ononcées à la région cervicale lorsque les symptômes prédominent aux:
membres
supérieurs, et à la région lombaire dans la forme
-à-dire quand, les phénomènes morbides sont accusés, surtout dans les
membres
inférieurs. Ajoutons enfin que l'envahissement de
de ,'ataxie (incoordination motrice et douleurs fulgurantes) dans les
membres
supérieurs. Or, cette sclérose consécutive affect
taxie locomotrice généralisée, c'est-à-dire intéressant à la fois les
membres
supérieurs et les membres inférieurs, est venu co
sée, c'est-à-dire intéressant à la fois les membres supérieurs et les
membres
inférieurs, est venu confirmer ces prévisions. On
it, ne se rencontrent jamais que dans les cas où, pendant la vie, les
membres
supérieurs ont présenté les symptômes tabétiques.
prédominent de ce côté, selon que ces symptômes n'ont affecté que le
membre
supérieur droit ou s'y sont montrés plus accusés
nverse lorsque les symptômes avaient prédominé, au contraire, dans le
membre
gauche. De plus, dans tous les cas où les membres
u contraire, dans le membre gauche. De plus, dans tous les cas où les
membres
supérieurs étaient restés absolument indem-nes, l
-flement brachial, bien que les symptômes d'ataxie eussent occupé les
membres
supérieurs. Ce cas s'est enfin présenté chez une
es douleurs fulgurantes, avaient existé à un haut degré dans les deux
membres
supé-rieurs, et cependant la lésion scléreuse n'é
sulte évidemment de tout ce qui précède que, pour ce qui concerne les
membres
supérieurs, la lésion des cordons de Goll ne saur
n fait qui lui soit contraire. Ce qui vient d'être dit à propos des
membres
supérieurs s'applique d'ailleurs également aux me
t à propos des membres supérieurs s'applique d'ailleurs également aux
membres
inférieurs; le cas de Moli en fait foi. L'ataxie
urs fulgurantes et l'incoordination motrice occupaient aussi bien les
membres
inférieurs que les membres supérieurs, et cependa
dination motrice occupaient aussi bien les membres inférieurs que les
membres
supérieurs, et cependant la lésion des cordons mé
a moelle. Ces fibres serviraient à la coordination des mouvements des
membres
, tout au moins, nous savons, d'une manière positi
x assez rapidement, mais se montra limitée d'une façon très nette aux
membres
supérieur et inférieur du côté droit. Je ne pouva
de ce genre, les symptômes ataxiques font absolument dé-faut dans les
membres
supérieurs, au moins dans l'immense majorité des
té, outre la para-plégie, une paralysie complète avec contracture des
membres
supérieurs. Cependant, à l'autopsie, on constata
itable paralysie motrice, avec ou sans contracture, occupant l'un des
membres
supé-rieurs ou tous les deux à la fois ; dans la
région dorsale delà moelle, on observe, en outre de la paralysie des
membres
inférieurs que celle-ci détermine, tantôt des sym
mes ataxi-ques, tantôt une paralysie plus ou moins prononcée dans les
membres
supérieurs. Quelle est la raison de cette compl
, il est impossible, tant que dure l'applica-tion, d'exciter dans les
membres
supérieurs des mouvements réflexes. Je vous rap
'irritation vive des nerfs viscéraux (reins, utérus) produit dans les
membres
inférieurs, une paralysie temporaire. Quoi qu'il
e sont, soit l'ataxie, soit la paralysie avec ou sans contracture des
membres
supérieurs, dans les cas pathologiques qui nous o
ervical, de déterminer l'apparition des symptômes tabétiques dans les
membres
supérieurs. Mais une fois consti-tuée, la scléros
pe les parties supérieures de la région dorsale. Or, la paralysie des
membres
supérieurs, tôt ou tard suivie d'une contracture,
aux faisceaux médians des cordons postérieurs, on n'observe dans les
membres
su-périeurs ni paralysie, ni contracture, ni mouv
ques. — Si, au contraire, les bandelettes externes sont envahies, les
membres
supérieurs seront atteints d'incoordination motri
ements volontaires. En quoi consiste ce symptôme ? Vous savez que les
membres
inférieurs ayant conservé leur pouvoir dynamométr
même temps que la plupart des autres symptômes s'aggravent et que les
membres
supérieurs, libres jusqu'à ce moment, sont envahi
natomique, on voit un affaiblis-sement paralytique réel s'emparer des
membres
inférieurs, et s'y substituer progressivement à l
t atteinte lentement, localement : les mus-cles s'atrophient dans les
membres
privés du mouvement : il se produit une tendance
trop loin si l'on prétendait qu'elles épargnent toujours le corps des
membres
. En général, dans un accès, les douleurs terebran
ouleur, tandis qu'une pression un peu forte amène du soulagement. Les
membres
inférieurs sont toujours préférablement affectés
res inférieurs sont toujours préférablement affectés ; néanmoins, les
membres
supérieurs, la tête, le tronc, ne sont pas, tant
rf le long duquel elles passent comme un éclair. Il en résulte que le
membre
ou une partie d'étendue variable est rapidement p
leur persistance plus grande. Il semble que, sur certains points, le
membre
soit saisi dans un étau. La douleur inté-resse-t-
s fulgu-rations douloureuses sévissent souvent en même temps dans les
membres
avec une intensité exceptionnelle. Les crises g
ctè-res que je viens d'indiquer ; il souffrait en même temps dans les
membres
de douleurs paroxystiques peu accentuées d'ail-le
commencé à paraître. Il n'y a pas d'incoordination des mouvements des
membres
tant inférieurs que supérieurs. La démarche est r
d'années. Elles occupent souvent, non seulement diverses parties des
membres
, mais encore la région occipitale et la nuque. Le
s douleurs céphaliques, enfin fulgurations douloureuses dans tous les
membres
, reve-nant par accès. Les symptômes observés ch
quelquefois pendant quelques jours , — enfin des douleurs dans les
membres
. Ces douleurs, qui forment l'exception à la règ
it au voisinage des jointures (genou, poignet), soit sur le corps des
membres
, et qu'elles s'accompagnent d'une sorte de ressau
rps des membres, et qu'elles s'accompagnent d'une sorte de ressaut du
membre
où elles sévissent. C'est lorsque ces douleurs, a
mentionné 23 fois des douleurs rhu-matoïdes dans diverses parties des
membres
. Il est sans doute très rare qu'elles prennent le
chez ce malade pen-dant près de huit mois avant que les douleurs des
membres
ne se fussent déclarées. On comprend l'intérêt
une époque tardive, ce qui est parfaite-ment exact, c'est toujours au
membre
supérieur, à l'épaule, au coude ou au poignet qu'
de l'existence d'une hydarthrose du genou avec gonflement géné-ral du
membre
, survenu sans cause appréciable, ce sont ses prop
alade. Le genou contenait encore une petite quantité de liquide et le
membre
, resté volumineux, présentait une espèce d'empâte
s que les phénomènes d'incoordination se sont montrés dans chacun des
membres
. Cette malade nous fournit un exemple, relative
es années confinée au lit, et l'incoor-dination était peu marquée aux
membres
supérieurs, quand un matin, à la suite d'accès fu
notre atten-tion sur la tuméfaction pathognomonique de l'épaule et du
membre
tout entier. Nous constatâmes une hydarlhrose éno
r. Nous constatâmes une hydarlhrose énorme avec gonflement de tout le
membre
et, malgré cela, la malade ne se plaignait d'aucu
nuit, une tuméfaction du mem-bre supérieur tout entier, telle que ce
membre
était presque le double du membre opposé l. Outre
supérieur tout entier, telle que ce membre était presque le double du
membre
opposé l. Outre une douleur vive des parties affe
— car il n'y avait antérieurement aucune gêne dans les mouvements du
membre
— c'est la tuméfaction extrême de tout le membre,
ns les mouvements du membre — c'est la tuméfaction extrême de tout le
membre
, tuméfaction qui se compose: 1° d'une hydarthrose
tions variées (forme mali-qne). En dépit de ces lésions profondes, le
membre
correspon-dant à l'arthropathie peut encore rendr
atomie pathologique. Incon- tinué à se mouvoir Tune sur l'autre, le
membre
n'ayant pas cessé de fonctionner tant bien que ma
i ces affections articulaires singulières qui se développent dans les
membres
frappés d'hémiplégie, par hémorragie ou ramolliss
té de ce côté. Vers le dou-zième jour, on remarqua une tuméfaction du
membre
infé-rieur gauche tout entier, puis une arthropat
ur-venir successivement : une paralysie complète du mouvement dans le
membre
inférieur gauche ; une diminution de la con-tract
iminution de la con-tractilité électrique dans tous les muscles de ce
membre
, indi-quant une souffrance rapide et profonde dan
te, du vivant du malade, par une parésie avec atrophie musculaire des
membres
supérieurs. La dilatation, dans ces cas, intéress
peuvent amener un affaiblissement de la puissance musculaire dans les
membres
auxquels ils se rendent, affaiblissement qui est
uère ; ils signalent seulement les cas dans lesquels la paralysie des
membres
supérieurs, après avoir été plus ou moins prononc
ésultat a été obtenu. L'une d'elles a été complète-ment paralysée des
membres
inférieurs pendant dix-huit mois, l'autre durant
gibbosité ; mais toutes les deux ont retrouvé l'entier usage de leurs
membres
inférieurs : depuis deux ou trois années, elles m
au rétablissement complet de la sensibilité et du mou-vement dans les
membres
inférieurs. Ce sont là autant de problèmes de p
s le temps où les douleurs ne sont pas trop vives, les mouvements des
membres
inférieurs s'exécutent, si le ma-lade n'est pas t
sie avec flaccidité, rigidité temporaire, con-tracture permanente des
membres
, exaltation des actes réflexes. — Troubles de la
lements, de picotements, de sensations de chaud et de froid, dans les
membres
inférieurs, indiquerait nécessaire-ment, d'après
rement moteurs, la parésie ou la paralysie plus ou moins complète des
membres
inférieurs sont des phénomènes qui peuvent se pro
la réalité paraît être que tan-tôt les troubles moteurs (parésie des
membres
inférieurs), tan-tôt, au contraire, les troubles
e bientôt en une paralysie plus ou moins absolue, avec flaccidité des
membres
, en d'autres termes sans rigidité musculaire. C
dans certains cas, plus tôt dans d'autres, il se manifeste, dans les
membres
paralysés, des secousses, des crampes, une D. A
s'exaltent dans le segment inférieur de la moelle. Alors on voit les
membres
paralysés se soulever et entrer en convulsion aux
vous faire remarquer que l'intensité de la contracture permanente des
membres
, et surtout de la contracture avec flexion est en
s cordons latéraux. C. Enfin survient la contracture permanente des
membres
qui ne manque à peu près jamais d'exister à une c
règle que cette contracture impose d'abord pendant quelque temps aux
membres
paralysés l'attitude de l'extension ; mais tôt ou
sensa-tion analogue qui paraît siéger symétriquement dans un point du
membre
opposé correspondant à la région primitivement ex
araplégie par compression que dans toute autre forme de paralysie des
membres
inférieurs. Mais il ne faudrait pas, cette fois e
assez régulièrement ovoïde. Son grand axe vertical mesure trois Le
membre
inférieur du côté gauche serait paralysé, plus ou
la lésion spinale, le mouvement serait parfaitement conservé dans le
membre
infé-rieur et les muscles de l'abdomen ; mais, pa
de la lésion spinale, mais l'insensibilité ne resterait pas bornée au
membre
infé-rieur et à un côté de l'abdomen, elle s'éten
-rieur et à un côté de l'abdomen, elle s'étendrait de ce même côté au
membre
supérieur, au tronc, au cou même, de telle sorte
e de la lésion spinale, la pa-ralysie motrice occuperait à la fois le
membre
supérieur et le membre inférieur, lesquels présen
la pa-ralysie motrice occuperait à la fois le membre supérieur et le
membre
inférieur, lesquels présenteraient l'un et l'autr
et l'autre une élévation relative de la température. Le tronc et les
membres
de ce côté auraient conservé leur sensibilité ou
e ne tarderait pas à se surajouter à la paralysie déterminée dans les
membres
par la lésion spinale primitive : d'autres fois,
même côté dans la corne antérieure de la substance grise. Alors, les
membres
, paralysés déjà et contractures, offriraient, en
sie occupe alors, soit un seul des mem-bres supérieurs, soit les deux
membres
supérieurs à la fois, ex-clusivement ou tout au m
ois, ex-clusivement ou tout au moins, d'une façon prédominante. — Les
membres
abdominaux sont souvent affectés à leur four, par
ultat, une paralysie portant, suivant le cas, soit sur un seul de ces
membres
isolément, paralysie toute pé-riphérique et qui s
L'impuissance motrice ne tarderait pas à survenir, et les muscles des
membres
paralysés présente-raient bientôt une atrophie pl
s pro-fonde. Enfin, il y aurait lieu de relever l'existence, dans les
membres
privés du mouvement, d'un amoindrissement et même
lle s'exerce sur la région cervico-brachiale, de paralyser les quatre
membres
, l'observation démontre, d'un autre côté, qu'une
pa-ralysie motrice limitée, au moins pendant quelque temps, aux deux
membres
supérieurs ou même à l'un de ces mem-bres. 1 Su
tre que les conducteurs pour les incitations motrices volontaires des
membres
thoraciques occu-pent, dans les cordons antérieur
que celui qu'occupent les conducteurs des mêmes incitations pour les
membres
inférieurs. Il suit natu-rellement de là que les
e le repète, mettre en doute l'existence de la forme de paralysie des
membres
supérieurs sur laquelle j'ap-pelle votre attentio
leur volume ainsi que leur propriétés électriques. La sensibilité des
membres
paralysés peut n'être pas notablement modifiée ;
ée ; enfin, non seulement les phénomènes réflexes persistent dans ces
membres
, mais encore ils s'y montrent quelquefois mani-fe
en. Pendant deux ans environ la paralysie s'était montrée limitée aux
membres
su-périeurs ; elle envahit par la suite le membre
ontrée limitée aux membres su-périeurs ; elle envahit par la suite le
membre
inférieur droit. Sous l'influence de diverses exc
mouvements involontaires plus ou moins énergiques survenaient dans ce
membre
, et aussi parfois, bien que toujours à un degré m
t aussi parfois, bien que toujours à un degré moins prononcé, dans le
membre
supérieur du même côté. Un fait rapporté par le
moelle épi-nière pourrait déterminer une paralysie motrice bornée aux
membres
supérieurs. Vous n'ignorez pas que, dans certains
ée, dans une certaine étendue en hauteur, au renflement brachial. Les
membres
paralysés pré-sentent alors, dès l'origine une fl
oelle épi-nière, et ayant déterminé une paralysie motrice limitée aux
membres
supé-rieurs. Ces deux faits ont été signalés dans
es exemples où une tumeur intraspinale cervicale a déterminé dans les
membres
supérieurs une paralysie se rap-prochant, à beauc
et 7e nerfs cervicaux. La paralysie envahit d'abord graduellement le
membre
supé-rieur droit; puis, au bout de quinze jours,
é-rieur droit; puis, au bout de quinze jours, elle s'était étendue au
membre
supérieur gauche. Deux mois après le début des pr
upérieur gauche. Deux mois après le début des premiers symptômes, les
membres
paralysés, profondément amaigris, pendaient flasq
amaigris, pendaient flasques et inertes de chaque côté du corps. Les
membres
abdominaux étaient faibles, mais le petit malade
t les mouvements volontaires persistèrent à ur certain degré dans les
membres
inférieurs2. 1 Ollivier (d'Angers), t. II, p. 3
d'isolement, c'est-à-dire indépendants de toute paralysie motrice des
membres
, constituant pour ainsi dire, pendant ce temps, l
ontinue, pendant plusieurs semaines, sans adjonction de paralysie des
membres
, ainsi que le démontre une observation recueillie
dant quelque temps le développement de la para-lysie motrice dans les
membres
inférieurs. Il s'agissait, dans ce cas, d'une tub
uleur thora-cique ; puis le mouvement commença à s'affaiblir dans les
membres
inférieurs. La paralysie motrice s'accusa aussi p
rieurs. La paralysie motrice s'accusa aussi pro-gressivement dans ces
membres
; bientôt elle se montra com-plète, absolue. La s
ue. La sensibilité était de son côté naturellement amoindrie dans les
membres
paralysés et dans toute la partie inférieure du t
le cervicale, quelquefois bien avant l'apparition de la paralysie des
membres
2. On peut en dire autant des troubles fonctionne
usqu'au filum termi-nale, sont : la flaccidité que présenteraient les
membres
para-lysés, l'inertie très accentuée du sphincter
d. — Diagnostic et traitement des principales formes de paralysie des
membres
inférieurs. Paris, 1864, p. 73. — W. Ogle. — Pa-
e la sensibilité dans diverses parties des deux côtés du tronc et aux
membres
inférieurs, surtout à l'anus, au périnée et aux g
développement rapide, à la région sacrée et sur d'autres parties des
membres
infé-rieurs 2. Ici s'arrêteront, Messieurs, les
ulaire, arrêt de développement du système osseux, refroidissement des
membres
, déformations, pied bot paralytique). Anatomie
ège. La paralysie est parfois absolue, complète, intéresse les quatre
membres
ou trois d'entre eux ; — ou bien elle n'affecte q
re membres ou trois d'entre eux ; — ou bien elle n'affecte qu'un seul
membre
inférieur, ou encore l'un des membres supérieurs
u bien elle n'affecte qu'un seul membre inférieur, ou encore l'un des
membres
supérieurs : ; — d'autres fois, très rarement à l
fois, très rarement à la vérité, elle frappe exclusi-vement les deux
membres
supérieurs — enfin, il est des cas où la paralysi
urs — enfin, il est des cas où la paralysie, atteignant seulement les
membres
infé-rieurs, revêt la forme paraplégique. En ré
, on observe ici une paralysie complète, absolue, avec flaccidité des
membres
, avec abolition ou diminution de l'excitabilité r
ordinaires, il est toujours quelques muscles, ceux parfois de tout un
membre
ou seulement d'une région d'un membre, dans lesqu
uscles, ceux parfois de tout un membre ou seulement d'une région d'un
membre
, dans lesquels les lé-sions continuent à progress
culaires. Ainsi, suivant une remarque de Duchenne (de Boulogne), un
membre
frappé de paralysie infantile pourra avoir perdu
seulement tandis que, dans un autre cas, la diminution en longueur du
membre
frappé de paralysie peut aller jusqu'à S ou 6 cen
fluence de l'inertie fonctionnelle prolongée. c) Refroidissement du
membre
. Un autre phénomène qui mérite d'être signalé, au
issement permanent souvent très prononcé que pré-sente tôt ou tard le
membre
paralysé. De même que l'atrophie, ce phénomène pa
spinale infantile que dans toutes les autres formes de paralysie des
membres
". C'est peut-être le lieu défaire remarquer qu'en
aractère sera fourni par les déformations qui se manifestent dans les
membres
paralysés, en conséquence de la prédominance d'ac
ncomplète, les troubles trophiques dont il s'agit peuvent affecter le
membre
dans toute son étendue ; on en retrouve souvent d
me au cin-quième jour. — Loc cit., dernière édition, page 398. d'un
membre
; elle prédomine dans certains muscles et grou-pe
est extrême, et l'on peut facilement imprimer aux diverses parties du
membre
paralysé les attitu-des les plus forcées et rappe
mbre paralysé les attitu-des les plus forcées et rappelant celles des
membres
d'un poli-chinelle. Jointe aux autres caractères,
autres caractères, et en particulier au refroidissement permanent du
membre
, cette grande laxité des jointures permet de dist
loppée tout à coup, à l'âge de sept ans; elle avait frappé les quatre
membres
dont la plupart des mus-cles s'étaient rapidement
bres dont la plupart des mus-cles s'étaient rapidement atrophiés. Les
membres
d'ailleurs « Idem, 1866, p.213. 2 Medic. chir
à la région cervicale dans un cas de para-lysie infantile spinale du
membre
supérieur droit. — Pièce recueillie à la Sal-pêtr
ts, détermine, pour une bonne part au moins, le raccourcisse-ment des
membres
affectés et est l'un des traits les plus sail-lan
cas de M. Duchenne, la douleur s'était à peine montrée que les quatre
membres
étaient complètement paralysés, absolument inerte
paralytiques commença à s'accuser. En premier lieu, ce fut dans les
membres
inférieurs que les mouvements se rétablirent prog
nt progressivement ; puis, quinze jours plus tard, ils reparurent aux
membres
supérieurs, mais, à la vérité, d'une manière inco
'une manière incomplète. C'est que, dans un bon nombre de muscles des
membres
supérieurs, la nutrition avait souffert au point
-bres supérieurs, l'amélioration.avait continué à progresser dans les
membres
inférieurs : là, tous les muscles avaient récupér
e semaine, et fut suivie d'une paraly-sie motrice complète des quatre
membres
brusquement développée. Un mois après le début de
tre dans le bras droit, d'abord, puis progressivement dans les autres
membres
. Mais le malade présente actuellement une atrophi
e flaccidité absolue des parties, portant uniformément sur les quatre
membres
. L'inertie motrice avait été remarquée déjà penda
ut de ce temps, il se produisit un certain amendement dans l'état des
membres
supérieurs et le malade commença en outre à pouvo
ne sont en rien mo-difiés sur les différentes parties du tronc et des
membres
supérieurs. Quant aux membres inférieurs, ils s
s différentes parties du tronc et des membres supérieurs. Quant aux
membres
inférieurs, ils sont tous deux flasques, inertes,
ents réflexes. Le malade n'accuse aucune sensation pénible dans les
membres
paralysés. Il dit éprouver seulement, de temps à
esoin de changer de position, plus pressante la nuit que le jour. Les
membres
inférieurs sont habituellement froids, surtout le
rapidement survenue que présentaient les masses musculaires dans les
membres
paralysés, phénomènes contrastant avec l'absence
pouvoir avan-cer que la rétrocession des symptômes, déjà ébauchée aux
membres
supérieurs, s'y accuserait plus encore et s'étend
it plus encore et s'étendrait sans doute jusqu'à un certain degré aux
membres
inférieurs ; qu'il pouvait même se faire que la s
érée en ce qui concerne la puissance motrice et la nutrition dans les
membres
supérieurs ; aux membres inférieurs, la contracti
a puissance motrice et la nutrition dans les membres supérieurs ; aux
membres
inférieurs, la contractilité faradique commence à
. En avril, la puissance musculaire a tellement progressé, dans les
membres
inférieurs, que le malade se tient debout et fait
n se levant le matin, et à peine descendu du lit, Ch. R... sentit ses
membres
inférieurs fléchir sous lui et il tomba lourdemen
aralysie fut accompagnée, dès l'origine, d'une flaccidité marquée des
membres
inférieurs. Jamais la sensibi-lité cutanée n'y a
contre, il était, à l'origine, absolument incapable de soulever ses
membres
en totalité au-dessus du plan du lit. On assure q
accidents, l'amaigrissement des cuisses était déjà appréciable. Les
membres
supérieurs n'ont, à aucune époque, été sé-rieusem
ppuyer à l'aide des deux mains sur les épaules-de son domestique. Les
membres
inférieurs sont amaigris dans la totalité, l'atro
cellent. Nous revoyons M. R... en octobre 1874 ; les mouvements des
membres
inférieurs ont repris leur puissance normale et i
cellule, l'affaiblissement moteur et les altérations des muscles des
membres
, qui se montrent à peu près fatalement à une cert
en effet, qu'elle fût une con-séquence de l'inertie fonctionnelle des
membres
frappés de paralysie, car elle n'a rien de commun
enva- 1 Les altérations profondes que peuvent subir les muscles des
membres
pa-ralysés dans la myélite centrale aiguë se trou
et particulièrement une anesthésie cutanée plus ou moins profonde des
membres
pa-ralysés, la paralysie de la vessie et du rectu
non seulement à la région sacrée, mais encore sur tous les points des
membres
paralysés soumis à une pression un peu pro-longée
un point circon-scrit de la région dorsale, peut déterminer dans les
membres
inférieurs paralysés du mouvement, l'atrophie aig
-nément aux origines des nerfs rachidiens. L'atrophie muscu-laire des
membres
supérieurs se développe sous cette double influen
s affectés ; en d'autres ter-mes, un muscle ou plusieurs muscles d'un
membre
peuvent avoir souffert une diminution de volume t
la maladie n'a envahi encore qu'un certain nombre de muscles dans un
membre
su-périeur. Tous les muscles de la main et de l'a
la poitrine aura subi un amaigrissement très prononcé, tandis que les
membres
supérieurs, ayant été épargnés tout entiers, offr
ou par défaut d action nerveuse. Soit, par exemple, une paralysie des
membres
inférieurs déterminée par une compression s'exerç
pi-nière à la région dorsale ; l'inertie motrice occasionnée dans les
membres
inférieurs par la suppression de l'action cérébra
s, l'amyotrophie progres-sive spinale protopathique débute par un des
membres
supé-rieurs, le droit surtout ; elle commence par
'épaule, gagnant ensuite le tronc. Dans la règle, elle ne s'étend aux
membres
inférieurs, — remarquez bien ce fait que nous aur
atteints de longue date d'atrophie musculaire protopathique, dont les
membres
supérieurs étaient, de même que le tho-rax, rédui
de même que le tho-rax, réduits à l'état squelettique, tandis que les
membres
inférieurs, peu ou/point affectés, permettaient,
s rare. M. Duchenne l'a noté dans une douzaine de cas seulement ; les
membres
supérieurs, alors, sont pris en second lieu. 3°
se dans quelques atrophies deutéropathiques, celui où les muscles des
membres
inférieurs sont lésés avant tous les autres. M. D
des four-millements ainsi que des douleurs {electric pains) dans les
membres
inférieurs, présenta une atrophie progressivement
seases of the nervous System, p. 666, fig. 31. New-York. des de ces
membres
. Cette atrophie, si profonde qu'elle fût, des mas
otrice ; on sait que, dans cette affection l'atrophie progressive des
membres
frap-pés d'incoordination motrice n'est pas une c
le siège. — Début en avril 1871, par un affaiblissement progressif du
membre
su-périeur gauche. — Embarras de la parole à peu
près à la même époque. — Pas de douleurs, pas de contracture dans les
membres
. — État actuel en juillet 1872 : torticolis paral
este de la langue. —Gêne très prononcée de la déglutition. — Les deux
membres
supérieurs, surtout le gauche, sont pendants, ine
es tbénar et hypottiénar. 11 n'existe pas de déformation in griffe. —
Membres
supérieurs non atrophiés ; la station et la march
il 1874, à l'âge de 55 ans — Début vers l'âge de vingt-six ans par le
membre
supérieur droit. — Extension len-tement progressi
supérieur droit. — Extension len-tement progressive de l'atrophie au
membre
supérieur gauche. — Les membres inférieurs ne son
en-tement progressive de l'atrophie au membre supérieur gauche. — Les
membres
inférieurs ne sont affectés de manière à rendre l
aires très accusées. Dans les derniers temps, tous les mouvements des
membres
sont devenus à peu près impossibles. — Mais l'atr
impossibles. — Mais l'atrophie des mus-cles est surtout prononcée au
membre
thoracique droit (main, épaule,avant-bras). La mo
e syn-drome relatif à la lésion, ainsi localisée, est une parésie des
membres
, des inférieurs surtout, marquée par une contract
, dans la forme nosographique qui nous occupe, porte rarement sur les
membres
inférieurs. Ces membres sont paralysés et contrac
hique qui nous occupe, porte rarement sur les membres inférieurs. Ces
membres
sont paralysés et contractures de très bonne heur
, dans la sclérose amyotrophi-que, s'atrophient à l'égal de ceux des
membres
, en consé-quence de l'altéra-tion des cellules du
. — Déformations paralytiques; attitude de la main. — Trémulation des
membres
supérieurs à l'occasion des mouvements intentionn
nnels. — Modes de début. — Paraplégie cervicale. — Envahisse-ment des
membres
inférieurs. — Caractères de la contracture. — Phé
celte période, comparativement courte, il est de règle que les quatre
membres
soient successivement, et dans un assez bref déla
de paralysie avec atrophie, ou, pour ce qui concerne spécialement les
membres
infé-rieurs, seulement de paralysie. Le malade, a
même accessoire. Yoici maintenant un nouveau trait distinctif. Les
membres
, plus ou moins privés de leurs mouvements naturel
assez ordinaire que les malades éprouvent, ou aient éprouvé dans les
membres
affectés : 1° des douleurs spontanées plus ou moi
mes. a) La maladie débute, dans la grande majorité des cas, par les
membres
supérieurs, sans fièvre, le plus communément sans
mière fois, fixe sérieuse-ment l'attention du malade, les muscles des
membres
affectés offrent en général, à cette époque déjà,
a parésie, n'est pas d'ordinaire circonscrite à une région limitée du
membre
, à quelques muscles de la main ou de l'avant-bras
nd un peu partout, pour ainsi dire uniformément depuis l'extrémité du
membre
jusqu'à sa racine. Ce n'est plus cette atrophie i
e d'une atrophie plus ou moins rapide et plus ou moins généralisée du
membre
tout entier. D'ailleurs, les muscles atrophiés,
ue à peu près intacte. b) En outre de l'émaciation des muscles, les
membres
para-lysés et atrophiés sont bientôt le siège de
un grand nombre d'articulations. Ainsi, pour ne parler d'abord que du
membre
supérieur, voici quelle est l'attitude qu'il offr
uelque sorte, jointes à l'émaciation presque générale et uniforme des
membres
sur-venue en quelques mois, pour faire reconnaîtr
nner une autre particularité. Parfois, dans la sclérose latérale, les
membres
supérieurs pa-rétiques, contractures et atrophiés
s mouvements, par exemple l'élévation du bras tout entier, on voit le
membre
être pris d'une trémulation qui rappelle celle qu
alors, la rigidité spasmodique devient moins prononcée, bien que les
membres
tendent à conserver l'attitude habituelle qu'ils
ophique qui nous occupe s'ac-cuse le plus souvent d'abord dans un des
membres
supérieurs ; puis, elle s'étend à l'autre de mani
urant deux, six ou neuf mois, rarement davantage. Après ce délai, les
membres
inférieurs se prennent à leur tour et, en règle g
ègle générale, ils s'affectent, vous allez le voir, autrement que les
membres
su-périeurs. a) A l'origine, il s'agit là encor
gnée pendant quelque temps de fourmillements et d'engourdissements du
membre
. Mais cette parésie présente, dans l'estèce, ceci
ief et une consistance qui contrastent singulièrement avec l'état des
membres
supé-rieurs. Cette paraplégie offre ce premier
par d'au-tres caractères importants. La gêne dans les mouvements des
membres
inférieurs fait de rapides progrès. Le malade sen
elque temps, le malade avait remarqué que, étant au lit ou assis, ses
membres
infé-rieurs, de temps à autre, s'étendaient ou se
ut aller jusqu'à déter-miner une raideur comme tétanique qui rend les
membres
{inférieurs semblables à des barres rigides, su
ême, quel-quefois peu accentuée 1, imposée à toutes les jointures des
membres
par l'action spasmodique des muscles, ainsi que l
ine dans ces derniers. Il est dif-ficile de provoquer l'extension des
membres
fléchis. D'habi-tude, à cette époque, si l'on red
se avec la main la pointe du pied étendu, on fait naître dans tout le
membre
une tré-mulation plus ou moins durable. Ainsi,
ements fibrillaires et s'atrophier dans leur ensemble à l'exemple des
membres
supérieurs. En général, quand cette atrophie est
is, disparaître d'une manière complète. L'envahissement précoce des
membres
inférieurs et la na-ture des phénomènes, dont ils
otrophie spinale pri-mitive dans laquelle, vous vous le rappelez, ces
membres
ne sont envahis qu'aux périodes ultimes. Ils cons
it appeler les con-ditions normales. 1° Parésie sans anesthésie des
membres
supérieurs, accom-pagnée d'émaciation rapide de l
s et détermine des déformations permanentes par contracture. 2° Les
membres
inférieurs sont envahis à leur tour. Il s'y produ
te et compliquée parfois d'épilepsie spinale tonique. Les muscles des
membres
paralysés ne s'a-trophient qu'à la longue et jama
ne s'a-trophient qu'à la longue et jamais au même degré que ceux des
membres
supérieurs. La vessie et le rectum ne sont poin
viens de tracer. Ainsi la maladie, dans certains cas, débule par les
membres
infé-rieurs ; d'autrefois, elle se circonscrit da
s ; d'autrefois, elle se circonscrit dans ses commencements soit à un
membre
supérieur, soit à un membre inférieur ; par-fois,
conscrit dans ses commencements soit à un membre supérieur, soit à un
membre
inférieur ; par-fois, elle reste limitée, durant
plaques ; — b) dans En effet, les muscles de la langue et ceux des
membres
su-périeurs surtout commencent à s'atrophier fort
département qui est en relation physiologique avec les mouvements des
membres
supérieurs. Plus tard, elle gagne le déparlement
urs. Plus tard, elle gagne le déparlement qui est en rapport avec les
membres
inférieurs ; enfin le groupe des faisceaux cérébr
ues. Il n'en est pas de même pour le système de faisceaux relatif aux
membres
inférieurs : dans ces derniers cas, la parésie et
iffe, contracture, plaques d'anesthésie, paralysie et contracture des
membres
inférieurs.) — Caractères qui dist nguent la pach
er, elles aussi, le dé-veloppement de l'atrophie des muscles dans les
membres
paralysés ? C'est, en effet, un caractère des s
e de l'inertie fonction-nelle prolongée à laquelle sont condamnés les
membres
paralysés. Je ne suis pas en mesure, Messieurs, d
n faut, tout à fait sans exemple, et qu'alors, les mus-cles, dans les
membres
correspondants, subissent l'atrophie. Ainsi, j'
commune, d'une atrophie plus ou moins pronon-cée des muscles dans les
membres
paralysés, survenant à une époque rapprochée du d
e l'hémisphère droit. La contracture survint très rapidement dans les
membres
paralysés et, deux mois a peine après l'attaque,
paralysés et, deux mois a peine après l'attaque, les muscles, tant du
membre
in-férieur que du supérieur, commencèrent à s'atr
essa rapide-ment et, simultanément, la peau de toutes les parties des
membres
paralysés, soumises aux plus légères pressions, s
rophies musculaires plus ou moins rapides, qui se produisent dans les
membres
paralysés en conséquence de la myélite transverse
ce absolue, est capable aujourd'hui de marcher et de se servir de ses
membres
supérieurs pour exécuter quelques ouvrages. La gu
es, atroces même, des fourmillements et des engourdissements dans les
membres
supérieurs, en même temps qu'il s'y produit un ce
une altération plus profonde subie par les nerfs périphériques. Les
membres
cessent d'être douloureux, mais, en revan-che, il
nt. Cette atro-phie porte à peu près également sur toute l'étendue du
membre
, mode qui rappelle celui que nous avons décrit lo
ces symptômes viennent se joindre des contractures qui s'emparent des
membres
paralysés et atrophiés et souvent il se produit s
t des membres paralysés et atrophiés et souvent il se produit sur ces
membres
des plaques à'anesthésies qui peu-vent s'étendre
squ'à la partie supérieure du tronc. Ce n'est pas tout encore ; les
membres
inférieurs se para-lysent à leur tour et plus tar
à ce qui se produit dans cette dernière affection, la contracture des
membres
inférieurs, dans la pachyméningite, ne paraît se
'exis-tence, pour ainsi dire obligatoire, de la contracture, dans les
membres
paralysés. La paralysie motrice est ici déterminé
n grand nombre de cas, parfaitement normales, Souvent les muscles des
membres
in-férieurs, frappés d'incoordination motrice, so
par M. Pierret, l'atrophie portait à la fois sur toute l'é-tendue du
membre
supérieur et du membre inférieur d'un même côlé (
phie portait à la fois sur toute l'é-tendue du membre supérieur et du
membre
inférieur d'un même côlé (Fig. 26). Ce mode de
e type de la para-lysie infantile. La paralysie débute soit par les
membres
inférieurs, soit par les supérieurs, d'où il s'en
ais d'es-carres. L'atrophie, qui ne tarde pas à apparaître dans les
membres
paralysés, rappelle ce qu'on voit dans la paralys
elle s'attaque cependant à toute l'étendue ou à toute une partie des
membres
. En même temps, la peau, sur les ré-gions paralys
s, un an au plus ; elle est caractérisée par une sorte de parésie des
membres
inférieurs surtout, due à la modification de cert
7, trois ans avant la terminaison fatale, se mani-festèrent, dans les
membres
inférieurs, les premiers symptômes de paralysie m
ysie motrice. La paralysie s'aggrava progressivement et s'étendit aux
membres
supérieurs. Deux ans après le début, le malade ét
plus ou moins vives, et des fourmillements incommodes occupaient les
membres
; de plus, les muscles paralysés offraient une at
nce motrice persis-tât au même degré. A l'autopsie, les muscles des
membres
présentèrent pour la plupart, à des degrés divers
grande quantité de tissu adipeux s'élait accu-mulée sous la peau des
membres
et à la surface de la plupart des vis-cères, li
u sujet, l'existence de douleurs vives et de four-millements dans les
membres
, les contractions fibrillaires, l'embarras de la
om-baire de la moelle provenant d'un sujet chez lequel les muscles du
membre
inférieur gauche étaient paralysés et atrophiés.
i qu'on eût pu le prévoir, par une paralysie avec amyotrophie dans le
membre
correspondant à la région lésée de la moelle épin
s de la sensibilité. — Début. — Évolution. — Mode d'envahissement des
membres
. — Pronostic et traitement. — Diagnostic: Scléros
veux parler de la contracture qui, presque dès l'origine, occupe les
membres
affectés, se montre bientôt permanente et constit
s'accroît progressivement et en-traîne tôt ou tard l'impuissance des
membres
, sans s'accom-pagner jamais de troubles notables
urs fulgurantes et terebrantes revenant par accès et siégeant sur les
membres
, la face, le tronc ; dou-leurs permanentes fixées
tôme consiste dans un état parétique, portant égale-ment sur les deux
membres
inférieurs ou plus marqué sur l'un d'eux, et qui
dépeignent la situation en disant qu'ils se fatiguent vite, que leurs
membres
leur paraissent lourds et qu'en mar-chant ils tra
ires. Alors, dans la situation horizontale, au lit par exemple, les
membres
affectés commencent à se raidir de temps en temps
reste bornée aux extrémités, tantôt se répand sur toute l'étendue du
membre
et peut même se com-muniquer au corps tout entier
out dans la marche, ces mou-vements contradictoires, désordonnés, des
membres
inférieurs s'exagérant lorsque le malade est plac
ut à fait différent. On ne trouve pas dans le tabès spasmodique ces
membres
souples, flexibles à l'excès, parfois même comme
utre, agités, par la trépidation qui peut s'étendre vers la racine du
membre
et imprimer même, parfois, au corps tout entier u
sse et se renverse en » arrière comme pour contrebalancer le poids du
membre
in-» férieur qu'un tremblement involontaire agite
Bétous, p. 24. Privés désormais l'un et l'autre de l'usage de leurs
membres
inférieurs, incapables de se tenir debout et de m
trême et devenue absolument permanente, maintient in-vinciblement les
membres
dans l'extension forcée et dans l'adduction, rend
s, pour la première fois, je crois, et la tré-pidation épileptoïde du
membre
inférieur et le meilleur moyen de la pro-voquer.
r, contribuent à lui donnner naissance ; telles déterminer dans les
membres
inférieurs de véritables crises convulsives, reve
que le phénomène de la trépi-dation épilepioïde n'est pas spécial aux
membres
inférieurs. On peut le provo-quer, ainsi que je l
fait observer depuis longtemps, chez ceriains hémiplé-giques, dans le
membre
supérieur contracture, en redressant les phalange
endance à la formation des escarres et que les masses musculaires des
membres
inférieurs qui, chez les ataxiques, s'émacient so
ationnaire. Souvent limitée pendant toute la durée de son cours aux
membres
inférieurs qui, régulièrement, sont les premiers
premiers envahis, elle peut s'étendre, mais toujours tardivement, aux
membres
supérieurs. Ceux-ci deviennent, en pareil cas, le
ns l'extension et dans la pronation. Quand les choses en sont là, les
membres
supérieurs demeurent immobiles, rigides, plus ou
plus ou moins fortement appliqués sur chaque côté du tronc ; dans ces
membres
, la trépidation est sans doute toujours beaucoup
a trépidation est sans doute toujours beaucoup moins prononcée qu'aux
membres
inférieurs ; je ne l'y ai pas encore souvent obse
au lit, continue à s'opérer d'une façon normale, aussi bien dans les
membres
réduits à l'impotence que dans l'ensemble. Il n'a
t degré artificielle de la trépidation : c'est quand la rigidité du
membre
dans l'exten-sion est poussée à l'extrême. La man
de marcher et même de se tenir debout: vous pouvez remarquer que ses
membres
inférieurs, auxquels il lui est impossible d'impr
ax, persiste encore aujourd'hui. En même temps sont survenus dans les
membres
inférieurs des picotements, des fourmillements. I
ncée de la sensibilité dans ses divers modes, sur toute l'étendue des
membres
inférieurs et de l'abdomen. Quand on pince la pea
commun, avec le tabès spasmodique, la parésie suivie de rigidité des
membres
, l'absence de troubles de la sensibilité, de déso
encement, par l'alrophie que subissent les masses musculaires sur les
membres
affectés, par l'évolution plus rapide de la malad
baires. D'ailleurs, dans celte affection, ce sont, dans la règle, les
membres
supérieurs qui, les premiers, sont envahis, contr
seule 1 Loc. cit., p. 118. 2 Loc. cit., p. 210. contracture des
membres
inférieurs, avec ou sans rigidité concomitante de
acture des membres inférieurs, avec ou sans rigidité concomitante des
membres
supérieurs (forme spinale de la sclérose en plaqu
es et dorso-lombaires, de vertiges, une aggravation de la parésie des
membres
dans l'obscurité, et diverses autres circonstance
ailleurs, dans les deux cas, par un état paralytique ou parétique des
membres
inférieurs. On s'est beaucoup moins attaché, en g
ous ce nom, on désigne des affections paré tiques ou paralytiques des
membres
inférieurs, survenant dans le cours de certaines
ans ces conditions, on observe plutôt une pa-résie, une faiblesse des
membres
inférieurs, qu'une paralysie, dans l'acception li
Le troisième groupe se compose des cas dans lesquels la faiblesse des
membres
, notée dans le cours de la maladie uri-naire, rec
la rétention apparaissent les premiers symptô-mes de la paralysie dus
membres
inférieurs ; à l'autopsie, ramollissement rouge d
ssements, un sentiment de constriction, apparaissent d'abord dans les
membres
infé-rieurs, et sont bientôt suivis d'une anesthé
anesthésie ou d'une anal-gésie occupant surtout les extrémités de ces
membres
; la douleur dorso-lombaire et la douleur en cein
où une contracture permanente s'est dé-veloppée à la longue dans les
membres
paralysés1. La myélite peut s'étendre parfois au
elà de son siège primitif, ainsi que le prouvent plusieurs cas où les
membres
supérieurs ont été à leur tour envahis par la par
. Leudet a vu survenir un affaissement parétique, occupant d'abord le
membre
inférieur correspondant au siège de la névrite, p
re inférieur correspondant au siège de la névrite, puis s'étendant au
membre
du côté opposé, et, en dernier lieu, aux membres
e, puis s'étendant au membre du côté opposé, et, en dernier lieu, aux
membres
supérieurs 3. M. Leyden a emprunté à M. Benedik
gine de douleurs permanentes vives occupant dans toute sa longueur le
membre
inférieur du côté correspondant à la fracture. Pe
près survint une paralysie complète avec atrophie musculaire, dans le
membre
supérieur, du même côté 4. Dans un cas très int
pose, — on observa succes-sivement une névrite sciatique sur l'un des
membres
, puis 1 Voir Leudet: Archives générales de méde
eyden, loc. cit., p. 21. une paraplégie, et enfin une paralysie des
membres
supé-rieurs. L'atrophie musculaire, avec diminuti
e des muscles de la main et d'une éruption pemphigoïde. Plus tard, le
membre
supérieur du côté opposé fut à son tour frappé d'
dans la plupart de ces cas, l'anesthésie et l'atrophie musculaire des
membres
paraly-sés semblent indiquer qu'il s'agissait là
après, des fourmillements et des sou-bresauts se produisirent dans le
membre
inférieur droit, qui bientôt, en même temps que l
n an après, il marchait mieux encore, mais il s'était produit dans le
membre
inférieur droit un certain degré de rigi-dité per
te. En redressant la pointe du pied on provoquait à coup sûr, dans ce
membre
, une trépidation très accentuée. laire et les t
lle de cause rénale ou vésicale. La paralysie ne s'étend jamais aux
membres
supérieurs; il s'agit d'ailleurs plutôt là d'un a
rs; il s'agit d'ailleurs plutôt là d'un affaiblissement parétique des
membres
que d'une paralysie proprement dite ; le pouvoir
, soit de la vessie, soit du rectum, ne vient s'adjoindre à celle des
membres
inférieurs ; on n'observe ni spasmes muscu- Voi
Toujours est-il, Messieurs, que cet affaiblissement para-lytique des
membres
inférieurs, développé en conséquence d'une maladi
e, les actes réflexes sont atténués, à un degré remarquable, dans les
membres
supérieurs, pendant tout le temps que dure l'irri
ue l'irritation persiste, les mouvements réflexes sont abolis dans le
membre
inférieur du côté droit. S'il s'agit, entre autre
fortement ces divers organes entre les doigts, il se produit dans les
membres
inférieurs une paralysie du mouvement, laquelle p
pé les plexus lombaire et sacré. Pendant la vie, outre la parésie des
membres
inférieurs, on avait noté l'existence de douleurs
e la parole, de spasmes musculaires, soit dans la face, soit dans les
membres
; jamais dans ceux-ci on n'observe ni fourmillemen
ments choréiques. — Trépidation des hémi-plégiques. — Instabilité des
membres
affectés d'hémichorée post-hémiplé-gique. — Carac
'elle récu-pérait peu à peu et progressivement les mouvements dans le
membre
inférieur droit, ceux du membre supérieur corres-
rogressivement les mouvements dans le membre inférieur droit, ceux du
membre
supérieur corres-pondant, bien que redevenus poss
ne réaction. Enfin, il y a sur tout ce côté du corps : face, tronc et
membres
, une analgésie des plus accen-tuées, puisqu'on pe
à la face, dans ce cas, ils sont très évidents au contraire dans les
membres
supérieur et inférieur du côté droit. Ceux-ci,
repos et dans les mouvements. Dans les mouvements intentionnels du
membre
supérieur, il se manifeste une agitation choréifo
en plaques. Tant que R... est tranquille, au repos, il n'y a dans le
membre
presque aucun désordre moteur ; par contre, dans
t, quand elle marchera, des accidents analogues se montrer du côté du
membre
inférieur droit. Ce désordre du mouvement se ra
e, alors que le malade ne veut aucun mouvement, d'une instabilité des
membres
affectés. Ces membres, dans ce cas même, — c'es
e veut aucun mouvement, d'une instabilité des membres affectés. Ces
membres
, dans ce cas même, — c'est un point qu'il importe
s mouvements, comme vous le pourrez constater, sont très évi-dents au
membre
inférieur. Vous voyez, en effet, la rotule sou-le
on du cou-de-pied du côté droit. Vous remarquerez que, par contre, le
membre
supérieur de ce côté reste à peu près im-mobile.
encore fourrée dans une poche, sans quoi elle serait, à l'exemple du
membre
inférieur, constamment en mouvement. L'hémichor
fut reprise par ses parents à 4 ans et demi, elle était paralysée des
membres
supérieur et inférieur du côté droit, et éprouvai
sé depuis cette époque d'être sujette à des attaques d'épilepsie. Les
membres
du côté droit sont actuellement un peu plus faibl
s lequel des mouvements choréiformes, développés brusquement dans les
membres
d'un côté du corps, à la suite d'un choc apoplect
ne quin-zaine d'années de douleurs vagues occupant toute l'étendue du
membre
supérieur droit. Depuis 1869, elle est devenue su
rs la même époque, un tremblement choréiforme s'est emparé de ce même
membre
supérieur droit. Le tremblement en question est
rale, elle est redevenue à peu près normale à la face, au tronc et au
membre
inférieur du côté droit. Seul le membre supérieur
ale à la face, au tronc et au membre inférieur du côté droit. Seul le
membre
supérieur droit, siège des mouvements ohoréiforme
de phénomènes précurseurs immé-diats, il sentit, non sans effroi, son
membre
inférieur droit agité de secousses convulsives rh
Cette sorte de trépidation dura peut-être quelques secondes, puis le
membre
inférieur rigide se souleva tout d'une pièce, et
s, pendant quelques secondes cette même trépida-tion avec rigidité du
membre
inférieur droit, signalée déjà plus haut. Un lége
roit, signalée déjà plus haut. Un léger affaiblissement parétique des
membres
du côté droit, une notable confusion dans les idé
s convulsives rhytmiques ainsi que la rigidité, après avoir occupé le
membre
inférieur droit et sans l'abandonner, avaient env
re inférieur droit et sans l'abandonner, avaient envahi rapidement le
membre
su-périeur du même côté. Une personne présente en
qui m'avait été annoncée d'un affaiblissement, d'ailleurs léger, des
membres
du côté droit, je reconnus qu'ils n'étaient le si
jà, j'ai eu l'occasion de vous le faire remarquer, c'est par l'un des
membres
supérieurs, ou par un des côtés de la face, que s
qu'en soit d'ailleurs l'origine ». L'envahissement commençant par un
membre
inférieur doit donc être consi-déré, dans l'espèc
à peine avait-il fait quelques pas dans la rue que, tout à coup, son
membre
inférieur droit fut pris de rigidité et en même t
sions rhytmiques précipitées et violentes. Presque aussitôt après, le
membre
supérieur du même côté fut à son tour envahi de l
t régulier des mouvements convulsifs qui, commençant tou-jours par le
membre
inférieur gauche, gagnaient ensuite le membre sup
ençant tou-jours par le membre inférieur gauche, gagnaient ensuite le
membre
supérieur du même côté, et quelquefois en outre l
troubles quelconques de la sensibilité, soit à la face, soit dans les
membres
, je constatai aisément qu'il existait un certain
t commencées le jour même. Une attaque avortée, cette fois limitée au
membre
in-férieur, eut lieu encore le lendemain ou le su
les premiers jours d'octobre, la contrac-ture commença à s'emparer du
membre
supérieur gauche, de la main surtout, et à l'occu
ns la demi-flexion. Elle envahit même, bien qu'à un degré moindre, le
membre
infé-rieur correspondant. Il faut ajouter que la
sie exquise : le malade redoutait au plus haut point qu'on heurtât ce
membre
ou même qu'on le touchât légèrement, et, si cela
jours le temps de gagner son lit et de s'y étendre. Alors, on voit le
membre
supérieur gau-che se fléchir à l'excès au niveau
femme de mon service, la nommée P..., présentant une contracture des
membres
supérieur et inférieur du côté gauche, permanente
a station debout et la marche, les accès spontanés, commencent par le
membre
inférieur. Celui-ci alors se roidit à l'excès, da
du pied bot équin spasmodique, et bientôt survient la trépidation. Le
membre
supé-rieur, puis la face, sont ensuite envahis su
l'accès s'en suivent. (J.-M. C.) cèdent rapidement. A son tour, le
membre
inférieur gauche est envahi ; il se roidil dans l
lorsque les convulsions, dans l'épi-lepsie partielle débutant par le
membre
supérieur, tendent à se généraliser, elles n'enva
le membre supérieur, tendent à se généraliser, elles n'envahissent le
membre
inférieur qu'a-près avoir, au préalable, gagné la
s où la face est affectée tout d'abord, c'est, après elle, le tour du
membre
supérieur, et en dernier lieu celui du membre inf
après elle, le tour du membre supérieur, et en dernier lieu celui du
membre
inférieur. Si enfin, comme cela se présentait dan
tions que j'ai rapportées, les convul-sions attaquent premièrement le
membre
inférieur, elles se répandent successivement sur
èrement le membre inférieur, elles se répandent successivement sur le
membre
supérieur d'abord, puis sur la face. Cet ordre ne
nsuccès sera l'exception *. 1 La paralysie motrice transitoire d'un
membre
, survenant tout à coup, sans être précédée de con
t pas dépassé le terme ordinaire, d'une paralysie subite affectant le
membre
supérieur gauche. En revenant à lui, il avait tro
ant le membre supérieur gauche. En revenant à lui, il avait trouvé ce
membre
absolument inerte, flasque, pendant le long du co
dant le long du corps. Je constatai que la paralysie était limitée au
membre
supérieur gauche qu'elle occupait dans toute son
it dans toute son étendue, et qu'elle n'intéressait ni la face, ni le
membre
inférieur du côté correspondant. Les personnes pr
ébut de la maladie actuelle. Ces douleurs ont occupé tout d'abord les
membres
inférieurs, les mollets surtout et les cous-de-pi
un jour que la cuisse de ce côté était considérablement tuméfiée', le
membre
, sur ce point, avait, paraît-il, presque doublé d
n lit, la malade remarqua avec étonnement qu'elle boitait, et que son
membre
in-férieur droit s'était raccourci. Il s'était pr
it dans la hanche gauche qui se luxa. A partir de ce jour, les deux
membres
inférieurs étant égale-ment, raccourcis, tout tra
passé, de temps a autre, des crises de douleurs fulgurantes dans les
membres
inférieurs. Ces dou-leurs ne s'étaient pas montré
s inférieurs. Ces dou-leurs ne s'étaient pas montrées encore dans les
membres
supé-rieurs. Après sa sortie de la Charité, C..
vice de M. Vigla. A ce moment, la ma-lade se servait très bien.de ses
membres
supérieurs, qui n'étaient le siège d'aucune doule
embres supérieurs, qui n'étaient le siège d'aucune douleur; quant aux
membres
inférieurs, où les douleurs fulgurantes continuai
nt ceux des jambes d'un polichinelle ». Les diverses jointures de ces
membres
avaient acquis une laxité extrême; aussi C... pou
actura. Les douleurs fulgurantes commencèrent à se montrer dans les
membres
supérieurs un an environ après l'admission de G..
ussi violentes que celles qui, de temps en temps, occupent encore les
membres
inférieurs. Les mouvements dans les membres supér
emps, occupent encore les membres inférieurs. Les mouvements dans les
membres
supérieurs n'ont été affectés que dans ces dernie
obstinément. En dehors de cela, il n'existait à cette date, dans les
membres
supérieurs, aucune trace d'incoordination motrice
celle qu'offre la main gauche. Les mouvements des divers segments du
membre
sont faciles encore et réguliers. G... peut porte
extenso la note qu'il a eu l'obligeance de me remettre à ce sujet :
Membre
inférieur gauche. — Il est très raccourci et mesu
2 centimètres de l'épine iliaque antérieure et supérieure, lorsque le
membre
est placé dans la rectitude (Voy. Planche VI.)
e trouvent quelques bour-relets de peau, dans le sens longitudinal du
membre
, bourrelets s'effaçant par les mouvements. La f
s. Dans les mouvements provoqués •on entend parfois, surtout quand le
membre
est placé dans la rotation en dehors, des craquem
Il n'en est pas de même plus haut, où nous trouvons l'impuissance du
membre
, celui-ci ne pouvant être détaché com-plètement d
plan du lit, surtout le talon. Il existe également, à la racine du
membre
, de la mobilité anormale, ainsi que de la cré-pit
les plus accusés qu'il nous soit permis de constater par l'examen.
Membre
inférieur droit. — Sa longueur est de 74 centimèt
ine iliaque antérieure et supérieure, jusqu'à la malléole externe. Le
membre
est placé dans la rotation en dedans, le genou et
. Des plis moins nombreux mais plus obliques que ceux décrits pour le
membre
opposé existent à la partie interne de la cuisse
rrière et en haut. Il existe donc là une luxation ilio-ischiatique.
Membre
supérieur gauche. — Il présente des lésions à l'é
autres, l'indicateur étant celui dont l'allongement est perma-nent.
Membre
supérieur droit. — Sa longueur, mesurée depuis l'
des doigts, se font beaucoup plus aisément que ceux exécutés par les
membres
du côté opposé. Cette facilité plus grande des mo
sont, en général, moins intenses que celles qui se montrent dans les
membres
. Circulation et respiration. — Pouls petit, rég
on. Mouvements, sensibililité. — On constate que les mouvements des
membres
inférieurs, tout limités qu'ils soient, sont enco
lade a perdu complètement la notion des positions im- primées à ses
membres
. — Les mouvements provoqués, comme les mouvements
ents spontanés, se font d'ailleurs absolument sans douleur. Sur les
membres
la malade perçoit le contact, le chatouille-ment,
Il n'y a pas de différence appréciable sous ce rapport entre les deux
membres
inférieurs. Il paraît manifeste, toutefois, qu'au
mé les yeux de la malade, on applique sur les différents segments des
membres
inférieurs un vase en étain, c'est tantôt une sen
réelle-ment froid. La malade ne peut plus se servir actuellement du
membre
su-périeur gauche, même pour s'aider à manger. El
ce côté et l'incoordination motrice est très-pro-noncée dans tout le
membre
, que les yeux soient ouverts ou fer-més lors de l
ce qu'il y a entre deux corps inégalement froids. — Les mouvements du
membre
supérieur droit sont moins profondément affectés
u tissu osseux résultant d'une inactivité fonctionnelle prolongée des
membres
, consé-cutive elle-même à l'affection spinale. To
rvation établissent, au contraire, clairement, en ce qui concerne les
membres
supérieurs, que les fractures s'y sont produites
supérieurs, que les fractures s'y sont produites à une époque où ces
membres
jouissaient encore de tous leurs mouvements physi
à que par des accès de douleurs fulgu-rantes ; et, pour ce qui est du
membre
inférieur gauche, il possédait encore, lui aussi,
t M. Weir Mitchell1 appelait l'attention sur la fragi-lité des os des
membres
inférieurs chez les ataxiques et surla fréquence,
ivement les doigts de sa main gauche se fléchir involon-tairement, le
membre
supérieur gauche se raidir dans l'extension et s'
tout d'une pièce jusqu'à la hauteur de la tète, en même temps que ce
membre
, en entier, est agité par 3 ou 4 mou-vements clon
emps en temps quelques mouvements convulsifs dans la face et dans les
membres
; pas de cri initial, pas d'émission d'urines. Le
phénomènes convulsifs localisés dans la face ou dans un ou plusieurs
membres
semble être chose fréquente. Dans un cas, les acc
ques heu-res après à l'ambulance d'Arcueil, complètement paralysé des
membres
inférieurs. Il succomba dans la nuit même, vingt-
fermaient du sang. —7e jour, dis-parition des mouvements réflexes aux
membres
inférieurs ; formation d'une escarre sur la fesse
tides. La contractilité électrique est conservée dans les muscles des
membres
inférieurs. — 13e jour, refroidissement des extré
lysie incomplète du mouvement, avec obnubilation de la sensibilité du
membre
supérieur gauche, s'était manifestée. Le huitième
s de la malade ne fournit que des renseignements négatifs : aucun des
membres
de sa famille n'a été atteint d'atrophie musculai
ne s'accompagnant d'au-cun trouble de la sensibilité marqua pour les
membres
supérieurs le début des accidents. Bientôt après
occupant l'un après l'autre et de bas en haut les divers segments des
membres
supé-rieurs évoluant toutefois beaucoup plus rapi
té gauche. On doit noter cependant que, de-puis huit ans environ, les
membres
inférieurs étaient le siège de phénomènes singuli
, saluts, etc). On les calmait par l'application d'eau froide sur les
membres
inférieurs. État actuel, mai 1869, 7 ans après
marque également dans presque toute la partie supé-rieure du dos. Les
membres
inférieurs sont parfaitement intacts ; la malade
elle n'a pas été durable. L'atrophie, tout en faisant des progrès aux
membres
supérieurs et au tronc, n'avait pas envahi d'une
upérieurs et au tronc, n'avait pas envahi d'une façon appréciable les
membres
inférieurs dont les fonctions s'exécutaient libre
istence de douleurs survenant par accès au niveau du cou, du dos, des
membres
inférieurs et on constatait directement que la pr
ion de volume considérable qu'avaient subi les masses musculaires aux
membres
supérieurs, ceux-ci n'étaient pas atteints en réa
tout au moins la traîner où bon lui semblait. Dans leur ensemble, les
membres
supérieurs étaient flasques, pendant habituelleme
e de la main sans qu'il fût actuellement possible de les étendre. Les
membres
inférieurs étaient absolument indemnes ; les mass
supérieures du corps. Elle porte à peu près égale-ment, sur les deux
membres
. Les deltoïdes, les muscles pecto-raux, sont pres
sques, pendent d'habitude en ar-rière de la poitrine. Cependant les
membres
inférieurs sont volumineux, la marche est toujour
contrer qui, comme le trapèze, ne sont atrophiés que partiellement.
