e serons-nous amenés à
s scienc. nxéd. Paris, 1885, p. 1C32. Il) 13oar.na. Du torticolis
mental
. Thèse de Paris, 189'f, n° 2.'il, p. 10. (3) Ja
vu que leur volonté soit momentanément assez puissante. Ici, l'état
mental
a toujours une large participation. » Ici encor
une action inhibitrice, ne prouve nullement la nature corticale et
mentale
du tic. Brissaud cite ensuite ce remarquable pa
ables. Mais cela ne prouve pas que tous les tics sont psychiques et
mentaux
par ce seul fait qu'ils sont coordonné» et que
verne dans une certaine mesure. Il y a des tics psychiques vraiment
mentaux
, c'est-à-dire des cas dans lesquels la volonté
une fois de plus, cela ne prouve nullement que tous les tics sont '
mentaux
pour cette seule raison qu'ils sont coordonnés et
canard décapité, etc. On conçoit dont un premier groupe de tics non
mentaux
c'est-à-dire de tics reproduisant des mouvement
intelli- gente, et de n'être pas libre et consciente, de n'être pas
mentale
: toute la mentalité est en 0. Psychisme n'es
oute la mentalité est en 0. Psychisme n'est donc plus synonyme de
mental
: le mental ou psychisme supérieur « son centre
ntalité est en 0. Psychisme n'est donc plus synonyme de mental : le
mental
ou psychisme supérieur « son centre en 0, C aut
tion, que je me refuse à classer dé- finitivement dans les maladies
mentales
les maladies comme l'hystérie dont beaucoup de
nifestations élevées sont purement polygonales : l'hystérie devient
mentale
dans certains cas ; elle ne l'est pas dans certai
rdonnés, psychiques..., ils ont tous les carac- tères du torticolis
mental
de Brissaud ; mais ils ne sont pas mentaux. Ils
arac- tères du torticolis mental de Brissaud ; mais ils ne sont pas
mentaux
. Ils appartiennent au psychisme inférieur, poly
ire, car il présente tous les caractères que Brissaud décrit au tic
mental
, c'est-à-dire qu'il a des carac- tères de psych
mètre. Donc, notre homme a bien un tic que Brissaud qualifierait de
mental
. Je préfère l'appeler polygonal : je n'y vois p
de départ du tic. Avec notre distinction du tic polygonal et du tic
mental
nous évitons les objections comme celles que de
uervain (I), assistant du professeur Kocher, a faites au torticolis
mental
: « Jamais, dit-il, elà aucun moment de sa mala
e, un seul de nos patients n'a présenté de symptômes d'alié- nation
mentale
. » Brissaud (2) répond justement. « personne n'a
. « personne n'a sou- tenu, à notre connaissance, que le torticolis
mental
appartint en propre il (1) DF Qtjt;nvA)x. Le tr
405. , (2) Bwssntt. Contre le traitement chirurgical du torticolis
mental
in Rev. neurol., f 897, p. 34. TIC DU COLPORT
vrai. Mais on comprend qu'on ait pu faire la confusion avec ce mot
mental
qui est le même pour caractériser ce torticolis e
r ce torticolis et l'a- liénation. · Ceux qui ont un tic vraiment
mental
ne sont certes pas des aliénés, mais ils ont un
la volonté, du psychisme supérieur, de 0 ; ils ont quelque chose de
mental
. Nos polygo- naux n'ont que du polygonal et n'o
de mental. Nos polygo- naux n'ont que du polygonal et n'ont rien de
mental
. Donc, le tic de notre malade n'est ni bulbo-mé
e mental. Donc, le tic de notre malade n'est ni bulbo-médullaire ni
mental
; il est polygonal, tout en présentant les cara
mental ; il est polygonal, tout en présentant les caractères du tic
mental
de Brissaud. Dès lors, dans le tic mental de Br
ant les caractères du tic mental de Brissaud. Dès lors, dans le tic
mental
de Brissaud, il faut établir une subclirisionet m
assez importante. C'est la question du rôle de l'idée, du processus
mental
vrai dans la pathogénie des accidents névrosiqu
le rôle constant et exagéré que l'on veut faire jouer au processus
mental
vrai dans la production de l'hystéro- traumatis
t avec Rauzier nous avons tâché d'établir que l'hystérie ne devient
mentale
que quand elle se complique, que dans la grande
e inférieur, que l'hystérie est souvent une maladie polygonale, non
mentale
. Vous voyez aujourd'hui comment nous retrouvons
relle à propos du tic de notre sujet. Brissaud veut en faire un tic
mental
, (1) Leçons de cliniq. médit, 1" série, 1891 :
nomène psychique, mais de psychisme inférieur, que c'est un tic non
mental
, mais polygonal. Ceci dit pour excuser les dé
tic : le tic bulbomédullaire (spasme réflexe), le tic psychique (ou
mental
vrai) et le tic polygonal (faux tic mental). Beau
e), le tic psychique (ou mental vrai) et le tic polygonal (faux tic
mental
). Beaucoup de cas étudiés par Brissaud sous le
al). Beaucoup de cas étudiés par Brissaud sous le nom de torticolis
mental
me paraissent t rentrer dans ce dernier groupe
ire et arrive à l'écorce. Là, il rencontre la théorie du torticolis
mental
de Brissaud, la combat. Notons certains argumen
orce cérébrale qui ne peuvent être rangés danslaclasse des maladies
mentales
? » Il écarte donc le mot mental, mais fait du
rangés danslaclasse des maladies mentales ? » Il écarte donc le mot
mental
, mais fait du torticolis spasmodique « un trouble
nôtre : ce centre cortical de la rota- tion qui n'est pas un centre
mental
est notre centre polygonal. Abordant ensuite la
r (2) : « Le nom d'Infantilisme sert à désigner un état physique et
mental
(1) IlE : 'i11\Y iNIEI(3r. L'iiifantilisrne, le
e aux in- fantiles. C'est l'infantilisme pur et simple. « Un état
mental
infantile accompagne toujours la malformation cor
A clinical study of infantile hémiplegia (The journ. of nervus. of
mental
diseases, january, 1897). (2) P. Marie. Article
elirium tremens. On ne relève ni affection nerveuse, ni affec- tion
mentale
parmi les autres membres de la famille. Antécéd
mmes au contraire. on observe quelquefois, au cours d'une affection
mentale
, un développement considérable des poils sur la
, n° 8. Hé- miplégie gauche spasmodique d'ancienne date ( ? ). Etat
mental
. Ankylose de l'articulation scapulo-humérale. A
rescence, qu'il des- cend d'une famille de nerveux, qu'il a un état
mental
tout particulier, on reconnaîtra que sa rnacrod
t la famille né- vropathique. LE TRAITEMENT MÉDICAL DU TORTICOLIS
MENTAL
PAR E. FEINDEL. Parmi les tics, ces maladie
r de la névrose à laquelle M. Brissaud a donné le nom de Torticolis
mental
. Le symptôme unique est le torticolis, un torti
tic, pour se produire, n'exige LE TRAITEMENT MÉDICAL DU TORTICOLIS
MENTAL
405 pas l'intervention d'un centre nerveux anat
e cause déprimante : telles sont les caractéristiques du torticolis
mental
décrit par M. Brissaud (1). (1) Le présent trav
u'il présente tous les caractères que Brissaud décrit au torticolis
mental
, c'est-à-dire qu'il a des caractères de « psych
homme,ajoute M.Grasset, a bien un tic que Brissaud qualifierait de
mental
. Je préfère l'appeler polygonal. » Les motifs de
son malade est sous-cortical et psychique, mais non pas cortical et
mental
. Car « ce qui caractérise l'activité polygonale,
e, intelligente et de n'être pas libre et consciente, de n'être pas
mentale
... psychisme n'est donc plus synonyme de men- t
ons, pour notre part à appeler 'LE TRAITEMENT MÉDICAL DU TORTICOLIS
MENTAL
407 Nous ne croyons pas utile de nous appesanti
nom des muscles qui participent au tic. Le pronostic du torticolis
mental
a été considéré comme assez sombre ; et, en eff
Grasset, torticolis psychique, ce que M. Brissaud appelle torticolis
mental
; et nous sommes à peu près sûr que M. Brissaud
assez importante. C'est la question du rôle de l'idée, du processus
mental
vrai dans la pathogénie des accidents névrosiques
M. Grasset ne rend-elle pas évident ce rôle pathogénique du processus
mental
? Je ne résiste pas à la satisfaction de reprod
: « Beaucoup de cas étudiés par Brissaud sous le nom de torticolis
mental
me paraissent rentrer dans ce dernier groupe de
aud a bien voulu nous confier quatre malades atteints de torticolis
mental
, et sur ses indi- cations et sous sa direction,
tir, avant que le spasme devienne imminent. TROIS CAS DE TORTICOLIS
MENTAL
LE TRAITEMENT MÉDICAL DU TORTICOLIS MENTAL 409
TROIS CAS DE TORTICOLIS MENTAL LE TRAITEMENT MÉDICAL DU TORTICOLIS
MENTAL
409 Nous conseillons à la malade de faire l'apr
rable à l'occasion duquel il réalisa un beau spécimen de torticolis
mental
(Pl. XLVI, 2). Le torticolis ne datait que de q
îna des discussions et des chi- LE TRAITEMENT MÉDICAL DU TORTICOLIS
MENTAL
4H canes de famille ; notre homme en fut très a
rs les détails de son histoire. LE TRAITEMENT MÉDICAL DU TORTICOLIS
MENTAL
413 CONCLUSIONS Pour en revenir à la méthode
Meige (Salpêtrière, 1893-1894), p. SI4. F. Bompaire, Du torticolis
mental
. Thèse de Paris, 1894. E. BRISSAUD et H. MEME,
ris, 1894. E. BRISSAUD et H. MEME, Trois nouveaux cas de torticolis
mental
. Revue neurologique, 1895, p. 697. E. Bwssnun
, p. 697. E. Bwssnun;Conlre le traitement chirurgical du torticolis
mental
. Revue neu- rologique, 1897, p. 34. Grasset,
nnel), par le professeur Grasset (3 phototypies), 218. Torticolis
mental
(son traitement médi- cal), par FEINDEL (1 plan
ins, 4 4 phototypies et 1 photogravure), 263. Feindel. Torticolis
mental
(1 planche), 404. FÉRÉ (CH.). Note sur l'asym
oliose dorsale primitive, II. Tic du colporteur, XXVI. Torticolis
mental
(3 cas), XLVI. Tumeur cérébrale, sarcome de la
isme de mars, avril, mai et Juin 1903. (2) Cit. de Janet. Accidents
mentaux
. quels il n'exerce pas de contrôle : par des
suggestion pendant le sommeil naturel dans le traitement des maladies
mentales
, Paris, Maloine, 46 pages- — Technique, indicatio
d. 31 octobre 1900. — Suggestion during natural sleep, The Journal of
mental
Pathology- New-York, June 1901 et Revue de VHypn.
supérieur fléchit et ne leur donne plus la chasse. Si le sujet est un
mental
, un obsédé, tout particulièrement, — si, d'autre
é des hommes qui s'arrogent le droit d'apprécier et de définir l'état
mental
des autres, se désintéressent de tout ce qui de p
z Professeur a l'Ecole de psychologie. En thérapeutique nerveuse ou
mentale
, de nombreux cas paraissent justiciables du trait
nt, même en dépit du malade. Elle convient donc tout spécialement aux
mentaux
et aux aliénés qui refusent de se laisser suggest
cas. C'est donc, pour ainsi dire, malgré eux, qu'on modifie leur état
mental
, en agissant sur leur subconscient. Pendant cet
l'une quelconque des multiples indications de l'orthopédie morale ou
mentale
. III. — Quant à l'hyponarcose ou narcose sublim
e, elle convient à cette légion d'individus frappés de dégénérescence
mentale
, douteurs, scrupuleux, inquiets, angoissés, aboul
c antérieur; d'autres fois, elle résulte uniquement de préoccupations
mentales
. Au moment de l'acte, tel dégénéré s'observe,
ci, s'il ne devrait point s'y prendre comme cela... et cette activité
mentale
obsédante inhibe la fonction génitale. Cette impu
omphe de ce trouble fonctionnel. De toute manière, si les dégénérés
mentaux
dont il a été question plus haut ne sont pas comp
onger à l'internement, il est naturel que l'on fasse constater l'état
mental
du malade par un eminent spécialiste et si le mal
usieurs reprises; il avait jadis donné des signes de déséquilibration
mentale
. N'empêche que pareil exemple est fait pour donne
interdit, de peur de conduire au dérangement cérébral, à l'aliénation
mentale
1! Mystère et Kabbale, disent-ils presque ! Aberr
rie légère, à un degré relatif, nous avons facilement constaté l'état
mental
particulier —, l'hystérie étant, d'une façon abso
çon absolue, une maladie psychique —- justiciable d'une thérapeutique
mentale
dirigée contre des idées mal formulées, souvent s
e ? Qu'allons-nous faire ? Rien que de très simple. Cette faiblesse
mentale
est le plus souvent, d'ailleurs, le seul stigmate
me d'apparence souvent robuste et vigoureuse, bien que d'un équilibre
mental
insuffisant, il ira droit au but. Son action, tou
ême de leur état psychique essentiellement constitué par la faiblesse
mentale
et l'aboulie, sont exposés à toutes les misères m
de la Salpètrière. Communications inscrites : Dr Doyen : L'état
mental
des opérés. Dr Pau de Saint-Martin: Présentatio
ertaines maladies physiques que pour celles des maladies nerveuses et
mentales
, pour le redressement des fonctions que pour l'or
ogie de l'entraînement dans la course en flexion. Dr Doyen : L'état
mental
des opérés. M. Edouard Crûs : Rapport entre la
ent aux professeurs l'obligation de soumettre les enfants à un labeur
mental
excessif. La préoccupation de meubler le cerveau
tendu liseur de pensées sur le point où il s'agit d'exécuter un ordre
mental
, le client suggestionné préparera, par sa conduit
r et annihile la volonté. Le traitement psychologique du bégaiement
mental
et de la timidité Par M. le Dr Bémllox, Médecin
qu'ils étaient extrêmement faciles à intimider. L'examen de l'état
mental
des bègues revêt aussi d'intéressantes particular
un mot, on peut dire que les deux manifestations dominantes de l'état
mental
des bègues sont l'émotivité excessive et l'abouli
t dire de beaucoup d'entre eux qu'ils présentent l'état d'infériorité
mentale
désigné sous le nom de puérilisme. Leur caractère
ut bégaiement verbal n'est donc que l'extériorisation d'un bégaiement
mental
. Les hésitations, les défectuosités et balbutieme
plus d'assurance. Il est évident qu'il se produit dans son évolution
mentale
comme une sorte de maturation, dont il se rend co
nsacré à l'étude des déviations pathologiques générales de l'activité
mentale
humaine, qui prennent contact avec la justice. Ap
a seconde partie du volume, Kovalewsky étudie les causes des maladies
mentales
. Successivement il passe en revue les névroses et
on, la parturition, les suites de couches, la lactation. L'aliénation
mentale
peut-elle être une cause de divorce? Après exposé
agnan, par la négative. Vient ensuite la simulation dans les maladies
mentales
, le volume se termine par l'étude de l'évolution
ge un des plus instructifs et des moins arides des précis de médecine
mentale
judiciaire et rendront les plus grands services a
édecin en chef de Ville-Evrard, dont les travaux sur l'aliénation
mentale
et sur l'alcoolisme font autorité. Les cours se
à l'Ecole Polytechnique ; M. Baguer, directeur de l'Institut départe,
mental
des sourds-muets; M. Valentino, chef do bureau au
on est donc des plus intéressantes; elle montre, d'un côté, la nature
mentale
des manifestations hystériques et, d'un autre côt
. 3° La psychologie appliquée (hypnotisme thérapeutique, orthopédie
mentale
, pédagogie suggestive, etc.). 4° La psychologie
ciles à interpréter, tels que : fa lecture des pensées, la suggestion
mentale
, tes hallucinations tèlêpathiqucs, la lucidité, l
ttes, la mémoire intacte, il jouit de sa pleine puissance de synthèse
mentale
. Vous avez tous rencontré dans le monde cet homme
humaine. Il a aussi insiste sur l'accroissement des cas d'aliénation
mentale
causés par l'abus des boissons alcooliques. M.
des hiérosyncrotèmes familiaux est que la dévotion est une affection
mentale
contagieuse, et que les idées et les sentiments r
mme à celle des maladies épidémiques. La dévotion est une affection
mentale
qui frappe de préférence les enfants, les vieilla
ène, il y a un an, nous n'eûmes pas de peine à reconnaître que l'état
mental
devait être rattaché à l'existence de la maladie
convulsifs et l'émission des cris ont diminué progressivement. L'état
mental
s'est transformé et la malade est devenue plus ca
tenue par l'application des moyens pédagogiques. Bien entendu, l'état
mental
de cet enfant présente toujours une grande fragil
nécessité du placement dans un asile. impotentia coeundi, d'origine
mentale
, guérie par la suggestion éthyl-méthylique pa
se montre l'une des plus rebelles, surtout lorsqu'elle est d'origine
mentale
. Je suis heureux de vous en rapporter un cas bien
ions; il les pèse et prend difficilement un parti; ses préoccupations
mentales
le rendent scrupuleux, inquiet, irrésolu. Après
r comme cela? Il s'observe, s'analyse, s'interroge; et cette activité
mentale
inhibe la fonction spéciale. Il échoue piteusemen
mbres sont inertes, il ne saurait les remuer; le corps obéit, mais le
mental
ne se laisse point dominer; je fais des suggestio
si, je le confesse. Finalement, nous cessons de nous voir; son état
mental
n'est guère modifié. Un an se passe; je suis alor
ment la dégradation physique du sujet, mais surtout sa dégénérescence
mentale
. Or, la dégénérescence mentale comprend aussi bie
sujet, mais surtout sa dégénérescence mentale. Or, la dégénérescence
mentale
comprend aussi bien la folie que la criminalité.
maison d'aliénés. Il en est de même malheureusement pour les maladies
mentales
. Or c'est au début des maladies qu'il faut interv
sme uésa-nique. Le mutisme serait le symptôme fondamental de son état
mental
qui comporte également d'autres manifestations, e
ssion. M. Voisin. — Ce malade a dû présenter une certaine confusion
mentale
après la mort de sa femme ; il est maintenant bea
n les renvoie de l'atelier dès les premières manifestations d'un état
mental
anormal et ils n'ont pas d'autres ressources que
niques incurables (Travail de la clinique des maladies nerveuses et
mentales
de l'académicien W. A. Becrterew. Ambulance psych
notisme et la suggestion à l'état de veille. Dr Bêrillon : L'onanisme
mental
et son traitement psychothérapique. Dr Le Menant
tion religieuse, p. 63. Banquet du Dr Rivière, p. 188. Bégaiement
mental
et de la timidité (Le traitement psychologique du
nce de l'). par Edouard Cros, p. 337. Impotentia coeundi, d'origine
mentale
guérie par la suggestion éthyl-méthyli-que, par P
chose à signaler que l'existence, chez un oncle maternel, de troubles
mentaux
pour lesquels il avait dû être placé dans une mai
; importance des notions fournies par les mouvements, dans la lecture
mentale
. Messieurs, Je me propose, dans plusieurs des
l'importance des notions fournies par les mouvements dans la lecture
mentale
des signes écrits, on fait fermer les yeux aux ma
LEÇON o Sur un cas de suppression brusque et isolée de la vision
mentale
des signes et des objets (formes et couleurs)1.
