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1 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
S DE , NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE 1 DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES f Fondée PAR,J.-M. CMARCOT ' FUItLIf : E SO
DIIIKC11ON DE A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNA
tdevergues (Vaucluse), est promu à la il" classe du cadre. CLINIQUE MENTALE . Contribution à l'étude de la démence catatoniq
ment un tableau de mélanco- lie, de manie, de stupeur, de confusion mentale et de démence; pourtant quelquefois l'un ou l'a
lbaum, le cas typique de la catatonie présente un tableau de lésion mentale à cours périodique (dont les périodes viennent
(11 et 23), Jensen (12), Sommer (13), Fschige ('111,), 16 CLINIQUE MENTALE . Aschaffenburg (24), Ilsberg (26)], et les troi
onie passent quel- quefois dans la guérison, avec un certain défaut mental pourtant, et quelquefois elles ont une tendance
it à peine. Concernant l'état psychique on constata line, confusion mentale , un affaiblissement de combinaison et de mémoire,
mps et de l'endroit où Archives, 2° série, t. XVIT. 2 18 CLINIQUE MENTALE . il il se trouve. Lorsqu'on le questionne sur l
le même appétit. La nuit, le malade dort dans son lit, 20 CLINIQUE MENTALE . , r mais durant la journée il ne se couche p
exes concernant l'entourage, est très faible aussi. 1 22 CLINIQUE MENTALE . Nous avons eu l'occasion d'observer le malade
me temps, depuis le début de la -maladie, on remarqua une confusion mentale , un délire, des illu- sions sensorielles et des
mois d'avril, six mois après le début de la maladie, la con- fusion mentale chez notre malade et une certaine limitation in
condement, nous avons déjà noté que d'une mélancolie 24 ik CLINIQUE MENTALE . initiale, légère, avec idées délirantes isolée
initiale, légère, avec idées délirantes isolées et une confu- sion mentale , commença à se développer chez lui, en trois- q
qu'il paraît. Un balancement automatique en avant et en 26 CLINIQUE MENTALE . arrière, en se tenant près d'un mur. On remarq
e malade deux états, état de dépression et état d'exci- 28 CLINIQUE MENTALE . tation, mais toujours avec la prédominance d'u
tatonie pure, mais ils peuvent compliquer aussi d'au- tres maladies mentales . Dans le but d'un diagnostic dilféren- tiel, le
e la malade à l'hôpital en mars, le Dr Doubensky nota une confusion mentale , parfois un délire d'auto-accusation et une gra
matelas, déchirait ses habits, barbouillait les murs. 30 . CLINIQUE MENTALE . Dès le premier temps, on observa déja des symp
iso- diquement. De symptôme primaire-cardinal sert la confu- sion mentale avec abaissement très marqué de la faculté inte
iode initiale, la stéréotypie du cours de la maladie et 32 CLINIQUE MENTALE . l'affaiblissement très marqué de la capacité p
en nous basant sur des Archives, 2- série, t. XVII. 3 34 CLINIQUE MENTALE . combinaisons du caractère général. En faveur d
l'existence des symptômes catatoniques dans d'aul1't's mala- dies mentales ; deuxièmement, le manque de connexion organique
posons la question ainsi : Pour combien et de quelle 36 ' CLINIQUE MENTALE . manière la sphère motrice est-elle intéressée
t connu que la catalepsie peut se manifester dans diverses maladies mentales et nerveuses, elle peut même être provoquée art
trouvant en état de stupeur ou en état comateux malgré 38 CLINIQUE MENTALE . le phénomène ordinaire de disjonction de l'éco
it pas non plus les autres phénomènes catatoniques. 40 " CLINIQUE MENTALE . L'argument le plus persuasif, qui peut être ci
seur Fehige. Puis survient une réci- dive de maladie avec confusion mentale , qui se développe très rapidement, avec prédomi
un affaiblissement temporaire de maladie, accompa- gné d'un défaut mental plus ou moins marqué ; ensuite apportait de nou
uveau une exacerbation de maladie avec délire épisodique, confusion mentale et catatonie, qui finit tôt ou tard par une dém
catatoniques d'amentia de Meynert, nous aurions envisagé le défaut mental très pré- 42 CLINIQUE MENTALE. coce et très s
ynert, nous aurions envisagé le défaut mental très pré- 42 CLINIQUE MENTALE . coce et très stable qui ressort nettement dans
du cerveau; par A.-R. URQUHAUT et W. Ford HOBIIT50N. (TM Journal of Mental Science, octobre 1902). L'intérêt de ces cas ré
plus importants. Dans un cas publié en jauvier dans le Journal of Mental Science par l'auteur, l'épilepsie avait été consé
r l'étiologie du tabes dorsalis ; par R. G. Rows. (1'lae Journal of Mental Science. Avril 1902.) Ce travail a été lu au mo
le plus subi sa dégénérescence stéato-piamentaire. 10. La confusion mentale , la désorientation, etc., rapprochées de la pré
le Dr Cuylitz ; par le Ur voN IsENDitycK (Bull. de la Soc. de méd. mentale de Belgique, juin, août 1903). Cet examen a dém
rome d'astasie-abasie ; par le Dr de Bock (Bull. de la Soc. de méd. mentale de Belgique, 1900, juin-août). Il s'agit d'une
. E. BLIN. . ici. De l'emploi du phosphate de codéine en pathologie mentale ; - - par le Dr DHEUIt. . En présence de la vo
é sur son étude physiologique ; par T. CLAY SIAN. (The Journal of Mental Science, Juillet 1902). Après quelques considér
quelques cas de morphinomanie; par Robert Jones. · (The Journal of Mental Science. Juillet 1902). Très bon résumé de la q
sonnementpar lesulfonal; par H. de M. ALEXAN- , der (The Journal of Mental Science. Octobre 1902). Femme de trente-deux an
male : l'ar- ticulation de la parole un peu lente mais nette ; état mental meil- leur que depuis bien des mois. La malade
les vomissemenis, l'incoor- dination des mouvements, et la torpeur mentale , avec prostration considérable et pouls un peu
Mort dans le coma, après un syndrome psychapothique de con- fusion mentale , délire onirique, optimisme, stupeur, qui traduis
dans l'état normal, car son action est neutralisée par les facultés mentales de contrôle, par contre, dans certains états pa
t le criminel, ' M. Maxwell s'efforce de la retrouver en pathologie mentale ; et s'il z fallait indiquer en une équation mat
at- tachent probablement à l'épilepsie». 1 Esquirol. Des maladies mentales , t. I, pages ` ? sur et suivantes, 1838. ' Art.
ures, 38°,2; 'il à 5 heures, 38°, et de l'excitation avec confusion mentale extrême se développa, tellement per- sistante e
hyroïde, et le troisième jour elles avaient aussi de la confu- sion mentale beaucoup plus accusée qu'elles ne l'avaient 110
première semaine et surtout de la seconde semaine, une confusion mentale extrême avec désordre des actes, mobilité incons-
ve, rapide et seul accès dans toute l'année 1900. Du côté de l'état mental : reste de l'affaiblissement intellectuel et de
hystériques et des phénomènes hypnotiques. Le caractère psychique, mental et uniquement men- tal, y est affirmé par la dé
otiseur, d'accomplir des actes commandés par lui, nécessite un état mental (ou psychique) un état du « moi » spécial, le m
ur a pu guérir un malade hypnotisé sans succès auparavant. L'état mental du sujet hypnotisable, loin d'être inconscient
'hypnose : « Je vais vous endormir et je vous guérirai. » Si l'état mental d'une femme atteinte de monoplégie brachiale hys-
corps. Cette transformation, résultat de l'acceptation par son état mental pathologique de votre suggestion, la convainc de
n il ne faut pas oublier que les sujets hypno- tisables ont un état mental spécial, caractéristique de l'hystérie ', du pi
ous convainc au contraire, avec Babinski, que l'hypnose est un état mental particulier, dans lequel la personnalité du sujet
rasset nous demande de préciser la nature intime de la perturbation mentale caractéristique de l'hypnose et de l'hystérie,
stion. C'est par le rassemblement des hystériques, par la contagion mentale , et par l'intérêt que l'on porte à l'étude de l
que le plus complet. Tel sujet fait preuve seulement d'une docilité mentale suffisante pour la guérison per- suasive, tel a
phénomènes de l'hypnose avec leur véritable caractère de perception mentale . Si on compare encore à ce point de vue l'amnés
détails pourvu que l'on ait la curiosité de stimuler ses fonctions mentales et de lui montrer que l'on désire qu'il en soit
ques de la person- nalité, ressortissent en réalité à la pathologie mentale (perturba- tion du centre 0 dirait Grasset). C'
able ne sont pas deux termes synonymes, ils représentent deux états mentaux séparés par une nuance seule. Les troubles hyst
nous croyons avoir montré que la conception de REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 135 M. Grasset, théorie et schéma du centre 0
importants : 1° Dans l'hypnose comme dans l'hystérie, c'est l'état mental du'sujet qui n'est pas normal ; c'est sur le mo
e lignes, une large partie de la neurologie. - REVUE DE -PATHOLOGIE MENTALE . 1. Crétinisme ; par WALTER SANIJS MIL (The New
vingt-sept ans). 1 H . DE ilUSGRAVE-CL9Y. 136 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . II. Les rapports des symptômes mentaux avec le
. 136 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. II. Les rapports des symptômes mentaux avec les maladies soma- * tiques; par Nathan Ra
x avec les maladies soma- * tiques; par Nathan Rac. (The Journal of Mental Science, Octo- bre 1902). Le point principal
aque ville, il faut créer un hôpital de réception pour les maladies mentales ; il pourra être ou non rattaché à l'hôpital gén
tuellement à se familiariser avec l'étude des cas aigus de maladies mentales . R. DE Musgrave-Clay. III. Note sur la pathogén
thogénie de la folie diabétique; par W.-R DAw- son. (The Journal of Mental Science. Octobre 1902). Il résulte des considér
s est ici plus complexe. R. DE Musgrave-Clay. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 'l31 IV. L'évolution du délire dans quelques c
uelques cas de mélancolie; par Lionel Ÿl°EATIiERLY. (The Journal of Mental Science. Juillet 1902). Dans ce court mémoire,
s chez les aliénés et leur valeur; par T. P. CowEN. (The Journal of Mental Science. Juillet 1902). Il est commun de rencon
hysiologiques relatives au fonctionnement 138 , REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . de la pupille, et constate que chez les aliéné
ques sur les hallucinations ; par CONOLLY 1TORhfAN (The 'Journal of Mental Science. Janvier 1902). Lorsqu'on se trouve en
n de ces deux sens est celui de la vue, l'autre celui de l'activité mentale . Personne ne conteste l'importance du sens de l
vue de nos relations avec le monde extérieur. Le sens de l'activité mentale a échappé à l'attention des physiologistes parce
age de nos facultés sans avoir la sensation nette de notre activité mentale , et si nous devenons conscients de REVUE DE PAT
vité mentale, et si nous devenons conscients de REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 139 cette activité,nous sommes ordinairement s
nnement normal une lumière inattendue, le sentiment de l'acti- vité mentale a souvent une grande importance, car ses manifest
les suppositions ou inductions, mais que la sensation de l'activité mentale (s'exerçant d'une façon anormale) est aussi nette
e, amère ; l'auteur pense qu'il en faudrait 140 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . admettre au moins deux autres, la saveur astri
it avoir vu qu'à ses hallucinations de l'ouïe. Sensation d'activité mentale : il ne paratt pas y avoir d'hallucinations de
ère de voir. Un point intéressant, c'est que la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 'J 41 malade entend les bruits et les voix ave
du côté sourd ? R. DE IUSGR.1VE CLAY. VII. Deux cas de confusion mentale polynévritique; par le Dr J. CRocQ. (Bull, de l
ntale polynévritique; par le Dr J. CRocQ. (Bull, de la Soc. de Méd, Mentale de Belgique, 1903,. n° 108). Ces deux cas con
uteur devrait être placée désor- mais dans le cadre de la confusion mentale . G. DENY. 142 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. VI
le cadre de la confusion mentale. G. DENY. 142 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . VIII. La paralysie progressive d'après les doc
la ° grossesse, puis 3 années se passèrent. En REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 143 1883, après la naissance du 8e enfant, sur
colie. Cette dernière, qui n'avait jamais présenté aucun trouble mental , est devenue, à la suite de la mort d'un parent,
t retrouver dans ces deux affections la même dépression physique et mentale profonde, les mêmes idées de ruine, de culpa- b
accès, les mélancoliques intermittents ne présentent aucun stigmate mental , les déséquilibrés se font remarquer par les sing
uvant être alterne, à double forme oucircu- 144 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . laire. Elle est souvent héréditaire. Cette aff
LOGIE MENTALE. laire. Elle est souvent héréditaire. Cette affection mentale ne sévit pas toujours sous les traits accusés e
2). L'auteur fait quelques critiques au travail de Head : Certain mental changes thaï accompany viscéral diseases. Brain X
malgré l'amélioration graduelle aussi des acci- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 145 dents paralytiques. Nouvelles attaques ult
entier. P. KERAVAL.. XIII. L'élément histrionique dans les maladies mentales ; par THÉODORE A. KELLOGG. (The New-York Médical
de la manière suivante : , L'élément histrionique dans les maladies mentales est dans cer- tains cas le résultat direct d'im
imitation, loi qui est fondamentale dans les processus de formation mentale . Au point de vue clinique, les actes histrioniq
une certaine lumière sur quelques phases obscures de la pathologie mentale , éclaircit le caractère embarrassant des cas où
E-CLAY. Archives, 20 série, t. XVII. 10 146 ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XIV. Un cas d'idiotie avec amaurose; par A. Hy
1'n. 30 may 1896 ; Deux cas d'idiotie familiale REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 147 amaurotique, par Latrick et par Ch. H. Bea
as de fétichisme; par le Dr DE 111ooa. (Bzill. de ltt Soc. de n.éd. mentale , de Belgique, 1903. juin-août). 11 -s'agit d'un
ie circulaire se rencontrerait dans 1,94 p. 100 des cas de maladies mentales et s'observerait deux fois plus souvent que la
e tare héréditaire, 60 accu- saient de l'alcoolisme ou des maladies mentales chez le père ou la mère et 7 des tares analogue
manifeste entre quinze et vingt-cinq ans. 148 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ' Sur 80 sujets qui en étaient atteints il n'y
intenant éveille en lui les idées les plus cour REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 149 pables, c'est une dame de soixante ans, à
forment dans l'organisme, on est contraint 150 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . de reconnaitre que l'immense majorité d'entre
us les cas d'allochirie si on considère celle-ci comme un phénomène mental , un phénomène de réception erronée des sensatio
ensations (Leyden, Fischer), le produit d'un désordre de l'activité mentale . Et on le peut en s'appuyant sur le phénomène d
ssement du champ dela conscience. P. KERAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 1S1 XXI. Une affection spéciale du système ner
enfance et se traduisant par des troubles moteurs et de la débilité mentale ; par W.-Ai. BECHTEREW. (Obozrênié psichiatrü, V
des tremblements des membres, une certaine rigidité, de la débilité mentale . Cette observation diffère des cas de 0. Giese
a progressé lentement mais sans arrêt. Les phénomènes de débilité mentale , les tremblements des membres, les troubles par
1901. Ncurolog., Celit1'Ctlbl., XX, 1901). 152 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Ce sont des états anxieux caractérisés par la
ident devient le choc psychique qui donne le coup de fouet à l'état mental . Dès lors le sujet s'observe en mangeant, appré
de médicaments cardiaques, de codéine. P. Keraval. XXIV. Confusion mentale et syndrome cérébelleux au cours de l'urémie. E
urémie cérébrale, empruntant le double masque du syndrome confusion mentale et du syndrome cérébel- leux. Une ponction lomb
d'un mois et demi, engagea l'auteur à faire une REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 153 nouvelle ponction de 30 centimètres cubes,
la glycosurie. La présente observation fait 154 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . exception à cette idée généralement admise et
enne, si les Juifs ont une disposi- tion plus grande à l'aliénation mentale , relativement à la popula- tion aryenne, et, si
rouvé 11 p. 100 d'aliénés juifs admis à la cli- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 155 nique. Les chiffres deviennent plus intére
a disposition des Juifs pour les types nosologiques de l'aliénation mentale diffère de celle de l'autre population en plusi
s fournissent un grand contingent au pourcentage de cette maladie mentale sur laquelle, après la syphilis, le facteur du su
ies organiques du corps (cerveau, etc.) par opposition aux maladies mentales ou de l'esprit ( ! ). Mais son tra- vail prend
paragraphe 104, section 2, incapacité pour celui qui a des troubles mentaux caractérisés. § 3. Incapacité pour l'aliéné séq
liéné, comme des mineurs de 7 ans auquel il 156 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . est assimilé, ne s'étend qu'aux dommages causé
re criminelle allemand admet l'interrogatoire de l'aliéné ou débile mental , comme du mineur au-dessous de 16 ans, mais en
ule permis d'arriver à un diagnostic précis. En deux années, l'état mental , loin de s'aggraver, est devenu meilleur ou tou
est celle de démence épileptique. ' R. LEROY. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . un XXXI. Séméiologie générale de l'idée de gro
ler. La genèse de l'idée de grossesse peut avoir un point de départ mental ou organique. G. Carrier. XXXII. Les rémissio
eu à faire, et de ne tenir aucun compte des 158 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . successions et des superpositions de causes va
tion. L'épilepsie réflexe a une base expérimen- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . , 1J9 tale solide, elle s'appuie sur l'expérie
les femmes; 5° sa terminaison est fatale 160 ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . et, le plus souvent, en moins de deux ans et d
e pas toujours, comme on a l'habitude de le dire, une suracti- vité mentale . SIMON. 1,X1. Les signes auxquels se reconnaît
ence. Aucun signe physique n'y suffit. SIMON. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 161 XLII. Sur les, psychoses liées à la fièvre
ou provoquer, au contraire, tous les de- grés possibles de troubles mentaux . La gravité des troubles men- taux n'est pas né
attaque de fièvre typhoïde s'accompagnent plus souvent de'troubles mentaux que la pre- mière. - Quant aux types morbides
Il est l'occasion fréquente d'erreurs de diagnostic. Tout trouble mental , accompagné de fièvre, doit faire soupçonner la f
ux troubles men- taux est surtout fonction de son degré de réaction mentale . - / Smox. XLIII. De quelques éléments de dia
E rapporte l'observation d'un ancien alcoolique atteint de débilité mentale à hérédité mentale très chargée qui eut au cour
ation d'un ancien alcoolique atteint de débilité mentale à hérédité mentale très chargée qui eut au cours de sa vie plusieu
ble forme doit être réservé et il lui préférerait celui de débilité mentale avec alter- native d'excitation et de dépressio
trait à une malade qui présenta simultanément un état de confusion mentale profonde, des phénomènes névritiques du côté de
e semble avoir eu pour effet de favoriser l'éclosion des trou- bles mentaux , chez une malade, dont le système nerveux était
de la prédispo- sition, dans l'éclosion de ces troubles nerveux et mentaux , la pré- disposition est caractérisée ici par u
ulose dans l'étiologie et la pathogénie des maladies ner- veuses et mentales . Etude critique et expérimentale; A. MopsELLi,
qu'on appelle la folie tuberculeuse est représenté par des troubles mentaux sans rapports avec ceux qui accompagnent les dé
bacillaire et ne peuvent suffir à expliquer les différents troubles mentaux du ma- lade. Telle est l'analyse très succinc
ssé. Le malheureux ne jouissait pas de la plénitude de ses facultés mentales . (Progrès de Lyon, décembre). Suicide. Depuis
le vide. Cette femme paraissait ne pas posséder toutes ses facultés mentales . (Progrès de l'l;ue, 6 janvier 1904). - La mère
à Londres le 16 juil- let 1903, par Ernest W. VHITC (The Journal of Mental , Science, octobre 1903). Comme ceux de ses préd
f. Vol. XVII. Mars 1904. N° 99. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . L'état du fond de l'oeil chez les paralytiques
uche. Nous en donnons les observations résu- mées et quant à l'état mental et quant à l'état ophthalmos- copique. Observ
903, page 826. ' Archives, 2' série, t. XVII. 13 194 -il CLINIQUE mentale . de dépression mélancolique avec quelques idées
e 1903, affaiblissement intellectuel considérable, grande confusion mentale ; désorientalion excessive. Hallucinations nombr
ns indéniables. Voici d'ailleurs les traits principaux de leur état mental au moment de l'examen et le relevé correspondan
de parésie linguale et de bégaiement pendant quelques 196 CLINIQUE MENTALE . jours. 'Au moment de l'entrée, accès d'agitati
ralysie générale. Aujourd'hui, 8 septembre 1903, les manifestations mentales sont en rémission, la malade s'occupe régulière
sent plus ni à la lumière, ni à l'accommo- dation. 0 198 CLINIQUE MENTALE . L'examen du fond de l'oeil permet de constater
t nécrosée ; elle n'existe plus; bien plus, sa mala- 200 - CLINIQUE MENTALE . die s'est propagée à tout l'univers, aux végét
rt embarrassée. Pas d'inégalité pupillaire; les pu-. 202 . CLINIQUE MENTALE . pilles moyennement dilatées ne réagissent plus
s. Aucun trouble sensoriel. Le gâtisme a disparu. 204 .. CLINIQUE MENTALE . , A l'ophthalmoscope, la papille droite blanch
upil- laires très marqués.. Examen du 9 septembre 1903. Confusion mentale , demi- stupeur, attaques épileptiformes fréquen
e des épileptiques agités, alors qu'elles ont parfois une confusion mentale qui ne permet guère de donner à ces manifestati
veux par tels ou tels signes bruyants ou bien manifestes, confusion mentale , irritabilité, vertige ou convulsions, ou par l
originelles et autres persistant, on observe habituellement l'état mental lié aux lésions devenues indé- lébiles et, de t
ne rencontre que troubles psychiques ou de sensibilité et confusion mentale , vertiges, etc Je reviendrai, dans la dernière
bien, entre les symptômes de la maladie et les symptômes expéri- mentaux , certaines analogies, mais moins frappantes en so
e même l'écriture de l'homme froid est plus droite, celle du senti- mental plus conrbée. L'écriture droite, raide, positivem
reconnu tel et puni par la loi ; par EDWIN GOODALL. (The Journal of Mental Science, Avril 1903)- Il s'agit d'un homme de t
il donne des REVUE DE MÉDECINE LEGALE. - 245 signes d'aliénation mentale et fut transféré à l'asile le 1er juillet. La f
si. A son entrée à l'asile, il fut reconnu atteint d'in- suffisance mentale congénitale, avec nouveaux troubles surajoutés,
ble avec les mensurations et descriptions nor- males. Les symptômes mentaux aigus et nouveaux ont disparu, laissant subsist
ux aigus et nouveaux ont disparu, laissant subsister l'insuffisance mentale ; c'est un minus habens. L'auteur ajoute avec r
son, mais soumis à un traitement éducationnel à la fin physique et mental . ' R. de nlUSG9A1'E-CLAY. II. Les mesures à pre
gard des idiots et des imbéciles; par J.-H. SPROAT. (The Journal of Mental Science. Octobre 1902). 1 L'auteur n'entend p
sprit (principalement les enfants arriérés ou dont le développement mental est lent) ; 2° les imbéciles ; 3° les idiots. P
ces mesures. R. de M.-C. III. Jugement, exécution, autopsie et état mental de Léon Czolgosz alias Fréderic Nieman, meurtri
été conduits par des voies différentes, l'un par l'étude de l'état mental , l'autre par l'examen nécrospique du cerveau es
de ses actes. . . ' lt. M.-C. iv. Rapport sur l'examen de l'état mental de Machetto Charles; ' par les Dr Weber et KOHL
ée d'un asile spécial pour les malades chez les- quels l'aberration mentale est compliquée de criminalité grave. , ' G. D.
té, que c'est un héréditaire prédisposé aux affections nerveuses et mentales , qui a accompli son crime en état de mala- die.
islation anglaise sur la folie ; par Ernest Wiiite. (The Journal of Mental Science. Avril 1902.) Une dame est admise à l'a
a folie chez les imbéciles ; par E.-F. 'l'fiEDGOLD. (The Journal of mental Science. Janvier 1903.) La folie ne s'observe q
souvent chez eux un état qu'on peut définir par le mot instabilité mentale et on peut par conséquent diviser les imbéciles l
ntalement stables et celui des mentalement instables. L'instabilité mentale paraît être chez eux le facteur le plus importa
e paraît être chez eux le facteur le plus important de l'aliénation mentale ; et dans la pro- duction de ce facteur, l'héré
tres supérieurs, et si ce con- trôle vient à manquer, l'instabilité mentale s'établit. 11 y a une caté- gorie de ces imbéci
à 85 p. 100). Qu'il s'agisse de manie ou de mélancolie, le trouble mental n'est pas ordinairement de longue durée ; dans
Constantinople ; par le D1' Luigi Mongeri (Bull. .de laSoc. de méd. mentale de Berme, juin-août 1903). asiles D aliénés. 25
cide dans les asiles publics ; par Harry A. BEXHAM. (The Journal of Mental Science, juillet 1903.) Les recherches de l'aut
lissements destinés aux aliénés; par Bedford PIERCE. (TheJournàl of Mental Science. Janvier 1903.) 252 asiles d'aliénés.
es par l'urée et ses sels ; par J. Longheed Baskin. (The Journal of Mental Science, Janvier 1903.) L'auteur a employé ch
iés de traitement aux cas de début et aux cas passagers de maladies mentales dans les hôpitaux généraux : ouverture de la di
ouverture de la discussion; par M..T.-S. CLOUSTON. (The Journal of Mental Science, octobre 1902). N'ayant d'autre rôle qu
questions tous les médecins qui font de la consultation de maladies mentales répondront oui, avec quelques réserves sans dou
le savoir et l'expérience des prati- ciens en matière de pathologie mentale ? On peut répond- e que l'avantage serait énorm
récisément ce qu'ils ne voient pas à l'asile, le début des maladies mentales , et ils apprendraient à les soigner de bonne he
erait l'idéal des mesures à prendre pour le traitement des maladies mentales dans les classes pauvres ? - Pour M. Clouston,
au nombre de quatre : a, à l'hôpital général une salle de maladies mentales , telle qu'elle vient d'être décrite'; b, un hôp
contribuer à établir les rapports du spiritisme avec l'aliéna- tion mentale . La première malade distraite et rêveuse, n'ayant
le premier cas. Il peut être une étape, une épisode dans un état mental grave comme dans le second cas. Il permet d'attir
« Fac et spern ». 2° Des rapports du paludisme et de l'aliénation mentale . Epi- graphe : « Jeunes gens, vivez dans la pai
inte de pseudo-oedème catatonique que l'homme. Ecriture et débilité mentale . M. R. FOERSTER (de Bonn) qui avait présenté da
nie. - Très honoré Rédacteur, Dans le récent Traité de pathologie mentale , publié sous la direc- tion de M. Gilbert Balle
direc- tion de M. Gilbert Ballet, livre X, concernant la pathologie mentale au point de vue administratif et judiciaire, au
basant sur les comptes rendus du Congrès international de médecine mentale de Paris en 1889, où M. Soutzo parle de l'assista
Par leur physionomie un peu différente dans les diverses affections mentales où elles se présentent, les idées de négation p
aine. Il a aussi insisté sur l'accroisse- ment des cas d'aliénation mentale causés par l'abus des boissons alcooliques. M
er, sera décerné au meil- leur manuscrit sur un point de pathologie mentale . , Année 1905. - Prix Belhomme. - 900 francs. -
a décerné au meilleur travail manuscrit, sur un point de pathologie mentale . Prix Moreau(de Tours). - 200 francs.- Ce prix
vant les facultés de médecine de France, sur un sujet de pathologie mentale ou nerveuse. - 7 ? KSeme/'< ? ) ! e. - 500 fra
t. Il survient de l'incontinence de l'urine et des matières, l'état mental , déjà très précaire, caractérisé par de la torp
s : il n'en reste d'ailleurs pas moins acquis que la cause fonda- mentale réside dans l'imprégnation plombique. Dans notr
s indiqué d'insuffiance rénale. L'une d'elles fit de la confu- sion mentale , l'autre, un délire à physionomie ancestrale bien
MM, Bouveret et Devic. Les contractures avaient REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 331 L débuté par les extrémités, avaient gagné
des accidents toxiques tétaniques. G. Carrier. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XLV. Symptômes hystériques de la folie simple
ie. Finalement le tableau carastéristique 332 , REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . de la phase maniaque ; l'identité quasi-absolu
er le méca- nisme des accès de folie, l'influence sur eux de l'état mental , des accidents psychopathiques et somatiques. i
t de 14,4 p. 100, sont depuis de 11,2 p. 100. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 333 Ayant reproduit le fond de la doctrine et
ation crépusculaire et leurs modalités dans les diverses affections mentales , M. Raecke les détaille et discute successiveme
n'a pas troublé la marche. Il s'agit d'une 334 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . paysanne de ;il ans buveuse mais bien portante
n syndrome catatonique composé d'un ensemble de REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 33d 5 symptômes psycho-moteurs dont le terme c
pilepsie, paralysie générale, démence sénile, mélancolie, confusion mentale , délires auto et exataxiques : avec ses carac-
xpérimentales sur la katatonie; par Lewis C. BRUCE. (The Journal of Mental Science, octobre 1903.) Les conclusions tirées
a période d'invasion aiguë avec hallucinations de l'ouïe, confusion mentale , paroxys- mes d'excitation, actes impulsifs, sp
de la température, aug- mentation des réflexes cutanés et hébétude mentale . Chez les lapins bien portants, la maladie tend
s de folie d'origine toxique; par Emc M. Thom- son. (The Journal of Mental Science, juillet 1903.) Le premier de ces cas m
orielles et les troubles cutanés. Le second 33G REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . présente une variété assez commune d'auto-into
ay. LIV. La folie du haschich; par John \VAnNOCE. (The Journal of Mental Science, janvier 1903.) L'auteur, qui dirige un
ute que le haschich parait être en Egygte un fac- teur d'aliénation mentale plus important que l'alcool en Angle- terre, et
ans l'Inde anglaise, et qu'il donne lieu à plus de cas d'aliénation mentale et à plus de crimes. II. DE IOSGIi.IVE-CL : 1Y.
ment la manie de l'adolescence; par Lewis C. BRUCE. (The Journal of Mental Science, juillet 1903.) Dans un précédent trava
e de Korsakow » chez des femmes; par John TURNER, (titre Journal of Mental Science, octobre 1903.) Il y a une quinzaine d'
es qui se rencontrent très fréquemment chez les REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 337 alcooliques chroniques, et'il a donné à ce
au ayant causé la folie; par Lui. Sm : LAIR-(3LACK. (The Journal of Mental Science, janvier 1903.) La présence de cysticer
uverts. ! j Archives, 2' série, t. XVII. 22 338 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Dans le quatrième ventricule, cinq kystes étai
1T. LVIII. Un cas d'anévrysme; par Robert Pucn. (The Journal of - Mental Science, juillet 1903.) Observation curieuse d'
e : rapide terminaison fatale; par li.-D. Hotchkis. (The Journal of Mental Science, juillet 1903.) Il s'agit d'un 'homme
peut être utilisé par les malades pour s'ex- pliquer leurs troubles mentaux . Croyant innover, ces malades reviennent à la p
'est-elle pas toujours caractérisée par l'altération de la synthèse mentale , terrain propice à tous les automatismes psycho
ns de parler. M. VOISIN. - Ce malade a dû présenter de la confusion mentale après la mort de sa femme; il est maintenant be
cupait chez sa fille ; elle ne jouissait pas de toutes ses facultés mentales et l'on pense qu'elle aura mis involontairement
Universités des Etats- Unis; par Charles-S. Mayens. (The Journal of Mental Science. Octo- bre 1903.) ' - - Dans ses visi
iques présentées par H commission DE la tuberculose (The Journal of Mental Science, octobre 1903). Travail accompagné de p
elle avait déjà manifesté des symptômes d'abaissement des facultés mentales . Ii y a quelque temps, à la suite de remontranc
THE\uME (André-Alphone-Louis), ancien chef de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine ^de Paris, inspecteur
e Itacine. Prix : 3 fr. 50. Pnov. Influence de l'estomac sur l'elat mental et les fonctions psychiques. 1 vol. in-18" de 1
: 2 francs. ' SCliUTTLFWORTII. Les enfants anormaux au point de vue mental , - Leur traitement et leur éducation. 1 vol. in
4, Vol. XVII. Mai 1904. N° 101. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . Des signes oculaires dans la pàralysie général
n de caractéristique. Archives, 2'série, t. XVII. 23 354 CLINIQUE MENTALE . Il convient cependant de reconnaître que dans
bles iriens qui sont de beaucoup les plus fréquents. 356 CLINIQUE MENTALE . Le premier signe, noté depuis longtemps par Ba
un, le réflexe lumineux, est très fréquemment atteint, 358 CLINIQUE MENTALE . on peut dire presque constamment; l'autre, le
ernier malade est sorti du service peu après, mais' il 360 CLINIQUE MENTALE . est probable que dans un temps plus ou moins r
Mickle (1886) que chez les paralytiques généraux : 362 ? CLINIQUE MENTALE . 1° On trouve très fréquemment l'immobilité des
ies commençantes), 22 aspects flous de la papille avec 364 CLINIQUE MENTALE . bords indécis. En somme 42 fois des lésions du
pour notre part, que, abstraction faite des cas où les trou- bles mentaux rendent cet examen impossible, et ceux où des l
rvice de M. Tou- louse, avec le certificat suivant : « Déséquilibre mental . Accidents hystériques. Impulsions génitales. »
de ce même mouvement, le tout commandé par l'évolution d'une image mentale motrice. Cette image s'ac- compagne d'une vague
vement était la résultante inconsciente et immédiate de l'avalanche mentale de l'image motrice. Et lorsque le mouvement aug
à l'acte sexuel. Ce qui caractérise l'acte sexuel au point de vue mental c'est avant tout une impulsion motrice qui se r
par un état vague et flou de la conscience, véri- table distraction mentale , se détachant pour ainsi dire de son objet qui
t elle invite au rapprochement sexuel, mais on peut dire que la vie mentale provoquée par l'audition d'airs musicaux se rap
nal. La similitude résidait surtout dans la vie psychique et l'état mental dû très probablement à l'évolution parallèle et
st sou- vent d'un précieux secours pour la connaissance de l'état mental d'un sujet. , Dans un précédent travail nous av
s muscles de l'oeil qui elle-même n'est que la traduction de l'état mental du sujet « et par suite est l'expression de l'a
gue motrice. Et, lorsque nous disons fatigue motrice, c'est l'image mentale du mouvement que nous voulons désigner. C'est l
tat soi-disant normal, il en résulte un état d'épuisement de l'état mental et principalement des impressions et repré- sen
it et se complai- sait dans le plein épanouissement de son activité mentale . ' C'est là une expérience rare, peut-être même
e d'immobilité vertigineuse, correspondant au summum d'excitation mentale . De nouveaux groupes d'images, véri- tables sat
et nourris par une émotion toujours plus intense, donne à l'image mentale sexuelle une physionomie bien définie et bien.
ns la folie; par R. WILSO ? et D. Chalmers `VATS01. (The Journal of Mental Science, juil- let 4003 ) Deux observations t
romhy- drate d'hyoscine ; par J. L)lt-40,ND-GOLDAN (The New-l'o·l : Mental Journal, 3 janvier 1903.) bans ce travail, ac
stème nerveux central de l'homme ; par John TUnNER. (The Journal of Mental Science, juillet 1903). Très intéressant mémo
ration cellulaire parait avoir un rapport défini avec les symptômes mentaux de la maladie où on l'observe, dans l'autre cla
cas de manie aiguë continue; par Lewis C. BRUCE ( 7'Ae Jour- nal of Mental Science, avril 1903.) REVUE D'ANATOMIE ET DE PH
dans la paralysie générale; par J.-V. 13LACHFORD (The Journal of Mental Science, juillet 1903.) De ses propres recherch
e stigmates de dégénérescence; par E.-H. Haurisson. (The Journal of Mental Science. Janvier 1903.) Les conclusions de l'
nt simulé une tumeur du médiastin; par Robert PuGH. (The Journal of Mental Science. Avril 1903). Il s'agit d'un homme de
n cas de cyticerque du cerveau; par W.-C. SULLIVAN. (The Journal of Mental Science. Janvier 1903). Homme de 27 ans, aurait
cas de poren- céphalie ; par J.-O. WAKELIN BARRATT. (The Journal of Mental Science, juillet 1903.) , L'observation du ma
a névroglie et ses prolonge- ments ; par R. LEEPEI\ (The Journal of Mental Science. Oct.i902). Les altérations des cellule
anormal de poids anormal ; par John SUTc- , LIFFE. (The Journal of Mental Science. Avril 1902.) La conclusion de l'auteur
LXXVI. Influence du travail intellectuel prolongé et de la fatigue mentale sur la respiration ; par le Dr Omci. (Riv. Sp. di
respiration sont généralement liées à des irrégularités du travail mental , soit dans sa rapidité du calcul, soit dans l'in-
es (atten- tion, aperception, mémoire...) prennent part à des actes mentaux déterminés. 2° Quand les actes mentaux sont de
.) prennent part à des actes mentaux déterminés. 2° Quand les actes mentaux sont de durée égale et coûtent au sujet un effo
les actes mentaux sont de durée égale et coûtent au sujet un effort mental égal, la respiration prend aussi un cours unifo
due au fait que le langage intérieur accompagne et aide le travail mental . 4° Les irrégularités de la respiration se mani
deviennent d'autant plus accentuées que plus intense est la fatigue mentale du sujet. 5° La rapidité de l'inspiration est d
a rapidité de l'inspiration est d'autant plus grande que le travail mental est plus intense et plus rapide, peut-être parc
correspond très souvent soit au petit intervalle entre deux actes mentaux successifs, soit à celui qui sépare le calcul men
re deux actes mentaux successifs, soit à celui qui sépare le calcul mental accom- pli de l'acte musculaire d'écrire les ch
acte musculaire d'écrire les chiffres obtenus. Quand durant un acte mental (A. M.) le sujet fait quelques respirations, les
des, mais plus brusques et rapides qu'à l'ordinaire. -7° Le travail mental du calcul est plus intense durant l'expiration,
s pendant quelques pauses. 8° L'expiration contemporaine du travail mental est à l'ordinaire allongée, non uniforme dans l
9° L'allongement de l'expiration semble être l'indice d'un travail mental contemporain, tandis que d'autre part la longueur
M. 11° La modification de l'expiration, contem- poraine au travail mental , peut aussi manquer; mais elle est un bon indic
habituelle des diverses pauses est d'indiquer une période de repos mental relatif ou absolu. 15° Très souvent les diverse
qu'une pause quelconque peut être associée à une période de travail mental , et être alors l'expression, soit d'un phénomèn
oute espèce deviennent d'habitude très fréquentes durant la fatigue mentale , et alors sont peut-être l'expression de la. fa
ation et l'intensité 390 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. du travail mental n'est pas toujours constant. 19° Spécialement c
- tal absolu ou relatif. - 20° Au contraire aux périodes d'activité mental correspondent des respirations peu profondes ; si
e respiratoire aux variations d'intensité et de rapidité du travail mental est très sensible et très vive. 22° D'ordinaire,
ental est très sensible et très vive. 22° D'ordinaire, à un travail mental représenté par des phénomènes d'aperception et
compliqué de scarlatine; par George WATTERS Green. (The Journal úr Mental Science. Avril 1903). Il s'agit d'un garçon de
cou) a le premier fait remarquer qu'une forme spé- ciale de trouble mental que l'on avait auparavant décrite comme étant c
uns locaux, des brûlures ; les autres sont des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 399 accidents nerveux qui consistent en perte
appelées les kéraino-paralysies. G. Carrier. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . LX. Quelques considérations à propos du rappor
LX. Quelques considérations à propos du rapport sur l'aliénation mentale ; présenté par M. LENTZ, au Congrès International
e maladie de Graves avec manie ; par J.-P. Grikves. (The Journal of Mental Science. Octobre 1903). Intéressante observatio
avec accompagnement de manie. La mort sur- 400 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . vint en quatorze jours, sans complications pul
II. Un cas de double conscience; par Albert WiLsox. (The Journal of Mental Science . Octobre 1903.) Nous regrettons de ne
pour des tentatives de suicide; par Robert JoNEs. (The Journal of Mental Science. Avtil 1903.) Relation intéressante de
et la mélancolie avec stupeur; par W.-Il. Dawson. (Tite Journal of Mental Science. Octobre 1903.) Deux observations intér
ue. R. M -C. LXVI. Un cas de chorée et de grossesse avec aliénation mentale ; par Robert Joues. (Tlc Journal of Mental Scien
rossesse avec aliénation mentale; par Robert Joues. (Tlc Journal of Mental Science, juillet 1903.) Observation intéressant
otes cliniques et pathologiques; par M.-J. MOLAN, (fin - Journal of Mental Science. Avril 1903). Ce travail se compose de
rne un homme qui avait avalé en état de démence REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 401 des corps étrangers : passage facile de gr
de ; mort. H. DE IUSGn.avE-CL1'. 1.'\1'\. Nomenclature des maladies mentales ; par A.-R. Urguiurt. (Tlte Journal of Mental Sc
clature des maladies mentales; par A.-R. Urguiurt. (Tlte Journal of Mental Science. Avril 1903). C'est à propos d'une nouv
a pensé qu'il y avait lieu de reviser la nomenclatnre des maladies mentales . Il pense qu'il faut se rallier, dans les gran-
y. L'il. Un cas d'hébéphrénie ; par W.-R. Dawson. (The Journal of Mental Science, avril 1903.) On sait que le mot d' « h
ployé par Stecker et Kahlbaum pour désigner une série de phénomènes mentaux pathologiques commençant à la puberté ou à l'ad
t devient Archives, 2' série, t. XVII. 26 402 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . morose, absorbé, il recherche la solitude, ou
nt expansif. Tout d'abord il a conscience d'un certain détraquement mental . La masturba- tion est fréquente. La conduite d
émissions, surtout dans les commencements. Puis l'affaiblisse- ment mental s'accuse, mais les idées délirantes et les halluc
nt les rapports de l'hébéphrénie avec les autres formes de maladies mentales . Il est évident qu'elle constitue essentielleme
onnelle, la distribution ne porte peut-être que REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 403 sur les mots. Enfin on peut se demander qu
t que l'excès de cette pratique soit de nature à hâter le déchéance mentale , il ne parait pas y avoir de raisons suffisante
lui attribuer une autre valeur que celle d'un symptôme de troubles mentaux généralisés. R. de lIIUSGU.vVE-CL.1Y. LXXL Quel
arques sur les hallucinations ; par CONOLLY Mormon (T'he Journal of Mental Science, avril et juillet 1903). La première pa
nions, et les théories nouvelles ne peuvent 404 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . guère que l'étendre ou la compléter. C'est ce
p plus complexe que le mouvement,, il n'est pas REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 405 surprenant que les associations sensoriell
du nIUSGRAVE-CL : 1Y. LXXIII. Les hallucinations et les phénomènes mentaux qui leur sont connexes; par Sir LAUDER BItuwTOV
ux qui leur sont connexes; par Sir LAUDER BItuwTOV. (The Journal of Mental Science, avril 1902.) , . Pour analyser ce lo
ière captivante ; les faits ont rapport plus souvent aux phénomènes mentaux qui sont connexes aux halluci- nations qu'aux h
athologie de la folie; par T. DUNCAN GREENLEES. (rA6youn ! a< of Mental Science. Octobre 1902) . '. ' Ce travail est
n ; mais il ne saurait être analysé ; étant 406 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . composé presque exclusivement de chiffres et d
ts. nE lIlUSGRAVE-CLAY. - - R. DE Musgrave-Clay. L11VI. Les états mentaux qui aboutissent à l'homicide; par G.-T. REVINGT
qui aboutissent à l'homicide; par G.-T. REVINGTON. (Tlee Journal of Mental Science. Avril 1902.) Les conclusions de ce tra
ychologique de la Grande-Bretagne et de l'Irlande. (7'he Journal of Mental Science. Juillet 190z.) Ce travail, très docume
ades atteints de phthisie; 3D la construction à REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 407 l'avenir d'asiles moins grands ; 4° les me
cises et une méthode corrélative; par C. HUBER Bond (The Journal of Mental Science, octobre 1902). Travail intéressant mai
tableaux. R. M. C. LXXIX. La toxémie dans l'étiologie des maladies mentales . Ouverture de la discussion; par M. T.-S. CLOUS
Hohertson, G.-B. Wilson, Yellowlees, Bruce et Marr (The Journal of Mental Science, juillet 1902). M. Clouston en ouvrant
ladie mentale » est un état primitif et que 408 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . .la « maladie somatique » qui l'accompagne est
étiologique des maladies men- tales. 2° La conscience- et les états mentaux peuvent se modifier considérablement dans diver
es ne produirait-elle pas les phénomènes observés dans les maladies mentales ? 3° Beaucoup de maladies mentales ont une appa
mènes observés dans les maladies mentales ? 3° Beaucoup de maladies mentales ont une apparition et une disparition dont la s
ues les plus im- portants au point de vue de la folie : sa fonction mentale est assu- rément celle qui réagit le plus vivem
lle qui réagit le plus vivement à l'égard des stimulations purement mentales , mais elle réagit aussi d'une façon bien accusée
ble de l'hérédité est la démonstration clinique REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 409 de cette proposition. 6° Les processus du
de cette proposition. 6° Les processus du développement cérébral et mental jusqu'à vingt-cinq ans, ceux de l'involulion et-
nvolulion et- de la déchéance après soixante ans, et les phénomènes mentaux qui les accompagnent sont rigoureusement physio
ionnement de la cellule nerveuse, mais non pas donner aux symptômes mentaux le caractère d'un" âge ou d'un autre. 7° Dans b
. 9° Il n'y a dans l'histoire clinique et pathologique des maladies mentales aucun phénomène qui soit le moins du monde anal
i sans aucun doute capable d'accentuer et de prolonger les troubles mentaux que d'attribuer à la toxémie une importance fon
de tout l'organisme, des sécrétions, des If] 0 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . excrétions, de la nutrition, que par conséquen
e théorie permet d'attribuer à la toxémie, dans la genèse des états mentaux , un rôle non pas primordial mais secondaire. 1;
rôle de la toxémie dans la genèse et la prolonga- tion des maladies mentales , mais elles sont trop complexes, trop manifeste
sions sensorielles peuvent être la cause déterminante de phénomènes mentaux , mais que la nature de ces phénomènes est subor
suivante : « Au début d'une maladie mentale aiguë les symptômes « mentaux précèdent-ils les symptômes physiques, ou bien le
t rapportées quatre observations de sujets i 12 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . atteints du délire de dépossession et de reven
le coup d'une affection aiguë. BOUR1,EVILLE. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 413 nairemeut une tare héréditaire souvent trè
une fâcheuse tendance à reparaître : '). chaque accès d'aliénation mentale .' {Annales médico-psychologiques, août t f 903)
a dysenterie d'asile; par N. H. i\I : 1C\IILL : 1N (Tite JOllmal of Mental Science. Juillet 1902). L'auteur indique avec d
ment qui ont été employés. R. M.-C. XIV. Le traitement des troubles mentaux à leur début; son ensei- gnement clinique dans
alles des hôpitaux généraux; par Sir John SIB13ALD (Tite Journal of Mental Science. Avril 1902). Le but de ce travail est
suffisance actuelle des moyens d'enseignement clinique des maladies mentales , et les moyens d'y remédier : cet enseignement
généraux des salles spéciales consacrés au traitement des maladies mentales à leur début. Les malades n'y resteraient qu'un
ouble. D'abord les étudiants se familiariseraient avec les maladies mentales , avec leur diagnostic au moment même où il est
nette que possible, les lésions du système nerveux dans un syndrome mental de nature auto-toxique, le delirium tre- mens,
tomie patho- logique était encore confondue avec d'autres syndromes mentaux toxi-infectieux.. 422 - BIBLIOGRAPHIE. Pour
essentiel. Il se caractérise cliniquement par un état de confusion mentale hallucinatoire suraiguë accompagnée de fièvre et
I. L'association des idées dans la manie aiguë et dans la, débilité mentale ; par le Du Madeleine Pelletier, 1 vol. in-8° de 1
t à ce processus psychique présentent chez le maniaque et le débile mental , les mêmes caractères que chez l'in- dividu nor
ait que débuter dans cette voie. - Le travail psychique du débile mental est supérieur à celui du maniaque. Il y a chez
Il y a chez lui une ébauche de coordination d'idées, mais le niveau mental subit à chaque instant des dépressions qui font
des idées. Les lois d'association sont les mêmes dans l'aliénation mentale et la débilité que dans l'état normal. L'affaib
ans un asile public ou privé consacré au traitement de l'aliénation mentale , soit comme chefs de clinique ou internes des h
1900, qui dispensait du concours le chef de clinique- de pathologie mentale et des maladies de l'encéphale, à la Faculté de
Vol. XVII. Juin 1904. ' N° 102. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . Un cas de forme fruste de démence précoce 1.
Dr Sérieux. Archives, 2' série, t. XVII. ' ? 8 . 131· li CLINIQUE MENTALE . faible affection pour le reste de sa famille;
anément du moins un certain trouble dans l'harmonie de ses facultés mentales , néan- moins il s'acquitta fort bien des foncti
iode de trou- UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 435 bles mentaux aigus a duré plus de temps que le malade ne le cr
cinations. A ce délire semble avoir suc- cédé une phasede confusion mentale qui a dû persister plusieurs mois jusqu'à la so
- grand- père. Je tâcherai d'élucider plus loin quel était l'état mental de )1. N... à cette époque, état mental qui a d
plus loin quel était l'état mental de )1. N... à cette époque, état mental qui a déterminé son mode de vie depuis 1890. Le
ivons aux faits qui ont motivé sa dernière entrée. De- 436 CLINIQUE MENTALE . puis le mois de février 1902, nI. 1\... était
res entières, ne paraissant penser à rien. Incapable de tout effort mental , il ne cherche aucune occu- pation. Il dit lui-
cune réaction. On voit qu'il s'agit en somme d'un état de confusion mentale , d'imprécision extrême des idées, qui se tradui
oles prononcées pour ainsi dire automatiquement, etc., 438 CLINIQUE MENTALE . etc.) Remarquons enfin que les perceptions son
'est à la faveur de cette imprécision des perceptions et des images mentales que se développent les illusions de fausse recon-
t ne ressent plus de fatigue lorsqu'il veut faire un certain effort mental . La phase aiguë n'a laissé en lui que des souveni
iminution des désirs, mais est liée aux troubles de tout l'exercice mental ; ce n'est qu'après avoir passé en revue toutes
e semble guère ressentir les émotions bien profondé- 440 ' CLINIQUE MENTALE . ment. Il est assez difficile d'étudier d'une f
. N... n'a plus de conceptions délirantes, il n'a rlus de confusion mentale ou d'imprécision des idées. Il ne parait pas av
ixe spontanément sur rien, il n'a pas de souvenirs 442 "-) CLINIQUE MENTALE . spontanés, il ne songe'pas à sa vie passée, il
st en désaccord avec ce que nous apprend le malade sur 444 CLINIQUE MENTALE . sa pensée spontanée. Mais je crois que ce désa
nt pas tant de ne pas pouvoir penser volontairelneutque de l'effort mental qu'il lui faut faire pour penser, il se plaint d'
'est pas troublée, mais ce qui l'est, c'est l'évocation; les images mentales n'ont plus une vivante assez grande pour appara
ente de rassembler quelques souvenirs, ce qui nécessite un effort mental moindre; il écrit un certain nombre de proverbes
rases, espérant ainsi le forcer à un certain effort de construction mentale ; ici encore, ce sont des rmiuis- cences qui s'i
s'exerce jamais à vide et on ne peut l'étudier qu'à 446 6 CLINIQUE MENTALE . travers une autre fonction. M. Binet fait rema
sse à des tests, dans lesquels l'intelligence, la faculté d'analyse mentale n'interviennent que peu, M. N... four- nit des
évoquer plus de détails qu'il ne le fait, mais grâce à un effort mental assez considérable qui le fatigue et l'ennuie. Vo
lixent dans son esprit et subsistent. Celte difficulté de l'effort mental se manifeste encore quand on prie le malade de
réponse est inexacte et il ne cherche pas à la cor-' 448 8 CLINIQUE MENTALE . riper ; à la fin de l'exercice, il ne prête pl
ies qui trahissent l'affinité qu'ont les diverses repré- sentations mentales les unes pour les autres. M. N..., pour reprodu
'applique qu'à des objets sim- ples, si la combinaison des éléments mentaux est peu com- pliquée ; elle est impossible ou p
d'adaptation spon- tanée, une certaine rapidité dans les processus mentaux qui permettent aux touts complexes, que forme l
e consistant en une diminution de la viva- cité des représentations mentales . Voilà donc une forme morbide dans' laquelle, à
s chez lui. i. Archives, 2' série, t. XVII. 2'.) . 450 CLINIQUE MENTALE . d'un épisode hallucinatoire confus survenu à l
craintes dans les moindres modifications de son état physique et mental . A cause du retour de plusieurs accès à peu prè
antécédents héréditaires, on ne e trouve aucune trace d'aliénation mentale , de dégénérescence dans sa famille. Jusqu'à son
e. Jusqu'à son premier accès, 1\1. N... n'a ma- nifesté aucune tare mentale ou névropathique bien appré- ciable. Noterons-n
-être là des faits suffisants pour que certains concluent à la tare mentale congénitale. Mais en élargissant à ce point le
on de la psychose observée; mais il ne s'agit pas là 452 ) CLINIQUE MENTALE . de prédisposition héréditaire, il s'agit de pr
sion de l'état de deséquilibre fonctionnel congénital des facultés mentales . Or, ce n'est pas le cas ici; il n'y a rien de
commun entre un délire à base de confusion hallucinatoire et l'état mental des dégénérés. La maladie de M. N... scinde sa
sa vie en deux périodes bien tranchées; son mode de vie, son état mental , son activité intellectuelle sont changés, modi
son contraire entraînent. Ce sont bien là les caractères de l'état mental de 111. N... Nous avons vu que, chez lui, c'éta
ité intellectuelle, nous les avons retrouvés dans toutes les formes mentales de notre malade, depuis la diminution de l'atte
que les formes extrêmes d'un état intellectuel dans laquelle la vie mentale se réduit à un nombre de plus en plus restreint
s ne portent que sur les élé- ments les plus délicats de l'activité mentale . Que pour une cause quelconque (cause que nous
he en conceptions, fugaces d'ailleurs et peu précises, 484 CLINIQUE MENTALE . le second en a été extrêmement pauvre, le déli
l'asile, enfin l'activité de l'intelligence sans laquelle toute vie mentale un peu élevée est impossible. La conception deK
N... soit en apparence normal, l'examen de ses diverses facultés mentales nous a permis de déceler chez lui lés traits esse
ntellectuel restreint, mais toute profession demandant des facultés mentales étendues, de la présence d'esprit, de la plasti
capital intellectuel existant encore. C'est là une 4S6 6 ' CLINIQUE MENTALE . simple hypothèse, mais elle mérite d'être appr
s à ce sujet par Magnan et Sérieux *. Dupré, in traité Pathologie mentale de Ballet, z1903), écrit à peu près dans le mêm
s imaginaires qui en voulaient à ses jours, et qu'il a 458 CLINIQUE MENTALE . - cherché une nuit à se jeter par une fenêtre
nte trois-ans, tous les deux jouissent d'une assez 460 ' · CLINIQUE MENTALE . bonne santé. D'après eux, pas de maladies nerv
QUE MENTALE. bonne santé. D'après eux, pas de maladies nerveuses ou mentales dans les ascendants. Antécédents personnels.
rines et se ruina. Excès alcooliques de toutes sortes. La ma- ladie mentale actuelle date de trois ans. Elle a débuté par des
ce sujet. Père mort d'accident, mère en bonne santé. 462 CLINIQUE MENTALE . Antécédents personnels. A eu la rougeole. D'un
iologique, autre que le syndrome paralysie générale. 464 CLINIQUE MENTALE . Baillarger soutenait que quand il y a un délir
érédité intervient sans doute ici, comme dans toutes les maladies mentales , mais elle ne joue pas un rôle prépondérant. No
CAS DE DELIRIUM TREMENS. 467 duit à admettre que la désorganisation mentale est moins profonde au cours du délire auditif q
i-ci atteint d'hallucinose auditive, affection avec désorganisation mentale vraisembla- blement moins profonde ne réussisse
plus longtemps que l'ouïe. Il en résulterait alors qu'une affection mentale com- portant déjà des troubles graves des centr
dé- chéance du système nerveux; par F.-W. IIOTT. (The Journal of Mental Science, octobre 1902.) Tout le monde sait que
eaucoup. Mais il n'y a aucun rap- port de proportion entre l'effort mental qui implique l'attention et la masse musculaire
tteints, l'idéation est gro- tesque, confuse et anormale. Ces états mentaux relèvent surtout des stimulations visuelles, pa
héréditaire ou acquise. Enfin il est incontestalbe que le surmenage mental est un facteur déterminant de la production de la
l'écorce cérébrale chez l'homme ; par John TURNEP (The Journal of Mental Science. Janvier 1903.) Nous ne pouvons, en rai
par H.-E. HiDWOLD, avec remarques par Robert JONES, (The Journal of Mental Science. Juillet 1903). Il s'agit d'une malade
iques démontrent que dans les cas de tumeur cérébrale, les troubles mentaux ou intellectuels. se rencontrent dans la moitié
thénie, de l'intoxi. cation saturnine et de l'urémie, les symptômes mentaux et physi- ques pouvant dans ces divers états pa
. de nIUSGR.1'E-CL4S'. LXXX. L'alcalinité du sang dans les maladies mentales ; par ' Robert Pucu. (Tlee Journal of Nental Sci
acksonnienne et la volition ; par A.-B. KINGSFORD. (T)ce Journal of Mental Science. Juillet 1903). Le caractère de l'épile
l'effort volitionnel, l'auteur le considère comme l'accompagnement mental d'un frottement nerveux (s'il est permis d'empl
dans les « Nursing Homes »; par Ernest W. WU1T1 ? (Tice Journal of Mental Science. Avril 1903.) Dans ce travail l'auteur
e traitement des cas aigus ; par R.-R. LI E- PER. (titre Journal of Mental Science. Octobre 1903 ) L'auteur rapporte plusi
s ses rapports avec les narcotiques dans le traitement des maladies mentales ; par Henry n.\Y<ER, (The Journal of Mental S
tement des maladies mentales; par Henry n.\Y<ER, (The Journal of Mental Science, juillet 1902). L'auteur se demande si
me, d'irritation gastrique, de consti- pation, et de cette hébétude mentale si commune dans les cas anciens de sédation par
diagnos- tic de méningite, avec pronostic fatal. En réalité, l'état mental est sous la dépendance d'un trismus, avec infec
tion buccale permet de triompher rapide- ment du trismus, et l'état mental disparait. L'hypnotisme en Russie. M. ORLITZ6
neste. Je disais expressément ceci : L'état d'incapacité, d'inertie mentale de cette malade, les mauvaises conditions hygié
générale, le milieu familial est souvent funeste aux nerveux et aux mentaux ; aussi leur prescrit-on l'isolement. Tou- tefo
une mesure bienfaisante et très grave dans la thérapie des maladies mentales . N.-N. l3acaor.r présume que la définition exac
pense que l'appréciation du temps se fait à l'aide des combinaisons mentales et non à l'aide de la seule per- ception et, pa
qu'il n'existe pas jusqu'à ce temps de théorie scientifique fonda- mentale sur la formation de cette catégorie des représent
ose sur trois grands ordres de faits : 1° l'apparition des troubles mentaux à l'adolescence; 2° l'évolution clinique qui év
ntes se méienl, se choquent dans l'esprit du malade créant un chaos mental indes- criptible. Le langage et les écrits de
It- pool, le 24 JUILLET 1902; par G. Wiglesworth. (The Journal of Mental Science, octobre 1902). Le discours présidentie
géné- rations. Quant il la fréquence relative de tel ou tel trouble mental chez les sujets à prédisposition héréditaire, c
héréditaires; d'autres l'assimilent à cet égard aux autres maladies mentales . La statistique de l'auteur porte sur 433 cas -
apport général sur les soins et le traitement au début des maladies mentales . Il pré- conise un système que M. le professeur
eur Clouston a depuis égale- ment défendu et développé (Journal loi Mental Science, octobre 1902). Il demande la création
'un échelon inter- médiaire qui .est l'hôpital simple pour maladies mentales sans internement. De la sorte, promptitude de
a l'asile fermé. L'auteur combat l'idée de fonder pour les maladies mentales des hôpitaux à part, établissements distincts des
taux généraux eux-mêmes, tout en répondant aux besoins des maladies mentales au début, devraient comme dispo- sition et admi
nseul832, domiciliéeàCurebhem- Anderlecht, avait perdu ses facultés mentales à la suite de la mort de son fils. Enfermée à l
exie chez un achondroplase, par Fiirsler et Marie, 80. Aliénation mentale . Quelques con- sidérations à propos du rapport
èg- ! pment du - des médecins adjoints des asiles. 426. Confusion mentale . Deux cas de polynévritique, par Crocq, 11J.
marques sur les - par 1>lorma/l, 403. Les et les pilé- nomènes mentaux qui leur sont connexes, par Brution, 405. Des
ar Decroly, 08. )1 \LADIES somatiques. Les rapports des symptômes mentaux avec les , par Haw, 136. L'élément, his- trio
aux avec les , par Haw, 136. L'élément, his- trionique dans les - mentales , par Kellogg, 145. - mentales. Voir Auto-into
'élément, his- trionique dans les - mentales, par Kellogg, 145. - mentales . Voir Auto-intoxication. - ner- veuses et men
ellogg, 145. - mentales. Voir Auto-intoxication. - ner- veuses et mentales . Voir Tuber- culose. l,a possibilité d'assurer
opriés de traite- ment aux cas de début et aux cas passagers de - mentales dans les hôpitaux généraux : ouver- ture de l
, 252. organiques Voir Traitement hypnotique. Nomen- clature ries mentales , par Ur- quhart, 401. Manie. Nouvelles observ
hterew, 333. Phosphate de codéine. De l'emploi du - en pathologie mentale , par Diseur, 71. Phtisie. Le traitement de la
on. Influence du travail intellectuel prolongé et de la fa- tigue mentale sur la - par Ob,ict, 388. Rêves. Contribution
uce, 378. - Voir Méningite. L'alcalinité du - dans les mala- dies mentales . par Pugb. 481. Pré- sentation des préparations
otiques dans le traitement TABLE DES MATIÈRES. o37 i des maladies mentales , par Ray- ner. 490. SoMELLEmn. Le merveilleux
Un cas d'empoisonne- ment par le , par Alexander, 76. Symptômes mentaux . Voir Maladies somatirliies. pupillaires. Voir
ant l'enfance et se traduisant par des troubles et de la débilité mentale , par Bech- terew, 151. - Voir Cancer. Le - et
que, par Destarac, 70. Toxémie. La- dans l'eiiologie des maladies mentales . Ouverture de la discussion, par Cloustun, Ro-
RICHUTILLU)1.\NIE chez les aliénés, par Iiaplan, ` ? 5J. Troubles mentaux . Contribution à l'étude ries - périodiques, par
ladle de Thomsen, par Leclerc et Agniel, 325. Le traitement des mentaux à leur début, son ensei- gnelllent clinique dan
lique, par Uidwolil. 480. Urée. Voir Phtisie. Urémie. Confusion mentale et syn- drome cérébelleux au cours de ] ? Exo
2 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
HIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT & BOURNEVILLE PU
07 Vol. I. Janvier 1907. Ne 1 : ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Contribution à l'étude de l'oeil chez lessàiién
ins au bout de quel- AnctnvLC, 3° séria, 1907, t. I. 1 2 CLINIQUE MENTALE . ques-unes, des renseignements exacts et parfai
lajvue. - Ous. 122. Fig. 2. O. G. Elal de dépression. 4 CLINIQUE MENTALE . tique du trouble hallucinatoire, portant on ha
cination della vue. OBS. 67. Fin. 7. - Etal dépressif. 8 CLINIQUE MENTALE . générale. a. Etats mélancoliques délirants ; p
11,'et 12). , Ons. 17. FIG. 11. OBs. 17. FIG. 12. 12 CLINIQUE MENTALE . Le tracé il pris le 15 septembre représente le
OBs. 117. Fac. 16. 0. G. OBS. 117. Fir. 17. O. G. 16 CLINIQUE MENTALE . Le tracé 16, pris le 20 octobre, est plus rétr
es à vingt-quatre Archives, 3' série, 1907, t. I. 2 18 CLINIQUE MENTALE . heures les ascensions de l'agitation. Le champ
lésions nous ont paru absolument indépen- dantes de toute affection mentale , atteignant l'aliéné comme elles auraient attei
es cas) dans la paralysie géné- rale que dans les autres affections mentales . ' Le signe d'Argyll Robertson se rencontre enc
aire, nous avons trouvé des vaisseaux un peu fins, mais 30 CLINIQUE MENTALE , ces différences de calibre pourraient n'avoir
e autre modification se soit produite du côté de la pa- 32 CLINIQUE MENTALE . pille. Enfin, presque toujours, en même temps
noté la déco- Archives, 3' série. 107, L. XXIII. - 3 34 CLINIQUE MENTALE loration du segment externe et le bord flou de
sidérable pour établir le diagnostic et le pro- nostic des maladies mentales . Néanmoins, nous parait intéressant de faire re
quer que, chez le plus grand nombre d'aliénés que nous 36 CLINIQUE MENTALE . avons examinés, et en particulier dans des cas
ptômes pupillaires chez les aliénés et leur va- leur The Journal of mental science, juillet 1902. DE GouvÉA. Les manifesta
hGNOT (R.). Etude des troubles pu. pillaires dans quelques maladies mentales . Thèse de Paris, 1900 . OTTOLENGHI. Le champ vi
paralytiques généraux. Obezrénié psychiatrii, 1900. - 3S CLINIQUE MENTALE . SANE NI (de). Nouvelles recherches et considér
G.Surles modifications des réflexes pupillaires dans les - maladies mentales . AU. Zeitsch. f. Psychiatrie, t. LUI. Stefani e
int de vue social n'a ' pas eu d'importance pratique. 40 CLINIQUE MENTALE . Pour ètrejuste, M. Tissié a parlé des fugues d
Si tous nos malades partent et vagabondent sans motif, 42 CLINIQUE MENTALE . étudier des vagabonds d'habitude avec lesquels
de pouvoir lui témoigner ici toute ma reconnaissance. 44 f CLINIQUE MENTALE . liques ne sont pas des fugues. Les fugues alco
que. Un frère, une sneur bien portants. Pas de tares nerveuses ou mentales dans la famille. tttccfepet'sottK.ek. A 20 ans,
r P. Keraval in Arch. Neur. 2° s. XII, 1901, lr. 130, 46 CLINIQUE MENTALE . ans maladie infectieuse indéterminée avec fièv
gique ; par le professeur A. I'IC>; (de Prague).(T/re Journal of Mental Science, janvier 1905.) Remarques intéressantes
mes et les causes des délires toxémlques. R. M. C. V. La dépression mentale et la mélancolie considérées dans leurs rapport
et de sa valeur clinique ; par Arthur A. D. TowSED. (The Journal of Mental Science, janvier 1905.) Voici les déductions
symptômes et des si- gnes de toxémie ; 3° dans les cas d'exaltation mentale l'indoxyl est rarement augmenté ; son taux est
rmal ou inférieur au taux normal ; 4° dans quelques cas de troubles mentaux , l'indoxyl est en excès aussi bien pendant la p
phase maniaque que pendant la phase mélancohque ;5° plus l'atteinte mentale est grave plusl'in- doxyl est en excès ; 60 plu
ont accusés ; ; 5° dans les cas rapportés par l'auteur, la guérison mentale a été précédée par le retour à l'état normal du
if et qualitatif des leucocytes dans différentes formes de maladies mentales ; par A. S. 11. PEEBL s. (The Journal of Mental
ormes de maladies mentales ; par A. S. 11. PEEBL s. (The Journal of Mental Science, juillet 1904.) Recherches intéressante
n de la fonction cérébrale; par Alfred W. Campbell. (The Journal of Mental Science, Octobre 1904.) Travail intéressant a
rine chez un épileptique, par, II. HO\\'E JEREMY. (The JOll/'1laloj mental Science, janvier 1905.) Il s'agit bien ici d'
es avec - remarques sur l'observation; par D. Rire (Th Journal of Mental Science, avril 1904.) Il s'agit d'une femme de
tatives restent presque toujours à l'état de simple représentation mentale , quelquefois cependant elles sont assez fortes po
te hémorragique; par T. K. Monro et John Findlay. (The Journal of Mental Science, juillet 1904.) Il n'est pas facile dan
prises des résultats temporaires; par ? 10RAH KEMP, (The Journal of Mental Science, Janvier 1904) Observation intéressante
sous l'influence de la Salicine; par W. T. Vincent. (The Journal of Mental Science, avril 1904.) Le titre de ce travail
l peut lui servir de résumé. R.M.C. III. Les rapports des symptômes mentaux avec les maladies somatiques, considérés princi
itement hors des asiles d'aliénés; par ? 1ahan RAw. (The Journal of Mental Science, janvier 1904.) Une longue observation
de prunes dans le rectum; ft par J. OGILVIE VEITCH. (The Journal nf Mental Science, . avril 1904.) Il s'agit d'une femme
antisérums dans la folie aiguë; par Lewis C. BrtucE (The Journal of Mental Science, avril 1904.) Les sérums expérimentés
des jeunes épileptiques ; par G. E. SHUTTLEWOR1'J[. (The Journal of Mental Science, oc- tobre 1904.) L'auteur a été amen
traitement des neuro-psychoses : par Edward BLAKE.(77je Journal of Mental Science, juillet 1905.) L'auteur relate sommair
onal étudié comme hypnotique et comme sé- datif dans les affections mentales ; par H. de M. Alezan- DER. (The Journal of men
les affections mentales ; par H. de M. Alezan- DER. (The Journal of mental Science, janvier 1905.) Le véronal ressemble pa
chauds. L'auteur l'a employé dans les diverses formes de maladies mentales , toujours avec succès, et voici le résultat de se
Musgrave Cl.1)-. X. Le travail dans la thérapeutique des maladies mentales ; par le Dr CUYI.ITES ((3ull. de la .Soc. de méd.
ider dans le traitement; par Lionel A. Wc ? THERLY. (The Journal of mental Science, juillet 1905.) C'est un inconvénient d
le traite- ment de l'insomnie; par M. Maule SMlTII.(The Journal of Mental Science. Juillet 1905) On considère avec rais
s que soient les causes, elles sont, les unes physiques, les autres mentales . Passant ensuite au traitement de l'insomnie,l'
s, sa persistance peut devenir la cause d'un véritable effondrement mental et chez les aliénés elle aggrave la maladie et
rtant que par sa persistance elle ne menace d'avoir des conéquences mentales . Dans les cas où la mentalité est en - core sai
faut s'en abste- nir le plus longtemps possible. Dans les maladies mentales , au contraire, leur emploi doit être considéré
La paralysie générale et le crime ; par John BAKER. (The Journal of Mental Science, juillet 1904.) L'auteur rapporte avec
is long- temps par M. Bourneville. L. WAML. - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 61 III. Expertise médico-légale; par les D5 de
t rendue et la collocation mainte- nue. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. Rapport de la commission nommée par l'Associ
r un cas de double cons- cience ; par Alfred Wilson (The Journal of Mental Science, Juillet 1904.) 11 s'agit d'une femme
nce, et dont l'observation abrégée a été publiée dans le Journal of Mental science de 1903 et l'observation intégrale dans
nts états, quelques-unes de ses facultés ou gaz REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . de ses possibilités normales étaient également
douzième conclusion qui n'est utile que pour la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . G3 lecture de l'observation indique la classif
bservation intégrale avec fac- simile d'écriture dans le Journal of Mental Science. On trouvera cette observation avec tou
e sur l'automatisme alcoolique; par W. C. Sullivan. (The Journal of Mental Science, avril 1904.) L'autour rapporte avec dé
l'histoire de la manière dont les maladies aiguës affectent l'état mental ; par LEwis BRUCE. (The Journal of Mental Scien
s aiguës affectent l'état mental ; par LEwis BRUCE. (The Journal of Mental Science, avril 1904.) L'observation que publi
E DIUSGRAVT;-CLAY. IV. Obsessions ; par James SHAW. (The Journal of Mental Science, avril 1904.) Etude intéressante, rel
l'hystérie et de la folie; par F. W. EDRIDGE GREEN. (The Journal of Mental Science, avril 1904.) Ce travail se résume ains
araissent souvent. R. de l\[rrS<1RAVE Ct.AV. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 65 VI. Un cas de folie aiguë hallucinatoire d'
atoire d'origine trauma- tique ; par Thomas Drapes. (The Journal of Mental Science, juillet 1904.) - , Observation intér
I. Un cas de démence précoce; par Henry M. EusTACE. (The Journal of Mental Science, juillet 1904.) . Les .cas de démence p
« psychologie» de Jane Cakebread; par ROBERT JONCS (The Journal of Mental Science, avril 1904.) On ne peut que signaler c
ons cliniques de psychose de KoRsAKow; par J. ToTE. (The Journal of Mental Science, janvier 1904.) L'auteur a pu recueilli
de Rieger Archives, 3- série 1907, t. I. 5 00 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . qui collationna les résultats de onze observat
. l. (t.cs confércnccs do llinrison pour 190G.) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 67 Ses vues et celles de ses collaborateurs co
) British med. Joii ? ? jiiiie 21 Ilr. 1901. 68 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Dr Bulloch trouvent le fluide cérébro- spinal,
s le 21 et le 22 juillet 1904 ; par R. PERCY SMiTH. (The Journal of Mental Science, octobre 1904.) L'orateur s'est proposé
en tant qu'entité clinique, ses rapports avec 'les autres troubles mentaux , et la valeur de l'assertion suivant laquelle e
par opposition avec les maladies que l'on a qualifiées de troubles mentaux affectifs. Les conclusions de ce discours en cons
lleurs ce serait une faute grave lorsqu'on étudie un cas de trouble mental , de laisser de côté l'examen des différentes fo
ectifs d'avec les troubles primitivement intel- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 69 lectuels est purement artificielle. Ceci po
reconnaïtre que cer- tains cas de paranoïa débutent par un désordre mental aigu fonc- tionnel de la nature de la mélancoli
uel) ou même peuvent succéder à un état de délire ou de confu- sion mentale . 5° Sauf cette exception, la folie confusionnel
n groupe important de cas dans lesquels on obser- ve de la débilité mentale terminale. Il est possible que la démence préco
la paranoïa elle-même. R. de Musgrave CLAY. 70 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XIII. Hystérie infantile, avec hallucination;
ute à des traumatismes extrêmement légers. G. C. XV. Les troubles mentaux dans la lèpre à propos d'un cas de psychose pol
ale, de l'irido-choroïde double et des troubles REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 71 mentaux caractérisés par de la dépression,
o-choroïde double et des troubles REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 71 mentaux caractérisés par de la dépression, des idées de p
lques caractères inusités; par S. F. E. RAINS- Fotn (The Journal of Mental Science, Juillet 1904.) Le premier cas est celu
els, ni même avec les crimi- nels-aliénés. 72 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . L'asile pour pervers devra être à la fois un a
auses sociales de l'alcoolisme; par W. C. SULLIVAN. (The Journal of Mental Science, juillet 1904.) Les recherches de l'a
Y. XIX.- «Morison Lectures»; par John MACPHERSON. (The Journal of mental Science, juillet 1905.) A. Lecture V. - Sur la
Irlande le 20 Juillet 1905 ; par J. OUTTERSON\VOOD, (The Journal of mental Science. octobre 1905.) Comme beaucoup de dis
C. XXIII. Démence précoce; par Thomas Johnstone (The Jour- nal of mental Science, octobre 1905.) Le sujet a été à mainte
. -- Les folies de déchéance; par Georges A. RORIE, (The Journal of mental Science, juillet 1905.) L'auteur a observé quel
imbéciles et épileptiques. R. DE liZUS4RAYE CLAY. XXV Non-sanité mentale et maladies mentales dans une prison locale; pa
eptiques. R. DE liZUS4RAYE CLAY. XXV Non-sanité mentale et maladies mentales dans une prison locale; par William COTTON (The
mentales dans une prison locale; par William COTTON (The Journal of mental Science', janvier 1905.) Etude intéressante s
olie : un schéma universel ; par C. C. EASTERBROOK. (The Journal of Mental Science. Avril 1905.) Travail très étendu, très
rès le système décimal de DEWEY; par A. R. URQUHART (The Journal of Mental Science, avril 1905.) - L'auteur propose d'appl
ées; par John MAcpHEnsoN (Mori- son Lectures n IV). (The Journal of Mental Science, avril 1905.) Leçon intéressante qui se
titution névropathique, bien loin d'être une 76 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . abstraction et une entité intangible, sera dev
s idées se rapportant à cette sensation. L'explication de ces états mentaux se trouve dans la suggesti- bilité souvent exce
réactions du neurocyme (onde nerveuse) obéissent à la loi fonda- mentale delà conservation de l'énergie ; l'amené peut êtr
n obsessionnelle, les troubles nerveux qui ne sont pas des maladies mentales , sontpassés en revue, et suivis des formes ment
des maladies mentales, sontpassés en revue, et suivis des formes mentales et nerveuses, M. Forel divise ces formes en 4 gro
maladie par évolution rétrograde ou sénile, Les causes des maladies mentales et nerveuses se rapportent à l'huez rédité ou à
est primordiale ; l'exercice doit s'étendre à toutes les activités mentales et nerveu- ses, et aussi au sommeil qui est néc
nt connu qu'explique le chiffre élevé des épileptiques, des débiles mentaux ^imbéciles et idiots, presque tous écartés du ma-
nard P. » ? *" IV, - Leçons cliniques sur les maladies nerveuses et mentales , par le professeur Alexandre Stcherbvx, 40 figu
nt, traite des différentes questions de la patho- logie nerveuse et mentale . Dans la première leçon, l'auteur analyse un ca
ictement distinguer des formes cliniques, c'est-à-dire des maladies mentales ; l'auteur est d'avis que l'étude de ces états
ntif, dans ses formes variées ; a) simple état amentif (conclusion' mentale ], b état amentif hal- lucinatoire et délirant ;
exandre AQUMAN, Assistant à la Clinique des Maladies nerveuses et mentales (Varsovie). VARIA FAMILLE FOLLE. Niort. Une
ihan, âgée de 73 ans, qui ne jouis- rail pas de toutes ses facultés mentales , a misfinà ses jours en se noyant dans son lavo
nouvelle : les établissements destinés au traitement des maladies mentales ne s'appelleront plus « asiles » mais hôpitaux.
ntitulée : « Des établissements destinés au traitement des maladies mentales et à la garde des aliénés ; des aliénés traités
tous que la première condition, pour la curabilité d'une affection mentale , est que l'a- liéné soit enlevé au milieu où se
chefs le respect dû à l'expérience ; en se souvenant qu'en médecine mentale la pratique seule compte, les expressions nosol
té sans ces précautions. C'est parce que la pratique de la médecine mentale exige le contact continu du médecin et du malad
ront les médecins du dehors qui feront passagèrement de la médecine mentale . Il suf- fira à d'anciens internes des hôpitaux
ne se fasse pas. Car j'estime que, si l'on désire que la médecine mentale réalise de plus rapides progrès, on doit laisser
au- tre, un malheureux débile, atteint soudain d'une confu- sion mentale grave, prélude d'une méningite qui l'em- porta
s l'état du malade. Une modification temporaire dans la situation mentale de l'aliéné n'intéresse que le médecin, et lors
qui terminent la section, sont de pure forme (A suivre.) CLINIQUE MENTALE Les fugues dans les psychoses et les démences ;
Archives de Neurologie, n° 1, janvier 1901, page 38. ) 122 CLINIQUE MENTALE . sentent des accès légers de manie dans lesquel
que, manie aigué ». Père et mère morts de vieillesse, sans troubles mentaux ; un frère et une soeur sont morts poitrinaires
einte de noire malade (éclamp- sie' ? ) Père, sans tare nerveuse ou mentale , mort à 51 ans de pneumonie. Un frère alcooliqu
ux deux mains « lesjambes glacées jusqu'aux genoux o 124 CLINIQUE MENTALE . la tête congestionnée, les yeux brillants ; il
ohérent. 11 se calme rapidement, a nettement conscience de son état mental , présente à nouveau un accès maniaque, se dit a
Evrard, le 4 juillet 1906, avec le diagnostic de « dégénéres- cense mentale », etc. La mère a eu une méningite avant la nais-
nait pas. » Dans, les intervalles où il est « normal », sa débilité mentale est évidente. Il est très en retard pour ses él
e temps après, il part de Paris à 2 hem es de l'après- 126 CLINIQUE MENTALE midi, se rend à la gare Saint-Lazare, pénètre s
xemples de fugues accomplies par des malades atteints de debilité mentale . Le premier est le frère aîné du circulaire précé
, au mois de janvier 1905. avec le diagnostic de « dé- générescence mentale ». C est un débile congénital; il a des no- tio
de Ville-Evrard en septembre 1905 avec le diagnostic de «Confusion mentale , idées hypocondriaques, hal- lucinations auditi
mort prochaine. Interné à nouveau pendant' deux mois. 128 CLINIQUE MENTALE . Rentré chez lui, il reste inactif, se plaint d
il n'a pas exécuté Aucun-ES, 3' série, 1007, t. 1. 9 130 clinique mentale . l'acte dont il a l'idée. Il cède tout de suite
ue générale, entrée il l'asile de Vauclusc au mois de 132. CLINIQUE MENTALE . mai 1904 et dont Mlle la doctoresse C. Pascal
D'une façon générale, les fugues seront rattachées à l'all'ection mentale qui en est la cause, moins par leurs caractères
que par la constatation des signes concomitants de cette altection mentale . En ce sens,elles pourront souvent, par la pert
malade de fuir les conséquences d'actes délictueux. IV. Débilité mentale . La conscience et la mémoire des fugues sont in
pari, chez tous les vrais spé- culaires il existe de l'instabilité mentale , des lies variés et d'autres signes de dégénére
anosome de la maladie du sommeil; par ROBENT JoxEs. (The Journal of Mental Science, Avril 1904.) Cette question alors nouv
la marche de la maladie de Duchenne. L. 1VuL. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXX. Folie communiquée (folie à deux, folie sim
rvenue chez une mère et sa fille; par JoHx R. Lord. (The Journal of Mental Science, avril 1904.) Observation intéressante,
ire était la paranoïa chronique. 1.11LC. XXXI.-Les effets moraux et mentaux de la guerre sud-africaine (1899-1902) sur le p
-1902) sur le peuple anglais; par R. S. STE-\VAItT. (The Journal of Mental Science, janvier 1904.) Voici le résumé de cett
à écarter les ennuis et les responsabilités de la vie. La stabilité mentale de la nation a été en progrès ainsi que le pouvoi
irante, de la stéréotypie graphique. Pour l'au- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 141 leur, celle stéréotypie était secondaire a
sie générale de développement; par Jas. Middlemass. (The Journal of Mental Science, janvier 1904.) - Deux remarques : 1°
dans le sud du Pays de Galles; par R. S. STwv.RT. (The Journal of Mental Science, janvier 1904.) - En s'appuyânt sur des
3RAVR CL.1Y. XXXV.-Le « Stress »; par Ch. 11-PRCIEE.(The Journal of Mental Science, avril 1904.) XXXVL-Eneore le « Stres
04.) XXXVL-Eneore le « Stress "; par Ch. Mercier.) The Journal of Mental Science, octobre 1904.) Il y a une quinzaine d'
ité la proposition de 1\I. Mercier, mais en 112 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . attribuant au mot stress un sens manifestement
logie de l'hallucination; par W. H. B. STOV - DABT. (The Journal ot Mental Science, octobre 1904.) Travail interressant ac
n et l'hallu- crnalrun. H. de 111uaR.wL Cl1Y. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 143 XXXVIII. Traumatisme et Paralysie générale
isme et Paralysie générale; par James Mid- dlemass. (The Journal of Mental Science, juillet · 1904. ) Ce n'est pa3 un mémo
ence dans le Comté de Dorset ; par George A. RORIE. (The Journal oi Mental Science, avril 1904.) - Etude intéressante ma
rimitives, et n'apparaissent plus au sujet comme une image purement mentale . 3° Enfin il faut distinguer des obssédanti hal
d'un accès mélancolique. M. I I v n ra.. 144 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XLI. Note sur l'épilepsie massive : par Ch. Fé
cré à la réorganisation des statistiques en matière de pa- thologie mentale , demanderait une traduction et non une analyse.
d'une phase de la paranoia; par Conolly NOR ? IAiN. (The Journal of Mental Science.Janvier 1905.) L'auteur rapporte avec
us attentive du poids du corps et de ses rapports avec les maladies mentales : par C. Hu- / bert BoND. (The Journal of menta
vec les maladies mentales : par C. Hu- / bert BoND. (The Journal of mental Science, janvier 1904.) L'auteur n'ignore pas q
lique aussi bien à la méthode des médecins qu'à REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 145 celle des gens du monde ; ensuite il suggè
ensuite il suggère l'idée que la méthode des pesées, en aliénation mentale , pourrait non seulement être uti- lisée comme e
ais encore pour arriver à une meilleure classification des maladies mentales . R. DE IUSGRAVE CLAY. XL ? - Maladie mentale av
cation des maladies mentales. R. DE IUSGRAVE CLAY. XL ? - Maladie mentale avec goitre exophtalmique; par R. H. STEEN. (Th
mentale avec goitre exophtalmique; par R. H. STEEN. (The Journal of mental Science, janvier 1905.) L'auteur rapporte l'obs
ations existent et sont souvent intenses; 3° le début des symptômes mentaux bien prononcés est souvent soudain; 4° la guéri
tation de poids très accentuée accompagne l'amélioration de l'état mental ; 6° l'extrait de capsules surrénales donne des ré
'idiotie amaurotique de famille ; par James BuRNET. (The Journal of Mental Science, janvier 1905.) Les cas de celle maladi
a première et la seconde enfance; par Henry Rayner. (The Journal of Mental Science, juillet 19010.) La nécessité de survei
ent ou Archives, : 1° série 1907, t. I. 10 Ho REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . passivement, presque toutes sont fonction du d
ces buts divers puissent être atteints,il faut que la défectuosité mentale soit d'abord connue. Le service d'ins- pection
n'est pas sain en Irlande; par CONOLLY TOi : mArr. (The Journal of Mental Science, juillet 1904.) L'auteur insiste sur le
s psychoses et leur signification; par T. CLOUSTON. (The Journal of Mental Science, avril 190 ? ) On n'a pas fait suffisam
en psychiatrie, des symptômes précoces dépourvus de tout caractère mental , tout comme il y a en neurologie des symptômes
peuvent fort bien n'être que les préludes d'une crise d'aliénation mentale .L'auteur examine et discute avec l'autorité d'u
gue et savante expé- rience les principaux prodromes des affections mentales ,c'est-à- dire les symptômes sensoriels, et part
de la digestion,les modifications menstruelles, enfin les troubles mentaux eux-mêmes. Il conclut <le celle élude SOCIÉT
s organi- ques du corps. Ils semblentindiquor en outre que l'écorce mentale est le centre de l'organisme et que les centres
ire in- fectieux. Note sur l'emploi, du véronal dans les maladies mentales . MM. Lof et RENON font connaître les résultats
i- mentation qu'ils ont faite du véronal, dans différentes formes mentales . Troubles mentaux dans la sclérose en plaques.
ont faite du véronal, dans différentes formes mentales. Troubles mentaux dans la sclérose en plaques. (Présentation de.
ade est hystérique. M. Colin incline vers le diagnostic de débilité mentale avec sclé- rose en plaques chez une hystérique.
frappé de sclérose en plaques, qui présentait une grande confusion mentale . Celle-ci s'est amé- liorée et le malade a pu q
ullaire. II insiste sur les services que peut rendre, à la médecine mentale , ce mode d'investigation. M. Vallon fait remarq
Un cas comparable a encore été communiqué par M. Dheur. Troubles mentaux consécutifs à un accident de travail. MM. Vigou
lité d'un rapport de cause à effet entre l'accident et les troubles mentaux consécutivement constatés. M. VALLON. - Lorsq
trois grandes catégories ; a) les délires à base de représentations mentales exagérées ou obsédantes (per- sécutés-persécute
e la démence vésaniquo n'est pas une démence. C'est de la confusion mentale . Le paralytique gé- néral seul est un dément ty
UPR I ne peut se résoudre à considérer, comme atteints de confusion mentale , les vieux sociétés savantes. 153 \éS[lI1ÏI[U
e, où l'on retrouve une phraséologie caractéristique de sa débilité mentale Un cas de délire chronique à forme nxégalomania
ésions destructives peuvent expliquer la progres- sion des troubles mentaux chez les épileptiques, et la sclérose dans ce c
des zones diffé- rentes, et il y a deux catégories de malades : les mentaux , qui sont des fous, et les psychiques ou demi-f
dans les manies chroniques, est de la demi-folie ! Certains confus mentaux sont des demi-tous; certaines psychoses systémati
is les propos qu'elle tint ne laissèrent aucun doute sur son état mental . Comment avait-elle déterré les trois morts' ? On
e grand in-8° de 180 pages. - DELASIAUVE (J.) Journal de médecine mentale , résu- mant au point de vue médico-psychologiqu
AS (B). Balnéation et hydrothérapie dans le traitement des maladies mentales . Rapport présenté au Congrès des médecins alién
de l'auteur. Prix 10 fr. Pour nos abonnés 8 fr. The Journal of Mental Sciences. Published by Anthority , of the Medic
faites sur ce sujet et basées surtout sur l'observation de troubles mentaux , notamment d'hallucinations unilatéra- le, sont
chez un inculpé, prévenu ou accusé, il y a présomption d'aliénation mentale , soit en raison de ses antécédents héréditaires
que la Cour ne prétende "serez- dre compte par elle-même de l'état mental du prévenu : dès lors, à quoi aura servi l'expe
t un prédisposé qui n'est point maître de se débarrasser de sa tare mentale et que le moindre' choc moral peut faire retomb
les art. 56 à 63 inclus.Cette dépense restera une charge départe- mentale , mais les aliénés, sans domicile des ecours, sero
ine, surtout dans l'anatomie pathologique des maladies nerveuses et mentales . J. S. LEGISLATION. Proposition de loi sur le
Des hôpitaux et établissements destinés au traitement des maladies mentales et à la garde des aliénés ; des aliénés traités
Des hôpitaux et établissements destinés au traitement des maladies mentales et à la garde des alié- nés ; des aliénés trait
crites d'office par le ministre de l'Intérieur au budget départé- mental . - AnT. 5. Dans chaque département, il est inst
ltés de mé- decine, chargés de l'enseignement clinique des maladies mentales , qui sont de droit médecins traitants des asile
t caracté- risée avant tout par une faiblesse énorme de la synthèse mentale . L'étude des troubles de la mémoire et de la vo
nt facteur de res- tauraLionde la volonté et surtout de la synthèse mentale . Les divers agents physiques, qu'ils agissent u
permettant de ne pas jeter à la rue un certain nombre d'infir- mes mentaux dont il serait possible de débarrasser les asiles
xacte que possible, sur l'importance du rôle joué dans l'aliénation mentale par l'alcool et les boissons à base d'alcool, c
les cas d'alcoolisme simple, quelle qu'en soit la forme (confusion mentale , délire hallu- cinatoire, épilepsié; allaibliss
savoir : que le cas soit compliqué de dégénérescence ou de débilité mentale , ou qu'il y ait de l'alcoolisme caractérisé che
PUBLIQUE. B. - Alcoolisme compliqué de dégénérescence ou débilité mentale ou d'hérédité alcoolique. VARIA Internat des
. 1. 3e Série. Avril 1907. No 4 ARCHIVES DE ..NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Formes mélancoliques de la démence précoce (P
orrespond pas il tous les faits cliniques et qu'il y a des maladies mentales dont le début est caractérisé par un état spéci
épression morale. Archives. 3° sério, 1007, l I. 18 '274 clinique mentale . En étudiant ces états dépressifs prodromiques,
li cas : mélancolies. 6 cas : états maniaques. 5 cas ! confusion mentale . 2 cas ! démence d'emblée. ! cas : délire hallu
démence pré- coce. Thèse de Paris, 1 <.JO : ; , . 76 CLINIQUE MENTALE . ' 3 cas : confusions mentales. 2 cas : début
aris, 1 <.JO : ; , . 76 CLINIQUE MENTALE. ' 3 cas : confusions mentales . 2 cas : début fébrile. Dans la thèse de CUcn
(icas : états maniaques. 5 cas : états mixtes. 1 cas : confusion mentale . Notre étude sur 75 déments précoces nous fait
le est le résultat de la conscience que le sujet prend de son arrêt mental par suite du relèvement de ses tendan- ces fond
e précoce. <Presse\médicale, 19 jan\ ier 1907). - 278 CLINIQUE MENTALE telligence. Les épreuves de Masselon (1), de Zi
aus (3), permettent de déceler les moindres troubles de la synthèse mentale : attention volontaire, attention spontanée, as
malades pour expliquer les modifications survenues dans leur état mental . Griesinger écrit : La loi de causalité exige que
iction avec eux-mêmes ou avec les choses. » Par contre, la synthèse mentale des déments précoces n'a au~ cime tendance à l'
d'anxiété des déments pré- coces mélancoliques, comme une activité mentale présen- (1) IIIASI3t.ON. - Psychologie des déme
N. Tanzi, professeur il Florence, insiste sur ce fait que l'état mental des déments p-,»-coces se manifeste mieux dans
e qu'ils font que dans ce qu'ils pensent. C'estunvrai 2b0 CL1NIQL1; MENTALE . délire des actes riche en extravagance et puér
(1) Iiltmr. Maladies de la pérsoll11alité, page. 01. 282 CLINIQUE MENTALE Idées de négation. Les idées de négation annonc
ux troubles cénésthési- ques et aux premières lésions delà synthèse mentale . Ces idées pathologiques concordent bien avec l
l'effon- drement psychique a la suite de l'effacement des images mentales et des éléments affectifs aux dépens desquels el-
aucune valeur diagnostique. Pourtant leur étude m'a a 28 i CLINIQUE MENTALE . , permis de distinguer certains caractères. El
toutes les réactions de ces malades portent l'empreinte de l'état mental démentiel. Les tentatives de su : cide marquent
ce de \IU. Lwo(l' et 13cnon. (1) Lo= cit , p. 277. , 280 CLINIQUE MENTALE . Résumé : Anxiété extrême. Prédominance des idé
'uni laissé aucun souvenir dans son esprit, elle reste 288 CLINIQUE MENTALE . comme obnubilée el inconsciente de son état. E
ù Sainte-Anne. Le certificat médical (1), Dubuisson) relate l'étal mental suivant .-Etal de mé- lancolie anxieuse ; idées
a parlé de lui. Archives, 3' série, 1007, t. I. , 19 290 CLINIQUE MENTALE . A son entrée, le malade n'est pas du tout déso
atre fois de suile. Les manifestations caractéristiques de son état mental résident dans les phrases suivantes : « On es
hases de dépression sont interrompues brusquement par ? ü2 CLINIQUE MENTALE . des impulsions violente.11 s'est jeté plusieur
oit que l'anomalie soit durable, comme il advient dans les maladies mentales , soit qu'elle n'ait qu'une durée pas- . (1) Voi
elles sont les conditions psy- chologiques des troubles de synthèse mentale observés à l'état normal ou pathologique, par e
plus souvent, l'une est réglée d'avance.Chez les sujets à synthèse mentale insuffisante ou sujette à se restreindre, chaque
es organiques et états de conscience. Dans tous les cas de synthèse mentale défectueuse il peut y avoir groupement exclusif
que le change- ment s'accompagne ou non de modifications de l'état mental . La thèse de Lebar (Paris 1906) (d'après une an
re et à lui démontrer, non seulement que la coexistence de tel état mental avec un trouble donné de la senso-mo- tilité ét
assistent les deux co-êtres, sont pour chacun de ceux-ci des actes mentaux , si les sensations de l'un sont communiquées à
mal de la loi. On constate dans une famille un changement de l'état mental d'une per- sonne, on s'inquiète autour d'elle,
distingués par leur enseignement ou leurs écrits sur les ma- ladies mentales , seraient l'objet d'une présentation du Conseil s
peuvent recevoir une personne présentée comme atteinte d'aliénation mentale s'il leur est remis : 1° Une demande d'admissio
Code civil ; 2° Un rapport au procureur de la République sur l'état mental de la personne à placer.signé d'un docteur en m
ute personne majeure qui, ayant conscience de son état d'aliénation mentale , demande à être placée dans un éta- blissement
nt l'admission de la personne présentée comme atteinte d'aliénation mentale , le directeur de l'établissement public ou priv
rsonne désignée dans ce bulletin, à l'effet de cuiibtatei- son état mental et d'en faire un rapport sur-le-champ à lui-mêm
u de consigner sur ce registre les changements survenus dans l'état mental de chaque malade, au moins chaque semaine penda
n constate également sur ce registre la date de la sortie et l'état mental au moment où elle a lieu, la date et les causes
'admission. Néanmoins, si le médecin traitant est d'avis que l'état mental du malade pourrait compromettre la sécurité, la
nom, la résidence des personnes qui ont retiré le malade, son état mental au moment de la sortie et, autant que possible,
lcoolisme, crime et folie ; par nI. MI. Bevan LEws. (The Journal of mental Science, avril 1906.) - L'auteur se propose dan
D'autre part, les arrêts de développement, révélés par la faiblesse mentale congénitale, l'im- bécillité, l'idiotie,paraiss
assistance des aliénés,par le Dr CLAUSES, (Bull. de la Soc. de méd. mentale de Belgiqne, juin 1906.) Vigoureux et éloquent
, par les Drs de muon et Ducrtn- TEAU. (Bull.de la Soc. de 7K<M. mental : de B : : lgiq .oe, octobre 190G.) La dissimul
erve surtout dans la mélancolie, la pa- ranoïa et la dégénérescence mentale . Son importance médico-lé- gale est beaucoup pl
e convenant au traitement d'un être malade, atteint d'une affection mentale . Le parquet de Saint-Xazaire a découvert l'an d
minant, que M. Giaute fait tous les ans des leçons sur les maladies mentales et sur la médecine légale des aliénés. Tous les
vingt-neuf ans, qui ne jouit pas de la pléni- tude de ses facultés mentales . Cette jeune fille était naturelle- ment soumis
livJ'al'd et Ils soins à donner aux personnes atteintes de maladies mentales , parles IJlb P- 5- rieux cl : \11GI"Or. \'(JI.
siste le pouvoir de représentation,où se font les représen- tations mentales : dans les centres de projection ou dans les ce
l'être. C'est qu'il ne s'agit en tout ceci que de désagréga- tion mentale , dit un huitième. Si ce malade est para- lysé d
d'un bras, c'est que le système d'impressions et de représentations mentales inhérentes à ce membre s'est séparé de sa synth
dédouble- ment du moi. Mais si, par suite de cette désagrégation mentale ,le sujet se trouve en possession de deux person-
paralysie s'accompagne d'anes- thésie et de perte de représentation mentale .L'évoca- tion des mouvements ne se transmettant
hèse personnelle ne se fait plus, qu'il existe de. la désagrégation mentale , ce n'est pas expli- quer les choses, c'est con
us que personne, la merveilleuse analyse qu'il a su faire de l'état mental des hystériques. Où j'ai toujours différé d'avi
us possible des données du duplicisme : supposons que la syn- thèse mentale qui, à l'état normal, forme la personnalité, soit
émontrer tout de suite. A Toulouse, en 1897, au Congrès de Médecine mentale , dans un rapport sur l'organisation médicale de
faire exception ». «Le DT Lunier dans un travail sur l'aliénation mentale enSuisse,prétendait que dans tous les asiles fo
communes,ordonnent à l'égard des personnes atteintes d'a- liénation mentale toutes les mesures provisoires nécessaires, à la
ent ou sur la demande des particuliers, et dans le cas où leur état mental pourrait compromettre la sécurité, la décence o
t inculpé, prévenu ou accusé qui, à raison de son état d'aliénation mentale au moment de l'action, a été, à la suite d'une
rmes : « A la majorité, l'accusé, à raison de son état d'aliénation mentale au moment de l'action, est irresponsa- ble. » 1
encore internés ou pour les ex- pertises médico-légales sur l'état mental des inculpés ; 5° Les con- ditions dans lesquel
les pourront être admis et hospitalisés pi'ovi- revue DE pathologie mentale . 415 soirement, dans les asiles d'aliénés et pl
t rendus pour l'exécution de la présente loi. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1 . Modifications hématologiques dans le délira
iques et sur le système nerveux. F. TtssoT. 4L6 revue de pathologie mentale . LI. Euphorie délirante des phtisiques. Hétérot
nus qui caractérisent l'euphorie délirante des phtisiques. Cet état mental semble manifestement en rap- port avec les lési
oxica- tion thyroïdienne ; c'est à elle qu'il faut rapporter l'état mental des haserlowiens, les troubles psychiques plus
rs révélateurs de lares constitutionnelles (névroses dégénérescence mentale ) et qui coexistent fréquemment avec le goitre e
le riiy ? (2(lètiie consiste en un arrêt de dé- revue DE pathologie mentale . 417 veloppement qui est d'autant plus complet
et fort difficile de préciser le rùle de l'ovaire dans les troubles mentaux de la menstruation et de la'ménopause, comme au
on crée l'hypertension et l'athérome artériels, origine de troubles mentaux . Trop rares sont les documents sur les troubles
ance réciproque faite de synergies et d'antagonismes, les syndromes mentaux liés leurs altérations sont ordinairement compl
re justi- ciables. F. TISSOT.. LIV. - La poésie dans les maladies mentales ; par E. Régis. (L'Encéphale, n° 3, 19oO.) De
- Ancntvrs, 3" série, 1907, t. I. 27 .1 418 revue DE pathologie mentale . ques, plus ou moins adonnés aux intoxications
xylurie) ; note critique; par M. C. C. EASTEILBROCK.(The Journal of mental science,octobre 1906.) Après une étude critique
dans les salles d'autopsie ; par M. F. W. l\IOTT, (The Journal of mental Science, octobre 1906.) Travail très nourri de
nnerait qu'une idée très imparfaite. R. M. C. revue DE pathologie mentale . - HO L\'II1. Sur la psychologie des croisades
ologie des croisades ; par MM. William W. Iner.AND. (The Journal of mental Science, octobre 1906.) M. Ireland se plaît aux
e cas d'idiotie épileptique ; par M. HARVE7 B.11RD. (The Journal of mental Science, juillet 1906.) Les conclusions général
lésion positive par une augmentation du pig 420 revue DE pathologie mentale . ment et un déplacement du noyau,c'est-à-dire u
; par '1'. Ford RoBERTSON. (Morison Lectures V.) (The Journal of mental Science, avril 1906.) Ce travail renferme des r
uvelles dont nous essayons de donner un aperçu, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . , 421 qui sera forcément incomplet, le texte p
preuves les plus nettes que le paralytique 422 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . général subit une réelle toxémie bactérienne :
sur l'étude de la folle ; par A. Graham Crookshank. (The Journal of mental Science, janvier 1906.) Au sens conventionnel o
auses psychiques de la folie, pas plus que du trai- tement moral ou mental de la folie qui n'est qu'une partie d'un traite
rveux, mais se rencontrent concur- remment avec eux. Pour tout état mental il y a un état nerveux corrélatif mais sans int
physiques essentiels de la folie se rencontrent REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 423 0 dans les états ou dans les rapports de
nées, Lewes a défini l'« esprit » comme la som- me des « phénomènes mentaux », cette définition rappelait fâcheu- sement ce
l serait trop long de le suivre sur ces diverses formes de maladies mentales . La conception que propose l'auteur de la march
; on verra aussi que nous n'a- vons point à faire à des « maladies mentales », mais à des dissolu- REVUE DE PATHOLOGIE MENT
des « maladies mentales », mais à des dissolu- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 425 tions de l'esprit et du système nerveux, l
des paroles vi- des de sens « sur les remèdes appropriés moraux et mentaux », mais en employant les moyens physiques, sach
assification psychiatriques ; par M. Thomas Drapes. (The Journal of Mental Science, jan- vier 1906.) L'observation que n
C. LXIII. - Sur quelques rapports entre l'aphasie et les maladies mentales ; par M. Sydney J. CoLC. (The Journal of mental
e et les maladies mentales ; par M. Sydney J. CoLC. (The Journal of mental Science, janvier 1906.) Ce n'est pas d'aujour
re nous conduire à une connais- sancj plus approfondie des maladies mentales , et Wernicke en particulier a signalé l'importa
symptôme aphasique : elle se rencontre en effet dans d'autres états mentaux où l'aphasie n'est pas signalée. L'écholalie co
s de folie aiguë à forme confusionnelle, on 428 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . constate, pendant de courtes périodes, des deg
s la paralysie générale ; par M : Conolly NOR ! AN, (The Journal of Mental Science, janvier 1906.) Il s'agit d'un cas de p
1891). Du fait actuel, l'auteur en rapproche un REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 427 autre, qu'il doit à l'obligeance du Dr Tra
de la démence paralytique ; par M. Georges Greens, (The Journal of mental Science, avril 1906.) L'auteur se propose d'étu
cool-; 4° variations dans la marche de la maladie suivant les états mentaux concomitants; 3° renseignements fournis parl'ex
- Industrie et alcoolisme ; par M. W. C. 3ULLIV \N. (The Journal of mental Science, juillet 1906.) L'auteur rappelle que,
asthénifor- mes ; par le Dr Crocq. (Bulletin de la Soc. de médecine mentale de Belgique, décembre 1906.) L'auteur s'effor
rcot), qui seraient en réalité des stigmates de la dégénéres- cence mentale . 3° Les syndromes neurasfhéniformes accompagnan
colo- niaux ; par 113. Dr A. l\IAIlIE, (Bull. de la Société de méd. mentale de Belgique, 1905, n° 124.) L'auteur établit
dans les asiles du midi de la France. G. D. II - Les gardes-malades mentales (ou dressées au service des asiles) ; leur situ
n et leur enregistrement ; par T. OUT- TERSON WooD. (The Journal of mental Science, avril 1906.) Travail concernant des qu
r un projet de promotion ; par Frank ASIIDY ELKINS. (The Journal of mental Science, avril 1906.) Même observation. R. M. C
iel Lewens, à Manehestor; par M. Alcan MAC DOUGALL. (The Journal of mental Science, janvier 1906.) Nous ne pouvons pas s
t au profit des imbéciles ; par M. F. E. RAINSFORD. (The Journal of Mental Science, janvier 1906.) ' Le titre de ce trav
la dysenterie des asiles; par M. W. Bernard KNOBEL. (The Journal of mental Science, avril 1906.) Ce très intéressant trava
tuberculose dans les asi- les ; par W. F. Menzies. (The Journal of Mental Science, juillet 1905,) Non seulement la tube
riser ses ravages, mais au point de vue du pro- nostic des maladies mentales , il est certain qu'elle active d'une manière tr
uberculose dans les asiles ; par M. Georges GREENE. (The Journal of mental Science, janvier 1906.) On peut noter au passag
et les interpréter. L'amaigrissement et les modifications de l'état mental sont des si- gnes d'une grande importance ; la
différentes formes de folie; par John MiLsoMRnoDEs (The Journal of mental Science, octobre 1905.) Suivant l'auteur, il fa
Les tableaux statistiques; par CHARLES A. Mercier- (The Journal of Mental Science, octobre 1904.) Etude critique de la fo
la forme usuelle des tableaux statistiques en matière d'aliénation mentale et proposition d'une classification nouvelle. R
istoire de l'hôpital Saint-Luc ; par WILLIAM RawFS. (The Journal of Mental Science, Janvier 1904.) Etude intéressante mais
dition à l'hôpital de Cheadle ; par JORAN SUTOLIFF. (The Journal of Mental Science, avril 1904.) Nous ne pouvons que menti
IV. Causerie à propos de Gheel; par CONOLLY Norman. (The Journal of Mental Science, Janvier 1904.) Causerie variée et inté
XV. Imbécillité mongolienne ; par C. H. Fenhell. (The Journal of Mental Science, janvier 1904.) Ce type, assez commun e
ion suivante : un arrêt intra-utérin du développement physi- que et mental , caractérisé par de la brachycéphahe, par une ten
us aux inflammations atones et chroniques et par des particularités mentales caractéristiques. L'obliquité de bas en haut de
olition des réflexes profonds qui ont été signalés. Au point de vue mental il n'a pas constaté que l'imbécillité atteignit
tes de mise en garde dans les asiles, par J. Marna. (The Journal of Mental Science, avril 1904.) Ces fiches sont destinées
itionnelle écossaise ; par J. CARLYLE JOH : 7STONE. (The Journal of Mental Science, juillet 1904), , Examen critique de ce
s aliénés par voie législative; par M. W. Y. NOLAN. (The Journal of mental Science, octobre 1906.) L'auteur ne se dissim
uteur ne se dissimule pas que beaucoup des causes de l'alié- nation mentale échappent nécessairement à l'influence de la lé-
ce but les mesures suivantes : une meilleure éducation physique et mentale des enfants ; l'enseignement aux adolescents de
de lois sévères sur la tempérance; l'enregistrement des incapables mentaux ; l'interdiction des ma- riages précoces et con
es précoces et consanguins et des mariages des sujets dont la santé mentale est atteinte ; la création d'un ministère de la s
tion d'un ministère de la santé publique qui donnerait aux maladies mentales l'attention qu'elles méritent ; l'organisation
ation d'un laboratoire d'Etat en vue des re- cherches de pathologie mentale . R. DE li1·URGRAVE CLAY. XXI. La loi sur l'assi
s résultats ; par le Dr ME au s. (Bulletin de la Soc. de médecine mentale de Belgique,décembre 1906). Après un exposé his
nie familiale. Tout -médecin qui délivre un certificat d'aliénation mentale devrait être à même de juger du traitement prov
thyrofdie qu'on re trouve si fréquemment dans les cas d'arriération mentale . Il con- vient d'insister particulièrement sur
es de l'encéphale, cause de la mort, sexe, race, pro- fession, état mental etc.). La méthode employée fut celle de \Vei- g
ales qu'il'en a tirées. Ch. Donne. XI. De la Pathologie nerveuse et mentale chez les anciens hébneuxet dans la race Juive.
e Dr VULFING- LUER. L'étude clinique de la pathologie nerveuse et mentale des Juifs n'existe pas encore ; et tous les tra
vés sont ceux qui sont décrits chez les auteurs. Quant aux troubles mentaux , ils paraissent offrir un pronos- tic plus somb
-de-Calais) ; Dupouv,main- tenu comme chef de clinique des maladies mentales à l'Asile cli- nique (Seine) ; I\LBHS, appelé a
uteau) une nouvelle série de conférences cliniques sur les maladies mentales elles continuera les dimanches suivants à la mê
ns ce dernier cas comment se fait le passage d'une repré- sentation mentale , suggérée ou non, à un phénomène somatique ? Il
s idées générales, Paris, Alcan, 1890. Romanes (G. J.). L'évolution mentale chez l'homme. Origine des facultés humaines, tr
TANZL-Una teoria dell' allucinazione,Rivista di patol. nervosa e mentale , VI, f. 12, 1901. UGOLOTTI (Ferdinando).-(Hyper
ans un cas de cérébroplégie infantile), Rivista di patol. nervosa e mentale , X, n° 9, p. 413 à 422, septembre 1905. (D'aprè
e qu'en gé- néral les actes ne suffisent pas pour apprécier un état mental , qu'un diagnostic ne peut être posé qu'à la sui
cas d'infantilisme vrai, type Brissaud,associé à la dégénérescence mentale , compliqué de my- xoedème et d'obésité, à la pr
é- dité convergente des plus chargées au,x points de vue nerveux, mental et dégénératif. Influence favorable du traitement
ganes génitaux et sur les fonctions sexuelles, ainsi que sur l'état mental . F. T. XXX.- La spondylose rhizomélique ; anato
yses d'urine et leurs résultats ; par Robert JoNES. (The Journal of mental Science, Janvier 1906.) Cette étude est basée
jets en état d'infection ; par M. Lewis C. BRUCE. (The Journal of mental Science, août 1906.) L'auteur a observé le séru
le plus tôt et le plus facilement compromis dans le cas de trouble mental ; 3° que lorsque le système moteur instinctif e
que de l'indoxyl dans Purine;par M. Lewis C. Bruce. (The Journal of mental Science, juillet 1906.) Les conclusions de ce m
entre, la présence d'un excès d'indoxyl dans l'urine et le symptôme mental «dépression » ; 2° à en juger par les résultats d
manière leur activité fonctionnelle peu- vent déterminer des effets mentaux prolongés alors même que la toxine ne peut plus
ort rigoureux, nécessaire, entre la lésion cellulaire et le trouble mental ; l'un et l'autre exprimeraient chacun à leur ma-
)E PATHOLOGIE MENTALE. YI1.-L'applieation et la recherche des tests mentaux de Binet chez les enfants des écoles communales
chez les enfants des écoles communales de Garni, au moyen des tests mentaux modifiés de Binet, de la faculté de comparaison
ants par rapport aux enfants parisiens. G.-D. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE LXVL- Note sur quelques cas de trichotillomanie
de troubles vaso-moteurs et trophiques. F. T. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 495 LXIX. - La légende de l'immunité des Arabe
n vi- suelle dans la folie ; par Sydney J. Cote. (7'he Journal of Mental Science, juillet 1905.) Travail intéressant mai
la démence précoee ; par le Dr DEROUBAIX. (Bull. de la Soc. de méd. mentale de Belgique, aoùt 1906). Les troubles spinaux
tisme chronique. F. TISSOT. XXXI\7. '- Encéphalite avec confusion mentale primitive ; par KLIPPEL. (L'Encéphale, 1906, n°
ar divers syndromes : démence simple, paralysie générale, confusion mentale : c'est qu'en effet l'encéphalite, si diffuse e
a tête. Depuis quelque temps. Jouve donnait des signes d'aliénation mentale . Les EFFETS du spiritisme. On écrit de Saint-
est à 500 mètres du cet Arrêt. Hospice delà Salpêtrière. Maladies mentales M. le D-- 1>ENx, dimanche à 10 heures. BUL
e-Evrard et les soins à donner aux personnes atteintes de. maladies mentales , par les D", P. Sérieux el R. '01. gr111(i in-S
ladie d' et délire; par Vigouroux et Delmas, p. 155. Affections mentales . Voir Vé- ronal. Alcool et folie. Effets de l
men, p. 48. Baresthésie ; par Egger, p. 502. * PINET. Voir Tesl mentaux . CAIOEBREAD. La psychologie de Jane par Rober
loi de médecin- adjoint des asiles d'aliénés, p. ttp. Contusion mentale . Voir Encé- phalite. Congrès. XVII0 des médec
Demi-fous et demi-responsabhs; par Grasset, p. 157. Dépression mentale . La et la mélancolie considérées dans clans l
par Boulenger, p. 135. Voir Psf/e/ic//)et'n/)ie. Effets moraux et mentaux , de la guerre sud-africaine (1899- 1902) sur
te aiguë chez les en- fants ; par Comby, p. 137. - avec confusion mentale pri- mitive ; par Klippel, p. 497. Enfants. V
voir Bac- téries. rachidiens ; voir Frie- drich. Gardes-malades mentales (ou dressées au service des asiles) ; leur si
p. 53. Goitre exophtalmique. Voir Os- léomalaric. Voir ^Maladie mentale . Hallucination. Voir Hystérie. La psychologie
ux. Les - et établisse- ments destinés au traitement des maladies mentales et à la garde des aliénés ; des aliénés trait
r Kéraval, p. 148. Leçons cliniques sur les maladies nerveuses et mentales ; par Stcherbax, p. 88. Législation. Examen c
teurs ; par Dubour(licu, p. 401. Voir Loi. Lèpre. Voir Troubles mentaux . Lésions. Sur la coexistence des syphilitique
titatif et qualitatif des dans diffé- rentes formes de maladies mentales ; par Peebles, p. 51. Lipomes multiples dans la
de la sur les aliénés, p. 350. Lunettes. Contribution expéri- . mentale à la psychophysiologie ' de l'usage des ; par F
oir Caractère. .Maladies somatiques. Les rap- ports des symptômes mentaux avec les -, considérés princi- palement au po
de leur traitement hors des asiles d'aliénés ; par Raw, p. 55. mentales ; voir Travail. ai- guës ; voir Manie. mentales
; par Raw, p. 55. mentales ; voir Travail. ai- guës ; voir Manie. mentales . Voir non-sanilé mentale. - du sommeil ; voir
; voir Travail. ai- guës ; voir Manie. mentales. Voir non-sanilé mentale . - du sommeil ; voir Trypanosome. mentales ;
ales. Voir non-sanilé mentale. - du sommeil ; voir Trypanosome. mentales ; voir Poids. mentale avec goitre exoph- talm
entale. - du sommeil ; voir Trypanosome. mentales ; voir Poids. mentale avec goitre exoph- talmique, par Steen, p. 145.
oids. mentale avec goitre exoph- talmique, par Steen, p. 145. - mentales ; voir Véronal. La poésie dans les - mentales;
ar Steen, p. 145. - mentales ; voir Véronal. La poésie dans les - mentales ; par Régis, p. 417. mentales; voir Aphasie. V
; voir Véronal. La poésie dans les - mentales; par Régis, p. 417. mentales ; voir Aphasie. Voir Tics. Malformation congén
- toire de la manière dont les maladies aiguës affectent l'état mental ; par Lewis Bruce, p.6 1. 4. Marche. Voir Phobi
nsomnie,; par 1\laule Smith, p. 59. Mélancolie. Voir Dépression mentale . Mémoire. Voir Suggestion. Mémoire. Contribut
entale. Mémoire. Voir Suggestion. Mémoire. Contribution expéri- mentale et statistique à l'élude de la - ; par Guicciar
des tuberculeux ; par Dumesnil p. 138. - Voir Cours. NOK-SAXITÉ mentale et maladies mentales dans une-prison lo- cale
r Dumesnil p. 138. - Voir Cours. NOK-SAXITÉ mentale et maladies mentales dans une-prison lo- cale ; par Cotton, p. 75.
e. Voir Idiotie. - Voir ]'amll/sie- générale. De la - nerveuse et mentale chez les anciens hébreux et dans la race juiv
. 435. Pneumogastrique. Voir Né- viroses. Poésie. Voir Maladies mentales . Poids du corps. Plaidoyer en fa- veur d'une
DES MATIERES. 537 tive du et de ses rapports avec les maladies mentales ; par Bond. p. 144. POLIENCÉPIIALITE. Oplltal
ses. Voir Fugues. Voir Korsakow. polynévri- tique ; voir Troubles mentaux . Les prodromes des et leur si- gnification ;
uture ; par Graham, p. 49. Sclérose en plaques. Voir Trou- bles mentaux . Scoliose. Voir Rachitisme. SCOI01,A',NIINi ?
ée. Sydenham. Voir Scopolamine. Symétrie. Voir Corps. Symptômes mentaux . Voir 111C/- ladies somatiques. Syndrome méni
a et la classification psychiatrique : par Drapes, p. 425. Test mentaux . L'application et la recherche des de Binet c
dlemass, p. 143. Travail. Le dans la thérapeu- tique des maladies mentales ; par Cuylites, p. 58. 1 Tremblement. Pathogé
sclérose en pla- ques ; par Lhermitte et Hal- bcrstadt,'p. 149. - mentaux consécutifs à un accident du travail ; par Vi
es ; par Alexander, p. 57. Note sur l'emploi du dans les maladies mentales ; par Lwof et Renon, p. 149. Vieillards. Voir
3 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
HIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRE
RECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales a la Faculté de médecine de Paris. ' V. MAG
Vol. XII. Juillet 1901. - N° 67. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . Hallucinations psycho-motrices dans la paralys
onnaît le rôle prépondérant que joue l'hallucination en séméiologie mentale . Ainsi que l'a dit Séglas, l'hallucina- tion «
; elles sont assez souvent persistantes et identiques à 4 CLINIQUE MENTALE . elles-mêmes dans les formes dépressives, dans
e la personnalité ; la maladie évolue trop rapidement, les facultés mentales sont trop touchées pour qu'il en soit ainsi.
nérale. b) Leur association étroite avec des convulsions 6 CLINIQUE MENTALE . , des muscles masticateurs. c) Leur apparition
es corticales-motrices. Tels sont les documents que nous 8 CLINIQUE MENTALE . 1 avons pu rassembler dans la littérature médi
ltiples faits ensemble auparavant (délire rétrogade). 12 CLINIQUE MENTALE . Cet état n'a persisté que quelques semaines; l
entrer à l'asile; mais. il ne la désigne pas autrement. 14 CLINIQUE MENTALE . Quand on l'interroge, il répond assez correcte
térations en moins, 100 p. 100, s'est trouvée avec les trois formes mentales où il n'y a eu ni alté- ration en plus ni norma
ues généraux. Le tableau sui- vant nous l'apprendra : 16 CLINIQUE MENTALE . vrai de prétendre que la self-satisfaction des
tant altéré, cas qui fournissent le tableau suivant : 18 CLINIQUE MENTALE . les ont vivement frappés ; si, comme nous, ils
il reste tel d'ailleurs jusqu'à la mort. Or en février 20 CLINIQUE MENTALE . et mars 189, il eut durant deux mois des hallu
orts de défécation pour lâcher de s'en débarrasser. Au point de vue mental il avait la forme expansée calme; il se prétend
plus aucune trace de ce délire hypocondriaque et génital ; la forme mentale est redevenue exclusivement expansive avec déli
'abord un délire génital dépressif puis expansif. A ces 22 CLINIQUE MENTALE . conceptions délirantes de grandeurs et de rich
ormal que les troubles moteurs étaient moins accusés. 24 CLINIQUE MENTALE . On sait combien à la seconde période surtout c
ion ou au contraire l'affaiblissement et l'impuissance. 26 CLINIQUE MENTALE . · V. En dehors de ces trois troubles fondament
z, Ferrier, Charcot, IIorsley, Flechsig t. La psychologie expéri- mentale , aussi bien que la clinique et l'anatomie normale
t de l'Irlande ; par le professeur Monrrz Benedikt. (The Journal of Mental Science, janvier 1899.) La première de ces lett
bruit en Autriche. L'auteur y examine les rapports de la faiblesse mentale avec la folie morale, le damier de créer une lé
sabilité chez les criminels; par A.-R. WI ! ITEWAY. (The Journal of Mental Science, octobre 1899.) La question fondamental
pour la résoudre, il faut faire l'analyse quantitative de son état mental et moral; et cette analyse est nécessaire, quelle
sponsabilité des criminels; par Charles Mercier. ' (Tlee Journal of Mental Science, avril 1900.) Nous ne pouvons qu'indiqu
que à l'article de M. Whiteway paru dans l'avant- dernier numéro du Mental Science, et qui concerne tout spéciale- ment le
ogie et de physiologie cérébrale; par A. H. NEwTdt. (The j01tmal of Mental Science, avril 1899.) 1 . Une grande somme de
lles justifiées dans les asiles ; par Thomas Drapes. (The joumal of Mental Science, juillet 1899.) L'auteur ne dissimule p
ui- de la responsabilité de aliénés, déjà traité dans le Journal of Mental Science, par 11111. fercier,iVoott et bien d'autr
° 11 existe une folie partielle, et la forme et le degré du trouble mental influent directement, dans chaque cas particulier
les ; par F. ASHEY ELKINS et JAMES 1\hDDLE : .IASS. (The Journal of Mental Science, octo- bre 1899.) Le système préconis
nement pendant une année : par Ha- MII,TON C. Marr. (The Journal of Mental Science. juillet 1899.) Il y a vintg ans que La
ment à désennuyer les malades, elles ont paru utiles à leur état mental 1. A la fin de l'année, on a fait une vente des o
moderne de ces établissements ; par R.-ll. SnEEIV. (The Journal of Mental Science, janvier 1900.) Ce travail très intéres
fléchissent les manières de voir des contemporains sur les maladies mentales : on y saisit aussi le degré de leur conscience e
familial en Hollande; par le Dr PEETERS. (l3ull. de la Soc. semez. mentale de Belgique, mars 1901.) Il résulte de cette no
le but de se perfection- ner dans l'étude des maladies nerveuses et mentales ; 5° d'appeler désormais la séance ordinaire du
ue ou psy- chique. BIBLIOGRAPHIE. I. La pratique de la médecine mentale ; par P. KERA V AL. (1901, Vigot frères, éditeur
faut de psychologie pour la bonne com- préhension de la pathogénie mentale dans les deux chapitres sur le mécanisme des se
e » est réduit à sa juste valeur et distingué de celui d'aliénation mentale , et chaque type morbide est étudié en lui- même
ques et mélancoliques; ce qui facilite l'étude ultérieure des états mentaux survenant comme symptômes ou épiphénomènes BIBL
nos espérances effrayées. » J. BOYER. III. Rapports de l'aliénation mentale cl de la tuberculose; par le Dr L. la Bonnaudiè
onnaudière. (Thèse de Lyon.) La tuberculose peut créer l'aliénation mentale . - A cette propo- BIBLIOGRAPHIE. 73 sition on
chaque fois que se pose la question des rapports entre l'aliénation mentale et une maladie infectieuse. Voici la réfutation
adie infectieuse n'est qu'un épisode, un acci- dent de l'aliénation mentale . Elle n'arien créé, elle s'est surajoutée simpl
qu'un état infectieux peut engendrer de toutes pièces des troubles mentaux et non seulement des délires aigus, mais de vérit
aigus, mais de véritables psychoses; les liens entre la pathologie mentale et la pathologie générale se serreut de plus en
La tuberculose crée des formes spéciales et favorites de maladies mentales . Cette proposition est appuyée sur un nombre trop
e est morte sur le coup. Angèle Chemin paraît atteinte d'aliénation mentale . Elle a tenté, hier, de se suicider en se tiran
ier de Navarre, nommé Biou, ne jouissant pas de toutes ses facultés mentales , avait pris la détermination de se tuer. Il se
arié avec une veuve, la dame Bouillanne. Dans un accès d'aliénation mentale , il s'est précipité sur l'enfant de sa femme, le
sse du cadre. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. DEaroors (J.). -La chorée mentale el son traitement Brochure in-8" de 7 pages. Br
des médecins dans ' le traitement des malades atteints d'affections mentales et confiés à la société. N'est-il pas afflige
nient de le condamner à une immobilité qui peut aggraver son état mental . L'un de nous se propose prochainement d'envisage
l'oxyde de carbone ; Par MM. TRUELLE et PETIT. Parmi les troubles mentaux qui peuvent surveniràlasuite d'une intoxication
tro et antérograde, débarrassée à peu près de tout 'autre phénomène mental y a persisté au delà des limites signalées jusq
. Sans doute, les exemples d'amnésie survenant à titre de trouble mental isolé ou prédominant, à la suite d'une intoxi-
o- tre malade, durer l'exclusion de presque tout autre symp- tôme mental , une amnésie de forme continue. Ce qui géné- ra
stater, lorsqu'il persiste après un aussi long temps des troubles mentaux , un affaiblissement généralisé des facultés intel
'. Récemment, M. Greidenberg2 reprenant cette question des troubles mentaux consécutifs aux empoi- sonnements aigus par l'o
oire -ou plus exac- * tement comme l'a signalé M. Magnan, confusion mentale avec ou sans amnésie rétrograde. 2° Accidents
moins pour faire connaître qu'outre un certain degré de confusion mentale , caractérisée surtout par de l'apathie et de la l
la rue, etc. ne doit pas être mis sur le compte de cette confusion mentale dont M. Magnan a mon- tré la fréquence dans ces
s1 signale l'amnésie continue dans la convalescence de la confusion mentale primitive ou comme prolongement de la maladie,
ra de connaître enfin les origines, et partant la nature, de sa vie mentale , de ses instincts, de ses passions, de son ente
t complexes, telles que le langage, la lecture, la vision. .. "tion mentales . Chaque jour, au sentiment d'Edinger ;me, nous
formation congénitale de l'oreille; par Hugh KEnn. (77ee Journal of Mental Science, juillet 1899.) Il s'agit d'une jeune f
agit d'une jeune femme de vingt-cinq ans, ayant une double hérédité mentale très accentuée entrée à l'asile avec des idées de
de avant et après la mort; par E. 13. M'IIITCOM13E. (The Journal of Mental Science, octobre 1899). Il s'agit d'un homme de
de méthylène polychrome; par T. ALDUUS CL1 ! '\cu. (The Joul'nal of Mental Science, juillet 1899.) Courte notesurles avant
sgraye-Clay. V. Les sentiments; par Harry Campbell. (The Journal of Mental Science, avril 1900.) 1 L'auteur divise son t
s de la manière suivante : il est com- mode de considérer la partie mentale de l'homme, ou le moiT comme composé de sentime
ensée : la pensée consiste à formuler les idées ; et tout processus mental ayant pour fin l'acte, nous appelons volonté ce
ents constituent une portion très considérable de la person- nalité mentale , ou du Moi. Dans le deuxième chapitre de ce tra
I. La psychologie nouvelle ; par Henry NI UD3LI,'Y. (The Journal of Mental Science, juillet 1900.) Ce travail est un disco
une psychologie positive. On a essayé d'interpréter les opérations mentales des nouveau-nés et des jeunes enfants; malheure
arfois soutenu qu'il n'y en avait pas. Au-dessous de tous les actes mentaux , il y a des courants ou des ondulations très su
age peut éclaircir ou une tourmente de neige obscurcir l'atmosphère mentale aussi bien que l'atmosphère phy- sique. Sans do
tement chez deux personnes différentes la durée d'un même processus mental par la notation rigoureuse de son commence- men
si. En fin de compte, c'est au substratum physique, et non à l'état mental lui-même que s'atta- quent les mensurations les
défini, dit, en terminant, M. llaudsley, l'étude d'une organisation mentale concrète, et travaillez à cette étude, d'une ma
s commencent à écrire de la main gauche. Et, selon les combinaisons mentales qu'ils adoptent, les uns écrivent correctement,
euse, Archives, 2° série, t. XII. 9 leO7 REVUE ^ DE ; PATHOLOGIE. MENTALE . mais dont la compression provoquait une sensat
ès prononcée au moment de l'opération. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. Lesr absences , psychiques chez. les hystéri
e.distinguent pas des actions irréfléchies com- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 131" munes. En février 1895, les hallucination
ans la stupidité, mais c'est une stupidité dans laquelle l'activité mentale n'est pas suspendue complètement, tandis que la c
gemeinen Paralyse der Irren. P. KER.W.4L. 132 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . IV. Les rapports de l'alcoolisme et du suicide
près les statistiques récentes; par W.-C. Sullivan. (The Journal of Mental Science, avril 1900). Ce travail est très docum
inductions de l'expérience clinique. Le suicide REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 133 impulsif de l'alcoolique caractérisé en ta
de recueillir les observations ; par A.-I3. NEwTn. (The Journal of Mental Science, avril 1900.) L'auteur regrette que les
e folie- puerpérale aiguë; par C. C. EASTERBROOE. (The Journal of f Mental Science, janvier 1900.) Le cas est intéressant
usage pour les internes et les infirmiers. 13 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ,status epilepticus, et la chorée- a été remar
nes physiques de la folie; par F. GRAHAM Caooxsuaw. (The Journal of Mental Science, janvier 1900.) L'auteur pense que les
t non des signes proprement dits de folie. . REVUE-.DE pathologie : mentale . ' 135 Il est légitime de supposer, pourtant qu
isance générale des tractus nerveux de la vision. Cécité verbale et mentale dans les cas de démence' et de manie : insuffis
re, de douleur, sont émoussées : elles sont 136 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . abolies dans le coma. Les réflexes spinaux son
. Un cas de folie syphilitique; par R. D. HOTCRKIS, (The Journal of Mental Science, avril 1900.) lomme de cinquante-deux a
pagnée de symptômes 'actéristiques de la syphilis : au point de vue mental , perte de mémoire, incohérence, idées délirante
ans com- plication. An bout d'environ un an, amélioration de l'état mental ; le malade obtient sa sortie, et continue à se
agie cérébrale avec hémiplégie droite, et réapparition des troubles mentaux : il rentre à l'asile, en état d'hémiplégie dro
. Mais dans le cas actuel, en l'absence de toute hérédité fâcheuse, mentale ou somatique, en l'absence de tout alcoolisme,
séjour à l'asile, est restée sans retentisse- ment aucun sur l'état mental ; d'autre part l'hémorragie cérébrale survenue u
, la manie soupçonneuse. R. de Musgrave-Clay. - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 137 IX. Sur la parole des épileptiques; par CA
ur la parole des épileptiques; par CAèIPBELL CLARK. (The Journal of Mental Science, avril 1900.) La faculté du langage che
eux, et cependant divers suivant les sujets, et que lorsque l'état mental normal se rétablit, après une de ces explosions
l se rétablit, après une de ces explosions périodiques d'excitation mentale motrice qui caracté- risent la folie épileptiqu
fient proportionnellement à cette excitation; 3° que lorsque l'état mental habituel a reparu et lorsque la tension nerveus
comme complication delà folie ; par G.-J. CONFOIID. (The Journal of Mental Science, avril 1900.) L'auteur étudie successiv
odificatrices réciproques des maladies organiques et des mala- dies mentales . Il montre que les lésions anatomiquesqui entra
que, et peuvent ainsi devenir le point de départ d'une défectuosité mentale qui ne s'éteindra qu'avec le groupe familial da
u'avec une grande incertitude la mesure dans laquelle les symptômes mentaux chez un sujet donné dépendent d'une maladie org
mas, dans la Revue Philosophique), un ac ticle intéressant à l'état mental d'Auguste Comte. Il résume tout d'abord la vie
résume tout d'abord la vie singulière du grand REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 139' philosophe, et nous le montre faisant à v
a vie intellec- tuelle est interrompue par une attaque d'aliénation mentale , pour laquelle il est enfermé pendant sept mois
manité. A diverses reprises, il fut menacé de récidive des troubles mentaux dont il avait été atteint; il essayait d'en pré-
ut une liaison, qui resta platonique malgré 140 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . lui, peut-être par une série de fausses manoeu
lorsqu'il mourut, d'un cancer, en 1857, que la question de son état mental fut soulevée à propos de son testament dont 111
la moindre trace de trouble intellectuel ou moral- ou d'aliénation mentale ; que bien au contraire ils ont été frappés, jusq
e la folie ». v. Le tribunal en 1870 refusa d'admettre l'aliénation mentale et valida le testament. « Sans mettre en doute
côtoya la folie ; et si par son système d'hygiène et par son régime mental , il réussit à éviter une nouvelle attaque, il r
latoire épileptique ; par D. J. Me CARa-nY, (Journal of Neruous and mental Besease, Mars 1900.) L'automatisme ambulatoire
d'autopsie par" w Dr B." "' 0,NLJF. (Tlte Journal o' ' Nel'vous and mental Desease, Alarch 1900.) L'intoxication saturni
ilepsie; par le docteur William G. SrItLEa. (Journal of nervous and Mental Desease, février 1900.) Les formes graves de
Philip COOMBS KNAPP et John Jenks Thomas. (Journal of Ne¡'vous and Mental Desease, février 1900.) Il s'agit de trois nouv
la syringo- myélie ; par James Hendrie Lloyd. (Journ. of Nerv. and Mental Desease, février 1900.) Premier cas. Le malad
sur l'astéréognose ; par F.-X. Dercum. (7oM)') : . of ' Ne¡'v. and Mental Disease, novembre 1900.) Ces études ont porté s
ivent être combinées dans le cortex pour donner naissance à l'image mentale de l'objet senti. Supposons un cas dans lequel le
d'un côté et dont la face est asymétrique. Après quelques troubles mentaux très légers (idées vagues de persécution, crain
énorme de la tumeur ; d'autre part, ils montrent que les désordres mentaux présentés par la malade sont différents de ceux q
ue et en quelque sorte prévu, les étapes régulières d'une évolution mentale univoque. Commençant en 1088 l'enfance même de
e se produisit, préparée par une longue retraite de contemplation mentale intensive, par un travail cérébral excessif, par
t les mauvais esprits, tout cela sans que chez lui la désagrégation mentale ait jamais été complète, sans démence terminale
ans l'histoire du voyant, il y avait un beau chapitre de pathologie mentale à édifier. C'est ce que M. Ballet a si complète
de la réfraction. POULARD. VIII. Du sérum artificiel en aliénation mentale ; par le De E. FAURE, ex-interne de l'asile de B
jections intrarectales, peuvent rendre des services en alié- nation mentale . Elles paraissent agir de deux façons : 1° En éli
garanties de sécurité. Les médecins qui, par ignorance des maladies mentales , consen- tent à soigner de. tels malades à domi
de nature hystérique. Martin. Observations sur un cas de torticolis mental . - Pailhas. 1° De la dégénérescence dans les vi
quide céphalo-rachidien (projections) ; 2° Nouveaux cas de troubles mentaux toxi-infeetieux avec examen histologique de l'é
eër. d'oculistique, fév. 1897, p. 51. 2 Journal of ne1'VOllS and mental diseases, 2 fév. 1886. 204 CLINIQUE NERVEUSE.
- Bresci, le régicide, vient d'être subitement frappé d'aliénation mentale . La police italienne a fait tous les efforts pos-
e expérimentation qui, normalement est irréalisable. Lapa- thologie mentale fournit parfois l'étude delapsychologieetde la
aide à déterminer le mécanisme et les conditions de certains actes mentaux particuliers. Nous avons eu la bonne fortune d'
normale, le jugement est juste. La malade ne présente aucun trouble mental . Elle se rend parfaitement compte de son état,
ue à 214 zut PSYCHOLOGIE MORBIDE. ce moment chez elle, des images mentales terrifiantes, ana- logues à celles que la plupa
, ils suivent immédiatement l'idée. ou même plus exactement l'image mentale . L'hallucination par son intensité trouble la p
rimentale. En effet, ici ce que nous pouvons provoquer c'est l'état mental , qui dans le cas particulier est principale- me
u désordre dans les idées et les actes, est le résultat de cet état mental . Il se passe donc à peu pi es le contraire, de
nd nous inférons des désordres présentés par un malade à son état mental et surtout aux causes génératrices de ce désordre
se ce tableau symptomatique, c'est en résumé l'état de distractions mentales du sujet joint à de l'agitation motrice, le dés
es auteurs propo- seraient pour cet état le diagnostic de confusion mentale hallucinatoire. On sait que la confusion ment
tic de confusion mentale hallucinatoire. On sait que la confusion mentale présente elle-même plusieurs formes cliniques d
otre malade il n'y a pas d'idées persistantes ni fixes, tout l'état mental est sous la dépendance de nombreuses hallucinat
ue qu'on la persécute. Il s'agit donc ici d'une véritable confusion mentale , dans laquelle les hallucinations se succèdent
dent comme en une véri- table fantasmagorie kaleidoscopique. L'état mental de G... indépendamment des réactions motrices,
tteint de delirium tremens auquel on a souvent comparé la confusion mentale hallucinatoire. La connaissance de l'état menta
paré la confusion mentale hallucinatoire. La connaissance de l'état mental de notre sujet, peut donc assez bien nous faire
dans celui qui doit présider à l'évolution de certaines confusions mentales , quelque soit l'élément étiologique qui ait cau
ient engendrées, existe également à la suite des états de confusion mentale hallucinatoire. La.- durée seule, est plus- lon
n qui s'extériorise détruit le pouvoir d'atten- tion et la synthèse mentale s'oriente intimement et presque instantanément
intense, à la distraction fait place un véritable état de confusion mentale . Le rapproche- 220 PSYCHOLOGIE MORBIDE. ment,
ques, semble jeter quelque lumière sur le mécanisme et la structure mentale qui préside à l'état de confusion. L'idéation p
ocessus psychiques qui concourent à une structure et une synthèse mentales normales. La distraction est ébranlée dans son
n microscopique; par Fi. X-DERcm. (7'/tc Joziî-nal of Nervous and Mental Deseasc, août 1900.) L'adipose douloureuse, aff
er la diminution des sueurs, la lenteur de parole et l'irritabilité mentale présentées par notre malade et également observ
nski; par G. L. VaLTO et W. E. PAUL. (Tite Journal of' Nc1"vOUS and mental Deseuse, juin 1900.) On peut résumer de la faço
e. Aujourd'hui, les cadres de la neuro-pathologie et des affections mentales sont mieux dessinés et mieux remplis. Mais que
le département de jour en jour plus peuplé, hélas ! de l'aliénation mentale , indépendamment du riche domaine qui lui appart
ns le maniement de cet outil. Plus que toute autre, la pathologie mentale a eu à pàtir, dans son développement, des vices
lupart des myélites, de beaucoup de délires ou d'états de confusion mentale , n'ignorons-nous pas encore quelle est, par exe
de l'entendre et de l'écouter. , Parler dans un congrès de médecine mentale du péril alcoolique, c'est s'exposer au reproch
y, la pathologie du système nerveux, en particulier la pathologie mentale , au point de vue social. Pour ma part, je vois so
à cette séance excusent cette hardiesse), j'entrevois la pathologie mentale contribuant, de concert avec l'anthropologie cr
nfectieuse. Son histoire est une des plus confuses de la pathologie mentale . Avant 1881, les opinions sur la nature de cett
aralysie générale. Brierre de lioismont le séparait de l'aliénation mentale et de l'encéphalite, et en faisait une entité m
ts toxi-infectieux. D'autre part, les travaux récents en pathologie mentale établissent l'existence de troubles mentaux par
x récents en pathologie mentale établissent l'existence de troubles mentaux particuliers accompagnant les infections et les
et les intoxications. Ces troubles sont constitués par la confusion mentale décrite d'abord par Delasiauve, puis par Chaslin,
sensorielle très 'accentuée intéressant tous les sens. Le trouble mental consiste en un délire général dont l'incohérence
n, les hallucinations, la perte de con- science. C'est la confusion mentale hallucinatoire de Delasiauve, Chaslin, Séglas,
ermie), l'aspect général ; au point de vue psychique : la confusion mentale avec torpeur ou agitation, le délire onirique o
céphalalgie, les troubles des fonctions organiques, la confusion mentale , le délire onirique, l'amnésie (céphalée). Il est
s de l'hypother- mie. Quant aux symptômes psychiques : la confusion mentale est de règle, parfois elle peut être marquée pa
traitement que j'ai préconisée dans la thérapeutique des mala- dies mentales et dont M. S. Maleit a montré, en 1882, l'efficac
oit occuper le- délire aigu dans le cadre neurologique des maladies mentales , trois courants se partagent l'opinion : les un
nt, de septicémie consécutive à un gros abcès du sein. Les troubles mentaux initiaux ont consisté, après une insomnie de pl
, décrit un type clinique qui est le suivant : un fond de confusion mentale sur lequel se greffe un état délirant onirique
técédents héré- ditaires ou personnels aucune affection nerveuse ou mentale , ni syphilis, ni alcoolisme. Porteur d'un kyste
s de nostalgie, manifestant le désir de quitter l'hôpital. Son état mental alla en s'aggravant jusqu'au 268 ' SOCIÉTÉS SAV
sa sortie de l'hôpital. Depuis son entrée, il a pré- senté un état mental caractérisé par de la confusion mentale, des id
rée, il a pré- senté un état mental caractérisé par de la confusion mentale , des idées de persécution, des alternatives de
lsifs. En somme, je note immédiatement après l'opération un trouble mental passager, puis, le huitième jour, un véritable
t, par M. Babinski. 270 SOCIÉTÉS SAVANTES. Deux cas de torticolis mental chez des aliénées, observations relatives au tr
- tement indiqué par M. le professeur Brissaud pour le torticolis mental est institué. Le malade est soumis à des séances
. M. Martin fait remarquer que dans les observation ? de torticolis mental publiées jusqu'à présent, l'état mental, ne parai
observation ? de torticolis mental publiées jusqu'à présent, l'état mental , ne parait pas aussi modifié et aussi profondém
andonnée dans ce dernier cas. En somme, le traitement du torticolis mental par l'éducation des mouvements n'est pas applic
de chance de réussir que l'affection physique dépen- dra d'un état mental moins atteint. La prolongation du traite- ment
plusieurs travaux, en collaboration avec M. Feindel. Le torticolis mental est en effet curable dans- la grande majorité des
pparaît que chez des dégé- nérés, tant au point de vue physique que mental , qui ne présentent pas de graves troubles menta
e vue physique que mental, qui ne présentent pas de graves troubles mentaux mais qui cependant frisent la vésanie. Chez le
itude que M. Meige n'hésite pas à assimiler aux tics. Le torticolis mental ne serait qu'une variété de cette affec- tion e
olis mental ne serait qu'une variété de cette affec- tion et l'état mental des malades atteints de torticolis mentaux. ren
tte affec- tion et l'état mental des malades atteints de torticolis mentaux . rentre dans l'étude de l'état mental des tique
lades atteints de torticolis mentaux. rentre dans l'étude de l'état mental des tiqueurs. Comme l'a dit . M. Martin, il est
. M. BRISSAUD fait remarquer que non seulement dans le torticolis mental , mais que dans beaucoup d'affections du système n
gymnastique et de la rééducation des mou- vements amène dans l'état mental des modifications salutaires. Il a toujours con
ue l'amélioration physique précédait l'amé- lioration des symptômes mentaux . M. Briand. - J'ai observé plusieurs cas de ce
and. - J'ai observé plusieurs cas de ce qu'on appelle le torticolis mental et dont M. le professeur. Brissaud a donné une; J
le description. Je le considère comme un stigmate de dégénérescence mentale . En effet, si .l'on se donne la peine de fouill
avant, un craintif et un obsédé. Les malades affectés de torticolis mental sont souvent des neu- rasthéniques, J'en connai
sorte d'astasie-abasie que je qualifierais volontiers de paraplégie mentale incomplète. Le malade qui en est atteint ne voy
énique, et la soeur mélancolique hypo- chondriaque. Le torticolis mental peut se montrer sous des influences très divers
n rauque, véritable tic rythmé des organes phonateurs. Torticolis mental et tics divers ne sont donc que l'apanage de la
ntal et tics divers ne sont donc que l'apanage de la dégénérescence mentale . Ils sont de nature essentiellement récidivante
stigmate plutôt psychique que physique de la dégénérescence. L'état mental de ceux qui en sont porteurs est celui des dégéné
i des dégénérés. M. Lannois (de Lyon) rapporte un cas de torticolis mental chez une jeune fille et dont la cause détermina
en effet souvent une cause de ce genre qui détermine le torticolis mental , aussi bien que les tics. Comme l'a dit M. Bria
e l'a dit M. Briand il est fréquent de voir récidiver le torticolis mental . Mais ces récidives sont de courte durée et fac
t facilement curables par la même suggestion. De plus le torticolis mental s'accompagne parfois de tics de l'épaule et du
u remarquer que l'amé- SOCIÉTÉS SAVANTES. 273 lioration de l'état mental a été précédée de l'amélioration de l'état phys
aractère des troubles psychiques des malades atteints de torticolis mental . M. Meige insiste sur les troubles mentaux chez
es atteints de torticolis mental. M. Meige insiste sur les troubles mentaux chez ies dégénérés atteints de torticolis menta
sur les troubles mentaux chez ies dégénérés atteints de torticolis mental . Il assimile cet état psychique à l'état mental
eints de torticolis mental. Il assimile cet état psychique à l'état mental des liqueurs. Tous ces malades ont une instabilit
n certain degré d'incohérence dans leurs actes. C'est sur cet, état mental bien particulier que viennent se greffer des dé
sile avec le diagnostic de paralysie géné- rale. A l'entrée, étal mental . On constate des .lacunes dans la mé- moire sur
s cette époque. A vingt ans, à son entrée, voici l'état physique et mental : Tremblement fébrillaire de la langue, des lèv
'insomnie des affec- tions dans lesquelles n'entrent pas d'éléments mentaux ; ainsi, un rhumatisant aigu, un tuberculeux, u
IX. Thèses DE la Faculté DE MÉDECINE DE Bordeaux SUR les maladies mentales ET nerveuses (1899-1900) ; par le Dr L. de PERRY.
bénéficiaires d'ordonnances de non-lieu' en raison de leur trouble mental et envoyés dans un asile d'aliénés. De la sorte
her tous les autres signes individuels, héréditaires, organiques et mentaux de l'individu avant d'en faire un dégénéré. 8.
à Rochepaul, donnait, depuis quelque temps, des signes d'aliénation mentale . Mais comme il était de son naturel très doux,
signes de dérangement cérébral, vient d'être frappé d'aliéna- tion mentale . M. Fourest demeurait avenue Parmentier. Hier mat
à Villedomer (Indre-et-Loire), qui ne jouissait pas de ses facultés mentales , s'est suicidé d'une singulière façon. Le malhe
nommé Royer donnait, depuis quelque temps, des signes d'aliénation mentale . Comme il revenait des champs, hier, portant un
tumeurs du cerveau; par William H. WILDER. (Journal of nervous and Mental Desease, août 1900.) La névrité optique vient p
grand mal épilep- tique ; par Pierce CLAHK. (Journal of Nenuous and Mental Desease, octobre 1900.) La perte du langage s
t pas le résultat d'une lésion matérielle, mais sont des phénomènes mentaux , des phénomènes de perception mauvaise ou nul,
rg. Dynamo- mètre : U. 3^, G. 27. Presque pas de vomissements. Etat mental parfait. On porte le diagnostic de tumeur de la
on particulièrement mar- quée, surtout en ce' qui concerne la forme mentale . Dans une excellente monographie du Tarn, le do
système nerveux chez les enfants (idioties, épilepsies, aliénation mentale .) M. Bourt-il ? VILLF. - Ainsi qu'en font foi l
ques-unes : 1° Dans les cas 1 E. Régis. Manuel pratique de médecine mentale , 2 édition, 1892. 2 Pitres et Régis. L'Ir'z·eul
certaines lésions cellulaires corticales accompagnant les accidents mentaux des maladies géné- rales (Laboratoire de M. le
, tuberculose, lésions du foie, lésions du rein), avec des troubles mentaux plus ou moins accen- tués. On constate que, dan
lésion, dont nous rappellerons seulement ici les caractères fonda- mentaux : forme globuleuse de la cellule, migration périp
ce le parallélisme d'intensité des lésions corticales, des troubles mentaux et des accidents généraux de la maladie. Si d
intoxication, etc.); il en est ainsi, d'ailleurs, pour les troubles mentaux qui les accompagnent, et qui varient peu malgré
e de la psychose polynévritique et de certaines formes de confusion mentale primitive (en collaboration avec M. le professe
les lésions cellulaires corticales observées dans G cas de troubles mentaux toxi-infectieux. Revue neurologique, décembre 189
on avec G. DES%'AULX). Médecine moderne, août 1899. Sur un syndrome mental fréquemment lié à l'insuffisance des fonctions
rien de leur valeur ni de leur importance. , - Deux cas de troubles mentaux loxi-infeclicux avec examen hislotogique. 1\1
stine, interne des hôpitaux de Paris, rapporte deux cas de troubles mentaux toxi-infectieux avec lésions cellu- laires cort
prarce]), onze ans. Microcéphale atteint d'idiotie et d'ustthilité mentale , d'une turbulence excessive, reste maintenant v
Microphale à un degré prononcé, atteint d'idiotie et d'instabilité mentale . L'instabilité est un peu moins grande qu'à l'arr
arrive aussi, mais l'état s'est aggravé : à la maladie nerveuse et mentale se sont ajoutées des habitudes vicieuses. La de
ceux de la mélancolie, de la manie, de la stu- peur. avec confusion mentale , finalement de la démence, et par des symptômes
les pupilles démesurément grandies, le corps froid. Au point de vue mental , la stupeur est profonde ; le malade profère de
disparaissant tout d'abord, puis l'agita- tion, enfin la confusion mentale , et le malade arrriva ainsi à une guérison comp
insolation. Les troubles observés furent d'abord de la confu- sion mentale , puis de l'amnésie, surtout de l'amnésie de fixat
que un état d'intoxication ainsi que l'aspect clinique des troubles mentaux semble le mon- trer. Astoso-basophie. AL11.
t ainsi 29 p. 100 dans les cas normaux, 47,9 p. 100 en alié- nation mentale . Epilepsie consciente, etc., par le Dr LALANKE.
énérales qui seront discutées à Grenoble : Question de pathologie mentale : Des états anxieux dans les maladies mentales,
uestion de pathologie mentale : Des états anxieux dans les maladies mentales , M. le Dr Lalanne, rapporteur. Question de path
s facultés et aptitudes normales, mais encore faire de l'orthopédie mentale et morale dans les cas suivants : troubles du c
s délires transitoires revêtant de préférence les types : confusion mentale ou mélancolie anxieuse, avec hallucination de la
fisante pour entraîner la mort, ne laissant derrière eux que l'état mental sénile antérieur parfois un peu aggravé. Des co
ou anormaux, le travail se termine par l'étude légale des maladies mentales provoquées par des tiers, A noter la partie his
xcès de division. Quel- ques aperçus nouveaux au sujet de faiblesse mentale post-vésa- .nique, de l'influence de la menstru
ès que l'explosion d'un premier symptôme le trahit. Tant que l'état mental le permet, il doit autant que possible continuer
en sections adoptées à chaque catégorie d'épileptiques selon l'étal mental et physique et les aptitudes de ces malades. Dé
Mail, semble devoir établir que Ferrari était atteint d'aliénation mentale et qu'il a agi sous l'empire du délire de la pe
nge, demeurant 12S, rue d'Aboukir, au cours d'un accès d'aliénation mentale , a blessé grièvement sa femme d'un coup de mart
indre. Sirigue donnait depuis quelque temps des signes d'aliénation mentale , et proférait souvent des menaces de mort à l'a
à 21 369. Le D' Claye Shaw attribue cet accroissement d'aliénation mentale aux influences de la guerre du Transvaal. Beauc
primerie Gillet. CATALA. Essai d'un nouveau traitement des maladies mentales el de l'épilepsie. In-8° de 92 pages. Toulouse,
action que sur le travail 2. Il n'est pas plus favorable au travail mental qu'au travail physique3. Les effets de l'alcool
luence de l'alcool sur le muscle fatigué. (Bull. de la Soc. de méd. mentale de Belgique, 1899, p. 307.) °- J.-W. \Varren. T
'INFLUENCE DE L'ALCOOL ET DU TABAC SUR LE TRAVAIL. 383 384 CLINIQUE MENTALE . surtout à l'irritation des organes sensitifs e
int de vue, et elle entraîne l'intoxication. (A suivre.) CLINIQUE MENTALE , Contribution à l'étude des réactions de la pea
ominationd'alcooliques, ils n'ont compté que ceux dont les troubles mentaux ne s'étaient produits qu'à la suite d'excès alc
des idiots... f . . Archives, 2° série, t. XII. 25 386 . CLINIQUE MENTALE . Voici ce très instructif tableau : RÉACTIONS
ait aussi accentuée en avant qu'en arrière et six '388 · " CLINIQUE MENTALE . C 'fois beaucoup plus à la poitrine qu'au dos.
t en réalité aussi sains qu'ils le prétendent et s'ils 390 CLINIQUE MENTALE . n'auraient pas été porteurs d'un nervosisme mé
fréquence les différences que nous avons relevées : 392 . CLINIQUE MENTALE . - Mais si ces tableaux nous permettent d'appré
plus et en moins des réactions de la peau dans chacune des variétés mentales . Une pourtant nous fait défaut : l'alcoo- lisme
t MM. Féré et Lance sur 19 alcooliques n'ont rencontré 394 CLINIQUE MENTALE . aucun cas de dermographie. Mais nous n'avons p
e fournissent nos 3112 sujets. Mal- heureusement pour deux variétés mentales , l'hystérie et la sénilité, le nombre de ceux q
que suit de très près la démence et d'assez près encore la débilité mentale . Ces trois aliénations constituent le groupe ri
- A l'extrême opposé se trouve la sénilité qui est la seule variété mentale sans dermographie aucune, ni modérée, ni excess
nôtres occupent au contraire le dernier rang parmi les six variétés mentales qui ont eu de la dermographie. Pour la débilité
x variétés mentales qui ont eu de la dermographie. Pour la débilité mentale notre proportion est à peu de chose près celle
M f M M t" Fi. Z H. en M co va 396 . CLINIQUE MENTALE . 23 p. 100 ; inférieure, par conséquent, de 12,
une seule fois le degré excessif. Quant aux quatre autres variétés mentales qui restent, elles n'ont entre elles que de fai
tenant l'état normal nous consta- tons que dans toutes les variétés mentales il a été inférieur à l'état anormal, toutefois
emporté avec une formidable proportion. Pour les autres aliénations mentales l'état normal a été plus fréquent. Après l'hyst
lité et la démence qu'il s'est montré le moins souvent. La débilité mentale est l'aliénation avec la normalité la plus fort
de réactions affaiblies que de dermographie. C'est dans la débilité mentale que le phénomène qui nous occupe est le plus ra
nous savons n'a pas d'altérations en plus. Les deux autres variétés mentales ne diffèrent pas beaucoup entre elles à cet éga
e céphalalgie, qui persista jusqu'au développement de l'affection mentale , qui a commencé en 1854. A cette époque, il eut u
publicain d'Orléans, du 27 septembre 1901.) . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XII. Discours présidentiel prononcé à la cinqu
à Londres le 26 juillet 1900; par Fr ? TCHEa Beach. (The Journal of Mental Science, octobre 1900.) . , Dans ce discours, l
Foreign Archives, 2° série, t. XII. 26 Il. 0 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Medico- Chirurgical Revint) un article du Dr C
et venant en aide à 8.492 idiots et imbéciles. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 403 Revenant ensuite en France, l'orateur rema
construit un bâtiment de 100 lits à Vallée. 404 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Paris et de la France, et à l'appui de cette r
faut penser aussi à ceux qui sont de simples malades, sans trouble mental . Le premier asile pour les épilep- tiques de ce
s cliniques et thérapeutiques de 1890 à 1900. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 405 XIII. Quelques remarques sur les différent
colie; par Lewis BRUCE et H. de Maine ALEX.1,NDE[t. (The Journal of Mental Science, octobre 1900.) Au cours d'une série de
nie. Au début de l'attaque, à la période d'agitation et de troubles mentaux aigus, cette pres- sion était élevée et équival
subaigu est caractérisé par les 'phénomènes suivants : 1° Symptômes mentaux moins accentués. Sommeil généralement bon; hall
umine; 5° langue propre, alimentation mieux 406 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . acc' ptée. Pouvoir digestif du suc gastrique,
ll1'. L'homicide alcoolique; par W.-C. Sullivan. (The Journal of Mental Science. Octobre 1900.) L'auteur conclut des re
CL,\ Y. XV. Le juif aliéné ; par Cécil-F. IiEADLES. (The Journal of Mental Science. Octobre 1900.) Il ne résulte pas des
d'ailleurs intéressants, recueillis par l'auteur, que l'aliénation mentale se présente dans la race juive avec des caractè
causes et sa guérison; par William Gyrin Westcott. (The Journal of Mental Science. Octobre 1900.) L'auteur se propose de
douteux que les habitudes d'intempérance soient REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 407 fréquemment, héréditaires; mais elles peuv
es sur les glycosuries nerveuses; par David BL.vrR. (The Journal of Mental Science. Octobre 1900.) Contrairement à ce qu'i
ui expliquerait sa rareté chez les aliénés. 408 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Mais l'émoussement considérable de la sensibil
des aliénés; par David ORR et Thomas Philip Corsez. (The Journal of Mental Science, Octobre 1900.) Cet intéressant travail
fs. Il est encore trop tôt pour donner une opi- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 409 nion dogmatique sur l'étiologie de la para
avec la syphilis héré- ditaire ; par W.-J. KOENIr.. (The Journal of mental Science, juillet 1900.) L'auteur rappelle som
avec symptômes cliniques consistant en un abaissement des facultés mentales de nature non progressive, de la paraparésie sp
te, suffit à nous mettre en garde contre un 410 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . pronostic trop hâtif. D'au Li part, quand les
rébrale infantile, et dans tous les cas, sauf trois, l'insuffisance mentale remontait il la naissance. Tous ces malades éta
de ce fait que, en analysant les onze cas dont REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 411 il s'agit, on constate qu'il n'y en a qu'u
la perte de la réaction pupillaire, dans les cas d'affaiblissement mental infantile, doit nécessairement diriger notre at
élancolie avec stupeur; par Thomas-Philip Cowcv. (The Jour- 1(al of Mental Science, juillet 1900.) Voici le résumé de cett
de mélan- colie, de manie, etc.; par John i'URVER. (The Journal ouf mental Science, juillet 1000.) C'est une question tr
juillet 1000.) C'est une question très embarrassante en pathologie mentale que celle de savoir comment se produisent les é
ices de l'exaltation et de la dépression. 412 - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . C'est à ces questions que l'auteur veut essaye
psie associée à la folie ; par Ernest-W. \VIIITC. (The Jour- nal of Mental Science, janvier 1900). Le but de ce travail es
ques qu'elle comporte est favorable au développement des affections mentales ou convul- sives. L'auteur toutefois n'a vu que
le est caractérisée par l'absence de tonicité ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 413 dans les attaques, la brièveté du stade to
assez rares chez les aliénés ; par Thes.-B. HYSLOP. (The Journal of Mental Science, jan- vier 1900.) Tous les médecins d
cations de couleur, de souplesse de la peau dans certaines maladies mentales : l'auteur se propose dans ce travail de n'étud
ports des affections de la peau avec les modifications des maladies mentales et leur pronostic ; ces conclu- sions se résume
es aussi : souvent la marche de l'un des éléments soit cutané, soit mental ,-fournit le pronostic de l'autre élément; car a
« lement, vous ne tarderez pas à voir apparaitre l'amélioration « mentale ; mais une peau rebelle présage une guérison tard
iles, 7; malades encore en traitement, 5. 414 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Ces guérisons qui donnent une proportion de 83
rapports avec la folie ; par Geoffrey Hun- gerfohd. (The Journal of Mental Science, janvier 1900.) On peut poser en princi
tuits et de faciliter l'internement des sujets atteints de maladies mentales en temps opportun, dès le début de l'atfection ;
des idées justes sur la nature des maladies 432 asiles d'aliénés. mentales et sur les mesures qu'elles exigent; de détruire
n est de même des inculpés en observation au point de vue de l'état mental , malgré qu'en pratique il soit passé outre parf
à certaines formes de folies sensorielles et surtout à la confusion mentale pour laquelle l'internement, ainsi que nous l'a
islation comparée des aliénés ; par A.-Wood REUTON. (The Journal of Mental Science, janvier 1900.) Selon notre coutume, no
'hospitalisation rapide, immédiate, des sujets atteints de maladies mentales , ces avantages ont rappelé l'attention sur l'ut
ys ruraux se compose : pour 1/4 d'alcooliques; pour 1/4 de maladies mentales organiques (para- lysie générale, démence sénil
euvent réunir les conditions nécessaires au traitement des maladies mentales . Il montre comment doit être assuré le service
uand le terrain est insuffisant. Une policlinique pour les maladies mentales et nerveuses doit être annexée à l'hôpital. L'a
Notre être est soumis à une sorte d'automatisme physiologique et mental , quels que soient d'ailleurs le rôle et le pouvoi
posté- rieurs il la naissance, imbécillité, épilepsie. Les maladies mentales acquises sont dans la proportion de 6 p. 100; i
Vol. XII. Décembre 1901. N° 72`. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . Délire aigu et urémie ; Par le D' A. CULLERR
'on est évacuée sur l'asile, le 27 mars 1897, en raison de son état mental , caractérisé, d'après le certificat d'admission
i formulé : « État Archives, 20 série, t. XII. 23 ,450 1 CLINIQUE MENTALE . démentiel avec confusion complète des idées, a
s complet d'aliments; la malade est nourrie à la sonde : l'obtusion mentale est très profonde, le délire confus, les parole
nce d'excès alcooliques. Le malade n'est pas alcoolique. Le trouble mental actuel est la conséquence d'une vive déception
ement dans une large mesure et qui s'est terminée au point de vue mental par le syndrome du délire aigu, et au point de vu
s de la commission ; M. Defrance, directeur des affaires départe- mentales ; M. Pelletier, chef du service des aliénés à la
Ilelbelinclc, Gand, 1852, tome I, p. 224 et seq. * Esquirol. Mal. mentales , t. I. 3 Tardieu. Traité de médecine légale.
I. 3 Tardieu. Traité de médecine légale. blorel. Traité des Maul, mentales , p. 360. Ci,iesinger. Mal. mentales, p. 285.
ale. blorel. Traité des Maul, mentales, p. 360. Ci,iesinger. Mal. mentales , p. 285. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES STÉRÉOTYPIE
t due à Brugia et Marzocchi13, l'autre à ' Dagonet. Traité des Mal. mentales . Paris, 1894. - ° Cotard. Art. Folie. Dict. enc
leur, 0. Doin. Paris, 1892, 144" p. - ' Scinde. Traité des Maladies mentales , traduit par J. Dagonet et Duhamel, Paris. 1
Berlin, 1889, p. 628-644. " lIIorsel11. Séméiologie des Maladies mentales , vol. II, p. 826. " vit. Brugia et S. Marzocchi
cchi. Dei movimenti sislemalizzali in alcune forme di indebolimento mentale . Archivio 1taliano per le malatie ne1'vose e pi
ta spel'i1aenlale di Frenialria e medicina légale délie alienazioni mentale . 1899, vol. XXV. Fasc. I et IL) 2 Mondio. Héréd
consécutive mérite-t-elle un chapitre particulier en noso- graphie mentale ? (Rivista mentale di neuropatologia et psychiatr
-t-elle un chapitre particulier en noso- graphie mentale ? (Rivista mentale di neuropatologia et psychiatre. Rome, 1900. No
fournissait le certificat trimestriel : ' Ph. Chaslin. La confusion mentale primitive. Annales médico-psy- cytologiques. 50
de. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES STÉRÉOTYPIES. 483 « Dégénérescence mentale avec excitation. Désordre complet dans les idée
les idées délirantes. » Alors qu'à cette période, survient la ruine mentale du sujet, les stéréotypies ' ' J. P. Falret. Le
et, les stéréotypies ' ' J. P. Falret. Leçons cliniques de médecine mentale (faites à l'hospice de la Salpêtrière). 1r. par
anicomio mode1'llo. Année XVI, n°3). ' Morel. Traité des Maladies mentales , p. 360. 496 PATHOLOGIE NERVEUSE André L...,
iques, ni clo- niques, méfiez-vous, quand ils font preuve d'un état mental défectueux, de quelque chose de bien plus redou
ts automatiques des hystériques, des épileptiques et enfin les tics mentaux . Chez l'hystérique, c'est surtout dans les chor
plus haut des tics d'habitude. Il nous reste àparler des tics dits mentaux . « Le tic, a dit Charcot, est une maladie psych
te similitude est d'autant plus accentuée que sou- vent sous le tic mental , il y a une idée inconsciente qui fait exécuter
- Mais faisons remarquer que, d'abord, en règle générale, les tics mentaux peuvent être arrêtés par des efforts d'attentio
·; il avait rêvé qu'un homme était tombé dans 1- rivière et le choc mental produit par ce rêve avait suffi pour\ lui rendr
pièces anatomiques jouis- sait pendant la vie d'une parfaite santé mentale ou s'il était malade ? La poursuite des altérat
le. Ainsi Alzheimer et Rins- wanger ont formulé que dans les formes mentales légères il existe des altérations de la substan
ltérations de la substance chromatique, tandis que, dans les formes mentales graves, dans la démence, etc., il y a des altéra-
siles de Londres, à Claybury ; par J. 5nw Boston. (The Journal of Mental Science, Octobre 1900.) LIX. Démonstration par
dans la paralysie générale ; par George A. WATSON. (The Journal of Mental Science, octobre 1900.) LX. Quelques altérati
nom de,« réaction à distance » ; par John 'foRNER. (The Journal of Mental Science, octobre 1900.) Travail accom- pagné de
des cellules de la névroglie ; par Ford, Rodertson. (The Journal of Mental Science, octobre 1900.) L'auteur a imaginé une
cas de leptoméningite ; par J.-O. W AKELIN BARRATT. (The Journal of Mental Science, octobre 1900.) Dans ces deux cas on a
broncho-pneu- monie. Mort; par Francis-O. SimpsoN. (The Journal of Mental Science, juillet 1900.) Malade atteint de dém
de gliome du corps calleux; par C. Mahel BLACKWOOD. (The Journal of Mental Science, juillet 1900.) Les tumeurs de la subst
Les tumeurs de la substance cérébrale déterminant des affec- tions mentales sont relativement rares; le nom de gliome a été
es conditions différentes ; par le Rev. H. HAWKINS. (The Journal of Mental Science, juillet 1900.) L'auteur s'attache à dé
hologiques des asiles irlandais; par W. R. D.%WSON. (The Journal of Mental Science, juillet 1900. Etude intéressante, mais
apeutique de la folie; par IIARRINGTON SAINSBURY- (1'lae Journal of Mental Science, juillet 1900.) On ne peut qu'indiquer
et démence primaire, particulièrement quand ces formes d'aliénation mentale ne répon- dent pas aux méthodes ordinaires de t
QUE. .XVI. La valeur pratique de la prophylaxie dans les maladies mentales ; par A.-B. RICHARDSON. (Amenean Journal of lnsani
charges et à faire effort ; 2° Reconnaître que beaucoup de maladies mentales ont leur origine dans le surmenage, c'est-à- di
neuse du caractère de l'en- fant et du développement des phénomènes mentaux pendant la croissance ; 8° Les agents principau
tion plus soigneuse du médecin en tout ce qui concerne les maladies mentales et leur développement et une meil- leure prépar
chez les aliénés. - Le sérum'est applicable à toutes les affections mentales . C'est SOCIÉTÉS SAVANTES. 539 un stimulant de
liquide thyroï- dien. - En face d'un myxoedémateux avec troubles mentaux , trois questions peuvent se poser : la psychose
rait à faire admettre la dernière hypothèse, c'est que les troubles mentaux observés se rapprochent beaucoup du tableau que
FF. (Recueil des travaux de la cli- nique des maladies nerveuses et mentale du professeur 13FCIiTCnEV, Saint-Pétersbourg, 1
t. XII. 35 546 avis A NOS abonnés. COURS DE CLINIQUE DES maladies mentales ET DES maladies DE l'encéphale, asile clinique.
ique. M. le Pr JoFFROY a commencé le cours de Clinique des maladies mentales le lundi 18 novembre 1901, à deux heures et dem
le ou pathologique du cer- veau, ou sur la Séméiologie des maladies mentales , les lundis et vendredis, à deux heures, avant
Hickmet, 359. Cellulaires. Lésions corticales dans les accidente mentaux des maladies générales, par Faure, . 340. C
,11ÉLALGIE. Réflexes dans t ? par Cavazzani et Brocci, 124. Etai1 mental d'Auguste Comte, par Ireland, 135, Expertise.
traités sans médica- tion sédative, par Hitchcock, 413. Médecine mentale . Pratique de la - , par Kéraval, 68. I nIIsDI
397. MËMNGO-MyEUTE tuberculeuse avec autopsie, par Crocq, 116. Mentaux . Troubles - toxi-infec- ticux, par Lalgnel-Lava
s en- fants, par Bournemlle, 331. Prophylaxie dans les maladies mentales , par Richardson, 554 Psychologie. Anatomie cére
, 535. Tic et paralysie, par Ballet, 154. Torticolis. Deux cas de mental chez les aliénés, par E. Martin, 270. Tonus
4 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tFCnon urs MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales 3 la [''acuité de médecine ie l',u m. V. MA
platine ; par \V. Ford ROBEUTSON et Jales MACDONALD (The Journal of Mental Science, Avril 1901). , Les auteurs décrivent
s patho- logiques des cellules corticales dans les cas d'aliénation mentale . - ' R. de MUSGRAVE Clay. IV. Un cas de sarco
la 110 question du programme : Des états anxieux' dans les maladies mentales . Rapporteur : M. LALANNE, deiBor-1 4 deaux. 8 h
ns un asile public'ou. privé consacré au traitement de l'aliénation mentale , soit comme chefs de clinique ou internes des h
; 2° trois professeurs, agrégés ou chargés de cours des ma- ladies mentales , en exercice dans des Facultés ou Écoles de médec
1900, qui dispensait du concours le chef de clinique de pathologie mentale et des maladies de l'encéphale à la Faculté de
quetin, journalier,'âgé'de' soixante ans, qui, atteint d'aliénation mentale depuis plusieurs années, est devenu tout à coup
utre élément qui entre en ligne de compte : c'est la person- nalité mentale de l'individu faite de l'ensemble de ses dispo-
éterminera telle manifestation délirante selon la nature du terrain mental qu'il viendra frapper. C'est, comme le montre l
ral patholo- gique, au lieu que dans l'observation actuelle, l'état mental subconscient n'a jamais fait naître que des pré
Ce travail n'est pas seulement une étude sur un point d'aliénation mentale ; sous sa forme scientifique, il éclaire un chap
point quelconque du membre inférieur. G. U. XXII. Sur les troubles mentaux qui sont sous la dépendance de la toxémie; par
le, à discerner leurs rapports avec les diverses formes de troubles mentaux . R. de hIUSGRAV1 CLAY. REVUE D'ANATOMIE ET DE
Un cas de gliome du cerveau; par W.-J.-A. Erskïne. (The Journal of Mental Science, juillet 1901). Observation : Femme de
cas de fracture spontanée : par Herbert SIIICER. (Tlte ' Journal of Mental Science, octobre 1901.) Il s'agit d'une fractur
support ramolli par l'usage. P. KER1V.1L.. , REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . I. Contribution à l'étude de la maladie de Kor
querait qu'à la conservation des attitudes pas- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 151 sives, à la lle.,ribilitas cerece des Alle
x cas d'idiotie syphilitique par L. HARRis Liston; (Tite Journul of Mental Science, octobre 1901). Obs. 1. Femme de vingt-
, l'irrégularité et la faible abondance des règles. Au point de vue mental , dès l'âge de deux ans on la trouve en retard, el
ces pigmentées sur leurs crêtes. Signes de nanisme. Au point de vue mental , n'a pu apprendre ni à lire ni à écrire, a mis
vérité, souvent dans 1'liéré(lo-sypliiiis, de légères défectuosités mentales mais beaucoup de sujets porteurs de cette malad
s mais beaucoup de sujets porteurs de cette maladie ont une vigueur mentale intacte. Dans certaines autres maladies du cerv
intes de mélan- colie aiguë ; par Arthur W. Wilcox. (The Journal of Mental Science, avril 1901.) Après un court historiq
et dans le Pays de Galles; par lt.-S. S'rEw,l1'r. (Tite Journal of Mental Science, janvier 1901.) A l'aide de chiffres et
clinique peu ordinaire ; par 13.-R. LE>;Pl : n. (Tlte Journal of Mental Science, octobre 1901.) loi REVUE DE PATHOLOG
Journal of Mental Science, octobre 1901.) loi REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Ces trois malades, dont l'observation est rela
son, et chez le troisième,. le début d'une amélioration physique et mentale . L'auteur n'affirme pas que la codéine administ
u D1' C.-F. Beadles, par le professeur M. Benedikt. (The Journal of Mental Science, juillet 1901.) M. Benedikt a lu avec
e l'on appelait autrefois la prédisposition.. REVUE LE PATHOLOGIE MENTALE . · 155 Maintenant, la folie. chez les juifs, se
abstraites sur la Cosmogonie et à concevoir les problèmes fonda- mentaux de la métaphysique. C'est ce que Moïse avait comp
voir des femmes qui, depuis la puberté jus- 156 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . qu'à la ménopause, sont condamnées à une série
de durée, ils ont une grande aptitude à l'adaptation physique et. mentale , et si l'on peut se servir de cette expression, i
égard, parce que les Juifs dissimulent souvent les cas d'aliénation mentale , soit à cause de leur antipathie pour les asile
cide ; par J.-M.-S. Wood et A.-ri. Urquiiart. (1'lve Journal o/' Mental Science, octobre 1901.) Il faudrait pour donner
persistance dans une même famille de formes semblables d'aliénation mentale . R. M.-G. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. De
du 28 avril. Présidence DE M. Motet. Sur les éléments de nos images mentales . M. J. PHILIPPE présente à la Société les résul
été les résultats d'un certain nombre d'observations sur les images mentales visuelles, étudiées au point de vue des élément
pour l'examen clinique des aphasies d'évocation et de la confusion mentale . Quand une image est assez nette pour être décr
coup, à mesure que nous nous en servions pour diverses opéra- tions mentales . Ce sont donc des éléments étrangers ou extérieur
e cette silhouette quand nous évoquons une image pour une opération mentale : cela permet à la fois d'aller plus vite et. d
ne voit pas très bien la différence qui peut exister entre l'image mentale et le souvenir dont cette image est'au moins la
t cette image est'au moins la base. . ' ' M. J. Philippe. L'image mentale et le souvenir'se différencient surtout par la
uvenir comme uniquement consti- 'tué d'une série de représentations mentales . Même dans l'expé- rience qui vient d'être décr
rience qui vient d'être décrite, je ne vois que des représentations mentales . En effet, votre observateur s'atralyse mal quand
énérale, c'est l'élément logique qui domine. Dans la représentation mentale de la page de dictionnaire, c'est le réveil d'u
rger, un organe destiné à centraliser les recherches d'alié- nation mentale fut fondé et comment bientôt Baillarger, aidé sur
était très vaste. Il comprenait, à côté de l'étude de la pathologie mentale et de la neuropathologie, celle de l'anatomie e
: « l'hygiène morale, l'éducation ou la prophylaxie de l'aliénation mentale et des névroses, l'hygiène pénitentiaire, des é
du procédé exclusivement psychologique sur l'étude des aliénations mentales , méthode dont la stérilité se faisait déjà sentir
précisée. Le problème de l'influence de l'hérédité sur les maladies mentales et nerveuses fut abordé des 1867. mais il s'agi
rait de repren- dre et de compléter. La symptomatologie de l'état mental des aliénés avec conscience de leur état, l'étu
inion de la Société sur les bases d'une classification des maladies mentales , un débat s'engagea, et dès le commencement il
té la coïncidence d'insuffisance hépatique passagère et de troubles mentaux également passagers, éta- blissent une relation
ur servait de pierre de touche quand dis- paraissaient les troubles mentaux (confusion mentale, délire oni-. rique. halluci
e de touche quand dis- paraissaient les troubles mentaux (confusion mentale , délire oni-. rique. hallucinations provoquant
quelque temps ; 2° Celles où des accès intermittents de confusion mentale avec délire hallucinatoire ou agitation ont évo
hépatique a servi de guide au point de vue thérapeutique. L'état mental de ces malades présente une grande diversité. M
ez eux les caractères des délires toxiques et infectieux (confusion mentale , cauchemars, hallucinations, perte de conscienc
og iq ite (1858), soit au premier Congrès international de médecine mentale (1878) . Nommé médecin de Bicêtre en 186î, puis
, sur les Principes à suivre dans la c/tts- sification des maladies mentales (1800), sur l'Et(it iiei2l(tl des épilepti- qit
deux volumes, sous le titre de : Etudes cliniques sur les maladies mentales et nerveuses, et les Aliénés et les asiles d'al
sissant encore comme président du Congrès international de médecine mentale (1889) et comme président de la Société'de méde
ion, il laisse une trace ineffaçable dans l'histoire de la médecine mentale au xixe siècle, et tous ceux qui l'ont connu ga
un préambule physiologique, sont indiqués les centres supé- rieurs ( mental et automatiques spéciaux). les voies efférentes e
l'appareil nerveux central du langage, etc. M. B. VII. Des maladies mentales , introduction à l'étude de la folie, par I. HIA
l fau- drait payer. Le Conseil général, l'administration départe- mentale et les communes sont donc coupables. FAITS DIVE
ueur DE femmes. Les médecins aliénistes de Lyon chargés de l'examen mental , le tueur de femmes de Nice, se sont réunis hie
, 1 N 81. * ? 7 z ARCHIVES DE NEUROLO^È le, X - CLINIQUE MENTALE . La paralysie générale d'après les données de l
nous recevrons les données suivantes : Tableau I - 194 CLINIQUE mentale . Ces données ont été examinées par nous : 1° co
s nous aurons les résultats suivants : Tableau III 196 ' CLINIQUE mentale .. du nombre des femmes paralytiques les dernièr
ent être répartis ainsi : PARALYSIE GÉNÉRALE. '199 200 . CLINIQUE MENTALE . sion qui répond aux opinions des autres auteur
être envisagé, comme tout aussi grave, que dans d'au- tres maladies mentales . Passons à présent à l'examen de la fréquence d
67 femmes ont été répartis de la manière suivante : 202 CLINIQUE MENTALE . La période la plus longue (dans un cas) était
es con- cernant ce sujet un peu autres ; de 75 cas : 204 CLINIQUE MENTALE . vait constater alors, entre autres, l'abolitio
constaté que chez les paralytiques hommes (528 cas) 206 CLINIQUE MENTALE . 1 s'étaient adressés dans la salle de consulta
uinzaine porte : » Psychose maniaque où pré- dominent l'instabilité mentale , la mobilité des émotions, des pen- sées et des
ur à l'hôpital de Béziers et après lequel persistèrent des troubles mentaux . Dans ces derniers temps seule- ment ces troubl
normal comme à l'état morbide, mettent en communication l'activité mentale avec le regard, donnant à celui-ci son expressi
n de boule hystéri- que, aucun autre phénomène insolite, nerveux et mental . Les dernières règles remontent au 12 janvier 1
poques continuent, tou- tefois la perte sanguine est minime. L'état mental est à peu près normal, à part un certain état d
oureux des deux seins, du ventre et de la région épigastrique. Etat mental bon. Arrêt des époques dans l'après-midi ; les
mènes morbides. Les seins ne sont le siège d'aucun gonflement; état mental satisfai- sant ; appétit bon. Les règles coulen
s n'ayant jamais eu jusqu'alors de manifestations convulsivantes ou mentales ; troubles de la fonction cataméniale provoquant
al. i A notre époque de vie intense et de surmenage, les maladies mentales font des progrès inquiétants. Si de vos études, s
de la physiologie. Vous cherchiez a démêler l'écheveau des troubles mentaux , et ce sont les lois physio- logiques de la pen
stes, ses jeux, tout vous apporte un renseigne- ment. Par le calcul mental , par la chronométrie mécanique, vous mesurez la
, la médecine, dont cela a toujours été la destination, la médecine mentale , plus que toute autre, a le droit d'être écouté
ie sociale ? C'est bien à la médecine, en particulier à la médecine mentale , à la neurologie et à la psychologie expériment
s les maladies men- tales » : DES ÉTATS ANXIEUX DANS LES MALADIES MENTALES M. Gaston Lalanne, médecin-directeur de la mais
ogie à la clinique. La question des états anxieux dans les maladies mentales vient donc bien à son heure, car l'anxiété ou l
es états anxieux. La question des états anxieux dans les maladies mentales se réduit donc en quelque sorte à la séméiologi
te de la mémoire, le défaut de jugement, la confusion, la faiblesse mentale . Il y a tantôt arrêt subit des représentations,
eut admettre que toute psychose débute par de l'anxiété. Les formes mentales dans lesquelles l'an- goisse se montre le plus
és mélanco- liques, dans les psychoses d'intoxication, les troubles mentaux névropathiques, la paralysie générale. Etiolo
tic certains gestes d'habitude variables à l'infini. Les phénomènes mentaux du tic, méconnus d'abord, bien étudiés depuis p
élèves, ont encore augmenté la confusion; l'importance des troubles mentaux est très grande mais les troubles moteurs ne sa
les troubles moteurs ne sauraient être négligés. Le tic pure- ment mental (tic psycho-mental de Cr'uchet) ne saurait être a
conds, ils s'imposent également depuis la description du torticolis mental par Brissaud et les observations relatées par R
de Gilles de la Tourette. par l'écholalie et la coprolalie. V. Etat mental des liqueurs. - A. Il ne suffit pas pour devenir
er ». Les tiqueurs présentent, d'après MM. Meige et Feindel, l'état mental de l'infantilisme; le rapporteur n'adopte pas c
al de l'infantilisme; le rapporteur n'adopte pas cette idée, l'état mental du tiqueur ne rappelle celui de l'enfant que pa
celui de l'enfant que par certains côtés; c'est z en réalité l'état mental du déséquilibré simple; la tendance con- traire
obsessions, le tiqueur a les siens; le geste efficace du torticolis mental n'est qu'un moyen de défense contre le tic, pou
nstitués par deux ordres de phénomènes, les uns moteurs, les autres mentaux , il était légitime qu'on pensât à leur applique
ourrait appeler objectif, l'autre ayant pour but de modifier l'état mental (traitement subjectif). 1° Le traitement object
nfantilisme psychique des tiqueurs, à ajouter une nouvelle anomalie mentale à la liste déjà si longue de celles qu'on relèv
ps une expli- cation. J'ai soutenu avec M. Feindel que le trouble mental prédominant est une imperfection de la volonté.
é, la versatilité de la volonté sont les caractéristiques de l'état mental du tiqueur. Cette manière d'être témoigne de l'
'indice d'un arrêt partiel du développement psychique; aussi l'état mental du tiqueur peut-il être qualifié d'infantile. L
ce. 1 Tout le monde est d'accord pour reconnaître le déséquilibre mental des tiqueurs. Nous y avons longuement insisté, av
te le développement psychique a subi un arrêt partiel, que son état mental a conservé une partie des attributs qui apparti
qui appartiennent à celui de l'enfant. La constatation de l'état mental infantile des tiqueurs nous a paru utile à sign
ne distinction, que je crois justifiée, entre les mots psychique et mental . Est psychique tout acte cortical où il y a de
que (polygone et 0). Au contraire, me rappelant les mots « maladies mentales , aliéna- tion mentale », j'appelle mental le ph
contraire, me rappelant les mots « maladies mentales, aliéna- tion mentale », j'appelle mental le phénomène et par suite le
ant les mots « maladies mentales, aliéna- tion mentale », j'appelle mental le phénomène et par suite le trouble qui a pour
quement vraies : tout ce qui est psychique n'est pas nécessairement mental ; une maladie psychique n'est pas nécessairemen
nt une maladie men- tale : si elle reste polygonale, elle n'est pas mentale . Ainsi, par exemple, l'hystérique est toujours
est toujours un psychique ; je ne crois pas qu'il soit toujours un mental . Dans l'hystérie, il y a toujours des troubles
ée qui m'a fait donner un sens différent au mot psychique et au mot mental ; on comprendra, je l'espère, après ces explica
on puisse soutenir que tout tiqueur soit un aliéné, c'est-à-dire un mental au sens que je viens de préciser. Donc un liq
préciser. Donc un liqueur qui est un psychique et qui n'est pas un mental est un polygonal. Sans doute le mouvement du ti
ipation de 0 (quand il y 260 SOCIÉTÉS SAVANTES. · a vraiment état mental , aliénation) et les tics polygonaux (quand il y
et les tics polygonaux (quand il y a état psychique, mais pas état mental ). M. Cruciiet (de Bordeaux) part de cette idée,
pensable pour qu'il y ait véritablement tic, l'élément psychique ou mental étant essentiellement contingent. Il dit que
forme tonique du tic n'existe pas ; en particulier, le tor- ticolis mental d'ordre tonique doit être éliminé, le torticolis
ulaire ou non musculaire (cicatriciel, névritique, osseux, etc.) ou mental enfin. Et si nous pensons qu'il est mental, nou
itique, osseux, etc.) ou mental enfin. Et si nous pensons qu'il est mental , nous chercherons a savoir, en dernière analyse
appeler dorénavant que lie rotatoire ; 5° le seul nom de torticolis mental devrait être réservé à toutes les altitudes en
s les altitudes en torticolis d'ordre men- ental ; 6" le torticolis mental et, d'une manière générale, toutes les formes t
générale, toutes les formes toniques ou simples, attitudes d'ordre mental , doivent être nettement différenciées du tic av
ptomatiques de la folie héréditaire (More)) et de la dégénérescence mentale (Magnan). Ce sont deux choses différentes et qu
observé le tic indolent chez des nerveux, candidats à l'aliénation mentale , sans y arriver, et aussi chez des gens nulle-
loin- taines analogies, tels que les tics dits toniques et les tics mentaux , je crains qu'on ne prépare aux pathologistes d
ivité pathologique (dix fois) d'obsession psychique ou d'aliénation mentale (trois fois). La quatrième, il cas, où il a été
t le travail de mon excellent ami le professeur Brissaud sur le tic mental . Je ne diffère d'opinion avec lui que sur le nom
et si bril- lamment contribué à nous faire connaître. Le nom de tic mental me parait mauvais, parce que je ne crois pas qu
ud soit un tic, et parce que je ne suis pas bien sûr de son origine mentale . Pour moi, le tic est un symptôme étroitement d
e suis tout a fait de l'avis de M. Noguès en ce qui concerne l'état mental des tiqueurs ; comme lui, je crois que cet état
cerne l'état mental des tiqueurs ; comme lui, je crois que cet état mental se confond avec celui des dégénérés, et que c'est
ts. Le tic doit être considéré comme un trouble delà représentation mentale d'un mouvement qui est repro- duit consciemment
ération de cette tendance qui constitue le côté infantile de l'état mental du tiqueur; mais il y a chez lui, en plus, l'im
xes que suscite la question des tics, il en est un, celui de l'état mental dss tiqueurs, à propos duquel je désire présent
seraient qu'une des mul- tiples manifestations de la dégénérescence mentale . C'est en vérité se payer de mots. Je me suis d
restait en parfaite concordance avec le caractère propre du trouble mental . Tant que cette concordance existe, on ne peut
s : 1° Traitement de l'agitation et de l'insomnie dans les maladies mentales . Rapporteur : " M. Trenel ; 2° Histologie de la
u ler octobre 1902. M. le De Mignot, chef de clinique de pathologie mentale et des maladies de l'encé- phale à la Faculté d
Vol. XIV. `Octobre 1902. - No 82. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . Infirmerie spéciale. Service DE M. Paul GAUNIE
ne, septembre 1877). Archives, 2- série, t. XIV. 19 290 CLINIQUE. MENTALE . contagion des idées délirantes est très rare d
ologique, 30 juin et 28 juillet 1873 et Recherches sur les maladies mentales , t. I, p. 557. Quelques exemples de folie commu
. 557. Quelques exemples de folie communiquée, 1890. 292 CLINIQUE MENTALE . , pas. Enfin l'organe passif ne tarde pas à se
ra- tion n'a généralement aucune influence heureuse sur leur état mental . Telle est la folie simultanée 1. La distinctio
Paris, 1880. larancloii de llontyel. Des conditions de la contagion mentale mor- bide (Ann. nécl.-psycJe., 1894, p. zig et
ge en ' Baillarger, loc. cil. Régis, thèse, p. 22. 294 CLINIQUE MENTALE .. quelque sorte et soutientle délire, jouant, d
sion : fabricant de soieries en province, il devient 296 , CLINIQUE MENTALE . ' marchand de confections à Paris zig). Là enc
même est typique ; assise, elle se plie sur elle-même, 298 CLINIQUE MENTALE . non pas se reposant, mais tout le corps visibl
ffection mutuelle. Nous avons continué d'habiter l'ap- 300 CLINIQUE MENTALE . partement où elle est morte, en reprenant le b
ais nous avons eu parla suite les preuves d'un complot 302 CLINIQUE MENTALE . contre lui. Nous avons eu des présomptions en
gner d'une façon positive sur l'état de la mémoire ni sur le niveau mental exact. Jusqu'en mai, on n'a pas remarqué de per
, ses propos sont souvent 'incohérents et dénotent un faible niveau mental . Tremblement des mains et de la langue, inégali
* Loin de s'améliorer dans les jours qui suivent l'entré^' l'état mental semble plutôt s'aggraver : l'agitation et l'incoh
a femme qu'il croit dans la misère. Nouvelle amélioration de l'état mental . Le 20 octobre G ? part en congé de huit jours, e
prédominance d'idées de satisfaction et de richesses ; instabilité mentale , grande difficulté de fixer son attention. La par
lomel) ; néan- moins le malade s'alimente bien ; grande instabilité mentale , au milieu de laquelle il est possible de perce
à 39°,4 4 pour retomber le 27 à la normale et s'y maintenir. L'état mental est le même : période de lucidité avec phases d
ousse un peu la conversation, on s'aperçoit bien vite que le niveau mental s'est affaibli : sans parler de ses tendances a
ur ce faire, elle établit cinq classes d'oraisons : il, L'oraison mentale ; - 2° L'oraison de quiétude ; 3° L'oraison d'
avissement de sainte Thérèse s'appelle d'un autre nom en aliénation mentale , c'est le mal hystéro-épi- leptique. LE châte
e pénètre peu à peu : la pre- mière enceinte correspond à l'oraison mentale ; la dernière, ou bastion principal, à l'oraiso
ment mé- thodique des différentes catégories et formes d'aliénation mentale , l'éloignement de celles dsnt le voisinage pour
à faire dans cette voie. Les trau- matismes antérieurs aux troubles mentaux et nerveux peuvent appeler l'intervention chiru
rurgicale. Celle-ci peut être faite avant l'apparition des troubles mentaux et nerveux pour remédier aux conséquences ordin
e à l'opération seule et à ses suites ou bien encore au traumatisme mental , ou à l'un ou l'autre. Elle peut rester aussi san
Une première intervention opé- ratoire peul, sans compliquer l'état mental ou nerveux, rester sans action curative : il ne
encore un nombre élevé d'éléments dans 4 cas de tabès avec troubles mentaux , et dans un cas d'excitation maniaque associé à
ents blancs. Par exemple, lorsqu'un tabétique présente des troubles mentaux , on doit se demander s'il s'agit de troubles pas-
ompagnée de délire, une explosion subite a heu, sorte de convulsion mentale qui se traduit par une fureur destructive. Ap
est beaucoup plus morale qu'intellec- tuelle, il existe un vertige mental particulier dans lequel des actes homicides ou
uxquelles peut aboutir l'obsession sont la mélancolie, la confusion mentale et le délire onirique, les délires systématisés
er au simple scrupule conscient et obsédant. Les états de confusion mentale peuvent être plus ou moins accen- tués : ils re
ires oniriques représentent l'exagération de l'autre face de l'état mental des obsédés constituée par l'automatisme de l'i
ngés. Ils s'accom- pagnent toujours d'un certain degré de confusion mentale L'obsession une fois acceptée par le sujet peut
forme de l'obsession, mais du complexus symptomatique et de l'état mental sous-jacent dans chaque cas particulier : trouble
l sous-jacent dans chaque cas particulier : troubles de la synthèse mentale , plus ou moins complexes dans le domaine de la
, 2c série, t. NIV. - 21 338 SOCIÉTÉS SAVANTES. aggrave leur état mental et les rend plus aptes à contracter des maladie
nes qui ont assisté aux premières mani- festations de son affection mentale ; le moindre bruit l'émotionne, un rien le cont
a pu les garder assez long- temps à l'asile pour modifier leur état mental de buveurs, pour leur faire perdre l'habitude d
e éliologique, dans les états mélancoliques, dans la dégénérescence mentale , dans les psychoses toxiques, dans les état- dé
Je l'étudié successivement dans la débilité et la déséquitibration mentales , au cours des obsessions, enfin dans les différen
ssociations des autres facteurs étiologiques avec la dégénérescence mentale , dans la pathogénie de l'idée d'auto-accusation
elques jours, sur un fond d'amnésie. d'obnubilation et de confusion mentales , en imposant au "malade la conviction qu'il vie
rante et d'une procédure barbare, atteintes d'hystérie, de débilité mentale et des diverses formes démonopathiques du délir
e problème qui se pose à l'expert est celui du diagnostic de l'état mental de l'autoaccusateur, lequel se déduit, non pas de
urs d'un premier accès de délire avec phénomènes aigus et confusion mentale , s'accuse d'avoir violé une petite fille, tandi
garder le vol secret. Ce récit ayant éveillé des doutes sur l'état mental de cet individu, ou le soumit à une expertise m
géné- raux francs. Cinquante et un seulement étaient dans un état mental compatible avec ce genre d'examen. Nous les avons
ont plusieurs à la première occasion, sont tombés dans l'aliénation mentale . Nous apportons l'observation de deux d'entre e
maladie ; que dans la même famille, se trouvent des manifestations mentales très diverses. L'auteur responsable du mauvais
d'expérience pour ne pas avoir alors quelques soupçons d'un trouble mental ; mais souvent ces troubles ne sont qu'ébauchés.
action et dans l'interrogatoire du prévenu; les signes d'un trouble mental possible. Il me semble que le Congrès ferait un
calculs simples, comme de réciter la table de Pythagore; la fatigue mentale se manifeste chez le malade au bout de quel- qu
eur caractère, de leur ? moeurs et de leur constitution physique et mentale . 11 nous semble que l'intérêt prochain de cette q
efficient uro-toxique est d'une grande importance dans l'aliénation mentale . De la responsabilité des demi-fous devant les
BoLTi3y (d'Alger) signale la possibilité de l'existence de troubles mentaux chez plusieurs personnages ayant joué un rôle dan
cessaire et suffi- sant. Symptomatologie : Stigmates physiques et mentaux vulgaires de la neurasthénie vraie, frustes par
règle, les stigmates neurasthéniques disparaissent d'abord, l'état mental avec sa systématisation pessimiste ne cédant qu
ssique ses stigmates physiques, mais qui s'en distingue par un état mental spécial. C'est ce que l'auteur appelle la neura
et crises épilep- tiformes jaclcsonieunes; 4° l'évolution de l'état mental , qui a été caractérisé par l'état transitoire d
n surmenage récent, les symptômes d'un état temporaire de confusion mentale , d'hébétude et d'obtusion intel- lectuelle : De
s de Cotard n'est pas seule- ment un synchronie, mais une affection mentale distincte avec une - étiblo-ie. une symptomatol
ulement un symptôme susceptible de se montrer au cours d'affections mentales diverses. Voici les photographies d'un cas typi
les causes détermi- nantes de cette dégénérescence au point de vue mental . Aussi lui a-t-il paru intéressant de relater l
ysiques de toutes sortes, et fréquem- ment des désordres nerveux et mentaux , on conviendra que les . tentatives comme s'en
t d'une nature impressionnable, eut la tête tournée et ses facultés mentales s'altérèrent. Il avait toujours peur qu'on lui
Vol. XIV. Novembre 1902. N° 83. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . Contribution à l'étude de la pathogénie des id
as d'al- coolisme. Archives, 2' série, t. XIV.. 2U 402 CLINIQUE MENTALE . Début de délire en janvier 1902. : J... R... e
de son innocence, chercher toujours à se démontrer 4<)4 CLINIQUE MENTALE . coupable. Pourquoi, si le rôle de la tare orig
siste ensuite : voilà ' 1 S11Gus. Leçons cliniques sur les maladies mentales , 4S95, p. 301. .. i - , PATHOGÉNIE DES IDÉES DÉ
plus jeune disparaissent, elle accepte plus volontiers 406 CLINIQUE MENTALE . les aliments. Bien qu'accessoire, l'influence
s fondamentaux du carac- tère mélancolique antérieur à l'aliénation mentale . De sorte que, même dans la mélancolie dite à d
nd (Charente-Inférieure) est promu à la 4 classe du cadre. CLINIQUE MENTALE Infirmerie spéciale. Service DE M. PAUL GARNIER
risienne. D. Vous appelle-t-on aussi « Castors ` ? » 408 CLINIQUE mentale . R.- C'est ce qu'on nous reproche d'être, des «
conduites au commissariat pour avoir été injuriées. 410 CLINIQUE mentale . Durant leur séjour au Dépôt les trois soeurs f
un de nous quand nous voulûment les questionner sur 412 1) CLINIQUE MENTALE . divers points de leur aventure, leur attitude
bles, continuaient leur oeuvre de destruction, car il lfl4 CLINIQUE MENTALE . - ne s'agissait de rien moins que de les faire
atigué, J... fils se présente dans l'attitude d'un mé- 416 CLINIQUE MENTALE . lancolique. Il paraît profondément débile et n
ale et en par- ticulier du mensonge comme symptôme de cette forme mentale ; Par BOURNEVILLE et J. BROYER Voici une nouv
trie qui l'accompagne. it. C. \yin. Acromégalie et dégénérescence mentale ; par F. Farnarier. (Nous. lconogr. de la Salpêl
es auteurs, desquelles il ressort que : les mala- dies nerveuses et mentales sont fréquentes dans les familles d'a- cromégal
l'extrait de capsules surrénales dans le traite- ment des maladies mentales ; par W.-R. Dawsuy. (The Journal of Mental Scien
te- ment des maladies mentales; par W.-R. Dawsuy. (The Journal of Mental Science, octobre 1901.) Les conclusions de ce t
si l'on a des raisons de penser qu'elle n'est pas associée à l'état mental , car une pression anormalement élevée peut être e
'alitement exerce sur chaque malade et sur chaque forme de maladies mentales ; 3° c'est cette étude qui importe ; 4° les con
ela coïncide avec une influence favorable de l'alitement sur l'état mental et physique; 19° tout ce qui vient d'être dit d
berculose dans les asiles; par Lionel A. WEATUËRLY. (The Journal of Mental Science, janvier 1901.) Ce travail est lui-même
Vit. L'usage et l'abus des voyages dans le traitement des troubles mentaux ; par G. H. S1YAGE. (The Journal of Mental Science
traitement des troubles mentaux; par G. H. S1YAGE. (The Journal of Mental Science, Avril 1901.) - - L'auteur estime que
n'est pas appliqué spécialement à telle ou telle forme d'aliénation mentale , mais indistinctement à toutes. Il y a plu- sie
mps; la seconde, c'est qu'on évite ainsi le certificat d'aliénation mentale et l'internement; la troisième, la seule sérieu
- de ceux à qui le voyage est conseillé comme traitement d'un état mental , et il est d'avis que le groupe formé par ces der
l y a. une différence entre l'épuisement nerveux et la perver- sion mentale . Tous ceux qui ont expérimenté le traitement clas
es mécomptes. Il convient aussi de considérer les causes du trouble mental ; et si le voyage peut être utile, par exemple,
eu l'habitude de beaucoup voyager, présentent une simple faiblesse mentale ou un peu de dépression, les voyages pourront ê
ulation, ce qui peut de même produire un effet favorable sur l'état mental du malade. L'auteur applique la méthode de l'al
s lésions cellulaires corticales observées dans six cas de troubles mentaux infectieux; par le Dr ! II. IeonE. (Revue Neuro-
ommunique les résultats de l'étude de deux nouveaux cas de troubles mentaux , d'origine toxi-infectieuse, à forme de confusi
troubles mentaux, d'origine toxi-infectieuse, à forme de confusion mentale , accompagnés de lésions cellulaires corticales.
i- tuent le tableau du délire des maladies aiguës et la confusion mentale . Considérant que les grandes cellules pyramidal
nue parait devoir être attribuée plutôt à la modification de l'état mental du sujet, de son état affectif fondamental, qu'à
r de ces émotions stliéniclues. « C'est à la modification de l'état mental , écrit M. Hartenberg, que nous devons attribuer
ant pour titre : Des considérations médico-légales sur l'aliénation mentale . Cette thèse révélait chez le jeune docteur une
ut consi- dérable. Il inspira de nombreuses thèses sur l'aliénation mentale , mais il eut surtout le mérite de' fonder à Str
e aux médecins de l'armée, qui ont à juger il chaque instant l'état mental de jeunes soldats traduits devant les tribu- na
de Bade, lui demanda en 1894, une préface à son Traité d'aliénation mentale , qui venait d'être traduit en français par les
n 1862, il publia en même temps que Marcé, un Traité des ma- ladies mentales ; bien que cet ouvrage n'ait pu être traduit, il
DAGONE'r. ' " 453 En 1877, des conférences cliniques de pathologie mentale furent organisées à l'Asile par les soins des m
publié en 1855 une Etude statis- tique remarquable sur l'aliénation mentale clans le département du Bas-Rhin. Le D1' Erlenm
ue avec bien d'autres : « Il est de toute importance, en méde- cine mentale , de pouvoir traiter les aliénés au début de la ma
fois un type ne rentrant dans aucune autre catégorie : la confusion mentale ». Cette classification devrait être adoptée, ju
le Dr Belletand, directeur de l'hôpital départemental des maladies mentales de Pierrefeu (Var), a, dès longtemps, traité de
Vol. XIV. Décembre 1902. N" 84. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . \ CLINIQUE MEI\ITALE. 1 Des obsessions en pa
QUE MENTALE. \ CLINIQUE MEI\ITALE. 1 Des obsessions en pathologie mentale Par le D, ALEX. ATII1NAS10, Ancien chef de cl
logie mentale Par le D, ALEX. ATII1NAS10, Ancien chef de clinique mentale , médecin adjoint à l'hospice des aliénés de Bucar
Prix CI Vl'leux. Archives, 2° série, t. XIV. 30 . 466 ? CLINIQUE MENTALE . représentations qui nous captivent et nous fix
pations intellectuelles, il faut préalablement une déséquilibration mentale et contrai- remuent à ce qui a été avancé à div
que l'obsession et l'impulsion'morbide DES OBSESSIONS EN PATHOLOGIE MENTALE . 467 7 sont de véritables stigmates psychiques
allé, où l'obsession s'est .définitivement imposée, une affection mentale s'est désormais constituée. » Historique. Décri
ence, s'y. impose contre la volonté, ne se lais- , \ 468 CLINIQUE MENTALE . sant pas chasser, empêche et traverse le jeu n
fait secondairement et non primitivement. 11 obéit à la situation mentale au lieu de la commander. Bien des circonstances
minance du trouble de la pensée, de la DES OBSESSIONS EN PATHOLOGIE MENTALE . 4G9 volonté ou de la sensibilité, d'où l'habit
- tions neuro-vasculaires (Lange) et l'élément primitif et fonda- mental de l'obsession. » , De même que pour l'impulsio
alpropreté, puis celle des pièces de monnaie, etc. 4770' CLINIQUE MENTALE . D'autres ont à la fois, en même temps plusieur
, une sensation quelconques suffisent, DES OBSESSIONS EN PATHOLOGIE MENTALE . 471 1 le moment venu pour provoquer la décharg
obsédant avec anxiété systématisée ou monophobique; 472 CLINIQUE MENTALE . . 11lonophobies ou phobies proprement dites. C
motive, absolument comparables aux stigmates de la déséquilibration mentale . Cette peur spéciale isolée n'est sou- vent qu'
'état de veille, soit dans le sommeil, DES OBSESSIONS EN PATHOLOGIE MENTALE . 473 constituant alors d'après Féré une véritab
l dans une thèse récente fait une classification d'après le trouble mental et distingue aussi trois classes : '10 Phobies
r qui semblait soulager la peur. L'obsession n'est lis 7 1 CLINIQUE MENTALE . souvent que la forme aggravée ou intellectuali
e manifestationaiutellectuclle sans. » DES OBSESSIONS EN PATHOLOGIE MENTALE . 475 être pathologique. L'idée fixe physiologiq
t dire non seulement aune la volonté n'a aucune action 476 CLINIQUE MENTALE . - sur elle, est impuissante à la chasser, mais
le-ci revête une forme particulière. DES OBSESSIONS EN PATHOLOGIE MENTALE . 477 Dans un certain nombre de cas, il existe d
a conservation de la conscience est toute relative, et 478 CLINIQUE MENTALE . qu'il y a un commencement de désagrégation, de
l, de.la. foule, du- vent, des orages, DES OBSESSIONS EN PATHOLOGIE MENTALE . Il.-19 d'un cataclysme, du pétrole, de l'huile
voient avec appréhension l'indice d'un affaiblissement 480 CLINIQUE MENTALE . mental. L'idée obsédante peut se modifier et s
appréhension l'indice d'un affaiblissement 480 CLINIQUE MENTALE. mental . L'idée obsédante peut se modifier et se transfor
ublions nous a paru intéressante à plusieurs points de vue : l'état mental du malade dont il s'agit, d'une part, et, d'aut
ile public d'aliénés de Maréville. Nous réservons l'étude de l'état mental pour la fin : Observation. Phlegmon du thorax,
éricardite fibriazo-purulente. Epingle implantée dans le foie. Etat mental . I. Antécédents. Etat physique. T... est âgé de
bien en arrière ? C'est ce que nous ne pouvons décider. III. Etat mental . § 1. Les renseignements très brefs donnés par
ède, le diagnostic de notre malade est : Dégénérescence et débilité mentales originaires, avec idées délirantes polymorphes
e couchent et s'endorment. Cinq observations à l'appui. Le désordre mental en question est apparu, soit après les grandes,
ngues et intenses. Il. ne faut pas le confondre avec l'obnubilation mentale longue des épileptiques, qui précède, suit ou r
eu. L'automatisme passager postparoxystique tient à une confusion mentale générale, avec hallucinations et illusions sensor
le, avec hallucinations et illusions sensorielles en masse, surdité mentale et cécité mentale qui dessinent toujours le mêm
tions et illusions sensorielles en masse, surdité mentale et cécité mentale qui dessinent toujours le même tableau morbide
dalités variées. Le passage de cet état méntal inconscient à l'état mental ordinaire s'accomplit néanmoins tout à coup. De l
malade peut commettre, sans le savoir, des crimes, et son désordre mental , par suite de sa courte durée, peut passer inap
rébrale de la mélancolie ; par Bernard IIOLLANDER. (Tite Journal of Mental Seicnce, juillet 1901.) Travail étendu, très in
tervention chirurgicale ; 2° cela est démontré par les symptômes mentaux qui accompagnent les tumeurs qui prennent naissan
branes ou à des kystes) à la suite d'une frayeur brusque, d'un choc mental , ou de tout autre trouble émotif de nature dépr
tre trouble émotif de nature déprimante, ou enfin dans les maladies mentales qui s'annoncent par une crise de mélancolie; 5°
partir d'une certaine époque de l'évolution, cette matière fonda- mentale amorphe ne puisse plus réunir avec la même facili
juger et de vérifier constamment ses impressions et ses sensations mentales les unes parles autres. Deux vérifications cons
actuelles d'investiga- tion appliquées à la pathologie des maladies mentales , avec quelques suggestions en vue de recherches
cciforme double intracrânien ; par B. Henry Sii.%w. (The Journal of Mental Science, juillet 1901.) Observation : Femme de
Théories de Darvin, de Weisman et d'Adami, 50G REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . sont sommairement passées en revue ainsi que l
et après l'application de l'aimant. ' AI. II. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . X. Introduction à l'étude psychologique des en
convenablement les enfants arriérés ou présentant une défectuosité mentale , il faut se placer au triple point de vue du ps
° enfants t esprit actif et brillant, ayant une REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 507 personnalité nette, plutôt rebelles à la s
paraissent lui appartenir soit par leurs actes, soit par leur état mental , et qui sont tout simplement des épileptiques,
11 est curieux de voir combien les livres consacrés aux maladies mentales accordent peu d'attention aux états psychologique
u d'inin- telligents, alors que parfois une seule de leurs facultés mentales est défectueuse. - " Dans des cas de ce genre
ostic suffisant, et il faut étudier séparément chacune des facultés mentales , comme pour faire un diagnostic ordinaire, on e
ant lois de l'hérédité. 11 convient d'examiner d'abord les facultés mentales de l'enfant, en se déga- geant temporairement d
de qui pré- sentait en apparence un cas type ordinaire de faiblesse mentale , et qui est surtout destinée à montrer la diffé
ens traités de psychologie ne manquaient pas de donner des facultés mentales des divisions et des subdivisions nettement 508
divisions et des subdivisions nettement 508 8 - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . tranchées, que la science moderne a cessé d'ad
a cessé d'admettre à cause de la solidarité manifeste des facultés mentales . Mais dans l'état pathologique ou nettement ano
les, les sourds, les muets qui ne peuvent acquérir de développement mental que par une éducation vicariante de leurs autre
lisation de son esprit, vient s'ajouter chez l'enfant une faiblesse mentale qui l'em- pèche de diriger son attention pendan
il en est tout autrement à l'état pathologique. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 509 3° La troisième classe est caractérisée, n
fin il y a un dernier groupe qui se caractérise par de la stupidité mentale , ce mot étant pris ici pour désigner une insuff
idité mentale, ce mot étant pris ici pour désigner une insuffisance mentale portant uniformément sur toutes les facultés en
as; sous sa forme la plus légère, cet état 510 REVUE DE PATHOLOGIE. MENTALE . caractérise la stupidité ; sous sa forme extrê
démence. 13. nE \fuscn.wE CLnr. XI. L'état présent de la science mentale (le premier d'une série de mémoires qui traiter
série de mémoires qui traiteront de la localisation des fonctions mentales , par Bernard 13oLr ? nuFn. (tif Juurzul o/'3lezlc
la diversité du caractère de l'homme, ni la variété de ses troubles mentaux ; ils sont le substratumdes centres mentaux, et
variété de ses troubles mentaux; ils sont le substratumdes centres mentaux , et par suite, ils sont des centres psycho-mote
stique de soixante-huit cas ; par George-A. Rorie (1'lac Joumzul of Mental Science, Avril 1901). Les conclusions générales
la vie ne parait en favoriser particulièrement REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . âii le développement. La forme d'aliénation me
DE PATHOLOGIE MENTALE. âii le développement. La forme d'aliénation mentale le plus souvent observée est la mélancolie sous
à noter dans les cas de mélancolie et de manie, c'est la confusion mentale et la stupidité qui font penser à un état d'aut
on a noté une aggravation. R. DE jMfJaGRAVË CL\Y. XIII. Troubles mentaux dans le cours des affections cardiaques, par A.
et qui peuvent exister entre les lésions cardiaques et les troubles mentaux . Les autopsies n'ont pas sensi- blement éclairé
a question. On peut avancer toutefois que le caractère des troubles mentaux peut, dans une assez large mesure, dépendre de
rémie passive, que dans le rétrécissement aortique, où les troubles mentaux seront plutôt ceux qui relèvent de l'anémie cér
de psychose que l'on rencontre le plus souvent est la dépression mentale , aboutissant progressivement à la mélancolie simp
ion des rapports entre les lésions du coeur 512 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . et la folie. Toutefois la manie et la mélancol
philis : revue critique ; par W.-H.-B. STODD : 1RT. (The Journal of Mental Science, juillet 4901.) Les conclusions de cet
n civilisées où la syphilis est florissante. Il REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 513 nous incombe donc de rechercher et de déco
ave-Clay. Archives, 2e série, t. XIV. 3S 5'14 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XV. Études cliniques sur le rêve pathologique
Pick (de Prague), traduction de James lIIDDLEUss. (The Journal ol mental Science, juillet 1901.) Travail renfermant plus
reconnaître ce prurit chez les paralytiques, en raison de leur état mental et l'obscurité qui entoure la pathogénie de ce
chez les spirites, ne diffèrent pas de ceux que REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 515 peuvent présenter certains aliénés ou névr
le spiritisme, en tant que dissociation progressive de la synthèse mentale , fournit à la folie son tribut de systèmes déli-
re, à proprement parler, une psychose, mais elle repose sur un état mental fétichique qui mène fatalement certains prédisp
ichique qui mène fatalement certains prédisposés à une dissociation mentale telle que les déclenche- ments automatiques dev
vant nous, mais non psychose. A. ICN.1YROU. 516 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XVML Auto-intoxication et délire ; par M. J. S
re lorsqu'ils se développent chez des individus en période de santé mentale , peuvent se montrer aussi sous le même aspect,
ne auto-intoxication intercurrente, au cours d'un état d'aliénation mentale préexistant, à titre d'épisode transitoire, de
une auto-intoxication d'origine gastro-intestinale et des troubles mentaux caractérisés par un état de mélancolie anxieuse
ractérisés par un état de mélancolie anxieuse d'abord, de confusion mentale ensuite. Malgré l'existence d'une prédispositio
développement de ces désordres psychiques. Mélancolie et confusion mentale relèvent, à son avis, de l'auto-intoxication. L
e l'auto-intoxication : le pas- sage delà mélancolie à la confusion mentale s'est produit à l'oc- casion d'une augmentation
nifestations délirantes s'est modifiée à son tour et la con- fusion mentale a cédé la place à la mélancolie ; enfin, tandis q
sordres intellectuels ont disparu. A. Fenayrou. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 517 XIX. Sur les névrites périphériques des al
cellules qui occupent cette région. E. B. 518 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . \I1. De la démence précoce des jeunes gens. Co
s de quinze à vingt-cinq ans, survient fré- quemment une, affection mentale qui se termine rapidement par la démence. A c
utes les manifestations délirantes, flottantes, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 519 incertaines, portent déjà l'empreinte de l
Quelquefois c'est par une phobie, d'autres fois par la confusion : mentale que se manifeste le début, mais, en tout cas, il
ombreux exemples qui vont à la prostitution 520 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . instinctivement, fatalement, comme les fous mo
lissement ou une abolition : celui-là plus fré- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 521 1 quent pour le tact et la douleur, celle-
ais. Notons aussi que le pre- mier diagnostic qu'on pose sur l'état mental d'un enfant est sou- vent trompeur et que ce n'
nces et un certain degré de désorientation. 522 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Ces différents accidents ne peuventêtre attrib
ie consécutive à la chorée : par Rotusay G. SrEWART (The Journal of Mental Science. Juillet 1901). L'un de ces cas s'est t
talité comparée pour l'Irlande ; par Thomas Drapes (Tite Journal of Mental Science. Octobre 1')01). C'est une question trè
très importante que celle de savoir s'il y a un REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE ; 823 lien entre la phtisie et la folie, ou en d
e la même manière en dehors des asiles. 52 4- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . On a dit aussi que pour parvenir à une appréci
SGItrIVI : -CL : 1Y. XXXI. Friedrich Nietzche : Étude de pathologie mentale , par liam W. Ireland (7'/te Journal Of3lel2l(tl
étrécissement du champ visuel, le tout souvent accompagné d'anxiété mentale . Il était atteint de myopie héréditaire. Sa soeur
e plan d'étudier les sciences naturelles. 526 - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Quand il ne pouvait plus lire, il écrivit, et
endu chronologique de ses diverses croyances et de ses divers étals mentaux . Sa tournure d'esprit, maintenant qu'il n'y ava
trait vers la philosophie. « Dans ses goûts et dans ses « processus mentaux , dit M. Ireland, dans sa nature tout entière «
est de considérer le philosophe allemand comme un cas de pathologie mentale . Son premier ouvrage sur l'origine de la tragéd
a chasteté. Il ne voulait-ni du mariage, ni des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 527 i relations sexuelles en dehors du mariage
rvalle de ses souffrances, il écrit Aurore; 528 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . puis, en 1883 et 188;r, il publie l'oeuvre que
sus. « Comme on l'a vu, dit Je. Ireland, Nietzche passa de la santé mentale à la folie par des périodes de transition D, et c
ait (2 août 1000), à une hémorrhagie cérébrale. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . - 529 Les admirateurs de Nietzche font remarqu
rits ne rendent d'autre service que celui d'indiquer son aberration mentale : comme contribution à la psychologie, ils sont
Freland, était né avec une tendance héréditaire à un fonctionnement mental anormal ; dans sa première enfance, il était ar
ttus... Les rapports de ses -souffrances nerveuses avec son trouble mental ne sont pas clairs, mais il n'est pas douteux que
t de l'hérédité névropathique et il est mort en état-d'alié- nation mentale , mais de sa folie avant les accidents termi- An
ts termi- Ancmvrs, 20 série, t. XIV. 34 ' 530 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . naux, M. Ireland ne nous en donne aucune preuv
e comme d'origine viscérale (autointoxicatiou). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 531 XXXIV. Troubles moteurs chez les paralytiq
ociations, leur pathologie; par Alex. 11013LeRTSON. (The Journal of Mental Science. Avril 1901.) L'auteur a pu rassembler
il convient de les varier et de les combiner dans les divers états mentaux , en particulier dans la mélancolie et la manie.
nement des buveurs d'habitude, même ne pré- sentant pas de troubles mentaux , l'assimilation de l'ivrognerie a l'inconduite,
-deux ans, don- nait, depuis quelque temps, des signes d'aliénation mentale . Or, hier, dans l'après-midi, pour un motif des
tale, par Farnarier, 429. Affections cardiaques. Voir troubles mentaux . AGENÉSIE. Voir spina bificla. Aimant. Voir s
Sur l'emploi de l'extrait de - dans le traite- ment des maladies mentales , par i Ddwson, 440. Caractère. Le -, par Mala
aiguë, par Wilcox, 153. Voir Arbre généalogique. Voir Ma- ladies mentales - du vieillard, 190. Contribution à l'étude de
orale et en particulier du mensonge comme symptôme de cette forme mentale , par Bourne- ville et Boyer, 418. Images ment
de cette forme mentale, par Bourne- ville et Boyer, 418. Images mentales . Sur les éléments de nos , par J. Philippe, 165
es. Voir Mystiques. LÉSIONS CELLULAIRES CORTICALES. Voir Troubles mentaux . LEUCOMAINES. Les de la substance nerveuse, p
que, 60. - Main de prédicateur. Voir Syringo- nzyélie. Maladies mentales , introduction à l'étude de la folie, par Mac Ph
uie. par Janet, 386. Voir Idées délirantes. Des - en patho- logie mentale , par Atlianassio, 465. 'DÉ1(Ehystérique, par Du
es, par Ballet et Bernard, 435. Parasite. Voir Sang. Pathologie mentale . Etude de . par Ilelanrl, 525. Personnalité m
)e, Cestan et Oboi tlitir, 361. Scuoefer. Voir Réflexe. Science mentale . L'état présent de la -, par llollaucler, 51u.
ement et guérison,. par Hartenberg, 447. » Toxémie. Voir Troubles mentaux . Traumatisme. Voir Folie. Tremblements infant
lUe to- tale et familiale, par Raymond et Sicard, 175. Troubles mentaux sous la 'dépen- dance de la toxémie, par Sir Dy
ngomyélie. L'usage et l'abus des voyages dans le traite- ment des mentaux , par Savage, 444, Sur les lésions cellulaires
Sur les lésions cellulaires corticales observées dans 6 cas de - mentaux infectieux, par Faure, 447. mentaux dans le c
les observées dans 6 cas de - mentaux infectieux, par Faure, 447. mentaux dans le cours des affections cardiaques, par
ge psychique, par Vaschide et Vurpas, 531. Voraces. Voir Troubles mentaux . VESTPHA1.L. La contraction parado- xale de e
5 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
H1VËS DE NEUROLOGIE KEVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondéiî PAR J.-îll. CHAttCOT l'UI31le,E SOUS
C11ON ne niat. A. JOFFROY Fiofes·eur de clinique des maladies mentales a la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNA
Au repos tout le facial gauche - Iiivisict di palologia nervosa el mentale , février 1898, p. 49. - Pandi. Wien. lilizz. IV
s avons éliminé systématiquement tous les hémiplégiques dont l'état mental était trop affaibli pour obtenir des renseignem
1898. Anal, u : Presse médicale, 1898, II, p. 324. 28 PATHOLOGIE MENTALE . au bout d'un certain temps; c'est ce qui expli
ère supérieure sont placés dans la zone psychomotrice. PATHOLOGIE MENTALE . LES MÉLANCOLIQUES. (ÉTUDE clinique) ; Par
clinique) ; Par le D' Alex. ATIIANASSIO, Ancien chef de clinique mentale , Médecin adjoint à l'hospice d'Aliénés Marcoutz
ar sympathie pro- duisent des troubles cérébraux. 30 PATHOLOGIE MENTALE . La mélancolie est l'opposé de la manie où il y
es de manger. Souvent il y a des hallucinations 112 PA'1HOLOGlIs' mentale . et des illusions surtout internes, viscérales,
hant pas, n'accom- Arciiives, 21 série, t. VII. 3 34 PATHOLOGIE MENTALE . plissant qu'a peine leurs besoins, finissent p
brale, cette dernière forme souvent confondue avec la confu- sion mentale . Mais ici malgré l'apparence d'abolition de toute
- . LES MÉLANCOLIQUES. 35 tains auteurs, il existe une activité mentale intense, consti- tuée par un délire interne cac
tristesse, de ruine, d'humilité, de culpabilité, et 3C PATHOLOGIE MENTALE . à la suite des hallucinations et illusions ils
t, se nourrissent mal ; l'assimilation ne se fait 38 ' PATHOLOGIE MENTALE . pas, la circulation est en défaut (pouls ralen
ments d'oreille. Le patient vivait toujours retiré, 40 PATHOLOGIE mentale . était très déprimé et émotif. Les parents supp
nuée et retardée. La sensibilité spéciale paraît bonne, mais l'état mental du malade ne permet pas de s'en rendre un compt
ul mot, après ce mot obtenu, il est même impossible 42 PATHOLOGIE MENTALE . d'arracher un seul autre mot à la malade, malg
urs dans les muscles de la face et de la langue. 44 if PATHOLOGIE MENTALE . La parole est bonne, mais toujours lente, il p
ux à sa tristesse, toutefois il parait cou- vaincu que ses facultés mentales sont ébranlées. Souvent il pleure, en nous disa
ons; il. demande des journaux, qu'il lit en se pro- 46 PATHOLOGIE MENTALE . menant dans le jardin. Il rit quand nous le qu
e relevée; le corps incliné; les mains pendantes. z 48 PATHOLOGIE MENTALE . La malade est en état de rester des heures ent
eur étant éclairé, elle s'est effrayée ; depuis ce moment, son état mental devient anormal, en présentant les symptômes su
avail intellectuel devient de plus en plus difficile. L'instabilité mentale augmente. Abus du tabac (cigarettes, pipes et c
éparalytique. Les symptômes physiques ont dominé la scène : du côlé mental , il n'y ? eut qu'une simple démence, croissant
PATHOLOGIE NERVEUSE. , intéressante à noter, amélioration de l'état mental . (lnzer ican jour- nal of insanity, janvier 189
eurs membres d'une famille pour aboutir généralement à l'aliénation mentale , cette chorée a été rarement décrite avec autop
(cl. IV) : a) il joint des formes en rapport avec la dégénérescence mentale ; ce serait l'hyperhidrose dégénérative par mig
s jusqu'ici autonomes sont bien en rap- port avec la dégénérescence mentale . P. IEIlA1'AL. XVIII. La neurasthénie et le com
Handlingar, nu 10, octobre 1898, p. cxlv.) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . I. Du délire psychique post-opératoire ; par l
jours qui suivent l'opération. Contraire- 72 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ment aux états d'excitation, les formes mélanc
ructure compliquée un grand nombre d'éléments REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 73 qui constituent les représentants du futur
se distingue guère de la vraie que par l'état du pouls, sur l'état mental , et montre comment ces symptômes se groupent pa
histoire du Conscrit de l31cët·e traite des rapports de la débilité mentale avec le service militaire. Elle est d'un intérê
mise à un examen médical, elle a été reconnue atteinte d'aliénation mentale et con- duite dans une maison de santé. » Fac
dé, à Paris, Mille D.... atteinte depuis quelque temps d'aliénation mentale , a été trouvée pendue au baldaquin de son lit,
Vol. VII. Février 1899. ? 30 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . RECHERCHES SUR L'ANALGÉSIE DU CUBITAL (signe
sles Cenlralblall, 1894. Archives, 2e série, t. VU. 98 CLINIQUE MENTALE . douleur, voire même des exclamations de souffr
Cramer, en discutant ces données au Congrès psychia- 100 CLINIQUE MENTALE . trique de Berlin (1895) exposa ses études anat
e de leur maladie, les résultats sont les suivants : 102 CLINIQUE MENTALE . Le nombre de nos paralytiques généraux qui pré
té et l'analgésie, se ren- contrent de préférence dans les maladies mentales à type dépressif, et principalement dans les af
clinique) ; Par le D' ALEX. ATIIANASSIO, Ancien chef de clinique mentale , Médecin adjoint à l'hospice d'Aliénés Mareoutz
7. Fig. 9. Groupe de mélancoliques (hommes). ' 106 PATHOLOGIE MENTALE . une' ancienne cicatrice adhérente à l'os, prob
ium, on observe une légère amélioration dans l'état de ses facultés mentales . Il reste pourtant toujours couché, absolument
se levait debout. Il n'a pas d'auto-accusations. 25 octobre. L'état mental est complètement rétabli. Il parle et répond im
pâtissier, entre à l'hospice [e 27 juillet 1896. 108 PATHOLOGIE MENTALE . De ses antécédents nous apprenons qu'il a touj
ue. Les oreilles perpendiculairement insérées. Les 110 PATHOLOGIE MENTALE . dents irrégulières et usées. La voûte du palai
rés. Fig. 10. Groupe de mélancoliques (femmes). 111) PATHOLOGIE MENTALE . Elle a un délire hypocondriaque; elle dit qu'e
Après l'accouche- .lncEnves, 2° série, t. VII. 8 114 PATHOLOGIE MENTALE . ment, son caractère commençait à changer, elle
qui y ont mis le feu et pas elle. Une autre fois, 116 PATHOLOGIE MENTALE . elle a détruit une cheminée; elle a fait tout
elle et l'a réprimandée d'avoir fait tant de maux; 118 PATHOLOGIE MENTALE . même les images saintes pendues aux murs parle
sens du toucher est conservé. La sensibilité '120 0 ' PATHOLOGIE MENTALE . cutanée est diminuée, mais il n'y a pas de pla
té piquée, mais il nous est impossible d'avoir une 122 PATHOLOGIE MENTALE . réponse de la part de la malade, nous ne pouvo
enfant. Elle nie absolument être folle maintenant; 124 PATHOLOGIE MENTALE . mais peut-être que la maladie qu'ella a, lui a
rvés. Il n'y a pas de trépidation épi- leptoïde. 126 PATHOLOGIE MENTALE . La sensibilité générale au toucher est conserv
e et dans cet état de mélancolie depuis six ans. 128 PATHOLOGIE MENTALE . Il se plaint aussi de souffrir de la constipat
ts, peuvent ordonner à l'égard des personnes atteintes d'aliénation mentale toutes les mesures provisoires nécessaires, à l
t que le médecin ne soit appelé à constater officiellement son état mental ; mais par contre, l'autorité administrative aura
s, etc... Il fait tous les six mois un relevé de l'état physique et mental des indi- gents et chaque année un rapport déta
e ce côté il y a quelque chose à faire. L'enseignement des maladies mentales est plus avancé en Ecosse que chez nous, mais i
l'acide urique à l'urée n'est pas en relation constante avec l'état mental (American Journal of insanity, avril 1898.) E.
re partie de l'orga- nisme, et leur existence au cours d'un trouble mental aigu n'a avec ce trouble mental qu'un rapport d
eur existence au cours d'un trouble mental aigu n'a avec ce trouble mental qu'un rapport d'association, et non de causalité.
ment, puis le staphylocoque ; mais en se reportant aux conditions mentales des malades chez qui se trouvèrent ces micro-orga
es, la présence de ces derniers n'a aucun rapport avec le trouble mental et n'a de rapport plus ou moins constant qu'avec
oclamer le suicide comme un remède, l'auteur estime que les débiles mentaux ou moraux, les criminels et les vicieux qui se
été arrachées du champ. Le suicide pré- coce d'un imbécile moral ou mental est une sorte de grâce pour la société qui se t
fois.à la présidence de la Société, pendant le Congrès de médecine mentale de 1900. Il n'aurait pas assumé celte lourde tâch
énéral qui l'aidera à tenir haut et ferme le drapeau de la médecine mentale . SOCIÉTÉS SAVANTES. 1G9 Folie sympathique.
tenue complète, définitive. L'origine sympathique de l'aliéna- tion mentale ne pourrait, à notre avis, être niée ou mise en d
récissement apparent du diamètre transverse du crâne. Son affection mentale était essentiellement caractérisée par des symp
persistance de l'agitation et du délire. L'amélioration dans l'état mental est survenue par degrés, sui- vant pas à pas l'
amme comprendra : 1° questions mises à l'ordre du jour : Pathologie mentale : Délires systématisés secondaires. Ray- porteu
nferiore. 1898. Tipografia del Manicomio. Danien (G.). Orthopédie mentale . Enfants arriérés. Brochure in-8" de 20 pages.
ielh. De l'épilepsie considérée dans ses rapports avec l'aliénation mentale (Ar. gêné., liée. 1825 et janv. 1826). J. Morea
ses vêtements. On n'espère pas sauver la femme tiret. PATHOLOGIE MENTALE . DU SENS TACTILE ÉTUDIÉ CHEZ LES MÊMES MALADES
rchives de Neurologie, n° 35, t. VI, 1893, p. 376. 190 PATHOLOGIE MENTALE . affaiblissement manifeste du sens tactile chez
t, d'avoir toujours rencontré le tact normal sous toutes les formes mentales dépressives pures et même dans les formes menta
outes les formes mentales dépressives pures et même dans les formes mentales mixtes quand elles ne s'accompa- gnent pas d'ag
s après le retour du sens tactile à l'état normal. 192 PATHOLOGIE MENTALE . Que prouvent ces divers faits ? Etablissent-il
i se généralisèrent par tout le corps et parurent influencer l'état mental , car le malade passait une grande partie de la
légère; on trouve - 21 séiie, '. VII, i : " 19ît Il PATHOLOGIE MENTALE . même des sujets gâteux, par conséquent à la de
u tact chez les paralytiques Première période. 196 PATHOLOGIE MENTALE . LE SKKS TACTILE ET LA PARALYSIE GENERALE. 19
es quatre mémoires que nous avons déjà publiés sur 198 PATHOLOGIE MENTALE . Il nous reste à nous demander si les altératio
la moitié des constatations à la phase ultime. - )00 PATHOLOGIE MENTALE . VIII. D'après nos constatations parmi les anom
taire. ARCIIIVES, 2* sét@ie, t. VII. Il c REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . IV. Les dermatophobies; par M. G. Tiiidierge.
x externes, celle qui engendre le plus souvent des phobies ; l'état mental des malades qui en sont atteints, est caractérisé
pi- phénomène d'un état psychique grave, relevant de l'aliénation mentale . - Parmi les conditions susceptibles de modifie
susceptibles de modifier le pronostic de ces REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 213 dermatophobies, il faut signaler l'état ps
type; 2° ces délires ont tous pour formule clinique la confusion mentale , sous l'une quelconque de ses variétés ; 3° le dé
re psychique se rencontrent des formes 214 jl REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . de transition qui constituent des formes plus
gnostic, la thérapeu- tique et surtout la prophylaxie de ces formes mentales . Ces der- nières, qui se rencontrent toujours s
penser à un début de paralysie générale. Le pronostic des désordres mentaux périodiques est favorable en tant que termi- na
constituera dans un trai- tement préventif des désordres nerveux et mentaux . Lorsque surviendra la première crise, le trait
ux dangers que peut faire courir à la société REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 215 un homme occupant une haute situation et at
t à l'orgasme sexuel pendant le sommeil 216 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . L'auteur, dans une intéressante élude, passe e
rubrique à cause de l'identité du terrain sur lequel les troubles mentaux de ces malades ont évolué et parce qu'elles peuve
les médico-psychologiques, août 1898.) E. B REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 2L7 Les paralysies générales progressives ; pa
, l'auteur décrit le syndrome paralytique 218 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . fugace, non paralytique proprement dit par son
ns hypodermiques, lui semblent les plus iudi- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 219 quées et les meilleures; la saignée serait
tement précoces ; et comme, d'autre part, un grand nombre de formes mentales débutent par des phéno- mènes de dépression men
mbre de formes mentales débutent par des phéno- mènes de dépression mentale , on comprend l'intérêt qui s'attache au diagnos
iable avant de se caractériser par les signes suivants : dépression mentale ; insomnie persistante; céphalalgie ou psychialg
uite de délire ou d'excitation maniaque 220 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . L'auteur, dans le présent travail, rapporte de
'auteur, dans un travail intéressant, passe en revue les affections mentales au cours desquelles peut se présenter l'agitati
, de la mélancolie, de la folie intermittente, de la dégénérescence mentale , de l'épilepsie, de l'hystérie, de la chorée, d
dressent aux troubles subjectifs accompagnant REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 221 des lésions souvent insignifiantes et qui
dissolution de la personnalité physique. 222 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Pareille désagrégation de la conscience peut ê
ys et dont l'auteur trouve l'énumération dans REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 223 un ouvrage du Dr Wolff(de Strasbourg). Au
se où elle rend de grands services. A. Vicounoux. XIX. Aliénation mentale commençante; par Crochley Claphxn. (Qzici7,te ?
es à différents degrés de l'affection, les modifications locales et mentales consécutives, les altérations intimes de la gla
ème, où domine, ce qui est bien autre chose, la torpeur physique et mentale . L'hypertrophie du corps thyroïde, de même que
, l'augmenta- tion de la morbidité et de la tendance à l'aliénation mentale et au crime; son influence sur la race se tradu
variées peuvent produire le type de la polynévrite, avec désordres mentaux d'amnésie. De nouvelles observations permettron
e de temps progres- saient de 6,7 p. 100, tandis que les infirmités mentales crois- saient de 12,3 p. 100. Ces hospices devi
Les asiles régionaux sont, par définition, destinés à l'aliénalion mentale ancienne et aux malades avant besoin de l'assista
aralysie générale et de ceux conçus après l'apparition des troubles mentaux . M. Arnaud croit, en effet, que cette distincti
s doivent trouver place dans les traités de maladies ner- veuses et mentales ; c'est dans ce cadre qu'il faut faire rentrer les
son mari. Cette malheureuse ne jouissait pas de toute ses facultés mentales et on suppose qu'elle aura voulu jouer'avec le
Vol. VII. Avril 1899. ? 40 ARCHIVES DE NEUROLOGIE . CLINIQUE MENTALE . MYSTICISME ET FOLIE 1 ; ! Par le D' A. MARIE
1898, n°5 29 et 30. Archives, 21 série, t. Vil. 17 2S8 CLINIQUE mentale . par Calmeil dans un traité de la folie considé
pathologique que patrony- mique 2 ' P. Bail. Traité des maladies mentales , p. 492. Edition 1887. ' La Roche-Gandon. Rappo
oche-Gandon. Rapport 91, p. 12, D's Friese et Marie. 260 CLINIQUE mentale . Ajoutons la débilité physique par privations e
physique par privations et mauvaise hygiène sociale et la débilité mentale congénitale, compli- quées de causes dépressive
sées. On peut classer en deux sous-groupes distincts les affections mentales où s'observe un délire systématisé de teinte my
e part les cas où les idées religieuses sont l'expression d'un fond mental congénital ou acquis particulier; l'aberra- tio
eçons cliniques. (l'ro. Dléd., 1887, p. 182.) 5 Griesinger. Maladie mentale , 65. Trad. Daumie et drch. of I'sych., M. I, li
, Bd. lI, - lrl., 1881 et 1888. - Irrenfreund, XX. 262 CLINIQUE mentale . Kroepelin distinguant aussi des formes primair
ouet, P., 1888. ' Spitska. Lzizaite delzzsions. (Journal of nem and mental dizcises, 1881.) ' Morsetti et Buccola. La pi
me ET FOLIE. 263 le reverrons dans la suite de notre étude, le fond mental dé- génératif est de règle pour les autres para
opalhies. Gand, 1852. ' Magnan et Sérieux, p. 110. 264 CLINIQUE mentale . dérant avec Morel la période d'inquiétudes (an
e sensoriel pousse le malade à attribuer More). Traité des maladies mentales , p. 703, 1860. MYSTICISME ET FOLIE. 265 à d
gique de Morel. Pour lui, le délire religieux peut 266 " CLINIQUE MENTALE . résulter effectivement, soit de] l'exagération
vroses (épilepsie et surtout hystérie). 1 Morel. Traité de maladies mentales , 1860. P. ! Moreau de Tours. Psychologie morbide,
gie morbide, p. 227. 3 J. Fabret. Etudes cliniques sur les maladies mentales , P., 1889. 4 Calmeil. De la folie, p. 81. M
de maintenir en équilibre et sans effort apparent les constructions mentales les plus instables. » (Pas de systématisation d
en principe.) ' Cottird. Loc. cit., p. 422 et 423. 268 CLINIQUE MENTALE . L'éréthisme moteur des anxieux, présente un ca
les éléments moins atteints de la mentalité. ' Thivet. De l'état mental des vieillards. (Thèse, Paris, 1889.) Séglas. P
1888, n« 43. Psychoses séniles et la ? -- dives. Lwoff. De l'état mental dans les lésions circonscrites du cerveau. (Thè
, Paris, 1890.) Christian. Archives de Neurologie. 270 CLINIQUE MENTALE . Bien que cela paraisse une assertion paradoxal
mme el l'intelligence, p. 500. 4 B.-A. More). Traité des maladies mentales , p. 701. 272 CLINIQUE MENTALE. que l'inacti
4 B.-A. More). Traité des maladies mentales, p. 701. 272 CLINIQUE MENTALE . que l'inactivité de ces malades est fréquemmen
ion imitatrice. « Il y a, dit M. Gilles de la Tourette, dans l'état mental des hystériques, quelque chose d'absolument spé
uvre par la suggestibilité, qui est la caractéristique de leur état mental (p.S`3). L'hystérique peut être, à ce point de
istinction avec des Archives, 1° série, t. VII, is 274 CLINIQUE MENTALE . documents historiques insuffisants. Cependant
es combinant les psychoses plus ou moins dégénératives, à un fond mental hystérique. Dans ces cas, on pourrait objecter
tématisées chez le même malade. Pouvant se développer sur un fond mental dégénératif, celles-ci peuvent coexister avec cet
es ; c'est parce côté que la neuropathologie confine à l'aliénation mental ; il s'agit là, certainement, de phénomènes ide
avons nous-mêmes suivi celui d'entre ces malades dont les troubles mentaux ont persisté. Il figure au rapport de 1891 sur
, p. 27. Aî,chives de N'eiii-oloqie, 1897, 11- 15. 276 CLINIQUE MENTALE . nage; puis s'y adjoignirent, les pratiques d'u
ommune se manifestant par l'hystérie et aussi par la dégénérescence mentale ordinaire, est assez nette ici pour qu'il ne so
nombreuses coor- ' Feré. Sensation et mouvement. 278 PATHOLOGIE MENTALE . donnent plus soigneusement leurs conceptions d
900, le prix de la collection sera porté à 150 francs. PATHOLOGIE MENTALE . LES PSYCHOSES D'AUTO-INTOXICATION. CONSIDÉRA
IONS GÉNÉRALES'; Par le D' E. RÉGIS, Chargé du Cours des maladies mentales à l'Université de Bordeaux. Arrivé au terme de
eux que la doctrine des auto-intoxications trouve dans les maladies mentales une de ses plus impor- tantes applications. Les
s, et nous croyons qu'à chacune des grandes formes 280 PATHOLOGIE MENTALE . d'auto -intoxication correspond pour ainsi dir
us piquantes de l'histoire des auto-intoxications dans les maladies mentales que la concordance absolue de toutes les donnée
gie. On peut assurément observer la céphalalgie dans l'aliénation mentale proprement dite, mais elle y est relativement rar
début ou dans le cours d'un délire, doit éveiller 282 PATHOLOGIE MENTALE . l'attention sur la possibilité d'un état toxiq
ur, la stupidité, c'est-à-dire jusqu'à la suspension des opérations mentales . D'autres fois, comme des vieillards sénilisés,
e- dème. (La Presse médicale, 1 ? octobre 1898.) 284 PATHOLOGIE MENTALE . est l'amnésie. Cette amnésie, en effet, est to
s sur l'Aphasie amnésique (Progrès médical, 1898). 286 PATHOLOGIE MENTALE . Voilà ce que nous entendons par onirisme et vo
rsonne ne saurait contester, en effet, qu'il s'agit là de confusion mentale . La chose est tellement frappante qu'aucun des
les psychoses auto-toxiques se présentaient sous forme de confusion mentale . Les diverses descriptions que nous avons donné
d.- Nous n'avons pas à refaire ici la description de la confusion mentale qui a été magistralement tracée par M. Chaslin, s
et de la division, pure- ment provisoire d'ailleurs, des confusions mentales en primi- tives idiopathiques , primitives symp
to-intoxications répond trait pour trait au tableau de la confusion mentale LES PSYCHOSES d'auto-intoxication. 287 / z
OSES d'auto-intoxication. 287 / z donné par Chaslin. La confusion mentale est donc le type clinique des psychoses d'auto-
ntoxication. Ce type lui est-il exclusif, c'est-à-dire la confusion mentale n'appartient-elle qu'à l'intoxication ? est-ell
t ce qui résulte de l'en- semble de notre travail, que la confusion mentale peut affec- ter, dans les psychoses auto-toxiqu
lètement isolées, on peut cependant reconnaître : 1° une. confusion mentale simple ou asthénique; 2° une confusion mentale
: 1° une. confusion mentale simple ou asthénique; 2° une confusion mentale aiguë et subaiguë; 3° une confusion mentale ave
nique; 2° une confusion mentale aiguë et subaiguë; 3° une confusion mentale avec stupeur ou stupidité aiguë; 4° une confusi
confusion mentale avec stupeur ou stupidité aiguë; 4° une confusion mentale suraiguë, méningitique, ou délire aigu, typhoma
ou délire aigu, typhomanie; 5° enfin, si l'on veut, une con- fusion mentale pseudo-paralytique. Toutes ces variétés, quelle
forme d'auto-intoxication. Il semble néanmoins, que les confusions mentales du délire aigu se rencontrent plus souvent dans
t dans les auto-intoxications gastro-intestinales et les confusions mentales de la stupeur dans les auto-inloxications hépat
a forme clinique des psychoses d'auto-intoxication est la confusion mentale . Nous voudrions montrer maintenant, les analogi
pport au congrès de La Rochelle. Legrain, Jacobson 288 pathologie mentale . et beaucoup d'autres ont fait de même. Et déjà
e même. Et déjà Delasiauve, quand en 1831 il décrivait la confusion mentale stupide, sans se douter que de longues années a
ica- tion externe sont similaires et que, par suite, la confusion mentale est le type de tous les délires toxiques, quels q
plets, hypnago- giques, où la persistance d'action de l'automatisme mental et somatique est des plus remarquables. Et il s
ribune médicale). Archives, 2° série, I. VII. 19 290 pathologie mentale . de voir. Nous l'avons exposée tout à fait en d
e auto-toxique et de sa similitude avec le somnam- 292 PATHOLOGIE MENTALE . bulisme hypnotique. J'ai eu, d'ailleurs, une p
que quelques-uns, parmi ceux surtout qui sont atteints de confusion mentale subaiguë avec délire d'action, peuvent être end
aussi que cet état de rêve existe dans tous les étals de confusion mentale , même quand ceux-ci sont trop aigus pour le lai
des psychoses d'attio-iî2toxicatioîî et par suite de la con- fusion mentale . ' Cette idée de faire du délire des intoxicati
par la façon dont ont été envisagées la stupidité et la confusion mentale . Déjà Gcorget disait en 1820, à propos du Délir
on, Geoi ? et. De la folie, p. 238. Paris, 1820. 294 PATHOLOGIE MENTALE . les perceptions vicieuses appartiennent à un s
ue la manière dont quelques conva- lescents caractérisent leur état mental antérieur. Il me semble, dit une femme à M. Eto
st passé en eux durant ce long sommeil 2. » Depuis que la confusion mentale a été ressuscitée à l'étranger par les Allemand
upeur du Dicl. encycl. des sciences médicales. î96 ' PATHOLOGIE MENTALE . - journée sont remplacées : par d'autres appar
us lointaines. La théorie psychologique de Meynert sur la confusion mentale , si ingénieuse et si bien exposée par Chaslin d
variétés admises par lui des psychoses asthéniques : confu- sion mentale , délire de collapsus, démence aiguë. Le délire
outes les fonctions psychiques les plus élevées. Enfin la confusion mentale , pour ainsi dire intermédiaire aux deux autres,
I, 1802). 4 Kraepelin. Psychiatrie, 1896. Gliisliii. La Confusion mentale primitive. Paris, 189u. LES PSYCHOSES D'AUTO-
'AUTO-INTOlIC.TION. 291 cialement de comparaison entre la confusion mentale et le rêve, parait rapprocher à diverses repris
apitre de la Psychologie pathologique, à propos de la désagrégation mentale des sujets il dit : « A un degré de plus l'inco
glas a, lui aussi, été frappé du caractère onirique de la confusion mentale et dans maints endroits, notamment dans son art
, affection qui correspond jusqu'à un certain point, à la confusion mentale des Français, à la Vei,ivii-theit des Alle- man
M. Marandon de 111ontyel, dans sa Revue générale sur la Confusion mentale primitive et secondaire (Gazette des Hôpitaux,
ant à identifier la lypémanie stupide de Baillarger et la confusion mentale , s'appuie tout particulièrement sur leur analog
s, après 1 l'rancotte. Classification (l3ull. de la Société de méd. mentale de Belgilue, septembre 1807). 298 PATHOLOGI
té de méd. mentale de Belgilue, septembre 1807). 298 PATHOLOGIE MENTALE . avoir montré par quelques cas frappants que ce
d'un usage déjà fort long, pour les remplacer par ceux de confusion mentale , amentia, paranoïa aiguë, qui désignent des éta
Le malade se croyait recherché par la police ; on 300 PATHOLOGIE MENTALE . l'arrêtait, on le mettait en prison, on le con
être très bref. Le délire auto-loxil2ce et, par suite, la confusion mentale , n'est pas la vésaitie, la folie commune. Des c
nales et j'en suis à me demander à l'heure actuelle si la confusion mentale aiguë du début ne tourne pas chez la malade, à
lie anxieuse, une forme larvée de la fièvre typhoïde avec confusion mentale halluci- natoire. A noter, dans ce très intéres
ou passaient près de lui le regardaient avec des 302 ) PATHOLOGIE MENTALE . yeux étranges, qu'on le soupçonnait d'être la
. Nous avons essayé une fois, chez un malade atteint de confusion mentale aiguë prolongée, le séjour au lit systé- atcttq
ent le repos au lit systématique dans le traitement de la confusion mentale . Lorsque les périodes d'agitation aiguë sont pa
il offre ici quelque chose de spécial, en raison de la faiblesse mentale dans laquelle se trouvent la plupart des malades
e de la psychose polynévritique et de certaines formes de confusion mentale pri- mitive ; par 111\1. 6. Ballet et M. FAURE.
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 311 de confusion mentale primitive, à l'autopsie desquelles ils ont trou
e avec lésions de cirrhose ; chez toutes deux, la symptomatologie mentale était la même, associée chez l'une à des signes m
rt bien ce qu'il voulait dire ; il avait conservé la représentation mentale des mots, il pouvait indiquer par gestes le nom
s. M. CII.4.111'ENTIER. Les signes physiques de la dégénérescence mentale ne sont pas plus fixes que ceux de la criminalité
signes physiques de dégénérescence ont une importance en pathologie mentale ; mais cette importance est beaucoup moindre qu
te importance est beaucoup moindre que les particularités de l'état mental du sujet, observé avant l'apparition des troubl
a; Civrieux : 1.000 francs. Question : Des obsessions en pathologie mentale . Un prix de 800 francs est décerné à M. le Dr F
p. - 499 Vol. VII. Mars 1899. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT 1VÉYROPA1'IIIQUE.
s 1899. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE . ÉTAT 1VÉYROPA1'IIIQUE. APPOINT ALCOOLIQUE. DÉL
nnés, véritableg Archives, 2° série, t. l'II, . 22 338 CLINIQUE MENTALE . réflexes de défense, en rapport avec ses illus
, de poissons, de serpents qui rôdent sur son lit. DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE . ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 339 Dans les jours qui sui
du 13 mai, on supprime définitivement jusqu'au 23 le 340 CLINIQUE MENTALE . chloral de la nuit et on fait prendre le soir
au milieu de ses hallucinations, elle répond assez DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE . ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 34'1 correctement : « Ça v
et dure encore actuellement, offrant généralement 342 1) CLINIQUE MENTALE . le même caractère pénible. Les nuits continuen
parfaitement systématisé, compliqué d'un certain degré de confusion mentale avec, dans les sphères alfective et motrice, de
ns dans la suite. Devons-nous étiqueter cette observation Confusion mentale ? Outre que la confusion mentale est loin, elle
queter cette observation Confusion mentale ? Outre que la confusion mentale est loin, elle aussi, d'être reconnue par tous
. Chaslin pour écarter immédiatement ce diagnostic : « La confusion mentale primitive, idiopathique, est une DÉGÉNÉRESCEN
confusion mentale primitive, idiopathique, est une DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE . ÉTAT N1 : VROPATÜIQUE. 343 affection habituell
se par des phénomènes somatiques de dénu- trition et des phénomènes mentaux ; le fond essentiel de ceux- ci, résultat premi
rme d'affaiblissement et de dissociation intellectuels, confu- sion mentale qui peut être accompagnée ou non de délire, d'h
nnel'. » Reste alors ce qui a été décrit sous le nom de Confusion mentale hallucinatoire (Hallucinatorische ireî-ivii-iilie
nfusion hallucinatoire décrite pour la pre- 1 Chaslin. La confusion mentale primitive. Paris, 1895. 5 Kroepelin. Psychiatri
s ihr Venlauf. ( ? i)'6«e/t. fiii, Ilsych ? 1880.) 344 CLINIQUE MENTALE . mière fois par Fritsch', d'autres auteurs, de
ssent pas ou ne lui assignent pas la même place dans la Nosographie mentale et désignent, sous un autre nom, les faits qui
' Wahnsinn. oeil, sur Psych. Bd. XLII, 1, 1885.) DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE . ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 348 Schûle 1, s'il fait re
t; ? e. Leipzig, 1886. * Magna.n. Leçons cliniques sur les maladies mentales . Paris, 1897. 346 CLINIQUE MENTALE. de conn
ns cliniques sur les maladies mentales. Paris, 1897. 346 CLINIQUE MENTALE . de connaissance, avec contracture généralisée,
ments, ni pendant l'allaitement, Mm0 Il ... n'a présenté de trouble mental . Depuis quinze mois environ, Mm0 II... était so
atile, à émotivité exagérée, jouissant, en un mot, DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE . ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 347 de cet état mental, qu
ot, DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 347 de cet état mental , que l'on sait être si souvent le substratum me
7 de cet état mental, que l'on sait être si souvent le substratum mental desdégétiérésl; en outre, 1-e H... aprésenté àplu
'on peut facilement reconnaître cette évolution. ' Magnan. L'étal mental des dégénérés. {Revue Neurologique, 4891.) Leço
érés. {Revue Neurologique, 4891.) Leçons cliniques sur les maladies mentales , 1893, 1897. 2 Magnan. De l'alcoolisme. Paris,
ons sur les maladies men taies. Paris, 1893, 1897. 348 CLINIQUE MENTALE . La première est une femme de trente-deux ans,
comme un syndrome d'une affection plus générale : la dégénérescence mentale , et à en faire une variété de ces délires que l
secon- dairement chez les dégénérés alcoolisés. DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE . ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 349 Du même coup, nous pou
tourmentée, très décevante aussi par les sautes brusques de l'état mental . Il y a, par exemple, des journées entières où
ÉLANCOLIQUES; Par le D' ALeX. ATOANASSIO, Ancien chef de clinique mentale , médecin adjoint à l'asile d'aliénés Marcoutza
n nombre de cas leur guérison peut amener la disparition du trouble mental . Les statis- tiques de l'auteur apportent une c
aliénées. Sur 1G hysté- rectomies, il y eut 4 guérisons du trouble mental et 3 améliora- tions ; Sur 12 ovariotomies, i
ora- tions ; Sur 12 ovariotomies, il y eut 7 guérisons du trouble mental et 4 améliorations; Sur 22 redressements de l
Sur 22 redressements de l'utérus, il y eut 4 guérisons du trouble mental et 9 améliorations; Sur 30 opérations relatives
s, principalement des amputations, il y eut 13 guérisons du trouble mental et 9 amélio- rations ; Sur 21 curettages de l
; Sur 21 curettages de l'utérus, il y eut 12 guérisons du trouble mental et 2 améliorations ; Enfin sur 8 opérations pou
lésions vaginales, il y eut seule- ment 3 améliorations du trouble mental . Les affections les ovaires, du col utérin et d
use utérine paraissent donc avoir dans la production des troubles mentaux un rôle plus actif que les autres affections utér
emment accom- pagnée de la guérison ou de l'amélioration du trouble mental . (Arnel-icel2z joiii,ital of iiisanity, j juill
s qui n'altèrent pas, du moins en apparence, l'état intellectuel et mental de l'individu. Vous aurez, sans doute, apporté
cience, des con- ceptions erronées que se faisaient de l'aliénation mentale , ou les anciens qui l'attribuaient aux dieux, o
sieurs, Le premier devoir du président du 10° Congrès de Médecine mentale et de neuropathologie est de remercier, en votre
ou la réorganisation. Initié par Ferrus à la pratique des maladies mentales , Aubanel fut,en 1840 nommé médecin adjoint.du D
t, la première maison de santé consacrée au traitement des maladies mentales et nerveuses; son initiative et ses efforts fur
ent en substance ce qui parait aujourd'hui sous le nom de confusion mentale . Le D'' Sauze mourait prématurément en 1884, à
les éléments de sa discussion se dispersent à travers la médecine mentale tout entière. Bien plus, ces-éléments n'ont pas p
pés sur des états secon- daires aux principales formes d'aliénation mentale , notamment à la manie, à la mélancolie, à la fo
somme, à leur place ni dans l'une ni dans l'autre de ces maladies mentales . En fait, ce sont des délires mixtes parce qu'ils
s. Il a signalé et décrit sommairement dans son Traité des maladies mentales (2° édi- tion, 1892), l'es délires systématisés
pathologique dont la guérison suffit à faire disparaître le trouble mental . Que devient, dans ce cas, la constitution para
existe également un délire systématisé secondaire à la confu- sion mentale . Les auteurs étrangers qui l'ont signalé, ont sur
n observe aussi des délires systématisés à la suite d'une confusion mentale vraie : les uns sont de vrais délires vésanique
iquats monoïdéiques de ce véritable état second qu'est la confusion mentale tonique, en tout point comparable aux idées fix
différentes, après toutes les psycho-névroses et même la confusion mentale . Pour l'instant il est bon de s'en tenir là et
aurait ainsi' moins de médecins incompétents, en fait d'aliénation mentale . Personnel DE surveillance (Hommes). Un surve
délires systématisés secon- daires, consécutivement à la confusion mentale primitive aiguë, et qui sont susceptibles d'un
t persister pen- dant un temps, du moins u la suite d'une confusion mentale primi- tive, elle-même de nature hystérique, et
ion : M. Ballet. Lorsqu'en 1889 Ko'rsakofl' décrivit les troubles mentaux accompagnant les polynévrites, un sentiment de su
ychose polynévritique ? On doit comprendre sous ce nom des troubles mentaux à physionomie clinique variée qui s'associent d
ons névritiques et les lésions cérébrales produi- sant les troubles mentaux ne sont que deux manifestations juxta- posées s
démence. 3° La troisième forme est la forme amnésique : altération mentale , accompagnée ou non de délire, amnésie singulière
une grande importance au point de vue de la conception des maladies mentales . Peul-être arrivera-t-on par la connaissance pl
llule. Peut-être cette conception ferait-elle descendre la médecine mentale où l'a placée la métaphysique, mais elle n'a ri
constitutionnels. Il ne pense pas qu'il y ait une différence fonda- mentale entre les trois variétés de délires qu'il indique
ne sont que les variétés d'une même espèce clinique : la confusion mentale avec son symp- tôme fondamental : l'amnésie.
sans doute, mais elle s'observe dans un grand nombre d'affections mentales , notamment dans la paralysie générale, dans l'épi
lition des réflexes tendineux. Iu° 1... présente aussi des troubles mentaux graves ; presque dès le début de son mal, elle
es, disait-elle. Peu à peu, il se développa une véritable confusion mentale ; la malade parlait, sans qu'on put établir de l
observe dans de tels cas affectent surtout la forme de la confusion mentale ; pour notre part, nous ne comprenons guère qu'
nts, (l.) SOCIÉTÉS SAVANTES. 399 l'enseignement de l'aliénation mentale à Marseille dont nous ne devons pas nous désint
ux abords de la ville une clinique pour l'enseignement des maladies mentales . Le premier des pro- jets dont nous avons parlé
expliquer la production des mouvements cho- réiques et des troubles mentaux dans la maladie d'Huntington. Interventions chi
ables et des moins étudiées on ne sait pourquoi, de la patho- logie mentale . Que nous disait-on jadis, à propos des médecin
er monsieur Anglade, et à celle de votre premier maître en médecine mentale , le docteur Régis de la Faculté de Bordeaux.
la question, les auteurs s'efforcent de démontrer que les troubles mentaux et notamment ceux de la mémoire dans la psychos
at des épileptiques dans l'intervalle des crises; la dégénérescence mentale de l'épilepsie; des soins à donner aux épilepti
e ces notes et leur utilité pour les malades. IL IX. La confusion mentale ; par le Dr G. Gombault. (Thèse Paris, janvier 1
par le Dr G. Gombault. (Thèse Paris, janvier 1898.) La confusion mentale n'est, d'après l'auteur, qu'un syndrome comme l
st conservée mais opprimée par un délire terri- fiant. La confusion mentale a un domaine plus vaste; par sa forme moyenne e
psychiques particuliers, elle peut disparaitre seule ou avec l'état mental morbide qu'elle accom- pagne pour enfin évoluer
nce commune. A. Marie. BIBLIOGRAPHIE. 419 q X. L'Iiistabilité mentale , essai sur les données de la psycho-patho- logi
es, qui relè- vent de la seule psychologie. Telle est l'instabilité mentale qui ne sera pas considérée comme une forme larv
manente intervention d'une énergie psychique qui dirige l'évolution mentale . Chercher à expliquer par la biologie seule tou
arable de l'appétition et de la finalité. Mais dans cette évolution mentale , dans ce devenir mental, il se présente des solut
de la finalité. Mais dans cette évolution mentale, dans ce devenir mental , il se présente des solutions de continuité : n
te des solutions de continuité : non pas la véritable discontinuité mentale , qui ne saurait se produire, mais des solutions
ale ne présente pas toujours en effet la même activité : le devenir mental est constitué par une sorte de progression suiv
blissement de la vie psychique, mais non une suspension. Le travail mental ne peut se poursuivre uni- formément, l'attenti
s divers états tendent à la réalisation d'un système unique, la vie mentale est continue. Cette continuité psychologique
al une solution de continuité, elle est une véritable désagrégation mentale et entraîne comme conséquence l'automatisme des
tématiser et de faire durer les synthèses morales. La discontinuité mentale se mesure à la fré- quence des hiatus et à l'él
ude morbide de varier sans cesse constitue la véritable instabilité mentale . L'instabilité mentale se présente sous des for
s cesse constitue la véritable instabilité mentale. L'instabilité mentale se présente sous des formes variées. Elle peut
s. Elle peut être intellectuelle; sous l'action de la discontinuité mentale provoquant distraction et confusion, les apérce
thies. Ils sont, comme les autres, consécutifs à la discontinuité mentale qui a fait disparaître l'aperception nette de la
affective vient s'ajouter à l'instabilité pratique. Les troubles mentaux étudiés jusqu'ici ne doivent pas être con- sidé
té et l'attention peuvent faiblir, et peut apparaître l'instabilité mentale . L'épilepsie est encore une forme d'instabilité
est des hystéries larvées. La léthargie se produit quand l'activité mentale devient nulle en apparence, et il y a cata- lep
elève également de l'instabilité pathologique. De même la confusion mental ? , qui conduit à toutes les formes de l'aliéna
ou l'absence de but apparent, doit être identifiée à l'instabilité mentale . On pourrait croire à première vue que certaine
élire systématisé, l'extase, etc., ne relèvent pas de l'instabilité mentale . Il n'en est rien : si le monomane parait distr
nstabilité, et dans la démence, forme la plus grave de l'aliénation mentale , nous trouvons la discontinuité psychique la pl
colie et le délire systématisé. La femme présente moins d'énergie mentale , moins d'esprit systématique, moins de puissance
te de la psychologie normale, qui nous donnera la raison de devenir mental , il faut non seulement étudier les faits psychi
é qu'il faudra agir. Pourquoi n'existerait-il pas une thérapeutique mentale à côté de la thérapeutique du corps. Les plus g
plutôt l'irrita- bilité. On a fait des tentatives de thérapeutique mentale et on 1' : ). appliquée en particulier aux enfa
du corps ; c'est à elle qu'il appartient de prévenir l'irritabilité mentale . L'éducation telle qu'elle est comprise aujour-
it aller un peu loin, lorsqu'il essaie de rame- ner à l'instabilité mentale tous les troubles psycho-pathologiques; il exis
sont pas seulement de simultanéité. Les attributions des désordres mentaux suivant les âges est aussi critiquable. Chez le
d'accord avec l'auteur, c'est lorsqu'il nous parle de thérapeutique mentale , et qu'il expose les principes d'une pédagogie
issante, on n'observe que les épisodes caractéris- tiques de l'état mental des déséquilibrés ; mais dès que cette ré- sist
même, qui lentement, progressivement, provoque une prédis- position mentale . Les troubles psychiques succèdent à la longue
longue seulement apparaissent d'une manière insidieuse des troubles mentaux . La symptomatologie est à peu près la même dans
Paris, 1898. - Librairie G. basson. Duphat (G.-L.). L'instabilité mentale . (Essai sur les données de la ps\'c))o-j)aUio]o
Vol. VII. Juin 1899. No 42 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE . LE DÉLIRE SYSTÉMATIQUE PRIMITIF D'AUTO-ACCUSAT
ire d'auto-accusation n'est nullement caractéris- tique d'une forme mentale déterminée et peut se rencontrer dans bien des
urd'hui comme ARCIIIVES, 2° série, t. vII, 28 434 Il PATHOLOGIE MENTALE . atteints de mélancolie, mais sont classés à ju
Kraepelin. Compendium de psychiatrie. Schuele. Traité des maladies mentales . Marandon de Montyel. Aîin. médico- psych., 189
cine Charcol- l3ouclarcl. Séglas. Leçons cliniques sur les maladies mentales et nerveuses, et communications au Congrès d'An
tion de l'entourage ait été attirée sur l'existence d'une affection mentale avant l'appa- rition du délire. L'explication
ment déjà, ont pu présenter des signes divers de désé- quilibration mentale . Souvent même on retrouve chez eux certains tra
. Aussi pourrait-on presque dire que l'humilité du 436 PATHOLOGIE MENTALE . ' délire n'est qu'une étiquette trompeuse, qu'
ent la possibilité de leur existence. Lorsque l'on examine l'état mental sur lequel repose ce délire, on n'y retrouve au
ou suffisamment bien : et malgré tous ses efforts, 438 PATHOLOGIE MENTALE . il n'arrive pas à se maintenir au niveau d'un
ette analyse rétrospective, refait ainsi toute son 440 PATHOLOGIE MENTALE . existence dans le sens de ses convictions actu
cle, frère du père, a présenté également des symptômes d'aliénation mentale . Rien de particulier dans son enfance. Intellig
ui-même. Plus lard, il fit preuve d'un véritable état d'instabilité mentale , changeant de métiers sans motif sérieux, sans
f ne lui permet pas d'atteindre; malheureux de son 442 PATHOLOGIE MENTALE . , impuissance, qu'une certaine dose d'orgueil
ction considérée dans son ensemble et dans ses rapports avec l'état mental antérieur du sujet, le tableau clinique actuel,
N. 443 proques nous permettent de retrouver ici les traits fonda- mentaux de la folie systématique primitive. Seule, la for
lière, mais sous laquelle on retrouve néanmoins les traits fonda- mentaux et caractéristiques de cette affection. Quel es
permettent pas de l'affirmer catégorique- ment. 444 PATHOLOGIE MENTALE . II. Passons maintenant aux cas aigus. Si nou
lémique, il se trouva mêlé indirectement à cette 446 ' PATHOLOGIE MENTALE . affaire. Il n'avait rien à se reprocher pour s
preuve de son indignité, de son manque de coeur. Au point de vue mental , le délire ne s'est nullement modifié ; les idé
sitoirement chez les persé- cutés systématiques. 448 pathologie mentale . En règle générale, il n'y a ni dépression, ni
vantes, une amélioration progressive se manifeste dans les troubles mentaux , sans qu'ils aient d'ailleurs changé de caractè
n automatique du centre moyen) ; 3° Yaphasie optique ; 4° la cécité mentale . La même classification s'applique aux mutismes
tisme véritable est pour la plupart dû à Y arrêt de développement mental ; si l'intelligence est plus ou moins intacte, on
ologique, mais le plus souvent il est dû à l'arrêt de développement mental ou à l'aphasie motrice en voie de décroissance.
x lésions pathologiques du tissu célébrai en l'absence des troubles mentaux . C'est en seconde ligne seulement qu'il faut in
la santé de P... n'a cessé d'être excellente, tant au point de vue mental qu'au point de vue physique. Il a tra- vaillé a
et recevoir dans un service d'aliénés un homme exempt de troubles mentaux . Depuis nous n'avons plus eu aucune nouvelle de
par contre, de la voir se développer sur un fond de dégénérescence mentale du genre de celui qui existait chez notre malad
ractions nettement symptomatiques d'un état quelconque d'aliénation mentale et à faciliter la critique médico-légale des in
ifs consistent dans le développement de l'enseignement des maladies mentales permettant aux médecins de remplir auprès des t
'autre part, dans la comparaison de ce qui se passe au point de vue mental chez eux et chez leurs camarades n'ayant pas eu
en chacun de ces groupes a subi de réformes du fait de l'aliénation mentale , par conséquent comment il se comporte vis-a-vi
des travaux publics. Dans ce groupe on a réformé pour « aliénation mentale , paralysie géné- SOCIÉTÉS SAVANTES. 479 rai
p. 100. On réforme donc aux bataillons d'Afrique pour aliénation mentale en moyenne chaque année 0,8 d'homme pour 1.000.
t afférent aux trois groupes précédents, on voit que « l'aliénation mentale , la paralysie générale, l'idiotie » ont nécessi
l'on rapproche les résultats précédents, on voit que l'aliéna- tion mentale nécessite chaque année : 1.5 réforme dans les pri
'armée. Comment peut-on interpréter la prédominance de l'aliénation mentale dans les pri- sons et dans les corps d'épreuve
es catégories qui peut expliquer la prépondé- rance de l'aliénation mentale dans les prisons et corps d'épreuve, et voici s
sons cette opinion : En réalité, les manifestations du déséquilibre mental qui se pro- duisent dans l'armée peuvent être d
aliéné a été méconnu parce que les experts ont méconnu les troubles mentaux . Il en rapporte un cas au nom de M. Samuel Gar-
serait à désirer que tous aient des notions suffisantes de médecine mentale pour pouvoir constater l'anormalité psychique des
l soit bien facile de démontrer qu'ils étaient atteints de troubles mentaux antérieurement à leur condamnation. A mon sens,
mieux que les médecins les plus habitués aux choses de la médecine mentale éprouvent eux- mêmes quelque hésitation lorsqu'
tilité d'un enseignement plus approfondi des choses de l'aliénation mentale . M. DnoUINC : 1U. Il estévidemment utile que le
Ce qui importe surtout, c'est de vulgariser l'étude de l'aliénation mentale dans les Écoles de Médecine; en outre, l'expert
préalable avant l'incor- poration. La connaissance de l'aliénation mentale par les méde- cins militaires devraitétre plus
ter le voeu suivant : « 1° Que l'expertise médicale au point de vue mental soit organisée devant les tribunaux militaires
le l'est devant les tribunaux civils; 2° qu'en particulier l'examen mental de tout militaire, en prévention du conseil de
béciles, arriérés ou atteints d'imbécil- lité morale, d'instabilité mentale , etc. Il se bornera à prendre, dans la discussi
t d'un traitement médical appro- priés à leur situation physique et mentale et où leur état s'aggrave au lieu de s'améliore
et le voeu que les expertises médico-légales ayant trait à l'examen mental des inculpés soient toujours confiées à des méd
iguës de l'alcoolisme. M. Magnan. Le délire alcoolique est la forme mentale à laquelle convient le mieux le traitement par
amme des cours. Puis, M. Rey a donné le mouvement de l'alié- nation mentale dans les Bouches-du-Rhône. La population de son
à 3.000 francs. Chalopin a été arrêté. Il est atteint d'aliénation mentale . (Le Temps du 29 avril 1899.) - Des épileplique
Les persécutés, par Cololian, 42;). L' meurtrier, 431. Aliénation mentale . L' commen- çante, par Croohley Clapam, 224.