Membre
supérieur droit. — Le deltoïde est jaune et consi
ricaux ont seuls conservé la coloration rouge et un certain relief.
Membre
inférieur droit. Ici tous les muscles ont un volu
e tout phénomène spasmodique, attestée par la flaccidité générale des
membres
supérieurs, la mobilité de toutes les grandes art
naient impuissants à la soutenir contre la pesanteur. L'intégrité des
membres
infé-rieurs n'est pas un fait moins remarquable,
s parties du corps, puis des secousses qui se sont produites dans les
membres
inférieurs. Ce dernier symptôme n'a évidemment qu
Orservation I. Atrophie musculaire progressive, marquée surtout aux
membres
su-périeurs — Atrophie des muscles de la langue e
a langue et de ïorbicidaire des lèvres. — Paralysie avec rigidité des
membres
inférieurs. — Atrophie ou disparition des cellule
la station sont à peu près impossibles par suite de la faiblesse des
membres
inférieurs. — Vers le 20 septembre, elle éprouva
prouva des douleurs dans les mains, et, à partir de cette époque, les
membres
supérieurs s'affaiblissent à leur tour progressiv
Renvoyée faute de place, elle y retourne le 11, mais cette fois, les
membres
inférieurs étaient devenus trop faibles pour lui
la marche envahissante de la maladie, au contraire, la faiblesse des
membres
inférieurs et supérieurs avait progressé rapideme
mencé à se produire l'atrophie et la déformation caractéristiques des
membres
supérieurs qu'elle présentait déjà à un très haut
nique s'accomplissent d'une manière normale. État des menées. — Les
membres
supérieurs sont, dans l'en-semble, remarquablemen
le nom de main en griffe. Les mou-vements des différentes parties des
membres
supérieurs sont d'ail-leurs extrêmement limités.
ceux du bras, sont également très bornés. D'une ma-nière générale, le
membre
supérieur gauche est peut-être un peu moins faibl
'une altération quelconque de la sensibilité dans toute l'étendue des
membres
su-périeurs. La malade ne peut marcher ni même
ent en dedans par un mouvement involontaire d'adduction forcée. Les
membres
inférieurs sont, eux aussi, fortement amaigris; m
mais c'est un amaigrissement général : on ne constate pas, comme aux
membres
supérieurs, les déformations qui tiennent à l'atr
La puissance muscu-laire n'est cependant pas complètement abolie aux
membres
in-férieurs, et la malade peut fléchir un peu, ét
pas de trémulation. Il n'existe aucun trouble de la sensibilité aux
membres
infé- rieurs, où la malade n'éprouve ni douleur
aît également normale, tandis qu'elle paraît être plutôt exagérée aux
membres
supérieurs. Un grand nombre de muscles, ceux su
e pas trace de mouvements fibrillaires sur les différents muscles des
membres
inférieurs. Nous avons fait remarquer déjà qu'à l
, ont con-servé à un haut degré la contractilité électrique. Ceux des
membres
inférieurs se contractent, eux aussi, énergiqueme
aucun changement notable ne s'est produit. Seulement la faiblesse des
membres
supérieurs a toujours été en augmen-tant, mais ce
la malade pouvait encore remuer un peu les doigts. La contracture des
membres
inférieurs a fait également des progrès, mais san
s muscles, s'accentuant de plus en plus, rendait les déformations des
membres
supérieurs, et sur-tout des mains, plus caractéri
ulier, il n'y avait pas de signes de paralysie diaphragmatique. Les
membres
inférieurs présentaient la même faiblesse, le mêm
très manifeste le 13 au matin. Elle s'est montrée très forte même aux
membres
supérieurs, là où l'atrophie était le plus pronon
ssus des malléoles. 0. 175 Il n'y avait pas de différence entre les
membres
du côté droit et ceux du côté gauche. b) Cavité
u jaunâtres. Le diaphragme paraît sain, du moins à l'œil nu. 5° Aux
membres
inférieurs. L'amaigrissement est assez mar-qué ;
essive ; on les observe entre autres communément dans les muscles des
membres
infé-rieurs, chez les individus immobilisés depui
cet aspect fendillé qui était àpeu près général dans les muscles des
membres
supérieurs et inférieurs. Les pectoraux ne prés
r mas-quer la striation transversale. Les éléments musculaires, aux
membres
inférieurs, ne renferment pas ou à peine de granu
bso-lument confinée au lit. L'impuissance motrice, complète dans le
membre
supérieur gauche, est un peu moins prononcée dans
e à gauche qu'à droite l'est peut-être aussi davantage à la racine du
membre
qu'à son extrémité. Tandis que les muscfes de t'é
ons fibrillaires, quand elles ne s'y montrent pas spontanément. Les
membres
inférieurs, atteints beaucoup moins profondément
n volume. Ils présentent un amaigrissement nota-ble, étendu à tout le
membre
; aucun groupe de muscles ne paraît plus spéciale
u'ils se contractent tous sous l'influence de l'électricité, ceux des
membres
inférieurs avec une énergie plus grande que les s
offrent une belle coloration rouge. Les pectoraux et les muscles du
membre
supérieur gauche sont jaunes, décolorés, amincis
-servé sa coloration, sa consistance et son épaisseur normales. Aux
membres
inférieurs, les muscles, bien que grêles, sont à
anu-leux très prononcé du contenu de la gaine. Dans les muscles des
membres
supérieurs qui, à l'œil nu, avaient une coloratio
asqués en partie par des amas de noyaux. Les mus-cles du tronc et des
membres
inférieurs ont présenté la même al-tération; ces
blesse des mou- vements volontaires qui existe actuellement dans le
membre
su-périeur gauche, et dont il sera question plus
ce côté, ne sont pas plus émaciés que les parties correspondantes du
membre
supérieur droit. Les masses muscu-laires y sont c
ie prédominante des muscles des émi-nences thénar et hypothénar. Le
membre
supérieur droit est uniformément amaigri dans tou
sur quelques points de son étendue, principalement à l'épaule. Les
membres
inférieurs sont amaigris tous deux au même de-gré
hragme ne présente pas d'altération appréciable. Quelques muscles des
membres
inférieurs ont été examinés; ils ont pré-senté, p
neuses, interposées entre les faisceaux primi-tifs. Les muscles des
membres
inférieurs (muscles de la cuisse, muscles plantai
al-térés étaient là moins nombreux qu'aux parties correspondantes des
membres
supérieurs. p. Nerfs crâniens. — Sur toutes les
67, trois ans avant la terminaison fatale, se manifestèrent, dans les
membres
inférieurs, les premiers symptômes de pa-ralysie
sie motrice. La paralysie s'aggrava progressivement et s'é-tendit aux
membres
supérieurs. Deux ans après le début, le malade ét
ssance motrice persistât au même degré. A l'autopsie, les muscles des
membres
pré-sentèrent pour la plupart, à des degrés diver
e grande quantité de tissu adipeux s'était accumulée sous la peau des
membres
et à la surface de la plupart des viscères. Il
du sujet, l'existence de douleurs vives et de fourmillements dans les
membres
, les contractions fibril-laires, l'embarras de la
aux altérations qui se mon-traient si prononcées sur les muscles des
membres
. (Extrait des Archives de physiologie normale e
gauche avec analgésie intéressant à la fois la face, le tronc et les
membres
et des mouvements choréiformes occupant 1 Voir
(hémichorée post-hémiplégique, variété athétose). Les jointures du
membre
supérieur gauche sont rigides. — La main est fléc
. A 6 ans, convulsions pendant cinq heures : paralysie incomplète des
membres
du côté gauche. — A 7 ans et demi, convulsions du
s brusques et plus saccadées, ils intéressent tous les mouvements des
membres
du côté gauche. Des considérations qui précèden
sie avec flaccidité, rigidité temporaire, con-tracture permanente des
membres
, exaltation des actes réflexes. —Troubles de la m
laire, arrêt de développement du système osseux, refroidisse-ment des
membres
, déformations, pied bot paralytique). Anatomie
. — Déformations paralytiques; attitude de la main. — Trémulation des
membres
supérieurs à l'occasion des mouvements intentionn
nnels. — Modes de début. — Paraplégie cervicale. — Envahisse-ment des
membres
inférieurs. — Caractères de la contracture. —Phén
iffe, contracture, plaques d'anesthésie, paralysie et contracture des
membres
inférieurs.) — Caractères qui distinguent la pach
s de la sensibilité. — Début. — Évolution. — Mode d'envahissement des
membres
. — Pronostic et traitement. — Diagnostic: Scléros
ments choréiques. — Trépidation des hémiplégi-ques. — Instabilité des
membres
affectés d'hémichorée post-hémi-plégique. — Carac
ce, 9, 76, 168, 199. — Modes d'invasion, 169. — Refroidissement des
membres
, 173. — Déformations, 173. — Lé-sions des muscles
i transmettent directement à la moelle, et par son intermédiaire, aux
membres
, les ordres de la volonté ; que les cellules motr
ervations, cela ne serait point exact : au bout de 10, 15 minutes, le
membre
commence à descendre, et, au bout de 20 à 25 minu
me chez le cataleptique, un tambour à réaction, fixé à l'extrémité du
membre
étendu [fig. 1, R), servira à enregistrer, parla
enregistrer, parla méthode graphique, les moindres oscillations de ce
membre
, pendant qu'un pneumographe, appliqué sur la poit
, pendant toute la durée de l'observation, la plume qui correspond au
membre
trace une ligne droite parfaitement régulière (fi
ui correspond aux indices de fatigue musculaire notés sur le tracé du
membre
, irrégularité dans le rhythme et l'étendue des mo
preuve, se trouve trahi des deux côtés à la fois : l°par le tracé du-
membre
qui accuse la fatigue musculaire, et 2° par le
trouble de la marche, et c'est, comme vous allez le voir, l'usage du
membre
droit, ou plutôt de certains muscles de ce membre
le voir, l'usage du membre droit, ou plutôt de certains muscles de ce
membre
qui laisse à désirer. Il y a un an environ que le
ue nous fait reconnaître ce qui suit : quand le malade est au lit, le
membre
inférieur droit exécute normalement tous les mouv
ou bien il s'aide de ses mains ou de son autre pied pour allonger le
membre
. Ce sont donc, vous le voyez, les extenseurs de l
s. Le malade peut s'opposer, bien qu'avec moins de force qu'avec le
membre
sain, aux tentatives d'extension ou de flexion qu
ait un peu d'affaiblissement relatif de la plupart des muscles de ce
membre
, c'est principalement l'action du triceps qui res
ant, le genou gauche se fléchit, puis s'étend, il ne se passe dans le
membre
inférieur droit presque aucun mouvement de flexio
n ou d'extension du genou; c'est dans la hanche que tout se passe; le
membre
inférieur droit, trop long en quelque sorte, opèr
rcher la cause de l'impuissance motrice. Un examen plus attentif du
membre
affecté va nous faire reconnaître d'ailleurs un
importants. Tout d'abord, vous constatez une diminution de volume du
membre
tout entier, qui était plus prononcée autrefois.
tulien détermine des secousses très prononcées, non seulement dans le
membre
percuté, mais qui se généralisent et sont très ma
rcuté, mais qui se généralisent et sont très manifestes dans les deux
membres
supérieurs et surtout dans le gauche. Il est vrai
de la pointe du pied, la trépidation ne peut être produite ni dans le
membre
inférieur gauche, ni dans le droit. Tous les au
mbre inférieur gauche, ni dans le droit. Tous les autres muscles du
membre
présentent les réactions électriques normales. Il
nées à l'aide d'injections irritantes, ce sont les muscles de tout le
membre
, mais plus spécialement les extenseurs de l'artic
émenti. Vous le voyez, des mois peuvent s'écouler, laissant encore le
membre
hors de service, alors que depuis longtemps l'art
ien qu'elle puisse comprendre plusieurs autres groupes musculaires du
membre
. Remarquez qu'aucune autre des théories proposé
auparavant, faisons remarquer l'exaltation des réflexes tendineux des
membres
inférieurs. Est-ce une particularité du sujet, ou
ez une femme atteinte d'atrophie incomplète des muscles du cou et des
membres
supérieurs, avec diminution (non absence) des réa
ontracture limitée aux muscles de la jointure ou s'étendant à tout le
membre
. Ce sont même là des cas très fréquents et l'on s
nomènes locaux de l'hystérie, et, en particulier, la contracture d'un
membre
, se manifestent quelquefois de la même façon et s
epsie, c'est qu'elles étaient fréquemment suivies de con-traciures du
membre
inférieur droit, durant pendant 15 jours, un mois
té survenue dans toutes les jointures (hanche, genou, cou-de-pied) du
membre
inférieur gauche, qui avait supporté le choc. N
instant. La malade vous est présentée couchée sur le côté droit. Le
membre
inférieur gauche est rigide au niveau du genou, a
ela est habituel, dans ce genre de contracture, en ce qui concerne le
membre
inférieur, c'est l'exten sion qui prédomine; la
'action prédominante des jumeaux; en d'autres termes, les segments du
membre
sont en ligne droite, le pied offrant la position
pied offrant la position du pied-bot équin direct. J'ajouterai que le
membre
inférieur, que l'on peut comparer à une barre rig
sa position première, comme par un mouvement de ressort. En outre, ce
membre
a subi, dans l'articulation de la hanche, un mouv
ion plus haut. Je vous ferai remarquer que cette attitude forcée du
membre
est survenue, en quelque sorte, subitement. C'est
ns une première période, vous avez une paraplégie avec flaccidité des
membres
, il y a seulement exagération des réflexes tendin
exceptionnellement, il y a rigidité invincible qui fait comparer les
membres
à des barres inflexibles. Un des caractères les
faite la contracture. L'aneslhésie occupe tout le côté gauche, les
membres
, le tronc, la face, à l'exception des parties qui
matisme a eu sur le développement de cette rigidité spasmo-dique du
membre
l'influence que vous supposez? Ne s'agit-il pas l
analogies considérables qui rapprochent la paralysie spasmodique des
membres
chez les hystériques, ou celles qui ne relèvent d
occupant la capsule interne sur le trajet du faisceau pyramidal, les
membres
peuvent rester flasques; mais la contracture exis
d'un traumatisme. D'ailleurs, pour déterminer la contracture dans un
membre
atteint de paralysie flasque, un traumatisme viol
existe une lésion des centres nerveux ; la paralysie spasmo-dique des
membres
sans rigidité pourra, dans les mêmes conditions,
sur certaines affections nerveuses locales, cite des contractures du
membre
supérieur, à la suite de piqûres du doigt. Ces
position du pied-bot équin ; cette attitude est fixe, la rigidité du
membre
est absolue, on ne peut lui communiquer aucun mou
nons d'employer pour la provoquer. Ce que nous venons de faire sur le
membre
inférieur, nous pouvons le répéter sur le membre
nons de faire sur le membre inférieur, nous pouvons le répéter sur le
membre
supérieur. Si, avec un marteau à percussion, nous
par 80 environ. Une analyse plus attentive fait reconnaître, qu'aux
membres
supérieurs, ce sont les extenseurs qui sont en dé
le, il est très facile de vaincre l'extension du coude, tandis que le
membre
placé dans la flexion résiste assez bien aux effo
ssant, l'exaltation du réflexe tendineux, marqué non seulement sur le
membre
malade, mais encore sur celui qui est sain en app
urd'hui, et à un degré beaucoup plus prononcé encore. Ainsi, aux deux
membres
inférieurs, le relèvement de la pointe du pied dé
le est manifestement soulevée, et elle entraîne dans son mouvement le
membre
supérieur tout entier. 1. M. Debove (Progrès me
u tissu conjonctif interstitiel. Nous retrouvons donc ici, dans les
membres
inférieurs, les éléments qui constituent la parap
des réflexes tendineux, caractère qui se retrouve aussi bien dans les
membres
supérieurs que dans les inférieurs, on ne retrouv
pain, etc., 2e éd., London, 1817. 2. Influence, de l'altitude, des
membres
sur leurs articulations, Montpellier, 1878, p. 10
grand trochanter ; il n'existe pas de raccourcissement bien marqué du
membre
, qui a cependant une tendance, remarquable à se p
re peut tendre à se généraliser, et s'étendre, par exemple, à tout un
membre
. Déjà nous avons appelé l'attention sur les faits
ations publiées, ces contractures généralisées à toute l'étendue d'un
membre
, à la suite d'une lésion limitée à une seule join
us présente offre une contracture spasmodique de tous les muscles des
membres
supérieur et inférieur du côté gauche ; cela date
s. On sait, du reste, que dans la paralysie agitante, les muscles des
membres
et du tronc sont dans un état de tension permanen
de la vision par lésions cérébrales, 1882, p. 109.) la parésie d'un
membre
, après s'être manifestées, d'une ma nière trans
compagnés d'embarras de la parole, de parésie et d'engourdissement du
membre
supérieur droit. Il est resté troublé pendant hui
avec pa résie du bras droit, suivie, le lendemain, d'une parésie du
membre
inférieur droit. Pendant les cinq ou six jours qu
Pendant 5 jours, la contracture a occupé toutes les articulations du
membre
inférieur gauche ; de plus, nous avons reconnu, d
la langue, etc. ; elles n'eurent aucune influence sur la rigidité des
membres
. Nous nous sommes décidés alors à essayer l'appli
mes décidés alors à essayer l'application de l'aimant au voisinage du
membre
contracture. Divers incidents se produisirent, à
Divers incidents se produisirent, à la suite desquels la rigidité du
membre
céda. Maintenant, vous le voyez, le membre inféri
te desquels la rigidité du membre céda. Maintenant, vous le voyez, le
membre
inférieur gauche est presque complètement libre.
ster chez notre malade, car l'application de l'aimant au voisinage du
membre
, nous nous en sommes assurés, ne provoque plus la
la situation s'est simplifiée. La contracture a disparu, d'abord aux
membres
supérieurs, puis au membre inférieur gauche, pers
ée. La contracture a disparu, d'abord aux membres supérieurs, puis au
membre
inférieur gauche, persistant dans le droit, et l'
e droit, et l'a-nesthésie qui, pendant la contracture, occupait les 4
membres
, ne persiste qu'à droite. Après un certain nombre
e modifications obtenues avec l'application prolongée de l'aimant, le
membre
inférieur droit, quant à la motilité, revient à l
excitation ; cette perte de la sensibilité générale s'observe dans le
membre
supérieur, dans l'inférieur, dans la moitié du tr
digne de mention, c'est que ces points ne se rencontrent pas sur les
membres
l. Mais on les voit sur la partie antérieure du t
, de Bordeaux, il résulte qu'il existe des zones hystérogènes sur les
membres
supérieurs ou inférieurs, et que ces zones ont le
sin qui ne le quitte jamais, sanglolte et se replie sur lui-même. Les
membres
inférieurs et supérieurs sont fléchis, il se cach
soulevé tout d'une pièce. Cela dure trois à quatre minutes, puis les
membres
se détendent, les yeux se mouillent de larmes, et
Le poignet est libre ; il en est de même des autres articulations du
membre
supérieur. La déformation est donc limitée à la m
légère, non seulement de la main, mais encore des autres segments du
membre
. L'avant-bras et le bras ont environ un centimètr
e hémianalgésiè gauche, occupant non seulement la main, mais les deux
membres
, le tronc, la tète ; la malade n'est pas affectée
as étendu, pour permettre d'enregistrer les moindres oscillations des
membres
; 2° un pneumo-graphe sur la poitrine pour obteni
ion est régulière, normale ; puis, correspondant aux oscillations des
membres
qui indiquent une fatigue musculaire, on observe
e simulateur, soumis à l'épreuve, est à la fois trahi par le tracé du
membre
qui indique la fatigue musculaire, et par le trac
côté de la contracture, la sensibilité est revenue sans transfert au
membre
supérieur droit, au tronc, à la tête, au bras, ma
ant n'a eu d'autre résultat que de rame jier la sensibilité dans le
membre
contracture. Le malade fut dès lors en proie à de
ières semaines qui ont suivi l'accident, il s'était manifesté dans le
membre
inférieur gauche un certain degré d'impuissance m
ue, ainsi qu'il le fait aujourd'hui. Cette impuissance motrice d'un
membre
à la suite d'une sciatique n'est point chose rare
uzy, d'une atrophie plus ou moins prononcée des masses musculaires du
membre
. Une atrophie de ce genre existait très certainem
cas) après le début des premières douleurs et dans les cas même où le
membre
n'a jamais été immobilisé. La théorie généralemen
atoire, d'une myélite, en un mot. L'examen approfondi de l'état des
membres
inférieurs chez notre malade va nous fournir, d'a
i-heure environ ; alors la fatigue devient extrême, surtout dans le
membre
gauche, et il est absolument obligé de s'arrêter.
, et il est absolument obligé de s'arrêter. Il est remarquable que le
membre
gauche soit seul incriminé par le malade. Cependa
que le membre gauche soit seul incriminé par le malade. Cependant, le
membre
inférieur droit est, lui aussi, affecté assez pro
t, ainsi que nous allons le reconnaître tout à l'heure. L'examen du
membre
inférieur gauche révèle ce qui suit : ce membre,
'heure. L'examen du membre inférieur gauche révèle ce qui suit : ce
membre
, comparé au membre droit, est amaigri un peu part
du membre inférieur gauche révèle ce qui suit : ce membre, comparé au
membre
droit, est amaigri un peu partout ; ainsi que le
sensibilité électrique, est obnubilée sur presque toute l'étendue du
membre
gauche. Les réflexes cutanés sont normaux, à droi
rononcé d'adduction. Procédons maintenant à l'examen fonctionnel du
membre
gauche. Commençons d'abord parles muscles innervé
plir cet acte sans appui, alors surtout qu'il veut l'exécuter avec le
membre
gauche. 2° Les muscles postérieurs de la cuisse,
us péremptoirement encore par les résultats de l'examen méthodique du
membre
" inférieur droit, dans lequel nous trouvons un af
e point se soumettre de longtemps encore aux mouvements fatigants des
membres
inférieurs qu'exige sa profession. On sait, en ef
es se réveillent, pour ainsi dire, sous l'influence de l'exercice des
membres
correspondant à la partie affectée du centre spin
tie affectée du centre spinal ; ainsi, dans la paralysie infantile du
membre
inférieur gauche, on peut voir, plusieurs années
du membre inférieur gauche, on peut voir, plusieurs années après, le
membre
inférieur droit se prendre à son tour, sous l'inf
diagnostic. Les douleurs, loin de se limiter, envahirent bientôt le
membre
inférieur gauche et s'étendirent sur le trajet du
spinale ; ainsi, au lit, les mouvements de flexion et d'extension des
membres
sont énergiques, il n'y a pas d'exagération des r
ns méningo-myéliti-ques, nous aurions une paralysie ou uneparésie des
membres
1. Bernard et Féré. — Des troubles nerveux obse
, période parahjtique, est caractérisée par l'impuissance motrice des
membres
supérieurs. La paraplégie cervicale s'accompagne
te de cette paralysie atrophique, c'est qu'elle porte surtout sur les
membres
innervés par le médian et le cubital, tandis que
avec participation de la vessie et du rectum. Mais la paralysie des
membres
inférieurs n'est pas une paralysie atrophique com
membres inférieurs n'est pas une paralysie atrophique comme celle des
membres
supérieurs, elle n'est pas due, en effet, à une l
atrophique qu'il s'agit. Notez cette particularité que la flexion des
membres
inférieurs est souvent très prononcée, comme cela
ouloureuse a duré six mois, les douleurs occupaient non seulement les
membres
supérieurs, mais encore le thorax ; la moelle dor
dorsale était donc atteinte. La période paralytique a débuté par les
membres
supérieurs, peu après les membres inférieurs se s
ériode paralytique a débuté par les membres supérieurs, peu après les
membres
inférieurs se sont pris ; quoi qu'il en soit, pen
en soit, pendant plus d'un an, il exista une paralysie atrophique des
membres
supérieurs avec griffe radiale et une paralysie s
bres supérieurs avec griffe radiale et une paralysie spas-modique des
membres
inférieurs avec flexion excessive : les talons to
n progressive des phénomènes paralytiques et atrophiques, du côté des
membres
supérieurs ; les mouvements de ces membres sont r
t atrophiques, du côté des membres supérieurs ; les mouvements de ces
membres
sont revenus aussi bien à l'avant-bras qu'au bras
ires se sont développées, la griffe s'est effacée peu à peu. Dans les
membres
inférieurs, l'amélioration s'est faite à peu près
une opération chirurgicale appropriée aurait pour effet de rendre aux
membres
leur mouvement d'extension normale ; car j'avais
nscrite, dure, et qui paraît le principal obstacle au redressement du
membre
. La rotule, fortement appliquée contre les condyl
égie par compression, la longue persistance de l'attitude fléchie des
membres
inférieurs a quelquefois pour effet de déterminer
e au matin, lorsqu'il se réveille : il était complètement paralysé du
membre
supérieur et du membre inférieur droits, qui étai
e réveille : il était complètement paralysé du membre supérieur et du
membre
inférieur droits, qui étaient absolument flasques
é. Au bout de quatre jours (14 octobre), il commençait à remuer ses
membres
paralysés, au point de pouvoir se lever. Il assur
ses membres paralysés, au point de pouvoir se lever. Il assure que le
membre
supérieur était devenu comparativement beaucoup p
e déviation de la face ou de la langue, aucune trace de paralysie des
membres
supérieurs et inférieurs. La marche est libre, il
t le malade a été aphasique, amnésique, et en outre paralysé des deux
membres
du côté droit. Mais, dans le domaine des trois pr
ieurement l'effet extérieur produit par cette mort prématurée sur les
membres
de ma famille. « Je ne sais si j'explique bien
ns lesquels le début, postérieur à la 20e année, s'est fait par les
membres
supérieurs, par les mains, plus particulièrement
r et hypothénar, les altérations gagnant progressivement la racine du
membre
. On rencontre dans ces cas des secousses fibrilla
âge, car c'est, toujours d'après la description de Duchenne, par les
membres
inférieurs que se ferait le début. Puis les membr
Duchenne, par les membres inférieurs que se ferait le début. Puis les
membres
supérieurs peuvent se prendre à leur tour ; mais
présentent une augmentation de volume, un relief énorme, donnant à un
membre
ou à un segment de membre des formes herculéennes
n de volume, un relief énorme, donnant à un membre ou à un segment de
membre
des formes herculéennes. Anatomiquement, cette hy
re malade, une véritable diminution de volume et surtout de force des
membres
supérieurs, en particulier des muscles du bras. E
alement des amyotrophi-ques semblables à eux. Le début a lieu par les
membres
supérieurs, les bras en particulier et les muscle
gûrtel), jamais parlesémi-nences thénar et hypothénar. (Fig. 26). Les
membres
inférieurs peuvent être pris à leur tour, les mol
ille de 24 ans, la nommée Dali..., qui est atteinte d'amyotrophie des
membres
inférieurs ou plus exactement des jambes. Cette a
, la pointe du pied tombe quand la malade, dans la marche, relève son
membre
inférieur pour le porter en avant. Il en résulte
trer. Le début •de l'affection a eu lieu à l'âge de 14 ans, par les
membres
inférieurs ; puis les membres supérieurs se prire
on a eu lieu à l'âge de 14 ans, par les membres inférieurs ; puis les
membres
supérieurs se prirent à leur tour, à 20 ans, et a
aire progressive, et dont un des caractères serait de débuter par les
membres
inférieurs. Cette forme, d'ailleurs, ne s'éloigne
ère à simuler l'aspect habituel de ces organes chez les strumeux. Les
membres
ne se prennent que consécutivement, les bras d'ab
ène a été remarqué dès la plus tendre enfance. A l'âge de 14 ans, les
membres
supérieurs ont commencé à se prendre à leur tour
r, par exemple, par une contraction normale des muscles élévateurs du
membre
, est obligée de le projeter violemment en haut, e
a ressemblance est frappante. Chez lui, comme chez elle, la face, les
membres
supérieurs, sont atrophiés; jamais on n'a constat
vait d'une part des cas dans lesquels le début aurait eu lieu par les
membres
(forme juvénile) et où la face n'aurait été prise
se que tardivement, et, d'autre part, des cas dans lesquels plusieurs
membres
d'une même famille présenteraient, as Fiy. SI.
début a été celui de la forme juvénile ordinaire, c'est-à-dire où les
membres
supérieurs ont été envahis tout d'abord, tandis q
deux des enfants présentaient la forme juvénile d'Erb à début par les
membres
supérieurs, alors que le troisième était atteint
tait atteint de la forme à début facial, avec pseudo-hypertrophie des
membres
inférieurs. D'après cela, le début par la face
itaire de latrophie musculaire progressive de Leyden, à début par les
membres
inférieurs. Les cas mixtes ou de transition perme
35). Il existe chez lui une faiblesse très prononcée des muscles des
membres
supérieurs, sans atrophie ni hypertrophie, tandis
il se produit des oscillations de la tête et du tronc, tandis que les
membres
sont au repos. Youlez-vous faire réapparaître le
os. Youlez-vous faire réapparaître le phénomène partiellement dans un
membre
, commandez au malade de porter à sa bouche un ver
u mouvement, si elle est interrompue par les secousses qui agitent le
membre
, n'en est pas moins toujours conservée dans son e
du médecin, par exemple, soit spontanément, il se manifeste, dans le
membre
supérieur du côté gauche, de petites secousses pl
des battements dans l'épigastre, une sorte d'engourdissement. Puis le
membre
supérieur droit commence à se mouvoir, suivi bien
r droit commence à se mouvoir, suivi bientôt par le gauche et par les
membres
inférieurs. Vous assistez alors à une succession
bras, fait le geste de l'orateur qui démontre. De temps en temps, le
membre
supérieur tout entier est emporlé dans de grands
ut entier est emporlé dans de grands mouvements de circumduction. Les
membres
inférieurs s'agitent également à leur tour, et si
rise convulsive, grande attaque hystérique, suivie de contracture des
membres
du côté droit, puis d'aboiement. C'est au bout de
tôt après. Mais en même temps tout le corps se roidit, la tête et les
membres
inférieurs restant immobiles. De temps à autre, c
ans, il souffrit de douleurs rhumatismales dans les articulations des
membres
inférieurs, genoux et pieds. Ces douleurs qui, de
et en arrière; la tête se rapproche du bassin, ou, au contraire, les
membres
supérieurs «ont projetés en l'air et gigottent,
s caractéristiques constituant une attaque. L'enfant raidit alors ses
membres
supérieurs et inférieurs, ferme les yeux, esquiss
qui s'est traduite peu après par une sorte de parésie transitoire des
membres
inférieurs. Ce même élément psychique se retrouve
survenant tout à coup et suivis de rigidité, puis de tremblement des
membres
. Il n'y avait pas de perte de connaissance. Elles
Le sens musculaire est parfaitement conservé dans toute l'étendue du
membre
supérieur droit. La seule zone hystérogène cons
le tremblement de la main droite, les yeux se convulsent en haut, les
membres
s'étendent, les poings se ferment puis se tordent
aines, il resta très affaibli, sujet à ressentir des crampes dans les
membres
inférieurs, et des douleurs abdominales. Trois mo
s accidents nerveux tels que coliques, douleurs et secousses dans les
membres
, etc. Il y a un an, pendant qu'il travaillait à
par L... fut très vive; immédiatement, il fut pris de tremblement des
membres
et la nuit qui suivit, il lui fut impossible de t
evint à lui, on lui dit qu'il avait eu la figure tordue à gauche, les
membres
agités d'un tremblement, et qu'une fois les convu
en ce moment est, depuis quelque temps, devenu inconscient. Alors les
membres
supérieurs se raidissent dans l'extension, le dro
se raidissent dans l'extension, le droit d'abord, puis le gauche. Les
membres
inférieurs, cependant, restent flasques ou du moi
'est alors que les convulsions cloniques remplacent les toniques. Les
membres
sont agités de vibrations fréquentes et de peu d'
e voit, assis sur son lit, passer à diverses reprises sa main sur son
membre
inférieur, comme s'il cherchait à se débarrasser
'épaule gauche. Aucune trace de paralysie ou de parésie même, soit au
membre
inférieur correspondant, soit à la face; pas trac
27 mai, c'est-à-dire 3 jours après l'accident, P... s'aperçut que son
membre
supérieur gauche était devenu faible. Il alla alo
e parésie de tous les mouvements du bras gauche avec anesthôsie de ce
membre
. Le 8 juin, c'est-à-dire 15 jours après sa chute
oquée par les mouvements actifs ou passifs. Paralysie incomplète du
membre
supérieur gauche. Le malade pouvait encore, très
le bras; mais tous les mouvements de l'épaule étaient impossibles. Le
membre
paralysé était absolument flexible dans toutes se
le dans toutes ses articulations ; pas trace de rigidité. La face, le
membre
inférieur gauche étaient absolument normaux; en c
ne hémianalgésie gauche généralisée ; l'anesthésie était complète, au
membre
supérieur exclusivement. Dès cette époque, on con
ement de rendre la sensibilité moins obtuse sur le tronc, la face, le
membre
inférieur. L'anesthésie et la paralysie restèrent
e inférieur. L'anesthésie et la paralysie restèrent telles quelles au
membre
supérieur. Le rétrécissement du champ visuel ne s
rigan ; pouls capillaire sensible au front. La paralysie motrice du
membre
supérieur gauche, qui se présente inerte, pendant
la piqûre, à la fa-radisalion la plus intense, sur toute l'étendue du
membre
, main, avant-bras, bras et épaule. Du côté du tro
imativement, l'altitude qui a été imprimée aux divers segments de son
membre
, la place qu'ils occupent dans l'espace, la direc
a nature des mouvements auxquels ils sont soumis, etc. En dehors du
membre
supérieur gauche, il n'existe de ce côté, aucune
ce côté, aucune modification de la motilité, soit à la face, soit au
membre
inférieur, mais sur ces derniers points, ainsi qu
diction, tant s'en faut, avec cette vue. En effet, la limitation à un
membre
de la paralysie motrice, sans participation, à au
oute modification des réactions électriques, la résolution absolue du
membre
conservée plusieurs mois après le début du mal ;
; l'anesthésie cutanée et profonde, portée au plus haut degré sur ce
membre
et la perte totale des notions relatives au sens
up P. perdre connaissance, se renverser en arrière, en raidissant ses
membres
, et nous assistions ainsi à la première attaque d
à remarquer que pendant toute la durée de celte première attaque, le
membre
supérieur gauche ri a pas p?*is part aux convulsi
on grand étonnement, mouvoir volontairement les divers segments de ce
membre
, dont il ri avait pas pu faire usage, un seul ins
t volontaire, se sont produites, en conséquence d'une attaque dans le
membre
autrefois complètement paralysé. Le malade peut
alade peut, vous le voyez, mouvoir à volonté toutes les parties de ce
membre
. Mais ces mouvements sont peu énergiques, ils ne
es de la sensibilité sont ce qu'ils étaient, non seule ment dans le
membre
parésié, mais encore sur tout le côté gauche du c
d'atrophie du triceps crural (amyotrophie d'origine articulaire). Le
membre
inférieur est d'ailleurs notablement plus faible
t le malade boite légèrement de ce côté ; cette faiblesse relative du
membre
inférieur droit date, je le répète, de plus de 10
mose, tout au plus y avait-il un peu de gonflement. Les mouvements du
membre
étaient gênés, mais non abolis, et P... put condu
nt dormi paisiblement toute la nuit, il constate à son réveil que son
membre
supérieur droit était flasque, pendant, inerte, i
iation de la bouche ou de la langue, aucun degré de paralysie dans le
membre
inférieur droit ; il s'agissait donc là d'une mon
namomètre. Remarquez l'état de résolution, de flaccidité absolue du
membre
. Il pend le long du tronc comme un corps inerte e
, 22,5. ; à l'avant-bras gauche, 22 cent. B. Il existe aussi sur ce
membre
, en outre de la paralysie du mouvement, des troub
nesthésie cutanée, qui occupe d'ailleurs exclusivement les parties du
membre
où il y a impuissance motrice, se limite du côté
et 55), avec le mode de distribution anatomique des nerfs cutanés du
membre
supérieur. Vous voyez, en effet, que, sur le do
ée, du côté des doigts, par une ligne perpendiculaire au grand axe du
membre
, située à quelques centimètres au-dessus de la sé
sont conservés, du moins en grande partie. Il y a de plus, dans le
membre
, les doigts toujours exceptés, une perte absolue
t lorsqu'il est lombé, presque par hasard, sur un point quelconque du
membre
, de préférence la racine, il parcourt avec sa mai
mois déjà. Vous avez constaté qu'il n'existe pas d'amaigrissement du
membre
; j'ajouterai que les muscles, soumis à un examen
olacée de la peau, pas d'œdome; seulement, il existe peut-être sur le
membre
malade un très léger abaissement de la températur
nsi, la température axillaire étant des deux côtés de 36°,9, celle du
membre
sain, étudiée à l'aide du thermomètre à surface p
face antérieure de l'avant-bras s'élève à 32°,8, tandis que celle du
membre
paralysé, sur le point correspondant, n'est que d
Tels sont les phénomènes que l'analyse nous a révélés dans l'étude du
membre
paralysé. Il existe en outre chez ce malade, je d
à ce moment, il a éprouvé une sensation qui lui a fait croire que son
membre
supérieur était absent, qu'il était complètement
5, p. 604.) vint à lui, la paralysie motrice des divers segments du
membre
était absolue, comme elle l'est encore aujourd'hu
de la face palmaire, une ligne droite perpendiculaire au grand axe du
membre
, parallèle au pli de flexion de l'articulation du
c ce que nous observons chez Por... Sans doute, dans les deux cas, le
membre
paralysé est pendant, flasque, sans traces de rig
, est froide, marbrée de taches violettes surtout vers l'extrémité du
membre
et le tissu cellulaire sous-cutané est légèremant
e, si fortement accentués cependant dans toutes les autres parties du
membre
. Ainsi, Messieurs, la monoplégie brachiale qui
Monoplégie flasque et perte de la sensibilité dans tous ses modes au
membre
supérieur gauche à la suite d'une chute. — Autres
bles trophiques et de la réaction de dégénération dans les muscles du
membre
paralysé. Ces mêmes considérations nous permetten
onoplégie brachiale molle, sans participation aucune de la face et du
membre
inférieur correspondant, tout à fait semblable pa
correspondantes de la moelle, pourrait sans doute déterminer dans le
membre
paralysé des troubles plus ou moins graves de la
muscles innervés par le facial inférieur, soit de la langue, soit du
membre
inférieur, survenant à la suite d'une lésion cort
poque de l'affection, même au début,' ni la face, ni la langue, ni le
membre
inférieur n'ont présenté le moindre degré de para
de paralysie ou même de parésie. Dès l'origine, je le répète, seul le
membre
supérieur s'est montré atteint. J'ajouterai qu'
liniquement par l'existence d'un certain degré de contracture dans le
membre
paralysé, tandis qu'il est parfaite-avéré que, da
e par la mollesse, la flaccidité des parties ; les divers segments du
membre
n'opposent aucune résistance aux mouvements qu'on
troubles de la sensibilité cutanée ne sont pas exactement limités au
membre
supérieur droit ; on les retrouve, bien qu'atténu
analgésie, dans toute l'étendue de ce même côté droit, face, tronc et
membre
inférieur. Il s'agit donc là, en ce qui concerne
esthésie droite généralisée, seulement beaucoup plus prononcée sur le
membre
supérieur que partout ailleurs. Si, maintenant,
mêmes conditions de durée, la persistance de la flaccidité absolue du
membre
sans changement marqué du côté des réflexes tendi
ignes circulaires déterminant un plan perpendiculaire au grand axe du
membre
, représente vraisemblablement, du moins pour les
grand axe du membre, représente vraisemblablement, du moins pour les
membres
, le type des anesthésies de cause corticale quell
à la suite d'une chute ; seulement, chez lui, la paralysie occupe le
membre
supérieur gauche, et c'est la partie 1. Voir l'
cz... ; la face n'ayant jamais été affectée à un degré quelconque. Le
membre
paralysé était pendant, flasque, sans la moindre
s elle se limite exactement de la même façon, du côté de la racine du
membre
(voir les fig. 54 et 55, 60 et 61). La perte du
moitié gauche de la tête, du cou, du tronc et sur toute l'étendue du
membre
inférieur gauche ; l'ouïe, l'odorat, le goût expl
. Pin... peut, vous le voyez, mouvoir à volonté toutes les parties du
membre
supérieur gauche. Mais ces mouvements sont peu én
s, je le répèle, ce qu'ils étaient à l'origine, non seulement dans le
membre
parésié, mais encore sur avait amassée en secre
a de borne que la durée même de l'action musculaire qui maintient les
membres
dans l'altitude expressive artificiellement produ
e d'un état morbide, par exemple de l'impuissance motrice d'un dé ses
membres
, cette paralysie se réalise en effet, objectiveme
est maintenue pendant quelques secondes. La rigidité particulière des
membres
que vous voyez se produire, à la suite de légers
ypnotique, est, comme vous pouvez le constater, complète, absolue. Le
membre
supérieur droit tout entier est pendant le long d
il en est de même pour le poignet et pour les doigts ; ainsi, dans ce
membre
, lout mouvement actif est aboli, comme aussi tout
à l'heure, a maintenant complètement disparu dans toute l'étendue du
membre
; vous pouvez même reconnaître que l'anesthésie a
er avec sa main gauche un point quelconque qui lui est désigné sur le
membre
droit et elle n'a aucune notion des mouvements qu
on des mouvements que nous imprimons aux diverses articulations de ce
membre
. , En résumé, nous sommes en présence d'une par
rties, une aneslhésie cutanée et profonde occupant toute l'étendue du
membre
et se répandant même au-delà, l'amoindrissement d
homme (Suite) l. Sommaire. — Production d'une monoplégie de tout le
membre
supérieur chez une hystérique par suggestion; moy
essive chez la même malade de la paralysie des différents segments du
membre
supérieur (épaule, coude, poignet, doigts). — La
mis de pousser l'analyse plus loin. En effet, au lieu de paralyser le
membre
entier tout d'un coup, nous pourrons le paralyser
t auparavant. Vous voyez qu'après quelques instants de discussion, le
membre
a repris en effet toutes les fonctions de l'état
ment à la production de la paralysie isolée de chacun des segments du
membre
. En premier lieu, je suggère à la malade l'idée q
e ; elle limite un plan horizontal fictif, perpendiculaire à l'axe du
membre
, situé à deux travers de doigt environ au-dessus
is encore, remarquez-le bien, un plan perpendiculaire au grand axe du
membre
(fig. 64 et 63, B, ir). Passons à un autre segm
ffet, dans les deux cas, c'est exactement sur les mêmes segments du
membre
supérieur, épaule, coude, poignet, que porte l'im
Greuz____Mesl.... esthémia- nesthésique à droite; c'est donc sur le
membre
supérieur gauche que nous devrons opérer. Les rés
permet tait. Toujours, chez les sujets de ce genre, la paralysie du
membre
non atteint d'anesthésie, déterminée par suggesti
nution ou de l'abo-ition des réflexes tendineux, dans les segments du
membre
frappés d'impuissance motrice *. On peut, cependa
quelles j'ai suggéré, purement et simplement, la paralysie motrice du
membre
sans rien dire de la sensibilité. J'ignore, quant
anesthésie par des plans circulaires perpendiculaires au grand axe du
membre
2, perte ou diminution des réflexes tendineux,
nterrogée sur ce qu'elle éprouve, elle accuse dans toute l'étendue du
membre
supérieur correspondant, une sensation d'engourdi
'engourdissement, de pesanteur et de faiblesse ; il lui semble que le
membre
frappé ne lui appartienne plus, quil lui soit dev
la sensation particulière accusée par nos femmes hystériques dans le
membre
soumis au choc, et qu'on peut supposer s'être pro
re chez ceux-ci comme chez celles-là, l'idée d'impuissance motrice du
membre
. Or, en raison de l'obnubilation du moi produite
ni l'autre ne savent dire exactement ce qu'ils ont ressenti, dans le
membre
affecté, au moment de l'accident, et les quelques
veux (contracture des léthargiques), et l'immobilité cataleptique des
membres
placés dans les attitudes les plus diverses, et a
n choc brusquement appliqué sur l'épaule, vous voyez immédiatement le
membre
se paralyser de nouveau. Cette fois, l'identité e
ines peut-être, s'ils veulent bien nous y aider2. En second lieu, les
membres
1. J.-M. Charcot, De l'emploi de l'électricité
tent. Les frictions, les massages, les mouvements passifs imprimés au
membre
paralysé, ceux aussi que déterminerait la faradis
Observ. de Porcz..., le 7 juillet. parties redevenues sensibles du
membre
. Vous voyez par là que nos prévisions semblent de
était absolue, au début du traitement (5 juin) sur toute l'étendue du
membre
, la main exceptée (V. fig. 66 et 67, p. 347). Hui
igne circulaire déterminant un plan fictif perpendiculaire à l'axe du
membre
i. Sur l'épaule et sur la partie antérieure du br
continué, un retour complet de la sensibilité et du mouvement dans le
membre
affecté eût été bientôt obtenu. Malgré cela, il i
n très importante qui s'est produite chez lui, dans les mouvements du
membre
supérieur gauche, les divers troubles de la sensi
e de dominos. L'émotion qu'il éprouva fut telle que les mouvements du
membre
paralysé revinrent immédiatement, mais il n'en fu
des jointures,3r- Caractères des arthralgies hystériqù^STitttîïude du
membre
, modalités spéciales de la douleur. — Observ. de
ales de la douleur. — Observ. de Charv..., traumatisme initial sur le
membre
inférieur gauche, attitude du malade ; forme de l
pparence, telle que, par exemple, la paralysie ou la contracture d'un
membre
. Chez le malade que je vous présente aujourd'hu
cartilages un peu amincis, ainsi que cela se voit communément sur les
membres
qui sont restés longtemps immobilisés !. Je pou
fait sur ce point que reproduire la description de Brodie : 1° l^e
membre
inférieur du côté affecté paraît raccourci, par s
e, etc., etc. Enfin, Brodie ajoute que sur les parties affectées du
membre
, la température ne s'élève pas, et que, quelle qu
ntit immédiatement une douleur vive, accompagnée d'engourdissement du
membre
, celui-ci lui semblait, dit-il, à la fois doulour
il resta deux mois au lit, ayant, dit-il, dans les premiers temps, le
membre
gonflé; au bout de cette période, il commença à m
xiste, ainsi que vous le reconnaissez, un raccourcissement notable du
membre
inférieur gauche tout à fait analogue à celui qui
ce une pression sur ces régions, quand on imprime des mouvements au
membre
, quand on percute le grand trochanter ou le talon
le grand trochanter ou le talon. — De plus, veuillez le remarquer, le
membre
gauche lout entier, cuisse et jambe, est un peu m
a marche la plus favorable. Remarquez maintenant que la rigidité du
membre
occupe non seulement la hanche, mais aussi le gen
'existence d'une lésion profonde de la jointure ; l'amaigrissement du
membre
lui-même ne répond pas à l'atrophie musculaire, a
eil était complet. Les muscles étaient en entière résolution; ceux du
membre
malade furent les derniers à parvenir à cet état;
e). Garçon de 11 ans; la mère a de nombreuses attaques d'hystérie. Le
membre
du côté malade est contracture non-seulement au n
che, mais encore cm niveau du genou et du pied. On ne peut toucher ce
membre
sans que l'enfant soit pris d'une véritable attaq
o1' Médecine, Lond., 1882, art. Shock. par exemple, portant sur un
membre
peut-elle devenir alors l'occasion d'une paralysi
bservateur peut, à son gré, la localiser sur une partie quelconque du
membre
. Ainsi, de même qu'il y a des paralysies psychi
d'hypéreslhésie se voient, en particulier, au niveau du coude pour le
membre
supérieur, et pour le membre inférieur au niveau
particulier, au niveau du coude pour le membre supérieur, et pour le
membre
inférieur au niveau de la hanche et du genou; sur
d'une vive douleur, de même que les différents mouvements imprimés au
membre
inférieur. Je vous rappellerai de plus que cette
la main qui le frotte, puis il accuse un engourdissement dans tout le
membre
; bientôt même « il n'a plus de jarnbe » dit-il; d
mbre; bientôt même « il n'a plus de jarnbe » dit-il; de fait, tout le
membre
inférieur est devenu complètement insensible; les
la contracture a disparu et l'on peut mouvoir toutes les jointures du
membre
inférieur gauche dans tous les sens, même avec, q
raîtront de nouveau la contracture et le raccourcissement apparent du
membre
. C'est donc un bénéûce bien fugace, j'en conviens
ême temporairement, une véritable paralysie motrice et sensitive d'un
membre
, cela dépasse les mesures de l'ordinaire. De qu
ties profondes et enfin une paralysie motrice transitoire complète du
membre
, avec perte du sens musculaire. C'est là, en somm
VINGT-CINQUIÈME LEÇON Sur un cas de contracture spasmodique d'un
membre
supérieur survenue, chez l'homme, en conséquence
acture Sommaire. — Par le fait de la chute d'un corps pesant sur le
membre
, développement d'une monoplégie brachiale présent
moyen de la provoquer le plus efficace est l'application, autour des
membres
, d'un lien circulaire. — La production artificiel
pratique. Cet homme offre, comme vous le voyez, une contracture du
membre
supérieur gauche qui, depuis plusieurs mois, priv
cture du membre supérieur gauche qui, depuis plusieurs mois, prive ce
membre
de tout mouvement. La contracture s'est dévelop
t. La contracture s'est développée chez lui, pendant le temps où le
membre
était enveloppé d'un appareil plâtré dont l'appli
en ce moment-là, mais, de plus, il déclare qu'il ne « sentait pas ce
membre
, » que celui-ci « était comme mort, » ou encore «
livres. » Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système nerveux. 26 Le
membre
, d'ailleurs, paraîl avoir été absolument flasque
omènes qui se sont produits chez notre homme, à cette époque, dans le
membre
soumis au traumatisme ont consisté dans une anest
uant un coup de poing d'intensité modérée sur la partie supérieure du
membre
. La sensation d'engourdissement, d'absence du mem
ie supérieure du membre. La sensation d'engourdissement, d'absence du
membre
, de faiblesse enfin, qui se produisent à la suite
de faiblesse enfin, qui se produisent à la suite du choc reçu par le
membre
, seraient, en pareil cas, comme dans les cas où c
r lesquels j'appelle ici votre attention et qui se produisent sur les
membres
soumis à une contusion, n'appartiennent pas, 1.
exemple, sur Pavant-bras, par la pénétration d'une balle de fusil, le
membre
tout entier peut se montrer parésié et insensible
ntusion, au-dessus et au-dessous, quelquefois dans toute l'étendue du
membre
, — par conséquent, 1. 0. Berger, Berlin. Klin.
eulement la fracture s'est opérée sans douleur, mais que, de plus, le
membre
paraît avoir été frappé d'anesthésie complète dan
contraire possibles, et il n'existait aucune trace de raideur dans le
membre
affecté qui, comme au début, était resté absolume
nt où, au bout de ce temps, l'appareil fut enlevé, on constata que le
membre
supérieur était contracture, le coude et les doig
chirurgie. Vous pouvez reconnaître comment, chez notre malade, le
membre
supérieur gauche, habituellement porté en écharpe
s volontaires sont, pour ainsi dire, nuls dans les divers segments du
membre
, et pour ce qui est des mou vements passifs, ils
Fig. 80. Il existe un certain degré d'amaigrissement, d'atrophie du
membre
; mais les réactions électriques sont normales ;
est facile d'ailleurs d'établir que la déformation et l'impotence du
membre
ne sont pas ici le résultat de Tune quelcon- Fi
es que nous avons étudiées dans le temps, M. Bouchard et moi, sur les
membres
depuis longtemps immobilisés dans l'hémiplégie de
ier de contracture qui s'observe dans le cas de fracture, surtout aux
membres
supérieurs à la suite et en conséquence de l'appl
tte contracture serait une conséquence de l'ischémie produite dans le
membre
, par le fait de la compression excessive exercée
re chez l'homme à la suite de la ligature de l'artère principale d'un
membre
. Tous savez, d'après les détails que je vous ai p
ne intermittente, etc. — Lez. raccolte dal ou mieux la rigidité des
membres
qui se manifeste dans ces conditions-là, peut êtr
e compléter pour être suivie, en dernier lieu, de la mortification du
membre
. Or, c'est bien là, si je ne me trompe, le mécani
pareil cas, l'impossibilité d'obtenir la résolution de la rigidité du
membre
par l'intervention de la chloroformi-sation même
est assez, je pense, pour permettre d'affirmer que la déformation du
membre
est bien, chez notre sujet, le résultat d'une con
, de la trépidation épileptoïde provoquée, surtout quand il s'agit du
membre
inférieur; enfin, sous l'influence de l'action du
me indépendamment des particularités cherchées en dehors de l'état du
membre
, les contractures hystériques pourront être dis
ues. C'est ainsi, par exemple, que, dans les premiers, la rigidité du
membre
est habituellement poussée au plus haut degré pos
anesthésie, en général très peu prononcée ou tout à fait nulle sur le
membre
contracture quand il s'agit d'une lésion organiqu
'hystérie qu'il faut chercher le point de départ de la déformation du
membre
. Nous ne saurions, d'ailleurs, nous laisser arr
celte conclusion, par l'existence que je vous fais reconnaître sur ce
membre
d'un certain degré d'atrophie musculaire et de re
présentées ainsi qu'il suit : De temps à autre, il se produit dans le
membre
contracture une sensation d'aura qui remonte vers
diathèse hystérique, mais encore que la contracture qu'il présente au
membre
supérieur gauche n'est pas autre chose qu'une des
Mouil..., une fracture des os du 1. Voir I'Appendice IV, p. 478.
membre
paralysé se fût produite dans l'accident du tampo
nant à Dum..., nous admettons donc que, chez lui, il a existé dans le
membre
paralysé une tendance à la contracture analogue à
e existe, à l'heure qu'il est, de la façon la plus manifeste, dans le
membre
inférieur gauche, c'est-à-dire du côté où se voit
e inférieur gauche, c'est-à-dire du côté où se voit la contracture du
membre
supérieur. Vous constatez, en effet, que l'applic
fet, que l'application de quelques tours de la bande d'Esmarch sur ce
membre
inférieur au-dessus du genou produit la rigidité
smodique sous l'influence d'une compression circulaire exercée sur un
membre
, dont nous venons de vous présenter deux exemples
'un diapason en vibration soit sur les tendons, soit sur le corps des
membres
, faradisalion, etc. Mais de tous les moyens de ce
s cette série d'études 1 : L'existence d'une paralysie motrice sur le
membre
mis à l'épreuve n'est pas nécessaire pour que la
ésiés, la contracture s'obtient le plus souvent exclusivement sur les
membres
du côté aneslhésié; elle peut se produire, toutef
z grand nombre d'individus, que la contracture provoquée est, dans un
membre
, dautant plus accentuée et dautant plus durable,
répétée et plus longtemps prolongée. La rigidité so borne parfois au
membre
sur lequel la compression a été pratiquée et elle
equel la compression a été pratiquée et elle se limite aux parties du
membre
situées au-dessous de la ligature; mais, le plus
ées au-dessous de la ligature; mais, le plus souvent, elle s'étend au
membre
tout entier et, dans un certain nombre de cas, el
entier et, dans un certain nombre de cas, elle se répand sur fous les
membres
et même sur la face. Les circonstances qui vienne
ont il s'agit n'est pas la conséquence de l'ischémie produite dans le
membre
par l'application de la ligature ; il faut voir l
e, ou encore par l'action d'une légère friction exercée sur lapeau du
membre
rigide. Il ne faudrait pas trop s'y fier cependan
. voulut absolument quitter le service. Le jour même de sa sortie, le
membre
contracture fut soumis à un massage méthodique :
cture fut soumis à un massage méthodique : sur les divers segments du
membre
, on pratiqua, à l'aide de la main enduite de glyc
nous a échappé. Voici quel est actuellement l'état du malade. Dans le
membre
supérieur gauche, la sensibilité a reparu; elle p
est pas tout à fait de même pour ce qui est relatif aux mouvements du
membre
supérieur gauche. A la vérité, ceux de l'épaule,
x, à peu près aussi étendus que les mouvements correspondants dans le
membre
opposé et c'est là, sans aucun doute, un résultat
lièrement à affirmer votre diagnostic. J'y ajoute la contracture d'un
membre
provoquée expérimentalement par l'application d'u
s à son séjour à Beaujon méritent d'être signalés : 1° Il sentait ses
membres
inférieurs comme morts : il ne pouvait d'abord le
-taxis fréquentes, plusieurs tamponnements. L'impuissance motrice des
membres
inférieurs, d'abord imparfaite, est devenue peu à
mpérature centrale normale. Le malade mange peu, mais il mange. Les
membres
supérieurs ne présentent aucune trace de paralysi
t quand le malade porte un verre à sa bouche. Mais c'est l'état des
membres
inférieurs qui réclame surtout une mention spécia
mp visuo Je Le Log.. certainement il n'y a point de flaccidité des
membres
; ils ne retombent pas lourdement, comme des mass
qu'il fait, les pieds restent littéralement fixés sur le sol. Si les
membres
ne sont pas flasques, ifs ne présentent pas non p
nt de la pointe du pied. Les troubles de la sensibdité observés aux
membres
inférieurs sont des plus remarquables. Ils porten
absolument les attitudes que l'on imprime aux divers segments de ses
membres
inférieurs. Ainsi, l'un des membres est-il élevé,
mprime aux divers segments de ses membres inférieurs. Ainsi, l'un des
membres
est-il élevé, fléchi au pied, au genou, à la hanc
accentué que possible, et de leur extension sur toute la surface des
membres
inférieurs, les troubles de la sensibilité offren
ation que présente du côté de l'abdomen et du tronc, l'anesthésie des
membres
inférieurs chez notre malade. En avant [fig. 84),
en différente de celle qui s'observe dans les cas où l'aneslhôsie des
membres
inférieurs est la conséquence d'une lésion organi
d'anesthésie dans les cas de paralysie partie des divers segments des
membres
, artificiellement produite par suggestion chez le
ondément la substance grise centrale. En pareil cas, l'anesthésie des
membres
inférieurs s'étendrait sur la région inférieure d
ulique on détermine chez elle, par suggestion, la paralysie totale du
membre
inférieur répondant au côté non anesthésié (fig.