e. — Observation de Gallon. — Cas de suppression brusque de la vision
mentale
. — Ses effets. - Suppléance par les images auditi
mes de la mémoire. Il s'agit, dans ce cas, de la perte de la vision
mentale
des objets (Mental lmagery de Galton 1) — formes
Il s'agit, dans ce cas, de la perte de la vision mentale des objets (
Mental
lmagery de Galton 1) — formes et couleurs, surven
e; c'est un homme 1.Francis Galton. — Inquiries into human Faculty;
mental
lmagery, p. 83. London 1883. 2. L'observation a
père et de son fils, c'était surtout une mémoire visuelle. La vision
mentale
lui donnait, au premier appel, la représentation
un contraste violent. M. X... se crut un instant menacé d'aliénation
mentale
, tant les choses lui semblaient nouvelles et étra
voir, et cette constatation eut pour effet de le rassurersur Sun état
mental
. Il reconnut d'ailleurs peu à peu qu'il pouvait,
les lèvres des mouvements dont il a conscience, et privé de la vision
mentale
, il lui est d^venujnécessaire d'avoir recours à l
ui se sont produits chez lui, en conséquence de la perte de la vision
mentale
. « Je m'empresse de répondre à votre lettre et
érieure. « Une conséquence remarquable de la perte de cette faculté
mentale
est, comme je l'ai dit déjà, le changement de mon
y a dix-huit mois, reposait surtout sur la faculté de représentation
mentale
visuelle qui, chez lui, était extrêmement dévelop
que, que l'act Fig. 37, 38, 39. soit précédé d'une représentation
mentale
qui avertit la malade de ce qui va se passer V.
avec une grande lenteur ; j'insisterai du reste bientôt sur son état
mental
. Il possède une bonne santé physique habituelle e
nt de certaines maladies ner veuses non qualifiées comme aliénation
mentale
, et de l'hystérie ou encore de la neurasthénie en
prédominants, et où l'on observe également la dépression physique et
mentale
qui existe à un si haut degré chez notre malade.
sant. L'é-Charcot. Œuvres complètes, t. ni, Système nerveux. 18 tat
mental
n'a présenté actuellement aucune grande anomalie,
e présente pas au reste, à part cette débilité psychique, de troubles
mentaux
bien caractéristiques. Il avoue avoir bu pendant
al nervous System, p. 78. (Ileprinted from the Journal of Nervous and
mental
Diseases, vol. VI, n° 3, July, 1884.) 1. Starr
ase léthargique de ce que l'on appelle le grand hypnotisme, l'inertie
mentale
est tellement absolue, en général, qu'il est impo
aralisi psìchiche, p. 103, 110, Milano, 1885. dente, il y a inertie
mentale
, mais celle-ci est moins profonde, moins absolue;
. 11 s'agit seulement ici d'un état d'obnubilalion, d'engourdissement
mental
plus ou moins accentué. Celte fois encore, sans d
t ism, etc. Suggestion by the muscular sense. (Journal of Nervous and
mental
Disease. Vol. X, n° 1. January, 1883.) — Voir aus
e chez eux. Mais, à ce propos, il est permis de se demander si l'étal
mental
occasionné par l'émotion, par le choc nerveux (Ne
ue la production d'une image, ou, autrement dit, d'une représentation
mentale
quelque sommaire et rudi- genre;puis, l'ayant p
s you be sure », disent les Anglais. Procéder par voie d'entraînement
mental
lent et progressif sera toujours plus prudent et
ganiques qui président normalement à la représentation de cette image
mentale
ont été profondément troublées, au point de la re
otrice (Maudsley) ; Faculté locomotrice (W. Hamilton); Représentation
mentale
du mouvement à exécuter (Spencer); Sentiment d'in
t. Rev. philosoph., n° 8, août 1883, p. 188. — Herzen. The Journal of
mental
science, avril 1884, p. 44. 2. Voir I'Appendice
i que vous l'avez compris, l'homme lui-même placé dans les conditions
mentales
spéciales à l'état hypnotique. Les deux malades
de chemin de fer. Dans ces occasions, il se développe souvent un état
mental
tout particulier, récemment étudié avec soin par
plus longtemps sur le rapprochement que je vous indique entre l'état
mental
produit par le shock nerveux et celui qui caracté
raumatisme qu'il a subi a produit chez lui un shock nerveux et l'état
mental
correspondant à celui-ci. Sans doute, la hanche a
tion surtout psychique qu'il s'agit, c'est donc un traitement surtout
mental
qu'il faudra mettre en œuvre. — Mais comment s'y
it-il à ce sujet dans un état d'inquiétude perpétuelle, de dépression
mentale
qui est bien de nature à entretenir son mal, étan
us le pensons, surtout d'origine psychique ou, si vous l'aimez mieux,
mentale
. — Or, je crois savoir que l'Administration du ch
r laquelle il pourra compter à l'avenir. En conséquence, la situation
mentale
de notre malade sera, je l'espère, profondément m
alise et se développe au plus haut degré, en raison d'une élaboration
mentale
, d'un processus d'auto-suggestion dont nous avons
nous, rend compte de la production des paralysies dites psychiques ou
mentales
, si vous l'aimez mieux. Cette théorie, aujourd'
ement à ces deux points. En premier lieu, il est certain que l'état
mental
qui s'observe dans la période somnambulique de l'
ssance de réalisation pour ainsi dire sans limites. Parmi les états
mentaux
inconscients ou subconscients dans lesquels, en d
trouve toutes les circonstances requises pour la production de l'état
mental
particulièrement favorable à la réalisation objec
d'impuissance motrice du membre ; et cette idée, en raison de l'état
mental
somnambulique si particulièrement favorable à l'e
t à l'état de veille, en dehors de l'hypnotisme. Ici, la modification
mentale
appropriée est déterminée par l'ébranlement nerve
on, produira en pareil cas, chez un sujet prédisposé, la modification
mentale
qui rendra possible la transformation de la parés
elques jours après, à la suite d'une sorte d'incubation d'élaboration
mentale
inconsciente'. En outre des phénomènes de natur
lontaires des membres. En raison de la dissociation facile de l'unité
mentale
, du moi, dans les cas de ce genre, ces centres pe
ce motrice ne s'est complétée qu'à la suite d'une sorte d'élaboration
mentale
inconsciente. L'amyotrophie sans modification des
faible. Penser, c'est se retenir de parler ou d'agir. » « Les actions
mentales
s'accomplissent dans les mêmes cercles (centres ?
, p. 539), nous ne pouvons rien trouver de plus qu'une représentation
mentale
de l'acte suivie de son accomplissement, — une
e positif qui constitue l'accomplissement de l'acte en tant qu'il est
mental
. La différence entre un mouvement volontaire et u
nts idéaux ne forment pas un élément moins important de nos processus
mentaux
, que les sensations ravivées d'une façon idéale.
. En d'autres termes, on ne peut regarder légitimement les opérations
mentales
comme étant en partie immédiatement dues à l'acti
e sujet prononce les voyelles e, i; le seul acte qui manque à l'ordre
mental
, c'est la tension de ces cordes. Bien que rapproc
; importance des notions fournies par les mouvements, dans la lecture
mentale
.............. 154 DOUZIÈME LEÇON. de la cécit
ÈME LEÇON. sur un cas de suppression brusque et isolée de la vision
mentale
des signes et des objets (formes et couleurs).
e. —Observations de Galton. — Cas de suppression brusque de la vision
mentale
. — Ses effets. — Suppléance par les images auditi
l'on étudie également leur modalité dans les différentes ma- ladies
mentales
. Mais les tableaux nosographiques de la classific
- tent, quand elles se rencontrent clans des malades de cette forme
mentale
, un produit plaisant. Un assombrissement éventu
ers : dans le dément, c'est une démolition raisonnée ausub- stratum
mental
du symbolisme, et une oeuvre de reconstruction ;
orps et de l'esprit, la conscience de notre moi. Dans les syndromes
mentaux
dont je m'occupe, sont comprises des altération
x, et il a détruit le temple de Diane à Ephèse. Outre la capacité
mentale
à la conception du beau, sur laquelle j'ai fait
es déments précoces, même quand une certaine aptitude aux fonctions
mentales
est relativement bien conser- vée, comme elle l
dans les malades beaucoup plus graves par les avaries des aptitudes
mentales
. Et comme ce type d'orne- ments est le plus fré
z les sujets vivants, du moins chez les adultes, où le prognathisme
mental
est plus accusé que chez les enfants. L'indice
t la fréquence relative au moins chez les adultes - du prognathisme
mental
. Ce dernier caractère peut être assez marqué po
tres se trouvent surtout chez les adultes (par exemple prognathisme
mental
). Il me semble qu'aucun ne soit absolument cons
ises de céphalée très intenses. Il présente, en outre, des troubles
mentaux
qui semblent remonter à un an environ. Il croit q
a brusquement et se manifestèrent des symptômes du côté de son état
mental
. Elle se fit triste, taciturne et commença à se c
renvoyée chez elle complètement guérie en apparence des trou- bles
mentaux
. Rentrée à la maison elle continua à garder une s
sensibilité tactile et de la sensibilité profonde à cause'de l'état
mental
de la'malade, ainsi que l'on a vu pour les membre
nstruée qu'une fois. Une attaque courte, mais aiguë, de dérangement
mental
survint en fé- vrier 1906. Le 19 février de c
jours une chose difficile que d'élucider les histoires d'aliénation
mentale
ou de crises convulsives dans une famille. Néanmo
crits et interprétés à part. Je passerai donc rapidement sur l'état
mental
des myxoedémateux,pour m'étendre davantage sur
riérés, les hypothyroïdiens chroniques d'Hertoghe, etc. 1. L'état
mental
des myxoedémateux. Le myxoedème est un syndrome
faitement voisiner avec des troubles squelettiques intenses. L'état
mental
du myxoedémateux in- fantile est celui de l'enf
quisse très rapide, parce qu'on la trouve partout détaillée, l'état
mental
des myxoedémateux. Je n'ai pas à faire à part c
ental des myxoedémateux. Je n'ai pas à faire à part celle de l'état
mental
des crétins. Le créti- nisme, en effet, n'est q
démonstration du rôle de l'in- suffisance thyroïdienne dans l'état
mental
des myxoedémateux. Voici, à titre d'exemple, un
peut les grouper en : 1. Infantilisme; 2. Arriération physique et
mentale
; 3. Syndrome d'Hertoghe d'hypothyroïdie bénign
oit la netteté de l'opinion de M. Brissaud. Dans ces cas-là, l'état
mental
, qui le puérilisme, est donc en rapport avec la
non avec des perturbations toxiques d'origine glandulaire. L'état
mental
est lié à une anomalie de structure et non à un t
non à un trouble de fonctionnement. 2. L'arriération physique et
mentale
. Les arriérés ne sont pas toujours des myxoedém
tiles. Ils peuvent être obèses, chryptorchides. Quand l'arriération
mentale
est mono-symptomatique, c'est seulement l'heure
démonstration s'appuie sur une série de faits cliniques et expéri-
mentaux
. Chez certains basedowiens traités par la thyro
rent bientôt des troubles psychiques graves sous forme de confusion
mentale
hallucinatoire, sans qu'il y ait à proprement par
insiste Biros avec juste raison : bizarrerie d'humeur, instabilité
mentale
avec asthénie intellectuelle,diminution de la mém
trois groupes, selon qu'on retrouve dans les psychoses des troubles
mentaux
de la même série que les nuances psychiques des
fait remarquer Régis, il s'agit toujours d'un accès de conflt- sion
mentale
, généralement aigu, se traduisant à la fois par d
admet aussi que le goitre exophtalmique peut créer une alié- nation
mentale
de toutes pièces, « aliénation qui survient par l
ues, ou dégénératives. . Sainton conclut aussi : « Il y a un état
mental
spécial qui est l'apanage LES TROUBLES PSYCHIQU
progressivement en même temps que les symptômes physiques. L'état
mental
redevint normal et la guérison put être considéré
cas de syndrome de Basedow complet ou fruste compliqués de troubles
mentaux
allant depuis l'excitation simple jusqu'à la ma
rmes frustes, estplus souvent qu'on ne pense une cause d'aliénation
mentale
. Aussi convient-il de rechercher les formes fru
trent dans l'allure générale des psy- choses toxiques, la confusion
mentale
. BIBLIOGRAPHIE DES TRAVAUX CITÉS A (4). Bal
" 75, p. 889, 19 septembre 1901. BALL (B.). Leçons sur les maladies
mentales
, 2a édit., 1890. Ballet (G.). Etat mental des d
Leçons sur les maladies mentales, 2a édit., 1890. Ballet (G.). Etat
mental
des dégénérés. Arch. gén. de méd., 1888. Des id
oses d'origine thyroïdienne. Th. Lyon, 1904. BLUM. Sur les maladies
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consécutives à des auto-intoxications expérimen-
es. Leçons sur les maladies nerveuses, 1899. Brunet. Dégénérescence
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et goitre exophtalmique. Th. 1893. Cane. Goitre
nity, 1881. I : OLLAfAN-COLLINS. Goitre exophtalmique et aliénation
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. The Lancet, 8 jan- vier 1877. Dulasiauve. -
maladie de Basedow avec hémiplégie, symptômes bulbaires et troubles
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XXXIII, f. 3, 1900, p. 30. DRo311tt) et Levassort. Dégénérescence
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avec goitre exophtalmique. Journ. of ment. se, ja
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, avril 1899. p. 145. TIIAON. Rev. mens. de mé
et du myxoedème. Soc. thérap., 9 nov. 1904. Wolseley-Lewis. L'état
mental
dans le Mya : oedeM ! e. The Lancet, 23 avril 190
ltérée, mais l'examen en est presque impossible en raison de l'état
mental
de Mme G... Réglée il y a 3 semaines. Intelli
edlich n'est pas partisan de la théorie qui rapporte les trou- bles
mentaux
à des produits toxiques sécrétés en quelque sorte
voir de l'importance par la suite, que l'objet et sa représentation
mentale
,son idée doivent correspondre à la même confi-
ur obtenir un tel résultat, qu'on se soit fait une représen- tation
mentale
delà chose et qu'on y ait pensé avec plus ou moin
qui ne laissa pas, chez lui, de traces apparentes d'affaiblissemenl
mental
. ' Quatre ans après, sans qu'il ait fait le moi
ler du côté des appareils ni des organes du sens. Au point de vue
mental
, il existe un état de confusion notable, avec ten
ésulter d'une diminution de l'attention et d'incapacité de l'effort
mental
. L'attention spontanée fait particulièrement dé
ficile de savoir s'il correspond uu non à quelque 're- présentation
mentale
. La particularité la plus intéressante et la pl
s malformations des extrémités, se préoccupant peu ou pas de l'état
mental
. Aussi ont-ils conclu, pour la plupart, à l'int
e façon plus précise l'attention des futurs observateurs sur l'état
mental
des syndactyles. 4° L'existence actuelle, chez
rieure bien marquée, à la suite et sous l'influence d'une confusion
mentale
aiguë, toxique ou infectieuse ; 2° La démence p
ent dégénérés, constituant un véritable processus d'affaiblissement
mental
greffé sur le fonds primitif de faiblesse mentale
d'affaiblissement mental greffé sur le fonds primitif de faiblesse
mentale
. Le cas de Pierre peut être considéré comme car
la spléno-hépatomégalie (Ferranini). Chez ces sujets l'infantilisme
mental
est moins grave. Lancer eaux pense que cette form
n cas d'infantilisme (compliqué d'adiposité générale et de débilité
mentale
) récemment publié par Lemos, l'auteur invoque com
ité neuro-patholoâique : il y avait en effet de nombreuses maladies
mentales
et nerveuses chez les ascendants ; l'héré- dité
et Joldstein, Cltarrin et Jardry, etc.). L'arrêt du développement
mental
chez les myxoedémateux serait secondaire à des
la eslirpazione delle capsule surrenali di alcuni mammiferi. Speri-
mentale
, 1903. MARFAN et P. Guinon. Infantilisme par lé
0. Son. Archiv. ital. de biologie, 1907. SOULARD. - Le puérilisme
mental
. Thèse de Paris, 1904. SOUQUES. - Myxoedème, in
t raison. Mais lorsque la crédulité du sujet s'accompagne d'un état
mental
spécial qui rende la volonté esclave des idées
clave des idées que nous' lui mettons dans la tôle, et que cet état
mental
est permanent et dominant au lieu d'être en état
tsch. f. Nervenheilk., II, p. 350. SINKLEII. Journal of nervous und
mental
diseases, 1891, p. 11. SINGER. - Wien. medicin.
ment du Professeur Joffroy s'orientèrent surtout vers la pathologie
mentale
. Déjà, à propos de J'hystérie et de la chorée.
convulsif s. Appelé, en 1893, à la chaire de Clinique des Maladies
Mentales
, le Professeur Joffroy commença à l'asile Sle-A
paraît chaque jour davantage. ' Mais, bien que l'étude des maladies
mentales
, qu'il était chargé d'ensei- gner, l'occupât sp
t présente un véritable état d'infantilisme. Ajoutons encore l'état
mental
absolument puéril, son manque d'intelligence, s
delbasis in lidrat,genbilde. flamburg, 1905. Soulard. Le puérilisme
mental
. Thèse de Paris, 1904. TAUOEII. /)t/a;)h7mM. Wi
7mM. Wiener med. Presse, 1907, n°.15. TANZ1. - Rivista di patologia
mentale
, 1899. Zollner. - Eirz Fall von Tumor des Schad
le D, P. ZOSIN Docent, chargé du cours des maladies nerveuses et
mentales
à la Faculté de Médecine de Jassy (Roumanie).