ébrale. Un caS d'anky- lose de la - -, par Popolf, 333. Confusion mentale . La -, par Gom- bault, 418. ' Congrès des ali
is cas d'impulsion chez des -, par Iscovesco, 216. Dégénérescence mentale . Etat nevro- pathique, appoint alcoolique, dé-
nsés. Les - au XM ? siècle, par Cossa et Mouton, 405. Instarilité mentale . L' - essai sur les données de la psycho-patho-
iologiqie, de la psy- chose - et de cet Unies formes de confusion mentale primitive, par Ballet et Famé, 310. Porencépi
6 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
NEUROLOGIE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES l'0\DI : L PAR J.-M. CIIAIICOT l'UI31lCE SOUS
RECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNA
- sement pendant l'hypnose. (À suiv ? ,e.) (A suivre.) CLINIQUE MENTALE . ASILE CLINIQUE (s AINTE- ANNE) . M. MAGNAN.
cueillie par M. le D' Pécharman. Archives, t. XXIX. 2 18 CLINIQUE MENTALE .. plus en plus étroite : Spirites ; mari et son
Elle est la victime de l'optimisme et il y a des opli- 20 CLINIQUE MENTALE . mistes partout; elle se plaint de faiblesses,
me Ch ? 53 ans. Pas d'antécédents héréditaires. Intégrité de l'état mental jusqu'à 39 ans. Première période dure 3 ans, de
qui ne laisse aucune trace après elle. Jusqu'en 1879, l'équilibre mental d'Augustine se maintient ainsi, ferme et parfai
nière avec une sorte de fronde qu'elle a fabriquée avec 22 CLINIQUE MENTALE . un fragment d'obus; elle gifle des gamins qui
ées de vengeance; dès qu'elle sera proclamée, elle fera 24 CLINIQUE MENTALE . passer la loi sur le divorce; fatiguée de vivr
ts chroniques marchent graduellement vers la démence. Leur niveau mental baisse peu à peu, leur activité intellectuelle se
ai d'atteindre en vous exposant dans les leçons prochaines l'état mental des dégénérés. LES DÉLIRES PLUS OU MOINS COHÉRE
Fritsch a désigné ces cas sous le nom de Verwirr- theit (confusion mentale ) et les a considérés comme tout à fait distinct
ceptions qui constituent l'autre partie du Moi : de là, un désordre mental évident, une incohé- rence intellectuelle inévi
s avec nuance maniaque ou amoeno-maniaque de l'humeur. La confusion mentale ainsi constituée est un symptôme de l'épilepsie
imoere, ce n'est pas de la Verrucktheit primoere. Si la con- fusion mentale hallucinatoire (hallucinalorische Verivirrlheit)
Verivirrlheit) ' Voir Archives de Neurologie, n" 94. 26 CLINIQUE MENTALE . présenteavec la primoere Yerrücktlteit ( Wahns
n évolution qui assez souvent aboutit à la guérison. La con- fusion mentale aiguë ainsi esquissée n'a donc rien à voir avec
ence, et elle en fait, sous la forme d'entité morbide, la confusion mentale hallu- cinatoire aiguë, tout à fait distincte d
une l'e ? -i-ùch-lheit ad libitum. Le chaos s'éclaire. La confusion mentale en question est un DE LA PARANOÏA. 27 délire
d'une grande partie des maîtres français, attribue à la dégénérence mentale une notable influence sur la forme des psychopa
, un hallucinalo- rischer Wahnsinn. Il rattache à la dégénérescence mentale une or'Moere Paranoïa, une paranoïa acquise tar
iatoire seraient, de même que la folie par obsessions, des maladies mentales dues à des névroses constitutionnelles. Le Wahn
allégories les sensations morbides qu'ils éprouvent. 28 CLINIQUE MENTALE . La Paranoia, au contraire, toujours d'après de
ion; c'est un délire peu cohérent; c'est l'analogue de la confusion mentale hallucinatoire aiguë, tandis que la folie systé
aux questions de doctrine basées sur la notion de la dégénérescence mentale et des névroses cons- titutionnelles nous en pa
que dans le délire systématique chronique, il s'effec- 30 CLINIQUE MENTALE . tue souvent des rémissions et des exacerbation
it, comme autant de modalités distinctes et séparées , la confusion mentale hallucinatoire (hallucinatorische Veiwiiilheil)
Wahnsinn hallucinatoire dans lequel il existe une grande confusion mentale , des hallucinations sensorielles abondantes et
le, ajoute-t-il,que, danslesdélires du collapsus. dans la confusion mentale hallucinatoire, et dans certaines formes du dél
des processus morbides analogues. La confusion DE LA PARANOÏA. 31 mentale (V erwirrtheit) produit rapidement un trouble pro
ion, sa terminaison favorable, ou son rapide passage à la confusion mentale (Verwirrtheit). La Verrùcktheit àe Kroepelin, c
ité, une interprétation pathologique et élaboration mor- 5 CLINIQUE MENTALE . bide des impressions externes et internes. Les
intes ; le raisonnement est avant tout insuffisant, et les facultés mentales sont dans un état d'infirmité qui préside à l'é
A la folie systéma- tique, rarement curable, il oppose la confusion mentale hallu- cinatoire aiguë (acule hallucinatorische
Verrùcktheit. Dans cette dernière, il s'agit d'un état de faiblesse mentale ayant pour symptômes cardinaux la démence accom
ive de folie systématique, dans le sens de Westphal. La confusion mentale hallucinatoire aiguë (acute hallucina- torische
ns les maladies cérébrales les fonctions troublées, qu'elles soient mentales ou physiques, doivent être im- médiatement attr
faces excitées. L'auteur rapporte un certain nombre de cas expéri- mentaux avec schémas à l'appui pour montrer quel secours
hermique ; par W. H. RILEY, B. S. M. D. (The Journal of nervous and mentale disease. Septembre 1894.) Ce travail très soign
hémorragies; par Ch.-L. 1)a ? IVI. D. (The Journal of nervous and mental diseuse, septembre 1894.) Dans bien des cas, il
roïde DU mouton; par Samuel AYREs M. D. (The Journal of nervous and mental Disease, août 1894.) Revue rapide de la théor
intéressant des progrès réalisés dans le traitement de l'aliénation mentale , depuis Pinel etEsquirol. L'auteur rappelle les
art et de ré- clamations processives qu'on a soupçonné l'aliénation mentale . Il n'a pas d'idées délirantes, ni en particuli
eux qui n'étaient pas atteints SOCIÉTÉS SAVANTES. 57 d'aliénation mentale . Dans ce vieux château à trois étages, cons- tr
eux qui dépassent quatre-vingts ans. L'an- née dernière, la science mentale perdait un de ses plus illustres adeptes, le Dr
venus dans leur état. Rien ne lui échappait, aussi bien dans l'état mental des malades que dans leur santé générale. Il s'
de son siège et de son influence sur la production de l'aliénation mentale . Thèse, 17 juin 1824 ; De la paralysie considér
puis trépané et guéri de son amnésie primitive. Il persiste un état mental curieux, consistant en une tendance à la répartie
sortir la loi, plus on retarde les admis- sions, moins l'aliénation mentale a de chances de guérison. En 1888 on a dû trait
e processive au rang d'espèce nette et bien définie de l'aliénation mentale , « c'est un accident important dans le domaine
tuelles », rien déplus. VARIA. 77 '1 Il y a dans l'espèce trouble mental partiel; c'est donc un conseil judiciaire ou un
Or, une interdiction n'est légitime que suivant le degré du trouble mental . Une maladie mentale partielle, fût-elle une fo
tout malade chez lequel le médecin établit l'existence de troubles mentaux partiels. L'interdiction est parfaitement justifi
pour cela il faut qu'ils déterminent, précisent, établissent l'état mental de la personne qu'ils examinent. Les preuves à
de la personne qu'ils examinent. Les preuves à l'appui de cet état mental sont nécessaires, or celles qu'ils apportent ic
capable de gérer ses affaires et d'exercer son jugement. Le trouble mental dont il est atteint n'a pas jusqu'ici dissocié
Caractère parfai- tement normal; intelligence intacte. L'origine mentale de ces troubles de la marche nous parait indisc
ntion d'une cause occasionnelle. Chez les neurasthéniques, l'état mental exerce, comme on sait, une grande influence sur
légèrement rhumatisant. Dans la famille, aucune maladie nerveuse ni mentale , pas de déformations congénitales ; tous ses pa
tard à nouveau, sous l'in- fluence d'un refroidissement. CLINIQUE MENTALE . LES DÉLIRES PLUS OU MOINS COHÉRENTS DÉSIGNÉS
t) elle-même n'est pas-toujours aisée à distinguer delà confusion mentale ( l'eriuirrlheit), parce que, parfois, pendant pl
même plusieurs mois, elle est entrecoupée d'une phase de confusion mentale hallucinatoire totale, d'agitation très vive, p
ve, phase passagère qui représente, symptomatiquement, la confusion mentale hallucinatoire aiguë. Notons cette opinion pers
e de l'agitation qui peut, à bon droit, s'ap- peler de la confusion mentale . Meynert, dans ses leçons cliniques sur la psyc
ôle, une confusion cérébrale qui est la Verrwirrtlieil ou confusion mentale . Le malade, incapable de fusionner les images d
ce, subit 1 Voir Archives de Neurologie, 11°' 91, Ou. 92 CLINIQUE MENTALE . les perceptions sans les comprendre. Les hallu
Les hallucinations n'ac- compagneraient pas forcément la confusion mentale (Ve2,ivoi- q,e7zhell. C'est l'illusion qui lui
térieur. Mais il ne faut pas oublier les cas complexes de confusion mentale (amentia) avec manie, ayant été précédée de fol
lie systématique (paranoïa) dans lesquels, ce syndrome de confusion mentale cédant de nouveau, on voit se produire la systé
reils cas, désignés sous le nom d'ameiata'a, c'est-à-dire confusion mentale , avec stupeur. Wille en a donné des exemples tr
caractérisée par ceci que, dans le cours de délires avec confusion mentale (verzuorrene .Ce/M'e) ou délires diffus, il exi
matique chronique. Ils montrent aussi l'association de la confusion mentale à ces deux aspects de la folie systématique et
ant les caractères différentiels. Mayser propose -pour la confusion mentale '{ Verwirrtheit), ou la folie systématique aigu
on morale, ni sans réllexion préalables, il ne tend pas 94 CLINIQUE MENTALE . à rien expliquer comme dans la mélancolie ou l
une allure extrêmement aiguë, fougueuse, et engendrer une confusion mentale (Verwirrtheit) secondaire par leur énorme abond
tes. Les conceptions délirantes dominent, sans opposition, la vie mentale du malade ; aucune conception contradictoire ne
tôme que nous avons l'habitude de désigner sous le nom de confusion mentale générale (Allqemeine Verwirr- theit), auquel se
uit du travail intellectuel, tombés en désuétude. Quand 96 CLINIQUE MENTALE . l'obnubilation de la conscience est légère, le
n de la conscience s'accompagner de phénomènes d'excitation d'ordre mental , tels que concep- tions délirantes et hallucina
et hallucinations. Dans l'immense majorité des cas, cette confusion mentale (ou somniation avec obnubilation de la conscien
u- rasthénie. Il va de soi que, dans tous les cas où la confusion mentale est la phase ou le stade d'une psychose complexe,
oïa aiguë hallucinatoire. M. Werner sépare tout à fait la confusion mentale aiguë (acute Verwirrrtheit amentia de Meynert)
ur les raisons suivantes. « Les symptômes cardinaux de la confusion mentale sont, comme son nom l'indique, l'incohé- rence
chronique simple, une folie systématique secondaire, une confusion mentale pour les uns, indépendante de ce genre de délires
plus souvent peu à peu. Elle se Archives, t. XXIX. 7 98 CLINIQUE MENTALE . montre exclusivement chez les héréditaires et
Verrucktheit. « Nous voici arrivé, dit M. Kirchhoff, à la confusion mentale llalluci- natoire (acute hallucinalorische l'e)
de manie; quand celles-ci passent à l'état chronique, la confusion mentale , géné- ralement produite dès le début par les h
ystématisée dans la Vej ? iielitlteil. La Verwirrtheit ou confusion mentale , quelles que soient son origine et ses relations
et c'est pourquoi les auteurs ont décrit des accès de ! 00 CLINIQUE MENTALE . confusion mentale qu'ils ont divisés en deux g
auteurs ont décrit des accès de ! 00 CLINIQUE MENTALE. confusion mentale qu'ils ont divisés en deux groupes : l'un, dans
on des hallucinations. Tel est l'essai analytique de la confusion mentale et de ses rela- tions avec la folie systématiqu
n dans tous les cas est le thème exposé par M. Ziehen. La confusion mentale paraît en fait un simple accident de la paranoï
la. L'amentia aciita aurait pour symptômes cardinaux : la confusion mentale [Verwirrtheit), des troubles de la sensibilité
nsidérable à la période d'acmé delà maladie. Du reste, la confusion mentale généralisée (All.- gemeine Verwirrtheit) se mon
és et au con- traire la dissociation parlée et agie de la confusion mentale . (A suivre.) PATHOLOGIE NERVEUSE. D'UNE FOR
une ma- lade à hérédité nerveuse chargée (névropathie, aliénation mentale ), ayant présenté une perte de connaissance hystér
une aberration et une cruauté qui ne peut qu'aggraver les désordres mentaux déjà existants. C'est aux mains des médecins qu
s comme les aliénés des déments aux yeux de la loi ? Si l'infirmité mentale du délinquatit-né était considérée comme une dé
ir comparaître devant les tribunaux des inculpés présentant un état mental douteux. Liemann, Kasper, Loran, Krafft-Ebing,
OEDÈME cérébral; par Georges-J. PRESTONM. D. (Journ. ofnervous and mental disease, août 1894.) L'oedème du cerveau suit l
omure et, depuis le 8 août 1893, elle n'a plus d'attaques. Son état mental s'est modifié; elle a récupéré la netteté et le
à suspendre l'opium, on constate de l'excitabilité, de la confusion mentale , de la pleurnicherie qui doivent être attribuées
ndant de reconnaître qu'à la période prodromique de toute maladie mentale , il y a un état sentimental particulier, mais il
oïa qu'il propose. Reste un point grave. Que penser de la confusion mentale (Ver- wirrtheit- amentia délire hallucinatoire
ptôme à tel autre. Ceci s'applique aussi bien au syndrome confusion mentale (Ver2viwzcngszustaad) aiguë des alcooliques qu'à
rien d'alcoolique. Evidemment le complexus morbide de la confusion mentale (amentia Verwirrtheit délire hallu- cinatoire)
huele, et Kroepelin attachent à chacun de ces mots, et la confusion mentale ou Verwirrtheit, ameuta de Meynert, Wille, Chas
evrions admettre une paranoïa hallucinatoire aiguë avec confu- sion mentale (Verwirrtheit) et une paronoïa hallucinatoire aig
(Verwirrtheit) et une paronoïa hallucinatoire aiguë sans confusion mentale . Il serait à désirer qu'on établit les élé- men
che Yerworrenlteit) de Fuerstner, elle-même adéquate à la confusion mentale ( Verwirrtheit), de Wille, etc. MVI. Jastrowitz
olie intellectuelle aiguë dans lesquels il n'y a guère de confusion mentale , que les hallucinations soient actives (ce qui es
mbres inférieurs et légère parésie des membres supérieurs, débilité mentale très légère entrecoupée par de légers accès d'exc
M. Motet eut l'occasion d'être chargé par un magistrat de l'examen mental d'un inculpé. Son rapport ayant donné pleine sa
-experts près les tribunaux et de la Cour d'appel pour les maladies mentales . M. Motet a suivi sa voie avec une énergie pati
que toutes les grandes affaires de médecine légale, en alié- nation mentale . Il nous a indiqué lui-même sa façon de procéder
ne indépendance absolue et de ne me préoccuper jamais que de l'état mental de l'individu que j'exa- minais. De toutes les
ralysie générale ci double forme (Congrès international de Médecine mentale , 1878), etc. BIBLIOGRAPHIE. IX. Eludé sur la
intellectuelle des âges extrêmes de la vie; soit par la dépression mentale et l'irritabilité nerveuse acquises par tous le
vement exécuté par M. Keraval.' FAITS DIVERS. Congrès DE médecine mentale ET nerveuse. Le sixième Congrès annuel des alié
x, sous la présidence de M. le Dr Joffroy, professeur de pathologie mentale à la Faculté de Médecine de Paris. Le program
roïde et goitre exophtalmique ; rapporteur, M. Brissaud. Pathologie mentale : les psychoses de la vieillesse ; rapporteur,
rs texte. Bruxelles, 1891. Imprimerie Ilayez. CONGRÈS DE MÉDECINE MENTALE DE CLERMONT-FERRAND , Errata DU ? 92. Page 34
1392 ; folie qui dure trente ans. Forme des rémissions : confusion mentale , comme on pouvait s'y attendre par la nature in
is une présomption seulement. En effet les prodromes des maladies mentales sont généralement très peu accusés et il faut un
provoqué, alors que cet acte a été commis en dehors de tout trouble mental . Il est constant, en effet, que la secousse mor
le crime et la crainte du châtiment peuvent déterminer l'aliénation mentale . C'est donc dans l'examen direct que nous avons
té appelée sur Maumy, l'envoie comme présumé atteint d'alié- nation mentale à l'infirmerie spéciale du Dépôt, où nous avons p
lté pour nous la conviction suivante : Maumy simule l'aliéna- tioji mentale avec une persévérance et une obstination peu comm
e immédiate de l'affec- tion et de procurer la guérison. CLINIQUE MENTALE . LES DÉLIRES PLUS OU MOINS COHÉRENTS DÉSIGNÉS S
oute ' Voir Archives de Neurologie, n°' 94, 95, z. , 188 CLINIQUE MENTALE . équivoque. Mais il nous paraît préférable de r
cktbeil, Paranoïa, Verwirrtheit désignent des variétés d'aliénation mentale , sans lésions, ayant pour élé- ment symptomatiq
ristallisée, diffusion des éléments de systématisation, confu- sion mentale complète quoique elle-même imprégnée de bribes
it de savoir si cette division est légitime, si la dégéné- rescence mentale joue un rôle dans les psychoses ? S'il y a une
les psychoses ? S'il y a une folie caractérisant la dégénérescence mentale ? S'il y a une folie systématique progressive à
génératif d'un délire chronique pur il faut envisager : < l'état mental du sujet, les syndromes épisodiques développés
mental du sujet, les syndromes épisodiques développés sur cet état mental , enfin l'évolution, l'allure particulière et le
Magnan concernant des faits exceptionnels (Christian) 190 CLINIQUE MENTALE . C'est aussi l'avis de M. Bail qui critique l'e
des dégénérés » méritent en effet, d'après lui, le nom de confusion mentale primitive. Il la définit : .« une forme de mala
oit être attribuée à l'épuisement rapide et brusque du 192 CLINIQUE MENTALE . système nerveux central (très souvent consécut
intoxication chronique. Elle me paraît mériter le nom de confusion mentale sous laquelle elle a été décrite en France, en
vations de Kahlbaum (catatonie cataleptiforme) sont de la confusion mentale ou Verwirrtheit. Il se réfère aussi aux travaux
matisés ayant pris naissance sur un terrain préparé, sur une unité mentale ayant subi préalablement des anomalies de dével
t Tonnini présentent la classification suivante : -. 194 CLINIQUE MENTALE . ' DE LA PARANOÏA. 195 quant à la paranoïa ai
ques, j'ai en vue : 40 d'appliquer à chaque forme de dérangement mental une dénomination définie; 2° de fournir une class
manières de voir. ' Kours psichiatrii. Moscou, 1893. 196 CLINIQUE MENTALE . PREMIÈRE CLASSE. DÉSORDRES PSYCHIQUES, SYMPT
ES, SYMPTOMATIQUES ET ÉPHÉMÈRES. DE LA PARANOÏA. 197 198 CLINIQUE MENTALE . - DE LA PARANOÏA. 199 Dans la grande majorit
nséquence, quand il débute, dans les premiers jours d'une confusion mentale asthénique, il est im- possible de dire si nous
'idées incorrectes; il en résulte des assemblages sem- 200 CLINIQUE MENTALE . blables à des idées fausses (superstitions, pr
u pour un état particulier pou- vant se joindre à diverses maladies mentales . Le dosage des éléments morbides qui nous occup
st par conséquent affirmé à chaque pas dans ce traité de pathologie mentale . La classifi- cation en représente nettement la
de par pendaison; par le D1' E. Régis, chargé du cours des maladies mentales à la Faculté de médecine de Bordeaux. (Ar- chiv
Je dois dire que cet événement n'eut aucune influence sur l'état mental du malade, dont le délire mélancolique et anxieux
tion était complète et les nerfs avaient été le REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 207 f siège d'un processus de régénération qui
de ruine avec des idées de culpabilité aux- 208 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . quelles vinrent s'ajouter des idées de non-exi
ici dans le sens de celui de « pathogénie n. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 209 Toutefois, M. Kovalewsky n'admet pas que l
es, et amélioration Archives, t. XXIX. 14 210 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . nette dans deux cas seulement. Jacobi confirme
galité ne portant que sur la partie antérieure. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 31l 1 En effet, dans la position naturelle des
cool, pouvait intervenir à son tour dans la production des troubles mentaux . L'alcool peut avoir terminé depuis long- temps
, faisant songer à un délire fébrile. Ce délire aigu avec confusion mentale , c'est la brusque intervention de l'auto- intox
délire à début brusque, apyrétique, à forme 12 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . maniaque, auquel conviendrait peut-être mieux
maniaque, auquel conviendrait peut-être mieux le nom de confu- sion mentale , n'était qu'un délire toxique secondaire à une lé
ace n'est plus dans un hôpital de traitement. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 213 II. L'édification de l'asile doit être dif
out en faveur de son hypothèse. On sait, en effet, que la confusion mentale , avec ou sans stupeur, accom- pagnée ou non d'h
rrhagique comme jouant le rôle de cause déterminante de l'affection mentale . Dans le premier cas, il s'agit d'une femme de
absurdes de satisfaction et de richesse. 214 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Cette malade qu'on aurait pu croire atteinte d
l'influence d'une prédisposition hérédilaire certaine, l'affection mentale a évolué prématurément vers la démence. E. B.
st peu active, le surmenage peu fréquent. E. B. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 218 XIV. NOTE SUR TROIS cas DE guérison, après
ces faits, dit M. Féré, c'est que le pro- 216 6 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . nostic des chocs moraux de l'enfance doit être
observations empruntées à la biblio- graphie. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 217 Conclusions : ioll y a folie induite qua
e jusqu'alors psychiquement saines; 2° la transmission d'un trouble mental par contagion est un phénomène relativement rar
stitue le principal facteur étiologique pour la genèse d'un trouble mental induit.; 6° les éléments étiologiques qui favor
brale) ; la ressemblance psychique avant la maladie ; l'harmonie mentale ; l'intimité de la vie en commun dans l'isolement
inée ; 7° le phénomène psychologique de l'implantation d'un trouble mental provient de l'imitation en vertu d'une impulsion
topsie nous fournira la certitude. P. K. 218 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XXI. LES hallucinations ET LE dédoublement DE
ombre de ces persécutés n'en ont même jamais. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 219 C. A côté de la forme précédente à laquell
la base fondamentale de la personnalité. 220 0 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . A mesure que la maladie progresse, les trouble
aire de leur demander un avis. M. Garnier appelé à constater l'état mental d'un sieur B..., inculpé de tentative de meurtr
endit, sans hésitation, une ordonnance de non-lieu basée sur l'état mental de B... ; celui-ci fut placé dans un asile. Jus
e de cet interrogatoire, commit le D''Magnan pour examiner son état mental . L'éminent aliéniste de Sainte-Anne conclut que
i a affirmé qu'au- cun des hommes de l'art appelé à examiner l'état mental de l'in- terné n'était allé jusqu'à dire affirm
ersistent à vouloir tran- cher eux-mêmes les questions d'aliénation mentale au lieu de conformer leurs décisions aux avis m
rapporteurs. M. Beyer. Contribution à la pathologie de la confusion mentale (Vg)'tt)on'Ë ? t6t<) hallucinatoire aiguë. C
ar rapport aux autres modalités morbides, d'en séparer la confusion mentale . (Vermorrtheit) symptomatique et de traiter de
chapitres : épilepsie,' alcoolisme, etc. Sous le titre de confusion mentale (Verwirrtheit) idiopathique, ou amentict au sens
c'est-à-dire à un age de la vie où la forme typique de la confusion mentale (Ve7,wo7-i-enheit) parait manquer. On ne constate
ines. Tous les symptômes sont moins prononcés que dans la confusion mentale (Verworrenheit) typique. De temps en temps les
De temps en temps les hallucinations font défaut, mais la confusion mentale (Verwirrtheit) subsiste; fréquemment les malade
sixième et la huitième semaine qui suit l'explosion de la confusion mentale (Verwirrtheit). Diagnostic différentiel. On c
folie systématique aiguë (paranoia acuia) que dans la confu- sion mentale (Yerworrenlceil). On ne saurait penser à une fo
dont il a été question. Comment distinguer cette forme de confusion mentale halluci- natoire aiguë de celle qui a été décri
s pour décider de la justifi- cation de l'existence de la confusion mentale hallucinatoire aiguë de ménopause, ainsi que de
s, il est plus malaisé d'établir le diagnostic. Dans la confusion mentale idéopathique ou amenda, le rôle proéminent des
le une observation d'urémie suraiguë caractérisée par une contusion mentale grave avec hallucinations terrifiantes, agitati
ssi bien dans la mélancolie que dans les autres formes d'aliénation mentale . Suivant que ces idées délirantes seront ou non
tion, dans la folie systématisée hypocondriaque et dans la débilité mentale , où il se montre encore plus ou moins systémati
ilité, dans les lésions cérébrales circonscrites, dans la confusion mentale primitive, le délire fébrile, l'alcoolisme, la
stématisés, lesquels peuvent se rencontrer dans d'autres affections mentales que la mélancolie. * Les idées de négation, d
Pierret et dans les nombreux travaux de ses élèves. L'aliénation mentale est une maladie du corps et non une maladie de
s somatiques les symptômes intellectuels Envi- sager les phénomènes mentaux en dehors de tous les autres signes organiques
vue physique, délaissant presque complètement la forme d'aliénation mentale . De cette recherche découle le traitement; et l
es agrandir, cela tient, non pas à la pro- gression de l'aliénation mentale , mais à ce que les malades affluent dans les as
inscriptions, et voulant se consacrer à la spécialité des maladies mentales , 1,200 fr. par an et les avantages en nature.
e permet d'affirmer ou non la fin d'une série d'accès ou de trouble mental consécutif. Chaque fois qu'un épileptique est e
est des accès isolés et des accès sériels qui entraînent un trouble mental consécutif d'une durée et d'une intensité va- r
velles crises survenaient dans le premier cas, ici c'est le trouble mental qui s'établit. La langue devrait donc rester da
C'est ce que l'on constate invariablement; tant que dure le trouble mental , l'état saburral persiste et il augmente s'il d
nce à devenir meilleure, et c'est l'indice certain que le trouble mental touche à sa fin. Chaque jour la langue se rapproc
e quelle que soit sa nature ou sa forme, vertiges, accès, trouble mental ou accidents larvés, est annoncée et accompagnée
, tantôt avant l'accès, tantôt pendant la série, pendant le trouble mental et, enfin, quand les accidents viennent de disp
ielle. Jamais ils ne manquent, pen- dan t toute la durée du trouble mental , augmentant si un nouvel accès doit survenir, e
e lorsque la série est réellement achevée. - Au Congrès de~médecine mentale tenu en août 1893, à la Rochelle, la question d
eille et celles du sommeil. Or, chez les 1 Voir Congrès de médecine mentale à La Rochelle, 1893. Jules. Voisin et Raymond P
a totalité des'vingt-quatre heures. En outre, lorsqu'il y a trouble mental consécutif aux accès ou agitation maniaque, le
a inversion des phosphates. (Analyse suivante). , 274 CLINIQUE j MENTALE . se,présente,sous,forme d'un magma ou dune poud
4 1 ? j , .4 , 1 ? , é 1 1 Il 1 1 1 J, , 1 , e i lm) r,j .CLINIQUE- MENTALE ^ . 1 t ? i-ia I.. i i - 1 , 1 h » ..., , ,i .
lie aiguë (Parchappe), syndrome épisodique de la dégénéres- cence mentale . Ce n'est pas que ces vocables résolvent la que
, quia pour caractère apparent une manifestation symp- 276 CLINIQUE MENTALE . tomalique suraiguë.' Nous y rencontrons un nou
ouvel élément, sous la donnée, qui n'est pas neuve, de la confusion mentale plus ou moins vive; ou Verwirrtheit.' Qu'il s'a
e la folie systématique moins cohérente (Wahnsinn); de la confusion mentale (Verwirrtheit). Ces symptômes sont : les idées
rvir de boussole pour distinguer DE LA PARANOÏA. 277 la confusion mentale (Verwirrtheit. amentia) des deux autres types,
tion) dans les deux autres, et que, si, sous le nom de confu- sion mentale primitive (Chasiinj, elle semble réaliser une ma-
ion mentale primitive (Chasiinj, elle semble réaliser une ma- ladie mentale indépendante, on ne tarde pas à reconnaître que
L'étiologie est elle-même en défaut, car il n'est pas de ma- ladie mentale dans laquelle on n'ait constaté les causes de d
et psychique que l'on accuse d'être les créatrices de la confusion mentale , par exemple. Toutefois, il paraît légitime de
nsécutif à cette altération intellectuelle; 3° un élat de confusion mentale susceptible aussi bien de se montrer seul que s
omine, et, avec elle, le plus ordinairement déjà, ij2.18 8 CLINIQUE MENTALE . .,une incohérence obnubilant'la conscience, au
ant'la conscience, au plus 'haut point tttroublée dans la,confusion mentale (Verwirrtheit). bnw )b4 ,1-e, Parallèlement ? 1
ière- enfance ; s elles ont, créé unjétattmental spécial..Cet, état mental ( est-il grossier et témoigne-t-il d'un arrêt de
ne-t-il d'un arrêt de, développement, ili s'a'p- 8, pelle débilité, mentale , imbécillité, idiotie;. est"-ilpsychopa- thique
ité, idiotie;. est"-ilpsychopa- thique, il devient de l'instabilité mentale , deladésequi)ibra- tion intellectuelle, on alor
es, ou, svndrômes, épiso- - , diques,"sôrtes ,d'accès d'ali;énâtiôn mentale à, modalités (fort variables, comprenant l'obse
la paranoïa aiguë, en un mot, compliquée, . au besoin, de confusion mentale aiguë hallucinatoire. Le délire chronique,, au
,lidiq'uez par exemple : épi- sode syndromique de la/dégénérescence mentale ;ou, rentrant - ).dans le cadrer,de Chaslin : =c
nce mentale;ou, rentrant - ).dans le cadrer,de Chaslin : =confusion mentale .-aiguë) primitive. » ' Si 'vous' êtes^én'"1 pr
aigu que l'on paraît vou- loir aujourd'hui rattacher à la confusion mentale et'dont on repousse l'origine' microbienne' prô
iner'la notion du délire chronique de Magnan ? " " ' ' 280 CLINIQUE MENTALE . .L'étude de la bibliographie démontre que les
ve (acide p)'z;KOE;'e Yezwücktheit) de ? estpbal et de la confusion mentale hallucinatoire (hatlucinatorische Ve7-ivi ? ,i,-
ttachables à celles-ci, tandis qu'il place dans les dégénérescences mentales justement les formes chroniques, c'est-à- dire
ieurs années, et ne se construit pas sur un, fond de dégénérescence mentale , mais la marche en est très variable. L'évolu
, conformément à la théorie de Magnan, ne rattache pas la confusion mentale au délire des héréditaires dégénérés, et suit e
lin), un trouble partiel de la conscience ou une espèce d'infirmité mentale empêchant le malade de recti- fier ses erreurs
a forme aiguë : Elle serait au demeurant la Verwirrtheit (confusion mentale ) susceptible d'apparaître aussi dans la folie-
allucina- toire (hallucinaloî,ischeî, Wa ? ? si21n) de la confusion mentale hallucinatoire (hallucinalorische Ver2virrtheit
s systématiques diffuses (Scholz), ou, suivant le cas, de confusion mentale générale (allgemeine Verwirrtheit). La même c
ion mentale générale (allgemeine Verwirrtheit). La même confusion mentale généralisée est, ajoutent-ils, capable de se pr
ormes aiguës' de trouble paranoïque fquand il dit que'la'confusion' mentale ,' tantôt' épisddiqué, tan- " tôt à l'état d'acc
le délire aigu, c'est de la veî,2,iiektheit primcere avec confusion mentale (verwirrtheit) intercurrente. Il en, résulte qu
ou Verrùcktheit aboutira la genèse classique du syndrome confusion mentale ( Tjerzvirrtheit). On nous accordera volontiers
on éclectique, ,en, attendant qu'on .),ait appliqué à la pathologie mentale , le. principe, de. la subor- dination des, cara
ie correspo,ndant,à,,la,,vâriété.desllésiols., Depuis, 284 CLINIQUE mentale . on a pu déterminer cliniquement et microscopiq
nde M. Cramer, un groupe paranoïa, qui embrasse toutes les maladies mentales à idées- systématisées, plus ou moms coordonnée
qui permettent de distinguer le groupe paranoïa des autres maladies mentales . S'il est accordé que, de même que le mal de Br
s sans intérêt de séparer nettement la paranoïa des autres maladies mentales de môme que la pléiade symptomatique du mal de
tes d'un système mieux coordonné imputable soit à la dégénérescence mentale , soit à toute autre cause, il y a souvent matiè
il faut encore faire la part de l'hérédité ou de la dégénérescence mentale , suivant les goûts. Cette part peut se faire as
ceux qui tiennent le délirium tremens subaigu pour de la confusion mentale et le délirium tremens grave pour une forme sur
e et le délirium tremens grave pour une forme suraiguë de confusion mentale . On peut accuser de ces derniers phénomènes les
) ou que le délire aigu, expres- sion la plus aiguë de la confusion mentale ou paranoïa aiguë, est fonction d'une lésion or
me que de celles de la manie et de la mélancolie. 386 t» CLINIQUE.} MENTALE .* r De même, également que les maladies ordinai
manie furieuse, qu'il n'est guère facile de séparer de la confusion mentale (Vecve) ? dit encore que les cas les plus carac
secondaires,' tandis que la mé'21 lancolie et la' manie; affections mentales caractérisées par des* ° anomalies de'l'humeur;
tes' et lucmatioiis.1'' ' '" '' "'constantes. ' ? '' 288 CLINIQUE MENTALE . PARANOÏAS .mélancolie manie Fureur raisonnée
s : PSYCHOSES FONCTIONNELLES SIMPLES. (3 GROUPES.) 290 CLINIQUE MENTALE . BIBLIOGRAPHIE. «ESTPIL1L. Allgemeine Zeitsch
p. 65. MoREL. Etudes cliniques, 1852. MOREL. Traité des maladies mentales , 1860. Fo1'ILLE. Elude clinique sur la folie av
MARANDON DE 111OTYEL. - Ibid., II, p. 261. CIIASLLN . La confusion mentale primitive. (Annales médico- psycholog., série ]
p. 169, et mars, p. 305.) DAGONET. De la stupeur dans les maladies mentales . (Annales médico-psychologiq., 1872, t. VII, p.
nées en s'affaiblissant de plus en plus au point de vue physique et mental . A l'autopsie, on trouva une tumeur occupant l'
vicale, on voit les racines antérieures se réu- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 309 nir en trousseaux compacts dans l'intérieu
ter une autre affection. Figures. P. Keraval. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXII. Les états affectifs ET la mémoire; leçon
ns que M. Ribot essaye de résoudre. Il y a 310 REVUE 'DE PATHOLOGIE MENTALE ? deux formes distinctes'de mémoire : la mémoir
R DES, signes DE dégénérescence ' ' DANS. D'ÉTUDE D E,s' 1 maladies mentales ; par e')) j\ 1ECEE.y., 1 . . ' Les stigmates mo
igmates.pourront fournir .quelque indice, quel- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE , i 311 que appui au diagnostic : un homme qui p
dégénérescence sera toujours suspect pour ce qui concerne son état mental , nerveux ou moral; il pourra devenir plus facile-
iaire ou d'erreur dans le diagnostic et dans le pronostic de l'état mental et moral des malades. (The alie- nist and 22eu7
cessairement contaminés, et l'on peut dire, 312 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ' tout au moins, que pour produire leurs'néfas
ée, s'il a une tendance aux mala- dies nerveuses et à l'instabilité mentale ; il en est de même de la bière, du vin; du thé
ducation est un puissant moyen de traitement de l'affaiblis- sement mental ou moral; quelques enfants, il est vrai, malgré l
ue et auatomo-pathologique des troubles va : o- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 313 moteurs et trophiques qu'on observe aux di
merican jozt;-nai of insaiiity, 1894.) , t E. B. XXVII. CONFUSION mentale ; par le Dr `VOIlCESTER. r L'auteur en donne ave
énérale, sans trouble émotionnel, avec abattement marqué du pouvoir mental , accompagné souvent d'hallucinations et d'excit
us les autres troubles men- taux sont subordonnés, est la confusion mentale , l'égarement : il existe un affaissement de l'a
de manie devraient, d'après l'auteur, être rapportés à la confusion mentale . Il y a, du reste, deux sortes de cas où on peu
itable affaissement de l'intelligence, ce sont les cas de confusion mentale .- Il existe de même' une distinction nette' ent
de même' une distinction nette' entre la mélancolie et la confusion mentale : le désordre mental dans la mélancolie est pri-'
on nette' entre la mélancolie et la confusion mentale : le désordre mental dans la mélancolie est pri-' mitivement émotion
de la plu-1 part des facultés intellectuelles; lorsque la confusion mentale revêt une forme mélancolique, c'estàla suite d'
mélancolie avec stupeur ne sont en réalité que des cas de confusion mentale . * En somme, sous le nom de confusion mentale,'
des cas de confusion mentale. * En somme, sous le nom de confusion mentale ,' l'auteur décrit un' groupe de symptômes qui p
anition, par exemple, présentent parfois les signes de la confusion mentale ; mais l'en- semble symptomatique de la confusio
confusion mentale; mais l'en- semble symptomatique de la confusion mentale est assez net pour' en faire une entité morbide
des tlSSUS...'IW r c ,' là,. j 1> N 4 ( ? j REVUE,DE PATHOLOGIE MENTALE . t 315 ,Chaque individu naît avec une certaine
nque de coordination dans les manifestations de toutes les facultés mentales . L'auteur, à ce propos, passe ensuite en revue
st une étude intéressante pour le médecin; et la folie, la débilité mentale se rencontrent si fré-- quemment chez lui qu'il
nière générale;'ce ' sont des types simples de>folie; le trouble mental le plus commun est une forme tranquille, subaigûë
e, et souvent est associée'à.un arrêt de. développement physique ou mental : ' ' - "Ce qui : rend ces aliénés' criminels '
tion et l'intempérance. »' *-'> ' 1- j 1 316 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Mais que faire de ces aliénés criminels, au bo
place'en prison, le régime'cellulaire affaiblit encore leur pouvoir mental ; mis en liberté, ils deviennent des réci- divis
f insa- ,nity, 1894.) E. B. XXX. Jurys d'examen pour l'aliénation mentale ; par le Dr Stearus. Les conclusions de l'auteur
vices que pourront rendre les con-' seils déjuges pour l'aliénation mentale . (American journal of insa-' azity, 1894.) E. B
e malade ne trouve plus sa chambre), perte de la mémoire, confusion mentale , désordre dans les idées, em- barras de la paro
, l'attention sur les malades atteints de la plus extrême confusion mentale en parlant (Verwirrtheit irn Retleil) avec parf
te dissociation dans le discours ne correspond point à la confuston mentale vraie, au désordre des actes et des idées. Elle
de suicide ou de, mutilation. Comme dans la plupart des affections mentales puerpérales, elle présentait la complication sy
alheureuse femme, qui ne jouit plus de la plénitude de ses facultés mentales , s'est jetée dans le puits d'où elle a été retiré
rican Journal of lhe Médical Sciences. CHASUX (PU-). La confusion mentale primitive (stupidité, démence aigué, stupeur pr
Leçons sur l'hystérie, 1891, t. I, p. 98. 2 Pierre Janet. Stigmates mentaux des hystériques, 1893, p. 73. ' Sigm. Freud. Pa
forme hystérique. Les idées fixes constituent dans la pathologie mentale un véritable chaos, et la plupart des classificat
el également .. ' ' 0 ? tl,·rq 1 Op. cil., p. 1't(i, et Stigmates mentaux des hystériques, p. 76. , 2 Op. cit., p. 115. 5
51-il~ôr . noimiiqt Il ajoute que pendant l'agitation et le trouble mental , la . " * *- . r ,)< ? < T-.1R 't)'< ?
es moteurs du côté des or- ganes de la phonation et de la confusion mentale . Troubles de la H ! o< ! 7<<e. Des tro
mais les régions anesthésiées persistèrent et ont persisté. Etat mental du blessé.-Pendant les quinze premiersjours, asso
ge, le vert et le bleu). Le blessé est devenu très gras. Son état mental présentait quelques particularités intéressantes
e l'ennuyer REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 385 pour cela. Cet état mental s'accuse de plus en plus, d'abord il n'y avait
ans, morte à Charing Cross Hospital. " ' ' 388 .REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . . La moelle entière fut examinée ; d'après les
une origine vasculaire et interstitielle. A. M. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXXII. La perversion DE la sensation sexuelle ;
ous le double point de vue moral et physique, - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 389 comme objet de p ! aisir sexuel. Il est do
uteur conclut à l'hystérie. P. K. XXXIV. DES formes DE l'aliénation mentale QUI ONT déterminé LES procès DE sorcellerie; pa
victimes et les auteurs des procès de sorcellerie. Quelles maladies mentales ont occasionné les procès des sorciers. Voyons le
uicide ; il y a d'autres mélancoliques con- 390 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . damnées pour accointance avec le diable et que
ions, la plupart avec autopsies. Analyse de l'ensemble des maladies mentales étu- diées à l'asile de Lappviks de 1875-1892,
nature syphilitique spécifique. - P. IERAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . - 391 XXXVI. Contribution A la PSYCHOLOGIE DE
ne névrose; l'amoureux, un dégénéré. , .. 392 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 3° L'homosexualité. En tous temps et chez tous
rleur propresexe. Un bel homme fait à l'urninge REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 393 le même effet psychique et physique qu'une
les de se modifier. P. Keraval. XXXVII. INFLUENCE DE l'aliénation mentale sur LE ùI0LIiEN mens- TRUEL; par A. Scuoefer. (
de vue 263 aliénées se répartissant en : 394 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . choses intellectuelles aiguës et des psychoses
du maximum vespéral et apparition de nombreuses REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 395 ascensions accessoires, notamment forte ex
rande incohérence, peut-être aussi des maintes formes de débilité mentale congénitale et acquise ; 10° différences hémilaté
x magistrats, sinon une compétence absolue en matière de maladies mentales , du moins le pouvoir de libérer d'office des mala
démontrer l'incompétence de la magistrature en matière d'aliénation mentale . Nous pourrions ensuite, ajoute-t-il, faire un
ui doit revenir au magistrat seul. Supposez qu'au lieu d'aliénation mentale , il s'agisse d'un traumastisme et vous comprendre
intérêts généraux en matière d'interdiction pour cause d'aliénation mentale , ne jugea pas à propos de provoquer un jugement
XIX. 26 402 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. LIEBiANN. Cleorée et aliénation mentale . M. TnoMSEN. Elude clinique sur l'obsession. Ci
ychiat., LI, 3.) P. KERAVAL. BIBLIOGRAPHIE. XVIII. La Confusion mentale primitive ; par le Dr Chaslin. Paris, 1895; Ass
. Le Dr Ph. Chaslin vient de publier sous le titre : La Confusion mentale , une monographie des plus intéressantes, qui ne p
on des médecins qui se livrent spécialement 'à l'étude des maladies mentales . Ce travail a nécessité de la part de l'auteur
n est entourée. - La stupeur, démence aiguë d'Esquirol, « confusion mentale », constitué en effet une des formes complexes
riables, mais reposant en définitive sur un même état, la confusion mentale , c'est-à-dire l'affaiblissement plus ou moins d
l on retrouve des symptômes souvent caractéristiques de l'affection mentale antérieure; la confu- sion mentale détermine en
caractéristiques de l'affection mentale antérieure; la confu- sion mentale détermine en outre dans le système nerveux des
verses intoxications, etc., reposant sur le même fond, la confusion mentale , l'obscurcissement intellectuel et l'automatisme
cine (mai et juin 189). Ce der- nier auteur distingue une confusion mentale secondaire, une symptomatique, une autre épisod
elle le symptôme psychique prédominant et primitif est la confusion mentale , idiopathique dans un cas, symptomatique dans l
expose d'une ma- nière succincte la symplomatologie de la confusion mentale primi- tive idiopathique. L'attitude du malade
les autres formes d'aulres particularités, tantôt, c'est le trouble mental qui prédomine dans le tableau clinique, la conf
nitive le symptôme confusion se présente dans une série de troubles mentaux les plus différents. 11 peut se présenter primi
aux aliénés ; par Samuel-B. LyoN M. D. (The Jouî-n. of neruous and mental diseases, août 1894.) J.-B. C. XI. L'ENSEIGNE
d'une force et d'une hauteur variables selon la nature des maladies mentales hospitalisées dans les sections, sera planté d'
lades tous les après-midi et les promener au dehors quand leur état mental le permet; je considère ces relations fréquente
issance à l'épi- lepsie, et l'on verrait ensuite paraître les états mentaux , les vésanies, l'idiotie, et finalement comme d
1884). » Jules Voisin. L'idiotie (1893). 0 Echeverria. Journal o/ mental science, october 1880. 438 PHYSIOLOGIE patholog
té maternel est plus fréquente, comme cela existe pour les maladies mentales . D'ailleurs, les expériences de Brown-Séquard '
es rendus, mars 1882.) * Luciani. Archivio italiano per le maieilie mentale , p. 208, 1881. * Voir A. Voisin. De la consangu
l'ivresse au moment du coït sur le produit de la conception. L'état mental des parents au moment de la conception joue du
u moins longtemps, et qui peut être suivie d'une période de trouble mental ou d'agitation d'une durée variable. Mais, quan
s où les attaques se présentent en série et sont suivies de trouble mental , de folie épileptique. Pendant tout le temps qu
ie pourront varier, les accès remplaceront les verliges, le trouble mental succédera aux accès, il y aura de l'agitation,
icité persiste pen- dant toute la durée des accidents convulsifs ou mentaux . Au contraire, l'urine qui est émise après la f
état saburral commence à dispa- ' Jules Voisin. Congrès de médecine mentale , La Roclielle, 1893. Archives, t. XXIX. 29 45
présenter de délire, d'autres, au contraire, présentent du trouble mental et de l'ivresse, après l'absorption d'une très mi
s expériences au point de vue théra- peutique surtout en pathologie mentale . Cependant, il faut se défier, car certaines pa
rie. Dr L.-R. Régnier. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. XIV. LES symptômes mentaux DU MYXOEDÈME ET l'influence exercée sur eux par
par LE traitement thyroïdien; par T.-S. CLOUSTON. (Tite Journal of mental Science, janvier 1894.) Après avoir rappelé la
nvier 1894.) Après avoir rappelé la grande variabilité des troubles mentaux qui accompagnent le myxoedème l'auteur indique
e, dans les cas qu'il a observés, la marche générale de l'affection mentale a été à peu près la suivante : d'abord ralentis
tude, hébétude, aboutissant au moment de la mort à l'anéantissement mental . En ce qui louche le traitement thyroïdien l'au
t administré, la maladie datait de cinq ans au moins : les troubles mentaux suffisamment caracté- risés pour constituer la
ure et dimi- nution du poids. Chez toutes deux aussi l'amélioration mentale fut manifeste avant la fin du premier mois. Apr
nt à interpréter la manière dont le myxoe- dème agit sur l'activité mentale de l'écorce cérébrale ne pourra être considérée
tient pas- compte de la merveilleuse accélération du développement mental et trophique qui succède à l'emploi de la médic
s du chanvre ET la folie ; par J.-H. TULL Walsii. (1'Ize Journal of mental Science, janvier 1894.) Les conclusions de l'au
diopathique ou hystéro-épilepsie), par la puissance de l'impression mentale produite sur le malade : cette vérité est depui
TS DE l'alimentation thyroïdienne DANS QUELQUES FORMES D'ALIÉNATION MENTALE ; par LE'1S-C. PRUCE. . (Tlae Jo2clnal of mental
ORMES D'ALIÉNATION MENTALE; par LE'1S-C. PRUCE. . (Tlae Jo2clnal of mental science, janvier 1895.) Les conclusions de l'au
des prépa- rations thyroïdiennes dans le traitement de l'aliénation mentale présente un certain danger par suite de la faib
st enrichi d'un nouveau et précieux moyen de combattre l'aliénation mentale . R. DE MUSGRA\E CLAY. XXI. DE l'importance DE
: à savoir que l'auteur range dans le cadre de la dégénérescence mentale caractérisée essentiellement par la « convulsibil
e fait, que dans la plupart des universités, l'étude des ma- ladies mentales est obligatoire. Telle est en peu de mots la su
huit années, le Dr Hack Tuke se chargea de l'édition du Joui-nal of mental science, et il ne recula devant .au- cune fatig
Les services des asiles sont, à toule heure, la scène d'un conflit mental ; d'une part, l'usure atroce, la détérioration fai
ou indifférentu de l'esprit sain sur l'esprit malade. Des désordres mentaux ou physiques ne sont pas rares dans le per- son
t rétablissement, tant au point de vue physique, qu'au point de vue mental et moral : moins de médicaments mais une meille
suite au rapport de Francis Warner sur les conditions physiques et mentales des enfants des écoles. Sur 50,000 enfants ayan
coles de 1892 à 1894, 101 ont été reconnus «arriérés » par débilité mentale congénitale. Mais, en outre, si l'on compte les
des enfants et de les classer par un examen approfondi physique et mental . L'état de la nutrition générale et l'hygiène a
LES endroits qui CONVIENNENT le mieux au traitement DE l'aliénation mentale ; parjosephj. O'Go.4- NELL. (The New-York Médica
tion de l' -, par Smith, 225. Aliénation, jury d'examen pour 1' mentale , par Stearns, 316. Aliénés, progrès dans les so
les bains élec- trcstattyues, llar Réânier, 380; - et aliénation mentale , par Lieb- mann, 402. Cliniques psychiatrique
: d'épileptiques en Angleterre, par A. Marie, 157. 0 Confusion mentale hallucinatoire aigué, par Iluyer, 230; - par
s de la -, par Ribot, 309. Menstruel, influence de l'aliénation mentale sur le molimeu -, par Sclioeffer, 393. · "' ^
par la glande thy- roïde de mouton, par Ayres, 43 ; les symptômes mentaux du et l'influence exercée sur eux par le trai
de Berlin, par Iieraval, 137. Sorcellerie, formes d'aliénation mentale qui ont déterminé les procès de -, 1ar Snell, 3
7 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ES DE Il NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondiïiï par J.-M. CHARCOT PUH A. JOFFROY
CHARCOT PUH A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales a la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNA
bout des pieds'; des mouvements correspondants à la représentation mentale voulue. En appréciant ce nouveau traitement de
. 1n-4° de 82 pages. FAURE (E.). Dit sérum artificiel en aliénation mentale . In-4° de 114 pages. Guérinot (A.). Recherches
de médecine a tenu, en effet à assurer l'enseignement des maladies mentales par la création d'une cli- nique spéciale. Sur
sent. Grâce à cette décentralisation de l'enseignement des maladies mentales , chaque province bénéficie de l'activité d'un c
ongtemps on s'est préoccupé de l'enseignement clinique des maladies mentales dans les universités allemandes. Cinq universit
l'histoire du développement de l'enseignement clinique des maladies mentales dans les universités allemandes : l'une antérie
dans lesquelles était donné jusqu'alors l'enseignement des maladies mentales . A l'époque où Griesinger commença d'exposer se
nieke, Kraepelin, Ziehen. 2 La création de la clinique des maladies mentales à la faculté de Paris ne remonte âu8re au delà
chiffre aussi considérable (cent) d'aliénés. » (Traité des maladies mentales , p. 578.) . Un pavillon spécial avec salle de s
'. Pourquoi faut-il que, si fréquemment, l'histoire de la médecine mentale nous montre les réformes réclamées par les maît
e la maladie que dans la première. » (Esquirol. Traité des maladies mentales , 1.11, p. 404. Paris, 1838.) ' Griesinger. Weit
ue, montre par le fait même qu'il tient l'enseignement des maladies mentales pour peu important et l'étudiant, par suite, es
et aux magistrats des médecins ayant quelques notions des maladies mentales . 2° La clinique de psychiatrie doit être assimi
onséquence la fondation d'établissements de traitement des maladies mentales . Combattus avec âpreté par la plupart des alién
ions (1894-99), sur le repos au lit dans le traitement des maladies mentales , n'hésitant pas à affirmer que ce procédé était
Il oct. 1899. Travail et alitement dans le traitement des maladies mentales . Arch. Neurologie, déc. 1899. 40 . - ENSEIGNE
. Arch. Neurologie, déc. 1899. 40 . - ENSEIGNEMENT. - symptômes mentaux bénéficient largement du repos. Citons rapi- de
re de l'importance des ' Voir le Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, n, 85, juin 1897, p. 144, et tirag
ses conférences. Il possède aussi la plupart des types des maladies mentales et nerveuses et sa collection s'en- richit tous
faisant fonction de cliniques psychiatriques. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . I. Quelques remarques nouvelles sur les rappor
les rapports du diabète (y compris la glycosurie) avec l'aliénation mentale ; par Hubert- C. Bond. ( ? 71e Journal of Menta
avec l'aliénation mentale ; par Hubert- C. Bond. ( ? 71e Journal of Mental Science, avril 1897.) Ce travail est la continu
ifier les conclusions. R. M. C. Il. Les guérisons dans les maladies mentales ; par J. G. SouTAR. (1'he Journal, of Mental Sc
ns dans les maladies mentales ; par J. G. SouTAR. (1'he Journal, of Mental Science, juillet 1897.) Pendant la période de c
ories : 1° ceux qui ont promptement donné des signes de dérangement mental , ou qui, en d'autres termes, n'étaient pas guér
° ceux qui après leur sortie ont donné des signes d'affaiblissement mental ou de bizarrerie, leur permettant de continuer
an au moins après leur sortie n'ont donné aucun signe de trouble mental et ont repris à la fois leur place dans la sociét
; pertes, dont deux paraissent avoir été des 46 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . fausses couches ; douleurs de tête, quelquefoi
hémorragies qui se produisent à l'intérieur ou REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . · 47 autour de sa substance ; il est probable
e Musgrave-Clay. IV. Quelques cas tirés de la pratique des maladies mentales , par H.-J. iIAN : 11NG. (7'/te Journal of Menta
que des maladies mentales, par H.-J. iIAN : 11NG. (7'/te Journal of Mental science, avril 1897.) Ce travail se compose de
ingt ans : en 1894, paralysie faciale passagère suivie d'excitation mentale et de violences de caractère : tout cela passe, m
s avoir commis inconsciemment. Il demande sa 48 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . sortie qui lui estaccordée; actuellement, il e
chez des femmes. R. M. C. V. L'habitude considérée comme un état mental morbide et son traitement; parW. Henry KE5TEVEN
l morbide et son traitement; parW. Henry KE5TEVEN. (Tlte Journal of Mental Science, juillet 1897.) ' L'auteur définit l'
A un moment de la vie de l'animal ou de ses as- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 49 cendants, ces actions ont été intentionnell
vie. Mais ces faits ont un intérêt encore supérieur au point de vue mental , quand on y cherche un moyen de jeter quelque lum
moyen de jeter quelque lumière sur ce que l'on appelle les maladies mentales . Il est évident qu'il y a des habitudes et des
, ne présente aucun signe de maladie nerveuse. Dans chaque région mentale , on peut observer des habitudes de pensée qui s
habitudes peuvent avoir des résultats anormaux soit physiques soit mentaux . Si bonne que soit une habitude mentale, sa prédo
normaux soit physiques soit mentaux. Si bonne que soit une habitude mentale , sa prédo- minance a un effet fâcheux sur l'ens
ces pour qu'elles deviennent prépondérantes et plus notre puissance mentale s'ac- croît. L'habitude n'est donc pas un état
r sur une idée Archives, 2 série, t. XI. 4 50 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . sans la comparer ne peut pas être avantageuse
abitudes apparentes et objectives, il y a le groupe des habi- tudes mentales , qui pour être de nature subjective et peut-être
encontrent dans les processus complexes du rai- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . SI sonnement. L'auteur poursuit l'étude de ce
a- lyse ; et il conclut ce paragraphe en disant que les habitudes mentales qui produisent des folies objectives ayant trait
habitudes, comme d'ailleurs au fond de presque toutes les habitudes mentales morbides, on trouve l'égoïsme; c'est lui qui est
tement des fractures en général, par J.-F. l3mscoE. (The journal of Mental Science, janvier 1898.) L'observation ne prés
à des sujets dépourvus de raison. R. M.-C. 52 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . VII. Un cas de concussion du cerveau simulant
mmencé avant l'accident, et était la cause de cer- · tains troubles mentaux observés avant le traumatisme ; celui-ci a déte
cusée au coude qu'au poignet, au poignet qu'au* REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 53 doigts, etc. Les raisons de l'auteur pour f
ntes : elle ne se rencontre pas dans les autres formes d'aliénation mentale ; elle disparait au sur et à mesure que le mala
divers mélancoliques. R. DE MUSGRAVE-CLAY. 54 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . IX. Les rapports de la syphilis acquise et de
t de la folie; revue cri- tique ; par W.-R. DAWSON. (The Journal of Mental Science, avril 1898.) Intéressante revue, don
ferme que les cas dans lesquels il existe comme cause des symptômes mentaux de grosses lésions anatomiques, certaines ou pr
ème osseux chez les aliénés ; par J.-F. BRLSCOE. , (Tite Journal of Mental Science, avril 1898.) L'auteur résume l'état de
psychologie et d'une classification scientifiques dans les maladies mentales ; par W. Lloyd ANDRirZEN. (Itte Journal of Ment
ns les maladies mentales ; par W. Lloyd ANDRirZEN. (Itte Journal of Mental Science, avril 1899.) Ce travail à la fois phil
sycho-pathologie, cet organe central réunissant REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 55 nécessairement en lui les fonctions sensori
ières variations accentuées de sa vie senso- 56 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . rielle, kinesthétique et organique. La vie vég
répétition des processus psychiques sur lesquels repose l'évolution mentale ; 12° La reconnaissance progressive du moi empi
tuent la base des différentes formes de folie ; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 57 16° Les folies, envisagées à ce point de vu
sification de la folie, par EDWIN STEPHEN PAShtORE. (The Journal of Mental Science, janvier 1899.) L'auteur a été frappé d
été frappé dans ses recherches du groupement de certains symptômes mentaux : par exemple dans un état particu- lier de dép
aux recherches de l'auteur, il a trouvé cet ensemble de symptômes mentaux associé à des états psychiques pathologiques qui
aucun agent extérieur. Au premier abord, il semble que ce complexus mental soit fréquent; en y regardant de plus près on c
e) ; 2° maladies du coeur, des reins, etc. 58 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . De la classification de ces états morbides phy
s morbides physiques, de la cons- tatation de ce fait que les états mentaux ne s'associent à eux que lorsque ces états phys
olisme normal. C'est à l'ensemble de ces phénomènes soma- tiques et mentaux que l'auteur réserve le nom de deprimentia, et
s éléments du diagnostic diffé- rentiel avec diverses autres formes mentales . Puis il expose que la taxonomie actuelle de la
e la démence symptoma- tique terminale de la plupart des affections mentales ) : a) altéra- tions séniles : 1° Athérome et dé
ux maladies du système ner- veux (ataxie locomotrice avec symptômes mentaux , etc.). V. Folie hystéroïde : 1° Grande hystéri
ie de la masturbation ; 4° hypocondrie et neurasthénie ; 5° Stupeur mentale aiguë, catalepsie, « trance », extase, etc.). R
e aiguë, catalepsie, « trance », extase, etc.). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 59 VI. Folie congénitale : 1° Idiotie ; 2° imb
que seule qui nous renseigne sur l'évolution des faits physiques et mentaux qui aboutissent à l'acte. Il faut ajouter que lor
folie dans la cientôle privée; par H. C. Bristowe. (The Journal of Mental Science, janvier 1899.) Les cas d'aliénation me
(The Journal of Mental Science, janvier 1899.) Les cas d'aliénation mentale sont une source d'embarras et de difficultés da
rment. Puis c'est la famille, c'est l'entou- 60 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . rage du malade qui s'oppose à son internement
s aux soins spéciaux que réclament les diverses formes d'aliénation mentale . R. DE nIUSGRAVE-CL.1Y. XV. Notes pathologiqu
des premiers symptômes de la paralysie générale REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 61 semble être en moyenne de dix à quinze ans.
ui ne détruisent pas la person- nalité du malade ; il y a confusion mentale généralisée suivie d'une amnésie totale sous ce
ne perd pas aussi absolument sa personnalité que dans la confusion mentale . Ces paranoïaques pensent qu'on est derrière eu
, ils ont toutes sortes d'idées, de grandeur 62 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . d'idées hypocondriaques, en un mot toutes les
ux cas d'idiotie familiale amaurosique. (The Journal of nervous and mental Disease,mai 1900.) L'un de ces cas est présenté
ale de la papille est nettement blanche, et les REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 63 vaisseaux rétiniens sont tous un peu diminu
Société de ? hôp. de Paris. 21 oct. 1898. ' Journal of nervous and mental diseases, 1899, Mardi. SOCIÉTÉS SAVANTES. 79
u, la symptomatologie ressemble tout à fait à celle de la confusion mentale , avec accidents aigus d'éthylisme; il est extrê
ructif que la chirurgie cérébrale puisse ainsi guérir une confusion mentale acquise. , Un lahzzo-nzélro7aonze. M. PAU d
ÉS. Ford Robeiitson (W.). A text-book of palhology in relation to mental diseuses. li,-8- de xv-380 pages, avec 29 planche
s texte. London, 1900. Adlard and Son. Mohselli (E.). Sullo slalo mentale del conte Cesare Dfatlei. In-8- de 136 pages. G
0. Vol. XI. Fe-^% 3JSÛir rr s2. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . Deux nouveaux cas de folie gémellaire ; . Pa
connus jusqu'à ce jour. ' Archives, 21 série, t. XI 7 98 CLINIQUE MENTALE . de les isoler et d'en former un groupe spécial
n. Dans un grand nombre de cas, c'est sur le terrain de la débilité mentale native et même de l'imbécillité que se développ
rro. La folie gémellaire, Annali di Freniatria, 1893. '100 CLINIQUE MENTALE . : 1° G..., vingt-deux aus, admis pour un accès
: il s'agitd'un individu atteint d'épilepsieet de dégé- nérescence mentale avec syndrômes épisodiques, obsessions et impul
sychologiques, mai 1900.) , , Séance du 29 mai 1899. 102 CLINIQUE MENTALE . meille au fond de chacun de nous, est en somme
âgée par con- séquent de près de vingt ans. Peu à peu les troubles mentaux de la dix-septième année avaient fait des progr
face est plus développée que celle du côté opposé. 104 ... CLINIQUE MENTALE . - . A son entrée, on constate une certaine exc
udence G... a été admise d'office le 10 avril 1891, mais le trouble mental remonte à plus de six ans, ayant débuté à peu prè
ns, ayant débuté à peu près Fig. 3. - Célestine G... 106 CLINIQUE MENTALE .. 1 . ' en même temps que celui de sa soeur. C'
- ties du corps. , Le médecin certificateur décrit ainsi son état mental : « Diffi- cile, hargneuse et portée irrésistib
uis en idées obsédantes l ig. i. - Prudence 13... 108 .. CLINIQUE mentale . ; : i de nature mélancolique et hypocondriaque
. Célestine était d'humeur rieuse et Prudence acariâtre : leur état mental reflète exactement, à ses diverses périodes, ce
ison de ces deux éléments pathogéniques est issue la dégénérescence mentale des deux soeurs jumelles dont nous venons de do
raissent avoir joué un certain rôle dans l'éclo- sion des désordres mentaux . d'accidents cérébraux indéterminés qualifiés d
« sorte de ménin- gite » et qui sans doute étaient de la confusion mentale avec agi- tation. A la suite de cet épisode pat
qu'il se voit hors des murs de sa division, il prend - ho CLINIQUE MENTALE . la fuite à toutes jambes pour s'évader. L'expé
près cor Fig. 5. a. Constant T... b. IIenri T... 112 ' CLINIQUE MENTALE . ' rectement aux questions qui concernent sa vi
ilitaire. Depuis l'âge de vingt ans, il donne des signes de trouble mental . On ne pouvait s'aider de lui. 11 ne songeait q
n organique, celui de la dégéné- rescence héréditaire avec débilité mentale ; même simulta- néité dans les premières manife
isté, ce sont les excès Archives, 20 série, t. XI. 8 114 CLINIQUE MENTALE . alcooliques, auxquels étaient portés les deux
ue très vraisemblablement Constant T... a du son accès de confusion mentale pendant son service mi- litaire ; c'est à cette
e faut-il attribuer l'évolution divergente ultérieure des symptômes mentaux chez les deux frères aux modifications apportée
au, considé- rées principalement dans leurs rapports avec le status mental : étude de morphologie de la surface cérébrale
ogie de la surface cérébrale ; par W. Junus Mickle. (The Journal of Mental Science, janvier 1898.) On ne peut ici que cons
utilité ; sa publication a duré près de deux ans dans le Journal of Mental Science : c'est une oeuvre considérable qui mér
e. R. M. C. II. Flechsig et la localisation cérébrale des processus mentaux ; par W. IRELAND. (The Journal of Mmtal Science
aux de Flechsig sur la - localisation daus le cerveau des processus mentaux ; mais pour être analysé, ce travail exigerait
térieurs et postérieurs, par CIioCIILEY-CL.11'IiAN. (The Journal of Mental Science, avril 1898 ) , Suivant la doctrine act
ques ; on peut ajouter que la fréquence et le degré de la déchéance mentale qui accompagne l'aphasie sont rigoureusement pr
annexes chez les aliénées, pal' T.-G, Gordon-Munn. (The Journal of Mental Science, janvier 1899 ) - Ce travail, beaucoup
DÙLLREN et le Dr Nissl. Résumé par W.-W. 1REL\ ? D. (The Journal of Mental Science, jan- vier 1898.) . Nous nous bornons
ogie de la cellule nerveuse ; par Joux . Turner. (1'leeJouraul 1 of Mental Science, juillet 1898.) La méthode employée con
ur a constaté cet excès de pigment dans un grand nombre de maladies mentales , et a relevé le résultat de 'ses recherches sur
particulier des variétés d'aspect très remarquables : la mala- die mentale où les altérations dont il s'agit ont été particu
constater une déviation du type normal dans des cas d'aliéna- .tion mentale dont un certain nombre ne présentait à l'oeil nu
te de l'envahissement progressif de la dégénéres- cence physique et mentale . Il importe de combattre énergiquement ce péril
physiques et par l'énergie nerveuse, particulièrement sous sa forme mentale . L'auteur mentionne les travaux faits dans ce sen
, spasmodiqne surtout après un exercice prolongé. Du côté de l'état mental on constate de l'hébétude et aussi une véritabl
A. 131AilCllI (de Parme). - Revision iconographique du torticolis mental , trois cas nouveaux; traitement, par E. IErNns
F... et H. M... rappellent les principaux caractères du toi ticolis mental , tels que M. Brissaud- les a fait connaître. Ce t
s à la volonté. - Un des points les plus intéressants du torticolis mental est ce fait que chaque malade peut complètement
ra- 170 SOCIÉTÉS SAVANTES. phiques de la correction du torticolis mental par la main du malade qui. en est affecté et do
ns l'exis- tence d'un appoint alcoolique et dans le mode d'activité mentale antérieure du sujet, habitué de longue date à u
fut obtenu. Il voudrait que les expertises en matière d'aliénation mentale soient unique- ment confiées à des aliénistes.
est, dans une certaine mesure, en rapport avec notre fonctionnement mental ; la sudation très abondante va de pair avec la
. Présidence DE M. LE D'' Jules Voisin. Stigmates de dégénérescence mentale et psychothérapie. ni. PAUL PAREZ expose les am
présentait un cas de folie à deux, avec stigmates de dégénérescence mentale , tels que phobies, obsessions, impulsions, etc.
cs d'aliénés. - M. Roque de 1'unsac, chef de clinique de pathologie mentale et des maladies de l'encéphale à la faculté de
docteur »ile médecin qui désire se consacrer à l'étude des maladies mentales ou qui a l'ambition de. faire sa carrière dans
suffisance des connaissances des médecins praticiens en pathologie mentale a des inconvénients sérieux. Griesinger réclamait
dans une clinique psychiatrique et neurologique et que les maladies mentales fassent partie du programme de l'examen d'Etat.
es médecins praticiens auront des notions précises sur les maladies mentales et nerveuses, mais encore on verra, par ces mes
) est également partisan de l'enseignement obligatoire des maladies mentales et nerveuses et réclame un examen portant spé-
'actuellement, une instruction théo- rique et pratique des maladies mentales . La psychiatrie doit faire partie du programme
illeurs, il n'est pas dans ses attributions de soigner les maladies mentales , ces affections exigeant le placement dans un é
es à nombre d'étu- diants ne s'intéressant nullement à l'aliénation mentale ; qu'il met LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 221
e leurs internes qui s'adonnent sérieusement à l'étude des maladies mentales , précisément au moment où ces derniers seraient
seront accomplies. A Halle, on inaugura la clinique des maladies mentales et ner- veuses, placée à côté des autres cliniq
ans les hôpitaux des -1-aw- des villes les cas récents d'aliénation mentale sont fréquemment.' admis, comme j'en ai fait l'
nt pour but de donner aux méde- cins les connaissances dès maladies mentales nécessaires aux besoins de leur pratique. Or, l
réalisé l'idéal de Griesinger, et possède une clinique des maladies mentales et nerveuses offrant pour l'ensei- gnement un c
p- pement et le perfectionnement de la thérapeutique des maladies mentales . Nous ne relèverons ici que l'organisation nouvel
. Au point de vue scientifique, l'action des cliniques des maladies mentales est incontestable : vingt foyers scientifiques
ste, en Allemagne, onze revues spécialement consacrées aux maladies mentales et nerveuses. Il L'Allgei)ieiiie Zeitschrift su
ésultats féconds au point de vue du progrès de l'étude des maladies mentales , de l'en- seignement professionnel des médecins
n des préjugés ayant trait à la prétendue incurabilité des maladies mentales . C'est en effet dans ces établissements qu'on a
rsités ! Qu'ils cessent de consi- dérer l'enseignement des maladies mentales comme une clinique accessoire, d'importance sec
tentent plus la répugnance à placer les sujets atteints de maladies mentales dans les asiles ordinaires, encombrés d'incurab
lacer leurs malades dans un hôpital de traitement pour les maladies mentales , dans une clinique psychiatrique, dans un établ
, Bordeaux, ne peuvent moins faire pour l'enseignement des maladies mentales que telle ville de 12000 habitants, capitale d'
d'un pays qui a été l'initiateur dans l'enseignement des maladies mentales , ne serait-ce pas porter atteinte au développemen
t FARNAROER. Travail et alitement dans le traite- ment des maladies mentales . Arch. neurol., (léc. 1889. ' - 1'nscranea. L'o
Paris, 1887. î. P. Sérieux. La nouvelle classification des maladies mentales du Prof. liraepelin. Revue de psychiatrie, avri
loi du sulfate de duboisine ; par J. H. SICGE : v. (Tite Journal of Mental Science, juillet 1897.) Le sulfate de duboisine
ui refusent de man- ger ; par 11. Harold GREENWOOD. (The Journal of Mental Science, janvier 1898.) , Il est au moins vra
gestion avec et sans hypnose ; par John F. WooDs. (1'Ive Journal of Mental Science, avril 1897.) En parcourant les dix-hui
: 26 cas d'alcoolisme chronique, 10 de sciatique, lo de maladies mentales , 7 de goutte, 22 de mal de tête, 10 de dyspepsie,
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. était utile non seulement dans les maladies mentales , mais encore dans toutes les affections nerveus
sie nerveuse, l'alcoolisme chronique et diverses formes de maladies mentales , particulièrement la mélan- colie.-Il a eu auss
s chez les malades atteints d'une forme psychique de dégénérescence mentale . Parmi les malades ayant une forme aiguë ou cur
n les a trouvés deux fois sur les trois cas cérébelleux. L'hébétude mentale , l'apathie, la dépression intel- lectuelle exis
leur importance : 1° Céphalalgie ; 2° Névrite optique ; 3° Apathie mentale ; 4° Nausées et vomissements. Enfin à titre de s
de la santé, l'anémie sont des causes prédisposantes. Les angoisses mentales , l'excita- tion, la perte du sommeil, le surmen
femme enceinte; par J.-W. Geddes et Aidons Clincii. (The Journal of Mental Science, octobre 1898.) Jeune femme de vingt-si
rendant la marche impossible, amenant des sueurs pro- fuses. L'état mental s'aggrave en même temps que la chorée. Le soir
- sabilité. Leur histoire biologique, leur état de dégénérescence mentale , BIBLIOGRAPHIE. 2G3 permettent de trouver sou
psychiatriques résulte de -l'accroissement progressif des maladies mentales , de l'extension que prennent aujourd'hui les qu
t pour conséquence la condamna- tion de sujets atteints de maladies mentales par les tribunaux civils ou militaires, etc. En
expert ont à s'exercer. 11 passe en revue la plupart des affections mentales , insiste sur les simulateurs et les dissimulate
liénés méconnus, etc. L'organisation de l'enseignement des maladies mentales en France et à l'étranger est examiné en détail
périodes délirantes qui se montrent parfois sous forme de confusion mentale ou de mélancolie anxieuse avec hallucinations d
la maladie qui les a causés, ne laissent derrière eux que l'état mental antérieur parfois un peu aggravé. Aussi doit-on l
ie Duvernois qui depuis quelque temps ne jouit plus de ses facultés mentales . Elle a été envoyée à l'infirmerie du Dépôt.
rieure, double, congénitale ; - Vera Salomon, Recherches expéri- mentales sur la rage; de Martines, Recherches sur les trou
Mignot (R.). Élude des troubles pupillaires dans quelques maladies mentales . In-8° de 121 pages. Paris, 1900 ? Jouve et I)oye
leciiie coîilei)7p., 1861, p. 298); Uelasiauve. Jourzaal cle 2nétl. mentale , p. 65 et 97, 1861); Moreau (de Tours)) dlécl. co
. et de la fonction est mise en lumière pour certaines affections mentales caractérisées par des altérations cérébrale bien
Depuis la naissance jusqu'à l'Age adulte, à mesure que l'activité mentale augmente, les connexions entre les centres supéri
aissance de la structure cérébrale. La classification des processus mentaux , normaux ou anormaux demeure actuellement impos
lement impossible. Tous les efforts faits pour étudier les maladies mentales par leur côté exclusivement clinique ont aussi
du cerveau chez les aliénés; par Francis 0. SmrsoN. (The Journal of Mental Science, octobre 1898.) ' Les recherches de l
pour suivre l'auteur dans ses recherches sur les diverses maladies mentales ; nous nous bornerons donc, pour ne REVUE D'ANA
ur la physiologie de la cellule dans ses rapports avec l'aliénation mentale . Une note sur l'emploi du picro-formol en génér
cules latéraux du cerveau ; par John Waniman Fmcer. (The Journal of Mental Science, octobre 1898.) L'auteur rappelle d'abo
euses corticales (surtout dans leurs rapports avec 1'tiliéib ilioii mentale ); par W. Ford 110BItRTsoN et Uavln-0 (Tlte Journa
oii mentale); par W. Ford 110BItRTsoN et Uavln-0 (Tlte Journal of Mental Science, octobre 1898.) Les auteurs décrivent d
t dans les hôpitaux généraux, et l'étudient enfin dans l'aliénation mentale . Ce n'est que dans les folies aiguës et dans la
l'interprétation. R. DE IlUSGn.I'E-CL1Y. 320 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . La Colite; par Alfred Camphell. (The Joii,lici
ur la colite et sa bactériologie. Ii. 111.-C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XIX. Recherches sur les troubles du goût et de
e. ' G. D. XX. De l'influence de la détention cellulaire sur l'ét t mental des condamnés; par le D' de Rode. (Bull, de la
t disciplinaires des établissements. Le nombre des cas d'aliénation mentale dans les prisons cellu- laires n'est pas ou n'e
celui des cas observés dans les prisons en commun. Les affections mentales que l'on constate dans les prisons cellu- REVUE
tales que l'on constate dans les prisons cellu- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 321 laires sont généralement moins graves et d
ns n'im- Ancmves, 2' série, t. XI. 21 " 322 ) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . porte quelle circonstance, un médecin et un ma
dépend que de la réitération continuelle de sugges- tions orales ou mentales allant de l'opérateur dirigeant au sujet dirigé
bien entendu, l'examen des signes physiques pe REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 323 doit jamais être omis ni négligé : les deu
cette prédiction implique nécessairement des suggestions orales et mentales , et quelquefois personne n'est plus surpris du
quelle heure est-il ? Il était sept heures 324 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . un quart. -- Immédiatement je fis appel à tout
n'avait jamais vu ni la malade, ni le village, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ` 323 ni la route qui y conduisait, ni la cham
. XXIII. Acromégalie avec folie; par David f3Laa. (The Journal of Mental Science, avril 1898.) Le cas d'acromégalie rela
uantité de l'urine. R. DE IUGft\'E-CLY. 326 6 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Contribution a l'étude de la mélancolie, avec
aurait admettre comme exacte « que l'améliora- « tion des symptômes mentaux coïncide toujours avec une amélio- « ration de
s fonctions digestives qui accompagne inévitablement un pareil état mental , le sang devient plus pauvre en matière coloran
ychiatrie et de neurologie; par Ira -Va.11 Giesen. (1'he Journal of Mental Science, octobre 1898.) Pour donner un coup d
3) hématologie; 0° Anthro- pologie. li. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 327 X1\'1. Faits cliniques : 1° Hystérie post-
anomalies cuta- nées indiquent souvent l'existence de l'aliénation mentale . Il. DE Musgrave-Clay. XXVII. Analyse des cau
lie chez mille malades; par J.-V. 1;1 ? CIIFORD. (7'/te Journal 0/' Mental Science, juillet 1898.) Le groupe des malades e
gure pour 30 p. 100. L'alcoolisme (hérédité 328 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . exclue) figure pour. 11 p. 100. Les chiffres r
sgrave-Clay. XXVIII. L'hérédité dans ses rapports avec les maladies mentales par W.-F. Karqijhakson. (7'Ae yo : < ? o/'Af
berland et de Westmorland, on a trouvé des antécédents d'aliénation mentale dans la famille de 30,7 p. 100 des malades admi
e : 10 imbecilité congénitale ; 2° mélancolie ; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 3l9 9 3°manie; 4" folie épileptique; 5° démenc
ération peuvent présenter des variétés très différentes de maladies mentales ou d'autres troubles nerveux. Une forme de foli
avoir été précédée dans l'hérédité de famille non par l'aliénation mentale , mais par d'autres formes de maladies nerveuses.
autres formes de maladies nerveuses. 11° La propension aux maladies mentales peut s'accentuer gra- duellement de génération
ge plus tardif de génération en génération. 330 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 20o La proportion des célibataires est considé
sme et l'impulsion au suicide; par \V.-C. Sullivan. (The Journal of Mental Science, avril 1898.) ° Les conclusions de ce t
, d'hébéphrenie, la plupart des faits étiquetés REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 331 catatonie, mélancolie « attonita » et cert
tement au-dessus des indigents, par 1) ? VID-BOWER. (The Journal of Mental Science, janvier 1899.) Ce travail est consac
médico - psychologique ; par T. OUTTERSOri WOOD. (1'Iae Journal of Mental Science, juillet 1897.) . - L'Association méd
e de certaines défectuosités physique et de certaines insuffisances mentales ; mais il convient de ne pas se contenter de ces
AY. IX. Le logement des aliénés ; par, H. RAYNER. (The Journal of Mental Science, juillet 1897.) L'auteur désigne par là
'aliénés. XIII. L'État de New-York et la pathologie de l'aliénation mentale ; par P. M. Wize. M. D. (The American Journal o
central, pour l'étude de l'étiologie et la pathologie des maladies mentales . A noter le souci d'encourager et de faciliter
ux divers attachent tout le monde à la ferme; le succès physique et mental dépasse toute attente; c'était la vie qu'ils av
YCHOLOGIE Séance du 13 janvier 1901. Stirn.ates de dégénérescence mentale et psychothérapie. M. Paul Farez expose les amé
résentait un' cas de folie- à deux avec stigmates de dégénérescence mentale , tels que phobies, obsessions, impulsions, etc.
éfinie, on détacha, grâce aux travaux de Delasiauve, la con- fusion mentale . Baillarger montra encore que nombreux étaient
uite le délire de persécution. Enfin Magnan, avec la dégénérescence mentale , Krupelin avec la démence précoce, ont encore r
trent la plupart des mélancolies hypocondriaques; 4° La confusion mentale , la psychose hallucinataire aiguë, le délire à
tion qui font mieux comprendre la pathogénie des faits où la lésion mentale semble seule en cause. Ce trouble morbide, uniq
er- veuses. En voici les titres : De l'inhibition dans les maladies mentales , par Libertini; Contribution à l'étude dct)'6)
ons du njvraxe. Rapporteur, M. Crôcq (de Bruxelles) ; 2° Pathologie mentale : Du délire aigu au point de vue clinique, anot
ans. qui, depuis quelque temps, présentait des signes d'aliénation mentale . Celle-ci. profi- tant de l'absence de son mari
é de ses amis, donnait depuis quelque temps des signes d'aliénation mentale et déjà, il y a un an environ, à la suite d'une
ue par M. Jackson. Naturellement, dans cette voie d'étude expéri- mentale , on a pris d'abord pour sujets, des animaux supé-
) THÉRAPEUTIQUE. Le traitement par le repos au lit, en médecine mentale ; Par le D' Alexandre PARIS, Médecin du servic
s déjà, j'ai remarqué les bons effets du traitement de l'aliénation mentale par le repos au lit ; si je ne peux pas dire qu
e, facile à constater, dans la plupart des formes de l'aliénation mentale . Mais l'alitement n'est pas seulement utile com
traite- ment auxiliaire ou comme base de traitement d'aliénations mentales , il présente d'autres avantages qu'il est bon de
és, non moins intéressants, de la question «traitement des maladies mentales par l'alitement me sem- LE TRAITEMENT PAR LE RE
ur la mémoire des poissons ; par W.-C. Mac Intosii. (The Journal of Mental Science, avril 1898.) L'auteur rapporte un cert
ng, de 1884 a 1896 inclus; par Frédéric-P. Harder. (T/te Journal of Mental Science, janvier 1898.) Ce travail est bien en
t un peu diminués. Réflexes du genou légèrement exagérés, Confusion mentale , état vertigineux, plus ou moins vague, lour- d
t l'abdomen. Les troubles nerveux, consistant dans de la dépression mentale , de l'irritation spinale et de la migraine, qui
V111. Un cas de porencéphalie ; par Samuel EDGEXLEY. (Tite Jour, o/ Mental Science, juillet 1899.) Ce cas est intéressant
tait une femme de 43 ans, sur laquelle pesait une lourde hérédité mentale et qui présentait depuis sa petite enfance des si
ciles à recueillir' chez elle en raison de la grande insuffisance mentale ; elle mourut de péritonite. A l'autopsie, la d
eure, les membranes étaient séparées par du 416 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . liquide, formant ainsi un second petit kyste.
mpagné de deux planches. R. de Musgrave-Clay. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XXXI. De la réticence médicale; par Charles .M
XI. De la réticence médicale; par Charles .Mercier. (The Journal of Mental Science, avril 1897.) L'auteur traite ici du se
la règle suivante : « Les renseignements four- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 417 « nis au médecin par un aliéné peuvent êtr
n sexuelle Archives, 2' série, t. XI. 27 '418 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . se manifestait aussi à la vue d'autres sports
ais qu'il se rencontre dans le cours d'un grand nombre d'affections mentales . R. de Mugraves-Clay. XXXVIL, L'alcoolisme; par
excellent hypnotique chez un alcoolique, et n'a REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 419 besoin d'être donné qu'à faibles doses. Pa
et il a employé deux procédés, la piqûre et le pin- cement, l'état mental de la plupart des malades observés nécessi- tan
as encore'rassemblé assez de fait pour pou- 420 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . voir dire quels sont les autres symptômes qui
sthésie arrive à n'occuper que la face dorsale des doigts. La forme mentale où cette anesthésie se rencontre le plus sou- v
hilitique, avec types cliniques; par G.-A. Welsch. (Tite Journal of Mental Science, avril 1899.) . L'auteur en a observé
traitement anti-syphilitique. La première ques- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 421' tion qui se pose à l'occasion de cette ma
diquent l'existence d'une lésion irritative des cellules nerveuses ( mentales et motrices). L'auteur estime que l'agent irrit
chromo- philique : tout ce qu'il faut dire, c'est que les cellules mentales et les cellules motrices sont atteintes les une
faut tenir compte de l'état général du sys- 422 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . tème nerveux, et par là l'auteur entend la pré
: c'est un trouble du système nerveux caractérisé par des symptômes mentaux avec phénomènes moteurs concomitants; cette con
constante et nécessaire; sans elle la maladie n'existe pas. L'état mental est en état d'exaltation et d'agitation qu'on p
t quel- quefois des idées de persécution. Les autres manifestations mentales sont l'insomnie, l'affaiblissement mental, la v
s autres manifestations mentales sont l'insomnie, l'affaiblissement mental , la variabilité alternante de l'état mental, et
mnie, l'affaiblissement mental, la variabilité alternante de l'état mental , et les rémissions : la troisième de ces manifest
donner la préférence. * R. de Musgrave-Clay. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 423' XL. Considérations sur l'état mental dans
. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 423' XL. Considérations sur l'état mental dans l'aphasie ; par CONOLLY NoRMAN. (The Journ
l'état mental dans l'aphasie ; par CONOLLY NoRMAN. (The Journal of Mental Science, avril 1899.) Ce travail débute par des
sens générique, est intimement associée à des formes de troubles mentaux que nous rencontrons quotidiennement, et que comm
être, ne saurait exister sans entraîner une diminution des facultés mentales , diminution qu'on doit s'attendre à trouver d'au-
cas d'aphasie ou d'un cas similaire, si l'on veut pré- ciser l'état mental , il faut d'abord chercher dans quelles limites le
, qui peut empêcher le malade d'écrire. ' 424 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . La forme d'aphasie qui entrave le moins la fac
'expression et qui permet le maximum de conservation de l'intégrité mentale est celle où la lésion est rigoureusement limit
a cécité des objets est associée à la cécité des mots, la déchéance mentale est plus avancée que quand les derniers de ces
ncore que la malade avait 35 ans au moment où les premiers troubles mentaux se sont manifestés alors qu'ils apparaissent gé
e, vers le moment de la puberté, et en tout cas REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 42S rarement après l'âge de trente ans ; enfin
uit ans, et souvent depuis présenta de petites crises de dépression mentale , précédées de symptômes assez bizarres : sensatio
plus élevé que le taux de la mortalité par 426 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . - phtisie chez les hommes de 35 à 45 ans,' c'e
s tableaux statistiques. R. DE Musgrave-Clay. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 427 XLIV. Rapports de la Syphilis avec la Foli
lie, ouverture de la discus- sion ; par F.-W. Mott. (The Journal of Mental Science, octobre 1899.) 1 ' Quand on étudie l
1 ' Quand on étudie les rapports de la syphilis avec les maladies mentales , il faut avant tout étudier les différents modes
sgrave-Clay. XLV. Folie et mariage; par G. E. Moum. (The Journal of Mental ' Science, octobre 1899). L'auteur examine la
liéné guéri, soit à un sujet portant le poids d'une lourde hérédité mentale ; et il conclut que malgré la grande res- ponsab
iage contracté dans de bonnes conditions, 428 . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . il peut résulter un avantage pour le malade (v
de prendre ou de conseiller une détermination : nature du trouble mental , antécédents dans les deux familles, et surtout d
ion du nombre des suicides; par William W. Ireland. (The Journal of Mental Science, juillet 1899.) Malgré les efforts de
e .ceux qui s'ôtent volontaire- ment la vie sont en état de trouble mental : d'ailleurs la'plupart des causes qui poussent
l'auteur estime que la cause la plus puissante doit être une cause mentale et parmi ces causes men- tales, l'auteur signal
u sentiment religieux. . R. DE Musgrave-Clay. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 429 XLVII. Emphysème du tissu aréolaire sous-c
mté de Glamorgan de 1867 à 1896; par J. G. SMITII. (Tite Journal of Mental Science, juil- let 1899). 1 Ce travail est in
ù elles avaient déterminé de l'inflammation 430 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . et de la suppuration, et dans l'estomac. Ces q
factives chez les aliénés; par F. St-Joun · Bullen. (The Journal of Mental Science juillet 1899.) , L'organe olfactif de l
t, et encore dans deux de ces quatre cas, elles REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 431 alternaient avec des odeurs désagréables).
qué dans les processus de dissolution qui constituent l'aliénation mentale . R. de Musgrave-Clay. LI. Courte note sur le Bé
ssus sont-ils probablement au-dessous de la 432 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . . vérité, car L'auteur a la certitude, que dan
e à l'asile du comté de Derby ; par R. F. LI : cGE. (The Journal of Mental Science, juillet 1899.) Cette épidémie a frappé
s on constatait chez lui un affaiblissement progressif des facultés mentales . L'autre présente depuis trois ans un état anal
berculeuse, l'autre est d'une bonne nutrition générale, et son état mental est meilleur que chez le premier. En résume, il
d'alimentation, hallucina- tions visuelles et auditives, confusion mentale . La température oscille entre 37,2° et 39,5°. L
es est vive. Amaigrissement rapide. Etat général grave. Confusion mentale profonde. Mort le huitième jour de la maladie.
ie, pal- 436 SOCIÉTÉS SAVANTES.' pitations, cauchemars, confusion mentale et hallucinations, ensuite confusion mentale, e
cauchemars, confusion mentale et hallucinations, ensuite confusion mentale , excitation générale, refus d'alimentation, ins
our l'établir sur les maladies périodiques y compris les affections mentales , viscérales, etc., sur la périodi- cité des pol
est envisagée dans tous ses rapports avec l'étiologie des désordres mentaux et nerveux du génie, souvent, dans ses inconvén
ces un rentier espagnol, M. Aurélanio Yanès, atteint d'alié- nation mentale , tua un agent d'assurances, M. Henri Bellencon-
dans des maisons spéciales les personnes atteintes d'aliéna- tion mentale . Malheureusement la loi du 30 juin 1838. n'est
rimentale. M. le D" Antheaume, ancien chef de clinique des maladies mentales à la Faculté de Médecine, fera, à l'issue du co
arnier (P.) et Cololian (P.). Traité de thérapeutique des maladie s mentales et nerveuses (Hygiène et prophylaxie), In-8° dexv
Ilf. Vol. XI. Juin 1901. N, 66. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . 1 Un nouveau cas de paralysie générée' ave
aire ; * Nv\ Par le D' E. RÉGIS, ·1 * Clargé du cour des maladies mentales à l'Umvm·silL de Bordeaux. J'ai eu la bonne for
nce du 20 mai 1893.) , Archives, 2« série, t. XI. 29 450 CLINIQUE mentale . d'aliénistes autorisés de tous les pays, elle
on lui commandait ; en un mot, notablement affaibli au point de vue mental . C'est dans ces conditions qu'il tira au sort et
de deux mois. Pendant ces deux mois, sa déchéance et son incapacité mentales , qui s'étaient progressivement accrues, se mani
e même de trémulation de l'orbieulaire des lèvres et 452 . CLINIQUE mentale . des muscles de la face. Après un instant de ce
lents. L'urine ne présente rien de particu- lier. Au point de vue mental , l'état se caractérise par un affaiblisse- ment
un spécimen démonstratif, caractéristique à la fois de la déchéance mentale et de l'altération de l'écriture. Il remonte à
t labiale sont très accusées, etc. Seule, 1 Fig. li. 454 CLINIQUE MENTALE . l'exagération du réflexe rotulien du côté droi
rale des adolescents. (Thèse de Bor- deaux, 1899.) 456 ' CLINIQUE MENTALE . aine, antérieur à la syphilis paternelle, est,
res, souvent aux prises avec des pro- blèmes délicats de pathologie mentale , m'a été confirmé dans les termes suivants par
assez accusées pour appeler l'attention du chirurgien sur son état mental . Doux et discipliné, n'étant astreint à aucun t
jamais été appelé à l'examiner et à donner son avis sur son état mental . Il semble donc ressortir nettement de ces fait
songer et de la rechercher chez les adolescents en \oie de déclin mental , si on ne veut pas s'exposer à la méconnaître.
nue chez mon malade pendant sou séjour au régiment. 458 CLINIQUE MENTALE . - - - Les conditions dans lesquelles s'est pro
s avec steppage, quatre enfin ne présentaient plus que des troubles mentaux divers. Sur neuf cas négatifs, trois fois il n'
du public, et de pouvoir être facilement appliqué. En patho- logie mentale il pourrait montrer dans quelle mesure des excè
e légère étaient conséquence et non cause de l'altération de l'état mental . Le signe de Quinquaud pourrait être encore un
s de jour, soit qu'ils fassent suite à l'alcoolisme, à la confusion mentale ou à un choc cérébral. Il en serait de même pou
traitement des buveurs, par George R. Wilson. (7'Ae7oM)' ? ? a< Mental Science, octobre 1898.) On ne trouve guère à
X. Un cas d'hématoporphynurie; par Keitii-Campbell. (Tne Journal of mental Science, avril 18987) L'hématoporphynurie et se
par la médication thyroïdienne ; par J. Middlemass. (The Journal of Mental Science, janvier 1899.) Nous reproduisons ici t
ation thyroïdienne exerce aussi une influence bien nette sur l'état mental ; 19° Chez beaucoup de malades, elle exerce une a
lupart des cas, il y a une tendance à la reproduction des symptômes mentaux primitifs; 21" L'interprétation de la façon don
llemens tout à fait impos- sible de dire quel sera, au point de vue mental , le résultat du trai- tement thyroïdien. - 25
If est également impossible de dire dans quelles formes de maladies mentales il donnera des résultats avantageux; 26° Dans l
e douloureuse de la conduite; par Charles Mercier. (I'he Journal of Mental Science, octobre 1899.) L'auteur rappelle que
tif à son emploi; par John S111'Cllrl.n : . (7'lte Joli ? '- nal of Mental Science, octobre 1899.) Il s'agit d'un malade a
qui n'est pas généralement connue; par A. Il. NEWT. (The Journal nf Mental Science, octobre 1899.) Après avoir passé en re
quable à l'égard du chloral; par Arthur \V. Wilcox. (The Joumtul of Mental Science, avril 1900.) Il s'agit d'une malade de
ze cas traités de cette manière; par David 13r..ma. (The Journal of Mental Science. avril 1900.) L'auteur résume ainsi l
aques, hys- lériques, doivent être mis sur le compte de la débilité mentale congénitale. Les succès scolaires et les examen
onscrits de l'interprétation erronée et de l'ignorance de leur état mental . Les classes supplémentaires annexées en'beauco
entaires annexées en'beaucoup de villes aux 490 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . écoles ordinaires, ou qui doivent leur être an
anes des sens, de la parole, etc. '. P Keraval. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . LUI. Fausse grossesse; par G. 1lliNDL,Y. (Tlie
MENTALE. LUI. Fausse grossesse; par G. 1lliNDL,Y. (Tlie journal of mental Science, janvier 1900.) 11 s'agit d'un de ces
ndre à l'Administration de notre pays. (11.). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 491 et en faisant appeler l'auteur pour la dél
sibilité hygrique ne semble plutôt pas être 492 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . une sensation indépendante de la sensation tac
ttribuent'une grande importance à l'hérédité et REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 493 ne pensent pas qu'il s'agisse là d'acciden
es, tels que : hémiparésie passagère, excitation motrice, confusion mentale et hallucinations. Bientôt se développe une dém
ne corticale, comme en témoignent de l'agitation, de la confusion mentale , un' délire interrompu, des hallucinations de la
it, pour réapparaître dès qu'il y pense. II 494 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ne le tourmente qu'en face du monde. Ce sourir
traits communs avec l'épilepsie vraie. P. KEHAYAL. LI Y. Des états mentaux qui sont à la limite de l'aliénation mentale et
HAYAL. LI Y. Des états mentaux qui sont à la limite de l'aliénation mentale et de la raison; pari'. 1. Itosr : w.vcu. (Oo'o
t'tt, IV, 1899.) L'auteur examine les allures des diverses formes mentales qui ne REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 495 sont
les allures des diverses formes mentales qui ne REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 495 sont pas de l'aliénation mentale confirmée
qui ne REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 495 sont pas de l'aliénation mentale confirmée. D'abord un nombre énorme de psychose
s fréquente que dans les affections soma- tiques. Quelques maladies mentales , telles que le délire chronique primitif et la
une maladie qui a nui au système nerveux, depuis môme une affection mentale incomplètement guérie, ou sont, sous le coup d'
erse pas dans la. ! vraie démence sénile. Etude delà dégénérescence mentale , notam- ment de l'imbécillité, de la folie mora
es de produire, avec d'autres éléments morbides, de vraies maladies mentales , mais qui, par eux-mêmes, ne sont pas de la fol
u terrain propre au talent et aux tendances 496 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . géniales. Récemment, Flechsig a essayé de ratt
l'on constate un'talent unilatéral associé à diverses défectuosités mentales . Il n'y a pas de lien intime entre le génie et
obtusion intellectuelle, retard et espèce d'extinc- tion de la vie mentale . Contracture des muscles deltoïdes, tra- pèzes
sensation pathologique ou désagréable quand ils REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 497 touchent de leurs doigts n'importe quel ét
KEHAVAL. Anciiivi : s, 2° séiie, I. XL 32 498 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . LX11. Cas de folie communiquée; par E. W. Ciii
LX11. Cas de folie communiquée; par E. W. CiiiFri ? (The journal of mental science, janvier 1900.) , Cette intéressante ob
. et 11 ? T... vont voir leur soeur M1110 C... atteinte de troubles mentaux , Pendant toute une semaine elles soignent la ma
t emmenée par son mari. Les deux malades ont attribué leur désordre mental temporaire au manque de sommeil et de repos. D'
aire l'agent véritablement actif; 2° la forme de la folie et l'état mental ont été absolument similaires; 3° dans les deux-
s signes très nets d'hérédo-syphilis et d'infantilisme. L'affection mentale débuta à dix-sept ans par un affaiblissement pr
par une lésion circonscrite devenue plus tard diffuse. La débilité mentale qui traduisit cet état, était peu aisée à différe
s habituels, malgré ses essais répétés. En avril 1900. des troubles mentaux deviennent manifestes. La malade exprime des id
des yeux », analogue aux tics d'habi- tude et en particulier au tic mental . Je faisais remarquer que dans l'affection déno
al. Je faisais remarquer que dans l'affection dénommée torticolis mental ou spasme du cou, le malade .est en mesure d'acco
ictus et qu'on n'observe jamais rien de pareil dans le torticolis mental . Ces arguments me paraissent avoir toujours la mê
un traumatisme, d'un bégaiement qui semble dépendre' d'un processus mental morbide de. nature hystérique. · Aphasie hyst
GRAPHIE. XIX. Elude des /roubles pupillaires dans quelques maladies mentales ; par le D' Iloger ! llicwr. 'l'hèse de Paris, 1
s troubles pupillaires ne sont spéciaux à aucune forme d'aliénation mentale , et trouvent des altérations dans 74 p. 100 des
ataires est relativement élevé parmi les habitants; 20 les troubles mentaux subis par les jeunes gens les empêchent de se m
ous arrêtons seule- ment sur le mode de classification des maladies mentales adopté par M Beckhtereff. 11 divise ces maladie
,17,chiv I*ii- I'sychial-ie. KEHAVAL. - La pratique de la médecine mentale . - Conférences faites avec l'autorisation du co
cional de Actes y oficios. Report on lhe scientifc sletcly of lke mental arzcl physical conditions of chilhood witli par
e de l'instinct sexuel et de ses transfoi mations dans les maladies mentales . In-8° de 98 pages. Tou- louse, 1901. Imprimeri
'état de New- York et la pathologie de 1' , par Nvize, 338. Etats mentaux à la limite de l ? par Itosenbach, 19-4. Alié
érique, par Gasne, 401. Aphasie sensorielle, cartouche, 313. Etat mental dans l ? parNorman, 423. hystérique, par Guilla
ie), 113. DECUI31TUS aigu, par Doutrebente, 498. Dégénérescence mentale et psycho- thérapie, par Il. Farez, 189, 3î6.
gnault, 348. Détention. Influence de la - cellu- laire sur l'état mental , par de Rode. 320 Diabète. Rapports du - et d
tal, par de Rode. 320 Diabète. Rapports du - et de l'aliénation mentale , par Bond, 45, insipide dépendant d'un gliome
-. par Finrllay. H)0 ? ILIItITLDE. L' considérée comme un état mental morbide, par K.es- teven, 48. IIailucimtio.ns
orragie méningée spinale, par llnpkins. 407. Hérédité et maladies mentales , par Fiirquharson, 328. t;tlsli, 343. I)arSwi
au , par Paris, 388. Flechsig et la - cé- rehratedes processus mentaux . par li,elitil(l, 135. lloii31111 ? Technique
5. lloii31111 ? Technique de la fonction z Conner, 487. J1 wmes MENTALES . Guérisons dans , les par Soutar, Quelques ca
ar Thompson, 398. Pupillaires. 'froubles-dans quel- ques maladies mentales , par )li- gnot, 520. Pyramide. Disposition an
. 537 Réticence médicale, par Mercier, 416. Revue de pathologie mentale , par 1(et-ival, 14, 320, 490, d'ana- tomie et
0, Causes provocatrices des par Meige et Feindel, 508. Torticolis mental , par Feiiidel et Meige, 169. Tremblement chez
8 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
OLOGIE PARAISSANT TOUS LES MOIS REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-M. Cil ARGOT
1 taire, et qu'elle se réclame de la monomanie et de l'aliénation mentale . A côté de ces notions très justes que les trav
d'attaques de nerfs, pas de stigmates hystériques. Au point de vue mental , elle raisonne juste; caractère doux, mais très
original dans ses idées et la manière de se vêtir. Au point de vue mental , un exalté, mais s'acquittant à la satisfaction
ent pas de signe d'une lésion quelconque. Non encore réglée. L'état mental n'offre aucune particularité; pas d'idées bizar
s pour ses caractères intrinsèques que pour sa relation avec l'état mental du malade. Dans tous les cas une grande difficu
des phénomènes persistants des maladies orga- niques ; -4° à l'état mental des malades. '1° L'étude du développement et de
nifestations très vagues et des phénomènes peu accentués. 4" L'état mental de nos quatre malades est bien celui qui est ca
et une intensité qui sont tout à fait carac- téristiques de l'état mental hystérique. Faut-il voir, dans leur réveil, leu
circonstances qui démontrent dans nos malades l'existence d'un état mental , croyons-nous, très caractéristique et qui conf
is ou quatre mois il resta dans un état très proche de l'aliénation mentale , il avait perdu toute acti- vité psychique et p
Puis petit à petit, il recommença à tra- vailler, et ces conditions mentales et physiques revinrent à l'état normal. Sa sant
ques; de plus, la façon dont ils se sont établis nous révèle l'état mental de B..., et comme cet état mental est très inté
e sont établis nous révèle l'état mental de B..., et comme cet état mental est très intéressant à connaître pour nous expl
ision pour ainsi dire 62 PATHOLOGIE NERVEUSE. mathématique l'état mental de B...; en outre des stigmates physiques, nous
on- sécutive. En d'autres termes, en connaissant à présent l'état mental de B..., nous avons une puissante raison en plus
ne de ses mani- festations les plus typiques; à savoir avec un état mental très caractéristique, qui a donné origine à une
ert, occasion favorable pour achever de dominer complètement l'état mental de B... Quoi qu'il en soit, nous croyons avoir
ais il faut les interpréter, en étudiant leur rapport avec l'état mental des malades. Seulement, à cette condition, le dia
ades, en particulier, les malades gravement atteints dans leur état mental paraissent avoir une hypotoxicité constante (vo
épileptiques, et ce ne sont pas les moins atteintes au point de vue mental , dont l'état normal est l'hypotoxicité. 6° Le
vue mental, dont l'état normal est l'hypotoxicité. 6° Le trouble mental des épileptiques parait toujours s'ac- compagne
le permet au médecin de prendre des précautions en vue d'un trouble mental possible consécutif à un accès. Un malade qui a
eurs et concomi- tants de l'accès convulsif ou du trouble de l'état mental ? En tenant compte de l'état urinaire, on doit
endant les paroxysmes. Cette toxicité du sang explique les troubles mentaux et phy- siques que présentent les malades au dé
vec ferveur et implorent leur guérison. Dans ces conditions, l'état mental ne tarde pas à dominer l'état physique. Le corp
rale du malade. Là s'arrête le premier temps. . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ' 89 Deuxième temps. - Après quelques instans
ossible, nous nous en estimerions très henreux. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . I. DE la LOGORRHÉE, par 0. Klinke. (Allg. Zcil
ent, par intervalles, et nettement, comme en 90 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . scandant, jamais le flux n'est difficile ; il
s de foyer dans la zone motrice droite. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 91 IV. Un cas DE PSYCHOSE chez un saturnin; pa
ve (voir les détails dans le mémoire). Conclu- sion. Dégénérescence mentale ; psychopathie; décadence morale; inversion du s
d. de la Suisse Ro- mande, 1891.) G. D. 92 z2 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . N'Il. CONTRIBUTION A l'étude DE la toxicité ur
ystiques, les scléroses lobaires anciennes plus REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 93 ou moins étendues, ne sont que les effets d
ugmente dans de grandes proportions. G. D. 94 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XIII. Contributions A L'ÉTUDE DE L'ÉPILEPSIE s
inéluctable imposée par le deslin à elle-même. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 95 aussi bien qu'à ses proches. A partir du jo
s ; par M. SAILLER. Dans une communication à la Société de médecine mentale de Belgique, MM. de Boeck et Slosse ont fait co
rès ces auteurs, ce n'est pas seulement dans certaines affec- tions mentales que l'on trouve de l'acétone dans les urines ; l'
aliénés n'avait aucun point d'attache avec telle ou telle affection mentale . Malgré leur affir- mation de l'existence const
onstante de l'acétone dans l'urine des alié- 96 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . nés, MM. de Boeck et Slosse en arrivent cepend
it beaucoup de spontanéité dans l'apparition du REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 97 sommeil : sinon, comment expliquer ces trou
culièrement frappantes. Aacmvu ? t. XXV. 7 98 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . .XIX. OCCLUSION accidentelle DE L'OUVERTURE DE
on deux heures, puis une crise arriva soudaine- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 99 ment, la température descendit à 36°, l'app
ulisme : elle a vécu pen- dant ces trois journées une véritable vie mentale différente de sa vie normale. Lorsqu'on met c
e à chaque tentative : il est stéréotypé. 100 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . .Lorsqu'on la fait sortir de l'état léthargiqu
l'a plongée, elle rentre dans l'existence ordinaire avec son état mental spécial et tout différent de celui où elle est qu
. (Annales méclico.psychologiques, 1892.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . '101 XXIII. Aliénation mentale par TROUBLES DE
1892.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. '101 XXIII. Aliénation mentale par TROUBLES DE la nutrition; par MM. Mairet et
osc. Lorsqu'on recherche l'étiologie de certains cas d'aliénation mentale , on se trouve parfois amené, en l'absence de tout
anie, la manie avec agitation ont, au con- 1 02 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . traire, une toxicité beaucoup plus énergique ;
ce qui existe che; l'individu atteint de cette forme d'aliénation mentale . L'urine des lypémaniaques donne naissance non
phique ou puerpéral, par exemple, qu'il faut rattacher l'aliénation mentale , mais à un autre élément commun à toutes ces pe
ouble subi par la nutrition, force est de rattacher ces aliénations mentales à ce trouble. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 103
attacher ces aliénations mentales à ce trouble. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 103 De sorte qu'à côté des aliénations mentale
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 103 De sorte qu'à côté des aliénations mentales , névroses, doivent prendre place des aliénation
iénations mentales, névroses, doivent prendre place des aliénations mentales par troubles de la nutri- tion lesquelles réuni
i- tion lesquelles réunissent dans un même groupe des aliénations mentales étudiées par certains auteurs sous autant de noms
éthode fonctionnelle très active. P. K. XXV. Mensonge ET aliénation mentale ; par MOELI. (Allg. Zeitsch. f. . Psychiat., XLV
accusé d'escroquerie. Ment- il ? Simule-t-il ? Etablir la débilité mentale et samodalité. Conclusion irresponsabilité . P.
personnelle, c'est-à-dire les différences individuelles du travail mental ou des impressions qui sont dans des limites no
., etc. On mesure le temps que demande chez chaque sujet ce travail mental à l'aide d'une montre à déclancliement podaliqu
à faire du délire chronique une classe à part de la dégénérescence mentale . SOCIÉTÉS SAVANTES. 119 Certains persécutés,
ctuel faible descendant d'alcoolique, qui, après quelques accidents mentaux très fugaces, a d'abord présenté un véritable a
ien la systématisation de son délire porte le cachet de sa débilité mentale ; c'est, en effet, une systématisation pauvre, s
e une dégénérée et ce qu'il entend par le terme de dégéné- rescence mentale . M. RITTI exprime l'hypothèse que le cas de M.
élires de persécution. Ils constituent peut-être entre ces maladies mentales comme un groupe mixte de transi- tion, et me se
stique de la dégénérescence, nous n'au- rons plus alors en médecine mentale d'autre maladie que la dégé- nérescence. D'aill
une systématisation toute spéciale, grâce au terrain de débi- lité mentale sur lequel il s'est développé et que c'est justem
intellectuelles est bien la caractéris- tique de la dégénérescence mentale . Il y a en conséquence lieu, selon lui, de main
ie dans la psychiatrie pour déterminer tout un groupe de maladies mentales . II). M. le Dr D.abcuEwmcH. Sur les altérations
héorique que pratique. Paul BLOCQ. 111. Manuel pratique de médecine mentale ; par le Dr E. Régis. 2e édition. Paris, 0. Doin
représente dans une forme concise un véritable traité des maladies mentales d'après les données les plus récentes de la sci
lecteur le chapitre sur les Éléments symptomatiques de l'aliénation mentale , dans lequel z BIBLIOGRAPHIE. M. Régis, s'ins
façon très précise, très claire, toute la séméiologie des maladies mentales , les chapitres de la Folie systématisée, de la
olie des diathèses rajeuni par l'application à l'étude des troubles mentaux des doctrines mo- dernes, professées par M. Bou
; la psychologie n'est que la physiologie spécialisée ; la médecine mentale n'est qu'une spé- cialisation de la médecine gé
peut objectiver, en quelque sorte, à l'aide de la méthode expéri- mentale . Tous les agents physiques qui concourent à l'ent
stance del'organisme à l'infection, détermi- nant même des troubles mentaux ; puis l'influence de la uuit sur l'ap- parition
oppement et la marche des maladies BIBLIOGRAPHIE. z7 nerveuses et mentales ,- de même que, dans des cas inverses, les effet
e signes physiques extérieurs, de même le diagnostic des troubles mentaux ne peut être basé que sur les signes physiques. L
rieures... Il est à remarquer aussi que la constitution physique et mentale peut influer sur la localisation des troubles p
érence qui sépare le régime médical pour le traitement des maladies mentale s de celui que réclame le traitement des maladi
que les autorités considèrent comme donnant des signes d'aliénation mentale , d) recevoir des aliénés criminels. 2° L'asil
s que le cocher fantaisiste ne paraissait pas jouir de ses facultés mentales , et ils se disposèrent à l'emmener au poste voi
'a pas encore été retrouvé. (Eclair, 25 juillet 1892.) Aliénation MENTALE . - Il y a quelques jours, une femme, demeu- ran
-neuf ans, qui depuis quelque temps donnait des signes d'aliénation mentale , s'est jetée dans un puits profond de 20 mètres
es Archives est consacrée à des Mémoires originaux sur /'aliénation mentale ou la NEUROLOGIE. Ces mé- moires sont inédits e
te ou consécutive aux attaques, aux malaises; un état de dépression mentale , d'incapacité intellectuelle, qui est parfois l
lte affection avait été précédée du- rant plusieurs jours d'un état mental tout particulier et bizarre. « Il s'arrêtait su
t à cogner les personnes ou les autres brebis. 'REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE ? J1 l'idiotie méningitique et peuvent concouri
chercher quelle est leur valeur diagnostique. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE Avis. - Nous rappelons à nos lecteurs, que, dan
travaux qui paraissent dans les journaux con- sacrés à /'aliénation mentale et à la Neurologie, en Angleterre, en Allemagne
le pouvoir moteur de l'estomac semble un peu 2M REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . accru. D'un autre côté, l'auteur a pu enregist
merycisme (Archives de Neurologie, 1883-188L) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . -) 1,; 1) toxicité. Dans la folie pellagreuse,
psie. J. Séglas. XXII. L'acide URIQUE dans les formes DE dépression mentale ; par le or Marzocchi. (Riv. sp. di (l'en., t. X
tion. Depuis cette épo- que, il a toujours été obsédé par la vision mentale des cheveux de 2û'l- 1, 1. REVUE DE PATHOLOGIE
ar la vision mentale des cheveux de 2û'l- 1, 1. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . femme épars et flottants. Le contact ou la rep
MENTALE. femme épars et flottants. Le contact ou la représentation mentale de ces cheveux suffit chez lui à provoquer l'or
des images absolu- ment fausses. D'autre part, quelques conditions mentales qui sont universellement considérées comme cara
vérité objective que ne le sont les soi-disant conditions de l'état mental sain. M. Bucke cite quatre points sur lesquels
us les considérons comme aliénés : par exemple, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 2 : J : J 5 les malades qui s'imaginent voler
s, menottes, cachots, barres de fer, an- 2.V")6 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . neaux, etc., qui, il y a à peine quelques anné
ais aucune solution exacte n'était possible tant que ces conditions mentales particulières ont été attribuées à l'oeuvre de
première condi- tion dans les effets hypnotiques doit être un état mental personnel au sujet : par suite d'un trouble pro
al personnel au sujet : par suite d'un trouble profond du mécanisme mental , les sensations et les pensées sont privées de
er le caractère et le but de l'attention en rapport avec l'activité mentale ou physique. Il existe dans toute matière vivan
l'attention et nous ne pouvons comprendre l'o- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 257 péralion que quand nous reconnaissons deux
tention organique; mais quand elle agit en obéissant à des facultés mentales supérieures, ou à une volonté intelligente on p
la capacité automatique de l'attention organique aussi dans l'état mental normal de l'homme, beaucoup de mouve- ments peu
us pouvons mouler, pour ainsi dire, la base physique de notre vie mentale supérieure et donner une signification au terme é
de l'idée est une fois ébauché, il devient une partie de l'appareil mental , et quoi que ce soit que l'esprit se soit assim
acides (urates) avec oxalate de chaux). P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 259 XXX. DÉVELOPPEMENTS A L'APPUI DE TABLEAUX
écutives. Il est encore pas mal de régions au Japon où l'aliénation mentale est considérée comme, soit le châtiment d'une h
rapide, se relève très promptement et très haut quand le trouble mental dure depuis longtemps. Dans la mélancolie, le poi
espace sous-arachnoïdien : en effet, dans quelques cas d'aliénation mentale , comme la paralysie générale, cas dans lesquels
l'hémiparésie est revenue avec les convul- sions, mais les facultés mentales n'ont pas subi d'atteinte et le ma- lade peut e
tres nerveux. Etudiant les effets de ces médicaments sur l'activité mentale , par la méthode des mensurations psychophysiques,
aissance ou dans leur plus tendre enfance sont atteints de débilité mentale , d'imbécillité, de dé- mence. Sous l'influenc
t surtout graves et longues. Dans 17 p. 100 des cas, l'alié- nation mentale était indéniable à l'époque du dernier crime ou
tions et agitation maniaque). Il note également la dégé- nérescence mentale préalable et dans ce cas la terminaison de la m
géniteurs. Ce qui le prouve c'est la fréquence de la dégénérescence mentale congéni- tale chez les criminelles. Sans doute
es causes de déchéance physique, vien- nent s'ajouter à la débilité mentale et au vice d'organisation céré- brale du prédes
n soi minime qui fai- sant déborder le vase provoquera l'aliénation mentale par laquelle un hasard différent eût pu le fair
s criminels, prédomine la folie systé- matique et la dégénérescence mentale . Mais on constate aussi souvent la mélancolie s
par des chirurgiens de cette ville, et par Keen, que l'amélioration mentale s'en est suivie. M. le Dr HURT dit : le D'' Bau
Il passe ensuite en revue les hallucinations verbales en clinique mentale . Il montre que contrairement à ce qu'on croyait j
ogique au point de vue du diagnostic et du pronostic des affections mentales où ils se rencon- trent. En tout ce qui touche
.relevons ceux qui ont été accordés à des travaux sur la pathologie mentale et nerveuse. Pria; Alvarenga de Piarchy (Brésil
pour 1895. Pria; Civrieux (800 fr.) : Des obsessions en pathologie mentale . Prix Baillarger (2,000 fr., 4894). Au meilleur
0 fr., 4894). Au meilleur mémoire sur la thérapeutique des maladies mentales et sur l'or- ganisation des asiles publics ou p
vent la compétence scientifique et pratique du candidat en médecine mentale , et dans la pratique des asiles. 314 FAITS DIVE
trois jours à Paris avec sa famille. Il était atteint d'aliénation mentale . Sa folie cependant n'avait jus- qu'alors prése
Washington, 1892. Government printing Office. JA/OE1" (P.). - Etat mental des hystériques. - Les stigmates mentaux. Volum
ffice. JA/OE1" (P.). - Etat mental des hystériques. - Les stigmates mentaux . Volume in-12 cartonné de 234 pages. Prix 3 fr.
lsaresallskapels Ilandlingar, fev. 1893.) , Magnan (V.) ? yVach'M mentales . Leçons faites à l'asile clinique (Sainte- Anne
et tremblement hystérique. L'Encéphale, 1881.) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 373 La névrose hystérique chez la malade de ce
ités cssentielles obser- vées dans notre cas. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XXXI. Suit CERTAINS CAS D'ABOULIE AVEC OBSESSI
'il s'agit d'un trouble du sens du toucher. g74 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Les divergences qui existent encore sur cette
l- ques-unes des manifestations les plus saillantes de ce trouble mental . Deux ordres de faits ont été presque entièreme
le fonctionnement général des facultés, autrement dit le dynamisme mental ; 2° l'état des mouvements volontaires. Tout d'a
vements volontaires. Tout d'abord s'impose la distinction de l'état mental général et des symptômes plus en relief qui pou
qu'ils dé- pendent : 1° de {'inactivité (instabilité, irritabilité mentales ; pano- phobie, arrêt en présence de ce qui est
des fonctions nerveuses, en un mot le trouble profond du dynamisme mental . Ce trouble primitif et général qui porte sur les
elligence et à la volonté, déter- mine, dans chacune des opérations mentales , des symptômes de même ordre : hésitation intel
ctes correspondant au délire du toucher (lavage REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 375 des mains, craintes des contacts, gestes a
il s'agit là d'un trouble primordial et très général de l'activité mentale considérée surtout dans ses manifestations volo
la volonté qui est, sans conteste, la plus diminuée des facul- tés mentales . Elle est diminuée dans sa double action : et com
terne, l'autre motrice et externe, d'une 376 () REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . seule et même lésion des centres idéo-moteurs.
aliénés dans ce sens : en effet, pour mettre en évidence ce trouble mental , il faut le rechercher avec soin, interroger les
sé, à évolution progressive (type Cotard), plus REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ON 1 fréquent chez la femme, peut être consid
dico-psycholo- giques, décembre 1892.) E. B. XXXIII. La confusion mentale primitive; par le Dr CHASLIN. Il est un groupe
ant d'être admis défini- tivement à l'étranger : c'est la confusion mentale primitive. Après un historique aussi complet qu
rançais, en particulier par Delasiauve, dans la création de ce type mental , l'auteur donne une esquisse précise de l'aspec
eur donne une esquisse précise de l'aspect clinique de la confusion mentale primitive. Après un stade prémonitoire qui pe
ème céré- bral avec trouble des méninges, en sorte que la confusion mentale primitive serait une psychose constituant une f
purement fonctionnelles comme la manie, la Bit) REVUE DE rATHOLOGlE MENTALE . mélancolie, la paranoïa et les folies à base a
s présentent des phénomènes catalepliformes. Souvent la confusion mentale primitive revêt le caractère d'une véritable ma
délire d'emblée est le plus souvent l'exagération du déséquilibre mental plus ou moins latent ; le diagnostic avec le déli
igu, le moment de son apparition, l'état grave, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 379 la température, serviront à tenter d'établ
par Wille, comme un caractère diagnostique. Pronostic. La confusion mentale est plus grave que la mélan- colie ou la manie.
8 , déc. 1892.) E, B. XXXV. Modifications 013SERN iES dans l'état mental DE certains ALIÉNÉS ATTEINTS DE CHOLÉRA; par le
qui a sévi à l'asile de Donneval,a permis à 380 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . M. le D1' Camuset de faire plusieurs observati
1' Camuset de faire plusieurs observations intéressantes sur l'état mental des aliénés atteints. 1° Etats maniaques. - L'a
- Un seul para- lytique général fut atteint du choléra et son état mental , déjàtrès mauvais, ne fut nullement modifié. Pl
et mourut avec une grande frayeur de la mort. 5° Idiotie, débilité mentale , - Les idiots ne paraissent pas avoir une grand
n'a aucune action sur les délires systématisés. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 381 Presque tous les malades, sauf les idiots
ormes symptomatiques de la même maladie : 38.-) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . « la facilité de production des phénomènes cat
eptique ne peut ni agir ni être suggestionné. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 383 Dans la dernière partie de son article, M.
il a trouvé des troubles trophiques el un degré marqué de déchéance mentale . Un homme de trente-sept ans, avec de bons anté
oteurs des mélancolique* sont décrits par 384 4 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . tous les auteurs; l'auteur nous en fait connaî
malade a des antécédents héréditaires assez chargés au point de vue mental et, comme antécédents personnels, on note deux
. Cette affection vaso-motrice a-t-elle un rapport avec l'affection mentale du malade ? Ces deux affections se sont dévelop
eat) de York, le 21 juillet 1892; par ROBERT BAKER. (The Journal of Mental Science, octobre 1892.) Discours très bref où s
MENT DE LA FOLIE EN ANGLETERRE; par J.-A. CAMPBELL. (The Journal of Mental Science, janvier 1892.) Nous nous bornons à sig
ecteurs qui s'intéressent à la législation comparée de l'aliénation mentale . R. M.-C. XLII. UN cas DE la maladie appelée
s DE la maladie appelée KATATONIE; par Percy-Smitu. (The Journal of Mental Science, juillet 1892.) Observation intéressant
sante et détaillée, recueillie avec soin et que REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 385 l'auteur a fait suivre de quelques comment
nérale DES aliénés avec la SYPllILIS; par Jacobson. (The Journal of Mental Science, avril 1892.) Les recherches poursuivie
La parotidite chez les aliénés; par Th.-B. HYSLOP. (The Journal of Mental Science, octobre 1890.) Les trois observations
nte a provoqué la rémission ou la disparition momentanée du trouble mental chez les aliénés; les cas de ce genre sont asse
après l'ablation DE Le barbe; par George rINDL.11. (The Journal of Mental Science, juillet 1890.) Observation curieuse,
procher d'un fait semblable publié par M. Savage dans le Journal of Mental Science de juillet 1886. R. M.-C. XL VI. Note
ues points concernant les criminels; par John BAYER. The Journal of Mental Science, juillet 1892.) Etude intéressante, fai
ns médico-légales relatives à la responsabilité et à l'alié- nation mentale ; on y remarquera le peu de cas que font certains
ême qu'elles ne sont Archives, t. XXV. 25 386 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . pas contestées, et qu'elles sont l'exprcssioe
e du CCEUR chez une mélancolique; par Vincent Nash. (The Journal of Mental Science, janvier 1892.) L'auteur a cru devoir p
rvations sur la « katatonie i ; par Edwin GOOD.1LL. (The Journal of Mental Science, avril 189.) L'auteur a résumé ou rappe
Sur l'affection dite « Paranoïa » ; par E. L. DUNN. (The journal of mental science, janvier 1893.) La première question qu
mieux caractérisée, ou bien succéder, pour le terminer, à un état mental pathologique antérieur. Parmi les formes les plus
quand elles existent, ne se rapportent presque REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 387 jamais au délire) et se systématisent : le
ls biliaires chez les aliénés; par CECIL F. BEADLE. (The Journal of Mental Science, juillet 1892.) Etude très documentée s
s aliénés : en terminant, l'auteur rappelle 388 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . . que la cholestérine qui entre pour une si
sur l'hématome DE la dure-mère; par Edwin GOODALL. (The Journal of Mental Science, juillet 1892.) Note intéressante sur l
cas DE paraplégie ataxique; par F.-S.-John BULLEN. (The Journal of Mental Science, avril 1892.) Deux observations recueil
e intoxication peut dans un esprit robuste occasionner un trou- ble mental de très courte durée, elle ne déterminera certain
gie du délire sensoriel comporte un rétrécisse- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 389 ment et une obnubilation du champ de la co
et de toute la personnalité. Dans le processus de dégénérescence mentale qui constitue la paranoia chronique, on disting
- noia. En général la paranoia est un processus de dégénérescence mentale . Selon le fonds du caractère, elle prend des form
ison sans déchéance no- table. J. SÉGLAS. 390 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . LV. UN cas d'imbécillité associé A UN arrêt de
sé ; délire mixte de persécution et de gran- deur ; affaiblissement mental ; durée de huit ans environ. II : Hé- rédité lég
délire de persécution systématisé, idées de grandeur; désagrégation mentale ; durée cinq ans. III : Hérédité légère, début à
ssez longue; période de persécution; période de grandeur; confusion mentale . VII : pas d'hérédité ; développement de la mal
mment identique ; mais, outre qu'il y a des cas REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 391 dans lesquels manque une des périodes, spé
UE DES PRISONNIERS ; par le Dr J. M01\EL (de Gand). (The Journal of Mental Science, janvier 1893.) Tous ceux qui sont au c
ait pas, dans un certain nombre de cas, être attribuée à un trouble mental , et qui a pres- crit une enquête médico-psychol
il y en a avait huit qui présen- taient des symptômes d'aliénalion mentale tels que leur interne- ment immédiat dans un as
pas à créer, spécialement pour les prisons, un service de médecine mentale . L'auteur pense évidemment avec raison, que les
e et classer les défectuosités psychiques 392 ) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . des divers délinquants, et faire en outre, dan
personnel ad hoc. Tous les prisonniers appartenant à la catégo- rie mentale des imbéciles devraient être l'objet de soins par
soins particuliers tant au point de vue physique qu'au point de vue mental ; leur peine en outre, ne devrait jamais être ab
UELQUES formes DE folie aiguë; par John MACPHERSON. (The Journal of Mental Science, janvier 1893.) L'auteur résume dans le
icament a échoué dans un certain nombre de cas, REVUE DE pathologie mentale . 393 mais à l'heure actuelle, l'auteur attribue
la nutrition et la production du som- meil normal. 4° Sur l'état mental , le médicament a agi en modifiant et en atténua
, pesanteur DE tète, KOPFDRUCK; par HARRY CAMPBELL. (The Journal of Mental Science, janvier 1893.) On sait avec quel luxe
aire (maladie de Huntizzgtolz); par \ ? h. MENZIES. (The Journal of Mental Science, octobre 1892 et janvier 1893.) . Les
wig Meyer est nommé à Goettingue à la première chaire de pathologie mentale . En réalité il n'y a plus maintenant de différe
pendant deux ans (1875-1876), le cours complé- mentaire de maladies mentales , il fut nommé, le 18 avril 1877, à la chaire de
mentales, il fut nommé, le 18 avril 1877, à la chaire de pathologie mentale et des maladies de l'encéphale, (lui venait d'ê
aire était ambigu, puisqu'elle comprenait, d'une part, les maladies mentales et, en même temps, non pas les ma- ladies nerve
incipaux travaux de M. le professeur Ball : Leçons sur les maladies mentales , 1883; 2e édition en 1890; La morphinomanie, 18
ion avec M. CHAMBARD); Leçons professées à la Clinique des maladies mentales ; Erythème symptomatique des tu- meurs cérébrale
rds (1866). B. BIBLIOGRAPHIE X. Leçons cliniques sur les maladies mentales ; par le Dr Magnan Les leçons cliniques sur l'ép
heure actuelle, la base de l'enseignement classique de l'aliénation mentale en France. Dans un nouveau chapitre, M. Magnan,
toire de la manie et des états maniaques dans les di- verses formes mentales . Tout le monde est d'accord pour admettre une m
lui de la manie vraie, sont très communs au cours de l'alié- nation mentale . Le paralytique général s'agite souvent au point
données psychologiques dif- férentes et sans s'inquiéter de l'état mental provoquant la sugges- tibilité, peut aggraver c
'état mental provoquant la sugges- tibilité, peut aggraver cet état mental tout en semblant modifier avantageusement telle
s différents buts; son influence; par D. Hack Tuke. (The Journal of mental Science, juillet 1892.) La maison de retraite
JAMES Murray; par A.-R. UnQeR.aRT et A. IIEITON. (The Journal of mental Science, avril 1890.) Ce mémoire, très intéress
; par les docteurs DODDS, STR : 111AM et GREENLEES. (The Journal of mental Science, janvier 1890.) Nous reproduisons ici,
st contraire à l'intérêt bien entendu des malades et de la médecine mentale de laisser augmenter la population de nos asiles
les observées dans DIVERS asiles; par ROBERT BAKER. (The Journal of mental Science, janvier 1890.) Les différents appare
devrait-il pas être plus varié; par J.-A. Campbell. (The Journal of mental Science, juillet 1892.) Après l'exposé de que
ge DU travail fourni par eux ; par CHARLES Mercier. (The Journal of mental Science, janvier 1893.) Tout le monde sait qu
successivement interne des Asiles et chef de clinique des maladies mentales et médecin du bureau de bienfaisance du XIV° ar
ochure in-8" de 16 pages. Saint-Louis, 1893. Journal of nervous and mental diseases. Bremer (L.). Itching of central origi
50 ils n'ont habituellement pas sur la santé générale et sur l'état mental des sujets qui en sont atteints le retentisseme
étude, nous considérons surtout les auteurs qui ont examiné le côté mental , psychologique de l'hystérie. C'est donc simple
influences morales qui modifiaient non l'état physique mais l'état mental pathologique de l'hystérique. Cette conception
actérise est un état maladif de l'esprit'. » Mais ces modifications mentales ne se manifestent pas seule- ment par des délir
oins en apparence, des accidents qui dépendent d'une représentation mentale . Au début, peut-être, le sujet a eu conscience
étudiées avec plus de détails dans notre travail sur Les accidents mentaux de l'hystérie. 430 REVUE GÉNÉRALE. avait dans
rait, disions-nous à ce propos, passer en revue toute la pathologie mentale et une partie importante de la patho- logie phy
en est pas ainsi, en raison de la dissociation facile de leur unité mentale , disait M. Charcot, ^certains centres peuvent-ê
son idée ' Jules Janet, op. cil., p. 622. s L. Laurent. De l'état mental des hystériques d'après les théories psychologi
l'action sédative ET HYPNOTIQUE DE ! la DUBOISINE dans LES maladies mentales ; parle Dr BELMONDO. (Riv. p. di (l'en.) t. XVIII,
tion psychique ou motrice accompagnant diverses- formes de maladies mentales . Comme telle, on doit la pré- REVUE DE thérapeu
il y eut pendant deux mois une amélioration très marquée de l'état mental en même temps que les troubles de la motilité a
e de perdre leurs mauvaises habitudes. Ils éprouvent une excitation mentale très marquée, comparable il celle que produit l
ligature DE l'artère vertébrale; par Telford-Smitu. (The Journal of Mental Science, octobre 1890.) On se souvient qu'il
malheureusement la réapparition des attaques a renversé l'é- difice mental et intellectuel si laborieusement restauré. R. M.
Usage ET abus de l'hyoscine, par Lionel Weatiierly. (The Journal of Mental Science. Juillet 1891.) L'auteur conclut de ses
e prudence attentive, mais qui peut, dans certains cas d'aliénation mentale ou d'affec- tions nerveuses, rendre des service
vec hallucinations, elle a paru plutôt nuisible; dans la dépression mentale , elle est sans effet. On la trouvera utile, au
sédatif ET hypnotique; par J. CAIILYLE-JOIiNSTOVE. (The Journal of Mental Science, janvier 1892.) - Les conclusions de ce
fluence sédative très nette dans le cas d'agita- tion ou d'angoisse mentale , particulièrement dans les cas récents et aigus
ées. R. M.-C. IX. NOTES DE thérapeutique CLINIQUE dans LES maladies mentales ; » ? par AKGnisANi. (Il ilianicomio, fasc. 2-3
r de l'agitation. Voici la formule employée : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 457 l'influence de ce médicament, la circulati
la nutrition s'améliore notablement. J. SÉGLAS. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE LXI. UN cas DE folie DU doute avec délire DU to
t par un véritable état de démence. G. D. 458 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . LXIV. BOULIMIE hystérique par accès s'accompag
yant disparu brusquement pour faire place à un état d'automa- tisme mental , avec amnésie complète de l'accès et amnésie rétr
yogène. Il n'y a aucune importance à rechercher dans quelles formes mentales se déve- loppe de préférence l'otématome et cel
début de l'othématome; les lavages doivent être REVUE DE pathologie mentale . 489* répétés, abondants et doivent être poussé
graphie d'un crimimel simulateur; par James MURRAY. (The Journal of Mental Science, juillet 1890.) L'histoire de ce prison
UMEUR CÉRDITALF (r[13110-KY--TIQUE); parJamesRoRIE. (The Journal of Mental Science, juillet 1890.) Observation détaillée,
olie homicide ET suicide; par Frank ASIIB1 1;LKINS. (The Journal of Mental Science, janvier 1891.) Observation détaillée,
LES aliénés DE 1890 en ANGLETERRE; par Percy Smith. (The Journal of Mental Science, janvier 1891.) Travail impossible à
ogie ET DE son évolution ; par George M. Robertson. (The Journal of Mental Science, janvier 1890.) Après avoir étudié ph
LXXII. Insolation ET folie; par Théo. B. IIYSLOP. (The Journal of Mental Science, octobre 1890.) L'auteur pense que l'on
ion (sous la double forme de coup de soleil 460 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . et de coup de chaleur) dans l'étiologie des af
GIE MENTALE. et de coup de chaleur) dans l'étiologie des affections mentales , surfout dans les pays chauds. Mais son mémoire
x de paralysie générale ; par BOVVILLE BRADLEY Fox. (The Journal of Mental Science, juillet 1891.) Il s'agit de quatre. ca
on DE manie POST-ÉCLAMPTIQUE j par E.-A. ALExANDER. (The Journal of Mental Science, juillet 1891.) L'éclampsie a probablem
cès de manie parait avoir eu pour cause prédisposante l'instabilité mentale congénitale, et pour cause déterminante les cri
INGHAM, le 23 juillet l891, par E.-B. `1'DITCOJIBE. (The Journal of Mental Science, octobre 1891.) Dans ce discours, le
u proposés pendant les dix dernières années en manière d'aliénation mentale , tant au point de vue administratif ou légal qu
SÉCU- TIVE A une insolation; par E.-B. WHITCOHBE. (The Journal of Mental Science, octobre 1891.) Observation d'un cas in
la relation détaillée de l'autopsie. R. M.-C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 461 LXXVII. Hystérie mâle D'ORIGINE TOXIQUE ET
XXVIII. Influenza ET névrose; par Geo.-H. Savage. (The Journal , of Mental Science, juillet 1892.) On sait que l'influenza
la diminution du pouvoir musculaire. Plusieurs formes d'aliénation mentale se sont montrées à l'état de conséquence de la
rapport entre la gravité de la maladie primordiale et les troubles mentaux dont elle a provoqué l'éclosion ; ce qu'il y a
s prédisposés. On a dit que l'influenza pouvait modifier le trouble mental chez un aliéné; l'auteur n'a constaté ce fait q
poraire; en revanche dans quelques névroses anciennes, sans trouble mental , dans la surdité nerveuse par exemple, il a pu ob
la DISSOLUTION DE L'Ex- pression; par John TURNER. (The Journal of Mental Science, jan- vier et avril 1892.) Dans ce tr
e que si l'on étudiait avec soin, et paral- 462 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . lèlement, les symptômes de paralysie du mouvem
.-C. LXXX. Un cas DE cocaïnisme; par PERCY Smith. (The Journal of Mental Science, juillet 1892.) Ce cas s'écarte du type
LXXXI. GÉNIE ET folie; par Arthur i·1.1CD0\.1LD. (The Journal of Mental Science, avril 1892.) L'auteur termine son étud
cette conclusion, il n'y a pas lieu de supposer REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 463 « que la valeur de ce qu'il y a d'élevé et
le génie lui-même. » Remarquons que les directeurs scientifiques du Mental Science, MM. Hack Tuke et Geo. Savage ont cru d
. LXXXII. La KATATONIE EST-ELLE UNE forme particulière DE TROUBLE mental ; par M. J. NOLAN. (The Journal of Mental Science,
me particulière DE TROUBLE mental; par M. J. NOLAN. (The Journal of Mental Science, octobre 1892.) LYŸlIII. QUELQUES obs
YYI\'. UN cas DE tumeur cérébrale; par James RORIE. (The Journal of Mental Science, juillet 1892.) Observation intéressant
ure du ventricule GAUCHE du COEUR; par Jolin BRUCE. (The Journal of Mental Science, janvier 1892.) Observation d'un homme
homme de soixante-dix ans, mort subitement 464 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . au déclin d'une période d'excitation; le coeur
s la pratique médicale ordinaire; par A.-II. NEWTH. (The Journal of Mental Science, janvier et avril 1892.) - A l'aide d
tement de la folie; il signale notamment certains cas où le trouble mental est sous la dépendance d'une lésion organique q
tre que si le milieu ambiant paraît agir défavorablement sur l'état mental , si les ressources du traitement à domicile son
Y : NOTES d'un visiteur ; par M. George ROBEIiTSON. (The Journal of Mental Science, octo- bre 1892.) L'auteur a visité s
soit relativement. Lorsque, chez ces malades on REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 465 provoque l'hypnose, ils manifestent les di
s dits psychiques ou Archives, t. XXV. 30 466 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . somatiques de l'hypnotisme; tels que les décri
étendre à des affections nerveuses très diverses. Dans l'aliénation mentale , l'hypnotisme pourra certaine- ment être employ
at de rêve intermédiaire entre les deux autres. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 467 - Dans l'état de sommeil profond, les vibr
e partout où il y a illusion, il y a folie; 468 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . mais partout où il y a folie, il y a illusion.
conclusions de l'auteur sont les suivantes : 1° Toutes les facultés mentales se sont manifestées chacune à son époque; elles
les familles les plus progressives de la race aryenne, les facultés mentales depuis quelques milliers d'années, se sont déve-
grande rapidité. 7° Dans celte race, le grand nombre des déchéances mentales , communément appelées folie, sont dues à la rap
folie, sont dues à la rapide et récente évo- lution de ces facultés mentales dans la race. Aussi dans la race Aryenne améric
ependant probable que nombre de personnes ne doivent leurs troubles mentaux qu'à l'épuisement produit par la rétention de p
tielle : oedème considérable, coeur très hypertrophié. Comme état mental : stupidité avec des périodes d'excitation caract
vec des périodes d'excitation caractérisées par REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 469 des idés de persécution. Son urine contena
épithéliaux avaient disparu de son urine et son état phy- sique et mental était excellent. 3° Mélancolique, trace d'album
etit nombre de cylindres hyalins. Pas d'cedème. Un an après, état mental très amélioré et plus de signes de néphrite.
ins. Coeur normal. En quelques mois, l'oedème dis- paraît et l'état mental se guérit. 6° Mélancolie avec idées de suicide.
le Kreisphsiken dans son rapport. Il conclut à la dégénères-, cence mentale , c'est-à-dire à l'existence d'un état psychopathi
par le retour des règles qui avaient cessé au début de l'affection mentale . M. NEISSER présente un malade affecté de paral
ef de clinique médicale, est institué chef de clinique des maladies mentales , en remplacement de M. LAPON, dont le temps d'e
rait du compte rendu du Congrès de Blois. Mairet (A.). Aliénation mentale syphilitique. Volume in-8° de 182 pages. Paris,
z les aliénés, par de Bocke et Slasse, 93; Sailler, 9. Aliénation mentale par troubles de la nutrition, par Mairet et Bos
stème nerveux, par Gowers, 308; leçons cliniques sur les maladies mentales , par Iagnan, 40 ? ;-thérapeutique sug- gestiv
fenburg, 282. Commotion cérébrale, parFriedmann, 262. Confusion mentale primitive, par Chaslin, 377. Congrès des méde
Twos céphalique, par Nerlich,271. Thérapeutique dans les maladies mentales , par Anarisani, 456. Tics, maladie des, par Cha
ar de Boecke et Slasse, . 93. Urique (acide) dans la dépression mentale , par Marzocchi, 253. table des -auteurs ET DES
9 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
VES DE E NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRE
RECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNA
nté au moment de ses différentes entrées quel- ques légers troubles mentaux dus à l'alcoolisme, il en serait de lui comme d
les caractères d'un acte pathologique. Quant aux accès d'aliénation mentale présentés autrefois par Delannoy ont-ils été .r
nous dirons pour conclure : Delannoy n'est pas atteint d'aliénation mentale ; rien n'au- torise à penser qu'il était hors d
elonaie pathologique de la paralysie générale. (Congrès de Médecine mentale . Blois, 1893.) 1 Minnich. Zeilsclu'illliil' kli
es arthritiques notoires qui sont atteints de maladies nerveuses ou mentales , on trouve des traits communs devant être mis à
SOIN : 1L ET SULFONAL; par MEMOM et SCALLT. (Journal of Ncruous and Mental Diseases, juin 1874.) Le D'' Memom donne le som
intra-cranienne (céphalées, vomissements, névrite optique). L'état mental commençait à s'altérer ainsi que la sensibilité à
THYa01- DIEN; pal' ThomaÓ-SamuelMAc CLAL : GIIIIY. (The Jourltal of Mental science, octobre 1894.) , L'auteur se propose
négales au point de vue des résultats obtenus relativement à l'état mental . La préparation employée dans les deux cas consis
mi- neux. Au bout de quinze jours, amélioration marquée de l'état mental et du goitre. Au bout d'un mois l'amélioration
r l'extrait thyroïdien; par Telford Telford-Smitii. (The Journal of mental science, avril 1895.) Les cas étudiés par l'a
ien, avec une amé- lioration tout juste appréciable au point de vue mental , mais extrêmement frappante au point de vue phy
tement DES dégénérés; par Jules MUREL (de Gand). (The J021r)tcLl of Mental Science, octobre 189t.) L'obligation de pourvoi
où des indications thérapeutiques possibles du trépan en aliénation mentale . Tout d'abord l'auteur passe en revue les tenta
t craniectomies dans l'idiotie microcéphalique. Pour les troubles mentaux d'origine traumatique en revanche, les résultat
oncerne la cure des épilepsies jacksonniennes avec ou sans troubles mentaux consécutifs (la cure des troubles mentaux eux-m
nes avec ou sans troubles mentaux consécutifs (la cure des troubles mentaux eux-mêmes étant subordonnée au temps plus ou mo
lisations pas plus que la chirurgie cranio-cérébrale et la médecine mentale n'ayant dit leur dernier mot. L. A. Marie. XV
la méningite, avec UNE observation; par John laEAY (The Journal of Mental Science, octobre 1894). Il s'agit d'un cas de l
était continue et siégeait à la région frontale gauche. L'hébétude mentale était très accusée; en somme, on paraissait avo
au tamponnement, elle était à peu près complètement effacée. L'état mental du malade s'était rapidement 'amélioré dès le d
n de la plaie que l'on voit apparaître les symptômes d'alié- nation mentale . Quelquefois aussi, un traumatisme, même grave,
tion. Ce cas est remarquable par la tardive apparition des troubles mentaux , et l'absence de toute lésion pathologique, au
Sur LE traitement séparé des cas récents ET curables D'ALlÉ- nation MENTALE DANS DES HOPITAUX DÉTACHÉS FT SPECIAUX; par' Jo
HOPITAUX DÉTACHÉS FT SPECIAUX; par' John A. «ALLIS. (The journal of Mental Science, juillet 1894.) Dans ce travail, accomp
observation clinique) ; par T. DUNCAN GREEi'\LEES. (The Journal of Mental Science, juillet 1894.) . 11 s'agit d'une fem
esque simultanément à la première attaque, appari- tion de troubles mentaux d'abord légers, et aboutissant à des hallu- cin
eparurent bientôt, mais moins fréquentes et moins intenses : l'état mental était sensiblemenl amélioré. La céphalalgie, su
tion du salicylate DE soude; par G.-B. 1VDI1VSUY. (The Journal of mental Science, octobre 1895.) Chez une aliénée de qua
aitement DINS LES ASILES D'IftL 1NDE ; par Finegan. (The Journal of mental Science, avril 1895.) Tous les aliénistes saven
irresponsabilité. 11 manque une corré- lation directe entre l'état mental de l'individu et l'acte incriminé. M. LECRAIN r
ul de la durée de la peine pour les condamnés atteints d'aliénation mentale : A, Quand ils sont enfermés dans des asiles sp
ire quand l'aliéné n'a pu échapper à la prison que grâce à son état mental , le magistrat devrait pouvoir tenir au criminel l
ouvoir tenir au criminel le raisonne- ' ment suivant : « Votre état mental vous rend irresponsable, par con- séquent, vous
ce d'un individu ayant com- mis un crime sous l'influence d'un état mental pathologique, prendra une mesure temporaire ou
al, une diminution de l'ivresse, de la criminalité, de l'aliénation mentale . L'orateur veut favoriser la coopération de la
hologique.Psycho-thérapie, suggestions thérapeutiques, sug- gestion mentale , télépathie, transfert psychique, statistique int
hure in- de 11 pages. Extrait du Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique. 1891. CAU\IVE.1U. Un nouveau type
a/;o< ! 7'<'M. SÉGLAS (J.). Leçons cliniques sur les maladies mentales et nerveuses (Salpêtrière 1887.189), recueillie
xcellents, peut-être même Archives, 2e série, t. 1. 7 98 CLINIQUE MENTALE . trop optimistes, ont eu pour rejetons des indi
e à un observateur de localiser des phénomènes de ce 100 ' CLINIQUE MENTALE . genre dans l'oeil droit ou dans l'oeil gauche.
ne erreur de l'activité cérébrale qui s'est manifestée 102 CLINIQUE MENTALE . tout à fait en dehors des conditions habituell
nde en quelque sorte réelle, vivante el- objective, il faut un état mental particulier, assez rare puis- qu'en somme les h
e cité, p. 68 et smv. 1 Bail. Encéphale, 1892, p. 1. 104 CLINIQUE MENTALE . ces deux ordres de phénomènes morbides. Mais l
in Neurologisclies Cen- tralblall, 1889, p. 22. ' . 106 CLINIQUE MENTALE . mais il y a lieu de se demander par quel mécan
6. ' Hughes Bennett. The Lancel, 1889, t. I, p. 674. 108 CLINIQUE MENTALE . auras sensorielles unilatérales peuvent être t
tionnables. Nous la retrouverons encore chez certains dégé- nérés mentaux , comme chez cette ancienne religieuse que je vo
le, qui doit vous guider dans l'observation des faits en pathologie mentale , ne doit pas non plus vous faire négliger de re
ervé la forme pyramidale ou triangulaire et possédant '112 CLINIQUE MENTALE . un noyau à contours nets; elles ont des formes
SSEMENT DF; la folie EN IRLANDE; par Thomas DRAPES. (The Journal of Mental Science, octobre 1894.) Ce travail, très richem
des exceptions. D'autre part, les signes caractéristiques moraux et mentaux de la criminalité sont assez nets et assez défi
violation de la loi naturelle, les anomalies ou les particularités mentales ou morales peuvent être utilisées en vue du dia
utile à notre système social ; il pré- sente toujours des anomalies mentales et morales caractéristiques. Ces criminels sont
est impossible. Comme acte de sauvagerie, Il-)6 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . l'exécution d'un criminel dépasse le cannibali
e- ment aptes à occuper. R. DE Musgrave CLAY. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . I. Sur la FOLIE morale ET ses rapports avec la
iminologie; par le professeur BENGDIKT (de Vienne). (The Journal of mental Science, octobre 1894.) Les termes « folie mo
sonnes entachées de dépravation morale congéni- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . '1Î tale ou acquise ne doivent pas être traité
cause de la non culpabilité que si elle est fondée sur l'aliénation mentale démontrée. Il faut se souvenir aussi qu'un nive
vicieuses sont bien réellement le résultat d'un état d'alié- nation mentale aigu, chronique ou périodique; 3° la combinaison
tes dits irrésistibles comme relevant effectivement de l'aliénation mentale que lorsqu'ils se présentent sous la forme de v
uelle congénitale. R. DE Musgrave CLAY. Il-)8 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . II. Sur LES affections DE la faculté musicale
ns LES maladies cérébrales; par William W. IRELAND. (The Journal of mental Science, juillet 1894.) - Les documents n'abo
de la faculté musicale avec les maladies cérébrales et l'aliénation mentale ; aussi pensons-nous qu'il sera agréable au lect
s impossible à rompre. Tout langage possède des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . "129 intonations modifiables par les émotions.
ux facultés. Archives, 2° série, t. I. 9 '130 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Oppenheim a publié l'observation de dix-sept c
tion, ce qui tient probablement surtout à leur défaut d'application mentale , à leur indolence générale et à leur gaucherie
eauté. Enfin, dans l'exaltation de la manie, la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 131 puissance d'expression musicale est quelqu
ical; mais il en est de même, en ce cas, de la plupart des facultés mentales . Ribot a établi, comme une loi de régression, q
ors même que celles-ci ont plus profondé- ment atteint les facultés mentales plus complexes. » . R. DE MUSGRAVE CLAY. IIL
faculté musicale dans la folie; par Richard LEGGE. (The Journal of mental science, juillet 189 ? ) La faculté musicale co
la musique soit vocale, soit instrumentale; 132 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 4° la faculté de composer de la musique origin
ce les aptitudes esthétiques subissent la même REVUE DE PATHOLOGU ! MENTALE . 133 déchéance, et peut-être plus rapidement en
peut-être plus rapidement encore -- que toutes les autres aptitudes mentales ; mais la faculté de jouer d'un ins- trument peu
d'un sens esthétique rudimentaire, alors que les autres attributs mentaux font totalement ou presque totalement défaut, et
s organes pelviens sont quelquefois suivies 134 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . d'heureux effets au point de vue mental, alors
134 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. d'heureux effets au point de vue mental , alors même que ces opé- rations sont légères e
les. R. DE MUSGRAVE CLAY. V. La législation relative A l'aliénation mentale EN IRLANDE; par John EusTACE. (The Journal of m
l'aliénation mentale EN IRLANDE; par John EusTACE. (The Journal of mental science, octobre 1894.) Travail intéressant et
consécutives; guérison; par A. C. BUT- LER SCYTHE. (The Journal of mental science, octobre 1894.) L'observation dont il s
a paroisse DE BARONY DE GLASGOW; par John CARSWELL. (The Journal of mental Science, juillet 1894.) ' . \ . Cette expér
ntéressent spécialement à la législation com- parée de l'aliénation mentale . R. M. C. VIII. Contribution A L'ÉTUDE ANATOfO-
SIE GÉNÉ- RALE des aliénés; par Alfred W. C.amBELL. (The Journal of mental Science, avril 1894.) Ce travail est basé sur
l de la science, nous restons forcément dans le REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 135 domaine des conjectures lorsqu'il s'agit d
is ce qui est incontestable, c'est que dans 136 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . des cas rapidement mortels de paralysie généra
générale, dans lesquels les altérations cérébrales et les troubles mentaux n'avaient pas eu le temps d'atteindre une pério
as DE folie ataxique; par J. Vincent 13L.1CHFOIiD." (The Journal of mental Science, juillet 1895.) Ce cas est un nouvel ex
ficulté qu'il y a différencier avec quelque précision les symptômes mentaux qui se rencontrent dans quelques cas d'alaxie l
alysie générale. S'agit-il ici d'une ataxie locomotrice à symptômes mentaux , ou d'une paralysie générale à symptômes alaxiq
statait en outre la perte précoce et permanente REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . '137 du réflexe du genou, la'démarche ataxique
É- PARATIONS anatomiques; par W. Lloyd Andriezen. (The Journal of mental Science, octobre 1894.) Les recherches du D'' A
LLETTE DE NEUF ANS ET neuf mois; par Edwin L. Dont. (The Journal of mental Science, juillet 1895.) , Par ses symptômes,
pendant le cours de la maladie men- tale. 138 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . , Il est incontestable que les cas de paraly
LE PLUS CONSIDÉRABLE; par T. ALGERNON CHAP : .IAN. (The Journal of mental Science, juillet 1894.) Travail intéressant,
UES OBSERVÉES chez ces malades; par John TunNEl\, (The Journal of mental Science, janvier 1895.) L'auteur a résumé le ré
ternant avec DE la verbigération; par John Warneck. (The Journal of mental Science, janvier 1893.) Homme de quarante-tro
nte-trois ans, intelligent, actif, très cultivé REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 139 sans hérédité nerveuse : interné pour la p
E CELLULITE PELVIENNE; par J. CHOIS- TIAN SIUPSON. (The Jou1'nal of Mental Science, juillet 1895.) Cas intéressant dans le
d'une inflammation péri-utérine. Les deux guérison ? , physique et mentale , ont marché aussi parallèlement que pos- sible,
DE corps étrangers du vagin; par W. HUSSEL STRAPP. (The Journal of mental Science, juillet 1895.) Il s'agit d'une alién
rrhée rebelle chez les aliénées. R. M. C. 140 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XVIII. Observation d'un cas d'épilepsie avec a
d'un cas d'épilepsie avec aphasie; par Franck IIAx. (The Journal of mental Science, avril 1895,) -~ Cette observation est
LES EFFETS DES maladies somatiques INTERCURRENTES SUR LES troubles mentaux ; par E. GOOD.1LL et Saint-John 13CLLEN. (The J
es mentaux ; par E. GOOD.1LL et Saint-John 13CLLEN. (The Journal of mental Science, avril 1895.) Ces effets ont été signal
A DES TRAUMATISMES anciens DE la tète ; par Drapes. (The journal of Mental Science, avril 1895.) L'observation dont il s
icités de conduite très accusées, et se livra à REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 141 l'usage des boissons alcooliques ; l'étend
signalés par M. Drapes sont les suivants : d'abord, au point de vue mental , le passage brusque, presque violent d'un état
se demander si cette dépression constituait véritablement un état mental de mélancolie, ou bien et l'auteur inclinerait ve
hypothèse si elle n'était pas le résultat d'un retour à la santé mentale mettant le malade en état de se rendre un compte
une conversation parfaitement rationnelles. En fait, les symptômes mentaux ont été remplacés par des symptômes d'ordre bea
ne pouvait être que fort incertain. Pendant les paroxysmes, l'état mental du malade est assez sin- gulier, et correspond
arrive dans le rêve pendant le sommeil, ou 14'2 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . mieux encore au moment même où l'on s'endort :
maux dans 20 p. 100. Lwoff. XXII. SUR la pathologie DE la CONFUSION mentale hallucinatoire aiguë (Venvo ? '1'enheit) ; par
1.) 11 règne une grande confusion dans les idées sur la confusion mentale . Après avoir cité une vingtaine d'aliénistes et n
ait nécessaire de trou-" ver une base psychologique de la confusion mentale . Le schéma donné par M. Beyer suppose, en outre
, donnent lieu à tel ou tel symptôme de la maladie dite « confusion mentale ». C'est un travail d'analyse très intéressant;
e tableau d'ensemble de la maladie en question. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 143 Il serait peut-être bon de rappeler en ter
on a essayé jusqu'ici de faire entrer dans le cadre de la confusion mentale ; ce cadre est très mal limité, et tel auteur a
s; - h) Sensation obsédantes; c) Mouvements 144 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . obsédants (impulsifs) qui, n'étant le plus sou
euses sont négligeables comme facteurs d'hérédité ; 3° les maladies mentales et les caractères excentriques sont les facteur
me prédispose les descendants aux excès alcooliques et aux maladies mentales ; 5° l'hérédité éloignée n'a que peu d'action s
deux systèmes entraîne une dystrophoneurose et par suite une action mentale défectueuse, et qu'en fait, pendant que le cervea
autre, son rapport avec le système nerveux est REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 145 atteint et le malade sort de sa stupeur. S
ement de tension du pouls coïncidant avec un changement dans l'état mental peut être observé dans certains cas de stupeur
des médicaments qui dilatent les vaisseaux est favorable sur l'état mental . P. S. XXVII. Fréquence DES TROUBLES FONCTIONNE
ce DES TROUBLES FONCTIONNELS DU pneumogastrique dans LES affections mentales ; par le Dr KELLOG. Les troubles fonctionnels d
revue, en procédant par divisions du nerf, les diverses affections mentales où peuvent se rencontrer les altérations du pne
zity, octobre 1894.) ' E. B. XXVIII. POIDS du corps ET aliénation mentale ; par le Dr MOUTON. Les troubles mentaux sont fr
OIDS du corps ET aliénation mentale; par le Dr MOUTON. Les troubles mentaux sont fréquemment accompagnés de troubles de la
nt possible. Archives, 2e série, t. I. 10 146 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Il est certain que, malgré tous les soins, cer
mplexus symptomatique désigné chez l'homme sous le nom de confusion mentale . (Revue neurologique, janvier 1895.) E. B. XX
ue, janvier 1895.) E. B. XXXI. Trois nouveaux cas DE c torticolis mental » ; par les Drs BRISSAUD et Meige. Le nom de
is mental » ; par les Drs BRISSAUD et Meige. Le nom de torticolis mental peut être appliqué à une variété de spasme inte
atives et montrent combien les mouvements, tout REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 147 d'abord appropriés à un but, ont de tendan
out état de cause, ce qui décide du diagnostic dans le torti- colis mental , c'est l'état mental du malade toujours plus ou m
qui décide du diagnostic dans le torti- colis mental, c'est l'état mental du malade toujours plus ou moins débile et anxi
XXXII. INTRODUCTION D'UN TESTICULE artificiel ET GUÉRISON D'UN état mental morbide chez un SIONO-CIiYPTORCIIIDE; par le Dr H
el doit par conséquent être regardée comme 148 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . une résultante des conditions sanitaires de l'
onditions de moindre résistance dans lesquelles les place leur état mental , les malades trouvent en général, dans les asiles
an Journal of insanity, oct. 1894.) E. B. XXXIV. SUR LES troubles mentaux dans la maladie DES TICS CONVUL- siFS; par le D
ça à être obsédée du désir d'avoir un enfant. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 149 Pubère, elle interrompt ses habitudes d'on
imposer au magistrat. Mais en'général 1 1duo REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . l'anxiété et la dépression apparaissent, ainsi
'un autre accès délirant. Dans d'autres cas, le REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . loi délire du début se continue durant tout le
er que le mot démence du code ne veut pas dire folie, ni aliénation mentale , ni fureur, ni imbécillité : il signifie perte du
allucinations elles ivrognes). Il critique les expressions maladies mentales , maladies de l'esprit, qui, pour lui, n'ont auc
x-ci sont créés, ils ne doivent pas être motivés par l'alié- nation mentale . et relèvent uniquement d'une loi d'administratio
outeau; nous remontons dans son passé et nous trouvons une hérédité mentale très chargée : à un certain moment il a présent
ime. Qu'on les enferme si l'on veut; mais pas au nom de la médecine mentale . Us doivent être con- damnés comme de vulgaires
traitement individuel que réclament les sujets atteints de maladies mentales ? Comment peuvent être mis en oeuvre et cette a
ule raison qu'on ne les traite pas ». (Traité pratique des maladies mentales . Paris, 1862, p. 656, 657.) Les observations de
1'evision de la loi de 1838. Comptes rendus du Congrès de médecine mentale de Lyon, 7 août 1891. Masson, 1892. 158 asiles
cela se conçoit, d'une étude approfondie et prolongée des maladies mentales . Aussi n'en- trent-ils dans les services d'alié
gage inutile, pourraient-ils s'intéresser aux choses de la médecine mentale et à la tâche toute spéciale qui leur est réser
ment provisoire, ils se désintéressent plus ou moins de la médecine mentale et du traitement des aliénés. Nous n'entendons
t être, c'est-à-dire des hôpitaux pour le traitement des maladies mentales , au lieu de rappeler des établissements de détent
arrive qu'un certain nombre d'internes prennent goût à la médecine mentale , et se sentent attirés vers la carrière des asi
ecine ordinaire, ne saurait se passionner pour l'étude des maladies mentales . Pourquoi ce licenciement de jeunes médecins ex
t se désintéressant en général de tout ce qui touche à l'aliénation mentale ? C'est là une sélection à rebours. Combien plu
ambition à prendre « une connaissance superficielle de l'aliénation mentale de manière « à en reconnaître les formes, après
Girard de Cailleux. Études pratiques sur les maladies nerveuses et mentales . Paris, 1863, p. 191. l'internat DES asiles d'a
à nombre d'étudiants qui ne s'intéressent nullement à l'aliénation mentale . Il met obstacle à toute stabilité des internes
e leurs élèves qui s'adonnent sérieusement à l'étude des maladies mentales , et cela précisément au moment où ces derniers
tour l'hérédité, les stigmates physiques de dégénérescence, l'état mental , la coexistence des psychoses liées à la tare d
xiste dans le département 298 en- fants ;< ! teints d'affections mentales dont 183 garçons et 115 filles. Ce, 298 enfants
issent de la manière suivante : 1° Suivant la nature de l'affection mentale : 126 arriérés ou im- béciles, 118 idiots, 54 é
est très diminuée ; elle ne contient ni albumine, ni sucre. L'état mental du malade présente quelqups singularités. Le no
andes affections de la mémoire, mais cependant, en examinant l'état mental du ma- lade scrupuleusement, on voit qu'il ne p
lesse des muscles abdominaux s'accroissait. L'observation de l'état mental du malade indiquait qu'il avait des singularité
· 1° Greffe. - C'est à la physiologie et à la pathologie expéri- mentales que sont dues les notions exactes de la pathogéni
e de l'avoir trop gâté. Ils pensent qu'il a du boire en INSTABILITÉ MENTALE . 201 cachette dans le débit de vins qu'ils tien
coups de poing. On ne peut l'approcher. Par moments son INSTABILITÉ MENTALE . 203 corps se raidit et parait agile de mouveme
.-S. CLOUSTUN, James Middlemass et W.-F. Robertson. (The Journal of mental science, octobre 1894.) Il s'agit ici d'une dém
RENCÉl'HALIE j par CONOLLY NoRUAN et Alec. FRAISER (Tlae Journal of mental science, octobre 1894.) Nous regrettons vivemen
RVEUSE DÉMONSTRATION PRATIQUE ; par J. B.ITTY-TuKE. (The Journal of mental science, octobre 1894.) Il s'agit ici d'une dém
s conduiront à penser que dans le processus morbide de l'aliénation mentale , les actes nutritifs sont dirigés en sens inver
tendances presque religieuses, qui durant une attaque d'aliénation mentale a une tendance irrésistible à com- mettre des a
quée cinq ans plus tard, elle est demeurée indemne de tout désordre mental : cette immunité dure déjà depuis deux ans, alo
es précédentes, elle n'a pas eu moins de cinq attaques d'aliénation mentale , ces attaques devenant chaque fois plus prolong
é de l'action céré- brale, il faut reconnaître que les discordances mentales dont cette jeune fille est un intéressant exemp
nal chez LES aliénés âgés; par Alfred-W. C.11PDELL. (The Journal of mental science, octobre 1894.) Durant ces dernières
es n'ont guère été étudiées au point de vue spécial de l'aliénation mentale : c'est le point particulier que l'auteur se pro-
rophie ET sclérose du CERVELET; par C. HUBERT-Bo\D. (The Journal of mental Science, juillet 1895.) La physiologie du cerve
mément qu'elles l'étaient. Un autre point intéressant, c'est l'état mental de la malade; c'était une imbécile, présentant
gie DE l'hématome DE l'oreille; par Edwin GOOD.1LL. (The Journal of mental Science, octobre 1894.) L'auteur, après des exp
cas 1)'IIÉMIATROPHIE cérébrale; par John J. CowAN. (The Journal of Mental Science, juillet 1895.) Le malade était un imbé
xagéré dans la neurasthénie, l'hystérie, l'alcoolisme, le surmenage mental , on est conduit à admettre que, dans bien des c
mitive est très souvent suivie d'un trouble ou d'un atlaiblissement mental qui peut se terminer par la guérison, la démenc
PATHOLOGIQUES. DYME granuleux; par Cecil-F. Belles. (The Journal of mental science, janvier 1895.) L'auteur se propose d
le peut d'ailleurs se rencon- trer ailleurs que dans les affections mentales . Quelle est l'explication des phénomènes de dég
sont primitives et précèdent de longtemps l'apparition des troubles mentaux . Il pense donc que l'état vacuolé et la dégénér
LA FOLIE Er DE l'ÉPILEPSIE; par SALUT-JOLIS BULLEN. (The Journal of mental science, avril 1895.) L'objet de ce travail est
istinction qu'il convient d'établir entre le délire et l'aliénation mentale , distinction qui ne peut être solidement basée qu
nique, il est impossible de méconnaître que certaines aber- rations mentales , aiguës ou chroniques, peuvent être provoquées
manière aiguë, son action réitérée peut donner lieu à des désordres mentaux systématisés. Le surmenage mental, le surmenage
ut donner lieu à des désordres mentaux systématisés. Le surmenage mental , le surmenage physique peuvent donner lieu à des
ulmonaires paraissent moins actives dans la production des troubles mentaux . Parmi les causes les plus puissantes au contra
atteintes d'irrita- bilité nerveuse, de nymphomanie et d'aliénation mentale , était un * crime contre la société et un désho
: (ovaires atrophiés et salpingite). Amélioration notable de l'état mental , disparition des accès maniaques. Dans la cinquiè
candidats aux places d'in- terne. 'Esquirol. Traité des maladies mentales . Paris, 1838. 244 - asiles d'aliénés. ' encou
ie du système nerveux, mais en outre sur une question de pathologie mentale . Nous arrivons à des réformes plus importantes,
es médecins qui s'intéressent à l'étude des maladies nerveuses et mentales , de prolonger leur séjour dans les riches service
- - sements d'aliénés du départemcut de la Seine (asiles départe- mentaux et autres). Ce concours sera spécial, et unique p
siologie du système nerveux, mais encore sur un sujet de pathologie mentale ; 4° Limitation de la durée des fonctions d'int
rtageons pas son avis sur l'adjonction d'une question de pathologie mentale à l'épreuve écrite. C'est déjà trop d'avoir lim
médecine et non pas s'ils sont déjà des spécialistes en aliénation mentale . " 'R* ? ^ BIBLIOGRAPHIE. II. 34° Rapport s
compte 250 pensionnaires répartis suivant le sexe, l'âge, l'état mental , l'éducabilité, et une colonie de 50 sujets. L'
et considérer comme « idiots » tous les sujets atteints de maladies mentales caractérisées par un état de faiblesse intellec
. Psychiatrie, t. XIV, f. 1, 2'.) P. Sérieux. Congrès DE médecine mentale ET NERVEUSE. Le septième Congrès annuel des méd
Le programme comprendra : I. Questions à discuter : 1° Patholo- gie mentale . Pathogénie et physiologie pathogénique de l'hall
grandeur et la noblesse de cette vie labo- rieuse. (The Journal of mental Science, juillet 1895.) R. M. C. CONCOURS d'adm
ans un asile public ou privé consacré au traitement de l'aliénation mentale , soit comme interne nommé au concours dans un h
médical de Philadelphie en 1887 sur une classification des maladies mentales , et une communication sur la législation concer
ramollissement cérébel- ARCHIVES, 2° série, t. I. 17 258 CLINIQUE mentale . Jeux est encore plus rare, et il ajoute : « Le
lique. Vit à l'écart, affaissée, sans au- cune réaction physique ou mentale . Quelques périodes d'excita- liou. 1884. Même
progressif. 1889. Erysipèle de la face sans modification de l'état mental . Adipose généralisée. 1890-91-92-93-9 ! 4. In
al. Adipose généralisée. 1890-91-92-93-9 ! 4. Inertie physique et mentale complète. Ne ma- nifeste plus aucune idée délir
ère. Celle-ci incisée donne issue à environ 00 grammes 260 CLINIQUE MENTALE . de sang rouge provenant des artères carotides
mort après avoir entrainé la démence. Cette évolution dans l'état mental de B... avait paru singu- 362 REVUE DE PATHOLOG
ur r..1 compression cérébrale; par John MACPHERSOK. (The Journal of Mental Science, oelo]¡re 1894.) L'auteur formule en ce
dépasser une heure. Ils augmentent sous l'influence de l'excitation mentale ou de l'attention. Les contractions muscu- lair
re et cessent pendant les mouvements intentionnels. Au point de vue mental on note la perte de la mémoire et l'affaiblisseme
z les hommes ; elle est ordinairement accompagnée d'affaiblissement mental ou de mélancolie, avec ou sans délire ; - si un
euvent'alors subsister sont d'origine spinale. - Quant aux troubles mentaux qui accompagnent, tôt ou tard, mais inva- riabl
objets environnants. Pendant les années de cécité le développement mental avait été presque nul, et les actions du malade
nist and zze2crologist., avril 1895.) E. B. III. Rapport SUR l'état mental DU SIEUR A..., inculpé d'outrage aux MOEURS. Pe
plus de trois ans et qui s'étend à la plupart des faits de la vie mentale . Le malade reconnaît tout ce qu'il voit, tout ce
D'INFIRMIERS dans LES asiles; par W. F. Menzies. (F/tC Journal of mental Science, juillet 1894.) La difficulté toujours
directeur d'asile privé; par Lionel A. WEATiIERLY. (The Journal of Mental Science, juillet 1894.) L'auteur énumère, sou
LE ET DU COMTÉ DE WORCESTER ; par E, MARRJOTT COOK. (Thc Journal of Mental Science, juillet 1895.) Compte rendu intéressan
IV, Les aliénés au « WOIlKHOUSE »; par M. J. VoLAN. (The Journal of Mental Science, octobre 1894.) Le « '\Vll1'l¡ho¡ise »,
ciation médico-psycuiatrique ; par CO-40LLY Norman. (The Journal of Mental Science, octobre 1894.) Comme la plupart des
que, ni au point de vue du groupement des malades d'après leur état mental . En outre la possibilité d'ac- cidents tels que
un classement meilleur des alié- nés en tenant compte de leur état mental et de leur situation sociale. L'auteur conseill
LES habitations particulières ; par John SIBBALD. (The Journal of Mental Science, janvier et avril 1895.) 11 y a beaucou
e VISITE A UN asile hollandais ; par M.-D. MAcLEOD. (The Journal of Mental Science, avril 1895.) Relation intéressante, ma
LEPTIQUES ; par le Dr 1\IASOIN. (Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, décembre 1894.) L'auteur établit d
e croient pas à la possibilité d'améliorer la situation physique et mentale de leurs malheureux enfants. D'autres enfin, aprè
nfants. Leur caractère s'irrite, ils deviennent violents, leur état mental s'aggrave. Quant au dernier groupe composédes
« On n'y admet, ni les enfants atteints de maladies corporelles ou mentales , ni les enfants corrompus. Le nombre des élèves d
L'influence salutaire des maladies graves intercurrentes sur l'état mental des aliénés est depuis longtemps reconnue et, si
d'hui n'affirment plus, comme au temps d'Esquirol, qu'une affection mentale ne peut réellement gué- rir qu'à la suite d'une
ron z50 aliénées indiquent des modifications favorables de l'état mental au cours des maladies suivantes : érysipèle de la
ffaiblis, par une amélioration plus ou moins considérable de l'état mental . Près des deux tien de nos malades étaient des
et, dans les deux seuls cas où nous l'avons vu se produire, l'état mental normal ne s'est maintenu que pendant trois sema
Or, pendant l'instruction, cette femme fut atteinte d'aliénation mentale et, après observation, reconnue réellement folle.
econnue réellement folle. Il s'agissait de savoir quel était l'état mental de cette femme pendant les années qui ont précé
ilité criminelle CHEZ les aliénés; par Oscar WooDS. (The Journal of Mental Science, octobre 1894.) La jurisprudence en mat
est punissable; 2° pour que la défense puisse invoquer l'aliénation mentale , il est indispensable de prouver clairement que
tion relativement au SUICIDE; par S.-A.-K. Strahan. (The Journal of mental science, octobre 1894.) Après avoir résumé l'hi
rendant un verdict de suicide dans un accès temporaire d'aliénation mentale , . verdict qui n'est presque jamais basé sur la
r elle-même la preuve suffi- sante d'un état dangereux d'aliénation mentale et un motif non moins suffisant d'internement d
ntretenir l'incertitude et le doute. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XXVII. La forme spasmodique ET L1 FORME tabéti
e dans la para- LYSIE générale ; par R.-S. STEWARD. (The Journal of Mental Science, avril 1895.) , La forme de paralysie
, l'autre qui est associée, secondairement dans REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 341 l'ordre chronologique, à des symptômes ind
ions chroniques DES reins ; par Hubert C. BRISTOWE. (The Journal of Mental Science, avril. 1895.) Les points principaux su
La folie DE la PERSÉCUTION ; par René SEMELAIGNE. (Tlee Journal of Mental Science, octobre 1894.) Après avoir résumé, au
ntes (faire). Dans la seconde, apparaissent 342 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . les hallucinations de l'ouïe auxquelles peuven
ébut, et sont même antérieures à l'apparition des premiers troubles mentaux . , Le délire des persécuteurs raisonnants, ou p
dier à fond ; ils présentent généralement les signes phy- siques et mentaux de la folie morale, et des stigmates physiques
és; mais ce qui, cliniquement, caractérise sur- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 343 tout cette forme du délire de persécution,
-à-dire 28 p. 100 étaient dus à la tubercu- 344 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . lose, et que sur 116 décès survenus chez les m
ie a été faite. R. M.-C. XXXI. Recherches expérimentales SUR l'état mental dans LE VERTIGE, ET SUR LE VERTIGE CONSIDÉRÉ CO
utes, sans exception, capables d'eutraver, soit REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 34b 5 directement, soit indirectement (par voi
lysie générale des aliénés ; par REGINALD FARRAR. (The Journal of Mental science, juillet 1895.) Ce long et intéressant
appliquée à d'autres branches des sciences 346 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . médicales ; mais il pense qu'elle pourrait êtr
t il le prouve en signalant un grand nombre de points de pathologie mentale qui ne peuvent guère être éclairés que par un t
ntation DE la FOLIE en IRLANDE ; par D. [JACK TUEE. (The journal of mental science, octobre 189 L) Nous résumons ici les c
XXXV. QUELQUES indications relatives ALLA prophylaxie DES TROUBLES mentaux ; par Curven. (The jou1'1ll[l of mental science, o
LA prophylaxie DES TROUBLES mentaux; par Curven. (The jou1'1ll[l of mental science, octobre i 87/k.) C'est par les modific
l'auteur voudrait surtout travailler à la prophylaxie des désordres mentaux . R. M.-C. XXXVI. UN cas d'ecchymoses accompagna
agnant DE l'excitation délirante; par W. R. DAWSON, (The journul of mental science, octobre 189 : >.) L'histoire des hé
ues sur le siège, l'anatomie pathologique et la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 347 pathogénie de ces ecchymoses, l'auleur rap
SUR LA FOLIE ET DE QUELQUES DIFFICULTÉS PRATIQUES. (The Journal of Mental Science, juillet 1895.) Les conclusions de l'au
s symptômes à la maladie, sans posséder la 48 ô REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . notion certaine et précise des lésions patholo
OPHIQUE CHEZ LES aliénés; par Thomas-Philip CowEi\. (The Journal of Mental Science, avril 1895.) On voit de temps en tem
es à l'autopsie : nous ne pouvons le suivre ici REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 349 dans cette description minutieuse et nous
influence est très active sur des tissus de 380 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . résistance et de vitalité fort amoindries. L'a
CÔTES CHEZ LES aliénés ; par.Alfred-W. CAMP13ELL. (The Journal of Mental Science, avril 183r.) , Tous les aliénisles con
, qui se répartissent ainsi au point de vue des formes d'aliénation mentale : paralysie générale, 18 cas ; démence sénile,
pour la concavité. 3° Dans presque toutes les formes d'aliénation mentale , la résis- tance est diminuée : dans les 58 cas
moitié moins résistantes que chez les hommes. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 351 5° La résistance aux fractures varie propo
lysie générale DES aliénés; par Hubert-C. Bristowe. (The Journal of Mental Scéezzce, julllet 9895.) Ce travail est le co
Ce travail est le complément de celui que l'auteur a publié dans le Mental Science, et dont nous avons donné les conclusions
munément atteints. Il ajouterait volontiers 352 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . que, dans certains cas, cette maladie peut aus
ÈNES DE L'AFRIQUE DU SUD; par E. DUNCAN f,REENLEES. (The Journal of Mental Science, janvier 1895.) L'Afrique du Sud est pe
au cerveau d'un enfant européen ; à bien des égards, les attributs mentaux de ces peuplades ressemblent à ceux d'un enfant
rès longue durée DE lv maladie ; par James NEIL. (Tlte Journal of Mental Science, janvier 1895.) Chez ces trois malades,
autopsies; or, 74 fois, soit dans 48 p. 100 des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 3S3 cas, il a trouvé des altérations du rein.
utôt la cause d'une auto-intoxication qui entraînerait les troubles mentaux secondaires. (British médical journal, 2 mars 1
.) A. M. XLIV. Deux cas d'hystérectomie SUIVIE d'accès d'aliénation mentale ; par Macpherson LAWRIE. (British medical journa
LCy-Firth,) A. M. XLV. Extraits D'UN rapport DU comité DES maladies mentales ET nerveuses; par VHIT<<'ELL. (Occidental
tels sont les deux noms donnés aux deux grandes formes d'aliénation mentale qu'on observe chez les Malais. L'amok est un ra
est au contraire une sorte d'hébétude avec dépression et confusion mentale . Les deux formes peuvent alterner comme dans la
aire. A. M. Archives, 2e série, t. I. 23 z354 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . .XLVII. Observation DE paralysie générale asso
expérience. De quelle manière et en quel lieu s'effectue le travail mental correspondant aux mouvements acquis par l'expérie
nergie des cellules reliées entre elles par des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . "355 faisceaux d'association bien exercés et s
excitation des centres corticaux du cerveau jeu REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . peut, chez l'animal adulte, provoquer des accè
ique, sans attaques convulsives nettes. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 357 LII. Une observation DE PSYCHOSE menstruel
Contribution A L'ÉTUDE DES altérations DE l'urine dans LES MALADIES MENTALES , ET, EN PARTICULIER, DANS LA PARALYSIE PRO- GRE
éné. P. K. LIV. Paralysie hystérique avec contracture ET troubles mentaux ; par le Dr II. Bonnet. Il s'agit d'une jeune
édico-psychologiques, janv. 1890.) E. B. 358 REVUE DE PATHOLOGIE. MENTALE . DIIUX cas DE folie hystérique d'origine infect
res pur sang ou demi-sang. D'après divers témoignages, les maladies mentales sont incon- nues chez les tribus sauvages afric
nt dans l'étude de la folie chez la race nègre, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 3J· c'est la rareté de la mélancolie et la fré
it ans. Trabécule solitaire du chiasma, avec un état de confusion mentale aiguë fébrile, sans hémianopsie temporale. P. KER
al périphérique recevant les fibres collatérales. Les fibres fonda- mentales paraissent n'envoyer de fibres collatérales que d
les arborescences collatérales de chaque groupe de fibres fonda- mentales ou centre sensoriel semblent en effet pourvues de
ésie, dyses- thésie et incoordination des membres, sans altérations mentales . F. B. LXXI. Essai théorique sur la NATURE ET
du philosophe qu'à celle du médecin. Symptôme de la dégénérescence mentale , le fétichisme peut être défini : l'anomalie de
au féminine, et entrant aussitôt en érection à cette représentation mentale . L'amour morbide qui pousse l'homme vers l'homm
nt amender. E. BLIN. X. Des étals cataleptiques dans les maladies mentales ; par le D'' P. Lr;uairaE (1. Steinheil, éditeur
revue les délires toxiques, la manie et la mélancolie, la confusion mentale , les folies périodiques et les états de faibles
avec divers états pathologiques. Quelques considérations sur l'état mental l'amènent à définir la nature de cette névrose
uérir ? (Rapp. : Dr Magnan, à Sainte-Anne, Paris.) fi, Inspection mentale des détenus dans les prisons. (Rapp. : Dr P. Ga
le D' A1. KLIPPEL, Chef de laboratoire de la Clinique des maladies mentales . La pathologie a généralement profit aux notion
, contusion très légère à l'oeil gauche. Ce malade est dans un état mental qui exige son placement dans un asile d'aliénés
d'aliénés. » Certificat du Dr Magnan (20 février 1887) : « Débilité mentale avec excitation passagère; ankylose du genou dr
ou droit. » Certificat du 0" KERAVAL (27 février 1887) : « Débilité mentale compliquée de manifestations strumeuses d.u côt
bre. Grossièreté, trivialité, indocilité. Aucun progrès dans l'état mental . Janvier 1888. Panaris ostéomyélitique de l'ind
ogiques du sang sont restés négatifs. J. S. 480 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ' LXXXIX. RECHERCHES expérimentales sur L'INFL
(Riv. di pat. nerf. et ment., fasc. 3, 896.) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . LX. Sur l'évolution du délire paranoïaque ; pa
paranoïaque peut être regardée comme un processus de dégénérescence mentale qui trouve dans plusieurs formes paranoïaques i
u'inégale dans ses. résultats) en face d'un travail de dissociation mentale , REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 481 qui se déve
) en face d'un travail de dissociation mentale, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 481 qui se développe de façon à irriter la fon
i se développe de façon à irriter la fonction aperceptive (synthèse mentale ), loin de l'anihiler et parles conséquences qui e
ychoses hys- Archives, 2e série, t. I. 31 482 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . tériques. La thérapeutique des psychopathies é
truation, contrairement à ce que l'on observe à REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 483 l'état normal. Les stimulus périphériques
s'agit et non de pseudo-paralysie. J. S. 484 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . LXVII. VIEILLESSE ET FOLIE, par le Dr VERGA. (
elle-même. On peut rencontrer dans la vieillesse toutes les formes mentales : il n'y a pas de type constant. La démence de
sitôt après; son degré est en relation avec la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 485 violence et la durée des convulsions. Il e
veloppe. N'y a-t-il pas des hommes ayant les attributs physiques et mentaux de la femme ? Les eunuques n'ont-ils pas un car
séparer l'hystérie de certains états relevant de la dégénérescence mentale (tics et surtout tics généralisés, etc.). L'hys
dérations cliniques sur les rapports de la syphilis et des maladies mentales . Sera publié in extenso et analysé ultérieureme
ans la lutte contre l'alcoolisme. Parmi les facteurs des maladies mentales , l'alcool vient en pre- mière ligne après l'hér
critique d'une hypothèse (les auto -intoxications dans les maladies mentales ); par M. leur Santenoise, ex-préparateurde thér
de la médecine men- tale : d'une part faire l'histoire des maladies mentales , d'autre part en établir la physiologie. 11 exa
lence, ne peut avoir qu'une application bien restreinte en médecine mentale , et que, même employée complè- tement et systém
tio il reproche de n'avoir pas encore déterminé de lois en médecine mentale , l'aliénation mentale n'ayant été jusqu'à prése
voir pas encore déterminé de lois en médecine mentale, l'aliénation mentale n'ayant été jusqu'à présent que purement descri
te nouvelle, la. théorie des auto-intoxications dans les ma- ladies mentales » est l'objet des chapitres m, iv, v et vi. Dan
e d'observation » ; il passe en revue toutes les formes de maladies mentales , et cherche si à chacune d'elles cor- respond u
intitulé du chapitre v : « Les auto-intoxications dans les maladies mentales . - Hypothèses connexes. - Conséquences pratiqu
res relatifs à l'hypothèse de l'auto-intoxication dans les maladies mentales , conclusions d'un travail d'une logique presque
siomlthe, par Hess, 368. -, par Motschutkowsky, 469. . Aliénation mentale . Traitement sé- paré de l ? par Wallis, 74. Lég
bigération, par Warneck. Cataleptiques. États - dans les maladies mentales par Lemaitre, 407. CÉCI1É. Un cas de - absolu
ncours des médecins adjoints des asiles d'aliénés, 255. Confusion mentale hallucinatoire aiguë, par Re%-er, 142. Congrè
l'écorce sur son exci- tabilité par de Bechterew, 51. Instabilité mentale , par Bourneville etJ. 130yel', 199. Intestina
e, par Muratow, 369. Effets des - intercurrentes sur les troubles mentaux , par Goodall et Bullen, 140. - mentales et nerv
currentes sur les troubles mentaux, par Goodall et Bullen, 140. - mentales et nerveuses, par Witwell, 353. Maniaque. Exc
hose - avec ¡('oille exophtalmique périodique, par Thomas, 357. Mentales . Rapport du comité des maladies -, par Whitwell
e, par Schuter, 354. - hystérique avec contrac- tures et troubles mentaux , par Bonnet, 35ï ? bulbaireumlatérale subaigu
Pneumogastrique . Troubles fonc- tionnels du dans les affections mentales , par Kellog, 145. Pollutions nocturnes et épile
ants en justice, 90. TESTICULE artificiel et guérison d'un état mental morbide chez un mo- no-cryptorcliide, par Ilerm
en médecine interne, par Metzler, ri3. Tics convllsifs. Troubles mentaux dans la maladie des -, par Ke- monchamps, 148
ntaux dans la maladie des -, par Ke- monchamps, 148. Torticolis mental , par Brissaud et Meige, 146. Trépanation dans
Stefa- nowsl ? 293. Urine. Altération de l'- dans les maladies mentales et la paralysie générale, par Siegmund, 357.
ression médullaire, lamnectomie, par Sinitli, 4b. Vertige. Etat mental dans le -, par Cornmng, 344. Vibrations. Infl
10 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
DE E NECROLOGIE- HEVUE MENSUELLE Il DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fonder par J.-1H. CIIA1VCOT 1 l'UISL11·,E S
CTION DE bl3l. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales a la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNA
quelles sont les influences qui les favorisent. En dehors de l'état mental de la crise ou du paroxysme, que nous venons d'
dans un couvent au lieu de faire des enfants ». Tel est leur état mental dans l'interparoxysme. Telles sont les pensées
faire ressortir et de mettre en évidence, dans certaines affections mentales , la prépondérance du trouble émolif, de l'angoi
oint de vue, c'est-à-dire au point de vue des rapports de l'élément mental et de l'élément affectif de l'obsession, de l'i
e absence complète d'idée fixe, et, d'autre part, une préoccupation mentale très vive peut accompagner une disposition des
soit d'ailleurs primitif ou secondaire à une incita- tion purement mentale . On peut donc admettre que, dans la crise de ro
appuyer sur l'étude expérimentale des réflexes vaso- 26 . CLINIQUE MENTALE . moteurs dans la série des divers états psychiq
t comme un cristal transparent, ne s'appartenant plus, 1)8 clinique mentale . n'ayant plus un mouvement de libre (dédoubleme
. cil., t. Il, p. 359. * Cazilnvirlh, Du suicide et de l'aliénation mentale dans les cam- pagnes, p. 166. 3 Magnan. Leçon
pagnes, p. 166. 3 Magnan. Leçons cliniques, p. 2G9. 30 CLINIQUE MENTALE . Une autre malade de M. Magnan, rapportée sous
., p. 101 et 105. 3 Dupain. Obs. VIII, p. 56. 1 Legrain. Débilité mentale , idées mystiques, délire religieux à évolution
' V. Théâtre sacré des Céve.ines, Londres, 1707, in-12. 32 CLINIQUE MENTALE . « Ces théomanes, dit .Montgeron (théomanie des
la volonté, p. 131-132. Archives, 2° série, t. III. 3 34 CLINIQUE MENTALE . a L'extase, suivant saint Martin, a pourcaract
uitte la terre et la manoeuvre qu'elle répète à REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . I. Diagnostic différentiel DE la folie ; par l
ut en reconnaisant qu'une classification étiologique des mala- dies mentales présente un grand intérêt clinique, l'auteur divi
and intérêt clinique, l'auteur divise, pour son étude, les maladies mentales en cinq groupes : étals de dépression mentale é
étude, les maladies mentales en cinq groupes : étals de dépression mentale états d'excitation mentale folies inter- mitten
es en cinq groupes : étals de dépression mentale états d'excitation mentale folies inter- mittentes états d'affaiblissement
aiblissement intellectuel maladies céré- brales avec manifestations mentales prédominantes. Puis il donne une énumération de
délirante chronique et non une hystérique. 36 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Dans les cas douteux et criminels une attentio
nd neurologist, juil- let 1896.) E. B. III. Diabète ET aliénation mentale ; par H. Band. (British médical Journal, 28 sept
u système musculaire. . A. M. V. Névrite alcoolique avec TROUBLES mentaux caractérisés; par D. NEIR, 0, d'Oxford. (Britis
ait relativement faible, mais fut longtemps continuée. Les troubles mentaux consistaient en hallucinations multiples, perte
ue très marqué. Les symptômes physiques cédèrent avant les troubles mentaux par la suppression de toxique, les massages, RE
ux par la suppression de toxique, les massages, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 37 la strychnine et la morphine employés duran
actif, quelquefois elle est frappée au sceau d'un affaiblissement mental évident. Ces deux caractères en éclairent la genè
rsonnalité qui la transforme en maladie. , 38 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Les chicaniers non aliénés se décomposent en d
tématisée (paranoïa querelans). P. KE11.\VAL. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 39 VIII. CON'rRIBU'l'fON A LA QUES1'IOV de la
ener à trois groupes : : - 1° celui, le plus étendu, de la débilité mentale pathologique. y compris la débilité mentale phy
étendu, de la débilité mentale pathologique. y compris la débilité mentale physiologique ; il y faut mettre le gros des ré
s sans les idées délirantes du groupe numéro 2, et sans la débilité mentale du groupe 1. En réalité les groupes 1 et 2 sont
réalité les groupes 1 et 2 sont des aliénés même quand la débilité mentale est physiologique. Le troisième groupe se compose
oisième groupe se compose d'individus sur la limite de l'aliénation mentale . Au point de vue du traitement, les débiles pat
cyclique; par le D' UMBERTO Steffani, aide de clinique des maladies mentales à l'Université de Padoue. (Padoue, Calderini et
e des psychoses sur l'élimination de l'acide 40 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . phosphorique. Ses observations n'ont encore po
e le trouble nutritif qui se manifeste dans les REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 41 éléments du cerveau, et qui en vertu duquel
ce la diminution de l'activité psychique. CAMUSE. X. L'aliénation mentale chez les Arabes ; par le Dr MEILHON. D'une long
le Dr MEILHON. D'une longue et substantielle étude de l'aliénation mentale chez les Arabes, d'après les indigènes musulman
0 à 1890, l'auteur tire les conclusions suivantes : 1° l'aliénation mentale est très rare chez l'Arabe; la proportion des a
imitives d'alié- nation et surtout la manie, dominent la pathologie mentale des Arabes; 14° l'Arabe devient maniaque, le Ka
n résultat des progrès de la civilisation. 42 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 20° L'imbécillité et l'idiotie se rencontrent
robable que les éléments dont provient la mala- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 43 die psychique avec le délire défini et syst
lément de la folie raisonnante, à savoir Je terrain de dégérescence mentale , existe dans ce cas comme dans tous les cas ana
besoin d'une prédispositon héréditaire, à savoir une dégénérescence mentale . (Annales médico-psychologiques, oct. 1596.) 1.
déviation de l'instinct de conservation de la propriété », cet état mental de certains individus qui, expropriés de leurs bi
Parmi les tremblements qui intéressent la clinique des mala- dies mentales , celui de la langue des aliénés paralytiques est
décrit un autre qui, s'il n'est pas absolument spécial aux maladies mentales et s'observe à peu près identique dans certaines
ment physique normal, mais atteinte depuis la puberté d'instabilité mentale greffée sur un fonds d'imbécillité : accès de v
poison. Deux stades peuvent être distingués : 1° l'incubation. Etat mental caractérisé par de la dépression dans la dissocia
osophiques des peuples et les théories ayant cours sur l'aliénation mentale . Les idées sur la folie de la période hippocrat
e le goût de l'observation clinique dans le domaine de l'aliénation mentale et par suite onvre une voie nouvelle aux médeci
que, mais les classifications allemandes ont conservé en pathologie mentale une large place à l'hypothèse et à la théorie d
niques alle- mandes et cherche leurs équivalents dans la pathologie mentale française contemporaine. Il débute par la démen
ance, cependant le plus souvent elle correspond à la dégénérescence mentale avec dépres- sion mélancolique accompagnée du n
tale avec dépres- sion mélancolique accompagnée du nom de confusion mentale . Sous le nom de Wahnsinn, Iarafît-l : bing comp
çon suivante : Excitation maniaque avec hallucinations et confusion mentale par intervalles chez les dégénérés. La verrii
s allemands comprend tous les délires systématisés de la pathologie mentale française, entre autres le délire chronique à é
art, l'aliéné qui a commis un crime sous l'influence de son trouble mental ne diffère pas de nos malades des asiles : le c
estation, que les épileptiques perdent leurs aptitudes physiques ou mentales . Tout le reste du temps ils se portent bien, so
a également il fournir la preuve de ses connaissances en maladies mentales , mais il n'est pas nécessaire qu'il remplisse tou
s d'adversaire et domi- nait toute la thérapeutique de l'aliénation mentale , quand, le 20 mars 1857, fut promulgué le règle
u où il a été placé, de toute la liberté compatible avec son état mental et vivre le plus possible de sa vie habituelle. I
uement le permis à tout aliéné non allié qui, par suite de son état mental ou physique, est dans l'impossibilité de se ren
équent dans la Seine, en dehors du bien qu'elles procurent à l'état mental de l'aliéné et du plaisir qu'elles lui apporten
bien développée. (Mère hystérique ayant subi une crise d'aliénation mentale ; père nerveux, dissipé, mort d'angine de poi-
a, depuis 1866, repris les travaux de Golgi 128 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . (nitrate d'argent) avec ses collaborateurs, Te
stions au sujet d'un cas de médecine légale en matière d'aliénation mentale . M. 13ARGY, interne à Villejuif. - Un jeune hom
à l'auteur du meilleur mémoire sur la thérapeutique des maladies mentales et sur l'organisation des asiles publics ou privé
rage et obtenu les meilleurs résultats de guérison sur les maladies mentales , en en arrêtant ou en en atténuant la marche te
titre de prix entre M. le Dr E. Régis, chargé du cours des maladies mentales à la Faculté de médecine de Bordeaux, auteur d'
le n° 2, et M. le D1' Ed. Tou- louse, chef de clinique des maladies mentales à la Faculté de mé- decine de Paris, pour son t
francs (annuel). Question : de l'hallucina- tion dans les maladies mentales . Deux mémoires ont concouru. Le prix est décern
dée à llIll. les J. Toy et Th. Taty, chefs de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Lyon, auteurs du mé
à l'auteur du meilleur travail sur la thérapeutique des maladies mentales et sur l'organisation des asiles publics ou privé
age et obtenu les meilleurs résultats, de guérison sur les maladies mentales , en en arrêtant ou en en atténuant la marcheter
, 1,000 francs (annuel). - Question : des obsessions 'en pathologie mentale . Prix Falret, 900 francs (bisannuel). - Questio
n chapitre sur l'influence des opérations gynécologiques sur l'état mental des opérés. Simple confirmation de ce fait conn
se, ce qui n'est pas absolument exact. En tout cas, au point de vue mental , la pseudo-grossesse vésa- nique est inséparabl
nfluence au POINT DE VUE DU développement DES maladies NERVEUSES ET mentales . Aperçu MÉDICO-LÉGAL ; par DE PERRY. Travail
ui, plus grande que jamais, et leur action néfaste sur les maladies mentales et nerveuses, tant au point de vue cliniqne que
e à démontrer que ledit pessimisme n'est autre qu'une manifestation mentale de la neurasthénie, ou, si l'on veut, une forme
a paralysie agitante, l'hystérie, l'épi- lepsie, par les affections mentales et encore par des troubles pure- ment dynamique
liser ce malheureux à l'asile de Navarre près Évreux ? L'aliénation mentale est d'autant plus curable que le malade est hos
Vol. III. Mars 1897. - N° 15. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE . i SUR LES HALLUCINATIONS SYMBOLIQUE^ dans
ycho-molrices. Communication au congrès interna- tional de médecine mentale de Paris, 1889, in Arch. de Neurologie Du mutis
(Comm. à la Soc. méd. psych., in Leçons cliniques sur les maladies mentales et nerveuses, p. 107, Archives, 2c série, l. II
erveuses, p. 107, Archives, 2c série, l. III. 11 i 162 PATHOLOGIE MENTALE . et à d'autres de Tamburini, Pierraccini et Mor
(qu'on me pardonne ce néologisme) extériorisées sous 164 PATHOLOGIE MENTALE . forme hallucinatoire en vertu de l'excitation
tre tinsse .. Los traslornos psico-sensoriales en las e71el'medades mentales . » Zara- goza, 1896. HALLUCINATIONS DES SOURD
-psycholoqiq tic, 26 nov. 1891, in Arch. de Neurol. 166 PATHOLOGIE MENTALE . lique qui nous occupe, est en tout analogue au
produit dans les hallucinations verbales, quelle que soit la forme mentale sous laquelle elles se présentent. Quelles sont
cinations (Annales médico-psychologiques, vol. V et VII; Aliénation mental , traduc. espagnole de J. Munoz, 1861). A. Maury.
Seglas. Les troubles du lan ! Jage,etc" Paris, 1892. 168 PATHOLOGIE MENTALE . ressant relativement à la manière donl s'all'e
ouvrages qui ont été publiés sur cet état, si pareil à l'aliénation mentale en général, et à quelques-unes de ses formes en
que. Les rêves ont déjà plus de ressemblance avec d'autres formes mentales , telles que le « délire hallucinatoire » de Men
ent par cet auteur avec la variété hallucinatoire de la « confusion mentale primitive ». Mais où la ressemblance est plus e
. Paris 1881. = Moreau (de Tours).-Utt haschisch et de l'aliénation mentale . Paris, 1845, p. 14. 3 Ph. Chasiin. Du râle d
élire hallucinatoire (Médecine scientifique, n° 21). 170 PATHOLOGIE MENTALE . Quel que soit le degré d'éducation atteint par
s pas la mimique naturelle et conven- tionnelle. 172 ' PATHOLOGIE MENTALE . giques actuelles, chacune de ces trois classes
ermain ; il a une soeur hystérique, et un frère atteint de débilité mentale . On commença son éducation à douze ans, et ses
angage mi- inique et le langage dactylologique. 174 Il PATHOLOGIE MENTALE . | lation aux paupières, l'année suivante une o
l'interprétation (erronée à notre avis) de l'auteur. 176 CLINIQUE MENTALE . sourds-muets spécialement pour l'étude de ses
onie avec les diverses formes de leur langage particulier. CLINIQUE MENTALE . DES PSYCHOSES RELIGIEUSES A ÉVOLUTION PROGRESS
Calmeil. De la folie, t. II, p. 359. 2 Schùle. Traité des maladies mentales , p. 155. Archives, 2° série, t. III. 12 178 C
ies mentales, p. 155. Archives, 2° série, t. III. 12 178 CLINIQUE MENTALE . natoires d'un côté, c'est dans le côté corresp
s avons nous-même suivi celui d'entre ces malades dont les troubles mentaux ont persisté. Il figure au rapport de 1891 sur
non seulement chez lui mais chez toute la famille. 180 . CLINIQUE MENTALE . Cette fois, grâce aux conseils du Médecin de l
om- binée aux psychoses mystiques, et aussi par la dégénérescence mentale ordinaire ; la dégénérescence est assez nette ici
e le degré de systématisation est d'autant plus élevé que le niveau mental est moins faible. Ces délires mystiques systéma
fées délirantes correspond-elle au degré le plus marqué de débilité mentale . On sait que chez les dégénérés les obsessions
tes de nature religieuse. Une de nos ma- lades atteinte de débilité mentale avec idées de persécution persistant depuis six
ut ' Binet et Ferré. - Sensations et mouvements. , 182 . CLINIQUE MENTALE . alors me faire parler et agir. C'est ainsi que
enons de le voir, ces syndromes peuvent s'observer à 184 . CLINIQUE MENTALE . l'état permanent et incorporés à un délire mys
cordes, à cause de leurs facultés par- tielles, de leur instabilité mentale , se traduisant par la folie im- pulsive ou les
ntes chez ces dégénérés s'allient aussi très souvent à des troubles mentaux de teinte mystique. Moreau (de Tours) signale c
ades conciliait d'une façon originale les deux sortes de perversion mentale ; elle se masturbait avec un crucifix, croyant
SCUSSION ; par MM. T.-S. Clouston ET J. BATTY TUKE. (The Journal of Mental Science, octobre 1895.) Opinion de M. Clousto
nage physique, il en est un bien plus grand nombre dus au surmenage mental . M. Tuke pense que dans ce dernier cas il exist
corticale est l'unité d'activité psychique, et aussi que l'activité mentale est une fonction basée sur des connexions d'élé
système lymphatique; or, ce rôle est surtout net dans les maladies mentales qui ont pour cause un surmenage cortical dû à u
REPOS et l'exercice dans LE traitement DES maladies NER- VEUSES ET mentales ; par le professeur L. MEYER (de Gottingen). (Th
entales; par le professeur L. MEYER (de Gottingen). (The Journal of Mental Science, avril 1896.) Il y a plus de trente-cin
lus remarquables du succès de cette méthode. Bien que les symptômes mentaux bénéficient lar- gement du repos, ce n'est pas
E SES SUITES CHEZ DEUX opérés ; par TELFORD-SMiTII. (The Journal of Mental Science, janvier 1896.) Lorsque Lannelongue p
ussent plus complètes et plus explicites au point de vue des suites mentales de l'intervention. Toutefois, dès à présent, l'
IRURG1CAL de l'idiotie ; par G.-E. SfIUTTLE- WORTH. (The Journal of Mental Science, janvier 1896.) Les conclusions de l'au
EVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 211 également dans les cas d'affaiblissement mental avec hémiplégie ou athétose par hémorragie intr
r un caillot ou une fausse membrane. III. Dans les cas d'altération mentale due à un épanchement hydrocéphalique, et dans l
DE traitement cuez LES aliénés ; par P. MAURY DEAS. (The journal of Mental Science, janvier 1896.) L'auteur déclare tout d
z le malade des effets fâcheux, soit d'ordre physique, soit d'ordre mental . Elle est purement théorique, et, fort de son e
systématiques DES aliénés; par EDWARD D. 0' NEILL. (The Journal of Mental Science, avril 1896.) L'auteur estime qu'il y a
nt DE la folie épileptique; par J. H. 'l'ULL VLS11. (The Journal of Mental Science. Avril 1896.) - Ce travail est accompag
vation pour l'hystérie et pour l'laystéro-épilepsie. Les maladies mentales ne sont que peu ou point influencées. L'alcooli
ion FORCÉE DES aliénés malades; par A. R. TURNBULL. (The Journal of mental Science, ' octobre 1895.) - L'auteur s'est pr
SECONDE SÉRIE DE soixante cas; par LEWIS-C. BRUCE. (1'he Journal of mental Science, octobre 1895.) . .Nous avons analysé à
s déjà dit, ont reparu comme auparavant (B.). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 221 traitement thyroïdien détermine incontesta
est tonique grâce à l'hémoglobine. P. KERAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XIV. La PSYCHOLOGIE DE l'idiot; par le Dr F. P
de comparaison, le développement normal des 222 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . facultés pendant les quarante premiers mois de
tres facultés sont aussi nécessaires au développement de l'activité mentale , la volonté et la mémoire, par exemple. L'absen
distinction de cet état de l'esprit comparé aux autres altérations mentales . Il y a deux formes d'attention, une attention na
i sépa- rent l'état normal de l'idiotie, en passant par la débilité mentale et l'imbécillité. L'imbécile de M. Sollier, é
rté peut arrêter tout à la fois les progrès des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 223 sensations, des sentiments et de l'intelli
riminels doivent être traités de façon à améliorer leurs conditions mentales et physiques, à leur permettre par des habitude
ou incorrigibles, ils devraient être placés 224 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . dans des maisons de surveillance où leur serai
érée ou l'énergie convaincue pour la propagande REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 225 de ceux dont la voix est étouffée par une
donnée se rapportant à une forme clinique quel- conque d'aliénation mentale . La pensée de cet homme se présen- tait avec un
- male. (Revue neurologique, oct. 1896.J J E. B. XIX . DU TROUBLE MENTAL DANS LE GOITRE EXOPHTALMIQUE; par le Dr Serge S
MIQUE; par le Dr Serge SOUKHANOFF. Différentes formes de maladies mentales accompagnent le goitre exophtalmique à titre de
plication secondaire. Dans le plus grand nombre des cas, le trouble mental qui accompagne le goitre exophtalmique prend ex
e, à l'heure actuelle, considérer aucune forme typique de maladie mentale comme se rapportant spécialement au goitre exopht
culation cérébrale. Dans les deux cas cités par l'auteur de trouble mental accom- pagnant le goitre exophtalmique, on retr
la dégéné- Archives, 2e série, t. III. 15 226 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . rescence mentale dont M. Raymond et Sérieux on
s, 2e série, t. III. 15 226 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. rescence mentale dont M. Raymond et Sérieux ont indiqué les rapp
es Orientales et parce qu'elles ont une grande influence sur l'état mental des indigènes, et 2° l'état émotif, la susceptibi
e grande ostention. Aces causes prédisposantes, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 227 il faut ajouter, comme facteur complémenta
avail, c'est que les idées fausses se manifestent dans l'aliénation mentale sous des formes très différentes qui peuvent se
fausses ne peuvent plus être réveillées. 228 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Ces considérations seraient applicables à tout
tement; ce sont là plutôt des causes occasion- nelles. Les maladies mentales se développant durant l'état puer- péral n'ont
les se présentent fré- quemment sous la physionomie de la confusion mentale agitée ou stupide. Le pronostic est généralemen
alement favorable : les éléments se tirent, comme pour les maladies mentales en général, des données étiologiques et de la f
ladies mentales en général, des données étiologiques et de la forme mentale particulière à chaque cas. J. SÉGLAS. XXV. De
mais encore dans la folie systématique, dans la REVUE DE pathologie mentale . 229 folie épileptique et hystérique et même da
éphaliques; on trouve chez eux une tendance 230 REVUE de pathologie mentale . à l'affaiblissement de tous les actes psychiqu
UI PORTENT A LE penser; par T ? 1. CH.11')1 : 1N. (1'lte Journal of mental Science, janvier 1896.) L'auteur résume son o
R trois cas de gangrène spontanée; par W.-B.MoRTON. (The Journal of mental Science, janvier 1896.) Malgré l'abaissement du
sibilité générale que l'on observe si fréquemment dans les maladies mentales et qui sembleraient devoir être des causes pré-
DE l'amour, étude sur L'ARIOSTE, par 11. Kornfeld. (The Journal of mental Science, octobre 1895.) L'auteur se livre à une
océlrlealie la collection des Comptes rendus du REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 231 est absolument le contraire de la haine de
e DE la CONDUITE; par Geo. H. Savage et C. Mercier. (The Journal of Mental Science, janvier 1896.) Les deux auteurs relate
cas très inté- ressants de folie morale, dans lesquels l'aliénation mentale s'est caractérisée et révélée non par des troub
TYPES DE folie traumatique; par Thomas Pmup C01VAN. (The Journal of Mental Science, janvier 1896.) Ce travail renferme cin
ouchement) ayant donné lieu à un arrêt du développement physique et mental dû à une hémorrhagie de la surface du cerveau :
ec notre ancien interne le D Noir. (B.) . 232 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Le second cas parait être un cas ordinaire de
e un cas de manie traumatique chez uu homme prédisposé aux troubles mentaux par l'action toxique de l'alcool sur les cellul
ol sur les cellules corticales. Toutefois le caractère du ^désordre mental fait pencher la balance en faveur de la manie a
sez suprenant. Les deux derniers cas sont des exemples de symptômes mentaux et nerveux déterminés par des lésions traumatiq
NS SES rapports avec la folie; par W. H. R. RivERs. (The Journal of Mental Science, octobre 1894.) Travail intéressant d
logie physiologique surtout dans leur appli- cation à la pathologie mentale ; et dans lequel aussi il décrit quel- ques-unes
pliquées par le professeur de IIeildeberg. R. M. C. XXXIII. Etats mentaux associés DES lésions viscérales chez l'homme sa
ons viscérales chez l'homme sain; par Henry HEAD. (Tfec Jourlaal of Mental Science, janvier 1896.) Parmi ces états, il en
ts anormaux ou d'altérations de tissus, comme c REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 233 IL il arrive dans le myxoedème ; on n'en p
tions de l'attention, de la mémoire et du caractère. Ces troubles mentaux sont associés à la présence de douleurs dites à
Les douleurs locales d'autre nature ne provoquent pas ces troubles mentaux : c'est ainsi que chez un des malades observés la
ausée par un point pleurétique n'a nullement déterminé ces troubles mentaux , qui se sont développés quelques semaines plus
o- voqué par le début d'une tuberculose pulmonaire. La dépression mentale parait accompagner surtout les cas où il existe d
fébriles survenues chez DES aliénés ; par J. KEAY. (The Journal of Mental Science, avril 1896.) L'auteur rapporte d'abo
lle survint une scarlatine qui détermina la guérison de l'affection mentale . A l'occasion de ce fait, il a étudié 44 cas de
s, on serait amené à penser que l'améliora- 234 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . tion de l'état mental survient plus souvent à
r que l'améliora- 234 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tion de l'état mental survient plus souvent à la suite de la scarla-
e de l'influence des maladies aiguës sur l'évolution des affections mentales , question qui malgré de nombreuses recherches,
UN cas DE manie RÉCURRENTE ; par John G. HAYELOCK. (The Journal of Mental Science, octobre 1896.) Le sujet de cette curie
et demi qu'il n'a présenté aucun trouble intellectuel, et sa santé mentale et sa santé physique sont égale- ment parfaites
fugaces et changeantes, les délirés non systématisés, la confusion mentale et la verbigération lorsqu'elles s'accompagnent
douches intestinales, l'antisepsie gastrique et REVUE DE pathologie mentale . 23b intestinale au moyen de l'acide chlorhydri
ports DU diabète avec la folie; par C. Hubert Bond. (The Journal of Mental Science, janvier 1896.) Les conclusions de ce
e démence secondaire : dans deux une légère rémission des symptômes mentaux fut observée lors de l'apparition du diabète ;
e prédomi- nant était la mélancolie, en même temps qu'une confusion mentale très accentuée, allant dans quelques-uns jusqu'
de simples traces jusqu'à 3910 grains (236 236 REVUE DE pathologie mentale . grammes). La quantité de l'urine elle-même ne
de ces poussées. ' R. DE Musgrave-Clay. XXXIX. SUR LES symptômes mentaux QUI PEUVENT SURVENIR dans LES maladies somatiqu
maladies somatiques; par Ernest Septimus REYNOLDS. (The Journal of mental Science, janvier 1896.) L'auteur est amené par
e somatique, en sorte qu'il est impossible de déduire des symptômes mentaux la nature de la maladie soma- tique primitive.
que primitive. Il y a cependant lieu de faire exception pour l'état mental particulier qui accompagne les paralysies alcoo-
éléments du cerveau et trouble ainsi les diffé- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 237 Î rentes réactions cérébrales normales qui
tions, fièvres, tranmatismes accidentels, opérations) les symptômes mentaux dis- paraissent dans la grande majorité des cas
t les principaux symp- tômes sont les suivants : 1° affaiblissement mental constaté dans les quelques premiers mois de la
s non dans tous, figurent le nystagmus, le 238 REVUET DE pathologie mentale . strabisme et l'hyperacuité de l'audition. Quel
t une semaine environ, au bout de laquelle tout REVUE DE pathologie mentale . 239 rentre dans l'ordre, et il se fait une des
et par instants totale, parallè- lement à l'amélioration de l'état mental . R. DE MUSGRAVE-CLAY. SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCI
s de la société se des- sinent vers l'évolution des diverses formes mentales . Il exprime enfin le souhait que la Société fer
r- tises d'hommes compétents lorsqu'ils ont des doutes sur l'état mental d'un inculpé; d'où leur désir de voir des aliénés
à l'existence ou à l'absence d'une maladie mentale. Les maladies mentales se traduisent avant tout par des symp- tômes ps
est chose indivisible. M. \'VEmGnaT fait remarquer que les maladies mentales peuvent ètre plus ou moins accusées et demande
stes allemands on a proposé de substituer à l'expresion « maladie mentale » le mot « trouble psychique », afin de ne point
de tour ne constitue pas à lui seul une prédisposition aux maladies mentales , mais on connaît toute une série de cas dans le
par Manson; - Des maladies du bassin chez les femmes et aliénation mentale , par Rohe ; Signification des troubles moteurs
dson ; - Médication thyroï- dienne dans quelques formes de troubles mentaux , par Clarkee; - Observations cliniques sur l'us
S les 25 et zig JUILLET 1g95; par David NicoLSON. (The Journal of Mental Science, octobre 1895.) L'orateur a lui-même ré
lyse l'équivalent psy- chologique du crime, et de montrer l'origine mentale dominante pour chacune des trois catégories sui
avoir montré dans quelle large mesure le type du crime et l'origine mentale du crime diffèrent chez l'aliéné criminel et ch
O TASSO ET SES biographes ; par William-W. IRELAND. (The Journal of Mental Science, juillet et octobre 1896.) Dans unelong
ntéressante étude AI. Ireland examine d'après ses biographes l'état mental du grand poète ; on a beaucoup discuté sur ce p
demment prolongé et obscurci la controverse, c'est que les troubles mentaux présentés parle poète n'ont jamais été caractér
ujet seulement à la mélancolie et de temps en temps à des illusions mentales , ne nous cache pas néanmoins que ses ennemis le
cil- lité morale, dont les principaux caractères sont l'instabilité mentale et la perversion des instincts. Ces enfants doi
e guéris. 1\IAG : >AN (V.). - Leçons cliniques SUI' les maladies mentales , faites à l'Asile clinique (Sainte-Anne), 1 ecu
Althaus, p. 62. ' Cité par Althaus sous la dénomination de troubles mentaux , p. 61. 8 Thèse de 1896. 0 Erben. Wiener merl
peut devenir dans ces cas très ' Voir rierret. Congrès cie médecine mentale . Blois, 1893, et la thèse de M. Rogipr (Lyon).
proliférer, quoiqu'on puisseadmettre, selon Cajal, que * l'exercice mental suscite, dans les régions céré- brales les plus
ommissuration pour réaliser les différents processus d'associations mentales (sensitivo-moteurs, conscients, inconscients);
iable, auquel on doive rapporter les changements infinis du travail mental . Cajal n'ignorepas les hypothèses suivantes, invo
uspendant le passage des courants nerveux : c'est la phase de repos mental , et du sommeil, soit naturel, soit provoqué (na
nerveux. L'hypothèse des « états latents » des principaux processus mentaux , si par ces mots Cajal entend autre chose que l
olie : OUVERTURE DE la discussion; par H. MAUDSLEY. (The Journal of Mental Science, octobre 1895.) M. Maudsley a ouvert ce
n'est peut-être pas un médecin, ayant quelque pratique des maladies mentales , qui oserait sou- tenir qu'un aliéné est respon
lement éclairer le jury, il n'a qu'à faire en matière d'aliénation mentale ce qu'il fait lorsque les débats impliquent des q
LINQU.1NTS ; par A. WOOD- RENTON et D. YELLOR-LRES. (The Journal of Mental Science, jan- vier 1896.) Dans ce double trav
Un cas DE médecine légale ; par 130N'ILLG li. Fox. (The Journal of Mental Science, janvier 1890.) Ce cas s'ajoute aux cas
trent l'insuffisance et l'inexactitude du critérium de l'aliénation mentale selon la jurisprudence anglaise, critérium basé
les contre-balancer, et il y a lieu d'appliquer à ces con- tagions mentales des mesures analogues à celles qu'on applique a
dans le sens d'une sélection voulue au point de vue de l'aliénation mentale . A. M. IX. Du SOMNAMBULISME ALCOOLIQUE CONSIDÉR
enfin une d'aphonie hystérique. R. M. C. L. SUR LES modifications mentales QUE l'on observe dans L1 MALA- DIE DE Graves; p
observe dans L1 MALA- DIE DE Graves; par A. IIAUDE. (The Journal of Mental Science, janvier 1896.) Bien que la littératu
connu, sur lequel l'auteur insiste d'autant moins que les troubles mentaux n'empruntent à cette origine aucune allure partic
e aucune allure particulière. Il en est autrement de certains états mentaux , qui ne vont pas jusqu'à la folie, qui sont ass
die de Graves. Mais ce sont là les moins accusées des modifications mentales : les suivantes sont plus marquées et plus caract
à terminer sa coupe par celle d'un corsage. Une autre modification mentale intéressante, c'est un sentiment véritablement
'agitation nerveuse qui viennent d'être décrits et l'état d'apathie mentale des myxoedémateux : une autre dissemblance, c'e
mplexus symptomatique spécial ; combinai- son d'un état de débilité mentale avec une atrophie musculaire progressive (et fr
teuir leur guérison par la lecture des livres sacrés : les maladies mentales sont considérées comme une punition divine. Le
mme comprendra : 1° Questions mises il l'ordre du jour : Pathologie mentale . - Diagnostic de la paralysie générale. Rapport
du cours de : médecine légale à l'Université de Liège. IV. Médecine mentale . ire question : De la responsabilité, notamment
téres- sait particulièrement aux questions relatives a l'aliénation mentale et à l'organisation des asiles d'aliénés. Penda
de l'hérédité qui a les rapports les plus intimes avec les maladies mentales , est la dégénérescence; c'est ce qui explique l
es phénomènes de démence plutôt que par des phénomènes d'excitation mentale . Il faut encore remarquer dans ce curieux cas q
sent de se,produire, si la tension devient très REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 369 forte. Dans l'hydrocéphalie, la fontanelle
par eiLE5Sl. (Il l11anicomio, XII, fasc. 1.) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XLIII. La menstruation ET SON INFLUENCE SUR LE
nq et qua- Archives, 2° série, t. III. 24 370 REVUE DE pathologie mentale . rante-cinq ans. La moitié des malades était in
uis moins de trois ans. Formes des maladies : REVUE DE pathologie mentale . 371 XLV. DE l'aortite chronique chez les alién
'aptitude à la désagrégation psychologique, 372 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . le grand développement des facultés imaginativ
lire paranoïaque est ainsi nommé parce qu'il se REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 373 relie à des changements profonds de toute
s psychopatlliques d'autre nature, tantôt par suite de l'épuisement mental qu'ils ont déter- miné.. J. SÉGLAS. XLIX. DE
r- miné.. J. SÉGLAS. XLIX. DE l'influence DE l'élément nerveux ET mental dans LES maladies EN général; par CLOUSTON. (B1
démontrée par les observation^ inverses de modifications de l'état mental , à la b74 REVUE DE pathologie mentale. suite
ses de modifications de l'état mental, à la b74 REVUE DE pathologie mentale . suite d'intervention chirurgicale sur des orga
ec les troubles intellectuels; ainsi crue M. H. Head, sur les états mentaux liés d certaines affections viscé- 1'ales. A. M
entre l'état du système circulatoire et les anomalies des processus mentaux . Dans certains cas les troubles de l'appareil c
ervés A l'asile du comté D'EsSEX; par JOIIn ToRNER. (The Journal of Mental Science, juillet 1896 .) 1 Etude très intéres
congénitales, on trouve que le père aliéné transmet son instabilité mentale à un plus grand nombre de ses enfants que la mè
érablement supérieur à celui des pères aliénés. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 375 Hérédité 1'ével'sive et collatérale. A). D
AY. LU. PSEUDO-PARALYSIE générale; par B. HYSLOP. (The Journal of Mental Science, avril 1896.) Bien qu'il se défende de
ET DE suicide; par E.-S. TALBOT et Havelock ELLIS. (The Journal of Mental Science, avril 1896.1 Cette observation concern
dant trois ans dans un asile, où le diagnostic porté snr son état mental fut celui de GO paranoïa». Son examen physique à
rmalement petits, pénis rudimentaire. Crâne 376 REVUE DE pathologie mentale . asymétrique, front bas, indice céphalique norm
Visions : RÉCIT PERSONNEL DES phénomènes MORBIDES. (The Journal of Mental Science, avril 1896.) Ce récit a été écrit et e
pour y être publié par un journaliste expérimenté : les aberrations mentales qu'il décrit ont précédé un accès de manie aigu
pouvons suivre le narateur dans tout son récit; REVUE DE pathologie mentale . 377 Î nous en relevons seulement les points le
dents héréditaires; syphilis; autres facteurs étiologiques; état mental et développement intellectuel avant l'apparition
ysie générale a été confirmé par l'autopsie 378 revue DE pathologie mentale . et l'examen histologique. Il est difficile de
ntrairement à ce qui est observé chez l'adulte, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 379 la forme précoce de la paralysie générale
hilis certaine et très probable 93 p. 100.) 380 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . cours de la maladie, tandis que les troubles p
romiques, des troubles neurasthéniques : à la clinique des maladies mentales de Heidelberg, sur cent- quatre-vingt neuf cas,
utalité, sont tout à fait en faveur de la para- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 381 lysie générale. Alors que les signes évide
s postes, quarante-deux ans, a eu à trente- 382 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . quatre ans, pour la première fois, un accès dé
les injections déterminèrent des phénomènes d'excitation. L'état mental des individus soumis au traitement ne fut pas amé
e psychique épileptique. Ces épileptiques dégénérés au point de vue mental tombent sou- vent sous le coup de la loi. Les u
l'acte incriminé à ces troubles psychiques. On cherchera si l'état mental habituel du sujet présente les caractères de la
. Sur 10 sujets en rémission dont la famille a suivi et noté l'état mental , un seul a été considéré par son entourage comm
e, peignier à Ezy, ne jouissait pas de la plénitude de ses facultés mentales ; à diverses reprises, il avait manifesté l'inte
rir, avec les maladies de l'âme et les diverses formes d'aliénation mentale , un moyen d'études des plus importants. A ce pr
ne). V. Influence de l'accouchement sur les mala- dies nerveuses et mentales que présentent ultérieurement les enfants. Rapp
magne). IV. Des relations entre les Psychoses, la dégénéres- cence mentale et la neurasthénie. Rapporteur : Dr 1.ENTZ, de To
nfluence au point de vue du développement des maladies nerveuses et mentales (Aperçu médico-1t ? al). - 111-8- de 226 pages.
. Vol. III. Juin 1897. N° 18. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE . SUR LA PÉRIODE TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉR
Gabon et C", 1826. Archives, 2° série, t. III. 28 434 PATHOLOGIE MENTALE . mouvements volontaires » (p. 309). Au 3° degré
l'écorce sont anéanties (p. des 1 B. Bail. Leçons sur les maladies mentales , 2° édition. Paris, Asselin et Houzeau, 1890.
Asselin et Houzeau, 1890. 2 E. Régis. Manuel pratique des maladies mentales , 2° édition. Paris, 0. Doin, 1892. 3 Magnan e
générale, collection Léauté. Paris, Masson, 1894. 436 PATHOLOGIE MENTALE . Les paralytiques meurent de façons très divers
o Vasard], Milano, 1886. 2 II. Schule. Traité clinique des maladies mentales . Traduction Dagonet et Duhamel. Paris, Lecrosni
lytiques généraux. Je laisserai de côté tout ce qui concerne l'état mental pour m'occuper seule- ment de l'état général de
s mes malades étant des hommes, c'est à la paralysie 438 PATHOLOGIE MENTALE . générale masculine seule que devront s'appliqu
ésumé, la mort de nos 33 paralytiques généraux a été 440 PATHOLOGIE MENTALE . due 26 fois à un ictus cérébral, 6 fois à une
ico-psycholo,qiques, 1897, t. V, p. 94 et suivantes. 442 PATHOLOGIE MENTALE . le plus souvent épileptiforme. Il me semble en
dans la paralysie générale. Paris, Steinheil, 1894. 444 PATHOLOGIE MENTALE . I. S'il est très vrai que beaucoup de paralyti
ué a étudié surtout les rap- ports des signes physiques avec l'état mental et le délire, et il conclut aussi à l'existence
rande que celle qu'aurait justifié l'âge, de la vigueur physique et mentale . Un jour on nota un certain degré d'égarement m
r physique et mentale. Un jour on nota un certain degré d'égarement mental avec congestion de la faceetincertitude de la d
sans perte de connaissance, sans trouble du langage : l'abaissement mental devint tel qu'il dut renoncer à ses occupations
lle à droite. Vision obscurcie, inaptitude à l'activité physique et mentale depuis trois ou quatre mois. Gêne légère de la
xer avec plus de précision qu'on ne l'a fait jusqu'à présent l'état mental dans les paroxysmes hystériques, que les lois q
ui, à part leur infirmité spéciale, ont un degré normal de capacité mentale . (American journal of insanity, oc- tobre 1896.
teur pense que les troubles de la parole, accompagnant la confusion mentale , sont des phénomènes épisodiques que l'on remar
diques que l'on remarque pendant le plus haut degré de la confusion mentale ; c'est pourquoi on ne doit pas regarder la con-
, existent des embarras de la parole indépendamment de la confusion mentale et que l'étude de ces derniers présente un inté
esseur KORSAKOW pense que les troubles du langage dans la confusion mentale peuvent dépendre du degré de la confusion menta
dans la confusion mentale peuvent dépendre du degré de la confusion mentale , quand disparait la connexion entre les mots et
enté en fréquence et en intensité, d'où il résulte que les maladies mentales ont dû devenir plus fréquentes ; citons par exe
veulent s'imposer à la majorité par la violence. L'étude de l'état mental des anarchistes montre qu'il faut grou- per ces
e, est excellente. Paul Sérieux. XII. Elude médico-légale de l'état mental des vieillards ; par le Dr SCIlAEFFER. (Th. de
commerce agréable et même leur vigueur physique. Au point de vue mental , l'évolution sénile peut se diviser en trois pé
ises, soit à des infections, soit à des intoxications. Les troubles mentaux sont identiques, ou à peu près à ceux qu'on obs
énérale exposé toute l'importance de la prédisposition et de l'état mental , « les deux jalons directeurs de l'étude des ps
lution systématique. Le diagnostic de ce délire est basé sur l'état mental primordial et sur l'évolution de la maladie. Ju
La systématisation du délire existe aussi dans la dégénérescence mentale , mais n'offre plus les mêmes caractères. M. Mag
le, mais n'offre plus les mêmes caractères. M. Magnan étudie l'état mental des dégénérés qui est surtout caractérisé par u
lectuelles. 11 montre le vaste champ qu'occupe la dégénérescence mentale s'étendant de l'idiot à l'imbécile, au débile, et
aisonnante et la folie morale ne sont que l'exagération de cet état mental : l'une dans la sphère intellec- tuelle, l'autr
délire hypocondriaque est encore fréquent dans la dégéné- rescence mentale . Il peut être rapide, complexe et polymorphe ou
'alcoolisme éclatent des délires étrangers liés à la dégénérescence mentale ou symptômes d'une autre psychose. Les délire
lquement, par Munson, 220. Sur 1' -, par Luhrman, 246. Aliénation mentale chez les Arabes, par Jleilhon, 41. Aliénés. R
ée de la tête et des yeux, par Bresler, 59. Diabète et aliénation mentale , par Uand, 36. - Rapports du - avec la folie,
- et de l'odorat dans le tabes, par Kllppel, 257. GRHES. Troubles mentaux dans la maladie de, parMaude, 322. Hallucinat
ence des maladies aiguës sur la -, par Todd, 52. * Lésions. Etats mentaux associés à des - viscérales, par Ilead, 232.
espace sous- arachnoïdien, par Jacoby, 211. Maladies nerveuses ET mentales . Le repos et l'exercice dans le traite- ment
et son influence sur les psychoses chroniques, par Najcke, 369. Mental . Élément nerveux et dans : les maladies, par Clou
Mental. Élément nerveux et dans : les maladies, par Clouston, 373. Mentaux . Symptômes pouvant survenir dans les maladies s
sions des - périphériques, par Williams, 328. Nerveux. Elément et mental dans les maladies, par Clouston, 373. Névri
s maladies, par Clouston, 373. Névrite alcoolique avec troubles mentaux , parNeil, 3fui. -périphé- rique, parSharl : ay,
et - toniques de quelques -, par Guilhon, 149. Vieillards. Etat mental des -, par Scha-Her, 493. ' Vision. Récit per
11 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ARCHIVES NEUROLOGI REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES FONDÉE par J.-M. CHARCOT & BOURNEVILLE PU
IRECTION DE MM. A.JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté Je médecine de Paris. V. MAGNA
VoJ. XXII. Juillet 1906 NI, 127 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE \> Hospice de la S.LP>Jrltlialc : Dr G.
U ! Mg-6 ? rg.s- AncllIY¡ ? 2' série 19Ce, '. XXII 1 2 CLINIQUE MENTALE . sive, je vous demande la permission, avant d'a
rocher et à les fondre dans une même espèce morbide. 4 Clinique mentale . IL Période française (1831-1899). On peut fair
ment et la période d'excitation de Informe circulaire des maladies mentales cette forme consiste, non comme on l'a dit fréq
qui prouve l'exactitude de celte interprétation, c'est 0 CLINIQUE MENTALE . la phrase suivante extraite de son mémoire : «
ve mention à la folie à double forme dans son Traité des maladies mentales , sans lui donner davantage droit de cité dans s
core aujourd'hui reproduite dans la plupart des traités de médecine mentale . Malgré cela, la légitimité de la nouvelle enti
i sur la folie à double forme. (1)nI0lt>rr.. Traité des maladies mentales , 1868, p. 477. S CLINIQUE MENTALE. A partir
lors, dit cet auteur, un cercle morbide dans lequel ces deux formes mentales alternent souvent d'une façon régulière (c'est
variantes de terminologie, ce (1) GtUESINf'.ER. Traité des.maladies mentales , 1873 p. 275. DE LA FOLIE MANIAQUE DÉPRESSIVE
n Traité de Psychiatrie, une nouvelle classification des maladies mentales , complètement différente de celle qui avait par
des cas de manie récidivante ou intermittente, Ivre;- 10 CLINIQUE MENTALE . pelin émit l'opinion que la manie classique, l
ar Morel, devait être définitivement exclue du cadre des maladies mentales , comme forme clinique indépendante, et que tous
ouer, de mettre en valeur la nouvelle classifi- cation des maladies mentales du professeur de Munich, mais jusqu'à présent s
lution « Cette théorie unitaire peut sembler sédui- 12 CLINIQUE MENTALE santé au premier abord ; cependant, elle nous p
i : wOt'ITCn ? Atlas manuel de t'·ychiat ie, l. 306. il, CLINIQUE MENTALE . même plus loin et met en doute l'existence de
t trop effacée, surtout li on la compare à l'autre. 16 CLINIQUE MENTALE . En d'autres termes, les accès de manie intermi
902, p. 4G2. Archives 2- série, 190G, t. XXII. 1. 2 18 CLINIQUE MENTALE . naturel ultérieurement, je me borne à les sign
lades. REVUE DE THERAPEUTIQUE I. La ponction lombaire en médecine mentale ; par le D DEUOUnmx. (l3ull, cle la ,oc. de nu·
Il s'agit d'une fillette de 3 ans dont le développement physique et mental était notablement retardé pour son âge, mais qu
stinc (Congrès de Lisbonne, section de neurologie.) Les syndromes mentaux accompagnés de lésions macroscopi- ques sont ex
croscopique restreignent, d'année en année, le groupe des accidents mentaux sans lésions d'aucune sorte. Encore peut-on, sa
armi les lésions cérébrales microscopiques accompagnées de troubles mentaux .il en est qui sont franchement inflammatoires,
urement toxiques. Les psychoses d'origine toxique sont les troubles mentaux pro- duits par l'action du poison sur le foncti
, au cours de divers empoisonnements accompagnés ou non de troubles mentaux appréciables. 11 ne paraît pas possible, ac- tu
hépatique et rénale), etd'au- tre part au syndrome de la confusion mentale . Toutefois, est utile défaire remarquer qu'une
utefois, est utile défaire remarquer qu'une évolution de trou- bles mentaux peut être foudroyante et dramatique, sans avoir l
s profondes, et qu'aueou- traire, une longue maladie, avec troubles mentaux plus effacés, peut aboutir insidieusement à des
lulaires considéra- bles : c'est précisément le cas de la confusion mentale , Il en ré- sulle une certaine indépendance entr
éphalile et autres malades du bulbe. L. WAHL. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 39 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1, - Contribu
e. L. WAHL. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 39 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1, - Contribution à l'étude des troubles physiq
rgeait en prison une condamnation pour crime politique, de troubles mentaux (hallucinations, idées de persécution, confu- s
plus souvent que tem- poraire. C.. Deny. 40 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 111. - Autour d'une épidémie de démonopathie ;
halluci- nations et leur contingence, la persistance de l'intégrité mentale . Le contenu du délire est variable, pouvant s'a
phohiquo et onirique, avec hallucinations et illusions, confu- sion mentale , refus d'aliments, et entrecoupé de périodes d'ex
atolyse des cellules nerveuses, lésions habi- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 41 fuelles des intoxications. La marche des ph
ne trace d'hémorrhagie en. foyer, mais une 42 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . dégénérescence systématique du faisceau pyrami
e du faisceau pyramidal gauche. Il est rare de trouvera cette forme mentale un substratum ana. fornique. Dans le cas partic
ace) ; par Antheaume et PARROT. (L'Encéphale 190fi, n" 1.) Troubles mentaux survenus chez un psychopathe constitution- nel
ar contre les victimes d'une ivresse fortuite REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 43 et non volontaire doivent être considérées
vorisé l'apparition. T. T. Xr. - La démence précoce est un syndrome mental toxi-infectieux subaigu ou chronique ; par Maur
e. La paralysie générale n'est pas l'aboutissant de toute maladie mentale , comme le voulait Esquirol; elle n'est pas non pl
IiCitl(',Ieill·0107gue, avril 1905). E. H. 44 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XIII. - La pseudo-paralysie générale progressi
onclusions sui- vantes. Le diabète produit des accidents nerveux et mentaux . Tous les symptômes qui constituent le syndrome
n- trèrent en décembre 1887. A ce moment.on constata des troubles mentaux (excitation maniaque, affaiblissement intellectue
ENTALE. 45 XY. Les causes morbides prédisposantes en patholo- gie mentale ; par M. MARANDON de OIONTYEL. (Rev. de )1t<'(
tte infection un rôle trop considérable dans la genèse des maladies mentales ; mais même réduit le plus possible, le rôle de
out des troubles iL caractère démentiel et 46 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . en particulier d'une P. e. marche assez spécia
e pathologie géné- ralequi montrent l'étroite relation des maladies mentales avecles autres affections de l'organisme. L. WA
période délirante de 20 jours, dont la fOl'll1ediniljlWCOil- fusion mentale hallucinatoire caractérise les états anlitoxiques
é l'ilJ11dclI1entcL sans amener l'apparition d'aucun attire trouble mental , comme cela se voit souvent lorsqu'il y a un él
les échanges nu- tritifs, pouvant réaliser à lui seul une confusion mentale printi- tite. Discussion. JJ. Carrier père si
par des étran- gers ; mais il n'y a pas extériorisation de l'image mentale ; ce senties « idées autochtones » de Werniele,
e mal,mais elle est possible lorsque le malade est capable d'effort mental . Les troubles de la synthèse se réduisent aux t
ont déterminé sa direction ; mais elle s'accompagne aussi d'effort mental , d'attention. Il faut donc étu- dier l'attentio
éant lemonoidéisme, et les éléments simples de celle-ci, les images mentales . L'atten- x tion est spontanée ou volontaire. L
pressifs opposent aux tendances motrices renais- santes. Les images mentales forment des groupes susceptibles de reproductio
souvenir isolé ; il y a effacement des images 56 BIBLIOGRAPHIE. mentales et difficulté de reviviscence. En résumé, le rale
dances, en raison donc de leur activité même, en face de leur arrêt mental . Cer- taines crises anxieuses cependant naissen
ient d'envisager : 1° les états mélancoliques liés à des affections mentales ; 2° la mélan- colie pure de certains auteurs,
ctive. Les premiers se rencontrent surtout dans : la dégénérescence mentale , la démence précoce, la folie périodique, la ne
morbides connus, les autres encore isolés, parce que la pathologie mentale est encore une terre fort peu connue. Un dernie
nécessaire. E. Coui.onjou. VARIA Condamnés atteints d'aliénation mentale et d'epilepsik PLA- CES DANS LES ÉTABLISSEMENTS
du quartier de Gaillon, réservé aux condamnés atteints d'aliénation mentale ou d'épilepsie, me fait un devoir d'appeler vot
) ! < le but d'établir el de combattre les causes des maladies mentales . Le progrès considérable qui s'est vérifié réce
nt avantageux à la connaissance des tableaux cliniques des maladies mentales et des méthodes pour les soigner ; mais nous so
s qui se rapportent à la diagnostique et à la thérapie des maladies mentales peut être analysée et développée grâce aux élud
iliqueà il l'égard de la prophylaxie et de l'étiologie des maladies mentales ne peut naître, au contraire, que delà coopérat
tut International pour établir et combattre les causes des maladies mentales , - se propose d'indiquer l'ordre des travaux au
ntaires dirigées contre les autres causes de tout genre de maladies mentales . Le Congrès nommera un Comité international qui
énéralités. lu Recherches sur la progression numérique des maladies mentales , et aussi de certaines formes spéciales de ma-
l et choix du matériel regardant l'appad- tionde forme d'aliénation mentale chez les animaux. IL Hérédité. -- 1° Il faudra
- riel existant ayant trait aux questions d'hérédité des maladies mentales ou nerveuses : ce matériel sera ensuite complété
ux. z 2. lt) Prédisposition aux ma- ladies, et surtout aux maladies mentales et à l'imbécillité, chez les individus directem
x central. 2. Organisation du ma- tériel concernant les aliénations mentales causées parla syphilis. 3° «(.Effets delà conta
asile de la Seine pour « épilepsie avec, attaques rares et débilité mentale ». Il savait lire et écrire. Quelques mois après
es scissure ? (calcarine,limbique, etc.),apparaissent 90 CLINIQUE MENTALE . vers le milieu du quatrième mois ; peut-être l
ésie céré- belleuse, du moins d'une origine postérieure. CLINIQUE MENTALE Les symptômes oculaires de la Paralysie génér
LOUSE et UIlPA3. ? Journal de Neurologie, n° 3, 1904. 92 CLINIQUE MENTALE commodation, est rarement pur, mais se présente
paralysies qui se présentent au cours de la paralysie 94 CLINIQUE MENTALE . générale leur valeur diagnostique spéciale. Il
) Jean Gai.I'.zoxyski. Thèse de l'nris, Juin 1901. 1. 96 CLINIQUE MENTALE . moscopiques est liée à thémianestluisie, et dè
érale, 1904. Archives, 2' série, 190f, t. XXII. 7 . 98 CLINIQUE MENTALE . là encore un clément précieux de diagnostic. L
s du système nerveux. Thèse de Paris, juin 1904. 100 , CLINIQUE MENTALE . complet des yeux du paralytique général aux di
e passé des choses qui touchent de près ou de loin à l'aliénation mentale . On sent que les réformes sont nécessaires, on a
. Puis M. Dide aborde l'étude bactériologique : Dans les maladies mentales toxi-infectieuses, l'hémoculture est souvent po
rapport de M. Dide est de nature àsimplifier beaucoup la nosologie mentale ; d'abord les constatations de labora- toire on
peler les manifestations mé- tatoxi-in/'ectieuses. Dans les états mentaux chroniques de ce groupe, la même pathogénie int
atomi- que s'édifie lentement et on conçoit que ce sont des états mentaux dépendant non seulement de la sénilité du cerveau
t, dans le sang et dans les humeurs, une explication des troubles mentaux . La recherche des microbes porta sur 206 cas que
d'affections du système nerveux (méningite chronique, con- fusion mentale , démence précoce, stupeur mélancolique, dé- gén
ureuse de certaines infections sur l'évolution de quelques maladies mentales . Dans ces derniers temps, des CONGRÈS DES MÉD
nolences ou insomnies, troubles du caractère, fatigue physique et mentale rapide ; amnésie, embarras de là pa- role, apha
avec ou sans quelques modifications symptomatiques ; les troubles mentaux seraient plus constants et plus rapides. Onlui
e ou acquise,d'une aptitude convulsive. B. Psychiatrie. - 1° L'état mental des vieillards. - On trouve toute une série d'é
ence sé- nile. Les vieillards les mieux conservés au point de vue mental ont une diminution de la mémoire des faits ré-
des épisodes délirants, prenant surtout la for- me de la confusion mentale et de la mélancolie anxieuse. L'affaiblissement
ffisance fonctionnelle par le fait de l'athérome. 2° Les troubles mentaux de l'artério-sclérosL'\ spéciale- ment étudiés
t- tent ou paroxystique. La forme légère se révèle par la fatigue mentale rapide, la faiblesse de l'idéation et des conce
conceptions. Les formes graves se manifesteraient par des troubles mentaux sérieux ayant pour caractère do- minant la rapi
longtemps conscience de son état. Ces diverses variétés de troubles mentaux de l'artério - sclérose s'accompagnent d'un plu
mencé l'étude du cerveau sénile par la description de la déchéance mentale , c'est que le cerveau est, non seulement l'orga
rdiale de l'étude de l'inculpé, de ses antécédents, de son niveau mental , des particularités de son caractère, des inciden
ti- ve, est une insensibilité par inconscience, par désagrégation mentale , une insensibilité psychique indiquantun dédouble
lité. Il est bien évident, d'autre part, que l'examen des stigmates mentaux , le degré de suggestibilité, d'aboulie, d'amnés
8 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. sonnels, niveau mental , degré de la maladie) afin d'éclairer le tribun
différente. Lorsque la dégénéres- cence s'affirme par une débilité mentale avérée, l'expert de- vra naturellement faire en
ncon- trer simultanément un état de débilité ou de dégénérescence mentale plus ou moins accusé. Dans cette triple associati
'alcool, la morphine et l'éther. L'in- toxication réagit sur l'état mental du malade, mais il est tou- jours possiblede re
suite d'impulsions déréglées, sans qu'on puisse parler de troubles mentaux proprement dits. Quelquefois l'automatisme ambu
lière qu'elle diminue un peu la fréquence des attaques, mais l'état mental n'en demeure pas moins ag- gravé. L'expert devr
é, la malignité et la perversité dans le domaine moral, la débilité mentale dans le domaine in- tellectuel, l'impulsivité d
tifs et ne comporte aucun élément objectif, aucun critère expéri- mental de solution. Au point de vue de la responsabili
er aussi en ligne de compte, comme cause prédisposante, l'affection mentale dépressive elle-même (cedèmes, cyanoses, purpur
ôt, s'est len- tement amélioré par ingestion de fruits. De l'Etal mental des Hystériques. M. Joinre, professeur de l'Ins
ons de la force : contractures et paralysies,etc. De même leur état mental a toujours pour cause un manque d'équilibre cér
it comme prévenus, il est indispensable de faire examiner leur état mental par un médecin spécialiste. De l'emploi d'un
s en l'absence de toutes autres manifestations morbides : stigmates mentaux hystériques, stigmates mentaux épileptiques, sy
manifestations morbides : stigmates mentaux hystériques, stigmates mentaux épileptiques, symptômes en foyer (dans les cas
eption de ces images, qu'il y ait distraction musculaire, vocale où mentale . L'auteur termine son article par quelques cons
nd secours dans l'anato- mie pathologique des maladies nerveuses et mentales . J. Séglas. - Atrophie cérébrale expérimental
contusion men- tale, catatonie, psychose polyné\ rilique, confusion mental ", mé- lancolie, manie, paralysie générale) et l
e l'émotion primitive, ou s'il y a eu intervention d'un nouvel état mental . Dans le pre- mier cas, on trouve une notahle d
de psychométrie pédagogique en rapport avec la crainte du surmenage mental à l'école; par ETTOL&#x152; (111 Kioista di
roportion entre la somme de travail exigée à l'école et la capacité mentale des élèves ? » L'auteur a employé les méthodes
conséquences qu'elles peuvent avoir sur l'évolution de l'affection mentale sont connues depuis long- temps : à plus forte
l1< ! l1tale di 1·'^axiatrira e medicina légale délie alienapone mentale , 1904. Vol. fascicule Il. Ce travail accompagné
e..1. SG1,AS. XXXV. Contribution nouvelle à l'étude de la fatigue mentale chez les enfants ; par Giusseppe-Rei LE[. (tir Ri
sta sperimentale di Freniatria e medi"ma legale délie alienazione mentale , 190L Vol. XXX, fascicule 1.) L'auteur, étudian
dépendance d'une intoxication par le brome ; d'autres, des troubles mentaux , d'une interprétation plus difficile ; d'autres
. (1) Jules VOIS[ ? Roger Voisix el A. Ilcyou.-I3romisme,lrouhlcc mentaux et état de mal épileptique au cours de la dcehtor
n plaques, par J. l3;rhinsl : i. Thèse de Paris, 1889. CLINIQUE MENTALE Délire de persécution à base de fausse interp
sante d'un malade chez lequel existaient différentes affec- tions mentales , et il a montré que la possibilité de recon- na
toine C ? se présente à la consultation de la Clinique des maladies mentales de Toulouse, se plaignant de délire et d'halluc
en philoso. .lttcnrvrs, 2' série, 1OG, 1. XXII 12 178 CLINIQUE MENTALE . 1 ]'hie ; il nous donne sur sa maladie un ense
de 1890 à 1894. Cette période est caractérisée par 180 CLINIQUE MENTALE . un ensemble de préoccupations religieuses qui
atuité d'inscriptions,les nécessités administratives 182 CLINIQUE MENTALE . coutumières dont on lui parle, et les nombreus
oix : « Il a tait sa mai. » .le suis convaincu que 181 ' CLINIQUE MENTALE . ma mère est morte et. que mon absence à Paris
ropathique ; nous notons de l'hy- perexcitnbililé. 186 CLINIQUE MENTALE . Au moment de l'examen, pas d'hallucinations. «
ieux sur lesquels elle s'appuie, porte l'em- preinte de la débilité mentale . Il est inutile de revenir sur les psychoses à
îzédico-psy chologiquesno de mai- juin 1902, p. 441.) La débilité mentale chez notre malade est l'aboutissant de tares éc
trop grossiers, et ne se considère point comme étant 190 CLINIQUE MENTALE . né pour cultiver la terre, alors qu'en réalité
portante et développée comme un enfant de son âge, au point de vue mental comme au point de vue physique. Le troisième en
e la démence précoce. La forme mélancolique se distingue par l'état mental parli- culier : douleur morale mal justifiée pa
'a eu, pendant huit mois, comme unique symptôme, que des troubles mentaux spéciaux, puis, deux mois et demi avant sa mort
obnubilation intellectuelle progressive avait obscurci le syndrome mental au début, lorsque le malade vint consulter à la
en dehors du corps calleux et qu'en som- me il n'y âge les troubles mentaux qu'on puisse considérer comme un symptôme à pro
proprement parler d'origine calleuse. Et encore parmi ces troubles mentaux , il y a un départ à faire. L'obnubilation intel
lésions vasculaires). Il reste, comme caractéristique, un syndrome mental spé- cial : il consiste en des troubles du cara
lligence qui peut faire illusion à l'entourage. A part ces troubles mentaux spéciaux pour soupçonner la localisation d'une
tant bien rarement limitée au corps calleux. C'est donc ce syndrome mental particulier qui est le signe caractéristique d'
le pouvait contre cette obsession morbide. Deux cas de confusion mentale liés ci la fièvre typhoïde el à la . scarlatine
on) présentent au Congrès les observations de deux cas de confusion mentale d'origine in- fectieuse ayant évolué chez deux
TES ET NEUROLOGISTES. 211 paux symptômes notés ont été la confusion mentale allant jusqu'à la stupeur, la sitiophohie, l'al
s et de l'hématurie. La convalescence, accompa- gnée d'amélioration mentale , a été troublée par des poussées fébriles conco
l, sous forme de tableau, les résultats de l'examen au point de vue mental de 68 récidivistes âgés de 18 à 30 ans. II ré
t de fois exprimée, d'organiser sérieusement un service de médecine mentale ou plutôt d'attacher un médecin aliéniste à tou
ité, on peut affirmer que les affections dénom- mées : insuffisance mentale , imbécillité, idiotie morale, etc.,sont celles
Il s'agit d'une jeune fille de 22 ans, infantile au point de vue mental , mais non hystérique, qui était atteinte depuis S
par la méthode de Ceni ; par GIOYANNI TIEUGO, (In Rivista speri- mentale di ],'¡'e¡¡iatria, \'ol. III. fasc. II. 111.) L
particulier au point de vue de la mé- decine légale de l'aliénation mentale ; ensuite parce que les cir- constances obscure
d'insolation existent réellement et revêtent la forme de confusion mentale sous l'une quelconque de ses variétés, délire o
dire qu'il s'agissait dans les deux cas de malades dont l'affection mentale était récente et il est à peine besoin d'ajoute
consacré au traite- 234 asiles d'aliénés. ment de l'aliénation mentale , soit comme chefs de cliniques ou internes des
nt-Louis, un lecal est affecté aux malheureux atteints d'aliénation mentale en attendant que l'on statue sur leur cas. Or,
ges. Enrico Woghera. SIlCPHE11D IVORY FIIAN7. - 1 ! le time of some Mental processus in the rctardatiore and excilemellt o
Vo'. XXII. Octobre 1306. ? 130 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE La Folie Gémellaire; Par le D' E. IARAN1)ON D
poursuivre leur oeuvre néfaste en réalisant, pour la con- tagion mentale et la folie gémellaire, la confusion très regre
, d'après cette théorie, c'est-à-dire atteints d'un affaiblissement mental lié à la destruction des cel- lules cérébrales
ire de M. Archives, 2' série, 1())G, t. XXII. 16 242 pathologie mentale . Kraepelin lui-même, dans la proportion de plus
ien de par- ticuler que cette arrivée foudroyante de la déchéance mentale due à la faible résistance du cerveau qui n'a en-
olie gémellaire, laquelle peut revêtir, en effet, toutes les formes mentales et dont les caractères spéciaux, dont nous parl
e M. Kraepelin, elle n'a non plus au- cun rapport avec la contagion mentale de laquelle cer- tains voudraient la faire déri
franchise dès les premières pages que sous le titre de « contagion mentale », ils se proposent d'étudier la contagion des
s ne doivent pas les séparer. On peut tout rattacher à la contagion mentale avec la vaste définition de nos deux éminents c
prouver et nous espé- rons établir que la seule, la vraie contagion mentale , ne joue aucun rôle dans la folie gémellaire.
ent établi que parmi les vésanies qui frappent les 2.H PATHOLOGIE MENTALE . jumeaux et les jumelles il en est une très r-a
ortance en neurologie, parait être moins bien définie en pathologie mentale ; que le terme même y est peu employé. Et c'est
&#x152;. 2,15 suite de cette négligence de l'étude des maladies mentales familiales, nombreux sont encore les aliénistes
La première condition réalise une véritable exception en pathologie mentale . En effet, dans nos deux mémoires, publiés l'un
e et mise en travail par un élément occasionnel. 246 pathologie mentale . Et à cette occasion nous avons rappelé l'appré
ain d'esprit, alors celui-là agit sur celui-ci et par une contagion mentale qui ici existe arrive à lui trans- mettre ses c
nc indispensable pour la vraie folie gémellaire. 248 PATHOLOGIE MENTALE . La troisième et dernière condition est sans co
t séparés, devinrent alié- nés en même temps. Le tableau du trouble mental chez l'un et l'autre présentait la plus grande
munication psychique de l'un à l'autre, c'est-à-dire delà contagion mentale . Nos deux jeunes et distingués collègues me per
tant ce nom est ou n'est pas explicable, mais bien 250 PATHOLOGIE MENTALE . si elle existe ou non avec les trois condition
xistence est incontestable et qui sont inexplicables ! La contagion mentale , si elle était indis- pensable, comme le croien
eux qui appartiennent exclusivement aux jumeaux et 2G2 PATHOLOGIE MENTALE . aux jumelles et ceux qui se retrouvent chez to
maternelle, soit dans la ligne paternelle, et très 254 PATHOLOGIE MENTALE . souvent dans les deux lignes, surtout quand il
re. Il dit que si l'existence en général de celle-ci aux maladies mentales dans une famille donnée fait faire dans beau- c
qu'il existe une dépendance réciproque et intime entre nos facultés mentales et la structure physique de notre organisation.
il dit que la folie gémellaire, dans ces cas, n'est, en pathologie mentale , que l'analo gue de ce qui est connu et accepté
s; rien donc d'extraordinaire qu'il en soit de même de l'aliénation mentale ,alors la preuve acquiert une force supérieure e
e paraît absolument irréprocha- ble au point de vue de l'aliénation mentale . Dans ces cas il s'agit, à son avis, d'une affi
ce délire. Archives, 2' série, 1906, t. XXII 17 258 PATHOLOGIE MENTALE . Le Professeur Ball exigeait donc comme nousune
comme on a étendu celle des mots « précoce démence », et confusion mentale », au point d'englober dans elle' la double ges
rence dans cette direction fâcheuse. Il en résulte 200 PATHOLOGIE MENTALE . que si deux cousins germains, atteints simplem
cause de l'autorité de son auteur qui fut profes- seur de Clinique mentale à la Faculté de Médecine de Pa- ris, et ensuite
re unique observation, recueillie en trente ans 2G : ? PATHOLOGIE MENTALE . , et qui est un souvenir de jeunesse, car elle
pieux et les romans les plus inconvenants qu'elles 264 PATHOLOGIE MENTALE . trouvaient moyen de se procurer en cachette, m
it qu'elles apprirent que le dérau- 26G ÉTUDE CRITIQUE. germent mental , comme tout le reste depuis leur naissance, avait
rapports existant entre les affections pulmonaires et les troubles mentaux . Esquirol (1) et (1) Esquirol. Des maladies men
et les troubles mentaux. Esquirol (1) et (1) Esquirol. Des maladies mentales , vol. II. Archives, 2° série, 1906, t. XXII. I.
fréquence de la phtisie parmi les individus frappés d'aliénation mentale et le rapport qui existe entre ces deux maladie
ronage s'occupent aussi « des personnes prédisposées à l'aliénation mentale ; qu'elles se cons- tituent dans tous les pays e
naissances assu- rées à propos des causes des maladies nerveuses et mentales et en général de la dégénération humaine soit a
e l'on croit opportuns à la prophylaxie des maladies ner- veuses et mentales ; le Congrès approuve la proposition de fonder
tieux pour m'édifier aussi complètement que possible sur son état mental et contrôler ses allégations en ce qui concernait
Ville-Evrard, par MM. Sérieux et Mignet IBLIII. de la Soc. de mid, mentale de Belgique, 1905, noq 1 ? -2 et 1-23.) Les a
«.Nous ne dirons pas que l'alitement abroge la durée des mala- dies mentales , ce serait contraire à notre observation ; mais n
es agiles, les mé- lancoliques, ceux qui sont atteints de confusion mentale aiguë. stupide ou délirante : enfin les périodi
- bementdélini les caractères de l'anesthésie suggérée et expéii- mentale , il rapporte longuement plusieurs observations cl
é- lire chronique systématique, la folie périodique, la confusion mentale , enfin la démence précoce, sur laquelle l'accord
est plus probable qu'il y a seule- ment un haut degré de confusion mentale tendant à devenir chro- nique, mais il est diff
n anatomique irré- médiable. » Viennent ensuite la dégénérescence mentale , les vices de déve- loppement, les folios toxiq
x les abus ont précipité tout au moins l'apparition de la mal,- die mentale . L'alcobla joué le rôle d'appoint : ce rôle reste
enir. Une autre vérité, qui a la valeur d'un axiome en pathologie mentale , est que,plus la maladie est récente, plus elle a
u protégés russes hospitalisés gratuitement pour cause d'aliénation mentale , ou autre mala- die incurable dans les établiss
ubuisson. Routier ayant continué ses escroqueries, un nouvel examen mental fuL ordonné, et le D1' Ilouhinovitcli ayant cet
vol. xjai Novembre 1906. N 131 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Mutisme, aphonie, amnésie, aphasie aphasie mo
, estimé de ses Archives 2- série 190G 1. XXII. 22 338 CLINIQUE MENTALE . patrons, il ne buvait pas, se conduisait bien.
bras est revenu, leur dit-il, nous allons descendre 34b CLINIQUE MENTALE . et prier » . Il allume la lampe et descend, la
mporo-pariétale gauche : « J'ai toujours mal là ». 342 CLINIQUE MENTALE . D. Depuis quand ? - R. Je ne sais pas. ' D.
fait suivre d'un court aperçu du langage intérieur, puis de l'état mental provoqué chez le sujet par l'apparition de l'am
cherche pendant cinq minutes et ne retrouve pas. 314 . CLINIQUE MENTAL ? 3 3 mai. Trois minutes après lui avoir fait l
à signaler sur les modifications de l'intonation. 346 CLINIQUE MENTALE . Lorsque D ? reparla à voix haute on put noter
5 avril. L'amusie est un peu moins absolue ; lorsque 31S CLINIQUE MENTALE . l'on siffle la Marseillaise, le malade en reco
ant chacun de ces mots. Nous lui montrons le chiffre 350 CLINIQUE MENTALE 2. il le dit aussitôt; puis le chiffre 14, un,
des arrêts fréquents, après sa, il arrête plusieurs 352 CLINIQUE MENTALE , secondes il savait bien nous dit-il, qu'il dev
e et ne trouve pas l'image visuelle du mot ou inver- scmenL. Etat mental . 13 avril.- Dès le moment où D ? recommença à p
caractère si dncnlvss, 2' série 1906, t. XXII. ·'3 354 CLINIQUE MENTALE . fréquents chez les hystériques, peu attentif,
ètres, un autre il est perçu jusqu'à 25 centimètres. 356 CLINIQUE MENTALE . Lorsqu'il est plus troublé, le malade accuse u
a photographie reproduite ici permet de constater. 3JS CLINIQUE MENTALE . Le muscle frontal gauche se contractait parfoi
traumatisme de l'épaule droite à la suite duquel une 360 CLINIQUE MENTALE . paralysie flasque du bras droit s'installa pro
- antérograde, l'aphasie irrégulière, survenus après des troubles mentaux que nous considérons comme des équivalents de l
un acte insensé tendant à allumer la fièvre, soit que l'excitation mentale due au changement de milieu pro- duise le même
tains tuberculeux de fâcheux résultats au point de vue de leur état mental . Il est peut-être difficile d'isoler en- tièrem
é- rébrales, et à la seconde la démence aiguë (ancienne contusion mentale ), la démence précoce, et les démences alcoolique,
idien ; par les 1)" de Buck et ])EROUB.\lX (Bull. delà Soc. de méd. mentale de l3e'yiyuc, juin 1905). Voici les principales
, puisqu'elle manque dans la plus grande partie des autres formes mentales . Au sujet des principes antitoxiques, l'auteur
s intermédiaires également prolongés ; verli- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 3G') gcs causés par les déplacements rapides d
res dans la cavité du 4" ventricule. CH, Bonne. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE X\'II.- Démence précoce paranoïde. (Diagnostic
la différence qui existe outre la démence 400 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . paranoide et la paranoïa. La conception cliniq
d'un délire systématisé parannique. Ce délire dépend donc de l'état mental plus ou moins élevé, plus ou moins restreint du
gage.parlé comme du langage écrit. Un ne peut REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 401 1 prétendre décrire un mode d'altération d
générale juvénile ; par le dur DsROUBAIx (Bull, de 1(1 Soc..le Méd, mentale de Belgique, 1905, n" lu0). Il s'agit d'un je
es enfants anormaux ; par le D" Deckoly (l3tclf. de la Soc. de méd. mentale de Belgique, n ? 1' et 1 ? 3). L'auteur passe
e Aucun LS, 2, série, 1906, t. XXII. 2û 402 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . variété des termes et de leurs multiples accep
idérable- ment les limites de l'irrégularité et que les irréguliers mentaux , idiots, imbéciles, débiles, etc.), ne constitu
s divers (infirmités physiques, troubles du caractère, insuffisance mentale ) confirment nettement les observations de Binet
sion en Egypte, Marie a étudié cette question REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 403 si controversée dans le service du Dr Warn
es ; parles 1) ? Boulanger et Hermant. (Bull, de la Société de méd. mentale de Belgique, 1905. nos 123 et 124.) Travail enr
,au moins à le supporter, grâce à l'influence des représen- tations mentales . M. PaulMAGNiN. Mon expérience personnelle conf
née nous livrer à des études diverses ayant pour objet les maladies mentales et les lésions qui les déterminent.Les résultat
ppose que le vieillard, qui ne jouissait pas de toutes ses facultés mentales , se sera enfermé par mégarde et sera mort d'ina
présent, rien de bien particulier sur les maladies nerveu- ses et mentales , à part quelques caractéristiques telles que tr
i"tell1elll après l'exposé du Parallèle en queslion. 426 CLINIQUE MENTALE bel (Sarthe), le 22 mai 1889 ; entrée à la Fond
ie. Ecolage : l'enfant est d'une nullité complète. 432 CLINIQUE MENTALE . les mouvements : assis, debout, en avant, en a
xtrémité antérieure de l'hélix et la branche infé- 438 CLINIQUE MENTALE . rieure de l'anthélix, existe dans cette portio
ar la glande thyroïde. Cott ? pèse alors 24 k. 4 ! 40 - CLINIQUE. MENTALE . 500 et mesure 1 mètre 17. L'administration de
ndant le troisième tl ait ! 11/el, t thyroïdien. ii2 CLINIQUE MENTALE . surtout avec ses compagnes. Elle a fait aussi
re, l'enfant a encore gagné un cenli- mètre. 11111, '¡ CLINIQUE MENTALE . de septembre. On suspend alors le traitement à
yen, foyers de congestion avec râles très fins. z in CLINIQUE MENTALE . La respiration est superficielle, rapide. L'ex
illet. Aggravation, soif intense, Cott.. demande à ii8 CLINIQUE MENTALE . boire 1/4 d'heure encore avant sa mort. Elle s
ourent à Archives, 2* série, 1900, t. XXII. 2 .) - 100 clinique Mentale . sa surface et semblent l'envelopper d'un vérit
de LaloucLLe aLLcignamL presque le sommet des lobes. 452 CLINIQUE MENTALE . Abdomen. Pas de liquide à l'ouverture de la ca
morte de méningite, une soeur de tuberculose. 4 : J't CLINIQUE MENTALE . II. Vers la fin de la grossesse, au début du n
é relative et d'apathie, se manifestant au point de vue physique et mental . Cette interprétation du syndrome parkinsonnien
une inaptitude particulière et inexplicable au travail physique ou mental . Parmi les psychoses, c'est à la mélancolie que
dans l'Amérique du Nord et en Suisse où les hiérarchies gouverne- mentales et autres ne comprennent pas de personnages très
(du Caire). En Turquie et en Egypte la timi- dité constitue un état mental endémique et héréditaire. Elle a pour cause un
séquestration qui ne serait pas en- tièrement justifiée par l'état mental de l'interné qui en est l'ob- jet, constitue un
. Or il convient à ce propos de signaler que l'étude des mala- dies mentales forme une branche particulière etspéciale des sci
tion sur un médecin aliéniste, spécialisé dans l'étude des maladies mentales et offrant ainsi une compétence de nature à don
ure, Diane et Aphrodite que voyaient apparaître les désé- quilibrés mentaux ; les femmes avaient commerce avec le dieu Pan e
ous font ainsi revivre les phases les plus éloignées de l'évolution mentale dans l'histoire : expres- sion matérielle et fi
de même que l'allégorisme des psychologues allemands. L'affec- tion mentale interrompt les associations normales qui prennent
inné, identique à celui qui a constitué et constitue encore le fond mental de certains peuples; elles répondent au besoin
lution de l'espèce, nous naissons avec une somme de stratifications mentales (Sergi); que la couche la plus récente s'altère
re que « l'éréthisme psychomoteur est objectivé lorsque la synthèse mentale incomplète amène l'automatisme involontaire et
des travaux sur les relations entre la tuberculose et l'aliénation mentale , il conclut à une influence réciproque : observ
e s'étonnerait plus des différences qui séparent encore les malades mentaux des autres au point de vue de l'assistance ; ta
rimum vivere ! (v. p. 483). E. COULONJOU. XIV. Eléments de médecine mentale appliqués à l'étude du droit ; par le Dr LÈGRAI
rois faits qui sont mis en évidence à la lumière de la patho- logie mentale par l'observation d'un grand nombre de malades.
dits affectés lent- entretien et inscrits dans le budget départe- mental de 1906. Ces renseignements devront m'être four
ures, à partir du lundi 14 janvier. 2° L'hypnotisme et l'orthopédie mentale : Les enfants et les adolescents anor- maux : R
le, par Rouco- roni, p. 140. Causes morbides. Voir Patio- logic mentale . Cécité. Voir Hystérique. Cellule nerveuse. R
pathologique par Besta, p. 386. Condamnés atteints d'aliénation mentale et d'épilepsie placés dans les établissements d
nsuffisance hépatique, par De- ny et Renaud, p. 40. Deux cas de - mentale liés à la fièvre typhoïde et à la scarlatine.
monini, p. 225. Fatigue. Contribution nouvelle à l'étude de la - mentale chez ruo TABLE Dl.S MATIERES. les enfants
Munzer et Fischer, p. 397. Fièvre typhoïde. Voir C071/1l- sion mentale . Folie. De la maniaque dépres- sive, par G. D
ystériques. La lesponsabll1té des -, par Leroy, p. 124. De l'état mental des -, par Joire, p 133. Mutisme, aphonie, ap
al ayant le but d'établir et de combattre les causes des maladies mentales , par Franck, P. ;9. i Instructions concernant
. 315. ;. Insuffisance hépatique. Voir Confusion. Irrégularités mentales . Voir Anormaux. Ivresses. Les délirantes tran
ans les établissements d'aliénés, par 1\Ieens,, p. 316. Mi-decine mentale . Éléments de - appliqués à l'étude du droit,
acoustiques ct usuelles de la -, par Grasst, p. 141. Pathologie mentale . Les cau- ses morbides prédisposantes en - ,
du brome, par Vaschide. p. 266. Ponction lombaire. La en médecine mentale , par Derou- baix, p. 23. dans l'état de mal,
méthodes de pédagogique en rapport avec la crainte du surmenage mental à l'école, par Patini, p. 146. Psychoses. Les
12 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ssry ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-M. CHARCOT
Vol. IV. Juillet 1882. N" 10. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE CLASSIFICATION DES FOLIES. - DISCUSSION A PROPO
, médecin honoraire des hôpitaux. Nous avons établi, en aliénation mentale , une no- menclature quia suscité beaucoup de dé
es, indépendantes de la volonté de l'auteur. D.. 4 2 ' PATHOLOGIE MENTALE . ' Cependant les années s'écoulent. L'occasion
qui l'exprime, lui serait beaucoup mieux approprié. z4 PATHOLOGIE MENTALE . Quant à Renaudin, tout en approuvant fort la d
aleur, il nous a fallu pénétrer dans les mystères du fonctionnement mental . D'UNE PRÉTENDUE MONOMANIE RELIGIEUSE. 5 En m
anisme, la lésion, évidemment, à cause de l'inces- sance du travail mental , aura pour signe la généralité et la permanence
pro- duit dépendra du grain lui-même : irréprochable 6 PATHOLOGIE MENTALE . ou défectueux, selon que celui-ci sera sain ou
ison, ne serait-il pas présumable que certains ordres d'aliénations mentales eussent ainsi leur point de départ dans des imp
roi, étonné, sur la pente du crime ou de la folie. 8 . PATHOLOGIE MENTALE . Ce n'était. point de la monomanie, mais une fa
lir une place vide. Il éveillait notre attention sur des situations mentales analogues, que nous avions observées. Nous y en
Un sermon sur la damnation éternelle, prêché par 1 () PATHOLOGIE MENTALE . un prédicateur fameux,jette immédiatement le t
ase pathologique est arrivée à ses dernières limites. 12 PATHOLOGIE MENTALE . More), aussi peu précis, voit, dans l'espèce,
xtatiques que l'on rencontre quelquefois dans les diverses maladies mentales , notamment dans la manie, l'obtusion hallucinat
as, était restreint, confus et sans rela- tion avec une disposition mentale antérieure. Quant à la catalepsie, où l'intensi
des intervalles d'un à deux mois. X... subit tout à 1 te PATHOLOGIE MENTALE . coup la transformation suivante. Tous ses musc
lien, sans suite. Dans les rémissions, de l'inertie, 16 PATHOLOGIE MENTALE . aucune initiative. « Justine, dit Renaudin, ne
ui offre. Ce monstre a assassiné douze personnes. 2 18 PATHOLOGIE MENTALE . Son ventre contient septenfauts, qu'il doit à
constaté la coexistence d'une lucidité appa- rente avec un désordre mental , quelquefois très intense. 'Le sujet, selon not
s'affaiblit et disparut, en moins de quinze jours. Mais l'obscurité mentale ne fut complètement' dissipée qu'au bout de six
la longue léthargie subie dans la famille. Nul indice d'activité mentale . Le D' Ancelon soupçonne l'extase ou la cata- l
epsie. Justine n'a ni de la première la pensée errant 20 PATHOLOGIE MENTALE . dans les régions féeriques, ni de la seconde l
ssistance divine, quitte à la retirer et à traiter de 22 PATHOLOGIE MENTALE . folles les personnes qui, par leur dérogation
nts occultes, sont en leurs mains. Ils en jouent à 2t le PATHOLOGIE MENTALE . distance ; on lui souffle des odeurs qui lui d
gues aux siens, elle lit avec avidité plusieurs traités de médecine mentale , scrute et commente particulièrement 1 les obse
, une tante paternelle a été frappée pendant douze ans d'aliénation mentale . Quanta lui, appelé le 4 eT décembre 1847 aux f
ortie. » Depuis cette époque seize mois se sont écoulés et l'état mental de G... n'a subi aucune atteinte; entré au bure
ister à une sorte d'épreuve en faveur de la résistance des forces mentales de G... Le 18 mars, en effet, il a été pris d'e
n prononcée par le tribunal soit levée, ce que permettrait l'état mental actuel de G..., s'il croyait devoir en faire la
justification dans ce fait que son frère a été atteint d'aliénation mentale . II. L'épilepsie est survenue à 18 ans, sans au
cérébrales ou de troubles psychiques. Cn. F. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. Folie postépileptique ; par Wilhelm Sommer.
otons ici, qu'à l'inverse de ce qui était admis revue de pathologie mentale . 93 jusqu'alors, la statistique de M. Sommer fa
de l'acmé paroxysti- que) ; les autres perturbations de l'activité mentale qui s'y ajoutent dérivent précisément de l'impo
xysmiques telles que -la double sensation 94 le revue de pathologie mentale . auditive, les illusions et hallucinations spéc
après des années que l'épilepsie se double de l'état d'obnubilation mentale continue, la psychose augmentant d'abord de fré
de l'épilepsie, la fréquence des perturbations REVUE DE pathologie mentale . 95 mentales et la durée de l'épilepsie avant q
e, la fréquence des perturbations REVUE DE pathologie mentale. 95 mentales et la durée de l'épilepsie avant qu'elles n'appa-
aliénés, à Perth, en Ecosse. (Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, année 1880, 2e fascicule, p. 31-53.)
d'aliénés. E. CH. III. LE traitement médical rationnel DES maladies mentales aiguës ET curables; par le Dr Wiltie 13URDIANN,
hef du « Wilts country lunatic asylum, Devizes. ), (7lie Journal of mental science, octobre 1879 et janvier 1880) (Bulleti
, octobre 1879 et janvier 1880) (Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, année 1880, 2° fascicule, p. 8,e-9
ique, cette séparation est avan- tageuse ; 96 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . , 3° Cette division déconsidérerait moins le m
DE folie ; par M. le D BILLOD. (Bulletin de la Société de médecine mentale de l3elgz jzce, année 1880, 21 fascicule. p. 9z
ignale comme caractère distinctif de l'aphasie, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 97 l'intégrité de l'intelligence et des organe
al- gies diverses, intercostales, viscérales. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . <j9 VI. Dans la sphère sensorielle, on a ob
ssentiellement chronique et fatalement pro- 100 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . gressive, les malades augmentant chaque jour l
plus faillies d'atropine; en douches, etc. 102 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . fraîchement exprimé, ou du « fluid méat», dans
ités, constipation opiniâtre, perte complète de REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 103 l'appétit, vomissements surtout le matin,
e 3,700 grammes du 30 janvier au 12 mars. lot REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Elle n'a pris en secret aucune dose de morphin
e un traitement et un enseignement conve- nables. VII. Aliénation mentale chez UN sujet atteint d'anémie et DE cachexie p
? a6'7/0- ner, novembre 1881, p. 338.) z Cas curieux d'aliénation mentale , chez un sujet qui ne présentait ni antécédents
s, on voit apparaître des signes d'anémie et de revue de pathologie mentale . 105 cachexie avancées ; teinte jaune sale de l
ques, alté- ration des globules sanguins, etc. Cet état physique et mental dont le début remonte à environ six mois, n'a p
arfaitement guéri, tant au point de vue physique qu'au point de vue mental . R. de M.-C. VIII. De l'influence des maladies
VIII. De l'influence des maladies aiguës sur la genèse des maladies mentales ; par Emile KPGEPELIN. (f1 TCIt. f. Psych. u. I
Voir Archifct de Neurologie, t. il. p. 203, 106 revue de pathologie mentale . Aux termes des indications, ni l'alcoolisme, n
s forte part à la mortalité d'ensemble causée par les complications mentales du rhumatisme (69 à 70 p. 100). Atteignant surt
s par 11t. ICroepelin dans cette caté- gorie. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 107 108 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. par le
gorie. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 107 108 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . par le rhumatisme. Leur développement est évid
ermet toutefois la systématisation suivante : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 109 en rapport avec les récidives du rhumatism
euphorique (mégalomanie exaltée, expansion 110 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . joyeuse exultante), soit circulaire, produit e
ue qu'il convient d'avoir recours alors que les REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 111 I modalités du délire dépendent de la dive
ans le quart des cas. Les deux autop- 11 -) REVUE t) ! ! PATHOLOGIE MENTALE . sies relevées ne jettent aucune lumière sur la
rziques de la desquamation se rapprochent bien plus de l'aliénation mentale vraie ; elles en ont la lenteur gra- duelle d'é
une àge (faible résistancedii système nerveux). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 113 Ceux qui accompagnent la fièvre se bornent
période. En cette double occurrence, on a affaire à une exaltation mentale caractérisée par de la mégalomanie, de la loqua
ctent d'ime manière générale la 8 11 le '< REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . forme de la mélancolie active : ressemblant à
nslanutrition du systèmenerveux central. Aussi, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 115 5 malgré les 71,8 p. 100 de guérisonsde ce
alme, parfois stupide accompagnée d'idées délirantes ; 4° faiblesse mentale . Les indications ressortissant à la communauté
relever les forces, stimuler l'énergie cardiaque; l'amé- lioration mentale une fois obtenue, on peut essayer de la gymnast
e qui brille par la fré- quence et l'accentuation des perturbations mentales : quelques jours après l'évolution des première
nt à une famille dans laquelle on compte plusieurs cas d'aliénation mentale et d'affections nerveuses. Son père a suc- comb
est vrai surtout - SOCIÉTÉS SAVANTES. dans l'examen des débilités mentales , où chaque individu, tout en appartenant à un t
qui a le droit de se défendre. Le divorce pour cause d'aliénation mentale . M. B.\ll fait obser- ver que le divorce, cette
olie et l'opportunité d'inscrire dans la nouvelle loi, l'aliénation mentale parmi les causes de divorce. La réponse faite par
os sa- vants confrères, qui semblent vouloir repousser l'aliénation mentale comme cause de divorce parce que, parait-il, il
sées peuvent se résumer à peu près ainsi : Quelles sont les formes mentales dont vous pouvez affirmer la constante incurabili
si vous refusez la dissolution du mariage pour cause d'a- liénation mentale , vous allez ainsi favoriser la procréation d'in
s'empresser de la saisir et admettre, en conséquence, l'aliénation mentale très nette- ment caractérisée, au nombre des ca
travail concerne à la fois les aliénés criminels qui, vu leur état mental , sont innocents de tout crime, à la fois les cr
ccompli par lui, 3° les formes de la psychose, 4° le degré d'empire mental qu'il a récupéré. Une longue observation peut d
égion du corps. M. Richter est d'avis dans l'espèce que l'affection mentale , si elle peut retarder la SOCIÉTÉS SAVANTES. 13
sité égale, l'aphasie par ammésie se rattache à une perturbation mentale plus grave que l'aphasie par akinésie. La pathogé
acte. ? (6 : <m : MU}'tee<fK< ! Ct symptôme de l'affection mentale d'autant qu'il n'y avait pas d'oedème et qu'on no
ité de ses premiers accidents, a d'ailleurs été reprise de troubles mentaux quelques années plus tard et se trouve aujourd'
sile d'aliénés et professeur chargé du cours clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Bordeaux, vient de su
it inauguré à Niarseille des conférences cliniques sur les maladies mentales . Statue DE Pu. Pinel. Dans sa séance du 17 mai,
nalogues renversés, en trois électrisations successives. CLINIQUE MENTALE DU DÉLIRE DES NÉGATIONS; - . Par M. COTARD.
rantes et ses hallucinations, et qu'il en est arrivé à 156 CLINIQUE MENTALE . vivre dans un monde imaginaire, mais ses dispo
ves plus profondes où réside la différence essentielle 158 CLINIQUE MENTALE . entre les persécutés et les autres mélancoliqu
s DU DÉLIRE DES NÉGATIONS. 159 principaux caractères de leur état mental . Dans leur forme la plus atténuée, ces caractèr
travers le même prisme qu'autrefois ». (J. Falret.) 160 CLINIQUE MENTALE . Dans ces cas légers, il existe déjà comme un v
croyance eu Dieu, disparaissent souvent, quelquefois 161 CLINIQUE MENTALE . de très bonne heure. Griesinger a signalé les
.. 1 , , ,> , partout des flammes, des incendies. 166 CLINIQUE MENTALE . L'état hallucinatoire 'des mélancoliques anxie
ruine moins intense, choisissent dans leurs aliments : 168 CLINIQUE MENTALE . ils ne mangent que du pain sec par pénitence o
ravail, ou peut dire que le délire des négations est' I 70 CLINIQUE MENTALE . DU DEHRb DES NÉGATIONS. un état de chronicité
indisciplinable, les délits et les crimes. Il suivre.) PATHOLOGIE MENTALE RECHERCHES CLINIQUES SUR LA FRÉQUENCE DES MALAD
vis différents. Les uns croyaient que la plupart des affec- tions mentales et nerveuses de la femme étaient dues exclusive
1 Btrltiet'. Sur les névroses menstruelles, 1874. 172 PATHOLOGIE MENTALE . que nombreux, ne présentent pas des données su
airet5 croit que la folie peut être 1 Esquirol. Traité des maladies mentales . - Guislain. - Leçons orales sur les p/t;e'(0a&
'(0a</tte.s', 1880. J. Falret. Leçons cliniques sur les maladies mentales , 18G4. larcl. Sur la folie des femmes enceintes
femmes enceintes, 18o8. )Iitirft. Maladies sexuelles et aliénation mentale . (oef/ïpr mé- dical. Octol)re-iioveiiil)re 1881
erz, Woechitei,i ? aiten uiidSoeugeiede7t, 1877. 1 i p PATHOLOGIE MENTALE . plusieurs autres sont du même avis. Emminghaus
orales ne sont liées comme les mala- dies sexuelles et les maladies mentales chez la femme (loc. cit., p. 306). En somme,
lupart des auteurs des divers traités classiques sur l'aliénation mentale ). D'autres, enfin, traitant la question sur le
bes, zur GeM<M-S<oe)'M ? t ? e ? t, 1870. 176 C) PATHOLOGIE MENTALE . demander s'il n'y aurait pas à rechercher une
formes gynécologiques qui s'associent le plus souvent aux troubles mentaux , on pourrait aussi, par cela même, juger de leu
rd. Post mortenz ayhearezzces izz in,rance persozzes. Jour- 7zal of mentale science 1872, p. 93. 3 Hergt. Fi,aitei-Ki-a ? ?