de rappeler tout d'abord le mode de délimitation de l'anesthésie des
membres
inférieurs du côté de l'abdomen. En avant comme o
différente, on le voit, de celle qui s'observe quand l'anesthésie des
membres
inférieurs est la conséquence d'une lésion organi
dément la substance grise centrale. Alors, en effet, l'anesthésie des
membres
inférieurs s'étendrait sur la partie inférieure d
, par voie de suggestion, la paralysie motrice et sensitive totale du
membre
inférieur, répondant au côté anesthésié 1. Il fau
mez les hystériques hémianesthésiques hypnolisables, la paralysie des
membres
inférieurs a été provoquée par voie de suggestion
omnambulisé on suggère par la parole ridée d'impuissance motrice d'un
membre
et qu'on voit cette idée se réaliser effectivemen
brale qui, à l'état normal, président au fonctionnement volontaire du
membre
. En conséquence, on est, du 1. Ainsi qu'on l'a
du membre. En conséquence, on est, du 1. Ainsi qu'on l'a vu pour le
membre
supérieur (Voir la Leçon XXI, pages ¦ 328, 340, 3
ou par l'application d'un coup, la paralysie partielle ou totale d'un
membre
inférieur. Dans le cas de paralysie partielle des
avec elle, à peu près nécessairement — ainsi que cela a lieu dans le
membre
supérieur, — l'anesthésie cutanée et profonde d'u
eur, — l'anesthésie cutanée et profonde d'un segment correspondant du
membre
. Les limites qui séparent les diverses zones d'an
irculaires déterminant un plan fictif perpendiculaire au grand axe du
membre
(fig. 85, A et b). même coup, conduit à propose
consistent surtout en ce qu'une contusion portant par exemple sur un
membre
, pour peu qu'elle soit d'une intensité notable, p
tc. Voir la Leçon XXVI. sairement, soit uniquement sur la partie du
membre
où le coup a porté, soit sur le membre tout entie
it uniquement sur la partie du membre où le coup a porté, soit sur le
membre
tout entier, divers troubles transitoires de la s
exemple, chez cette dernière, simultanément le sentiment d'absence du
membre
tout entier, une aneslhésie généralisée de ce mem
ent d'absence du membre tout entier, une aneslhésie généralisée de ce
membre
, une parésie parfaitement appréciable à l'explora
tion. D'un côté, la sensation de lourdeur, de pesanteur, d'absence du
membre
contusionné et, de l'autre côté, la parésie qui n
en quelque sorte tout naturellement, l'idée d'impuissance motrice du
membre
; et cette idée, en raison de l'état mental somna
ysies psychiques consécutives à une contusion occupent constamment le
membre
sur lequel le choc a porté. Un bon nombre des p
près nécessairement avec elles un sentiment d'impuissance motrice des
membres
inférieurs, et, au plus haut degré, sans sortir e
log..., il ne nous reste plus qu'à déterminer pourquoi c'est dans les
membres
inférieurs que la paralysie hystéro-lraumatique s
uer de plus, qu'à cette époque, il se plaignait de ressentir dans les
membres
inférieurs, qui, d'ailleurs, étaient très notable
pesanteur, de lourdeur, et jusqu'à un certain point, d'absence de ces
membres
. Ce sont ces phénomènes-là très vraisemblablement
ent les phénomènes psychiques relatifs aux mouvements volontaires des
membres
. En raison de la dissociation facile de l'unité m
est obligé de l'attacher. Cependant, au milieu de ces désordres, les
membres
inférieurs restent immobiles. Les epistaxis sont
as eu d'épis-taxis. Pendant l'attaque, à un moment donné, on a vu les
membres
inférieurs s'agiter et les pieds venir frapper av
tanée et profonde persiste, à un degré très prononcé encore, dans les
membres
inférieurs. Les autres stigmates, à savoir le rét
moins intenses. L'amélioration, en ce qui concerne les mouvements des
membres
inférieurs, ne s'est pas démentie; le malade marc
jours à un certain degré, et les stigmates ainsi que l'aneslhésie des
membres
inférieurs, ne se sont en rien modifiés (1er nove
Leçon XXV, p. 414 et Seq. était très gênée; illui semblait que son
membre
supérieur droit, le membre tamponné, était absent
était très gênée; illui semblait que son membre supérieur droit, le
membre
tamponné, était absent, remplacé par un corps t^è
ur l'épaule, la région sous-claviculaire et une partie de la face. Le
membre
supérieur droit est complètement paralysé du mouv
st complètement paralysé du mouvement, sauf les doigts de la main. Ce
membre
est en outre anesthésié; l'insensibilité à la piq
ofonde n'est pas encore affectée, car les mouvements qu'on imprime au
membre
pour rechercher s'il y a luxation ou fracture son
est-à-dire un mois et demi après l'accident, il existait déjà dans le
membre
paralysé, au bras et à l'avant-bras, une diminuti
ntrée, le 2 mars 1886, a donné les résultats suivants : Monoplégie du
membre
supérieur droit, sans aucune trace de participati
isée, déterminant un plan circulaire, perpendiculaire au grand axe du
membre
, celui-ci étant supposé étendu (fig. 86 A et B) ;
s. Les torsions, les tiraillements exercés sur les divers segments du
membre
ne sont pas même perçus; 3° les notions du sens m
sculaire sont complètement abolies ; le malade ne sait pas où est son
membre
, il ignore si l'on meut tel ou tel doigt individu
t, etc. Troubles trophiques. On a déjà parlé de l'amaigrissement du
membre
; il faut ajouter que les doigts de la main sont v
on reconnaît que l'application d'un lien circulaire produit sur les
membres
supérieurs ou inférieurs de Mouill... des contrac
n survenue dans les cellules nerveuses du centre moteur cortical d'un
membre
, ou dans les prolongements qui les mettent en rap
écessairement une paralysie complète des mouvements volontaires de ce
membre
. Dans un livre oublié qui m'a été obligeamment si
r la plupart, qui, privés de tous les modes de la sensibilité dans un
membre
, ont conservé cependant en grande partie la facul
bre, ont conservé cependant en grande partie la faculté de mouvoir ce
membre
librement, alors même qu'ils ne peuvent avoir rec
nsibilité profonde sont complètement éteintes dans toute l'étendue du
membre
supérieur gauche et lorsque ses yeux sont fermés,
cune notion des mouvements passifs imprimés aux divers segments de ce
membre
, non plus que de laposifion que ceux-ci affectent
eux étant ouverts, les mouvements volontaires généraux et partiels du
membre
, tant pour la variété que pour la précision, prés
s suivants : pas d'aura, perte de connaissance, pas de mouvements des
membres
; au réveil, sensation de boule épi-gastrique et b
onvulsion, en un mot aucun phénomène cérébral; la paralysie occupe le
membre
inférieur et le membre supérieur du côté droit, m
cun phénomène cérébral; la paralysie occupe le membre inférieur et le
membre
supérieur du côté droit, mais elle ne s'étend pas
allez le voir, la motilité est revenue dans une proportion notable au
membre
inférieur. A présent, Messieurs, que vous savez
ui sont propres. Examinons d'abord l'état actuel de la motilité. Le
membre
supérieur droit est absolument inerte, flasque, e
en masse quand on le soulève; tel est, du moins, l'aspect général du
membre
, mais une étude plus minutieuse permet de constat
t du tronc se contractent d'une façon tout à fait normale. Quant au
membre
inférieur, il a, nous vous l'avons dit tout à l'h
ibilité; nous constatons qu'à la piqûre et à la température il y a au
membre
inférieur droit une obnubilation assez marquée ;
il y a au membre inférieur droit une obnubilation assez marquée ; au
membre
supérieur droit, il y a une abolition totale de l
ite, en haut, en bas, de tous côtés et ne peut la trouver; du côté du
membre
inférieur droit, nous ne constatons rien d'analog
oncordant absolument comme siège et comme degré avec la paralysie des
membres
. Ce n'est pas davantage une hémiplégie de nature
ransfert), une minute plus tard, la sensibilité existait dans tout le
membre
supérieur et la paralysie avait disparu ; la mala
aient ae se produire devant eux '.] 1. A ce moment, la faiblesse du
membre
inférieur, sur lequel aucune application électriq
arcot, atteints de paralysie hystérique, présentent en effet dans les
membres
paralysés une amyotrophie qui ne peut être attrib
vations, il y a prédominance de la paralysie et de l'atrophie dans le
membre
supérieur ; dans l'autre, prédominance dans le me
trophie dans le membre supérieur ; dans l'autre, prédominance dans le
membre
inférieur. L'atrophie musculaire hystérique se
s ont été publiées dans le Progrès médical de 1880) 1, les muscles du
membre
supérieur, quoique leurs fonctions aient été susp
d'une amyotrophie simple l. 1. L'existence de l'amyotrophie sur un
membre
affecté de contracture hystérique a été signalée
ouble psychique central, analogue à celui qui amène la paralysie d'un
membre
, l'abolition de tout ou partie du champ visuel, e
r le corps. J'avais l'épiderme en feu, des contractions dans tous les
membres
, et, quand j'essayais de passer un vêtement, c'ét
ès prononcé du champ visuel avec contracture de l'accommodation. Le
membre
supérieur droit est atteint de chorée analogue à
existait toujours de l'hé-mianalgésie à droite et de l'hémichorée des
membres
supérieur et inférieur droits. Pour le membre inf
et de l'hémichorée des membres supérieur et inférieur droits. Pour le
membre
inférieur, l'hémichorée est visible, surtout quan
chapper le seau à ordures qu'elle descendait dans la rue ; parésie du
membre
supérieur droit. Elle remonte se coucher. A dix h
basse. Le mutisme est absolu. Il n'existe plus trace de la parésie du
membre
droit. Le 24 avril, sans aucun traitement, le r
du langage écrit, CLE, est en rapport avec le centre moteur commun du
membre
supérieur, et le centre moteur de [articulation v
Monoplégie flasque et perte de la sensibilité dans tous ses modes au
membre
supérieur gauche à la suite d'une chute. — Autres
l'homme (Suite). Sommaire. — Production d'une monoplégie de tout le
membre
supérieur chez une hystérique par suggestion ; mo
essive chez la même malade de la paralysie des différents segments du
membre
supérieur (épaule, coude, poignet, doigts). — La
des jointures. — Caractères des arthralgies hystériques: attitude du
membre
; modalités spéciales de la douleur. — Observ. de
ales de la douleur. — Observ. de Charv..., traumatisme initial sur le
membre
inférieur gauche, attitude du malade; forme de la
VINGT-CINQUIÈME LEÇON. sur un cas de contracture spasmodique d'un
membre
supérieur survenue chez l'homme en conséquence de
cture. Sommaire. — Par le fait de la chute d'un corps pesant sur le
membre
, développement d'une monoplégie brachiale présent
moyen le plus efficace de la provoquer est l'application, autour des
membres
, d'un lien circulaire. — La production artificiel
effet, si, par exemple, après avoir soulevé à un individu un de ses
membres
et lui avoir recommandé de le maintenir ainsi s
égie crurale, l'exagé- ration bilatérale des réflexes tendineux des
membres
inférieurs, carac- térisée en particulier par l
légie, de monoparésie, ou de névralgie occupant le domaine d'un des
membres
inférieurs vous constatez que la jambe qui est
lentes dans un bras ou dans une jambe et que vous constatiez que le
membre
en question soit oedématié, ou encore qu'il se dé
, en effet, de provoquer artificiellement l'oedème en comprimant un
membre
ou en le laissant longtemps dans une position déc
dée de ses souffrances à l'aide de gestes en faisant exécuter à son
membre
inférieur un mouvement brusque et saccadé, image
s vous constatez ceci de particulier que, quoique ne présentant aux
membres
inférieurs aucun signe de maladie locale infect
te, il fait une grimace ou pousse un cri lorsque vous comprimez les
membres
inférieurs au niveau des articulations et surtout
quatrième malade consulte aussi pour des douleurs occupant les deux
membres
inférieurs ou un seul. Mais elles ont des caractè
; ensuite je fais exécuter des mouvements passifs aux segments des
membres
supérieurs et des membres inférieurs, et enfin
r des mouvements passifs aux segments des membres supérieurs et des
membres
inférieurs, et enfin je fais palper par le mala
Celui-ci, bien qu'ayant constaté la conservation des mouvements des
membres
inférieurs et l'absence de troubles sensitifs, dé
aitre ; mais les douleurs , persistent et s'étendent même à tout le
membre
inférieur; elles prédominent au niveau de l'art
lui a été pourtant possible à plusieurs reprises, après avoir eu le
membre
immobilisé dans un appareil, de marcher à l'aide
e de 22 ans se trouve dans une situation plus pénible que jamais ; le
membre
inférieur est complètement contracturé, il est
es jointures des lésions indélébiles et conseillent l'amputation du
membre
. Mon maitre, le Dr Périer, chirurgien de l'hôpi
font presque totalement défaut. Toutefois la sensibilité au tact du
membre
inférieur gauche est plus obtuse que du côté op
appui, la jambe étant relevée et soutenue par l'expérimentateur. Le
membre
inférieur étant placé dans cette attitude, on a
d'autres individus à des mouvements si vifs des divers segments du
membre
infé- rieur, qu'il est difficile de les analyse
hère cérébral droit, remontant à trois ans ; la paralysie occupe le
membre
inférieur, le membre supérieur et la face, elle
remontant à trois ans ; la paralysie occupe le membre inférieur, le
membre
supérieur et la face, elle est plus prononcée a
férieur, le membre supérieur et la face, elle est plus prononcée au
membre
supérieur qu'au membre inférieur ; toute- fois,
rieur et la face, elle est plus prononcée au membre supérieur qu'au
membre
inférieur ; toute- fois, les mouvements volitio
aralysie est le moins accentuée ; la malade marche en fauchant, les
membres
sont contracturés et les réflexes tendi- neux s
ras de la parole. Veuillez remarquer que chez cette jeune femme les
membres
inférieurs sont, à la vérité, moins vigoureux q
plégie gauche remontant à trois ans ; la paralysie était flasque au
membre
inférieur ; le membre supérieur gauche était lé
t à trois ans ; la paralysie était flasque au membre inférieur ; le
membre
supérieur gauche était légèrement contracturé ;
te diffuse; il y avait alors en même temps une grande faiblesse des
membres
inférieurs et les réflexes tendineux étaient exag
eption à cette règle, car, ainsi que vous l'avez vu, chez elle, les
membres
inférieurs ne sont que 13ADIIqSi,l. 3 34 SEMI
géré de la strych- nine à dose toxique ; chez ces deux malades, les
membres
inférieurs étaient atteints de contracture, d'e
'ai fait voir, le phénomène des orteils fait parfois défaut dans un
membre
atteint de paralysie spasmodique avec exagération
l examen doit réaliser pour avoir de la valeur. 1° Il faut que le
membre
examiné soit mis à nu. L'interposition de vête-
ction réflexe faible, insuffisante pour provoquer un déplacement du
membre
percuté. 2" Il est important que, pendant l'exa
" Il est important que, pendant l'examen, les muscles du segment de
membre
exploré ne se contractent pas volontairement, qu'
llent procédé imaginé par Jendrassik. Dans l'examen des réflexes du
membre
supérieur, souvent difficiles à constater, il y
degré de tension mécani- que qui généralement est réalisé quand les
membres
se trouvent dans les positions que j'indiquerai
individuelles ; il peut être nécessaire de placer les segments d'un
membre
dans des positions très variées et de tâtonner
TRTCEPS BRACHIAL OU D'EXTENSION DE L'AVANT-BRAS. On lait porter le
membre
supérieur en dehors et en arrière ; on le soutien
t-bras. Cette autre position me semble préfé- rable : l'attitude du
membre
supérieur est analogue à la précédente, mais au
ÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 43 E. Réflexe de pronation. Le
membre
supérieur est placé dans la même position que p
absence des réflexes rotuliens et achilléens. Quant aux réflexes du
membre
supérieur, ils ont été généralement considérés
u triceps brachial. D'après mes observations, parmi les réflexes du
membre
supérieur, il en est trois, le réflexe du trice
s, du reste parfaitement sains, dont les réflexes osso-tendineux du
membre
supérieur sont forts chez l'un et faibles chez l'
est pas toujours ainsi, tant s'en faut. Les réflexes tendineux des
membres
intérieurs peuvent être forts et ceux des membr
xes tendineux des membres intérieurs peuvent être forts et ceux des
membres
supérieurs faibles; et môme les divers réflexes d
ux des membres supérieurs faibles; et môme les divers réflexes d'un
membre
offrent parfois une intensité inégale, le réflexe
ins paraplégiques, sous l'influence d'une excitation de la peau des
membres
inférieurs, des mou- RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFL
d'habitude être provoqués par l'excitation de diverses parties des
membres
inférieurs. En résumé, il est assez facile de s
réflexe achilléen existe et le rotulien est aboli. Les réflexes des
membres
supérieurs dans le tabès ont été, en 1901, l'ob
ue, 1901, p. 2 ! ¡ : -i). D'après lui, l'abolition des réflexes des
membres
supérieurs précéderait habituellement l'irréfle
membres supérieurs précéderait habituellement l'irréflectivité des
membres
inférieurs et constituerait un signe précoce du
que, 1901, p. (i82). RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 53 des
membres
thoraciques. En les recherchant suivant les procé
ns un grand nombre de cas, leur présence alors que les réflexes des
membres
pelviens sont déjà abolis. Le fait inverse est
s moins vrai qu'à une certaine phase de la maladie les réflexes des
membres
supérieurs s'affai- blissent et disparaissent à
exe. Ainsi, la névrite alcoolique, qui frappe avec prédilection les
membres
inférieurs, présente surtout l'abolition des ré
s ; par contre, la névrite saturnine, atteignant principalement les
membres
supérieurs, n'abolit parfois que les réflexes d
nt les membres supérieurs, n'abolit parfois que les réflexes de ces
membres
. Nous venons d'envisager l'irréflectivité tendi
elles-mêmes plus ou moins étendues : elle occupe tantôt les quatre
membres
, tantôt les membres supérieurs ou les membres inf
moins étendues : elle occupe tantôt les quatre membres, tantôt les
membres
supérieurs ou les membres inférieurs, tan- tôt
upe tantôt les quatre membres, tantôt les membres supérieurs ou les
membres
inférieurs, tan- tôt un seul membre ; elle se l
les membres supérieurs ou les membres inférieurs, tan- tôt un seul
membre
; elle se localise parfois dans un seul départeme
era lieu parfois à une abolition de tous les réflexes tendineux des
membres
supérieurs ; en pareil cas l'état des réflexes
neux des membres supérieurs ; en pareil cas l'état des réflexes des
membres
inférieurs dépendra de circonstances diverses ; i
uième segment ; malgré l'intégrité des autres réflexes tendineux du
membre
supérieur, la cavité médullaire peut avoir envahi
. Pendant la crise de paralysie, qui occupe généralement les quatre
membres
, le tronc et le cou, il y a simultanément aboli
iner un affaiblissement ou une abolition des réflexes tendineux des
membres
inférieurs, mais ces troubles sont passagers. C
ation fut commencée un peu plus d'une minute après l'exécution. Les
membres
étaient en résolution complète. Je n'ai constaté
ature spéciale, Il est à noter qu'on a signalé l'irréflectivité aux
membres
inférieurs dans beaucoup d'observa- tions où il
ied, on observe des phénomènes identiques dans d'autres parties des
membres
. Ainsi, en repoussant violemment la rotule vers
nsi, en repoussant violemment la rotule vers l'extrémité distale du
membre
, on provoque parfois des contrac- tions success
é. Nous conseillons, pour la constatation de ce signe, de placer le
membre
supérieur du sujet en demi-flexion et pronation
e de faits rentrent les cas où sous l'influence d'un déplacement du
membre
, spontané ou provoqué, se déclenche une trépi-
i- dation réflexe qui subsiste plus ou moins longtemps alors que le
membre
est abandonné à lui-même. Nous devons mention
e. Nous devons mentionner encore deux phénomènes, particuliers au
membre
inférieur, dénotant la surréflectivité : ce sont
ion de ce mouvement : l'exagération des réflexes osso- tendineux du
membre
inférieur peut se traduire par l'apparition d'un
e lésion spinale du même côté. b) La surréflectivité bilatérale des
membres
pelviens, liée presque toujours à une affection
rares que nous allons indiquer. c) La surréflectivité limitée à un
membre
inférieur. Ce type, parfois lié à une affection
flectivité atteint ordinairement, dans une certaine mesure, l'autre
membre
. Il y a toute une série de transitions entre ce
e de transitions entre ce type et la surréflectivité bilatérale des
membres
pelviens. d) La surréflectivité est circonscr
bres pelviens. d) La surréflectivité est circonscrite dans un des
membres
supérieurs. Ce type s'observe plus rarement que
nt rapprochées qu'une lésion atteignant les fibres correspondant au
membre
supérieur frappe presque inévitablement celles
re supérieur frappe presque inévitablement celles qui commandent le
membre
inférieur. e) La surréflectivité atteint les qu
ndent le membre inférieur. e) La surréflectivité atteint les quatre
membres
. Ce type se subdivise en deux sous-variétés. Da
riétés. Dans la première, tous les réflexes tendineux et osseux des
membres
supérieurs sont exagérés : elle dépend d'une lési
s la seconde sous-variété, l'exagération des réflexes tendineux des
membres
supérieurs n'est que partielle ; le réflexe d'e
ons sur ce point. f) Enfin la surréflectivité peut occuper les deux
membres
inférieurs et un membre supérieur. C'est un typ
n la surréflectivité peut occuper les deux membres inférieurs et un
membre
supérieur. C'est un type rare que nous ne faisons
nt nette pour le réflexe de flexion de l'avant-bras sur le bras. Au
membre
inférieur, l'inégalité dans le « réflexe contra
e l'irréflectivité. Si la syringomyélie est capable de produire aux
membres
inférieurs des troubles identiques à ceux qu'on
tivité très notable, généralement l'état des réflexes tendineux aux
membres
supérieurs est bien différent. Nous reviendrons
érose latérale amyotrophique dans lequel les réflexes tendineux des
membres
inférieurs n'ont jamais été exagérés et qui mêm
donnera lieu à une exagération des réflexes tendineux dans tout le
membre
inférieur. ASSOCIATIONS DE CAUSES PROVOQUANT
de types que l'on observe : -. a) Les réflexes tendineux des quatre
membres
étaient complètement abolis avant l'hémiplégie.
e hémiplégie avec le tabès qui i est très commune : les réflexes du
membre
inférieur restent abolis après l'attaque; au co
rieur restent abolis après l'attaque; au contraire, les réflexes du
membre
supérieur, qui étaient conservés, s'exagèrent.
perturbatrice. Qu'observons-nous alors ? Les réflexes tendineux des
membres
inférieurs sont habituellement tous exagérés. Il
ement tous exagérés. Il en est tout autrement pour les réflexes des
membres
supérieurs dont les modifications sont subordon
exe de flexion de la main et des doigts. Sinon, l'irréflectivité du
membre
supérieur n'est que partielle et l'on constate al
xposé montre que la recherche méthodique des réflexes tendineux des
membres
supérieurs, d'habitude négligée, fournit des rens
forte, elle détermine, en outre, des réactions dans les muscles du
membre
inférieur se manifestant principalement par une
n observe chez l'animal et qui sont par- ticulièrement intenses aux
membres
inférieurs après section transversale de la moe
me suis borné jusqu'à présent à l'étude des réflexes de défense aux
membres
inférieurs ; ce sont de beaucoup les plus communs
faut savoir qu'on peut observer aussi des réflexes de ce genre aux
membres
supérieurs. Ces données établies, nous sommes
m (Voir : Sur la signification physiologique des réflexes cutanés des
membres
inférieurs, Revue Neurologique, n° 17, 19 12) c
ale et donnant lieu à de l'exagération des réflexes tendi- neux des
membres
inférieurs. Les réflexes cutanés présentent assez
chez des sujets présentant le signe des orteils, une compression du
membre
inférieur avec une bande élas- tique peut amene
que la raideur ne doive jamais disparaître. Ainsi, la rigidité des
membres
dans la para- plégie pottique, parfois pareille
ut que nous visons, mérite d'être décrite. On l'observe surtout aux
membres
inférieurs et elle est un des éléments constitu
entes qui résul- tent de contractions involontaires des muscles des
membres
inférieurs ; ces contractions sont habituelleme
neurologistes ('). Cette forme de contracture, surtout commune aux
membres
inférieurs, peut atteindre en même temps les me
ut commune aux membres inférieurs, peut atteindre en même temps les
membres
supérieurs, où elle offre les mêmes caractères
tendineux, réflexes de défense très forts. Qu'on la considère aux
membres
inférieurs ou aux membres supérieurs, ce qui fr
éfense très forts. Qu'on la considère aux membres inférieurs ou aux
membres
supérieurs, ce qui frappe surtout, ce sont ses
aiblissant, abolissant ou exagérant les réflexes tendineux dans des
membres
qu'elle avait frappés de paralysie ou de contra
ntraction volontaire s'accompagne volontiers, quand elle occupe les
membres
inférieurs, de clonus fruste du pied. Mais c'es
ens d'ordre psychique à augmenter l'intensité des réflexes dans les
membres
paralysés ou à les faire disparaître, ce sera p
vement, il constata alors que les mouvements des divers segments du
membre
supérieur gauche s'opéraient bien plus difficilem
aravant il avait éprouvé subitement une sensation de froid dans les
membres
du côté gauche. Ne sentant aucune douleur, il c
ucha le soir à l'heure habituelle. Le 23 décembre, à son réveil, le
membre
supérieur gauche était totalement paralysé. Le
che était totalement paralysé. Le malade se leva et remarqua que le
membre
inférieur gauche était un peu engourdi, mais ce
la partie supé- rieure du corps, voici ce que je constate : . Le
membre
supérieur gauche est plus rapproché du tronc que
e : . Le membre supérieur gauche est plus rapproché du tronc que le
membre
supérieur droit et la main gauche se trouve plu
in gauche se trouve plus près de la ligne médiane que la droite. Le
membre
supérieur gauche est flasque ; on peut facilement
ns la marche, le côté droit présente l'allure habituelle : lorsque le
membre
inférieur se porte en avant, on voit le bras se
serve comme une inversion dans les rapports entre les mouvements du
membre
inférieur et ceux du membre supérieur ; la cuis
ns les rapports entre les mouvements du membre inférieur et ceux du
membre
supérieur ; la cuisse et le bras se portent simul
, le malade tourne sur lui-même avec une certaine brusque- rie, les
membres
supérieurs s'écartent du tronc ; mais du côté gau
mais du côté gauche le mouvement est bien plus étendu ; de plus, le
membre
paralysé se déplace et oscille encore alors que
plus, le membre paralysé se déplace et oscille encore alors que le
membre
sain est déjà revenu au repos. c) Le malade éta
étant assis ou debout, si après lui avoir recommandé de laisser le
membre
sain comme inerte et lui avoir soulevé les deux b
, je les abandonne à eux- mêmes, je constate ceci : du côté sain le
membre
supérieur vient heurter contre le tronc, rebond
rebondit une fois ou deux, puis reste immobile ; du côté paralysé le
membre
supérieur présente des oscillations plus nombre
implement reposer ses mains sur les miennes et cesse de les tenir, le
membre
supé- rieur garde généralement, du côté sain, l
e rôle fondamental. Dans la marche, par exemple, les mouvements des
membres
inférieurs et du tronc constituent les mouvemen
ssentiels ; on doit considérer comme accessoires les mouvements des
membres
supérieurs qui s'associent généralement aux pré
écuter ainsi un mouvement passif; si, comme cela arrive souvent, le
membre
supérieur, après être retombé, reste immédiatemen
culaire est intervenue, car, en vertu des lois de la mécanique, le
membre
supérieur, s'il avait été complètement inerte,
s sujets atteints d'hémiplégie depuis plusieurs années, et dont les
membres
sont contractures, un abaissement de la commiss
ons à l'étude des troubles de motilité qu'on peut observer dans les
membres
et dans le tronc et qui sont propres à nous condu
tion, mais, comme je l'ai montré ('), elle peut atteindre aussi les
membres
. Elle se manifeste par un abaissement de l'épau
ée de ce côté. L'affaiblissement de la tonicité dans les muscles du
membre
supérieur peut encore être décelé de la manière
r le bras et qu'on cherche à appli- quer ainsi ces deux segments du
membre
supérieur l'un sur l'autre aussi fortement qu'i
la flexion exagérée de l'avant-bras n'a de signification que si le
membre
paralysé n'est pas atteint d'amyotropie, car le
tropie, car le degré de flexion est toujours plus marqué du côté du
membre
atrophié, même quand l'atrophie relève d'une pa
assin et le talon se détache du sol, tandis que, du côté opposé, le
membre
infé- rieur reste immobile ou que la flexion de
'apparaissent que plus tardivement et sont bien moins marqués qu'au
membre
atteint de paralysie (voir fig. 4) ; en même temp
(') Pour plus de détails voir : « De quelques mouvements associés du
membre
inférieur paralysé dans l'hémiplégie organique
e le malade, se trouvant couché sur le dos, cherche à maintenir les
membres
inférieurs appliqués contre le sol aussi étroitem
on combinée de la cuisse et du tronc implique naturellement que les
membres
qui l'exécutent fonctionnent, au moins dans une
nt comme un sujet normal, ou enfin il fait exécuter au tronc et aux
membres
des mouvements divers bien différents du mouvemen
des influences psychiques ; en effet, le mouvement d'un segment de
membre
, qui résulte de la percussion d'un tendon et qui
ujet en observation de fermer les yeux, de relâcher les muscles des
membres
inférieurs et, pour arriver plus facilement à c
ilement à ce but, de faire contracter énergiquement les muscles des
membres
supérieurs. Malgré ces précautions on n'arrive
uence une tré- pidation du pied qui se propage dans certains cas au
membre
entier et qui rappelle la trépidation épileptoï
socier il une paralysie organique ou encore de se développer sur un
membre
dont les réflexes tendineux sont exagérés à cau
n a été aussi l'agent provocateur d'une contracture hysté- rique du
membre
inférieur ; un observateur superficiel sera expos
le tronc sur le côté opposé à la para- lysie et il fait décrire au
membre
paralysé un mouvement de circumduction : « il f
d'hémiplégie organique spasmodique, à condition que la paralysie du
membre
supérieur soit assez marquée ; je n'ai jamais per
contracture hystérique. J'ajoute que la contrac- ture hystérique du
membre
supérieur est ordinairement plus intense ; la p
urrait être que très imparfaitement simulée. Enfin la paralysie des
membres
présente, comme la paralysie faciale, des carac
té de faire exécuter un mouvement quelconque aux divers segments du
membre
supérieur paralysé. Faites l'expérience suivante
ces que vous ferez, mais il pourra arriver aussi quelquefois que le
membre
soulevé conserve plus ou moins longtemps, après
e caractère précédent d'une autre manière. Soutenez avec la main le
membre
paralysé et soulevez-le il une certaine hauteur
main le membre paralysé et soulevez-le il une certaine hauteur ; le
membre
inerte, obéissant aux lois de la pesanteur, don
sement de la commissure, de l'abaissement du sourcil, etc., et au
membre
supérieur par le phé- nomène que j'ai appelé In
protubérance, se manifeste d'un côté du corps par une paralysie des
membres
pouvant présenter tous les caractères qui apparti
autre per- sonne. .le dois faire remarquer que la sensibilité des
membres
paralysés était troublée mais non abolie; la ma
autrefois une phlébite), mais elle ne se plaignait nullement de son
membre
supérieur, qui cependant était absolument inerte.
onde ; elle ne paraissait pas percevoir les déplacements passifs du
membre
supérieur. J'ai appris que plus tard son intell
etire brusquement la patte en fléchissant les divers segments de ce
membre
les uns sur les autres quand on en pique l'extrém
en quoi consistent les réflexes de défense chez l'homme. C'est aux
membres
inférieurs qu'on a le plus souvent l'occasion de
el les réflexes de défense sont généralement très forts et dont les
membres
inférieurs sont privés de tout mouvement voliti
nes. Ils consistent en une série de flexions des divers segments du
membre
inférieur les uns sur les autres : le pied se r
cédents. L'attitude que ces mouvements impriment à l'ensemble du
membre
inférieur ne dure généralement pas, du moins dans
elle excitation. Tel est le type général des réflexes de défense du
membre
inférieur. Mais ils peuvent varier dans leur fo
sur le bassin, la jambe sur la cuisse et le pied sur la jambe ; le
membre
inférieur tout entier s'allonge au maximum et r
de diverses manières : chez tel paraplégique, on observera aux deux
membres
inférieurs des réflexes de défense en flexion q
t chez tel autre on verra se produire, à l'occasion du retrait d'un
membre
, l'allongement de l'autre membre préalablement fl
uire, à l'occasion du retrait d'un membre, l'allongement de l'autre
membre
préalablement fléchi (Marie et Foix). Habitue
de des mou- vements. Tantôt le moindre attouchement de la peau d'un
membre
suffira a à déclencher une flexion très prononc
forte du pied sur la jambe peut se produire, les autres segments du
membre
inférieur restant presque immobiles, tandis que
ous ne nous sommes occupé jusqu'ici que des réflexes de défense aux
membres
inférieurs. On peut en observer aussi aux membres
es de défense aux membres inférieurs. On peut en observer aussi aux
membres
supé- rieurs ; ils consistent également en mouv
nts peuvent présenter des modalités diverses comme les réflexes des
membres
inférieurs, mais ils sont plus souvent que ceux
t que ceux-ci localisés à un seul côté. Les grands mouvements des
membres
, qui s'imposent surtout à l'attention, furent s
s divers mouvements se font généralement en même temps que ceux des
membres
ou les suivent à très court intervalle. Enfin, le
égale- ment entrer en contraction en même temps que les muscles des
membres
; les malades ont parfois alors des débâcles ga
on de réflexe de défense parait convenir surtout aux mouvements des
membres
; il est certain cependant que les contractions
e phénomène en excitant ainsi le tégument en un point quelconque du
membre
inférieur ; chez d'autres, le pincement n'est efl
partie plus limitée et qui occupe presque toujours la périphérie du
membre
. Nous reviendrons plus loin sur ce fait. ' La
e, en môme temps qu'on abaisse l'extrémité antérieure du pied. Au
membre
supérieur on peut facilement provoquer le déclenc
nsiste simplement en une différence de degré dans le déplacement du
membre
. On peut y arriver grâce à un signe qui me para
e : si on obtient une flexion réflexe du pied en pinçant la peau du
membre
inférieur hors de la zone plantaire, par exempl
ans le voisinage du tendon d'Achille ou encore en d'autres parties du
membre
inférieur, et j'ai constaté les mômes mouvement
l'orteil ferait partie inté- grante du grand réflexe de défense des
membres
inférieurs, du « phéno- mène des raccourcisseur
ou de la jambe provo- que simultanément un mouvement de retrait du
membre
inférieur et une flexion plantaire du gros orte
ed détermine une extension du gros orteil, les autres seg- ments du
membre
inférieur restant immobiles. Ces deux phénomènes
Claude qui, dans son travail, a eu particulièrement en vue ceux du
membre
supé- rieur. Cet auteur a décrit en 1 ploc) com
e distinc- tion profonde basée non pas seulement sur l'attitude des
membres
para- lysés, mais sur la nature même de la cont
de atteinte de paraplégie spasmodique en flexion une contracture du
membre
supérieur avec abo- lition des réflexes tendine
ées à une perturbation de la voie pyramidale, qu'elles occupent les
membres
inférieurs ou les membres supérieurs, il était né
la voie pyramidale, qu'elles occupent les membres inférieurs ou les
membres
supérieurs, il était nécessaire de faire une su
ux notée par moi n'était qu'une apparence : l'attitude vicieuse des
membres
et l'intensité de la contracture rendraient imp
s de défense se laissent provoquer beaucoup plus facilement sur les
membres
inférieurs que sur le tronc et que parfois le d
mmandé, il trouve en particulier, pour ce qui concerne l'examen des
membres
inférieurs, l'indi- cation des signes suivants
réflexe fléchisseur dorso-plantaire de Bechterew, triple retrait du
membre
inférieur, phéno- mène des raccourcisseurs, réf
r commencer, j'envisagerai unique- ment les réactions observées aux
membres
inférieurs du côté excité, fai- sant abstractio
lexion se maintient généralement un laps de temps appréciable et le
membre
inférieur ne reprend qu'avec une certaine lente
d'être obtenue par des excitations portant sur diverses parties du
membre
inférieur est un des plus communs et l'on a cou
a position où se trouvent au moment de l'excitation les segments du
membre
les uns par rapport aux autres. Il y a de gra
ude des mouvements. Tantôt, le moindre attouchement de la peau d'un
membre
suffira à déclencher une flexion très prononcée d
grand nombre d'individus normaux et de savoir comment chez eux les
membres
inférieurs se comportent vis-à-vis d'excitations
vant : chez l'homme normal, l'excitation d'une région quelconque du
membre
, hors de la plante du pied, si elle peut provoq
perdu l'heure qu'ils ont bien voulu me consacrer. : : Le retrait du
membre
inférieur, et notamment la flexion du pied, a man
bles très accentués de la sensibilité superficielle et profonde des
membres
inférieurs. J'extrais de ce travail le passage
ez des sujets présentant le signe des orteils, une compres- sion du
membre
inférieur avec une bande élastique peut amener tr
mienne puisque, dans leur premier article sur le retrait réflexe du
membre
inférieur ('), ils écrivent ceci : « Il (le retra
travail Sur la signification physiologique des réflexes cutanés des
membres
inférieurs (2), écrit ceci : « Pourtant, le lien
tire brusquement la patte en fléchissant les divers segments de ce.
membre
les uns sur les autres quand on en pique l'extr
seule dans le voisinage du tendon ou encore en d'autres parties du
membre
inférieur. Comme on le voit, ces observations ont
nt j'ai fait ressortir précédemment l'intérêt, qu'une excitation du
membre
inférieur, hors de la zone plantaire, inca- pab
l se sert de ces termes : « mouvement de retrait brusque de tout le
membre
: flexion du pied sur la jambe, de la jambe sur
premier travail sur ce sujet. Il est intitulé : « Sur le retrait du
membre
inférieur provoqué par la flexion forcée des orte
7, Claude traite de l'hyper- kinésie réflexe qu'on peut observer au
membre
supérieur. En janvier 1911 (Revue Neurologique,
s de défense se laissent provoquer beaucoup plus facilement sur les
membres
inférieurs que sur le tronc et que parfois le d
nsibilité remontant jusqu'à la ligne mamelonnaire. La paralysie des
membres
inférieurs est complète et ne cède même pas sous
mouvements spasmodiques involontaires qui déplacent brusquement les
membres
inférieurs, flé- chissent la cuisse, la jambe e
pied, les allongent ensuite avec une grande force, en détachant le
membre
du plan du lit, et ainsi de suite, jusqu'à ce q
hant le membre du plan du lit, et ainsi de suite, jusqu'à ce que le
membre
retrouve sa position primitive de repos. « Ces
imitive de repos. « Ces spasmes se produisent soit dans un seul des
membres
inférieurs, soit dans les deux et, alors, tantô
et une extension à gauche et vice versa. Les réflexes tendineux des
membres
inférieurs sont nettement exagérés ; il y a de
excitations très légères. Leur forme varie suivant la position des
membres
et l'endroit de l'excitation, mais elle est sensi
trauma- tisme. Sous l'influence du shock, les réflexes cutanés aux
membres
infé- rieurs peuvent être complètement abolis c
éter ce que j'ai dit sur les réactions obtenues par l'excitation du
membre
inférieur, m'étant borné d'abord, afin de ne pa
as compliquer mon sujet, à décrire celles qui se produisent dans le
membre
excité. Or, l'excitation d'un des membres inférie
qui se produisent dans le membre excité. Or, l'excitation d'un des
membres
inférieurs peut déter- miner aussi des mouvemen
érieurs peut déter- miner aussi des mouvement réflexes dans l'autre
membre
, que j'ai seu- lement notés jusqu'à présent d'u
i comment il faut procéder chez l'homme : on place tout d'abord les
membres
inférieurs en flexion légère, puis par la flexion
s conditions, on voit se produire en un premier temps la flexion du
membre
excité, puis, l'excitation persistant toujours, s
emier, se confondant souvent partiellement avec lui, l'extension du
membre
croisé. (') Revue Neurologique, 1912. t. \\III,
on du quadriceps et des muscles du mollet, mais sans déplacement du
membre
. La proposition de Riddoch constitue non une lo
éral gauche, on excite la face postérieure de la cuisse droite : le
membre
inférieur droit se fléchit, le gros orteil s'éten
rieur droit se fléchit, le gros orteil s'étend ; du côté opposé, le
membre
inférieur s'allonge, le pied s'étend et les ortei
tion tonique du quadriceps ; quelquefois, le mou- vement s'étend au
membre
opposé. » , c) Présence de ce que les auteurs a
nte de paraplégie incomplète ; elle peut mouvoir volontairement ses
membres
inférieurs et cependant l'excitation de l'abdom
té. Voici le passage qui s'y rapporte : « Les grands mouvements des
membres
, qui s'imposent surtout à l'attention, furent s
s divers mouvements se font généralement en même temps que ceux des
membres
ou les suivent à très court intervalle. Enfin, le
égale- ment entrer en contraction en même temps que les muscles des
membres
; les malades ont parfois alors des débâcles gaz
catastrophe mondiale. Quelques mots sur les mouvements réflexes des
membres
supérieurs. Claude, dans un travail : « Sur cer
le des réactions motrices réflexes et a eu surtout en vue celles du
membre
supérieur. J'ai mentionné des réflexes de défen
lles du membre supérieur. J'ai mentionné des réflexes de défense du
membre
supérieur dans mon article de i()'5. « Ils cons
ents peuvent présenter des modalités diverses comme les réflexes du
membre
inférieur, mais ils sont plus souvent que ceux-
ut que nous visons, mérite d'être décrite. On l'observe surtout aux
membres
inférieurs et elle est un des éléments constitu
ntes qui résul- tent des contractions involontaires des muscles des
membres
inférieurs; ces contractions sont habituellemen
neurologistes. « Cette forme de contracture, surtout commune aux
membres
inférieurs, peut atteindre en même temps les me
ut commune aux membres inférieurs, peut atteindre en même temps les
membres
supérieurs, où elle offre les RÉFLEXES DE DÉFEN
ndineux, réflexes de défense très forts. « Qu'on la considère aux
membres
inférieurs ou aux membres supé- rieurs, ce qui
ense très forts. « Qu'on la considère aux membres inférieurs ou aux
membres
supé- rieurs, ce qui frappe surtout, ce sont se
ntaire très troublée, réflexes de défense très forts), bien que les
membres
inférieurs gardent d'habitude une attitude en e
égiques présentant de l'hyperalgésie, l'excitation des téguments du
membre
inférieur est suivie d'une réaction motrice du me
téguments du membre inférieur est suivie d'une réaction motrice du
membre
supé- rieur du côté sain, différente suivant qu
te sur le point excité comme pour le protéger. Dans le deuxième, le
membre
supérieur se soulève, la main se porte sur Ja t
du pincement du côté malade, on obtenait son dépla- cement vers le
membre
inférieur du côté sain en pinçant la jambe saine
'à des contractions légères sans déplacement des divers segments du
membre
, et que les mouvements alternatifs rythmés qu'on
at ancestral : la partie excitée fuit l'objet vulnérant (retrait du
membre
, raccourcissement) et une excitation peut déter
la flexion des orteils, détermine du même côté la triple flexion du
membre
inférieur, et il en résulte une quadruple flexi
ntaires isolés. Lorsque le malade cherche à mouvoir un segment de
membre
, les autres segments se meuvent simultanément d
Nous nous bornerons, ici, à l'étude des mouvements conjugués aux
membres
inférieurs. Lorsque par exemple un sujet attein
eux; ils sont « conjugués » et déterminent un « raccourcissement du
membre
inférieur. De même l'extension d'un des segment
des mouvements conjugués dont le résultat est un « allongement » du
membre
inférieur. On voit donc que dans ces affections
btenus par des déplacements purement passifs des divers segments de
membre
et sans aucune intervention volitionnelle du ma
complir avec une énergie plus grande si les deux autres segments du
membre
inférieur sont étendus ; et pour prendre un autre
erchant à effectuer un mouvement isolé, à placer automatiquement le
membre
dans la position la plus favorable à l'exécution
séance du 9 novembre 191 l '¡j¡fu, On sait que la compression d'un
membre
par la bande d'Esmarch O peut déterminer une ab
arch O peut déterminer une abolition des réflexes tendineux de ce ?
membre
même dans les cas pathologiques où il y a hyperré
it à constater que, sous l'influence d'une pareille constriction du
membre
inférieur, les réflexes cutanés subissent aussi
mme limite, on trace sur une partie quelconque du corps ou d'un des
membres
une ligne transversale qui doit servir de front
que qui, il y a quatre ans, fut pris brusquement d'une paralysie du
membre
inférieur gauche avec troubles sen- sitifs du c
tre : il ne lui est resté qu'une certaine gène et une fatigahitité du
membre
inférieur gauche. Nous l'examinons pour la pr
ur le tronc et peut se poursuivre en D 2-D 1 sur la face interne du
membre
supérieur droit. Sur la plus grande étendue du te
ins nette qu'au point correspondant du côté gauche ; ce n'est qu'au
membre
inférieur droit qu'il commet des erreurs d'appré-
s moteurs), on voit apparaître une ou plusieurs secousses brusques au
membre
inférieur du côté opposé, tandis que le membre
ecousses brusques au membre inférieur du côté opposé, tandis que le
membre
excité reste immobile; on trouve donc là un réf
e racine cervicale, déterminait une réaction énergique dans tout le
membre
inférieur du côté SURRÉFLECTIVITÉ 11TPER 1LCÉSI
droit. Il existe des troubles moteurs prédominant du côté droit. Au
membre
supérieur droit, le biceps et les supinateurs s
le pas de modifi- cation notable de l'excitabilité électrique. Au
membre
supérieur gauche, les troubles parétiques atteign
êmes groupes musculaires, mais sont beaucoup moins prononcés. Les
membres
inférieurs sont atteints d'une paraplégie spasmod
oin de se produire uniquement ou d'une manière prédominante dans le
membre
du côté excité, ont lieu du côté opposé. (Nous cr
ons sont réflexes), ainsi que ce fait que les réactions motrices du
membre
inférieur peuvent être déclen- chées par une ex
éclen- chées par une excitation dans le domaine du trijumeau. Si le
membre
inférieur du côté de la lésion ne participe pas
es- sion de la moelle dans la région cervicale ; les mouvements des
membres
inférieurs sont complètement abolis ; ses réfle
s réflexes de défense assez forts, et une anesthésie qui occupe les
membres
inférieurs et le tronc jusqu'au-dessus de la lign
frappante par l'application de la bande d'Esmarch : on comprime le
membre
inférieur jusqu'à la partie moyenne de la cuisse
d'une manière assez énergique pour produire une anémie profonde du
membre
et on laisse la bande de 20 à 25 minutes. Quelque
signe objectif à noter; la malade n'a jamais eu de douleurs dans les
membres
, elle n'a pas de troubles vésicaux et elle ne p
affection organique du système nerveux ; les réflexes tendineux des
membres
supérieurs et des membres inférieurs sont norma
tème nerveux ; les réflexes tendineux des membres supérieurs et des
membres
inférieurs sont normaux ; la vue est bonne ; il n
ion des fibres cérébelleuses de la protubérance. Le tremblement des
membres
et de la tête, la scansion de la parole, le nys
a force muscu- laire et la persistance de la notion de position des
membres
, voilà, en effet, un ensemble symptomatique qui
spécial ; la partie supérieure du corps ne suit pas le mouvement du
membre
inférieur et reste en arrière. Je suis disposé à
rière et à incliner le tronc dans le même sens, en forme d'arc, les
membres
inférieurs restent presque immobiles et il tombe
éfaut dans la fonction d'association des mouvements du tronc et des
membres
inférieurs. En effet, dans l'acte que nous avon
ÉMIOLOGIE CÉRÉBELLEUSE 187 mus, du tremblement dit intentionnel des
membres
supérieurs et de l'asynergie des membres inféri
ement dit intentionnel des membres supérieurs et de l'asynergie des
membres
inférieurs ; ce sont donc des cérébelleux. Or, po
fondant sur les vertiges, la latéropulsion à gauche, l'asynergie du
membre
inférieur gauche, bien plus prononcée il est vrai
i autrefois que maintenant, et un léger tremblement intentionnel du
membre
supérieur gauche, on peut affirmer que la parti
t intéressant, car, en faisant fonctionner simul- tanément les deux
membres
, le trouble du membre supérieur gauche s'impose
faisant fonctionner simul- tanément les deux membres, le trouble du
membre
supérieur gauche s'impose à l'observation. On
rébelleux conserve sa direction, son orientation intentionnelle. Le
membre
ne dévie pas, il va à peu près directement vers l
à peu près uniforme et orienté. Ce n'est qu'à fin de course que le
membre
, ne s'arrêtant pas avec la précision 19ï SÉMIOL
rdres moteurs. La parole est lente et interrompue. Les mouvements des
membres
supérieurs sont maladroits, manquant de la just
tude à exécuter les actes les plus délicats. Les désordres dans les
membres
inférieurs sont plus graves; le malade marche ave
ues. Faisons asseoir côte à côte un tabétique ayant de l'ataxie aux
membres
supérieurs et un cérébelleux présentant de faço
aque tentative de déambulation le tronc reste inerte tandis que les
membres
inférieurs fonctionnent, et la marche n'est possi
certaine brusquerie. Quand le malade cherche ensuite à replacer le
membre
dans la position primitive, on voit d'abord la
sur le bassin se faisant simultanément. Il peut de même replacer le
membre
dans la position primitive par extension simultan
it que dans l'un et l'autre cas les mouvements de chaque segment de
membre
pourraient être brusques, forts, exagérés, s'il
malade est soutenue des deux côtés et qu'elle cherche à marcher, le
membre
inférieur exécute les mouvements élémentaires d'u
que les troubles asynergiques tels que nous les avions décrits aux
membres
inférieurs peuvent être localisés d'un côté (cô
d'origine cérébello-protubérantielle nous relations l'asynergie du
membre
inférieur droit chez un sujet à l'autopsie duquel
uisse. L'immobilité de la partie supérieure du corps pendant que le
membre
inférieur se porte en avant 198 SÉMIOLOGIE E
s dit, en le faisant connaître, ce trouble se manifeste surtout aux
membres
supérieurs. L'adiadococinésie est tantôt bilaté
ions on trouve de simples mentions de ce genre : « ataxie légère du
membre
supérieur »,... « ataxie de la main ». C'est là
examine la sensibilité, en particulier la sensibilité profonde, aux
membres
seulement ; 2" par la combinaison des troubles at
été recher- 204 SÉMIOLOGIE chés, il n'en est pas de même pour les
membres
. Ceux-ci sont bien plus souvent qu'on ne parais
'autre. Quand le malade, après s'être mis sur le dos, sou- lève les
membres
pour prendre cette attitude, ses membres et son t
sur le dos, sou- lève les membres pour prendre cette attitude, ses
membres
et son tronc exécutent pour commencer de grande
droite à gauche, mais au bout de quelques instants le corps et les
membres
inférieurs deviennent fixes. Cette fixité est r
i placé dans la même attitude se comporte tout différemment : « Ses
membres
oscillent dans tous les sens et il lui est impo
déjà une notion très nette. Ils savent dans quelle direction leurs
membres
se déplacent, mais ils sont incapables de les i
tions angulaires et l'inscription réalisée par l'un de nous pour le
membre
supérieur par le procédé suivant (') : sur une
Observation II. Femme de 28 ans, atteinte de névrite alcoolique des
membres
inférieurs, n'ayant pas présenté pendant la vie
senté pendant la vie de troubles de motilité de la face et dont les
membres
supérieurs n'avaient été que légèrement parésiés.
l'une à l'autre, nous voyons qu'en ce qui concerne les muscles des
membres
il y a entre elles des dif- férences notables,
tractures, de paralysies ou de parésies d'ordre réflexe siégeant au
membre
inférieur, nous avons eu l'occasion, (1) Contri
hypothermie étant géné- ralement la plus prononcée à l'extrémité du
membre
malade, il y avait lieu de penser que la fusion
ls ont insisté sur la (') Quand il s'agit de paralysies réflexes du
membre
supérieur avec hypothermie, la fusion anti- cip
es blessés atteints de troubles d'ordre réflexe après immersion des
membres
malades dans de l'eau chaude ou après diathermi
t qu'il y a à examiner l'état de l'excitabilité du muscle, quand le
membre
est froid, et après réchauffement. Si la méco
ous appellerons bat- terie n° i sont placées l'une à l'extrémité du
membre
à examiner, l'autre au tronc. Deux tampons reli
nte, mais correcte ; elle n'est pas titu- bante. Les mouvements des
membres
supérieurs sont réguliers. Pas d'asynergie ; pas
en normal à droite, est faible à gauche. Les réflexes tendineux des
membres
supérieurs sont faibles des deux côtés. Le réfl
nant en l'espace de 15 jours. - La face est légèrement parésiée. Le
membre
supérieur, au contraire, est presque inerte; le
erte; les mouvements qu'il peut exécuter sont extrêmement limités. Le
membre
inférieur est un peu moins paralysé que le memb
ement limités. Le membre inférieur est un peu moins paralysé que le
membre
supérieur ; le malade, il est vrai, est incapab
e du peaucier. " ' ......... ? u ." .' ......... ? ....... "- Les
membres
du côté de l'hémiplégie ont conservé de la souple
ue temps après, le malade s'aperçut d'une diminution de la force du
membre
supérieur gauche; puis apparurent des mouvements
urent des mouvements spasmodiques involontaires dans les muscles du
membre
supérieur gauche et du cou, qui allèrent en s'a
d il éprouva des sensations analogues, mais bien moins intenses, au
membre
inférieur gauche. Depuis trois ans l'état serait
on, les troubles dont il est atteint sont moins intenses. Quand son
membre
supérieur gauche est placé en avant, il le mainti
es mouvements spasmodiques qui sont surtout très prononcés quand le
membre
supérieur gauche est en avant du thorax et que
e- ment atténués. Il s'agit d'un hémispasme gauche prédominant au
membre
supérieur ainsi qu'au cou et très peu prononcé
ominant au membre supérieur ainsi qu'au cou et très peu prononcé au
membre
inférieur. Le spasme du cou occupe principaleme
es du bras. Ce qui fait la rareté de ce fait c'est que le spasme du
membre
supérieur est ici très marqué et que le membre
est que le spasme du membre supérieur est ici très marqué et que le
membre
inférieur est atteint. Mais l'intérêt princip
un malade j atteint d'un hémispasme prédominant au cou ainsi qu'au
membre
supérieur gauche et occupant aussi, mais à un d
e supérieur gauche et occupant aussi, mais à un degré moindre, le
membre
inférieur gauche. Les mouvements spasmodiques du
l du cou ou de torticolis mental, En me fondant sur l'existence, au
membre
inférieur gauche, du phénomène des orteils, qui
tète et par les mouvements spasmodiques intermittents du cou et du
membre
supé- rieur gauche. La tête est à peu près co
te se porte en arrière. Le spasme du cou est associé à un spasme du
membre
supérieur gauche, ne cédant que rarement d'une
duré plusieurs jours, et ayant disparu sans laisser de parésie des
membres
. L'enfant a parlé tard et a marché tard (à 22 m
nviron de bon état relatif, l'enfant fut pris de spasmes marqués du
membre
supérieur gauche (attitude de légère abduction
3 à 4 mois. A l'âge de quinze ans, les mêmes troubles moteurs des
membres
du côté gauche reparurent pendant une période d
rotation vers la droite. L'épaule gauche se soulève davantage et le
membre
supérieur gauche tend à se tourner en dedans. Le
s 1921. ° Un état spasmodique de tout le côté gauche prédominant au
membre
supérieur. 2° Des signes de lésion des faisceau
a (') Les photographies de l'article de la Clinique montrent que le
membre
supérieur avait, il y -a a dix ans, la même att
e ils s'appuient. Il y a en même temps, une sorte de trépidation du
membre
tout entier, de l'épaule à la main : tous les m
A part cette légère claudication, il semble au premier abord que le
membre
inférieur ne soit pas atteint, d'une manière appr
stoses. Elles sont fort nombreuses et presque tous les segments des
membres
en présentent ? ). Bilatérales et à peu près sy
torticolis dit mental, d'autre part, de mouvements spasmodiques du
membre
supérieur et du membre inférieur gauches, qui r
d'autre part, de mouvements spasmodiques du membre supérieur et du
membre
inférieur gauches, qui rappellent ceux que l'on o
dont cette femme souffrait autrefois. J'ajoute que la faiblesse du
membre
supérieur gauche, consécutive à l'opération, s'
à la section du spinal, tels que la gêne dans le fonctionnement du
membre
supérieur, ils sont minimes et négli- geables,
ie faciale du côté droit et une paralysie complète avec anesthésie du
membre
inférieur et du membre supérieur du côté gauche
et une paralysie complète avec anesthésie du membre inférieur et du
membre
supérieur du côté gauche. Vers la même époque app
comprendre. 286 AFFECTIONS DU CERVELET La paralysie motrice du
membre
supérieur et du membre inférieur gauches commen
FECTIONS DU CERVELET La paralysie motrice du membre supérieur et du
membre
inférieur gauches commença à s'atténuer un mois
qué, le malade étant assis sur une chaise). La force musculaire des
membres
est à peu près normale, ce dont on peut s'assurer
avoir dit au malade d'étendre ou de fléchir tel ou tel segment d'un
membre
et de le maintenir dans cette position, il op
scillations de la tête déjà signalées, un léger tremble- ment des
membres
supérieurs, mais il y a des attitudes dans lesque
certaine brusquerie. Quand ensuite le malade cherche à replacer le
membre
dans la position primitive, on voit d'abord la
- ments avec lenteur. La contractilité électrique des muscles des
membres
est normale. Les mouvements de flexion, d'exten
ent les cuisses et à appliquer aussi étroitement que possible les
membres
inférieurs contre le sol, on peut constater, en
arrière et à courber le tronc dans le même sens en forme d'arc, les
membres
inférieurs restent presque immobiles et n'exécu
des deux côtés, cherche à marcher, on constate que le mouvement des
membres
inférieurs se décompose d'une l3ewss,. la F
le sol en s'appliquant dessus par toute sa plante. Ajoutons que les
membres
inférieurs, pendant qu'ils se déplacent d'arrière
vant et le tronc étendu sur le bassin ne suit pas le mouve- ment du
membre
inférieur et reste en arrière (voir fig. 16). Ce
). Ce défaut de synergie entre la partie supérieure du corps et les
membres
inférieurs constitue le trouble le plus saillan
ibilité au tact, à la douleur et à la température est affaiblie aux
membres
inférieur et supérieur gauches, à la partie gauch
cet homme, dont l'état ne s'est guère modifié depuis, est doué aux
membres
et dans le tronc d'une force mus- culaire norma
ifeste quand le malade, après s'être mis sur son dos, sou- lève les
membres
pour prendre l'attitude spéciale que j'ai déjà dé
j'ai déjà décrite (fig. Il). Pendant l'exécution du mouvement, les
membres
et le tronc oscil- lent dans tous les sens d'un
s affaibli, mais paraît même plus parfait qu'à l'état normal. Aux
membres
supérieurs il y a du tremblement intentionnel, ma
atalepsie si l'on estime qu'il implique que les attitudes fixes des
membres
doivent leur avoir été imprimées par autrui ; ici
3gô ". AFFECTIONS DU CERVELET donné à lui-même. Dans la marche les
membres
inférieurs sont écartés l'un de l'autre, les mo
rieurs sont écartés l'un de l'autre, les mouvements élémentaires du
membre
inférieur gauche sont brusques et le pied gauch
nt s'appliquer sur le sol d'une manière bruyante; les mouvements du
membre
inférieur droit présentent aussi ces caractères,
léchi la cuisse sur le bassin et la jambe sur la cuisse, replace le
membre
dans sa position pri- mitive, voici ce qu'on ob
t combiné de flexion de la cuisse et du tronc ». Les mouvements des
membres
supérieurs sont accomplis avec correction, mais
te. Les réflexes achilléens sont normaux. Les réflexes tendineux du
membre
supérieur paraissent un peu plus forts a droite
constate un refroi- dissement très net de la face, du corps et des
membres
. Un thermomètre placé dans Tllis'RillO-i1 SYIII
que a disparu à la main droite et à la moitié droite de la face. Au
membre
inférieur, au bras, à l'avant-bras droits et sur
ns la myélite circonscrite destructive (paralysie et anesthésie des
membres
inférieurs, troubles dans les fonctions de la ves
part à la Société médicale de quelques observations contracture des
membres
inférieurs, de paraplégie spasmodique, qui se d
isparaître. Néanmoins, au lit, la malade est en mesure de mouvoir ses
membres
qui ne sont ni contractures ni atrophiés , les
chies sur le bassin et les jambes fléchies sur les cuisses, que les
membres
inférieurs présentent un peu de raideur et que de
ilepsie spinale. Dans les premiers jours de février, la raideur des
membres
inférieurs devient beaucoup plus forte. Des deu
ils sont étendus sur le pied. La Fig. 22. (Obs. I). Contracture des
membres
inférieurs, du membre supérieur droit et du cou.