artilage de conjugaison, restant non ossifié chez notre sujet. Etat
mental
. - Son intelligence est fort médiocre, presque d'
mmuniqué à la Société de Médecine de Nancy, 9889). Quant à l'état
mental
de notre sujet, caractérisé comme nous l'avons vu
royons pouvoir le considérer comme une variété spéciale de débilité
mentale
: la débilité mentale achondroplasique qu'on pe
idérer comme une variété spéciale de débilité mentale : la débilité
mentale
achondroplasique qu'on peut différencier des au
dois dire qu'il est très dégagé et absolument normal dans son état
mental
. L'examen le plus complet du système nerveux de
yse des facultés psychiques de cette créature pour évaluer son état
mental
; il est de toute évidence que Mar- guerite pré
ion II. Résumé. Pas de convulsions dans la première enfance. Etal
mental
caractérisé par une déchéance progressive de tout
ents primitifs. . En résumé, Aurélie présente un état de puérilisme
mental
très net. Ses fa- cultés psychiques sont profon
pas assimiler cet état de simple irrita- bilité cérébrale à l'état
mental
de nos trois malades, mais il faut d'autre part
icularités relatives à la succession de divers syndromes moteurs et
mentaux
apparus à la suite d'un traumatisme crâ- nien,
re. Les jours suivants, on ue constate aucun changement dans l'état
mental
. M. A. dort peu et gémit sans cesse. On tente l
menter; le poids du corps est de 66 kilos. 4 juillet. - Même état
mental
. Les urines ne contiennent plus de sucre. Le tr
. Le traitement ioduré est ordonné de nouveau. 28. Mêmes troubles
mentaux
et physiques. Les réflexes patellaires sont fai
extrémité. Les mouvements des doigts sont très limi- tés. Même état
mental
. M. A. gémit sans cesse ; il se dit le plus malhe
nD 15 décembre. Une amélioration notable s'est produite dans l'état
mental
. M. A. est plus calme ; il ne gémit plus, il pr
d'idées de négation et d'immortalité. 20 janvier 1904. Les troubles
mentaux
sont en voie de disparition. Les douleurs au ni
u des articulations. 27 février. M. A. ne présente plus de troubles
mentaux
; il persiste seulement un affaiblissement lége
talité, un délire d'énormité. Cinq mois après le début des troubles
mentaux
, douleurs violentes localisées à l'articulation s
tion lentement progressive des troubles paralytiques, trophiques et
mentaux
. Dix mois après le début des troubles mentaux,
tiques, trophiques et mentaux. Dix mois après le début des troubles
mentaux
, il ne persiste plus qu'un léger affaiblissemen
ymptômes s'accorde avec cette hypothèse. La pathogénie des troubles
mentaux
est plus obscure. Ceux-ci n'ont débuté que plus
e nous avons rencontrées chez plusieurs sujets atteints de troubles
mentaux
aigus. A cette inflammation cérébrale diffuse s'e
ions suivantes : 1° Existe-t-il, comme base anatomique des maladies
mentales
, des lé- sions cérébrales typiques, constantes
dmît enfin la réalité des altérations anatomiques dans les maladies
mentales
, on souleva dès lors la question de priorité de
des et bien établies, on est en droit d'admettre que tout processus
mental
normal ou pathologique qui s'effec- tue, doit n
teints de troubles psychiques chroniques, chez lesquels l'affection
mentale
est évoluée depuis longtemps, ou d'individus décé
spond assez bien à celle que l'on a l'habitude de faire en clinique
mentale
, lorsque l'on parle des psychoses dites fonction-
oir lieu au congrès de Budapest, sur la classification des maladies
mentales
, ne nous montrent- ils pas,dans les divergences
res et des tissus de l'écorce cérébrale observées dans les maladies
mentales
sont, en fait, les lésions banales de la pathol
ie générale elle-même peut être observée dans d'au- tres affections
mentales
, sans compter les inflammations aiguës spontanées
es tissus ; comment alors concevoir la base anatomique des maladies
mentales
? Je répète ici ce que j'ai déjà dit ailleurs.
cette conception nouvelle de l'anatomie pathologi- que des maladies
mentales
nous a été suggérée par l'étude des beaux trava
plus de précision le fondement organique des diverses affec- tions
mentales
. Pour ne citer qu'un exemple, ne serait-il pas
urologie, ontmontré qu'il fallait s'efforcer d'étudier les maladies
mentales
en se plaçant sur le terrain biologique, car no
maux. 3° Les altérations pathologiques du cerveau dans les maladies
mentales
frappent cet organe, soit pendant son évolution
qu'à ce jour et à l'examen microscopique de la plupart des maladies
mentales
. 6° Il y a, dans les psychoses, des lésions con
édicale psychothérapeutique dans un grand nombre de cas de maladies
mentales
, parce que, disent-ils, la base anatomique est en
sychologique des psychonévroses et à plus forte raison des maladies
mentales
! Si le. psychisme primaire a besoin d'un tel a
la circulation du sang dans le cerveau sur l'étiologie des maladies
mentales
. Il a émis l'opinion que lamélancolie est (t) B
fonction. En voici un exemple curieux que j'ai observé. A... débile
mental
et hypothyroïdien en soulevant un fût le 17 aoû
ère et c'est ce qu'il devra mettre dans son rapport. LES TROUBLES
MENTAUX
DANS LA LÈPRE L'ÉTAT PSYCHIQUE HABITUEL DES LÉP
ital Saint-Louis Ancien interne Médaille d'Or. L'étude des troubles
mentaux
dans la lèpre a été une des parties les plus né
, août 1909. 1 220 0 DE BEURJI[ANN ET GOUGEROT relatives à l'état
mental
normal des lépreux européens on[ été admirable-
s de justesse la psychologie normale des infortunés lépreux. L'état
mental
du lépreux européen est donc assez bien connu ; i
emble pas. L'étude des lé- preux orientaux nous prouve que cet état
mental
dépressif est créé secon- dairement et de toute
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.. . T. XXIII. Pl. XVIII LES TROUBLES
MENTAUX
DANS LA LEPRE (de Beurmann et Govaerot). Mass
). Masson & Cie, Editeurs. Phototypte Berthaud LES TROUBLES
MENTAUX
DANS LÀ LÈPRE 221 nullement ; ils ne sont pas
mot, tes Birmans et les Chinois ne présentent à aucun degré l'état
mental
des quelques Européens ou Eurasiens, réfugiés e
même lorsqu'il est abandonné à son sort, ne manifeste aucun trouble
mental
dépressif. Au moment de l'invasion de la maladi
ssées aiguës ; mais, en dehors de ces accidents passagers, son état
mental
est celui des asiatiques non lépreux. C'est bien
enus contracter presque volontairement. On peut donc opposer l'état
mental
du lépreux asiatique et du lépreux européen, le
premier reste normal, le deuxième est profondément atteint. L'étal
mental
des Européens lépreux est dû à deux facteurs : 1°
l mental des Européens lépreux est dû à deux facteurs : 1° à l'étal
mental
antérieur de prompte inquiétude et d'agitation qu
vité de l'Asiatique ; 2° à la connaissance et à la repré- sentation
mentale
. du pronostic de la lèpre. L'état menlal du lépre
peines sévères contre les simulateurs de la lèpre. En résumé l'état
mental
dépressif et anxieux du lépreux européen est un
action directe, la : toxi-infection hansénienne ne crée pas cet état
mental
. Il est possible pourtant que l'imprégnation lé
notions importantes car elles éclairent la pathogénie des troubles
mentaux
et des psychoses que l'on peut observer chez les
mple démonstratif de poly- névrite lépreuse accompagnée du syndrome
mental
appelé : tantôt psy- chose polyîîév7,iliqzte ta
, Lepra, 1906, vol. '1, fasc. 2 et 4, p. 107 et 231. LES TROUBLES
MENTAUX
DANS LA LEPRE 223 de Janet, insidieuse, progres
impressions (due à l'amnésie antérograde)...)). A côté d'un état
mental
normal du lépreux européen, il existe donc une
rié- tés peuvent nous être expliquées par la connaissance de l'état
mental
anté- rieur habituel des lépreux européens. Les
anté- rieur habituel des lépreux européens. Les études des troubles
mentaux
chez les lépreux, qui ont si peu attiré l'atten
ifficile à fixer. M. Bourneville porta le diagnostic de : déchéance
mentale
d'origine épilepli- que et constata une parésie
ce psychique ; quelques auteurs ont même affirmé que les conditions
mentales
des malades varient selon la grosseur de la tèt
x côtés. Phénomène de Babinski absent. Sphincters normaux. Etal
mental
. Mémoire et intelligence très affaiblies : désori
sychique. On relève sur le sujet les marques d'un affaiblisse- ment
mental
avec attaques transitoires d'irritabilité et des
attaques transitoires d'irritabilité et des épisodes de confu- sion
mentale
. On peut déjà constater cet affaiblissement au se
nteur des réponses et l'effort que coûte au patient toute opération
mentale
même légère. Aussi ses discours sont-ils lents,
ec ef- fort, il lui est aussi possible de faire quelques opérations
mentales
compli- quées ; comme par exemple de faire de t
préoccupé ; il semble même qu'il n'a pas conscience de ses troubles
mentaux
, tandis qu'il attache une grande importance à s
pas eu jusqu'à maintenant de vrais états délirants ou de confusion
mentale
, mais il semblerait bien qu'il en a eu dans le
Reil colla capsula exlerna nell' uomo. Riv. die Patologia nervose e
mentale
, 1891, vol. Il, ne 1. - DES CELLULES DE BETZ ET
s avec autopsie et examen microscopique. The Journal of nervous and
mental
disease, 899, no 2, p. 85. W. G. Spiller. Un ca
ace intercostal pour Usions cutanées dans les maladies nerveuses et
mentales
ne modifie pas ma façon de comprendre cette que
le salé, l'acide, le doux, l'amer, sont bien perçus. Les facultés
mentales
sont normales dans toutes leurs manifestations.
nourriture. Il n'existe cependant aucun trouble digestif. L'état
mental
est celui d'un enfant : elle n'a aucune instructi
é,l'absence de soudure osseu se, l'insuffisance génitale, le retard
mental
, caractérisent cet infanti- lisme. L'histoire
sentait du bouillon, il tombe tout à coup dans un état de confusion
mentale
. Le médecin appelé constate que la moitié gauche
ur la façon dont se comporte la sensibilité, à cause des conditions
mentales
du malade. Miction et défécation normales. · Ex
soit donné dans les microsomies uniformes,relatives aux réductions
mentales
suscitées,par la lésion primitive du système nerv
et clarté de l'étude des documents : c'est l'existence de troubles
mentaux
, dont l'apparition eut lieu à une époque bien d
et d'y joindre d'autres récréations de nature à dominer le trouble
mental
du peintre (1). « Malgré tout ce que l'on put
ourage. Pour les uns, Hugo van der Goes est atteint d'une affection
mentale
d'origine organique et d'étiologie, pour ainsi
de, mais aussi aux médecins qui n'ont pas l'expérience des maladies
mentales
. Si, en effet, les profanes reconnaissent leur ig
jours à per- sister,dans la relation et le commentaire des maladies
mentales
, les mêmes vices et les mêmes erreurs de méthod
de 'certaines maladies nerveuses, mais aussi de quelques affections
mentales
déterminées. La démonstration du caractère spéc
gestes lents, il l'esprit torpide. Beaucoup ont un déve- loppement
mental
rudimentaire. Dans ce groupe rentrent les nains i
paralysies radiales, par DE Beurmann et Gouobrot, 90. - (Troubles
mentaux
dans la -. L'état psychique des lépreux) (1 pl.
érieurs ayant débuté à la -) (2 pl.), par BAUER et DESDOUIS, 426.
Mentaux
(Troubles - dans la lèpre. L'état psychique des
et GOUGEH01'. Paralysies radiales lépreuses (1 pi.), 90. Troubles
mentaux
dans la lèpre. L'état psychique habituel des lé
eurmann (de), Paralysies radiales lépreuses (1 pl.), 90. Troubles
mentaux
dans la lèpre. L'état psychique habituel des lé
paralysies radiales (de 1 ! EUleamN et GOUGEI10T), IX. , troubles
mentaux
(de Beurmann et UouccrsoT), XVIII. Maladie fa
niques. (1) E. FEINDEL et P. Froussard, Dégénérescence et stigmates
mentaux
, malformation de Vecloderme : myoclonie episodi
orte que c'est la famille qui attire notre attention sur ces troubles
mentaux
, pendant que le malade nous les cache. Il parle
ux lits des autres malades et qu'il a été un peu agité. Le calcul
mental
est bon : 7 + 8 = 15, 9 + 8 = 17, 9 + 6 = 15, 1
ôt que d'en arriver à être l'amusement du monde (1). Des troubles
mentaux
ont déjà été notés dans la méningile séreuse, et
l'écorce, séquelles des ménin- gites, sont des causes d'aliénation
mentale
, Redlich (4.) insiste également (1) Le malade s
and, Des méningites à évolution insidieuse comme cause d'aliénation
mentale
. Gazette des hôpitaux, au LXXVII, no 49. (4) E.
e Clermont vers )'age de 34 ans, après plusieurs années de troubles
mentaux
à forme maniaque qui s'aggravèrent à la suite d'u
'est environ trois ans après son mariage qu'apparurent les troubles
mentaux
sous la forme de chan- gement du caractère et d
(1), « les observateurs » de géants « ne parlent guère de facultés
mentales
et réservent tous leurs soins pour l'étude de l
'ont pu que se bornera rappeler chez ces malades le seul puérilisme
mental
. N'est-ce pas avouer que l'état mental des géan
s malades le seul puérilisme mental. N'est-ce pas avouer que l'état
mental
des géants n'a pas encore été étu- dié ? C'est
tit sexuel. L'observation suivante est celle d'un géant dont l'étal
mental
est carac- térisé par une constitution instinct
tendances instinctives, est véritablement une femme débile. Etat
mental
. - L'étude des troubles mentaux du malade est dan
ritablement une femme débile. Etat mental. - L'étude des troubles
mentaux
du malade est dans cet ordre d'idées riche en c
'idées riche en constatations curieuses. Le fond de la constitution
mentale
, et en particulier des tendances sexuelles, se re
i qu'en témoigne parfois une légende de sa main. ' Tel est l'état
mental
de notre géant inverti. L'histoire de son gigan
DE la Salpètrière. T. XXV. Pl. XIX INVERSION SEXUELLE - FÉMINISME
MENTAL
(Dessins du malade.) (Alfred Gallais). Mass
is. Il a un faciès pouponnien, il est imberbe et sur- tout son état
mental
est empreintde débilité. Son émotivité, ses fraye
et étal particulier, désigné par M. Dupré sous le nom de puérilisme
mental
. Il n'est donc pas seulement un géant acromégal
t et doit être considéré comme sa caractéristique c'est son état 1.
mental
vraiment spécial et constitué par des goûts fémin
mentalité toute spéciale, que nous proposons de nommer « féminisme
mental
». Conclusions. Toutes ces constatations nous
e. 3° Il n'y a pas d'hypertrophie pituitaire visible. 4° Son état
mental
correspond à ce que nous proposons de nommer le
mental correspond à ce que nous proposons de nommer le « féminisme
mental
» . (1) AL1BERT, Tn. des malad. de la peau, 182
d., octobre 1902. MICROMÉLIE RHIZOMÉLIQUE PARTIELLE AVEC TROUBLES
MENTAUX
CHEZ UNE JEUNE ARABE PAR R 1 MM. J. CRESPIN,
l'Hôpital de Musta- pha (service d'observation spécial aux maladies
mentales
), le 22 novembre 1911. Elle avait quitté le dom
ent depuis six mois, que l'on s'aperçut du désordre de ses facultés
mentales
, à la suite d'une colère, dit la soeur. A noter
eproduire des dessins très simples (un carré par exemple). Son état
mental
paraît donc avoir évolué formellement ; les geste
degré d'aplatissement du bassin, la fracture de la clavicule, l'état
mental
aussi. ' En ce qui concerne la dysplasie péri
nné de l'ovarine, qui n'aurait amélioré que légèrement les troubles
mentaux
. : Certaines observations permettraient d'incri
ère menstruation qui du reste aval tété très retardée. Ces troubles
mentaux
sont analogues à ceux pré- sentés par un malade
rôle sur le développement squelettique. » Sans doute, les troubles
mentaux
ne sont pas fréqnentsdans l'achondro- plasie (5
heure les malformations sdne- letliques, et plus tard les troubles
mentaux
. C'est l'explication que Parhon proposait au Co
(6) ont analysé minutieusement un achondroplasique au point de'vue
mental
, en cherchant à savoir si les troubles psychiqu
s envisagent avec quelque complaisance, en rapprochant les troubles
mentaux
des achondroplasiques des mêmes trou- bles chez
dès le principe. Du reste, l'observation de l'état intellectuel et
mental
de notre sujet était difficile, non seulement e
des malformations osseuses d'iniquement analogues, par des troubles
mentaux
variés, et par des altérations histo- logiques
mique est significative. Plus récemment, SPILLER (Journ. of nerv. a
mental
disease, 1907, p. 14) a fourni un autre exemple d
ons des muscles que l'on considérait alors comme les lésions fonda-
mentales
et les plus importantes en l'espèce. Cas DE Fri
ités des membres du côté gauche ; secousses fibrillaires ; troubles
mentaux
. Examen histologique : Dans la moelle, sclérose
térite intense. Observation DE DESUCr et DEBOUBAIX (2). Hérédité
mentale
chargée.Atro- phie musculaire datant de l'enfan
de la sensibilité. Troubles vaso-moteurs périphériques. Insuffisance
mentale
. Mort à 42 ans. - Examen histologique : Dans la
n motrice ; douleurs peu fréquentes ; sphincters intacts ; troubles
mentaux
, mort à 59 ans. Hypertrophie des raci- nes rach
r- vation : Femme D. Pas d'antécédents héréditaires. Déséquilibre
mental
habituel. A l'âge de 44 ans, début d'une atroph
'exislence de troubles psychiques, va- riant depuis le déséquilibre
mental
jusqu'à des états constitutionnels plus caractéii
900, IV° s., p. 253. (3) Halls et SemLLrt, Journal of nervous and
mental
diseases 103. (4) Gerouzi, Conlrib. allô studio
ntervalles (visions d'anges) ; agitation anxieuse. Pas de confusion
mentale
à proprement parler ; troubles de l'attention lié
l'exubérance du tissu con- jonctif. ÉPILEPSIE TARDIVE ET TROUBLES
MENTAUX
CONSE- CUTIFS A UN `'fOLEVT TRAUMATISME CRANIEN
e longue période de latence, des crises convulsives et des troubles
mentaux
observés chez notre ma- lade. Observation (PL
tre le o juillet 1908 à l'asile de Blois, pour épilesie et troubles
mentaux
. Antécédents héréditaires et collatéraux. - Pèr
ible et plus violent depuis une dizaine d'années. Mais les troubles
mentaux
n'ont éveillé l'attention de son entourage que ci
a prêté quarante-sept milliards à la ÉPILEPSIE TARDIVE ET TROUBLES
MENTAUX
387 France et racheté l'Alsace et la Lorraine,
plus fréquentes, et qui s'accompagnent vers (le 35 ans de troubles
mentaux
sous forme d'idées délirantes poly- morphes, de
crises de fureur, d'absences et de vertiges, d'accès de confu- sion
mentale
et d'automatisme procursif qui amènent l'internem
du malade dans un asile d'aliénés, à l'âge de 41 ans. Les troubles
mentaux
s'accentuent rapidement et paraissent aboutir à
us marqué. ' La pathogénie des accidents convulsifs et des troubles
mentaux
relevés chez notre malade nous paraît essentiel
alcooliques, les crises convulsives et ultérieurement les troubles
mentaux
que nous avons rapportés. Ce processus à longue
ession de la moelle et de ses racines, The Journal of the Nervous and
mental
Disease, 1911, vol. XXXVIII, n' f0. Revue Neu
a. - Atrophie musculaire progressive (sur l'). Journal of nervous and
mental
diseases, vol. 33. février 1906. Dejerine. -
sciences médicales, Moscou, 1807. Section des maladies nerveuses et
mentales
, p. 159. `VALLEC7WEaf·It. - Sur le ramollisseme
utza. C. PARHON, Professeur de Clinique des Maladies Nerveuses et
Mentales
à la Faculté de Médecine de Jassy, Médecin en c
ilis. Il a une fillette de 6 ans. Est veuf. Ses pre- miers troubles
mentaux
se sont manifestés deux ans avant son internement
, l'attention ne montrent pas un affaiblissement notable. Le calcul
mental
assez bon. On observe des idées délirantes de gra
) a consacré aux rapports des glandes endocrines avec la pathologie
mentale
, on trouve l'observation d'un para- lytique obè
alades ont présenté des ictus avec convulsions épileptoides. L'étal
mental
de nos malades a été un étal de démence progres
aire rhizomélique, qui s'accompagne de plus d'asthénie, de troubles
mentaux
et souvent de lésions nodulaires sous-cutanées.
ar ANDRÉ- Thomas et JouENTIt', 309. Epilepsie tardive et troubles
mentaux
consé- cutifs il un traumatisme crdnien (1 pl.
ifs il un traumatisme crdnien (1 pl. ), par PETIT, 384. Féminisme
mental
(Gigantisme acromégali- que sans élargissement
élargissement de la selle turcique, inversion sexuelle, féminisme
mental
(4 pl.), par Gallais, 124. Hémianopsie (Blessur
cromégalique sans élargissement de la selle turcique. - féminisme
mental
) 14 pl.), par GALLAIS, 124. Lepre blanche (Hype
matose secondaire (4 pi.), par Awrs-1'noxas et .1 UMENTIÉ, 309.