-SoeArM'y. z sur Psychiatrie, 1877, Bd. `17). 12 178 PATHOLOGIE MENTALE . ne donne aucun détail ni sur l'âge, ni sur les
IE MENTALE. ne donne aucun détail ni sur l'âge, ni sur les formes mentales des maladies observées dans les autopsies. D'ap
psies. D'après mes propres recherches' à la Clinique des maladies mentales de mon maître, M. le professeur Mierzejewski, à
a noté quatre-vingt-dix cas associés à diverses formes d'aliénation mentale plus ou moins prononcées. En somme, en examinan
'S.DaniUo.SMfe rôle de la menstruation dans le cours des maladies mentales . Medesinokaia Bibliotek(i 1881. ? 5 (journal russ
couches et de fausses couches); 4° forme de la'mala- 180 PATHOLOGIE MENTALE . die sexiielle. Le diagnostic de l'état de la s
, neuf avaient eu de huit à douze couches). Les formes des maladies mentales dans le groupe des malades réglées étaient repr
représentées comme suit : idiotie, un cas; épilepsie avec troubles mentaux , quinze; hystérie avec aliénation mentale, onze
; épilepsie avec troubles mentaux, quinze; hystérie avec aliénation mentale , onze; paralysie gêné- rale, quatorze; délire c
des après la ménopause se divisaient, d'après la forme d'aliénation mentale , de la façon suivante : démence consécutive, vi
ire retard des règles, leur suppression pour un cer- 182 PATHOLOGIE MENTALE . tain temps ou leur réapparition trop fréquente
chez les aliénées accompagnant les différentes formes d'aliénation mentale , en prenant les chiffres à peu près égaux, on v
de menstruation; des symptômes d'ovarie ont aussi 18 le PATHOLOGIE MENTALE . été notés dans huit cas (six fois à droite, de
en prenant à peu près le même nombre de malades et les mêmes formes mentales avant la ménopause, on trouve la complication n
nce marquée de lésions plus compliquées ? Ainsi, les 186 PATHOLOGIE MENTALE . métrites sont souvent associées à diverses aut
rtaines conditions spéciales, comme hérédité morbide 188 PATHOLOGIE MENTALE . etautres causes prédisposantes, qu'elles peuve
z la femme avant le retour d'âge, la compli- cation de l'aliénation mentale parles maladies sexuelles est un fait qui se re
« folie avec conscience » est une des plus vagues de la pathologie mentale . La faute, pourtant, n'en est pas aux aliéniste
conscience métaphysique, la conscience psychique, la 190 PATHOLOGIE MENTALE . conscience réfléchie. Ce n'est pas ce gigantes
nformons d'ailleurs au titre donné à ce travail, car, en pathologie mentale , les mots folie avec cons- cience s'appliquent
conscience que celle d'interpré- ter ce point curieux de pathologie mentale . Je me bornerai à relater quarante observations
sentent devenir fous. Ils ont la notion claire d'un 192 PATHOLOGIE MENTALE . bouleversement de leur esprit. Us voient leur
alalgie, de l'insomnie, de l'anxiété, un besoin 13 194 PATHOLOGIE MENTALE . violent de mouvement, et qui souvent laisse la
quand elles augmentent en nombre et en durée. Plus 196 PATHOLOGIE MENTALE . rares dans les délires dépressifs aigus, quoiq
, elle ne prenait souci de rien, la conscience était 198 PATHOLOGIE MENTALE . restée endormie ; mais elle se réveilla dès qu
début ne se retrouve plus ici. Entre ces deux stades des affections mentales existe donc, à ce point de vue, une différence
r et les folies impulsives. La caracté- ristique de ces aliénations mentales n'est pas, comme le croit M. Ritti , la présenc
st un élément surajouté. Sur trente-quatre cas de ce 200 PATHOLOGIE MENTALE . genre, vingt-sept fois l'hérédité a été consta
au même but que celui qu'il poursuit : le diagnostic des mala- dies mentales . Suit une description des modalités diverses qu
on de la voix chez cent soixante-deux malades atteints d'affections mentales : trente-neuf fois exagéré, trois fois amphoriq
lus qu'entre ces dernières et les différentes formes d'affections mentales . Il pense que la transmission de la voix se fai
la densité du cerveau varie dans les différentes formes de maladies mentales . Aussi le la 229 REVUE DE pathologie nerveuse
ue pourra être d'un grand secours dans le diagnostic des affections mentales . P. M. XVII. SUR LE centre cortical DE L'IRIS c
s INCIPIENS ; par ERLENMEYER,. ( Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, année 1880, 2e fas- cicule, p. 103
ure. Le frisson, la sensation du froid sont des revue de pathologie mentale . 229 phénomènes peu communs. La température a é
sans rémission nouvelle. , ; R. 1) Ei. "C. , REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE IX. AVIS RELATIFS A L'ALIÉNATION, A L'USAGE DES
l de Zwiefalten (Wurtemberg). (Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, année 1880, 4e fascicule,- p. 2t-8
istence d'une maladie mentale ? Situations- 230 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . qui se rapprochent des maladies mentales ; com
230 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. qui se rapprochent des maladies mentales ; comment faut-il les envisager ? Quelles sont
sur .Ps ? /e ! /ta< ? '/e ; Bulletin de la So- ciété de médecine mentale de l3elga'que, année t880, 3e fascicule, p. 87-
ue la distinction établie par Westphal entre la revue DE pathologie mentale . 231 conception irrésistible (persistance de la
tradiction avec ses conditions objectives : 232 REVUE de pathologie mentale . ici, la personnalité disparait devant la folie
1 Voir Archives de Neurologie, t. II, p. 266. revue dE pathologie mentale . 233 le malade, assure aux conceptions irrésist
ues se joignent de l'excitabilité, de la confusion et de l'obtusion mentales , de la dipsomanie, des goûts d'aventures, si bi
propreté, agitation, insomnie, paralysie de 23t revue DE pathologie mentale . la parole et des mouvements volontaires. Une a
la faiblesse de l'incitation (Fechner) ou à la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 235 répétition fréquente des mêmes processus,
ie; qu'il s'agisse de l'accès complet, du petit mal ou des troubles mentaux , l'amnésie absolue des patients témoigne de leu
ion DE l'hyoscyamine ET sa VALEUR THÉRAPEU- tique dans les maladies mentales ; par G. Riva. (Rivisla di Freniatria, 1881, fas
tion des mouvements respiratoires. De toutes les formes de maladies mentales , c'est dans la manie récurrente que l'hyoscyami
e, le divorce ne devrait pas être ac- cordé pour cause d'aliénation mentale , quelle que soit la durée de la maladie. Il ne
ommémora tifs, avec un simple certificat médical indiquant son état mental , mais ne faisant nullement mention du crime qu'il
prévenus de crimes, enfin quelques individus atteints d'aliénation mentale qui n'ont subi ni ne subiront aucune condamnati
evons pas nous écarter, c'est que « t'individu atteint d'aliénation mentale , qu'il subisse ou lieu une condamnation, est av
on, oilur des con- ditions favorables au traitement de l'aliénation mentale ? C'est au moins fort douteux ! De plus, on s
endraient se porter toutes les questions ayant trait à l'aliénation mentale , aux malades qui en sont atteints, à l'organisa
ancs aient apporté aux nègres ou aux hommes de couleur l'aliénation mentale . Il suffit à qui possède les éléments d'iwestiga-
rmations de la douleur psychique ou même physiologique en des états mentaux tout différents. Telles ces formes d'aboulie en
rable que l'on observe généralement chez eux. Quant à la dépression mentale , il ne faut point oublier que sa forme hypochon
-iche; errements et moyens ci employer. M. Fritsch. De l'aliénation mentale . Des diverses formes de l'aphasie dans leurs ra
e, aux troubles intellectuels, au caractère, aux mceurs et à l'état mental des hystériques. Cette dernière étude si intére
de Paris, 1882. Etude sur le poids de l'encéphale dans les maladies mentales ; par Bn ? Thèse de Paris, 1882. Du fractionn
, 1882. Du cancer au point de vue de ses rapports avec l'aliénation mentale ; par Ch. Bessière. Thèse de Paris, 1881. ~ D
intéressants de MM. Hammond et Beard dans le Journal of nervous and mental diseuses ; de MM. Falsom et Channinp, dans Bost
rnal of psycltological mediciae; de M. Stearnes, dans le Journal of mental science; de M. Gray, dans le Journal of iczsazzit
e subject of nervozcs.stretchinq. Extrait du Journal of Nervous and mental discase (janvier 1882). Brochure in-8" de 31 pa
2 fr. 50.) Letters and facts, not eretofore published, louching the mental condition of Ch. Guiteau, since 1865. Brochure
ovale et ronde et de la platine de l'étrier. (A suivre.) CLINIQUE MENTALE DU DÉLIRE DES NÉGATIONS (Suite)1; ParM.COTARD
ère de famille, est placée le 12 juin 18G3 à la maison 38t CLINIQUE MENTALE . de santé de Vanves, après avoir fait plusieurs
S... prétend que personne ne meurt plus, que personne 286 CLINIQUE MENTALE . ne se marie plus, que personne ne nait plus. I
880, nouvel accès, début assez rapide, préoccupations; 288 CLINIQUE MENTALE . relatives à des questions d'argent, perplexité
testicules, il faut le tuer. Aucun e*, L IV. l'.l 290 CLINIQUE MENTALE . Deuxième catégorie. i , Observation IX. M. C
à Vanves au mois d'avril 1880, on constate chez M. C... un trouble mental profond. M. C... ne se rend compte ni de l'endr
e de la démarche,inégalité pupillaire.. , ? y ,rsn,l 229 CLINIQUE MENTALE . Ces symptômes de paralysie générait ! devienne
concentrèrent sur la personne de son gendre ; elle j 1.. . CLINIQUE MENTALE . répétait pendant des heures entières : « Pourq
s-uns partentd'eux-memesaiatroisieme personne. 296 a PATHOLOGIE MENTALE . DÉLIRE DE PERSÉCUTIONS. Délire des grandeurs
che, d'abord franchement intermittente, puis continue. PATHOLOGIE MENTAL INVERSION DU SENS GÉNITAL (Coiîti,(Ii,e Sexiici
rains que toute approche conjugale est interdite 298 , , PATHOLOGIE MENTALE . au malheureux.mari, s'il n'évoque dans son esp
i(l. (Arrti. fiir. psclt., 1, p. 651. Berlin, 1868). 300 PATHOLOGIE MENTALE . capital, car une disposition native qui enchaî
l y aurait, dit-il, une attention plus sérieuse à don- ner à l'état mental de certains individus convaincus de pédérastie,
st-ce avec la plus grande attention que devrait être examiné l'état mental des inculpés, dès qu'apparaîtrait quelque chose
ainsi que le fait remarquer Westphal, apprécié exac- tement l'état mental du héros de cette affaire qui, d'après l'observ
ré. Mais il n'est pas toujours facile de se rendre compte de l'état mental , à en juger par le fameux Karl Heinrich Ulrichs
naeclic., l3crlm, 1858. l31olog. l'heil, p. 182.. 302 PATHOLOGIE MENTALE . rien dans ses relations ordinaires ne trahissa
ALE. rien dans ses relations ordinaires ne trahissait son trouble mental '. Pour notre malade également, dont on ne saur
(AI-eh. f. Bd. V ? 1) : i(i a 'i7li, 187 ? ) 1 . 30 re PATHOLOGIE MENTALE . timents qu'ils ne comprennent pas : l'homme es
nchés, qu'on pourrait croire à des formes particulières de maladies mentales , tandis qu'ils cons- tituent simplement quelque
i,e sexualempfindung, p. 305.) Anctoves, t. IV. 20 306 PATHOLOGIE MENTALE . Observation IL Mère hystérique ; migraine chez
de soixante-douze ans, a toujours été et est encore, 308 PATHOLOGIE MENTALE . aujourd'hui, dans un état presque permanent de
rd'hui, dans un état presque permanent de surexcitation nerveuse et mentale . * Dans sa première enfance, M. X... a eu des c
le lendemain et les jours suivants, il recommençait, 310 PATHOLOGIE MENTALE . en ayant soin de s'arrêter dès qu'il sentait q
me, s'il y a beaucoup de clous, et si les clous sont 319 PATHOLOGIE MENTALE . gros, s'ils sont posés à des souliers, plutôt
ce s'obscurcit, et la crise ne peut être évitée. 3 I · PATHOLOGIE MENTALE . lI. 1... est affecté de phimosis ; chez lui, l
masturber au contact du tablier derrière une haie. 318 PATHOLOGIE MENTAL ) ? Depuis ce jour, les tabliers l'attirent, il
une faction des plus prolongées, mais ne craint pas 320 PATHOLOGIE MENTALE . dc's'exposer à de' grands'dangers pour aboutir
ribune médicale, mars 1881.) Archives, t. IV. 21 322 PATHOLOGIE MENTALE . reconnaître, l'histoire de tous ces malades of
eurs qui peuvent conduire au sui- cide. D'autres fois, sans trouble mental caractérisé, le malade se trouve dans un état d
n morale est beau- coup plus rare. La plupart du temps ces troubles mentaux doi- vent être rattachés à l'affaiblissement gé
s que l'on constate par l'hérédité entre le diabète et l'aliénation mentale ou l'épilepsie (Seegen, Westphal, Grie- singer,
ne amélioration portant à la fois sur l'état physique et sur l'état mental (Legrand du Saulle), il faut bien admettre une
Loc. cit., p. 217. Il. Leroux. - 1'lt. l'arts, 1881. 5 De l'état mental chez certains diabétiques, 1878. a Cotard. Arch
e : Iiatliblogique. P. K. Archives, t. IV. an REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XV. Procédé pour COUPER LES accès d'agitation c
de la solution suivante au début de l'accès : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 387 Les quatre seringues représentent 80 centi
lques observations montrent que l'exagéra- 388. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . tion du réflexe' correspond à une difficulté m
XVII. Sur la folie morale; par J.-Il. GASQuET. 7 ? e Journal - ! of Mental Science, avril 1882, p. 1.) ' M.- Gasquet pense
on ne tient pas suffisamment compte de la' complexité des processus mentaux qu'implique le plus simple des actes ! moraux ;
moraux ; il se propose de rechercher à quel point.de ces processus mentaux que l'on désigne sous le nom de' moraux, la fol
- intacts ; c'est leur application aux cas par- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 389 ticuliers qui devient impossible : c'est a
coup plus vraisemblable que la première, on voit que le processus mental ; tant dans sa partie positive que dans sa partie
t et simplement à un phénomène d'attention. 390 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . « Or, il est généralement admis par les physio
l'atropine comme agent sédatif ; par J.-R. GASQuET. (7%e Journal of Mental Science, n° d'avril 1882.) L'importance que M
yoscyamine, l'avantage de coûter environ quinze REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 391 fois moins cher que cette dernière, et cet
s de l'ouïe comme caractéristiques de l'incurabilité des affections mentales ; c'est pourquoi l'auteur a pensé que l'ob- ser
adie d'estomac se garde bien de refuser les 392 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . aliments à son malade ; il se borne à les choi
teurs d'asile ; nous avons la conviction qu'ils REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 393 ne tarderaient pas à instituer, dans la me
ation ou au soulagement de l'état des malades atteints d'affections mentales ; 4° rompre la monotonie de la vie de l'asile et
e rhumatisme articulaire qui paraît avoir été subaigu; les troubles mentaux datent de ce moment ; ils étaient caractérisés
, disparition des mouve- ments choréiformes, amélioration de l'état mental . Pendant plus de dix mois reste à l'asile, prés
ale a tout fait dis- paraître.' (B.) ' 394 le REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . an environ, elle est en pleine convalescence :
t. Après six semaines de séjour, amélioration générale, physique et mentale .-Les mou- vements choréiformes ont disparu ; pl
trois mois et demi; sa santé générale est bonne; au point de vue mental , elle est tout à fait convalescente. L'auteur r
L'auteur rappelle que M. Clouston a publié en 1870 (The Journal of Mental Science, n° de juillet) deux cas de folie rhu-
les que l'attention et la mémoire, R. de M. C REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 395 XXII. Localisation SPINALE.- lésions destr
ale. AFFECTION DE LA MOELLE; par W. JULIUS Mickle. (Tlce Journal of Mental science, n" d'avril 1882.) Nous ne pouvons donn
en ce qui touchait la mémoire), (le M.-C. 396 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XXIII. LES hallucinations dans la paralysie gé
a responsabilité CRIME- NELLE ; par D. HAciç. TUKE. (The Journal of Mental Science, n° d'avril 1882.) Le travail de M. I
garanties les plus élémentaires relativement à l'étude de son état mental . Sans doute, il arrive parfois; souvent môme, M
te que, dans les autres pays, on étudie, lorsqu'il y a lieu, l'état mental de l'accusé avant les débats, tandis qu'en Angl
ent, quelquefois même par première intention. Cu. F. Des maladies mentales et nerveuses; par Ai. 13u,lod, médecin en chef,
e s'est désintéressé d'aucune des questions concernant l'aliénation mentale . Charpentier. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Recherche
signes ou des indices qui permettent de reconnaitre qu'une maladie mentale est héréditaire, en l'absence de notions sur les
faculté un concours pour une place de chef de clinique des maladies mentales . Concours POUR l'internat EN médecine dans LES
rapports de l'infirmier avec l'aliéné dans les diffé- rentes formes mentales , petite pharmacie. Ces cours se font sous la di
tôme de l'accès d'épilepsie, par Z Aliénation, 229. Aliénation mentale chez un sujet atteint d'anémie et de cachexie
servés chez les), par Bernard et Féré, 336. Divorce et aliénation mentale , 120, 239,243. Ecriture dans la paralysie gén
ar- cot), par Féré et Demars, ? ? 0; - par Gellé, 273. Maladies mentales aiguës et cu- rables (traitement des), par Bur-
ment des), par Bur- mann, 95. TABLE DES MATIÈRES.. 407 Maladies mentales et nerveuses par Billod (bibliographie), 399.
s mentales et nerveuses par Billod (bibliographie), 399. Maladies mentales (influence des maladies aiguës sur la genèse
13 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
VES DE E NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fond 13 FAR J.-M. CHAKCOT f'UIILII.( : S()US
'ION 11F : mn. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales a la Faculté de médecine de P.l1 ¡s. V. MAG
Vol. VIII. Juillet 1899. N° 43 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . L'IDEE FIXE; Par le 1), P. KEHAVAL, Médeci
être un peu oublié de nos jours, en tracer les rapports avec l'état mental normal et les princi- pales formes psychopathiq
st passé tel quel dans Archives, '2" série, t. VIII. 1 2 CLINIQUE MENTALE . toutes les langues en subissant à peine l'adul
ns le fonctionnement des idées et des sentiments, dans les facultés mentales . Sans doute toutes les littératures nous fourni
, il a une idée fixe. Quand ' L'Idée fixe et son rôle en pathologie mentale . Ville, 1898. 4 CLINIQUE MENTALE. un enfant f
dée fixe et son rôle en pathologie mentale. Ville, 1898. 4 CLINIQUE MENTALE . un enfant fixe à son avenir le but de telle ou
présentent une série d'idées fixes. Le désir de parvenir, l'image mentale de quelque complica- tion, de quelque événement
d'idées, présentent déjà un élément de fixité. Si l'une 6 CLINIQUE mentale . d'elles prend une importance exceptionnelle, e
e il existe des obsessions normales ; ces dernières sont des images mentales qui détournent l'attention parce qu'elles n'ont
e à traction ; il plaçait des chevaux dans l'intérieur 8 1 CLINIQUE MENTALE . d'un wagon ; on les faisait tourner ou marcher
délirante pouvait émaner de l'intelligence ou des sens, 10 CLINIQUE MENTALE . il n'y avait qu'un pas. Faux jugements ou faus
, en effet, l'association des idées, aurait, dès le début de la vie mentale , suivi une orientation préala- ble à peu près i
s conceptions ad valorent d'après leur teinte senti- 12 li CLINIQUE MENTALE . mentale, d'après la spécificité des vibrations
ns ad valorent d'après leur teinte senti- 12 li CLINIQUE MENTALE. mentale , d'après la spécificité des vibrations physiologi
n est de même d'un jugement normal, c'est possible. Et, 14 CLINIQUE MENTALE . en tout cas, il est certain qu'à l'idée fausse
és ; les idées délirantes, concernant la personnalité physi- que et mentale du sujet, sont toutes accompagnées d'évalua- ti
acte anor- mal. Ces opinions corroborent les nôtres. 16 CLINIQUE MENTALE . Étude clinique. A. Physiologie pathologique.
e cadre même de cette Archives, 21 série, t. VIII. 2 lao CLINIQUE mentale . théorie du trouble affectif inhérent au souven
nes, les inconséquences ou les contradictions, telles, que la santé mentale est inadmissible. Le malade peut avoir conservé
ur, il est incapable de s'en servir utilement ; car, ce 20 clinique mentale . qu'il considérait jadis comme vrai, lui semble
; exemple, l'obsession par névralgie ou toute autre 22 '2 clinique mentale . sensation physique d'organes. Invariablement e
nt du jugement, et dominant toutes les pensées,-absence 24 CLINIQUE mentale . de lutte et de rébellion contre l'idée netteme
la provoquer. En cet état pas de gué- rison possible. 26 CLINIQUE mentale . Cet avis est aussi celui de Wernicke. Il affir
ropre des dégénérés, d'être hantés par des symptômes d'aliénation mentale isolés, comme les idées prévalentes, ou peu inten
moins que « l'on ne s'obsline à regar- der précisément celte forme mentale comme une preuve de dégénérescence. » Pour L.
fixe à sa première période. Une fois, en effet, que les ma- ladies mentales ont évolué pendant quelque temps, le mé- lange
disparaissent quand il n'existe aucune autre cause de perturbation mentale , avec l'épuise- menl du cerveau qui en a permis
1 Traité de psychiatrie. Édition française, page 536. z8 CLINIQUE MENTALE . .longuement sur la question de savoir comment
lalo. (.Allgemeine Zeitschrift (il Psychiatrie, LI, 1.) 30 CLINIQUE MENTALE . Observation III. Idée fixe dans la migraine op
de pensées similaires. Ces conceptions constituent un vrai malaise mental , car elles s'accom- pagnent d'un retentissement
part du patient, forcé, malgré lui, d'établir une sorte de contrôle mental sur chaque phrase qui se présente à son esprit,
phrases, et c'est ainsi qu'il s'aperçoit de la netteté de sa vision mentale , de ses obscurités ou de ses oscillations en mi
il est également obsédé par le besoin de savoir où en est sa vision mentale , de sorte qu'à la rumination psychique dépendan
ntillant exclusif, ne se répercutant point sur le corps 32 CLINIQUE MENTALE .. / ou le cerveau, quelque soit le début de l'h
cotome scintillant il se montre un peu d'affaiblissement des images mentales . Quanl à 1' ! tYPcl'idéation obsessive, dont nous
le reliquat d'un accès nocturne discret. (A suivre.) PATHOLOGIE MENTALE . MYSTICISME ET FOLIE ' ; Par le D'A. MARIE,
révaut définitive- ment. Nous trouvons le reflet de cette évolution mentale , normale, dans les conceptions pathologiques de
U, 1899, p. 257. AnclII\'I : s,2o série, t. VIII. 3 34 PATHOLOGIE MENTALE . mânes de ceux des prophètes écoutés comme Jean
s qui les obsèdent. (Cotlard. De la folie, p. 213,) 36 PATHOLOGIE MENTALE . celles qu'ils repoussent ; fermant les yeux à
ne font que restaurer des idées abandonnées. L'analyse de cet état mental se ramène à un excès de sub- jectivité ; il s'e
ait que parcourir à l'inverse les différents, stades de l'évolution mentale normale; il passe ainsi de l'état positif à l'é
me ou du protestantisme, prédispose le plus à ce genre d'aliénation mentale . D'après Elus, il y aurait parmi les catholique
te une idée fixe qui conduit presque infailliblement à l'aliénation mentale . Je ne prétends point d'ailleurs qu'il s'agisse
l, Iticlrt. L'homme cl l'intelligence, p. 550,553 ? ¡ 38 PATHOLOGIE MENTALE . Il faut y joindre une crainte qui surtout aux
e nouvelles erreurs menacent encore la patho- logie encéphalique et mentale ; or c'est du magnétisme et du spiritisme que dé
ivre dans les phases les plus éloignées de l'évolution his- torique mentale . , Ils rappellent l'écriture cunéiforme et hiér
Bail, p, 185. * Revue philosophique, 1881, t. XVII. 40 PATHOLOGIE MENTALE . lisant les âmes des trépassés (première manife
r- gie suffisante pour apparaître et pour l'emporter. L'affection mentale , « interrompant les associations nor- inhales,
inné, identique à celui qui a constitué et constitue encore le fond mental de certains peuples, pour qui elles représenten
hisme psycho-moteur et sensoriel est objectivée lorsque la synthèse mentale incom- plète amène l'automatisme involontaire e
ang la tache originelle du péché, car on en a vu plu- 42 PATHOLOGIE MENTALE . sieurs tuer avec joie pour opérer, disaient-il
s politiques de leur époque. Ce qui domine chez eux au point de vue mental , c'est toujours le mysticisme, mais non pas seu
à des déterminations véritablement pathologiques. C'est cet état mental qui produit les régicides vrais, les sauveurs de
s de l'humanité par la dynamite. 4 F. Voisin. Causes des maladies mentales , p. 41. 2 Histoire des anabaptistes, 1700, t. 1
. 2 Histoire des anabaptistes, 1700, t. 11, p. 251. 44 PATHOLOGIE MENTALE . M. Régis dit de ces malades, que leur tempéram
avril 1806. ' Bibliothèque médicale, p. 76, 1811. 116 PATHOLOGIE MENTALE . Le dernier exemple de crucifié volontaire offr
sme, stigmates physiques de dégénérescence) et une déséquilibration mentale manifeste, a été atteinte des premiers symptôme
intoxication,. 6'est tou- jours le même trouble à base de confusion mentale , le même ensemble de phénomènes hallucinatoires
a polynévrite peut elle-même, d'ailleurs, exister sans les troubles mentaux . Ce qui me paraît surtout dominant dans l'étude
lle ne bu- vait que du vin. A son entrée (novembre 1895), confusion mentale avec intermittence de calme et d'agitation, tro
modes d'hospitalisation appropriés aux diverses formes d'aliénation mentale observées. L'étude compara- .tive de l'hospital
e décom- pose ainsi : 11 guérisons complètes (état physique et état mental ), 9 améliorations, il états stationnaires, 3 mo
En Belgique, le Dr Cuylitz a communiqué à la Société de Méde- cine mentale de Bruxelles, un travail très important sur les o
il très important sur les opéra- rations gynécologiques en médecine mentale ; mais il a paru sur- tout envisager l'hystérie
mment la question des rapports de la chi- rurgie et de l'aliénation mentale . Nous ne voulons pas nous étendre plus longueme
e préconçue sur les rapports qui peuvent exister entre les maladies mentales et les lésions de l'appareil génital de la femme,
ier des opérations chirurgicales dans certaines formes d'aliénation mentale . Ces observations sont réparties en trois group
e premier groupe comprend les malades chez lesquelles l'affec- tion mentale a évolué parallèlement à la lésion des organes gé
i possible ces dernières. Sans guérir l'état antérieur d'aliénation mentale , l'acte opératoire met l'organisme en état de l
mprend les opérations faites dans le but d'activer la convalescence mentale . Ce groupe est le plus impor- tant ; il démontr
lassitude, dont l'ori- gine est alors trouvée, et la convalescence mentale , un instant' enrayée, marche rapidement vers un
, sans période d'excitation bien vive. Au cours de la convalescence mentale , alors que la santé intel- lectuelle est si fra
de surveillance. Puis, M. Rey a donné le mouvement de l'aliénation mentale dans les Bouches- du-Rhône et quelques considér
arabe offre un intérêt particulier, tant au point de vue des formes mentales et des différentes manifestations du délire qu'
é se basant sur 539 observations. Il a trouvé : 1° que l'hérédité mentale était la cause dans 17,4 p. 100; 2° l'alcoolism
, 1899. Librairie G. Basson. PL.\1G1\.\HD-FL.\ISSIInEs (IL). L'état mental dans le goitre exophtal- tique. Volume m-S° de
799 Vol. VIII. Août 1899. N° 44 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . L'IDÉE FIXE ' ; ; Par le 1K P. KRRAVAL. '
rendu. Voici la lettre qui édifiera amplement le lecteur sur l'état mental de P... et sur la nature de son délire. Nous lu
« Napoléon, ç , Il Piiiice Impérial des Français. Il 84 CLINIQUE MENTALE . «Voici mon nom sous lequel j'ai toujours voyag
'attitude extérieure et les signes phy- siques de la dégénérescence mentale : oreilles très écartées de la tête et très dév
ne duraient pas longtemps, car on se moquait de lui. 86 CLINIQUE MENTALE . Il y a plusieurs années, en 1878, en travailla
e parce que la position de comédienne ne lui paraissait 88 CLINIQUE MENTALE . pas assez distinguée. Elle se peint elle-même
obscènes. Voilà pourquoi on l'a mise à l'hôpital pour que son état mental fût observé. Là aussi, les annonces du journal
ée morbide. 'fout entière à ses pensées du moment, elle 90 CLINIQUE MENTALE . ne s'était jamais donné la peine de réfléchir
'était jamais donné la peine de réfléchir aux causes de son malaise mental , et ce ne fut qu'en rappelant des souvenirs loin-
le s'emballe à la suite du moindre progrès réalisé en thérapeutique mentale . Elle essaye toutes les méthodes nouvelles, et
systématique et même diffus, ne vint à leur succéder. 92 CLINIQUE MENTALE . Observation X (Personnelle). Dégénéré. Idée fi
ut à l'heure, et maintenant, cela ne fait aucun doute 94 i CLINIQUE MENTALE . dans mon esprit, il descendait certainement de
mations processives qu'on a soup- çonné l'existence de l'aliénation mentale . Il n'y a pas d'idées déli- rantes ; il n'y a p
urtout à l'idée fixe du délirant chronique que se rap- 96. CLINIQUE MENTALE . portent les développements nosographiques de c
voulut l'assassiner. ' Archives, 2" série, t. VIII. 7 98 CLINIQUE MENTALE . C'est vers cette époque, c'est-à-dire vers l'â
endroit à une personne de sa connaissance, et sur son 100 CLINIQUE MENTALE . compte, il en est convaincu bien qu'il ne pût
quer sa mise en observation et obtenir qu'il frit taxé d'aliénation mentale . A l'asile on ne constate aucune antre interpré
state aucune antre interprétation délirante, aucune autre affection mentale . M. Wiîrnicke fait remarquer que le début de l'
a maison desquels les la Trémoille étaient attachés. 102 CLINIQUE MENTALE . Voici d'ailleurs ce qu'il écrit il ce sujet.
e j'avais commises, j'allais être roué vif ou brûlé. 104 CLINIQUE MENTALE . « Il faut vous dire que ce n'est que depuis qu
ache à celle des persécutés per- sécuteurs mais sans dégénérescence mentale , ou tout au moins elle peut être considérée com
erce sa profession dans une école particulière où elle 106 CLINIQUE mentale . plait par son activité et sa diligence. Elle a
l'idée prévalente. Il faut accuser l'époque critique, le surmenage mental , un mode d'existence peu confortable ; telles o
ne exagération, mes souffrances sont intolérables. ' 108 CLINIQUE MENTALE . « La machine fait craquer mes os, brider ma ch
de ce pouvoir qu'il a accaparé toutes ses affaires. 110 CLINIQUE MENTALE . Son état actuel est celui du délire de persécu
claireront-elles un jour les phé- nomènes complexes de l'aliénation mentale proprement dite. C'est encore un terrain à part
u. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 133 V. Sur le traitement du torticolis mental et des tics similaires ; par MM. E. BRISS\l. :
ologie, 1899, n° 8.) Après avoir relaté plusieurs cas de torticolis mental ou de tics similaires qui ont été améliorés ou
s portent leur effort respectivement et toutes à la fois sur l'état mental du sujet, car un tic, simple ou complexe, et qu
aitement de l'hystérie et bien moins encore dans celui des maladies mentales que la thérapeutique suggestive exerce sa vérit
de l'examen médico-légal du meurtrier C.... et rapport sur son état mental ; par le Dl' S. Garnier. Le maire d'une commun
uants, au contraire, qui commettent des actes . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 139 répréhensibles au cours d'ivresses anormal
la suite de quelques excès alcooliques. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 1. Les phénomènes de la distraction cérébrale
centres accessoires sont distraits du méca- 140 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE .. nisme cérébral pour lequel ils ne sont moment
a été noté le plus souvent. Chez ceux-ci, comme REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . d41 en général chez les autres malades, l'inte
édico-pschologiqucs, février 1899.) E. B. 142 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . VII. Quelques contributions à la psychologie d
se comme cause étiologique de l'aliénation ; 5° en fait de maladies mentales chez les lépreux, on a observé la mélancolie, l
analogie de l'action des autres maladies infectieuses sur la sphère mentale , il paraîtrait que la lèpre pourrait plutôt fai
pre pourrait plutôt faire naître l'amentia, que d'autres maladies mentales . (Revue neurologique, mars 1899.) E. 13. IX. Du
nérale ; par le De MARANDON de Montyel. (l3acll, de la Soc. de méd. mentale de Belgique, sep- tembre 1808.) M. Marandon d
implement retardé. Ces modifications s'obsenent REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 143 surtout au début et à la période ultime de
vue neurologique, avril j1. E. U. XI. Dégénérescence et stigmates mentaux ; malformation de l'ectoderme ; myoclonie épisod
tomique de l'oreille, mais sans rapport manifeste avec les troubles mentaux . Discussion. \V. Jakovenko fait remarquer que l
n groupe ces malades d'api ès la durée ascendante de leur affection mentale , on obtient le tableau suivant qui indique, par
e l'outrage public à la pudeur qu i lui est reproché, mais son état mental exige la continuation du traitement dans l'asil
bourg) rapporte l'observation d'un malade atteint de dégénérescence mentale et dont l'obsession était caractérisée par de l
-intoxication et peu- vent donner naissance à la plupart des formes mentales connues, qui varieront selon le terrain préparé
eur action avec l'urémie et provoquer l'explosion de l'aliénation mentale . L'urémie délirante se révèle plus spécialement
èle plus spécialement par de la stupeur avec hébétude, ou confusion mentale et hallucination. L'hébétude s'accompagne souve
manifestations nerveuses, la neurasthénie, l'hystérie, l'aliénation mentale . 8. Essai sur l'état mental dans l'abstinence;
urasthénie, l'hystérie, l'aliénation mentale. 8. Essai sur l'état mental dans l'abstinence; par le Dr LASSiGKAMOE. L'abs
, en dehors de l'abstinence dans les maladies (pyrexies, aliénation mentale , hystérie), les jeûnes déterminés par la misère
gnons, dans le naufrage de la « Ville-de-Saiut-Nazaire ». L'état mental créé par l'abstinence peut se résumer ainsi : 1
ques et de leur gravité. On peut 'établir un parallèle entre l'état mental de l'abstinence et celui des intoxications. L'o
ntoxications. L'on trouve très peu de différence entre les troubles mentaux de l'abstinence et ceux des intoxications : mêm
pour les confusions men- tales, nous trouvons d'abord une confusion mentale primitive pure, puis une confusion mentale seco
ns d'abord une confusion mentale primitive pure, puis une confusion mentale secondaire chez une hystérique, ensuite une con
hystérique, ensuite une confusion avec délire, enfin une confusion mentale ]70 O BIBLIOGRAPHIE. périodique, etc. Telle e
es psychiquenzent bien entendu, c'est-à-dire précédées d'un trouble mental préalable qui leur a préparé la voie, tels que :
orrect, M. S..., ingénieur, subitement pris d'un accès d'aliénation mentale , se plantait sur la voie, au moment où un train v
ermer un oeil isolé- ment. Pugliese (Revista di Patologia Méiose et mentale , janvier'1897, vol. VII, n° 1, p. 14) a fait re
sagréables, incohérence d'idées. A partir du 13 décembre, confusion mentale complète, excitation motrice, tendances agressi
la main gauche et une parésie du facial droit inférieur; dépression mentale très prononcée; refus d'aliments; pouls 100-110
ulier, Régis, la suggestion est le traitement de choix de ces états mentaux . post-infectieux. L'agent infectieux, en effet
'elle stimule et fortifie le pouvoir de coordination et de synthèse mentale , qu'elle corrige et redresse la mauvaise habitu
seur dans le traitement hypnotique de certaines formes d'aliénation mentale . L'hypnotisme et le traitement de l'agoraphobie
a être doublé ; il portera à la fois sur l'état local et sur l'état mental ; il suppri- mera la cause des impulsions, et,
s est constante. L'influence de l'extrait d'ovaire sur les troubles mentaux qui accompagnent les lésions génitales ou la ca
at de stupeur rêveuse jusqu'à la confusion BIBLIOGRAPHIE. l, Il b mentale hallucinatoire aiguë. On distingue le délire palu
mes ou de phénomènes accessoires dans un certain nombre de maladies mentales , notamment dans l'exci- tation maniaque pure, l
l sexuel, chez une petite fille observée à la clinique des maladies mentales de la Faculté. 17. Moyens de défense et psych
un aperçu sur les variations de l'entropie dans quelques situations mentales .Amice (Toussaint). Aphasie traumatique. André (
ulmonaire . - Martin (Georges). Elude sur la neurasthénie et l'état mental des neurasthéniques. Maynaud (Armand). La sciat
ez l'en- 2û2 VARIA. faut, ses causes cl ses e ? els en pathologie mentale . - Hoseuthal (Moïse). De la douleur dans la syr
s, M. Honoré Parisot donnait des signes non équivoques d'aliénation mentale . Pour se soustraire à ses violences, sa maîtres
a gorge avec un rasoir. Le malheureux, qui est atteint d'aliénation mentale , croit être une victime de l'affaire Dreyfus et
Vol. VIII. Octobre 1899. N° 46 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE POSTO
ES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE POSTOPERATOIRE; Par le D' rwareoo, - Iédcci
oires, et, par suite, sur la constitution de ce groupe d'affections mentales . Trois opinions principales sont en présence :
du 1" mars 1898.) Archives, 2' série, t. V111. 17 ï 258 CLINIQUE MENTALE . les cas dans lesquels le délire ne relève d'au
s post-opératoires répondent à un même type clinique : la confusion mentale . Sur ce fond de confusion mentale survient très
même type clinique : la confusion mentale. Sur ce fond de confusion mentale survient très fréquemment un état déli- rant qu
La Presse médicale, G août 1898.) RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE . 259 mie ou à une infection accidentelle, soit
n au Congrès des médecins aliénistes. Angers, 1898.) 260 CLINIQUE MENTALE . Seule, la clinique peut trancher définitivemen
fection de la plaie opératoire. Septicémie. Apparition des troubles mentaux huit jours après l'opération. Confusion mentale
rition des troubles mentaux huit jours après l'opération. Confusion mentale avec délire onirique et alternatives irrégulièr
rieux excès de boisson, mais jamais il n'avait présenté de troubles mentaux . La mère, décédée par suite d'une affection car
maternel, décédée à un Age très avancé, a été atteinte d'aliénation mentale pendant les dix ou quinze dernières années de s
nnées de sa vie. Nous ignorons quelle forme ont revêtu les troubles mentaux signalés chez cette parente de notre malade.
sont produits pendant son existence. RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE . 261 1 Il a fait sept ans de service militaire
mois de mars. Pen- dant les premiers jours qui la suivirent, l'état mental de C... n'attira nullement l'attention; sa sant
usement compromise; en effet, la plaie opératoire s'in- 26 CLINIQUE MENTALE . fecta, une fièvre intense apparut, et le malad
er en lui des signes dénotant une légère altération de ses facultés mentales . Plus impressionnable que de coutume, il manife
ur ne révèle aucun bruit anormal; il RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE . 263 existe, cependant, une légère exagération
sont pas moins accentués. Un élément semble prédominer dans l'état mental du malade : c'est la confusion des idées. C...
e par intervalles une attention vague et fugitive à ce 264 CLINIQUE MENTALE . qui se passe autour de lui. Toute l'attention
u caractère terrifiant qu'elles ont, d'ordinaire, dans la confusion mentale . Ces constata- tions, faites pendant la période
ement; la plaie de l'aisselle con- 4 RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE . 26D tinue à suppurer, mais la quantité de pus
l'année exacte de sa naissance. 11 est donc manifeste que l'état mental n'a guère changé ; la désorientation d'esprit et
re que, dans une certaine mesure, il se rendait compte 266 CLINIQUE MENTALE . de sa position, et que son esprit était except
ois, des noms de son invention. Sur ce fond invariable de confusion mentale se greffent des accès d'excitation et de dépres
catrisée, et ne donne que quelques gouttes de pus. Juin. - L'état mental ne subit aucune modification. L'amélio- ration
idées persiste avec la même netteté. RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE . 267 On n'observe plus de dépression; l'excitat
'état actuel, être déterminée avec précision, à cause de l'obtusiou mentale qui persiste encore. Il semble cependant que le
ire; l'amnésie ne porte que sur les événements qui ont 268 CLINIQUE MENTALE . suivi l'opération; elle parait être absolue po
ut aujourd'hui être considéré comme guéri de son accès de confusion mentale . La crise, qui vient de se terminer, n'a laissé
és dans les lits voisins du sien, et RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE . 269 d'avoir appris par eux les incidents de l'
incapable de dire comment et à quel moment ont apparu les troubles mentaux . 11 ignore ce qui s'est passé à l'hôpital, à da
et sur le délire entretenu par ces derniers symptômes. 270 CLINIQUE MENTALE . Mais lorsqu'on le questionne sur la nature de
ue nous venons de rapporter est celle d'un cas typique de confusion mentale . Avant de relater les parti- cularités qu'elle
maternelle une de ses proches parentes avait présenté des troubles mentaux . Bien que nous n'ayons pas eu connaissance de l
orce de résistance aux agents morbi- RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE . 271 1 fiques, modifications durables et non su
que des états toxi-infectieux : nous voulons parler de la confusion mentale avec délire onirique. « Les délires toxi-infect
xiques, dit M. Régis ', ont tous pour formule clinique la confusion mentale . Le délire toxi-infectieux, au moins dans sa fo
ire toxi-infectieux, au moins dans sa forme habituelle de confusion mentale subaiguë, est un délire de rêve ou onirique...
tion et d'infection. (Presse médicale, 3 août 1898.) 272 CLINIQUE MENTALE . une relation de cause à effet. Mais, de ce que
é- ' Professeur Joffroy. Loc. cit. RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE . 273 pondérant nous paraît, dit-il, devoir être
chiques post-opératoires. Abstraction faite des cas où les troubles mentaux sont la conséquence d'opérations pratiquées sur
a genèse de ces trou- ÀRCmvES, 2' série, t. VIII. 18 i 4 CLINIQUE MENTALE . bles psychiques; cet élément, c'est la prédisp
cteurs d'ordre psychique auxquels M. Picqué attribue les troubles mentaux qu'il appelle les vrais délires post-opératoires.
l en soit ainsi. On tend à admettre avec M. Régis, que la confusion mentale est le type habituel des folies toxiques ; et n
n exemple bien net; cependant, d'une RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE . 275 part, il n'est pas encore prouvé que cette
manie ou à la mélancolie par exemple, aussi bien qu'à Id confusion mentale . Nous nous rangeons donc, en définitive, à l'op
dans l'observation de C... les caractères typiques de la confusion mentale . Pendant toute la durée de la maladie, le sympt
es d'agitation et de dépression, qui auraient pu, par- 276 CLINIQUE MENTALE . moments, faire prendre pour des vésanies pures
ou simplement triste qu'elles ont habituellement dans la confusion mentale . Les renseignements donnés par le malade sont,
indépendante, jus- qu'à un certain point, de celle de la confusion mentale ..En effet, celle-ci existait antérieurement à l
et a persisté assez longtemps après sa disparition. La confusion mentale proprement dite s'est atténuée pro- gressivemen
excitation péri- phérique. Il convient d'ajouter que l'obuubilation mentale pro- gresse de jour en jour. Cependant, M... ne
prédis- posés, la frayeur ou les chagrins produisant une maladie mentale , peuvent faire penser à une influence plus forle
e. Remarquons d'abord l'existence de l'aménorrhée dans des formes mentales très différentes ; nous avons trois manies, une
ans, à la suite de chagrins après avoir présenté quelques troubles mentaux . La mère et les six frères ou soeurs sont bien po
de manie aiguë franche. Le suicide du père après quelques troubles mentaux , il y a quinze ans, en fait une dégénérée; il n
ons psychiques ; elle semble normale dans les intervalles. La forme mentale ainsi établie en dehors de la névrose hystériqu
avec les accès de manie et les fonctions rétablissant avec l'état mental ; ensuite par l'inefficacité du traitement emména
ortuite, et que les hermaphrodites sont des débiles au point de vue mental . C'est ce que dit en effet E. Laurent : « Au po
douze ans, réputé fille, gaiçon en réalité, et atteint de débilité mentale . Christian, Legrand du Saulle avaient déjà mis
es (cryptorchidie, hypospadias) sur le déve- loppement des maladies mentales ; Raffegeau, dans sa thèse, étudie aussi l'influ
dié la fréquence de la coexistence d'un certain degré de débilité mentale et de malformations de l'appareil génital; or, pa
u à peu un syndrome à marche lente en tout semblable à la confusion mentale . Ces symptômes s'observent surtout dans les fra
ngestives prédominant à gauche, une hémipa- 324 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . résie gauche persistante. Lésions des cordons
s cellules des ganglions spinaux. P. Keraval. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XIII. Recherches sur la glycosurie alimentaire
XIII. Recherches sur la glycosurie alimentaire dans les maladies mentales au point de vue des rapports entre la folie et le
nt .menées con- duisent aux conclusions suivantes : 1° Les maladies mentales , par elles-mêmes, ne sont pas capables de dimin
i que l'examen histologique du cerveau. A. M. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 325 XV. Symbolistes et décadents ; par le D' B
xposé par les conclusions suivantes : dans l'organisation évolutive mentale , le progrès s'opère par stratifica- tions super
de l'équilibre. Réflexes patellaires très 32G 6 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . vifs, réflexes abdominaux et crémastériens fai
el il résiste en pleine et parfaite connaissance, en complète santé mentale . On a depuis lors appliqué le nom d'obsession à
satellite, comme cela a lieu dans le mécanisme REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 327 7 des contrastes psychiques normaux. La pr
e de délire assez rare et dont la plupart des traités de pathologie mentale ne parlent qu'incidemment. Il étudie spécialeme
matériques). Son pronostic est relativement 328 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . bénin (08 p. 100 de guérisons) mais elle peut
eté relative de ces cas dans les asiles. De Tiiivet. XIX. Stupeur mentale intermittente; par le De Noble. Il se rencontre
médiaire considère que la syphilis ne donne pas REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 329 naissance à une paralysie générale vraie m
me résultat rapide dans un cas de manie et dans un cas de confusion mentale . (The alienist and nc2crologist, avril 1899.) E
nist and nc2crologist, avril 1899.) E. B. 330 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XXI. L'imbécillité et la folie de l'imbécillit
aires. En même temps que les observateurs constataient les troubles mentaux ; ils notaient l'apparition de troubles physiqu
e système nerveux et détermine l'éclosion d'affections nerveuses ou mentales variées. , Un cas de paralysie générale avec ha
Contribution à la symptomatologie des signes physiques des maladies mentales . (Communication préalable.) Quand on porte avec
nt par séries. Chaque accès est suivi d'exci- tation avec confusion mentale et hallucinations, parésies passa- gères des me
femme de cinquante et un ans, qui ne jouissait pas de ses facultés mentales depuis quelque temps. Marie Ferret, épouse Gasc
t en retraite, donnait depuis quelque temps des signes d'aliénation mentale ; sa femme avait introduit contre lui une instan
hant complètement la structure fibrillaire de la substance fonda- mentale . Après l'action de l'alcool ces éléments ont conf
pathogénique ces affections de la moelle et des méninges. CLINIQUE MENTALE . LES HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES VERBALES
ysiologie des hallucina- tions dans ses recherches sur les maladies mentales . 374 CLINIQUE MENTALE. sous. le n4)m d'halluc
tions dans ses recherches sur les maladies mentales. 374 CLINIQUE MENTALE . sous. le n4)m d'hallucinations psychiques. Apr
combinées à des auditives verbales ; 3° de simples représentations mentales motrices associées ou non. MM. Ballet 2, Ritti3
1 Séglas. Progrès médical, 1888, nO' 33 et 31, et Congrès de méd. mentale de Nancy, 1895. 5 G. Ballet. Semaine médicale (
. de neurologie, 1896). * Magnan. Leçons cliniques sur les maladies mentales , 1897, p. 17. 3 maison. Contribution à l'élude
578. 6 Ballet. Le langage intérieur, 1886, p. 64. 331(6 CLINIQUE MENTALE . MM. Séglas et Londe' ont publié des observatio
s n'avons pu relever que trois cas. Observation I. - Dégénérescence mentale et hérédité : grand'mère aliénée. - Début des h
e s'étonnait que la voix intérieure parlât en son nom, 378 CLINIQUE MENTALE . répondant comme pour elle; mais souvent cette
nt. Observation II (Service de M. le D' Magnan). - Dégénérescence mentale ; grand-père et père alcooliques. Habitudes alcool
motrice verbale. facteur il Paris, tlente-six ans. 380 CLINIQUE MENTALE . Père alcoolique, mort; s'enivrait souvent. Mèr
.TIO-i III (Service de M. Magnan, asile clinique). Dégrnr- rescence mentale et lourde hérédité : grand-père et tante aliénés.
isait beaucoup de romans, et aimait bien la musique. 382 CLINIQUE MENTALE . On voit que T... chargé par une lourde hérédit
a bizarrerie des dégénérés, en général, et conservait l'équilibre mental . Il n'était point mystique, nous notons ce fait s
été observé plusieurs fois. Comme le malade de M. Val- 384 CLINIQUE MENTALE . Ion ', notre malade a eu des idées mystiques.
ce. Observation IV (Service de M. le Dr Magnan). - Dégénérescence mentale et hérédité : frère aliéné. - Alcoolisme chroniqu
fflet. Il a remarqué Archives, 21 séi ie, t. VIII 25 38G CLINIQUE MENTALE . que le coup de sifflet perçu par l'oreille éve
plus digérer. Régime lacté pendant cinq jours. Le 5 août, son état mental est meilleur, mais B... est toujours un peu som
p. 100. a Séglas, Progrès médical, 1888, p. 125. 388 v ' CLINIQUE MENTALE . Il est indispensable de voir ce qui se passe d
parole articulée. (Bulletin médical, 2U juin ]89 ? ) 390 CLINIQUE MENTALE . ou des états faibles d'innervation périphériqu
tions de Pfeiffer, Sottas, Déjerine et Thomas, les études expéri- mentales de Singer et Munzer, les lois de Kahler et Singer
nostic était rendu douteux par des fractures multiples et l'état mental du malade. Aucune amélioration de l'ataxie. Dan
out entier au moyen de tous les agents, de toutes les condi- tions, mentales ou physiques, qui relèveront son tonus nerveux,
Î pour but que de se faire imprimer sur le corps des motifs orne- mentaux . Ce sont en général des musulmans. Chez les Copte
ment à Dijon et à Marseille. S'inspirant de ses idées en méde- cine mentale , il écrivit sa thèse de doctorat intitulée : Quel
sérieuse comme élément pathogénique assez fréquent de l'aliénation mentale . » Quelques mois après, le 18 janvier 1867, Dau
eu que nous avons émis nous-même dans notre étude sur l"Instabilité mentale et dans un article récent du Manuel général de
siles de la Seine, ont été nommés chefs de la clinique des maladies mentales , à la suite du dernier concours. Le rédacteur
. L'étude des rapports du ramollissement cérébral avec l'aliénation mentale n'occupe, aussi bien dans les traités de psychi
nt et que tout bien considéré - « c'est un chapitre de méde- cine mentale qui reste à écrire ». La formation successive d
ou chroniques, d'évolution ou d'invo- lution. Existe-t-il un état mental , un enchaînement de troubles psychiques particu
hâtivement et de chercher à dresser le tableau clinique de l'état mental qui accompagne les foyers de ramollissement cér
oce constitue un des plus forts appoints du traitement des maladies mentales , il ne faut point en prêcher la souverai- neté
fanatisme aveugle qui tendrait simplement à rayer la thérapeutique mentale du cercle des préoccupations médicales, comme e
ERAPEUTIQUE. TRAVAIL ET ALITEMENT DANS LE TRAITEMENT DES MALADIES MENTALES . (notice historique) ; p A H P. SÉl21GUY, E
t les moyens thérapeutiques que nous pouvons opposer aux affections mentales : aussi la croyance à l'incu- rabililé de ces m
adies, bien que démentie chaque jour par LE TRAITEMENT DES MALADIES MENTALES . 443 3 l'expérience, est-elle très répandue dan
si chaud par- ' Pinel. Traité médico-philosophique sur l'aliénation mentale , 2' édi- tion. Paris, 18U9. . Esquirol. Des m
tion mentale, 2' édi- tion. Paris, 18U9. . Esquirol. Des maladies mentales . Paris, 1838, t. Il, p. 5'3. 3 Lefebvre-Duruflé
enté au Conseil général de l'Eure, 1839. LE TRAITEMENT DES MALADIES MENTALES . 445 lisan du travail, c'est la visite qu'il a
rison; le travail, comme la base même du traitement de l'aliénation mentale . C'est ainsi que pour le D'Lapointe, le « trava
moralisateur, ou mieux esthétique, je ne dirai pas de l'aliénalion mentale , mais des aliénés que l'asile renferme. Au résu
gistes de langue française. Nancy, 189G. LE TRAITEMENT DES MALADIES MENTALES . 447 une source de bénéfices. Les inspecteurs d
re du travail considéré comme agent thérapeutique dans les maladies mentales , en disant que cette méthode a été un progrès d
ment dit; elle a renforcé le préjugé de l'incurabilité des maladies mentales ; elle a fait perdre de vue la catégorie des suj
plicables ou contre-indiqués chez les malades atteints d'affections mentales aiguës. Ces états sont en effet toujours associ
niaques et mélancoliques, les psy- choses périodiques, la confusion mentale , les délires halluci- natoires aigus; il faut y
velle comme un progrès considérable dans le traitement des maladies mentales . Certes, le repos au lit n'est pas une panacée
nfectieuses, toxiques, puerpérales, etc. LE TRAITEMENT DES MALADIES MENTALES . 449 Quant aux indications du repos psychique,
pas douter l'intensité des symptômes les plus pénibles des maladies mentales aiguës et écarte les redoutables complications
le dogme de la nécessité du travail dans le traitement des maladies mentales , et aussi certaines conceptions erronées sur la
'alitement vient combler une lacune dans le traitement des maladies mentales , puisqu'il est appliqué précisément chez les su
Semaine médicale, 11 oct. 1899, p. 331.) LE TRAITEMENT DES MALADIES MENTALES . 451 (colonisation agricole) est pour les conva
introduit le procédé en question dans la thérapeutique des maladies mentales . « Presque tous nos mélancoliques, écrivait le
sur les phrénopulhies, ou traité théorique el pratique des maladies mentales , t. 111, 'p. 2. Gand, 1852. irez THÉRAPEUTIQUE.
mentation et l'électrothérapie 3. ' Griesinger. Traité des maladies mentales , p. 518-5G5. (Traduction française.) Paris, ISf
duction française.) Paris, ISfi5. - 3 J.-P. Falret,. Des maladies mentales el des asiles d'aliénés. Paris, 181 t. 1. Intro
lltc lrealrnenl of nervous diseuses, in LE TRAITEMENT DES MALADIES MENTALES . 433 Dans ces divers états d'épuisement nerveux
les médico-psychologirues, 188S.) 1 Bail. Leçons sur les maladies mentales . ? e édition. Paris, 1890. 0 Cullerro. Traité p
? e édition. Paris, 1890. 0 Cullerro. Traité pratique des maladies mentales , 1890. II e7-ri THÉRAPEUTIQUE. Régis ', Dagon
haslin en montre les avantages dans le trai- tement de la confusion mentale 3. II. Guislain, J.-P. Falret. Weir Mitchell, q
r la nécessité de l'alitement ' Régis. Manuel pratique des maladies mentales , 1893. ° Dagonet et Duhamel. Traité des maladie
maladies mentales, 1893. ° Dagonet et Duhamel. Traité des maladies mentales , 1891. 3 Chaslin. La confusion mentale primitiv
uhamel. Traité des maladies mentales, 1891. 3 Chaslin. La confusion mentale primitive. Paris, 1895, p. ? O. , Ludwig 12yer.
l'syclrial., t. 1\\lll, p. 803, 18'i'i.) LE TRAITEMENT DES MALADIES MENTALES . 455 chez les mélancoliques- et va mémejusqu'à
, 1883, p. 3.\, et ï : i, ' Scliùle. Traité clinique des maladies mentales , 18li. (l'raLlllct. fran- çaise de Duhamel et J
russe). (Obozr. psikhialr., 189G, p. 5.) LE TRAITEMENT DES MALADIES MENTALES . 457 A la clinique de l'Académie militaire de m
tl DiseÉtses. A Rest and Exercise in the lrealmeul of Nel'l'OUS and Mental Diseuses. A discussion opened by T.-S. Clouston
g of the medico-psycliological association ; july 1895. (Journal of Mental Science, 1895, p. M9.) ° Ilurd. The M il/al' lo
nanà l'admission de Sainte-Anne, Joilroy à la clinique des maladies mentales , Briand et Toulouse à l'asile de Villejuif, Sér
ur le service des aliénés du département LE TRAITEMENT DES MALADIES MENTALES . 459 Bien qu'à l'heure actuelle l'alitement soi
olique. Alagnan et Pecharman. Thérapeutique générale des mala- dies mentales . Traitement de la folie intermittente, P. Chashn.
e méd., 1898, n- 37.) 5 P. Keraval. Le traitement de l'aliénation mentale par le repos au lit. [Progrès méd. 18 juin 1898
l'ensemble est insuffisant à former à lui seul une représen- tation mentale , une image. C'est par association avec des souven
sociation avec des souvenirs visuels antérieurs que se crée l'image mentale de la position du membre et de fait cette image
nt. Le mot est peut-être inexact car jugement suppose une opération mentale active, une comparaison. Tout en reconnaissant
ette sensation d'innervation c'est l'existence de la représentation mentale du mouvement précédant son exécution qui d'aprè
ance et l'appréciation de ces poids est le résultat d'une opération mentale beaucoup plus com- plexe dans laquelle intervie
hement au mou- vement ce qui ne saurait se faire sans une opération mentale , sans un jugement. Or il nous parait que dans l
10. 468 REVUE CRITIQUE. entre la conscience, d'une représentation mentale et ce que les auteurs appellent sensation d'inn
- PCtl'alysie générale survenue chez un labélique. Dégé- nérescence mentale héréditaire. Syphilis. Accès maniaque avec idées
excitation s'apaise et est remplacée par un grand état de confusion mentale , le malade est inconscient, obnubilé, demande o
is jours plus tard il est presque totalement aveugle. Aucun trouble mental . Paresthésies diffuses dans l'occiput et la tem
car la malade avait dès sa naissance l'aspect myxoedémateux. L'état mental (idiotie) du myxoedème est donc expliqué par les
lleux ont été plus légèrement affectés. Ainsi s'explique que l'état mental de l'enfant ait plus à souffrir que celui de l'
ue son activité soit suspendue par l'action d'un toxique (confusion mentale ); dans tous ces cas il est urgent de laisser re
t l'auteur, à une lésion cérébelleuse. M. Robinson. Surdité verbale mentale . Observation détaillée concernant un homme de q
présentant des stigmates de dégénérescence et de la surdité verbale mentale . Cette observa- tion est à rapprocher de celle
comme le disait Charcot, en 1892, il faudrait rechercher les formes mentales de la maladie et ses symptômes psychiques, enco
être fait après une séance d'hypnotisme. Il en est résulté un état mental particulier qui se manifeste par des phénomènes
les milieux qu'elle fréquente. SOCIÉTÉS SAVANTES. 517 7 Les états mentaux impliqués dans l'appréciation post-hypnotique d
it l'objet d'une communication au Congrès international de médecine mentale en '1889, M. Fal- licres avait adressé aux préf
oloix, médecin des hôpitaux. Asile clinique. Clinique. des maladies mentales : M. le pro- fesseur Joffroy, mercredi et samed
heures des confé- rences supplémentaires. Hôtel-Dieu. Pathologie mentale et nerveuse. - M. le Dr E. Dupré, professeur ag
t méningite aiguë, par Klippel, 514. Abstinence. Essai sur l'état mental clans l' -, par Lassignardie, 167. ACROJIÉGAL
moelle épinière. Leur physiologie pathologique, 401. Confusion mentale . Relation d'un cas de post-opératoire, par .
. Glycosurie. Recherches sur la - alimentaire dans les maladies mentales au point de vue ries rapports entre la folie et
ement orthopédio-chirurgical de la , par Lapmski, 231. Maladies mentales . Contribution à la symptologie des signes physi
à propos de l'examen - du meurtrier C... et rapport sur son état mental , par Garnier, 137. Consultation au sujet d'un
LoNIE. La épileptique, par Dide, 59. Dégénél esceuce et stigmates mentaux ; malformation de l'ectoderme. - épisodique, par
ritisme. Phénomènes provoqués par le-. par Bérillon, jl6. Stupeur mentale intermittente, par Noble, 328. Subconscient.
nd.-v il la suite d'une fracturé du crâne, par Bielkowskv, 402. - mentale , par f3oblnson,Sl3. Symbolistes et décadents;
62. Un cas de traité par la suggestion, par Féron.426. Torticolis mental . Sur le traite- ment du et des tics similaires,
14 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
OLOGIE PARAISSANT TOUS LES MOIS REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIIIECTION DE J.-M. CIIA11COT
evenir ici, sont résumés dans notre dernier livre sur les stigmates mentaux des hystériques. 2 Jolly, op. cit., p. i. 3 O
, op. cit., 1880, p. 3. ' Jolly, op. cit., p. 12. ' Les stigmates mentaux des hystériques, p. 137. JGicl.. p. 13. 6 REVUE
ur psych. und physiol der sinnesorgane, t. IV, 1892.) Cf. Stigmates mentaux de l'hystérie, p. 156. DEFINITIONS RECENTES DE
es conceptions que nous avions désigné sous le nom de désagrégation mentale , et il semble encore, d'après les analyses préc
aujourd'hui c'est le seul mot scientifique pour désigner le rétréci mental , le minus habens conscientix, si nous pouvons e
le minus habens conscientix, si nous pouvons exprimer ainsi l'état mental de cet individu très intel- lignent peut-être,
dividu très intel- lignent peut-être, mais dont toutes les facultés mentales sont marquées d'un stigmate plus fixe certainem
, sont des phénomènes cérébraux, l'hémianesthésie également, l'état mental , syndrome important chez les hystériques, relèv
e n'est pas l'affection ? » Dans le récent dictionnaire de médecine mentale de M. Hack Tuke, les deux articles consacrés à
nent aussi à faire ren- trer l'hystérie dans le groupe des maladies mentales . Il faut cependant examiner les difficultés que
r but de montrer qu'en rattachant l'hystérie au groupe des maladies mentales , nous n'oublions pas les nombreux symptômes org
lier, il n'y a qu'une sorte d'a- norexie nerveuse, c'est l'anorexie mentale 3. » Nous aurions peut-être ici quelques restri
es remarques générales qui ont été faites sur toutes les maladies mentales . Ces maladies dépendent d'altérations inconnues d
ies et les manies qui sont cependant considérées comme des maladies mentales , pourquoi ne les verrait-on pas dans l'hystérie
ystérique et de l'au- iomafisme épileptique, Congre" ! de 'médecine mentale , 1889. DÉFINITIONS RÉCENTES DE L'IIY¡'TÉIUE, 21
tinuons ces études de diagnostic, nous rencon- trons d'autres états mentaux qu'il faut comparer avec'celui de l'hystérique.
scients... Revue Philosophique, 1888, t. 1, p. 251. Il. Colin. Etat mental des hystériques, 1890, p. 39, il. L. Lau- recul
lérie, p. 163. 22 REVUE GÉNÉRALE. transitoire de la désagrégation mentale . Ce diagnostic de l'hystérie et des délires tox
de toutes espèces. Je ' Tabaraud. Les rapports de la dégénérescence mentale et de l'hys- térie, 1888. II. Colin. - L'état
énérescence mentale et de l'hys- térie, 1888. II. Colin. - L'état mental des hystériques. 1890. DÉFINITIONS RÉCENTES DE
personnes se sont étonnées que dans notre travail sur les stigmates mentaux de l'hystérie, nous ayons décrit les troubles d
vons cependant Insisté sur ce point a plusieurs reprises. Stigmates mentaux de l'hystérie, p. 112, 231. ? 1· Il. REVUE GENE
ons qu'elles font partie toutes deux d'une vaste classe de maladies mentales très voisines les unes des autres et que nous a
s et que nous avons proposé d'appeler les maladies de désagrégation mentale . « Nous sommes disposés à croire, disions-nous
comme un des syndromes, il n'y a qu'un pas'. » « La dégénérescence mentale et l'hys- térie, disait aussi cl. Roubinovitch
us ceux qui ont étudié la nature psychologique de ces deux maladies mentales . Rapprocher et classer ce n'est pas confondre,
exister même entre des faits psychologiques. Le défaut de synthèse mentale , la dé- sagrégation de l'esprit ne se présente
en est tout autrement chez les psychasthéniques, la désa- grégation mentale ne s'est pas faite de la même manière : il semb
s ne pouvons étudier ici cette nouvelle forme de la désa- grégation mentale qui caractérise le psychasthénique, ni mon- tre
pour lui con- server sa place, il suffit de distinguer les maladies mentales les unes des autres. Nous avons élargi sur un
liénations qui paraissent le plus s'en rapprocher. La désagrégation mentale est plus permanente dans l'hystérie que dans le
ologique joue dans l'hystérie comme dans toutes les autres maladies mentales un rôle absolument prépondérant 1, et en prenan
complexe, on dira : « L'hystérie est une forme de la désagrégation mentale , caracté- risée par la tendance au dédoublement
depuis longtemps par les méde- cins et les psychologues sur l'état mental des hystériques. CLINIQUE NERVEUSE, QUELQUES
lite ; par GJAÈIE111. HAM- MOUND, M.-D. (The Journal of Nervous and Mental Disease, janvier 1893.) Il est bien certain q
chez les oiseaux ; par ISAAC OTT, M.-D. (The Journal of Nervous and Mental diseuses, (New-York), janvier 1893.) D'après
horéique; par Horatio C. \VooD M. D. (The Journal of Ne ? -vous and Mental disease, avril 1893.) L'auteur, s'appuyant sur
NERVEUSES PéRIPHéRIE- QUES ; par F.-S.-John BULLEN. (The Journal of Mental Science, janvier 1892.) Observation d'un gran
DE BETHLEIf, le 15 mai 1890; par R. PERCY S;,flrn. (The Journal of Mental Science, juillet 1890.) Voici l'indication de
les modifications de la physionomie dans les maladies nerveuses et mentales . Le rapporteur accompagne sa communication de l
vitch, W. Roth et G. Pribuitkof. - BIBLIOGRAPHIE. I. Aliénation mentale syphilitique. - Leçoils cliniques, par Mairet.
istingue, sans les définir, la folie syphilitique de l'alié- nation mentale syphilitique et semble accorder à ce dernier term
erme une compréhension plus vaste qu'au terme folie. L'aliénation mentale syphilitique a pour critérium clinique les trou
syphilitiques du cerveau pourraient donner naissance à l'aliénation mentale ; lésions cir- conscrites, localisées à foyer u
itiques de la phrénologie; - Essai de classifica- tion des maladies mentales ; - Déontologie médicale, 1846; - Noie sur les f
domadaire, de 1854 à 1851, année où il fonda le Journal de médecine mentale , dont tous les articles sartaient de sa plume o
de pathologie, de médecine légale et de thérapeutique des maladies mentales . Après la guerre de 1870-1871, il ne reprit plu
iquement sur les deux côtés du corps (27 février 1861); - Confusion mentale , illusions et hallucinations incohérentes dues
orts avec l'assistance publique, 1877 ; Classification des maladies mentales ayant pour double base la psycho- logie et la c
parmi nous que des amis. C'est une grande perte pour la médecine mentale , qui vient s'ajouter à toutes cellesque nous av
rger, Morel, etc., etc., noms célèbres qui ont illustré la médecine mentale française au xixe siècle, et dont les travaux im-
à des études sérieuses sur les diverses branches de la pathologie mentale et ses travaux sur l'organisation médicale, l'édu
x républicains, sans négliger cependant ses travaux sur la médecine mentale , NÉCROLOGIE. 73 l'épilepsie et l'éducation de
t son traitement, son oeuvre principale est son Journal de médecine mentale , qu'il dirigea seul et à ses frais, pendant dix
s grands développements, ses idées person- nelles sur la pathologie mentale et la médecine légale des aliénés, tout en disc
endances purement psycholo- giques qui dominaient alors la médecine mentale . Son ardeur pour la science à laquelle il avait
acée, et toute son activité scientifique se porta sur la pathologie mentale . Placé à la tête d'un service d'enfants idiots
icêtre. Apartirdecette époque, il marquait sa place dans la science mentale par des tra- vaux considérables. Il serait trop
e. Dans un recueil arrêté au dixième volume, le Journal de médecine mentale , fondé par lui et dont il fut le principal réda
récis. C'est là qu'on trouve exposée sa classification des maladies mentales , si remarquable de logique et de simplicité. A
LE traitement DES aliénés; par E. CLIFFORD-ALLBUTT. (The Journal of Mental Science. Octobre 1891.) Il y a deux ans une com
ondres un hôpi- tal destiné au traitement et à l'étude des maladies mentales . M. Clifford-Allbutt regrette que la commission
trie, puis- qu'il s'agit de revenir à un traitement de l'aliénation mentale qui soit plus « médicinal » que celui des asile
e fait-il que les médecins, même versés dans l'étude des maladies mentales , qui ont un aliéné dans leur clientèle, ne réussi
RAVE-CLAY. DE L'UTILITÉ QU'IL Y aurait POUR L'ÉTUDE PE l'aliénation mentale A ouvrir LES asiles aux médecins déjà diplômés;
; par Mme MARGAEET A. CLEAVES, docteur en médecine (The Jourltal of Mental Science. Avril 1891.) La colonie de Gheel a l
A QUELQUES asiles étrangers ; par Frederik NEEDHAM (The Journal of Mental Science. Avril 1892.) M. Needham a profité de s
EL, GLASGOW le 24 juillet 1890 ; par M. Yellowlees. (The Journal of Mental Science. Octobre 1890). Discours intéressant
énés après LEUR SORTIE DE l'asile ; par II. RAYNER. (The Journal of Mental Science. Octobre 1891.) On a fondé en Angleterr
rains DE la « Retraite » de YORK; par Robert BAKER. (The Journal of Mental Science. Juillet 1891). Les administrateurs de
LES colonies d'épileptiques; par C. Théodore EwnnT. (The Journal of Mental Science, avril 1892.) Tout le monde est d'accor
E l'hôpital royal DE 1\IONTROSE; par James IIOwDEN. (The Journal of Mental Science, octobre 1890.) Description détaillée
s suffisants dans nos propres contrées pour les besoins physique et mental des faibles d'esprit est un reflet de l'esprit ph
clerc, qui, à plusieurs reprises, a donné des signes d'aliéna- tion mentale , accusait à tout propos sa femme de le tromper. C
ice de ronde, que son fils Charles, subitement atteint d'aliénation mentale , cassait tout dans son appartement. Les agents
itutrice de Passy, qui ne jouit pas de la plénitude de ses facultés mentales , Mme Mar- celine Quintallet, âgée de cinquante-
servation recueillie parJouN CLARKE ' " FENWiCK).' (The Journal ofr Mental Science,'avri14890.) t ·t l ? JI''I . : ' \ : U
iagnostic : tumeur du centre ovale, basé sur l'absence des troubles mentaux et convulsifs ? J ? " ? 1 da y L 1 ¡ .1...1 # c
s caractéristiques du para ? myoclonus se manifestent des désordres mentaux , queul'on ren- contre plus habituellement 'dans
psie; (,. par f, William, Osler, 0.-D..(T/tejIoMmao ? e ! u'OMSaM , Mental Diseuse, février 1893.) ? ' ' l. Fflr ? ? ¡ ,- &g
ernicke et Dejerine, que l'acte d'écrire est subordonné à la vision mentale et consiste avant tout dans l'acte de, copier l
eurologie, Revues analytiques. 1 1 ? 1 ' lA) ? REVUE% DE pathologie MENTALE .7 149 très justement quel par l'hypnotisme ont
? 1 1n·, , ? 1 'r· 1 1 , 1 5· ^;1, ' , 1 - 1 1 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE , ,1 t'bnon t l'¡ ? t Il' ? 1 r 1lnl"' ri j1"'lI
ous,remarquerez que l'enfant la physionomie 152 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . <» plus éveillée qu'avant; l'opération et s
on de sa mère et des infirmières,,dui l'ont) gardé est que son état mental s'est amélioré, il est moins agité et moins ner
erpyrexie' : L'autre 'malade'' guérit et il y eut une amélioration' mentale très'marquée; Lanne- longue a rapporté vingt-ci
caractériser les troubles de la,parole et le diagnostic de l'état' mental lui-même. Il y a évidemment trouble fonctionnel
contrastant avec les impulsions à parler, entée sur une confu- sion mentale chronique... , t I .' 1" , I z . 'i· - ' ficult
asile, et, par suite, cela n'a 1)as de,va- REVUE ? DE : PATHOLOGIE - MENTALE . 88 leur. » : Puis, la variabilité du délire s'
sous la forme de délire isolée quasi mo-b a REVUE · DE r PATHOLOGIE MENTALE . 157 nomaniaque, d'une fixité étrange, recevant
n amélioration fut rapide et il explique au docteur que son-trouble mental . [remontait à l'époque où il avait - ) S8 REVUE
par là, stimuler la croissance du cerveau. * REVUE-DE, PATHOLOGIE, MENTALE ? 159. 1 La microcéphalie est une véritable con
ié des analyses intéressantes. ,, i , , , 160 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . compression se fait sentir. Je reconnais avec
cas, avaient obtenu dans la plu- part des cas sérieux d'arriération mentale , quelque amélioration notable comme résultat. C
ter que les os Auciiives, t. XXVI. ' Il I 162 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . étaient plus minces que normalement, d'où il s
ndre quand le poids du corps du malade aug- mente tandis que l'état mental , qui s'était d'abord amélioré, rétro- cède. Ell
premiers efforts de HEINROTH et IDELER, ils créèrent la pathologie mentale et l'assistance des aliénés. Leurs efforts en m
se des accidents névropathiques. P. S. III. Contribution à l'état mental des hystériques ; par le Dr Long- bois (de Joig
mmande contre les névroses. J. Noir. VARIA. Cf ? GRÈs DE médecine mentale . (Session de La Rochelle, août 1893.) Mardi 1
salle haute de la Bourse. Des auto-intoxications dans les maladies mentales .-Séance de 2 heures à 6 heures du soir. Des auto-
ures à 6 heures du soir. Des auto-intoxi- cations dans les maladies mentales . A 6 heures, visite des tours de La Rochelle. R
Questions générales : 1 Les auto -intoxications dans les maladies mentales . - Rapporteurs : M. le Dr Régis et M. le Dr Cheva
y admettra ni les enfants qui, à raison d'infirmités corporelles ou mentales , sont hors d'état de fré- queuter une école, ni
ée scolaire 1892-1893, aide du laboratoire de clinique des maladies mentales , en remplacement de M. Champion. Faculté DE MÉD
l'année scolaire 1892-1893, d'un cours complémentaire des maladies mentales . z Université de Vienne. M. le professeur von I
étariat de l'Académie, à Bruxelles. Chaire DE clinique des maladies mentales . La Faculté de méde- cine a présenté jeudi, en
tre ami M. Joffroy, agrégé, pour la chaire de clinique des maladies mentales laissée vacante parle décès du professeur Bail.
re in-8° de 13 pages. Extrait du Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique. Gand, 1893. Le rédacteur-gérant,
emploi prolongé ainsi que l'exige la longue évolution des maladies mentales . Pourquoi ? parce que malgré ses brillants avan
observés et en entreprendre l'étude comparative d'après les formes mentales . Tout d'abord dans la paralysie générale. Obs
temps continué, ainsi que l'exigerait la thérapeutique des maladies mentales dont l'évolution est toujours fort longue. RE
ue nous avons soutenue, que, sauf dans les cas où la défectuosité mentale reconnaît pour causes un traumatisme, l'intervent
par L'HYPNOTISME; par M. Percy SUITE etA.-T. MYERS. (The Journal of mental Science, avril 1890.) Après un court historique
ue consacré au rôle de l'hypnotisme dans le traitement des maladies mentales , les auteurs ont résumé sous forme tabulaire le
pnotisme chez les aliénés; par George M. ROBERTSON. (The Journal of Mental Science, janvier 1893.) Après des expériences,
uggestion verbale pendantl'état hypnotique peut corriger un trouble mental encore léger. Au point de vue disciplinaire l'h
est à peu près certain qu'il de- meure impuissant sur les troubles mentaux , et il ne saurait, du moins à l'heure actuelle,
injection sous-cutanée : lassitude, vertiges, titubations, obtusion mentale , inconscience, mydriase, sécheresse de la gorge,
rétion salivaire et la sensibilité gustative. Elle met fin à l'état mental des aliénés qui présentent du désordre dans les i
SAGE GÉNÉ- RAL, ETC. Guérison; par Alex. ROBERTSON. (The Journal of Mental Science, janvier 1891.) Après l'essai de dive
raités par l'hydrate d'amylène ; par EDwIN L. DUNN. (The Journal of Mental Science, Octobre 1891.) L'auteur a constaté que
re est tout d'abord donnée du rapport préparatoire Sur les maladies mentales dans leurs rapports avec les auto-intoxications.
re que l'auto-intoxication serait la cause et non l'effet de l'état mental . Comme cela a été constaté dans certaines malad
nes d'auto- inloxication jouent un rôle important dans les maladies mentales , sont confirmés par les récentes recherches nos
la convalescence, on a affaire à la psychose dite asthénique, état mental plus ou moins variable d'aspect, cons- titué d'
la stupidité, de l'obnulation, de la pseudo-démence, dela confusion mentale ; peut- être y aurait-il lieu d'admettre une tro
on qu'il faut surtouts'adresser pour combattre et guérir le trouble mental . M. Gilbert Ballet (de Paris) en son nom et au
s son ensemble le problème des auto-intoxications dans les maladies mentales , on laisse sans doute le champ plus libre aux d
de mélancoliques, de ma- niaques, de malades affectés de confusion mentale et de délire dé- généra tif. . En prenant com
nification de ces dernières expériences. Dans deux cas de confusion mentale , l'une post-puerpérale, l'autre consécu- tive à
une dégénérée avec délire mystique, une femme atteinte de confusion mentale puerpé- rale. Les ptomaïnes faisaient défaut da
rée avec délire mélancolique, une jeune fille atteinte de confusion mentale . Chez deux seulement (mélancolique simple et co
sion mentale. Chez deux seulement (mélancolique simple et confusion mentale ) les ptomaïnes étaient toxiques, comme l'ont mo
la question des relations des auto- intoxications avec les maladies mentales est à son aurore, et qu'en ce moment toute tent
Les cas d'hypotoxicité continués semblent correspondre aux troubles mentaux permanents. Un trouble gastrique profond précèd
J. SÉGLAS. - L'influence de l'auto-intoxication dans les ma- ladies mentales n'est encore qu'une hypothèse qui demande l'appui
ont trait à des phénomènes d'auto-intoxication au cours de maladies mentales préexistantes; les autres se rapportent à des c
e revêt toujours le type clinique décrit sous Je nom de con- fusion mentale primitive, simple ou hallucinatoire et allant de
sur les auto-intoxica- tions dans leurs rapports avec l'aliénation mentale . Il insiste en finissant sur l'influence, exagé
s à l'examen microscopique des traces de cylindres. Au point de vue mental , la plupart de ces malades étaient des mélancol
istinctions nosologiques précises et en privant la dégénéres- cence mentale de son rôle généralement reconnu comme impor- t
exions étroites entre les trois états morbides dénommés : confusion mentale , délire hallucinatoire et délire aigu, et, d'autr
tanée du délire aigu, du délire hallucinatoire et de la confusion mentale . Le lien qui réunit ces états morbides à l'intoxi
présentée, au point de vue clinique, sous la forme de la confusion mentale avec délire hallucinatoire. Au point de vue somat
eur, mais à moins d'avoir une connaissance approfondie des maladies mentales , nul ne peut être sûr que dans le récit des fai
cas, peuvent faussement témoigner contre eux-mêmes; si l'affection mentale est caractérisée, il est facile de rattacher ce
inaire certains paroxysmes psychiques relevant de'la dégénérescence mentale acquise ou héréditaire. L'aveu spontané d'un cr
cas un examen médical préalable pour déter- miner nettement l'état mental . - 111. BncAlVn appelle l'attention du Congrès
e peuple sur les causes, la nature, le traitement de l'alié- nation mentale , rapports des familles avec les malades pendant
ute les conférences à un public étranger aux questions d'aliénation mentale , auquel cette demi- vulgarisation ne peut que d
2Õ7 -1 d'aliénés ; Nécessité des asiles ; Les causes des maladies mentales ; - Conduite à tenir vis-à-vis des aliénés; - La q
présente ensuite plusieurs malades. L'un est un ataxique avec état mental et somatique de paralytique général, syphilitiq
été l'urticaire , syndrome éminemment in- fectieux. Au point de vue mental il s'est agi dans ces cas d'états mélancoliques
Séance du 4 novembre 1891 . M. I'aixsce. - Mensonge et aliénation mentale . ' ( J Nous rappelons que tous les mémoires ins
J.-B. Baillière et fils. Langlois. Contribution à l'élude de l'élal mental des hystériques ! dénonciation de crimes imagin
) et Chevalier- La vaure. Des auto-intoxicalions dans le.1 maladies mentales . (Congrès des médecins aliénistes des pays de lan
aphie E. Martin. Voisin (J.). L'Idiotie (Hérédité et dégénérescence mentale , psyc/w- logie et éducation de l'idiot). Volume
bsence de symptômes paralytiques, la douleur frontale, les troubles mentaux prédominants sont au contraire suffisamment car
s la( duplicité des formations néoplasiques et l'existence de tares mentales laissent supposer avec beaucoup' de( vraisembla
orisés, ce qui est un obstacle à l'amé- lioration de leur situation mentale . Le service du médecin est très mal organisé, i
op rapprochées, trop en dedàns. Les diverses formes de l'aliénation mentale dont sont atteints les individus envoyés à l'Ét
ait je citerai le suivant. Depuis la fonda- 318 REVUE DE PATHOLOGIE mentale . tion de l'Asile, la profession de forgeron a f
cooliques ont été signalés comme cause déterminante de l'aliénation mentale . Ces dix cas se décomposent ainsi au point de v
décomposent ainsi au point de vue nosologique : REVUE DE pathologie mentale . 319 sant de la plénitude de leur activité inte
tlièse de Dupain sur le délire religieux.. 320 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . R. Cas à deux stades. Un stade -de début, co
puberté, qui se dé- composent en deux cas de chorée avec aliénation mentale (onze et treize aus; guérison chez fillette et
ditaire ; fréquence des hallucinations. P. K. z REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 321 XX. D'une NOUVELLE méthode DE recherche DE
he DES réflexes tendineux et DE LEUR modification dans LES maladies mentales ET chez LES épileptiques; par W. DE Bechterew.
es du sang) est un Archives, t. XXVI. 21 322' REVUE/DE PATHOLOGIE MENTALE .- peu diminué,, la proportion de l'hémoglobine
ue pour le plus grand nombre des cas. J. SÉGLAS. XXII. SUR l'état mental DE CHRISTINE, REINE DE Suède; par DE SARLO. (Ri
endue se trouve le plus altérée. J. SÉGLAS. » REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 323 - 1 XXIV. Un cas(de folie associée A' LA
ée A' LA chorée A'UN AGE avancé; par 1M. llinc, (The lot.i7,iial of Mental Science, janvier 1890.) z ' ' . , l) Il s'agi
1 XXV. DE l'action NEURIQUE dans SES rapports avec LES fonctions mentales du cerveau; par Francis WARNER. (Tlce.Torl1·TZat
t mémoire. ' L'auteur rappelle d'abord qu'en traitant des fonctions mentales du cerveau, il faut écarter toute considération
y a là la première révélation de ce qu'on peut appeler une « action mentale », et que durant la période d'inhibition pendan
temporaire de la fonction efférente de ces 324 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . centres,* et le mouvement est le résultat acti
ue pas à tous les cas de folie amnésique. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 32t) . ' il "'1 fr, '1' 1'1 ,.[, .. UN cas D
n mari, elle guérit.'P. K'. 1 - - IL' XXVIII. UN cas d'aliénation mentale chez l'enfant; par F. Feulach, , (Allg. Zeitsch
matique chronique non alcoolique, ont ici 32fi revue' de pathologie mentale . un pronostic bénin, et guérissent rapidement.
La folie en Norvège (1891); par William HABGOOD. ' (The Journal of Mental Science, janvier 1892.) > T En, 1875, date d
êmes qu'en France. Les criminels chez qui l'on soupçonne un trouble mental sont diriges sur un asile du gouvernement où il
; en plus de la journée on accorde la nuit aux .REVUE DE pathologie mentale . 327 1 E ..1t1. ,HVrn, , ,i · n i 1 , infirmi
dans LES NÉVRITES périphériques; ' par James Ross. (The Journal of Mental Science, avril 1890.) ' On a depuis quelques an
(imbéciles) DU type MON- GOLIEN ; par ROBERT JoNES. (The Journal of Mental Science. Avril.) Après avoir examiné un grand n
agération de la voussure palatine n'est pas 328 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . aussi commune qu'on l'admet généralement, et q
la'mort subite dans la manie; par James R. WHITwELL (TheJourlial of Mental Science, 1891). Après avoir rapporté deux obser
'imbécillité et la FOLIE; par William W. IIIELAND. (Tlte Journal of Mental science. Juillet 1891.) La faculté arithmétique
ntition chez les 'enfants idiots et arriérés. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 329 qui se rapprochent le plus de l'état primi
SUR la PRODUCTION DE la folie; par Geo.-H. Savage. (Tlae journal of Mental Science, octobre 1891.) L'auteur s'est proposé
tant de savoir et de recon- naître que quelques formes d'aliénation mentale liées à une lésion cérébrale sont cependant sou
iant. Pourquoi n'admettrait-on pas l'influence du milieu sur l'état mental , puisque toutes nos méthodes d'éducation ont pour
ateur proche Inaudi. (Progrès mec ? 1892.) '330 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . donc à .côté de la tyrannie de l'organisme, il
x, : la folie dépend en grande partie desf rap- ports* des maladies mentales ; mais l'altération de fonction peut conduire à
es nerveux étaient la cause unique et primordiale de l'aliéna- tion mentale , la médecine resterait singulièrement désarmée en
XVII. Manie ET mélancolie; par John MACPHEIisON. (The Journal .. of Mental Science, avril 1891.) ' '1> . Les conclusion
utrition constituent le point de départ des symptômes de dépression mentale ou d'exal- tation mentales pathologiques; 5° no
int de départ des symptômes de dépression mentale ou d'exal- tation mentales pathologiques; 5° nous savons que les poisons qui
t au moins la propriété de produire l'excitation ou la dé- pression mentale ; 6° il y a des raisons de croire que certaines pt
ée tend invaria- blement à l'exacerbation et au réveil des névroses mentales . R. M.-C. XXXVIII. Des symptômes DE la catato
ne fut pas absolument sûr) ; la troisième avait REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . '331 fait des excès sexuels; la première était
blements limités à un membre ou à un seul côté du corps. , L'état mental des névropathes voyageurs mérite un'examen spé-
ELLES PAR MSI. H. ROYET J. COLLET Chef de clinique des maladies mentales Préparateur du cours de Pathologie générale A
onnisme peut être accompagné chez le même sujet d'autres phénomènes mentaux analogues, d'autres fois, à lui seul, il doit l
ernel est mort vésanique. La mère était un type de déséquilibration mentale . Migraineuse, inégale, d'une émotivité anormale
qu'il a pu à diverses reprises, dans des périodes où son équilibre mental était meilleur, se soustraire, non sans souffri
Exhibitionnistes . Archives, t. XXVI. 25 386 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE soins rationnels '. On n'a pas d'exemples que d
simulé cet état qu'ils ne soup- çonnent pas. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XL. SUR LES THÉORIES PHYSIOLOGIQUES ACTUELLES D
Jules CHRISTIAN (traduction par le Dr Me. Dowall). (The Journal of Mental Science. Janvier 1891.) La question de la nat
urer des documents d'une exactitude suffisante. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 387 la région rolandique de l'écorce cérébrale
absence », par exemple, la région hémisphé- 388 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE rique est seule atteinte, et la maladie s'étein
NSÉCUTIVE A l'hypnotisme provoqué; par M. J. NOLAN. (The Journal of Mental Science, jan- vier 1891.) Ce cas est intéress
n cas DE PERVERSION sexuelle ; par le Dr URIUD.1RT. (The Journal of Mental Science, janvier 1891.) Ce cas est assez banal
vier 1891.) Ce cas est assez banal au point de vue de la pathologie mentale , car il est absolument conforme à la descriptio
qui ne punit que l'attentat ou l'outrage publie REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 389 à la pudeur, est très sévère sur ce point)
malades, la èvre typhoïde exerça une influence heureuse sur l'état mental , puis elle aggrava l'état psychique, et la psyc
ement. Puis, il n'est pas rare qu'un accès de manie par suractivité mentale nourrisse ou provoque de nouvelles idées de gra
e observations. P. K. XLV. Rapport MÉDICO-LÉGAL motivé SUR l'état mental DE L'EXPÉDI- TIONNAIRE C. Fer. A. KRUEGFR, par
NOECKE (AU. Zeitsck. f. Psychiat., XLIX, 3.) REVUE DE pathologie mentale 391 Les réhabilitations des criminelles qui éta
iathèse DE la paralysie générale; par G. R.-WILSON. (The journal of Mental science, janvier 1892.) Le mot « diathèse » n'e
IT-ELLE être subdivisée ? par 6oRGE-,Nl. ROBERSTON. (The journal of Mental science. Juillet 1890.) Après des considération
st impossible de le suivre, l'auteur décrit 392 REVUE DE pathologie mentale . quatre formes de manie, que l'on peut logiquem
ers celle d'Esquirol. R. M. C. LI. La propagation DE l'aliénation mentale ET DES névroses QUI LUI sont connexes ; par S.-
roses QUI LUI sont connexes ; par S.-A.-I. Strahan. (The Journal of Mental Science. Juillet 1890.) M. Strahan constate d
tes, admettant a priori que le suicide est un symptôme d'aliénation mentale : cela est probablement vrai, disons-le en pass
, chez lesquels le suicide parait bien en effet l'indice d'une tare mentale nécessairement héréditaire chez eux; quand il s
- sition est plus contestable, bien que certainement les troubles mentaux aient une laarge part dans la genèse de la mort v
causes, mais à peu près incontesté en effet, du nombre des maladies mentales , et il cherche les moyens de remédier à cet éta
sur le danger d'une union avec des personnes frap- pées d'une tare mentale quelconque, le second consiste dans l'in- terve
et voudrait empêcher le mariage des sujets suspects au point de vue mental : il va plus loin, et ne conclut à rien moins q
qu'elle soit réalisable. R. de Musgrave CLAY. REVUE DE pathologie mentale . 1 393 LU. Note sur LE COCAINISME ; par CONOLLY
LU. Note sur LE COCAINISME ; par CONOLLY NORL1N. (The Journal of mental Science, avril 1892.) Les ravages de l'intoxica
on attrait insidieux; 2° la précocité de ses effets au point de vue mental ; 3° son pouvoir toxique qui est considérable,
uer la cocaïnomanie. R. M.-C. LUI. LE -VÉLOCIPÈDE dans l'aliénation mentale ; par C. Théodore EWART. (The Journal of Mental
E dans l'aliénation mentale; par C. Théodore EWART. (The Journal of Mental Science, juillet 1890.) Dans un mémoire de plus
sang et l'urine DES aliénés; par W. Johnson SMYTH. (The Journal of Mental Science, octobre 1890.) On ne peut que résumer
a démence secondaire ; 3° les variations du 394 revue DE pathologie mentale . chiffre de l'hémoglobine sont peu marquées dan
nt les périodes d'exaltation très accusée; 4° dans ces divers états mentaux , le nombre des globules rouges est au-dessous du
son maximum dans la para- lysie générale : dans les autres maladies mentales , les variations peuvent être considérées comme
stitue l'élément lourd, on voit clairement que, dans les mala- dies mentales , où nous constatons que le poids spécifique du sa
FFERENTES PARTIES CHEZ LES aliénés; par A. Mercier. (The Journal of Mental Science, Avril 1891.) . Mémoire très importan
mportant (dans lequel pour la détermination des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 395 parties constituantes du cerveau, on s'est
VI. Un cas DE folie avec DILUSIONS; par le Dr KEAY. (The journal of Mental Science. Avril 1891.) Cas dans lequel la guéris
. R. M. C. LVII. Richard ET SYSfOND, LEUR INFLUENCE SUR la médecine mentale ; par D. HACr TUKE. (The journal of Mental Scien
NFLUENCE SUR la médecine mentale; par D. HACr TUKE. (The journal of Mental Science, juillet 1891.) Etude biographique sur
E L ÉDUCATION PAR LE SYSTÈME ORAL; par W B. HADDEN. (The Journal of Mental Science janvier 1891.) Etude intéressante, mais
DANS SES RAPPORTS AVEC LA FOLIE; par HERBERT SNOW. (The Journal of Mental Science, octobre 1891.) Voici les conclusions d
resque entièrement défaut chez les sujets atteints de défectuosités mentales congénitales ; 2° Le cancer n'augmente pas de f
n'est pas rare de voir le cancer précéder et causer les troubles mentaux , indépendamment de toute production cancéreuse si
e cancer devrait être rangé parmi les causes reconnues d'aliénation mentale . R. M. C. LX. LA PROTECTION DES MÉDECINS PAR LA
LX. LA PROTECTION DES MÉDECINS PAR LA LOI ANGLAISE SUR L'ALIÉNATION mentale ; par A.-Wood RENTON. (The Journal of Mental Scien
LAISE SUR L'ALIÉNATION mentale; par A.-Wood RENTON. (The Journal of Mental Science, octobre 1891 et janvier 1892.) Nous
la légis- lation et de la jurisprudence anglaises sur l'aliénation mentale , et des confirmations ou modifications qui y on
une période DE onze années; par F. ST. JOHN BULLEN. (The Journal or Mental Science, janvier 1870.) Ce n'est pas chose comm
de maladies : C'est dans les états aigus accompagnés de dépression mentale que l'on rencontre le maximum de minceur et de
cas de manie, et au moins dans les deux tiers des cas de dépression mentale . On rencontre assez souvent dans la mélancolie
cutive bien accusée, appartiennent nettement aux états d'exaltation mentale , et ne se rencontrent que rarement dans les éta
és dans les autres formes, même les plus chroniques, d'alié- nation mentale . L'adhérence des membranes à la substance corti
dans la paralysie générale que dans la plupart des autres maladies mentales . A l'inverse de l'affection dont il vient d'êtr
-o-corticales y sont excep- tionnelles, et de toutes les affections mentales étudiées dans ce travail, c'est elle qui a donn
ique d'origine syphilitique; par F. St-John Bullen. (The Journal of Mental Science, avril 1890.) Observation intéressant
ontaux; par A. HILL Griffitu et T. STEELE Sheldon. (Tite Journal of mental Science, avril 1890.) z Il s'agit d'une jeune
nt anormal du cuir chevelu; par 'f.-\V. Mac Dowall. (The Journal of mental science, janvier 1893.) L'état du cuir chevelu
mari et dont la première grossesse améliora considérablement l'état mental . Malheureusement, sur les quatre enfants, que c
n fût autorisé dans aucun cas à délivrer un certificat d'aliénation mentale , sans avoir directement observé l'individu supp
e premier la force pour hypnotiser une malade atteinte d'aliénation mentale et peu de temps après M. Herrero a voulu faire
iée ailleurs. BIBLIOGRAPHIE- VII. Traité élémentaire des maladies mentales ; par le professeur S. S. Korsakov. Moscou, 1893
e série de travaux remarquables touchant aussi bien à la pathologie mentale pure qu'aux questions pratiques relatives à l'a
désirent se consacrer d'une façon spéciale à l'étude des maladies mentales , de consulter avec fruitles ouvrages de Wundt, de
état d'ex- citation maniaque et état de fureur; l'état de confusion mentale avec ses différentes formes : état de rêve, éta
dans l'étude de tous ces troubles qu'on voit combien la pathologie mentale est étroitement liée à la neurologie. Du côté des
anomalies du développement physique, de l'évo- lution des maladies mentales , de leur classification, de l'anatomie patholog
de la mé- thode graphique dans l'étude de l'évolution des maladies mentales . L'application de cette méthode a, en effet, de
aladies générales sans fièvre, le délire du collapsus, la confusion mentale asthénique, le délire trauma- tique, l'état com
ue le délire de la fièvre typhoïde, du col- lapsus, de la confusion mentale asthénique, tiennent également à une intoxicati
les des psychoses; 2° constitutions psychopathiques, et 3° maladies mentales à base organique. Au premier groupe se rattache
excitation ma- niaque, manie aiguë et manie suraiguë); c) confusion mentale ou amentia de Meynert ou dysnoïa de Korsakov; d
n- nelles consécutives aux affections cérébrales; m) les maladies mentales constitutionnelles consécutives aux intoxications
suivants sont consacrés à l'anatomie et à l'étiologie des maladies mentales . Le chapitre qui traite du diagnostic con- tien
u Traité donne une description des diffé- rentes formes de maladies mentales d'après l'ordre indiqué par la classification d
i a été décrit surtout avec un soin particulier, c'est la confusion mentale , l'amentia de Meynert, dans laquelle l'auteur d
, dans laquelle l'auteur distingue quatre variétés : 1° con- fusion mentale primaire à forme stupide, curable (dysnoïa stupo-
e stupide, curable (dysnoïa stupo- rosa de Korsakov) ; 2° confusion mentale aiguë hallucinatoire à forme délirante avec ses
hallucinatoire à forme délirante avec ses subdivisions : confusion mentale à forme maniaque, confusion mentale à forme mél
ec ses subdivisions : confusion mentale à forme maniaque, confusion mentale à forme mélancolique, confusion mentale à forme
forme maniaque, confusion mentale à forme mélancolique, confusion mentale à forme récurrente et alternante de Greidenberg;
ale à forme récurrente et alternante de Greidenberg; 3° con- fusion mentale à forme démentielle; et 4° confusion mentale à
enberg; 3° con- fusion mentale à forme démentielle; et 4° confusion mentale à forme abortive. Dans l'exposé des psychoses d
hoses des dégénérés, on trouve une description très concise du fond mental des malades de cette catégorie. La place nous
, depuis six ans, s'occupe de la construction d'un asile départe- mental des aliénés devant coûter quatre millions, a enco
Vol. XXVI. Décembre 1893. N- 82 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE PERSÉCUTÉS AUTO -ACCUSATEURS ET PERSÉCUTÉS PO
la Roclielle, août 1893.) Aitcilivus, t. XXVI. 28 434 clinique mentale . idées de persécution. Les idées de persécution
i rien dit de semblable. Si, si ! j'ai bien entendu. 436 CLINIQUE mentale . 1 Ces phrases que vous m'attribuez, les avez-v
ées sur elle nous ont donné les résultats suivants : 438 CLINIQUE MENTALE . Ces caractères sont reliés à une origine génit
elle ne comprenait rien à tout cela ; ce sont les voix 440 CLINIQUE MENTALE . - qui lui ont donné la raison de ces misères,
des flammes de feu, c'est qu'on allume des allumettes 442 CLINIQUE MENTALE . devant mes yeux; si l'on me tue, tu mourras. M
sécution. C4 ! Mt. médic. psch. janv. 1893, p. 111.) 444 CLINIQUE MENTALE . avec elle qu'on arrive à lui faire ressentir p
es hallucina- tions verbales psycizo-motrices. (Congrès de médecine mentale de Paris, 1889.) 2 J. Séglas. (4MH. médic. ps
anv. t893, p. 112.) R Houbinowitch. ( Ibid., p. 98.) 446 CLINIQUE MENTALE . nous a pu observer deux cas semblables dans le
suggestion à l'état de veille, qui fournit d'excel- 448 ' CLINIQUE MENTALE . lents résutats, en donnant aux divers traiteme
x de Paris, 11 nov. 1892.) , Archives, t. XXVI. 29 450 CLINIQUE MENTALE . sans bégaiement qu'on lui donne à boire. Elle
t qu'avec peine, d'autant qu'il existait une faiblesse 432 CLINIQUE MENTALE . musculaire très marquée dans les deux membres
t fini par copier sa difformité, son sterno-mastoïdien 4S4 CLINIQUE MENTALE . s'étant subitement contracture. Un autre jour
u'elle était allée consulter dans cette circonstance. li56 CLINIQUE MENTALE . langue, nécessaires pour l'articulation des mo
ns de décrire ? Existait-il chez cette femme de la dégéné- rescence mentale ? Etait-ce une hystérique, que j'avais devant moi
t. L'agoraphobie, selon moi, peut être un signe de dégénérescence mentale , mais là l'hypnotisme n'y fait rien, elle peut êt
et dans une séance de cinq minutes je fais disparaitre 458 CLINIQUE MENTALE . immédiatement les troubles psychiques. Je lui
lité à droite, etc. Pas de signe de dégénérescence ni de dé- bilité mentale . Ces troubles psychiques je les rapporte à l'hyst
quelconque très anodin, de l'eau avec un peu de sirop 460 CLINIQUE MENTALE . 'd'écorces, mais en ayant soin de renouveler l
le n° de janvier 1893 des Archives de Neu- rologie. 462 CLINIQUE MENTALE . par son grand âge, les membres inférieurs et s
ue dans l'hystérie, que partout ailleurs ses résultats 464 CLINIQUE MENTALE . étaient nuls ou à peu près nuls, que si le mal
tantanément et le résultat est Archives, t. XXVI. 30 466 CLINIQUE MENTALE . durable, la neurasthénie, elle, n'est touchée
ais pas d'atrophie, les éminences thénar et hypothénar 468 CLINIQUE MENTALE . ont conservé leur relief. Pas d'amaigrissement
uggestion aux douleurs et à la marche et le résultat 470 0 CLINIQUE MENTALE . fut complet. Les douleurs que les pointes de f
e est susceptible de coexister avec toutes ! es formes d'aliénation mentale .On trouve des dypsomanes hysté- riques, des dég
résultats. Depuis quelque temps j'en arrive même à ne 472 CLINIQUE MENTALE . plus prendre la peine d'endormir mes sujets. I
s toujours en quête, comme nous le savons, de trouver 474' CLINIQUE MENTALE . un remède aux souffrances qu'ils endurent. Je
milles. Ces mariages consan- guins qui favorisent la dégénérescence mentale peuvent éga- lement produire l'hystérie. ZD C
nt chirurgical ET DE l'éducation pour l'amélioration des conditions mentales des arriérés; par le Dr P. NORBURY. L'idiotie
L'ovariotomie pratiquée sur les aliénées pour rétablir l'équilibre mental n'a pas généralement réussi. Quelquefois même la
manger (action sur les glandes salivaires) parfois modifient l'état mental , notamment la stupeur (en relevant la pression
Société donne le soin d'organiser le, prochain, Congrès de médecine mentale et de neurologie une commission composée des, m
é de tra- vail dans l'unité de temps ; l'inverse indique la fatigue mentale . Si l'on exécute une somme importante de travai
sens, comme stéréotypée ; en même temps le mécanisme de l'activité mentale prend les allures de l'excitabilité réflexe ; ell
ait aux symptômes méningo-encépha- liques : céphalalgie, phénomènes mentaux , méningites, localisations bulbaires et névrose
n une brève compilation de trente-trois pages. L'étude des troubles mentaux et des névroses y est particulière- ment écourt
tains éléments nerveux. Tous les chapitres consacrés aux affections mentales , mélancolie, psychopathies, etc., présentent de
rappeler à la vie. Cette malheu- reuse était atteinte d'une maladic mentale déclarée incurable; elle manifestait souvent l'
Alexie, cas d' sous-corticale, par 0. Berkhem, 131. Aliénation mentale syphilitique, . par' lairet, 61; De l'utilité '
e 1' = à ouvrir les asiles, etc., par Walms- ley, 82; Un cas d' - mentale i chez' l'enfant, par Ferlach, 325; J 1 Propa
entale i chez' l'enfant, par Ferlach, 325; J 1 Propagation de 1 ? mentale , par Strahan, 392; Le vélocipède dans 1' ment
opagation de 1 ? mentale, par Strahan, 392; Le vélocipède dans 1' mentale , par TU. Ewart, 393; la protection des médecins
Brouardel, 262. ' " "' , AUTO-11TO11CA'l'IO : IS,sur les maladies mentales `dans leurs rapports avec les -, ` par ' Régis e
ro-lé- ;Ematoayliqne,jparIiaiser; 484., t CoGnÈs, `de, médecine , mentale , u;, 171 ? 1 ? r des, m6decinsalienis- tes de
' Esprit, la disposition de ·l ? par Kroepeiin,500. ' ' ' Etat mental , sur l'- de Christine, reine de Suède, par Sarb
r Pelle- blini, 322. Ea.a.umr, - dans les maladies nerveuses et mentales , par Ven- tura, 236. ' ' 1 Exercice illégal d
ité, des causes* et de 1' i. ' dans les affections nerveuses et ' mentales , par Rieer, 162; normale etlrathologtque, parSa
arbo, 138; un cas d'anurie- par Halot, 145; contribution à l'état mental des -, par Long- bois, 168. - Idiotie, un cas
dtler, 326. Mensonge, et aliénation men- tale, par Fritsch, 264 Mentale , Richard et Simon et leur influence sur la méde
des ? tendineux'et - ` de leur modificatioii`dans les ma- ladies mentales 'et' chez les' épi- leptiques, par dc'Betcherew
ienne congénitale,' par Calvert, 318.' . Syphilitique, aliénation mentale ? ,' par l\Iairet,' 64. Il I : '1' Syphilis,
acquises par Richardson ? 56." Vélocipède, le dans l'aliénation ' mentale , par Th. Ewart, 393.' J Villa-Hôpital, descript
15 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ON DE 1)1. A. JOFFROY I Professeur de clinique z des maladies mentales . a là Faculté de médecine de Paris. V. MAG
xèè : , StpLle21eTJ ';ufn- t.T ·no vrrr y ? 'U ? 'rOY1 4 CLINIQUE MENTALE . 9G .tmt^ tfi fi`lrf" aFr gp^ t^v , nnn` .rr( ,
où'il^est, veut'descendre, mais sans savoir où aller.1 Obtu- ,sion mentale profonde : T. s.' 38°,4,Jèülë, décide a' tenter l
T. s. 38 ? 1 t 29 décembre. T. m. 36°,9. Persistance de l'ohtusion mentale ; ; dit qu'on ne^lui donneras manger alors qu'i
. ,... ? ii ps* : naJ(Dfv av nv aJuTtun vh ai'q )e- ? un» iji-j 6 mentale SUS NTOU v30 décembre]^ Tq m. 36,9 ? A°trûisheu
» ,zio3enJus Tijavd 27-févrie7 ? 'Uri'exàmén·trèsattentifdéel'état' mental f'rêvètee encore quelques idées de persécution
iolént éclate ;'la"*rétention d'urine' devient complète; le trouble mental et : rétat'généralfs'aggravent jus'-5^ qu'à'ce'
t, 1 a. 1 for ' m et dés 'délires' toxiques ;fç'estr' la confusions mentale avec^hallucina- tib s a 0 110 1 uesl.,Le màlade
yons tous les jours l'alcoolisme produire.deux ordres , de troubles mentaux : ceux, qui relèvent exclusivement de l'in- tox
ou moins aigu ;,elle a ? olué, nettement dan.losens)y ? q confusion mentale à forme mélancolique avec idées délirantes *,r
r : le 'malade me<parait''manifestement diminuétaun point de vue mental , et rien ne prouve^qu'il reprenne jamaisq compl
Il s'agit donc là d'un véritable Institut de Psychologie expéri- mentale , qu'on pourrait comparer à notre Ecole d'Anthropo
m ? ? 1.. , > 1.. 0- ? 1, .-Pendant sa pratique de l'aliénation mentale , l'auteur a observé quatre cas de névrites mult
élio- ration progressive eri'jàilvier," sans'chan.ereiit'de' l'état mental . (Amenicun journal of itisanity, 1893.) ^ ''9°r
e. 84 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. Observation II. Meurtre. Obtusion mentale d'origine épileptique ; Impudicité, hallucinati
Soc. de méd. ment, de Belg., juin'1893.)1 ' ) L'étude des facultés mentales de certains incendiaires et la'déter- mination
r contre le. système : de Kneipp dans le traitement de l'aliénation mentale , surtout au'début, -et dans celui de la neurast
dications de l'hydrothérapie et de labalnéo- thérapie en pathologie mentale . Mais il est évident que' la précision nous' fa
nistre, dans le but de faire introduire les matières de la médecine mentale , au nombre des épreuves, d'examen Adopté. ^ . I
ou'subaigu, délire qui témoigne simplement d'une profonde débilité mentale préexistante ainsi que le montrent le décousu e
ndividu et se -développant, «sans, coup férir, lorsque les facultés mentales se développent.».. u t ' "M ? Kirn. 11' y, a ?
s facultés intellec- tuelles. Il faut le distinguer de la confusion mentale ou désordre dans les idées , hallucinatoires, c
ant pendant toute la maladie. Grande agitation ; çà et là confusion mentale au moment de la surémotivité. Désordre des acte
té. Désordre des actes, souvent dangereux en rapport avec. cet état mental . Accidents somatiques multiples; lassitude; ama
si les idées d'auto-accusation étaient pathognomoniques d'une forme mentale particulière et j'ai constaté qu'elles s'observ
teur. , MARcEL BRIAND. r- BIBLIOGRAPHIE. I. Traité des maladies mentales ; par le Dr H. DAGONET, avec la collaboration de
En 1862, M. le docteur H. Dagonet publiait un traité des mala- dies mentales constituant l'oeuvre la plus complète de ce genre
emble,laclassification adoptée par l'auteur. Ce Traité des maladies mentales comprend d'abord trois parties distinctes. 1
périodiques. Une seconde classe est formée par la dégénérescence mentale et les folies dégénératives : débilité mentale,
ar la dégénérescence mentale et les folies dégénératives : débilité mentale , débilité morale, psy- choses dégénératives tel
fait remarquer à ce propos que plusieurs de ces formes d'aliénation mentale peuvent se développer dans beaucoup de cas en d
discutera spécialement les questions sui- vantes : 1° Pathologie mentale : Des rapports de l'hystérie et de la folie. Ra
eunes'praticiens n'ayant jamais étu- diés spécialement les maladies mentales , on n'a pas à se montrer si sévère. Au surplus,
Lille, 1894. Imprimerie Le Bigot. DAGONET (H.). Traité des maladies mentales , avec la collaboration de DAGONET (J.) et Duham
Travail du laboratoire du Professeur JOFFROY (clinique des maladies mentales ). La méthode histologique de Golgi, onle sait,
ement sur ces recherches, dans la mélancolie et les autres maladies mentales . Ce n'est pas la première fois que la méthode d
Signé : Dr Rouillard. 10 octobre 1803. Affaiblissement des facultés mentales . Em- barras de la parole. Tremblement. Paralysi
rle Dr J. Morel. Le traitement de tous les individus ayant une tare mentale et conséquemment leur 'préservation des maux qu
s tendre enfance. Les résultats obtenus par l'éducation physique et mentale dans les asiles spéciaux sont assez bons pour q
hies, en ce qui concerne l'état phy- sique du moins. Quant à l'état mental , ajoute M. Railton, on ne sau- rait prétendre q
r, une alimentation bonne et régulière. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 129 XII. Injections hypodermiques d'extraits D
s hypodermiques d'extraits DE substance cérébrale dans l'aliénation MENTALE ; par RYAU (de Norfolk). La cérébrine, dite alph
itish med. journ., 3 février 1891.) A. Marie. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. Le tonus PALATINUS CHEZ les ALIÉNÉS. par le
ez l'homme. J. SÉGLAS. II. DES auto-intoxications dans LES maladies mentales , faits d'ordre chimique et expérimental ; par E
nt pour engendrer Archives, t. XXVIII.. 9 130 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . l'épilepsie. Entre les mains de l'auteur, cett
licates modifications de la mimique, auxquelles REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 131 l'auteur attribue ajuste titre uue grande i
e la S«)<M)'t6)-c, 1893, n° 6.) Femme quarante ans, l'aliénation mentale débute quelque temps après une fausse couche. D
s. A mesure que cette vésanie évolue, des d32 . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . maladies somatiques apparaissent et se succède
tion qui font le sujet principal de cette élude REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 133 démontrent que les régions psychomotrices
ntré la Inicrorchidie chez 9,35 p. 100. Les 134 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . inversions du testicule se sont montrées sous
ifférentiel de la pseudo-paralysie générale est REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 135 -très difficile à établir le plus souvent.
ermie chez les aliénés; par le dOCteUr.L-B. Bouchaud. En aliénation mentale , on n'observe habituellemei.t ni élévation ni a
iarrhée ; épuisement avec marasme dans deux 136 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . observations ; alimentation insuffisante et ét
s émises pour expliquer la prédisposition créée par l'alién a- tion mentale . Il s'agit pour lui d'un trouble de la nutrition
m et la mort survient-en l'espace de quatre o u REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 137 cinq ans. A l'autopsie, on trouve une sclé
R. M. Cramer présente les conclusions suivantes : 1. La confusion mentale (amerxtia), le Wahnsinn et la Verrùcktheit ont un
nèse, proches parents. 6. Le symptôme prédominant de la con- fusion mentale et de la systématisation (Wahnsinn et Verrùckthei
n trouble morbide de l'activité intellectuelle c. Dans la confusion mentale , le Wahnsinn et la Verrùcktheit, l'affectivité
morale) ne joue qu'un rôle secondaire. d. Il peut y avoir confusion mentale (amentia), qui joue le rôle de symptôme soi t d
it. 2° Les éléments du diagnostic différentiel entre la confusion mentale , le Wahnsinn et la Verrûcktheit ne peuvent suppri
ants, on a admis, dans les asiles d'aliénés pour cause d'aliénation mentale , et par an (moyenne calculée pendant dix années
compliquer sans justi- fication suffisante l'étude de la pathologie mentale déjà bien encom- brée de formes d'aliénation me
la pathologie mentale déjà bien encom- brée de formes d'aliénation mentale non encore nettement définies. M. Pain a réuni
s et les améliorations dues à ces deux illustrations de la médecine mentale . La Fan- fare des Enfants de Bicêtre prêtait so
llustres représentants. La vie de ces deux maîtres de la pathologie mentale , malgré les profondes différences de caractère
t déjà fait école, l'enseignement clinique et public des mala- dies mentales , à une époque où cet enseignement n'avait pas d
utes les notions qu'ils ont pu acquérir sur la science des maladies mentales et qui se sont répandus ensuite en France et à l'
'a donné doublement la vie comme père et comme maître en aliénation mentale . Je laisserai ce soin à mes excellents collègue
un dernier hommage à la mémoire de ces deux maîtres de la médecine mentale , dont les bustes sont aujourd'hui posés sur leur
ignement : La clinique doit être la véritable base de la pathologie mentale . L'ana- tomie pathologique et la psychologie no
auditeurs les pages vivantes et les plus émouvantes de la clinique mentale ; et comme le disait Lasègue qui se plaisait à s
lle devait avoir, la cons- titution définitive d'une nouvelle forme mentale . Vous pouvez être satisfaits, chers maîtres, vo
'École de la Salpêtrière. M. Falret, dans le livre sur les maladies mentales et les asiles d'aliénés, publié en 186, s'est a
de réunir en volumes, sous le. titre de Recherches sur les maladies mentales , la plupart de ses travaux ; il les a groupés p
e des centres nerveux, la physiologie, la pathologie et la clinique mentales , la thérapeutique et la médecine légale des alié-
ants alié- nistes, plusieurs autres sujets intéressant l'aliénation mentale seront exposés par leurs auteurs, qui se sont d
ns l'ordre alphabétique, chefs de clinique de la chaire de clinique mentale à l'Asile clinique (Sainte-Anne). Nous adressons
mbre 1879, il était chargé du cours annexe de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Nancy. « Préoccupé,
enu chercher son fils et a déclaré qu'il était atteint d'aliénation mentale depuis quelques jours. La famille va faire le n
; cependant elle ne paraissait atteinte d'aucun trouble nerveux ni mental apparent... . L'incendie de la maison où elle h
cause plus ou moins efficiente. Au moment de son entrée, le trouble mental principal que présentait Mme B... était donc un
illeurs un fait que je constate souvent dans des états de confusion mentale , où il existe une certaine forme d'amnésie. Les
'asile. Elle a d'ailleurs par- faitement conscience de sa situation mentale , et sait qu'elle a perdu la mémoire, ce qui la
apparaîtraient. Ce mécanisme parait exister ' Paul Janet. Voir Etal mental des hystériques, 2 vol. in Collec- tion Charcot
e époque, d'un, établissement destiné au traitement de l'aliénation mentale , il lui manque encore bien des choses pour,, êt
eils hydro- thérapiques employés dans le traitement de l'aliénation mentale , on y voit même une grande piscine dont l'utili
e travail en plein air est précieux dans le traitement des maladies mentales . En les faisant surveiller attentivement, on peut
voirmontré que de minimes lésions' suffisent à mutiler les facultés mentales réputées jusqu'alors unes et indivisibles, il f
folie ne saurait plus consister à énumérer simplement les troubles mentaux variés qui se peuvent observer chez une hystéri
nt observer chez une hystérique avérée, mais à préciser l'affection mentale caractérisée par ses causes, son évolution aussi
prit; ils auraient pour point de départ certaines repré- sentations mentales trop fortes ou des associations d'idées trop fa
C'est un fait qui paraît aujourd'hui avéré et établi que le trouble mental élémentaire de l'hystérie, celui auquel tous les
l'autre automatique, nous donne la clef de la plupart des accidents mentaux de l'hystérie. Qu'on ait affaire à un spasme, à u
s ces troubles paraissent résulter ,non d'une simple représentation mentale telle qu'on en observe dans la vie psychique no
es qu'il de- vient possible de démêler dans l'ensemble des troubles mentaux complexes qu'on a, à tort ou à raison, rattaché
anifeste par les formes les plus diverses d'affections nerveuses ou mentales . On r conçoit dès lors aisément que plusieurs d
ormations physiques, par de la débi- lité ou de la déséquilibration mentale avec perversions habituelles des instincts, ins
sont pas moins distincts, ..Il nous faut maintenant étudier l'état mental des hystériques et 224 SOCIÉTÉS SAVANTES. les
i relèvent de l'hystérie et ceux qui dépendent de la dégénérescence mentale . Ce qui caractérise l'état mental des hystériqu
dépendent de la dégénérescence mentale. Ce qui caractérise l'état mental des hystériques, c'est, dans l'ordre intellectu
ans l'ordre affectif et moral un sentiment habituel d'impuis- sance mentale qui porte souvent à la tristesse; une suggestibil
e l'hystérie, il en est d'autres qui dépendent de la dégénérescence mentale . M. Falret a décrit chez les hystériques une fo
on voit que l'hystérie est à l'arrière-plan et la dégénéres- cence mentale au premier. De même les impulsions' que l'on a
nnent pas toujours à l'hystérie, mais souvent à la dégé- nérescence mentale . Il est vrai que nous manquons d'un critérium s
ette du thermomètre, etc. Ces quelques exemples montrent que l'état mental des hysté- riques est susceptible de déviations
, des contractures ou des attaques. Pour en finir avec les troubles mentaux qui ressor- tissent en propre à l'hystérie, il
ispensable si l'on veut saisir la caractéristique de certains états mentaux observés au cours de l'hystérie et s'expliquer
y observe si communément. Chez les hystériques, à côté des troubles mentaux qui relèvent directement de l'hystérie, il n'es
à l'apparition de la névrose, elles combinent leurs manifestations mentales avec celles de cette dernière affection. Au cou
ser. Les rattacher sans autre forme de procès à la dégénérescence mentale , comme le propose M. Colin, c'est aller vite. Il
poser ainsi : c Des rapports de l'hystérie .et de la dégénérescence mentale . » M. Ballet, d'ailleurs, semble s'être placé s
ciation de l'hystérie et des nombreuses formes de la dégénérescence mentale . On peut dire que l'hystérie se développe habit
lformations physiques, par de la débilité ou de la déséquilibration mentale avec perversions habituelles des ins- tincts, i
hystérie et les manifestations indis- cutables de la dégénérescence mentale se rencontrent fréquem- ment chez le même malad
em- ment chez le même malade ; 2° l'hystérie et la dégénérescence mentale ont le même facteur étiologique principal : l'hér
° l'hystérie et les principales manifestations de la dégénérescence mentale sont régies par des altérations identiques du méc
e mentale sont régies par des altérations identiques du mécanisme mental . Ne sont-ce pas là des motifs suffisants pour r
SAVANTES. 231 est une des nombreusesmodalités de la dégénérescence mentale . Cela n'empêche pas l'hystérie d'avoir son indi
i- vantes : 1° L'hystérie est une des formes de la dégénérescence mentale ; 2" Sur ses confins, l'hystérie se confond ave
rôle dans les phénomènes hystériques, sur- tout dans les phénomènes mentaux . Mais les hystériques n'ont pas la spécialité d
oujours différé des autres, qui a toujours présenté une~instabilité mentale . Il ne faut pas ôter ce sens au mot de dégénére
un mot que c'était une prédisposée chez laquelle la dégénérescence mentale existait à l'état latent. SOCIÉTÉS SAVANTES. 23
s est une question neuve en France. En 1889, le Congrès de médecine mentale de Paris s'en est occupé pour la première fois
igu, aigu ou suraigu;-3° enfin les aliénés dont les diverses formes mentales ont pu être occasionnées par des excès alcooliq
uels l'alcoolisme a joué un rôle dans la production de l'aliénation mentale . Or, à notre avis, les délirants alcooliques co
entrent pas dans les formes habituelles, classiques de l'aliénation mentale . Il vous faut donc, avant de créer un asile pou
e de cause occa- sionnelle pour déterminer l'apparition de troubles mentaux passa- gers. C'est surtout pour les malades de
sile d'alcooliques tous les prédisposés qui présentent des troubles mentaux , à la suite d'excès de boisson, cet asile spéci
ouve une fois de plus les nombreux liens qui unissent la pathologie mentale à la neurologie. Quelle doit être la dominante
auteurs, surtout étrangers, ont décrit, comme on sait, des troubles mentaux de la polynévrite. Ces troubles mentaux peuvent
comme on sait, des troubles mentaux de la polynévrite. Ces troubles mentaux peuvent se présenter avec des manifestations dé
ariées, mais leur symptôme fondamental est l'obtusion, la confusion mentale , pour employer l'expression maintenant cou- ran
, pour employer l'expression maintenant cou- rante. Cette confusion mentale se traduit essentiellement, comme tous les aute
tout à fait d'accord sur les caractères symptoma- tiques de l'état mental dans la polynévrite périphérique, en revanche o
sa pathogénie. Certains auteurs, comme Korsakoff, font de cet état mental une manifestation spé- ciale à la polynévrite,
soit spécial, encore moins subor- donné, et considèrent que trouble mental et polynévrite sont deux conséquences possibles
ou l'in- fection. 1 Certains faits dans lesquels le même trouble mental s'est observé à la suite d'une maladie infectie
à la suite d'une angine diphtéritique grave, présenta une obtusion mentale des plus manifestes. A peine ren- tré au corps,
mort plutôt que de rester indéfiniment dans cet état d'infériorité mentale . Tel est, depuis près de huit mois, l'état psyc
ies infectieuses sur le système nerveux. Or, ce malade, dont l'état mental est manifestement l'état men- tal caractéristiq
t survenue que près de huit mois après l'ap- parition de l'obtusion mentale et que, par conséquent, on ne peut la considére
quent, on ne peut la considérer comme véritablement liée au trouble mental . Ce fait vient donc à l'appui de cette opinion
té combinée d'une façon si grossière que l'intégrité des facilitées mentales du délinquant fut mise en doute. J'eus l'occasi
vince, l'objet d'expertises médico-lé- gales. Guéri au point de vue mental , l'aliéné ne sort de Gaillon qu'à l'expiration
de clinique de ces malades permet de constater chez eux un stigmate mental constant, le ré- trécissement du champ de la co
que des états frustes d'hypnose. . Cet état particulier de débilité mentale , qui peut coïncider pour- tant dans l'hystérie
verses influences dont l'effet général est d'affaiblir la puissance mentale et la répétition peut amener la production arti
e et la répétition peut amener la production artificielle d'un état mental analogue à celui de l'hystérique. E. Régis. F
Vol. XXVIII. Octobre 1894. N° 92. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE ASILE CLINIQUE (SAINTE-ANI4F). - M. MAGNAN. D
ÇON. SÉMÉIOLOGIE GÉNÉRALE'. Sommaire. De la méthode en pathologie mentale . - 9onoma- nie et délire partiel. La teneur du
la folie intermittente, le délire chronique . et la dégénérescence mentale . Différences dans la genèse des délires. Différ
lires. Différences dans leur évolution.-La prédisposition et l'étal mental sous-jacent rendent compte de ces différences.
irconscription de Paris. - . Archives, t. XXVIII. 18 274 CLINIQUE MENTALE . lequel se traduisent les maladies de l'intelli
'est tout ; aller au delà, c'est consacrer une erreur. 276 CLINIQUE MENTALE . Un exemple va vous faire mieux comprendre ce q
r l'hérédité. Mais cette hérédité qui plane sur toute la pathologie mentale , n'a pas également marqué ceux qu'elle entache.
rmes intel- lectuels ; et chez eux s'allient souvent à la faiblesse mentale des malformations physiques. Il y a déviation d
les jours d'après dans une relative tranquillité. 278 Ô CLINIQUE MENTALE . A l'autre extrémité de la pathologie mentale s
ité. 278 Ô CLINIQUE MENTALE. A l'autre extrémité de la pathologie mentale se rangent les sujets que l'hérédité n'a presqu
chroniques, à prédispo- sition plus accusée, mais dont l'équilibre mental reste intact jusqu'au jour où se développe la m
ie simples, délire chronique, folie inter- mittente, dégénérescence mentale sont des synthèses cliniques à caractères fixes
la marche et de la périodicité des accès, de l'intégrité de l'état mental dans la période intercalaire, de l'ap- parition
aniaques simples). Restent le délire chronique et la dégénérescence mentale , c'est-à-dire la psychose des sujets préalablem
ce cerveau jusque-là valide apte à l'éclosion'de la 280 , CLINIQUE MENTALE . folie ? Quoiqu'il soit, au moment précis où le
s et plus tenaces. L'alcoolique chronique, dépourvu au 282 CLINIQUE MENTALE . début de prédisposition, peut donc avoir lui a
Au moment de son arrivée à l'asile, au-dessus de l'affaiblissement mental , escorté des troubles somatiques classiques, ce
viens d'en- trer tendent à prouver que la prédisposition et l'état mental sont les deux jalons directeurs dans l'étude de
rer dans quelques détails; les personnes qui s'occupent de médecine mentale au point de vue pratique savent bien de quelle
point de vue de la pathologie ordinaire et à celui de la pathologie mentale . La constitution médicale est ordinairement bon
nées d'épidémie... . ' ' ". : ' ! l Au point de vue delà pathologie mentale , maintenant, quelques' particularités doivent ê
de la France, et il semble que l'homme conserve, dans l'aliénation mentale , plus ou moins du caractère ordinaire de sa rac
une influence très grande sur la fréquence relative de l'aliénation mentale , chez les uns ou chez les autres. Cependant, les
conceptions délirantes des seconds, quelles que soient les maladies mentales dans lesquelles elles' , entrent comme éléments
se produisaient, une connaissance parfois assez complète, leur état mental ne fut pas profondé- ment troublé, car c'est là
compliquée de nymphomanie. Mais le caractère commun de leur état mental , intercalaire aux crises, fut sans conteste de le
hallucinations psycho-sensorielles et non de pures représentations mentales . Il n'est pas nécessaire de dire que les halluc
a description du malade, présumée impossible à contrôler. Confusion mentale , amnésie continue ET anesthésie généralisée che
ès, le mot de dégénérescence tend à devenir synonyme d'aliénation mentale . Eh bien, la théorie de la dégénérescence, très v
alret, ne saurait servir de base à la classifica- tion des maladies mentales ; il faut substituer à ce mot, désignant une fa
casse, et qui a été communiqué au Congrès international de médecine mentale de 1889, nous avons montré les photographies du
e, susceptibles d'être améliorés ou même guéris, suivant leur degré mental . M. BouRNEViLLE montre les photographies qui re
soeurs internés en même temps, et douze fois la forme d'aliénation mentale s'est trouvée sensiblement la même qu'eux. M.
de Plou,jean, nommé Jean Legall. Cet individu, atteint d'aliénation mentale , avait quitté le domicile de ses maitres depuis
50. Pour nos abonnés, 1 fr. Joffkoy (A.). De la méthode en médecine mentale . Brochure in-8° de 23 pages. Priv : 1 fr. Pour
s abonnés, 0 fr. 70. Magnan (V.). Leçons cliniques sur les maladies mentales faites « l'asile clinique (Sainte-Anne). Recuei
ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE HYSTÉRIE. - CONFUSION MENTALE ET AMNÉSIE CONTINUE. ANESTHÉSIE GÉNÉRALISÉE. -
deux ou trois fois. Il n'y aurait rien de particulier sur son état mental antérieur ; mais il est au moins prudent de fai
nir de ces atta- ques, fait assez explicable eu égard aux accidents mentaux qu'elle présente d'autre part. Les plus saillan
re, aucune idée fixe, et l'on ne cons- tate qu'un état de confusion mentale assez accentué. Depuis son entrée dans le servi
ainsi à fixer son attention, à entretenir et à diriger son activité mentale . Mais supprimons ces deux conditions, et une fo
he l'anesthésie et l'amnésie hystériques à un état de désagrégation mentale particulier, de double con- science. Cette anes
venu à l'origine de l'amnésie, de l'état aboulique, de la confusion mentale , et dont la persistance depuis lors est sans do
ès quelques efforts. Il persiste même un certain degré de confusion mentale , la notion des lieux, du temps, des faits, est
il s'est produit dès lors une très légère amélioration dans l'état mental , jusqu'à ce qu'une nou- velle attaque, en rappe
366 CHIMIE PATHOLOGIQUE. quand il s'agit de maladies nerveuses ou mentales , car les modifications des échanges nutritifs n
bre de maladies. On l'observe, dans différentes formes d'aliénation mentale et si elle est plus fréquente dans la para- lys
xercices au laboratoire et cours (1er et 2e cours); c) Patho- logie mentale , hypnotisme, psychologie anormale; d) Psycho- l
ine pendant toute l'année, et s'est occupé de psychologie expéri- mentale proprement dite. Il y a à l'université un labor
ienne augmenta de trois quarts de pouce, sans lésions cérébrales ni mentales appré- ciables. (British Oled. Journ., 2 juin 1
s cérébrales; on y peut joindre les complexus moteurs sans débilité mentale et la paralysie avec idiotie. Deux observations
. sei- ner Organe, Wesbaden, 1893.) P. KMAVAL REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XVIII. Recherches sur LE crétinisme; par WAGNER
AL. P. Keraval. Archives, t. XXVIII. 20 402 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XIX. Contribution A IA 'MÉTHODOLOGIE d'une ant
mmunes) semble vivre en rêve quoique éveillé. P. K. XXI. Troubles mentaux dans la syphilis; par P. IOIVALI,NSIil'. (Allg.
lis. C'est une paralysie générale atypique. , REVUE DE pathologie mentale . 403 Enfin l'auteur établit l'existence de la s
gauche). Sur 93 paralytiques il y avait : 404 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . mobilité pupillaire bilatérale, sont, comparée
inclus, il a été admis pour la première fois : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 405 Forme de la maladie : 406 REVUE DE PATHO
OLOGIE MENTALE. 405 Forme de la maladie : 406 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . gauche (48 p. 100) surtout au moment des émoti
34 cas, soit 27 p. 100). Criminalité (délits) de 19 femmes. Forme mentale . Psychopathie, surtout aiguë et passagère, soit
e déterminent d'après le délire dont ils dépen- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . li 07 dent. La démence ne se produit que lorsq
été périodique abortive. Il n'y faut pas faire rentrer la confusion mentale parce qu'ici l'incohérence domine la scène. Ce
asion brusque, ne puisse en imposer par l'exagération de l'activité mentale et des hallucinations pour une confusion mental
tion de l'activité mentale et des hallucinations pour une confusion mentale véritable. L'évolution juge le cas. La paranoïa
la dé- croissance des hallucinations et des illusions; la confusion mentale , au contraire, surtout dans sa forme maniaque,
et les conséquences de ces habitudes, sans 408 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . mes sensations et le décor qu'elles entraînent
ents sont en rapport immédiat avec l'impression REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 409 centripète et la manière dont celle-ci tro
e physiologique. P. KERAVAL. XXVIII. DES CONDITIONS DE la contagion mentale morbide ; par le Dr Marandon DE MGNTYEL. Deux
don DE MGNTYEL. Deux conditions sont essentielles pour la contagion mentale mor- bide : une prédisposition psychopathique e
voit un aliéné dans son codélirant actif. 410 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Après avoir bien nettement établi la nécessité
rès faible, et c'est surtout de vingt à trente ans que la contagion mentale fait sentir son influence. Ce sont surtout les
emmes sont de beaucoup plus sensibles que les hommes à la contagion mentale et il résulte des observations de M. Marandon,
et comme tels, faisaient partie de la maison. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 411 7° La misère, et il faut prendre ce mot da
rouva des lésions de niéningo-ëncéphalite/dis ? REVUE DE pathologie mentale . 413 persées symétriquement dans les deux hémis
igu). G. DENY. XXXV. LE czar Jean LE Terrible DE RUSSIE ET son état mental ; par le Dr P. Kowalewsky. (liull. de la Soc. de
cations spéciales des visites dans les diverses formes des maladies mentales . Il éta- blit les conclusions suivantes : , 1
d'un sentiment obsédant. Eclairé sur la nature spéciale de cet état mental , il redevient plus calme et finit par être déli
Vol. XXVIII. Décembre 1894. ? 94 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE ASILE CLINIQUE (SAINTE-ANNE). M. AIAGNAN. DES
n délirante. Conception du délire chronique basée : 1° sur l'état mental primordial ; 2° sur l'évolution de l'affection
l primordial ; 2° sur l'évolution de l'affection tout entière. Etat mental antérieur des délirants chroni- ques. Genèse du
llie par M. le D' Pecharman. Archives, t. XXVIII. 28 434 CLINIQUE MENTALE . logue, dialogue, écho de la pensée. Systématis
des persécutions fut dégagé par Lasègue, en 1852, des autres formes mentales . Mais, je vous l'ai dit, le caractère du délire
un type morbide, l'évolution de la maladie tout entière et l'état mental sur lequel elle est née. Ces deux éléments fondam
ns que rien ait pu déceler, aux yeux de leurs proches, de trouble mental , ils n'entrent pas d'emblée dans la folie : une a
dives. Mais cette pensée tenace, continue, toujours la 436 CLINIQUE MENTALE . même, cette pensée qui écoute toujours, irrite
ifférents suivant le côté affecté ; les hallucinations 438 CLINIQUE MENTALE . pénibles cantonnées d'abord dans une oreille q
témoins ! mais on m'empêche d'en trouver ! » s'écrie- 442 CLINIQUE MENTALE . t-elle. Les voix continuent de se faire entend
de leurs ateliers; ils ne parlent pas, ils ne font que 444 CLINIQUE MENTALE . chuchoter sur son passage, « rigoler, se moque
elle entend aussitôt ce qu'elle lit; elle entend même 446 CLINIQUE MENTALE . la phrase entière avant qu'elle ait fini d'en
aux présidents de ' Magnan. Leçons cliniques, 278. 448 8 CLINIQUE MENTALE . République, aux inventeurs, etc. Certains mala
rique. Thèse de Paris, 1893. Archives, t. XXVIII. 29 450 CLINIQUE MENTALE . était assez étendue. 11 dessinait bien et joua
sie oculaire, pas de lésions du fond de l'oeil. Acuité 452 CLINIQUE MENTALE . visuelle normale. Le malade se plaint parfois
très faible. Elle ne renferme ni albumine, ni sucre. 454 CLINIQUE MENTALE . phaturie. Les chlorures seuls sont augmentés e
etc., nous dispenseront d'insister sur ce diagnostic. 456 CLINIQUE MENTALE . Mais sa polyurie est-elle aussi de nature hyst
Leçons de clinique médicale. Paris, 1892, p. 467. ZD 458 . CLINIQUE MENTALE . à faire connaître la polyurie dite essentielle
la Polyurie chez les dégénérés. Tit. de Paris, 1892. 460 CLINIQUE MENTALE . cernent des hommes. D'ailleurs, la présence de
e génito-urinaire. Sur une seule des dix-sept observa- 462 CLINIQUE MENTALE . tions étudiées par Ehrhardt, les antécédents d
ns- tatées. Nul doute que les applications de ces données expéri- mentales ne s'étendent d'ailleurs au delà du domaine de la
ote dans le prochain numéro des Archives de physiologie. PATHOLOGIE MENTALE . LES DELIRES PLUS OU MOINS COHÉRENTS DÉSIGNÉS
Paranoïa, (Allg. Zeilseh f. l'srchial., LI. 2.) . 476 PATHOLOGIE MENTALE . M. Cramer. Puisqu'il s'agit de vocabulaire, il
ent delà Ve·rziclctheit, Westphal refuse toute valeur à la débilité mentale , que l'on rencontre parfois, entant que caractè
, débilité, suivant lui, préalable et non consécutive à l'affection mentale . S'il est, à côté de cela, le premier qui ait p
dans celle-ci, viennent alimenter le délire ; elles 478 PATHOLOGIE MENTALE . ne font d'ordinaire point défaut pendant la pé
Verrücktheit aiguë ; dans un autre travail, il sépare la confusion mentale ( )'<6W<Ae) de la Verrücktheit. Buch co
rücktheit et de la maladie qu'il couvre. Qu'il y ait 480 PATHOLOGIE MENTALE . aussi un délire systématique avec désordre dan
ystématique avec désordre dans les idées et les actes, ou confusion mentale (Ve ? -wii@i-u71g), cela est admissible, en certa
ent par poussées, pro- voquent le complexus morbide de la confusion mentale (Yerwirr- theil), ainsi que le fait voir Merckl
'est la raison pour laquelle on a identifié à cet état deconfusioii mentale déjà mis en relief par Westphaije Wahnsinn acut
préciser une donnée jusqu'ici inaccessible : l'énergie de la vision mentale des individus. Pour donner un exemple de l'impo
des afin d'éviter qu'on ne perde de vue l'ensemble de la pathologie mentale . Il a également raison, à mon sens, de faire re
t sur les opinions des savants allemands en matière de patho- logie mentale . On pourra en s'en pénétrant bien, lire et compre
depuis quinze ans. (P. KKHAVAL.) SOCIÉTÉS SAVANTES. 489 fusion mentale (Wille), il faut entendre une maladie ayant pour
, de traumatismes, tient aussi bien à un état physique qu'à un état mental ; on la désigne sous le nom de démence aiguë : i
yse, la marche, la terminaison, plus encore que dans les mala- dies mentales à lésions qui permettent de relier entre eux les
illusions, les obsessions, les conceptions délirantes, la confusion mentale , la stupeur, peuvent persister seuls ou combinés
ologie une confusion inextricable. Prenons par exemple la confusion mentale (Ve ! 't0t ! ')'</tet<). - Elle s'appliqu
plique à l'ameuta considérée comme forme morbide et aussi aux états mentaux les plus différents auxquels la langue allemand
née peut-être sous le nom de perturbation et à de nombreux troubles mentaux qui ne sont qu'approximativement caractérisés p
la confusion qui s'est établie dans ce territoire de la pathologie mentale . Car au lieu de suivre les avis de Westphal et
à la diagnostiquer. Si, en présenced'un malade atteint de confusion mentale , on eût essayé de constituer Je type clinique, si
a chronique ou de la démence. Lorsque Mey- nert sépara la confusion mentale ou amentia et en fit une forme morbide, les aut
ie qui a cours dans les livres est à mon sens vicieuse. La débilité mentale et l'imbécillité sont désignés sous le nom géné
ppelle démence (Bloedsinn) une altération qualitative de l'activité mentale ; il y a des inconséquences entre les actes et l
g) présentent pour moi un affaiblissement quantitatif de l'activité mentale tout entière. Ces derniers conservent leur pers
. Ce qui ne veut pas dire non plus que ce qui leur reste d'activité mentale soit absolument sain. D'ailleurs, chez ces déme
, tels que tics, actes impulsifs, agitation maniaque avec confusion mentale , survenant par poussées et diminuant leur intel
plus profonde quand elle s'implante sur le terrain d'une faiblesse mentale congé- nitale (Schwachsinn) et quand elle frapp
guides quand il s'agira de distinguer, en présence d'une confusion mentale avec une agitation, si nous avons affaire à une
acquise, prendre les expressions de débilité men- tale et infirmité mentale . Nous devons en séparer la démence (Bloedsinn)
cins légistes s'efforcent en vain de démasquer chez eux la débilité mentale , parce qu'ils ne savent pas juger leur juste va
e pronostic et préci- pite le malade dans la démence avec confusion mentale , dans la démence confuse, que la même chose se
'agitation, procéder par poussées qui généralement aggravent l'état mental . En revanche, s'il ne se produit pas d'ag- grav
eut, ainsi qu'on l'admet aussi sans réserve, aboutir à la confusion mentale chronique ou désordre dans les idées chronique
uire après un long intervalle de plusieurs années de parfaite santé mentale et pouvant guérir; cette seconde bouffée peut d
rente susindiquée n'entre pas en scène etil tombe dans la confusion mentale chronique (chronische Vewirrlheit) sans passer
r les lignes de démarcation qui la séparent de l'amentia (confusion mentale , désordre dans les idées). Nous n'y arriverons
s. Quand les hallucinations sensorielles collaborent à la confusion mentale (Ve7-wiî,rtheit), dont elles ne sont pas les seul
e souvent pendant des semaines et même plus longtemps une confusion mentale , un désordre dans les idées (Verwirrtheit) tout
sistent plus longtemps. Des modalités précédentes de la confusion mentale ou désordre dans les idées(Ve·wirrtlaeit), il c
, et nous en avons fini avec le désordre danslesidées, ou confusion mentale désignée sous le nom d'amentia. Nous en détacho
née sous le nom d'amentia. Nous en détachons à dessein la confusion mentale des épileptiques et des hystériques. Il ne nous
t la signification de toutes choses, le malade atteint de confusion mentale a perdu toute notion, con- trairement à ce qui
qui constitue un symptôme d'excitation. En somme, dans la confusion mentale ou désordre dansles idées (amentia), l'incohérenc
s-ci sont désajustées ou déplacées (Incon- gruoenz). La confusion mentale se distingue donc, de par sa nature, de la foli
s lacunes intellectuelles. Toutes deux peuvent aboutir la confusion mentale chronique ou désordre chronique dans les idées,
pparaît encore plus rapide et plus forte à la suite de la confusion mentale non guérie. Mais ce qui est certain, c'est que la
mentale non guérie. Mais ce qui est certain, c'est que la confusion mentale n'aboutit pas à la folie systématique chronique.
de la folie systématique aiguë (paranoia acuta) et de la confusion mentale (amentia) parce que ces trois complexus ont des
oire; on y cons- tate : les formes rapportées supra de la confusion mentale , la folie systématique aiguë et chronique (para
conditions. M. Jolly. Les rapports qui existent entre la confusion mentale aiguë (acute Yerwirrtlaeit), et la folie systém
si en plein désordre intellectuel; c'est là le type de la confusion mentale aiguë. A côté d'eux, d'autres alcooliques sont
dantes de toute influence alcoolique. Les unes sont de la confusion mentale aiguë (acute Verwirrtheit) ou désordre intellectu
tique aiguë (paranoia acuta). S02 SOCIÉTÉS SAVANTES. La confusion mentale aiguë ou désordre aigu dans les idées, en- core
ue pendant des mois. Il y a, par contre, des syndromes de confusion mentale aiguë, dont la genèse est indépendante de malad
conclusions exactes, mais ilsretom- bent bientôt dans la confusion mentale (Ve ? ,wi ? ,7-theit). Le polymor- phisme des c
psychique permanent; quelquefois aussi, à la suite de la confusion mentale qui cède, on voits'organiser quelques idées dél
ique (poranoiu chronica) ayant été précédée d'un stade de confusion mentale (Verwirrtlaeit). Vis-à-vis de ces exemples de d
mencement jusqu'à la fin restent du délire simple ou delà confusion mentale , il y en a d'autres dans lesquels de prime abor
folie systématique aiguë aussi on observe des épisodes de confusion mentale passagers, soit au début de la maladie, soit da
lie intellectuelle primitive aiguë, sous les rubriques de confusion mentale (Veriviri,theit) et paranoïa (folie systématique)
tale, dont nous venons de parler. Dans bien des cas de confusion mentale , l'humeur des malades correspond surtout à celle
aque, le mania- que type, on constate souvent un stade de confusion mentale hal- lucinatoire caractérisé soit au début, soi
omalie de l'humour est primitive et qu'elle a entraîné la confusion mentale , tandis que dans l'autre, les conceptions délir
que dans l'autre, les conceptions délirantes de l'état de confusion mentale ont provoqué une cénesthésie gaie. C'est parfait
obligé de reconnaître qu'entre la manie d'une part et la confusion mentale et la psranom de l'autre, il existe des formes
manie par anoïque ou paranoia maniaque ; de : manie avec confusion mentale , c'est-à-dire manie délirante ; de : confusion me
ec confusion mentale, c'est-à-dire manie délirante ; de : confusion mentale maniaque. Il en est ainsi pour la mélancolie qu
is que, d'autre part, il existe des cas de paranoïa et de confusion mentale avec état mélancolique marqué et persistant.
es parties du mécanisme psychique. M. IOELI. Dans les perturbations mentales aiguës, c'est-à-dire SOCIÉTÉS SAVANTES. 505 c
supposer dans la folie systématique chronique. Quant à la confusion mentale hallucinatoire aiguë, on a, dans quelques cas,
que ces troubles affectent l'apparence phénoménale de la confusion mentale (Verwirrtheit). C'est ce que Ziehen a oublié de
Les phénomènes d'ordre cérébral sont de deux sortes : les troubles mentaux et d'autres phénomènes d'ordinaire rattachés à
mptôme est dû à des causes variées, souvent banales. Les troubles mentaux sont caractérisés, d'après M. Korsakow, d'abord
t pas une entité morbide. Dr DEVAY. Chef de clinique des maladies mentales . V. Contribution à l'étude des pseudo-méningite
-encéphalite diffuse, la plus grave et la plus commune des maladies mentales . Il n'est pas de médecin qui ne puisse à un mom
phies musculaires, les grandes 71é- vroses, Sollier; les affections mentales , Rohë; l'alcoolisme, le morphi- nisme et les in
NITE DE SUBSTITUER au MOT asile LE nom d'hôpitaux POUR LES maladies mentales ET NERVEUSES; par William REID. C'est une campa
ence. 5 folie systématique chronique hallucinatoire'. 3 confusion mentale secondaire'. ' 2 folie systématique chronique s
omme les moutons dans leurs étables, mais n'ont pas perdu la vision mentale autant qu'on pourrait le croire. Treize ont bes
s rapports médico-légaux de divers médecins spécialistes sur l'état mental des personnes examinées par eux. L'on n'a pu ab
xe. Cela est d'autant plus aisé qu'à Leipzig il existe une clinique mentale remarquable. Qu'on oblige donc les candidats au
- anarchiste, par Rist, 268. Auro-IyTOwcnTlov dans les maladies mentales , par Régis et Clievalier- Lavaure, 129. Autom
21t, 320; - d'hyiène de Buda- Pesth, par A. Marie, 422. Contagion mentale morbide, par Ma- randon de Montyel, 409. Cont
du -, par Schalfer, 316. Czar, le Jean le Terrible et son état mental , parKowalewsky, 413. Dmtwwsue, liar Haycraft, 4
ie, rapport de l' et de la folie, par G. Ballet, 219; con- fusion mentale , etc., par Séglas et Connus, 353. Hystérique,
ugère, 513. Menstruelle, folie primordiale, par Friedmann, 420. Mentales , traité des maladies , par H. Daôonet, avec la
E cérébrale, injections hy- podermiques de -, dans l'aliéna- tion mentale , par Ryan, 129. SULFO\.1L, COIItrIÙUt1011 .à la
y, 48. Syphilis, sur un cas de cérébrale, par Bitot, 41; troubles mentaux dans la -, par Kowalewski, 402; paralysie gén
16 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE ruz, DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE .J.-lU. CHARCOT
veux, reconnaissent, sans doute, une telle pathogénie. 1 CLINIQUE MENTALE DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS»; P
cet intéressant persécuté. Voir Ann., jan- vier 1882. 36 CLINIQUE MENTALE . jamais nié; mais ces idées venaient et dispara
ts chroniques sont des sujets normaux jusqu'au début de l'affection mentale (Magnan). Les persécutés de ce type ne sont pas
s 188C, séquestré à Charenlon. Déjà, avant le crime, il 38 CLINIQUE MENTALE . , avait été, pendant plusieurs mois, traité da
t définie; cependant cela me semble peu pro- bable. , 40 CLINIQUE MENTALE . · Il en est autrement du malade dont je parle
r, in Ann., mars 1890. Doutrebente, Id., mai 1890. 42 , .. CLINIQUE MENTALE . > ' son argumentation. J'éviterai à l'aveni
ver, il couche la fenêtre ouverte; je n'en finirais pas 44 CLINIQUE MENTALE . d'énumérer ses bizarreries; cependant il est t
par m'expliquer que être sère, c'est être pris par der- 46 CLINIQUE MENTALE . rière (pédérastie) : c'est là ce qu'on attend
t bon, l'intelligence remarquablement lucide. Il n'a rien de l'état mental des diabétiques. L'examen des urines n'a révé
glotte. La toux hystérique d'ailleurs, représente un type fonda- mental dans ce premier groupe. Les autres bruits sont
sera, vous allez le constater, tout autre chose. La représentation mentale d'un acte, a dit H. Spen- cer, c'est déjà l'act
en pareille circonstance et en particulier les représen- tations mentales d'un acte, se développent à l'abri de l'influen
même. Notre sujet Gr...rd, placée justement dans les condi- tions mentales que nous venons d'indiquer, entend les bruits l
ent fréquemment aliénés, et inversement, dans les diverses maladies mentales apparaissent souvent des tendances crimi- nelle
pathologiques chan- archives, t. XXII. 8 114 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . geaient sans cesse et quelquefois si souvent q
on les a répétées cinq fois. Mme C. Bertillon. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE QUELQUES formes ai
I. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE QUELQUES formes aiguës d'aliénation mentale ET DE leurs rapports avec la paranoïa, par M. le
la paronoïa avait indiqué des cas aigus de cette forme d'aliénation mentale . A l'assemblée annuelle des aliénistes allemand
nuelle des aliénistes allemands tenue il Nurem- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 115 berg, en 1877, sur la proposition du profe
nan et ses élèves démontrèrent l'existence d'une forme d'aliénation mentale , le délire chronique, caractérisée justement pa
rait trop exclusif à M. Rosenbacli qui fait 116 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . remarquer que ni Kralft, Ebing ni Schüle ne pr
rme aiguë de la paranoïa pour une manifestation de dégénérescence mentale et qu'enfin le délire d'emblée de M. Magnan n'emb
onnaître les formes aiguës comme un groupe indépendant d'aliénation mentale , mais cette question n'est pas encore suffisamm
catégorie distincte et caractéristique d'alié- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 117 7 nation, d'où la nécessité de les séparer
re le carac- tère dégônératif de sujets atteints de cette affection mentale . Con- formément à cette idée, étant donné ce fa
e générale, il y aurait lieu de considérer cette forme d'aliénation mentale comme un des modes de réaction du cerveau valid
de excitation, avec un trouble de sentiment 118 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . tres prononcé, une grande production d'halluci
automatiques dans la mélancolie. P. Keraval. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 119 III. Observations CLINIQUES DE l'asile pro
diagnostic. P. KERAVAL. IV. Contribution A la' casuistique d'états mentaux DOUTEUX au POINT DE vue IIsDICO-L1.GAL j par J.
i a donné l'éveil de la psychopathie. P. KERAVAL. V. Des MALADIES mentales dans les U USONS de correction; par A. Kuehn. (
proportion elle-même vingt fois supérieure à celle de l'aliénation mentale chez les honnêtes gens non nomades. 120 REVUE D
mentale chez les honnêtes gens non nomades. 120 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Voici 144 aliénés de ce genre (l'auteur a exam
s) se décomposant en : SOCIÉTÉS SAVANTES. 121 VI. De l'aliénation mentale , SUITE d'influenza; par A. SCIIUITZ. (Allg. Zei
d'onomatomanie. M. FaLnET. Dans mon rapport au Congrès de médecine mentale , j'avais établi que les obsessions n'étaient ja
ou interparoxystique et par un chapitre fort intéressant sur l'état mental des hystériques, dans lequel, par l'étude de la
os distingués con- frères envisage donc principalement les troubles mentaux dans leurs rapports avec l'arthritisme et ses m
intérêts des élèves qui viennent apprendre chez lui la pathologie mentale ; qu'arrivera-t-il s'il est chargé en plus de la
médecin de l'asile de la Charité; Pierrot, professeur de clinique mentale ; suppléant, Dr Fabre, médecin de l'asile de Saint
eaucoup, montrent la nécessité de traiter dès le début l'aliénation mentale . Ils viennent - = faits DIVERS. 143 à l'appui
ON et J.-B CHARCOT. RITTI (A.). - Congrès international de médecine mentale tenu à Paris du 5 au 10 août 1889 (Comptes rend
pas- sage que nous empruntons à son Traité pratique des maladies mentales : « En marchant ils écartent les jambes, se tie
. Voici cependant quelques remarques qui très ' Turnbull. Journ. of mental sciences, oct. 1881. z \\'iâles\vorth. Ibid., j
1. z \\'iâles\vorth. Ibid., juillet 1883. 'Clouston. - Journal of mental sci., 1877, p. 119, et Edinaburgk med. journal,
ur gaîté, leur entrain, ils sont apathiques, taciturnes. L'activité mentale s'é- teint, la mémoire et l'intelligence vont s
les signes d'ordre psychique qui restent au second plan. Le côté mental n'est représenté, en effet, dans la majo- rité
ésenté, en effet, dans la majo- rité des cas que par de la débilité mentale , un état de démence simple, tranquille, sans co
e opinion de Marcé est bien 1 Marcé. - Traité pratique des maladies mentales , 1862, p. 469. 156 CLINIQUE NERVEUSE. conform
ymptôme banal qu'on peut observer dans toutes sortes d'affections mentales , mais au contraire, qu'elle est un symptôme pro
aractérisées qui soient, au point de vue symptomatique, eu médecine mentale . Elle com- prend trois périodes. La seconde pér
Sa détermination est guidée par la logique. Du reste, ses facultés mentales sont conservées, et en dehors de ses idées déli
de la passion plutôt que de la folie dite épi- leptique. ' L'état mental habituel des épileptiques est bien connu. On sa
des circonstances pareilles, les médecins appelés à examiner l'état mental des accusés concluent sou- vent à la responsabi
ordinairement de diagnostiquer, sans beaucoup de difficulté, l'état mental du sujet. , , . '" ' ? ' ' , ? ? ' z . Les im
moins ingénieuse du réveil atavistique, chez un dégénéré, d'un état mental antrefois habituel à l'homme antéhistorique. Le
physiques de dégénérescence) des sujets permet de déterminer l'état mental de ces derniers tel qu'il était au moment de la
'influence de l'empoisonnement chronique par l'alcool, les facultés mentales s'affaiblissent pro- gressivement, et le dernie
important de cas, le résultat, non d'un vrai délire, mais d'un état mental pathologique particulier dû à l'empoisonnement
? ' Nous venons de passer eii revue un certain nombre de maladies mentales qui présentent, comme symp- tôme plus ou moins
l'imprévu sont les' caractéristiques 'de 'la plupart des maladies mentales dont ils' sont atteints.* ' ' Il - r ' Il est i
dégénérescence intel- lectuelle n'est pas le synonyme de 'débilité mentale . Les imbéciles, les débiles mentaux rentrent bi
st pas le synonyme de 'débilité mentale. Les imbéciles, les débiles mentaux rentrent bien dans la classe des dégénérés,, ma
es' rencontre que là. C'est l'état de déséquilibration des facultés mentales qui est le' critère de la dégénérescence intell
que irop souvent chez les dégénérés certains accès d'alié- nation mentale . Mais, chez eux, les circonstances qui précèden
très remarquables. Des sujets dégénérés intellectuels, non débiles mentaux , c'est-à-dire d'une intelligence normale, sont
estent dans cette folie morale qu'on veut rattacher, à l'aliénation mentale ? Des individus qui n'ont pas la notion de l'ho
mo- trice simple ou enfin à l'état plus faible, la représentation mentale motrice. Cette manière de voir est acceptée aujou
it à l'occasion; mère un peu nerveuse. Développement tardif, niveau mental faible. 11 y dix ansaccès de mélancolie, ayant
peut ne pas y avoir de localisation ; c'est la simple conversation mentale ; c'est ce que les malades appellent la voix de
ttentions pour moi, mais je n'en suis pas digne. » - Conversation mentale . - Le matin, quand elle se réveille, elle est a
a mort sans penser à se la donner. Elle présente de la conversation mentale très nette et la preuve que chez elle cette con
on mentale très nette et la preuve que chez elle cette conversation mentale se fait sur- tout à l'aide de représentations m
conversation mentale se fait sur- tout à l'aide de représentations mentales motrices c'est qu'elle arrive ainsi à se parler
cat 206 RECUEIL DE FAITS. portait le diagnostic de dégénérescence mentale , dépression mélan- colique. Elle est décédée da
ilité ; et comment elle manifeste le phénomène de la conversa- tion mentale . « Aujourd'hui, j'ai encore la tête plus lourde
J'y ai été franchement parce que je suis un âne.. , Conversation mentale . J'étais un sujet préparé contre les idées. Une
mme des voix inté- rieures. » (Elle n'a pas remarqué l'articulation mentale .) Elle n'a pas d'écho de la pensée non plus. c
e, Mél. Paq. semble avoir dès l'enfance donné des preuves d'un état mental spécial. Du côté affectif, elle trouvait le mon
ires, de ses actes même, incapable de. faire de nouvelles synthèses mentales à l'aide de ses nouvelles im-. pressions. Au
1 RECUEIL DE FAITS. très haut degré le phénomène de la conversation mentale à l'aide des images motrices, puisque la malade
t le malade et le mé- il. Séglas, loc. cit. . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 217 decin sur le point de départ réel de l'hal
'elle est tout à fait en rapport avec le sujet de sa conversation mentale . Cette malade a été considérée comme ayant des'
e sujet aucune sensation précise. ' (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE VII. LE MYXOEDÈME ET sa FOLIE; par J. Cumming M
LE MYXOEDÈME ET sa FOLIE; par J. Cumming MACKENZIE. (The Journal of mental Science, juillet 1889.) Le myxoedème est de des
nternement actuel. Diagnostic : mélancolie avec agitation. Son état mental , après des hauts et des bas sans grande importa
gmente de poids, et cependant sa faiblesse augmente et les troubles mentaux restent très accusés. Eu avril la peau est froide
pâle, charnue, comme bouillie. Mastication 218 revue DE pathologie mentale . imparfaite; déglutition difficile surtout pour
e sensation de fatigue, et facilité à se fatiguer.. Au point de vue mental , on pourrait réunir les symptômes en trois grou
diverses phases c'est l'affaiblissement intellectuel et l'hébétude mentale .- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 219 Enfin il e
blissement intellectuel et l'hébétude mentale.- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 219 Enfin il est intéressant de remarquer que
es globules rouges. La lenteur des réponses parait due à l'hébétude mentale plutôt qu'au retard des sensations. La tempér
ou d'état épileptique; par IIAIIRINGTON SAINSDUIIG. (The Journal of mental Science, octobre 1889). , Discussion intéress
LYSIE GÉNÉRALE DES ALIÉNÉS; par Joseph Wiglesworth. (The Journal of mental Science, octobre 1889.) D'après les faits qu'il
cause appréciable, et qu'à cette lésion se joignent des symp- tômes mentaux plus ou moins obscurs, il y a probabilité de para
lie par Malhan RAW, dans le service de W.-C. BLAND. (The Journal of mental Science, octobre 1889.) Dans le cas dont il s'a
'un trouble de la vision et de fortes dou- 1220 REVUE DE pathologie mentale . leurs lombaires conduit à penser que la maladi
agnostic précis chez LES aliénés ; par llal7at1 RAN.(The Journal of Mental Science, octobre 1889.) Il s'agit d'uu cas d'
accusé DU MEURTRE DE sa SOEUR; par Geo. H. SAVAGE. (The Journal of Mental Science, octobre 1889.) Le crime commis par c
XIII. Etude sur la STUPEUR; par James K. 'VHITwELL. (The Journal of Mental Science, octobre 1889.) Nous devons nous borner
ur en donner une idée satisfaisante. R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 221 1 XIV. Sur L'ÉTUDE DES conditions DE DÉVEL
rébrale CHEZ LES enfants ; par Francis W,\R ! OER. (Tite Journal of Mental Science, octobre 1889.) L'auteur s'est proposé
des enfants, ainsi que leur puissance cérébrale tant phy- sique que mentale , et l'avantage qu'il y aurait à répandre parmi
. R. M. C. XV. Tentative DE SUICIDE; par URQUIIaRT. (The Journal of Mental Science, juillet 1889.) Il s'agit d'un homme
IQUE, le 25 juillet 1889 ; par H. H.1YES NEwINGTON. (The Journal of Mental Science, octobre. 1889.) , , Comme la plupart
ortent à l'hospitalisation des cas récents et curables d'aliénation mentale . R. M. C, XV11. Cas DE FOLIE associée DES éta
états pathologiques intéressants ; par James RORIE. (The Journal of Mental Science, juillet 1889.) Dans le premier cas, il
elui d'un malade atteint de manie aiguë qui 222 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ne tarda pas à devenir chronique : il succomba
ORTEILS (maladie de Raynaud) ; par J. M.1CPHERSON. (The Journal of Mental Science, avril 1889.) Chez ce malade, atteint d
la maladie, a fait totalement défaut. Les modifications de l'état mental (substitution d'un calme relatif accompagné d'un
éjà signalées; Raynaud avait lui-même insisté sur les modifications mentales que l'on observe en pareil cas, et avait indiqu
ETHLEM : observation de c a10 ; par R. PERcY-SMITH. (The Journal of Mental Science, octobre 1889.) Observation curieuse d'
user pour régénérer l'Angleterre.. R. M. C. XX. Un cas DE STUPEUR mentale ou DE démence aiguë POST-FÉBRILE ; par John TUH
ou DE démence aiguë POST-FÉBRILE ; par John TUHNER. (The Journal of Mental Science, octobre 1888.) ' Ce cas est celui d'un
ns suivantes : 1° adhérence de la pie-mère à la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 223 couche corticale, au' niveau de la région
INQ MEMBRES D'UNE MÊME famille; par Oscar-T. WooDS. (The Journal of Mental Science, janvier 1889.) . Il s'agit d'une fam
la paralysie générale DES aliénés; par John TURNER. (The Journal of Mental Science, octobre 1889.) Ce travail, accompagn
été un peu supérieure à la normale; ou n'a 224 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . trouvé d'albumine que dans un très petit nombr
étranger DE L'OESOPHAGE; par E. Maziere COUIITENAY. (The Journal of Mental Science, janvier 1889.) Ce cas est intéressant
rrondi comme une châtaigne a pu s'arrêter et se REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . - 225 5 fixer dans la situation qu'il occupait
mbarras de la parole; par HARRINGTON SAINSI3URd. - (Tlee Journal of Mental Science, janvier 1889.) Courte, mais intéressan
de chorée associée A la folie; par George P. COPE. (The Journal of Mental Science, octobre 1888.) L'auteur relate longuem
du cerveau CHEZ LES imbéciles; par Fletciier Geacu. (The Journal of Mental Science, janvier 1889.) Ce travail repose sur s
des aliénés au CAIRE EN 1888 ; par F.-M. SAXDWITU- (The Journal of Mental Science, janvier 1880.) Ce travail donne des re
i que sur les prin- ARCmvES, t. XXIII. 15 226 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . cipales maladies mentales qui y sont traitées
S, t. XXIII. 15 226 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. cipales maladies mentales qui y sont traitées et les divers person- nages
UTIVE aux opérations CH1RURGICALES; par C.-T. DENT. (The Journal of Mental science, avril 1889.) L'auteur pense que la fol
r, encore plus important, des troubles physiques, c'est la réaction mentale , trop souvent méconnue ou passée sous silence.
une dame qui avait subi deux opérations assez graves, les troubles mentaux ne firent leur apparition qu'au bout de deux mois
la folie, il y aurait lieu de tenir rigoureusement compte de l'état mental antérieur à l'opéra- tion. On peut accuser, - e
e la vie est sensiblement plus grave lorsque la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 227 manie consécutive à l'opération revêt la f
s observés par lui. R. M. C. XXIX. SUR UNE forme rare d'affection mentale (G)'M6et<C/t<) ; par CoIVOLLY NORMAN. (Th
mentale (G)'M6et<C/t<) ; par CoIVOLLY NORMAN. (The Journal of Mental Science, octobre 1888.) Il s'agit d'une affecti
ants ; elle a en effet pour trait principal une véritable obsession mentale , qui se traduit par la manie de ques- tionner e
la crise se termine et que le calme renaît, 238 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . lorsque la conviction d'être toujours bien con
iques soient toujours et fatalement des stigmates de dégénérescence mentale . Cela est exact pour bien des cas ; mais il en
médico-légal. Telles sont ces absences de cons- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 229 9 cience qui caractérisent l'état désigné
pas de règle chez les malades et ne seren- 230 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . contrent que chez ceux qui présentent le plus
ou permanent, peut se rencontrer souvent dans des cas d'aliénation mentale confirmée et peut même exister dès le début.
être méconnue, en particulier chez les aliénés, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 231 sujets de la part desquels on ne peut trou
ations exactes de l'analgésie avec chacune des variétés de maladies mentales : tout au moins peut-on dire qu'on la rencontre
e. P. BLIV, XXXIII. L'activité psychique inconsciente EN pathologie mentale ; par F. de Sarlo (Riu. sp. difren., t. XVII, fa
l, complète en quelque sorte les études 232 1-) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . récentes de M. Piene Janet sur l'automatisme p
ubjectives ou signification DE certains symptômes dans LES maladies mentales ; par J. Draper. (Amel'ican jou1'11al of insanit
es phases initiales de la folie. ' Le début de beaucoup de troubles mentaux est dû à des épui- sements locaux de force nerv
ral, la dépression est la première preuve évidente de complications mentales , et plus tard les illusions marchent de concert
, avec PLUSIEURS observations; par Morgan FjNuc,iE. (The Journal of Mental Science, octobre 1889.) " Le premier mérite d
' III. SUR l'emploi DU bain TURC dans LE traitement DES TROUBLES mentaux . (Notes fournies par une expérience de dix années
ar une expérience de dix années); par Robert BAKER. (The Journal of mental Science, juillet 1889.) ? L'auteur préconise l'em
. Notes sur L'EMPLOI du SULFONAL; par W.-R. WATSON. (The Journal of mental Science, juillet 1889.) Le sulfonal n'est certa
CIBRINE comme antipyrétique; par W. Julius MICELLE. (The Journal of mental Science, janvier 1889.) Les recherches de l'aut
T DES habitudes ALCOOLI- QUES ; par W. S. PLAYFAIR, (The Journal of mental Science, juil- let 1889. . Le traitement préc
. Séglas. IX. DE l'entraînement physique COMME MOYEN d'amélioration mentale ; par le Dr Dey. (American journal of insanity,
aura comme résultat un réveil partiel et une stimulation du pouvoir mental et moral endormi. Après quelques variations sur
. M. SCHR.1DER (de Strasbourg). Des foyers d'inflammation expéri- mentale dans le cerveau des chiens et des pigeons. En ino
accompagnant de fièvre ou de paralysie des extrémités. Les facullés mentales disparaissent gra- duellement ; finalement la m
yroïde (trem- blement, hyperexcitabilité neuro-musculaire, troubles mentaux ) il est ' Voir Archives de Neurologie, Revue an
s hésitent à provoquer la mise en liberté d'indi- vidus dont l'état mental leur parait suffisamment amélioré pour rendre i
a valeur diagnostique et pronostique; Le Secret Médical en médecine mentale ; Les colonies d'aliénés. Un rapport sera fait s
Membre du Congrès sur des questions diverses touchant la méde- cine mentale ; 3° Les visites aux hôpitaux de Blois, à l'ancien
884, l'observation d'un malade atteint d'instabilité et de débilité mentales avec perversion des ins- tincts, qui avait des
INTERCOLONL1L DE iIIELBOUBNEi par F. N. iILINNING. (The Journal of mental Science, juillet 1889.) 1 On trouve dans ce dis
ux statistiques, des renseignements intéressants sur l'aliéna- tion mentale et la psychiatrie dans les colonies anglaises. No
yal DES aliénés DE h10\TROSE; par James C. IIowDEN. (The Journal of Mental Science, janvier 1889.) , Ce court mémoire, a
aliénés pauvres dans l'avenir ; par D. HACK- TUKE. (The Journal of mental Science, octobre 1889.) Etude intéressante et c
s EN DEHORS DES asiles EN Ecosse; par D. HACK-TuKE. (The Journal of Mental Science, janvier 1889.) - Nous résumons ici,
ns sont-elles appliquées en ce qui concerne l'étude de l'aliénation mentale 2 - Sans nier qu'il y ait, pour un praticien, ;
lus importantes que celles qui portent directement sur l'aliénation mentale , cette dernière * présente cependant un intérêt
anum (dose quotidienne quatre onces, en deux fois). (The journal of mental Science, jan- vier 1889.) Autobiographie inté
a Seine, que les asiles sont encombrés. - '1 .. DE l'aliénation mentale CHEZ LES GENS de. COULEUR aux états-unis; par A
ion de couleur de 6,580,793, on note, 6,157 aliénés. L'alié- nation mentale a donc continuellement progressé chez les gens de
ui a repris sa fille, Louise n'a donné aucun signe de dérange- ment mental ... ' ' Elle travaillait comme une négresse. '
préfet de la Seine prescrivit immédiatement un examen des facultés mentales de la jeune fille. Le 14 septembre 1891, j'ai r
traitement et à une surveillance que le désordre de ses facultés mentales rendait absolument nécessaires, elle devait être
deuxième session du Congrès international de psychologie expéri- mentale se tiendra du 2 au 5 août prochain, à Londres, so
examen médical, il fut constaté qu'elle était atteinte d'aliénation mentale . En consé- quence, elle a été conduite à l'Hôpi
. Vol. XXIII. Mai 1892. Nu 69, ARCHIVES DE NEUROLOGIE- CLINIQUE MENTALE . SOMNAMBULISME SPONTANÉ DANS SES RAPPORTS . A
e dont il voyait l'état s'ag- ARCU1VES, t. XXIII. 19 290 CLINIQUE mentale . graver chaque jour; et me demanda de la prendr
llons retracer les caractères les plus manifestes. 292 ' ' clinique mentale . Après une demi-heure de sommeil, la jeune fill
se lève pour tout remettre en place, puis se couche à 294 CLINIQUE MENTALE . , côté de sa mère, et passe une excellente nui
lle se lève rapidement, se couvre d'un jupon, approche 296 CLINIQUE MENTALE . une chaise de sa table, et mange avec toutes l
it de leurs efforts, et ridiculisait très spirituelle- 298 CLINIQUE MENTALE . ment leurs personnes. Son médecin lui-même,- q
les crises, à cette différence près que ce sommeil ne 300 CLINIQUE MENTALE . durait jamais plus de cinq minutes, puis elle
elle, étant donné les mutations qui s'étaient produites dans l'état mental de cette jeune fille, chaque fois qu'un événeme
singularité de sa maladie; de lui répondre si elle lui 302 CLINIQUE MENTALE . disait qu'elle ne guérirait pas - qu'elle avai
e ces manifestations multiples dérivent de la grande 304 CLINIQUE MENTALE . névrose; et dire que : quelle que soit leur fo
tômes psychiques reposent sur un fonds spécial, la déséquilibration mentale . Les héréditaires dégénérés sont les seuls alié
ont les seuls aliénés chez les- quels se montre la déséquilibration mentale . Sur ce terrain spécial, se développent des épi
mprisonné pour avoir, poussé Archives, t. XXIII. DU 30() CLINIQUE MENTALE . par sa perversion sexuelle, volé des chemises
ritent de fixer l'attention. D'autre part, si ces dégénérescences mentales sont héréditaires, dans quelques circonstances
ets, on observe des cas d'arrêt de l'intelligence et de dégradation mentale analogues à l'idiotie, à l'imbécillité, à la dé
ation mentale analogues à l'idiotie, à l'imbécillité, à la débilité mentale et même à la déséquilibration de l'héréditaire.
blement poussé à compter et à recompter les fleurs, : 'iU8 CLINIQUE MENTALE . les lignes d'une tapisserie, et il eut la rech
ie d'avant en arrière. HÉRÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS. 309 310 CLINIQUE MENTALE . Le front est plat sur toute son étendue sauf d
s sont plus intéressants à étudier. Le fond est la déséquilibration mentale . Pour bien comprendre ce défaut d'équilibre des
étendue et c'est ce qui explique la multiplicité d'aspect de l'état mental de l'idiot, dont les aptitudes s'étendent se co
sur la zone des centres sensoriels et des instincts. 3t2 CLINIQUE MENTALE . Les physiologistes ne sont pas d'accord sur le
comme ils sont privés du contrôle et de l'action modé- 314 CLINIQUE MENTALE . ratrice des centres -supérieurs, ils se montre
éma de Mey- nert montre bien les différents temps d'une opération mentale très simple : l'image de la flamme d'une bougie
l'évolution progressive des facultés HÉRÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS. 315 mentales aboutit à cet état de conscience qui nous perme
otre grand patriote, notre puissant orateur, quoique 316 ' CLINIQUE MENTALE . le poids du cerveau ne dépassât pas la moyenne
épileptique et avait des crises qui étaient suivies de 318 CLINIQUE MENTALE . délire et d'actes inconscients. Enfin, pendant
de même nature : le phénomène saillant est la déséqui- libration mentale . Chez des individus intelligents, érudits, acco
duite, elle est entrée dans uu' couvent. La mère est 320 CLINIQUE MENTALE . bien portante. L... aurait eu le carreau dans
presque entièrement effacées. Archives, t. XXIII. 21 322 CLINIQUE MENTALE . HÉRÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS. Quelquefois, il ne se
dans l'amphithéâtre de la clinique des études nouvelles sur l'état mental des hystériques qui venaient simplement conti-
s lui offrir. 'Messieurs, j'ai l'intention de vous parler de l'état mental de certains malades, mais il faut d'abord nous
dans les ouvrages de médecine,' on réunissait sous ce titre « étal mental du malade » quelques remarques plus ou moins gé
portable; des médecins doi- " vent étudier autre chose. Le mot état mental d'une malade » .doit désigner aujourd'hui pour
nutes au plus après le début des convulsions; la période de trouble mental ayant été extra- ordinairement courte, la malad
pas d'albuminurie, post- paroxystique. : . Deux jours de trouble mental consécutif aux accès. Une urine recueillie le 2
e en question est un phénomène clinique, faisant partie d'un état mental morbide connu, étudié et bien carac- térisé, et
risé, et qu'il n'a rien d'insolite au point de vue de la pathologie mentale . Il faut aussi tacher d'établir sa genèse, c'es
ion de Châteaudun de l'examiner et de faire un rapport sur son état mental . C'est ce rapport, légèrement modifié dans quelqu
s qui peuvent fournir des indications quant à l'étude de son état mental . Ensuite, je décrirai les symptômes présentés par
ossible, de la syphilis dans ses antécédents. - . Au point de vue mental , A... a toujours été normal. C'est ce qui resso
purgatif énergique. 17. L'agitation est beaucoup moins vive. L'état mental est redevenu ce qu'il était avant la crise de s
calme, la crise a avorté. On peut définir ainsi brièvement l'état mental actuel de A... : Dépression mélancolique légère
Quelques mots encore au sujet du diagnostic de l'accès d'aliénation mentale présenté par A.... Tout d'abord, mis en présenc
caractères distinctifs qui existent entre ces différentes maladies mentales et l'accès de délire mélancolique dont notre ma
les conclusions de mon rapport : 1° A... est atteint d'aliénation mentale (délire mé- lancolique). Il était déjà aliéné q
fut envoyé à l'asile de Bonneval, où il est en ce moment. Son état mental (leur février 1892) n'a encore subi aucune modi
L'observation détaillée d'A..., jointe à la connaissance de l'état mental réel de ce malade, ne peut, au contraire, que c
acquises aujourd'hui sur les impulsions homicides dans l'aliénation mentale . La pathologie mentale ne possède encore de bas
r les impulsions homicides dans l'aliénation mentale. La pathologie mentale ne possède encore de bases anatomo-pathologique
nos deux mélancoliques avec conscience, l'une a de la conversation mentale , l'autre a une voix de la conscience.-Sur nos d
avec dépression, l'une a une conver- 388 RECUEIL DE FAITS. sation mentale si accentuée qu'elle parle elle-même de voix in
ues ont toujours soit des voix intérieures, soit de la conversation mentale . Nous ferons remarquer seulement que l'état fai
le mal réside en lui, con- 1 Etudes sur les maladies cérébrales et mentales , p. 425. 392 RECUEIL DE FAITS. ' trairement a
olument rien. De plus, cette malade a maintenant de la conversation mentale très nette et elle cause toute seule « dans sa
fréquentes et constituer un des caractères importants de leur état mental avec lequel elles cadrent bien. - Elles peuvent
ons et des interprétations délirantes. D'une façon générale, l'état mental du mélancolique n'est pas propre au développeme
C PACHY3fÉNIN- GITE consécutive; par J,. W, PLUTON. (The Journal of mental Science, janvier 1889.) Les renseignements re
DANS L'EXPRESSION DE la PENSÉE; par Francis WARNER. (The Journal of Mental Science, avril 1889.) - Il est impossible de
S. (83). Remarque sur la quantité d'usure cérébrale dans l'action mentale . Le déploiement de l'intelligence ne dépend pas d
festations les plus précoces de la faculté d'expression de l'action mentale . La sensibilité graduellement croissante des ce
UR DE la glande pituitaire; par James-B ? VHITwELL. (The Journal of mental Science, juillet 1889.) Ces tumeurs sont rares
races d'hyperhémie récente. , Dans les autres formes d'aliénation mentale (folie périodique, épileptique, démence consécu
de la nouvelle loi définisse les aliénés dangereux et les maladies mentales ou à défaut de définition continue une énumératio
de voir les sept péchés capitaux transformés en autant de maladies mentales . En un mot, pour M. Charpentier, les séquestrat
s de ses collègues de considérer comme aliénés des gens dont l'étal mental ne justifierait pas la séquestration. J'admets
à ce qu'il soit en état de gagner sa vie, jusqu'à ce que ses forces mentales , sa vitalité intellectuelle, sans doute rétablis,
on dépend de la forme, du degré, de la période de leur perturbation mentale . La plupart d'entre eux augmentent de poids. Ce
te, paralysie des jambes. En dehors des crises, intégrité de l'état mental , l'enfant est rangé, affectueux, modeste. La guér
s d'hérédité, est, à l'âge de dix-huit ans, atteint d'une affection mentale caractérisée par : débilité mentale avec puéril
it ans, atteint d'une affection mentale caractérisée par : débilité mentale avec puérilité originale dans ses façons de par
nce horizontale du crâne s'est accrue de deux centimètres. L'état mental se résume ainsi : depuis l'âge de dix-huit ans se
, par un autre médecin, déclaré épileptique, et atteint de débilité mentale compliquée de dégénérescence morale. Une se pro
ées les maladies chroniques incurables, les affections nerveuses et mentales , avant de révéler leurs secrets. A cette époque
s qui affligent l'humanité, la plus cruelle de toutes, l'aliénation mentale , ne saurait être privée de ce bienfait. » Dès q
en Digard qui depuis quelque temps, donnait des signes d'aliénation mentale et terrorisait les habitants en tirant des coup
-au-Roi, s'est asphyxiée hier. Elle donnait des signes d'aliénation mentale . Elle 4â4 VARIA . se prétendait sorcière et c
es hommes de l'art, avaient très sérieusement oblitéré ses facultés mentales . A peine acquitté, il recommence à voler. Arrêt
rêté du 24 février.) Le Dr PACTET, chef de la clinique des maladies mentales à l'asile Sainte-Anne (1er novembre 1891), est
Brochure il-81 de 4 pages. New-York, 1892. Journal o/' zieruous and mental disease. KRAUSs. - Rhus aroznatica in the lreat
Brochure in-8° de 4 pages. New-York, 1892. Journal of nervous ond mental disease. KBAUSS. A neuro-topographical bust. Br
Brochure in-8° de 3 pages. New-York, 1892. Journal of nel'vous and mental disease. · L¡;FORT (A.). Le type criminel d'apr
-, par Warner, 22te * Entraînement physique dans les ma- ladies mentales , par Wey, 236. Epilepsie, psychique, par Ottole
par Bernhardt, 100. - Larynx, nerf du -, par Kagan,440. Maladies mentales , dans les maisons de correction, par Kuelm, 119
- gique, 237. Psychique, activité -, inconsciente en pathologie mentale , par Sarlo, 231. Pyramides, chez l'homme et l
17 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
NEUROLOGIE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CIIARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIR
ECTION DE MJI. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNA
térisés par un affaiblissement progressif et continu des facultés mentales . La mémoire a beaucoup diminué, elle a même presq
ligents, les autres sont débiles et présentent de la dégénérescence mentale . Les enfants intelligents ne seront pas poussés
. Trois accès. 34 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 35 36 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. rose doub
LOGIQUE. ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 35 36 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . rose double. Les troubles pupillaires ont été
3 cas p. 100; ils peuvent se répartir ainsi : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 37 Les autres troubles de la motilité ont été
observés dans la pro- portion suivante : 38 ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . un phénomène habituel et il n'a peut-être d'au
servations intéressantes de ces formes complexes de l'aliénation mentale . En tête des transformations du délire observées
ravité du pronostic du délire primitif. E. B. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 39 V. Un cas DE MOIIPIW¡OMA7'1]E; par M. Seiil
que ce soit une notion superflue pour la connaissance des maladies mentales . Il est des incorrections physiques, sans parle
- naissance des malades de l'esprit. E. B. 40 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . VII. Rapport des anomalies morphologiques avec
pport des anomalies morphologiques avec LES maladies NER- YEUSES ET MENTALES ENDOGÈNES; par SOMMER. (Ceiltralbl. f. Ner- ven
des troubles intellectuels fonctionnels endo- gènes eslla débilité mentale sans substratumanatomo-pathologique. - Mais on
é paternel tandis que le côté maternel, indemne de toute ano- malie mentale , leur a transmis l'anomalie morphologique; celle-
¡ 1 Archives de neurologie, t. XII, p. 88. z REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . - 41 malade écrit, il n'a ni images phonétique
'est impossible dans une maison d'aliénés. 42 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Observation D. Pendant un congé une femme a pu
6. Observation de délire du toucher dans le cours d'une confu- sion mentale secondaire. - Il est souvent difficile, dit M. Næ
non d'ob- sessions. P. K. X. Contribution A l'étude DES TROUBLES mentaux CHEZ LES dégénérés ; par 0. DORN13LUTII. (Allg.
u des hy popsychopathes. Leur histoire, le développement du trouble mental , le texte de leurs conceptions délirantes et leur
diotie; 2° l'imbécillité; 3° la démence consti- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 43 tutionnelle primitive, à laquelle il faut r
il se présente des signes de stase veineuse, 44 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . .d'ordinaire il y a augmentation de la densité
ses soeurs tout en louvoyant, quant à son appréciation de leur état mental : 2° exemples de transmission de conceptions dé
ter avec une femme. Cet homme a guéri.. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 45 XVI. SUR UNE sensation SUBJECTIVE de l'ouïe
artiellement. Il y a conversion totale ou partielle de l'irritation mentale , du traumatisme psychique, sur l'innervation motr
algré l'apparence heu- reuse du résultat psychique obtenu. Le rejet mental ou la défense mentale entraine des conséquences
reuse du résultat psychique obtenu. Le rejet mental ou la défense mentale entraine des conséquences névropathiques, mais à
disposition préalable. P. K. XVIII. DE l'hypnotisme ET DES troubles mentaux ; par F. JOLLY. (Archiv. f. Psychiat., XXV, 3)
n à voir avec cet hypnotisme, a enfourché. z 46 REVUE DE pathologie mentale . Voici maintenant un autre point de vue : Vou
ux obsessions. Dans certains cas, l'idée origi- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 47 nale au lieu d'être remplacée par une idée,
Svlpétrière, 1895, n° 1. Communication faite au Congrès de médecine mentale de Clermont-Ferrand, 1894. L'auteur rappelle d'
constitue une maladie systématique affectant 48 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE .' tout le système sensitif cérébro-spinal, c'es
t prise de l'idée fixe de maigrir. Elle passait REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 49 des journées sans manger et avait des vomis
rganes du système ner- Archives, t. XXX. 4 50 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . veux dont la modalité arrive à la connaissance
de ce dernier. , P. KEnavaL. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. Etat mental DE S... Clément, accusé DE VOL ET DE VIOL. Etude
t vu alors " sont unanimes sur ce point. Sa femme exposant son état mental pendant les mois de juillet et d'août 1892, au
tc. Mais en l'étudiant attentivement on s'aperçoit que ses facultés mentales n'arrivent qu'à un niveau peu élevé. Notez qu'i
. Chez nous, nous dirions qu'il est atteint d'une certaine débilité mentale . Si S..., poursuit le Dr Sieraccini, était simp
Si S..., poursuit le Dr Sieraccini, était simplement un débile au mental , nous le considérerions comme un individu à respo
ours, du fait des accès antérieurs, plus ou moins d'affaiblissement mental et d'irritabilité anormale. C'est le cas de S..
ans un état raisonnant qui, pour lui, représente l'état d'équilibre mental . 2° S... était dans un accès aigu de sa manie p
ats ou délinquants, instruits de ce fait que beaucoup de ma- ladies mentales ou nerveuses peuvent ne pas se traduire au dehors
e névropathique hérédi- taire, chétive, misérable et d'une débilité mentale assez prononcée, contracte la syphilis huit ans
e, la motilité de la langue est demeurée intaete. Quelques troubles mentaux . Plus tard aphasie. Gâtisme. La nature de la lé
leur parenté phylogénétique avec la dégénérescence, des affections mentales ? La réponse doit être affirmative. La caractér
d'instincts endogènes, sans cependant être atteints d'une affection mentale . Caractère criminel endogène et maladie psychiq
(de Tours) est décerné à M. HaNNION pour sa thèse sur la Confusion mentale . Une mention honorable est acc'ordée à la thèse
troversé qui, à aucun prix, ne doit être confondu avec les maladies mentales auxquelles l'hystérie peut s'associer mais sans
e la maladie. Paul Sérieux. II. ORIGINE ET progrès DE la médecine mentale ; par le D' Régis. (The Alienist and Neurologist
.) , Historiqne intéressant des progrès accomplis par la médecine mentale depuis Hippocrate, son fondateur, jusqu'à la réfo
u accroissement DES cas DE folie; par D. HACK TUKE. (The Journal of Mental Science. Avril 1894.) L'auteur a fait sur ce po
diminulion dans la proportion qui existe entre les cas de faiblesse mentale chez les sujets au-dessous de vingt-cinq ans et l
-ELLE EN Amérique (Etats-Unis); par F.-B. SANEOItN. (The Journal of Mental Science. Avril 1894.) En s'appuyant sur des sta
rté à la Morgue aux fins d'autopsie. Quant à Julia Martin, son état mental va être soumis à l'examen de médecins aliénistes.
de l'asile d'aliénés de la Roclie-sur-Yon, L'appréciation de l'état mental des femmes qui commettent un crime au moment de
normale et présentant tout au plus quelques signes vagues d'un état mental peu caractérisé. En pareille occurrence certain
ur homicide transitoire et où la classer dans le cadre des maladies mentales ? Nous ne connaissons aucun aliéniste ancien qu
comber à l'impulsion obsédante dans ce moment de désorien- tation mentale , de véritable affolement, qui accompagne chez c
on enfant nouveau-né ? Mais Tardieu ne connaissait pas les troubles mentaux de l'hystérie. Le terme de folie hystérique éta
Saulle', l, qu'en pareil cas, on est en droit de soupçonner l'état mental . En admettant avec l'auteur que nous venons de
ncontrer l'hérédité psycho- pathique accumulée et la dégénérescence mentale , véritable origine de cette bouffée délirante d
C'est alors qu'il nous commit pour procéder à l'examen de son état mental et dire si elle devait être considérés comme re
et très complet de l'inculpée, tant au point de vue physique que mental . Et d'abord Marie C..., bien que vivement émue et
accidents hystériques, des manifestations de la déséquili- bration mentale dont l'hystérie se complique d'une façon si fré-
1894; 3° Celte maladie a déterminé chez elle une déséquilibration mentale réelle dont il doit être tenu compte dans l'appré
e sang de ses règles. Nous observerons enfin que rien dans l'examen mental de l'inculpée ne nous a conduit à examiner l'hy
es ? Des études récentes ont bien mis en évidence cette indigence mentale des hystériques à stigmates. L'existence de l'ane
d'infanticide et nous tenions à l'indiquer. 1 Pierre Janet. Étal mental des hystériques ; les stigmates mentaux. Paris,
diquer. 1 Pierre Janet. Étal mental des hystériques ; les stigmates mentaux . Paris, 1892. THÉRAPEUTIQUE MÉDICO-PÉDAGOGIQU
ulsifs sont transformés le plus souvent en vertiges et en trouble mental avec obtusion intellectuelle profonde. On peut
des états de mal ou dans des périodes d'excitation ou de trouble mental consécutifs aux accès. Ces lavages ont paru produ
oliv... en particulier, à qui nous en avons fait pendant le trouble mental . Ce trouble a rapidement t disparu en quelques
restées pendant ces deux mois sans avoir d'agitation et de trouble mental , alors que la pre- mière était troublée d'ordin
ical Journal, 22 septembre 1894.) 1 A. Marie. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXIII. Remarques sur deux cent cinquante cas d'
c seul 2 fois; les excès vénériens 9 fois; le surmenage physique ou mental , 9 fois. 3° Convulsions infantiles : notées 29
ie, la menstruation, le mariage, la mas- turbation et la dépression mentale . Sur les 250 malades observés, on trouve 138 ho
fois; forme mixte, 69 fois; petit mal, 34 fois; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 157 haut mal avec épilepsie jacksonienne, 14 f
e jour exclusivement, et dans 20 cas exclusivement la nuit. 5° Etat mental : on a constaté dans 36 cas des troubles mentaux
nt la nuit. 5° Etat mental : on a constaté dans 36 cas des troubles mentaux caractérisés par de l'affaiblissement des facul
fait le malade de la cigarette. R. M.-C. 158 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . - XXV. Sur la mélancolie : analyse DE 730 cas;
ancolie : analyse DE 730 cas; parW.-F.FARQUIIARSON. (The Journal of Mental Science, avril 1894.) Les conclusions de cet im
endant la même période; 5 dans la majo- rité des cas, la dépression mentale s'accompagne tôt ou tard de délusions; les cas
moins une tentative; 7° dans un grand nombre de cas, la dépression mentale est associée à des lésions organiques bien nett
e proportion que s'accroit l'âge du sujet à l'apparition du trouble mental : toutefois, la guérison peut être obtenue, même
s un asile a une grande influence sur la terminaison de l'affection mentale : plus on met de promptitude à interner le mala
e est extrêmement variable : dans un très grand REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 159 nombre de cas, la guérison est obtenue en
ment apparente : dans les cas héréditaires, l'apparition du trouble mental est ordinairement plus précoce, les rechutes sont
physique; il est moins commun de lui trouver une origine morale ou mentale ; 15° les indications essentielles du traitement
folie DE la ménopause; par E. GooDUaLL et M. CRAIG. (The Journal of Mental Science, avril 1894.) La folie apparaissant d'o
environ 3,5 p. 100 (20 p. 100 pour Krafft-Ebing). Les modifications mentales et les troubles somatiques qui accom- pagnent c
s troubles somatiques, qui sont bien connus, mais les modifications mentales peuvent se présenter sous des formes très diver
très variables. Sauf pour Krafft-Ebing qui 160 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . donne le premier rang aux hallucinations de l'
, ce qui donne une proportion de 55,8 p. 100. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 161 Au point de vue de l'état civil, les chiff
DE DU DÉVELOPPEMENT PHYSIQUE; par James Middlemiss. (The Journal of Mental Science, janvier 1893.) Les cas de paralysie
e la vie : le trait le plus caractéristique a été l'affaiblissement mental à début insidieux et à progrès réguliers. L'éta
istait dans tous les Archives, t. XXX. il 162 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . cas une atrophie cérébrale très marquée. L'adh
er dans les cas de paralysie générale à forme lente avec excitation mentale modérée. R. DE MUSGRAVE CLAY. XXVIII. Un diag
II. Un diagnostic A faire; par REGINALD H. l\100TT. (The Journal of mental Science, janvier 1894.) Il s'agit d'un aliéné c
son entrée à Broadmoor, il présenta des signes évidents de trouble mental , des idées de richesse et plus tard de persécutio
ez les enfants et elle est plus fréquente qu'on REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 163 se l'imagine : dans la majorité des cas, e
l Il Il' ESl1lal'ch elE-seu furent tespre- 164 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . miers à attirer l'attention sur les rapports d
rs, les accidents ont disparu après la suppres- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 165 sion de toute boisson alcoolique. L'intérê
On doit considérer l'hébéphrénie comme un arrêt du développe- ment mental survenant au moment critique où l'individu commen
« délire aigu ». Le premier cas est très typique] pour la confusion mentale : fièvre très légère (37,7 a 38°,2), incohérence
rès lui, l'efficacité du traitement cardiaque, contre les accidents mentaux et tout en l'employant, ne pas formuler des pro
nce de l'affection psychique. M. Charpentier pense que les troubles mentaux liés aux affections 168 SOCIÉTÉS SAVANTES. du
roubles décrits relèvent de l'arthritis et non de la dégénérescence mentale . M. Voisin. Peut-être faut-il aussi faire inter
rédisposition et des causes dites occasionnelles, dans les maladies mentales . M. ToULOuzr étudie d'abord la prédisposition,
ique générale que l'on ne retrouve pas seulement dans la pathologie mentale , mais dans toute biologie et, on pour- rait dir
S DIVERS. 175 Les rapports importants du Dr Tuke avec le Journal of Mental Science, le rendirent capable de grands service
ich auf die makros- kopische Untersuchung beschrà,nkt. * CLINIQUE MENTALE . PSYCHOSES SUR UN FOND DE DÉGÉNÉRESCENCE MENT
kt. * CLINIQUE MENTALE. PSYCHOSES SUR UN FOND DE DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE CHEZ LE VIEILLARD; Par le Dr TRÉNEL, Médecin
ndre parfois un âge avancé sans qu'aucun accident men- 202 CLINIQUE MENTALE . tal grave vienne attirer l'attention. Chez des
hercher avec soin les signes de désé- quilibration et les stigmates mentaux qui ont pu passer ina- perçus et qui, quelque a
is, n'en four- nissent pas moins l'explication de certains troubles mentaux chez le vieillard. C'est de cette façon que l'o
d'emblée, etc.) pour être valablement attribués à la dégénérescence mentale , peuvent être assez défigurés par l'affaiblisse
apparaître. L'une de nos malades a présenté les premiers symptômes mentaux à quatre-vingt-neuf ans, l'autre à quatre-vingt
donnant des dates exactes sans la moindre hésitation; 204 CLINIQUE MENTALE . elle exprime les idées les plus sensées sur le
, il y eut chez elle un dîner de famille, et qu'elle y 206 CLINIQUE MENTALE . a fait peut-être quelques excès de vin.) On va
n'a été traversée, semble-t-il au premier abord, par aucun accident mental . Même, l'intégrité actuelle des facultés paraît
d'exécution, fait qui n'est pas ici sans importance. 208 CLINIQUE MENTALE . Si nous ne nous attachons qu'à l'évolution mêm
qui rentre bien dans les formes se ratta- chant à la dégénérescence mentale . Nous ferons remarquer que ce sont les illusion
ire d'une deuxième malade, âgée aussi, chez qui la dégénérescence mentale se traduit tardivement encore par un syndrome cli
l'âge de soixante-dix-huit ans, on n'avait cons- taté aucun trouble mental , elle était intelligente, très sensée; sa mémoi
certain temps; la malade disait Archives, t. XXX. 14 210 CLINIQUE MENTALE . parfois : « Ah merci Catherine, Catherine est
91, en effet, notre malade, comme la précédente, z) 1 1 1) CLINIQUE MENTALE . était restée saine d'esprit ; aucun incident n
vienne, et cet élément nepeut être encore ici que la dégénérescence mentale . En l'absence de tout autre renseignement, la f
doute éliminer ici cette cause), d'autre part à la dégéné- rescence mentale ,c'est bien là le délire d'emblée dans sa forme
n'avons invoqué, pour attribuer les accidents à la dégé- nérescence mentale , que la forme du délire, nous retrouvons d'autr
endredi, du 13, tous ces faits qui sont l'expression de la débilité mentale , atté- nuée il est vrai. - Ses antécédents héré
endant remarquer que sa fille ne paraît pas indemne au point de vue mental . - En somme, les données que nous possédons suf
que l'ont établi Pinel et Eequirol, ces rénovateurs de l'aliénation mentale et, plus récemment, Duclieune (de Boulogne) et
ante de la neuropathologie, il nous faut constater qu'en aliénation mentale l'organisation n'existe qu'à l'état d'é- bauche
, Messieurs, de vous exposer brièvement la question. L'aliénation mentale n'est qu'une partie de la pathologie céré- bral
voir un moment méconnu cette vérité fondamentale que l'aliénation mentale a été en quelque sorte distraite de la médecine,
de la médecine, de sorte que les médecins ont délaissé la- médecine mentale comme chose étrangère à leur art, et que, d'aut
e générale comme s'adressant à la matière, pendant que l'aliénation mentale était afférente à un principe immatériel, suiva
scission qu'elles avaient faite, entre la médecine et l'aliénation mentale , n'a pas encore disparu. Et, cependant, il suff
de rencontrer des médecins complètement étrangers à l'aliénation mentale et à la psychologie, c'est-à-dire à la partie ess
ce que pendant trop longtemps 218 SOCIÉTÉS SAVANTES. l'aliénation mentale n'a pas été enseignée officiellement, à ce que
ongtemps, comme aujourd'hui encore, les connaissances en aliénation mentale furent regardées comme une instruction de luxe.
iplôme de docteur sans avoir assisté à une seule leçon d'aliénation mentale , sans avoir examiné un seul aliéné. Et, cependant
que si, comme je le réclame, chaque médecin recevait en aliénation mentale la même instruction que dans les autres branche
e dans les autres branches de la médecine et étudiait la médecine mentale , non pas de façon à être un aliéniste rompu à tou
voix pour signaler l'insuffisance de l'enseignement de l'aliénation mentale . Qu'il me suffise de rappeler que le regretté p
On doit entendre, par psychoses de la vieillesse, les affections mentales qui se développent chez des individus arrivés au
culier la mélancolie simple et la mélancolie anxieuse; la confusion mentale ; la manie; la folie morale; le délire systémati
est probable que la fréquence, chez les vieillards, de la confusion mentale est due a une auto-intoxication (urémie) ( ? ).
cès maniaque de certains intermittents. Ce qui caractérise cet état mental , c'est la surexcitation générale de toutes les
ent en spécu- lations ridicules. Telle est la physionomie de l'état mental du malade dont M. Cullerre rapporte l'observati
OCIÉTÉS SAVANTES. 239 malade du service de la Clinique des maladies mentales le trai- tement préconisé par Mikulicz (de Bres
, présentait outre les signes physiques de la maladie, des troubles mentaux caractérisés par des idées vagues d'empoison- n
ur du cou est resté le même, ainsi que le tremblement. Quant J'état mental et à l'agitation, ils n'ont présenté aucune mod
digestifs profonds, selles et urines bilieuses, etc.; enfin un état mental particulier tout à fait anormal. Je présente le
ives à l'épilepsie larvée : suivant les uns, cette sorte de trouble mental dont l'impulsion irrésistible est le caractère pr
concernent des faits dans lesquels un individu sujet à des troubles mentaux divers, ne fussent-ils d'ailleurs pas impulsifs
équence ou même disparaissent lorsque surviennent des perturbations mentales . 121l4 SOCIÉTÉS SAVANTES. Un autre argument d
lité : elle peut fort bien laisser à l'individu toute son intégrité mentale , la libre possession de lui- même et, par consé
faire intervenir dans un très grand nombre de cas la dégénérescence mentale . M. Voisin rapporte à l'appui de cette opinion
op court. M. Jules Voisin a dans son service une malade dont l'état mental reste quinze jours incompatible avec toute resp
iniquement et irréfutable- ment la nature .épileptique des troubles mentaux impulsifs ou autres. Il ne faut pas oublier qu'
ce genre ont été rattachés à la neurasthénie, il la dégénérescence mentale , et constituent ce que M. Régis a appelé la dro
fugue. Cela cadre-t-il avec l'idée que nous nous faisons de l'état mental des épileptiques ? Peut-être porte-t-on le diag
e touche pour la distinction de la nature hysté- rique des troubles mentaux et nerveux. Il estime, en effet, que les seuls
e dans les parties obscures caractérisant la plupart des affections mentales . Le monde savant applaudit à la conscience de v
éjà exprimé, il souhaite qu'un ensei- gnement officiel des maladies mentales , avec stage scolaire des étudiants, soit instit
e lamentent beaucoup sur leur situation, ont des accès de confusion mentale ; ils se rapprochent plus des déments séniles qu
es propositions suivantes : 1° Feldmann est atteint d'une affection mentale (paranoïa) depuis 1881; 2° les affirmations des
sont bien soignés dans les bâtiments principaux. » (trie Journal of mental Science, juillet.) Depuis bien des années nou
ident, son peu de connaissance de là langue fran- çaise et «on état mental rendant l'interrogatoire difficile. Il n'aurait
a paralysie générale. Cette lacune s'explique sans doute par l'état mental du sujet et la difficulté qu'il éprouvait à s'e
uloureuses particulière- ment dans le territoire du cubital. L'état mental est affaibli, la crédulité est extrême, le cara
d'lrgyll-Rohertson ; il n'y a pas eu de paralysie oculaire. L'état mental et le caractère ne paraissent pas altérés. Ev
. Quelques signes de satisfaction attirent l'attention sur l'état mental ; on constate des lacunes dans sa mémoire, une lég
des mains. Tous ces signes vont en s'accentuant rapidement; l'état mental tourne à l'hypocondrie avec délire triste et niai
m-veineuses, M. Paul SOLLIER (de Paris) décrit une forme d'anorexie mentale , primitive, spéciale, distincte de l'anorexie h
dans l'hystérie est plus tenace, l'amal- grissement rapide. L'état mental consiste en apathie aboulique et dégoût de la v
malade contracte la syphilis à l'âge de dix-neuf ans. Les troubles mentaux ont apparu vingt ans après et sont caractérisés p
de rémissions incomplètes de courte durée. A partir de 1890, l'état mental s'est transformé, et actuelle- ment la malade d
dans les asiles des aliénés transférés de la prison, et dont l'état mental avait été méconnu au moment de leur con- damnat
ants délits. Ces condamnations ne seraient pas prononcées si l'état mental de l'aliéné était reconnu à temps et le malade
ait important qui est la caractéristique psycho- physique de l'état mental affectif du paralytique général : la dou- leur
rate d'apocodérzie; par M. le Dr Toy, chef de clinique des maladies mentales à la Faculté de Lyon. Il résulte de quarante-hu
prononcés des deux côtés du corps. Tel est le cas. Au point de vue mental , le diagnostic de « démence juvénile » nous sem
ariés, aluminium, nickel, argent. M. A. Marie. Remarques sur l'état mental de quelques séniles. A propos de trois cents sé
e ab miseria). Il s'attache à montrer l'extrême diversité des états mentaux catégorisés démence sénile : il étudie ainsi le
rs mois sont nécessaires au médecin expert appelé à juger de l'état mental d'un individu. Il est aussi absolument utile d'
maladie n'a donc aucune influence fâcheuse sur elle au point de vue mental . Comme cause déterminante de l'athétose, la mul
hystérie)... . lli. MABILLE (de l'asile de Lafond). - Torticolis mental chez un dégénéré héréditaire. MM. BR1 ? ND et
rentra finalement à Sainte-Anne avec un certificat de « débi- lité mentale ». Il n'y resta que quelques jours. Une, nuit de
gue, habitant Sauveterre (Pyré- nées-Orientales), dont les facultés mentales laissaient beaucoup à désirer, avait trompé la
ntative de suicide; elles sont attribuées à un trouble des facultés mentales . (Petit Parisien, 31 août.) La nuit dernière, v
du hier dans sa grange, à la suite de pertes d'argent. Ses facultés mentales s'étaient affaiblies et il avait déjà tenté de
ité de nos confrères ne sait rien ou à peu près rien des mala- dies mentales . Sur quatre à cinq cents docteurs, reçus chaque
ranken. Springer. Berlin, 1893. ' H. Dagonet. Traité des maladies mentales . Paris, 1894. ' V. Krafïl-Ebing. Lehrbztch der
later (130-lGlr), qui a laissé d'importants tra- vaux de pathologie mentale , qui a défini et décrit l'idiotie, le crétinism
ca Medicina contient des vues exactes sur le pronostic des maladies mentales , sur la manie et la mélancolie', dis- ' Laehr.
de cet établissement : aussi 1 Marcé. Traité pratique des maladies mentales . Paris, 1862. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS EN ALLEMAG
vue de pourvoir à l'hospitalisation des sujets atteints de maladies mentales . En -170, d'après un règlement d'assistance pub
que l'on doit l'inauguration du trai- tement rationnel des maladies mentales dans des asiles spé- ciaux ; ils eurent aussi l
el en 1801, dans son Traité médico-philosophique sur l'aliénation mentale , traduit en allemand la même année par Wagner.
ravail devenu classique, sur le traitement psychique des maladies mentales . Il y trace une émouvante description de la condi
c Kaissler la publication d'une Revue de thérapeutique des maladies mentales . Dans ses Iihap- sodieen et dans son étude sur
tement x (/7e</a) ! a/<) pour les sujets atteints de maladies mentales curables. La renfermerie de fous fondée en 1791
abuser, ne furent plus employés qu'à titre 1 Esquirol. Des maladies mentales , t. II, p. 401. 1 En 1804, Glawnim directeur de
nisait à Leipzig et à Berlin l'enseignement clinique des maladies mentales , Nasse fondait à Bonn en 1818, une Revue pour les
ement. En 181, parut la première édition de son Traité des maladies mentales , réédité ensuite en 1861'. Grie- singer établit
r état le permet..., on les , 4 ' Griesinger. Traité des maladies mentales . 1861. Trad. franc. Paris, 1865. . 364 asiles
es, trop longtemps mécon- nues du traitement rationnel des maladies mentales . Pour donner satisfaction aux desiderata de la
desiderata de la science psychiatrique 1 J.-P. Falret. Des maladies mentales et des Asiles d'aliénés. Paris, 186'r. ! Moreau
chiffre aussi considérable ('100) d'aliénés. » (Traité des maladies mentales , p. 578). Un pavillon spécial était réservé aux
de la maladie, que dans la première. (Esquirol. Traité des maladies mentales , t. il, p. 'r01. Paris, 1838. 2 Il. Laehr. Forl
séquence la fonda- tion d'établissements de traitement des maladies mentales . Le principe des quartiers de surveillance cont
l) de jadis, mais bien des hôpitaux pour la guérison des maladies mentales . L'adoption du non-restraint, la réalisation de
et pour l'isolement et la surveil- lance de ceux auxquels leur état mental ne permettait pas de bénéficier de la vie en li
à la fois de véri- tables hôpitaux pour le traitement des maladies mentales , et des colonies pour la vie en liberté des suj
tiaires aux criminels devenus aliénés. L'enseignement des maladies mentales est actuellement assuré dans 19 universités par a
ersonnel de surveillance. Il existe 6 revues spéciales des maladies mentales et dix sociétés de psychiatrie. (Il. Laehr. nie l
le chloralose à la dose de 0 gr. 2 à 0 gr.4 agit dans les maladies mentales et nerveuses comme sédatif; à dose plus forte,
895.) E. B. VIII. SUR la chirurgie cérébrale dans LES aliénations mentales ; par le Il René Semelaigne. Dans une étude d'
vue les divers cas d'intervenlion chirurgicale dans les aliénations mentales à l'étranger, car, en France, sauf excep- tions
u sang un apport insuffisant de matériaux nutritifs : les fonctions mentales com- mencent, en conséquence, à faiblir en même
on constate un certain degré d'irritation aussi bien musculaire que mentale ; 2° à une seconde période, l'apport des matéria
ance d'une lésion orga- nique et qu'une classification des maladies mentales pourra être établie sur une base pathologique s
e trente cas observés par lui de 1879 à 1880, , REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 399 dans chacun desquels il y avait de la débi
HOLOGIE MENTALE. 399 dans chacun desquels il y avait de la débilité mentale à des degrés divers. Il se borne à indiquer aus
, alienist and 71eurologist, avril 1895.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXXVIII. CARL WiLHELM IDELER ET SON rôle dans l
défendre la mémoire de son père contre les 400 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . reproches que Siemens adressait à sa doctrine,
paralysies générales dans les asiles d'aliénés. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 401 Les recherches antérieures de Baillarger d
ales pour cent admissions : TABLEAU I 402 '1) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . . En 1860 le rapport entre le nombre des paral
générale. De 1877, sur 253 admissions il y eut REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 403 13 cas, soit une proportion de 5,13 p. 100
une proportion de 22,70 p. 100. P. Sérieux. 404 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XL. Jean Wasilewttsch IV, surnommé LE Cruel. É
de l'immobilité réflexe des pupilles. P. K. 406 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 40 p. 100 d'entre eux mouraient après un séjou
s on pourra voir le délirant admettre que les épisodes de confusion mentale qui le prennent de temps à autre sont de la mal
ÉS SAVANTES. 409 19 abstinents. 25 à 30 p. 100 des cas d'aliénation mentale sont pro- voqués par l'alcool. Le traitement de
'une atrophie des fibres corticales. Pour ce qui est des affections mentales primaires, l'apparition des symptômes dits seco
De l'influence de la race sur la fréquence cl la forme des maladies mentales et nerveuses. 4 Dans le groupe de la race europ
ique se distingue par la prédisposition de ses membres aux maladies mentales ; cette prédisposition ne peut s'ex- pliquer suf
cherches de l'auteur ont porté sur 99 femmes atteintes d'affections mentales chroniques, dont l'âge variait pour la plupart
traduit dans ses écrits d'une façon qui révèle un état de débilité mentale . - Enfin deux autres enfants partageaient le dé
vers les idées de grandeur et la démence. Immobilité. 2° Débilité mentale avec délire des perséculés-perséculeurs (le mar
cilement irritable. Mais rien ne montre l'existence d'une affection mentale . L'absence de mémoire constatée chez lui est si
simulation bizarre inventée par W....l'indice d'un état de débilité mentale . M. PELSIA1V.- Sans doute la vie deW... est ric
-psychologique mettait au concours la question suivante : De l'état mental et du délire chez les imbéciles et les idiots.
pagnée de diabète se ren- contre dans certaines formes d'aliénation mentale . Sa présence précède ou accompagne des accès de
réquent, elle n'apporte aucune modification dans l'état physique ou mental du malade. La durée de cette glycosurie est trè
es. Cette hypotoxicilé coïncidant avec une amé- lioration de l'état mental , l'auteur pense à une corrélation. Il s'appuie
cole de la Salpêtrière, notamment pour ce qui concerne les troubles mentaux multiples si singuliers qui accompagnent celte
ules et les genoux sont le siège de douleurs. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 461 De retour au régiment, au commencement de
igine influenzique que naguère il communiqua au Congrès de médecine mentale et de neurologie de Bordeaux. REVUE DE PATHOLOG
médecine mentale et de neurologie de Bordeaux. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XL VII. La psychose POJ.Y ? ÉVRITIQUE; par R.
ions morbides ayant provoqué la polynévrite. 4G REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Ces conditions morbides sont représentées par
presque instantanée, étendue à toutes les caté- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 463 gories de souvenirs, circonscrite aux acte
ion, délire; l'apparition d'une paralysie 4G'l- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . amyotrophique plus ou moins diffuse. Dans les
nts degrés des désordres psychiques. J. SLGL.U. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 465 1LVIIf. Un cas d'amnésie partielle continu
iques sur les fonc- Arciiives, t. XXX. 30 466 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . tions du système nerveux, dont le trouble maxi
ussi se présenter sous forme d'aura ou d'accès. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 467 L'aura rotatoire est presque toujours préc
sonnalité qui se produit dans tout accès de 468 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . folie. Alors que les malades, guéris d'un accè
rficiels ET PROFONDS comme moyen DE D1.\- gnostic dans LES maladies mentales ; par AGOS'rlNl. (Riv. sp. di frein., t. 1, fasc
la folie hypocondriaque, hyperalgésie; rapidité REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 469 des réflexes cutanés et muqueux, exagérati
que s'applique en grande partie à l'origine 470 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . de la paranoïa; mais alors le cerveau des mala
qui est la cause de la folie, cette dernière n'étant qu'un symptôme mental de l'intoxication ,rémique aiguë ou chronique.
s. (Riv. sp. di fi-ci ? t. XX, fasc. Ill-IV.) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 471 L LXII. Les arcades SOUBCILIi : ftES ET LE
par plusieurs générations ont déterminé une 472 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . atrophie complète du sens moral : cet état de
llectuelle, d'idées hypocondriaques, d'irritabilité, de con- fusion mentale , d'amnésie, de cauchemars puis se développa brus-
age du ganglion et qui lui a paru être la caus- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 473 immédiate de la dégénérescence secondaire
ES sentiments ET LES passions dans LEURS rapports avec l'aliénation mentale ; par le Dr H. Dagonet. Ramenant avec Henaudin l
assions viennent exercer non seulement pour développer l'aliénation mentale mais encore pour en déterminer la forme particu
es maladies men- tales, envisageant J'individu atteint d'aliénation mentale et au point de vue de l'altération de l'intelli
ssi la forme spéciale du délire. C'est ainsi qu'à côté des folies mentales et impulsives et de cer- taines formes de délir
ourraient de leur côté constituer une forme principale d'aliénation mentale . Si la classification des maladies mentales sem
principale d'aliénation mentale. Si la classification des maladies mentales semble difficile à mo- difier dans l'état actue
de déterminer nettement la forme particulière que revêt l'affection mentale . (Annales médico-psychologiques, août 1893.) E.
médico-psychologiques, août 1893.) E. B. 474 l1 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . LTI1. Considérations cliniques SUR l'étiologie
as, la démence précoce qui est la règle, semble, comme les troubles mentaux surajoutés, devoir être attribuée moins à l'épi
lie hébéphrénique, elle est capable aussi de provoquer des troubles mentaux chez des sujets adultes. La forme de folie ob
lie observée a élé dans un cas un délire mélan- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . j5 5 colique ; dans un autre un état d'excitat
Contracture et atrophie des muscles des extrémités droites. Niveau mental d'un enfant de deux ans. A seize ans on constate
omane. Rachitisme dans l'enfance. Instabilité et déséqui- libralion mentales ; onanisme. Il y a trois ans, début des idées de
aussi l'alcool est-il le grand pourvoyeur du groupe des affections mentales . D'après M. Legrain, le tiers à peu près des ca
tales. D'après M. Legrain, le tiers à peu près des cas d'aliénation mentale survenant à Paris est imputable à l'alcool. Cel
a faculté d'avoir des enfants. L'accroissement des cas d'aliénation mentale a souvent été mis sur le compte de la fiévreuse
a- versées par un même pays. Ainsi il est prouvé que l'aliénation mentale est en forte diminution en Norwège depuis que la
t. scientif., 1890.) M. Ed. Toulouse, chef de clinique des maladies mentales de la Faculté de médecine, chargé par M. le pro
er l'importance de ce facteur étiologique surtout dans les maladies mentales , mais il est essentiel de ne pas tout rejeter sur
a mère pendant la gestation, etc., peuvent prédisposer aux troubles mentaux ; que l'enfant, par l'édu- cation, les habitudes
et on classe parmi elles les passions et les émotions. La contagion mentale doit être rattachée à ce genre de causes et M.
aux maladies nerveuses donnant lieu dans leur cours à des troubles mentaux (goitre exoplUalmique, tabès, chorée, épi- leps
e déclare partisan d'un examen obligatoire portant sur les maladies mentales . Déjà dans les temps les plus reculés, Pythagore
décadence de la psychiatrie, l'ignorance où l'on était des maladies mentales , ont conduit aux pires errements et aux condamn
y- chiatrie. En faveur de l'enseignement obligatoire des maladies mentales , on peut encore invoquer les projets considérab
Thiers, qui donnait depuis quelque temps des signes d'aliéna- tion mentale , était prise, samedi, vers onze heures du soir, d
puis quelque temps, paraît-il, elle donnait des signes d'aliénation mentale . Cette femme vivait seule; elle paraissait être
avoir signé un certificat constatant le dérangement de ses facultés mentales et concluant à son internement dans un asile d'al
uire. (Le Petit Parisien, 19 septembre.) Dans un accès d'aliénation mentale , le premier-maître du tor- pilleur embarqué sur
ies. Rapports des mor- phologiques avec les maladies nerveuses et mentales endogènes par Sommer, 40. Anorexie hystérique
, par de Michèle, 475. Chirurgie cérébrale dans les aliéna- tions mentales par Semelaigne, 379. CIII.OR,\LOSf-. Effets h
GUItARIriE dans la tétanie par Hoche, 377. DécÉW nés. Troubles mentaux chez les ? par Dombluth, 42. Dégénérescence.
Bombarda, 38. Gliose cérébrale chez les par Tedeschi, 467. Etat mental de S... Clément par Sieraccmi, 51 . Faisceau
ention mé- I dicale en -, par Delmas, 336. Hypnotisme et troubles mentaux par Jolly, 45. Séances publiques d ? 429. H
ns. Contribution à l'étude des cérébrales, par Shaw, 398 Médecine mentale . Origine et pro- grès de la -, par Régis, 87.
eige, 91. PRÉDISPOSITIONS et causes occasion- nelles des maladies mentales par Toulouse, 168. Processus. Parallélisme de
criminelle, -par Som- ? 78, ose sur un fond de dégéné- /tescence mentale chez le vieillard - par Trenel, 201 ? de la vie
, par Liebmann, 417. Race. Influence de la . sur les 1 maladies mentales et nerveuses, par Buschan, il5. Raretés d'un
e la en plaques céré- bro-spinale, par Popoff, 387. Séniles. Etat mental de quelques par A. Marie, 334. Sensation. Tro
18 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
EC'IION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine tle Paris. V. MAGN
Vol. VI. Juillet 1898. , N° 31 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . SUR UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE AV
, ' l'AR ¡ . A. JOFFROY, Professeur de clinique des maladies mentales . ET T Et. RAISAUD, ¡ Chef du laboratoire d'
oratoire d'analomic \ ' pathologique à la clinique des maladies * mentales . La question des rapports de la paralysie génér
nistes. Toulouse, 1897. Archives, 2e série, t. VI. t 2 CLINIQUE MENTALE . différente. Baillarger', un peu plus tard, abo
ple de Duchenne de Boulogne, s'attache à distinguer les symptômes mentaux du tabes de ceux de la paralysie générale, il n'h
médico-psychologiques, 1885.) ' Ibidem, p. 191. 1 4 z CLINIQUE MENTALE . quelques-unes de ses observations Cé soit ce d
bliée dans la Revue de Psy- clriïrtnie. juin 1S9S. 6 ' CLINIQUE MENTALE . Evolution de la maladie. Le 24 octobre 1894, o
sylviennes, ne présentent pas'de lésions apparentes. 8 CLINIQUE MENTALE .- ' grisâtre et paraissent présenter un certain
lement constituées; 1 Fi[/. 1. - Moelle lombaire. ) 10 CLINIQUE MENTALE . les fibres ne sont diminuées ni en nombre ni o
Fig. 3. Moelle dorsale. Fig. i. Moelle dorsale. 12 1. CLINIQUE MENTALE » , 1 .vers la périphérie de la moelle; mais ell
nt d'être question. Cette Pig. 3. - Moelle dorsale. 14 CLINIQUE MENTALE .. bande malade naît en avant presque immédiatem
t manifeste. FI ? 7. - Moelle cervicale supéie ure. 16 CLINIQUE MENTALE . Écorce cérébrale. L'examen des coupes de l'éco
n actuellement observée Archives, 2G série, t. M. 2 18 CLINIQUE MENTALE . avec celle du tabes dorsalis pour ce qui est d
nous pourrions dire que la maladie d'un neurone n'est 20 CLINIQUE MENTALE . pas appréciable à son début, lorsqu'il n'exist
é- rescences. (Archives de Neurologie, L896, no G.) 22 CLINIQUE MENTALE . d'invraisemblable à admettre que la lésion pui
merie spéciale du Dépôt. (Le Radical, 17 juin 1898.) PATHOLOGIE MENTALE . NOTES SUR LES IDÉES DE NEGATION; Par M. TRÉN
il. l'histoire du délire des négations. (l3zcll, de la Soc. de méd. mentale de Jlelgi'lue, 18\H.) Henry. Délire des néga- t
isé de négation (Revis ta di psicologia, I, f. 0;. 4 PATHOLOGIE MENTALE jours. Persistance de la mélancolie. Pas de tro
événements ont joué un rôle impor- tant dans la genèse des troubles mentaux et sous l'intluence de ces chagrins répétés, de
nne trop à manger. » Il existe un peu d'insomnie. 26 PATHOLOGIE MENTALE Depuis son entrée à l'asile elle est restée dan
nt plus) le premier degré de la perte de la vision et de l'audition mentales ? Elle ne se représentait pas le bruit des mach
dées de négations portant sur la personnalité de la 28 PATHOLOGIE MENTALE malade et sur le uzmzd; extérieur : quelque* id
le-même un état semblable. Premier accès.- Les premiers accidents mentaux gravesontéclalé d'une façon subite. En août 18S
a plus rien, puisqu'il y a tout ? ... Vous écrivez 30 PATHOLOGIE MENTALE toujours. Comment pouvez-vous tenir un- porte-p
la malade devient loquace, va, vient sans motif, 32 li PATHOLOGIE MENTALE promène de tous côlés une petite malade, une dé
asymétrie faciale. Archives, 2e série, t. VI. 3 34 PATHOLOGIE MENTALE 11 ? II... n'a reçu qu'une éducation élémentair
ion utérine et les préoccupa- tions de l'opération. Les symptômes mentaux ont éclaté deux mois après l'opération, qui ava
lui a fait aussi avaler des bêtes. Elle avoue que 36 'PATHOLOGIE MENTALE tout cela ne lui semblait pas ordinaire et que
'influence de ses hallucinations terrifiantes et se 38 PATHOLOGIE MENTALE - livraient à ce propos à la plus vive surveill
apparition des idées de négation a lieu, dès les premiers accidents mentaux ; plusieurs détails donnent à notre cas un aspe
on ne le voit guère apparaître si vite. Ici les premiers troubles mentaux datent d'avril IS9; les prodromes consistent en
dica-psychologiques 1893, 1 p. p. 198), et en dehors de la débilité mentale qui ne paraît pas exister dans notre cas. En
les excès vénériens, l'abus de l'al- cool et du tabac, le surmenage mental . Il ne faut pourtant pas leur accorder trop d'i
mporter. Il ne faut pas croire non plus qu'on se remet d'un travail mental fatigant par des exer- cices corporels forcés,
a lieu d'appeler l'attention sur l'apparition précoce des troubles mentaux (état démentiel progressif) et les phénomènes d
, mais un tic. Et quel tic ? Non un tic bulbo-médullaire, ni un tic mental (ou psychique proprement dit), niais un tic pol
que l'autre. P. l3Er.L.Y. XVII. LE traitement médical du torticolis mental ; par E. FEIaDEL. (Nouv. Iconogr. de la Salpétri
1897.) Le tic rotatoire de la tête appelé par Brissaud « torticolis mental » est le résultat d'un spasme toniclonique des
il en soit, devant la gravité reconnue du pronostic du torti- colis mental , l'auteur a élé amené à appliquer sur quatre mala
rieurs, encore le bassin ne se modifie-t-il guère. Au point de vue mental on note toujours au moins un bien-être, une satis
nt que le diagnos- tic exige la réunion des symptômes somatiques et mentaux , et de plus que ces symptômes ne sont pas quelc
e un facteur de paralysie géné- rale. 1 L'influence de l'hérédité mentale et nerveuse, sur laquelle les avis sont difféce
à son tour être appréciée. Pour MM. Mairet et Vires, cette hérédité mentale comprend « les cas dans lesquels on rencontre c
s on rencontre chez les ascendants des malades, soit une aliénation mentale , soit ces tares graves morales, comme des senti
fond générale- ment, au point de vue héréditaire, avec l'aliénation mentale , soit une des grandes névroses, épilepsie, hyst
pour l'hérédité tuberculeuse et qu'enfin la syphilis et l'hérédité mentale et nerveuse ont un rôle absolument nul. ' Abo
e de l'Ouest, donnant depuis longtemps déjà des signes d'aliénation mentale , était pris, hier dans la soirée, d'un accès de
perdu sa femme il y a quelques mois, avait été frappé d'aliénation mentale . Il s'était introduit dans la maison habitée pa
nts toxiques ? La question des auto-intoxications dans les maladies mentales n'est point assez avancée pour nous permettre d
s ses enfants, et qui ne présentait aucun signe de déséquilibration mentale avant le début de la ma- ladie qui l'amène à Ma
du service des hommes, appelé pendant un intérim à examiner l'état mental de celte malade, commençait ainsi son certifica
délire systématisé chronique, non associé à de la dégénérescence mentale , n'est actuellement incurable que parce que nous
avec soin. En Angleterre, notamment, J. Kean (in the Jour- nal of mental science) a observé 38 cas de fièvre typhoïde. I
vé avec soin dix ma- lades atteints de dothiénenterie grave. L'état mental n'a été modifié d'une façon certaine que pour d
-même qu'elle va très bien. Et de fait l'amélio- ration de son état mental persiste; le 18 septembre, la fièvre est tombée
- dente guérit, Mye B... se lève au mois d'août sans que son état mental ait jamais changé. Ainsi donc, dans l'observati
t, l'acte de se moucher. Ni douleurs, ni paresthésies, ni affection mentale . Ce tic occupe tout le facial, mais surtout la
trique ne fournit, quant à la curabilité par la compression instru- mentale , aucune indication, car il existe des cas dans le
ison étaient les plus grandes; ensuite, l'assimilation des maladies mentales aux autres maladies et leur traitement dans le
ent dans le même établissement contribuent à enlever à l'aliénation mentale son mauvais renom, dernier vestige de la croyan
ction des étudiants, il faut espérer qu'une cli- nique d'aliénation mentale sera annexée à chaque hôpital général, comme l'
année 1897; par le D1' Petrucci, directeur-médecin chef. - Médecine mentale a la campagne. Un cas de respiration de Cheyne-
D'' Voisin. Application de la suggestion hypnotique ci l'éducation mentale des enfants vicieux ou dégénérés ; par le Dr Bé-
dans une séance ultérieure, à en choisir quatre; une de pathologie mentale , ' une d'anatomie pathologique, une autre de th
ssistaient. Voici les questions qui ont élé adoptées : Pathologie mentale : Psychoses de la puberté; Anatomie patholo- gi
teur de Savigny- sur-Orge, avait été frappé subitement d'aliénation mentale il y a environ six mois. Il fut interné dans un
r à Sainl-Julien-de-Ralz. Roulet est sujet à des accès d'aliénation mentale . C'est pendant un moment de démence qu'il a tué
niacales; pas d'albumine. Consti- pation opiniâtre. Pas de troubles mentaux . Evolution de l'affection. Malgré le traitement
les ont été pro- noncées sur la nécessité de l'union de la médecine mentale et de la neuropathologie. Avec moins de talent
ombroso ; mais il est resté quelque chose qui relève de la médecine mentale et que nous connaissions depuis bien longtemps,
emps, c'est la détermination de la prédominance des dégénérescences mentales chez un très grand nombre de criminels. Ne crai
ura dans une observation sévère, analysé les symptômes d'un trouble mental , il pourra s'élever à la notion des mobiles qui
ion du médecin-expert dans les questions relatives à l'aliéna- tion mentale , est surtout de rattaclier l'acte incriminé à un
qui déjà trouvent, auprès du professeur de cli- nique des maladies mentales , un enseignement qui jadis nous manquait, fusse
a être contradictoire. SOCIÉTÉS SAVANTES. 207 . En aliénation mentale , il importe donc qu'on se prépare sérieu- semen
ui se senti- raient attirés vers la médecine légale de l'aliénation mentale . Qui mieux que nouspourrait dire les sombres dr
ise Paré et Schrcelter (1804) eussent déjà signalé que des troubles mentaux pouvaient survenir après les opérations, c'est
pendant l'année 1889, 1'illlebrown mentionne trois cas de troubles mentaux à la suite des opérations gynécolo- giques et G
la mélancolie anxieuse avec refus d'aliments et suicide, confusion mentale , délire halluci- natoire, délire aigu, délire d
la Société de médecine de Bordeaux, il s'agit d'un cas de confusion mentale avec dépression mélancolique, hallucinations ps
concernait, elle n'avait jamais présenté de symp- tômes nerveux ou mentaux , elle n'avait aucune frayeur de l'opé- ration e
s et principalement l'iodoforme peuvent aussi produire des troubles mentaux , Koenig, Krcemer, M. le P'' Berger et M. le D''
aitement ont été souvent [incomplets ou nuls. De plus, les troubles mentaux consécutifs à l'ovariotomie sont rares et ne sur-
tablement rapporter uniquement à l'auto-intoxication les trou- bles mentaux consécutifs à la castration ; il faudrait pour ce
e, dans lesquelles l'intervention seule peut engendrer les troubles mentaux , le rôle principal dans leur genèse revient d la
nt diurne lorsqu'il est intense. Il repose sur un fond de confusion mentale à laquelle viennent s'ajouter de l'exci- tation
communiquait les observations de trois malades atteints de troubles mentaux , liés disait-il, à une déviation de l'instinct
atteinte depuis plusieurs années d'une forme spéciale d'aliénation mentale qui s'appelle en psychiatrie « le délire raisonna
plus les rapports de la paralysie générale et de la dégénérescence mentale . Il s'agit d'un malade traité pendant plus d'un
s, l'alcool, les excès véné- riens, il s'arrête à la dégénérescence mentale présentée par le sujet à un si haut degré. On a
vingt-un ans, présente à partir d'octobre 1892 un état de confusion mentale auquel se joint un mois après, la faiblesse des
oglie et de fibrilles fines. Les auteurs insistent sur les troubles mentaux et sur la topogra- phie de la lésion. Le déli
point de vue- médico-légal. - M. Vallon étudie tous les troubles mentaux transitoires, tous les- états passagers d'alién
oubles mentaux transitoires, tous les- états passagers d'aliénation mentale , qui sont de nature à donner- lieu à une expert
légale. Il les classe ainsi : 1° vésanies transitoires; 2° troubles mentaux transitoires de la sphère émotive : émotions pa
es mentaux- liés à une intoxication : alcoolisme, etc.; 6° troubles mentaux liés- à une névrose : épilepsie, hystérie, neur
hystérie, neurasthénie, migraine oph- thalmique, etc.; 7° troubles mentaux liés à une affection des centres nerveux (traum
eux (traumatisme, lésion en foyer, etc., ou des nerfs); 8° troubles mentaux dans les maladies autres que celles du sys- tèm
ns les maladies autres que celles du sys- tème nerveux; 9° troubles mentaux liés à des troubles du sommeil : état intermédi
uestion, il trace la conduite- de l'expert dans les cas de troubles mentaux transitoires et arrive- enfin à exposer la faço
té atteint antérieure- ment d'un ou de plusieurs accès d'aliénation mentale . Ces faits- sont d'un autre ordre; ils appartie
ire l'objet d'un rapport spécial. J'avais déjà éliminé les troubles mentaux à début brusque, mais à. évolution durable. La
mitée 230 SOCIÉTÉS SAVANTES. à l'accès transitoiie d'aliénation mentale . L'hallucination mentale, , d'une façon général
VANTES. à l'accès transitoiie d'aliénation mentale. L'hallucination mentale , , d'une façon générale, peut donner lieu à exp
point de vue du droit criminel et du droit civil, mais les troubles mentaux transitoires, eux, ne sont guère de nature à de
elle, par exemple, que la contestation d'un testament, ces troubles mentaux , en effet, semblent acquérir en intensité ce qu
s. Si par un exceptionnel et heu- reux hasard la crise d'aliénation mentale , qui va n'être que passa- gère, n'a pas encore
t relative- ment simple : il consiste à reconnaître si les troubles mentaux sont réels ou simulés, c'est-à-dire, dans le ca
bien les caractères d'une des formes transitoires de l'alié- nation mentale ou s'ils n'en ont, au contraire, que l'apparence,
Dans l'immense majorité des cas, au moment de l'examen, le trouble mental qui a donné lieu à l'acte incriminé a disparu e
spécial, elles se réduisent, comme toujours en matière d'aliénalion mentale , à envisager parallèlement : 1° L'acte incrimin
nt. 2° Examen de l'inculpé. Il peut révéler, à défaut de troubles mentaux caractérisés, quelques vestiges, par exemple, une
que l'inculpé se trouvait héréditairement prédisposé à l'aliénation mentale . ' J'aborde maintenant un dernier point qui me
très petit nombre méritant d'être qualifiés d'états d'aliéna- tion mentale transitoire. Tous, sans exception, relevaient man
eption, relevaient manifes- tement soit d'un état de dégénérescence mentale , soit surtout de l'in- toxication alcoolique. E
nion. On admet donc en Allemagne qu'une forme au moins d'aliénatien mentale transitoire peut sur- venir en dehors de toute
Schwarzen, Kroeplin, Mendel, si j'admets sans réserve l'aliénation mentale transitoire, symptoma- tique de divers états mo
roduire un délire transi- toire même en dehors de la dégénérescence mentale ou héréditaire de l'épilepsie, des intoxication
ls doivent être traités en malades. SOCIÉTÉS SAVANTES. 235 cine mentale et de neurologie à Angers, j'ai été très flatté d
lement si en progrès. « Je salue M. Joffroy, professeur de médecine mentale de la Faculté de Paris, MM. Magnan de Sainte-An
, dans la matu- rité de votre talent, êtes la gloire de la médecine mentale et de la neuropathologie, vous jeunes gens qui
à des malades atteints de paralysie pseudo-bulbaires, de torticolis mental , d'acromégalie, de myxoedème avec ou sans troub
odifications dans le programme des études médicales, les mala- dies mentales étant absolument négligées, sacrifiées. Il sera
Il serait donc nécessaire qu'il existât une chaire de pathologie mentale dans toutes nos écoles de province; il serait uti
se de demander qu'on donne plus d'importance à l'étude des maladies mentales . Dans la même séance, M. IVIEIGE a fait une com
quatre ans après, elle était internée, présentant de la con- fusion mentale , de la sensiblerie, etc. A l'asile, elle eut des
ie, et aujourd'hui elle présente tous les stigmates psy- chiques et mentaux de cette névrose. Y a-t-il une relation entre l
e semble avoir eu aucune influence sur l'évolution de son affection mentale ; et c'est surtout dans ses rêves actuels de cara
complétées que par quelques notes, les modifica- tions de leur état mental sont moins nombreuses et les rares guéri- sons
cation impossible, mêler ensemble toutes les formes de l'aliénation mentale , et cette confusion loin d'accroitre le bien-êt
lades, d'augmenter leurs chances de guérison, aggraverait leur état mental . M. Marandon de Montyel propose de supprimer da
avec soin par le service médical pour ne 'pas aggraver leur état mental , comme je l'ai vu arriver quelquefois. La liber
s la section des hommes, deux jeunes dégénérés atteints de débilité mentale , sans épilepsie, dont l'un est frappé d'hémiplé
ns en moins fré- quentes, à mesure que l'ancienneté de l'aliénation mentale aug- mente ; qu'au bout de quelques années, lor
ta. (La Ri forma Medica, vol. II. n" 61 à 65, 1894.) ' CLINIQUE MENTALE . TUBERCULOSE ET ALIENATION MENTALE CONTRIBUTI
ude complète de toutes les circonstances de début de l'aliénation mentale et l'intérêt du rapprochement des circonstances d
l'hôpital général de Nancy, service de M. le Pl' Spilmann. Son état mental est absolument normal. Elle entend dire un jour
brusquement, éclatent de violents maux de tête et de la con- fusion mentale avec anxiété. Les troubles intellectuels s'accent
ni le temps qu'elle a passé à l'hôpital, etc... Elle 286 CLINIQUE MENTALE . : refuse absolument de se nourrir et a besoin
e l'état physique et une modification favorable parallèle de l'état mental . M... arrive peu à peu à se rendre compte de sa
trop longtemps son attention, on détermine encore de la confusion mentale avec sensiblerie, un peu d'excitation cérébrale.
qui s'occupent d'elle avec sollicitude, TUBERCULOSE ET ALIÉNATION MENTALE . 287 N qui complètent le traitement physique
, à début brusque, absolument dans les mêmes conditions : confusion mentale avec anxiété et, de plus, hallucinations terrif
it déterminé une auto-intoxication, que semble accuser la confusion mentale anxieuse ou hallucina- 288 REVUE DE PATHOLOGI
images visuelles, auditives et autres. Ils examinent ensuite l'état mental particulier des aphasiques et leur capacité civ
intellectuelle s'accentue, il y a lieu- de l'attribuer à un trouble mental . La microcéphalie se reconnaît à des signes assez
agréable. , Dans la paralysie infantile d'origine cérébrale, l'état mental pré- sente des degrés divers en rapport avec l'
A. Marie. Archives, 2e série, t. VI. 21 t REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 1. TROUBLES psychiques I'oST-oIL`R.1TOIRES; pa
hallucinations terri- fiantes de la vue et de l'ouïe. Ce* troubles mentaux ont persisté sans modification appréciable jusq
ctuelle. » L'intervention chirurgicale, agis- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 323 saut sur ce terrain spécial, se compose de
e myxoedème post-opératoire. Si l'on a pu croire que les troubles mentaux sont plus fréquents dans les maladies chirurgical
ont les alcooliques, chez qui la fréquence et la forme des troubles mentaux , à l'occa- sion d'un traumatisme, d'une interve
lence, c'est-à-dire que certains rêves 324 il REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . constiLuraient de véritables équivalents de la
érive a les caractères des psycho- ses traumatiques ou des maladies mentales produites par l'épui- sement ; 2° en pénétrant
rvenant ici soit en plein repos, soit pendant REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 32S 5 le mouvement, soit à l'état de veille, s
un paralytique. G. D. V. LES opérations GYNÉCOLOGIQUES EN MÉDECINE mentale ; par le Dr CuYLITS. (Bull. de la Soc. de médec
MÉDECINE mentale ; par le Dr CuYLITS. (Bull. de la Soc. de médecine mentale de Belgique, décembre 1897.) On sait que quel
souvent on constate chez les épileptiques de nos asiles un trouble mental ; soit l'excitation maniaque, soit la religiosit
générale ; tandis que le reste de l'année se passe dans la torpeur mentale avec quelques signes de paralysie. 1859. Dès le
nt faire disparaître le danger et partant- rétablissent l'équilibre mental ;, 3° Envies irrésistibles (Zwangssucht), le bi
issement des actes voulus, rétablis- sant immédiatement l'équilibre mental . C'est à cette dernière catégorie qu'appartienn
acclamation : 111111. Pierret, professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de Lyon, médecin en chef de l'asil
s noms des rapporteurs qui ont accepté de les traiter. Pathologie mentale . Psychoses de la puberté. Rapporteur pour l'All
le depuis trois jours. Ce vieillard donnait des signes d'aliénation mentale . LES aliénés EN liberté « Hier, lisons-nous d
(Petit Parisien, 28 septembre.) GO)113.1ULT (G.). - De la confusion mentale . - Volume iu-8° de 117 pages. - Paris, 1898. -
Vol. VI. Novembre 1898. N° 35 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . HÉPATISME ET PSYCHOSES ; Par le D' A. CULLER
Le rôle de l'insuffisance hépatique dans l'étiologie des maladies mentales n'a jamais été entièrement méconnu, mais l'ince
ues ont souvent une Archives, 2° série, t. \'1. 23 354 CLINIQUE mentale . prédisposition héréditaire aux. troubles hépat
auto-intoxication d'origine hépatique dans l'étiologie des maladies mentales en géné- ral et de la folie des alcooliques en
patique une influence réelle dans la genèse de cer- taines maladies mentales 1. Toutefois, dans beaucoup de cas, nous ne pou
il est permis de se demander si le trouble hépatique et le trouble mental , au lieu d'être subordonnés l'un à l'autre, ne
que 2 ». ' Klippel. - De l'insuffisance hépatique dans les maladies mentales . De la folie hépatique (Archives gén. de Méd.,
rrhoses, peuvent aussi intervenir dans la production des troubles mentaux . Nous citerons plus loin une observation de folie
ndérante, ou enfin accessoire. Comme presque toujours en aliénation mentale , la prédisposition héréditaire ou acquise préex
concurremment avec d'autres causes dans la pathogénie des troubles mentaux , pouvant entretenir et développer le délire, ou
et folie (Société de biologie, 30 juil- let 1892). 356 CLINIQUE MENTALE . délires des alcooliques surtout que l'on est a
le ou non, si commun chez les vieux urémiques, des cas de confusion mentale , des pseudo-paralysies générales, des mélancoli
n du foie paraît d'une importance telle que' sans elle, l'affection mentale n'existe- rait pas ; ce sont ces derniers qui c
la tuméfac- tion et la douleur. Il ne suffira pas que les troubles mentaux paraissent liés à ces manifestations hépatiques
hiques. ' Société méd. des hôpitaux, janvier 1896. 358 CLINIQUE MENTALE . - II. Notre première observation concerne un
mais sans idées délirantes au moins en apparence. 360 CLINIQUE MENTALE . 31. Malgré nos objurgations, et tout ce qu'on
ns soulever des questions intéressantes. Et tout d'abord la forme mentale , à l'encontre de ce que l'on eût pu attendre, n
int d'une façon constante, accusent nettement l'origine du désordre mental . Ce fait n'est pas pour surprendre. Il en est d
er lieu, et seulement quelques jours avant la mort, que l'affection mentale prit nettement l'aspect du délire confus termin
. M. Léopold Lévy a publié il y a deux ans, dans les 362 CLINIQUE MENTALE . ' Archives générales de médecine, l'observatio
allant du simple au composé et en remontant l'échelle des accidents mentaux d'origine alcoolique nous voyons que l'ivresse
ntivité qui suffi- rait à elle seule à le distinguer des confusions mentales d'autre origine. Par son action élective sur la
ool est essentiellement investi d'un pouvoir excito- 364 CLINIQUE MENTALE . délirant, nous dirions presque à l'inverse des
u de la tenir pour un progrès réel dans la séméiologie des maladies mentales ? ' ? Le rêve à demi-conscient du buveur avec s
t de ses excès et il ne faut pas craindre de le dire : la confusion mentale du constipé, du convalescent de fièvre typhoïde
tion, tant la puissance perturbatrice de l'alcool, au point de vue mental , l'emporte, à notre avis, sur celle des intoxica-
re (astrophobie), achevèrent de jeter la perturbation dans son état mental et une violente crise maniaque éclata. La malad
qu'elle souffre souvent dans l'épaule droite. 24. L'amélioration mentale continue, mais il y a un grand affaissement phy
r normal. La lucidité revient de plus en plus, ainsi que l'activité mentale . La malade se plaint du régime qu'elle trouve i
vons la coïncidence d'un état de souffrance du foie et d'un trouble mental , ce dernier, consécutif et, en apparence tout a
que ce dernier conti- nue à évoluer après l'explosion des troubles mentaux et que nous assistons successivement, au cours
tons successivement, au cours de ces derniers, à une 368 CLINIQUE MENTALE . phase d'acholie, à l'envahissement de l'ictère
toutefois d'être com- plètement rayées des cadres de la pathologie mentale . Dans la pathologie du foie l'observation d'act
- Nous répugnons cependant à voir dans le cas présent un trouble mental sympathique ou réflexe. La nature de ce trouble
un trouble mental sympathique ou réflexe. La nature de ce trouble mental est-elle du moins de nature à nous éclairer et
les psychiques en question soient un cas de folie du type confusion mentale primitive. Nous avons bien de la stupeur, mais
les phénomènes généraux somatiques qui accom- pagnent la confusion mentale primitive font complètement défaut : l'état gén
gique, se serait établie à demeure sous le masque d'une stupidité mentale subcontinue. IV. Un fait digne d'intérêt est
lle accuse de faire Archives, 2e série, t. VI. 24 '370 CLINIQUE MENTALE . le mal, de se charger des péchés des autres, d
ence de l'ictère grave terminal a été absolument nulle sur l'état mental ; aucune complication délirante n'est survenue de
uéri. L'accès actuel n'est donc qu'une recrudescence d'un trouble mental déjà ancien. Le malade est agité, avec désordre d
rait pas beaucoup augmentée de volume ; sa capsule 372 ) CLINIQUE MENTALE . est opaque, épaissie, recouverte d'une sorte d
ose de ce malade, ou tout au moins à la recrudescence des désordres mentaux qui nécessita la seconde séquestration; mais ce
e corp une faible teinte ictérique. Rien de particulier dans l'état mental , sauf de l'hébétude. Le 2 mars, pendant qu'on
feste les mêmes idées délirantes, sans que la physionomie de l'état mental soit en rien modifiée. 374 CLINIQUE MENTALE.
hysionomie de l'état mental soit en rien modifiée. 374 CLINIQUE MENTALE . 28 niai. -Décédée dans le plus complet marasme
s cette catégorie. De ce qu'un individu est atteint d'une aflection mentale il n'en résulte pas qu'il soit nécessairement p
aux lésions et aux troubles fonctionnels du- foie dans les maladies mentales . Dans la majorité des cas, le trouble hépatique
un état d'imminence morbide. Dans ces conditions, 376 PATHOLOGIE MENTALE . l'intervention d'une cause quelconque, physiqu
ous avons observés, nous n'avons jamais vu se superposer au trouble mental primitif de nouveaux phénomènes psychiques plus
de faire les frais de nouvelles réactions délirantes. PATHOLOGIE MENTALE . DU SENS TACTILE ÉTUDIÉ CHEZ LES MÊMES MALADES
ttre une constatation impossible pour celles que l'état physique ou mental des sujets ne nous permettait pas de réaliser c
Nous serons parfois fort embarrassé dans nos cita- 378 PATHOLOGIE MENTALE . lions, car souvent les auteurs réunissent ense
onet dans la nouvelle et récente édition de son Traité des maladies mentales ? A cette ques- tion il répond que ces troubles
dre presque complètement. M. Régis a constaté à la 380 PATHOLOGIE MENTALE . période prodromique des anesthésies et des hyp
erre. - « La sensibilité, lisons-nous dans le Traité des maladies mentales de Schule, est toujours atteinte. Elle est peu tr
it réelle, soit seulement-apparente, due aux vives préoccu- pations mentales des sujets. A la seconde période il a souvent v
convulsions ; elle peut aussi survenir localement 382 PATHOLOGIE MENTALE . ou être disséminée çà et là, indépendamment de
us ou moins selon les phases de l'affection ; dans quelles formes mentales ce sens est le plus modifié et dans lesquelles il
atation exacte du tact chez les paralytiques par suite de leur état mental . Dans les phases initiales, c'est la violente a
v ! ique, ils sont restés à la phase initiale. 384 1 PATHOLOGIE MENTALE . Quoi qu'il en soit, nos 108 paralytiques ont d
ussi et par rapport au seul nombre des anormaux. 386 PATHOLOGIE MENTALE . Ces chiffres montrent clairement que les affai
ature des modifications d'après les nériodes : 388 . PATHOLOGIE MENTALE . de l'exagération et de l'affaiblissement aux d
rait-il un rapport entre les troubles du sens tactile et la variété mentale expansive, dépressive, mixte, démente ou en rém
ous avons subdivisé en conséquence chacune de ces quatre variétés mentales en deux autres selon l'attitude paisible ou sur
ajorité des cas, tout au moins comme le résultat d'une aberration mentale , et il est assez raisonnable d'admettre que les e
e de trente : deux ans, antécédents héréditaires inconnus, débilité mentale . Marié vingt- Archives, 2e série, t. VI. 26
ervir d'exemple à cet égard : Un homme de trente-sept ans, à état mental bizarre, surmené peut être intellectuellement,
intervalles lucides, dans les cas où les sphères intellectuelles et mentales de la vie des épileptiques restent non altérées
nt que des incidents, des épisodes survenus au cours de l'affection mentale dont les malades sont atteints. Les deux tiers
tion doit suivre d'aussi près que possible l'apparition des trouble mentaux . ' Pour réaliser ces internements précoces, il
nuée, l'auteur fait les remarques suivantes : 1° L'examen de l'état mental d'un criminel devant un grand nom- bre de perso
s plus approfondies soient t faites sur la dégénérescence et l'état mental des dégénérés. (Ame- j'ican journal of insanity
ge et dort bien, puis confesse au médecin qu'il a simulé un trouble mental pour quitter la prison; il raconte en riant tous
d; mais il avait simulé d'une façon si nette, si précise un trouble mental bien défini, que le médecin le maintint en obse
gico- gynécologique dans la NÉVROSE hystérique ET LES aliénations mentales ; par ANGELUCCI et Pieraccini. (iliv. sp. di frela
les lésions de la thyroïde dans un grand nombre de cas de maladies mentales ne peuvent pas être considé- rées comme seconda
ance de lésion primitive dans certaines formes données d'aliénation mentale , soit que dans d'autres elle puisse être consid
puisse être considérée comme un fait secondaire, aggravant l'état mental , dans tous ces cas, si l'on soupçonne une fonctio
isan de l'origine toxique des psychoses en général, de la confusion mentale en particulier, l'auteur propose de les combattre
rapide : au bout de six se- maines à deux mois la santé physique et mentale semblait totale- ment revenue. Dans la pratique
éniste et surtout avoir grande expérience des maladies nerveuses et mentales . Dans beaucoup de prisons le médecin est appelé
et dans des services spéciaux de maladies nerveuses et d'aliénation mentale . Le médecin de prison, une fois nommé, devrait
au point de vue de son état psychologique, de ses parti- cularités mentales et tenu en observation régulière par le médecin :
nt leur peine atténuée ou seraient, en raison de leurs con- ditions mentales , placés ailleurs que dans une prison. Pour faci
pour intervenir utilement, aussi bien dans les cas où l'aliénation mentale vient d'être constatée, que là où l'on pourrait
inq minutes de réflexion ; 3° une épreuve clinique sur les maladies mentales : un seul malade. -IL sera accordé vingt minute
n après l'examen d'un aliéné, et un rapport sur un cas d'aliénation mentale . Il sera accordé au candidat quinze minutes pou
preuve elini- 4W BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. que sur les maladies mentales , à un seul malade, 20 points ; pour la deuxième
plète d'altérations des cellules nerveuses, delà substance fonda- mentale et des cellules névrogliques dans les cas d'encép
James Sully qui considère l'atten- tion « comme une simple activité mentale qui amène : \ sa plus grande intensité, à son a
s anatomiques n'est pas encore assez avancée. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . VI. Des convulsions COl\TICILES prolongées dan
scendantes, moins atteintes, par le processus REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 469 encéphalitique des circonvolutions frontal
ue cet accompagnement de mouvements tech- 470 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . niques est spécial aux mécaniciennes plus qu'a
ations, angoisses, vomituntions, vomissements, agitation, confusion mentale , dégoût de la vie, mais d'ordinaire, elle ne dure
la première fois, nous voyons ce qui suit : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 471 I A cet égard, l'auteur a observé la paral
utres âges se iépartisseut comme suit : 472 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . la mélancolie; mais leur véritable étiologie é
oient bien assimilées. Il est dé- montré aujourd'hui que l'activité mentale est le résultat d'une connexion d'éléments cell
nion est qu'une interruption dans ces connexions produit un trouble mental . Nous connaissons la marche des excitations ner
t progresser et les recherches anatomo-patho- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 473 logiques des centres nerveux sont de plus
on en psychiatrie du principe d'après lesquels tous les symp- tômes mentaux résultent de lésions morbides analogues à celles
t inséparable dont les affections désignées sous le nom de maladies mentales ne forment seulement qu'une bien minime proport
à un traitement systématique conforme aux 474 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . habitudes des hôpitaux. L'extrême délicatesse
de la médecine aux étudiants de l'avenir, d'étudier les affections mentales pendant les cinq années que durent leurs études
le but de cette étude sera atteint. A. Blanc REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 475 5 X. Du réflexe patellaire étudié chez les
t contre le luxe, faisant brûler sur les. 476 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . routes tous les objets qui ne sauraient conven
en raison d'une dilatation d'estomac. - Toutes les deux ont un état mental de nature convulsive; seul le degré diffère. ;\
médico-psyclaologiques, janvier 1898.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 477 I XIII. 1.lTnOGLIrIE ET pronostic DU deliri
lté à cette allégalion : hallucinations 478 8 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . unilatérales de l'ouie. Il soutient celle absu
les peuvent également se produire dans d'autres formes de trou blés mentaux . 1'. Keraval. XVII. Epilepsie sénile; par P.-J.
que de la question de l'épilepsie en général. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 479 Deux observations d'épilepsie survenue apr
ts à sa disposition et ne pouvait en pro- 480 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . noncer que les voyelles, mais participait à la
. Il dit qu'il a. trouvé plus de stigmates de REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 481 dégénérescence chez les paralytiques, qu'i
me le dit Archives, 2e série, t. VI. 31 482 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . W. Roux, une espèce de lutte des deux partis o
. Jeune homme de vingt-six ans, d'assez bonne REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 483 constitution, d'une nutrition modérée. Mèr
mba et perdit connaissance momentanément. 484 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Aucune blessure, aucune trace de blessure, mai
ns LES cas DE dégénérescence physique ET d'arrêt DE développe- MENT mental avec llÉRIDITÉ PELLAGREUSE; par 11 ! 0RPURGO. (Ri
e celle de la sueur de sujets sains. J. SÉGL4S. L. Le calculateur mental Zaneboni, contribution A la PSYCIIO- LOGIE DES
sser de cause occasionnelle pour apparaître : elle comporte un état mental beaucoup plus accusé que la neurasthénie vraie ;
journal ou une revue spéciale traitant des maladies ner- veuses et mentales qu'offrir dans ses colonnes aux neurologistes e
Drames de l'- 271. Action de l'- sur la production des ma- ladies mentales , par liourneville, 527. i. ALCOOl JOUES. Douc
e du -, par Collins, 304. TABLE DES MATIÈRES. 533 Calculateur mental de Zaneboni, par Gui(,car(li et Ferrari, 194.
ique, par Meige, 245. - Opérai ions gynécologiques en mé- decmp mentale , par Cuylits, 325. OpnnI.1[OPLl'Con : nucléaire
19 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
D It NEUROLOGIE , REVUE MENSUELLE . DES MALADES NERVEUSES ET MENTALES FOND Itl PAR J.-lI. CIIARCOT 1`UISLIIsN SOUS
l'ION DR 1111. A. JOFFROY Piolesscur de clinique des ma1nùles mentales à la (-'acuité de médecine 'ie Pm is V. MAG
Vol. XVIII. Juillet 1904. N° 103. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE , , .' Médiumnité délirante; i. 1 . PAR - 1
e devant la Science. Archives, 2' série, t. XVIII. 1 2 CLINIQUE mentale . cation rationnelle et critique de leurs exploi
é. Pour en revenir aux rapports du spiritisme avec les trou- bles mentaux , dans la voie ouverte à la Société médico-psy-
» ? Quoi qu'il en soit, il semble pour l'instant, que ces troubles mentaux se présentent sous trois modalités différentes
ce délire, débutant et finissant avec lui. Dans ce cas, le trouble mental ne diffère de la médiumnité commune que par l'é
- sitoire entre un étal névropatique prodromique et une ma- ladie mentale confirmée ; ce dont notre second malade serait
er Allan Kardec dans le livie e des médiums, p. 310. , 4 CLINIQUE MENTALE . entraînement spirite préalable du sujet. Une s
r surla voie rapidement parcourue dans la suite de la désagrégation mentale . Notre première malade n'avait ja- mais pris pa
ialités médianénémi- ques diverses. Tables tournantes, typtolologie mentale intérieure, messages écrits et parlés, dessins,
uence sur la marche de ses Phénomènes dans la suite. 0 6 CLINIQUE MENTALE . '- Au printemps 1901, l'état nerveux du ménage
ée, des crises de larmes, une fatigue précoce et doulou- 8 CLINIQUE MENTALE . reuse au moindre effort, des troubles vasomote
part, grâce à l'instabilité psychasthénique de sa mémoire, l'image mentale de son mari s'est effacée, elle la reconstitue
pendant lesquels tout allait si bien qu'elle put faire 10 CLINIQUE MENTALE . venir sa fille auprès d'elle, Cam..., privée d
ais à l'arrivée de cette parente et avant de l'avoir 14 Il CLINIQUE MENTALE . vue, Cam... prétendit qu'elle avait vu la nuit
ssin médianimique accompagné d'un message. Ce graphique 16 CLINIQUE MENTALE . est constitué par un point noir, arrondi, très
I. 2 l'ig. - Dessin médianimique (novembre 1901). ,1,8 » CLINIQUE MENTALE . Tous les dessins de cette époque, combinaisons
ne la voit pas de la terre, elle est superbe d'éclat » 20 CLINIQUE MENTALE . par quelques mots seulement : « Fouet du gardi
médiatement après. MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 23 Fig. 7. 24 CLINIQUE MENTALE . « nement dans l'amonr appelé perfectionnement
âmes qu'on juge les hommes, non aux corps, seuls signes 26 CLINIQUE MENTALE . « distinctifs des races, les questions de race
d'eàu de Cologne qui heureusement ne fut pas administré. Typtologie mentale . Plusieurs des messages qui précèdent et notamm
et enfin,. chose plus intéressante, la typtologie devient purement mentale . C'est dans la tête, « dans la pensée », que le
mal aux jambes et de la diarrhée. Toute la matinée, la typtologie mentale a été très active sans qu'elle ait eu à se recuei
ée par des états toxémiques ; par W. HAMILTON Hall. (The Journal of Mental Science. Octobre 1903.) L'auteur soutient éne
gros qu'ils ne le sont en réalité. (Archives de médecine expéri- mentale et d'anat. patholog. 1895. 5.) L'auteur en fourni
). Femme épileptique internée depuis vingt-deux ans pour débilité mentale , mauvais penchants et impulsions violentes. Depui
nt aux excitations afférentes s'observent aussi dans les phénomènes mentaux (souve- nirs éveillés par associations d'idées)
llés par associations d'idées) et une excitation afférente purement mentale peut provoquer une attaque d'épilepsie. L'au- t
e la chirurgie cérébrale dans l'épilepsie et dans les défectuosités mentales congénitales; par William-D. Sprat- LING. (Tlae
conclut en disant qu'on ne connaît pas un seul cas de défectuosité mentale congénitale où l'intervention chirurgicale ait
tale congénitale où l'intervention chirurgicale ait rétabli un état mental normal. D'ailleurs l'inutilité de ces opéra- ti
ique, de phosphènes qui peuvent être le point de départ de troubles mentaux , pendant laquelle le malade perd toute vision d
ANTONNENT présente deux cas de goitre exophtalmique avec torticolis mental et psychasthénie. F. Baissier. SOCIÉTÉ D'HYPNOL
ate chez les idiots, les imbéciles, les sujets atteints de débilité mentale accentuée ou d'aliénation. La seconde est d'ord
que ce malheureux ne jouissait pas de la plénitude de ses facultés mentales . , D'où la nécessité d'hospitaliser tous les al
ant rue du Ruisseau, à Nancy, qui ne jouissait plus de ses facultés mentales , a tenté de tuer sa femme en lui portant un cou
et régulière dont t Archives, 2' série, t. xV111. 9 130 CLINIQUE MENTALE . a bénéficié notre malade dans ces derniers moi
on d'une maladie contagieuse et par conséquent évitable. CLINIQUE MENTALE . Médiumnité délirante 1 ; r PAR R PAUL SO
ômes, il arrêtera ainsi lui-même ses propres discours typtologiques mentaux par des injonctions psychomotrices. Plusieurs
épète à satiété dans sa tête irrésistiblement. C'est comme un appel mental qui l'obsède et se fait malgré elle vers quelqu'u
re elle condensait en style sentencieux pour com- /' 132 CLINIQUE MENTALE . poser son recueil de pensées. Ce manuscrit est
plir sa mission. Cam... s'est l'ait d'autre part une représentation mentale très nette de Deus : « Je me le figure, raconte
-même sans attendre seulement ma venue, car je demeure 134 CLINIQUE MENTALE . " « ici pour semer nos idées. Il me dit lui-mê
a cadence. Sa poésie fourmille de fautes semblables. 136 CLINIQUE MENTALE . ses travaux poétiques, elle l'appelle « sa mus
. Deus surtout t ne se laisse pas oublier, procédant par typtologie mentale quand il ne se manifeste pas autrement. Après u
s en employant même les termes et les menaces qui sont 138 CLINIQUE MENTALE . les nôtres. Au mois de janvier, par exemple, C
janvier, par exemple, Cam... écoute une manifestation en typtologie mentale de Deus ; et Deus lui-même tout à coup interrom
prendre à Cam..., pour contribuer à lui faire reprendre sa cohésion mentale , que cette voix conseillère était, en lui tenan
te cette évolution, la mémoire a suivi les fluctua- tions de l'état mental lui-même. Les souvenirs de tout ce qui s'était
nt tout reste dans l'ordre depuis juillet 1902. Cam... 140 CLINIQUE MENTALE . ne parle plus de faire tourner des tables, ell
raphe méca- nique et semi-mécanique, typteur à bascule et typteur mental . Elle a reçu des messages d'ordre privé, des révé
uivi dans sa longue convalescence, pendant laquelle se 142 CLINIQUE MENTALE . sont continuées ses manifestations médiumnique
o- mane. Bien que chez elle l'élément affectif rapproche son état mental de celui des mystiques purs, elle est aussi prè
édispositions à ces délires est étonnant quand on y 144 Il CLINIQUE MENTALE . regarde de près, beaucoup n'y glissent pas, ca
rès accessibles à un traitement moral bien dirigé. La désagrégation mentale est assez facilement com- battue par une vie ré
'après son coup de AncmvLS, 2« série, t. XVIII. 10 146 . CLINIQUE MENTALE . soleil, il devenait de plus en plus irrégulier
oup ; il lit longuement son livre d'heures et s'absorbe en oraisons mentales . Le lendemain il court plusieurs églises à la r
est la mort qui va l'atteindre. Dans la uuit l'esprit. 148 CLINIQUE MENTALE . de D... se manifeste et lui dit : «Laisse la l
sition entre son état de névrose antérieur, caractérisé ho CLINIQUE MENTALE . par ses grandes phobies ' et son délire vésani
. Il existe constant. ment à l'état normal et échappe à l'influence mentale du sujet. L'os n'a rien à voir en l'espèce puis
the scapulo-humeral reflexe of Bechterew il ! Journal of nerv. and mental disease mai 1901.) 111. Steiner répond : Vous a
intentionnel, parole lente et scandée, nys- tagmus) et de débilité mentale . La sclérose en plaques est très rare chez les
comment, chez cette femme impression- nable, l'intensité des images mentales , la faiblesse des facultés de critique et d'abs
. - Présidence de M. Brunet. , Aperçu médico-légal sur les troubles mentaux ]Jost-tmumatiques. MM. Marie et VIOLET, à la su
i une centaine de cas de trauma- tismes crâniens suivis de troubles mentaux . Ils en tirent l'aperçu médico-légal suivant :
umatisés aliénés ' demanderont des indemnités au sujet des troubles mentaux consécutifs. Ces trou- bles peuvent être classé
de la loi. Incapacité immédiate et passagère de travail par trouble mental suivi de guérison. Incapacité passagère de trav
sure un traumatisme a déterminé ou hâté l'apparition , des troubles mentaux , et dans la pratique, ce problème se pose quelq
musculature de l'omoplate. 170 SOCIÉTÉS SAVANTES. Au point de vue mental et comme, conséquence de la préoccu- pation con
étro- céder ; , 2° L'influence exercée par l'obsession sur l'état mental : l'idée de suicide et les idées de négation se
, etc., et au début de la maladie on observe un état de con- fusion mentale . Un état stable et uniforme avec oubli et fausses
dans la psychose de MoxsAorl7 des accès, ressemblant à la confusion mentale pri- maire, ne contredit nullement l'indépendan
rogressif, est accompagné d'une déchéance très marquée des facultés mentales . Un tableau d'accès ressemblant, mais pas ident
ace dans la cure de l'alcoolisme il donne, avec une bonne direction mentale , la vigueur nécessaire au main- tien de la bonn
ngendre deux prévaricateurs. Samuel fut un dégénéré dont la formule mentale peut se résumer ainsi : Hypersuggestibilité, ve
UNis. - Je suis tout à fait d'avis que les manifestations du rythme mental dépendent de phénomènes organiques périodi- que
crises, à rendre sa sensibilité normale, à - corriger ses désordres mentaux ; par surcroit, je m'applique à restaurer sa vo
teints de lésions cutanées : 196 PATHOLOGIE. indemmes de troubles mentaux , n'en a trouvé que 34 atteints de noevi. Le siè
le même malade. La proportion serait, par malade : . 202 CLINIQUE MENTALE . il concluait que la pathogénie de ces angiomes
leur nombre aug- menté dans les cas de maladie du foie. CLINIQUE MENTALE , La phobie du regard ; Par le Dr P. HARTENBER
rotéger leurs prunelles contre les regards d'autrui. , 204 CLINIQUE MENTALE . Tel est à peu près, à son degré d'intensité mo
rir de honte. Que n'avais-je lu alors le « Rouge et le 206 CLINIQUE MENTALE . Noir ». J'étais dans le même milieu que Julien
les regards fixés sur son visage qui lui sont les plus 208 CLINIQUE MENTALE . pénibles. Afin d'être moins aperçue, elle se p
elle-ci représente, en somme, une peur morbide, greffée sur un état mental de timidité, à la façon de la phobie de la roug
rénées. Les Conseils généraux sont les grands maîtres en aliénation mentale , au point de vue de l'organisation et de l'inst
psie, à la chorée, etc., etc. Dans le récent traité de pathologie mentale de M. Gilbert-Ballet, M. Arnaud distingue seule
s lieu, au contraire, de rayer définitivement du cadre des maladies mentales l'ancien groupe disparate et hétérogène des dém
catatoniques ne doit pas être cherchée ailleurs que dans le fonds mental sur lequel ils reposent : fond commun à toutes le
processus psychiques et l'affaiblissement progressif de la synthèse mentale . Il me resterait maintenant, pour compléter le
faite de ces mêmes signes dans quelques autres formes d'aliénation mentale , qu'ils sont plus nombreux et plus accusés dans
érale, a déclaré M. Magnan, est la . plus individuelle des maladies mentales . Nous avons dit, d'autre part, que, de notre en
infectieuse ne fait plus de doute pour personne, comme la confusion mentale et la psychose polynévritique (G. Ballet). Dans
Dans ces deux ordres de faits (psychose polynévritique et confusion mentale d'une part, démence précoce del'autre), on note
- tives et de les rattacher avec Kroepeliu au groupe des maladies mentales dues à une auto-intoxication. Après les considé
re ou consécutive à certaines psychoses, ilt-ce même à la confusion mentale (Régis), et par conséquent d'admettre la théori
nérale, aux folies toxiques, à la demence précoce, à la confu- sion mentale , etc, Sur 1.000 maniaques suivis pendant de longu
ccès délirants, diminués intellectuellement. Mais comme leur niveau mental , déjà faible congénitalement. était inconnu du
disparaître tout comme dans la paralysie générale, mais le. déficit mental sur lequel ils sont greffés est permanent et s'
ns les affections que nous venons de citer (imbé- cillité, débilité mentale , paralysie générale, etc.) et dans la paranoïa.
e, ne peut être que le fait d'un effacement progressif des images mentales et de la fixation isolée, automatique, de quelque
achsinn » qui signifie simplement : faiblesse d'esprit. En médecine mentale , plus peut-être encore que dans les autres bran
ompris les anciennes démences aiguës curables d'Esquirol (confusion mentale , stupidité, etc., que nous n'avons pu étudier i
pu étudier ici sous peine de passer en revue toute la pathologie mentale . Abstraction faite de ces démences aiguës, nous
indépendamment de toute autre manifestation morbide. Ces affections mentales , que l'on appelait jusqu'ici manie, mélancolie,
que l'on appelait jusqu'ici manie, mélancolie, stupeur, confusion mentale , voire même délire systématisé chronique, etc., b
démence précoce, et si la guérison se produit sans que les facultés mentales aient été amoindries, ce n'est même plus de la dé
émence précoce a actuellement con- quis droit de cité en pathologie mentale , et la discussion ne parait porter que sur les
éveloppement complet de l'individu et caractérisés, au point de vue mental , par des alternatives d'excitation maniaque et
cinq mois, n'a apporté que d'insignifiantes modifications a l'état mental . Les guérisons signalées résultent probablement
des des auteurs allemands, et doivent être rattachés à la confusion mentale , car, le plus souvent ces préten- dues formes d
matolyse légère) et les lésions que j'ai décrites dans la confusion mentale (tuméfaction, gonflement, modifications de la f
analogie histo-pathologiqne de la démence précoce avec la confusion mentale pour en déduire l'origine toxé- mique de la pre
fections. Fussent-elles même com- parables à celles de la confusion mentale , les lésions signalées par MM. Klippelet Lhermi
jet de la doctrine assurément trop am- plifiée de la dégénérescence mentale . Je suis donc tout prêt à lui enlever encore la
peut-on englober la démence précoce dans le groupe des confu- sions mentales . Les délires systématisés chroniques hallucinat
u dogme qui a déjà tous les défauts de celui de la dégénérescence mentale , qu'il attaque. MM. Colin, Pactet (de Villejuif)
pt ans, enfant assistée, conduite à l'asile d'aliénés pour troubles mentaux , caractérisés par du mutisme, de la sitiophobie
cécité est rare dans la paralysie générale confirmée avec troubles mentaux marqués, mais les troubles légers de la vision
té a été assez fréquemment signalée avant l'apparition des troubles mentaux de la paralysie générale progressive. B) Pour c
roubles tabétiques minimes, mais très fréquemment aussi de troubles mentaux minimes tout à fait ana- logues à ceux du début
si bien considérée comme une cécité « paralytique » si les troubles mentaux minimes de la méningo-encéphalite diffuse légèr
né qui a com- mis un crime ou un délit sous l'influence de son état mental et qui, pour ce motif, a été reconnu irresponsa
né dangereux difficile, vicieux, dépravé, est un aliéné dont l'état mental fait courir aux aliénés avec lesquels il est en
. - c. Etant donné les imperfections de pas mal d'asiles départe- mentaux , un devoir étroit s'impose. C'est la réforme comp
ayant commis un crime avant ou après l'apparition de leurs troubles mentaux . La question de la mise en liberté de ces malad
en font l'abus. M. Mabille croit qu'il conviendrait, en aliénation mentale , de ne pas trop négliger ce facteur étiologique t
? t<Mca<t'( ? t physique appliquée au traitement des maladies mentales . Le Dr PHILIPPE Tissié. - Après avoir obtenu de
t pas rendre des services dans le traitement de quelques maladies mentales surtout chez les adolescents. M. Tissié s'appui
é de leur état et aussi qu'ils ne présentent pas encore de troubles mentaux accentués que le dispensaire anti-llcoolique de
n'est pas applicable aux idiots ni aux enfants atteints de débilité mentale accentuée. Nous considérons que dans l'applicat
me contribution à l'étude des rapports du diabète avec les troubles mentaux , les auteurs insistent sur l'importance de la r
ailleurs que grâce à une prédisposition délirante (dégénéres- cence mentale ). Le point de départ de l'infection est naturel
ent, n'est pas douteuse ; elle a sa raison d'être dans un même état mental ; les mêmes principes de discipline psycho-motr
nombre des aliénés reflète pour une part ces progrès de la science mentale , qui ne sont pas étrangers à l'aug- mentation p
Phtisiques. Elude analomo-clinique. M. E. DUPRÉ. (de Paris). L'état mental des tuberculeux a déjà fait l'objet d'études no
s l'histoire d'un cas dans lequel l'observation- clinique de l'état mental ayant été suivie de l'étude histologique de l'é
péni- ble contraste qui existe entre les manifestations de cet état mental et la douloureuse réalité des choses. Le malade
us cette forme chez les tuberculeux qui n'ont pas pré- senté d'état mental particulier (Nissl.) Cet état mental, d'ordre d
n'ont pas pré- senté d'état mental particulier (Nissl.) Cet état mental , d'ordre démentiel, se rapproche par ses carac-
rce qu'elle établit claire- ment le substratum anatomique de l'état mental si spécial de cer- tains phtisiques dans les lé
pporteur : Sicard (de Paris) ; La úalnéothémpie dans les maladies mentales . Rapporteur : Paiuias (d'Albi). , BIBLIOGRAPHIE
mie, la psychologie du système nerveux, la patho- logie nerveuse et mentale . La composition de ces tables bibliographiques,
ue, conte- nant l'indication de' méthodes utiles pour la pathologie mentale , et des articles de Larguier sur la mémoire, de
ysiologie du système nerveux à Fredericq, la pathologie nerveuse et mentale à Grasset, Pitres, Simon, l'anthropologie 3 Dén
ces aux méde- cins. J. D. IL Les enfants anormaux au point de vue mental ; leur traitement et leur éducation ; par G. E.
a classification pathologique des diverses formes de défec- tuosité mentale , qui nous conduit à l'étiologie, au diagnostic et
Vol. XVIII..Octobre 1904. N° 106. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . Obsessions et vie sexuelle; P\n LE D' E. MAR
s l'intéressant chapitre qu'il a écrit pour le Traité de pathologie mentale de M. Gilbert Ballet. Il m'a semblé qu'il ne se
nstaté dans notre Archives, 2' série, t. XVIII. 19 290 . CLINIQUE mentale . pays, et de faire connaître ce 'que nous-même
ns corporelles étaient en honneur, mais son père avait 292 CLINIQUE mentale . défendu de les lui appliquer. Au premier camar
ainsi pendant cinq ans. A trente-deux ans, X... dut 294 , CLINIQUE mentale . - changer de résidence, et se séparer de ses d
qu'avec une entière franchise sur mes questions, il me 296 CLINIQUE mentale . fournit tous les détails que j'ai rapportés. S
ection de son collègue dont le souvenir ne l'avait pas 298 CLINIQUE MENTALE . quitté, et il comprit qu'il avait eu tort ; à
, une colonie intertropicale. Dès son arrivée sous les 300 CLINIQUE MENTALE . tropiques, son incontinence nocturne d'urine c
l'objet de son fétichisme. Chez Y..., retenu par la honte, l'image mentale a toujours suffi ; cependant il faut ajouter qu
l couvrait de baisers et léchait un de ses pieds. Y... 302 CLINIQUE MENTALE . ne songea plus à changer, et durant trois mois
me disant que bien que peu versé dans la connaissance des maladies mentales et nerveuses, qu'il ne pratiquait pas, sa clien
uait pas, sa clientèle étant exclusivement de Médecine 304 CLINIQUE MENTALE . ordinaire, il avait compris mes raisons, qu'il
et ensuite à leurs compagnes, et ils ne cachent rien. PATHOLOGIE MENTALE CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE l'Université DE MOSCO
contenu des pro- Archives, 2' série, t. XVIII. 20 306 . CLINIQUE MENTALE . cessus obsédants; secondement, cela dépend aus
s sont prédominants et où on ne peut parler d'aucun autre trouble mental . Outre les états obsédants essentiels, exis- te
de telles phrases qui contredisaient tout à. fait, sa. 308 CLINIQUE MENTALE . manière de voir. Les idées obsessives sacrilèg
forme hallucinatoire des obsessions morbides ; mais il 310 CLINIQUE MENTALE . n'y avait point ici d'illusions ou d'hallucina
entrulbl., XXI, 1902.) Une demoiselle de quarante-trois ans, débile mentale , mais jusque-là vigoureuse et bien portante, es
ce genre ainsi que ces anomalies elles-mêmes. Sur 112 affec- tions mentales diverses on en a rencontré 85. Voir le tableau
onscience consécutif à l'attaque congestive et de l'affaiblissement mental . Elle doit tenir aux lésions du lobe pariétal,
foetal (figure à l'appui). P. KERAVAL.. Lit. Influence de l'état mental des parents sur là formation du sexe de leurs e
ici intervient la complexité du système nerveux et du développement mental . REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQU
ctivité psychique interne. Et celle exagération de l'auto- activité mentale est l'état du système nerveux qui constitue la co
es différents individus, au prorata des particularités de leur état mental et des conditions de leur existence ordinaire.
que et assez souvent aussi chez l'hystérique, il se produit un état mental particulier pendant lequel, tout en restant maî
celles de la myélite aiguë. , P. KERAVAL. XXXIII. Des affections mentales et nerveuses à la période secon- daire de la sy
ns, caractérisées par : de l'exci- tation maniaque, de la confusion mentale avec stupeur et cata- tonie, une paralysie faci
s du diagnostic des troubles syphilitiques de la sphère nerveuse et mentale . P. Keraval. XXXIV. De l'ataxie cérébelleuse [a
ve. Ce symptôme est la suite ou l'escorte de certaines pertubations mentales de l'état hystérique dont la nature est pour no
ale. - ici. Elles se montrent aussi dans le cours d'autres maladies mentales et nerveuses; on ne les observe qu'exceptionnel
ire, et, tout en étant modérément douée, sem- blant jouir d'un état mental normal jusqu'alors. L'âge constitue une rareté
la base des enveloppes du crâne. P. Keraval. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . I. Manie transitoire alcoolique; par E.-N. Iwa
iens. Notons qu'il s'agit d'une fillette de 352 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . dix-huit ans, non réglée, malade depuis quatre
es comme des éclairs, tandis que les mouvements REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 353 choréiques sont beaucoup plus lents. Ce n'
et de Archives, 2' série, t. XV111. ' 23 351 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . simultanéité des contractions. L'absence des r
l'auteur annonce un résultat étonnant du trional dans la confusion mentale aiguë primitive ou délire général hallucinatoir
ni l'intestin. Mais ce n'est pas un spécifique de quelque affection mentale : il faut pour que la substance agisse que la p
nts physiques suggestifs de crétinisme sporadique ; au point de vue mental il était brillant et intelligent. Avant que le
onfondus. Le malade ne présentait aucun des caractères physiques ou mentaux du crétinisme spora- dique la forme infantile d
s chirurgicalement. 2° Des rapports du paludisme et de l'aliénation mentale . BIBLIOGRAPHIE. 361 3° Contribution à l'étude
l, à l'infirmerie spéciale pour le faire exa- miner au point de vue mentale . (Le Journal.) Un fou mystique. - Depuis quelqu
nier, 18, rue des Panoyaux, présentait quelques signes d'aliénation mentale , prétendant à qui voulait l'entendre, qu'il éta
. Le transport à longue distance des militaires frappés d'accidents mentaux pré- sente, en effet, de tristes inconvénients,
Cette malheureuse ne jouissait pas de la plénitude de ses facultés mentales . (Semeur de l'Oise, 14 septembre 1904). Pari mo
cependant de bromure de potassium avant d'arriver à l'aliénation mentale . Chez de tels malades nous avons obtenu des résul
les troubles sensitifs. G. D. LX.TXVII. Hémimélie et dégénérescence mentale ; par 1.. LAnUELLE. (ltlcll. de la Soc. de rr.êd
nérescence mentale; par 1.. LAnUELLE. (ltlcll. de la Soc. de rr.êd. mentale de Belgique, juin 1902.) Il s'agit d'un homme d
ues. d'aliénés de Volières un séjour d'un mois pour une affection mentale aiguë et qui présentait depuis sa naissance une a
réalité venait d'être amputée du bras. La coexistence de désordres mentaux et de malformations physiques attribuables à un
pas à rattacher à une dégénérescence acquise ab utero les troubles mentaux et les anomalies physiques de son malade. G. D.
ermination de centres viscéraux, etc.) G. DENY. revue DE pathologie mentale . 407 LXXXIX. Les syndromes solaires expérimenta
'état normal qu'à l'état pathologique. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . IV. Les psychoses des vagabonds; par K. WILMAN
vingt-deux n'avaient jusqu'ici subi aucune 408 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . z condamnation correctionnelle. L'ivrognerie a
au vagabondage que l'épilepsie, par l'intermédiaire de la débilité mentale , des fréquents accès convul- sifs ou syndromes
une démente précoce de vingt et un ans chez qui REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 409 chaque épisode d'exaltation psychique ? él
du cervelet, dans la paralysie générale, dans les névroses, vertige mental , vertige de Ménière, névrose d'angoisse, goitre
subjectives de l'angoisse : respiratoire, car- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 411 diaque et pulmonaire, semblent indiquer qu
s lésions somatiques qui peuvent la déterminer. M. H. IX. L'image mentale morbide ; par VASCRIDE et Vorpas. (Revue de méd
Les auteurs font ressortir dans cet article l'influence de l'image mentale dans l'éclosion du délire des malades classés com
l'éclosion du délire des malades classés comme dégé- nérés. L'image mentale peut avoir une intensité telle qu'elle s'impose
uels et aussi dans les délires propres aux dégénérés. Cette image mentale doit sa physionomie morbide à sa sponta- néité
eut s'im- planter avec son allure spéciale au milieu d'une activité mentale , qui peut rester par ailleurs très bien ordonné
(Revue de médecine. Décembre 1902.) M. H. 412 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XI. La craniométrie chez les aliénés; par 1.-
nés, et qu'on dressât la statistique céphalol11é- trique par formes mentales , tailles, sexes, âges, poids, etc. . P. Ki,nV.4
ession ne vienne qu'à propos de cette pratique. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 413 11 ne s'est pas amélioré néanmoins, car l'
un terrain particulièrement favorable au développemen t de troubles mentaux . Ceux-ci, caractérises par des hallucinations a
estime qu'il y a là une grosse erreur et à 414 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . l'appui de son opinion il rapporte trois cas d
olo- gique autonome; par le Dr SOUHI1ANOF. L'auteur décrit l'état mental des sujets obsédés. Il étudie les rapports de c
nte observation d'un héréditaire présentant à la fois : la débilité mentale , l'hystérie, la neurasthénie avec gastropathie et
. (Revue neurologique, septembre 1903.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 415 XVIII. Tics des lèvres, cheilophagie et ch
a cheilophagie. Ces habitudes vicieuses peuvent avoir une origine mentale ainsi que le prouve l'observation, rapportée dans
ompte rendu de Bicêtre pour 1902, p. 206. 416 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Discussion : Erb signale l'importance de la
al n'a pas d'action sensible sur les Européens. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 4)7 7 L'action de l'alcool sur ces derniers ne
s. G. D. Archives, 2' série, t. XVIII. 27 418 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XXII. Aperçus et démonstrations sur la folie m
tial, prédomine au niveau du centre du langage. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 419 D'autre part le changement obtenu par l'as
ce chez les jeunes gens i par le Dr MEims (Bull. de la Soc. de méd. mentale de Belgique, 1902, nos 104, 105 et 106.) . Et
lectuels et catatonie; par le Dr PEETERS. (Bulf. de la Soc. de méd. mentale de Belgique, juin 1902.) L'observation qui fait
sitifs caractéristiques de cette affection. 420 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Malgré ces considérations et bien que les trou
HOLOGIE MENTALE. Malgré ces considérations et bien que les troubles mentaux offerts par le malade correspondent assez bien
érations sur la catatonie ; par J. CRocQ. (Bull. de la Soc. de méd. mentale de Belgique, juin 1902.) Après un exposé histor
es les plus variés ». G. D. XXVII. La prédisposition en étiologie mentale ; par le Dr Maras- DON DE MONTYEL (Journ. de Ne
econde, lorsqu'elle est héréditaire, se mani- - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 421 festerait toujours par une exaltation des
ion simple suivant qu'elle est acquise (manie, hypémanie, confusion mentale et leurs variétés) ou héréditaire (folie interm
rations sur l'ampliation des ventricules latéraux dans les maladies mentales ; par le Dr Marchand (Journ. de Neu- rologie, 1
avabo, et il s'en aperçoit aus- sitôt. t. De l'examen matériel et mental du sujet, l'auteur conclut à l'apraxie motrice
il faut sans délai satisfaire aux conclusions en faveur de l'examen mental d'un prévenu. » M. Hoche pense que ces préten
que ces prétentions ne tendent à rien moins, dans les cas où l'état mental est douteux, qu'à transformer le mé- decin expe
ico-légaux; par les Drs LEKTZ et de l3ce. (Bull. de la Suc. de méd. mentale de Belgique, 1902. n° 106.) VI. Organisation d'
Belgique, 1902. n° 106.) VI. Organisation d'un service de médecine mentale dans les pri- sons ; par le Dr E. 11ASOIN. (Jou
e. Lorsque la conduite d'un détenu donne lieu de suspecter son état mental , le directeur de la prison en avertit le médecin
onnaires etles aliénés; par le Dr BEESAU. (Bull. de la Soc. de méd. mentale de Belgique, juin 1902.) Cet appareil se distin
nt l'existence constatée de toutes ces variétés dans les infirmités mentales , et la détermina- tion de leur curabilité, qui
son avis, c'était un alcoolique invétéré, can- didat à l'aliénation mentale . Au cours des polémiques que la sé- questration
de-Médecine. Prix : 4 fr. IiruLrlni`u (F.). Expérimental sludies in mental cleficie7zcy. I ! r8^ de JU pages. (Américain J
Motet dans son article Pyromanie du Dictionnaire Jaccoud. L'état mental des incendiaires est, en effet, tout spécial. L
nel. Ce fait a une très grande importapce pour expli- quer son état mental .'Elle a trois soeurs âgées de neuf'ans, six ans
nt et qui, réunis, constituent la symptomatologie d'une affection mentale . Bien que soumise à une force qui opprimait sa
e du fait de sa lourde hérédité mor- bide un état de dégénérescence mentale caractérisé par des stig- mates physiques, la f
acteur anémie est venu jouer un rôle dans la rupture de l'équilibre mental de la jeune prédisposée. ASILES D'ALIÉNÉS.
e, mange seul, Tous ses actes sont lents partie à cause de son état mental , partie à cause de sa paralysie. Les notions us
ade reste avec son idiotie ou son imbécillité, ou son arriération mentale et son hémiplégie. Maintes fois, tant à la Sa
tavisme; par J. 1VOLAN (Clinicnl and palholog. Notes, in Journal of Mental Science, janv. 1904, p 69). U.C..., âgé de qu
voisinage de ses organes génitaux. L'examen relatif à ses facultés mentales avait aussi un résultat presque négatif. On ne
part, un accroissement de poids accompagne l'amélioration de l'état mental . ' Simon, ', REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. LI
éditaire - s'était tou- jours montré normal au point du physique et mental est pris tout à coup de troubles qui proviennen
al est pris tout à coup de troubles qui proviennent de la confusion mentale . Cet accès guérit, un deuxième se produit un an
prisons ; -, -influence calmante du luxe ; 502 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . les clôtures entretiennent les idées d'évasion
ancoliques, même de la démence précoce. Smox. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XXIX. L'alcoolisme en Bretagne; par Ducrest DE
ural. Arythmie. Mort. A l'autopsie, lésions mé- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 503 ningo-corticales de la paralysie générale.
générescence nerveusé dans la paralysie générale et autres maladies mentales ; par Isador Il. ComnL, Journal of Insanity, I,
nature, de ce qu'on sait actuellement de la 804 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . chimie des dégénérescences nerveuses, à la foi
es en revue sont les suivantes : Folie pella- - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 505 greuse (Warpocke). La syphilis comme cause
conséquence d'une intoxication préexistante). - Pre- miers troubles mentaux (leur traitement dans les hôpitaux géné- raux,
times. Rôle de la primiparité, etc. 2° Epoque de début des troubles mentaux , et forme de l'aliéna- tion selon celle-ci. Pas
les vésaniques chroniques, je ne suis pas de son avis. La confusion mentale a été appelée au début démence aiguë. Il est di
ne comprends pas le gâtisme comme un signe de démence. La confusion mentale est souvent le seul symptôme invoqué pour faire
ns étrangler le malade ? M. DOUTREBENTE. - C'est vrai. Puérilisme mental guéri par suggestion. M. LEROY présente l'obser
? J'ai soigné un peintre déco- rateur atteint d'accès de confusion mentale ; il sortait complète- ment de son état de confu
exige la pleine possession de soi-même. VARIA. 513 La suggestion mentale et les rayons Blondlot, par M. NAOUM KOTIK (d'O
A. Manzoni,' dans Ses Fiancés, a décrit avec un grand soin l'état mental des foules durant les émeutes. Nous croyons int
ées, aux pratiques mystérieuses de l'hypnotisme et de la suggession mentale , pratiques dans lesquelles il avait obtenu, il
de santé excellente jadis ont vu leur état général physiologique et mental pérécliteretlamort même' les atteindre après av
ontribution à la pathologie des -- toxiques par Alter, 151. Des - mentales et nerveuses à la période secon- daire de la
ires, par Négel, 65. Lésions du dans quelques formes d'aliénation mentale , pai Bri- dier. 486. Chéilophagie. Voir Tics.