pied. La Fig. 22. (Obs. I). Contracture des membres inférieurs, du
membre
supérieur droit et du cou. (Mars 18gô, d'après
E FORME DE PARAPLÉGIE SPASMODIQUE 317 malade maintient toujours les
membres
dans cette position. On peut arriver par des tr
s. De plus, ces tractions font pousser des cris à la malade, et les
membres
, dès qu'on les abandonne à eux-mêmes, exécutent d
plorer, à la vérité, paraissent normaux. La sensibilité au tact des
membres
semble un peu diminuée, la sensibilité à la piq
t au froid est normale. La contractilité électrique des muscles des
membres
inférieurs est aussi normale. La malade délire et
aux questions qu'on lui pose. A la fin de février, l'attitude des
membres
inférieurs étant restée la même, la sen- sibili
ent de mars, on note de nouveaux troubles. Il y a de la raideur des
membres
supérieurs, plus prononcée à droite qu'à gauche;
ement à oscillations rapides ; les réflexes tendineux et osseux des
membres
supérieurs sont normaux. Parfois la malade soulèv
; on observe les mômes phénomènes, mais un peu moins prononcés, aux
membres
infé- rieurs ; parfois la percussion des musc
ment au sacrum et au niveau des trochanters. La contracture des
membres
supérieurs s'accentue, surtout à droite; de c
l y a un an environ, Pillot a commencé à ressentir de la lourdeur des
membres
inférieurs, qui s'est accentuée progressivement
il y a six mois, n'aurait pu depuis ce jour se tenir debout et les
membres
inférieurs auraient présenté dès ce moment l'at
mplètement foi à cette déclaration. Les mouvements volitionnels des
membres
inférieurs sont totalement abolis. Les cuisses
de flexion forcée sur les cuisses. Il y a une contracture telle des
membres
inférieurs qu'on ne peut parvenir à les étendre
douleurs et sont suivies de spasmes qui ramènent immédiatement les
membres
à leur attitude première. Les réflexes rotulien
. La malade se plaint de ressentir des douleurs très vives dans les
membres
inférieurs. La sensi- bilité au tact, à la piqû
stend le sac de la dure-mère et comprime la moelle. Les muscles des
membres
inférieurs sont plus (') Voir : Du phénomène de
ONS DE LA MOELLE grêles, plus flasques et moins rouges que ceux des
membres
supérieurs; le triceps crural droit est le plus
s' ressenti une légère douleur dans cette région. En même temps, le
membre
inférieur droit a été atteint d'une certaine raid
sivement. A cinquante-trois ans, les mêmes troubles apparaissent au
membre
inférieur gauche. Elle aurait eu alors pendant
s une série de taches ecchymotiques. , A cinquante-quatre ans, le
membre
supérieur droit devient faible. Ces phénomènes
n jusque vers le milieu de 1894. A cette époque l'affaiblissement des
membres
inférieurs devint tel que la malade fut obligée
5, c'est-à-dire au moment de l'entrée de la malade à l'hôpital, les
membres
inférieurs sont presque complètement paralysés ;
uleurs faire mouvoir les uns sur les autres les divers segments des
membres
inférieurs, qui, sans avoir la souplesse normale,
e la plante du pied donne lieu à des mouvements réflexes de tout le
membre
; l'excitabilité idio-musculaire est sensiblemen
usculaire est sensiblement exagérée aux cuisses et aux mollets ; le
membre
inférieur droit est un peu plus grêle que le ga
le pied droit et à des crises de douleurs fulgurantes dans tout le
membre
inférieur droit, s'accompagnant de secousses invo
embre inférieur droit, s'accompagnant de secousses involontaires du
membre
. Les deux membres supérieurs, mais surtout le dro
roit, s'accompagnant de secousses involontaires du membre. Les deux
membres
supérieurs, mais surtout le droit, sont affaiblis
rique est diminuée de ce côté ; pas de troubles de la sensibilité aux
membres
supérieurs. La malade urine parfois avec diffic
MOELLE La situation n'a pas notablement changé, si ce n'est que les
membres
inférieurs sont complètement paralysés, se sont
ois, état stationnaire. Au commencement de 1897, la contracture des
membres
inférieurs s'accentue. Elle devient encore plus
e plus marquée dans la suite, et les tentatives de redressement des
membres
provoquent des douleurs et des mouvements spasmod
, sur l'hyperexcitabilité musculaire et sur l'état cataleptoïde des
membres
supérieurs, mais j'insisterai davantage sur le
d on cherchait à corriger par des tractions l'attitude vicieuse des
membres
, et de mouvements spasmodiques apparaissant surto
a manière suivante : « Enfin survient la contracture permanente des
membres
, qui ne manque à peu près jamais d'exister à un
ègle que cette contracture impose d'abord pendant quelque temps aux
membres
paralysés l'attitude de l'extension, mais tôt ou
us faire remarquer que l'intensité de la contracture permanente des
membres
, et surtout de la contraction avec flexion, est
d'un malade atteint de tumeurs des méninges rachidiennes, dont les
membres
inférieurs avaient pré- senté une contracture e
catégorique. Ce qui vient d'être dit au sujet de la contracture des
membres
infé- rieurs doit s'appliquer aussi à la contra
es membres infé- rieurs doit s'appliquer aussi à la contracture des
membres
supérieurs ; dans l'observation I, la contractu
ôté droit commençant par les muscles de la face, gagnant ensuite le
membre
supérieur, puis le membre inférieur. Je le trou
es muscles de la face, gagnant ensuite le membre supérieur, puis le
membre
inférieur. Je le trouve abattu, s'exprimant plus
a marche est possible, mais elle est hésitante et les mouvements du
membre
inférieur droit s'effectuent avec lenteur ; les f
membre inférieur droit s'effectuent avec lenteur ; les fonctions du
membre
supérieur peuvent être accomplies, mais non sans
gêné pour couper la viande et porter les aliments à la bouche. Les
membres
du côté parésié pré- sentent un peu de raideur,
ticulièrement au niveau des centres psycho-moteurs de la face et du
membre
supérieur et que l'opération sera faite en deux
u moins prononcée, durant fort longtemps, sans que les réflexes des
membres
atteints soient modifiés. Quand elle est associ
ires qui apparaissent surtout quand on exerce des tractions sur les
membres
. D'après ce que m'avaient montré les examens an
, Band XXIII). PARAPLEGIE SPASMODIQUE ORGANIQUE 333 extension des
membres
inférieurs, parésie, c'est-à-dire affaiblissement
manière inter- mittente, de secousses involontaires des muscles des
membres
inférieurs, se répétant avec rapidité, mais n'a
rapidité, mais n'ayant pas pour effet de fléchir les seg- ments des
membres
les uns sur les autres. De plus, je ferai remarqu
a forme de paraplégie spasmodique que nous visons. L'attitude des
membres
inférieurs est bien différente de celle qu'on o
ractions intermit- tentes, involontaires, souvent douloureuses, des
membres
inférieurs. Ces contractions donnent lieu à des
t le travail de l. Noïca, ayant pour titre : « Sur la contracture des
membres
inférieurs en flexion » (Revue Neurologique, ig
nt le point sur lequel porte l'excitation et suivant la position du
membre
('), mais ce sont les mouvements de flexion de
d on cherche par des tractions à corri- ger l'attitude vicieuse des
membres
. Ils sont semblables aux mouvements involontair
e chez certains sujets à un degré plus ou moins élevé et occupe les
membres
inférieurs ainsi qu'une partie plus ou moins ét
us eut déjà l'occasion de l'examiner, et constata l'exis- tence aux
membres
inférieurs d'une exagération notable des réflexes
até que les modifi- cations des réflexes précédemment observées aux
membres
inférieurs sont toujours présentes ; qu'il s'y
de se manifester par des mouvements combinés des divers segments des
membres
inférieurs. Ce sont les réflexes de défense, su
anique des muscles. Les mêmes signes se montrent, plus discrets, au
membre
inférieur gauche. A la main et à l'avant-bras d
es osso- tendineux sont normaux, de même intensité exactement qu'au
membre
supérieur gauche. La pression artérielle est
elles nous conduisent à rappro- cher les troubles observés, dans le
membre
supérieur droit de cette malade, des troubles p
thermie, cyanose, parésie), que l'on note chez certains blessés des
membres
. En pareil cas nous avons relevé également une
ment, dans certaines hémiplégies ou paraplégies organiques, sur les
membres
paralysés. Nous en avons conclu que la pathogénie
» des troubles physiopathiques, qu'on observe chez les blessés des
membres
, n'excluait pas une pathogénie « centrale » de
in degré d'affaiblissement, et une hypother- mie assez prononcée du
membre
inférieur accompagnée de quelques troubles voso
même titre que ce dernier symptôme, l'hypothermie et la parésie du
membre
inférieur paraissaient dépendre d'une lésion encé
re donnée des troubles physiopathiques que notre malade présente au
membre
supérieur droit. BAmasst. 2 a 338 PARAPLÉGIES
thermie, la cyanose et l'oedème ont été assez souvent constatés aux
membres
inférieurs en cas de paraplégie spasmodique, et e
isément en s'appuyant sur le bras d'une autre personne. Quant à son
membre
supérieur droit, elle s'en sert continuellement,
circulatoires et l'hypo- thermie, notamment pour ce qui concerne le
membre
supérieur, à une altération de la moelle et plu
fibres sympathiques qui y prennent naissance. Quant à la parésie du
membre
supérieur, en l'absence de tout signe objectif
s concomitants : exagération des réflexes tendineux et périostés du
membre
inférieur correspondant, avec exagé- ration des
(innervation sympathique) et des muscles striés de l'abdomen et du
membre
inférieur (innervation médullaire). Le rythme d
endue de la région cervicale : l'abolition de tous les réflexes des
membres
supérieurs, l'amyotrophie, les secousses fibrilla
ssez banal ne méritant pas d'être relaté, n'était la contracture du
membre
supérieur gauche sur laquelle je désire appeler
tait ainsi, si les fibres des faisceaux pyramidaux correspondant au
membre
supérieur étaient atteintes dans la région cervic
e seraient presque inévitablement touchées, et l'on observerait aux
membres
inférieurs des signes décelant l'existence d'un
chez le malade que je présente, les réflexes tendineux et osseux du
membre
supérieur gauche contracturé, non seulement ne so
des troubles urinaires et une abolition des réflexes tendineux des
membres
inférieurs ; de plus, cette deuxième malade est
s ans, douleurs qualifiées de rhumatismales dans le tronc et dans les
membres
. Depuis, quelques indispositions passagères, de
la région lombaire une douleur vive irradiant vers l'abdomen et les
membres
inférieurs. Cette douleur se reproduisit sept o
esque identiques. La sensibilité profonde est fortement diminuée au
membre
inférieur, au pied surtout : le malade ne se rend
trée du malade à l'hôpital. Les grands mouvements involontaires des
membres
sont plus violents, et presque continus. ' Ob
L Mme B..., 4g ans. Il y a ro ans des douleurs apparaissent dans le
membre
inférieur droit en même temps que ce membre s'a
rs apparaissent dans le membre inférieur droit en même temps que ce
membre
s'affaiblit : « Je traînais la jambe », dit la ma
be », dit la malade. Ces phénomènes s'accentuent, et se montrent au
membre
inférieur gauche. La marche est alors très gêné
al au mois de juin rgog. . , j Depuis cette époque, l'impotence des
membres
inférieurs est absolue. Il existe des mouvement
absolue. Il existe des mouvements involontaires spasmodiques de ces
membres
. Les réflexes tendineux sont très forts à droit
schéma ci-contre (fig. 33). La sensibilité profonde est abolie aux
membres
inférieurs, aussi bien à la périphérie des memb
e est abolie aux membres inférieurs, aussi bien à la périphérie des
membres
qu'à leur racine, aussi bien aux régions où la
einte de paraplégie spasmodique avec troubles de la sensibilité des
membres
inférieurs, du membre droit surtout. L'impotence
smodique avec troubles de la sensibilité des membres inférieurs, du
membre
droit surtout. L'impotence est presque absolue :
s quand on a vaincu pour elle la spasmodicité très accentuée de ses
membres
inférieurs. Les réflexes tendineux sont exagéré
ONS MÉDULLAIRES 365 même temps que le pied où on la recherche, le
membre
inférieur correspondant et l'autre même sont ag
ypoesthésie avec sensations douloureuses pour tous les modes sur le
membre
inférieur gauche. Au membre inférieur droit, il e
douloureuses pour tous les modes sur le membre inférieur gauche. Au
membre
inférieur droit, il existe de l'anesthésie sur
sur la cuisse et le pied sur la jambe ; dans tous les mouvements, le
membre
(') Société de Neurologie, 10 février 19 10.
le abdominale se contracte bien sous l'influence de la volonté. Les
membres
supérieurs sont normaux. Les réflexes achilléen
re interfessière (territoire des IVe et Ve sacrées). Les réflexes des
membres
supé- rieurs sont normaux. Examen de la sensi
uides. De plus, sa marche est devenue pénible depuis quatre mois; ses
membres
inférieurs sont raides, et s'il peut encore eff
vec difficulté. Au moment où nous examinons ce malade, il existe au
membre
supérieur droit une atrophie et une faiblesse t
rs. Les mêmes troubles : atrophie et contracture, existent aussi au
membre
supérieur gauche, mais beaucoup moins accentués
is beaucoup moins accentués. Les réflexes tendineux sont aholis aux
membres
supérieurs. Aux membres inférieurs, il existe u
s. Les réflexes tendineux sont aholis aux membres supérieurs. Aux
membres
inférieurs, il existe une parésie spasmodique (ra
provoque et en quoi ils consistent. ' En excitant les téguments des
membres
inférieurs ou du tronc par l'application d'un c
s mouvements involontaires plus ou moins variés de l'un ou des deux
membres
infé- rieurs ; ce sont, d'habitude, des mouveme
ont, d'habitude, des mouvements de flexion des divers seg- ments du
membre
; mais en plaçant les malades dans certaines posit
de la partie supérieure du corps amenant un déplacement passif des
membres
inférieurs, un frotte- ment de leurs téguments
ici abstractioe des réllexes de défense obtenus par l'excitation des
membres
supé- rieurs, qui s'observent plus rarement.
ois d'août igio, aux douleurs vient s'associer un affaiblissement des
membres
inférieurs qui, d'abord très léger, s'accentue
e de quitter son appartement et en janvier 19l1 la faiblesse de ses
membres
inférieurs est telle qu'elle ne peut plus se te
ois, nous constatons les phénomènes suivants : t La paralysie des
membres
inférieurs qui sont contracturés est presque comp
ouleurs lombaires avec irradiations. On constate une anesthésie des
membres
inférieurs et de la portion du tronc correspond
aires et les contractions brusques qui survenaient souvent dans les
membres
inférieurs ne se reproduisirent plus après l'opér
a station difficile. En même temps survinrent des douleurs dans les
membres
et la ceinture et la malade fut prise de rétentio
ni statique ; tous les mouvements sont coordonnés. On constate aux
membres
supé- rieurs un léger tremblement à l'occasion
a ni hypotonie ni atrophie musculaire. Les réflexes tendineux des
membres
supérieurs et inférieurs sont très forts surtout
s de la sensibilité, les douleurs dont se plaint la malade dans les
membres
et le tronc ; elles varient d'intensité et de c
se elle doit être soutenue, car autrement son corps s'affaisse. Ses
membres
inférieurs sont étendus complètement inertes et p
te de profondes escarres; il n'y a pas d'atrophie musculaire. Les
membres
supérieurs sont allongés le long du corps, les ma
t-bras et à la main un peu de raideur. Les réflexes tendineux des
membres
inférieurs sont forts, les réflexes tendineux d
ineux des membres inférieurs sont forts, les réflexes tendineux des
membres
supérieurs sont en partie exagérés en partie affa
colonne vertébrale, douleurs qu'exagèrent les moindres mouvements des
membres
; les douleurs lancinantes des membres inférieu
les moindres mouvements des membres ; les douleurs lancinantes des
membres
inférieurs et les douleurs constrictives du début
On peut provoquer par l'application des différents excitants sur les
membres
inférieurs et le tronc des réflexes de défense
les (voir schéma) on obtient des mouvements réflexes de défense aux
membres
supérieurs : ils consistent en une extension de l
avec pronation de la main, adduction et rotation interne de tout le
membre
. Il existe des troubles des sphincters : la mal
provoquer des mouvements réflexes de défense non seulement sur les
membres
inférieurs et le tronc, mais encore au niveau d
t sur les membres inférieurs et le tronc, mais encore au niveau des
membres
supérieurs dans leur partie interne (C', C8, D'
els on peut provoquer les mouvements réflexes de défense Rd. i. aux
membres
inférieurs, dont la limite supérieure est en et a
d. i. aux membres inférieurs, dont la limite supérieure est en et aux
membres
supérieurs Rd. s. dont la limite supérieure est
4° Enfin nous avons constaté des mouvements réflexes de défense aux
membres
supérieurs que nous avons pu utiliser pour la loc
sthésie nous montre la disposition suivante de ces troubles : Les
membres
inférieurs (sauf la plante des pieds) et la parti
à une grippe et s'est manifestée par une sensation de lourdeur aux
membres
inférieurs. Les troubles moteurs se sont accrus
rs est située un peu au-dessus de l'ombilic; mais, très marqués aux
membres
inférieurs, ils sont peu prononcés au-dessus du p
essus du pli de l'aine. Il existe une anesthésie presque totale aux
membres
inférieurs et sur une partie du tronc; elle s'a
voudrait exécuter. Mais la malade nous dit que, si les spasmes des
membres
inférieurs ne se sont pas atténués, elle est dé
emble que ces troubles sont de date plus ancienne. La faiblesse des
membres
inférieurs s'accentue progressivement jusqu'en ma
ntanées déterminant une flexion transitoire des divers segments des
membres
inférieurs. Les troubles de la sensibilité sont t
e la sensibilité tactile ni la sensibilité profonde; elle occupe le
membre
inférieur et une partie du tronc jusqu'à la front
xes reparaissent; la motilité volontaire revient progressivement au
membre
inférieur gauche d'abord, au membre droit ensuite
aire revient progressivement au membre inférieur gauche d'abord, au
membre
droit ensuite. En ce qui concerne la miction sp
plus rapidement, et elle éprouve des sensations anormales dans les
membres
infé- rieurs : « des énervements dans les jambe
de la miction, de la dysurie, une diminution de la sensibilité aux
membres
inférieurs et des douleurs. Ces douleurs occupe
IONS MÉDULLAIRES (¡ni Quelques semaines plus tard, la paralysie des
membres
inférieurs est complète, et la sensibilité est
de est tourmentée par des mouvements spasmodiques involontaires des
membres
inférieurs. Elle laisse échapper ses urines sans
sibilité, remontant jusqu'à la ligne mamelonnaire. La paralysie des
membres
inférieurs est complète et ne cède pas, même sous
- vements spasmodiques involontaires, qui déplacent brusquement les
membres
infé- rieurs, fléchissent la cuisse, la jambe e
pied, les allongent ensuite avec une grande force, en détachant le
membre
du plan du lit, et ainsi de suite, jusqu'à ce que
hant le membre du plan du lit, et ainsi de suite, jusqu'à ce que le
membre
retrouve sa position primitive de repos. Ces sp
primitive de repos. Ces spasmes se produisent soit dans un seul des
membres
inférieurs, soit dans les deux, et alors, tantô
t une extension à gauche, ou vice versa. Les réflexes tendineux des
membres
inférieurs sont nettement exagérés ; il y a de la
es excitations très légères. Leur forme varie suivant la position des
membres
et l'endroit de l'excitation, mais elle est sen
t capable d'engendrer ces réflexes de défense, ne se limite pas aux
membres
inférieurs ; ces réflexes peuvent encore être pro
nière égale dans les diverses régions et pour tous les modes. Aux
membres
inférieurs, sauf à la région péri-anale et la pla
ique est très marqué. Une contracture extrêmement forte fixe les deux
membres
inférieurs dans la position d'extension et d'ad
nsibilité profonde, musculaire et osseuse est complètement abolie aux
membres
inférieurs et sur une partie du ventre. La ma
es et ses matières. Ajoutons qu'on ne constate aucun trouble ni aux
membres
supérieurs, ni à la tête. Étant donné les tro
uvements sans faradisation, mais à condition qu'on lui soutienne le
membre
inférieur dans une position favorable. Vers l
à la jambe gauche, mais restent extrêmement faibles à droite. Le
membre
inférieur droit est plus raide que le gauche, mai
onnaît moins bien ces excitations. La pression n'est pas sentie aux
membres
inférieurs, mais commence à être perçue au-dess
mps après, son attention est attirée par une certaine faiblesse des
membres
inférieurs, et en juin 1925 elle se rend compte
de la sen- sibilité, d'après ce qu'elle nous a dit, occupaient les
membres
inférieurs, le tronc et remontaient jusqu'au-de
la motilité volontaire est pour ainsi dire réduite à néant dans les
membres
inférieurs. On met facilement en évidence des deu
de la tête et des yeux, pas d'Arc, 11-Robertson ; rien non plus aux
membres
supérieurs si ce n'est des réflexes osso-tendin
réflexes de défense, très nets lors- qu'on excite les téguments des
membres
inférieurs, sont plus difficiles à provoquer pa
s réflexes de défense nous avons employé la technique suivante : un
membre
inférieur était soutenu à demi fléchi au-dessus d
ues heures après l'opération, la malade éprouve un soulagement; les
membres
inférieurs deviennent moins raides ; la jambe dro
a duré plusieurs jours et quelques troubles pas- sagers du côté du
membre
supérieur droit, la période post-opératoire s'est
est très légèrement incoordonnée à droite. La force musculaire des
membres
infé- rieurs se montre presque normale, sauf da
e d'hypoesthésie tactile sous le sein droit; 2° une hyperalgésie du
membre
inférieur droit et d'une grande partie de l'hém
la fondation Déjerine. COMPRESSIONS MEDULLAIRES 421 tence du
membre
inférieur droit, considérant le gauche comme inde
éflexe plantaire se fait en flexion ; les excitations diverses du
membre
inférieur droit, pratiquées pour la recherche d
flexes de défense) ; mais lorsqu'on excite la face postérieure du
membre
inférieur droit, la malade étant couchée sur le
chée sur le ventre, on voit se produire une extension du pied. Au
membre
inférieur gauche, qui est souple et ne présente
l, les troubles s'aggravent petit à petit, et, en parti- culier, le
membre
inférieur gauche est envahi à son tour. A la fin
réflexes abdominaux inférieurs sont abolis. Les troubles moteurs du
membre
inférieur droit n'ont pas subi de changement appr
D 10 ; à l'abdomen on trouve une dissociation syringomyélique ; aux
membres
inférieurs tous les modes sont touchés ; mais,
état infectieux, hyperthermique, consé- cutif à une lymphangite des
membre
inférieurs. En ce qui concerne les constatation
ensitifs, les troubles de la réflectivité cutanée et tendineuse des
membres
inférieurs. Ces divers troubles considérés chac
fig. 68). L'anesthésie est presque complète et à tous les modes aux
membres
inférieurs, surtout à droite ; elle s'atténue pro
gie crurale qui se caractérise par une contracture très intense des
membres
inférieurs, accompagnée de douleurs et de mouve-
nant compte seulement de certaines particularités morphologiques du
membre
malade, observé au repos et dans les gestes diver
M. Eulenburg et Cohnheim et de M. Charcot, le début se fait par les
membres
inférieurs, et les muscles qui sont atteints pr
ro-externe. L'affection peut envahir ensuite les autres muscles des
membres
inférieurs, mais il en est quel- ques-uns, part
ulièrement le triceps sural, qui sont généralement res- pectés. Les
membres
supérieurs et la face, cela est démontré par un
cles moteurs du pavillon de l'oreille ne sont jamais affectés ; les
membres
supérieurs se prennent ensuite, et les muscles
édents ; à l'avant-bras : le long supinateur; les autres muscles du
membre
supérieur sont souvent envahis dans la suite, e
, il faut placer au premier rang les fléchisseurs des doigts. Les
membres
inférieurs peuvent être atteints avec les progrès
de transition, dans lesquelles l'affection débute à la fois par les
membres
inférieurs et les membres supérieurs ; la face pe
lles l'affection débute à la fois par les membres inférieurs et les
membres
supérieurs ; la face peut être prise aussi en m
es supérieurs ; la face peut être prise aussi en même temps que les
membres
. Nous avons indiqué, à propos de la forme infan
insi, par exemple, lorsque dans la forme infantile de Duchenne, les
membres
inférieurs viennent à être pris, la localisatio
versement. Ainsi donc, dans chaque région et dans chaque segment de
membre
, il y a entre les divers muscles des différence
s, 5 ; masséter, 2 ; muscles moteurs du pavillon de l'oreille, i.
Membres
inférieurs : Triceps crural, 5; triceps sural, 3;
le rond pronateur sont intermédiaires à ces deux points de vue. Au
membre
inférieur on peut faire les mêmes remarques en ce
rs cette époque, étant soldat, qu'il aurait commencé à éprouver aux
membres
supérieurs 452 AFFECTIONS DES MUSCLES et aux
éprouver aux membres supérieurs 452 AFFECTIONS DES MUSCLES et aux
membres
inférieurs une faiblesse qui se serait ensuite pr
ces troubles atteignent principalement les muscles de la racine des
membres
. Le malade ne peut soulever le bras au-dessus de
V de cette névrose. Dans notre Société même, composée cependant de
membres
élevés pour la plupart à la même École, il y a eu
e, de plusieurs mois de durée ; les réflexes tendineux et osseux du
membre
paralysé sont normaux et les muscles ne présent
hystérique ; en effet, si elle dépendait d'une lésion cérébrale, le
membre
devrait être contracturé et les réflexes tendin
s, ensuite je fais exécuter des mouvements passifs aux segments des
membres
supérieurs et des membres inférieurs, et enfin, j
r des mouvements passifs aux segments des membres supérieurs et des
membres
inférieurs, et enfin, je fais palper par le mal
rveuses sous des for- mes variées, à des paralysies qui occupent un
membre
, un segment de membre, un côté du corps, les de
mes variées, à des paralysies qui occupent un membre, un segment de
membre
, un côté du corps, les deux membres inférieurs, e
ccupent un membre, un segment de membre, un côté du corps, les deux
membres
inférieurs, et qui sont tan- tôt flasques, tant
sées à toute l'étendue du corps, limitées à un côté seulement, à un
membre
ou à un segment de membre, des hyperes- thésies
corps, limitées à un côté seulement, à un membre ou à un segment de
membre
, des hyperes- thésies, du rétrécissement du cha
ie hystérique avec des réflexes tendineux manifestement exagérés au
membre
supérieur et au membre inférieur, avec de l'épi
réflexes tendineux manifestement exagérés au membre supérieur et au
membre
inférieur, avec de l'épilepsie spinale parfaite
i sur elle une très grande influence. J'ai eu soin d'emprisonner le
membre
dans un appareil silicaté et cela dans un doubl
l, lui montrent que son médecin est capable de paralyser ses autres
membres
et de les ramener ensuite à leur état normal ;
ion sous les téguments d'un corps étranger, de la constriction d'un
membre
par un lien ou de quelque autre artifice. Il es
EMBREMENT DE L'HYSTÉRIE TRADITIONNELLE 497 rellement l'usage de ses
membres
; lorsque l'idée de l'impotence revient à son c
cérations, de gangrènes, d'hémorragies cutanées, soit d'oedème d'un
membre
. S'il lui semble impossible d'établir une relat
u'il ferme les yeux et semble ne plus pou- voir les ouvrir, que ses
membres
paraissent inertes et insensibles, etc., on a l
de conserver sans efforts les attitudes diverses où l'on place ses
membres
. Le sujet donne alors l'impression d'une poupée a
tériques tels que crises, contractures, paralysie d'un ou plusieurs
membres
..le n'ai vu que des phénomènes émotifs, dont les
mais le blessé est atteint de mutisme complet et de contracture des
membres
inférieurs. La ponction lombaire donne issue à
cours d'une deuxième rachicenthèse le sujet est pris d'un spasme du
membre
supérieur dont on obtient aussi la disparition im
ment détourné l'attention du sujet, on saisissait à l'improviste le
membre
contracture, on parvenait souvent, sans aucun e
aux sont capables d'arriver par un effort de volonté à maintenir le
membre
inférieur immobile quand on leur excite la plante
, il s'agit de sujets ayant subi des traumatismes variés ; plaie du
membre
par projectile, contusion, chute, commotion par é
dème était associé à une contrac- ture et s'était développé dans un
membre
traumatisé ; nous avons déjà formulé cette obje
été très souvent observés à la suite de fractures et de plaies des
membres
en l'ab- sence de toute manifestation hystériqu
cier, tout en se localisant parfois dans des segments différents du
membre
, on constate, lorsque le syndrome est complet :
, diminution de l'amplitude des oscillations à la péri- - phérie du
membre
, lorsque la température ambiante est basse); des
ue sorte la règle..., des mois peuvent s'écouler laissant encore le
membre
hors de service, alors que depuis longtemps l'a
et des phanères, les troubles sécré- toires, le refroidissement du
membre
, la teinte cyanique ou rose sombre de la peau.
au. Il montre que les plaies qui se forment accidentellement sur le
membre
atteint d'atrophie musculaire peuvent ne se cicat
ériphériques, gelures, brûlures, plaies plus ou moins profondes des
membres
peuvent devenir le point de départ de tels acci
plégie, de monoparésie ou de névralgie occupant le domaine d'un des
membres
inférieurs vous constatez que la jambe qui est
plâtré. Au bout de quelques jours, l'appareil ayant été enlevé, le
membre
a repris son attitude vicieuse ; il y a sur le do
leptoïde du pied, ni clonus de la rotule. Il existe, par contre, au
membre
malade, des troubles vaso-moteurs marqués et te
ent aux accidents dits réflexes. Mais la réflectivité tendineuse du
membre
malade n'était pas notablement exagérée et nous
ant la narcose cette exagération élective des réflexes tendineux du
membre
malade. Nous étions ainsi en possession, sinon
xe conjonctival était aboli et où les excita- tions par piqûres des
membres
sains ne provoquaient aucune réaction ; le reto
troubles nerveux d'ordre réflexe consécutifs aux traumatismes des
membres
et qui étaient, au début de la guerre, si souvent
card désigne, sous le nom d'acro-contractures ou d'acromyotonies du
membre
supérieur, des contractures de la main en attit
du bras, sans réaction de dégénérescence. Les réflexes tendineux du
membre
malade étaient conservés. L'hypothèse d'une a
des différences dans leur degré d'intensité. Nous montrions que le
membre
malade subit d'une manière anormale l'influence
développent à la suite de bles- sures ou de divers traumatismes des
membres
et, parfois encore, à la suite de gelures. Dans
mplet, partiel, limité ; il prédomine volontiers dans un segment du
membre
, notamment à son extrémité; il diffère par ces
te, plus étendue, souvent totale et à laquelle tous les segments du
membre
participent fréquemment. Le trouble moteur réfl
OUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 561 presque complète d'un segment de
membre
. Cela n'est pas impossible mais nous semble au
territoire nerveux bien défini. Ils peuvent occuper la totalité du
membre
malade mais ils prédominent aux extrémités et s
nsm. 30 562 TROUBLES PHYSIOPATHIQUES sain avec le côté malade. Au
membre
inférieur, cette asymétrie dans la coloration e
itable, se déprimant en godet sous la pression du doigt, surtout au
membre
inférieur. Cet oedème peut être loca- lisé au d
i peut être très accentuée. L'écart de température observé entre le
membre
malade et le membre sain (température locale et
entuée. L'écart de température observé entre le membre malade et le
membre
sain (température locale et superficielle prise
d), et elle s'atténue progressivement de l'extrémité à la racine du
membre
. On constate, le plus souvent, qu'elle est encore
Après une immersion de courte durée dans de l'eau à 38° ou 4o", le
membre
malade devient dans certains cas aussi chaud et m
ade devient dans certains cas aussi chaud et même plus chaud que le
membre
sain ; la tache blanche produite par la pres- s
retour à la température antérieure est généralement plus rapide au
membre
sain. La température locale peut encore subir d
rde géné- ralement pas à se reproduire et l'hypothermie reparaît au
membre
malade qui est en quelque sorte hé térotherme .
trie est souvent beaucoup plus prononcée, du moins à l'extrémité du
membre
. C'est ainsi que : à {humérale et a la fémorale n
roubles étaient très mar- qués (1). Les oscillations observées au
membre
malade sont fréquemment, par rapport à celles d
bservées au membre malade sont fréquemment, par rapport à celles du
membre
sain, dans le rapport de 1 à 2 ou de 1 à 4 ; el
r la rendre manifeste d'immerger pendant quelques instants les deux
membres
symétriques dans de l'eau très froide. L'excitabi
dant il nous a semblé que, chez de tels sujets, la réfrigération du
membre
non traumatisé augmentait l'excitabilité méca-
és atteints de troubles nerveux d'ordre réflexe, après immersion du
membre
malade dans l'eau chaude, ou après diathermie, la
rèves. Certains auteurs ont pensé que, dans les cas de blessure des
membres
, la lenteur de la secousse provoquée par la per
Elle peut être très mar- quée dans certains groupes musculaires du
membre
malade et faire complètement défaut dans les au
elle des troubles moteurs à l'extrémité, surtout quand il s'agit du
membre
supérieur, l'amyotrophie atteint généralement t
git du membre supérieur, l'amyotrophie atteint généralement tout le
membre
jusqu'à sa racine. SURRÉFLECTIVITÉ et SUBREFLEC
ut être d'une appréciation difficile, car les réflexes tendineux du
membre
sain sont parfois, eux aussi, un peu forts. On ne
tendineux semblent plus souvent exagérés dans les contrac- tures du
membre
inférieur que dans les formes hypertoniques obser
du membre inférieur que dans les formes hypertoniques observées au
membre
supérieur. Cette différence est à rapprocher de c
ideur musculaire. Toutefois, même dans les contractures réflexes du
membre
inférieur, la surréflectivité tendineuse est so
en chez certains hommes atteints de troubles physio- spathiques des
membres
inférieurs, Société de Neurologie, 5 avril 1917.
1917. 568 TROUBLES PHYSIOPATHIQUES S marquée. Après immersion du
membre
atteint dans l'eau chaude le réflexe cutané rep
empérature locale 1\ propos d'un cas de paralysie, dite réflexe, du
membre
inférieur, Société de Neurologie. rz oclohre Igdi
E RÉFLEXE 56g Dans plusieurs cas de parésies réflexes atteignant le
membre
inférieur, nous avons observé de l'hypoesthésie
de la narcose locale ou générale, une opération sanglante sur leur
membre
insensible. Ou, enfin, il faut accepter cette h
t pas rare de constater que les téguments, surtout à l'extrémité du
membre
malade, sont moites ; quelquefois même la peau
vée par un grand nombre d'au- teurs à la suite des traumatismes des
membres
. Elle est surtout mani- feste aux extrémités. S
en évidence : exagération élective de la réflectivité tendineuse du
membre
malade ; spasme provoqué partout effort de corr
mique ('). La plupart de ces faits concer- nent des contractures du
membre
inférieur. Dans quelques cas de contrac- tures
actures du membre inférieur. Dans quelques cas de contrac- tures du
membre
supérieur (main d'accoucheur), examinés dans les
toire du médian, que les réflexes ostéo-périostés et ten- dineux du
membre
supérieur sont ordinairement plus vifs du côté ma
existait chez cet homme des troubles vaso-moteurs et thermiques du
membre
inférieur gauche, de la surexcitabilité mécanique
sur les autres symptômes de même ordre qui avaient été constatés au
membre
blessé. Dans le cas que nous venons de relater
brachiale complète. Tous les mouvements des différents segments du
membre
sont abolis. La main et l'avant-bras légèrement
s avec le sphygmomanomètre de Pachon sont deux fois plus petites au
membre
paralysé qu'au membre sain, mais la pression syst
ètre de Pachon sont deux fois plus petites au membre paralysé qu'au
membre
sain, mais la pression systolique (méthode de R
ies discrètes n'atteignant d'une manière notable que l'extrémité du
membre
, on est fondé à soutenir que l'hystérie intervi
es, et les exercices auxquels le malade a été soumis réchauffent le
membre
auparavant en état d'hypothermie. Frappé par un
e pied est redressé. B... arrive même à sauter à cloche-pied sur le
membre
malade. Il se félicite du résultat obtenu et ne
é- dents peuvent se joindre des perturbations dans les fonctions du
membre
blessé résultant d'altérations musculaires, ten
re qu'une lésion destructive portant sur les voies sympathiques des
membres
doit déterminer des phénomènes du même ordre. N
lexe, pour ce qui concerne les phéno- (') Cette répercussion sur le
membre
symétrique de troubles nerveux qui avaient d'abor
symétrique de troubles nerveux qui avaient d'abord été localisés au
membre
blessé était particulièrement manifeste chez un o
de l'excitation. Ici au contraire le passage des phénomènes dans les
membres
du côté opposé a demandé deux ou trois mois, po
ne faiblesse, intermittente d'abord, puis durable et progressive du
membre
supérieur droit, de l'amyotrophie des muscles d
les de l'épaule et du bras et, six mois plus tard, une faiblesse du
membre
inférieur droit. Vers le milieu de 1917, : g8 T
rd environ, elle commença à éprouver une sen- sation de fatigue aux
membres
inférieurs et un engourdissement à la cuisse gauc
s'alita et, à partir d'octobre suivant, la motilité volontaire des
membres
inférieurs fut complètement abolie. Avant même qu
alitée, appa- rurent des mouvements spasmodiques involontaires des
membres
inférieurs qui augmentèrent en raison de la pro
ts volitionnels aux memhres inférieurs ; contracture en flexion des
membres
inférieurs, plus prononcée à gauche qu'à droite ;
née : dans la partie du tronc située au-dessous de l'ombilic et aux
membres
inférieurs sauf à la région sacrée, il y a une an
qui se manifeste sous l'influence d'excita- tions des téguments des
membres
inférieurs et de la partie sous-ombilicale de l'a
ns. Depuis 8 ans, elle est complète. (Cette femme est présentée aux
membres
du Congrès.) C'est probablement à cause de l'an
e temps, la malade commence à éprouver une sensation de fatigue aux
membres
inférieurs après une marche un peu prolongée ; pu
ilité à la température semble à certains moments un peu affaiblie aux
membres
inférieurs et à la partie inférieure du tronc ;
s la fin de juin : Abolition complète de la motilité volontaire des
membres
inférieurs. Contracture en extension. De temps
- lontaires déterminant une flexion modérée des divers segments des
membres
inférieurs. Surréflectivité tendineuse et signe
upérieure le neuvième segment dorsal. Troubles de sensibilité : aux
membres
inférieurs, sauf dans le terri- toire des derni
isparu ; la malade peut exécuter tous les mouvements élémentaires des
membres
infé- rieurs et il n'y a plus de mouvements spa
icile de mouvoir la tête et qu'il lui était impossible de remuer le
membre
supérieur et le membre inférieur gauches ; le c
e et qu'il lui était impossible de remuer le membre supérieur et le
membre
inférieur gauches ; le côté droit était normal
les de motilité, et l'intelligence parait tout à fait normale. Le
membre
inférieur gauche est contracture en extension et
en adduction ; les mou- vements volontaires des divers segments du
membre
sont très limités ; les mouve- ments passifs so
ntail et une tendance aux mouvements athétosiques des orteils. Le
membre
supérieur gauche présente aussi des troubles de m
à gauche. A droite, il n'y a pas de troubles de motilité, mais, au
membre
supérieur et au membre inférieur, la sensibilit
n'y a pas de troubles de motilité, mais, au membre supérieur et au
membre
inférieur, la sensibilité thermique, particulière
urant du mois de juin apparaissent des troubles de motilité dans le
membre
inférieur droit, qui se raidit un peu et que le m
pprends à la rentrée, au commencement d'octobre, que petit à petit le
membre
inférieur droit s'est complètement contracturé,
'est complètement contracturé, que la rigidité a atteint ensuite le
membre
supérieur droit, que le côté gauche est resté à p
tale, incapable de se mettre sur son séant, de mouvoir la tête, les
membres
inférieurs et les membres supérieurs, ou du moins
re sur son séant, de mouvoir la tête, les membres inférieurs et les
membres
supérieurs, ou du moins les mouvements qu'il pe
l a besoin, à ses repas, d'un infirmier qui lui donne à manger. Les
membres
inférieurs sont étendus, en adduction, serrés l'u
entement. Il est possible de faire exécuter aux divers segments des
membres
inférieurs quelques mouvements passifs, mais ce
gne de l'éventail. Les réflexes tendineux et les réflexes osseux du
membre
supérieur droit sont exagérés. Au membre supéri
et les réflexes osseux du membre supérieur droit sont exagérés. Au
membre
supérieur gauche, l'état des réflexes est semblab
d'étendre et de faire tourner un peu la tête, les mouvements de son
membre
supérieur droit sont améliorés au point qu'il p
de peut déjà se mettre sur son séant, il remue assez facilement les
membres
inférieurs dans son lit, et les fonctions de la v
due celles du rectum s'effectuent normalement. Le 14 novembre, le
membre
supérieur droit est revenu à peu près à la normal
urs de personne; la marche est encore chancelante et maladroite. Le
membre
inférieur droit fonctionne mieux que le gauche; l
roite. Le membre inférieur droit fonctionne mieux que le gauche; le
membre
supérieur droit est tout à fait normal; le memb
que le gauche; le membre supérieur droit est tout à fait normal; le
membre
supérieur gauche est celui où l'amélioration a ét
marquée ; elle est pourtant incontestable. Les réflexes tendineux des
membres
inférieurs sont forts ; il y a encore de la tré
n et de l'adduction réflexes des orteils. Les réflexes tendineux du
membre
supérieur droit sont forts ; la percussion du r
'y a pas de D. R., mais le deltoïde, le biceps et les extenseurs du
membre
supérieur gauche présentent un léger degré d'hypo
nt de troubles de motilité qui atteignent d'abord exclusivement les
membres
supérieurs et inférieurs du côté gauche, ainsi
constate une contracture généralisée au cou, au tronc et aux quatre
membres
, rendant le malade absolument impotent, incapable
at des réflexes tendineux et des réflexes cutanés, l'amyotrophie du
membre
supérieur gauche, la thermoasymétrie et la thermo
ale. Huit jours environ après la première séance radiographique, le
membre
supérieur droit peut se mouvoir suffisamment po
3g 60 THÉRAPEUTIQUE le malade a recouvré intégralement l'usage du
membre
supérieur droit et en partie celui du membre su
tégralement l'usage du membre supérieur droit et en partie celui du
membre
supérieur gauche; il remue la tête et le tronc
que, se manifestant par des douleurs en ceinture, de la parésie des
membres
inférieurs avec épilepsie spinale, signe des or
d'une contracture généralisée au cou, au tronc, ainsi qu'aux quatre
membres
, et due vraisemblablement à une compression de la
btenue ; on constate encore un peu de rigidité, de l'amyotrophie au
membre
supérieur, des réflexes tendineux exagérés et de
pied droit d'abord, puis dans le pied gauche et de la faiblesse des
membres
inférieurs, plus prononcée à droite qu'à gauche.
se à s'aggraver et dans le courant du mois de mars la paralysie des
membres
inférieurs devient complète. Elle est admise da
la Pitié à la fin de mars et voici ce que je constate alors. Les
membres
inférieurs sont absolument privés de tout mouveme
uelle de la raideur musculaire. Par l'électrisation fara- dique des
membres
inférieurs, principalement à la face interne de l
clinica medica, anno VII, n° 45, igo6, Firenze. 6r4 THÉRAPEUTIQUE
membres
supérieurs, le cou et la face sont, en ce qui con
e douleurs, mais il y a des troubles anesthésiques qui occupent les
membres
inférieurs, remontent un peu au- dessus du pli
- dessus du pli de l'aine, sont surtout prononcés à l'extrémité des
membres
inférieurs, s'atténuent de bas en haut, sont pl
'une manière progressive. Au commencement de décembre la raideur du
membre
inférieur gauche a diminué au point qu'on peut
au point qu'on peut faire exécuter facilement aux divers segments du
membre
infé- rieur gauche des mouvements passifs ; la
déplacer dans son lit et tourne son corps à gauche et à droite ; le
membre
inférieur droit est toujours très contracture.
chaises qu'elle tient par le dossier et qui lui servent d'appui. Le
membre
inférieur droit est encore bien plus faible que
dans les reins, dans les deux jambes et plus spéciale- ment dans le
membre
inférieur gauche. Les troubles de la marche sont
ue. Paralysie partielle ou systématique des fonc- tions motrices du
membre
inférieur gauche (Id.). 35. Paralysie hystériqu
Paraplégie crurale par mal de Pott dorsal. Névrites périphériques des
membres
inférieurs (en collaboration avec Zachariades.
médicale, 27 juillet 1898). 49. De quelques mouvements associés du
membre
inférieur paralysé dans l'hémiplé- gie organiqu
ie, 9 janvier igo8). rLt8. Instabilité hystérique (pithiatique) des
membres
et du tronc (Id., 5 mai 1908). 1119. Spondylose
ment. Société de Neurologie, 9 novembre 1916). 243. Hyperthermie du
membre
supérieur après résection d'un anévrisme axillair
e, 3 mai J917)' 247. Paraplégie organique. Troubles vaso-moteurs au
membre
supérieur droit avec meiopragie et sans modific
a claudication intermittente après ligature de l'artère principale du
membre
inférieur (en collaboration avec Heitz. Société
nt de la circulation après oblitération de l'artère principale d'un
membre
(en collaboration avec Heitz. Archives des mala
troubles que détermine la lésion de l'artère dans les fonctions du
membre
blessé (en collaboration avec Heitz. Archives d
s liens de l'hérédité'. Il n'y a donc rien d'étonnant à ce que deux
membres
de cette famille présentent une ressemblance pl
e tremblement devient encore plus manifeste. La tète, le corps, les
membres
inférieurs tremblent. En outre il traîne la jambe
Le tracé précédent a été enregistré dans ces conditions. Dans le
membre
supérieur gauche, ce tremblement existe mais moin
lète, absolue pour toutes les modes dc la sensibilité au niveau des
membres
supérieur et inférieur; elle est incomplète quoiq
malade couché. Dans le décubitus horizontal, lorsque la tête et les
membres
reposent complètement sur le plan du lit, on ne c
'il étend ses bras ou ses jambes, le tremblement se montre dans ces
membres
. Il cesse dès qu'ils reviennent au repos. Exa
'ils reviennent au repos. Examen du malade assis sur une chaise. Le
membre
inférieur gauche, quoique reposant sur le sol,
t pour ainsi dire la mesure sur le parquet. Dans celte-attitude, le
membre
intérieur droit, les membres supérieurs, le tronc
sur le parquet. Dans celte-attitude, le membre intérieur droit, les
membres
supérieurs, le tronc appuyés ne tremblent pas.
ter les arcades dentaires, menaçant de briser les dents. Dès que le
membre
repose de nouveau sur la table, les secousses s
du malade debout et dans la marche. Dès que le malade se lève, ses
membres
inférieurs se mettent à trembler; le tronc, la tê
t une demi-heure sans pouvoir se relever, sans pouvoir remuer aucun
membre
. Puis il put se remettre au lit et se rendormir.
légères vibrations dans le bras droit. Lorsqu'il se met debout, le
membre
inférieur droit est agité de secousses rhythmiq
s réflexes rotuliens et plantaires sont presque abolis à droite. Le
membre
supérieur droit, dans l'acte de porter un verre à
trois semaines après l'avortement, qu'est survenue la paralysie des
membres
inférieurs. Le début a dû être rapide, car dès
lysarcie. Para- plégie complète. Anesthésie sur toute l'étendue des
membres
inférieurs et généralisée mème à des degrés dif
inale ni de troubles trophiques. Les pieds sont en varus équin. Aux
membres
supérieurs, la force musculaire est diminuée surt
u réflexe pharyngé. L'ouïe est diminuée surtout du côté gauche. Les
membres
infé- rieurs sont dans l'extension, les pieds e
les pieds en varus équin. Les réflexes sont normaux aux genoux. Les
membres
supérieurs sont parésiés. Au dynamo- mètre : ma
la date de son apparition. C'est un tremblement général de tout le
membre
supérieur. La langue est agitée d'un tremblement
ien. 2 mat 1889. Le réflexe rotulien est exagéré du côté gauche. Le
membre
supérieur droit tremble continuellement. Ce tre
fait lever la main à la malade et dans les mouvements voulus. Dans le
membre
supérieur gauche, il y a, presque toujours, un
lève à une hauteur de 15 centi- mètres environ. Le 14, elle lève le
membre
inférieur à 10 centimètres au- dessus du plan d
araplégie peut être considérée comme guérie. Seul le tremblement du
membre
supérieur droit persiste; il présente les carac
age; il reste, en effet, maître du degré d'impulsion adonner il ses
membres
; il était toutefois vite fatigué. Pas de signe
d, on détermine une trépidation intense et prolongée. Au repos, les
membres
supérieurs ne présentent aucun tremblement; mai
cillations communiquées. Dans les mouvements que l'on imprime à ses
membres
, on sent une résistance, une raideur, une sorte
encore. Il y a dix-huit mois, elle éprouva de la faiblesse dans les
membres
supérieurs ; depuis cette époque, elle a été co
e émet des sons et des cris inarticulés de tonalité différente. Les
membres
supérieurs sont fléchis et appuyés sur sa poitr
re main à son visage, surtout si elle tient un objet quelconque, le
membre
est pris d'un violent tremblement analogue à ce
IÈRE. as one sees in typical cases of disseminated sclerosis. » Les
membres
infé- rieurs sont faibles; elle peut cependant
bras, le trem- blement intentionnel, la paralysie avec rigidité des
membres
inférieurs, l'exagération des réflexes rotulien
A dater de ce jour, la batterie lut appliquée tous les jours, sur les
membres
supérieurs et inférieurs, et il s'ensuivit une
plet d'articuler et d'émettre des sons; on notait également que les
membres
supérieurs, qui, quelques jours auparavant, ne
ait aussi une amélioration notable dans la puissance musculaire des
membres
inférieurs, quoiqu'elle ne pût encore ni marcher
archer normalement; elle avait entièrement perdu le tremblement des
membres
supérieurs « the entirely lost the tremor in he
t conservé toujours la faculté de parler et le parfait usage de ses
membres
inférieurs et supérieurs. Le 22 février 1888, e
e spasmodique datant de cinq ans, du tremblement intention- nel des
membres
supérieurs remontant à deux ans, de l'absence de
ues dans l'état actuel, la parésie, la rigidité, la trémulation des
membres
inférieurs, les accès de convulsions toniques dét
suivants : chute, sans perte de connaissance, contracture des quatre
membres
, avec flexion des doigts dans la paume de la ma
gts dans la paume de la main, secousses convulsives des muscles des
membres
et de la nuque, le tout durant à peu près un quar
ontracture qu'il était toujours très facile de faire apparaître aux
membres
inférieurs, par une exci- tation quelconque, so
et s'étendait bientôt aux autres régions musculaires, au tronc, aux
membres
supérieurs et à la nuque. En même temps, la vue
SALPÊTRIÈRE. des douleurs fulgurantes tantôt sur quelque point des
membres
inférieurs, tantôt dans le dos, le long de la c
suffit de tirer légèrement les poils pour provoquer, dans les deux
membres
inférieurs, une violente trépidation. Le réflex
provoque éga- lement des mouvements convulsifs avec trépidation des
membres
inférieurs en essayant de fléchir le pied, cont
ts accès de colère. En 1880, il commença à avoir du tremblement des
membres
inférieurs, puis des membres supérieurs. L'écri
il commença à avoir du tremblement des membres inférieurs, puis des
membres
supérieurs. L'écriture était gênée, cependant une
faiblesse dans les jambes, des douleurs dans la région sacrée et les
membres
inférieurs avec sensation d'insensibilité des m
ntaires, une expression hébétée du visage, de la faiblesse dans les
membres
. Il ne marchait qu'avec un appui, raide et mena
rtante de tous les symptômes. Le malade marche seul, se sert de ses
membres
supérieurs, parle mieux. Il y a encore un léger
geole simple. Depuis six mois, N... se plaint de faiblesse dans les
membres
inférieurs ; la marche est devenue difficile et
le milieu de septembre, il se plaignit de grande faiblesse dans les
membres
inférieurs et d'incertitude dans la marche, il
t : lorsqu'il est dans la situation horizontale, il peut élever ses
membres
au- dessus du plan du lit, assez haut, mais ces
tion des réflexes rotuliens des deux côtés et trépidation spéciale.
Membres
supé- rieurs. Si on ordonne un mouvement au mal
ence, la main se met à trembler et les secousses cessent dès que le
membre
reprend la position de repos sur le thorax. Les
En 1874, le malade, couché dans la position horizontale, tremble du
membre
supérieur droit; le gauche, au repos, tremble p
embre supérieur droit; le gauche, au repos, tremble peu ou pas. Les
membres
inférieurs tremblent également au repos. Il mar
as, les genoux à peine fléchis; il marche même les yeux fermés. Les
membres
inférieurs ne tremblent plus dans la station de
urs ne tremblent plus dans la station debout ni dans la marche. Aux
membres
supérieurs les mouvements sont accompagnés de t
l'ouïe qui est affaiblie, sont intacts. La tète ne tremble pas. Les
membres
supérieurs sont immobiles au repos; ils sont an
remblement rhythmique dès que le malade exécute un mouve- ment. Les
membres
inférieurs ne tremblent pas. Réflexes rotuliens e
l a déjà eu des ictus analogues. Le 21 septembre, nouvel ictus. Les
membres
sont froids, et les avant-bras rigides et viola
uteur des coudes. Le 1G octobre, paralysie avec refroidissement des
membres
inférieurs. Le 18 octobre, tremblement des memb
roidissement des membres inférieurs. Le 18 octobre, tremblement des
membres
supérieurs plus violent. Vertiges et chutes. Le
ments volontaires, comme dans la sclérose en plaques. Au repos, les
membres
inférieurs] ne tremblent pas. Quand il veut mar
arut un tremblement des mains coïncidant avec l'affaiblissement des
membres
inférieurs. Ce tremblement a pour caractère d'è
e grave. Les principaux symptômes sont un fort tremblement dans les
membres
qui s'accentue lors des mouvements voulus. Il y a
LE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. excepté), une parésie notable du
membre
inférieur gauche, et de la faiblesse dans les m
sie notable du membre inférieur gauche, et de la faiblesse dans les
membres
inférieurs avec exaltation des réflexes tendineux
. Il se met à trembler à partir de ce moment, à trembler des quatre
membres
, mais avec une prédo- minance marquée du côté d
rès un séjour en Suisse. Elle éprouve une sensation bizarre dans le
membre
inférieur droit, comme si elle était couverte d'u
les planches annexées à ce travail, est considérable au niveau des
membres
supérieurs, du thorax et du cou, si bien que,les
ns inversion de la formule. Les réflexes tendineux sont absents aux
membres
supérieurs, le réflexe patellaire est affaibli
que les réflexes tendi- neux, loin d'être exagérés, font défaut aux
membres
supérieurs. /0(,t r'FeV , C4 cet(Ul#Q. . 2' (LQ
le malade entra a l'Hôtel-Dieu, il était absolument impotent de ses
membres
supérieurs. Déjà depuis plusieurs mois, depuis
jusqu'à ce moment, les lésions n'avaient point augmenté du côté des
membres
supérieurs, l'impotence et l'atrophie étaient res
phie musculaire est considérable au niveau du cou, du thorax et des
membres
supérieurs. Elle n'existe'pas au,niveau de la.fac
ongue* POLIOENCÉPHALOMYÉLITE. - ATROPHIE MUSCULAIRE DU COU ET DES
MEMBRES
SUPÉRIEURS LECROSNIER & BABÉ DE L'OPHTIIA
bord elle paraît se répartir à peu près également, et le segment de
membre
a conservé presque complè- tement sa forme. Aux
dans les mouvements d'opposition et d'ad- duction des pouces. Les
membres
inférieurs, la moitié inférieure du tronc, parais
tures lorsqu'il est au lit. Ce phénomène n'existe pas au niveau des
membres
supérieurs ni du cou; on le constate seulement au
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Les réflexes tendineux des
membres
supérieurs manquent totalement. Aux membres inf
réflexes tendineux des membres supérieurs manquent totalement. Aux
membres
inférieurs le réflexe rotulien droit est très aff
même pas se tenir debout, commence à marcher. Néanmoins, l'état des
membres
supérieurs est resté stationnaire. Les muscles so
action de dégénérescence fait défaut. Les réflexes sont absents aux
membres
supérieurs et il n'y a ni paralysie des sphinct
gauche se releva pour retomber bientôt après. Pendant'ce temps, les
membres
infé- rieurs continuaient à s'affaiblir et à s'
sque collés au corps, les mains reposent mollement sur les cuisses.
Membre
supérieur gauche. Dynamomètre = 0. La main ne ser
e deltoïde réduit à une lame musculaire insignifiante. L'atrophie des
membres
inférieurs est'très prononcée, particulièrement
laire; l'inversion de formule fait complètement défaut. Exemple :
Membre
supérieur droit : Nouvelle Iconographie DE la S
ilité de se boutonner lui-même. La sensation de refroidissement aux
membres
inférieurs était moins accusée, la coloration vio
'appareil. Pendant toute cette période d'immobilisation au lit, les
membres
supérieurs avaient fait quelques pro- grès, mai
t, les membres supérieurs avaient fait quelques pro- grès, mais les
membres
inférieurs avaient perdu ce qu'ils avaient gagné
rique suffit, chez certains malades, à abaisser la tem- pérature du
membre
anesthésie. La main est parésiée, immobile, et da
uperpose presque toujours à une contracture ou à une paralysie d'un
membre
. » Nous eussions volontiers étudié chez notre m
sion du plaisir et de la joie. Il ne se produit aucun mouvement des
membres
. Verre bleu. Elle fronce les sourcils et sa phy
chématiques annexés à ce travail, et qui sont mis sous les yeux des
membres
dit Congrès, correspondent des opérations 1> ?
tractures et que la contracture va en dimi- nuant de l'extrémité du
membre
à sa racine. Les doigts en extension forcée son
t une consistance presque ligneuse. En mesurant la circonférence du
membre
des deux côtés on observe des différences d'un
ntre, la généralisation du trouble moteur, sa localisation aux deux
membres
inférieurs, à ceux d'un même côté du corps, etc.,
ue de la sclérose en plaques; un troisième, par sa localisation aux
membres
inférieurs et son rhythme, rappelle à s'y mépre
manière passive, ils ne tremblent pas pour leur propre compte. Aux
membres
inférieurs, les avant-pieds ne quittent pas le so
ent prend aussitôt une amplitude notable- ment plus grande dans les
membres
soulevés. Mais si on vient à lui commander un a
emblement nul au repos, provoqué par un mouvement t intentionnel du
membre
supérieur. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYST
embre supérieur. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 111
membres
, le corps tout entier entre dans un état d'agitat
ine à se tenir debout et menace de tomber. Dans cette attitude, les
membres
inférieurs sont animés de légers mouvements de
ou bien en hésitant, les jambes écartées, ou bien en raidissant les
membres
inférieurs comme pour éteindre les secousses du
enne à soulever sa tête au-dessus de l'oreiller, à élever un de ses
membres
au-dessus du plan du lit, le tremblement se rep
de au repos, puis en marche). F.r. 28. Malade assis. Tremblement du
membre
supérieur droit persiste au repos, s'accentue .
variétés de tremblement hystérique, prédomine généralement dans les
membres
d'un des côtés du corps, qu'il peut se localiser
t se localiser diver- sement, respectant tantôt la tête, tantôt les
membres
inférieurs, etc., qu'il s'exagère sous l'influe
mains sur ses genoux, sa tète pourra osciller encore un peu et ses
membres
inférieurs trépi- der, si sa paraplégie spasmod
Le sens musculaire est également aboli dans les divers segments du
membre
supérieur et du membre inférieur du même côté.