Mentaux
(Epilepsie tardive et troubles ? consécutifs à un
ar Petit, 384. Micromélie rhizontélique partielle avec trou- bles
mentaux
chez une jeune arabe (2 pl.), par Crispin et Bo
et CRESPIN (J.). Micromélie rhizo- mblique partielle avec troubles
mentaux
chez une jeune arabe (2 pl.), 137. BROUS SOLE
s élargissement de la selle turcique. Inversion sexuelle, féminisme
mental
(4 pl.), 124. Goldstein (M.) et IIL\RINESCO (
(2 pi.), 405. Petit (Georges). Epilepsie tardive et trou- bles
mentaux
consécutifs à un violent traumatisme crânien (1
latérale (J¡NGAZZINI ? XLV il XLVII. Epilepsie tardive et troubles
mentaux
con- sécutifs à un traumatisme crânien (Petit),
ont parvenus à faire seuls l'addi- ion sans retenues. L'instabilité
mentale
a sensiblement diminué. Ils rendent quelques se
bli une consultation non officielle, pour les maladies nerveuses et
mentales
. Nos collègues de la division des aliénés, nomm
ons de la visite de ces derniers pour nous renseigner sur leur état
mental
ou leur situation sociale. Dans ce groupe figur
e l'accord ne soit pas fait sur ce qu'il faut entendre par « débile
mental
» ; il y a peut-être une im- possibilité à le d
éfinir, en ce que ce terme embrasse tous les degrés de défectuosité
mentale
, depuis l'inperfcction ex Traitement ET éducati
sont parfaitement en mesure de reconnaître un arriéré ou un débile
mental
. Et tant qu'on emploiera au-dessous de sept ans
e à un enfant susceptible de faire un adulte normal au point de vue
mental
, le traite- ment pédagogique sera plus compliqu
mais un être qui s'approche tellement de la normale que son état
mental
devient mieux équilibré que celui de ses parent
un âge donné varient beaucoup quant à la rapidité de leur évolution
mentale
, aussi est-il sage de laisser il l'instituteur
enfants venus dans nos écoles, arriérés, défectueux au point de vue
mental
, peuvent être absolument transformés (1) C'est
lus de soin à l'étude et à l'exposé des particularités physiques et
mentales
qui différencient l'enfant du jeune homme, celu
Classes spéciales. cxix épileptique en ce qui concerne l'éducation
mentale
, manuelle et physique. Nous estimons que ces éc
'hérédité alcoolique et syphilitique, et d'acquisition des troubles
mentaux
(1). Puisse votre rapport obtenir l'attention e
es, de sorte que l'autorité militaire est au courant de leur état
mental
. Comme nous l'avons, du reste, dit si souvent n
ts communiqués au Pal'lws'Mnsewn, sur la « Scienlific Stttdy o/'the
Mental
and Physical Conditions of' Childhoocl, » conti
ad. de M. L. E. MonEL). Ces deux notes ont paru dans The Journal of
mental
Science, avril 1901. (1) Du même auteur : Menla
s. cxxv II. Classes spéciales dans les écoles pour jeunes débiles
mentaux
, PAR le D' CII1VVING W. (Charte Rev. Avril 19
tic précoce du développement anormal de l'enfant (tant physique que
mental
, car les deux sont généralement associés) et il
e est fixé, et tous les systèmes successifs d'éducation des débiles
mentaux
ont été établis sur le principe que le traiteme
chique. L'âge avancé, auquel, en thèse générale, les jeunes débiles
mentaux
sont soumis il l'éducation spéciale, constitue
t été abondamment pourvue de mai- sons d'éducation pour les débiles
mentaux
(en comprenant sous ce nom les idiots et les im
pour ne pas surcharger le budget communal, ou le budget départe-
mental
. Ils servent mal leurs malades et fabriquent des
ale et en particu- lier du mensonge comme symptôme de cette forme
mentale
; Par BOURNEVILLE ET J. BOYER. Nombreuses sont
eption, le père de l'enfant n'ait pas encore pré- senté de troubles
mentaux
, l'hérédité paternelle est forte- ment chargée,
'hérniill1opsie latérale homonyme chez l'adulte. Étant donné l'état
mental
de l'enfant, nous n'avons pu recher- cher ce sy
d'empoisonnement, refus de manger, etc. Gué- rison de l'aliénation
mentale
; tuberculose, mort. Par BOURNEVILLE ET AMBARD.
ie de torpeur. A 14 ans (septembre 1898), nouvel accès d'aliénation
mentale
: excitation, divagations, copro- lalie, clasto
re sale tuyau ! » 18 février. - Légère amélioration au point de vue
mental
. Elle mange toute seule. - Persistance néanmoin
ir été «si entêtée et si sale.cc 22 mai. - La situation physique ei
mentale
devient de plus en plus satisfaisante. Margueri
et d'où elle nous fût en- voyée. Ce qui domine, dans ses troubles
mentaux
, ce sont les idées de vanité, de grandeur, entr
seul, soit avec nos élèves sur la folie des enfants. z Instabilité
mentale
avec perversion des instincts (en collaboration
aboration avec Budor). Compte-rendu de 1884, p. 147; 2o Instabilité
mentale
avec perversions des instincts, com- pliquée d'
ien). Ibid., 1885, p. 54; 5° Folie de l'adoles- cence ; instabilité
mentale
; idées vagues de persécution; succube (en colla
. Compte-rendu de 1887, p. 237;- Go Imbécillité légère; instabilité
mentale
avec perversion des instincts et impulsions gén
ult). Compte-rendu de 1888, p. 61 ; - 7° Imbécillité et instabilité
mentale
; impulsions génitales (en collaboration avec So
intellectuelle consécutive à une brûlure de la tête; instabi- lité
mentale
; délire mystique (en collaboration avec Tissier).
ssier). Compte-rendu de 1895, p. 77; - 9° Alcoolisme, instabilité
mentale
, crises hystériformes, guérison (en collaboration
de l'adolescence. Ibidem, p. 22u ; - 11° Imbécillité et instabilité
mentale
avec perversions des instincts. Compte- rendu d
ASEP. VVilh notes on sixty-lwo cases, by Arthur 1lIITCIjELL bum. of
mental
Science, vol. XXII, July 1877, p. 169-179). Ave
deux filles. La première aurait présenté des signes d'aliéna- lion
mentale
intermittente : elle « déclamait sans raison, f
...... CVII Classes spéciales dans les écoles pour jeunes débiles
mentaux
, par le Dr CHAN- NING .........................
orale et en particulier du mensonge comme symptôme de cette forme
mentale
; par BOURNEVILLE et J. Boyer 25 IV. Considér
t FRANcmNi. Ricambio maleriale nel morbo di Basedow. Rivista speri-
mentale
di freniatria, 1907. 19. Revilliod. Corresp. BI
une incertitude dans la réaction du muscle, vis-à- vis du stimulus
mental
. Ces lésions sont la parésie musculaire et un ex-
colis spasmodiques, et surtout de Brissaud (22) sur le tor- ticolis
mental
, en montrant l'origine évidemment psychique de la
produise avec son caractère électif, il faudra une partici- pation
mentale
, peut-être minime, mais nécessaire Dans d'autres
ns la littérature médicale; tous ces cas s'accompagnent de troubles
mentaux
plus ou moins marqués, comme nous l'avons fait ob
LES CRAMPES PROFESSIONNELLES S 89 comme la conséquence d'un trouble
mental
. On peut voir en effet, dans presque tous les s
iques néces- saires à la bonne exécution de cet acte ». L'origine
mentale
de toute une catégorie de crampes professionnelle
l'association fréquente des névroses d'occupation avec des troubles
mentaux
; c'est ensuite le passage facile d'une crampe
uelquefois observée d'une crampe professionnelle avec un torticolis
mental
; c'est l'existence de mouvements associés chez
us ces phénomènes viennent à l'appui de l'origine ou cor- ticale ou
mentale
des affections qui nous occupent. Nous allons d
. Or, fait important à noter, et qui montre bien encore l'ori- gine
mentale
de ces troubles, deux ans plus tard survinrent de
fi- ment. t. 2° Crampes professionnelles associées à des troubles
mentaux
. Nous avons déjà fait remarquer que, en recherc
idées fixes obsédantes, etc. Mais dans certains cas les phénomènes
mentaux
pathologiques peuvent être très accusés, et pas
s. ho Association d'une crampe professionnelle avec un torticolis
mental
. Certaines formes de torticolis spasmodiques on
es de torticolis spasmodiques ont, à n'en point douter, une origine
mentale
; le professeur Brissaud qui les a bien décrites
a assimilées aux tics, et les a groupées sous le nom de torticolis
mental
. Or, un certain nombre d'auteurs ont signalé l'
ont signalé l'association de crampe des écrivains et de torticolis
mental
(Duchenne, de Quervain, Russel Rey- nolds). Des
nce eut une crampe des écrivains, et, à l'âge adulte, un torticolis
mental
: la crampe reparut quelque temps au cours de c
une jeune fille chez laquelle on constatait à la fois un torticolis
mental
, des mou- vements choréi(01'Jnes des membres du
ent Meige et Feindel ; tous deux ont à leur origine un déséquilibre
mental
; mais nous verrons plus loin qu'il n'y a pas li
e qu'on connaît de ces disgraciés physiques, des signes de débilité
mentale
chez les uns, chez d'autres des marques d'une c
physiques permettant de présager presque à coup sûr .l'infériorité
mentale
correspondante. Il est parfaitement licite de fai
aucun stigmate physique ou psychique de l'hystérie. a Le trouble
mental
qui constitue les hallucinations psychomotrices,
eu parfois leurs heures de succès avant de verser dans l'aliénation
mentale
, et qui continuent à exprimer par le cra- yon o
r l'équilibre psychique de ces artistes. Lorsque leur dé- rangement
mental
est définitivement confirmé, et s'ils sont encore
iennes, qui, par leur étrangeté, semblent témoigner du déséquilibre
mental
de leur auteur. Si l'absence de renseignements
nceptions grandiosement cruelles il la genèse desquelles un trouble
mental
n'est peut-être pas étranger. (1) Voy. L'Info
ent des productions qui permettent de douter du par- fait équilibre
mental
de leurs auteurs ? ... Dailleurs, il n'y a pas tr
plus d'une occasion de s'exercer dans le domaine de l'aliéna- tion
mentale
. Qu'il s'agisse de figurations reproduisant d'a
LE Dr P. ZOSIN, Docent chargé du cours des maladies nerveuses et
mentales
à la Faculté ' de Médecine de Jassy (Roumanie).
eu, n'écoute pas, ou apporte aux questions posées un grande paresse
mentale
. Les réflexes sont exagérés à droite avec signe
tion motrice du noyau lenticulaire, Revista di pathologia nervesa e
mentale
, juin 1905. xxii 9 12 6 VIRES ET ANGLADA ps
her cette manifesta- tion de celles qui caractérisent le torticolis
mental
de Brissaud. Le cas que nous publi ons diffère
contraire, une impression de gêne et de fatigue. Pas d'infantilisme
mental
, de phénomènes émotifs. Gilbert Ballet et Nague
scles du cou et des membres inférieurs ; elle a de l'infanti- lisme
mental
et les troubles qu'elle présente sont intermitten
. Icon. de la Salp., 1907, p. 390. CUAUM1EH et TATY. - Con fusion
mentale
chez un achondroplase. Glycosurie, acétonurie,
l'anatomia e dalla fisiologia dell'ipofisi. Rivista di Pat. nerv. e
mentale
, 1908, p. 518. SCHRUIPF. - Ueber das Klinische
stitution du mécanisme cérébral. Pour faire sortir les affec- tions
mentales
et certaines maladies nerveuses des ténèbres où e
lement à rapprocher ces affections d'autres maladies dont l'origine
mentale
est bien prouvée : les tics et le bégaiement. Que
ropathique. « Tous les tiqueurs, a dit Brissaud, présentent un état
mental
spécial, des bizarreries, de l'excentricité, br
exister d'autre part avec un tic, en particulier avec le torticolis
mental
, mais aussi avec d'autres tics, comme nous l'av
bi- tuellement, de même que les crampes professionnelles, d'un état
mental
particulier : préoccupation, anxiété au sujet d
e lésion anatomique périphérique, mais nécessitant toujours un état
mental
particulier, la grande majorité des crampes pro
de la sensibilité. Tous les orga- nes sont sains. Au point de vue
mental
, nI. Pet... est intelligent ; les idées sont vive
... s'afflige beaucoup de sa situa- tion ; il a 'd'ailleurs un état
mental
particulier : de tout temps il a été beau parle
te à la suggestion, et à l'hypnotisme. On hésite, à cause de l'état
mental
de M. A... à faire le diagnostic de paralysie g
t enracinée. Le pronostic des secondes se basera surtout sur l'état
mental
habituel du sujet, sur la concomitance d'autres s
luant isolément chez un sujet confiant en son médecin et sans tares
mentales
trop marquées, peut guérir, et guérit en effet
ue l'on doit examiner surtout avec le plus grand soin, c'est l'état
mental
du sujet, son passé pathologique, ses antécéden
ut naturellement de la crampe des écri- vains, en raison du travail
mental
qui intervient de la même façon dans ces deux m
UR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 211 la pensée par des signes l'acte
mental
est le même, ou du moins fort analogue à la mac
cessite un pareil tra- vail. Connaissant l'importance de ce facteur
mental
dans l'apparition des crampes professionnelles,
rs de cet acte ; il est donc possible que ce cas soit un torticolis
mental
et ne ren- tre pas dans les névroses coordinatr
ément de pronostic mauvais. Il faut tenir compte en outre de l'état
mental
du sujet : si le malade est un aboulique, un ps
es antécédents névropathiques héréditaires et personnels, ses tares
mentales
, ses défi- cits moraux ; il faut scruter sa vol
s de ses parents ; aucun événement ne lui échappe. , Les troubles
mentaux
consistent surtout en un délire de persécution po
e goitre re- monterait à moins d'un an. Les mois suivants, l'état
mental
de M... reste stationnaire.Par contre l'oedème
se lever,'disant qu'elle est perdue, qu'on l'a tuée. 22. Même état
mental
. Insomnie presque complète. Sous l'influence de
ne contiennent ni sucre, ni albumine. Dans la suite, mêmes troubles
mentaux
et physiques. A noter des crises de colère jour
côté droit sont légèrement contractures. Janvier 1908. - Même état
mental
; l'oedème des membres inférieurs a pris encore
encore ulcérée. Asthénie très prononcée. - Janvier 1909.- Même état
mental
; l'ulcération delà face dorsale du pied droit
z une femme ovarioto- misée apparaissent simultanément des troubles
mentaux
, un goitre avec altérations trophiques de la pe
rs. Quelques mois plus tard, le goitre disparaît, mais les troubles
mentaux
persistent, tandis que l'oedème des membres infér
res inférieurs atteint des proportions monstrueuses. Les troubles
mentaux
ne présentent rien de particulier; il s'agit de
fesseur de piano, par exemple d'un double surmenage muscu- laire et
mental
. Peut-être cependant serait-il sage d'interdire l
ydrothérapique, ou mieux hydrominérale. Le traitement psychique, ou
mental
comportera : 1" Dans certains cas très spéciaux
utilité même, presque indis- pensables, le traitement psychique, ou
mental
, devra être appliqué avec patience et méthode,
me ; d'une manière générale, la rééducation à la fois musculaire et
mentale
, c'est-à-dire la discipline psycho-motrice. .
ser à tour de rôle et à propos ces différentes sortes d'incitations
mentales
». La rééducation motrice, pour avoir des résul
tère électif si particulier, une participation constante du facteur
mental
. Il existe en effet un certain nombre d'observa
concomitance ou la succession de plusieurs névroses ; 3° Sur l'état
mental
du sujet ; 4° Sur Y ancienneté de la maladie.
tre le terrain toujours spécial avec ses lacunes et ses bizarreries
mentales
sur lequel évoluent ces névroses, et gagner peu à
e, l'exercice de professions qui exigent un surmenage musculaire et
mental
. Il con- viendra d'éviter avec soin toute intox
lle palogenesi degli spasmi fonzionali, Rivista di patol. nervosa e
mentale
, vol. I, fasc. 8, août 1896. 8. BENEDIKT. - Sur
p. 180. 19. - Bonnus. Crampe des écrivains, et torticolis d'origine
mentale
. Nouv. Icon. de la Salpêtrière, mars-avril 1905
Madrid, 1903. Brissaud ET FEINDEL. Sur le traitement du torticolis
mental
et des tics similaires. J. de Neurologie, 15 av
901, ne 102. 97. 111EIGE ET Feindel. Les associations du torticolis
mental
. Arch. gén. de méd., fév. 1902. 98. Meige. Ti
hebd. méd. et chir., 12 juin 1902. - Les péripéties d'un torticolis
mental
. N. Icon. Salp., novembre, 1907. Article du Tra
d'Argyll n'est pas évident. Rien aux viscères, pas d'autre trouble
mental
qu'un sentiment de contente- ment de soi-même t
ersiste rien des troubles respiratoires constatés la veille. L'état
mental
de la malade mérite d'attirer notre attention. El
systématisé, ni aucun symptôme d'une forme quelconque d'aliénation
mentale
. Il est en somme intellectuellement un infantil
'une ancienne syphilitique et rhumatisante atteinte d'une affection
mentale
. Schaikevilch a supposé une sclérose diffuse de
H. NOUET et L. TREPSAT. La démence précoce est une des affections
mentales
où les troubles physiques sont les plus accusés
vivant. Cet homme semble présenter un certain degré de déséquilibre
mental
. Il eut durant son existence plusieurs affectio
ue B... n'est pas atteint de varices des membres inférieurs. Etat
mental
. - B... présente uu affaiblissement intellectuel
nce des dernières épidémies rend nécessaire une modification fonda-
mentale
de l'opinion antérieure sur ce point. Wickman r
ou une tendance particulières ; il dénote dans tous les cas un état
mental
spécial. S'il est vrai que certains sujets c'
ouage sur la face ont toujours traversé à un moment donné une crise
mentale
aiguë pendant le cours de laquelle ils ont tenu
t toute la vie se passera en une longue suite d'attentats. L'examen
mental
ne décèle aucune lacune évidente ni dans la facul
re sur ses antécédents héréditaires ou personnels à cause de l'état
mental
de la malade, on doit donc seulement se content
e. La force dynamométrique ne peut pas être prise à cause de l'état
mental
de la malade. Fic, 4. DEUX CAS D'HYDROCÉPHA
.DSTEI ? Un cas de tumeur de l'hypophyse sans acromégalie, Troubles
mentaux
el sommeil pathologique. Journal de neurologie 19
hie. Inaug. Disserta Kiel, 1898. . H1RSCII. - Journ. of. nerv. and.