Education physique. L ? appli- quée au traitement des maladies mentales , par Tissié, 263. Electricité statique Les prin
s âgés, par Pfister, 399. Entants Anormaux. Les au point de vue mental ; leur traite- ment et leur éducation, par Shut-
tats de la chirurgie cérébrale dans l'- et dans les défectuosités mentales congéni- tales, par W. Spratling, 73. Trai- t
? par Flatau, 347. IIÉwnÉme. Voir Phocomélie. - et dégénérescence mentale , par La- melle, 405. Sur une forme lare d' ra
sion vésanique. Nature et ge- nèse de 1 ? par Wlierrv. 506. Image mentale morbide, par Vas- chide et Vurpas, 411. 1.IBÉ
emi-sommeil, par Le Menant des Cliesnais, 181. - Voir Raynaucl. - mentales . Voir Education physique. - nerveu- ses. Voir
dégénérescence nerveuse dans la - génél ale et autres ma- ladies mentales , par Corial, 503. aiguë, par Rusk, 504. géné-
- , par Charvet et Bancel, 47U. Prédisposition. La en étiologie mentale , par Marandon de Mon- tel, 420, Prisons. Orga
e Mon- tel, 420, Prisons. Organisation d'un service de médecine mentale dans les -, par Masoin, 430 Processi s méning
considérations sur les - puerpérales, par Picqué. 273. Puérilisme mental guéri par sug- gestion, par Leroy, 509. Pupil
au et des méninges, par Bechterew, 350. Sexe. Influence de l'état mental des parents sur la formation du - de leurs en
A11ET. Sydenium. Voir Chorée. Syndromes solaires. Les - expéri- mentaux , par Laignel-Lavastme, 407. Syphilis. Un cas
ardive à forme cérébro-spinale, par Richon, 57. - Voir Affections mentales . et divorce, par Mor- rouir, 4'9. Syringomyél
nois. 493. Troubles. Voir Tumeurs. Aperçu médico-légal sur les mentaux post-traumatiques, par Marie et Viollet, 167.
1'rÉRALX. Considéra- tions sur l'ampllatiou des dans les maladies mentales , par Marchand, 421. Vermont. Phases médico-lé
y, 38. Vol avec escalade et effraction. Si. mulation d'aliénation mentale . itapp0[ts médico-légauv, par Leutz et de llo
20 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
HIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT PUBLIÉE SOUS I.A DIR
RECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales a la Faculté de médecine de Pans. V. MAGNAN
'un aliéné dont la justice lui a donné la mission d'examiner l'état mental , doit, en toutes circons- tances, se préoccuper
ification de certificats, jouissait de la plénitude de ses facultés mentales ou si au contraire sa res- ponsabilité était ab
s du médecin traitant. Celui-ci, 'en effet, appréciait la situation mentale de son client dans les termes suivants : « Le
sté chez moi, quelque chose qui puisse faire douter de ses facultés mentales . A l'école du village où je l'envoyais, je n'ai
nourricier sur Cing... : « Je n'ai jamais rien remarqué dans l'état mental de cet enfaut, il m'a paru jouir de toutes ses fa
session la plus proche, com- mença à donner des signes d'aliénation mentale . Transféré, en fé- vrier 1892, dans un asilé d'
ssous, qui n'avait aucunement mis en doute l'équilibre des facultés mentales de l'inculpé. D'autre part, son ancien patron à
ier et je ne me suis pas aperçu d'aucun dérangement de ses facultés mentales . Enfin, un ouvrier, son compagnon de travail, a
trois jours avec Cing..., je n'ai fait aucune remarque sur son état mental , j'ai seulement vu qu'il était d'une hardiesse
ence, en s'étendant principalement sur la période de son aliénation mentale prétendue. Il me remit 12 7 MÉDECINE LÉGALE.
en face des crises qui eurent lieu en sa présence, à une aliénation mentale qui rendait sa maintenue nécessaire. Cing... ré
nts suffisants pour porter un jugement motivé sur lui. IV. L'état mental de cet individu ne laissait pas que d'être asse
dus néanmoins examiner subsidiairement quel avait pu être son état mental à l'époque de sa séquestration, car au cas où i
sitif sur lui, ni même par l'expertise faite autrefois sur son état mental , en avançant que cette folie ne pouvait qu'appa
dans son enfance ou sa jeunesse des marques de déséquili- bration mentale . Enfin le fou moral, on le sait, ne s'acharne q
lusieurs délires d'origine différente est démon- trée en pathologie mentale , du moment où l'hystérie était déjà admise comm
édisposante ou occasionnelle manifeste, presque toute la pathologie mentale . Cette discussion avait été omise, comme celle
e et s'assimiler successivement différents symptômes d'alié- nation mentale qui s'échelonnèrent d'ailleurs dans un ordre ch
'admettant comme prouvée, venait à l'appui de sa désé- quilibration mentale , c'est-à-dire de sa folie ? A cela je répon- dr
t alors qu'il tâtonna dans la voie de la simulation de l'aliénation mentale pour s'y jeter définitivement à plein collier,
'lu Cing... (Jules-Xavier) jouit de la plénitude de ses facultés mentales ; . 2° Il n'a jamais été aliéné et par conséque
ve la plus com- plète, et qu'espérer modifier leur état physique et mental c'est se tromper et tromperies autres. Il exist
liberté possible aux malades, en tant que compatible avec leur état mental et la sécu- rité publique. Or, il n'est pas dou
il n'y avait qu'une différence d'inten- sité dans la représentation mentale . La dénomination de zone motrice reste donc vra
ec des sensations différentes, surtout visuelles, la représentation mentale complète de l'objet surgit dans la mémoire. En
aneous andmuscular sensations and memories. (Journal of nervous and mental diseuse ? ew-1-orl : , décem- bre 1891.) SENS
- duire une impression assez forte pour éveiller de suite l'image mentale de l'objet considéré. Nous avons vu un malade ane
nostique dans les hémiplégies infantiles. 1 ? REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . inférieur de la pariétale ascendante des deux
rmettent d'en espérer bientôt de plus complets. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 1. Génie et folie ; par le De A. Regnard. Da
génie, les héros de l'humanité, dont l'organi- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 43 sation cérébrale parfaite constitue l'épano
t être fait par les tribunaux un examen plus complet des conditions mentales des personnes accusées de crime. De meil- leure
devraient être maintenus en traitement jusqu'à ce que les troubles mentaux aient disparu. (The A îie ? ica2z Journal of ¡n
de la parésie du côté gauche, de l'embarras 44 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . de la parole, de l'exagération des réflexes, d
t la période florissante de la syphilis. C'est une forme de trouble mental assez peu fréquente et toujours caracté- risée
1 est, jusqu'ici, très difficile de dire quelle REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 45 cause agit spécialement dans le développeme
olie post-opératoire peut revêtir toutes les formes de l'aliénation mentale ; celles-ci peuvent même, selon lui, se confond
de, à une prédisposition à délirer résultant de sa déséquilibration mentale , à son âge avancé, à la présence dans son urine
se décider à l'opération. A. Fenayrou. 46 6 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . V. Des troubles comparés du patellaire, du cré
(Crimée) de 1885183U, pour la première fois : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 47 Ce qui fait, pour cent entrées, plus de q
s. Accroissement de la paralysie générale. 48 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . étaient mariées; 4° ce sont les villes qui en
ctivite avec oedème palpébral, érythème facial, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 49 surlout chez les myopes courbés sur les vas
des formes dépressives. D'abord agitation hallucinatoire, confusion mentale extrême; puis, angoisse impulsive, idées de per
ur aiguë, et ont Archives, série, t. IX. 4 50 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ' généralement guéri après quelques mois de ma
ascendante de la paralysie générale et du tabes REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 51 dans le même ménage. Quatorze observations
, des purgatifs et de l'hydrothérapie. (B.) 52' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . aiguë se trouve comprise dans les formes mania
st and neurologist, janvier 1899.) E. B. X. Que sont les maladies mentales ; par le professeur Arndt. De l'ensemble des div
moi, qui est une sensation, dépendent les processus émotionnels et mentaux ; de lui dépend la détermination de l'état menta
us émotionnels et mentaux; de lui dépend la détermination de l'état mental et moral autrement dit, dans un cas donné, la s
e l'état mental et moral autrement dit, dans un cas donné, la santé mentale ou la maladie mentale. Les maladies mentales ne
n cas donné, la santé mentale ou la maladie mentale. Les maladies mentales ne sont pas seulement des maladies du cerveau m
ler les falsifications du moi, quand ce dernier REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 53 ne peut plus rien apprécier qui corresponde
s de paranoïa alcoolique; par 11. Seaux. (liull. de la Soc. de Méd. mentale de Belgiitte, juin 1899.) Il s'agit d'un homme
II. Le rôle de l'auto-suggestion dans certaines formes d'aliénation mentale ; par 1\1. A. Voisin. (Revue de psychologie cliniq
ternement, après avis médical : a) soit demandé pour établir l'état mental , b) soit praticable sans préju- dice pour la sa
-légal; par M. le professeur Iiow,I,EVSSZ. (Bull de la Soc. de Méd. mentale de Bel- gique, décembre 1898.) Au point de vu
et des bromures; par le Dl' Spinhayer. (Bulletin de la Soc. de Méd. mentale de Belgique, décembre 1898.) L'auteur a fait pr
vec avantage chez un certain nombre de malades atteints de troubles mentaux divers : Ainsi M. Van Renterghem attribue au tr
, mais surtout parce qu'elle s'accompagne d'une véritable confusion mentale qui lui lait perdre les idées et les mots et la
couchement température très élevée, congestion de la face, troubles mentaux . insomnie, pouls à 116, dur, irrégulier : doule
tions men- tales appréciables. Pas d'hallucinations, mais faiblesse mentale , perte de la mémoire, inintelligence des choses
du système nerveux qui intéressent plus spécialement les conditions mentales . L'auteur se défend de considérer la psycho- th
s à la condition d'y avoir recours pour remédier aux états morbides mentaux et moraux qui accompagnent et aggravent sou- ve
au point que l'on risquerait alors de passer en revue la pathologie mentale tout entière. Nous pensons en conséquence qu'il
ement t quant aux conditions héréditaires, à la nature du trouble mental et à l'époque de l'apparition de la maladie. Mais
ouvements choréiques se générali- sèrent et les crises d'excitation mentale devinrent plus fréquentes et plus violentes. L'
moquant, tout ce qui était de nature à provo- quer de l'excitation mentale augmentait considérablement les mouvements chor
à cette maladie. Les premiers auteurs qui étudièrent les troubles mentaux des choréiques en général, Rilliet et Barthez,
l s'allie communément à l'affaiblissement t progressif des facultés mentales , comme nous le dirons tout t à l'heure, et cons
ue où il n'est pas question d'idées de suicide, ni même de troubles mentaux . ' En 1885 King, dans le Neiv-York médical Jour
ns les auteurs que King a particulièrement insisté sur les troubles mentaux et les idées de suicide dans la chorée hérédita
ue Iluet le dise plus tard (1. c., p. f7G) lorsqu'il discute l'état mental des choréiques. Voici ce passage : « Chez beauc
es cas, l'auteur dit que dans la chorée héréditaire les symp- tômes mentaux se présentent sous forme de mélancolie, avec te
icide n'appartiennent pas au tableau symptomatologique des troubles mentaux dans la chorée de Huntington. Il n'existe pas u
choréiques héréditaires est, en effet, celui de la dégénéres- cence mentale , et nous devons nous attendre à y rencontrer to
bien qu'elles existent, revêtent le caractère propre à la débilité mentale et n'ont pas celui des cas ordinaires de parano
ndt, en 1868, prétendait qu'il n'y avait pas de chorée sans trouble mental . ilalloclc, tout récemment (Journal of nervous
s trouble mental. ilalloclc, tout récemment (Journal of nervous and mental disease, 1898, XXV, p. Soi) constatant que les
auteurs qui ont publié des cas de chorée héréditaire sans troubles mentaux . Les deux cas de Ewald d'abord, où l'on n'a con
cho- réiques, avait conservé aussi ses facultés. Au point de vue mental le malade de Loewenfeld présentait toutefois une
des Plancues sera donnée à la fin du numéro de juin.] ' CLINIQUE MENTALE Conditions biologiques des familles des paralyt
anique ou de la folie, mais l'hérédité cérébrale ou, 122 , CLINIQUE MENTALE . comme disait M. Doutrebente, l'hérédité des te
ltats : Ages moyens des grands-parents réunis : 76. -124 CLINIQUE MENTALE . En se plaçant à un point de vue moins général
6,20. Le détail pour chaque famille est le suivant : 120 CLINIQUE MENTALE . Troisième génération (frère et soeur). A la tr
au point de vue de l'âge auquel ils ont succombé : 128 8 CLINIQUE MENTALE . 2° Dans les familles normales. PARALYTIQUES
normales. PARALYTIQUES GENERAUX. 129 MORBIDITE 130 . CLINIQUE MENTALE . Sur 1565 individus, \111. Ball et Régis trouve
des aliénés; par le même (ibis., 1 ; 1899). Points de vue fonda- mentaux de l'assistance territoriale des aliénés ; par le
s, au village, en ville; à raison de l'origine même de l'aliénation mentale qui prend sa source dans la vie de la nation. E
normité naturelle de la population russe, et la nature des maladies mentales s'y opposerait. Ne sont- ce point des affection
arfaite, il y aura toujours un cer- tain accroissement des maladies mentales . Mais on a, par contre, le droit de compter sur
'à forcer étudiants et candidats à passer des examens de pathologie mentale '. IL Dans tous les chefs-lieux des gouvernemen
eurs bureaux d'admission respectifs, jugés atteints d'une affection mentale longue, ou d'une période aiguë à évolution pro-
lissement d'alié- nés. Déments, indifférents, psychopathes à formes mentales finies, immobiles, auxquels on donnera une libe
2° par les rapports différents d'épaisseur de la substance fonda- mentale , c'est-à-dire du protoplasma de la cellule qui ex
teurs étiologiques auxquels on impute la neurasthénie. Le surmenage mental , la vie sédentaire des intellec- tuels peuvent,
t, comme science d'état, leurs idées personnelles sur la pathologie mentale et la responsabilité des aliénés. M. Toulouse
ociété décide que la question restera à l'ordre du jour. . Maladies mentales familiales. M. TRÉ1VEL. L'étude de l'hérédité f
e l'hérédité familiale permettra peut-être de décrire en pathologie mentale comme en pathologie nerveuse des types morbides
ez deux soeurs. Enfin, il peut y avoir des combinaisons de troubles mentaux (démence en particulier) et de maladies nerveus
la Société décide de mettre à l'ordre du jour l'étude des maladies mentales familiales. M. B. Séance du 11 décembre 1899. P
mène devait être rangé parmi les tics et rapproché du torticolis mental . On a notéaussi un certain degré d'amblyopie, mai
, mais aucune autre altération fonctionnelle ni organique. L'état mental est affaibli sans qu'aucun trouble psychique ou
a phtisie se termine par la paralysie générale ; -, 2° Les troubles mentaux et la tuberculose peuvent marcher de front ou a
Charcot, à Pierre Janet, à Paul Blocq, à Sigm. Freud, une mala- die mentale . » Les troubles de l'intelligence ne sauraient na
ns l'impossibilité de lui nuire, et de tâcher d'améliorer leur état mental . L'expert ne doit se préoccuper actuellement qu
RAPHIE. 187 nital, comme dans l'idiotie, l'imbécillité, la débilité mentale , ou acquis comme dans la démence. Des impulsion
e les troubles de la volonté dans toutes les formes de l'aliénation mentale et adopte, en grande partie, pour cette étude,
agistrats, qui voudraient connaître la médecine légale des maladies mentales , de recourir à des traités plus com- plets. Il
e pommes de terre. La victime, qui ne jouissait pas de ses facultés mentales , était entrée dans l'église pendant la nuit et
conservation des forces, de l'embonpoint, l'intégrité des facultés mentales , toutes choses que nous avons constatées chez n
ersécution, se demandant qui peut la faire souffrir ainsi; cet état mental fait place à un excès de religiosité, sans qu'ell
lle, il est midi. Dans l'après-midi, Zoé présente de la confu- sion mentale très nette. Le soir, à 9 heures et quart, je l'en
e un de ses membres, elle procède immédiatement à la représentation mentale de la partie du corps énervée, endolorie; elle
iju- meau, quoique inconsciente, peut réveiller la représentation mentale de l'organe ou bien que des fibres d'association
re idéatif où le fait de la percussion réveille la représentation mentale de l'organe. Je réponds : a) que l'extériorisat
malade a dix-neuf ans ; son épilepsie s'est compliquée de troubles mentaux assez graves pour nécessiter autour de lui une
repos, les attaques sont revenues comme avant. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 233 Ce fait, très intéressant, s'ajoute à ceux
omie dans le traitement de l'épilepsie. B. '' 1 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XIV. Sur l'origine infectieuse du délire aigu
permanente de la fonction. J. Séglas. 23t Il REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XVI. La polyurie simple est toujours l'express
emps. J. Séglas. XVIII. L'alcalinité du sang dans quelques maladies mentales ; par Lambranzi. (Riv. di pat. neru. et ment.,
'une, épisodiques dans l'autre. .. J. SÉGLAS. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 235 5 XIX. La sénilité précoce chez les mélanc
nt, qu'en s'en tenant au critérium clinique qui classe les maladies mentales suivant l'ensemble de leur évolution et leur te
ent dans différentes maladies, en se super- 236 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . posant aux signes vraiment pathognomoniques et
s équivalents, rée, athétose, pseuclo-attétose, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 237 hypertonie, exagération des ré- flexes p
iaux toujours les mêmes pour un même malade ZOO REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . qui imprègnent la conscience au moment d'une c
les une seule récidive et sept guérisons ou améliorations de l'état mental . Les psychoses ainsi traitées furent quatre mélan
nt de plus de dix ans; dans quatre cas il y eut REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 239 9 lieu à hystérectomie totale, dans les au
moyenne ordinaire. R. DE MUSGRIN'E-CLIY. 240 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XXX. Sur les rapports de l'épilepsie nocturne
iagnostic d'épilepsie. Il. DE 1\lUSGItAVE-CLAY. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 241 XXXI. Le phocomelus de l'humérus dans l'ép
uels Bour- AnCII1YES, 2* série, t. IX. 16 242 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . neville signale un degré très accusé de raccou
u atteinte, aussi a-t-on désigné longtemps cette forme d'aliénation mentale sous le nom de folie partielle ; cependant il e
érescence, et les stigmates de cet état s'y ob- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 243 servent très souvent. Elle se présente sou
t sa soeur, ont également eu de l'ictère. 244 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Dans le second cas, où une amélioration fut ob
u observer un cas de la première catégorie ; il REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 245 s'agit d'une fillette de dix ans et demi n
mées de cette maladie. R. DE Musgrave-Clay. 246 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XXXIV. La marche vers la folie; par SmTx Bai;E
éléments peu- vent conduire à une prophylaxie utile de l'aliénation mentale . 1;. M. C. XXXV. La nouvelle loi sur la folie
s énoncées dans ce travail aideraient certaine- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 247 ment à dissiper les pires malentendus qui
simulation : l'auteur, pour de bonnes rai- 248 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . sons, repousse cette hypothèse; aussi admet-il
tysies sont rares ou nulles chez les aliénés. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 29 Le type de dégénérescence pulmonaire que l'
ments dégénérés nous montre précisément à quel point la dé- chéance mentale rabaisse alors l'homme au niveau de l'animal. O
délire); une forme ambitieuse ou expansive; 250 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . une forme mélancolique; une forme mixte; une f
op peu sur le caractère protéiforme des premiers indices de trouble mental , qui sont ordinairement plus apparents pour la
naire, mais qu'elles passent souvent inaperçues en raison de l'état mental du malade. Lorsque la maladie débute par des RE
al du malade. Lorsque la maladie débute par des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 231 attaques épileptiformes, il faut faire le
x sont reconnus plus tôt. Parmi ces symptômes les signes de trouble mental ont surtout une importance prépondé- rante, car
iques. Mais lorsque les signes physiques coïncident avec un trouble mental quelconque, ils prennent une ' L'auteur emploie
asme fonctionnel ou de crampe fonc- tionnelle du cou, de torticolis mental . Il n'est pas rare, du reste, que le spasme du
ais elle ne doit être que secondaire, dans de tels cas le processus mental doit toujours être à l'origine. En tout cas l'ath
l'athétose ; je ne nie pas la prépondérance originelle du trouble mental ,je constate seulement la'présence de l'irritation
ticle 2 accroit dans de notables proportions les charges départe- mentales , or, la plupart des députés sont conseillers géné
s sapeurs- pompiers. Les médecins qui l'ont examiné au point de vue mental ont conclu il sa responsabilité limitée. L'ivro
n les modifications constatées avec affai- blissement de l'activité mentale ; en même temps on fait attention à ce que l'ét
cérébrale, diminue évidemment, au sur et à mesure que les capacités mentales s'affaiblissent. Demoordans un de ses derniers
rme, applique à l'explication des phénomènes de la région de la vie mentale , normale, ainsi que de la région de la psychopa
ie, mais sans souligner la liaison avec l'abaissement des capacités mentales . Agapoff (Russie) a constaté chez les paralytiq
ques des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale dans des maladies mentales sont pour le moment peu nombreux et ne nous per
doit correspondre, évidemment, à l'affaiblissement des capacités mentales , tandis que dans le second cas l'état moniliforme
nell' uremia acuta sperimentale. (Rivista di patolo- gÙ¡ nel'vosa e mentale , 1890, vol. I, fasc. 10). Anglade. Sur les alté
roscopiques du système nerveux. (Bulletin de la société de médecine mentale de Belgique, 1898. mars, n° 88.) KurpEL (et A
la patologia della cellula nervosa. (Rivista di patologia nervosa e mentale , vol. I, fascicule 8, Agosto, 1896.) LUGARO.
namenti per arsenico e per piombo. (Rivista di patologica nervosa e mentale , vol. II, fascicule 2 ; Febbario, 1897.) LnGtRO
den- driti delle cellule nervoso. (Rivista di patologica nervosa e mentale , 1898, vol. III, fascicule 8.) Von LENUOSSEK
at variqueux DES DENDRITES corticales. 287 Î nity). (The journal of mental science, 1898, october, vol. XL1V, p. 729.) O
osi nell'uremia acuta sperimentale. (Rivista di patologia nervosa e mentale , 1896, vol. I, fascicule 10.) . PARASCONDOLO (C
Nervecells (specielly in relation to insa- nit\). (Th ? journal of mental science, 1898, oclober, vol. XLIV, p. 729.) R
SEY. Voir le Messager neurologique (russe), 1898, t. III. CLINIQUE MENTALE Les objets de piété comme instruments de meurtr
i j'en crois ma propre Archives, 2e série, t. IX. 19 290 CLINIQUE MENTALE . expérience, car j'ai observé successivement qu
on progressive. (Archives de Neurologie, 1897.) . - , 92 CLINIQUE MENTALE . manie. Meurtre de son enfant par suffocation à
un accès de délire ; une soeur de la mère est atteinte d'aliénation mentale . Ils ont eu cinq enfants : trois garçons nor- m
ite duquel elle est restée, pendant un an, dans un état d'équilibre mental ins- table ; la moindre contrariété lui troubla
lle profonde, grand gâtisme. Vers cinq heures, retour de l'activité mentale et du délire, composé d'idées tristes et de diva-
ai. Elle rit des heures entières, voit son mari auprès 294 CLINIQUE MENTALE . d'elle, lui parle; voit aussi un poteau avec u
ons reconstituantes mais le délire, qui s'était calmé, 296 CLINIQUE MENTALE . s'est réveillé. L'agitation est assez vive et
r. Cependant c'est la pre- mière fois qu'elle présente des troubles mentaux graves. L'étiologie de la maladie actuelle est
derniers elle était un peu plus calme sans modi- fication de l'état mental mais aujourd'hui l'agitation réparait avec des
t quart, vomissements abondants de sang pur que l'on 298 CLINIQUE MENTALE . peut évaluer en volume à 7j centilitres enviro
Trépanation accidentelle; Par le D' G. JACQUIN, Chef de clinique mentale à l'Unirersité de Lon. Sommaire. - Antécédents
on. Acuité auditive diminuée surtout à droite. Rien au goût. Etat mental . Mémoire un peu paresseuse, pas de troubles de
pécifique se trouve sensiblement altéré. Dans les autres affections mentales , accompagnées de désordres encéphaliques aigus
ids spécifique ne parut que rarement mo- difié dans les aliénations mentales et seulement dans celles en rap- port avec des
non plus leurs altérations dans toutes les affections nerveuses et mentales . M. Bethe exagère le rôle nerveux et conducteur
e personne capable de s'observer et de commander à ses opé- rations mentales est placée dans une chambre éclairée au gaz de
s actives, une suffi- sante aptitude du cerveau à la représentation mentale . M. Har- tenberg insiste en terminant sur le rô
mple, soit compliqué de télépathie impro- prement nommée suggestion mentale ). A. FENAYROU. XXII. Le problème de la suggesti
professeur Bernheim. En effet, il n'existe pas de différence fonda- mentale , du moins au point de vue symptomatique, entre le
l'observation d'un cas ; par John Punton. (Journal of ne/'vous and mental disease, sep- tembre 1899.) 1\1'"0 B..., ving
lbaire asthénique ; par Wharton SrNKLER. . (Journal of nCl'vous and mental diseuses, sept. 1899.) La malade, âgée de trent
, manie, puis mort ; par WILLIAM Osier. (The Journal of nervous and mental disease, février 1899.) L'auteur rapporte une o
s nerveuses ; par William G. SPILLEIi. (titre Journal ofnervous and mental di- sease, novembre 1899.) L'auteur rapporte
qu'une relation existe entre ces lésions anatomiques et la débilité mentale du sujet observé, mais elles ne semblent avoir
cromégalie ; par Charles-W. BURR et David RKESMANN. (The journal of mental of nervous diseuse, janvier 1899.) .. . Les a
Bailey. New York neurological Society. (The journal of nervozcs and mental disease, janvier 1899.) , Il s'agit d'un jeune
r le D1' IL-lI. Thomas, de Baltimore. (The journal of ne1'VOUS aizd mental disease, février 1899.) L'observalion porte sur
; gonfle- ment suspect des jointures dans 3 autres cas. Troubles mentaux : dans 7 cas. SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ DE N
une glycosu- rique ; traitement hypnotique et guérison des troubles mentaux mal- gré la persistance de la glycosurie. M.
ent émotionnel, mais physique, est le point de départ des désordres mentaux . Dès lors, 111 ? B... est en proie à une idée f
s grandes commotions politiques sur le développement des maladies mentales : le premier lu à l'Académie de médecine dans la
rapidement des connais- sances cliniques très étendues en médecine mentale et ner- veuse, durant son internat il la Salpêt
ttaché à la première tentative d'un en- seignement de la pathologie mentale fait dans cet asile et qu'un ukase du préfet de
ère fois dans notre pays avec Magnan l'enseignement de l'aliénation mentale , et qui, aujourd'hui devenue célèbre même à l'é
udition, le savoir, la compétence en tout ce qui touche la médecine mentale , étaient universellement reconnus. C'est au s
insti- tué par le présent arrêté le chef de clinique de pathologie mentale et des maladies de l'encéphale de la faculté de
1000. Vol. IX. Mai 1900. N° 53. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . Hyperesthésie corticale dans l'alcoolisme aigu
te hyperesthésie : Archives, 2' série, t. IX. 25 . : 386 CLINIQUE MENTALE . il fit naître des hallucinations visuelles en
olique persécuté trouve , Magnan. Leçons cliniques sur les maladies mentales , 1S97, p. 207. . Mierzejewski. Contribution à l
des paroles proférées par les espions, en les rendant 388 CLINIQUE MENTALE . plus intelligibles et plus nettes. Voilà donc
te alcoolique, bien étudiée par Charcot et ses élèves. 390 CLINIQUE MENTALE . Le cerveau, qui réagit sous le moindre choc, e
ooliques très fortement intoxiqués, atteints d'une grande agitation mentale et physique, les cas de delirium treanens, avec
uses. Revenons à nos malades. II. Observation I. Dégénérescence mentale . Père alcoolique ; frères buveur*. Habitudes al
dents héréditaires. Père charbonnier, mort il y a deux 392 CLINIQUE MENTALE . ans; alcoolique, buvait surtout du vin, prenai
dipsomanie apparaît surtout quand une cause physiolo- 394 CLINIQUE MENTALE . gique, les menstrues, intervient, augmentant l
dites-moi ce que vous entendez . » « C'est un bourdon- 396 CLINIQUE MENTALE . nement lointain, répond-il, qui se rapproche e
pond avec réticence, de même du reste qu'il avoue dif- 398 CLINIQUE MENTALE . ficilement ses excès, il signale cependant une
es, publiés par Van Swieten. 3 marche. Traité pratique des maladies mentales . Paris, t8j8, p. 317. 414 PHYSIOLOGIE PATHOLOGI
alades en état de stupeur ». Au Congrès international de médecine mentale tenu à Paris en z1887, M. le docteur BeLtencour
)ema< ! : e, p. 516, année 1876. 2 Bail. Leçons sur les maladies mentales (2* édition), p. 230 et 2G0. 3 Comptes rendus d
. 230 et 2G0. 3 Comptes rendus du Congrès international de médecine mentale tenu à Paris en 1889, p. 409. CORDE MUSCULAIR
un travail d'ensemble sur les auto-intoxications dans les maladies mentales MM. Régis et Chevalier Lavaure met- tent en lum
e dos d'un couteau 1 Rapport présenté au Congrès annuel de médecine mentale , tenu à La Rochelle en 1893, le session. 2 Di
des sensa- tions, c'est-à-dire d'une opération élevée de l'activité mentale . Nous avons, dit l'auteur, déjà montré que les
ens stéréognostique ; par Joseph SAILER. (Jou1'1 ! alof nervous and mental diseuse, mars 1899.) De l'étude de certains fai
ar les Drs L. WALLON et CHENEY (de Boston). (Journ. of ne¡'vous and mental disease, 1899.) C'est le cas d'un médecin âgé d
u sang dans l'épilepsie ; par C.-A. HERTER. (Journal of nervous and mental diseuse, février 1899.) C.-A. llerter a fait
tébrale; par Philip ZNr;rn, Cin- cinnati. (Journal of nei-voits and mental diseuse, novembre 1899.) L'auteur rapporte un b
COLLINS. New York neurological Society. (The journal of nervous and mental discase, janvier 1899.) Cette tumeur, un sarcom
t soudain ; (2) perturbation complète et simul- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 427 tanée des fonctions vésicales et intestina
ession; par le Dr William-M. Leszynsky. (The journal of neuuous and mental diseuse, novembre 1899.) Paralysie du plexus
erce entre la clavicule et la première côte. P. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XLII. Un cas d'ivresse furieuse; par le Dr FRA
conclusions suivantes : Certains sujets sont atteints d'un trouble mental caractérisé par 428 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
tteints d'un trouble mental caractérisé par 428 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . une jalousie excessive, absurde, injustifiée,
Lamertin, édit., 20, rue du Marché-aux-Bois.) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 429 9 LXIV. Note sur des attaques frustes d'ép
de prendre soin des épileptiques; par John H. Lord. (The Journal of Mental Science, juillet 1899.) L'auteur s'occupera dan
ue du placement des épileptiques, dans quelle mesure leurs facultés mentales sont atteintes ou intactes, et aussi à quel genre
plus souvent entre le début de la maladie et le début des troubles mentaux un temps qui serait précieux à utiliser pour le
malade, et tout au moins de le surveiller, 430 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . lorsque ses parents et ses amis ne peuvent pas
plus récent projet émane du Conseil de comté de REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 431 Londres, qui a décidé de construire à Hort
ileptique et la folie alcoolique; par R.-H. NOOTT. (T7ee Journal of Mental Science, juillet 1898.) Les analogies qui exi
inels de violence commis dans ces deux états et dans les phénomènes mentaux qui précèdent ces actes et conduisent à leur ac
manie alcoolique aiguë un état identique à l'état dit d'automatisme mental qui est caractéristique de l'état post-épilepti
lation soit particulièrement avantageuse au 432 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . malade, toutes les précautions possibles ont é
e quantité immodérée et toxique d'alcool déter- mine des phénomènes mentaux très semblables à ceux que l'on observe dans la
lus élevés ; 2° les deux états sont simultanés, parce que tout état mental implique un état nerveux corrélatif; et 3° malg
insuffisant pour permettre à la réflexion et au REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 433 jugement d'exercer leur influence protectr
l'épuisement des centres nerveux impliqués dans l'excès d'activité mentale . Il est intéressant de noter que le mal de tête
isément par Archives, 2' série, t. IX. 28 434 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . les médicaments qui, dans tous les autres poin
ltérations ' Telle est notre pratique. (B.) , REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 435 plus importantes et non moins marquées exi
effet dans les centres supérieurs. La nature et le degré du trouble mental ont une bien autre importance que l'état convul
gérée ou unifiée, ne reçoit plus de stimulations ou d'im- pressions mentales appréciables par les voies ordinaires de com- m
l'épi- lepsie est probablement très rare. 436 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Les troubles mentaux que l'on observe chez les
ablement très rare. 436 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Les troubles mentaux que l'on observe chez les épileptiques sont abs
traces permanentes ; il y a là moins de la folie qu'une déchéance mentale progressive due au caractère incomplet de chaque
tion incomplète après chacune des attaques. Les formes d'aliénation mentale que l'on rencontre dans l'épi- lepsie sont elle
lepsie sont elles-mêmes en harmonie avec le processus de déchéance mentale continuelle et progressive qui les provoque : ell
être étudiée de très près parce qu'elle est la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 437 maladie qui comporte à la fois des phénomè
qui comporte à la fois des phénomènes somatiques et des phénomènes mentaux , et qui représente en quelque sorte le lien en
du tissu organique et les modifications in- tangibles de l'activité mentale . Par exemple il serait fort intéres- sant de re
rait pourtant une grande lumière sur le mécanisme d'autres troubles mentaux , et particulièrement de ceux qui se rattachent
tions de la folie. M. TOULOUSE propose d'appeler psychies les états mentaux , fon- damentaux et psychoses les formes morbide
e divisées d'après l'âge où elles se sont manifestées : en débilité mentale jusqu'à la puberté et en démence après cette li
incohérents, neutres). Une place à part est réservée à la confusion mentale dont une variété serait la stupeur. Enfin comme
es de la Psychiatrie ; 2 T. E. RYBA- koff, Alcoolisme et aliénation mentale ; 3" W. A. Mouratow, Types de dégénérescence da
s conditions pourraient, en effet provoquer l'éclosion d'un trouble mental plus accentué. M. Jules Voisin. - Dans ces cas,
droitiers). La prépondérance de l'hémisphère gauche dans les actes mentaux supérieurs explique bien la suffisance de cette u
BOURG, ' le 21 juillet 1898, par A.-R. URUQUIIARDT. (The Journal of Mental Science, octobre 1898.) Comme la plupart des
ET ses critiques ; par Sir James CRICaroN- BROWNE. (The Journal of Mental Science, janvier 1898.) Il y a dans cette longu
veuse héréditaire, qu'elle était atteinte d'une véritable ma- ladie mentale dont les symptômes, d'ordre purement émotif, n'on
ilaire-sur-Erre, lime Chau- veau, âgée de 68 ans, dont les facultés mentales étaient affaiblies, s'est suicidée en se jetant
émence, Jaume Rozé ne jouissant pas de la plénitude de ses facultés mentales . Folie furieuse d'un employé de ministère. Un e
avec sa maîtresse une villa de Chenôve, était atteint d'aliénation mentale . Il avait, lorsqu'un accès s'emparait de lui, l
rice de l'école communale de filles, à Breil, atteinte d'aliénation mentale , a tenté de mettre fin à ses jours. Elle a été
en l'air pour se faire caresser. . Etant donné l'état de déchéance mentale du malade, les mou- vements intentionnels qu'on
lement au sommet. A droite, au sommet, quelques craquements. Etat mental . Réaction pour les événements du monde exté- ri
gâte. On l'envoie au quartier spécial Leuret. Toujours le même état mental de démence, mais aussi de calme. La première qu
passe assez bien ; rien ne vient ajouter une note nouvelle à l'état mental et physique de Brout... Cependant le 18 octobre
plasme souvent imperceptible, dans tout le cortex et 476 . CLINIQUE MENTALE . principalement au niveau des circonvolutions -
ment distribuée; nerfs périphériques à peu près intacts. CLINIQUE MENTALE . Hyperesthésie corticale dans l'alcoolisme aigu
rvait avant l'expérience, puis elles cessent. t. ' . 478 CLINIQUE MENTALE . Si F..., ayant les yeux fermés, on lui fait to
malade est transféré à Ste-Anne à six heures du soir. 480 CLINIQUE MENTALE . Le goût seul a réagi ici, et très désagréablem
i le goût fictif de la quinine. Observation VI. - Dénénér·escence mentale . Délire alcoolique avec hallucinations multiple
rit au souvenir de ses Archives, 2° seie, t. JX 31 l 482 CLINIQUE MENTALE . hallucinations d'hier. Pourtant par la compres
ISME AIGU. 483 cranio-faciale, caractéristique de la dégénérescence mentale . Il a été à l'école pendant cinq à six ans, mai
e faire réapparaître les hallucinations de la vue par la suggestion mentale , mais nos efforts restent sans résultats : il n
t, nous dit-il, c'est de l'encre, ça sent l'encre. » 484 CLINIQUE MENTALE . La langue est impressionnée sous l'action de f
féré à Ville-Evrard'le 30 avril. Observation VIII. - Dégénérescence mentale : très émotif, des doides. Alcoolisme aigu ; ha
d'un individu qui l'appelait « assassin, assassin. » . 486 CLINIQUE MENTALE . Vue. - Procédé Liepmann : il voit une voiture
e l'hyperesthésie corticale est en rapport avec la dégéné- rescence mentale . III Maintenant que nous avons exposé nos obs
tc.), pour ne citer que les principales, on est arrivé 488 CLINIQUE MENTALE . avec le progrès de la science physiologique à
es centres sensoriels irrité. Mais de là à dire que les excitations mentales ont seules le monopole de produire des hallucin
cela suffit. Que l'hallucination soit provoquée par l'excitation mentale des centres sensoriels, ou par l'excitation périp
riques ; et, hallu- cinations centrales, produites par l'excitation mentale . Les sensations que nous avons pu produire chez
ue, les caractères intrinsèques de ces hallucinations, 490 CLINIQUE MENTALE . relativement à leur point de départ, examinons
alcoolique se rencontre surtout chez les prédisposés, 12 ' CLINIQUE MENTALE . 1 voyons si la nature des boissons y apporte s
- Grand-oncle excès de boisson. - Grand' tante, gibbosité, troubles mentaux . - Grand-oncle, aliéné. - Deux cousins atteints
s d'acromégalie; par le Dr W.-M. 1,EYriSKY. (Journal of nervous and mental disease, février 1899.) Malade de trente-six an
anémie et la toxémie ; par Cn.-L. Dan. (The journal of zzeruous and mental diseuse, janvier 1899.) Cette maladie a des car
la méningite séreuse ; par Ch.-L. DANA. (The journal of nervous and mental diseuse.) L'auteur réduit à 5 formes communes,
ncolie. L'un des prin- cipaux collaborateurs du Journal de Médecine mentale , fondé par son maitre Delasiauve, il y fit para
s travaux, parmi lesquels ses Etudes historiques sur l'aliénation mentale dans l'antiquité qui malheureusement n'ont pas ét
E. Diagnostic et traitement de la dipsomanie (Journal de Médecine mentale ) ; Considérations diagnostiques sur les diverses
l'erreur pathologique (idem); - Eludes historiques sur l'aliénation mentale dans l'antiquité (idem) et réunies en volume en
Intervention chirurgicale dans les -, par Fisher, 78. Maladies mentales . Que sont les ? par Arndt, 52. - familiales, pa
21 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
CIION UR 1111. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la de médecine de Paris. V. MAGNAN Memb
e observation où l'atrophie du nerf opti- que précède les symptômes mentaux . Magnan avait d'ailleurs déjà remarqué que l'at
E FOND DE L'OEIL CHEZ LES PARALYTIQUES GENERAUX. 3 tard de troubles mentaux qui se développèrent au cours de la paralysie g
de devint aveugle plus de deux ans avant l'apparition des symptômes mentaux ; 2° Les mêmes accidents oculaires se produisire
nte pour se diriger, pour lire même, autant toutefois que leur état mental le permet- tait. Chez 22 autres malades l'asp
entré en août 1901, donnait depuis six mois des signes d'aliénation mentale . Dégé- néré, alcoolique (il était garçon brasse
médicale, Paris, 1868. TEB.1LD1.-L'ottalmoscopia nella alienazione mentale , nella epilep- sia. Riv. c ? )t ! \'6[, 1870, p
NATOMIE PATHOLOGIQUE. tal symptoms of gênerai Paralysis. Journal of mental science, 1889. GILBEIIT Ballet. Les troubles
D'où la nécessité de l'Hospitalisation des Epileptiques. CLINIQUE MENTALE . Note sur l'évolution des obsessions et leur pa
., séance du 20 lévrier 1901. * Charpentier. Congrès inlem. de méd. mentale , 1889. 5 Pitres et Régis. Rapport au Congres de
et aussi le même avis. AITCIIIVES, 2- Série, t. XV. 3 34 CLINIQUE MENTALE . Ici, comme en toutes choses, il faut laisser p
les circonstances. Ce sont, en général, la mélancolie, la confusion mentale et le délire onirique, les délires systématisés
discuter ses obsessions et bientôt apparaissent sponta- 36 CLINIQUE MENTALE . nément des idées délirantes de culpabilité, de
la malade rappelle celui des gémis- seurs de Morel. (b) Confusion mentale ; délire onirique. Il n'est pas exceptionnel de
nts auxquels on pourrait appliquer l'épithète générale de confusion mentale . Cette confusion mentale résulte de deux élémen
pliquer l'épithète générale de confusion mentale. Cette confusion mentale résulte de deux éléments : d'une part, torpeur,
accentué, depuis le simple engourdissement jusqu'à la confu- sion mentale et même jusqu'à la stupeur. Ces accès de stu- p
beaucoup plus longtemps, pendant plusieurs semaines. 38 CLINIQUE MENTALE . J'ai observé un jeune homme de dix-sept ans, a
ec l'obses- sion, et les analogies profondes que présente leur état mental fondamental avec celui des malades chez lesquel
es choses et se dit : « Suis-je bête (sic) d'avoir eu 40 0 CLINIQUE MENTALE . ces idées. » Ce qui ne l'empêche pas d'être re
entuent et les délires revêtent la forme que nous avons 42 CLINIQUE MENTALE . - décrite sous le nom de variété psycho-motric
très difficile d'établir des rapports entre la forme 44 Il CLINIQUE MENTALE . de l'obsession et son évolution vers le délire
ession, mais du complexus symp- tomatique et de l'analyse de l'état mental sous-jacent On se borne généralement à n'envisa
beaucoup plus importante pour le clinicien, c'est l'étude de l'état mental sous-jacent, interparoxystique 1, et l'analyse
ications se résument dans leur ensemble en des troubles de synthèse mentale , à caractère d'insuffisance, en une dissociatio
D'autres fois, c'est l'idéalion, l'association des représentations mentales qui se trouve intéressée, comme dans les cas si
es crises, comme à l'état latent, constituant une sorte de diathèse mentale particulière qu'on pourrait appeler avec Tanzi
obsession, cet envahissement devient tel qu'il absorbe 46 CLINIQUE MENTALE . momentanément à son profit presque tout le cha
ine de l'obsession et présentant tous le même caractère de synthèse mentale insuffisante, viennent à se multiplier, à s'exa
tons alors, suivant les cas, à ces états de stu- peur, de confusion mentale , à ces délires de rêve que nous avons signalés,
u cou. Chez les tiqueurs, chez les choréiques, dans le torticolis mental . LA RÉÉDUCATION MOTRICE. 65 5° Mouvements des
. La tuberculose peut ajouter un ou plusieurs caractères à l'état mental préexistant ; elle ne le modifie pas de fond en c
nte incubation, que le tubercubeux présente des troubles nerveux et mentaux . Ce qui m'a le plus frappé à cette époque, c'es
, ils sont extrêmement égoïstes. Un malade me traduisait sou état mental par ces mots : « Je suis anarchiste de la santé d
ordinaire ; cette différence du milieu influe sur lés modifications mentales ou nerveuses. M. Jules Voisin. Dans mon servi
, d'ordinaire, très bon appétit ; sinon on les gave. Quant à l'état mental de ces malades, il faut distinguer ceux qui son
ent femmes par la 1 BIBLIOGRAPHIE. 109 structure physique, l'état mental , les sentiments, la moralité, la sexualité, la
logiques, le second englobant l'ensemble des tendances et aptitudes mentales propres à chaque individu. Les facteurs qui pré
s aliénés dont le délit était un symptôme de leur état d'aliénation mentale . Ce livre est non seulement didactique et scien-
s titulaires : M. le De Mairet, professeur de clinique des maladies mentales la Faculté de Médecine de Montpellier; le Dr Ré
e de Montpellier; le Dr Rémond, professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Toulouse ; le Dr Ré
voit, ce concours pèche par l'absence de toute épreuve de clinique mentale . Asile d'aliénés DE la SEINE : Concours de l'In
D'où la nécessité de surveiller et de traiter de suite les troubles mentaux de ce genre. varia. 119 J Folie incendiaire
éprouvé un tel chagrin de la mort de ses parents, que ses facultés mentales en furent ébranlées. Sa folie empira encore du
on, Mme Dufois donna des signes fréquents d'absence et d'aliénation mentale . Plusieurs fois elle déclara qu'elle en avait a
à l'asile de Marseille (poste créé). Cours de clinique des maladies mentales et des maladies de l'eizcé- phale. M. le profes
le professeur Joffroy a commencé le cours de clinique des maladies mentales le lundi 17 novembre 1902, à 2 heures et demie,
res (Grand Amphithéâtre). Hospice DE BICÊTRE. Maladies nerveuses et mentales des Enfants : M. BOURNEVILLE, le samedi à 9 heu
. Vol. XV. Février 1903. ? 86. ARCHIVES 'DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE , Contribution fui, l'étude des folies par conta
clc., 1885, p. ? 1 ? ). Archives, 21 série, t. XV. 9 130 CLINIQUE MENTALE . ce genredefolie, qu'il dénomme folie communiqu
de, 2° partie, ch. i, 1859. Dagron. Archives cliniques des maladies mentales el nerveuses, 1863. 8 Maret. Du délire des pers
. A partir de 1892, parurent de nombreux travaux sur la contagion mentale morbide et sur les formes de folie qu'elle enge
s. M. de Boeck'2, dans une communication à la Société de médecine mentale de Belgique sur la contagion de la folie, tout
ck. De la contagion de la folie (Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, 1893, p. il6). 3 Arnaud. La folie
i-juin 1893). 4 Marandon de lontvel. Des conditions de la contagion mentale mon- bide (Annal, méd.-psychol., 1894, t. XIX,
alrobücher f. l'sycltiatrie, v. XVI, 3a f., 1897). 13 ï- CLINIQUE MENTALE . auteurs tendent à faire rentrer dans le cadre
auteurs tendent à faire rentrer dans le cadre nouveau des maladies mentales familiales (Trénel', Fouque2, Sorel) ; d'autres
e nouveaux faits cliniques sur la transmission de certains troubles mentaux comme les phobies (Régis3), les obsessions et l
s cherchent à étudier le phénomène psychologique delà conta- gion mentale morbide, comme Schonfeld1 et Sorel5 qui le ratt
tion musicale). (liev. neurol., 1902, p. 106). ' 1'réel. Maladies mentales familiales (Soc. niécl. psychol., 27' no- vembr
s (Soc. niécl. psychol., 27' no- vembre 1899). - Fouque. Maladies mentales familiales, th., Paris, 1901. 3 Régis. Les Phob
Rev. neurol., 1900, p. 776). ' R. Dewey. Remarques sur la contagion mentale et l'infection héritée ou acquise, avec considé
u délire de persécution avec hallucinations de l'ouïe. La contagion mentale fut alors acceptée, mais pour ce seul délire. P
s folies 'systé- matisées pouvaient se transmettre, et la contagion mentale morbide eut droit d'existence. Cette contagio
rmenlale (Arch. d'anlhrop. criminelle, 1901, p. 168). '136 CLINIQUE MENTALE . L'imitation, dit M. Marandon, « est le besoin
les trois facteurs décrits : imitation, persuasion, action inter- mentale . Il y résiste différemment ou même peut ne pas y
journalières, tient essentiellement au bon équilibre des facultés mentales , qui permet de discerner, relativement au milie
ive dépendra du bon équilibre et du bon fonctionnement des facultés mentales , en un mot, de l'état du système nerveux centra
arandon dans son article de 1894 sur les conditions de la contagion mentale morbide. L'im- pression morbide dépend essentie
causes peuvent se diviser en trois groupes : un pre- '13s CLINIQUE MENTALE . mier groupe qui accentue l'élément suggestif,
ieux et Capgras. ? M/. méd. -psychol., mai-juin 1902. '140 CLINIQUE MENTALE . Dans ces trois formes, les éléments pathogéniq
ement remis et très conscient de la mauvaise influence 142 CLINIQUE MENTALE . de sa maîtresse. La jeune femme sortit guérie
out elle augmentera la puissance vésanique du sujet 144 ik CLINIQUE MENTALE . passif en l'activant sans cesse. Cliniquement,
ommuniquée par la fille à sa mère. 1. - Agent actif. Dégénérescence mentale avec prédominance d'idées de persécution, illus
e ne peut plus dormir. Archives, 2° série, t. XV. 10 146 CLINIQUE MENTALE . Sa mère influencée la suit. Ses ennemis la sui
e à deux. Signé : Dr LEGUAS. Certificat d'entrée : Dégénérescence mentale avec illusions, hal- lucinations, interprétatio
à l'amabilité de mon collègue et ami, le D Ameliue. 148 CLINIQUE MENTALE . II. Agent passif. Alcoolisme chronique avec af
t, moment où le délire du sujet passif est entré dans lu ' CLINIQUE MENTALE . une phase active, que le sujet actif commence
ps à autre sa sortie sans grande suite dans les idées. 152 CLINIQUE MENTALE . Au mois de décembre 1901, elle est tout à fait
ables de leurs actes. Com- Nina Rodriguès. Loc. cil. 154 CLINIQUE MENTALE . ment, cependant, considérer comme responsables
tte appellation s'appuie sur la pathogénie de ce groupe de troubles mentaux et a l'avantage de comprendre dans un même term
quent irres- ponsables tant qu'ils sont dans cet état. PATHOLOGIE MENTALE . Des obsessions et impulsions' (Syndromes épi
e l'individu dégénéré, mais faisant cepen- dant corps avec son état mental . M. Magnan leur a, ajuste titre, donné le nom d
de près les malades qui font l'objet de cette étude. 156 PATHOLOGIE MENTALE . Quelles que soient les manifestations extérieu
ndubitable le rapport de ces phénomènes avec l'état de déséquilibre mental , et la manière dont ces syndromes doivent être
omes en général, demande le premier rôle à l'élément 158 PATHOLOGIE MENTALE . intellectuel, l'idée, qui apparaît dans des co
rain. Et si les névroses sont susceptibles d'engendrer des troubles mentaux analogues ; cependant on-peut y reconnaître des
e conception et élucider ces considérations. OBs. L- Dégénérescence mentale , obsessions et impulsions conscientes à l'homic
, mêmes idées également, sans exécution. Enfin, vers 160 PATHOLOGIE MENTALE . soixante-quinze ans, mêmes idées encore, qui n
cause efficiente de la maladie, dont elle souffre. Outre cet état mental instable, cependant déjà dès l'âge de douze ans
y toucher la faisait Archives, 2' série, t. XV. il 16l PATHOLOGIE MENTALE . fuir. Elle luttait pour maîtriser ces pensées
lui donner les soins nécessaires ; elle était bien portante du côté mental , mais soudainement s'éveilla de nouveau en elle
et la malade se trouve alors dans un état d'anxiété 164 PATHOLOGIE MENTALE . extrême, mais elle résiste et lutte avec beauc
malade on ne trouve ni convulsions, ni maladie fébrile, ni trouble mental nettement caractérisé. Elle a fréquenté réguliè
a au point d'inquiéter son mari, qui lui fit consul- 166 PATHOLOGIE MENTALE . ter un médecin. Les soins de celui-ci l'amélio
ons, de sorte que rien ne trahit un trouble quelconque des facultés mentales . Lorsqu'on lui demande le motif qui l'a poussée
onc, les syndromes s'imposent à l'expert comme un acte d'aliénation mentale et au magistrat comme un fait marqué d'irrespon
comme un fait marqué d'irresponsabilité. OBs. III. Dégénérescence mentale ; obsessions et iii2l) ? ilsioiis mor- bides, do
linge. Depuis cet instant elle continuait à exercer 168 PATHOLOGIE MENTALE . cette manoeuvre plusieurs fois par jour et sou
es, elle cherche à cacher la vérité, mais en réalité 170 PATHOLOGIE MENTALE . c'est qu'elle craint la présence des billets m
sont susceptibles au point de vue clinique. OBs. IV. Dégénérescence mentale ; impulsions (tit vol et au sui- citie, perversi
ssement de celle-ci ; progressivement, elle était 172 -) PATHOLOGIE MENTALE . prise par une sorte de convulsion génitale, de
e frappant de la coexistence possible d'une complexité des troubles mentaux syndromiques et névrosiques qui, tant variés qu
a suite des nombreux vols commis dans les magasins. 171, pathologie mentale . de son entourage chaque fois qu'elle ouvrait u
e, sans nulle résistance ou' réflexion antérieure du 176 PATHOLOGIE MENTALE . sujet (seconde observation) ; dans la seconde,
iés qu'ils soient, appar- tiennent au même fond : la dégénérescence mentale ; d'autre part, elle nous permet de nous placer
la maladie dans les centres corticaux moteurs. Si le foyer purement mental du mouvement volontaire semble intact, la paral
elles subissent puisque la plupart des dégénérescences physiques ou mentales sont créées par l'alcoolisme, la tuberculose, l
ation synonyme d' « idées impératives », des idées, des impressions mentales ou des émotions, presque toujours pénibles ou d
médecin. Il ne s'inspirera, dans sa détermination, que de l'état mental de l'aliéné et de la gravité des lésions matériel
iénés : progrès ou régression ; par William Graiiam (The Journal of Mental Science. Octo- bre 1901). Etude très spéciale
Un cas d'homicide épileptique; parR. Peucy Smith. (T/te/OKf- nal of Mental Science, juillet 1901.) L'histoire de ce crime
tait syphilitique. Dans le troisième cas, il s'agit d'une confusion mentale simple. simulant la paralysie générale. Le liqu
t pris de crises convulsives épileptiformes, suivies de con- fusion mentale , et continue pendant six ans à revêtir le type co
'agit de tics et de mouvements stéréotypés en relation avec un état mental parti- culier, obsession nosophobique qui pouss
le siège de ses douleurs, qui d'ailleurs ne sont que l'hypertrophie mentale de sensations banales. Les accidents ont débuté p
ec des phénomènes de catatonisme. 200 SOCIÉTÉS SAVANTES. . L'état mental de cette femme est manifestement troublé par des
tant donné l'âge de la malade, cinquante-neuf ans, que son désordre mental et moteur ira croissant ; peut-être même est-el
sychologie de l'enfant arriéré et la lutte contre la dégénérescence mentale , par M. le De Jules Voisin, médecin de la Salpê
903. Vol. XV. Mars 1903. N° 87. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . Nouvelle contribution à l'étude des psychoses
lelin néclical, 1898). Archives, 2' série, t. XV. 14 210 CLINIQUE MENTALE . est de montrer le chemin parcouru depuis cette
'ailleurs d'aperçus judicieux, Gallois dans^ son article sur l'état mental des ovariolomisées, n'ont pu se mettre en garde
sonne ne niera qu'il y a des opérés délirants après un 212 CLINIQUE MENTALE . traumatisme opératoire qui sont envoyés à l'as
a forme ' M. Lucien Picqué. Soc. de chirurgie, 1897, 214 CLINIQUE MENTALE . infectieuse ou septicémique où la prédispositi
Dubousquet (obs. VI), présentait très nettement une dégénérescence mentale avec hystérie. La deuxième du même auteur était
ues, suivant le mot si heureux de M. Ma- gnan, de la dégénérescence mentale qui permet de penser que tel prédisposé pourrra
' Les idées morbides et les délires de persécution. 216 CLINIQUE MENTALE . de savoir que chez une classe de dégénérés, l'
perte de sang ou les préoccupations morales, détermi- 218 CLINIQUE MENTALE . ner de la dépression mélancolique ou un vérita
te de l'âge, des antécé- dents héréditaires, des formes de troubles mentaux présen- tés par la malade, surtout aussi du deg
u délire ne pourrait pas fournir une indication utile. La confusion mentale que l'on tend à con- sidérer aujourd'hui comme
nous a eu souvent l'occasion de le voir, peut trouver 220 CLINIQUE MENTALE . son application : tantôt, à la suite d'opérati
réditaires, du degré de la prédisposition, de la forme des troubles mentaux ; présentés antérieurement par les malades ; enf
éléments précédemment indiqués. Mais il reste encore des affections mentales coïncidantes dont la confusion, avec les psycho
naître puisqu'en la connaissant davantage ils pourront 222 CLINIQUE MENTALE . diminuer le nombre de ces psychoses en évitant
RATOIRES. 223 Quelques jours après ce simple curetage, les troubles mentaux apparaissent. Le 20 mars, IL le De Picqué tro
ers jours d'avril, on note une améliora- lion très rapide de l'état mental et de l'état physique ; la malade engraisse.
Réflexions. Il s'agit d'une observation très nette au point de vue mental . La malade n'était avant l'opération qu'une sim
s l'opération un délire mélancolique avec des idées de 224 CLINIQUE MENTALE . négation, des hallucinations et des idées de s
ient pas précisés et que d'autre part le diagnostic de la confusion mentale n'ait pas été discuté. Observation III (communi
s ans de cachexie cancéreuse (cancer de l'estomac). Pas de troubles mentaux . Mère morte à soixante-treize ans, cardiaque, t
nt en syncope. Est morte hémiplégique et aphasique. Pas de troubles mentaux . Une soeur aînée encore vivante, cinquante-troi
ans après pleurésie tuberculeuse. Aucun n'a été atteint de troubles mentaux . Antécédents personnels. Dans son enfance, n'a
e, elle croyait sentir Archives, 2o série, t. XV. la 226 CLINIQUE MENTALE . sa tête emportée par un train. L'opération dur
était devenue le siège de vives douleurs. 0 Les premiers troubles mentaux remontent déjà à dix-huit mois environ. n'était
était devenu mauvais. Obsédé constamment par des idées 228 CLINIQUE MENTALE . chimériques de misère et de ruine, M... passai
mais il reste déprimé. Le gâtisme intermittent dont le 230 CLINIQUE MENTALE . .naïade a conscience annonce l'anesthésie des
nis, tant l'amoindrissement était considérable et tout 233 CLINIQUE MENTALE . ressort disparu, la situation s'améliora assez
t de la jeune fille alla en s'améliorant, et après deux mois l'état mental était redevenu normal. Actuellement, aprèstoute c
rtainement dans ce cas d'une jeune fille atteinte de dégénérescence mentale et chez laquelle un délire maniaque s'est décla
irium-tremens. Frère mort dans un asile départemental, d'aliénation mentale survenue après la Commune. M... a toujours ét
e ; mais quelques jours après son opération, son état de dépression mentale avait considérablement augmenté, et. menaçant s
I (communiquée par M. le D, Mignot, chef de cli- nique des maladies mentales à la Faculté de Médecine). Mmo Ch... journalièr
tion. On l'opère sous chloroforme le 4 octobre 1899. 234 CLINIQUE MENTALE . Quinze jours après l'opération, elle crache du
hysique autrefois si mau- vais est devenu excellent, quant à l'état mental , si les idées mélan- coliques hypochondriaques
par ses paro- les et ses actes, ses gestes, la délibité de son état mental sur laquelle parait avoir évolué un délire poly
la fin, une très vive hémorrhagie complica l'ablation 23b' CLINIQUE MENTALE . de l'arrière-faix fixé aux annexes gauches et
é du délire. Il n'y a malheureusement que peu de détails sur l'état mental et la nature des troubles intellectuels observé
éprouver de l'angoisse. Il présente un accès passager d'aliénation mentale caractérisé par des sensations physiques anorma
vient de se demander si les incendies ne dépendent pas d'un trouble mental plus profond. Discussion de laquelle il ressort q
es qui aboutit à la volition. Il y avait un désordre des opérations mentales comparable à celui du rêve. Lire le mémoire. ~
aleur clinique de la contraction idio- musculaire dans les maladies mentales ; par les ûrs Soukanoff et SaNNOUCHgINE. Dans
tique comme pathognomonique pour l'une ou l'autre forme de maladies mentales ; on l'observe aussi bien dans les maladies aigu
chez les ma- lades psychiques est une preuve de plus que la lésion mentale est en connexion très proche avec les troubles
d'irritation a disparu. Tout tic comporte donc à la fois un trouble mental et un trouble moteur : ce trouble mental consis
donc à la fois un trouble mental et un trouble moteur : ce trouble mental consiste dans une insuffisance du pouvoir inhibit
ologique, septembre 1902. E. B. LXIII. Un nouveau cas de torticolis mental . Rôle de l'idée fixe, crainte de voir tomber la
tomber la tête ; par le De SCIIEIIB. Observation type de torticolis mental , aussi intéressant au point de vue des attitude
ionnel parait être sous la dépendance d'une imperfection, de l'état mental , en particulier de la volonté dont l'action fré
. Pendant toute la durée du traitement, l'auteur a examiné l'état mental des malades, leur nutrition générale, leur pouls,
t resté le même. Ce traitement peut rendre des services en médecine mentale en relevant les forces des malades, en combatta
les manifestations les plus rudi- mentaires de la vie biologique et mentale ; lorsque les éléments qui la composent évoluent
e excessive. Il était abstinent depuis plusieuts années et son état mental s'améliora au moment oùl'oligurie fut remplacée
IIDE communiquent une série de recherches expérimentales sur la vie mentale des aphasiques. Comme tech- nique les auteurs o
rrait jouer le médecin, dans les écoles, aussi bien au point de vue mental qu'au point de vue physique. 1 M. Bérillon. J
ù celle-ci est loin de suffire. Certains de nos malades, nerveux ou mentaux , sont en imminence de guérison, mais ils resten
elle, on n'a pas pu le savoir. A l'entrée, on signale une confusion mentale , une mauvaise orientation dans l'entourage; le
côté gauche. Parésie des extrémités gauches, ataxie. La confusion mentale commença à disparaître progressivement [et alors
es, se manifestant par une lenteur particulière dans les opérations mentales , une amnésie, surtout pour les faits cou- rants
iques, ses publications portant sur la thérapeutique des mala- dies mentales protégeront sa mémoire contre l'oubli. Son nom
répit afin de faire bénéficier les personnes atteintes de maladies mentales des progrès de la chirurgie contemporaine et pl
des opérations gynécologiques dans certaines formes d'aliénation mentale (avec le Dl Picqué), communication faite à la Soc
siblement égal à celui des années précédentes. Les cas d'aliénation mentale paraissent donc être à peu près stationnaires d
. Sir John Sibbald a parlé ensuite des soins à donner aux malades mentaux hors l'asile fermé. Ce dernier imprime, quelle qu
rofesseur à la Faculté de médecine de Toulouse (chaire des maladies mentales ); M. Régis, chargé du cours à la Faculté de méd
u cours à la Faculté de médecine de Bordeaux (chaire des maladies mentales ). Nous adressons nos plus vives félicitations à n
s l'autorisation des auteurs. ' Hospice de la Salpêtrière. Maladies mentales et nerveuses, M. J. Voisin : jeudi à 10 heures.
de la Salle Sainte-Anne). Hospice DE Bicêtre. Maladies nerveuses et mentales des enfants ; M. Bourneville, le samedi à 9 h.
auches; abaissement de la commissure labiale du même côté. L'état mental est caractérisé par une hébétude profonde avec
de More), l'autre de M. Christian et ratta- 361 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . chait la faiblesse congénitale cérébrale de se
pas de nature à me faire changer d'opinion. 1 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . I. Observation d'états psychiques anormaux sur
cile (Annales méllico- psychologiques, 1899). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 36S Chaque accès est ainsi constitué. Le premi
, provoquant des idées de persécution ; il se produit une confusion mentale accusée. Graduellement absorbée par ce qui se p
calme relatif laissant persister un état de 36C REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . confusion incohérente absolue. Ayant constaté
t fut radicalement guéri du jour.au lendemain de tousses troubles mentaux . Avec une prudente réserve l'auteur se range avec
malade à la suite d'une lièvre puerpérale est frappée decou- fusion mentale . L'auteur déconseilla d'abord l'internement et is
cidents somatiques qui menacèrent encore sa vie. Après un au l'état mental restant mauvais la malade est internée avec un no
e psychique caractérisée par des troubles de la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 367 mémoire, la perte de tout sentiment affect
ler à la selle. Peu à peu il constata qu'il 368 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . lui venait l'envie de prendre l'urine d'une fe
n cas s'en rapprochant, 1902, t. XIV, p. 462. , REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 369 l'individu tend à s'expatrier, cherchant a
IALLON. (Annales médico- psychologiques, juin 1901). Les troubles mentaux consécutifs aux états infectieux avec albu- min
e sont fréquents. Ils se traduisent d'ordinaire par de la confusion mentale , avec ou sans agitation, et le plus souvent, avec
de la diète lactée, a eu trois rémissions très nettes dans son état mental ; elle a pu sortir de l'asile une fois pendant
té plus ou Archives, 2- série, t.- XV. 24 370 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . moins longtemps sans présenter de troubles men
E DE PATHOLOGIE MENTALE. moins longtemps sans présenter de troubles mentaux . Fait sur- tout digne d'être noté : la cessatio
ntaux. Fait sur- tout digne d'être noté : la cessation des troubles mentaux a tou- jours coïncidé avec la. disparition de l
à prédominer à l'heure actuelle dans la pathogénie des affections mentales . L'effet incontestable d'une infection très vir
. L'effet incontestable d'une infection très virulente sur l'état mental pourrait servir d'amorce à des recherches thérape
res seront les mêmes que ceux qui sont applicables à l'alié- nation mentale et non à l'hypnotisme. REVUE DE PATHOLOGIE MENT
l'alié- nation mentale et non à l'hypnotisme. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 371 De ce fait, la responsabilité juridique de
igateurs et les chefs sont toujours suspects d'un fort déséquilibre mental . Toutefois, l'analyse psychologique de la foule
rticaux enjeu sont les mêmes et la localisation REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 373 tantôt à droite, tantôt à gauche, ne dépen
nsoriel périphérique, l'existence de sensations subjectives, l'état mental du sujet, et des divers facteurs psychiques qui p
achromie cutanée peut affecter aussi des rapports avec les maladies mentales . Il en fut ainsi dans l'obser- vation rapportée
et toutes les amyotrophies dites primitives, ainsi que les troubles mentaux qui les accompagnent fréquemment; ne sont que d
de d'honneur qui ont rendu les plus grands services à la médecine mentale . M. Motet souhaite ensuite la bienvenue à M Balle
ans l'ensemble des phénomènes psychologiques ou plutôt des éléments mentaux , qui constituent la nature intime de l'image mo
rs d'intensité et de vitesse jusqu'à ce que le maximum d'excitation mentale soit atteint. Cette multitude de fragments d'im
et nourris par une émo- tion toujours plus intense, donne à l'image mentale sexuelle une physionomie bien définie et bien p
peu intelligente; la malade sourit continuellement. Les capacités mentales sont très affaiblies; dit plusieurs mots seulemen
d'homicide sont survenues tour à tour, et ce tiqueur a gardé l'état mental infantile que conservent toujours les liqueurs,
imée. Elude pathogénique. La genèse du tic tient surtout à l'état mental du liqueur. Le tic a son origine dans un mouvemen
ion fonc- tionnelle est la conséquence d'une imperfection de l'état mental et en particulier de la volonté. ' J. inoin,
s et les idiots itli. de Paris 1893). 396 BIBLIOGRAPHIE. L'état mental du tiqueur est bien analysé par 1111. lleine et F
sessions, phobies, etc., sont les principaux caractères de cet état mental . MM. Meige et Feindel font remarquer, et nous l
tiologie des tics est celle de la plupart des maladies nerveuses et mentales . L'hérédité, l'imitation, le surmenage profession
Signalons tout particulièrement le chapitre cousacré au torticolis mental , que les auteurs considèrent comme l'un des tic
crampes professionnelles. Le pronostic dépend absolument de l'état mental du tiqueur. Le traitement est un chapitre impor
sociation of Sensation, 111-8- de 1-1 pages. Journal of nervous and mental ilisease, 1903. ' Le rédacteur-gérant : f3oowFV
1003. Vol. XV. Mai 1903. N 89 : ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . Clinique psychiatrique DE l'Université DE MOSC
de même que les cas, où l'état maniaque est accompagné de confusion mentale (amentia maniaque). D'un autre côté, il faut,
des maladies sus-nom- Arcuives, 2- série, t. XV. 26 402 CLINIQUE mentale . mées, que cette maladie ne se répétera pas. Ay
t chez les femmes, doit être envisagée comme l'une des mala- dies mentales la plus fréquente. Concernant la question, à qu
nte-six ans 2 fois ; il faut encore noter que parmi 404 ik CLINIQUE MENTALE . notre matériel il n'y avait pas un seul cas, o
ale. Année IX, fasc., II. 2 Mendel. Die Manie, 1881. 406 CLINIQUE MENTALE . ainsi que de nos données, est confirmée par ce
(12.50 p. 1 00), dans 22 cas sont notées des maladies nerveuses et mentales et l'alcoolisme du père et de la mère (68,78 p.
le degré de la tare héréditaire dans d'au- tres formes de maladies mentales qui ont été examinées par nous sous ce rapport
u'il redoute, et qui va fondre sur lui à l'improviste; 408 CLINIQUE MENTALE . 3° Des crises d'angoisse aiguë, dans lesquelle
era de son martyre. Des troubles somatiques accompagnent cet état mental . Céphalée intense, en forme de casque. Dépressi
gée, la malade se rend compte de la fausseté de ses il. 10 CLINIQUE MENTALE . scrupules et de l'inanité de ses craintes. Mai
enteux et psychique, poursuivi avec persévérance, que ces accidents mentaux s'atténuent, sans avoir . disparu encore entièr
ment, la malade se remarie et reprend sa vie sexuelle. 412 CLINIQUE MENTALE . Moins de trois semaines plus tard, tous les sy
es accès de peur à propos de tout : un rien l'émo- 414 ! i CLINIQUE MENTALE . tionne.Un choc en chemin de fer, une imprudenc
rologistes. Grenoble, 1902. Bouveret. La Neurasthénie. 416 CLINIQUE MENTALE . Paris. Baillière, édit.. 1891. - Brissaud. L'A
enri L.IItGGIt'. '. A côté des stigmates physiques et des stigmates mentaux , il y a lieu de décrire des stigmates obstétric
ce joue un très grand rôle, non seulement en pathologie nerveuse et mentale , mais encore en pathologie générale; tous les m
coucheurs, un peu troublés par une recherche des tares physiques et mentales avec laquelle ils étaient peu fami- liarisés, s
même accueil qu'aux stigmates physiques de Morel ou aux stig- mates mentaux de Magnan et de ses élèves, quitte à leur adresse
moraux en stigmates obsté- tricaux. Première génération. Troubles mentaux , épilepsie. etc., mais gestations anormales.
morale, mais gestations anormales. Troisième génération. Troubles mentaux , épilepsie, etc. Déjà Bourneville, dans les obs
tout à l'honneur des auteurs les mêmes critiques que les stigmates mentaux ou physiques, lesquels sont unanimement admis e
hysiques, lesquels sont unanimement admis en pathologie nerveuse et mentale , mais 'dont la valeur pathogénique, diagnostiqu
ffet ce qui diminue un peu l'importance des stigmates dégénératifs ( mentaux , physi- ques, obstétricaux), c'est leur fréquen
able, des tares dégénératives obstétri- cales ou physiques en tares mentales . Telle est l'oeuvre des Larger qu'il nous a par
amène un trouble de l'attention et jette la distraction dans l'état mental du sujet {Revue neurologique, sept. 1902). E. B
opposition à ces résultats contradictoires de la méthode expéri- mentale , les auteurs donnent 4 observations cliniques dét
de Stirling, Larbert ; par George M. Robertson. (Tlee Journal of Mental Science. Avril 1902.) Avant d'exposer les métho
i- culièrement irritable : mais dans d'autres formes d'aliénation mentale , il existe, sans que peut-être ils soient aussi n
ajouter qu'ils doivent être étudiés non seulement au point de vue mental mais au point de vue somatique, beaucoup de troub
mmeil réparateur leurs journées deviennent meilleures, et leur état mental et physi- que va s'améliorant. Les narcotiques
malade se remet à dormir la nuit et à s'ali- menter ; ses troubles mentaux ne tardent pas à disparaître; en deux mois son
egré de l'hypnotisme, depuis la diminution des facultés de contrôle mental jusqu'à l'automatisme le plus absolu. Dans le l
dire dans la sus- pension d'activité de quelques-unes des fonctions mentales , et, en particulier de la volonté, peut surveni
éjà de bonne heure à l'auto-observatiou et à l'analyse de leur état mental ; rarement on remarque chez eux une cruauté gro
vait garder les sujets que pendant qu'ils présentaient les troubles mentaux dus à l'intoxication et où il ne conve- nait pa
il 12bellaizi hors de l'asile les alcoolique s dès que les troubles mentaux ont disparu, nome croyant pas autorisé à leur f
payes. Ilobers à Bordeaux. Prix : 2 bancs. Ganmrn (Samuel), L'étal mental d'un escroc féminin el d'un assas- sin voleur.
ropisme spécial. Du reste elle coïncide en général avec la débilité mentale . Cependant il existe des circons- tances indépe
entis- sant pas gravement sur la nutrition générale ni sur l'état mental des malades... » ne contenaient pas quoique dits
t du mécanisme dans le domaine des phénomènes psychiques- ? ? (ou mentaux ) puisqu'il les subordonne d'une manière intime^
à la suggestion ou auto-suggestion et à la persuasion, phé- nomènes mentaux . Il y a plus : par sa définition, l'auteur dist
anifestations hystériques d'avec d'autres manifestations, également mentales , comme les troubles neurasthéniques, les phobie
nce de la définition c'est que, dans la dénomination des phénomènes mentaux , il règne chez la plupart des auteurs une confu
ation psychique ni hystérique. La maladie du doute est un trouble mental ou psychique (ces deux mots étant synonymes, l'un
thre, de l'oesophage, etc. ! ) est un trouble fonctionnel, mais non mental ni hysté- rique. Ces exemples, que nous pourrio
lle vaut a fortiori pour différencier les manifestations purement mentales des manifestations par lésions organiques. Des
souvent associée à la neurasthénie, à la mélancolie, à la confusion mentale , à l'anxiété nerveuse. M. Bernheim paraît avoir
00 lits, et insistait sur l'utilité de l'enseignement des maladies mentales . La solution fut encore ajournée. En 1848, la F
et au Laboratoire d'anatomie. La « policlinique pour les maladies mentales et nerveuses » com- prend une salle d'attente,
nds alcooliques. Les symptômes qu'il présente s'associent à un état mental parti- culier, à une instabilité singulière, de
des organes internes dans l'évolution et la constitution de la vie mentale . Les organes internes ne sont pas seulement la
une part impor- tante dans l'évolution et la constitution de la vie mentale . I. En effet, la vie végétative.régit la nutrit
dia- tement à l'encéphale et modifient plus ou moins le dynamisme mental selon que le trouble viscéral, fonctionnel, survi
ut point analogues à ceux que l'on observe chez les médiums. L'état mental des « alié- nés » de ce genre semble n'être que
e genre semble n'être que l'exagération, le grossissement de l'état mental propre à tous les médiums. Lorsqu'on étudie, en
ie, en effet, au point de vue de sa physiologie pathologique l'état mental d'un médium, on voit qu'il restez d'une désagré
Cependant il n'y a aucune différence fondamentale entre le trouble mental de ces aliénés et celui des médiums ordinaires.
ts. Des idées de persécution se sont développées aussi. La débilité mentale du sujet est le facteur étiologique de tous ces
ue de rechercher comment nous, médecins, pouvons interpréter l'état mental des médium*. Il y a des degrés divers depuis le
iminelle, la Psychiatrie juridique, la Thérapeu- tique des maladies mentales , sur les étabtiasements d'aiiéiiés et sur la qu
dans les pays tropicaux; par P.-C.-J. van Beeho. ( 77te Journal o/ Mental Science, juillet 1901.) L'auteur, qui est médec
une législation ultérieure, par Edward D. 0' NEiLL(771e Journal of Mental Science. Octobre 1901). Etude d'un caractère
es établissements particuliers ; par 1;LIOT Daunt. (Tlie Journal of Mental Science, janvier 1901.) On ne peut que signaler
asile de Ticehurst; par les DIItECTEUItS-IIüDECI\. (The Journal ouf mental Scie,nce,,janvier 1901.) Notiee curieuse et i
ique : Traitement de l'agitation et de l'insomnie dans les maladies mentales et nerveuses. ltap- porteur : M. le D'' Trenel
e malheureux était malade et semblait ne plus jouir de ses facultés mentales . Il avait déjà tenté de se suicider en mélangea
blique et de bienfaisance privée, 400. Contraction. V. maladies mentales . Corps calleux. Deux nouveaux cas de lésions
NIGRR. Ramollissement loca- lisé au -, par Guillam, 385. MALADIES mentales . Sur la question de la valeur clinique de la co
nternes. Le rôle des dans l'évolutiun delà constitution de la vie mentale , par Pron, 5H. Orteils. Phénomène des dans l'a-
ie aiguë produite par le . par Barcia Cahuillero, 365. Torticolis mental . Un nouveau cas fle - Rôle de l'idée fixe. Crai
22 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
HIVES DB NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT PUNLIfiE SOUS I.A DI
CTION UR plpl. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNA
or- gane dans la pathogénie du délire. Il s'agit là d'un syndrome mental hépato-rénal analogue à celui que décrivit M. Mau
cas plus aigus 3. IL- Dans une excellente revue sur « les troubles mentaux de l'urémie», M. le docteur Toulouse 's'étonne
, l'urémie ne figure pas plus souvent dans l'étiologie des maladies mentales . « Les aliénés, ajoute-t-il comme explication d
s auxquels il manque le gros symptôme albuminurie, et dont l'état mental seul attire toute l'attention du médecin. Toute-
e ; 3° Une albuminurie existante crée de toutes pièces des troubles mentaux , temporaires ou définitifs, suivant la prédispo
18 juin 1894) ; 3- à la thèse de M. Maurice Faure. Sur un syndrome mental lie à l'insuffisance des fondions hépalo-î,éita
notre étude. Suivant la classification de Koeppen1, les troubles mentaux accompagnant l'albuminurie peuvent être divisés
nous verrons que parfois la lésion rénale parait réagir sur l'état mental . Enfin si l'étiologie rénale peut échapper à l'
probants à cet égard : dans l'un l'étiologie rénale des trou- bles mentaux ne fut établie qu'à l'autopsie. Dans l'autre c'es
llucinatoire, délire onirique, état de rêve prolongé avec confusion mentale profonde. Délire alcoolique, délire consécutif
ements précis sur les antécédents du malade, et devant la confusion mentale ou le délire hallucinatoire que ce malade prése
égis et Chevalier Lavaure. Des aulo-inloxicalions dans les maladies mentales (Rapport-Congrès de la Roclielle, 1893). 6 CLIN
très difficile dans ces conditions, de distinguer, au point de vue mental , le délire d'origine hépatique et d'origine int
e «déflorés. » Dans les cas chroniques il peut constater un trouble mental persistant après une lésion rénale guérie et qu
diminuait, nous avons constaté souvent des modifications de l'état mental . En dehors même du changement d'alimentation, n
quantité d'albumine semble coïncider avec l'aggrava- tion de l'état mental . Il est vrai que le régime alimentaire ' -Morea
e immédiatement un disque rougeâtre d'uro-hématine. Au point de vue mental , le malade présente encore un certain degré de
. 11 nie énergiquement avoir eu des hallucinations. Cette confusion mentale est mise en évidence par le fait suivant. Inter
, peurs imaginaires, appels désespérés, Dl Legras. « Dégénérescence mentale avec alcoolisme, préoccupa- tions hypochondriaq
et a été à cette époque mis en liberté sur sa demande. La confusion mentale a disparu, ainsi que toutes les idées délirante
liénés, méthodes ayant pour but de mesurer avec précision le niveau mental et l'ins- truction des sujets, la durée et l'in
s des aliénés des deux sexes, ainsi que l'enseignement des maladies mentales . L'intérêt de la science et les exigences de l'
es de dégénérescence, photographié pendant une période d'excitation mentale '. La deuxième partie traite de l'application d
, en effet, présenter aux étudiants des sujets atteints de maladies mentales chroniques et non pas seulement des cas aigus;
ous ne pouvons signaler que la création de la clinique des maladies mentales de Paris (1879). RECUEIL DE FAITS. Sur un cas
aucun degré de consanguinité : ni syphilis ni hérédité nerveuse ou mentale . D'ailleurs, les ascendants, par- faitement con
ts, incohérence des idées, gri- maces, impulsivité), tous d'origine mentale , émanent d'un même mécanisme, c'est-à-dire de l
musculaire généralisée, des troubles du lan- gage, de la confusion mentale ; on diagnostique une démence organique. Elle de
l'opi- nion de Bruns : « l'obtusion intellectuelle est le symptôme mental spécifique... et la résultante de la compressio
Calcification du Péricarde; par Francis 0. Simpson. (The Journal of Mental science, juillet 1902). C'est une affection rar
II. Note sur les lobes préfrontaux et la localisation des fonctions mentales ; par P. W. IAC-DON.%LD. (The Journal of Mental
ion des fonctions mentales ; par P. W. IAC-DON.%LD. (The Journal of Mental science, janvier 1902). Le malade dont l'obse
e à poser la question suggérée par cet état cérébral, et par l'état mental du malade - de savoir s'il y a un rapport, et q
des différentes zones corticales dans la production des phénomènes mentaux n'est pas actuellement déterminée ; 8° L'inhibi
izarreries dans l'aspect de l'affection, dans son évolution, l'état mental particulier des malades qui per- mettront d'éli
ent à la suite d'un traumatisme. Plus tard, apparurent des troubles mentaux sous la forme de catatonie agitée. Réactions él
n'est pas moins profitable aux sujets, qui, par suite d'un trouble mental , se croient dans l'impos- sibilité d'exécuter c
cal sans lésion anatomique, ayant leur point de départ dans l'état mental particulier des hystériques. Les simulations hyst
intervention sanglante que par la gravité des lésions. IV. L'état mental chez les blennorrhagiques; par le De Ducasse. L
dents cérébraux. Mais ce qu'il y a de fort intéressant c'est l'état mental des individus atteints de cette affection. - ·
at mental des individus atteints de cette affection. - · Cet état mental , le plus fréquemment observé, semble ordinaire-
actéristique de la tête limousine, sont sans conséquence sur l'état mental de ceux qui en sont atteints. IX. bu tétanos
edë- maleuse. Compte rendu de 1890, p. 206 (Congrès de méde- cine mentale de Roite2î); 7° Etat du squelette d'un nia- lad
e, il a perdu la vue : ce n'est qu'un an plus tard que les troubles mentaux apparurent, caractérisés qu'ils étaient par un si
hilitique et alcoolique, qui, un an avant de présenter les troubles mentaux de^ la paralysie générale fut atteint de cécité
Hessencourt ne semblait plus jouir de la plénitude de ses facultés mentales ; il ne voulait plus travailler et s'adonnait à la
a nuit. Il se réchauffe difficilement dans son lit. Au point de vue mental on note de l'affaiblissement intellec- tuel, av
qui revient à l'insuffisance rénale dans la pathogénie de cet état mental , d'autant plus que malheureusement l'autopsie n
olorées indique laprésence d'une petite quantité d'albumine. L'état mental est celui d'un homme fortement affaibli, générale
mine reparait en quantité plus abondante (0,50 par litre) et l'état mental subit d'intéressantes modifications. Les pi éoc
ompie à cause de la mauvaise influence qu'il parut avoir sur l'état mental . Au régime lacté, le malade est resté euphorique
ale (type Klippel). Chez ce malade, sur le fond démentiel de l'état mental , apparaissaient des alternatives d'enphorie et
er signe est souvent fourni par une discordance entre les aptitudes mentales qui sont exceptionnellement développées, et les
res affectés de formes de psychoses légères, et les cas de troubles mentaux non justiciables de la séquestration, à la limi
. KERAVAL. XIII. Le traitement des enfants atteints de défectuosité mentale . (Défectives) ; par Maximihen P.-E. GROSZMANN.
Van Liew a rendu assez heureusement par l'expression d' « anomalies mentales mineures ». Dans les deux groupes, l'anomalie p
vie de l'enfant sont des périodes d'élection pour des modifications mentales passagères qui demandent à être reconnues et so
ndre un grand développement (faculté mu- sicale, aptitude au calcul mental ), puis il aborde la question de la folie chez l
a question de la folie chez les enfants, et il arrive aux anomalies mentales mineures. Sa conclusion fort logique est que to
les conditions ordinaires dans lesquelles on observe la dépression mentale peuvent être classées de la manière sui- vante
oujours lié à des lésions viscérales. Clouston a noté la dépression mentale chez presque tous les paralytiques tuberculeux
ement commis. L'auteur n'entend pas se préoccuper ici des symptômes mentaux qui accompagnent ce genre de crime, mais plutôt
utôt en disant que l'enfant sera plus heureux au ciel. Les troubles mentaux qui dépendent de la gestation sont commu- némen
savons c'est qu'elle s'ac- compagne souvent d'une grande dépression mentale pouvant aller jusqu'à la mélancolie. On a dit q
ment pas cette manière de voir.-La folie puerpérale est un trouble mental qui survient dans une période courte consécutivem
plus tardivement dans la période puerpérale sont dus à des troubles mentaux de type mélan- colique. Par leurs caractères gé
tachent à des causes diverses : épuisement fonctionnel et déchéance mentale consécutive, prolon- gation de l'allaitement po
olie puerpérale. Dans les cas d'homicide se rattachant aux troubles mentaux qui accompagnent la gestation, certaines circon
prend de la belladone. Surdité à droite. Démarche maladroite. Etat mental très affaibli. Confusion des idées et diminutio
anttout aussi sûrement que lapremière à la destruction des facultés mentales . Le diagnostic de l'épilepsie psychomotrice est
années inaperçue aux yeux des per- sonnes non exercées. Les crises mentales surviennent souvent chez des neurasthéniques, q
La forme zoopathique interne du délire s'explique par la débilité mentale . L'interprétation délirante des troubles anesthés
délirante des troubles anesthésiques donne ici la mesure du niveau mental de ce dégénéré héréditaire. M. Ballet a vu des
voir fournir la valeur diagnostique. Néiziîtgisiiie et puérilisme mental paroxystique chez une hystérique . MM. Ernest D
ique, de deux syndromes, l'un somati- que, le ménirzgisnze, l'autre mental , le puérilisme, dont l'apparition paroxystique
ulatrice de l'évolution thermi- que des méningites. Le puérilisme mental , qui a succédé à l'attaque de méningisme, est c
e altération de la personnalité, que caractérise le retour à 1 état mental de l'enfance : la malade a vécu, pendant une di
n contrôle sur sa fonction vésicale. Impuissance génitale d'origine mentale guérie par la suggestion somoonformique. M. P
e. Il ne s'agit ni de trac, ni de timidité, mais d : préoccupations mentales qui l'assaillent an moment de l'acte et font inhi
nale, triomphe des doutes et des obses- sions raisonnantes chez les mentaux que, trop souvent, on essaie en vain d'hypnotis
ir certains termes, tels que : arrêt de dévelop- pement, aliénation mentale , folie. Une telle façon de procéder convient bi
CIIIDE (N ) et Vunpt.s (Cl.). La logique morbide, t. I. L'ana- lyse mentale , in-16 de 2B8 pages. Société (l'éditions scientif
ol. XVI. Septembre 1903. N° 93. ARCHIVES DE NEUROLOGIE ' CLINIQUE MENTALE . Obsession et délire ' ; Par le D' E. MARANDO
assage au délire. Archives, 2- série, t. XVI. ' 13 . 194 CLINIQUE MENTALE . tardives de son oncle paternel sur son véritab
et très riche, elle ne manquait pas de prétendants malgré son état mental qu'elle parvenait encore, il est vrai, à assez
re son fils pensionnaire. Au dernier moment, il ne se '196 CLINIQUE MENTALE . sentit pas la force de se séparer de lui, d'au
morbides. [Revue de Psychiatrie. 1903. n° 1, janvier). 198 CLINIQUE MENTALE . psychiques obsédants est étudiée à un degré su
es idées de jalousie chez la mataue sont accompagnées d'une anxiété mentale très accentuée et d'un état d'angoisse, qui attei
es; dans l'esprit de la malade surgit une peur que son 200 CLINIQUE MENTALE . mari peut lui être infidèle; en ramassant les
Depuis, l'état est devenu stationnaire ; on note au point de vue mental un affaiblissement considérable des facultés inte
as l'atten- tion du côté de l'appareil excréteur. Au point de vue mental , on note en premier lieu un certain degré d'aff
uatre soeurs et leurs enfants n'ont pas eu de maladies nerveuses ou mentales . [Rien à noter dans le reste de famille.] Mèr
our est une des plus vastes et de plus compliquées de la pathologie mentale . En l'étudiant de plus près, en recherchant com
e s'élargit à cha- SOCIÉTÉS SAVANTES. 219 que page. En pathologie mentale , plus que dans toute autre science les phénomèn
serait qu'un syndrome morbide commun à toute une série d'affections mentales et nerveuses. Enfin un troi- sième groupe d'aut
nées, et qui a abouti à l'introduction, dans le groupe des maladies mentales , d'une nouvelle entité morbide, la démence préc
atrie, et qui bouleverserait tous les cadres actuels de la médecine mentale en reléguant au dernier plan les facteurs étiol
au contraire, que la démence précoce ressortit à la dégénérescence mentale , qu'elle n'est qu'une des modalités déjà si nom
maux, bien doués intellectuellement avant l'apparition des troubles mentaux , ou au 222 ), SOCIÉTÉS SAVANTES. contraire de
fit pour affirmer le carac- tère de non-contingence de ses troubles mentaux . Je crois donc qu'avant de se prononcer d'une f
section et y inscrit les modifications que subit l'état physique ou mental de l'aliéné. Il tient, enfin, un ! 'e- gistre o
endent ainsi leurs malades moins aptes à être soignés, car à l'état mental dû aux lésions cérébrales, viennent s'ajouter l
oubles déjà nutrition que présente le rachitisme et son arriération mentale , et quelle est la nature de ce rapport ? 1 Des
st revenue également d'actualité dans le traitement de l'aliénation mentale . M. Douza calmait les agités dans des cham- bre
tits cris, il a eu toute cette succes- sion de tics variables. Au mental , c'est un scrupuleux; il fut obsédé par la craint
maniaque dans ses habitudes journalières. Outre ces particularités mentales , il présente un enfantillage de l'esprit qui se
-phÉi ? ,Yiîgie2nes. M. ROYET, ancien chef de clinique des maladies mentales à la Faculté de Lyon. De très nombreuses observ
. Les maladies qui les ont causées, comme aussi la forme du trouble mental , étaient diverses. Cependant, si on met à part
trente-huit ans. Polypes,muqueux ignorés jusqu'à l'examen, troubles mentaux assez accentués, obnubilation intellectuelle, r
ze ans. Végétations adénoïdes légères, pas de surdité. Insuffisance mentale , ne peut suivre les cours de son âge, est toujo
e dernier de sa classe. Agitation incessante, sans but, instabilité mentale , mouvements choreiformes. L'adéno- tomie fait d
ilagineuse; rien dans la caverne. Agitation incessante. instabilité mentale . Disparition de ces symptômes après rétablis- s
t facile, la malade devient docile. ' La pathogénie de ces troubles mentaux peut s'expliquer : 1° par des modifications de
ntellectuelle et une incapacité mar- quée de diriger les opérations mentales dont les conséquences sont : l'impossibilité de
des organes internes dans l'évolution et la constitution de la vie mentale . LE Secrétaire général donne lecture, au nom de
des organes internes dans l'évolution et la constitution de la vie mentale , d'où il résulte que les organes interviendraie
ut point analogues à ceux que l'on observe chez les médiums; l'état mental des « aliénés » de ce genre semble n'être que l
e genre semble n'être que l'exagération, le grossissement de l'état mental propre à tous les médiums. Lorsqu'on étudie, en
e, en effet, au point de vue de sa physiologie pathologique, l'état mental d'un médium, on voit qu'il résulte d'une désagr
Cependant, il n'y a aucune différence fondamentale entre le trouble mental et celui des médiums ordinaires. Délire halluci
ts. Des idées de persécution se sont développées aussi. La débilité mentale du sujet est le facteur étiologique de tous ces
nique ne doit pas être seulement réservée aux maladies nerveuses et mentales ; elle a sa place dans le traitement de certains
. 3° Réaliser par des suggestions particulières la représentation mentale des conditions dans lesquelles se manifeste le tr
ils mettent en oeu- vre. Le traitement psychologique du bégaiment mental . M. J3ERILLO\. Un grand nombre de névropathes s
eux éléments principaux : l'aboulie et l'émotion. Le bégaiement est mental avant d'être moteur. Le seul traitement rationn
Présentation d'un appareil pour l'hyp- notisation. M. Doyen. L'état mental des opérés. M. DEMOVCHY. Paralysie vésicule, de
fluence des fermentations diges- tivessur le caractère et les états mentaux . BIBLIOGRAPHIE. XV. Psychopathologie légale.
iques, c'est-à-dire essentiellement représentés par de la confusion mentale et du délire onirique. XVJ,11..Etude sur la céc
nt il a été très longuement parlé dans les Archives. XXII. L'état mental des parricides (étude médico-légale); par le Dr
ie un grand nombre de faits médico-légaux qui font ressortir l'état mental des parricides, caractérisé par l'irres- ponsab
ns les asiles, dès le début, les malheureux atteints d'alié- nation mentale , de même qu'on place dès le début, dans les hôp
94. ARCHIVES DE NEUROLOGIE MEDECINE LÉGALE. Rapport suri état mental du nommé D..., inculpé d'outrages ; 1* P.4R L
d'Orléans, en date du 18 décembre 1902, à l'effet d'examiner l'état mental du nommé D.. , représentant de commerce, inculp
ses méfaits, afin de faire ressortir la caractéristique de son état mental et d'étayer mes conclusions sur des bases soli-
Deux tantes à D... du côté paternel ont été atteintes de troubles mentaux . L'une d'elles a été internée à l'asile de Clermo
ant de la mesure qui a été prise ii son égard. rapport SUR l'état mental DU nommé D... 291 ment recommandé par son père,
lcoolique avec idées mystiques. C'est, dit-il. un dévoyé de l'ordre mental placé sur les limites qui séparent la raison de
tures, un tapissier pour refaire son salon, puis rapport SUR l'état mental DU nommé D... 293 un gazier, un maître d'hôtel,
sté d'agents en bourgeois, mercredi prochain. Je rapport SUR l'état mental DU nommé D... 295 « pleure, je pleure toutes le
mande son transfert à l'infirmerie spéciale pour cause d'aliénation mentale . Le docteur Garnier, tout en reconnaissant le t
r C .. l'indulgence des juges en se ba- sant sur la déséquihbration mentale dont il le jugeait atteint. Aussi, grâce à ce r
les rues de Versailles le directeur de la maison rapport sur l'état mental du nommé d... 297 centrale de Poissy. Un rappor
il, est un dégénéré eu état à peu près constant de déséquilibratiou mentale . Les excès de boisson aggravent encore son état
tituer prisonnier, il trouve le moyen d'outrager rapport SUR l'état mental DU nommé D... 299 M. Tomps, commissaire central
mpulsif chez lequel l'alcoolisme aggrave encore la déséquilibration mentale . « D..., disent-ils com- « prend trop bien la p
tuellement un malade irresponsable et séquestrable, mais son « état mental est de nature à le faire bénéficier de l'indulgen
bon tour aux agents. Le 26, nouvelles cattes in- rapport SUR l'état mental DU NOMMÉ D .. 301 jurieusesà M. Temps ; le 29 à
cet établissement, D... paraît véritable- ment atteint de troubles mentaux . A chaque instant il appelle les gardiens pour
immédiatement de son examen. C'est un anormal, un dévoyé de l'ordre mental ; un dégénéré débile, dépourvu de jugement Ces t
e varier sur son compte, soit que l'on considère rapport SUR l'état mental DU nommé D... 303 l'état précis dans lequel il
ue D... est atteint de cette forme particulière de dégéné- rescence mentale que l'on appelle : La Folie Morale. La caractéris
est irresponsable des actes qui lui sont reprochés ; 3° Son état mental nécessite son internement ; 4° De plus, comme il
autre colonie pour les épileptiques en possession de leurs facultés mentales est construite par les exécuteurs du Lewis, à C
ée de se fixer sur sa maladie, mais aussi le remplissent d'activité mentale et d'espérance. De plus, sa santé générale s'am
EBFNTE Traitement de l'agitation et de l'insomnie dans les maladies mentales et nerveuses. (Rapport présenté par M. le 1), T
conséquence grave au point de vue psychique, un état de confu- sion mentale . Ces observations de Janet sont, croyons-nous, le
se dépense peu. qui n'utilise ni sa force physique, ni son activité mentale , peut supporter une insomnie prolongée avec un
ion du traitement de l'agitation et de l'insomnie dans les maladies mentales et nerveuses, c'est demander presque, de résoud
t demander presque, de résoudre celle du traitement de l'aliénation mentale , car à l'heure actuelle ce sont là en vérité le
tant de la dose de 2 grammes. Il n'est pas de maladie nerveuse ou mentale où les sulfones n'aient été employés avec des s
seront-ils des succédanés utilisables, mais leur emploi en médecine mentale et nerveuse, hors les faits de substitution à l
en sont justiciables et il faudrait énumérer toutes les affections mentales et nerveuses pour exposer les cas SOCIÉTÉS SAVA
'de la bainéalion froide complètement abandonnée dans les maladies mentales . Elle serait formellement indiquée dans le deli
l'anorexie hystén- que (Lasègue, Cliarcot) ou plutôt de l'anorexie mentale (Sollier). Cette forme est assez rare; les trou
. Absence de troubles digestifs; modification progressive de l'état mental par la diminution des fonctions psychiques et l
lissement irrémédiable et le plus souvent progressif, de l'activité mentale . Dans ses degrés inférieurs, l'intelligence con
, hau- tement recommandable pour l'étude approfondie des troubles mentaux , ne peut pas encore être généralisé. Observatio
simplement l'attention du Congrès sur la question. Le puérilisme mental . t M. Ernest DiilR (de Paris). J'ai observé,
é de nombreux cas dans lesquels coexistaient avec elle des troubles mentaux de diverse nature. La syphilis, l'alcoolisme, l
e de la plupart des psychoses, la coïncidence d'une de ces maladies mentales avec l'affection médullaire ne présente pas un
is à côté de ces cas. il en est d'autres dans lesquels les troubles mentaux observés semblent en rapport avec la syringomyé
e. Schlesinger et Kienbock des premiers, ont été frappés par l'état mental spécial présenté par certains malades, notammen
er à montrer l'existence chez certains syringomyéliques de troubles mentaux de nature mélancolique. Il s'agit d'un homme de
L'intérêt de cette observation réside dans ce fait que les troubles mentaux présentés par le malade, semblent en rapport avec
ns un état de moindre résistance favorable à l'éclosion de troubles mentaux . Aussi, rapprochant notre cas de ceux précédemm
, 2° série, t. XVI. 23 354 SOCIÉTÉS SAVANTES. A côté des maladies mentales simplement associées à la syrin- gomyélie, on p
à la syrin- gomyélie, on peut observer à des degrés divers un état mental caractérisé par un état de dépression mélancoli
d'idées déli- rantes de persécution et d'idées de suicide. Cet état mental naîtrait sous l'influence de la perturbation pr
(de Paris). Une jeune femme de vingt-sept ans présente un syndrome mental vraiment très cu- rieux : elle semble atteinte
ent pendant vingt-quatre heures tous les deux jours. A ces troubles mentaux s'ajoutent des symptômes physiques graves et ca
is héréditaire ; les auteurs recherchent si les troubles nerveux et mentaux ne peuvent être rattachés à la même cause.'Aprè
Une vérification curieuse de ce rôle de la syphilis dans un élat mental de ce genre a été fourni par le traitement. Après
? 7 : <Ai ? Me. M. Paul Faiez (Paris). En pathologie nerveuse ou mentale , de nombreux cas paraissent justiciables du tra
ait à l'état de veille. Cette narcose convient, en particulier, aux mentaux qui refusent de se laisser suggestionner parles
t, suggestion éthylméthylique. Ongazzisation du service de médecine mentale dans les prisons. M. IASOIN (Louvain). M. Masoi
t les détenus criminels, au point de vue de l'éclosion des maladies mentales ; il fait ressortir, à côté des aspects funestes d
vie. Néanmoins, en Belgique comme partout ailleurs, l'aliénation mentale est beaucoup plus fréquente dans les prisons que
mille ans ! 1 M. Masoin raconte la création du service de médecine mentale dans les prisons de Belgique, création due à un
rmi les docteurs qui auraient fait des études spéciales de médecine mentale ; car l'idéal serait que chaque médecin de priso
'isolement sont au nombre de 47. La plupart des formes d'aliénation mentale y sont représentées. C'est ainsi que nous trouv
s faire moins pour les déshérités qu'on nous a confiés'. CLINIQUE MENTALE Contribution à l'étude de la catatonie (Cataton
idérée que comme caractérisant une phase d'une variété d'aliénation mentale dégénérative. La première phase, mélancolie, pa
opté. - Nous reviendrons sur cette question. (ü.) .) 410 CLINIQUE MENTALE . miers faits ci-dessous relatés succinctement.
ongue période de préoccupations, d'idées tristes, et 412 ) CLINIQUE MENTALE . après un état intermédiaire de confusion menta
412 ) CLINIQUE MENTALE. après un état intermédiaire de confusion mentale . (Si l'on ajoutait foi aux renseignements donné
phase de délire mélancolique, une période transitoire de confusion mentale , une phase de catatonie, à laquelle succède l'a
ts sans pouvoir donner le moindre motif à ce refus ; à la confusion mentale succède bientôt l'inactivité cérébrale, la malade
alitement de plusieurs mois (avec quelques interrup- 414 r CLINIQUE MENTALE . tiens) et une amélioration de l'état physique,
que, cause émotionnelle) ; 2° de la mélancolie ; 3° de la confusion mentale ; 4° de la catatonie; 50 une rémission, sinon la
nfuses. Aucun souvenir de ses impulsions vio- lentes. Puis l'état mental semble s'améliorer, et. le 6 juillet 1902. on p
réoccupation, d'idées tristes, période de transition avec confusion mentale , et, enfin, phase de catatonie qui aboutit peu
ération de la santé physique ; des idées tristes ou du 416 CLINIQUE MENTALE . délire mélancolique ne tardent pas à apparaitr
'alimentation, de l'auto-intoxica- tion, se produit de la confusion mentale qui, s'accentuant progressivement, efface en qu
es troubles primitifs. A cette période intermédiaire de con- fusion mentale succède la suspension de l'activité cérébrale,
à celle de démence précoce pour désigner cette variété d'aliénation mentale par dégéné- rescence. Ces cas ne sont peut-être
chement et les suites se passent très bien sain* retour de troubles mentaux . En 1899 seulement réapparaissent les troubles
xe, sans expression ; Archives, 2° série, t. XVI. 21 418 CLINIQUE MENTALE . se tient immobile au milieu de malades bruyant
ues (noie préliminaire , par J.-B. IIL1CIII·'OItD. (Tlte Journal of Mental Science, janvier 1902). L'auteur rapporte quatr
Deux cas de lipome du cerveau; par Adèle de Steicer (The Journal o/ Mental Science, janvier 1903.) Nous résumons ici les d
ionnelles électriques). On constate quelqufois de légers troubles mentaux , plutôt des changements de caractère, mais surt
été un symptôme très accusé, par Thomas Pmur CowEN (Tite Journal of Mental Science, avril 1902). L'auteur rapporte avec dé
es fâcheuses pour la société, l'auteur rappelle REVUE DU PATHOLOGIE MENTALE . 443. que la castration a été proposée pour rem
efois la pocréation. ' R. DE MUSGRA\'E-CL.1Y. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . I. De la démence précoce, par le Dr lfrcos. (J
des numéros mars, juin et septembre du Bull. de la toc. (le naecl. mentale de Belgique, 190. 4M' REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
toc. (le naecl. mentale de Belgique, 190. 4M' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Après cet exposé il est à peine besoin d'ajout
mouvements stéréotypés, ou pas de mouvements du REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 445 tout comme en certains états de stupeur où
est naturellement admissible en bien des cas. Mais l'impossibilité mentale d'exécuter un mouvement voulu ou demandé est le
: sou- vent il n'en est rien. P. Keraval. 4t6 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . V. Quelques cas de folie pellagreuse, par John
hexie scorbutique, et du gonflement paroti- dien. Au point de vue mental , la forme mélancolique est la forme délirante l
s malades ont une grande ressemblance avec ceux REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ' 447 que l'on observe à la période correspond
t inverse de celle qui vient d'être faite, du moins au point de vue mental ; elle s'accompagne en effet d'idées de bien-êt
s images psyclio-cérébrales; par Alex. Ii0liEItTSO\ (The Journal of Mental Science. Janvier 1902). Ce travail est le com
est le complément de celui que l'auteur a publié dans le Journal of Mental Science d'avril 1901. Le cas est celui d'un hom
s unilatéraux est-elle propre à éclairer un 448 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . peu la question, et l'auteur veut se borner à
berg de l'année 1899 analysé in Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, 1900, page 219. z Cette iéforme co
s. (La Démocratie vendéenne du dimanche 15 novembre 1903). CLINIQUE MENTALE Hospice de l31céGne. Service du Dr J. Séglas
ude de ces perturbations si fréquentes dans les diverses maladies mentales est précieuse et combien les renseignements que
s utiles pour le diagnostic et le pro- nostic des diverses maladies mentales . C'est le monologue. Le monologue, en effet, en
, est un excel- lent moyen d'observation de son délire, de son état mental réel. On n'a plus à compter alors avec la méfia
i, in Riv. quiiid. di psicologia, fasc. 1 et 2, 1899 480 CLINIQUE MENTALE . mulalion, les réticences du sujet ; avec les m
vidu. Tel aliéné, tel Archives, 2' série, t. XVI. 31 482 CLINIQUE MENTALE . paralytique général, parle en public à voix ha
haute ou basse, avec ou sans réactions mimiques. 1 484 CI INIQUE MENTALE . b) Caractères intrinsèques. En dehors de ces c
ment t'appelles-tu ? Marie-Rose. A1, ah, Marie-Rosé, » 486 CLINIQUE MENTALE . il. ETUDE psychologique D'une façon générale
s colonnes pour le personnel à droite et à gauche. » 488 CLINIQUE MENTALE . Il prête l'oreille et dit : « Entrez, entrez
des attaques hystériques ou des accès épi- leptiques, la confusion mentale , etc. Dans les attaques d'hystérie, plus souven
rare. Généralement c'est à la suite d'une crise, d'un 490 CLINIQUE MENTALE . vertige qu'on les voit monologuer ; ils le fon
érent, décousu, illogique. Certains malades atteints de confusion mentale se mettent aussi à monologuer ; ces cas sont ra
petite lettre, je suis satisfait de vous voir... » , * 493 CLINIQUE MENTALE . On peut remarquer que les mômes phrases revien
ns les formes chroniques que dans les formes aiguës de l'aliénation mentale . Que dans les formes chioniques, il nous a paru
vons déjà dit d'ailleurs au début que le monologue 494 -il CLINIQUE MENTALE . est encore le moyen le plus sûr de connaître l
homme instruit, dont la préoccupation unique était la 496 CLINIQUE mentale . crainte d'avoir la syphilis et de la transmett
une conversation ou Archives, 2» séiie, t. XVI. 32 498 8 CLINIQUE MENTALE . d'un dialogue suivi ; ils indiquent alors une
hérent, lors-, qu'il entre dans la phase de démence. 500 CLINIQUE MENTALE . Relations des maladies unilatérales de l'oreil
coulement séro-purulent du côté gauche et rien du côté 502 CLINIQUE MENTALE . droit. Sous l'influence de lavages boriqués l'
innervations (Traité de Physiologie Moral et Doyon). 504 CLINIQUE MENTALE . par des associations d'idées, des habitudes pl
tnantes (Annales mcdico-psycho- logiques, mai 1902). 506 CLINIQUE MENTALE . les interprétations délirantes; dans la second
t ? utf de l'ouie. Rapport au Congrès de Nancy, 18%. 508 CLINIQUE MENTALE . raies sont « loin d'avoir toute la portée qu'o
ble avantage d'améliorer les accidents physiques et les accidents mentaux . En résumé les relations entre les maladies uni
xique. (Revue zacurolo- mars 1901 ) E. Blin. Un cas de torticolis mental ; par le D' Séglas. Sous le nom de torticolis me
s de torticolis mental; par le D' Séglas. Sous le nom de torticolis mental , le professeur Brissaud désigne un tic particul
és d'un asile dans un autre; par A.-H. UIIQUUAIIT. (The Journal o/' Mental Science, octobre 1901.) Tout le monde est ass
de nuit dans les asiles ; par Frank Asiii3y ELK[Ns (The Journal of Mental Science. Avril 1902 ) Dans un mémoire sur le mê
sujets à la maladie organique desquels s'ajoutent quelques troubles mentaux , des cas bizarres qui ne rentrent dans aucune c
ajouter qu'ils doivent être étudiés non seulement an point de vue mental mais au point de vue somatique, beaucoup de troub
mmeil réparateur leurs journées deviennent meilleures, et leur état mental et physi- ASILES D'ALIÉNÉS. 521 que va s'amél
airement, le place- ment dans l'établissement ouvert. La clinique mentale et nerveuse de St-Pétersbourg réunit sous le mê
fermé et la clinique ner- veuse : celle-ci est reliée à la clinique mentale par une galerie fermée. Il existe conjointement
qui comprend quelques nevropathies et les formes mixtes de maladies mentales et nerveuses telles que : démence organique, et
veuses telles que : démence organique, et aussi quelques affections mentales comme : obssessions, para- lysie générale, déme
enhague; par le pro- fesseur KNUD 1'0,'iTOPPIDON. (Tlte Jottrnal of Mental Science. Juil- let 1902), L'hôpital communal
in de la cour de justice, on y place aussi les inculpés dont l'état mental a besoin d'être étudié. La salle a la forme d'un
in de savoir plus tard, le diagnostic et le traitement des maladies mentales à leur début. Enfin, au point de vue médico-lég
gal, les élèves trouvent là une oc- ccasion rare d'apprécier l'état mental et la responsabilité des in- culpés, suspectés
t mental et la responsabilité des in- culpés, suspectés de maladies mentales . L'hôpital y trouve aussi son avantage, car il
soixante-douze ans. Stigmates 7syclùques tardifs de dégénérescence mentale . Le Secrétaire général communique, au non) de M
nue de s'accumuler malgré les intervalles de repos. L'automatisme mental des aphasiques. MM. Pierre-Marie et VASCIIIDS.
MM. Pierre-Marie et VASCIIIDS. Il résulte des recherches expéri- mentales de ces auteurs, que l'automatisme mental des apha
e des recherches expéri- mentales de ces auteurs, que l'automatisme mental des aphasiques ne ressemble guère à l'automatis
t facilitent l'intelligence ou l'exécution d'un acte. L'automatisme mental des aphasiques se polarise faci- lement ; les s
leur demande de répéter ou d'exécuter incidemment. Leur automatisme mental ne peut pas évoluer ou s'adapter à une autre sé
effort, autour de la première adaptation réali- sée. L'automatisme mental des aphasiques est isolé ; il n'évolue pas à ca
aitement thyroïdien qui amena une amélioration sen- sible de l'état mental . Les états oedémateux fréquents chez les dé- me
it que les questions de t'hé- rédité pathologique dans les maladies mentales et nerveuses sont étudiées le mieux par les sav
. M 'frétât dit que l'hérédité est la cause des causes des maladies mentales . Selon M. Déjérine, les affections nerveuses so
s membres de cette famille entre eux. Esquirol dit que les maladies mentales se rencontrent fi0 fois plus souvent dans les f
des Sciences méd. el nul. de llruxelles. 2 jmllet 1900. La chorée mentale des enfants est un état psychique sur lequel on
gitation extrême avec une attention impossible à fixer. Instabilité mentale complète et mobilité musculaire extraordinaire.
ulière- ment les objets les plus petits. C'est un exemple de chorée mentale sans insuffisance psychique. Le second garçon
antant, re- muant, courant sans cesse. Mais, en outre, de la chorée mentale , il y a chez lui une insuffisance psychique (id
Nystagmus, maslurbation, Intelligence bonne. En somme, la chorée mentale est une maladie de l'attention, caractérisée pa
at d'insuffisance psy- chique peu prononcé. L'intérêt de cet état mental cou iste surtout dans l'efficacité du traitemen
AGI] mtos Traitement de l'- et de l'insomnie dans les maladies mentales , par Trénel, 313. Acnoscrc. - Elude clinique de
par Lerl, 180. Billet. Voir Goitre exol)hlalni- que Bégaiement mental , parBenllon,2Sl. 13EGUF.S. Itéparmion géographi
mysticisme, par t.luitiv, ! )0. ti;;mates psychiques i.trils de - mentale , par \\'nhl, 524 Délire et petit Lrlglmsme, par
, par llammond, 151. De traitemeni ries -atteints de défectuosité mentale ,' pargross- mann, 15f. arriéré. \ou'NaeAt- 11
. Quelques cas de - pellagreuse, par Warnock, 416. fONl : l10y5 mentales . Voir Lobes pré- frortlaux. Friedreich. Voir
('71e'c. Note sur tesprefoutau\etia ! ocah- sattoii des fonctions mentales , par Mao-Donald, 63. Un cas de tumeur des fio
a au musée du l'rado, par Meige, 88. Organisation du seivice de - mentale dans les prisons, par Miisoin, 3G. )IÉDIUill[
re. Mliancohe. Voir Syringomyeliqiie. Jlhntnclsvr, et pu3rllislne mental paroxystique chez une hystérique, par I)ul)i,
ternes. Rôle ries - dans l'évolution et la constitution de la vie mentale , par Pion, 277. - nerveux, voir Il'alle ? Org
es . par Ba- binski, 176 Ouïe. Voir Oreille. Outrage. Voir Etat mental . OXIDR de C\ItBO\E. \'on Myélite. Pachymémnci
ar Huet et Alquier,7S. 552 TABLE DES MATIÈRES. Parricides. L'état mental des -, par Asselin, 8,ï. En(ant-, 38f P.\VILL
Pression sanguine. Voir Neurasthé- nies. Prisons. Voir Médecine mentale . PsEUDO-TABESSpondyiitique,part ! a- binski,
que, par h1"e Lipinska, 357. PTASIS. Voir Myopathie. PUÉRILISME mental , par Dupré, 349. Rachitisme congénital. Sur un
tude du traitement du spasmodique, par Ethott, loi. Un ces de - mental , par Séglas, 511. TRie. Le des artistes et son
23 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Y Pt-uresseut'dechtnque 1 Professeur de clinique des maladies mentales à I, Faculté de médecine de Paris. 1 V. MAG
ication, favorisée par l'ischémie cérébrale. (A suivre.) CLINIQUE MENTALE . LES TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRA
Traité des maladies du cerveau et des membranes, 1825. 22 CLINIQUE MENTALE . lysie générale comme entité morbide, et Calmei
aud', en parlant de la période 1 Régis. Manuel pratique de médecine mentale , 1885, p. 318. Il. Schule. Traité clinique des
ine mentale, 1885, p. 318. Il. Schule. Traité clinique des maladies mentales , 1888,p. 342. 3 A. Cullerre. Traité pratique de
mentales, 1888,p. 342. 3 A. Cullerre. Traité pratique des maladies mentales , 1890, p. 363. y ` B. Bail. Leçons sur les mala
ladies mentales, 1890, p. 363. y ` B. Bail. Leçons sur les maladies mentales , 2° édit., 1890, p. 861. 5 Traité de médecine d
généraux (Archives de neurologie, juin 1897, p. 441). 24 CLINIQUE MENTALE . terminale de la paralysie générale, dit que ce
la paralysie générale (Gaz. des Hôpitaux, mars 1871). 26 CLINIQUE MENTALE . raie et attira l'attention sur les rapports de
es et 33 hommes atteints de paralysie progressive : 28 8 CLINIQUE MENTALE . Sur ces 57 paralytiques, neuf n'ont présenté a
s maladies de la peau, 2e édit., Paris, 1892, p. 820. 30 CLINIQUE MENTALE . paralytiques généraux, sans qu'il y ait eu auc
. LI, p. 301, i, American Journal of insanity, 1895). 32 CLINIQUE MENTALE . 1 normal qu'un état pathologique, » disait M.
: « Est atteint de paralysie générale. Affaiblissement des facultés mentales . Embarras de la parole. Iné- galité pupillaire.
and (femmes) à Villejuif. Archives, 2e série, t. V. 3 34 CLINIQUE MENTALE . dimension d'une pièce de 50 centimes sur la ma
brun, d'une dimension variable entre la lentille et une 36 CLINIQUE MENTALE . pièce de 50 centimes. On en compte une trentai
le (Thèse de Paris, 1884). 9 Schiile. Traité 'clinique des maladies mentales , 3° édit., 1886. Trad. française Duhamel et Dag
z les paralytiques généraux (Thèse de Paris, 1889). , 38 CLINIQUE MENTALE . 57 malades. La statistique de M. Ramadier est
: « Est atteint de paralysie générale. Affaiblissement des facultés mentales , particulièrement de la mémoire. Idées mélancol
é depuis deux semaines qu'on constata un commencement 40 . CLINIQUE MENTALE . d'eschare sacrée. Actuellement l'eschare est a
alysie générale (Thèse de Paris, 1876). ' Loc. cil. 42 CLINIQUE MENTALE . L'eschare peut apparaître dès le début de la p
aralysie marchait à grands pas. ' Zacher. Loc. cit. 44 CLINIQUE MENTALE . Observation XIII. - Eschare. Phlyctène. Ichthy
n : Est atteint de paralysie générale. Affaiblissement des facultés mentales . Inconscience de sa situation. Hésitation de la
des amputés; disparition spontanée des sensations illusoires; état mental .des amputés. Reprenant ensuite l'étude des fait
le. L'auteur examine ces lésions primitives dans l'anémie expéri- mentale les embolies expérimentale, la rage, le botulisme
897.) . E. B. III. Contre LE traitement CHIRURGICAL DU TORTICOLIS mental ; par le Dr BRISSAUD. Les faits de torticolis
DU TORTICOLIS mental; par le Dr BRISSAUD. Les faits de torticolis mental présentent toujours et invariable- ment le même
t que par un subterfuge qui devient servitude à son tour. La nature mentale de ce torticolis spasmodique se révèle fortuiteme
une malade, dont l'auteur résume l'histoire, atteinte de torticolis mental depuis plus de quatre ans, a vu son état s'amél
ergie, se déchargeant à la façon d'une bouteille de Leyde. L'état mental du sujet exerce aussi son action sur la reproduc-
cine Détroit, mars 1896). Existe-t-il, se demande l'auteur, un état mental dans lequel un individu est entraîné d'une faço
éprouve ? 2 La folie morale est difficile à préciser. C'est un état mental dans lequel l'individu conserve toute son intel
qu'il est inutile de nous consulter sur les phénomènes de leur vie mentale ; devons-nous continuer à ne point comprendre ce
able de ses acles, en donnant comme preuve de son état d'aliénation mentale une série d'actes absurdes qu'il avait commis à
e se dit également revenue à son état normal. Et cependant son état mental n'est peut-être pas absolument sain, comme on l
OSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 119 découverte d'une gomme. Etat mental particulier. Guérison en apparence complète.
is sans régularité. Rien d'anormal à l'examen des poumons. L'état mental parait assez particulier. La malade reste dans so
es réactions pupil- laires. Pas de tremblement de la langue. Etat mental . La malade ne reconnaît aucune des personnes qui
taine saillie, les vais- seaux font encore un léger coude. L'état mental est bien meilleur et paraît au premier abord pr
aih degré d'aphasie motrice qui auparavant était masquée par l'état mental . Dans une phrase un peu longue elle est souvent
complexes résultant de l'association de lésions diverses. CLINIQUE MENTALE . LA PARALYSIE GENERALE'; Par le Dr Alexandrk
parvenir à l'élucider, sans 1 Communication au Congrès de médecine mentale et neurologie de Bruxelles, 1897. 128 , CLINI
médecine mentale et neurologie de Bruxelles, 1897. 128 , CLINIQUE MENTALE . pouvoir rattacher clairement à une cause princ
r affecter ; c'est ainsi Archives, 2e série, t. V. 9 130 CLINIQUE MENTALE . que l'on a créé les pseudo-paralysies générale
e et hallu- cinatoire ? J'y souscris volontiers ; mais les troubles mentaux ou de sensibilité sont-ils donc les mêmes chez
donc les mêmes chez tous les alcoo- liques, toutes les aliénations mentales d'origine alcoolique se ressemblent-elles donc
lie alcoolique : exubérante chez cer- tains cérébraux, l'aliénation mentale affectera la forme de manie rémittente, par exe
s ayant une autre organisation nerveuse congé- nitale, l'aliénation mentale ne se traduira que par de l'obnu- bilation inte
raduira que par de l'obnu- bilation intellectuelle, de la confusion mentale , de sorte que l'on pourra voir, selon la prédis
les cliniciens et par la diversité des rémissions, et ')32 CLINIQUE MENTALE . par les variations symptomatiques, et par l'év
ion des rapports étiologiques et symptomatiques ? 1 j4 - CLINIQUE MENTALE . Il n'y a donc pas plus lieu, à mon sens, d'adm
établie que par des analyses de faits; j'en ai REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 1 35 déjà recueilli et publié un certain nombr
en présence de laquelle nous nous trouverons. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . . Hermaphrodisme psychique. Notes SUR la PERVE
e me transformer ! » La vue d'un homme beau 136 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . et fort le trouble, le transporte, mais, au co
aient concurremment contribué au développement de la défec- tuosité mentale J. Un important agent de production des maladie
tuosité mentale J. Un important agent de production des maladies mentales et nerveuses est le surmenage intellectuel, qui
eurologie, soit dans le Progrès médical. (B.) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 137 surmenage se manifeste particulièrement ch
aux responsabilités de la maternité, en même temps que les qualités mentales de ses enfants auront bien des chances pour être
ntes : 1" Parmi les con- ditions liées à la pathogénie des maladies mentales chez le= émi- grés, il faut tenir compte d'une
médico -psychologiques, févr.1897.) L. R. 138 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . V. UNE forme DE délire systématisé DES persécu
; par le 1)r Cullerre. A côté des gens qui, obéissant à un trouble mental ayant pour point de départ une déviation de l'i
rantes, l'auteur donne le nom de délire de revendication au trouble mental de ces malades. Les deux observations rapport
syphilitiques. La syphilis agit alors direc- - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 139 temeut sur le cerveau en y déterminant des
t on peut espérer la guérison, ce qui n'est 140 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . pas le cas, malheureusement, pour la paralysie
, peut être considéré comme un petit accès épileptique avec trouble mental de peu de durée. Le rêve nocture accablant étai
ablissent l'intérêt de ce symptôme dans quelques formes do maladies mentales . Parmi ces dernières, c'est dans la paralysie g
ans la paralysie générale, ce qui pourrait être REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 141 interprété comme un nouvel argument en fav
s ou moins, un moule commun dans lequel on place tous les désordres mentaux survenant chez les gens âgés : elle exerce, en
pas moins vrai que dans la vieillesse se présentent d'autres types mentaux dignes de considération tant au point de vue pa
ns lesquelles la folie est associée non à un simple affaiblissement mental mais à une lésion plus ou moins diffuse des cen
les penchants à l'avarice des malades, leur 142 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . mobilité, leurs idées délirantes de suspicion,
ive et l'a- menza confusionnelle avec une forme simple ou confusion mentale simple et une forme grave ou confusion mentale
simple ou confusion mentale simple et une forme grave ou confusion mentale hallucinatoire. , J. SKGHS. REVUE DE PATHOLOG
confusion mentale hallucinatoire. , J. SKGHS. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 143 XIII. Pouls lent chez UNE aliénée, comme ph
cture ils ne tentent pas les chirurgiens. 144 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Les observations de folies guéries par des opé
t, au contraire. Dans certains cas l'opération peut agir sur l'état mental comme le ferait une fièvre intercurrente, un ér
s surpassèrent son attente, tant pour l'amé- lioration physique que mentale . Il fit 14 curetages et obtint 14 améliorations
améliorations des symptômes physiques et 8 améliorations de l'état mental soit 57 p. 400. A l'amputation du col et curettag
e 11 mala- des sur 27 soit 42 p. 100 en bénéficient au point de vue mental . '1 1 avaient des déplacements de l'utérus avec
aliénés inconscients toute opération clnrurgi- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 145 cale nécessaire soit pour leur santé physi
it pour leur santé physique, soit dans le but d'améliorer leur état mental . Les aliénés à intervalles lucides peu- vent do
our lui les maladies organiques ont une grande influence sur l'état mental et surtout les désordres des organes pelviens. La
ladie mentale des Malais; par \V. Gilmork 1LLLIS. (Tlae Joumacal of Mental Science, janvier 1897.) La maladie mentale, ou
s ces causes Archives, 2e série, t. V. 10 146 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . peuvent provoquer l'apparition du Latah, mais
parait absolument en contradiction avec t'orga- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 147 nidation physique. Qu'un mot, un regard, u
n ne portent aucune trace appréciable de dégénérescence physique ou mentale ; quelques-uns même sont, pour des Malais, très
tares Dolt\Lls; par P.-W. MACDONALD et A. Davidson. (The Journal of Mental Science, janvier 1897.) On sait que l'affection
Journal of Mental Science, janvier 1897.) On sait que l'affection mentale qui est presque exclusivement annexée au tabes
t bien caractérisé d'affaiblissement intellectuel avec perver- sion mentale dépendant de la lésion médullaire et lui ayant ét
sive, et dans le second à un obscur- cissement graduel des facultés mentales ; mais contrairement à 148 REVUE DE PATHOLOGIE M
des facultés mentales; mais contrairement à 148 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . l'opinion généralement adoptée, l'affection me
DE PATHOLOGIE MENTALE. l'opinion généralement adoptée, l'affection mentale n'a nullement revêtu la forme de la paralysie g
énérale. R. DE Musgrave-Clay. XXIII. L'hérédité dans les MALADIES MENTALES ; par J.-F. BRiscoE. (The Journal of Mental Scie
dité dans les MALADIES MENTALES; par J.-F. BRiscoE. (The Journal of Mental Science, octobre 1890.) L'auteur a recherché le
is et des tempéraments. Il étudie aussi l'hérédité de la débi- lité mentale , et conclut que la folie est héréditaire chez 90
SES CAUSES ET SA SIGNIFICATION; par R.-S. STEWART. (T/te Journal of Mental Science, octobre 1896.) Les conclusions de l'au
auses qui se rattachent à la vie génitale de la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 149 femme diminuent d'importance en tant que f
ie générale indique une modifica- tion dans le type de l'aliénation mentale , un retour régressif à des formes inférieures d
ement intellectuel sont caractéristiques de 130 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . la paralysie générale. Le malade meurt d'aille
ges commémoratives sont le correctif qui assure REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 181 l'assimilation ou la neutralisation des no
cinations sensorielles; 2° les idées déli- rantes ; 3° la confusion mentale (désorientation); tissant ces mélancolies, suic
ordres. Le traitement est l'isolement. P. 6Erlav.L. »IŸ. DÉBILITÉ MENTALE ET TREMBLEMENT-, par M. LIBBt;. (Presse médical
u pendant le sommeil, et de se produire dès 182 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ' qu'on examine la malade ou qu'on lui parle;
Revue de psychiatrie, de neurologie et d ! 6pA)/c/tO<o'e expéri- mentale , 1897, n" 9.) ROUBINOVITCA. XXXI. L\ confusion
'e expéri- mentale, 1897, n" 9.) ROUBINOVITCA. XXXI. L\ confusion mentale primitive; par M. J. SEGLAS. (Presse médicale,
médicale, Il mars 1897.) Laissant de côté les cas ou la confusion mentale n'est qu'un symptôme ou un épisode de diverses
ou un épisode de diverses maladies, l'auteur étudie la con- fusion mentale primitive idiopathique, qu'il définit en ces term
diopathique, qu'il définit en ces termes : L'expression c confusion mentale primitive idiopathique. désigne une affection o
isée par des phénomènes somatiques de dénutrition et des phénomènes mentaux , résultat premier de l'état somatique dont le f
forme d'affaiblissement et de dissociation intellectuels, confusion mentale (primitive), qui peut être accompagné ou non de
se irritable du système nerveux central auquel est due la confusion mentale serait le résultat d'une infection ou d'une int
n avec les données étiologiques et cliniques; en effet la confusion mentale apparaît très fréquemment dans la convales- cen
hèse. A. Fenayrou. XXXII. ROUGEOLE, infection secondaire, confusion mentale PSEUDO- méningitique; par M. SEGLAS. (Presse mé
alade, âgée de trente ans, qui, au début de 184 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . - . la convalescence d'une rougeole bénigne, e
e de troubles psychiques caractérisés surtout par de la confusion mentale . Sept jours après l'apparition de ces désordres m
a confusion mentale. Sept jours après l'apparition de ces désordres mentaux se manifestent des phénomènes méningitiques; en
ténuent et disparaissent en une dizaine de jours, sauf la confusion mentale qui persiste encore trois semaines environ. '
faire, dans les infections aiguës, par ce fait REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 188 que la neurasthénie paralytiforme commence
e santé. Il ajoute que parmi les classes de 1S6 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . criminels, il existe un groupe psychologique d
s bien des lustres, désignés sous les noms de fous moraux, débilité mentale ; ce sont les rei nati de Lombroso. Or bien de
té émotive. Le thème de la conception influence REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 187 l'affectivité; le groupe conceptuel, à rais
ire généralisé ; par le D1' X. FRANCOTTE. (Bull. de la Soc. de med. mentale de Belgique, septembre 1897.) L'affection que
désigne sous le nom de délire géné- ralisé (verwirrtheitf confusion mentale ) est caractérisée essentielle- ment par l'aboli
a dose. Après douze mois de traite- ment l'amélioration physique et mentale était manifeste. Deux photographies accompagnen
es, moiteur de la peau et perte de poids. Les changements de l'état mental furent manifestes : un déprimé devint plus acti
iés, mais d'une façon générale les modifications tant physiques que mentales ne persistèrentpas trois mois après la cessatio
t que comme un médicament ; il n'a vu aucune amélioration d'un état mental produit par l'emploi de tablettes d'ovaire, de
ints des asiles de la Seine, du professeur de clinique des maladies mentales et de MM. Terrier et '1^G 6 BULLETIN BIBLIOGRAP
t pour organiser un stage obliga- toire dans un service de médecine mentale que devrait faire tout candidat au doctorat.
e a décerné les prix suivants, concernant les maladies nerveuses et mentales : Prix Civrieux. 1.000 fr. Question : Valeur sé
. Vol. V. Mars 1898. NG : 2.7 1 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . LES TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉ\R :
21. , . , . au , . , .. Archives, 2e série, t. V. 12 178 CLINIQUE mentale . se parcheminé. Plus tard, elle se desquame en
stic suivant : « Paralysie géné- rale. Affaiblissement des facultés mentales . Embarras de la parole. Légère inégalité pupill
en clairière sur les tempes. La peau des mains et des 180 clinique mentale . doigts est lisse, brillante; les poils du dos
st entrée à Villejuif le 4 mai 1896. L'affaiblissement des facultés mentales est très pro- noncé ; l'embarras de la parole a
ulpe, jaune, entourée d'un tissu blanc grisâtre. , . 182 ' clinique mentale . Observation XXIV. Déformation et coloration de
ificat de M. Vallon : « Est atteint d'affaiblissement, des facultés mentales . Idées de satisfaction. Inconscience'de sa situa-
en minces lamelles. Les ongles des orteils et celui du 184 CLINIQUE MENTALE . deuxième doigt du pied droit ont complètement
peau brillante, unie, lisse (calvitie). Dans quelques 186 CLINIQUE MENTALE . cas l'alopécie est symétrique, commence par le
ec le certificat suivant de M. Magnan : « Est atteinte 188 CLINIQUE MENTALE . de paralysie générale avec idées de satisfacti
ionné, apathique et inconscient. Inégalité pupillaire. 190 CLINIQUE MENTALE . Embarras de la parole très marqué. Idées de ri
ée sur tout le cuir chevelu. Dents légèrement usées. 192 CLINIQUE MENTALE . CHAPITRE IV . Troubles trophiques du système
méd. de l'Est, 1890.) Archives, 2e série, t. V. , 13 194 CLINIQUE MENTALE . vations sont rares et les travaux peu nombreux
es médicales, t. 111, 1875, p. 253. ° 'P.-W. Mac Dowald. Journal of mental science, octobre 1872. ' Grellière. Etude sur l
éciaux. (Aclr. cle médecine expér·inrenlale,lS91.) 196 . CLINIQUE MENTALE . Observation LXVII. Eruption de phlyctènes. Déf
re, il ' Déjerine. Archives de physiologie, 1876. , '198 CLINIQUE MENTALE . devient obèse. Mais ce faux embonpoint ne dure
l'avons dit déjà, la moindre négligence est préjudi- 200 . CLINIQUE MENTALE . ciable à l'épiderme si sensible du paralytique
souvent des sons aigus, se rapprochant de la voix féminine. Etat mental . A l'entrée, ce malade présentait un état mania
és dans LES cerveaux des aliénés ; par John TunNER. (The Journal of mental Science, janvier 1897.) M. Bevau-Lewis attribue
le que, si on les cherche, on les trouvera dans d'autres affections mentales . On rencontre à l'état de liberté dans les espa
e vingt-huit à quatre-vingts ans, et où l'appa- rition des troubles mentaux était toute récente. Ici l'auteur rap- porte qu
e figuré; 3° un élément amorphe achromatique, la substance fonda- mentale . La substance achromatique figurée est constituée
ue unilatérale parait devoir être rattachée au groupe des accidents mentaux par idée fixe. A. FENAYROU. II. Contribution
cortège d'affections névro- pathiques. A côté de divers troubles mentaux , de diverses chorées ne pré- sentant aucun sign
en. La malade a présenté, à un moment donné, de véritables troubles mentaux avec phobies de toute espèce. Le traitement m
hiques des extrémités ; sous l'influence des bromures, les troubles mentaux ont une tendance à se substituer aux crises; de
; enfin à la place des crises se pré- sentent parfois des troubles mentaux nocturnes à forme de som- nambulisme. - Deux
après, d'une fièvre typhoïde. Cette maladie a retenti sur son état mental et provoqué la trans- formation du regret de so
elle détermine un affaiblissement énorme des phénomènes de synthèse mentale qui se manifeste surtout sous forme d'aboulie e
symptômes de névrite sont à peine prononcés; ce sont les symptômes mentaux qui domi- nent toute la scène ; la mémoire est
névrite. Ce n'est pas l'opinion de M. SoukhanoS' : Que les troubles mentaux soient au premier ou au second plan, le tableau
ans cause appréciable. - Début par une céphalée intense; troubles mentaux consécutifs caractérisés par des altérations de
eut, les jours qui suivirent, une notable amélioration des troubles mentaux , disparition complète de la céphalée et diminu-
OOLISME AU CONGRÈS DE BRUXELLES. 241 Ce cas montre que des troubles mentaux spéciaux, accès de som- meil, automatisme ambul
btenir, a passé entre les mains de plusieurs méde- cins et son élat mental a fait l'objet d'une enquête des plus sérieuses
Thèse à consulter au point de vue de l'influence sur.les facultés mentales de l'ablation des organes dans les affections pel
seil de discipline ou de conseil de guerre, sera soumis à un examen mental absolument obligatoire. Cette expertise sera co
mis, au Congrès de Bordeaux de 1895, le voeu que l'examen de l'état mental des inculpés soupçonnés d'aliénation soit organ
t grand temps que celle réforme fut réalisée. 6. Troubles de l'état mental atax Antilles; par F.-J.-Ch.-E. GUILLIOD. Trois
'alcoolisme et le climat sont les deux grands facteurs d'aliénation mentale . La folie alcoolique, la manie et la lypémanie
ques et des hypermnésies dans les étals symptomatiques d'aliénation mentale ; 6° des hyper- mnésies toxiques. Il serait tr
souvent avec des stigmates de dégénérescence et de légers (roubles mentaux . C'est à la face et au cou qu'on le ren- contre
c sérail, bénin, n'était la prédisposition des malades aux maladies mentales ou nerveuses. Les traitements sont le plus souv
me comprendra : 1° Questions mises à l'ordre du jour : z Pathologie mentale . Les troubles psychiques post-opératoires. Rap-
né à l'auteur du meilleur travail sur la thérapeutique des maladies mentales et sur l'organisation des asiles publics ou pri
- 398. Vol. V. Avril 1898. ? 28 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA DESCENDANCE DES
89î, t. XLIII, p. 494.) AHCI11VC, 2e série, t. V. 18 274 CLINIQUE MENTALE . agissant sur les conditions de milieu, sur l'i
ludies in the psychology of sex, 1897, 1.1, I, p. 140. 276 CLINIQUE MENTALE . L'existence d'invertis, normaux au point de vu
inct sexuel est un caractère de dégénérescence au pre- 278 CLINIQUE MENTALE . mier chef, puisqu'elle a pour suite nécessaire
hommes nus, et ses premières excitations génitales se 280 CLINIQUE MENTALE . manifestèrent à celte vue. Lorsque la pubeité
ne paraissent pas avoir affaibli l'intelligence. A ces 282 CLINIQUE MENTALE . absences se sont ajoutés depuis le mois de déc
campagne et composée de gens qui paraissaient sains au point de vue mental : son père est mort à cinquante-six ans d'une f
dent nerveux jusqu'à la puberté qui s'est établie nor- 284 CLINIQUE MENTALE . malement à onze ans et demi sans jamais avoir
es grossesses et les accouchements n'ont amené aucun 286 . CLINIQUE MENTALE . changement ni dans les sensations ni dans les
'examiner et par dégénérescence il entend la décadence des qualités mentales et morales d'un indi- vidu, associée fréquemmen
mode de traitement sera applicable à un grand nombre d'af- fections mentales aiguës. (American Journal of insataily, juil- l
-moteur ; parle D1' H. Nichols. Etudiant les relations du processus mental avec l'activité muscu- laire, l'auteur arrive a
conclusions suivantes : f<). Toutes les sensations et les étals mentaux sont moteurs. b). L'organisme neuro-musculaire
t universelles pour tout l'organisme nerveux, moteur aussi bien que mental . d). Nos capacités ins- tinctives, multipliées
n trouble de la sen- sibilité. II. Garçon de treize ans, débilité mentale , trois pneumonies antérieures au début de l'aff
t. G. D. LVII. Des relations entre les psychoses, la dégénérescence mental * ET la neurasthénie ; par M. le D1' LENTZ. (Jou
ais ayant des expressions particulières comme les tics physiques ou mentaux et comme les aptitudes spéciales (musique, dess
sible de l'hyp- nose par les seuls moyens mécaniques sans influence mentale ; la division des phénomènes hypnotiques eu tro
paillier. etc.). Quant à l'excitation des phénomènes physiques et mentaux par l'influence de métaux, d'aimants ou d'autres
rtificielles. Cette confusion donne plus d'éclat à la concentration mentale , monoïdéisme de Braid, ou concentration de l'at
at léthargique profond que dans la somnolence légère; l'inté- grité mentale et même raffinement du discernement sonttelsqu'un
que les procédés fallacieux de Mesmer, que 330 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . plus tard les présomptions un peu déconcertant
nature de ces deux formes morbides. J. Séglas. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XXX. Alcoolisme aigu chez un enfant; par l'aI'
etite fille de cinq ans, bien portante, n'ayant REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 331 jamais eu de convulsions ni d'accidents ne
taitaccompagnée des phénomènes concomitants 332 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . classiques. Pour combattre l'obsession, elle r
certain point, reconnaître ce qui appar- tient à la dégénérescence mentale et ce que peut revendiquer l'hystérie. - En d
obligée. Il n'est que l'indice d'une faiblesse REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 333 intellectuelle consécutive, et plus souven
é lieu à des accusations de viol ? 2° Avez- 334 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . vous connu des filles atteintes de folie choré
ut particulièrement l'attention de ceux qui s'occupent des maladies mentales , ce sont les relations de la folie avec l'organ
onsidérations générales sur l'aura épileptique, REVUE DE pathologie mentale . 335 l'auteur rapporte-douze cas de formes rare
ents de Braid dont la plupart rarissimes et 336 REVUE DE pathologie mentale . dont plusieurs n'existent plus qu'au 13ritisli
définie comme entité clinique, dans la classification des maladies mentales . L'auteur cite une liste de 15 cas de délire gr
du début, aucun des malades n'était dans de bonnes conditions, tant mentales que physiques. Le début, dans tous les cas, a é
il y eut un cas suivi de mort, un cas suivi de guérison du désordre mental et sur les trois autres malades, l'une, une épi
moins de pré- dispositions spéciales. g, I;. REVUE DÉ PATHOLOGIE MENTALE . 337 XXXIX. Carcinome DU PYLORE avec mélancolie
r le Dr ŸALHER. Contribution à l'étude des rapports de l'aliénation mentale avec les maladies viscérales. Il s'agit d'un
ce d'origine alcoo- l ligue) ; par le D1' BERKLEY. Les conditions mentales connues sous le nom de dédoublement 'de la cons
'avaitjamais Archives, 2e série, t. V. 22 338 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . usé de stimulants alcooliques. Là il se livra
nés EN BELGIQUF,; par le 1)' PEETERS. (Bull. de la Soc. de médecine mentale de Belgique, 1897, n', 86.) Le Dr Peeters se
A PROPOS DE LA REVISION DE Li CLASSIFICATION OFFICIELLE DES MAUDIES mentales ; par le Dr X. FRANCOTTE. (Bull. de la Soc. de
ES mentales ; par le Dr X. FRANCOTTE. (Bull. de la Soc. de médecine mentale de Belgique, septembre 1897.) En qualité de pro
linique psychiatrique, M. Francotte propose de grouper les maladies mentales dans l'ordre suivant : 1° les psychoses affecti
é, affection qui correspond jusqu'à un certain point à la confusion mentale des Français, à la verwirtlaeil des Allemands,
orale; 10° les parapsyclzies ou folies dégénératives (insta- bilité mentale , phobies, obsessions, etc.); 11° les arrêts de dé
istre, au moins tous les mois, les changements survenus dans l'état mental de chaque malade... » L'auteur, dans un article
part des formes de folie, particuliè- rement dans la dégénérescence mentale où il revêt les caractères habituels des délire
ais sorciers; 2° pseudo-sorciers : A. Malades atteints d'aliénation mentale . B. Charlatans et escrocs : a) dans les village
distance : ci) action des médicaments à dis- tance ; b) suggestion mentale à distance ; c) force neurique rayon- nante (ch
498. Vol. V. ' Mai 1898. ? 29 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE . LE DÉLIRE MÉLANCOLIQUE; PAR si CH. VALLON,
sez grand nombre de malades ont conscience de l'invasion du trouble mental . c On peut admettre comme règle générale, dit a
aussi Costard ', que la conscience du caractère maladif du'trouble mental appartient surtout aux aliénés atteints de méla
. ' lbid., p. 26. . Archives, 2e série, t. V. 23 354 pathologie mentale . Si on analyse le mécanisme de ces conceptions
' Pathologie de l'esprit. Traduction Doumic, 1883. 356 pathologie mentale . action spécifique sur le cerveau, action dont
h. De la mélancolie, mémoire à l'Acadé- mie, 189G. 358 PATHOLOGIE MENTALE . C'est là l'origine de mainte préoccupation hyp
nscientes n'arrivent plus ou arrivent mal au sensorium, la synthèse mentale habituelle est détruite ; il en résulte une imp
14. 3 Traité des maladies nerveuses, Paris, f 81G. 360 PATHOLOGIE MENTALE . rien, n'entends rien ; toute action, toute sen
profonde, rupture complète. Les sensations nouvelles 362 PATHOLOGIE MENTALE . ne trouvent plus de séries antérieures où elle
rieures également autres qu'elles ne sont 3. » De là deux synthèses mentales contradictoires, l'une correspondant aux ancien
nnales médico-psychologiques, juillet 1889, p. 9.) 364 PATHOLOGIE MENTALE . tion du moi sur le monde extérieur, et seconda
choses extérieures autres qu'elles ne sont 1. De là, deux synthèses mentales contradictoires : l'une corres- pondant aux anc
ych., 183, p. 433. * Luys. Traité clinique et pratique des maladies mentales , 1881, p. 239. ' Séglas. Loc. cit. - LE DÉL
ginaires à un sortilège diabolique. Ce sonl les malades d'un niveau mental inférieur qui en restent à cette conception dél
lus difficiles à mettre en lumière. A un premier degré, la synthèse mentale étant sim- plement affaiblie et les perceptions
p. 238. (Traité des maladies menta- les, 1876.) , 366 PATHOLOGIE MENTALE . manie, et ce n'est pas sans raison que Fodéré
et du sens dans lequel son éduca- ' Cotard. Eludes sur les maladies mentales , p. 426. Griesinger. Traité des maladies mental
sur les maladies mentales, p. 426. Griesinger. Traité des maladies mentales , trait. Doumic, 1865. 368 PATHOLOGIE MENTALE.
. Traité des maladies mentales, trait. Doumic, 1865. 368 PATHOLOGIE MENTALE . tion a été arrêtée; delà l'intervention possib
e les délires de culpabilité et de possession ; dans la confusion mentale qu'amène l'agitation anxieuse, les malades passen
complèles, p. 375. Archives, 2e série, t. V. 24 370 PATHOLOGIE MENTALE . « Il faut signaler. disait déjà Esquirol ', co
ursuit de son anathème. Mais l'intensité même des représentations mentales d'une chose redoutée fait qu'on en arrive à croir
sser à soi-même les mouvements *. ' Esquirol. Traité des maladies mentales , Paris, 1838, t. I, p. 517. * Fodére. Traité de
mentales, Paris, 1838, t. I, p. 517. * Fodére. Traité des maladies mentales , Paris. ' Guislain. Traité sur l'aliénation, Am
est entrée à diverses reprises à l'asile de Lafond, pour troubles mentaux consécutifs à des crises nerveuses. J'ai pu, de c
Les cordons latéraux de la moelle se divisent en faisceau fonda- mental du cordon latéral, faisceau de Gowers, faisceau p
tique de la paralysie générale, se rencontre dans d'autres formes mentales . Je ne demande d'ailleurs qu'à être convaincu de
ur que l'évolution se produise; mais je ne crois pas que l'hérédité mentale joue dans cette évolution un rôle aussi im- por
Charles Puy, âgé de trente-quatre ans, qui est atteint d'aliénation mentale , s'étant présenté à l'évêché de Perpignan avec
vail.(Petit Parisien, 10 avril 1898). ' Enseignement des maladies MENTaLES .- M. le D1' Chénieux, direc- teur de l'Ecole de
ladite école, dit que « les conférences annoncées sur l'aliénation mentale ont eu lieu dans le semestre d'été, et que M. le
airie G. Steiiiheit. Bérillon (E.) ? L'Ilypnotisine et l'Orthopédie mentale . Brochure in-8° de 48 pages. Paris, 1898. Libra
énale (Detitsch. médic. woclcenscl ? 13 niai 1897. 456 PATHOLOGIE MENTALE . répétons, on trouve toutes les transitions sur
ons des coupes. Nous resterons sur cette sage réserve. PATHOLOGIE MENTALE . LE DELIRE MELANCOLIQUE'; 11.4 l Z Médeci
326. (Archives de neurologie, t88'2. il et 12.) 458 . PATHOLOGIE MENTALE . qu'ils veuillent démontrer qu'ils sont bien ré
itions ultérieures. Cette disso- ciation progressive de la synthèse mentale implique donc un processus rétrograde, un délir
1 Dl Vallon. Communication au Congés de Blois, 1892. 460 PATHOLOGIE MENTALE . tir, toucher, puisqu'il n'a ni yeux, ni oreill
nales méclico- psychologiques, t. V, 1815 et 1833. 4G2 PATHOLOGIE MENTALE . tique aux réactions motrices qui font articule
x mélancoliques à idées de damnation. Ces phénomènes d'articulation mentale paraissent même le substratum essentiel des dél
ie qu'il attribue à une personne étrangère. ' Griesiner. Maladies mentales , traduction Doumie, p. 285. a Théorie de l'auto
tion Doumie, p. 285. a Théorie de l'automatisme. 46 i' PATHOLOGIE MENTALE . « La pensée, abandonnée à elle-même comme dans
l demande à être rebaptisé, et marmotte cons- ' Esqtjirol. Maladies mentales : De la démonomanie, t. I, p. 509-511. 1. Mar
e la démonomanie, t. I, p. 509-511. 1. Marcé. Traité des maladies mentales , p. 12. Fei,telii, Opéra. Gêneuse, 1. II, ch. x
sorciers. Lyou, 1G03. Archives, 21 série, t. V. 30 466 PATHOLOGIE MENTALE . tamment entre ses dents, les yeux fixés contre
, car elle n'est plus que le zéro des zéros. Tout ce 468 PATHOLOGIE MENTALE . qui arrive n'est que des expériences diaboliqu
e des idées de négation, Séglas, loc. cil., p. 17. 470 PATHOLOGIE MENTALE . à la damnation et aux flammes de l'enfer. Cela
Il. Ddgonet. Loc cil., p. 238, Lypémanic religieuse. 472 PATHOLOGIE MENTALE . reau. Tentatives réitérées de suicide, mort de
e période la démonopathie affecte une forme 1 tiriesinger. Maladies mentales , p. 2SG-`357. 2 Jlichehs. l'aeunzalololie ou di
illcilleo maleficorum. Nidev I(l. Ed. Lyon, 1604. 474 PATHOLOGIE MENTALE . zoanthropique, comme chez les religieuses de C
re crues sous le coup d'un sortilège, pour expli- quer leur malaise mental elles découvrent peu à peu qu'elles sont filles
Histoires admirables, p. 46 à 60, t. I, Paris, 1660. , . PATHOLOGIE MENTALE . « Le diable m'avait appris au sabbat à dire la
tous les. exemples possibles des diverses destructions du composé mental 2 * Le Père Surin, si longtemps mêlé à la célèb
ves de suicide. 11 nous a laissé une relation détaillée de son état mental . « Je ne saurais vous exprimer ce qui se passe
t eux, celui d'une légion de diables, soit 6.666 ! 478 g PATHOLOGIE MENTALE . l'Eglise, que dans mon ministère le diable pas
oit qu'il n'est pas nécessaire de faire intervenir un autre facteur mental ou hystéro-traumatique. Dans l'observation prés
ière partie, M. Dumaz étudie la lucidité d'esprit dans l'aliénation mentale au point de vue medico- iégal et dans la second
ale. Pour guider les médecins étrangers à l'étude de l'aliénation mentale dans leurs rapports médico-légaux, M. Dumaz donne
les psychiques passent inaper- çus, que chaque inculpé ait sa fiche mentale de même qu'il a sa fiche anthropométrique. Cett
et quand elle porterait des présomptions en faveur de l'aliénation mentale , le juge d'ins- truction devrait charger un méd
te de faire un rapport sur lui. §02' BIBLIOGRAPHIE. Cette fiche mentale , à laquelle nous avions pensé nous-même au- tre
sur des rapports de médecins ordinaires, incompétents en aliénation mentale , sortie qui peut constituer un grave danger pou
s priver de travail et de toute liberté, ce qui aggravait leur état mental . Dans des asiles spécialement organisés pour eux
Eidl, 1807.) Une aura intellectuelle, vive rémi- niscence d'un état mental passé, la décharge des souvenirs, si l'on veut,
. Thèses de la Faculté de médecine de Paris, relatives aux maladies mentales et nerveuses durant l'année scolaire 1896-1897.
ecins soit plus grand et où il soit procédé à un examen physique et mental complet (analyses chimiques, examen du sang, et
cussion SUR LES formalités préalables A la déclaration d'aliénation mentale dans SES rapports AVEC L% PROFESSION mégi- cale
nsiste sur l'heureuse influence qu'il exerce d'ordinaire sur l'état mental des aliénés chroniques, seule catégorie de mala
urrait sans doute être appliquée avec avantage aux cas d'aliénation mentale où le changement de milieu est salutaire et l'i
s, 1 il. Confession ries aliénés, par Kier- nan, 152. Confusion mentale primitive, par ijëglas, 153. Rougeole, infectio
algésie du nerf - dans la folie, par Gionnone, liO, 330. Débilité mentale et tremblement, par Labbé, 151. Dégénéré. Odv
w du -, 221. Evolution riu , par Il. Marie, 184. Latui. Maladie mentale des Malais, 145. Luire aiuhiue. Existence du
har Vithe, 318. - spi- nale syphilitique, par Pelletier, 508. ' Mental . Troubles de l'état - aux Antilles, par Guilloi
blation des capsules surrénales, par Douetti, 409. Tabès. Maladie mentale associée au autre que la paralysie géné- rale
et liobert, 260. -de l'ai is, relatives aux maladies nerveuses et mentales en 1896 et 1897, 509. Tic comulsif simple, par
24 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
HIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par .< M CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DI
DIREC-110-4 DE A.JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNA
la malade diminuaient, une amélioration très manifeste de l'étal mental était constatée. A plusieurs reprises, nous avons
e la malade ; rapidement l'insomnie se reproduisait elles (rouilles mentaux reprenaient leur acuiLY. Actuellement, après '7
, après 5 mois d'emploi, il n'ya a pas d'accoutumance. Les troubles mentaux se sont améliorés, mais on ne peut, cesser le m
la prise. UBS, XI. M™0 IL, 42 ans. Après uue période de confusion mentale (1898) avec excitation maniaque, a laquelle a fai
es physiques,, le délire et les hal- lucinations, tous les troubles mentaux s'amendent. Du 15 au 18, le prurit persiste, ma
eut considérer la malade comme complètement guérie de son affection mentale et de son intoxication. RECUEIL DE FAITS Sc
riphérie ne réagisse pas, comme dans la narcose, et alors le centre mental ne manifeste rien. Mais il n'est pas en notre pou
rticulier. Dès que le système nerveux central est lésé, l'aclil ité mentale présente des troubles parce que les communicati
la paralysie générale ; par le Dr de Bock. (Bull. de la Soc. deméd. mentale de Belgique, 1,1()'i, no 117.) Se basant sur
stérique de 23 ans qui présenta de l'hématé- 60 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . mèse, des vomissements stercoraux, du méloena,
tion insolite des mu- queuses. - P. KERAVAt . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. Fréquence et étiologie de la~démence précoce
e total de 300 malades, il a trouvé 47 démences REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Gl -précoces, soit 15, 66 % (non compris les d
ans : la démence précoce (précoce eu égard au dé- but des troubles mentaux plutôt qu'au point de vue de lage) serait donc
curative ; parle Dr MARANDON de IONTYEL. (73u11. de la Soc. de méd. mentale de Belgique, 1904, n° 115.) . L'auteur,dans ce
n outre de maladie de Raynaud et de gangrène 62 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . neurolique cutanée multiple, l'auteur estime q
ire. Nous eu avons touché un mot dans noire Pratique.de la médecine mentale , page 260. Plus fréquente est l'imitation des
et muet, qu'il répète souvent cette mélodie, * REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE ; 63 longtemps de suite, sur un mode identique o
tpLuma liclue alpartcnanL à,1'alcuolismc chronique, il la confusion mentale , à la démence sénile, à l'artério-sclérosc céré
prédisposés sont susceptibles de provoquer l'apparition de troubles mentaux par insuffisance fonctionnelle du foie. Les tro
Il l'Il aucun l'é"lIlllll. (UOUHi\r : 1 ILLE.) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 65 des lui fait remarquer les fâcheuses conséq
an-, Archives, 2- série, 190p, l. XIX. 5 66 REVUE lIE PATHOLOGIE MENTALE . les malades atteignent l'âge de 17 et 24 ans,
u [uhl' rligl',liJ'. Jamais de copiophagie. . REVUE DÉ PATHOLOGIE MENTALE . 01 11 est à penser que le système musculaire d
préalable. Quelques autres, à l'occasion, engendrent des désordres mentaux , mais ils sont si passagers qu'il est difficile
auteur dans des cas d'insom- nie dépendant de maladies nerveuses ou mentales très diverses : arll'rio ? c1l'rose cérébrale,
le domaine Ile la nwlililé. Trois ans après le début des accidents mentaux , l('n"ol) pie, grimaces, attitudes mécaniques,
e retrouvée. L'épreuve à l'induré de potasiunmct.euuath. Torticolis mental ou torticolis spasmoilique. )DI. 1>1 : )[\SS
aucune 1(,¡[(;41cylol', le diagnostic reste incertain. S'il y a tic mental , la méthode Bi-isstt(1 le guérira ; s'il y a spas
o-hasophobie, etc.) el rendent difficile, dans l'analyse de l'(Olal mental , l'évaluation exaele d'un ,1,"lkil (lén1PnlÏl'l q
e sommeil hypnotique je suscite chez le dormeur la représentation mentale de la traversée avec tous ses ennuis et je l'entr
ance : Dalul'aLÍon et hydrothérapie dans le traitement des maladies mentales . Rapporteur : 31. le D- Paillias, Une place i
âgée du quarante-cinq lll1, cuisinière, dans un accès d'aliénation mentale , a mia le feu dans Sa chambre, rue l.aftytllo,
! lI1(/1'(I, depuis quelque temps, donnait des signes d'aliénation mentale , Si, contrairement aux préjugés régnant encore,
gt; Jules Voisin, com- menacé ses leçons cliniques sur les maladies mentales et ner- veuses le jeudi 12 janvier à 10 heures
peine signalé dans la plupart des traités consacres aux; maladies mentales . En ce qui me concerne, je l'ai observé depuis
sion et d'arrêt sont les caractères fondamentaux de cette aifection mentale . Les laits que j'ai recueillis et que je vais e
novcmbre 1902). (2) A. Cii.i.Kiim : . Traité pratique des maladies mentales . Pari- 1890. EXCITATION SEXUELLE DANS LES PS1
anxieux avec thanatophobieet périodes de mentisme ou confu- sion mentale passagère en rapport avec les idées obsé- dante
riques ; à la suite d'un ébranlement émotionnel, accès de confusion mentale passagère ; délire mélancolique avec crises an-
ul malade depuis cinq semaine-, mais les premier- signes de trouble mental remontent àuu moins six mois. C'est une femme q
r a·. idées. Elle présente depuis plusieurs semaines des troubles mentaux que l'on peut ranger sous deux chefs : 10 Idées
entes et complètement anesthésique (crises de mentisme ou confusion mentale passagère). Nous n'avons eu il observer, pendan
commune, plus fréquente chez les femmes que chez les 5G , CLINIQUE MENTALE hommes, el choz les premières, le phénomène que
; chagrins intimes ; aboulie ; mélancolie avec crises de confusion mentale panophobicluu ; an- xiete continue et gémisseme
clis]>araîlrc c11 cm même temps que disparaissent les phénomènes mentaux eux-mêmes, mm, cuulraircnumU u la rèlu. 1·s C·m
istent pas chez eux en effet, soit plutôt qu'en raison de leur état mental on (1) : \loaI : r.. - 1111 ¡\"li ? pnnophohiql
simples syndromes ! lllss. 1\'. Antécédents névropalhiques ; choc mental ; mé- lancolie, panophohie, coufllion lI1enlalt
quinze jours, elle éprouve un grand «saisissement à la 90 CLINIQUE MENTALE suite d'une discussion avec une voisine ; ce so
stro-entérite aiguë d'origine grippale sans modi- ficationde l'état mental . Si l'on néglige les phénomènes d'oblusion el d
tal. Si l'on néglige les phénomènes d'oblusion el de. confu- sion mentale qui existent chez cette malade, elle se rap- pr
pliénnmènescata- loniques ; accès de rire spasmodiques ; puérilisme mental ; ten- tative de suicide ; crises anxil'lIl'S' i
L·1'CHUf'.11'HI1 : S' : 1\\Ii : l'51 : 5 93 10 déccnabr·. - l'i·Lal mental s'est modifié depuis quelque- jours ; à la dépr
rbai ion a cessé. Le lalarlu esl Iwlewnu mélancolique avec obfusiou mentale : il l'ail des extravagances, gale au lit, dema
olymorphe des (légé- nérés. C'est un héréditaire à déséquilibration mentale originelle, caractérisée par des tendances myst
tupidité prolongée, des crises de rires spasmodiques, de puérilisme mental , suivant l'heureuse expression ent- 94 CLINIQUE
e puérilisme mental, suivant l'heureuse expression ent- 94 CLINIQUE MENTALE llluyéc lctr 11. I : . 1)uyr ; une phase de mél
is- me psychologique. Uss. \'1. - Ili·rérlitairc dégénérée ; choc mental ; puberté dif- licite ; PS) ClrlN' polymorphe d
ion, d'où suppression menstruelle l'1]Jll'nlil'l'e crise de trouble mental de peu de durée qui disparut sans laisser de tr
périodes lucides muisaveeulfuiblissement 1res mi- (leili du niveau mental . Aeluelleiiienl on conslale du délire de (le
es tlé5éné- rés. Otis. Vil. Hérédité vésaniquo ; déséquilibralion mentale originelle ; deu\ accès antérieurs d'aliénation
uilibralion mentale originelle ; deu\ accès antérieurs d'aliénation mentale ; troi- sième accès il 70 ans ; démence, exeila
elle. Celle dernière est un phénomène assez banal dans les maladies mentales ; . on l'observe souvent dans la période d'inva
SYCHOPATHIES ANXIEUSES 97 tané se produise ou que survienne un choc mental , et voilà les obsessions mobilisées et l'anxiét
lévrier 1904)... , Archives, 2' série 1905, l. XIX. 7 08 CLINIQUE MENTALE z gancs superposés, couches optiques, bulbe, mo
Janct a bien montré que. chez les psychasthéniques, les agitations mentales , les rêveries, le délire en un mot sont non seu
ysie générale conjugale, lue. il y a 14 ans. au congrès de médecine mentale de Rouen, notre distingué confrère, le docteur
ifesté des symptômes de sclérose médullaire, mais sans trou- bles mentaux . En commentant son quatrième cas de pa- ralysie
aré l'accident syphi- litique initial de l'apparition des symptômes mentaux . Rappelons ici, cet égard, que chez le cousin p
ître, chez un même ma- lade. la coexistence de plusieurs affections mentales dif- férentes et de préciser ce qui revient it
, mais il n'a jamais présenté d'accidents nerveux, ni de troubles mentaux proprement dits. Nous manquons de renseignement
suicide ne sont qu'une expression de la prédisposition aux troubles mentaux que le récit de son existence nous montre qu'il
ec idées répétées de suicide liés il un terrain de déséquilibration mentale d'origine héréditaire, accidents alcooliques, p
concours des asiles nous donnerait le droit de faire de la clinique mentale ! Sans doute, je paraîtrai quelque peu frondeur
d'Asiles doivent non seulement traiter leurs aliénés, les formes mentales , les maladies incidentes, les affections chirur-
s intéressants, les cas aigus en général ; si- tôt qu'une affection mentale prend des allures de chroni- cité, ou plus simp
convenir de cette vérité, c'est nier tout progrès, toute science mentale . Mais, peuvent dire les profanes, que faites-vo
s toujours ; et. chose admirable, bien que, depuis 1857, la science mentale ait fait des pas de géants, bien que le recrute
d'avoir jamais vu un aliéné. Il faut se rappe- ler due la médecine mentale , encore à ses débuts, parais- sait si ingrate,
t sur la législation des aliénés ; il y a deux épreuves de clinique mentale , et une sur ti- tres, où il est tenu le plus gr
ane principal du mouvement, comme le cerveau est celui des tondions mentales . De même que la des- Il'ueLion de l'écorce fait
tération du cervelet supprime la nfulilité sans troubler le travail mental . De même que l'écorce du cerveau se compose de
on, gagnent la face externe du lobe occipital (centre d'élaboration mentale ), les portions supérieures et externes du lobe
ller dans la Il'11' tl'un sujet quelconque quelques représentations mentales auditives. ;Ivayoenlil·r (\u ? ) n'en a ltas
ière à re- gard des rayons \ ; il s'eu suit que les représentations mentales ou les images provoquées par ces rayons n'armen
l de la conscience. Cela ne veut pas dire que des représenta- lions mentales qui n'arrivent pas jusqu'au seuil de la conscienc
lois de l'imitation et d'autres phé- nomènes enigmatiques de l'état mental des masses ne peuvent être correclementélucidés
revue d'anatomie ET de physiologie pathologiques. 137 suggestion mentale sort graduellement du domaine de l'inconnu. L'é
ggestion mentale sort graduellement du domaine de l'inconnu. L'étal mental n'étant, en somme, qu'une manifestation de l'é-
sortent du tissu nerveux en activité, transforment la sugges- tion mentale eu un phénomène qui ne heurte en rien nos con-
oriels ou moteurs, et provoquent au contraire la perte des facultés mentales supérieures ; c'est celles des lobes frontaux.
liniques de l'alexie. Il termine. Généralement, la représentation mentale d'un ob- jet éveille, avant d'en susciter le no
ls analol111qIH'S. En ce qui concerne le centre des représentations mentales des mouvements des mots, il existe des syndrome
cité de dénommer les objets. Il y a lieu de croire, quanlaux images mentales des objets, que lorsqu'il n'arrive plus à l'hém
1LL,1904.) La catato- nie en tant que forme indépendante de trouble mental ; par \\'.l'. Osstpow. (0o : t) ? t6).s'tf ? )n
tance active. Il n'a pas été constaté d'action favorable sur l'état mental ni sur le poids du corps. Il faut aussi éliminer
s malades. 11 eaL directement el indirectement défavorable à l'état mental des malades qu'il peut précipiter dans la dégéné-
hlulùLun lruLuiL arliliciul lu'un5 mi- tome naturel de l'affection mentale . Sans doute les agents lylro- thérapiques et ph
t ? I1}¡t'llh, XX : \', X. F. XIII, 1902.) z Partout les maladies mentales augmentent, partout l'encom- hl'emenL des établ
des en rap- port avec leur destination. Les professeurs de clinique mentale et les neurologistes n'ont pas fait partie de c
ienne (même auteur. Ibid. 1903, n-s eL 3.)-3° Histoire des maladies mentales et nerveuses au Cau- case, par E. W. Erikson (I
1)( même, dans l'insomnie d'origine cérébrale, par préoccupations mentales , celle narcose coupe court à tout ce qui faisai
ues autonomes ont utilisé pour l'enseignement clinique des maladies mentales les asiles provinciaux, cantonaux ou municipaux
nement. Nous ne possédons quequatrechaires de clinique des maladies mentales et dans aucune de nos univer- sités le stage n'
e et en Suisse. Les nou- velles méthodes de traitement des maladies mentales en usage dans les asiles étrangers font l'objet
; les internes sont trop peu nombreux et peu instruits en médecine mentale au dé- but de leurs fondions. Dans un dernier
ultation externe l'l polirlilli- que pour les maladies nerveuses et mentales , le samedi it ! ) Il. 1 ? alle Sainl-,\nnl', ,
avail; nous le remercions vivement pour ses indications. CLINIQUE MENTALE Etude clinique sur la stéréotypie des déments
mène dans un assez grand nombre d'observations ; les 190 ' CLINIQUE MENTALE autres - et ce sont les plus intéressantes - ne
ciii. Dei movimenti sistematiiiati in alcune forme di indebolimento mentale (Archivio italiano per le malatic nerti vore e
et effet nous adopterons la division la plus simple. 192 clinique mentale de l'activité musculaire, aussi bien que le mou
cé la phrase Aucun I : c, 2" férié, 100 ? I. XIX, 13 194 CLINIQUE MENTALE . - stéréotypée qui lui est familière et qu'il a
? - Vous êtes docteur ; je lui donne sa bénédiction. 196 CLINIQUE MENTALE . « Saer-vous le nom de l'établissement ? - \ïll
éside il l'acte, et nous n'avons jamais observé que la 202 CLINIQUE MENTALE . vue de l'autre sexe filt susceptible de lui do
des (\) Revue de Psychiatrie, n^ 2, lévrier 1001. 1. 204 clinique mentale . mêmes mouvements monotones pendant la période
la fixation de nos images kinesthésiques comme de toutes nos images mentales . Or la vie affective de la plupart des déments
s pendant la période aiguë de l'affection ; et nous ne 208 CLINIQUE mentale . devons pas manquer d'ajouter que cette impress
ent un caractère Archives, 2° série 1905, t. XIX. 14 210 CLINIQUE MENTALE . intentionnel : plus forte raison est-il diffic
cément pour elles une apparition aussi tardive qu'on n 212 CLINIQUE MENTALE . pourrait le croire. En effet si elles sont l'e
présente avec une pureté toujours croissante, à mesure 214 CLINIQUE MENTALE . * \ que progresse la déchéance] de l'individ
er le contenu psy- chologique de ces manifestations. `1G CLINIQUE MENTALE . Pour qu'il y ait stéréotypie, il ne suffit pas
Enfin le mutisme lui-même, que nous avons considéré 218 CLINIQUE MENTALE . comme ressortissant parfois au cadre de la sté
, après avoir été interné pour des phénomènes passagers dcconfusion mentale avec délire hallucinatoire, présenta ultérieure
S. 210 rectifier le diagnostic clans le sens de la dégénérescence mentale . Ainsi les pseuio-stéréotypies peuvent exister
fficulté de chacune d'elles, c'est qu'il existe, en un 220 CLINIQUE MENTALE . mol, derrière son agitation, un profond engour
s hiérarchiques les plus opposés de notre activité mo- 222 CLINIQUE MENTALE . trice, et n'en déduisent aucune signification
rvent un certain degré d'affaiblissement relatif, si 22l t CLINIQUE MENTALE . bien qu'il serait plus juste de les considérer
nts il perpétuité ». Or travers cette con- valescence de l'activité mentale , quelque chose transpa- raît qui frappe assez r
ctivité stéréotypée leur constitue comme un- « moignon » d'activité mentale . Ce moignon, il faudra savoir l'exploiter, et e
er. A l'inverse des cas plusfréquents d'affaiblissement physique et mental qui se rencon- trent chez l'hémiplégique, qui d
blépharoptose. Le fond de l'oeil, indemne par définition (amaurose mentale ), peut présenter quelque modifica- tion à raiso
s peuvent, s'ils sont délaissés, présenter des troubles permanents, mentaux uu normaux : 5° Enfants pseudo-atypiqttes : a)
vue de la palhogénie des af- fections de cet ordre. ' ' Confusion mentale . Mil. OILBEI2T-Li.WLET et F. Rose apportent les
malade ayant présenté pendant la vie le syndrome de la confu- sion mentale , et a l'autopsie de laquelle on ll'oum une pachy-
te Il'plhylisn1l', ill,t ¡WU probable qu'il s'agissait de confusion mentale toxique, vu l inté- grité des cellules cortical
rise entre 20 et, 'i0 ans qui est la plus atteinte par l'aliénation mentale », Il y a eu 24 sorties par guérison et, 15 par
lles, il -n'existait aucune difformité, aucun accident nerveux on mental et qu'eux-mêmes étaient tout, à fait indemnes,
es chel l'enfant, lh, 1904. (2) IL J. l3e.art.er. -...1 treatise on mental diseases, 1901, p. 370,- Ch. FÉRÉ. Contrib. à 1
ée déjà de filouterie. On note à ce moment chez elle de la débilité mentale , des alternatives d'excitation et de dépression
- 266 CLINIQUE NERVEUSE. Pendant qu'évoluaient ainsi les troubles mentaux , des accidents \ de nalUl'e lI1anil'pll'lI1l'll
intervenue chaque fois comme le facteur occasionnel de ses troubles mentaux et de ses accidents hystériques. Ce qui fait su
écriture; il ne faut pas perdre de vue que ceux dont l'amélioration mentale permettra un jour la sortie de l'asile auront s
acquiert pendant son séjour à l'asile un développement physique et mental suffisant, rien ne s'oppose à ce qu'on lui ense
iture ; il ne faut pas per- dre de vue que ceux dont l'amélioration mentale permettra a un jour la sortie de l'Asile, auron
acquiert, pendant son séjour à l'asile un développement physique et mental suffisant, rien ne s'oppose à ce qu'on lui ense
e est toujours faite par un aliéné ancien insti- tuteur dont l'état mental est peu touché, huit enfants la suivent et quel
nifiante au calorimètre de d'Arsonval. P. Keraval. LX. Des maladies mentales consécutives aux auto- intoxications expériment
e quelques jours de durée, présentaient, à l'acmé d'une confusion mentale , des convulsions graves et. persistantes. Parfois
e, des convulsions graves et. persistantes. Parfois une con- fusion mentale persistante suit un spasme relativement court.
un état de mal éllileplique. Quelle est la proportion des accidents mentaux chez les ani- maux qui, privés de leur corps th
re partie du processus' tahetiqne. Il, C. 304 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . LXXXllll. Hématomyélie traumatique ; par LAIGN
o-moteurs et des culanéo-scnsitifs. » - IL C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XIII. Sur une altération singulière de la mémoi
eu près semblable de llonhoefl'er. ,1. SÉGLAS. \1 ? Du torticolis mental ; par Giglioti. (Rivista critica di clinca mecl
ontré que le tic est le correspondant de l'idée REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 305 fixe dans la zone motrice. 11 faut disting
e motrice. 11 faut distinguer avec le plus grand soin le torticolis mental du torticolis spasmodique et du Iiys- lériquc,
cas Archives, 2' série, 1903, l. XIX. 20 30G REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . avant 25 ans; dans 47 % après ; c'est-à-dire q
et jamais une intelligence supé- rieure. ' ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 307 10 010 drs déments primitifs présentent av
l marche progressive. (Quelque temps après, 308 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . survint un triple ictus épileptique suivi d'im
° l'existence du syndrome de Kor- sakoll' en dehors de la confusion mentale de Chaslin, ce qui est contesté par Crocq, Fran
louti à l'arrestation de plusieurs personnes. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 309 \ \ I ll. - Les névroses dans le milieu sc
t démence sont des termes contradictoires. L. \\'. XXV) Confusion mentale ; par M. llattaisoort de Montyel. (l3rrll, méd.
d'abord distinguer les cas dans lesquels la confusion estle trouble mental primitif de ceux dans lesquels c'est un simple
coolique, le paralyliquogéuéral, l'épileptique, etc. La confusion mentale est en somme une démence curable, une 310 REVUE
es, les palpitations de coeur, les vertiges, tin- touins, désordres mentaux variés, paresthésies, congestions et, hemorrhag
alopathies congénitales ou précoces (idiotie, imbécillité, débilité mentale ) ; 2° démences encéphaliques, acquises : a) d'o
es de vieillards, les maladies nerveuses chroniques et les maladies mentales ; 1 médecin-adjoint avec les cutanés et vénérie
l3esan(;on), Les soeurs des deux services de maladies nerveuses et mentales (hommes et femmes) ont passé par l'asile d'alié
tenant ne se contente plus du dogme intangible de la dégénérescence mentale , établi par son maître Magnan, et qui, ayant re
le non moins nécessaire, et pensant, d'autre part, que les troubles mentaux présentés par la femme aux diverses pé- 332 BIB
- thénie psycho-nerveuse, etc., et déterminant des manifestations mentales semblables à celles des autres psychoses par épui
e, neurasthénie, etc.) ou des psychoses par intoxication (confusion mentale , délire hallucina- toire, etc.) D'ailleurs, au
es formes aiguës revêtent habituellement l'aspect de la confusion mentale hallucinatoire aiguë avec excitation (ancienne ma
sans le secours de la huet'hér'aliL3, d'occasionner des troubles mentaux , qui sont la conséquence directe des perturbation
c vital dépend de l'intensité des troubles physiques ; le pronostic mental , sur- tout de leur durée et de l'étal du terrai
des qu'on leur a rendus. Hospice de la S.wl·>·'.Taat2E, Maladies mentales et nerveuses. : M. le D1' .1. Voisin, le jeudi
1' .1. Voisin, le jeudi à 10 heures. Hospice de 131ClhRE : Maladies mentales ou nerveuses des enfants. - Consultations pour
anche qui n'arrivent plus jusqu'à lui (action physique). CLINIQUE MENTALE Auto-identification romanesque. (Illusions de
nnées, bien con.li- tuée au point de vue physique, mais dont l'état mental semble avoir présenté de tous temps un certain
malade se révèle dans son propre passé comme une per- 3G2 CLINIQUE MENTALE . , sonne peu normale. Elle a toujours eu une pe
ant la rencontre du boulevard des Italiens, cet homme ·ul1 CLINIQUE MENTALE . avait dû l'épier, el à ce momentnième il devai
n'est d'ailleurs pas pour surprendre sur ce fond de dégénérescence mentale . Meurtre dans un asile d'aliénés. On mande de M
de parents intoxiqués ou malades que nous ap- pelons les dégénérés mentaux . Chez eux les émotions et les passions, l'entho
ébrale. Cette asymétrie, qui a pour conséquence la déséquilibra don mentale , est, selon moi. la condition matérielle du tra
dent, les incartades des hommes de génie. , Ainsi la dégénérescence mentale peut consister dans le non développement d'un c
les des sensations, des to- nalités affectives, des représentations mentales et surtout de l'association des idées ; et ce s
sence de corps calleux joue un rôle important dans son insuffisance mentale . P. KERAVAL. BEVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE LXX
'apparition de manifestations tardives gra- 390 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ves et mortelles, au cours d'un tétanos en app
iait pas pendant les crises de sommeil. G. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXVII. D'une forme originale de fétichisme ; pa
dans de bonnes conditions que quand il fixe les REVUE DE PATHOLOGIE MENTAL : . 391 mouchoirs des fCl11lllPS,leul'sjupons b
malade de faire un effort pour parler. G. CRRinR. XXIX De l'état mental des épileptiques réveillés de force du sommeil
o Dans l'automatisme post-paroxystique de plus longue durée, la vie mentale normale se rétablit graduelle- ment ; on consta
ment ; on constate d'abord une paralysie de toutes les fonctions s mentales , les malades ne réagissant pas du tout au, excita
ychiques. Celle-ci cède à son tour la place à une période de cécité mentale exclusive, surtout pour les personnes. L'automa
atisme post-paroxystique, et le rétablisse- 302 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . nient des fonctions mentales s'accomplissant n
rétablisse- 302 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. nient des fonctions mentales s'accomplissant non simultanément, ni subitemen
s travaux qui ont contribué à éclai- rer l'étiologie des affections mentales et leur pathogénie. Impor- tance de la théorie
131NET-SU<;GU; fait un rapport sur un prétendu cas de suggestion mentale et de transmission de pensée ; le sujet dont il
me présentant des signes physiques très accusés de dégénérescence mentale , chez lequel les préoccupations génitales présent
aux aliénés tubercu- leux quelleque soif la forme de leur affection mentale ; qu'un régime alimentaire approprié leur été o
nt conventionnelle, car elle n'exclut nullement l'idée d'aliénation mentale .... » - C'est la thèse que nous avons toujours
. - Au des- sous de 20 ans, il s'agit, le plus souvent d'infirmités mentales constitutionnelles et irrémédiables (idiotie, i
L'intérêt que peut présenter la recherche de la durée des troubles mentaux avant l'internement consiste en ce que les chan-
és, nous relevons les suivants décernés à des travaux de pathologie mentale et nerveuse. Prix Bailla1'ge1' : ' ! ,000 franc
à l'auteur du meil- leur travail sur la thérapeutique des maladies mentales et sur l'organisation des asiles publics et pri
une série de mémoires ayant trait à la thérapeutique des maladies mentales et à l'organisation des asiles d'aliénés. Prix
asile de Yaucluse : Essai de diagnostic entre les états de débilité mentale . ' Prix Aldophe Jlombinne : 1.500 francs. L'Aca
, lesprisons et les maisons de correction les aliénés dont l'état mental a été méconnu au moment de leur procès et qui ont
onial, en congé à Campan (IIau- tes-Pyrénées), atteint d'aliénation mentale , a tiré plusieurs coups de revolver sur 51. Dur
ait été un des médecins désignés pour procéder à l'examen de l'état mental delà princesse Louise de Cobourg-Gotha, le prési-
ccuperont effectivement les postes de chef de clinique des maladies mentales de la Faculté de médecine il Paris, seront con-
projet qui fait honneur à notre payc. Hospice de BICHTRE : Maladies mentales et nerveuses des en- fants. Consultations pour
'CS. Vol. 11 ? Juin 1305 No 114 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Le réflexe lumineux dans la paralysie généràTÎ,
de 30 su- Arciiives, 2' .i·ir, 100,i, I. XIX. 2 d' 41.8 CLINIQUE MENTALE jets, nombre insuffisant pour permettre, surtou
et on obtiendra comme nous, à peu de chose près, i'24 i 1 CLINIQUE MENTALE . l'égalité de fréquence des deux altérations en
espèces d'altérations aux trois périodes les voici : 4=28 CLINIQUE MENTALE . La succession durant les périodes des deux alt
itre très complet qu'il a écrit pour le récent Traité de pathologie mentale de )1. Gilbert Ballet. 11 n'est pas vrai qu'à l
LI : 1(1'1,1.1- : \1 : 1.1 UIvJ L.1 l'IIULYII : 429 430 CLINIQUE MENTALE . - lysie générale, ceux-ci n'exerceraient pas d
rticulier, ces malades ont une grande tendance, soit par aberration mentale , soit dans un but de suicide, 11 avaler toutes
avalent des. corps étrangers sous l'influence directe de leur état mental (délire, hal- lucinations, folie morale, affaib
nte-deux ans, est placée il l'asile Sainte-Anne pour dégénérescence mentale av ce hallucinations, idées mélancoliques et de
l'influence de la douleur, de l'activité musculaire, de l'effort mental , mais il se contracte sous l'influence de l'agent
larté du milieu demeurent sans changement ; '° Toute représentation mentale d'une certaine intensité, quel qu'en soit le su
95 décès. En 1(10 ? il n'y en avait eu que 77. Parmi, les variétés mentales , c'est la démence (il), en parti- culier la dém
es des fragments de l'une des intéressantes leçons sur l'aliénation mentale qu'il fait aux étudiants de l'école de : '\ante
l'a fort justement dit M. le professeur Pierret(t) : « L'aliénation mentale peut guérir ; elle guérit môme très sou- vent q
Ces cours ont porté sur les svmplômes généraux communs aux maladies mentales , sur la classification, l'étude des formes prin
son et 17 par amélioration. Il est de toute importance, en médecine mentale , rappelle M. Doutrehente, de pouvoir traiter le
ir aucune donnée sérieuse relati- vement au progrès de l'aliénation mentale dans ces départements puisqu'ils ne nous envoie
s, pour les com- mîmes, pour les départements, puisque l'aliénation mentale gué- rit surtout dans les deux premières années
ns, doux'sont atteints d'épilepsie, trois d'idiotie, un de débilité mentale ». En ce qui concerne la profession des malades
hes et de leurs administrés dès les premiers symptômes d'aliénation mentale . Les admissions ne comprendraient plus autant d
elative, tout en leur continuant l'assistance, dès que les troubles mentaux tendent à disparaître. « ... Un certain nombre
hydrothérapie sont les principaux agents du traitement des maladies mentales et nerveuses. M. Paris aborde ensuite une autre
rie les données de la psychologie moderne. La psychologie expéri- mentale doit avoir partout son laboratoire et son enseign
été chargé dernièrement, par la cour de Vienne, d'examiner l'état mental de la princesse de Cobourg : le rapport n'était
mps, restaient perdus pour la science. Ses travaux sur les maladies mentales sont si nombreux qu'il serait abusif d'en dire
ique et Législation (1898) ; - Traité de thérapeutique des maladies mentales et nerveuses (1901). Parmi ses publications dan
896) ; - Le sad¿fétichisme (1900) ; - L'alitement dans les maladies mentales et nerveuses (1900) ; -- Séméiologie et traitem
neuves ou des faits nouveaux sur différentes questions de médecine mentale , de médecine légale et d'anthro- pologie crimin
de médecine légale et d'anthro- pologie criminelle : Dégénérescence mentale et simu-, lation de la folie (1889); La progres
des aliénés atteints des for- mes aiguës ou chroniques des maladies mentales sous leurs aspects les plus variés, se trouver
folies héréditaires; sur d'autres points encore de la mé- decine mentale qu'il serait trop long d'énumérer. Ja- mais il
l'internement des aliénés, et d .té de thérapeutique des maladies mentales et ms l'un comme dans l'autre de 4S0 " NÉCROLOG
rison. Jusqu'aux derniers moments, il a consené toutes ses facultés mentales , s'intéressant à tout ce à quoi il a pieusement
Journal TVMZ<M- cet. 11 s'est consacré il l'étude de la médecine mentale par in- clination naturelle, et pendant plusieu
ctrices qu'il a conservées toute sa vie : à savoir que les maladies mentales font partie des maladies générales du système n
médecin d'asile. Il a été rédacteur cons- ciencieux du Journal of' mental Science. Son travail, présenté il la Société Ro
travaux comprenaient les instructions cliniques sur l'aliéna- tion mentale , Ghcelat Cottages asylums, Lunacy administration
inant un chronique, je fais appela tout ce qui lui reste d'activité mentale ou physique et j'essaie de l'ar- rêter sur la p
votre prédilection, ainsi que le montre votre livre Des affections mentales des enfants. Vos travaux et votre pratique médi
mmeil de (rois coups de revolver. Certains symp- tômes d'aliénation mentale observés chez le coupable permirent aux médecin
ABINSKI, samedi il 10 h. 1/4. Hospice de la 8ALPTRIÈRE.- Maladies mentales Dr D[\Y, le jeudi il 10 heures (section Rambule
: - vreux, voirRapports ? voir l' Enfants idiots. - - départl- mental du Doubsfcorrespondan- ce),par Baudin,330. de l
sini et Madia,140. La en tant que forme indépen- dante de trouble mental , par Ossipow, 146. Contribution à l'étude de
'aliénés, 416. ConrLItEncE. Voir Enfants attor- maux. Confusion mentale , par Gilbert Ballet et Rose, 251 - -, par Mar
.'3. - Voir Traitement . Epileptiques. Voir Fibres. - Voir Etat mental . Ergothérapie et psychothérapie, par Bianchin
par Goelze, 66. Etat variqueux. Voir Cellules nerveuses. De l'- mental des épileptiques réveillés de force du sommei
- chez le lapin, par Mar- gulies, 231. - thyroïde. Voir Maladies mentales . Goitre exophtalmique. Voir Gigantisme. Gou
ar Demonchv, 7b. Maladies nerveuses. Voir Elec- trotlrérapie. Des mentales consécutives aux auto-intoxi- cations expérim
épatique, par Jaquelin et Perpère,l5. - des chiens. Voir Maladies mentales . L'ori- gine périphérique des-, par de Buck,
- -, par IL Osgood, 73. éthyl-méthylique. Voir Vomis- semeuts. - mentale ou tour de 508 table des matières. passe-pass
plégie spasmodique, par Nicolas et Mouriquaud, 389. Torticolis Du mental , par Giglioti, 304. Tractus. L'origine du-ist
25 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n ARCHIVES DE Ex NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIBF. 30119 LA DIItIW110\ DE J.-M. OU ARGO
fut même, durant sa convalescence, atteint de manie et d'aliénation mentale que l'auteur s'efforce de ratta- cher aux oreil
rde l'examen plus INVERSION DU SENS GÉNITAL. 43 général de l'état mental habituel à ces prétendus mo- nomanes, on remarq
uver la trace, mais peut-on dire que l'on connaît exactement l'état mental d'individus avec qui l'on n'a 44 RECUEIL DE FAI
dans la vie intellectuelle des membres d'une même famille. Cet état mental qui se transmet, cet ensemble de syndromes auxq
INVERSION DU SENS GÉNITAL. 45 stigmates psychiques de la déchéance mentale . La folie héréditaire n'est autre que cette déc
éance mentale. La folie héréditaire n'est autre que cette déchéance mentale qui se transmet, à l'égal des diathèses. C'est
ossible de séparer l'un de l'autre ces deux termes : dégénérescence mentale et folie héréditaire si l'ouveut bien attachera
sychiques. Il présente, en outre, tous les attributs d'une débilité mentale assez pro- noncée. Voici en quelques lignes son
germaine du père morte folle dans un asile. La l'orme d'aliénation mentale ne nous a pas été indiquée. Un oncle paternel a
yndromes et dans l'espèce, ils sont bien caractéristiques de l'état mental que notre malade tient de ses ascendants hérédi
ent de la prophylaxie de cette affection. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. La MANIE SE PRÉSENTE-T-ELLE SOUS LA FORME DE
alysie générale au début (une observ.). P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 87 IL Tentative D'HOMICIDE D'UN ÉLÈVE D'UN LYC
émoire qui est basé sur cinq belles observa- 88 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . tions accompagnées d'autopsies et d'études mic
Neurologie. Varia, t. X, p. 138, '295 et suiv. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 119 plus voisins destinés aux malades de trois
vitrée; à côté, un grand local sert de lin- 90 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . gerie-vesliaire, et renferme des cabinets d'ai
, Allemagne, France, Angleterre». STATISTIQUE REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 91 travail, la rémunération qu'on leur alloue
des héréditaires. Aliénés sortis en 1881. 92 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . vent aux criminels les bénéfices du traitement
Cas DE folie sénile, AVEC remarques; par G. -H. Swage. (Journal of Mental Science. Juillet 1883.) Dans ce travail, auquel
début A L'AGE DE quinze ans; par Joseph YIGLES1VURTH. (Journal Of Mental Science, juillet 1883.) L'observation de cette
rchives de Neurologie, /oc. mt., I. IV, p. 122. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 93 ou point réglée. Ecoulement chronique par l
nique, et dont chacune dure de quatre à cinq minutes. Puis son état mental s'améliore un peu ; mais une escharre commence
une escharre commence à se former au siège. Le 3 février, son état mental s'aggrave de nouveau ; en même temps elle s'aff
'; mais ces deux cas ont trait à des garçons ; le 1 Voy. Journal of Mental Science, tin, d'octobre 1877 et d'octobte 1881. 1
e, tin, d'octobre 1877 et d'octobte 1881. 1. 94 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ' cas actuel parait être le plus piécoce de ce
ni même de période quelconque d'excitation, mais que les symptômes mentaux étaient plutôt ceux d'une démence lentement 'pr
mort rapide, AVEC symptômes manuques ; par G. SAVAGE. (Journal of. Mental Science, juillet 1883.) 11 n'y a entre ces deux
etté. M. Christian rend compte des travaux du congrès de médecine mentale tenu récemment à Anvers. Note sur un cas d'amné
s ce fait la manifestation épileptique on conges- tive d'un trouble mental ; de la sorte s'expliquerait la chute dans l'es
amen précis montre d'autres causes psychopathiques, la perturbation mentale s'établissant et cessant sans modification de l
affection, du trouble de nutrition de même ori- gine, d'un réflexe mental , tel que la crainte de voir s'aggraver les mala
ion dans mille malaises somatiques très divers, et, au point de vue mental , dans de l'indécision, dans la mollesse et le d
s particulièrement. eu à observer des cas fréquents de perturbation mentale chez des institutrices et des élèves de l'école
l'homme. Ces faits prouvent que c'est non pas la substance fonda- mentale servant de lit aux cellules nerveuses, mais bien
I1R$N(A'PRI ET DE NEUROPATHOLOGIE D'ANVERS La Société de Médecine mentale de Belgique avait décidé dans une de ses séance
i leur a souhaité la bienvenue et a remercié la Société de médecine mentale d'avoir choisi la ville d'Anvers pour siège du
. More ! (de Gand). M. Desguin, président de la Société de médecine mentale de Belgique, a pris ensuite la parole; après av
rcher les bases d'une bonne statistique internationale des maladies mentales ; de l'autre d'examiner les Relations qui existe
ns ont déjà été l'objet des délibérations de la Société de médecine mentale . M. Lefebvre, professeur à l'Uni- versité de Lo
e : « Des bases d'une bonne statistique internationale des maladies mentales ». 11 est évident que, pour élucider le problèm
nt que, pour élucider le problème si ardu de la genèse des maladies mentales et celui encore controversés, des rapports delà
dopter un certain nombre de types morbides, comprenant les maladies mentales qu'on rencontre le plus communément dans la pra
ans les statistiques et ensuite quels étaient les types de maladies mentales assez uni- versellement reconnus pour être admi
er l'enquête entreprise sous les auspices de la Société de médecine mentale de Belgique; 2° qu'une commission ou seront rep
ête qui devra s'étendre : A, aux prévenus soupçonnés d'aliénation mentale ; B, à tout individu ayant commis, en état de foli
rapports de l'infirmier avec l'aliéné dans les différentes formes mentales , petite pharmacie. Ces cours se font sous la dire
ent les malades et à les isoler selon les fluctuations de leur état mental . 11 a été construit pour une population primiti
6. Vol. XI. Mars 1886. N" 32. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE CONSIDÉRATIONS CLINIQUES A PROPOS D'UN CAS D'AL
égé. Il y a quelque quatre ans, j'observais un cas d'alié- nation mentale qui me frappa à différents points de vue : par
ogénique' enfin qu'avait eue, dans la réalisation de l'aliénation mentale , une fièvre saisonnière, cause qui ne figure pa
ns-nous en présence d'un cas de Archives, t. Xi. 9 130 PATHOLOGIE MENTALE . folie congestive ou paralytique de M. Baillarg
tre malade entre cet abcès ouvert par l'oreille et l'aliéna- tion mentale ; y avait-il entre eux une relation de cause à e
enfin avait agi la fièvre saisonnière pour produire l'a- liénation mentale ? C'étaient là tout autant de questions que sou
il existe des tremblements des doigts. A quel genre d'aliénation mentale avons-nous à faire dans ce cas ? Des troubles phy
rouillement de l'intelligence, semblent indiquer l'exis- aliénation mentale ; FIÈVRE catarrhale. 131 tence d'une paralysie g
Comment s'est développée et à quelles causes rattacher l'aliénation mentale que nous constatons chez B... ? Voici ce que no
e, et du malade lui-même une fois guéri. Le début de l'aliénation mentale remonte à dix-neuf jours. Depuis quatre ou cinq
se qu'on est obligé de l'attacher sur son lit ; elle 132 pathologie mentale . alterne d'abord avec quelques moments de calme
ans cet état que B... est conduit à l'Asile. L'accès d'aliénation mentale au développement duquel nous venons d'assister
le développement, tels sont les causes et le début de l'aliénation mentale de B... Voyons maintenant la marche et le mode
olente; il nous dit que cette douleur existe depuis 13t. PATHOLOGIE MENTALE . le début de sa maladie; il entend toujours ces
ce côté que de l'autre. Pendant les mois de mai et de juin, l'état mental de B... reste stationnaire. On constate toujour
ou six jours et entraîne après lui la disparition de la ALIÉNATION MENTALE ; GUÉRISON. 135 tuméfaction périphérique. En mêm
Depuis lors, c'est-à-dire depuis quatre ans, la santé physique et mentale de B... ne s'est pas démentie; cet homme a repris
is absolument son équilibre intellectuel, et l'accès d'aliénation mentale qu'il a eue semble avoir été un simple accident.
ubles organiques du cerveau limités, apparaît un accès d'aliénation mentale qui se traduit dans les premiers temps par des
le courant d'une même journée. Pendant le cours de l'alié- nation mentale , apparaît à l'extérieur, au pourtour de l'oreil
aboutit à la formation d'un abcès qui s'ouvre par 136 PATHOLOGIE MENTALE . l'oreille externe. Corrélativement, les troubl
, dans l'état psychique de B..., semble indi- quer que l'aliénation mentale n'a été chez lui qu'un accident. Cette exposi
e B..., cherchons à nous rendre compte de la nature de l'aliénation mentale et, pour cela, étudions le mode de développemen
t ouvert par l'oreille gauche et le développement de l'aliénation mentale ? C'est là une première question qui s'impose d
inflammatoires de l'oreille sur le développement de l'aliénation mentale ; et, d'une manière spéciale, dans le cas actuel
ieur sous forme de tuméfaction que pendant le cours de l'aliénation mentale , elles révèlent leur exis- tence dès les premie
e en rapport avec un travail irritatif profond; par DE L'ALIÉNATION MENTALE . 137 de l'hyperesthésie auditive et par ce sent
rt entre les lésions inflammatoires périphériques et l'aliénation mentale , cela ne peut être un rapport de cause à effet,
à la suite d'une émotion morale que s'est ma- nifestée l'aliénation mentale de B..., et tout démontre que, dans ce cas, il
e étiologique des causes morales dans la production de l'aliénation mentale envisagée d'une manière générale, je crois être
c la grande majorité des médecins habitués à l'étude des maladies mentales , en admettant que certaines condi- tions sont n
ique. Le plus souvent, lorsque ces causes sont suivies d'aliénation mentale ; ou bien elles trouvent un terrain cérébral to
adie, et cela, soit par une hérédité puissante, soit 138 PATHOLOGIE MENTALE . pour tout autre cause, l'intoxication alcooliq
aire fièvre saisonnière, revêtant les caractères de DE L'ALIÉNATION MENTALE . 139 la fièvre catarrhale si fréquente sur notr
cause à effet entre cette fièvre et la réalisation de l'aliénation. mentale . Si certaines maladies aiguës, le rhumatisme, l
était atteint a joué un rôle dans le développement de l'aliénation mentale , devons-nous démontrer directe- ment ce rôle. D
coïncider avec une modification dans la modalité de l'aliénation mentale . C'est alors qu'apparaissent en effet ces alter-
ale. C'est alors qu'apparaissent en effet ces alter- 140 PATHOLOGIE MENTALE . natives quotidiennes d'agitation et de somnole
ologique qui tenait en même temps sous sa dépendance l'aliénation mentale et l'inflammation périphérique. Or, on ne peut
développement est aussi intimement lié que celui de l'aliénation mentale , cette cause ne peut l'avoir pro- duite qu'en p
le de la fièvre saisonnière dont était affecté B... DE L'ALIÉNATION MENTALE . 141 dans la réalisation de l'aliénation mental
DE L'ALIÉNATION MENTALE. 141 dans la réalisation de l'aliénation mentale . La cause émotion morale a agi, en attirant et
.. entre les lésions inflammatoires périphériques et l'aliénation mentale ; ces lésions ne sont pas la cause de la folie,
de ces rapports pathogéniques entre les lésions et l'alié- nation mentale , la nature du travail qui tient cette der- nièr
ous étant connue, la moda- lité qu'a revêtue chez B... l'aliénation mentale pen- dant assez longtemps, modalité qui rappela
trocédé ensuite,ainsi que le prouve la marche sui- il,,) PATHOLOGIE MENTALE . vie par les troubles cérébraux. Les troubles s
le. D'ailleurs, l'étude comparative entre la marche de l'aliénation mentale et celle des lésions inflammatoires périphériqu
lisé, ainsi que l'indique la physio- nomie clinique de l'aliénation mentale , il se localise davantage au moment où se forme
f joue un plus grand rôle que l'élément irri- tatif. L'aliénation mentale qui a existé chez B... est de nature inflammato
on de cette aliénation ; tels sont les faits qui se DE L'ALIÉNATION MENTALE . 143 dégagent de l'observation de B.... Ces fai
dérations et renferment des enseignements utiles. A. L'aliénation mentale de B... est de nature itiflai2z- maloii,e; elle
ques, janvier, mars, juillet) et novembre '(883.) 1 44 PATHOLOGIE MENTALE . Chez B..., ce n'est.donc pas à une folie paral
la Folie pai-atylirornze. Th. de Muntpeitier, 1885. DE L'ALIÉNATION MENTALE . 145 B. L'aliénation mentale de B... se lie int
e Muntpeitier, 1885. DE L'ALIÉNATION MENTALE. 145 B. L'aliénation mentale de B... se lie intimement dans son développemen
tte médicale, 1877,)). 357.) Archives, t. XI. 10 o 146 PATHOLOGIE MENTALE . nière observation, on retrouve, comme chez not
. Il n'y eut pas de surdité consécutive. La lésion DE 1,'ALIÉNATION MENTALE . 147 primitive était donc probablement située e
William, et s'appuient même avec complaisance sur 148 PATHOLOGIE MENTALE . elle pour démontrer l'existence de ces dernier
illeurs, enfin, elles donnent naissance à de véritables aliénations mentales . Mais la connaissance de l'influence exercée pa
comme causes d'illusions. (Montpellier méd., 1876.) DE L'ALIÉNATION MENTALE . 149 points n'a pas encore été abordée pour l'a
MENTALE. 149 points n'a pas encore été abordée pour l'aliénation mentale ; du moins elle l'a été seulement pour l'épi- le
dre que celui de B..., et, en consul- tant les ouvrages de médecine mentale , nous en trou- verions très probablement d'autr
ant sur une observation absolument démonstrative. C. L'aliénation mentale de B... reconnaît comme influence pathogénique
re saisonnière . En attribuant dans la pathogénie de l'aliénation mentale de B..., à la fièvre saisonnière dont ce mal 1
ion to ear disease. In Brain, avril 1884, p. 20. - 150 PATHOLOGIE MENTALE . lade était atteint, au moment de l'application
ntre les différentes fièvres saisonnières ou autres et l'aliénation mentale . Ces fièvres donnent lieu d'abord à un délire a
ire continue et on se trouve en présence d'une véritable aliénation mentale . Ainsi 1 Esquiroi. Des Maladies mentales, t. Il
d'une véritable aliénation mentale. Ainsi 1 Esquiroi. Des Maladies mentales , t. Il, 1838, p. 146. DE 1,'ALIÉNATION MENTALE.
uiroi. Des Maladies mentales, t. Il, 1838, p. 146. DE 1,'ALIÉNATION MENTALE . 151 Stol], pour ne citer que lui, admettait ce
l. Traité de' médecine pratique, t. 111, p. 15 î. 1. 152 PATHOLOGIE MENTALE . tous, à l'exception de l'éméto-carthartique. E
que des fièvres sai- sonnières sur le développement de l'aliénation mentale ; en présence de l'absence d'observations cliniq
de cet ordre le rôle qu'on sait dans la pathogénie de l'aliénation mentale de B... Et si on songe que cette fièvre n'a pas
mond. - Gazette médicale, 13 septembre 1884, nu 37. DE L'ALIÉNATION MENTALE . 153 leur existence. Mais ces localisations de
t des lésions péri-auriculaires et le développement de l'aliénation mentale ; et que, d'autre part, quand on élargit le poin
ant de maladies aiguës dont l'influence étiolo- gique en aliénation mentale , est actuellement admise. Et si pour expliquer
ture si différente peu- vent en effet donner lieu à des aliénations mentales semblables; ainsi, à la suite du rhumatisme com
aître des troubles psychiques constituant de véritables aliénations mentales , les- 154 PATHOLOGIE MENTALE. quelles dispara
constituant de véritables aliénations mentales, les- 154 PATHOLOGIE MENTALE . quelles disparaissent sous l'influence des seu
eur nature même que les maladies aiguës donnent lieu à l'aliénation mentale , mais encore par les troubles nutritifs qu'elle
s manifestations, Th. Paris, 1865, n 47, p. 85. - DE L'ALIÉNATION MENTALE . 155 nauadie à l'hospice civil de Charenton. Du
'a joué la fièvre saisonnière dans le développement de l'aliénation mentale de B... s'ex- plique donc tout naturellement. S
ions se pro- duisent, son rôle dans la pathogénie de l'aliénation mentale ne peut être qu'exceptionnel ou même qu'ac- cid
uestion des rapports entre les lésions de l'oreille et l'aliénation mentale ; 156 PATHOLOGIE NERVEUSE. 3° Elle met en rel
uence pathogénique pos- sible dans le développement de l'aliénation mentale d'une cause jusqu'à présent non indiquée, de la
- ment étudiés en ce qui concerne le tabes. Epilepsie, aliénation mentale , hystérie, tabes, atro- phie musculaire, etc.,
eurs du père de notre malade s'est noyée dans un accès d'aliénation mentale ; cette dernière laissa trois filles, l'aînée de
par la traction des membres. A ces mo- ments, elle présente un état mental excitable, en partie conscient dont ses voisine
n concluons que nous avons affaire à un malade. Dans certains états mentaux que l'on pourrait désigner de « maladies de la
lieu d'incitation, marchant lentement et affec- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 255 tant la forme 'de bourrelet circonscrit :
s- mission elle-même soit un germe. C'est seulement en pathologie mentale que l'on admet comme loi de l'hérédité la reprodu
e la plus grande importance à la priorité d'apparition des troubles mentaux ; les héréditaires sont avant tout des congénita
s distinctes règneiit sur le rôle que l'hérédité joue en pathologie mentale : les uns admettent, avec Esquirol, l'hérédité
veulent la faire entrer dans le cadre nosologique de la pathologie mentale , n'est pas limitée; 3- les folies comprises sous
de la méthode synthétique qui n'est pas applicable à la pathologie mentale laquelle, en raison de son développement tardif
ographie médicale, ait fourni quelques docu- ments sur les maladies mentales au Japon. Sakahy lui-même ne peut rien communiq
882, il est mort 108,774 malades atteints d'affections nerveuses ou mentales , soit environ 16,26 p. 100 de la mortalité tota
que des symptômes nerveux intenses pro- duits par une perturbation mentale ne t''<iceomp<M/Ke) ! ('pas cl'ucéto- nur
. Schroeter (11.). Deux ces de blessure grave du crâne avec trouble mental . Il est quelquefois difficile de rattacher nettem
ives de Neurologie. 282 SOCIÉTÉS SAVANTES. joui d'une bonne santé mentale ; sain d'esprit et normalement développé au poin
. Ou ne connaît aucune tare héréditaire dans la famille. Le trouble mental , qui nécessite son entrée à l'asile (13 sept. 4
ible de rattacher à la lésion du crâne et de son contenu le trouble mental , postérieur à elle, parce qu'il faut tenir compte
facteur pathogénétique prédisposant à l'explosion d'une affec- tion mentale chez un héréditaire; cet élément anatomo-pathoio-
capables d'aboutir, à l'occasion, au suicide ou à une perturbation mentale organisée. ' D. Poetz. L'importance des colon
ce des colonies de travail agricole pour le traitement des maladies mentales . (En allemand.)- Le système de ces colonies a p
E. KIFLLBERG. Du rôle des écoles dans la production des maladies mentales . (En français.) F. Eulenburg. La curabilité de
BEIiG. La valeur des exercices dans le traitement des n4cila- (lies mentales . (En français.) 'SOCIETES SAVANTES. 293 P. Ro
Langenhagen. Augmentation de la paralysie générale et des troubles mentaux imputables à l'épi- lepsie. La progression rela
: M. Scholz. A Brème, il a plus rarement observé les perturbations mentales primitives. MM. KELP et Waurendorfi' ont aussi
son tour d'intensité et le malade apparaît amélioré au point de vue mental . Trois mois de cette phase asthmatique font tot
t que quelques périodes de tranquillité. La guérison des trou- bles mentaux est demeurée complète; il est parti après un trai
s tout à fait prématurément chez les individus atteints de débilité mentale , dans les cas de traumatisme, chez des êtres im
lant proprement dit, et le rapprochent momenta- nément des maladies mentales alcooliques véritables. La plupart des auteurs
simples; et, n'ayant aucun renseignement qui l'éclairât sur l'état mental de la prévenue qui ne présentait aucun moyen de
a qu'il plût à la cour de nommer des experts pour exa- miner l'état mental d'Annette G..., dire si cette fille n'avait pas
des appels de police correctionnelle, à l'effet de constater l'état mental de la fille G...'(Annette), appelant d'un jugem
es genoux, vivait blottie dans un coin, sous une table; le désordre mental pendant celte période fut complet; elle tutoyait
, c'est que pendant longtemps encore après cette phase d'aliénation mentale , il lui était impossible d'articuler le nom de
avec le concours du greffier de la pri- son. Mais, il reste un état mental particulier sur lequel nous avons le devoir d'i
plaide la cause de l'électricité dans le traitement des affections mentales ; il retrace en quelques- tirais )'hisLo ! iqne
RE-MÈRE : Paralysie générale; parT. W. MAC DOWALL. (Tlze Journal of Mental Science, avril 1884.) Le cas est celui d'un h
ES DES ARTÈRES CÉDÉ- .; orales ; par JAUNIES SU.W. (The' Journal of Mental Science, juillet 1884.) . Femme de soixante-q
là en kystes. Deux planches à l'appui. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XI. Un cas DE perversion sexuelle chez un homme
L%-MIDICATIOiN par le rictum; par 1V.-Juliu Mickle. (The Journal of Mental Science, avril 1881.) L'auteur ne se fait pa',
n de conserver la vie, énumère les procèdes 428 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . généralement en usage et signale ceux qui lui
logiques dans LES asiles d'aliénés; par James AD m. (The Journal of Mental Science, oc- tobre 1884.) L'auteur de ce mémo
tions utérines ET la folie; par Joseph WiGLESWORTH. (The Journal of Mental Science, janvier 1885.) Nous ne pouvons reprodu
ais sur les réflexions du médecin anglais (B.). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 429 » faits rapportés dans ce travail, c'est q
on utérine « aient eu, pour conséquence, la guérison de l'affection mentale , « je pense que l'on n'en sera pas étonné si l'
taques PILEI'TIFORfES par W. E. R : 1'JiSDEN VVOOD. (The Journal of Mental Science. Octobre 1881). Il s'agit d'un homme de
cutive A UN traumatisme DE la 1tète; par H. RAYNER. (The Journal of mental Science. Octobre t8SH. Homme de vingt-six ans,
six ans, voyageur de commerce, bien consti- 430 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . tué, mais forcé par sa profession à un usage p
'idée d'une paralysie générale, mais il n'y a aucun affaiblissement mental et l'exaltation a disparu. 11 y a de la céphala
OUEDANS une seule famille; par Joseph Wiglesworth. (T/te Journal of Mental Science. Jamier 1885). Considérés isolément, ce
ux autres, l'un, le fils aîné a présenté des signes de dépres- sion mentale que l'auteur incline fort à considérer comme path
co-psychologique. (Juillet 1884); par Il. Rayner : (Tlae Journul of Mental Science. Octobl e -1881). - Dans ce discours im
discours important, AI. Rayner a envisagé l'avenir de l'aliénation mentale au triple point de vue de la législation, de l'
it les suggérer à l'auteur. " ' , Zl R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 431 XIX. Remarques sur QUELQUES points seconda
l'administra- TION des asiles; par J.-A. Campbell. (The Journal of Mental Science, octobre 1883.) , . -L'auteur, pensan
qué d'absorption en soi (self-u6sory7tion) aboutissant à la vacuité mentale , avec une affection bien définie du système mus
pratique dans notre service à Bicêtre (B.). 432 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . affection inflammatoire primitive des cellules
g des aliénés ; par S. Ru- THERFORD A1.4CPII : 11L. (The Journal of Mental Science, octobre 4884 et janvier 1885.) . L'a
blement, dans un grand nombre de « cas, intimement lié aux maladies mentales . « 2° Le sang, chez les déments des asiles cont
est considérablement au-dessous de la normale. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 433 « 9° Chez les malades qui guérissent, la q
ids du corps, l'amélioration de la qualité du sang et la « guérison mentale . « 110 11 y a, dans tous les cas, une améliorat
ioration bien nette « dans l'état du sang, pendant la convalescence mentale , mais « cette amélioration est à la fois plus m
ualité du sang, l'augmentation du poids du corps et la gué- « rison mentale , les conditions opposées que l'on observe dans le
, surtout au point de vue du traitement curatif de l'alié- « nation mentale , une voie de recherches qui n'a pas, jusqu'ici,
NDIE dans LES asiles d'aliénés ; par James IIONDEN. (The Journal of Mental Science, avril 1884.) z L'auteur expose tous le
ger. - - R. M. C. ' Archives, t. XI. 28 434 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XXIII. Recherches SUR la valeur qu'il CONVIENT
e preuves DE leur efficacité ; par T.-A. CHAPMAN (The Jour- 2zal of Mental Science, juillet 1884). L'auteur se basant sur
dans les admissions : 4° des malades qui sont atteints d'aliénation mentale pour la première fois, et chez lesquels le débu
névropathique exerce une influence appréciable REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 435 sur la forme, la durée ou les conséquences
il arrive à la conclusion que le delirium tremens ou les trou- bles mentaux analogues sont plus aisément provoqués, soit chez
ue chez les personnes qui sont à l'abri de ces motifs d'instabilité mentale . Chez les sujets nerveux, le delirium tremens p
pètent, les accès de delirium tremens déter- minent une instabilité mentale très favorable au développement de la folie ave
ON associée A la FOLIE; par S. RUTHERFORD Macphail. (The Journal of Mental Science, janvier 1885.) Cette observation rap
melles atteintes DE MÊLANCO- LIE; par A.-F. Mickle. (The Journal of Mental Science, avril 1884.) L'auteur rapporte dans ce
CQUITTEMENT POUR cause DE folie; par D. YELLOWLRES. (The Journal of Mental Science, octobre 1883.) Il s'agit d'un soldat
ès de folie temporaire; depuis ce moment, on n'a noté aucun trouble mental . D'autre part, il résulte de l'enquête faite ul
ait à peu près inévitable au point de vue judi- REVUE DÉ PATHOLOGIE MENTALE . 437 ciaire ; mais on peut se demander s'il s'a
ilepsie ordinaire peut quelquefois revêtir la forme de l'excitation mentale au lieu de se traduire par une convulsion physi
en- 1 Arch. de Neurologie, t. VI, p. 139. 438 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE Ratten : Guv = Gustav; lon- 16nnen ; Selgel- Se
lexions pratiques sur l'emploi DE l'électricité dans LES affections mentales ; par A. de Watteville. (The journal of Mental
s LES affections mentales ; par A. de Watteville. (The journal of Mental Science, janvier 1885.) .) , Avec la haute comp
lectricité au traitement des 444 REVUE DE thérapeutique. maladies mentales . 11 passe d'abord en revue l'appareil instru- m
. maladies mentales. 11 passe d'abord en revue l'appareil instru- mental , les notions relatives à l'intensité du courant,
ion. Les applications de l'électricité au traitement des maladies mentales ont été jusqu'ici trop peu nombreuses pour que M.
ys qui, depuis plusieurs années, a cherché à traiter les maladies mentales par l'hypnotisme, mais sans résultat; il est donc
rses opinions qui ont cours sur le rôle de l'hérédité en pathologie mentale . Il regrette qu'on ait confondu la folie hérédi
ucun cas de suicide accompli par des sujets dont l'état d'intégrité mentale soit nette- ment établi, il s'agit toujours d'i
chique, quelquefois elle devient la cause occasionnelle de troubles mentaux variés. Cu. F. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. Du vert
E M. LE Dr H. LEGRAND DU SAULLE La médecine légale et la médecine mentale viennent de faire une perte cruelle dans la per
études médicales. Dès le début, il s'attacha à l'étude des maladies mentales et fut successivement interne des asiles de Dij
lle un grand nombre d'ouvrages médicaux ayant trait à la pathologie mentale et à la médecine légale. Nous cite- rons entre
a volonté ou étude des lésions de cette faculté dans l'alié- nation mentale ; Considérations sur les intervalles dits lucides
119. Alcooliques (délire des) par Wit- kowski, 317. Aliénation mentale (cas d') intime- ment liée a un abcès s'ouvrant
es et névroses, par Mueler, 292. et iiévroses, Ecoles et maladies mentales , 289. Ecriture d'un chroréique, 250. Electric
a, 431. Mélancolie de famille, 430. lfénière (malalie de), 458. Mental (trouble consécutif à une blessure du crâne), p
26 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ARCHIVES NEUROLOGIE , REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par .T.-eL. CI l ltl PU]31,IÉC SOTIS L
.CTION DE lli. A. JOFFRUY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Paris. V. IYIAG
ce morale n'est pas toujours corrélatif d'un élut de dégénérescence mentale : nos quatre malades curent bien, parfois, des
es les intoxications volontaires se retrouvent souvent le même état mental prédisposant, celui des héréditaires ; mais com
osant, celui des héréditaires ; mais comme il arrive que cet état mental spécial reste silencieux plus ou moins longtemps,
temps dc'lutter autrement que par une guerre platonique. CLINIQUE MENTALE La phobie du regard ; Par le prof. W. nECIITE
ue de Psychiatrie, 189 ? p. 449 0t Xeur. Cenlr. 1900. 12 CLINIQUE MENTALE . mon défaut physique et moral éveilla en moi la
veux ; sc l'L'oal1l ingul'ri ? nlJlc il voulut se Ui- i l CLINIQUE" MENTALE . cider. Il se conduisait très bien à la maison
ui provoque une forte contraction des paupières et des '10 CLINIQUE MENTALE . muscles du globe oculaire et des contractions
ion épou- ,\nCJJ ! VFS, 2" sé1'Ïe 1005, 1. XX. - > 18 CLINIQUE MENTALE . vanlablc » à son regard, et il semble au malad
uriner en présence des autres lorsque les regards d'au- 20 CLINIQUE MENTALE . trui sont fixés sur moi. Il faut dire que ces
. Il m'arrivait aussi que je rougissais chaque fois que 21 CLINIQUE MENTALE . j'entrais dans la chambre ; cela dura, par int
formée chez la malade (1) Mois d'une romance russe. '23 CLINIQUE MENTALE . ' - l'idée et la sensation d'avoir l'expressio
avec des personnes étrangères, pour éviter le danger de 2S CLINIQUE MENTALE . me montrer ridicule par ce clignotement bizarr
logistes français X", 1896 ; Archiv, de 1'eur., 1897. 30 CLINIQUE MENTALE .. - . irrésistible des paupières et des muscles
ints qui tous ont fait la preuve de leurs connaissances en médecine mentale et qui tous ont fait, antérieurement au concour
ment où l'activité nerveuse se centralise en les éléments fonda- mentaux du système nerveux propres à l'organisme développ
pend la perversion, qui se développe, il est vrai, chez des débiles mentaux . L'auteur pense qu'il existe un grand nombre de
ions, signalons 12 cas de manie alcoolique (IL), 37 cas de débilité mentale (18 Il. et 19 F.) et .')cas d'imbécillité (il.)
déré comme ce qu'il doit être, comme un hôpital, et l'aliénation mentale pour ce qu'elle est, une maladie traitable et gué
ez ces malades, à leur admission, on retrouve, surajoutés à laforme mentale pour laquelle on les internés, les signes psy-
er, mais des noms de maî- tres vénérés dans la science des maladies mentales ; n'est-il pas au moins étrange que,pour donner
Melcy, examiné par un mé- vlecin, fut reconnu atteint d'aliénation mentale et laissé en liberté. Le 8 juin, Meley lirait p
l'Administration . Pourquoi cet homme reconnu atteint d'aliénation mentale a-t-il été laissé en li- berté ? Probablement p
es, âgé de 26 ans. Le jeune homme, qui ne jouit pas de ses facultés mentales , a été interné à la maison d'aliénés de Clermon
e Saint-Ger- main-en-Laye, un habitant de Rueil frappé d'aliénation mentale , nommé Jean-Louis-Patriarche, âgé de trente-six
de cheval secondaire à l'ostéite tuberculeuse du sacrum. CLINIQUE MENTALE Cholémie et mélancolie ; Par le docteur P. CO
s de notre époque. La mélancolie, dit Marcé (l),est une affection mentale , caractérisée par un délire de nature triste et
colie parmi les psycho-névroses, c'est-à- dire parmi les affections mentales qui surviennent chez des gens d'apparence norma
ion exclusivement psychique ou psycho-névrosique. ' En pathologie mentale on se cantonne trop au centre psychique, au sys
au et les autres organes. (1) Marcé. Traité pratique des maladies mentales , Paris, 1802. Archives, 2° série 1905, t. XX. 7
tales, Paris, 1802. Archives, 2° série 1905, t. XX. 7 98 CLINIQUE MENTALE . Le mauvais fonctionnement d'un organe, quelle
ait entraîner le crétinisme ? Et ce qui est vrai pour la pathologie mentale en géné- ral, l'est particulièrement pour la mé
délire de persécution, le délire chronique. C'est une perturbation mentale , ayant des connexions intimes avec les troubles
rd, les symptômes phy- siques apparaissent avant toute perturbation mentale . La mélancolie débute par des troubles physique
oxémie nerveuse. (A i-cil. gérr, de Médecine, 1896.) 100 CLINIQUE mentale . nous pouvons citer IIammond (1), qui, s'appuya
ction, en guérissant le mal local, fait disparaître* les . troubles mentaux . Aussi conseille-t-il, dans tous les cas d'hypo
relevés par tous les auteurs. (1) Giuesingeu - Tmilé des maladies mentales . Trad. Doumic, 18fi3. 102 CLINIQUE MENTALE.
- Tmilé des maladies mentales. Trad. Doumic, 18fi3. 102 CLINIQUE MENTALE . L' impuissance génitale des cholémiques est ma
nde pour l'individualité psychique, c'est la tare nerveuse, la tare mentale . Morel a observé, il y a plus d'un demi-siècle,
e considérable de la dégéné- rescence dans la genèse des affections mentales . Magnan et ses disciples ont repris ces recherc
assurer aux malades les soins d'hom- mes au courant de l'aliénation mentale , nous avons soumis au Conseil les deux voeux ci
lle (3 cas, II ponctions), ou enfin de préciser l'espèce de trouble mental inhérent à la polynévrite cas,l ponc- tion). Or
ient être considérées comme les symptômes physiques d'une affection mentale en par- ticulier et l'on peut observer ces trou
outefois ils sont presque exclusivement obsenés dans tous les états mentaux s'accompagnant d'inhibition psy- chique. REVU
RAVAL. XVII. Les relations du système nerveux avec les facul- tés mentales ; par P. 11RONTHAL. (lVex49'olOr. Cen/mlblatt"
904.) Après avoir examiné le système nerveux et le fonctionnement mental dans l'échelle ascendante des animaux, l'auteur c
- biles, à quelque intensité lumineuse qu'on les soumette. L'état mental est incompatible avec l'examen de la convergence,
de connaissance. Ce n'est que plus tard qu'apparurent les troubles mentaux typiques et les symptômes locaux de la méningit
d'interventions opératoires, elle est prise d'accès de confu- sion mentale avec agitation auquel elle finit par succomber.
; il manquait chez 6S. 11 est apparu dans presque toutes les forme mentales . On a laissé de côté les psychoses de l'enfance e
L'onde musculaire apparaît tout particulièrement dans la confusion mentale (100 %) ; la démence paralytique (90 %) ; la dé
Damaye, auteur d'un Essai de diagnostic entre les états de débilité mentale ; à M. Petit pour sa thèse intitulée : Revue cr
voquant des suppurations, chez les paralytiques généraux. Confusion mentale et otite suppurée. 3131. Boy et Cuisez communiq
mmuniquent l'observation d'une jeune fille atteinte d'une confusion mentale paraissant liée à une otite double suppurée, po
eracces assez semblable. JI. LEGItAIN a observé un cas de confusion mentale chez un étudiant porteur d'une mastoïdite qui n
par des idées se rapportant à ce fait. L'explication de ces états mentaux se trouvent dans la sugges- tibilité souventexc
otrices dans le même hémisphère. Le trac par asynergie des images mentales . M. Paul FAREZ. Il faut distinguer trois formes
xysmes s'accompagnent de désharmonie fonctionnelle, de déséquilibre mental , avec angoisse, troubles va- somoteurs ou secré
sa pensée ; esclave de ses idées parasites et de ses préoccupations mentales , il en arrive à jouer, devant un auditoire, mal
et le trac est ainsi constitué, consécutivement, àcette rumination mentale maladive; au moment de l'audition, le trac se m
t pourtant bien distincte) est aussi secondaire, non plus à un état mental spécial, mais à une asy- nergie fonctionnelle (
nergie fonctionnelle (congénitale ou acquise) des diverses images mentales . Chez un homme normal, moyen, bien équilibré, les
s séniles avaient également des parents ayant présenté des troubles mentaux dans leur vieillesse. Enfin la tante maternelle
t de 520 et celui des paralytiques généraux de 514. Ces deux formes mentales forment le plus fort contingent (plus du quart)
ta- blissement peut servir de modèle aux administrations départe- mentales qui voudraient construire des asiles-écoles. P. L
ns un trouble portant à la fois sur le système moteur et sur l'étal mental ), l'auteur conseille d'amener le sujet, par un
ns un rapport envoyé au Ministère à la suite du Congrès de médecine mentale de Pau et que je tiens à votre disposition soif
pport : Assistance. Balnéa- tion et hydrothérapie dans les maladies mentales ; rapporteur M. le D''Parias, d'Albi. Samedi 5
. Samedi 5 notlt. - 9 heures du matin. Visite de l'Asile départe- mental d'aliénés, dit de Saint-\Iéen, 72, faubourg de Pa
é Callus, qui, depuis quelque temps donnait des signes d'aliénation mentale , se promenait le long de la ligne du chemin de
l qui puisse affliger l'humanité : l'affaiblisse- ment des facultés mentales . « Nous sommes heureux de recevoir chez nous le
. Dans ce pays breton, tout rempli encore de légendes, l'aliénation mentale prend une allure et des caractères particuliers
de criminel-né, mais, par un examen complet, à la fois physique et mental , elle cherche à déterminer quelle est la respon
aculté des sciences. Le premier rapport, qui concerne la pathologie mentale , est toujours l'un de ceux qui intéressent le p
gue discussion soulevée par M. Granjux à propos de l'alié- nation mentale dans l'armée. M. Granjux, dont la com- pétence
est bien connue, recherche les causes de la fréquence des maladies mentales dans l'armée et signale l'absence d'examen séri
ent illustrée par le ré- cent mémoire de Head sur certains troubles mentaux qui ac- compagnent les affections viscérales. A
de l'odorat. Chez tous les malades qui pré- sentaient ces troubles mentaux (Inobservations dont aucune ne fut suivie penda
contraire, chez tous les cardia- ques et tuberculeux sans troubles mentaux , serait donc la cause directe des modifications
ma du cuir chevelu. Cette action de la douleur réfléchie sur l'état mental s'expliquerait, pourllead, dela manière sui- va
primé la distinction nettement établie par Ilead entre les troubles mentaux des véritables aliénés etceux des cardiaques et
s qu'il observait. Pour Gamble, un grand nombre de cas d'aliénation mentale ne seraient que des manifestations psychiques d
es, viscéralgies, etc. Les lésions du sympathique dans les maladies mentales sont attestées par les analgésies viscérales si
les affections les plus variées : dans presque toutes les maladies mentales , leur coexistence peut provoquer l'ap- parition
11 en est de même dans les autres états toxi-infectieux (confusion mentale typhique, grippale, puerpérale, intoxication pa
éoccupation reste légi- time. 2" Dans le cas contraire, l'analyse mentale qu'il fera de son état deviendra morbide; il en
il fera de son état deviendra morbide; il en résultera des troubles mentaux , qui pourront, dès lors, le mener ul'intcrnemen
la lésion pourra, par voie de conséquence, mettre fin aux troubles mentaux , c'est la voie ouverte l'espérance, mais la pra
it, selon nous, envisager successivement la forme du délire, l'état mental du malade, et la nature de la lésion. Forme du
ées et qui caractérise ce délire s'observe souvent dans la débilité mentale : la croyance du malade est irréductible, et la
isqu'ils ont quitté l'asile sur des certificats de guérison. Etal mental des malades. - Le diagnostic de l'étal mental e
ats de guérison. Etal mental des malades. - Le diagnostic de l'étal mental est important. Dans mon article sur le varicocè
chirurgien ne l'est pas moins. Il faut parallèlement un diagnostic mental précis et un diagnostic chirurgical exact et je
centres de la cénesthésie est la conséquence de représenta- tions mentales pénibles évoquées par des impressions senso- ri
tout à fait opposées pour expliquer la genèse de certains troubles mentaux et c'est à ce titre seulement qu'ils ont pu êtr
ls ont pu être mis en vedette. La question des recherches expéri- mentales concernant l'hypochondrie a été soulevée par M. R
e de tout état pathologique. Prévention des maladies nerveuses ou mentales dans l'armée. D' GR : 1NJUX.- Le nombre des r
bre des réformes prononcées chaque année pour maladies nerveuses ou mentales montre l'insuffi- sance des mesures prises en v
l'armée.C'est ainsi que,annuellement,on ré- forme pour l'aliénation mentale 0,40 % d'effectif,et le reste à l'avenant.Ces m
ement des tableaux de recensement, d'affections soit nerveuses,soit mentales , soient, avant les opérations du PRÉVENTION DES
t mentales, soient, avant les opérations du PRÉVENTION DES MALADIES MENTALES OU NERVEUSES. 189 conseil de revision,l'objet d
n du corps.et s'ils sont reconnus atteints de maladies nerveuses ou mentales , réformés dans les mêmes conditions que les aut
qu'il est sain de corps et d'esprit. Les réformes pour aliénation mentale étant, par rapport à ce qui se passe dans les r
produisent. On peut ainsi, dans la zneuras- thénie et les maladies mentales , calmer ou exciter volonté. Aux expériences de
E GÉNÉRALE TARDIVE. 203 des courants continus dans la thérapeutique mentale et ner- veuse. Ereuthose émotive conjonctival
itude d'attri- buer à l'hérédité seule la production de l'affection mentale et, parfois, on néglige de signaler et d'observ
e infantile ont accumulé leurs effets ' pour déterminer l'infirmité mentale . Il s'agit d'un enfant de 10 ans lors de son en
des affections multiples et un arrêt de développement physique et mental . L'intelligence est à l'état rudimentaire ; tics
ronai aide le sommeil dans l'insomnie simple, lesétats de confusion mentale ou de manie subaiguë, et l'agitation automatiqu
d des renseignements in- téressants ; mais dans le cas de confusion mentale hallucina- toire, les altérations des centres n
e du 4 août (soir). Balnéation et hydrothérapie dans les maladies mentales . M. leDr B. PIIr.HAS (d'Albi), rapporteur. La q
a question de la balnéation et de l'hydrothérapie dans les maladies mentales remonte; pour le moins, à Hippocrate.-Successiv
, l'hy- drothérapie directement applicable à la cure des maladies mentales semble pouvoir être envisagée au point de vue de
ransformer en délire aigu. D. Etats organiques. Dans les affections mentales liées BALNÉATION ET HYDROTHÉRAPIE. 215 à une
ne s'est préoccupé de la prophylaxie hydrothéra- pique des maladies mentales , s'efforçant de les prévenir, soit à la période
ns délires toxi-infectieux, comme la folie puerpérale, la confusion mentale , certains états mania- ques s'accompagnant d'un
hysique, ne correspondra pas le retour parallèle de ses aptitudes mentales . 12° Les états chroniques seront généralement s
és hydrothérapiques peuvent concourir à la prophylaxie des maladies mentales . C'est vers l'eau froide que, plus ou moins dir
nes la ques- tion de Y Hydrothérapie dans les maladies nerveuses et mentales . BALNÉATION ET HYDROTHÉRAPIE. 221 On ne peut
S MEDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. Une observation de troubles mentaux liés à l'existence de lésions chroniques du rhi
accidents syphilitiques secondai- res de cette région les troubles mentaux le plus habituelle- ment observés au cours des
ts de la démence précoce à forme paranoïde. 1° Parmi les phénomènes mentaux , l'abolition des senti- ments affectifs est com
eurs réac- tions motrices. - Essai de classification des maladies mentales . Dr Maurice DIDE. Dans mon cours, j'ai été amen
n cours, j'ai été amené à adop- ter une classification des maladies mentales que je soumets à l'appréciation de mes confrère
procher la démence précoce herbe- phréno-catatonique des confusions mentales aiguës, c'estque l'analogie symptomatique est m
cès périodiques des folies intermittentes, de même que les troubles mentaux qui se substituent fréquemment aux accès épilep
donner. L'agent le plus puissant de traitement dans les ma- ladies mentales est l'isolement. La séquestration, tout à fait di
urologie ; M. le Dr Glorieux, président de la Société de Méde- cine mentale . Vice-Présidents : M"0 le ! )'' STEFANOWSKA, Vicc
rologie ; M. le Dr UROCQ, vice- président de la Société de Médecine mentale . Secrétaire géné- 1'(tl : M. le Dr massant, sec
é- 1'(tl : M. le Dr massant, secrétaire de la Société de Médecine mentale . Trésoriers : M. le D1' DECROLY, de la So- ciét
eurologie ; M. le D1' 'Ir.1ERS, trésorier de la Société de médecine mentale , Secrétaires des séances ; MM. les 1)" congrès.
aires et bibliothé- caire des sociétés de neurologie et de médecine mentale . Comité local DE réception : Président : M. leD
s Meley, examiné par un mé- decin, fut reconnu atteint d'aliénation mentale et laissé en liberté. Le 8 juin, Meley tirait p
à Sainte-Anne, car il donnait des signes d'aliénation VARIA. z53 mentale très prononcés et menaçait de tuer les personnes
. Favrel (Auguste), âgé de 52 ans, a, dans un mo- ment d'aliénation mentale , tenté de tuer son beau-frère, M. Charles Macré
(B.). - Balnéation et hydrothérapie dans le traitement des maladies mentales . 1 vol. In-8° de 141 pages Simon. Imp. Ren- nes
. Vol. XX Octobre 1905 " Nu 118 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Sur un cas de délire métabolique de la person
u délire méla- pp. (1) 2G0 H.ct cL vs ? 70. In Traité de paUtutogie mentale de Gilbert. Ballet pp. 269 et 270. Il (le 1).tL
Gill)ert BtlIeL Archives, 2« série, 190.ï, t. XX. 17 258 CLINIQUE MENTALE . bolique coexistaient, quoiqu'à des degrés diff
, du l'empoisonner pour la punir de l'avoir abandonné. 260 CLINIQUE MENTALE . (Peut-être s'agit-il là d'une interprétation d
facile de se rendre compte au ton de ses réponses que 262 CLINIQUE MENTALE . - le fonctionnement de ses viscères ne la préo
3. L'Orientation, 1000. Le Sens des altitudes, 1904. 204 CLINIQUE MENTALE . pondre au moins dans une certaine mesure, il c
régions correspondantes de l'écorce cérébrale, ne sont 200 CLINIQUE MENTALE . plus adéquates a leurs excitants normaux, et l
par rapport (1) .1. COTARD. - Etudes sur les maladies cérébrales et mentales , p. 388. ' (2) SÉGLAS. Leçons clin. sur les m
et mentales, p. 388. ' (2) SÉGLAS. Leçons clin. sur les maladies mentales et nerveuses, 6S]. juin (3) 1903. L'aschémati
aurait donc, à notre avis, rapprocher les malades de 2G8 PATHOLOGIE MENTALE . M. Bonnier des nôtres, car ils introduisent da
paracoenesthésiques du groupe des ccnesthésiopathies. PATHOLOGIE MENTALE Les psychoses des infections aiguës (1) ; Par
ue des psychoses dans toutes les infections aiguës est la confusion mentale , c'est-à-dire la psychose caractéristique des é
se infectieuse revêt ordinairement l'une des formes de la confusion mentale aiguë en particulier la forme de délire oniriqu
n a affaire principalement à Informe asthénique de la confu- sion mentale , variable de degrés et de durée mais cons- titu
ou sans délire et agitation. L'amnésie de fixation y 270 PATHOLOGIE MENTALE . est d'ordinaire très marquée et, dans certains
point de légitimer la création d'une variété amnésique de confusion mentale . C'est ce qui a lieu notamment dans les acciden
s les accidents polynévri- tiques. . Une autre forme de confusion mentale qui est suscep- tible de s'observer dans toutes
est la forme à syndrome paralytique, caractérisée par les symptômes mentaux et somatiques de la paralysie générale. Le tabl
nts et agités des hôpitaux dans les asiles, qu'après aliéna- tion mentale confirmée » . Quoi qu'il en soit, il est des si
olentes et malgré certains signes de déchéance en 272 .. PATHOLOGIE MENTALE . apparence graves, les psychoses des infections
n qu'il faut surtout re- courir pour combattre et guérir le trouble mental . Parmi les indications spéciales, celle qui s'i
s grippales de la période fébrile se traduisent par de la confusion mentale , en particulier par du délire hallucinatoire ai
ntinue, pro- Argihves, 2° série, 1905, L. XX. - 18 274 PATHOLOGIE MENTALE . longée et très intense. Rarement cependant le
oms, que certaines variétés que nous avons admises à la confusion mentale , en particulier les variétés dans lesquelles domi
quemment la grippe laisse après elle un état d'asthénie physique et mentale profond, per- sistant, tenace ; il n'y a donc p
é des pupilles, exagération des réflexes tendineux, affaiblissement mental , délires ab- surdes et incohérents, etc.. Mais,
s delà période aiguë que celles de la convalescence, 276 PATHOLOGIE MENTALE . aussi bien celles qui affectent des formes d'a
suivies d'une amnésie plus ou moins complète et d'une asthé- nie mentale plus ou moins intense et durable, moins mar- qu
vêt habituellement l'une des formes les plus aiguës de la confusion mentale , en particulier la forme du délire aigu méningi
n fait place à de la stupeur ou alterne avec elle. 278 PATHOLOGIE MENTALE . On peut observer dans le délire onirique de la
s identiques. Elle est essentiellement constituée par une confusion mentale aiguë avec halluci- nations multiples et agitat
guës. Elles y revêtent d'ailleurs les mêmes caractères de confusion mentale asthénique avec dépression psychique et physiqu
s paraît être des plus importantes au point de vue de la pathologie mentale . Elle accom- pagne toujours les transformations
cette époque corres- pondait un notable accroissement de l'activité mentale . Comme chez le nouveau-né normal, la sensibilit
chef de clinique des Maladies nerveuses '' Celle-ci et les Maladies mentales n'ont-elles pas des liens inlimes ' ? Le" l)i,u
l)i,utiqtie les neurologistes font de plus en plus de l'aliénation mentale . Les aliénisles auraient dû, autrefois, s'occuper
lées de la manière sui- vante : 1. Une épreuve écrite de pathologie mentale pour laquelle il sera accordé quatre heures. Il
r l'épilepsie ; par le Dr 51asoin. [Bulletin de la Soc. de médecine mentale de Belgique, décembre 1904.) Dans ce très imp
processus cavitaire semblent atypiques. La lésion initiale, fonda- mentale , consiste dans la néoformation de vaisseaux et l'
titude à la continuité des opérations corticales et dont l'activité mentale est vive, la préparation au travail par un trav
s : 869 en 1894 et 996 fin 1904. Dans le tableau des « catégories mentales » nous lisons -.névroses, 17. 11 serait bon d'i
3 d'idiotie, 15 de folie alcoolique (t4 Il. et 1 F.), 45de débilité mentale , aucun par crétinisme. Malades traités, 1 : 5f
t suffisantes, car il ne s'agit pas de leur appren- dre la médecine mentale , mais à être des auxiliaires des méde- cins. M.
V. Des méningites à évolution insidieuse comme cause d'alié- nation mentale ; par L. MARCHAND, médecin-adjoint de l'Asile d
gites insi- dieuses, passées jusqu'ici inaperçues, divers syndromes mentaux qui doivent leur physionomie particulière à la
insidieuses qui nedonnent naissance chez l'adulte qu'à des troubles mentaux ; chez l'enfant, elles provo- quent souvent l'é
e arrêtée dans son évo- lution : cette forme répond à des syndromes mentaux stationnai- res pendant de longues années. Ces
Fertelle, 36 ans, demeurant rue du Mont-Ccnis, atteint d'aliénation mentale , s'est suicidé hier matin, en se plongeant sa c
s. Vol. XX Novembre 1905 N" 119 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Contribution à l'étude de la démence iltfttjq ?
nls afin de 1)\'ll\< : 1111' IIU\CIII l'ourrmsmn. 3b6 clixiqVe mentale , donnent une idée exacte (déviation antérieure
ccès sont très fréquents. (Voir le tableau, p. 351) (1). CLINIQUE MENTALE Cholémie et Mélancolie {Fin) (2). l\in le li,
jets que nous avons observés, étaient atteints de toutes les formes mentales de la mé- lancolie, depuis la forme simple jusq
qu'une cholémie légère ne donnera lieu qu'à une simple dépression mentale , et qu'une forte cholémie produira la stupeur.
is qu'un simple appoint pousse les dégénérés au délire. L'équilibre mental se maintenait en l'absence du poison ; mais des
. Père mort à 33 ans : buveur. Mère paralysée, aJ]¡\1- 3G2 cl.IQw : mentale minulillue ;avait des vomissements avant la par
de contorsions, qui trahissent bien le fond dépressif el la douleur mentale . « .I'ai été à l'hôpital le ne sais pourquoi on
, mais nous savons que sur 10 enfants, 5 sont morts en 364 CLINIQUE MENTALE bas-àge, de 2 il 5 ans, de méningite. Emilie n'
ale (1885). Pas de renseigne- ments sur cet état, très probablement mental et de même nature que celui qu'il a présenté de
ible.. Les urines ne con- tiennent plus d'urobiline. SUS CLINIQUE MENTAL 13. La température est normale, sans inversion.
mie a diminué avant qu'au- cun changement clinique, au point de vue mental , ait pu faire pressentir la guérison. L'urobili
la Misltaritioucomltlètc. Dans l'observation IX, où l'alt'cc- tion mentale a été de courte durée, la disparition des si- g
disparition des si- gnes de cholémie été très nette. 3G8 CLINIQUE MENTALE . Il nous est donc permis de conclure que la mél
Les troubles et les lésions du foie pa- raissent influencer l'état mental des prédisposés ou des dégénérés. Le traiteme
e concert avocat. X. Francotte, professeur de clinique des maladies mentales a l'Université de Liège, ont été acclamés prési
nt des mêmes centres. Le travail dans la thérapeutique des maladies mentales . Tel était le litre de la (Itiebtioiicie pschia
il tout à fait exceptionnel, d'après M. Cuy- litz, que les maladies mentales soient heureusement influen- cées parle travail
u travail, physique ou intellectuel dans le traitement des maladies mentales , jusques et y compris celui des démen- ces. Fau
ils n'établissent pas l'action curative du travail sur les maladies mentales , semblent du moins prouver qu'il n'y a pas qucl
une ambiance dont la couleur puisse heureusement agir sur leur état mental et sur leur tenus nerveux, c'est-à-dire les exc
des parasites ivent aux dépens delà collée- 380 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . en simulant la passion du bien public. Les fau
1. A'crcnollk. La fatiguesuggéréeestproduitepar la repré- sentation mentale , plus uu moins intense, de l'effort accompli nu
nse, de l'effort accompli nu il accomplir : et cette représentation mentale fait nitre aussitôt l'idée d'impuissance. La fa
comme adjuvant il la suggestion hypnotique.' * REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1. Leçon sur la paralysie générale ; par le Pro
isphère gauche (cas n" 703 du laboratoire). 382 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ner,à propos du second malade, son opinion sur
émentiel, au sens d'Esquirol, mais un simple état d'affaiblissement mental , la « Schvvaechozustande », si bien que l'on es
ie générale (cas 806 du laboratoire}. . 1 384 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . quelle valeur il faut attribuer à cette distin
comme chez Archives, 2' série, l. XX. 25 38G REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . l'homme, la paralysie générale sévit surtout d
'aut point comprendre le vrai délire chronique. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 387 Quanta voir, comme le veut W toss, tlans c
ques lacunes et difficultés relatives au groupement des maladies mentales ; lan\ISSI.. (('wxtoaLLl.j'. \'w'ccnlz'ill;molr
uotidienne automatique. P. 11ER.\1' tL. - RI-,tUI : DE PATHOLOGIE MENTALE . : 3n IX. Des signes extérieurs de l'onanisme h
noter, jamais aucun membre de celte famille n'avait eu d'all'edions mentales , nerveuses ou la syphilis. Durant la grossesse,
,l¡ml'ps. "\cluplll'n1Pnt, il il de la : J ! 10 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 3U1 devenir de
l de la : J ! 10 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 3U1 devenir de plus en plus nonchalant cl apat
h F. Patrick, et par Chas. II. llcnml. (ThejoJ/1-nal or ne/'v. and. mental . Diseuse., mai 1890, analysé dan» Arc/l. (7c ?
ent les phénomènes de suppléance qui se sont pro- duits dans l'état mental de leur malade Bizarre pendant son en- fance, i
cnL ntulicu-1;- Ua;;oriique ; ? les ccstlaaniqws alleints d'inertie mentale et d'a- tonie organique. rn chapitre spécial
rande importance au mensonge pour permettre de recon- naître le Lye mental . A l'école où ils sont tolérés, les écoliers an
ans une école ordinaire, on le soumettrait à un examen Inologiquect mental qui permettrait un diagnostic. On de- vmil s'oc
utes de 1'('. Il e,\ ion ; 3° une épreuve clinique sur les maladies mentales : un seul malade. Il sera accordé vingt minutes
ique commune : 20 points ; pour l'épreuve clinique sur les maladies mentales , à un seul malade : 20 points ; pour la deuxièm
ndifférent : pas de troubles delà sensibilité (réserves pour l'état mental delà ma- lade) ; jamais de troubles sphinclérie
ns r épilepsie est loin d'être absolue. \ 4Î5 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Comme je l'ai fait remarquer, l'agglutination
ffisent d'ailleurs amplement au dia- gnostic. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE Il [. - Du Mongolisme; par ·EYG.1NUT. (777'= Co
. La tuberculose y est tout spécialement fréquente. Au point de vue mental les mongoloïdes, d'abord ralentis dans leur dév
1 FIG. 26. Walh.. à 13 tii,. (Myxoedème . 482 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . sérieusement entravée. Le D1' [layon nous dit
après une analyse de Wiffium \\', It'l'Iand, dans The Jour- nal of. mental science. (2) Nous avons vérifié celle absence d
ont travaillent les aliénés dans les différentes formes de maladies mentales et aux diverses époques d'une même affection ;
es rapports assez cons- tants entre les modifications de l'activité mentale d'un sujet et les particularités de ses product
B. Séance du, 30octobre 1905. Présidence DE M. Vallon. Confusion mentale et otite suppuree (discussion). ' M. l'IC2uÉ. S
oubles intellectuels se manifestant surtout par de ' i la confusion mentale . C'est ainsi que s'expliqueraient les délires c
51. ARNdUD. - Je reconnais trop volontiers qu'entre la patho- logie mentale et la pathologie externe, il ne saurait y avoir d
ncoliques. Le second malade était atteint manifestement de débilité mentale et son affection survint à la suite d'excès alc
e la sensibilité générale.' Pas de troubles trophiques. Instabilité mentale . Lésion cérébelleuse probablement limitée ;t ce
E 11 ? Les écrits et les dessins dans les maladies nerveuses et F mentales ; par le D''RûGUES nE 1 URAC. On sait et c'est
tion et de son corollaire inévitable, l'exaltation de l'automatisme mental . Telles sont les principales données sur lesque
e thèse fut couronnée par la Faculté. Chef de clinique des maladies mentales à la Faculté de Pa- ris de 1903 à 1905, il se s
05, p. 1380, encollab. avec M. D. P. E. L.uivoisl. -30. Compression mentale et otite suppurée. (Soc. médico-ps·cltologtyue,
udis, same- dis, de midi 3 heures. COURS DE clinique des maladies mentales et des maladies de l'encéphale. il. le Pr JnpFR
ours de n¡ 1 s nlvr. as. : )01 , .... . t clinique des maladies mentale ^ le samedi 18 novembre 1 ! 10, à 10 heures à l'
(B.). Balnéation et hydrothérapie dans le traite- ment des maladies mentales . Rapport présenté au Congrès des médecins alién
personnel médical, p. 335. Les aux colo- nies, p. 335. départe- mental de la Haute-Vienne, p. 414. de Bordeaux. Conc
SKI. Voir Sclérose. Balnéation et hydrothérapie dans les maladies mentales , par Pailhas, p. 209. - et gâtisme volontaire
LE DES MATIÈRES. Concrétions calcaires. Voir Cerveau. Confusion mentale . Voir Otite Sl £ PPU1'ée. Congrès. xv" des mé
h ics. haQUtItor.. Voir 7'rix. Extatique. Voir Obsédé. Facultés mentales . Voir 8111,- tème nerveux. - Faisceau longitu
eiler, par Maere, p. 487. Maladies. Prévention des nerveuses ou mentales dans l'armée par Granjux, p. 188. mentales.'
ion des nerveuses ou mentales dans l'armée par Granjux, p. 188. mentales .' Voir 73nlnén- tion. Essai de classification
188. mentales.' Voir 73nlnén- tion. Essai de classification des mentales par Dide, TABLE DES MATIÈRES. Il-)09 p. `28U.
e quel- ques lacunes et difficulté* relatives au groupement des mentales , par Nissl, p. 388. Les écrits et « les des-
, p. 388. Les écrits et « les des- sins dans le, - nerveuses et mentales , par Rogues de j<'urac; p. 49 : ¿. < Ma
nd, p. 204. Des à évolution insidieuse comme cause d'aliénation mentale , par Marchand, p. 332. ' : ¡lÉ ? IXGO-EXCÉPHA
-lbilitiqucs, par ixuillain et Hnntel, p. 133. Otite. Confusion mentale et suppurée, par lioy et Guisez, p. 135. ib.
tème nerveux. Voir Fi- bi es. Les relations du a\ ce les facultés mentales , par Kronthal, p. 117. Tabès supérieur et mén
uberculeuses. Voir Myélites. Tu \c. Le par asynergie des images mentales , par Farez, p. 140. Traitement médico-pédagog
éréb¡ 0 - opinala." pa r J ocqs, 11. 187. Une ot- oervatioll de - mentaux liés à l'existence do lésions chro- niques du
27 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
CH1 VS DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE ma MALADIES NERVEUSES ET MENTALES F 0 N D 1 : ; PAR H J. -]\1. CIIARCOT l'Ulll.
RECTION DR MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine (le V. MAGNAN Me
diffusion de l'épanchement rend une intervention inutile. CLINIQUE MENTALE . Du sens génital étudié chez les mêmes malades
s rapprochés et au même moment toute la symptomatologie physique et mentale de la paralysie générale. Ce travail, le troisi
ives de Neurologie, 1898-1899. . Bulletin de la Société de Médecine mentale de Belgique, 1898. DU SENS GÉNITAL DE LA PARALY
squelles l'attention n'a Aiiciuves, 2e série, t. X. 2 18 CLINIQUE MENTALE . pas été, croyons-nous, suffisamment attirée. M
e M. l\lickle que la perte des facultés génitales a été 20 CLINIQUE MENTALE . notée dans quelques cas comme symptôme prodrom
ances, leur fréquence absolue et relative selon les diverses formes mentales , l'intensité des troubles moteurs aux phases in
s, chez chacun au même moment, toute la symptomatologie physique et mentale , étaient des paralytiques généraux exempts de t
uit au point de vue de l'anormalité et de la normalité. 22 CLINIQUE MENTALE . est parfois perverti; mais sans indiquer comme
é d'éjaculation par la masturbation. Il ne nous a pas ,)Il CLINIQUE MENTALE . été possible de nous renseigner exactement sur
rtissent aux trois périodes de la paralysie générale. 26 CLINIQUE MENTALE . alités, incapables de se tenir sur leurs jambe
érations en plus et en moins du sens génital et les diverses formes mentales que peut présenter la paralysie générale, forme
gitées ? Le tableau suivant répond à cette question : 28 CLINIQUE MENTALE . Un premier fait intéressant fourni par ce tabl
donnée plus haut, ne serait donc fondée que pour cette seule forme mentale . En troisième lieu, à noter l'absence d'excitat
e signification que ceux de la Planche II. ZD REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . I. Paralysie générale chez l'enfant; par J. TH
sie qui fait le sujet d'une figure. A. M. IL Un cas de torticolis mental ; par E. Noguès et J. SIROL. (Nous. Iconogr. de
OL. (Nous. Iconogr. de la Salpêtrière, n° G, 1899.) Le torticolis mental est-il un syndrome de dégénérescence tou- jours
, vient confirmer la première opinion il savoir « que le torticolis mental est un tic spasmodique et, comme tous les tics,
ental est un tic spasmodique et, comme tous les tics, a une origine mentale et se développe souvent, sinon toujours, chez l
ssité d'une nomenclature précise applicable aux cas de défectuosité mentale congénitale qui ne peuvent être désignés dans u
un certificat ni comme imbéciles ni comme aliénés. (The Journal of Mental Science, juillet 1898.) L'auteur constate que l
dre de mettre les magistrats, mieux édifiés sur REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 41 L les choses par des mots meilleurs, en éta
ue chez un adolescent; par Thomas-Philip p Cowev. (titre Journal of Mental Science, avril 1897.) L'auteur relève lui-même
e de temps considérable s'est écoulé entre l'apparition du désordre mental et celle de la chorée ; 3° la chorée a été aigu
été aiguë, mais en restant tou- jours apyrétique ; 4° l'excitation mentale se calmait à mesure que les mouvements choréiqu
ernel sur la progéni- ture ; par \\' .-C. Sullivan. (The Journal of Mental Science, juillet 1899.) Ce mémoire, basé sur
sur notre service ne iiicetru. * (tt.) .) 42 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ces conditions, parait s'exercer par une voie
e paralysie générale juvénile; par A. Hrmx 1301'LE. (The Journal of Mental Science, janvier 1899.) Il s'agit d'une jeune f
ervation sont d'abord l'âge de la malade, chez laquelle l'affection mentale parait avoir débuté vers 14 ans. Ensuite on not
alysés dans le Journ. of ment. Science. (iL). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 43 ou plutôt la syphilis congénitale, qui tout
en 1891 ; vers 18ut, ictus légers nocturnes 44 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . suivis d'affaiblissement musculaire généralisé
. La folie chez les enfants; par (LETCfIER 13E.ACU. (The Journal of Mental Science, juillet 1898.) Ce n'est guère qu'au co
ques, les uns légers, les autres plus graves; ce défaut d'équilibre mental , commun aux deux sexes, à cet âge, justifie la
ues ne sont pas symptomatiques d'un commencement cl'atl.ihlissement mental . Ils ne sont également pas la conséquence d'une
u bleu de méthylène dans l'épilepsie, l'hystérie et quelques formes mentales ; par H. Bonfigli. (Riv. sp. di frein., fasc. 2,
de phénomènes psychiques. G. D. IV. Traitement de certains troubles mentaux par l'extrait thyroï- dien ; par le De Richard
son éducation et son avenir ; par A.-Il. Douglas. (77ze Journal of Mental Science, janvier 1899.) 'fout en rendant justic
, avec une observation; par T.TEL- FORD-S)111'11. (Tite Journal or' Mental Science, juillet 89;.) Enfant de sept ans, pas
'opération et les parents ne remarquent chezlui aucune amélioration mentale ; il ne parle toujours pas et parait manquer pr
oi sur les aliénés indigents ; , par John Carswell. (The Journal of Mental Science, juillet t8cJ8.) La question est traité
ation des alcoolisés; par le Dr Lgntz. (Bulletin de la Soc. de Méd. mentale de Belgique, juin 1899.) Il y a lieu tout d'abo
s aliénés à Anvers; par le D'' SaNO. (Bulletin de la Soc. de illéd. mentale de l3elyique, juin 1899.) Il résulte de ce trav
ance des aliénés; par le D1' PEETERS. (Bulletin de la Soc. de Jléd. mentale de Belgique, décembre 1898.) Dans cette confére
ain. Cet hôpital très bien situé est destiné à l'étude des maladies mentales et à l'enseignement clinique. Il contient 100 m
et à d'autres institutions ; par William-W. Ireland. (The Journal Mental Science, janvier 1898.) Garnie Bakkelws. - C'es
s pour les aliénés en Belgique ; par John SicuALD. (Tite Journal of Mental Science, juillet 1897.) L'organisation de ces
860, et il a publié le compte rendu de sa visite dans le Journal of Mental Science, en 1861. Il y est retourné en 1862, puis
réciser : 1" les aliénés sont-ils un danger public ? et 2° la santé mentale des habitants souffre-t-elle de leur voisinage
iège, de 1892 à 1899; par le D1' L11OEST. (Bull. de la Soc. de méd. mentale de Belgique, mars 1900.) Les tableaux statist
rouzon avaient déjà présenté, le considérant comme atteint d'un tic mental qu'ils avaient rapproché du torticolis mental (
omme atteint d'un tic mental qu'ils avaient rapproché du torticolis mental (voir arcs. Neural., 1900, p. 170). Pour M. Bab
vait la manie de couper les robes de soie. Réformée au point de vue mental et moral, gràce à l'hypnotisme, 68 SOCIÉTÉS SAV
lors, je me suis appliqué systématiquement à faire de l'orthopédie mentale et morale, surtout chez les enfants. Grâce à la
nombreux résultats chez les vicieux et les pa.resseux. Orthopédie mentale et morale par suggestion pendant le sommeil nat
sonde manie avec nympho- manie, chez une adolescente, l'instabilité mentale alcoolique et héréditaire, celle-ci guérie par
M. Ricue et Pélissier). M. de Fursac, chef de clinique des maladies mentales de la Faculté de médecine de Paris, est inscrit
nthropométriques, il est unanimement reconnu aujourd'hui que l'état mental des enfants est en relation directe avec leur p
. 75. Iéna, 1900. Verlan G. Fischer. Roubinovitcii. La palhologie mentale et la fin du XIX' siècle. Confé- rence faite à
ayante et mirent un instant sa vie en danger (somnolence, confusion mentale avec para- phasie, myosis, constipation, anurie
l,li/,oJrnes à rrqneue; croissante . depuis cette époy2lr. Débilité mentale ; trépanation pendant un état de mal grave; sus
fréquence et d'intensité, quelques-unes furent suivies de troubles mentaux et de la Charité l'enfant fut trans- férée d'of
sont devenues plus rares. A l'aige dé vingt-sept ans, des troubles mentaux sont venus s'ajouter à ces crises et ont nécess
n sur le front, » - Son certi- ncal de quinzaine porte : « Debilité mentale avec idées mélanco- liques et idées de persécut
sortie, délivré le 8 octobre 1898, était ainsi libellé : « Débilité mentale avec accidents hystériques et idées mélancoliques
ouver là. » En réalité, on avait dû la faire interner pour troubles mentaux . Le 20 mai, on la trouva chez elle, les yeux ha
i. Il est toujours entré ici dans les mêmes conditions : Débilité mentale , idées mélancoliques, stupeur, tendances au suici
nt développée. Les règles ont paru, sans aucun accident physique ou mental pour la première fois du 4 au 9 mars et se sont
encéphalie imparfaite, relaté par T. ALDOUS CLINCH. (The Journal of Mental Science. Avril 1899.) ,- Les planches qui accom
face, exagération du réflexe patellaire, sensibilité intacte, état mental sain. Autopsie : l'examen microsco- pique des c
es vertébrés; pdr le D1' Hvvet. (Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, décembre 1900.) L'étude comparée d
lades diminue sans que l'on constate parallèlement une amélioration mentale ; 5° L'alitement favorise l'onanisme ; 6° Le nom
quelques-unes même très volontiers ; 10° Des 13 aliénées de formes mentales différentes soumises à l'alitement cinq ont guéri
cations en faveur de l'alitement en tel ou tel cas, au point de vue mental ; il ne faut pas perdre de vue que, dans les ca
dement, soit graduellement. C'est ce qui a eu lieu, dans les formes mentales suivantes : 144 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE.' des
, plus de 3 mois pour 11. Autant dire que, quelle que soit la forme mentale , deux ou trois semaines au plus d'alitement suf
és en Belgique ; par le Dl LEY. (Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, décembre 1899.) \ La Belgique,
onformément aux voeux récemment formulés par la Société de médecine mentale , de créer : 1° Pour les idiots et les imbéciles
locomotrice; par le Dr Free- man-F. 1'ann. (Journal of nervous and mental discale, février 1899.) Malade atteint d'alro
avec symptômes men- taux, par S. Il. B. Montgomery. (The Journal or Mental Science, juillet 1847.) Homme de quarante-deu
ANTES. 161 raison, que dans certains cas où, à côté de la faiblesse mentale , on constate l'existence de troubles mentaux po
à côté de la faiblesse mentale, on constate l'existence de troubles mentaux pouvant faire soup çonner la coexistence d'une
a valeur séméiologique des idées hypochondriaques dans les maladies mentales , appuyées sur des observations personnelles. »
ie. Archives. 2 série, t. X. 11 162 SOCIÉTÉS SAVANTES. Maladies mentales familiales {discussion). - M. ARNAUD distingue
une même génération (frères, soeurs, cousins et cousines). La forme mentale doit aussi être la même chez tous les sujets at
11 familles chez lesquelles on ait pu constater 23 cas d'aliénation mentale susceptibles d'être qualifiés de maladie mental
3 cas d'aliénation mentale susceptibles d'être qualifiés de maladie mentale familiale. Peut-on avec un si petit nombre de f
nombre de faits conclure avec M. Trénel à l'existence des maladies mentales familiales ? M. DouTREBENTE ne croit pas à l'ex
rouver beaucoup. M. DOUTREBENTE ne nie pas l'existence des maladies mentales familiales, mais il n'en a jamais observé. Il c
nécessaire pour expliquer la produc- tion de la lésion. Maladies mentales familiales. M. BOISSIeR. - M. Trénel n'a pas vo
l'existence d'un type particulier permettant de faire de la maladie mentale familiale un type à part. M. Brunet croit qu'il
clamai ions que celui-ci finit par le rendre à la liberté, son état mental ne s'étant nullement modifié. Martel Briand.
les moyens moraux; l'abstinence alcoolique résultera de cet état mental préalablement créé. Le traitement qui convient à
ouvoir d'arrêt ou d'inhibition. Les images cérébrales et l'activité mentale . - M. PAU de Saint- MARTIN compare le neurone à
es, la réviviscence des souvenirs et les divers modes de l'activité mentale . M. Bérillon. On a de même comparé la conductib
ureau ; 2° Discours du président ; 3° Première question, Pathologie mentale . Psychoses de la puberté. Rapporteurs, MM. Zieh
ation de la discus- sion. Communications diverses sur la pathologie mentale . Contri- bution à l'étude des idées obsédantes,
ribution clinique et anatomo-pathologique à l'étude de la confusion mentale , par les Drs Roubinovitch et Vlavianof (de Pari
un danger pour la morale et là sécurité publique », et que son état mental nécessite son internement dans un asile spécial
RIA. renton, donnait depuis quelque temps des signes d'aliénation mentale . Ce malheureux était pris hier après-midi d'un ac
d'hospitalisation et de traitement des sujets atteints de maladies mentales . Comme il arrive toujours en pareille occurrenc
s exigences, trop lentement mé- connues, du traitement des maladies mentales . Des réformes décisives ont été réalisées en vu
Grand développement donné à renseignement clinique des mala- ,lies mentales . Dans les pages qui vont suivre nous nous propo
avons pensé que ceux qui s'in- téressent aux choses de la médecine mentale , de l'assistance des aliénés et de l'enseigneme
iversités provinciales permet d'espérer que la science des maladies mentales - science éminemment française sera officiellem
ns- truite-en vue de sa destination : l'enseignement des maladies mentales 3., · - : Nous emprunterons les éléments de notre
ctent les pires habitudes et, si l'isolement se prolonge, leur état mental en est profondément modifié ; on a alors devant
les malades en question ne sont pas à même, en raison de leur état mental , de dénoncer les violences dont ils peuvent être
ie de l'université de Giessen (Bul- letin de la Société de médecine mentale de Belgique, décembre 1896, p. 393-399). Lada
énés, méthodes ayant pour but de mesurer avec précision le niveau mental et l'instruction des sujets, la durée et l'intens
et réclame la création d'un examen spécial portant sur les maladies mentales . - Population, le l01' janvier 1898 : 198 malad
rigine syphilitique ; par le D1' SACHE. (The Journal of nervous and mental Disease, mai 1900.) Individu de trente-huit ans
dix-sept ans; par \V ARTUN StNKmn. (The Journal u/' iiel-volis and mental Discase, avril 1900.) Cette observation offre t
Syphilis; par MM. Sérieux et F.\RNA- RIER. (Bulletin de la.Société mentale de Belgique, décembre 1900.) Ce travail se term
ime, l'attitude ou les antécédents peuvent faire soupçonner un état mental défectueux ; 3° Chaque fois que la défense allè
les préve- nus et faire rapport aux magistrats sur ceux dont l'état mental laisse des doutes. R. C. Il. Les aliénés deva
CINE LÉGALE. 229 du Code civil, dans ses rapports avec l'aliénation mentale , particu- lièrement pour ce qui concerne l'inte
a compétence, et employer le terme générique de folie ou aliénation mentale . Après avoir passé en revue les expressions dom
e souvent obligé. On eut des doutes sur l'intégrité de ses facultés mentales et trois médecins : le D1' Vocke, le profes- se
u'il s'agit d'idées délirantes, vraiment para- noïques, mais l'état mental n'est pas tout à fait le même que celui du déli
délire actif de jalousie, sans qu'il y ait non plus affaiblissement mental . Néanmoins l'accusé est excusable. P. KERAVAL.
V. Servitude pénale et folie, par A.-R. Douglas. (The Journal of Mental science, avril 1998.) L'auteur défend par de no
voirs des médecins en pareil cas, par W.-B. MORTON, (The Journal of Mental science, janvier 1898.) , Il s'agit d'un homme
s sa famille et pouvait être considéré comme un cas type de stupeur mentale . 11 eut plusieurs intervalles lucides, nette- m
a nouvelle loi sur l'ivresse, par A. WooD-BENTON, (The jour- nal of Mental science, avril 1899.) Cette loi a été mise en v
r ? Réponse au D1' Mercier, par REGiNALD Il. NOOTT. (The journal of Mental science, janvier 1899.) Jusqu'en 1894 la diff
s les cas curables et de contribuer ainsi à rétablir un équi- libre mental qui permette à ces aliénés de guérir et de repren
dans les Basses Pyrénées, atteint depuis quelque temps d'aliénation mentale , a été trouvé pendu hier dans son domicile. (Pe
propriétaire au lieu des Noguez, et donnait des signes d'aliénation mentale . M. le docteur Cadenaule, de Saint- Ciers-Lalan
ction de psychiatrie. En 1889, le Congrès international de médecine mentale était auto- nome. Cette année il a été constitu
intéressants et pratiques, a permis de rattacher les modifications mentales à l'activité de certains centres déterminés.
quer certains troubles psychiques, de la confusion, de l'obtu- sion mentale , des amnésies de nature diverse suivant le siège
llemague). En se basant sur à peu près quatre cents cas de maladies mentales , dont les premiers symptômes remontent à la pub
ans, l'auteur arrive aux conclusions suivantes : 1° La morbidité mentale offre un de ses maximums à l'âge de la puberté.
sur la vie psychique, qui se manifeste soit en donnant aux troubles mentaux préexis- tants des caractères qu'ils n'avaient
bles puissent en effacer l'évidence; 5° La prophylaxie des troubles mentaux exige que l'on prête la plus grande attention à
qui peuvent troubler le développement de l'organisme physique .et mental dans cette époque si importante de la vie, telles
: 1° On doit entendre par psychoses de la puberté les affections mentales qui se développent dans la période de la puberté,
es de la stupeur, de la dé- mence, de la catatonie, de la confusion mentale ... C'est ce qui en rend le diagnostic difficile
orme légère ou démence pré- coce simple (stigmate de dégénérescence mentale , More]) doit être , SECTION DE PSYCHIATRIE. 21b
essive et de la démence épileptique spasmodique ; 8° La confusion mentale présente un délire de rêve ou délire onirique,
a dégénéré en folie systématisée secon- daire avec affaiblissement mental ; 3° Folies périodiques, 20 cas. Toutes les for
lle devient une idée fixe autour de laquelle s'oriente toute sa vie mentale et affective. C'est l'obses- sion de la rougeur
eau et de ses enveloppes, nous en viendrions à opposer les troubles mentaux qui se prêtent à un diagnostic topo- graphique
ec une quasi certitude, la possibilité de faire, pour la pathologie mentale , ce qui a été fait, dans ces trente dernières a
sur des bases objectives, le diagnostic topographique des maladies mentales . Déjà, nous entrevoyons le moment où, neurologi
auté de vues nous unit sur le terrain de l'étiologie. En pathologie mentale , comme en pathologie ner- veuse, nous attribuon
le étiologique de premier ordre. Dans le développement des maladies mentales et dans le développement des maladies nerveuses
édons ainsi les éléments d'une prophylaxie rationnelle des maladies mentales et des maladies nerveuses. Une connaissance 64
ueur croissante, le siège et le mécanisme des maladies nerveuses ou mentales , de distinguer celles qui résultent d'une perturb
ue la principale source de bonheur réside dans un parfait équilibre mental , dans une parfaite har- monie entre les apparei
rents, à Bruay. (Le Temps, du 12 août 1900.) Hôpital des maladies mentales de Pierrefeu. 39° concert offert aux pensionnai
repos au lit) dans le traitement<iies formes aiguës des maladies mentales et les modi< fications qu'il pourrait entraî
n fut mise à l'ordre du joùr à la section des maladies nerveuses et mentales au Con- grès des Médecins russes, en mai 1899.
e dépres- sion de celte énergie. On dit couramment : les maladies mentales sont des maladies comme celles du corps, et si le
repos est nécessaire aux dernières, il en est de même aux maladies mentales , mais on ne tient pas compte du fait que même d
- DE l'alitement. 285 5 tantes dans la thérapeutique des maladies mentales . Nous avons bien depuis quelque temps toute une
lit par trop prolongé ne pourrait pas, en affaiblis- sant l'énergie mentale , contribuer au passage des formes curables de c
ence que l'effet théra- peutique du 'régime au lit sur les maladies mentales est incontestable. Certaines formes graves avec
de l'esprit dans les formes si fréquentes d' « amentia » (confusion mentale , amentia Meynert, dysnoia). Dans l'igno- rance
lités. CONCLUSIONS 1. Dans la question du traitement des maladies mentales par le repos au lit il faut distinguer le « sys
uffrent du délire alcoolique, dans beaucoup des formes de confusion mentale et de mé- lancolie. Il peut y avoir des indicat
indications vitales à l'appliquer chez des malades dont le trouble mental se rattache à une infection, une haute températ
tro,- capillaire qui transforme de l'énergie, et que les phénomènes mentaux obéissent aux lois de la physique générale. '
er (p. 197), à l'aide de ce qu'on observe dans certaines affections mentales , que la résistance du cerveau aux impressions q
aussi, mentionne les macrocéphales comme présen- tant des anomalies mentales associées à une difformité physique (fait dont
rmation semblable, il ne s'ensuit pas nécessairement que l'atrophie mentale résultait de cette entrave à l'impulsion normale
s le nom de microcéphalie. Pinel, dans son Traité de l'Aliénation mentale décrit aussi, avec des figures, deux cas de mic
s ulcérations, produites, chez les idiots, dans les cas de troubles mentaux . Finalement, Esquirol dans le chapitre sur l'id
le chapitre sur l'idiotie et dans son traité classique des maladies mentales , note que les circonvolutions cérébrales des id
s voyons que la façon de penser moderne au point de vue des vices mentaux , est de considérer la pathologie et la classifica
tielles et locales. 1° Par microcéphalie en relation avec les vices mentaux , nous entendons l'exiguïté anormale de la tête
anormale de la tête avec une conformation ' Esquirol. Des maladies mentales , t. II, p. 343, se réfère à des observations d'
est réellement celui d'une phase de la vie foetale ». (Affections mentales des enfants.) 5° Dans les cas névropathiques co
idiotie amaurotique congénitale (genetous) bien que les altérations mentales et physiques ne puissent être relevées géné- ra
tale nue et découvrant une partie du ventricule latéral (Affections mentales des enfants, p. 51. Planche à montrer). Dans un
dix-huit mois et de deux ans, sans toutefois présenter de troubles mentaux , des alté- SECTION DE PSYCHIATRIE. 309 ration
convulsions, et si la lésion du cerveau est peu étendue, un progrès mental appréciable peut être accompli, alors que l'amé
D1' Wilmurth (Communication sur le traitement précoce des troubles mentaux chez l enfant in Annales de l'association médic
idales et des cellules fusiformes et le caractère de l'insuffisance mentale . Avec une idiotie profonde, ces cellules sont e
anormalement rares, même dans les cas de plus faible insuffisance mentale . C'est à M. le D'' A.-W. Campbell, pathologiste
JI\I\'SKI, membre du Conseil médical, ancien professeur de clinique mentale à Saint-Pétersbourg. La classification des diff
anches dans les comptes rendus du Congrès international de médecine mentale de Paris'. C'est cette même année, en 1S7S, qu'
cs sur l'idiotie. Compte rendu du Congres international de médecine mentale de 1878, tenu à Pans (p. 215 et suiv.). 2 IIe
s les maladies de forme aiguë ; 7° Il faut tenir compte de l'état mental individuel, surtout en plaçant et groupant les
de Toulouse). Il est à remarquer que, dans la majorité des maladies mentales juvé- niles, l'alitement ne doit passe prolonge
thérapeutique de choix dans le traitement de toutes les affections mentales . z 324 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. ` M
nt l'aspect de l'asile est amé- lioré, mais la durée des affections mentales n'est pas abrégée. M. Magnan proteste contre ce
ont au nombre de 35 et réunissent les divers genres de l'aliénation mentale . Chez celles-là, bien que d'aucunes aient gardé
t utile, quelles qu'aient été la nature et la forme de l'aliénation mentale . B. Les secondes sont au nombre de 55 et présen
et présentent toutes une des formes ou l'un des genres d'aliénation mentale que l'on regarde comme susceptibles de guérison
ent plus particulièrement la manie intermittente et les aliénations mentales post-infectieuses qui bénéficieraient de ces ef
eux, depuis quelque temps, ne jouissait plus de toutes ses facultés mentales . (Petit Parisien, 22 septembre.) 4H 6 VARIA.