également aboli dans les divers segments du membre supérieur et du
membre
inférieur du même côté. Anesthésie pharyngien
t se meut librement dans tous les sens. , 2° Une parésie légère des
membres
du côté gauche. Le malade accuse de lui-même ce
voqués avec résistance de la part du malade, les divers segments du
membre
supérieur et du membre inférieur opposent une r
de la part du malade, les divers segments du membre supérieur et du
membre
inférieur opposent une résistance beaucoup moin
t voici quels sont ses caractères : il est généralisé, la tôle, les
membres
et le corps tout entier sont 1 secoués, quand l
u moins de rapidité. Elles sont surtout accentuées à la tète et aux
membres
inférieurs. Aux membres supérieurs le trembleme
es sont surtout accentuées à la tète et aux membres inférieurs. Aux
membres
supérieurs le tremblement est relativement moin
tense; les oscillations se montrent plus régulières, plus larges au
membre
supérieur droit qu'au membre supérieur gauche.
ntrent plus régulières, plus larges au membre supérieur droit qu'au
membre
supérieur gauche. A la tête les oscillations se
nsion ; nous nous en sommes assuré en immobilisant complètement les
membres
inférieurs du malade par une pression très éner
ne cessent ni dans la station assise ni dans la station debout. Aux
membres
supérieurs, le tremblement est particulièrement p
ment pro- noncé au niveau des mains, quelle que soit l'attitude des
membres
supérieurs. Qu'ils soient pendants le long du c
usquerie, et le contenu du verre est projeté de toutes parts. Les
membres
inférieurs, quand le sujet esl debout, sont animé
ins redouble. L'attitude qui favorise le mieux le tremble- ment des
membres
inférieurs est celle que présente le sujet quand
à lui-même, la trépidation reparaît. Les secousses se succèdent aux
membres
inférieurs avec une régularité parfaite. Toutef
chez notre malade. Les mains tremblent sans cesse, comme aussi ses
membres
IV. 9 122 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
mblement rémittent-intentionnel portant sur la langue et les quatre
membres
. OBs. V (Cette observation nous a été communiqu
présente dans le cabinet du Dr L... pour un tremblement des quatre
membres
qui le gêne beaucoup pour écrire, manger et par
ce 'qui l'inquiétait c'était un tremblement assez accentué des deux
membres
supérieurs. A son grand ennui, il écrivait avec p
ns. Ce tremblement devint de plus en plus fort et se généralisa aux
membres
inférieurs. A son dire, il sautait à une hauteur
er. Parfois au lit même il avait de très forts soubresauts dans les
membres
. Cet état persista plusieurs mois et s'amenda a
enda au point de rendre la marche possible. Seul le tremblement des
membres
supérieurs nc diminuait pas. Il y a dix-huit
pesanteur en avant de la poitrine, mais n'irradiait dans aucun des
membres
supérieurs. La crise douloureuse dura deux heur
t pas lente, au contraire. Le malade ne cherche pas ses mots. Les
membres
supérieurs au repos sont animés d'un tremblement
verse tous les liquides sur moi. » L'écriture est impossible. Les
membres
inférieurs sont animés d'un léger tremblement tré
un exemple de tremblement hystérique de rhythme moyen localisé aux
membres
inférieurs. L'aspect du sujet était très analog
pour établir le diagnostic. Ons. VIII. Tremblement hystérique des
membres
inférieurs simulant la trépidation des paraplég
droite. Les secousses envahirent, au bout de quelques instants, le
membre
inférieur gauche. Le lendemain, quand il voulut
e malade présente un tremblement incessant et très intense des deux
membres
inférieurs. Quand il est assis, les pieds repos
malement. Il n'y a aucun trouble de la motilité, ni à la face ni aux
membres
supérieurs.La tête ne tremble pas, La parole n'
ne toujours et immédiatement une recrudes- cence du tremblement des
membres
inférieurs, alors même que le malade est couché
ute la moitié gauche du corps. La parésie portait à la fois sur les
membres
et sur la face ; sa force de la main droite, me
nettes et moins aiguës du côté gauche que du côté droit. Enfin, les
membres
du côté gauche étaient le siège d'un tremblemen
e tremblement était moins fort dans les mouvements intentionnels du
membre
inférieur gauche, cepen- dant il était très man
uis un an et radicalement guéri de son tremblement intentionnel des
membres
du côté gauche. L'aimantation avait opéré un vé
nostic de sclérose en plaques, survint un tremblement rhythmique du
membre
supérieur droit, que je ne pouvais accorder ave
ent à la même famille. Il faut avant tout faire la part de chaque
membre
de cette associa- tion. Si la juste répartition
DES PARAPLÉGIES SPINALES Déterminer la cause d'une paralysie des
membres
inférieurs est un des problèmes les plus ardus
demande de nouvelles recherches. Assurément, dans une paralysie des
membres
inférieurs consécutive à une fracture de la colon
es. Quelle que soit sa cause première, la paralysie organique des
membres
inférieurs peut être complète du incomplète; entr
violent, accident de chemin de fer, peut produire une paralysie des
membres
inférieurs. Dans les cas typiques, ce'te paraly
lement du côté droit, surtout quand le malade veut marcher. Dans le
membre
inférieur droit, l'impotence est presque absolue,
Dans le membre inférieur droit, l'impotence est presque absolue, le
membre
est flasque, inerte, avec un peu d'arthralgie d
st celle de la paralysie hystérique. Troubles de la sensibilité. Le
membre
inférieur est insensible sans aucune relation a
en avant par le pli de l'aine, en arrière par la crête iliaque. Le
membre
est anesthésié morphologiquement. Cette anesthé
06). Paralysie hystéro-traumatique consécutive ci une contusion des
membres
inférieurs (fig. 29, 30). 142 NOUVELLE ICONOG
e était manifeste. Le traumatisme, les ecchymoses, la paralysie des
membres
inférieurs, etc., tout pouvait faire croire à u
avec la main, la région dorsale, pour déterminer une paralysie des
membres
inférieurs. Cette paralysie motrice s'accom- pa
douleur au poiut frappé, de lourdeur et d'engourdissements dans les
membres
inférieurs. C'est comme si elle n'avait pas de ja
i ne siégeait avant l'expérience que du côté droit, occupe les deux
membres
inférieurs ; elle est complète pour tous les mo
lle sens arlirrrlaire sont abolis dans les divers segments des deux
membres
inférieurs. La motricité est complètement abolie
x membres inférieurs. La motricité est complètement abolie dans ces
membres
. Les réflexes rotuliens sont conservés. Chez S...
te, durant ces expériences, l'anesthésie se concentre dans les deux
membres
inférieurs et quitte le reste du corps. Expérie
expéri- mentalement, elle tombe brusquement avec une paralysie des
membres
inférieurs. Les troubles moteurs sont analogues
ne anesthésie cutanée complète et totale, exclusivement limitée aux
membres
inférieurs et dont la limite supé- rieure est r
paraplégies hystériques ne répondent ni à une lésion des nerfs des
membres
inférieurs, ni à une lésion spinale; elles ne s
région lombaire. La pression à ce niveau n'est pas douloureuse. Les
membres
inférieurs sont complètement paralysés, le tron
Les membres inférieurs sont complètement paralysés, le tronc et les
membres
supérieurs sont nor- maux. Absence des réflexes
MULATEURS 1). 147 et de la sensibilité est encore complète dans les
membres
inférieurs, qui s'atrophient. Les réflexes sont
des yeux normal. - Aeril 1889. Pas de changements appréciables. Les
membres
inférieurs sont ri- gides ; ils sont atrophiés;
consécutivement à un traumatisme, se trouve frappé de paralysie des
membres
inférieurs, il faut donc penser à l'hystérie. Il
hyperesthésie. Non seulement l'anes- thésie cutanée atteint ici les
membres
inférieurs, mais encore les organes génitaux, l
état pendant quelque temps. Il n'existait alors aucune atrophie de
membres
. Les membres inférieurs présentaient seulement
quelque temps. Il n'existait alors aucune atrophie de membres. Les
membres
inférieurs présentaient seulement un certain de
muscles s'atrophiaient et devenaient mous et flasques dans les deux
membres
supérieurs. Enfin dans les derniers temps appar
r encore et ainsi de suite. 11 en était de même pour la parésie des
membres
supérieurs. État actuel (juin 1890). Le signe l
u au mouvement passif de flexion de la tête en avant. Au niveau des
membres
supérieurs, la faiblesse va presque jusqu'à la pa
és les muscles longs supinateurs sont relativement conservés. Les
membres
inférieurs sont affaiblis, mais on n'y peut const
e véritable. Les réflexes tendineux du genou sont normaux; ceux des
membres
supérieurs sont complètement absents. La sensib
tence de secousses fibril- laires dans les muscles atrophiés de ses
membres
supérieurs. Les réactions électriques des muscl
s le cas de Sachs, et ce n'est qu'au bout d'un an que l'atrophie du
membre
inférieur droit commença à apparaître. La paral
ace de stewart qu'on lui offrait, parce qu'il ne pouvait bouger son
membre
inférieur droit d'un centimètre (orteils, jambe,
ement lente de l'affection. Caractère particulier, l'atro- phie des
membres
supérieurs, qui a débuté par les muscles de l'épa
supérieur mais par la moelle. Les noyaux commandant aux muscles des
membres
, les premiers lésés, sont atteints depuis quatr
re ans d'une sensation de faiblesse et de pesanteur dans les quatre
membres
et dans le cou. La maladie a commencé après une
sorte que, il y a quatre ans, les noyaux commandant aux muscles des
membres
ont été les premiers lésés, que ceux des muscles
anteau royal une dalmatique, vêtement des diacres. Enfin, comme les
membres
du clergé, ils avaient lé privilège de communie
ces, paraît encore le siège d'une infiltration oedémateuse. Sur les
membres
inférieurs, la lésion est moins prononcée, mais
ment de quelques douleurs subjectives le long du rachis et dans les
membres
inférieurs, spécialement au moment de ses crise
par les os du crâne. Etat mental. - Amnésie, pleurs faciles. Les
membres
supérieurs sont affaiblis (surtout le droit). D
main gauche, 15 kilogr. Cependant la malade peut exécuter avec ses
membres
supérieurs tous les mouvements qu'on lui comman
mbre de 5 1/2 par seconde. Elles ne cessent jamais, ni lorsque le
membre
supérieur droit est au repos. 182 NOUVELLE ICON
aboyant. La malade eut très peur, elle se mil à trembler de tous ses
membres
; ses jambes se dérobaient sous elle, elle dut
nuer sa promenade. Mais l'émotion, le tremblement, la faiblesse des
membres
inférieurs, se calmèrent peu à peu et disparurent
ée de se coucher. Quelques heures après, le tremblement envahit les
membres
supérieurs et la tête; et depuis ce jour il a tou
u bras d'un aide. Cet affaiblissement musculaire existe aussi aux
membres
supérieurs. Les mouvements en sont lents, inhab
- blent l'indiquer, la parésie est-elle un peu plus grande dans les
membres
du 184 . NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
ed fait complètement défaut. Il n'y a pas trace de contracture. Aux
membres
supérieurs les réflexes tendineux du coude et du
boratoire de la clinique.. Peu à peu les forces revenaient dans les
membres
inférieurs, la malade pouvait marcher, monter e
tement. Voici quels étaient ses caractères. La tête et les quatre
membres
sont animés de secousses parfaitement rhyth- mé
t rhyth- mées, le tremblement est donc généralisé. Il prédomine aux
membres
in- férieurs. Là il consiste en des mouvements
les parties latérales l'aspect ridé est assez marqué. Au niveau des
membres
, soit dans les membres supérieurs soit dans les
'aspect ridé est assez marqué. Au niveau des membres, soit dans les
membres
supérieurs soit dans les inférieurs, les plis s
autant plus accusés qu'on se rap- proche davantage de la racine des
membres
, tandis que les extrémités à pro- prement parle
e les extrémités à pro- prement parler sont presque intactes. Aux
membres
supérieurs, les aisselles sont garnies de quelque
carpe et du métacarpe où la peau est très nettement plissée. Aux
membres
inférieurs, le pubis est garni de poils de nombre
nt à sa femme qu'il avait peur d'être paralysé. « Le tremblement du
membre
supé- rieur droit était devenu incessant; la ja
, il éprouva tout à coup « comme des secousses électriques dans les
membres
, puis quelque chose lui monta il la gorge, il éto
rque que sa jambe et son bras droits tremblaient plus fort, que ces
membres
étaient devenus beaucoup plus faibles. Deux jou
issement général, il existe chez lui une parésie très prononcée des
membres
du côté droit. Sensibilité. On constate une ane
ne émotion grandissante qui le faisait parfois trembler de tous ses
membres
et qu'il ne pouvait pas maîtriser. Il passa la
- tion des autres modes de la sensibilité ), qui s'étend il tout le
membre
supé- rieur droit partir du tiers inférieur du
elle présente d'ailleurs un tremblement très intense qui occupe le
membre
supérieur droit. Ce tremblement que nous avons
r une recrudescence des secousses, les fait cesser un moment. D Aux
membres
supérieurs, le tremblement a des allures plus cap
ccge : neurasthénie et hystérie. Tremblement hystérique localisé au
membre
supérieur droit et accompagné de mouvements choré
se modi- fier pendant près de trois mois. Un jour, la rigidité des
membres
cessa brus- quement et le malade recouvra « com
culaire est aboli à droite; 2° une hyperesthésie cutanée de tout le
membre
inférieur gauche, la plante du pied exceptée ;
romatopsie; 5° une parésie des.membres du côté droit prédominant au
membre
supérieur. Exploration dynamométrique : main ga
namométrique : main gauche, 70 kilogr. ; main droite, 15 kilogr. Le
membre
supérieur est atrophié dans son ensemble. Au bras
on bras pour tous les actes de la vie usuelle. L'affaiblissement du
membre
inférieur droit ne l'empêche pas non plus de co
non plus de courir, de faire de longues marches. Tremblement. Le
membre
supérieur droit est le siège d'un tremble- 198
il s'agit d'un tremblement rapide, à forme vibratoire, localisé au
membre
supérieur droit. Nous n'avons pas pu constater
alade en présente parfois un autre, mais d'une forme différente, au
membre
inférieur droit. Comme le précédent, il n'appar
i- ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 19 ? Motilité. Le
membre
supérieur droit est notablement parésie. Au dyn
ain dans tous les sens. Mais elle est incapable d'accomplir avec ce
membre
les actes qui nécessitent un déploiement d'éner
sculaire n'est pas seul en cause dans l'incapacité fonctionnelle du
membre
supérieur droit. Le tremblement dont il est ani
ure; les réflexes tendineux du poignet et du coude sont normaux. Le
membre
supérieur gauche, les membres infé- rieurs, la
u poignet et du coude sont normaux. Le membre supérieur gauche, les
membres
infé- rieurs, la face, la langue ne présentent
rquée de l'acuité auditive de l'oreille droite. ~ Le tremblement du
membre
supérieur droit que nous allons maintenant décr
ous a-t-elle dit. Il a toujours persisté depuis. Il est localisé au
membre
supérieur droit. Il existe au repos et pendant le
volontaires. Les secousses sont surtout prononcées à l'extrémité du
membre
. La main exécute de petits mouvements incessants,
MIPLÉGIQUE Ons. XVII. Hystéro-épilepsie. Tremblement hystérique des
membres
supérieur et inférieur du côté droit. Le nomm
'ivresse furieuse, criant et frap- pant à tort et à travers sur les
membres
de sa famille. CaIL.. éprouva une frayeur très
e, nous dit-il, il ne pouvait incliner sa tète dans aucun sens; ses
membres
étaient rigides, immobilisés en extension parla
d'hystérie qu'il s'installa définitivement. Il existait alors au
membre
supérieur et au membre inférieur droits. Depuis
nstalla définitivement. Il existait alors au membre supérieur et au
membre
inférieur droits. Depuis quelque temps il a ces
inférieur droits. Depuis quelque temps il a cessé de se montrer au
membre
inférieur, mais il a toujours persisté à la mai
e, neurasthénie et hystérie consécutives. Tremblement hystérique du
membre
supérieur droit. Armandine Roug..., âgée de sei
de et sa mère ne peuvent fournir aucun renseignement sur les autres
membres
de leur famille. Antécédents personnels. - Cett
ournée. Ce tremblement, accompagné d'un degré notable de parésie du
membre
supérieur droit, a toujours persisté depuis. Ju
r et à la température dans toute la moitié droite du corps. Mais le
membre
supérieur droit est le siège d'une anesthésie abs
ille droite bourdonne plus fort ; cela dure une minute au plus- Les
membres
ne se raidissent pas, le tremblement ~ ne s'acc
is jours. Tremblement. Ce tremblement est localisé exclusivement au
membre
supérieur et au membre inférieur du côté droit.
Ce tremblement est localisé exclusivement au membre supérieur et au
membre
inférieur du côté droit. Les membres du côté gauc
ement au membre supérieur et au membre inférieur du côté droit. Les
membres
du côté gauche ne sont le siège d'aucune secous
x, la langue, la face, ne tremblent pas non plus. Le tremblement du
membre
supé- rieur droit est en quelque sorte indépend
mbre supé- rieur droit est en quelque sorte indépendant de celui du
membre
inférieur. Les secousses n'apparaissent pas sim
jambe qui tremble, le bras restant au repos, et vice versa. Chaque
membre
paraît trembler pour son compte, séparément. Il a
rive cependant quelquefois qu'ils tremblent simultanément. C'est au
membre
supérieur que le tremblement se montre prédomin
se montre prédominant et de beaucoup. Les oscillations rhythmées du
membre
supérieur n'existent pas constam- ment. Parfois
. Parfois, que la malade soit assise, debout, ou bien en marche, le
membre
supérieur reste en repos; la main droite repose a
d très faibles, mais elles grandissent aussitôt et immédiatement le
membre
supérieur entre en danse; le bras, en oscillant
nativement. Ces oscillations, au lieu de se géné- raliser à tout le
membre
supérieur, s'éteignent souvent après une série de
parfois que la main reste au repos, même étendue. Les mouvements du
membre
inférieur offrent les mêmes caractères : ils se
etc., aussi aisément sur un pied que sur l'autre. De môme avec le
membre
supérieur elle exécute tous les mouvements qu'o
douloureux. Points sus-orbilaire et sous-orbitaire des deux côtés.
Membre
supérieur. Au membre supérieur droit, tout le côt
us-orbilaire et sous-orbitaire des deux côtés. Membre supérieur. Au
membre
supérieur droit, tout le côté de la flexion, de
sont particulièrement douloureux. Tronc. Région ovarienne gauche.
Membres
inférieurs. Les deux régions inguino-crurales, le
es oculaires pen- dant un temps plus ou moins long. Chez Br..., les
membres
supérieurs sont tout d'abord intéressés; les ma
re ans d'une sensation de faiblesse et de pesanteur dans les quatre
membres
et dans le cou.... » L'atrophie poursuivit si b
la distribution de l'atrophie, qui tantôt reste cantonnée à un seul
membre
, tantôt suit une marche envahissante. Celle-ci
e il éprouve une sensation de refroidissement très intense dans les
membres
supérieurs; et cependant la peau n'est ni froid
ALMOPLÉGIE EXTERNE. 223 bulbaires ou spinaux. Les douleurs dans les
membres
, les troubles gastriques ou intestinaux, les ph
auche et de diplopie passagère, et que la faiblesse progressive des
membres
supérieurs et inférieurs ne vint qu'en second l
hez notre malade de l'observation XXVII. Début par la paralysie des
membres
inférieurs. Chez Peyn... la paralysie débuta pa
ie des membres inférieurs. Chez Peyn... la paralysie débuta par les
membres
inférieurs, ainsi qu'il arrive d'or- dinaire da
s forme de ptosis. Presque en même temps la paralysie s'étendit aux
membres
supérieurs, en commençant par les avant-bras et
sés, se généralise et envahit successivement ou simul- tanément les
membres
inférieurs et supérieurs. Tous les groupes musc
rent au minimum. La planche V montre bien quel degré d'atrophie les
membres
supérieurs et inférieurs peuvent atteindre en si
s deux modes d'exci- tation, sans réaction de dégénérescence. Les
membres
inférieurs très légèrement oedématiés ont une tei
t. Il n'y a pas la moindre ébauche de paralysie bulbaire. Seuls les
membres
supérieurs sont restés à peu près dans le même
L'améliora- tion va-t-elle se poursuivre ou bien l'amyotrophie des
membres
supé- DE L'O1'II'PIIALDIOPLÉGIE EXTERNE. 225
l à signa- ler; c'est celle de tout individu atteint d'atrophie des
membres
infé- rieurs. Le trouble peut aller de la simpl
es. Si quelques mouvements sont encore conservés dans un segment du
membre
, il ne peut les exé- cuter qu'en calant le memh
même se rencontrer seul, en dehors de toute amyotrophie du côté des
membres
, lorsque la maladie débute par le bulbe. Mais e
ladie. En ce qui concerne les épaules et le segment supé- rieur des
membres
thoraciques, ce sont toujours les mêmes bras «
e paralysie des releveurs des paupières, étendue bientôt aux quatre
membres
, qui dura sept mois et se termina par la guéris
l'orbicu- laire des lèvres, troubles de la parole. Enfin les quatre
membres
étaient M. le Dr Vigouroux, chef du service clo
alais. Affaiblissement des muscles du cou, de plusieurs groupes des
membres
supérieurs et inférieurs. Pas de paralysie dc la
ela depuis peu de temps. La sensibilité est légèremenl émoussée aux
membres
inférieurs, mais la sensibilité articulaire per
articulaire persiste et le malade a la notion de la position de ses
membres
. Le signe de Romberg est très net, ainsi que la s
érale et des sensibilités spéciales. Pas d'atrophie des muscles des
membres
. Abolition 1. \l'eslphll, IJerliner Cesellsclra
tremblement des extrémités supérieures, absence de coordination des
membres
inférieurs. Oscillation les yeux fermés; marche
ont de la céphalalgie, des vomissements, des élancements dans les
membres
devenus faibles, apparaissent les accidents morbi
ptosis) à l'exception des muscles intrinsèques, par de l'ataxie des
membres
et de l'obnubilation intellectuelle avec balbut
'avait confié plusieurs malades atteintes d'attitudes vicieuses des
membres
par rétraction musculaire", j'étais arrivé à plus
poplité. Mobilisation du genou. Réta- blissement de la fonction du
membre
. Mme M..., âgée de trente-trois ans, très nerve
oque, elle présentait des accidents variés d'hystérie : parésie des
membres
inférieurs, intolérance gastrique; anémie très
ie; le bras gauche était à peu près complètement inerte. Du côlé du
membre
inférieur, on TRAITEMENT CHIRURGICAL DES RÉTRAC
maintenue par des appareils plâtrés. Redressement complet des deux
membres
. - Rétablissement de la marche. Mme P..., âgée
ntué. Cette malade était d'une maigreur extrême, et les muscles des
membres
inférieurs étaient très-amincis. On ne pouvai
t en dedans le creux poplité; cette section fut répétée pour chaque
membre
. . Aussitôt la jambeful faiblement redressée de
, sans réaction, à la suite de traînées rouges irradiées le long du
membre
. On trouvait encore le ganglion sus-épitrochlée
at d'atrophie partielle de la main contraste avec celui du reste du
membre
, qui a conservé au contraire une robuste appare
a circonférence de l'avant-bras et du bras. Mais on retrouve sur ce
membre
une série de lésions trophiques cuta- nées. Au
ommet et lais- sent échapper un peu de pus et de sang. La peau du
membre
, quand il est découvert, se refroidit vite, et se
suivent : le toucher est absolument intact sur toute la surface du
membre
; les moindres contacts, le plus léger frôlement,
lésions d'allure inflam- matoire qu'on trouve parsemées sur tout le
membre
. Il n'y a pas abolition, mais une perversion tr
surtout accusée à la main; mais elle existe sur toute la hauteur du
membre
, jusqu'à l'épaule, où elle finit brusquement.
faradique réveille, à gauche,' une sen- sibilité moindre que sur le
membre
supérieur droit. Quant à l'électrisation des ne
olécrânien (tendon du triceps) est un peu moins accusé à gauche. Au
membre
inférieur, du reste parfaitement sain, le réflexe
t le corps et 262 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. sur le
membre
supérieur gauche est perçu très nettement et sans
t sans erreur de lieu. Cependant il semble, par comparaison avec le
membre
supérieur du côté opposé, que les perceptions t
plus exquises à droite qu'à gauche. L'analgésie est complète sur le
membre
supérieur gauche et délimitée en haut en manche
absolue au-dessous de 65° ; au-dessus la chaleur est perçue sur le
membre
gauche, mais fort peu, et le thermomètre appliq
rmomètre appliqué dans ces conditions suc- cessivement sur les deux
membres
supérieurs montre bien cette différence en prov
ns les points correspondants du côté droit), nouvelle preuve que ce
membre
est placé au point de vue tro- phique, sous un
u de leur force; mais ils sont encore plus irréguliers que ceux des
membres
inférieurs, en raison de la grande quantité de
diphthéritiques peuvent guérir au même titre que les paralysies des
membres
; mais jusqu'à ces dernières années on ne s'étai
palatin; le 2 novembre, troubles visuels et fai- blesse des quatre
membres
. Ptose palpébrale double plus marquée à droite.
u voile palatin. Parésie des muscles de la nuque. Ataxie légère des
membres
supérieurs et considérable des membres inférieurs
la nuque. Ataxie légère des membres supérieurs et considérable des
membres
inférieurs; le côté droit est plus fortement at
Pas d'autres troubles de la sensibilité que de l'hyperesthésie des
membres
inférieurs. 1. Mendel, Zur Lehre l'on der dipht
tacts. Pas d'autres troubles vaso-moteurs qu'un refroidissement des
membres
inférieurs. Pouls à 100 ; température 38°. Catarr
tions des mains et des pieds, de même que les grandes jointures des
membres
inférieurs, étaient le siège de douleurs, gonflem
cordonniers). Pas de chapelets rachitiques. Pas de pachydermie. ,
Membres
supérieurs. - Bras et avant-bras normaux; pas d'a
les aux deux mains; la préhension est également très défectueuse.
Membres
inférieurs. - Fémur droit 37 cent. et demi, fémur
marche défectueuse est due très probablement à l'inégalité des deux
membres
, de même qu'aux déformations des orteils (pas d
s chez les idiots ou les mélancoliques. IV Sommaire. - Tronc et
membres
: anthropométrie : instruments, points de repèr
Classification des données de l'examen morphologique. D. TRONC et
membres
. L'examen du tronc et des membres sera fait éga
examen morphologique. D. TRONC et membres. L'examen du tronc et des
membres
sera fait également aux deux points de vue : an
phies dont vous aurez ensuite à déterminer la nature. Du côté des
membres
, outre les difformités consécutives à des trau-
re2. Telles sont Veclromélie ou absence plus ou moins complète d'un
membre
; l'héminiélie ou absence plus ou moins complète
iniélie ou absence plus ou moins complète du segment inférieur d'un
membre
, la phocomélie absence plus ou moins complète d
ieur d'un membre, la phocomélie absence plus ou moins complète d'un
membre
avec extrémités normales, la symélie ou soudure
tés normales, la symélie ou soudure plus ou moins complète des deux
membres
inférieurs. Des vices de conformation plus fréque
asymétrie ou les anomalies de développement des divers segments des
membres
, leurs déviations (rachitisme), la forme effilé
PLÉGIES HYSTÉRO-SPONTANÉES SIMULATRICES La paralysie hystérique des
membres
inférieurs n'a pas besoin d'un traumatisme pour
le Briquet, qui, insultée sur un escalier, tomba instantanément les
membres
inférieurs paralysés. Parfois même la cause pas
ment et je trouvai de l'hémianesthésie de tout le côté droit, face,
membres
supérieur et inférieur avec hémianesthésie phar
l'infiuenza, apparaissent des douleurs et de la faiblesse dans les
membres
inférieurs, ainsi que de la céphalalgie analogu
e véritables douleurs; il était survenu une faiblesse croissante du
membre
inférieur droit. Il garda la chambre; un médeci
'engagea à entrer à l'hôpital. État actuel. - Troubles moteurs.
Membres
inférieurs. - 1° Membre inférieur droit. -Impoten
ôpital. État actuel. - Troubles moteurs. Membres inférieurs. - 1°
Membre
inférieur droit. -Impotence presque complote; i
ied, de la hanche, sont également très restreints et sans force. 2°
Membre
inférieur gauche. - Rien d'anormal à noter. Le ré
s jambes et des cuisses ne donne aucune différence de volume. Les
membres
supérieurs et le reste du corps ne présentent auc
es troubles sensitivo-sensoriels aucune douleur subjective dans les
membres
inférieurs. En outre, ce malade présente une éb
fois il éprouve à la suite de l'influenza de la faiblesse dans les
membres
inférieurs, et M. le D' Rendu, dont la compéten
it; une tumeur de la protubérance n'expliquerait pas l'intégrité du
membre
supérieur, la monoplégie crurale, les troubles
. C'est pendant la convalescence que notre malade s'aperçut que ses
membres
inférieurs se raidissaient. Ces raideurs allèrent
la Sal- pêtrière. État à l'entrée de la malade. - Motilité. - Les
membres
inférieurs sont raides, en extension incomplète
es réflexes rotuliens. Lorsqu'on cherche à étendre complètement les
membres
con- tracturés, on ne peut y arriver cause de l
on réveille les douleurs. La flexion comme l'extension passive des
membres
inférieurs sont très réduites. Spontanément, ce
presque dans leur attitude normale), le tronc incliné en avant. Les
membres
supérieurs ne présentent rien de spécial à noter.
SIMULATEURS ». 305 de la moelle épinière, lorsque la paralysie des
membres
inférieurs est compliquée d'une rétention d'uri
de mars se produit lentement une contracture de tous les muscles du
membre
inférieur gauche, qui s'immobilise en extension
cles du membre inférieur gauche, qui s'immobilise en extension. Le'
membre
droit n'est pas atrophié. Les réflexes patellai
nent de la tympanite, de la rétention d'urine et une contracture du
membre
inférieur. Les caractères, le mode de début de ce
rtèbres. Dans ce temps-là, se montra un peu d'affaiblisse- ment des
membres
supérieur et inférieur gauches, avec gène dans la
rcot, la malade est prise d'une crise de toux et de trépidation des
membres
infé- rieurs (la malade est assise sur un faute
des membres infé- rieurs (la malade est assise sur un fauteuil, les
membres
allongés sur un pliant). Les membres inférieurs
st assise sur un fauteuil, les membres allongés sur un pliant). Les
membres
inférieurs sont raides dans l'extension; on a de
sition. Les pieds ne sont pas dans l'attitude du pied bot. Les deux
membres
inférieurs sont dans l'adduction ; on les écart
on les écarte non sans efforts. « En somme, par le seul examen des
membres
inférieurs, on a l'impression d'une paraplégie sp
ade au lit est celle indiquée plus haut. Habituellement, elle a son
membre
supérieur gauche fléehi derrière le dos, interp
des points hyperesthésiés. Il y a parésie, ou plutôt hypodynamie du
membre
supérieur gauche, mais pas de paralysie véritab
pas de paralysie véritable; la malade se sert de sa main et de son
membre
. Pas d'exal- tation des réflexes (coude et poig
aplégie spasmodique. Elle dit être prise souvent de trépidation des
membres
inférieurs quand elle marche. Depuis quelques s
che paraît déterminée par la douleur autant que par la rigidité des
membres
. Il est remarquable que le chatouillement de la p
e tronc se renversant en arrière ; la raideur et la trépidation des
membres
inférieurs étaient extrêmes. Son père écrivait
mait cette amélioration : « la marche se fait régulièrement pour le
membre
inférieur droit; le pied gauche traîne sur le s
tre soulevé sans qu'aussitôt ne survienne une tendance à tomber. Le
membre
gauche tremble sensiblement, mais moins qu'aupa
sieurs reprises, il se produit une trépidation prolongée de tout le
membre
, durant sensiblement le même temps à droite et à
lien provoque des mouvements spasmodiques prolongés. La raideur des
membres
est peu prononcée ; au contraire, depuis que la
de se tenir debout : 1° la raideur, la trépidation, l'adduction des
membres
inférieurs avaient augmenté; le train de derrière
s en frottant le pied gauche contre le sol. On constate que sur les
membres
inférieurs, surtout à gauche, les réflexes rotu-
es rotuliens exagérés et la trépi- dation épileptoïde dans les deux
membres
, surtout à gauche. Elle ne se ren- verse plus e
e subitement de claudication déterminée par un état de faiblesse du
membre
inférieur droit. Cette claudication, qui n'étai
au se servir de sa main. En juin 1889, il se produit une parésie du
membre
inférieur droit, qui la fait boiter pendant deu
ncore, l'apparition et la disparition sont subites. En mai 1890, le
membre
inférieur droit est frappé comme les deux premi
deux premières fois. Une semaine plus tard, la même chose arrive au
membre
inférieur gauche. La marche est possible pen- d
pied, et enfin plus tard la main droite pendant le voyage. Mais aux
membres
supérieurs il ne s'agit que d'une simple parésie;
e n'y réussit qu'après des tâtonnements. Les réflexes tendineux des
membres
inférieurs sont exagérés des deux côtés, mais d
-on, normale avant l'attaque, est diminuée dans tous ses modes. Aux
membres
inférieurs, elle est très obtuse jusqu'à la par
de l'abdomen. La malade ne peut guère localiser, elle se trompe de
membre
, confond les sensations diverses. Il y a pour t
oins atteint, elle sait assez exactement la position imprimée à ses
membres
. Aux membres supérieurs, la sensibilité est beau-
elle sait assez exactement la position imprimée à ses membres. Aux
membres
supérieurs, la sensibilité est beau- coup moins
que jour, les mouvements sont moins discordants et plus assurés aux
membres
supérieurs. La malade se sert des mains avec plus
n lit, toutes choses qu'elle ne réussissait pas à faire d'abord. Au
membre
inférieur gauche, y a, pour la jambe, un certai
ble aux mouvements communiqués. Ces effets sont à peine indiqués au
membre
droit. Cette jeune personne qui a été traitée p
jours après, elle s'est plainte de douleurs articu- laires dans les
membres
, et à partir de ce moment, la marche est devenue
atoires. Elle y est restée deux ans. Pendant la première année, les
membres
inférieurs sont seuls atteints. Au commencement d
sont seuls atteints. Au commencement de 1885, les articulations des
membres
supérieurs sont douloureuses, et bientôt les .mou
ris. Seule la paraplégie a persisté. En 1887, pendant dix mois, les
membres
inférieurs sont complètement raides, puis ils s
touffait; les yeux restent entr'ouverts. 1° Troubles moteurs. Les
membres
supérieurs sont parfaitement mobiles, mais les
pide, avec quelques mouvements choréiformes dans le bras droit. Les
membres
illfé- rieurs sont complètement raides. Signe d
vive et enjouée. Aujourd'hui, elle présente une chorée rhythmée des
membres
supérieurs. Les attaques sont devenues plus rar
rouvait aussi des fourmillements et des engour- dissements dans les
membres
inférieurs. Durant un mois, elle a gardé com- p
te se relever et marcher, mais avec difficulté; dans la marche, les
membres
infé- rieurs et la région lombaire étaient le s
affaiblissement de la vue à droite, diplopie ». Pas d'atrophie des
membres
inférieurs mais exagération des réflexes sans tré
« SIMULATEURS ». 319 nerfs paraisse déterminer rien de spécial. Les
membres
inférieurs ne sont pas atrophiés. Les réflexes
aux pieds, objective et subjective. Pas d'insensibilité profonde des
membres
dont la torsion est douloureuse. Le sens muscul
s musculaire est peut-cire légèrement affaibli dans la position des
membres
du côté droit. Anesthésie pharyngée. La percuss
rhagies, lorsque le 9 février 1890, elle fut prise de paralysie des
membres
inférieurs dans les conditions suivantes : le soi
du doigt. Rien du côté de l'ouïe, du goût et de l'odorat. Rien aux
membres
supérieurs. Elle présente une métror- rhagie ab
s le décubitus dorsal, on constate qu'elle peut élever fort peu les
membres
inférieurs au-dessus du plan du lit; la flexion d
prend une canne ou une chaise, et progresse en frottant le sol, les
membres
inférieurs animés d'une trépidation analogue à ce
traumatique ou spontanée, flasque ou spasmodique, la paralysie des
membres
inférieurs est la seule mani- ÉTUDE DES SYNDROM
re, on constate de la toux, de l'inappétence et de la faiblesse des
membres
inférieurs. 324 NOUVELLE ICONOGRAPHIE PE LA SAL
champ visuel, sont normaux. Le réflexe pharyngé est conserve'. Les
membres
inférieurs sont contracturés en extension com-
de troubles trophiques. Rien a noter dans les divers viscères. Les
membres
supérieurs sont normaux. L'intelligence est viv
ent même à cloche-pied mais assez péniblement. 11 plie et étend ses
membres
sans aucune gêne. Les réflexes rotuliens sont enc
its d'un malade, d'un infirme. Et ce malade privé de l'usage de ses
membres
inférieurs, assis dans une petite voiture, n'es
te voi- ture qui sert au malheureux pour se déplacer, l'atrophie du
membre
supérieur gauche est clairement exprimée par la
rieur maximum 101 mm. . transverse . '13 L frontal minimum 10 L
Membres
supérieurs : Doigts en massue, vitiligo à la main
la main droite. Organes génitaux : Phimosis, vitiligo du scrotum.
Membres
inférieurs : Syndactylie des deuxième et troisièm
imbécillité très accentuée. Père déséquilibré, alcoolique. D'autres
membres
de la famille paternelle font des excès de bois
vec double gouttière latérale), l'abdomen (forme globuleuse) et les
membres
(nouures articulaires, courbures des os longs).
e, et dans ces cas on a remarqué à diverses reprises que les autres
membres
de ces familles, et même les individus atteints
e se limite pas au muscle directement excité : elle envahit tout ce
membre
par l'extrémité duquel elle débute d'ordinaire.
ire profond, auquel il faut ajouter la con- striction opérée sur le
membre
par un son élastique, procédé qui est d'une gra
s tendons ; . DIATHÈSE DE CONTRACTURE. 347 c. Le tiraillement des
membres
; leur flexion brusque*; d. Le froissement de
ses et ne permettent aucun déplacement des différents seg- ments du
membre
intéressé. Le mode de réaction des muscles à l'ex
ion directement excitée, elle envahit le voisinage et gagne tout un
membre
par exemple, alors que l'excitation n'a porté q
ns observé d'une façon constante que les excitations portées sur le
membre
guéri, quels que soient leur siège et leur natu
observé plusieurs fois qu'une con- tracture ainsi provoquée dans un
membre
, à la main par exemple, pouvait cesser sous l'i
ite que par le souffle appliqué de nou- veau sur la face opposée du
membre
, la contracture par suggestion ne cédera que so
al degré sur tous les muscles du corps ou bien sur les muscles d'un
membre
seulement. Souvent elle frappe un seul côté du co
diathèse de contracture. Il cite l'observation d'une malade dont le
membre
supérieur droit considérablement affaibli pouvait
s que de l'autre et il peut exister aussi des différences entre les
membres
supérieurs et les inférieurs. Dans les cas où l
re tout soupçon de supercherie, s'il était nécessaire. Sur les deux
membres
inférieurs découverts et placés côte à côte, nous
apier légèrement agitée et nous voyons au bout de peu d'instants le
membre
inférieur droit qui est anesthésique se con- tr
érieur droit qui est anesthésique se con- tracturer, pendant que le
membre
gauche demeuré sensible, le seul par conséquent
gues dans lesquels la contracture par souffle était obtenue sur des
membres
complètement anesthésiés. Au demeurant, ces fai
x dans lesquels le massage musculaire produit la contracture sur un
membre
qui a perdu toute trace de sensibilité et jusqu
. Parfois au contraire l'existence d'une contracture localisée à un
membre
suffit pour la faire apparaître dans d'autres par
attaques. Rarement l'élat asphyxique est plus étendu et remonte aux
membres
. supérieurs jusque vers le coude et à la partie
ensible au froid. Toute la surface de son corps, aussi bien sur les
membres
que sur la partie antérieure et sur la partie p
emblent, au dire de la mère, avoir été à peu près contemporains. Le
membre
inférieur, du côté hémiplégie, aurait été le pl
eur, du côté hémiplégie, aurait été le plus fortement intéressé. Le
membre
infé- rieur du côté gauche semble avoir été un
é. La marche était im- possible et l'a toujours été depuis. Seul le
membre
supérieur gauche semble être resté indemne. Quo
place à l'agitation du début. État actuel. Hémiplégie complète des
membres
supérieur et inférieur du côté droit; le facial
de, celui-ci témoigne vivement qu'il perçoit J la douleur, mais les
membres
restent inertes et immobiles. Du côté gauche, a
s. Du côté gauche, au contraire, il n'y a que de la parésie dans le
membre
inférieur. En effet, si on tend un objet à l'en
ment et moins facilement qu'un enfant sain. La sensibilité dans les
membres
et dans la face n'est pas altérée, autant du moin
il n'y a pas de trépidation spinale malgré une certaine raideur des
membres
du eôté J droit. En somme, au point de vue mote
nt de vue moteur, il y a hémiplégie droite complète * et parésie du
membre
inférieur gauche. , Du côté de la face, les phé
our ainsi dire plus; il ne redresse plus son tronc ni sa têle : les
membres
du côté droit sont rigides et immobiles; seul l
e. A dater de cette tentative, elle reste quatorze mois au lit, les
membres
inférieurs flasques, paralysés; Elle peut les r
marche et elle est obligée de se recoucher. Quelques jours après le
membre
inférieur gauche se prend durant trois jours, p
ours, puis cette monoplégie gauche disparaît. La jambe droite et le
membre
supérieur du même côté restent paralysés. On avai
oubles de la sensibilité. Le mouvement est revenu tout à fait dans le
membre
inférieur correspondant. La sensibilité général
de la paraplégie. Erard a pourtant signalé un cas de paralysie des
membres
inférieurs chez une femme atteinte de tumeur si
la force musculaire et de la coordination des autres mouvements des
membres
inférieurs », et qu'il a désigné sous le nom ex
- teurs. Il faut savoir en effet que les douleurs siégeant dans les
membres
inférieurs, autour de la ceinture, etc., ne son
ligée à cesser de coudre à la machine. En même temps la parésie des
membres
inférieurs faisait des progrès ; parfois, duran
ar- cher avec un bâton. Les douleurs persistaient, surtout dans les
membres
inférieurs, mais elles n'étaient plus continues
eures. L'année suivante, elles se localisent exclusivement dans les
membres
inférieurs, le long des tibias, dans les cuisse
ues pas dans la salle, appuyée sur deux béquilles. Les douleurs des
membres
inférieurs étaient rapides, « comme des éclairs
tenant la malade au lit depuis deux ans. Elle ne peut soulever les
membres
inférieurs au-dessus du plan du lit; ils restent
udes appuyés sur le lit. En réalité, les mouvements volontaires des
membres
inférieurs sont totalement abolis. Les mouvemen
on ou à l'extension passive, est affaiblie surtout du côté droit.
Membres
supérieurs. Parésie plus marquée à droite qu'à ga
sous les deux talons. Parfois elles siègent en même temps dans les
membres
supérieurs, au niveau du coude et de la main. La
simplement quelques douleurs vagues, sourdes, disséminées dans les
membres
. En dehors de ces douleurs, la malade présente de
istiques : une anesthésie complète distribuée ainsi qu'il suit. Aux
membres
inférieurs, l'anesthésie est totale (contact, dou
. Le sens musculaire et articulaire est complètement aboli dans les
membres
inférieurs. La malade n'a aucune espèce de notion
rieurs. La malade n'a aucune espèce de notion de la position de ses
membres
; elle perd ses jambes dans son lit; la nuit, ell
est obligé de lui mettre des planches pour prévenir une chule. Aux
membres
supérieurs, le sens mus- culaire et articulaire
ion motrice, puis paraplégie absolue; douleurs fulgurantes dans les
membres
inférieurs, autour de la cein- ture, au niveau
rises. Or, cette malade est hysté- rique. L'anesthésie complète des
membres
inférieurs, l'hypoesthésie très accusée du rest
is de phéno- mènes paralytiques généralisés mais plus accentués aux
membres
inférieurs, ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « S
ier 1890. Cette para- plégie était accompagnée de douleurs dans les
membres
inférieurs. Ces dou- leurs ont duré trois semai
oir mettre la main sur les points douloureux. Avec ces douleurs des
membres
inférieurs coexistaient des douleurs autour de la
ux des deux côtés. En outre, ce malade accuse des douleurs dans les
membres
inférieurs, dans le dos, autour de la ceinture.
nt mais sous une forme très tolérable. La force musculaire dans les
membres
inférieurs est diminuée. Lorsqu'on essaye de fl
et on détermine à la longue quelques secousses épileptoïdes dans le
membre
. Aux membres supérieurs, on ne note rien d'intére
ine à la longue quelques secousses épileptoïdes dans le membre. Aux
membres
supérieurs, on ne note rien d'intéressant, sauf u
ès limités de la face du côté droit (elle est moins profonde sur le
membre
supérieur et la partie antérieure du tronc du m
urs analogues aux dou- leurs fulgurantes, siégeant dans le dos, les
membres
, autour de la cein- ture ; rétention d'urine, p
Depuis trois mois et demi le malade présente des douleurs dans les
membres
infé- rieurs. Ces douleurs se sont montrées d'a
ans la jambe gauche, sous forme d'éclairs, parcourant rapidement le
membre
entier depuis la fesse jus- qu'au cou-de-pied;
s avec les mêmes caractères mais sous une forme très légère dans le
membre
du côté opposé. Autour de la ceinture il se sen
ar paroxysmes de durée variable. Outre ces douleurs fulgurantes des
membres
inférieurs, il a eu aussi à diverses reprises d
lètement aboli; il ne sait pas, les yeux fermés, la position de ses
membres
; dans l'obscurité, il lui est impossible de tro
is en cause. Sans doute, il y a des douleurs fulgu- rantes dans les
membres
inférieurs, des douleurs en ceinture, des doule
'incoordination motrice, le signe de Romberg, les douleurs dans les
membres
inférieurs, les troubles oculaires, etc., pouvaie
sont justiciables d'une interprétation identique, à savoir que deux
membres
de la famille névropathique coexistent sou- ven
ique. Nous avons souligné les symptômes propres à chacun des deux
membres
de cette association. Les répéter serait faire do
ues d'hyperes- thésie cutanée. Elles siègent de préférence dans les
membres
inférieurs, autour de la ceinture, dans le terr
points autour de l'ombilic, les deux épaules, les deux fesses. Aux
membres
supérieurs, il y a presque toujours quelques al
pli du coude et la paume de la main des plaques de peau saine. Aux
membres
inférieurs, la distribution de l'anesthésie obéit
ent, est distribuée sans symétrie, limitée à un côté du corps, à un
membre
, à un segment de membre, suivant des limites ne
symétrie, limitée à un côté du corps, à un membre, à un segment de
membre
, suivant des limites nettes, tranchées, mor- ph
usculaire peut être altéré dans le tabes, la notion de position des
membres
faire défaut. Mais la perte du sens musculaire,
mpression pénible que pourrait produire sur les profanes la vue des
membres
déformés et des ulcères. D'ailleurs, ces dessins
mier dessin (pi. XXXVIII) nous montre un illustre podagre, avec les
membres
inférieurs gonflés par l'oedème, confortablement
ar Seelig- muller, signalé incidemment l'atrophie musculaire sur un
membre
frappé de contracture hystérique. Dans son re
e un cas vraiment remarquable d'atrophie mus- culaire et osseuse du
membre
supérieur gauche, résultant d'une mono- plégie
rophie musculaire d'origine hystérique peut quelquefois envahir des
membres
indemnes de paralysie ou de contracture. Géné-
: elle a débuté du côté droit et a guéri assez rapidement, puis le
membre
supérieur gauche s'est pris. Celle atrophie pré
dans le bras droits puis des battements de coeur, des nausées. Les
membres
de ce coté se raidissent et sont agités de se-
lendemain elle est fatiguée, comme rouée de coups, mais aucun doses
membres
n'est paralysé. Il y a quatre ans, en faisant s
l'a vue aussitôt tomber sans connaissance, et sans mouvements, les
membres
raidis. Elle a essayé de la relever et de l'ass
. Londe PHOTOCOLLOGRAPHIS Chêne & Loua PSEUDO-HYPERTROPHIE DU
MEMBRE
INFÉRIEUR DROIT CHEZ UNE HYSTÉRIQUE VVE BABBÉ &
es secousses dans l'orbiculaire des lèvres. Atrophie musculaire. 1°
Membre
supérieur droit, (a) L'ayant-bras et le bras so
Les ré- flexes du poignet sont normaux et égaux des deux côtés.- %
Membre
inférieur droit. Pseudohypertrophie avec parési
s provoqués par le passage du courant. Aucun trouble électrique. 20
Membre
inférieur. Du côté gauche, les réactions électr
on à l'anode et à la cathode. Pas de réaction de dégénérescence. 3°
Membre
sitpé- rieur droit. Le bras et l'avant-bras son
st flasque, avec refroidissement et perle des réflexes tendineux du
membre
. Or, ces caractères font ici défaut. Il est bie
e compte. Mais ici surgit une difficulté. La pseudo-hypertrophie du
membre
inférieur droit reconnaît-elle aussi pour cause l
de tCIll ? autre, durant la nuit, de l'épi- tepsiopaitieUe dans les
membres
du côté droit. ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES
s mois, et, peu il peu, les mouvements sont revenus d'abord dans le
membre
inférieur, puis 430 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. dans le supérieur. En même temps, les
membres
gauches demeuraient plus faibles que ceux du cô
oitant et à se servir de son bras gauche. Les fonctions de ces deux
membres
sont restées les mêmes jusqu'à l'an- née 1888.
rois ou quatre heures sans connaissance. Lorsqu'il revint à lui, le
membre
supérieur et le membre inférieur droits étaient c
ans connaissance. Lorsqu'il revint à lui, le membre supérieur et le
membre
inférieur droits étaient complète- ment paralys
fférents. Au bout de trois semaines, il commence à se servir de son
membre
inférieur droit et, quelques jours après, les m
lques jours après, les mouvements revenaient incomplètement dans le
membre
supérieur. La sensibilité est restée complèteme
. Pendant tout ce temps, il n'y eut aucune modification du côté des
membres
gauches. Le malade s'était aperçu, à la fin de
; au boni d'une quinzaine de jours, il commence il se servir de ses
membres
droits, et sort, pouvant marcher à l'aide de bé
res sans pouvoir parler et trois jours paralysé complètement de ses
membres
droits. Le quatrième jour, ces symptômes s'amendè
Troubles moteurs et trophiques de la moitié gauche du corps. (a)
Membre
inférieur gauche. On doit noter tout d'abord d'un
ce assez considérable; elle est à peu près égale des deux côtés. Le
membre
inférieur gauche présente un raccourcissement trè
le externe, le droit mesure 85 cenli- mètres. De même, le volume du
membre
gauche est notablement différent du droit; à la
2 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. considérable et donne au
membre
la plus grande partie «le son volume. Le e syst
les vaso-moteurs s'exagèrent dès que le malade se tient debout. (b)
Membre
supérieur gauche. - Dans ce membre la motilité es
e le malade se tient debout. (b) Membre supérieur gauche. - Dans ce
membre
la motilité est faible- ment conservée. L'atrop
2» Troubles moteurs et trophiques de la moitié droite du corps. (a)
Membre
inférieur droit. On a vu que la résistance à la f
marquées; il en résulte même un léger degré de tremblement pour le
membre
; il augmente lorsque le malade est debout. (b)
ent pour le membre; il augmente lorsque le malade est debout. (b)
Membre
supérieur droit. - A droite, l'action musculaire
ées plus haut le montrent bien. Il faut remarquer que, tandis qu'au
membre
inférieur droit c'est a l'extrémité qu'on constat
eur droit c'est a l'extrémité qu'on constate surtout l'atrophie, au
membre
supérieur du même côlé c'est à la racine du memhr
) Réactions faradiques- (appareil à chariots de Dubois-Reymond). a7
Membre
supérieur gauche. Le minimum d'excitabilité norma
plus; le deltoïde et les pectoraux réagissent mal (10 et 5 1/2). b.
Membre
inférieur gauche. Dans le biceps, le demi-membran
s faradiques; les autres muscles ne répondent plus au courant. c.
Membre
supérieur droit. L'excitabilité électrique est di
ns quelques muscles : le triceps et le court adducteur du pouce. d.
Membre
inférieur droit. -Abolition des contractures fara
et la localisation des stigmates de la névrose. C'est tantôt sur un
membre
affecté de paralysie ou de contracture, tan- tô
c- tères qui permettent d'éviter la confusion. Toutefois, parmi les
membres
de la grande famille neuropatliologique, il en
E LA SALPÊTRIÈRE. par un exemple frappant. Vous avez compris que ce
membre
de la fa- mille auquel je faisais allusion n'es
eune homme hystérique qui présente ce phénomène de la sur tout le
membre
inférieur gauche ; on peut plonger indifféremment
stérie, par zones géométriquement délimitées occupant un segment de
membre
, un membre entier, et sé- parées des régions in
zones géométriquement délimitées occupant un segment de membre, un
membre
entier, et sé- parées des régions intactes par
s la gliomatose médullaire. Cette atrophie occupe de préférence les
membres
supérieurs, les mains ; or, ce sont là égalemen
sive des muscles de la main. Exagération des réflexes tendineux des
membres
inférieurs, diminution aux membres supérieurs.
ation des réflexes tendineux des membres inférieurs, diminution aux
membres
supérieurs. Secousses. Scoliose. Anesthésie éte
hésie syringomyé- lique procède par grands segments ; elle prend un
membre
ou un 451 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈ
e ou un 451 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. - segment de
membre
, elle est en « camisole » ou en « hémicamisole o
ous l'avons déjà dit, très rapide- ment, frappe souvent d'emblée un
membre
entier, un segment de membre, un ou plusieurs g
de- ment, frappe souvent d'emblée un membre entier, un segment de
membre
, un ou plusieurs groupes musculaires, puis elle r
é qu'il est beaucoup plus déve- loppé du côté gauche aussi bien aux
membres
et au tronc du'1 la face; en outre, il existe d
raît moins épaisse que celle du côté opposé. Tous les mouvements du
membre
supérieur se font bien, mais il est cependant p
e vertébrale suivi de secousses dans les muscles du dos et dans les
membres
supérieurs. Au moment de l'accès, il a une sensa-
quelques secondes, ces mouvements cessent, ainsi que la rigidité du
membre
supérieur droit. Même après ces excès incomplets,
intense dans la région supérieure du dos et de la poitrine; sur les
membres
supérieurs il se manifeste jusqu'au poignet, il
es supérieurs il se manifeste jusqu'au poignet, il n'existe pas aux
membres
inférieurs. L... a quelquefois des nausées lors
accès étaient constitués par des spasmes toniques commençant par le
membre
supérieur droit, mais s'étendant à tout le corp
pe, les accès convulsifs suivis quelquefois d'amnésie, l'oedème des
membres
infé- rieurs, la rupture des vaisseaux, la para
infé- rieurs, la rupture des vaisseaux, la paralysie temporaire des
membres
supérieurs, sont imputables en partie à la comp
près leurs recherches, l'élongation de la colonne vertébrale et des
membres
inférieurs n'est pas suffisamment prononcée pou
veau leur appari- tion, on constate également une hyperesthésie des
membres
inférieurs, et le quatrième jour il s'y joint u
que de la planche, sous le tronc'et nous la ramenons entre les deux
membres
inférieurs en l'appliquant exactement le long d
res dont la première passait immédiatement en avant des racines des
membres
postérieurs, et la seconde en arrière des membres
t des racines des membres postérieurs, et la seconde en arrière des
membres
anté- rieurs. Au milieu des moitiés supérieures
uelles le Rapport secret de la' commission royale choisie parmi les
membres
de l'Académie des sciences et de la Faculté de mé
sont aussi désastreux pour la bourse que pour la santé. On voit les
membres
de la Société de l'Harmonie apportant chacun à
démarche cérébelleuse ; nous remarquons seulement une faiblesse des
membres
postérieurs ; il a souvent des secousses généra
e peuvent plus se tenir sur leurs jambes; ils s'asseoient sur leurs
membres
pos- térieurs et ils restent immobiles; ils ont
érience, le chien mar- chait de travers, par manque d'équilibre des
membres
postérieurs, et cela pendant trente secondes, a
vers la fin de l'expérience nous constatons des trem- blements des
membres
. Durant l'expérience, les lapins ont le regard
phie progressive des muscles de la main. Paralysie atrophique des
membres
inférieurs. A ? në<M)'<f< ! o ? : consid
otif apparent, se déclara peu à peu une faiblesse progressive des
membres
inférieurs. Depuis près de six mois, la faiblesse
ois, la faiblesse des mem- bres inférieurs et la thermanesthésie du
membre
supérieur gau- che se mirent à marcher plus vit
e, est égale à 43 kil. (65 du côté droit); les autres mouvements du
membre
supérieur gauche sont de force normale, à l'exc
n et de l'abaissement de l'é- paule, qui sont plus faibles. Dans le
membre
supérieur droit, on n'observe de la faiblesse q
ans l'élévation de l'épaule ; les autres mouvements sont normaux.
Membres
inférieurs. La malade marche sans assurance, en
tits pas : la démarche n'est ni ataxique, nispastique. La force des
membres
inférieurs a beaucoup baissé, surtout ce qui co
-bras et le bras celle de 5°; le cou, la poitrine, la nuque et le
membre
inférieur sentent des diffé- rences de températ
première moitié de 1884, la faiblesse et l'atrophie musculaire des
membres
inférieurs a progressé; une paralysie complète
t progressivement. Leur atrophie pro- gressait rapidement. Dans les
membres
supérieurs au con- - traire, on observait une c
tion de dégénérescence ne s'observait que dans peu de muscles des
membres
inférieurs et de la main gauche (CFC < AFC, co
douleurs étirantes et parfois aiguës dans le dos, les reins et les
membres
inférieurs inquiétaient beaucoup la ma- lade. D
et de l'iodure de potassium à l'intérieur, les troubles moteurs des
membres
inférieurs s'étaient considérablement améliorés.
lien réapparut du côté droit. Cette amélioration dans l'état des
membres
inférieurs progressait lentement, jusqu'au mois d
rophie des muscles de la main avait augmenté. Les douleurs dans les
membres
inférieurs spontanées et à la pression diminuai
s : déjà deux mois après le commencement de cette obser- vation, le
membre
inférieur de l'autre côté était atteint ; après
t ; après les bains de mer le degré delà thermanesthésie diminua au
membre
inférieur droit, mais ensuite parut une zone d'
une thermanesthésie plus grande que dans la partie périphérique du
membre
inférieur. Vers le prin- temps de 1885 ces rapp
ais en revanche la thermanesthésie siégeant à la partie centrale du
membre
inférieur droit empira : ici la malade ne perce
E MEDULLAIRE. 27 Î velle sphère de thermanesthésie : c'est celle du
membre
supérieur droit au-dessous du coude ; la partie
et vint appuyer la supposition que les phénomènes observés dans les
membres
inférieurs dépendaient d'une complication. A l'
ces endroits, l'analgésie est presque absolue. Mais aussi les deux
membres
gauches sentent la dou- leur moins bien que les
normale ; les yeux se fatiguent très vite. Pas de palpitations. Les
membres
sont constamment froids, mais si la malade se r
s aussi, une localisation préliminaire de l'anesthésie dans un seul
membre
et ensuite sous forme d'hémithermanesthésie est
élimitation ultérieure de la thermanes- thésie régionnaire dans les
membres
supérieurs et inférieurs droits ; une délimitat
é l'atrophie des muscles delà main. Les douleurs dans le dos et les
membres
inférieurs, la sensibilité douloureuse des cord
la thermanesthésie isolée et de l'atrophie musculaire dans un seul
membre
supé- rieur, la distribution ultérieure caracté
de méningite chronique, dont dépendaient les troubles moteurs des
membres
inférieurs, la paralysie atro- phique des muscl
pide des fonctions et de la nutrition musculaire dans les nerfs des
membres
inférieurs, nous ne pouvons admettre une dégéné
méningite ou des altérations vasomotrices dans les nerfs mêmes des
membres
inférieurs, avec périneurite 32 PATHOLOGIE NERV
ept ans. - Anesthésie partielle du sens de la tem- pérature dans le
membre
supérieur droit et la moitié du thorax du même
rémissions insignifiantes. Par mo- ments, des paresthésies dans le
membre
supérieur droit et le thorax, des douleurs lanc
d'autres parties du corps aussi parfois dans les articulations du
membre
supérieur droit; elles diminuent par la compressi
s altérée non plus. La sensibilité thermique est affaiblie sur le
membre
supérieur droit et la moitié droite du thorax.
de la langue au moment où le malade la tirait hors de la bouche.