mental
disease, mai 1899. ,' v'P.11 ! &ES WEBER, -
On ne peut découvrir dans les antécédents héréditaires d'affections
mentales
, ni nerveuses. Th. W... fut dans son enfance vigo
en parfaite concordance avec mes théories mécanis- tes du processus
mental
. L'accord ou l'opposition entre les faits ne peu-
oyer des expressions différentes pour caractériser le développement
mental
des animaux et des hommes, et comme les termes
et que l'on peut écarter de sa mise en oeuvre tout élément d'ordre
mental
, toute intervention d'une spontanéité intellige
ui entrent en action sans aucune participation d'un élément d'ordre
mental
s'élabore sans aucune prévision des fins, c'est
se passent comme s'il y avait eu intervention d'un élément d'ordre
mental
. Dans les deux cas, le mouvement physico-chimique
utres paralysies infectieuses (par exemple sur la paralysie expéri-
mentale
observée par Gilbert et Lion consécutivement à l'
Phenomcnon, by G. L. Walton and W. E. Paul (Journal of nervous and
mental
Disease, June, 1900). 8° Ueber den normalen G
r 1901). 16o The Babinski Reflex, by Van Epps (Journal of nerv. and
mental
Disease, April 1901). 170 Osservazioni sui Ri
analogue à celle que j'ai émise sur la pathogénie du torticolis dit
mental
, à savoir que le spasme fonctionnel est peut-êt
hildren and their relation to hereditary syphilis » (The Journal of
Mental
Science, July 1900). Erb dit que ce signe lui p
spasme a été appliqué à des affections telles que le torticolis dit
mental
où la raideur musculaire est instable. Le qualifi
he deep réflexes of the lower extremities. foiirizal of nervous and
mental
diseases, 18gg, March), de Van Gehuchten (Un ca
complète ou presque complète TORTICOLIS SPASMODIQUE. - TORTICOLIS «
MENTAL
» 177 du vertige et des nausées. Six de mes dix
of aurai vertigo by lumbar punc- ture ». The Journal of nervous and
mental
Disease, sept. igi i, p. 5/)o) présente un trav
r C. J. Blake et par lui-même. TORTICOLIS SPASMODIQUE. TORTICOLIS «
MENTAL
» Pathogénie. La plupart des neurologistes on
du torticolis spasmodique qui, d'après cet auteur, serait d'origine
mentale
. J'ai observé des faits qui semblent en opposit
reproduisait exactement le tableau symptomatique du torticolis dit
mental
. Or, tandis que le BABINSKI. 12 a 178 TORTICO
que le BABINSKI. 12 a 178 TORTICOLIS SPASMODIQUE. - TORTICOLIS «
MENTAL
» réflexe cutané plantaire était normal à droit
a tête avec la main, comme cela est la règle dans le torticolis dit
mental
. Ce qui faisait sortir ce fait de la banalité,
surréflectivité tendineuse est contraire à l'hypothèse d'un trouble
mental
et cadre avec celle d'une affection organique.
d'observer plusieurs autres sujets chez lesquels à un torticolis «
mental
» était associée l'extension réflexe du gros or
es. Il serait permis de sup- TORTICOLIS SPASMODIQUE. - TORTICOLIS «
MENTAL
» 179 poser qu'elle occupe une région des centr
tion des réflexes tendineux apparaissant au cours du torti- colis «
mental
» signifierait que la lésion n'est pas restée can
oigneusement étudiés, cherche à établir un lien entre le torticolis
mental
et la maladie de Friedreich ; c'est là une concep
tonique ensuite, rappelant les récentes descriptions du torticolis
mental
et, comme lui, corrigé par le signe du doigt»,
nos spasmodiques, ce torticolis spasmodique semblable au torticolis
mental
et de conclure, sinon à leur identité complète
vue de la clinique. Nous voyons donc qu'en présence d'un torticolis
mental
, l'attention doit être attirée vers la possibilit
Beduschi et Bossi ont publié sur « la Pathogénie du Torticolis dit
mental
» un travail analysé dans la Revue neurologique
rticolis spasmodique ayant les caractères clini- ques du torticolis
mental
et dont les réflexes tendineux étaient exagérés s
ient exagérés surtout à gauche. Ils concluent que le torticolis dit
mental
n'est pas l'expression d'un trouble psychique,
'être réellement efficace. 180 TORTICOLIS SPASMODIQUE. TORTICOLIS «
MENTAL
» J'ai rapporté, en 1907, une observation établ
'ont conduit à lui en opposer une autre, sur certains points fonda-
mentaux
, toute nouvelle. L'étude comparative des paraly
re réfractaires au traitement chez un sujet atteint d'une affection
mentale
telle que l'hébéphrénie. Le deuxième groupe com
s malades, à la manière d'un trouble organique, sans représentation
mentale
préalable ; Bernheim lui-même admettait la poss
PITII1AT1SME 207 lluence d'une émotion' sans aucune représentation
mentale
préalable, automatiquement, à la manière d'une
'on peut opposer à la fixité, à 1 invariabilité des autres maladies
mentales
. Cette mutabilité s'expli- que quand on sait qu
aru de notre clinique hospitalière, pour se réduire à un substratum
mental
sur lequel l'avis des plus compétents que moi est
t 43. Section de la branche externe du spinal dans le torticolis dit
mental
(Société de Neurologie, 7 novembre 1907). 13m
tionnels 172 Traitement 1 73 Torticolis spasmodique. Torticolis «
mental
» 177 Pathogénie 177 î Traitement 17g Choré
ESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DES MALADIES
MENTALES
DES MALADIES CUTANÉES ET DU SYSTÈME NERVEUX . S
t incomplète-1 ment à la lumière. Le 16, l'amélioration de l'état
mental
est très notable, le malade a conscienci, SURDI
d'un faisceau de Turck, disposé à la périphérie du faisceau fonda-
mental
du cordon antéro-latéral. Le faisceau cérébello-s
ge la partie antérieure de la moelle épinière, les faisceaux fonda-
mentaux
du cordon antéro-latéral. Oulre cela, il faut rem
s on trouve une histoire familiale de crises nerveuses, de troubles
mentaux
, de paralysie, etc. Le nervosisme et l'arthriti
paralysie localisée et notamment d'aphasie. L'étude des troubles
mentaux
présente aussi, dans cette observation, quelque
et, il semble bien résulter de la statistique comparée des troubles
mentaux
, au cours des lésions encéphaliques, que c'est
ttre que notre malade n'était, par son hérédité, ni un déséquilibré
mental
, ni un prédisposé aux réactions psychopathiques
intellectualité spontanée et l'activité volontaire. Cette déchéance
mentale
s'est lentement affirmée au milieu d'un état gé
hors de ces symptômes, la véritable caractéristique de l'altération
mentale
, chez notre malade, a été un état que l'on renc
ts. Ce n'est qu'à la période terminale de l'affection que leur état
mental
ne peut plus être distingué de celui de la démenc
de celui de la démence. Une autre caractéristique de la pathologie
mentale
des tumeurs encé- phaliques, qui ne faisait pas
t au malade d'exécuter facilement, malgré sa cécité et son obtusion
mentale
, tous les actes de la vie ordinaire, les al- lé
spontanée, de l'attention et de l'activité volontaire ; puérilisme
mental
; intégrité remarquable du sens de l'orien- tat
y, Anatomie pathologique, 1856, t. Il. (2) Rorertson, l'alhology of
mental
diseases, Edinburg, 1900. 194 DUPRÉ ET DEVAUX
la patologia della cellule nervose, Rivista di pathologia nervosa e
mentale
, 1896. (3) MAnE&co, Des ! ons p)'tM ! <
cellules dans l'urémie expérimentale, Riv. di pathologia nervosa e
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, 1896. (5) Ossipopp, Influence de l'intoxicatio
, The nerve éléments in lzealllz. an diseuses.. Journal ol'nervous an
mental
diseases, 1896. (4) Marinesco, Compt. rénd.So
lla palologia délia cellula nervosa. Rivista di patologia nervosa e
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, 1896. (3) Canal, Revue trimestrielle de microg
ralbl., 1889, 155 The healcentre in the brain. Journ. of. nerv. and
mental
disease, 1887. The thermo- izzlzibilory, Appara
Brain, 1889. The funetiqn o/'luber cinereum. Journ. of. nerv. and.
mental
, dis. 1861. Vaso-tonic centres in the thalami.
ospection somatique, dans les autres par une introspection purement
mentale
, enfin dans la dernière catégorie par l'analyse d
ans la description et l'analyse de l'histoire clinique et de l'état
mental
de la malade nous chercherons à définir le sens e
le sens et la valeur psycliologique du mécanisme de l'introspection
mentale
. II Résumé DE l'observation. Depuis la jeunes
ions d'association et les causes de production des différents actes
mentaux
, qui s'imposent contre son gré à sa conscience,
ré, dont nous lui sommes reconnaissants. DÉLIRE par introspection
mentale
239 Observation. L... Maria, 43 ans. - Le pèr
t qu'elle ne leur obéissait pas immédiate- DÉLIRE PAR INTROSPECTION
MENTALE
241 ment, elle regrettait plus tard pendant lon
lleurs très bien avec son caractère habituel. Cette in- trospection
mentale
l'abstrait et lui fait oublier le monde extérieur
coupable. En un mot L... cherche à analyser et à expliquer son état
mental
. Elle cherche à distinguer des actes ou des pensé
e. Elle se figure également qu'elle a pris DÉLIRE PAR INTROSPECTION
MENTALE
243 500 francs à sa soeur, puis elle se demande
» Voici encore une autre phrase d'elle qui précise bien son trouble
mental
et sa manière intellectuelle de réagir. « Je suis
ort très éloigné avec l'objet actuel de la DÉLIRE PAR INTROSPECTION
MENTALE
243 pensée s'y attache. Et à chaque réminiscenc
le champ de la conscience. Après une analyse minutieuse de son état
mental
, elle leur trouve une origine en dehors de sa vol
semblent commander les actions du sujet et DÉLIRE PAR INTROSPECTION
MENTALE
247 que L... rapporte à une personnalité plus o
malade il semble qu'il s'agit le plus souvent d'images vi- suelles
mentales
; si dans certains cas, la malade présente ce qu'
elles véritables, il n'est pas moins vrai que les représenta- tions
mentales
visuelles existent concurremment et c'est d'elles
naturel d'appliquer à ce qui n'est en réalité que repré- sentations
mentales
toutes intérieures à peine extériorisées pour la
ui semblent des pensées ou des désirs coupables. Cette introduction
mentale
l'amène à dé- couvrir des associations d'idées
1 reste encore à préciser la question du rapport de l'introspection
mentale
avec l'existence probable, tantôt d'idées de pe
en sont la genèse. En vérité il ne s'agit là que d'une instabilité
mentale
, timidement dirigée par une introspection psych
qu'en tant qu'acte et activité intellectuelle ; ce sont des images
mentales
, leur combinaison ainsi que le jeu fantasti- qu
e fin de pren- dre connaissance de la nature qualitative des images
mentales
et du pour- quoi de leurs combinaisons. Nous
ment dans ses incursions inlrospectives et DÉLIRE PAR INTROSPECTION
MENTALE
249 constitue à vrai dire la genèse morbide de
LE 249 constitue à vrai dire la genèse morbide de son introspection
mentale
. Car elle l'alimente sans cesse, lui fournit de
de ce qui se passe en elle-même, notre malade jouit d'une activité
mentale
qui ressemble par certains côtés au doute' méth
par les impressions psy- chiques qu'ils ont provoquées dans sa vie
mentale
la seule qui l'occupe et la captive. On essaye
n raison des émotions que les paroles peuvent évoquer dans son état
mental
, toujours absorbé par une intro- spection conti
d'employer ici cette figure littéraire qui évoque pourtant un état
mental
sur lequel on s'entend clairement). L... regarde
end clairement). L... regarde dans tou- tes ses phases son activité
mentale
non seulement parce que cette activité constitu
ncore une fois la valeur considérable que joue, dans notre synthèse
mentale
, l'introspection. Grâce à l'introspection nous
du point de départ et de la fin. Dans un délire par introspection
mentale
morbide le sujet, bien que dirigeant toute son
es et ne garde que rarement une conscience précise de sa syn- thèse
mentale
et des modalités de sa pensée ; son moi se confon
ond même. avec le caprice des associations d'idées et de l'activité
mentale
en elle-même. La malade en somme se substitue à
uver qu'une introspection exagérée ne convient pas à toute activité
mentale
. Lorsque cette dernière manque de ressources, s
'étudier est normal » et de l'autre, que les fouilles de l'activité
mentale
, l'introspection en un mot sont inutiles et souve
le faisceau cérébelleux qui est placé en dehors. Le faisceau fonda-
mental
du cordon antérieur passe dans le faisceau longit
ltiples autres stigmates anatomiques de dégénérescence, de troubles
mentaux
spéciaux aux dégénérés, vient justifier cette in-
a un simple sursaut, mais ce spasme insignifiant suscite un trouble
mental
très particulier. W... trouve il ce phénomène u
e qu'il voit, il peut s'appliquer à ce qu'il fait. Les seules tares
mentales
à rapprocher de celle-ci sont l'hémo- phobie dé
ans la fatigue (L'année psychologique, 1901, p. 69). -Elude expéri-
mentale
sur l'influence des excitations agréables et des
un lumore de lobo frontale sinislro. Rivista di Patologia nervosa e
mentale
, mars 1900. TUMEUR CÉRÉBRALE 357 7 Après avoi
à côté de la dépression et de la diminution intellectuelles un état
mental
par- ticulier, qui constitue leur notepsychopat
d' obnubilation intellectuelle auquel, peut s'ajouter du puérilisme
mental
. , 1 II. - Les endothéliomes des méninges peuve
i de zones hystérogénes. L'état de X... a peu varié au point de vue
mental
depuis son entrée à l'asile de Lafond; elle cau
s professionnelles, par TH. SAVILL, 149. Délire par introspection
mentale
, par VASCIIIDE et Vurpas, 238. Démoniaques (L
otocollogr.), 213. Vaschide et Vurpas. Délire par introspec- tion
mentale
, 238. Vaschide N. et CLAUDE VURPAS. Structure
l- logr.), 388. Vuaras et VAsciiiDE. Délire par introspec- tion
mentale
, 238. VURPAS et V ASCHIDE, Structure anatomique
nt tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES
MENTALES
ET NERVEUSES Rédacteur en Chef : Docteur Edgar
ier favorablement, sous son influence, leur état général et leur état
mental
. Nous voudrions aussi qu'on nous indiquât un trai
manche, à neuf heures et demie, ses leçons cliniques sur les Maladies
mentales
. M. Voisin fait, pendant le cours, un certain n
pratiques de l'application de l'hypnotisme au traitement des maladies
mentales
. cours. — M. le Dr Léglas a commencé un cours c
ours. — M. le Dr Léglas a commencé un cours clinique sur les Maladies
mentales
. Ce cours a lieu tous les vendredis, à la Salpêtr
de l'hypnotisme est. dans un grand nombre de ca«, nuisible à la santé
mentale
des sujets. Le Conseil municipal, conformément à
. Baillière, Paris, 1891, I fr. — Une nouvelle clinique de maladies
mentales
et nerveuses vient d'être inaugurée à Balle. —
orps 188 kil. Il serait Intéressant de connaître les particularités
mentales
que ne peut manquer de présenter un tel sujet.
hérapeutique, lOjanv. 1891). Fouillée (Alfred). — Ia Physique tl le
Mental
, à propos de Chypnolisme. (Rerue des Deux-Monde
issance de beaucoup d'autres — et j'écrivais que : Les préoccupations
mentales
des parents, rejaillissent sur les produits de la
possibles, auxquelles donnent toujours lieu l'état psychique ou Tétai
mental
du malade. De même qu'il n'y a pas d'action sans
les détenus qui fournissent des signes vrais ou simulés d'aliénation
mentale
. Avant même que la chose ne fût complètement élab
érapie, Par M. le Dr DE JONG, médecin spéciali*t» pour les maladies
mentales
et nerveuses, à la Haye (Hollande). Monsieur
'ai obtenus. Eu ma qualité de médecin spécialiste pour les maladies
mentales
et nerveuses, il n'est pas besoin de dire que la
. * La malade descendait d'une famille où les maladies nerveuses ou
mentales
étaient absolument inconnues, n'accusait pas le m
du cerveau qui laisse des suites fâcheuses, une véritable aliénation
mentale
. Les quelques résultats thérapeutiques qu'on peut
qué. Dira-t-on que le sommeil, c'est de l'hystérie ou de l'aliénation
mentale
? Les rêves du sommeil que nous avons tous, les i
sultai. J'avais entretenu, l'année dernière, le Congrès de Médecine
mentale
de Rouen d'essais que j'avais entrepris avec le c
en faussaire... Il n'est pas prudent d'exhiber cette névrose experi-«
mentale
devant le peuple déjà trop impressionnable de not
,0) el en Italie (1/7) qu'en Autriche et en Allemagne. Les aflections
mentales
représentent de 1/5 à 1/2: de l'ensemble. Influ
ymptômes plus ou moins prononcés d'une véritable maladie cérébrale et
mentale
; ici l'intervention de l'expert médical se justif
son effet à activer l'assimilation du médicament, à améliorer l'état
mental
et l'étal général du malade ; elle a aussi manife
tion que j'ai faite de concert avec M. Harant, au Congres de médecine
mentale
de Rouen, en août 1890, et dont les conclusions é
ment les conclusions que nous avons présentées au Congrès de médecine
mentale
de Rouen. Dr Auguste Voisin, Harant, Médecin
de personnes compétenles, n'expose le sujet à aucun danger physique,
mental
ni moral; l'intelligence, la santé et les faculté
'intempérance, la paralysie de la langue, le sciatique, la dépression
mentale
, la faiblesse ou la perte de l'appétit, l'hystéri
Anne. — M. le professeur Bail fait son cours de clinique des maladies
mentales
,à l'asile Sainte-Anne, les dimanches et les jeudi
(Union médicale du Nord-Est, 6.) Dagoxet (II.). — « L'aliénation
mentale
chez les dégénérés psychiques »- (Ann. méd.-psych
érielles dans lesquelles nous nous trouvons. Il n'y a pas d'opération
mentale
plus délicate que celle de la mesure rétrospectiv
me des conceptions délirantes. C'est à la longue seulement que l'état
mental
pcul être atteint et des troubles dans la sphère
bunal de première instance de la Seine, M. M..., pour examiner l'état
mental
d'une nommée B..., inculpée de vol. Cette femme
du système nerveux .- M. Déjerine, mercredi, à 10 heares. — Maladies
mentales
: M. Charponiier. mercredi, à 8 heures 1/2. — Mal
urnir aucun renseignement sur leur état psychique, sur leurs facultés
mentales
, leur degré d'intelligence, etc. Bien des fois je
demander si ces gens-là jouissaient de la plénitude de leurs facultés
mentales
, ou au moins si leur intelligence n'était pas atr
et Jules Voisin font, à la Salpétrière, des leçons sur les maladies
mentales
et nerveuses, le jeudi à neuf heures et demie.