, rue des Carmes. ToNou (G.) ? Délia clinolel'apia nelle malallie mental . Brochure in-8° de 31 pages. Ferrara, 1900. Tip
à Leipzig, qu'a pris naissance l'enseignement clinique des maladies mentales en Allemagne. Ileinroth, élève de Pinel, fut, e
levé 562 pa- tients (291 hommes et 271 femmes) atteints de maladies mentales proprement dites (psychoses, paralysie générale
pendant plusieurs années, pour l'enseignement clinique des maladies mentales , que de l'asile provincial de Nietleben, situé à
struire une clinique modèle 376 G ENSEIGNEMENT. pour les maladies mentales et nerveuses, fit. pour la somme de 150 000 fra
ns psychiques normales : il s'agit en un mot d'un état de faiblesse mentale qui ne permet pas de rectifier les conceptions
lima, Fischer, 1897. Analysé in Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, 1897, p. 350. LES CLINIQUES PSYC
rmédiaires à l'idée et à l'hallucination vraie, des représentations mentales vives, ani- mées, précises, mais dépourvues du
e présente plus ce caractère. Elle reste à l'état de représentation mentale vive, précise, sans aller jusqu'à l'hallucinati
ue c'est une pseudo- hallucination 1'eT- baie. Cette « conversation mentale » ne-diffère ainsi de la pensée ordinaire que p
e l'innervation de Wundt, faculté locomo- trice ou sens del'énergie mentale motrice de Hamilton). C'est cette sensation de
, dont 3 avaient été montrés au Congrès international de médecine mentale de 1889. Il indique, à l'aide des photographies d
Sur les déformations spéciales des ongles au cours de l'aliénation mentale ; par le Dl' Marco Trêves (de 'I urin). Discuss
certaines lésions cellulaires corticales accompagnant les accidents mentaux des maladies générales. (Laboratoire de M. Gilb
'tuberculose, lésions du foie, lésions du rein), avec des troubles mentaux plus ou moins accentués. On constate que, dans
le parallélisme d'intensité des lésions cor- ticales, des troubles mentaux et des accidents généraux de la maladie. Si d
es men- taux dans lesmaladies générales (délires fébrile, confusion mentale , hallucinations, etc.) à l'action cérébrale des
ntoxication, etc.) ; il en est ainsi, d'ailleurs, pour les troubles mentaux qui les accompagnent, et qui varient peu malgré
ecture, des communications ci-après : . L'alitement en aliénation mentale ; par MM. hiaIRET et DELTIIEtL . (de Montpellie
appliqué aussi souvent que possible dans le traitement des maladies mentales , » La section aborde ensuite la discussion de l
ans l'ensemble des manifesta- tions si variées de la dégénérescence mentale , a subi une véritable transformation et nécessi
, elle n'est qu'une expression symptomatique de la dégéné- rescence mentale ; et, même, ce rapport est si étroit que l'obses-
ondément perturbatrice est l'origine d'une série de représentations mentales , d'associations d'idées destinées à l'amplifier
, nos inquié- tudes, nos angoisses. Syndrome de la dégénérescence mentale , l'obsession est donc une variété d'automatisme
ésentative du mouvement correspondant et plus ces représen- tations mentales s'accumulent et s'irradient, plus leur contenu
au milieu d'une sorte d'éblouissement vertigineux, de con- vulsion mentale , quoique la conscience reste présente, sinon in
es mêmes éléments émotionnels qui, sur le fond- de dégénéres- cence mentale , président à la formation de l'obsession. L'imp
on sont essentielle- ment des stigmates moraux de la dégénérescence mentale , les perversions de l'instinct sexuel, à leur t
s l'enfance ou l'adolescence, point de départ des représentations mentales obsédantes et impulsives qui domineront désormais
out un ensemble de signes révélateurs de l'état de déséquilibration mentale et parfois, aussi, d'autres syndromes coexistan
vie, le choc émotionnel, à la suite desquels les repré- sentations mentales obsédantes se sont développées pour aboutir au
besoin. L'exhibitionnisme impulsif, syndrome de la dégénérescence mentale , est donc : Une perversion sexuelle obsédante el
es fessières, cheveux, etc., etc.). Syndrome de la dégé- nérescence mentale , le fétichisme est une perversion sexuelle obsé-
tiche étant, soit directement, soit par évocation ou représentation mentale , l'élément ci la fois iîéces- saire et suffisan
our marqué par cette commotion émotionnelle, cette sorte de vertige mental initial, la subordina- tion devient de plus en
d'un attentat qui révèle un système. Syndrome de la dégénérescence mentale , le sadisme pathologique est une perversion sex
superficiels et profonds comme aide au diagnostic dans les maladies mentales , 189G. 452 li CLINIQUE NERVEUSE. neurologie d
ilepliques, la majo- rité assurément, ne présentent pas de troubles mentaux . Que d'épilepliques ont tenu des places brillan
ous estimons que c'est à un médecin versé dans l'étude des maladies mentales que doit en appartenir la direction ; nous ne s
direction ; nous ne saurions admettre en effet le voeu n° 4. L'état mental de ces enfants est un état pathologique ; c'est
d'aliénés. C'est que l'idiotie rentrant dans le cadre des maladies mentales tombe sous le coup de la loi du 30 juin 1838 su
es; 0 Privat-docenteu ; 1,3-13 étudiants). La clinique des maladies mentales et nerveuses de l'Université de Berlin est inst
, a joué un rôle capital dans l'histoire des progrès de la médecine mentale en L'russe. Nous croyons devoir le rappeler bri
rs des leçons magistrales, l'enseignement des maladies nerveuses et mentales est encore assuré à Berlin (18\H-) par de nombr
extraordinaires; 3 Privat-docenten; 232 étudiants.) Les maladies mentales ont été enseignées à l'Université de Tûbingen d
rt à l'enseignement clinique. La création de la chaire des maladies mentales à l'Uni- versité d'Erlangen remonte à l'année 1
ts.) L'Université de Heidelberg ne possède une chaire de maladies mentales que depuis une vingtaine d'années. C'est le 15 oc
rs, on s'était contenté d'utiliser pour l'enseignement des maladies mentales les asiles provinciaux voisins des universités.
aires; 10 Privat-docenten; 233 étudiants.) La clinique des maladies mentales et nerveuses de l'Université de Stiasbourga été
est en souvenir de cette impression forte, avec les représentations mentales dont elle est l'occasion, que l'idée s'impose p
collatéraux, toutes les formes pos- sibles de maladies nerveuses et mentales : en effet, il n'est pas rare d'y rencontrer de
à des troubles psychiques se manifestant sous la forme de confusion mentale avec délire à type onirique ; que c'est là un a
e des asiles publics d'aliénés. Morel a démontré que les maladies mentales allaient en s'aggra- vant d'une génération à l'
es deux faits, qui sont fondamentaux dans l'étude de l'aliénation mentale , héréditaire est incontestable, et nous l'avons s
ution clinique el analomo-palhologique ci l'élude de la con- fusion mentale , avec projeclions des préparations histologiques.
anatomo-patbologi<lues concernant le syndrome de la confusion mentale . Ils apportent deux faits nouveaux dans lesquels
ent deux faits nouveaux dans lesquels le syn- drome de la confusion mentale s'est développé nettement sous l'inlluence d'un
endomé- trite purulente. Dans la première observation, la confusion mentale typique était précédée d'un délire systématisé
quarante-huit heures. Le second cas constitue un type de confusion mentale psycbo-primitive. Les deux cas se terminèrent rap
très importantes furent constatées chez la malade dont la confusion mentale se déclara au cours d'une en- dométrite purulen
ci l'étude de la fréquence de l'hérédité dans l'étiologie des états mentaux chez l'enfant. M. Dans -)16 cas de débilité men
gie des états mentaux chez l'enfant. M. Dans -)16 cas de débilité mentale ou d'imbécilité, l'hérédité existait dans tous
certaines lésions cellulaires corticales accompagnant les accidents mentaux des 'Ina ladies amené- ¡'ales. M. MATRICE Fau
, tuberculose, lésions du foie, lésions du rein), avec des troubles mentaux plus ou moins accentués. On constate que, dans
es men- taux dans les maladies générales (délire fébrile, confusion mentale , hallucinations, etc.) à l'action cérébrale des
II, 1899.) Il s'agit d'une femme de vingt ans tarée au point de vue mental et héréditaire, qui urine toujours en abondance
ue la pauvre femme ne jouissait pas de la plénitude de ses facultés mentales . Ils la conduisirent chez M. Blondeau, commissa
levard du Roi, donnait depuis quelque temps des signes d'aliénation mentale . Pendant que son mari faisait brûler du café da
ré que sa femme ne jouissait pas de la plénitude de ses' fàout- tés mentales . (La France, du 22 octobre 1900.) "' . ", 1.. ? -
ue Franklin, donnait depuis quelque temps des signes d'alié- nation mentale qui inquiétaient ses voisins. Hier soir, vers onz
3 ? 0; par Uoutrebente, 323, par Magnan, 324. - dans l'aliénation mentale , par Mairet et Dellheil, 429. Discussion sur
Elimination du - dans l'épilepsie, l'hystérie et quelques formes mentales , par û0lltlll, 45. Cellulaires. Lésions - cor
0lltlll, 45. Cellulaires. Lésions - corticales dans les accidents mentaux des maladies générales, par Maurice Faure, 4
rew, 513. C031PYLOGR ? %IIIE crânien, par Blin, 1187. Confusion mentale , par ltoubino- witch et Vlavianos, 491. Conge
301, 127. Crâne. Influence du traumatisme du -dans les maladies mentales , par Ehrnrooth, 08. Chamectojiie pour industr
blesse d'esprit. Remarque sur le terme-, 40. Familiales. Maladies mentales -, par Arnaud, Doutrebente, Ta- guet, Christi
flat-ris, If 1. Hémiplégie et aphonie hystériques avec symptômes mentaux , par Montromery, 149. - sensitivo- sensoriell
isation des - z cérébraux, par Vogt, 174. Hérédité dans les états mentaux de l'enfant, par Blin, 492. Nocivité de Il pa
térieure, par Bllceles, 156. Thyroïdien. Traitement des troubles mentaux par l'extrait -, par Lee- per, 16. Torticolis
troubles mentaux par l'extrait -, par Lee- per, 16. Torticolis mental , par Noguès- et 511'01, 40. TABLE DES AUTEURS
28 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
0 G 1 E NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE , DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fonder par d.-M. CIItIRC(1T PIIIM1KE SOUS LA
iFcrioN nE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales ? [J\ Faculté de l11édPl'llIe de Paris. V. MA
yelic type occlIl'in9 in ! 'oll's diseuse (Journ. of iiei-voits and mental disease, 1898, p.2571. . PARAPLÉGIE SPASMODIQ
b; . par les Drs de Bucx et BROECKAERT. (Bull. de la Soc. de Méd. mentale de Belgique, décembre 1901). Il s'agit d'une fe
avec l'âge mûr, est inéluctable et s'accompagne souvent de troubles mentaux , en particulier de démence dans la dernière pér
nt par o, qu'il n'eût, sans cela, trouvés qu'avec un effort. Vision mentale des objets. 11 les reconnaît sans exception, sans
es après l'accident, coloration bleuâtre de la peau et phéno- mènes mentaux . Absence d'hémoglobinurie, de strangurie, de vo
élire et convulsions. Le lendemain, céphalalgie, vertige, confusion mentale légère. A partir du troisième jour, l'étal men-
associées, suivant la direction et les lois fondamentales des états mentaux d'où résultent la physionomie de chaque cas par
ets, idiots, masturbateurs pervertis, etc. M. H. IV. L'aliénation mentale pour le juge et pour le médecin. Réfle- xions s
mal ne dis- paraît qu'à un stade très avancée de la désorganisation mentale ; REVUE DE MÉDECINE LEGALE. 77 7 c'est la volo
'est aller contre la loi et la nature même. Si tous les désordres mentaux étaient de la notion de la perte du bien et du
a liberté est de première importance. Il faut faire examiner l'état mental de l'accusé par un médecin, et, de préférence,
par un aliéniste. SIMON. VIII. Erreurs judiciaires en aliénation mentale ; par Geo-Villeneuve et E.-P. CIIAGNON. (Americ
magistrats ne sont le plus souvent pas aptes à juger des conditions mentales des accusés conduits devant leurs tribunaux pou
n des devoirs de leur charge d'ordonner un examen médical de l'état mental des accusés, quand les cir- constances du crime
ur attitude et leurs antécédents paraissent indiquer des conditions mentales défectueuses; 3° dans tous les cas où la défens
t compte aux magis- trats de tous ceux qui présentent une condition mentale douteuse. (Bibliographie). Simon. IX. Quelque
signe plus ferme. Elles sont seule- ment une marque de défectuosité mentale ; mais de folie ? - z - seulement si elles sont
criminels qui y sont, permettant de se faire une idée de leur état mental . , Pourquoi ne pas continuer le traitement des
leur subordination étroite à des troubles primitifs. » Torticolis mental surajouté à des mouvements hémichoréiformes. MM
s spasmodiques choréiformes du bras droit. Récemment, un torticolis mental en rotation à droite, est venu s'adjoindre aux
is et améliorer les mouvements choréiformes du bras. Quant à l'état mental de la malade, il est resté peu développé. Cepen
on involontaire. Le sujet contemple le vide, il a la représentation mentale d'une chute; or toute idée d'acte s'accom- pagn
e appel à une hypothèse aussi extra- scientifique que la suggestion mentale . Séance du mardi 19 novembre 1901. Présidence d
qu'à l'état de symptôme ; ce qu'il faut soigner, c'est la maladie mentale elle-même, laquelle est très difficile à modifier
1,369. Le Dr Claye Sltaw'attribue cet accroissement de l'aliénation mentale aux influences de la guerre du Transvaal. Beau-
çaise sera enchan- tée d'avoir dissipé quelques doutes sur la santé mentale de leurs voisins d'Albion. Et voici l'évidence,
dynamomètre. Si l'on demande au malade de Fif}. 13. 102 CLINIQUE MENTALE . tapoter des deux mains sur la table, comme s'i
t marque davantage en quoi la théorie doit expliquer les phénomènes mentaux , complexité des cellules nerveuses. d'où instab
s entre l'altération des reins (of renal disease) et le dérangement mental ; par V.-S. WOHCESTEH. (4'lltl'ican Jour- nal of
es causes les plus communes, sinon la plus commune du dérangement mental . (Bibliographie.) SI : .ION. VII. Les opinions
mettent de rattacher à la zone corticale déjà indiquée le phénomène mental de la sécrétion du suc gastrique qui se produit
côté de la dépression et de la diminution intellectuelles un état mental particulier, qui constitue leur note psychopathiq
d'obnubilation intellectuelle auquel peut s'ajouter du ptiérilisme mental ; - 2° Les endothéliomes des méninges peuvent s
es tumeurs cérébrales. il. C. XXIV. Des rapports entre le contenu mental et l'activité nerveuse ; parE.-B. DELABARnE. (T
une certaine mesure, Mais en réalité il n'existe que des phénomènes mentaux , sans plus, dont le déterminisme est aussi rigo
ion de l'anniversaire de l'inauguration de la clinique des maladies mentales et nerveuses de Saint-Pétersbourg. La péroraiso
orce du cerveau joue le rôle le plus important dans notre existence mentale . Pourtant, malgré les progrès faits par la phys
ncmrm avec goitre exophtalmique. M. Sciierb (d'Alger) un syndrome mental au cours de l'urémie. M. KLIPPEL au nom de M. l
elativement aux injections de sérum dans le traitement des maladies mentales et nerveuses que j'ai fait appliquer dans mon s
outenir cette opinion et tout en reconnaissant la valeur du trouble mental dans l'obses- sion, en particulier celle de la
d'hypnose, chez qui la provocation d'une attitude détermine l'état mental correspondant. Au surplus, à l'appui de cette o
e puiser en moi des AnclII\'F. 2' série, I. XIII. 13 194 CLINIQUE MENTALE . forces de résistance, de me donner du « ressor
ution physique et psychique. 1 - Pans, le 7 mars 1897. CLINIQUE MENTALE Contribution à l'étude des réactions de la peau
ues où ils n'avaient pas leurs attaques. Les quatre autres formes mentales se suivent de près. Si maintenant nous envisage
arriver toujours en tête avec une énorme proportion et la débilité mentale en queue avec un écart considérable de lu3,6 p.
décroissant de fréquence l'hystérie puis les quatre autres variétés mentales qui se suivent de très près. Enfin il y a trois
tés mentales qui se suivent de très près. Enfin il y a trois formes mentales sur sept : la démence, l'hystérie et la sénilit
e et le dernier à la vésanie, entre les deux se placent la débilité mentale et la touchant de près l'épilepsie. Il résulte
ent d'une manière générale mais encore dans chacune des sept formes mentales . La plus rare après elle est l'absence de toute
s la paralysie générale, égale à l'affaiblissement dans la débilité mentale et supérieure à la dermographie seulement dans
e, néanmoins elle est inférieure à la dermographie dans la débilité mentale et la démence et dans la première de ces deux f
bilité mentale et la démence et dans la première de ces deux formes mentales égale à l'absence de toute réaction. Quant à la
à l'affaiblissement, elle arrive néanmoins eu tête pour la débilité mentale et la démence. V. - Comme chacun sait, on réuni
e chacun sait, on réunit sous la dénomination de vésanies des états mentaux fort divers, voire même opposés, qui forment qu
entaux fort divers, voire même opposés, qui forment quatre maladies mentales distinctes : lypémanie, manie, double forme, sy
ns des réactions de la peau aux trois périodes de la 198 - CLINIQUE MENTALE . paralysie générale et pour cela de suivre les
a peau croissent parallèlement à l'évolution du mal. 200 CLINIQUE MENTALE . par rapport à l'intermédiaire de 31,4 p. 100,
enir. 20. Dans la journée du 19, Louis a présenté de la confusion mentale . Où êtes-vous ? Je ne sais pas. Quel âge avez-vou
nous permettent la gué- rison de l'hystérie. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . I. Les aliénés criminels; par le D1' Lentz. (b
endus du service des enfants de Bicêtre. (B.) - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 3)7 ï la paralysie générale. Cette affection s
ir cette question.. M. Il. VI. Sur quelques problèmes en aliénation mentale ; par F. PETER- son. (NelV-Yol'(Med, Record, 3 j
ventif de la folie puerpérale. - Aendant le travail, les troubles mentaux transitoirs rappellent l'épilepsie psychique. L
l'urémie, l'épuisement de la lactation. Les 218 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . signes cliniques sont ceux du délire aigu pouv
re. Prédispo- sitions nerveuses fréquentes. A. M. VIII. Confusion mentale ; par V. Orz r GiQUP : RDO. (Révista de Méd. . y
. pract., n° G63.) L'auteur relate un cas très typique de confusion mentale survenu au cours d'une convalescence avancée de
enu au cours d'une convalescence avancée de typhoïde. L'affection mentale fut traitée et guérie complètement en trois mois
ant son malade ? Chaslin, Séglas ou Gombault auraient dit confusion mentale ; Lasègue aurait dit mélancolie per- plexe ; Dag
e vers les idées de Magnan tout en se servant du terme de confusion mentale . F. 13. , IX. Mort par thrombus multiples d'o
idu aux influences qui le sollicitent. SIMON. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 219 XI. Dégénérescence; pal' ÛRPHEUS Everts. (
hives de neuro- logie, 1901, p. 000.) 1 220 0 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . plus complètes du cas d'Amos D. Palmer, imbéci
cessaire expérimentalement à la réparation des~ REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 221 1 désordres cellulaires. Et, pour assurer
nt pour le diagnostic. Smo. XVIII. Pathologie générale des maladies mentales ; par Henry-J. 13EIIKLEY. (The E1 naericuv Journ
l of lnsanity, 1900, p. 45 i-499.) Extrait d'un traité des maladies mentales de l'auteur, actuelle- ment sous presse. Idées
us presse. Idées générales sur les deux grands groupes de désordres mentaux : fonctionnels, à guérison fréquente; et types
s vasculaires syphilitiques. 1 SillON. 222 12 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Folie transitoire consécutive à des phénomènes
es faire verser : femme de vingt-trois ans, faisant de la confusion mentale , avec excitation par intervalles à l'occasion d
iens, il importerait aussi de les choisir : des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 223 écoles d'infirmiers et infirmières pourrai
re froide ; et lui apprendre le courage à supporter les détresses mentales ; G° vie de plein air et à la campagne plutôt que
idérées aujourd'hui comme des formes : 214 Il . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . d'une même maladie; il en sera de même sans do
sique. Mais que savons-nous de la chimie cellu- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 225 laire du cerveau ? Les conditions essentie
ata journal of Insttmty, juillet 1899, p. 69-88.) Les aberrations mentales sont souvent associées aux époques de la vie, p
leurs. Dans presque tous les cas où Tomlinson a trouvé des troubles mentaux aux dif- férentes périodes de la maternité, des
es mentaux aux dif- férentes périodes de la maternité, des troubles mentaux avaient existé aux époques de l'adolescence et
ces liomi- ActHVhs,2°série,t.X ! )I. 15 22C 6 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . cides contre son enfant ; en somme, manifestat
C'est à Kroepelin surtout qu'on doit de prendre REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 227 7 ainsi en considération pour dénommer et
on appuient ces idées). - SIllON, XXV. Remarques sur la contagion mentale et l'infection héritée ou acquise, avec considé
e nous naissent prédisposés ou si imparfaits que leur développement mental est impossible ou par lesquels ils acquièrent c
eur vie ultérieure. Contagion n'est pas juste seulement de maladies mentales ou nerveuses d'ori- gine microbienne. Ce terme
édité. Et Dewey rappelle plaisamment à ce 228 8 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . sujet qu'un auteur anglais a soutenu récemment
és. SlI01(. XXVI. L'imagination dans ses rapports avec les maladies mentales ; par liobert-11. Co s1 ? (ilmerican JO ! l1'l !
n'y a cependant pas de forme d'activité intel- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 229- lectuelle plus commune ; c'est qu'elle es
est causé par la sensation seule de la dou- 230 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . leur, purement psychiques par conséquent, sont
n revient de temps en temps; la malade n'en est REVUE DE PATHOLOGIE MENTAUX 231. 1. d'ailleurs pas troublée; c'est de l'hal
. Névrose d'angoisse ; par le Dr de BucK. (Dull. de la Soc. de méd. mentale de Belgique, juin 1901.) .) Observation d'une f
al, de la pâleur, des frissons, etc. La ma- 232 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . lade croit qu'elle va mourir Un tremblement à
e corridor, il rentre et demande pardon : refus REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 33 'net du professeur; l'élève alors frappe, s
erpent se glisser dans son gosier. Il n'a a 234 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . pu en arrêter les mouvements. Depuis l'animal
uc (lésions circonscrites) : deux observations. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ` 23u Inversement, il existe des lésions en fo
ue dès le début et le gâtisme qui ne correspondent pas à l'activité mentale suffisamment vive ; - 3° la folie périodique s'ac
ites, l'auteur tire les conclusions suivantes : , . 1° Les formes mentales les plus différentes n'ayant rien decom- mun av
ent également en d'autres affections 3° de même, parmi les troubles mentaux , il n'en est pas un qui soit exclusivement prop
u moins grande disproportion dans l'atteinte des diverses fonctions mentales est pleinement spéciale à la paralysie générale
tant plus valoir de beaux garçons du Caucase. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 237 I Le batcha, danseur. chanteur, acteur, à
a d'elle comme d'un batscha, mais peu à peu 238 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . il eut avec elle des rapports normaux, si bien
aire sa femme légale. 1'. hen.wnr.. XXXIV. Délire par introspection mentale ; par M. V.sciiii)F, Cl. Vuupas. (Nouv. Iconoyr
e vivre sans s'étudier est normal et que les fouilles de l'activité mentale , l'intro- spection en un mot, sont inutiles et
ons générales, S. XXXVI. Friedrich Nietzsche. Étude de pathologie mentale ; par William-W. 1REL.iND. (The Ilieizibt and Xe
e ses oeuvres et de ses lettres, qu'il ne passa REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 239 pas sans transition de la santé à la folie
au con- traire trouver sans cesse des traces de sa déséqullibration mentale . Stuorr. XXXVII. Mort d'un aliéné par fractur
omalies de développement qu'offre cette ma- 240 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . lade, sont limitées à la main et à i'avant-bra
la malade de M. Dupré semble autoriser l'opinion qui en ferait une mentale si non une hystérique.. 244 SOCIÉTÉS SAVANTES.
eur-Roche, qui donnait depuis quelque temps des signes d'aliénation mentale , s'est dérobé hier soir à la surveil- lance don
nq ans, demeurant à Sain^. Romain de Benet, et atteint d'aliénation mentale , s'est suicidé, mardi, en se jetant sous les ro
ovoqua la dési- gnation de trois docteurs pour l'examen de son état mental - mit dans la soirée en émoi le personnel de la
Vol. XIII. Avril 1902. N° 76. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE . Sur la théorie de l'obsession ' ; Par le D'
(psychasthéniques, neurasthé- niques, dégénérés), les dissociations mentales se produisent facilement, les phénomènes d'auto
es, août 1901. - Archives, 2' série, t. XIII. 17 238 PATHOLOGIE MENTALE . bides, mais il doit les subir, en dépit de la
la ' Hibot. La psychologie des sentiments, p. 429. 260 PATHOLOGIE MENTALE . colère, parce que nous tremblons que nous avon
démontré que l'idée ne devient obsédante que grâce à une altération mentale préalable. Tout le monde a l'idée de la rage et
f, p. 1333 et suiv. - ' Séglas. Leçons cliniques sur les maladies mentales . Paris, 1895, p. 80. 3 KrafTt-Ebing. Traité,
, celles qu'il appelait émotions délicates (Subller). 26 PATHOLOGIE MENTALE . elle l'est moins encore pour la plupart des ob
- La tristesse ci la joie. l'dlis, Alcali, 1900. 264 - PATHOLOGIE MENTALE . réactions paradoxales (vaso-constriction avec
des étals affectifs. Les états affectifs ne seraient que le reflet mental , que la conscience des modifications profondes
central. Paris, Carré et Naud, 1899, 11, p. 1336. 266 PATHOLOGIE MENTALE . 1 La théorie physiologique, telle que nous ven
qué, elle est surtout cérébrale, intellectuelle ; c'est une anxiété mentale plutôt qu'une angoisse organique; elle résulte,
s idées précises, l'existence d'un trouble préalable du dynamisme mental est nécessaire. L'émotion ne fournissant pas la r
obsessions et les plus insignifiants, cette véritable insuffisance mentale se trahit chez eux par la faiblesse et l'hésita
lté des mouvements musculaires. A cet égard, l'étude 268 PATHOLOGIE MENTALE . des mouvements offre, chez les obsédés, un int
nt à la fois, par une série d'actions et de réactions, toute la vie mentale et une partie des fonctions organiques. La cond
ntale et une partie des fonctions organiques. La condition fonda- mentale en est un trouble primitif et généralisé, affecta
uble n'estque la manifesta- tion d'unaffaiblissementdes « synthèses mentales », du pou- voir « d'adaptation de l'être au mil
L'obsession est, avant tout, une maladie de la volonté. CLINIQUE MENTALE . Biographie d'une idée fixe. Observation de C
t déjà extrêmement difficile, dans les formes banales de troubles mentaux , de découvrir l'origine, le principe du mal dans
pénétrer les parties les plus profondes de son être. Des troubles mentaux purement partiels dans l'enfance constituent un
disparut prestement. Cette histoire de sa vie et de sa 272 CLINIQUE MENTALE . maladie suscita chez moi un très vif intérêt p
a où je laissais Archives, 2" série, t. XIII. 18 S 274 4 CLINIQUE MENTALE . une soeur bien-aimée. Je ne me plus pas parmi
mes meilleurs amis et même de ma soeur, et personne ne 276 CLINIQUE MENTALE . savait me venir en aide : je lâchais de conser
nce du monde j'étais pris d'un sentiment d'oppression, 278 CLINIQUE MENTALE . je rougissais sans cesse, ce qui m'obligeait à
la pensée d'aller, mon examen terminé, en pays étran- 280 CLINIQUE MENTALE . ger : là je deviendrai tout autre » me disais-
s terrifiantes dont je ne pouvais me défendre. J'avais 282 CLINIQUE MENTALE . les sens très irrités, j'étais incapable de to
re mourir ; j'ai même tenté un suicide raffiné; je 284 -il CLINIQUE MENTALE . . voulais me rendre malade, me ruiner et mouri
un examen clinique rigoureux , dont le résultat fut que ce trouble mental ne trouvait aucun point t d'appui suffisant dan
développe en une flamme qui consume la vie, l'étin- 286 , CLINIQUE MENTALE . celle d'une manie enfantine couvant sous la ce
on pèse l'origine et la marche de ce cas si singulier de trouble- mental , on ne peut s'empêcher de se poser la question :
ale et en par- ticulier du mensonge comme symptôme de cette forme mentale ; Par BOURNEVILLE et J. BOYI;ft . Nombreuses
eption, le père de l'enfant n'ait pas encore pré- senté de troubles mentaux , l'hérédité paternelle est forte- ment chargée,
EUTIQUE. ' 301 VII. Traitement moral dans les maladies nerveuses et mentales ; par Richard DEWEY. (The American Journal of ln
gissant ainsi comme excitant. Quand ces contractions sont d'origine mentale , elles éma- nent des fibres vaso-motrices du sy
, qu'il ait subi une infection, un trauma- tisme, une contamination mentale , il devient le jouet de mouve- ments incoordonn
Sur les modifications des réflexes pupillaires dans les mala- dies mentales ; par Sieuerling. (AIL Zeitsch. f. Psychiatrie,
pendant longtemps comme un signe très important dans les affections mentales , n'a pas la valeur qu'on lui a attribuée. On la
ire et vient uniquement de la mère. SOCIÉTÉS SAVANTES. 319 ' Etat mental des aphasiques sensoriels. M. ViGounoux communi
graphisme se rencontre dans la plupart des formes de l'aliéna- tion mentale . Il est surtout fréquent dans la démence cataténi
sychose à base d'in- tCl1J1'élatio11s, Il n'est guère d'affection mentale dont il soit plus malaisé de préciser le début,
fréquents (toutes les demi-heures), s'accompagnent d'une confusion mentale et prennent enfin le caractère des accès d'épil
ner la ponction lombaire par crainte d'influence fâcheuse surl'état mental des malades. La migration des éléments figuré
int d'excitation maniaqne, aujour- d'hui en voie de démence. L'état mental de ce malade ne présente aucun relief intéressa
hanoff dans un travail paru en 1900 ', a réuni les cas de confusion mentale avec excitation, folie circulaire, délire de pe
» et depuis cette époque, aurait donné quelques signes d'aliénation mentale . Ce n'est toutefois que six semaines avant que
mentale. Ce n'est toutefois que six semaines avant que les troubles mentaux devinrent très apparents. « Il ne sait plus ce
ts, pouls normal aucune blessure, occiput un peu sensible. Activité mentale intacte. Démarche un peu titubante par suite d'
I, N. F. XI, 1900.) Critique du mémoire de Nissl sur « les maladies mentales dites fonctionnelles » (Miinch. inedie. IYochen
malades sont entachés de dégénérescence, d'ano- malies nerveuses et mentales datant de leur jeunesse, de prédis- position in
nt de trois semaines fut suivie d'une crise hystérique avec trouble mental , tendance aux idées de persécution. En même tem
ts pour faire contracter les muscles; on y adjoignit une suggestion mentale énergique. Pendant quelque temps on constata de
relation qui parait exister entre les signes phy- siques et l'état mental . 0 SmoN. XVI. Morphine et criminalité; parT.-D.
1901, p. 325-231.) 1° L'habitude de la morphine altère les facultés mentales du sujet, diminue son attention, pervertit sa c
correction, lorsque ces sujets ont présenté des signes d'aliénation mentale ou des états d'excitation nécessitant un traite
eine ter- minée, ne peut être mis en liberté, par suite de son état mental , il est transféré dans un asile d'aliénés dépen
par impulsion homicide pure ; par J. 1'i'tcLswomu. (The Journal of Mental Science, avril 1901.) Il n'est pas commun de re
qui en ressort de plus important, c'est l'existence de l'hérédité mentale , et qu'elle avait eu des tendances au suicide, ma
Il. M. C. XX. Epilepsie et crime ; par John 13.ncn. (The Journal of mental Science, avril 1901.) , La pathologie de l'ép
ci du premier groupe. Le second est plus intéressant : les troubles mentaux y ont une durée et une intensité variables : qu
is sous le nom d'équivalents psychiques de l'épilepsie. Ces états mentaux présentent des caractères particuliers, qui sont
ernes ont une tendance à rattacher iL l'épilepsie tous les troubles mentaux et toutes les impulsions irrésistibles. Sur 26j
crises sont suivies d'un sommeil profond et prolongé, les troubles mentaux du réveil sont ordinairement moins accentués; m
de manie furieuse. ' 410 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. Les troubles mentaux peuvent se manifester : 1° avant les attaques,
sieurs observations de ce genre; ' 2" Après l'attaque, les troubles mentaux varient dans l'époque de leur apparition, dans
ombre d'entre eux sont profondément amnési- ques. 3° Les troubles mentaux qui surviennent dans l'intervalle des attaques
lente; leur début est d'une extrême soudaineté; . 4° Les troubles mentaux qui remplacent les attaques et se manifestent a
IUSGRAVE-CL.1Y. XXI. Châtiment; par C.-A. Mercier. (The Journal of mental Science. juillet 1901.) Les travaux de M. Mer
t morale chez les criminels; par W. 1\'onwooD East. (The Journal of Mental Science, octobre 1901.) , Travail très substant
n moins par un geste antagoniste, est considéré comme un torticolis mental . Poliomyélite ou Polynévrite ? M. Brissaud pr
e. ' Double abcès contl'(lvalaires du lobe frontal droit, Confusion mentale " et mélancolie. \I11. Dupré et IIElTz. Femme
an- gement de caractère, troubles de la mémoire, légère confusion mentale . Elle entre un mois après à l'hôpital, en état de
ex-instituteur nommé Karandjulof a tué, dans un accès d'aliénation mentale , le ministre de l'instruction publique, M. Kaut
lectuel. G. Milhaud. La loi des quatre états. -')r G. Dumas. L'état mental de Saint-Simon (1" article). E. de CvoN. La solut
G. de IIOBCF1'Y. Qu'est-ce que la philosophie ? Dr G. Dumas. L'état mental de Saint-Simon (2' article).-A. BIUER. Des méth
é fournis par sa soeur. Il n'y a jamais eu de maladie nerveuse ou mentale dans la famille. L... est marié, père de quatre
e Villejuif).. {asile de Villejuif). - Le rôle que joue l'analyse mentale dans la vie psycho- logique des différents suje
Neurologie, 1901, n° 69). - Contribution à l'élude de la structure mentale des hal- lucinations (Al'chivio di Psichatria,
ns. 475 même, et là encore tantôt sur le corps, tantôt sur l'état mental 1. Ainsi selon ces diverses orientations on pourr
lire métaphysique et le délire d'introspection soit somatique, soit mental . En forçant la pensée et en parlant une langue
ins phénomènes psychopatiques d'une haute importance en séméiotique mentale . Nous voulons parler de la variété d'hallucinat
eniatria, 1901, vol. XXVII, p. 179-186). - Délire par introspection mentale (Nouvelle Iconographie de la Salpêlrière, 1901,
métaphysique (Revue Scientifique, 1901, n- 6. p. 171-1T ! ). On the mental analysis. The Journal of mental Patliology, 190
, 1901, n- 6. p. 171-1T ! ). On the mental analysis. The Journal of mental Patliology, 1902, II, p. 57-69. 476 psychologie
it un examen complet et soigné d'un cas de délire par introspection mentale , particulièrement instructif, nous avons remarq
it l'objet d'un précédent travail sur le délire par introspection mentale 1. 1 III L... Maria, quarante-trois ans. Acci
ailleurs très bien avec son caractère habituel. Cette introspection mentale l'abstrait et lui fait oublier le monde extérie
prit réviennent à la mémoire et elle examine attentivement son état mental , des craintes de culpabilité engendrent des idé
pable. En un mot, L... cherche à analyser et à expli- quer son état mental . Elle cherche à distinguer des actes ou des pen
Voici encore une autre phrase d'elle qui précise bien - ,on trouble mental et sa manière intellectuelle de réagir. « Je suis
champ de sa cons- cience. Après une analyse minutieuse de son état mental , elle leur trouve une origine en dehors de sa v
de la malade, dont elle prend connaissance par une introspection mentale exagérée n'étant pas soutenue par des connaissanc
elle attribue à ces pensées une origine exogène. Et lorsque l'image mentale de ces pensées est assez intense elle se tradui
est néces- saire, et lui semble juste et évidente. L'introspection mentale nous paraît jouer ici un rôle capital. Nous ne
ituellement on nomme psycho- ' motrice. Mais dans l'étude de l'état mental de L..., indépen- damment des conditions physio
e critérium néces- saire pour distinguer l'élaboration d'un travail mental ou même les mentalités différentes qui jailliss
tres termes il s'agit d'une fouille intel- lectuelle, d'une analyse mentale qui échappe souvent au sujet qui interprète mal
médecins l'ont soutenue que l'élaboration entière de l'acti- vité mentale se manifeste presque intégralement sous la form
mpression, etc.; en un mot l'élaboration complète de notre activilé mentale se manifeste sous la forme d'un langage parlé i
ait toute surprise d'avoir trouvé en elle- même une vie physique et mentale dont elle ne comprenait ni l'essence, ni la sig
comprenait ni l'essence, ni la signification, ni la portée. Sa vie mentale et tout ce travail subconscient, avec cette sou
e délire que nous avons appelé délire par introspection. L'activité mentale saisie par ce choc, dont nous ignorons positive
ent t de toute préoccupation à des fouilles méthodiques de la vie mentale , à moins des condititions voulues, ignore complèt
es personnalités avec les sympathies et antipathies avec qui sa vie mentale avait au- paravant de profondes et intimes rela
ans un grand nombre d'autres du même genre où chaque fois l'analyse mentale est saisie et entre en jeu, provoque des halluc
jet de l'hallucination évoluant nor- malement dans la même activilé mentale . Le langage intérieur serait donc à notre avis,
prêter de même à des croyances pathologiques, surtout quand un choc mental ou autre met le sujet sur la piste de la reconn
inverse de ce qu'ils sont normalement. L'examen minutieux de l'état mental de notre sujet nous donne l'explication très ne
disions alors contre les psycho- logues qui négligent « trop la vie mentale des sujets, champ d'exploration sur lequel l'at
éaction auditive simple ou de choix, en rapport avec le coefficient mental (Comptes rendus de la Société de biologie,séanc
mais c'est seulement quinze jours avant l'entrée que les troubles mentaux apparurent plus marqués : propos incohérents, idé
gestion céré- brale ; depuis lors, il donne des signes d'aliénation mentale , cet état s'est aggravé ces temps derniers, au
es avant de faire de la para- lysie générale. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XXXIX. Un cas de psychose post-opératoire ; pa
pansement et aux questions posées répondit 494 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . par des insultes. Le lendemain l'agitation aug
qu'il peut arriver que là ou la sensation de la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 495 couleur blanche est anéantie, la sensation
rétro-oculaire périphérique chronique pro- 49G REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . gressive, qui aboutit inévitablement à l'atrop
la contrac- tion de l'orbiculaire palpébral. REVUE DU PATHOLOGIE MENTALE . 497 OBs. I. Dilatation des deux pupilles, pupi
immobile. Archives, 2e série, t. XIII. 32 498 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE .OBS. IV. - Les deux pupilles sont insensibles
'autre côté (obs. III et IV).- · ' P. RERAVAL REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 499 XXX,XIII : Etat mental d'un sujet empoison
- · ' P. RERAVAL REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 499 XXX,XIII : Etat mental d'un sujet empoisonné par le gaz d'éclai- rage
sur un. papier, pour le cas où il perdrait 800 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . encore connaissance. Il exprime l'opinion qu'i
eurs ; les douleurs rhumatismales si fréquentes REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 501 1 dans cette maladie sont parfois violente
XIX, 1900.) Les éléments de la tare héréditaire sont : les maladies mentales et nerveuses, une anomalie du caractère, des ac
le du cerveau propre à la paralysie générale et à d'autres maladies mentales , mais elle ne fournit pas de renseigne- 502 REV
les, mais elle ne fournit pas de renseigne- 502 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . · 'Ment' sur le 'genre particulier de la prédi
bvenant à ses propres dépenses; par A.-R. WImTEWAY. (The Journal of Mental Science, ' juillet 1900.) L'asile de Saint-Lu
l asile pour l'East Sussex; par H. Hnves Newington. (The Journal of Mental Science, octobre 1900.) Etude très complète d'u
au City'of London Asylum; par Arthur E. PATTERSON. (The Journal of Mental Science, juillet 1900.) Ce travail ne se prête
remaniement d'un vieil asile ; par Ernest W. WHITE. (The Journal of Mental Science, juillet 1900.) L'auteur fait dans ce m
e de la famille. Il serait donc important qu'une étude des maladies mentales fût une partie nécessaire du cours d'études. S'
lial en Ecosse ; par le Dr PLETERS. (Bull. de ' la Société de Jléd. mentale de Belgique, juin 1901.) . X. Réglementation de
nt été l'objet d'une ordonnance de non-lieu, en raison de leur état mental , elles crimi- nels devenus aliénés dont la pein
de la consanguinité, mais du fait de l'hérédité, de dégénérescence mentale ou physique, d'épi- lepsie, d'hystérie, d'idiot
etrouvent ici que ceux invoqués pour la genèse de la dégénérescence mentale et physique. L'anatomie pathologique n'existe p
s phobies, des obsessions se groupant autour d'un symptôme fonda- mental , l'angoisse, avec comme phénomènes satellites ou
x à sa place parmi les syn- drômes épisodiques de la dégénérescence mentale , est décrit sous le nom de névrose d'angoisse.
OGRAPHIE. XXVI. Essai sur l'alcoolisme. Causes sociales. Conditions mentales . Prophylaxie; par le Dr M. Champeaux. (Th. Lyon
isation à notre époque. Il recherche ensuite les causes sociales et mentales de l'alcoolisme, qui permettent de comprendre p
les établissements d'assistance. G. CARRIER. XXVII. L'aliénation mentale chez les prostituées. Etude clinique; par Franç
is Gaaz. (Th. Lyon, 1900-1901). Les principales formes d'aliénation mentale observées par M. Graz chez les prostituées sont
ie générale, la mélancolie avec ten- dance au suicide, la confusion mentale hallucinatoire, exception- nellement le délire
ésentent fréquemment des tares morales, bien qu'elles aient un état mental habituellement entaché de tares, les accès de fol
cs en général. Rapporteur : M. NoGuLs (de Toulouse) ; 2° Pathologie mentale : Des états anxieux df/1¿ les maladies mentales
use) ; 2° Pathologie mentale : Des états anxieux df/1¿ les maladies mentales . Rapporteur : M. LABANNE (de Bordeaux); 3° Méde
u'à la fin de l'année scolaire, d'un cours de clinique des maladies mentales . BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. BIHUGIA. - Le alte
Achard et Loeper, 48. Activité nerveuse Rapports entre le contenu mental et l' -, par Delabaire, 116. Affections organ
ec les -, par Ed. C. Runge, 77. Erreurs judiciaires en aliénation mentale , par Geo. Villeneuve et E. Chagnon, 79. Asile
Les criminels, par Lsntz, 216. Quelques problè- mes en aliénation mentale , par Petersou, 21,. Quelques-uns des problème
transitoire. Ob- servation slllgullèle d' -, par Gudden, 60. Ktat mental des aphasiques seusonds, par Vi- gouroux, 319
-et aliénés c1Jmmels, par Drew, 404. , DL,LIRE par introspection mentale , par I. Vaschide, 238. - mélan- . colique che
éné par - et hémorrhagie cérébrale, par Moulton, 239. Gaz. Etat mental d'un sujet empoi- i sonné par le- d'éclairage,
Bourneville, 516. Imagination dans ses rapports avec les maladies mentales , par R. Chase, 228. Impulsion homicide pure .
miliales, par Long, 46. Voir Extension. Patho- logie générale des mentales , pai FI. -J. Beildey, 221. - men- tales. Voir
. Trouble et développement de la -. par Liebmann, 309. Pathologie mentale . Voir Nielzche. Revue de -, 493. Patronage fa
moelle dorsale, pal nemak, 134. pupillaires dans les mala- (lies mentales , par iSiemerllng. 315. Du scapulo-huméral, par
horée. Reins. Relation entre l'altération des - et le dérangement mental , par Worcester, 133. Respiration ET pouls pen
gmann, 53. Sérum. Injections de-dans le trai- tement des maladies mentales et nerveuses, par A. Marie, 16ï. Société DE r
teurs chez les délirants chroniques, par Dufour. 86. Torticolis mental surajouté il des mouvements hélmchoréiformes ,
29 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
HIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES FONDÉE par J.-M. CHARCOT & BOURNEVILLE PU
RECTION DE Vlf. A.JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté* de médecine de Paris. V. MAGN
le clinique, du Dr Dagonet, comportant : « est atteinte de débilité mentale , cécité, parésie des membres inférieurs, gâtism
présentassent des lésions tuber- culeuses des poumons. CLINIQUE MENTALE Dégénérescence mentale et maladie de Basedow
tuber- culeuses des poumons. CLINIQUE MENTALE Dégénérescence mentale et maladie de Basedow ; Par les J)" (i. DHOMA
; Par les J)" (i. DHOMAHU et J. LrwsJr. La fréquence des troubles mentaux chez les bascdo- wiens a frappé de longue date
asedow ne peut créer de toute pièce un état vésanidue. Les troubles mentaux qui l'accompa- gnent sont sous la dépendance d'
hyroïdationllans la genèse du syndrome basedowien. DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE ET MALADIE DE 13ASI ! DO'% ? 27 Or ce principe,
au lit jusqu'à 7 ans. De bonne heure, on constata chez elle un état mental maléqui- ]ibré. Outre qu'elle présentait différ
e l'époque des règles et intéressant une moitié de la 28 CLINIQUE MENTALE . face 1)liéiioiiii-ii(s %asi)-iiiol eu rs très
En 1898, c'est-à-dire six à huit mois après le début des troubles mentaux , survinrent des manifestations canlio-vasculaires
éraient les palpilalions. Le soir, elle ne pouvait DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE ET MALADIE DE BASEDOW. 29 s'endormir, inquiétée
te des troubles cé- rébraux. En particulier, la rémission de l'état mental en 1901 ne e répondit à aucune amélioration du
a ménopause donna une forte poussée à ce dernier comme aux troubles mentaux , qui prirent comme nous l'avons dit un caractèr
'elle esteonduite à l'infirmerie spéciale du dépôt. Examen. A) État mental . Excitation intellectuelle : la malade ne cesse
çon désordonnée. Elle pleure et rit sans transition. L'instabilité mentale avec impossibilité absolue de fixer l'attention c
usoelLille de diminuer lé; : èl·e111cUL sous un taxis 3U CLINIQUE MENTALE . doux.On perçoit à son niveau un frémissement l
ence des mômes causes, ictus émotionnels, troubles DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE ET MALADIE DE BASEDOW. 31 de la ménopause, etc.
de « psychose basedowienne », sans refouler néanmoins les troubles mentaux qui nous intéressent dans tel ou tel cadre auto
d'influer d'une façon secondaire sur la physiononie des troubles mentaux en les exagérant ou les modifiant ; sans doute
ire aux gens : « Le concours est ouvert à tous ceux que la médecine mentale intéresse (sic). » Est-ce que les concours de l
boratoire et rompus aux diffi- cultés de la pratique des affections mentales . -Le Ministre de l'Inférieur, signé : I)UBIEF.
ois semaines supplémen- taire, enfin dans la suppression du travail mental et de toute excitation. A. ;\1. IV. Un cas de
trouva une lésion limitée tel la partie pos- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . il Î térieure de la capsule interne, et l'aute
ter par des troubles de l'équilibre. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1. Discussion sur les rapports de la paralysie
e question de psychiatrie amener à la tri- 48 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . bune. M. le Dr Magnan. Tour à tour les syphili
'accidents spécifiques en voie d'évolution et REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 49 surtout sur la fréquence du signe d'Argyll-
dia- Atscmvr ? 2^ série, 1900, l. XXI. 4 50 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . posé, de même que l'alcoolisme cc fait le lit
accomplissement, l'état de lassitude qui les REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 51 suit et enfin l'élévation brusque de la pre
e autre taro physique ou morale, à classer 52 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . l'individu qui en est atteint, dans la famille
faut de résistance, de la faiblesse naturelle REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 53 ou acquise des centres nerveux : de telle s
mpossible de mettre l'nrtaurose antérieure 54 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . sous la dépendance de l'affection, dont les pr
o-névroses dans lesquelles prédominent la débilité et l'instabilité mentale , la facilité de désagrégation sus-poly- gonale,
t née en 1889. Lors de ses pre- mières règles, elle présenta l'état mental hystérique. A propos des moindres reproches, el
iresà toute tentative d'hyp- notisation ; quand on étudie leur état mental habituel, on ap- prend qu'ils sont des originau
obsédantes et surtout de la rougeur constitue un véritable trouble mental . Un est autorisé à la considérer comme une des
idérer comme une des nombreuses manifestations de la dégénérescence mentale héré- dataire. Par ce fait, le pronostic acquie
ui, pour s'attirer la vénération populaire, simulent l'alié- nation mentale . Dans un récent voyage que je fis en Tuni- sie,
influence hypnotique, avec la persuasion, l'imitation, la contagion mentale , etc. Le sens de chacune de ces expressions doi
10 francs. Tous ceux qui s'intéressent aux progrès de la médecine mentale en France déplorent les préjugés régnant encore
ler, non pas une troisième édition du Manuel pratique des maladies mentales paru pour la première fois en 1884, mais un liv
, tels ceux consacrés à la symptomatologie générale, à la confusion mentale , à la dé- mence précoce, aux dégénérescences et
chiques qui constituent bibliographie. 69 les diverses maladies mentales . Signalons entre autres les troubles de l'idéat
e l'organisme) : manie, mélancolie, folie à double forme, confusion mentale . B. Les psychoses essen- tielles dans lesquelle
hapitres les plus intéressants citons ceux consacrés à la confusion mentale typique (délire onirique), à la démence précoce
), à la démence précoce que M. Régis envisage comme une confusion mentale chronique. L'auteur ne se fait pas illu- sion s
Régis vient à une heure favorable. Le goût des études de pathologie mentale , jus- qu'alors limité à un cercle des plus rest
pre à favoriser ce réveil et cette extension des études de médecine mentale . De plus il a le mérite de faire entrer tléfini
doivent les observer et les traiter. Pour les débutants en médecine mentale , les médecins des prisons, les médecins des arm
ombre de ces malades étaient atteints de dégénérescence physique ou mentale ; mais ces accidents psychiques peuvent surveni
ur l'intelligence et le caractère et engendrent lente- ment un état mental caractérisé par un amoindrissement des facultés
athiques analogues. La nature de l'otopathie, la forme des troubles mentaux , la prédispo- sition cérébrale, l'âge des malad
par excitation des zones idéo- 74 VARIA. gènes modifiant l'état mental dans le sens du rire, enfin par excitation de z
s un asile pu- hlic ou privé consacré au traitement de l'aliénation mentale , soit comme chefs de clinique ou internes des h
alors que ses vociférations ne laissaient aucun doute sur son état mental et sur l'urgence de son admission dans un asile
n des villes où ce Congrès, né du Congrès international de médecine mentale de 1889,a siégé avec les noms des présidents et
cutanée. La sensibilité objective est très dimi- nuée, mais l'état mental de la malade ne permet pas de l'exami- neravec
vis d'un sommeil prolongé qui s'accompagne, au réveil, de confusion mentale accentuée avec idées de préjudice, et réclamati
en profondeur, dénudant le sacrum et les dernières côtes. L'état mental a peu varié, mais les troubles de la parole se
me invétéré chez le père, il y a une hé- rédité nerveuse et surtout mentale du côté de la mère. 2° L'absence des principaux
Dans le cas actuel, la myotonie constitue une infir- 112 CLINIQUE MENTALE . mité gênante mais qui n'empêche pas notre mala
d'ensemble, la parades, le mal serait encore plus grand. CLINIQUE MENTALE Mal perforant et paralysie générale : Parle D
avation ; actuelle- ment, quoique toujours affaibli au point de vue mental , il est en rémission quant à ses idées délirant
ant à signaler, c'est que, en même temps que s'opérait la rémission mentale , les maux perforants s'amélioraient aussi ; la
e potassium par Archives, 2' série 1900; t. XXI. 8 114 CLINIQUE MENTALE . M. Ileurteloup (t) au Midi. Depuis 15 ans ? Ta
sur les trains én marche au P. L. M., comme conducteur. ' Examen mental . Ne sait pas très bien où il est. Se croit près
suivie dans deux cas d'un état de rémission des signes physiques et mentaux . Dans l'autre, l'aggrava- tion finale, prémonit
aralysie générale ». {Union médicale, 1882.) - ' 110 . CLINIQUE MENTALE . drait pas adopter, en ce qui concerne l'étiolo
observé lui-même un de ces cas de' suppuration pro- US CLINIQUE MENTALE . longée et apporté des observations de phlegmon
eu guère a enregistrer que des échecs. Tableau. 120 CLINIQUE MENTALE . Les premiers succès obtenus dans les intoxicat
Bruce, à appliquer les abcès de fixation au traitement des maladies mentales . Si les suppurations provoquées semblent donner
uant à l'explication vérita- ble, nous la laissons à une pathologie mentale plus avancée que la nôtre. REVUE D'ANATOMIE
igurent sont-ils fournis par des personnes étrangères à la médecine mentale ou même à la médecine. .M. Roubinovvitch. Les r
militaire croît en proportion inverse do sa durée,, les non-valeurs mentales doivent être plus rigoureusement ex- clues de l
vril 190G, à l'Université de Giesseii,dans la clinique des maladies mentales et nerveuses, sous la direction du D'' H. Somme
on. Vol. XXI Mars 1906 N° 123 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Hospice DE Bicêtre. Service du Dr S1GL.1 Le r
nnée (nolitionisme), de l'arrêt plus ou moins complet de l'activité mentale (stupeur ou stupidité). Dans son article. M. Dr
hobic dans la Archives, 2, série, 1906, t. XXI. 11 162 clinique mentale . démence précoce résulte d'une quantité de caus
is, se dit courbature.Ne prend rien de la journée. 164 CLINIQUE MENTALE . 11 août 1900. S. : Même état : reste couché. A
demi-stupeur, avec confusion des idées, et faisait t 166 CLINIQUE MENTALE . tout a\cclcnlcmcxtl'pme. A chaquc instant, on
ousi on oublie sciemment de la huiler, la malade se 16S CLINIQUE MENTALE débat et pousse des cris plaintifs, puis aussit
anmoins la transporter à la campagne*; elle y reprit 170 CLINIQUE MENTALE . immédiatement ses habitudes anciennes, la même
ce qu'il n'y en a point d'autre en usage courant dans la pathologie mentale . Mais si, comme nous l'espérons, le lecteur se
soeurs en bonne santé. Pas d'all'ections nerveuses, ni de maladies mentales déclarées dans la famille; nous n'avons pas de
courtes séances, pour éviter de fatiguer la ma- lade. et par l'étal mental de celle-ci. S ? estime débile intellec- tuelle
dans leur dégénérescence, parce que, ayant acquis une organisation mentale relativemeut dé- veloppée, ils sont capables de
é- bile ; alors tout sera prétexte au développement de trou- bles mentaux . Point ne sera même besoin d'émotions violentes
côté similaire du corps. 192 RECUEIL DE FAITS. Au point de vue mental , il ne présente pas d'idées délirantes ; il est
saire de faire intervenir une prédisposition spéciale aux troubles mentaux ; il n'y a qu'un choc moral trop fort pour une
lex ; par EDVARD(> POGGIO. (In Rivista di patho- logia nervosa e mentale . Florence, avril 190, t. X., fas. 4.) Dans un c
avail volontaire; par Trêves. (In Rivista di pathologia nervosa e mentale , Florence, mai 1905, vol. X, fasc. 5.) L'auteur
rétine ; par Renato l1EBlzzI, (lii- visttt (li pathologia nervosa e mentale , Florence, mai 1905, vol. X, fasc. 5.) L'aute
érimentale ; par LUIGO PANICHI. (In Rivista di pathologia nervosa e mentale . Florence, juillet 1905, vol. X, fasc. 7.) M.
sions des nerfs ; par PARIAN ! . (Rivista di pathologia nervosa e mentale . Florence, juillet 1905, vol. X, lasc. 7.) Dans
e dans la rage ; par 51CILL1N0. (In Rivista di pathologia nervosa e mentale . Florence, juillet 1905, vol. X, fasc. 7.) De
sensitifs ; par Gramegna et Segrk. (Rivista di pathologia nervosa e mentale . Florence, août 1905,- vol. X, fasc. 8.) Les
nimaux tétanisés ; par 'ft- BERTI. (Rivista di pathologia nervosa e mentale . Florence, août 1905, vol. X, fasc. 8. Par se
e de Parkinson; par SONNA SALARIS. (Rivista di pathologia nervosa e mentale . Florence, août lu03, vol. X, fasc. 8.) Dans
inisme sporadique ; par O. LUG.1R0; (Wvista di pathologia nervosa e mentale , Florence, janvier 1005, jvul. X, rase ? ) .
e diffuse; par Renato lE131ZZI. (in Rivista de pathologia nervosa e mentale . Florence, février 1 ! ! Oa, -ol. \, fasc. ` ?
é rare ; par CERLITTI el PFRUSINI. (Rivista di pathologia nervosa e mentale . Florence, août 190b, vol. X, fase. 8.) Les aut
tat des réflexes, delà sensibilité, des organes des sens, et l'état mental . Ils discutent certains signes spéciaux, tels q
onique progressive ; par Daudi. (In Rivista di pathologia nervosa r mentale . Florence, avril 190.'). vols, fasc. 4.) L'au
teur rappelle que l'élément fondamental dans le tic est. le trouble mental , le désordre de la volonté, facteur mental de la
s le tic est. le trouble mental, le désordre de la volonté, facteur mental de la production. Grâce à la mise en valeur de
; par LIOBCRTO ALFXANDRI ; (7) ! . Rivista di pathologia nervosa e mentale . Florence. Février 1\J03, Vol X. Fasc. 2). Il
ail, exécuté à la Clinique infantile, a en vue l'étude des troubles mentaux posttebriles chez l'enfant au-dessous de 15 ans.
bien connus en France depuis tes travaux de Régis sur la confusion mentale ; ils sont rares chez l'enfant , et une introduc-
eur et peu docile. XVI. FAlTO ? (Emile). Imbécillité et instabilité mentale . Cet enfant indiscipliné, turbulent, tout à fai
oite; il trace plus ou moins bien toutes les lettres. L'instabilité mentale , quoique amoin- drie, existe encore. Pour la va
pltale à un degré très prononcé, atteint d'idiotie et d'instabilité mentale . A son arrivée l'enfant ne sa- vêtements. Il ét
tre le chiffre et la quantité correspondante. 1902. L'instabilité mentale a diminué sensiblement, il écoute avec attentio
our l'arithmétique, il résout assez vite et avec justesse un calcul mental , connaît bien toutes les mesures métriques et f
il a une aptitude particulière, il en est de même pour le calcul mental , il compte de tête avec une exactitude et une rap
la plus grande difficulté à lui faire saisir le plus simple calcul mental . Tout ce qu'on est parvenu à apprendre à cet en
dré), né le 13 octobre 1893, entré le 20 décembre 1903. Arriération mentale , chorée, strabisme, affaiblissement du bras gau
toire de France par J. Miche- lel. V. pages 43, 44, 45.) CLINIQUE MENTALE Folies traumatiques et accidents du travail ;
pouvoir en tirer quelques considérations générales sur les troubles mentaux en rapport avec ces traumatis- mes crâniens et
niens, 1905. Archives, 2" série, 1903, t. XXI. ? 0 306 clinique mentale . La question du diagnostic des psychoses trauma
e le médecin connaisse la pathogénie et le pronostic des troubles mentaux consécutifs au traumatisme. Au point de vue pat
ogénique, il faut naturellement envisager deux variétés de troubles mentaux : ceux qui surviennent chez les sujets qui prés
ne) éclairer le terrain ; l'adjonction du chirurgien 30S CLINIQUE MENTALE . au psychiatre paraît ici indispensable pour ré
ltérieure. Pas d'hérédité, persistance de l'épilepsie avec troubles mentaux associés, mais pas de trou- bles moteurs, à la
e ayant entraîné le trépan dans les deux cas. Epilepsie et troubles mentaux associés (trépa- nation sans disparition des tr
associés (trépa- nation sans disparition des troubles physiques ni mentaux ). Dans le deuxième de ces cas, il y eut un élém
s succès d'ailleurs au point de vue de l'épilepsie, ni des troubles mentaux , puisqu'il passa à l'asile. La hromuration dimi
de rupture d'anévrisme. Plu- sieurs frères sans troubles nerveux ou mentaux . Observation V. - Cerf ? quarante-neuf ans, com
ux mois après, sa figure se contractait par instant, 310 CLINIQUE MENTALE . , surtout à droite. Puis, peu à peu, les attaq
tent bien nettement qu'ils sont en rapport direct avec les troubles mentaux , indépen- damment et sans préjudice des prédisp
juillet 1900, sur la demande de sa femme. Il s'agit là de troubles mentaux transi- toires immédiats ; reste' savoir ce que
Date d'apparition. Pour transitoires que parais z sent les troubles mentaux immédiatement consécutifs, ils n'en sont parfoi
sme ancien, devient surtout délicat, d'autant plus que les troubles mentaux crui se montrent plusieurs mois ou plusieurs an
si on objectait que, chez plusieurs, l'affaiblisse- 312 CLINIQUE MENTALE . ment démentiel fùt plutôt fonction d'épilepsie
n entraîne nécessairement de graves conséquences, au point de vue mental , pas plus qu'on ne saurait prétendre que le pro-
es, atteint de paralysie générale considérée comme 314 ' CLINIQUE MENTALE . consécutive à une série de chutes professionne
ves à la plupart de ses accidents, sauf toutefois pour l'incapacité mentale ultime. Observation X. - Un autre malade, touch
iné par le Dr Dagonot, qui si- gne le certificat suivant : Débilité mentale avec alcoolisme; cau- chemars, hallucinations t
de nous adresser les notes suivantes à son sujet. 316 CLINIQUE MENTALE . « Peu après son admission à Tournay, Cord ? es
paragraphe II des articles 1 et 20 de la circulaire sis CLINIQUE MENTALE . du Ministre de la Justice, en date du lOjuin l
r à M. Régis laconfu- sion d'un délire alcoolique avec des troubles mentaux autres, consécutifs aux traumatismes. Or, il no
élbylique des délires lraumaliqucs de ce genre. 320 . CLINIQUE MENTALE . malgré les recherches attentives et n'a aupara
e disproportion évidente entre le traumatisme, leschok, physique ou mental ,et les troubles consécutifs. Cette forme s'obse
r l'acci- dent et crainte de ses suites ; insomnie, introspection mentale , hypertrophie du moi, dépression mélancolique à
sation présente; il réalise alors, conformément aux lois du vertige mental , ce qui lui est repré- senté fortement, en l'ab
i, elle inhibe le réflexe du vomissement, tont comme, en orthopédie mentale et morale, elle réfrène les mauvaises habitudes
ug- gestion, peut suffire à ramener le calme, à équilibrer l'état mental . Un vieil adage enseigne que « la nuit porte co
nés nous relevons les suivants relatifs à des travaux de pathologie mentale et nerveuse . .. Prit : Alvanettqa de Piauhy «
à l'auteur du meilleur travail sur la thérapeutique des maladies mentales et sur l'organisation des asiles publics et privé
rage ou obtenu les meilleurs résultats de guérison sur les maladies mentales en en arrêtant, ou en en atténuant la marche te
ix CitJ1'ieu,c, -800 francs. Question de l'homicide en pa- thologie mentale . Prix Théodore lier pin (de Genève). 3.000 fran
rix sera décerné il à l'auteur du meilleur travail sur les maladies mentales . Nota. Les concours de l'Académie sont clos, to
e Médecine, consacré plus de quarante années à l'étude des maladies mentales el, à l'amélioration du sort des aliénés. Ses a
on. Vol. XXI. Mai 1906 Nu 125 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Folies traumatiques et accidents du travail ;
bservés dans le service nous ont paru/cor- respondre à des troubles mentaux développés à assez^n- gue échéance (3 ou 4 anné
-1, page 305. Archives, 2' série, 1906, l. XXI. 23 354 CLINIQUE MENTALE . hies, des idées fixes et de persécution du dér
ifficile d'établir le rapport effectif avec les troubles nerveux et mentaux actuels;une partie semble toutefois s'y t'éfél'el
blissement des facultés intellectuelles et de la mémoire, confusion mentale , consécutives à un traumatisme accidentel datan
uelle il se retranche est niaise et indique la débilité de son état mental . Le traumatisme, qui a pu donner un coup de fou
mental. Le traumatisme, qui a pu donner un coup de fouet à un état mental antérieur déjà déséquilibré, n'a joué qu'un rôl
e que l'observation clinique nous permet d'affirmer. 356 CLINIQUE MENTALE . Oas. XV. M. Tissot a présenté, le 28 décembre
u compte de phénomènes pure- ment subjectifs, conséquence de l'état mental de l'ouvrier, la volonté de celui-ci de plus ou
nique de la malade montre chez elle une prédisposition aux troubles mentaux qui se révèlent pal' quelques tares et dans div
dmettre des accidents cérébraux traumatiques réalisant des troubles mentaux analogues à ceux des dé- générés, sorte de dégé
et très lourds sans que pour cela ils influent forcément sur l'état mental morbide dû à l'ac- cident. Celui de nos malades
vation \'1 111azill ? trente-quatre ans, célibataire 358 CLINIQUE MENTALE . maréchal ferrant, interné pour paralysie génér
udié par un spécialiste. » Sur le terrain des troubles cérébraux ou mentaux as- sociés au traumatisme, la simulation ou du
a famille, qui vint récla- mer peu après un certificat d'aliénation mentale . L'entrée à l'asile parut être un moyen d'obten
devra pas borner à- l'état physique ; il devra s'éten- dre à l'état mental , en raison de ce fait que l'argument principal
faut qu'il y ait eu quelque modification dans l'état 362 CLINIQUE MENTALE . \ mental du malade, ou tout au moins un sympôm
ait eu quelque modification dans l'état 362 CLINIQUE MENTALE. \ mental du malade, ou tout au moins un sympôme phy- siq
que comportera de même ces deux points de vue, celui des troubles mentaux spéciaux en rapport avec le shock récent et cel
e des suites, il faut distin- guer ici des incapacités physiques et mentales (mutilés cérébraux). Pour chacune d'elles, il 3
succéder : 1° Il peut y avoir incapacité temporaire par troubles mentaux passagers immédiatement consécutifs à l'acci- d
arente des conséquences psychiques immédiates recou- 364 CLINIQUE MENTALE . vre souvent une altération lente mais ultérieu
serve une communauté de phénomènes non moins grande dans le domaine mental de l'épilepsie et de la migraine. L'obtusion ré
aucune raison. L'une des soeurs de la mère est frappée d'aliénation mentale ; la seconde seule est bien portante- au point
reprit de la vigueur physique et devint plus calme au point de vue mental . Elle n'eut ni migraine, ni attaques d'épi- lep
tat impulsif ou d'une perversion sexuelle avec trouble du domaine mental . C'est le premier groupe de cas qui nous intéress
LPÊTRIÈRE. - Le D1- DENY : conférences clini- ques sur les maladies mentales , le dimanche à 10 heures, section Rambuteau.
n. Vol. XXI. Juin 1906 No 126 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Troubles mentaux dans la sclérose latérale #
in 1906 No 126 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Troubles mentaux dans la sclérose latérale # amyotrophique ; .
de l'Asile d'aliénés de la Roche sur-l'on. L'existence de troubles mentaux dans la maladie de Charcot n'est pas admise san
el, ni perte de la mémoire, ni idées délirantes, ni affaiblissement mental . « Les malheureux se rendaient parfaitement com
30 mai 1905.) Archives, 2° série, 1906, l. XXI. 30 434 CLINIQUE MENTALE . Des ouvrages de psychiatrie les plus récents,
atrie les plus récents, un seul consacre un paragraphe aux troubles mentaux de la sclé- rose latérale amyotrophique. Dans l
la sclé- rose latérale amyotrophique. Dans le traité de médecine mentale de G. Ballet, M. Dupré, après avoir rappelé l'o-
émontrer que, dans la sclérose latérale amyctrophique, les troubles mentaux peuvent exister, non seulement sous la forme dé
. C'est donc, en quelque . sorte, un nouveau chapitre de clinique mentale que j'entreprends d'amorcer dans les pages qui
nique (sclérose latérale (1) Gilbert 13nLLr - Traité [de pathologie mentale . Paris, 1903. LA SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHI
e la face, il y a une hémiatrophie de la langue très 43G Clinique mentale . marquée à gauche ;la pointe est déviée de ce c
érale amyotro- phique, ce malade présente un ensemble de troubles mentaux qui constituent une véritable psychose dont le
mesure que l'affection progresse, de nouveaux signes 438 CLINIQUE MENTALE . psychopathiques se font jour; c'est une instab
aire comprendre. Il y a trois ans environ que parurent les troubles mentaux à la suite d'une accusation de vol portée menso
u voile du palais. L'impossibilité de la comprendre rend l'examen mental assez difficile, surtout en ce qui concerne l'é
ée énorme et passagère ; en ? é ! l\C temps on cons- 440 CLINIQUE MENTALE . tate de l'albumine dans les urines. Elle succo
ui l'entourent. Devenu tout à fait impotent, il suc- 442 CLINIQUE MENTALE . comba le 19 août 1896 à des accidents bulbaire
seignements de .police délivrés, sur son compte font 444 CLINIQUE MENTALE . connaître ce qui suit : « 11 y a quelques mois
es nerveux (sclérose latérale amyotrophique) compliquée de troubles mentaux de nature dé- mentielle et d'excitation passagè
s objet fixe. (Les quelques éclair- cissements fournis sur cet état mental , permettent de supposer qu'il s'agissait d'une
u'il s'agissait d'une sorte d'hébétude démentielle avec confu- sion mentale passagère). Il avait aussi des hallucinations de
ession insensi- ble des phénomènes médullaires et bulbaires. L'état mental reste celui de la démence pure et simple avec h
nous voyons évoluer à la fois l'affection médullaire et un trouble mental dont la physio- nomie est vraiment remarquable
es instinctifs de nature impulsive. Le soupçon qui 440 . CLINIQUE MENTALE a pesé sur le malade, d'avoir à deux reprises d
es-d'Olonne avec le certificat suivant : « Est atteint d'aliénation mentale caractérisée par une diminution de toutes les f
, fait ses nécessités sur le parquet. (Accès passagers de confusion mentale démentielle.) Madame ,1 ? a fait la déposition
ivante : « Depuis trois ans, mon mari ne jouit plus de ses facultés mentales ; plusieurs fois il a voulu me tuer ; il prend
es gauches. La circonférence du bras droit est de 34 448 CLINIQUE MENTALE . cm. ; celle du gauche de 32 cm. la circonféren
le quantième, le jour de la semaine. Il ignore où il est. Son état mental est caractérisé par l'indifférence, l'hébétude
lé- rose latérale amyotrophique peut être accompagnée de troubles mentaux d'un caractère plus ou moins grave, depuis la d
raux, dans la Archives, 2. série, 1906, t. XXI. 31 450 CLINIQUE MENTALE . maladie de Charcot, se poursuit au-delà de la
- les. Cette induction s'accorde bien avec la nature des troubles mentaux observés, qui sont ceux de la démence globalc,
ajoute (page 511) une 4e zone, plus extérieure où le tissu fonda- mental névroglique semble conservé, où prédominent des
mieux. Amélioration notable. - LXXXV. Imbécillité et instabilité mentale . CHOQU ? (Marie), née le 17 juillet 1892, 12 an
bécillité légère, d'arriération intel- lectuelle,. 2° d'instabilité mentale et physique (sans perversion des instincts) ; 3
L. LXXV. - Des altérations cytologiques du sang dans les maladies mentales ; par Klippel et LEF : 1S. (L'Encéphale, 1906 n
t en revue les résultats des recherches faites dans diverses formes mentales et dans certaines mala- dies nerveuses à compli
upçonnée pour d'autres raisons comme étant à l'origine des troubles mentaux : c'est ainsi que les déli- res des alcooliques
nt privé ou public peut recevoir une personne atteinte d'aliénation mentale si une demande d'admis- sion lui est présentée,
temental de Pau ; par le Dr CRocQ. [Bull, de la Société de Médecine mentale de Belgique, loin, no 11').) Le Dr Crocq mont
e Neurologie, M. le I) CROCQ, président de la Société de Méde- cine mentale ; Vice-Présidents : 11. le Dr Bienfait, vice-prési
ogie; 1[, le Or J1abii.de, vice-président de la Société de Médecine mentale ; Secrétaire général : M. le Dr )IASS4UT, secré
e général : M. le Dr )IASS4UT, secrétaire de la Société de Médecine mentale ; Secré- taires des Séances : MM. les D'9 110ULE
étaires et bibliothécaire des Sociétés de Neurologie et de Médecine mentale . 1" Rapports, Ces rapports, au nombre de trois,
chologie de l'Université de brucelles. c) Psychologie : Les tests mentaux chez les enfants. Rapnor- )1. le Dr Decroly. di
icart Journ. of insanity. SitEpnnRn Ivonv FIt,\N7.. - The time of mental processus in the- retardations and excitement o
ogénie de la maladie de -, par Salmon, 418. Voir Dégé- nérescence mentale . Basophobie. Observation d'un cas de - il typ
ue, par Féré, 141. Crampe des écrivains et torticolis d'origine mentale , par Bonnus, 332. Crétinisme. Le sporadique,
ue précoce consécutive v une pleurésie aiguë, 200. Dégénérescence mentale et mala- die de Basedow, -par Dromard et Leva
ires de la - physique au point de vue de la psychologie expéri- mentale , et de la séméiotique de la simultalion, par Ce
73. Sang. Des altérations ytoiogi- ques du - dans les maladies mentales , pnr Klippel et Lefas, 501. L Sarcoplasma. Vo
male, par Lejonne et 1-hermitte, - - latérale. Voir Trou- 1)les mentaux . Scoliose alternante avec lombo- sciatique dr
ur les de la parole chez les écoliers belges, par Romna, 425. - - mentaux dans la sclérose latérale amyotrophique, par Cu
30 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
SSEY ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIEE sous LA DllIgCT¡ON 01 : c il A il c 0
ol. XVII. Juillet 1889.. Nu 52. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE DES TRAUMATISEES DU CRANE DANS LEURS RAPPORTS
E DES TRAUMATISEES DU CRANE DANS LEURS RAPPORTS AVEC [/ALIÉNATION MENTALE ; Par le D' J. CHRISTIAN, Médecin de la Maison
é avait repris ses occupa- .\.RCIII\'ES, l. X\ïII. I 2 PATHOLOGIE MENTALE . tions, était retourné à ses affaires. S'il y a
(Gall, Fonctions du cerveau, Paris, 185, I, p. 411.) 4 PATHOLOGIE MENTALE . Ailleurs (Anat. et Physiol. du syst. nerveux e
surprise, la rareté des documents. Ce n'est pas que, 6 PATHOLOGIE MENTALE . dans l'histoire pathologique d'un individu, le
à l'influence de ces trau- matismes sur la production des maladies mentales , nous devons reconnaître qu'elle ne paraît pas
ur moi, j'incrimine avant tout la lésion du cerveau. 8 PATHOLOGIE MENTALE . dès la première enfance, prédisposent à la fol
sur la tête, dit Bayle, peuvent dispo- ser à l'espèce d'aliénation mentale que nous décri- vons, en imprimant au cerveau d
a pathogénie des maladies men- tales ». (Morel, Traité des maladies mentales , p. 144.) Griesinger est un de ceux qui ont le
rès, que l'on voit éclater la maladie mentale. » (Traité des mal. mentales , trad. Doumic, Paris, 1865, p. 211.) C'est Schl
2 hommes, 7 femmes) de folie traumatique. Dans 19 cas, la maladie mentale éclata moins de 1 an après l'accident; mais trè
4 suile d'insolation), conclut d'abord à l'identité 10 PATHOLOGIE MENTALE . d'effet des coups sur la tête et de l'insolati
ns dire que les effets produits varient singulière- 12 9 PATHOLOGIE MENTALE . ment, suivant la nature et le mode d'action de
Les choses ne vont généralement pas jusque-là : la 14 PATHOLOGIE MENTALE . perte de la mémoire se borne d'ordinaire aux f
étourdie un instant, mais se relève aussitôt, donne 16 Ô PATHOLOGIE MENTALE . "- le bras à son mari et sort de la gare ave
u guérir. On a vu des blessés Archives, t. XVIII. 2 18 PATHOLOGIE MENTALE . survivre à des fractures du crâne, à des perte
que Bernadotte est mort octogénaire en 1844, et que, 40 PATHOLOGIE MENTALE . jusqu'à la fin de sa vie, il a conservé toute
cas, dont 72 ont guéri. Mais pour combien de temps ? 22 PATHOLOGIE MENTALE . tion dans le tissu qu'elles occupent; mais ell
r lequel le choc a porté (Sem. méd., 1888, p. 251). 24 PATHOLOGIE MENTALE . De toutes façons, il faut admettre que, chaque
in Gaz. ceci. de Strasbourg, 7 mai 1878, p. 60.) , 26 PATHOLOGIE MENTALE . faits, assez nombreux, où jai trouvé ces lésio
à peu près perdu. Cinq ans après, premiers signes de déran- gement mental , puis paralysie générale qui nécessite son place-
manicome de Reggio, publièrent leurs premières recherches expéri- mentales sur les centres psycho-sensoriels de l'écorce c
ait s'entendre qu'en admettant que le siège des images de la vision mentale était distinct de celui des perceptions visuell
dant à la tache jaune de la rétine, abolit, en ce point, les images mentales de l'animal, ainsi que la possibilité de nouvel
n quoi consiste cette cé- cité corticale ? Dans la perte des images mentales ou dans celle des sensations brutes de la vue ?
te conception d'un « engrenage » du centre fonctionnel de la vision mentale , et de tout centre sensoriel ou sensitivo-moteu
p moins à la priorité de l'hypothèse qu'à sa vérification expéri- mentale . » Evidemment la pensée fondamentale de Luciani
able à Luciani. On le voit, dans ces nouvelles recherches expéri- mentales comme dans les premières, ce physiologiste a pe
ites du lobe occipital, et que chaque partie du centre de la vision mentale y est en rapport avec les fibres des faisceaux
ertébrés le même siège que les perceptions distinctes et les images mentales . De même chez les mammifères. Cette doctrine pe
du centre cortical correspondant. Si les perceptions et les images mentales étaient seules loca- lisées dans l'écorce, l'ab
t et du toucher. Bref, ces singes avaient perdu les représentations mentales des objets. Quant auxétudescliniques et anato
rganes, non pas exclusifs, sans doute, mais essentiels de la vision mentale . L'hémianopsie bilatérale homonyme, consécutive
des transfor- mations des sensations en perceptions et en images mentales ont pu être étudiées par la méthode expéri- men
et en images mentales ont pu être étudiées par la méthode expéri- mentale et par la méthode anatomo-clinique. Dès 1878, L
s de perceptions élémentaires des sensations et des dépôts d'images mentales . Dès l'origine, ils ont défini l'hallucination
ages intenses de l'hallucination'. Hitzig, Ferrier et ' K Une image mentale , quand elle est suffisamment intense, est perçu
le est projetée au dehors comme une sensation extérieure... L'image mentale est perçue LES FONCTIONS DU CERVEAU. 57 Munk
une image comme on perçoit une sensation. » Alfred Binet, La vision mentale . (Re ? philos., avril 1889,) 00 PHYSIOLOGIE.
omme le soutient Munk, un centre de perceptions auditives, d'images mentales de l'audition, et de sen- sations simples, élém
de ces bruits ou de ces sons. C'est bien l'idée, la représentation mentale auditive du mot, qui est effacée dans la surdit
t. » (A suivre.) RECUEIL DE FAITS IMBÉCILLITÉ LÉGÈRE. INSTABILITÉ MENTALE AVEC PER- VERSION DES INSTINCTS ET IMPULSIONS G
u'à douze ans. - Arrêt de développement intellectuel. - Instabilité mentale . Lymphatisme ; salacité. - Idées de moquerie. -
s eu d'attaques. - Grand-père, mort d'un IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ MENTALE . '111 cancer de la face. - Cousine, idiote épil
ontrarié et surtout quand on le battait. IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ MENTALE . 1 13 Sa mère pense qu'à la maison il ne se mas
de chambre d'isolement dans la section. IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ MENTALE . 115 21 octobre. - Roséole à l'état naissant. L
oile est rouge, comme oedématié. Exulcé- IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ MENTALE . z17 7 ration de la partie inférieure du gland
e se masturber mais moins fréquemment. IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ MENTALE . " 119 9 1884. 27 février. Eruption pustulo-cru
ours pour les épileptiques adultes (B.). IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ MENTALE . d21 long de 25 centimètres environ. On fait un
e là, des obstacles à leur placements. IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ MENTALE . -123 lève tard, sous prétexte qu'il est fatigu
quée d'épilepsie; du côté maternel, le ner- vosisme et l'aliénation mentale . Notons aussi la mort par convulsions de plusie
nt trop fréquente et qui n'a d'autre résultat que d'aggraver l'état mental . IV. - Placé à quatorze ans en apprentissage, s
l. IV. - Placé à quatorze ans en apprentissage, son instabi- lité mentale devint de plus en plus évidente : il fut renvoyé
s très accusées chez ce malade. De bonne IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ MENTALE . Il-)5 heure il se livra à l'onanisme, et essay
ensualités générale et spéciales dans CERTAINES FORMES DES MALADIES MENTALES , par M. fI`7FELSTEI\. , (W1'atsch, 1888, 31, 36
27 mai 1889. - Présidence de M. Falret. Classification des maladies mentales (suile de la discussion). - M. RALL estime que,
r, tout à coup, un syndrome (la capra- lalie) révélateur, d'un état mental défectueux antérieurement. Ces deux manifestati
et l'incoordination motrice) témoins à leur tour de dégénérescence mentale de la malade. Il manquerai t le syndrome ectrol
alie. L'un et l'autre relèvent d'une même cause : la dégénérescence mentale . J M. A. Voisin qui fait des recherches sur l'a
ine bien faite pour dérouter quand elle ressemble plus par son état mental sombre à l'alcoolisme qu'à celui des hystériques
fication. C'est le BIBLIOGRAPHIE. 189 meilleur moyen, en médecine mentale , de présenter, fidèlement les manières de voir
des maladies du Système nerveux, le second dans celle des maladies mentales . La LOI sur les aliénés en ITALIR. M. A. Verga
orteur); 4° Application de la thérapeutique suggestive aux maladies mentales et plus parlicu- lièrement : Peut-on instituer
eut-on instituer une thérapeutique suggestive sérieuse des maladies mentales ? Peut-elle être mise en oeuvre seulement au mo
IIOE.-Nous trouvons dans le numéro de jan- vier de « The journal of mental science » l'historique de cet asile ce mis son
I-XUENCES DE L'APPAREIL GÉNiTAL SUR LE DÉVELOPPEMENT DES MALA- DIES mentales . - La Société médico-légale de New-York vient de
re de l'asile d'aliénés de Boreatton-Park et piofesseur de maladies mentales à l'Universily *y Collège de Londres - J. Macla
'écorce sont les suivantes : La première composée du tissu fonda- mental névroglique, avec ses éléments cellulaires, par
is le sont évi- demment dans la substance blanche. 186 PATHOLOGIE MENTALE . La coupe d'une circonvolution du lobe occipita
pèces de cellules de la couche granuleuse. (A suivre.) PATHOLOGIE MENTALE DES TRAUMATISMES DU CRANE DANS LEURS RAPPORTS
E DES TRAUMATISMES DU CRANE DANS LEURS RAPPORTS AVEC L'ALIÉNATION MENTALE » ; PAR LE 1)' J. CIIRTSTIA\ Médecin de la Ma
vécut jusqu'à quarante ans. 1 Voir le 11- 52, p. 1. 88 PATHOLOGIE MENTALE . Observation XVII. - B..., trente-quatre ans, c
un très mauvais caractère. (Gall, loc. cil., p. 32.) 190 PATHOLOGIE MENTALE . de Krafft-Ebing ne supportait plus même de min
mois. (Dubois (d'Amiens), Eloge (1'01 filzi.) 'H) : 2 PATHOLOGIE MENTALE . l'absorption, au point d'être transparent dans
mme guérit, mais en restant Archives, t. XVIII. 13 194 PATHOLOGIE MENTALE . paralysé du côté droit; il eut des mouvements
aumatismes : on en jugera par le tableau suivant : 196 PATHOLOGIE MENTALE . d'un arbre, dans une cave, ou une carrière, et
reçus sur la tête, et n'ayant laissé aucune trace. 198 PATHOLOGIE MENTALE . folie est nettement déclarée : c'est le temps
tes les causes que nous invoquons dans l'étiologie des mala- dies mentales : tantôt il intervient comme cause déter- minan
tombe dans une profonde mélancolie, et meurt para- 200 PATHOLOGIE MENTALE . lytique général. Est-il téméraire de supposer
est ainsi que l'on peut voir survenir l'une ou l'autre des maladies mentales : manie, délire de persécutions, folie circulai
erreurs qu'il serait facile de commettre, je citerai 202 PATHOLOGIE MENTALE . les faits suivants : ils semblent démontrer qu
e la chute, au lieu d'être la cause, a été le résultat d'un trouble mental déjà bien prononcé et qui doit être rattaché au
traumatisme (fracture du crâne, épanchement de sang, 204 PATHOLOGIE MENTALE . esquilles, etc.), - il en est une autre bien p
fiance des accidents de début, l'expert devra toujours 6 PATHOLOGIE MENTALE . - DES TRAUMATISMES DU CRANE. montrer la plus g
rimé et quel est son mode d'action. Main- ' Les causes des maladies mentales sont toujours complexes et mul- tiples, même da
PACHYDEXMtQUE (CHARCOT); Par P. KOVALEVSKI Professeur de maladies mentales et nerveuses a l'inisersité de KharcofT'. L'his
as de myxoedème chez un enfant ; il émit l'opinion que l'altération mentale chez les adultes dépendait d'un procès patholog
e travail fut devancé par celui d'Ord. D'après Hadden, l'altération mentale de ces maladies dépendait des troubles du systè
eiues yvaér. de méclec., 1879, p. 677. , °- Savage.- The Journal of mental Science, 1880. 3 Goodhart. Médical Time.9 and G
onde anémie, une lésion cutanée et sous-cutanée et une altération mentale . Il traite la maladie de souffrance constitutionn
allucinations de la vue et de l'ouïe, affaiblissement de l'activité mentale , de la mémoire, difficulté du langage, un somme
hallucinations des organes sensoriels; affaiblissement des facultés mentales avec délire de persécution et agitation qui pri
énomènes suivants : lenteur des mouvements, altération des facultés mentales , température constamment sous-normale, diminuti
roits chauves de la tête se couvrirent de cheveux. En fait d'état mental dépression profonde, irritabilité, mauvaise humeu
ic crétinisme occuring in England. 3 Fletcher Beach. The Journal of mental science, 1870, n" 2h . Riess. Bedinei' kt. Woch
oedème avec tous ses symptômes, cependant l'activité psychique et mentale ne s'altère que médiocrement; cette altération s'
ence de la glande, car il y a des cas ou l'altération de l'activité mentale , du moins le premier grade de cette attération,
nière n'est pas saine, conséquemment, si l'altération de l'activité mentale précède l'opération, on peut supposer que c'est
urgien le fasse; donc rien d'étonnant que l'altération des facultés mentales chez les sujets soumis à l'extirpation de la gl
ssus, sans ménager les tissus nerveux, et se traduit par l'hébétude mentale et le ralentissement de la motilité en général
d'eau de Seltz ou d'eau de Saint-Galmier. 268 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. z69 s'améliora
int-Galmier. 268 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . z69 s'améliora tellement, que l'on put croire
ion DE la barbe chez une femme; par Geo. H. SAVAGE. (The Journal of Mental Science, juillet 1886.) On sait comment certa
que des résultats assez peu satisfaisants au point de vue de l'état mental . Mais lorsque l'on eut enlevé près d'un millier d
l'estomac, avec commentaire; par C. S. W. CUBBOLU. (The Journal of mental Science, avril 1886). Cetle observation est rel
gnorée, le diagnostic ne put être fait en temps utile; l'incapacité mentale où se trouvait d'ailleurs cet aliéné de rendre
inal appréciable jusqu'au moment où l'in- 12-io REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . tetisité de la tympanite rendit impossible le
GENCE ET DU système nerveux; par Alex. ROBERTSON. (The Journal of mental Science, juillet 1886.) L'auteur rapporte deux
'en effet, chez la jeune fille de quatorze ans REVUE DE pathologie mentale . 27l 1 dont il s'agit, le trouble mental avait
ans REVUE DE pathologie mentale. 27l 1 dont il s'agit, le trouble mental avait plutôt la forme du délire que celle de la
gressé d'une façon presque parallèle. R. M. C. VII. UN cas DE folie mentale ou DE défectuosité morale congénitale, avec rem
congénitale, avec remarques; par D. RACK 'l'UICE (The Journal of mental Science, octobre 1885). L'auteur rapporte avec
orte avec soin l'observation d'un homme qui 272 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ne parait avoir été qu'un malade, - bien qu'il
en avait que deux qui fussent absolument indemnes de toute anomalie mentale . Inversement, on voit des aliénés réels, amplif
résultat d'études faites à la prison cellulaire REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 273 de Eribourg, construite d'après les nouvea
ON VOLONTAIRE AVEC PERSISTANCE ; par ERIC SINCLAIE. (The Journal of mental Science, avril 1886.) Il s'agit d'un homme, att
e, consécutivement à la castration, aucune amélio- ration de l'état mental . Quelque temps après, ce malade réussit à s'int
mie. R. M. C. SOCIÉTÉS SAVANTES CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE MENTALE Tenu à Paris du 5 au 10 août 1889. Séance du
'hallucinations ; elles ne se transforment pas en d'autres maladies mentales et n'aboutissent jamais à la démence ; elles pe
M. J. MOREL (de Gand) propose, au nom de la Société de méde- cine mentale de Belgique, un projet de statistique internation
e de Belgique, un projet de statistique internationale DES maladies MENTALES : 1° manie (délire aigu) ; 2° mélancolie ; 3° fo-
quement. Finalement le projet présenté par la Société de méde- cine mentale de Belgique est adopté sans modifications. Séan
ainsi que le fait remarquer M. Ballet, beaucoup parmi les maladies mentales ne s'accompagnent pas de lésions matérielles do
e Baillarger, ne sont autre chose que des phénomènes d'articulation mentale inconsciente rapportés par les malades à des pe
les peuvent parfaitement bien se transfor- mer en d'autres maladies mentales (paralysie générale par exem- ple) et aboutir à
s bien distincts, coexistants, mais non confondus; l'un dû à l'état mental préexistant, l'autre à l'intoxi- cation cocamiq
ol et l'augmentation du nombre des crimes et des cas d'aliénation mentale . En France, de 1873 à 1877 la quantité moyenne an
le ; l'ivresse pa- thologique, c'est-à-dire d'une part les troubles mentaux aigus ou chroniques dus à l'intoxication, d'aut
r les applications DE la SUGGESTION A LA PÉDIATRIE ET A L'ÉDUCATION MENTALE DES ENFANTS VICIEUX ET dégénérés et conclut ain
s le traumatisme peut jouer aussi un rôle étiolo- logtque (maladies mentales , paralysie agitante, etc.). Dans les cas de 7,É
nombreux cas, bien problématique. 1\i. GARNIER se basant sur l'état mental des traumatisés, les fait renlrer daus la catég
illes DE la TouRETTE répond qu'il ne nie nullement que des maladies mentales et d'autres puissent être provoquées par le tra
s relatives à l'élimination du sucre contrastant avec l'équilibre mental . Il rappelle à ce propos la communication de la S
ourra être inter- dite. Toute personne qui, du fait de l'aliénation mentale , n'est pas en état de veiller sur elle ou sur s
gnement scolaire. En tous cas, les malheureux atteints de débilité mentale , quelle qu'en soit la cause, exigent plus que tou
, ou qui traverse une période de perturbation morbide de l'activité mentale ; la loi recevra alors son application pour la d
s. Sur les 446 expertises, on en a déclaré 62 indemnes d'aliénation mentale (52 hommes, 10 femmes), soit 14 p. 100 d'hommes
t les fonctionnaires, se préoccupant davantage des cas d'aliénation mentale douteux ou non, qu'il leur est donné de voir de
temps indispensable pour constater son état. Dès que l'aliéna- tion mentale est reconnue, le malade doit être placé dans un é
ndent pas toujours, il 1 Communication faite au Congrès de médecine mentale , danssa séance du 9 août 1889. r 2 Voir Archi
I irlandaise sur LES aliénés ; par CONOLLY y Norman (The Journal of Mental Science, janvier 1886). Cette étude de quelques
RIA. UNE RÉCENTE visite A GHEEL; par D. RACK TUKE (The Journal of Mental Science, janvier 1886). La colonie de Gheel a é
jusqu'au chiffre de 450 LITS; par C.-S.-W. COBDGLD (The Journal of Mental Science, janvier 1886). Ce plan est. très ingén
dans LES asiles irlandais; par E. Mazière Couhtenay (The Journal of Mental Science, avril 1886). Dans ce travail qui conti
s dans LES asiles d'aliénés; par VilliaM-W. IRELAND (The Journal of Mental Science, juillet 1886). ' L'opinion de l'aute
ligion qui défend l'usage des boissons spiritueuses. L'aliénation mentale en SuissE.-Suivant une statistique dressée par
alcoolisme qu'il faut attribuer cette progres- sion de l'aliénation mentale , la Suisse allemande étant un des pays où les h
ù les habitudes alcooliques sont les plus développées. L'aliénation mentale EN RussIE.-Le nombre des cas de mala- dies ment
. L'aliénation mentale EN RussIE.-Le nombre des cas de mala- dies mentales augmente graduellement depuis trois ans à Saint-
iénés de Saint-Nicolas et médecin enchef à la clinique des maladies mentales . 0. WELLER" directeur de l'asile d'aliénés de S
ive). 11 exislait un léger embarras de la parole, et de la débilité mentale . A l'autopsie, sclérose cérébrale (les détails de
isait, il y a déjà bien des années : « De toutes les maladies dites mentales , il n'en est aucune sur laquelle l'anatomie pat
l'idiotie. Soc. biologie 1851. Griésinger. = Traité des maladies mentales , édition française, p. 449, 1865. Magnan. Thè
et Brissaud. Archives de Neurologie, p, 391, 1880. (Bail. Maladies mentales , p. 823, 1880-83. Cornil et Banvier. - Histolog
régions, fonctionnellement différentes, des centres de la vision mentale , tandis que des cliniciens, tels que Nothnagel
açon réflexe, mais par évocation de ces images ou représentations mentales de la sensibilité générale et du mouvement. Il
répondérant. Quand le substratum organique de ces représentations mentales est détruit, il ne peut plus exister de mou- ve
res : ils ont doué ceux-ci des mêmes propriétés psychiques fonda- mentales que ceux-là, ce que Ferrier n'a point fait. Tou
et cherche à échapper par la fuite, - que la physiologie expéri- mentale constate aujourd'hui dans les lésions du noyau
e la zone excitable) avec ¡ une perte partielle des représentations mentales corres-' pondantes, elle viendrait à l'appui de
CHYDERMIQUE' (Charcot); Par P. KOVALEVSKI, Professeur de maladies mentales et nerveuses à l'Université de Kharcoff. Le pro
culté de mouvoir la langue, en partie des altérations de la région mentale . Du côté sensoriel, on observe parfois des anes
tait loca- lisé et occupait les pieds, les mains et la face, l'état mental 426 REVUE CRITIQUE. présentait les premiers s
acité de travailler, d'affaiblissement de mémoire et des facultés mentales , de pénibles insomnies et de la crainte de deveni
S dans L1 paralysie GÉNÉ- RALE; par Geo. H. SAmAGE. (The Journal of Mental Science, jan- vier 1886.) Tout le monde conna
ans la paralysie générale; par le Dr T. CURl5TI.\N. (The Journal of Mental science, jan- vier 1886.) Exposées au Congrès
traumatique; DEUX observations; par Julius Mickle. (The Journal of Mental science, octobre 988ï.) Dans le premier de ces
mbose DES sinus cérébraux; par Joseph WIGLESWORTII. (The Journal of Mental Science, octobre 1885.) . L'observation de ces
V. Trois cas DE suffocation; par David WELSI ! . (The Journal of Mental Science, juillet 188G.) Ces trois cas sont inté
ANORMALES DE LA RESPIRATION ; par Julius 1111CIiLE. (The Journal of Mental science, avril ·1ti86.) La première forme que s
11,Niti lit une note sur le cocaïnisme. Classification des maladies mentales . Votes. - Les conclusions du rapport de la comm
. Cette classification de laquelle sont exclues les dégénérescences mentales , n'est pas acceptee par la Société. Ordre du jo
ute tentative à l'effet d'établir une classi- fication des maladies mentales ne saurait s'appuyer que sur des données ou tro
clore la discussion engagée à la demande de la Société de médecine mentale de Belgique et passe à l'ordre du jour. M. Dupa
à une néphrite, probablement urémiques. Dans ces cas, l'aliénation mentale ne se montre que longtemps après la maladie des
haliques et semble, par ce méca- nisme, avoir engendré l'aliénation mentale . L'albuminurie dé- pend ici soit de la constitu
mensliualion. L'auteur a, dans un grand nombre de casd'aliéna- tion mentale , obsédé qu'un usage prolongé des injections sous-
pas de limites tranchées entre la santé psychique et l'aliéna- tion mentale . Le code pénal doit donc tenir compte des cas dan
oit entrer en ligne de compte, et l'impunité ne saurait d'affection mentale . D'ailleurs, c'est ce que l'on trouve dans l'espr
avec les obsessions; le médecin établit l'existence d'une affection mentale sans que le libre arbitre ait été atteint. Enfi
ut en outre bien déterminer dans certaines aifectiojs somatiques et mentales l'influence exercée par l'alcool et non les cau
émence, l'incurabilité, la terminaison, le pronostic de l'affection mentale , ou qui préten- dent qu'on s'est passé du divor
talement mort ? Conclusions : 1° Rejeter tout à fait l'aliénation mentale comme cause de divorce, c'est reculer. - 2° Il
tative et relative. 3° Le droit civil devrait spécifier l'infirmité mentale ayant déterminé la déchéance de la personnalité
- 4° Si le conjoint resté bien portant est la cause de l'aliénation mentale de l'autre époux, le divorce ne sera pas pronon
est surtout indiqué dans les formes les plus graves de l'aliénation mentale , dans celles qui sont les agents u'une infirmit
e en réalité que toute per- sonne interdite pour cause d'aliénation mentale , même pendant la période d'un intervalle lucide
ticularités. Citons, sur notre terrain, l'épilepsie, l'alié- nation mentale à répétition, l'inversion du sens génital. Ran-
ans un asile d'aliénés est justifié par l'existence de l'aliénation mentale , que le malade est atteint de telle ou telle form
ide. Il s'agit notamment de malades ayant le sentiment de leur état mental et qui, par appréhension, sont bientôt pris d'a
ant un développement défectueux de l'intelligence. M. JEUN. Etals mentaux douteux à la suite de blessures céphali- ques,
uotité de la rente à ser- vir à ces invalides du travail. Leur état mental n'était pas tel qu'on dût les.envoyer dans les
.envoyer dans les asiles d'aliénés. Mais il y avait bien ano- malie mentale . M. Jehn insiste sur cette sorte de cachexie, déj
ar nourrir des idées de persécution. C'est du reste au point de vue mental un sujet qui demande une observation exacte 'et
ns la croissance des ongles, ayant débuté au moment où la mala- die mentale empirait. La seconde observation a trait à un dém
exercée sur l'innervation et la nutrition du coeur par l'aliénation mentale longtemps prolongée, outre que la phy- siologie
s négations (1882) ; de l'ab- solu et de l'inhibition en pathologie mentale ; et enfin sa dernière communication au Congrès
mentale ; et enfin sa dernière communication au Congrès de médecine mentale de 1889 sur l'Origine psycho-motrice du délire.
ag. 317 ; (thé- rapeutique de l' -), par Forel, 447. Aliénation mentale (en Suisse, en Russie), 317. Aliénés (assista
la Basse-Saxe. 454; - des médecins aliénistes, 456; -de médecine mentale , 274. Coprolalie, par Leerain, ,éâldS, 151. C
Crâne (traumatismes du - dans leurs rapports avec l'aliénation mentale ), par Christian, 1,187 ; par Jehn, 464. Crime
man, 458. Lvpérmanie hypochondriaque, par "Régis, 276. Maladies mentales (classification des), par Bail, 151; - statl>
ard, 289 ; (indica- tions de la - dans le traitement des maladies mentales ), par A. Voisin, 289; (application de la - à
31 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
S DE NEUROLOGFE £ REVUE MENSUELLE . DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par .1.-111. CHARCOT & BOUJINEVILLE
ré au moment de son transfèrement à la Colonie indique : « débilité mentale avec accès rares d'épi- lepsie ; n'en a pas eu
ques secondes etl'enfant revient immédiatement à elle,sans troubles mentaux : consécutifs. Mais la nourricière avait été un
es ont elles-mêmes cons- taté une certaine amélioration dans l'état mental . Cinq d'entre elles notamment, enfants retardat
citerai en particulier : Marcelle ? 12 ans, « atteinte de débilité mentale avec périodes d'excitation par intervalles » (,
ture, la nourricière en est enchantée. Lucienne... Il ans, débilité mentale et périodes d'excitation. Onanisme ». Placée à
nse majorité de nos malades ne sont plus ces « démentes dont l'état mental nejustifiait pas d'une façon absolue le maintie
ce sont des aliénées présentant toutes les formes de la pathologie mentale , la plupart délirantes et beau- coup en pleine
ont jamais convenu pour l'hospitali- sation d'aliénés que leur état mental ne permet pas de 12 ASSISTANCE. placer dans u
s'atténuent, mais il persiste un état assez ac- centué de confusion mentale avec désorientation dans le temps et dans l'esp
se au Dr Shan Bolton. par Alfred W. CA 111PBELL. (The Journal ouf mental Science, janvier 1907.) Ce travail a pour objet
,qui est en cours de publication depuis deux ans dans le Journal of mental Science et n'est pas encore terminé. R. M. C. '
que et pathologie de l'épilepsie ; par John TURNRR. (The Journal of mental Science, janvier 1907.) L'auteur fait connaître
érale, l'auteur a constaté que, dans les autres formes d'aliénation mentale , on ne rencontrait pas communément les thrombus
s présentant des dé- 68 REVUE bE PATHOLOGIE NERVEUSE. fectuosités mentales ,- lui a montré que les malades de cette caté- g
tats de l'opothérapie chez son malade en vue d'agir sur la débilité mentale et d'arrêter la croissance exagérée des os en c
ical (hypermusies, paramusies). F. Tisser. 76 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Yin. - Sur un cas d'aphasie-apraxie; par d'HoL
pmann a décrite sous le nom d'apraxie. G. Deny. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. - Sur la combinaison des états dépressifs ai
'eux à la suite d'un choc moral. F. TI s SOT. REVUE DE PATHOLOGiE MENTALE . 77 II. - Délire des préjudices préséniles, par
s, par Pascal et CouRBON. (L'Encéphale, 1906, n° 6.) ; Syndrome mental dont.Kroepelin fait une forme spéciale et qu'il
s motrices graphiques sont particulièrement- 78 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . rares (Séglas),car les images mises en jeu ont
e ou de corset, et la face postérieure des mem- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 79 bres pelviens avec la plante des pieds. Ces
u de ceinture plus ou moins large. Ch. Bonne. VI. De la confusion mentale aiguë et de ses particularités chez les soldats
voir pas observé une seule fois la forme mania- que de la confusion mentale aiguë chez les soldats lusses. La grande majori
persécution des chrétiens, etc. Cependant dans les cas de confusion mentale aiguë où l'obnubi- lation n'est pas très pronon
as créé une nouvelle psychose et l'on peut rattacher à la confusion mentale aiguë, à ]'amentia de lfeynert,la plupart des é
l'érotisme psychique et les aptitudes fonc- 80 revue bE PATHOLOGIE MENTALE . tionnelles périphériques. Il est d'ailleurs co
oins complets. F. TISSOT. VIII. Contribution à l'étude des troubles mentaux de la ma- ladie de Basedow ; par Parrhon et llA
La question des rapports de la maladie de Basedow et des trou- bles mentaux concomitants est loin d'être résolue. P. et M. ap
diiica- tion primitive de la fonction thyroïdienne. Si les troubles mentaux du basedowisme apparaissent fréquemment à la mé
eur de la fonction thyroïdienne, y a hyperthyroidisme et trou- bles mentaux symptomatiques. Les troubles psychiques basedo-
l paraît certain que celle-ci peut à elle seule revue de Pathologie mentale . Si produire des ictus convulsifs isolés, indép
e irrégulière et peut-être aussi exagérant un peu leur défectuosité mentale , les jugeaient irresponsables, les chefs de ser
à-dire sociétés savantes. 85 présentant,à côté des leurs troubles mentaux ,des perversions, des manies impulsives, des hab
ion, les hallucinations psychiques dominent t les autres phénomènes mentaux et agissent sur le délire ; comme une malade cl
es, et afin que les asiles, ces hôpitaux de traitement des maladies mentales , puissent se rapprocher, dans la mesure du poss
teints d'hystérie, d'épilepsie, de chorée et même de dégénérescence mentale , l'indocilité peut toujours être rattachée à de
tion psychique à peu près complète, consécutive à un certain état mental , accompagnée des seules manifestations physiologi
ir dans une même étude les af. fections nerveuses et les affections mentales , en montrant les symptômes justiciables de l'un
efois, elle suivit son cours sans incident notable. Les accidents mentaux qui se déroulent pendant les quatre premières s
é aucun souvenir de ce qui s'est passé. En dehors de ces troubles mentaux , elle se montre acariâtre 100 MEDECINE LÉGALE.
ée le 10 septembre 1900 pour cause de « morphinomanie avec troubles mentaux hystériques ». Elle est retirée au bout de troi
e Le terme de folie avec conscience, employé pour désigner l'état mental de ces malades, est donc assez impropre, puisque
dividu et faire, dans ses diverses manières d'être au point de vue mental , le départ de l'élément sain et de z) A. CuLmuu
édi- cales et s'intéressa particulièrement à l'étude des maladies mentales . C'est en visitant les asiles d'Angleterre qu'il
on comme le Congrès de Lille le souhaitait : En matière d'expertise mentale , les ques- tions de responsabilité sont-elles d
es condition ? , notamment par le fait de démence ou d'alié- nition mentale ; il y a alors justification ; et c'est là l'irre
ique ont toujours compris les états intermé- diaires entre la santé mentale et la folie. 1\.Ballet concède de la part de l'
. Il y a pres- que pléonasme à joindre à la déclaration d'intégrité mentale celle de responsabilité, à la déclaration de fo
dire dans les cas intermédiaires entre l'aliénation et la normalité mentales , en d'autres termes quand il s'agit des demi-fo
ents psychopathiques héréditaires, dela ner- vosité, de la débilité mentale ont pu exercer sur les détermi- nations du suje
ser aux experts les questions qu'ils ont à résoudre sur la capacité mentale de leurs ressor- tissants. J'ajouterai que, à c
un traitement. Le diagnostic comprend la détermination de l'état mental de l'inculpé et du rôle joué par les lacunes ou
s pour examiner les délinquants ou incul- pés suspectés de troubles mentaux , dit simplement qu'il n'y a ni crime ni délit l
ompétent pour se prononcer sur la réalité et la nature des troubles mentaux chez les inculpés, et sur le rôle que ces troub
affection sera toujours l'une des plus difficiles de la pathologie mentale , à cause des fréquentes variations d'état chez
si avec soin d'a- vec les états vraiment périodiques les affections mentales dont l'intermittence se rattache à des circonst
dents de dépression caractérisés par une diminution de l'activité mentale , de l'apathie, de l'aboulie, un caractère sombre
ubles psychiques ont consisté seulement dans un accès de puérilisme mental . Ce syndrome bien décrit par M. Dupré est const
olé. Quelle que soit la forme revêtue.par les perversions de l'état mental , excitation ou dépression, il ne s'agit en somm
n de la notion pathogénique du ner- vosisme thyroïdien. Confusion mentale chez un CLC)20rlClr'Oj)ZCISe. Glycosurie. Acéto
e, fit quelques abus de boissons alcooliques et eut de la confusion mentale après une courte période prodromique de mélanco
calins, la glycosurie et l'acétonurie dispa- rurent et la confusion mentale alla en s'atténuant peu à peu. Deux périodes de
s la genèse de l'achondroplasie. Ils pensent aussi que la confusion mentale épisodiqueaété due à une intoxica- tion d'origi
s dont la mentalité repré- sente un stade primitif dans l'évolution mentale de l'espèce, ainsi chez l'enfant. Certaines c
pothèse ci-dessus. Il est natmellement possible que le déséquilibré mental produit par ces troubles (primaires) de réactio
en idées ; le rétrécissement du champ cérébral. L'affaiblissement mental existait donc déjà à un certain de- gré chez Ro
nique ; il vient même la confirmer. On s'est demandé si l'affection mentale de Rousseau était curable. Cette affection, mél
psychoses; qu'en tout cas,la méthode a l'avantage d'éclairer l'état mental du mala- de et exerce sur la maladie une influe
t. Epilepsie du Dictionnaire Jaccoud. (5) BAL7,. Leçons de clinique mentale . (6) M.\nxAx. Leçons sur l'cpilcpsic. 182 CLI
c. Manuel de Psychiatrie, 1903. (2) AnxAUD. In Traité de pathologie mentale de Gilbert Ballet 1904. (3) Masselon. La Déme
atomique (octobre 1905,page 7G0). Méningite chronique et aliénation mentale chronique (Observations 11, 12 et 1-1). (16)
'après ces auteurs, il y aurait donc eu dès le début de l'affection mentale de leur malade une inflammation méningée qui gu
liquide ' céphalo-rachidien chez des sujets atteints de confusion mentale aiguë. Lorsque les cas de confusion mentale gué
atteints de confusion mentale aiguë. Lorsque les cas de confusion mentale guérissent avec intégrité de l'intelligencè, le
, le cortex a été altéré, on a les cas qui constituent les troubles mentaux chroniques de la démence précoce. Doutrebente e
ur les éléments nerveux et névrogliques. En dehors de la pathologie mentale , des évolutions pathogéniques analogues peuvent
LIÉNÉS DE LA SEINE. 203 le Une épreuve épreuve écrite de pathologie mentale , pour la- quelle il sera cccordé quatre heures
PAR LES D" LI' ET SANO. La séance de juin de la Société de médecine mentale de Belgique a eu lieu à l'asile Fort Jaco. M. L
irmières d'hôpital, mais elles n'avaient jamais soigné les maladies mentales . L'échec fut complet, mal- gré des tentatives d
ement au lit et les procédés modernes de thérapeutique des maladies mentales . Au début cela fut évidemment difficile ; nous
rasthénie n'est pas une maladie psychique, due à une représentation mentale , mais exprime un trouble fonc- tionnel de la ce
'objet de rapports au Con- grès de 1J0. Ce sont : 1° Les troubles mentaux par anomalie des glandes à sé- crétion interne.
utes les branches de la science qui s'oc- cupe de l'étude de la vie mentale , qui forme le caractère principal de ce congrès
bservations récentes,par lesquelles il est démontré qu'entre l'état mental normal et l'état mental mor- bide les différenc
lesquelles il est démontré qu'entre l'état mental normal et l'état mental mor- bide les différences ne sont souvent que g
ychologie pourra aider le psychiatre à comprendre les anor- malités mentales , à pénétrer dans ces phénomènes, ce qui suppose
st pas rare que le crime trouve sa racine dans certaines déviations mentales du délinquant ou du moins se rattache à un état
déviations mentales du délinquant ou du moins se rattache à un état mental morbide ? Et bien, que les doc- CONGRÈS INTERNA
ipline sont tous des psychiatres. La descendance, le milieu, l'état mental et phy- sique de l'enfant criminel ou moralemen
nniers, qui pendant leur détention, ont montré des symptômes de vie mentale . Assez de raisons pour conclure que c'est avec
symptôme et surtout comparer cette maladie avec les autres maladies mentales connues. Cette discussion ne doit pas porter su
à mon avis extrêmement original : il rentre bien dans les maladies mentales ; mais dans toute la pathologie mentale je ne c
tre bien dans les maladies mentales ; mais dans toute la pathologie mentale je ne crois pas que l'on puisse trouver un déli
que bien que ces caractères n'existent dans aucune autre maladie mentale , il n'y a pas à rapprocher ce syndrome des confus
die mentale, il n'y a pas à rapprocher ce syndrome des confusions mentales ou des démences : la dissociation existe bien dan
stent chez beaucoup d'au- tres malades qui n'ont pas du tout l'état mental hystérique, je crois qu'ils peuvent se développ
deviennent hystériques que d'aine manière indirecte, quand l'é- tat mental qui les détermine est lui-même hystérique c'est-à
,de diminution de la tension psychologique, d'abaissement du niveau mental . Ces phénomènes forment une préparation indispe
citations on constatera un relè- vement général de toute l'activité mentale qui rend impossible l'apparition de phénomènes
ien peu précises et pouvoir s'appliquer à toutes sortes de troubles mentaux . Les définitions dans lesquelles on fait entrer
e. En un mot l'hystérie me semble être une forme de la dépression mentale caractérisée par la tendance au rétrécissement du
la veut dire causés par des représentations,ils sont des événements mentaux isolés, déterminés par une disposi- tion hérédi
se du système nerveux central. Ils sont comparables à des processus mentaux évoluant par le plus court CONGRÈS INTERNATIONA
schluss des auteurs allemands) et ne représentant que des processus mentaux trèssimples. 3 : Les stigmates sont des symptôm
les stigmates montrent des analogies nombreuses avec les processus mentaux simples. 5. L'hystéiie avec stigmates nous mont
c stigmates nous montre une simplification très prononcée de la vie mentale . 6. Les accidents sont des stigmates dans lesqu
accidents sont des stigmates dans lesquels l'intensité du processus mental est considérablement renforcé, beaucoup au-des-
étude de la Genèse du génie (The Genesis of Genius, The Journal of Mental Patlzology, Vol. VII, N° 5), j'ai souligné le f
laire des parents est au maximum, tant au point de vue physique que mental , comme on peut le juger des faits présentés dan
Maître, M. le Docteur V. Magnan (Leçons Cliniques sur les Maladies Mentales ) ; ces expériences fu- rent faites sur l'épilep
ze, modiste, âgée de quarante-cinq ans, était dans un état de santé mentale que son internement dans une maison de santé pa
la Héllnion, donnait depuis quel- que temps des signes d'aliénalion mentale . Il était l'objet d'une surveillance spéciale d
. II. 3'Série. Octobre 1907. N 10 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE z Contribution à l'étude des perversions sexuel
femme ; mais les Archives, 3° série, 1907, t. II. 17 258 CLINIQUE MENTALE . rapports sexuels de son mari avec une femme ne
loppement du sens génésique doivent être considérés, 260 clinique mentale .- certainement, comme un stigmate psychique de
u à la « faiblesse de ses nerfs» de laquelle profitent 262 CLINIQUE MENTALE les hommes; une autre fois elle dit qu'elle con
sexuels très forts, éveillés chez elle par une seule représentation mentale de sa « bizarrerie » ; ce sentiment spécial, mani
caractère très précis (l'aspect d'un homme excité). 264 CLINIQUE MENTALE . Par conséquent, l'anomalie décrite ci-dessus d
hologique dans mes « Leçons cliniques sur les maladies nerveuses et mentales Il. Var- sovie 1901, p. 482 (en russe.) 266 C
et mentales Il. Var- sovie 1901, p. 482 (en russe.) 266 CLINIQUE MENTALE sons d'admettre que cette « bizarrerie » c'est-
sir secret de les garrotter ou de les mettre aux fers. 268 CLINIQUE MENTALE . A partir de cette époque, selon l'expression d
résentation des parties sexuelles de la femme en géné- 270 CLINIQUE MENTALE . rai produit chez notre malade un sentiment de
faction complète de ses tendances sadistiques : le ré- 272 CLINIQUE MENTALE . sultat était tout à fait analogue à la satisfa
t à fait analogue à Archives, série, 1907, 1. II. 1S 274 CLINIQUE MENTALE . l'acte d'accouplement d'un homme avec une femm
gne et lui ayant déjà une fois ligoté les mains, il se zig CLINIQUE MENTALE . disait que cette fois-ci il serait plus hardi
ement de l'activité de quelques titulaires d'une chaire de clinique mentale ; il est, est-il besoin d'y insister dans la co
la Fa- culté voisine. Ce sont des recherches de médecine expéri- mentale , pour lesquelles le conseil général, dont l'éduca
est-il logé ? Sont-ils logés, les autres professeurs de clini- que mentale ? Je sais bien que l'on me répondra que ce sont
changera pas ? Qui ne souhaiterait de voir les chaires de clinique mentale occupées toutes par des méde- cins du cadre ? Q
lié- nés, c'est que des services de Faculté aux services départe- mentaux voisins, se fasse un échange incessant de docu-
nternement, de médecins suffisamment familiarisés avec les maladies mentales pour pouvoir rédiger d'une manière à peu près c
des instables. Les arriérés, sont, il est vrai, en état de débilité mentale , ils ne possèdent qu'une in- telligence ou qu'u
affectés d'une incohérence de caractère, d'un manque d'équi- libre mental qui leur rendent insupportable la discipline gé
aire. Inutilité du traitement chirurgical dans un cas de torticolis mental de Brissaud. MM. SICARP et Desbomps ont essay
BINSKI et 13RISSAUn, à propos d'une ma- lade atteinte de torticolis mental guérie par l'excision de la bran- che externe d
e, et très souvent la suggestion se réalise. Faux cas de suggestion mentale . M. Félix RcGNAULT. Un alcoolique refuse de se
aurait cessé de le prendre.S'agit-il donc d'un fait de sug- gestion mentale ? Il ne le semble pas : car cette femme est som-
pense-t-il, pour donner de bons résultats avoir pour base un examen mental approfondi des recrues qui pourraient être ensu
e transformée, la prison commune radicalement supprimée. L'examen mental approfondi permettrait, dit l'auteur, non seu-
le. Voici bientôt dix-huit ansque j'aifait,au Con- grès de médecine mentale de Iloueii,une première communica- tion sur ce
I. 3= Série. Novembre 1907. N° Il ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE ; , Sur un cas de délire à deux avec modes dëaéb
t se rétablir ne Archives, 3' série. 1907, t. II. 21 322 CLINIQUE mentale falsifiant des titres frappés d'opposition,et f
et peut-être autre chose encore, quand se présenta Mme 324 CLINIQUE MENTALE . Granet, qui, après quelques mots lui dit : « V
ons d'où pouvait venir cet espionnage, nous ne savions 326 CLINIQUE MENTALE . rien, nous pensions que cela finirait. Pour Ma
elle trouye un emploi chez une jeune femme, qui reçoit z28 CLINIQUE MENTALE des messieurs et à qui elle tire quelquefois le
de la chasse »,' aussitôt ses doutes disparaissent, le 330 CLINIQUE MENTALE . coffre-fort est bien à elle. De telles sautes
n'a d'ailleurs nullement amoindri leur influence. 332 CLINIQUE MENTALE . Accessoirement, ils sont intervenus dans l'aff
uer (un phonographe est installé dans sa chambre). La désagrégation mentale se traduit encore par l'écho de la pensée, par
trefois domestique chez un chirurgien des hôpitaux, il 334 CLINIQUE MENTALE . était peut-être avec ces gens. » Dix jours plu
sans auxiliaire, que tout au plus Marie Forel l'a ai- 336 CLINIQUE MENTALE . dée à en mieux prendre conscience, à la manièr
plus l'écho Archives, 3° série, 1907, l. 11. 22 338 ' ' CLINIQUE MENTALE . de la pensée ni le langage des choses.Les symp
nture de moeurs presque autant qu'à la psychia- trie. 8o CLINIQUE MENTALE ., V. Il nous reste à dire quelques mots de la
r se rappelle sans doute que durant sa période de nar- 342 CLINIQUE MENTALE . cose, notre malade u cru se sentir opérée. Ses
otre premier entretien, il était admis que le Comte de 344 CLINIQUE MENTALE . Cambert avait soudoyé des individus dans le bu
ertain état de doute au sujet de ses tourments passés. 346 CLINIQUE MENTALE . r a Je me trompe peut-être, on peut se tromper
instabilité des synthèses élé- dentaires. Cette lésion du mécanisme mental doit avoil joué un rôle primordial dans la prod
e en soi trop am- bitieux, en tout cas impossible ici. PATHOLOGIE MENTALE Un cas de délire d'interprétation ; Par le D'
'hallucinations. Pas d'affaiblissement démentiel, soit z PATHOLOGIE MENTALE . quantitatif, soit qualitatif des facultés inte
est plus particulièrement à la suite de ces ennuis que les troubles mentaux deviennent très apparents. Il est difficile de
avaient remarqué chez notre malade, des réflexions 350 . pathologie mentale . bizarres, des réponses inattendues, des parole
de lui « en faire voir de toutes les cou- leurs ». 352 pathologie mentale . Ces idées de persécution, banales en somme, se
jour, l'homme Archives, 3' série, 1907, l. II. S3 354 PATHOLOGIE MENTALE . lui demande de lui laver les pieds. Il était t
r. Qu'est-ce que cela signifie ? Elle ne sait pas au 356 PATHOLOGIE MENTALE . juste ce qu'il y a dans ce livre, mais pourquo
ément quand on la pressait de questions sur un point 358 PATHOLOGIE MENTALE . donné, notamment sur le pourquoi' de toutes le
ent du délire des persécutés-persécuteurs. En dehors de la débilité mentale qui n'est pas un diagnos- tic clinique, mais un
psychoses chro- niques hallucinatoires, démence précoce, confusion mentale , folie périodique, paralysie générale, etc. Nou
nous sommes livrés, montre que toujours il y a quel- 360 pathologie mentale . que chose de nouveau clans son délire. Il n'es
gue,le repos et le sommeil; par M. W. BEVAN Lewis. (Tlae Journal of mental Science, octo- bre 1906.) Travail très nourri
ouvenir latent d'un acte professionnel mis en branle par un concept mental lui-même subconscient, les troubles circulatoir
ique doit être soigné indi- viduellement pour éviter les contagions mentales et les exemples. La prophylaxie de cette redout
l de la pellagre dans les Landes. Un cas de pellagre avec confusion mentale stupide; par RÉGis.(L'Eiz- céphale, 1907, n° 4.
ythème cutané, diarrhée, trou- bles psychiques à forme de confusion mentale , la psychose pella- greuse se manifestant sous
; le moyen âge en offre des exemples (démonomanie). z La débilité mentale du moyen âge a sa cause dans les cala- mités qu
ppléants : 1. le 1)1' J.cc2urn ancien chef de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Lyon, médecin-adjoi
ules Voisin commencera ses conférences cliniques sur les mala- dies mentales et nerveuses, spécialement chez les enfants, le
t de MAL épileptique. 423 Elle fut alors examinée au point de vue mental , par le doc- teur Charpentier, qui rédigea le c
formes cliniques de la folie » et à l'étude médico-légale des états mentaux douteux. La première partie passe successivemen
ve », parfaitement distincte de tous les autres groupes de troubles mentaux : les seules formes intermédiaires connues sont
pent sur le terrain de la neurasthénie », englobe tous les troubles mentaux pour lesquels les racines grecques sont si vo-
t redoute les suites, forme qui conduisit à rapprocher les troubles mentaux par obsessions des états différenciés par Krse-
analogue (tics, chorées, etc). Les travaux français sur la débilité mentale congénitale sont éga- lement laissés de côté, s
ée par le législateur. » Dans les`deux derniers chapitres, l'état mental au point de vue pénal, au point de vue civil, o
ances psychiatriques étendues leur permettant t de constater l'état mental des condamnés au moment de leur arri- vée et au
: R : 1PI : U11QUl : . 4 ? rite administrative les cas d'aliénation mentale constatés à la pri- son. - c) De l'utilité de
rs de faits qualifiés crimes ou délits graves, dont l'infério- rité mentale , les anomalies intellectuelles et morales auraien
ce qui concerne les pau- vres) ; par A. HELEN BoYLE.(The Journal of mental Science.oc- tobre 1905.) - L'objet de ce trav
avoir la recon- naître et pouvoir la traiter. Une foule de troubles mentaux légers passent ainsi inaperçus pour aboutir à u
gites vraies consécutives à ces affections. Les revue de pathologie mentale . 4 : : i1 toxines microbiennes pénètrent seules
e le tabes se complique d'une hémiplégie. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE : XII. -Traumatismes craniens et troubles menta
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE : XII. -Traumatismes craniens et troubles mentaux ; par Jotfroy ? (L'Encéphale, 1907, n° 2.) -1 *;
s la question, / le rôle du traumatisme dans la genèse des maladies mentales n'est ; pas nettement élucidé.Pour argumenter s
ète (par déchirure probable des lobes occi- pitaux) et des troubles mentaux à forme de démence précoce hé- béphrénique chez
ir chez un individu l'existence d'une prédisposition à des troubles mentaux , surtout de prévoir vers quelle forme clinique
estion des rapports entre les traumatismes crâniens et les troubles mentaux , la P. G. en particulier, doit être envisagée au
rconstances est-on autorisera dire que le lrJu' revue de pathologie mentale , traumatisme a créé la P. G. ? Le Prof. soutien
vements diffus. tics systématisés,émotions angoissantes ruminations mentales , ensemble que Janet désigne sous le nom d'agita
manies » les plus diverses, un état général de revue de pathologie mentale . 11J3 de doute, la rumination mentale, lès tics
éral de revue de pathologie mentale. 11J3 de doute, la rumination mentale , lès tics de réaction, de perfection- nement ou
ne lui reconnaît généralement pas l'impor- 400 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . tance qu'elle a en réalité dans l'étiologie de
uire l'hallucination, il faut la prédisposition REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 461 du sujet, souvent réveillée par les auto-i
en effet, est une vésanie et à ce titie rentre dans la pa- thologie mentale ; quant à la neurasthénie, son domaine s'est par
i enlevé à la neurasthénie doit être acquis 462 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . à une forme morbide nouvelle, la psychasthénie
oubles digestifs considérés dans leurs rapports avec - les troubles mentaux ; parM. Page. (Bulletin médical, n° 7 1906.) C'e
la théorie de l'auto- in loxiuation comme cause de certaines formes mentales , théorie qui acquiert chaque jour un nouveau de
tte modification amè- nerait rapidement la disparition dès troubles mentaux . L. 'WAHL. XXI. Crises d'anxiété avec impossi
t au sein des organismes la distribution suc- ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 463 cessive des stades antagonistes de l'activ
ir et à révéler l'intervention du rythme périodique. Dans la sphère mentale les manifestations de la périodicité et de l'al
automatisme participant. On conçoit d'après cela que les trou- bles mentaux les plus affectés de périodicité régulière soient
du 5 décembre 1907. -PIIÉSIDENCE de M. 13nBrNSxr. Pseudo-lorticolis mental . MM. Dufour et Foy présentent un malade atteint
par simple pression du doigt ; ce n'est pas cependant un torticolis mental , car il est apparu la suite d'une périoslito '
n de... (et ici inLer- viendra l'énumération des tares physiques et mentales ayant déterminé l'acte;. III. Cet acte est impu
é. Constatant que certains cou- pables étaient atteints de troubles mentaux , ce qui se traduisait par des réponses incohére
ges. Les Romains se faisaient une idée très nette de l'aliénation mentale , Ils la considéraient comme une véritable maladie
nt une expression empruntée à Trousseau1. La protection des débiles mentaux dans les campagnes et les ate- liers. M. Tout-Z
ate- liers. M. Tout-ZAC (de Versailles). Au village, les débiles mentaux sont exposés aux taquineries et même aux mauvais
oin possible, écrit 31. les excès alcooliques et leurs conséquences mentales tant chez les femmes que chez les hommes. Chez
as toujours facile ni même possible, au moins pour certaines formes mentales , de faire à l'alcoolisme sa part. Il est curieu
hommes ; 3° Alcoolisme compli- qué de dégénérescence ou de débilité mentale ou d'hérédité al- coolique ; 4° Même tableau po
r profession qu'aucune pro- fession ne meL à l'abri de l'aliénation mentale . Cependant l'on considère que la population de
uillet 1906 (alcoolisme proprement dit; 1710 (GS,59 %) etallrctions mentales avec alcoolisme, 783 ('il, 40 %) nous en avons
c succès le concours d'adjuvat, les chefs de clinique de pathologie mentale et des maladies de l'encé- phale à la faculté d
lées de la ma- nière suivante : 1° Une épreuve écrite de pathologie mentale . pour laquelle il sera accordé quatre heures 2°
versités belges, un enseignement méthodique et suivi de la médecine mentale ; 2° que de tout pustulant d'une place dans un
malades de la » Retreat» de York ; par BEVAN Lexis. (The Journal of mental Science, janvier 1907.) Dans ce discours l'aute
lrud et \Iercicr, p. 158. .CIIOnn01'L.1SI1·..VOIl' C(Illl(S(01l mentale . Acroméc.ai.ie. Un cas d' avec li·sion de l'h
hef des asiles publics d'alié- nés de la Seine, p. 476. Confusion mentale . De la ai- guë et de ses particularités chez
(LIO-s.InCOW li. \'oir l : pilepsic. Glycosurie. Voir Confusion mentale . Grenouille dans l'intestin. Gué- rison par s
er, p 372. Quel- ques points du traitement pré- coce des maladies mentales et nerveuses (principalement en ce qui concer
térieur aiguë, par Huet et Le- jonne, p. 303. Pseudo-torticolis mental , par Dufonr el Foy, p, 464. PsYciiATHÉNiE.La
n. Voir Timidité.- et hystérie, par Babinski, p. 167. Faux cas dé mentale , par F. Régnault, p. 305. Action de la sur la
aite- ment chirurgical dans un cas TABLE DES MATIERES. 489 de mental de Brissaud, par Sicard et Desbomps, p. 302.
teurs, par Bérillon, p. 90. Traumatismes crâniens et trou- bles mentaux , par JofTroy, p. 457. Tronc. L'entrecroisemen
paralysie générale, par Diltz, p. 78. Contribution à l'élude des mentaux de la maladie de par Par- rhon et Marbc, p. 8
mullsmes. Les digestifs con- sidérés dans leurs rapports avec les mentaux , par Page, p. 462. de la parole dans les fond
32 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
nt tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES - Rédacteur en chef: Docteur Edg
nt tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteru en chef: Docteur Edgar B
nvestigation psychologique ; 2° la clinique des maladies nerveuses et mentales ; 3° la pédagogie clinique; 4° tous les procédés
ouvait aucune émotion. Apres un certain nombre de ces représentations mentales , faites dans l'état d'hypnose, il sentit qu'il ép
trêmes limites : tels étaient les traits les plus saillants de l'état mental de la malade. Mais ce qui dominait tout, c'était
à l'état de veille, j'obtins la disparition successive des accidents mentaux et des symptômes somatiques les plus gênants. J
es formes cliniques et les complications d'ordre somatique ou d'ordre mental . Séance annuelle de la Société d'Hypnologie et
9. M. P. Joire (de Lille). — Nouvelles expériences de suggestion mentale . 10. M. Bourdon (de Méru). — Suggestion à l'éta
l normal l'avantage d'obtenir une suspension plus complète du travail mental . Il serait à ce point de vue doué de propriétés p
état de sommeil provoque pendant lequel, à l'inhibition des fonctions mentales , correspond de la dynamogénie des fonctions de la
e qui lui serait inconnue. » Auparavant, Braid appréciait l'influence mentale dans l'hypnose, ce qui l'avait porté à croire à l
et qui appelle à son secours à la fois le jugement, la représentation mentale et l'émotivité. Ceci n'enlève rien de sa valeur
ysionomie qu'elles revêtent, les phobies décèlent toutes le même état mental sous-jacent, c'est-à-dire émotivité excessive des
inion bien claire de leurs rapports respectifs avec la dégénérescence mentale et l'épuisement nerveux. Pour lui, en effet, la p
s graves méritent d'être comptées parmi les symptômes de l'aliénation mentale . Enfin, le « trac des chanteurs » ne relêve-t-il
t d'anxiété ? » Ainsi donc, neurasthénie d'une part, dégénérescence mentale de l'autre, tels sont les deux pôles autour desqu
s psycho-névropathes, qu'ils soient ou non entachés de dégénérescence mentale . Loin de faire nécessairement partie des symptôme
agréation psychologique momentanée : le ressort môme de la régulation mentale est faussé. D'où une variété d'aboulie extrêmemen
otion qui le souligne. On se trouve là en présence d'une sorte de tic mental , qu'on a compare à une o bouffée délirante » et q
a /occasion de faire valoir celte connaissance particulière de l'état mental JURISPRUDENCE MÉDICALE 57 des psychopathe
our titre : De l'application de Vhypnntwne au traitement des maladies mentales , et M. le Dr Bérillon fit deux communications : l
sychothérapie ont été également faites, à la section des maladies mentales et nerveuses : par M. A. de Joug (de La Haye), su
libéralisme des organisateurs de la section des maladies nerveuses et mentales , MM. les professeurs Kojénikoff, von Korsakoff, W
riosité, provoquent chez leurs sujets des expériences de dissociation mentale , qui leur font réaliser des hallucinations. Entre
hystériques les expériences les plus capables de déséquilibrer l'état mental . Ceux qui soulèvent également cette objection son
ne des manifestations de l'hystérie précoce. En un mot, l'instabilité mentale des enfants hystériques semble calquée sur celle
de la psychologie moderne et de procéder à une véritable rééducation mentale de l'enfant. II ne dérogera pas en prouvant qu'il
é par la faiblesse et la complaisance du milieu, non seulement l'état mental se modifie, mais les troubles spasmodiques et les
itaire. De l'application de l'hypnotisme au traitement des maladies mentales ('). Par A. A. Tokaksky, privat-doceot à l'Univ
'application de l'hypnotisme chez des personnes atteintes de maladies mentales n'a qu'une importance secondaire. 14) L'individ
n peut dire que, par l'hypnotisme, ont été guéries certaines maladies mentales , telles que des impulsions et des obsessions morb
lsions et des obsessions morbides, mélancolies, manies des confusions mentales — on ne peut* pas en conclure que de l'applic
tirer les conclusions suivantes. 15) Ce n'est que dans les maladies mentales , qui se caractérisent par l'excitation générale d
ement de l'activité du cerveau de l'origine organique (dégénérescence mentale , démence consécutive) l'application de l'hypnotis
etc. 18) A l'application de l'hypnotisme au traitement des maladies mentales , il ne faut pas perdre de vue qu'au début des mal
adies mentales, il ne faut pas perdre de vue qu'au début des maladies mentales aiguës la succeptibilité à l'hypnotisation et la
evenir stationnaire. 19) En ce qui concerne les formes des maladies mentales , l'hypnotisme peut donner des résultats favorable
otiques proprement dites. 25) Ainsi dans le traitement des maladies mentales on ne peut pas mettre l'hypnotisme au dernier pla
fficaces, restent très souvent sans aucune influence sur les maladies mentales , et il y a beaucoup de malades qui ne peuvent êtr
1 BotrcBEn.dc Rouen. Au premier Congrès Français annuel de médecine mentale tenu à Rouen en 1890, nous avons signalé un cas s
e. Rapprochant ces deux faits, nous croyons qu'il s'agit là d'un état mental particulier dont la place se trouve nettement ind
culier dont la place se trouve nettement indiquée à côté des troubles mentaux , tels que la claustrophobie, l'agoraphobie, etc.,
ouvoir des attouchements dc l'opérateur de favoriser la concentration mentale du patient et do rappeler ainsi la mémoire perdue
ughes Bennett. Le premier donne, dans la C° édition des Principles of Mental Physiology, parue à Londres en 1881, une entière
i conclut que l'importante condition de l'hypnose était une condition mentale et que le premier agent de ses phénomènes était l
nom de corpus Luysii. Son Traité clinique et pratique des maladies mentales (1881) avait été couronné par l'Institut (Prix La
et 1897. —Présidence de m. Dumoktpaluer. {suite) De la suggestion mentale : expériences nouvelles. Par le Dr P. Joire (de L
, se présente pour servir de sujet pour les expériences de suggestion mentale , je lui couvre les yeux avec un bandeau qu3 j'ai
trois ou quatre mètres environ. Je lui fais à ce moment la suggestion mentale de lever le bras gauche. Au bout de quelques seco
sans indécision, avec une précision remarquable. Par une suggestion mentale analogue, je fais revenir les bras à leur positio
les mains sur le dos d'une chaise placée derrière moi. Ma suggestion mentale porte sur la jambe droite du sujet que jo veux fo
ne alors à environ deux mètres du sujet et je commence une suggestion mentale énergique à laquelle je donne pour objectif l'éca
à l'expérience. Observations générales sur ces diverses suggestions mentales : Je n'ai lait que des expériences très simples
nt les sujets au moment où ils reçoivent et exécutent les suggestions mentales . En apparence, les sujets sont en état de veille,
ètement de réussir. Au sujet de la manière de faire les suggestions mentales , je dirai qu'elles demandent, de la part du sugge
es. C'est pourquoi j'ai donné à ces expériences le nom de suggestions mentales et non pas de transmission de la pensée. En effet
à l'exécuter inconsciemment et en détail par une série de suggestions mentales successives. Manie aiguë intermittente, coïncid
vivent; ils sont bien portants et aucun n'a eu de maladie nerveuse ou mentale . La malade a eu la fièvre typhoïde, vers l'âge de
ésultat a été aussi satisfaisant qu'en mars, avril et juin, et l'état mental de la malade est absolument normal dans l'interva
'aliéné. Quoi qu'il en soit, dire qu'il y a des aliénés dont l'état mental est méconnu par la justice et que chaque jour voi
ndifférents, à la prison ils sont un peu chez eux, et aucune réaction mentale fâcheuse n'est à craindre. Deux aliénistes d'ai
jour en cellule, étaient atteints, h un degré quelconque, de troubles mentaux à leur entrée. — Au point de vue de l'emprisonnem
s on eût constaté chez ses collatéraux ou ses ascendants des troubles mentaux ou des tares uévropathiques quelconques. Il n'a n
à l'excès. Notre malade ressemble à sa mère à la fois au point de vue mental et au point de vue physique : il a été très bien
ypnotisme n'est pas seulement un merveilleux instru ment d'orthopédie mentale et morale. Il est capable d'assurer, non seulemen
omme de bonne éducation qui souffrait d'une fistule urinaire. Un état mental était survenu, qui rendait la guérison à peu près
ns elle n'a pas marché 100 mètres. Insomnie, constipation, dépression mentale . La maladie avait résiste à la médication inter
meil. II avait eu quelques convulsions avec aggravation des symptômes mentaux . Je l'hypnotisai, il y a quatre ans, et depuis lo
x étals. Selon Braid, l'hypnose est caractérisée par des phénomènes mentaux et physiques, particuliers à cette condition. L'h
je les ai tous trouvés en possession d'une connaissance de leur état mental et du monde extérieur, aussi claire qu'à l'état d
rmal. Il est à espérer que dans l'avenir on parlera moins de l'état mental * automatique », et que les crimes du soi-disant
isme. Peu, depuis Draid, ont eu une conception aussi claire de l'état mental et moral du sujet et ont plus fait pour démasquer
énés, n'est pas moins utile que de déterminer l'état de leur activité mentale ; car, non seulement cet examen donne souvent la
, en conscience, négliger l'examen du système nerveux dont l'activité mentale apparaît comme le produit le plus élevé? Serait-i
cas, de l'ensemble des facultés psychiques est telle, que les images mentales successivement produites par l'écorce du cerveau
e traduisait ici, en réalité, par la suractivité nébuleuse des images mentales . Faut-il encore parler des terreurs nocturnes des
est en général bon signe, mais à la condition que le reste de l'état mental s'améliore parallèlement. Sinon le pronostic est
Voisin, pour des accès de fausse angine de poitrine, et des troubles mentaux divers non systématisés. Le début de la maladie
. (Auto-observation du malade de Krishabcr). (2) Hack Tuke : On The mental condition in hypnotîsm.lJournal of Mental Science
). (2) Hack Tuke : On The mental condition in hypnotîsm.lJournal of Mental Sciencet Avril 18S3, vol. xxix, p. 67. Londres, 1
urine est un phénomène d'origine psychique ; c'est le signe d'un état mental incorrect. Je vais plus loin et je pose en fait q
nfantile d'urine. Son succès dépend de la gravité du cas et de l'état mental du sujet. Je crois donc pouvoir conclure en rés
C'est par nos travaux personnels sur cette question, que l'orthopédie mentale est devenue une science positive. Mais il ne su
du sujet. — Dans les cas où il s'agira de modifier un état d'inertie mentale , on arrivera par l'image du mouvement et par un e
résistance définitive à l'impulsion ou l'exécution complète de l'acte mental , par la seule intervention de son pouvoir inhibit
s. —Los applications do la suggestion à la pédiatrie et à l'éducation mentale des enfants vicieux ou dégénérés. (Comptes rendus
rant de toutes les précautions nécessaires pour étudier à fond l'état mental du sujet qui lui est soumis, ne manque pas de don
sauf à tenir compte, quant à l'appréciation seméiologique, de l'état mental du patient. Dans les limites du cadre où nous
la sensibilité générale de la peau que nous avons relevée dans l'état mental des aliénés. En revanche, on constatera de l'an
'on ne saurait contester qu'il ne fût désirable de doter l'aliénation mentale de pareils éléments de diagnostic. Séglas et À. V
es expériences de sensations fantastiques nous font pressentir l'état mental de ces aliénés dont la sensibilité spéciale est d
ussi des troubles de l'équilibre (signe de Rornberg). Au point do vue mental , au sens de l'équilibre confine le sens de l'appr
des exemples où la psychothérapie montre sa puissance. iv.— Trouble mental , idée obsédante, guérison par la suggestion dans
ce moyen, non pas seulement dans le domaine des maladies nerveuses et mentales , mais dans celui de la rnédecine en général.
les observations qui lui permirent de rédiger son livre des maladies mentales . Je ne saurais oublier de rappeler que Luys fut
lon fera une conférence sur : La pédagogie suggestive et l'orthopédie mentale . (Cette conférence sera accompagnée de démonstrat
ardis et vendredis, à 9 h. 1/2 (Salpétrière). Clinique des maladies mentales : M. le professeur Joffroy, les mercredis et same
à 9 heures du soir, une conférence sur : l'hypnotisme et Vorthopèdie mentale . (Cette conférence sera accompagnée de démonstrat
piqûre sur l'objet sensibilisé faisait inconsciemment une suggestion mentale qui était reçue et comprise par le sujet hypnotis
sujet placé en face de lui ; et même, dans ce cas, la suggestion mentale pourrait venir aussi bien du sujet impressionné q
être aussi rapidement perçue par lui si l'hypothèse de la suggestion mentale est directe, elle serait donc instantanée dans un
nsibilité ne peut donc pas être expliqué maintenant par la suggestion mentale , pas plus que par les autres hypothèses que nous
teur des études hypnotiques, compare, avec beaucoup de raison, l'état mental dans lequel nous avons pu mettre M"' E.. P.. tran
de la psychologie, au même titre que le jugement ou la représentation mentale . Après ces deux opinions regrettables, je me ré
délire de persé-« cution, II... n'a présenté aucun signe d'aliénation mentale . A sa sortie « d'un asile d'aliénés, il a tue sa
lon fera une conférence sur : La pédagogie suggestive et l'orthopédie mentale . {Cette conférence sera accompagnée de démonstrat
mblée si éminente, qui constitue la section des maladies nerveuses et mentales , sur les mesures de restriction en question et de
manents et dont un médecin spécialiste pour les maladies nerveuses ou mentales ne peut pas et ne doit plus se passer aujourd'hui
GGESTION PENDANT LE SOMMElL NATUREL dans le traitement des maladies mentales . Par M. le Dr Paul Farez. Justification histo
tion hypnotique n'est d'aucun secours dans le traitement des maladies mentales et que même tous les aliénés sont réfractaires au
otisme et de la suggestion hypnotique dans le traitement des maladies mentales et des étals connexes. » (IV, 149.) — Quant aux d
ir, une large place dans le traitement et la prophylaxie des maladies mentales , comme un auxiliaire d'autant plus précieux que,
à mon sens, d'occuper une large place dans le trailement des maladies mentales . Ainsi, lorsque l'aliéné n'est pas accessible à l
suggestion pendant le sommeil naturel dans le traitement des maladies mentales n'a certes rien d'illégitime ou d'irrationnel ; i
ras du choix. Or, « l'agent qui fait, défait ». Dès lors un trouble mental causé par un rêve déterminé ne pourra-t-il pas êt
énuent ou se remplacent. Dès lors, la volonté est, scmhle-t-il, toute mentale ; elle n'agit que sur des représentations; l'être
ue fantuisistc. —Cf. en particulier tout ce qui concerna le « vertige mental ». Ess.,2° éd., II, 8-41.} Peut-être, dans un pro
provoquée par ce que nous appelons aujourd'hui {'autosuggestion. mentale , que devient cette maîtrise de soi ? Pour nous en
é M. Pierre Janèt. Ensuite seulement, on s'occupera de la rééducation mentale , proprement dite, de manière que le sujet en arri
usqu'alors on lui avait imposées du dehors. Pour cette restauration mentale , l'hypnotisme (ou le sommeil provoqué, comme on v
s. (2) Lettre du 5 novembre 1648. (3) L'Hypnotisme et Vorthopédie mentale (Rueff, 1893). II DES CROYANCES RELIGIEUSES
M. Béril-Ion. Ce travail a pour tilre : L'hypnotisme et l'orthopédie mentale . La correspondance comprend une lettre de M. le
édianiques. Télépathie. Extériorisation de la sensibilité. Suggestion mentale . Transmission de la pensée. Extériorisation de la
(Congé de Pâques.) 20 avril: Hystérie. Etude clinique de. l'éjal mental des hystériques. L'hystérie et la médecine léga
de la sensibilité. Sensibilité à distance. 29 juin : De la suggestion mentale . Transmission de la pensée. 6 juillet: Extérior
ystérie. — Le traitement psychothérapique de l'hystérie. — L'hystérie mentale . — Action complémentaire de la suggestion hypnoti
ggestion hypnotique au traitement de certaines formes de l'aliénation mentale . — Le traitement psychothérapique de la morphinom
e et de la dfpsomanie. Mardi 17 Mai. — L'hypnotisme et l'orthopédie mentale . — Traitement de la kleptomanie, de l'onychophagi
8, 144 pages. Paris, 1897. Bérillon. — L'hypnotisme et l'orthopédie mentale . In-8, 48 p., 1898, Rucff, éditeur, 104, boulev.
UGGESTION PENDANT LE SOMEIL NATUREL dans le traitement des maladies mentales . Par M. le D' Paul Farez. (suite) I I Techniq
faudra-t-il s'en rendre maitre avant même de songer à agir sur l'état mental lui-même. Donc, nous devrons, au préalable, nou
préalable, la psychologie du malade ; on analysera avec soin son état mental ; et alors seulement on fera les suggestions spéc
ocution n'est pas adéquate à notre pouvoir d'attention et de synthèse mentale , au moins pour cet (1) Rev. de l'Hypnot., I, 49
pris de lui, car nous aurons trop présumé de sa puissance de synthèse mentale et réalisé un « temps inadéquat ». Parlons donc t
de présence psychique » et, par conséquent, sa puissance de synthèse mentale auront été ramenés dans les limites de la moyenne
ort de ne pas réussir et, pendant tous ces essais infructueux, l'état mental eût menacé de s'aggraver. Or, désireux de ne pas
ise, prévenante, normalement affectueuse; elle recouvrait l'équilibre mental et la possession d'elle-même; (1) Celte dame pr
avais pas, comme bien on pense, entrepris de modifier d'emblée l'état mental de ma malade, car des suggestions trop nombreuses
que, car la tâche est rude : c'est en effet une véritable rééducation mentale qu'il faut opérer, laquelle comporte une reconstr
ne des manifestations de l'hystérie précoce. En un mol, l'instabilité mentale et les tendances impulsives des enfants hystériqu
de la psychologie moderne et de procéder à une véritable rééducation mentale de l'enfant. Il ne dérogera pas en prouvant qu'il
é par la faiblesse et la complaisance du milieu, non seulement l'état mental se modifie, mais les troubles spasmodiques et les
nt généraux, et ils naissent les uns et les autres par représentation mentale . Tous ont leurs fondements dans les phénomènes pe
pendant la veille, et les y fait réapparaître par une représentation mentale vive de l'esprit, au moyen d'un procédé psychique
e. Aussi les voit-on, par exemple dans des cas de troubles nerveux ou mentaux , prescrire les potions ou les pilules les plus co
pe, non énoncé mais facile à formuler, à savoir que dans les maladies mentales il y a toujours une lésion organique, que toujour
ntécédente, mais encore concomitante ou même consécutive aux troubles mentaux . Les trois hypothèses sont légitimes, au moins lo
remier point, l'observation permet d'admettre des cas où la déviation mentale précéderait les perturbations organiques et pourr
et nous disons simplement que, pour le moment, ce sont les phénomènes mentaux qui, mieux connus, expliquent les faits que l'on
aient alors s'amender en même temps que ces dernières »... « L'action mentale est un moyen à la fois légitime et efficace de ré
tance à l'aliénation, en ce qui concerne, bien entendu, la sphère mentale ('). » Ainsi, le principe qui sert de base à l'
e corticale doit' arto inferiore dell' uomo. Giorn. ai pat. nervosa c mentale , inni-aolït 1897, Païenne.) — Est-il irrationnel
e ci-s lOî-ionsdoiK on .postule l'existence dans les cas d'aliénation mentale . C'est encore -lu un intéressant exemple de l'act
il s'agit de dissocier minutieusement puis de réédifier tout un état mental ? Pour paraphraser le similia similibus curantur,
son innocuité demeure complète Ainsi, tous les traités de pathologie mentale recommandent l'intervention morale..., intellectu
d'intervention peut encore être très fécond en dehors de l'aliénation mentale ; en principe même, il se justifie dans toute l'é
toute l'étendue du domaine de la pédagogie clinique, de l'orthopédie mentale et de l'hygiène morale (').— En effet, des enfant
Ifypn.. décembre 1-s97, 162;— Bérillox: L'hypauti-ino et l'orthopédie mentale , Paris, RueiT, I8&S. - En outre. M Lefrlletie
e, l'un vraimenl malade, l'autre maladive, tous les deux dans un état mental particulièrement favorable à la réceptivité des i
' elle détermine un affaiblissement énorme des phénomènes de synthèse mentale , qui se manifeste surtout sous forme d'aboulie et
demain vous serez triste, elle proteste toujours; aucune modification mentale no s'est encore produiteque l'organisme est déjà
Dumas lui-même. D'après eux, les états organiques précédent les états mentaux , le phénomène de l'émotion est donné objoctivomen
ble une variation vaso-motrice antérieure à toute variation de l'état mental ? MM. P. Parr et Marcel Drouin répondent résolume
Trentième anniversaire de la fondation de la clinique des maladies mentales à Saint-Pétersbourg. A cet e occasion, deux mus
8. 144 pages. Paris, 1897. Bérillon. — L'hypnotisme et l'orthopédie mentale . In-8, 48 p., 1898, Rueff, éditeur, 10Î, boulev.
peut toujours, dans n'importe quel état d'hypnose, exciter l'activité mentale et, en agissant ainsi, on empêcherait assurément
t radical de tous les crimes de laboratoire consiste en ce que l'état mental du sujet n'a pas été étudié par des questions pen
té. Ils étaient capables, durant l'hypnose, d'analyser leur condition mentale et d'attribuer des raisons logiques à leurs actio
rimé ayant pour titre : Traitement de quelques formes de l'aliénation mentale par la suggestion hypnotique. M. le Secrétaire
isme et l'on doit à ce dernier des guérisons authentiques de maladies mentales (Aug; Voisin, Tokarsky). Toutefois, dans les cas
aturel n droit à une tres large place dans le traitement des maladies mentales ; elle trouve aussi se indications dans les dlvern
l'hypnotisme et de la suggestion dans le traite- ment des maladies mentales et de l'alcoolisme ; 6. Les applications de l'h
cations de l'hypnotisme à la pédagogie générale et à l'or- thopédie mentale ; 7. Valeur de l'hypnotisme comme moyen d'inves
Df Petersen, alors que ce dernier étudiait les maladies nerveuses et mentales à Paris, à Nancy, â Zurich et à Vienne ; l'auteur
n sait, a le premier appliqué l'hyno-tisme au traitement des maladies mentales ('). UN APPAREIL NOUVEAU POUR L'ÉTUDE DES TREMB
TTURA, GRAFOGRAFO ; par M. G. Obici, Rivista di patologia nervosa e mentale , juillet 1897. — M. Sommer, professeur de Psychia
OUVRAGES REÇUS A LA REVUE Bérillon. — L'hypnotisme et l'orthopédie mentale . In-8, 48 p., 1898, Rueff, éditeur, 104, boulev.
(1'), 341. Anniversaire de la fondation de la clinique des maladies mentales à Saint Pétersbourg, 349. Application de l'hypn
sbourg, 349. Application de l'hypnotisme au traitement des maladies mentales (de l'), par par M. Tokarsky, 73. Application p
57. Magnétiseurs et l'exercice de la médecine (les), 31. Maladies mentales (de l'application de l'hypnotisme au traitement d
s criminelles (la question dea), par le Dr Liégeois, 98. Suggestion mentale : expériences nouvelles (de la), par le Dr Joire,
pique de l'hystérie infantile (le), par le Dr Bérillon, 68. Trouble mental , guérison par la suggestion dans le sommeil hypno
33 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
racté- UN CAS d'abasie-astasie. 45 ristiques pour juger de l'état mental du malade. Ce n'estpas lui qui s'attend à une a
la partie postérieure de laquelle siège le centre de l'au- dition mentale n'est pas capable par l'ischémie de ce vaisseau
e cette manière empirer l'état vertigineux de notre malade. Forme mentale . - La pathogénie des accidents en question peut
stion peut aisément expliquer le mode de produc- tion de l'accident mental de l'OBSERVATION XLIX. Est-il difficile, en eff
hez un paralytique GÉ- NÉRAL; par T.-W. IAC-DONALL, (The Journal of Mental Science, janvier 188G.) Le malade auquel appa
iscence. 2° hall, associative ; le souvenir 118 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . apparent est suscité par une impression actuel
bre de femmes, de forts courants prsduisent une REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 119 fui mydriase évidente; on peut donc consid
1F . Deux cas DE folie larvée ; par CONOLLY Norman. (The Journal of Mental Science, avril 1SS6.) L'auteur rapporte, avec d
s l'armée des situations impliquant d'assez 120 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . graves responsabilités ; chez ces deux hommes,
revêtant des formes ordinai- rement dangereuses, sans que leur état mental se soit trahi et sans que personne ait jamais s
personne ait jamais soupçonné qu'ils étaient atteints d'aliénation mentale . Chez le constable irlandais, les phénomènes dé
aurait pas même soulevé dans les débats, la question de l'intégrité mentale , ou si par hasard on l'avait soulevée, la masse
dans la paralysie générale ; par Pritchard D.wrES. (The Journal of Mental Science, janvier 1886.) Les modifications heure
interne hémorrhagique étendue; par Geo.-H. SAVAGE. (The Journal of Mental Science, janvier 1886.) L'observation de ce m
l'excitation maniaque était due à lapachyménin- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 121 gite, ou si, au contraire, celle-ci ne s'é
. M. C. VI. Deux cas DE mélancolie ; par A. PATTON. (The Journal of Mental Science. Janvier 1886.) Il s'agit de deux cas
. C. VII. Observations POUR SERVIR A l'étude DE QUELQUES maladies mentales ; par le D PERCY SnttTa. (The Journal of Mental Sc
QUELQUES maladies mentales; par le D PERCY SnttTa. (The Journal of Mental Science, octobre 488;i.) Etude intéressante q
et son fils; 2° deux cas d'amélioration tempo- raire des symptômes mentaux ayant coïncidé avec le développe- ment d'inflam
d'hystérie chez un jeune garçon. R. M. C. - 122 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . VIII. U : '\ C \5 de folie saturnine; par Hall
. U : '\ C \5 de folie saturnine; par Hall Willl'r. (The Journal of Mental Science, avril 1886.) Chez le malade dont il s'
né d'hallucinations) alors que, dans la plupart des cas, le trouble mental persiste pen- danteplusieurs mois, etpeut même
IX. DE l'appétit dans la FOLIE ; par J.-A. CAMPBELL (The Journal of Mental Science, juillet 18S i .) Voici le résumé des o
même là un des traits caractéristiques de cette forme d'aliénation mentale . Certains maniaques s'abstiennent de manger et
nie ou la mélancolie aiguë, les fonctions d'ab- REVUE DE pathologie mentale . '13 3 sorption ne s'accomplissent pas ou ne s'
idiots nés de mères impressionnées pen- 124 lue REVUE DE pathologie mentale . dant leur grossesse par la vue d'individus ivr
se qu'il soit donné suite à un vote émis par le Congrès de médecine mentale , qui demandait la création d'un comité destiné
leversements se sont produits dans la clas- sification des maladies mentales . On peut dire qu'il ne reste guère plus aujourd
ecrétaire général fait un résumé des travaux du Congrès de médecine mentale . '. De la mélancolie (suite de la discussion).
Quant aux altérations musculaires elles proviennent de l'affection mentale qui nous occupe. Discussion. M. SC11UELE. 11 fa
r quel est l'état des muscles dans les autres formes d'aliéna- tion mentale . Il se rappelle un cas de paralysie générale dans
à l'intérieur trois mille unités pharmacodynamiques, quelque forme mentale qu'ils pré- sentassent. Les résultats ont été p
ne, de l'imbécillité ou de la démence précoce; de la dégénérescence mentale consécutive à« 13G SÉNAT. un traumatisme céph
re du meurtrier. La famille comptait en outre deux cas d'aliénation mentale et un cas d'originalité anormale du caractère.
ésultait des débats qu'un individu acquitté présentait par son état mental des dangers pour l'ordre public, l'autorité admin
ministrative arrivait régulièrement, puisqu'il s'agissait d'un état mental qui pouvait troubler l'ordre. Tout était là ! Vou
rotection duquel et les familles doivent y tenir - se trouve l'état mental de l'accusé, vous allez faire une chose grave,
i 'le ministère public ni la défense n'invoquent l'irresponsabilité mentale , je ne vois pas comment les débats auront démon
e l'autorité administrative si les magistrats estiment que son état mental le constitue à l'état d'aliéné dangereux. « La
iera d'un verdict de non-culpabilité, lorsque la preuve de cet état mental lui parait résulter des débats. « L'autorité ad
aisie par suite de ce renvoi, doit 1 40 SÉNAT. provoquer l'examen mental du prévenu ou de l'accusé acquitté. Cet examen
sumé aliéné, l'expertise pl'es- crite en vue de déterminer son état mental peut avoir lieu soit dans le quartier ou local
tés prescriptes par l'article 20, les aliénés indigents dont l'état mental ne compromettrait pas la sécurité, la décence ou
e séance. BIBLIOGRAPHIE. I. - Etudes cliniques sur les maladies mentales et nerveuses, par le Dr Jules FALRET. 1890. M
urs, les doctrines de Pinel et d'Esquirol ont prévalu en pathologie mentale ; mais leurs classifications, basées sur la form
, basées sur la forme, l'étendue plus ou moins grande des- troubles mentaux , ont rapproché les malades par des analogies fa
ans se préoccuper des doctrines, que l'acteur passe en revue l'état mental des épileptiques, analyse d'une façon générale
une façon générale les troubles du langage, distingue les désordres mentaux variés que l'on a groupés sous le nom de folie
a plupart du temps des gens atteints de quelque maladie nerveuse ou mentale . A ce pro- pos, l'auteur fait une longue et int
lu de tous ceux qui s'occupent de l'étude des maladies nerveuses ou mentales . Introduction à l'étude de la Spécificité cellu
ns, fermier, donnait depuis quelque temps des signes d'a- liénation mentale . Hier soir, il prévient sa femme malade et ses
pellier. - M. le Dr LAFON est nom- mé chef de clinique des maladies mentales (emploi nouveau). Faculté DE médecine DE NANCY.
colaire 1889-90, d'un cours complémentaire de clinique des maladies mentales . La vente DE la morphine par les droguistes. -
égories de mdlades qui constituent les sujets atteints d'aliénation mentale dangereuse; 6° les cas de démence se traduisant
cheuse de son système nerveux et un affaiblissement de ses facultés mentales . De nombreux témoins étaient cités par le plaig
eaux de l'Encéphale. CULLERIIE (A.). Traité pratique des maladies mentales . Volume in-18 de 618 pages. - Prix : 6 fr. Pari
x du Progrès médical. Falret (J.) Etudes cliniques sur les maladies mentales et nerveuses. Volume in-8 de 623 pages. Prix :
de l'Encéphale. 0 SCHI ! LE (H.). - Traité clinique des maladies mentales . - 3° édition traduite par les D DAGO ! OET (J.
ière circonvolution du lobe occipital, siège reconnu de la vision mentale . La FA appartient au type général de structure
e sexe ni l'âge n'apportent de différence à cet égard. L'aliénation mentale augmente la différence de poids desdeux hémisph
rouvées dans les formes alcooliques et épileptiques de l'aliénation mentale ; les plus bases, dans les phrénasthésies et les
plus vaste, pour les hommes, que dans lesautres formes demaladie mentale , ce que Amadei attribuaitau degré de culture de
STRES DE L'ASILE ROYAL DE Dundee ; par James RoRIE. (The Journal of Mental Science, avril 1887.) Nous ne pouvons que sig
E L'ACÉTO-PHÉNONE (Hypnone) ; par COVOLLY Norman. (The Jour- nal of Mental Science, janvier 1887.) L'auteur n'a expériment
age ET l'abus DE la séclusion ; par J.-A. Campuell. (The Journal of Mental Science, octobre 1886.) L'auteur définit tout d
. Sur l'alternance des névroses; par G.-H. SAVAGE. (The Journal of' Mental Science, janvier 1887.) L'auteur a choisi ce ti
e folle (excitation maniaque) pour reparaître au retour de la santé mentale . Enfin, dans plusieurs cas, l'auteur a vu la pe
s cas des attaques vio- lentes d'épilepsie ont amendé les symptômes mentaux . Contre son attente, il a même vu la disparitio
l'on peut ainsi parler, est fréquemment remplacée par une épilepsie mentale , laquelle d'ailleurs, abstraction faite du terr
es qui paraissent plus aptes que d'autres à modifier les troubles mentaux , par exemple les affections douloureuses et les a
I du système NER- veux ; par J. HUGIiLINGS JACKSON. (The Journal of Mental Science, avril 1887.) La concision qui règne
es multiples DU CERVEAU; par F. S. JUHN HULLEY. ('1'heJolll'/lal of Mental Science, janvier 1888.) Ce cas est surtout rema
e la maladie a été marqué par un abaissement simultané des facultés mentales et physiques. Bien que les tumeurs cérébrales s
e les tumeurs cérébrales s'accompagnent le plus souvent de troubles mentaux d'un genre ou d'un autre, il est de règle que l
ntaux d'un genre ou d'un autre, il est de règle que les symptômes mentaux , et lorsque les premiers se rencontrent associés
nostic avant le début du coma ter- minal. La présence d'antécédents mentaux héréditaires, dans la ligne collatérale, expliq
lement dans le cas actuel l'appa- rition plus précoce des symptômes mentaux . 2° Par l'existence d'une démence progressive e
blation antérieure d'une tumeur du sein, la diminution des troubles mentaux vers la fin de la maladie (diminution si marqué
Ces mélancolies multiples méritent une place à part, car les formes mentales qui se rencontrent ainsi s'influencent ré- cipr
de dégénérescence. M. LEGRAIN base son diagnostic de dégénérescence mentale sur l'évolution même du délire, sans parler de
es. En conséquence, l'indication, en ce qui concerne les maladies mentales que l'on pourrait soumettre à ce mode d'entraînem
imitant au siège et aux extrémités inférieures. Toutes les maladies mentales survenant chez des neurasthéniques et chez des
sthéniques après la guérison de la psychose en question. Le trouble mental ne constitue donc par rapport au terrain morbide
on préexistent à l'obses- sion, et que c'est la question du terrain mental qui représente la nature de la maladie. L'obses
à l'année 1880. M. Lé lit deux rapports médico-légaux sur des états mentaux douteux. - M. SClIROETER traite des colonies ag
demander que tous les praticiens soient interrogés sur les maladies mentales . Les formalités visées par le décret ministérie
arurent, l'énergie revint; un mois après le début de l'aliéna- tion mentale , le malade se sentait en état de reprendre son se
e de Boismont (Gaz. des hôpit., 7 mars 1843) et Williams (Journ. of Mental Science, avril 1875, p. 151) ont signalé des cas
philis, mais dont les deux oncles paternels sont morts d'aliénation mentale et dont le père est un débile. Les prodomes ava
s carac- tères, des fautes d'orthographe propres' à cette affection mentale , et de lacunes de style marquées au même sceau.
autres atta- ques identiques se montrent avec l'ensemble du cortège mental caractéristique d'octobre à février 1886; affai
de novembre, monoplégie com- plète et flasque du bras droit; l'état mental reste le même ; il s'y joint des idées de grand
et du champ visuel; intégrité complète du fond de l'oeil. L'état mental n'a pas varié. Plus tard, de petites attaques^se
à la diplopie monoculaire, elle subsiste (novembre 1888). Même état mental de démence avec mobilité de l'humeur, puérilité
u complet sevrage. La convalescence eut lieu. A ce moment, l'état mental se révéla par une faiblesse extrême des facultés
encontrer sur la brèche toutes les fois que l'intérêt de la science mentale est en jeu. s'était là comme toujours multiplié,
t arrivé à nous présenter pour ainsi dire une page de thérapeutique mentale sous forme de deux comédies jouées d'une façon
1t01 Louis Il DE BAVLÈRE; par Villiam-W. IRE- land. (The Journal of Mental Science, octobre 1886.) M. Ireland qui a consac
ns un état avancé de folie; elle souffre de celte forme d'affection mentale que les aliénistes connaissent bien sous le nom
ttendre qu'à un affaiblis- sement encore plus grand de ses facultés mentales ; , 3° Cette maladie a pour but d'exclure complè
hôpitaux, est nommé chef du laboratoire de la clinique des maladies mentales , en remplacement de M. Bellangé, démis- sionnai
nt guéris, 7 améliorés, 2 sans changement et 1 atteint d'aliénation mentale . Jusqu'à aujourd'hui, 9 ont gardé l'abstinence
prit pair plusieurs médecins de Bonn. L'Enseignement DES maladies mentales en ROUMANIE. En k° an- née, il existe un cours
ils sont toujours inter- faits divers. 299 rogés sur l'aliénation mentale , mais seulement à la fin de la 4° année. LES
39, un sieur Provost, originaire du Nord, fut frappé d'alié- nation mentale au cours de son congé militaire, à Bordeaux. Il
vice de la variole), il fut nommé, en 1858, au service des maladies mentales , où il eut pour maîtres Ideler, von Horn, Gries
ux du Progrès médical. CULLERRE (A.).- Traité pratique des maladies mentales . Volume iu-18 de 618 pages. Prix : 6 fr. Paris,
x du Progrès médical. FALRET(J.). Etudes cliniques sur les maladies mentales et nerveuses. Volume in-8 de 623 pages. Prix :
sme, diabète) et neuropathologique (ivrognerie, suicide, aliénation mentale ). En résumé, Messieurs, je crois avoir mis sous
té de près de 5 kilogr. Il se sent plus fort, plus alerte. Son état mental est tout diffé- rent de ce qu'il était à cette
de Tùrck; il subit la dégénérescence ascendante. La partie fonda- mentale du faisceau latéral (P F, 2) constituée par la
our leur aperception ou quand elles arrivent au moment d'un travail mental occasionné par d'autres impressions contemporai
r des lettres, la façon de les écrire, le nombre de lettres, l'état mental du sujet, etc.). L'expérience a un tout autre b
e, peut, après un temps plus ou moins long et après une recherche mentale , surgir dans sa conscience. Il nous est arrivé
hors de ce champ, il est perçu inconsciemment et il faut un travail mental (suggestion ou autosugges- tion) pour que son i
ns ou des centres limités des perceptions, en dehors de tout acte mental , crée, par le seul fait de l'état mor- bide de
LÉGALE I. La folie ET LE crime; par S.-W. 1VORTH. (The Journal of Mental Science, juillet 1886.) L'auteur s'est proposé
RESPONSABILITÉ CRIMI- NELLE ; par Geo.-H. SAUVAGE. (The Journal of Mental Science, avril 1886.) Il n'est pas nécessaire
diagnostiqué la folie sans indiquer d'ailleurs que l'atiénation Il mentale reconnût pour cause des habitudes d'intempérance.
S DEVANT LES TRIBUNAUX civils; par Achille FOVILLE. (The Journal of Mental science, avril 188ti.) Les conclusions de ce
tériel qui a instrumenté, n'était au point de vue de l'appréciation mentale d'un homme pas plus qu'un profane quelconque, e
. V. Un'cas récent de médecine légale : une question d'aliénation mentale , par A. R. TUHDULL, (The Journal of Mental Scienc
e question d'aliénation mentale, par A. R. TUHDULL, (The Journal of Mental Science, octobre 1886.) Observation très inté
eut être mis en liberté'/ par H. liA ïES 1EW1\GTO\. (The Journal uf Mental Science, janvier 1887.) L'auteur laisse systéma
les difficiles problèmes qui touchent à la guérison de l'aliénation mentale . 11 se propose d'étudier les cas où un médecin
NCERNE LES ALIÉNÉS en Ecosse ; par James BORIE. (Tite .fou1'Ilal of Mental Science, avril 1888.) Nous ne pouvons que sig
cupent spécialement de législation comparée en matière d'aliénation mentale . R. M. C. VIII. DE la séquestration DES crimine
r de l'asile et l'autorité; 7" Toi il criminel atteint d'aliénation mentale au cours de sa peine, devient un malade oïdinai
i'a L'en.\ qui, d'api es la nature même de leur REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 397 profession de criminel, sont absolument in
re et les pré- server de découragement, les faire, selon leur étal, mental , passer alter- nativement de l'annexe à l'asile
n de faire intervenir la justice. P. KEKAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XI. Un cas d'impulsion INCONSCIENTE A l'homicid
dans les mers de la Chine d'une insolation 398 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . qui l'a forcé à garder le lit durant cinq à si
'comment il a été amené à commettre ce crime. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 399 L'opinion des experts fut que l'accusé, au
de ceux qui correspondent le plus exactement à la forme d'affection mentale que M. Clouston a décrit dans son livre dans le
jumeaux ; par le Dl CLOUS- TON et le Dr SAV : 1GE. (T he Journal of mental Science, avril 1888.) Il s'agit de deux jumea
jumeau; 2° il y avait dans sa famille des antécédents de névrose mentale , mais ils étaient très peu marqués; 3° il apparte
ux et retardés. Démarche incertaine. - Amé- 400 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . lioration légère, puis rechute et état station
étendue AUGMENTATION DE la FOLIE; par D. HACK TUhE. (The Journal of Mental science, octobre 1886.) L'auteur signale tout d
echercher le rapport qui existe entre les cas nouveaux d'aliénation mentale et la population du- rant les périodes sur lesq
ugmentation atteint près de 50 p. 100 (49.9). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 40 1 Si l'on compare la période quinquennale d
ébral, etc. R. M. C. Archives, t, XIX. 26 402 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . au moins qu'aucun accroissement ne s'est produ
XIV. DES mariages SANGUINI1S dans leurs rapports avec LES troubles mentaux ; par G. E SHUTLEWORTH. (The Journal of Mental Sc
s avec LES troubles mentaux ; par G. E SHUTLEWORTH. (The Journal of Mental Science, octobre 1886.) Travail très intéress
lanches nombreuses qui l'accompagnent. R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 403 XVI. FUREUR maniaque chez UNE épileptique,
sentés par sa malade sont l'exagération, par le goitre, de son état mental an- térieur. M. B. CONGRÈS ANNUEL DE LA SOCIÉ
cellules nerveuses intéresse-t-elle la conductibilité et l'activité mentale ? Poury répondre, il convient t de se demander
u'il empêche d'interner à temps des malades atteints d'affections mentales récentes. Il est impossible de construire d'énorm
n du chez soi et de l'activité personnelle. Quelles sont les formes mentales auxquelles s'applique ce mode de traitement. Je
durent être ramenés, parce que dans leur milieu naturel, leur état mental avait de nouveau empiré. Les cinq autres alié
s alcooliques les épi- leptiques les criminels aliénés. La médecine mentale est, comme le reste de la médectne, la science
0, la Société émette le voeu qu'on réserve une colonne aux maladies mentales et qu'on y ajoute les mentions : congénitale ou
M. Kroepelin (de DorpaL). Des troubles fonctionnels de l'activité mentale . - On peut prendre comme mesure de la capacité de
que primitive (primoere verriickthcit) comprend les dégénérescences mentales ; elle s'an- nexe à la folie raisonnante et à l
te confusion existe dans tous les pays quand il s'agit d'aliénation mentale , parce que la physiologie mentale et l'anatomie p
pays quand il s'agit d'aliénation mentale, parce que la physiologie mentale et l'anatomie pathologique des psychoses sont t
ique; 5" Paranoïa secondaire, celle qui succède à une autre maladie mentale ou qui constitue une stade de transition. Discu
auteurs les plus différents ont indistinctement appelé le même état mental des noms de Wahnsinn et Verrucktheit. C'est à M.
avec précision les nombreuses espèces et variétés de l'aliénation mentale , d'en tracer nettement les limites. M. KROEPELI
A 1DI11li0URG, le 6 août 1888, par ) ? S. CLOUSTON. (The Journal of Mental Science, octobre 1888.) L'orateur, en terminant
ir à la démence. 3. La démence étant la mort virtuelle des facultés mentales les plus élevées, toutes les folies signifient
cultés mentales les plus élevées, toutes les folies signifient mort mentale et mort sociale. 4. Les déments constituent l
e secondaire sont primitivement et principalement limitées au tissu mental (mind tissue) et constituent en l'ait une malad
s rapports avec les déments tendent à eux seuls à abaisser la force mentale du personnel des asiles en vertu de la loi bien
et le plus élevé, comme une mort fonctionnelle prématurée du tissu mental , ou comme l'un des plus heureux résultats de la
comme étant causée par les ravages qu'auraient causés dans le tissu mental les troubles primitifs aigus ; car on la voit f
démence, peut être considérée comme la forme typique de ma- ladie mentale . 428 8 VARIA. 29. Il paraitrait plus naturel
e la ménopause, folie sé- nile) qu'à toute autre forme d'aliénation mentale ; car alors elle ne ferait qu'anticiper sur la m
dans LES asiles D'ALIÉ- NÉS ; par S.-A-K. SRAH.\M. (The Journal of Mental science, octobre 1886.) L'auteur examine succ
hôpitaux destinés aux aliénés ; par Sanger UIONN. (Tlee Journal of Mental science, avril 1887.) Les observations de l'aut
EMENT DES MALADIES INFECTIEUSES; par M. D. MACLEOD. (The Journal of Mental Science. Avril 1887.) Cet hôpital est situé à 1
1'CIIOLOGIQUE, LE 9 août 1886; par Geo. Il. Savage. (The Journal of Mental Science. Octobre 1886.) L'oraleur s'est proposé
des maladies de l'organisme, ou, en d'autres termes, l'expression mentale des affections somatiques ; en troisième lieu, il
somatiques ; en troisième lieu, il étudie les troubles des fondions mentales ; cette dernierecatégorierenferme la majeure par
directeur de l'asile de Washing- ton. ' Enseignement des maladies mentales . - Le Loiicloit Country Coiisial a décidé la co
rtance que l'on accorde en Angleterre à l'enseignement des maladies mentales et témoigne des efforls faits pour avoir dans l
s de plus la nécessité d'interner les malades atteints d'aliénation mentale . La plupart des accidents de ce genre pourraien
, 1889. Governement Printing office. m Manaceim (M.) - Le surmenage mental dans la civilisation moderne. (Effets. - Causes
par Rottenbiller, 239. Acromégalie, par Schultze, 264. Activité mentale (troubles fonction- nels de 1'), par Kroepelin,
n- nels de 1'), par Kroepelin, 417. Alcoolisme, 156. Aliénation mentale (cas d'j, par Turnbull, 395. Aliénés (occupat
Eulenburg, 110. Bibliographie : Etudes cliniques sur les maladies mentales et ner- veuses, par Falret, 146; rôle de l'hé
itaux pour les infectieuses, par Macleod, 430; - enseignement des mentales , 431. Manie (traitement de la - par l'o- pium
34 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ECTION DE M.I. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNA
ues et hallucinatoires présentés par la malade : A. Les accidents mentaux ont précédé les hallucinations et se sont insta
cause ni la con- séquence. A quoi faut-il rattacher les troubles mentaux observés, ou, en d'autres termes quel rôle a jo
ré la similitude de la localisation et des symptômes, nul trouble mental n'est survenu en l'absence de la dégénérescence
ul trouble mental n'est survenu en l'absence de la dégénérescence mentale '. ANATOMIE PATHOLOGIQUE. LA THÉORIE DES NEUR
ts. Nous ne pouvons aucunement attester que la richesse de la vie mentale chez des individus humains à part dépende de la
es dendrites et de nouvelles collatérales pour le progrès de la vie mentale , nous pouvons admettre que les prolongements des
s et anato- miques relativement à une grande quantité de maladies mentales est extrêmement restreint et les faits que nous
mptômes physiques grossiers un affaiblissement général des facultés mentales . M. Raymond, tout récemment a constaté, dans un
investigations micros- copiques. Dans quelques formes de maladies mentales , particulière- ment dans les maladies organique
. 33 ainsi privé de la parole, du puissant moyen de développement mental que constitue l'exercice de cette fonction, ce qu
; opéra- TION ; guérison; par Frédéric-P. IIE.RDER. (The Journal of Mental Science, janvier 1897.) Cette observation est
blation de la tumeur a été suivie de la double guérison physique et mentale chez un homme ayant déjà atteint un certain âge
un cer- tificat signé par deux médecins spécialistes en aliénation mentale . Notification de l'ordre d'internement doit êtr
iété la dirigent vers l'étude de l'évolution des différentes formes mentales . Il exprime enfin le souhait que la société fasse
nir la sortie d'individus dont ils ne sont pas aptes à juger l'état mental . M. Charpentier regrette aussi qu'il se présent
t il s'agit. Le D1' Samuel Garnier a été chargé d'examiner l'état mental d'un individu qui avait commis un meurtre et de d
ve des aliénés dans un asile consacre au traitement de l'aliénation mentale chez les deux sexes, avec la discipline nécessa
A tout cela s'ajoutèrent encore les symptômes suivants : un trouble mental manifesté par une forme d'amnésie très marquée,
e. Moscou, 7-14 (19-26) août 1897. Section des maladies nerveuses mentales . Comité d'organisation. Les gérants : Pi" A Koj
Treatment in Diseas of the Central Nervous Systèm. » B. Maladies mentales . Thèmes de programme. 1. Obsessions et idées fi
hypnotisme et la suggestion dans leurs rapports avec les mala- dies mentales et la médecine légale. Rapports prévus : professe
gestion dans leurs rapports avec la médecine légale et les maladies mentales . Communications annoncées : Priv.-Docent A. Tok
tion de l'hypnotisme et de la suggestion au traitement des maladies mentales . » Dr Alex. Robertson (de Glas- gow) : 0 : Hypn
(de Glas- gow) : 0 : Hypnotism and Suggestion in their Référence to mental Diseases. » Dr Gorodichze (de Paris) : « La psy
eur Xavier Francotte (de Liège) : « Le délire généralisé. Confusion mentale , Verwintheit), » dry. E. Shut- tleworth (de Ric
G. Ballet (de Paris), A. Voisin (de Paris). UN cas d'instabilité mentale avec perversion DES INSTINCTS. Sous ce titre :
9 mars 1897. Son père était un rhumatisant ; sa mère une névropathe mentale : double hérédité classique, d'un côté de la ma
température ni d'albumine, mais un mois aupara- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 133 vant je perdais une femme de vomissements
es revêtait une forme absolu- ment semblable. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 1. Sur L\ folie POST-OPLR.\TOWE; par J. Christ
L\ folie POST-OPLR.\TOWE; par J. Christian Simpson (The Journal of Mental Science. Janvier l8rJi.) M. Simpson rapporte d'
e formé par les cas de démence Dans le premier groupe les symptômes mentaux ont fait leur apparition plus de quinze jours a
ait quatre hommes et quatre femmes'avec une 134 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . moyenne d'âge de soixante-sept ans : un des ho
mence; car tandis que, dans le premier de ces états, la dissolution mentale , à la fois plus lente dans son développement et
ans la démence au contraire, qui comporte le maximum de dissolution mentale , les malades étaient vingt ans plus âgés que le
sont trouvés soumis. H. de Musgrave CLAY. II. Sur l'auto-infection mentale ; par Il. KORNFELD. (The Journal of Mental Scien
II. Sur l'auto-infection mentale; par Il. KORNFELD. (The Journal of Mental Science. Janvier 1897.) Si l'on admet que toule
de importance au degré, à la durée, et aux intervalles des troubles mentaux . Le monologue d'Hamlet met en relief les causes
es plus remarquables de ce que l'auteur appelle l'auto-intoxication mentale se rencontrent chez les persé- cutés. Lorsque l
qu'un lien a été créé entre une affection somatique et une anomalie mentale , les lois de l'associa- tion entrent en jeu, et
réciation des injustices subies et des rapports REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 135 exacts de malheurs indubitables. L'action
est singu- lièrement favorisée lorsque sous l'influence du désordre mental , il vient à surgir quelque maladie somatique, l
cercle vicieux : si enfin cette fâcheuse combinaison phy- sique et mentale persiste, il en résulte un affaiblissement généra
ème DES PENSION- NAIRES extérieurs; par J. BRESTER. (The Journal of Mental Science, Avril 1896.) On se préoccupe beaucou
s enseigne qu'il n'y a ni augmentation de la diffusion des maladies mentales , ni accroissement de la tendance à la folie, ni
être utilement soumis à ce traitement sont 136 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . relativement peu nombreux, et en rappelant que
mann EN M 1TILItE DE folie ; par Georges R. WILSON. (The Journal of Mental Scienco. Octobre 1896. - Dans la première par
me décrit pour l'arrêt. La base de cette hyper- trophie d'un organe mental doit être cherchée dans une spéciali- sation di
les. Pour atteindre ce résultat, la plasti- 138 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . cité des cellules est de première importance,
tion du milieu ambiant. R. DE MusGRAYE-CLAY. V. UN cas DE stupeur mentale prolongée terminé par guérison; par A. E. PATTE
rolongée terminé par guérison; par A. E. PATTERSON. (The Journal of mental Science, janvier 1897.) Il a à noter dans cette
ans et demi de maladie. R. DE11USGRAVE-CLAY. VI. UN cas DE stupeur mentale : guérison après une durée de six ANS; par n. D
n après une durée de six ANS; par n. D. 110TBHIiIS. (The Journal of mental Science, juillet - 1896.) Au point de vue du
ncé que celui où l'on observe d'ordinaire cette REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 139 forme mentale. La guérison fut obtenue au
observe d'ordinaire cette REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 139 forme mentale . La guérison fut obtenue au bout de six ans. Ce
DÈS la DISPA- RITION du sucre; par IEITH CAMPBELL. (The Journal of Mental Science, juillet 1896.) Chez la malade dont i
ultanéité de la disparition du sucre et de la guérison des troubles mentaux . Cette dernière a été si brusque et si complète
fut elle-même précédée d'un léger retour offensif des perturbations mentales . Ce fait vient confirmer la probabilité de l'ex
S locales D'ANGLETERRE (1894-1895); par John BAKER. (The Journal of Mental Science, avril 1896.) On a dans ces derniers te
le on est arrivé à trouver une proportion de 273 cas d'alié- nation mentale pour 10 000 prisonniers, alors que la proportion
ortion réelle est de 38, 9 p. 10 000. R. M.-C. IX. Sur la fatigue mentale ET sa réparation; par W.-H.-R. RIVERS. (The Jou
igue mentale ET sa réparation; par W.-H.-R. RIVERS. (The Journal of Mental Science, juillet 1896.) 11. Rivers poursuit dan
ses de psycho-physiologie employées par le '140 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . professeur Kræpelin dans son laboratoire de He
en se met- tant à l'abri de toutes les causes d'erreur physiques ou mentales : il faudrait surtout reproduire les graphiques
nt insuffisant pour neutraliser la fatigue provoquée par un travail mental de la même durée ; et que, même après un repos
l'état prenne les épilepfiques sous sa tutelle REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 141 C'est à la fois une mesure de charité et d
cuper qu'à les abandonner. Il. BELTAY. il ? ) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XII. UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE, FORME HYPOC
ine C.-R. L..., âgée de cinquante-quatre ans, souffrant d'affection mentale depuis septembre 1895, mourut en février 1897 d
epuis lors son humeur se trouve quelque peu dépri- mée. L'affection mentale commença par une grande dépression morale avec
et patellaires, l'ataxie, etc. Il fut alors évident que l'affection mentale était un cas bien caractérisé du type nommé par
tion insulaire est fortement détruit à un degré REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 143 à peu près égal dans chaque hémisphère. On
ns1ct A2,liis, 1897, Bd. VIII.) XIII. La découverte DE l'aliénation mentale dans les prisons; par J.-J. P1TC : 11RN. (The J
râce auquel il est relativement facile diagnos- tiquer l'aliénation mentale chez les individus incarcérés dans cette prison
ve, la démence sénile, la folie alcoolique. 144 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . La genèse des idées délirantes est celle qu'on
Cas montrant l'importance D'UN diagnostic précis dans LES maladies mentales ; par M. Daniel-H. ARTHUR. (Medico-legal journal
hérédité assez chargée, telle qu'alcoolisme, neurasthénie, troubles mentaux chez les ascendants direct ou collatéraux. Dans
XIII, p. 255 du même journal, l'ass. de 32 cas. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 145 3 cas «fillatio » est le mode préféré ; ch
enfin mentalité : habituellement torpeur intellectuelle, déchéance mentale , perte de l'attention de la mémoire et de toute
es phénomènes moteurs sont également plus accusés et les phénomènes mentaux moins profonds dans les tumeurs cérébelleuses.
la STRUCTURE delà névroglie; par W. FORD HOBERTSON. (The Journal of Mental Science. Janvier 1897.) On sait que Weigert,
s DE tumeur du cerveau; par Ii'L8TCI ! 1\ B8.\CU. (The Jour- nal of Mental Science. Juillet 1896.) Garçon de six ans, né à
l'arachnoïde chez les aliénés, par W.-F. Robertson. (The Journal of Mental Science, octobre 1895.) L'auteur se propose de
apophyse odontoïde de l'axis ; par C. Hetheiungton. (The Journal of Mental Science. Janvier 1897.) Homme de trente-trois a
taté chez ce malade qu'une rigidité des muscles trapèzes : son état mental ne lui permettait de donner aucun ren- 156 REVU
latines chez LES idiots; par`Valter Cl ! AN : \I"G. (The Journal of Mental Science. Jan- vier 1897.) Les conclusions de
s caractérisés par l'inhibition de l'activité sensitive, motrice et mentale , sans lésion organique importante, comme on l'o
er DES aliénés dans LES asiles ; par J. MACPHERSON. (The journal of Mental Science, octobre 1896.) L'auteur relate l'évolu
PORTS AVEC LES ALIÉNÉS ISOLÉS-, par A. WE.1TIIERLY. (The Journal of Mental Science, janvier 1896.) La loi anglaise sur les
ires dans LES asiles anglais ; par R. PERCY SuITII. (The Journal of Mental Science, janvier 1896.) Etude sur les condition
rtificat, demander leur internement, et sur les formes d'aliénation mentale qui poussent le plus ordinairement ceux qui en
és dangereux accusés DC crimes ; par John CARSWELL. (The Journal of Mental Science, juillet 1896.) Nous ne faisons qu'indi
ET dans LE pays de Galles ; par G.-E. SUUTTLEWORTH. (The Journal of Mental Science, octobre 1895.) Nous redirons ici que l
section 7 DE la LOI DE 1891 ; par E.-S. S'rEwAIIT. (The Journal of Mental Science, juillet 1890.) Nous indiquons simpleme
REMIÈRE année DE fonctionnement ; par Robert JoNas. (The Journal of Mental Science, janvier 1897.) Description intéressant
ce genre d'établissement. R. M. C. VII. Les lois sur l'aliénation mentale au COLORADO; par E. HOBLIOU9E. (The Journal of
l'aliénation mentale au COLORADO; par E. HOBLIOU9E. (The Journal of Mental Science, avril 1896.) Aux États-Unis chaque Éta
NOCII SUR la folie du nAscfuscH/par T.-S. CLOUSTON. (The Journal of Mental Science, octobre 1896.) Lorsque, en 1879, MM.
ré l'influence du chanvre indien dans la pathologie de l'aliénation mentale . M. Warnock admet bien que l'usage du has- chis
du poison habituel suffisant pour amener la cessation des troubles mentaux avec une rapidité qui est, à elle seule, patho-
us commune, chez les fidèles du haschisch, c'est un affaiblissement mental , entremêlé, après chaque nouvel excès de poison
haschisch peut être invoqué comme l'une des causes de l'aliénation mentale ne dépassent pas la proportion de 7, 3 p. 100,
Paris) : Influence de l'accouchement sur les maladies nerveuses et mentales . D1' FOYEAU de COURIfELLES (de Paris) : 1° L'ob
c- tères histologistes. C'est à la lumière de cette notion fonda- mentale , « spécifité du tabès » que nous avons fait l'exa
gno- rons pas que certaines recherches, embryogéniques et expéri- mentales , ont démontré l'existence de filets radiculaires
seulement parce qu'il est incontestable que nombre d'affec- tions mentales sont sous la dépendance directe de certains éta
lades ordinaires. Arriver à établir un diagnostic sûr en aliénation mentale , connaître à fond son sujet et trouver les moye
n jus les etontca usé un réel préjudice aux malades et à la science mentale . B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. IX. Acciden
urique sur le cerveau peut produire certaines formes de dépression mentale (hypocondrie, mélancolie). Il arrive souvent qu
parole et a retracé, en termes éloquents, le rôle joué en médecine mentale par les deux aliénistes célèbres, Pinel et Esqu
i compte parmi ses illustrations les deux fondateurs de la médecine mentale de notre. siècle. « Nous sommes ici dans la p
e est bien la tâche que Pinel et Esquirol ont accomplie en médecine mentale . « S'ils n'ont pas résolu définitivement le pro
té clinique dont il fait preuve dans son mémoire sur l'alié- nation mentale des nouvelles accouchées et des nourrices ? Je
it en eux de l'artiste, du peintre : leurs descriptions de maladies mentales ressemblent à ces grandes compositions où tout
ne dépareraient certes pas le plus moderne des traités de médecine mentale . « Qu'on relise, pour s'en convaincre, ces obse
écises dans son célèbre Traité médico-philosophique de l'aliénation mentale . On ne relit pas sans une poignante émotion ces c
goitre et le crétinisme, l'hérédité et la prophylaxie des maladies mentales et nerveuses..Ne sont-ce pas là, en effet, des
entiels d'entre eux. Ce sont, dans l'ordre 244 SOCIÉTÉS SAVANTES. mental , la démence généralisée et progressive à laquelle
la maladie, l'état démentiel commençant se trahit par l'impuissance mentale , par l'absurdité des opérations intellectuelles
e. J'ai déjà insisté ailleurs sur les analogies que présente l'état mental , des enfants atteints d'incontinence d'urine av
fois même coexistant avec elle, il existe un état de dégénérescence mentale très favorable à l'éclosion, dès les premières
ité, provoquent chez leurs sujets des expériences de disso- ciation mentale , qui leur font réaliser des hallucinations. Entre
stériques les expériences les plus capables de déséquilibrer l'état mental . Ceux qui soulèvent également cette objection s
e des manifestations de l'hystérie précoce. En un mot l'instabilité mentale des enfants hystériques semble calquée sur cell
la psychologie moderne et de procéder à une véritable rééducation mentale de l'enfant. Il ne dérogera pas en prouvant qu'il
par la faiblesse et la complaisance du milieu, non seulement l'état mental se modifie, mais les troubles spasmo- diques et
on oncle, il se remit àboire etmon- tra une plus grande instabilité mentale . Un peu après, il cherchait à se suicider. C'es
ter dans les antécédents d'un accusé, mais encore rechercher l'état mental des ascendants. Quant à apprécier le fait parti
D. - L'ivresse avec fureur est caractéristique de la dégénérescence mentale ou consécutive à l'ingestion de boissons partic
uait à ' Voir les Annales ) ? ? co-;Mye/;o ? le Journal de médecine mentale , la Revue de lleérapeul. 77éclico-chii-iiiflicc
fournissent le plus de travailleurs. Le traitement de la médecine mentale est à l'état embryonnaire. Nous ne savons pas c
uf accident. Et il en est de même pour d'autres formes des maladies mentales . (B.) -) 218 SOCIÉTÉS SAVANTES. En Écosse, no
o, N. SCH.\TALOFF, A. Tokarsey. BIBLIOGRAPHIE. IV. Dégénérescence mentale et neurasthénie; par le Dl' A. Vcac. Lyon, 1897
ium : prédisposition, involution et déchéance finale. La fonction mentale n'est pas la seule il obéir, dans des condi- ti
dans des condi- tions données, il la dégénérescence. La régression mentale n'est qu'un mode de la régression biologique. D
donnait depuis quelque temps des signes non équivoques d'aliénation mentale . Tout récemment, le 23, vendredi dernier, il av
les 23 et 24 juillet 1896; par W.-Julius lllcICLE. (The Journal of Mental Science, octobre 1896.) , Dans ce très long dis
une mono- graphie, l'orateur s'est proposé d'étudier les obsessions mentales sous leurs divers aspects; il trace d'abord une
eurs divers aspects; il trace d'abord une esquisse de l'obses- sion mentale , puis il en précise la situation psychologique et
les séparer, par voie de diagnostic différentiel, des divers états mentaux avec lesquels on les a confondus. Il examine en
lles aboutissent progressivement dans cer- tains cas à des troubles mentaux de nature spéciale, quelquefois même à la folie
réalisés depuis quelques années du côté de la science des maladies mentales et amélioré le trai- tement des aliénés ? Ce n'
est en route pour cette étude, attendons. (A suivre.) CLINIQUE MENTALE . PÉRIODES TERMINALES ET MORT DANS LES SOI-DISAN
Il me ' Archives de Neurologie, numéro de juin 1897. 298 CLINIQUE mentale . semble qu'il serait utile, indispensable, de c
tes très nets d'hystérie et signes non moins nets de dégénérescence mentale . Mère très irri- table et très impressionnable.
s urines fait par Bertault, chef du laboratoire agricole départe- mental , nous le fait connaître. Cette première analyse p
heval reçu sur la partie antérieure de la région frontale. Troubles mentaux consécutifs, état maniaque, mort en état de mal
s lui attribuent une grande importance, car les trouhlls moteurs et mentaux s'expliquent bien par l'irritation des neurones
nature. Du nycthémère appliqué à l'étude des maladies nerveuses et mentales . M. PAILHAS (Albi). S'appuyant sur l'évolution
ts hypersthéniques et hyposthéniques dans les affections nerveuses, mentales et autres. Finalement il arrive à ces conclusio
ises tluxionnaires. 4° Ainsi appliquée à l'observation des maladies mentales , l'in- tervention nycthémérale permet de consta
ants, arthritisme. alcoolisme, tubercu- lose, cérébralité, maladies mentales et nerveuses. Le second groupe comprend : a) le
e de carbone. N'existent jamais seuls : les hérédités tuberculeuse, mentale et nerveuse; les infections aiguës, la tuber- c
cherches nous ont amené aux conclusions suivantes : 1° L'hérédité mentale et nerveuse n'a aucune influence. La pré- dispo
t se remettre rapidement; mais chez d'autres les troubles de l'état mental per- sistent et nécessitent leur envoi dans un
le retour des accès de fièvre amène une aggravation dans leur état mental où même une récidive. Nous devons également signa
ew (en 1896), les membres de la section des maladies nerveuses et mentales onléluunecommission de cinq personnes pour l'élab
urs sans danger. On voit, en effet, des névroses et divers troubles mentaux s'aggraver sous l'influence de l'hypnotisme, de
ourde, CAMUSES se décida à se consacrer exclusivement à la médecine mentale , il possédait les connaissances les plus étendu
un nombre considérable d'observations et de recherches en clinique mentale , en médecine légale, en anthropologie. La plupa
passé l'honneur de la profession médicale, l'honneur de la science mentale et de la solidarité humaine. Sa mort prématurée
Observation XVII. Enfant de sept ans. Hystérie et dégénérescence mentale . Vomissements hystériques incoercibles. Peur du t
dans les autres affections nerveuses, neurasthénie, dégénérescence mentale , etc., elle est presque tou- jours sans effet.
ervation XVII de ce travail on voit l'hystérie et la dégénérescence mentale coexis- ter, le syndrome hystérique s'effacer p
ffacer par la suggestion, et les phénomènes dus à la dégénérescence mentale persister. Dans l'observation XVIII c'est de la
dans nos Comptes rendus de Bicêtre de 1880 à ce jour. 13. CLINIQUE MENTALE . LES TROUBLES TIIOPIIIQUES DANS LA PARALYSIE
joint à l'asile d'aliénés de Marcoutza (Bucarest), Chef de clinique mentale ù la Faculté. Les troubles trophiques sont fréq
ces othématomes qui reconnaissent comme pathogénie ou 392 CLINIQUE MENTALE . une lésion nerveuse (racines nerveuses, moelle
aissances nous ont nié l'exis- tence de tout autre cas d'aliénation mentale ou maladie nerveuse dans la' famille. Cette nég
us connaissons aujourd'hui la fré- quence des maladies nerveuses et mentales chez les individus de cette race ; fait mis mag
'autres malades et le personnel médical. Le malade est 394 CLINIQUE MENTALE . renfermé seul dans une chambre où il continue
liquide céphalo-rachidien est abondant et rougeâtre. 39G CLINIQUE MENTALE . congestionnés. Le corps pituitaire petit, cong
et de complexité GENÈSE DES CIRCONVOLUTIONS DU CERVEAU, ETC. 403 mentales . L'abondance et les dimensions des organes de con
ns n'ont pas reparu. P. RELLAY. XXIV. LE TRIONAL dans le ? maladies mentales ; par AGOSTINI. (ll blani- comio. Anno XI, fasc.
e assertion du Dr Peter- son, suivant laquelle il y aurait un effet mental produit sur le malade parla ténotomie; 9° il co
l'assertiou du Dr Peterson suivant laquelle une sorte d'hypnotisme mental permanent serait un facteur possible des résult
rguments qu'il a apportés, pouvoir repousser le reproche de «cécité mentale » que lui adresse le Dr Peterson; 11° il se croit
résentées au Congrès. A. Marie. SECTION DES maladies NERVEUSES ET mentales ' Séméiologie des obsessions et idées fixes.
u longtemps prolongée de l'aorte abdominale, les embolies expéri- mentales de la moelle épinière, les infections intenses, l
. interne (Nissl, Lenhossek, Marinesco, etc.), la substance fonda- mentale ou achromatique de la cellule fut considérée comm
générale est intimement liée aux autres allections céré- brales et mentales . Les paralylytiques généraux procréent souvent
général satisfaisant. T. 37° à 37,5. Pas de modification de l'état mental . Les attaques reparaissent isolées. Le 30, in
ommeil et l'ap- pétit sont réguliers. Pas de modification de l'état mental . Les attaques ont repris leur fréquence habitue
nombreuses (voir tableau plus loin). Pas de modification de l'état mental . Poids de la malade avant les injections ; 51 k
ec amaigrissement progressif, sans troubles fonctionnels. Du côté mental , un accès passager d'excitation maniaque. , Une
tion est tombée subitement. L'état physique s'est restauré. L'état mental est satisfaisant. Les attaques sont devenues tr
sation des injections, B... est resiée, au point de vue physique et mental , ce qu'elle était auparavant. Les attaques n'on
nt de plus en plus nombreuses. L'état physique est restauré. L'état mental est amélioré. Il se produit en moyenne deux sér
mois après, la malade a repris son embonpoint. Son état physique et mental est tel qu'il a été résumé plus haut. Observa
es attaques sont plus violentes. Signes de dégénérescence. Débilité mentale avec fond mélancolique. Les attaques sont précé
que. Observation VIL- Nott... vingt-six ans (épilepsie). Débilité mentale dans les antécédents héréditaires, antécédents pe
emière enfance. Menstruation régulière. État physique bon. Débilité mentale na- tive. Les attaques se produisent en séries
9, 11, 1 septembre, injections de 30 cent. cubes. Etat physique et mental satisfaisant. Un peu d'amaigrissement. Poids de
s seulement. Aucune modi- fication importante de l'état physique et mental . Diminution du nombre des attaques qui se montr
moins considérable, sans aucun trouble fonctionnels Au point de vue mental : apparition d'un violent accès d'agitation ave
intacte; la peau dans son ensemble a une teinte jaune brun. Etat mental . - M... C..., qui, de l'hôpital de L... où elle a
t un état maniaque aigu, n'offre à l'entrée qu'un état de confusion mentale probablement consécutif. Elle a encore de nombr
ALMIQUE; Par le D' F. DEVAY, Ancien chef de clinique des maladies mentales , médecin à ILl m.lison de santé de Saint-Jean-d
nture thébaïque est continuée, mais à dose décroissante. 18. L'état mental persiste bon. Suppression de l'opium. Le goitre
. Urines : ni sucre ni albumine. Traite- ment bromure. 25. L'état mental est bon. Persistance des accès de suffocation.
t revenu; le corps thyroïde a repris son volume antérieur. L'étal mental reste satisfaisant. 10 juillet. Le malade sort
dant ce long intervalle, de vingt-cinq à quarante-trois ans, l'état mental du malade actuel n'est point celui des' base- d
e de Graves n'ait apparu qu'au moment de la guérison des troubles mentaux . Voici les raisons qui nous guident : le trembl
on morbide temporaire, ou plutôt comme une forme spéciale d'un état mental propre au goitre exophtal- mique ? C'est à cett
mique a dimi- nué jusqu'à disparaître complètement, sans que l'état mental en subisse un amoindrissement. Le malade est pa
ONGRÈS INTERNATIONAL DE MEDECINE DE MOSCOUI. Section DES maladies mentales et nerveuses (Suite). Pathogénie el anatomie pa
itives. De l'application de l'hypnotisme au traitement des maladies mentales ; par A.-A. TOKARSKY (Moscou). Le sommeil hypn
eut faire disparaître les symptômes isolés par lesquels une maladie mentale se manifeste que sous la condition de l'améliorat
tc. Dans l'application de l'hypnotisme au traitement des maladies mentales il ne faut pas perdre de vue qu'au début des mala
es mentales il ne faut pas perdre de vue qu'au début des maladies mentales aiguës la susceptibilité » l'hypnotisation et la
devenir stationnaire. En ce qui concerne les formes des maladies mentales , l'hypno- tisme peut donner des résultats favor
iques proprement dites. Eu somme, dans le traitement des maladies mentales , on ne 51 G SOCIÉTÉS SAVANTES. peut pas mettr
les autres remèdes sont restés sans aucun résultat. L'aliénation mentale momentanée dans l'intoxication alcoolique. Dis-
ILES D'ALIÉNÉS. Nouvelle réglementation DE la CLINIQUE DES maladies mentales A l'Asile CLINIQUE : situation DU chef DE CLINI
nce des asiles de la Seine, M. le directeur des affaires départe- mentales a donné lecture de l'arrêté ministériel ci-après,
e 1879 établissant à l'asile Sainte-Anne la cli- nique des maladies mentales ; Arrête : . Article premier. Le professeur tit
r. Le professeur titulaire de la chaire de la clinique des maladies mentales à l'Asile clinique (Sainte-Anne) remplira les f
1897, réglementant à nouveau le service de la clinique des maladies mentales à l'Asile clinique. Vous vous rappelez qu'aux t
stion, M. le professeur Bail, titulaire de la chaire des mala- dies mentales , remplissait nominalement les fonctions dé médeci
de l'Intérieur, le professeur titulaire de la clinique des maladies mentales à l'Agile clinique remplira les fonctions médi-
mes des infirmeries d'asile, par A.-R. TUR-,BULL. (The Jour- nal of Mental Science, octobre 1896.) Les points sur lesquels
e seule dans le cours d'un épisode délirant, et à cause de l'état mental parliculier du malade, en raison aussi des diffic
pathologie générale, comme toute autre maladie; 3° Les s symptômes mentaux ne constituent pas exclusivement la maladie et
la psy- chiatrie est la base naturelle de l'étude de la pathologie mentale . (American Joumal of ! Mf;<M ! < ? avril
t de la Seine. Avant de recevoir dans leur établissement départe- mental les aliénés de la Seine, ils devraient tout au mo
t probable des rapports sexuels au point de vue de leurs conditions mentales et morales ? 4° Quel en serait l'effet au point
cliiii-P tn S° de 15 pages. Denver, 1897 The Journal of nervous and Mental diseuses. LESVÉ. Petit manuel du relieur à l'us
171 pages. Pans, 1897. Librairie F. Alcan. Paris (A.). L'aliénation mentale , ses causes, ses dangers, ses trai- tements (am
l. Toxicité des -, par An- theaume, 359. - ALCOOLIQUE. Aliénation mentale mo- mentanée dans l'intoxication -, par Suthe
neurasthénique, par Bertran, 511. Aliénation. Découverte de l' mentale dans les prisons, par Pitcairn, 143. Aliénés.
e, par larinesco, 85.- musculaires, par Pick, 457. AUTO-UiFEC11ON mentale , par Korn feld, 134. Bibliographie, 461. 13
ing, 151. Etude des propagées, par Durante, 447. Dégénérescence mentale et Neuras- thénie, par Vial, 284. Délire. Le
ion, par Toy et'l'aty, 527. Diagnostic précis dans les maladies mentales , par Arthu : , 144. Digestifs. Rôle du spasme e
tre exophtalmique et l' -, par Jonnesco, 522. . Fatigue. Sur la - mentale et sa réparation, par Rivers, 139. - FOLIE po
manrl et Petrucci, a2. Hypnotisme dans le traitement des maladies mentales , par Tokarskv, 51 i. " Hystérie infantile au
musculaire volontaire, par Roth, 76, par Egllier, 77. Instabilité mentale avec perversion des instincts, 93. Inversion
r Richardson, f10. .NYCTIIÉ3lÈnE dans les maladies ner- veuses et mentales , par l'ailhas, 33t. Obsession . Notes sur l'é
toire laryngé paroxys- tique, par* Noguès et Sairal, 335. Stupeur mentale prolongée, guéri- son, par Patterson, 138, par
dans TABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS. 555 les maladies mentales , par Agos- tini, 409. Tumeur du crâne opérée
35 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Y ARCHIVES D Ii NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES - PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE ' J.-1%1. CIIA
Vol. XXIV. Juillet 1892. N" 70. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE DE L'ONOMATOMANIE (suite)'; ) Par MM. CIIARCO
l., n° 19, sept. 1885, p. 157.) Archives, t. XXIV. 1 2 PATHOLOGIE MENTALE . modératrice des centres supérieurs. Si bien qu
vec l'état cénesthésique du sujet. Observation VIII. Dégénérescence mentale . Alternatives d'excita- tion et de dépression.
oujours eu de longues périodes de tristesse, alternant 4 PATHOLOGIE MENTALE . parfois avec des phases d'expansion et de ga !
ns cause déterminante appréciable. Observation IX. Dégénérescence mentale . Hallucinations à sept ans; plus tard, idées mé
nt tantôt dans le cours des accès délirants, tantôt au 6 PATHOLOGIE MENTALE . contraire, pendant les périodes de repos. Dans
outer des dis- cours involontaires. Observation X. Dégénérescence mentale . Déséquilibration de tout l'axe cérébro-spinal
plus rarement avec ces syndromes. Observation XI. Dégénérescence mentale , scrupules maladifs dès l'âge de quinze ans. Do
rainte du contact d'un homme qui s'exagère, même après 8 PATHOLOGIE MENTALE . la ménopause, lui est suggérée, dit-elle, par
epas à heure plus régulière, le repos la nuit dans le 10 PATHOLOGIE MENTALE . lit, parfois même l'administration d'un bain,
projeter à haute voix au dehors. Observation XII. -Dégénérescence mentale . Hallucinations. Troubles de la sensibilité gén
des aliénés. (Revue scientifique, 26 février 1881.) 12 pathologie mentale . des cheveux, favorable à l'écoulement du fluid
avec la représentation olfactive. Observation XIII.- Dégénérescence mentale . Délire polymorphe très actif à la suite d'abus
ès de boissons qui ont provoqué non le délire toxique 14 pathologie mentale . habituel, mais de la dépression mélancolique a
je ne pourrai pas retenir le mot. » Observation XIV. Dégénérescence mentale . Hallucinations bilaté- rales. Idées ambitieuse
té affecté. (Arch. de Neurol., no 18, novembre 1883.) 16 pathologie mentale . ' * sieurs fois les mots grossiers, et il se s
ion et d'impulsion, la coprolalie. Observation XV. Dégénérescence mentale . Perversions morales. Accès mélancoliques alter
e du doute et l'onomatomanie. 1 Observation XVI. Dégénérescence mentale . Scrupules. Préoccupa- tions hypochondriaques.
. Préoccupa- tions hypochondriaques. Folie du doute. Interrogations mentales fréquentes. OnonM[<o)7 : tMHt : . Mots obséd
de douze ans. Elle habitait la Archives, t. XXIV. 2 18 pathologie mentale . campagne, et, de très bonne heure, elle donnai
ntérieure subaiguë de Duchenne et la polynévrite, gé- 20 pathologie mentale . néralisée à forme de paralysie générale spinal
ence de la deuxième variété établie par Duchenne. 22 s » PATHOLOGIE mentale /' J « Il consisterait dans l'extension du proce
ieures, le malade perçoit bien la piqûre, mais la 24 1 " PATHOLOGIE MENTALE . sensation qu'il restent n'est pas douloureuse
forçait à se remuer, à s'étirer et ces phéno- 26 1, - o PATHOLOGIE MENTALE . ' -- mènes s'accompagnaient d'une certaine cri
ressés. C'est, nous croyons, un diagnostic des plus 58 PATHOLOGIE MENTALE . rationnels ; mais il nous semble qu'au milieu
as étudier d'autres problèmes plus simples que nous présente l'état mental des hystériques ? D Je vous répondrai que c'est
il ment peut- être quelquefois. Mais il faut tenir compte d'un état mental encore insuffisamment étudié, 1 fréquent' surto
sez forte qui avait bouleversé, comme cela arrive souvent, son état mental , et elle m'avait complètement oublié. Sa mémoir
des premières et l'une des plus remarquables descriptions de l'état mental d'une hystérique : « Quelquefois, dit-il en par
mme une attaque d'hystérie. Elle sortit de son attaque dans un état mental tout particulier : 1° elle avait oublié tout ce
- pathique. -On n'a jamais, en somme, noté de maladie nerveuse ou mentale chez aucun membre de la famill-e. Il se pourrait
s viscères sont absolument normaux, ainsi du reste que ses facultés mentales et affectives. > . Le 14 janvier, on le so
tement bromuré. Depuis lors rien de particulier REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 67 à signaler. L... est actuellement en parfai
ulsion est intense, irrésis- tible, et entre les paroxysmes l'état' mental est tout à fait normal. L... n'est pas un alcoo
omaniaque prolongée sous forme ambulatoire. ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE l'anxiété neurasth
s inférieures, rentrant dans la catégorie de 68 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . réflexes, faiblesse pour ce qui a trait aux fo
Observation DE FOLIE A deux ; par M. J. ? ¡OL.\.X. (The Journal of mental Science, avril 1889.) Ce cas est celui de deux
, depuis leur entrée à l'asile, non seulement à présenter des états mentaux parfaitement identiques; en outre on a vu appar
chez les épileptiques (12 sur 12) que chez les REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 69 criminels congénitaux (25 sur 25) le champ
ugement et pour aliments des hallucinations. 70 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Comment dans les maladies nerveuses évoluent l
aumatisme céphalique, comme cause occasionnelle REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 71 de manie, n'implique pas un pronostic défav
lbuminurie intermittente. Tout guérit, moins 72 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . l'amnésie qui s'aggrave : incohérence dansles
raduellement, mais les paralysies subsistent, et bientôt l'activité mentale s'affai- blit dans tous ses modes. P. K. X. O
pportadressé à la Société psychiatrique de Vienne. Dégénéres- cence mentale , idées de grandeur, impulsivité. Psychose chro-
accentués appartenant au syndrome paralytique. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 73 Puis, stade dépressif avec angoisse, auto-a
e l'hébéphrénie (qui n'est le plus souvent que de la dégénérescence mentale ). P. K. XIV. LES psychoses DE l'influenza; par
ut, atteignant les centres psychiques, devenir la cause de troubles mentaux . Les psychoses dues à l'in- fluenza sont infini
ns, provenant d'une famille prédisposée aux affections nerveuses et mentales . En sortant du bain, le malade était atteint d'
ion; hallucinations de l'ouïe. Depuis quatre semaines, l'aliénation mentale a disparu, le trouble de la parole s'est rapide
dies et à la suite d'une ordonnance de non-lieu, basée sur son état mental , avait été renfermé à l'asile de Dijon d'où il
nu par la loi, de créer des ennuis àla famille. Le mot d'aliénation mentale n'estpas prononcé; au lieu de s'adresser à un a
n la tourne. Quand les autorités sont saisies d'un cas d'aliénation mentale , quand elles sont invitées à examiner un état m
d'aliénation mentale, quand elles sont invitées à examiner un état mental , ce n'est pas pour un motif d'assistance, c'est
al dont dépend l'aliéné; ce tri- bunal ordonne l'examen de son état mental et la communication du résultat de l'examen. Da
l et dans les feuilles les plus lues du jugement rendu sur l'état mental de l'aliéné. C'est complet. Au moins pourrait-ell
t en un établissement pénitentiaire sans grand avantage pour l'état mental de ces malheureux, car la répression ne peut qu
Présidence DE M. LOEHR aîné. M. LEPPMAIVN. Simulation d'aliénation mentale intercalée entre un accès de vésanie et une rec
u, chez lequel on avait constaté des actes procédant de la débilité mentale ; cet individu pousse son vieux ber- ger à mett
le, c'est-à-dire l'étude scientifique de la spécificité physique et mentale du criminel et le déterminisme des conditions du
gereux pour l'ordre éta- bli ; puis, nous verrons dans les maladies mentales une explication de la criminalité et non plus u
nts pénitentiaires un psychiatre rompu à la pratique de la médecine mentale , qui établisse une indivi- dualisation nécessai
e quelle est l'anomalie qni a débuté, du crime ou de l'alié- nation mentale . Il y a, pour ainsi parler, amalgame des deux élé
onvient de se souvenir de la formule de Quetelet : « L'alié- nation mentale prépare le crime, le criminel l'exécute. » Le mêm
st question de la faculté psychique, ou, si l'on préfère, d'un état mental en rapport avec la responsabilité. Quant à l'at
tinction, la définition même des héréditaires dégénérés ; si l'état mental est intermé- diaire entre la santé psychique pa
t intermé- diaire entre la santé psychique parfaite et l'aliénation mentale caractérisée, il y a lieu de déterminer la part
responsabilité et de la doser suivant le caractère même de cet état mental . Quand vous estimez qu'il ne faut pas considére
s. Discussion : M. BAER. Appuie sur la dégénérescence physique et mentale que provoque les excès habituels d'alcool. C'est
els d'alcool. C'est à eux qu'est dû l'accroissement de l'aliénation mentale . Par conséquent, les moyens recommandés par M.
ictorieusement cette objection que les enfants atteints de débilité mentale ou d'imbé- cillité simple pourraient devenir ép
rrêt de développement intellectuel. Il va de soi que l'aliéna- tion mentale et la démence de l'épileptique peuvent sans incon
iétés pathologiques d'ordre psychique et physique que la pathologie mentale . Il suffit de l'observer quelque peu afin de s'
sant ces malades d'après leur âge, leur sexe, leur état physique et mental , ainsi que d'après leurs moyens d'existence;^-
n matière, qu'il est en mesure d'éclairer les magistrats sur l'état mental de ces ma- lades. Le rapport fait par lui arriv
physique qui concernent le temps employé à l'exécution d'un travail mental ; - 8° A l'exemple de Grasheyt qui a observé par
ychique ou morale congénitale. Mais, dit-il, quand c'est le terrain mental , l'organisation cérébrale du sujet qui produit ce
. Il n'est pas mauvais au surplus de répéter quant à l'aliénation mentale , qu'abstraction faite de quelques observations is
la vie d'un homme. Gilles de la TOURNETTE. II. Epitome des maladies mentales ; par le Dr James SHAW. Bristol, John Wright, é
138 bibliographie. aux définitions et classifications des maladies mentales . - Le cha- pitre II est un index de tous les sy
ntes formes vésaniques. Le chapitre III est un index des maladies mentales avec leurs synonymes et leurs symptômes groupés p
législation et des questions médico-légales relatives aux maladies mentales . 1 J. Séglas.. III. Leçons du mardi à la Salpét
tion des aliénés, à l'incurabilité et au traitement de l'aliénation mentale . Le concours de la Société s'étend aux enfants
de la deuxième question du programme (le secret médical en médecine mentale ). - B. A 2 heures du soir, troisième séance : D
Mercredi 3.- A. A 9 heures du matin : Visite de l'asile départe- mental des aliénés de Blois; déjeuner offert par l'admin
spéciale pour cette catégorie de ma- lades, atteints d'instabilité mentale ou d'imbécillité morale, incapables de travaill
M. Montet, établi rue Mont- martre, donnait des signes d'aliénation mentale des plus vifs. Le malheureux se croyait poursui
sept ans, demeurant 35, rue Etienne-Marcel. Atteinte d'aliénation mentale , elle se croit dévorée par des sang- sues que d
sses de la société. Des modes d'enseignement, à la fois physique et mental , ont été couronnés d'un succès complet, et 2,81
Dr Aug. Voisin a repris ses conférences cliniques sur les maladies mentales et nerveuses, le dimanche 19 juin à dix heures
nce médicale perd en lui, dit le Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, le fondateur de l'anatomie moderne
r nouveau. C'est par son esprit génial que la clinique des maladies mentales prit une direc- tion toute nouvelle. « Pendan
« Pendant environ trente ans, Meynert occupa la chaire des maladies mentales à l'Université de Vienne. Il est impossible de
pages, avec 3 figures. - New-York, 1891. - Journal of Ne,'vous and Mental disease. Marie (P.). Leçons sur les maladies de
l. XXIV. Septembre lé92. N, 71. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE ' DE L'ONOMATOMANIE (suite)1; ? ` , Par MM.
157, et HO 70, 189, p. 1. Archives, t. XXIV. 11 i 162 PATHOLOGIE MENTALE . ils se tiennent constamment sur le qui-vive !
êcher de se demander : « Mais, si c'était vrai ? » 164 pathologie mentale . Observation Vil- Doutedèsquatorzealts; répétit
ces, Mmo Il., en dehors de la répétition des actes fait des prières mentales et des signes de croix; elle se cache, croit le
s chez elle, les bals provoquent un extrême malaise- 166 pathologie mentale . au moment où arrive le treizième invité, elle
s préservateurs de croix. Obskrvation XVIII. Déséquilib ? ,atio2z mentale et doute dès le jeune t ! {/e. Amélioration en
de même, il s'interrompt parfois dans le cours de la 168 PATHOLOGIE MENTALE . conversation et souvent marmotte promptement q
ou des chansons de Béranger. - Observation XIX. - Dégénérescence mentale : dès l'âge de quinze ans, délire du toucher; p
re; ses papiers d'affaires sont là, mais depuis plu- 170 PATHOLOGIE MENTALE . sieurs mois elle n'ose y loucher et perd ainsi
ttement formulées, suffisent à la tranquilliser. ' - 172 PATHOLOGIE MENTALE . Plus tard, elle a des manifestations singulièr
ier dès qu'un mot mauvais l'obsède. Observation Y\I. Dégénérescence mentale . Soif dominicale des tantes. Crainte du toucher
repas que le dimanche seulement. Observation XXII. Dégénérescence mentale ; folie du doute; im- pulsions ; hurlements subi
orte est bien close; fait vérifier par son entou- 174 -k PATHOLOGIE MENTALE . rage l'exactitude de l'adresse qu'elle vient d
e, elle conserve les mêmes ^interrogations et les mêmes hésitations mentales ; elle se relève plusieurs fois la nuit pour vé
sur le champ répété. 1 Magnan. Leçons cliniques sur les maladies mentales . Paris, 1891, p. 171. 176 6 PATHOLOGIE MENTAL
sur les maladies mentales. Paris, 1891, p. 171. 176 6 PATHOLOGIE MENTALE . Observation XXIII. - Dégénérescence mentale. O
71. 176 6 PATHOLOGIE MENTALE. Observation XXIII. - Dégénérescence mentale . Onontatonzanie : recherches angoissantes du mo
doute et ne peut affranchir son esprit d'une série d'interrogations mentales . Pour toute sorte d'objels, il se demande ce qu
art l'impossibilité de pré- voir les accès, d'autre part le trouble mental consécutif aux paroxysmes, rendant très diffici
oir, ou après des accès dont la plupart s'accom- pagnent de trouble mental . Que fait au contraire M. Féré ? Il calcule ses
de l'attaque. - Quand, d'autre part, les malades avaient un trouble mental prolongé à la suite des attaques nous avions so
., atteinte d'épi- lepsie essentielle. Céphalalgie et léger trouble mental après les accès de peu de durée. - Intelligence
14 - - de jour. Gauth..., vingt-quatre ans, atteinte de débilité mentale avec épilepsie. Père alcoolique, mère hystériqu
Après une journée d'obnubilation, elle est entrée dans son trouble mental habituel. Pendant plusieurs jours, elle a été trè
dans cha- cune de ses parties, le théâtre de toutes les opérations mentales . Indivisible comme l'esprit lui-même, on pouvai
celer de diverses manières sans diminuer ou détruire les facultés mentales , pourvu que la destruction ne fût pas poussée tro
sur des principes similaires, expliquer ces curieuses défectuosités mentales qui se traduisent chez un malade par une. inapt
vulsif, tandis que la perte du sen- timent, et autres perturbations mentales , auxquelles s'associaient des convulsions, étai
oin, et où on aura déterminé les différentes formes de l'aberration mentale avec plus de certitude et de précision, nous ne p
VIII. LE POIDS DU cerveau dépend DU poids DU CORPS ET DES aptitudes mentales ; par 0. Snell. (Archiv. f. Psychiat., XXIII, 2.)
es; p est le facteur psychique; il exprime le degré des aptitudes mentales de l'animal correspondant. Snell a déterminé s
de compte et sou- vent de compagnie; tels : l'hérédité, la débilité mentale congé- nitale, les excès alcooliques, la shok t
is). - 1 er.6 août 18\)2. Le troisième Congrès français de médecine mentale s'est ou- vert le '1 ? août à 3 heures dans la
e grand honneur et rappelé les progrès considérables de la médecine mentale . Ont été enfin élus aussi par acclamation : vic
l'a fait remarquer Cotard, s'observer encore dans d'autres maladies mentales , notam- ment dans la paralysie générale, l'hyst
ns fréquemment à titre de symptôme dans un grand nombre de maladies mentales diverses, tandis que sous sa forme typique, c'e
otrice, très fréquente chez le mélancolique et même la conversation mentale . L'idée d'immortalité de son côté n'est pas plu
es idées délirantes de négationqu'on rencontre dans diverses formes mentales . Cotard lui-même a posé cette distinction et n'
M. TIr. Roussel. Deuxième QUESTION : Du secret médical en médecine mentale . M. L. Thivet (de Blois), rapporteur. En médeci
médecine mentale. M. L. Thivet (de Blois), rapporteur. En médecine mentale comme en médecine générale, ou le secret médica
soit effacé du Code. En ce qui concerne son application en médecine mentale , je voudrais seulement demander s'il a raison d
point un chapitre de la seconde édition de mon Manuel des maladies mentales . J'ai examiné là la conduite à tenir lorsqu'on
20, 25 ou 30 francs, suivant les ressources de la famille et l'état mental du malade ; 4° Les colonies agricoles ou mieu
hérent à la maison privée; a 4° Une modification heureuse de l'état mental « Une amélioration de l'état menlal se produit
les que 262 aliénés appartenant à toutes les formes de l'aliénation mentale et, par conséquent, le nombre des séniles est d
rlé. Cette physionomie s'explique par la nature du trouble fonda- mental d'où l'idée de persécution dérive et qu'elle acco
nce à affecter la marche rémittente qu'ont d'ordinaire les troubles mentaux chez ces malades. Leur évolution parait intime-
tc... Un groupe important est étroitement lié à la dégéné- rescence mentale que démontrent les antécédents héréditaires psy
les antécédents héréditaires psychopathiques des malades, leur état mental antérieur (déséqui- libration), leurs stigmates
ants. L'association de la maladie de Basedow avec la dégénérescence mentale n'est pas une coïncidence; elle s'explique par
Or, toutes les fois que cet organe est atteint, il y a des troubles mentaux , témoins les crétins, les myxoedémateux. La mal
des traces de l'ancien délire. D'autre part, la forme de trouble mental qui accompagne la forme de sclérose systématiqu
que dans nos com- munications au Congrès international de médecine mentale de 1889, à l'Association française pour l'avanc
t Henri Maz..., qu'il a montré au Congrès international de médecine mentale de 1889. Il rappelle qu'à l'entrée dans son ser
note sur une forme distincte de maladie mentale aiguë, la confusion mentale primitive. M. Chaslin rapporte dans ce travail,
te en France, surtout par M. Delasiauve, sous le nom de confusion mentale . La conclusion de la note de M. Chaslin est la su
ntoxication chronique. Elle parait bien mériter le nom de confusion mentale sous laquelle elle a été décrite par M. Dela- s
ouve pas le terme de confusion men- tale : sans doute, la confusion mentale existe dans bien des cas, tels par exemple que
de stupidité. M. Charpentier (de Paris) considère que la confusion mentale est un syndrome très fréquent consistant surtou
conscience, angoisse et état vertigineux. On rencontre la confusion mentale au début ou au cours des différentes vésanies et
sthénique, M. Chaslin les a signalés : il dit même que la confusion mentale est justiciable d'un état d'épuise- ment rapide
de la question, rappelé que les travaux allemands sur la confusion mentale n'ont fait que retrouver ce qui avait déjà été
crit en France, surtout par M. Delasiauve, sous le nom de confusion mentale , stupidité, chaos. « Je reprendrai, dit M. Chas
s. « Je reprendrai, dit M. Chaslin, cette dénomination (confusion mentale ) et il me semble opportun de rappeler l'attenlion
harpentier me semblent prouver qu'il applique le terme de confusion mentale à toute une catégorie de 324 SOCIÉTÉS SAVANTES.
question qui ne ressortit pas de la pathologie et de la clinique mentale , a pour but d'encouiager les médecins directeurs
Malfilâtre, fait une communication sur ['étiologie de l'aliénation mentale dans la Seine-Inférieure. Il insiste sur le fai
r le Sulfate neutre de Duboisine dans le traitement de l'aliénation mentale . Les auteurs ont, depuis deux ans, essayé le su
s, l'étude et le SOCIÉTÉS SAVANTES. 327 traitement des affections mentales , n'est pas restée en arrière de ce grand mouvem
IECTOMIE pratiquée POUR soulager LES malades ATTEINTS D'IMBÉCILLITÉ MENTALE DUE A LA RÉUNION PRÉMA- TURÉE DES SUTURES ET la
gé de près de neuf mois, qui présentait les signes de l'imbécillité mentale . Au jour indiqué, elle me présenta son enfant.
euvre enlèvera le voile que la microcéphalie étend sur les facultés mentales de l'enfant. Cette note de M. Lane est curieuse
e danger de la commotion. Je ne cesserai de l'observer; si son état mental ne s'améliore pas, selon mes désirs, j'opérerai
rminée, et nous n'avons plus qu'à attendre les événements. Son état mental a été examiné de près, de façon à pouvoir recon
e pour moi il y ait peu de différence. 1891. 2 mars. Les facultés mentales de l'enfant se sont en général beaucoup amélior
umer ainsi qu'il suit les résultats heureux apportés à la condition mentale dans ces six cas : le deuxième cas de Lanne- lo
une aiguille. On n'a pas de renseignement au sujet de la condition mentale . Elle guérit de sa seconde opération, mais celle-
ès sa naissance. C'est à ce fait qu'elle attribue son arriéra- tion mentale . Actuellement l'enfant est bien formée, en bonne
par le Dr J.-C. Mac CLINTOCK (de To- peka). (Journal of nervous and mental diseases, octobre 1891, p. 645.) Le Dr J.-C.
d'Académie. Faculté DE médecine DE PARIS, - Clinique de pathologie mentale et des maladies de l'encéphale. M. Gilbert Ball
rt Ballet, agrégé, a été chargé du cours, de clinique de pathologie mentale et des mala- dies de l'encéphale, pendant le se
t chargé, pendant l'année scolaire 1892-93, d'un cours des maladies mentales . Faculté DE médecine DE Berne. il. le Dr W. VON
à l'auteur du meilleur travail sur la thérapeu- tique des maladies mentales et sur l'organisation des asilespublics et priv
dical. Pour les abonnés des Archives, 8 fr. SHAW (J.). Epitome of mental diseases, with the présents méthodes of certifi
; , *- 'r * * ruz ^ « . : ? - ? "*->; ? 1 : ? ? ? PATHOLOGIE MENTALE " ' DE L'ONOMATOMANIE (suite)1; Par Mil. CHAR
1, septembre 1892, p. 161. Archives, t. XXIV.. 2't 370 PATHOLOGIE MENTALE . soit le mot, soit le mot accompagné d'un mouve
ais angoissé, est forcé d'obéir. Observation XXIV. Dégénérescence mentale . Accès mélancolique. Onomatomanie, formule prés
à les chercher. Elle ne comprend rien à ces préoccu- 372 PATHOLOGIE MENTALE . pations étranges et elle a parfaitement consci
essions et de ces impul- sions. ' Observation XXV. Dégénérescence mentale . Folie du doute. Ono- matomanie : mots préserva
par des voitures. . DE L'ONOMATOMANIE. 373 . La déséquilibration mentale de cette dégénérée s'est révélée dès l'enfance
me. agent préservateur : , , . t Observation XXVI. Dégénérescence mentale . Onomatomanie ; ., formules préservatrices. S
Nous avons trouvé des formules analogues chez un 374 4 pathologie mentale . malade que nous venons de voir récemment. C...
r l'influence funeste du premier. Observation XXVII. Dégénérescence mentale . Onomatomanie : .' mots compromettants et mots
er des dispositions maladives les plus pénibles. - 376 pathologie mentale . Observation XXVIII. Dégénérescence mentale. Cr
les. - 376 pathologie mentale. Observation XXVIII. Dégénérescence mentale . Crainte de la foudre. Folie du doute. Arithmom
les il a beaucoup de dispositions. Observation XXIX. Dégénérescence mentale . Accès mélancolique; Ono11 ! atomanie : obsessi
16 juillet 1889, à la suite d'un accès mélancolique 378 pathologie mentale . avec tendances au suicide, présentait depuis p
agée et se calme immédiatement. - Observation XXX. Dégénérescence mentale . Accès mélancolique. Onomatomanie : mots employ
sorte qu'à l'angoisse morale, que provoque habi - z 380 pathologie mentale . tuellement le mot obsédant, vient s'ajouter da
nts bruits perçus et déglutis. Observation XXXI. - Dégénérescence mentale . Mélancolie suicide du grand-père maternel ; ag
mère, transmettent à la malade non seulement leur déséquilibration mentale , mais des stigmates psychiques similaires, l'un
que lui transmet sa mère. La malade, d'ailleurs, 382 1- pathologie mentale . sous le coup d'une hérédité convergente, accum
t d'activité se heurte aux résistances passives des 384 'PATHOLOGIE mentale . malades, se décourage devant la répétition mon
t s'accompagne l'angoisse. Archives, t. XXIV. 25 386 pathologie mentale . Chez les sujets dont le sommeil laisse à désir
menstruation avec les mêmes caractères. Dans cette période l'état mental de Mme Gi... était notablement troublé. Elle avai
ements, une surdité presque complète, une obnubilation des facultés mentales , laquelle se manifestait avec une apathie très
ale commença de nouveau à s'améliorer. L'ouïe. la vue, les facultés mentales , les forces reprirent; à présent, il n'y a de t
n accès épileptique, est peut-être à rechercher dans les conditions mentales propres à l'hystérie; nous ne voulons pas ici f
de l'esprit qui continua pendant longtemps ait épuisé les facultés mentales de G.. ? Pas du tout; nous le rappelons encore
aire, l'on peut dire qu'elle constitue l'un des attributs de l'état mental des hystériques; elle nous explique bien des phé
ts ». Cette hypothèse nous parait bien être en harmonie avec l'état mental de la malade, dans lequel la perte de la mémoir
union avec l'aura indiquée ci-dessus, nous révèle des conditions mentales plus propres à l'hystérie qu'à l'épilepsie : du r
de la névrose, et il nous révèle en même temps dans Bar... un état mental hystérique des plus caractéristiques. 1 Revue
rticulière sur le système nerveux; les cas d'hystérie, d'aliénation mentale . de myélite, de polynévrite consécutives à cett
stante ou bien demande-t-il pour se produire certaines dispositions mentales toutes particulières. Je n'hésite pas à dire qu
ques, des idées fixes et de l'aboulie soit en proie à deux maladies mentales différentes. Il n'y a là qu'une seule et même m
mites de son pouvoir, ses dangers, ses conséquences en pathologie mentale , toutes ces questions et bien d'autres sont forcé
volonté. Ce trou- ble, cette aboulie existe dans plusieurs maladies mentales , et en particulier dans l'hystérie dont il form
ui paraîtra prochainement dans la collection Charcot-Debove, l'état mental des hystériques. SYNDROME HYSTÉRIQUE DE LA SCLÉ
IES DE LA CRIMINALITÉ ; par le Rév. W.-D. Morrison. (The Journal of mental Science, avril 1889.) Partant de ce principe qu
endiaire, avec commentaires; par - b John Baker. (The JOlli'1lal of mental Science, avril 188 ! J,) L'auteur a rassemblé d
peuvent en effet appartenir aux diverses catégories de l'aliénation mentale . Il cite en outre dans son travail quelques chi
és aux diverses formes REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 479 d'aliénation mentale auxquelles ils se ropportent, les chiffres ci-d
ive pour son internement, il faut signaler les chances de contagion mentale dans son entourage, dont les observations de fo
tenir compte de l'in- fluence que pourraient exercer sur leur état mental d'autres formes d'assistance, telles que la col
re. (Annales médico-psychologiques, 1891.) E. BLIN, V. L'aliénation mentale CHEZ LES dégénérés Psychiques; par le Dr H. DAG
ET. A un point de vue général, on peut admettre pour l'aliénation mentale chez les dégénérés psychiques deux catégories pri
s dis- positions morales les plus diverses; les formes d'aliénation mentale qui en résultent présentent, elles aussi, les v
sumé, on peut observer chez les dégénérés les formes d'alié- nation mentale les plus diverses lesquelles revêtent, en général
nérescence psychique do nt l'individu a été atteint. L'aliénation mentale revêt elle-même une forme insolite dans ses pha
médico- légal, ne l'est pas moins en ce qui concerne la pathologie mentale proprement dite. , On y voit M... entrer sur
par exemple requérir en ces termes : Procéder à l'examen de l'état mental du prévenu ou accusé. aux fins de déterminer si
menté l'action thérapeutique dans les diverses espèces d'aliénation mentale : folie simple, folie para- lytique, démence sé
olie puisque le vice est souvent fac- teur étiologique des maladies mentales . Le second aurait plus de valeur mais, recevant
malade était très* chargée. C'est ce qui explique sa dégénérescence mentale . M. G. Ballet insiste sur ce fait à une époque
a rapporté les résultats des dernières recherches sur la suggestion mentale . Archives, t. XXIV. 33 514 BIBLIOGRAPHIE. C
cerveau, hypno- tisme, par Charcot, 136; - Epi- tome des maladies mentales , par J. Shaw, 137 ; Leçons du mardi, par Char
NIES d'aliénés, par Riu, Chris- tian, Bourneville, 297. Confusion mentale primitive, par Chaslin, 322. Congrès, austro-
, 483 ; théorie de la-,par Morroson, r78. DÉGÉNÉRÉS, aliénation mentale chez les -, par Dagonet, 480. Dipsomane, auto
iénés à , par Marandon de Montyel, 490. Simulation d'aliénation mentale , par Leppmann, 100. SOCIÉTÉS : médico-psychol
36 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
HIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRE
RECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Pans. V. MAGNAN
délire, l'épilepsie, les convulsions, le strabisme et la débilité mentale . Dans les antécédents héréditaires de quinze su
s, la folie, le suicide, la paralysie générale, la déséquilibration mentale , les convul- sions. Nos propres observations
s précédents, l'alcoolisme du père, l'hystérie, la déséquilibration mentale , divers accidents névropathiques de la mère, et
formes, précises ou vagues, du nervosisme et de la déséquilibration mentale , surtout l'hypo- condrie. L'alcoolisme et l'hys
amme entière des états dégénératifs depuis l'idiotie et la débilité mentale jus- qu'à la déséquilibration simple des indivi
de l'hystérique n'est d'ailleurs pas une hypothèse gratuite. L'état mental de certains enfants nerveux ressemble en effet
du cerveau avant quelque rapport avec ce qu'on observe dans l'état mental des hystériques. Il consiste en un défaut de. s
irmée la justesse du rapprochement que nous avons fait entre l'état mental des incontinents et celui des hysté- riques. Il
n tout particulier, qui milite en faveur de l'existence d'un état mental anormal. Chez ces sujets on voit au sur et à mesu
ou moins graves, neurasthénie, hystérie, hypocondrie, obsessions mentales , ayant toutes pour fondement des préoccupations o
ormes les plus diverses, mais où ne paraît pas dominer l'aliénation mentale proprement dite. Ils présentent souvent les sig
femme. La médication de Flechsig a une action favorable sur l'état mental des épilepti- ques ; une malade a été, à ce poi
E. B. V. EMPLOI DE l'électricité dans LE traitement DES maladies mentales ; par le Dr Irwin NEFF. Certaines formes de fol
. VU. Revue DE thérapeutique appliquée au traitement DES maladies mentales ; par M. LAILLER. Résumé aussi documenté qu'int
mbre 1895.) E. B. VIII. Alimentation thyroïdienne dans LES troubles mentaux ; par le Dr CLARKE. L'auteur a expérimenté l'
a expérimenté l'alimentation thyroïdienne dans les cas d'aliénation mentale à forme chronique. Si le nombre des expériences
même qu'à la suite des améliorations survenues dans les affections mentales chroniques au cours d'une maladie aigueë, il se
le de la mémoire pour en expliquer le développement. L'aliénation mentale en Tunisie. M. Voisin a pu constater, dans le c
leurs effets dans les diverses formes que peut revêtir l'aliénation mentale . D'après ses conclusions, basées sur trente obs
sants, dont l'action, facile à obtenir dans la plupart des maladies mentales , est assez variable dans la manie hystérique, l
dans la manie hystérique, la manie puerpérale, la dégénérescence mentale , et devient à peu près nulle dans la folie alcool
nel des gardiens des asiles d'aliénés devant la Société de médecine mentale de Belgique. Bro- chure in-8°, de 16 pages. Gan
des lésions des racines lpmbo-sacrées ou de leur 'section expéri- mentale . IV. Avant de donner les raisons qui nous ont
tion préalable des méninges et surtout de la dure-mère. (Journal of Mental Science, 1888 ) 108 PHARMACOLOGIE. suffisamme
l'autre, enfin le sujet rougit avec une faci- lité exirême. L'état mental est redevenu normal, mais on a vu plus haut qu'
c en avait rappelé. Camuset. II. EXPERTISE médico-légale SUR l'état mental DE V..., accusé d'homicide. Equivalent psychiqu
ent, le DrTam- broni, fut chargé par le tribunal d'étudier sou état mental . Le médecin expert devait tout particulièrement
d il jeta M... dans le Iteno ? - Quel rapport y a-t-il entre l'état mental actuel de V... et son état mental au moment du
uel rapport y a-t-il entre l'état mental actuel de V... et son état mental au moment du meurtre ? V... enfin ne serait-il
par se dissiper complètement. L'accès aigu élait fini, mais l'état mental restait très défectueux : erreurs de personnali
que le Dr Tambroni relève toutes les particularités physiques et mentales qu'il présente, je les énumérerai seulement. Tous
- D'après lout ce qui précède il est facile de conclure à l'état mental véritable de V... Nous trouvons en effet un jeune
riplion clinique qui en est donnée ci-dessus, un accès de confusion mentale hallucinatoire. L'auteur préférerait le dénomme
parti- culier de perversion de sa personnalité, véritable hystérie mentale , qui lui enlevait la liberté de ses actes; 3° L
stérie mentale, qui lui enlevait la liberté de ses actes; 3° L'état mental actuel de V..., son état mental au moment du me
la liberté de ses actes; 3° L'état mental actuel de V..., son état mental au moment du meurtre ne sont que deux manifesta
s médico-psycholo- giques, avril 1896.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . I. Des idées impératives ; discussion de l'art
le cerveau pendant le sommeil. Elles sont compatibles avec un état mental sain et ne diffèrent des idées normales que par
s idées normales que par le degré. Il n'admet dans ce cas ni état mental négatif, ni état mental positif isolé. L'état men
ar le degré. Il n'admet dans ce cas ni état mental négatif, ni état mental positif isolé. L'état mental négatif absolu n'e
ce cas ni état mental négatif, ni état mental positif isolé. L'état mental négatif absolu n'existe que dans la démence com
us ceux qui ne sont pas conformes à quelque 126 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . type sauvage primitif possédant un syslème ner
es acci- dents nerveux rapides des véroles séniles; les altérations mentales dues à l'intoxication par les produits du virus
cet article, la dis- cussion se trouve close. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 127 n-ories, deux surtout sont importantes au
ne bande osseuse de trois pouces anglais et 128 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . demi de long sur un quart de pouce de large fu
l soit, et qui n'est que trop en accord avec le REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 129 caractère agressif et méchant que l'épilep
iule rvalle Archives, 2° série, t. II. 9 130 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . les fonctions gastro-intestinales s'accompliss
ns ces signes de dégénérescence une phrénologie REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . '131 scientifique. Il est probable que, pour l
. Il est probable que, pour longtemps encore, l'étude des capacités mentales bénéficiera plus de l'examen des manifes- tatio
examinés à cet égard, l'auteur a trouvé 30 132 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . p. 100 des malades chez lesquels existait une
grante de la folie morale. La folie morale étant une des affections mentales qui mettent le plus en contact médecins et magi
nelle de l'écorce forment un tout harmonieux et REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 1 33 la perversion du a moi », dans la folie,
ont la cause directe d'au moins 10 à 12 p. 100 des cas d'aliénation mentale , et la cause indirecte de beaucoup d'autres cas
e croire qu'un usage modéré de l'alcool doive conduire à un trouble mental un individu normal et même, à priori, la physio
également mise à l'étude au congrès de Ha- '134 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . novre (1892). Wulff, à propos de la contagion
r, pour certains, de fâcheux résultats au point de vue de leur état mental . D'autre part peut-on se contenter d'isoler les
; et pour cela il faudrait que l'enseignement clinique des maladies mentales devint obligatoire et que la psychiatrie fil pa
e doita\oir une instruc- tion solide au point de vue de la médecine mentale , avoir été pendant plusieurs années assistant d
de Kreis- physicus porte entre autres sur des questions de médecine mentale et que les candidats aient fait un stage dans u
point de vue de leur état psychique qu'au point de vue de leur état mental . C'est en réalité tromper l'espoir 138 " SOCIÉT
lui donner, en toute occasion, des notions exactes sur les maladies mentales et leur traitement. Le président propose au con
examens, et un stage d'un semestre dans une clinique des maladies mentales doit être exigé des candidats (Comptes rendus du
our le rechercher. Cramer étudie les formes diverses d'alié- nation mentale dans lesquelles il a rencontré le phénomène du
aumatique. Mais en raison des classifications diverses des maladies mentales on pourra toujours employer le mot de folie des
mme il a été dit plus haut, qu'il y a souvent une certaine débilité mentale . Une question difficile à ré- soudre est de sav
onstatations cette conclusion à savoir qu'il n'y a pas de ma- ladie mentale spéciale, caractérisée par la manie des réclamati
montrer que le malade est un aliéné, est atteint d'une alfec- tion mentale , et qu'un des symptômes de cette affection est la
t souvent des malades qui ne présentent point de signes de débilité mentale et dont la cause première de l'affection tient
Si, en outre, on invoque cet argument qu'il y a nombre de maladies mentales dans lesquelles on constate le fait de c réclam
e des persécuteurs, comme pour les autres dénominations de maladies mentales , un ensemble de symptômes typiques, dont le cor
entes des auteurs en ce qui concerne la classification des maladies mentales . C'est aller trop loin que de dire qu'il n'y a
inique de la paranoïa. Cette forme apparaît sur un fond de débilité mentale , parfois très accentuée. Les interprétations sur
l'opinion de M. Magnan. C'est aussi le début brusque par le vertige mental ou ictus cérébral de Lasègue. On peut objecter qu
s ? M. ARNAUD. - On en pourrait' dire autant de toutes les formes mentales . M. Charpentier exagère l'insuffisance de nos moy
rès de tout praticien. Ch. Mirallié. VARIA. Congrès DE médecine mentale ET NERVEUSE. (7e Session. Nancy, 1896.) Le se
mbres du Congrès une réduction 1 Les membres du Congrès de Médecine mentale et nerveuse, qui voudraient prolonger leur séjo
ibliographiques, statistiques et cliniques 1 sti ? 'lês' maladies : mentales d'origine traumatique. - Volume in-8° de ? 189 pa
s, que notamment le symptôme ataxie est souvent aggravé par un état mental , neurasthénique, qui se traduit cliniquement pa
ne sont pas là les caractères d'une amélioration par la suggestion mentale . Nous allons mainte- nant voir par quel mécanis
tériques ne peuvent pas comp- ter, car le mécanisme des anesthésies mentales est très com- pliqué. On pourrait dire des hyst
inique (25 juin 1890) avec le diagnostic suivant : Dégéné- rescence mentale avec attaques hystéro-épileptiques graves, suivie
AYS DE LANGUE FRANÇAISE. SESSION DE NANCY. Le Congrès de Médecine mentale et de Neurologie s'est ouvert le 111 août, à Na
gue et per- sévérante nous ménage des victoires et que les maladies mentales et nerveuses bénéficieront à leur tour des gran
oivent unir l'enseignement et la pratique des maladies nerveuses et mentales . Si ce voeu se réalise, vous aurez, Messieurs,
noncé l'allocution d'usage et insisté sur l'alliance de la Médecine mentale et de la Neurologie, pour répondre à certaine t
tales et de la médecine légale des aliénés. Le Congrès de médecine mentale est alors devenu le Congrès des médecins aliénist
de l'armée des travailleurs s'occupant des mala- dies nerveuses et mentales est tout à fait artificielle. Elle ne repose su
e' leur évolution. Remarquez, en effet, que la plupart des maladies mentales ne sont, représentées dans les asiles d'aliénés
s les maisons spécialement con- sacrées, au traitement des maladies mentales . Inversement, il y aune foule de maladies, de s
rbides qui, par leur nature, appartiennent en propre à la' médecine mentale , et qu'on n'a jamais ou presque jamais l'occa-
li une sorte de pénétration continue entre les études de pathologie mentale et celles de patho- logie nerveuse, si bien que
nes de la dégéné- rescence et, un peu plus tard, dans la pathologie mentale , celle de l'infection. Il y a une trentaine d
ilosophe, Morel, étudiant les conditions de production des maladies mentales , com- prit le rôle capital que joue dans leur g
génératrice. Cette notion, tirée uniquement de l'étude des maladies mentales et appliquée uniquement par Morel à J'étiologie
la doctrine de la dégénérescence s'étendait ainsi de la pathologie mentale à la pathologie nerveuse, la microbiologie prép
à en appliquer les principes à l'étude, de l'étiologie des maladies mentales . Leurs travaux se succédèrent alors rapidement.
s dont une bonne partie a été communi- quée aux Congrès de médecine mentale de 1890 et 1891, ouvriront la voie. Le remarqua
nt aujourd'hui que beaucoup de cas de psychoses pures, de confusion mentale primitive, de manie, .de mélancolie, de folies
limitée, mais extrêmement impor- tante de l'étiologie des maladies mentales et nerveuses, les alié- nistes et les neurologi
thologie nerveuse, les seconds ont préparé l'accès dans la médecine mentale de la doctrine de l'infection, doctrine dont il
port par des considérations psycholo- giques sur le rôle des images mentales , leur extériorisation et leurs lois psychologiq
e une exagération maladive du phénomène normal de la représentation mentale , comme une représentation mentale exté- riorisé
omène normal de la représentation mentale, comme une représentation mentale exté- riorisée. Or, cette proposition n'est pas
sure qu'ils le com- posent. Dans certains cas, cette représentation mentale extériorisée prend une intensité telle qu'elle
r ainsi dire à l'action prématurée de la volonté; la représentation mentale extériorisée s'impose avec une persistance obsé
es psychologues, qu'il y ait extériorisation de la représen- tation mentale , il faut encore que le sujet perde conscience de
de l'état physiologique à l'état pathologique; la représentation mentale se transforme progressivement par une série d'opé
même des alcooliques, on retrouve, derrière et au-dessous, un état mental passager ou du- rable, évident ou plus ou moins
décrits par Kandwisky. Ce sont pour Kandwisky des repré- sentations mentales fixes et persistantes, mais ne s'extériorisant
cicatrice sup- prime subitement l'illusion et toute représentation mentale du pied fantôme devient et demeure impossible p
la vie de leurs semblables. III. Les progrès réalisés en pathologie mentale et dans l'hos- pitalisation spéciale tendent à
non à la loi elle-même, mais à l'oubli de ses dispositions fonda- mentales . XV. - Le principe essentiel de la loi votée pa
eu près ainsi conçu : Toute personne guérie d'un accès d'aliénation mentale qui demande à prolonger momentanément son séjou
le bien des malades et qui sont au bénéfice des finances départe- mentales , dans l'esprit des membres des commissions de sur
eux-mêmes que parmi leurs pareils, car ces derniers, tous égoïstes mentaux , se complaisant dans leurs idées ' Nous profito
simplement dé- raisonnables est souvent du domaine de l'aliénation mentale . M. Charpentier a trouvé comme une contradictio
souvent, d'ailleurs, leur entourage contribue à entretenir cet état mental , cette appréhension. La relation qui existe e
central et l'ap- pareil digestif est mise en évidence, outre l'état mental , par des troubles de sensibilité de la zone gas
Le diagnostic doit être fait avec l'anorexie hystérique, l'anorexie mentale , la dilatation de l'estomac, les diverses dyspe
sans effet dans la sitiophobie liée à d'autres formes d'aliénation mentale . La dose employée pour les injections sous-cuta
ndance à rougir les rend très malheureux et leur crée une situation mentale des plus pénibles. Ils sont véritablement obséd
Vol. II. Octobre 1896.. N° 10. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE TROUBLES MOTEURS PRÉCÉDANT L'ARTICULATION DE
phtérie en bas âge. Archives, 2e série, t. II. j 7 2§8 · CLINIQUE mentale . A. K... avait douze ans lorsque son père, pris
ns l'enfance et il aurait été épargné par les maladies 260 CLINIQUE mentale . infectieuses habituelles à cet â2e ; la foncti
uche, mais cependant bien plus atténués qu'à droite. , 262 CLINIQUE mentale . La plupart du temps l'épaule gauche, simultané
que le malade a parlé ou un temps relativement long. 264 CLINIQUE mentale . Les troubles respiratoires se montrent en même
égaiement et autres défauts de prononciation, page 35. 266 CLINIQUE mentale . de les signaler au cours de l'histoire patholo
alisées à la face, enfin elles s'accompagnent d'ordinaire d'un état mental spécial qui trouve son expression fréquente dan
pondance chez lui entre les déchéances phy- siques et les stigmates mentaux . Dans le domaine moral, il est un émotif, et so
deux stigmates trop communs et trop importants de la dégénérescence mentale pour qu'il soit nécessaire d'insister sur leur
aire d'insister sur leur signification pathologique. 268 CLINIQUE mentale . K... présente en outre à l'état d'ébauche un p
ur que la confusion ne soit pas possible. C'est à la dégénérescence mentale que nous rapportons les, 1 Bl'issaud, - Epileps
ce considère comme nécessaire au traitement curatif de l'aliénation mentale . Projet de création d'un laboratoire pathologiq
reçoivent-ils une instruction spéciale en méde- cine et pathologie mentales , neuro-anatomie et dans l'usage des instruments
'un malade, en ce qui concerne les examens pour déterminer l'état mental et physique du sujet, l'enregistrement des entrée
la plupart, suivi les cours spéciaux des professeurs de pathologie mentale . Us savent se servir plus ou moins du microscope
blié des articles et des observations dans les journaux de médecine mentale et deux ou trois dirigent même ces journaux.
a puberté devinrent-ils manifestes ? Quel était, auparavant, l'état mental et physique ? Quels change- ments sont-ils surv
génitaux ? Maladies des organes génitaux ? Historique du désordre mental . Les causes supposées : a) d'après le malade ;
ue ou graduel ? " t1-t-on observé quelques perversions des facultés mentales ? Fatigue intellectuelle ? Changement dans les
Importunité ? Etat du sommeil juste avant l'apparition du désordre mental ? A-t-on observé quelque anomalie au réveil ?
minante les traumatismes du sein qui agissent en influençant l'état mental des sujets. On l'observe aussi assez fréquemmen
ues sont le myxoedème infantile le nanisme, l'idiotie, etc. Un état mental infantile accompagne toujours la malformation c
er. M. B. BIBLIOGRAPHIE. III. Manuel de séméiologie des maladies [ mentales à l'usage des méde- cins, des médecins légistes
en quoi consistent les effets produits par la maladie ou l'anomalie mentale dans l'ensemble des éléments constitutifs de la
fiques consistant essentiellement dans des altérations du processus mental . Ce qui ne veut nullement dire que les recherch
clans la grippe. M. Tiberi (Colbert) : Le suicide dans l'hé- rédité mentale . FAITS DIVERS. UN rou dangereux. M. Bouteilli
el Bericluhans. SEEUGMANN (A.). Contribution à l'étude des troubles mentaux consécutifs aux opérations gynécologiques. - Vo
liéné. Dans la famille maternelle, il y a également de l'aliénation mentale . Le malade a deux frères qui sont bien portants
e eux raisonnent et jugent sainement en dehors de leurs aberrations mentales , et ne sont pas insensibles aux bons et aux mau
rk. (BUDGET DE 1895.) 378 ASILES d'aliénés. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XIV. Des GUÉRISONS tardives; par le De Cuateli
t années à l'asile, furent rendus à leur famille sans que leur état mental se fût beau- coup modifié. L'auteur eut l'occas
es cas d'une cérébropalhie spéciale dans la 380 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . névrite multiple; et que ce n'est qu'en écriva
, Oppenheim, la même année, avaient signalé la présence de troubles mentaux chez les alcooliques et, de plus, loin d'admett
, la maladie de Korsakoff, consiste principalement, au point de vue mental , en une amnésie. Mais cette amnésie ne se renco
ent que Kroepelin a prouvé que les poisons dits REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 381 nervins agissent principalement sur la vol
eurologist. Janvier 1896.) E. B. XVII. Etat présent DE l'aliénation mentale DANS LE üASSACIIUSETTS par le D1' SAXHORN. Au
journal ofinsanity. Avril 1896.) E. fiLIN, 382 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XVIII. Stigmates DE dégénérescence; par le D1'
tes de la consanguinité et la transmission fatale des défectuosités mentales et physiques. (Amc- Tican journal ofinsanily. A
pileptique coexistant, telles la mélancolie, la manie, la confusion mentale aiguë, la catatonie, la démence paralytique, ma
épileptique. Il y a, chronologiquement, cinq variétés d'aliénation mentale dues à l'épilepsie : la folie préépileptique, l
ormal, en général, pendant les premières années REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 383 de la puberté, de treize à quinze ans chez
x quinze ans avant son entrée à l'asile, il 384 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . s'agissait donc, chez lui, d'nne récidive à lo
art fait jouer un rôle important dans la patho- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 385 génie des troubles psychiques observés aux
ersistantes Archives, 2° série, t. II. 25 386 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . de grandeur, instincts destructeurs, impulsifs
t anthropolo- gique, et quand on a reconnu chez eux une infériorité mentale ou des perversions psychiques incompatibles ave
e lever la nuit et de se livrer à des excentri- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 387 cités. Le jour il abandonnait son travail
ssi présentait de nombreux stigmates de dégénérescence physiques et mentaux , des tics de la face entre autres. Facies sans
ui est acquis, d'où les actes de violence, d'où la déséquilibration mentale , d'où enfin le peu de responsabilité de ces suj
responsabilité de ces sujets. Camuset. - 388 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 1 XXVIII. Diagnostic, pronostic ET prophylaxie
ômes différentiels des principales classes de délires et affections mentales avec déduction aupoint de vue pronostic, l'aute
pe. Mydriase avec iridoplégie passagère faisant REVUE DE pathologie mentale . 389 place à la cyclôpégie; dès le début : exci
nce progressive très accentuée dès le début. A. M. XXX. DE l'état mental dans L4 maladie DE BSEDOW; par A. 1\ ! .IUDE. (
ganisme, non seulement humain, mais animal; 390 REVUE DE pathologie mentale . c'est un résnltat naturel des causes physio-ps
), déterminant, comme chez les homicides nés, une anomalie fonda- mentale et primitive de la trempe morale; b) ceux qui ne
vêtements bizarres, dans le but de se garantir REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 391 d'influences malfaisantes. En réalité il d
médical. En plus leur vie n'était qu'une succes- sion de deux états mentaux , de natureopposée, alternant régulière- ment en
un certain degré de surexcita- 392 . REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. tion mentale . Pendant les soirées qui précédaient les nuits da
idents nerveux se manifestaient, les malades étaient d'une activité mentale excessive et anormale. Ces phéno- mènes morbide
ES résultats favorables DE la CRAnIECT011lE dans UN cas de DÉBILITÉ MENTALE ET DE FOLIE MORALE; par A. S ? 1NUOCK. (A'e ! f)'
ble, dans certaines conditions de fortune, et dans certaines formes mentales déterminées, d'instituer une mé- thode favoTabl
et pour l'infirmier qui se trouvent forcés d'exercer une direction mentale et morale de tous les ins- tants à leur malade
tervient pour une grande part dans la montée énorme de l'aliénation mentale , qui va, rien que pour le département de la Sei
1896. Chez l'auteur, à l3uztenzorg (Java). Siiuttleworth (G.-E.). Mental Ot7B)'St)'ctilti)xÎleClLlCatt09x. Brochure ici-
Vol. II. Décembre 1896. N° 12. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE . DES PSYCHOSES RELIGIEUSES A ÉVOLUTION PROGRESS
t au type que nous décrivons. 3 Marcé. Traité pratique des maladies mentales . Paris, 1862, p. 366. Archives, 2e série. t. IL
s. Paris, 1862, p. 366. Archives, 2e série. t. IL 27 418 CLINIQUE MENTALE . police et cette croyance, si commune chez les
érieux. Délire chronique, p. 98. v DES PSYCHOSES RELIGIEUSES. 4t9 mentale , nous semble avoir une importance non moindre en
Période commune d'incubation. Inquiétudes vaques. 420 0 ' CLINIQUE MENTALE . Les mélancoliques poursuivis par le démon perd
parlent dans leur estomac, etc. Il. Dagonet. Traité des maladies mentales , 1896, p. 237. DES PSYCHOSES RELIGIEUSES. 421
3 Séglas et Besançon. Ann. Méd. l'sch., janvier 1889. 422 CLINIQUE MENTALE . tive des idées délirantes et des troubles psyc
74, 38-2. 2 Calmeil. De la Folie, t. I, p. 37-82. 424 CLINIQUE, MENTALE . aux divers souverains de l'Univers ; ils se di
ou une statue ' Sémerie. Th. Paris 1867, p. 35. /1 il 6 CLINIQUE MENTALE . longtemps contemplée antérieurement, ou seulem
choses découlent naturellement de l'objectivation de l'articulation mentale qui fait attribuer aux bêtes un langage humain.
main. ' P. Garnier. De la Mégalomanie, th. de Paris. 428 CLINIQUE MENTALE . l'espace, ils n'étaient rien, ils en arrivent
ésenté par 1 Un malade que nous observons (voir Traité des maladies mentales , P. Ball, éd. 1891) offre un exemple très net d
ntgeron, t. il. Calmeil, De la Folie, 2' vol., p. 354. 430 CLINIQUE MENTALE . moi, mais en dehors de lui. Plus tard le dynam
auditives, car les malados désignent ces phénomènes d'articulation mentale , sous le nom de voix, tout comme les hallucinat
allucina- lions. 2 Baillarger T. I, p. 310 et 311. 132 CLINIQUE MENTALE . On peut rapprocher de ce qui précède les ligne
rbide, p. 237. 3 J. Moreau de Tours. Du Hachisch et de l'aliénation mentale . Paris, 1845, p. 351. ' .1. Moreau de Tours.
ires, obs. XIII, 1886. Archives, 2e série, t. II. 28 434 CLINIQUE MENTALE . ciel un vaisseau lumineux, où Dieu' lui appara
aperçu historique sur la connaissance et l'évo- lution des maladies mentales , depuis les temps les plus recu- lés jusqu'à no
épilep- tiques non aliénés, inauguré lors du Congrès de médecine mentale , à Blois, en 1892. Le dépôt de mendicité n'ayant
ce publique, principalement à l'égard des aliénés et des infirmités mentales ; les aliénés ins- piraient encore de l'horreur
les plus fatales et les plus contraires au traitement des maladies mentales . Que de gens ignorent ou font semblant d'ignore
olie ou d'épilepsie à un degré susceptible de produire l'aliénation mentale et dans un état d'indigence absolue. PART. 3. L
, représente un de ces désordres passagers dont la dé- générescence mentale est coutumière. (Revue neurologique, juil- let
té militaire soupçonnant, ajuste titre, l'intégrité de ses facultés mentales , le fit examiner par des médecins. Les experts
r toute idée de famille, le médecin peut poser le diagnostic d'état mental interdisant toute liberté de disposer de sa for
e expertise très facile au sujet d'un cas d'épilepsie avec troubles mentaux caractéristiques ; ce qui la complique un peu,
ropologie complèle de l'accusé et une vraie 1-çoti sur les troubles mentaux dans l'épilepsie, avec examen cri- tique des pr
éjouies de son aspect. Cette idée lui causait à lui le même plaisir mental que lorsqu'il essayait d'exciter l'imagination
cheval de fer dans le traiter ent des diverses formes d'aliénation mentale on a noté, paraît ,1, les meilleurs résultats e
départementales peuvent servir de base. Tus journal or nervous and mental diseases L'administration annonce les changemen
à New-York. Asile clinique (3ainte-Atiiie. - Clinique des maladies mentales : le professeur A. JOPRROY. Mercredi et samedi,
ster, 133; par Darin, 396, - Lutte contre l' -, 332. Aliénation mentale en Tunisie, par A. Voisin, 66; en Iassachu8etts
et du pédoncule cérébral, par 11a- haine, 315. Ii.lSDO`5'. Etat mental dans la ma- ladie de -, par llaudle, 389. Bib
médecins alié- llistes allemands, par Sérieux, t35. - de médecine mentale de France et des pays de langue française, à
Iteyuer, 3D i. Mémoire dans la folie du doute, par Sollier, 65. Mentales . Traitement des maladies - , par Lailler, 63. M
ue. Revue de -, 57. Thyroïdien. Alimentation ne dans les troubles mentaux , par CIarl.e, 64. De la médication ? ne, de son
37 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
USTRÉE 914 9 8 PSTCHOLOG1E — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur en chef : Docteur Edgar
le. Il m'est arrivé ainsi d'améliorer d'une façon très marquée l'état mental de certains épilep-tiques. Dr Bérillon. — Au di
ep-tiques confirmés. Lorsqu'on les amène, ils présentent des troubles mentaux caractérisés par de l'aboulie, de la diminution d
auront été impuissantes. Les succès obtenus par ce genre d'orthopédie mentale ne se comptent cependant plus et sont trop nombre
organes. Nous nous rappellerons que nous avons affaire à des débiles mentaux qu'il ne faut pas fatiguer par la contrainte. Nou
voir pour ne pas aggraver son état et le précipiter dans des troubles mentaux de la plus haute gravité. Ce n'est pas dans des
ignée et, en tous cas, doit être recherchée tout d'abord : suggestion mentale et communication directe de la pensée, déplacemen
de Cheltenham). D'GAGNIÈRE Ide Lyon) : Prophylaxie de l'arriération mentale par l'alimentation lactée. etc., etc. Avis
de Cheltenham). D'Gagnière Ide Lyon) : Prophylaxie de l'arriération mentale par l'alimentation lactée. etc., etc. Avis im
e : on interprète par une illusion physique un phénomène vrai et tout mental , a Autour d'un fait réel, souvent minime, l'imagi
« radoubeurs d'âme » qui, par la pédagogie suggestive et l'orthopédie mentale , grâce à l'hypnotisme et à la suggestion secouren
ées leurs résultats ils seront intéressants à comparer. La débilité mentale , son diagnostic et son traitement (1), par le D
tudiées par M. Bourneville pour les échelons inférieurs des débilités mentales , mais d'autant plus mal connues qu'on-se rapproch
omme je l'ai déjà dit, le diagnostic des états inférieurs de débilité mentale , idiotie ou imbécillité, ne présente ni difficult
çon générale, le diagnostic reste sombre. Diagnostic de la débilité mentale . A mesure qu'on se rapproche de l'état normal, la
yée, pour séparer les uns des autres les types supérieurs de débilité mentale , a été inspirée par les règles générales de psych
plus de 400 enfants a montré que le chiffre limite entre la débilité mentale et l'imbécillité était à peu près de 50,alors que
'intelligence qui forment te subtsratum, la nature même de ladébilité mentale ,on peut rencontrer des perversions de l'intellige
t rencontrer des perversions de l'intelligence sous forme de troubles mentaux ; ces derniers sont loin d'être chose négligeable
rniers sont loin d'être chose négligeable dans l'étude de la débilité mentale , puisque, sur un ensemble de 900 débiles observés
rement fréquent, lorsque le père est remarié — ce terrain de débilité mentale , fertilisé par la débilité morale, constituera un
orales qui mènent au vice, à la criminalité. En résumé, la débilité mentale , prise dans son sens le plus large — si elle n'im
as spécialement prédisposé, le débile présente à l'égard des troubles mentaux et surtout à l'égard du vice, une réceptivité spé
éducation, un milieu spécial qui réduise au minimum les complications mentales et morales possibles. Voila comment le débile, to
ceptions, des opinions émises sur les différentes classes de débilité mentale . Et, dans cette voie, on me parait avoir, en géné
entendu parler de psychoses, cependant si fréquentes dans la débilité mentale . Enfin, certains philanthropes, qui s'occupent
prédispositions morbides que certains présentent, tant dans la sphère mentale que dans la sphère morale, et préserver les autre
de faire germer sur ce terrain favorable les complications morales ou mentales qui transforment si vite les débiles en vicieux,
fixes ; on peut modifier ainsi, peu à peu, cette sorte de rumination mentale à laquelle le malade " se livre sans cesse. M. Ja
pour détourner de son esprit, par une diversion violente, le concept mental qui l'obsédait. Nous savons, d'ailleurs, qu'à l'é
persuasion ne peut rien. C'est alors qu'il faut agir sur les concepts mentaux , figés dans le cerveau, avec d'autant plus de per
; 3° rétrécissement du champ cérébral ; 4° prédominance, dans la vie mentale , de la réminiscence et de l'automatisme. » Ml
itch — qui dirige, à New-York, avec tant de compétence, le Journal of Mental Pathology, auquel le Dr Bérillon et moi nous nous
ommis pour examiner les délinquants ou Inculpés suspectés de troubles mentaux , dit simplement qu'il n'y a ni crime, ni délit lo
compétent pour se prononcer sur la réalité et la nature des troubles mentaux chez les inculpés, et sur le rôle que ces trouble
oupe sur la reproduction. Le rire bestial de ce sujet prouve son état mental . (Fig. I). Comparons un autre sujet (fig. 2 et
r Toulzac, médecin-légiste à Versailles : La protection des débiles mentaux contre les sévices dont ils sont l'objet dans les
port, je relève les expressions suivantes : certain degré de débilité mentale n'enlève pas à l'inculpé tout discernement ; — pa
s'agit d'obnubilation de la conscience, de discernement, de débilité, mentale , de maîtrise de soi, etc., non seulement vous emp
son de... et ici interviendra l'énumération de ses tares physiques et mentales ). 3° Cet acte est imputable a X... pour une trè
son acception restreinte ; vous prévenez « qu'il désigne les troubles mentaux , quels qu'ils soient, susceptibles d'influencer p
ion de l'expert à la constatation des symptômes morbides et des tares mentales , sans consentir à « lier plus loin, c'est réduire
seur adjoint à l'Université de Bordeaux, chargé du cours des maladies mentales . Les enfants mentalement anormaux ou anormaux p
psychiatrique confiée au Dr de Sanctis, chargé du cours des maladies mentales à l'Université. Dans nombre de grandes villes,
D' Toulzac, médecin-légiste à Versailles : La protection des débiles mentaux contre les sévices dont ils sont l'objet dans les
surtout si elle se prolonge quelque peu, laisse toujours dans l'état mental de l'enfant des séquelles mentales qui affectent
que peu, laisse toujours dans l'état mental de l'enfant des séquelles mentales qui affectent et modifient profondément la person
atteints d'hystérie, d'épilepsie, de chorée et même de dégénérescence mentale , l'indocilité n'est pas fatalement causée par l'é
acilement à porter le pronostic d'un arrêt définitif dans l'évolution mentale . Ce sont des malades dont l'idiotie est acquise
ue donne leur aspect, ils sont susceptibles d'une grande amélioration mentale . Leur intelligence, si on la cultive par des soin
t Lionel Dauriac. 3. M. Félix Regnault. — Un faux cas de suggestion mentale . Discussion : MM. Bérillon et Paul Farez. 4. M.
renconter des âmes sensibles chez lesquelles la simple représentation mental d'un événement, alors même qu'il ne s'est pas réa
ns des pleureuses corses suivant un convoi funèbre. Dans l'aliénation mentale on observe souvent des dispositions à pleurer pou
hypnotisme dans la psychothérapie. ¦2° L'hypnotisme et l'orthopédie mentale : Les enfants et les adolescents anormaux : retar
es samedis à cinq heures, à partir du samedi 1" février. Pathologie mentale appliquée aux religions. M. le D* Bixet-Sakglé, p
sujet de son enseignement porte d'une façon générale sur les maladies mentales et nerveuses, mais une partie importante est cons
ais une partie importante est consacrée à l'étude des dégénérescences mentales et des psychoses chez les enfants. Les leçons, to
goureux. L'intérêt que présente cet enseignement de la pathologie mentale et nerveuse chez les enfants explique son succès
'être étudiée avec soin. S'il est hors de doute que des impressions mentales peuvent causer la mort, notre attention ne doit-e
xécution qu'il croyait réelle, et qui de fait n'était qu'une illusion mentale insoupçonnée. M. H. Gaxe m'a raconté un cas obs
nal une notice nécrologique racontant sa mort. Cela lui donna un choc mental si violent qu'il succomba. Il mourut donc d'une i
hoc mental si violent qu'il succomba. Il mourut donc d'une impression mentale . Ce fait nous prouve une fois de plus que nous
ie humaine, et comprendre à quel point cela dépend de nos suggestions mentales et de nos conceptions à ce sujet. Exemptes de c
ons javanaises. D'Toulzac (de Versailles).— La protection des débiles mentaux contre les sévices dont ils sont l'objet dans les
étude sinon sur les grossesses nerveuses, mais sur les perturbations mentales des femelles domestiques. Au moment d'un accouc
janvier 1908, à 10 heures, ses conférences cliniques sur les maladies mentales et nerveuses spécialement chez les enfants, et le
e suffise de citer, pour mémoire, ses remarquables travaux sur le tic mental et la discipline psycho-motrice ; ce qu'il veut,
que se trouvait privée d'un chef de premier ordre, par le dérangement mental de Mourad, le peuple ottoman se trouvait déçu dan
elligence exige une grande sommedauto-suggestion et de représentation mentale : l'amour également. L'amour, instinct, passion
mis pour examiner les délinquants ou inculpés suspects de trou-« bles mentaux , dit simplement qu'il n'y a ni crime ni délit lor
ompétent pour se prononcer sur la réalité « et la nature des troubles mentaux chez les inculpés et sur le rôle que o ces troubl
bien avant ce début j'ai moi-même, dans un cours public de « Médecine mentale appliquée à l'étude du Droit ¦¦ (1901-1905), posé
servation clinique, à connaître d'une échelle précise de dégradations mentales susceptibles de constituer des degrés d'à norma/i
s l'influence de la divinité, c'est-à-dire par suggestion. Troubles mentaux . — Il semble que la pathologie mentale ait été mi
ire par suggestion. Troubles mentaux. — Il semble que la pathologie mentale ait été mieux observée, chez les Hébreux, que les
autres mala- (1) Wulfiag-Luer (W.). — De la pathologie nerveuse et mentale chez les anciens Hébreux et dans la race juive. (
r les sujets. Je l'ai également observé dans plusieurs cas d'anorexie mentale . Le visage spectral, dans ces cas, a disparu en m
roux, médecin de l'asile de Vaucluse, ont signalé des cas de troubles mentaux survenus à la suite de séances de spiritisme. L'é
mensonge, la superstition, la cruauté ; telles sont les dispositions mentales dont témoignent toutes ses décisions. Porté à l'o
ccidentaux. * Le premier roi des pays d'Orient, dont l'aliénation mentale ait été enregistrée par l'histoire, est Saùl. T
ouvait soulagé et le mauvais esprit se retirait de lui. L'affection mentale dont souffrait Saul serait aujourd'hui rangée dan
resté sain. Après avoir montré, par ces exemples, que l'aliénation mentale a fait son apparition de bonne heure chez les sou
ys n'ont pas cessé de payer leur tribut aux atteintes de l'aliénation mentale . (à suivre.) SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCH
ambitieux, ignorants et sans expérience. La protection des débiles mentaux contre les sévices dont ils sont l'objet dans les
en psychiatrique et biologique ne révèle point chez lui des anomalies mentales et psychiques de nature à atténuer dans une certa
t affaire ici à un faible d'esprit, à un individu atteint de débilité mentale ; irritabilité morbide, réaction impulsive, faibl
e simples injures. Conclusions. * 1- O... est atteint de débilité mentale . « 2* Celle-ci, sans être portée au point de lu
e, je n'ai voulu amorcer une discussion transcendante sur la médecine mentale . C'est un cas banal d'observation quotidienne,
ervation de psychologie rurale. Au village, la débilité physique et mentale de malheureux pareils les exposent aux taquinerie
rticle 64 du Code pénal reproduit la même disposition. — L'aliénation mentale entraine de piano l'excuse ou, ce qui revieot au
ommis pour examiner les délinquants ou inculpés suspectés de troubles mentaux , dit simplement qu'il n'y a ni crime, ni délit lo
compétent pour se prononcer sur la réalité et la nature des troubles mentaux chez les inculpés, et sur le rôle que ces trouble
it assurément de ramener l'expertise, en ce qui concerne l'aliénation mentale , à des conceptions aussi positi- ves que lors
de faire ressortir l'ignorance des magistrats en matière d'aliénation mentale . Après les discussions assez confuses auxquelles
toute pénalité étaient les suivantes : L'impuberté. L'aliénation mentale . Certaines injures faites aux esclaves. Le ju
nstances, la seule qui se rattache à notre sujet est l'aliénation mentale . Elle est d'ailleurs la seule qui comporte, à not
e le juge conserve quelque incertitude sur la réalité de l'aliénation mentale de l'inculpé, avant de le faire bénéficier de l'e
L'aliéné qualifié furiosus est évidemment celui dont le dérangement mental est très accentué et se traduit par un délire évi
ous des formes différentes. II mentionne, en particulier, la débilité mentale légère : insania juncta stultitiœ. Cet état n'est
scriptions les plus scientifiques des diverses formes de l'aliénation mentale se trouvent dans les écrits d'Arétée, do Soranus,
, do Soranus, de Cœlius Aurelianus, de Ga-Hen et de Paul d'Egine. mentaux impliquait au pointde vue pénal, pour celui qui e
hasard d'un événement quelconque {*). Par le fait de son aliénation mentale , l'inculpé échappait à toutes les lois pénales, à
us est tout à fait privé d'intelligence, par l'effet d'une aliénation mentale permanente, et sans qu'on puisse soupçonner la si
it, que les Romains se faisaient une idée assez nette de l'aliénation mentale . Ils la considéraient comme une véritable maladie
mittence fréquente dans telle autre (furor). L'excuse de l'aliénation mentale n'était admise qu'autant que l'acte punissable av
laquelle ils concevaient la persistance dé la disposition au trouble mental , c'est lorsqu'il s'agissait de la vente d'un escl
alors qu'il était simplement dans un intervalle lucide. L'aliénation mentale intermittente était donc, chez l'esclave, assimil
usé eût le bénéfice de l'excuse légale, il fallait que son aliénation mentale fût confirmée ('). Il devait être, dit le texte l
aux signes objectifs, aux symptômes pathogno-moniques de l'aliénation mentale , mais en résumé, c'est surtout par les réponses q
rêts légitimes. Quand ils eurent constaté que l'existence de troubles mentaux chez certains accusés constituait un obstacle à l
y revenir. * Admettre chez un prévenu l'existence de l'aliénation mentale confirmée, équivaut, en jurisprudence, à reconnaî
n de l'intelligence, à l'intégrité du jugement et des autres facultés mentales que correspond le pouvoir de répondre saineme
au môme examen chez les personnes atteintes de maladies nerveuses ou mentales . Le médecin, je le répète, a seul les connaissa
ient pu trouver jusqu'à ce jour. Qui de nous n'a été frappé de l'état mental de ces ouvriers qui, à tout prix, veulent que le
e belle carrière consacrée à l'étude et à l'enseignement des maladies mentales , lui ont offert une plaquette, œuvre du professeu
été unanimes à dire quelle révolution il a apportée dans la médecine mentale en fondant sa méthode sur l'observation attentive
mais la charpente estrestéela même ; le fond n'a pas changé et l'état mental de l'hystérique est aujourd'hui ce qu'il était au
ment physique ». En somme « l'hystérie est une forme de désagrégation mentale , caractérisée par la tendance au dédoublement per
e symptôme et surtout comparer cette maladie avec les autres maladies mentales connues ; et des arguments qu'il présente à l'app
t conclut que l'hystérie lui semble être « une forme de la dépression mentale caractérisée par la tendance au rétrécissement du
mites très nettes qui séparent l'hystérie non compliquée des maladies mentale , tout au moins si Ton conserve au mot mental sa s
compliquée des maladies mentale, tout au moins si Ton conserve au mot mental sa signification habituelle en psychiatrie ; mais
ions entre les deux psychismes. Certaines hystériques peuvent devenir mentales mais c'est par participation du centre psychique
la névrose, d'interpréter par la désunion de leur attelage l'anarchie mentale des hystériques. Mais encore faudrait-il tout d'a
es dispositions puisse être légitimement rattachée à une perturbation mentale . Ils n'étaient pas différents de leur milieu et c
ale. Il ne faut considérer comme aliénés que ceux dont les troubles mentaux peuvent être rattachés à une forme définie de l'a
es mentaux peuvent être rattachés à une forme définie de l'aliénation mentale . A la rigueur, on pourrait ranger dans ce nombre
valeur intellectuelle caractérisée par le terme générique de-débilité mentale . Mais ces princes insignifiants, dont la faibless
sychopathiques se rattachent plutôt à ces formes de la dégénérescence mentale héréditaire dans lesquelles dominent tantôt l'imp
rents. Le premier des sultans ottomans chez lesquels des troubles mentaux confirmés se soient manifestés est Sélim II, il f
avait été interné. Il nous parait légitime de rattacher lestroubles mentaux présentés par Ibrahim à la folie des dégénérés hé
'absence de la faculté de distinguer entre ces choses. L'aliénation mentale dégage l'homme de tout devoir, comme de toute res
omme une formule définitive, individuellement colorée, d'un processus mental . Je passerai maintenant à la description de fai
ombreux, de l'influence exercée par des lésions organiques sur la vie mentale , notamment en ce qui concerne la production d'imp
pparemment à des affections génitales, cas dans'lesquels les troubles mentaux disparurent sous l'influence d'un traitement visa
ébreux, Par M. L. Delmas (suite et fini. Les Prophètes, leur état mental . — D'après le Df Wulfîng-Luer, on les distingue
présentaient, tous les deux, des signes manifestes de dégénérescence mentale ; Myriam était une musicienne exaltée et elle éta
lire. Mais il est un point fort intéressant à étudier, c'est l'état mental de ces prophètes. Une des conditions sine qua n
système nerveux : les névroses sont fréquentes ainsi que les troubles mentaux qui se compliquent de phénomènes hallucinatoires
es essentiellement croyants jusqu'au mysticisme. D'ailleurs, cet état mental était religieusement entretenu par les prophètes
ent à considérer le mysticisme comme aboutissant fatalement à un état mental particulier qui relève de la psychiatrie. Ces con
ontré que si l'on avait tenu compte des manifestations de dérangement mental signalés par l'entourage, de nombreux crimes pour
n est pas moins vrai que, contrairement à la suggestion, le processus mental qui aboutit au retour à l'état normal est raisonn
d Toghlak autre chose qu'un dégénéré atteint de la forme d'aliénation mentale désignée actuellement sous le nom de folie hérédi
observation est des plus instructives. Elle nous montre la pathogénie mentale de l'affection, sa guérison par le fait de la dis
le fait de la disparition du réve, c'est-à-dire de la représentation mentale de l'accident et rinefHcacité de l'application de
L'attitude, les gestes et les mouvements qui favorisent l'application mentale , préparent cette application et entraînent son ap
er un parti suffisant de l'imagination visuelle. Cependant, la vision mentale est la faculté qui permet, avec le plus de facili
r l'hypnotisme thérapeutique. Une première publication Hypnotism in Mental and Moral culture vit le jour en 1901. Il y loue
i de la suggestion dans le traitement de certaines formes de maladies mentales au début de leur évolution. Elle fait merveille s
religieuses : manie de la prière, remords de conscience ; de troubles mentaux se montrant à l'âge critique du climactérium et d
orité dans l'application de l'hypnotisme thérapeutique à l'orthopédie mentale . Il insiste sur le changement de milieu des enfan
s, à l'émotivité primitive. L'hystérie constitue pour lui un syndrome mental « un état psychopathologique caractérisé par l'hy
du contrôle cérébral et l'hypersuggestibi-Iité » et c'est sur ce fond mental qu'évoluent les divers stigma^ tes et accidents c
ité sans qu'il faille d'ailleurs entendre par là qu'il existe un état mental spécial caractéristique de la névrose. Cette hyst
se par rapport à l'âge de l'en- fant ». De par le fait que l'état mental infantile peut, dans certains cas, exister chez l
exister chez l'hystérique, il n'en faut pas conclure que ce même état mental soit hystérique chez l'enfant. Les termes très im
la névrose, en rapport immédiat avec les pensées, les représentations mentales , les sensations, surtout émotives... Le désordre
de ne pas retentir gravement sur la nutrition générale et sur l'état mental des sujets qui en sont atteints. » Pour ancienne
stigmates sont en somme la conséquence de ces réactions d'inhibition mentale défensive. Et, conséquent avec lui-même, M. Clapa
permet d'affirmer que vingt-cinq d'entre eux étaient doués d'un état mental normal. Seize se sont même révélés comme des homm
degré plus ou moins accentué, les manifestations de la dégénérescence mentale héréditaire. Plusieurs, bien que possesseurs d'un
le dispute au ridicule. Six de ces derniers ont abouti à l'aliénation mentale confirmée. II est pénible de constater que le règ
égitimes de cette conférence pourrait être de décider si des troubles mentaux survenant chez un souverain ne constituent pas un
linant toute compétence au point de vue du diagnostic de l'aliénation mentale . Mais l'idée énoncée ne tarderait pas à prendre c
grands royaumes de l'Europe occidentale étaient frappés d'aliénation mentale , le trône de Turquie fut successivement occupé pa
ombre de cas, des potentats déséquilibrés, atteints de dégénérescence mentale , se sont livrés aux pires excentricités. On a pu
s pharyngées ne se rencontrent que chez les sujets présentant un état mental particulier, qui les prédispose à s'occuper et à
ée aux paresthésies hystériques, qui sont commandées par un mécanisme mental tout à fait différent de celui des neurasthénique
re une hallucination sans appel périphérique, une pure représentation mentale . A côté des paresthésies par illusion ou par ha
plus pouvoir l'en distraire. A côté des troubles sensoriels, un état mental particulier est indispensable. Suivant les ca
alisation organique, de la réaction urinaire, du sommeil et de l'état mental . Un chapitre spécial est consacré à la descriptio
E Danger (Le) des grands bruits dans les villes, p. 377. Débilité mentale (La), par BIin, p. 84. Désaccord entre la moral
différents modes, par Van Renterghem, p. 68. Protection des débiles mentaux , par Toulzac, p. 269. Psychologie du combattant
38 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
DE 7 1 · NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CIIAIICOT PUBLIÉE SOUS LA DI
RECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maindies mentales à la Faculté de médecine de Paris. Y. MAGNA
que la participation de l'élément noble pour produire les accidents mentaux . Ce fait me semble bien propre à prouver que ce
QUE; , Par Paul SOLLIER, - Clief de clinique adjoint des maladies mentales à la l'acuité. . i Tous les auteurs qui se sont
e qui empêché le développe- ment intellectuel et amène la déchéance mentale ; il s'agit là de démence véritable plutôt que
ions cérébrales.' Tantôt enfin l'épilepsie s'ac- compagne de l'état mental qui lui est"propre,'et on ne saurait dire qu'il
nerveux. Elle constitue [le degré le plus inférieur de la débilité mentale , dont elle se rapproche absolument au point de
fication d'imbécillité,' qui doit être réservée aux cas de débilité mentale assez marquée pour empêcher les 'sujets''de'' r
Mil - tl »jiLir,^ i» i...-- . ji, i C - * . 40 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . III. NOTE SUR l'élongation DES nerfs. dans l'h
lète des deux oculo-moteurs externes. Mêmellac- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 41 cidité des muscles de la face. Anomalies mo
qu'un accusé sera reconnu irresponsable, quand atteint d'aliénation mentale . i° Il ne sait pas quel acte il commet; , . 2
afolieavec illusions et hall ucinatiolis; 2° la folie avec débilité mentale ; 3° la folie impulsive. Dans le premier cas, l
E. 1)'. VIII. UN cas DE FOLIE POST-CHOLÉRIQUE A forme DE confusion mentale - . PRIVI1T1'IE; par le D' SÉGL : 1S. ' L'aut
bservation, des plus instructives, d'une ma- 42 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . lade atteinte depuis' trois jours d'accidents
toute la durée'de l'affection (cinq mois) par un état de confusion' mentale , 'de chaos qui'con'sis- tait dans la perle de l
* i aI X' A côté de ce défaut de toutes les opérations de synthèse mentale existe un désordre profond dans les idées, dans
rap- pelant dans ces principales lignes l'histoire de là confusion mentale primitive que c'est' bien à ce diagnostic qu'il
èausé9désr'carâe- tères de véritable maladie que revêt la confusion mentale primitive, il ne'faut'pas non'plus négliger le
pe progressivement.'1 ? Une 'questionne ' pose REVUE DE ^PATHOLOGIE MENTALE . 43 encore dans ces conditions : celle de l'int
^ i . , A i t 1, 1* le- j'io*ji-i 'M-14. e ,uN REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 45 définie' aux trois quarts de mes observatio
ndiquant de quoi il's'aâit.'(13,) '* ? "' ' '*' REVUE DE pathologie mentale . 47 Î 1891, sous forme de mélancolie simple, sa
ès l'infection appartient'aux émotions men-, 48 REVUE DE pathologie mentale tales,- car dans 26 p. 100 des cas de psychose
ectée de quelque maladie septique puerpé- rale, les fortes émotions mentales favorisent l'action toxique de la sepsine sur l
la vie et décroît rapidement après 50 ans. ' ' REVUE DE pathologie mentale - 49 . Quant à la condition sociale, la statist
cas curieux de jalousie pla- tonique, relevant de la dégénérescence mentale comme tous les cas de ce genre et où le patient
fréquente de ces Archives, t. XXVII. ' 4 gO ' revue DE pathologie mentale . ,* I tendances morbides à la jalousie. Consi
allia -i i.. i i. e tf ,.. <j, ! ...' "' i REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . J1. Mitchell, a eu i en >' Amérique un ceit
uméro précédent, le D1' Hughes a rapporté plusieurs cas de troubles mentaux et nerveux consécutifs à l'atrophie ou à l'ex-
établir, d'après des documents de l'époque,un diagnostic de l'état mental de, cette reine dont il attribue l'abdi- cation
tifit..1.1., rrr", n (M1«K On rencontre souvent dans les, maladies mentales des altérations des mouvements respiratoires pa
ychique s'associent,, des troubles graves de la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 53 sphère sensitive ;"le tracé respiratoire pr
ataviques, doivent être marqués au compte de la condition fonda- mentale dégénérative chez qui les emploie. Chez tous'les'
riminologie : par Arthur MACDONALD. - - - , < ? (The Journal' of Mental Science, janvier, 1891'.) ,u"'j-* ? lfI ' ' .- 'V
nce DE la menstruation dans la RECHERCHE DE 1 ! il-* responsabilité mentale ; par DE RR.FFT-EB1NG. (Jalarbùch. f. Psy- chiat
nt et' ceux qui le suivent ; 3° Il y a lieu de conseiller un examen mental , quand le fait incriminé coïncide avec cette pé-
e le processus menstruel, exerce une influence puissante sur la vie mentale d'un sujet, il faut, même quand on ne constate
DEVANT LES TrtIBUN.1UX ? pa.u GeOiH ? S4V.GE. 'h$1 1t19r/ ' ' · of Mental Science) juillet 1 : 7dd .1 Istui n ? rjOT^ 1`
et l'attitude des médecins experts en ma-'1 l tière i d'aliénatioii mentale "d6vant] les' tribunaux ? sur -l'usage1 ou l'ab
-c', que'le 1D^ étli6dés'd'e"*x-'p'eér- tiseentmatière'd'aliénation mentale ; devant lés'trihuriâux.criml- nels, sont par t
rament hystérique; par- L. BREMER, H.-D. (The Journalof Nervous and Mental Diseasc, janvier 1893.) t) - ' r w' ' ' ' if s'
faut-il entendre par aliéné ? On ne peut pas juger de l'aliénation mentale par les actes'de l'in--l telligence : on la rec
il y a pas crime ou délit quand l'accusé était en état d'aliénation mentale au moment de l'exécution de l'acte ou quand il
. peut pas résister,. et, qui ne trouble,pas autrement ses facultés mentales ..) ? 1·,9r, -m 3. S ? Pour que la loi fût -comp
istelun rapport direct' entre 'l'altération du- coeur et'la'maladie" mentale ;'i)'en serait' autrement dans les cas d'affecti
n »-> ? - ir ? *;i> t ' : 2''it .)' - - Il est, en pathologie mentale , peu de questions plus intéressantes t au point
oui, le malade mérite d'être hospitalisé, quel que soit son état mental , selon lequel il, sera placé dans telle- ou, tell
et continue chez les individus privés de sens moral et d'équilibre mental ; 4° Mania a potu. (American journal o f insanit
n aliéniste et la chirurgie, dans nombre de cas, a pu guérir l'état mental des malades. L'auteur termine son discours en i
ournal of lnsanily, 1893.) E. B. Concours DE la Société DE médecine mentale DE BELGIQUE. Première question. Etude clinique
mentale DE BELGIQUE. Première question. Etude clinique des maladies mentales transitoires ou permanentes, consécutives aux m
Troisième question. Cj Cette. question, relative, à la 8 pathologie mentale ou nerveuse est laissée au choix de l'auteur ? 0
tzde=350 francs par, an.' (Bulletin de i la Société t de Médecine , mentale de Belgique,' décembre.1893.) = Nous, rappeller
t les questions suivantes ? e»*wo2 el ArtP2'r ? t - c'io Pathologie mentale ? des- rapports de l'hystérie et de la folie.'