Membres
supérieurs. Tous les mouvements sont possibles,
les nerfs ne sont pas douloureux à la pression. Les mouvements des
membres
inférieurs sont normaux en étendue et en force;
Le malade localise et distingue partout des piqûres légères sur les
membres
inférieurs. Sur le thorax, par devant dans les
poitrine. Un abaissement semblable se retrouve aussi dans les deux
membres
supérieurs à un degré plus élevé dans leurs par
presque pas aux mains. Le sens de température est normal sur les
membres
inférieurs, le ventre, la partie inférieure du
la face, le malade ne per- çoit que la différence de 1 l°/2-2°. Aux
membres
supérieurs et à la poitrine il y a une anesthés
à droite : 4-5°; les autres régions du dos, de la poitrine et des
membres
supérieurs : 2-3°. Les réflexes cutanés à la do
des muscles fléchisseurs du genou. Les réflexes tendineux dans les
membres
supérieurs ne sont presque pas provocables au b
ement amélioré. Il reste une zone thermanesthésique, occupant les
membres
supérieurs et les épaules. La face, le cou, la po
érieurs et les épaules. La face, le cou, la poitrine, le dos et les
membres
inférieurs perçoivent bien la différence thermi
la parésie et l'atrophie muscu- laire des parties périphériques des
membres
supérieurs sont combinés avec une analgésie et
urdité ver- bale (IV) ; la localisation corticale des mouvements du
membre
supérieur (V), du membre inférieur (y Y), le no
a localisation corticale des mouvements du membre supérieur (V), du
membre
inférieur (y Y), le noyau cortical com- 17zuîz
absolue. La détermination des centres corticaux des mouvements des
membres
, dont nous allons maintenant nous occuper, est
e toutes les zones corticales. Le centre cortical des mouvements du
membre
supérieur est situé sur la partie moyenne de la
ième circonvolution frontale'. Le centre cortical des mouvements du
membre
supérieur fut d'abord déterminé par l'expérimen
localisation de l'agraphie que le centre cortical des mouvements du
membre
supérieur au milieu de la frontale ascendante s
fonctions motrices du cerveau. Le centre cortical des mouvements du
membre
supé- rieur eut son siège véricié-dès lors par
e, pour ceux du pouce, à la partie inférieure du centre cortical du
membre
supérieur à l'endroit où ce centre se confond a
émité supérieure de la scissure rofandiquedansie centre cortical du
membre
inférieur), et analysent chacun de ces mouvemen
clinicien. » DE l'axe cérébro-spinal. 47 siège des mouvements du
membre
supérieur au point ou nous l'avons inscrit. Que
lution frontale ascendante' ». Le centre cortical des mouvements du
membre
inférieur occupe une région plus étendue d'aprè
bule pariétal supé- rieur Les seconds placent le centre cortical du
membre
inférieur dans le lobule paracentral. Disons
obule paracentral. Disons en terminant avec les centres moteurs des
membres
chez l'homme, que sans être circonscrits mathém
52. - Prévost. Contribution à l'étude du centre moteur cortical du
membre
inférieur. Th. Paris, 1881, 1 Exner. Recherches
lle répète toujours qu'elle est morte, qu'elle n'est plus elle. Les
membres
restent pendant quelques minutes dans les po- s
rps. Léger tremblement des extrémités, flexibilité des segments des
membres
, qui gardent les positions diverses qu'on leur
ire par les grimaces de la face ou les mouvements involontaires des
membres
. Lors- qu'elle atteint son plus haut degré de g
i- tement, sans cause connue, d'une paralysie complète des quatre
membres
. Le mouvement reparut rapidement dans les membres
mplète des quatre membres. Le mouvement reparut rapidement dans les
membres
inférieurs et le bras gauche; le bras droit seu
urs s'atrophia. Très longtemps après, on nota une faiblesse dans le
membre
inférieur gauche avec atrophie progressive du m
uperposer une atrophie musculaire, n'occupant pour le moment que le
membre
inférieur gauche, mais destinée probablement à
ymptômes, ressemblant à ceux d'une sclérose multiple type, chez les
membres
de deux générations de cette famille. Dans un c
e Vaucluse. - Le soir le banquet annuel réu- nissait la plupart des
membres
de la Société et les lauréats de la journée. M.
e un chien normal. Il meut, il est vrai, un peu plus lourdement les
membres
du côté droit que ceux du côté gauche, mais il
de côté et d'autre, de dillérence dans la façon dont il se sert des
membres
des deux côtés. Il peut aussi, quand, les circons
décubitus), de contractures et atrophies dans les deux jambes. Ces
membres
ont d'abord été le siège de violentes douleurs
es accidents dans la convalescence de la fièvre typhoïde, quand les
membres
ont subi une mauvaise posi- tion. Ne laissez pa
amputé diminuent toujours de nombre dans les cas d'ampu- tation des
membres
inférieurs; car, ainsi que le dit lteynolds, le
présentants du Gouvernement, ensuite dans les discussions entre les
membres
de cette commission, qui, à peu près unanimes d
nt, d'une commission permanente dont un aliéniste autorisé est le
membre
le plus essentiel. Combinez ce système avec le pr
vous procédez dans les cinq jours de la réception des pièces, deux
membres
de la commission, dont l'un est toujours le méd
ire sans vouloir manquer de respect à qui que ce soit, pas plus aux
membres
de la commission qu'aux magistrats, ce serait r
respectera rien, pas plus la justice que la médecine, pas plus les
membres
du tribunal que les membres du corps médical.
a justice que la médecine, pas plus les membres du tribunal que les
membres
du corps médical. Un soupçon, pour être le mo
et de loi, fort heureusement, et je vous en félicite, messieurs les
membres
de la commission. Vous avez évité l'odieux ou l
nière loi sur la magistrature les a réduits partout au minimum de
membres
nécessaire. Comment concilier leurs devoirs essen
nsuffisamment traitée. Les névrites siégeraient le plus souvent aux
membres
inférieurs, et n'entraîneraient pas comme consé
le Sénat, revisant la loi de 1838 sur les aliénés. Ont été nom- més
membres
de cette commission : Barrière, Bernard, Bour-
G. Lecué et G. de la TouRETTK. Préface de M. le professeur Charcot,
membre
de l'Institut. Un beau volume in-8° de 330 page
agrégé de la Faculté d'Athènes ; Médecin de l'asile de Dromocaitis ;
Membre
de la Société Médico-psychologique de Paris.
s affections, dont les plus fréquentes ont été des paraly- sies des
membres
inférieurs et de la vessie, des surdités et enfin
nnaissance, douleurs fortes dans les omoplates, les lombes et les
membres
inférieurs et supérieurs et des engourdisse- me
èse. Dans ce cas-là, disent-ils, aux symptômes de la paraplégie des
membres
inférieurs viennent s'ajouter tantôt, quand le
tôt, quand le cas est léger, des douleurs dans les omoplates et les
membres
supé- rieurs et la dyspnée, et tantôt, quand le
, quand le cas est plus grave, la paralysie devient ascendante, les
membres
supérieurs, l'un ou tous les deux, se paralysen
s fugitifs. Examen le 15 février 1885. - Pcerésie spasmo- dique des
membres
inférieurs. Jean Marcos, pas d'antécédents, âgé
es minutes, cet affaissement devient une paraplégie coin- plète des
membres
inférieurs. Ses membres étaient devenus telle-
ment devient une paraplégie coin- plète des membres inférieurs. Ses
membres
étaient devenus telle- ment insensibles que ses
malade a commencé à avoir, surtout la nuit, des secousses dans ses
membres
paralysés. Quelque temps après, il lui arrivait
uelque temps après, il lui arrivait souvent, la nuit, de sentir ses
membres
s'étendre, sans pouvoir les fléchir, pendant qu
léchir, pendant quelques minutes. Pas de dimi- nution de volume des
membres
, pas de symptômes céphaliques. DES ACCIDENTS PA
fficile encore, c'était un tremblement involontaire qui agitait ses
membres
plus fort à droite et dont l'intensité augmenta
sque, le malade sent des douleurs aux lombes, sa parésie légère des
membres
inférieurs fait place à une paraplégie complète
s seulement. Revenu à lui, le malade a 156 CLINIQUE NERVEUSE. les
membres
de nouveau complètement paralysés et anes- thés
ttention, on voit le malade légèrement boiter et traîner un peu son
membre
droit inférieur. Pour détacher du sol son membr
traîner un peu son membre droit inférieur. Pour détacher du sol son
membre
inférieur droit et le porter en avant, il est f
légèrement sa hanche droite : il ne fait pas la même chose pour le
membre
gauche. Tremblement involontaire qui apparaît s
e. Cette épilepsie spinale peut être très facilement pro- voquée au
membre
droit par le procédé élémentaire, c'est-à-dire
st-à-dire la brusque flexion du pied. Impossible de la provoquer au
membre
gauche sans faire marcher le malade avant l'ess
s tous ses modes paraît annihilée (douleur, température contact) au
membre
droit, surtout à la région du dos du pied qui e
en même temps une couleur rouge bleuâtre. L'état de nutrition des
membres
paralysés ne laisse rien à désirer. Ils ont leu
ence des symptômes céphaliques et bulbaires a été négatif.-Rien aux
membres
supérieurs. Les autres fonctions de l'organisme
ement de l'épigastre; nausées; éructations gazeuses. Paraplégie des
membres
inférieurs, accompagnée de monoplégie fugitive
légie des membres inférieurs, accompagnée de monoplégie fugitive du
membre
supérieur droit, non précédée des symptômes cép
nt, ont fini après trois heures par paralyser complètement les deux
membres
inférieurs et le supérieur droit. Pas de perte
e : enfin, aucun symptôme céphalique. Le malade dit que ses trois
membres
paralysés étaient insensibles à la piqûre d'aigui
sonde et des purgatifs.' 158 CLINIQUE NERVEUSE. La monoplégie du
membre
supérieur droit n'a été que momen- tanée : en e
au bout desquelles notre homme a recouvré entièrement l'usage de ce
membre
. Par contre, sa paraplégie était si complète, q
surtout la nuit. Plusieurs fois aussi, il sentait dans son lit ses
membres
paralysés se raidir et s'étendre pendant quelques
ment. Le malade garde le lit pendant une année entière, ayant les
membres
complètement paralysés et très raides, et c'est à
inant presque exclusivement l'état du malade est une paraplégie des
membres
inférieurs, suitout à droite. Si l'on fait marc
et successifs sur le tendon rotulien, on provoque la contracture du
membre
droit. A gauche un seul coup suffit pour faire
variable, surtout la nuit, dans son lit. Quand on fait mouvoir ses
membres
, on sent une résistance sensible, sans que sa vol
ésistance sensible, sans que sa volonté s'y oppose. En général, les
membres
paralytiques sont très raides.- Par une légère
celui du contact et de la température. Nulle trace de paralysie du
membre
supérieur droit : Nuls troubles vaso-moteurs. N
droit : Nuls troubles vaso-moteurs. Nuls troubles trophiques. Les
membres
sont bien musclés et l'examen farado-galvanique n
constrictive de la nuque; douleurs at'g'psM/edt'oe. Paraplégie des
membres
inférieurs avec monoplégie passade de l'extrémi
ou non gonflée; il ajoute seulement qu'il était forcé de tenir son
membre
immobile à cause de la douleur. Bientôt après
légie de l'extrémité supérieure gauche. -Le malade dit que ses deux
membres
inférieurs étaient seuls insensibles à la piqûr
iction à la nuque, douleurs à l'épaule droite et paralysie de trois
membres
cités, le malade avait de la rétention d'urine
use et constrictive de la nuque ont disparu. La paralysie des trois
membres
sus-mentionnés persiste complète. On applique la
uche et de lever la hanche droite pour pouvoir déta- cher du sol le
membre
correspondant qui lui paraît long à cause de l'
le faire ainsi avancer. La même chose doit avoir lieu pour l'autre
membre
: toutefois le malade marche sans appui. Tous l
urmenté la nuit de secousses fréquentes : il sent aussi souvent ses
membres
se raidir dans l'extension pendant un temps var
xtension pendant un temps variable. Quand on veut faire mouvoir les
membres
paralysés du malade, on éprouve une résistance
au- dessous de l'apophyse xiphoàde et aux lombes. Paraplégie des
membres
inférieurs, accompagnée de rétention d'urines et
Syndrome symptomatique de paraplégie spastique bien plus marqué au
membre
droit. Zacharias 'Valiquitis, àjé de trente ans
ent cessé pour faire place à une para- plégie soudaine complète des
membres
inférieurs, sans paralysie des extrémités supér
ieurs, sans paralysie des extrémités supérieures et de la face. Ses
membres
paralysés étaient insensibles à la piqûre. Enfi
ues petits pas à l'aide de deux béquilles : il sentait, dit-il, ses
membres
inférieurs très lourds, rigides, qu'il traînait e
e ; car il survenait à chaque pas et avec une grande intensité; ses
membres
se raidis- saient, surtout la nuit, pendant un
sans appui quel- conque. La paralysie est bien plus prononcée à son
membre
infé- rieur droit. Il est obligé d'incliner le
s pendant la nuit, plus souvent à droite. Le malade au lit sent ses
membres
se raidir dans l'extension : toutefois la raideur
utefois la raideur passagère est plus durable et plus intense à son
membre
droit. Il y a une exagération manifeste de mouv
ssi une exaltation du réflexe corres- pondant, et à chaque coup, le
membre
droit fait un mouvement d'adduction. La sensi
es après l'accident à côté de l'aphasie, il devient paralytique des
membres
inférieurs, ses extrémités supérieures étant ab
novembre, il articulait très bien tous les mots. La sensibilité des
membres
paralysés a commencé à revenir, car il sentait
sous l'influence des émotions morales et de la fatigue. Il sent ses
membres
se raidir de temps en temps, mais surtout la nu
ite et complète aussi bien de la motilité que de la sensibilité des
membres
inférieurs, paralysie très fugitive, car elle n
pas le moindre trouble, ni de la motilité, ni de la sensibilité des
membres
inférieurs du malade. Le sens musculaire ne pré
, sauf un cer- tain degré de lourdeur de tête. Mais par contre, les
membres
infé- rieurs du malade étaient complètement par
e le malade nous raconte qu'il ne se ' souvient jamais avoir vu son
membre
viril si- dur et si turgescent. Le 18 mai, c'es
malade recou- vra entièrement la motilité et la sensibilité de ses
membres
infé- rieurs. 11 se fatiguait seulement quand i
la respi- ration et aphasie motrice de dix minutes. Paraplégie des
membres
inférieurs. Six heures d'intervalle de bien-êtr
ité supérieure droite, ainsi que celles de la hanche et du genou du
membre
infé- rieur gauche. Ces douleurs ont persisté t
paralysie. A 11 heures du soir, une paraplégie subite survient aux
membres
inférieurs avec une anes- thésie tellement pron
thésie tellement prononcée qu'on passait l'aiguille à travers les
membres
paralysés du-malade sans qu'il en ressentit la mo
et à faire quelques pas en s'appuyant sur une corde du caique. Ses
membres
lui paraissaient, dit-il, extrêmement lourds, e
e corps à gauche et un peu en arrière. La même chose arrive pour le
membre
opposé, de sorte que le malade a dans sa marche
le malade a dans sa marche un balancement tout particulier. Chaque
membre
en se portant en avant décrit un tour, frottant
e son côté la jambe gauche par exemple, on voit que l'autre suit le
membre
tiré, en faisant un mouvement dans le même sens
le malade est tourmenté de secousses fréquentes. Il sent aussi ses
membres
se raidir dans l'extension pendant un temps var
arfaitement normale. Il n'y a pas le moindre trouble trophique. Les
membres
du malade ont leur volume nor- mal. Leur muscul
l essaye d'uriner, mais il n'y arrive pas; il voit en outre que ses
membres
inférieurs sont complètement paralysés de leur
es secousses et des contrac- tures passagères, surtout la nuit. Ses
membres
paralysés ont gardé, dit-il, leur volume normal
eur cesse pour faire place à un engourdissement siégeant aux quatre
membres
, mais surtout aux inférieurs. Enfin l'état parapl
ur marcher; il ne s'était pas servi jusqu'alors, mais cependant ses
membres
paralysés étaient devenus bien plus tremblants,
Si on multiplie les coups de marteau, on produit une contracture du
membre
percuté, qu'on fait dispa- raître par le massag
rticulations que l'on constate facilement, si l'on fait mouvoir les
membres
du malade. La sensibilité examinée sous tous
. Pas le moindre trouble du sens musculaire. L'état trophique des
membres
paralysés ne laisse rien à désirer, les muscles r
pression brusque. Paralysie de la motilité et de la sensibilité des
membres
inférieurs avec rétention d'urines et de selles
contre, il a une paralysie de la motilité et de la sensibilité des
membres
inférieurs, qui est accompagnée de rétention d'
mais difficilement, et en boi- tant d'une manière très visible. Ses
membres
lui paraissent très lourds, ils étaient souvent
gauche et lève la hanche droite, pour arriver à détacher du sol le
membre
inférieur droit, qui se porte en avant, après a
à droite, etc. - 174 CLINIQUE NERVEUSE. Si l'on fait mouvoir les
membres
du malade, on sent une résis- tance considérabl
aux lombes. État actuel le 15 février 1884. Paralysie spastique du
membre
inférieur gauche et un peu du droit. Sensations
embre inférieur gauche et un peu du droit. Sensations étranges du
membre
gauche ; hyperesthésie au froid au niveau du pied
ge, enfin, aucun autre symptôme céphalique. Bientôt après, ses deux
membres
inférieurs sont complètement paralysés. L'extré
coup, car il ne pouvait le soulever. La sensibilité au niveau des
membres
paralysés aurait été complètement abolie. On pouv
malade recouvra aussi bien la motilité que la sensibi- lité de son
membre
supérieur gauche. Le 27 juillet, la dyspnée ave
de. Constipation. Le 31 juillet, il commence à pouvoir soulever ses
membres
, qui jusqu'alors étaient complètement immobiles
s mem- bres paralysés. Il a aussi des contractures passagères ; les
membres
s'étendent et se raidissent pendant un temps va
sans bâton, tout en boitant cependant et en frottant le sol par ses
membres
qui sou- vent s'agitent d'un tremblement involo
Etat actuel, 15 février 1884. Le malade boite d'un seul côté ; son
membre
inférieur gauche étant bien plus paralysé que le
roite et de lever la hanche gauche pour pouvoir détacher du sol son
membre
inférieur gauche, qui alors se porte en avant a
le talon touche à peine le sol. Il détache au contraire du sol son
membre
droit et le fait avancer avec une grande facilité
plus paralysés que les extenseurs. Tous les mouvements réflexes du
membre
inférieur gauche sont exagérés. Le réflexe crém
pied gauche suffit pour déterminer la tré- pidation épileptoïde du
membre
correspondant. Quant au membre droit, il faut p
er la tré- pidation épileptoïde du membre correspondant. Quant au
membre
droit, il faut préalablement faire marcher le mal
pied. Le malade est tourmenté de secousses, surtout à gauche, ses
membres
se fléchissent et s'étendent tout d'un coup. Il a
ndent tout d'un coup. Il a aussi des contractures seulement dans le
membre
gauche, qui se raidit pendant un temps variable
t un temps variable, toutefois assez court. Si on fait mou- voir le
membre
gauche du malade, on rencontre une très grande
tion étrange suivante : si on pique ou l'on touche simplement son
membre
gauche, alors il sent depuis le genou jusqu'au pi
roid au niveau du pied gauche. Il n'y a pas trace d'atrophie; les
membres
du malade, aussi bien le gauche que le droit, ont
froid qui peut être constaté aussi par l'application de la main au
membre
gauche. Vessie, rectum, organes génitaux à l'ét
urdissemenls. A 5 heures et demie, douleurs aux articulations des 4
membres
jusqu'à minuit, sommeil calme. Au réveil, 7 heu
réveil, 7 heures du matin, paraplégie et anesthésie com- plète des
membres
inférieurs. -A 10 heures et demie, amélioration
ces douleurs étaient plutôt localisées aux articulations des quatre
membres
; elles étaient continues ; mais, de temps en t
veil, 7 heures du matin, il voit avec un grand étonne- ment que ses
membres
inférieurs sont complètement paralysés. Ils ne
re le moindre mouvement. La sensibilité non seulement au niveau des
membres
paralysés, mais aussi depuis la partie inférieu
10 heures du matin, le malade commence à sentir et à mou- voir ses
membres
paralysés qui, jusqu'à ce moment, étaient restés
ois à peu près, le malade a commencé à avoir des secousses dans les
membres
parésiés : ils se pliaient et s'éten- daient to
ue course, ou qu'il était sous l'empire d'une grande émotion, ses
membres
s'agitaient d'un tremblement involontaire, mais p
membres s'agitaient d'un tremblement involontaire, mais plutôt le
membre
droit. Cependant, le malade faisait des courses a
t des courses avec son bâton sans boiter; toutefois, il sentait ses
membres
paresseux et la fatigue venait vite, surtout du
sentait ses membres paresseux et la fatigue venait vite, surtout du
membre
droit. A cette époque, le malade avait recouvré
it à peu de choses près dans le même état quant à la parésie de ses
membres
, c'est-à-dire qu'il se fati- guait vite, qu'il
-à-dire qu'il se fati- guait vite, qu'il avait des secousses de ses
membres
parésiés. La trépidation épileptoïde n'a pas ce
tion a fait quelques progrès; en effet, il marchait sans bâton, ses
membres
lui paraissaient plus 180 CLINIQUE NERVEUSE.
ulement qu'après une longue course il se fati- guait, et surtout le
membre
droit. 11 y a exaltation des réflexes rotuliens
mps, surviennent des secousses, plus fortes et plus fré- quentes au
membre
droit. Il a fallu faire marcher le malade et te
ait une longue course, il est pris d'un trem- blement qui agite ses
membres
inférieurs, plus fortement le droit. Il n'y a p
male dans toutes ses modalités. Le sens musculaire est parfait. Les
membres
ne sont ni froids ni rouges ou violacés. Rien a
fait. Les membres ne sont ni froids ni rouges ou violacés. Rien aux
membres
supérieurs ni à la face. Les fonctions de la ve
ant par la gauche. Après une demi-heure, parésie et dysesthésie des
membres
inférieurs, ayant débuté par le gauche, rétenti
on d'urines, difficulté de défécation. Disparition de la parésie du
membre
gauche et réapparition au bout de cinq minutes.
alade a recouvré entière- ment la motilité et la sensibilité de ses
membres
supérieurs. Le 10 juin, il peut se tenir debout
e symptômes céphaliques. Cinq minutes après, éclate une parésie des
membres
supérieurs, qui ayant commencé par l'extrémité
es minutes après par occuper aussi la droite. La sensibilité de ses
membres
parétiques aurait été assez diminuée. A ce mo-
es, de sorte que la parésie de la motilité et de la sensibilité des
membres
supérieurs du malade constituait à elle seule t
il est pris d'une parésie de la moti- lité et de la sensibilité du
membre
inférieur gauche presque im- médiatement suivie
iatement suivie de la parésie du droit. A ce moment donc ses quatre
membres
étaient parétiques, il avait en outre une ré- t
côté de ses organes génitaux. A midi moins un quart, la parésie du
membre
inférieur gauche a presque disparu. Le droit in
épigastrique ont cessé. Le lendemain matin 23 avril, la parésie des
membres
supé- rieurs et des inférieurs, qui, déjà depui
plégie complète ; le malade ne pouvait soulever aucun de ses quatre
membres
. A ce moment, l'abolition de la sensibilité éta
xtrémités supé- rieures ont commencé à recouvrer leur motilité. Les
membres
182 CLINIQUE NERVEUSE. inférieurs restent dan
faire sortir l'urine. Vers la fin de ce mois, il a pu soulever ses
membres
inférieurs, impossibilité de se tenir debout; i
bout et, à l'aide de deux béquilles, faire quelques petits pas. Ses
membres
étaient agités d'un tremblement involon- taire
. Depuis lors, part une très légère amélioration de la motilité des
membres
paralytiques qui lui a permis de marcher à l'ai
lement presque continuel qui, à chaque pas, agite non seulement ses
membres
paralytiques, mais aussi par diffusion son corp
diffusion son corps entier. Les secousses sont très fréquentes. Les
membres
sont pris de contractures passagères. A chaque
trouvée parfaitement normale. Sens musculaire physiologique. Les
membres
paralytiques ne présentent et n'ont jamais pré-
nne bien. Selles régulières. Fonctions génitales normales. Rien aux
membres
supérieurs, sauf un tremblement qui se fait sen
de bien-être parfait. Au bout de ce temps, paraplégie complète des
membres
inférieurs ; anesthésie ; rétention d'urines et d
éflexes et trépidation épileptoïde. Diminution de la sensibilité au
membre
droit. Troubles urinaires. Trwi- tement, travai
s du soir, - étant encore au cabaret, il a senti tout d'un coup ses
membres
infé- rieurs lourds et parétiques ; il ne pouva
tte paralysie progressait si rapidement que, en une demi-heure, ses
membres
étaient condamnés à l'immobilité la plus absolu
ses urines. Rétention des matières fécales. Pas de paralysie aux
membres
supérieurs ni à la face. Pas d'autres symptômes.
ment s'était produit dans l'état du malade. 11 pouvait soulever ses
membres
inférieurs, mais il lui était impossible de se
les troubles urinaires. D'un jour à l'autre, le malade sentait ses
membres
infé- rieurs plus libres, au point que le 27 ju
u point que le 27 juin il a pu marcher sans appui. A ce moment, ses
membres
s'agitaient d'un tremblement involontaire, qui
actuel (20 juillet 4886). Il y a une paraplégie plus pro- noncée au
membre
inférieur droit. La marche qui se fait sans appui
le. C'est à peine si l'on re- marque que le malade traîne un peu le
membre
droit en marchant. Il y a une exaltation très m
L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 185 Un tremblement involontaire agite ses
membres
inférieurs, sur- tout le droit, toutes les fois
ion épileptoide par le procédé habituel qui agite plus fortement le
membre
droit. La sensibilité examinée sous toutes ses
utes ses modalités s'est trouvée un peu et uniformément diminuée au
membre
droit, parfaitement normale au membre gauche. S
u et uniformément diminuée au membre droit, parfaitement normale au
membre
gauche. Sens musculaire normal. Il n'y apas t
onctions rectales et génitales ne laissent rien à désirer. Rien aux
membres
supérieurs ou à la face. Aucun symtôme céphaliq
us dit qu'il fait une heure de chemin sans se fatiguer. Il sent ses
membres
bien plus forts et plus légers, dit-il. La trépid
s fois pour obtenir avec beaucoup de peine un peu de tremblement au
membre
droit. La difficulté d'uriner n'existe presque
n petit tremblement qui, avec l'exaltation des réflexes, surtout du
membre
droit, constituait tout le tableau clinique.
du pec- toral droits. Faiblesse dans toutes les articulations des
membres
supérieurs. Tremblement fasciculaire dans les m
'épaule. Exagération des réflexes du genou. Dans tout le reste, les
membres
inférieurs ainsi que la région des nerfs crânie
ensibilité : analgésie du côté gauche, de la moitié du thorax et du
membre
supérieur; à droite de l'avant-bras et de la main
-bras et de la main. Titermanesthésie en jaquette : elle occupe les
membres
supé- rieurs et thorax. A droite, elle s'étend
ne complexion et nutrition. La peau des par- ties périphériques des
membres
supérieurs est de couleur rouge bleuâtre; elle
bituellement froide au toucher. Une légère irritation du dos et des
membres
supérieurs provoque une rou- geur qui persiste
scapulaires ; celle-ci est moindre. La faiblesse des mouvements des
membres
supérieurs est légèrement supérieure au degré d
membres supérieurs est légèrement supérieure au degré d'atrophie.
Membres
inférieurs : Faiblesse subjective du côté gauche;
- gérés. Tremblement fnsciculaire dans les muscles du thorax, des
membres
supérieurs et de la langue, dont la moitié gauche
ns. 11 est légèrement diminué : sur la moitié gauche de la face, le
membre
inférieur droit et la face postérieure du membr
che de la face, le membre inférieur droit et la face postérieure du
membre
inférieur gauche. Il est extrêmement abaissé su
che. Il est extrêmement abaissé sur les avant-bras, les mains et le
membre
inférieur gauche, où le malade ne distingue pas
elle n'occupe qu'un espace peu considérable, une certaine partie du
membre
supé- rieur par exemple, mais aussi dans le cou
peau est atteinte d'un certain degré de thermanesthésie. Prenons le
membre
supérieur : c'est la partie supérieure du bras,
ivant les nerfs, mais suivant certaines parties ou subdivisions des
membres
. On peut observer la même chose dans les partie
ieures sont atteintes le plus souvent; habituellement c'est un seul
membre
qui est atteint, ensuite la région adjacente du
ente du thorax est éga- lement envahie jusqu'à la ligne moyenne; le
membre
inférieur correspondant peut se prendre ensuite
é n'est pas ordinairement limité à cette seule moitié et envahit le
membre
supérieur ou inférieur ou bien la région du ner
x du côté opposé. Nous n'avons jamais observé d'anesthésie des deux
membres
DE LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE. 203 supérieurs s
résentera ce tableau. En général, nous n'avons pas observé dans les
membres
supérieurs et le thorax de disposition rigoureu
s degrés de lésion de diverses régions isolées ; de sorte qu'un des
membres
présenterait, par exemple, une lésion plus avan
ture sur la poitrine dans un de ces cas, moitié de la face et le
membre
supérieur dans l'autre) que nous avons rencontr
ente sorte : sensation de refroidissement, sensibilité au froid des
membres
, ne dépendant pas toujours du refroidissement d
de « cuisson »,, tantôt ce sont des douleurs excentriques dans les
membres
, la nuque et le thorax, rappelant les douleurs
ne rougeur par stase veineuse, accompagnée de re- froidissement des
membres
. Dans d'autres cas, l'ir- ritation mécanique de
atrophies musculaires progressives protopa- thiques. L'atrophie des
membres
inférieurs est exces- sivement rare et dans ces
roubles par étiques des mouvements se loca- lisent surtout dans les
membres
supérieurs; la fai- blesse prédomine habituelle
adie. (OBs. I, II.) En fait d'autres altérations de la position des
membres
il faut citer la main en griffe et la contractu
paralysie atrophique, développée chez lllme L... (OBs. VI) dans les
membres
inférieurs, se rapporte probablement d'après le
n se vêtir (/t{/. 19). 30 mars. Conjonctivite. A'«tMfSSgm6K< des
membres
infé- rieurs si prononcé que la station debout
hère cérébral droit et atteignaient surtout les centres moteurs des
membres
. C'est aussi à la suite de ces convulsions que
es, le faisceau frontal supérieur (fascicule des fibres motrices du
membre
infé- rieur en partie' (PL. I, fig. cl, bleu),
bleu), le faisceau frontal moyen (fascicule des fibres motrices du
membre
supérieur) (PL. I, fig. 4. d. 5, bleu) et le fa
le faisceau pariétal supé- rieur (fascicule des fibres motrices du
membre
inférieur dans sa totalité (PL. I, tg. 5, f, bl
rce cérébrale des nerfs moteurs périphériques (hypoglosse, nerfs du
membre
supérieur, sciatique et crural, etc.). Huglings
expérimentales produisent des accidents paraly- tiques croisés des
membres
et de la face peu marqués, ni per- manentschez
ysie atteignant dans la compression lente de la moelle, d'abord les
membres
supérieurs, puis les membres inférieurs dans la
ession lente de la moelle, d'abord les membres supérieurs, puis les
membres
inférieurs dans la suite, que, dans le cordon ant
artielle; si elles sont très limitées, la paralysie n'atteint qu'un
membre
ou même qu'un groupe musculaire2. » 1 Fr.rFra
de M. Lancereaux. 4° Forme héréditaire de Leyden-Mobins ou type des
membres
infé- rieurs. 268 REVUE CRITIQUE liomyéli
graphie. III. Cécité ver- bale. IV. Surdité verbale. V. Motilité du
membre
supérieur. '1 Veyssière. licch. cliniq. et expé
ris, 1874, p. 379. DE Laye CEREBRO-SPINALK. 2/3 3 VI. Motilité du
membre
inférieur. - VII. Contre cortical du grand hypo-
apathie profonde et se manifestait par l'attitude suivante : les
membres
et le tronc étaient à l'état de légère flexion, e
sont beaux...» Il était facile de démontrer que la demi-flexion des
membres
était factice; on sait, en effet, que chez les
ctice; on sait, en effet, que chez les vrais idiots, la flexion des
membres
est la conséquence d'une insuffisance d'innervati
férieure) et une déviation conjuguée des yeux. Pas de paralysie des
membres
supérieurs ni inférieurs. Abolition des réflexe
rait se terminer par la démence sans passer par la mégalomanie. Les
membres
de la Société n'ont apporté aucun fait personne
à l'assemblée les salutations de ses collègues d'Illcnau. Les deux
membres
du bureau sortant, 11\I. V'ES1'I'IL1L et hCL11.1N
ne commission, parce que la responsabilité est disséminée entre les
membres
composants, alors qu'en réalité un seul est pré
vra les transmettre à qui de droit. Cette commission se compose des
membres
du bureau : MM. GUTTSTADT, LOEHR,MENDEL, MOELI,
embre,bouil- lonnements congestifs, tremblements et convulsions des
membres
, angoisse, brûlure épigastrique, nausées, vomit
, dans un même milieu, dans une même famille, par exemple, dont les
membres
vivent dans une'grande intimité, plusieurs indi
ncolique : « Mon père s'est pendu à trente ans,disait froidement un
membre
de l'une de ces familles, je me pendrai à trent
irrésistible de tous ses centres cérébro-spinaux. Constamment, ses
membres
sont agités de mouvements bizarres, rappelant l
les. On le voit se rouler à terre, en poussant des cris, agiter ses
membres
en tous sens; il s'arrête toutà coup; mais, fai
ur agrégé de la Faculté d'Athènes; Médecin de l'asile de Dromocaitis;
Membre
de la Société Médico-psychoiogiquc de Paris.
iculation ; il ajoute seulement qu'il avait été forcé de garder son
membre
dans l'immobilisation, afin de ne pas exaspérer
après, fut pris de douleurs générales aux articulations des quatre
membres
, lesquelles étaient en même temps gonflées, sur
premier à minuit et le second à 7 heures du matin, ils voient leurs
membres
inférieurs complètement paralysés et immobiles.
ON II, plus de douze pour l'OB- SERVATION XII). La paraplégie des
membres
inférieurs peut être accompagnée de monoplégie
gie des membres inférieurs peut être accompagnée de monoplégie d'un
membre
supérieur soit droit (CES. Il), soit gauche (OB
est des cas où ce n'est plus une monoplégie mais une paraplégie des
membres
supérieurs qui accom- pagne et précède même que
écède même quelquefois pendant un cer- tain temps la paraplégie des
membres
inférieurs. Tel est le cas de I'OBSERVATION XII
N XII. Ce malade était pris à 1 1 heures du matin d'une parésie des
membres
supé- rieurs, qui ayant commencé par le membre
n d'une parésie des membres supé- rieurs, qui ayant commencé par le
membre
gauche a fini, quelques minutes après, par enva
, par envahir aussi le droit. Durant une demi-heure, la parésie des
membres
supé- rieurs existait seule sans trace de parés
donc, DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 351 les quatre
membres
étaient parétiques. Nous ne devons pas oublier
même malade dans l'éta- blissement de sa paraplégie. La parésie du
membre
inférieur gauche a presque disparu, le droit in
u'elle était auparavant. Depuis ce moment, la parésie de ses quatre
membres
s'aggravait d'une heure à l'autre, au point que
ibilité absolue de faire le moindre mouvement. Les paralysies des
membres
supérieurs, qui accom- pagnent la paraplégie, t
ssagères et durent quelques jours. C'est ainsi que la monoplégie du
membre
supérieur gauche du malade de I'Observation III
XII, XIII). L'abolition de la sensibilité est si complète, que les
membres
para- lysés sont absolument insensibles, non se
ait dans un tel état d'érection qu'il raconte n'avoir jamais vu son
membre
viril si dur et si turges- cent. Ajoutons en pa
is défaut. Elles sont plus fréquentes la nuit : tout d'un coup, les
membres
inférieurs des malades se fléchissent et s'éten
res. Lorsque la paraplégie spastique est plus ou moins avancée, les
membres
de nos malades se raidissent en extension penda
it. 5.) Dyscampsie des articulations. - Quand on fait mouvoir les
membres
des malades, on sent une résis- tance plus ou m
nté des malades s'y oppose. En général, dans les cas avancés, les
membres
de ces malades sont rigides et quasi lourds et
vent que la paralysie prédomine d'une façon très prononcée à un des
membres
inférieurs, soit le droit (Oss. IV, XI et XIII)
ampsie des articulations, rigidité mus- culaire, etc., prédomine au
membre
le plus paralytique ou le plus parétique. Dans
e et de lever la hanche droite pour arriver à déta- cher du sol son
membre
inférieur droit et le faire avancer; par contre
ire avancer; par contre pour détacher du sol et faire avancer son
membre
inférieur gauche, il n'était nul- lement obligé
une prédomi- nance des phénomènes paralytiques spasmodiques à son
membre
inférieur gauche. Voyons maintenant, comment ce
nvasion de sa paraplégie avait commencé à avoir des secousses aux
membres
inférieurs; ses membres, surtout le droit, sous
ie avait commencé à avoir des secousses aux membres inférieurs; ses
membres
, surtout le droit, sous l'influence de certaine
rigides comme de véritables barres de fer; il frottait le soi ; ses
membres
s'agitaient à chaque pas d'un tremblement très
rche spasmodique sont extrême- ment légères et bornées seulement au
membre
droit. Les contractures passagères ont disparu.
N IV, le 2 juillet, marche en s'appuyant sur deux béquilles ; ses
membres
inférieurs sont très lourds et très rigides; il
et le 22 juillet, le malade frotte bien moins et traîne moins ses
membres
qui lui paraissent moins lourds et moins rigide
rouvons le malade avec son syndrome spasmodique atténué, surtout au
membre
gauche. La rétrogression et l'atténuation chez
e est tantôt uniformément altérée sur presque toute la longueur des
membres
et plus haut, tantôt elle l'est par plaques, pa
t exagérée. C'est ainsi que, si l'on piquait ou si l'on touchait le
membre
gauche du malade de l'OBSERVATION X, celui-ci é
S PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 365 le genou jusqu'au pied. Ce même
membre
était le siège d'une hypéresthésie extrême au f
server qu'ils peuvent prédominer ou siéger exclusivement sur un des
membres
inférieurs. c). Symptômes vaso-moteurs. - Le sy
es et livides. Enfin c), celui de l'OBSER- VATION X avait aussi ses
membres
froids, surtout le gauche, qui en même temps ét
que, perle de connaissance, trois heures de durée. Para- plégie des
membres
inférieurs un peu moins prononcée au membre gau
urée. Para- plégie des membres inférieurs un peu moins prononcée au
membre
gauche, anesthésie, légère rétention d'urines.
il était paraplégique, la paralysie étant un peu moins prononcée au
membre
gauche, En effet, le membre droit était condamn
ralysie étant un peu moins prononcée au membre gauche, En effet, le
membre
droit était condamné à l'immobilité absolue, ta
absolue, tandis que quelques petits mouvements étaient possibles au
membre
gauche, la sensi- bilité à son tour était compl
le malade a pu marcher à l'aide d'un seul appui : à ce moment, ses
membres
ont commencé à être agités de - temps eu temps
A 3 heures du soir, il était pris de douleurs qui occupaient les
membres
inférieurs et le dos, survenaient subitement avec
l'aide d'un appui, traînant ses jambes, frottant le sol, ayant ses
membres
agités fréquemment de tremblement et de secouss
heures. 11 affirme qu'au sur et à mesure que le temps avançait, ses
membres
paralysés devenaient de plus en plus libres. Le S
s appui, traînant bien moins ses jambes, frottant moins le sol, ses
membres
étant moins raides. Les mois suivants, février
onc à gauche et de lever sa hanche droite pour détacher du sol le
membre
inférieur droit et le porter en avant. Il fait la
ait la même chose en sens inverse, mais à un moindre degré pour son
membre
infé- rieur gauche. Si on veut mouvoir les memb
re degré pour son membre infé- rieur gauche. Si on veut mouvoir les
membres
du malade on sent une résistance assez marquée,
nce assez marquée, grâce à la rigidité musculaire. Très souvent ses
membres
se fléchissent et s'étendent brusquement ; fréq
membres se fléchissent et s'étendent brusquement ; fréquemment ses
membres
se raidissent en extension pendant quelques min
réflexes rotuliens sont considérablement augmentés, surtout ceux du
membre
droit.- Très souvent, les membres paralysés s'a
ement augmentés, surtout ceux du membre droit.- Très souvent, les
membres
paralysés s'agitent d'un tremblement rythmique
ante des pieds, et dont il se plaint beaucoup. Il y a au niveau des
membres
, çà et là, quelques plaques d'anesthésie. Si l'
G heures, autre intervalle de bien-être. A 6 heures, paralysie des
membres
inférieurs et du supérieur droit. Anesthésie, rét
es. Auréveil, 3 mai, 7 heures du matin, retour de la paraplégie des
membres
inférieurs, de l'anes- thésie et de la rétentio
de démarche spasmodique à droite. Dyscampsie des articulations ait
membre
droit. Contrac- tures passagères. Secousses. Ex
leurs fulgurantes et constriclives. Perte de notion de position des
membres
inférieurs. Signe de Itonzberg. Histoire. Nicol
ique, il se sent affaibli et tout à coup, il tombe paraplégique des
membres
inférieurs, qui en même temps étaient tout à fa
eure. A G heures, tout d'un coup, le malade tombe paralytique des
membres
inférieurs et du bras droit tout entier, le gauch
commencé et a marché à pas si rapides, qu'à Il heures du soir, ses
membres
étaient dégagés de la paralysie, aussi bien de la
Le malade est atteint d'une para- lysie qui est assez prononcée au
membre
droit, peu marquée au gauche. Pour faire avance
tendon rotulieu droit font projeter la jambe deux à trois fois. Les
membres
paralysés sont très fréquemment troublés parl'é
roite. - Il y a de la dyscampsie des articulations assez accusée au
membre
droit, presque pas au gauche. Souvent des sec
droit, presque pas au gauche. Souvent des secousses surviennent aux
membres
paralysés, plus intenses et plus fréquentes au
viennent aux membres paralysés, plus intenses et plus fréquentes au
membre
droit, qui, un grand nombre de fois, est saisi
nd nombre de fois, est saisi aussi de contractures passagères. Ce
membre
se raidit en extension durant quelques minutes. P
en extension durant quelques minutes. Pas de trace de paralysie aux
membres
supérieurs et à la face. La sensi- bilité est f
upérieurs et à la face. La sensi- bilité est fortement troublée, au
membre
droit, qui, sous tous les modes, est anesthésiq
ans toute son étendue. On peut suivre cette anesthésie au-dessus du
membre
droit jusqu'à la moitié droite de la base du th
s du membre droit jusqu'à la moitié droite de la base du thorax. Au
membre
gauche, on découvre trois plaques d'anesthésie
Le malade, étant dans le lit, perd la notion de la position de ces
membres
. La marche devient très incertaine lorsqu'il fe
de douleurs : les unes qui viennent subitement, qui traversent les
membres
inférieurs avec la rapidité d'un éclair pour re
plète et soudaine de la ? 71otililé et de la sensibilité des quatre
membres
. Soif. Rétention d'urines et de selles. Décubitus
uéri. Le 15 février, retour de la motilité et de la sensibilité aux
membres
supérieurs. Secousses. Douleurs en ceinture. Le
eurs en ceinture. Signe de Romberg. Perte de notion de position des
membres
paralysés. Impossibilité de marcher dans l'obsc
n coup, à son grand étonnement, il tombe -paralytique de ses quatre
membres
; la paralysie était si complète qu'aucune de ses
La sensibilité à son tour était tout à fait abo- lie au niveau des
membres
paralysés. Il avait une soif ardente, pas de go
rines n'avaient presque plus d'odeur, il a commencé à mouvoir ses
membres
supérieurs. La rétention d'urines et de selles pe
oi de la sonde et des purgatifs. Aucun mouvement n'est possible aux
membres
inférieurs. Le 15 février, c'est-à-dire vingt-c
et avaient recouvré la motilité et la sensibilité. Par contre, les
membres
inférieurs étaient restés presque dans le même
ns le lit que quelques mouvements très faibles, très limités de ses
membres
, qui, de temps en temps, se fléchissaient et s'
s, rendu tout seul ses urines et ses selles. Pas d'amélioration aux
membres
inférieurs qui se raidissaient en exten- sion d
intenses, qui parlaient avec la rapidité d'un éclair le long de ses
membres
inférieurs, il a été tourmenté par des douleurs
debout et à faire quelques petits pas à l'aide de deux bâtons ; ses
membres
lui paraissent très lourds et s'agitent souvent
proie à des douleurs très intenses, qui, survenant subitement à ses
membres
, lui font pousser un cri déchirant. Ces douleur
e malade, on remarque que pour détacher du sol et faire avancer son
membre
inférieur droit, il est forcé d'incliner son tr
er sa hanche droite. Il fait la même chose en sens inverse pour son
membre
inférieur gauche, mais, à un bien moindre degré
ensibilité a relevé des plaques d'anesthésie à diverses régions des
membres
paralysés. Le sens musculaire est 380 CLINIQUE
ortement troublé. Il perd très souvent la notion de position de ses
membres
inférieurs et il ne sait pas où ils sont. Il osci
té. Les nerfs vaso-moteurs sont, eux aussi, troublés; en effet, ses
membres
sont froids et son pied droit est affecté d'ani
e, épilepsie spinale ; tous ces symptômes sont bien plus marqués au
membre
droit. Douleurs fulgurantes, signe de Romberg,
grande à marcher dans l'obscurité, perte de notion de position des
membres
, troubles étranges de la sensibilité. Histoir
malade avait des douleurs intenses aux articulations des coudes des
membres
supérieurs. La paraplégie n'a pas lardé à jouer
i ce que M. le docteur Xanthos a constaté : paraplégie complète des
membres
inférieurs au point qu'il était impossible au m
pas d'anomalies du pouls. Il n'en a pas été de même pour l'état des
membres
inférieurs, qui n'a pas changé. Le 16 novembre,
n sacrée, pas d'escarres. Le malade a commencé à mouvoir un peu ses
membres
inférieurs. Depuis ce moment, l'amélioration a
ent pas par crise mais isolées et d'une façon très irrégulière. Ses
membres
se raidissaient en extension pendant un temps v
égulièrement. Etat actuel (30 janvier 1885). Il y a une parésie des
membres
inférieurs, le membre droit est bien plus parét
el (30 janvier 1885). Il y a une parésie des membres inférieurs, le
membre
droit est bien plus parétique, ce qui fait boit
ade. En effet, quand il marche, il est obligé de s'ap- puyer sur le
membre
gauche et d'incliner le tronc de son corps de c
é appa- 382 CLINIQUE NERVEUSE. rente. Après une longue course, le
membre
droit tremble et sur- tout quand il marche sur
nd il marche sur un plan incliné; rarement le malade tremble de son
membre
gauche. Il y a une exaltation des réflexes rotu
ises tourmenté de secousses - qui surviennent surtout la'nuit et au
membre
droit; les contrac- tures passagères sont deven
les yeux et dans l'obscurité. 11 perd la notion de position de ses
membres
. 11 a des troubles étranges de la sensibi- lité
mbres. 11 a des troubles étranges de la sensibi- lité, seulement au
membre
droit; quand ou pince, à l'aide d'un instrument
nt piquant, par exemple une aiguille, une région quel- conque de ce
membre
, le malade ressent la même sensation de picotem
a même sensation de picotements d'aiguille sur toute la longueur du
membre
; la même sensation se produit par le contact. L
ements d'aiguilles, mais un senti- ment très désagréable de tout le
membre
et que le malade ne peut définir. Pas d'autres
es passagères, épilepsie spinale, perte de notion de posi- tion des
membres
, etc. Vers la fin du ptois de novembre 1880, po
DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 383 qu'on imprime aux
membres
inférieurs. Marche très difficile sans le conco
eurs très fortes qui sur- viennent subitement, elles parcourent les
membres
inféiieurs et après une durée instantanée dispa
durée. A ce moment, le malade a commencé à avoir des secousses, ses
membres
se fléchissent et s'étendent tout d'un coup. Pl
membres se fléchissent et s'étendent tout d'un coup. Plus tard, ses
membres
se raidissent en extension, cette raideur étant
Il, lui arrivait fréquemment de perdre la notion de position de ses
membres
. Enfin, durant une année et demie, le malade a ét
crises de douleurs fulgurantes, perte de notion de position de ses
membres
. Vers la fin du mois de novembre 'JS80, le mala
arche sans appui. De loin, on peut distinguer que la paraplégie des
membres
inférieurs, dont cet homme est atteint, est spa
est spasmodique. En effet, il est forcé de s'appuyer sur un de ses
membres
, par exemple le gauche, et d'in- cliner son tro
, et d'in- cliner son tronc de ce côté pour détacher et soulever le
membre
droit qui, de cette manière, se porte en avant
é musculaire est assez marquée ; grâce à elle, si on communique aux
membres
des mouvements passifs, on sent une résistance
flexes crémastériens, plantaires etrotuliens sont très exaltés. Les
membres
inférieurs, surtout au réveil et sous l'influence
s une notion exacte des diffé- rentes positions qu'on imprime à ses
membres
paralytiques. Il n'y a aucune trace d'atrophie
res moins un quart, du malin, paralysie subite et complète des deux
membres
inférieurs et du supérieur droit, anesthésie, r
urs. Dans la journée du 23 mars, il recouvre les fonctions de son
membre
supérieur droit. Le 4 avril, possibilité de se te
Etat actuel (10 juin 1884). Syndrome spasmodique prédo- minant au
membre
droit. Signe de Romberg, difficulté de mar- che
complète aussi bien de la motilité que de la sensibilité, des deux
membres
inférieurs et du supérieur droit, suivie de rét
Le 17 mars, il a pu uriner seul. L'état de la paralysie des trois
membres
n'a pas changé. Le 23 mars, c'est-à-dire huit j
i bien que le soir il a pu recouvrer les fonctions intégrales de ce
membre
; -la paralysie de ses membres inférieurs est re
couvrer les fonctions intégrales de ce membre; -la paralysie de ses
membres
inférieurs est restée stationnaire. Le 4 avril,
ues heures. . Etat actuel (10 juin 1884). Il y a une paraplégie des
membres
inférieurs qui prédomine à droite. La marche du
oulever sa hanche droite et, de celte façon, détacher et avancer le
membre
droit. Il y a une exaltation très marquée de tous
lonus des pieds existe aussi bien spontané que provoqué, surtout au
membre
droit. La sensibilité examinée sous tous ses mo
minée sous tous ses modes a été trouvée par- faitement normale. Ses
membres
se fléchissent et s'étendent tout d'un coup, su
t très chaud; il n'y a pas d'autres troubles vaso-moteurs. Rien aux
membres
supérieurs, rien du côté de la vessie, du rectu
qui est remar- quable et original, à savoir que la paralysie des
membres
inférieurs peut être accompagnée de mono- plégi
des membres inférieurs peut être accompagnée de mono- plégie d'un
membre
supérieur quelconque; c'est le droit pour les O
ION XVII, ce n'est plus une monoplégie, mais bien une paraplégie de
membres
supérieurs qui au même moment subite et complèt
i au même moment subite et complète accompagnait la paralysie des
membres
inférieurs, de sorte que la paraplégie, dès le
sorte que la paraplégie, dès le début, était complète aux quatre
membres
. Ces paralysies de membres supérieurs tantôt t
dès le début, était complète aux quatre membres. Ces paralysies de
membres
supérieurs tantôt t sont fugitives (la monoplég
re, si l'on observe une thermanesthésie plus ou moins partielle des
membres
inférieurs combinée à certains troubles de l'ap
quels l'atro- phie des muscles est bornée à une région limitée au
membre
supérieur par exemple (OBSERV. IV), il se peut
rogres- sivement chez 111. \... durant trois années une fatigue des
membres
in- férieurs et une certaine faiblesse de mouve
bres in- férieurs et une certaine faiblesse de mouvements. Dans les
membres
su- périeurs la force est conservée, l'écriture
s se produisent facilement. Il y a hypertome, plus accusée dans les
membres
inférieurs et le clonus du pied. Une diminution
t le clonus du pied. Une diminution du toucher peu accusée dans les
membres
infé- rieurs, un léger affaiblissement de la do
t pareil - la thermanesthésie partielle delà partie périphérique du
membre
avec atrophie de muscles de la main avait été o
ou par région occupant en cas de localisation mono- plégique, un
membre
supérieur et la partie adjacente de la poitrine
rie et dans la localisation insolite de la thermanesthésie dans les
membres
infé- rieurs. En outre, on ne peut à l'état act
LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 4J5 J 3). L'anesthésie thermique dans les
membres
infé- rieurs sans autres phénomènes du côté de
minance de l'analgésie et de la thermanesthésie, sur- tout dans les
membres
inférieurs, à côté des phénomènes caractéristiq
assez grande, bien portante. Deux frères en bonne santé. Aucun des
membres
de la famille ne présente un aspect rappelant c
omateux dans les creux sus-claviculaires et dans les aisselles. Les
membres
supérieurs et inférieurs sont courts et gros. Les
s été réglée; elle aurait rendu une fois du sang par la boucüe. Les
membres
supérieurs et intérieurs sont gros, courts; les
ion, la sensibilité cutanée et les réflexes persistant intacts. Les
membres
inférieurs sont principalement pris. L'atrophie
ié droite du corps, de la char- pente musculaire de l'abdomen et du
membre
supérieur du même côté. Autopsie. Foyer de ramo
bsolument com- plète, puis, ultérieurement, à une parésie légère du
membre
4'0 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' inférieur
qui unissent la eircouvo- lution centrale antéroeuregauciie avec le
membre
supérieur droit; ' le cas acluel viendrait en o
ment signalées comme ayant quelque influence sur les fonctions du
membre
supérieur. Quant au membre inférieure droit, le s
t quelque influence sur les fonctions du membre supérieur. Quant au
membre
inférieure droit, le siège même delà lésion fai
ns la Société, le président fait procéder à l'admission de nouveaux
membres
. Le bureau est lui-même ainsi renouvelé : 11111
i. Séance du 18 juin 1887. Les feuilles statistiques envoyées aux
membres
de la Société, sur la question de l'aliénation
ftques que comportent les éléments statistiques obtenus. Plusieurs
membres
de la Société apportent une confirmation éclata
. Bastelberg, en pareils cas, la sédation est prompte. Les avis des
membres
de la Société sont cependant partagés. Séance
maines. M. BERKXAN et M. WuLF en font une idiotie. La plu- part des
membres
présents sont de cet avis. M. SNELL parle de la
n médecin complaisant il suffit d'un médecin complaisant pour qu'un
membre
d'une famille lasse enfermer une personne gênan
nce d'un cas douteux et difficile, comme cela arrive souvent, si un
membre
de la famille ou l'individu qu'on prétend être
qui est composé de trois juges, qui n'a qu'un seul chef, qu'un seul
membre
du parquet, et un grand nombre se trouvent dans
est appelé à faire un transport judiciaire ; le tribunal n'a pas de
membre
du parquet, il y a des tribunaux où il n'y a pa
elles la loi civile donne le droit de provoquer l'interdiction d'un
membre
de la famille. Ici, il ne s'agit plus d'assigne
omplète, aux observations que je viens de pré- senter. M. DELSOL,
membre
de la commission. Je demande la parole. M. le P
Un sénateur à droite. Nous écoutons. M. de Gavardie. Un jour, les
membres
d'un tribunal se chauf- faient à la chambre du
ienne, asymétrie faciale, prosnatisme, arrêt de développe- ment des
membres
, pied bot, lésions des organes génitaux uri- na
ienfaisance fera partie du jury. » La Commis- sion dont nous étions
membre
avait spécifié que cet inspecteur général serai
graphie. III. Cécité ver- bale. IV. Surdité verbale. V. Motilité du
membre
supérieur. VI. Motilité du membre inférieur. -
. Surdité verbale. V. Motilité du membre supérieur. VI. Motilité du
membre
inférieur. - Vil. Centre cortical du grand hypo-
sées plus loin ; cependant quelquefois il y a rigidité convulsive des
membres
, perte de connaissance qui peut durer un quart
maire : 1° Anesthésie cutanée très accentuée sur toute l'étendue du
membre
supérieur droit, répandue sur le tronc en avant e
ique qui caractérise la période en question. Un simple frôlement d'un
membre
, une passe faite à distance au voisinage immédiat
t d'un membre, une passe faite à distance au voisinage immédiat de ce
membre
, suffit pour déterminer cette forme de contractur
nts de tics qui autrement le priveraient de sommeil. La secousse du
membre
supérieur droit que nous venons de décrire, est s
ue nous venons de décrire, est souvent accompagnée d'un soubresaut du
membre
inférieur du même côté, qui imprime atout le corp
s étant pendant, descend beaucoup plus bas que lagauche ; à gauche le
membre
inférieur est légèrement fléchi. Je vous ferai re
plus souvent mais non toujours, et que cette sciatique existe sur le
membre
opposé au côté vers lequel a lieu l'inclinaison d
clinaison ayant lieu vers la droite, dites que la sciatique occupe le
membre
inférieur gauche, et inversement si l'inclinaison
Vous remarquez encore que lorsqu'il s'agit de se lever, c'est ce même
membre
inférieur droit qui presque exclusivement fonctio
inctive dont le but est de diminuer autant que possible le travail du
membre
où siège la douleur en faisant porter sur d'autre
travail du membre où siège la douleur en faisant porter sur d'autres
membres
le poids du corps. Un autre fait encore qui fra
frappe les yeux, c'est l'amaigrissement relatif que présente ce même
membre
inférieur gauche clans toutes ses parties, cuisse
cuisse et jambe surtout. — La différence, à cet égard, entre les deux
membres
, est de plus d'un centimètre ; évidemment, d'aprè
ant devenue à peu près permanente ; l'amaigrissement, l'émaciation du
membre
, bien qu'il n'existe dans les muscles atrophiés,
ade est couché à terre sur le dos et qu'on élève au-dessus du sol son
membre
gauche maintenu étendu, ¹ 1. — Légende. a. An
nce d'une sciatique régulière ne saurait évidemment être douteuse, le
membre
inférieur gauche, côté de la sciatique, est demi
ains du sujet qui ne présente aucune trace de paralysie soit dans les
membres
inférieurs, soit dans les membres supérieurs et q
ne trace de paralysie soit dans les membres inférieurs, soit dans les
membres
supérieurs et qui peut exécuter, à l'aide de ces
oit dans les membres supérieurs et qui peut exécuter, à l'aide de ces
membres
, tous les mouvements qu'on lui commande de faire,
(hémianesthésie sensitive) de tout le côté gauche du corps, tronc et
membres
. Cette hémianalgésie à la partie postérieure du c
n malheureux ouvrier, pour longtemps, de l'usage régulier d'un de ses
membres
inférieurs, c'est une triste chose; mais une neur
s ni très précipités, plutôt lents. Ils occupent le cou, la face, les
membres
supérieurs, le tronc. A la petite fille : Comme
sur ce fait que pendant toute la durée de notre examen jusqu'ici,les
membres
inférieurs sont restés absolument tranquilles, sa
uilles, sans présenter aucun mouvement choréique. Est-ce donc que ces
membres
sont indemnes,non affectés de chorée? c'est bien
Charcot. — Je vous le fais remarquer une fois de plus, Messieurs, les
membres
inférieurs sont en effet flasques, mous. Impossib
er une complication. Aucun trouble de la sensibilité n'existe sur ces
membres
inertes et flasques, l'électrisation, j'en suis s
urs d'un état fébrile. Des mouvements choréiques ont précédé dans les
membres
inertes aujourd'hui la paralysie. Ce n'est donc p
chorée, c'était en 1879, chez une jeune fille de 12 ans. Les quatre
membres
étaient flasques, dans la résolution complète, ab
ie du diagnostic. J'appris d'ailleurs que pendant plus d'un mois, les
membres
aujourd'hui paralysés et aussi la tête et le tron
e. S'adressant à la fois à la mère et au père : Avez-vous connu des
membres
de votre famille atteints de maladies nerveuses o
vez vous retirer. Tout cela guérira très bien ; même la paralysie des
membres
inférieurs. Vous en avez peut-être encore pour un
à peu près les premières lettres de son nom. La force musculaire des
membres
inférieurs est assez prononcée ; quand elle march
rop ce qui s'est passé ; mais le troisième jour, il ressentit dans le
membre
supérieur droit de forts engourdissements, et le
s engourdissements, et le lendemain au réveil il y avait dans ce même
membre
une paralysie très accentuée. Le même jour, le me
it dans ce même membre une paralysie très accentuée. Le même jour, le
membre
supérieur correspondant se prit à son tour de la
ins intense, survenue plus ou moins subitement dans un ou plusieurs
membres
. IL s'agit encore de rechercher avec minutie la p
nes déjà. Remarquez qu'en marchant, notre malade traîne après lui son
membre
inférieur parésié, comme s'il s'agissait d'un cor
Todd, que je vous ai rappelée si souvent. Oui, remarquez-le bien, le
membre
parésié ne cesse de reposer sur le sol où il traî
ne manqueront pas d'en faire leur profit. Considérons maintenant le
membre
supérieur gauche : il est pendant, sans rigidité,
re 1888, Gaz. hebdom., 23 novembre 1888. tion des réflexes soit aux
membres
supérieurs, soit aux inférieurs. Nous voilà déjà,
re de carbone. née est profondément atteinte sur toute l'étendue du
membre
supérieur paralysé, et également sur toute l'éten
due du membre supérieur paralysé, et également sur toute l'étendue du
membre
inférieur correspondant (Fig. 13.) Vous savez que
ies de cause organique. Ajoutons que ce n'est pas seulement sur les
membres
paralysés qu'est répandue l'anesthésie, mais enco
ait notion de cé qu'on lui fait. Il ignore aussi si l'on déplace ses
membres
et ne peut déterminer la position qu'on leur donn
thésie sensitive cutanée et profonde totale, parésie concomitante des
membres
supérieurs et inférieurs avec perte du sens muscu
i comme exemples du genre les cas où les malades éprouvaient dans les
membres
des douleurs vives et soudaines, en même temps qu
oi qu'il en soit, ce qui paraît bien établi, c'est qu'à son réveil le
membre
inférieur gauche était complètement inerte, paral
e inférieur gauche était complètement inerte, paralysé, tandis que le
membre
inférieur droit était parfaitement libre de ses m
leurs caractères: — 1° Paralysie motrice complète avec flaccidité du
membre
inférieur, fait déjà connu de Galien ; — à un mom
es réflexes tendineux, ten-danceà la contracture ; — 2° La peau de ce
membre
est hypéresthésiée, et l'hy-péresthésie remonte p
é droit (côté opposé à la section) : 1° Anesthésie cutanée de tout le
membre
inférieur, remontant sur l'abdomen ou le tronc où
a-lement — en ce qui concerne les fonctions motrices — l'usage de ses
membres
, et chez lequel il y a tout lieu de supposer, ain
Côté gauche : 1° Il n'existe plus trace de paralysie motrice dans le
membre
inférieur. Celle-ci aurait été absolue complète p
a commencé à pouvoir remuer progressivement les divers segments de ce
membre
. Au sortir de l'hôpital, six ou huit semaines apr
s; — 2° Aujourd'hui, pas d'élévation de température sur la peau de ce
membre
, au contraire ce membre est relativement plus fro
d'élévation de température sur la peau de ce membre, au contraire ce
membre
est relativement plus froid que l'autre ; pas d'h
notablement exagéré ; pas de trépidation provoquée du pied ; — 4° Le
membre
gauche est ^remarquablement atrophié dans toute s
a guéri, et dont actuellement on peut reconnaître les reliquats ; les
membres
inférieurs, en effet, vous le constatez aujourd'h
mir si profondément, présente cependant une rigidité marquée dans les
membres
supérieurs qu'elle tient demi-fléchis sur la poit
rement avec la résolution qui caractérise au contraire l'attitude des
membres
dans le sommeil physiologique ; mais ne vous atte
s « dormeuses ». Il en est et des plus légitimes, chez lesquelles les
membres
restent parfaitement mous et flexibles ; ce cas,
l même par l'application des plus fortes excitations, la rigidité des
membres
enfin, phénomène que vous ne devez pas toutefois
caractérisée par l'apparence d'un sommeil profond avec résolution des
membres
pourrait être confondue avec l'attaque de sommeil
se montrer au moins à un certain degré. Il est clair que lorsque les
membres
seront naturellement rigides, comme dans le cas q
pourra faire du premier coup, car la résolution complète, absolue des
membres
, antérieurement bien entendu à la pression exercé
e j'ai observés jusqu'à ce jour. Vous voyez que lorsqu'on soulève les
membres
supérieurs de la malade, ceux-ci ne retombent pas
la catalepsie bien formulée, les attitudes expressives imprimées aux
membres
supérieurs de manière à figurer ce qui se voit so
alon. Veuillez considérer, Messieurs, les choses d'un peu près : au
membre
inférieur droit, vous le voyez (fig.jl8)la muscul
at de repos, s'exagèrent encore lorsqu'on dit au malade de raidir ses
membres
autant que possible. Alors l'action des muscles e
a jambe devient tellement puissante qu'il se produit Fig. 18. — Les
membres
inférieurs vus Figv19. — Les membres inférieurs v
u'il se produit Fig. 18. — Les membres inférieurs vus Figv19. — Les
membres
inférieurs vus de de profil. La ligne imaginair
les gens exceptionnellement vigoureux. Examinons maintenant l'état du
membre
inférieur gauche. Le contraste est vrai entre c
u recurvatum. Pareille chose ne se ment très frappant. En effet, ce
membre
dans toute son étendue, cuisse, fesse et jambe, e
(fig.18,19,20,21) ; l'amaigrissement Fig. 20. - Atrophie totale du
membre
Fig. 21. - Le muscle tenseur du fasci inférieur
uire d'énergiques contractions. Remarquez que, quoi qu'il fasse, ce
membre
reste demi-fléchi au niveau du genou (fig. 19 B.)