l'influence des périodes menstruelles, et la perturbation nervo;0-
mentale
, limitée d'abord à ces périodes, s'étend peu à pe
rique, et non hallucinatoire, offre toutes les formes de l'aliénation
mentale
ordinaire, mais elle emprunte quelques caractères
que le mot psychiatrie n'implique pas seulement l'étude des maladies
mentales
. Si l'on s'en rapporte à son étymo-logie \r-jXr„
au de l'articulation de la hanche gauche. En môme temps, des troubles
mentaux
sont apparus. Son sommeil est lrouble depuis ce m
e nient! L'Académie affirme que l'hypnotisme affaiblit les facultés
mentales
et les détruit; l'école de Nancy pose le principe
n* siècle, par M. 'e D' Paul Ladaïïb. étude HISTORIQUE db ïtBDECINB
MENTALE
Il y a tantôt vingt-cinq ans, jeune médecin, ex
Or, cette immobilité forcée produisit un effet surprenant sur l'état
mental
de notre malade, qui fut prise pendant les derniè
tenue si longtemps possédée. Une telle interprétation des maladies
mentales
, encore très répandue de nos jours dans les campa
s on n'en continua pas moins à croire généralement que les affections
mentales
étaient d'origine divine ou démoniaque. Pendant d
s causes mystérieuses des manifestations extraordinaires des maladies
mentales
et nerveuses qui se propageaient surtout dans les
é enlevée par des suggestions, mais je crois que beaucoup de troubles
mentaux
, effets de chagrins et de soucis qui réagissent s
ta fatalité de ta pierre oui tombe C'est absolument le même mécanisme
mental
qui produit, dans d'autres étals psychologiques,
malheureux, qui allait à pas de géant dans le chemin de l'aliénation
mentale
. Ce cas s'est passé il y a près d'un au, et l'i
— Rapporteurs : Dr de Rote, vice-président de la Société de Médecine
mentale
de Belgique; Dr professeur Mendel, a Berlin; Dr H
vantaient de réussir sur leurs sujets toute expérience de suggestion
mentale
. Ces expériences nous laissent encore sceptique
L'imitation peut aussi être morbide. Elle agit alors sur les facultés
mentales
troublées, répand les illusions, les sentiments e
instincts, pour produire les grandes névroses, les grandes épidémies
mentales
, les crimes. Pourtant, Hun* les foules criminel
. XIIII n- 1, 1892.) Longbois. — Contribution à l'étude de l'étal
mental
de» hystériques ». (Ânn. d'IIyg. et de Méd. légal
t sous forme de suggestion qu'on l'applique à la cure des aliénations
mentales
et à l'éducation des enfants vicieux et dégénérés
ssession, il faudrait passer en revue toute la pathologie nerveuse et
mentale
, car on trouve sous le nom de démoniaque des mala
ues. La suggestion de la paralysie s'élabore pendant l'étourdissement
mental
causé par l'accident, lorsqu'arrivenl au cerveau
hez les aliénés, et qui s'observe dans différentes formes de maladies
mentales
, a été appelé le langage intérieur, les voix épig
ion Bambuteau, à la Salpétrière, une série de leçons sur les maladies
mentales
et nerveuses. Plusieurs leçons seront consacrée
st destinée à des essais de traitement de certains cas d'aliénation
mentale
. La quatrième est réservée pour un aménagement
ueuse du larynx et des cordes vocales. Etat psychique. Les facultés
mentales
sont très rudimentaires. Amelina F... passe sa
ujours le même. Dans le n° 51 du Bulletin de la Société de médecine
mentale
de Belgique (1888), M. le D'' G. CousoT a publi
ps,ljch., 1857, p. 598.) Voir aussi : Langdon Down. On some of llre
mental
affections of Childhood and 1-outh, etc. London
t sur le système nerveux des générateurs, peuvent influencer l'état
mental
du produit. C'est ainsi que nous avons relevé c
: PERVERSION DES INSTINCTS. V. Imbécillité légère. Instabilité
mentale
avec perversion des instincts et impul- sions
u'à douze ans. - A/Tét de développement intellectuel. - Instabilité
mentale
. - Lymphatisme,' salacité. - Idées de moquerie.
au point de vue de la pro- duction de l'idiotie. (B.) INSTABILITÉ
MENTALE
. 63 cessa d'uriner au lit ou dans son pantalon,
un peu plus foncés. Le corps est complètement glabre. INSTABILITÉ
MENTALE
; SODOMIE. 6§ Organes génitaux et puberté. Poils
eu douloureuse. Langue saburrale. Rien à l'auscultation INSTABILITÉ
MENTALE
; SYPHILIS. 67 1 de la poitrine. Soif, anorexie,
chez son père, mais est revenu spontanément â l;ic8lre. INSTABILITÉ
MENTALE
; IMPULSIONS GÉNITALES. 69 2o juillet. Refuse d
l.) (janvier 1886). Au dynamomètre 55 des deux côtés. INSTABILITÉ
MENTALE
. 71 1886. 10 janvier.- C... avoue avoir volé 25
quée d'épilepsie; du côté maternel, le ne ? vosisme et l'aliénation
mentale
. Notons aussi la mort par convulsions de plusie
nt trop fréquente et qui n'a d'autre résultat que d'aggraver l'état
mental
. IV. Placé à quatorze ans en apprentissage, son
tal. IV. Placé à quatorze ans en apprentissage, son instabi- lité
mentale
devint de plus en plus évidente : il fut renvoyé
t essaya d'avoir des rapports i 6 IMBÉCILLITÉ LÉGÈRE ET INSTABILITÉ
MENTALE
. avec des petites filles, puis il excita les au
d'éloigner plutôt les jeunes médecins de la spécialité des maladies
mentales
. Mais cette oligarchie médicale existe dès main
qu'on pourrait peut-être, dans l'in- térêt de l'élude des maladies
mentales
dans les Facultés de pro- vince, organiser au s
; nécessité de relever l'enseignement scientifique de la méde- cine
mentale
à Paris et d'avoir dans les asiles d'aliénés un p
ie interne ou externe ; 6) une question portant sur la pathologie
mentale
et la médecine légale des aliénés. La Commissio
compte si les candidats avaient étudié non seulement la pathologie
mentale
, mais encore et surtout la clinique mentale.
seulement la pathologie mentale, mais encore et surtout la clinique
mentale
. 86 APPENDICE. Tel est, monsieur le Ministre,
sa façon de penser et d'agir, on voit bien le cachet de sa débilité
mentale
. A l'occasion de quelque petite contrariété, il
équilibre de son esprit. Ceci posé, continuons l'examen de son état
mental
. L'idéation est limitée au cercle restreint des
. GIGANTISME, INFANTILISME ET ACROMÉGALIE 17 Un trait de son état
mental
, c'est encore la bouderie. J'arrive un matin, c
associée à sa conformation corporelle, aussi bien que par son état
mental
, José Lopes est un géant infantile. Est-ce auss
ntile, constituée par la fusion des caractères de la dégénérescence
mentale
avec caractères de l'infantilisme du type Bris-
t de Haberkant (31) qui, dans un cas d'ostéo- malacie avec troubles
mentaux
, trouva des altérations très évidentes du corps
CII ! XI. - Ricambio matericcle ne morbo di Basedow. Rivisla speri-
mentale
di freniatria, 1907. 64. Scholz. - Klinische un
glitrallicon iniezioni di ipofisi. Ht- vista di patologia nervosa e
mentale
, Fasc. 8, 191P. 129. Tahulli e Lomonaco. - Rech
ion puerpé- rale. Il n'y a dans la famille ni maladies nerveuses ou
mentales
, ni alcoolisme, ni difformités quelconques. Le
es à la Société de Psychiatrie et à la Societé clinique de Médecine
mentale
. Nous avons eu l'occasion d'observer quelques c
admettons, en général, dans une division étiolo- gique des maladies
mentales
: c'est-à-dire que, contrairement à la psychose
i confabulent (obs. I, Il, III) n'ont pas l'indifférence, l'inertie
mentale
ordinaire aux déments séniles. Cette autre mala
on de la communication de MM. Brissot et Hamel. Société de clinique
mentale
, 18 juillet 1910. O. (2) Trenel et LI8EIIT, Par
sie générale sénile el piesbyophrénie. Société clinique de médecine
mentale
, 18 juillet 1910. (3) Klippel et TnENAurAY, Rev
le syndrome s'ef. face d'ordinaire progressivement quand l'activité
mentale
, trop profondé- ment déchue, ne peut plus faire
èrent des masses graisseuses douloureuses et plus tard des troubles
mentaux
. Le Meignen et Levesque (10) ont relevé (1) Der
apparurent ensuite et cette fois-ci s'accom- pagnèrent de symptômes
mentaux
des plus pénibles. -J. est très déprimé; il s'a
à l'asile d'Amiens le 17 juin 1910, avec le diagnostic : confusion
mentale
hallucinatoire et aphasie. Ce que l'on connaît
prenez le porte-plume, etc...; ce qui prouve que, malgré le trouble
mental
et l'aphasie motrice, il entend la significatio
des sphincters. Ce malade présente donc le syndrome de confusion
mentale
avec accès hal- lucinatoires pantophobiques, hé
, la perte de substance est complètement réparée. Au point de vue
mental
, le malade est dans le même état de confusion. So
vertiges sans troubles de la vue, de l'ouïe, de la parole, de l'état
mental
. Jamais de paralysies. Néphrite chronique envir
ns ayant présenté des signes d'hypertension cérébrale avec troubles
mentaux
les 15 der- niers jours, ne trouve pas de tumeu
gite chronique de la moelle, surtout il) tlorrc, Jour, of nerv. and
mental
diseasp, t. 34, p. 91. (2) Mocquin, Iconographi
it une tentative d'homicide contre sa mère. Onanisme. Ins- tabilité
mentale
. » Il est transféré à Vaucluse, où le Dr Legrai
aurait maigri d'une vingtaine de kilos depuis le début des troubles
mentaux
en septembre. 16 décembre 1908. -- Entre dans l
s'espacent et cessent complètement. En résumé, début des troubles
mentaux
à l'âge de 17 ans. De juillet à septembre 1891,
e d'une légère intervention chirurgicale, réapparition des troubles
mentaux
, d'aspect catatonique, qui nécessitent l'intern
ien de caractéristique et peuvent se rencontrer dans des affections
mentales
diverses.C'est un fait clinique sur lequel nous a
nce n'est qu'un des éléments essentiels des affections nerveuses et
mentales
en général, et qu'on n'y trouve aucune des cond
onditions requises pour créer une variété particulière d'aliénation
mentale
; tout en admettant une folie intermitente, telle
nts, comme ceux de Urstein (2), de (1) Morel, 1', aité des maladies
mentales
(p. 473 et suiv.). (2) Urstein, Die Dementia pr
êmes processus que chez les sujets atteints de différentes maladies
mentales
. Si l'on s'attend à trouver une fonction, il fa
ologia del cellule dei gangli sensilim, Riv. di Patologia ner- vosa
mentale
, 1900. (3) Athias, La vacuole des cellules des
ts différent de celui qu'on observe dans la rage humaine ou expéri-
mentale
. La seule présence de nodules analogues aux nodul
nt lorsque nous avons voulu l'exa- miner ce fut d'une part son état
mental
bien particulier, d'autre part les di- mensions
gauche était à la fois plus gros et plus court que le droit. Etat
mental
. - Notre malade n'est pas seulement un homme aux
ment un déséquilibré physique ; mais il .est encore un déséquilibré
mental
. Il aime jouera des jeux d'enfants ; à l'hôpita
ur la. même cause, on n'a pas pu examiner le fond de l'oeil. Etat
mental
. - Le malade est arrivé à l'hôpital dans un état
n-existence d'une classifica- tion généralement admise des maladies
mentales
, d'autre ! part à : cause de la description sou
, 2 fois en tout (Lynn-Thomas, Haskovec). La fréquence des maladies
mentales
au cours de l'acromégalie nous amène à conclure
ek., 1908. 7. Chauffard. Revue neurolog., 1895. 8. BRUNET. - Etal
mental
des acromégaliques. Thèse de Paris, 1899. 9. Ba
achondroplasique, et Cbaumier et Taty ont constaté de la confusion
mentale
. Notre sujet présentait une intelligence plutôt a
Sal- pêtrière, sept. 1907, p. 390. CHAULER et TATY. - Conretsimt
mentale
chez un achondroplasique, glycosurie, acelo- nu
uses à son sujet. Bien des auteurs estiment avec Souques que l'état
mental
de ce genre de malade n'a rien de spécial ; ce
notre connaissance, le seul qui soit uniquement con- sacré à l'état
mental
des achondroplasiques, insiste particulièrement s
ressemblance de plus avec les instables moraux. Pour Lauze cet état
mental
est la conséquence d'une hypersé- crétion de la
(2) Lauze, De l'achondroplasie spécialement eludiée au point de vue
mental
. Thèse de Paris, 1910, no 33S. xxiv 25 38(5
onnaissent que notre conformation physique rejaillit sur notre état
mental
. Il est même tel état pathologique où l'altérat
que pour l'achondroplasie, l'intelligence est conservée mais l'état
mental
est atteint : en apparence apathique, lesparkin
r s'il << s'agit bien là, comme on l'a prétendu, d'un trouble
mental
et s'il ne suffirait pas d'y voir la conséquenc
ns la maladie de Parkinson, in Gilbert Ballet, Traité de pathologie
mentale
, p. 873. (2) Regnault, La forme du corps chez l
vacité d'esprit, et que pour eux jamais on n'a parlé d'altéra- tion
mentale
? Il est bien possible] aussi/que ce ne soit pas
ques particularités qui militent plutôt en faveur de leur intégrité
mentale
. Pour parler encore des bouffons de rois, il es
les troubles observés chez les idiots. Dans le traité des maladies
mentales
de Gilbert Ballet, on trouve la photographie d'
attirer surtout pour des choses qu'elle ne connaît pas. Son état
mental
a quelque chose d'infantile. Quand nous nous appr
réponses du tout, ou seulement après beaucoup d'insistance. Calcul
mental
assez médiocre pour de petits chiffres, devient
ucarest). Ici, ajoute-t-il, on soigne des malades pour l'aliénation
mentale
et pour insu- bordination, mais jusqu'à présent
dans le quatrième banc. » Il ne retient pas ce qu'il lit. Le calcul
mental
pour les nombres d'un seul chiffre est assez bon,
des seins, constituant un certain degré de féminisme. Les troubles
mentaux
sont rarement très marqués : ils résultent le plu
s l'urine; la prostate n'a pas été perceptible au toucher. L'étal
mental
est très modifié : a) On constate des troubles de
ion des cas de simulation, sans intérêt véritable, par per- version
mentale
. J'envisagerai seulement les faits où ces deux
iser ; sans compter les enfants et les malades atteints de troubles
mentaux
, qui s'insurgent contre l'examen et l'entravent e
e « spasmes ». Il en est ainsi, par exemple, dans le torticolis dit
mental
, qu'on a aussi appelé « spasme fonctionnel du c
système nerveux central. VII CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES TROUBLES
MENTAUX
DANS L'HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE ClsllL5l31aLL' (.
séance du 1 1 juin r, rl. : désire attirer l'attention sur un trouble
mental
que j'ai eu l'occasion j d'observer dans l'hémi
it pas compte de sa paralysie. Mais elle présentait de la confusion
mentale
. « La désorientation dans le temps et l'espace es
, en diffèrent sensiblement. Les fonctions psychiques, que TROUBLES
MENTAUX
DANS L'HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 113 je n'ai pas eu
es qui m'ont été fournis, je puis dire qu'il n'y avait ni confusion
mentale
, ni fabulation, ni hallucinations. Une des ma
parfois de douleurs à l'épaule gauche. J'ajoute que des désordres
mentaux
graves apparurent ultérieurement et que la mala
cbildren and their relation tohere- ditary syphilis, The Journal of
Mental
Science, July igoo. (t) Gur Friihdiagnose der T
énuer ou de supprimer la céphalée, les vomissements et les troubles
mentaux
, et quand elle est faite en temps opportun, de pr
pe fonctionnelle du cou, de tor- ticolis spasmodique, de torticolis
mental
. Il n'est pas rare, du reste, que le spasme du
perkinésie du spinal, de spasme fonctionnel du cou ou de torticolis
mental
, En me fondant sur l'existence, au membre infér
onduit à émettre cette idée que le spasme du cou ou torticolis, dit
mental
, est lié, au moins dans certains cas, à une irr
du cou ayant les caractères du torticolis que M. Brissaud appelle «
mental
». Or, chez cette malade, M. Destarac a constat
à tous égards comme un homme parfaitement équilibré au point de vue
mental
. Tous les réflexes sont normaux et pareils des
e me semble ne pouvoir être qu'un trouble consécutif à un phénomène
mental
». Tel n'est pas mon avis ni en ce qui concerne
avez devant les yeux. Je ne crois pas que ce spasme soit d'origine
mentale
, qu'il dépende de la volonté. Je ferai d'abord
action n'est que modérée et transi- toire. Enfin, un simple trouble
mental
peut-il amener une irritation du système pyrami
je crois que les phénomènes spasmodiques ne sont pas ici d'origine
mentale
, qu'ils sont consécutifs à une irritation du sy
à tous, du moins à certains cas de spasme du cou, de torticolis dit
mental
. TORTICOLIS SPASMODIQUE. TORTICOLIS « MENTAL
u, de torticolis dit mental. TORTICOLIS SPASMODIQUE. TORTICOLIS «
MENTAL
n. PATHOGÉNIE ? ) Depuis igoi, j'ai eu l'occasi
d'observer encore plusieurs sujets chez lesquels à un torticolis «
mental
» était associée l'extension réflexe du gros or
ation des réflexes tendineux, apparaissant au cours du torticolis «
mental
», signi- fierait que la lésion n'est pas resté
rticolis spasmodique, - ayant tous les caractères du torticolis dit
mental
, qui s'est notable- ment atténué depuis lors. O
té médicale des Hôpitaux), ont rapporté des cas de torti- colis dit
mental
, dans lesquels il existait des altérations osseus
un torticolis ayant tous les caractères cliniques du torticolis dit
mental
, d'autre part, de mouvements spasmodiques du me
e l'opinion qu'il a soutenue, et d'après laquelle le torticolis dit
mental
peut être sous la dépendance d'une affection or
ologie il y a trois ans (') une malade atteinte d'un torticolis dit
mental
, qui, après avoir été traitée sans succès par l
il est vrai, à l'appui de leur manière de voir, la nature prétendue
mentale
de cette affection, idée qui jadis était généra
n, elle arrive à compter facilement, à dire le résultat d'un calcul
mental
, à réci- ter une fable entière d'une manière co
n pourrait se demander si l'on n'est pas en pré- sence d'un trouble
mental
. Ne s'agirait-il pas là d'une idée délirante, de
grands efforts ('). » Ce malade d'ailleurs était au point de vue
mental
tout à fait normal. Ajoutons à cela que les car
se convaincre que cette perturbation n'est pas liée à une affection
mentale
; le malade, en effet, à la jouissance complète de
halée et les autres symptômes sus-énumérés persistent, les troubles
mentaux
augmentent encore d'in- tensité, et la faculté
trouvent à son entrée à l'hôpital, mais, en raison de la dépression
mentale
de la malade, il est impossible d'ajouter compl
ires (hémiplégie, paralysie faciale, paralysie de la langue, troubles
mentaux
) à la névrite rétro-bulbaire. Ce qui rend ce
rmettant d'affirmer qu'il n'est pas sous la dépendance d'un trouble
mental
, psychique. Quelle en est la cause ? Il est fac
? On peut dire que ces divers troubles sont purement fonctionnels,
mentaux
, qu'ils sont susceptibles d'être provoqués par de
retentissent pas gravement sur la nutrition générale et sur l'état
mental
des malades qui en sont atteints. Mais est-on e
iste, en effet, bien d'autres affections qui sont fonction- nelles,
mentales
. L'hystérie n'est pas seule susceptible d'être pr
ons morales peuvent exercer une influence sur la genèse de troubles
mentaux
indépendants de l'hystérie, elles sont même cap
retentissent pas gravement sur la nutrition générale et sur l'état
mental
des malades ; la neurasthénie peut durer des anné
t de vue nosographique, car, parmi les affections névropathiques et
mentales
, il n'y en a pas une autre de laquelle on puisse
même en droit de dire que l'hystérie ainsi définie est l'affection
mentale
qu'il importe le plus au point de vue du traiteme
sciatiques. L'hystérie serait capable de donner lieu à des troubles
mentaux
qui deviendraient parfois des plus graves et co
ite en détail dans le Traité, si justement appré- cié, des maladies
mentales
de Morel. L'appareil de la vision est considéré
es les modifications corporelles provoquées par des représentations
mentales
. On n'a pas là les éléments d'une définition, c
de troubles corporels ne sont-elles pas dues à des représentations
mentales
? P. Janet a écrit : « L'hystérie est une psych
: « L'hystérie est une psychose appartenant au groupe des maladies
mentales
par insuffisance cérébrale ; elle est surtout car
st formée contre lui ? A la vérité, il est certain que le processus
mental
est, de part et d'autre, bien différent; en voici
t pas moins vrai que, contrai- rement à la suggestion, le processus
mental
qui aboutit au retour à l'état normal est raiso
ontraste avec ce qu'on observe dans les autres névroses et maladies
mentales
. - Ne ressort-il pas clairement de toute cette
E L'HYPNOTISME EN THÉRAPEUTIQUE 5og évidence que celle des troubles
mentaux
cités plus haut. En effet, il varie notablement
s malades, à la manière d'un trouble organique, sans représentation
mentale
préalable ; Bernheim lui-même admettait la possi-
e entre l'émotion choc et 516 HYSTÉRIE-PITHIATISME représentation
mentale
préalable, automatiquement, à la manière d'une
'on peut opposer à la fixité, à l'invariabilité des autres maladies
mentales
. Cette mutabilité s'explique quand on sait que
simples interprétations psychologiques, ou même de l'étude du fond
mental
de ces malades. Les moyens plus précis d'investig
s l'impos- sibilité de la reproduire : le rôle de la représentation
mentale
est donc capital. Pour ce qui regarde les aut
sparu de notre clinique hospitalière, pour se réduire à un substratum
mental
sur lequel l'avis des plus compétents que moi e
on était ainsi plus facile à délimiter. Or, au milieu des désordres
mentaux
qui ont surgi dans ces circonstances, aucun tro
atrique à la ire armée, dans une très remarquable analyse de l'état
mental
de l'émotionné. Il y aurait ainsi à tenir compt
shock initial et les accidents, et ce moyen terme serait la confusion
mentale
légère qui permet au malade l'exercice d'une ac
critique et en développant parfois de véritables états de confusion
mentale
légère. Les faits de guerre ont confirmé à cet ég
t être réfractaires au traitement chez un sujet atteint d'affection
mentale
telle que l'hébéphré- nie. Il n'est pas rare d'
sie-abasie, des convulsions chez des individus atteints de délibité
mentale
. En pareil cas, la psychothéra- pie est beaucou
t plus sujets à la récidive. Il est évident que là c'est le facteur
mental
qui occupe la première place, qui règle le pro-
tiques sont associés à des désordres organiques, physiopathiques ou
mentaux
, ne pas tenir compte des manifesta- tions hysté
les contractures hystériques une distinction qui nous semble fonda-
mentale
. (1) J. Babinski et J. Froment, Les modificatio
irme n'avoir pas eu la syphilis. Parait bien pondérée au point de vue
mental
et n'aurait jamais eu de troubles névropathique
r(t3. Section de la branche externe du spinal dans le torticolis dit
mental
(Société de Neurologie, 7 novembre 1907). t44
rologie, 15 février 1(14). z 3. Contribution à l'étude des troubles
mentaux
dans l'hémiplégie organique céré- brale (anosog
miplégie hystérique.. gi VII. - Contribution à l'étude des troubles
mentaux
dans l'hémiplégie organique cérébrale (Anosogno
ustration avec retenues, ébauche la multiplication (1). Arriération
mentale
, choree.— Marcil... (André), 11 ans. L'état nerve
droite; il trace plus ou moins bien toutes les lettres. L'instabilité
mentale
quoique amoin-drie existe encore. Pour la vaincre
dérant, puisqu'il s'agit de malades, soient bien au courant de l'état
mental
des enfants. C'est pourquoi aussi nous avons insi
rmer à nos indications, nous citons l'exemple deu enfants dont l'état
mental
est dû surtout aux habitudes solitaires. Nous ins
fitons de la venue de ces derniers pour nous renseigner sur leur état
mental
ou leur situation sociale. Dans ce groupe figuren
hysique et au point de vue intellectuel. Imbécillité et instabilité
mentale
. —Choqu... (Marie), 12 (1) Rappelons ici que l'
ment l'existence constatée de toutes ces variétés dans les infirmités
mentales
, et la détermination de leur curabilité, qui adon
pas do progrès, par suite sans doute d'un certain degré d'arriération
mentale
. Ayant obtenu une bourse à l'Institution natio-na
e le maître a fait chercher, en remontant leur histoire pathologique,
mentale
, sociale, en revoyant les photographies successiv
nt désignés communément sous le nom d'idiots, d'imbéciles, de débiles
mentaux
, de dégénérés intel-lectuels, d'anormaux, d'amora
gra-phies successives, son histoire pathologique. Malgré sa débi-lité
mentale
, il a cependant rendu quelque chose à la société.