FAITS DIVERS. Asile clinique (Sainte-Anne). Maladies nerveuses ci mentales . M. AlAGNAN : Amphithéâtre de l'Admission, les
tisés dans les diverses psychoses. Cours de clinique des maladies mentales et des maladies de l'en- céphale. M. le profess
edis : Interrogatoire des malades. Un cours élémentaire de médecine mentale en quinze leçons sera fait par M. le De Pactet,
s'inscrire à l'Asile clinique. Hôpital S.11NT-A : TOiNE. Pathologie mentale et nerveuse. M. Gilbert Ballet a repris ses leç
M. Gilbert Ballet a repris ses leçons cliniques sur la pathologie mentale et nerveuse, à l'hôpital Saint-Antoine, le dimanc
ron. En 1 889, trois attaques d'aphasie transitoire; aucun symptôme mental depuis lors.- Tuber- culose pulmonaire chroniqu
rêt, /le cristal- lisation de certains syphilitiques dans, un état, mental qui est, loin d'être sain et qui pourtant n'est
loureux du début, puis les paralysies des 136 , REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . nerfs crâniens et les ictus, avec les troubles
ns ? Je n'en sais rien encore. ,A'' ^ n " ' ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE : XXX. Symptomatologie ET PRONOSTIC DE TROUBLES
e monographie statistique de laquelle il résulte que : la confusion mentale hallucinatoire aiguë est la plus fréquente des
d'ailleurs le type de la folie aiguë des jeunes REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 137 ' sujets. La mélancolie y est plus rare de
ychose apparaît pendant la convalescence de 138 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE .' K celle-ci, ou dans les six mois consécutifs
orphisme de'leurs tableaux cliniques. La proportion ' des modalités mentales est ainsi'répartie : ? '' " <--> a. Mélan
enza survies aliénés ? Il semble y.avoir plus  de cas d'aliénation mentale aggravée par( la grippe que de cas,, améliorés
tatation de ce. fait que, sans qu'il y ait de'' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 139 lésions ophlalmoscopiques, on trouve soit
1 ? I·. " ! ' iv : . - ' . < .' ' 013SERV.Tl '0,-îi. Masochisnie mental .' Dégénéré, tourmenté par des obsessions sexuel
que des .agents déterminants tombant sur un 140 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . sol longuement élaboré par voie dégénérative s
urs rapportent l'histoire d'uneimalade atteinte de dégé- nérescence mentale avec délire polymorphe et alcoolisme. Au cours
bservées ont été posté- rieures aux premiers symptômes d'aliénation mentale . Cette inté- ressante observation permet néanmo
l. (Annales médico-psychologiques, 1893.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 141 XXXVI. L'angoisse neurasthénique dans SES
i le plus souvent ont été surmenés. La maladie «REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 143 débute brusquement' sous des influences re
iblissement notable, de la mémoire, illusions du souvenir, troubles mentaux divers; pas d'hallucinations ni d'idées déliran
Genèse : intoxication typhoïde. 1 , P. K. 144 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XLV. Contributions la physiologie ET A la path
blit une distinction, et répond par l'affirmative si, par mala- die mentale on entend toute maladie dans laquelle les phéno-
pathologique, car il a conservé de sa person- nalité consciente. Le mental , au contraire, croit à la réalité de son Archiv
le rêve, le somnambulisme, et la distraction ne sont pas des états mentaux , parce que la personnalité consciente n'est pas
me; l'hystérique croit alors que son rêve est une réalité, c'est un mental , il est devenu fou. Donc l'hystérie - n'est une
cette personnalité consciente. Pour nous, l'hystérie n'est vraiment mentale que quand elle se complique. » Il vaut donc mie
que les travaux récents sur l'hystérie ont donné non pas la théorie mentale de cette névrose, mais, suivant l'expression pr
fasc. 1-2, 1893.) , Revue critique sur les phénomènes physiques et mentaux , qui sont comme les notes différentielles du te
initial, accidents aigus et subits,symp- tômes cérébraux : obtusion mentale céphalalgie frontale intense profonde ophthalmo
s la paroi du canal central de la moelle. P. K. XII. DES troubles mentaux dans la maladie DE Basedow ; par Hirschl. (Jahi
G Vol. XXVII. Mars 1894.. ? 85 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE UN TYPE D'HÉRÉDITAIRE DÉGÉNÉRÉ; Par V. BOURDI
es études, il se rend aujourd'hui un compte suffisant de son état mental , et c'est ce qui nous a décidé à publier son obse
ois somatiques et psychiques, qui caracté- risent la dégénérescence mentale . - 11 est actuellement bien établi que les dégé
ortant de ce qu'on appelle les héréditaires, si bien qu'en clinique mentale les deux termes sont souvent pris comme synonym
ces affections (les maladies Archives, t. XXVII. il 1G2 CLINIQUE MENTALE . mentales), on en cache plus soigneusement les
ions (les maladies Archives, t. XXVII. il 1G2 CLINIQUE MENTALE. mentales ), on en cache plus soigneusement les origines soi
out son individu. Le côté de beaucoup le plus intéressant de l'état mental de notre sujet, à l'examen duquel nous sommes a
n'y éprouver aucun plaisir, et il ne se fait aucune représentation mentale de femme ou d'image luxurieuse quelconque. In
traduit bien tout le retentissement que doivent avoir sur son état mental ses excès d'onanisme. Ses rapports pédérastique
tre malade ne s'étant jamais livré 1 cette pratique. 164 CLINIQUE MENTALE . 1 des filles ou même de leur parler de cela. S
est arrivé : je vous certifie qu'il n'y a pas ' f - 166 CLINIQUE MENTALE . de ma faute ». -Nous aurions donc grand tort d
, prédominance tantôt d'un centre tantôt d'un autre, et en clinique mentale , déséquilibré n'est-il pas synonyme de dégénéré
tait évidemment de donner à son enfant une instruction 168 CLINIQUE MENTALE . " soignée.' » Nous trouvons là l'indice de cet
re, qu'on voit son visage s'animer en parlant de la 170' . CLINIQUE MENTALE . haute personnalité, il devient rouge, congesti
ont point rares chez les hystériques, ses égaux en dégéné- rescence mentale , Retcnons'tout au moins de ce fait qu'il est un
nts, il fera ressortir dans toute son évi- dence, la dégénérescence mentale du sujet. Nous voulons par- ler des divers synd
rende compté du caractère très bizarre de toutes ces interrogations mentales , de tout ce déluge d'obsessions''qui surgissent
à ce sujet, le rapport de Cullurre au dernier Congrès de méde- cine mentale , sur les Faux témoignages des aliénés devant la j
s nous croyons qu'en insistant on découvrirait chez lu 172 CLINIQUE MENTALE . bien d'autres stigmates de cette nature : nous
ÉDITAIRE DÉGÉNÉRÉ. 'l î.3 que c'est là le fond de la dégénérescence mentale . Le dégénéré est un être essentiellement déséqu
donnée l'intensité de sa prédisposition héréditaire, '174 CLINIQUE MENTALE . TYPE D'HÉRÉDITAIRE DÉGÉNÉRÉ. auront vite about
nte,'IeII6 est'aisez-p-Liissantè da-ni tous" les domaines de la vie mentale ôû physique d'un individu pour que l'on ait pu se
dant, que si ! on se'démahdece''qù'est'aufond la dégénéres- cence mentale ? 'cette puissance., dominatrice', ^cette reine i
qu'on rencontre indifféremment dans toutes les espèces de maladies mentales , j'avais recherché quelles sont les conditions
l'autre que l'application', à un'point particulier'de la médecine mentale ; des 'doctrines généï : âles'aûsavânt'irlédeciri
me que : celles quijprécèdent l'apparition d'obsessions (influence ^ mentale ) ou encore.des espèces de crampes des écrivains s
continue l'auteur, provoque la névrose gastrique (malaises et état mental connus) qui dégénère'en psychopathie^ Mais le t
DE LA PEAU, CIIEZ UN, ALIÉNÉ; par Epie rr,ANCE.,(Tlae, Joznvzal of Mental Science. juillet 189 1.) C'est surtout parce qu
ruagique interne; par Hubert . t,;3,C. BpisTowE. 'T/te/OMnta< of Mental Science, octobre 1893.) ' L'auteur examine ces
nsuration du temps de réaction; par BEV : 1N Lexis. (The Journal of Mental Science, octobre 1893.) . 1 1 Perfectionnemen
aux attaques épileptiformes,' à l'état ,d'épuisementphysique;·et mental , à la mélancolie : en '.tout cas, ces phénomènes
if. P. K. IL Notes DE thérapeutique. clinique dans LEStII : ILADIES mentales ; par AUGRISANI. ( Il blcinicomio, fasc. 1-2, 1
e potasse, le phosphate de soude dans le traitement de l'aliénation mentale .' Des expériences de l'auteur, il résulte que le
ction hypnotique ET thérapeutique DU CHLORALOSE dans LES j maladies mentales ; p.r le,D Rossi. (Riv. sp. di f2,en ; 11-111, 109
ose., Il n a pas d influence, sur la marche générale de la maladie, mentale : .à doses petites, et fractionnées, il semble êt
PTE RENDU DU . CAS) publiés ; parCEciL F. BEADLES. (Tlie Journal of Mental Science, juillet'et octobre 1833.) zJuah pib ..
Jon.an.w im du myxoedèm .u iv.. breux; enrlrevanclie, les troubles mentaux plus ou moins accusés y sont très 'communs, si
obstruction intestinale; par. R. f S. STEWART.('r/te.JOMt'H6[0/' Mental Science, juillet1891.) , <,< » ? ? f >h.
I. Des INJECTIONS sous-cutanées DE sulfate DE DUBOISINE EN médecine mentale ; par J. MASSAUT. (Bull.,de là Société, de illéd :
médecine mentale; par J. MASSAUT. (Bull.,de là Société, de illéd : mentale de Belgique, déc. 1893.) ' " fil, * ? ) I ? »
de - . , . 1" de.de,a nature et même du traitement des. maladies,, mentales . "(Amc·icnn Journal of insanity, 4893.)sllubsfi
psycbiatrie : ê3$1 jsR.-M.iC1 '' Le traitement externe des,maladies mentales fonctionne déjà >-. - . -»« .>t.r.<>
UE ? Ie 8 juillet4893;cpar.J : AIUReY-LI\osAY : c(T/ee'Joul7znl.'of Mental Science, octobre 1893.) - tllibq aoii. - ,7al
tendance qui ne l'abandonne qu'au : dernier degré» de, la déchéance mentale , pour remplacer les vêtements du magasin d'habi
l'asile d'Omagh ;' par1 George7' Francis1 West.11' (Theb journal of Mental Science, avri11893.)'9'f ? J' ! i«« WtHwt "iO -
teur louesans réserves cette organisation. Les différentes maladies mentales ont été divisées en trois grandes classes et un
fin d'être déclarée vacante. : '' .. .. 1 ? Clinique des maladies mentales (Asile clinique). Le personnel auxiliaire du la
e). Le personnel auxiliaire du laboratoire de clinique des maladies mentales de- la Faculté de médecine de Paris, est consti
faut . , I- toi 11 . H ' " , imi . i 1 , ". ' Esquirol. Maladies mentales , I, p. 80. ' 11 i *" , ' ,l , nl , z 2 J'ai étu
tion de la vue'në s'observe pas dans toutes les formes d'aliénation mentale .' Fréquente et habituelle dans les-folies aiguë
q sujets- aux lialluélnâti'ônsLç'ëst,pôûrr,moi ? uneides affections mentales où elles, sont au .contraire le plus communes,
tions de la vue sont symptomatiques d'un grand nombre de maladies mentales et nerveuses. Mais on' peut les observer égalemen
a été d'une grande effica- cité,-tout Jaavanta- geusement l'état mental . A signaler une contre-indication- formelle à l
- l'action hypnotique du trional et'du : tétronal en< aliénation mentale . Les conclusions sont les suivantes ? sz(slt6s9
dico-psychologiques, déc. 93.). E. BuN. r286 REVUE DE. PATHOLOGIE ? MENTALE . a f -1 i ? 9frhm91 c; `hafar.r Bl lin «^hnniq
u chronique,' y a une diminution '' U ? , REVUE 1 DE 1 PATHOLOGIE MENTALE . i 289 très marquée du nombre. des globules ? d
sinat dont il est inculpe'peut'reconnaître pour cause une déviation mentale liée à'son évolution physiologique et comporter,
tentes variétés de folies lucides;) ? »- - 7 a'3k . Les ! maladies mentales ) formeraient ainsi'trois grands groupes dontil'
z fréquemment observé dans des formes vésaniquesàltype de confusion mentale . G. DE1 ? , - ? n'isf n[f'1h, i-.» ? »> LV
e complexus symp- * tomatique qui pèse sur- l'Intégralité de la vie mentale ;, la déso- rientation et l'allure toute siécial
.,l.il1 iWl η P(i.rll .lt;jl 'q . 9l o' 292 REVUE3DE -PATHOLOGIE -« MENTALE . d'uneimanie simple pure -(18r, accès), |d'une
! p,n.)e.xcjte)'oreilexLerne d'une, autre ' REVUE»-DE -PATHOLOGIE ^ MENTALE . 5293 façon/ par des piqûres'd'aiguilles, chezl
-phoide, affaiblissement notable et illusion delà mémoire; troubles mentaux divers ; pas d'hallucinations, pas d'idées déli
a.ë dés indi- vidus dont les parents étaient atteints de maladies ' mentales ou nerveuses. Tous les cas.de neurasthénie pour
dégénérer en-une maladie men- tale ou nerveuse. Parmi les maladies mentales /c'est le plus souvent la folie' systématisée pr
rvation;, surtout,, recueillie avec beaucoup de REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE ? 297 détails, a suggérera à 1 autëuiv d lntéLV
ERTROPHIE du cuir chevelu ; par GeOfeSfF09' (1/ie Journal ' ? '" of Mental Science, octobre'1893.) ' ? b ? t ? ,,um ni) t'tf
lui, sur ce, sujet dans le numéro de jan- viser 1893 du Journal of Mental Science. u , , ^, , ,-f t, R. M. C. il. ? I 91
LUS jard ; par. G ? M. P., Braine-Hartnell. (TAe ) ./btfm(t<,.0/ Mental 1 Scielzce, juillet 1893.), o1`·L, , ,3J ,-ta n
a été publié par l'auteur il y a un-an environ dans le- Journal of Mental Science. l.,Turilera,ol)sei,vé depuis cette épo
e. , jj.4o,ul , ).. 1 1 ? R.jM.-C] «(-> - . REVUE IDE PATHOLOGIE MENTALE . ' 2911 1-- f I ' . -^ n ? t,nrlyu : é ll,>h
DES GT.7S,, INI·L.lllai.lTOIItES·nLOÇ.IUIh SUR,··LIiS · ,. troubles mentaux ;, par, l : dR'lt1 GOOD.1LL. (TL(' JOLI)'7tCLl O%
la cellulite, en un mot, parait avoir sur la marche des affections mentales une .influence bien autrement marquée'que celle
l'influenza; -par Julien "ulq mALTHAU&(r/t6,JoM ? ' ? ta< of Mental Science,, 'avril .1893.)a<i) rh., il mdoo an
s sujets atteinte étaient ordinairement plus âgés et où l'affection mentale revêtait la 'forme soit dé·la'mélancolie,`sôitd
ndant et trop vigou- " reusement poussé. 'Les premiers, symptômes mentaux ont fait leur apparition onze .j jours après l'
té parfaite, tant au point) de vue physique qu'au point de vue u -À mental . , . .'Kit.fJ -il ro "nU ir.t·, s311r.cm Il. M ?
itaires se sont développées chez' lui parallèlement à l'affec- tion mentale , et les'idées de sexualité. pervertie'leur- ont s
chroniques se développant chez'des dégénérés.'L'a dégénérescence mentale constitue'-non'pas-un vaccin'4 pour le délire t c
Brochure in-8°de 22 pages, New-York, 1893. Journal ot. Nervous and mental diseases. Rechterew (Von M.). Die Leilungs bahn
' * Vol. XXVII. Mai 1894. N° 87 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE mentale SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES'
zec durant trois 1 Observation communiquée à la Société de médecine mentale de Belgique, séance d'avril 1894. Archives, t
elgique, séance d'avril 1894. Archives, t. XXVII. 21 322 CLINIQUE MENTALE . mois d'idées de persécution très actives provo
anquille, réservée et a conscience de la période ; q loi · CLINIQUE MENTALE . f ., ,T>, délirante qu'elle vient de^. trav
? "' : >^»ai ? j · .n )6 ! > - < * 330 1 - 1 " ' CLINIQUE MENTALE .'^ j '·- *&' "Typ intelligente... vous êtes
ons'pas- devoir insister sur le - -'3d4 ' '- 1 1 ' ! j-r' clinique - mentale . '" "' '" * '7"' ? diagnostic de paralysie géné
Dcbovc 1892. j'fil - 1 ' " ? l ' " 1' ." 336 T3 s ? a 3 : CLINIQUE, mentale .^ ,tJ T"· 5% 0 l'articulation des mots (écho, m
e qui semble au sujet , Archives, t. XXVII. 22 - 338 y , CLINIQUE MENTALE . 0 >- ,a ,Lt SIU2 être le siège des mouvemen
e; t; XLIX, p.° lf3-159.' Berlin 1892. 342* · * · > ? ? CLINIQUE MENTALE . "\" Il -' iet, ^ -3 s'agit d'épilepsie"cortica
cérébrale. (Revue de médecine, 1882.) 340 ^ .. < , ...[CLINIQUE MENTALE ? r ? JTt3 - t. - - - .. ? le' r >j.J d5U .1
9 juillet 1893.) " - "' -1 * >'< 4 " * 348 ' ' ' 1 CL 1 NIQUE MENTALE . 1 , "' "<rob table : TarchanoS ? Langl61s'd
o- vembre 1893.) ,}» ..e ? -i % ? > . t - lui ? 3tJ'O CLINIQUE MENTALE .. l'amélioration augmentait; à'deux reprises, u
? »'" 71 ? i'· ·r9 t`· i 'r.TL « Qu'elles ont obéi au commandement mental quircorisiste en ce que leur ayant commandé,' '
te ? no ? 'rA( ! g : Me); par Géôr=é,111.1tônRisôiv.(The Journal of Mental Science, avril et juillet 1893.) ^^"^j ? ^, (J ,'
e, extrait du chapitre Paraiysiegené- raie ».du Traité des Maladies mentales (sous presse) du Dr Dagonet, 1 auteur résume le
omplexes et; multiples , : l'auteur les énu 378 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . mère et discute ''leur valeur.. Les ! unes ! s
le mot d'automatisme ambulatoire ne fût créé, REVUE ! DE PATHOLOGIE MENTALE - 379 M.' Seinelaiglle fait ressortir toute l'i
'urine ne peut être invoquée comme symptôme 380 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . .. tijtd.nf"Ht ? * delà paralysie "énéi,ale
parce qu'on la' trouve dans les différentes. formes de l'aliénation mentale , soit que sa presm nce déendeydé la maladie, ment
e l'aliénation mentale, soit que sa presm nce déendeydé la maladie, mentale elle- m'êmeftoil qu'ellé dépendë dcs perturbâti
dans.la paralysie âénéiale,que dans les autres formes de maladies, mentales , elle fait généralement défaut au'début de l'af
ient, après d'abondantes sueurspuue détente dans les manifestations mentales . [Annales médico-psychologiques] décembre 1893.
ntes ? seljetânt'dans'1'horriblë par 'amour 382 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . de l'horrible ; dans ses moments de calme et d
l'adage / ancien, in oi7zo veritas, s'applique REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 383 ,aux : cerveaux invalides dont l'alcool pe
les biens de toutes personnes soup- çonnées atteintes d'aliénation mentale et par suite menacées d'in- terdictions : Il n'
t introduire dans les examens en question la matière de la médecine mentale ; 2° l'ad- ministration centrale doit s'adjoind
y a, chezun, certain, nombre, de malades contradiction entre l'état mental et la manière d'être de la mbtililô ? Oif voit
: .rifr i T.'Yl .rlei-i'r1 : 11- De l'enseignement DE'LA médecine ^ mentale en BEr;çAei : ; ,pay le "'D^X.' FnANCoTTE"(BMMe
s et il attribue cette indifférence à ce que l'étude des maladies ' mentales ne fait pas partie du pro- gramme des examens.
' to-uLes'les ? dsitibiis "6t f des ? connais- n sances en médecine mentale sont particulièrement indispensables. ' , .3 '.
- ? ff j A part quelques rares pays, l'enseignement des maladies mentales laisse beaucoup à désirer. Il serait nécessaire,
a thèse, l'assiduité duement constatée à la clinique des maladies mentales , durant au moins un mois. Les jeunes médecins a
de la sorte au moins quelques notions élémentaires sur l'aliénation mentale , et ils seraient plus aptes à faire les rapport
fiée, les réflexes rotuliens persistent toujours. *.J"n Le trouble mental , pour le moment, paraît fixé ? «* On veut l'emp
408 .'r'r ? ;-3. CLINIQUE NERVEUSE. viîâilàa ^ICYOA^W q -Le trouble mental ne s'est pas modifié, seulement les..crises.soiit
sur les tempes. ? ilp;.fr 1 1 4-" , 8, ' 1 , , wtv Au' point de vue mental , le délire qui un moment paraissait vou-J loir
, l'autre parais- sent avoir été indemnes.de toute tare nerveuse ou mentale . .bUU.m uC...nr ii r.n ,JU ? n m.. , yv ,- vu a
tance représentée par une bobine avec fais- 446 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . - ceau central de fer doux, d'un réducteur de
jusqu'ici : ,i- 'W't *t ? ' P ' 1 ? 1 i''i'" ' REVUE DE pathologie mentale . 447 le commencement de l'anthropologie crimine
4° barbe naissante ou développée; 25° teint 448 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . pâle ; 26° et 27° rachitisme aux articulations
yphilitiques il y avait 14 cas de blépharoplose. - - Quant à l'état mental , la mélancolie et la démence paraissent apparte
chronique; - 3° Observa- tion, de catatomie- alte2,ne ;- confusion; mentale , secondaire, avec alternative de stupidité et ;
dix ans. Ils se répartissent ainsi, selon'la' forme de l'aliénation mentale , ' ' * ? "'"' ? t " 1 1 "1 'Ti) -1 ? SF qtti.fi
e, personnelle.. Sur2,200 malades atteints de maladies nerveuses ou mentales , nous avons trente-deux fois établi le diagnost
ntes formes de l'Idiotie. On sait que par ce mot on désigne un état mental , physique et moral, conséquence, non- pas d'une
; Prix Lacazë (Phÿsiologie,` 1881); ? prix de' physiologie expéri- mentale ;'1857; = professeur'de médecine au Collège de Fra
(Etats-Unis) : chargé du cours"de pathologie comparée et, expéri- mentale à la Faculté de Médecine de Paris (de 1869 à 1872
es' diverses r formes des affections paralytiques, convulsives' et' mentales (en'angtais) ? 1861; Recherches sur l'arrêt sou
nc é`pââlytique; ? =`5 cas d'idiotie; enfin, différentes ma- ladies mentales périddi4àes ? 9, , " 1't k 1 '' ' tu 1 La morta
lemands comme la seule en rapport avec la nature même* des maladies mentales en question ainsi qu'on peut le voir en lisant
du' reste' dans le journal d'Elberfeld il prétend que les maladies mentales ont poui\siège,'n6nI]cerveau'Rt le système nerv
dvc-D`;(2 ? cônférence,rp : 11 'dù'Vapport) : c La^cause du troublé mental provient,* 3 ÏnL au deux "accidents anormaux (p
ion à l'étude de la maladie de -, par Angio- lella, 146; troubles mentaux dans la maladie de -, par Hirschl, 149. BLE
de , - 314. i - , . t 4 ? l 10 CHLORALOSE, le dans les maladies mentales ,par Hossi,226.f ? CHRISTINE, de-Suède, par Sarb
gt;Ea . ! rT..t' "3 s ? K",v 4yi ? i il, ,-» ? '"q» ? fi'. Maladies mentales , classification-,^ des'^', par lirnbius, 39; n
maladies nerveuses, par 1 - Massy,.462 ? r",....A ? rTO Médecine mentale en Belgique, par ? ' · Francotte, 398. , lu^rr'
et de West- phalie, par Keraval, 456 ; congrès de la de médecine mentale de Belgique, 75; des aliénistes allemands, pa
39 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Y. ARCHIVES DE " NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIEE SOUS LA DIRKCTION DE J.-M. CHARCOT
ÉRAPEUTIQUE DE L'EMPLOI DE L'ACËTDPHÉNONE (HYPNOSE) EN ALIÉNATION MENTALE ; Par MM. A. MAIRET et COMBEMALE. L'acétophéno
gie, séance du 26 novembre 1885). de l'acétophénone EN aliénation mentale . 3 des sens. -Pour produire le sommeil chez les
iénés agités et atteints d'insomnie, mais la nature de l'aliénation mentale était différente et à ce point de vue, les mala
embre 1885) de 30 à 45 centigrammes de l'acétophénone EN aliénation mentale . 11 d'acétophénone, en tout 1 gr. 50; consécuti
t produit sur le système muscu- DE L'ACBTOPI31 : NONE EN ALIÉNATION MENTALE . 15 5 laire et sur l'activité cérébrale ni le j
on musculaire a été moindre que dans les autres formes d'aliénation mentale . Démence par athéromasie. Observation XXII. M
nte cas), et cela peu importe la forme revêtue par l'alié- nation mentale , peu importe la nature fonctionnelle ou organiq
des doses plus élevées, chez des malades présentant une aliénation mentale de même nature, c'est-à-dire par alcoolisme (Ca
le dit la malade, des douleurs d'es- tomac, nous ne savons, l'état mental du sujet ne nous permet pas d'élucider complète
e M. Dujardin-Beaumetz dit avoir procuré e sommeil. En aliénation mentale donc, malgré l'espoir que pouvait faire naître
ence, d'où le nom d'hypnone qu'ils lui avaient donné, en aliénation mentale , disons-nous, les faits démontrent que l'acétop
faits dont ils sont accusés; au médecin chargé d'examiner leur état mental ils persis- tent à ne rien avouer. Cette ténaci
aladie comme forme mor- bide spéciale, et la rattachant à des états mentaux essentiellement différents. Les aliénés qui c
s loin montreront au contraire chez nos pyromanes des défectuosités mentales nombreuses, mais ces défectuosités mentales ne
manes des défectuosités mentales nombreuses, mais ces défectuosités mentales ne constituaient pas par elles-mêmes une espèce
raison, je le crois, en est surtout dans l'imitation. Les maladies mentales ne sont pas à ce point des espèces déterminées
criminels les plus endurcis, mais s'il est une variété d'aliénation mentale dans laquelle la préméditation et la ruse se do
position reste absolument latente jusqu'à l'éclosion de l'affection mentale , ceux qui, tout en étant bien doués à certains
servent d'éti- quette. D'un autre côté, l'étude des dégénérescences mentales étant partout à l'ordre du jour, et se rapporta
s ; qu'il y ait avec le délire coïnci- l dence ou absence d'un fond mental faible, présence ou absence d'un état psychoneu
a's paranoi.ra, il a décrit certains états secondaires d'exaltation mentale avec conceptions déli- rantes fixes et sentimen
s trouvons une autre forme Wahnsinn (p. 357), état d'exalta- tion mentale avec conceptions délirantes fixes de nature ambi-
e der St6rt : ngen des Seelenlebens, 1818. 2 Esquirol. Des maladies mentales ... T. II, 1838. a Griesinger. Traité des maladi
maladies mentales... T. II, 1838. a Griesinger. Traité des maladies mentales . Traduction française de Doumic, 1865. « Elli
dées de persécution, puis de grandeur. Dans soc Traité des maladies mentales (1860), il adopte le mot de folie systématisée,
ssant sur un fond d'affaiblissement, ou plutôt de déséquih- bration mentale . Le même auteur décrit aussi la fusion des deux
1852, t. 1, p. 163 à 106 et 363 à 367. à Morel. Traité des maladies mentales , I S60 . Archives, t. XIII. 5 66 REVUE CRITIQ
quelquefois cependantelles débutent brusquement par de l'excitation mentale . Le pronostic est mau- vais, cependant on n'obs
la Paranoïa. Il place la forme primitive parmi les dégénérescences mentales : pour lui, c'est une forme morbide qui ne peut
tive, tout en étant classées à côté d'elle dans les dégénérescences mentales . Quant à la Paranoia secondaire, l'auteur la re
nce, ainsi dans les maladies qui nous occupent, les représentations mentales doivent être le résultat définitif des activité
883) distingue : 1° la Primâre herrüclcllzeit sans état de débilité mental et comprenant le délire des persécu- tions, le
s formes du délire chronique dans le cadre nosologique des maladies mentales ; aussi était-il tout d'abord nécessaire de rap
ssayer de résumer. Du délire chronique.-111. P. Gan,cn. En clinique mentale , comme en pathologie ordinaire, il existe des m
oubles de l'esprit, on en voit d'autres chez les- quels l'affection mentale ne se développe qu'après une incubation prolong
ésident au développement de la folie en général, ou d'une ma- ladie mentale en particulier. En vertu de quelle disposition, v
de langage. Tout médecin familiarisé avec l'étude de la pathologie mentale ne saurait se méprendre sur la véritable valeur
ont disposés à accorder, dans le développement de la dégénérescence mentale une part prépondérante au côté individuel, c'es
qu'offre le support. En résumé, bien que, en fait de dégénérescence mentale , on doive accorder une place importante aux con
res généraux essentiels, tous ces êtres frappés de déséquilibration mentale dans un vaste groupe sous le nom de dégénères h
où l'échafaudage délirant s'écroule et où tout dénonce la déchéance mentale , la démence irrémédiable. Aujourd'hui que cette
at de manifestation bruyante. Chez les intermittents, l'instabilité mentale originelle, la dés- harmonie morale est moins é
fillesqui, avant leur mariage, avaient été atteintes d'alié- nation mentale , seraient restées absolument indemnes de toute
agen prétend que sur 22 hommes céliba- taires atteints d'aliénation mentale qui se marièrent plus tard, 19 demeurèrent sain
au aucune espèce de trace de sphère visuelle; il conserve la vision mentale . La résection du lobe frontal des deux côtés, e
un état d'incons- « cience ou de trouble pathologique de l'activité mentale « qui excluait son libre arbitre. » Étude de
s, appuyé sur la statistique, je réfutais l'idée que les mala- dies mentales commençaient par un stade initial mélanco- liqu
rganisée. La folie, systématique peut aussi verser dans la débilité mentale ou provenir de la débilité mentale. Dans le premi
ut aussi verser dans la débilité mentale ou provenir de la débilité mentale . Dans le premier cas, il s'agit d'une folie sys
sthésies de diverses étendues, de même dans la plupart des maladies mentales chroniques s'ins- talle un affaiblissement psyc
crimes de cette nature, l'auteur ne se soit pas préoccupé de l'état mental des violateurs et de leurs victimes ; s'il l'eût
e; apprécier l'influence de la thérapeutique et du temps sur l'état mental ; affirmer la guérison et fixer l'heure de la dé
, Cet. article voté et le principe de la contribution du départe- mentaux dépenses des aliénés indigents admis pour une. an
e, au sujet des exper- tises médico-légales en matière d'aliénation mentale . Ici encore ce n'est pas à proprement parler un
lle une répression pénale, ayant des doutes sur l'état SÉNAT. 151 mental du militaire qui l'a commis, le font conduire à l
. Tenez ! on vous dit tous les jours que le traitement des maladies mentales par certains moyens empiriques très ingénieux d
.) David, voyant son roi Saul en proie à une véritable aliénation mentale , eut-il recours purement et simplement aux prière
ce jour-là, sans parler des précédents, le traitement des maladies mentales se trouvait, en définitive, éclairé par une expér
as rompus aux difficultés de cette science si délicate des maladies mentales et étaient tout à fait insuffisants. J'ai eu l'
octobre 1886 : M. le Dr Pichon, chef de la cli- nique des maladies mentales de la Faculté de Paris, est nommé médecin adjoi
ile de Bron, est nommé pour deux ans, chef de clinique des maladies mentales à la Faculté mixte de médecine et de pharmacie
tt fut nommé professeur de physiologie et des maladies nerveuses et mentales . Le Dr Catlett était très connu et sa mort est
études furent publiées dans le Journal des maladies nerveuses et mentales de New-York. (The Journal ofnervous and mental di
adies nerveuses et mentales de New-York. (The Journal ofnervous and mental diseuses, n°' 9 et f 0, 1886.) LE nouvel asil
rand nombre seraient mis en mesure de bien connaître les maladies mentales ; 3° il y aurait moins de dépenses pour le départe
de rêves de mots entendus, et par celle du défaut de représentation mentale volontaire de ces mêmes mots : Bien que l'état
e groupe de surdités verbales, que j'appellerai surdités verbales mentales , les faits caractérisés par la répétition des m
après avoir été prononcée par l'individu atteint de surdité verbale mentale , ou bien elle ne sera pas comprise du tout. D
EVUE CRITIQUE LA PARANOÏA DÉLIRES SYSTÉMATISÉS ET DÉGÉNÉRESCENCES MENTALES Historique et critique; Par J. SÉGLAS, médeci
colie. La verrûckteit affecte un rapport semblable avec la débilité mentale . Tels sont ces cas de folie systématisée partie
ue la Paranoia ne peut se développer que sur un fonds de débilité mentale , parce que les troubles sensoriels peuvent être i
l; aussi la classe- t-il dans le groupe des états d'affaiblissement mental , qui sont presque toujours héréditaires et cons
tion, et les délires émotifs dépendant de l'exaltation de la sphère mentale par un trouble émotif violent. 1 Buknill et T
de Krafft-Ebing. Ces délires sont pour lui l'expression d'un état mental faible par leur étiologie, leur marche continue
te, etc. D'ailleurs, l'exercice physiologique complet des fonctions mentales ne se juge pas seulement par la persis- tance d
as guérissent, quelquefois il en résulte un certain affaiblissement mental . n° Il n'y a dans les formes psychoneurotiques
mes chroniques psychoneurotiques est en con- tradiction avec la vie mentale antérieure du sujet, tandis qu'il n'en est pas
resthésie psychique et sensitive (émotivité mor- bide), de débilité mentale (rire à haute voix sans raison), de lalopathie
prît à marcher. En ce qui concerne la cause anatomique, la débilité mentale émane probablement d'une lésion diffuse de l'éc
alification de chronique s'applique très heureusement à cette forme mentale , mais il faudrait bien se garder de con- fondre
ologique et une véritable entité morbide dans le cadre des maladies mentales . La description et l'évolution en sont nettemen
ou même d'aménoorrhie. De la valeur des hémorrhoides en aliénation mentale . - M. Char- PENTIER, sur 338 aliénés qu'il a ob
nstitution- nelles réunies soit à des névroses, soit à l'aliénation mentale ; 59 fois il les a rencontrées sans névroses ni
n mentale; 59 fois il les a rencontrées sans névroses ni aliénation mentale et 53 fois seulement, il a trouvé l'aliénation
i aliénation mentale et 53 fois seulement, il a trouvé l'aliénation mentale sans maladies constitutionnelles. M. Charpentie
nstitutionnels asso- ciés à l'aliénation qui est une dégénérescence mentale . M. B. Séance du 27 décembre 1886. Présidence d
le, d'après ce que nous avons vu, d'appliquer ces données expéri- mentales au traitement de certains cas de paralysie hystér
de voir englober dans le délire chronique une forme d'aliénation mentale à laquelle il accorde, à juste titre, une existen
ire chronique n'est pas ce qu'elle est dans certaines autres formes mentales ; elle est loin d'être aussi accusée que les dém
faisant trans- férer dans un asile public les prévenus dont l'état mental néces- sitait un examen pouvant être prolongé p
os- téro-supérieure du frontal, mais peu de chose au point de vue mental ; il est un peu autre qu'auparavant, moins actif
e le tribunal ait entendu un ou plu- sieurs spécialistes sur l'état mental ...», tandisque le § 368 du Code civil laisse au
propose d'établir le nombre des aliénés, les causes de l'aliénation mentale en général, et, si possible, les formebdespsych
internationale, quand ce ne serait que pour savoir si l'aliénation mentale s'accroît, la question des rapports entre le cr
és ; ils sont exclusivement consacrés au traitement de l'aliénation mentale . . Les aliénés réputés incurables, les épilepti
blissant que ces asiles « sont exclusivement consacrés aux maladies mentales ». Pourquoi, messieurs, le projet du Gouverneme
es de malheureux qui sont admis' comme aliénés, parce que leur état mental les rend plus ou moins impropres à la vie socia
lissements spéciaux seront consacrés « exclusive- ment aux maladies mentales », le Gouvernement s'était servi d'un terme bea
le Gouvernement l'a admis, de substituer à l'expression de maladies mentales l'expression plus précise d'alié- nation mental
ssion de maladies mentales l'expression plus précise d'alié- nation mentale . Je passe au paragraphe 2, dont les disposition
e public est exclusivement consacré au trai- tement de l'aliénation mentale , la loi nouvelle édicterait une prescription en
ue les asiles doivent être réservés au traitement de l'alié- nation mentale . On est bien obligé, en présence des circonstance
il y a un grand nombre d'individus qui sont affectés de maladies mentales qui ne sont pas l'aliénation, d'infirmités mental
tés de maladies mentales qui ne sont pas l'aliénation, d'infirmités mentales ou d'arrêt de développement des facultés mental
ion, d'infirmités mentales ou d'arrêt de développement des facultés mentales . Ces individus en- combrent les asiles; ils son
sont pas, à proprement parler, des ma- lades atteints d'aliénation mentale , il me semble qu'ils peuvent être placés dans l
sements sont exclusivement consacrés au traitement de 'l'aliénation mentale û. Et'd'abord, dans le projet du Gouvernement;'
et privés soient exclusivement consacrés à la guérison des maladies mentales , vous arrivez à une impossibilité ; vous réduis
existants et ceux qui peuvent se fonder, au traitement des maladies mentales seules. 11 faut laisser la porte de la charité
liénés doivent servir à traiter ceux qui sont atteints d'aliénation mentale ; on reconnaît également que, malheureusement, i
e des plus considérables. Ou il ne faut rien faire sur l'aliénation mentale , ou il faut faire tout ce qui est nécessaire po
s : « Ils sont exclusivement réservés au traitement de l'aliénation mentale ». M. le Président. Je mets aux voix le premier
: «Ils sont exclusivement consacrés au traite- ment de l'aliénation mentale », et j'en donne une nouvelle lec- ture : Art.
... Ils sont exclusivement consacrés au traitement de l'aliénation mentale ». (Cette seconde partie, mise aux voix, est ad
ladies ne pourront recevoir les personnes atteintes d'aliénation mentale , à moins qu'elles ne soient placées dans un local
'un pupille qui serait, au cours de la tutelle, frappé d'aliénation mentale , prenne sur lui de le soigner dans son domicile
que j'aie un vieux domestique et qu'il soit atteint d'aliéna- tion mentale ; je le soigne chez moi avec les plus grands soin
verbale. XIII. Un cas de suppression brusque et isolée de la vision mentale des. signes et des objets (formes et couleurs).
llée; mais ce sont surtout les questions relatives à l'alié- nation mentale , aux névroses et aux maladies simulées qui se t
conditions favorables au (lévelop- pement des maladies nerveuses et mentales en Russie et des mesures à prendre pour en dimi
s : l'augmentation rapide' et continuelle des maladies nerveuses et mentales en Russie tient principale- ment à trois causes
tablissemenfs d'aliénés sur la diminution des maladies nerveuses et mentales . A la séance suivante (le 6 janvier) M. le D''
exandre III, méd.-dir. : M. Niki- foroff ; 5° Clinique des maladies mentales de l'Académie médico-chirurgicale militaire, mé
ablissement ne portait pas la marque de la nouvelle théra- peutique mentale . Mais grâce déjà aux quelques améliorations san
: Il n'y a pas lieu d'arrêter que, d'une façon absolue les maladies mentales seront un motif de divorce, mais bien conformém
midi, la,Faculté de droit de Paris, un cours libre sur les maladies mentales au point de vue de la responsabilité et de la c
observées chez 'ce malade. ARCIIIVES, t. XIII. 23 354 clinique mentale . CAS DE MÉLANCOLIE AVEC STUPEUR. 355 trouvâme
e sous l'influence d'une médication éthérée. Amélioration de l'état mental coïncidant avec la marche de la tuberculose pul
u- Baillarner. Annales médico-psychologiques, 1S 13. 356 CLINIQUE MENTALE . tions splaéuo-occiilales. (Cette observation a
a toujours pas eu d'accès épileptiques. Pas de violences. Même état mental Même attitude. Trem- blement assez prononcé de
ttences cardiaques et oedème des membres inférieurs. 358 CLINIQUE MENTALE , 29 Janvier. On supprime les injections d'éther
musculaire est la même. Mais le visage a un peu chan- 360 CLINIQUE MENTALE . gé d'aspect. Il est légèrement coloré, les pau
mais il emploie toujours des mots grossiers. Août. L'amélioration mentale que l'on constata en juin s'est maintenue. Le m
enue. Le malade répond de temps en temps aux questions 362 CLINIQUE MENTALE . qu'on lui pose. Mange le plus souvent tout seu
che. Rudesse aux deux sommets. Fièvre vespérine. 25 Octobre. Etat mental le même. Répond aux ques- tions qu'on lui pose.
ient et qui avaient été posés là depuis sa maladie : 36'(- CLINIQUE MENTALE . L'amélioration mentale du sujet, coïncidant av
sés là depuis sa maladie : 36'(- CLINIQUE MENTALE. L'amélioration mentale du sujet, coïncidant avec l'ag- gravation des s
es der- nières lésions ont dû jouer un certain rôle dans la forme mentale dela maladie decet individu maisrious ne pouvon
lé pouvant stimuler une véritable aphémie. 4° La surdité verbale mentale (avec défaut complet d'intelligence des mots),
pète (Echolalie sans intelligence des mots) 5° La surdité verbale mentale {avec intelligence des mots consécutive à leur
respondants, (La lésion du trajet mp IV entraîne la surdité verbale mentale .) Par la rie mp M les images orales sont mises
lésion coexiste avec celle du trajet mp IV, il y a surdité verbale mentale avec défaut complet d'intelligence des mots , qua
uand la lésion du trajet mp IV existe seule, il y a surdité verbale mentale , avec intelligence Ces mots consécutive à leur
faudrait pas en conclure que la Paranoia soit une forme de débilité mentale . C'est simplement, comme l'ont déjà dit Amadei,
se en évidence que par le délire systématisé qui surgit sur le fond mental et en est l'exagération ; et cependant elle est
ne sont-ce pas là des signes suffisants d'un état de dégénérescence mentale ? Morselli3 (1886) rapporte un exemple de Paran
xposé de la place qu'occupent dans sa classifica- tion des maladies mentales les différentes formes de Paranoïa3. A propreme
peuvent se diviser en quatre degrés suivant le niveau de leur état mental : 1° l'idiotie; 20 l'imbécillité; 3° la débilité
e leur état mental : 1° l'idiotie; 20 l'imbécillité; 3° la débilité mentale ; 4° les dégénérés supérieurs. Or, l'état mental
té; 3° la débilité mentale; 4° les dégénérés supérieurs. Or, l'état mental de ces derniers, par les anomalies du caractère
logue à celle des délires des dégénérés à évolution chronique (état mental particulier, début insidieux et progressif du d
isé. Cette pé- riode de démence est plutôt une période de confusion mentale . A l'inverse des auteurs que nous avons passés
mi les observa- tions qu'il rapporte des exemples de dégénérescence mentale . Un autre élève de M. Magnan, M. Legrain', décl
s formes de délire que l'on rencontre chez les dégénérés, leur état mental , les syndromes épisodiques, les délires d'emblée
ns un travail antérieur de M. Saury 3 qui avait étudié aussi l'état mental des dégénérés, les syndromes épiso- diques, mai
e domaine et ne considèrent pas que le terrain de la dégénérescence mentale soit indispensable à la production de la Parano
inclinerions assez volontiers à 1 Hégis. jMaMMc/praf/Me de médecine mentale . Pans, 1885. 1 Bail. Du délire ambitieux. (Encé
XIII, p. 80. 2 Voy. Archives de Neurologie, t. VI, p. 402 et Vision mentale , th. de Cromgneau. Paris, 1884. 4OS REVUE d'a
onsanguin et dispositions névropa- thiques des ascendants. Débilité mentale ; émotivité dés l'enfance, impulsions; plus tard
mois, guéri de son accès délirant mais non de sa déséquilibration mentale . 11 présente une atrophie considérable des test
tritives se sont produites. Observation III. Père ivrogne. Débilité mentale sur laquelle se greffe un accès délirant à évol
à marche chronique dont l'exemple nous soit fourni par la médecine mentale . Il ne constitue pas une loi évo- lutive nouvel
indéfiniment le cadre nosologique des différents groupes de formes mentales . ' Voy. Archives </< Neurologie, année 18
M. JOURNIAC communique l'observation d'un cas de dégénéres- cence mentale chez une jeune fille dont le frère est atteint lu
Voy. Aicliîves de Neurologie, XIII, p. Hj. SOCIÉTÉS SAVANTES. 429 mental avant ou après l'acte. Mention est faite : a. des
un très grand nombre, le plus grand nombre, en proie à la débilité mentale ; et la proportion de ces débiles criminels cro
traitement est extrêmement difficile parce qu'ils sont dans un état mental particulier, qu'ils sont madrés, rusés. Les pro
cette annexe tout criminel soupçonné de simulation ou d'un trouble mental . Il serait au surplus fort intéressant que Dall
tuent des exemples sans précédents dans les fastes de l'aliénation mentale pure. Sans doute il y a des arguments pour ou con
ctation est donc de rigueur. Nulle part, plus que dans l'aliénation mentale le traitement ne s'applique à des individualité
issements actuels d'aliénés en asiles de traitement de l'aliénation mentale et en maisons de refuge, colonies ou autres éta
rents ou des personnes qui en tiennent lieu, si l'état d'aliénation mentale n'est pas constaté par deux médecins désignés,
rsqu'elle a chez elle un de ses membres qui est frappé d'aliénation mentale . Il est facile de faire cette justification, en
que par les hommes qui ont voué leur vie à l'étude de l'aliénation mentale et du sort des aliénés. Que le Sénat me permett
rir une expérience personnelle et directe en matière d'aliéna- tion mentale ? Et puisqu'on a porté à cette tribune la questio
ys, apprend d'abord que l'on ne peut pas appliquer à l'aliénation mentale les raisonnements que M. Roger-Marvaise a apporté
maladies, pour tous les cas, un seul excepté, celui de l'aliénation mentale . C'est une triste exception, mais elle impose à
parents qui les soignent, l'effet le plus ordinaire de l'aliénation mentale est de tendre à altérer les sentiments naturels d
iroir magique), l'Inquisition (1856), le cumberlaudisme (suggestion mentale ), pour aboutir au braidisme les auteurs arriven
ous les cas qu'il a exa- minés, dans toutes les formes d'aliénation mentale que nous avons énumérées, il a toujours trouvé
Colombier-le-Vieux (Ardèche). Un nommé Vercasson, dont les facultés mentales étaient dérangées depuis deux ans, a tué d'un c
BLE DES MATIÈRES Acétophénone (De l'emploi de l') - en aliénation mentale , par lltairet et Combemalle, 1. Aliénation me
en aliénation mentale, par lltairet et Combemalle, 1. Aliénation mentale et mariage, par Schuele, 96 ; et divor- ce, p
par Poutoppidau, 233. Hémorrhoïdes (valeur des -) en aliénation mentale , par Char- pentier, 244. Hospices de Bicêtre
)3 ? 2.'j8 I 439. TABLE DES MATIERES. 471 Mandée- et aliénation mentale , par Schulle, 96. ' Médecin expert et exclusi
40 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
E1'. ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-M. CHARCOT
. 3, Fond de la. scissure précentrale. 4, Lentille. 22 CLINIQUE MENTALE . 5, Avant-mur. F, S, Ligne fornicato-sylvienn
ues. 7'. c, Ti,igone cérébral. V. m, Ventricule moyen. CLINIQUE MENTALE 1NCURABILITÉ ET GUÉRISONS TARDIVES EN ALIÉNATIO
CLINIQUE MENTALE 1NCURABILITÉ ET GUÉRISONS TARDIVES EN ALIÉNATION MENTALE ; Par le D' E. AIARANDON DE MONTYEL, Directeur
isons tardives et du pronostic de l'incurabilité en DE L'ALIÉNATION MENTALE . 23 matière de folie. La discussion qui va s'ou
considérer successivement : la pré- disposition, le délire, l'état mental après guérison tar- dive ; et de leur demander,
tat absolument normal. La prédisposition, en effet, - 2 se CLINIQUE MENTALE . loin de s'épuiser en fomentant des désordres,
miner ? Pour M. Luys, dans l'immense majorité des cas, les maladies mentales , une fois déclarées, consti- tuent dans leur év
ère. Oui, dans l'immense majorité des cas, l'évolution des maladies mentales est fatale, surtout quand l'hérédité est en jeu
ous serons peut-être plus heureux avec le délire. DE L'ALIÉNATION MENTALE . 25 De toutes les formes vésaniques, seule la d
s les services publics de ces vieuxmalades, aliénés de- 26 CLINIQUE MENTALE . puis vingt ou vingt-cinq ans et frappés de des
n accès de manie. Tout semble indiquer une destruc- DE L'ALIÉNATION MENTALE . 27 tion réelle des facultés; on se croirait en
principe, quand il s'agit d'une loi comme le divorce. 28 CLINIQUE MENTALE . Seuls, les signes perçus par raisonnement font
le der- nier point qui me reste à résoudre par l'étude de l'état mental après guérison tardive. La réalité des guérison
. Luys croit les guérisons tardives plus apparentes DE L'ALIÉNATION MENTALE . 29 que réelles; il ne paraît pas reconnaître à
e l'intelligence, ni la même fraîcheur de sentiments. 30 CLINIQUE MENTALE . J'ai passé en revue la prédisposition, le déli
MENTALE. J'ai passé en revue la prédisposition, le délire, l'état mental après guérison tardive et, nulle part, je n'ai
enir pour les quatre autres des renseignements précis sur leur état mental après la sortie. Ces malades, il est vrai, n'on
c'est là, à mon avis, une preuve de nulle valeur. DE L'ALIÉNATION MENTALE . 31 Observation I. Neuf ans de séjour à l'asile
vre au dehors. » Ce certificat permet d'apprécier exactement l'état mental de Brug... sept ans et demi après l'admission d
assure qu'il n'y a pas d'antécédents héréditaires. DE L'ALIÉNATION MENTALE . 33 A l'entrée, ce malade refuse de répondre ;
ation s'était de plus en plus accentuée ; enfin, en juillet, l'état mental est tel qu'il est question de tenter une sortie
'asile, on a souvent l'occasion de le voir et de constater son état mental . Observation III. Sept ans et demi de séjour à
que la famille attribueàdes Archives, t. VIII. 3 34 liez CLINIQUE MENTALE . chagrins domestiques. L'agitation surviendrait
tes les qualités qui font une gouvernante modèle. DE L'ALIÉNATION MENTALE . 35 Observation IV. Sept ans de séjour à [asile
pparurent de nouveau pour faire place, en février, aune 36 CLINIQUE MENTALE . DE L'ALIÉNATION MENTALE. amélioration qui prog
faire place, en février, aune 36 CLINIQUE MENTALE. DE L'ALIÉNATION MENTALE . amélioration qui progressa à ce point qu'en se
er- tificat suivant était rédigé : «Cla... présente dans son état mental une sérieuse amélioration qui se soutient depuis
nt des plus difficiles qui n'influa d'ailleurs en rien sur son état mental . Le début des accidents est en effet de beaucou
i puissant, puisqu'elle ne peut guérir. A quelle forme d'aliénation mentale doit-on rattacher cette observation ? Il nous s
n ner- veuse particulière, depuis ceux qui, par leur constitution mentale , paraissent absolument subordonnés à la volonté
ns ou gestes de ceux qui les entourent, tout en jouissant d'un état mental parfaitement régulier, dans l'intervalle de ces
un spectateur, est parfaitement conscient de son état d'abaissement mental et souffre beaucoup de sa dégradation d'esprit.
était involontaire et était la conséquence de la violente confusion mentale produite par un réveil subit, succédant à un pr
ne solution de pepsine chlorhydrique, on voit la substance fonda- mentale se digérer complètement, ce qui n'a pas lieu quan
hiques). Ci-jointes des photographies. T. Kahn. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1. Sur la disposition des fibres nerveuses r\ m
, rle Neurolo ! /re, t. Vlf, p. 3 : i5 ;1 3fi9. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 91 Le caractère essentiel et primitif de la ma
sortir des asiles les aliénés qui ont commis 92 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . un crime ou un délit. Ceux-ci seraient, en out
ordre dans les idées, la surdi-mutité, des hal- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 93 lucinations sensorielles. Les conditions da
s transferts, des renvois : détails suivant les formes d'aliénation mentale , les sexes, les religions, les classes sociales
trop bien fondée de n'en avoir aucune, il 94 le REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . existe un terme moyen. C'est ce terme moyen do
s conceptions psychiques, témoi- gnant d'un profond affaiblissement mental : la niaiserie dans l'exécution du larcin est p
rchnoïdienue. (France méd., 1882; t. 11.) G. D. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 95 XL CON TR1RU l'IOV V LV CVsUIslTQUE DE LV I
cuse, on doit rechercher très exactement 9(> REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . les motifs de cette déclaration, car il n'est
mander si l'auto-accusa- tion n'est pas un symptôme de perturbation mentale . Dans le cas en question, on ne trouvait aucun
ire des actes, de la stupidité, du gâtisme, et, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 97 dans les cinq derniers jours, du sopor avec
ie et de Archives, t. VIII. 7 98 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. l'étal mental de l'inculpé, l'examen médical actuel démontrent
nt de tous les appareils, d'où le parfait état de santé physique et mental . Les maladies auxquelles convient la faradisati
culier les membres de sa famille qui sont dans un état d'aliénation mentale , de les soigner et même de les y séquestrer, lo
itulé : Du délire hypochondriaque dans quelques formes d'aliénation mentale . Prix Aubanel. - M. Garnier lit ensuite son rap
signes ou desindices qui permettent de reconnaître qu'une maladie mentale est héréditaire, en l'absence de notion sur les a
ui leur sont consacrés. Organisation de l'enseignement des maladies mentales et ner- veii%es; par BILLOD, médecin en chef, d
t d'étudier en Italie l'organisation de l'enseignement des maladies mentales et nerveuses, M. Billod reproduit, sous forme d
stratif, puismédical, en insistant sur l'enseignement delà médecine mentale . En opposition avec un précédent voyage qu'il a
t et une universités italiennes, neuf ont de- chaires de pathologie mentale , sept des cours libres. Les professeurs sont di-
auteurs qui, primitivement, ont traité la question de l'aliénation mentale . En lisant les classifications établies par cha
oinaux», de «maniaques», dissimulent mal la véritable aliéna- tion mentale . Qu'une douleur profonde, qu'une perturbation v
il a réalisé un progrès consi- dérable dans l'étude de l'aliénation mentale . j Iti- ,1 , lu. REVUE CRITIQUE , ' 1 1 14
a face interne des hémis- ohères. (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XVI. Du RÔLE DE L\ PROSPÉRITÉ ET DE L'ADVERSITE
SITE CONSIDÉRÉES comme causes ce la folie; par Cttru.w. (Journal of mental Science, juillet 188 ? , p. 989.) Il y a quel
venu confirmer depuis, que l'adversité est favorable à la stabilité mentale ; bien entendu, il tenait également pour vraie l
sans peine qu'un excès de prospérité cesserait REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . '3l)f de jouer à l'égard de l'aliénation, le r
e l'on voit se relever parallèlement la santé somatique et la santé mentale . R. M. C. XVII. Paralysie et aphasie congénital
idiot ; atrophie des circonvolutions; par James SffAW. (Journal of mental Science, juillet 1882, p. 210.) Il s'agit d'u
e de la paralysie générale; par Joseph 1'I- CLESWOIITU. (Journal of mental Science, janvier 1883, p. 41;i.) Le point princ
développement de la névroglie (cellules et -02 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . fibres tout a la fois) ; en effet, il n'a renc
s de la même substance chez des sujets atteints d'autres affections mentales variées, l'auteur s'est assuré que l'hyperplasie
s; vingt- deux observations ; par C.-M. C.1'JiPItFf.L. -(Journal of mental Science, juillet 1882, p. 212.) Une petite ép
d'étudier l'influence de cette maladie sur lamarche de l'aliénation mentale . Lebâtiment affecté aux femmes a seul été attei
s qui atteignaient des aliénés, il n'varu qu'un REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 303 ras de mort, par péritonite au vingtième j
u point de vue de l'influence de la fièvre typhoïde sur l'affection mentale , a donné les résultats suivants : 10 La march
a donné les résultats suivants : 10 La marche de la convalescence mentale n'a reçu, chez les deux malades atteints, aucun
u, jusqu'à l'apparition de la fièvre, aucune amélioration de l'état mental , l'amélioration a commencé pendant le cours del
d'eux, où le pronostic était devenu très défavo- rable, la guérison mentale a commencé pendant la fièvre ty- plioide ; 5"
le a commencé pendant la fièvre ty- plioide ; 5" Une amélioration mentale très nette a été observée dans deux cas; une am
nostic était soit désespéré, soit au moins très défavorable, l'état mental n'a été aucunement influencé par la maladie int
ait amené à penser que la fièvre typhoïde exerce sur les affections mentales une influence favorable, sans toutefois que l'o
ce. , R. M. C. XXI. DE l'occupation dans le traitement des maladies mentales dans les classes supérieures ; par David Bower.
ontré que peu de résistance chez ses peu- 30t e REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . sionnaires; encore les malades, les plus réfra
')plusièurs" reprisés,' accidents pulmonaires à REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 205 forme congestive, avec température élevée;
Ason entrée on noiiiote aucune, paralysie motrice; au point de vue mental , il est irritable, excitable, déraisonnable, inco
\TIVEllE\T.1 L1 PEINE CAPITALE ; par W. Henry Kesteven. (Journal of mental Science, juillet )88 ? p. 1 17.) L'état parti
nt insensibles à ces .fines vibrations subsidiaires des pro- cessus mentaux qui,se retrouvent au fond de toute pensée, de t
ntaux qui,se retrouvent au fond de toute pensée, de toute opération mentale .. Agissent-ils mal, c'est qu'ils n'ont au- REVU
tale.. Agissent-ils mal, c'est qu'ils n'ont au- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 07 cune conscience de ces stimulations plus do
surtout la portion du tissu nerveux qui est affectée aux opérations mentales , le danger est éventuel, mais réel; en effet, t
moelle,' bien que des coupes prises dans- ces- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 209 régions aient subi l'action de l'alcool pe
enou D\NS L pahvlysië générale; par W. Ju- uus IIlC6LE. (Journal of mental Science, octobre ,1882, p. 343.) . a L'auteur
i/,Ii;111 cir ^J.*l . -j.,1" 71 tj uli ? f^ vv.vN. ( The Journal of mental Science, janvier 1884, p.S30.j ? - r`' ,19 91w^
NCÜEUEVT·DE3 LSIPfIR ETiDE PUS; par. J.,MANLEY..(T«e nf Journal, of mental Science, janvier 4884,up.,tïl9,)i ? tiq,rY9liu :
e ; y rrm·rlrr .7tn,nrrmn., ;.rn atr·r·.r 214 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE , * 1 quide mêlé de pus. Le tissu cérébral,ét
ise de mélancolie; il y eut une 3< : <} : revue DE pathologie mentales améliorationnappréciable;puisi une rechutai ave
dépression diminue; ni ai.41]asstil p eiireloq REVUES DE PATHOLOGIE MENTALE .' 2'iff. la t5.eiturnitt : ;subsistent.Iiâaoir,
plusieursifois, dans salami d'abord;'puis3molonlaire;slesusymptûmes mentaux ! diminuent ,1 maispl'étàt catateptiquopersist.
rt, outre l'absence des signes ordinaires.propres à divers troubles mentaux , la'présence de deux formes de délire qui ne se
ellement - ! W , ' L 'i 1 1 I J JJTI . i J ? ...r ? une. maladie, mentale ; qui sera charge, de- faire la déclaration,. a
sent les accès d'asthme sans qu'il y ait de rechute au point de vue mental . Dans le courant de septembre1) le taux de la s
r. On l'arrête, sans qu'il vienne à l'idée de personne que son état mental puisse offrir des doutes. Toutefois on délègue
onséquence, le médecin légiste demande et obtient de scruter l'état mental . Il découvre l'existence d'une mélancolie avec
osition radiaire. M. Grunewald. Communication sur un cas de trouble mental (loti- Une' courte discussion s'engage à ce suj
éréotypé; chez les hallucinés et les érotiques affectés de débilité mentale , il est hésitant; chez l'idiot, le sourire fixe
e générale, de la démence, de l'idiotie.1 En somme, si l'aliénation mentale défi- gure les traits du visage, il eH certain
artée, b.n '. n t 111. K\HL))\UM.SM)' les affections nerveuses et mentales de la jeunesse et, leur traitement pédagogique
IialiILaum comprend la Pédagogie médicale des maladies nerveuses et mentales des jeunes gens. Une première proposition la do
tématiques; la différence qui sépare ces deux genres d'a- liénalion mentale réside dans ce fait que le ].1)éiiiaiiia(luie tro
sort non guéri. Deuxième entrée en septembre de la même année; état mental identique compliqué de formica- lions dans la m
insiste sur l'allernance dans un certain nombre de psr- turhalions mentales (alcooliques, puerpérales, consécutives à la ma
prendre une décision en matière de divorce pour cause d'aliénation mentale . En elfet, la méno- pause s'accompagna, dans l'
ontatiduc presque identique. M. \\'ES-IPIIr, pense que les maladies mentales les pliisanciennes peuvent effectivement guérir
elle générale, apa- thie, tendances à l'isolement, parfois poussées mentales avec accès de violence, déchéance morale invoqu
dative de la plaraldélayde dans les différentes formes d'aliénation mentales ; par iVnc.». (Thèse de Paris, 1884.) ' Quelques
cinq minutes de réflexion; 3° une épreuve clinique sur les maladies mentales : un seul malade. Il sera accordé vingt minutes
après l'examen d'un aliéné, et un rap- port sur un cas d'aliénation mentale . Il sera accordé au eau- didat quinze minutes p
inique commune, 20 points. Pour l'épreuve clinique sur les maladies mentales , à un seul malade, 20 points. Pour la deuxième
ls, âgé de vingt-huit ans, qui avait parfois des accès d'aliénation mentale . A peine étaient-ils entrés dans son cabinet qu
ud- den sont par conséquent confirmées par la physiologie expéri- mentale . P. K. XIII. LA FONCTION DI.S COUCHES OPTIQUES.
me convulsif de l'orbiculaire, du surcilier, du REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 317 frontal, du même côté. Ce spasme dure sans
mer par l'expression de revue critique. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXXIV. DE la sclérose miliaire ; par PLAXTO-4.
ENTALE XXXIV. DE la sclérose miliaire ; par PLAXTO-4. (Journal of mental Science, avril 1883, p. 27.) La sclérose miliai
Voy. Archives de Neurologie, t. VI, p. 280. 3t8 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . penche pour cette dernière opinion, par deux r
la sclérose miliaire pendant la vie, et pour la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 3)9 considérer comme le résultat d'une altérat
ROPORTION DES GUEUISONS ET DES DÉCÈS par T.-A. Cu pm (Joui-ii(il of mental Science, avril 4 883, p. 4.) Travail intéressan
es personnes qu'il désigne sous ce nom sont 330 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . les sujets qui ont été atteints d'aliénation m
DE PATHOLOGIE MENTALE. les sujets qui ont été atteints d'aliénation mentale , d'épilepsie ou de grande hystérie, ainsi que l
e de cas, chez des sujets ayant présenté les signes de l'aliénation mentale . Toutefois, je ne conseillerais jamais le maria
atif DES grands et DES petits asiles; par Henry Rainer. (Journal of mental Science, avril 1883, p. i.) 11 résulte des rech
es et de la responsabilité médicale. R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 3,51 i XXXVIII. Paralysie générale par lésion D
sie générale par lésion DU crâne; par .IullItS IICKLE. (Jourlral of mental Science, janvier 1883, p. 544.) L'auteur consta
râne. R. 111. U. XXXIX. De la folie CHEZ LES jumeaux. (Journal of mental Science, janvier 1883, p. 539.) I. Jumelles p
maison paternelle et vivaient séparément. 352 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE Voici le résumé de la double observalion : A.
égorie. L'observation peut se résumer ainsi : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 353 Fille de dix-huit ans, dont la mère est un
e s'épaissit, et Archives, t. VIII. 23 3 z. i REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . il se fait un épanchement de sérosité sous l'a
UN cas d'imbécillité épileptique; par Herbert-C. Major. (Journal of mental Science, janvier 1883, p. 532.) Voici le résu
tissu malade. La couche dite granuleuse, située REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 355 au-dessous des cellules de Purkinje, qui e
ECTION ET LE TRAI- TEMENT des aliénés ; par R. Cimeron. (Journal of mental Science, janvier 1883, p. 319.) Ce long mémoi
a façon qui vient d'être indiquée n'est pas 356 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . souvent nécessaire dans un asile bien tenu où
' malheureux malade dans le sentier qui doit le conduire à la santé mentale , et peut-être à la guérison défini- tive. Nou
dernière conclusion et du chapitre qu'elle résume, la Rédaction du Mental Science a mis au bas de la page une note par la
ant médical d'un hô- pital d'aliénés.. R. M. C. XLIII. Sur l'état mental dans l'hypnotisme; par D. IL1CK TUKE. (Journal
Sur l'état mental dans l'hypnotisme; par D. IL1CK TUKE. (Journal of mental Science, avril 1883, p. 55.) Ce mémoire a été l
é, d'une façon plus ou moins nette, le souvenir REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 357 de ce qui a été présent à son esprit penda
mulation est J'épuisement d'une partie del'organe ; au point de vue mental , c'est la concentration del'attentionsur une id
on. Règle générale, la respiration et l'ac- 358 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . tion cardiaque sont accélérées au début'. Les
donne au sujet l'impression de deux moi; « 5° Quelques fonctions mentales , comme la mémoire, peuvent être exaltées; et il
e peut qu'une imitation réflexe inconsciente soit le seul phénomène mental qui subsiste; le sujet, en ce cas, copie minu-
e et dans l'état de veille. Chap. IV, p. 45.) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 359 qu'elle ait pris sa source dans un geste,
II, p. 383, et thése de Nercam, Paris 1884. 360 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . pour formuler H12 0, à la dose de cinq à six g
rvations à doses diurnes, l'auteur a obtenu : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 361 ment : de la paralysie de l'oculomoteur ex
e modification de la manière d'être et des traces de perturba- tion mentale . Tout à coup, on constate des attaques épileptifo
allures de cet homme ne sauraient être produites par une maladie mentale . Le 26 du môme mois, on le réintègre à la prison,
e mois, on le réintègre à la prison, en lui 362 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . annonçant que, s'il continue à simuler, les so
ion, de la coïncidence, chez un même sujet, de plusieurs affections mentales évoluant côte à côte, chacun suivant la modalit
t d'établir que tel symptôme est pathoguomonique de telle affection mentale déter- minée. De cette recherche minutieuse ne
r les paralysés généraux agités. Les au très formes de perturbation mentale , l'insomnie nerveuse, etc., ne permettent pas d
fesseur ne perd jamais de vue le terrain objectif. C. La pathologie mentale vit au moyen de trois syndromes : la mélancolie
rapports de l'infirmier avec l'a- liéné dans les différentes formes mentales ; petite pharmacie. Ces cours se feront sous la
1854, 48'i5, ;180); - Considérations sur le traitement des maladies mentales (Annales médico-psychologiques, 1844); Compte a
et suivantes) ; - Etudes pratiques sur les maladies ner- veuses et mentales accompagnées de tableaux statistiques suivie^ d
leur sont consacrés; organisation de l'enseignement des maladies mentales et ner- veuses, par Billod (An. Charpen- tier
lissements spéciaux publics et privés), 219. Apoplexie (symptômes mentaux précurseurs d'une attaque d'), par Savane,214
ne (action de l') par Richter de (Piaukow), 100. Hypnotisme (état mental dans l'), 356). Hystei·ie, 121 ; - (attaqucs
capsulaires, 1, 151. Jeunesse (sur les affections ner- veuses et mentales de la), par Kahlbaum, 243. Juges et experts e
ven, 206. Occupation (de l'), dans le traite- ment des maladies mentales dans les classes supérieures, par Bo- wer, 20
Rage (commission de la), 127. Rapports medico-tegauxsories états mentaux douteux, 360. Bestraint, 355. Réaction dégéné
41 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ARCHIVES DE rut NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES i> il n 1. 1 É t. sons 1,1 n [ il i : c T i
2 Le mémoire de Beard a été publié dans le x Journal of nervous and mental diseuses, vol. VII, p. 487 ». Nous en avons donné
n sens, mais tout cela sans délire, sans aucun trouble des facultés mentales . Des mois et des années s'écoulèrent dans cet é
dit-elle, une grossesse ordinaire, mais qui s'accompagna d'un état mental particulier, causé par le désir de régulariser
vre ensuite à une discussion approfondie sur la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 67 nature de cette dyspnée et de l'affection q
physiologie et les symptômes observés. P. M. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1. Sur la pathologie de la manie; par J. `V1GLE
1. Sur la pathologie de la manie; par J. `V1GLESNORTH. (Journal of mental Science, janvier 1884, p. 485.), Quand on veut
st une de celles qui jettent le plus de lumière sur la pathologie mentale . L'opinion de M. Wiglesworth, déduite de la pro
des phénomènes dans l'accès ordinaire de la 68 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . manie. Voici d'ailleurs l'eX) lication que M.
rronées, sans que celles-là soient atteintes. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 69 Enfin 11. \\'iles-orlli s'explique, en term
spéciale des infirmiers d'asile; par A. CAMPBELL- CLwE. (Journal of mental Science, janvier, 1884, p. 459.) L'auteur est c
ons. Le nombre decesleçons fut de dix-huit ; 70 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . le nombre moyen des auditeurs fut de vingt, su
e à tout le monde, aux infirmiers eux-mêmesdont REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 71 1 le niveau social et intellectuel sera élev
Neurologie, t. II, p. 263, et t. IV, p. 105. 72 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . IV. SUR LE CARACTÈRE ET LES R\LLUCIVAT10\S DE
R\LLUCIVAT10\S DE JE\ ? \E D'AnC; par William IRELAND. (Journal of mental Science, janvier 4883, p. 483, et avril 1883, p
e retracer les principaux événements de la car- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 73 rière de Jeanne d'Arc de façon à mettre les
S CIRCONSTANCES ENVIRONNANTES LORS- QU'IL s'agit d'apprécier l'état mental d'un I\L1D1. ; par SAMUEL Wilks. (Journal of me
pprécier l'état mental d'un I\L1D1. ; par SAMUEL Wilks. (Journal of mental Science, janvier 1883, p. 549.) Cette note a ét
nspirée à M. par la lecture d'un article précédemment publié par le Mental Science et dans lequel l'auteur insistait sur l
ts et aboutis- sants d'un malade avant de se prononcer sur son état mental . En effet, « le vrai peut quelquefois n'être pa
11. 1'illcs, lout à fait inutile de cher- 74 4 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . cher à raisonner avec lui. » Deux médecins l'a
VI. Un C\S de perte aiguë de la mémoire; par G. SAVAGE. (Journal cf mental Science, avril, 1883, p. 85.1 Les cas de perte
la campagne. Elle ne se rappelle ni un tableau, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 75 ni une odeur, ni un goût. Chaque jour, elle
ra d'autres attaques qui affaibliront encore 76 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . sa mémoire eu même temps qu'elles feront tombe
modifications post-apoplectiques. R. 1)1. C. VII. SUR LES maladies mentales consécutives a une élévation DE la température
ans les cas d'hyperthcrmie fébrile. Le second groupe des affections mentales de cet ordre relève de REVUE DE PATHOLOGIE MENT
des affections mentales de cet ordre relève de REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 77 Î l'insolation ou coup de soleil. Ici, l'ac
les crimiuels femmes sont aussi fréquemment atteints d'aliénation mentale que les hommes ; que presque toujours les aliénés
petit nombre d'extraits prouvent que le mé- 78 REVUE de pathologie mentale . moire traite non seulement des aliénés crimine
écondité comme dans les familles saines; seules REVUE DE pathologie mentale . 79 les incurvations de la colonne vertébrale p
i que les muscles rétracteurs de cet organe, 80 REVUE DE pathologie mentale . reçoivent des libres motrices des deux moitiés
xcitation dans les appareils centraux profonds, revue de pathologie Mentale . 8t car ces mouvements se manifestent encore ap
sur'ces examens pour préjuger de l'avenir des élèves. La précocité mentale est,en effet, un signe d'infériorité plutôt que
de de moins de quinze jours, j'ai été commis, pour constater l'état mental de trois aliénés, à la suite de tentatives d'ho
ettre ces trois cas; s'ils appartiennent à la même forme de trouble mental , ils diffèrent quant à l'évolution du délire, et
nant un second fait non moins intéressant que le précédent : l'état mental de l'individu dont il s'agit avait passé inaper
étais commis par le procureur de la République pour examiner l'état mental d'un nommé ))..., inculpe de tentative 'de meur
; plus tard, pendant bien des années, on constata de l'aliénation mentale à symptômes alternes, des lacunes croissantes dan
congénitales de I'fril dans leur ! '«/)/)0 ! < t;wc les maladies mentales et nerveuses Après une énumération des anomalie
, anomalies observées surles yeux d'individus atteints d'affections mentales et nerveuses et rattachées aux signes somatique
système nerveux central, les unes sont symptomatiques d'un trouble mental congénital, d'une lésion des organes nerveux ce
st qu'après des condam- nations répétées que l'on flaira un trouble mental . L'examen médico-légal, en annulant la pénalité
, les médecins ne se sont aperçus d'aucune perturbation nerveuse ou mentale . Il quitte guéri l'hôpital le 20 août, et, aprè
les sensations pathologiques en tant que symptômes de perturbations mentales . Les sensations patho- logiques, jadis peu rema
thologiques, arrive à ce résultat que le groupe des perturba- tions mentales , dans lesquelles les sensations pathologiques c
tion sur cette partie intéiessante de la séméiotique des mala- dies mentales . Discussion : M. Hasse. Tous les persécutés é
decins praticiens' qui ne reconnaissent pas assez vite l'aliénation mentale et ne savent pas la traiter méthodiquement asse
travers quatre générations et diagnostiquer le début des affections mentales . Aussi, pendant quatorze ans de pratique, l'ora
hrilisme ; par G. SOUL.4. (Thèse de Paris, 1881.) De l'aliénation mentale comme complication immédiate ou tardive de la f
sile Sainte-Anne. M. le D Gilson, chef de la clinique de pathologie mentale , médecin-adjoint à l'asile Sainte-Anne, est app
leçon à l'amphithéâtre. Asile SA'TE-A\'\E. Clinique des maladies mentales . M. le professeur BALL a commencé le cours de c
. le professeur BALL a commencé le cours de clinique des maladies mentales , le dimanche 9 novembre à dix heures du matin et
e, le dimanche 16 novembre, ses leçons cli- niques sur les maladies mentales et nerveuses, et les continue tous les dimanche
s on avait observé 3,8 p. 100 de l'effectif de l'année. A. Maladies mentales . 120 cas : 0,31 p. 100 de l'effectif. Avec ceux
es, etc., etc. Depuis l'année 1873-1874, où le chiffre des maladies mentales s'élevait à 0,39 p. 100 de l'effectif, le chiff
: Obs. I. N'ont pu être obtenus. Obs. II. Néant. Obs. III. Etat mental tout particulier de la mère pendant sa grossess
arche lorsqu'elle siège dans les membres inférieurs. Quant à l'état mental , il est parfaitement régulier et normal : les s
aute en ce moment; il en est presque toujours ainsi dans la lecture mentale , sans articulation des mots. Nos malades sont
convulsion et chez des personnes que leur édu- cation et leur état mental sembleraient devoir mettre à l'abri de pareille
DE L INCOORDINATION MOTRICE. 185 Quant à l'état physique, moral et mental des malades, lorsque la maladie est complètemen
pécial , celui de ! 'oee/7e (col)ï,o- lalie); 4° l'état physique et mental des sujets est en pleine intégrité; la maladie
ation nerveuse particulière, depuis ceux qui, par leur constitution mentale , paraissent absolument subordonnés à la volonté
tes de ceux qui les entourent, tout en paraissant jouir d'un état mental parfaitement régulier dans l'intervalle de ces
même isolés, elles se caractérisaient suffisamment par des troubles mentaux , et des actes insolites, des accès convulsifs q
e morte dans beaucoup de cas. L'hystérie, l'épilepsie, l'aliénation mentale , etc., échappent au contrôle anatomo-pathotogiq
la nutrition de ce système à l'état pathologique, dans l'aliénation mentale , l'épilepsie et l'hystérie. 1. DE LA NUTRITION
ée par maintes 1 Voy. Archives de Neurologie. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 261 complications 1. - A ce propos, le ramolli
a partie; cet organe n'a pas été examiné. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XIII. De la conscience dans LES états connus so
ie. Revues analytiques. 2 W t. V, p. 372. 262 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . d'inconscience avec alexie, avec agraphie, qui
et ne pouvoir écrire lisiblement. C'est là de la perte de la vision mentale des objets et des signes ' ; la perte passagère d
- CILUS pourvus d'éducation ? par G.-E. SHUTTLKWORTH. (Journal Of mental Science, janvier 1884, p. 467.) L'auteur s'expl
uffisance soit moindre que dans l'idiotie. Il étudie ensuite l'état mental des imbéciles au point de vue de leur capacité
la responsabi- lité d'un imbécile est variable suivant sa capacité mentale primi- tive et aussi suivant le degré de dévelo
gie, t. VI, p. 403, et Crouigneau, Paris, 1884. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 263 extrême, l'auteur cite le cas d'un imbécil
A la suite de l'exposé détaillé de deux observations d'aliénation mentale , l'auteur passe à la discussion symptomatique. Le
P. K. 1 Voy. les Archives de Neurologie. 264 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XVIII. CONTRIBUTION A la pathologie ET A l'ana
1 Voy. les Archives de Neurologie. 2 Idem. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 265 simples concomitances accidentelles. Il. L
ii stir la Ilision nientale. Paris, 1994. : 266 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . constatée de sérosité). Ces deux paralytiques
lle-même le symp- tùme d'une psyclrose. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 267 XX. Sur l'extension de la dégénérescence ph
1 Voy. Archives de Neurologie, Sociétés. 268 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . gnation morbide , ce sont les descendants d'ép
sidérer le jeûne du Dr Tanner comme démontré. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ll69 tion d'eau, et tant qu'on ne constate pas
ers au rôle de somnambule, sorcière, nécro- 270 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . maucienue, devineresse, médecin. Peu à peu ils
ultérieure, une certaine importance aux 27 : 2 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . accidents suivants qui permettent de conclure
té non considérés comme malades. L'auteur s'oc- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 273 cape plus particulièrement de la pédérasti
SOCIÉTÉ MÉDICO-PSYCHOLOGIQUE Séance du 20 janvier. Des troubles mentaux dans la sénilité précoce et rapide; par M. Char
as avoir fixé suffisamment l'attention au point de vue des troubles mentaux qui l'accompagnent, surtout s'il ne s'y joint a
sont frappés, la marche est rapide quand il s'y joint des troubles mentaux ; ainsi se trouve justifiée l'expression de sé-
s est étranger à notre sujet, puisqu'il ne présente pas de troubles mentaux . Nous n'y insistons pas davantage. Nous ne no
non plus sur les sujets atteints de sénilité précoce et de troubles mentaux chez lesquels l'étioiogie est déterminée par de
tous ces états, la séni- lité précoce est fréquente et les troubles mentaux ont été souvent signalés. Le délire mélancoliqu
Nous ne ferons au-si que passer légèrement sur d'autres troubles mentaux qui existent à l'âge mûr en même temps que la s
en y étant confon- dus parmi les déments sénilisés. Les troubles mentaux que nous avons à décrire et que nous dé- signon
ous avons à décrire et que nous dé- signons sous le nom de troubles mentaux de la sénilité précoce simple, pour les bien di
tant s'en faut, à l'apparition de la sénilité précoce et du trouble mental . La véritable caractéristique de la condition q
n qui préside au développement de celte sénilité et de ces troubles mentaux , c'est l'incapacité d'adaptation de l'indi- vid
apide des carac- tères de la ,vieillesse et apparition des troubles mentaux qui an- térieurement n'existaient pas; caractèr
eurement n'existaient pas; caractère dépressif des manifesta- lions mentales ; formes mélancoliques, hypocondriaques, anxieuses
nce d'hallucinations. D'autres sujets présentent aussi des troubles mentaux associés à la sénililité prématurée; mais nos o
sième groupe de sujets présentant aussil'as- sociation des troubles mentaux et de la sénililité prématurée. Nous en possédo
s en possédons par devers nous deux cas où l'éclosion des symptômes mentaux fut pour nous une surprise, tant nous y étions
être constatées. Elles peuvent être ou non accompagnées de troubles mentaux que les auteurs ont décrit, mais sans mettre as
elief la précocité de la sénilité concomitante ; 3° Les troubles, mentaux de la sénilité précoce peuvent exister sans mal
que comme épisode terminal incapable d'expliquer ni les troubles mentaux , ni la précocité de la sénilité. Ces troubles m
es troubles mentaux, ni la précocité de la sénilité. Ces troubles mentaux sont à forme dépressive avec certaine conscienc
sister dans l'état d'affaiblissement intellectuel ; 4° Ces troubles mentaux , qu'ils reconnaissent pour cause le changement
tenue jusqu'alors par une idée intensive déterminante, des troubles mentaux ont toujours pour condition causale commune, l'
tte incapacité d'adaptation apparaît très marquée dans les troubles mentaux de la sénilité précoce ; Il y a lieu, au poin
° Enfin il existe une sénilité précoce sans maladies, sans troubles mentaux . Les hommes qui en sont frappés savent vieillir,
ns les familles dégé- nérées psychiquement. (Joumt. of tteruous and mental diseuses. 1881, l. 103.) Le rédacteur-gérant,
tés par le curare. Chemin fai- 1 Les cérébraux (Etude de pathologie mentale ), (Arch. de méd., 1880, vol. I, p. 385.) 2 Th
AUX DU CURARE DANS l'ÉPILEPSIE. 3H Observation X1111. Instabilité mentale ; épilcpsic idiopathiquè. Père alcoolique. Mère
ternel mort du mal de Pott. Onanisme. Début ff trois uns.- Débilité mentale consécutive. Rougeole. Erysipèle (mai 4881). Co
UN ABAISSEMENT EXTRÊME DE LA TEMPÉRATURE DANS LE COURS DES MALADIES MENTALES ; Par N. POPOFF, médecin de l'asile Saint-Nicol
ions de la température du corps durant diverses formes d'affections mentales , beaucoup d'autres auteurs ont étudié cette que
s particularités que peuvent présenter sous ce rapport les maladies mentales , je m'en tiendrai à l'abaissement brusque de la
tschrift f. psychiatrie, 1880.) DE LA TEMPÉRATURE DANS LES MALADIES MENTALES . 355 et dernièrement par Beeliterew et Otto Heb
Essai clinique sur la température dans quelques formes de maladies mentales . Thèse 1881, en russe. 2 Otto Hebold. Subnormal
ssesses et les couches furent normales et sans influence sur l'état mental de la malade. - Mais elle ne fut pas heureuse e
d'exercer une salutaire influence sur le cours des diverses formes mentales , et plus particulièrement dans les cas de violent
u)'M)tMC/ie« ! eeetM, 1867-68.) DE LA TEMPÉRATURE DANS LES MALADIES MENTALES . 359 celui que l'on constate dans la stupeur. B
ble de la température peut se produire dans le cours des maladies mentales sans entraîner nécessairement un pronostic fatal.
ITION DU SYSTÈME NERVEUX. 361 tionnelles de ce système : aliénation mentale , épilepsie, hys- térie. Nous étudierons success
cherches relatives aux modifications que peut produire l'aliénation mentale sur la nutrition du système nerveux par l'étude
tres, au contraire, pensent que, sous l'influence de l'alié- nation mentale , la quantité de phosphates rendus par les urines
atières so- lides. » - - D'autres enfin pensent- que l'aliénation mentale augmente seulement la quantité d'acide phosphor
de l'acide phosphorique par les urines pour savoir si l'aliénation mentale modifie ou non la nutrition du cerveau sont en
hosphorique ne peut nous éclairer sur les troubles que l'aliénation mentale est susceptible de faire subir à la nu- trition
r l'étude de l'élimination de l'acide phosphorique, si l'aliénation mentale modifie la nutrition du système nerveux, s'impo
omme pour le travail intellectuel, nous avons dû, pour l'aliénation mentale étudier l'élimination do l'acide phos- phorique
n peut seule nous le donner. Et comme beaucoup des cas d'aliénation mentale que nous étudierons sont incurables, c'est avec
l'acide phosphorique. La seconde ne l'est pas moins, l'aliéna- tion mentale , maladie essentiellement chronique, permet assez
on des phos- phates qu'on constate sous l'influence de l'aliénation mentale , il est encore quelques précautions à prendre.
ie. . Interprétation des modifications produites par l'aliénation mentale sur l'élimination de l'acide phosphorique. Supp
r l'élimination de l'acide phosphorique. Supposons que l'aliénation mentale produit des modifications dans le rendement de
au et la nutrition générale. N'est-il pas possible que l'aliénation mentale retentisse, elle aussi, sur cette dernière ? C'
st l'activité mus- culaire, qui, dans certaines formes d'aliénation mentale , la ma- nie avec agitation, par exemple, peut ê
our nous permettre d'interpréter les modifications que l'aliénation mentale peut produire dans l'élimination des phosphates
énérale qui domine, et de beau- coup, dans cette forme d'aliénation mentale . Nous pouvons, considérant seulement les états
iaque qui s'imagine qu'on va le tuer : chez cet homme, l'aliénation mentale est restée très longtemps stationnaire, et nous
re, pour rendre plus précis les résultats qui précèdent, que l'état mental de Gib... restant le même, nous avons examiné à
suite, nous pouvons dire comme conclusion générale : L'aliénation mentale modifie les échanges nutritifs qui se passent a
ellerons seulement que nous avons institué, comme pour l'aliénation mentale et l'épilepsie, des expériences à l'effet de sa
tude de l'élimination de l'acide phosphorique ; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 391 2° Si l'acide phosphorique se lie à lanutr
cherches et les mettre en relief. (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXV. DU MÉCANISME PSYCHIQUE DU DELIRE DANS LA V
de professait, jusque vers 1860, que toutes les formes des maladies mentales ne sont que des pé- riodes différentes d'un seu
ystématisé puisse être un état secondaire. 392 .REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . , On admet généralement que le délire chroniqu
que le délire chronique ne peut évoluer que sur un fond de débilité mentale . Ce ne sont pas les halluci- tions qui fourniss
e sens de son délire prouve qu'il existe déjà une certaine débilité mentale . Il est vrai qu'on voit souvent des gens d'une
ucktleeit ou paranoïa des Allemands. tN.-B. ) ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 393 couleur donnée, cela tient vraisemblableme
à ce sujet qu'on retrouve des phéno- mènes analogues dans la vision mentale des individus normaux. L'idée persistante d'une
(Wundt) brillante, développe une image con- 394 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . séculive de couleur. Ces faits nous montrent l
; secrétaires annuels : MM. Charpentier et Garnier. Des troubles mentaux dans la sénilité précoce; par M. CHARPEN- tier
au mémoire le plus méritant sur n'importe quel sujet de pathologie mentale . A la suite des rapports de MM. Christian et Ga
hines, des instruments en honneur dans l'école moderne. La débilité mentale de l'accusé n'exclut pas l'astuce chez lui; il es
nes de l'abdomen ; liseré bleu-noir du bord gingival ; les facultés mentales baissent de plus en plus ; la mémoire est telle-
aliénistes des asiles voisins, ainsi que les amis de la médecine mentale , préparassent des matériaux à la société principa
e, t. IX, p. 114. SOCIÉTÉS SAVANTES. 421 rebelle à toute activité mentale ; en pareille occurrence, mieux vaut décréter l
l'instruction. M. Loehr, tout en exposant magistralement le trouble mental de la baronne, lui conseille dans son intérêt d
nications détaillées. Le surmenage psychique et la dégénéres- cence mentale jouent un rôle, mais il est difficile de tracer l
garçons; par de CASAUBON. (Thèse de Paris, 1884.) De l'aliénation mentale chez les vieillards ; par 601DAL. (Thèse de Par
ra décerné au meilleur mémoire manuscrit sur un point de pathologie mentale .-Prix Moreau (de Tours).-Ce prix, de la valeur
les facultés de médecine de France, sur une question de pathologie mentale et nerveuse. Les mémoires imprimés et les thèse
il devait étudier les lois qui président à l'hérédité des maladies mentales . « Le Dr Prosper Lucas était le frère de M. Cha
de Gaillon; in Compte rendu du Congrès interna- tional de médecine mentale . Paris 1880. tÀ2111. t nzéd.-psych.) Inaugurati
rès psychiatrique d'Anvers. Le secrétaire de la Société de médecine mentale de Belgique, notre distingué confrère le Dr Ing
ans sa dernière réunion (31 janvier 1885), la Société de mé- decine mentale a décidé, conformément aux usages anciens, de t
à l'âge de soixante-quinze ans. On lui doit, d'après The Journal of mental science, les travaux suivants : Ele- znents of
rochure 111-8- de 10 pages. Régis (E.). Manuel pratique de Médecine mentale . Un volume in-ts, cattonné, de 610 + xxiv pages
onie), 407. Graphique (représentation - de la marche des maladies mentales ), par ltégis, 87. Gymnastique(la), IrarColhne
.'obe temporal (destruction com- lrlète du), 327, 33 ? . Maladies mentales ( difficulté de diagnostic), 73; consécutives
r laebius,105. (anomalies ciel ),dans les mala- dies nerveuses et mentales . Ophthalmologique (contribution au diagnostic
e, par Sommer 261. l . Sénilité précoce et rapide (des troubles mentaux dans la), par Charpentier. 275, 395. Sensatio
l3erger, G2 ; 1* (c)ei ! lesfemmes),pnr.Moebius, 253 avec trouble mental , 263; du), 429. Température (importance au po
- sement extrême de la tempéra- ture dans le cours des maladies mentales ), par Popoft, 355. Tendineux (phénomènes), par
42 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Y ARCHIVES DE 1r NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIEE SOUS LA DIRECTION DE J.-111. CHAKCOT
de signes, très variables d'aspect, qui semblent prouver que l'état mental du sujet n'est pas absolument normal. - Les t
on; ils ont pu se rendre compte qu'elle est compatible avec un état mental encore sain ou réputé tel. Bien qu'on n'aime pa
T TREMBLEMENT. 41 ses rapports dans certains cas, avec l'aliénation mentale , sont connus, et les romanciers eux-mêmes, pein
re poussé à l'extrême est pour nous un symptôme de déséquilibration mentale , une forme de neurasthénie psychique que j'ai e
e mieux les recoins pour déceler chez notre malade quelque anomalie mentale , nos recherches ont été vaines. Notre jeune fil
ur un cas de myélile aiguë diffuse... (Archives de médecine eayéri- mentale . Septembre 1889, p. 696.) ! Myehlis acula dissemi
tés sont affaiblies, il y a de la démence. L... a, du reste, l'état mental classique des épilep- tiques : irritabilité, ve
son tétanos. C'est un épileptique en voie de démence avec troubles mentaux . Il y a, outre la coexistence des deux névroses
e. D'abord, au point de vue psychopathique, L... a tout fait l'état mental des épilep- tiques, état mental bien étudié de
hopathique, L... a tout fait l'état mental des épilep- tiques, état mental bien étudié de nos jours. Il présente aussi cet
es qui arrivent au délire par l'exagération seule d'une disposition mentale parti- culière. Une méfiance physiologique, pou
XX. Hystérie CHEZ l'homme; par FRANCIS-W. CLARK. (The journal of Mental Science, janvier 1888. L'auteur rappelle d'abor
e, l'anémie et généralement tous les modes d'épuisement physique ou mental déterminent l'appa- rition de l'hystérie et pri
x, ni atrophie des fibres intracorticales. D'ailleurs, l'aliénation mentale pure (psychose fonctionnelle vraie), se traduit
XX. LE langage réflexe ; par George M. ROf3EnTSON. (The Journal of Mental Science, avril 1888.) L'auteur conclut : 1° que
nelles, reparaître manifestement ; 4° que dans certaines affections mentales , le langage réflexe s'observe sous un forme exa
phie des circonvolutions qui accompagne si fréquemment l'aliénation mentale s'oppose à ce que les vaisseaux méningés soient
rps OLIVAIRE du coté opposé ; par Wlllla111 DUDLEY. (TIL Journal of Mental Science, juillet 1886.) Ce cas est intéressant,
RIETALE ASCENDANTE DROITE ; par Joseph WIGLKSWORTH. (The Journal of Mental Science, avril 1886.) Nous traduisons presque e
oite chez la majorité des individus. R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. Observations faites avec le 8PIt1'GU0GR.1P11
. SURQU>;LQUES aliénés; par T. DwcAIV Greenless. (The Journal of Mental Science, jan- vier 1887.) L'auteur tire de ce
et dans les autres formes de folie qui s'accompagnent d'excilation mentale , les centres nerveux sont con- gestionnés, mais
- ptend plus ou moins ses caractères ordinaires. 3° La dépression mentale , si elle est récente et aiguë donne une systole
e avec artères incomplètement remplies ; si cependant la dépression mentale persiste longtemps, ou si elle est accompagnée
rculation paresseuse, par suite delà distension REVUE DE pathologie mentale . 101 incomplète des vaisseaux, laquelle est pro
erveuses dans lesystème vaso-moteur. 7° Dans les cas d'imperfection mentale congénitale attribuables à un arrêt de développ
ans un cas DE démence primitive ; par J. STEWART. (The Journal of Mental Science, avril 1887.) L'observation du malade p
s ; début par embarras de la parole et alfalblissement des facultés mentales ; démarche alaxique; absence du réflexe du genou
autre part, le caractère prédominant de la maladie, au point de vue mental , était un af- faiblissement progressif des facu
ie ataxique. L'affaiblissement graduel des 102 revue DE patiiologie mentale . fonctions motrices, la rigidité des membres et
M. C. III. Folie du doute; par P. J. KoWALEWaKY. (The Journal of Mental Science, octobre 1887 et janvier 1888.) Des fai
rasthénie entre dans une seconde période qui est celle des troubles mentaux élémentaires. 3° Que ces troubles élémentaire
fièvre typhoïde chez des aliénés par n. PERCY SMITH (The Journal uf Mental Science, avril 1S87.) L'auteur relate sommairem
e plus souvent ne se plaignent de rien. La modification de l'état mental sous l'influence de la fièvre REVUE DE patholog
de l'état mental sous l'influence de la fièvre REVUE DE pathologie mentale . 103 typhoïde a déjà été signalée : dans deux d
ésentant pas d'ailleurs les caractères ordinaires des modificatious mentales qui succèdent parfois à la fièvre typhoïde chez
urs d'une scarlatine. Dans un cas, le malade était en convalescence mentale , avant que la fièvre ne fut diagnostiquée; l'am
e mentale, avant que la fièvre ne fut diagnostiquée; l'amélioration mentale con- tinua de progresser pendant la fièvre, et
plus calme de la fièvre typhoïde. Dans un autre cas, la dépression mentale que présentait le malade ne subit qu'une rémiss
adie : il n'y eut d'ailleurs chez lui aucune amélioration de l'état mental . Dans aucun de ces cas, le fait de l'aliénation
on de l'état mental. Dans aucun de ces cas, le fait de l'aliénation mentale n'a intro- duit d'éléments capables de modifier
d'imbécillité congénitale; par C.-S, - W. COBUÓLD. (The Jo1t1'nalof Mental Science, octobre 1886.) Dans le premier cas, il
d de l'eau. Le second cas concerne un homme 104 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . de 29 ans qui, sous prétexte qu'il est taquiné
cas d'intoxication saturnine chronique avec épilepsie et aliénation mentale ; par William L. Ruxton. (The Journal of Mental
ie et aliénation mentale ; par William L. Ruxton. (The Journal of Mental Science, octobre lôi3li.) Il s'agit d'un homme
ns le t. IV, p. 52, des Archives de 1882 (B.) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 105 jours suivis de stupeur, on vit apparaître
s suivis de stupeur, on vit apparaître des symptômes d'aliéna- tion mentale qui, depuis, n'ont fait que s'aggraver. Le malade
1'IQI ? E : par le Dr .\I¡;SCIl8DE, de Koenigsberg. (The Journal of Mental Science, avril \8$7.) L'auteur s'attache à démo
es particu- liers de la psychose (disparition en bloc des processus mentaux les plus familiers, cécité psychique, etc.); il
UN cas de folie DE l'adolescence ; par John KEA Y. (The Journal of Mental Science, avril 1888.) L'auteur a considéré ce c
r plusieurs points essentiel- de cette forme de folie. Les troubles mentaux qui précèdent ou accom- pagnent un rapide dével
allucinations sont ou sexuelles ou reli- gueuzes : en somme, l'état mental pathologique n'est en ce cas que l'état mental
s : en somme, l'état mental pathologique n'est en ce cas que l'état mental ordinaire de la plupart des sujets de cet âge c
exagéré et déformé. Les malades de ce genre 106 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . sont souvent insupportables à l'asile : ils so
es ; urates amorphes dans les urines. Guérison rapide des symptômes mentaux ; guérison graduelle de la paralysie. 2° Z...,
et sang dans l'urine ; oif intense. - Guérison rapide des symptômes mentaux ; guérison graduelle de la paralysie. Ces deux
ans hésitation comme des paralytiques généraux; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 1O1 et, en effet, malgré l'absence des allures
s de plus avec quel soin on doit, dans les affections cérébrales et mentales , étudier l'enchaîne- ment des symptômes et rech
u guérison de folie chronique : par Lloyd FRANCHIS. (The Journal of Mental Science, janvier 13S .) Dans ces deux cas, la m
ition des symptômes ; dans les deux cas aussi, le retour à la santé mentale a été complet, l'amélioration, une fois établie
avoir joué le rôle principal dans le rétablissement de l'équilibre mental . Dans l'autre cas, le choc déterminé par une lé
I. Un cas DE folie morale Colin ; par M. CA112PELL. (The Journal of Mental Science, avril 'l881.) L'auteur résume dans les
s les termes suivants les points les plus 108 ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . saillants de cette observation qu'il a relatée
é du père ; la mère meurt avec abaissement pro- gressif physique et mental ; les soeurs sont excentriques. 2. Le malade es
récise. Santé générale délicate. 4° Légère amélioration physique et mentale au bout d'un temps considérable; cette améliora
», mais il n'y avait chez ce malade aucune im- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 109 perfection du « sens moral » et il serait
al » et il serait peut-être plus exact dit-il, de désigner son état mental sous le nom de « folie affective. » R. M. C.
ce de délire religieux (extatique). P. K. 110 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XIV. La QUESTION DE LA LOI SUR LES ALIENES EN
Le poids du cerveau diminue dans toutes les formes de 1'31léuation mentale , surtout chez les hommes à partir de soixante-d
s mêmes destructions comme origines des mêmes phénomènes nerveux et mentaux ; c'étaient des foyers de ramollissement dans l
heureuse tentative de psychologie cxpri- '1 ? 112 bibliographie. mentale . Il semble indiquer il s'agit d'une thèse soutenu
faire. - P. S. X. Etudes cliniques sur les maladies nerveuses et mentales ; par le Dr Jules Falret, médecin de la Salpêtri
paralysie générale; puis son étude de bibliographie. 127 Î l'état mental des épileptiques depuis laquelle il u'a rien été
rande satisfaction par tous les aliénistes. P. S. \Il. Le surmenage mental dans la civilisation moderne; par \Im° i\la- ri
, 1890. ' M ? Manacéine effrayée comme bien d'autres du surmenage mental de notre époque, en a recherché les effets, les c
e l'âme et du corps. Examinant alors à fond les causes du surmenage mental , elle constate que ce qu'il faut surtout mainte
s un asile public ou privé consacré au traitement de l'aliéna- tion mentale , soit dans un hôpital où ils auraient été appelés
, ce qui n'a pas peu contribué à accen- tuer son état de dépression mentale . Il est très maigre : l'état t général est néan
t une certaine valeur. De plus, il existe chez notre malade un état mental particulier qui constitue un véri- table stigma
des cas, les autopsies sont très rares et les recherches expéri- mentales ont presque toutes échoué. Enfin, dans un certa
de ces troubles moteurs d'origine psychique, à savoir : 1° un état mental spécial ; 2° un traumatisme qui est l'agent pro
un traumatisme qui est l'agent provocateur de la paralysie. L'état mental spécial qui prépare le terrain sur lequel va ag
ation de la conscience. Ainsi se trouve constituée une modification mentale grâce à laquelle les suggestions se réalisent f
, mais il est nombre d'états qui s'en rapprochent : tels sontl'état mental des hystériques (Charcot), des alcooliques (Mag
fois constatés avec la dyslexie; le malade 21) REVUE DE pathologie mentale . écrit spontanément comme à l'état normal, mais
etit doigt, extenseur commun des doigts). P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XIX. UÉLIRE DE chicane. Recherches ET réflexion
auxquels cèdent les individus atteints de tares REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 253 neuropsychopathiques (hystériques, épilept
rouve. - OBs. VIII. Délits d'immoralité avec des enfants : débilité mentale . Ivresse Obs. IX. Incendie. Emotivité pathologi
ncendie. Emotivité pathologique. Imbécillité. OBS. X. Vol. Débilité mentale . - Cas. XI, Escroquerie commerciale sur une déb
d'idiotie de la part de celle-ci.-OBS.X11. Simulation de faiblesse mentale de la part d'un individu jouissant de la plénit
y. Archives de Neurologie, t. XIII, p. 275. 254 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XXIV. Importance DE la MIMIQUE POUR LE diagnos
ujours de plusieurs causes. Si l'hérédité prédispose à l'aliénation mentale en général, la syphilis prédispose surtout à la
peine les relève-t-on de temps à autre. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 255 XXVII. DES allures DU POIDS DU corps dans
, dont 67 phtisiques, soit : 39,7 p. 100. Eu analysant l'aliénation mentale chez les morts de phtisie, on trouve que, dans l'
e de l'accès d'épilepsie; il doit en cer- ' 256 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . tains cas être imputé à la même cause, si l'on
selon nous, une action très importante. (B.) - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 257 Î X111. Guérison d'un cas DE DÉMENCE aiguë
ment, obsessions avec ARCHIVES, t. XX. 17 258 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . dépression mélancolique. « Il faut qu'elle tue
vre de Sancler et t Richter intittilé : Rapports entre l'aliénation mentale et le crime. Beziehungen zwischen Geistestoerun
théorie DE l'induction ; par le Rev. W. G. D.1VIES. (The Journal of Mental Science, juillet 1887-avril 1888.) - Les travau
la parole légèrement hésitante, peu intelligente, mais sans lacunes mentales grossières, meurt d'urémie (néphrite parenchyma
du diabète, il pense qu'il existe une relation entre la dépression mentale et le diabète transitoire des paralytiques géné
ante sur les démences précoces. La démence précoce est un trouble mental , incurable et chro- nique, survenant chez les s
tives à des traumatismes sont des formes congestives d'alié- nation mentale . Il est important, au point de vue médico-légal,
t intervenir rapidement, car la marche et la gravité de l'affection mentale ne sont pas tou- jours en rapport avec l'import
le particulière en s'inspi- rant de certaines règles de la médecine mentale pour la conduite disciplinaireetla réforme des
ravail maraî- cher ou agricole; - Que l'enseignement de la médecine mentale soit facilité aux étudiants, en rendant les asi
s propositions, la première session du Congrès national de médecine mentale a été déclarée close. Son succès a été réel. Le
oniques, mais il nous arrive aussi en nombre notable des affections mentales récentes. Nous n'avons pas ou n'avons que très
quand je constate, à propos de mes malades, qu'il y a eu aliénation mentale ou épilepsie chez leurs frères et soeurs, chez
La transmission hérédi- taire éclaire la pathogénie de l'aliénation mentale et en explique le mécanisme puisqu'elle en révè
e maladie. Discussion. M. SANDER. On a publié les cas [d'aliénation mentale consécutive à l'influenza plus vite que cela n'
ves à l'in- fluenza observées à l'asile de Sonnenstein. La modalité mentale rappelait les psychoses par épuisement (démence
nt d'ailleurs montrées normales. Dans les deux autres, l'aliénation mentale succéda immédiatement à la grippe. M. RIC13TL
ingt six idiots de Dalldorf furent atteints par l'influenza; l'état mental ne fut aucunement modifié 1, M. MINDEL. Sans do
n a réveillé le germe. Chez deux paralytiques généraux, l'affection mentale paraissait avoir été produite par l'influenza ;
ependant il n'a vu qu'une fois l'influenza pro- voquer l'aliénation mentale chez eux, et encore s'agissait-il d'une mélanco
uenza. Cette maladie ne nous a point paru avoir d'action sur l'état mental ou sur les accès (B.). 286 SOCIÉTÉS SAVANTES.
n plein air. L'influenza n'agit pas sur l'évolution de l'aliénation mentale ; elle ne provoqua non plus de psychoses. M. L
Sérieux, médecin de Vaucluse pour son mémoire intitulé : De l'état mental et du délire chez les idiots et les imbéciles.
ancolie délirante et de maladie de Basedow. Chez elle, les troubles mentaux étaient des plus caractéristiques.. Antécédents
goitre, le tremblement n'était pas cons- tatable à cause de l'état mental du sujet, elle ne se plaignait pas de la chaleu
professeur JOLLY (de Strasbourg) est nommé à la chaire des maladies mentales et nerveuses de l'Uni- versité de Berlin, vacan
ERSBOURG. - M. le Dr ANFInIOFF est nommé privat-docent des maladies mentales et nerveuses. Enfants homicides. - Une dépêch
de vue psychique, des hystériques du sexe féminin, dont l'é- tat mental était considéré autrefois comme caractéris- DE
sensorielle. Un autre fait vient à l'appui de ce principe fonda- mental , que nous croyons pouvoir établir. On pourrait
ais, quant à savoir si l'inverse Archives, t. XX. 25 386 CLINIQUE MENTALE . a lieu, c'est une question dont la solution n'
ent la détermina- tion de troubles chromatiques faibles. CLINIQUE MENTALE FOLIE PUERPÉRALE; AMNÉSIE; ASTASIE ET ABASIE.
attaque de paralysie. ' Communication faite au Congrès de médecine mentale de Rouen (séance du 6 août 1890). FOLIE PUERP
ersonnels. - Ils sont également assez incomplets étant donné l'état mental de la malade et l'absence de famille directe. N
depuis cette époque, nous ayant paru de nature à influencer l'état mental de la malade, nous croyons intéressant d'en dir
lle a été, dans une existence antérieure, un des juges 388 CLINIQUE MENTALE . de l'Inquisition, et que les souffrances qu'el
uis quinze jours après, elle fut conduite il l'hôpital 390 CLINIQUE MENTALE . Tenon. Là, elle s'ennuyait beaucoup demandait
temporales sont très profondes, le front très étroit. 392 CLINIQUE MENTALE . jambes, depuis la tubérosité du tibia jusqu'au
si je l'entends tous les soirs frapper chez moi. » 394 . CLINIQUE MENTALE . Comme nous l'avons dit, son mari est un adepte
ort de son premier mari, elle reprit son métier de : J96 . CLINIQUE MENTALE . reperceuse. Elle ne sait ni où, ni comment ell
rium. Or, chez notre ' Archives de Neurologie, 1888. 398 CLINIQUE MENTALE . malade, les altérations profondes de la sensib
la station debout et de la marche. Comment les représenta- tions mentales des mouvements de la marche pourraient-elles êt
e calculer de tête, ce qui en général se fait à l'aide de la vision mentale des chiffres; or ce calcul abstrait lui est abs
souvenir de la cou- leur et de ce qui y était écrit. 400 CLINIQUE MENTALE . Ces faits prennent encore bien plus d'importan
és à des impressions visuelles, et que la malade a encore la vision mentale nette de certains endroits où elle est passée s
cela était-il ? Hier. (Inexact.) Aucmvra, I. XX, 26 402 CLINIQUE MENTALE . Quel jour sommes-nous ? Lundi, puisque c'était
puisque c'était hier dimanche. Nous en avons assez dit sur l'état mental de cette malade pour montrer qu'il ne s'agit là
ès attachée. Si nous lui'faisions lire notre nom, nous 404 CLINIQUE mentale . lui donnions en même temps l'espérance d'une p
bation générale, elles furent contestées au point de vue expéri- mental , par quelques physiologistes et plus particulière
conciliable entre la pathologie humaine et la physiologie expéri- mentale 1. Buuillaud 2 rassemblé certains faits cliniqu
et 25 fem- mes atteints de lésions et de divers types d'aliénation mentale , ainsi que l'âge de ces malades; variétés d'asp
s proliférations histologiques. - P. KERAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXXIX. ETUDE SUR'LES rapports DE l'aliénation m
DE PATHOLOGIE MENTALE XXXIX. ETUDE SUR'LES rapports DE l'aliénation mentale avec LES maladies DES yeux ; par M. HOYET. L'
n mentale avec LES maladies DES yeux ; par M. HOYET. L'aliénation mentale est dans beaucoup de cas (56 p. 100) en relatio
le or Rousseau. (Echo méd. de Toulouse, 1889,) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 437 Î XLIV. Maladies mentales DES vieillards E
oulouse, 1889,) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 437 Î XLIV. Maladies mentales DES vieillards ET LEUR influence sur la capacit
7-1886 avec celui des aliénés admis dans le 438 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . même espace de temps, on trouve que, pendant c
ts de presse (lois du 7 mai 1874, du 21 octobre REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 439 1878). Par conséquent : 1° il faut pratiqu
, à la suite du sondage de l'urèthre rétréci, un accès d'aliénation mentale très court caractérisé par des halluci- nations
élire par cause périphérique. P. KERAVAL. 440 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . LUI. La classification DES maladies mentales D
40 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. LUI. La classification DES maladies mentales DE KAHLBAUM par CL. NEISSER. (Juhrbicch. f. Psy
second se compose de : manie, mélancolie, folie REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 44'1 systématique avec l'affaiblissement psych
dre dans les idées et de l'agitation. P. K. 442 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . LXI. CONTRIBUTION A la connaissance DE la marc
odalités aiguës, subaiguës ou chroniques. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 443 LXV. UN cas D'ÉPILEPSIE psychique; par GER
e. Plusieurs tentatives de suicide. P. K. LXVI. DES DIVERS TROUBLES mentaux OBSERVÉS dans la névrite alcoolique multilocula
.) La paralysie alcoolique s'accompagne généralement d'aliénation mentale . Le symptôme débute par une amnésie simple qui, l
loppements, de malformations physiques marquées, de dé- fectuosités mentales , de dégénérescence psychique vraie dont il faut
ans un asile public ou privé consacré au traitement de l'aliénation mentale , soit comme interne nommé au concours dans un h
es ont montrée en laissant en liberté un homme atteint d'aliénation mentale . Ces faits donnent réellement prise à la critiq
alades y étaient enfermés, représentant tous les types des maladies mentales , maniaques, monomaniaques, idiots et épilep- ti
LANCLOIS est chargé du cours complémentaire de clinique des malades mentales . Distinctions honorifiques. M. le D' LE Bègue,
NES. Le Dr GRA1'TSERS se plaint duns'the Journal of 12ffl,vozis and mental diseuse, du manque d'asiles de ce genre. Il en
vons bonne mémoire, proposé pareille chose au Con- grès de médecine mentale de Paris en 1889. RÉSOLUTION prise par LES NLW-
nos abonnés 6 fr. BAILLAIIGER (1.) - Recherches sur les maladies mentales . Deux volumes in-8° formant ensemble lui86 page
Benediht, t, 125 ; études cliniques sur les maladies nerveuses et mentales , et les aliénés et les asiles d'alié- nés, pa
LLETIN BIBLIOGRAHHIQUE, 144, 303, 460. Castration pour aliénation mentale , par Zenker, 115 ; comme péna- lité, 301. C
es de la Basse- Saxe et de Westphalie, 102; français d'aliénation mentale , 269. Coqueluche, hémiplégie consécutive à la
la - , par Freund, 4tU. Méningite cérébrale, par Scltulz, 80. Mentales (maladies), classification des -, par Kahlbaum,
43 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
S DE NEUROLOGIE REVUE TRIMESTRIELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-M. CIIARCOT
rr, a Journal of Neuroloyy. En Amérique. Tle Journal of nervous and mental Diseases et The dlienist ami Neurolo- gist. En
i justement estimé, est plus particulièrement consacré aux maladies mentales . 3 Chacun, parmi les chercheurs, comprend tôt
ont atténués par une contraction maximum de ces muscles. CLINIQUE MENTALE DE LA COEXISTENCE DE PLUSIEURS DÉLIRES DE NATUR
cin de l'asile Sainte-Anne. ' I. Les faits cliniques, en aliénation mentale , ne s'offrent pas toujours avec le caractère de
omplexes, mais l'espèce nosologique elle-même peut, 4 50 CLINIQUE MENTALE . dans certaines circonstances, se présenter dan
e. II. Pour aller du simple au composé, des faits qui 52 CLINIQUE MENTALE . s'imposent à tous, aux observations qui nous s
ysie générale, rend impossible toute appréciation exacte des forces mentales . Par les hallucinations, il suscite, en outre,
roubles toxiques. L'épileptique, en effet, qui s'al- 54 le CLINIQUE MENTALE . coolise présente peu à peu les signes ordinair
conscience. A 26 ans, après plusieurs attaques épilep- 56 CLINIQUE MENTALE . tiques, se développe un accès maniaque de cour
e alcoolique très différent de l'accès dipsomaniaque. 58 CLINIQUE MENTALE . Le dipsomane, avant de boire, se trouve dans d
, ne tardent pas à se déve- lopper, et comme pour les autres formes mentales , après avoir joué le rôle d'excitant, l'alcool
I. Les combinaisons du délire alcoolique avec les diverses maladies mentales n'offrent pas, on le voit, de difficultés très
acée par les ascendants. La grand'mère paternelle était 60 CLINIQUE mentale . mélancolique, le grand-père paternel s'est pen
ique, pendant lequel elle exprime des idées mystiques ; 62 CLINIQUE MENTALE . elle avale des épingles et cherche à se précip
aladies, ils peuvent même ne pas présenter de dis- B1· li, CLINIQUE MENTALE . positions névropathiques. Quelquefois encore l
u de leurs caractères pénibles et désa- gréables. 5 66 CLINIQUE MENTALE . Les trois états pathologiques, folie épileptiq
rie, on la menace, elle se croit poursuivie; tout brûle 68 CLINIQUE MENTALE . dans sa maison, elle se sent entourée par des
tiques propres. Mais il n'en est pas toujours ainsi, et la clinique mentale ne s'offre pas constamment à nous avec cette si
e Morel a NOTES SUR L'IDIOTIE. 69 déjà séparée des autres espèces mentales , qui fournit des exemples de ce genre dont la c
quentant les malades de plus longue date, il nous sera 70 CLINIQUE MENTALE . facile de nous rendre compte de l'influence du
, à un centimètre de chaque commissure, .une encoche de 72 CLINIQUE MENTALE . 4 à 5 millimètres environ, sorte d'esquisse de
e par deux lames indépendantes l'une de l'autre et très 74 CLINIQUE MENTALE . obliquement disposées, à peine plus larges en
des taches bleues qui ont disparu sous l'influence des 76 CLINIQUE MENTALE . bains sulfureux.-Aucun accident nerveux ni che
s méningitiques très prononcées. Rien à l'auscultation. 78 CLINIQUE MENTALE . - La tête est dans l'extension, bien qu'il n'y
sa longueur. - Le lobe paracentral est irrégulier; son 80 CLINIQUE MENTALE . sillon est vertical et séparé jusqu'au bord in
vation alors que nous remplacions M. Delasiauve. 6 82 -CLINIQUE MENTALE . Rensei{JneJ'iJfrrs(OU1'n1'sp(ll' sa mère (31 m
t toujours de médiocre intensité. Elle ne prend que des 84 CLINIQUE MENTALE . aliments liquides. Tendance à l'assoupissement
ngt-huit petits accès. T. R. 37°. Soir : T. R. 37°,2. 86 CLINIQUE MENTALE . 26 aur<7.La malade est prise d'un accès pen
L. III ont été dessinées par notre ami, M. E. Brissaud. 88 CLINIQUE mentale . Hémisphère cérébral droit. Même aspect de la p
que, juillet 1876 ; Gaz. médicale, 1876, p. 595 et 610. 90 CLINIQUE MENTALE . comparable à celui de l'épilepsie commune : c'
sur Psychia- trie. 4861.) - Experiments on the relation of heat to mental work ; par Lombard. (New-York med. Journ. Juin
nel'V. disease. Janvier 4879).-De la température dans les maladies mentales ; par Voisin (France méd. nos 89, 90. 4 878) ; d
ujours en mouvement, même quand le sujet était au repos physique et mental : cependant ces écarts de température étaient a
e augmentation de température s'observe aussi pen- dant le discours mental , mais moins sensiblement que quand la phonation
rature céphalique qu'il faudra tenir compte en matière d'aliénation mentale ; pas plus pour la thermométrie cépha- lique que
res de ces auteurs , on voit que dans toutes les formes de maladies mentales , comme chez l'homme sain, la région occipitale
omatiques de la folie. On remarquera aussi que, dans les affections mentales d'origine congénitale, la température du côté d
érature que l'on peut observer au cours des affections nerveuses et mentales , après avoir vu cette thermométrie spéciale ser
ES globes oculaires ; ÉTUDES d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE EXPÉRI- mentale ; par MM. Mat. DuvAL et J.-V. LABORDE. (Journal
aborde avaient entrepris avec lui une série de recherches expéri- mentales , en même temps qu'ils revisaient les pièces anato
es régions nerveuses qu'il a exposée dans le Journal of nervous and mental disease, à savoir que les faisceaux qui vont sa
ILES ET DES BATRACIENS; par F. I\1ASON. (The journal of nervous and mental disease, 1880. Fasc. lar, p. ,16.) Dans cet art
ère ; par MM. J. OTT et R. MEADE SwITrI. (Journal of nel'VOUS and mental disease, 1880, n° 1, janvier, p. 57.) Gluge et
a petite malade comprenait bien tout ce qu'elle REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 145 entendait, mais ne répondait que par le te
uère espérer chez un homme de cet âge. H. de B. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. Leçon D'OUVERTURE DU COURS DE CLINIQUE DES m
IE MENTALE I. Leçon D'OUVERTURE DU COURS DE CLINIQUE DES maladies mentales ; par M. le professeur BALL. En ouvrant la séri
ratifications sur lesquelles repose la 10 146 revue DE pathologie mentale . science moderne », M. Ball a substitué à l'exp
renseigner sur les tendances du professeur de clinique des maladies mentales . Quand il parle de la néces- sité de remonter a
cultes, que par l'esprit qui anime ses fidèles. REVUE DE pathologie mentale . 147 Pour lui, l'esprit vivificateur est l'espr
r M. Dufour ont pour but principal de démontrer que dans les formes mentales compliquées, les ictus cérébraux qui y sont si
ête un autre aliéné. (Ibid., janv. 1880.) 148 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . III. LÉSIONS ANATOMIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉR
artérielle chez les lypémaniaques. Les auteurs revue DE pathologie mentale . H9 J ne sont pas d'accord sur l'état de la cir
s ne sont pas rares ; des deux cas nouveaux 150 revue DE pathologie mentale . publiés par M. Christian, un surtout confirme
ui , travaillent t est extrêmement restreint. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 151 3° L'asile de Woogaroo, destiné aux aliéné
a eu plusieurs fois l'occasion d'observer l'apparition de maladies mentales diverses consécutivement à un travail intellect
: 1° que les statistiques ayant trait à l'étiologie de l'aliénation mentale ne concernent que ees asiles dont les malades s
de travail, est ordinairement passagère et 152 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . traitée dans la famille; 3° que si une tentati
portantes il apporter dans les programmes d'instruction. (Journ. of mental Science, janvier 1880.) II. D'O. X. L'aliénat
Journ. of mental Science, janvier 1880.) II. D'O. X. L'aliénation mentale dans SES rapports avec la SYPHILIS ; observatio
s situations particulières. Certaines formes, confinant aux espèces mentales connues, échappent à cette loi d'isolement, par
orales ; de l'autre, en pénétrant dans l'intimité du fonctionnement mental , pour y saisir la loi de l'enchaînement des idé
,000 fr., à l'auteur du meilleur travail sur un sujet de pathologie mentale et nerveuse. Les mé- moires manuscrits doivent
, -i ¡ , lr' ! I)T j, (fIW 1 f Id '* ^1 j, J,rujqb ^ ? CLINIQUE MENTALE 00 'nb' .1) .Jlf )1 ''11'1 " j'¡j' o'oanrn 'b
une manière générale, la démence ne paraît pas constituer une forme mentale comparable à ni iT ., à ! a'paralysie générale,
e chose qu'un mode de terminaison des autres'' espèces d'aliénation mentale . Notre vénéré maître, 'MÏ Délasülilve, en a rés
ait, finit par être complètement suspendu'. » i Journal de médecine mentale , 1861, p. 110-111. 214 CLINIQUE MENTALE. Tell
. » i Journal de médecine mentale, 1861, p. 110-111. 214 CLINIQUE MENTALE . Telle est la démence. Parmi les causes qui la
âgée de 10 ans, lorsqu'on s'aperçut qu'elle se 216 ,, , CLINIQUE ; MENTALE . , 3,j trouvait malade') temps,en temps; ces pe
: 1,rqJ f. t £ 14 ? ¡fl ¡[II. 1 -r .J-) aro. 1 '» 218 1 .CLINIQUE MENTALE . J. ,, 19 juillet. -"OEdème des deux pieds., ^U
it été malade un * TpjTiaj)"5 J1 ¡T3 'i 1,1 ii- 4L 220 , CLINIQUE MENTALE . *,«. ? .h 220 il 9b 19 <¡fl1 : jfjOfi CLINI
¡ .. ? -" ..¡t1ffi' W 'r.Y,T fpr ""{l'.1ff' l ; '.i ;> mil 'Etat mental . L'intelligence dont nous n avons rien dit jus- ,
r1 tuelle complète. " l 'f, 111 -t,' h < c 222 " "JI CLINIQUE. MENTALE . AUTOPSIE. Crâne, légèrement asymétrique; bosse
e M. A. Leroy : De l'état de mal épileptique, p. 18. 224 CLINIQUE MENTALE . qu'elle a succombé à un état de mal le 24 nove
le 26 mai. - Voici qu'elle a été la marche des accès : 226 CLINIQUE mentale . Cervelet et isthme. Poids : 1 0 gr. Hydrolho
approches de ses règles des étourdissements de quel- 228 CLINIQUE MENTALE . ques secondes de durée; la mémoire s'affaiblis
alade, est né à terme : au deuxième mois de cette der- 230 CLINIQUE MENTALE . nière grossesse, la mère eut une frayeur en fa
1878 ; 406 en 1879 et 102 dans les 40 premiers jours 232 CLINIQUE MENTALE . de 1880. Ajoutons que T.. avait des vertiges d
. Des lignes tracées sur le ventre avec l'ongle rou- 234 i CLINIQUE MENTALE . gissent et deviennent très apparentes au bout
en moyenne 7 ou 8 fois par jour : le malade tombe or- 236 CLINIQUE MENTALE . dinaircmcnt sur la face; il est agité de convu
ne au bout de 5 à 10 minutes, sans laisser aucun souvenir. L'état mental s'est profondément modifié depuis 15 ans. En 18
lumineuse que la droite, qui est filiforme. 1;s23g r ' . clinique mentale . lIJp Au niveau de. l'hexagone, la communicante
es symptômes complexes auxquels sont sujets les épi- 240 CLINIQUE MENTALE . leptiques de cette sorte. D'autre part,. les r
tiques qui semblent englobées dans la couche la 16 242 ? CLINIQUE MENTALE . T ' plus superficielle de' la' substance 'gris
econnu par nous sur quelques points de l'écorce grise, 244 CLINIQUE MENTALE . JI 1 11 loti 1."J "T '¡"<;Jf. Ht J...I ni
s faits signalés dans le "fl'J() Tg.u i; ,"1 ,p .lÜ 26 ô CLINIQUE MENTALE . , - .. 211f1f' IStJ "11 'r.y ) ? twr'.j ? )(n)
rente et moins condensée que la substance corticale. 2t8 CLINIQUE MENTALE . o ? TII ! 1'Q'.IdTtt5l iLIr11f¡ : cla .l\l ...
e contrôle des facultés intellectuelles. L. Landouzy. XIV. Calcul mental ET conformation crânienne ; par l3ROCa. M. Broc
sur le système nerveux paru en avril 1879 (Journal of Nervous and Mental Disease). L. LANDOUZY. VI. Altérations DES NERF
" It'1f. ? ' 0'a .t1 -jupidq.n- .. ur, r ' 1 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE " '">' ' ' 'A 1 : rr \'1 .J ? L II ' j...)
bileté relative déployée par, les délinquantes. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 315 Entre la conduite de ces femmes, détournan
i1 1 : \ afJIi I("'U dl oh XII.'Lesicérébraux,étudei-]DEipathologie mentale ;.i ? )u ? jiftmtdtdparleDCH. LAsÈGUE..v -il ,')1
Il' 1 qùe les1 maladies ultérieures affec- 316 REVUE 'DE PATHOLOGIE MENTALE . tant les parties déjà' lésées auront' une phys
une blessure, par une lésion encéphalique, par REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 317 une malformation du,crâne, la guérison, n'
ès,, où pour mieux'dire par exacerbation, il n est guère de forme mentale où 'il ne s'observe plus ou moins tranché^ Reste,
es et des paralytiques au début, un résidu de, malades, dont l'état mental spécial demanderait une dénomination particuliè
excitation intellectuelle,- des hallucinations, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 319 et ne s'accompagnant enfin d'aucun de ces
renseigner complètement sur toufce qui s'é- 320 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . - « tait passé pendant le temps qui venait de
d'épi- lepsie ; d'autres enfin attribuent à tous les malades l'état mental spécial dont on doit à M. J. Falret l'une des p
e cette ques- tion avec de nouvelles observations, admet que l'état mental des épileptiques peut être rapporté aux quatre
iques peut être rapporté aux quatre formes sui- vantes : 1° trouble mental intense, se reproduisant à des inter- valles pl
post-épileptique, immédiatement consécutive aux accès ou à un état mental équivalent; 3° folie préépilep- tique précédant
nt; 3° folie préépilep- tique précédant l'accès convulsif ou l'état mental équivalent ;' 4° folie épileptique n'existant q
ce qu'il entend par équivalence d'un accès épileptique et d'un état mental REVUE DE PATHOLGGIE MENTALE. 321 donné,, ni s
ALE. 321 donné,, ni sur, les. caractères qui différencient cet état mental de la folie spéciale aux intervalles des accès;
. rLa - t i même sur.. 4- 4 ? - r 21 21 322 REVUE DE pathologie mentale . constipation si fréquente, chez les lypémaniaq
uffisant pour justifier une séquestration indé- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 323 finie. M. Proust donne d'intéressants déta
(Ib2d.) ',1 ' ' k, -1 ' " XVIII. Rapport MÉDICO-LÉGAL SUR l'état mental DE F... ; "')11< ? Par MM. BIDAULT, FORTIN e
eurs conclusions à l'irresponsabilité et la 324 REVUE DE pathologie mentale . séquestration ont-elles été accueillies, et le
bler par certains côtés à l'épidémie de Loudun, REVUE DE pathologie mentale . 325 l'épidémie de Verzegnis présente plus d'an
ce des aliénés; in-8", 1863, chez Delahaye. 326 REVUE DE pathologie mentale . XXII. Délire ÉPILEPTIQUE avec IDÉES DE PERSÉCU
La curabilité DE la FOLIE ET LES cas DE GUÉRISON dans LES maladies mentales ; par M. PLINY EARLE, de Nor- thampton (Massachu
Dosage DE l'électricité; par M. G. BEARD. (Journal of zaeruous and mental disease. Fasc. ter, 1880, p. 24.). M. G. Beard
gical Association, le mémoire que publie le Journal of neruous and mental diseuse. Il s'agit, comme l'indique le titre, des
dente que, dans chaque département, le chiffre des cas d'aliénation mentale augmentait proportionnellement à celui de la co
l'alcool est loin d'être la cause de la moitié des cas d'aliénation mentale , mais on ne peut dire non plus que son influenc
- lonté ne peut avoir d'autre résultat que de produire l'anarchie mentale . M. 1\1oULD (Cheadle). La paralysie générale re
e de ces faits quant à l'influence des troubles génitaux sur l'état mental des aliénés, et la nécessité d'intervenir quelq
inq minutes de réflexion ; 3° une épreuve clinique sur les maladies mentales : un seul malade. Il sera accordé vingt minutes
n après l'examen d'un aliéné, et un rapport sur un cas d'aliénation mentale . Il sera accordé au candidat quinze minutes pou
ique commune, 20 points. Pour l'épreuve cli- nique sur les maladies mentales , à un seul malade, 20 points. Pour la deuxième
ment délégué dans les fonctions de chef de clinique de patho- logie mentale eu remplacement de AL' Dôntebënte ; q : ~ ? , l
logie mentale eu remplacement de AL' Dôntebënte ; q : ~ ? , logie mentale eil t.. de 4J iJ ' b -utrii"J PJ .5U/-Q.~T Asil
Sir James Paget. Il y aura quinze sections. La section des maladies mentales sera présidée par M. Lockhart Robertson. , Pr
uvent être utilisées pour caractériser certaines formes de maladies mentales , et servir de base à une classification métho-
e. MonaELU (E.) Angelucci (G.). Parère medico-Forense sullo stato mentale di un uxoricida, brochure in-8" de 40 pages. Regg
ès prononcées et sa famille présentait de nombreux cas d'affections mentales . A 8 mois, X... eut sa première attaque de conv
norma- lities in the brain of a hydrocéphalie imbécile. [Journal of mental science , octobre 1879, p. 329.) LOCALISATION
nde -extérieur, je n'ai pu obtenir aucune donnée précise sur l'état mental de Bogdanow : tout ce que j'ai pu constater, c'
ionnelle ni à une insolation ou à un trau- matisme. 1- , CLINIQUE MENTALE Il CONTRIBUTION. A L'ETUDE DE L'IDIOTIE' 1 II
Pl. IV, dessinée avec le plus grand soin par M. Leuba. 392 CLINIQUE MENTALE . Observation IV. ATROPHIE CEREBRALE : IDIOTIE
ez large, médio- crement profond, parait symétrique. 394 CLINIQUE MENTALE . , 1 Les oreilles sont longues ; leur partie su
s, réduites à un, deux ou trois millimètres de largeur 396 CLINIQUE mentale . diminuée notablement de hauteur. Ce foyer à pe
es convulsions qui prédominaient dans le côté droit. 398 CLINIQUE MENTALE . 15 jours , et les convulsions reprirent ensuit
nicante antérieure est double; les autres artères sont 400 CLINIQUE MENTALE . normales, ainsi que les différentes parties de
pondant, beaucoup plus volumineuse que les par- 26 402 CLINIQUE MENTALE . ties similaires gauches. L'oreillette droite é
llimètres. (Dubrueil. - Anomalies artérielles, p. 23). 404 CLINIQUE MENTALE . Sur le bord droit du tronc pulmonaire, au nive
anat., 1880, p. 1, et Progrès médical, 1880, p. 163. 406 CLINIQUE MENTALE . rha,gie dans le lobe frontal de l'hémisphère d
a Société médicale de la Suisse romande, 1875, p. 375. 408 CLINIQUE MENTALE . cerveau, dontparle également Strümpell, est un
4 0/0. Or, ce que les coupes, colorées au picrocarmin, 410 CLINIQUE MENTALE . nous ont permis de constater, peut se résumer
que, très lent, dont le point de départ réside dans la 412 CLINIQUE MENTALE . névroglie de la substance grise corticale, mai
excitation. - Rien'du côté de la sensibilité. Fonctions et facultés mentales normales, mais un peu de surdité; de temps à au
ntaires ; ces divers phénomènes s'accompagnaient en outre d'un état mental spécial. Dès que les malades eurent été envoy
ant d'engoûment inflammatoire des organes, entraîna la mort. Etat mental . Décroissance générale et graduelle des facul-
onnent une idée de leur intensité. Aux époques de grande excitation mentale se montrait un délire fixe spécial, caractérisé
pitali, 1 ro année, n° 1, 15 janvier ,1880. 476 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . LXXII. Deux cas DE MÉNINGITE suivis DE GUÉRISO
. (Lo Spel'imentale, 4880, fasc. 2.) H. DE B. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE L XXXII. DE L'INFLUENCE DES maladies FÉBRILES
Dr Fiedler, deux aspects différents. Ou bien il s'agit d'affections mentales dérivant de maladies somatiques ordinaires, à la
ie localisée dont l'évolution fébrile vient compliquer l'aliénation mentale . C'est sur ce second point que porte plus spéci
Voici le détail résumé des trois premières : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 477 7 Observation 1.-H..., de 4î ans,jouissant
au malade, avec ses forces physiques, la plénitude de ses facultés mentales . Guérison complète le 2 mai 1877. Observation I
ique, le typhus abdominal, le choléra asia- 478 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . tique, la fièvre intermittente, la pneumonie,
s une espèce de mue tout à l'avantage de l'amélioration de l'état mental troublé; c'est l'hypothèse du Dl Bircli-Hirschfel
'est l'hypothèse du Dl Bircli-Hirschfeld. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . le79 XXXIII. Constipation obstinée (de 35 jour
erimaniaci dell'ospedale di Padova, 1873. 480 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . n'est pas incompatible avec l'explication que
tard se reconnaîtrait aux caractères suivants : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 148t Anxiété mélancolique ; idée de damnation
tructif envers lui-même ou les autres ; il s'agit surtout d'un état mental pénible plutôt que d'une véritable vésanie. H.
dies du système nerveux central, et parti- culièrement des maladies mentales , fait l'historique des phases par lesquelles a
l montre le fruit qu'on a déjà recueilli de 482 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . l'application de ce système, et les progrès qu
, et les progrès qu'on peut encore en attendre. Car la pathologie mentale est loin d'avoir achevé son évolu- tion ; bien
vation. Après avoir tracé une description générale des maladies mentales , des caractères qui leur appartiennent, et montré
avec détails un cas où il a vu des désor- 48 le REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . dres psychiques accompagner la chorée, il rapp
rences. Quant aux symptômes, la distinction est REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 485 moins solidement établie. Si l'on doit adm
s médico-psychologiques, septembre 1880.) 486 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XLIII. Archives CLINIQUES.- 1 Observation de A
s médico-psycholog ., sept. 1880.) XLIV. La CLINIQUE DES maladies mentales ET la psychologie ; par M. P. DESPINE. M. Des
pas une part assez large aux études psychologi- REVUE DE pathologie mentale . 487 ques », et il a entrepris de démontrer l'i
de démontrer l'impossibilité de faire de la clinique en aliénation mentale sans avoir recours à la psychologie. Il nous se
ire l'obser- vation des troubles fonctionnels, le but de la science mentale étant premièrement «d'établir un rapport exact
de l'aliéné fonctionne d'abord et longtemps 488 revue DE pathologie mentale . régulièrement avec plus ou moins d'activité ;
olie morale, jadis contestée, envahit tout le champ de l'aliénation mentale . Selon elle encore, et toujours d'après M. Desp
amenèrent un retour léger de la sensibilité et REVUE DE pathologie mentale . 489 de la motilité. Les effets du zinc furent
tion d'Esquirol, présentée comme exemple de 490 REVUE DE pathologie mentale . folie simple, se terminant après dix ans par l
chol., nov. 1880.) XLVII et XLVIII. Rapport MÉDICO-LÉGAL SUR l'état mental DE J. GAY ; par M. DUFOUR. - Rapport MÉDICO-LÉG
ntal DE J. GAY ; par M. DUFOUR. - Rapport MÉDICO-LÉGAL SUR l'état mental DE E. MARTIN ; par M. DUFOUR. De ces deux rappo
, et ce jugement nous paraît irrécusable, Martin est d'une débilité mentale , consé- cutive à l'hérédité mentale et à l'épil
able, Martin est d'une débilité mentale, consé- cutive à l'hérédité mentale et à l'épilepsie de son jeune âge qui, sans le
endra la place de médecin-adjoint de Bicêtre. CLINIQUE des maladies mentales . Concours pour un emploi de chef de clinique ti
- quent inutile. Citons, pour terminer, une particularité expéri- mentale intéressante et qui pourrait être utilisée à l'oc
, membres, tronc); 7° Troubles psychiques ou altéra- tion de l'état mental ;- 8° Phosphaturie, symptôme commun à beaucoup d
erve souvent avant que l'hébétude ou un trouble marqué de l'état' mental aient apparu. L'auteur insiste surtout sur les
qui se distribuent aux parties affectées. 601 1 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . En somme, ce que Putnam et Berger décrivent so
le corps portant à faux sur le membre ? C. T. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XLIX. CONTRIBUTIONS A la connaissance DES PSYCH
rie u. l1'e·venkrankheiten, 1880.) Ce travail embrasse les troubles mentaux des femmes grosses, des accouchées, et des nour
, pendant les couches 49,3 et pendant la lacta- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 605 tion 33. La plupart de ces désordres psych
ns une très forte proportion. Les manifestations de la perturbation mentale revêtent des allures de début lentes, ou sont p
précédée de céphalalgie, pousse souvent la 606 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . malade à des tentatives de suicide, d'homicide
accidentel au point que lés aliénées, ont perdu avec la conception mentale du fait, la sensa- tion douloureuse des contrac
e plus de temps pour guérir que l'autre, de même que . l'aliénation mentale des couches est plus lente à disparaître que ce
e l'on rencontre chez les autres aliénés. P. IL REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 607 L. Rapports DES affections UTÉRINES ET DE
, tremblements fibrillaires de la face et de la langue, agitation mentale , signes de démence). L'autopsie fit découvrir de
éningite chronique cérébro-spinale. P. K. 608 REVUE DE pathologie mentale . LU. SUR LES hémorrhagies stomacales dans LE CO
LU. SUR LES hémorrhagies stomacales dans LE COURS DES AFFECTIONS MENTALES AVEC PARALYSIE par Julius KRUEG. (A1'chiv. sur
'existence d'une tumeur cérébrale chez un indi- REVUE DE pathologie mentale . 609 vidu jeune, lors même que rien dans les an
ente du poumon. P. K. LIV. CONTRIBUTIONS A la CLINIQUE DES maladies mentales ; par le Dr ARNOLD PICK, médecin à l'asile publi
mt. La seconde mériterait le nom de folie entée sur de la faiblesse mentale qui, à raison de la complication ulté- rieure d
binée ; de cette dernière M. P. rap- proche deux cas de Morel (Mal. mentales , 185 Il, p. 1 t 5) semblables, pour lui, à ce q
terre sous la forme d'une masse rouge 39 610 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . saignante, portant à son extrémité postérieure
articulation des mots. La guérison de la blessure et de l'affection mentale avait lieu bientôt complètement et la malade ne
'apparence de la santé et est raisonnable. Elle REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 611 t admet l'absurdité de ses idées; elle ne
minemment- dangereuse et inutile, sauf évi- 612 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . demment quand il existe des indications spécia
e en 18'4 ! 4 dans le but de favoriser les pro- grès de la médecine mentale et d'améliorer la condition des aliénés en Amér
e 1-0 hectares pour les établissements de 200 . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 613 malades, destiné à la création de jardins
exécuter aux malades. H. D'O. LX. Rapport MÉDICO-LÉGAL SUR l'état mental D'UN NOMMÉ SEIZE, inculpé DE VOL qualifié ; par
délire réel ? 2 Etait-ce un fôu exagérant les symptômes de la forme mentale dont il était vraiment atteint ? Le rapport de
, mais la répétition des accès n'a aucune influence sur leur état mental ; ils ont un'caractère moins désagréable et moins
au point de vue clinique et en particulier à celui de la pathologie mentale , mais il ne résout t pas la question physiologi
on décentralisée des asiles telle qu'elle résulte des lois départe- mentales , la gestion des biens des aliénés non interdits :
et d'une grande valeur.» » ,r f, . The Journal of f llTe·vous and Mental disease (1880), signale comme il suit à ses lec
, résumeront toutes les études faites sur les maladies nerveuses et mentales . 1 '" « De même qu'il est d'un louable orgueil
es sciences médicales, Lo7zd7'es, août 1881 . Section IV : Maladies mentales , sujets proposés. Anatomie : 1° Les méthodes de
e rapport de la localisation céré- brale aux symptômes des maladies mentales telles que l'hallucina- tion ; - 2° L'hypnotism
niques M. Magnan a recommencé ses leçons cliniques sur les maladies mentales et nerveuses le dimanche 22 janvier, à 9 heures
ses conférences 648' ` FAITS 'DIVERS. cliniques sur les maladies mentales et nerveuses, et les continue 4 depuis tous les
ontpellier est si transformée éiï`cliâire`derèliniqûé des 'maladies mentales et ii¿i : : 1; a..r., Inm -341 11 1 (I\I C .
ata- ) " ...... "t' ? f, "1" ° l" .......0 l' x 1 j 11 il( I dies mentales en remplacement de M. Bouteille, démissionnaire.
tion à l'asile de Perth, il se consacrait en entier à la spécialité mentale , tout en publiant uû çéi·tain nombre de travaux
ecine, Lander Lindsay a laissé beau- coup de travaux de psychologie mentale et d'administration. Il a concouru, plus que' p
uait-il pas dans son asile; mais; si' nous en croyons le Journal of mental science, 650 FAITS DIVERS. Lindsay prenait vo
. Asile de Bnoa. - M. leur Brun, chef de la clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Lyon, a été nommé méd
LETIN BIBLIOGRAPHIQUE DuFOLIx (E.). Rapport médico-léyal sur l'état mental du nommé Gay (Joseplz-Et7e7z7ze), brochure iii-
(entrecroisement sensitif du), par Debove et Gombault, 5. Calcul mental (conformation crâ- nienne et), par Broca, 281.
ment de la), par Waller, 493. Crâne (conformation du) et calcul mental , par Broca, 281. t. Cylindre-axe (dégénération
tisme (phénomènes et nature du) animal, par Berger, 437. Maladies mentales , par Pick, 609. Malformations héréditaires, par
44 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
SEY. ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIEE SOUS LA DIRECTION DE J.-bz. CHAUCOT
r un lien de parenté que trahissait l'hérédité, sont les affections mentales . L'hérédité de l'aliénation dans ses différente
accouchées et des nourrices, etc., 18ï8. 3 Esquirol. - Des maladies mentales , 183, t. II, p. 74. 4 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. ne
jouent un si grand rôle comme causes déterminantes de l'aliénation mentale ou de certaines névroses, comme l'épilepsie, la
n, détermi- ner chez le produit une prédisposition à l'aliénation mentale ; c'est ainsi que, d'après Flemming, les enfants
maux non héréditaires, mais congénitaux. Les troubles nerveux et mentaux , si fréquents chez les sujets dont la naissance
ce n'est pas d'emblée que l'hérédité nerveuse produit l'aliénation mentale , il arrive souvent que deux ou trois génération
ÉNÉRALE. Il faut noter d'ailleurs que, parmi les affections dites mentales , il en existe une, la seule dont l'anatomie pat
rale constitue en quelque sorte une transition entre les affections mentales et les affec- tions cérébro-spinales à lésion c
u'elle a pu être regardée comme la moins héréditaire des maladies mentales : et, d'après M. Doutrebente', quand, par excep
anifestations de nombreux troubles psychiques. Les manifestations mentales de l'épilepsie sont trop bien connues depuis le
s avant, sous forme d'aura psychique. D'autres fois, les troubles mentaux constituent à eux seuls toutes les maladies (pi
quelle que soit leur forme, amène la démence. Outre les troubles mentaux qui font partie du mal comitial et ceux qui en
and nombre des affections du système nerveux; mais les affections mentales occupent incontestablement le premier rang. Nou
ie et l'hystérie se manifestant par des attaques distinctes. L'état mental des hysté- riques en dehors des attaques n'a no
ues un tempérament fou, une véritable insanité morale, ces troubles mentaux ne sont pas un apanage nécessaire de la névrose
viennent épileptiques, d'autres aliénés. La fréquence des troubles mentaux chez les crimi- nels, déjà constatée par Coinde
129. "Nicholson. The morbid psychologof criminels (The journ. of mental science, 1873, 1874, 1875.) 0 Coindet. Observat
, t. XIX, p 27J.) 7 J.-B. Cazauvielb. - Du suicide, de l'aliénation mentale et des crimes contre les personnes comparés dan
1. J.-B. Thomson. On hereditary nature of crime. (The jozerzz. of mental science, 1870.) "Sauze. /iec/terc/iMSM;' la fol
e génie, le tempérament artistique, se trouvent unis aux affections mentales par une parenté facile à mettre en évidence, gr
9 Pascal ' a bien montré la réalité de la coexistence de troubles mentaux avec un grand développement intel- lectuel ; le
e point un seul qui soit symétrique, 1 G. Savage. Some relations of mental disease to inherance. (Guy's hosp. reports, t.
nous avons déjà considérées, offrent dans leurs cours des troubles mentaux qui ne sont point considérés comme des épisodes
IE GÉNÉRALE. tuel. Nous voyons que, dans la chorée', ces troubles mentaux sont loin d'être rares. Dans la paralysie agita
ue, mais surtout M. Bail ont signalé des phénomènes de dépression mentale , pouvant aller jusqu'à la stupeur. D'autres foi
exophthalmique avec lequel on voit souvent coïncider des troubles mentaux signalés par Solbrig, Geigel, Van Deusen, Andre
en seraient pas moins nette- ment liées par l'hérédité aux maladies mentales , aux névroses d'une part et, de l'autre, aux ma
elle affecte les rapports les plus étroits avec 1 Marcé. -De l'état mental dans la chorée (7eM : .t<e l'Acad. de nzéd"
A FAMILLE NÉVROPATHIQUE. 25 l'épilepsie, l'hystérie ', l'aliénation mentale 2. (OBs. VI, XII.) Observation XIX. - L..., h
ar l'hérédité aux maladies nerveuses et en particulier aux maladies mentales qui peuvent coexister chez le même sujet. Il en
sur les phrénopathies ou traité théorique et pratique des maladies mentales , 2. éd. 1880, t. l, p. 428. 3 li.-II. Saltcr. -
m- bécillité ; ils ne sont pas rares non plus dans les mala- dies mentales , en particulier chez les mélancoliques. On les
ue, cet état dura une année. Elle recouvra ensuite ses fa- cultés mentales ; mais les crampes musculaires re- vinrent et du
la paralysie générale, on a depuis longtemps signalé des troubles mentaux coïncidant avec le tabes ataxique (Horn, Romber
. cliniques sur quelques cas d'ataxie locomotrice dans l'aliénation mentale . (Ann. méd. psych., 187 ? lie série, t. XIV.) 3
maladie de famille °, et elle pourrait s'associer à des troubles mentaux 6. Observation LIX. - M. D... Paralysie infanti
e hémiplégie droite. 1 Kesteven et Langdon Down. - Tite jOlt1'n. of mental science, 1870. . Tlwjolt1"ll. of mental science
on Down. - Tite jOlt1'n. of mental science, 1870. . Tlwjolt1"ll. of mental science, 1SS2, t. XXVIII, p. 144. 3Chvostek. -
MM. Bourneville et Brissaud. D'autres se rapprochent des troubles mentaux de la paralysie [générale et peuvent s'explique
répond au nom de Bru- tus, n'ont pas besoin d'avouer leur hérédité mentale , leur prédisposition était officiellement const
,, et on peut dire qu'un homme qui connaît à la fois les,itialadies mentales et nerveuses est un être exceptionnel. 11 n'est
e, nouvelle attaque avec perte de con- naissance suivie de troubles mentaux qui durent deux semaines. Actuellement homme d'
al* se rencontre fréquemment chez les sujets at- teints de troubles mentaux ou hystériformes. Nous avons noté plusieurs foi
isme"est le 'fait 'de troubles de l'innervation sensitive, motrice, mentale , vaso-motrice et que, partant, il constitue une
- tion d'attaques de goutte alternant avec des accès d'aliénation mentale (Dagonct) 4. Berthier admettait que toutes les
4, p. 280. 4 Dagonet. - Traité élémentaire et pratique des maladies mentales , 1862, p. 210. s Berthier. - Les névroses dia
n inopinée quand les jointures sont prises de nouveau. Le trouble mental le plus fréquent chez les goutteux est sans con
); obtenu deux fois la guérison et une fois l'amélioration par un mental science, oct. 1880, p. 343). - Clouston. Clinical
mental science, oct. 1880, p. 343). - Clouston. Clinical lectures on mental diseases, London, 1883, p. 456. 1 Potain. - G
lle est originale et parait être sujette à des accès d'alié- nation mentale ; elle fuit de temps en temps de la maison, sans
des phosphates a été signalée dans un cer- tain nombre de maladies mentales . Mais MM. Bouchereau et Magnan 2 ont examiné à
te-Anne les urines de 6,000 aliénés, présentant les diverses formes mentales , et, en dehors de quelques cas très rares d'épi
res. La maladie a commencé par une période d'excitation de son état mental et des convulsions générales, dont 1 F. Guyon.
re, laisser au chef de service seul compétent, pour juger de l'état mental de ses pensionnaires, une responsabilité à laqu
l avait déjà remarqué cette coïncidence de l'ataxie avec l'hérédité mentale , il y fait allusion dans l'un de ses écrits.
t de relater toute la vie patlio- logique du malade au point de vue mental . Généralement le dossier des aliénés, dans les
stion des exper- ' Uses auxquelles peuvent donner lieu l'aliénation mentale , soit dans les rapports avec la criminalité, so
seraient aussi exceptionnelles. « En présence d'un cas d'aliénation mentale , la justice n'intervient pas; la responsabilité
térique; par DA VID. Thèse, 1884. De l'influence exercée sur l'état mental par l'approche de la mort : par Salivas. Thèse
- 384. Vol VII. Mai 1884. Nu 21 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE ' ; ,H ¡ 1 4f' ? L^. -PERTE DE LA VISION MENTAL
ROLOGIE CLINIQUE MENTALE ' ; ,H ¡ 1 4f' ? L^. -PERTE DE LA VISION MENTALE DANS' LA MÉLANCOLIE ANXIEUSE-; , 41 . 1 '11 fI,
terminer la valeur clinique du symp- tôme et sa place en pathologie mentale . J'ai laissé vo- lontairement de côté toute int
le professeur Charcot, et Archives, l. VU. I ! 1 foi 290 CLINIQUE mentale . publiée par M. Bernard, dans le Progrès médica
tait perdu et qu'il ne guérirait jamais. M. P... PERTE DE LA VISION MENTALE . 291 faisait les plus grandes difficultés pour
s magasins et la maison qu'il habitait. Aujourd'hui cette opération mentale est devenue complètement impossible. M. P... ne
y a quelques semaines, auprès d'un homme d'une 292 -) ' CLINIQUE MENTALE . quarantaine d'années, dont l'état mental donna
'une 292 -) ' CLINIQUE MENTALE. quarantaine d'années, dont l'état mental donnait quel- ques inquiétudes à son entourage.
, autre chose qu'une coïncidence fortuite. Si la perte de.la vision mentale était un fait ordinaire chez PERTE DE LA VISION
e.la vision mentale était un fait ordinaire chez PERTE DE LA VISION MENTALE . 293 les anxieux chroniques, on serait invincib
tionnels comme ceux que je viens de citer, où la perte de la vision mentale étant accomplie, le délire corrélatif ne s'est
ier s'il n'y a pas quelque chose d'analogue à la perte de la vision mentale , un dimi- nutif de ce symptôme chez les mélanco
serait pas moins intéressant de rapprocher de la perte de la vision mentale l'altération des senti- ments affectifs. L'in
qu'y ont trouvé les mystiques. Parmi les philosophes, 294 CLINIQUE MENTALE . Aug. Comte' a attaché la plus grande importanc
r ces rap- ports entre les sentiments moraux et la réprésentation mentale : « Ce que d'ordinaire on entend par sensibi- l
t humain. Genève, an XII, t. ¡or, p. 298, 301. PERTE DE LA VISION MENTALE . 295 Les mélancoliques avec conscience de leur
vrite optique double, ainsi qu'un visible aliaissement des facultés mentales . A l'hôpital, la malade souffrait constamment de
les trois autres sont atteints de l'une des formes de l'aliénation mentale (sur quatre cent soixante-onze aliénés. En ce q
a est peu probable, car, dans les ouvrages consacrés à l'aliénation mentale , nous ne voyons pas mention- née la rumination.
la genèse de ces manifestations. D'après lui, la condition fonda- mentale des phénomènes tendineux réside dans la tonicité
à part des absenses durant jusqu'à une demi-heure, le matin, l'état mental était parfait quand les deux derniers mois furent
s. Du rôle de la profession dans le développement de l'aliénation mentale . M. Charpentier. On est surpris, en compulsant le
. Dagonet (1882)et les auteurs des différents articles d'aliénation mentale des deux dictionnaires de médecine, ne fourniss
. Dans le projet de statistique applicable à l'étude des maladies mentales arrêté par le congrès aliéniste international, pr
ce professionnelle a-t-elle si peu fixé l'atten- tion en aliénation mentale ? Ce défaut de recherches s'explique par plusie
première tient à l'évolution scienti- fique elle-même en aliénation mentale . Sans remonter au temps où la folie, considérée
tives qu'é- mouvantes ont été invoquées pour expliquer l'aliénation mentale qui déjà n'est que trop développée lors de l'ap
époque, et on peut dire que c'est là sa caractéristique en médecine mentale , une autre cause prépondérante a été mise en re
ofessions capables de contribuer au développe- ment de l'aliénation mentale ? Quel est leur rôle dans ce développe- ment ?
on de la profession a été notée comme pour le plomb. L'aliénation mentale a été citée chez les calambristes d'Almaden (Es
hez des mi- neurs californiens. M. Delasiauve a relaté des troubles mentaux dans une famille exposée aux vapeurs de mercure
folies ! Ellis rapporte une observation (Obs. 40) où l'aliéna- tion mentale due au froid est bien démontrée; c'est, chose sur
mises, et. pourtant nous ne trouvons presque rien sur l'aliénation mentale partempérature excessive ; toutefois rappelons le
'il est admis que ces lésions produisent fréquemment l'aliéna- tion mentale ), pourquoi donc ces mêmes lésions ne produiraient
quoi donc ces mêmes lésions ne produiraient- elles pas l'aliénation mentale quand elles sont causées par lefroid, le chaud
ujours la même réponse : c'est qu'on n'a pas recherché l'aliénation mentale dans ces conditions. Troisième groupe. Notre tr
SOCIÉTÉS «A VANTES. 3t0 J profession et l'effet ultime : aliénation mentale . Toute prufcsii n qui déterminera une maladie d
cette maladie sur le cerveau de produire en définitive l'aliénation mentale . Historiquement parlant, pour que ce groupe pût
s professions interviennent dans le développe- ment de l'aliénation mentale , d'autant qu'en tenant compte de ces différente
uence et à la gravité des in- somnies prémonitoires de l'aliénation mentale , opposée à l'in- fluence bienfaitrice d'un heur
étiologique de la profession dans le développement de l'aliénation mentale . M. LE Président donne ensuite la parole à M. T
sa grande expérience de toutes les choses relatives à l'aliénation mentale , et de sa compétence toute spéciale dans les qu
s, en effet, se faisant toujours la plus grande illusion sur l'état mental de leur malade, ignorent souvent la folie dont
qui rendront difficile, sinon impossible, la constatation de l'état mental de tout individu soigné chez lui. Pour les aliéné
quatre ans, il s'est ouvert trois nouvelles cliniques de mé- decine mentale (Heidelberg, 1879; Bonn, Leipzig, 1882), que les
trait au placement des personnes aliénées ou suspectes d'aliénation mentale qui, pour cause de crime ou délit, sont inculpé
s le groupe 1 a. (affaiblissement intellectuel, idiotie, aliénation mentale ) ne peuvent être placés que : 1° dans des asiles
ns des asiles d'idiots dont il relèvent, ainsi que l'indique l'état mental de la plupart d'entre eux; 3° dans des quartier
sans affaiblissement intellectuel, sans idiotie, sans aliéna- tion mentale (Ib.) pourrait tout aussi bien se fondre dans cel
nsidérer le nombre des malades absolument indemnes, au point de vue mental , comme infiniment petit. Aussi peut-on recevoir
contiennent des épilep- tiques ; on les répartit d'après leur état mental . Le Président propose de ne pas voter sur les c
eu connue mérite d'être étudiée dans ses rapports avec l'aliénation mentale ; elle est en relation avec l'atteinte de la mo
on, de l'innerva- tion du facial. Sur les six faits avec aliénation mentale , quatre se faisaient remarquer parla présence d
alytique, dans les autres formes de la démence, dans les affections mentales séniles, dans les démences terminales. Pourquoi
iques sous leur dépendance. Or, c'est précisément dans le complexus mental que l'on trouve des points de repère nets capab
e de leurs versements antérieurs. On sait en effet que l'aliénation mentale , comme la syphilis ou toute maladie imputable à
it le droit de le recevoir, sauf à faire ensuite constater son état mental conformément aux prescriptions légales. La loi
. Tel a été également l'avis du Congrès inter- national de médecine mentale , dont les membres se sont ralliés à la proposit
rce qu'au moment de la promulgation de la loi actuelle, la médecine mentale était, pour ainsi dire, « une branche morte de
les diverses phases par lesquelles a passé la science des maladies mentales depuis 1838 jusqu'à nos jours et constate que,
. M. Billod part de là pour démontrer que l'étude de l'aliénation mentale s'impose à tous les médecins et conclut au rejet
dotés d'une institution aussi nécessaire aux progrès de la médecine mentale qu'à la dignité et à l'indépendance du médecin.
rme et pour augmen- ter l'importance de l'enseignement des maladies mentales , M. Bail demande que tous les élèves soient ast
médecine sont pourvues d'un enseigne- ment officiel de l'aliénation mentale , et que, de plus, des cours particuliers foncti
la plus grande partie ont trait à l'étude des maladies nerveuses ou mentales . Cette publication sera très appréciée des méde
délire des persécutions, les cérébraux, questions de thérapeutique mentale , de la responsabilité légale des aliénés, de= d
xhibitionnistes, la mélancolie perplexe, la folie adeux, le vertige mental , des vertiges, le mal de tête, de la spermatorr
BIBLIOGRAPHIQUE. 1197 Etude clinique et expérimentale sur la vision mentale ; par Gnoui- GNEAU. Thèse de Paris, 1883. Etud
pli pendant deux ans les fonctions de chef de clinique des maladies mentales , nommé au concours dans une Fu- culté de médeci
qu'ayant subi des épreuves semblables à celles du chef de clinique mentale , n'en sont pas moins obligés de subir de nou- v
n possible entre les épreuves du clinicat de la chaire des maladies mentales , et celles du concours pour les places de médec
s des trois concours dont il est question : CLINICAT DES MALADIES MENTALES . 1° Épreuve sur un cas de maladie ordinaire (10
cins adjoints des asiles et tous les chefs de clinique des maladies mentales relevant d'une Faculté de l'Etat. Ceux qui auro
fs de clinique, nommés au concours auprès d'une chaire de maladie mentale dans une Faculté de l'Etat, l'avantage pourra êtr
dixième du maximum. 2° Consultation écrite sur un cas de médecine mentale (10 minutes d'examen; le jury déterminera le te
ur la leçon orale), 20 points. 3" Epreuve clinique sur les maladies mentales ; un seul malade (20 mi- nutes pour l'examen, 20
ion, après l'examen d'un aliéné, et rapport sur un cas d'aliénation mentale (15 minutes pour l'examen de chacun des malades
t que d'attirer les jeunes médecins vers la spécialité des maladies mentales . Ces craintes sont-elles fondées ? Les partisan
ter sur une voiture et conduire à Besançon ; Considérant que l'état mental de la femme Voisard ne présen- tait à ce moment
nt assez à temps pour se prémunir contre les accidents. Instabilité MENTALE .- Sous le titre de : L'escapade d'une gamine, l
os de rien. » Il s'agit là fort probablement d'un cas d'instabilité mentale , comme on en voit un certain nombre à Bicêtre e
Baillière. LEGRAND du SAULL. Les hystériques. État physique et état mental . Actes insolites, délictueux et criminels. Un v
Etablissements qui leur sont con- sacrés. Organisation des maladies mentales et nerveuses. Un volume in-8- de 355 pages. Par
on insanity in the united States. Extrait du Journal of nervous and mental dzsense. Brochure in-8° de 17 pages. New-York, 18
Acoustique (noyau externe de l'), par Monakow. 124. Aliénation mentale (du rôle de la profession dans le développement
isations spinales, 341. Mélancolie anxieuse (perte de la vi- sion mentale dans la), par Cotard, 289. Méningite tubercul
o- mènes), par Eulenburg, 123. Tremblements (recherches expéri- mentales sur les - dépendants de l'écorce du cerveau), p
rticulier dans l'ataxie loco- motrice), par Ch. Féré, 224. Vision mentale (perte de la - dans la mélancolie anxieuse), pa
45 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es témoins affirment qu'il n'a jamais donné de preuves d'aliénation mentale . On ne note pas non plus d'hérédité dans sa fam
e connaît pas d'antécédents fâcheux dans sa famille au point de vue mental . Il est accusé d'avoir adressé des menaces de m
886.) Dans le cas de R..., on n'a pas trouvé d'hérédité nerveuse ou mentale . Et on peut toujours objecter qu'il y a une par
'est pas non plus un héréditaire, n'en présente pas moins un état mental particulier qui le place sur les frontières de
trois ans, nomméGeoresR..., atteintd'un certain degré de débilité mentale et interné au cours d'accidents alcooliques qui
terrifiantes de l'ouie et de la vue. Etat actuel : Ilubifus et état mental ; fonctions scazsilives, motrices, génitales, o
d avec les certificats suivants : Certificat de police : débilité mentale avec idées confuses de persécution. Hallucinati
cataracte de l'oeil gauche (Magnan). Certificat immédiat : Débilité mentale avec idées' de persécution; hallucinations : on
ps qui est quelquefois considérable. État actuel. flexbitus et état mental . R... âgé de vingt-neuf ans à son entrée, est a
rynx et des cordes vocales. .E<«(M;/c/tt(jf ! <e.Les facultés mentales sont très rudimentaires. Amelina 1... passe sa
moteurs; par IIELWEG. (Arch. f. Psch., XIX, 1.) Dans les maladies mentales , il existe invariablement des troubles du systè
est le bleu. On retrouve des phénomènes analogues dans la vi- sion mentale de certains individus normaux (\"tin1t), mais l'é
utre, et toujours à gauche, hématome dure- 1112 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . mèrien, hydrocéphalie externe et interne, infl
ilep- sie corticale. Tumeur du cerveau. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1. La théorie de l'incohérence avec désordre da
nance bien marquée entre les symptômes pulmonaires et les symptômes mentaux . En effet dans la première, l'asthme chro- revu
taux. En effet dans la première, l'asthme chro- revue DE Pathologie mentale . 113 nique disparaît lorsque la folie s'établit
isparaît lorsque la folie s'établit, et reparait dès que le trouble mental devient chronique. Dans la seconde, l'asthme sup-
ATOIRE chez LES aliénés, par T. DUNCAN GREENLEES. (7'/te Journal of Mental science, octobre 188S.) Ce mémoire très intéres
ez 12,94 p. 1110 des Archives, t. XVII. 8 114 revue DE pathologie mentale . aliénés vivants et qu'elles causent la mort da
énation dans le : quels il est impossible d'assigner à l'aberration mentale une autie cause que la lésion cardiaque ou le tro
, chez un malade d'asile, par Ilanax A. 13h\11.1x. (Tite Journal of Mental science, 5 aviil 188.) La terreur qu'inspirai
i rares qu'on le pense. Rapport sur la clussificatiorz des maladies mentales , M. Garnier, se tenant le plus possible à l'éca
rapport avec le niveau de nos connaissances actuelles en pathologie mentales . Nous estimons qu'elle peut représenter digneme
de lllOirTYEL pense qu'une classification écolo- gique des maladies mentales est non seulement possible, mais est la seule p
seul auteur qui ait osé baser sur elle une description des maladies mentales , a pris une... hypothèse pour point de départ.
st très évident chez cette malade qui est tombée alors dans un état mental particulier et dont les attaques débutant à ce
vembre 1888. l'fi 1 nn M. Cotard. Congrès international de médecine mentale . )I. LI : SECnÉrvnF général fait connaître les
aux du comité d'orga- nisation du Congrès international de médecine mentale de 1889. Ce congrès se tiendra au grand amphith
des sujets étrangers au pro- gramme, mais relatifs à la pathologie mentale . Le comité a arrêté le programme suivant : a.
t on peut la considérer comme guérie. Classification des maladies mentales . (Suite de la discussion.) M. DAGOpOE'r dévelop
n morbide puisse servir de base à une classification des ma- ladies mentales , parce que d'abord, il est impossible de prévoir
OLOGIE. . \I. le Dr SavIES C. lIoNDEN Le traitement de l aliénation mentale L'orateur y retrace les progrès faits depuis vi
faits depuis vingt ans dans le trai- tement des diverses affections mentales , dus en grande partie à la connaissance des lés
on, influence de celle-ci sur l'intel- ligence, troubles nerveux et mentaux de la grossesse, manie tran- sitoire pendant le
n- sitoire pendant le travail, éclampsie puerpérale et aliénation mentale , symptômes prémonitoires de la folie puerpérale.
a v mie entretient le congrès des SOCIÉTÉS SAVANTES. 123 troubles mentaux associés aux engagements matrimoniaux : mélan-
chez des indi- vidus nerveux, chez les dégénérés. Tous les troubles mentaux de l'adolescence et de la puberté, sont pour le
7t2lS p«r' la crcarziométrie et l« céphaloscopie clmas les maladies mentales et cérébrales. · Le D'' Hack-Tuke admet que dan
d'autant de régimes que d'individus, selon les nécessités de l'état mental . 10° La dépense générale se multiplie quand, en p
les psychiques. Conclusions : Les cas de simulation de l'aliénation mentale ne sont pas aussi excessivement rares qu'on veu
typhiques sains d'esprit. Influence de la maladie sur- l'aliénation mentale . On en relève 13 observations jusqu'en 1882; 38
as, pendant et quelque temps après la fièvre typhoïde, amélioration mentale des plus notables, les symptômes de la psychopa
les 38 observations dernières, deux cas dans lesquels l'aliénation mentale , guérie avant l'explosion de la ma- ladie infec
. Jolly a vu la fièvre typhoïde guérir une épilepsie avec trou- ble mental , et la scarlatine agir de même dans l'épilepsie.
en modifiant la circulation que la fièvre typhoïde agit sur l'état mental . La phtisie détermine souvent la résolution de. l
equel il y avait anesthésie du vagin; celle-ci guérie, l'aliénation mentale gu.érit. SOCIÉTÉS SAVANTES. '131 M. ËMM)GH.
de consigner sur ce registre les changements survenus dans l'état mental de chaque malade, au moins chaque semaine pendant
n constate également sur ce registre la date de la sortie et l'état mental du malade au moment où elle a lieu, la date et
issement ou le médecin inspecteur des aliénés est d'avis que l'état mental du malade pourrait compromettre la sécurité, la
nom, la résidence des personnes qui ont retiré le malade, son état mental au moment de la sortie et, autant que possible, l
ommunes, ordon- nent à l'égard des personnes atteintes d'aliénation mentale toutes les mesures provisoires nécessaires, à l
ment ou sur la demande de particuliers, et dans le cas où leur état mental pourrait compro- mettre la sécurité, la décence
r le dépôt des aliénés de passage que, pour l'observation de l'état mental des prévenus ou des accusés présumés aliénés. '
ière question des expertises médico-légales en matière d'aliénation mentale reviendra dans la troisième section du titre II
res que le temps nécessaire pour constater leur état d'aliéna- tion mentale et pourvoir à leur transfèrement dans l'asile des
re placé dans un établissement d'alié- nés, dans le cas où son état mental compromettrait la sécurité, la décence ou la tr
ugées nécessaires : -. « 1" Tout inculpé qui, par suite de son état mental , a été consi- déré comme irresponsable et a été
onnelle qui a été acquitté comme irresponsable à raison de son état mental ; 148 SÉNAT. ? 3° Tout accusé ou prévenu, poursu
la défense a soutenu qu'il était irresponsable à raison de son état mental ou si le ministère public a abandonné l'accusat
sur le motif que l'accusé était irresponsable à raison de son état mental ; cet accusé ainsi acquitté sera remis à la dispo
été commis ou qu'il aura choisi, et elle aura pu porter sur l'état mental de l'accusé. La décision du jury non motivée, n
sieurs manières. C'est quelquefois l'aliénation habituelle, un état mental tel, qu'on puisse réellement considérer comme a
es de l'article 39 du pro- jet, irresponsable, à raison de son état mental au moment même 150 SÉNAT. où le fait a été ac
ie des Maladies du système nerveux sans y comprendre les affections mentales proprement dites. Il se place à un point de vue
d'éloigner plutôt les jeunes médecins de la spécialité des maladies mentales . Mais cette oligarchie médicale existe dès main
qu'on pourrait peut-être, dans l'in- térêt de l'étude des maladies mentales dans les Facultés de pro- vince, organiser au s
ie interne ou exlerne ; 6) une question portant sur la pathologie mentale et la médecine légale des aliénés. La Commissio
compte si les candidats avaient étudié non seulement la pathologie mentale , mais encore et surtout la clinique mentale.
seulement la pathologie mentale, mais encore et surtout la clinique mentale . Tel est, monsieur le Ministre, le résultat des
ans un Asile public ou privé consacré au traitement de l'aliénation mentale , soit comme interne nommé au concours dans un h
aires : MAI. les Drs Pierret, professeur de cli- nique des maladies mentales à Lyon, médecin en chef de l'asile de Bron; Dan
ominations : M. le Dl ROUILL.In1), chef de la clinique des maladies mentales à l'asile clinique (SaitiLe-Aiine), est nommé,
est aliéné, qu'il est atteint de telle ou telle forme d'aliénation mentale , et qu'il est nécessaire qu'il soit admis dans un
. M. Mairet, vient d'être nommé professeur de clinique des maladies mentales et nerveuses. Médecins aliénistes sénateurs. M.
ent que ses paroles n'étaient pas en rap- port avec ses impressions mentales , car le D'' Osborne affirme clairement que, en
décembre 1888. Présidence DE M. COTARD. Classification des Maladies mentales . (Suite de la discussion.) M. Lo5-s croit qu'il
français, un Slave, cette forme permet de con- clure à l'ali;nation mentale . M. AUER13.CII (de Francfort). Des lobes optiqu
formes initiales des psychoses.- Les premiers troubles de la santé mentale qui suivent les maladies épuisantes, les effort
des années, disparaître par le repos et la restauration physique et mentale . Mais, si la dyserasieet les troubles de la cir-
oenigsberg). Communications thérapeutiques' Quatre cas d'aliénation mentale chez des paralytiques généraux, qui ont guéri p
in extenso dans les Arch. Psyclt 1.) M. Leppmann. De l'aliénation mentale comme cause de divorce. Une femme mariée, attei
ychique.) . ii. NFissER (de Leubas). La classification des maladies mentales proposée par E«/t<6(tMme' : 1863. L'heure av
e. L'étude du pronostic, toujours défavo- rable dans les affections mentales périodiques, mérite plus ample. observation, pl
directeur-médecin consulté, affirme la persistance de l'aliénation mentale . On lui demande alors si cette malade serait en
ne ou de diverses personnalités. M. LIEBE. Du diabète en aliénation mentale . Observation d'une dame de cinquante-trois ans,
récisément parce qu'il n'était pas responsable à raison de son état mental . Un sénateur au centre. Habituel ! - )1. DELS
juridiction même qui a prononcé l'acquittement. On me dit : « état mental habituel ». Il peut en effet, se produire deux hy
mière, c'est que l'individu soit dans un état habituel d'aliénation mentale . Tout le monde reconnaîtra que, dans ce cas, il
lieu, non pas parce qu'il est dans un état habituel d'aliénation mentale , mais parce que, au moment de l'acte incriminé, i
iminé, il n'était 316 SÉNAT. pas responsable à raison de son état mental . Il a eu un accès de folie et c'est dans cet ac
is par l'accusé, celui-ci n'est pas responsable, à raison de l'état mental où il se trouvait au moment du crime. Par consé
ait poser au jury la question d'irresponsabilité à raison de l'état mental de l'accusé. . Cette proposition n'a pas été ac
déposer au jury la ques- tion d'irresponsabilité à raison de l'état mental de l'accusé était dénature à provoquer dans la
ce qui concerne l'irresponsabilité de l'accusé à raison de son état mental , un avertissement analogue à celui qui est rela
i sont de nature à faire supposer qu'il existe un état d'aliénation mentale , dans ce cas-là... M. de GAVARDIE. Il n'y a pas
que. Comment savoir si cet individu est ou non atteint d'aliénation mentale ? Quels sont les indices que l'on peut rencontr
que le ministère public renonce à l'ac- cusation à raison de l'état mental qu'il reconnaît avoir existé chez l'accusé au m
eint de folie au mo- ment où le crime a été commis, et que cet état mental le décharge de toute responsabiltié. Il lesouti
que cet individu sera déclaré hic et MM ? : c atteint d'aliénation mentale , mais qu'il y a une présomption, un indice grav
ndividu acquitté, qui a commis un 'crime dans un accès d'aliénation mentale , ne recouvre trop facilement sa liberté. Mais a
teint de monomanie, ou de tout autre genre permanent d'alié- nation mentale . Mais le plus souvent, on se contente de dire au
éfense voulait soutenir l'irresponsabilité habituelle, l'aliénation mentale confirmée, elle serait, en général, en opposition
défense. D'après le projet de la commission, il suffira que l'état mental de l'accusé ait été mis en doute ou que son déf
dre une mesure provisoire à laquelle succéderait l'examen de l'état mental de l'accusé acquitté ; cet examen serait, d'aille
tout homme dont l'internement est provoqué pour cause d'aliénation mentale confirmée. La mesure que je propose de substi
rresponsabilité de l'accusé et, de l'autre, la négation de cet état mental par l'organe de l'accusation. Ne voyez-vous pas
on réquisitoire pour établir qu'il n'est pas atteint d'alié- nation mentale , vienne réclamer son internement dans une maison
présomption et que la' détermination de la réalité de l'aliénation mentale soit faite dans les mêmes conditions que pour t
'autorité admi- nistrative, si les magistrats estiment que son état mental le cocs- SÉNAT. 323 titre l'état d'aliéné dan
era d'un verdict de non- culpabilité, lorsque la preuve de cet état mental lui parait résulter des débats. L'autorité admi
ministrative, saisie parsuite de ce renvoi, doit provoquer l'examen mental du prévenu ou de l'accusé acquitté : cet examen
relaxé en vertu d'une décision motivée par son état d'aliénation mentale est naturellement celle qui doit décider s'il est
en cour d'assises. Or, nion collègue disait : L'indice d'aliénation mentale que' vous puisez dans ce système de défense inv
isant. La défense invoque l'irresponsabi- lité à raison de son état mental . On ne peut se faire une arme contre l'accusé d
qu'on abuse de l'irresponsabilité et de l'argument de l'aliénation mentale en cour d'assises. On en use- rait un peu moins
bre du conseil qui est juge de droit commun en matière d'aliénation mentale . Si, après de nouvelles vérifications, dans le
vidu accusé d'un crime, acquitté par le jury et frappé d'aliénation mentale . Il sera bien plus à craindre qu'un vulgaire pr
e a soutenu que le prévenu était irresponsable à raison de son état mental , ou si le ministère public a abandonné l'accu-
lors que la défense a soutenu l'irresponsabilité à raison de l'état mental du prévenu ? La plaidoirie de l'avocat d'assise
qui aura bénéficié d'un verdict d'acquit- tement, mais que son état mental constituera à l'état dangereux. La cour d'assis
a cour d'assises aura cette faculté lorsque la preuve d'un tel état mental « lui paraîtra résulter des débats ». La cour q
changements dans la conduite et dans le caractère, de l'instabilité mentale , et surtout des rêves, dont l'excitation persis
ous ses vices de conformation, de la perversion et de l'instabilité mentale , de l'excitation passionnelle. L'étude des trou
e pour reconnaître aux dégé- nérés trois aspects cliniques : l'état mental , l'état syndromique, l'état délirant. Pour lui
nt contingent, et qui ne sont que des complications de l'aliénation mentale . Le mémoire se termine par deux chapitres fort
e la Seine. - M. le Dr RoUILL.%RD. elief de cli- nique des maladies mentales , est nommé médecin-adjoint de l'asile Sainte-An
ormes de la folie. Prix Beluomme. 1,000 francs. Question : De Vêlai mental et du délire chez les idiots et les imbéciles.
ra décerné au meilleur mémoire manuscrit sur un point de pathologie mentale . Prix Moreau (DE Tours). Ce prix de la valeur d
dans les facultés de médecine de France, sur un sujet de pathologie mentale et nprveuse.Ao<(t. Les mémoires manuscrits o
t fournir des indications d'une grande valeur, la méthode expéri- mentale de destruction de l'écorce, ainsi que les lé- 3
gie et à la pathologie de l'homme, serait nier le principe fonda- mental sur lequel repose toute la biologie moderne...
er que dans le nombre considé- rable. de Juifs atteints de maladies mentales , les para- lytiques ne sont qu'une rare excepti
gressive n'est pas une tendance innée aux affections nerveuses et mentales , mais la syphilis. Quant à l'influence d'au- tr
Membre de la Société )Iedico-psycliologiqtje de l'aiis. 0. FORME MENTALE . Cette forme ne doit pas être très rare. Nous a
e ne doit pas être très rare. Nous avons entendu parler d'accidents mentaux présentés par quelques plongeurs à scaphandre q
d'expliquer alors les éléments de son tableau clinique. La forme mentale peut-elle revêtir d'autres types, et lesquels ?
Nous nous plaisons à fixer l'attention du lecteur sur les symptômes mentaux qui ont suivi la perte, de con- naissance et pr
nt; l'aphasie motrice de la forme aphasique ; une véritable crise mentale de notre forme mentale; les vertiges de la form
de la forme aphasique ; une véritable crise mentale de notre forme mentale ; les vertiges de la forme vertigineuse; enfin u
èce l'aphasie motrice, disparait pour faire place à des symp- tômes mentaux suivants. Le malade se met à rire d'une façon é
donc pas possible de donner de preuves plus certaines d'aliénation mentale . Nous ne voyons aucune amélioration avantageuse
aire consciente. Mais, dans ce deliquium où est tombé le synergisme mental , il surnage un élément dont la rareté lui crée
sseuse des éléments nerveux. Dans les autres formes de l'aliénation mentale , on trouve exactement les mêmes lésions du symp
ue, ne diffèrent pas de ceux des autres sujets atteints de maladies mentales ; ils ne sont plus fréquents dans la paralysie g
la physionomie, chez les aliénés, dépend souvent non pas d'un état mental , mais d'une atrophie ou d'une hypertro- phie de
e D' G. CousoT. Dans le n° 51 du Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique (1888), M. le D'' G. CousoT a publi
co-psych., 1857, p. 598.) Voir aussi : Langdom Down. On some or the mental allectio ? is of Childhood and Youth, etc. tend
M. Vallon, propose aux concurrents la question suivante : De l'état mental et du délire chez les idiots et les imbéciles .
ue l'empoisonnement morphinique n'agisse défavorablement sur l'état mental , il est contestable qu'il puisse provoquer des ha
5 mars 1889. - Présidence de M. FALRET. Classification des maladies mentales . (Suite de la discussion.)- M. Paul Garnier, sa
se, un certain groupe dénom- mé : jolies multiples. Que deux formes mentales se juxtaposent chez un même individu, qu'un dél
'aurons pas, pour cela, Messieurs, adressé à la Société de médecine mentale de Belgique une classification complète, homogè
n traitement; traduit par P.-J. Kovalevsky, professeur des maladies mentales et nerveuses à l'Université de Kharkoff, 1888,
git ici de la représentation graphique de la marche de l'aliénation mentale , obtenue à l'aide de courbes qui se meuvent le
nant (compris dans la 3e classe). Congrès international DE médecine mentale . La Société médico-psychologique a décidé, dans
octobre 1888 l'organisation d'un Congrès international de médecine mentale qui se tiendra à Paris du 5 au 10 août 1889. Le
toute personne s'intéressant aux questions relatives à l'aliénation mentale . La souscription des membres adhérents nationaux
portées sur le programme, d'autres travaux concernant la pathologie mentale , l'assistance publique, la législation et la mé
sireront faire des communications sur d'autres sujets de méde- cine mentale , sont priés d'envoyer' au secrétariat du Congrès
omité espère que tous ceux qui s'intéressent aux études de médecine mentale , aux questions si délicates d'assistance publi-
RET. Questions posées par LE Comité d'organisation. I. Pathologie mentale Obsessions avec conscience (intellectuelles, émot
Vice-président : M. BaLL (B.), professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Paris, membre de l'Ac
iblissement de la mémoie cluz les), par Lissauer, 3G8. Aliénation mentale (traitement de l'), par Howdcn, 122; par \les-
0. Cerveau (fonctions du), par Soury, 337. Chorée et aliénation mentale , par Koeppen. 132. Circulatoire (maladies de
ythrasma chez un imbécile, par Chambard, 8. Diabète et aliénation mentale , par Lieb, 314. Electricité statique (Lésions
astrowitz, 313. Jalousie (délire de), par Nadler, 129. Maladies mentales (classification des), par Garnier, 115, 485;
46 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE E DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIEE SOUS LA DIIIKCTION DE J.-M. CHARCOT
tteinte de grande hystérie; son cousin germain a eu de l'aliénation mentale , très proba- blement mélancolie anxieuse. Comme
e retrouve dans les deux formes les plus opposées de l'aliéna- tion mentale , dans la manie et dans la lypémanie, et même en
la lypémanie que nous en appelerons. Dans cette forme d'aliénation mentale , on retrouve dans l'élimination del'azote et de
il y a surmenage (fatigue, refroidissement, 100 REVUE DE pathologie mentale . syphilis), les nerfs périphériques; leur lésio
nsi que dans les nerfs sacro-lombaires. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. SUR LES allures DE la SENSIBILITÉ générale E
illations. L'anesthésie sensorielle manque dans REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 101 la paralysie générale, chez les délirants
menstruation, l'état gravide et puerpé- 10"2 L) REVUE DE pathologie mentale . rai, la ménopause (fréquence de la mélancolie,
1 vos. Archives de Neurologie, t. II, p. 274. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 10 t tèrcs de réalité objective que ceux' qui
nsomnie chez trente-quatre malades atteints des formes d'aliénation mentale les plus diverses'. Douze hommes et vingt-deux
; mais simplement pour examiner avec vous un cas de dégénérescence mentale , de folie héréditaire dans lequel nous verrons
la folie proprement dite, et celle d'un certain nombre de troubles mentaux envisagés isolé- ment, et enfin son Anatomie pa
ie tour à tour le rôle que jouent dans la production des ma- ladies mentales : l'hérédité normale et morbide, des mariages con
pendant la vie. Néanmoins, personne ne doute plus que les maladies mentales ne soient le résultat d'une lésion primitive de
e faible idée : c'est, en somme, en véritable traité d'aliéna- tion mentale qui n'est pas moins remarquable au point de vue
ences ont été faites sur des membres de cette société. PATHOLOGIE MENTALE DE L'ONOMATOMANIE; Par MM. CHARCOT et MAGNAN.
ment chez des sujets très élevés dans l'échelle des dégénérescences mentales (les simples déséquili- brés), et constituent u
des syndromes épisodiques de la folie héréditaire. 158 pathologie mentale . Pour que la préoccupation du mot surgisse au p
d'avril 1884, il rencontre dans l'avenue des Champs- 160 PATHOLOGIE MENTALE . Elysées, un monsieur qu'il avait connu pendant
oque, se produisent des périodes .mcuuL, t. X. 1 1 162 pathologie mentale . dépressives s'accompagnant parfois d'idées de
médiocrement. Il reprend le chemin de fer et rentre 164 PATHOLOGIE MENTALE . chez lui; le soir il se couche comme d'habitud
nsensiblement à se débarrasser de toute obsession. 166 pathologie mentale . . Depuis un an environ, la guérison se maintie
ibres coupés perpendicu- lairement à leur direction. 186 CLINIQUE MENTALE . PLANCHE III FiG. z Pédoncule gauche, Observa
rieurs. - D, corps granuleux du faisceau pyramidal direct. CLINIQUE MENTALE DES FAMILLES D'IDIOTS; Par BOURNEVILLE et SÉG
st surtout manifeste dans la pro- duction des maladies nerveuses et mentales ; elle est le plus souvent alors, comme l'a dit
é publié par l'un de nous '. 4 Bourneville. Archives des maladies mentales et nerveuses, 1861, p. 289. 188 CLINIQUE MENT
es des maladies mentales et nerveuses, 1861, p. 289. 188 CLINIQUE MENTALE . I. Famille R... Trois frères idiots. Influen
idiots. Influence de l'hérédité. -111ère affectée d'ÙTé- gularités mentales . Affaiblissement paralytique chez les trois enf
ants. Irascibilité chez deux d'entre eux. (Archives des mala- ¡lies mentales elnerveuses, 1861, p. 289.) Aucun antécédent du
certaines familles ? Comme antécédents : de simples irré- gularités mentales ; et cependant dans la nouvelle génération l'ab
mille W... Groupe de sept idiots, frères et soeurs. (The Journal of mental science, 1862, t. VIII, p. 429.) Parents exce
ut pas tra- vailler au jardin; aime à laver les bas. 190 CLINIQUE MENTALE . 1° William, cinquante-trois ans, affectueux po
arante-cinq ans, lorsqu'on lui a apporté le cadavre de 192 CLINIQUE MENTALE . son mari et ne sont plus revenues. -- Elle est
t l'aider. 11 est assez peureux. Archives, t. X, 13 19Ï. CLINIQUE MENTALE . DES FAMILLES D'IDIOTS. 195 - Maxillaire supé
en ses parents et surtout lorsqu'ils le font sortir. 196 CLINIQUE MENTALE . 188J. La publication de ce travail ayant été 1
t entrainer par celui-ci à faire l'école buissonnière. 199 CLINIQUE MENTALE . f 881. Mai. Poids : 30 kil. G00. Taille : l-,3
condamné pour vol, et le représentent comme atteint d'insuffisance mentale avec épilepsie. Il est mis dans la section des
qu'il offre de plus spécial, ce sont les modifications de son état mental . Il a, en effet, de véritables accès de folie hys
e situation physique ramènera chez notre maladelamème situa- tion mentale . Un dernier phénomène a excité notre intérêt et
'hystérie, qui futprisc de monoplégie brachiale REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 231 1 gauche dans une circonstance assez parti
seulement sur le thorax et l'abdomen. CH. F. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE IV. SUR QUELQUES phénomènes d'états épileptique
uelles de tel ou tel épileptique, les accès : 3 revue DE pathologie mentale . avec leur phénomènes concomitant et consécutif
4 Voy. Archives de Neurologie, t IX, p. 108. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 233 péri-ccllulaire très peu large (cerveau bi
adies ner- veuses de Berlin. Déc. 1884. 234 ! REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . les états provinciaux, qui en ont soin. Quoiqu
les troubles dans l'équilibration compensatrice REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 235 des deux espèces de liquides et leurs modi
t- schr. f. Psych., XL, 4.) - Le nombre total des perturbations mentales comporte 977 se répartissant en : 231; REVUE
ntales comporte 977 se répartissant en : 231; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.' 237 détaillée)
issant en : 231; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE .' 237 détaillée). On demandait l'interdiction,
i de ce fait, que la grossesse noircit le pronostic d'une maladie mentale existant avant elle. A cela rien d'étonnant, puis
nt les femmes affaiblies et fatiguées à deux doigts de l'aliénation mentale (excitabilité, maussaderie). Mais la plupart de
e (excitabilité, maussaderie). Mais la plupart des cas d'aliénation mentale rassemblés dans la bibliographie, au cours desq
(une guérison, une amélio- ration). P. K. 238 REVUE DE pathologie mentale . XIII. COURTE communication SUR UN cas DE TROUB
athologie mentale. XIII. COURTE communication SUR UN cas DE TROUBLE mental douteux ; parGpUNEWALD (Allg. Zeitsch.f. Psych.
Voy. Archives de Neurologie, t. VIII, p. 92. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 239 lades après leur renvoi, aux résultats du
et du traitement par rapport aux diverses formes de l'aliéna- tion mentale (tableau); enfin quelques mots sur l'emploi des
d'ours). Quatre exemples étudiés avec soin 210 REVUE DE pathologie mentale . , Il' 1 1 l' ï i .. . permettent à M. Lind d
ton County lunatic Asylum, Bcrry Wood, à Saint Andrews hospital for mental diseases forthe middle and upper classes, à l'a
clÙlsidérerllis' pas moins soit impulsion comirie un Véritable état Mental pathdlti- gique. Car la malade souffrait de son
renseigne- ments recueillis près du malade, M. Riu rétablit l'étal mental de Michot au moment des meurtres. La première d
e, il en était devenu tout d'abord très mélancolique, puis son état mental s'était de plus en plus rapproché de celui',1'û
l'unanimité. , l' ,. IV. Y a-t-il lieu d'admettre que V aliénation mentale puisse cyasti- tuer une cause de divorce ? Et d
nt que l'on admette' le. d,iv9 ! 'Gç,}n p.ril,},cipe,.lali ? nation mentale en est fun motif, lorsqu'elle doit être ténue pou
rsqu'elle doit être ténue pour incurable , 1 4v. l'examen de l'état mental aura lieu;' comme 'dans le1' cas d'intëa'vei ? I
n curateur; 4 (bis) autre rédaction proposée : l'exa- men de l'état mental afin (l'établir ¡'incurabilité 1 aura lieu après
grale de, la troisième proposition avec cette addition : aliénation mentale durant' depuis trois uns; ,; Il , , , , . l'i j
[ ? 1-, 9. .1 ' SOCIÉTÉS 'SAVANTES. 265 '' 3° L'examen de l'état mental comportera les mûmes errements que ceux qui'se
ints épineux : quelle durée permet d'assigner à un cas d'aliénation mentale l'épithète d'incurable ? Quelle'1 est la forme,
. Archives de Neurologie, t. VII, p. 379. 266 SOCIÉTÉS^ SAVANTES. mentale , de syphilis, d'une affection consécutive à une a
t très peu. Cet état est le même en juin 1883, mais au point de vue mental , on constate de la lenteur dans les conceptions
ant ! la vie, exercé une. pression qui permet de comprendre, l'état mental .. A la tumeur du nerf optique droit, qui est un
intéressantes, à tous ceux qui. s'occupent de maladies nerveuses et mentales . Cil. F. V. Zur physiologie des Gehirnes (Contr
me géné- reux qui, tirant de la barbarie la science de l'aliénation mentale , a fait à tout jamais disparaître les traitemen
voira à la fuis la grandeur et la misère de l'homme : l'aliénation mentale VARIA. 28 1 « Vous ne pouviez mieux glorifier
accomplis, de nos jours, tant de progrès et où l'étude des maladies mentales compte tant d'éminenls représentants. « A la Sa
complir ainsi, dans le traitement des malades atteints d'aliénation mentale , la révolution qui est l'éternel honneur de sa
ioration du sort des aliénés. Au bout de quelques mois, la clinique mentale était abordée, puis la médecine légale appliquée
ce et qu'il a presque créé de toutes pièces la science des maladies mentales ? Une commission fut nommée et le rapport fut l
par le génie « de notre aïeul illustre. Le novateur de la médecine mentale « a donc des droits imprescriptibles à la recon
ui caractérisent son Traité médico-philoso- phique sur l'aliénation mentale . Ce livre fait époque dans la science. On ne le
a ouvert la voie ? N'est-il pas notre premier maître en aliénation mentale ? Semblable au Virgile du Dante, il nous a serv
s plus difficiles à soulager sont celles produites par l'aliénation mentale et le législateur tout aussi bien que le méde-
285.) 302 FAITS DIVERS. Exposition D'ANVERS.- Société DE médecine mentale de BELGIQUF. La Société de Médecine mentale de
S.- Société DE médecine mentale de BELGIQUF. La Société de Médecine mentale de Belgique se propose de tenir à Anvers, à l'o
ui voudront bien l'honorer de leur adhésion. La Société de Médecine mentale serait heureuse de recevoir, à cette occasion,
erversion de la sensation, de l'émo- tivité ou de la représentation mentale , je me demande comment elle aura jamais pour bu
INCENDIES MULTIPLES A MOBILES FUTILES. 323 s'excluent en pathologie mentale ? D'un autre côté, la futilité du mobile ne mil
sifs au feu, n'auraient fait autre chose qu'utiliser leur affection mentale pour assouvir leur soif d'alcool et de rancune.
ésultent de la pyromanie, les premiers, indépendants de cette forme mentale , sont le produit d'un affaiblissement intellect
. Or, la clinique, c'est-à-dire l'analyse psychologique des états mentaux de ces deux catégories d'incendiaires, confirme
ionner tous ces accusés en un seul groupe, existent des différences mentales essentielles, quoique plus cachées, qui les sép
é- cédents personnels et de famille, aux conditions d'âge, d'état mental habituel, aux circonstances des incendies, à la
lyse psychologique de ces incendiaires les montre sous deux aspects mentaux différents. Ceux qui ont agi sans mobile, quand
unir en un seul groupe ces deux catégories d'incendiaires à états mentaux si différents ? Voir dans les incendiaires à mo
s à ces deux catégories d'incendiaires prouvent peu leur identité mentale . En entrant dans ces longs développements, je n
ou l'affaiblissement in- tellectuel. Les deux premières affections mentales étaient exclues aussi bien par les renseignemen
nu affirmaient que jamais il n'avait donné aucun signe d'aliénation mentale . Le prévenu, dans ses longs et nombreux entreti
eût trait à une faiblesse d'esprit ou à une tendance à l'aliénation mentale . Comme militaire, Berger, lors du tirage au sor
selon les cas, déclarés responsables ou irresponsables. CLINIQUE MENTALE DES FAMILLES D'IDIOTS'; Par BOURNEVILLE et SÉ
re : trente-sept ans, assez 1 Voir tome X, page 186. 348 CLINIQUE MENTALE . grand, atteintdepuis quatre ans d'une bronchit
es-les-Bains pour une tumeur blanche du genou droit. 350 CLINIQUE MENTALE . transféré le 31 août à l'asile de Saint-Alban,
ctuel. Tête ronde, assez volumineuse et régu- lière. 352 CLINIQUE MENTALE . musclés, présentent une très légère concavité
deux à l'époque de la conception. Archivas, t. X. X3 354 CLINIQUE MENTALE . jamais 'dit autre chose; il n'a marché qu'à se
uée. L'occipital est plat suivant un plan vertical, la 356 CLINIQUE MENTALE . moitié droite en retrait sur la gauche; les de
de dix ans, à l31cétre (service de M. Bourneville). 358. clinique mentale . Antécédents personnels. (Renseignements fourni
ilement; il ne crache presque plus ; son haleine n'est 360 CLINIQUE MENTALE . plus fétide. 11 s'est produit une eschare d'un
, sans rien présenter de particulier dans sa marche. 362 clinique mentale . 8 mai. L'éruption est modérément continente ve
est notablement plus développée que la droite. , 36t le CLINIQUE MENTALE . tion est normale ; les gencives sont en assez
, que les observations peuvent présenter d'étrangers à 366 CLINIQUE MENTALE . notre sujet, nous ne résumerons dans notre tab
erver- sion profonde du sens moral, coexistant avec l'instabilité mentale , peuvent, à notre avis, être un signe de plus de
uni par l'hérédité aux maladies nerveuses et surtout aux maladies mentales . Guislain s, d'un* autre côté, a fait voir que so
sur les ph¡'énopatlties. * Salter. On asthme, 1860. 368 CLINIQUE MENTALE . III. Famille GUI... Grand-père paternel; que
e assez intelligente; idiotie con- lucamEs, t. X. 24 370 CLINIQUE MENTALE . génitale, ne dit guère que papa et maman; gâti
u saillantes; au-dessous d'elles, légère dépression. ' 372 CLINIQUE MENTALE . Système dentaire très défectueux ; la petite i
ent pas les testicules : Même traitement; viande crue. 374 CLINIQUE mentale . 4 mars. Maigreur extrême : la peau est collée
les modifications que les suggestions peuvent apporter dans l'état mental d'un névropathe jouissant de la plénitude de so
grands services dans le traitement de certaines formes d'aliénation mentale , et si aujourd'hui nous osons avancer ce fait,
ille, s'ajoutent des hallucinations, de l'insomnie, de l'exaltation mentale et l'accès délirant s'établit (délire lypé- man
leur des idées ressemble beaucoup au délire constituant l'affection mentale , lequel d'ail- leurs s'exaspère à la suite de c
catacombes. A 8. -Attaques de léthargie avec contracture. Même état mental que le 15 durant jusqu'au 24. 21. - Ce jour-l
n'a jamais pu que guérir l'accès d'un aliéné sans modifier son état mental anté- rieur et d'ailleurs rien n'empêche mainte
taient déjà fréquentes avant l'hypnotisme et même avant l'affection mentale . D'un autre côté si l'on ne peut modifier l'éta
'affection mentale. D'un autre côté si l'on ne peut modifier l'état mental on agira au moins sur l'état somatique et sur l
urs symétriques A la base du cerveau; parle Dr STRAHAN. (Journal of Mental Science, juillet ! 883.) Nous donnons ici le ré
in d'un diabète purement transi- toire. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XVII. Grands ET petits asiles d'aliénés, par T.
I. Grands ET petits asiles d'aliénés, par T. Claye SHOW (Journal of Mental Science, juillet 1883.) Dans ce travail, M. Cla
au point de vue du nombre qu'au point de vue de l'état somatique et mental des malades admis), pour qu'une comparaison pui
D.1U1'0-tU'rILaTIONS CHEZ LES ALIÉNÉS- par James ADAM. (Journal of mental Science, juillet 1883.) Observation 1. Femme de
t n'est plus l'objet que d'une surveillance 416 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . simple, mais attentive et continue; elle'parti
en même temps, dégoût des hommes faits. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 417 XX. Sur les conceptions IRRéSISTIBLES; par
lysie générale est bien moins héréditaire que les autres affections mentales ; en revanche, on note fréquem- ment l'action c
amené à discuter l'in- Archives, t. X. 27 418 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . fluence d'une psychose primitive comme cause d
i ! faut que la paralysie générale succède directement à un trouble mental simple existant depuis un temps plus ou moins l
lutions ascendantes qui est ici surtout en jeu. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 419 La paralysie générale offre, comme altérat
bault, t. III, p. 373 et|t. II., p. 246. ' 420 REVUE DE pathologie mentale . 1873. L'acte commis fut considéré comme un act
ALIÉNÉS QUI REFUSENT DE manger; par Henry SUTBEIIL.1ND. (Journal of Mental Science, juillet 1883). Nous reproduisons ici
ne fois à l'alimentation artificielle; en pareil cas, la gué- rison mentale est d'autant moins probable qu'il a fallu recouri
limentatation forcée; 5. Favorable, si la santé REVUE de pathologie mentale . 421 et le poids du malade ne se modifient que
5 b. Défa- voruble aussi, du m'oins au point de vue de la guérison mentale , lorsque le malade engraisse trop sous l'influe
urée de la maladie a été exceptionnellement z32 REVUE DE pathologie mentale . courte et le coma' très précoce, et que, chez
nvisagée par opposition A l'alcool; par W. BEVAN LEWIS, (Journal of Mental Science, juillet 1883.) Nous ne pouvons ici ni
lecture d'un travail de M. Parant, sur la simu- lation des maladies mentales . Des signes physiques intellectuels et moraux d
s pensent que l'héréditéjoue un très grand rôle dans l'alié- nation mentale , mais qu'elle n'exprime aucun cachet à l'aliéné;
'hérédité dans ses applications aux différentes formes d'aliénation mentale . Morel a établi des lois générales et, malgré s
principaux : Quelle est l'empreinte de l'hérédité dansles maladies mentales ? Y a-t-il des formes mentales caractéristiques
einte de l'hérédité dansles maladies mentales ? Y a-t-il des formes mentales caractéristiques héréditaires ? De la paralys
eur sperme circule avec leur sang. Toutes les formes d'aliénation mentale portent donc l'empreinte de l'hérité et, de plu
En dehors du rôle général de l'hérédité comme cause d'aliéna- tion mentale , il y a lieu d'étudier les formes qui portent plu
cette analyse qui contribuera le plus au progrès de l'aliénation mentale . Séance du 27 mai <885. Présidence uc M. UAG
utres, l'hérédité fait sentir son influence sur les diverses formes mentales , leur laisse son empreinte et leur donne une ph
'hui il existe une folie héréditaire indépendante des autres formes mentales . Il va sans dire que les malades atteints de fo
e des actes et conservent toute leur lucidité. C'est bien là l'état mental de l'héréditaire, mais qu'il me soit permis de
ut d'équilibre des facultés. Pour se faire une idée nette de l'état mental des héréditaires, il est indispensable de suivr
étendue et c'est ce qui explique la multiplicité d'aspect de l'état mental de l'idiot dont les aptitudes s'étendent, se com-
Quand les dégé- nérés s'élèvent jusqu'à l'imbécillité, la débilité mentale , ces dis- positions, ces aptitudes sont encore
n ne peut pas passer sous silence, c'est que si les dégénérescences mentales sont héréditaires ; dans quelques circons- tanc
ons men- tales analogues à l'idiotie, à l'imbécilité. à la débilité mentale , et même à la déséquilibration de l'héréditaire
se rapporte avec autant de vérité aux malades atteints de débilité mentale et aux dégénérés les plus élevés dans l'échelle
- monie et le défaut d'équilibre non seulement entre les facultés mentales , les opérations intellectuelles proprement dites
remarquer que la fièvre typhoïde guérira aussi bien les maladies mentales entées sur de l'anémie que celles greffées sur de
s faits de dédoublement des opérations cérébrales dans les maladies mentales . Depuis lors, de nombreux travaux ont paru sur
estion de physiologie cérébrale. P. CAMPER. VIII. De l'aliénation mentale chez les vieillards; par F.-A. GOUDAL. (Thèse d
a paralysie générale progressive, thèse, 1849; - De l'a- aliénation mentale et du crétinisme en Suisse, 18(i8 ; - Recherches
reux, 4869; Projet de statistique applicable à l'étude des maladies mentales , 1869; - De l'augmentation progressive du chiff
commotions politiques et sociales sur le développement des maladies mentales ., 1874; - Rôle des boissons alcooliques dans l'au
47 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
tisme. sommeil provoqué, somnambulisme, suggestion névroses, maladies mentales et nerveuses, médecine légale, pédagogie criminol
on avait adopté la lumière verte cela était surtout à cause de l'état mental des ouvriers, . « Autrefois, dil-il, quand les ou
plus distingués du barreau de Paris à lui donner mon avis sur l'état mental d'un homme de 32 ans, marié, père de famille, inc
n="17"> Lorsqu'on interroge M. P... on constate que son activité mentale est ralentie. TI est évidemment doué d'un très fa
sement à ce double traitement. La transformation opéréo dans son état mental me dispose à le considérer comme guéri et je ne c
ppale laquelle est maintenant guérie, mais a laissé après elle l'état mental actuel. Aucun signe ne permet do penser sérieusem
qu'elle stimule et fortifie le pouvoir de coordination et de synthèse mentale , qu'elle corrige et redresse la mauvaise habitude
s de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitement des maladies mentales et de l'alcoolisme. Rapporteurs : M. le D' Toka
pplications de l'hypnotisme à la pédagogie générale et à l'orthopédie mentale . Rapporteur: M. le Dr Bérillon. VI Valeur de
est venue confirmer l'idée de Bi-chat (2) sur ia division du travail mental et la dissociation psychique pendant le sommeil n
naire l'influence du sommeil s'étend progressivement sur des facultés mentales différentes. « Le sommeil général, dit-il, est l'
es rêves a fourni la première démonstration de la division du travail mental . Les recherches des physiologistes contemporains
qui allait se passer, je ne pouvais pas faire au sujet de suggestion mentale , pas plus que je ne lui avait fait de suggestion
des images du rêve dont parlait Anatole. On pourrait comparer l'état mental de ces rêves avec le travail inconscient de la ve
end, au sommeil profond, quoique nous soyons loin de connaître l'état mental dans ces conditions pathologiques. En somme, comm
conditions pathologiques. En somme, comme il y a une probable inertie mentale pour la veille, il y en a une pareille pour le so
phénomènes de l'hypnotisme, quelque point nouveau de notre mécanisme mental ou de quelque nouveau rapport entre le physique e
logique? D'autre part, les expériences de dissociation des phénomènes mentaux ont fourni le moyen d'analyser d'une façon minuti
psychiques, c'est-à-dire ceux qui s'adressent uniquement aux facultés mentales du sujet sont: 1° La suggestion directe (Liébea
pprimant d'une façon passagère la résistance opposée par les facultés mentales de contrôle. (Auguste Voisin, Schrenk-Xotzing, Bé
maladie des tics, ni l'imitation des gestes (échokinésie), ni un état mental particulier (tic psychique), qui constituent la t
res. Il présente d'abord des nausées, de la dépression, de l'hébétude mentale ; puis, il perd connaissance, accomplit des actes
conscients telles les alternatives toniques et dont ques. 7A:quilibrc mental est normal en dehors des attaques, lesquelles se
vement contemporain, encore faible, vers le traitement des affections mentales par des moyens en ? ? rationnels. Et tout cela es
oment, Pinel, non seulement crée le traitement humain de l'aliénation mentale , mais encore fonde, avec Esqui-rol et Baillarger,
rétraction des cellules do la névroglie. Avec cette théorie, le repos mental , le sommeil, les états de l'hypnotisme s'explique
sie chirurgicale ; mais on n'a pas le droit de mesurer toute capacité mentale à celle de la mémoire, et c'est h tort que l'on c
n cas de doute les avocats ce devront pas hésiter à réclamer l'examen mental des témoins, par un médecin compétent, au point d
s des intoxications et des infections dans la pathogénie des maladies mentales et nerveuses, rapporteurs : Pr D'Abundo et Dr C.
n auditoire aussi empressé que sympathique au professeur. Les états mentaux impliqués dans l'appréciation post-hypnotique du
eim, l'hypnose est un état conscient caractérisé par la concentration mentale et la mémoire hypnotique n'est pas toujours laten
page n="137"> n'est-il pas raisonnable d'admettre aussi un état mental correspondant? Ainsi il existerait un contrôle la
sées, me les communique télépathiqucmcnt et je réponds par une dictée mentale . — Dans les choses journalières de la vie les mem
de méfaits qui ne sont pas dénoncés par crainte de vengeance. L'état mental du vagabond et de l'homme errant ne tarde pas aie
er de Hauranne. {A suivre.)/page> page n="168"> Les états mentaux impliqués dans l'appréciation post-hypnotique du
giné que C. exécuterait mes ordres au moment déterminé par son calcul mental pendant l'état d'hypnose. Quelques jours après ce
page n="173"> n'a nullement essayé de découvrir !es conditions mentales qui y étaient impliquées, ce qu'il aurait pu fair
plir ses expériences sur le temps, elle doit posséder quelque procédé mental qui : 1° résout un problème compliqué d'arithméti
Grâce à l'hypnotisme et à la suggestion, vous avez créé l'orthopédie mentale et, ainsi, la psychologie est devenue une science
contentent de supposer la télépathie et la suggestion involontaire ou mentale . En tout cas Mrs Pipers est un eujet nrécicux, et
, mais seulement hypnotisée, par cet incube inaccoutumé. Le travail mental et la température. C'est une question très disc
discutée parmi les physiologistes, que celle de savoir si le travail mental cause une sensible élévation de température dans
eu ou point d'action sur la température profonde du corps. Le travail mental entraîne le repos musculaire proprement dit, et i
é, 212 p., Masson, Paris, ï899. D? Marcel Manheimer. — Les Troubles mentaux dei'cnfance, 188 p., prix: 5 fr, Société d'éditio
l et bien d'autres. Nous nous bornerons ici à une remarque sur l'état mental des hystériques dans les cas qui nous intéressent
ule pour cette seule raison qu'elle est hystérique. C'est dans l'état mental qui résulte de sa maladie et qui en est une des c
bien que le mensonge et la simulation sont dus, chez elles, à un état mental particulier et à une impulsion irrésistible, c'es
des dangers n'ont, pour ainsi dire, pas de prise sur cette aberration mentale . On peut donc dire, ce qui, au premier abord, p
ue le sujet n'est pas malade, qu'il ne présente aucun signe d'un état mental anormal. Dans les cas que nous avons étudiés plus
s, en effet,/page> page n="204"> c'est la seule disposition mentale du témoin qui leur donne un résultat diamétraleme
manifestation la plus complexe de l'activité nerveuse : les fonctions mentales . Sans doute, on ne pénètre encore que leur durée,
r là que la psychométrie peut rendre de précieux services en clinique mentale et nerveuse, aussi bien qu'en psychologie et en p
, et alors elle se fait à voix haute et k voix basse. Tantôt elle est mentale , ci alors elle se fait dans le langage intérieur.
ui sont aussi les plus suggestîbles, emploient plus souvent la prière mentale , alors que les dévots bornés sont obligés de prie
sie détermina la guérison de tout un complexus de troubles nerveux et mentaux . Une autre fois encore, après administration de c
igine tuberculeuse par m. le dr Samuel Jïernhf.im. Quels troubles mentaux la tuberculose confirmée ou la diathèse tubercule
la raison et de la folie? Quelle est la pathogenic de ces affections mentales ? Tels sont les points d'interrogation auxquels je
ntendu qu'en étudiant les rapports pouvant exister entre les troubles mentaux et la diathèse bacillaire, je n'ai pas en vue cer
ues observations concluantes à l'étude puthogénique de certains états mentaux plus obscurs en leur origine, parfois observables
t ce régime et d'après ce que des parents m'ont affirmé, les troubles mentaux ont disparu. Obi. IL — Félix t..., âgé de 50 an
dent de temps ft autre son mari qui présente encore d'autres troubles mentaux assez nets, tels que violentes colères, menaces d
ables chez des phtisiques où il estdiffleilede rattacher l'aliénation mentale à une autre cause que la tuberculose. Cela veut-i
d'esprit. D'autre part, toujours d'après le même auteur, l'aliénation mentale est extrêmement fréquente chez les tuberculeux. E
est certain que la phtisie cause, ou, du moins, précède 1 aliénation mentale et alterne avec elle, ? M. CV Swell combat ectt
quo la tuberculose n'est qu'une conséquence vulgaire de l'aliénation mentale . Telle n'est pas l'opinion de nombreux clinicie
e, plus tard une amélioration passagère de la phtisie et des troubles mentaux à la foi?-, et enfin une folie furieuse avec recr
des troubles cérébraux amena îo mutisme, la (t) Traité des maladies mentales . (2) Clinical lectures en .'Jental di Prases./p
imposant ou tragique. Mais quelle est l'origine vraie de ces troubles mentaux ? La peut-on déclarer tuberculeuse, et dans ce cas
a pénétration dan3 l'organisme entraîne presque toujours des troubles mentaux sérieux? Ces exemples généraux, que je rappelle
dences et démontrent que la phtisie précède très souvent les troubles mentaux . Pourquoi n'en serait-elle pas la cause effective
tance étiologiquc de In phtisie puimoraue dans l'origine des maladies mentales me semble à piéscnt ressortir nettement des faits
on, a fait une description clinique spéciale complète de l'aliénation mentale des phtisiques. Peut-être cette description est-e
e se termine tardivement par la paralysie générale; 2° Les troubles mentaux et les lésions tuberculeuses peuvent marcher de f
rs être fait après une séance d'hypnotisme. Il en est résulté un état mental particulier qui se manifeste par des phénomènes i
upérieur droit. En outre cet homme a pu reprendre son travail. Etat mental des hystériques, par ie Dr Glorieux, La Policlini
ue des manifestations uniquement somatiques, avec intégrité de l'état mental . L'état mental dit hystérique est bien une mala
ions uniquement somatiques, avec intégrité de l'état mental. L'état mental dit hystérique est bien une maladie à part. Ceux
est la suivante : « L'impression perçue est cause de représentation mentale dans la suite, » Développement. — L'impression
riques. Cette impression est cause dans la suite d'une représentation mentale dans le même centre nerveux. (1) Momoîre lu à l
a sconce annuelle./page> page n="260"> Cette représentation mentale de l'impression dans le centre nerveux a lieu san
ériques soient intéressés ou soient participants. La représentation mentale est un travail, une opération, un acte qui a lieu
n est perçue aujourd'hui. Par suite de la loi sur la représentation mentale , cette impression sera perçue de nouveau par le c
produisant spontanément dans le centre nerveux devient représentation mentale . Autre exemple : Idée émise, « secourir les mal
qu'elle est formulée, sera l'objet dans l'avenir d'une représentation mentale venant se présenter à l'esprit sans qu'elle soit
e par un signe extérieur. L'auto-suggestion prend la représentation mentale et l'accepte ou la repousse. L'auto-suggestion
l'accepte ou la repousse. L'auto-suggestion prend la réprésentation mentale utile pour l'accepter. L'auto-suggestion développ
'auto-suggestion développe, grandit et multiplie cette représentation mentale utile. Le bien, la force, la puissance en résul
ive souvent que l'auto-suggestion naturelle accepte la représentation mentale mauvaise ; le mal s'en suit. Celui qui voit vol
. Celui qui voit voler peut accepter avec plaisir la représentation mentale de vol. H peut cultiver, développer cette représe
tion mentale de vol. H peut cultiver, développer cette représentation mentale ; il deviendra voleur. Celui qui voit tuer peut
Celui qui voit tuer peut accepter avec satisfaction la représentation mentale de tuer. ? cultive et développe cette représentat
entation mentale de tuer. ? cultive et développe cette représentation mentale et devient assassin. ??a?. Nous examinerons l
Cette idée, une fois perçue, par suite de la loi de la représentation mentale , se reproduira de nouveau dans notre pensée. Co
t il ne s'est plus livré aux. mômes actes d'auto-mutilatiou. Son état mental s'est modifié dans le sens le plus favorable. TI
s de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitement des maladies mentales et de l'alcoolisme. Rapporteurs : M. le Dr Toka
pplications de l'hypnotisme à la pédagogie générale et à l'orthopédie mentale . Rapporteur : M. le Dr Bérillon. VI Valeur de
rédité nerveuse chargée : père ivrogne, mère hystérique avec troubles mentaux ; ses frères et sœurs sont nerveux. Dans son enf
ui cette écriture est la conséquence d'une perturbât Ion de la vision mentale associée â une déviation constante dans la direct
et il no s'est plus livré aux mêmes actes d'auto-mutilation. Son état mental s'est modifié dans le sens le plus favorable. Il
hez une glycosurique. Traitement hypnotique et gruérison des troubles mentaux , malgré la persistance de la glycosurie. Par M.
parla ainsi : « Ma femme présente depuis plusieurs mois des troubles mentaux qui ne font que s'aggraver; nous avons d'abord pr
urtout d'examen médical Néanmoins, j'ai l'impression que les troubles mentaux dont il s'agit sont seulement dynamiques, c'est-à
m'éclaireront de plus en plus sur les modalités diverses de son état mental . Pour la commodité de l'exposition, je vais, dès
e la cause occasionnelle, le point de départ, le signal des désordres mentaux . Mme B... est, dès lors, en proie à une idée fi
n de ses représentations ; son pouvoir de coordination et de synthèse mentale est considérablement affaibli ; son processus int
un état de plus en plus délirant ; de jour en jour, la désagrégation mentale s'est accentuée. Mme Iï... est, au sens véritable
st-elle ancienne ou récente? A-t-elle simplement précédé les troubles mentaux ou les a-t-elle provoqués? Leur est-elle postérie
nt médicamenteux, si le régime ne suffit pas. • Revenons à l'état mental lui-même. Avant de reconstruire une maison, on
les mauvais matériaux qui l'encombrent. De même ici, la restauration mentale , la pars mdificans, comme disait Bacon, devra êtr
dissociation des représentations morbides et la rupture des habitudes mentales pathologiques; je développe chez Mme B... l'espri
on interprétation psychologique était peut-être erronée? Les troubles mentaux dépendaient peut-être simplement de la (!) R. L
SE : Sur le syndrome lévulosurirme de M. P. Marie et sur les troubles mentaux consécutifs au diabète, .Sri». méd„ 25 oct. 1899,
semble, la glycosurie, n'a pu. à lui seul, produire les modifications mentales signalées plus haut. Cette double constatation
t la même. Ainsi, la glycosurie persiste et cependant les désordres mentaux ont disparu. C'est donc bien par l'hypnotisme qu'
. C'est donc bien par l'hypnotisme qu'a été guéri ce cas d'aliénation mentale . Avant de prendre contré de Mme B..., que son m
ion spéciale et cède au traitement qui lui est approprié; le désordre mental , cn particulier, peut, comme on l'a vu plus haut,
rs, l'hypnotisme est l'arme thérapeutique qui convient dans les états mentaux en rapport avec les maladies infectieuses, les en
u même sujet, sur une hystérique, atteinte principalement de troubles mentaux . Le résultat fut nul. On peut donc conclure, jusq
e observation, la malade présente un certain nombre de manifestations mentales de l'hystérie. Par contre, sous l'influence de la
n'existe aucune lésion oculaire, il s'agit d'une photophobie purement mentale . Comme !e dit le Professeur Raymond, a c'est par
faites et appelle de nouveau l'attention sur les reliquats nerveux ou mentaux que laissent souvent après elles les maladies inf
e publier un mémoire, traduit dans le numéro de janvier du Journ I of mental Science, sur la physiologie du plaisir ou plutôt
ais le traitement psychique, sous forme de suggestion et d'orthopédie mentale constitue le seul moyen d'influencer favorablemen
ses conditions pourraient, en effet, provoquer l'éclosion de troubles mentaux plus accentués. M. Jules Voisin". — Dans ce cas
ns de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitemen des maladies mentales et de l'alcoolisme. Rapporteurs : M. le I>r
pplications de l'hypnotisme à la pédagogie générale et à l'orthopédie mentale . Rapporteur : M. le Dr Békillon*. VI Valeur d
14 mai. — Etude psychologique de l'hypnotisme. — Division du travail mental dans les états hypnotiques: dissociation des phén
ystérie. — Le traitement psychothérapique de l'hystérie. — L'hystérie mentale . — Action complémentaire de la suggestion hypnoti
ggestion hypnotique au traitement de certaines formes de l'aliénation mentale . — Les états hypocondriaques. — Les obsessions. —
de la dipsomanie. Vendredi i" juin. — L'hypnotisme et l'orthopédie mentale . — Traitement de la kleptomanie, de l'onychophagi
ire de persécution, proprement dit, tel qu'on le décrit en pathologie mentale . Ici le somnambulisme est seul en cause. Que s'es
ue jeudi, à la même heure. Ce cours a trait aux maladies nerveuses et mentales . Dans sa leçon d'ouverture, M. Jules Voisin a p
ez laquelle, à la suite d'un choc moral, s'est déclarée une confusion mentale primitive très accentuée. Après en avoir présente
99 Epilepsie jacksonienne hystérique, par J. Crocq, p. 184. Etats mentaux impliqués dans l'appréciation post-hypnotique du
ion post-hypnotique du temps, par Milne-Bramwell, p. 133, 166. Etat mental des hystériques, par GIorieux, p. 252. Evolutio
chez une glycosurique. Traitement hypnotique et guérison des troubles mentaux , malgré la persistance de la), par Paul Farez, p.
cutives à un traumatisme psychique, par Paul Farez, p. 296. Travail mental ot température, par Pembury et Nicol, p. 191. T
48 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Y ARCHIVES Dh n. NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE .1.-1\1. CHAllCO
conseils, et vont souvent s'échouer dans la vésanie, dont cet état mental spé- cial n'a été qu'une période préparatoire.
ce symptôme serait déterminé par une né- vralgie et quant à l'état mental particulier que ces ulcérations imaginaires occ
lgies lin- guales seraient souvent des candidats à l'aliénation v mentale . ' M. Hardy a surtout constaté ces manifestatio
cot m'adressa une malade présentant au plus haut point ce trouble mental qu'il a caractérisé du nom d'obsession den- tai
sultés; je veux croire qu'ils n'ont agi que par ignorance de l'état mental de la malade. 11 me sera toutefois permis d'exp
momentanément débarrassée de son obsession dentaire; mais l'avenir mental de cette malade n'en reste pas moins sombre. '
araît-il, et dans tous les cas se rendant un compte exact de l'état mental de son client, ne le soignait pas, mais le prot
urnis. Depuis le mois de janvier 1886, il était atteint de cet état mental particulier que ces malades appellent prostrati
Mmo de X... appartenait tout entière à la pathologie nerveuse et mentale , c'est pour avoir méconnu la véritable cause des
résoudre à sortir. Cet état de choses ne fit qu'aggraver le trouble mental de la ma- lade ; sa contracture ou plutôt la co
venir uti- lement qu'après la disparition des troubles nerveux et mentaux qu'elle présente. Il est certain, en outre, que
l'auteur attribue à l'éther lui-même le déve- loppement du trouble mental observé. Il est délicat de faire la part de cha
andidats sérieux aux accidents cérébraux. Les troubles nerveux et mentaux ayant succédé pendant un temps plus ou moins co
au. ital. per le mal. net., 1881, 82 sq. ' Al. Herzen. - Journal of mental seience, 1884 ; Revus philosophique, 1879 et pa
avait demandé Mauds- ley. Herzen répond qu'en effet « le processus mental conscient trahit une imperfection de l'organisa
i- que simple à l'automatisme est la condition du déve- loppement mental , qui serait impossible sans cela : le naturalis
l'origine, l'instinct et l'automatisme au terme de toute évolution mentale 2. 1 Herzen. - Les conditions physiques de la c
ois de Herzen à lapatho- génie de l'hypnose et à celle des maladies mentales . Ainsi, dans l'hypnose, la répétition de sensat
ex- ternes, et, dans son cerveau, se fixent des représenta- tions mentales correspondantes. Aussi le malade con- valescent
e ou cosmique : « Dans ce conflit sans trève, dit Buccola, la forme mentale douée de l'énergie la plus grande survit. Mais,
dent, selon lui, au soulèvement tumultueux des repré- sentations mentales , dont quelques-unes seulement at- teignent à pe
t à l'extrême vivacité avec laquelle surgissent les représentations mentales . Par exemple, si, chez un paralytique, la repré
ntales. Par exemple, si, chez un paralytique, la représenta- tion mentale d'une pièce d'or vient à surgir, le concept abs
e pâlisse et s'éteigne, empêche de naître tout autre représentation mentale . Ces rapports si étroits d'analogie entre le tr
troits d'analogie entre le tremblement et les autres phéno- mènes mentaux des paralytiques généraux indiquent quelle part
ues mêmes que l'on rencontre partout comme fondement de l'organisme mental . » Sur la polarisation psychique dans la phase
I. ' Ophthal. Soc. Nov. z, 1889. ' '-Tite journal of Nervous and Mental Diseases, vol. XIII, jawier 86. . Neural, Cevlr
ue l'on cesse l'administration du médicament. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Il : 1 de chaux. Il se produit une belle color
s choréiques des psychoses sont un élément surajouté à l'aliénation mentale qui émane souvent, comme celle-ci, d'un même fa
ndent du noyau caudé. Archives, t. XXI. 8 114 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ' L'auteur insiste sur le peu de,durée de ces
iles. P. K. IV. DES traumatismes, DE l'épilepsie ET DE l'aliénation mentale , ' par J. Wagner. (Jahrbttch. . Psych., VIII, 1
ne chute occasionnée par l'épilepsie convulsive REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 'lI7 antécédente. Le vertige épileptique, dont
st ce que IL Meyer appelle l'origine intentionnelle de l'aliénation mentale . Le méca- nisme serait à peu près celui de l'ex
é psychiatrique de Berlin, 10 juillet 1888. 118 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . facteurs nocifs de tous genres jouent ici le p
ation physiologique se communique aux fibres et REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 117 aux organes de l'articulation. Dans ces co
. Type du cerveau hydrocéphale à l'excès. - 118 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Le microscope révèle que les fibres intrci cor
rer comme i 1 Voyez Archives de Neurologie. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 119 vrais stigmates de dégénérescence que les
. Psych. VIII, 3.) Dix observations personnelles. C'est la débilité mentale qui constitue le terrain sur lequel évolue la f
une idiotie morale ou une démence morale suivant que la dé- bilité mentale est congénitale, héréditaire, ou acquise. Il exis
NER. (Jahrbüch. f. Psych. VIII, 3.) - I. Observation d'aliénation mentale provoquée et entretenue par une névralgie front
ations, couvulsions. P. K. XVIII. Deux cas DE simulation DE TROUBLE mental ; par DE Krafft KBING. (Juhrbitch. f. Psych., VI
vec délusions (Monomanie) ; par Joseph Wigldsworth. (The Journal of Mental Science, Octobre 1888.) L'auteur résume lui-m
r dans les tissus nerveux dont les modifi- - 10 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . cations sont susceptibles de donner naissance
at DE PERVERSION, considérées dans leurs rapport* avec l'aliénation mentale . I. MENSTRUATION : SES DÉBUTS, ses irrégularité
ossesse, parturition, etc. ; par CAMPBBLL CLUtE. (The Jour- 2zal of Mental Science, Octobre 1888.) L'auteur rappelle d'abo
sent le plus facilement sur le cerveau sont les REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 121 fonctions de reproduction. Il examine ensu
te quels sont les rap- ports de la menstruation avec les affections mentales ; on peut remarquer tout d'abord qu'il y a toute
tales; on peut remarquer tout d'abord qu'il y a toute une évolution mentale qui coin- cide avec l'évolution organique qui c
e l'époque menstruelle s'accom- pagne de modifications nerveuses et mentales , variables dans leur nature et leur intensité s
enstruation (aménorrhée, dysménorrhée, ménorrhagie) et les troubles mentaux . L'aménorrhée peut précéder de quelques mois l'
ue : quatre cas DE guérison; parS.-A.-K. STR\- han. (The Journal of Mental Science, juillet 1888.) Les cas où la folie chr
n asile à un autre. Or, en recherchant dans 122 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . la littérature médicale les cas analogues qui
frappé que dans deux cas rapportés par le Dr Franci (The journal of Mental Science, janvier 1887), la guérison avait pa- r
(la ménopause) qui était intervenu. R. M. C. XXV. Sur les troubles mentaux liés aux fiançailles; par Geo.-H. z SivAGP. (Th
mentaux liés aux fiançailles; par Geo.-H. z SivAGP. (The Journal of Mental Science. Octobre 1888.) M. Savage a été fréquem
les fiançailles avaient été l'occasion de l'apparition de troubles mentaux . Ces troubles sont variables ; cependant, la fo
s. En terminant, M. Savage exprime la conviction que ces troubles mentaux , pourvu qu'ils soient diagnostiqués en temps util
simulant une tumeur cérébrale , par G.-Il. SAVAGE. (The Journal of Mental Science. Juillet 1888.) Il s'agit d'un cas d'au
gnement de leur tamille et de leurs amis. (B.) 'REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 123 jeune femme de dix-sept ans et demi, chez
XXVII. Un singulier cas DE SUICIDE; par W.-B. TATE. (The Journal of Mental Science. Juillet, 1888.) La malade dont il s'ag
D1 : 1THÈSE DES dégénérés ; par G,-T, REvi.GTO. (Thejolll'1 ! nl of Mental Science. Janvier, avril et juillet 1888.) . N
, la réclusion, on la ramène à l'état normal au double point de vue mental et soma- tique. La sensibilité à l'égard des ag
icité. Ayant été plusieurs fois commis il l'effet d'examiner l'état mental de sujets ayant survécu à un double suicide auq
qu'au moment du suicide, la malade était sous l'empire d'un trouble mental réel. Les conclusions furent confir- mées par l
llf, 2.) P. Keraval. BIBLIOGRAPHIE 1. Recherches sur les maladies mentales ; par M. B\iLnnGEn, membre de l'Académie de méde
mportants et pourtant restés inaperçus jusqu'alors de la pathologie mentale . En 1843, parut le travail sur la stupidité. On
e.) DES hôpitaux d'asiles; par Richard GRi : ENE. (The Journal of Mental Science, juillet 1888.) Travail intéressant dan
olisme et plus particu- lièrement de son influence sur les maladies mentales . Concours d'admissibilité aux emplois DE médeci
c 75 points; - 4° M.'l'Invet, avec 62 points. Congrès DE médecine mentale DE LyoN.Lesmédecins aliénistes de Lyon viennent
ut l'organisation locale du prochain Congrès français de médecine mentale qui doit se tenir en 4891, dans cette ville. Ils
êtrière, ont commencé des conférences sur les maladies nerveuses et mentales , le jeudi, 4 décembre à 9 heures 3/t, au petit
du 10 avril 1890.) Nouvelle-Zélande. Statistique de l'aliénation mentale . Au 31 décembre 1889, on comptait dans celte co
est celui-là qui est indiqué par M. Binswanger,'que les désor- dres mentaux diffèrent essentiellement dans les deux cas. Si
ogressivement. Puis à cin- quante-cinq ans, apparurent des troubles mentaux , dépression mentale, mélancolie avec agitation
cin- quante-cinq ans, apparurent des troubles mentaux, dépression mentale , mélancolie avec agitation nocturne qui nécessitè
ulé : Recherches sur LES relations ENTRE LE CERVEAU ET L'ALIÉNATION MENTALE A LA LUMIÈRE DE SIX encéphales d'aliénés; par J
ire des olives, et que, de là, il se rattache à la substance fonda- mentale de la couche de Reil dans la protubérance. Imposs
INPLUENZ1 SUR L'ALIÉNATION MENTALE, par B1RTELS.- CAS D'ALIÉNATION MENTALE A LA SU11E DE L'INJ1LUENZA, par C. BECKER. Guér
té des associations, et la transformation continuelle de l'activité mentale . P. KERAVAL. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ MÉDICO
de la Société et indique quel a été son rôle au Congrès de médecine mentale de Rouen. , M. Bouchereau, prenant le fauteui
gauche. Au bout d'un mois de séjour à l'hôpital l'état physique et mental , s'est rapidement aggravé et sans ictus, sans é
eur curabilité dépend exclusivement de la lésion cérébrale fonda- mentale . Il parait donc établi actuellement que l'atrop
morphinique ne peut être invoquée à décharge par un accusé, l'état mental du mor- phinomane doit au contraire entrer en l
tiqueux, écholaliques, échokinésiques et autres, de désa- grégation mentale en vertu de laquelle ils répondent immédiate- t
VARIA Des hôpitaux d'asiles ; par Richard GREENE. (In Journal of Mental Science, juillet 1888.) Travail intéressant dan
ÉGARD DES ALIÉNÉS INDI- GENTS ; par A.-R. TURNBULL. (The Journal of Mental science. Oc- tobre 1888.) L'auteur étudie suc
par suite soit de la forme, soit de la pé- riode de leur affection mentale , les soins particuliers donnés dans un asile ne
Ces catégories comprennent, d'une façon générale, les affections mentales congénitales dans leurs formes les moins graves,
es congénitales dans leurs formes les moins graves, et les maladies mentales qui, après avoir été traitées à l'asile pendant l
mme donnait depuis quel- que temps des signes évidents d'aliénation mentale . Hier soir elle ne parut pas à l'heure du dîner
thique de Griesinger). - Statistique appliquée l'étude des maladies mentales : ce mémoire est l'exposé des motifs de la créati
paternel ; du côté ma- ternel, il n'y aurait rien de nerveux ou de mental . Antécédents personnels. Lu' ..... est née à Pa
spontanément dans le champ de la vision. C'est une forme de trouble mental qui me parait dépen- dre de la perte de la facu
la potion suivante : A\N1LE5 MÉDICO-PSYCHOLOGIQUES. 427 maladies mentales . Délire des persécutions. - Persécutés géni- ta
l'atteinte portée à la liberléde l'individu. Au congrès de médecine mentale , c'estle point de vue médical qui a domine; M.
nt évitées parce que des médecins, dont la compétence en pathologie mentale ne saurait être contestée, auront été contrôlés
othèse et ce qui est certain c'est que ces maîtres de la pathologie mentale n'étaient que médecins en chef; la critique ser
cin de s'occuper d'une façon efficace de l'étude de la pathologie mentale si bien que cet arrangement pourrait fort bien ne
une ques- tion des plus importantes pour l'avenir de la pathologie mentale . 11 est une question aussi qui revient fréquemm
à la Cour d'appel d'Aix, se demande si, en dehors de l'a- liénation mentale , il n'y a pas des cas où, par suite de faiblesse
rement ou qu'il acessé d'être responsable par suite d'une ma- ladie mentale ? » D M. Proal reconnaît que la preuve de la fo
e de se rappeler que la con- séquence la plus fâcheuse d'un trouble mental est la perte du libre arbitre. Dès lors, qu'imp
justice, mais elles compromettraient encore la science des maladies mentales . Pour justifier la théorie de la responsabilité
sent entre les accusés. Pour tous les cas en dehors de l'aliénation mentale , le principe des circonstances atténuantes perm
expériences cliniques sur la digestion stomacale dans les maladies mentales et en particulier dans la mélancolie. M. le Dr
de publier une excellente étude sur l'électricité dans les maladies mentales . C'est précisément dans la mélancolie simple et
mais dans ces affections, comme dans les autres formes de maladies mentales , les indications morbides ne sont pas encore ne
écution vraie, lorsque celui-ci n'est pas associé à d'autres formes mentales , telles que l'alcoolisme, la paralysie générale.
ho-motrices et psycho- sensorielles placent le siège des phénomènes mentaux . Comme le dit M. Binet : « Qu'on ait la sensati
prédominantes est déterminé par la nature même des représentations mentales qui constituent l'idée délirante. En effet, une
in, considérant ensuite le délire du persécuté persécu- teur (forme mentale décrite en France par Falrel), remarque avec de
'assimile pour en faire une idée délirante, on rencontre un trouble mental analogue mais qui diffère cependant d'une façon
ons : M. Magnan, dans ses études remarquables, considère ce trouble mental comme un signe direct et immédiat de l'hérédité
s attaques convulsives contribue à provoquer une désé- quillbration mentale de même nature. C'est à cette dernière influenc
1 la grande école d'Esquirol retran- chaient du cadre des maladies mentales lé délire qui accompagne ou suit les fièvres. M
a maladie aiguë n'est que l'occa- sion accidentelle de l'aliénation mentale qui aurait éclaté tôt ou tard. Les psychoses
commun l'affaiblissement rapide plus ou moins prononcé des facultés mentales , affaiblissement ou démence primitive qui s'acc
les autres maladies aiguës, la cause occasionnelle de l'aliénation mentale . La nature de l'aliénation mentale y est alors
se occasionnelle de l'aliénation mentale. La nature de l'aliénation mentale y est alors tout à fait indépendante de l'in- I
des observations réunies par M. Ladame est que REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 449 l'influenza à elle seule ne suffit jamais
de colapsus, sont générale- ment bénignes. Les autres affections mentales , dont l'influenza n'a été qu'une cause occasion
la forme clinique de la psy- chose. D 13r.m. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXIX. L'INFLUENCE DE LA MÉNOPAUSE SUR LA GENÈSE
L'INFLUENCE DE LA MÉNOPAUSE SUR LA GENÈSE ET LA FORME DES troubles mentaux ; par 1lLTUSCU. (alla. Zeitsch., f. Psych., XLVI
es iiioi,aux.-50 Elle se rattache étroitement à REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 451 l'hébéphrénie ou folie de la jeunesse ; el
urésie, en stimulant la circulation encéphalique, guérit l'af- tion mentale ; c'est l'explication de l'auteur. P. K. XXXIII.
à des sujets talés. La folie simultanée est une (orme d'aliénation mentale que nous comprenons bien moins que la transmiss
s renseignements, SI ont eu sûrement la 483 U-) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . syphilis, 53 l'ont eue selon toutes probabilit
alGl. 1889.) Névrose RRAUMATIQUF avec autopsie; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 453 par SpERLiNGet IiR07T1L1L (Ibid.) - Contri
servations sur 206 mélancoliques ; 1¡ ? )/ Il REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XL. EPILEPS11 CLASOAIA SEU 110T.1TOltl.a; par
valeur en tant que causes prédisposantes de la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 4SS folie. Les asymétries fronto-faciales de m
z les épileptiques, mais dans presque toutes les formes de maladies mentales et même chez des individus sains d'esprit. Pour
s une échelle ascendante, des formes élevées de la dégénérescence mentale (folie circulaire, manie périodique, paranoia pri
accentuant après l'accès. L'acuité visuelle 436 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . est presqu'intacte, peu troublée après les con
rence d'énergie et antagonisme de fonction tout REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 437 à l'avantage des dernières. La genèse clin
de ses dernieres séances. Toujours attiré par l'étude des maladies mentales , il rappelle, qu'il y a cinquante ans, il a été
'autant plus qu'elle peut être avantageusement remplacée par l'état mental au moment des actes incriminés. Ce critérium a
nis .1 Moscou le 15 janvier 1891. SECTION DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES . Cette section a eu trois séances dont deux, ce
es aux maladies nerveuses et une, celle du 19 janvier, aux maladies mentales . Séance du 17 janvier (Maladies nerveuses). P
tions destructives considérables. Séance du 19 janvier. (Maladies mentales .) Présidence de ilI. Ronsar,orr. Piésidence d
olie occupe une place très restreinte dans le nombre des affections mentales . Il arrive donc à cette conclusion que les jeun
tentifs ne pou- vaient découvrir des signes déterminés d'un trouble mental quel- conque. Sur sept malades, six n'avaient p
it de prédispo- sition héréditaire. Parmi les causes de l'affection mentale , chez six se trouvent accusées des grandes pert
commission qui présentera ses conclusions à la section des maladies mentales du prochain congrès. - M. BamKOFF (Saint-Péters
e l'organe de l'ouïe sur le développement et la marche des maladies mentales ». L'auteur a recueilli vingt-quatre observatio
s'observer également dans une foule d'autres maladies nerveuses et mentales comme une des manifestations de la dégénérescen
ux dont le sang coule sur les échafauds, sont atteints d'aliénation mentale avec ou sans délire. Depuis lors, l'abolition d
avec 2 planches hors texte. New-York, 1890. Journal of nervous and mental diseuse. liouws (J.) and Malte\ (G.-L.). - A ca
par Jelgersma, 2G5, ' Bibliographie : Recherches sur les maladies mentales par Baillarger, 142; - Anatomie artistique, par
0MA (état du nerf optique dans le), par Manz. Congrès de médecine mentale de Lyon, 155; - (les médecins rus- ses, 460.
nopause influence de la, - sur la genèse et la forme des troubles mentaux , par Nlattuscli, 119. 11 : SI'llU,\'IIO (influe
s) et aliénation, par Campbell Clark, 120. Simulai-ion de trouble mental , par Krafft-Ebing, 119. Société médico-psycho
49 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
nt tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rèditleur en tief : Docteur Edgar
TISME, SOMMEIL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NEVROSES, MALADIES MENTALES ET NERVEUSES, MÉDECINE LÉGALE, PÉDAGOGIE CRIMINOL
estion parlée. Le genre de suggestion que les auteurs qualifient de mentale , et qu'il serait plus juste de nommer occulte, ta
écuter. Cette aboulie existe dans certains états morbides et maladies mentales . L'opium le donne, et Quincey l'a fort bien décri
nalité psychique est intégrale. D'après lui, au contraire, l'appareil mental est en mauvais état aussi bien chez l'obsédé que
au point de vue de l'intégrité apparente ou réelle de leurs facultés mentales , il semble urgent, si l'on veut éviter à l'avenir
hallucination rétroactive intervenant dans le cours d'autres troubles mentaux , chez un malade de son service. Le malade raconta
ne sont donc pas les sujets peu intelligents ou atteints de débilité mentale qui présenteraient le plus d'aptitude à réaliser
nisme passif on observe la transmission de la pensée et la suggestion mentale . L'état de médianisme actif se caractérise en c
ont en contact avec lui, en provoquant chez celles-ci des suggestions mentales , qui peuvent, dans certains cas, provoquer de vér
tes de Moscou, pour être étudiées au XIIr Congrès de Moscou. Maladies mentales : 1° Palhogénie des hallucinations et pseudo- h
ns et pseudo- hallucinations : 2° Symptômes du passage des maladies mentales du stade où elles sont guérissables au stade ingu
de la démence précoce ; 3°Les auto-intoxications dans les maladies mentales ; 4° Délimitation de la paralysie générale prog
aralysie générale progressive d'avec les formes voisines des troubles mentaux ; 5° Transformation des asiles d'aliénés, en ra
nce; influence du travail et du repos dans le traitement des maladies mentales ; G0 L'hypnotisme et la suggestion dans les mal
adies mentales ; G0 L'hypnotisme et la suggestion dans les maladies mentales et en médecine légale. Maladies nerveuses : 1° Pa
r, parmi ces questions, 6 des plus intéressantes (3 pour les maladies mentales et 3 pour les maladies nerveuses) ; on pourra éga
éceptivité émotive, pathologique, que réalise seule la dégénérescence mentale héréditaire. « Dans l'espèce qui nous occupe, a
ments, parlant de l'intervention du médecin dans les cas d'aliénation mentale ,-Troplong écrivait : « Je pense que la médecine l
alable doit être résolue : un tel jouit-il oui ou non de ses facultés mentales ? Et qui pourra répondre dans une aussi grave alt
ui qui n'est pas même familiarisé avec les rudiments de la pathologie mentale ?com-ment pourrait-il formuler un diagnostic que
en rapport avec le degré de responsabilité de l'agent. — La médecine mentale et l'anthropologie criminelle sont venues indique
des prisons les garanties d'une compétence particulière en pathologie mentale . Réunion annuelle de la Société d'Hypnologie et
e qui entretient, multiplie et exagère le mal, par une représentation mentale obsédante, pouvant aboutir un jour à l'idée fixe,
rces reviennent, la digestion et le sommeil s'améliorent: mais l'état mental est à peine modifié, les idées mélancoliques ramè
ion III. — Neurasthénie viscérale liée à des signes de dégénérescence mentale . — Gastro-entéroptose douloureuse ; glossodynie ;
morbide entée sur des troubles fonctionnels anciens chez un dégénéré mental . J'essaye d'abord, en fournissant au malade les
sont pas directement attaqués à l'idée obsédante née du désiquilibre mental ont successivement échoué. La suggestion hypnotiq
t à vouloir? A mesure que diminuent la désagrégation et la dépression mentales , on voit le pouvoir de contrôle s'accroitre, l'ac
s des malades, et de leur rendre par là tout ce que leur constitution mentale comporle d'attention, de jugement et de volonté.
bilité des alcooliques, présenté au Congrès international de médecine mentale , tenu à Paris en 1889 1, M. Motet fait sienne l'o
Actuellement, on ne constate point d'anomalie notable dans son état mental . Une de ses sœurs a été internée à l'asile de S
t eu lieu les actes incriminés, n'ont remarqué aucun signe de trouble mental . Pendant son séjour à l'asile, on a constaté de
bilité des actes. Comptes-rendus du Congres international de médecine mental tenu à Paris, en 1889, p. 465. A partir de l'
ins, on recherchera les signes, même les plus légers, de perturbation mentale , tels que l'expression de la physionomie, le rega
iversité de ces troubles est grande, elle va de la simple instabilité mentale à l'aliénation proprement dite. En constituant un
symptomatologie montre des irrégularités de caractère et des troubles mentaux . Les mêmes observations seraient applicables aux
t être passé entièrement (1) Peut-être un cenaîn nombre de troubles mentaux consécutifs aux ovariotomics peut-il être attribu
ne du sommeil et du réveil provoqués à distance par une simple action mentale . Ce phénomène devint pour moi aussi familier, et
rdant au dehors, je lui ordonnai mentalement de se réveiller. L'ordre mental fut plus fort que la suggestion verbale, car une
'avoir éprouvé cette même sensation au même point. Du reste, l'action mentale nécessaire pour provoquer ainsi le sommeil s'acco
absolument rien. Jusqu'ici je n'avais produit le sommeil par action mentale qu'au cours d'une séance déjà commencée, après av
que disait l'un de mes interlocuteurs, j'envoyai à mon sujet l'ordre mental de s'endormir; et j'entendis bientôt les exclamat
r la chaise où il s'était assis. La porte refermée, j'envoyai l'ordre mental du réveil : et une minute après, on voyait Gustav
re expérimenté, pour provoquer en lui le somnambulisme par une action mentale exercée à son insu et à distance. J'ai eu l'hon
lui après sa mort, révéla à quel point était arrivé son détraquement mental . Les cas de Pascal et de la famille Pascal ne s
t Ebing, lequel occupe, comme on sait, à Vienne la chaire de médecine mentale , a fait dernièrement une leçon d'une heure deva
a le sujet de la leçon, il répondit qu'il voulait traiter « de l'état mental des maniaques pendant les attaques périodiques de
on, mais souvent aussi quelque chose de plus est requis comme tonique mental et moral ; et ceci, je crois, ne peut être réalis
Le malade présente quelques antécédents héréditaires au point de vue mental . La maladie débuta, il y a 15 ans, par un rhume
fets, les formes normales et pathologiques du sommeil et le dynanisme mental des névropathes, on est conduit aux conclusions s
ression des idées, la question médico-légale est de décider si l'état mental du sujet est suffisant pour rendre valable le tes
ecret est de savoir la concentrer sur un point. C'est une gymnastique mentale à renouveler tous les jours par un effort systéma
tion sera donc le salut des imaginations vives. « Dans nos chambres mentales , lisons-nous, il existe non seulement de ces émot
est le prix de la liberté. Astreignez-vous chaque jour au même effort mental . Par la concentration, les vérités fortifiantes e
pour celui qui est adonné à cette habitude, le diagnostic de trouble mental entraînant l'incapacité de tester. » Ces conclu
ous rendre les plus grands services dans le traitement des affections mentales . Je ne connais pas. en effet, d'êtres bien portan
inisés dans des catégories très diverses au point de vue de leur état mental . Il y a des périodes où Ils sont absolument irres
l faut que le sujet ait présenté dans le cours de sa vie des troubles mentaux bien déterminés et incontestables. Parce qu'on pr
e par voie digestive ou par voie sous-cutanée soit sujet a un trouble mental qui entraîne son incapacité au point de vue légal
vidu, c'est d'appuyer ses affirmations par un certificat d'aliénation mentale , délivré par un médecin. Or, rien ne démontre que
pour celui qui est adonné à cette habitude, le diagnostic de trouble mental entraînant l'incapacité de tester. » Hystérie m
'avoir éprouvé cette même sensation au même point. Du reste, l'action mentale , nécessaire pour provoquer ainsi le sommeil, s'ac
des paysans norwégiens, robustes et bien portants, au fonctionnement mental régulier, dont les rouages cérébraux n'ont pas ét
résence d'une névrosée, d'une véritable hystérique dont l'instabilité mentale se prête mal à l'influence suggestive. L'état de
manie raisonnante, à l'irrésolution qui constituent le fond de l'état mental des hystériques. Dans ces conditions, rien d'
ménopause », M. Nordau traçait le tableau clinique connu des troubles mentaux accompagnant souvent l'âge climatérique do la fem
sus s'aperçoivent et souffrent. Celte nécrobiose n'amène des troubles mentaux que chez les prédisposées. L'attitude dans le s
e type moteur, le type visuel, le type auditif. — Division du travail mental dans les états hypnotiques ; dissociation des phé
annexe de la salle Grisolle. Hospice de la Salpétriêre. — Maladies mentales . — M. le Dr Jules Voisin, le jeudi, à 10 heures d
énie B... présentait des zones d'aneslhésie caractéristiques, un état mental propre aux hystériques, et je n'insisterai pas su
erical blindness with violent blepharospasm and mydriasis relieved by mental impression (Transact, of the American Ophth. Soc.
ffection de l'oeil dépendant de l'hystérie. (Journal of nervous and mental diseases, vol XIII. n° 2, février 1886.) Lasègue.
manipulation du crâne ou du visage, exciter certaines manifestations mentales ou corporelles ». Après avoir hypnotisé ses pat
sujets à manifester les passions. les émotions et certaines fonctions mentales à un degré que ne peuvent atteindre les mêmes ind
t cet extraordinaire pouvoir de contrôler et de diriger les fonctions mentales reste inaltérable..» Les différents phénomènes
sement de la force musculaire et une exaltation de certaines facultés mentales . Braid démontra que plusieurs patients, mis dans
temps écoulé entre son ingestion et l'apparition du phénomène, l'état mental général dans lequel on se trouvait et les diverse
maladie, la période de son évolution, les traitements suivis, l'état mental général où l'on se trouvait, et les diverses circ
onnues, qui se montrent alors sous la double influence de l'obsession mentale et de l'aménorrhée. Le mécanisme physico-psychiqu
estion à l'égard d'un certain nombre de symptômes d'ordre physique ou mental qu'elle ne vise pas directement ; ce qui prouve q
igurer lui-même. Ces derniers prennent place sur une sorte de tableau mental que M. Diamandi se représente avec une grande net
s que sa mémoire vient d'enregistrer. On voit donc que « l'imagerie mentale * mise en jeu par chacun de ces deux calculateurs
la mémoire., le visuel apercevra aussitôt ce chiffre sur son tableau mental en même temps que le nombre tout entier; l'auditi
ages sonores qui correspondent aux neuf premiers chiffres. Le travail mental se fait donc chez l'auditif non pas dans l'instan
ar hasard, qu'il possédait cette très remarquable puissance de calcul mental . Eri outre, il ne s'est pas soumis à un entraîn
r la première fois), il ne s'est guère perfectionné comme calculateur mental . Enfin, il n'est pas uniquement spécialisé pour l
vres ; or, il n'a pas tardé à s'apercevoir que sa puissance de calcul mental avait beaucoup diminué et, pour la conserver, il
aiblesse. Il semble que cette exaltation démesurée de certain pouvoir mental entraine nécessairement comme corrélatif l'annihi
ale sont la rançon de son incontestable supériorité comme calculateur mental . Si, par contre, M. Diamandi est, entant que ca
i, il en est dédommagé par la richesse et la variété de ses aptitudes mentales . En ce qui le concerne, c'est sa faiblesse relati
rrait, peut-être à certains égards, faire rentrer dans la tératologie mentale . M. Diamandi, lui, n'est pas un « monstre », il e
que l'état hypnotique était essentiellement un état de concentration mentale durant lequel les facultés intellectuelles du pat
tels procédés, je pense qu'ils résultent entièrement des impressions mentales ou des idées dominantes excitées dans l'esprit de
éologie, doctrine de l'influence des idées dominantes sur les actions mentales et physiques ; « Monoidéiser, action d'exécuter
amique » indiquera tous les changements d'excitation ou de dépression mentale et physique qui résultent de l'influence du monoi
es intellectuels et physiques résultaient entièrement des impressions mentales et desidées dominantes seulement excitées ou comp
démontrer que tous les phénomènes résultaient et de la concentration mentale de l'attention agissant sur la propre organisatio
ion de la motricité. Fakirisme. Transmission de la pensée. Suggestion mentale . Le cours est public et a lieu tous les mardis,
ison est complète. Mais en même temps que la peur a disparu, son état mental s'est modifié dans un sens favorable, sa physiono
d'exercer une grande variété de sensations physiques et de conditions mentales . La relation suivante d'une expérience de Braid
e remarquables cures avaient parfois été causées par l'excitation mentale , tandis que de graves maladies et la mort elle-mê
vidu et qui apparaît immédiatement comme le résultat d'une impression mentale . * Où est alors la difficulté », demande-t-il, a
, était une action purement subjective, il disait aussi que l'élément mental , associé à l'administration des drogues en généra
tion dirigée sur eux ou détournée de l'état morbide... Une impression mentale est nécessairement apportée dans l'opération lors
it quelque substance médicale. » Braid pensait que cette impression mentale expliquait les révolutions qui s'étaient produite
Les progrès de Braid dans la connaissance du pouvoir des influences mentales sur les différents phénomènes de l'état hypnotiqu
oucher appelant à l'action certains muscles d'expression de condition mentale , excitant, dans l'esprit des sujets, les idées av
es, c'est une simple inversion qui s'établit alors entre l'excitation mentale et l'excitation musculaire : premièrement, le tou
le ; en un mot, dans les circonstances ordinaires, c'est l'impression mentale qui précède et qui agit comme cause excitante des
ue qui précède et qui agit comme cause existante des manifestations mentales ..... Lorsqu'en décembre 1841, je signalais tout
ion de la motricité. Fakirisme. Transmission de la pensée. Suggestion mentale . , Le cours est public et a Heu tous les mardis
rapports généraux, nous devons signaler les suivants : IV. — Médecine mentale . — i1* question : De la responsabilité, notamment
production : c'est qu'il a fallu un certain délai à la représentation mentale pour se former, un certain délai pour laisser une
e représenter au Congres de Moscou {section des maladies nerveuses et mentales ). 2° Un travail original de M. le Dr Clark Bell
ices graphiques occupent une place à peu près nulle dans son imagerie mentale . C'est qu'il est par-dessus tout un visuel et acc
tion névropathique, la plupart du temps héréditaire. Or, le surmenage mental ne saurait manquer de réveiller, de stimuler et d
ltés intellectuelles une activité déme- surée, — que ses pouvoirs mentaux n'aient subi aucune éclipse, ni aucune diminution
exemples ? Rappelons le cas de Jedediah Buxton qui fut un calculateur mental d'une puissance étonnante. « Lorsqu'il vint à Lon
t de devenir tous ces petits prodiges dont on surexcite les aptitudes mentales déjà naturellement excessives. En voulant leur re
de stimuler, d'ac-croitre cette affection nerveuse et le déséquilibre mental qui lui est concomitant. D'ailleurs, on se prop
ons existantes, soit que la nouvelle impression appartienne à l'ordre mental , soit qu'elle appartienne à l'ordre physique. Or,
ais, leur pouvoir est plus remarquable lorsqu'elles excitent l'action mentale , soit en fixant l'attention sur une partie ou sur
l doit être bien établi dans l'esprit, dit-il, que les conditions mentales opposées peuvent passer de l'une à l'autre par le
decine, à Moscou, du 19 au 26 Août. Section des maladies nerveuses et mentales . Comité d'organisation. — Les gérants: P'* A. K
« L'hypnotisme et la suggestion dans leurs rapports avec les maladies mentales et la médecine légale, » — A. Tokarski (de Moscou
de l'hypnotisme et de la suggestion au traite- ment des maladies mentales . » — Alex. Robertson (de Glasgow) : «* Hypnotism
tson (de Glasgow) : «* Hypnotism and Suggestion in their Référence tq mental Diseases. * — Gorodichze (de Paris) : « La psyc
dr Auguste Voisin a repris ses conférences cliniques sur les maladies mentales et nerveuses, le jeudi 10 juin 1897, à 10 heures
50 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
otisme, sommeil movoQUS, somnambulisme, sitconon NÉTKOSES. maladie» mentales et xeiiveuse-s, medecine léo a lu, pédagogie CIMU
repique du Vésinet (S.-ei*0.). D' Pottior. 10, rue Ptcput (Maladies mentales et nerveuses). D" Signes (Pavillon Cbarcot). 13
ux auquel puisse se livrer l'intelligence. L'influence que ce travail mental exerce sur la formation de nos idées est si consi
ccessivement la façon dont se comportent chez moi les diverses images mentales dans le rêve. Images visuelles. — Je suis un vi
me représenter mentalement un objet, un arbre, une personne, l'image mentale n'a jamais la netteté de l'image réelle ; les ima
; les couleurs sont un peu passées ; c'est plutôt une sorte de vision mentale plus facile a comprendre qu'à expliquer. Si j'ent
eté de l'image. En tout cas, il est très rare chez moi que les images mentales visuelles soient aussi vives que dans la réalité.
stence, les caractères mêmes de mes rêves n'ont pas varié. Les images mentales se sont toujours présentées dans les mêmes condit
. Quand le délire somnambulique est terminé, on observe une confusion mentale secondaire, de nature hystérique : la malade n'en
physiologie du système nórceux, la pathologie nerreuse, la pathologie mentale , la pédagogiedesnormauxet des anormaux, fan-Ihrop
Parla, II, ??. des Gobellns (5e). Les malades atteints d'aliénation mentale ne sont ??? admis. INSTITUT HYDROTHÉRAPIQUE DU
t tons les moi* PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE HALA.DIES MENTALES ET NERVEUSES RtfifiMm M: Docteur Edoar BÉRLLLON
TISME, SOMMEIL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MALADIES MENTALES ET NERVEUSES, MÉDECINE LÉO A LE, PÉDAGOGIE CRIMrN
ihéraplque du Véstnet (S.-ei-O.J. D* Polder. 10. rue Picpus {Maladies mentales et nerveuses). D' Signez [Pavillon Charcot), 138,
élève, et qui concernent quarante-deux malades atteints d'aliénation mentale , ou de ce qu'il appelait les névroses connexes.
Paris, 14, av. des Gobe!ins{5*). _Les malades atteints d'aliénation mentale ne sont ??? admis._ INSTITUT HYDROTHÉRAPIQUE DU
nt lorn I'" moli PSTCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Riiittcur ti (M: Docteur Edoar BKR
TISMB, SOMMEIL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MALADIES MENTALES et NERVEUSES. MÉDECINE légale, PÉDAGOGIE CWMINQLO
théraplque du Véslnei (S.-ei-O.J-LV Pottier, 10. tue PIcpus (Maladies mentales et nerveuses). D' Sigoez ^Pavillon Charcol). 138,
Bruxelles). L'éducation physique appliquée au traitement des maladies mentales , par M. le Dr i i (de Pau). Traumatisme et délire
neste. Je disais expressément ceci : « L'état d'incapacité, d'inertie mentale de cette malade, les mauvaises conditions hygiéni
ans, 14. av. des UobeltM (5->. Les malades atteints d'aliénation mentale ne sont pat admis. INSTITUT HYDROTHÉRAPIQUE DU
nt tous les mois PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rfliftar m (M: docteur Edgar béril
TISME, SOMMEIL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MALADIES MENTALES ET NERVEUSES, MÉDECINE LÉGALE, PÉDAGOGIE CRIMINOL
hérapique du Vésinet (S.-et-O-;. D' Portier, 10, rue Picput (Maladies mentales et nerveuses). D" Signez (Pavillon Charcot), l3*,
'autant plus intéressants qu'ils ne présentent pas encore de troubles mentaux accentués, que le dispensaire anti-alcoolique a é
le facteur efficace de la psychothérapie. D' Dérillon : L'onanisme mental . D' Fiessinger : Le cœur et les émotions. L'inf
Parts, ?, av. des Gobelin* (5*). _L*t malades atteints d'aliénation mentale ne sont ??? admis. INSTITUT HYDROTHÉRAPIQUE DU
NTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES resultarli (iti: Docteur Edgar BÉR
tisme, sommeil provoque, somnambulisme, suqgest10n névroses, maladies mentales et nerveuses, médecine legale, pédagogie criminol
iéraplrjue du Vésfnet (S.-et-O.). D* Pottler, 10, me Plcpus (Maladies mentales et nerveuses], Dr Signez (Pavillon Charcot). 1M,
ité des faits de télépathie, de transmission de pensée, de suggestion mentale , de clairvoyance, etc., etc., n'a été soumise au
pourrait tirer argument de son suicide pour supposer que ses facultés mentales étaient troublées dans une certaine mesure. Com
ce, mais par suite de sa discontinuité, un certain degré de confusion mentale s'établit; nous ne discernons plus bien les purs
lcool, sous quelque forme que ce soit, en raison de la dégénérescence mentale qui est la conséquence de l'alcoolisme. Fils d'
tion précédente. C'était, chez le jeune lévite, le premier accident mental . Ce ne fut pas le dernier. Schemouei était du res
le, l'orgueil des théomégalomanes, greffé Bur l'égoisme des dégénérés mentaux . Il vieillit avec son idée fixe. Lorsque l'âge
et impulsions homicides et suicides, telle était en effet la formule mentale do Schaûul (Saûl), Ois de Qisch. Ce choix du pr
isme pathologique, théomégalomanie, impulsivité, telle est sa formule mentale . Tout chez lui procède de la dégénérescence du sy
et demandée en mariage, a repris sa parole ; elle en éprouve un choc mental qui amène de grandes crises hystériques. Elle est
scrites : Df Binet-Sanglb : Rapport sur un cas prétendu de suggestion mentale et de transmission de pensée. D' BftiiiLLON : L
on mentale et de transmission de pensée. D' BftiiiLLON : L'onanisme mental . D' Fibssi.noeb : Le cœur et les émotions. L'in
montrer plus sévères dans la vérification des preuves de l'aliénation mentale . Le repos au lit et la folle. Un médecin-expe
rate, détruisent toutes les bonnes intentions et troublent l'activité mentale durant toute la journée. ¦ VAdministrateur-Géra
'ani, li, av. de* (k>be!ln*t5"). _Les malades atteints Jaliénation mentale ne sont pa* admis. _ INSTITUT HYDROTHÉRAPIQUE D
:;:. SOMMEIL PROVOQUE. S CM A MBDLISME, SUGGESTION NÉVROSES. MALADIES MENTALES ET NERVEUSES. MÉDECINE LB6ALE, PÉDAOOOIB CRIMINOL
éraplque du Vésinet (S.-ct-O.). D' l'oiti. r 10. rue Plcput (Maladies mentales et nerveuses). D' Signe* (Pavillon Charcol), 13$,
é accompagnée d'aucune modification dans le caractère, ni dans l'état mental . Ce qu'il y a de plus frappant c'est qu'on ne ren
la suggestion par hérédité ». Elle crée le type d'une race, son type mental , jusqu'à ce qu'un nouveau courant, plus puissant,
soumis à l'influence très variable du milieu. Du côté japonais, le mental est tout autre. Nous avons affaire à un insulaire
ci se traduisent immédiatement par des irrégularités ou des anomalies mentales . Nous reconnaissons que Ton en doit au premier
ent incompatible avec la vie commune, est constituée par des troubles mentaux véritables, moins tenaces toutefois et, par suite
le savons, sous l'influence des facultés, mais surtout de la fatigue mentale , dont les préoccupations, les soucis de toute nat
scrites : Dr Binet-Sanolé : Rapport sur un cas prétendu de suggestion mentale et de transmission de pensée. D' Fiessisger : L
Paris, h, av. des Gobelins (5*j. Les malades atteints d'aliénation mentale ne sont pas admis. INSTITUT HYDROTHÉRAPIQUE DU
tisme. sommeil provoque. somnambulisme. suggestion NÉVROSES. maladies mentales et nerveuses. médecine légale. PÉDAG001S criminol
héraplque du Vésine; (S.-et-O.). D* Pottier. 10. rue Plcpus (Maladies mentales et nerveuses). D[ Signex(PavIIlon Charcot), 138,
ù, tantôt à la peur morbide de l'Insomnie, tantôt à une surexcitation mentale qu'ils sont incapables d'enrayer—, ou bien, s'ils
scrites : D' Binet-Saxglb : Rapport sur un cas prétendu de suggestion mentale et de transmission de pensée. D' Bérillon : La
heures, à partir du fundt 16 januier. 2* L'hypnotisme et l'orthopédie mentale . Les jeudis à cinq heures, à partir du jeudi 12 j
in de la Salpétrière, reprendra ses leçons cliniques sur les maladies mentales et nerveuses, le jeudi 12 janvier 1905 à dix heur
Pans, 14, av. des tiobellns ($•). Les malades atteints d'aliénation mentale ne sont pas admis._ INSTITUT HYDROTHÉRAPIQUE DU
héraplque du Vésiaet (S.-et-O.). D* Pottier, 10, rue Plcpus (Maladies mentales et nerveuses). D* Signai (Pavillon Charcol), 1M,
formel, réfléchi et raisonnable, l'homme se révèle doué de fonctions mentales supérieures: par là sa personnalité s'affirme, et
uction h un cours sur les applications de l'hypnotisme à l'orthopédie mentale . Le manque de principes, l'instabilité dans les
il importe de retenir de son enseignement c'est que la transformation mentale d'où résulte le caractère s'opérera comme par une
ace dans la cure de l'alcoolisme ; 11 donne, avec une bonne direction mentale , la vigueur nécessaire au maintien de la bonne re
aris, 14, av. des Gebelina (5"). _Les malades atteints d'aliénation mentale ne sont pat admis._ institut hydrothérapique du
NTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE - PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES MMar m i(!: DocTEOR Edgar bér1llon
ME, SOM MEI I. PROVOQUE, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MALADIES MENTALES ET NERVEUSES, MÉDECINE LESALE, PÉDAGOGIE CRIMINOL
hérapique du Vésiaet (S.-et-O.). D* Potiler, 10. rue Picpus (Maladies mentales et nerveuses;. Dr Signez (Pavillon Gharcot), 1M,
Bechterew, à St-Pétersbourg; le premier a pour titre : La suggestion mentale et les rayons de Blondlot, l'autre: 17» cas de cl
e supprime de plus en plus les actions et les remplace par des manies mentales de plus en plus nombreuses. Puis, elle ne tarde p
an>. 14, av. des Gobciln*(a*). Les malades atteints d"aliénation mentale ne sont pat admis.__ institut hydrothérapique o
MM. les D™ Bérillon, Rakfb-gea . Paul Karez, p. 309. 7. L'onanisme mental et son traitement psychothéra- pique, par M. le
RENCES. — I. Blôpharospasme psychas- thénlque.— 2. Pseudo-confusion mentale hystérique, par M. le professeur Raymond, p. 314.
elle-Orléans, p. 318. — L'odeur des Européens,"p. 319. — L'aliénation mentale en temps de guerre, p. 319. VI. — NOUVELLES. — En
héraplque du Vésînet (S.-et-O.). LV Portier, 10, rue Picput (Maladies mentales et nerveuses). D' Signez (Pavillon Cbarcot), 138,
st Les femmes à barbe sont-elles plus prédisposées aux affections mentales que les autres?Telte est la question qu'une obser
que l'apparition de la barbe ait le moindre rapport avec l'aliénation mentale . En effet, il n'est pas légitime de comparer des
grande dans les asiles, avant d'invoquer l'Influence de l'aliénation mentale , 11 faudrait se demander si d'autres causes, en p
erver se sont empressés de les signaler dans les recueils de médecine mentale . Le D' Mac Dowall, médecin de l'asiled'aliénés
siled'aliénés du Comté de Northumberland, a publié dans le Journal of Mental Science {') deux cas de femme à barbe qu'il a eu
menton (Pig. 48). Peu de temps après son entrée à l'asile, son état mental s'améliora,-on l'occupa à la buanderie ; mais ass
ois enfants. On peut supposer que parmi les causes de son dérangement mental peuvent figurer la maladie et la mort de son mari
. H... était la seule qui présentât une anomalie physique ou une tare mentale . Jusqu'à sa maladie, elle s'était montrée d'un ca
lait aussi en faveur de la nature fonctionnelle, ou, pour mieux dire, mentale , c'était que le besoin disparaissait aussitôt qu'
mmeil? J'ai soigné un peintre-décorateur atteint d'accès de confusion mentale ; il sortait complètement de son étatde confusion
'il vient d'élrc nommé, après concours, chef de Clinique des maladies mentales et nerveusos à la Faculté de Médecinede Montpelli
M. Bérillon, Raffegeau et Paul Farez. • M. Bérillon. — « L'onanisme mental et son traitement psychothérapique. » — Discussio
t le sommeil hypnotique, je suscite chez le dormeur la représentation mentale de la traversée avec tous ses ennuis et je l'entr
et la lui laisser pendant toute la durée de son sommeil. L'onanisme mental et son traitement psychothérapique par M. le D'Bé
lades prouvent que l'onanisme est toujours précédé de représentations mentales à caractère luxurieux dans lesquels des sentiment
nis jouent le rôle déterminant. Dans quelques cas ces représentations mentales suffisent à elles seules pour provoquer l'orgasme
ur provoquer l'orgasme vénérien. Le plus souvent, ces représentations mentales précèdent et préparent les manœuvres d'onanisme m
romanes. Ce qui est intéressant dans ce cas, c'est le point de départ mental . La malade commence à réaliser l'onanisme en évoq
ntal. La malade commence à réaliser l'onanisme en évoquant des images mentales lascives ; ce n'est que quand elle a ressenti des
ages, l'acte n'existerait pas. Il s'agit là d'un véritable onanisme mental ; car pour éprouver les sensations qu'ils recherc
leur suffit de recourir à l'évocation d'images et de représentations mentales appropriées, Certains deviennent même fort habile
Les rêveries sentimentales ne sont qu'un premier degré de l'onanisme mental et il est prudent de ne pas les encourager. Lor
pulsivité irrésistible, elles compromettent l'équilibre des fonctions mentales ou même mettent en danger la vie des malades, le
Dans mon service de la Salpélrière, je vois aussi des cas d'onanisme mental , mais ils se manifestent à la suite d'hallucinati
ême, certaines hystériques ne se touchent pas et cependant l'onanisme mental les oblige à gesticuler et à pousser des cris ext
ce qui s'est créé tout entier par auto-suggestion. Psendo-confusion mentale hystérique (1) par M. le Professeur Raymond.
nd pas aux questions qu'on lui pose : cela milite en faveur de l'état mental hystérique. De plus, en septembre 1904, a la suit
es, vous aveztous l'impression qu'il s'agit d'hystérie avec confusion mentale . Or, il ne faut pas faire de diagnostic sur une i
e pas faire le diagnostic d'hystérie, car l'hystérique avec confusion mentale guérit, tandis qu'ici, tout est à craindre. BUL
D' Demonchv : L'hypnose spirlte. Dr Farez : L'asynergie des images mentales , le trac et quelques autres faits de psychologi
re qu'exhalent les nègres et aussi les « jaunes » ?... L'aliénation mentale en temps de guerre M. le Dr Jacoby, médecin en
les sacriûer d'avance ». Dans la guerre russo-japonaise, l'aliénation mentale sévit surtout dans l'armée russe. Les Japonais en
aris, 14, av. des Gobelios (£*). _Les malades atteints f aliénation mentale ne sont pjs admis.__ institut hydrothérapique d
traitées toutes la» questions qui relèvent de la psychologie ot péri mentale . CHAQUE NUMÉRO CONTIENT : !• Un bulletin sur
NTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES fWutliLt ti tit\: Docteur Edgar BÉ
TISME, SOMMEIL PROVOQUE, SOMNAMBULISME, SU00B6TI0S NEVROSES, MALADIES MENTALES ET NERVEUSES, MÉDECINE LÉGALE, PÉDAOOÔIB CRIMINOL
taérapique du Véainei (S.-el-O.). D* Ponter, 10. rue Picpus (Maladies mentales et nerveuses). D* Signez (Pavillon Cborcol), 13s,
nal (1), quatre observations de femmes à barbe atteintes d'aliénation mentale . Noua en donnons le résumé : Obs. I. — Femme de
barbue indique qu'on se trouve en présence d'un sujet doué d'un état mental anormal. (1) William Hills. Médical Times. Lond
rise la voix masculine, clic parait aussi retourner par ses aptitudes mentales au type ancestral de l'homme. Dans ces conditions
al de l'homme. Dans ces conditions elle se rapprocherait par son état mental des individusdont la folie consiste surtout en ce
S7S), cas du D'Ernest White- Elle entra à l'asile pour des troubles mentaux consistant en une manie avec impulsions à la viol
la violence. Une de ses grand'mcres avait présenté les mêmes troubles mentaux . Dans ses accès elle se montrait incohérente, vio
pas la théorie du Dr Mercier. Entre les femmes à barbe dont l'état mental est normal et celles qui sont aliénées, il convie
s aurons en vue les sujets présentant des symptômes de dégénérescence mentale se traduisant par une irritabilité exagérée et pa
jets chez qui la crise alcoolique est un des symptômes de l'affection mentale , affection qu'on observe dans certaines formes de
Le docteur Bérillon (de Paris) a créé un terme spécial « orthopédie mentale » pour signifier la « rééducation psychique » des
existence. C'est là qu'apparaît, dans toute sa force, l' « orthopédie mentale » de M. Béril-lon. Presque tous les sujets cessen
r obtenir des résultats définitifs, il faut appliquer 1' * orthopédie mentale » au moins pendant un an. quoiqu'on puisse avoir
se rappelle ce qui a été dit au sujet de l'importance de l'orthopédie mentale , on comprendra facilement qu'il est impossible de
es dont nous avons parlé précédemment ont été soumises à l'orthopédie mentale , dont nous avons déjà signalé l'importance et don
mplètement calme et détendue. Il semble que son agitation physique et mentale a été terrassée, jugulée, comme le sont, en parei
alme et au sommeil. 11 y a plus. Dans l'insomnie par préoccupations mentales , cette narcose coupe court à tout ce qui faisait
hy. 2. M. Binet-Sangle. — Rapport sur un prétendu cas de suggestion mentale et de transmission de pensée. Discussion : MM.