i particulièrement sur les traits suivants : atrophie musculaire d'un
membre
tout entier, mais manifestement prédominante sur
ie très prononcée et qui longtemps privera le malade de l'usage de ce
membre
. Ainsi que je le faisais remarquer tout à l'heure
quelques pas dans la chambre, fort gêné toutefois dans l'usage de son
membre
inférieur gauche qui était « très faible ». Au bo
pour marcher, il l'attribuait non à la douleur mais à la faiblesse du
membre
. C'est six semaines après l'accident qu'il se p
vait complètement disparu, sans laisser de traces; mais l'atrophie du
membre
tout entier, prédominant toutefois, comme c'est l
ait disparue dans le genou et cependant l'impuissance motrice dans le
membre
gauche tout entier, surtout en ce qui concerne le
sion aussi rapide d'un processus inflammatoire à toute l'étendue d'un
membre
et sa prédominance très marquée sur les muscles a
atrophie est, vous l'avez vu,considérable encore et les mouvements du
membre
sont, à l'heure qu'il est, toujours fort gênés; c
hez ce malade qui.lui aussi, avait •été frappé d'une amyotrophie d'un
membre
inférieur en conséquence d'un léger traumatisme d
ire que la longue persistance de 'l'amyotrophie et de la faiblesse du
membre
, soit chez notre sergent de ville la conséquence
blissement des réflexes rotuliens, quand, bien entendu, il s'agit des
membres
inférieurs ; enfin des troubles de la sensibilité
consultera l'hôpital. Nous avons prié le malade de mettre à nu ses
membres
inférieurs et nous pourrons maintenant procéder à
31 c. 29 c. Circonférence de la cuisse au niveau de la racine du
membre
. 44 c. 43 c. Les deux pieds sont tombants, ball
mais cela est beaucoup plus prononcé à gauche qu'à droite. Les deux
membres
inférieurs, surtout aux jambes et aux genoux, son
ée. Cet appareil est destiné d'ailleurs non seulement à réchauffer le
membre
, mais encore à maintenir le pied, qui autrement s
e droit sur la jambe : disposition qui a pour effet de rendre pour ce
membre
l'acte de la marche moins difficile. Là, dans c
our ce membre l'acte de la marche moins difficile. Là, dans ce même
membre
, les troubles vasomoteurs sont beaucoup plus pron
ucoup plus prononcés que partout ailleurs : en effet il suffit que le
membre
inférieur de ce côté soit, dans la station assise
nd en effet ce qui suit. Il fut un temps où l'impuissance motrice des
membres
inférieurs a été absolument complète. Il y a eu
lysie actuelle paraissent remonter à sept ou huit ans. L'atrophie des
membres
s'était dès l'origine rapidement accentuée. La
de l'observation : En 1880, à l'âge de 20 ans, surviennent dans les
membres
inférieurs, les douleurs, les picotements, les cr
pes, surtout nocturnes,dont il a été question déjà. En même temps ces
membres
s'affaiblissent et bientôt les choses en viennent
l a continué à travailler jusqu'en 1882. A cette époque laparésie des
membres
inférieurs s'étant accentuée de façon à constitue
omnies, les rêves terrifiants avaient reparu. L'affaiblissement des
membres
inférieurs s'était montré à nouveau, sans s'accom
époque tardive à laquelle l'enfant a commencé à pouvoir marcher, les
membres
inférieurs sont toujours restés grêles et faibles
fait, chez B..., avec une vigueur presque athlétique du tronc et des
membres
supérieurs, la démarche a de tout temps été anorm
ète à peu près également répartie sur toute l'étendue des muscles des
membres
inférieurs mais prédominant toutefois, comme c'es
rtition de la paralysie et de l'atrophie dôgénérative des muscles des
membres
inférieurs. C'est ainsi qu'aux deux cuisses le dr
sions sont à peu près uniformément répandues dans toute l'étendue des
membres
; sauf en ce qui concerne leur prédominance symét
locomotrice, la paralysie générale, i'épilepsie, l'hystérie, etc., un
membre
de la famille neuropathologique, ou autrement dit
re à notre assertion. (Fig. 22). Il existe sur la tête, le tronc, les
membres
, une hémianalgésie Fig. 22. — 1. Aoesthésie com
Les grands mouvements choréiques se sont manifestés d'abord sur le
membre
supérieur gauche ; deux ou trois jours après ils
membre supérieur gauche ; deux ou trois jours après ils ont gagné le
membre
inférieur du même côté et la face enfin; une sema
, d'intensité moyenne; ils s'étendaient, comme on l'a dit, aux quatre
membres
et à la face avec prédominance à gauche. La parol
e dort pour ainsi dire plus depuis deux nuits. Les gesticulations des
membres
et du tronc sont de plus en plus étendues. La sit
pas plus rassurant pour cela : sans doute les mouvements anormaux des
membres
ainsi que les grimaces sont moins étendus moins f
nce, avec cris inarticulés de temps à autre ; les mouvements dans les
membres
ont presque complètement disparu. Température 38°
sont plus représentées actuellement que par de légères secousses des
membres
tant supérieurs qu'inférieurs, visibles surtout l
par la chorée. Les phlegmons suppures qui s'étaient produits dans les
membres
en conséquence des mouvements désordonnés, et les
unique dans son genre et il n'est pas à proprement parler un seul des
membres
de la grande famille neuropathologique où cette.a
petite. Cependant sa grand'mère, qui l'a élevée, affirme que tous les
membres
de la famille « étaient excessivement nerveux, au
étant assis, les mains reposant sur le genou, élèvent tout à coup les
membres
supérieurs à 10 ou 12 centimètres au-dessus du pl
upérieurs à 10 ou 12 centimètres au-dessus du plan de repos, puis ces
membres
retombent inertes presque aussitôt, pour être de
quelquefois se produisent dans les mêmes circonstances, occupent les
membres
supérieurs, ou les membres inférieurs ou parfois
dans les mêmes circonstances, occupent les membres supérieurs, ou les
membres
inférieurs ou parfois les deux en même temps ; on
réveil que sa main gauche était le siège de fourmillements et que le
membre
supérieur de ce côté tout entier était devenu fai
ur le schéma que je vous présente : Anesthésie cutanée absolue sur le
membre
supérieur gauche, se terminant en «. gigot » du c
l'hypocondre gauche, tandis qu'en arrière elle comprend la fesse. Le
membre
inférieur gauche est indemne de troubles de la se
oli des deux côtés. Revenons actuellement sur ce qui est relatif au
membre
supérieur gauche ; de ce côté, il n'y a pas, à pr
ain droite il donne 80. — Aucune participation à la pare'sie, soit du
membre
inférieur, soit de la face. Remarquez que sur le
'sie, soit du membre inférieur, soit de la face. Remarquez que sur le
membre
parésié, les troubles de la sensibilité, déjà trè
ière, à l'œil nu ne présente aucune trace d'altération. Muscles des
membres
: Ils sont durs et présentent une teinte noirâtre
e angioleucite qui s'était développée sur toute l'étendue de l'un des
membres
inférieurs. Il affirme que pendant ces vingt-cinq
ertain nombre, répond une paralysie motrice plus ou moins complète du
membre
ou des membres rattachés anatomique-ihent et phys
répond une paralysie motrice plus ou moins complète du membre ou des
membres
rattachés anatomique-ihent et physiologiquement a
e troubles de la sensibilité soit objectifs soit subjectifs clans les
membres
affectés ; la seule lésion des cornes antérieures
dément compromis, reviennent progressivement à l'état normal. Sur les
membres
qui ont été frappés de paralysie il en est un ou
ie il en est un ou deux qui se dégagent en grande partie ; si un seul
membre
a été affecté, un ou plusieurs muscles ou groupes
cté, un ou plusieurs muscles ou groupes de muscles reviendront sur ce
membre
à l'état normal. En général, cette période de rép
t de ce genre, dans lequel la paralysie absolue, complète de l'un des
membres
inférieurs, subitement développée au milieu d'un
et nécessaire de quelques-unes, au moins, des fonctions motrices des
membres
affectés; attendez, avant de rien décréter, que q
e arrêté. C'est alors qu'est constituée la période des infirmités. Le
membre
affecté, considé- 21 rablement atrophié, amai
ance d'action des muscles les moins altérés lesquelles conduisent aux
membres
inférieurs, à la production des pieds-bots (pieds
infantile, à penser que la maladie dont il s'agit, représente un des
membres
de la grande famille neuropathologique; quelques-
a moelle à la région cervicale dans vin cas de paralysie infantile du
membre
supérieur droit. — Pièce recueillie à la Salpêtri
r morte en Las âge qui était née avec une sorte de paralysie d'un des
membres
supérieurs, probablement d'une paralysie obstétri
l de tête reparaît vers le soir ; l'enfant a des courbatures dans les
membres
, il va se coucher de très bonne heure. La nuit du
lors d'une accalmie, le malade voulant aller aux cabinets, sentit son
membre
inférieur droit fléchir sous lui et tomba sur le
e jours encore, et c'est alors que commencèrent à se produire dans le
membre
paralysé des douleurs extrêmement vives paraît-il
es adultes. Elles seraient dues en tout cas à 1. On éveille dans le
membre
paralysé un peu de douleur par la pression sur le
résence, à un moment donné, d'une vive douleui occupant une partie du
membre
paralysé, il n'y a plus rien que de normal à sign
a paralysie, à l'origine, ainsi qu'on l'a dit, était complète dans le
membre
inférieur droit où elle occupait à la fois les mu
partout ailleurs l'impuissance motrice est restée complète,absolue.Le
membre
est aujourd'hui flasque, atrophié (1), les réflex
es réflexes cutanés et tendineux font complètement défaut, la peau du
membre
est froide, livide surtout à la jambe et au pied
occasionnelle 1. 11 y a entre les parties correspondantes des deux
membres
inférieurs des différences de un centimètre envir
coucha. Le lendemain, au réveil, on constate la paralysie complète du
membre
inférieur gauche dans sa totalité. Le surlendemai
n matin, la fièvre continuant toujours, bien qu'à un degré modéré, le
membre
inférieur gauche a été pris à son tour. Enfin, le
était tombée et néanmoins, ce jour-là, la paralysie s'est étendue au
membre
supérieur droit. Aucune trace de douleurs. Mais,
de rétrocession a commencé au bout de 15 jours ; malheureusement, le
membre
supérieur droit : l'épaule, le coude d'abord, pui
s'est seul dégagé. Rien de semblable ne s'est fait sentir dans les
membres
inférieurs qui, depuis l'origine, n'ont pas récup
s articulations. Inutile de dire l'état dans lequel se trouvent les
membres
inférieurs paralysés près de deux ans après le dé
s paralysés près de deux ans après le début; flaccidité, algidité des
membres
, absence des réflexes de tout genre, rien n'y man
autrefois dans le dos, elle les a éprouvées un peu plus tard dans les
membres
inférieurs où elles se sont montrées avec les mêm
A la malade : Vous nous avez dit tout à l'heure que les douleurs des
membres
inférieurs ont plus tard envahi les avant-bras et
lles qui, dans la règle ordinaire, apparaissent dès le début dans les
membres
inférieurs. Vous comprendrez par là que l'existen
is. La malade: Monsieur, je vous l'ai dit, ce sont les douleurs des
membres
qui déterminent ces vomissements. Quand j'ai ces
ments coïncide avec celle des crises de douleurs fulgurantes dans les
membres
. Je ne vous ferai pas l'injure, messieurs, de s
l'estomac, je ne souffre que des efforts que je fais ; c'est dans les
membres
que j'ai des douleurs. M. Çharcot : Est-ce que
ue est close. L'incoordination motrice est devenue manifeste dans les
membres
inférieurs ; peut-être nous sera-t-il donné de dé
s sont absents et que la forae de résistance des diverses parties des
membres
inférieurs aux divers mouvements qu'on veut leur
Pas de perte de connaissance ; pas de mouvements convulsifs dans les
membres
. Ces crises, autrefois, revenaient tous les mois
e côté que les deux affections, ataxie ît hystérie, représentent deux
membres
de la même famille nosographique, "t qu'il est to
moindre réprimande, elle se roulait à terre en criant, en agitant ses
membres
d'une façon désordonnée. Souvent, pour la calmer,
cu-laire des centres nerveux s'accompagne de névrite optique. 1. Au
membre
supérieur gauche, l'anesthésie cutanée est compli
alade a perdu, les yeux fermés, la notion de la posiàon imprimée à ce
membre
ou à ses divers segments. A cette révélation fo
é qu'autrefois, et le tremblement intentionnel très manifeste dans le
membre
supérieur gauche. Les réflexes tendineux rotulien
ux rotuliens et ceux de l'avant-bras sont exagérés; il n'y a pas, aux
membres
inférieurs, de trépidation spinale provoquée. B
ents choréiques sont remarquables par leur lenteur. * II y a dans les
membres
, au trône, au cou, un affaiblissement musculaire
ncurable. De fait, j'ai connu cette malade complètement paralysée des
membres
inférieurset, en conséquence, rigoureusement conf
aignait de palpitations de C'œnr Penses. ^ y avait un peu d'œdème aux
membres
, inférieurs - « chloro-an °m*e très accentuée »,
tébrale au niveau de la région u. ' u wa c; enfin affaiblissement des
membres
inférieurs, augmentant progrès^1 vemen e aboutiss
très marquée (1) ; pas de troubles marqués de la sensibilité dans les
membres
inférieurs. De temps en temps, il s'était produit
tt suivi de guérison. Point de raideur, appréciable à l'œil, dans les
membres
inférieurs qui se séparent aisément l'un de l'aut
t, messieurs, que cette intégrité, qu'on pourrait croire absolue, des
membres
inférieurs n'est en somme qu'une apparence trompe
l'objet d'une démonstration, j'ai constaté l'existence dans les deux
membres
inférieurs d'une trépidation par redressement de
ambe rester étendue sur le genou qui devient pour un temps rigide, le
membre
entrant ainsi en état de contracture spas-modique
bien de fois, en effet, n'ai-je pas vu « la contracture latente » des
membres
inférieurs devenir rapidement contracture «effect
venir rapidement contracture «effective», àla suite d'unechute sur le
membre
prédisposé, sous l'influence d'une irritation cut
, sous l'influence d'une irritation cutanée en apparence banale de ce
membre
telle que l'application d'un vésicatoire, ou enco
rture d'un abcès par congestion dans le mal de Pott, la paralysie des
membres
inférieurs qui existait auparavant disparaissait.
au rétablissement complet de la sensibilité et du mouvement dans les
membres
inférieurs (1). Tels sont les faits anatomo-pat
sont devenues raides ; la marche est réellement difficile ; dans les
membres
supérieurs, qu'elle meut cependant assez libremen
nt ainsi, dumoins à un certain degré. Onpouvait même craindre que les
membres
supérieurs, épargnés dans la maladie première, ne
ant d'assertions qu'il s'agit maintenant de justifier. L'examen des
membres
inférieurs fait constater ce qui suit: la malade
stater ce qui suit: la malade exagère inconsciemment la faiblesse des
membres
inférieurs ; ceux-ci sont réellement un peu raide
t réellement un peu raides, mais la résistance des divers segments du
membre
aux mouvements qu'on veut lui imprimer, alors que
complète, absolue, totale, qui se répand sur toute l'étendue des deux
membres
inférieurs depuis leur extrémité jusqu'à leur rac
connaît absolument les positions qu'on imprime aux divers segments du
membre
. Vous remarquerez,messieurs,qu'il y a là un. ense
'ailleurs, le mode de limitation de l'insensibilité vers la racine du
membre
était déjà pour nous une révélation ; vous y reco
détails qui vont suivre. On trouve, exactement reproduites dans les
membres
supérieurs toutes les particularités que nous ven
rs toutes les particularités que nous venons de signaler à propos des
membres
inférieurs ; même anesthésie cutanée complète, li
e anesthésie cutanée complète, limitée « en gigot » vers la racine du
membre
, même anesthésie profonde, même perte de la sensi
norance les yeux fermés de la position donnée aux diverses parties du
membre
; j'ajouterai enfin, même absence de troubles séri
sont en réalité. C'est donc encore l'hystérie qui est en jeu dans les
membres
supérieurs. La présence de l'élément hystérique
ent, chez B...ot par la rachialgie et l'affaiblissement parétique des
membres
inférieurs ; tout le reste appartient à l'hystéri
leurs rachialgiques et en ceinture, en même temps qu'elle sentait les
membres
inférieurs s'affaiblir. Ces douleurs, cette parés
a « localisé », si l'on peut ainsi parler, « son hystérie » dans les
membres
inférieurs où elle éprouvait le sentiment d'impui
paralysies hystéro-psychiques. Pour ce qui est de la paralysie des
membres
supérieurs, qui se présente comme l'on a vu en to
rieurs, qui se présente comme l'on a vu en tout semblable à celle des
membres
inférieurs, on pourrait dire qu'elle est le produ
que la démarche traînante fait songer à l'existence d'une parésie des
membres
inférieurs et qu'un examen antérieur avait révélé
elle également qu'il faut rapporter la gêne marquée qu'éprouvent les
membres
inférieurs dans l'accomplissement de la marche ;
de paraplégie proprement dite ; la résistance des divers segments des
membres
inférieurs aux mouvements qu'on veut leur imprime
de annonça que les douleurs fulgurantes très vives, siégeant dans les
membres
inférieurs, qui depuis longtemps le tourmentaient
sont absents ; il y a une diminution très nette de la sensibilité aux
membres
inférieurs. Difficulté de la miction. Impossibili
tage; 3° les troubles permanents de la sensibilité qui existaient aux
membres
inférieurs, et en particulier les sensations de f
berg n'existe plus ; 5° augmentation légère du volume des muscles des
membres
inférieurs qui commençaient à s'atrophier. Le t
équents, douleurs en ceinture ; crises gastriques très violentes. Aux
membres
inférieurs, le malade souffre de fourmillements e
a essayé de remplacer la suspension par une traction exercée sur les
membres
inférieurs par le procédé de Volkmann. Le malade
avail depuis deux ans, époque à laquelle l'incoordination motrice des
membres
inférieurs a commencé à s'accuser. L'observatio
On constate la disparition du signe de Romberg. Le « dérobement » des
membres
inférieurs ne s'est pas produit depuis longtemps.
e séance,diminution d'un sentiment de pesanteur qui existait dans les
membres
inférieurs; la marche paraît être un peu plus fac
deux ans par des difficultés dans la marche. Dérobement fréquent des
membres
inférieurs. Les douleurs fulgurantes n'ont commen
de simples chatouillements peu incommodes. L'engourdissement dans les
membres
inférieurs a cessé. Il n'y a plus d'incontinence
puissance ; absence complète d'érection. L'incoordination motrice des
membres
inférieurs est très marquée. Douleurs fulgurantes
ès, il y a deux ans seulement, par un sentiment de faiblesse dans les
membres
inférieurs et une difficulté rapidement prononcée
il survint chez lui après deux séances une rigidité spasmodique des
membres
inférieurs qui disparut heureusement au bout de t
eux,nous avons vu survenir après la dix-septième séance, un œdème des
membres
inférieurs résultant de troubles circulatoires ca
porté la suspension,plusieurs affirment que,chez eux, la rigidité des
membres
inférieurs est devenue moindre. Mais, en raison d
produit surtout la nuit s'est remarquablement amendé; la rigidité des
membres
et les symptômes pénibles, parfois douloureux, qu
tte tumeur s'est développée à la suite des accès qui siègent dans les
membres
supérieurs. Pas de sucre dans les urines. Il a eu
mportant pour le diagnostic. Ce tremblement occupe, non seulement les
membres
supérieurs, les mains en particulier, mais aussi
ment les membres supérieurs, les mains en particulier, mais aussi les
membres
inférieurs dont les oscillations se communiquent
i tout récemment, dans une société savante, on n'avait entendu un des
membres
de cette société particulièrement voué aux études
vant, sur les genoux. Cela rappelle, vous le voyez, le dérobement des
membres
inférieurs dont j'ai eu souvent l'occasion de vou
l existe une véritable parésie paraplégique ; les divers segments des
membres
inférieurs en effet, étendus ou fléchis volontair
lissement, ne doivent pas, sans plus ample informé, figurer parmi les
membres
de la famille neuropathologique. Voilà pour la pr
t d'en finir avec ce cas. Gomme dans celui qui précède, il existe aux
membres
inférieurs un certain degré de parésie, sans trou
le goitre est stationnaire. Le tremblement a beaucoup diminué et les
membres
inférieurs ne se dérobent plus.—La température re
ue nous le faisions pressentir tout à l'heure, cette mêmeparésie des-
membres
inférieurs que nous avons rencontrée déjà chez no
ite des fonctions de la vessie etdu rectum, effondrement fréquent des
membres
inférieurs, etc. Tels sont, avec des variations e
a été, pendant plusieurs mois, affectée d'une impuissance motrice des
membres
inférieurs à peu près complète, et elle est res
s exigeait l'emploi des béquilles, le phénomène de l'effondrement des
membres
inférieurs. La paraplégie s'était définitivemen
dit, lors de l'admission à la Salpêtrière, l'impuissance motrice des
membres
inférieurs était à peu près absolue. La malade av
ière ; elle était depuis plusieurs semaines déjà confinée au lit. Les
membres
paralysés sont légèrement amaigris, on n'y remarq
ont clos, elle sait très bien déterminer l'attitude qu'on donne à ses
membres
, les mouvements qu'on leur fait exécuter. L'impui
leur fait exécuter. L'impuissance motrice porte principalement sur le
membre
inférieur gauche où la malade ne peut mouvoir vol
ouvements soit de flexion soit d'extension, qu'on veut imprimer à ses
membres
qui, au niveau des jointures, ne présentent aucun
terminant un cinquième exemple de maladie de Basedow, dans lequel les
membres
inférieurs sont également le siège de troubles du
tuellement très prononcée. Il y a trois ans, sont survenus dans les
membres
inférieurs des douleurs fulgurantes caractéristiq
. Mais, par contre, à chaque tentative, elle sentait son corps et ses
membres
se raidir au point de ne pouvoir plus faire un mo
. La contracture est quelquefois assez forte pour que la rigidité des
membres
ne puisse être vaincue, même en déployant une gra
c rougeur de la face; pas de sentiment de malaise et de brisement des
membres
; pas de somnolence survenant après les repas, ce
— Neurasthénie spinale marquée par un sentiment de faiblesse dans les
membres
inférieurs et l'existence de la « plaque sacrée »
sse manœuvre, jeté à l'eau. Portant toujours son lourd fardeau, et le
membre
inférieur embarrassé dans la longue corde qui ser
dix-sept jours environ après l'accident, se manifesta une parésie du
membre
supérieur gauche ainsi qu'une faiblesse avec cram
supérieur gauche ainsi qu'une faiblesse avec crampes douloureuses du
membre
inférieur correspondant. Tels furent les premiers
u côté de la face. Par contre, l'hémiplégie gauche s'est accentuée au
membre
supérieur où elle était restée fort incomplète; l
21. Le malade se plaint plutôt de douleurs que de faiblesses dans son
membre
inférieur gauche. En le déplaçant pour marcher, i
uerez que cette plaque hypéresthésique paraît répondre à la partie du
membre
qui a été, pendant la submersion, comprimée par l
re, L.....commence à éprouver un certain degré de faiblesse dans le
membre
supérieur gauche ; la main de ce côté ne pouvait
; en même temps, il y avait par instants des fourmillements clans ce
membre
; un jour, il s'est aperçu qu'il était insensible
en rien sentir. Quelques jours après, la faiblesse s'est étendue au
membre
inférieur gauche qui bientôt ne le porte qu'ave
térique avec flaccidité typique ; aucune participation de la face, le
membre
supérieur gauche pend inerte ; la main de ce côté
kilog. au dynamomètre; insensibilité superficielle et profonde de ce
membre
, perte des notions du sens musculaire. Même parti
bre, perte des notions du sens musculaire. Même particularité pour le
membre
inférieur, en ce qui concerne l'insensibilité.
lument : apparence d'un sommeil profond, avec résolution complète des
membres
, trépidation des paupières, etc. Il y a trois gra
, environ, toutes les vingt minutes. Il y a un peu de raideur dans le
membre
inférieur gauche ;toutes les autres parties du co
e d'un profond sommeil , sans ronflement toutefois. Bien que tous les
membres
soient en résolution parfaite, les vibrations rap
qui, à la suite d'une chute sur le genou gauche, a été prise dans le
membre
correspondant d'une contracture spasmodique porta
be et de la cuisse. La chute a été la conséquence d'un dérobement des
membres
inférieurs déterminé lui-même par l'action d'une
été menacée, sans chute toutefois jusqu'ici, de l'effondrement de ses
membres
inférieurs. Nous rechercherons tout d'abord ce
parfois de faire effort pour expulser les urines. A la vérité, sur le
membre
inférieur droit, non contracture, le seul qu'on n
e à la suite d'une chute provoquée par l'effondrement tabétique des
membres
inférieurs. Mais il importe pour en venir à ce po
l était à peine un peu engourdi ainsi que, dans toute son étendue, le
membre
correspondant. Seulement les douleurs fulgurantes
nous la retrouvons aujourd'hui. Voici maintenant la description du
membre
contracture. La rigidité est aussi prononcée que
gênés, lents, mais il ne sont pas abolis car la malade peut élever le
membre
au-dessus du plan du lit et le porter en abductio
oujours inférieure à celle des mouvements volontaires exécutés par le
membre
inférieur droit. On peut en dire autant des mouve
du même coup, dans cette exploration que, pour la majeure partie, le
membre
contracture est complètement privé de sensibilité
r une ligne circulaire déterminant un plan perpendiculaire à l'axe du
membre
, et passant à quelque centimètres au-dessus du pl
n'a aucune notion des mouvements qu'on imprime aux divers segments du
membre
, non plus que des attitudes qu'on leur donne : ce
re d'entrer dans des développements, pour affirmer que l'affection du
membre
inférieur gauche n'est autre qu'une contracture h
tive très diminuée, également à gauche. En outre de l'anesthésie du
membre
inférieur gauche, signalée à propos de la descrip
ié supérieure du tronc jusqu'à la ligne médiane, l'épaule enfin et le
membre
supérieur tout entier ; ovarie gauche ; pas d'aut
contracture hys-téro-traumatique développée chez notre malade, sur un
membre
où le réflexe rotulien n'était pas aboli aurait-e
'était pas aboli aurait-elle pu se produire également si, sur ce même
membre
, conformément à la règle ordinaire, le réflexe ro
l'interrompre à cause des vertiges, des faiblesses survenant dans les
membres
inférieurs et des douleurs sacro-lombaires (plaqu
t accentuée : la « plaque sacrée » est plus prononcée que jamais; les
membres
inférieurs sont faibles et facilement fatigués. L
is c'était ma langue qui ne voulait pas tourner. » L'hémiplégie des
membres
persiste seule actuellement. Elle a été à peu prè
. Elle a été à peu près complète au début, et, à cette époque-là, les
membres
supérieurs et inférieurs gauches étaient flasques
lut rester au lit pendant huit jours. Puis, quand il a pu marcher, le
membre
inférieur était traîné sur lesol comme un corps i
sur tous les modes de la sensibilité, occupant la face, le tronc, les
membres
Voyez fig. 69 et 70. Perte du sens musculaire, de
ensible. mènes suivants. De temps à autre Con...ns ressent dans les
membres
paralysés quelque chose qui lui monte vers le cou
vue s'obscurcit et bientôt il perd connaissance. En ce moment-là les
membres
sont raides ; peu après ils sont pris de trépidat
çon générale, prédominent du côté gauche, c'est-à-dire du côté où les
membres
sont paralysés, (attaque hystéro-épileptique à fo
et, de plus, s'adressant à une Société de secours mutuels dont il est
membre
pour obtenir un subside, il lui a été répondu par
magistrat cité par Trousseau qui, siégeant à l'Hôtel de Ville, comme
membre
d'une société savante, sortait nu tête, allait ju
s le somnambulisme provoqué des sujets hypno-tisables, à imprimer aux
membres
des malades des attitudes cataleptiques, ainsi qu
spinaux formels tels, entre autres, que l'incoordination motrice des
membres
inférieurs, et le 45 signe de Romberg, ne lai
u'il soutient, et j'y ai vu signalées « des douleurs rapides dans les
membres
», accompagnant ou suivant les troubles gastrique
in,la maladie au bout de trois ans a abouti à une « paralysie (?) des
membres
inférieurs », etc., etc.,de telle sorte que, malg
, chez le malade, tout à fait conforme à la description typipue : les
membres
inférieurs sont à chaque pas comme projetés et re
st très accentué. Les douleurs fulgurantes occupent non seulement les
membres
inférieurs mais encore les trajets nerveux du dom
té couverts de boue. Au réveil il ressentait, dans toute l'étendue du
membre
supérieur droit et dans la cuisse ainsi que le ge
latifs au système nerveux. Il existe dans toutes les articulations du
membre
supérieur droit un certain degré de rigidité qui
celles que nous rencontrons ici (1). Cette contracture spasmodique du
membre
supérieur droit date, paraît-il, des premiers jou
premiers jours qui ont suivi la journée du 2 août. A cette époque, ce
membre
était, comme on l'a dit, le siège de douleurs et
de douleurs et d'engourdissements qui ont disparu depuis. La peau du
membre
contracture est dans toute son étendue, épaules,
x parties profondes. Les déplacements imprimés aux divers segments du
membre
, les tractions, les tensions, exercées sur les di
nfirmée d'ailleurs par tout ce qui nous reste à dire. Fig. 71. Le
membre
inférieur droit présente, au niveau de la hanche
ne rigidité comparable à celle que nous venons de relever à propos du
membre
supérieur correspondant; c'est là encore la contr
qui est en jeu. Les troubles de la sensibilité sont, également sur ce
membre
, très nettement accentués et disposés d'une façon
en bas suivant une ligne circulaire, perpendiculaire au grand axe du
membre
, passant à quelques centimètres au-dessous du gen
qu'il s'agit chez notre homme. J'imagine que le contact prolongé des
membres
droits avec la terre humide en même temps que la
'un agent traumatique localement appliqué. La pression a été dans ces
membres
la cause d'un engourdissement parétique, tandis q
ence d'une sorte d'action réflexe psychique, à la production dans les
membres
intéressés, de la paralysie et de la contracture,
ir debout; mais je tiens à vous bien montrer qu'au lit, il a dans les
membres
inférieurs la liberté de tous ses mouvements et n
anique, soit de Tordre dynamique. Ainsi, si je lui dis de mouvoir ses
membres
dans diverses directions, il exécute tous les mou
orsqu'ils sont ouverts. A tous les efforts que je fais pour plier ses
membres
ou pour les fléchir, il résiste admirablement. Do
elle situation, il n'existe non plus aucune anomalie motrice dans ses
membres
inférieurs. Enfin, je prescris au malade de se
avec force et coordination parfaite tous les mouvements possibles des
membres
inférieurs ; la station debout est absolument nor
n peu précipité, et le voilà qui part, le corps incliné en avant, les
membres
inférieurs raides, dans l'extension, pour ainsi d
uit tout à coup un mouvement contradictoire et brusque d'extension du
membre
inférieur tout entier, mouvement qui redresse le
l'empêchant de s'en détacher. Ce qui vient de se produire sur un des
membres
, se produit maintenant de la même façon sur l'aut
l semble à ce moment que le sujet serait condamné à l'immobilité, les
membres
inférieurs placés dans l'extension et appliqués l
e frappant, les mouvements vulgaires, non étroitement spécialisés des
membres
inférieurs, tant élémentaires que complexes, — co
s'observent chez Ro..el, dans l'exécution de certains mouvements des
membres
supérieurs et en particulier Qui eût pu deviner
é de ceux qui président aux mouvements vulgaires, non spécialisés des
membres
inférieurs? Un pareil isolement, une semblable au
enciés, de la main. Le malaJe ex.^cule parfaitement à l'aide de ces
membres
et spécialement des doigts delamain les mouvement
c un grand mal de tête et éprouvant un grand affaiblissement dans les
membres
inférieurs. Le lendemain matin,le médecin qui fut
e en a été faite expressément, il pouvait,étant au lit,imprimer à ses
membres
tous les mouvements possibles,avec la même force
la coordination des mouvements était parfaitement conservées dans les
membres
inférieurs ; d'ailleurs pas d'exagération ni d'ab
dans le but de l'aider à se tenir debout, il ne savait imprimer à ses
membres
que des 1. Les termes abasie et astasie ont été
eurologie,nos 43 et 44, 1888. Ils lui ont été suggérés par M. Girard,
membre
de l'Institut, mouvements bizarres, incoordonné
avail a pour titre : Sur une forme spéciale d'impuissance motrice des
membres
inférieurs, par défaut de coordination relative à
1), le passage suivant : « La malade conserve le libre usage de « ses
membres
quand elle est couchée. Mais,debout ou à genoux,
lexes, elle « n'apparaît pas dans les cas de mouvements vulgaires des
membres
; la « faiblesse n'y est pour rien, car la malade
ésente dégagée de complications, d'une altération quelconque dans les
membres
inférieurs, des divers modes de la sensibilité, y
bsence d'un trouble quelconque dans l'exécution des mouvements de ces
membres
, tant que le malade est couché ou assis. C'est se
squels le malade qui, couché, exécute cela est bien entendu, avec les
membres
inférieurs, tous les mouvements de l'état normal,
r debout, mais clans lesquels, aussitôt qu'il s'agira de marcher, les
membres
resteront accolés l'un à l'autre, sans raideur to
clair que ce sont ces mouvements de flexion exagérés et brusques des
membres
inférieurs, substitués à ceux de la marche normal
as l'équilibre, occasionnent les mouvements du tronc, de la tête, des
membres
supérieurs, et aussi ces mouvements de recul qui
tre pattes, etc., etc. Sous cette forme les mouvements anormaux des
membres
inférieurs, dans la station et dans la marche,rap
gênée par des mouvements d'exécution contraditoire qui raidissent les
membres
inférieurs, et consiste en une sorte de piétineme
ofessionnels, comme vous voudrez les appeler, qui peuvent occuper les
membres
inférieurs, tels que spasmes des gens qui travail
de l'apathie, de l'embarras de la parole, des paralysies motrices des
membres
avec ou sans contracture; plus tard de la stupeur
nditions de l'état normal. 11 éprouve depuis quelques années dans les
membres
inférieurs, des douleurs très violentes, apparais
cette famille, où la mort prématurée a sévi tant de fois, et dont les
membres
qui ont survécu portent avec eux pour la plupart
pansements, semblaient à chaque instant, avec la faiblesse réelle des
membres
inférieurs, venir corroborer cette idée qui, au m
hile pour un temps tous les modes d'activité motrice et sensitive des
membres
inférieurs, à l'abasie qui par une sorte d'analys
oudrez dire, n'attaque et ne compromet que ceux des mouvements de ces
membres
, qui sont spécialisés pour un genre particulier d
puissance motrice complète, portant sur l'ensemble des mouvements des
membres
inférieurs, et de fait se manifestant par une par
la caractéristique du cas. Cette paraplégie porte à la fois sur les
membres
inférieurs et les supérieurs, prédominant toutefo
ceux-là ; il est intéressant de remarquer même, dès à présent, qu'aux
membres
supérieurs, aux mains surtout où elle était assez
out à l'heure. Occupons-nous tout d'abord de ce qui est relatif aux
membres
inférieurs. Les lésions à relever portent à la fo
constate, au contraire, lorsqu'on cherche à produire l'extension des
membres
fléchis, une résistance brusquement et sans trans
ause pour la majeure partie de l'attitude spéciale que présentent les
membres
inférieurs, doit être noté parvous soigneusement
Cette même faiblesse d'action des muscles extenseurs se retrouve aux
membres
supérieurs, en ce qui concerne les mouvements du
au interne. Dr. Farad. 85 millim. Gauche Farad. 70 millim.. Aux
membres
supérieurs, pas d'anomalie évidente. Résumé: Di
démateux des jambes et des pieds, ces parties-là prennent lorsque les
membres
inférieurs sont, durant quelques minutes, restés
quelles, à plusieurs reprises, ont été, chez notre malade, soumis les
membres
inférieurs, elle a le plus souvent manifesté des
plus souvent manifesté des signes de douleur ; c'est qu'en effet, ces
membres
sont douloureux, hyperesthésiés. et il y a à dist
et 1. C'est à ces rétractions qu'était dû le recroquevillement des
membres
in.'érieurs observé par M. Lancereaux, dans un ca
ont-elles aussi en grande partie la cause de ce recroquevillement des
membres
inférieurs, de ces'attitudes vicieuses, signalées
ent avec tous leurs caractères, quoique fort atténués, toutefois, aux
membres
supérieurs, plus particulièrement sur la partie i
gnait, surtout la nuit, de démangeaisons, siégeant principalement aux
membres
inférieurs; elle éprouvait la sensation d'eau bou
qu'on lui « coulait du feu dans les genoux. » L'affaiblissement des
membres
inférieurs remonte à peu près à la même époque. L
ôté, un retour très accentué des mouvements s'est produit du côté des
membres
supérieurs et pour ce qui est des membres inférie
s s'est produit du côté des membres supérieurs et pour ce qui est des
membres
inférieurs la malade commence à pouvoir un peu pa
l caractéristique, — il était devenu faible de tout le côté droit, du
membre
supérieur surtout : les objets qu'il portait lui
a sensibilité et à peu près absolue. Perte du sens musculaire dans le
membre
supérieur droit. Il ne peut rendre compte les yeu
s des divers déplace-mentsqu'on imprime aux différents segments de ce
membre
,et les articulations o3 peuvent y être brutal
dues sans que le sujet en ait la moindre notion. Il y a parésie des
membres
supérieur et inférieur du côté anesthésié (côté
e gauche incomplète avec légère contracture de la main, tandis que le
membre
inférieur gauche, flasque, traînait sur le sol à
rmité produite par la paralysie infantile, laquelle gène l'action des
membres
inférieurs, il a toujours pu marcher depuis l'âge
t vers l'âge de deux ans, et elle aurait envahi du même coup les deux
membres
inférieurs et le membre supérieur droit, et dans
et elle aurait envahi du même coup les deux membres inférieurs et le
membre
supérieur droit, et dans ces membres l'impuissanc
les deux membres inférieurs et le membre supérieur droit, et dans ces
membres
l'impuissance motrice aurait été, pendant plusieu
ou de rétrocession, comme vous voudrez l'appeler. C'est alors que le
membre
supérieur droit, tout d'abord se dégage ; il deva
par la suite, pendant longtemps se montrer un peu plus faible que le
membre
correspondant. Puis cela a été le tour des cuisse
ctions. Un examen sommaire vous fait reconnaître la forme conique des
membres
inférieurs, la coloration violacée et les rugosit
a vie, une impuissance motrice plus oumoins accusée d'un ou plusieurs
membres
. L'anatomiste constaterait, vous le savez, chez u
ésions spinales, à titre de faits consécutifs, correspondent dans les
membres
paralysés, une atrophie dégénérative des troncs
ccusant par une fragilité anormale. Cet état du tissu osseux dans les
membres
affectés peut expliquer que trois fractures se so
uer cette persistance, jusqu'àl'àge mûr, delafragilité osseuse sur ce
membre
supérieur droit qui, un instant frappé de paralys
e de celle-ci, l'affaiblissement se prononce progressivement dans les
membres
inférieurs au point que la station et la marche e
si, je le répète, le malade ayant atteint l'âge de 36 ans, on voit ce
membre
supérieur droit qui, 34 ans auparavant, après avo
quel plus tard, il s'était produit deux fractures, on voit dis-je, ce
membre
, devenir le siège d'une amyotrophie localisée d'a
ule et l'avant-bras, puis se répandant sur les parties symétriques du
membre
supérieur gauche, épaule et avant-bras, et en der
auche, épaule et avant-bras, et en dernier lieu apparaissant dans les
membres
inférieurs où elle occupe les cuisses. Telle a
ions. Nous avons déjà parlé de l'amaigrissement considérable qu'aux
membres
inférieurs présentent les jambes par le fait de l
ormale. Telles sont les principales particularités que l'examen des
membres
nous permet de constater. A la face, pas le moind
essiers sont également encore assez volumineux. Aux cuisses, et aux
membres
supérieurs, les réactions électriques sont d'une
ux nuls chez lui aux genoux, se montrent normaux, plutôt faibles, aux
membres
supérieurs ; qu'il n'existe en aucun point du cor
plus de trois ans après le début des symptômes d'amyotrophie dans les
membres
, ne manquerait pas d'exister, ne fût-ce qu'à l'ét
ral très accusées ; absence de rigidité muscu- 50 lai re dans les
membres
, et àplus forte raison de contractures, etc.,etc.
que où a sévi la paralysie de l'enfance. Le plus souvent, ce sont les
membres
inférieurs qui ont été le siège primitif de l'atr
observations où l'on voit, comme cela s'est produit chez N...las, les
membres
supérieurs pris les premiers. Conformément à ce q
es des éminences thénar et hypothénar, sont, en tant qu'il s'agit dés
membres
supérieurs, atteints en premier lieu; mais plusie
squelles,la tephro-myélite infantile ayant définitivement paralysé un
membre
, on voit, longtemps après, le membre du côté oppo
ayant définitivement paralysé un membre, on voit, longtemps après, le
membre
du côté opposé se prendre à son tour lentement et
ralysie atrophique de nouvelle formation est restée localisée dans le
membre
qu'elle a envahi, ainsi que cela a eu lieu justem
une tante tellement impressionnable, qu'elle tremblait « de tous ses
membres
, à la moindre émotion » ; c'est tout. Mais il y a
utres, la rude sensation de choc qu'il a éprouvée tout à coup dans le
membre
inférieur gauche, la chute, puis la perte de cons
uis la perte de conscience qui ont suivi, et enfin la paralysie de ce
membre
constatée lors du réveil ?Tout cela à la rigueur
eu favorable à l'idée d'une action directe, mécanique, exercée sur le
membre
inférieur gauche, le globe n'ayant pas éclaté, du
t qu'une décharge se soit détachée du globe pour venir frapper un des
membres
. En ce qui concerne la chute et la perte de con
ntales ont été étudiées. Que le choc électrique ait été dirigé sur un
membre
dans le sens de la longueur ou transversalement,
petite plaie sur la cuisse gauche, la paralysie s'étendait à tout le
membre
inférieur gauche ; elle occupait les deux membres
s'étendait à tout le membre inférieur gauche ; elle occupait les deux
membres
inférieurs sous forme paraplégique, dans un cas d
ation ilio fémorale jusqu'aux extrémités des orteils. Les muscles des
membres
étaient mous et flasques. Depuis l'articulation d
atrefages (1). « Lorsque M. Roaldès eut été atteint par la foudre,les
membres
inférieurs et le bras droit étaient entièrement p
'occasion d'en signaler d'autres. Etudions d'abord l'état actuel du
membre
paralysé ; il ne diffère aujourd'hui „en rien d'e
rrifiants, a voulu sortir du lit. Nous avons dit qu'à ce moment-là ce
membre
avait beaucoup de peine aie porter, et que la sta
ie cutanée a été bien et dûment constatée, le malade s'étant cogné le
membre
contre un meuble, assez durement et n'ayant cepen
alade marche en boitant, sans frotter le sol du pied, sans traîner le
membre
après lui à la manière d'un corps inerte : sa boi
s. Le réflexe tendineux est normal ; il n'y a pas d'amaigrissement du
membre
. Cette même anesthésie, relevée à propos du mem
maigrissement du membre. Cette même anesthésie, relevée à propos du
membre
inférieur gauche, se rencontre tout aussi prononc
eur gauche, se rencontre tout aussi prononcée sur une bonne partie du
membre
supérieur du même côté, en particulier au niveau
paule, et en même temps ÏÏ G Fig. 98. tous les mouvements de ce
membre
sont manifestement plus faibles qu'à l'état norma
dre. En portant l'investigation clinique en dehors de la sphère des
membres
,nous avons reconnu ce qui suit. Tout d'abord l'
nnu ce qui suit. Tout d'abord l'anesthésie révélée par l'examen des
membres
du côté gauche se retrouve sur la partie postérie
rus immédiatement après la fulguration, au moment du choc reçu sur le
membre
inférieur gauche, ne relèvent pas directement de
rique, local, immédiatement suivi d'une esquisse de paralysie dans le
membre
frappé. Puis à la faveur de l'état préexistant de
hant qu'il avait été frappé par la foudre et de ce fait paralysé d'un
membre
, en proie d'ailleurs aux pressentiments les plus
t à lui, il rendit du sang par le nez, la bouche et les oreilles. Son
membre
supérieur droit était paralysé, t. Note sur un
elle pendant trois mois, mais ce ne fut qu'au bout de six mois que le
membre
récupéra complètement ses fonctions normales et e
l'occasion de chaque orage. Dans l'intervalle de ces récidives, le
membre
droit est parfaitement normal sous tous les rappo
ome scintillant ?) on voit, dis-je, la paralysie se reproduire sur le
membre
supérieur droit avec perte complète de la sensibi
rs de l'orage, le retour de cette paralysie, par l'application sur le
membre
de l'électrisation faradique. Plusieurs fois le m
mais très prononcée en ce qui concerne la sensibilité, s'étendit à ce
membre
tout entier. En même temps,des contractions fîbri
e pouvaitpas faire autrefois. L'épreuve dynamométrique donne, pour le
membre
supérieur droit, 25 kilos etpour legauchel7. Le r
persiste telle qu'elle était au moment de l'entrée du malade, mais au
membre
supérieur gauche et à la face elle est beaucoup m
a gauche. Il n'y a plus d'anesthésie ni à la tête, ni au tronc, ni au
membre
supérieur gauche. Au membre inférieur gauche, il
esthésie ni à la tête, ni au tronc, ni au membre supérieur gauche. Au
membre
inférieur gauche, il n'existe plus qu'une large p
e, vous voyez ces mouvements occuper à la fois la tête, le tronc, les
membres
à peu près au même degré; leur nombre chez celle-
d'ecchymoses. D'autres fois, elle secoue brusquement son tronc et ses
membres
et frappe le sol du pied, de manière à figurer un
brusques mouvements des paupières, puis ils ont occupé la tête et les
membres
supérieurs. — Déjà à cette époque, les bruits lar
abord « les cas dans lesquels le malade qui couché, exécute, avec les
membres
inférieurs, tous les mouvements de l'état normal,
pourra se tenir debout ; mais aussitôt qu'il s'agira de marcher, les
membres
resteront accolés l'un à l'autre, sans raideur to
abli par le récit du malade que, lors de cette première atteinte, les
membres
inférieurs, qui, lorsqu'il s'agissait de la stati
effet,bien qu'il pût se tenir debout etmarcher,l'un ou l'autre de ses
membres
inférieurs était exposé à se dérober sous lui, de
chaise,les divers mouvements qu'on lui prescrit sont exécutés par ses
membres
inférieurs avec une énergie et une précision qui
uverts que lorsqu'ils sont clos. J'ajouterai que l'exploration de ces
membres
ne fait reconnaître aucune particularité indiquan
ont présents ; ils ne sont pas exagérés; il n'y a pas de rigidité des
membres
; le phénomène du pied n'existe pas ; pas de doul
embres ; le phénomène du pied n'existe pas ; pas de douleurs dans ces
membres
; pas de troubles urinaires, etc., rien en un mot
s organiques spinales connues. Il y a à observer seulement,dans ces
membres
,un léger tremblement vibratoire, qui existe égale
embres,un léger tremblement vibratoire, qui existe également dans les
membres
supérieurs, et qui, bien qu'il s'exagère manifest
impossible et que, dans les efforts qu'il fait pour se tenir sur ses
membres
inférieurs, ceux-ci se placent dans l'extension p
, il peut, se transporter, cette fois, à peu près sans le secours des
membres
inférieurs, par des mouvements qu'il imprime à so
de se tenir debout. Quand on essayait de le mettre sur ses pieds, ses
membres
inférieurs fléchissaient et se dérobaient sous lu
t, dans le décubitus dorsal, rien ne pouvait faire remarquer dans les
membres
inférieurs, un trouble fonctionne] quelconque. Sa
urs, un trouble fonctionne] quelconque. Sans effort, il soulevait les
membres
au-dessus du pian du lit. Pas la moindre apparenc
tant au lit, peut, vous le savez, déployer dans les mouvements de ses
membres
inférieurs une grande force musculaire et il n'ex
ouvez bien ce contraste entre l'intégrité parfaite des mouvements des
membres
inférieurs lorsque le malade est couché ou assis,
perte de connaissance, frappé d'une hémiplégie qui prédomina dans le
membre
inférieur gauche et le retint trois jours au lit.
ssé aucune trace, aucune modification des réflexes tendineux dans les
membres
du côté gauche. Le dynamomètre donne 26° pour la
pied droit suivant par derrière ; il procédait ainsi à petits pas. Le
membre
supérieur gauche n'a jamais présenté, dans l'exéc
trefois exclusivement la hanche gauche, dans toute l'étendue des deux
membres
inférieurs. D'ailleurs,actuellement,le désordre d
nts relatifs à la marche, autrefois localisé comme on l'a dit dans le
membre
gauche, s'étend également, vous allez le reconnaî
mbre gauche, s'étend également, vous allez le reconnaître bientôt, au
membre
inférieur droit. Etudions tout d'abord l'état d
re inférieur droit. Etudions tout d'abord l'état des mouvements des
membres
inférieurs lorsque le malade est couché ou assis.
s efforts qu'il fait pour se remettre en situation, survenir dans ses
membres
des mouvements de flexion bientôt suivis d'une ex
n du pied, qui, dans la marche normale, inaugure chaque projection du
membre
en avant, est interrompue ici par un mouvement d'
anteur qu'il dit éprouver derrière la tête, sur les épaules, dans les
membres
, et certaines sensations de marcher comme sur un
inalement le malade tombe à terre. Quelques mouvements convulsifs des
membres
se manifestent alors. Des pleurs et des sanglots
caractères qui permettent d'éviter la confusion. Toutefois, parmi les
membres
de la grande famille neuropathologique, il en est
uver, je le répète, par un exemple frappant. Vous avez compris que ce
membre
de la famille auquel je fais allusion, toujours u
un examen plus attentif fait reconnaître, chez lui, surtout dans les
membres
où siège l'atrophie musculaire, l'existence conco
n'est point conforme à celle des nerfs: elle se fait par segments de
membres
; ainsi elle occupe soit la main seule, soiten out
oit la main seule, soiten outre une partie de l'avant-bras ou même le
membre
supérieur tout entier, et toujours,en pareil cas,
e, nettement tranchée, déterminant un plan perpendiculaire à l'axe du
membre
. Il ne saurait vous échapper, messieurs, que le
uées dès l'origine La parésie et l'atrophie gagnèrent rapidement le
membre
supérieur droit tout entier, puis, en commençant
mbre supérieur droit tout entier, puis, en commençant par la main, le
membre
supérieur gauche Fig. 105. — La main droite de
s tendineux, comme vous pouvez le constater, ne sont pas exagérés aux
membres
supérieurs. Les deux membres inférieurs ont com
le constater, ne sont pas exagérés aux membres supérieurs. Les deux
membres
inférieurs ont commencé à s'affaiblir et à maigri
ne ; l'absence d'une exagération des réflexes tendineux soit dans les
membres
atrophiés, soit dans ceux qui ne le sont encore q
ceux qui ne le sont encore qu'à un faible degré — à part toutefois au
membre
inférieur droit qui à cet égard fait exception ;
t est en raison directe du degré de coloration. corps, tête, tronc,
membres
,extrémités,les impressions tactiles sont transmis
divers degrés de température (fig. 112). Sur toute l'étendue des deux
membres
supérieurs, symétriquement, en avant comme en arr
et les Fig. 115. troubles moteurs occupent exclusivement les deux
membres
supérieurs, qui sont afiectés symétriquement, à p
du coude. Les seuls mouvements volontaires qui se produisent dans ce
membre
sont un certain degré d'extension en masse de la
uvements volontaires d'extension de l'index et du médius sont dans ce
membre
les seuls possibles. L'examen électrique des mu
les seuls possibles. L'examen électrique des muscles atrophiés des
membres
supérieurs a fait trouver un peu partout la réact
t trouver un peu partout la réaction de dégénération partielle. Les
membres
inférieurs ne sont nullement affectés ; tous les
e en arrière, tandis que toujours, dans toutes les explorations des
membres
supérieurs sur toute leur étendue, les membres su
les explorations des membres supérieurs sur toute leur étendue, les
membres
supérieurs sont restés insensibles au froid (fig.
sies hystériques, par zones géométriquement limitées, par segments de
membres
, sous forme hémiplégique, etc., etc., vous compre
igne tranchée, horizontale, déterminant un plan circulaire à l'axe du
membre
supérieur. Ainsi, vous le voyez, nous trouvons
terminent d'ailleurs par une ligne droite, perpendiculaire à l'axe du
membre
. (Note du 10 novembre 1889.) înip. de la Soo.
'une émotion grandissante qui le faisait parfois trembler de tous ses
membres
et qu'il ne pouvait pas maîtriser. Il passa la nu
nt à sa femme « qu'il avait peur d'être paralysé ». Le tremblement du
membre
supérieur droit était devenu incessant; la jambe
re, il éprouva tout à coup « comme des secousses électriques dans les
membres
,puis il sentit quelque chose lui monter à la gorg
marqua que sa jambe et son bras droit? tremblaient plus fort, que ces
membres
étaient devenus beaucoup plus faibles. Deux jou
blissement général, il existe chez lui une parésie très prononcée des
membres
du côté droit. Le membre supérieur droit est un
e chez lui une parésie très prononcée des membres du côté droit. Le
membre
supérieur droit est un peu moins affaibli que la
droite pour manger ou bien pour boutonner sa veste par exemple. Le
membre
inférieur droit tremble aussi, mais beaucoup moin
manifestations hystériques, telles que la parésie, le tremblement des
membres
du côté droit et les attaques. Le sujet a donc ét
nt qui, depuis trois ans, a retrouvé complètement l'usage de tous ses
membres
, a été atteint de pachyméningite cervicale hypert
a six ans de cela, elle a été prise de douleurs névralgiques dans les
membres
supérieurs, dans le cou, le dos et la poitrine. I
é six mois ; puis s'est développée une paralysie avec amyotrophie des
membres
supérieurs qui présentaient la griffe radiale (ma
rois ans, Famé lioration commença à apparaître ; la contracture des
membres
inférieurs s'atténua, les réflexes tendineux dimi
ent d'intensité, la trépidation disparut ; l'amélioration du côté des
membres
supérieurs marchait du même pas et même plus rapi
nous intéresse particulièrement, c'est ce qui s'est passé du côté des
membres
inférieurs. La paralysie spasmodique s'atténua
flexion que de celui de l'extension et quand on cherche à imprimer au
membre
un mouvement passif, on éprouve la sensation d'un
lade pût marcher. Sous l'influence du repos prolongé, les muscles des
membres
s'étaient émaciés ; l'électrisation fut mise en j
ériode n'a été qu'esquissée et a été caractérisée par une parésie des
membres
inférieurs, avec exagération des réflexes tendine
aire marquée seulement par des réflexes rotuliens exagérés ; mais, au
membre
supérieur, il y a une amyotrophie avec réaction d
ertrophique ayant produit une paraplégie spasmodique avec flexion des
membres
dans lequel la paralysie a guéri au bout de deux
t ressortir, que les troubles trophiques sont chose vulgaire dans les
membres
inférieurs chez les sujets atteints de paralysie
t bien avoir été des crises hystériques, une paralysie transitoire du
membre
supérieur gauche avec anesthésie et perte du sens
nsoriel et nous avons constaté qu'il était impossible de produire aux
membres
supérieurs la contracture artificielle; enfin, le
ineuses. La chirurgie seule a donc ^désormais le pouvoir de rendre au
membre
l'intégralité de ses mouvements. Mais l'opérati
es. Une surprise, une émotion quelconque, le font trembler des quatre
membres
. Le fond de son caractère est la mélancolie. Il
ale. Quelques instants après, l'affaiblissement s'accentuait dans les
membres
du côté gauche. Il se coucha inquiet, agité, sent
lysé du bras et de la jambe gauche; il était incapable de mouvoir ces
membres
qui étaient comme morts et complètement insensibl
rant les deux jours qui suivirent, la paralysie s'améliora surtout au
membre
inférieur; le malade put se lever et marcher, san
de se tenir longtemps debout et de faire une course un peu longue. Au
membre
supérieur, dont la paralysie était complète, abso
Les mouvements de la tête et du cou étaient parfaitement libres. Le
membre
supérieur pend inerte le long du tronc. La paraly
. Le membre supérieur pend inerte le long du tronc. La paralysie du
membre
supérieur gauche est totale, et à peu près absolu
et d'extension de la main, voilà tout ce que le malade peut faire. Le
membre
paralysé est flasque; on peut le déplacer, fléchi
nne les résultats que voici : Main droite = 38 k. — gauche = 3 k.