s avec un métier au bout des doigts, et en assez bon état physique et
mental
pour faire leur service militaire, pour entrer ut
onné leur peu d'intelligence ou des infirmités s'ajoutant à leur état
mental
. Ces enfants prennent une part plus active aux ex
'écriture ; il ne faut pas perdre de vue que ceux dont l'amélioration
mentale
permettra un jour la sortie de l'asile auront sur
nt acquiert pendant son séjour à l'asile un développement physique et
mental
suffisant, rien ne s'oppose à ce qu'on lui enseig
écriture ; il ne faut pas per-dre de vue que ceux dont l'amélioration
mentale
permettra un jour la sortie de l'Asile, auront su
t acquiert, pendant son séjour à l'asile un développement physique et
mental
suffisant, rien n s'oppose à ce qu'on lui enseign
asse est toujours faite par un aliéné ancien insti-tuteur dont l'état
mental
est peu touché, huit enfants la suivent et quelqu
res exceptions. Cela tient surtout au degré très accentué de débilité
mentale
de la plupart de nos sujets et à l'absence de tou
usses couches. 2 autres Filles bien portan- tes. JV. m., Débilité
mentale
, Epilepsie probable. Itzik............ » Chiffo
n 5 ans 1/2, bien por-syphilis probable. tant. N. m., arriération
mentale
. Dufra........... Fondeur » 1 « N. m., arriérat
Asile clinique, du Dr Dagonet, comportant: « est atteinte de débilité
mentale
, cécité, parèsie des membres inférieurs, gâtisme,
de de ses notes permet de relever le début d'une certaine instabililé
mentale
. Certains exercices tels que les dictées, l'appli
diotie, les états d'irritabilité nerveuse, d'irritabilité physique et
mentale
qui font le désespoir des familles. VIII. Le fa
raitement et. en plus, purgation tous les 15 jours. Au point de vue
mental
, peu de progrès. La physionomie est toujours inin
qu'en s'accentuant. IV. L'autopsie a donné l'explication de l'état
mental
de l'enfant. La plupart des circonvolutions et su
s formalités légales accomplies, les person-nes atteintes de maladies
mentales
. Nous soutenons cette thèse depuis bien des année
ns, inquiétait sa famille par ses allures qui attestaient un trou-ble
mental
. Hier, vers une heure du matin, sa femme et ses q
erling... (Georges), s'améliore beaucoup, l'instabilité physique et
mentale
que nous avions constatée il chaque semestre s'
aisait l'addition et la soustraction avec rete- nues. L'instabilité
mentale
avait beaucoup diminué, nous obtenions facileme
à nos indications, nous citons l'exemple de,; enfants dont l'état
mental
est dû surtout aux habitudes solitaires. Nous i
ssie); Dr Alexandre Lasoursky, assistant de clinique des maladies
mentales
de Pétersbourg (Russie) ; ur Larri- naga, à Vis
ova, de Prague (Bohème) ; Dr Vil- leneuve, Professeur de pathologie
mentale
et de Méde- cine légale à l'Université Laval, d
bli une consultation non officielle, pour les maladies nerveuses et
mentales
. Nos collègues de la division des aliénés, nomm
s de la visite de ces der- niers pour nous renseigner sur leur état
mental
ou leur situation sociale. Dans ce groupe figur
e n a même émis un doute relativement à l'intégrité de ses facultés
mentales
. « C'est navré de voir de quelle façon les enqu
e police, avec un certificat du D' Legras, ainsi conçu : « Débilité
mentale
et vertiges probablement épileptiques. Discerne
égénéré, arriéré intellectuellement, atteint en outre d'instabilité
mentale
, sujet à des impulsions violentes et ayant prés
érés, de sorte que l'autorité militaire est au courant de leur état
mental
. (Bourneville, Compte-rendu du service- des enf
in ac/na)' (11111)Ccilcs) oflhe 11JOnr ? inn Tlllrr. (.T01/1'I1. of
mental
Science, 1800 vol. XXXVI, p. 187).' Smith Tc7
cs. Grand'tante - paternelle, chorée dans l'enfance, puis affection
mentale
. (idées de suicide). - Grand' oncle paternel, a
itable, jaloux, envieux, ombrageux. Elle a maintenant une affection
mentale
, consistant en idées noi- res, idées de suicide
edé- mateuse. Compte-rendu de 1890, p. 206 (Congrès de méde- cine
mentale
de Rouen); - 7° Etat du squelette d'un ma- lade
uatre soeurs et leurs enfants n'ont pas eu de maladies nerveuses ou
mentales
. [Ilien à noter dans le reste de famille.] Mè
er l'histoire. SOMMAIRE. - Père très impressionnable, instabilité
mentale
passagère, crises nerveuses dans la rue ; migra
res parents ne paraissent avoir présenté aucune tare ni physique ni
mentale
. Mère, 44 ans, institutrice; pas de convulsions
s bien conformés. Sensibilité générale et spéciale, normales. -Etat
mental
: voit des bêtes dans son corps, les objets cha
peut finir la phrase commencée ! Mélancolie; illusions ; confusion
mentale
. 197 Par exemple questionnée au sujet de son fi
semaine, R... a été tranquille, d'apparence saine, au point de vue
mental
. Puis, du 10 au 18 mars, nous assistons à une p
lité. La jeune fille, elle, ne sait à quoi attribuer son aliénation
mentale
. V. Nous n'avons pas à revenir sur le traitemen
eul, soit avec nos élèves, sur la folie des enfants. 1° Instabilité
mentale
arec perversion des instincts (en collaboration
n avec ! ! u<)ur). Compte-rendu de 188'i, p. )47; 2° Instabilité
mentale
auec perversions de instincts, com- Bibliograph
en). 7btd., 1885, p. 54; - 5° Folie de l'adoles- cence; instabilité
mentale
; idées vagues de persécution ; succube (en coll
ompte-rendu de 1887, p. 237 ; - 6° Imbécillité légère ; instabilité
mentale
avec perversion des instincts et impulsions gén
Raoult). Compte-rendu de 1888, p. 61; 7° Imbécillité et instabilité
mentale
; impulsions génitales (en collaboration avec So
intellectuelle consécutive à une brûlure de la tête; instabi- lité
mentale
; délire mystique (en collaboration avec Tissier).
Tissier). Compte-rendu de 1805, p. 77; 9° Alcoolisme, instabilité
mentale
, crises hY8téri[o1'Jnes, guérison (en collaborati
ie de l'adolescence. Ibidem, p. 225; 4f° Imbécillité et instabilité
mentale
avec perversions des instincts. Compte- rendu d
e péniblement et tombe souvent. Réflexes naturels (Fig. 27). État
mental
. Ler.. est très turbulent ot coléreux. Sa parol
liales : Bourneville, Une famille d'idiots (Ar- chives des maladies
mentales
et nerveuses, 1861, p. 289) : - Bourneville et
s des Congrès internationaux d'assistance publique et de médecine
mentale
qui, eux, se sont dérangés et sont venus voir n
dministration du soin de leurs enfants, sous le prétexte que l'état
mental
de celui-ci présenterait un danger pour la sécu-
-. J'ai toujours pensé que la démence est une forme de l'aliénation
mentale
; c'est même l'un des termes employés dans la lo
- sitions bienveillantes de M. le Directeur des affaires départe-
mentales
à l'égard des malades que les nécessités obligent
1' Falret, père, médecin de la Salpêtrière, intitulé : Des maladies
mentales
et des asiles d'aliénés. Regret- tant que l'art
islative tend à perpétuer les préjugés qui règnent sur les maladies
mentales
; elle dispense l'administration de l'accomplis
posé à la Chambre des députés, et enfin, par le Congrès de médecine
mentale
qui s'est tenu à Rouen au mois d'août dernier.
de l'intelligence, congénitalcment frappés de cécité ou de débilité
mentale
; tandis que l'intelligence des aliénés, autrefo
afin de pouvoir se pro- noncer avec plus de certitude sur leur état
mental
. Dans tous les cas, ajoute M. le Préfet de Poli
ar l'autorité judiciaire, comme pré- sumés atteints d'une affection
mentale
, sont toujours, en atten- dant leur transfert à
que beaucoup de malades subissaient une ag- gravation de leur état
mental
à la suite de leur passage au Dépôt et qu'on ob
incontinence nocturne d'urine jusqu'ci qua- torze ans. Instabilité
mentale
. Colère, gourmand, menteur. Stigmates hystériqu
Dubuisson portant : « Epilepsie, perversion des instincts, débilité
mentale
; atropliie musculaire de la main droite.» Envoy
es et soeurs (hystérie, arriération intellec- tuelle et instabilité
mentale
, fièvre cérébrale). II. L'hystéro-épilepsie s'e
s la marche et la parole, incontinence noc- turne d'urine, débilité
mentale
, irritabilité, actes de violences, perversion d
tabilité, actes de violences, perversion des instincts, instabilité
mentale
, en un mot un état nerveux probablement d'origi
EUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE. de suicide, instabilité
mentale
, hallucinations, attitude du crucifiement, arcs
ons que nous avons communiqués au Congrès international de médecine
mentale
de 1889 et que nous avons reproduites dans le C
J. llendrie Lloyd. Reprint 18U°. VIII. Imbécillité et instabilité
mentale
; Impulsions génitales; Par BOUUMîVÏLtE et A. SO
On a l'habitude de diviser les enfants atteints de dégé- nérescence
mentale
en trois groupes principaux : les idiots, les i
'à (tans. Imbécillité, turbulence, accès de colère. Ins- tabilité
mentale
. Impulsions génitales précoces. 111a3 ? Antoine
de lésions des conjonctives. Le nez ll'2 Imbécillité et instabilité
mentale
. est un peu gros, les narines bien fendues, il
t 695. (3) Ibidem pour 1888, p. 61, etc. (4) Esquirol. - Maladies
mentales
, II, p. 301 ; et Bourneville. accueil de mémoir
en novembre dernier, bien que, en raison de son âge et de son état
mental
, il y eut peu d'amé- lioration à espérer. La pr
ie étranglée. Un frère et une soeur bien portants. Aucune affection
mentale
ou nerveuse dans la famille.] Pas de consanguin
ès, ni vertiges. En même temps, légère amélioration au point de vue
mental
. 124 DESClUI'TroN DU malade. un autre malade;
es, dans un état psychologique se rapprochant plus ou moins de l'état
mental
hypnotique-somnambulique, vous comprendrez facile
je l'ai depuis longtemps fait remarquer, sont placés sotis le régime
mental
des idées fixes, obsédantes, impulsives, comme vo
mettre de conclure en toute assurance. Un mot maintenant-sur l'état
mental
de notre malade. Si je n'admets pas que l'hystéri
érique. Quoi qu'il en soitjele répète, ces conditions de dépression
mentale
vous les retrouverez fréquemment chez l'homme hys
dire, sous l'influence d'une cause déterminante quelconque. Cet état
mental
particulier sur lequel je viens d'insister n'est
ps où en conséquence du choc nerveux produit par l'accident, son état
mental
pouvait être comparé à celui des hypnotiques dans
le d'un agent i. Magnan. Influence, de Valcoolisme sur les maladies
mentales
. Genève, 1878. provocateur qjai met en jeu une
uses fréquentes et d'ailleurs terribles, et aussi à cause de son état
mental
qui le rend irrégulier et oublieux. C'est ici l
ites un instant après son admission sont, en ce qui concerne son état
mental
, une véritable révélation: Il fait dans la cour d
horée,même la plus bénigne, il y ait à constater quelque perturbation
mentale
. Mais, désormais, chez notre malade, les troubles
ssi, est-il fort difficile de se rendre compte exactement de son état
mental
. Toujours est-il qu'il paraît comprendre les ques
iques plus profonds que cela n'a lieu d'ordinaire, par une exaltation
mentale
poussée au plus haut degré, ou encore de véritabl
ues d'autrefois. Or, messieurs, vous ne l'ignorez pas, souvent l'état
mental
des hystériques se rapproche beaucoup de celui qu
s, en effet, les attaques continuent à paraître fréquemment et l'état
mental
est resté à peu de chose près ce qu'il était à l'
surmenage intellectuel. M. Galton dans ses Recherches sur la fatigue
mentale
(Revue scientifique n°. 4, 26 janvier 1889) est a
al abruti, on ne retrouve plus chez lui cette apparence de dépression
mentale
profonde qu'il présentait à l'origine. L'histoi
s les points ; d'un côté mêmes phénomènes psychiques, même dépression
mentale
, même céphalée neurasthénique, même affaiblisseme
un échafaudage (hauteur 10 m.), il y a 1 mois. Céphalée, dépression
mentale
extrême, air sombre, mémoire confuse, dyspepsie,
ué conformément à la prescription, sans interruption. 1. Carpenter,
Mental
Physiology. 5e édition, p. 131. menant on en mo
trouver là, en somme, le motif d'une séparation fondamentale. L'état
mental
, considéré comme syndrome, comme épisode, paraît
oyer à ce propos aux remarquables mémoires de M. J. Falret sur l'état
mental
des épileptiques publié dans les Archives de méde
London 1884. Voir aussi Echeverria: On nocturnal Epilepsy. Journal of
mental
Science, January 1879. 2. Loc. cit. p. 111. m
ttitudes et mêmes actes en rapport avec la nature des représentations
mentales
, et, ce qui est fort remarquable également, c'est
dans ce cas il n'y a pas de rétrécissement du champ visuel. L'état
mental
particulier qui a rendu possible cette évolution,
ue et remettez-vous en mémoire les caractères que présentait son état
mental
au moment où sortant du coma d'abord, puis après
réveiller chez lui, par tous les moyens possibles, la représentation
mentale
,à la fois visuelle et motrice, des mouvements de
mbinaison de l'hystérie avec les diverses formes de lu dégénérescence
mentale
plusieurs travaux inspirés par m. le dr Ballet: —
Bulletin médical, août. — Tabaraud. Des rapports de la dégénérescence
mentale
et de l'hystérie, thèse de Paris, novembre 1888.
qu'elles font en quelque sorte partie de la caractéristique de l'état
mental
de notre homme. Il avait environ trente-cinq an
motive; manifestement marquée en un mot au sceau de la dégénérescence
mentale
, telle que Morel l'a comprise. Vous avez vu notre
ion de quelque chose d'acre qui le tenait à la gorge, et dans un état
mental
sur lequel il importe d'attirer votre attention.
il y a là encore à signaler quelque chose d'assez typique, sur l'état
mental
que le malade a présenté à la suite de l'accident
orsqu'il a repris ses sens, et nous avons relevé que chez lui, l'état
mental
en question s'est prolongé jusqu'au moment où, fo
plètes mais très suffisamment formulées cependant ; bégaiement ; état
mental
particulier mais fort vulgaire dans les formes le
nts provocateurs. Itemettez-vous un instant devant l'esprit, l'état
mental
du sujet pendant la soirée et la nuit qui ont sui
ce d'une auto-suggestion, ou autrement dit, d'une sorte de rumination
mentale
. C'est ainsi que la paralysie est venue se superp
tent là, et l'aura ainsi provoquée n'est pas suivie d'attaque. État
mental
. — Depuis l'accident dont il a été victime, le ma
ultés intellectuelles sont amoindries. Tous ces désordres dans l'état
mental
constitueraient, si l'on en croit MM. Oppenheim e
trer de purs neurasthéniques que leur état d'apathie^ leur dépression
mentale
, leur mémoire troublée rendent incapables de se l
a épileptique, 118. — hystérique, 34. Automatisme ambulatoire. — Etat
mental
, 319. — Comitial ambulatoire, 303 sq. — Comitia
,130. — et Tic convulsif, 14, 464. — Etat de mal, 113, 239. — (Etat
mental
dans la), 105, 114, 130. — Fièvre, 106, sq. Choré
Causes de la mort dans la), 112. — Complications dans la),108.—Etat
mental
dans la, 111. — et Etat de mal épileptique, 113.