Dr Drmonchv : L'hypnose spirite. D' Parez : L'asynergie des images mentales , le trac et quelques autres faits de psychologi
Paris, M, av. des Gobellns (5*). Les malades atteints d aliénation mentale ne sont pas admis. institut hydrothérapique du
NTAIRE ILLUSTRÉE psychologie — pédagogie — médecine légale maladies mentales et nerveuses RUirbir ei ùtl: Docteur Edoar BÉRI
tisme, sommeil provoque, somnambulisme, suggestion KEVROS8S, maladies mentales et nerveuses, médecine légale, pedagogie criminol
hérapie;ue du Véslnet (S.-ct-O.). D* PotUer. 10, rue Piepus (Maladies mentales et nerveuses). D' Signez (Pavillon Chàrcot), 138,
e sans qu'on puisse percevoir une altération quelconque des processus mentaux ; tout ce que l'on constate, c'est qu'elle ne se r
c'est qu'ils sont morts. Et ainsi existe un antagonisme entre l'état mental de Marie-Louise et les modifications que le temps
nt des impulsions sexuelles. Uf Paul Farbz : L'asynergie de3 images mentales et les diverses manifestations du trac. D' Dbli
des), par Bérillon, p. 255. Aliénés en Belgique, p. 160. Aliénation mentale en temps de guerre. p. 319. Alcoolique traité
ions universitaires, p. 95. Odeur des Européens, p. 319. Onanisme mental el traitement psychothérapique, par Bérillon, p.
iébeault (Rapport sur le), par Paul Pares, p. 147. Pseudo-confusion mentale hystérique, par Raymond, p. 315. Renaissance
51 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE 1 DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION Dr J.-M. CHARCOT
'enfant ne se plaint plus de ses douleurs. (A suiove.) PATHOLOGIE MENTALE QUELQUES CONSIDÉRATIONS SUR L'ÉVOLUTION DU DÉLI
le siècle dernier, ce qu'on peut appeler la science de l'aliénation mentale a fait, certes, de grands progrès; pourtant, au
cisément il ces conclusions. . Archives, t, VI. 2 18 8 PATHOLOGIE MENTALE . traités classiques de nos maîtres, ! on se rec
ore). - Etudes cliniques. Traité théorique et pratique des maladies mentales , IIIe partie.. Paris et Nancy, 1852-183, . DU D
iés à quelque névrose (épilepsie,- hystérie ? etc.). 20 PATHOLOGIE - MENTALE ; ¡HI n(' dès' délires' liés à quelque lésiônror
,peut;Jà'la rigueur, traverse)la)vie sanstnotable accident du côté mental ;·s;il;se développent, s'il évolue^dans un milie
es. qu : il,pésente ? l ? ú sa 'Au ! début deEtqute<a ! iénation mentale ? il) y,,a"une ,dbulèr.,Cette,,vérit6 aLété,)mi
le D ? J. Christian. Paris,' 1876. " ,> : F2 ,¡11 : h\T110LOmc : MENTALES 1" soit' l'origine, le plus souvent héréditaire
chez lui, sans contre-poids et suscitant le délire, Y hypochondrie mentale . Au moins, l'avons-nous obser- véeisans excepti
ble de connaître chez nos. malades les, débuts ,de leur affection mentale . Notre expérience est sans doute un peu' jeune,
vé aux' mêmes conclusions. , . , , ,i Parfois, cette1 hypochondrie, mentale \ est assez légère pour permettre au, malade de
récisé- ment, il survienne, quelque douleur, cette hypochondrie - mentale s'accentue; le ,malade' étant d'ailleurs, dès sa
qu'on, retro,uve'a'u début de'toutel alié- nation : d° hypochondrie mentale ou physique; ° dou-i leur, surtoutmorale;'3°.pe
nières ? Ou' bien lennalàde resteicantonnédaiis son, i hypochondrie mentale ,- dans 'son» hypochondrie phy- sique; pew àvpeu
tl le ? JI.ilf1¡J ? ,l'r ? ¡'HHI 'c/)')fJrrl ' Esquirol ? Maladies mentales , t. If,.p. 12 à,16. Paris, 1838. ) ? (M-'l-jI-. r
le, \proposition, en divers endroits, de son Traité des nzcclad,ies mentales ^. Pour nous, bien que 1 l\. A., Fovi 1 le, fils
" J Ln 1 a i 1 · - J" i i'·J I, ,1, .\Iorel. - Traité des maladies mentales , p. 265 et suiv., li 19 et suiv., 714 et suiv.
Cerise et Morel, loc. cil. , > v i, ? , i 1 / 28 ^'PATHOLOGIE*- MENTALE . zig t¡,tl 1 déj àdé) datetplús10ümoinsi ancien
, paë exemple, deux, malades1 qui's'èngagènt" dans .30 ' PATHOLOGIE MENTALE . la.-période d'expansion : ' l'un arrive à croi
,présentera plus^ou moins de cohérence]' suivant que les 'facultés mentales du malade se trouveront là -ce moment'iplus »ou
cette proposition : « L'on s'imagine à torique 32 11'" PATHOLOGIE, MENTALE . « Les souverains des Petites-Maisons déplorent
ransitions. N'oublions pas; enfin, qu'au début même 'de l'affection mentale ,' il y avait déjà-un fond'primitif de débilité,
Au cours de l'évolution vésanique, cet affaiblissement des facultés mentales n'a fait que s'accentuer progressivement; il es
bide, c'est la peur- Al\CIl1v¡ ? l. VI. 3 34 ? (1 , si PATHOLOGIE MENTALE . ' ! Il 1.rl11-1 \ ? J '1 ! e ? : sio,t iîîëiîî
n être qui entravé sa otiérison,, .. 1, 7 l44 ? ? f '' " PATHOLOGIE MENTALE . ff 'SI7H 1 particularité qu'elle 'n'avait pas
ec le retour d'âge, présente des désordres 1,6 ri '/il 1 PATHOLOGIE MENTAL ! ! ] ? ""1 I affectifs, dont elle a conscience
, isolées, oui- iia,i ou, on i. n'a pas ,2 ;- yt 8r ' * pathologie- mentale . yl ? itr'1;3. : r conscience.de' ses. hallucin
mais, loin de s'effrayer ou'de s'affli- 51 < ",1 t ? PATHOLOGIE MENTALE . - -'1 ' ·ft.IH . ger de ce désordre mental, el
lt; ",1 t ? PATHOLOGIE MENTALE. - -'1 ' ·ft.IH . ger de ce désordre mental , elle s'en' réjouit.- Dans sa conviction; Dieu
oir' diriger.) ses ! , pensées' était, ! la preuveh d'uri9 désordre mental ;) mais;) pour elle; sa maladie était d'ordre surn
5rr \t.. ? lit" 111 ,¡, i{f', 4 "t) ? 58 '/1"1' r.m, I'·'ftIOLOGI1; MENTALE . , Il "1;11[ ..W -.Dans d'autres, cas, plus étr
I )fi,d1( , : or.}' - "'\IV ! La'conscience est1/ ! enf aliénation] mentale , tantôt un élément ci7nstüictif,ftântôt-uméléme
inte)iect'et)rinconscienee absolue ; s seules' /M' représentations* mentales peuvent* être; cons- l@cientés.Ificb aIEluJ"'3f
iques hystériques considérées comme sujets d'expérience en médecine mentale . (Illusions, \ hallucinations, impulsion., irrési
tance au point de, vue- médico-légal) ; ,par,Cb.t rt : nH ? L'état. mental ides hystériques al été (le sujet .d'études trè
tJ 111" #1"1 ,-i ? IJI 1< , ? 'IlHI ? vue spécial de la médecine mentale et de la .médecine, légale ? '" " On comprend s
l'occlusion avec compression 1 H. Iluchard. Caractère, moeurs, état mental des hystériques (Archives-de'Netirologie; t. II
2 H. Legrand du Saulle. Les hystériques; état physique et état " mental , actes .insolites, délictueux et criminels; in-8°
during the cataleptic period of hypnotism. [Journal orne/'vous and mental science,t : X, 1583.)TIJ ? l'II' il - ! i " Bou
quement voulus ; 1 Billod. ,1nn, méd. psych., 1S47, et Des Maladies mentales et ner- veuses, 1882, t. le»-, p. 144. 2 Ribo
L'homme, dont la sensibilité est normale et est réputé en équilibre mental , réagit à chaque impression qu'il subit; mais l
and secours pour l'étude des délires spontanés ; 3° que la médecine mentale peut trouver dans l'hystérique hypnotisahle un
d'expérience. Mais la possibilité de l'expérimentation en médecine mentale n'est pas le seul point intéressant qui soit mi
nt les épileptiques aliénés, qu'ils soient atteints de perturbation mentale transitoire ou chronique. 2° Ceux qui, sans êtr
, sur le placement des personnes aliénées ou suspectes d'aliénation mentale , qui sont, pour cause de crime oa délit, inculpée
'établissement comme aliénées ou soupçonnées atteintes d'aliénation mentale , qu'elles soient préven- tivement séquestrées,
pour la sécurité publique. ° Les personnes qui en état d'aliénation mentale ont commis un délit ou un crime, seront traitée
aliénés. 6" Les personnes dont on instruit l'affaire ou dont l'état mental paraît douteux à l'époque de l'acte délictueux,
her à la lésion' d'un organe' coordinateur ? La physiologie expéri- mentale rapprochée de l'anatomie pathologique, permet de
Eickholdt. Pathogénie des attaques de paralysie dans les mala- dies mentales . Sera publié 3. ", ` ".... J 1 i r , 1 1 1 '
s sensitifs de l'hystérie, l'hys- téro-épilepsie, certains troubles mentaux , certaines céphalalgies : , 1°' Les nausées et
" des troubles menstruels, étaient en connexion avec des troubles mentaux , le plus souvent là''hiéIan'colie,Jqui;oht'quëiqu
emière revue russe consacrée spécialement aux maladies nerveuses et mentales . Cette revue, publiée sous la direc- tion de M.
le professeur J. Mierzejewski, porte le nom de Messager de clinique mentale et nerveuse (Wiestuick psyckiatrii, nervoi pathol
agnent ou les suivent, Nouaux ne présente aucune trace d'aliénation mentale . Il ne croit pas avoir d'ennemis, ne se plaint
e médico-légale sur les épileptiques. Paris, 1877. - - PATHOLOGIE MENTALE QUELQUES CONSIDÉRATIONS SUR [.'ÉVOLUTION DU DÉL
, d'incohérence, de puérilité; elles ne peuvent que refléter l'état mental de ces êtres, si pro- fondément déchus dès leur
ites à l'asile Sainte- Anne, p. 27. Paris, 1877. 172 3 PATHOLOGIE MENTALE . avons pu en recueillir une observation assez n
re, que devient le malade ? Profondément affai- bli au point de vue mental , il tombe dans la démence. Mais cette démence,
ment, avec l'activité délirante s'en est allée aussi l'acti- vité mentale , qui était son substratum ; et nous n'avons plu
initiative, il peut être rendu à sa famille; dans son affaissement mental , il ne délire plus. Quelques auteurs appellent
autres déments, bien qu'au sur et il mesure de leur affaiblissement mental la scène délirante soit devenue de plus en plus
u moins de traces de l'activité délirante, et nous 17 'l PATHOLOGIE MENTALE . aurons ainsi diverses formes de démence. Ces d
te, le seul qu'on doive retenir, c'est l'état de profonde déchéance mentale qui se retrouve partout le même : la variété de
nous trou- verons des sentiments de grandeur, d'expansion. L'être mental , en effet, affaissé de longue date, a perdu chez
elles du début. A la fin de l'évolution vésanique, en effet, l'état mental est tout autrement affaibli que dans les premie
persécution, il faut, en effet, un effort 176 G l ? l'H 0 L 0 (j 1 MENTALE . mental plus grand évidemment que pour une inte
n, il faut, en effet, un effort 176 G l ? l'H 0 L 0 (j 1 MENTALE. mental plus grand évidemment que pour une inter- préta
te hypochon- drie confuse, survenant au sein d'un affaiblissement mental avancé, l'apanage exclusif de la démence vé- sa
leur propre déclin, voyant leur corps se dégrader, leurs facultés mentales baisser peu à peu, n'en viennent-ils pas, peu o
t simplement de la période dépressive, de la période d'hyperalgésie mentale (perversion douloureuse du sens émotif avec con
Cerise et Morel, 1OC- cit. Archives, t. VI. 1 : ! 178 PATHOLOGIE MENTALE . sur et à mesure qu'évolue la vésanie, c'est el
us paraît être un singu- lier artifice pour démembrer la pathologie mentale et compliquer l'étude de la vésanie. Pour nou
ituer une entité pathologique, comme on a voulu faire en aliénation mentale ? Le 180 PATHOLOGIE NERVEUSE. type supérieur
l- lules nerveuses il n'en existe pas moins une différence fonda- mentale qui est la suivante : nous n'avons jamais trouvé
ns pas ici sur ce point; on trouvera d'ailleurs revue DE pathologie mentale . 261 encore plus loin (OBs. XXVIII) un fait de
le voir dans le chapitre suivant. (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. La FOLIE DOIT-ELLE ÊTRE considérée comme une
l'amendement, et que leur avis fut écouté. 262 REVUE DE pathologie mentale . Peu de temps après, le 9 mai 1882, M. le D' Bl
ables au bout de quatre ou cinq ans de maladie, REVUE DE pathologie mentale . 263 ou, pour accorder à M. Luys le bénéfice de
nous exposer à sortir des limites de notre 264 REVUE DE pathologie mentale . compétence, nous étendre davantage sur ce poin
aralytique. D'autant plus que les prostituées, chez qui l'affection mentale en ques- : tion parait être assez fréquente, cons
z fréquente, constituent le seul élément social REVUE DE pathologie mentale . 2C5 5 féminin souvent infecLé. On sait, au res
les Arch. de Neurologie, t. V, p. 94. 1 i 266 . REVUE DE pathologie mentale . cinq francs en argent : on les voit s'élever a
1 V. les Archives de Neurologie, t. II, p. 278. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 267 moyens que l'on sait au niveau des zones p
franc, à l'aide de la pommade que voici : 268 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . d'un usage prolongé et fréquent : aucun inconv
ie'. Les experts nommés conclurent à l'amoindrissement des facultés mentales de par le fait d'un défaut d'éducation ; en l'ab-
t. III, p. 53; IV, p. 132; V, p. 374 et 375. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . G9 X. De l'influence des 111L.1DIES fébriles s
Archives de Neurologie, t. le,, p. 476-478. 270 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . le mouvement de rejet primitif inconscient; l'
naissance ne pouvant servir à pareille détermi- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 271 [ nation. La même évolution, les mêmes sym
en constitue le signe principal, comme le délire dans la pathologie mentale : souvent aussi, dans la folie, elle n'est que
connus. 80 SOCIÉTÉS/ SAVANTES2 - e111.o5uanr ? Sur.zua t¡,onul L mental < co¡¡éwti{ ? â ] nntoxicationJipa1' l'iodof
hes constituera le lieu le plus propre à se rendre compte de l'état mental ; ,2° Lorsque des actes criminels graves motive
par le D MORDRE. Thèse de Paris, 1883, in-8o. Manuel des maladies mentales ; par BRA. Paris, 4 883. Des nouvelles acquisiti
hèse de Paris, 1883. Du suicide dans quelques formes d'aliénation mentale ; par Clament. Thèse de Paris, 1883. Du pemph
cision ministérielle, des consultations gratuites pour les maladies mentales et nerveuses auront lieu, à l'asile des aliénés
.; pour nos abonnés, prix : 4 1f. Bna (M.). - Manuel des maladies mentales . Un volume in-tS de 282 pages. Prix : 4 fr. Par
age oral s'effectue pas à pas; chaque jour son réper- 33(i CLINIQUE MENTALE . toire s'enrichit d'expressions nouvelles, cons
à l'instant plein de sens et rigoureusement conséquent. CLINIQUE MENTALE DES HALLUCINATIONS BILATÉRALES DE CARACTÈRE D
élire des sensations, p. 106. Archives, t. VI. 2*2 338 . CLINIQUE mentale . du dédoublement et de l'indépendance fonctionn
iète par les mots : « Je n'ai jamais eu de chance» . 31O ' CLINIQUE MENTALE . A vingt-six ans, le délire s'accuse; les camar
; l'hémisphère droit répondant au côté gauche dis- 312' ' CLINIQUE MENTALE . posé à la joie et faisant presque entièrement
rduriers et l'on par- lait des obscénités du diable. 344 CLINIQUE MENTALE . Ce malade adonné à l'absinthe a présenté, en o
à droite qu'à gauche. Ce délire très bruyant se superpose à l'état mental préexistant qu'il masque. pour un temps. Puis a
et de leur traitement. Paris, 1874, p. 68 et 255. 3 if, CLINIQUE MENTALE . chez tous les trois, nous voyons commencer à p
e région de l'hémisphère doit-on les localiser ? ` ? 350 CLINIQUE MENTALE . Lorsque M. Baillarger1 publia son remarquable
882.) 1 Fritsch. Wiener ltlcdlcinische Presse, 1880. 352 CLINIQUE MENTALE . (service de Meynert) et le mien' qui désignent
nard rapporte un cas de suppression brusque et isolée de la vision mentale des signes et des objets, qui a fait l'objet d'
conserve les images visuelles explique entièrement cette situation mentale nouvelle. Quand, au contraire, ce centre cortic
'écorce qu'il faut les rattacher. AncmVES; t. VI. 23 354 CLINIQUE MENTALE . Dans un travail sur les hallucinations unilaté
vait ré- tabli. Des faits analogues sont nombreux en pathologie mentale sans qu'une filiation intime puisse être établie
dans son Essai sur les moyens de prévenir et de guérir l'aliénation mentale , un exemple de mérycisme. Le malade ayant succo
, le résultat de nos Aucuiviis, t. VI. 26 402 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . recherches ne concorde pas avec ce que nous tr
servation XXVI). (La fin au prochain numéro). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XV. Lux TIIOUBLES DE LA VUE U'OIIIG11E CIsRÉUIi
sement expliquerait la cécité corticale totale; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . K)3 il reste au surplus indéterminé '. Au lobe
XVI. SUR L'ÉTAT DE LA TEMPÉRATURE DANS QUELQUES FORMES DE MALADIES mentales (rapproché du centre régulateur de la chaleur); p
'ecoree. (Archives de Neurologie.) P. K. ' II)4 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . culaire qui est la source de la production de
rce. P. K. XVII. DE la CONSCIENCE DE la maladie dans LES affections mentales ; par Arnold Pics. (Arch. f. Psych. Il. Nervenk.
chez les hommes dont les pupilles réagissent . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 05 mal à la lumière. Elle fail exclusivement d
forte sécrétion sudorale. P. K. XX. Rapport MÉDtCO-LËGAL SUR l'état mental DE DELY-lIIEUE\IED, ACCUSÉ DE MEURTRE SUR LE LI
ents en vertu desquels l'auteur rejette l'existence d'une affection mentale . Détails morcelés sur les moeurs turques. P. K.
on, le délire des grandeurs n'affecte point une REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . li 07 forme fixe, ne soit pas stéréotypé. lis
rédisposés, s'associe assez souvent à certaines formes d'aliénation mentale ou à certains états psycho- pathiques. Elle se
morphine, ergotine, digitale) qui agissent 408 REVUE DE pathologie mentale . sur la tension vasculaire n'eurent au reste qu
e diminution d'action des vaso-moteurs. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 409 XXVII. Manie transitoire consécutive A la
let entre le cou et l'occiput chez un enfant de REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ,il 1 douze ans; violente frayeur chez un garç
chez les individus atteints de lathyrisme. 412 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . L'auteur signale aussi la fréquence plus grand
Pétersbourg, 1883). L'auteur cite les cas déjà connus de la forme mentale appelée hébéphrénia en ajoutant deux observatio
personnelles. L'auteur pense que l'hébéphrénia n'est pas une forme mentale sui gene1'is et croit que c'est l'âge où l'enfa
enant sa nourriture que si on la slimulait vivement. Outre cet état mental , elle présentait à la ré- gion frontale gauche
malade n'était restée qu'une journée : Affaiblissement des facultés mentales avec sensiblerie ; confusion dans les idées, in
ypothèse d'une coïncidence simple entre l'amélioration des troubles mentaux et celle des manifesta- tions syphilitiques ext
N'est-ce pas la manifestation d'une lésion circonscrite ? Et l'état mental ? 11 y a surtout une profonde obtu- sion qui em
- taque d'hémiplégie suivie dès l'abord de symptômes d'aliénation mentale qui prennent tout à coup un accroissement brusque
ois. On n'a pas à redouter dans l'espèce d'action nocive sur l'état mental , seulement il fauts'entourer de précautions, ex
jour. M. DE Rinecker communique l'histoire d'un cas d'aliénation mentale consécutive ci une leucorrhée extrêmement abondan
t toujours trop porté à attribuer à l'épilepsie tous les trou- bles mentaux qui se présentent chez un épileptique. M. Magnan
met à exécution un projet récemment combiné, etc. La disposition mentale existante au moment de l'ictus n'est pas interrom
dons à nos lecteurs le tableau de ce que M. Dreyfous appelle l'état mental du diabétique. Il cite ensuite la narcolepsie,
neurologie. [.Psychiatrie. - 1. Aperçu statistique sur les maladies mentales et les institutions psychiatriques des pays du
énés ; i. La valeur des exercices dans le traite- ment des maladies mentales ; 5. Le rôle des écoles pour la pro- duction de
mentales ; 5. Le rôle des écoles pour la pro- duction des maladies mentales ; 6. La température du corps pendant les stades
. La température du corps pendant les stades primaires.des maladies mentales ; -7. L'aliéna- tion mentale dans l'enfance ; -
dant les stades primaires.des maladies mentales; -7. L'aliéna- tion mentale dans l'enfance ; - 8. Perversité de l'instinct se
Le rédacteur-gérant, 130URNEV1LLE. TABLE DES MATIÈRES Aliénation mentale consécutive à une leucorrhée, 424. Aliènes (h
du sud-ouest, Il-)3. Conscience de la maladie dans les maladies mentales , 40 ? Couleurs (perception des), 99. Crimes c
S liystéi-i(lues cousidétés comme sujets d'expérience en médecine mentale (illusions, hal- lucinations, impulsions irrési
chez les enfants, par Sikorsky, 319. Loi de 1838, 121. Maladies mentales ( température dans quelques formes de), 403.
52 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Y. ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE . DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIEE 9 0 U 8 I. A D I Illï C T 1 0 N 1)1 !
s mouvements finissent par avoir les symptômes du vertige expéri- mental . Il est à remarquer que les animaux ne vo- miss
hisseurs du genou. En revanche, presque tous les symptômes fonda- mentaux ont progressé et d'autres nouveaux s'y sont ass
allumé un incendie et tout porte à croire qu'en raison de son état mental très affaibli, il a agi d'une façon inconscient
médecine générale, elle est absolument insuffisante en méde- cine mentale où la recherche des causes est peut-être un des
présentant différents traits caractéristiques de/ la dégénérescence mentale , et quelquefois même des stigmates/ physiques,
onde admet bien la possibilité de la stupeur dans toutes les formes mentales : mais ceux-ci s'en tiennent là, ceux-là décriv
r une période de mélancolie simple ou même par un état d'exaltation mentale antérieur (manie ou anxiété), faut-il en conclu
? Si cela était, il resterait bien peu de choses de la pathologie mentale ; car il n'est guère d'affections vésaniques qui s
nt identiques à elles-mêmes dans toute leur durée ; et l'exaltation mentale et surtout la dépres- sion, l'hypochondrie mora
nésie (reproduction du geste) et de coprolalie, ainsi que d'un état mental particulier qui se manifeste surtout par l'appari
ions cérébrales; par W. J11liUS MlCl, : LE. 77 ! e</OM ? 'Ha/ of Mental Science , avril 1885.) L'auteur rapporte briève
ctus de dégénérescence, de forme arrondie, dans REVUE DE pathologie mentale . 78 la colonne latérale gauche; un tractus anal
amides était le point le plus atteint. R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. Quelques mots ajoutés A ce que l'on sait DE
sychiatrique de la province du Rhin, tss5. 76 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ans. Un seul demeura guéri ; il n'avait paspré
celui qui appartient à la narcose, à l'ivresse REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 77 morphinique. Les symptômes furent ceux qui
'étiologie des difformités congénitales. Son 78 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . attention fut portée sur ce point la première
culation foetale est troublée. La connexion est REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 79 si intime entre la mère et le foetus, que c
t de M. Il... PEINTRE DE portraits; par W.-A. Guy. (Tite Journal of Mental Science, juillet 1885.) Nous devons nous borner
st à noter qu'il ne s'agissait pas d'une fièvre typhoïde), son état mental commença à s'améliorer, et fina- lement elle ab
ntenue, et sa santé physique était aussi satisfaisante que sa santé mentale . L'affection intercurrente a-t-elle eu ici une
fection intercurrente a-t-elle eu ici une influence sur l'affeclion mentale ? c'est un point sur lequel l'auteur n'entend p
er le fait tel qu'il a été observé. R. M. C. 80 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . VI. UN CAS d'iMBÉCILLITÉ AVEC ANTÉCÉDENTS HÉRÉ
I. Folie morale ou émotionnelle; par D. HACK TUItE. (The Journal of Mental Science.) L'auteur rapporte plusieurs observati
s exemples d'un état cérébral morbide , dans lequel les symptômes mentaux observés sont d'ordre émotif et surtout automatiq
à la cognition, et peuvent être rapportés à cette forme de trouble mental que l'on désigne habituellement sous le nom de
D'OEIL sur la FOLIE EN ESPAGNE; par F.-A. JELLY. (Tlce Jourlznl of Mental Science, juillet 1885.) Le lecteur qui chercher
ans aucune participation des centres et en particulier de la sphère mentale . La névrite multi- loculaire est donc seulement
présentation d'un certificat de médecin constatant son aliénation mentale , ou même, en cas d'urgence, sur la production d'u
e premiers mois que l'on peut arriver à constater le véritable état mental d'une per- sonne ! J'ai assité à des interrogat
la liberté individuelle avec le traitement qu'exige l'atié- nation mentale . Nous sommes tous unanimes dans ce désir, nous
obstacle à cet abus, il est indispensable, et il suffit que l'état mental de la personne soit nettement établi. En sorte qu
ment des choses ordinaires; mais en médecine et surtout en médecine mentale , elles ne suppléent ni l'observation des faits
rains pas d'être démenti par les médecins ici présents, la médecine mentale est une science hérissée de difficultés et d'ob
bon sens et la raison sont des boussoles impuissantes. La médecine mentale seule a le privilège de diriger le médecin à tr
es du principe qu'elle avouait, et, au lieu d'adjuger à la médecine mentale l'aliéné comme son sujet naturel, l'internement
magistrats, 116 SÉNAT. pour apprécier la réalité de l'aliénation mentale , que les rapports elles certificats des médecin
endre l'aliéné contre l'erreur ou le mauvais vouloir de la médecine mentale ! Et ces hommes n'ont pour s'éclairer, pour se
pes et pour obéir à des scrupules, le jugement des cas d'aliénation mentale , devraient être capables de discerner et de pré
lles, en état de le faire. Vous les con- traignez à ne juger l'état mental de l'aliéné que par les rapports écrits par les
ns dont vous suspectez la sincérité ; s'il y a eu erreur sur l'état mental de la personne, la même erreur sera 118 S SÉNAT
éprime beaucoup trop l'intervention seule compétente de la médecine mentale . (Très bien sur plusieurs bancs.) ' Il ne faut
n disciples de Galieu ou en antagonistes des maîtres de la médecine mentale . Ils ne sont et ne peuvent être que des légiste
de cette maladie est de plus en plus démon- trée. Lors d'aliénation mentale , il s'agit toujours de la même pié- disposition
, d'un autre côté, qu'elle ne se prolonge pas, dès qu'une affection mentale est reconnue afin que celui qui en estatteint r
tion du médecin de l'asile, indi- quant son appréciation sur l'état mental du malade. c Mon collègue désirant rester seul
e qu'est un asile d'aliénés et des caractères réels de l'aliénation mentale . Ce que doit exiger le ministre de l'intérieur,
açon plus manifeste, de rendre obligatoire l'étude de la pathologie mentale ; il a montré avec une grande vigueur dans quel
rofessionnelle, mis en demeure de signer un certificat d'aliénation mentale ou d'éclairer une cour de justice sur une quest
ou d'éclairer une cour de justice sur une question de pathologie mentale . 142 FiAITS DIVERS. Sur la nécessité pour tou
QUES DE MEDECINE PSYCHOLOGIQUE ; par Edward MOOIIE. (The Journal of Mental Science, avril 1885). . L'auteur insiste énergi
ite dans les études médicales , à l'enseignement de la patho- logie mentale . Il signale les avantages qui en résulteront pour
our; la vie psychique des micro-organismes ; l'intensité des images mentales ; le problème hypnotique ; note sur l'écriture hy
ervation XLIV. - Atrophie cérébrale. e/n/ë ? <' gauche. Débilité mentale et épilepsie. Père et grand-père paternel alcoo
st de l'hémianesthésie que l'on obtient. Avec ses données expéri- mentales établies par l'exploration des régions corticale,
gie, d'après quelques observations, presque exclusivement expéri- mentales , bien que quelques faits anatomo-cliniques ou cli
ure. 4, -1 ; zone radiculaire antérieure (Pierrot) ou partie fonda- mentale (Flechsig). 5, 5; cordon de Goll. 6, G; bandelett
si bien héréditaire qu'acquise. A côté de cet état physique, l'état mental se caractérisait par une apathie profonde et se
osé de rechercher, d'après des données positives : 1° si le trouble mental qui accompagne les attaques d'épilepsie exclut
adie. Ils sont méfiants et orgueilleux. Il est de règle en médecine mentale [que toutes les folies mentales coin SOCIÉTÉS S
eilleux. Il est de règle en médecine mentale [que toutes les folies mentales coin SOCIÉTÉS SAVANTES. 283 mencent par de la
de mettre en discussion le projet de clas- sification des maladies mentales . M. PALRET fait remarquer que son père avait dé
is le médecin doit avoir soin de signaler que le cas d'aliéna- tion mentale qui lui est soumis se traduit par des phénomènes
e la mémoire impossible), névropathies constitutionnelles (débilité mentale , hystérie). Enfin, en certains cas, nous obtien
; on l'accordera alors sans s'arrêter aux défec- tuosités de l'état mental ou physique Quand il existe un opiniâtre refus
ticable que la procédure actuelle de l'interdiction pour aliénation mentale laisse au magistrat la décision suprême de l'ex
siles publics ou des médecins prenant un vif intérêt à l'aliénation mentale qui installaient des asiles privés. Aujourd'hui
e cette enfant, dans la famille de qui on ne constate aucun trouble mental , présente exactement les mêmes phénomènes. Sa f
les intellectuels en pleine phase diacéturique. M. ZiiN. Débilité mentale . Incendie. Rapports contradictoires. Rapport su
e la séquestration d'un aliéné, ou d'une personne dont les facultés mentales sont légèrement dérangées sans être pour cela i
nde majorité des citoyens qui ont des parents atteints d'aliénation mentale ne peuvent recourir à ce procédé. Eh bien, ne t
estrer un citoyen ! « Est-ce que c'est seulement en cas d'atiéLatmn mentale que ce fait se sénat. 313 ii, produit ? Avez-
- titué par le présent arrêté le chef de la clinique des maladies mentales organisée à l'asile Sainte-Anne; lorsqu'il sera c
aculté DE médecine DE Paris. Concours pour le clinicat des maladies mentales . M. Rouillaiuj vient d'être nommé chef de cli-
Vol. XVI. Novembre 1888. Nu 48. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA. FOLIE COMMUNIQUÉE
ue, séance du 27 juin 1887. Archives, t. XVI. 21 322 PATHOLOGIE MENTALE . Que de fois le médecin de l'asile n'entend-il
utile d'encombrer la nomenclature déjà si"compli- quée des maladies mentales , et d'attribuer à une seule espèce morbide un v
transformée, folie induite, sont synonymes, avec une 324 PATHOLOGIE MENTALE . nuance toutefois pour la folie transformée, da
7). ' * Du délire chez les dégénérés. Paris, 1886. 326 PATHOLOGIE MENTALE . mouvements de l'opinion, de ces grandes passio
disposés s'émeuvent; certains voient momentanément leur équilibre mental se détruire. Il est notoire que les grands évén
, les délires reflètent les idées du moment. Si l'on examine l'état mental des malades, on retrouve celui des déséquilibré
a Folie à deux et le Suicide à deux. Th. 1885. 1 338 8 PATHOLOGIE MENTALE . cides, qni sont un syndrome du délire mélancol
agion existe. L'intermédiaire obligé est ici cons- titué par l'état mental des sujets. Ceci nous amène à la véritable path
eci nous amène à la véritable pathogénie de ces accidents. L'état mental , jouant un rôle prépondérant, doit être étudié
associé leurs conceptions délirantes, ne jouissent pas du même état mental . L'un joue un rôle actif, l'autre joue un rôle
l'entraînement subi. par l'homme pondéré était bien 330 PATHOLOGIE MENTALE . différent de celui que subit l'homme malade. D
elle qu'il faut souvent un long interrogatoire avant 332 PATHOLOGIE MENTALE . de mettre à nu l'idée délirante ou l'hallucina
alogues au point de vue médico-légal, Paris, 1887. 334 PATHOLOGIE MENTALE . mouvements, et elle dit immédiatement : « Voye
la fille. Elles sont entrées le même jour à Sainte- 336 PATHOLOGIE MENTALE . Anne, au bureau d'admission. La mère, M-e L...
égulière, et seu- lement quand elle manque de travail. Sur cet état mental se sont greffés des syndromes épisodiques et de
histoire de nos deux malades, Archives, t. XVI. 22 338 PATHOLOGIE MENTALE . celui qui a entraîné leur internement le même
ns plus ample informé, qu'elle n'est qu'un écho. ' 340 PATHOLOGIE MENTALE . Son délire repose sur trois points principaux
voir la notion exacte de l'acte qu'elle accomplit. 342 PATHOLOGIE MENTALE . Observation IV. Délire à trois. Père et mère
sans s'émouvoir. Ces faits donnent déjà une juste idée de l'état mental de la malade, qui, absolument sans défense et s
mière influence qui a été funeste, ils peuvent subir 344 PATHOLOGIE MENTALE . une' influence contraire, celle du médecin, qu
it jamais défaut, et par cela même il devient le caractère fonda- mental de cette forme. Presque toutes, pour ne pas dir
épilepsie à l'hôpital de Schwetz, transféré plus tard pour troubles mentaux à l'asile d'aliénés. Observé de 1857 à sa mort
n NET chez un garçon de onze ans, par le Dr S.wcie. (The Journal of Mental Science. Juillet 188.) Voici le résumé de cette
tive A une lésion corticale; par W. Julius Mickle (The Journal of Mental Science. Avril 1885.) L'autopsie révéla chez le
mbitieux dans l'alcoolisme chronique. * Classification des maladies mentales . - La Société de médecine mentale belge ayant d
* Classification des maladies mentales. - La Société de médecine mentale belge ayant demandé à la Société médico-psycholog
Société médico-psychologique un plan de classification des maladies mentales , en vue d'une statistique internationale, une c
de n'avoir pu répondre plus tôt à l'appel de la Société de médecine mentale belge '. Présentation du malade. M. Lwofî pré
. Psych. t. XVI). M. Nasse. Quelques mots relatifs à ['aliénation mentale d'origine paralytique, et notamment à la. guéri
lisme1 (Voy. Zcelch. f. PSclt., RLII). M. GOTTLON. Des affections mentales chez les montagnards. Qua- rante observations c
manifeste, il est probable, presque certain même, que l'aliénation mentale tient à ce mauvais traitement. M. IIEDOLD. Comm
ations casuistiques sur la simultanéité du tabès et de l'aliénation mentale . - L'orateur distingue avec soin la paralysie g
le commencement de z, il doit être tenu pour guéri de son affection mentale , tandis que le tabès est demeuré tel quel. Ce n
ns pour dresser une stéitistiqzicprofes- siontzelle de l'aliénation mentale dans la province du Rhin. L'as- semblée invite
envoyées aux membres de la Société, sur la question de l'aliénation mentale d'après sa répartition pro- fessionnelle, n'aya
arks nécessaire à l'établissement d'une statistique de l'aliénation mentale dans ses rapports avec les diverses professions
s extrc- - moment pernicieux de la cocaïne sur la santé physique et mentale , et « en présence de la constatation alarinatil
s sont de cet avis. M. SNELL parle de la simulation de l'aliénation mentale . A ses cinq observations relatives à la simulat
TESTEUR. Je ne voudrais pas vous faire un cours sur l'alié- nation mentale , cela me serait très difficile, mais permettez-mo
e caractérise et s'il est démontré qu'il y a là un cas d'aliénation mentale , il est nécessaire de pro- céder à des mesures
état et la capacité civile de la personne résultant de l'aliénation mentale . M. de Gavardie. Eh bien, cela suffit. li, 6
uve dans le code civil, ne convient pas à tous les cas d'aliénation mentale qu'il s'agit de traiter dans les établis- semen
le tribunal un homme -qui n'aura pas donné des signes d'aliénation mentale , évidemment; mais com- ment voulez-vous que, sé
nécessaires, afin de statuer en connaissance de cause sur l'état mental de l'aliéné ou prétendu tel;qu'elle pourrait, en
té judiciaire consiste beaucoup moins dans l'appréciation de l'état mental de la per- sonne en cause que des circonstances
, en pareille circonstance, ne consiste pas tant à apprécier l'état mental de la personne que les circonstances dans lesqu
rès consciencieux en tout ce qui touche aux affections nerveuses et mentales des enfants, cet ouvrage pourra toujours être c
veuses 1888. (Paris.) ravreau : Du secret professionnel en médecine mentale . - Junin : De l'étiologie héréditaire de la par
ution ci l'étude du traumatisme dans ses rapports avec l'aliénation mentale . Delacroix : Contribution à l'élude du strophan
ns un asile public ou privé, consacré au traitement de l'aliénation mentale . Faut-il en conclure que les internes des hôpit
- titué par le présent arrêté le chef de la clinique des maladies mentales organisée à l'asile Sainte-Anne, lorsqu'il sera c
celles dont on a déjà comblé le professeur de clinique des maladies mentales de la Faculté de médecine de Paris. Personne ne
e isolé de chaque hémisphère dans les phénomènes de la patho- logie mentale . Brochure iii-8- de ii pages. Paris, 1888. Aux
pogialia Calderini e Figlio. 1 Z (11). Traité clinique des maladies mentales . 3e édition tra- duite par les docteurs .1. Dag
les; Diseases of Kidneys and Ll : ultler; Uriualyis, chyhuia, etc.; Mental 4M BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. diseases. Volume
gique de l'axc), par Glover,39, 2Éfl. Classification des maladies mentales , 448. Cocainisation, par Hoetcrmanii, 451.
édecins adjoints des asiles), 31 r,'tS7;-(du chnicat des maladies mentales ), 320. Congrès des neurologues de l'Alle- mag
une' lésion corticale, par Muckte, 439. .Montagnards (affections mentales ' chez les), par Gottleb, tj0, Morphinisme (p
loi sur les aliénés au), 101, 300, îS. Simulation de l'aliénation mentale , par Snell, 456. Société médico-psychologique
sibilité, avec l'ataxie dans le), par Stprn, 65; (et alié- nation mentale ) par Hebold, 15 ; - - (contribution au), par Ho
eure. 4, 4 ; zone radiculaire antérieure (Pierret) ou partie fonda- mentale (Flechsig). 5, 5 ; cordon de Goll. 6, 6 ; bandele
53 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
nt tous les mois PSYCHOLOGIE - PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur en Chef: Docteur Edgar B
n plus, son esprit, je le répète, se fait somnambule. C'est là l'état mental propre à beaucoup de citadins. Le mouvement et le
r Augnite VoUin reprendra ses conférence* clinique», »ur les maladie» mentale » et nerveuse», le dimanche 19 juin, à 10 heure» d
t médical, et en déduire quelques considérationsd'ensemble sur l'état mental des régicides, pouvant intéressera la fois la méd
s espérances. Mais c'est un héréditaire, et il a déjà révélé son état mental par quel- ques excentricités qui n'ont été connue
e un assez grand nombre de malades chez lesquels le principal trouble mental semble consister dans une défaillance de la volon
ain à d'autres médications. Parmi les malades atteints d'obsessions mentales graves dont nous avons eu à nous occuper, je vous
est analogue. Il a son point de départ dans un état de dégénérescence mentale et il consiste essentiellement en une défaillance
dans l'inter-valle des accès les malades paraissent jouir d'une santé mentale parfaite. Il est souvent assezdifficile de dist
n milieu social différent ou dans de meilleures] conditions d'hygiène mentale . Tout en admettant le rôle prépondérant de l'hé
M___a vu disparaître successivement tous les troubles physiques et mentaux dont il était atteint. De plus il a été guéri de
eut être en reste de politesse avec ses voisins. L'état physique et mental de M. X----s'est tellement modilié dans un sens
folie, l'accroissement successif et les formes diverses des maladies mentales . Le succès de cet ouvrage est dû au talent avec l
ont le courage de regarder en face le péril imminent de la déchéance mentale des masses atïn d'en rechercher les causes et d'e
ge des chiffres qui nous rend compte du développement de l'aliénation mentale à Paris. Par exemple, pour une période de 17 ans,
lcoolique et la paralysie générale apportent au total des aliénations mentales un notable contingent. Les médecins ont constaté
nnement. Malgré les lois et les mœurs, nous le savons, l'aliénation mentale continuera à faire des victimes ; cependant, si n
'auteur ne prétend pas décrire une forme particulière de l'aliénation mentale ; les paralytiques généraux, les persécutés, les d
déséquilibrés et de brouillons vaniteux. Quant à la dégénérescence mentale engendrée par l'hérédité, les réformateurs, les s
r Gairder, M. le docteur Hack Tuke, le savant directeur du Journal of Mental Science, et Lloyd Tuckey, de Londres. Au Congrè
'a doué de l'art d'agir sur les esprits et de provoquer des réactions mentales , qu'il ne se livre pas à des tentatives condamnée
s, 55. niaque à la faveur d'un terrain special; la dégénérescence mentale est la cause première de l'impulsion vraie. » I
r la seconde fois, l'accès de dypsomanie était compliqué des troubles mentaux de l'intoxication alcoo-lique. Il se plaignait d'
ique. Sons l'influence des suggestions son état nerveux et son état mental se sont promptement améliorés. Elle a eu en 5 m
appliqué qu'à un nombre limité de sujets (1); 2° Il laisse un trouble mental , une diminution d'énergie, une faiblesse générale
ivre de plus en plus a la puissance de l'hypnotiseur. » Cet esclavage mental est bien pire que les jours et les nuits passés d
hlem Hôpital, et a l'article du Dr .Myers dans le Journal des Saintes mentales . Au lieu de critiquer les modes d'emploi de l'h
lirantes, d). Mégalomanie avec ou sans hallucinations. Des troubles mentaux tabagiques M. Kjellberg (d'Upsal).— La nicotine
oyée, mais encore et surtout suivant le mode d'emploi. Les troubles mentaux tabagiques sont caractérise» par de la faiblesse,
ssion seront publiées dans le prochain numéro). CONGRÈS DE MÉDECINE MENTALE Tenu à Rouen du 5 au 8 août 1890 Lors du Cong
Rouen du 5 au 8 août 1890 Lors du Congrès international de médecine mentale tenu l'on dernier à Paris, à l'occasion de l'Expo
notre statistique que des malades atteints d'affections nerveuses ou mentales qui ont été l'objet d'un traitement suivi et rati
nerveux. 3. La neurasthénie et les névropathies. 4. Les maladies mentales . 5. Les affections nerveuses des enfants. 1.
es viscéraux et menstruels, névralgies, etc.); 4° Contre les troubles mentaux de nature hystérique. Comme nous le faisions rema
'ici les cliniciens ne se soient pas assez préoccupés de ces troubles mentaux . Dans aucun auteur on ne trouve formulée d'indica
ques la suggestion médicale doit être considérée comme le régu-lateur mental par excellence. Nous ajoutons à cela que. bien
fréquemment observés chez les malades, pour diminuer leur instabilité mentale et favo-riser leur sommeil nocturne. On peut ob
pendant une année à la suite du traitement par lasuggestion. Son état mental et son aspect physique se sont aussi très notable
ine. Nous avons noté aussi l'amélioration de la mémoire, et de l'état mental . Enfin. chez dix autres, les résultats ont été en
vérance, améliorer dans une certaine mesure, l'état général et l'état mental du malade. Asphyxie locale. — Plusieurs auteurs
dits antinévralgiques pour justifier cette indication. IV. MALADIES MENTALES . On a prétendu que la suggestion ne pouvait avo
u que la suggestion ne pouvait avoir d'action que contre les troubles mentaux qui relevaient de l'hystérie. Si la constatation
i que la suggestion a pu être utilement employées contre des troubles mentaux qui n'avaient aucun rapport avec l'hystérie. Ch
es indications dans le traitement des formes curables de l'aliénation mentale . V. MALADIES NERVEUSES DES ENFANTS Depuis que
de la paresse intellectuelle, en un mot un grand nombre des troubles mentaux et des instincts pervers qui pourraient placer, d
(3)Les applications de la suggestion à la pédiatrie et à l'éducation mentale des enfants vicieux ou dégénérés, Comptes rendus
a suggestion trouvera donc dans le traitement des troubles nerveux et mentaux chez les enfants des indications d'autant plus fo
onnels et complexes se rapportant autant à l'histoire de l'aliénation mentale qu'à celle de l' hystérie. M. Taguet, par exemple
e sur de pareilles observations, on y fera entrer toute la pathologie mentale et bien d'autres choses encore. Legrand du Saul
rique et pratique dans ses rapports avec la psychologie, les maladies mentales et nerveuses. » Nous ne pensons pas que la nouv
hypnotisme au traitement d'un certain nombre de maladies nerveuses et mentales et je n'ai pas obtenu les résultats favorables qu
ommunication de M. Bérillon. Il nous a cité quelques cas d'affections mentales dans lesquelles la guérison a été obtenue par sug
lées contre l'application de la suggestion au traitement des maladies mentales ne s'adressent pas uniquement a nous. Elles attei
. qui ont recueilli de fortes intéressastes observations d'aliénation mentale traitées avec succès par la suegestion. Le cas d'
ce que nous ayions obtenu des succès dans le traitement d'affections mentales , puisque nous nous sommes fait une règle de n'app
e traitement suggestif qu'aux formes et aux symptômes de l'aliénation mentale qui sont considérés comme curables. Quant au re
l'entrée. un examen plus complet rigoureux et plus détaillé de l'état mental de chaque détenu, prolonger pour les douteux le t
ins et les étudiants en médecine peuvent y assister. L'aliénation mentale en nouvelle zélande. — Au 31 décembre dernier, on
che Beobachtungen bei Naturvol kern. (Sckriften derges. fur Experi- mental psychologie. II-III. 8° Leipzig? 1890.) BISWANG
u doute dans un chapitre spécial des psychode dégénératives — trouble mental par obsessions. March (1862) la rangeait dans l
si, chez les auteurs contemporains, tantôt le symptôme des affections mentales et nerveuses les plus variées, tantôt un épisode
ique élcmentaire qui relève de la pathologie générale de l'aliénation mentale . Ainsi le doute n'est pas seulement chez les ma
ouvés les savants pour lui fixer une place dans le cadre des maladies mentales , que pour les symptômes étranges qui la caractéri
, Wien klinische Woternesechrift, 3 mai 1838. N°5 p.119. (2) maladies mentales , tome II, p. 63 et suivantes, 1838. (3)Symptoma
se basant sur la: conscience que le pseudo-monomane a de son trouble mental . Malheu-reusement le travail de l'auteur est obsc
père répondait au délire du toucher et non pas â la forme de trouble mental que Griesinger décrivit deux ans plus tard sous l
s, les observaions II, XXVII, XXVII. 3Archivacliniques des maladies mentales et nerveuses, 1866 p140. 5 Séance du 26 Mars 18
former avec la folie du doute unie au délire du toucher une affection mentale tout à fait spéciale, une véritable entité morbid
questionneurs , mais il suffît de prendre connaissance des symptômes mentaux de ces deux malades pour être certain qu'ils n'ap
la première fols nous rencontrons une étude approfondie de ce trouble mental , envisagé au point de vue de la psychopathologie
t, plus souvent qu'on ne le croit, suivies d'une véritable aliénation mentale , et en particulier assez fréquemment de mélancoli
d'autre part entre les prédispositions psychopatiques et les maladies mentales dé-chrées. Selon Wille les obsédés sont prêts en
'ues, décrit par Morel. Ils représentent les aspects variés de l'état mental des héréditaires et de la dégénérescence. Les v
ne fallait pas méconnaitre pour cela l'existence de certaines formes mentales avant une symptomatologje et une évolution distin
la face. Onanisme depuis l'âge de 14 ans, scrupules religueux. Crises mentales hypocondriaques. Refus de nourriture, à plusieurs
livres de médecine, s'est instruit sur 1' hypnotisme et les maladies mentales . H a consulté une légion de médecins et de charla
hypocondriaques variéeset persistantes. Masturbation suive de crises mentales dont le malade donne la description suivante. - C
ses mentales dont le malade donne la description suivante. - Cet état mental consiste en mauvaises pensées dont je suis assail
mes nécessités comme si les : nerfs du bassin-se resserraient. L'étal mental m'obligea à rester pendant plu- sieurs mois. Je
celle de Gènes, et qui occupe les chaires de clinique des maladies mentales et d'anthropologie, accueillant l'invi-talion de
veilles de l'hypnotisme. La c lecture de la pensée » et la suggestion mentale . VIIe Leçon.- Présentation et étude expérimenta
ponr but loreaniiation lœale du prochain Con g rei françd^H médecine mentale oui doit le tenir en 1S91 dan* celte ville, tb o
: l'hypnotisme fait de l'hystérie, l'hypnotisme fait de l'aliénation mentale . Mais ceux-là seuls le disent qui n'ont pas l'idé
ment ce traitement, il est, par exemple, des candidats à I aliénation mentale , que la suggestion ne prévient, ni ne guérit. Par
germe natif et latent de maladies cérébro-spinales ou de l'aliénation mentale . Attribuer à la suggestion ce qui est dû à l'innc
e la perpétration de cet acte, privé de connaissance ou clans un état mental qui excluait le libre exercice de la volonté ». D
ambeaux de phrases que je viens de rapporter, peignent mieux son état mental que n'eût pu le faire une simple description. On
qu'un intérêt secondaire. Je tenais toutcfois à bien préciser l'état mental de G... Or. on peut caractériser cet état de la f
licité. Ayant été plusieurs fois commis a l'effet d'examiner l'état mental de sujets avant survécu a un double suicide auque
j'ai conclu à une irresponsabilité complète, en me basant sur l'état mental qui a accompagné la tentative de suicide. - Une
qu'a ce moment elle était bien réellement sous l'empire d'un trouble mental qui ne lui laissait pas l'entière liberté de ses
faits relatifs a l'anthropométrie et à la dégénérescence physique ou mentale . Son livre est la preuve évidente d'un travail la
aire se montre dans quatres cas sur cent, l'épilepsic et les maladies mentales en dix cas sur cent. Les prostituées présentent
ux fouiller que nos anciens les mysté-rieurs arcanes de la suggestion mentale . A propos du congrès de Berlin M. le rédacteu
pêtriêre, commmenceront des confé rences sur les maladie nerveuses et mentales , le jeudi 4 décembre 1890, à ,neuf heures trois q
GES REÇUS A LA REVUE -- Dr Baillrger. — Recherches tur les maladies mentales . : vol. in 8,750 pages chaque, G. Masson éditeur,
qui est bien et ce qui est mal. Lille n'est pas atteinte d'aliénation mentale ; rien n'établit qu'elle ait subi une contrainte d
e mesure, la liaison intime d'un état physique déterminé avec un état mental concomitant. Je vous ai déjà dit que, chez Albert
icielle de certains accidents paralytiques évoque, ipso factot l'étal mental qui avait autrefois accompagné ces accidents. Les
: l'hypnotisme fait de l'hystérie, l'hypnotisme fait de l'aliénation mentale . Mais ceux-là seuls le disent qui n'ont pas l'idé
ment ce traitement, il est, par exemple, des candidats à l'aliénation mentale , que. la suggestion ne prévient ni ne guérit. Par
erme natif et latent des maladies cérébro-spinales ou de l'aliénation mentale . Attribuer à la suggestion ce qui est du à l'inné
question de la suggestion criminelle est posée et l'examen de l'état mental de Gabriette Bompard magistralement traité. Ajo
brielle Bompard venir d'elle-même se constituer prisonnière. Son état mental devait dés les premiers interogatoires, paraître
sous ses yeux. Ne devait-on pas regarder comme l'indice d'un trouble mental son retour à Paris, son imprévoyance su se mettan
lle MSI. Brouardel, Motel et Ballet étaient chargés d'examiner l'état mental de l'inculpée. Les savants experts se mirent au
e qui est bien et ce qui est mal. EUe n'est pas atteinte d'aliénation mentale ; rien n'établit qu'elle ait subi une contrainte d
re le Dr Carlier. BIBLIOGRAPHIE Études cliniques sur les maladies mentales et nerveuses. — Les Aliénés et les Asiles d'alién
rs de sa longue el laborieuse carrière, sur les maladies nerveuses et mentales , sur l'assistance, la législation et la médecine
les suivants : Principes à suivre dans la classification des maladies mentales . — Séméiologie des affections cérébrales. — Reche
e. — De la catalepsie. — Théorie physiologique de l'épilepsie et état mental des épileptiques. — Troubles du langage et de la
is, 1890. BouarDEL, Mottet et Ballet (D"). — L'Affaire Gouffé, état mental de Gabrielle Bompard (Annales d'hygiène publique,
arani, dans une communication faite le 6 août, au Congres de médecine mentale de Rouen, exposant le résultat de leurs recherche
e M. A. Voisin, hystérique et aliénée; ce sont justement ces troubles mentaux qui avaient nécessité son admission à la Salpètri
a Salpètrière, dans un service consacré au traitement de l'aliénation mentale . L'état, dit normal par M. A. Voisin, n'était d
r M. A. Voisin, n'était donc — nous le saurons désormais — qu'un état mental fort troublé, et les recherches de'ilaircl nous o
achialgie et l'hypperesthésie spinale, les troubles génitaux et Vital mental des neurasthéniques auquel l'auteur a consacré un
quel l'auteur a consacré un chapitre à part, par analogie avec l'état mental des hystériques. Ces phénomènes capitaux, qui p
l'hypnotisme et de la psychothérapie dans le traitement des maladies mentales et nerveuses. Hospice de la Salpètrière (servic
otisme faites sur un certain nombre de malades atteintes d'aliénation mentale . Cours a l'Université- de LYon. — Après les con
sur ce sujet, que dans ces dernières années le nombre des aliénations mentales dues a l'abus de boissons alcooliques a diminué.
t, près Christiana. accusaient la boisson comme cause de leur trouble mental , ce nombre est graduellement tombé jusqu'à i *.'.
éniques. OBSERVATIONS Résume : Tares héréditaires. Dégénérescence mentale . Emotivité excessive. Fièvre typhoïde avec délire
les de la Tourette constate qu'elle est atteinte de la dégénérescence mentale avec dépression mélancolique, perversions sexuell
e le fait qu'après avoir donné le spectacle d'une sorte de discussion mentale . « Cette lutte intérieure (1), écrit M. Beaunis
au point de vue de la question obscure du somnambulisme et de l'état mental qu'on appelle la double personnalité. Pour bien f
4 mai, à 9 heures 1/2, une série de leçons clinique* sur les Maladies mentales . — 11 continuera son cours les dimanches suivants
pratiques de l'application de l'hypnotisme au traitement des maladies mentales . Clinique de psyco-THerapeutihique suggestive d
ous m'avez posées par votre honorée du 10 courant, relatives à l'état mental de la femme Madeleine Fay, de Badenweuler (BadenJ
ns sexuelles, ne constituent pas des formes particulières de maladies mentales . Loin de voir en elles des entités morbides, des
neuf heures et demie, une série de leçons cliniques sur les Maladies mentales . — Il continuera son cours les dimanches suivants
pratiques de l'application de l'hypnotisme au traitement des maladies mentales . Clinique db psycho-thbbapectiqub suggestive db
n et lucidité, par A. Forel, 359. Études cliniques sur les maladies mentales et nerveuses, 254. Excitabilité de- nerfs et de
(un), 188. Magnétisation-coutume. 4. Magnétisation-mode, 4. Maladies mentales , traitées par sugges- tion, 109. Martyrologe de
ique suggestive (observations de), par Bernheim, 321, 371. Troubles mentaux tabagiques, 86. Urine dans la léthargie hypnoti
54 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
SE). ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES )'LR'fËnSOUSLDH : j;CrtO't)E J ? 11. IIAIti :
' toc cit. Hannover, 1879, s. 738. ' Loc cit. s. 853, PATHOLOGIE MENTALE . 53 des tubes nerveux volumineux un îlot de la
ole et des prolongements protoplasmatiques. "' ' , ' k PATHOLOGIE MENTALE INVERSION DU , SENS "GÉNITAL" (Contràre seaûalé
La perversion du sens génital s'associe à1 de nom- breuses formes mentales , et depuis les naïves obscé- nités du vieillard
iste une longue sérié de faits qui1, loin'de'consti- tuer une forme mentale définie, ne sont que des symp- tômes de diverse
re d'idées déterminé, dans lequel leT fait 'étrange 51,. PATHOLOGIE MENTALE . dans notre civilisation est l'appétit génital
le désir de pénétrer dans l'homme ou d'être l'objet 56 - PATHOLOGIE MENTALE . d'un'homme. Regarder les parties génitales d'u
dives que l'on trouve chez les individus prédisposés aux affections mentales . Quoique notaire dans une petite ville; il mena
ns, différents objets, qu'il emportait chez lui, mais 58 PATHOLOGIE MENTALE . sans les collectionner ; un jour, il dérobe da
xmdbme des auteurs anglais). OBSERVATION NOUVELLE AVEC ALIÉNATION MENTALE TRANSITOIRE ; par le I)rll. BLAISE, chef de clini
nsomnie, 1 Savage. Myxoedema and its zzerccus symptoms. (Journal of mental science. Jan. 1880, p. 417.) 6t PATHOLOGIE NE
y ait un rapport nécessaire entre le myxoedème et l'aliéna- tion mentale . Cette dernière relève plutôt de la cons- DE LA
la Sal- pétrière. Le docteur Hack Tuke a donné dans le Journal of mental science (janvier 1879) la relation des faits dont
bromure DE sodium ET L HTOSCY.1NIUDI; par Ed.-C. MACNA. (Journ. ef mental HHM' : )0 ! M cesses, janv. 1881, p. 1 i) fi.)
de galvanisation centrale et de courant bi-temporal. L'ex- citation mentale se calma rapidement. A la fin du second mois to
voit apparaître l'épilepsie .traumatique, l'altération dos facultés mentales ,, etc. 1 eaucou 1 , -J. p d s ce, e s,, ), r app
ntercurrente pouvait., avoir^un^ heureux r résultat sur l'affection mentale ? tandis qu'au contraire, la . termi- naison ét
. - 11, Le Dr LÉo lit deux rapports médico-légaux concernant l'état mental d'unjournaherde trente-deux anset d'un mendiant
ent. Le premier devait être considéré comme à la limite de la santé mentale , tandis que le second avait manifestement franc
ranchi les bornes de la normale, et paraissait atteint de faiblesse mentale . Le tribunal ayant demandé un supplément d'expe
se. Assurément, l'homme qui avait fait de l'étude de l'aliénation mentale un véritable sacerdoce^ l'observateur profond et
iques auxquelles je m'étais livré jusqu'alors, l'étude des maladies mentales m'apparut comme la plus ardue. Au moment où je
e la folie, forment la substance des premières leçons. L'aliénation mentale est définie par Guislain : un dérangement des f
tion mentale est définie par Guislain : un dérangement des facultés mentales , morbide, apyrétique, chronique, qui ôte à l'ho
e savant aliéniste belge. L'essai d'une classification des maladies mentales devait tenter Guislain, puisqu'il est avéré que
ureuse. L'auteur constate du reste que le plus souvent l'aliénation mentale est un état composé de différentes formes éléme
rattachent à la connaissance de la nature et du siège des maladies mentales . Dans les leçons consacrées au traitement, sans
étudier l'organisation de l'enseignement des maladies nerveuses et mentales . M. le ministre ne pouvait faire choix d'un hom
oedème des auteurs anglais). OBSERVATION NOUVELLE AVEC ALIÉNATION MENTALE TRANSITOIRE ' ; 1; Par la D H. BIAISE, chef de
nstate simplement un peu de diminution de l'acuité visuelle. L'état mental est excellent : la malade est raisonnable. Pour
sions cutanées, a tel point qu'il survient une véritable aliénation mentale avec délire des persécutions. Puis, on voit ces
nd). Enfin on peut voir survenir un véritable état d'aliéna- tion mentale avec ou sans illusions et hallucinations des se
rogrès réalisés par le microscope, n'est-on pas obligé, en clinique mentale , d'invoquer à chaque pas l'alté- ration fonctio
indifférent aux choses du dehors. En même temps que les facultés mentales , le physique s'est notablement affaissé depuiscet
hez les malades, comme le nôtre, atteints de démence ou de débilité mentale . IV. Nous croyons inutile de revenir sur les ca
s du lobule de l'insula. REVUE CRITIQUE CARACTÈRE, MOEURS, ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES' Par le Dr Henri HUCHARD, médec
un d'eux n'insiste d'une façon particulière sur l'état des facultés mentales ou affectives ; aucun d'eux ne nous montre l'hy
névrose ; d'autres fois aussi, les perversions intellectuelles ou mentales peuvent précéder pendant un temps plus ou moins
me complet, restent plongées dans un état de rêverie, de dépression mentale dont on peut difficilement les faire sortir ; e
u- i Annales d'hygiène publique et de médecine légale, 1863. ÉTAT MENTAL DES HYSTERIQUES. 189 jourd'hui elles ne peuvent
l'Iconographie photographique de la Salpdt;,iè,e (1876-1880). ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES. 191 leur absence de conviction
Mlaminond. Maladies du système nerveux. Trad. française, 1879. ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES. 193 vent vaniteuse et orgueill
me pour l'anorexie hystérique, qui est plutôt le résultat d'un état mental que d'un état gastrique, l'entourage est l'obst
-légale sur la folie, Paris, 1880. Morel. Éludes cliniques.- ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES. 195 d'une hystérique, qui ne c
Consultations médico-légales sur deux cas assez rares d'aberration mentale . (Acan. (I'hyq. publ. et de med. légale. Paris, 1
8. Duponchel et Chabrun, thèses de Paris, 1874 et 1878; etc. ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES. t97 Î Quelquefois elles s'accu
dans cette voie périlleuse elles ont déjà un pied dans l'aliénation mentale , et au point de vue médico-légal, elles n'ont d
r XLVI des Causes célèbres de tous les peuples, par Fouqumr. ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES. M 99 convulsivement ses voiles
aquelle les laissent toutes les affections d'une durée plus ou ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES. 201 moins longue dont elles so
et l'on comprendra quelles différences les séparent au point de vue mental : la, première ne verra pas sans une inquiétude
nversation animée, ce qui a pu faire dire avec raison que même ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES. 203 avec ces profondes aberrat
- rait-on dire encore. Toutes les diverses modalités de leur état mental que nous avons cherché à étudier, peuvent presque
ré ou de force, plusieurs verres d'eau froide coup sur coup. état mental DES HYSTÉRIQUES. 205 pouls petit' et misérable,
terminant ces considérations sur le caractère, les moeurs et l'état mental des hystériques, il est nécessaire de dé- clare
mobilité de caractère qui est l'un des^ traits principaux de l'état mental des hystériques. IX. Cette étude présente doncu
précurseur de l'hystérie qui va naître à un âge plus avancé. ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES. 207 D'autres fois, on remarque
thérapeutiques sur les mala- dies des enfants, 1880, p. 135. ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES. ' 209 lalgie très intense, ell
unes épileptiques. En est-il de même chez les adultes, et leur état mental a-t-il son reflet sur leur physionomie; en un m
e des hystériques. Nous avons suffisamment dé- montré que leur état mental est surtout formé de contrastes, qu'une volonté
rica. Briquet. Traité de l'hyslene, p. 02-93. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 21 1 Si ce travail que nous arrêtons ici reste
'activité désordonnée et stérile des volitions. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. LE CRANE ET LE CERVEAU D'UNE MICROCÉPHALE; p
ésentée simplement par un défaut relatif de 212 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . substance corticale, tant pour l'ensemble des
n horizontale des voûtes orbitaires. Les dimen- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 213 sions du crâne dans leur ensemble sont d'a
7 millim. d'épaisseur dans le cas présent. 21 t REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Le fait constaté, trouvons-en la pathogénie ?
'on peut s'en convaincre par le détail des men- revue DE pathologie mentale . 215 surations crànio-faciales relatées au cour
chiasma; même enfoncement au niveau d'un 216 REVUE DR P1TH()IO.IIs MENTALE . ruban de substance blanche qui précède la couc
ncert avec une hydropisie ventriculaire fatale, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 217 signalée en : de pareilles conditions (Dar
énérale nouvelle qui perpétue et multi- plie le nombre des maladies mentales . C. T. 218 REVUE DE pathologie mentale. V. DE
plie le nombre des maladies mentales. C. T. 218 REVUE DE pathologie mentale . V. DES psychoses dans l'ergotisme; par Fritz S
lies graves, démences paralytiques) et le signe REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 219 d'une profonde perturbation nerveuse. L'an
le occurrence, et la part qui doit incomber 220 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . aux mauvaises conditions climatériques et hygi
rd-C. MANN. (y7<67oM ? 'Ma/o/'PsyeAooy<ea/meK'M ! 6<M</ mental Palhology. New séries, vol. VI, part. 2, p. 222.)
t dans la famille de l'inculpé des faits antécédents d'aliénation mentale et d'affections nerveuses, remontant à plusieurs
particulier contre une simulation possible les REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . IZI 1 précautions les mieux conçues. L'expert
suite D'UN anthrax grave ; par Geo-H. SAVAGE. (7*/<e Journal of mental Science, n° de janvier 1881, p. 566.) Il s'agit
N DE la maladie mentale; par G. Mackensie Bacon. (Tlle Journal of mental Science, n° de janvier 1881, p. 554.) Les cas d
éveil intellectuel. Pas d'autopsie. R. DE M. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 223 IX. NOTE SUR QUELQUES cas observés a l'asi
M. C. X. HYPNOSIS REDIVIVUS; par D. Hack TutiE. (Tlae Journal of mental Science, janvier 1881, p. 531.) On sait que les
la « British Médical Association » invi- 32t I· REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . tait le professeur Preyer (d'Iéna) à faire une
principes physiologiques connus. R. de M. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 225 5 XI. Trépanation du crâne CHEZ un aliéné
ête). Guérison complète; par G. MAC- kensie Bacon. (Flic Journal of mental Science, n° de jan- vier 1881, p. 551.) L'obs
es grandeurs peut se rencontrer à peu près dans toutes les maladies mentales , sauf l'idiotie et la démence. On l'ob- serve e
x avec la plus grande rapidité. Hospice DE la SALPÈTRthRE. Maladies mentales . M. LEGRAND du SAULLE, médecin de la Salpêtrièr
ecin de la Salpêtrière, a commencé un cours public sur les maladies mentales , avec applications à la médecine légale et à la
, la physiologie et la pathologie du système nerveux, la médecine mentale et les questions médico-légales qui s'y rapporten
Tamburini (A.) et Scppirau (G.). Contribuzioni allô studio syeri- mentale dell' ! pMO<iS)HO. Broch. grand in-8° de 40 pa
ndant. En somme, les résultats obtenus par la physiologie expéri- mentale ne sont pas de nature à entraîner une conviction.
le pour se produire, n'est pas dû à l'exci- 356 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . talion directe du muscle. » La transmission du
e du réflexe et celle de M. Waller. A. MAYOR. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XII. SUR LA CONNEXIONQUI EXISTE ENTRE L'ÉTAT ME
alyse du Dl Ch. Guyot, de Tirlemont. ( Bulletin de la Soc. de Iléd. mentale de Belgique, 1880.) D'une statistique établie s
tique établie sur soixante-treize cas, il résulte que la dépression mentale est généralement associée, dans la para- lysie
ed. de la Suisse Romande, t. I", 1881, il- 6. ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 357 1° La dépression précédant ordinairement l
iale quand il trouvait la pupille droite dilatée avec la dépression mentale ; à une période plus avancée, quand il rencontra
'impres- sion sensitive du nerf optique par l'impression d'une idée mentale , et considère les lobes optiques comme le centr
tions qui n'existent pas. E. ClIAPENTIER. 358 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XIII. LETTRE médicale sur GHEEL ET LE patronag
Peeters, médecin inspec- teur de Gheel. (l3ull. de la Soc. de AIéd. mentale de Belgique, 1880.) - , Gheel, dans le départ
rPeeters, dans cette deuxième lettre, insiste ' revue de pathologie mentale . 359 surtout sur les avantages du patronage fam
mais ne l'est pas pour la Belgique. E. C. 360 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XV. Rapport médico-légal concernant l'état men
E DE PATHOLOGIE MENTALE. XV. Rapport médico-légal concernant l'état mental DU SIEUR M. K. B., ACCUSÉ DE TENTATIVE DE MEURT
personne DE M. W...; par M. le Dl RAMAER. (Bull. de la Soc. de Méd. mentale de Belgique, 1 S80.) Folie morale se transforma
DU cervelet; par le Dl SEPPILI. {Bulletin de la Société de Médecine mentale de Belgique. Année 1880, il, fascicule, p. 91.)
z les aliénés ; par le Dl Riva. {Bulletin de la Société de Médecine mentale de Belgique. Année 1880, 1 ? fascicule, p. 91-9
e Belgique. Année 1880, 1 ? fascicule, p. 91-92.) Dans les maladies mentales , et de préférence dans les formes intermittente
ente-neuf ans qu'il a donné des signes bien manifestes d'aliénation mentale : il devint vers cette époque triste, maussade,
ure in-8" de 3G pages, Kew-Yoik. (Extrait du Journal o/ nervous and mental flese(7.çe, 1882.)' - 71-niipe muscle rcading
ic pul- molaire deux ans plus tard, sans guérison de la maladie mentale , par Z 222. Diplopie paralytique, 931. Eczé
rcot et Richer, L ? 9, 310. Hystériques (caractères, moeurs, état mental des), par Hucbard, 187. 111'SLet'O-i'1111el1S
(nouvelles exl)é- riences sur le), par Grutzuet, 91. 1. Maladies mentales (leçons de Guis- laiu sur les), 110. Maladies
Maladies mentales (leçons de Guis- laiu sur les), 110. Maladies mentales et nerveuses (in- fluence de notre civilisation
2'ili. Paralysie générale (Hallucinations dans la), 217 ; - (état mental et pupille dans la), 356 ; - Décoiti- cation
55 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
tir à la rééducation de l'attention. Substituer à l'état d'activité mentale , comme cela se passe dans la production de l'hypn
nt en effet que l'intoxication cocaïnique ne peut amener des troubles mentaux . L'occasion nous sera probablement offerte plus
alisation des conditions fondamentales de l'hypnotisme : consentement mental et consentement organique du sujet (1). 5° Immi
llon : Les conditions fondamentales de l'hypnotisme : Le consentement mental et le consentement organique. (Revue de l'Hupnoti
e une heure ou deux •chaque jour, même des formules adaptées à l'état mental du sujet, pour voir disparaître les troubles psyc
ion, dans l'ignorante croyance que la souffrance du sevrage est toute mentale . Quant & moi, sachant combien cette souffranc
des dispositions à raisonner d'une façon défectueuse. Le redressement mental n'est complet que si l'on se préoccupe de transfo
la guérison que je crois utile à signaler. Un cas grave d'anorexie mentale : guérison par M. le Dr Tarrius. directeur do l
--.......36 kg. 500 L'anorexie des adolescents. — Particularités mentales et traitement psychologique. par le Dr Bérillos
ypersuggestibles, émotives.ou*dont il ne connaît pas les dispositions mentales , ne doitdonc s'exprimer, sur la question alimenta
abstinence presque complète d'aliments. L'idée fixe qui domine l'état mental des anorexiques est surtout constituée par une te
uté pour son économie quelque peu sordide ou pour son avarice. L'état mental de ces anorexiques n'est que la résultante d'une
xie des adolescents est. pour moi. la manifestation précoce de l'état mental qui aboutit a l'avarice. Le traitement de l'ano
des délires de la douleur, augmentés par l'imitation et la contagion mentale . Certains psychologues, il est vrai, par une ré
exemple. A qui fera-t-on croire quelles ne dérivaient pas d'un état mental pathologique très net les pratiques d'un Siméon s
se nous a donné, avec une précision absolue, la description de l'état mental qui nous intéresse lorsqu'elle écrivait : « Les s
évolution. Depuis les encyclopédistes et les progrès de la médecine mentale , les Pierre d'Alcantara ou les Rose de Lima ne se
ns la grande majorité des cas. la guérison des mauvaises dispositions mentales chez les arriérés du jugement et les sujets dépou
es excellents résultats de la pédagogie suggestive et de l'orthopédie mentale , demanda au Dr Bérillon qu'un de ses collaborateu
onte autre manœuvre capable de diminuer ou de supprimer le contrôle mental , sans l'Intervention d'aucune mise en scène ni d'
eurs années, ln détourne de son rôle essentiel qui est la rééducation mentale sons ses diverses formes, j'ai ln certitude de re
-il nn médecin. Un tel être n'aurait rien de normal et sa disposition mentale en ferait une victime et un esclave. Jusqu'à un
n traité du Sommeil limite l'emploi de la suggestion à. une direction mentale imprimée à l'esprit d'un sujet hypnotisé. C'est c
de mettre en lumière, nous permettraient de tenir désormais cet état mental comme suffisamment distinct et établi, et nous po
tour à tour et contradictoirement, selon sa disposition organique ou mentale , soit comme plaisir, soit comme douleur. Combien
e Algomanie des dégénérés s'installera en eux, à la faveur de la tare mentale , qui imprimera toujours son cachet à la manie de
e : hystérie, épilepsie, neurasthénie. Un seul de nos élèves, arriéré mental léger, fils- d'alcoolique, qui a uriné tard au Ht
ations déjà portées A l'ordre du jour ; Dr békiu.on : L'éparpillemeut mental , forme inférieure de l'activité Imellectui-lU-. D
dagogique de Crétell : La rééducation de l'attention chez les débiles mentaux pnr la psychothérapie graphique. Dr Paul Fabez
t plus propre que toute autre a satisfaire aux besoins de la synthèse mentale , et dont l'étude nous semble un peu trop dédaigné
de la psychiatrie, sans y songer, en s'efforçant à relever le niveau mental de ses malades, depuis le guérisseur mystique ou
e d'associations coordonnées et progressives au profit de la synthèse mentale . Et bien que Huysmans passe aux yeux des lettrés
mmobilité nécessitée par le traitement, réalisent une sorte dankylose mentale , mettant obstacle au rétablissement des aptitudes
cherchera, d'accord avec l'éducateur, à établir les caractéristiques mentales permettant de diriger scientifiquement son dévelo
est par une étude approfondie des cas, par une analyse des fonctions • mentales au moyen des méthodes psychophysiologiques, que l
gique et les écoles normales pour éducateurs des cours de physiologie mentale . La direction de tous les établissements médico-p
érapeutiques que gît toute la question de la prophylaxie des maladies mentales et de la criminalité. L'imbécilité au point de
ce d'un fait inattendu il lui faut encore celle des lois du mécanisme mental , cet instrument des instruments et une grande et
ment une communication très instructive sur la protection des débiles mentaux contre les sévices dont ils sont l'objet dans les
on ; les variations vaseulaires cérébrales participent aux variations mentales et peuvent présider aux variations périphériques.
ons soigneusement étudiées par M. le Dr Bérillon et dans les maladies mentales par M. Luzicato à l'aide de différentes méthodes
des de rééducation en psychothérapie. 2» L'hypnotisme et l'orthopédie mentale : Les arriérés du jn«ement. Les jeudis à cinq h
•'* samedi* à cinq heures, à partir du samedi H janvier. Pathologie mentale appliquée aux religions. D' Biskt—Sàxgi-É, prof
t-à-dire dans la suspension d'activité de quelques-unes des fonctions mentales , et en particulier de la volonté, peut survenir f
aient préalablement hypnotisé et privé de tous ses moyens de contrôle mental , apportait à l'appui de ma thèse la démonstration
mide, c'est, non un poison, non un excitant toxique, mais un excitant mental . Par la suggestion hypnotique, il doit être soumi
Revue de l'hypn.. sept. 1903 p. 67. — Impotcntla coeundi d'origine mentale , guérie par la suggestion éthyl-méthylique. Revue
iscussioniD1* Bérillonet Paul Farez. Dr Bêbillos. — L'éparpillement mental , forme inférieure de l'activité intellectuelle ;
. Elle s'est réalisée spontanément, par l'apparition d'une inhibition mentale s'étendant, de proche en proche, et sans qu'ils s
es états hypiioïdes sont au contraire constitués par des dispositions mentales ayant un certain caractère de permanence et de co
opulations du littoral de la Méditerrannée témoigne d'une disposition mentale analogue. C'est un fait d'observation réelle que
e celle de leur organisme Aussi bien au point de vue des acquisitions mentales qu'à celui de la nutrition physique, ils se limit
llon : Les conditions fondamentales de l'hypnotisme : Le consentement mental et le consentement organique. {Reçue de lHypnotis
Leipzig. ISSO. Tdke. — Metalloscopy and expectaut attention. Joum. of mental science, 1879. Bennet. — Metalloscopy and met
de qu'à l'état de veille, entre en activité, reprend le fil de la vie mentale du jour précédent ou vagabonde de ci de là. Pui
uit, non seulement toute douleur, mais tout réveil. L'éparpillement mental , forme inférieure de l'activité intellectuelle. —
n traitement par l'hypnotisme par le Dr Bêrillos. L'éparpillement mental est une disposition habituelle de l'esprit caract
l'extrême variabilitéde leurs états affectifs, aussi l'éparpillement mental est-il l'état normal de la première enfance. On n
cence et surtout lorsqu'il persiste à l'âge adulte. L'éparpillement mental ne doit pas être confondu avec deux autres états
éparpillement mental ne doit pas être confondu avec deux autres états mentaux chez lesquels on observe également de la difficul
la difficulté a obtenir la continuité de l'attention : l'instabilité mentale et le « moral insanity ». Le nom d'instabilité
'instabilité mentale et le « moral insanity ». Le nom d'instabilité mentale , dans le langage médico-pédagogique est habituell
ur intelligence que pour concevoir le mal. Tandis que l'instabilité mentale et la folie morale sont manifestement sous la dép
générescence héréditaire, il n'en est pas de même de l'éparpillé ment mental . Dans les cas nombreux que j'ai l'occasion d'obse
n défectueuse qui n'a su ni discipliner, ni utiliser des dispositions mentales primitivement favorables. La surcharge croissante
érable de matières, est une des causes principales de l'éparpillement mental . Aujourd'hui.tous les esprits sérieux sont d'acco
et d'initiative. On conçoit également que la multiplicité des images mentales et leur superposition indéfinie soient contraires
re université est en train de devenir une vaste fabrique d'éparpillés mentaux , c'est-à-dire d'iudividusdestinésàdemeurer, au po
ts, ces sujets n'arrivent à en réaliser pratiquement aucun. Leur état mental se rap- proche des primitifs, des nomades, de
l'éducation scolaire ne sont pas les seules causes de l'éparpillement mental . Pour être juste, il convient de mentionner le lu
la contribue à former des générations pour lesquelles une application mentale de quelque durée apparaît comme une souffrance qu
nvisagé comme créateur du pouvoir d'arrêt chez les sujets à tendances mentales incoordonnées ou impulsives. PSYCHOLOGIE SOCIAL
mie et la physiologie du corps humain et n'ignorent pas la pathologie mentale . Ils savent que les facultés attribuées à l'âme s
est le médecin connaissant la physiologie des organes et les troubles mentaux qui peuvent résulter de leur état pathologique.
r la psychologie même quand il n'étudie pas spécialement les maladies mentales ; en effet, tous les jours, à l'hôpital, dans la
s. Dans l'histoire des religions, il faut tenir compte d'un trouble mental dont sont affectées certaines sectes religieuses
leuses qui se produisenten pareille circonstance affirment le trouble mental des assistants. Ds est bien entendu que nous ne
nde. Art. VU. Des Brahmes. (3) Cabanis : Rapports du physique et de mental de l'homme. Influence du régime sur les habitudes
si pour rétablir l'ordre et l'équilibre dans l'ensemble des fonctions mentales . C'est assurément parce qu'il avait reconnu l'uti
de l'état pathologique ; tant il est vrai qu'il n'est pas de trouble mental qui ne se rattache par un lien aux fonctions de l
ogies étroites qui permettent de rapprocher certains états nerveux et mentaux dans les diverses modalités qu'on observe dans le
les affections suivantes : 1. — L'hystérie (stigmates, accidents mentaux , accès de sommeil hystérique). 2. — Les états s
es, folies post-opératoires, délires oniriques, etc. 7. — Les états mentaux spéciaux (état mental des mourants, des paludéens
ires, délires oniriques, etc. 7. — Les états mentaux spéciaux (état mental des mourants, des paludéens, de l'inanition, névr
dans l'enfance ou dans l'adolescence. L'hystérie, avec ses caractères mentaux , n'en existe pas moins. S'il n'y a rarement de gr
r traitement, étant actuellement bien classés eu clinique nerveuse et mentale , le D' Chavlgny cherche à dégager de ces notions
ne les malades atteints de l'une ou l'autre forme sont avant tout des mentaux . D'accord avec Meige et Felndel il montre que tou
ord avec Meige et Felndel il montre que tous les liqueurs ont un état mental inf«utile, et que chez eux c'est surtout d'un dés
immobilisation et cure de mouvement ; alors, fait remarquable, l'état mental s'améliore en même temps que le tic : la discipli
ison due a sa conduite antérieure : le tle réapparaît bleniot, l'état mental redevient ce qu'il était avant le traitement. L
des expressions particulières ne satisfait aux besoins de la synthèse mentale que dans la mesure où les relations partielles qu
mble plus ou moins complet des symptômes qui constituent l'aliénation mentale . La véritable psychose, qu'elle soit d'origine or
e qu'on appelle parfois la maladie de Graves ou de Basedoxv, les tics mentaux , les tremblements fonctionnels, certains spasmes
médiate de l'émotion qui a été d'inhiber à un tel point les fonctions mentales supérieures qu'il en est résulté l'apparition d'u
ue un dommage comportant réparation » est bien l'expression d'un état mental fréquent chez les traumatisés. Il est certain que
la médiumnité sont justifiées, car déjà de nombreux cas d'aliénation mentale consécutifs à des séances de spiritisme ont été p
ouver chez les médiums entraînés toutes les particularités des formes mentales de l'hystérie. Les médiums, de (1) Allais Karde
sonnes d'un esprit peu fait à la méditation ou à l'attention purement mentale , s'endorment sitôt qu'elles veulent méditer ou se
s qui le frappent ; il perçoit, voit, entend. Il y a là nn machinisme mental d'une nature fort particulière, et en tout sembla
ensemble des moyens employés dépend entièrement, selon moi. de l'état mental du malade, ce qui à son tour dépend de l'atmosphè
ibre moral. Quand il y a trouble sexuel chez l'homme, des symptômes mentaux et psychiques très nets sont bientôt observés. Ch
. Sujet du cours : Les enfants anormaux; l'hgpnotisme et l'orthopédie mentale . — M. le docteur Paul Fabbz reprendra, à la Fac
on alimentaire. OUVRAGES REÇUS A_U REVUE Aug. Leu ait re : La vie mentale de l'adolescent et ses anomalies, iu-12, 238 page
ces de certaines maladies du tube digestif avec quelques défaillances mentales souvent aggravées par des perturbations sérieuses
e intervention simultanée de la neurasthénie cérébrale, de l'hystérie mentale et de l'hypocondrie matinée d'une légère dégénére
ts' impulsifs presqu'irrésistibles qui accompagnent toujours les tics mentaux , la plupart des maladies spasmodiqucs, les crampe
la force motrice qui est presque toujours dominé ou créé par un état mental auquel se rattachent des défaillances psychiques
organisme les stigmates de la faiblesse corporelle et de la pauvreté mentale est presque toujours victime d'un héritage défect
me périodique. Et quant à ce qui concerne plus spécialement la sphère mentale , les manifestations de la périodicité et de l'alt
ue raisonneuse, au fonctionnement nerveux déséquilibré et dont l'état mental a été compliqué par le doute et le raisonnement.
Discussion : Dr Bérillon. — L'abus du patinage sportif crée un état mental particulier, comme dans la plupart des sports. No
é à plusieurs reprises ; il pourra donner son appréciation sur l'état mental de ce malade, sur l'esprit duquel, par un traitem
prochain accès. Dans le cas présent, il s'agit d'un cas d'aliénation mentale , d'une psychose, et non d'un cas de neurasthénie
ablissement, ne l'ont représenté comme très calme, exempt de troubles mentaux caractérisés. Dr Paul Farez — La somnoformisati
rofesseur Morselli, de Gênes, qui fut chargé spécialement de l'examen mental de la Tarnowska, ne tendent nullement à confirmer
ode atténuant sa responsabilité, parce qu'elle se trouve dans un état mental qui diminue beaucoup sa force de caractère et sa
ologie médicale. Sujet du cours : les enfants anormanx ; l'orthopédie mentale . Jeudi 12 mai : Le traitement médico-pédagogiqu
eil (Seine). Jeudi 30 juin : Rôle de l'hypnotisme dans l'orthopédie mentale (avec démonstrations expérimentales). Les consu
ns du temps à venir. H est d'ailleurs bien évident que cette aptitude mentale est elle-même une fonction réelle, une fonction d
omme lui en considérations grandiloquentes. Et comme toute régression mentale fait prédominer l'égoïsme sur les propensions sup
t pas compatible avec l'observation du devenir physique esthétique et mental . Dans son évolution de la mémoire, M. Piéron su
tirer des déductions relatives aux changements survenus dans son état mental , mais on ne saurait y trouver de sérieuses indica
Bouchard, p. 29. Anormaux à Bordeaux, par Régis, p. 93. Anorexie mentale , par Tarrius, p. 43. Anorexie des adolescents,
de la psychologie, p. 160, 224, 252, 288, 320, 352. Eparpillement mental , par Bérillon, p. 215. Erreur judiciaire (Les
56 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
srv. ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIEE SOUS LA DIRECTION Uh : K .1.-11. CHAH
a été enfermée pendant quelque temps dans un asile pour aliénation mentale ; elle était sujette à des accès de colère viole
s étudions. Ainsi les indications tirées de l'état morbide fonda- mental , sont les mêmes dans le tabes combiné et dans l
ns l'une des branches an- térieure". G. D. 60 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XIII. LES localisations cérébrales DE L HERPÉT
ent à un trau- matisme léger du crâne. Ca. F. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1. Base anatomique de L'ÉPILEPSIE; parWALTER HA
trépan, qui fut repoussé par un médecin consul- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . () 1 tant. Plus tard, les lésions étaient deve
ement. On y découvre encore un facteur d'or- lU revue de Pathologie Mentale , dr<' sexuel (fausses sensations locales). S
2 Voy. Revues analytiques, t. V, p. 259. " ' REVUE DE Pathologie mentale . Ii : j représenté par une ligne qui, placée en
1 Voy. Arch. de Neurologie, t. IX p. 106. (;4 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . de vingt-trois jours; puis la malade se remet
ise nécroscopique. Homme de quarante-deux ans, atteint d'aliénation mentale depuis six mois (mégalomanie, phénomènes paraly
Siemens, Arch. de Neurologie, t. IX, p. 268. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 65 Observation IL Glio-sarcome cérébral. Epile
ssion brusque, momen- archives, t. XII. 5 6(; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . tanée, d'obsession optative, de sensation, de
e 0,5 à I chez les typhiques déments. Durée to- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 67 taie moyenne des typhiques sains d'esprit,
exte, le sens qu'il lui donne, les erreur Il 68 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . qu'il a commises. Dans ces conditions, les par
raitement par L'ÉLEC- TRICITÉ; par ALEX. ROBERTSON. (The Journal of Mental Science, avril 1884.) Ce cas est celui d'une
a tête était réduite à cinq minutes. R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 69 DE l'exaltation D\NS l'alcoolisme chronique
S l'alcoolisme chronique; par BONVILLE BRADLEY Fox. (The Journal of Mental Science, juillet 1884.) Les conclusions de ce m
. UN cas DE folie circulaire; par HERBERT PACKFR. (The Journal of Mental Science, avril 1884.) Il s'agit d'une femme de
d'excitation et de dépression, avec intervalle très court de santé mentale ; cette malade avait subi deux condamnations, pro-
uasi- \phasique du langage; par Ii.-1S. IIIITCHELL. (The Journal of Mental S ielace, avril 188.1.) Le malade était âgé d
des cas de manie. Le pouvoir de formuler une 70 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . proposition était absolument détruit, età ce p
« ou à en diriger le sens. » R. M. C. XIV. SUR QUELQUES symptômes mentaux DES affections cérébrales ordinaires; par le Dr
ffections cérébrales ordinaires; par le Dr GASQUET. (The Journal of Mental Science, avril 1884.) C'est moins pour en tir
égie), dans les- quelles il a pu constater l'existence de symptômes mentaux . Dans ces quatre cas, les troubles intellectuel
N JEUNE garçon DE treize ANS; par S.-A.-K. Strahan. (The Journal of Mental Science, juill. 1884.) Cette observation est su
et; on sait en effet que les cas de manie aiguë REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 71 sont extrêmement rares avant la puberté. Le
térale de la MOELL1 : épinière ; par G.-H. Savage.' (The Journal of Mental Science, avril 1884.) L'auteur rapporte cinq
ISSON, dans LES asiles d'aliénés; par D. HACK TUEE, (The Journal of Mental Science, janvier 1385.) L'auteur a fait, aupr
nous nous hornerons à noter que M. Hack Tuke 72 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . a été étonné de constater qu'un nombre de méde
NFLUENCE SUR LES MALADES DES ASILES par C.4MPBELL. (The JOUI nal of Mental Science, juillet 188r.) Après avoir étudié les
uérisons inattendues : deux cas ; par le U Willeit. (The Journal of Mental Science, juillet 1 R8 L) Le premier cas est cel
t devient calme, propre et docile. R. 111. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 73 XX. IMPEl\FECrlll : \ mentale congénitale a
R. 111. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 73 XX. IMPEl\FECrlll : \ mentale congénitale avec idées DE persécution chez DES
rsécution chez DES jumeaux; par T.-VV. Ai4E DONALL. (The Journal of Mental Science, Juillet 4884.) Observation détaillée
le avec P.ICÜYMÉNINGIT1 : : par <'h0 H. Sauvage. (The Journal of Mental Science, Juillet 1884.) L'observation peut se r
tPLÉGtQUE ASSOCIÉE A LA FOLIE ; par W. BEVAN LEWIS. (The Journal of Mental Science, juillet 1884.) Les réflexions dont l'a
comme rattachant sa maladie à cette cause. - 74 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Si l'on passe en revue les symptômes, on note
regrettable, le cerveau et la moelle ne furent REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 75 l'ohjet d'aucun examen microscopique : mais
capillaires des régions ganglionnaires de la base. Au point de vue mental , le phénomène le plus intéressant était une apa
ie extrême, allant presque jusqu'à la torpeur. C'est là un symptôme mental que l'auteur dans un précédent mémoire, avait r
sur LES causes DE la folie; par Herbert C. Major. (The Journal of Mental Science, avril 1884.) Cette enquête annuelle a
lus élevée) chez la femme crue chez l'homme. 76 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Inquiétudes et peines morales (d'autre nature
est-elle donnée pour les deux sexes réunis : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 77 viron 1 p. 100. L'auteur ne trouve à cet ab
ns, {'inanition, prédomineut chez la femme comme cause d'aliénation mentale . La vieillesse (qui ne figure dans le questionn
puis 1878) fournit les chiffres suivants : 78 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . talée chez l'homme que chez la femme, ce qui c
le tableau suivant en indique la fréquence : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 79 1) ne se préoccupe guère de l'opinion publi
E l'hémisphère cérébral GAUCHE; par Arthur RANNIE. (The Joumal of Mental Science, avril 1884.) Voici les points les plus
sur un cas DE folie impulsive; par Richard UREESE. (The Journal of Mental Science, octobre 1883.) Le cas rapporté par M.
f ans, très bon sujet, n'ayant présenté jusques là que des troubles mentaux à peine appréciables et méritant plutôt la qual
point de vue médical, l'opinion formulée par 80 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . le magistrat, qui, en s'adressant au jury, déc
iques rétrocèdent. Finalement, l'accident somatique et l'aliénation mentale guérissent complètement. La malade était folle
était folle depuis sept mois, quand survint l'érysipèle; sa santé mentale n'a plus rien laissé à désirer depuis plus de deu
analomo-pathologique, histologique nit dans les REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 81 conclusions qu'en tirez. Friedmann. Les cel
onclusions. Il est exceptionnel de voir la guérison de l'aliénation mentale survenir pendant une grossesse engendrée au cou
grave absolument toujours le pro- nostic, généralement l'aliénation mentale devient, sous son in- fluence, plus grave, la g
à celle des gros- sesses et délivrances antérieures à l'aliénation mentale . P. K. XXXIII. Contribution A l'étude DE l'inco
la tristesse reparait, Archives, t. XII. 6 82 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . etc...; les actes et les idées sont d'une inco
. ments de sa femme. Irresponsabilité. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 83 XXXV. L1 sensation sexuelle contraire (inve
a production ou la modification des rêves). 'H4 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Dans un dernier paragraphe intitulé : Complexi
de la vue et accès de manie. Trois jours après, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 85 grande attaque épileptiforme. A partir de c
s sont retenus contre leur gré; cette impul- 86 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . sion est, dans bien des cas, altribuable à d'a
exposés, conformément à l'étude des diverses formes de l'aliénation mentale et aux principes mé- dicaux les plus élevés. 11
iste pas non plus de signe anatomo-pathologique REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 87 de la paralysie générale syphilitique, comm
plètement inconnue. P. K. XLIII. De l'hérédité directe DES maladies mentales ; par E. ScoLl. (Arc%. f. Psych., XVI, 1, 2, 3.
tare héréditaire se reconnaît avant l'explo- 88 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . sion de l'aliénation mentale au caractère de l
ant l'explo- 88 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. sion de l'aliénation mentale au caractère de l'individu (tendance à la dé- p
xagérée pour le motif le plus futile), à l'existence d'une débilité mentale dès la jeunesse, à un ralentissement dans le déve
section B envisage cinq familles dans lesquelles la perturba- tion mentale paraît produite moins par l'hérédité que par des
e, les dépravations, l'imbécillité, la transmission de l'aliénation mentale seule appa- raissent chez eux ; on n'y constate
glosse et de tous les muscles de ce côté. C'est REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 89 quatorze jours après l'accident, lorsque le
omme un pont une lame d'arachnoïde. L'hémis- 90 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . phère gauche paraissait plus volumineux que l'
eptiques eux-mêmes, soient qu'ils aient été des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 91 L ivrognes. L'atavisme est d'ailleurs, quel
pour le motif le plus futile, à raison probablement d'une débilité mentale congéniale. Intégrité des muscles des yeux. Auc
es nerfs périphériques représente le substratum anatomique fonda- mental du tableau morbide, on note fréquemment aussi des
une épileptique ou une bystero- épileptique débile au point de vue mental qui n'est pas en état de discerner la culpabili
simulation, qui, du reste, n'exclut pas le diagnostic de débi- lité mentale simultanée. M. LmAN. Les réponses absurdes qui
e aboutit à une excitabilité psychique et nerveuse; affaiblissement mental et nerveux. Aucune convulsion, mais accès de cé
fois sur huit malades différent des rémissions des autres maladies mentales ; elles sont complètes ou incom- plètes : ces de
nfirmiers et les infirmières qui forment l'auditoire. z (Journal of mental science, 1886.) CÉRÉMONIE POUR LA CURE DES ÉPIL
depuis des années chez le roi de Bavière, atteint d'une aliénation mentale dans laquelle l'hérédité a également joué son rôl
, 1SS6. - Librairie J.-B. Baillirrc. tlec (G ). Classification of mental diseases. Report of the progress. Brochure In-8
sporadic cretinism with an account of the Autopsie (rite Journal of mental Science, vol. XXII, 18 îG, p. 2f1). l'rg. 6.
de troubles viscéraux. Ne présente rien d'insolite au point de vue mental . Intelligence moyenne, cul- ture rudimentaire,
, élancements dans les jambes, affection rhumatismale avec troubles mentaux , diminution de J'acuité au- ditive bi-latérale,
e responsable des phénomènes relatifs à la personnalité et à la vie mentale ; 3° il n'y avait dans l'espèce ni ataxie, ni tr
role ne devint mauvaise qu'à partir de la troisième année. Débilité mentale , mais intégrité de la mé- moire. La famille com
l'effort (genèse, mécanisme inconnus). P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE LI. LE crime ET la FOLIE; par le Dr P. DUKoFF.
érences radicales qui les séparent. II. La fréquence des affections mentales , chez les criminels détenus, dépend non seuleme
conditions mêmes de l'emprisonnement. III. Les formes des maladies mentales qui se développent chez les criminels emprisonn
ue si des hommes compétents se font un devoir ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 241 d'étudier le côté moral de ces individus e
à cause du trouble que sa maladie apportait 343 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . dans son service. Il écrit bien, mais son rega
nomènes étaient, non des accidents autonomes en REVUE DE pathologie mentale . 2t3 relation avec l'hypnotisme, mais des ictus
t consomment pour 30 pfennigs, soit 40 cen- 244 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . times d'alcool, nous extrayons que le vin et l
git des criminels qui appartiennent au vaste domaine de la débilité mentale congé- niale. Il faudrait seulement que les mag
paration qu'on emploie. Ils ôtent l'appétit, donnent de la débilité mentale et physique, de l'amaigrissement, de la fatigue
c'est pour faire mieux comprendre, par l'étude des derniers l'état mental des autres. L'avantage de cette méthode c'est q
le huileux. Discussion : M. FALK. Quels sont les cas d'aliénation mentale dans lesquels le médicament doit être employé ?
c dts prévenus dontl'rz/faire s'instruit, afin d'examiner leur état mental au besoin pendant six semaines ». Quel résultat
i conçu : En ce qui concerne la préparation d'un rapport sur l'état mental de l'inculpé, le tribunal, peut sur la proposit
ge dont nous recevrons neux exemplaires. ALLIOT (E.). La suggestion mentale et l'nctioudes médicaments à dis- tance. Brochu
in-8" de 14 pages, avec figures Extrait du louwnal of ne,'vous and mental dtscase. - New-York, 1886. - Put- nam's sons.
six semaines, ré- cidive naturelle en 1882; diminution des facultés mentales et physiques. 44° gocher. - Anna D..., vingt-
s nerveux généraux : convulsions, paralysie fonctionnelle, hébétude mentale et enfin idiotie com- plète, de la leucocytose,
analyse. Nous ne nous arrêterons pas sur les détails de l'affection mentale de cette malade, qui est entrée dans la directi
des accidents qui ont suivi le suicide n'est point la seule; l'état mental lui-même est amélioré ; B..., qui, antérieureme
mise depuis deux jours, et qui doit avoir été trop serrée. » L'état mental est changé; B... suppliait autrefois qu'on ne l
. La légère amélioration que l'on avait constatée au point de vue mental n'a point persisté, et n'a guère duré que huit jo
état intel- lectuel. Nous pourrons ajouter qu'il a de la répétition mentale , qu'il compte à l'infini, et qu'il lui laut un
-t-on pu s'aperce- voir des premières manifestations de l'allection mentale ? ' ? Nous en savons assez pour répondre que dè
lé en 18ï2 à Munich, où il dirigea en même temps l'asile départe- mental d'aliénés. Depuis 1870 il a contribué à la public
duction de la folie. SUR LA. statistique des maladies NERVEUSES ET mentales EN RUSSIE. - Dans sa communication à la Société
ts de ses recherches sur la statistique des ma- ladies nerveuses et mentales en Russie. L'absence absolue des documents immé
ingt et un ans, 15,72'i ont été reconnus comme atteints de maladies mentales ou nerveuses, c'est-à-dire 9,72 p. 100. Prenant
6 pages. Neuchâtel, 1886. H. Wolfrath et C'e. SOCIÉTÉ DE MÉDECINE MENTALE DE BELGIQUE. - Congrès de phréniatrie et de neu
poslhémi- plégique et folie), 73. Hérédité directe des maladies mentales , par Sioli, 187. Hémorrhagies-cutanées par auto
57; - (tu- berculeuse), 59 ; (cérébro- spinale chronique), 60. Mentaux (troubles dans les affections cérébrales ordina
57 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ont inhérents, paraît- il, à la profession de tonnelier. CLINIQUE MENTALE NOTE SUR LE DÉDOUBLEMENT DE LA PERSONNALITÉ ET
es ambi- ' Communication faite au Congrès international de médecine mentale de. Paris 1889. DU dédoublement de la personn
n externe de la Salpêtrière, le 17 dé- cembre 1888. 26 # CLINIQUE MENTALE . Antécédents héréditaires. - Mère, morte d'un a
te dano la gorge jusque dessous la langue, - Comme elle 28 CLINIQUE MENTALE . n'a plus de pensée, il y en a un qui lui sert
musculaires et consiste avant tout en des phénomènes d'articulation mentale involon- taires, parfois inconscients, souvent
o-sensorielles, intéresse les centres sensoricls-corti- 30 CLINIQUE MENTALE . eaux. J'ai déjà rapporté dans des études antér
se connaît, il n'a pu lire ou penser qu'à l'aide de l'articulalion mentale , puis il ajoute : a 11 y a dans ma poi- trine,
le pensée. » M. Baillarger, dans une ana- lyse minutieuse de l'état mental de cet individu, met en relief l'importance de
ental de cet individu, met en relief l'importance de l'articulation mentale involontaire dans les cas de ce genre et le déd
e. Poly- sarcie très accusée ayant produit des vergetures. Son état mental est celui d'une débile, émotive, très irascible
produira en pareil cas. chez un sujet prédis- posé, la modification mentale qui rendra possible la transfor- mation de la p
on de la conscience concomittant à l'at- taque, durant aussi l'état mental si profondément troublé de la période délirante
alysée. Enfin, il faut encore mentionner les observations expéri- mentales de P. Fraissel, qui eut la chance d'observer une
ui, pour Ferrier, étaient les centres de la vision et de l'audition mentales . Albertoni de même. On se rappelle que l'excita
e manière si complexe les divers éléments dont se compose une image mentale , un groupe d'images, un rai- sonnement, un juge
iers sont les éléments prédisposants : telles sur- tout la débilité mentale et la tendance au délire systématique. Les sign
ette théorie extrêmement plo- bable. L'année dernière le Journal of mental science a tenté d'ex- pliquer la mélancolie par
IS A 1110scou LE t5 JANVIER 48911 SECTION DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES . Séance du 20 Janvier. (Maladies nerveuses.)
ntrer que dans la multiplicité des for- mes cliniques en aliénation mentale , l'élément individuel joue un 150 BIBLIOGRAPHIE
vralgique , l'hémineurasthénie, la neurasthé- nie monosymptomatique mentale ; la petite neurasthénie. Les cent dernières pag
adie de Lasè gue (délire des persé- cutions et de la dégénérescence mentale héréditaire). A propos de l'épilepsie il étudie
dmettant qu'il existe à la base de toutes les intoxications un état mental spécial et souvent un état de déséquilibration.
luence du milieu social. Une même action perturbatrice des facultés mentales agirait simulta- nément sur des individus parei
1er avril au31 oc- tobre 1891, d'un cours de clinique des maladies mentales . , Faculté DE médecine D'1NNSBRUCK. M. le docte
Froment (A.). - Elude médico-légale sur la simulation des maladies mentales . Volume in-8° de 99 pages. Prix : 2 fr. Paris, 18
typo- graphique. Magnan (V.). - Leçons cliniques sur les maladies mentales (Le délire chronique a évolution systématique).
s abonnés, 2 fr. 75. Magnan (V.). Leçons cliniques sur les maladies mentales , faites à l'Asile clinique (Sainte-Anne). Recue
santé. Au mois d'avril, on constate même une légère amé- lioration mentale . La plaie crânienne est aussi en voie de guéri-
SUR le crime ET LES CRIMINELS; par Henry MaUDSLEY. (The Journal on mental Science, juillet 1888.) L'auteur estime que,
nel essentiel, celui qui n'est tel que par un vice d'organisation mentale : ce vice est le plus souvent constitué par une d
ile de chercher dans leur encéphale les signes de cette infériorité mentale : leurs circonvolutions peuvent être peu compli
ports DE L'ÉPILEPSIE avec LE CRIME; par John BAKER. (The Journal of Mental Science, juillet 1888.) Les recherches de l'a
par P. NOECKE. (Allg. Zeilsch. f. Psych., XLVII, 3, 4.) Débilité mentale congéniale, surtout au point de vue du sens mor
rapports 3fÉD1C0-LGG.1U1 SUR la névrose Traumatique avec aliénation mentale ; par A. Ricuter. (A1'Ch2U f. Psych., XXII, 2.)
5 mois, sans qu'on ait à déplorer d'accident, quel que soit l'état mental , même chez un vieil épileptique, qu'on ait affa
e laquelle est apparue une autre affection. Cependant en médecine mentale , les cas de guérison complète survenant presque
tion et le 7 septembre il quittait l'asile dans un état physique et mental très satisfaisant; six mois après, on put constat
pseudo-paralysie générale, tandis que c'est de la dégéné- rescence mentale mise en activité par un stimulant alcoolique. V
uve une accumulation de présomptions tirées, soit d'autres troubles mentaux intérieurs, soit de signes physiques ou psychiq
t. M. LERICHE, ancien médecin en chef de l'établissement départe- mental de Saône-et-Loire, donne un aperçu des conditions
voeu proposé au vote du Congrès. Les Membres du Congrès de Médecine mentale de Lyon, considérant que la loi de 1838, appliq
commence l'application de l'électricité statique dans les maladies mentales à Genève (n'a pas employé d'étincelles électriq
ité statique. Trilogie de Pierret : étiologie générale des maladies mentales : insomnie, mal de tête, constipation. L'électr
taires n'ont pas pu être établis ; elle est atteinte d'une débilité mentale confluant à l'imbécillité avec obtusion extrême
ançaise de tout ce qu'elle fait pour les aliénés et pour la science mentale . M. Rebatel répond au nom du conseil général du
pargnés. , M. SIEMERLING, - Un cas d'hystérie grave avec aliénation mentale . A l'autopsie on trouva : une bifidité de la pa
M. WERNicKE présente un malade qui, dans le cours d'une mala- die mentale , perdit complètement la parole. Démonstrations
Tous ces types portèrent l'empreinte de l'épuisement de l'activité mentale . La marche est toujours lente, la durée est au
, il réagit par une psychopathie. Une psychopathie ou une affection mentale .a donc d'autant plus de chances de se développe
i depuis quelque temps ne jouit plus de ses facultés 2H2 VARIA. ^ mentales , s'est fait une horrible blessure qui a nécessité
conduit hier à la maison d'arrêt de Rambouillet. Comme ses facultés mentales sont complètement oblitérées, il n'a a FAITS DI
la 2° classe ;M. le Dr ROUILLARD, chef de la clinique des maladies mentales , médecin-adjoint à l'asile Sainte-Anne, est nom
vers pays. LE nouvel asile pour LES criminels atteints d'aliénation mentale de l'état de New-York estmaintenant en bonne vo
) Les lecteurs des Archives savent que, avec le Congrès de médecine mentale de Rouen et avec la grande majorité des aliénis
mis à Waizen, où un cordonnier, nommé Csermak, atteint d'aliénation mentale , a tué un chanoine nommé Etienne Konda, pendant
urnalier, Charles Vaudry, subi- tement pris d'un accès d'aliénation mentale , parcourait les rues de Courbevoie en pronunçan
la trace la de fugitive. La pauvre femme a, parait-il, les facultés mentales très alfaiblies; c'est pourquoi l'on craint qu'el
r ce sujet, que dans ces dernières années le nombre des aliénations mentales dues à l'abus de boissons alcoo- liques a dimin
ès Christiania, accusaient la bois- son comme cause de leur trouble mental , ce nombre est graduel- lement tombé jusqu'à 2,
eld et Huchard. Les rapports étroits du diabète avec l'aliénation mentale , l'épilepsie, l'hystérie, le goitre exophthal-
mbre étaient morts d'affec- tions cérébrales, d'autres d'aliénation mentale . Il relève dans l'hérédité d'un jeune diabétiqu
on the ncurolic Iheory of goût. il, 1880, t. 111, p. 1.) CLINIQUE MENTALE DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS; Pa
ictionnaire ' Ann. ? aéd. psychol" 1887, VI, p. 302. 326 CLINIQUE MENTALE . de Dechambre, par le Dr A. Ritti. Aussi ne 're
x de la folie (I, p. 306); mais encore dans son Traité des maladies mentales , qui parut en 1860. C'est là qu'il signale (p.
er la transformation possible du délire de persécution 328 CLINIQUE MENTALE . en délire des grandeurs. Mais il n'a jamais so
décrit plusieurs variétés 3. ' Leçons cliniques sur les maladies mentales , Paris, 1891. * Le Délire chronique, in BuGI. d
es, Paris, 1891. * Le Délire chronique, in BuGI. de la Soc. de méd. mentale de Delgiqtie, nos 59 et 60. Semaine médicale,
élire de persécution n'est pas une espèce particulière d'aliénation mentale , ayant toujours les mêmes symptômes et la même
ution constitue, dans quelques cas, une forme spéciale d'aliénation mentale ayant ses caractères propres et surtout ses idé
er que l'idée de persécution se montre dans les formes d'aliénation mentale les plus diverses, l'alcoo- lisme, la paralysie
ersécutés. En le faisant, nous appliquons simplement à l'aliénation mentale les règles universellement employées en patholo
ides. ' 1890, YII, n°' 2 et 3 (sept. et nov.). ..J 330 CLINIQUE MENTALE . Ce n'est pas l'hallucination de l'ouïe qui con
ie une différence radicale, qui en fait bien réellement deux formes mentales distinctes, pouvant se combiner l'une avec l'au
e persécution. Art. Folie, du Diction, de Dechambre. 332 CLINIQUE MENTALE . III. C'est assurément l'une des particularités
médico-psychologique. Voir ans., sept. 1887. p. 292. 334 CLINIQUE MENTALE . pose à nous et malgré nous d'une façon obsédan
que paraissent s'être montrés les premiers symptômes de dérangement mental . Il devient sombre, tacitnrne, s'isole de ses c
n duel, ne sort plus qu'armé, et annonce qu'il fera un 336 CLINIQUE MENTALE . exemple. C'est alors (1873) qu'il fut conduit
er en duel. C'est à l'occasion Archives, t. XXII. 22 338 CLINIQUE MENTALE . de ces démarches que la maladie parut évidente
. Lui-même a toujours été d'un caractère bizarre, mais 340 CLINIQUE MENTALE . d'une intelligence remarquable. Il a été l'un
ette ville pour y recueillir des documents. Puis aban- 342 CLINIQUE MENTALE . donnant cette idée, il s'installa à Einsideln,
t à cette époque qu'il parait avoir donné des signes de dérangement mental : il se plai- gnait amèrement des corvées qu'on
ères observations; les idées religieuses se sont déve- 344 CLINIQUE MENTALE . loppées parallèlement à elles, se fortifiant l
incontinence nocturne d'urine jusqu'à (lita- torze ans. Instabilité mentale . - Colère, gourmand, menteur. - Stigmates hysté
Dubuisson portant : « Epilepsie( perversion des instincts, débilité mentale ; atrophie musculaire de la main droite.» 0 Envo
es et soeurs (hystérie, arriération intellec- tuelle et instabilité mentale , fièvre cérébrale). II. L'hystéro-épilepsie s'e
s la marche et la parole, incontinence noc- turne d'urine, débilité mentale , irritabilité, actes de violences, perversion d
tabilité, actes de violences, perversion des instincts, instabilité mentale , en un mot un - état nerveux probablement d'ori
NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTHRIE MALE. 391 de suicide, instabilité mentale , hallucinations, attitude du crucifiement, arcs
EVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 397 les affections mentales . On doit l'administrer à doses massives variant
e libres appartenant à divers systèmes : Il 0 ) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . A. Des faisceaux de fibres blanches fines alla
2 kilog.). Etat microsco- pique normal. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. La paralysie générale A Gucrr.; par le Dr PE
observations soient prises par la même per- 40t REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . sonne, car il serait à craindre, autrement, qu
teints de névralgie tenace : l'union fréquente REVUE *DE PATHOLOGIE MENTALE . ' 405 de l'ataxie locomotrice et de la paralys
une maladie de la - civilisation. E. B. 406' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . , VII. DE LA FRÉQUENCE RELATIVE DE LA PARALYSI
assez souvent chez eux comme chez les laïques des cas d'aliénation mentale simple. Donc, s'ils sont rarement atteints de p
ontinence, c'est un fait de notoriété publique. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 407 Bien qu'on soit loin de s'entendre sur le
d'un homme de soixante ans, présentant un certain degré de débilité mentale et ayant encouru toute une série de con- damnat
sous l'influence d'une attaque comateuse. 408 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . , A l'autopsie : foyer hémorrha-ique ancien à
morales de surmenage. P. K. X. DE l'ostéomalacie ET DE l'aliénation mentale ; par J. WAGNER. (Jahrbuech. f. Psychiat., IX. 1
422; XVII, p. 312; XIII p.314 et VII, p. 393. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 409 d'observation) l'auteur a trouvé six ostéo
Tétanie de Corvisart. Trois observations. Après quoi aliénation' mentale ; puis disparition simultanée de latétanie et de l
p. 312; t. XIII, p. 31 E ; t. VIII, p. 393. 410 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . voque-t-elle ou aggrave-t-elle une névrose ou
iocre des fibres tangentielles (couche externe) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 411 et peut-être aussi des fibres qui coupent
uvera la preuve de cette assertion. P. K. 412 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . XXI. CONTRIBUTION A la pathologie générale ET
8 juin 1890. Présidence DE M. PEL111N. M. PRiE. Un cas d'aliénation mentale dans la névrite multilocu- laire. C'est une obs
à l'appui de la thèse de Iiorsahow=.. M. ScumTZ. - De l'aliénation mentale consécutive l'influenza'. Mémoire publié. Dis
klman. A l'asile de Bonn, l'influenza n'a pas amélioré l'aliénation mentale ; plusieurs paralytiques sont morts de pneumonie
s chefs principaux : 1° L'influenza a-t-elle produit l'aliéna- tion mentale ? . En aucun cas, elle n'a suffi à déterminer l
rdre dans les idées post-épileptique Elle n'améliora en rien l'étal mental ; loin de là, ce médicament abrutissant les mala
cette paralysie rétrocéda; la suspension ne modifia en rien l'état mental . L'amélioration obtenue chez les cinq paralytiq
ux, ainsi que la nécessité de relever l'enseignement de la médecine mentale à Paris, et ' d'avoir dans les asiles un person
la vie psychique des micro-orga- nismes; c, l'intensité des images mentales ; D, le problème hypnotique; E, l'écriture hysté
itables tics des idiots, les attitudes spéciales à certaines formes mentales , le délire du toucher, etc. Il y parle de tout
, qui, lorsqu'elle sort d'un asiie d'aliénés guérie d'une affection mentale se trouve elle seule, sans amis et sans argent,
subitement quand il s'agit d'être en contact avec eux. Les maladies mentales ne sont pas toutes bien comprises par la généra
convalescents doit convenir, autant que possible, à leur condition mentale et physique. Il est donc né- varia. 445 cessa
LES PROFESSIONS ET L'IDIOTIE. M. Galton a publié dans le Journal of Mentale Science une étude sur la natalité des membres d
janvier 1801, p. 113.) DE l'instruction DES affaires EN médecine mentale ; par le Dr Ciiambard. {Annales Médico-psychol.,
it combien l'évolu- tion, et par suite le pronostic d'une affection mentale diffèrent selon qu'elle frappe ou non un hérédi
, médecin de l'asile de la Charité; Pierret, professeur de clinique mentale ; sup- pléant, Dr Fabre, médecin de l'asile de
la, médecin de l'asile de Marseille; mairet, professeur de clinique mentale à la Faculté ; suppléant, Dr Maunier, médecin d
Brochure ut-8° de 15 pages. Buffalo, N. Y. - Journal ofNervonsand Mental Disease. KURELLA (H.). - Ueber Asymétrie des Sc
itiques. HACK TUlOE. PI'ichU1'd and Symonds in especial relation to Mental Science, with chapters on Moral insanity. Volum
, par Bonamaison, 93. ATHOPIXE et duboisine dans lesrnala- dies mentales ,par Ostermayer, 232. Bibliographie : Entozoaire
uë et rapide, par Gosselet, 291 ; - Etudes de psychologie expéri- mentale , par Minet, 440 ; Les aliénés criminels, par Al
er, 362; épidémie il ? par Chatalof, 138; grave avec aliénation mentale , par Siemerling, 269. IDÉES DE grandeur chez le
Misspelbaum,409. Injection de suc testiculaire dans les maladies mentales , par Fronda, 228. Maladies nerveuses, traitem
ansitoire, par Schwass, 411. Médicaments nouveaux en aliéna- tion mentale , 231. Mélancolie, guérie par un érysipèle, pa
myosite, par Siemerling, 271. Névrose traumatique, et aliénation mentale , par Richter, 227; - et affections organiques d
58 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
s de l’hypnotisme et de la suggestion dans le traitement des maladies mentales et de l’alcoolisme. Rapporteurs : M. le Dr Toka
pplications de l'hypnotisme à la pédagogie générale et à l’orthopédie mentale . Rapporteur : M. le Dr Bérillon. VI Valeur
hérapie. Barauuc (Paris) : Les vibrations de la vitalité animale et mentale mensurée par la biométrie. Bilhaut (Paris) : La
uggestibi-lité et ses adjuvants psychiques, autrement dit l'affection mentale , d’autre part la contagion, dans la propagation d
rôle considérable que joue la suggestion dans la genèse des maladies mentales , et un encouragement à suivre l’exemple d’Auguste
plus un élément surémotif et passionnel) est un symptôme d'affection mentale . 2° Les idées religieuses se propagent par sugg
s, je me proposais d’étudier plus minutieusement son état physique et mental pour retrouver, si possible, la genèse et le mode
ffocation, ne sont pas le résultat d'une idée délirante, d'un trouble mental , mais d'un souvenir qui, à son insu, a laissé dan
de toutes les indispositions... La crainte produit une surexcitation mentale qui jette l’organisme dans un état fiévreux. »
hera à découvrir l’état d’esprit du malade et prescrira un traitement mental approprié. 11 est singulier qu’en ces jours de dé
nt sont, en général, des névropathes; ils présentent de l’instabilité mentale , manquent de mémoire ou de sensibilité ou d’atten
ou incapacités motrices qui tiennent surtout à un défaut de synthèse mentale . « On supprime, ajoute-t-il,des paralysies psychi
sin, fait tous les jeudis, à 10 heures, une clinique sur les maladies mentales et neigeuses. Société d'études psychiques de Li
e l'hypnotisme et de la sug g es lion dans le traitement des maladies mentales et de l'alcoolisme. Rapporteurs : M. le Dr To-kar
pplications de l'hypnotisme h la pédagogie générale et à l'orthopédie mentale . Rapporteur: M. le D1 Bérillon. — Discussion.— Co
. Jules Voisin (Paris) : Application do l’IIypnotisme àl’orthopédie mentale . Watteau (Paris) : De la suggestion médicale dans
L'idéoplastie. en effet, par la suggestion verbale, par l’impression mentale , suscite dans l’anidéisme un monoïdéisme ou un ol
somme une analyse élémentaire complète par une véritable vivisection mentale . 2° Produire isolément, faire fonctionner à par
e insu et môme constituent dans leur entier la plupart des phénomènes mentaux que le moi principal s’attribue; leur contenu rep
utre part, le malade en traitement peut être en imminence de troubles mentaux qu’un traitement intempestif ferait éclater. II
Séance du 15 mai 1900. — Présidence le M. Jules Voisin. Orthopédie mentale et morale par suggestion pendant le sommeil natur
lques phénomènes oniriques, par M. le Dr A. Gianelli, Rivist. sper ¡ mental . di Frenialr. e med. leg., vol. XXV, fasc. 2.
anelli, il existe des phénomènes oniriques organisés par l’expérience mentale antérieure du géniteur et transmis au descendant.
Voisin fait chaque année, dans son service, un cours sur les maladies mentales et nerveuses. De ses leçons fort appréciées, il e
t des enfants réfractai res à l’éducation normale et pour l'éducation mentale des vicieux, dégénérés ou arriérés. L’œuvre du
a satisfaction irrésistible de l’impulsion alcoolique a amené un état mental voisin de la folie, ctde fait, deux ou trois d’en
de l'ivrogne que nous avons à combattre, mais simplement sa faiblesse mentale et son manque de volonté. Il n’v a pas à douter q
rnières années, on m’a demandé de traiter beaucoup de cas de maladies mentales par la suggestion hypnotique, et j'ai essayé d’ap
ts nerveux. J'ai réussi à guérir plusieurs cas de grande dépression mentale , touchant presque à la mélancolie quand ils étaie
ésultat que j’ai eu dans ma clientèle dans le traitement des maladies mentales , je m’expose peut-être à être accusé d’avoir manq
ommande, cette malade est aujourd’hui complètement guérie el son état mental n’a jamais été aussi satisfaisant. DISCUSSIONS
chologie à la Salpctrière. M. le Dr Joffroy, professeur de maladies mentales à la Faculté de médecine de Paris. M. le Dr Joi
e neurologie, de Bruxelles, représenté par M. le Dr Crocq. Journal of mental palhology, de New-York, représenté par M. le Dr R
premiers qui introduisit l’hypnotisme dans le traitement des maladies mentales . Je suis sûr. Messieurs ot chers Collègues, d’ê
logique? D'autre part, les expériences de dissociation des phénomènes mentaux ont permis d'analyser d’ur.e façon minutieuse les
ment des enfants réfrac-taires à l'éducation normale et à l’éducation mentale des vicieux et des dégénérés. « On comprendra q
s de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitement des maladies mentales et de l’alcoolisme, de môme que les applications
e môme que les applications à la pédagogie générale et à l'orthopédie mentale , donnèrent lieu à des communications intéressante
hoses. Ils passent même sur les signes les plus évidents d’aliénation mentale , d’hallucinations pathologiques ou d’hystérie, sa
criminalité, le déséquilibre général des caractères et la con fusion mentale où aboutissent les effets de notre prétendue civi
et il se peut qu’une personne, débilitée ou atteinte d’une affection mentale , s'endorme plus facilement qu’une personne saine
lis, mais sans donner une affirmation plus formelle. Dégénérescence mentale avec phobies multiples. — Traitement par la sug
directe l’une de l’autre. Elles sont des signes de la dégénérescence mentale du sujet. Et leur présence simultanée chez la mêm
es autres phobies sont des symptômes épisodiques de la dégénérescence mentale , comme l’ont bien démontré Magnan et ses élèves.
er la plaque sous elle. Pour achever de vous faire connaître l’état mental de notre malade, il me suffira de vous rappeler s
sion unique. On suggère une passion, celle-ci occupe toute l'activité mentale ; il y a rétrécissement de la conscience que rien
xiste une passion unique, celle-ci occupe tout le champ de l’activité mentale ; rien ne l'excite en dehors de la passion. Les
sait tout à l’heure allusion, il n’a pas tenu compte de la suggestion mentale . M. Félix Regnault. — Il ne faut pas rejeter de
elle croit devenir très légère et s’élever au-dessus du sol. Cet état mental dure depuis trois ans. Sous les efforts qu'elle f
Janvier 1901. BULLETIN M. Ch. Renouvier, et la théorie du vertige mental , par M. le D«- Paul Farez. « Depuis hier, Ren
grand nombre d’autres ; c’est ce qu’il appelle la théorie du Vertige mental . (') Notons que cette explication date déplus de
alyse psychologique et l’observation des faits, la théorie du vertige mental s’applique à la fois « au songe, au somnambulisme
hénomènes de l’hypnotisme vont rentrer eux aussi dans ceux du vertige mental . En effet, l’individu que l’on hypnotise est av
uement expliqué et justilié l’emploi de l’hypnotisme en thérapeutique mentale . * • * M. Renouvier soutient déjà, toujours
dicamenteux, n’est pas le seul qu’on doive opposer aux cas de vertige mental et d’aliénation du moi. « Nos aliénistes, écrit-i
remier point, l'observation permet d’admettre des cas où la déviation mentale précéderait les perturbations organiques et pourr
ourraient alors s’amender en même temps que ces dernières... L'action mentale est un moyen à la fois légitime et eilicace de ré
résister à l'aliénation, en ce qui concerne, bien entendu, la sphère mentale . » De ce qui précède, on peut, semble-t-il, con
on de la volonté et de l’habitude, une hygiène morale, une orthopédie mentale que nous trouvons exposée de main de maître, dans
es, à propos d'un opuscule où je m’appuyais sur sa théorie du vertige mental , M. Renouvier m’apprit, à mon très grand étonneme
e fois qu’elle était remarquée par un médecin s’occupant d’aliénation mentale . Je suis heureux de la signaler à l’attention de
psychique dans tous les cas de vertige et principalement en médecine mentale . De plus, il a exposé très explicitement quels re
somme une analyse élémentaire complète par une véritable vivisection mentale . 2° Produire isolément, faire fonctionner à par
rime tous mouvements, arrête sa pensée et la borne à la prononciation mentale du mot mystique om ; il se confine dans une (1)
pratiquants de l'hypnotisme excellaient à opérer de ces vivisections mentales dont l'effet le plus ordinaire et le plus inoiïen
es doctrines esthétiques de Wagner. Cours des maladies nerveuses et mentales M. le Dr Jules Voisin commencera son cours des
M. le Dr Jules Voisin commencera son cours des maladies nerveuses et mentales à la Salpêtrière, section Esquirol, le jeudi 10 j
nvestigation psychologique ; 2* la clinique des maladies nerveuses et mentales : 3° la pédagogie clinique; 4* tous les procédés
) 3° La psychologie appliquée (hypnotisme thérapeutique, orthopédie mentale , pédagogie suggestive, etc.) ■\° La psychologie
à interpréter, tels que : la lecture des pensées, la sug- gestion mentale , les hallucinations télépathiques, la lucidité, l
s et infectieux (1) Par le Dr E. Régis Chargé du cours des maladies mentales à l'université de Bordoaux Les idées émanées du
oxi-infectieux : E. Régis :Des auto-intoxications dans les maladies mentales (Rapport au 4“* congrès des aliénistes et neurolo
ique. (Thèse de Bordeaux, 1897.) Dr Lassignardie : Essai sur l'état mental dans l'abstinence. (Thèse de Bordeaux, 1897-1898.
gtemps dominé par celte idée fixe (*). Cette curieuse particularité mentale , capable de se produire chez les individus n'ayan
ésiques passagères, se succédant les unes aux autres, dans l’asthénie mentale des infections, sans laisser de traces dans la co
sister durant un temps plus ou moins long, à la suite d’une confusion mentale primitive de nature hystérique, et prenant naissa
notion du temps, des lieux et des choses me semble due à la confusion mentale qui accompagne généralement les intoxications. En
isme aigu est précisément décrit aujourd’hui sous le nom de confusion mentale . Le retour des excès alcooliques chez notre malad
ût à peine tolérées. Il est probable que les hystériques, dont l’état mental offre tant d’autres singularités, acquièrent égal
lètent l’une à l’autre. « L’hystérie est une forme de désagrégation mentale caractérisée par la tendance au dédoublement perm
omane. (Ncurologischcs Centralisait, 1893.) (2) Pierre Janet : Etat mental des hystériques, 1893. plus ou moins les fonc
ale est dans une certaine mesure en rapport avec notre fonctionnement mental ; la sudation très abondante va de pair avec la d
hypocondrie, hystérie, états névropathiques divers et môme aliénation mentale sont notés fréquemment dans leurs biographies.
iner, ou le monoidéiser, que si vous savez l'intéresser à l’opération mentale que vous voulez réaliser sur lui. Nous n’entrep
ndre Gratier et Cla, 23, Grande-Rue, Grenoble). 2° The Journal of mental pathology, édité par L.-G. Robinovitch, m.-d., 32
ur des termes de la science hypnotique. Stigmates de dégénérescence mentale et psychothérapie, Par M. ie Docteur Paul Faiie
venez, d'une femme qui présentait des stigmates de dégénérescence mentale avec phobies multiples. Or, j’ai soigné, l’été
r, j’ai soigné, l’été dernier, une femme qui présentait des stigmates mentaux de même nature, et je désire vous exposer brièvem
as pour deux raisons : 1° pour contribuer à montrer que ces stigmates mentaux de dégénérescence, quoique dérivant d’un fond à p
on père était irritable, passionné, violent. Sa mère présente un état mental analogue à celui de sa siile et toutes deux exerc
malade conscient de l'amélioration qui s’est manifestée dans son état mental , accepte facilement l’idée de la démorphinisation
ggestion, fixe le jour de la suppression. En prévision des troubles mentaux qui accompagnent toujours cette suppression, le m
e la suggession diminue d’une façon appréciable la durée des troubles mentaux . Elle dissipe les nombreuses manifestations hysté
e énergie car à l'incapacité physique s’ajoute souvent une perversion mentale . Lorsque l'application de l’électricité provoque
rches pédagogiques b, qui a pour mission d’étudier l’état physique et mental des élèves des écoles. L’examen avait d’abord é
l’éminent médecin de Sainte-Anne, professeur de Clinique des maladies mentales à la Faculté, donne à qui le voit et l’entend pou
attaché à l’histoire d’un très grand nombre de maladies nerveuses et mentales , de la méningite hypertrophique, de la paralysie
er ordre, comme du reste ceux qu’il a publiés depuis sur les maladies mentales , sur la paralysie générale et sur l'intoxication
ns bien impressionnés par suite des troubles sensoriels. La confusion mentale des hystériques résulte souvent du même phénomène
ses. Si Ton fait rentrer l’hystérie fruste dans le cadre des maladies mentales , il est certain qu'il y a beaucoup de vrai dans c
. Si N’ se ressoude complètement à X, il en résultera de la confusion mentale . Deuxième MODE.— L’agrégat A ’conserve scs comm
e veille. La soudure complète de N et de N: détermine de la confusion mentale . Ce n’est pas seulement en deux agrégats N et N
s des malades, et de leur rendre par là tout ce que leur constitution mentale comporte d’attention, de jugement et de volonté.
oit tellement invétérée, qu’elle ait fini par constituer une synthèse mentale très marquée, que l’hystérie, fille de l’idée, do
’il y ait besoin de la complication d'hystérie ni même de la synthèse mentale dont on a parlé.... Je conclurai en disant qu’u
lent. Nouvelles voies de la thérapeutique des maladies nerveuses et mentales , par M. Haskovec, Klin. th. Woch, 13 janvier 1901
ndant le sommeil hypnotique, par Paul Farez, p. 311. Dégénérescence mentale avec phobies multiples, par Jules Voisin, p. 154.
le avec phobies multiples, par Jules Voisin, p. 154. Dégénérescence mentale (Stigmates de) et psychothérapie, par Paul Farez,
. 63. Nouvelles voies de la thérapeutique des maladies nerveuses et mentales , par Haskovec, p. 377. Obsession du suicide (L)
Orthopédie morale et hypnotisme, par J. Voisin, p. 15 Orthopédie mentale et morale par suggestion pendant le sommeil natur
Record (Etrange), p. 62. Renouvier (M.Ch) et la théorie du vertige mental , par Paul Parez, p. 193. Reviviscence du souven
divination inspiration et prophétisme, par Garnault, p. 87. Vertige mental (M. Ch. Renouvier et la théorie du), par Paul Far
59 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
s, en effet. les attaques continuent à paraître fréquemment et l'état mental est resté a peu de chose près ce qu'il était à l'
ux mains des notes probablement diffé- (l) Cf. Espinas, L'évolution mentale chez les animaux. Revue philosophique, 1888, I, 3
u 1er au 5 août. Président : M. Moutard-Martin. Congrès de médecine mentale , du 5 au 10 août. Président : M. Falret. Congrè
s de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitement des maladies mentales . Rapporteur : M. le Dr Auguste Voisin. Question
n IV. Applications de la suggestion à la pédiatrie et à l'éducation mentale des enfants vicieux ou dégénérés. Rapporteur : M.
t se confirment ; c'est, enfin, que l'étude de cet agent d'orthopédie mentale se généralise et que les esprits sérieux ne saura
1/2, examen des malades. Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies mentales . — M. le professeur Ball fait, les dimanches et l
t, les dimanches et les jeudi», des leçons cliniques sur les maladies mentales . Hospital. de la Charité — M. le Dr Luys fait l
ystérie vulgaire (hysteria minor); 4° dans le traitement des troubles mentaux de l'hystérie. Grande hystérie. La grande hys
grand air. etc., des adjuvants d'une puissante efficacité. Hystérie mentale . Tous ceux qui ont eu l'ennui de vivre dans l'i
que les cliniciens ne se soient pas assez préoccupés de ces troubles mentaux . Dans aucun auteur on ne trouve formulée d'indica
ait quelques symptômes de la grande hystérie. Chez elle, les troubles mentaux dominaient a un tel point, qu'elle rendait la vie
moindre contradiction de son mari provoquait chez elle des désordres mentaux allant jusqu'au délire. Il lui était arrivé fréqu
ce pas là par excellence le rôle du médecin qui traite les affections mentales , et n'aura-t-il pas rendu déjà un grand service à
viscéraux et menstruels, névralgies, etc.); 4° Contre les troubles mentaux de nature hystérique (perversions des sentiments,
e. Lundi 5, à 3 heures. — Séance d'ouverture du Congrès de médecine mentale . Séances du 5 au 10 août, au Collège de France.
s de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitement des maladies mentales . Rapporteur : M. le Dr Auguste Voisin. Question
n IV. Applications de la suggestion à la pédiatrie et à l'éducation mentale des enfants vicieux ou dégénérés. Rapporteur : M.
rmes de l'ivresse pathologique, d'une part, tous les états de trouble mental subaigus, aigus ou chroniques dus à l'intoxicatio
Hospice de la salpêtrière. — Conférences cliniques sur les maladies mentales . — Le Dr Séglas. médecin suppléant, commencera un
léant, commencera une série de conférences cliniques sur les maladies mentales , a l'hospice de la .-alpétrière. le jeudi 1er aoû
sur le diagnostic différentiel des principales formes de l'aliénation mentale . — M. le Dr Rommelaere, secrétaire général à l'
procéder avec la plus grande circonspection dans les cas d aliénation mentale , lorsqu'on espère pouvoir utilement soumettre un
éussir (1) Communication faite au Congrès international de médecine mentale , dans la séance du mardi 6 août. assurément dan
nt efficace, dans certaines circonstances, contre tel ou tel symptôme mental , se manifestant comme obsession ou comme impulsio
iques le traitement par l'hypnotisme de certaines formes d'aliénation mentale , restera une précieuse acquisition de la thérapeu
date de plus d'une année, n'a apporté aucune perturbations facultés mentales , et j'ai eu récemment l'occasion de m'assurer q
niversité de Louvain. M. 1e Dr LOMBROSQ César, professeur de médecine mentale a la Faculté de Turin. M. le Dr MARÉCHAL Amédée
es que le magnétiseur lui ordonne, au risque de compromettre sa santé mentale et physique, l'hypnotisé des représentations publ
ubliques. Ces conséquence»sont : 1° La propagation d'une épidémie mentale , sous forme de manie hypnotique, pouvant donner n
aladies orga- niques du système nerveux, des névroses, des maladies mentales , des névralgies, des maladies des autres appareil
in-surmoniable du sujet en traitement, certaines formes d'aliénation mentale et ausssi l'état de que'ques hystériques chez les
t se le fournit â lui-même, c'est de l'auto-suggestion. La suggestion mentale serait une suggestion où la personne qui suggère
nsmission héréditaire des habitudes acquises, au point de vue social, mental et scientifique. Des expériences pourraient êtr
rpé, naturellement, de docteur. — a la suite du Congrès de médecine mentale . il a été décidé qu'un Congrès rational de médeci
Falret, Médecin de la Salpétrière, Président du Congrès de médecine mentale (1) Le domaine de la pathologie mentale s'agran
dent du Congrès de médecine mentale (1) Le domaine de la pathologie mentale s'agrandit tous les jours de plus en plus. Autr
étal pouvait se rencontrer dans un certain nombre de cas d'aliénation mentale (2). La folie avec conscience a donc acquis mai
ait d'observation qui est in- (1) Rapport lu au Congrès de médecine mentale . _ (2) Delasiauve a même fait de la conscience
à l'étranger, qu'il existe un assez grand nombre de cas d'aliénation mentale , surtout caractérises par des idées, des émotions
omme on le taisait autrefois, dans des formes différentes de maladies mentales ? ou bien enfin, doivent-ils être tous réunis, com
rémissions, et ne se transforment pas en d'autres espèces de maladies mentales ; 7° Elles n'aboutissent jamais à la démence ;
c les névroses ou folies menstruelles dans le domaine de l'aliénation mentale . Une pareille incursion nous entr aî-nerait beauc
de se rendre' compte par une vue d'ensemble, des diverses affections mentales traitées dans l'Asile, M. le docteur Briand ava
salle, des malades présentant des formes caractéristiques de maladies mentales . Au dessus de chaque -malade un numéro d'ordre av
otisme et de la suggestion hypnotique dans le traitement des maladies mentales et dés états connexes. Rapport de M. le docteur
uccessivement ce traitement à tous les états connexes, à l'aliénation mentale , aux troubles moraux, aux vices, aux penchants in
orizons de la thérapeutique suggestive et de l'étendre à l'aliénation mentale et aux névroses connexes. Je ne saurais trop vo
pas permis. Mes essais de suggestion dans le traitement des maladies mentales ont donné des résultats assez conformes à ceux qu
, je n'ai, à part cela, mais réussi à changer le cours des maladies mentales par la suggestion, n cas de manie chronique, avec
ug. Voisin s'il a obtenu des résultats favorables contre des troubles mentaux graves qui ne dépendaient pas de l'hystérie. M.
i-bourg. nous avons appliqué la suggestion au traitement des troubles mentaux chez des aliénés qui n'étaient nullement hystériq
Les applications de la, suggestion à la pédiatrie et à l'éducation mentale des enfants vicieux ou dégénérés. Par M. le doc
opportunité de l'application de la suggestion contre ces manifestions mentales qui sont sous la dépendance d'un véritable état p
i constaté les faits suivants : Un état d'abattement, de dépression mentale , plus ou moins prolongé, précède le premier stade
rand dégoût pour les aliments. Puis, il y a une période de dépression mentale , alternant avec de l'assoupissement, laquelle a s
endredí, à 9 heures 1/2 à la Salpétrière). — Clinique de pathologie mentale —M. Bill, professeur, dimanche, jeudi, à 10 heures
heures-et (àl'asile Sainte-Anne). — M. Ballet, agregé. — Pathologie mentale et maladies de l'encephale. — Lundi. mercredi,l v
x Dessoir. OUVRAGES REÇUS A LA REVUE Traité pratique des maladies mentales , par le Dr CULLERRE. — Paris, J.-B. Bail-lière, i
in-12, 489 pages, 1890. — Prix : 4 Etude cliniques sur les maladies mentales at nerveuses, par le Dr Jules Falret.— Paris, J.-
fâcheuse de son système nerveux et un affaiblissement de ses facultés mentales . De nombreux témoins étaient cites par le plaigna
cru hypnotisé. Il s'agit donc là d'une simple affaire d'aliénation mentale , sans aucun rapport direct avec l'hypnotisme. u
rimentées l'hypnose a amené la guérison d'un Grand nombre de troubles mentaux , jamais par contre, n'a jamais, provoqué le moind
les applications de l'hypnotisme à la thérapeutique des affections mentales et nerveuses. Il étudiera spécialement les procéd
au moyen de la suggestion, faire disparaître les principaux troubles mentaux , c'est-à-dire la lypémanie, les plaintes, les gém
ée des autres, est dans une position dangereuse par son développement mental . On augmente ses appétits en satisfaisant ses dés
r le maître et le fléau de l'Inde. Dans les Leçons sur les Maladies Mentales du docteur Ball, nous trouvons, sous le nom d'exc
ance considérable. Jusqu'à ce jour, le chapitre de la thérapeutique mentale , bien qu'étudié par tous les auteurs spéciaux, ét
certains malades qui eux-mêmes, font remonter le debut des accidents mentaux ou nerveux dont ils souffrent à des manœuvres d'h
opinion publique, on n'avait pas été sans remarquer le singulier état mental présenté par une des personnes les plus gravement
, également consulté par un rédacteur du Gaulois a répondu que l'état mental de Gabrielle Bompard lui semblait le résultat d'u
ROUBINOVITCH, interne à l'asile Ste-Annc. SOMMAIRE : Dégénérescence mentale avec troubles hystériques. Délire mélancolique su
de 30 ans, originaire de La Forain (Vosges) atteinte d'une aftec-:ion mentale qu'il considère pouvant être traitée par l'hypnot
affection. Depuis ce mariage cl surtout depuis sa grossesse, son état mental s'est singulièrement aggravé. Actuellement elle
GALE Séance du 13 janvier 1890.— Présidence de M. Brouardel. État mental d'un homme arrêté pour avoir coupé des nattes de
commis. MM.. A. Voisin, Socquet et moi, à l'effet de constater l'etat mental du nommé X..... prévenu « d'avoir soustrait fraud
miner le caractère. Dans la ligne paternelle, deux cas d'aliénation mentale ; un cas au moins dansla ligne maternelle. Le pèr
Ballet, professeur agrègé, a repris ses conférences sur la pathologie mentale et les maladies de l'encéphale, a la Faculté de M
rte à l'exagération et à la simulation. Elle entraine souvent un état mental particulier, qui porte la malade à faire ou à dir
M. Krafft-Ebing admet l'existence chez cette malade de trois états mentaux distincts. (« Bewusslscinzusände ») 1 l'état norm
xpérimentale 3° l'état produit par l'autohypnose. La malade a un étal mental triple, chaque état reposant sur un mécanisme par
un mécanisme particulier des systèmes nerveux. Ces cercles des états mentaux ne se superposent jamais, chaque état mental ayan
. Ces cercles des états mentaux ne se superposent jamais, chaque état mental ayant sa mémoire particulière. - K. E. a réussi
l observe desphénomènes caractéristiques de la continuation de l'état mental 111 dans lequel elle était la veille. Elle cher
ant au suicide s'observe le plus souvent dans les états de dépression mentale qui sont fréquents chez le vieillard, l'hypochond
ux que l'homme avancé en âge réagit moins contre les états de douleur mentale . Son moi est plus faible et la pensée de suicide,
l'aie- ¦ 1', le dégénéré avec ses irois grands caractères : son état mental , ses impulsions, sa propension A délirer pour la
e d'observer chez les buveurs non tarés. Après avoir analyse l'état mental dus buveurs, des buveurs conscients et inconscien
n, mais elle met surtout en relief les caractères habituels de l'état mental , qui n'est, en somme, psychologiquement parlant,
on, la fréquence des rechutes, l'affaiblissement précoce des facultés mentales , le polymorphisme du délire caractérisent 1 alcoo
zisteskranke. (Quelques moyens moraux dans le traitement des maladies mentales ).( Therapeut. Mtibft., 8). FOREL: Zen den Getah
la dipsomanie intermittente, la folie passagère, toutes les maladies mentales à répétition ne sont en réalité que des états de
le de Nancy ne semble pas avoir tenu assez grand compte du substratum mental des sujets, de leurs antécédents héréditaires ; e
un mot tous les prédisposés du système nerveux, les dégénérés à état mental faible sont plus aptes que tous autres à subir, c
d'une façon lointaine, à l'histoire de l'hypnose ou de la suggestion mentale . Or, il est toute une catégorie de délires, obs
observé, émotivité qui est un des caractères fondamentaux de son état mental . Ainsi donc, émotivité du sujet trouvant son expl
e forme extèreure ; ses paroles sont rèpercutées. ses représentations mentales usuelles deviennent autant d'hallucinations. C'es
lancolique, mus il a repris son état émotif d'autrefos; son équilibre mental est toujours chancelant. De plus, ses tendances m
e le dégénéré touche, il le dénature et le marque au coin de son étal mental . Dans l'état émotif de notre malade réside ici la
surexcités que l'hallucination prend naissance ; les représentations mentales s'extériorisent, et le malade dont la conscience
se au service d'une émotivité qui est la base immanquable de son état mental . Notre malade réagit à la façon d'un mélancoliq
objets entrevus par le malade sont rarement extériorisés; ses visions mentales ne revêtent pas pour lui une forme palpable, tang
mme dans une rêvasserie pénible, voit défiler devant ses yeux (vision mentale ) des quantités de tableaux que son imagination de
réoccupations intimes. 11 est figé dans cette sorte de réprésentation mentale qui reste à l'état de représentation mentale. Com
sorte de réprésentation mentale qui reste à l'état de représentation mentale . Comme la conscience est obscurcie, ces représent
i : 1° Jeune âge du sujet; 2° Cause première résidant dans l'état mental du sujet, témoin de la tare héréditaire dont il e
le fera reconnaître, et dont on trouvera l'explication dans son état mental originel. ENCORE L'INTERDICTION DES REPRÉSENTAT
isme et de la suggestion dans le traitement des maladies nerveuses et mentales . programme du cours Pathologie nerveuses et psy
tions de la suggestion hypnotique dans le traitement des mala- dies mentales . VIII. Les applications de la suggestion à la p
conférences : Maladie du système nerveux. Enseignement des maladies mentales . — Le London County a décidé la construction d'an
-- portance que l'on accorde en Angleterre l'eseignement des maladies mentales et témoigne des efforts faits pour avoir dam les
éjà augmenté d'une façon très appréciable. L'amélioration de l'état mental avait marché parallèlement avec celle de l'état p
nt. Asiles u'aîtente pour les périodes de remission de l'aliénation mentale M. Gilbert Ballet a donné communication à la so
communication à la société de médecine légale d'un rapport sur l'état mental d'un employé d'une cran de administration publiqu
pace, l'action télépathique, la lévitation de Crookes , la suggestion mentale , etc. considérable qui soni le résultat d'expér
a plus nouvelle et la plus frappante de cet ouvrage: la désagrégation mentale et la multiplication des personnalités. . En ef
al, et toute action du système nerveux est toujours liée à une action mentale , claire ou obscure, connue ou inconnue, mais peut
s de l'esprit humain, la destruction de cette unité, la désagrégation mentale :— et voici qu'ils aboutissent â la même conclusio
ornerai à vous résumer les résultats de la psychothérapie en médecine mentale . Parmi les savants expérimentateurs dans cette
peutique précieux dans le traitement des nevropathies et des maladies mentales . Quant aux indications de cette méthode thérape
tion hypnotique a été communiqué par M. Ladame au congres de médecine mentale de 1889. MM. Kraft-Kbing et von Schrenk-Notzing o
ence personnelle de la suggestion appliquée dans des cas d'aliénation mentale proprement dite est minime, vous avez pu vous en
alade son empire sur lui-même, à supprimer l'influence des obsessions mentales à réprimer les impulsions morbides. Permettez-m
tre classée comme agent thérapeutique dans le traitement des maladies mentales . Différents orateurs, parmi lesquels les docteu
édecins et aux étudiants en médecine. Congres annuelle d'allenation mentale . — Nous rappelons à nos lecteurs que ce Congres a
n, du 4 au 8 août. Le programme comprend : 1° Questions de pathologie mentale . Relation de la paralysie générale et de la syphi
ue, 26 Application de la suggestion à la pédiatrie et a l'éducation mentale des entants vicieux, ou dégénérés, par Bérillon.
ie subite (l'). 138 Éducation par un sens unique (l');. 63. Éducation mentale des enfants vicieux ou dégénérés, 153 Étude s
ucinations (une). 03. Épilepsie procursive, par Ladame. 190. État mental d'un homme arrêté pour avoir coupé des nattes de
tisme (les) 188. Cabrielle Bompart (opinion des médecins sur l'état mental de) 227, 266. Genèse des idées délirantes par a
(der). par Albert Moll, 30. Hystérie et hypnotisme, 370. Hystérie mentale , 43. Hystérie monosymptomatique, 38. Hystérie d
e, 40. Indications de l'hypnotisme dans le traite-ment des maladies mentales ,par A. Voisin, Influence de l'éducation et des
A. Voisin, 202. Magistrats (l'hypnotisme et les), 315 Maladies mentales indications de la suggestion dans les), par A. Vo
60 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
ant tous les mois PSYCHOLOGIE - PÉDAGOGIE - MÉDECINE LÉGAL MALADIES MENTALES & NERVEUSES Rédacteur en Chef Docteur Edgar
peut même la comparer qu'à cette funeste maladie qui est l'aliénation mentale . Nous ne pouvons que plaindre profondément ceux q
'est à la médecine, en effet, qu'il appartient de guérir l'aliénation mentale ;— il lui appartient de l'atténuer, quand elle ne
r éducation première. Ces enfants sont mal équilibrés au point de vue mental . On constate le plus souvent chez eux une hérédit
On trouve dans les délires pathologiques, on trouve dans l'aliénation mentale — M. Bernheim nous l'a fait remarquer tout à l'he
t, n° du 19 mai 1888) et le livre de M. Ocho-rowicz sur la Suggestion mentale (passim). (2) Cosmos, tome IX, p. 379.1888. — L
jours l'objet touché. J'ai vainement essayé d'obtenir la suggestion mentale : impossible de faire exécuter même le mouvement
su les mettre en évidence ; je me suis borné à chercher la suggestion mentale et je lai obtenue une fois a l'un de ces états ex
utes, et le sujet, interrogé sur la manière dont il percevait l'ordre mental , a répondu qu'il n'en avait pas conscience, mais
quoiqu'il les meuve très facilement quand il y voit. Une disposition mentale qui est indispensable, la conscience même du mouv
UEILS DE FAITS APPLICATION DE L'HYPNOTISME AU TRAITEMENT DES MALADIES MENTALES M. le docteur G. Burckhardt, directeur de l'asi
érer. Tout à l'heure, dans le deuxième groupe, nous démêlions un état mental particulier, un état mental qui, plaçant le sujet
e deuxième groupe, nous démêlions un état mental particulier, un état mental qui, plaçant le sujet sur les limites de la malad
désigné sous le nom d'exfra-phj-siologique. A présent, c'est un état mental décidément morbide que force est bien d'admettre.
'amour, la vie psychique des micro-organismes, l'intensité des images mentales , le problème hypnotique, note sur l'écriture hyst
e de cas de névroses, manies, monomanies, perversions sensorielles et mentales de toute espèce et de toute forme, contre lesquel
2* C'est en forçant encore l'analogie qu'on arrive à assimiler l'état mental dans l'hypnose avec un rêve ordinaire. Dans ce rê
éciable entre l'hallucination qui s'observe dans certaines affections mentales et celle qui se développe pendant l'hypnose ; tou
émisses, si ce n'est celle-ci : que ce qui ressemble le plus à l'état mental de l'hypnotisé suggcstiblc, c'est l'état mental d
mble le plus à l'état mental de l'hypnotisé suggcstiblc, c'est l'état mental de l'halluciné morbide, et qu'en conséquence on p
stériques des troubles moteurs et sensitifs. en vertu d'une opération mentale dont le mécj:ii>ru- c-: sjt»is*ab!c : mais les
qu'au moment o*: ils apparaissent, grâce toujours ô la même opération mentale . Les élèves de Charcot croient pouvoir conclure q
déduction beaucoup plus simple et surtout plus logique, te même état mental che\ les uns et che^ les autres a suffi à provoqu
pnose, ce qui par conséquent la caractérise nett.-ment, c'est un état mental particulier qui, sous le rapport psvchologiquc, p
donne la clef de tous les phénomènes et domine la situation. Cet état mental particulier, c'est la suggestibilité, c'est-i-dir
la phase de somnambulisme léthargique où elle ressent les suggestions mentales . Mme B... poussa des cris terribles et j'eus de l
ment intimement lié à ceux dont s'occupe le comité de la transmission mentale . Nos expériences dirlérent d'ailleurs en ceci des
, justifiées. Mais l'éton-nement le prit quand on parla de suggestion mentale , d'influence occulte rayonnant de l'hypnotiseur v
que récemment encore le docteur Masoin, soin, professeur de médecine mentale à l'Université catholique de Louvain, a traité ce
us et les enfants abandonnés? Toujours est-il que, sur la direction mentale du nerveux, les procédés Mssortissant à la pédago
ue cette science doit rester aux .i. DiLAtuuvt, Journal de médecine mentale . T. II, p. 8, i86a. Paris. mains des hcmmes,
is eu de maladie grave dans son enfance. Pas de maladies nerveuses ou mentales dans sa famille. Un jour de l'année ¦884. étant a
insi que la dit ave; tant de vérité Dela-siauve (r, le fonctionnement mental se résume en un mouvement giratoire, en une succe
c. 27 fois sur 70 par Boucher et 10 DiLASiM-ve, Journal dt médecine mentale . — Emotion». Scn* c root il. T. 1, p. 203 ; Paria
— M.le professeur Charcot a commencé le cours de clnique des maladies mentales le mardi 23 octobre à l'hospice de la Salpêtrière
M. le professeur Ball commencera le cours de clinique des maladies mentales , le dimanche 11 novembre 1888, à dix heures du
Blanche Magnan et Ball, chargée d'organiser un congres d'aliénation mentale pendant : l'Exposition de 1880. Dans la même sé
sme,et M. Auguste Voisin a lu un sur la classification des maladies mentales . M. Marsudon de Montyel a ensuite donné lecture
am, 1888. L'hypnose dans la pratique ; bourru y burot : La suggestion mental y la accion a distancia de las sustancias toxic
Fuster Fernan- dez. Madrid, 1888. In-12°. butlerow : [La suggestion mentale .] Saint-Pétesbourg, 1885. codeluppi : Sopra un
s que peu lui importait, parce qu'il agissait sur clic par suggestion mentale . Il a. d'ailleurs, voulu lui faire des sugges-tio
éfaillance, mais sans raideurs. L'amélioration survenue dans l'état mental se maintint, mais au bout de ces huit jours les a
est doublement évident chez notre malade, qui est tombée dans un éiat mental particulier et dont les attaques ont débuté a la
ée dans la Revue de l'Hypnotisme. Chez ces deux malades, les troubles mentaux se sont manifes-tés des manœuvres pratiquées par
ucier des conséquences que leurs manœuvres pouvaient avoir sur l'état mental des sujets. Quelques-uns faisaient preuve d'une b
depuis deux ans dans les sociétés savantes sur ce point de pathologie mentale . Voici le programme du cours : Les vrais persécut
qu'on a tout d'abord cru pouvoir invoquer en faveur de la suggestion mentale . On sait ce qu'on entend par ce mot. C'est la sug
euse pénétration et d'une si incomparable puissance? Si la suggestion mentale , malgré l'avis de savants dont le nom fait autori
me je le montrerai, peuvent nous renseigner sur le champ de la vision mentale . 7* Lorsque deux piqûres sont faites simultaném
nts du doigt et de l'image visuelle. Il résulte de ceci que la vision mentale a ses illusions comme la vision extérieure. 11*
ES M. Mairet, agrégé, est nommé professeur de clinique des maladie» mentale * ci nerveuses à la Faculté de médecine de Montpel
linique des maladies nerveuses et une chaire de clinique des maladies mentales , en Russie l'enseignement des maladies nerveuses
ales, en Russie l'enseignement des maladies nerveuses et des maladies mentales est concentré entre les mains d'un seul professeu
rement théorique, ce professeur s'occupant exclusivement des maladies mentales . M. Mierjiewsky, nommé titulaire de cette chaire
ire en 1877, enseigne à la fois les maladies nerveuses elles maladies mentales ; l'enseignement pratique de la neurologie date de
ue l'année prochaine (1888-1889). A Karkoff, la clinique des maladies mentales et nerveuses se trouve dans une maison de santé a
service de clinique à l'Université. La nouvelle clinique des maladies mentales et nerveuses à Moscou vient d'être Installée. C'e
vendredi de chaque semaine. Maladies du sritême nerveux et maladie»- mentales . M. Gilber. Billet ; — phas>-macologic. M. Vin
cenain nombre de malade», et .1 arrivait à cette conclusion, que Ha* mental dt ce» malade» peut dire compare à 1 état mental
conclusion, que Ha* mental dt ce» malade» peut dire compare à 1 état mental de 1 h? pno us*. M. le Dr Lober avait su s'atti
tion des faits physiques persistants et patho-gnomoniques de son état mental , de même qu'à la perte complète de la mémoire au
sion, des troubles que l'hypnose produit dans l'exercice des (acuités mentales , et plus particulièrement dans l'exercice de la m
és, dont l'état représente le summum de puissance de la concentration mentale . En voici encore quelques exemples empruntés à
sur son propre fonds, sans aucun appel extérieur *aît à son activité mentale . Marie était assise devant une table sur laquel
de perturbation que l'hypnose détermine dans l'ensemble des facultés mentales , chez ces malades, à l'état de somnambulisme comp
onque pour entrer aussitôt en action-Plus est grande ta concentration mentale de l'hypnotisé, plus est grand aussi l'abandon de
peler quelques faits bien connus. Les perceptions dans certains états mentaux , dus à une surexcitation des centres percepteurs,
tendu est de nature à intéresser ou à exciter, parce qu'alors l'image mentale gagne en intensité grâce à l'excitation émotionne
s la direction de M. Kojewnîkoff, professeur de clinique des maladies mentales et nerveuses a Moscou. Ces constructions ne laiss
n vient de terminer à Kazan la construction de l'hôpital des maladies mentales et nerveuses ; cet hôpital contient trois cents l
ogrès a cet égard a été réalisé à Moscou, où la clinique des maladies mentales et nerveuses est restée ouverte pendant les vacan
la plus importante, en Russie, en matière d'enseignement des maladies mentales et nerveuses, et en même temps la plus ancienne,
ofesseur Mierjiewsky fait, par semaine, trois leçons sur les maladies mentales et nerveuses, avec présentation de malades et de
uième année. Trois docents sont attachés â !a clinique des maladies mentales et ncr- veuses, ils som les aides du professe
chaque semaine, seize heures consacrées a l'enseignement des maladies mentales et nerveuses. A cetic liste des membres du corps
es de temps considérables. Les professeurs de clinique des maladies mentales et nerveuses dans les Facultés de médecine de Rus
ires annexés aux services des cliniques. Chaque clinique des maladies mentales et nerveuses possède un vaste laboratoire, largem
urnaux qui donnent ose large pbce aux travaux concernant les maladies mentales et nerveuses. Les principaux sont : i" Le Médec
es Matériaux servant à Tétude de l'anatomie pathologique des maladies mentales , par Sokoloff ; publié, en iSSS, dans les Archive
cipation inégale que prennent les lobes cérébraux dans les opérations mentales , et la pré- ponJérance constante de l'un d'eu
e à cette étrange conclusion que chez le pianisteen activité, l'unité mentale est arrivée à se scinder en deux portions indépen
iennent les interprètes fidèles des phrases écrites; c'est un travail mental complexe, qui met en œuvre toutes les ressources
ue note, à chaque accord, et. chose bien merveilleuse, ces opérations mentales si complexes qui s'opèrent pour diriger les mouve
deso/.cequi est encore un supplément de complication dans le travail mental qui s'accomplit, attendu que la lecture visuelle
1/3, examen des malades. Asile Sainte-Aune. — Clinique des maladies mentales . — m. le professeur Balen fait, les dimanches et
t, les dimanches et les jeudis, des leçons cliniques sur les maladies mentales . Hôpital de la Charité.— m. le d* Luys fait le
année XX, livr. XII, p. 388-408. Bruxelles. 1889. di'»*av : La vision mentale ou dot'ble vue dans le somnambulisme provoqué et
eurs, ai l'hallucination provoquée est en correspondance avec un état mental particulier, il faut convenir que nous pouvons co
e comédie jouée avec pleine conscience, et les annales de la médecine mentale attestent partout quel mal immense l'abus du mot
à voir de la « simulation » partout, alors qu'il s'agit de phénomènes mentaux bien différents, soit d'aliénation mentale, soit
qu'il s'agit de phénomènes mentaux bien différents, soit d'aliénation mentale , soit d'auto-suggestions, soit d'hallucinations r
Erimnenm$Ê^ taOschumgtn) décrit* depuis assez longtemps eu aliénation mentale , et parce qu'il wè. s'agit pas Dcceuair:ment d'ha
un nombreux auditoire, une série de leçons cliniques sur les maladies mentales et nerveuses. Dans la première leçon, le profes
ications de l'hypnc-tisme au traitement de quelques-unes des maladies mentales . 11 a pu montrer successivement a ses auditeurs q
scutable, qu'il a guéri, par la suggestion hypnotique, des affections mentales graves, rebelles à tout autre traitement. Trop
il est nécessaire de commencer ce traitement de bonne heure. L'état mental des mourants M. Féré a dernièrement communiqué
ment communiqué à la Société de biologie une note curieuse sur l'état mental des mourants. Il n'est personne qui n'ait entendu
dies du système nerveux. Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies mentales . — Clinique des maladies mentales. — M. le profes
ainte-Anne. — Clinique des maladies mentales. — Clinique des maladies mentales . — M. le professeur Balen fait, les dimanches et
t, les dimanches et les jeudis, des leçons cliniques sur les maladies mentales . Hopital de la Charité. — m. le Dr Luys fait le
nche, à 9 h. 1/2 du matin, des coaférences cliniques sur les maladies mentales et nerveuses. Congrès international de thérapeu
s hallucinations produites par la suggestion verbale et la suggestion mentale à des intervalles plus ou moins éloignes cl déter
faut pas hésiter a en faire un cas pathologique, car c'est un trouble mental véritable qui tantôt fait demeurer ceux qui en so
dans l'une des catégories que comporte la classification des maladies mentales : nous l'appellerons la jalousie morbide. La
rie femme C..., âgée de Sa ans, est entrée à la Clinique des maladies mentales le 3o janvier dernier. Certificat d'entrée. — D
arlant, il est nécessaire de con* naître de quelle forme d'aliénation mentale est atteint le sujet, s'il y a véritablement foli
llement, pour ainsi dire, dans le cours d'un grand nombre de maladies mentales de forme et d'origine essentiellement diverses :
ort important de reconnaître qu'il v a un nombre considérable d'états mentaux constituant une région intermédiaire entre l'exac
ire entre l'exacte pondération de toutes les facultés et les maladies mentales véritables, en d'autres termes qu'il y a, entre l
quent, qu'il serve de porte-greffe à de véritables accès d'aliénation mentale . Coiii-m à l'Ecole |»-iitit|iie «le lu Faculté.
ques (pression artérielle dans les paroxysmes), par Féré, 369. Etat mental des mourants (l'), par Féré. 317. Etat de luc
e Rochas. 41, 76. Hypnotisme application au traitement des maladies mentales ), par Burckhardt. 56. Hypnotisme par surprise,
nt les tribunaux (le), 28. Magnétiseurs et brigands, 63. Maladies mentales (application de l'hypnotisme au traitement des),
éance de suggestion, 173. Morphinomanie (la), 156. Mourants (état mental des, 317. Myélite chronique diffuse, traitée par
61 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
S NEUROLOGIE NEUROLOGIE REVUE 1 ? , DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA A D t RE C T ! 0 DE J.-M. CHA
que se propose la psychophysique considérée comme science expéri- mentale . - Mais les deux phénomènes en question, le pre
ur, dans le même état, conservant toutes ses forces et ses facultés mentales . Observation XI. Homme de soixante ans, sujet d
cette faculté, de la force plus ou moins grande de notre « énergie mentale motrice » est toujours accompagnée et aidée « p
volonté de mouvoir certaines parties est accompagnée de conditions mentales qui représentent devant la conscience le mouvem
En d'autres termes, on ne peut regarder légitimement les opérations mentales comme étant en partie immédiatement dues à l'ac
bsence de stigmates hystériques et en particulier absence de l'état mental propre aux hystériques ; -2° présence de REVUE
nt défaut, et il existe beau- coup d'hystériques avérés dont l'état mental est pourtant tout à fait normal. Passons main
eurs toasts ont été portés aux progrès et à l'avenir de la médecine mentale . M. B. Séance du 23 mai 1887. Présidence de M.
existe seul et est assez restreint pour empêcher de juger du niveau mental des malades. Le diagnostic de la paralysie géné
aborde l'intéressante question d'enseignement clinique des maladies mentales . Sa communication est intitulée ainsi : Sur la
rsitaire spécialement consacrée à l'enseignement de la patho- logie mentale , l'auteur s'arrête sur la clinique de Moscou qui
niques aussi bien à cause des rapports qui unissent ta patho- logie mentale avec les autres branches de la médecine (et surto
fez SOCIÉTÉS SAVANTES. cription de chaque 'cas nouveau d'aliénation mentale chez un ha- bitant. Si le médecin trouve que le
maisons de santé ; il existerait même certaines formes d'aliénation mentale qui exigent un traitement en famille, d'autres
rmation au médecin de la circonscription de chaque cas d'aliénation mentale est obligatoire pour les autorités du village;
st nécessaire d'avoir des connaissances approfon- dies des maladies mentales et une expérience pratique qu'on ac- quiert seu
lorsqu'ils sont malades, même lorsqu'ils sont atteints d'aliénation mentale , de leur assurer des soins efficaces et de prés
même être très fréquent, avec une maladie telle que l'aliénation mentale , que celui qui soigne le malade, mais qui n'est p
ernière hypothèse, celle où, par suite de la gravité de l'affection mentale , la séquestration devient nécessaire. Alors je
tteinte à la liberté individuelle justifiée, il est vrai par l'état mental du malade. Je compreuds due dans ce cas, vous d
pporteur tout à l'heure, à cette maladie redoutable de l'aliénation mentale , à toutes ses tristes conséquences : il sera to
e venir dé- clarer que l'un do ses parents est atteint d'aliénation mentale . Vous aurez beau inscrire cette obligation dans
tre vents de la publicité le malheur qui l'a frappé, l'alié- nation mentale de son fils ou de sa fille, serait déclaré coupab
protec- tion s'applique à l'aliéné réellement atteint d'aliénation mentale puisqu'il doit être tenu enfermé. Du reste, m
n chez lequel une personne est traitée, même seule, pour aliénation mentale est tenu d'en adresser la déclaration écrite, d
ns que pouvait efficacement donner la famille au cas d'alié- nation mentale de l'un de ses membres, lorsque c'est par les p
encore internés, ou pour les expertises médico- légales sur l'état mental des inculpés, dans l'hospice ou hôpital de tout
t notre système d'asiles tend directement à la culture des maladies mentales dans leurs formes chroniques. Les obs- tacles q
re. C'est la sépa- tion entrc les maladies physiques avec symptômes mentaux elles 176 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. maladies
sseur d'anatomie, et, depuis 1872, il occupa la chaire des maladies mentales et ner- veuses. En 1874, il fonda le Journal de
mentales et ner- veuses. En 1874, il fonda le Journal des maladies mentales et ner- veuses, dont la prospérité ainsi que l'
ology. Brochure in-8o de 17 pages. Extrait du Journal ofnervous and mental diseuse. - New-York, 1886. - Vail et C°, publishe
France, à tirer des conclusions cliniques. II. Rendu. PATHOLOGIE MENTALE RECHERCHES SUR L'ÉTIOLOGIE DE LA. PARALYSIE GÉN
aisser complètement de côté tout ce qui a trait à la 206 PATHOLOGIE MENTALE . paralysie générale chez la femme, me bornant s
es. Dans l'intervalle se sont produites les fluctua- 208 PATHOLOGIE MENTALE . tions inévitables, mais dans des limites très
den- tique dans ses Recherches sur le mouvement de l'aliéna- tion mentale à Paris (1872-85). Le chiffre ;de 1885 (172) es
u point de vue de l'âge, les 'résultats suivants : 210 PATHOLOGIE MENTALE . Etat civil. Sur mes 340 paralytiques généraux,
relatif aux professions dans le tableau suivant : 212 PATHOLOGIE MENTALE . DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 213 Ce tableau ne
ouer un rôle important, n'intervient pas, puisque nos 91 PATHOLOGIE MENTALE . militaires sont frappés, non pas au moment de
lysie générale ne diffère pas essentiellement des autres maladies mentales , et qu'il n'y a pas lieu d'ima- giner pour elle
resté très sceptique à l'endroit de cette cause, que 216 PATHOLOGIE MENTALE . beaucoup d'auteurs, et des plus recommandables
ranchi d'autant plus facilement, que cette hypothèse 218 PATHOLOGIE MENTALE . permettait d'espérer la guérison par un traite
p à la tête par éclat d'obus, coup de sabre, etc.).. 220 PATHOLOGIE MENTALE . Si l'influence des- traumatismes du crâne n'es
etc. Ces paralysies généralisées, décrites pour la 222 2 PATHOLOGIE MENTALE . première fois par Gubler, n'ont absolument rie
les affaires. Ce malade n'est resté que deux mois 22 le PATHOLOGIE MENTALE . à Charenton : pendant ce temps il n'a eu aucun
i, conseiller municipal de . Archives, l, XIV. 1 226 . PATHOLOGIE MENTALE . son village en 1870, avait été arrêté par les
un fils aîné âgé de dix- huit ans; depuis ce moment le dérangement mental s'accentue. Il meurt dans le marasme en janvier
ées après, violent chagrin de la mort de sa femme. 7 228 PATHOLOGIE MENTALE . VI. D ? trente-huit ans, capitaine d'infanteri
fut bientôt renvoyé dans sa famille avec un certificat d'aliénation mentale . Devenu chanteur de café-concert, il acquit une
resque tous n'avaient qu'une capacité inlellec-- - * 230 PATHOLOGIE MENTALE . tuelle médiocre, ne dépassant pas la moyenne,
échi sous le poids de leurs nouvelles obligations. 232 . PATHOLOGIE MENTALE . acquise, par conséquent aucune prédisposition,
sance à des néoplasies scléreuses, etc. » 1) . 5î9). 234 PATHOLOGIE MENTALE . DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. ardente, chacun arri
avec complications du côté des méninges, mais l'état physique et mental ultérieur est le même qu'auparavant. Jusqu'à pr
la mère qui lui chantaient des chansons ». 270 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Il a toujours été complètement impossible de f
on d'un sens au détriment de tous les autres. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE · I. Paralysie générale, des aliénés; par TH. M
nsi dire à l'intérieur de son oeil, en sollici- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 271 tant la rétine par la mise en mouvement de
andes catégories : l'une est caracté- risée par un fond de débilité mentale manifeste. La seconde té- moigne d'un véritable
ffecté cette forme. " P. K. IV. Contribution A L'ÉTUDE des TROUBLES mentaux transitoires ; par A. HoLLOENDER. (Jahrbùch. f.
ce importante, grâce aux récents travaux de 272 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . M. Charcot; Un bon nombre de soldats qui étaie
raction et de relâchement des muscles faisant . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 273 mouvoir cette articulation ne doivent pas
nts de cette crampe. Archives, t. XIV. 18 274 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Les douleurs de la crampe des pianistes ne se
c ou sans 1 Voy Arch. de Neurologie, t. XIII. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 275 modifications de la formule normale) du cô
le congénital, atteint d'épi- lepsie traumatique. IV. Vol, débilité mentale . - V. Attentat, faiblesse intellectuelle. VI. A
at. Idiotie. VII. Acte de violence publique. Haut degré de débilité mentale et d'émotivité. P. K. X. Du RENVOI DÉFINITIF
e concert, avec les excès et les exigences so- ciales, l'aliénation mentale . Aussi, sont-ce les sous-officiers et les offic
z pas à les faire traiter dans un asile dès 276 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . que débute l'aliénation mentale. Quant aux mod
sile dès 276 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. que débute l'aliénation mentale . Quant aux modalités morbides et à leur évoluti
n moins pénible pour elle, j'avais été chargé de constater l'état mental d'un des siens. J'ai vu M. le baron Seillère pour
4 mai, M. le Dr Laborde constatait, conformé- ment à la loi, l'état mental de M. le baron Seillère et adressait au préfet
eillère, il n'y a pas eu dissidence dans l'affirmation d'un trouble mental qui, progressivement, a passé de l'excitation m
ent pas brutalement : M. le baron Seillère est atteint d'aliénation mentale et qu'il en ait conclu que notre malade n'était
enseignement d'ordre scientifique, il saura désormais qu'aliénation mentale est un terme très général qui comprend toutes l
mme le vou- drait M. Gaillard, qu'un homme est atteint d'aliénation mentale , nous paraîtrait insuffisant et nous laisserait
héréditaire pourrait expliquer les anomalies que présente cet état mental . . M. Voisin se demande si en présence des déra
rt résume ainsi la pensée de de M. Falret en ce qui concerne l'état mental du malade : «Monsieur le Préfet. Depuis la dern
nt commandées par les circonstances, par la gravité de sa maladie mentale , il est heureux, ajoute-t-il d'avoir rencontré da
ffirme par des signes suffisamment manifestes, bien que l'équilibre mental reste instable et fragile. «J'ajoute qu'il se
certificat d'après lequel, lorsqu'il avait pris la fuite, son état mental ne saurait être tenu pour normal. Connu jadis pou
port écrit et motivé des experts, afin de décider quel était l'état mental du banquier en 1882, et daus les premiers mois
c'est-à- dire à l'époque de l'acte incriminé, et quel est son état mental actuel. A cet égard, la fuite de l'accusé est c
dre à la qnestion de responsabilité, je décris l'ensemble de l'état mental , en insistant plus particuliè- rement sur la se
vant les juges a pour mission de déterminersi un aliéné, sur l'état mental duquel il s'est formé un jugement, est ou non c
devons dire qu'il ne s'agit pas là des symptômes de l'alié- nation mentale . Les débats relèvent du magistrat. M. EDEL. Je
'était une aliénée. M. `VENDU. Il faut se borner à expliquer l'état mental en détail. M. H.\NS-LOEIIR. Un cas de tumeur cé
ressante par l'étiologie du développe- ment progressif des maladies mentales dans ce pays. Pour l'au- teur de ce travail, M.
coercition sous toutes ses formes dans le traite- ment des maladies mentales et est allé même jusqu'au « open door syst,eyn
e » par lesquels la loi désigne toutes les formes de l'alié- nation mentale . XIX. M. LEVFNSTEIN dans son rapport « à propos
professionnelle dans ses rapports avec les ma- ladies nerveuses et mentales ». La doctoresse a fait des recherches anthropo
on et de son .importance dans l'étiologie des maladies nerveuses et mentales . La proposition est approuvée par acclamation.
V. Ensuite M. KANDtNSKY communique « la classification des maladies mentales » élaborée par la Société des psychiatres russes
cation « sur la mimique comme élément de diagnostic de l'aliénation mentale ». La compa- raison des photographies d'une per
es nerveux par le déve- loppement de la gastropathie. Outre un état mental déprimé très fréquent et permanent, on voit sur
son expérience le conduisirent bientôt à enseigner que l'aliénation mentale est une maladie dégénératrice, et réclame un ré
e nomma à la même chaire. Il publia ensuite : en 18 ? G, l'Ilygiène mentale ; en 1877, des Recherches pathologiques ; en 1878,
et essaie sur F... pendant son sommeil l'influence de la suggestion mentale : il lui ordonne de penser à la même personne q
sonnes échoue absolument. Il lui ordonne alors d'exé- cuter l'ordre mental à son réveil. Mais dès que celui-ci est pro- du
différencient complètement : c'est l'état de la motilité et l'état mental . Pour la motililé, il y a des contractures fixe
résolution musculaire, ni les contractures provoquées. Pour l'état mental , il y a une impossibilité très remarquable à fa
e. Chez ces auteurs, le panaris apparaît comme l'affection fonda- mentale . Chez d'autres : Landois et llosler 13, Dresch-
te commission, c'est-à-dire au médecin chargé de veiller sur l'état mental de l'aliéné et à l'homme de loi chargé de l'adm
précisément le symptôme distinctif de certaines formes d'aliénation mentale . Le délire alcoolique n'a pas souvent d'autre c
ce exercé une action puissante sur le développement de l'aliénation mentale . Les expériences magnétiques, les prétendues co
qui auraient imposé de trop lourds sacrifices au budget départe- mental , a dû renoncer au moins pour le moment à vous fai
c'est en grande partie grâce à eux que l'on guérit plusieurs formes mentales longtemps réputées incurables. Je n'ai pas cru m'
eudo- simulant une méningite tuber- culense), par Reynaud, 409. Mentales (classification des mala- (lies), par Kandinsky
Mentales (classification des mala- (lies), par Kandinsky, 300. Mentaux (troubles - transitoires), par Hoellandcr, 271.
llandcr, 271. Mimique comme élément de dia- gnostic en aliénation mentale , par Sikowsky, 302. Moelle (stiucture de la -
62 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
la perversité morale. là où il n'y a quelquefois que de l'aliénation mentale . Les instincts pervertis par la maladie engendren
s enfants, et rapidement se développe en quelques jours une affection mentale dont le pivot est une perversion de l'idée religi
la misère. On reconnut qu'il ne jouissait pas de toutes ses facultés mentales , qu'il avait présenté autrefois des idées de gran
ues. [Revue philosophique, mai 1887.} Biset: L'intensité des images mentales . (Revue philosophique, mai 1887.) De Sarlo : Le
l'état psychique, ou plus simplement entre l'état physique et l'étal mental , telles qu'il est impossible de modifier l'un san
certaines époques de sa vie, pour en revêtir le caractère physique et mental . DE LA DIPSOMANIE ET DES HABITUDES ALCOOLIQUES
stion hypnotique au traitement de la dipsomanie, variété d'aliénation mentale qui emprunte fréquemment sa gravité à son origine
son origine héréditaire et à ses rapports avec les diverses maladies mentales et nerveuses. Esquirol a pu dire à juste titre
ession morale. Le dipsomane arrive fatalement à un état de débilité mentale qui frise la démence, à moins qu'il ne soit e
aires, parce que la suggestion doit être en harmonie avec leur nature mentale , avec leurs tendances personnelles. Toutefois, pa
ntées, n'a encore donné lieu à aucune déception. » DE LA SUGGESTION MENTALE Compte rendu du livre de 3. M. Ochorowicz fait
nt acceptées aujourd'hui par tous les expérimentateurs, la suggestion mentale l'est moins ; bon nombre d'expérimentateurs, et n
C'était aussi l'opinion de M. Ochorowicz : pour lui, la suggestion mentale n'existait pas et elle était en contradiction ave
rien n'est brutal comme un fait, et, s'il y a des faits de suggestion mentale , il faut, bon gré mal gré, les admettre, sauf à l
ec une méthode rigoureuse. Tout d'abord, les faits où la suggestion mentale n'est qu'apparente : les idées simultanées chez d
urrait se croire obligé de faire rentrer ces faits dans la suggestion mentale ; mais elle n'est là qu'apparente et on peut les e
ques auteurs et à quelques expérimentateurs de croire à la suggestion mentale pour que celle-ci ne soit plus négligée, pour qu'
, certains faits peuvent s'expliquer sans le secours de la suggestion mentale , et c'est le cas de ceux qu'il nous présente dans
de ceux qu'il nous présente dans ses chapitres : 1° de la suggestion mentale apparente; 2° de la suggestion mentale probable;
hapitres : 1° de la suggestion mentale apparente; 2° de la suggestion mentale probable; il en est d'autres qui ne peuvent s'exp
ue par elle. On voit qu'il a pris soin de nous amener à la suggestion mentale vraie par des nuances imperceptibles aux personne
-ce avec le plus grand intérêt qu'on lit le chapitre de la suggestion mentale vraie et celui qui le suit: les expériences du Ha
n. Là. il faut cous arrêter quelque peu et savoir que la suggestion mentale n'est pas possible dans les états divers du magné
aldéie, la monoïdéie, la polyïdéie. Le vrai moment de la suggestion mentale , c'est la limite entre l'état aïdéique et le mono
hez lui et la plus petite impression suffit pour qu'ici la suggestion mentale trouve sa place. M. Ochorouicz établit une différ
absolu, et c'est ce rapport qui donne toute sa force à la suggestion mentale . N'oublions pas que nous avons affaire à un psych
etc. ; 3° D'une action physique individuelle; 4° D'une suggestion mentale . Remarquons surtout l'action physique individue
owicz va nous conduire parmi les analogies physiques de la suggestion mentale ; il nous montrera ce .qu'est le sympathisme orga
'est la clef do voûte de l'édifice. Pour M. Ochorowicz, la suggestion mentale est une action physique ; il ne faudra donc pas s
trouver, dans un sujet réglé, sa forme primitive. C'est la suggestion mentale ! On sent chez M. Ochorowicz la préoccupation c
nées suivantes : Parmi les différentes manifestations de l'activité mentale , il est un groupe tout spécial de phénomènes nerv
nt. A l'état pathologique, dans ce domaine spécial de la pathologie mentale qui touche aux lypémanies anxieuses, l'état d exa
é tel. qu'elles arrivent à dominer toute la scène et à dominer la vie mentale du sujet. — Qui de vous n'a présents à l'esprit c
er, dans la conversation ils s'interrompent par une véritable absence mentale ; ils vont et viennent dans les cours sans se rend
ines catégories de sujets qui appartiennent au cadre de la pathologie mentale , puisque, sur un relevé de 1086 observations, je
'action du surmenage intellectuel sur la développement des affections mentales et nerveuses. La question si actuelle et si imp
articulier : c'est celui que M. Meynert a présente sur les affections mentales et nerveuses déterminées par le surmenage sco
rapport, basées sur une longue statistique : 1° Certaines maladies mentales sont — quoique rarement— produites par le surmena
aussi dans l'âge mûr, par une disposition spéciale pour les maladies mentales ; 5° Les affections mentales propres à l'âge de
disposition spéciale pour les maladies mentales ; 5° Les affections mentales propres à l'âge de la puberté (hébéphrémie. alién
tions mentales propres à l'âge de la puberté (hébéphrémie. aliénation mentale juvénile) sont très pernicieuses par la tendance
NATIONAL HYPNOTISME (depuis 1880) M. J.de Bonniot: De la suggestion mentale . (Cosmos, 3o avril 1887.) Battandier: Le spiritis
de traces au réveil et ne comptent pas dans l'ensemble des opérations mentales gravées dans la mémoire. Ces phénomènes sont pr
r l'explication dans la suggestion, suggestion exprimée ou suggestion mentale , suggestion par la parole, la vue des objets, leu
e aptitude ou d'une faculté prédominante, malgré la déséquilibrai ion mentale que l'on trouve chez la plupart de ces sujets.
aute-Vienne, août.) Keser : Un cas de sommeil prolongé. (Journal of Mental Science, juillet 1887.) Robertson : Traitement
ogie, juillet 1887.) PSYCHIATRIE - NEUROLOGIE Collineau- : L'état mental des épileptiques. (L'Homme, août 1887.) Emmingh
ardt.) — In-8°, VIII-293 p., 12 pl. Tubingue. Bouchaud : Aliénation mentale et mutisme hystérique. (Ann. Méd.-Psych., septe
25 fig. et 5 planches OUVRAGES REÇUS A LA REVUE De la suggestion mentale et de l'action à distance des substances toxiques
us ou moins de succès pour combattre d'autres affections nerveuses et mentales . Je n'ai pas besoin de rappeler les conclusions
ler des émotions vives susceptibles de déterminer quelques affections mentales chez des sujets prédisposés par hérédité ou par t
dangereuse et ont engendré parfois une véritable épidémie de maladies mentales . Aussi, en Italie, le conseil sanitaire a interdi
les bruits pour les répéter, il suffit d'une certaine représentation mentale . Les gestes sont parfoi; imités. Elle a beaucoup
plus puissant modificateur à employer dans les maladies nerveuses et mentales qui, sous les noms de névralgie, de migraine, d'é
dans ses antécédents héréditaires il n'y a aucune maladie nerveuse ou mentale . Marie est née à terme. Elle a été élevée au sein
nique sur les maladies du système nerveux. — Clinique de pathologie mentale et des maladies de l'encéphale. — M. le professeu
dimanches, à dix heures du matin, une leçon clinique sur les maladies mentales . HOpital de la Charité. — M. le docteur Luys a
nous connaîtrions le contenu, à l'effet de voir si la suggestion mentale ou transmission de pensée pouvait expliquer le ph
ne connaissance approfondie de la genèse et de la marche des troubles mentaux qui constituent sa maladie. Je conclus en recom
volonté sont endormies. La résistance psychique et la discussion mentale sont abolies à tel point que, si vous suggérez a
de la paresse intellectuelle, en un mot un grand nombre des troubles mentaux et des instincts pervers qui pourraient placer da
aient que, » dans ses qualités et dans ses défauts, dans toute sa vie mentale , chacun » de nous obéit à son organisation. Aucun
ement les cen-» très nerveux d'hommes dont on a bien connu l'activité mentale . Or » l'autopsie, qui jadis, sous le règne de L
le docteur Lamotte n'avait pas toujours la plénitude de ses facultés mentales . Elle demanda aux pouvoirs judiciaires un examen
nse, Me Arcis, vint me trouver et me pria d'examiner, au point de vue mental , le dossier de cette affaire, les renseignements
novembre 1886. M. Max-Simon, dans sa déposition, fit voir qu'un état mental profondément perturbé pouvait être soupçonné et c
gré et perversion des instincts. 2° C'est sous l'empire de cet état mental morbide que l'accusé a commis les actes qui lui s
à sa défense. Nous demandons, à notre tour, si, dans une situation mentale semblable, si, avec un état de maladie cérébrale
lieu sur un tout autre terrain. Il ne s'agissait pas de savoir l'état mental du docteur Lamotte, mais quel était cet état au m
On invoque aussi les faits de transmission de pensée ou suggestion mentale . Des hommes très éclairés et très honorables ont
l'hysterie, pour tous ceux qui ont en l'occasion d'approfondir l'état mental des hystériques, l'événement de Granges se réduit
es plus invraisemblables. En un mot, elles sont atteintes d'un état mental particulier et le livre de Legrand du Saulle : Le
oyez sur le même sujet le chapitre IV, p. 118 à 144. de la Suggestion mentale de M. Ochorowicz. (a) La distance de chez moi à
out aussi impossible à comprendre d'une manière adéquate que l'action mentale è distance. L'aimant attire le fer à distance. Si
; heures. Succès. Elle exécute à l'arrivée de M. Janet une suggestion mentale que M. Janet avait faite. Elle se lève quand M. J
ir certaines personnes à cerveau faible soudain frappées d'aliénation mentale , de délire ambitieux, de folie des persécutions..
dats à la folie, et consomme vivement la perte complète de leur santé mentale . Celui qui a assisté une fois à l'un de ces naufr
in fait tous les dimanches, à 9 heures 1/2, en cours sur les maladies mentales et ner-veuses. — Nouveau journal. — Nous avons
père notamment, y prédispose singulièrement les filles. L'aliénation mentale de l'un des ascendants est pour la lignée un préc
émarche incertaine, leur bégaiement et la lenteur de leurs opérations mentales , ressemblent à des gens ivres. Au moindre cri, au
a population française, reste muet. Il dit seulement que l'aliénation mentale se rencontre surtout dans les départements du Pas
érêt aux médecins qui s'occupent de l'étude des maladies nerveuses et mentales . Pour comprendre les procès de sorcellerie, il
. Bourneville vient de rééditer, est le premier effort de la médecine mentale , a la Renaissance, pour débarrasser la science ps
tres importants, il était, à la suite de cette exagération d'activité mentale et d'excitation émotive exceptionnelle, tombé dan
tion. Je trouve, en général, que l'hystérie, de même que les maladies mentales , est peu favorable à la suggestion. L'instrument
vaut contre les faits bien observés. TRAITEMENT DE L'ALIÉNATION MENTALE PAR LA SUGGESTION HYPNOTIQUE Par M. le Dr Augus
é, depuis l'année dernière, mes études sur le traitement des maladies mentales et nerveuses par la suggestion hypnotique. Je me
ance du 3 avril. — Présidence de M. Grasset Traitement des maladies mentales et nerveuses par la suggestion hypnotique (i).
es études sur le traitement par la suggestion hypnotique des maladies mentales et nerveuses, si résistantes aux moyens thérapeut
certains malades qui, eux-mêmes, font remonter le début des accidents mentaux et nerveux dont ils souffrent a des manœuvres d'h
-ci est aussi la source des affections et des passions, la pathologie mentale peut éclairer bien des problèmes. A mon avis, on
les vendredis et mardis. Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies mentales : M. le professeur Ball a reprit son cours de cli
s : M. le professeur Ball a reprit son cours de clinique des maladies mentales , le dimanche 15 avril 1888. à 10 heures du matin,
et dimanches suivant à la même heure. Hospice de Bicêtre.— Maladies mentales : M. Charpentier, mercredi, à 8 heures 1/2. Eco
— In-12, Félix Alcan. 1888 (a fr. 5o . Traité clinique des maladies mentales , par le docteur H. Schule. troisième édition, tra
ucier des conséquences que leurs manœuvres pouvaient avoir sur l'état mental de leurs sujets. Quelques-uns faisaient preuve d'
tes libérales sont au premier rang, parmi celles-là. « La suractivité mentale se traduit alors, dit Cullerre, par une susceptib
le vendredi, à 9 heures. Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies mentales ; M. la professeur Ball, leçons le dimanche, à 9
ur les affections du système nerveux. Hoipice de Bicétre.— Maladies mentales : M. Charpentier, mercredi, à 8 heures 1/2. Asi
ion médicameteuse à distance (de l'). par Bernheim, 161. Affections mentales et nerveuses (action du surmenage intellectuel
Alssaoua (notes historiques sur les), par Delphin, 334. Aliénation mentale (traitement de l') par la suggestion, par Aug.
, .378. Châtiments corporels (dangers des), 36o. Chorée (troubles mentaux succédant à la) traitée par la suggestion. 178.
jurisprudence et la médecine légale, par Liégeois, 356. Suggestion mentale (de la), par Ochoro-wicz, 60. Suggestion sans h
63 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
la perversité morale. là où il n'y a quelquefois que de l'aliénation mentale . Les instincts pervertis par la maladie engendren
s enfants, et rapidement se développe en quelques jours une affection mentale dont le pivot est une perversion de l'idée religi
la misère. On reconnut qu'il ne jouissait pas de toutes ses facultés mentales , qu'il avait présenté autrefois des idées de gran
ues. [Revue philosophique, mai 1887.} Biset: L'intensité des images mentales . (Revue philosophique, mai 1887.) De Sarlo : Le
l'état psychique, ou plus simplement entre l'état physique et l'étal mental , telles qu'il est impossible de modifier l'un san
certaines époques de sa vie, pour en revêtir le caractère physique et mental . DE LA DIPSOMANIE ET DES HABITUDES ALCOOLIQUES
stion hypnotique au traitement de la dipsomanie, variété d'aliénation mentale qui emprunte fréquemment sa gravité à son origine
son origine héréditaire et à ses rapports avec les diverses maladies mentales et nerveuses. Esquirol a pu dire à juste titre
ession morale. Le dipsomane arrive fatalement à un état de débilité mentale qui frise la démence, à moins qu'il ne soit e
aires, parce que la suggestion doit être en harmonie avec leur nature mentale , avec leurs tendances personnelles. Toutefois, pa
ntées, n'a encore donné lieu à aucune déception. » DE LA SUGGESTION MENTALE Compte rendu du livre de 3. M. Ochorowicz fait
nt acceptées aujourd'hui par tous les expérimentateurs, la suggestion mentale l'est moins ; bon nombre d'expérimentateurs, et n
C'était aussi l'opinion de M. Ochorowicz : pour lui, la suggestion mentale n'existait pas et elle était en contradiction ave
rien n'est brutal comme un fait, et, s'il y a des faits de suggestion mentale , il faut, bon gré mal gré, les admettre, sauf à l
ec une méthode rigoureuse. Tout d'abord, les faits où la suggestion mentale n'est qu'apparente : les idées simultanées chez d
urrait se croire obligé de faire rentrer ces faits dans la suggestion mentale ; mais elle n'est là qu'apparente et on peut les e
ques auteurs et à quelques expérimentateurs de croire à la suggestion mentale pour que celle-ci ne soit plus négligée, pour qu'
, certains faits peuvent s'expliquer sans le secours de la suggestion mentale , et c'est le cas de ceux qu'il nous présente dans
de ceux qu'il nous présente dans ses chapitres : 1° de la suggestion mentale apparente; 2° de la suggestion mentale probable;
hapitres : 1° de la suggestion mentale apparente; 2° de la suggestion mentale probable; il en est d'autres qui ne peuvent s'exp
ue par elle. On voit qu'il a pris soin de nous amener à la suggestion mentale vraie par des nuances imperceptibles aux personne
-ce avec le plus grand intérêt qu'on lit le chapitre de la suggestion mentale vraie et celui qui le suit: les expériences du Ha
n. Là. il faut cous arrêter quelque peu et savoir que la suggestion mentale n'est pas possible dans les états divers du magné
aldéie, la monoïdéie, la polyïdéie. Le vrai moment de la suggestion mentale , c'est la limite entre l'état aïdéique et le mono
hez lui et la plus petite impression suffit pour qu'ici la suggestion mentale trouve sa place. M. Ochorouicz établit une différ
absolu, et c'est ce rapport qui donne toute sa force à la suggestion mentale . N'oublions pas que nous avons affaire à un psych
etc. ; 3° D'une action physique individuelle; 4° D'une suggestion mentale . Remarquons surtout l'action physique individue
owicz va nous conduire parmi les analogies physiques de la suggestion mentale ; il nous montrera ce .qu'est le sympathisme orga
'est la clef do voûte de l'édifice. Pour M. Ochorowicz, la suggestion mentale est une action physique ; il ne faudra donc pas s
trouver, dans un sujet réglé, sa forme primitive. C'est la suggestion mentale ! On sent chez M. Ochorowicz la préoccupation c
nées suivantes : Parmi les différentes manifestations de l'activité mentale , il est un groupe tout spécial de phénomènes nerv
nt. A l'état pathologique, dans ce domaine spécial de la pathologie mentale qui touche aux lypémanies anxieuses, l'état d exa
é tel. qu'elles arrivent à dominer toute la scène et à dominer la vie mentale du sujet. — Qui de vous n'a présents à l'esprit c
er, dans la conversation ils s'interrompent par une véritable absence mentale ; ils vont et viennent dans les cours sans se rend
ines catégories de sujets qui appartiennent au cadre de la pathologie mentale , puisque, sur un relevé de 1086 observations, je
'action du surmenage intellectuel sur la développement des affections mentales et nerveuses. La question si actuelle et si imp
articulier : c'est celui que M. Meynert a présente sur les affections mentales et nerveuses déterminées par le surmenage sco
rapport, basées sur une longue statistique : 1° Certaines maladies mentales sont — quoique rarement— produites par le surmena
aussi dans l'âge mûr, par une disposition spéciale pour les maladies mentales ; 5° Les affections mentales propres à l'âge de
disposition spéciale pour les maladies mentales ; 5° Les affections mentales propres à l'âge de la puberté (hébéphrémie. alién
tions mentales propres à l'âge de la puberté (hébéphrémie. aliénation mentale juvénile) sont très pernicieuses par la tendance
NATIONAL HYPNOTISME (depuis 1880) M. J.de Bonniot: De la suggestion mentale . (Cosmos, 3o avril 1887.) Battandier: Le spiritis
de traces au réveil et ne comptent pas dans l'ensemble des opérations mentales gravées dans la mémoire. Ces phénomènes sont pr
r l'explication dans la suggestion, suggestion exprimée ou suggestion mentale , suggestion par la parole, la vue des objets, leu
e aptitude ou d'une faculté prédominante, malgré la déséquilibrai ion mentale que l'on trouve chez la plupart de ces sujets.
aute-Vienne, août.) Keser : Un cas de sommeil prolongé. (Journal of Mental Science, juillet 1887.) Robertson : Traitement
ogie, juillet 1887.) PSYCHIATRIE - NEUROLOGIE Collineau- : L'état mental des épileptiques. (L'Homme, août 1887.) Emmingh
ardt.) — In-8°, VIII-293 p., 12 pl. Tubingue. Bouchaud : Aliénation mentale et mutisme hystérique. (Ann. Méd.-Psych., septe
25 fig. et 5 planches OUVRAGES REÇUS A LA REVUE De la suggestion mentale et de l'action à distance des substances toxiques
us ou moins de succès pour combattre d'autres affections nerveuses et mentales . Je n'ai pas besoin de rappeler les conclusions
ler des émotions vives susceptibles de déterminer quelques affections mentales chez des sujets prédisposés par hérédité ou par t
dangereuse et ont engendré parfois une véritable épidémie de maladies mentales . Aussi, en Italie, le conseil sanitaire a interdi
les bruits pour les répéter, il suffit d'une certaine représentation mentale . Les gestes sont parfoi; imités. Elle a beaucoup
plus puissant modificateur à employer dans les maladies nerveuses et mentales qui, sous les noms de névralgie, de migraine, d'é
dans ses antécédents héréditaires il n'y a aucune maladie nerveuse ou mentale . Marie est née à terme. Elle a été élevée au sein
nique sur les maladies du système nerveux. — Clinique de pathologie mentale et des maladies de l'encéphale. — M. le professeu
dimanches, à dix heures du matin, une leçon clinique sur les maladies mentales . HOpital de la Charité. — M. le docteur Luys a
nous connaîtrions le contenu, à l'effet de voir si la suggestion mentale ou transmission de pensée pouvait expliquer le ph
ne connaissance approfondie de la genèse et de la marche des troubles mentaux qui constituent sa maladie. Je conclus en recom
volonté sont endormies. La résistance psychique et la discussion mentale sont abolies à tel point que, si vous suggérez a
de la paresse intellectuelle, en un mot un grand nombre des troubles mentaux et des instincts pervers qui pourraient placer da
aient que, » dans ses qualités et dans ses défauts, dans toute sa vie mentale , chacun » de nous obéit à son organisation. Aucun
ement les cen-» très nerveux d'hommes dont on a bien connu l'activité mentale . Or » l'autopsie, qui jadis, sous le règne de L
le docteur Lamotte n'avait pas toujours la plénitude de ses facultés mentales . Elle demanda aux pouvoirs judiciaires un examen
nse, Me Arcis, vint me trouver et me pria d'examiner, au point de vue mental , le dossier de cette affaire, les renseignements
novembre 1886. M. Max-Simon, dans sa déposition, fit voir qu'un état mental profondément perturbé pouvait être soupçonné et c
gré et perversion des instincts. 2° C'est sous l'empire de cet état mental morbide que l'accusé a commis les actes qui lui s
à sa défense. Nous demandons, à notre tour, si, dans une situation mentale semblable, si, avec un état de maladie cérébrale
lieu sur un tout autre terrain. Il ne s'agissait pas de savoir l'état mental du docteur Lamotte, mais quel était cet état au m
On invoque aussi les faits de transmission de pensée ou suggestion mentale . Des hommes très éclairés et très honorables ont
l'hysterie, pour tous ceux qui ont en l'occasion d'approfondir l'état mental des hystériques, l'événement de Granges se réduit
es plus invraisemblables. En un mot, elles sont atteintes d'un état mental particulier et le livre de Legrand du Saulle : Le
oyez sur le même sujet le chapitre IV, p. 118 à 144. de la Suggestion mentale de M. Ochorowicz. (a) La distance de chez moi à
out aussi impossible à comprendre d'une manière adéquate que l'action mentale è distance. L'aimant attire le fer à distance. Si
; heures. Succès. Elle exécute à l'arrivée de M. Janet une suggestion mentale que M. Janet avait faite. Elle se lève quand M. J
ir certaines personnes à cerveau faible soudain frappées d'aliénation mentale , de délire ambitieux, de folie des persécutions..
dats à la folie, et consomme vivement la perte complète de leur santé mentale . Celui qui a assisté une fois à l'un de ces naufr
in fait tous les dimanches, à 9 heures 1/2, en cours sur les maladies mentales et ner-veuses. — Nouveau journal. — Nous avons
père notamment, y prédispose singulièrement les filles. L'aliénation mentale de l'un des ascendants est pour la lignée un préc
émarche incertaine, leur bégaiement et la lenteur de leurs opérations mentales , ressemblent à des gens ivres. Au moindre cri, au
a population française, reste muet. Il dit seulement que l'aliénation mentale se rencontre surtout dans les départements du Pas
érêt aux médecins qui s'occupent de l'étude des maladies nerveuses et mentales . Pour comprendre les procès de sorcellerie, il
. Bourneville vient de rééditer, est le premier effort de la médecine mentale , a la Renaissance, pour débarrasser la science ps
tres importants, il était, à la suite de cette exagération d'activité mentale et d'excitation émotive exceptionnelle, tombé dan
tion. Je trouve, en général, que l'hystérie, de même que les maladies mentales , est peu favorable à la suggestion. L'instrument
vaut contre les faits bien observés. TRAITEMENT DE L'ALIÉNATION MENTALE PAR LA SUGGESTION HYPNOTIQUE Par M. le Dr Augus
é, depuis l'année dernière, mes études sur le traitement des maladies mentales et nerveuses par la suggestion hypnotique. Je me
ance du 3 avril. — Présidence de M. Grasset Traitement des maladies mentales et nerveuses par la suggestion hypnotique (i).
es études sur le traitement par la suggestion hypnotique des maladies mentales et nerveuses, si résistantes aux moyens thérapeut
certains malades qui, eux-mêmes, font remonter le début des accidents mentaux et nerveux dont ils souffrent a des manœuvres d'h
-ci est aussi la source des affections et des passions, la pathologie mentale peut éclairer bien des problèmes. A mon avis, on
les vendredis et mardis. Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies mentales : M. le professeur Ball a reprit son cours de cli
s : M. le professeur Ball a reprit son cours de clinique des maladies mentales , le dimanche 15 avril 1888. à 10 heures du matin,
et dimanches suivant à la même heure. Hospice de Bicêtre.— Maladies mentales : M. Charpentier, mercredi, à 8 heures 1/2. Eco
— In-12, Félix Alcan. 1888 (a fr. 5o . Traité clinique des maladies mentales , par le docteur H. Schule. troisième édition, tra
ucier des conséquences que leurs manœuvres pouvaient avoir sur l'état mental de leurs sujets. Quelques-uns faisaient preuve d'
tes libérales sont au premier rang, parmi celles-là. « La suractivité mentale se traduit alors, dit Cullerre, par une susceptib
le vendredi, à 9 heures. Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies mentales ; M. la professeur Ball, leçons le dimanche, à 9
ur les affections du système nerveux. Hoipice de Bicétre.— Maladies mentales : M. Charpentier, mercredi, à 8 heures 1/2. Asi
ion médicameteuse à distance (de l'). par Bernheim, 161. Affections mentales et nerveuses (action du surmenage intellectuel
Alssaoua (notes historiques sur les), par Delphin, 334. Aliénation mentale (traitement de l') par la suggestion, par Aug.
, .378. Châtiments corporels (dangers des), 36o. Chorée (troubles mentaux succédant à la) traitée par la suggestion. 178.
jurisprudence et la médecine légale, par Liégeois, 356. Suggestion mentale (de la), par Ochoro-wicz, 60. Suggestion sans h
64 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
NTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Redacteur en chef : Docteur Edgar
'ils étaient extrêmement faciles à intimider. L'examen de leur état mental révèle d'intéressantes particularités; ils se pla
un mot, on peut dire que les deux manifestations dominantes de l'état mental des bègues sont l'émotivité excessive et l'abouli
t dire de beaucoup d'entre eux qu'ils présentent l'état d'infériorité mentale désignée sous le nom de puérilisme. Leur caractèr
qup les cas ne sont pas analogues. C'est possible qu'au point de vue mental le malade de M. Dubois était plus atteint que les
tait plus atteint que les miens et qu'en temps normal son instabilité mentale était plus forte que celle des miens; mais, au po
ureté, le médecin doit rendre le malade attentif à l'origine purement mentale de son insomnie, lui montrer l'inutilité des moye
e phrase parce que les idées ne me viennent pas. * Cette dépression mentale le rend furieux, aggrave son état général et suci
r pas même un jour, de ?on bureau. Après la troisième séance son état mental et sa lucidité intellectuelle sont tels que le pr
sformé. Son aspect physique dénote une amélioration frappante. L'état mental a marché parallèlement à l'état physique. Le 25 m
oute suggestion, peut suffire à ramener le calme, à équilibrer l'état mental . Un vieil adage enseigne que, « la nuit porte c
i guérissent sous l'action d'un coup de fouet porté sur les processus mentaux du malade ; les maladies organiques sont égalemen
ercions une telle influence sur un de nos semblables, si son contrôle mental habituel n'est pas désarmé par l'hypnotisme. Tell
double pas du psychologue. Dr B. COURS ET CONFÉRENCES Confusion mentale hystérique (*) Par M. le Professeur Raymond.
oint été précédé de période préparatoire. Il s'agit donc de confusion mentale , non pas primitive, mais secondaire. Depuis un an
porte, suivant les cas, le rire, le pleurer, le sommeil, la confusion mentale . Cette jeune fille guérira. On la soustraira à
l sérieux » que présente l'hypnotisme, la désagrégation de l'activité mentale , la désintégration de 0 avec les centres inférieu
e fût dangereuse ou capable de provoquer et d'augmenter l'instabilité mentale . Mais M. Dubois n'a pas lu cette enquête ! Son
eur famille et qui ont retrouvé au moyen de l'hypnotisme un équilibre mental qu'ils avaient perdu depuis 20 ou 30 ans? En écri
adressée. Voilà des cas où l'hypnose seule peut ramener l'équilibre mental et même pour cela il faut que son action soit pro
cas le traitement n'a ni provoqué ni enrayé l'évolution des troubles mentaux qui ne présentaient rien de caractéristique au dé
ué la première fois d'accuser l'hypnotisme d'avoir causé les troubles mentaux étendit son accusation à la psychothérapie « qui
ulier par des médecins, seuls compétents pour connaître les anomalies mentales . L'application de ces méthodes sera confiée à des
; 3° édifier la science du fonctionnement du système nerveux à l'état mental et à l'état pathologique. La psychiatrie et la ne
hypnotique est un agent de premier ordre dans les cures d'orthopédie mentale et morale. Vision d'une somnambule relativeme
es hôpitaux où l'on s'occupait de questions de pathologie nerveuse et mentale , et surtout de psychologie médicale. Je fus ass
ination dans toute son excitation, l'irritation ou quelque impression mentale puissante a opéré ; là où l'esprit seul a été imp
et la santé physique se rétablit, en même temps que subsiste un état mental suffisant pour justifier une surveillance, pas as
it que les idées de son sujet erraient au Heu de se lixer. Le pouvoir mental , la décision ferme qu'il avait remarqués lors des
lusions ou principes. 1) Braid : « La fixation continuelle de l'œil mental et visuel de la manière et dans les conditions in
manipulation du crâne et de la face, exciter certaines manifestations mentales et corporelles, selon les parties touchées. » F
s intense par la concentration de l'esprit. » (p. 236.) L'imagination mentale et la concentration de l'esprit, dans l'état Ivyp
instinctifs et automatiques, et dès lors, par conséquent l'impression mentale ne prouvait qu'une tendance aux mouvements. » (p.
ns de toutes les sortes. Il y a plusieurs références à l'exaltation mentale et musculaire, et aux autres points notés dans ce
il hypnotique peut notablement influer sur les émotions et sensations mentales . Braid vivait dans une période où la physiologie
t enfin de dire si M"° X..., jouissait de l'intégrité de ses facultés mentales . J'ai conclu par l'affirmative. C'est de son pl
isées par son père et son frère. A cet égard, existe chez elle l'état mental décrit par tous les auteurs qui se sont occupés d
plus tard chez elle des troubles nerveux d'ordre physique ou d'ordre mental accentués, MM. X..., père et fils se trouveraient
ci ne diagnostiquant pas sa maladie (balle dans la téte et aliénation mentale ), le traita pour faiblesse générale en lui faisan
faculté de transformer ces vibrations en images psychiques ou notions mentales , sa personnalité perçoit par un mécanisme qu'elle
appliqué non seulement aux enfants hospitalisés par suite d'affection mentale ou nerveuse, mais encore à tous les enfants renvo
i soient ou non complètement développées), soit par suite de maladies mentales (psychoses dégénératives), soit par suite de mala
nt être placés en deux sous-groupes : ceux atteints de dégénérescence mentale , ceux atteints de névrose. a) Dégénérescence me
dégénérescence mentale, ceux atteints de névrose. a) Dégénérescence mentale . — La perversion est la forme la plus fréquente d
. — La perversion est la forme la plus fréquente de la dégénérescence mentale chez l'enfant. Elle peut se trouver aussi bien ch
u'aux enfants riches. En dehors de la perversion, la dégénérescence mentale se traduit encore, chez l'enfant, par les idées f
e à écouter répéter plusieurs fois la même explication. Leur activité mentale , sans cesse en éveil, s'occupe d'autre chose que
soustrait de bonne heure à ce milieu et s'il ne présente pas de tare mentale , en un mot s'il est un faux anormal. Il n*en es
st pas de même si ces enfants sont des malades atteints de perversion mentale à un degré plus ou moins accusé, issus de parents
faut d'éducation, mais souvent aussi elle relève de la dégénérescence mentale . Nous avons remarqué que, pour les enfants morale
ux cas, un examen de l'enfant par un médecin connaissant les maladies mentales s'impose. Aussi tout juge, dans les cas de delin-
, soit surtout par l'alcool, les grands facteurs de la dégénérescence mentale . Il faudrait donc essayer de prévenir les résul
ation de colonies agricoles. Quand l'enfant, par contre, a une tare mentale , l'assistance doit être médico-pédagogique. Nous
surveillés et soumis à un régime de discipline particulier. Si l'état mental dégénératif du sujet ne s'améliore pas, ou s'il s
rapides, faciles et durables. COURS ET CONFÉRENCES La confusion mentale héréditaire et acquise (') par M. le Professeur R
réditaire et acquise (') par M. le Professeur Raymond. La confusion mentale est héréditaire et tient à une déchéance innée du
d'autres causes. Son caractère est le changement à vue des troubles mentaux . Voici une malade de 19 ans ; chez elle, la malad
lus rudimentaires. Sur ce terrain psychique peu résistant, les images mentales enregistrées à tort et à travers se transforment
é sur cette malade l'étiquette délire polymorphe de la dégénérescence mentale . Ce n'est point cela. Dans le délire de la dégé
e mentale. Ce n'est point cela. Dans le délire de la dégénérescence mentale , il y a un élément d'angoisse qui fait défaut ici
mières. Il y a bien plus de suite dans le délire de la dégénérescence mentale . Dans le cas présent, il y a confusion tout simpl
ante ne varie pas, sont de guérîson autrement difficile. La confusion mentale , surtout quand elle est acquise, est d'un pronost
ncore un certain temps, je détourne mon attention sur quelque travail mental intéressant. Je concentre mon esprit, par exemple
ice » se développant exclusivement chez des sujets présentant un état mental spécial, un état d'infantilisme psychique caracté
Les auteurs les plus récents ont résolument identifié à un processus mental la pathogénie de ces accidents, lesquels sont enf
à 10 heures, dans son service, un cours sur les maladies nerveuses et mentales . Un certain nombre de leçons seront consacrées à
ures, à partir du lundi 14 janvier. 2* L'hypnotisme et l'orthopédie mentale : Les enfants et les adolescents anormaux: Retarda
. 3° La psychologie appliquée (hypnotisme thérapeutique, orthopédie mentale , pédagogie suggestive, etc.). 4° La psychologie
ciles à interpréter, tels que : la lecture des pensées, la suggestion mentale , les hallucinations télépalhiques, la lucidité, l
point de vue anthropologique et plus particulièrement au point de vue mental , je suis arrivé à un certain nombre de conclusion
u'à ce Iaàkob, dit Jacques le petit qui, atteint de la même affection mentale que son frère, fut, au témoignage d'Eusèbe, préci
de fétichisme les ont placés sous la dépendance de la dégénérescence mentale héréditaire ; ils n'ont pas vu qu'il était plus l
l'occasion de le faire, l'hypersuggestibilité qui caractérise l'état mental des adolescents. Chez les adolescents et chez l
gnements que les parents doivent acquérir sur l'étal psychologique et mental de leurs enfants. Dans les cas où l'on constatera
à 10 heures, dans son service, un cours sur les maladies nerveuses et mentales . Un certain nombre de leçons seront consacrées à
faut se garer. Cela dérange, une idée neuve, bouleverse des habitudes mentales , amène bien du désordre. Or, la Faculté aime avan
serait irrégulier, désordonné, manquerait son but. Cette préparation mentale des mouvements est l'acte le plus intéressant, le
orsqu'elle voulut organiser chez elle l'enseignement de la pathologie mentale , la Faculté de Bordeaux fut mieux inspirée. Elle
ellement, pour sa complète formation, un certain temps d'appréciation mentale consciente ou d'incubation mentale subconsciente,
n, un certain temps d'appréciation mentale consciente ou d'incubation mentale subconsciente, favorables à ses espérances. Il s'
in ou de l'entourage. Rarement elle puise dans les propres ressources mentales du patient les éléments de sa formation. La sugge
rticulier d'augmenter la somme d'attention consciente et de processus mentaux subsconscients d'un sujet sur une opération physi
onsécutive au retard intellectuel et à l'affaiblissement des facultés mentales chez l'adénoidien. « Major qui, en 1885, fut un
n sur un agent très réel de déséquilibre psychique. La représentation mentale trop vive des transes qui l'étrcindront eu face d
névrose caractérisée surtout par une faiblesse énorme de la synthèse mentale . Or, nous savons quel rôle majeur jouent manifest
e restauration de la mémoire, de la volonté et partant de la synthèse mentale . Ce n'est pas à dire que je veuille nier l'util
ent à des oscillations de l'attention. (tj P. Jankt : Les stigmates mentaux des hystériques, p. 91 et 188. (3) P.Mxosin : P
faire, au moment où il place les électrodes sur les muscles, l'effort mental nécessaire pour produire le mouvement ». (') Au f
de l'électricité, « qui tout à l'heure suppléait ou aidait son effort mental », un mouvementqui jusqu'alors était impossible.
estaurer la volonté, le jugement, en un mot les fonctions de synthèse mentale . Cette méthode de rééducation de l'attention es
es exercices d'écriture appliquée. Les progrès réalisés dans l'état mental du malade s'enregistrent d'eux-mêmes sur les cahi
mérite incontestable, était incapable d'aborder l'examen de ces états mentaux * que le plus grand métaphysicien et prestidigita
fait progresser l'étude de la « clairvoyance » et de la « suggestion mentale » au lieu d'augmenter fâcheusement le chi-mérisme
e. 3° .Réaliser par des suggestions particulières la représentation mentale des conditions dans lesquelles se manifeste te tr
réformes de l'enseignement médical, par Bérillon, p. 289. Confusion mentale hystérique, par Raymond, p. 29. Confusion menta
289. Confusion mentale hystérique, par Raymond, p. 29. Confusion mentale héréditaire et acquise, par Raymond, p. 187. Co
65 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
es, la paresse intellectuelle, en un mot un grand nombre des troubles mentaux et des instincts pervers qui, dans un avenir proc
'il sera facile de retrouver chez lui des stigmates de dégénérescence mentale ou physique. Si j'interroge les parents, je vois
ssante à constater qu'une extrême suggestibiiité. Elle dénote un état mental particulier, et souvent même un esprit systématiq
é a faitjustement considérer comme des stigmates de la dégénérescence mentale ; 4° Les troubles mentaux envisagés comme compl
comme des stigmates de la dégénérescence mentale ; 4° Les troubles mentaux envisagés comme complication des diverses névrose
iences hypnotiques font preuve, avant comme après le coup, et un état mental entièrement semblable que l'on constate chez une
tièrement dupes de l'illusion qui les berce. Les mêmes nuances d'état mental se dessinent chez les hypnotisés. *** M. le p
n effet, disais-je, si nous démontrons les propriétés de l'impression mentale (suggestion hypnotique exprimée) en lui faisant p
ui faisant produire la paralysie, c'est pour prouver que l'impression mentale a la vertu de restituer le mouvement au paralytiq
vertu de restituer le mouvement au paralytique ; si par l'impression mentale nous atteignons les facultés intellectuelles,
s facultés intellectuelles, c'est pour apprendre que l'impression mentale est une étincelle qui peut rallumer le flambeau d
s en spectacle l'homme pur et jaloux de son honneur qu'une impression mentale vient en un instant de dégrader et d'avilir, c'es
st pour que, par cette preuve effrayante de son pouvoir, l'impression mentale attire sur elle l'attention de tous, et qu'ils y
yés à l'infirmerie spéciale du dépôt sous la présomption d'aliénation mentale s'est élevée à 3.193 dont 1.950 hommes et 1.243 f
M. le Dr Auguste Voisin a commencé son cours annuel sur les maladies mentales et nerveuses le jeudi 13 juin, à 10 heures du mat
nsacrées aux applications de l'hypnotisme, au traitement des maladies mentales . Cours sur l'hypnotisme a Lille. — Le cours ann
rbitre absolu et la responsabilité absolue, en dehors de l'aliénation mentale . La connaissance de la vérité ne bouleverse pas l
Cette action complémentaire ne se manifeste pas seulement sur l'état mental et l'état général. Son action propre se révèle :
attachés à une certaine époque à la neurasthénie, à la dégénérescence mentale (la dromomanie de Régis). b) Après eux viennent
e la vie. Cela cadre-t-il avec l'idée que nous nous faisons de l'état mental des epileptiques ? Peut-être porte-t-on le diagno
s (1), qu'Ignace de Loyola fut souvent atteint de troubles nerveux ou mentaux . (1) Voy. en particulier : P. Ribadeneira. Vita
eurs mois sont nécessaires au médecin expert appelé à juger de l'état mental d'un individu. Il est aussi absolument utile d'
e fait souvent pour d'autres questions de médecine légale. Anorexie mentale . M. Paul Sollier, de Paris. — Sous ce nom, l'au
ment par ces deux phénomènes qui se combinent : l'anorexie et un état mental spécial. Ce qui fait l'intérêt de cette forme nou
l'appétit n'est pas revenu, même si les malades s'alimentent. L'état mental est caractérisé par de l'apathie intellectuelle,
, dans les asiles, des aliénés transférés de la prison et dont l'état mental avait été méconnu au moment de leur condamnation.
grants délits. Ces condamnations ne seraient pas prononcées si l'état mental dc l'aliéné était reconnu à temps, et le malade s
le vœu que la flétrissure imméritée subie par les aliénés dont l'état mental a été méconnu au moment dc la condamnation, soit
iaux où l'on se gardera de leur rien enseigner qui exige une activité mentale un peu forte. Les médecins en Allemagne. Au c
l'ima gination sont réfractaires à la suggestion. Aussi les maladie: mentales , la mélancolie, le délire de persécution, etc., s
observe les phénomènes de transmission de la pensée et de suggestion mentale . Le plus élémentaire de ces phénomènes est celui
e mes doigts dans l'air. J'ai parlé tout à l'heure de la suggestion mentale ; voici les expériences que j'ai faites dans ce se
sont en contact avec lui en provoquant chez celles-ci des suggestions mentales qui peuvent, dans certains cas, provoquer de véri
ne dégénérée, mais sa dégénérescence est plus marquée au point de vue mental qu'au point de vue physique, bien qu'elle soit ar
formes dans les affaires humaines. Il est certain que notre dynamisme mental est considérablement modifié par l'influence de t
ar l'omniprésence du rituel a si profondément modifié la constitution mentale des peuples de l'Inde, qu'on ne saurait prévoir l
endredis et mardis suivants, à la même heure. Clinique des maladies mentales et des maladies de l'encéphale. — M. le professeu
M. le professeur Joffroy a commencé le cours de clinique des maladies mentales le samedi 9 novembre 1895, à 9 heures et demie du
rte, — de la distinction du vice et de la maladie ou de la difformité mentales , ainsi que des compétences respectives à fixer et
je ne sais, je ne puis « dire ce qui se passe en moi ! » Le trouble mental ainsi décrit pourrait être la conséquence d'un tr
éance peut-être. Et aurait-on affaire ici au contraire à un trouble mental symp-tomatique d'une lésion somatique, la suggest
tement le sujet à la fois au point de vue physique et au point de vue mental . Il faut qu'il ignore la nature des expériences q
athologique. Psychothérapie, suggestions thérapeutiques, suggestion mentale , télépathie, transfert psychique, statistique int
sie. On lui doit la création de la clinique des maladies nerveuses et mentales , d'un musée neurologique, auquel la Faculté de Mo
ecueil de travaux sur les maladies du système nerveux et les maladies mentales . En 1894, au 15me anniversaire de sa carrière de
», p. 416 et suivantes. J.-B. Baillière ; — et « Traité de Pathologie mentale ., » ; « De l'état de sommeil des appareils cérébe
des multiples du nombre des doigts en question. Cela accuse un calcul mental fait pendant le sommeil. J'ajouterai que dans le
ées et musculaires des doigts disparaissent, supprimées par le calcul mental . Pour toutes ces sortes de rêves musculaires il
le plus minutieux n'a pu faire découvrir chez lui aucune défectuosité mentale . Il n'y avait qu'un petit affaiblissement de la m
dans le lever trop matinal un des facteurs importants de l'aliénation mentale . Voici ses arguments. Il signale la fréquence r
en plein air, l'exercice, l'absence de toute excitation ou surmenage mental , la rareté de l'alcoo- lisme et de la syphili
n repos suffisant, est la vraie cause de la fréquence de l'aliénation mentale parmi les agriculteurs. C'est surtout au moment d
ulièrement ce nouveau moyen de prévenir le développement des troubles mentaux . La sieste et la digestion. Une petite sieste
M. W. Bechterew, professeur et directeur de la Clinique des maladies mentales et nerveuses à Saint-Pétersbourg. Elle contiend
e) à partir du 5 décembre. M. Jules Voisin. Leçons sur les maladies mentales , les jeudis, à dix heures du matin. Hôpital Sai
érencieusement si le rédacteur en chef n'est pas atteint d'aliénation mentale . —— Le Comité directeur du Congrès internationa
ris unanimement dans le même sens. Concluons clone qu'un certain état mental du malade l'a débarrassé presque brusquement d:un
t volé à sa place. » Au bout de quelques séances de cette gymnastique mentale exécutée sous l'influence de la suggestion, l'enf
tés et de la langue, parésie qui fait des progrès constants. Son état mental tend rapidement vers la démence finale. La troi
} à partir du 5 décembre. M.Jules Voisin. Leçons sur les maladies mentales , les Jeudis, à dix heures du matin. Hôpital de
es maladies nerveuses, les samedis à 10 heures. Congrès de médecine mentale et nerveuse. — Le septième Congrès annuel des méd
Le programme comprendra : 1° Questions à discuter : Pathologie mentale . — Pathogénie et physiologie pathologique de l'ha
oxtpaluer. Sur le traitement par la médication hypnotique de l'état mental , des obsessions et des idées fixes des hystérique
n effet un grand nombre de médecins qui, dans ces cas de perturbation mentale , ne songeront pas à employer le traitement hypnot
connue. Et pourtant aucune autre médication ne peut agir sur cet état mental , d'une façon aussi rapide et aussi assurée pour l
tait évident qu'il avait exercé une influence considérable sur l'état mental de M°"B. ; quelle était la naturede celte influen
arrivai ensuite à des suggestions appropriées à la guérison de l'état mental de ma cliente. Je lui suggérai dans ce but d'être
la même façon à chaque séance, et au bout de quatre séances, son état mental était totalement changé, elle n'avait plus aucune
nfluence salutaire que peut avoir le traitement hypnotique sur l'état mental de ces sujets et vous montre qu'il ne faut pas hé
Beaucoup de cérébrasthéniques craignent d'être frappés d'aliénation mentale et ces idées nosophobiques en poussent même quelq
s en poussent même quelques-uns au suicide sans motif. Car un trouble mental permanent, tel que l'entendent les profanes, ne p
On ne devrait jamais perdre de vue ce fait acquis qu'une aliénation mentale venue brusquement, sans fièvre, sans être précédé
ulsives. — Le traitement psychothérapique de l'hystérie. — L'hystérie mentale . Mardi Î2 Mai. — Les névroses par épuisement ne
HYPNOTHÉRAPIE i1) Par le D' E. Réois, Chargé du Cours des maladies mentales à la Faculté de Médecine. Le sujet que je désir
les actes morbides de notre sujet. (I) H. Colin : Essai sur l'état mental des hystériques, th. de Paris, 1890. (?) Ballet :
lus grande encore dans les maladies, en particulier dans les maladies mentales et nerveuses. Pour ce qui est de l'hystérie, leur
x, 1895. (5) Pierre Janet : Revue de l'Hypnotisme, juin 1895.— Etat mental des hystériques.: tes stigmates mentaux, Biblioth
l'Hypnotisme, juin 1895.— Etat mental des hystériques.: tes stigmates mentaux , Biblioth. Charcot-Debove, IS92. — L'automatisme
n ensemble la délicate question de l'hypno-thérapie dans les maladies mentales . Je ne puis cependant m'empêcherde rappeler que l
caces d'ailleurs, auxquels on ait recours d'habitude quand le trouble mental ne saurait comporter, comme ici, l'internement.
tants. Cette maladie a duré trois semaines. Amélioration de l'état mental pendant la fièvre, mais la maladie a laissé un tr
kleptomanie est un symptôme qui s'observe dans une foule de maladies mentales , mais dans chacune le vol présente des caractères
thésie à la piqûre et l'amnésie au réveil. Deux jours après, son état mental était très favorablement modifié. 11 déclarait sp
étal profond de l'hypnose ; 2" par la rapidité avec laquelle un état mental grave a été modifié favorablement par la suggesti
M. Masoin sont adoptées. PSYCHOLOGIE COMPARÉE Sur les affections mentales chez les animaux Par M. Cadiot. Les troubles
traits à l'action des causes qui engendrent chez l'homme le surmenage mental et la plupart des psychoses ; d'autre part, en
omme aux animaux, le Dr Féré insiste sur ce point que si les maladies mentales sont moins fréquentes chez les animaux, « c'est q
(3), les Aberrations sexuelles [*) sont les plus connues des troubles mentaux observés chez les sujets des diverses espèces dom
s les jeudis, à 10 heures (section Rambuleau), leçons sur les malades mentales et nerveuses. — Plusieurs des leçons sont consacr
l'esprit, et est appelé à devenir un moyen très efficace d'éducation mentale et de redressement moral. A tous ces titres, l'
hibitoire sur les attaques d'épilepsie. par Tissié, 129. Affections mentales chez les animaux (sur les), par Cadiot, 363. Al
lumière des éclairs (simulation d'), par de Beauvais, 330. Anorexie mentale , par Paul Sollier, 85. Aphonie hystérique (un c
Médecins en Allemagne (les), 94. Médication hypnotique de l'état mental , des obsessions et des idées fixes des hystérique
66 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES fiêlieltirei chef : Docteur Edgar
it prononcé. Quelquefois la malade présentait une véritable confusion mentale . Elle ne comprenait pas la question qu'on lui pos
ents étaient bien portants et je ne trouve aucune maladie nerveuse ou mentale à relever dans la famille. Je conseillai ù cett
parfois toute nourriture, tombe peu à peu dans une grande dépression mentale touchant à la mélancolie. Une brusque hémorragie
nfants, et les générations qui les suivront restent dans le même état mental ? Trouvons-nous, au contraire, que celte organisat
ent être adressés. Les cas de ce genre sont bien connus en médecine mentale ; ils ont été décrits sous le nom de folie morale
HÉRAPEUTIQUE 16e Année — N° 3. Septembre 1901 Des représentations mentales et des hallucinations visuelles et auditives post
l'image et les paroles du docteur qui les soigne. Ces représentations mentales suffisent souvent pour faire disparaître leurs cr
tement psychothérapique, la reviviscence suggérée des représentations mentales . Ce procédé est employé systématiquement par plus
de mer, agoraphobie, onanisme, timidité.etc...). La représentation mentale des suggestions faites antérieurement dans le som
nt aliénée*. Mais le législateur ne croit pas beaucoup à l'aliénation mentale des personnes non interdites et non séquestrées d
ploi de ces moyens de coercition augmente la disposition des troubles mentaux à passer à l'état chronique. L'emploi de moyens
joue le rôle prépondérant dans la guérison de l'onanisme et des états mentaux qui s'y rattachent. La durée du traitement vari
p. 193). M. Renouvier avait étudié ce fait et l'avait défini, vertige mental . Les doigls sont boudinés, très gros, la mala
migraine, la névropathie, les névralgies, l'hystérie et l'instabilité mentale . Enfin, ces nouveaux faits contribuent à établi
imple curiosité, soit enfin de pédagogie, d'éducation ou d'orthopédie mentale . Il appartenait au législateur de prévoir les con
gnétiseur lui ordonne d'accomplir, au risque de compromettre sa santé mentale ou physique, l'hypnotisé des représentations publ
-lundi 16 Juillet 1901. — Présidence de M. Jules Voisix. Orthopédie mentale et morale. La suggestion pédagogique dans le so
a pédagogie suggestive dans le domaine de la pratique et l'orthopédie mentale et morale est ainsi devenue une science positive
lles. Et cependant toutes ces choses et toutes les cures d'orthopédie mentale et morale sont de celles qui font le plus d'honne
tif au double point de vue du redressement, de l'orthopédie morale et mentale et du développement des aptitudes. Non seulement
itophobie. Les causes de cette grave complication de l'aliénation mentale sont multiples; mais le plus souvent c'est d'un é
t 1834. Doublement héréditaire du côté des collatéraux, (aliénation mentale et crime), atteint de délire hypocondriaque et d'
sinon la guérison totale, au moins une amélioration notable de l'état mental . Mais lorsque la maladie dure depuis quelque temp
us que beaucoup de maladies, la tuberculose pulmonaire modifie l'étal mental . Aussi, chez Marguerite d'Angennes, qui, à ce qu'
fréquemment observés chez ces malades; pour diminuer leur instabilité mentale et favoriser leur sommeil nocturne. 3e Temps. —
toute pensée, pour être produite doit avoir d'abord sa représentation mentale dans le cerveau. » Conclusion. — Il faut provoq
Conclusion. — Il faut provoquer dans notre cerveau la représentation mentale de l'idée, de la pensée, de Pacte que nous voulon
nes idées. » Il y a deux manières de développer la représentation mentale dans notre cerveau : 1° La méditation. 2° L'aut
un sujet et nous le développons dans notre pensée. La représentation mentale se développe par ce travail de méditation, d'une
ion. C'est-à-dire, à fixer en soi, en son cerveau la représentation mentale de l'acte que l'on veut accomplir, acte, idée ou
idées. • Loi. — Toute impression perçue est cause de représentation mentale . Par conséquent, comme première condition, il f
se plonger dans l'abstraction. Pour une fois que la représentation mentale « Ecrire, avoir de bonnes idées » aura été provoq
ra : « Ecrire une bonne idée. » Pour dix fois que la représentation mentale aura été provoquée, ce qui équivaut à dix représe
ion mentale aura été provoquée, ce qui équivaut à dix représentations mentales : « Ecrire, avoir de bonnes idées j>, l'acte o
tre écrite,et.chaque fois une idée différente. Si la représentation mentale : Ecrire et avoir de bonnes idées » est provoquée
e. En pratique, il faut solliciter plusieurs fois la représentation mentale : « Ecrire, avoir de bonnes idées », pour arriver
e. Chaque idée qui se présente naturellement forme une représentation mentale distincte. — Autant d'idées, autant de représenta
tation mentale distincte. — Autant d'idées, autant de représentations mentales différentes. 2° L'auto-suggestion. — Avec l'aut
nné au cerveau : o Ecrire, auoir de bonnes idées ». La représentation mentale : « Ecrire, a.voir de bonnes idées », se développe
l'autosuggestion : Méditation. — Mille idées, mille représentations mentales . Auto-suggestion. — Une idée, mille représentat
ations mentales. Auto-suggestion. — Une idée, mille représentations mentales . C'est-à-dire, pour la méditation, mille idées
éditation, mille idées différentes donnent chacune une représentation mentale , ce qui donne pour l'ensemble de la méditation, m
ce qui donne pour l'ensemble de la méditation, mille représentations mentales différentes. Pour l'auto-suggestion, une seule
l'auto-suggestion, une seule idée donne lieu à mille représentations mentales de celte idée par le travail particulier de l'aut
a méditation. Cette idée mille fois fixée par mille représentations mentales accumule la puissance utile pour produire l'acte,
autosuggestion de même genre peut se produire dans certaines maladies mentales . J'en citerai un exemple dont je possède l'observ
res. Le rôle du rêve dans les psychopathies, puis dans l'aliénation mentale est longuement étudié : on a dans les rêves un si
tudié : on a dans les rêves un signe précurseur fréquent des maladies mentales , au moment de leur période d'incubation, parfois
re. — Le cours de M. le Dr Jules Voisin sur les maladies nerveuses et mentales aura lieu de décembre à mai, les jeudis à 10 heur
ns ? On peut dire que ces divers troubles sont purement fonctionnels, mentaux , qu'ils sont susceptibles d'être provoqués par de
ne retentissent pas gravement sur la nutrition générale et sur l'état mental des malades qui en sont atteints. Mais est-on e
! existe, en effet, bien d'autres affections qui sont fonctionnelles, mentales . L'hystérie n'est pas seule susceptible d'être pr
ions morales peuvent exercer une influence sur la genèse des troubles mentaux indépendants de l'hystérie, elles sont même capab
ne retentissent pas gravement sur la nutrition générale et sur l'état mental des malades ; la neurasthénie peut durer des anné
int de vue nosographique, car, parmi les affections névropathiques et mentales , il n'y en a pas une autre de laquelle on puisse
st même en droit de dire que l'hystérie ainsi définie est l'affection mentale qu'il importe le plus au point de vue du traiteme
z une personne intelligente. Le rapprochement qu'il fait entre l'état mental de la malade et celui d'une dipsomane est exact.
mer l'irritabilité des cellules nerveuses, d'équilibrer les fonctions mentales , d'utiliser ou d'économiser l'énergie potentielle
et la mettre à tel doigt de telle autre personne, etc., etc. L'ordre mental ne doit pas être collectif. Un assistant, désigné
eule parole, sa pensée, nous dit-on, sera lue par le sujet et l'ordre mental sera effectué fidèlement. En dehors de la prése
rès légitime satisfaction ; quelques adeptes résolus de la suggestion mentale triomphent ouvertement. Quant à nous, bien réso
nous les jugeons. * Tout d'abord, nous disons-nous, la suggestion mentale proprement dite, si elle existe, implique l'absen
conducteur et du sujet. S'il s'agissait véritablement de suggestion mentale , l'expérience, pour être concluante, devrait, ent
er cette loi qu'à tout état psychologique (c'est-à-dire intellectuel, mental , moral) est associé un éta physiologique (secréto
à dire ? Ce n'est pas que notre pendule a docilement obéi à un ordre mental pur; nos muscles digitaux ont présenté des contra
e, arréte-toi, etc. ». Si toute sa pensée se concentre sur les ordres mentaux qu'il formule en lui-même, si son attention est e
e accomplir, il ignore si ses muscles n'accompagnent point ses ordres mentaux de tressaillements correspondants ; il ne s'en pr
st persuadé, de la meilleure foi du monde, qu'il ne donne qu'un ordre mental , alors qu'en réalité il donne aussi et surtout un
sonne désignée, il n'accomplit pas d'emblée, sans hésitation, l'ordre mental , et il serait tout naturel qu'il le fit, s'il lis
formel, parce que, dans l'espèce, il ne s'agit pas plus de suggestion mentale que de lecture de pensée. C'est ainsi que notre
é jusqu'alors chez ses conducteurs habituels, — sauf de la suggestion mentale . Je veux mentalement, de toute la force de mon vo
es de conducteurs. Les uns ont une volonté molle, leur représentation mentale du mouvement est faible ; ils n'ordonnent pas
n devait dissocier et distinguer deux facteurs à savoir la suggestion mentale pure, d'une part, les mouvements musculaires de l
même. Celle-ci peut être réconfortant ou déprimante. Des impressions mentales réconfortantes ont amélioré la santé générale de
ois, époques fixées. Dans le troisième cas, elle parut par suggestion mentale à l'insu de la conscience supraliminale du sujet.
si étant donné ce qu'a présenté cette femme depuis deux ans, son état mental et son hyperesthésie psychique actuelle, je ne su
et dans sa thèse de doctorat en médecine expose magistralement Y Etat mental des hystériques. Directeur du Laboratoire de ps
ion constitue le fond de toute la pédagogie ainsi que de l'orthopédie mentale . 5. Contrairement à l'opinion courante, les ind
ues, à la fois sensitifs et vaso-moteurs, avec modification de l'état mental . Toutes les fois que, pour une cause ou pour une
nts. Alors on ne verra plus d'accidents nerveux touchant l'aliénation mentale , après des pratiques d'hypnotisme mal dirigées ;
la façon dont on concevait et dont on conçoit maintenant les maladies mentales et nerveuses. Dans les ténèbres du moyen âge, écl
e de la superstition religieuse, expliquait les maladies nerveuses et mentales par l'influence diabolique, et soignait les fous
somnambulisme hystérique. - Douleurs oculaires résultant d'un trouble mental pur (M. Par M. le Professeur Raymond. » La
s. Elle ne présente aucun stigmate d'hystérie ; elle n'a pas l'état mental de l'hystérie ; on l'a endormie jadis, mais l'hys
lie sur un terrain nerveux, c'est de la psychaslhénie, un pur trouble mental ; c'est une question de transformation de la perso
on lui a enlevé son utérus ; j'ai connu un homme de 30 ans, avec état mental semblable au sien et à qui on u coupé successivem
Un fait qui nous a souvent frappé lorsque nous avons étudié l'état mental des buveurs d'habitude, c'est que dans la grande
résente que de l'agitation stérile, sans but déterminé; la rumination mentale et l'angoisse font appel au trouble moteur automa
éjà prévu et énuméré toutes les diverses applications de l'orthopédie mentale . • » La doctrine transformiste se compose de
chien (Un cas de), p. 31. Douleurs oculaires résultant d'un trouble mental pur, par Raymond, p. 343. Eclampsie (Suggestion
n hypnotique d'un), par Bérillon et Watteau. p. 49. Représentations mentale et des hallucinations visuelles et auditives post
67 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
DE NEUROLOGIE ' REVUE TRIMESTRIELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-M. CHARCOT
s années avant J. Hunter le fait de l'influence des représentations mentales , sur les actes de la vie organique ou de relati
8). TuKE (H.). Dletalloscopj aazd expectant attention. (Journ. of mental science, 1879). Influence of the mind on the body
ou sur les mouvements de clignement. CH. FkR. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. Contribution A L'ÉTUDE DE la folie A deux; p
s DE contagion DES illusions ; par GEO.-H. SAVAGE. (Ilte journal of mental science, n° de janvier 1881, p. 563.) Le plus h
, et dont elle se déclare la fiancée. 9 130 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . Telle est dans ce cas la folie génératrice ; l
e la sorte. M. Lunier rapporte l'observation d'un malade sur l'état mental duquel il a eu à se prononcer, trois mois après
épétition d'un même acte dans les mêmes lieux conclure à un trouble mental intermittent ? Cet homme n'avait nullement beso
e la part que doivent avoir les dégé- nérescences dans l'aliénation mentale , l'orateur fait justement observer que si elles
re une communication du Dr. SAVAGE sur la nomenclature des maladies mentales : l'ora- teuraété chargé,deconcertaveeM.BucKNiL
peu correcte et peu complète ; c'est ainsi que les seules maladies mentales qui y soient mentionnées sont la manie, la méla
rs, de déterminer les causes parfois très complexes de l'aliénation mentale , et sur les voies et moyens, d'ordre surtout ad
ale et discute la place qu'ils doivent occuper dans la pathologie mentale . Un historique développé fait ressortir à la fo
de celui qui bondit) est une sorte de maladie nerveuse psychique ou mentale , d'ordre fonctionnel. L'affection qui s'en rap
L'affection qui s'en rapproche le plus n'est autre que l'hystérie mentale appelée de nos jours «hystérie desservantes», et
ait avoir existé à l'état épidémique au Moyen Age. Comme l'hystérie mentale ou psychique, le « jumping » ne survient pas chez
rme névrosthésique ou anémique ((p/M/StM/M/s<6)'M)), et la forme mentale ou psychique, « psychicul hysteria », peuvent s
action des métaux et de l'aimant, relèvent bien plutôt d'affections mentales que de maladies physiques. VARIA. 1 49 Au res
e d'exécuter. D'autre part, les phénomènes observés dans l'hystérie mentale , chez les convulsionnaires ou chez les « saints
usqu'au point de développer le « jumping », qui, soit par contagion mentale , soit par hérédité, se serait établi à l'état d
onsidérant que l'article 9, § 3, du règlement de la caisse départe- mentale des retraites de l'Orne reconnaît un droit à obte
argé du service de la clinique, comme chef de clinique des maladies mentales . Asile DE VAUCLUSE. M. le Dr BOUDRIE, médecin-a
de la rédaction, viennent de fonder un nouveau journal de maladies mentales et, nerveuses. Ce journal parait par cahiers tr
sur les phrénopathies ou traité théorique et pratique des maladies mentales . Vol. in-8" de 546 pages; avec 54 figures inter
e Neurologie. Luis (J.).T'ra ! /e clinique el pratique des maladies mentales . Vol. in-8" de 692 pages, avec 27 figures inter
i et Tamburini ont étudié la question tant au point de vue expert mental que sous le rapport de l'anatomie pathologique. C
e cette dernière forme d'aphasie, tout en ayant conservé la lecture mentale , tout en comprenant ce qu'ils lisent, ce dont i
ques qui perdent en même temps la parole, l'écriture et la lecture ( mentale ). Ainsi comprise, la cécité des mots devient un
matologie, tant au point de vue de l'épilepsie qu'à celui de l'état mental , des, causes de la mort, de la nécroscopie, et
s; au cinquième mois après l'attaque, elle parle couramment; L'état mental est', satisfaisante sauf, une^extrême facilité
S SES RAPPORTS AVEC LES MALA- ' ? ufc.iju ? eo.. ein.l. 01 , dies mentales ; par J. Grichton-drowne. (Ihe journal 0/ psych
par J. Grichton-drowne. (Ihe journal 0/ psycholoqical medicine and mental patholoqy. New séries, ? vol Vi, pârt 2,`p; 169).
proprement dits ; le moyen, les sujets 262 REVUE' DE ' PATHOLOGIE -- MENTALE . que l'on appelle' communément excentriques} ta
Vj INFLUENCE DES maladies' aiguës SUR la genèse DES maladies - I II MENTALES ; ;' par' le Dr 1 Emile KRAPELIN. (A ? Cltl*V. f.
du,sang lsurchargéJ t dyiréé; 9çôn- 264-Ç, £ REVUE.- DE PATHOLOGIE MENTALE . ! .1 courent au même,résultat : ajoutons-y les
répétition des accès semble, pour, ! 40 p.100; REVUE 'DE PATHOLOGIE MENTALE ? 265" des faits,' exercer la'plus forte influe
i r emu ? bt ? j) ? ht ? e.1.141 ? il 1 teta)o6o;crainte)un trouble mental qui aune grandeanalogieavec u et epoboç crainte
mental qui aune grandeanalogieavec u et epoboç crainte) un trouble mental qui aune grande analogie avec Z1'afiection,,étû
.la,crainte de;toucher certains objets,' le REVUE%DE,L PATHOLOGIE,- MENTALE . 267 besoin delse,laver.les- mains;lsont.seulem
cune tendance au développement. d'un type plus grave de dérangement mental . L'intelligence n'est nullement affaiblie et le
nxiété p : f .IfTY'·.11. aiuoaomAn aa ')a 268 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . t. jJ'. L, il . rm' yl· r, , £ » -il Bjff.pt =
) ; la troisième comprend 189 cas ( ! '2 hommes REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 269 - 147 Xi et 97 femmes) dans lesquels les
o31noign>iJiu . ? jin-niii°l.f-'i' . 270' REVUEI : DÉ PATHOLOGIE MENTALE ? cence graisseuse de' la névroglie, 1 dés cell
ité augmente' ; elle'est rarement albumineuse. REVUE, DE PATHOLOGIE MENTALE . 271^ quelle ;que,soit sa nature,, est rarement
1 X*-T1A t .rl tnm·r r -r .r., -r , ra'1 ', 272 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . yi 9h .-f.inn ? n *.j ? ) ? Ji'Ti ? 7 ? T ? t"
InD talc 4 opposée (anode )i ? le 1 Inalader recou- vra l lel calme mental et physique pour la plus, grandei partie des jo
n aiguë de la folie'systématique"en pro- St h REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 273 ...m. zu .txzm,turtny nu ; 1 ·,1. ! 1^ vi;
au >...ijj-mv ;l ii»n11>»au,.\j 18 274 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . croît et décroît avec les exacerbation psychiq
t;,> ? , , .1111 UIJ . >ij\.i rechercher en d'autres maladies mentales ou névroses capables d'engendrer'comme ici des
IJO.IUH'IA9 3u 3J1331 -fVi. . a-, &1 517 , REVUE .DE.PATHOLOGIE^ MENTALE . SIO'I : lyb J9 7n Î5 lI011Oii91 £ 1 in . eji-j
à cet-effort sur lui- même qu'il attribue la-persistance dé là vie mentale et sa guéri- son ? au' moyen1' d'occupations 'i
tioris''ne sont'jamais 1 expression dune suractivité de Jart sphère mentale ; elles proviennent au con- traire de l'épuisem
, à l'aliénation caractéristique. Leprin- 278' REVUE 'DE PATHOLOGIE MENTALE . ! cipe actif,. amorphe,' solubkf dans l'eau-,
livres. 9° L'épilepsie, quand, elle , entrainedes, manifestations,, mentales , (épilepsie psychique), produit( une déperditio
eH<aJxe ! 6Hce, janyiel881, p. 520) ? 1) -i-'q p^iti* journal of mental sczeŸZCe, janvierf,1881, p. 520) ? i.q afrrrnDr
la, différence reste, capitale, puisque, dans^ un cas, -J'équilibre mental subsiste, tandis que dans l'autre, il est détruit
iations bizarres et imprévues d idées. 282. REVUE --DE' PATHOLOGIE, MENTALE . ! rLes enfants associent, volontiers desjidées
QUE ET · L'ALC00L ; i par ,9 ! F»PRITCHARD Daviers. (The journal of mental science,^ janvier. - '11881,-P.; 526.)-til;ff,
e qu'il dirige,-] celui du- comte dee Kent; REVUE '-DE' PATHOLOGIE. MENTALES 283- l'auteur, a'complètémeilt rerioncé à i 1 e
par EDWINIWO'OTON.1 J - : (The journahof psychological medicine and mental patlaologd > ..Nèvv.seriés,.vol : JVI;part :
e temps-; que séJréalisent7ces) deuxfcohdi- 284 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . tions, il se produit une spécialisation des pr
'être exposés les médecins voués' au' traite-13' nient des maladies mentales ^Personne .n'hésite ! airendre hommage'au " cou
, au meilleur travail imprimé ou manuscrit sur un sujet de médecine mentale . - 'Les ouvrages imprimés ne devront pas avoir
Br. M. Kir(N fait une communication concernant les perturbations mentales observées dans les établissements pénitenciers '.
manies périodiques, quatre agitations dans des cas de perturbation mentale chronique- et secondaire, une mélancolie avec a
aire, croire à une guérison. f t < v E I , V. Étude sur l'état mental et les troubles psychiques des cardiaques ; bno
tuel va parfois jusqu'à se l'approcher de la démence sébile. L'état mental et moral des, .aortiques pourrait dégénérer en vé
292. Capsule interne, par Bitot, 1. Cardiaques (étude sur l'état mental et les troubles psychiques des), par d'Astros
? i -, ;i. 1.n417 Education dans ses , rapports avec les maladies mentales ," 201. -ri .Electroderlpourls les applications
'6-ard des), 291. 'Etablissements pénitenciers (per- turbations mentales , observées 2ddans les),rl292. ' -i -'u'I I r
ar Vierordt, 124. il Mensonges chez les , hystériques, 133. - 1 Mentale (psychologie), 261., n Métalloscopie, par Vigou
ique, 155. 1 , '" ttj -Pseudo-monomanie, 131. tu '.Psychologie ( mentale ), 961., ,il 1- 11 . , IL . n i f, Réflexes, p
68 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ARCHIVES DE " NEUROLOGIE REVUE ' DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-111. CHARCOT
s dans des cas analogues ren- dant nécessaire l'examen des facultés mentales . M. S... jouit d'une intelligence très suffisam
e avait deux soeurs qui présen- tèrent à un âge avancé des troubles mentaux , de même que son fils, le grand-père de Thomsen
e étroite entre la raideur musculaire chez les uns et des- troubles mentaux chez les autres; enfin, l'influence psychique s
sujet u'a jamais eu de vertige spontané. (il suivre.) PATHOLOGIE MENTALE RECHERCHES CLINIQUES SUR LA FOLIE AVEC CONSCIEN
ffectifs de cette femme sont restés intacts ; elle le lb PATHOLOGIE MENTALE . adorait ses enfants et même son mari, malgré s
milieu du chemin sa compagne toute interdite de sa ')6 V PATHOLOGIE MENTALE . brusque disparition. Cette pauvre femme nous r
e guéri, s'est-elle noyée ? Je l'ignore. S'il y a des aliénations mentales qui n'existent pas en dehors de la conscience,
urité, qu'éteinte aujourd'hui, elle semblera renaître 48 PATHOLOGIE MENTALE . demain, pour disparaître et reparaître encore
Ne faut-il pas plus de vigueur au ARCHIVES, t. V. 4 50 PATHOLOGIE MENTALE . soldat blessé qui continue de combattre qu'à c
ieu de discuter les rapports qui peuvent exister entre l'aliénation mentale et la criminalité ; c'est une question qui ne p
Salpêtrière, n'avaient rien présenté de particulier dans leur état mental . Un seul autre exemple de cette anomalie, a été
de débiles, d'irréguliers, entrant dans le;domaine de l'aliénation mentale par la porte de la folie inorale et présentant
M. Motet propose démettre à l'ordre du jour de la Société, l'état mental des enfants et s'engage à développer lui-même plu
ments d'instruction. S'appuyant sur trois observations d'aliénation mentale développée chez de jeunes sujets au cours de le
rateur fait remarquer l'in- iluence extrêmement nocive sur la santé mentale des travaux que les élèves emportent à faire ch
es moyens capables d'assurer le renforcement véritable des facultés mentales : or il s'agit moins d'obtenir des résultats de c
primordialement d'hérédité. Quant au nervosisme et à la dépression mentale qui succèdent à l'exagération de travail intell
privés; ils sont exclusivement consacrés au traitement des maladies mentales . AM. 2. Les établissements publics comprennent
ux aliénés, ne pourront recevoir une personne atteinte d'aliénation mentale , s'il ne leur est remis : 1 une demande d'admis
ou deux rapports distincts au procureur de la République sur l'état mental de la personne à placer. Ces rapports seront ci
de consigner sur ce registre les change- ments survenus dans l'état mental de chaque malade, au moins chaque semaine penda
Néanmoins, si le médecin de l'établissement est d'avis que l'état mental du malade pourrait compromettre l'ordre ou la déc
et la résidence des personnes qui auront retiré le malade, son état mental au moment de la sortie, et, autant que possible
s dont le placement aura été volontaire et dans le cas où leur état mental pourrait compromettre l'ordre public, la sûreté
aires que le temps nécessaire pour constater leur état d'aliénation mentale et pourvoir à leur transfèrement dans l'asile d
qu'elle l'aura considéré comme irresponsable par suite de son état mental ; 2° Tout inculpé poursuivi pour délit qui aura
ordonnance de non-lieu comme irrespon- sable, à raison de son état mental . Si la sortie d'un de ces internés est demandée
és pres- crites par l'article 15, les aliénés indigents dont l'état mental ne compromettrait pas l'ordre public, la sûreté
ur le Chloral, propriétés et application au traitement des maladies mentales . Nominations. M. le Dr Briand est nommé médecin
sujet, déjà porteur de lésions avancées, a d'abord présenté l'état mental qu'on observe fré- quemment chez les individus
à se jeter par la fenêtre. Dans plusieurs observations, aliénation mentale avec hallucinations de la vue et de l'ouïe ; tant
eut être expliquée par l'hypothèse vaso-motrice ; 4° Les troubles mentaux les plus accusés, tels que l'aliénation survena
omplète ou partielle de la connaissance, à la suite de perturbation mentale épileptique sous forme d'accès. Des vertiges
l a également très souventohservé la syphilis précédant l'affection mentale . 11 croit être en mesured'affirmerque l'infection
ücl : . Pendant l'été de 1881, un journalier, frappé d'aliéna- tion mentale , entend une voix qui lui ordonne de tuer le premi
parti- culier au point de vue de l'évolution de certaines maladies mentales ; par Rabec Thèse de Paris, 1881. Etude clini
nations. M. le Dr Vallon chef de clinique de la chaire des maladies mentales à la Faculté de Paris, est nommé médecin adjoin
l ? H ? î,i,,n1".Mi iVllôil- t CTUII3AULT ? ,, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. DES maladies DES reins considérées comme cau
E I. DES maladies DES reins considérées comme causes d'aliénation mentale ; par le professeur HAGEN (d'Erlan- gen). (fllly
e cette étude il se dégage que, de même que 360 REVUE DE pathologie mentale . les manifestations comateuses et convulsives c
tifs de ces affections. Un premier degré de l'apathie, de l'anxiété mentale passe souvent inaperçu, l'équilibre, physiologi
tiellement aux altérations.' Or ? bihnf que 362 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . celles-ci occupassent toute la région dorsale
e génératrice excessive produira un garçon pos- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 363 sédant les qualités transmissibles de sa n
lectuels, présente sur les fesses des cica- 364 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . triée ? syphilitiques spécifiques. Sans être l
n homme de cinquante ans, entaché d'hérédité et REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 365 sujet à des excès alcooliques et vénériens
s; il n'est point encore pubère'... · - » . 366 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . il. Ici, c'est d'une fille de treize ans qu'il
tat général est celui d'une chlorotiquc. L'évolution de l'affection mentale n'est pas encore terminée. ,111. Ce dernier fai
is de maladie. Les renseignements postérieurs ont appris que l'état mental était redevenu normal bien que la fillette conser
ovoquée; l'autre se manifeste spontanément chez REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 367 des sujets jusqu'alors bien portants. C'es
stituer à l'hypnotisme spontané une autonomie z REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . qui le distingue et de 1 hypnotisme artificiel
rt »"> <>'>n'i- t t / 1 . a'·Innr REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 369 bourrelet et le tapetum. Rien d'anormal au
spéciaux. Tels les épileptiques passagèrement atteints d'aliénation mentale , ou qui, à raison d'accès répétés, sont inca- p
au contraire, subi une Archives, t. V. 24 370 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . atteinte plus ou moins profonde dans l'aphasie
erait tous les degrés intermédiaires à la diminution de la tonicité mentale et à l'affaiblissement intellectuel proprement di
* Archives de Neurologie, ti' 111, p. 236. ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 371 de la démarche. M. Westphal ajoute : « L'e
nalysés lui aitirévélé de relation étiologique entre l'aliéna- tion mentale et les maladies, des. organes sexuels en question
conséquence, sans nier l'influence de la vie sexuelle sur la santé mentale , M. Ripping est d'avis que la psychose coïncident
affecz , ? -Tl ? 11.» ? I < I î | ' " 372 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE ! tion génitale, succédât-elle à la; puerperaHt
ment des maladies des femmes, exercent une action nocive sur l'état mental .des aliénées, même quand-ils n'engendrent pas '
t. >H''Wi- -ni" i «op is'i" mn t41('1 nliml REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 373 iVII : ' IALFOR\fATION PARTICUI,1LRE du ce
insi que d'une myélite de fraîche date par- 374 REVUE DE pathologie mentale . ticulièrement localisée à la périphérie des co
nre à l'établissement pénitencier de Friliourb; revue DE pathologie mentale . 375 la cause de leurs délits résiderait, pour
ces pathologiques et'les autres manifestations de la dégénérescence mentale ; 4° Le résultat de cet examen décidera de l'ét
opathiquo particulier de , l'inculpé ou, du diagnostic ; aliénation mentale . Il faudrait conclure dans le premier cas à l'i
tal (Archives de Neurologie, t.111, p. 53). 376 REVUE/DE PATHOLOGIE MENTALE ; de l'inversion., des attractions) sexuelles i
iJ,tl ? 211(l : l t" lIUliltJ(11111 'JJ' 1,0. REVUE '-DE PATHOLOGIE MENTALE ? 377- blesse irritablelduSVStèlllessnerveux ca
e'l'insui'ûsancefdes' relations seuelles,ordinaires,=cluand·l'étatl mental 'les* permet) (Obs.' III). L'anzlyse,clinirlue
'»«p,-» ? tat'oif de vides intellectuels' et éthiques dans I, état, mental ? ...'.PV v W , yiii ? 11 .a·,·y J41111 , b - ? a
sion ne constitue ni une immoralité, ni une 378 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . passion, mais un instinct naturel, un besoin o
1 Archives de Neurologie, t. Il[, p. 9,1 ? i / REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 379 délire aigu relevant de la paralysie génér
e vue hygiénique que pour hâter par sa suppression la convalescence mentale . Le traite- ment'moral et l'éducation des habit
les Archives de Neurologie, 1.11, h. 29 ? . 380 REVUE DE pathologie mentale . f ? t ? 3 ! 3).).t)r'( 1']'t ? ) ! ) q établ
poque do 1 incarcération, quinze nérpossedâirent guèue lassante e' mentale normale (deviationspar défaut ou exces'd'iricitab
e 3.tt ' r ETt dl " IfIJii E5 71f a 1 ? ' ? ) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 381 il 1- l'11J10 bf1191T1 9t' 9yQI,`11119t( i
ont eu un grand retentissement : le divorce pour cause d'aliénation mentale et la question des aliénés dits criminels.. Il
ons une compétence, une auto- rité égales aux vôtres. La médecine mentale est entrée depuis quelque temps dans une voie n
ut pas dire qu'un membre d'une famille étant atteint d'aliéna- tion mentale les autres membres doivent l'être fatalement à le
nt ? n..j) ? i, <i.j.< J- - rante-stx sont frappes d hérédité mentale .. l .,tt 111·> >t ! rn ? ), i,^-, il'i ,l
ment trois, selon le degré de rapi- dité qu'affecte la perturbation mentale , consécutive à la lésion chij rurgicale, le gen
e : Sont appelés idiots tous les psychopathes dont le développement mental est entravé ou arrêté par une affection cérébra
agogique. La curabilité est sur- tout vraie pour les manifestations mentales émanant du surmenage psychique, de l'onanisme,
us, toute anomalie qua- litative et quantitative d'une des facultés mentales ressorti ! il l'alié- nation mentale, au même t
antitative d'une des facultés mentales ressorti ! il l'alié- nation mentale , au même titre qu'une entité psychopathique bien
ants ; la première loi prescrivant un placement con- forme à l'état mental du criminel (1800) ; la loi de 1816 ordon- nant
et Tic"es sont d'avis que la détermination pure et simple de l'état mental suffit, sans qu'on soit obligé de pénétrer si a
tificat contradictoire émané d'un confrère ignorant la pa- thologie mentale , à six assignations judiciaires, ainsi qu'à sept
le, des accouchements fréquents et difficiles, enfin une aliénation mentale débutant dans la jeunesse et aboutissant gradue
2 et 3.) P. K. BIBLIOGRAPHIE Les hystériques. Etat physique et mental ; actes insolites, (lélie- tueux et criminels ;
trois degrés : 40 troubles légers des facultés affectives; 2° état mental envisagé dans l'enfance, à l'âge adulte et à l'
tendance spéciale à l'onanisme (Ki,airL-11)iiig). A ces troubles mentaux s'ajoutent des symptômes d'ordre phy- 'BIBLIOGR
des degrés différents. 4° Ce peut-être un état de simple exaltation mentale ; 2° d'autres fois c'est une agitation maniaque
encore une véritable mania avec délire des grandeurs. L'exaltation mentale caractérisée par une surexcitation physique et
une intensité variable : 1° état mélancolique et simple exaltation mentale ; 2° mélancolie anxieuse ou avec stupeur et simp
entale; 2° mélancolie anxieuse ou avec stupeur et simple exaltation mentale ; 3° simple état mélancolique et manie aiguë ;
nt à ce titre ouvrir un chapitre nouveau dans le cadre des maladies mentales , ou bien considéré comme un symptôme d'une mala
de au diagnostic. Il ne néglige aucune des affections cérébrales ou mentales dont le délire, parfois très actif, peut causer
du bureau d'admission à l'asile Sainte-Anne. CeRTAMEN DE médecine mentale . Une réunion aura lieu les 25, 26, 27 et 28 sep
e discuter un certain nombre de ques- tions relatives à la médecine mentale . Le nom de Certamen est substitué à celui de Co
s méde- cins qui délivrent à la légère des certificats d'aliénation mentale . Infirmerie spécule des aliénés de la préfectur
1. t. Alcoolisme et stryclinisme, par Le- cuyé, 416. Aliénation mentale (des maladies des reins considérées comme cau
69 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
université de Lemberg, auteur d'un livre français sur la « Suggestion mentale » (Paris 1877) et de plusieurs travaux en polonai
résulte-t-il de leur examen ? En suivant nos malades au point de vue mental , nous avons constaté en comparant le délire du ma
dans l'étude raisonnée de leurs troubles intellectuels et de la forme mentale qu'ils affectaient, étude qui nous entraînerait t
e, quand le malade, par exemple, est arrivé à la période des troubles mentaux graves ; dans ce cas, la suggestion est encore in
atténuer d'une façon très appréciable les douleurs et les troubles mentaux exagérés momentanément par l'abstinence. La durée
s travaux ont eu une influence si marquée sur l'étude de l'aliénation mentale . M. Falret, médecin de la Salpétrière a remercié
cultés de l'examen clinique résultent de l'instabilité môme de l'état mental des sujets. Alors qu'ils s'étendent avec complais
l est en effet difficile de considérer comme un symptôme d'aliénation mentale des sensations qui ne sont que l'exagération path
ir la distinction qui sépare les phobies neurasthéniques des troubles mentaux décrits par Magnan sous le nom de syndromes épiso
que nous lui rendons, par les progrès qu'il a imprimés à la médecine mentale . Depuis sa nomination de médecin de la section
et a souvent développé cette nécessité de l'enseignement des maladies mentales à donner à tout médecin, et il a prouvé que les c
es leçons cliniques qu'il a faites à la Salpé-trière sur les maladies mentales , de 1849 à J869. Il a eu le grand mérite d'inau
au. Baillarger a élucidé un point obscur jusque-là de la pathologie mentale ; l'étude de la stupidité, que l'on avait cru jus
ent. Baillarger a appris, on peut le dire, à nous tous les maladies mentales par une méthode précise, fondée sur la clinique e
stion. Troubles psychiques causés par l'abus du thé. L'aliénation mentale est en progression menaçante en Irlande. L'alcool
e boisson, paraissent avoir leur part dans l'étiologie des affections mentales . On n'en fait pas une infusion légère, mais une
-il des dangers pour le sujet et pour la Société? 29° La suggestion mentale existe-t-elle ? 30° Peut-on produire la congest
fut naguère courante, n'est plus que rarement appliquée aux maladies mentales qui passent sous nos yeux dans les asiles. Avec F
(Binet, Myers, Laurent, Breuer et Freud, Pierre Janet). Le trouble mental élémentaire de l'hystérie paraît être un rétrécis
nd de dégénérescence, d'où juxtaposition fréquente des manifestations mentales de l'hystérie et des perversions instinctives, de
ordres de phénomènes sont-ils régis par des altérations du mécanisme mental très analogues sinon identiques les unes aux autr
es, qu'on est, croyons-nous, autorisé à rapporter à la dégénérescence mentale . Signalons en particulier les impulsions au vol,
us jetons un coup d'œil en arrière, nous voyons que tous les troubles mentaux que nous avons passés en revue, délire de l'attaq
e rêve, tandis que dans le somnambulisme au moins parfait, l'activité mentale est assez compliquée pour rappeler l'activité con
ux doléances excessives. A noter encore certains états de confusion mentale . Après cette rapide revue des troubles mentaux
s états de confusion mentale. Après cette rapide revue des troubles mentaux qui peuvent s'observer chez les hystériques, nous
mbres du Congrès : 1o L'hystérie est-elle une maladie exclusivement mentale ? Définition psychologique de l'hystérie. Rôle du
ons cliniques et psychologiques entre l'hystérie et la dégénérescence mentale ; 3° Le caractère et les perversions instinctive
, affecte-t-elle des caractères spéciaux? 8° Y a-t-il une confusion mentale hystérique? Ses caractères, sa durée possible;
réalable précisé autant que faire se peut les caractères des troubles mentaux qui ressortissent en propre à cette névrose. A la
s hallucinations, l'amnésie et la distraction, les diverses activités mentales simultanées, les diverses formes de l'anesthésie
tique. D'après Laxdmann, la diversité simultanée de la personnalité mentale consiste soit dans un changement rapide des activ
nnalité mentale consiste soit dans un changement rapide des activités mentales qui forment la personnalité, soit dans une action
ssion, de leur situation antérieure et de leurs penchants. L'activité mentale des malades est complètement absorbée par le déli
our l'observateur inexpérimenté ou qui ne connaît pas l'individualité mentale des malades. Dans son état pathologique (second)
blement de la personnalité, c'est-à-dire d'une division de l'individu mental ou deux existences mentales séparées l'une de l'a
, c'est-à-dire d'une division de l'individu mental ou deux existences mentales séparées l'une de l'autre. On trouve décrits dans
t, les somnambules n'ont pas la possession complète de leurs facultés mentales et des souvenirs de leur vie normale. Dans le pre
ft-Ebing, des reproductions artificielles, dans la vie d'inconscience mentale , de phases antérieures de la vie qui, pour la plu
and, quand on voit avec quelle désinvolture il passe à la vivisection mentale des patients, sans avoir les connaissances nécess
les avantages et amènent les résultats les plus funestes pour la vie mentale des patients. » En réalité, dans toute la disse
tion aux accès spasmodiques, de l'anémie, de la faiblesse physique et mentale . Transitions sans motif de la gaîté à la tristess
omplir sans distraction, et elle a aussi pour autre effet une inertie mentale et organique telle, que le dormeur restant sans d
s de Griesinger), il voit dans la difficullé d'hypnotiser les malades mentaux , une limitation importante de la thérapie suggest
u corps, hors de l'état de repos et de ce qu'on appelle les activités mentales des cellules-ganglionnaires du cerveau) se compor
istible de la volonté ou son arrêt, deux manières d'être de l'inertie mentale des dormeurs. Car, on en fait journellement l'exp
duise, chez elles, un trouble émotionnel quelque peu durable, un choc mental violent, leur peu de fermeté pour se décider à ag
ants de folie; mais le plus souvent l'aboulie accompagne l'aliénation mentale dans toutes ses formes, soit qu'il y ait arrêt im
r qui l'avait accablée, elle s'était laissé aller dans une dépression mentale qui ne lui permettait plus de se déterminer pour
états passifs. Dès que les sujets sont sous le coup d'une impression mentale , intense ou prolongée, et si ces sujets appartien
ès d'hystérie, d'épi-lepsie, etc., et des formes diverses de maladies mentales , à la suite d'une grande colère, d'une frayeur ex
ue hypnotique ou rapportés par d'autres écrivains. Ainsi : 1° l'image mentale peut voiler la réalité; 2° l'image peut recouvrir
ant dans une variation plus ou moins permanente de l'état affectif et mental d'un sujet, à l'occasion de la réalisation — par
sion de la réalisation — par la mise en œuvre fortuite d'un processus mental spécialisé — d'une systématisation exclusive et c
vendredis suivants, à la même heure, Cours de clinique des maladies mentales . — M. le professeur Joffroy fait son cours le mer
matin, pendant le mois de décembre, des conférences sur les maladies mentales et nerveuses. Faculté de Vienne. — M. le Dr Emi
udié quelques faits de ce genre dans ces belles recherches sur l'état mental des hystériques. Beaucoup plus intéressants son
M. Cottignies. — La législation des Aliénés au Congrès de médecine mentale . Brochure in-4% 32 pages. Millot frère et Cie, 20
eurs progrès aux représentants de l'enseignement libre. La pathologie mentale , en particulier, a été entièrement créée par les
non facit saltus. Attribuer ces guérisons instantanées à des émotions mentales , et croire que l'imagination ou la volonté ont un
ur le dissuader de cet abus désordonné, je lui proposai la suggestion mentale , comme seul remède. Après quelque hésitation, d
ychologie du système nerveux de l'homme et des animaux, la pathologie mentale et nerveuse, la psychologie, la philosophie, la m
notre eminent confrère nos vives félicitations. Congrès de Médecine mentale et nervedse. — Le sixième Congrès annuel des méde
thyroïde et goitre exophtalmique; rapporteur, M. Brissaud. Pathologie mentale : les psychoses de la vieillesse ; rapporteur, M.
u'au millésime des pièces qui s'y trouvent. S'agit-il de suggestion mentale ? M. Quintard ne le pense pas ; il croit à une vé
même heure. Faculté de médecine de Paris. — Clinique de pathologie mentale , M. Joffroy, mercredi et samedi à 9 heures (asile
s plus éminents d'Angleterre le D'Hack. Tuke, directeur du Journal of mental Sciences, vient de mourir, après une carrière bie
é Blanco avait montre, était chez lui la conséquence d'une aberration mentale , née par auto-suggestion, dans des conditions phy
tout ce qu'il leur affirmait. L'origine et la nature de l'aliénation mentale de Blanco, et par conséquent son innocence, ne pu
l'empêchait, non seulement de dormir, mais travaillait même son état mental . L'eczéma du cuir chevelu était dû au grattage
e était si suggestible, que mes suggestions, de simples « impressions mentales » qu'elles étaient, étaient converties en une aut
oire, en présence d'une habitude automatique si invétérée, que l'état mental de celui qui en est atteint doit présenter d'autr
lle, ce qu'il accepta avec empressement. Craignant que l'impression mentale fût insuffisante, j'eus l'idée de renforcer la su
es ; enfin des transmissions surnuméraires) celles où telle sensation mentale , accessoires au phénomène de la pensée, une sensa
el qu'il est pratiqué habituellement, une étude approfondie de l'état mental et des ressources psychologiques du malade. Entre
t. — Rapports de l'idée et de son expression extérieure. — Suggestion mentale . — Double personnalité ; 8° Suggestion. — Somna
les influences morales qui modifient non l'état physique, mais l'état mental pathologique de l'hystérique. Peu à peu, avec bea
onguement par les aliénistes sous les noms de délire émotif, ver-tige mental , obsession, impulsions, phobies, syndromes épisod
une femme de trente-trois ans, d'une famille prédisposée aux troubles mentaux (un oncle et une tante du côté paternel sont mort
divers symptômes fondamentaux constituent les signes de la faiblesse mentales des stigmates de psychasthénie. Enfin, d'autres
dérive de la première, comme l'idée (1) Pierre Janet. — « Accidents mentaux des hystériques » 1894, p. 30, 56. (2) Pierre J
qu'elle est repoussée par le malade qui se rend compte de son trouble mental , etc. Mais nous ne pouvons entrer dans ces questi
e, le père et le grand-père étaient (l) Pierre Janet. — « Stigmates mentaux des hystériques », 1893, p. 77, 94, 108, HO. iv
ômes que nous présentaient d'ordinaire (1)Pierre Janet.—« Accidents mentaux des hystériques », p. 163. les malades obsédées
me. Les stigmates qui caractérisent la suggestibilité et la faiblesse mentales sont, chez toutes ces malades, extrêmement import
te étude peut être utile pour préciser la classification des maladies mentales . Au lieu de réunir en un seul groupe ces idées fi
s épaules ou lui tenant la main, il est clair que, sauf la suggestion mentale qui vient se joindre aux causes du phénomène dans
M. le Dr Auguste Voisin commencera son cours annuel sur les maladies mentales et nerveuses le dimanche 9 juin, à 10 heures du m
onsacrées aux applications de l'hypnotisme au traitement des maladies mentales . Biographie. — La Médecine moderne du 8 Juin co
70 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
ous les mois PSYCHOLOGIE - PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGAI/ê7 MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur en chef : Docteur Edgar
4° L'hypnotisme dans ses rapports avec la pédagogie et l'orthopédie mentale , par le Dr Bérillon. • Nous devons encore menti
en général.— Rapporteur: M. Noguès (de Toulouse) ; 2° Pathologie mentale : Des états anxieux dans les maladies mentales. —
use) ; 2° Pathologie mentale: Des états anxieux dans les maladies mentales . — Rapporteur : M. Lalanne (de Bordeaux); 3° Mé
on intense, parfois une frayeur; on se réveille en sursaut et l'image mentale persiste encore subjectivement avec netteté pour
4° Les applications de l'hypnotísme à la pédagogie et à l'orthopédie mentale , par le Dr Bérillon. Nous devons encore mention
plaudissements de tous, un travail plein d'érudition sur l'aliénation mentale au théâtre, que nous reproduirons dans un de nos
ier, en établissant une heureuse distinction entre le psychique et le mental , a montré tout l'intérêt que gagneraient les étud
de la physiologie. Vous cherchiez à démêler l'écheveau des troubles mentaux , et ce sont les lois physiologiques de la pensée
gestes, ses jeux, tout vous apporte un renseignement. Par le calcul mental , par la chronométrie mécanique, vous mesurez la v
le, la médecine, dont cela a toujours été la destination, la médecine mentale , plus que toute autre, a le droit d'être écoutée.