99. GoMMOTiONs prémonitoires de l'Epilepsie, H8. Conception (Etat
mental
pendant la), 93. Contracture. — (Attaques de),
(Champ visuel dans 1'), 31, 119, 423. — Etat de mal, 113, 239. — Etat
mental
, 321. —Composition de l'urine après l'attaque, 42
(Actes de violence des), 312. — (Délits commis par les), 321. — (Etat
mental
des), 321. Erb 101, 102, 225, 414, 501. Erb (
F), 113. — et chorée grave, 113. Etat de mal hystérique, 68. Etat
mental
. {Voy. Mental (Etat.) eulenbourg, 164,166. Eu
chorée grave, 113. Etat de mal hystérique, 68. Etat mental. {Voy.
Mental
(Etat.) eulenbourg, 164,166. Euphorie (Périod
aralysie faciale, 100. Fulguration.— (Amnésie dans la), 444.— (Etat
mental
à la suite de la), 448.— et hystérie, 543, 549. —
Hystérie. —et tics, 15. — et traumatisme, 30.—et Utérus, 37.—(Etat
mental
, dans 1') 188,533. —Etourdis-sements, 289. — Fugu
spasme, 262. — dans la classe ouvrière, 50. — Diplopie, 266. -- (Etat
mental
) 50. — et Hypnotisme, 100, 380. — Etiolo-gie, 284
530, 532. — et névrose traumatique, 298. — et traumatisme, 36. — Etat
mental
, 532. — Etiologie, 284, 292, 296, 297, 529. — Hém
ervosa antica, 25. Ischias nervosa postica, 25, 27. Ivresse (Etat
mental
dans F), 50. .... . Jaccoud, 110, 361. Jean,
partielles, 360. Ménière (Vertige de) (Voy. Vertige de Mé-nière).
Mental
(Etat) (Voy. aussi Psychique). — dans l'automatis
e des mouvements de), 356, 358, 359. Psychique (Etat). — (Voy. amsi
Mental
(Etat). — dans le grand hypnotisme, 10. — des tiq
SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE IDES MALADIES
MENTALES
A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALA
matérielle qui lui manque, son impuissance est toute morale, toute
mentale
. Elle est une astasique, donc, c'est par l'asta
cependant nous rapportons des cas, où sans présenter des « troubles
mentaux
, proprement dits, les malades avaient une certain
ntanément. Elle pleure quel- quefois sans motifs connus. L'examen
mental
est presque impossible à faire par l'interrogatoi
Cette modification permet d'étudier, d'une façon plus précise, l'état
mental
. L'enfant,absolument incapable de faire l'addit
premier âge, avec arrêt de développement intel- lectuel et débilité
mentale
profonde. Les autres malades du service, qui co
aucun progrès appréciable n'a été observé dans l'état physi- que ou
mental
de la fillette. La mère demande à reprendre avec
e sont en état de santé parfaite et rien dans leur état physique ou
mental
n'indique qu'ils ont pu être lésés. Inversement
1898. 6. Revue Neurologique. 1897. 7. Gaston Daniel. - Orthopédie
mentale
. Bruxelles, 1898. 8. Maladie de Little. Bruxell
te, avec toute la naïveté qu'il faudra, la propriété la plus fonda-
mentale
d'une chose réelle, la condition première de son
atérielles, n'est-ce pas celui qui apporte,dans une science expéri-
mentale
, des choses sans poids ni lieu ? Il faudrait en P
air,tel vers que nous connaissons très bien cependant. La recherche
mentale
est moins active et moins habile, moins facile qu
ure intrinsèque de l'oeil (pas de signe d'Argyll-Robertson). Etat
mental
. II n'y a pas de perte de la mémoire. L'intellige
nelle est toujours la caractéristique de ces abaissements du niveau
mental
. Or, son métier de bijoutier le tient assis dev
tics, crampes des écrivains, impulsion à la marche, récriminations
mentales
, comme les angoisses elles-mêmes n'étaient que
ur attention peut seule dans les cas favorables relever leur niveau
mental
et leur-rendre quelque volonté active. Mais ici
(7), L. Blanc (8), Chapot-Prévost (9). expérimentales sur la vie
mentale
d'un xiphopage. Comptes Rendus, 21 mars 1901. N
age. Comptes Rendus, 21 mars 1901. N. Vaschide et H. Piérox, L'état
mental
d'un xiphopage. Revue scientifique, 3 et 10 mai
ux. Psycho-physiologi- 262 VASCIIIDE ET vurpas quement les images
mentales
jouent un rôle de tout premier ordre dans les s
on autre chose ici que d'éveiller dans l'esprit du sujet des images
mentales
représentant une miction ou une défécation ? Comm
on ou une défécation ? Comme chez les « frères chinois » les images
mentales
des besoins généraux arrivent nécessairement à se
ion de ce sujet, que le contraste étrange qui existe entre son état
mental
et son état physique. Loin d'être lâche, sugges
un syndrome assez banal, pouvant se présenter au cours d'affections
mentales
très différentes les unes des autres (1). Des t
ser la question de l'existence de la catatonie en tant qu'affection
mentale
autonome. C'est à Kroepelin que nous semble rev
ne sont que de simples variétés symptomatiques d'une même affection
mentale
, la démence précoce. La manière de voir de Kroepe
s, de pronostic variable, dans des formes très diverses de maladies
mentales
. En revanche, Aschaffenburg, accentuant encore
ans l'âge juvénile et conduit à un état définitif d'affaiblissement
mental
caractéristique, se distinguant spécialement pa
nique se manifeste plus ou moins prononcé dans beaucoup de maladies
mentales
; 2° il ne constitue jamais à lui seul un cadre
pie. Que le syndrome catatonique puisse exister dans des affections
mentales
diverses : mélancolie, folie circulaire, amenti
s suites graves du côté de l'intelligence. Le début des accidents
mentaux
semble dater du retour du régiment. Avant d'all
pilepsie, paralysie générale, démence sénile, mélancolie, confusion
mentale
, délires auto et exotoxiques, dans lesquels on a
mptômes de nature identique que l'on rencontre dans d'autres formes
mentales
(hystérie, paralysie générale, etc.). Le caract
sont d'autant plus faciles à s'expliquer qu'on envi- sage le fonds
mental
sur lequel ils reposent ; fonds commun à toutes l
s processus psychiques, l'affaiblissement progressif de la synthèse
mentale
(1). Nous nous contenterons de signaler ici ce
ons d'après ce petit drame qu'au Japon comme chez nous, la sénilité
mentale
peut se traduire par un réveil des appétits sex
Par contre, Gompat- chi appartient incontestablement à l'aliénation
mentale
. Abstraction faite de la couleur japonaise de t
n met très souvent en scène le paysan avec ses défauts, sa débilité
mentale
, sa crédulité excessive qui fournissent un. élé
vons surtout deux choses à retenir au seul point de vue «aliénation
mentale
». C'est, d'une part, le harakiri dans les trag
session par le renard, elle nous renseigne admirablement sur l'état
mental
des paysans. Le simple d'esprit s'y rencontre fré
saké joue un certain rôle dans ce degré d'in- 376 GEYER fériorité
mentale
. Toujours prêt à subir les influences qui exploit
teint de torticolis spasmodique, ayant les caractères du torticolis
mental
, associé à des spasmes du bras et de la jambe du
onique ensuite, rap- pelant les récentes descriptions du torticolis
mental
et, comme lui, corrigé par le signe du doigt.
elligence ne présentent rien d'anormal. Il en est de même de l'état
mental
. L'émotion exagère tous ces phénomènes spasmodi
nos spasmodiques,ce torticolis spasmodique semblable au torticolis
mental
et de conclure, sinon à leur identité complète
du doigt, cet acte de foi qui sauve, caractéristique du torticolis
mental
(2) pour M. Brissaud et ses élèves. Il y a même
qui ont examiné nos malades reconnaissent dans ce cas le torticolis
mental
. 392 DESTARAC A part la crampe des écrivains
gence intacte. Nous n'avons pu découvrir de modifications de l'état
mental
; on remarque seulement une cerlaine apathie et
'il a bien voulu reconnaître lui-même comme identique au torticolis
mental
, le signe des orteils a été constaté dés le début
edreich, doit-on en faire un phénomène psy- chique ? « La théorie
mentale
, dit M. Féré (1), qui tend à envahir l'étiologie
Degeneration of the periph. nerves in locomotor ataxia. Journal of
mental
diseases, 1888. LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIO
LHIPI1N6....... ld...... 189. (6) Lugaro. Rivisla di patol. neru. e
mentale
. Oct. 1898. Id. Même publication, 1900, fasc. 4
de Darier), Gaz. hebdom., 1892. (2) Lucaao, Riv. de patol. n11'V. e
mentale
, 1901. Sulla alterazioni delle cellule ner- vos
ouleurs dans les membres inférieurs persistent jour et nuit. L'état
mental
est relativement bon, en dépit de la détresse mor
ie, t. I, p. 183, et note 2. (2) DANA, The journal of nervous and
mental
diseases, nov. 1893. (4) Matignon, Un cas d'aco
ux maladies nerveuses sont venus s'ajouter les études de pathologie
mentale
. De son côté, le Professeur Fournier a ma- gist
palhies : diverses. Cette notion de l'hé- rédité, dans les maladies
mentales
, a été acceptée par les médecins et les pliilos
s de Bruxelles (1903) et de Paul (1904). Observations de puérilisme
mental
, en collaboration avec P. Garnier, P. Camus, A.
sitoire, présenta brusquement le syndrome le plus net du puérilisme
mental
. Elle se mit affecter les manières, le ton et le
que dans la dernière période des ma- (t) R. SouLLARD, Le puérilisme
mental
. Contribution à l'élude des altérations de la
que, et c'est (1) E. DUPRÉ, Psychopathies organiques, in Pathologie
mentale
de Ballet. Article Tumeurs cérébrales. NOUV.
néité ingénue et primitive de ses manifestations., Le puérilisme
mental
nous apparaîtrait ainsi comme l'expression cli-
ppellerai moins pour lui en faire gloire que pour indiquer l'état
mental
des malades et des médecins de son temps. Un
mérita de prendre place parmi les Saints guérisseurs des désordres
mentaux
. Bien entendu, selon la règle, il dé- barrassai
bourbonnais nomme berdins ceux qui présentent quelques bizarreries
mentales
, les « originaux » et même les vrais aliénés. A
phénomènes spasmodiques. Par- fois, on note une certaine faiblesse
mentale
. - Quant aux troubles de la déglutition, des sp
n neurosen, Berlin, 1901. (4) Isnnc OiT, The Journal of nervous and
mental
diseases, janvier 1893, n 1. SYNDROME DE LA CAL
) Wilks, Brain, 1892. . (4) Bunn et Riesmann, Journ. of nervous and
mental
disease, 1899, p. 21. (5) BAüI\shl, Soc. Neurol
e seconde hypothèse. (Gumo Guerrini. Rivista di Patolagia nervosa e
mental
. IX. f. 11, p. 513-530. Novembre 1904. SOCIÉTÉ
malades, dans un but délibéré. Et lorsqu'on a affaire au torticolis
mental
, l'étrangeté des attitudes ou des gestes surajout
J'ai vu, pour ma pari, chez certains sujets atteints de torticolis
mental
, des déformations rachidiennes surajoutées qui
les en 1903, l'article de M. Dupré (2) dans le Traité de pathologie
mentale
de M. Gilbert Ballet, et la toute récente et ex
ruxelles, 1903. (2) Paralysie générale progressive, in Tr. de path.
mentale
, Doin, 1903, p. 1017. (3) Des scléroses combiné
rd, apparurent plusieurs attaques épileptiformes, puis des troubles
mentaux
. [Le malade avait la folie des grandeurs, dit sa
; immobilité à la lumière. Aucun trouble viscéral. Au point de vue
mental
, B... est dément; il a des idées de satisfaction
diastolique. Constipation, incontinence d'urine. ' Au point de vue
mental
, M... parait en proie à des préoccupations hypoch
es. Etat de la sensibilité impossible à déterminer. Au point de vue
mental
, il présente de l'affaiblissement marqué de l'int
erg, faiblesse musculaire peut-être plus accusée à gauche. L'état
mental
est celui d'un dément avec idées absurdes de sati
tion des membres. Il reste alité et devient gâteux. Au point de vue
mental
, la démence s'est accentuée ainsi que l'inconscie
bserver un chien qui présentait des troubles moteurs, sensoriels et
mentaux
tels que le diagnostic des lésions causales put ê
s à la théorie de Cohnstein, de nombreux faits cliniques et expéri-
mentaux
s'opposent. Si l'augmentation de la lymphe, dans
par CASSIRER (13). CRAMPE DES ÉCRIVAINS ET TORTICOLIS ' d'origine
mentale
, PAR G. BONNUS. , Ancien Interne des Hôpita
se montrent des accidents nerveux d'un autre ordre : un torticolis
mental
. Nous allons étudier séparément : crampe des éc
Nous allons étudier séparément : crampe des écrivains et torticolis
mental
. La crampe des écrivains apparaît en 1892, aprè
oments. Les moments où CRAMPE DES ÉCRIVAINS ET TORTICOLIS D'ORIGINE
MENTALE
287 ils sont plus intenses sont annoncés par un
es mouvements sont normaux, il n'y a pas de secousses. Torticolis
mental
. C'est à la fin de novembre 1899, peu après son r
e sédation manifeste des douleurs et une dimi- nution du torticolis
mental
. Il se produit moins fréquemment et avec moins
ation et d'amélioration. En mai 1903, nous constatons un torticolis
mental
typique mais atténué. La tête tourne à gauche,
rticolis ne se produisît pas. Quelle est l'origine de ce torticolis
mental
? Dès le début des douleurs et de la raideur du
ade présente donc une crampe des écrivains associée à un torticolis
mental
. - Comme c'est la règle en pareil cas, il y a un
icolis mental. - Comme c'est la règle en pareil cas, il y a un état
mental
tout particulier, dont la caractéristique est l'é
s les exercices de gymnastique faits en vue de guérir le torticolis
mental
, elle dit qu'elle sent son cou plus fort. Pendant
ar crainte que la fai- CRAMPE DES ÉCRIVAINS ET TORTICOLIS D'ORIGINE
MENTALE
289 blesse l'empêche de la ramener dans la rect
ont irrésistibles, mais elle n'a pas d'angoisse. Dans le torticolis
mental
, un point particulier a appelé notre atten- tio
rée, suivi d'un jet froid à 7° de 30 secondes. Pour le torticolis
mental
, aux exercices de gymnastique nous avons joint
les. Le torticolis présenté par notre malade est bien un torticolis
mental
; l'origine mentale de la crampe des écrivains
présenté par notre malade est bien un torticolis mental ; l'origine
mentale
de la crampe des écrivains nous paraît aussi bien
secousses reparaissent immédiatement et violentes. Cette origine
mentale
est encore prouvée par le traitement. La psycho-
un jour dans l'impos- CRAMPE DES ÉCRIVAINS ET TORTICOLIS D'ORIGINE
MENTALE
291 sibilité d'écrire. Nous lui avons montré av
s modifications de l'écriture suivaient les modifications de l'état
mental
. Autre preuve de la nature mentale. Vers le mil
aient les modifications de l'état mental. Autre preuve de la nature
mentale
. Vers le milieu du traitement, quand la malade
le geste antagoniste comme ceux que l'on observe dans le torticolis
mental
, la nature mentale de cette crampe des écrivains
te comme ceux que l'on observe dans le torticolis mental, la nature
mentale
de cette crampe des écrivains n'en est que mieu
, plus tard nous contentant d'un simple contact. Dans le torticolis
mental
, la malade opère de la même manière, plaçant so
er aussi que notre malade, sept ans après l'apparition de la crampe
mentale
des écrivains, fut atteinte d'un torticolis menta
on de la crampe mentale des écrivains, fut atteinte d'un torticolis
mental
. Il reste retrouver maintenant l'origine de cet
maigrissement. En 989, à l'âge de 18 ans, apparaissent des troubles
mentaux
: Elle croit que les gens disent qu'elle est un
l'affection débuta chez lui, tandis que chez la soeur, des troubles
mentaux
ou plutôt des changements dans le caractère ouv
il ne faut pas oublier que celles-ci étaient atteintes de troubles
mentaux
graves. xv n ' 9 410 - BALLET ET ROSE ture
pouvons nous déterminer à le mettre sur le compte de l'instabilité
mentale
ou de la contracture. Mais il n'est pas impossibl
iement acquis. Chez notre deuxième malade on rencontre des troubles
mentaux
; c'est même eux qui constituèrent le symptôme
des hallucinations auditives. Il existait donc un vé- ritable état
mental
chez cette malade, et par là elle se rapproche de
rmettant d'affirmer qu'il n'est pas sous la dépendance d'un trouble
mental
, psychique. Quelle en est la cause ? Il est fac
e, mais assez souvent d'autres névropathies : épilepsie, aliénation
mentale
. On admet aujour- d'hui, d'une façon générale,
s s'imprègnent de sels calcaires-commeplus haut la substance fonda-
mentale
séparant les colonnes de cellules cartilagineuses
chir. de Lyon, 1901). FoRSTER. Achondroplasique atteint de débilité
mentale
(Soc. de Neurol., 1903). .Franqué. Ub. sog. foe
celle de son patron, « il oublie tout et tout de suite ». Le calcul
mental
extrê- mement rudimentaire. Il n'est pas capabl
a été l'internement du malade dans l'hospice d'aliénés. Son trouble
mental
s'est ma- nifesté par des actes de violence, il
; jamais on n'y a observé de monstres, ni de maladies nerveuses ou
mentales
. La grossesse de la mère et l'accouchement ont
ive souvent chez les individus de notre espèce affectés de maladies
mentales
». NOUVELLE ICONOGRAPHIR DE LA SALPÊTRIÈRE T.
A. GAUSSfiL, 241. Crampes des écrivains el torticolis d'ori- gine
mentale
, par BoNNus, 285. Crampe professionnelle et son
BERTOt.OTTI, 159, Torticolis et crampe des écrivains d'origine
mentale
, par Bonnus, 285. Tumeurs (de quelques altérati
l.), 159. Boxons. Crampes des écrivains et tortico- lis d'origine
mentale
, 285. BROCA (A.) et I-IER131NFT. Attitudes vici
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