xie sociale? C'est bien à la médecine, en particulier à la médecine mentale , à la neurologie et à la psychologie expérimental
y ait une certaine connexion étiologique entre ces vives impressions mentales et l'apparition ou la disparition des verrues. La
travail, nous prouvons que Marie Alacoque était atteinte d'aliénation mentale et que le Sacré Cœur fut une hallucination. Il
omaine de la médecine et plus spécialement du domaine de l'aliénation mentale : les révélations de Marie Alacoque et de plusieur
Marie Alacoque ne sont pas une exception dans l'histoire des maladies mentales , ce sont des faits très communs, qu'il est loisib
te et à gauche, se dépense dans une perpétuelle agitation physique et mentale . Mais jusqu'alors cette agitation n'est qu'en sur
sionnelle connue sous le nom de trac des acteurs. En résumé, l'état mental du malade est essentiellement caractérisé par le
tion des boissons alcooliques, on évite l'apparition des troubles mentaux qui accompagnent d'ordinaire la suppression. 5°
ragiques grecs (1); Par le dr e. Régis Chargé du cours des maladies mentales à l'Université de Bordeaux. Les grands tragique
(2) J. R. Gasquet. The madmen of the Greck théâtre (The Journal of mental Science, april, july, october 1872; january, apri
rétrécissement du champ de la conscience, les troubles de la synthèse mentale , le dédoublement de la personnalité sont les caus
dédoublement de la personnalité sont les causes principales de l'état mental des hystériques. Au contraire, dans ces dernier
pratique de la psychothérapie, de rencontrer des malades dont l'état mental est carac-térisé par une prédisposition à l'hypno
u, il devient également hyper-suggestible. L'hypnotisme, l'inhibition mentale , dans l'apparition des phénomènes, précèdent l'in
aquelle il a été soumis a exercé son influence salutaire sur son état mental . Nous avons, par un entraînement progressif, trai
faire entendre au sujet une tonalité mélancolique adéquate à son état mental et je partage absolument là-dessus l'opinion de P
lète à droite, moins étendue à gauche, lanes-thésie faciale et l'état mental , tout cela nous montre qu'il s'agit non pas de lé
OGRAPHIE Influence de l'estomac et du régime alimentaire sur l'état mental et les fonctions psychiques, par M. le Dr Lucien
Vlavianos, Spèlios, Anton, Raymond, Damberge, etc., sur le torticolis mental , la migraine ophtalmique, l'alcoolisme, l'anthrop
sur le rôle de l'hypnotisme comme moyen de pédagogie et d'orthopédie mentale par M. Bérillon. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE
lente incubation, que le tuberculeux présente dos troubles nerveux et mentaux . Ce qui m'a le plus frappé à cette période où les
ncée, ils sont extrêmement égoistes. Un malade me traduisait son état mental par ces mots : « Je suis anarchiste de la santé d
e ordinaire ; cette différence du milieu influe sur les modifications mentales ou nerveuses. M.Jules Voisin. — Dans mon servic
ont d'ordinaire très bon appétit. sinon, on les gave. Quant .à l'état mental de ces malades, il faut distinguer ceux qui sont
res religieuses, devenues folles hystériques, basèrent leurs troubles mentaux sur la même manière de penser ; elles eurent avec
ues; ce sont des hallucinations de divers sens, c'est de l'aliénation mentale . Et de même que sœur Clément est atteinte de fo
psychologie de l'enfant arriéré et la lutte contre la dégénérescence mentale par M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètri
uivi ses recherches, s'efforçant surtout » de déterminer la condition mentale et la portée des facultés sensorielles » des inse
ence animale, il résume une enquête très approfondie sur les facultés mentales des animaux ; dans son second livre, il interprèt
ujours séduit le cœur de l'homme ! C'est par un semblable processus mental que le mysticisme aujourd'hui renaissant, plus da
ait susceptible de rendre de grands services à nos malades nerveux ou mentaux . Les observations que, les uns elles autres, vous
onales. (1) Pierre Janet. L'automatisme psychologique, 1889. — État mental des hystéri-ques; les stigmates mentaux; les acci
me psychologique, 1889. — État mental des hystéri-ques; les stigmates mentaux ; les accidents mentaux, 1893. (2) De l'automati
— État mental des hystéri-ques; les stigmates mentaux; les accidents mentaux , 1893. (2) De l'automatisme psychologique (psyc
taine dissociation entre 0 et le polygone, une sorte de désagrégation mentale suspolygonale, qui permette d'étudier à part le f
siologique et en même temps c'est le premier exemple de désagrégation mentale , de dissociation fonctionnelle entre les centres
un moi privé des fonctions volontaires ¦ (Cit. Doprat, L'instabilité mentale , p. 48). Pour Bergson (Bull, de l'ins-titut psych
nsion dans un cas, de relâchement dans l'autre. Le rêve, c'est la vie mentale tout entière, avec la tension, l'effort et le mou
ts montrent déjà que, dans toutes ces questions, il y a désagrégation mentale (séparation de 0 et du polygone) mais qu'il y a a
as où elle est loin de suffire. La plupart de nos malades, nerveux ou mentaux , sont, lorsqu'on y regarde de près, profondément
uggestions religieuses. Plus cette fraction est petite, plus l'état mental du groupe familial se rapproche de la normale. Pl
rapproche de la normale. Plus elle est grande, plus la dégénérescence mentale y est prononcée, et plus il faut s'attendre à en
une part l'hérédité, d'autre partie milieu, en l'espèce la suggestion mentale , dans la propagation des idées religieuses, et de
. La peur du n° 13 augmentait d'une façon déplorable leurs infirmités mentales . 11 n'y a donc plus de salle 13 à l'hôpital de Bi
dans son service, des leçons cliniques sur les maladies nerveuses et mentales . Ouvrages repus à la Revue Grasset. — Leçons
t-à-dire dans la suspension d'activité de quelques-unes des fonctions mentales , et en particulier de la volonté, peut survenir f
ble, comme la verrue, peut disparaître par simple influence morale ou mentale . » Ainsi, M. Gibert, médecin en chef d'un dispe
un individu, de l'état d'hypnotisme et des modifications nerveuses ou mentales qui peuvent en résulter, ne sera obtenue que par
aractère qui est touché, c'est un bouleversement complet des facultés mentales . Rappelons, pour terminer, que la psychologie d
placés dans un état psychique particulier, dans un état de passivité mentale , à leur énumérer toutes les émotions soudaines qu
achèvent de la désemparer et accroissent le déséquilibre de son état mental . Impressionnable, exagérée, enthousiaste, roman
4° Les applications de l'hypnotisme à la pédagogie et à l'orthopédie mentale , par le Dr Bérillon. Nous devons encore mention
'abord que les établissements consacrés au traitement de l'aliénation mentale doivent offrir toutes les garanties nécessaires p
les hystériques. In-18. Vigot, Paris. 2 fr. J. Philippe. — L'image mentale (évolution et dissolution). In-12,150 p- Alcan.
constituer l'état de suggestibilité. C'est d'abord la désagrégation mentale ou la dissociation suspolygonale, prouvée par ce
t faire contracter volontai- (1) Charcot. Cit. Pierre Janet, Accid. mentaux , p. 45. (2) C'est la doctrine de Myers • * Tant
l'hypnotisé. D'ailleurs Duprat déclare (p. 257) « que les fonctions mentales du sujet normal ne sont pas, comme celles du suje
semble donc que Binet est l'adversaire déclaré de cette désagrégation mentale suspolygonale, qui est pour nous la base de la co
ra et on le guérira très facilement (1). REVUE DES LIVRES L'image mentale , par le Dr Jean Philippe (2). Ce livre est une
, par le Dr Jean Philippe (2). Ce livre est une étude de nos images mentales considérées non comme des souvenirs ou des invent
ce à l'image, tendent à diminuer pour réduire le nombre de nos images mentales des objets de chaque groupe à mesure que l'expéri
., édteur un type déterminé à mesure que se modifie leur ambiance mentale .— Chacun de ces chapitre est suivi de quelques-un
l'esprit. On se borne trop, même aujourd'hui, à étudier nos fonctions mentales au repos : le philosophe, le médecin, l'éducateur
ie.— Le traitement psychothérapique de l'hys- térie. — L'hystérie mentale . — Action complémentaire de !a suggestion hypnoti
e et de la dipsomanie. Lundi 8 juin. — L'hypnotisme et l'orthopédie mentale . — Traitement de la kleptomanie, de l'onychophagi
pages. Doin, éditeur, Paris 1903. 4 francs. j. Philippe. — L'image mentale [évolution et dissolution}. In-12, 150 p. Alcan,
. 3° Réaliser par des suggestions particulières la représentation mentale des conditions dans lesquelles se manifeste le tr
ont reproduit artificiellement l'état anxieux, neutraliser les images mentales génératrices de l'anxiété, et arriver à accoutume
emps passés expliqua de même par les démons l'épilepsie, les maladies mentales et, à l'occasion, le rêve... » La théorie de la d
ait. Vigoureux, très intelligent, fort bien équilibré au point de vue mental , il occupa un poste apprécié dans une de nos gran
un reproche d'avoir souligné les phrases où est mis en relief l'état mental de Marie Alacoque ; nous sommes coupable de n'avo
tériques. Dr Bérillon : Le traitement psychologique du bégaiement mental et de la timidité. Dr Paul Farez : 1° Incontine
turel chez un enfant de 26 mois. 2° Impuissance génitale, d'origine mentale , guérie par la suggestion somnoformique. Dr Fiess
nfluence des fermentations digestives sur le caractère et les états mentaux . D-Prosper van Velsen (de Bruxelles) : 1° De la s
Présentation d'un appareil pour l'hypnotisa-tion. D" Doyen : L'état mental des opérés. Dr Demonchy : Paralysie vésicale, d
gade La Dardye, p. 367. Estomac et du régime alimentaire sur l'état mental et les fonctions psychiques (Influence de l'), pa
rie pur la suggestion hypnotique, par Jules Voisin, p. 209. Image mentale (L'), par Jean Philippe, p. 349. Institut psych
71 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
NTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur en chef : Docteur Edgar
es physiques qu'elle présente on ne penserait pas à examiner son état mental . Dans cet état mental la défectuosité la plus app
résente on ne penserait pas à examiner son état mental. Dans cet état mental la défectuosité la plus apparente est une lacune
tre que les spasmes diaphragmatiques sont le résultat d'une opération mentale qui consiste à remplacer les perceptions absentes
sommeil nous apparaît caractérisée bien plus par de la désagrégation mentale que par un rétrécissement du champ de la conscien
onstitué par un défaut de synthèse men- taie, de la désagrégation mentale bien plus que par un rétrécissement du champ de l
déshonneur, à la ruine, au suicide. Je me propose d'étudier l'état mental des joueurs en laissant aux médecins le soin de l
systématiquement, à l'écart des études de psychologie ou de médecine mentale . Il leur paraissait qu'il y aurait quelques incon
e comprendre. Il nous faut un moment devenir professeur de médecine mentale , pour traiter de deux symptômes hystériques, les
cinations chez Bernadette. — On trouvera dans les livres d'aliénation mentale beaucoup d'autres faits analogues : ceux relatés
quent, chercher à expliquer un trouble fonctionnel par une altération mentale antérieure ce n'est, en définitive, qu'expliquer
ui, comme nous le verrons, ont laissé après eux certaines altérations mentales constituant une véritable prédisposition morbide.
me, la caractéristique de son état psychologique est de l'instabilité mentale . Ce sont bien là des caractères de déficience psy
ont bien là des caractères de déficience psychique, de dégénérescence mentale qui constituent la prédisposition neuropathique.
s ils se trouvent pour les faire vivre d'une vie adéquate à l'énergie mentale dont ils disposent. C'est à tous ces prédisposés
poussera plus indistinctement vers le même but des individus à forces mentales inégales, lorsqu'on fera à chacun une vie proport
d'un état pathologique, lié très probablement à de la dégénérescence mentale . Il eût été intéressant de savoir dans quelles co
hystériques est étudiée et décrite dans tous nos livres d'aliénation mentale . Ce qui eût été miracle, c'est que la flamme du c
pendant une assez longue durée, des signes d'un véritable dérangement mental . Chez les uns, la frayeur était si intense, qu'il
nous a remis en mémoire, le passage dans lequel Briquet décrit l'état mental des petites filles hystériques : « A de très rare
arbues dont .le caractère était irritable ou acariâtre ou dont l'état mental présentait quelques dispositions pathologiques. B
utre par ophtalmie sympathique. Cette cécité se compliqua de troubles mentaux . « L'ébranlement du cerveau ayant été fort grand,
ffets du surmenage intellectuel producteur de névroses et de troubles mentaux . L'Administrateur-Gérant : Ed. BERILLON. ,
rillon, sur les Nouvelles applications de l'hypnotisme à l'orthopédie mentale , complété par des projections, a donné lieu à une
tagna. C'était dans son front droit que se conservaient des fonctions mentales supérieures dont la richesse formait la plus frap
ical. In-8, 32 p., Vigot, Paris, 0 fr. 50. Dr Lee : L'arriération mentale . Contribution à l'étude de la pathologie infantil
; 3° La psychologie appliquée (hypnotisme thérapeutique, orthopédie mentale , pédagogie suggestive, etc.); 4" La psychologie
iciles à interpréter tels que : la lecture des pensées, la suggestion mentale , les hallucinations télépathiques, la lucidité so
milieu d'une foule en délire, etc. L'effroi, la commotion, l'ictus mental ont souvent, dans ces cataclysmes cérébraux une p
ui sont de véritables mouvements automatiques. Ce qui domine l'état mental , c'est une extraordinaire suggestibilité ; les mo
iques ; sur ce terrain hystérique, s'est installée une manière d'être mentale , caractérisée par l'extrême suggestibilité. Dans
la Salpêtrière, commencera le 14 décembre, un cours sur les maladies mentales et nerveuses. Plusieurs leçons y seront consacrée
e des femmes à barbe : lui, a tenu à faire ressortir les dispositions mentales et morales de cette personne. On a pu dire de
5. — Présidence du D'Albert Robin. Le trac par asynergie des images mentales par M. le Dr Paul Farez Professeur à l'Ecole de P
roxysmes s'accompagnent de désharmonie fonctionnelle, de déséquilibre mental , avec angoisse, troubles vasomoteurs ou sécrétoir
r sa pensée ; esclave de ses idées parasites et de ses préoccupations mentales , il ën arrive à jouer, devant un auditoire, mal o
en distincte) survient secondairement, elle aussi. non plus à un état mental spécial, mais à une asynergie (congénitale ou acq
al, mais à une asynergie (congénitale ou acquise) des diverses images mentales . Que faut-il entendre par là? A titre d'exe
es au détriment ou au profit des autres. Cette asynergie des images mentales est parfois une raison de supériorité, par exempl
s ou graphiques qu'il a confiées à sa mémoire. L'asynergie des images mentales est seule responsable de son trac. III. Un étud
re. Lorsque cette rééducation psychologique aura établi la synergie mentale , le trac pourra disparaître de lui-même : Sublata
heures, à partir du lundi 15 janvier. 2° L'hypnotisme et l'orthopédie mentale : les timidités. Les jeudis à cinq heures, k part
de M. le Dp Cuylits: a Le travail dans la thérapeutique des maladies mentales >, souleva de nombreuses objections. M.leD* Cu
Dr Bérillon sur o L'hypnotisme envisagé comme adjuvant à l'orthopédie mentale », qui donna lieu à une discussion assez approfon
leptomane, soigné à l'Institut psycho-physiologique, par l'orthopédie mentale , sous forme de suggestion à l'état d'hypnose ; ce
s d'intérêt. La fatigue suggérée est produite par la représentation mentale plus ou moins intense de l'effort accompli ou à a
s intense de l'effort accompli ou à accomplir et cette représentation mentale fait naître aussitôt l'idée d'impuissance. Elle
ètrière, fait tous les jeudis, à 10 heures, un cours sur les maladies mentales et nerveuses. Plusieurs leçons y seront consacrée
paradis Humain, le renouveau de la force et des sèves, L'équilibre mental sans lequel l'univers N'est qu'un triste décor et
héréditaire qui, en outre des mouvements choréiques, comporte un état mental spécial ; c'est la chorée de Huntington ou démenc
, que la chorée est toujours accompagnée (et même précédée) d'un état mental . Or notre jeune fille est une grande suggestive ;
e médecine, a consacré plus de quarante années à l'étude des maladies mentales et à l'amélioration du sort des aliénés. Ses amis
idérable qu'occupent les troubles de l'attention parmi les déviations mentales des liqueurs. Il a indiqué par sa méthode d'imm
cette psychothérapie inférieure. D'influence nulle sur les maladies mentales ou même sur l'élément mental des maladies, elle n
. D'influence nulle sur les maladies mentales ou même sur l'élément mental des maladies, elle ne peut avoir aucune action su
t de son engourdissement cérébral, l'hypnotisé ne change pas son état mental . II obéit aux mômes incitations qu'un sujet norma
ont appris l'influence des diverses couleurs du prisme sur l'état mental elle tonus nerveux. Sans m'étendre sur les effe
ardi de Pâques, la prochaine réunion est remise au lô mai. L'examen mental des inculpés M. Chaumié, étant ministre de la J
é aux procureurs généraux la circulaire suivante au sujet de l'examen mental des inculpés : « Certains médecins légistes cro
au juge d'apprécier la culpabilité réelle du prévenu d'après son état mental au moment de l'action; mais son insuffisance tien
sujets à des impulsions morbides momentanées, ou atteints d'anomalies mentales assez marquées pour justifier, à leur égard, une
en psychiatrique et biologique ne révèle point chez lui des anomalies mentales ou psychiques de nature à atténuer, dans une cert
es nerveux, détermine de ce fait une atteinte plus grave des facultés mentales . Les centres d'arrêt psychiques, l'attention, la
déconcerter et annihiler complètement son initiative el son activité mentale . Dans ce fait nous retrouvons encore une analogie
l'on voit apparaître, môme chez les femmes robustes, les stigmates mentaux des psychonévroses........... La femme normale
: « Sans doute on retrouve chez l'hystérique les mêmes particularités mentales que chez les autres névrosés.... : on peut dire q
(p. 135). « Si utile que puisse être le résultat final, le mécanisme mental a été faussé par lu Suggestion et la déterminaiso
ons plus pourquoi ces bonnes suggestions peuvent fausser le mécanisme mental et Al. Dubois oublie de dire pourquoi ;3 est obli
ypnotisme qui est un « agent mauvais » — « provoquant le déséquilibre mental » et contre les hypnotiseurs « qui sont des succe
e ne veux plus aller à St-Raphaël parce que j'ai peur, n A cet état mental (lequel comporte, on vient de le voir, des phénom
ulmane prêche la compassion pour les personnes atteintes d'aliénation mentale ; elle les décharge de toute obligation et ordonn
ative vient du sujet qui répète cette manifestation et à la contagion mentale où l'initiative de la répétition est inconsciente
re. Mais la suggestion, l'imitation et en général tous les phénomènes mentaux peuvent être inconscients. On ne peut les disting
t du même coup un premier classement de ces faits. (1) La contagion mentale . Bib. iatern. de psych. expér. Paris 1905. Page 2
rde sous le nom d'imitation a réuni non seulement tous les phénomènes mentaux , mais encore ceux organiques et cosmiques. Il a p
t de son engourdissement cérébral, l'hypnotisé ne change pas son état mental , il obéit aux mêmes incitations qu'un sujet norma
opathologie du goût, de la faim, de la soif ; — psychoses et troubles mentaux relatifs à l'alimentation et à la digestion; — ps
leur liberté d'action. Ils ne peuvent être libérés de leur inhibition mentale que par ï'éloignement de celui qui les a intimidé
ntie. L'homme qui s'intimide lui-même par l'effet dune représentation mentale , témoigne d'une emotivi té véritablement excessiv
s du tout. Cl) Bkrillon : Le traitement psychologique du bégaiement mental et de la timidité, Revue de FHypnotisme, 18* anné
oute suggestion, peut suffire à ramener le calme, à équilibrer l'état mental . Un vieil adage enseigne que « la nuit porte co
ensation présente: il réalise alors, conformément aux lois de vertige mental , ce qui lui est représenté fortement, en l'absenc
insi, elle inhibe le réflexe du vomissement, tout comme en orthopédie mentale et morale, elle réfrène les mauvaises habitudes,
soit l'interprétation du trouble psychique, qu'on admette la synthèse mentale oscillante de Janet, phénomène en rapport avec un
Liébeault à l'Ecole de psychologie, p. 162, 226, Inculpes (L'examen mental des), p. 317 Intelligence chez la chèvre, le chat
ez un éthylique, par Raymond, p. 190. Trac par asynergie des images mentales , par Paul Farez, p. 213. « Traqueur », premier pr
72 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nnable, le jeune Mistral donnant des signes évi- dents d'aliénation mentale fut, sur la demande de son père, interné pour l
port qui suivit fut le dernier qui ait été rédigé concernant l'état mental de l'opulent aliéné. Nous le publions aujourd'h
Légion d'honneur; PIERRrT (A.), professeur de clinique des maladies mentales à la faculté de médecine de Lyon, médecin en ch
ésultats de l'enquête à laquelle nous nous sommes livrés sur l'état mental actuel du sieur Mistral, pensionnaire à l'asile
à son tuteur ? ' ? Notre enquête a porté successivement sur l'état mental actuel de l'interné, les conditions matérielles
oins qu'il reçoit de l'asile privé de Pont- Saint-Côme. § 1. Etat mental de Mistral. - Mistral se présente à nous sous l
ion des idées et conservation très incomplète de la mémoire. L'état mental actuel n'est que la conséquence d'une longue fo
e. - Maintenant que nous avons étudié d'une façon sommaire l'état mental de M. Mistral, décrit son installation, apprécié
doute sur 92 REVUE CRITIQUE. ce fait que dès l'année 1837 l'état mental de Mistral était déjà tel que l'incurabilité de
it., p. 87, obs. XVI, 62 ans; obs. XIX, 65 ans. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. DES SYMPTOMES DE LA MOTILITÉ DANS LES PSYCHO
n complexus compréhensif autonome. P. IiERAVaL. REVUE DE pathologie mentale . 109 II. CONTRIBUTION A l'anatomie pathologique
son graduelle presque complète. Mort subite 110 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . imprévue. Durée totale : quatre ans et demi. N
que les altérations corticales de la périencé- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 111 phalite ne se sont pas étendues de proche
ligé de s'exprimer par des périphrases, 112 C-) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . estropie les mots en les répétant, ne se rappe
emblée, également incompréhensible par -l'omis- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . '1'13 sion de lettrés. Désordre dans les idées
urru et Burot développent dans leur nouveau livre sur la suggestion mentale . Il se sert du texte de leurs observations pour
annexes propres à l'instruction des enfants atteints de débi- lité mentale ' 1 à Brunswick, Géra, Cologne, Hamhurg, Vienne.
r économie une marche ascendante au double point de vue matériel et mental . Ce n'est pas tout; il faut absolument adapter
oncert avec ce dernier, il arrivera à améliorer le sort physique et mental des idiots. Discussion. - Quel sera le directeu
t distingués par leur enseignement ou leurs écrits sur les maladies mentales , elaient l'objet d'une présentation du comité s
de médecine de Paris chargé de l'enseignement clinique des maladies mentales ; un directeur du ministère de la justice désign
cal, 14, Rue des Carmes. Bourru (H.) et BunoT (P.). La suggestion mentale et l'action à dis- tance des substances toxique
s, le premier stimulus cortical est nécessaire. - La représentation mentale d'un escalier à monter est, par exemple, le phé
s associés qui doivent réaliser et objectiver la repré- sentation mentale . Pour en revenir maintenant au mécanisme des ph
Leber. Handbuch der hant Kranheil., 1881, t. II. Mickle. Journal of mental science, 1884, t. IL EXPLICATION DE LA PLANCHE
l'orifice anormal occupe les deux tiers supérieurs du pénis. Etat mental . Affectueux, il dit quelquefois au garçon : « Je
s ri quatre ans, vertiges. - Premier accès à sept ans. - Débilité mentale . - Idées mélancoliques après les accès. - Excitat
uns des nombreux faits épars dans le vaste champ de l'aliéna- tion mentale , à constituer des espèces pathologiques distincte
, rare pour Kahlbaum dans les autres LA CATATONIE. 2;)V li formes mentales . Ce fait seraità opposer à la prédominance de l
mière place Les causes occasionnelles sont celles des autres formes mentales ; à signaler encore cependant le traumatisme, su
oppement des granulations de Pacchioni. Pour Kahlbaum, les maladies mentales en général sont causées par des troubles nutrit
soit dans un état de santé com- plète, soit dans un état de trouble mental durant depuis un certain temps et qui, sans dét
fermée; la peau était le plus souvent sèche mais le moindre effort mental suffisait à produire une transpiration abondant
r a publié l'observation complète de Chauffât dans « The journal of mental science », juillet 1887, p. 267, À case of prol
é pupillaire et un léger embarras de la parole persistent. L'état mental et l'état physique se maintiennent encore très sa
ns le cours de la paralysie générale, vu les symptômes d'aliénation mentale et son internement dans un asile, à une lésion
éciale du délire chronique suffit à le distinguer des autres formes mentales , dont la symptomatologie peut com- prendre égal
s, les altérations du caractère, la déséquilibration et la débilité mentales , les névroses hystériformes, le bégaiement, l'a
iétés savantes. l'enfance et ayant présenté au début de l'affection mentale des symptômes analogues à ceux de la folie du d
es formes morbides d'ordre si différent, délire chronique, débilité mentale , épilepsie ; surtout si l'on pense avec M. Magn
-vingt-sept ans aupara- vant, s'est rendu immortel dans la médecine mentale . Ce n'est d'ailleurs pas le premier aliéniste f
. Il arrive très fréquemment, quand on doute de la nature de l'état mental d'un prévenu, qu'on cherche à con- naître ses a
eur Oui, monsieur de Gavardie, ses états de service au point de vue mental . La magistrature est parfois à ce sujet dans un
de civil ; « 2° Un rapport au procureur de la République sur l'état mental de la personne à placer, signé d'un docteur en
reil article. S'il y a un traitement par excellence de l'aliénation mentale , c'est je vais vous citer des faits - le traite
qu'il n'y a pas de garantie meilleure, au point de vue des maladies mentales , dans les asiles publics que dans les asiles pr
uverez dans les livres quel est le carac- tère général des maladies mentales ; le caractère, on ne peut pas le définir; il es
i bons que celui-là. Et puis, il y a tant de catégories de maladies mentales : il y a le délire de la persécution, le délire
aturels sont rentrés dans le domaine de la pathologie ner- veuse et mentale . M. le docteur Ladame (de Genève) a eu l'heu- r
rfection au point de vue humanitaire et économique. (The Journad of mental science. London, avril 1887, p. 54.) A. 11.10uL
iques, des individus atteints de paralysie générale ou d'aliénation mentale sous une forme quelconque, etc. Et alors cette
a été enfermée pendant quelque temps dans un asile pour aliénation mentale . Un oncle maternel mort aliéné, deux scezcrs de
ans paralytique général ; une soeur du père, atteinte d'aliénation mentale , s'est suicidée ; un oncle du père est tabétiqu
elle. -Ann. med. psych. 1871, p. 38. . Dagonet. Traité des maladies mentales , 187G. " Kroepelin. - Camp, der Psych, Leipzick
catalepsy (Journ. of mcnt, sc" 188 p. 508.) " Sankey. Lectures on mental diseases. 2o et). lS81`, p. 208, case XIII. "
rés ci-dessus sont-ils véritable- ment caractéristiques d'une forme mentale spéciale ? Consi- dérons-les d'abord en eux-mêm
, fièvre typhoïde) et nous restreignant au domaine de la pathologie mentale , nous pou- vons voir que chacun d'eux peut se r
178. 2 Guislain. -Loc. cit. 3 Morel. Traité clinique des maladies mentales , 1860, p. 191. 4.\lichéa. - Dict. de Jaccoud. A
els, spasmes, crampes; que l'on rencontre en dehors de l'aliénation mentale propre- ment dite, les désordres moteurs eux-mê
des tics, sont aussi fréquents dans les mêmes cas d'affaiblissement mental 2 avec ou sans coexistence d'un délire qui, lor
. - Dei movimenti sistematizzafl in alcllne' forme diindebolirnento mentale . (Arch, ital. per le mal. nerv., sep- tembre 18
de Friedreich. Rio de Janeiro, 1888 (112 cas). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 439 en arrière, elle ne coexiste pas avec l'im
n de revenir sur ce sujet encore peu connu 2. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XII. TABES ACCOMPAGNÉ DE FOLIE SYSTÉMATIQUE ; P
se double (Revue de médecine), 1888, p. 10. 440 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . phalie; oedème chronique diffus); stade conges
lus nettementle complexus symptomatique observé REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 441 et qui ouvre le moins la porte aux fausses
nalytique et critique des observations 442 Gaz) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . n'en permette encore aucune théorie exacte. Il
'explosion de la maladie mentale, mais il If 14 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . semble qu'il y ait eu simplement coexistence e
ion de la folie peut n'être qu'apparente; c'est REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 445 ainsi que des parents ou des personnes viv
ns complètes persistantes, 9 intermittences 446 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . de un an à 4 mois, 10 rémissions incomplètes;
une homme âgé de dix-huit ans, s'adOl1nant à la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . 447 masturbation depuis longtemps, et qui se p
il y a une diplopie ' Gancet, mai 1886. 448 sociétés savantes. mentale manifeste, tout comme en ophthalmologic on consi-
e pourrais montrer, dit l'auteur, que cela s'applique aux symptômes mentaux de maladies sérieuses. Tous les états morbides
symptômes mentaux de maladies sérieuses. Tous les états morbides mentaux sont des subdivisions des états mentaux normaux
es. Tous les états morbides mentaux sont des subdivisions des états mentaux normaux dans des voies différentes. Par exemple
aux normaux dans des voies différentes. Par exemple, le processus mental chez les maniaques de la « mentation » stéréoscop
ortants. - La réminiscence est en réalité placée entre un processus mental parfaitement normal et un nettement anormal, ca
ès d'une certaine variété d'épilepsie, comme le font d'autres états mentaux (auras intellectuelles). - En conséquence de ce
térise la folie des héréditaires ou dégénérés, c'est surtout l'état mental du sujet, les syndromes épisodiques dévelop- pé
ental du sujet, les syndromes épisodiques dévelop- pés sur cet état mental et enfin l'évolution, l'allure particulière et
résumons nous voyons d'après l'observation de M. Séglas : Débilité mentale , troubles de la parole; ignorance profonde, inv
ique ses difficultés avec la famille, elle offre, en un mot, l'etat mental d'une délirante chronique. Dans la deuxième obs
athologique se développe seu- lement chez des sujets dont le niveau mental est assez élevé, aussi ne se voit-elle jamais c
cution, puis aux idées ambitieuses et finalo- ment à la dissolution mentale ; c'est parce que dès le début du délire, nous
au chiffre 3 me paraît devoir être si- gnalé. Son état de débilité mentale a été, d'un autre côté, constaté par M. Legrand
More] des délirants persécutés. Morel en 1860 (Traité des maladies mentales , p. -103 et suivantes) à propos du délire et de
étrangers à leur délire, il en est d'autres chez lesquels le niveau mental a notablement baissé, leur activité cérébrale s
i rapproche ces deux actes de paralytiques, c'est avant tout l'état mental , c'est le fond de démence sur lequel reposent t
ion graduelle de la paralysie ; pas d'atrophie; intégrité de la vie mentale , de la sensibilité, des fonctions vésico-rectales
par un docteur en médecine au procureur de la République sur l'état mental de la personne à placer dans un établissement d
in constate simplement que telle personne est atteinte d'aliénation mentale . Le rapport circonstancié devra in- diquer nota
ute personne majeure qui, ayant conscience de son état d'aliénation mentale , demande à être placée dans un établissement d'
ls sont surtout excellents pour les malheureux atteints de maladies mentales . Et vous empêchez ces voyages... A gauche. Pas
plus complexes et les plus variés de la dégénérescence physique et mentale . Malgré cela, les résultats obtenus dans les hô
de ce genre fondé eu Portugal, de même que le cours de pathologie mentale et nerveuse, créé il y a deux ans à l'asile d'ali
ique de l'électricité dans les maladies rhu- matismales, nerveuses, mentales , etc. Volume iu-8° de 99 pages. Paris, 1887. Ch
Librairie 0. Berthier. SCIIULI (H.). - Traité clinique des maladies mentales , 3e éclitioll (1886). Traduite par les docteurs
re in-S° de 38 pages. 1\ew-York, 1886. Journal of ? t6 ? 't)o;M and mental diseases. SOARES de Souza. Escudo clinico da at
73 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
ivrés à l'onanisme que les idiots et les enfants atteints de débilité mentale se mettent à se ronger les ongles. M. Jules Voisi
le. nue occupation néressilanl l'emploi des deux mains interrompait mentale des enfants vicieux ou dégénérés. (Comptes rendus
gueur. Les séances suivantes ont été consacrées â modifier son état mental , qui s'est prompleinenl amélioré. Il est actuelle
rtes en bas âge. La dégénérescence est plus accentuée au point de vue mental qu'au point de vue physique. Elle est grande el d
estion, que cette enfant croit ce qu'elle dit. en un mot que son étal mental est anormal. On pourrait I assimiler aux « anim
essé la liste de présentation pour la chaire de clinique des maladies mentales , vacante par suite du décès de M. le professeur B
d'hui accepté par l'École de Nancy. J.Delebœuf. Congres de médecine mentale . "Session dc La Kochclle. aoùl Mardi Ier août.
salle haute de la Bourse. Des aulo-iiitoxicatioiis dans les maladies mentales . — Séance de 2 h. à 6 h. du soir. Des auto-intoxi
ance de 2 h. à 6 h. du soir. Des auto-intoxications dans les maladies mentales . A 6 h., visile des tours de La Roehelle. Récepti
ulîquc, de la clairvoyance à travers les corps opaques. de suggestion mentale à distance. M. le professeur Poucliet a pensé qu'
la maladie sur son terrain de dégénérescence, héréditaire. Troubles mentaux traites avec succes par la suggestion Par M. le
attaques ont continué et elles se compliquèrent de troubles moraux et mentaux consistant en aversion pour la mère et la grand m
'expression de tristesse qui trahit la forme lypémaniaque de son état mental . L'examen physique ne- montre aucune irrégulari
ences naturelles d'affections du ressort de la pathologie nerveuse ou mentale . Quoi qu'il en soit, le nom du docteur Charcot
pensée i deux pôles différents, lorsqu'on esl dans celle indilTéreneo mentale de faire plutôt une chose qu'une antre, ainsi, qu
squelles ressemblent aux rêves oubliés d'un court sommeil: le travail mental , émotif ou non. qu'on ne saisit pas dans son déve
en voie de formation et de développement, par une représentation mentale analogue â celle qui crée les liallucina lions de
ttention, c'est celui qui a rapport a la vivacité des représentations mentales , entre autres. Il y a des personnes qui. étant év
u ces résultats au point de vue physique, j'essayai d'agir sur l'état mental , ce que je trouvai bien plus dillicile. Quoiqu'el
ne vigueur exceptionnelles, la toux semblait dater d'un grave trouble mental survenu trois ans auparavant. Cela avait beaucoup
hystérique. Demande de dommages-intérêts. (The Journal nf Kereons and Mental Diseases. 1er janvier 1893. p. 13 ù 27.) BRUGIA
venu à l'esprit de personne de faire examiner M. X... au point de vue mental ; en admettant qu'un médecin ait été commis, cert
celui-ei. dans lesquels le crime n'est que le symptôme de l'affection mentale ; on croit punir un coupable ; on frappe nu malad
a justice a frappé un innocent et a puni un premier acte d'aliénation mentale , on a vengé la société lorsqu'il fallait seulemen
établissement d'abord et aussi pour éviter les accidents que son état mental pourrait occasionner ». Au montent de quitter s
e présence dans la maison de santé, ne donne aucun signe d'aliénation mentale : aucune crise de colère ne survient; parfois lors
té condamné à une peine des plus graves. Mais si l'examen de son état mental par un médecin allénïstc avait été ordonné, on au
roles que, dans des rêves, l'on m'a adressées, ont été parfois toutes mentales et n'ont été entendues par moi qu'avec les oreill
ie. REVUE BIBLIOGRAPHIQUE L'Idiotie, hérédité et dégénérescence mentale , psychologie et éducation de l'idiot. par le Dr j
ité morbide en particulier, ainsi que les causes de la dégénérescence mentale dont l'Idiotie est le dernier degré. Choisissan
d d'une famille dont aucun membre n'a soufiert de maladie nerveuse ni mentale . Il jouît dune santé parfaite. Un jour, entrant d
ents, etc. Mais ce qu'il importe surtout d'examiner, c'est V cl fit mental de ces malades. Constamment obsédés par le besoin
. Qu'il s'agisse d'hystérie, d'épilepsie, de neurasthenie.de maladies mentales ou de diabète, la proportion d'israélites atteint
des, leur démarche sont typiques. On ne prendra pas non plus l'état mental des névropathes errants pour une manifestation de
u l'agent exclusif cl nécessaire de toutes ses activités physiques et mentales . Abandonné â lui-même il est absolument privé d
influence souveraîno de l'hypnotiseur diriger l'exercice des facultés mentales de son sujet avec une autorité telle qu'il pourra
dans lequel le malade accomplît avec une grande activité physique et mentale des actes plus ou moins en désaccord avec son car
s voit l'un comme l'autre développer une somme d'activité physique et mentale souvent fort remarquable et agir dans leurs combi
— M. Gilbert Ballet reprendra ses leçons cliniques sur la pathologie mentale et nerveuse, â l'hôpital Saint-Antoine, le dimanc
s et A. ChevalieR-LaVaure. — Des Auto-intoxieations dan» les maladies mentales (Session de la Rochelle. 1993). — Us rolurac in-4
ouvoir traduire d'une façon physiologique ment intelligible les actes mentaux conscients ou inconscients. Je m'étais proposé
d'action, nous ne pouvons rien trouver de plus qu'une représentation mentale de l'acte suivie de son accomplissement,— une tra
e positif qui constitue l'accomplissement de l'acte en tant qu'il est mental ... Ce qui fait voir clairement que la volonté e
... La même volition qui gouverne l'œil du corps peut gouverner l'œil mental , parce que l'œil mental n'est encore que l'o-il d
gouverne l'œil du corps peut gouverner l'œil mental, parce que l'œil mental n'est encore que l'o-il du corps » (1). — Il est
ois et demi après son entrée, à peu près débarrassée de son affection mentale , mais pour redevenir ensuite la proie de crises n
-physiologie. Asile clinique (Sainte-Aune). — Maladies nerveuses et mentales . — M. Magnan : Amphithéâtre de l'Admission, les m
iverses psychoses. Asili clinique. — Cours de cliniqur des maladies mentales et des maladies de l'encéphale. — M. le professeu
credis : interrogatoire des malades. Un cours élémentaire de médecine mentale en quinze leçons sera fait par M. le Dr I'actet,
e Dr I'actet, chef de clinique. Hôpital Saist-Astoise. — Pathologie mentale et nerveuse. — M. Gilbert Ballet a repris ses leç
. — M. Gilbert Ballet a repris ses leçons cliniques sur la pathologie mentale et nerveuse, à l'hôpital Saint-Antoine, le dimanc
— M. le D' Ricis est chargé, pour l'nonée 1891. du cours des maladies mentales près la Faculté de Bordeaux. OUVRAGES REÇUS A
sique (broch. in-4°. 27 pages. Montpellier. 1893). Paul blocq— Etat mental dans l'hystérie (broeh. in-8», 30 pages. Paris, 1
de tout ce qui la précède, c'est-à-dire réduite à une représentation mentale d'un acte, à une tendance motrice. Que cette repr
e propriété impulsive. Ce n'est pas une simple image, c'est une image mentale prédominante, et ce n'est pas seulement une image
conditions, un tel degré d'intensité, qu'ils conGncnt à l'aliénation mentale . Malgré leur gravité. M. C... serait cependant
s, il jouit de la plénitude de ses facultés. L'émotivité. le désordre mental u'apparaissent que lorsqu'il est expoté â s'avent
ection. Il est difficile de considérer comme un symptôme d'aliénation mentale des sensations normales et qui ne sont accompagné
rieur, mais à moins d'avoir une connaissance approfondie des maladies mentales nul ne peut être sûr quis dans le récit des faits
s, peuvent faussement témoigner contre eux-mêmes. Lorsque l'affection mentale est bien caractérisée, il est on général facile d
ours de certains paroxvsmes psychiques relevant île la dégénérescence mentale acquise ou héréditaire. Certains congestifs, cert
d'un acte, d'une volonté, a pour cause l'originalité des combinaisons mentales antécédentes à la volonté. M. Ribot a insisté s
la valeur qu'ils ont pu avoir dans l'individu d'après sa constitution mentale et les circonstances existantes nu moment donné.
t les circonstances existantes nu moment donné. El celte constitution mentale représente à la fois la valeur intellectuelle et
n ou la volonté esl donc l'expression synthétique d'une individualité mentale à un certain moment. C'est pourquoi l'on attache
ses volontés dans le déterminisme desquelles sont entrées les images mentales qu'il possède selon leurs qualités, leurs associa
, qu'elle constitue un résultat, un effet ultime et non pas une cause mentale , l'hysiologiquc-ment cela signifie qu'une volonté
isme et de la suggestion dans le traitement des maladies nerveuses et mentales . INDEX BIBLIOGRAPHIQUE INTERNATIONAL Nous inv
s aflirmer que certains cerveaux fragiles, prédisposés à l'aliénation mentale ne puissent recevoir de ces expériences : ino
nes espèces de crimes, ressortissant sans nul conteste » l'aliénation mentale , il ne puisse intervenir, comme en d'autre» névro
luencent réciproquement), presque toujours la transmission du trouble mental s'effectue d'un sujet à un parent plus ou moins p
sme et de la suggestion dans le traitement tics maladies nerveuses et mentales . Facclte de .medecine de Paris — M. Itayiunnd v
de celles que M. Pierre Janet a exprimées dans ses études sur l'état mental des hystériques, disait notamment : « En me bas
ique est appelée à rendre dans le traitement de maladies nerveuses et mentales . M. Bcncdickt, do Vienne, dont on connaît l'espri
apport étroit qu'il y a entre cet état d'esprit et certaines maladies mentales . Il est possible qu'après cette enquête littérair
ns les plus variées et les plus inattendues. C'est donc la pathologie mentale qu'il a d'abord interrogée. M. Godfernaux a ens
c de lièvre simple et congénital, monorchidéc, hypoxpadyas. Le calcul mental est impossible. Il n'a jamais subi aucune maladie
grès de l'Association française à Besançon, 61. Congrès de médecine mentale , 28. Contagion du meurtre (la), par Paul Aubry.
bles du caractère, traités par suggestion, 12, 13, 15. Troubles mentaux traités avec succès par la suggestion, par A. Voi
74 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
Ste-Anne, avec le certificat d'admission suivant : « Dégénérescence mentale avec hallucinations, troubles de la sensibilité g
t, tantôt dans le gauche, au niveau du bras ou de la a main. Etat mental . - A cette époque la malade présente des troubles
des troubles psychiques sans grande gravité, exagération d'un état mental habituel : loquacité, instabi- lité d'humeur. A
BSERVATION clinique. - Pas d'antécédents héréditaires. Déséquilibre mental habituel. A l'âge de 44 ans, début d'une atrophie
rmiques. Notons en passant que cette malade présentait des troubles mentaux et que les cas de Dide (12) et celui de Dupré (
la Salpêtrière, p. 347, 1903. 13. DupKÊ. In Traité de pathologie mentale de Ballet. r. 14. SICARD et Lwl(3N&L-LAVAST
lorsqu'on appuie sur les paupières. La malade atteinte de débilité mentale , et internée dès l'âge de 10 ans, com- prend ce
petit à petit et depuis 1904 s'est complètement généralisée. L'état mental de la malade ne permet point de connaître les s
nnent des vomissements bilieux ; le 3le jour, même état corporel et mental ,et vers lesoir,strabisme droit et coma. Le 35°jou
ee août 1906 avec le diagnostic porté par M. le Dr Dupré : Débilité mentale avec arrêt général du développement de l'organism
laires sont forts. La voix est aiguè et en fausset. Au point de vue mental , B... est également un enfant aux notions très
s pour faire la part exacte des genèses exotoxiques de l'aliénation mentale de ces po- pulations. En Egypte, la culture e
rme galopante sub- fébrile peut s'observer, mais aussi la confusion mentale onirique peut passer l'état chronique ; une sys
rend et sa tolé- rance de la dose absorbée. « A mesure que l'état mental du malade s'améliore, il est interrogé à nouvea
l'esprit, mais l'usage excessif indique et accroît l'ins- tabilité mentale ; il tend à affaiblir l'esprit; il peut même condu
la monographie de Kiuus dans ['Encyclopédie de Nothnagel. TROUBLES MENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR PAR S. WLAD
n (environ 52.000 hommes, y compris les marins) 42 cas d'aliénation mentale pou- vant se répartir de la manière suivante :
s entre le 27 janvier et le 13 mai n'a donné que 3 cas d'aliénation mentale . Mais quand l'ennemi cerna la forteresse de tou
et l'épuisement du système nerveux atteignit son apogée. TROUBLES MENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 341 Nos soldats
ed de la colline. Pendant deux semaines il souffrit d'une confusion mentale aiguë. Certains aliénés ont pu nous fournir des
tion, elles peuvent se répartir de la manière suivante : TROUBLES MENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 343 344 WLADYCZ
le saison aidant, 3 d'entre eux, précisément ceux dont la confusion mentale (Amentia Mey- nerti) avait pour base le scorbut
absolue au travail. Dans deux cas, nous observâmes une con- fusion mentale de courte durée. Un examen découvrit dans tous le
osphère cessa d'être ébranlée par le (1) A. Ozeretskowsky, Troubles mentaux causés par la guerre russo-japonaise, pen- dant
née, Journal de médecine militaire (Russe), 1905, livre X. TROUBLES MENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 345 bruit du ca
(paranoia) ; outre cela, dans deux, des manifestations de confusion mentale (dysnoia Korsakowi-amentia Meynerti). Le début
s avons remarquée n'était accompagnée ni de délire, ni de confusion mentale . Chez l'un de ces malades nous observâmes des i
rte qu'un résumé sommaire nous donne dans 22 cas sur 38 un TROUBLES MENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 347 brusque cha
4 ou 5 jours à l'hôpital. Dans un cas nous remarquâmes la confusion mentale , dans l'autre un état dépressif fortement accus
les accès partiels de cette maladie. Outre les 37 cas d'aliénation mentale cités précédemment rencontrés parmi les soldats
ne l'eut-on dé- sarmé qu'il fut tué par un éclat d'obus. TROUBLES MENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 349 20 cas. Pen
u canon cessait de retentir. Parmi les sujets atteints de confusion mentale (Amentia Meynerti- Dysnoia Korsakowi) les uns n
ocessus psy- chique, parfois, presque jusqu'à l'arrêt de l'activité mentale . Plus le mal de mer était violent, plus l'aggra
ence de la pleine mer et du roulis sur certaines formes de maladies mentales . Kiff, 1906, p. 144. 352 WLADYCZKO Chez les s
née, sur ce nombre une quarantaine de cas compliqués d'a- liénation mentale sont ensuite évacués sur l'asile d'Abbassieh où j
ées et diarrhées, etc.). Nous nous restreindrons aux particularités mentales et nerveuses, dont les manifestations sont géné
stituer à eux par une sorte de suppléance en certains cas. L'état mental de ces malades se caractérise généralement après
phobie et hyper- thermo-esthésie cutanée douloureuse). La torpeur mentale s'accompagne d'amnésie et de spasmes allant jus-
istique.Elle restait immobile, ou presque, présentait une confusion mentale à peu près complète, reconnaissant à peine le lie
sez difficile, si la malade avait été moins âgée et si les troubles mentaux et sphintériens ayaient été moins accentués. La p
bre 1899 à la suite d'une ordonnance de non-lieu basée sur son état mental . Il est le huitième de douze enfants dont un seul
à la boisson, la grand'mère du même côté a versé dans l'aliénation mentale . L'instruction et l'éducation de C... sont null
ainsi que Cousin attribue à la tare nerveuse du père (alcoolique et mental ensuite), et aux vives émotions consécutives de l
) DEGANELLO, Un caso di porencefalia. Rivista di patologia nervosa et mentale , vol. V, rase. 5, p. 193, mai 1900 lExam. Iiist
l'âge de 25 ans, à l'hospice de Bicêtre pour épilepsie et débilité mentale ; les attaques convulsives, graves et. fréquen-
a Salpêtrière. T. XX. PI. LXXXVIII A B C D E TORTICOLIS MENTAL DE BRISSAUD (Sicard et Descomps) A. B. Attitu
DE NEUROLOGIE DE PARIS - (SÉANCE DU 5 DÉCEMBRE 1907.) TORTICOLIS MENTAL DE BRISSAUD. INSUCCÈS DU TRAITEMENT CHIRURGICAL
me singulier que M. Brissaud a dé- crit sous le nom de « torticolis mental ? Le malade, M. B..., âgé de 44 ans, a vu son a
un fait capital, qui permet d'affirmer le diagnostic de torticolis mental et qui le différencie des autres tics rotatoire
ventions ni que rage opératoire ». LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL (HISTOIRE clinique ET thérapeutique). PAR H
que M. Brissaud prononça pour la première fois le nom de torticolis mental . On a critiqué cette dénomination, discuté sur
sa longueur même réside, je crois, son intérêt. C'est un torticolis mental observé pendant six années, très amélioré d'abord
singulier, qui bientôt s'aggrava. C'était le début d'un torticolis mental . Le premier symptôme qui l'ait frappé fut le su
pose fréquemment quand on recherche les prodro- mes d'un torticolis mental . Il est certain qu'au commencement la rotation
ert alors une dureté extrême et pré- LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 465 sente un renflement fusiforme dans son tier
vement de rotation irré- sistible. LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 467 Dans la rue, les mouvements s'exagèrent enc
fort est nécessaire pour déterminer sa contraction. Au point de vue mental , Taurone ne présente aucune anomalie, pas même
mistes. Il connaît presque tout ce qu'on a publié sur le torticolis mental . Il a reconnu dans' les descriptions les'signes
rritatif particulier de la substance LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 469 nerveuse cérébrale. Et il faut bien conveni
examen prolongé n'a pas permis de constater la moindre défectuosité mentale , hormis une disposition peut être exagérée à l'in
i, Taurone opère tout autrement : au LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 471. lieu de contracter volontairement le stern
t devenue souple et blanche, elle est même un peu ridée. ` L'état mental est excellent. Le malade poursuit son traitement
ne conserve que difficilement LES PÉIiIPI : '1'IGS D'UN TORTICOLIS MENTAL 473 la position correcte dans l'immobilité; mai
du trapèze, surtout lorsqu'il fait des mouvements de bras. L'état mental de Taurone s'est aussi modifiée ; il est de moins
observations anté- rieures. Enfin, puisqu'il s'agit de torticolis mental , n'est-ce pas un récit fait par le patient lui-
ur mon sort et de dissimuler tout le LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 475 chagrin qu'elle en éprouve. Les victoires q
ce dont les effets seront durables. Le malade atteint de torticolis mental a besoin d'être éclairé sur son affection, et n
t souvent ingrat. » Remarques. 1° Les sujets atteints de torticolis mental ont ceci de commun avec les tiqueurs qu'ils ne
interventions psychiques est en faveur de l'existence d'un facteur mental dans l'affection. 3 février 1903. 1° « Je trave
ne plus à droite comme au début ; en LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL l ! ·11 même temps qu'elle tourne à gauche elle
tes usuels (repas, écriture, etc.). 1 4° Au cours d'un torticolis mental suivi pendant plusieurs mois, il est fréquent d
trop violente pour que je puisse la LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 47') réfréner ? Ou bien suis-je victime de l'en
peu (le journal, par exemple) en po- LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 481 sition complètement incorrecte. Faut-il que
, pour me distraire un peu ; je m'é- LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 483 tais même risqué à prendre la parole et je
us douloureuse que j'ai traversée. LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 485 . REMARQUES, - Voici un exemple d'une crise
t vers la guérison. Elles sont enfin un reflet très clair de l'état mental dé Taurone. 21 juin 1903. -'Vous m'avez deman
de mouvements pendant les exercices. LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 487 Comme vous le savez, je suis depuis le 22 j
avoir conservé une bonne position, , LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 489 je m'aperçois souvent en me regardant dans
uemment associés au torticolis ; les LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 491 uns résultent de compressions laryngées, pa
Voilà exactement un mois que je vous LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 493 ai envoyé mon précédent bulletin ; je suis
est définitivement constitué, il pa- LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 495 raît s'être créé un système psycho-moteur (
es à 10 h. 1/2, lecture et écriture. LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 497 De 10 h. 1/2 ou 10 h. 45 à midi, 26 exercic
pécimen d'écriture. 2 novembre 1903. LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 499 7° Il en est de même pour la lecture, et j'
° Bon exemple de l'emploi du temps dans le traitement du torticolis mental . 3° Dans les crises violentes, les muscles de l
s'exagérant. 5° Il est fréquent d'observer au cours d'un torticolis mental , que les meilleures journées succèdent à de moi
prolongée à droite, pour, de retour LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 501 au centre, trouver l'attitude correcte, et
ège. 5° 11 est souvent impossible de trouver une cause, physique ou mentale , aux rechutes. Après tant de tribulations, vo
rendre les mouvements de rééducation restaient vaines; le phénomène mental qui avait fait du miroir un auxiliaire précieux
e, puis diminuaient d'intensité. - LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 503 Vers le commencement de janvier, je pouvais
ntraînant jamais de torticolis », s'observe au déclin du torticolis mental . 24 octobre 1904. - 1° La quasi-guérison que je
Il ne faut jamais prédire l'avenir d'un sujet atteint de torticolis mental . Si l'on ne peut lui promettre formellement la gu
, souvent plus enfant que ne le com- LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 507 porterait son âge, manquant surtout d'atten
is aurait été la première manifestation au moins sensible de l'état mental que cette affection comporte, et cet état aurait
nvulsifs. Taurone est désormais guéri de son torticolis. Son état mental est excellent. Il est, à juste titre, satisfait d
fants. Précaution judicieuse, encore que les exemples de torticolis mental héréditaire soient tout à fait exceptionnels.
ni nel nucleo del faciale nell'uomo. Hivista di patologia nervosa e mentale , 1904. 16. 110TELaW'SKI. - Zur Lehre vnn Kern d
eo di origine del faciale superiore. Rivista di Patologia nervosa e mentale . Vol. XI, 1906, p. 523 28. Nagel (W. A.). - Ueb
t insuffisance diastematique, 238. Descomps et SICARD. Torticolis mental de Brissaud. Insuccès du traitement chi- rurg
es Arabes, 353. Meige (Henry). Les péripéties d'un tortico- lis mental , 461. Muge (HENRY). Une révolution anatomique
rocéphale épileptique(4 pl.), 423. SICARD et Descomps. Torticolis mental de Brissaud. Insuccès du traitement chirur- g
phie mammaire illustré par Horace Vemrt, 41R. Wladyczko. Troubles mentaux pendant le sieye d ' Port-Arlhur, 340. ZALPLA
par Horace VPrnet (1 pl.), par L. HAHN et WICIOERSHEBIER), 418. Mentaux (troubles) pendant le siège de ('or-l-Artltrrr,
Topographe cet-ebial (3 6g.), parRosso- LINIO, 431. TOI.a. ol" mental (les péripéties d'un). Histuire clinique et thé
nique et thérapeutique (3 fig.), par HENHY Meige, 461. Torticolis mental de B, issaetd, Irzsrtccès du traitement chirurg
ophiques intenses (RAY- MOND et Lejonne), XLVIII à LI. Torticolis mental de Brissaud (Sicard et Descomps), LXXXVIII. T
75 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
issant tous mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur en Chef : Docteur Edgar
ée, peut rondre d'importants services dans le traitement des maladies mentales et de Taxe cérébro-spinale. Comme l'opium, c'est
ion Bambuteau. à la Salpétrière, une série de leçons sur les maladies mentales et nerveuses. Dans la seconde leçon. M- Auguste
p. 226) Rosse. — « Triple personnalité . (The Journal of nervous and mental disease, mars 1892.) L'Admimistrateur-Gérant
un simple cas d'hypnotisme. La dissociation des différents processus mentaux , dont l'ensemble constitue l'intelligence, aurait
les ouvrages actuels relatif a la localisation du centre de la vision mentale , il aurait percuté la région du lobe occipital —e
abilité réflexe du système nerveux, parlant un état de suggestibilité mentale plus ou moins intense, allant jusqu'à l'automatis
ès de la suggestion dépend, directement, de l'intensité des processus mentaux provoqués ou évoqués, et, indirectement, de l'abs
esprit, a éprouvé, à la suite de visites faites chez P..., un trouble mental tel qu'elle a du être internée dans un asile d'al
ues, il était possible d'agir par le seul regard ou par la suggestion mentale sur certains sujets; que même de tels procédés, l
omme définitive. Observation VI. — Hystérie, alcoolisme, aliénation mentale . Amélioration par l'emploi de l'hypnotisme au moy
s cinq ans, n'avant jamais eu d'enfants. Plusieurs cas d'aliénation mentale sont relevés dans sa famille. Plusieurs crises
s de toute suggestion. Ainsi, dans certaines périodes de l'aliénation mentale , où l'on ne peut rien tenter pour rétablir l'équi
otrices et rendre aux malades une certaine dose d'énergie physique et mentale , par le calme et le repos que leur procurera le s
rtificiel. Quelquefois, comme dans la plupart des cas de pathologie mentale , on devra se borner à faire disparaître certains
troubles génitaux, répugnance marquée pour l'acte sexuel, etc. État mental avec toutes ses bizarreries. Tous les symptômes
n aussi propre que possible a renseigner sur les caractères de l'état mental et physiqne des aliénés et des criminels, et de f
nécessaires à l'étude scientifique des différents types d'aberrations mentales ou morales. Parmi les objets de la collection, on
utique qui ne serait pas basée sur l'observation rigoureuse de l'état mental du malade, sera vouée a l'impuissance. Ce qui c
té de substituer la cocaïne à la morphine, elle fut prise do troubles mentaux assez graves, et surtout d'hallucinations. Elle e
ingt-six ans. vient a ma clinique se plaignant de troubles nerveux et mentaux assez graves : hallucinations, cauchemars, idées
é de la démorphinisation n'est nullement en rapport avec les troubles mentaux que présentent les malades, ni avec leur état de
indépendamment de l'opinion que nous pouvons en avoir, par suggestion mentale immédiate? Est-il sûr que la volonté d'un homme n
le jeudi 26 janvier, à dix heures et demie, une conférence sur l'Etat mental et physiologique des morphinomanes et des dypsoma
d'illumination de mes pupilles en vert. Mais, cette fois, un travail mental , s'opérant pour ainsi dire instantanément et mach
moi-même dans une prochaine note. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'ÉTAT MENTAL CHEZ LES HYSTÉRIQUES DÉNONCIATION DE CRIMES IMA
ie où il me fit demander, à onze heures du soir, pour examiner l'état mental de la fillette. Angélina interrogée par moi me
demande de notre rapport, et étant donné que l'appréciation de l'état mental exige souvent des examens répétés et une longue o
née ou des organes des sens, nous n'hésiterions pas à ranger cet état mental dans celui qui caractérise l'hystérie, mais il no
nous croyons autorisés à conclure : 1° Qu'au point de vue de l'élat mental , Angélina, sans pouvoir être rangée d'une façon a
teuse. CONCLUSIONS Nous nous trouvions donc en présence d'un état mental tout particulier et de manifestations intellectue
ur elle l'attention publique? M. le Dr Huchard (I) a fait de l'état mental des hystériques une étude très complète, et on tr
oubles physiques et confirmée par les seules manifestations de l'état mental . Assurément, ce genre d'hystérie est à suivre, et
lheureuses qui ne présentent encore de cette maladie que les troubles mentaux . D'un autre (1) Huchard. Archives de neurologie
e est agité par des grimaces incessantes. Le regard est atone. L'état mental en tel que les parents croient que leur fille est
passages suivants : « On observe, au Japon, une curieuse affection mentale accompagnée d'hallu-cinations internes et de dédo
hérapeutique suggestive et tes applications aux maladies nerveuses et mentales , à la chirurgie, à l'obstétrique et à la pédagogi
lbstmordversuchen. (Münch, med. Wochenseh., 6 sept ) — Des troubles mentaux coasécutifs aux tentatives de suicide. Schedtler
es d'un tempérament névropaihique excessif et d'une déséquilibrât ion mentale de» plus accentuées. Des grossesses nombreuses, d
server toutefois que les bienfaits de l'hypnotisme, dans les maladies mentales , sont dus à une action de l'esprit, non sur le co
bles. Toutefois, comme je m'étais déjà occupé avec succès de maladies mentales , je voulais bien entreprendre cette nouvelle cure
réalisation de mes prédictions optimistes. Tout en soignant son état mental , je régularisai ses fonctions menstruelles que je
re fois, en 1888, et cet état s'était récemment compliqué de troubles mentaux graves, consistant en mélancolie, idées délirante
ion et de fonctionnement avaient provoqué â leur suite des phénomènes mentaux lypenisniaques. Il est intéressant que la sugge
hérapeutique suggestive et ses applications aux maladies nerveuses et mentales , a la chirurgie, à l'obstétrique et a la pédagogi
ns les névropathies dans les alfocllons organiques, dans les maladies mentales . Un chapître est consacré à l'action anesthé-siqu
usse a altérer les sensations perçues. C'est une véritable aliénation mentale limitée aux perceptions de la sensibilité. C'est
nt commencé à la Salpêtrière leur cours sur les maladies nerveuses et mentales , le 21 Janvier, et le continuent le jeudi et le s
uivantes : 1° Pathologie : Des auto-intoxications dans les maladies mentales . — Rapporteurs : MM. Régis et Chevalier-Lavaure.
laigne. — Philippe pinet et sen œuvre, au point de vue de la médecine mentale . (Un volume in.-8°- de 176 pages. — Imprimeries
ske bogtrykkeri, 1892) Longbois. — Contribution à l'étude de l'état mental des hysteriques. (Une brochure in-8° de 25 pages.
ale se manifester deux jours après la délivrance (4). Si les maladies mentales sont moins fréquentes chez les animaux, c'est que
ux, 2 vol. in-8, 1839. — Lindsay. Madness In animals. (The Journal of mental Science. 1871-1872, p. 181); The Pathology of min
s l'histoire de la criminalité chez les animaux (2), et les épidémies mentales se rapportant surtout aux paniques qui se manifes
plus tard chez l'une des deux, remarquable en général par sa débilité mentale . La folie (1) Menus, Ueber paralytischen Blodsi
among horses. (The Veterinarian, 1871, t XLIV, 706, 777.) — Lindsay. Mental Epidémies among the lower animals. (The Journ. of
) — Lindsay. Mental Epidémies among the lower animals. (The Journ. of mental Science, 1871-1872, p. 425.) — Abadié. Panique ch
rinaire de Toulouse, 1887, t. II, p. 496.) (4) Romanes. L'évolution mentale chez les animaux, p. 223. communiquée est plus
née dans la région de l'épigastre, affaiblissement général, confusion mentale . La malade avait deux fois par jour des accès d
rmation du caractère de l'enfant et même sur le pouvoir de discipline mentale de l'adulte, ont presque échoué, vu la complexité
ait, pendant deux ans ( 1875-76), le cours complémentaire de maladies mentales , il fut nommé, le 18 avril 1877, à la chaire de p
s mentales, il fut nommé, le 18 avril 1877, à la chaire de pathologie mentale et des maladies de l'encéphale, qui venait d'être
e professeur Bail s'est consacré exclusivement à l'élude des maladies mentales . 11 a publié de nonbreux travaux de pathologie me
des maladies mentales. 11 a publié de nonbreux travaux de pathologie mentale . M. Bail laissera le souvenir d'un professeur élo
à l'Hôpital de la marine, à Brest (service des maladies nerveuses et mentales ) en juillet 1892, avec la note suivante : Prévenu
la personne de son enfant, envoyé à l'hôpital pour examen de son état mental , a eu hier une crise épileptiforme dans te bureau
. E... fut considéré comme un hystérique irresponsable, son affection mentale entraînant une obnubilation presque absolue du se
ce cas, de rechercher dans les antécédents héréditaires l'aliénation mentale et l'alcoolisme. Nus renseignements, difficiles à
. Il est permis de se demander s'il n'existe pas, chez elle, cet état mental particulier que Dufestel a signalé chez les jeune
oute avec délire du toucti't ». (Bulletin de la Societé de médecine mentale , de Belgique, 1893.) L'Administrateur-Gérant :
oisses par lesquelles elle a passé en voyant la déchéance physique et mentale de sa mère, elle cherchait à reconstituer dans so
M. le D' Charcot : leçons le mardi à 9 h. 1/2 Maladies nerveuses et mentales . MM. Joffroy et Jules Voisin : le jeudi et samedi
Voisin : le jeudi et samedi de chaque semaine, à 9 h. 45. Maladies mentales . M. Auguste Voisin, le dimanche, à dix heures du
s appréciations plus différentes au point de vue de la responsabilité mentale de l'accusé que celle de Valroff, le valet de cha
ce, MM. les Drs Fighiera, Moriez et Planai, avaient rédigé sur l'état mental de Valroff un rapport qui trahissait assez nettem
il est permis à on médecin de se faire une opinion précise sur l'état mental d'au accusé lorsqu'il a sous les yeux le rapport
ue simule pour cette raison qu'elle est hystérique. C'est dans l'état mental , qui résulte de sa maladie et qui eu est une des
u les menaces n'ont pour ainsi dire pas de prise sur celle aberration mentale . On peut donc dire, ce qui au premier abord peu
Voisin : le joudi et samedi de chaque semaine, à 9 h. 45. Maladies mentales . M. Auguste Voisin, le dimanche, à 10 heures du m
du système nerveux. M. Dejerine, le mercredi, à 10 heures. Maladies mentales . M. Charpentier, le mercredi, à 8 h. 1/2. Malad
de la présente année scolaire, d'un cours complémentaire des maladies mentales . Faculté de médecine de Paris. — La chaire de c
Faculté de médecine de Paris. — La chaire de clinique de pathologie mentale et des maladies de l'encéphale, à la Faculté de m
18, 378. Enseignement de l'hypnotisme à Bru- xelles (l'), 183. État mental chez les hystériques, 167. Exercice illégal de là
76 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
anter. De- puis il est devenu triste, morose; sauf cela, pas d'état mental particulier. On le voit, il y a d'eux états mor
IERE CONSIDÉRATIONS SUR LES ECCHYMOSES SPONTANEES ET SUR L'ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES Nous avons eu récemment l'occas
s haute importance et bien propres à jeter un grand jour sur l'état mental des hystériques que nous voudrions également él
un développement jusqu'alors inconnu et qu'en ce qui regarde l'état mental de l'hystérie masculine, nous aurons il tenir com
faire de l'hystérie J », M. Moëbius a nettement caractérisé l'état mental des hystériques, et, en 1889, M. Pierre Janet dan
contribution se bornera uniquement à combler cette lacune. L'état mental des hystériques femmes, en dehors des travaux de
xcès, remarquable par son esprit de duplicité, de mensonge, 1. Etat mental des héréditaires dégénérés. - Arch. de médecine,
médical, 1888, p. 1126, 11 Il. 3. Des rapports de la dégénérescence mentale et de l'hystérie. Th. Paris, 1883. h. Caractère
ntale et de l'hystérie. Th. Paris, 1883. h. Caractère, moeurs, état mental des hystériques. - Archives de neurologie, t. 111
t psychique de l'hysté- rique résume à peu près toute la pathologie mentale depuis le délire aigu le plus franc jusqu'à la
é il n'en est pas ainsi, et que, comme l'attaque d'hystérie, l'état mental hystérique a son déterminisme qui ne ressort pa
UÏËKE. de vésaniques, d'aliénés, d'épileptiques, etc. En pathologie mentale , c'est l'arbre héraldique le plus luxuriant qu'
ystérique pourra peut-être plus que tout autre, en dehors de l'état mental qui lui est propre, présenter les stigmates psy
est propre, présenter les stigmates psychiques de la dégénérescence mentale si bien mis en lumière par M. Magnan et ses élève
uelle inaugurée par les travaux de M. Charcot, ont écrit sur l'état mental des hystériques. Hystériques les voleuses dans
olie des antiviv'isectionnistes », autre stigmate de dégénérescence mentale , hystériques ces femmes à perversion sexuelle..
ions étiqueter les observations. A nous voir ainsi démembrer l'étal mental des hystériques, on pourra peut-être se demande
les stigmates psychiques les plus indéniables de la dégénérescence mentale ; puis nous avons également soumis à l'ob- serva
prodromes ne sont pas constitutifs, a proprement parler, de l'état mental des hystériques, ils appartiennent à l'attaque et
hez les hystériques à attaques, va singulièrement influencer l'état mental dans les intervalles des accès. Lorsque l'attaq
a pas moins impressionné le cerveau ; il a modifié à son gré l'état mental qui semble d'autant plus bizarre, heurté, que l'h
elle entraîne avec elle, et qui ont une si grande place dans l'état mental des hystériques, seraient d'une facile interpré
ainsi dire sans relâche et qui pèsent du plus fort poids sur l'état mental de l'hystérique. Nous voulons parler des cauche
de la vie journalière des hystériques et créent chez elles cet état mental versatile, inconstant, ou très décidé pendant un
grand, qu'à l'état de veille, ce sont de purs automates ; leur état mental est absolument identique à celui des somnambules
omnambule, je parle de faits journaliers qui se passent dans la vie mentale de ces esprits faibles. Lucie, en passant dans un
ilà comment, croyons-nons, il faut comprendre dans sa pureté l'état mental de l'hystérique, femme ou homme, adulte ou enfant
ons dit, peut se trouver associée à des stigmates de dégénérescence mentale . Après ce que nous avons exposé, la question se
: suggestibilité hystérique d'une part, stigmates de dégénérescence mentale de l'autre. De plus, il avait bien soin de fair
teur atteN,if pourra parfois, en constatant le changement de l'état mental d'un sujet, prédire, ou tout au moins prévoir, la
eurs. Telles sont les réflexions que nous inspire l'étude de l'état mental hystérique plus particulièrement peut-être étud
'isolement. A ce propos, il faut bien se garder de confondre l'état mental des jeunes hystériques avec celui de ces petits
peut éclore concur- remment avec les stigmates de la dégénérescence mentale . Chez eux l'hystérie peut guérir, mais ce qui n
erfs, mais ce qui domine, le fond immuable, c'est la dégénérescence mentale . Et pour- tant combien de ces cas ne sont-ils p
s étiquetés purement et simple- ment hystériques 1 - . V L'état mental de l'hystérique homme parait au premier abord d
al de l'hystérique homme parait au premier abord différer de l'état mental de l'hystérique femme. Il est cependant le même
comme nous l'avons* fait pour la femme, en étudiant d'abord l'état mental hystérique de l'homme, pur de tout mélange. Cet
l'état mental hystérique de l'homme, pur de tout mélange. Cet état mental existe : il est plus particulièrement l'apanage d
es convulsions. L'allure générale peut être dite efféminée, un étal mental commun faisant communs les états phy- siques. C
1. 68 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S \LP);1'RIEItE. dégénérescence mentale ne se met pas de la partie, beaucoup plus avare
le tableau tout entier, on y voit se dessiner à chaque ligne l'état mental de l'hystérique .homme, avec ses rêves si parti
stigmates, ses attaques, ses paralysies ou ses contractures. L'état mental ne se modifie guère, toutefois il s'accentue dans
t toujours du côté qui est le siège de l'hémianesthésiei. Et l'état mental de « l'hystéro-neurasthénique » se poursuit ain
, les asiles de nuit et les dépôts de mendicité. » Tel est'l'état mental , l'allure générale de l'hystérie masculine si s
'hydrargyrisme, et nous insistons sur ce terme pour dire que l'état mental , dans ce que l'on a appelé l'hystérie toxique,
la bonne raison qu'il n'y a pas deux variétés d'hystérie. L'état mental dans l'hystérie, ou mieux dans l'hystéro-neurasth
es affirmations dans une bouche aussi autorisée, et étudiant l'état mental des hystériques, il nous était absolument inter
rdit de ne pas entrer dans de semblables considérations. Cet état mental de l'hystéro-neurasthénie n'est pas absolument sp
ue, on le voit; rien ne se rapporte mieux aussi à la dégénérescence mentale dont les stigmates n'épargnent pas plus les hys
72 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ' déré au point de vue mental un peu différemment qu'on ne le faisait autrefo
pas en raison directe de son intensité. Aussi l'hystérie et l'état mental qu'elle comporte guérissent-ils dans la majorité
lus de même chez l'adulte où les modifications impri- mées à l'état mental par la névrose sont le plus souvent a tout jamais
que prend chez l'homme l'asso- ciation de la neurasthénie à l'état mental des hystériques. Gilles DE la TOURETTE, Anrie
lbaum, en 187, décrivit le premier une forme nouvelle d'affec- tion mentale qu'il désigna du nom de catatonie. Si les auteurs
upart, depuis cette époque, une place dans les traités des maladies mentales , on ne la connaît guère en France que depuis l'
e, n'était plus la même, mais rien cependant ne révélait de trouble mental . Bientôt, il ne donna plus de ses nouvelles. Il
e assure qu'il n'avait jamais souffert d'aucune maladie nerveuse ou mentale . Il était parfaitement sobre et n'avait jamais
e par M. Byrom l3ramwell°- chez deux individus affectés de troubles mentaux et le même auteur a observé la combinaison des
oculnr muscles, or ophthalmoplegia externa (Journal of nervous and mental diseuses, 1887, Iebruary, p. 65). 192 NOUVELLE
r muscles, or ophlhrilmo- plegia e.4lei-ia (Journal of' nervous and mental diseases, 1887, FelJ\'I1.l ? p. 05). 194 NOUVEL
iques (considérations sur les ecchymo- ses spontanées et sur l'état mental des - , par Gilles de la Tourette, 49 (Contri-
Facial et abducens (Paralysie du -), 34. Hystérie masculine (État mental et facies dans l'-), 8, 9. Mélancolie catalep
77 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
REVUE DOCUMENTAIRE ILLUSTRÉE - PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MALADIES MENTALES ET NERVEUSES , ¦-:-; Directeur : Docteur BERI
aine. Les conditions fondamentales de l'hypnotisme. Le consentement mental et le consentement organique par M. le Docteur
Bérillox professeur à l'Ecole de psychologie. I. — Le consentement mental Braid, dans son livre fameux, publié en 1841, s
plus d'une fois, et de la façon la plus évidente, que le consentement mental du sujet est la première des règles auxquelles il
défiance de l'hypnotisme. La facilité avec laquelle le consentement mental est accordé est et» rapport avec le développement
est ce qui arrive dans l'idiotie, dans l'imbécilité, dans la débilité mentale accentuée, dans les démences confirmées et aussi
I. — Le cossentemext organique Si le fait d'obtenir le consentement mental marque un pas vers la réussite de l'expérience d'
tion n'était pas douteuse. On l'observe chez presque tous les débiles mentaux et chez tous les aliénés atteints de démence, en
e U raideur permanente observée chez les névropathes, chez les débits mentaux , chez Les aliénés fait, depuis plus de quinze ans
oit pas plus fréquemment utilisée dans l'examen clinique des maladies mentales ou nerveuses. Notre communication d'aujourd'hui p
e ou chez son sujet, non seulement de la validité de son consentement mental , mais aussi de celle de son consentement organiqu
sile. La cure de l'alcoolisme par la suggestion exige le consentement mental du sujet. Les entêtés, les orgueilleux, les gens
les dipso-manes. Ceux-ci boivent par périodes ; ce sont des dégénérés mentaux . Devenus mélancoliques, déprimés, ils éprouvent l
j'ai laissé aux médecins le soin de décrire les ravages physiques et mentaux causés par l'homosexualité. La plume d'un Baudela
rouvent réunis, pour la majeure partie, des militaires ayant une tare mentale . Même chose absolument en ce qui concerne les é
'éducation chez les individus aussi avancés en âge et dont la formule mentale est déjà établie. Une chose surtout me parait imp
de réforme doit prononcer l'élimination des non-adaptables par tares mentales . Discussion D' Paul Joire. — L'hypnotisme éta
urtout arriver à ce que les individus faibles et atteints de débilité mentale ne soient pas les victimes de sujets pervertis. S
rises dans les établissements pénitentiaires, pour mettre les débiles mentaux à l'abri de pareilles tentatives. La thérapeu
première concerne l'onanisme, car l'onanisme, avec la représentation mentale de l'homme, fixe et consolide l'inversion. Par co
d'hiver 1908). rale des êtres humains les porte à éviter l'effort mental que nécessite toute application. Pour que l'hom
e nocturne d'urine. N. Onychophagie, tumeurs adénoïdes, arriération mentale , et ainsi de-suite. Et il s'agit ici seulement de
meil hypnotique a été suivi de syncope, d'hallucinations, de troubles mentaux ; d'autres où l'hypnotiseur inexpérimenté ne peut
longévité. Incidemment, il se demandait si et comment les impressions mentales peuvent réellement causer la mort. C'est cette qu
ègle, dans les manifestations plus ou moins conscientes de l'activité mentale au moment des grands cataclysmes. Ces troubles
personnalité. Ici le mal vient du cerveau ; il confine à l'aliénation mentale et sort par suite des limites assignées à cette é
tirent aucun profit par suite de leur instabilité ou de leur débilité mentale . Us se trouveront souvent fort bien d'un séjour d
à le détourner sur une autre piste. . Bans son livre sur YEcolution mentale citez les animaux. Romanes insiste sur l'intensit
est toujours accompagnée d'une amélioration très marquée dans l'état mental . L'instabilité, l'irascibilité dont font preuve
oluptueuses nées d'une impression olfactive produisent une impression mentale aussi profonde. (A suivre). Mort par émotion, i
ce qui tue, ce n'est pas, à ce qu'il semble, la simple représentation mentale ; la suggestion, quelle que soit sa forme, agit i
de phobie ou d'obsessions, pins de troubles de sensibilité, le niveau mental s'est relevé et la malade se sent de force à repr
vropathique, chez une scrupuleuse. Et. en effet, ce qui domine l'état mental de cette malade est le scrupule. C'est lui qui es
ide. Cette prédisposition névropathique, cet état de dégénérescence mentale est bien mis en lumière par l'analyse psychologiq
le début remonte à une vingtaine d'années, ce qui domine dans l'état mental de" la malade c'est une aboulie absolue, un senti
us être qu'une charge, qu'un embarras. La caractéristique de son état mental , tant dans la période de sa vie où elle était en
et qu'elle en arrive à ne plus aimer sinon à haïr les siens. Cet état mental se traduit objectivement au fur et à mesure que s
obie primitive, l'hydrophobie qui a été le premier symptôme d'un état mental défectueux et nous dirons alors que c'est là un d
tte idée ou bien si elle n'est elle-même qu'une conséquence d'un état mental originairement taré. Revenons k l'examen de notre
e son père. Ce n'est pas là une hallucination mais une représentation mentale inconsciente. Et elle pense alors que son père es
et à mesure que diminue la tension psychologique,que baisse le niveau mental , plus augmente l'anxiété, l'angoisse, la douleur
la diminution de la tension psychologique, de l'abaissement du niveau mental et au point de vue physique de l'excitation qui e
ette voie. Appelé plus tard par la Faculté à la chaire des maladies mentales , à l'asile Sainte-Anne, il se montra le digne suc
est en effet difficile de considérer comme un symptôme d'alié' nation mentale des sensations qui ne sont que l'exagération path
cation ultérieure de l'hypnose. Impuissance génitale par rumination mentale ; traitement psychologique et guérison. par ?.
soil*, par désœuvrement et aussi pour faire diversion à sa rumination mentale , il demande l'hospitalité à une professionnelle q
e de traumatisme psychique ; elle a été entretenue par une rumination mentale incessante ; elle a disparu en même temps que cet
s, je m'appliquerai à combattre chez lui la prédisposition au vertige mental . Séance du 15 décembre 1908. — Présidence de M.
que le père Jean présentait à un degré assez accentué la disposition mentale propre à certains dégénérés qui les porte à céder
'importance et les causes de la cruninalité ancillaire ; les maladies mentales et la responsabilité des sen-antes ; la criminali
té, masochisme, fétichisme, etc...) 2° L'hypnotisme et l'orthopédie mentale : Les enfants et les adolescents anormaux : retar
es samedis à cinq heures, à partir du samedi 16 janvier. Pathologie mentale appliquée aux religions. Dr Binet—Sàngle, profess
us entier désintéressement. Ses leçons cliniques sur l'aliénation mentale , sur les maladies nerveuses et sur l'éducation de
thologique, représentent les formes prodromiques de la dégénérescence mentale . « N'écoutez pas les sophistes, écrivait récemmen
te ; c'est sur elles qu'il se guide ; l'ordre de conducteur n'est pas mental , il est musculaire ; dès lors notre sujet est non
mais la grande majorité des maladies humaines comprennent un facteur mental aussi bien qu'un facteur physique et, par conséqu
i bien être envoyée à Paris ou à Rome qu'à la Côte-d'Azur. La tension mentale est soulagée aussitôt que la malade est éloignée
x. En effet, qu'est-ce que la neurasthénie au point de vue purement mental , sinon une maladie de la volonté et de la conscie
ications si précises sur l'intégrité des fonctions intellectuelles et mentales , que c'est par sa recherche que tout examen doit
ns à l'Ecole de Psychologie, j'ai étudié l'action des représentations mentales sur le mouvement, l'influence du geste sur la phy
ves of ethane and methane (ethyl-methylic suggestion), The Journal of mental pathology, ÏTew-Yorli, vol. V, u° 2-8, p. 61. — Ï
et Rev. de l'Hypn. sept. 1908, p. 67. — Impotenlia coeundi d'origine mentale , guérie par la suggestion éthyl-méthylique, Rer.
on dévouement. A son service de la Salpétrière, consacré aux maladies mentales et aux enfants arriérés, l'administration, confia
ilial qu'on diminuera la criminalité et le développement des maladies mentales . * Encore une fois : Merci. {Triple sa/re d'a
ne peut être que temporaire, et à la condition que le besoin du repos mental ne soit pas très grand. Une seconde preuve rési
ez le Dr Gota, ce psoriasis a suivi toutes les vicissitudes de l'état mental , dont, à chaque instant, il fut, en quelque sorte
on génitale. En 1901, à propos de l'influence de l'estomac sur l'état mental , je disais que ce n'était qu'à la faveur d'un sys
) : Considérations psychologiques sur la guérison d'nn cas d'anorexie mentale . M. QcnîQcr.. directeur de l'établissement médi
atlon de l'attention par la psychothérapie graphique chez les débiles mentaux . D1 Jnles Voisin : La déllnquence juvénile et l
es on a ajouté la psycbasténie. terme sous lequel on groupe des états mentaux indéfinissables, (aboulies, obsessions, doutes, s
pérées ces modifications des dispositions d'esprit, des tendances mentales , des habitudes qui constituent le fonds symptomat
l'étranger, des malades reviennent atteints d'une véritable ankylose mentale . Le séjour prolongé au lit qu'on leur a fait subi
e de réforme de la Salpétrière m'ont permis d'étudier au point de vue mental un grand nombre d'enfants délinquants ou criminel
parents de celles abandonnées après cet age, que le facteur hérédité mentale est le même dans les deux cas : mais, si la propo
être, et je puis ainsi me faire une opinion sur leur état physique et mental , sur leur degré de responsabilité, pourrais-je di
.T'ai ainsi noté que snr ces 474 enfanta. 226 présentaient une lésion mentale (soit 47,6 0/q), 38 une affection organique impor
tiques avec délire consécutif aux attaques, dont deux cas de débilité mentale ; 15 cas de débilité mentale ; 17 cas de dégé
ux attaques, dont deux cas de débilité mentale ; 15 cas de débilité mentale ; 17 cas de dégénérescence mentale avec, dans l
é mentale ; 15 cas de débilité mentale ; 17 cas de dégénérescence mentale avec, dans la plupart des cas. débilité et périod
25 indiscipline, soit 32 0/0. On les avait classées au point de vue mental de la manière suivante : 35 intelligentes, soit
rendre de bons services. Il est inutile d'insister sur les troubles mentaux variés des épileptiques et des hystériques. Ces n
t souvent méconnues, tant au point de vue physique qu'au point de vue mental . ? ne faut pas oublier non plus qu'une maladie
faut donc pas seulement lutter contre ces facteurs de dégénérescence mentale , la tuberculose. • la syphilis, et surtout l'ai-
st pas comme les autres ».que cet enfant soit examiné au point de vue mental , car la constatation d'une anomalie intellectuell
s psgcho-phgsiques éveillés par la détermination d'une représentation mentale . Le premier chapitre finit avec l'exposition de
ternelle sur un veau, p. 204. Impuissance génitale par rumination mentale , par Paul Farez. p. 204. Inversion sexuelle che
78 (1911) La pratique neurologique
ions pupillaires. Névroses, hystérie, épilepsie, certaines maladies mentales aux périodes d'excitation. Des alternatives de
ent pupillaire sont toujours un signe fâcheux au cours des maladies mentales . Dans l'accès d'épilepsie, il faut conclure il
s, on peut voir se développer un délire passager ou de la confusion mentale : le mode pathogenitptc est ici le même que dans
toute sensation brusque et momentanée d'anéantissement physique et mental , sans sensation illusoire de déplacement. DES
e pouvoir être aussi uniquement, psychique, dû Ù la surexcitahilité mentale et à la véritable astasie-abasie plus ou moins at
au contraire insomnie, troubles du caractère, l'aligne physique et mentale , enfin autres symptômes passagers de « claudicati
rtant sur le labyrinthe; lIitzig veut y voir une origine pure- ment mentale , un simple trouble de la conscience du moi, une e
blent être en réalité des vertiges arté- rio-scléreux. Le vertige mental de Lasèriuc est une sensation d'angoisse, violent
ifférent du vertige du ma) des mon- tagnes, est un vertige purement mental provoqué par la notion du danger il la vue d'un
faiblesse des jambes et troubles de l'équilibre, olJl7lllJillti(Ill mentale . Le tabagisme aigu provoque aussi des vertiges
ion systématisée, ou provenir d'une maladie strictement nerveuse ou mentale . Les fautes d'hygiène et d'alimentation, l'abus
seulement dans l'insomnie des neurasthéniques, des snr- menés, des mentaux en général. I'n.vruye XI : UR01.. 13 [MOUTIER
ossible chez le sourd. On observe dans un grand nombre d'affections mentales la bradylalie, la logorrhée, la verbigéraiion,
t de l'aliéna- [MOUTIER] ] 2111 LES TROUBLES DE LA PAROLE. lion mentale ; beaucoup sont commandés par les hallucinations d
e de simples causes mécaniques, elle peut être liée à des désordres mentaux . Liée à des obstacles mécaniques, l'agraphie to
a crampe des écrivains la détermine souvent encore. Les désordres mentaux s'opposant il l'acte d'écrire sont de deux ordr
ec leur plein développe- ment dans les diverses formes d'aliénation mentale . Nous reviendrons sur l'aphasie dans nn chapitr
s dictée. Les modifications de l'écriture portent dans l'aliénation mentale à la fois sur le contenant, c'est-à-dire sur la
ions de mots, les omissions de phrases, de la faiblesse du contrôle mental . Ces différents signes de déficit (oubli, autom
ce prééminente. 11 n'existe chez l'aphasique ni délire ni confusion mentale au sens des aliénistes; l'intelligence peut être
t, dans la parole spontanée. La lecture il haute voix et la lecture mentale sont abolies ou en tout cas fort limitées. Quel
et la jargonaphasie. parole répétée, lecture il haute voix, lecture mentale abolies ou très réduites, écriture spontanée, é
ion, de l'émission des mois représente toute la maladie. La lecture mentale , l'écriture, l'intelligence sont intactes. De t
un symptôme unique, l'impossibilité ou la difficulté de la lecture mentale (le trouble; de la lecture à haute voix étant s
brosse à dents et en saisit l'usage (absence d'agnosie), son étal, mental lui permet d'élaborer les raisonne- ments néces
la préparation puis à la réalisation de l'acte (absence de troubles mentaux ), il peut saisir la brosse et la manier correctem
rodromes, le mode de début, la marche et l'évolution de l'affection mentale actuelle. Nous ajouterons. d'ailleurs, qu'il ne
ils ont un affaiblissement intellectuel soit transitoire (confusion mentale ), soit permanent (démences) ; enfin, il est des m
ent spontanément (manie aiguë, délires hallu- cinatoires, confusion mentale délirante, paralysie générale, etc.). 11 faut é
soit, an contraire, qu'on ait méconnu un cas légitime d'aliénation mentale et déclaré sain d'esprit un sujet qui pourra êt
udier successivement les manifestations extérieures de l'aliénation mentale qui se traduisent dans le langage, la conduite et
du malade. Le mutisme par obnubilation s'observe dans la confusion mentale où le groupement des mots pour former des phras
excellent article de M. Séglas publié dans le Traité de pathologie mentale de M. Gn.m. : rr BALLET. LES TROUBLES DU LANGAG
ès importante, ils aident bien souvent au diagnostic des affections mentales . Certains psychopathes, comme les inventeurs, l
l'asémie des états de dépression, de la mélancolie, de la confusion mentale . Certains malades ont de l'asémie volontaire. L
sous le tableau synop- tique donné par Séglas (Traité de pathologie mentale de Gilbert Ballet, p. 168). Cette classificatio
qu'on en voi dans la stupidité, la stupeur cérébrale, la confusion mentale . Dans ces différents états pseudo-démentiels, q
eur cérébrale. ' 11 faut distinguer aussi la démence de la débilité mentale , de l'ioabécil- lité, de l'idiotie qui sont des
es toxiques et infectieux, le délire halluci- natoire, la confusion mentale hallucinatoire, dans les délires mystiques, dan
conscience; le malade, qui a conservé la plénitude de ses facultés mentales , lutte contre elle, inutilement d'ailleurs le plu
i auto-accusateurs. Les idées d auto-accusation dans la confusion mentale il forme déli- mnte sont la résultante de l'aut
s le délire alcoolique aigu, délire hallucina- toire avec confusion mentale , les idées d'auto-accusation sont inconstantes,
sécution ont fréquemment l'aspect de la jalousie. Dans la confusion mentale les idées de persécution sont peu impor- tantes
ique chronique, elles sont vagues et impré- cises dans la confusion mentale délirante. Les idées hypochondriaques. Les idée
de gémissements, de plaintes monotones; elles évoluent sur un état mental démentiel. Chez les alcooliques chroniques les
s déterminées par des troubles de la cOEnestMsie. Dans la confusion mentale , les idées de négation assez fréquentes. LES ID
à d'éternelles souffrances. Les idées religieuses. « En pathologie mentale , le terme d'idées religieuses ou mystiques ne d
(Séglas.) . Les idées religieuses s'observent dans des affections mentales très différentes. Certains malades atteints d
es idées érotiques sont observées dans un grand nombre d'affections mentales . Elles sont fréquentes dans la phase initiale d
e dans la psychologie des persécuteurs THÉRAPEUTIQUE DES AFFECTIONS MENTALES . 247 amoureux qui poursuivent des personnes qui
té ils voient pour la première fois. ' THÉRAPEUTIQUE DES AFFECTIONS MENTALES Nous n'avons pas l'intention d'envisager dans t
leurs détails les multiples modalités du traitement des affections mentales ; notre but est d'indiquer les principales métho
les facteurs les plus importants dans l'étiologie des aftec- tions mentales : toutes les mesures qui tendront il diminuer la
s et des psychoses. La thérapeutique proprement dite des affections mentales comporte des moyens différents. [G. GUILLAIN]
aiguës, la manie, les délires infectieux et toxiques, la confusion mentale ; il ne convient pas aux cas de délires systémat
viter la dénutrition qui a une influence mauvaise sur les fonctions mentales . Les toxiques comme l'alcool seront proscrits.
hénomènes de congestion encéphalique;. THÉRAPEUTIQUE DES AFFECTIONS MENTALES . 249 La douche tiède il ;)2°, ;)1 ? 50° est séd
ATRIQUE. ; . .. Ergotinine : , , , . THÉRAPEUTIQUE DES AFFECTIONS MENTALES . 251 252 SÉMIOLOGIE PSYCHIATRIQUE. tique. L'i
d'hallucinations; aux malades qui ter- minent un accès de confusion mentale on fera comprendre qu ils ont eu une maladie sé
maladies ne pourront recevoir les personnes atteintes d'aliénation mentale , à moins qu'elles ne soient placées dans un loc
ux aliénés, ne pourront recevoir une personne atteinte d'aliénation mentale , s'il ne leur est remis : 1° Une demande d'admi
ement d'interdiction. 2° Un certificat du médecin constatait l'état mental de la personne à placer, et indiquant les parti
personne désignée dans ce bulletin, -il l'elfel de constater son étal mental et d'en faire rapport sur-le-champ, Il pourra a
tre, au moins tous les mois, les chan- gements survenus dans l'état mental de chaque malade. Ce registre constatera éga- l
. Néanmoins, si le médecin de rétablissement, est d'avis que l'étal mental du malade pourrait compromettre l'ordre; public
et la résidence des personnes qui auront retiré le malade, son état mental au moment de sa sortie, et, autant que possible,
communes, ordonneront il l'égard des personnes atteintes d'aliénation mentale , toutes les mesures provisoires nécessaires, 1\
s dont le placement aura été volontaire'et dans le cas où leur état mental pourrait compromettre l'ordre public ou la sûreté
département ou avec lequel il aura traité. Les aliénés dont l'état mental ne compromettrait point l'ordre public ou la sûre
ontaires. L'admission du malade (tout individu atteint d'aliénation mentale quelle qu'en soit la l'orme) est demandée par u
le certificat médical. Le certificat médical doit spécifier l'état mental , les troubles psychiques de l'aliéné ainsi que
prénoms, état civil, profession, domicile) est atteint d'aliénation mentale . Cette aITection, qui remonte environ à se caract
aire à un caractère irritable, rageur, entêté. - . : i° Instabilité mentale ou débilité mentale. Elle est' caractérisée par
irritable, rageur, entêté. - . : i° Instabilité mentale ou débilité mentale . Elle est' caractérisée par la mobilité physiqu
choI11que peut subir des poussées ultérieures qui aggravent l'état mental et peuvent conduire l'enfant à la mort. La po
édents héréditaires une affection .du système nerveux, l'aliénation mentale , l'épilepsie, etc. L'alcoolisme, après l'hérédité
sieurs années. Les. crises peuvent se multiplier, et l'a déchéance, mentale du sujet s'accentue. - .. Hoffmann (Deutsche Ze
Une autre complication consiste dans la progression de l'aliénation mentale qui entraîne les impulsions, les perversions, etc
ébranlée, pour la première fois en 1901, par les recherches expéri- mentales de Grùnbaum et Sherrington sur les singes anthrop
En résumé, nous voyons que. jusqua présent, ni la méthode expéri- mentale , ni la méthode analoino-cliniepie ne nous permett
is l'exécution de ce mouvement serait précédée de sa représentation mentale . La sensation périphérique subjective de la con
les névroses, et se rencontrent dans les psychonevroses : confusion mentale , hypocondrie, etc. VII. - TROUBLES DES SENSIBIL
de l'aura sensitive. Enfin, on les observe fréquemment en médecine mentale , dans les hallucinations et les illusions, prin
un groupe de sensations subjectives qui sont à la base de notre vie mentale : .ce sont les sensations dites internes, partant
névroses ou psychoné- vroses. Mais c'est surtout'dans les maladies mentales qu'elles acquièrent, une réelle importance. L
ation de la faim qui est tan- tôt diminuée, tantôt abolie (anorexie mentale ) ou exaltée (boulimie); de la sensation de soif
des du sens céneslhésique ne se voient guère (lue dans les maladies mentales ; mais ce sens peut être partiellement troublé d
ie peut agir, car les douleurs d'habitude relèvent de la pathologie mentale . Vakinesia n/</c ? Y/, affection décrite par
nal. Les réflexes peuvent être abolis ou diminués dans les maladies mentales . Cramer (MÜnchene1' med. 117och., novembre. 189
e diagnostic et le pronostic de ces affections. Dans les maladies mentales , la paralysie générale est la seule qui offre d
neux. Le réflexe cutané disparaît également dans certaines maladies mentales : mélancolie, catatonie. L'absence des réflex
s'accompagne d une diminution plus ou moins prononcée des facultés mentales , avec exagération de l'émotivité : toutes ces m
ON.] 468 HÉMIPLÉGIE. présenter, en outre du gâtisme, des troubles mentaux divers, mais on ne peut pas dire que ces troubl
troubles mentaux divers, mais on ne peut pas dire que ces troubles mentaux , dans la grande majorité des cas soient sous la
raison, soutenir que l'aphasie doit être rangée parmi les troubles mentaux ac- compagnant l'hémiplégie, mais, l'aphasie fa
s malades, chez leurs ascendants ou leurs collatéraux, des troubles mentaux , l'idiotie (Duchenne, Langdon-Down, Mobius, Yiz
nedikt, J. Simon, P. Marie et Guinon. West pliai. Vizioli (troubles mentaux 18 fois sur 50 malades), Borsari, Menut, Pillie
uthrie, Barlow et Batten, Santé de Sanctis, etc. etc., Ces troubles mentaux sont surtout fréquents dans la paralysie pseudo
e nou- veaux : cas de myopathies avec troubles psychiques, débilité mentale , stig- mates de dégénérescence ont été rapporté
c.... Joffroy a lui-même 'signalé un cas de myopathie avec troubles mentaux tardifs et passagers et a insisté sur la nécess
us; beaucoup de ces troubles, et parmi les plus fréquents, débilité mentale , anomalies dentaires, thorax en entonnoir, troubl
ence et la préco- cité de troubles sphinctériens, tro- phiques et mentaux . La syringomyélie ne s'accompagne pas toujour
système nerveux et musculaire : troubles psychiques, dégénérescence mentale ; maladies congénitales diverses : myotonie congén
à l'incoordination se joignent toujours des vertiges, des troubles mentaux , fréquemment des troubles sensitifs, quelques t
latéralité, et ordinairement accompagnée d'épilepsie ou de troubles mentaux graves. L'atrophie Oll.vO-0)t ! o-C('1'Glllll(S
rophie ou sclérose : syndrome pur- ou associé à épilepsie et troubles mentaux z Tumeurs : syndrome associé à vertiges, nystag
rax étant en apnée. On a beaucoup discuté pour savoir à quel état mental correspon- daient ces larmes ou ce rire : les m
part l'influence dès attitudes- exprimant une passion sur 1 état mental de celui qui subit passivement ou même provoque
ines, la paralysie agitattle, la paralysie générale, les mala- dies mentales , etc. La plupart des étals chroniques, qu'ils d
aires, de dislocation abdominale ou de simple surmenage physique ou mental , s'accompagnent donc d'une dimi- nution de la p
e seulement le muscle, mais se traduire encore par quelque désordre mental , par~de l'aboulie principalement. Ajoutons qu'i
s cette affection.. La chorée est souvent accompagnée de troubles mentaux , mais il est préférable de faire une descriptio
il est préférable de faire une description complète de ces troubles mentaux dans les modalités de la chorée qui y sont le p
oy, Séglas, Breton, que la chorée ne fait que susciter des troubles mentaux qui relèvent du tempérament du malade. - . Ce
me dans le cas c.lc l3echtorell' (Réunion scientifique des maladies mentales et nerveuses de Saint- Pétersbourg, 1896). Le
s dégénérés. Celte chorée s'observe chez des dégénérés physiques et mentaux , les sujets présentent des stigmates physiques
ui caractérise avant tout la chorée chronique, ce sont les troubles mentaux ; ils ont été étudiés par nombre d'auteurs : Osi
ujets présentent des stigmates avérés de dégénérescence physique ou mentale . Quelquefois, on observe chez eux non seulement
Il n'existe aucun trouble des réflexes ni de la sensibilité, l'état mental est indemne. Enfin, l'affection, en général, a un
ls. Souvent, ces malades sont des idiots; dès l'enfance ce syndrome mental a été lié comme l'athetosc Ü la plegic cérébral
nt répété et fonctionnellement systématisé, conditionné par un état mental spécial : c'est un trouble psycho-moteur, les d
s du mouvement qui constitue le tic et les particularités de l'état mental du tiqueur. - CARACTÈRES GÉNÉRAUX DES TICS I.
de variété, admise généralement depuis la description du torticolis mental par Brissaud, n'entre pas dans le cadre des tic
; mais ce qui domine précisément, comme nous le dirons, dans l'état mental du liqueur, c'est l'insuffisance de la volonté.
d'être. Les tics apparaissent d'autant, moins lentement que l'état mental est plus atteint, que le déséquilibre psychique
lexe. D'autre part, de nouveaux tics apparaissent, parce que l'état mental du sujet le prédispose aux tics, la répétition et
agnostic. La maladie ne va pas sans une atteinte profonde de l'état mental , et aux mouvements désordonnés se joignent des
s fréquente que le tic est plus simple et plus récent et que l'état mental est moins altéré ou plus susceptible de perfect
lus fâcheux, car ils dénotent généralement le début de la déchéance mentale sénile; ceux des vésaniques sont les avant-cour
n psychique sont le meilleur préservatif d'une récidive. II. L'état mental du tiqueur. A) Ses caractères. - L'état mental
cidive. II. L'état mental du tiqueur. A) Ses caractères. - L'état mental du tiqueur est celui des dégénérés, pris dans le
harmonie et le défaut d'équilibre, non seulement entre les facultés mentales , les opérations intellectuelles proprement dites
ut d'équilibre du moral et du caractère ». L'arrêt du développement mental qui constitue la dégénérescence peut être globa
papillonnante », éphémère, indice d'un perpétuel état d'instabilité mentale (.\'Ieige).' L'insuffisance de la volonté se ma
rendre un caractère obsédant. Chez beaucoup de tiqueurs dont l'état mental est plus altéré, surtout au début des vésanies, l
mpulsions. Paris. 1902. 3. Nous devons ajouter, avec que les images mentales en général, et les représentations motrices en
une intensité et un éclat réellement morbides ». La représentation mentale participe au déséquilibre des facultés et contr
ige et Feindel ont appelé l'attention sur la ressemblance et l'état mental des tiqueurs avec celui des enfants : légers, ver
ur développement psychique pourrait être qualifié d' « infantilisme mental ». Le déséquilibre des facultés mentales peut a
qualifié d' « infantilisme mental ». Le déséquilibre des facultés mentales peut aboutir il de véritables syndromes psychiq
s insisté, dans l'analyse tant des réactions motrices que de l'état mental du liqueur, sur les nombreuses analogies des tics
nés seu- lement l'un et l'autre sur le même fond de dégénérescence mentale ; ils peuvent aussi naître l'un de l'autre; c'e
it se plutôt refréné son mouvement ou triomphé du sa représentation mentale qu'une nou- velle image se présente il la consc
mportant dans la genèse des tics M. (VASCIIIIJE et Vuiipas. L'image mentale , morbide. Revue de médecine, 1 ! 1112.) 1. De.
roubles moteurs que nous avons décrits comme conséquences de l'étal mental des tiqueurs : exagération et brusquerie de tous
cOl1Yulsil' ne peut être un tic que s'il est conditionné par l'étal mental spécial, dégénéré, déséquilibré, « infantile » de
nés non par l'arrêt, mais par la régression dans le déve- loppement mental . Noguès catégorise les tics en trois types : tics
u près analogue enadnietlant des lies psychiques proprement dits ou mentaux , tics du psychisme supérieur, et des tics polyg
ou les (roubles musculaires (moteurs ou trophiques) et les troubles mentaux qui les accompagnent ne sont que des manifestatio
mplement myopsychies. Pour si capitale que soit la dégénérescence mentale dans la définition du tic, elle n'est pas tout,
non, on ! admis une « maladie des tics sans tics », un tic purement mental « qui ne se traduit extérieurement par aucun si
é des auteurs précédents, Pitres et Crnchet pensent que. si un état mental prédisposant est nécessaire dans la production de
ripital. dans différents cas de tics Ioniques du cou, de torticolis mentaux , croit que, dans certains cas au moins, les tic
oit que, dans certains cas au moins, les tics ne sont pas d'origine mentale , niais d'origine organique. Pierre ! attire l'a
les habitudes vicieuses de mordillage et de mâchon- nement. Trismus mental , décrit par Raymond et P. Jane) : impossi- bili
montrer la gorge, ou simplement pour chanter (Meige). Ce trismus mental s'observe chez certains aliénés ; il représente u
rarement isolé (Oppenheim), tic mimique. Torticolis-tic, torticolis mental (Brissaud) : rotation de la tète simple ou avec
tc. Selon Babinski, il n'est pas démontré que le torticolis dénomme mental par Brissaud soit réellement d'origine psychiqu
sme du cou ayant un aspect clinique identique à celui du torticolis mental et dépendant vrai- semblablement d'une affectio
l dont [A. LJBAT Fig, '13, 14, 15 et 16. Deux types de torticolis mental avec les a gestes antagonistes n qui les arrête
ffections centrales; une classe à part est formée par le torticolis mental , dont le torticolis d'habi- tude est un premier
s ; il peut ou non survenir chez des dégé- nérés, des déséquilibrés mentaux ; il est particulièrement rebelle à toute espèce
, elle débute dans l'âge adulte, elle est progressive, la déchéance mentale évolue en même temps que le déséquilibre moteur
t de la maladie des tics, évoluant sur un terrain de dégénérescence mentale . Dans les périodes où les tics prédominent, le
Brissaud l'appliqua régulièrement depuis 1895 aux cas de torticolis mentaux d'abord, puis à tous les tics toniques et cloni
s un sens favorable », pratiquer en somme une véritable «orthopédie mentale ». Les procédés accessoires de psychothérapie, l'
. Brissaud, considérant que la cause du torticolis-tic est purement mentale et que la suppression opératoire d'un tic doit êt
moteurs apparaissent nettement comme la consé- quence d'un trouble mental , parfois au début d'une vésanie ; dans la plupa
che systématique des stigmates psychiques montre une prédisposition mentale analogue, à celle que nous avons décrite chez l
r difficile curabilité, surtout leur déve- loppement sur un terrain mental prédisposé, déséquilibré, particulière- ment ém
érl.. 1S ! Ifi. 5. Meige et Frmner,. Les associations du torticolis mental . Arch. de médec., 1 ! 10(f. 4. t'rnOEs. Journal
sionnelles ont sans doute une cause organique et non pas uniquement mentale et dynamique. Certaines crampes débutent assez
ces d'une dégénérescence physique dont la crampe serait un stigmate mental (dans le cas de. Brissaud, Haillon et Meige, l'
té au niveau des ré- gions adipeuses. En revanche, les troubles mentaux dépressifs et l'asthénie nerveuse sont de règ
ion ou d'une crise d'épilepsie. On la ren- contre dans l'aliénation mentale , le tabès, les tumeurs cérébrales, du côté mala
ales et médullaires, dans presque toutes les formes de l'aliénation mentale , chez les idiots, qu'elle soit ou non précédée
ionnent une sonnerie électrique. Ellfin on agira surtout sur l'état mental du sujet, en lui démontrant la bénignité de son
RIEURES. 987 î intermittences. Il est sous le coup direct de l'état mental du malade. Ce spasme psychopathique ne reste pa
constipation rebelle. Troubles de le défécation révélant un état mental . Le diagnostic est simple dans tous ces cas. Pa
divers; ces traitements seront en effet bien différents selon l'état mental . Dans tout traitement, il existe, en effet, tro
âtisme. Le gâtisme est le plus souvent épisodique dans la confusion mentale et dans les délires. Il lient il des causes div
res, et la persistance, à un rifle donné, d'un syndrome physique et mental plus jeune, caractéristique de l'enfant ou de l
aut d'ouverture de l'angle du cartilage thyroïde. Au point de vue mental , ces êtres sont plutôt des minus habens, Leurs
drons par « stigmates de dégénérescence » les signes phy- siques ou mentaux , le plus souvent héréditaires et 1'éve1'sifs, par
iviserons en stigmates anatomiques, obstétricaux, physiologiques et mentaux , et suivrons, pour l'exposé des signes anato- m
Epilepsie, incontinence d'urine. Tremblement héréditaire. Stigmates mentaux . Les décrire tous dépasserait, et de beau- coup
verses. Certains troublés per- mettent de prévoir ce qu'est le fond mental de l'individu : ce sont ces anomalies et non le
s se placent les tics, les obses- sions, les manies, les impulsions mentales . Chez certains, l'instinct même de la personnal
sexuels, inversions sexuelles. Le tatouage lui-même traduit un état mental tout particulier chez celui qui subit volontairem
, Marie et Levaditi). Liquide céphalo-rachidien dans les maladies mentales . Les études faites sur ce point ont été négativ
x qui paraissent les plus recommandables. Torticolis. Le torticolis mental est également souvent rebelle aux divers traite
iniéningo- coccique. Les états d'agitation observés en pathologie mentale , les accès d'excita- tion maniaque sont favorab
ltats généraux, 1129. Tabès. Paralysie générale, 1152. Ma- ladies mentales . Zona, '1.155 ? Hémor- ragies du névraxe, l -15
r·agique, 1020. sy- philitique, 1026. Daltonisme, 118. Débilité mentale , 269. ' Défécation. Troubles révélant un état
Débilité mentale, 269. ' Défécation. Troubles révélant un état mental , 998. Défense (Idées de -) chez les aliénés,
s, traitement, 195. - essentielle des veillards, 195. Instabilité mentale , 269. Intelligence. Examen dans l'aphasie, 21
ensuration du tronc et des membres. 10 i v. - de la taille, 1075. Mentales (Thérapeutique des affections - ). 1'o ? Aliéné
ou- bles de la motilité, du langage, de la sensibilité, 110` ? .- mentaux , 1105. - de la syphilis acquise, 1105. - cu-
nt chirurgical, 898. - Traitement électrique, 1559. Tiqueur (Etat mental du -). ). Déséquilibre mental, 881. - Insuffisa
t électrique, 1559. Tiqueur (Etat mental du -). ). Déséquilibre mental , 881. - Insuffisance de la vo- lonté, 882. - Em
es affections des nerfs, 550. -- dans l'hystérie, 555. Torticolis mental ,- 888. - Traitement électrique, 15 ! 40. Toux
le réunit les mémoires originaux relatifs aux maladies nerveuses ou mentales , ainsi que les travaux ayant trait aux affections
79 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE IDES MALADIES MENTALES A. FOURN1ER PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALA
U CERVELET, PAR Edmond CORNU Interne à la Clinique des maladies mentales de la Faculté de Lyon. Le cas dont nous rapport
M. le Dr Devic (1), à l'Hôpital de la Croix-Rousse ; ses trou- bles mentaux ont nécessité son internement à l'Asile, de Bron,
Bron où elle est admise dans le service de la Clinique des Maladies mentales . Son certificat d'entrée porte : « Paralysie gé
é entièrement faits par M. le Dr Taty, chef des travaux de médecine mentale à la Faculté, qui a bien voulu nous rédiger cet
n consi- dère que toutes les tumeurs peuvent entraîner des troubles mentaux sura- joutés, dus, soit à une compression génér
isent l'opinion émise par Phelps à savoir que l'absence de troubles mentaux dans les cas de tumeur cérébrale indique que l'
linique totale et non plus seule- ment la ressemblance des troubles mentaux est à rapprocher de l'opinion émise par Gianell
lectualité spontanée et de l'activité volontaire (2) : ces troubles mentaux se retrouvent au complet chez notre malade et rep
e la Salpêtrière, 1901, p. 119. (3) G. Ballet, Traité de pathologie mentale , p. 1162. (4) Précis d'anat. pathol., p. 35.
cidées par la recher- che clinique, nous observons que les maladies mentales présentent dans la majorité des cas le fait sui
u définitive. C'est tout le contraire dans la majorité des maladies mentales . Dans celles-ci, quel que soit le désordre fond
que se fonde une des plus saillantes caractéristiques des maladies mentales , et une des plus singulières parti- cularités q
u'on ne peut obtenir que par le travail physique et la sug- gestion mentale . La loi biologique de la finalité des actes hum
ue des psychoses au moyen du travail musculaire et de la suggestion mentale . Qu'on me passe le premier mot. Nous pouvons pr
ste possède le maximum d'action théra- peutique ; ici la suggestion mentale trouve sa plus précise indication; mais elle ne
RGOTHÉRAPIE ET PSYCHOTHÉRAPIE 141< psychique est vain. La lésion mentale est inguérissable; mais elle permet à la vie so
par collapsus, traumatismes, infections, l'amentia sont des formes mentales qui se développent souvent accompagnées de fièv
ous expliquer à souhait l'emploi de l'ergothérapie dans cette forme mentale . Je crois seulement pouvoir affirmer que, excep
epté les méthodes peu recommandables de l'hypnotisme, la suggestion mentale , tout étant la première indiquée, ne peut agir ef
ait admettre l'existence autonome d'un hôpi- tal pour- les maladies mentales capable de recueillir tous les cas aigus et rep
s, savoir d'intervention médi- camenteuse directe dans les maladies mentales , l'ergothérapie et la psy- chothérapie, savoir
ement de l'intelligence par la rééducation au tra- vail physique et mental jouent un rôle prépondérant et fondamental. Elles
lus possible à atteindre d'une façon spontanée à cause de la lésion mentale . Il doit être provoqué par l'aliéniste grâce à
la rééducation au travail {ergothérapie) ou grcïce à la suggestion mentale {psychothérapie) dès que l'application de ces mét
est ne possède pas seulement l'habitus extérieur, mais aussi l'état mental . Cet homme de 40 ans fait preuve dans ses disco
trouve poussés à l'extrême tous les caractères de l'illfrllltilisme mental . 172 BRISSAUD ET MEIGE En faisant encore tout
tait devenu indifférent. Son frère avait les symptômes physiques et mentaux du myxoedeme, ainsi que la quantité de sucre da
ase of wmsual edema in hemiplegia, dans le Jour- nal of nerrous and mental diseuses (1898). Il s'agissait d'une femme de 4
rles Lewis) de Washington rapporta dans le Journal orner- 1'OUS and mental diseases (1899) un cas sous le titre suivant : ed
émiplégie. Gombaut a rapporté dans les Archives de médecine expéri- mentale (1892) un cas de paralysie alterne du côté droit
le 29 mai suivant, améliorée, mais présentant encore une dépression mentale assez grande. 2e Admission, le 12 novembre 1902
père par menaces et violence. Certificat immédiat. - Dégénérescence mentale avec dépression mélanco- lique, hallucinations
à l'asile de Ville-Evrard ; jaloux, persécuté, atteint de troubles mentaux ayant nécessité l'internement, ce buveur est actu
x symptômes, la coloration spéciale du visage et les particularités mentales signalées, on ne s'étonnera pas de l'absence de
Van Gehuchten. Flemming, (1 Luoano, Rivista di patologia nervosa e mentale (vol. V, VI, VII, VIII). ' 236 THOMAS ET HAUSER
cit., p. 85. (8) JAMES HEl'i'DRlE Lloyd, The journal ofnervous and mental Disease, 1900, t. XXVII, n* 2, p. 92. llGIIA'
En 1890, Considérations sur les ecchymoses spontanées et sur l'état mental des hystériques. Contrihution Ú l'élude des bâi
cation de ceux qui sont affligés de divers stades d'un même trouble mental , les données mentionnées plus haut acquièrent d
iques, typiques de ces productions, aux modifications de l'activité mentale que l'on observe chez leurs auteurs, on constate
savons le rôle actuel de l'écriture dans le diagnostic des maladies mentales . Une écriture bizarre, l'omission de syllabes,
malade fut affectée d'un certain stade de déséquilibre, d'instabilité mentale et fut rendue à la liberté après sa guérison, l
s variées viennent, généralement augmenter le trouble de l'activité mentale en donnant comme ré- sultat un kaléidoscope big
its sur ces pages et qui sont dus à la main de malades, dont l'état mental vient d'être ébauché, confirment on ne peut mieux
ca. Les caractères fondamentaux, typiques de cette forme de trouble mental viennent d'être indiqués : délire de la persécu
anoïques et les autres chr-oniques..tombés dans un état de débilité mentale une foule bigarrée de ce que l'on appelle les p
ôpitaux modèles de nos jours. Dans les classifications des maladies mentales , cette foule hétérogène est unifiée en un seul te
imbécillité secondaire de différentes formes pri- maires de trouble mental . Nous reproduisons ici l'ouvrage d'une malade att
dant une longue série d'années la diminution générale de l'activité mentale ayant graduellement progressé, la malade présente
ssé, la malade présente actuelle- ment un degré profond de débilité mentale consécutive. Elle est très-apathique, peu activ
stique en tant que la production d'une malade frap- pée de débilité mentale , vu que le trait fondamental de l'imbécillité con
d'ouvrages tant soit peu marquants dus à d'autres formes de trouble mental telles que la mélancolie, la paralysie progressiv
ulsifs chez un troisième, le torticolis enfin, peut-être torticolis mental - voilà de la bonne clinique en image. S'agit-i
avait constaté que les prétendus prophètes éprouvaient des troubles mentaux particuliers, qu'il n'hésitait pas à rapporter à
. ' Les auteurs chrétiens ont insisté longuement sur l'étrange état mental des adorateurs de Bacchus. ' « Les Bacchanale
ertains phénomènes qu'on observe au cours d'affections nerveuses et mentales . Les uns, comme Calmeil, les ont décri- tes com
i la composent, pris isolément, soit atteint de maladie nerveuse ou mentale . De même qu'il existe des lois biologiques applic
e et à la forme décrite par M. Bris- saud sous le nom de torlicolis mental . La bilatéralité du spasme est déjà une rareté,
nité. Alors s'est produit un fait qui prouve bien la dégénérescence mentale de ce malade. Il a obstinément refusé de quitte
s, de phosphènes, parfois d'hallucinations visuelles ou de troubles mentaux . La deuxième période dure un temps le plus souven
UE DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 375 des hallucinations et des troubles mentaux , l'aspect ophtalmoscopique de la papille. La di
te-Marne). 17e ANNÉE N° 6 NOVEMBRE-DÉCEMBRE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES {ASILE DE SAIN1E-AN};E) . DES TROUBLES DELA
ES GÉNÉRAUX (1) A. JOFFROY Professeur de la Clinique des Maladies Mentales . Messieurs, Il y a plus de dix ans, je consac
fit, et d'autre part, le contenu de l'écriture, c'est-à-dire l'état mental extériorisé par l'écriture, assurément une signif
vent diffi- cile de faire la part du trouble physique et du trouble mental , parce que très souvent le trouble physique tra
araly- tiques généraux entre les troubles physiques et les troubles mentaux . Ces perturbations physiques de la parole que n
pendre de troubles moteurs ; elles peuvent dépendre aussi de l'état mental du sujet. Si celui-ci présente de l'excitation il
ail d'idéation, elle n'en comporte pas moins une série d'opérations mentales nécessitant un travail d'attention et de mémoire
x ans en traitement à l'asile, elle présentait un état de confusion mentale extrême avec hallucinations terrifiantes. Est s
après elle de troubles cérébraux persistants. Les premiers troubles mentaux apparus deux mois 'environ avant son internemen
insisté avec raison sur son caractère douloureux. 30 juin. L'état mental est sans modifications. Le pseudo-oedème est plus
cine légale. Ils se traduisent par une dysharmonie morphologique ou mentale , par des anomalies physiques ou psychiques, qui
ce chez l'homme sont, les unes pathologiques (maladies nerveuses et mentales ; intoxications diverses, alcoolisme, syphilis,
spèce humaine, f 857 ; - Magnan, Leçons cliniques, sur les maladies mentales , 1882-1891 ; Magnan et LEGRAIN, Les dégénérés,
ye, 1895 ; - Jules Voisin, L'idiotie : hérédité et dé, générescence mentale , psychologie et éducation de l'idiot, 1893. 472
riptive adoptée par cet auteur dans sa « Séméiologie des affections mentales » (3). Cet emprunt paraîtra d'autant plus justi
onsidérée comme le premier essai d'une « séméiologie des affections mentales du cheval », et qu'elle complétera le remarquable
ogie). Il y a lieu d'envi- (1) J. SÉGLAS, in Séméiol. désaffections mentales de G. BALLET, ? . 104 et suiv. ; L. MAYET, Les
chez les aliénés et les idiots »i Leçons cliniques sur les maladies mentales et nerveuses. Salpètr. 4S8 i-94, recueillies et p
15. (2) Féré et Séglas, Rev. Antliropol. ,4586.- J. Sscnc.s, Leçons mentales et nerveuses, XXII" leçon, p. 110, et in G. Bal
7. (3) Schwalbe, Arch. de Neurologie, 1890, p. b6 in Séglas, Leçons mentales et ner- veuses, p. 713. (4) ALDEIIT Lévy et F
us les cas, le trouble moteur comme lié indissolublement au trouble mental . Il existe d'autres troubles des fonctions motr
(op. cil., p. 51), sur les rapports des tics avec la dégénérescence mentale , et en indiquant que les tics aérophagiques peu
1), état psychique artifi- ciel provoqué par des actes d'inhibition mentale . 1. LEs troubles DE la mimique, ou troubles psy
individuelle » (Séglas), en rapport avec une affection nerveuse ou mentale coexistante, tics ouépilepsie. Sans nous arrête
rés, déséquilibrés, héréditaires, soient prédisposés aux affections mentales , mais nous affir- mons,et l'avenir établira que
que à qui elle apporte des faits nouveaux de pathologie nerveuse et mentale de l'animal et la zoo- technie à laquelle elle
80 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALA
le. Autant qu'il est permis de l'affirmer avec ce sujet dont l'état mental est évidemment un peu obtus, la perception se fai
d'après laquelle celle-ci résulterait d'une : < synthèse chimique mentale ». Comme je l'ai dit ailleurs, on peut étudier la
souvent au lit. Après ses crises, la malade présentait des troubles mentaux graves : elle était violente et menaçait de tuer
a parole articulée. La malade s'exprime facilement. Au point de vue mental , B... est une débile ; elle sait son âge mais ne
int de vue physique, la malade présente un degré marqué de débilité mentale ; elle n'a jamais eu d'idées délirantes. Malgré l
F. W. Edridge-Green, L'évolution du sens des couleurs, The journal of mental science, octobre 1901. (2) VIALET, Les centre
sque exclusivement visuelle (Nodet) (2). De plus, la représentation mentale de l'espace nécessite le rappel d'images visuel
s, août 1895, p. 190. (2) DANA. Obs. I in the Journ. of nervous and mental diseas, nov. 1893, p. 125. (3) Dallemagne. Obs.
du côté de son père, ni de celui de sa mère il n'y eut de maladies mentales ni de maladies nerveuses ; aucun parent ne pré-
ela nos remerciements les plus sincères.) Dans l'examen de l'état mental de notre sujet nous nous sommes tou- jours souv
a corpulence. Malgré cela, nous avons trouvé chez lui des anomalies mentales très accentuées ; il est notablement arriéré. L
gard des femmes et surtout des enfants confirment ses défectuosités mentales . Au fond, on ne peut parler de vie mentale chez
rment ses défectuosités mentales. Au fond, on ne peut parler de vie mentale chez notre sujet; il est vrai qu'il possède des c
qu'on peut décidément le qualifier de géant ; d'autre part, l'état mental , n'ayant pas évolué parallèlement à ce développem
qui l'accompagnent et, quand il s'agit des névroses, suivant l'état mental qui y est joint, un même symptôme peut apparten
rs elle dé- termine des phénomènes d'angoisse; elle peut être aussi mentale et, dans certains cas, donner naissance à de la
mentale et, dans certains cas, donner naissance à de la rumination mentale ; enfin cette agitation peut aussi prendre la f
s souvent, elles se systématisent plus ou moins : il y a des manies mentales au lieu de la rumination diffuse, des phobies s
la source des agi- tations. Plus on connaîtra avec précision l'état mental psychasthénique, plus on pourra diriger utileme
ni de troubles de l'accommodation, ni de troubles pupillaires. Etat mental : L... est intelligent, il a même des aptitudes s
ionnelles et les tics chez des sujets atteints du même déséquilibre mental . » (1) Il n'en importe pas moins d'établir entr
n'est constitué que par la réunion, au trouble moteur, d'un trouble mental lié, lui-même, à des imperfections psychiques o
t l'irritabilité augmente avec l'âge ; il présente lui-même un état mental particulier, il est émotif, impatient, colère ;
le point de départ de tics du membre supérieur droit. Le torticolis mental reconnaît parfois ce mode de début ; il arrive mê
que. Vivant constamment dans de semblables préoccupations, son état mental est loin d'être satisfaisant; non pas que, à 22
rison, et on observe aussitôt une transformation complète de l'état mental entraînant des modifications très heureuses du
fait que le pronostic d'un tic est lié d'une façon absolue à l'état mental du liqueur ? TIC TONIQUE DU MEMBRE SUPÉRIEUR DH
lectrique ; il présente une attitude analogue à celle du torticolis mental ou du trismus mental. Le trouble moteur « se ma
te une attitude analogue à celle du torticolis mental ou du trismus mental . Le trouble moteur « se manifeste par l'immobil
e à ses exercices journaliers, et chez lui par une mère dont l'état mental est ab- solument sain, puisque les tares psycho
vant tout, elle est in- différente, apathique, au physique comme au mental . Elle a horreur de tout exercice, de tout effor
E FORME RARE D'HÉ11MÉLIE RADIALE 1NTEKCALAIRE 239 robuste. Son état mental n'indique aucune disposition cérébrale anormale o
é d'une façon tont à fait normale, aussi bien du côté somatique que mental , le nommé M. A ? âgé de 48 ans, a été, jusqu'à qu
, avec une tentative de sodomie et une symptomatologie de confusion mentale absolue. La constitution physique de notre pati
e ? Il y a des auteurs qui nient absolument l'existence de troubles mentaux non paralytiques dans le tabès; cependant Topin
t pour- tant vrai que dans le tabes peuvent exister des altérations mentales non paralytiques (cela est prouvé par les obser
lique. (Denv et Le Play.) Figure extraite du Traite de Pathologie mentale (Dom, éditeur). Masson, et C[e, Éditeurs. NOU
le n'existait pas lorsqu'il a été obligé, en raison de ses troubles mentaux , de placer sa femme à l'asile Ste-Anne. Ce re
LVI porte l'indication de trophoedème dans le Traité de Pathologie mentale de Gilbert Ballet, p. 1242. Doine, éditeur. 2
ulose. Parmi les consanguins, il n'y a pas de maladies nerveuses et mentales . r Le malade jouissait toujours d'une bonne san
ics, crampe des écrivains, impulsions à la marche, ré- criminations mentales , comme les angoisses elles-mêmes, n'étaient que d
Apathy. Sulla fibrille nervose ultraterminale (Rev. di pat. nerv. e mentale , 1900). Sachs. Ilow doas the neurone theory aff
le repos au lit tout à fait au début de l'évolution de l'affection mentale , atténue et peut même faire disparaître le symp
même peut rétrocéder.(V.1'I. LXVI,Gg.4921. Les variations de l'état mental semblent exercer une réelle influence sur le ps
nt, j'ai vu les modifications importantes se produisant dans l'état mental , avoir un retentissement sur le pseudo-oedème.
de rendre le diagnostic plus clair. Etudions d'abord les troubles mentaux . L'idiotie myxædérnateuse ne nous arrêtera pas
'il en soit, pour rester dans le domaine du classique, un caractère mental doit être considéré comme fondamental du myxoed
us nous sommes attaché à établir une distinction nette entre l'état mental du myxoedémaleux et celui du catatonique, c'est q
tonique, il semble que l'infiltration soit intimement liée à l'état mental , pouvant se mo- 'dlfr,elsae : lûi', étant même
de 14 ans. (.Lf. Dide ) LE PSEUDO-OEDÈME CATATONIQUE 361 l'état mental n'avait subi aucune modification dans deux cas et
c est simple puisque dans le pseudo-oedème catatonique les troubles mentaux sont primitifs et très spéciaux ; que l'oedème pe
me famille peuvent être atteints de cette affection. Les troubles mentaux n'avaient point été signalés à l'origine et peuve
ribuer une valeur diagnostique quelconque à l'existence de troubles mentaux qui souvent manquent et qui, quand ils existent
a rapide revue symptomatique que nous allons tenter. Les troubles mentaux sont très fréquents mais non constants cependant;
c'est souvent de l'affaiblissement intellec- tuel ou une affection mentale par involution sénile (4). Des recherches (1) L
cas examinés dans ce sens, nous fixerait sur la nature des troubles mentaux , la plupart des observations présentant de nota
n cérébrale- On voit donc que d'après cette conception les troubles mentaux seraient primordiaux. Les altérations thyroïdie
un certain degré d'affaiblissement ou tout au moins de déséquilibre mental . Pour la première fois, à notre connaissance ,
de l'ours, et qui offrent de réelles analogies avec ceux de l'état mental des tiqueurs hu- mains. Mais, avant d'aller p
d'ITppolorie, t. I, p. 241 et 413. (2) G. Ballet, Traité de Pathol. mentale , Paris, O. Doin, 1903. - In Psychose constituti
rticle Psychoses ; G. Bal- let, p. 1152 et suiv.- Traité de Pathol. mentale Gilbert-Ballet, Article Sémeiologie des affecti
Pathol. mentale Gilbert-Ballet, Article Sémeiologie des affections mentales de J. 56 : atas, p. 14 et suiv. et Article Psycho
ui ne va jamais à la recherche d'une sensation particulière. Etat mental . - Intelligence moyenne; instruction primaire élé
typie. Le malade ne présente pas les signes d'un grand déséquilibre mental : mais il a des habitudes motrices vicieuses :
ant un temps assez long de boissons fortes; très souvent ce trouble mental se manifeste dans la dipsomanie; presque toujours
cette question il faut avoir en vue ce qui suit : bien des maladies mentales , d'origine alcoolique, qui sont provoquées exclus
». A.-F. Erlitzky (3) dans ses « Leçons cliniques sur les maladies mentales », sans examiner le délire alcoolique continu à
cipalement auditives, comme seul reliquat de la maladie. Le trouble mental , décrit il y a peu de temps par le professeur W
u (en russe). (3) A.-F. ERLITZKY, Leçons cliniques sur les maladies mentales , Saint-Pétersbourg, 1896 (en russe). (4) W.-M
à la paranoïa alcoolique, d'autre part, est peu défini. Le trouble mental , noté en 1847 par Marcé (1), et qui s'observe p
ansitoires et ceux où l'on pouvait remarquer ou supposer un trouble mental d'un autre genre, étaient éliminés. En déterminan
L'alcoolisme, 1874. (2) CLOUSTON, Leçons cliniques sur les maladies mentales , Traduction russe. Saint- Pétersbourg, 1885.
alcoolique se renconlre dans 0,69 p. 100 de lous les cas de trouble mental ; c'esl donc comparativement une maladie rare.
alcoolique continu, par rapport au nombre total des cas de trouble mental , sera chez les hommes 0,96 p. 100 et chez les f
cation clinique de la contraction idio-musculaire dans les maladies mentales , notent que dans lous les cas de délire alcoo-
cation clinique de la contraction idio-musculaire dans les maladies mentales , Journal (russe) clinique, 1901, no 5. LE MAI
81 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALA
rolifératives de la cellule nerveuse (Rivista di Pathologia nerv. e mentale , oct. 1896). DES CELLULES NERVEUSES DE LA MOELL
ie pathologique. Nous verrons en quoi il se rapproche du torticolis mental dé Brissaud et peut-éti'e serons-nous amenés à
s scienc. nxéd. Paris, 1885, p. 1C32. Il) 13oar.na. Du torticolis mental . Thèse de Paris, 189'f, n° 2.'il, p. 10. (3) Ja
vu que leur volonté soit momentanément assez puissante. Ici, l'état mental a toujours une large participation. » Ici encor
une action inhibitrice, ne prouve nullement la nature corticale et mentale du tic. Brissaud cite ensuite ce remarquable pa
ables. Mais cela ne prouve pas que tous les tics sont psychiques et mentaux par ce seul fait qu'ils sont coordonné» et que
verne dans une certaine mesure. Il y a des tics psychiques vraiment mentaux , c'est-à-dire des cas dans lesquels la volonté
une fois de plus, cela ne prouve nullement que tous les tics sont ' mentaux pour cette seule raison qu'ils sont coordonnés et
canard décapité, etc. On conçoit dont un premier groupe de tics non mentaux c'est-à-dire de tics reproduisant des mouvement
intelli- gente, et de n'être pas libre et consciente, de n'être pas mentale : toute la mentalité est en 0. Psychisme n'es
oute la mentalité est en 0. Psychisme n'est donc plus synonyme de mental : le mental ou psychisme supérieur « son centre
ntalité est en 0. Psychisme n'est donc plus synonyme de mental : le mental ou psychisme supérieur « son centre en 0, C aut
tion, que je me refuse à classer dé- finitivement dans les maladies mentales les maladies comme l'hystérie dont beaucoup de
nifestations élevées sont purement polygonales : l'hystérie devient mentale dans certains cas ; elle ne l'est pas dans certai
rdonnés, psychiques..., ils ont tous les carac- tères du torticolis mental de Brissaud ; mais ils ne sont pas mentaux. Ils
arac- tères du torticolis mental de Brissaud ; mais ils ne sont pas mentaux . Ils appartiennent au psychisme inférieur, poly
ire, car il présente tous les caractères que Brissaud décrit au tic mental , c'est-à-dire qu'il a des carac- tères de psych
mètre. Donc, notre homme a bien un tic que Brissaud qualifierait de mental . Je préfère l'appeler polygonal : je n'y vois p
de départ du tic. Avec notre distinction du tic polygonal et du tic mental nous évitons les objections comme celles que de
uervain (I), assistant du professeur Kocher, a faites au torticolis mental : « Jamais, dit-il, elà aucun moment de sa mala
e, un seul de nos patients n'a présenté de symptômes d'alié- nation mentale . » Brissaud (2) répond justement. « personne n'a
. « personne n'a sou- tenu, à notre connaissance, que le torticolis mental appartint en propre il (1) DF Qtjt;nvA)x. Le tr
405. , (2) Bwssntt. Contre le traitement chirurgical du torticolis mental in Rev. neurol., f 897, p. 34. TIC DU COLPORT
vrai. Mais on comprend qu'on ait pu faire la confusion avec ce mot mental qui est le même pour caractériser ce torticolis e
r ce torticolis et l'a- liénation. · Ceux qui ont un tic vraiment mental ne sont certes pas des aliénés, mais ils ont un
la volonté, du psychisme supérieur, de 0 ; ils ont quelque chose de mental . Nos polygo- naux n'ont que du polygonal et n'o
de mental. Nos polygo- naux n'ont que du polygonal et n'ont rien de mental . Donc, le tic de notre malade n'est ni bulbo-mé
e mental. Donc, le tic de notre malade n'est ni bulbo-médullaire ni mental ; il est polygonal, tout en présentant les cara
mental ; il est polygonal, tout en présentant les caractères du tic mental de Brissaud. Dès lors, dans le tic mental de Br
ant les caractères du tic mental de Brissaud. Dès lors, dans le tic mental de Brissaud, il faut établir une subclirisionet m
assez importante. C'est la question du rôle de l'idée, du processus mental vrai dans la pathogénie des accidents névrosiqu
le rôle constant et exagéré que l'on veut faire jouer au processus mental vrai dans la production de l'hystéro- traumatis
t avec Rauzier nous avons tâché d'établir que l'hystérie ne devient mentale que quand elle se complique, que dans la grande
e inférieur, que l'hystérie est souvent une maladie polygonale, non mentale . Vous voyez aujourd'hui comment nous retrouvons
relle à propos du tic de notre sujet. Brissaud veut en faire un tic mental , (1) Leçons de cliniq. médit, 1" série, 1891 :
nomène psychique, mais de psychisme inférieur, que c'est un tic non mental , mais polygonal. Ceci dit pour excuser les dé
tic : le tic bulbomédullaire (spasme réflexe), le tic psychique (ou mental vrai) et le tic polygonal (faux tic mental). Beau
e), le tic psychique (ou mental vrai) et le tic polygonal (faux tic mental ). Beaucoup de cas étudiés par Brissaud sous le
al). Beaucoup de cas étudiés par Brissaud sous le nom de torticolis mental me paraissent t rentrer dans ce dernier groupe
ire et arrive à l'écorce. Là, il rencontre la théorie du torticolis mental de Brissaud, la combat. Notons certains argumen
orce cérébrale qui ne peuvent être rangés danslaclasse des maladies mentales ? » Il écarte donc le mot mental, mais fait du
rangés danslaclasse des maladies mentales ? » Il écarte donc le mot mental , mais fait du torticolis spasmodique « un trouble
nôtre : ce centre cortical de la rota- tion qui n'est pas un centre mental est notre centre polygonal. Abordant ensuite la
r (2) : « Le nom d'Infantilisme sert à désigner un état physique et mental (1) IlE : 'i11\Y iNIEI(3r. L'iiifantilisrne, le
e aux in- fantiles. C'est l'infantilisme pur et simple. « Un état mental infantile accompagne toujours la malformation cor
A clinical study of infantile hémiplegia (The journ. of nervus. of mental diseases, january, 1897). (2) P. Marie. Article
elirium tremens. On ne relève ni affection nerveuse, ni affec- tion mentale parmi les autres membres de la famille. Antécéd
mmes au contraire. on observe quelquefois, au cours d'une affection mentale , un développement considérable des poils sur la
, n° 8. Hé- miplégie gauche spasmodique d'ancienne date ( ? ). Etat mental . Ankylose de l'articulation scapulo-humérale. A
rescence, qu'il des- cend d'une famille de nerveux, qu'il a un état mental tout particulier, on reconnaîtra que sa rnacrod
t la famille né- vropathique. LE TRAITEMENT MÉDICAL DU TORTICOLIS MENTAL PAR E. FEINDEL. Parmi les tics, ces maladie
r de la névrose à laquelle M. Brissaud a donné le nom de Torticolis mental . Le symptôme unique est le torticolis, un torti
tic, pour se produire, n'exige LE TRAITEMENT MÉDICAL DU TORTICOLIS MENTAL 405 pas l'intervention d'un centre nerveux anat
e cause déprimante : telles sont les caractéristiques du torticolis mental décrit par M. Brissaud (1). (1) Le présent trav
u'il présente tous les caractères que Brissaud décrit au torticolis mental , c'est-à-dire qu'il a des caractères de « psych
homme,ajoute M.Grasset, a bien un tic que Brissaud qualifierait de mental . Je préfère l'appeler polygonal. » Les motifs de
son malade est sous-cortical et psychique, mais non pas cortical et mental . Car « ce qui caractérise l'activité polygonale,
e, intelligente et de n'être pas libre et consciente, de n'être pas mentale ... psychisme n'est donc plus synonyme de men- t
ons, pour notre part à appeler 'LE TRAITEMENT MÉDICAL DU TORTICOLIS MENTAL 407 Nous ne croyons pas utile de nous appesanti
nom des muscles qui participent au tic. Le pronostic du torticolis mental a été considéré comme assez sombre ; et, en eff
Grasset, torticolis psychique, ce que M. Brissaud appelle torticolis mental ; et nous sommes à peu près sûr que M. Brissaud
assez importante. C'est la question du rôle de l'idée, du processus mental vrai dans la pathogénie des accidents névrosiques
M. Grasset ne rend-elle pas évident ce rôle pathogénique du processus mental ? Je ne résiste pas à la satisfaction de reprod
: « Beaucoup de cas étudiés par Brissaud sous le nom de torticolis mental me paraissent rentrer dans ce dernier groupe de
aud a bien voulu nous confier quatre malades atteints de torticolis mental , et sur ses indi- cations et sous sa direction,
tir, avant que le spasme devienne imminent. TROIS CAS DE TORTICOLIS MENTAL LE TRAITEMENT MÉDICAL DU TORTICOLIS MENTAL 409
TROIS CAS DE TORTICOLIS MENTAL LE TRAITEMENT MÉDICAL DU TORTICOLIS MENTAL 409 Nous conseillons à la malade de faire l'apr
rable à l'occasion duquel il réalisa un beau spécimen de torticolis mental (Pl. XLVI, 2). Le torticolis ne datait que de q
îna des discussions et des chi- LE TRAITEMENT MÉDICAL DU TORTICOLIS MENTAL 4H canes de famille ; notre homme en fut très a
rs les détails de son histoire. LE TRAITEMENT MÉDICAL DU TORTICOLIS MENTAL 413 CONCLUSIONS Pour en revenir à la méthode
Meige (Salpêtrière, 1893-1894), p. SI4. F. Bompaire, Du torticolis mental . Thèse de Paris, 1894. E. BRISSAUD et H. MEME,
ris, 1894. E. BRISSAUD et H. MEME, Trois nouveaux cas de torticolis mental . Revue neurologique, 1895, p. 697. E. Bwssnun
, p. 697. E. Bwssnun;Conlre le traitement chirurgical du torticolis mental . Revue neu- rologique, 1897, p. 34. Grasset,
nnel), par le professeur Grasset (3 phototypies), 218. Torticolis mental (son traitement médi- cal), par FEINDEL (1 plan
ins, 4 4 phototypies et 1 photogravure), 263. Feindel. Torticolis mental (1 planche), 404. FÉRÉ (CH.). Note sur l'asym
oliose dorsale primitive, II. Tic du colporteur, XXVI. Torticolis mental (3 cas), XLVI. Tumeur cérébrale, sarcome de la
82 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
isme de mars, avril, mai et Juin 1903. (2) Cit. de Janet. Accidents mentaux . quels il n'exerce pas de contrôle : par des
suggestion pendant le sommeil naturel dans le traitement des maladies mentales , Paris, Maloine, 46 pages- — Technique, indicatio
d. 31 octobre 1900. — Suggestion during natural sleep, The Journal of mental Pathology- New-York, June 1901 et Revue de VHypn.
supérieur fléchit et ne leur donne plus la chasse. Si le sujet est un mental , un obsédé, tout particulièrement, — si, d'autre
é des hommes qui s'arrogent le droit d'apprécier et de définir l'état mental des autres, se désintéressent de tout ce qui de p
z Professeur a l'Ecole de psychologie. En thérapeutique nerveuse ou mentale , de nombreux cas paraissent justiciables du trait
nt, même en dépit du malade. Elle convient donc tout spécialement aux mentaux et aux aliénés qui refusent de se laisser suggest
cas. C'est donc, pour ainsi dire, malgré eux, qu'on modifie leur état mental , en agissant sur leur subconscient. Pendant cet
l'une quelconque des multiples indications de l'orthopédie morale ou mentale . III. — Quant à l'hyponarcose ou narcose sublim
e, elle convient à cette légion d'individus frappés de dégénérescence mentale , douteurs, scrupuleux, inquiets, angoissés, aboul
c antérieur; d'autres fois, elle résulte uniquement de préoccupations mentales . Au moment de l'acte, tel dégénéré s'observe,
ci, s'il ne devrait point s'y prendre comme cela... et cette activité mentale obsédante inhibe la fonction génitale. Cette impu
omphe de ce trouble fonctionnel. De toute manière, si les dégénérés mentaux dont il a été question plus haut ne sont pas comp
onger à l'internement, il est naturel que l'on fasse constater l'état mental du malade par un eminent spécialiste et si le mal
usieurs reprises; il avait jadis donné des signes de déséquilibration mentale . N'empêche que pareil exemple est fait pour donne
interdit, de peur de conduire au dérangement cérébral, à l'aliénation mentale 1! Mystère et Kabbale, disent-ils presque ! Aberr
rie légère, à un degré relatif, nous avons facilement constaté l'état mental particulier —, l'hystérie étant, d'une façon abso
çon absolue, une maladie psychique —- justiciable d'une thérapeutique mentale dirigée contre des idées mal formulées, souvent s
e ? Qu'allons-nous faire ? Rien que de très simple. Cette faiblesse mentale est le plus souvent, d'ailleurs, le seul stigmate
me d'apparence souvent robuste et vigoureuse, bien que d'un équilibre mental insuffisant, il ira droit au but. Son action, tou
ême de leur état psychique essentiellement constitué par la faiblesse mentale et l'aboulie, sont exposés à toutes les misères m
de la Salpètrière. Communications inscrites : Dr Doyen : L'état mental des opérés. Dr Pau de Saint-Martin: Présentatio
ertaines maladies physiques que pour celles des maladies nerveuses et mentales , pour le redressement des fonctions que pour l'or
ogie de l'entraînement dans la course en flexion. Dr Doyen : L'état mental des opérés. M. Edouard Crûs : Rapport entre la
ent aux professeurs l'obligation de soumettre les enfants à un labeur mental excessif. La préoccupation de meubler le cerveau
tendu liseur de pensées sur le point où il s'agit d'exécuter un ordre mental , le client suggestionné préparera, par sa conduit
r et annihile la volonté. Le traitement psychologique du bégaiement mental et de la timidité Par M. le Dr Bémllox, Médecin
qu'ils étaient extrêmement faciles à intimider. L'examen de l'état mental des bègues revêt aussi d'intéressantes particular
un mot, on peut dire que les deux manifestations dominantes de l'état mental des bègues sont l'émotivité excessive et l'abouli
t dire de beaucoup d'entre eux qu'ils présentent l'état d'infériorité mentale désigné sous le nom de puérilisme. Leur caractère
ut bégaiement verbal n'est donc que l'extériorisation d'un bégaiement mental . Les hésitations, les défectuosités et balbutieme
plus d'assurance. Il est évident qu'il se produit dans son évolution mentale comme une sorte de maturation, dont il se rend co
nsacré à l'étude des déviations pathologiques générales de l'activité mentale humaine, qui prennent contact avec la justice. Ap
a seconde partie du volume, Kovalewsky étudie les causes des maladies mentales . Successivement il passe en revue les névroses et
on, la parturition, les suites de couches, la lactation. L'aliénation mentale peut-elle être une cause de divorce? Après exposé
agnan, par la négative. Vient ensuite la simulation dans les maladies mentales , le volume se termine par l'étude de l'évolution
ge un des plus instructifs et des moins arides des précis de médecine mentale judiciaire et rendront les plus grands services a
édecin en chef de Ville-Evrard, dont les travaux sur l'aliénation mentale et sur l'alcoolisme font autorité. Les cours se
à l'Ecole Polytechnique ; M. Baguer, directeur de l'Institut départe, mental des sourds-muets; M. Valentino, chef do bureau au
on est donc des plus intéressantes; elle montre, d'un côté, la nature mentale des manifestations hystériques et, d'un autre côt
. 3° La psychologie appliquée (hypnotisme thérapeutique, orthopédie mentale , pédagogie suggestive, etc.). 4° La psychologie
ciles à interpréter, tels que : fa lecture des pensées, la suggestion mentale , tes hallucinations tèlêpathiqucs, la lucidité, l
ttes, la mémoire intacte, il jouit de sa pleine puissance de synthèse mentale . Vous avez tous rencontré dans le monde cet homme
humaine. Il a aussi insiste sur l'accroissement des cas d'aliénation mentale causés par l'abus des boissons alcooliques. M.
des hiérosyncrotèmes familiaux est que la dévotion est une affection mentale contagieuse, et que les idées et les sentiments r
mme à celle des maladies épidémiques. La dévotion est une affection mentale qui frappe de préférence les enfants, les vieilla
ène, il y a un an, nous n'eûmes pas de peine à reconnaître que l'état mental devait être rattaché à l'existence de la maladie
convulsifs et l'émission des cris ont diminué progressivement. L'état mental s'est transformé et la malade est devenue plus ca
tenue par l'application des moyens pédagogiques. Bien entendu, l'état mental de cet enfant présente toujours une grande fragil
nécessité du placement dans un asile. impotentia coeundi, d'origine mentale , guérie par la suggestion éthyl-méthylique pa
se montre l'une des plus rebelles, surtout lorsqu'elle est d'origine mentale . Je suis heureux de vous en rapporter un cas bien
ions; il les pèse et prend difficilement un parti; ses préoccupations mentales le rendent scrupuleux, inquiet, irrésolu. Après
r comme cela? Il s'observe, s'analyse, s'interroge; et cette activité mentale inhibe la fonction spéciale. Il échoue piteusemen
mbres sont inertes, il ne saurait les remuer; le corps obéit, mais le mental ne se laisse point dominer; je fais des suggestio
si, je le confesse. Finalement, nous cessons de nous voir; son état mental n'est guère modifié. Un an se passe; je suis alor
ment la dégradation physique du sujet, mais surtout sa dégénérescence mentale . Or, la dégénérescence mentale comprend aussi bie
sujet, mais surtout sa dégénérescence mentale. Or, la dégénérescence mentale comprend aussi bien la folie que la criminalité.
maison d'aliénés. Il en est de même malheureusement pour les maladies mentales . Or c'est au début des maladies qu'il faut interv
sme uésa-nique. Le mutisme serait le symptôme fondamental de son état mental qui comporte également d'autres manifestations, e
ssion. M. Voisin. — Ce malade a dû présenter une certaine confusion mentale après la mort de sa femme ; il est maintenant bea
n les renvoie de l'atelier dès les premières manifestations d'un état mental anormal et ils n'ont pas d'autres ressources que
niques incurables (Travail de la clinique des maladies nerveuses et mentales de l'académicien W. A. Becrterew. Ambulance psych
notisme et la suggestion à l'état de veille. Dr Bêrillon : L'onanisme mental et son traitement psychothérapique. Dr Le Menant
tion religieuse, p. 63. Banquet du Dr Rivière, p. 188. Bégaiement mental et de la timidité (Le traitement psychologique du
nce de l'). par Edouard Cros, p. 337. Impotentia coeundi, d'origine mentale guérie par la suggestion éthyl-méthyli-que, par P
83 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
chose à signaler que l'existence, chez un oncle maternel, de troubles mentaux pour lesquels il avait dû être placé dans une mai
; importance des notions fournies par les mouvements, dans la lecture mentale . Messieurs, Je me propose, dans plusieurs des
l'importance des notions fournies par les mouvements dans la lecture mentale des signes écrits, on fait fermer les yeux aux ma
LEÇON o Sur un cas de suppression brusque et isolée de la vision mentale des signes et des objets (formes et couleurs)1.
e. — Observation de Gallon. — Cas de suppression brusque de la vision mentale . — Ses effets. - Suppléance par les images auditi
mes de la mémoire. Il s'agit, dans ce cas, de la perte de la vision mentale des objets (Mental lmagery de Galton 1) — formes
Il s'agit, dans ce cas, de la perte de la vision mentale des objets ( Mental lmagery de Galton 1) — formes et couleurs, surven
e; c'est un homme 1.Francis Galton. — Inquiries into human Faculty; mental lmagery, p. 83. London 1883. 2. L'observation a
père et de son fils, c'était surtout une mémoire visuelle. La vision mentale lui donnait, au premier appel, la représentation
un contraste violent. M. X... se crut un instant menacé d'aliénation mentale , tant les choses lui semblaient nouvelles et étra
voir, et cette constatation eut pour effet de le rassurersur Sun état mental . Il reconnut d'ailleurs peu à peu qu'il pouvait,
les lèvres des mouvements dont il a conscience, et privé de la vision mentale , il lui est d^venujnécessaire d'avoir recours à l
ui se sont produits chez lui, en conséquence de la perte de la vision mentale . « Je m'empresse de répondre à votre lettre et
érieure. « Une conséquence remarquable de la perte de cette faculté mentale est, comme je l'ai dit déjà, le changement de mon
y a dix-huit mois, reposait surtout sur la faculté de représentation mentale visuelle qui, chez lui, était extrêmement dévelop
que, que l'act Fig. 37, 38, 39. soit précédé d'une représentation mentale qui avertit la malade de ce qui va se passer V.
avec une grande lenteur ; j'insisterai du reste bientôt sur son état mental . Il possède une bonne santé physique habituelle e
nt de certaines maladies ner veuses non qualifiées comme aliénation mentale , et de l'hystérie ou encore de la neurasthénie en
prédominants, et où l'on observe également la dépression physique et mentale qui existe à un si haut degré chez notre malade.
sant. L'é-Charcot. Œuvres complètes, t. ni, Système nerveux. 18 tat mental n'a présenté actuellement aucune grande anomalie,
e présente pas au reste, à part cette débilité psychique, de troubles mentaux bien caractéristiques. Il avoue avoir bu pendant
al nervous System, p. 78. (Ileprinted from the Journal of Nervous and mental Diseases, vol. VI, n° 3, July, 1884.) 1. Starr
ase léthargique de ce que l'on appelle le grand hypnotisme, l'inertie mentale est tellement absolue, en général, qu'il est impo
aralisi psìchiche, p. 103, 110, Milano, 1885. dente, il y a inertie mentale , mais celle-ci est moins profonde, moins absolue;
. 11 s'agit seulement ici d'un état d'obnubilalion, d'engourdissement mental plus ou moins accentué. Celte fois encore, sans d
t ism, etc. Suggestion by the muscular sense. (Journal of Nervous and mental Disease. Vol. X, n° 1. January, 1883.) — Voir aus
e chez eux. Mais, à ce propos, il est permis de se demander si l'étal mental occasionné par l'émotion, par le choc nerveux (Ne
ue la production d'une image, ou, autrement dit, d'une représentation mentale quelque sommaire et rudi- genre;puis, l'ayant p
s you be sure », disent les Anglais. Procéder par voie d'entraînement mental lent et progressif sera toujours plus prudent et
ganiques qui président normalement à la représentation de cette image mentale ont été profondément troublées, au point de la re
otrice (Maudsley) ; Faculté locomotrice (W. Hamilton); Représentation mentale du mouvement à exécuter (Spencer); Sentiment d'in
t. Rev. philosoph., n° 8, août 1883, p. 188. — Herzen. The Journal of mental science, avril 1884, p. 44. 2. Voir I'Appendice
i que vous l'avez compris, l'homme lui-même placé dans les conditions mentales spéciales à l'état hypnotique. Les deux malades
de chemin de fer. Dans ces occasions, il se développe souvent un état mental tout particulier, récemment étudié avec soin par
plus longtemps sur le rapprochement que je vous indique entre l'état mental produit par le shock nerveux et celui qui caracté
raumatisme qu'il a subi a produit chez lui un shock nerveux et l'état mental correspondant à celui-ci. Sans doute, la hanche a
tion surtout psychique qu'il s'agit, c'est donc un traitement surtout mental qu'il faudra mettre en œuvre. — Mais comment s'y
it-il à ce sujet dans un état d'inquiétude perpétuelle, de dépression mentale qui est bien de nature à entretenir son mal, étan
us le pensons, surtout d'origine psychique ou, si vous l'aimez mieux, mentale . — Or, je crois savoir que l'Administration du ch
r laquelle il pourra compter à l'avenir. En conséquence, la situation mentale de notre malade sera, je l'espère, profondément m
alise et se développe au plus haut degré, en raison d'une élaboration mentale , d'un processus d'auto-suggestion dont nous avons
nous, rend compte de la production des paralysies dites psychiques ou mentales , si vous l'aimez mieux. Cette théorie, aujourd'
ement à ces deux points. En premier lieu, il est certain que l'état mental qui s'observe dans la période somnambulique de l'
ssance de réalisation pour ainsi dire sans limites. Parmi les états mentaux inconscients ou subconscients dans lesquels, en d
trouve toutes les circonstances requises pour la production de l'état mental particulièrement favorable à la réalisation objec
d'impuissance motrice du membre ; et cette idée, en raison de l'état mental somnambulique si particulièrement favorable à l'e
t à l'état de veille, en dehors de l'hypnotisme. Ici, la modification mentale appropriée est déterminée par l'ébranlement nerve
on, produira en pareil cas, chez un sujet prédisposé, la modification mentale qui rendra possible la transformation de la parés
elques jours après, à la suite d'une sorte d'incubation d'élaboration mentale inconsciente'. En outre des phénomènes de natur
lontaires des membres. En raison de la dissociation facile de l'unité mentale , du moi, dans les cas de ce genre, ces centres pe
ce motrice ne s'est complétée qu'à la suite d'une sorte d'élaboration mentale inconsciente. L'amyotrophie sans modification des
faible. Penser, c'est se retenir de parler ou d'agir. » « Les actions mentales s'accomplissent dans les mêmes cercles (centres ?
, p. 539), nous ne pouvons rien trouver de plus qu'une représentation mentale de l'acte suivie de son accomplissement, — une
e positif qui constitue l'accomplissement de l'acte en tant qu'il est mental . La différence entre un mouvement volontaire et u
nts idéaux ne forment pas un élément moins important de nos processus mentaux , que les sensations ravivées d'une façon idéale.
. En d'autres termes, on ne peut regarder légitimement les opérations mentales comme étant en partie immédiatement dues à l'acti
e sujet prononce les voyelles e, i; le seul acte qui manque à l'ordre mental , c'est la tension de ces cordes. Bien que rapproc
; importance des notions fournies par les mouvements, dans la lecture mentale .............. 154 DOUZIÈME LEÇON. de la cécit
ÈME LEÇON. sur un cas de suppression brusque et isolée de la vision mentale des signes et des objets (formes et couleurs).
e. —Observations de Galton. — Cas de suppression brusque de la vision mentale . — Ses effets. — Suppléance par les images auditi
84 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
l'on étudie également leur modalité dans les différentes ma- ladies mentales . Mais les tableaux nosographiques de la classific
- tent, quand elles se rencontrent clans des malades de cette forme mentale , un produit plaisant. Un assombrissement éventu
ers : dans le dément, c'est une démolition raisonnée ausub- stratum mental du symbolisme, et une oeuvre de reconstruction ;
orps et de l'esprit, la conscience de notre moi. Dans les syndromes mentaux dont je m'occupe, sont comprises des altération
x, et il a détruit le temple de Diane à Ephèse. Outre la capacité mentale à la conception du beau, sur laquelle j'ai fait
es déments précoces, même quand une certaine aptitude aux fonctions mentales est relativement bien conser- vée, comme elle l
dans les malades beaucoup plus graves par les avaries des aptitudes mentales . Et comme ce type d'orne- ments est le plus fré
z les sujets vivants, du moins chez les adultes, où le prognathisme mental est plus accusé que chez les enfants. L'indice
t la fréquence relative au moins chez les adultes - du prognathisme mental . Ce dernier caractère peut être assez marqué po
tres se trouvent surtout chez les adultes (par exemple prognathisme mental ). Il me semble qu'aucun ne soit absolument cons
ises de céphalée très intenses. Il présente, en outre, des troubles mentaux qui semblent remonter à un an environ. Il croit q
a brusquement et se manifestèrent des symptômes du côté de son état mental . Elle se fit triste, taciturne et commença à se c
renvoyée chez elle complètement guérie en apparence des trou- bles mentaux . Rentrée à la maison elle continua à garder une s
sensibilité tactile et de la sensibilité profonde à cause'de l'état mental de la'malade, ainsi que l'on a vu pour les membre
nstruée qu'une fois. Une attaque courte, mais aiguë, de dérangement mental survint en fé- vrier 1906. Le 19 février de c
jours une chose difficile que d'élucider les histoires d'aliénation mentale ou de crises convulsives dans une famille. Néanmo
crits et interprétés à part. Je passerai donc rapidement sur l'état mental des myxoedémateux,pour m'étendre davantage sur
riérés, les hypothyroïdiens chroniques d'Hertoghe, etc. 1. L'état mental des myxoedémateux. Le myxoedème est un syndrome
faitement voisiner avec des troubles squelettiques intenses. L'état mental du myxoedémateux in- fantile est celui de l'enf
quisse très rapide, parce qu'on la trouve partout détaillée, l'état mental des myxoedémateux. Je n'ai pas à faire à part c
ental des myxoedémateux. Je n'ai pas à faire à part celle de l'état mental des crétins. Le créti- nisme, en effet, n'est q
démonstration du rôle de l'in- suffisance thyroïdienne dans l'état mental des myxoedémateux. Voici, à titre d'exemple, un
peut les grouper en : 1. Infantilisme; 2. Arriération physique et mentale ; 3. Syndrome d'Hertoghe d'hypothyroïdie bénign
oit la netteté de l'opinion de M. Brissaud. Dans ces cas-là, l'état mental , qui le puérilisme, est donc en rapport avec la
non avec des perturbations toxiques d'origine glandulaire. L'état mental est lié à une anomalie de structure et non à un t
non à un trouble de fonctionnement. 2. L'arriération physique et mentale . Les arriérés ne sont pas toujours des myxoedém
tiles. Ils peuvent être obèses, chryptorchides. Quand l'arriération mentale est mono-symptomatique, c'est seulement l'heure
démonstration s'appuie sur une série de faits cliniques et expéri- mentaux . Chez certains basedowiens traités par la thyro
rent bientôt des troubles psychiques graves sous forme de confusion mentale hallucinatoire, sans qu'il y ait à proprement par
insiste Biros avec juste raison : bizarrerie d'humeur, instabilité mentale avec asthénie intellectuelle,diminution de la mém
trois groupes, selon qu'on retrouve dans les psychoses des troubles mentaux de la même série que les nuances psychiques des
fait remarquer Régis, il s'agit toujours d'un accès de conflt- sion mentale , généralement aigu, se traduisant à la fois par d
admet aussi que le goitre exophtalmique peut créer une alié- nation mentale de toutes pièces, « aliénation qui survient par l
ues, ou dégénératives. . Sainton conclut aussi : « Il y a un état mental spécial qui est l'apanage LES TROUBLES PSYCHIQU
progressivement en même temps que les symptômes physiques. L'état mental redevint normal et la guérison put être considéré
cas de syndrome de Basedow complet ou fruste compliqués de troubles mentaux allant depuis l'excitation simple jusqu'à la ma
rmes frustes, estplus souvent qu'on ne pense une cause d'aliénation mentale . Aussi convient-il de rechercher les formes fru
trent dans l'allure générale des psy- choses toxiques, la confusion mentale . BIBLIOGRAPHIE DES TRAVAUX CITÉS A (4). Bal
" 75, p. 889, 19 septembre 1901. BALL (B.). Leçons sur les maladies mentales , 2a édit., 1890. Ballet (G.). Etat mental des d
Leçons sur les maladies mentales, 2a édit., 1890. Ballet (G.). Etat mental des dégénérés. Arch. gén. de méd., 1888. Des id
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ltérée, mais l'examen en est presque impossible en raison de l'état mental de Mme G... Réglée il y a 3 semaines. Intelli
edlich n'est pas partisan de la théorie qui rapporte les trou- bles mentaux à des produits toxiques sécrétés en quelque sorte
voir de l'importance par la suite, que l'objet et sa représentation mentale ,son idée doivent correspondre à la même confi-
ur obtenir un tel résultat, qu'on se soit fait une représen- tation mentale delà chose et qu'on y ait pensé avec plus ou moin
qui ne laissa pas, chez lui, de traces apparentes d'affaiblissemenl mental . ' Quatre ans après, sans qu'il ait fait le moi
ler du côté des appareils ni des organes du sens. Au point de vue mental , il existe un état de confusion notable, avec ten
ésulter d'une diminution de l'attention et d'incapacité de l'effort mental . L'attention spontanée fait particulièrement dé
ficile de savoir s'il correspond uu non à quelque 're- présentation mentale . La particularité la plus intéressante et la pl
s malformations des extrémités, se préoccupant peu ou pas de l'état mental . Aussi ont-ils conclu, pour la plupart, à l'int
e façon plus précise l'attention des futurs observateurs sur l'état mental des syndactyles. 4° L'existence actuelle, chez
rieure bien marquée, à la suite et sous l'influence d'une confusion mentale aiguë, toxique ou infectieuse ; 2° La démence p
ent dégénérés, constituant un véritable processus d'affaiblissement mental greffé sur le fonds primitif de faiblesse mentale
d'affaiblissement mental greffé sur le fonds primitif de faiblesse mentale . Le cas de Pierre peut être considéré comme car
la spléno-hépatomégalie (Ferranini). Chez ces sujets l'infantilisme mental est moins grave. Lancer eaux pense que cette form
n cas d'infantilisme (compliqué d'adiposité générale et de débilité mentale ) récemment publié par Lemos, l'auteur invoque com
ité neuro-patholoâique : il y avait en effet de nombreuses maladies mentales et nerveuses chez les ascendants ; l'héré- dité
et Joldstein, Cltarrin et Jardry, etc.). L'arrêt du développement mental chez les myxoedémateux serait secondaire à des
la eslirpazione delle capsule surrenali di alcuni mammiferi. Speri- mentale , 1903. MARFAN et P. Guinon. Infantilisme par lé
0. Son. Archiv. ital. de biologie, 1907. SOULARD. - Le puérilisme mental . Thèse de Paris, 1904. SOUQUES. - Myxoedème, in
t raison. Mais lorsque la crédulité du sujet s'accompagne d'un état mental spécial qui rende la volonté esclave des idées
clave des idées que nous' lui mettons dans la tôle, et que cet état mental est permanent et dominant au lieu d'être en état
tsch. f. Nervenheilk., II, p. 350. SINKLEII. Journal of nervous und mental diseases, 1891, p. 11. SINGER. - Wien. medicin.
ment du Professeur Joffroy s'orientèrent surtout vers la pathologie mentale . Déjà, à propos de J'hystérie et de la chorée.
convulsif s. Appelé, en 1893, à la chaire de Clinique des Maladies Mentales , le Professeur Joffroy commença à l'asile Sle-A
paraît chaque jour davantage. ' Mais, bien que l'étude des maladies mentales , qu'il était chargé d'ensei- gner, l'occupât sp
85 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
t présente un véritable état d'infantilisme. Ajoutons encore l'état mental absolument puéril, son manque d'intelligence, s
delbasis in lidrat,genbilde. flamburg, 1905. Soulard. Le puérilisme mental . Thèse de Paris, 1904. TAUOEII. /)t/a;)h7mM. Wi
7mM. Wiener med. Presse, 1907, n°.15. TANZ1. - Rivista di patologia mentale , 1899. Zollner. - Eirz Fall von Tumor des Schad
le D, P. ZOSIN Docent, chargé du cours des maladies nerveuses et mentales à la Faculté de Médecine de Jassy (Roumanie).
artilage de conjugaison, restant non ossifié chez notre sujet. Etat mental . - Son intelligence est fort médiocre, presque d'
mmuniqué à la Société de Médecine de Nancy, 9889). Quant à l'état mental de notre sujet, caractérisé comme nous l'avons vu
royons pouvoir le considérer comme une variété spéciale de débilité mentale : la débilité mentale achondroplasique qu'on pe
idérer comme une variété spéciale de débilité mentale : la débilité mentale achondroplasique qu'on peut différencier des au
dois dire qu'il est très dégagé et absolument normal dans son état mental . L'examen le plus complet du système nerveux de
yse des facultés psychiques de cette créature pour évaluer son état mental ; il est de toute évidence que Mar- guerite pré
ion II. Résumé. Pas de convulsions dans la première enfance. Etal mental caractérisé par une déchéance progressive de tout
ents primitifs. . En résumé, Aurélie présente un état de puérilisme mental très net. Ses fa- cultés psychiques sont profon
pas assimiler cet état de simple irrita- bilité cérébrale à l'état mental de nos trois malades, mais il faut d'autre part
icularités relatives à la succession de divers syndromes moteurs et mentaux apparus à la suite d'un traumatisme crâ- nien,
re. Les jours suivants, on ue constate aucun changement dans l'état mental . M. A. dort peu et gémit sans cesse. On tente l
menter; le poids du corps est de 66 kilos. 4 juillet. - Même état mental . Les urines ne contiennent plus de sucre. Le tr
. Le traitement ioduré est ordonné de nouveau. 28. Mêmes troubles mentaux et physiques. Les réflexes patellaires sont fai
extrémité. Les mouvements des doigts sont très limi- tés. Même état mental . M. A. gémit sans cesse ; il se dit le plus malhe
nD 15 décembre. Une amélioration notable s'est produite dans l'état mental . M. A. est plus calme ; il ne gémit plus, il pr
d'idées de négation et d'immortalité. 20 janvier 1904. Les troubles mentaux sont en voie de disparition. Les douleurs au ni
u des articulations. 27 février. M. A. ne présente plus de troubles mentaux ; il persiste seulement un affaiblissement lége
talité, un délire d'énormité. Cinq mois après le début des troubles mentaux , douleurs violentes localisées à l'articulation s
tion lentement progressive des troubles paralytiques, trophiques et mentaux . Dix mois après le début des troubles mentaux,
tiques, trophiques et mentaux. Dix mois après le début des troubles mentaux , il ne persiste plus qu'un léger affaiblissemen
ymptômes s'accorde avec cette hypothèse. La pathogénie des troubles mentaux est plus obscure. Ceux-ci n'ont débuté que plus
e nous avons rencontrées chez plusieurs sujets atteints de troubles mentaux aigus. A cette inflammation cérébrale diffuse s'e
ions suivantes : 1° Existe-t-il, comme base anatomique des maladies mentales , des lé- sions cérébrales typiques, constantes
dmît enfin la réalité des altérations anatomiques dans les maladies mentales , on souleva dès lors la question de priorité de
des et bien établies, on est en droit d'admettre que tout processus mental normal ou pathologique qui s'effec- tue, doit n
teints de troubles psychiques chroniques, chez lesquels l'affection mentale est évoluée depuis longtemps, ou d'individus décé
spond assez bien à celle que l'on a l'habitude de faire en clinique mentale , lorsque l'on parle des psychoses dites fonction-
oir lieu au congrès de Budapest, sur la classification des maladies mentales , ne nous montrent- ils pas,dans les divergences
res et des tissus de l'écorce cérébrale observées dans les maladies mentales sont, en fait, les lésions banales de la pathol
ie générale elle-même peut être observée dans d'au- tres affections mentales , sans compter les inflammations aiguës spontanées
es tissus ; comment alors concevoir la base anatomique des maladies mentales ? Je répète ici ce que j'ai déjà dit ailleurs.
cette conception nouvelle de l'anatomie pathologi- que des maladies mentales nous a été suggérée par l'étude des beaux trava
plus de précision le fondement organique des diverses affec- tions mentales . Pour ne citer qu'un exemple, ne serait-il pas
urologie, ontmontré qu'il fallait s'efforcer d'étudier les maladies mentales en se plaçant sur le terrain biologique, car no
maux. 3° Les altérations pathologiques du cerveau dans les maladies mentales frappent cet organe, soit pendant son évolution
qu'à ce jour et à l'examen microscopique de la plupart des maladies mentales . 6° Il y a, dans les psychoses, des lésions con
édicale psychothérapeutique dans un grand nombre de cas de maladies mentales , parce que, disent-ils, la base anatomique est en
sychologique des psychonévroses et à plus forte raison des maladies mentales ! Si le. psychisme primaire a besoin d'un tel a
la circulation du sang dans le cerveau sur l'étiologie des maladies mentales . Il a émis l'opinion que lamélancolie est (t) B
fonction. En voici un exemple curieux que j'ai observé. A... débile mental et hypothyroïdien en soulevant un fût le 17 aoû
ère et c'est ce qu'il devra mettre dans son rapport. LES TROUBLES MENTAUX DANS LA LÈPRE L'ÉTAT PSYCHIQUE HABITUEL DES LÉP
ital Saint-Louis Ancien interne Médaille d'Or. L'étude des troubles mentaux dans la lèpre a été une des parties les plus né
, août 1909. 1 220 0 DE BEURJI[ANN ET GOUGEROT relatives à l'état mental normal des lépreux européens on[ été admirable-
s de justesse la psychologie normale des infortunés lépreux. L'état mental du lépreux européen est donc assez bien connu ; i
emble pas. L'étude des lé- preux orientaux nous prouve que cet état mental dépressif est créé secon- dairement et de toute
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.. . T. XXIII. Pl. XVIII LES TROUBLES MENTAUX DANS LA LEPRE (de Beurmann et Govaerot). Mass
). Masson & Cie, Editeurs. Phototypte Berthaud LES TROUBLES MENTAUX DANS LÀ LÈPRE 221 nullement ; ils ne sont pas
mot, tes Birmans et les Chinois ne présentent à aucun degré l'état mental des quelques Européens ou Eurasiens, réfugiés e
même lorsqu'il est abandonné à son sort, ne manifeste aucun trouble mental dépressif. Au moment de l'invasion de la maladi
ssées aiguës ; mais, en dehors de ces accidents passagers, son état mental est celui des asiatiques non lépreux. C'est bien
enus contracter presque volontairement. On peut donc opposer l'état mental du lépreux asiatique et du lépreux européen, le
premier reste normal, le deuxième est profondément atteint. L'étal mental des Européens lépreux est dû à deux facteurs : 1°
l mental des Européens lépreux est dû à deux facteurs : 1° à l'étal mental antérieur de prompte inquiétude et d'agitation qu
vité de l'Asiatique ; 2° à la connaissance et à la repré- sentation mentale . du pronostic de la lèpre. L'état menlal du lépre
peines sévères contre les simulateurs de la lèpre. En résumé l'état mental dépressif et anxieux du lépreux européen est un
action directe, la : toxi-infection hansénienne ne crée pas cet état mental . Il est possible pourtant que l'imprégnation lé
notions importantes car elles éclairent la pathogénie des troubles mentaux et des psychoses que l'on peut observer chez les
mple démonstratif de poly- névrite lépreuse accompagnée du syndrome mental appelé : tantôt psy- chose polyîîév7,iliqzte ta
, Lepra, 1906, vol. '1, fasc. 2 et 4, p. 107 et 231. LES TROUBLES MENTAUX DANS LA LEPRE 223 de Janet, insidieuse, progres
impressions (due à l'amnésie antérograde)...)). A côté d'un état mental normal du lépreux européen, il existe donc une
rié- tés peuvent nous être expliquées par la connaissance de l'état mental anté- rieur habituel des lépreux européens. Les
anté- rieur habituel des lépreux européens. Les études des troubles mentaux chez les lépreux, qui ont si peu attiré l'atten
ifficile à fixer. M. Bourneville porta le diagnostic de : déchéance mentale d'origine épilepli- que et constata une parésie
ce psychique ; quelques auteurs ont même affirmé que les conditions mentales des malades varient selon la grosseur de la tèt
x côtés. Phénomène de Babinski absent. Sphincters normaux. Etal mental . Mémoire et intelligence très affaiblies : désori
sychique. On relève sur le sujet les marques d'un affaiblisse- ment mental avec attaques transitoires d'irritabilité et des
attaques transitoires d'irritabilité et des épisodes de confu- sion mentale . On peut déjà constater cet affaiblissement au se
nteur des réponses et l'effort que coûte au patient toute opération mentale même légère. Aussi ses discours sont-ils lents,
ec ef- fort, il lui est aussi possible de faire quelques opérations mentales compli- quées ; comme par exemple de faire de t
préoccupé ; il semble même qu'il n'a pas conscience de ses troubles mentaux , tandis qu'il attache une grande importance à s
pas eu jusqu'à maintenant de vrais états délirants ou de confusion mentale , mais il semblerait bien qu'il en a eu dans le
Reil colla capsula exlerna nell' uomo. Riv. die Patologia nervose e mentale , 1891, vol. Il, ne 1. - DES CELLULES DE BETZ ET
s avec autopsie et examen microscopique. The Journal of nervous and mental disease, 899, no 2, p. 85. W. G. Spiller. Un ca
ace intercostal pour Usions cutanées dans les maladies nerveuses et mentales ne modifie pas ma façon de comprendre cette que
le salé, l'acide, le doux, l'amer, sont bien perçus. Les facultés mentales sont normales dans toutes leurs manifestations.
nourriture. Il n'existe cependant aucun trouble digestif. L'état mental est celui d'un enfant : elle n'a aucune instructi
é,l'absence de soudure osseu se, l'insuffisance génitale, le retard mental , caractérisent cet infanti- lisme. L'histoire
sentait du bouillon, il tombe tout à coup dans un état de confusion mentale . Le médecin appelé constate que la moitié gauche
ur la façon dont se comporte la sensibilité, à cause des conditions mentales du malade. Miction et défécation normales. · Ex
soit donné dans les microsomies uniformes,relatives aux réductions mentales suscitées,par la lésion primitive du système nerv
et clarté de l'étude des documents : c'est l'existence de troubles mentaux , dont l'apparition eut lieu à une époque bien d
et d'y joindre d'autres récréations de nature à dominer le trouble mental du peintre (1). « Malgré tout ce que l'on put
ourage. Pour les uns, Hugo van der Goes est atteint d'une affection mentale d'origine organique et d'étiologie, pour ainsi
de, mais aussi aux médecins qui n'ont pas l'expérience des maladies mentales . Si, en effet, les profanes reconnaissent leur ig
jours à per- sister,dans la relation et le commentaire des maladies mentales , les mêmes vices et les mêmes erreurs de méthod
de 'certaines maladies nerveuses, mais aussi de quelques affections mentales déterminées. La démonstration du caractère spéc
gestes lents, il l'esprit torpide. Beaucoup ont un déve- loppement mental rudimentaire. Dans ce groupe rentrent les nains i
paralysies radiales, par DE Beurmann et Gouobrot, 90. - (Troubles mentaux dans la -. L'état psychique des lépreux) (1 pl.
érieurs ayant débuté à la -) (2 pl.), par BAUER et DESDOUIS, 426. Mentaux (Troubles - dans la lèpre. L'état psychique des
et GOUGEH01'. Paralysies radiales lépreuses (1 pi.), 90. Troubles mentaux dans la lèpre. L'état psychique habituel des lé
eurmann (de), Paralysies radiales lépreuses (1 pl.), 90. Troubles mentaux dans la lèpre. L'état psychique habituel des lé
paralysies radiales (de 1 ! EUleamN et GOUGEI10T), IX. , troubles mentaux (de Beurmann et UouccrsoT), XVIII. Maladie fa
86 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
niques. (1) E. FEINDEL et P. Froussard, Dégénérescence et stigmates mentaux , malformation de Vecloderme : myoclonie episodi
orte que c'est la famille qui attire notre attention sur ces troubles mentaux , pendant que le malade nous les cache. Il parle
ux lits des autres malades et qu'il a été un peu agité. Le calcul mental est bon : 7 + 8 = 15, 9 + 8 = 17, 9 + 6 = 15, 1
ôt que d'en arriver à être l'amusement du monde (1). Des troubles mentaux ont déjà été notés dans la méningile séreuse, et
l'écorce, séquelles des ménin- gites, sont des causes d'aliénation mentale , Redlich (4.) insiste également (1) Le malade s
and, Des méningites à évolution insidieuse comme cause d'aliénation mentale . Gazette des hôpitaux, au LXXVII, no 49. (4) E.
e Clermont vers )'age de 34 ans, après plusieurs années de troubles mentaux à forme maniaque qui s'aggravèrent à la suite d'u
'est environ trois ans après son mariage qu'apparurent les troubles mentaux sous la forme de chan- gement du caractère et d
(1), « les observateurs » de géants « ne parlent guère de facultés mentales et réservent tous leurs soins pour l'étude de l
'ont pu que se bornera rappeler chez ces malades le seul puérilisme mental . N'est-ce pas avouer que l'état mental des géan
s malades le seul puérilisme mental. N'est-ce pas avouer que l'état mental des géants n'a pas encore été étu- dié ? C'est
tit sexuel. L'observation suivante est celle d'un géant dont l'étal mental est carac- térisé par une constitution instinct
tendances instinctives, est véritablement une femme débile. Etat mental . - L'étude des troubles mentaux du malade est dan
ritablement une femme débile. Etat mental. - L'étude des troubles mentaux du malade est dans cet ordre d'idées riche en c
'idées riche en constatations curieuses. Le fond de la constitution mentale , et en particulier des tendances sexuelles, se re
i qu'en témoigne parfois une légende de sa main. ' Tel est l'état mental de notre géant inverti. L'histoire de son gigan
DE la Salpètrière. T. XXV. Pl. XIX INVERSION SEXUELLE - FÉMINISME MENTAL (Dessins du malade.) (Alfred Gallais). Mass
is. Il a un faciès pouponnien, il est imberbe et sur- tout son état mental est empreintde débilité. Son émotivité, ses fraye
et étal particulier, désigné par M. Dupré sous le nom de puérilisme mental . Il n'est donc pas seulement un géant acromégal
t et doit être considéré comme sa caractéristique c'est son état 1. mental vraiment spécial et constitué par des goûts fémin
mentalité toute spéciale, que nous proposons de nommer « féminisme mental ». Conclusions. Toutes ces constatations nous
e. 3° Il n'y a pas d'hypertrophie pituitaire visible. 4° Son état mental correspond à ce que nous proposons de nommer le
mental correspond à ce que nous proposons de nommer le « féminisme mental » . (1) AL1BERT, Tn. des malad. de la peau, 182
d., octobre 1902. MICROMÉLIE RHIZOMÉLIQUE PARTIELLE AVEC TROUBLES MENTAUX CHEZ UNE JEUNE ARABE PAR R 1 MM. J. CRESPIN,
l'Hôpital de Musta- pha (service d'observation spécial aux maladies mentales ), le 22 novembre 1911. Elle avait quitté le dom
ent depuis six mois, que l'on s'aperçut du désordre de ses facultés mentales , à la suite d'une colère, dit la soeur. A noter
eproduire des dessins très simples (un carré par exemple). Son état mental paraît donc avoir évolué formellement ; les geste
degré d'aplatissement du bassin, la fracture de la clavicule, l'état mental aussi. ' En ce qui concerne la dysplasie péri
nné de l'ovarine, qui n'aurait amélioré que légèrement les troubles mentaux . : Certaines observations permettraient d'incri
ère menstruation qui du reste aval tété très retardée. Ces troubles mentaux sont analogues à ceux pré- sentés par un malade
rôle sur le développement squelettique. » Sans doute, les troubles mentaux ne sont pas fréqnentsdans l'achondro- plasie (5
heure les malformations sdne- letliques, et plus tard les troubles mentaux . C'est l'explication que Parhon proposait au Co
(6) ont analysé minutieusement un achondroplasique au point de'vue mental , en cherchant à savoir si les troubles psychiqu
s envisagent avec quelque complaisance, en rapprochant les troubles mentaux des achondroplasiques des mêmes trou- bles chez
dès le principe. Du reste, l'observation de l'état intellectuel et mental de notre sujet était difficile, non seulement e
des malformations osseuses d'iniquement analogues, par des troubles mentaux variés, et par des altérations histo- logiques
mique est significative. Plus récemment, SPILLER (Journ. of nerv. a mental disease, 1907, p. 14) a fourni un autre exemple d
ons des muscles que l'on considérait alors comme les lésions fonda- mentales et les plus importantes en l'espèce. Cas DE Fri
ités des membres du côté gauche ; secousses fibrillaires ; troubles mentaux . Examen histologique : Dans la moelle, sclérose
térite intense. Observation DE DESUCr et DEBOUBAIX (2). Hérédité mentale chargée.Atro- phie musculaire datant de l'enfan
de la sensibilité. Troubles vaso-moteurs périphériques. Insuffisance mentale . Mort à 42 ans. - Examen histologique : Dans la
n motrice ; douleurs peu fréquentes ; sphincters intacts ; troubles mentaux , mort à 59 ans. Hypertrophie des raci- nes rach
r- vation : Femme D. Pas d'antécédents héréditaires. Déséquilibre mental habituel. A l'âge de 44 ans, début d'une atroph
'exislence de troubles psychiques, va- riant depuis le déséquilibre mental jusqu'à des états constitutionnels plus caractéii
900, IV° s., p. 253. (3) Halls et SemLLrt, Journal of nervous and mental diseases 103. (4) Gerouzi, Conlrib. allô studio
ntervalles (visions d'anges) ; agitation anxieuse. Pas de confusion mentale à proprement parler ; troubles de l'attention lié
l'exubérance du tissu con- jonctif. ÉPILEPSIE TARDIVE ET TROUBLES MENTAUX CONSE- CUTIFS A UN `'fOLEVT TRAUMATISME CRANIEN
e longue période de latence, des crises convulsives et des troubles mentaux observés chez notre ma- lade. Observation (PL
tre le o juillet 1908 à l'asile de Blois, pour épilesie et troubles mentaux . Antécédents héréditaires et collatéraux. - Pèr
ible et plus violent depuis une dizaine d'années. Mais les troubles mentaux n'ont éveillé l'attention de son entourage que ci
a prêté quarante-sept milliards à la ÉPILEPSIE TARDIVE ET TROUBLES MENTAUX 387 France et racheté l'Alsace et la Lorraine,
plus fréquentes, et qui s'accompagnent vers (le 35 ans de troubles mentaux sous forme d'idées délirantes poly- morphes, de
crises de fureur, d'absences et de vertiges, d'accès de confu- sion mentale et d'automatisme procursif qui amènent l'internem
du malade dans un asile d'aliénés, à l'âge de 41 ans. Les troubles mentaux s'accentuent rapidement et paraissent aboutir à
us marqué. ' La pathogénie des accidents convulsifs et des troubles mentaux relevés chez notre malade nous paraît essentiel
alcooliques, les crises convulsives et ultérieurement les troubles mentaux que nous avons rapportés. Ce processus à longue
ession de la moelle et de ses racines, The Journal of the Nervous and mental Disease, 1911, vol. XXXVIII, n' f0. Revue Neu
a. - Atrophie musculaire progressive (sur l'). Journal of nervous and mental diseases, vol. 33. février 1906. Dejerine. -
sciences médicales, Moscou, 1807. Section des maladies nerveuses et mentales , p. 159. `VALLEC7WEaf·It. - Sur le ramollisseme
utza. C. PARHON, Professeur de Clinique des Maladies Nerveuses et Mentales à la Faculté de Médecine de Jassy, Médecin en c
ilis. Il a une fillette de 6 ans. Est veuf. Ses pre- miers troubles mentaux se sont manifestés deux ans avant son internement
, l'attention ne montrent pas un affaiblissement notable. Le calcul mental assez bon. On observe des idées délirantes de gra
) a consacré aux rapports des glandes endocrines avec la pathologie mentale , on trouve l'observation d'un para- lytique obè
alades ont présenté des ictus avec convulsions épileptoides. L'étal mental de nos malades a été un étal de démence progres
aire rhizomélique, qui s'accompagne de plus d'asthénie, de troubles mentaux et souvent de lésions nodulaires sous-cutanées.
ar ANDRÉ- Thomas et JouENTIt', 309. Epilepsie tardive et troubles mentaux consé- cutifs il un traumatisme crdnien (1 pl.
ifs il un traumatisme crdnien (1 pl. ), par PETIT, 384. Féminisme mental (Gigantisme acromégali- que sans élargissement
élargissement de la selle turcique, inversion sexuelle, féminisme mental (4 pl.), par Gallais, 124. Hémianopsie (Blessur
cromégalique sans élargissement de la selle turcique. - féminisme mental ) 14 pl.), par GALLAIS, 124. Lepre blanche (Hype
matose secondaire (4 pi.), par Awrs-1'noxas et .1 UMENTIÉ, 309. Mentaux (Epilepsie tardive et troubles ? consécutifs à un
ar Petit, 384. Micromélie rhizontélique partielle avec trou- bles mentaux chez une jeune arabe (2 pl.), par Crispin et Bo
et CRESPIN (J.). Micromélie rhizo- mblique partielle avec troubles mentaux chez une jeune arabe (2 pl.), 137. BROUS SOLE
s élargissement de la selle turcique. Inversion sexuelle, féminisme mental (4 pl.), 124. Goldstein (M.) et IIL\RINESCO (
(2 pi.), 405. Petit (Georges). Epilepsie tardive et trou- bles mentaux consécutifs à un violent traumatisme crânien (1
latérale (J¡NGAZZINI ? XLV il XLVII. Epilepsie tardive et troubles mentaux con- sécutifs à un traumatisme crânien (Petit),
87 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
ont parvenus à faire seuls l'addi- ion sans retenues. L'instabilité mentale a sensiblement diminué. Ils rendent quelques se
bli une consultation non officielle, pour les maladies nerveuses et mentales . Nos collègues de la division des aliénés, nomm
ons de la visite de ces derniers pour nous renseigner sur leur état mental ou leur situation sociale. Dans ce groupe figur
e l'accord ne soit pas fait sur ce qu'il faut entendre par « débile mental » ; il y a peut-être une im- possibilité à le d
éfinir, en ce que ce terme embrasse tous les degrés de défectuosité mentale , depuis l'inperfcction ex Traitement ET éducati
sont parfaitement en mesure de reconnaître un arriéré ou un débile mental . Et tant qu'on emploiera au-dessous de sept ans
e à un enfant susceptible de faire un adulte normal au point de vue mental , le traite- ment pédagogique sera plus compliqu
mais un être qui s'approche tellement de la normale que son état mental devient mieux équilibré que celui de ses parent
un âge donné varient beaucoup quant à la rapidité de leur évolution mentale , aussi est-il sage de laisser il l'instituteur
enfants venus dans nos écoles, arriérés, défectueux au point de vue mental , peuvent être absolument transformés (1) C'est
lus de soin à l'étude et à l'exposé des particularités physiques et mentales qui différencient l'enfant du jeune homme, celu
Classes spéciales. cxix épileptique en ce qui concerne l'éducation mentale , manuelle et physique. Nous estimons que ces éc
'hérédité alcoolique et syphilitique, et d'acquisition des troubles mentaux (1). Puisse votre rapport obtenir l'attention e
es, de sorte que l'autorité militaire est au courant de leur état mental . Comme nous l'avons, du reste, dit si souvent n
ts communiqués au Pal'lws'Mnsewn, sur la « Scienlific Stttdy o/'the Mental and Physical Conditions of' Childhoocl, » conti
ad. de M. L. E. MonEL). Ces deux notes ont paru dans The Journal of mental Science, avril 1901. (1) Du même auteur : Menla
s. cxxv II. Classes spéciales dans les écoles pour jeunes débiles mentaux , PAR le D' CII1VVING W. (Charte Rev. Avril 19
tic précoce du développement anormal de l'enfant (tant physique que mental , car les deux sont généralement associés) et il
e est fixé, et tous les systèmes successifs d'éducation des débiles mentaux ont été établis sur le principe que le traiteme
chique. L'âge avancé, auquel, en thèse générale, les jeunes débiles mentaux sont soumis il l'éducation spéciale, constitue
t été abondamment pourvue de mai- sons d'éducation pour les débiles mentaux (en comprenant sous ce nom les idiots et les im
pour ne pas surcharger le budget communal, ou le budget départe- mental . Ils servent mal leurs malades et fabriquent des
ale et en particu- lier du mensonge comme symptôme de cette forme mentale ; Par BOURNEVILLE ET J. BOYER. Nombreuses sont
eption, le père de l'enfant n'ait pas encore pré- senté de troubles mentaux , l'hérédité paternelle est forte- ment chargée,
'hérniill1opsie latérale homonyme chez l'adulte. Étant donné l'état mental de l'enfant, nous n'avons pu recher- cher ce sy
d'empoisonnement, refus de manger, etc. Gué- rison de l'aliénation mentale ; tuberculose, mort. Par BOURNEVILLE ET AMBARD.
ie de torpeur. A 14 ans (septembre 1898), nouvel accès d'aliénation mentale : excitation, divagations, copro- lalie, clasto
re sale tuyau ! » 18 février. - Légère amélioration au point de vue mental . Elle mange toute seule. - Persistance néanmoin
ir été «si entêtée et si sale.cc 22 mai. - La situation physique ei mentale devient de plus en plus satisfaisante. Margueri
et d'où elle nous fût en- voyée. Ce qui domine, dans ses troubles mentaux , ce sont les idées de vanité, de grandeur, entr
seul, soit avec nos élèves sur la folie des enfants. z Instabilité mentale avec perversion des instincts (en collaboration
aboration avec Budor). Compte-rendu de 1884, p. 147; 2o Instabilité mentale avec perversions des instincts, com- pliquée d'
ien). Ibid., 1885, p. 54; 5° Folie de l'adoles- cence ; instabilité mentale ; idées vagues de persécution; succube (en colla
. Compte-rendu de 1887, p. 237;- Go Imbécillité légère; instabilité mentale avec perversion des instincts et impulsions gén
ult). Compte-rendu de 1888, p. 61 ; - 7° Imbécillité et instabilité mentale ; impulsions génitales (en collaboration avec So
intellectuelle consécutive à une brûlure de la tête; instabi- lité mentale ; délire mystique (en collaboration avec Tissier).
ssier). Compte-rendu de 1895, p. 77; - 9° Alcoolisme, instabilité mentale , crises hystériformes, guérison (en collaboration
de l'adolescence. Ibidem, p. 22u ; - 11° Imbécillité et instabilité mentale avec perversions des instincts. Compte- rendu d
ASEP. VVilh notes on sixty-lwo cases, by Arthur 1lIITCIjELL bum. of mental Science, vol. XXII, July 1877, p. 169-179). Ave
deux filles. La première aurait présenté des signes d'aliéna- lion mentale intermittente : elle « déclamait sans raison, f
...... CVII Classes spéciales dans les écoles pour jeunes débiles mentaux , par le Dr CHAN- NING .........................
orale et en particulier du mensonge comme symptôme de cette forme mentale ; par BOURNEVILLE et J. Boyer 25 IV. Considér
88 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
t FRANcmNi. Ricambio maleriale nel morbo di Basedow. Rivista speri- mentale di freniatria, 1907. 19. Revilliod. Corresp. BI
une incertitude dans la réaction du muscle, vis-à- vis du stimulus mental . Ces lésions sont la parésie musculaire et un ex-
colis spasmodiques, et surtout de Brissaud (22) sur le tor- ticolis mental , en montrant l'origine évidemment psychique de la
produise avec son caractère électif, il faudra une partici- pation mentale , peut-être minime, mais nécessaire Dans d'autres
ns la littérature médicale; tous ces cas s'accompagnent de troubles mentaux plus ou moins marqués, comme nous l'avons fait ob
LES CRAMPES PROFESSIONNELLES S 89 comme la conséquence d'un trouble mental . On peut voir en effet, dans presque tous les s
iques néces- saires à la bonne exécution de cet acte ». L'origine mentale de toute une catégorie de crampes professionnelle
l'association fréquente des névroses d'occupation avec des troubles mentaux ; c'est ensuite le passage facile d'une crampe
uelquefois observée d'une crampe professionnelle avec un torticolis mental ; c'est l'existence de mouvements associés chez
us ces phénomènes viennent à l'appui de l'origine ou cor- ticale ou mentale des affections qui nous occupent. Nous allons d
. Or, fait important à noter, et qui montre bien encore l'ori- gine mentale de ces troubles, deux ans plus tard survinrent de
fi- ment. t. 2° Crampes professionnelles associées à des troubles mentaux . Nous avons déjà fait remarquer que, en recherc
idées fixes obsédantes, etc. Mais dans certains cas les phénomènes mentaux pathologiques peuvent être très accusés, et pas
s. ho Association d'une crampe professionnelle avec un torticolis mental . Certaines formes de torticolis spasmodiques on
es de torticolis spasmodiques ont, à n'en point douter, une origine mentale ; le professeur Brissaud qui les a bien décrites
a assimilées aux tics, et les a groupées sous le nom de torticolis mental . Or, un certain nombre d'auteurs ont signalé l'
ont signalé l'association de crampe des écrivains et de torticolis mental (Duchenne, de Quervain, Russel Rey- nolds). Des
nce eut une crampe des écrivains, et, à l'âge adulte, un torticolis mental : la crampe reparut quelque temps au cours de c
une jeune fille chez laquelle on constatait à la fois un torticolis mental , des mou- vements choréi(01'Jnes des membres du
ent Meige et Feindel ; tous deux ont à leur origine un déséquilibre mental ; mais nous verrons plus loin qu'il n'y a pas li
e qu'on connaît de ces disgraciés physiques, des signes de débilité mentale chez les uns, chez d'autres des marques d'une c
physiques permettant de présager presque à coup sûr .l'infériorité mentale correspondante. Il est parfaitement licite de fai
aucun stigmate physique ou psychique de l'hystérie. a Le trouble mental qui constitue les hallucinations psychomotrices,
eu parfois leurs heures de succès avant de verser dans l'aliénation mentale , et qui continuent à exprimer par le cra- yon o
r l'équilibre psychique de ces artistes. Lorsque leur dé- rangement mental est définitivement confirmé, et s'ils sont encore
iennes, qui, par leur étrangeté, semblent témoigner du déséquilibre mental de leur auteur. Si l'absence de renseignements
nceptions grandiosement cruelles il la genèse desquelles un trouble mental n'est peut-être pas étranger. (1) Voy. L'Info
ent des productions qui permettent de douter du par- fait équilibre mental de leurs auteurs ? ... Dailleurs, il n'y a pas tr
plus d'une occasion de s'exercer dans le domaine de l'aliéna- tion mentale . Qu'il s'agisse de figurations reproduisant d'a
LE Dr P. ZOSIN, Docent chargé du cours des maladies nerveuses et mentales à la Faculté ' de Médecine de Jassy (Roumanie).
eu, n'écoute pas, ou apporte aux questions posées un grande paresse mentale . Les réflexes sont exagérés à droite avec signe
tion motrice du noyau lenticulaire, Revista di pathologia nervesa e mentale , juin 1905. xxii 9 12 6 VIRES ET ANGLADA ps
her cette manifesta- tion de celles qui caractérisent le torticolis mental de Brissaud. Le cas que nous publi ons diffère
contraire, une impression de gêne et de fatigue. Pas d'infantilisme mental , de phénomènes émotifs. Gilbert Ballet et Nague
scles du cou et des membres inférieurs ; elle a de l'infanti- lisme mental et les troubles qu'elle présente sont intermitten
. Icon. de la Salp., 1907, p. 390. CUAUM1EH et TATY. - Con fusion mentale chez un achondroplase. Glycosurie, acétonurie,
l'anatomia e dalla fisiologia dell'ipofisi. Rivista di Pat. nerv. e mentale , 1908, p. 518. SCHRUIPF. - Ueber das Klinische
stitution du mécanisme cérébral. Pour faire sortir les affec- tions mentales et certaines maladies nerveuses des ténèbres où e
lement à rapprocher ces affections d'autres maladies dont l'origine mentale est bien prouvée : les tics et le bégaiement. Que
ropathique. « Tous les tiqueurs, a dit Brissaud, présentent un état mental spécial, des bizarreries, de l'excentricité, br
exister d'autre part avec un tic, en particulier avec le torticolis mental , mais aussi avec d'autres tics, comme nous l'av
bi- tuellement, de même que les crampes professionnelles, d'un état mental particulier : préoccupation, anxiété au sujet d
e lésion anatomique périphérique, mais nécessitant toujours un état mental particulier, la grande majorité des crampes pro
de la sensibilité. Tous les orga- nes sont sains. Au point de vue mental , nI. Pet... est intelligent ; les idées sont vive
... s'afflige beaucoup de sa situa- tion ; il a 'd'ailleurs un état mental particulier : de tout temps il a été beau parle
te à la suggestion, et à l'hypnotisme. On hésite, à cause de l'état mental de M. A... à faire le diagnostic de paralysie g
t enracinée. Le pronostic des secondes se basera surtout sur l'état mental habituel du sujet, sur la concomitance d'autres s
luant isolément chez un sujet confiant en son médecin et sans tares mentales trop marquées, peut guérir, et guérit en effet
ue l'on doit examiner surtout avec le plus grand soin, c'est l'état mental du sujet, son passé pathologique, ses antécéden
ut naturellement de la crampe des écri- vains, en raison du travail mental qui intervient de la même façon dans ces deux m
UR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 211 la pensée par des signes l'acte mental est le même, ou du moins fort analogue à la mac
cessite un pareil tra- vail. Connaissant l'importance de ce facteur mental dans l'apparition des crampes professionnelles,
rs de cet acte ; il est donc possible que ce cas soit un torticolis mental et ne ren- tre pas dans les névroses coordinatr
ément de pronostic mauvais. Il faut tenir compte en outre de l'état mental du sujet : si le malade est un aboulique, un ps
es antécédents névropathiques héréditaires et personnels, ses tares mentales , ses défi- cits moraux ; il faut scruter sa vol
s de ses parents ; aucun événement ne lui échappe. , Les troubles mentaux consistent surtout en un délire de persécution po
e goitre re- monterait à moins d'un an. Les mois suivants, l'état mental de M... reste stationnaire.Par contre l'oedème
se lever,'disant qu'elle est perdue, qu'on l'a tuée. 22. Même état mental . Insomnie presque complète. Sous l'influence de
ne contiennent ni sucre, ni albumine. Dans la suite, mêmes troubles mentaux et physiques. A noter des crises de colère jour
côté droit sont légèrement contractures. Janvier 1908. - Même état mental ; l'oedème des membres inférieurs a pris encore
encore ulcérée. Asthénie très prononcée. - Janvier 1909.- Même état mental ; l'ulcération delà face dorsale du pied droit
z une femme ovarioto- misée apparaissent simultanément des troubles mentaux , un goitre avec altérations trophiques de la pe
rs. Quelques mois plus tard, le goitre disparaît, mais les troubles mentaux persistent, tandis que l'oedème des membres infér
res inférieurs atteint des proportions monstrueuses. Les troubles mentaux ne présentent rien de particulier; il s'agit de
fesseur de piano, par exemple d'un double surmenage muscu- laire et mental . Peut-être cependant serait-il sage d'interdire l
ydrothérapique, ou mieux hydrominérale. Le traitement psychique, ou mental comportera : 1" Dans certains cas très spéciaux
utilité même, presque indis- pensables, le traitement psychique, ou mental , devra être appliqué avec patience et méthode,
me ; d'une manière générale, la rééducation à la fois musculaire et mentale , c'est-à-dire la discipline psycho-motrice. .
ser à tour de rôle et à propos ces différentes sortes d'incitations mentales ». La rééducation motrice, pour avoir des résul
tère électif si particulier, une participation constante du facteur mental . Il existe en effet un certain nombre d'observa
concomitance ou la succession de plusieurs névroses ; 3° Sur l'état mental du sujet ; 4° Sur Y ancienneté de la maladie.
tre le terrain toujours spécial avec ses lacunes et ses bizarreries mentales sur lequel évoluent ces névroses, et gagner peu à
e, l'exercice de professions qui exigent un surmenage musculaire et mental . Il con- viendra d'éviter avec soin toute intox
lle palogenesi degli spasmi fonzionali, Rivista di patol. nervosa e mentale , vol. I, fasc. 8, août 1896. 8. BENEDIKT. - Sur
p. 180. 19. - Bonnus. Crampe des écrivains, et torticolis d'origine mentale . Nouv. Icon. de la Salpêtrière, mars-avril 1905
Madrid, 1903. Brissaud ET FEINDEL. Sur le traitement du torticolis mental et des tics similaires. J. de Neurologie, 15 av
901, ne 102. 97. 111EIGE ET Feindel. Les associations du torticolis mental . Arch. gén. de méd., fév. 1902. 98. Meige. Ti
hebd. méd. et chir., 12 juin 1902. - Les péripéties d'un torticolis mental . N. Icon. Salp., novembre, 1907. Article du Tra
d'Argyll n'est pas évident. Rien aux viscères, pas d'autre trouble mental qu'un sentiment de contente- ment de soi-même t
ersiste rien des troubles respiratoires constatés la veille. L'état mental de la malade mérite d'attirer notre attention. El
systématisé, ni aucun symptôme d'une forme quelconque d'aliénation mentale . Il est en somme intellectuellement un infantil
'une ancienne syphilitique et rhumatisante atteinte d'une affection mentale . Schaikevilch a supposé une sclérose diffuse de
H. NOUET et L. TREPSAT. La démence précoce est une des affections mentales où les troubles physiques sont les plus accusés
vivant. Cet homme semble présenter un certain degré de déséquilibre mental . Il eut durant son existence plusieurs affectio
ue B... n'est pas atteint de varices des membres inférieurs. Etat mental . - B... présente uu affaiblissement intellectuel
nce des dernières épidémies rend nécessaire une modification fonda- mentale de l'opinion antérieure sur ce point. Wickman r
ou une tendance particulières ; il dénote dans tous les cas un état mental spécial. S'il est vrai que certains sujets c'
ouage sur la face ont toujours traversé à un moment donné une crise mentale aiguë pendant le cours de laquelle ils ont tenu
t toute la vie se passera en une longue suite d'attentats. L'examen mental ne décèle aucune lacune évidente ni dans la facul
re sur ses antécédents héréditaires ou personnels à cause de l'état mental de la malade, on doit donc seulement se content
e. La force dynamométrique ne peut pas être prise à cause de l'état mental de la malade. Fic, 4. DEUX CAS D'HYDROCÉPHA
.DSTEI ? Un cas de tumeur de l'hypophyse sans acromégalie, Troubles mentaux el sommeil pathologique. Journal de neurologie 19
hie. Inaug. Disserta Kiel, 1898. . H1RSCII. - Journ. of. nerv. and. mental disease, mai 1899. ,' v'P.11 ! &ES WEBER, -
On ne peut découvrir dans les antécédents héréditaires d'affections mentales , ni nerveuses. Th. W... fut dans son enfance vigo
en parfaite concordance avec mes théories mécanis- tes du processus mental . L'accord ou l'opposition entre les faits ne peu-
oyer des expressions différentes pour caractériser le développement mental des animaux et des hommes, et comme les termes
et que l'on peut écarter de sa mise en oeuvre tout élément d'ordre mental , toute intervention d'une spontanéité intellige
ui entrent en action sans aucune participation d'un élément d'ordre mental s'élabore sans aucune prévision des fins, c'est
se passent comme s'il y avait eu intervention d'un élément d'ordre mental . Dans les deux cas, le mouvement physico-chimique
89 (1913) Exposé des travaux scientifiques
utres paralysies infectieuses (par exemple sur la paralysie expéri- mentale observée par Gilbert et Lion consécutivement à l'
Phenomcnon, by G. L. Walton and W. E. Paul (Journal of nervous and mental Disease, June, 1900). 8° Ueber den normalen G
r 1901). 16o The Babinski Reflex, by Van Epps (Journal of nerv. and mental Disease, April 1901). 170 Osservazioni sui Ri
analogue à celle que j'ai émise sur la pathogénie du torticolis dit mental , à savoir que le spasme fonctionnel est peut-êt
hildren and their relation to hereditary syphilis » (The Journal of Mental Science, July 1900). Erb dit que ce signe lui p
spasme a été appliqué à des affections telles que le torticolis dit mental où la raideur musculaire est instable. Le qualifi
he deep réflexes of the lower extremities. foiirizal of nervous and mental diseases, 18gg, March), de Van Gehuchten (Un ca
complète ou presque complète TORTICOLIS SPASMODIQUE. - TORTICOLIS « MENTAL » 177 du vertige et des nausées. Six de mes dix
of aurai vertigo by lumbar punc- ture ». The Journal of nervous and mental Disease, sept. igi i, p. 5/)o) présente un trav
r C. J. Blake et par lui-même. TORTICOLIS SPASMODIQUE. TORTICOLIS « MENTAL » Pathogénie. La plupart des neurologistes on
du torticolis spasmodique qui, d'après cet auteur, serait d'origine mentale . J'ai observé des faits qui semblent en opposit
reproduisait exactement le tableau symptomatique du torticolis dit mental . Or, tandis que le BABINSKI. 12 a 178 TORTICO
que le BABINSKI. 12 a 178 TORTICOLIS SPASMODIQUE. - TORTICOLIS « MENTAL » réflexe cutané plantaire était normal à droit
a tête avec la main, comme cela est la règle dans le torticolis dit mental . Ce qui faisait sortir ce fait de la banalité,
surréflectivité tendineuse est contraire à l'hypothèse d'un trouble mental et cadre avec celle d'une affection organique.
d'observer plusieurs autres sujets chez lesquels à un torticolis « mental » était associée l'extension réflexe du gros or
es. Il serait permis de sup- TORTICOLIS SPASMODIQUE. - TORTICOLIS « MENTAL » 179 poser qu'elle occupe une région des centr
tion des réflexes tendineux apparaissant au cours du torti- colis « mental » signifierait que la lésion n'est pas restée can
oigneusement étudiés, cherche à établir un lien entre le torticolis mental et la maladie de Friedreich ; c'est là une concep
tonique ensuite, rappelant les récentes descriptions du torticolis mental et, comme lui, corrigé par le signe du doigt»,
nos spasmodiques, ce torticolis spasmodique semblable au torticolis mental et de conclure, sinon à leur identité complète
vue de la clinique. Nous voyons donc qu'en présence d'un torticolis mental , l'attention doit être attirée vers la possibilit
Beduschi et Bossi ont publié sur « la Pathogénie du Torticolis dit mental » un travail analysé dans la Revue neurologique
rticolis spasmodique ayant les caractères clini- ques du torticolis mental et dont les réflexes tendineux étaient exagérés s
ient exagérés surtout à gauche. Ils concluent que le torticolis dit mental n'est pas l'expression d'un trouble psychique,
'être réellement efficace. 180 TORTICOLIS SPASMODIQUE. TORTICOLIS « MENTAL » J'ai rapporté, en 1907, une observation établ
'ont conduit à lui en opposer une autre, sur certains points fonda- mentaux , toute nouvelle. L'étude comparative des paraly
re réfractaires au traitement chez un sujet atteint d'une affection mentale telle que l'hébéphrénie. Le deuxième groupe com
s malades, à la manière d'un trouble organique, sans représentation mentale préalable ; Bernheim lui-même admettait la poss
PITII1AT1SME 207 lluence d'une émotion' sans aucune représentation mentale préalable, automatiquement, à la manière d'une
'on peut opposer à la fixité, à 1 invariabilité des autres maladies mentales . Cette mutabilité s'expli- que quand on sait qu
aru de notre clinique hospitalière, pour se réduire à un substratum mental sur lequel l'avis des plus compétents que moi est
t 43. Section de la branche externe du spinal dans le torticolis dit mental (Société de Neurologie, 7 novembre 1907). 13m
tionnels 172 Traitement 1 73 Torticolis spasmodique. Torticolis « mental » 177 Pathogénie 177 î Traitement 17g Choré
90 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
ESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DES MALADIES MENTALES DES MALADIES CUTANÉES ET DU SYSTÈME NERVEUX . S
t incomplète-1 ment à la lumière. Le 16, l'amélioration de l'état mental est très notable, le malade a conscienci, SURDI
d'un faisceau de Turck, disposé à la périphérie du faisceau fonda- mental du cordon antéro-latéral. Le faisceau cérébello-s
ge la partie antérieure de la moelle épinière, les faisceaux fonda- mentaux du cordon antéro-latéral. Oulre cela, il faut rem
s on trouve une histoire familiale de crises nerveuses, de troubles mentaux , de paralysie, etc. Le nervosisme et l'arthriti
paralysie localisée et notamment d'aphasie. L'étude des troubles mentaux présente aussi, dans cette observation, quelque
et, il semble bien résulter de la statistique comparée des troubles mentaux , au cours des lésions encéphaliques, que c'est
ttre que notre malade n'était, par son hérédité, ni un déséquilibré mental , ni un prédisposé aux réactions psychopathiques
intellectualité spontanée et l'activité volontaire. Cette déchéance mentale s'est lentement affirmée au milieu d'un état gé
hors de ces symptômes, la véritable caractéristique de l'altération mentale , chez notre malade, a été un état que l'on renc
ts. Ce n'est qu'à la période terminale de l'affection que leur état mental ne peut plus être distingué de celui de la démenc
de celui de la démence. Une autre caractéristique de la pathologie mentale des tumeurs encé- phaliques, qui ne faisait pas
t au malade d'exécuter facilement, malgré sa cécité et son obtusion mentale , tous les actes de la vie ordinaire, les al- lé
spontanée, de l'attention et de l'activité volontaire ; puérilisme mental ; intégrité remarquable du sens de l'orien- tat
y, Anatomie pathologique, 1856, t. Il. (2) Rorertson, l'alhology of mental diseases, Edinburg, 1900. 194 DUPRÉ ET DEVAUX
la patologia della cellule nervose, Rivista di pathologia nervosa e mentale , 1896. (3) MAnE&co, Des ! ons p)'tM ! <
cellules dans l'urémie expérimentale, Riv. di pathologia nervosa e mentale , 1896. (5) Ossipopp, Influence de l'intoxicatio
, The nerve éléments in lzealllz. an diseuses.. Journal ol'nervous an mental diseases, 1896. (4) Marinesco, Compt. rénd.So
lla palologia délia cellula nervosa. Rivista di patologia nervosa e mentale , 1896. (3) Canal, Revue trimestrielle de microg
ralbl., 1889, 155 The healcentre in the brain. Journ. of. nerv. and mental disease, 1887. The thermo- izzlzibilory, Appara
Brain, 1889. The funetiqn o/'luber cinereum. Journ. of. nerv. and. mental , dis. 1861. Vaso-tonic centres in the thalami.
ospection somatique, dans les autres par une introspection purement mentale , enfin dans la dernière catégorie par l'analyse d
ans la description et l'analyse de l'histoire clinique et de l'état mental de la malade nous chercherons à définir le sens e
le sens et la valeur psycliologique du mécanisme de l'introspection mentale . II Résumé DE l'observation. Depuis la jeunes
ions d'association et les causes de production des différents actes mentaux , qui s'imposent contre son gré à sa conscience,
ré, dont nous lui sommes reconnaissants. DÉLIRE par introspection mentale 239 Observation. L... Maria, 43 ans. - Le pèr
t qu'elle ne leur obéissait pas immédiate- DÉLIRE PAR INTROSPECTION MENTALE 241 ment, elle regrettait plus tard pendant lon
lleurs très bien avec son caractère habituel. Cette in- trospection mentale l'abstrait et lui fait oublier le monde extérieur
coupable. En un mot L... cherche à analyser et à expliquer son état mental . Elle cherche à distinguer des actes ou des pensé
e. Elle se figure également qu'elle a pris DÉLIRE PAR INTROSPECTION MENTALE 243 500 francs à sa soeur, puis elle se demande
» Voici encore une autre phrase d'elle qui précise bien son trouble mental et sa manière intellectuelle de réagir. « Je suis
ort très éloigné avec l'objet actuel de la DÉLIRE PAR INTROSPECTION MENTALE 243 pensée s'y attache. Et à chaque réminiscenc
le champ de la conscience. Après une analyse minutieuse de son état mental , elle leur trouve une origine en dehors de sa vol
semblent commander les actions du sujet et DÉLIRE PAR INTROSPECTION MENTALE 247 que L... rapporte à une personnalité plus o
malade il semble qu'il s'agit le plus souvent d'images vi- suelles mentales ; si dans certains cas, la malade présente ce qu'
elles véritables, il n'est pas moins vrai que les représenta- tions mentales visuelles existent concurremment et c'est d'elles
naturel d'appliquer à ce qui n'est en réalité que repré- sentations mentales toutes intérieures à peine extériorisées pour la
ui semblent des pensées ou des désirs coupables. Cette introduction mentale l'amène à dé- couvrir des associations d'idées
1 reste encore à préciser la question du rapport de l'introspection mentale avec l'existence probable, tantôt d'idées de pe
en sont la genèse. En vérité il ne s'agit là que d'une instabilité mentale , timidement dirigée par une introspection psych
qu'en tant qu'acte et activité intellectuelle ; ce sont des images mentales , leur combinaison ainsi que le jeu fantasti- qu
e fin de pren- dre connaissance de la nature qualitative des images mentales et du pour- quoi de leurs combinaisons. Nous
ment dans ses incursions inlrospectives et DÉLIRE PAR INTROSPECTION MENTALE 249 constitue à vrai dire la genèse morbide de
LE 249 constitue à vrai dire la genèse morbide de son introspection mentale . Car elle l'alimente sans cesse, lui fournit de
de ce qui se passe en elle-même, notre malade jouit d'une activité mentale qui ressemble par certains côtés au doute' méth
par les impressions psy- chiques qu'ils ont provoquées dans sa vie mentale la seule qui l'occupe et la captive. On essaye
n raison des émotions que les paroles peuvent évoquer dans son état mental , toujours absorbé par une intro- spection conti
d'employer ici cette figure littéraire qui évoque pourtant un état mental sur lequel on s'entend clairement). L... regarde
end clairement). L... regarde dans tou- tes ses phases son activité mentale non seulement parce que cette activité constitu
ncore une fois la valeur considérable que joue, dans notre synthèse mentale , l'introspection. Grâce à l'introspection nous
du point de départ et de la fin. Dans un délire par introspection mentale morbide le sujet, bien que dirigeant toute son
es et ne garde que rarement une conscience précise de sa syn- thèse mentale et des modalités de sa pensée ; son moi se confon
ond même. avec le caprice des associations d'idées et de l'activité mentale en elle-même. La malade en somme se substitue à
uver qu'une introspection exagérée ne convient pas à toute activité mentale . Lorsque cette dernière manque de ressources, s
'étudier est normal » et de l'autre, que les fouilles de l'activité mentale , l'introspection en un mot sont inutiles et souve
le faisceau cérébelleux qui est placé en dehors. Le faisceau fonda- mental du cordon antérieur passe dans le faisceau longit
ltiples autres stigmates anatomiques de dégénérescence, de troubles mentaux spéciaux aux dégénérés, vient justifier cette in-
a un simple sursaut, mais ce spasme insignifiant suscite un trouble mental très particulier. W... trouve il ce phénomène u
e qu'il voit, il peut s'appliquer à ce qu'il fait. Les seules tares mentales à rapprocher de celle-ci sont l'hémo- phobie dé
ans la fatigue (L'année psychologique, 1901, p. 69). -Elude expéri- mentale sur l'influence des excitations agréables et des
un lumore de lobo frontale sinislro. Rivista di Patologia nervosa e mentale , mars 1900. TUMEUR CÉRÉBRALE 357 7 Après avoi
à côté de la dépression et de la diminution intellectuelles un état mental par- ticulier, qui constitue leur notepsychopat
d' obnubilation intellectuelle auquel, peut s'ajouter du puérilisme mental . , 1 II. - Les endothéliomes des méninges peuve
i de zones hystérogénes. L'état de X... a peu varié au point de vue mental depuis son entrée à l'asile de Lafond; elle cau
s professionnelles, par TH. SAVILL, 149. Délire par introspection mentale , par VASCIIIDE et Vurpas, 238. Démoniaques (L
otocollogr.), 213. Vaschide et Vurpas. Délire par introspec- tion mentale , 238. Vaschide N. et CLAUDE VURPAS. Structure
l- logr.), 388. Vuaras et VAsciiiDE. Délire par introspec- tion mentale , 238. VURPAS et V ASCHIDE, Structure anatomique
91 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
nt tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur en Chef : Docteur Edgar
ier favorablement, sous son influence, leur état général et leur état mental . Nous voudrions aussi qu'on nous indiquât un trai
manche, à neuf heures et demie, ses leçons cliniques sur les Maladies mentales . M. Voisin fait, pendant le cours, un certain n
pratiques de l'application de l'hypnotisme au traitement des maladies mentales . cours. — M. le Dr Léglas a commencé un cours c
ours. — M. le Dr Léglas a commencé un cours clinique sur les Maladies mentales . Ce cours a lieu tous les vendredis, à la Salpêtr
de l'hypnotisme est. dans un grand nombre de ca«, nuisible à la santé mentale des sujets. Le Conseil municipal, conformément à
. Baillière, Paris, 1891, I fr. — Une nouvelle clinique de maladies mentales et nerveuses vient d'être inaugurée à Balle. —
orps 188 kil. Il serait Intéressant de connaître les particularités mentales que ne peut manquer de présenter un tel sujet.
hérapeutique, lOjanv. 1891). Fouillée (Alfred). — Ia Physique tl le Mental , à propos de Chypnolisme. (Rerue des Deux-Monde
issance de beaucoup d'autres — et j'écrivais que : Les préoccupations mentales des parents, rejaillissent sur les produits de la
possibles, auxquelles donnent toujours lieu l'état psychique ou Tétai mental du malade. De même qu'il n'y a pas d'action sans
les détenus qui fournissent des signes vrais ou simulés d'aliénation mentale . Avant même que la chose ne fût complètement élab
érapie, Par M. le Dr DE JONG, médecin spéciali*t» pour les maladies mentales et nerveuses, à la Haye (Hollande). Monsieur
'ai obtenus. Eu ma qualité de médecin spécialiste pour les maladies mentales et nerveuses, il n'est pas besoin de dire que la
. * La malade descendait d'une famille où les maladies nerveuses ou mentales étaient absolument inconnues, n'accusait pas le m
du cerveau qui laisse des suites fâcheuses, une véritable aliénation mentale . Les quelques résultats thérapeutiques qu'on peut
qué. Dira-t-on que le sommeil, c'est de l'hystérie ou de l'aliénation mentale ? Les rêves du sommeil que nous avons tous, les i
sultai. J'avais entretenu, l'année dernière, le Congrès de Médecine mentale de Rouen d'essais que j'avais entrepris avec le c
en faussaire... Il n'est pas prudent d'exhiber cette névrose experi-« mentale devant le peuple déjà trop impressionnable de not
,0) el en Italie (1/7) qu'en Autriche et en Allemagne. Les aflections mentales représentent de 1/5 à 1/2: de l'ensemble. Influ
ymptômes plus ou moins prononcés d'une véritable maladie cérébrale et mentale ; ici l'intervention de l'expert médical se justif
son effet à activer l'assimilation du médicament, à améliorer l'état mental et l'étal général du malade ; elle a aussi manife
tion que j'ai faite de concert avec M. Harant, au Congres de médecine mentale de Rouen, en août 1890, et dont les conclusions é
ment les conclusions que nous avons présentées au Congrès de médecine mentale de Rouen. Dr Auguste Voisin, Harant, Médecin
de personnes compétenles, n'expose le sujet à aucun danger physique, mental ni moral; l'intelligence, la santé et les faculté
'intempérance, la paralysie de la langue, le sciatique, la dépression mentale , la faiblesse ou la perte de l'appétit, l'hystéri
Anne. — M. le professeur Bail fait son cours de clinique des maladies mentales ,à l'asile Sainte-Anne, les dimanches et les jeudi
(Union médicale du Nord-Est, 6.) Dagoxet (II.). — « L'aliénation mentale chez les dégénérés psychiques »- (Ann. méd.-psych
érielles dans lesquelles nous nous trouvons. Il n'y a pas d'opération mentale plus délicate que celle de la mesure rétrospectiv
me des conceptions délirantes. C'est à la longue seulement que l'état mental pcul être atteint et des troubles dans la sphère
bunal de première instance de la Seine, M. M..., pour examiner l'état mental d'une nommée B..., inculpée de vol. Cette femme
du système nerveux .- M. Déjerine, mercredi, à 10 heares. — Maladies mentales : M. Charponiier. mercredi, à 8 heures 1/2. — Mal
urnir aucun renseignement sur leur état psychique, sur leurs facultés mentales , leur degré d'intelligence, etc. Bien des fois je
demander si ces gens-là jouissaient de la plénitude de leurs facultés mentales , ou au moins si leur intelligence n'était pas atr
et Jules Voisin font, à la Salpétrière, des leçons sur les maladies mentales et nerveuses, le jeudi à neuf heures et demie.
l'influence des périodes menstruelles, et la perturbation nervo;0- mentale , limitée d'abord à ces périodes, s'étend peu à pe
rique, et non hallucinatoire, offre toutes les formes de l'aliénation mentale ordinaire, mais elle emprunte quelques caractères
que le mot psychiatrie n'implique pas seulement l'étude des maladies mentales . Si l'on s'en rapporte à son étymo-logie \r-jXr„
au de l'articulation de la hanche gauche. En môme temps, des troubles mentaux sont apparus. Son sommeil est lrouble depuis ce m
e nient! L'Académie affirme que l'hypnotisme affaiblit les facultés mentales et les détruit; l'école de Nancy pose le principe
n* siècle, par M. 'e D' Paul Ladaïïb. étude HISTORIQUE db ïtBDECINB MENTALE Il y a tantôt vingt-cinq ans, jeune médecin, ex
Or, cette immobilité forcée produisit un effet surprenant sur l'état mental de notre malade, qui fut prise pendant les derniè
tenue si longtemps possédée. Une telle interprétation des maladies mentales , encore très répandue de nos jours dans les campa
s on n'en continua pas moins à croire généralement que les affections mentales étaient d'origine divine ou démoniaque. Pendant d
s causes mystérieuses des manifestations extraordinaires des maladies mentales et nerveuses qui se propageaient surtout dans les
é enlevée par des suggestions, mais je crois que beaucoup de troubles mentaux , effets de chagrins et de soucis qui réagissent s
ta fatalité de ta pierre oui tombe C'est absolument le même mécanisme mental qui produit, dans d'autres étals psychologiques,
malheureux, qui allait à pas de géant dans le chemin de l'aliénation mentale . Ce cas s'est passé il y a près d'un au, et l'i
— Rapporteurs : Dr de Rote, vice-président de la Société de Médecine mentale de Belgique; Dr professeur Mendel, a Berlin; Dr H
vantaient de réussir sur leurs sujets toute expérience de suggestion mentale . Ces expériences nous laissent encore sceptique
L'imitation peut aussi être morbide. Elle agit alors sur les facultés mentales troublées, répand les illusions, les sentiments e
instincts, pour produire les grandes névroses, les grandes épidémies mentales , les crimes. Pourtant, Hun* les foules criminel
. XIIII n- 1, 1892.) Longbois. — Contribution à l'étude de l'étal mental de» hystériques ». (Ânn. d'IIyg. et de Méd. légal
t sous forme de suggestion qu'on l'applique à la cure des aliénations mentales et à l'éducation des enfants vicieux et dégénérés
ssession, il faudrait passer en revue toute la pathologie nerveuse et mentale , car on trouve sous le nom de démoniaque des mala
ues. La suggestion de la paralysie s'élabore pendant l'étourdissement mental causé par l'accident, lorsqu'arrivenl au cerveau
hez les aliénés, et qui s'observe dans différentes formes de maladies mentales , a été appelé le langage intérieur, les voix épig
ion Bambuteau, à la Salpétrière, une série de leçons sur les maladies mentales et nerveuses. Plusieurs leçons seront consacrée
92 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
st destinée à des essais de traitement de certains cas d'aliénation mentale . La quatrième est réservée pour un aménagement
ueuse du larynx et des cordes vocales. Etat psychique. Les facultés mentales sont très rudimentaires. Amelina F... passe sa
ujours le même. Dans le n° 51 du Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique (1888), M. le D'' G. CousoT a publi
ps,ljch., 1857, p. 598.) Voir aussi : Langdon Down. On some of llre mental affections of Childhood and 1-outh, etc. London
t sur le système nerveux des générateurs, peuvent influencer l'état mental du produit. C'est ainsi que nous avons relevé c
: PERVERSION DES INSTINCTS. V. Imbécillité légère. Instabilité mentale avec perversion des instincts et impul- sions
u'à douze ans. - A/Tét de développement intellectuel. - Instabilité mentale . - Lymphatisme,' salacité. - Idées de moquerie.
au point de vue de la pro- duction de l'idiotie. (B.) INSTABILITÉ MENTALE . 63 cessa d'uriner au lit ou dans son pantalon,
un peu plus foncés. Le corps est complètement glabre. INSTABILITÉ MENTALE ; SODOMIE. 6§ Organes génitaux et puberté. Poils
eu douloureuse. Langue saburrale. Rien à l'auscultation INSTABILITÉ MENTALE ; SYPHILIS. 67 1 de la poitrine. Soif, anorexie,
chez son père, mais est revenu spontanément â l;ic8lre. INSTABILITÉ MENTALE ; IMPULSIONS GÉNITALES. 69 2o juillet. Refuse d
l.) (janvier 1886). Au dynamomètre 55 des deux côtés. INSTABILITÉ MENTALE . 71 1886. 10 janvier.- C... avoue avoir volé 25
quée d'épilepsie; du côté maternel, le ne ? vosisme et l'aliénation mentale . Notons aussi la mort par convulsions de plusie
nt trop fréquente et qui n'a d'autre résultat que d'aggraver l'état mental . IV. Placé à quatorze ans en apprentissage, son
tal. IV. Placé à quatorze ans en apprentissage, son instabi- lité mentale devint de plus en plus évidente : il fut renvoyé
t essaya d'avoir des rapports i 6 IMBÉCILLITÉ LÉGÈRE ET INSTABILITÉ MENTALE . avec des petites filles, puis il excita les au
d'éloigner plutôt les jeunes médecins de la spécialité des maladies mentales . Mais cette oligarchie médicale existe dès main
qu'on pourrait peut-être, dans l'in- térêt de l'élude des maladies mentales dans les Facultés de pro- vince, organiser au s
; nécessité de relever l'enseignement scientifique de la méde- cine mentale à Paris et d'avoir dans les asiles d'aliénés un p
ie interne ou externe ; 6) une question portant sur la pathologie mentale et la médecine légale des aliénés. La Commissio
compte si les candidats avaient étudié non seulement la pathologie mentale , mais encore et surtout la clinique mentale.
seulement la pathologie mentale, mais encore et surtout la clinique mentale . 86 APPENDICE. Tel est, monsieur le Ministre,
93 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
sa façon de penser et d'agir, on voit bien le cachet de sa débilité mentale . A l'occasion de quelque petite contrariété, il
équilibre de son esprit. Ceci posé, continuons l'examen de son état mental . L'idéation est limitée au cercle restreint des
. GIGANTISME, INFANTILISME ET ACROMÉGALIE 17 Un trait de son état mental , c'est encore la bouderie. J'arrive un matin, c
associée à sa conformation corporelle, aussi bien que par son état mental , José Lopes est un géant infantile. Est-ce auss
ntile, constituée par la fusion des caractères de la dégénérescence mentale avec caractères de l'infantilisme du type Bris-
t de Haberkant (31) qui, dans un cas d'ostéo- malacie avec troubles mentaux , trouva des altérations très évidentes du corps
CII ! XI. - Ricambio matericcle ne morbo di Basedow. Rivisla speri- mentale di freniatria, 1907. 64. Scholz. - Klinische un
glitrallicon iniezioni di ipofisi. Ht- vista di patologia nervosa e mentale , Fasc. 8, 191P. 129. Tahulli e Lomonaco. - Rech
ion puerpé- rale. Il n'y a dans la famille ni maladies nerveuses ou mentales , ni alcoolisme, ni difformités quelconques. Le
es à la Société de Psychiatrie et à la Societé clinique de Médecine mentale . Nous avons eu l'occasion d'observer quelques c
admettons, en général, dans une division étiolo- gique des maladies mentales : c'est-à-dire que, contrairement à la psychose
i confabulent (obs. I, Il, III) n'ont pas l'indifférence, l'inertie mentale ordinaire aux déments séniles. Cette autre mala
on de la communication de MM. Brissot et Hamel. Société de clinique mentale , 18 juillet 1910. O. (2) Trenel et LI8EIIT, Par
sie générale sénile el piesbyophrénie. Société clinique de médecine mentale , 18 juillet 1910. (3) Klippel et TnENAurAY, Rev
le syndrome s'ef. face d'ordinaire progressivement quand l'activité mentale , trop profondé- ment déchue, ne peut plus faire
èrent des masses graisseuses douloureuses et plus tard des troubles mentaux . Le Meignen et Levesque (10) ont relevé (1) Der
apparurent ensuite et cette fois-ci s'accom- pagnèrent de symptômes mentaux des plus pénibles. -J. est très déprimé; il s'a
à l'asile d'Amiens le 17 juin 1910, avec le diagnostic : confusion mentale hallucinatoire et aphasie. Ce que l'on connaît
prenez le porte-plume, etc...; ce qui prouve que, malgré le trouble mental et l'aphasie motrice, il entend la significatio
des sphincters. Ce malade présente donc le syndrome de confusion mentale avec accès hal- lucinatoires pantophobiques, hé
, la perte de substance est complètement réparée. Au point de vue mental , le malade est dans le même état de confusion. So
vertiges sans troubles de la vue, de l'ouïe, de la parole, de l'état mental . Jamais de paralysies. Néphrite chronique envir
ns ayant présenté des signes d'hypertension cérébrale avec troubles mentaux les 15 der- niers jours, ne trouve pas de tumeu
gite chronique de la moelle, surtout il) tlorrc, Jour, of nerv. and mental diseasp, t. 34, p. 91. (2) Mocquin, Iconographi
it une tentative d'homicide contre sa mère. Onanisme. Ins- tabilité mentale . » Il est transféré à Vaucluse, où le Dr Legrai
aurait maigri d'une vingtaine de kilos depuis le début des troubles mentaux en septembre. 16 décembre 1908. -- Entre dans l
s'espacent et cessent complètement. En résumé, début des troubles mentaux à l'âge de 17 ans. De juillet à septembre 1891,
e d'une légère intervention chirurgicale, réapparition des troubles mentaux , d'aspect catatonique, qui nécessitent l'intern
ien de caractéristique et peuvent se rencontrer dans des affections mentales diverses.C'est un fait clinique sur lequel nous a
nce n'est qu'un des éléments essentiels des affections nerveuses et mentales en général, et qu'on n'y trouve aucune des cond
onditions requises pour créer une variété particulière d'aliénation mentale ; tout en admettant une folie intermitente, telle
nts, comme ceux de Urstein (2), de (1) Morel, 1', aité des maladies mentales (p. 473 et suiv.). (2) Urstein, Die Dementia pr
êmes processus que chez les sujets atteints de différentes maladies mentales . Si l'on s'attend à trouver une fonction, il fa
ologia del cellule dei gangli sensilim, Riv. di Patologia ner- vosa mentale , 1900. (3) Athias, La vacuole des cellules des
ts différent de celui qu'on observe dans la rage humaine ou expéri- mentale . La seule présence de nodules analogues aux nodul
nt lorsque nous avons voulu l'exa- miner ce fut d'une part son état mental bien particulier, d'autre part les di- mensions
gauche était à la fois plus gros et plus court que le droit. Etat mental . - Notre malade n'est pas seulement un homme aux
ment un déséquilibré physique ; mais il .est encore un déséquilibré mental . Il aime jouera des jeux d'enfants ; à l'hôpita
ur la. même cause, on n'a pas pu examiner le fond de l'oeil. Etat mental . - Le malade est arrivé à l'hôpital dans un état
n-existence d'une classifica- tion généralement admise des maladies mentales , d'autre ! part à : cause de la description sou
, 2 fois en tout (Lynn-Thomas, Haskovec). La fréquence des maladies mentales au cours de l'acromégalie nous amène à conclure
ek., 1908. 7. Chauffard. Revue neurolog., 1895. 8. BRUNET. - Etal mental des acromégaliques. Thèse de Paris, 1899. 9. Ba
achondroplasique, et Cbaumier et Taty ont constaté de la confusion mentale . Notre sujet présentait une intelligence plutôt a
Sal- pêtrière, sept. 1907, p. 390. CHAULER et TATY. - Conretsimt mentale chez un achondroplasique, glycosurie, acelo- nu
uses à son sujet. Bien des auteurs estiment avec Souques que l'état mental de ce genre de malade n'a rien de spécial ; ce
notre connaissance, le seul qui soit uniquement con- sacré à l'état mental des achondroplasiques, insiste particulièrement s
ressemblance de plus avec les instables moraux. Pour Lauze cet état mental est la conséquence d'une hypersé- crétion de la
(2) Lauze, De l'achondroplasie spécialement eludiée au point de vue mental . Thèse de Paris, 1910, no 33S. xxiv 25 38(5
onnaissent que notre conformation physique rejaillit sur notre état mental . Il est même tel état pathologique où l'altérat
que pour l'achondroplasie, l'intelligence est conservée mais l'état mental est atteint : en apparence apathique, lesparkin
r s'il << s'agit bien là, comme on l'a prétendu, d'un trouble mental et s'il ne suffirait pas d'y voir la conséquenc
ns la maladie de Parkinson, in Gilbert Ballet, Traité de pathologie mentale , p. 873. (2) Regnault, La forme du corps chez l
vacité d'esprit, et que pour eux jamais on n'a parlé d'altéra- tion mentale ? Il est bien possible] aussi/que ce ne soit pas
ques particularités qui militent plutôt en faveur de leur intégrité mentale . Pour parler encore des bouffons de rois, il es
les troubles observés chez les idiots. Dans le traité des maladies mentales de Gilbert Ballet, on trouve la photographie d'
attirer surtout pour des choses qu'elle ne connaît pas. Son état mental a quelque chose d'infantile. Quand nous nous appr
réponses du tout, ou seulement après beaucoup d'insistance. Calcul mental assez médiocre pour de petits chiffres, devient
ucarest). Ici, ajoute-t-il, on soigne des malades pour l'aliénation mentale et pour insu- bordination, mais jusqu'à présent
dans le quatrième banc. » Il ne retient pas ce qu'il lit. Le calcul mental pour les nombres d'un seul chiffre est assez bon,
des seins, constituant un certain degré de féminisme. Les troubles mentaux sont rarement très marqués : ils résultent le plu
s l'urine; la prostate n'a pas été perceptible au toucher. L'étal mental est très modifié : a) On constate des troubles de
94 (1934) Oeuvre scientifique
ion des cas de simulation, sans intérêt véritable, par per- version mentale . J'envisagerai seulement les faits où ces deux
iser ; sans compter les enfants et les malades atteints de troubles mentaux , qui s'insurgent contre l'examen et l'entravent e
e « spasmes ». Il en est ainsi, par exemple, dans le torticolis dit mental , qu'on a aussi appelé « spasme fonctionnel du c
système nerveux central. VII CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES TROUBLES MENTAUX DANS L'HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE ClsllL5l31aLL' (.
séance du 1 1 juin r, rl. : désire attirer l'attention sur un trouble mental que j'ai eu l'occasion j d'observer dans l'hémi
it pas compte de sa paralysie. Mais elle présentait de la confusion mentale . « La désorientation dans le temps et l'espace es
, en diffèrent sensiblement. Les fonctions psychiques, que TROUBLES MENTAUX DANS L'HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 113 je n'ai pas eu
es qui m'ont été fournis, je puis dire qu'il n'y avait ni confusion mentale , ni fabulation, ni hallucinations. Une des ma
parfois de douleurs à l'épaule gauche. J'ajoute que des désordres mentaux graves apparurent ultérieurement et que la mala
cbildren and their relation tohere- ditary syphilis, The Journal of Mental Science, July igoo. (t) Gur Friihdiagnose der T
énuer ou de supprimer la céphalée, les vomissements et les troubles mentaux , et quand elle est faite en temps opportun, de pr
pe fonctionnelle du cou, de tor- ticolis spasmodique, de torticolis mental . Il n'est pas rare, du reste, que le spasme du
perkinésie du spinal, de spasme fonctionnel du cou ou de torticolis mental , En me fondant sur l'existence, au membre infér
onduit à émettre cette idée que le spasme du cou ou torticolis, dit mental , est lié, au moins dans certains cas, à une irr
du cou ayant les caractères du torticolis que M. Brissaud appelle « mental ». Or, chez cette malade, M. Destarac a constat
à tous égards comme un homme parfaitement équilibré au point de vue mental . Tous les réflexes sont normaux et pareils des
e me semble ne pouvoir être qu'un trouble consécutif à un phénomène mental ». Tel n'est pas mon avis ni en ce qui concerne
avez devant les yeux. Je ne crois pas que ce spasme soit d'origine mentale , qu'il dépende de la volonté. Je ferai d'abord
action n'est que modérée et transi- toire. Enfin, un simple trouble mental peut-il amener une irritation du système pyrami
je crois que les phénomènes spasmodiques ne sont pas ici d'origine mentale , qu'ils sont consécutifs à une irritation du sy
à tous, du moins à certains cas de spasme du cou, de torticolis dit mental . TORTICOLIS SPASMODIQUE. TORTICOLIS « MENTAL
u, de torticolis dit mental. TORTICOLIS SPASMODIQUE. TORTICOLIS « MENTAL n. PATHOGÉNIE ? ) Depuis igoi, j'ai eu l'occasi
d'observer encore plusieurs sujets chez lesquels à un torticolis « mental » était associée l'extension réflexe du gros or
ation des réflexes tendineux, apparaissant au cours du torticolis « mental », signi- fierait que la lésion n'est pas resté
rticolis spasmodique, - ayant tous les caractères du torticolis dit mental , qui s'est notable- ment atténué depuis lors. O
té médicale des Hôpitaux), ont rapporté des cas de torti- colis dit mental , dans lesquels il existait des altérations osseus
un torticolis ayant tous les caractères cliniques du torticolis dit mental , d'autre part, de mouvements spasmodiques du me
e l'opinion qu'il a soutenue, et d'après laquelle le torticolis dit mental peut être sous la dépendance d'une affection or
ologie il y a trois ans (') une malade atteinte d'un torticolis dit mental , qui, après avoir été traitée sans succès par l
il est vrai, à l'appui de leur manière de voir, la nature prétendue mentale de cette affection, idée qui jadis était généra
n, elle arrive à compter facilement, à dire le résultat d'un calcul mental , à réci- ter une fable entière d'une manière co
n pourrait se demander si l'on n'est pas en pré- sence d'un trouble mental . Ne s'agirait-il pas là d'une idée délirante, de
grands efforts ('). » Ce malade d'ailleurs était au point de vue mental tout à fait normal. Ajoutons à cela que les car
se convaincre que cette perturbation n'est pas liée à une affection mentale ; le malade, en effet, à la jouissance complète de
halée et les autres symptômes sus-énumérés persistent, les troubles mentaux augmentent encore d'in- tensité, et la faculté
trouvent à son entrée à l'hôpital, mais, en raison de la dépression mentale de la malade, il est impossible d'ajouter compl
ires (hémiplégie, paralysie faciale, paralysie de la langue, troubles mentaux ) à la névrite rétro-bulbaire. Ce qui rend ce
rmettant d'affirmer qu'il n'est pas sous la dépendance d'un trouble mental , psychique. Quelle en est la cause ? Il est fac
? On peut dire que ces divers troubles sont purement fonctionnels, mentaux , qu'ils sont susceptibles d'être provoqués par de
retentissent pas gravement sur la nutrition générale et sur l'état mental des malades qui en sont atteints. Mais est-on e
iste, en effet, bien d'autres affections qui sont fonction- nelles, mentales . L'hystérie n'est pas seule susceptible d'être pr
ons morales peuvent exercer une influence sur la genèse de troubles mentaux indépendants de l'hystérie, elles sont même cap
retentissent pas gravement sur la nutrition générale et sur l'état mental des malades ; la neurasthénie peut durer des anné
t de vue nosographique, car, parmi les affections névropathiques et mentales , il n'y en a pas une autre de laquelle on puisse
même en droit de dire que l'hystérie ainsi définie est l'affection mentale qu'il importe le plus au point de vue du traiteme
sciatiques. L'hystérie serait capable de donner lieu à des troubles mentaux qui deviendraient parfois des plus graves et co
ite en détail dans le Traité, si justement appré- cié, des maladies mentales de Morel. L'appareil de la vision est considéré
es les modifications corporelles provoquées par des représentations mentales . On n'a pas là les éléments d'une définition, c
de troubles corporels ne sont-elles pas dues à des représentations mentales ? P. Janet a écrit : « L'hystérie est une psych
: « L'hystérie est une psychose appartenant au groupe des maladies mentales par insuffisance cérébrale ; elle est surtout car
st formée contre lui ? A la vérité, il est certain que le processus mental est, de part et d'autre, bien différent; en voici
t pas moins vrai que, contrai- rement à la suggestion, le processus mental qui aboutit au retour à l'état normal est raiso
ontraste avec ce qu'on observe dans les autres névroses et maladies mentales . - Ne ressort-il pas clairement de toute cette
E L'HYPNOTISME EN THÉRAPEUTIQUE 5og évidence que celle des troubles mentaux cités plus haut. En effet, il varie notablement
s malades, à la manière d'un trouble organique, sans représentation mentale préalable ; Bernheim lui-même admettait la possi-
e entre l'émotion choc et 516 HYSTÉRIE-PITHIATISME représentation mentale préalable, automatiquement, à la manière d'une
'on peut opposer à la fixité, à l'invariabilité des autres maladies mentales . Cette mutabilité s'explique quand on sait que
simples interprétations psychologiques, ou même de l'étude du fond mental de ces malades. Les moyens plus précis d'investig
s l'impos- sibilité de la reproduire : le rôle de la représentation mentale est donc capital. Pour ce qui regarde les aut
sparu de notre clinique hospitalière, pour se réduire à un substratum mental sur lequel l'avis des plus compétents que moi e
on était ainsi plus facile à délimiter. Or, au milieu des désordres mentaux qui ont surgi dans ces circonstances, aucun tro
atrique à la ire armée, dans une très remarquable analyse de l'état mental de l'émotionné. Il y aurait ainsi à tenir compt
shock initial et les accidents, et ce moyen terme serait la confusion mentale légère qui permet au malade l'exercice d'une ac
critique et en développant parfois de véritables états de confusion mentale légère. Les faits de guerre ont confirmé à cet ég
t être réfractaires au traitement chez un sujet atteint d'affection mentale telle que l'hébéphré- nie. Il n'est pas rare d'
sie-abasie, des convulsions chez des individus atteints de délibité mentale . En pareil cas, la psychothéra- pie est beaucou
t plus sujets à la récidive. Il est évident que là c'est le facteur mental qui occupe la première place, qui règle le pro-
tiques sont associés à des désordres organiques, physiopathiques ou mentaux , ne pas tenir compte des manifesta- tions hysté
les contractures hystériques une distinction qui nous semble fonda- mentale . (1) J. Babinski et J. Froment, Les modificatio
irme n'avoir pas eu la syphilis. Parait bien pondérée au point de vue mental et n'aurait jamais eu de troubles névropathique
r(t3. Section de la branche externe du spinal dans le torticolis dit mental (Société de Neurologie, 7 novembre 1907). t44
rologie, 15 février 1(14). z 3. Contribution à l'étude des troubles mentaux dans l'hémiplégie organique céré- brale (anosog
miplégie hystérique.. gi VII. - Contribution à l'étude des troubles mentaux dans l'hémiplégie organique cérébrale (Anosogno
95 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
ustration avec retenues, ébauche la multiplication (1). Arriération mentale , choree.— Marcil... (André), 11 ans. L'état nerve
droite; il trace plus ou moins bien toutes les lettres. L'instabilité mentale quoique amoin-drie existe encore. Pour la vaincre
dérant, puisqu'il s'agit de malades, soient bien au courant de l'état mental des enfants. C'est pourquoi aussi nous avons insi
rmer à nos indications, nous citons l'exemple deu enfants dont l'état mental est dû surtout aux habitudes solitaires. Nous ins
fitons de la venue de ces derniers pour nous renseigner sur leur état mental ou leur situation sociale. Dans ce groupe figuren
hysique et au point de vue intellectuel. Imbécillité et instabilité mentale . —Choqu... (Marie), 12 (1) Rappelons ici que l'
ment l'existence constatée de toutes ces variétés dans les infirmités mentales , et la détermination de leur curabilité, qui adon
pas do progrès, par suite sans doute d'un certain degré d'arriération mentale . Ayant obtenu une bourse à l'Institution natio-na
e le maître a fait chercher, en remontant leur histoire pathologique, mentale , sociale, en revoyant les photographies successiv
nt désignés communément sous le nom d'idiots, d'imbéciles, de débiles mentaux , de dégénérés intel-lectuels, d'anormaux, d'amora
gra-phies successives, son histoire pathologique. Malgré sa débi-lité mentale , il a cependant rendu quelque chose à la société.
s avec un métier au bout des doigts, et en assez bon état physique et mental pour faire leur service militaire, pour entrer ut
onné leur peu d'intelligence ou des infirmités s'ajoutant à leur état mental . Ces enfants prennent une part plus active aux ex
'écriture ; il ne faut pas perdre de vue que ceux dont l'amélioration mentale permettra un jour la sortie de l'asile auront sur
nt acquiert pendant son séjour à l'asile un développement physique et mental suffisant, rien ne s'oppose à ce qu'on lui enseig
écriture ; il ne faut pas per-dre de vue que ceux dont l'amélioration mentale permettra un jour la sortie de l'Asile, auront su
t acquiert, pendant son séjour à l'asile un développement physique et mental suffisant, rien n s'oppose à ce qu'on lui enseign
asse est toujours faite par un aliéné ancien insti-tuteur dont l'état mental est peu touché, huit enfants la suivent et quelqu
res exceptions. Cela tient surtout au degré très accentué de débilité mentale de la plupart de nos sujets et à l'absence de tou
usses couches. 2 autres Filles bien portan- tes. JV. m., Débilité mentale , Epilepsie probable. Itzik............ » Chiffo
n 5 ans 1/2, bien por-syphilis probable. tant. N. m., arriération mentale . Dufra........... Fondeur » 1 « N. m., arriérat
Asile clinique, du Dr Dagonet, comportant: « est atteinte de débilité mentale , cécité, parèsie des membres inférieurs, gâtisme,
de de ses notes permet de relever le début d'une certaine instabililé mentale . Certains exercices tels que les dictées, l'appli
diotie, les états d'irritabilité nerveuse, d'irritabilité physique et mentale qui font le désespoir des familles. VIII. Le fa
raitement et. en plus, purgation tous les 15 jours. Au point de vue mental , peu de progrès. La physionomie est toujours inin
qu'en s'accentuant. IV. L'autopsie a donné l'explication de l'état mental de l'enfant. La plupart des circonvolutions et su
s formalités légales accomplies, les person-nes atteintes de maladies mentales . Nous soutenons cette thèse depuis bien des année
ns, inquiétait sa famille par ses allures qui attestaient un trou-ble mental . Hier, vers une heure du matin, sa femme et ses q
96 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
erling... (Georges), s'améliore beaucoup, l'instabilité physique et mentale que nous avions constatée il chaque semestre s'
aisait l'addition et la soustraction avec rete- nues. L'instabilité mentale avait beaucoup diminué, nous obtenions facileme
à nos indications, nous citons l'exemple de,; enfants dont l'état mental est dû surtout aux habitudes solitaires. Nous i
ssie); Dr Alexandre Lasoursky, assistant de clinique des maladies mentales de Pétersbourg (Russie) ; ur Larri- naga, à Vis
ova, de Prague (Bohème) ; Dr Vil- leneuve, Professeur de pathologie mentale et de Méde- cine légale à l'Université Laval, d
bli une consultation non officielle, pour les maladies nerveuses et mentales . Nos collègues de la division des aliénés, nomm
s de la visite de ces der- niers pour nous renseigner sur leur état mental ou leur situation sociale. Dans ce groupe figur
e n a même émis un doute relativement à l'intégrité de ses facultés mentales . « C'est navré de voir de quelle façon les enqu
e police, avec un certificat du D' Legras, ainsi conçu : « Débilité mentale et vertiges probablement épileptiques. Discerne
égénéré, arriéré intellectuellement, atteint en outre d'instabilité mentale , sujet à des impulsions violentes et ayant prés
érés, de sorte que l'autorité militaire est au courant de leur état mental . (Bourneville, Compte-rendu du service- des enf
in ac/na)' (11111)Ccilcs) oflhe 11JOnr ? inn Tlllrr. (.T01/1'I1. of mental Science, 1800 vol. XXXVI, p. 187).' Smith Tc7
cs. Grand'tante - paternelle, chorée dans l'enfance, puis affection mentale . (idées de suicide). - Grand' oncle paternel, a
itable, jaloux, envieux, ombrageux. Elle a maintenant une affection mentale , consistant en idées noi- res, idées de suicide
edé- mateuse. Compte-rendu de 1890, p. 206 (Congrès de méde- cine mentale de Rouen); - 7° Etat du squelette d'un ma- lade
uatre soeurs et leurs enfants n'ont pas eu de maladies nerveuses ou mentales . [Ilien à noter dans le reste de famille.] Mè
er l'histoire. SOMMAIRE. - Père très impressionnable, instabilité mentale passagère, crises nerveuses dans la rue ; migra
res parents ne paraissent avoir présenté aucune tare ni physique ni mentale . Mère, 44 ans, institutrice; pas de convulsions
s bien conformés. Sensibilité générale et spéciale, normales. -Etat mental : voit des bêtes dans son corps, les objets cha
peut finir la phrase commencée ! Mélancolie; illusions ; confusion mentale . 197 Par exemple questionnée au sujet de son fi
semaine, R... a été tranquille, d'apparence saine, au point de vue mental . Puis, du 10 au 18 mars, nous assistons à une p
lité. La jeune fille, elle, ne sait à quoi attribuer son aliénation mentale . V. Nous n'avons pas à revenir sur le traitemen
eul, soit avec nos élèves, sur la folie des enfants. 1° Instabilité mentale arec perversion des instincts (en collaboration
n avec ! ! u<)ur). Compte-rendu de 188'i, p. )47; 2° Instabilité mentale auec perversions de instincts, com- Bibliograph
en). 7btd., 1885, p. 54; - 5° Folie de l'adoles- cence; instabilité mentale ; idées vagues de persécution ; succube (en coll
ompte-rendu de 1887, p. 237 ; - 6° Imbécillité légère ; instabilité mentale avec perversion des instincts et impulsions gén
Raoult). Compte-rendu de 1888, p. 61; 7° Imbécillité et instabilité mentale ; impulsions génitales (en collaboration avec So
intellectuelle consécutive à une brûlure de la tête; instabi- lité mentale ; délire mystique (en collaboration avec Tissier).
Tissier). Compte-rendu de 1805, p. 77; 9° Alcoolisme, instabilité mentale , crises hY8téri[o1'Jnes, guérison (en collaborati
ie de l'adolescence. Ibidem, p. 225; 4f° Imbécillité et instabilité mentale avec perversions des instincts. Compte- rendu d
e péniblement et tombe souvent. Réflexes naturels (Fig. 27). État mental . Ler.. est très turbulent ot coléreux. Sa parol
liales : Bourneville, Une famille d'idiots (Ar- chives des maladies mentales et nerveuses, 1861, p. 289) : - Bourneville et
97 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
s des Congrès internationaux d'assistance publique et de médecine mentale qui, eux, se sont dérangés et sont venus voir n
dministration du soin de leurs enfants, sous le prétexte que l'état mental de celui-ci présenterait un danger pour la sécu-
-. J'ai toujours pensé que la démence est une forme de l'aliénation mentale ; c'est même l'un des termes employés dans la lo
- sitions bienveillantes de M. le Directeur des affaires départe- mentales à l'égard des malades que les nécessités obligent
1' Falret, père, médecin de la Salpêtrière, intitulé : Des maladies mentales et des asiles d'aliénés. Regret- tant que l'art
islative tend à perpétuer les préjugés qui règnent sur les maladies mentales ; elle dispense l'administration de l'accomplis
posé à la Chambre des députés, et enfin, par le Congrès de médecine mentale qui s'est tenu à Rouen au mois d'août dernier.
de l'intelligence, congénitalcment frappés de cécité ou de débilité mentale ; tandis que l'intelligence des aliénés, autrefo
afin de pouvoir se pro- noncer avec plus de certitude sur leur état mental . Dans tous les cas, ajoute M. le Préfet de Poli
ar l'autorité judiciaire, comme pré- sumés atteints d'une affection mentale , sont toujours, en atten- dant leur transfert à
que beaucoup de malades subissaient une ag- gravation de leur état mental à la suite de leur passage au Dépôt et qu'on ob
incontinence nocturne d'urine jusqu'ci qua- torze ans. Instabilité mentale . Colère, gourmand, menteur. Stigmates hystériqu
Dubuisson portant : « Epilepsie, perversion des instincts, débilité mentale ; atropliie musculaire de la main droite.» Envoy
es et soeurs (hystérie, arriération intellec- tuelle et instabilité mentale , fièvre cérébrale). II. L'hystéro-épilepsie s'e
s la marche et la parole, incontinence noc- turne d'urine, débilité mentale , irritabilité, actes de violences, perversion d
tabilité, actes de violences, perversion des instincts, instabilité mentale , en un mot un état nerveux probablement d'origi
EUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE. de suicide, instabilité mentale , hallucinations, attitude du crucifiement, arcs
ons que nous avons communiqués au Congrès international de médecine mentale de 1889 et que nous avons reproduites dans le C
J. llendrie Lloyd. Reprint 18U°. VIII. Imbécillité et instabilité mentale ; Impulsions génitales; Par BOUUMîVÏLtE et A. SO
On a l'habitude de diviser les enfants atteints de dégé- nérescence mentale en trois groupes principaux : les idiots, les i
'à (tans. Imbécillité, turbulence, accès de colère. Ins- tabilité mentale . Impulsions génitales précoces. 111a3 ? Antoine
de lésions des conjonctives. Le nez ll'2 Imbécillité et instabilité mentale . est un peu gros, les narines bien fendues, il
t 695. (3) Ibidem pour 1888, p. 61, etc. (4) Esquirol. - Maladies mentales , II, p. 301 ; et Bourneville. accueil de mémoir
en novembre dernier, bien que, en raison de son âge et de son état mental , il y eut peu d'amé- lioration à espérer. La pr
ie étranglée. Un frère et une soeur bien portants. Aucune affection mentale ou nerveuse dans la famille.] Pas de consanguin
ès, ni vertiges. En même temps, légère amélioration au point de vue mental . 124 DESClUI'TroN DU malade. un autre malade;
98 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
es, dans un état psychologique se rapprochant plus ou moins de l'état mental hypnotique-somnambulique, vous comprendrez facile
je l'ai depuis longtemps fait remarquer, sont placés sotis le régime mental des idées fixes, obsédantes, impulsives, comme vo
mettre de conclure en toute assurance. Un mot maintenant-sur l'état mental de notre malade. Si je n'admets pas que l'hystéri
érique. Quoi qu'il en soitjele répète, ces conditions de dépression mentale vous les retrouverez fréquemment chez l'homme hys
dire, sous l'influence d'une cause déterminante quelconque. Cet état mental particulier sur lequel je viens d'insister n'est
ps où en conséquence du choc nerveux produit par l'accident, son état mental pouvait être comparé à celui des hypnotiques dans
le d'un agent i. Magnan. Influence, de Valcoolisme sur les maladies mentales . Genève, 1878. provocateur qjai met en jeu une
uses fréquentes et d'ailleurs terribles, et aussi à cause de son état mental qui le rend irrégulier et oublieux. C'est ici l
ites un instant après son admission sont, en ce qui concerne son état mental , une véritable révélation: Il fait dans la cour d
horée,même la plus bénigne, il y ait à constater quelque perturbation mentale . Mais, désormais, chez notre malade, les troubles
ssi, est-il fort difficile de se rendre compte exactement de son état mental . Toujours est-il qu'il paraît comprendre les ques
iques plus profonds que cela n'a lieu d'ordinaire, par une exaltation mentale poussée au plus haut degré, ou encore de véritabl
ues d'autrefois. Or, messieurs, vous ne l'ignorez pas, souvent l'état mental des hystériques se rapproche beaucoup de celui qu
s, en effet, les attaques continuent à paraître fréquemment et l'état mental est resté à peu de chose près ce qu'il était à l'
surmenage intellectuel. M. Galton dans ses Recherches sur la fatigue mentale (Revue scientifique n°. 4, 26 janvier 1889) est a
al abruti, on ne retrouve plus chez lui cette apparence de dépression mentale profonde qu'il présentait à l'origine. L'histoi
s les points ; d'un côté mêmes phénomènes psychiques, même dépression mentale , même céphalée neurasthénique, même affaiblisseme
un échafaudage (hauteur 10 m.), il y a 1 mois. Céphalée, dépression mentale extrême, air sombre, mémoire confuse, dyspepsie,
ué conformément à la prescription, sans interruption. 1. Carpenter, Mental Physiology. 5e édition, p. 131. menant on en mo
trouver là, en somme, le motif d'une séparation fondamentale. L'état mental , considéré comme syndrome, comme épisode, paraît
oyer à ce propos aux remarquables mémoires de M. J. Falret sur l'état mental des épileptiques publié dans les Archives de méde
London 1884. Voir aussi Echeverria: On nocturnal Epilepsy. Journal of mental Science, January 1879. 2. Loc. cit. p. 111. m
ttitudes et mêmes actes en rapport avec la nature des représentations mentales , et, ce qui est fort remarquable également, c'est
dans ce cas il n'y a pas de rétrécissement du champ visuel. L'état mental particulier qui a rendu possible cette évolution,
ue et remettez-vous en mémoire les caractères que présentait son état mental au moment où sortant du coma d'abord, puis après
réveiller chez lui, par tous les moyens possibles, la représentation mentale ,à la fois visuelle et motrice, des mouvements de
mbinaison de l'hystérie avec les diverses formes de lu dégénérescence mentale plusieurs travaux inspirés par m. le dr Ballet: —
Bulletin médical, août. — Tabaraud. Des rapports de la dégénérescence mentale et de l'hystérie, thèse de Paris, novembre 1888.
qu'elles font en quelque sorte partie de la caractéristique de l'état mental de notre homme. Il avait environ trente-cinq an
motive; manifestement marquée en un mot au sceau de la dégénérescence mentale , telle que Morel l'a comprise. Vous avez vu notre
ion de quelque chose d'acre qui le tenait à la gorge, et dans un état mental sur lequel il importe d'attirer votre attention.
il y a là encore à signaler quelque chose d'assez typique, sur l'état mental que le malade a présenté à la suite de l'accident
orsqu'il a repris ses sens, et nous avons relevé que chez lui, l'état mental en question s'est prolongé jusqu'au moment où, fo
plètes mais très suffisamment formulées cependant ; bégaiement ; état mental particulier mais fort vulgaire dans les formes le
nts provocateurs. Itemettez-vous un instant devant l'esprit, l'état mental du sujet pendant la soirée et la nuit qui ont sui
ce d'une auto-suggestion, ou autrement dit, d'une sorte de rumination mentale . C'est ainsi que la paralysie est venue se superp
tent là, et l'aura ainsi provoquée n'est pas suivie d'attaque. État mental . — Depuis l'accident dont il a été victime, le ma
ultés intellectuelles sont amoindries. Tous ces désordres dans l'état mental constitueraient, si l'on en croit MM. Oppenheim e
trer de purs neurasthéniques que leur état d'apathie^ leur dépression mentale , leur mémoire troublée rendent incapables de se l
a épileptique, 118. — hystérique, 34. Automatisme ambulatoire. — Etat mental , 319. — Comitial ambulatoire, 303 sq. — Comitia
,130. — et Tic convulsif, 14, 464. — Etat de mal, 113, 239. — (Etat mental dans la), 105, 114, 130. — Fièvre, 106, sq. Choré
Causes de la mort dans la), 112. — Complications dans la),108.—Etat mental dans la, 111. — et Etat de mal épileptique, 113.
99. GoMMOTiONs prémonitoires de l'Epilepsie, H8. Conception (Etat mental pendant la), 93. Contracture. — (Attaques de),
(Champ visuel dans 1'), 31, 119, 423. — Etat de mal, 113, 239. — Etat mental , 321. —Composition de l'urine après l'attaque, 42
(Actes de violence des), 312. — (Délits commis par les), 321. — (Etat mental des), 321. Erb 101, 102, 225, 414, 501. Erb (
F), 113. — et chorée grave, 113. Etat de mal hystérique, 68. Etat mental . {Voy. Mental (Etat.) eulenbourg, 164,166. Eu
chorée grave, 113. Etat de mal hystérique, 68. Etat mental. {Voy. Mental (Etat.) eulenbourg, 164,166. Euphorie (Périod
aralysie faciale, 100. Fulguration.— (Amnésie dans la), 444.— (Etat mental à la suite de la), 448.— et hystérie, 543, 549. —
Hystérie. —et tics, 15. — et traumatisme, 30.—et Utérus, 37.—(Etat mental , dans 1') 188,533. —Etourdis-sements, 289. — Fugu
spasme, 262. — dans la classe ouvrière, 50. — Diplopie, 266. -- (Etat mental ) 50. — et Hypnotisme, 100, 380. — Etiolo-gie, 284
530, 532. — et névrose traumatique, 298. — et traumatisme, 36. — Etat mental , 532. — Etiologie, 284, 292, 296, 297, 529. — Hém
ervosa antica, 25. Ischias nervosa postica, 25, 27. Ivresse (Etat mental dans F), 50. .... . Jaccoud, 110, 361. Jean,
partielles, 360. Ménière (Vertige de) (Voy. Vertige de Mé-nière). Mental (Etat) (Voy. aussi Psychique). — dans l'automatis
e des mouvements de), 356, 358, 359. Psychique (Etat). — (Voy. amsi Mental (Etat). — dans le grand hypnotisme, 10. — des tiq
99 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE IDES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALA
matérielle qui lui manque, son impuissance est toute morale, toute mentale . Elle est une astasique, donc, c'est par l'asta
cependant nous rapportons des cas, où sans présenter des « troubles mentaux , proprement dits, les malades avaient une certain
ntanément. Elle pleure quel- quefois sans motifs connus. L'examen mental est presque impossible à faire par l'interrogatoi
Cette modification permet d'étudier, d'une façon plus précise, l'état mental . L'enfant,absolument incapable de faire l'addit
premier âge, avec arrêt de développement intel- lectuel et débilité mentale profonde. Les autres malades du service, qui co
aucun progrès appréciable n'a été observé dans l'état physi- que ou mental de la fillette. La mère demande à reprendre avec
e sont en état de santé parfaite et rien dans leur état physique ou mental n'indique qu'ils ont pu être lésés. Inversement
1898. 6. Revue Neurologique. 1897. 7. Gaston Daniel. - Orthopédie mentale . Bruxelles, 1898. 8. Maladie de Little. Bruxell
te, avec toute la naïveté qu'il faudra, la propriété la plus fonda- mentale d'une chose réelle, la condition première de son
atérielles, n'est-ce pas celui qui apporte,dans une science expéri- mentale , des choses sans poids ni lieu ? Il faudrait en P
air,tel vers que nous connaissons très bien cependant. La recherche mentale est moins active et moins habile, moins facile qu
ure intrinsèque de l'oeil (pas de signe d'Argyll-Robertson). Etat mental . II n'y a pas de perte de la mémoire. L'intellige
nelle est toujours la caractéristique de ces abaissements du niveau mental . Or, son métier de bijoutier le tient assis dev
tics, crampes des écrivains, impulsion à la marche, récriminations mentales , comme les angoisses elles-mêmes n'étaient que
ur attention peut seule dans les cas favorables relever leur niveau mental et leur-rendre quelque volonté active. Mais ici
(7), L. Blanc (8), Chapot-Prévost (9). expérimentales sur la vie mentale d'un xiphopage. Comptes Rendus, 21 mars 1901. N
age. Comptes Rendus, 21 mars 1901. N. Vaschide et H. Piérox, L'état mental d'un xiphopage. Revue scientifique, 3 et 10 mai
ux. Psycho-physiologi- 262 VASCIIIDE ET vurpas quement les images mentales jouent un rôle de tout premier ordre dans les s
on autre chose ici que d'éveiller dans l'esprit du sujet des images mentales représentant une miction ou une défécation ? Comm
on ou une défécation ? Comme chez les « frères chinois » les images mentales des besoins généraux arrivent nécessairement à se
ion de ce sujet, que le contraste étrange qui existe entre son état mental et son état physique. Loin d'être lâche, sugges
un syndrome assez banal, pouvant se présenter au cours d'affections mentales très différentes les unes des autres (1). Des t
ser la question de l'existence de la catatonie en tant qu'affection mentale autonome. C'est à Kroepelin que nous semble rev
ne sont que de simples variétés symptomatiques d'une même affection mentale , la démence précoce. La manière de voir de Kroepe
s, de pronostic variable, dans des formes très diverses de maladies mentales . En revanche, Aschaffenburg, accentuant encore
ans l'âge juvénile et conduit à un état définitif d'affaiblissement mental caractéristique, se distinguant spécialement pa
nique se manifeste plus ou moins prononcé dans beaucoup de maladies mentales ; 2° il ne constitue jamais à lui seul un cadre
pie. Que le syndrome catatonique puisse exister dans des affections mentales diverses : mélancolie, folie circulaire, amenti
s suites graves du côté de l'intelligence. Le début des accidents mentaux semble dater du retour du régiment. Avant d'all
pilepsie, paralysie générale, démence sénile, mélancolie, confusion mentale , délires auto et exotoxiques, dans lesquels on a
mptômes de nature identique que l'on rencontre dans d'autres formes mentales (hystérie, paralysie générale, etc.). Le caract
sont d'autant plus faciles à s'expliquer qu'on envi- sage le fonds mental sur lequel ils reposent ; fonds commun à toutes l
s processus psychiques, l'affaiblissement progressif de la synthèse mentale (1). Nous nous contenterons de signaler ici ce
ons d'après ce petit drame qu'au Japon comme chez nous, la sénilité mentale peut se traduire par un réveil des appétits sex
Par contre, Gompat- chi appartient incontestablement à l'aliénation mentale . Abstraction faite de la couleur japonaise de t
n met très souvent en scène le paysan avec ses défauts, sa débilité mentale , sa crédulité excessive qui fournissent un. élé
vons surtout deux choses à retenir au seul point de vue «aliénation mentale ». C'est, d'une part, le harakiri dans les trag
session par le renard, elle nous renseigne admirablement sur l'état mental des paysans. Le simple d'esprit s'y rencontre fré
saké joue un certain rôle dans ce degré d'in- 376 GEYER fériorité mentale . Toujours prêt à subir les influences qui exploit
teint de torticolis spasmodique, ayant les caractères du torticolis mental , associé à des spasmes du bras et de la jambe du
onique ensuite, rap- pelant les récentes descriptions du torticolis mental et, comme lui, corrigé par le signe du doigt.
elligence ne présentent rien d'anormal. Il en est de même de l'état mental . L'émotion exagère tous ces phénomènes spasmodi
nos spasmodiques,ce torticolis spasmodique semblable au torticolis mental et de conclure, sinon à leur identité complète
du doigt, cet acte de foi qui sauve, caractéristique du torticolis mental (2) pour M. Brissaud et ses élèves. Il y a même
qui ont examiné nos malades reconnaissent dans ce cas le torticolis mental . 392 DESTARAC A part la crampe des écrivains
gence intacte. Nous n'avons pu découvrir de modifications de l'état mental ; on remarque seulement une cerlaine apathie et
'il a bien voulu reconnaître lui-même comme identique au torticolis mental , le signe des orteils a été constaté dés le début
edreich, doit-on en faire un phénomène psy- chique ? « La théorie mentale , dit M. Féré (1), qui tend à envahir l'étiologie
Degeneration of the periph. nerves in locomotor ataxia. Journal of mental diseases, 1888. LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIO
LHIPI1N6....... ld...... 189. (6) Lugaro. Rivisla di patol. neru. e mentale . Oct. 1898. Id. Même publication, 1900, fasc. 4
de Darier), Gaz. hebdom., 1892. (2) Lucaao, Riv. de patol. n11'V. e mentale , 1901. Sulla alterazioni delle cellule ner- vos
ouleurs dans les membres inférieurs persistent jour et nuit. L'état mental est relativement bon, en dépit de la détresse mor
ie, t. I, p. 183, et note 2. (2) DANA, The journal of nervous and mental diseases, nov. 1893. (4) Matignon, Un cas d'aco
100 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
ux maladies nerveuses sont venus s'ajouter les études de pathologie mentale . De son côté, le Professeur Fournier a ma- gist
palhies : diverses. Cette notion de l'hé- rédité, dans les maladies mentales , a été acceptée par les médecins et les pliilos
s de Bruxelles (1903) et de Paul (1904). Observations de puérilisme mental , en collaboration avec P. Garnier, P. Camus, A.
sitoire, présenta brusquement le syndrome le plus net du puérilisme mental . Elle se mit affecter les manières, le ton et le
que dans la dernière période des ma- (t) R. SouLLARD, Le puérilisme mental . Contribution à l'élude des altérations de la
que, et c'est (1) E. DUPRÉ, Psychopathies organiques, in Pathologie mentale de Ballet. Article Tumeurs cérébrales. NOUV.
néité ingénue et primitive de ses manifestations., Le puérilisme mental nous apparaîtrait ainsi comme l'expression cli-
ppellerai moins pour lui en faire gloire que pour indiquer l'état mental des malades et des médecins de son temps. Un
mérita de prendre place parmi les Saints guérisseurs des désordres mentaux . Bien entendu, selon la règle, il dé- barrassai
bourbonnais nomme berdins ceux qui présentent quelques bizarreries mentales , les « originaux » et même les vrais aliénés. A
phénomènes spasmodiques. Par- fois, on note une certaine faiblesse mentale . - Quant aux troubles de la déglutition, des sp
n neurosen, Berlin, 1901. (4) Isnnc OiT, The Journal of nervous and mental diseases, janvier 1893, n 1. SYNDROME DE LA CAL
) Wilks, Brain, 1892. . (4) Bunn et Riesmann, Journ. of nervous and mental disease, 1899, p. 21. (5) BAüI\shl, Soc. Neurol
e seconde hypothèse. (Gumo Guerrini. Rivista di Patolagia nervosa e mental . IX. f. 11, p. 513-530. Novembre 1904. SOCIÉTÉ
malades, dans un but délibéré. Et lorsqu'on a affaire au torticolis mental , l'étrangeté des attitudes ou des gestes surajout
J'ai vu, pour ma pari, chez certains sujets atteints de torticolis mental , des déformations rachidiennes surajoutées qui
les en 1903, l'article de M. Dupré (2) dans le Traité de pathologie mentale de M. Gilbert Ballet, et la toute récente et ex
ruxelles, 1903. (2) Paralysie générale progressive, in Tr. de path. mentale , Doin, 1903, p. 1017. (3) Des scléroses combiné
rd, apparurent plusieurs attaques épileptiformes, puis des troubles mentaux . [Le malade avait la folie des grandeurs, dit sa
; immobilité à la lumière. Aucun trouble viscéral. Au point de vue mental , B... est dément; il a des idées de satisfaction
diastolique. Constipation, incontinence d'urine. ' Au point de vue mental , M... parait en proie à des préoccupations hypoch
es. Etat de la sensibilité impossible à déterminer. Au point de vue mental , il présente de l'affaiblissement marqué de l'int
erg, faiblesse musculaire peut-être plus accusée à gauche. L'état mental est celui d'un dément avec idées absurdes de sati
tion des membres. Il reste alité et devient gâteux. Au point de vue mental , la démence s'est accentuée ainsi que l'inconscie
bserver un chien qui présentait des troubles moteurs, sensoriels et mentaux tels que le diagnostic des lésions causales put ê
s à la théorie de Cohnstein, de nombreux faits cliniques et expéri- mentaux s'opposent. Si l'augmentation de la lymphe, dans
par CASSIRER (13). CRAMPE DES ÉCRIVAINS ET TORTICOLIS ' d'origine mentale , PAR G. BONNUS. , Ancien Interne des Hôpita
se montrent des accidents nerveux d'un autre ordre : un torticolis mental . Nous allons étudier séparément : crampe des éc
Nous allons étudier séparément : crampe des écrivains et torticolis mental . La crampe des écrivains apparaît en 1892, aprè
oments. Les moments où CRAMPE DES ÉCRIVAINS ET TORTICOLIS D'ORIGINE MENTALE 287 ils sont plus intenses sont annoncés par un
es mouvements sont normaux, il n'y a pas de secousses. Torticolis mental . C'est à la fin de novembre 1899, peu après son r
e sédation manifeste des douleurs et une dimi- nution du torticolis mental . Il se produit moins fréquemment et avec moins
ation et d'amélioration. En mai 1903, nous constatons un torticolis mental typique mais atténué. La tête tourne à gauche,
rticolis ne se produisît pas. Quelle est l'origine de ce torticolis mental ? Dès le début des douleurs et de la raideur du
ade présente donc une crampe des écrivains associée à un torticolis mental . - Comme c'est la règle en pareil cas, il y a un
icolis mental. - Comme c'est la règle en pareil cas, il y a un état mental tout particulier, dont la caractéristique est l'é
s les exercices de gymnastique faits en vue de guérir le torticolis mental , elle dit qu'elle sent son cou plus fort. Pendant
ar crainte que la fai- CRAMPE DES ÉCRIVAINS ET TORTICOLIS D'ORIGINE MENTALE 289 blesse l'empêche de la ramener dans la rect
ont irrésistibles, mais elle n'a pas d'angoisse. Dans le torticolis mental , un point particulier a appelé notre atten- tio
rée, suivi d'un jet froid à 7° de 30 secondes. Pour le torticolis mental , aux exercices de gymnastique nous avons joint
les. Le torticolis présenté par notre malade est bien un torticolis mental ; l'origine mentale de la crampe des écrivains
présenté par notre malade est bien un torticolis mental ; l'origine mentale de la crampe des écrivains nous paraît aussi bien
secousses reparaissent immédiatement et violentes. Cette origine mentale est encore prouvée par le traitement. La psycho-
un jour dans l'impos- CRAMPE DES ÉCRIVAINS ET TORTICOLIS D'ORIGINE MENTALE 291 sibilité d'écrire. Nous lui avons montré av
s modifications de l'écriture suivaient les modifications de l'état mental . Autre preuve de la nature mentale. Vers le mil
aient les modifications de l'état mental. Autre preuve de la nature mentale . Vers le milieu du traitement, quand la malade
le geste antagoniste comme ceux que l'on observe dans le torticolis mental , la nature mentale de cette crampe des écrivains
te comme ceux que l'on observe dans le torticolis mental, la nature mentale de cette crampe des écrivains n'en est que mieu
, plus tard nous contentant d'un simple contact. Dans le torticolis mental , la malade opère de la même manière, plaçant so
er aussi que notre malade, sept ans après l'apparition de la crampe mentale des écrivains, fut atteinte d'un torticolis menta
on de la crampe mentale des écrivains, fut atteinte d'un torticolis mental . Il reste retrouver maintenant l'origine de cet
maigrissement. En 989, à l'âge de 18 ans, apparaissent des troubles mentaux : Elle croit que les gens disent qu'elle est un
l'affection débuta chez lui, tandis que chez la soeur, des troubles mentaux ou plutôt des changements dans le caractère ouv
il ne faut pas oublier que celles-ci étaient atteintes de troubles mentaux graves. xv n ' 9 410 - BALLET ET ROSE ture
pouvons nous déterminer à le mettre sur le compte de l'instabilité mentale ou de la contracture. Mais il n'est pas impossibl
iement acquis. Chez notre deuxième malade on rencontre des troubles mentaux ; c'est même eux qui constituèrent le symptôme
des hallucinations auditives. Il existait donc un vé- ritable état mental chez cette malade, et par là elle se rapproche de
rmettant d'affirmer qu'il n'est pas sous la dépendance d'un trouble mental , psychique. Quelle en est la cause ? Il est fac
e, mais assez souvent d'autres névropathies : épilepsie, aliénation mentale . On admet aujour- d'hui, d'une façon générale,
s s'imprègnent de sels calcaires-commeplus haut la substance fonda- mentale séparant les colonnes de cellules cartilagineuses
chir. de Lyon, 1901). FoRSTER. Achondroplasique atteint de débilité mentale (Soc. de Neurol., 1903). .Franqué. Ub. sog. foe
celle de son patron, « il oublie tout et tout de suite ». Le calcul mental extrê- mement rudimentaire. Il n'est pas capabl
a été l'internement du malade dans l'hospice d'aliénés. Son trouble mental s'est ma- nifesté par des actes de violence, il
; jamais on n'y a observé de monstres, ni de maladies nerveuses ou mentales . La grossesse de la mère et l'accouchement ont
ive souvent chez les individus de notre espèce affectés de maladies mentales ». NOUVELLE ICONOGRAPHIR DE LA SALPÊTRIÈRE T.
A. GAUSSfiL, 241. Crampes des écrivains el torticolis d'ori- gine mentale , par BoNNus, 285. Crampe professionnelle et son
BERTOt.OTTI, 159, Torticolis et crampe des écrivains d'origine mentale , par Bonnus, 285. Tumeurs (de quelques altérati
l.), 159. Boxons. Crampes des écrivains et tortico- lis d'origine mentale , 285. BROCA (A.) et I-IER131NFT. Attitudes vici
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