Membre
inférieur.— Le membre inférieur gauche est très i
voici : Main droite = 38 k. — gauche = 3 k. Membre inférieur.— Le
membre
inférieur gauche est très incomplètement paralysé
oulève le pied droit pour porter le poids du corps tout entier sur le
membre
inférieur gauche,celui-ci fléchit aussitôt. Dan
donc en somme non d'une hémiplégie, mais de monoplégies associées du
membre
supérieur et du membre inférieur. Sensibilité.
e hémiplégie, mais de monoplégies associées du membre supérieur et du
membre
inférieur. Sensibilité. — La sensibilité de la
plètement dans la moitié gauche de la tête et du cou, et dans tout le
membre
supérieur du même côté. Cette aneslhésie s'interr
ale qu'elle atteint à la hauteur de la deuxième dorsale. La peau du
membre
inférieur est également insensible au contact, à
piqûre et au froid, mais l'anesthésie n'est pas aussi complète qu'au
membre
supérieur et à la face. La zone anesthésique dépa
qui circonscrit la partie supérieure de la cuisse. L'anesthésie des
membres
est profonde. On peut tordre les doigts, les tira
normale et que la force musculaire s'était de nouveau accrue dans les
membres
paralysés. Main droite = 50 k. — gauche = 25
e infantile (Lésions médullaires, région lombaire) 141 Fig. 33 — — du
membre
supérieur (Lésions médullaires)............. 146
63. — Mécanisme, 361,367.—Mécanisme psychique, 374. — (Mouvements des
membres
supérieurs dans Ã), 359. — paralytique, 470. — Pr
2 juin 1866. — Elle reste dans le coma stertoreux avec résolution des
membres
plus grande peut-être du côté droit que du côté g
nsibilité obtuse et conservation partielle du mouvement volontaire au
membre
inférieur droit. Mort le 29 septembre 1866, cinq
de temps à autre des étourdisseinents et des fourmillements dans les
membres
, au point qu'elle avait une grande frayeur d'être
e, cette femme avait recouvré au bout de quelque temps l'usage de ses
membres
. Dans les derniers temps de la vie, l'intelligenc
ue d'apoplexie, déviation de la face à gauche, résolution des quatres
membres
, coma. Mort cinq jours après l'attaque, le 20 mai
, un peu bruyante, la face pâle, comme bouffie. Résolution des quatre
membres
alternant avec un peu de rigidité. Insensibilité
Til (Nicolas), -40 ans. — Attaque d'apoplexie, paralysie des quatre
membres
, coma profond, température axillaire 39°,0. Mort
e de la face à gauche et hémiplégie manifeste surtout à gauche. — Les
membres
paralysés, d'abord flasques, sont pris bientôt de
la parole, des vomissements, puis des secousses convulsives clans les
membres
supérieurs, principalement à droite, et elle meur
ate alors une paralysie complète de la sensibilité et du mouvement au
membre
supérieur gauche. Le lendemain seulement, le memb
t du mouvement au membre supérieur gauche. Le lendemain seulement, le
membre
inférieur gauche paraît un peu paralysé. La malad
ital le 4 mars 1867 avec une hémiplégie droite et une contracture des
membres
du côté gauche; on n'a sur lui aucun renseignemen
e d'une attaque apoplectique avec hémiplégie gauche de la face et des
membres
. Les membres paralysés sont en contracture. Le 2
ue apoplectique avec hémiplégie gauche de la face et des membres. Les
membres
paralysés sont en contracture. Le 2 mars, une esc
onnaissance, une première attaque de paralysie affectant seulement fe
membre
supérieur droit, fl y a deux ans et demi, deuxièm
aque d'apoplexie avec hémiplégie gauche, contracture et analgésie des
membres
paraysés. Agitation, délire, carphologie. Elévati
face pâle, pas de vomissements ; mouvements conservés dans les quatre
membres
; pas de différence de température d'un côté du co
ée par une discussion. On remarqua, clans les derniers jours, que les
membres
étaient devenus plus raides qu'à l'ordinaire. A
s démente, mais elle marchait. Elle succombe à une gangrène sénile du
membre
inférieur, due à une oblitération de l'iliaque pr
ment du mois de décembre 1867. Elle prend bientôt de l'œdème dans les
membres
inférieurs et clans le bras paralysé, et enfin de
ui depuis plusieurs années, éprouvait une certaine faiblesse dans les
membres
inférieurs, meurt de pneumonie le 27 mars 1868.
e de 47 ans. — Affection cardiaque ; phénomènes paralytiques dans fes
membres
du côté droit; embarras de la parole. Autopsie.
ille de l'attaque; hémiplégie gauche, avec rigidité très prononcée du
membre
supérieur du même côté ; rigidité des muscles pos
), 65 ans. Ancienne hémiplégie gauche avec contracture permanente des
membres
paralysés. La malade meurt le 17 août 1867. A Yau
progressif ; stupeur, puis coma, hémiplégie droite avec flaccidité du
membre
supérieur droit. Cinquième jour, érythème de la
oplectique le 9 janvier 1806. — Hémiplégie gauche avec flaccidité des
membres
. Le deuxième jour, érythème et pfaque violacée
sans perte de connaissance. — Hémiplégie faciale, puis hémiplégie des
membres
droits, sans contracture. Troisième jour, éryth
de la couche optique avec perforation ventriculaire. — Analgésie des
membres
paralysés. — Hémiplégie gauche avec contracture.
e sommeil — environ 200 oscillations doubles par minute, à l'aide des
membres
supérieurs, la température rectale ne s'élève pas
ment sont conservés sur toute la moitié droite du corps ; à gauche le
membre
supérieur est roide, demi-fléchi, fortement contr
qu'on l'abandonne à lui-même, il reprend son attitude primitive. Le
membre
inférieur gauche est également demi-fléchi et con
mi-fléchi et contracture, mais d'une manière moins prononcée. Sur les
membres
contractures, la sensibilité de la peau n'est pas
ssance paraît être absolue ; la face devient légèrement violacée, les
membres
ne participent en rien aux convulsions. L'accès d
Pendant ce temps, la contracture persiste sans modification dans les
membres
du côté gauche. Le 18, !e râle laryngo-trachéal
perte complète de connaissance et une paralysie avec contracture des
membres
du côté gauche. C'est dans cet état que la malade
t des fonctions cérébrales, soit de la paralysie avec contracture des
membres
du côté gauche. Le 15 septembre, après un amendem
l'apathie ; quelquefois la parole devient lente et s'embarrasse ; les
membres
, les inférieurs surtout, s'affaiblissent et perde
la céphalalgie plus ou moins vive, l'assoupissement, la faiblesse des
membres
, et, en un mot, tous les symptômes des premières
très prononcée dans la sensibilité de tout le côté droit, surtout du
membre
antérieur, tandis que la motilité est restée inta
t un peu moins vigoureux du bras et de la jambe du côté droit que des
membres
du côté gauche. La sensibilité est diminuée dans
nt paralysés du sentiment et du mouvement, et dans la résolution; les
membres
du côté gauche sont aussi paralysés, mais point a
gique et aphémique. L'hémiplégie complète etaccompagnée deroideur des
membres
paralysés occupait le côté droit du corps ; du mê
être à l'état sain. La pièce anatomique a été mise sous les yeux des
membres
de la Société de biologie, qui ont constaté toute
e complication. Quant à la contracture tardive, si fréquente dans les
membres
paralysés chez les individus atteints de ramollis
Parmi les affections si diverses qui peuvent se développer dans les
membres
, à la suite de certaines lésions traumati-ques ou
thrite qui, dans certaines circonstances, affectent les jointures des
membres
paralysés, chez les sujets frappés d'hémiplégie à
uis plus de six ans, par suite des rapides progrès de la maladie. Les
membres
inférieurs ont été seuls atteints pendant longtem
ont été seuls atteints pendant longtemps, mais, il y a trois ans, les
membres
supérieurs ont été envahis à leur tour par des do
ité. Il reconnaissait, en outre, éprouver de temps à autre, clans les
membres
inférieurs, de violents accès cle douleurs fulgur
66). Charcot. OEuv. compl. t. rx. Hémorragie cérébrale. n menîsdu
membre
. La synoviale était distendue, par une grande qua
tatai en outre ce qui suit : l'allure est chancelante, titubante, les
membres
inférieurs sont dans la marche, projetés de côté
isse et sur les jambes. Néanmoins, la notion de position est pour ces
membres
singulièrement émoussée, et M. X... peut à peine,
jamais éprouvé d'indispositions sérieuses. Elfe était comme plusieurs
membres
de sa famille, sujette à des accès de migraine, q
xercée sur les parties gonflées, soit par les mouvements imprimés aux
membres
. Les choses restèrent dans le même état pendant
dant environ un mois ; après quoi il se produisit de l'amendement. Le
membre
était devenu moins volumineux ; la malade crut, u
er et de marcher, mais après quelques pas faits dans la chambre, le
membre
inférieur droit fléchit sous elle tout à coup, un
leurs, les apparences d'une bonne santé. Elle a de l'embonpoint ; les
membres
inférieurs ne sont nullement amaigris, le genou d
uvements spontanés ou provoqués. Il n'existe d'antre douleur, dans le
membre
inférieur droit, que les douleurs fulgurantes q
elle oscille aussitôt et est menacée de s'affaisser iourdement. Aux
membres
inférieurs, les sensations de contact, de pressio
s, il lui est impossible d'indiquer l'attitude qu'on a imprimée à ses
membres
; elle ignore complètement le lieu qu'ils occupent
de flexion et d'extension très-énergiques, aux diverses jointures des
membres
inférieurs, même au genou droit, malgré les lésio
ation est fe siège. Les douteurs futgurantes autrefois iimitées aux
membres
inférieurs, où etles se montraient intenses et so
côtes, dans les doigts des mains, etc. Cependant, les mouvements des
membres
supérieurs s'opèrent régulièrement, sans incoordi
à quarante-huit heures. Les douleurs siégeaient en divers points des
membres
inférieurs : elles étaient surtout prononcées la
qui l'étonnent; il n'a plus conscience des attitudes que prennent ses
membres
inférieurs ; il ne sait pas si ses jambes sont éc
ne brûlure. Mais si les douleurs fulgurantes tendent à abandonner les
membres
inférieurs ; elles ont envahi récemment les membr
à abandonner les membres inférieurs ; elles ont envahi récemment les
membres
supérieurs où elles se produisent assez fréquemme
s ne se montraient pas autrefois. Etat actuel (octobre 1867). — Les
membres
inférieurs onI, dans ces derniers temps, notablem
tout à fait caractéristique. Il y a anesthésie presque complète aux
membres
inférieurs : les contacts, une pression même très
sensation de froid lorsqu'un corps froid est appliqué sur la peau des
membres
inférieurs, mais la transmission do l'impressio
évolution, lors du développement de l'arthropathie, du moins dans le
membre
auquel appartenait la jointure affectée. Ainsi le
près constant de déterminer très-rapidement, en diverses parties des
membres
inférieurs, des troubles de la nutrition souvent
éorie de Samuel, les troubles de nutrition ne surviendraient dans les
membres
inférieurs à la suite des blessures rachidieimes,
. Le premier jour, on observa une paralysie motrice complète des deux
membres
inférieurs, de la vessie et du rectum. A gauche,
es inférieurs, de la vessie et du rectum. A gauche, la sensibilité du
membre
abdominal était évidemment exagérée ; à droite, a
tule des tond g les de plus d'un centimètre. La partie postérieure du
membre
était surtout infiltrée. Le treizième jour, on re
e, l'atrophie rapide que subissent parfois les masses musculaires des
membres
inférieurs dans des cas ou l'incoordination motri
gie de cause cérébrale. Il n'est pas rare de voir survenir dans les
membres
atteints d'hémiplégie, à la suite de certaines lé
s que celles de formication, de picotement qui se produisent dans les
membres
paralysés, en conséquence d'une lésion cérébrale,
peuvent se manifester dans les muscles ou dans les articulations des
membres
paralysés. Les douleurs du dernier genre ne se ré
que sous l'influence des mouvements ou de la pression exercée sur les
membres
; ou si elles se montrent l.Durand-Fardel. —Mal
e. Cette subinflammation qui survient ainsi dans diverses parties des
membres
est d'ailleurs elle-même la conséquence de l'irri
ou trophiques ». Ainsi, d'après M. Brown-Séquard, les douleurs des
membres
chez les hémiplégiques reconnaissent tantôt une c
les mêmes circonstances, occupent fréquemment, en outre. Je corps des
membres
, nous n'avons pas trouvé, à la vérité, qu'elles r
de quelques-unes des affections douloureuses qui surviennent dans les
membres
paralysés, chez les hémiplégiques, se trouvera ju
up une nouvelle attaque d'hémiplégie, occupant cette fois encore, les
membres
du côté droit, mais sans perte de connaissance.
alade peut,dans son lit, mouvoir et soulever aune certaine hauteur le
membre
inférieur correspondant, qui n'est ni rigide ni f
ne. „ (leliirnkranhheiten. page 50, Berlin, 18558), diminuée sur ce
membre
.La température de la main droite est, ce même jou
vements deviennent progressivement plus libres, plus étendus dans les
membres
paralysés. — Bientôt la malade peut se lever et f
n, M... commence à se plaindre vivement de douleurs siégeant dans les
membre
du côté paralysé, et qui la tourmentaient déjà de
à depuis une quinzaine de jours. Ces douleurs sont surtoutintenses au
membre
supérieur, où elles paraissent occuper principale
mêmes articulations font pousser des cris à la malade. L'attitude du
membre
est la demi-flexion ; mais il n'y a pas de rigidi
, également presque continues, occupent les parties intermédiaires du
membre
, paraissent suivre principalement le trajet des g
la partie interne du bras, en dedans du bord interne du biceps, — Ali
membre
inférieur droit, le genou et le cou-de-pied son
in, l'existence d'une hémiplégie gauche complète, avec flaccidité des
membres
, qui retombent inertes lorsqu'on les abandonne ap
ite. Les muscles du cou sont rigides, ceux du coté droit surtout. Les
membres
du coté gauche sont devenus relativement plus cha
ésenté aucune altération appréciable. Les diverses articulations du
membre
supérieur droit ayant été ouvertes, on constate u
et la coloration de l'état normal. Les jointures correspondantes des
membres
gauches sont examinées comparativement; les synov
t sur des points symétriques les mêmes parties dans les jointures des
membres
du côté droit. Le nerf médian du membre supérie
ies dans les jointures des membres du côté droit. Le nerf médian du
membre
supérieur droit est comparé au nerf correspondant
e appréciable, des douleurs vives se manifestent en divers points des
membres
droits. Ces douleurs, qui ont persisté jusqu'à l'
ées sur les jointures, il en est d'autres qui occupent le corps des
membres
et qui sont rendues plus vives par une pression e
te, puisque la malade n'a guère cessé de se servir quelque peu de ses
membres
; de plus, elle était de date récente à l'époque o
troubles de nutrition qui se sont produits dans diverses parties des
membres
affectés et en particulier dans les jointures.
dement la malade : à l'autopsie, on trouve dans les articulations des
membres
supérieurs et inférieurs du côté droit, les synov
te hypertrophique rend compte des douleurs qui occupaient le corps du
membre
et s'exaspéraient par la pression exercée sur le
a pression exercée sur le trajet des cordons nerveux. Les muscles des
membres
paralysés ne présentaient aucune altération appré
up(?) d'hémiplégie gauche, sans avoir perdu connaissance. Bientôt, le
membre
inférieur gauche avait repris ses mouvements, au
it repris ses mouvements, au point que la malade pouvait marcher ; le
membre
supérieur correspondant était resté très-faible,
u'il n'y a pas eu d'attaques convulsives. La l'ace est injectée. — Le
membre
supérieur gauche est flasque ; seuls les doigts s
du bras ou de l'avant-bras la malade donne des signes de douleur. Le
membre
supérieur gauche est plus chaud que celui du côté
la malade est retombée dans un coma profond. T. B. 38, 2. L'état des
membres
paralysés ne s'est en rien modifié. dinars, mat
e. 13 mars. — L'état ne s'est pas modifié d'une manière notable. Le
membre
supérieur gauche est toujours complètement inerte
inerte. On remarque pour la première fois qu'en faisan! exécuter à ce
membre
des mouvements passifs, la malade, bien qu'elle p
un moindre degré. On constate qu'il existe une légère tuméfaction du
membre
, mais répandue d'une manière générale et non accu
douleurs que déterminent les mouvements des diverses articulations du
membre
supérieur gauche, de répaule surtout, sont toujou
la température a baissé (T. R. 38°J. Les douleurs persistent dans le
membre
supérieur paralysé qui est toujours manifestement
s signes de souffrance très-manifestes quand on meut les jointures du
membre
supérieur gauche. T. R. 39°, G. — La mort survien
du soir. Quinze heures après la mort, on constate ce qui suit : les
membres
supérieur et inférieur gauches ne présentent pas
gidité cadavérique. La rigidité est, au contraire, très prononcée aux
membres
du côté droit. Nécroscopie. — Encéphale. La dur
ongestionné, de nombreux points de pneumonie lobaire. Dissection du
membre
supérieur gauche. — Les muscles de la partie anté
ie. A celte époque, il n'a jamais existé de rigidité musculaire ; les
membres
étaient flasques, tout à fait inertes, et ils ret
oir soulevés. Ses douleurs occupaient exclusivement les jointures des
membres
paralysés ; elles étaient surtout prononcées à l'
tre heures sans pouvoir parler. En même temps, il s'était produit aux
membres
du côté droit un certain degré de paralysie qui n
mencé à se plaindre pour la première fois, de douleurs vives dans les
membres
paralysés; de plus, elle a perdu l'appétit et par
e le 28 novembre. Etat actuel le 29. Hémiplégie droite complète. Le
membre
supérieur droit est privé de tout mouvement. Il e
aux doigts de la main qui sont légèrement flétris. Sensibilité cle ce
membre
à peu près complètement conservée. La malade souf
que celle de la main gauche (35°, o). Température rectale 38° 5. Le
membre
inférieur, demi-fléchi, repose sur le lit par sa
e d'ailleurs ne paraît pas tuméfiée. Les autres articulations du même
membre
peuvent être étendues ou fléchies sans provoquer
sement notable des facultés intellectuelles; selles involontaires. Le
membre
supérieur gauche paraît un peu plus faible que le
Le 16 février 1867, F... se plaint de ne plus pouvoir se servir de ce
membre
. Elle ne peut plus, en effet, lui imprimer que
e en dehors de la bouche, est manifestement portée vers la gauche. Le
membre
supérieur gauche est flasque, inerte. Le poignet
é opposé. Les mouvements provoqués dans les diverses articulations du
membre
supérieur paralysé ne paraissent occasionner que
alade ne paraît pas souffrir lorsqu'on meut les diverses jointures du
membre
paralysé. 12 avril. — Les membres du côté pa/al
'on meut les diverses jointures du membre paralysé. 12 avril. — Les
membres
du côté pa/alysé sont toujours beaucoup plus chau
il. A dix heures du matin : Absence cle rigidité cadavérique dans les
membres
supérieur et inférieur du côté gauche. La rigidit
du côté gauche. La rigidité est, au contraire, bien accusée dans les
membres
du côté droit. Nécroscopie. — Ostéosarcome volu
i précède, l'existence d'une affection particulière des jointures des
membres
paralysés, survenant chez les sujets frappés d'
obscures, tantôt seulement provoquées par les mouvements imprimés au
membre
, tantôt se manifestant en outre spontanément. Mai
, à plus forte raison, des sensations pénibles de tout genre dont les
membres
paralysés peuvent être le siège apparent, mais qu
ection qui se limite d'une manière si frappante aux articulations des
membres
atteints d'hémiplégie à la suite d'une lésion cér
que, consécutive au ramollissement ou à l'hémorrhagïe du cerveau, les
membres
frappés d'inertie motrice présentent habituelleme
e delà main (1), et en même temps une température plus élevée que les
membres
du côté sain. Suivant l'opinion qui semble aujour
ais après avoir admis l'hypéré-mie neuro-paralytique, pour le cas des
membres
atteints d'hémiplégie à la suite du ramollissemen
ctes nutritifs qui se manifeste fréquemment dans diverses parties des
membres
atteints d'hémiplégie et, en particulier, dans le
Nervous System, I p. 174. Philadelphia, 1860. ' " J la névrite des
membres
paralysés se développent spontanément ou, tout ti
côté du corps est frappé. Si dans ce cas on vient à appliquer sur un
membre
une série de pièces de 20 francs reliées entre el
érature s'élève, la sensibilité reparaît, la force dyna-nométrique du
membre
augmente. « A quoi sont dûs ces phénomènes, est
ait que de quinze jours. Sur l'avis de M. Burq, on lui déposa sur son
membre
environ 1000 francs d'or.|La contracture, bien qu
nt des cas parfaitement établis. Une femme qui reste huit ans avec un
membre
contracture n'est pas une femme qui simule ; une
omplètement liémia-nesthésique de tout le côté droit du corps, tronc,
membres
et tête. Aujourd'hui, l'hémianesthésie est limité
té droit du corps, ne s'est montrée à la suite de cette attaque qu'au
membre
inférieur droit où la contracture s'était dévelop
evient anesthésique totale. Elle n'est point contracturée et tous ses
membres
ont la souplesse de l'état normal ou à peu près (
ttaque hystéro-épileptique, mais la ressemblance s'arrête là, car les
membres
et tout le corps, loin de présenter la té utilisa
pratique l'élcc-trisation localisée. La contraction du muscle sur les
membres
persiste après l'excitation, pour peu que celle-c
t. Sur un bras, l'excitation des fléchisseurs amène la contracture du
membre
dans la flexion, laquelle cesse par l'excitation
que. — L'œil grand ouvert; anesthésie totale et absolue; aptitude des
membres
et des diverses parties du corps à conserver la s
res; anesthésie totale et absolue; hyper ex citahilitémusculaire: les
membres
dans la résolution ne con- 1. Plusieurs l'ois,
ant qu'elle demeure cataleptique du côté gauche, c'est-à-dire que les
membres
et la face du côté droit sont dans la résolution
itabilité musculaire caractéristique de la léthargie, pendant que les
membres
du côté gauche seulement ont la propriété de cons
lles n'ont plus conscience de ce qui se passe autour d'elles et leurs
membres
conservent les diverses attitudes qu'on leur impr
s du diapason, immédiatement se fait entendre le bruit laryngien, les
membres
tombent dans la résolution et les malades sont pl
ras vient de se passer au môme instant dans les points symétriques du
membre
inférieur. La jambe gauche jouit maintenant de sa
même propriété. Il n'est même pas besoin de l'appliquer au contact du
membre
liémianesthésique; il suffit de tenir l'aimant da
e liémianesthésique; il suffit de tenir l'aimant dans le voisinage du
membre
sur lequel on veut agir, à une distance de 2 ou 3
s posons le barreau aimanté à quelques centimètres du bras gauche, ce
membre
gauche, qui était insensible, recouvre, en quelqu
couvre, en quelques instants, une sensibilité parfaite, tandis que le
membre
droit, primitivement très-sensible, est devenu in
-sensible, est devenu insensible et peut subir, comme précédemment le
membre
gauche, la transfixion de la main, experimentum c
our se faire traiter à la Salpêtrière d'une contracture hystérique du
membre
supérieur droit dont elle était atteinte depuis s
gnée de convulsions; la malade n'a jamais eu d'attaques; Un jour, son
membre
inférieur tomba paralysé, insensible aux friction
ons, puis la main se ferma, puis le poignet se fléchit, enfin tout le
membre
se contractura fortement. La malade nous arriva
omène du transfert; nous nous demandâmes alors si, en agissant sur le
membre
du côté opposé à la contracture, c'est-à-dire sur
n outre, une insensibilité incomplète de ce côté gauche (face, tronc,
membre
supérieur). Tous les deux ou trois jours, pendant
main droite n'est plus contracturée, et il ne reste que la parésie du
membre
. Une de nos projections vous représente cette mal
ès quelques instants, vous allez voir se reproduire la contracture du
membre
droit, telle qu'elle était au moment de l'entrée
ccessivement, sous l'influence de cet aimant, la main se fermer et le
membre
se contracture!*. Si maintenant nous plaçons l'
ade, la contracture disparaît progressivement à droite, et envahit le
membre
gauche de la môme façon que tout à l'heure elle g
le membre gauche de la môme façon que tout à l'heure elle gagnait le
membre
droit. Une séance d'électrothérapie fera, d'aille
tre malade hystérique, à laquelle nous avons donné une contracture du
membre
inférieur droit par un artifice particulier (et q
e). Voilà donc une fille atteinte d'une contracture artificielle du
membre
supérieur droit. Si nous plaçons l'aimant près de
îtres de faire passer la contracture, artificiellement produite, d'un
membre
à l'autre membre ou à une région quelconque du co
a plus reproduire la contracture par l'application d'un aimant sur le
membre
, ni la rendre insensible. Celle curieuse expéri
et de faire passer une contracture hystérique naturelle dans un autre
membre
et d'un autre coté du corps. Je vous ai aussi fai
ez une hystérique, provoquer artificiellement une contracture dans le
membre
que nous voulons, et que désormais, cette contrac
l de léthargie provoquée, dans cet état inconscient de résolution des
membres
, d'insensibilité, dont je vous rends témoins. Je
scles du bras droit, et vous voyez que la malade a une contracture du
membre
supérieur droit. Pendant que notre malade est d
e foutes les attitudes que peuvent, prendre les cataleptiques, et ses
membres
conservent la position que je leur ai donnée. L
lle est cataleptique. Remarquez aussi quelle influence l'attitude des
membres
exerce sur l'aspect de la physionomie ; je lui ra
e cérémonie religieuse qui l'impressionne vivement ; tout à coup, ses
membres
se détendent et sa contracture cesse immédiatemen
aralysie est le phénomène précurseur ordinaire de la contracture : un
membre
se paralyse d'abord, puis survient la contracture
leçon (page 271). A la suite d'une attaque plus ou moins violente, un
membre
est paralysé, puis il devient le siège d'une cont
psie etl'hystérie. Paris, 1876. (B.) on voit une petite secousse du
membre
(il faut fléchir la jambe et bien la soutenir en
épidation spontanée que l'on produit lorsque l'on cherche à élever le
membre
en le tenant avec la main appliquée sur la plante
s paupières palpitaient légèrement. Il n'y avait pas d'anesthésie des
membres
supérieurs; mais, ma main ayant touché légèrement
des membres supérieurs; mais, ma main ayant touché légèrement l'autre
membre
inférieur que je croyais contracture, la malade p
; aussitôt elle est cataleptique de ce côté droit, et je donne à ses
membres
droits toutes les attitudes imaginables. Pendan
e dans l'état hypnotique ou de somnambulisme. Voyez la résolution des
membres
: ce fait est absolument copié sur nature. Sans l
able attaque d'hystérie ; la démoniaque déchire ses vêtements, et ses
membres
se contracturent ; la convulsion de la langue'et
ez fréquemment anesthésie de la conjonctive et même de la cornée. Les
membres
et toutes les parties du corps gardent souvent pe
'il en est ainsi, les attitudes fixes, artificiellement imprimées aux
membres
, ou d'une façon plus générale aux diverses partie
midation ou de suggestion, restent le plus souvent, sans effet. — Les
membres
sont mous, flasques, pendants, et, soulevés, ils
t-à-dire s'étendre à tous les muscles de la vie animale, face, tronc,
membres
, ou, au contraire, partielle, c'est-à-dire occupe
bres, ou, au contraire, partielle, c'est-à-dire occuper seulement les
membres
supérieurs, par exemple, à l'exclusion de la face
s eux-mêmes peuvent être directement excités de la même façon sur les
membres
, le tronc, au cou ; les excitations un peu intens
de contracture durable. Les contractures se produisent encore sur les
membres
, par le fait de la percussion répétée des tendons
lui-même, le sujet paraît endormi, mais même alors, la résolution des
membres
n'est pas aussi prononcée que lorsqu'il s'agit de
égers attouchements promenés à plusieurs reprises sur la surface d'un
membre
(passes), ou encore, à l'aide d'un souffle léger
e, à l'aide d'un souffle léger dirigé sur la peau, développer dans ce
membre
une rigidité qui diifôre de la contracture liée à
rencontre au niveau des jointures, lorsque l'on essaye d'imprimer nu
membre
raidi un changement d'attitude (flexibilitas cere
squement, les yeux se ferment, un bruit laryngé se fait entendre, les
membres
tombent en résolution, en un mot l'état léthargiq
essions variées en rapport avec les attitudes que l'on communique aux
membres
. Ainsi une attitude tragique donnée aux membres s
e l'on communique aux membres. Ainsi une attitude tragique donnée aux
membres
supérieurs a pour effet d'imprimer a. la physiono
Duchenne (de Boulogne,) et l'on voit alors, chez certains sujets, les
membres
par des attitudes variées se mettre en harmonie a
par voie de suggestion soit en conséquence de l'attitude imprimée aux
membres
, soit par l'excitation faradique des muscles de l
lors d'une contraction soudaine du muscle qui soulève le segment du
membre
auquel il s'attache. Il en résulte une secousse q
t intéressé, mais encore provoquer des contractions réflexes dans les
membres
éloignés du lieu de la percussion, soit d'un môme
ard en convergence supérieure, la malade est rapidement endormie. Les
membres
sont dans la résolution la plus complète. Les car
a été obtenu sans changer la disposition des appareils placés sur les
membres
du côté gauche, mais en frappant sur le tendon ro
, aux lois de Pflûger, que le réflexe rotulien se propage d'abord aux
membres
supérieurs avant de retentir sur l'autre jambe, c
iation : nous avons vu souvent le réflexe rotulien retentir sur les
membres
supérieurs ; mais, nous n'avons pas observé la di
pas observé la diffusion du réflexe en sens inverse, c'est-à-dire du
membre
supérieur au membre inférieur. D'ailleurs, cette
usion du réflexe en sens inverse, c'est-à-dire du membre supérieur au
membre
inférieur. D'ailleurs, cette dernière loi de Pflu
sont assez développés, mais le réflexe rotulien ne se propage pas au
membre
supérieur du même côté. (Tracé I, Fig. 6). Pend
lle l'excitation avait été directement portée. — En même temps que le
membre
inférieur se contracture dans l'extension forcée,
e membre inférieur se contracture dans l'extension forcée, on voit le
membre
supérieur animé, à chaque choc rotulien, de secou
ronation et en légère flexion, puis ramené sur les côtés du tronc, le
membre
tout entier s'immobilise dans une attitude qui ra
ne et la contracture, qui en est la conséquence, s'étendre aux quatre
membres
et même à tout le corps. C'est ce que nous avons
à un faible degré. Il n'y a point d'extension du réflexe rotulien aux
membres
supérieurs. La malade est placée en face d'une
paupières supérieures, la tête se renverse. Del.... est endormie, les
membres
sont dans la résolution. Le cou est un peu gonflé
e. Le réflexe rotulien produit à la fois un mouvement dans les quatre
membres
et un soubresaut de tout le corps accompagné d'un
arquons alors que la contracture n'est pas demeurée localisée au seul
membre
directement intéressé ; les deux bras sont contra
poignet amène la "contracture des deux bras dans la demi-flexion. Les
membres
inférieurs dans ce cas ne participent pas à la co
utre ; — il peut être également divisé en sections transversales, les
membres
inférieurs pouvant acquérir un degré d'excitabili
hyperexcitabilité neuro-musculaire les muscles de la face et ceux des
membres
sont soumis à un régime différent ; et dans le pl
s. Nous pouvons déduire de ce qui précède l'attitude que prendra le
membre
sous l'influence de Faction combinée de tous les
s d'hyperexcitabilité. Mais, ceci n'est vrai que pour les muscles des
membres
. Nous savons en effet que, pour ce qui est des mu
us longtemps, tenant en quelque sorte le milieu entre les muscles des
membres
et ceux de la face ; 3° Malgré la persistance d
ême, elle n'existe pas, pendant qu'elle se montre très développée aux
membres
. Depuis que nous poursuivons ces études, nous pou
hysionomie. Nous savons d'ailleurs que la contracture des muscles des
membres
obtenue par les mômes procédés persiste pendant l
tain temps après l'excitation, de façon à rappeler la contracture des
membres
;mais, le plus souvent, les plis de la physionomi
eux-mêmes étaient aussi bien excitables à la face qu'ils le sont aux
membres
. En résumé, l'excitation du muscle est directe ou
face antérieure du poignet amènent la flexion forcée de ce segment du
membre
, avec contracture permanente des muscles excités.
ction des muscles antagonistes, la contracture cède rapidement, et le
membre
reprend l'attitude qu'il avait au début de l'expé
ant de la contracture localisée. — La malade une fois endormie et ses
membres
étant en complète résolution, nous touchons avec
sur la contracture provoquée chez les hystériques, que l'anémie d'un
membre
produite par l'application de la bande d'Esmarch,
e le faire dans la pratique chirurgicale, faisait disparaître dans ce
membre
toute disposition du muscle à se contracturer sou
turer sous l'influence des excitants ordinaires. La malaxation d'un
membre
ainsi anémié ne détermine plus aucune contracture
ontracture; mais, si l'on enlève la bande qui comprimait la racine du
membre
, on voit aussitôt la contracture se produire d'el
s le nom de transfert. MM. Brissaud et Ch. Richet ont observé, sur le
membre
anémié et en état de contracture latente, les mêm
ié et en état de contracture latente, les mêmes phénomènes que sur le
membre
contracture. On voit, par exemple, la contracture
la bande de caoutchouc appliquée de l'extrémité _.-vers la racine du
membre
supérieur, et la ligature étant maintenue au bras
ors, en ayant bien soin de ne porter aucune autre excitation sur le
membre
anémié, nous froissons avec le doigt, à plusieurs
Il ne se produit immédiatement aucune modification dans l'attitude du
membre
qui estdans la résolution la plus complète. Mais,
ature. L'obstacle levé, le sang reprend son cours et la coloration du
membre
augmente peu à peu. Successivement aussi, et comm
'état léthargique et l'excitation mécanique portée au nerf cubital du
membre
anémié, à la région du coude. Nulle modification
hénomène existe à un égal degré sur tous les muscles", aussi bien aux
membres
qu'à la face (il n'est pas question ici de la dif
as question ici de la différence du résultat obtenu : contracture aux
membres
, contraction à la face). Mais il arrive fréquemme
ue il existe des différences entre les deux côtés du corps, entre les
membres
inférieurs, les membres supérieurs et la face, l'
nces entre les deux côtés du corps, entre les membres inférieurs, les
membres
supérieurs et la face, l'hyperexcitabilité pouvan
ossible d'obtenir la contracture partielle des différents muscles des
membres
, et les différents procédés à l'aide desquels on
éflexes tendineux sont exagérés aux genoux, mais sans irradiation aux
membres
supérieurs, ils existent aux coudes; aux poignets
aine de coups portés successivement sur le tendon pour immobiliser le
membre
dans une attitude forcée de contracture permanent
ns cause apparente, toute trace d'hyperexcitabilité disparaît dans ce
membre
et à la fois dans tout le côté droit du corps aus
la fois dans tout le côté droit du corps aussi bien à la face qu'aux
membres
. Le bras droit retombe inerte le long du corps, W
nt augmente peu à peu, puis gagne le bras droit, la jambe droite. Les
membres
du côté gauche conservent leur immobilité, jusqu'
cette disposition musculaire spéciale a pu être rappelée dans un seul
membre
: %Q janvier 1880. B... est plongée par la fric
out de quelques instants de faradisation, nous nous apercevons que le
membre
sur lequel nous opérons est redevenu hyperexcitab
ort peu accusés aux poignets et aux coudes, un peu plus cependant aux
membres
du côté gauche. La malade est assise sur une ch
fixité du regard augmente, le clignotement disparaît. A ce moment les
membres
sont insensibles à la piqûre; lorsqu'on les soulè
malade. Puis tout d'un coup, pendant que l'on continue à piquer les
membres
du sujet, on s'aperçoit que la sensibilité a repa
ûre donnent naissance à des mouvements réflexes; la malade retire son
membre
, et la douleur se peint sur sa physionomie, qui a
droit. Pas d'achromatopsie. Exagération des réflexes tendineux aux
membres
supérieurs comme aux membres inférieurs, plus acc
Exagération des réflexes tendineux aux membres supérieurs comme aux
membres
inférieurs, plus accusés à gauche qu'à droite. A
t dans l'extension et la contracture envahit en même temps les quatre
membres
. Cette contracture cède facilement par la frictio
njonctive et jusqu'à la cornée. L'état de la pupille varie ; 3° Les
membres
gardent les positions qu'on leur communique. Ils
eur des mannequins de peintre n'existe pas. On modifie l'attitude des
membres
avec la plus grande facilité et sans le moindre e
. Enfin cet état cataleptique est uniformément développé sur tous les
membres
et le tronc; 4° L'hyperexcitabilité neuro-muscu
précédemment; mais nous constatons en outre une aptitude spéciale des
membres
à conserver les attitudes communiquées. Il semble
manifestation de l'hyperexcitabilité neuromusculaire. En effet les
membres
sont toujours lourds à soulever; ils ne conserven
s attitudes communiquées, et la friction amène toujours la détente du
membre
, et la résolution musculaire complète. En souleva
ne saurait être obtenu. Les réflexes tendineux persistent, et si les
membres
gardent les attitudes communiquées, c'est avec le
ux étaient ouverts quel qu'imparfaitement que ce soit, l'aptitude des
membres
à conserver les attitudes communiquées augmentait
globes oculaires empêche toute fixité du regard. 2° L'aptitude des
membres
à garder une situation communiquée présente les p
inégalement développée sur les différents segments du corps ; b) Le
membre
est lourd à soulever et il existe dans les articu
ulations une certaine roideur (flexibilitas cerea) ; c) Pour que le
membre
garde la position dans laquelle on le place, il f
des avant de l'abandonner ; d) Dans le plus grand nombre de cas, le
membre
retombe bientôt de lui-même ; e) Enfin la frict
le massage des ?nasses musculaires amènent toujours la résolution du
membre
qui retombe inerte. 3° L'hyperexcitabilité neur
e rattache au phénomène de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire. Le
membre
qui paraît cataleptique n'est, en somme, qu'un me
usculaire. Le membre qui paraît cataleptique n'est, en somme, qu'un
membre
contracture. La contracture s'y développe sous l'
nfluence des manœuvres de l'expérimentateur qui cherche à déplacer le
membre
. Nous avons vu, en effet, qu'il est nécessaire d'
en effet, qu'il est nécessaire d'insister un peu pour faire garder au
membre
l'attitude communiquée. De plus, lorsqu'on cherch
tude communiquée. De plus, lorsqu'on cherche à modifier l'attitude du
membre
, on constate une roideur, indice certain de contr
re. Enfin cette contracture cède sous l'influence de la malaxation du
membre
. Pour terminer, nous rapporterons l'observation
e. — L'état cataleptique que nous obtenons ainsi est imparfait, les
membres
conservent bien les attitudes communiquées; mais
t bien les attitudes communiquées; mais les frictions à la surface du
membre
les font cesser; l'hyperexcitabilité neuro-muscul
t et le regard devient fixe. Dès lors la catalepsie est parfaite. Les
membres
sont souples, légers à mouvoir; les attitudes com
les attitudes communiquées ne sont plus modifiées par la friction du
membre
; plus de réflexes tendineux, ni d'hyperexci-tabil
-musculaire. Cette expérience consiste à produire sur un segment de
membre
l'état cataleptiforme pendant la phase de létharg
ent pour cela de malaxer légèrement toute la surface de ce segment de
membre
, pour obtenir, au lieu d'une contracture localisé
lisée, une sorte de roideur généralisée, qui permet à cette partie du
membre
de conserver les diverses attitudes communiquées.
ue nous avons dite; car il suffit d'exercer quelques frictions sur le
membre
pour faire cesser toute roideur et en même temps
re consécutive à une excitation mécanique portée à la périphérie d'un
membre
est une des conséquences de l'hyperexcitabilité n
tte expérience : Witt... est endormie par le procédé ordinaire, les
membres
sont dans la résolution et l'hyperexcitabilité ne
ution et l'hyperexcitabilité neuro-musculaire existe à la face et aux
membres
avec les caractères que nous avons décrits. La
uro-musculaire. L'excitation mécanique la plus légère portée sur un
membre
en amène la contracture d'une façon brusque et én
racture, en touchant avec précaution et légèrement un point limité du
membre
, que ce point corresponde à un tendon, ù un muscl
limitée est un peu intense, la contracture se généralise aussitôt au
membre
tout entier. Nous continuons les inhalations de
d'un bras provoque une vive secousse suivie de contracture de tout le
membre
. La secousse retentit sur le membre du côté oppos
suivie de contracture de tout le membre. La secousse retentit sur le
membre
du côté opposé, mais la contracture reste toujour
du côté opposé, mais la contracture reste toujours localisée au seul
membre
directement excité. Ces contractures très intense
s les modifications suivantes : Il se produit par instants dans les
membres
des secousses spontanées. La malade s'agite un pe
ant l'hyperexcitabilité neuro-musculaire cesse tout d'un coup dans un
membre
supérieur seulement ou dans les deux membres à la
se tout d'un coup dans un membre supérieur seulement ou dans les deux
membres
à la fois, pour reparaître quelques moments après
araît profond. — L'excitation mécanique, aussi bien à la l'ace qu'aux
membres
, demeure sans effet. Nous laissons la malade da
Sanders-Ezn, dans des expériences sur les mouvements réflexes d'un
membre
postérieur de la grenouille, a indiqué des région
exes soit d'extension, soit de flexion, de telle ou telle jointure du
membre
inférieur. Et Scliroder van der Kolk avait dit, e
caniques cessent tout d'un coup. Vous avez beau presser ou malaxer le
membre
qui, tout à l'heure — pendant l'état léthargique
mes manœuvres, la flaccidité musculaire n'est aucunement modifiée, le
membre
reste inerte et dans la résolution. Mais il est
u le plus souvent progressivement, une contracture intense de tout le
membre
intéressé. — L'action du doigt promené à la surfa
tout le membre intéressé. — L'action du doigt promené à la surface du
membre
, môme à distance, produit le même résultat. — Nou
la contracture est plus diffuse, elle envahit habituellement tout un
membre
. Dans l'état léthargique, les réflexes tendineu
ue la première, quel que soit son point d'application à la surface du
membre
contracture. Nous rappellerons que l'état létha
vent très énergiques, du côté opposé du corps, à savoir dans les deux
membres
et dans la moitié de la face ; tandis que, la mal
soit dans la face (commissure labiale tirée en dehors), soit dans le
membre
supérieur, soit dans le membre inférieur (brusque
labiale tirée en dehors), soit dans le membre supérieur, soit dans le
membre
inférieur (brusquement soulevés), soit enfin dans
de la tête, a toujours donné des résultats identiques et toujours les
membres
et la face du côté correspondant à la région du c
inversions ; aucun mouvement n'était observé soit à la face, soit aux
membres
. Ces expériences ont été reproduites, avec des
varié d'une expérience à l'autre, mais, toujours, les mouvements des
membres
et de la face occasionnés par l'interruption du c
qu'interrompent de loin en loin des dépressions peu profondes. Les
membres
, et l'on peut en dire autant de toutes les partie
omatiques. Alors, les attitudes fixes, artificiellement imprimées aux
membres
, font place à des mouvements plus ou moins comple
ervations, cela ne serait point exact : au bout de 10, 15 minutes, le
membre
commence à descendre, et au bout de 20 à 25 minut
me chez la cataleptique, un tambour à réaction, fixé à l'extrémité du
membre
étendu, sert à enregistrer les moindres oscillati
du membre étendu, sert à enregistrer les moindres oscillations de ce
membre
pendant qu'un pneumographe appliqué sur la poitri
, pendant toute la durée de l'observation, la plume qui correspond au
membre
étendu, trace une ligne droite parfaitement régul
ui correspond aux indices de fatigue musculaire notés sur le tracé du
membre
, on peut observer l'irrégularité dans le rythme e
preuve, se trouve trahi des deux côtés à la fois : 1° par le tracé du
membre
qui accuse la fatigue musculaire et 2° par le tra
extrémité ouverte d'un diapason mis en vibration. Le tiraillement des
membres
, la flexion brusque de leurs divers segments suff
égal degré sur tous les muscles du corps ou bien sur les muscles d'un
membre
seulement. Souvent elle revêt la forme hémiplégiq
n'est donc pas rare de rencontrer la diathèse de contracture sur des
membres
considérablement affaiblis, et dont l'affaiblisse
corps que de l'autre. Il peut exister aussi des différences entre les
membres
supérieurs et les membres inférieurs. D'un jour
eut exister aussi des différences entre les membres supérieurs et les
membres
inférieurs. D'un jour à l'autre, chez une môme
e appréciable. Parfois, l'existence d'une conctracture localisée à un
membre
suffit pour la faire apparaître dans d'autres par
omène de la contracture provoquée par flexion brusque d'un segméntele
membre
(pied ou main), il est facile de se convaincre qu
e d'action par le seul fait qu'un obstacle s'oppose au déplacement du
membre
dans le sens des muscles directement intéressés;
xcitation exclusivement portée sur l'un d'eux. L'attitude imprimée au
membre
par la contracture ne dépend pas uniquement du li
rconstances extérieures qui favorisent ou entravent le déplacement du
membre
dans un sens ou dans l'autre, D'après les lois
qui est plus brusque dans la contracture par flexion d'un segment de
membre
, les caractères graphiques sont les mômes, que la
es, qui exige, pour que soient rétablis la forme et les mouvements du
membre
, l'intervention ckirurgicale. Mais quels sont d
connaissions jusque-là. Ce moyen, c'est la ligature faite autour d'un
membre
à l'aide d'un lien élastique, la bande d'Esmarch,
mais il est aussi difficile d'exagérer la flexion que de défléchir le
membre
. Non seulement le muscle ou les muscles d'action
celui qui a été excité, mais encore les muscles d'une autre partie du
membre
sont atteints ; ainsi les fléchisseurs et extense
chez la nommée G. R..., tous les moyens sont efficaces : traction du
membre
, excitation des tendons, etc. Cette généralisat
, non seulement dans les sphincters, mais encore dans les muscles des
membres
, déterminant ainsi leur altitude moyenne. Or, on
spinaux sont liés pliysiologiquement, et aussi la diffusion à tout un
membre
ou à tout le corps. On comprend plus difficilem
y a diathèse de contracture, ainsi une constriction du poignet ou du
membre
inférieur, et, soit dit en passant, cela montre q
hypnotisme et de simples frictions exercées sur la partie déformée du
membre
suffisent pour faire disparaître la contracture.
une sorte de piqûre assez douloureuse, accompagnée d'un soubresaut du
membre
. Si l'on opère sur une partie découverte, on voit
u poignet avec paralysie de la sensibilité et du mouvement de tout le
membre
supérieur. Vous pouvez constater que cette contra
sme comme dans l'hystérie, soumis à d'autres lois que les muscles des
membres
. C'est ainsi que, jusqu'à présent, on n'a jamais
paralysie flasque de la face dans l'hystérie, tandis que du côté des
membres
, ces paralysies sont, comme on le sait, très fréq
e façon que l'irritation directe de ces muscles. Il en résulte que le
membre
sur lequel on expérimente prend une attitude cara
sulte de la comparaison. Sous l'influence d'une traction continue, le
membre
contracture d'un sujet léthargique cède par degré
e membre contracture d'un sujet léthargique cède par degrés, comme le
membre
raidi par la volonté; à ce point de vue, il y a r
e encyclopédique, des Sciences médicales, lateur, le tremblement du
membre
et l'irrégularité de la respiration ne tardent pa
hez l'hypnotique le rythme respiratoire ne varie pas et la détente du
membre
contracture s'opère lentement, sans la moindre se
ère somatique, la plasticité cataleptique, qui consiste en ce que les
membres
soulevés ou fléchis par l'observateur ne sont le
stance et que le sujet garde toutes les attitudes qu'on imprime à ses
membres
ou à son corps. On peut distinguer par des proc
e. Voici comment on procède : on commence, par exemple, par placer le
membre
supérieur dans l'abduction, de façon à ce qu'il o
horizontale. On applique alors un tambour à réaction à l'extrémité du
membre
étendu qui servira à enregistrer les moindres osc
mbre étendu qui servira à enregistrer les moindres oscillations de ce
membre
, pendant qu'un pneumographe fixé sur la poitrine
, pendant toute la durée de l'observation, la plume qui correspond au
membre
étendu trace une ligne droite parfaitement réguli
correspond aux indices de la fatigue musculaire notés sur le tracé du
membre
, un rythme irrégulier et on constate de profondes
ue l'expérience sera plus souvent renouvelée. Dans la catalepsie, les
membres
soulevés et placés dans des attitudes diverses ne
et Seppiii, on peut supprimer l'excitabilité neuro-musculaire dans un
membre
par l'application d'eau ou de glace. Nous avons o
oque par suggestion le développement d'une paralysie flaccide dans un
membre
, on lui fait perdre, pendant la durée de cette pa
re léthargique; il suffît de presser sur les muscles, de comprimer un
membre
avec une bande élastique, de presser sur un tronc
n ne peut pas être incriminée. En quoi, en effet, la compression d'un
membre
par une bande élastique ou celle d'un tronc nerve
ce nerf entrent en contraction ou en contracture, et communiquent au
membre
sur lequel on opère une position invariable et ca
que l'expérience est renouvelée. Si dans la catalepsie on soulève un
membre
, celui-ci ne garde qu'un temps très limité la pos
se traduit parfois par une manifestation unique, la contracture d'un
membre
, le mutisme par exemple ? c'est là l'hystérie loc
du carpe est hypérémiée. Fig. 7. — Le nerf médian à l'avant-bras du
membre
supérieur droit coté paralysé), comparé au nerf c
e locomo-trice pourra priver définitivement le malade de l'usage d'un
membre
qui, pendant longtemps encore, eût pu lui rendre
nière, les parties périphériques, telles que les muscles, les os d'un
membre
continuent pendant longtemps encore à vivre et à
les se manifestent avec les mêmes caractères dans Vimmobilisation des
membres
, alors que le système nerveux n'est pas direc-tem
a nutrition qui se produisent assez rapidement,en pareil cas, dans le
membre
correspondant, à l'absence d'action du système ne
uelques jours à peine et consistant en tumé-faction de l'extrémité du
membre
, ulcérations des doigts, perte des ongles, etc.,
in-fluences extérieures, au frottement sur un sol dur et rugueux, le
membre
privé de mouvements et de sensibilité par suite d
n, on ne constatait plus aucune modifi-cation de la nutrition dans le
membre
paralysé. Si ce n'est toutefois une atrophie plus
e évidemment de l'inactivité fonctionnelle à laquelle est condamné le
membre
paralysé ; elle porte non seulement sur les muscl
ire passer chaque jour un courant galvanique à travers les muscles du
membre
paralysé. 2° La section complète du nerf trijum
que des matières fécales auxquelles ces parties sont exposées. Les
membres
postérieurs d'un jeune chat, qui survécut près de
développèrent normalement; les fonc-tions delà vie organique dans ces
membres
parurent s'exécuter suivant les conditions physio
dit Valentin lacontractilité électriquepersister dans les muscles des
membres
postérieurs, jusqu'à la mort, c'est-à-dire pendan
s contacts, etc. Quant à l'atrophie qui survient à la longue dans les
membres
paralysés à la suite de cette opération, elle rés
section du nerf sciatique, de l'inertie fonction-nelle à laquelle ces
membres
sont condamnés. 1. Brown-Séquard, loc. cit., p.
a moelle épi-nière ne provoque pas, dans les éléments anatomiques des
membres
paralysés, d'autres troubles nutritifs que ceux q
eu dans la grande majorité des cas,— on constate simplement, dans les
membres
paralysés, une dégénération avec atrophie des mus
mot, tous les effets auxquels donne lieu l'inertie fonctionnelle des
membres
postérieurs, chez les annimaux, et rien que ces e
peut, vous le savez, observer quel-quefois la perte d'une partie d'un
membre
. Celle-ci survient sou-vent sans douleur, parce q
n du froid et aussi dans les paralysies traumatiques des nerfs et des
membres
.Ces dernières résultent le plus souvent, comme on
fois très rapidement appréciable, principalement lorsqu'il s'agit des
membres
. 11 serait très intéressant d'étudier dans les di
res décrites par MM. Tessier et Bonnet et qui surviennent lorsque les
membres
sont, condamnés a l'immobilité que nécessite le t
'étude des mo-difications que peuvent subir les diverses parties d'un
membre
sous l'in-fluence de l'inertie fonctionnelle plus
la longue, sous l'influence de l'inertie fonctionnelle à laquelle les
membres
pa-ralysés du mouvement se trouvent condamnés. A
ndant. L'atrophie musculaire consécutive ôtail exactement limitée aux
membres
droits. (Voir la Fig, 1,) — Voici maintenant l'ex
la formation d'un foyer sanguin dans l'hémisphère cérébral droit. Les
membres
du côté paralysé, qui, de très bonne heure, avaie
hie musculaire était uniformément répandue sur toutes les parties des
membres
paralysés ; elle s'accompagnait d'une diminution
pidement. Dans le temps même où l'atrophie se prononçait, la peau des
membres
du côté gauche présenta sur tous les points soumi
par aucun symptôme appréciable. Toujours la nutrition des muscles des
membres
est. a moins de complication, parfaitement indemn
cornes antérieures de la subs-tance grise, siégeraient alors dans les
membres
et se traduiraient par des troubles fonctionnels
, la diminution hâtive de la contractilité électrique des muscles des
membres
inférieurs est un symptôme qui ne fait peut-être
contractilité élec-trique, survenant hâtivement dans les muscles des
membres
frappés de paralysie, est un symptôme qui paraît
rompte diminution de la contractilité électrique dans les muscles des
membres
paralysés (3). 2° Les affections qui composent
nt de la seconde par les caractères suivants : les muscles de tout un
membre
ou d'une partie d'un membre sont frappés en masse
actères suivants : les muscles de tout un membre ou d'une partie d'un
membre
sont frappés en masse, presque uniformément, de p
ymptomatique des lésions cérébrales en foyer. Il se manifeste sur les
membres
frappés de paralysie, principalement à la région
amollis-sement cérébral. Ces arthropathies occupent les jointures dés
membres
paralysés. — B. Formes chroniques : elles paraiss
péri-phérique. L'éruption vésiculeuse siégeait, cette fois encore au
membre
inférieur du côté paralysé, où elle suivait la di
à peu près complète du côté gauche. Il n'y a pas de rigidité dans les
membres
paralysés ; paraysie faciale incomplète, égalemen
ussi à peu près indifféremment sur toutes les parties du tronc ou des
membres
soumis dans le décubitus à une pression quelque p
uvent dans l'espace d'une nuit, sur les parties les plus diverses des
membres
inférieurs, aux genoux, aux chevilles, au cou-de-
iques. 11 faut noter, en second lieu, l'apparition des bulles sur les
membres
paralysés, circonstance à laquelle il a été fait
l'existence d'une hémiplégie à peu près complète, avec flaccidité des
membres
du côté droit. De temps à autre, sans provocation
côté droit. De temps à autre, sans provocation, il se produit dans le
membre
supérieur de ce côté une sorte de contraction spa
, à la face interne du genou et, en un mot,' sur les divers points du
membre
inférieur paralysé qui peuvent être soumis à une
toujours, vous le savez, d'une fa-çon plus ou moins accusée, sur les
membres
frappés d'hémi-plégie de cause cérébrale, par une
serve dans les cas de lésions cérébrales, — que les divers points des
membres
para-lysés qui sont exposés à subir une pression
Peschare peut se produire sans que la nutrition des muscles, dans les
membres
paralysés, se montre affectée. C'est même là un f
les convulsions cloniquesplus ou moins inten-ses, survenant dans les
membres
paralysés, soit spontanément, soit en conséquence
re, il se produit chez les animaux une paralysie du mouvement dans le
membre
inférieur du côté où siège la lésion spinale; ce
ement dans le membre inférieur du côté où siège la lésion spinale; ce
membre
présente en outre un degré plus ou moins prononcé
vation notable de la température liée à la paralysie vaso-motrice. Le
membre
du côté opposé à la lésion conserve par contre sa
de même que chez les animaux, on peut voir survenir encore, dans les
membres
des deux côtés, divers troubles trophiques, lesqu
le, tandis que l'arthropathie et l'atrophie musculaire siègent sur le
membre
du côté où la moelle est lésée, l'eschare semble
nce, au contraire, ainsi que nous l'avons fait remarquer déjà, sur le
membre
du côté opposé où elle occupe la région sacrée et
médiate-ment une paralysie du mouvement qui, d'abord étendue aux deux
membres
inférieurs, se montra, dès le lendemain, presque
embres inférieurs, se montra, dès le lendemain, presque restreinte au
membre
inférieur gauche. Sur ce dernier membre, l'hypere
demain, presque restreinte au membre inférieur gauche. Sur ce dernier
membre
, l'hyperesthésie est très manifeste ; celui du cô
nt. Ce jour-là on remarqua que, sans cause extérieure appréciable, le
membre
inférieur gauche, toujours plus sensible qu'à l'é
nière à la région dorsale, la paralysie du mouvement survenir dans le
membre
inférieur correspondantau côté lésé ; ce membre p
ment survenir dans le membre inférieur correspondantau côté lésé ; ce
membre
présente une élévation notable de la température
ans cause appréciable, une arthropathie se développe dans le genou du
membre
paralysé, tandis que, au voisinage delà région sa
e paralysé, tandis que, au voisinage delà région sacrée,, la fesse du
membre
, privé de sensibilité, mais non paralysé du mouve
édiatement après l'acci-dent, on put constater qu'à ce moment déjà le
membre
inférieur gauche était complètement paralysé du m
érieur gauche était complètement paralysé du mouvement, tandis que le
membre
correspondant de l'autre côté ne présentait rien
t rien de semblable. — Le 16 février, au matin, on note ce qui suit :
Membre
inférieur gauche : paralysie complète du mouvemen
suit : Membre inférieur gauche : paralysie complète du mouvement. Le
membre
est dans la flaccidité complète, il n'y a pas tra
es, de soubresauts.— Au contraire, la sensibilité paraît, sur ce même
membre
, exagérée dansla plupart de ses modes ; le moindr
ais on y trouve notée, par contre, une atrophie rapide des muscles du
membre
paralysé, précédée, de plusieurs jours, par une d
le malade compare à celles qu'occasionnerait une série de piqûres. —
Membre
inférieur droit. Tous les mouvements volontaires
obscure de picotement. L'insensibilité n'est pas bornée, à droite, au
membre
inférieur, elle remonte jusqu'au niveau du mamelo
évacuations sont redevenues volontaires depuis deux jours. L'état des
membres
inférieurs n'est en rien modifié. 13 mars (25e
'accident, on constate une paralysie complète et une hypéresthésie du
membre
inférieur gauche ; le membre du côté opposé était
ralysie complète et une hypéresthésie du membre inférieur gauche ; le
membre
du côté opposé était anes-thésié mais non paralys
thésié mais non paralysé. Le second jour, on note que les mus-cles du
membre
paralysé et ceux de la partie inférieure de l'abd
s'étend sur la fesse du côté droit. Ce jour, même, on remarque que le
membre
paralysé est notable-ment atrophié et mesure, en
hié et mesure, en circonférence, de 4 à 5 centimètres de moins que le
membre
anesthésié. La mort survint le treizième jour. A
on domicile distant d'un mille. Le surlendemain matin, au réveil, les
membres
in-férieurs étaient complètement paralysés ; deux
re inférieur correspondant. lien était résulté un étatparétique de ce
membre
, accompagné de douleurs vives suivant le trajet d
tèbre lombaire. II s'en suivit uneparésie avec hyperesthésie vive des
membres
inférieurs.Une bulle qui fit bientôt place à une
on analogue (4). L'inflammation aiguë ou subaiguë des jointures des
membres
paralysés peut survenir encore dans la myélite sp
uë. La para-lysie du mouvement avait commencé à se prononcer dans les
membres
inférieurs, le 25 janvier; elle y était devenue c
t l'un des genoux, au moment où la paralysie commençait à envahir les
membres
inférieurs (1). Il est remarquable de voir ces
baiguës de la myélite, se développer souvent, alors quelesmuscles des
membres
paralysés commen-cent à s'atrophier ou encore dan
dudocteur Alison; l'affection a pour caractère de rester limitée aux
membres
paralysés et de ne pas s'étendre aux articulation
ée aux membres paralysés et de ne pas s'étendre aux articulations des
membres
restés indemnes ; les jointures affectées sont ch
ent à leur tour et devinrent douloureux. Il n'y avait pas d'œdème Les
membres
paralysés étaient un peu rigides. A l'autopsie, o
la main et le pied du côté paralysé dévinrent chauds et tuméfiés. Les
membres
paralysés étaient rigides. A l'autopsie, le cerve
e. Je suis loin, toutefois, de vouloir nier que les articulations des
membres
paralysés dans l'hé-miplégie de cause cérébrale n
variété, comme dans la première, les arthropathies sont limitées aux
membres
paralysés et elles occu-pentleplus souvent lememb
a-vcntriculaire du corps strié. Dans la plupart des articulations des
membres
du côté droit, lesquelles avaient été le siège de
urale de soude tantôt cristallisé, tantôt amor-phe. Les jointures des
membres
du côté non paralysé ne présentaient rien de semb
, que le dépôt goutteux se forme exclusivement dans les jointures des
membres
pa-ralysés ; mais, je ne saurais trop le répéter,
que celles de formi-cation, de picotement qui se produisent clans les
membres
paralysés, en consé-quence d'une lésion cérébrale
peuvent se manifester dans les muscles ou dans les articulations des
membres
paralysés. Les douleurs du dernier genre ne se ré
ue sous l'influence des mouvements ou de la pression excercée sur les
membres
; ou si elles se montrent parfois spontané-ment,
. Cette subin-flammation qui survient ainsi dans diverses parties des
membres
paralysés est d'ailleurs, elle-même, la conséquen
au moment de l'appari-tion de la contracture tardive qui s'empare des
membres
para-lysés, mais elles peuvent sè montrer encore
rhumatismales, sont sur-tout : 1° Leur limitation aux jointures des
membres
frappés de paralysie ; 2° L'époque en général dét
squ'il s'agit de la' moelle épinière, l'atrophie musculaire aiguë des
membres
paralysés, la cystite, la néphrite, etc. B. Le
endemain, se développer une tuméfaction générale et souvent énorme du
membre
, le plus communément en dehors de toute douleur,
oté plusieurs fois une atrophie rapide des masses musculaires sur les
membres
où siège l'affection articulaire. L'arthropathi
récédé de plusieurs jours l'ap-parition de la tuméfaction générale du
membre
; mais celle-ci est, dans la règle, le premier phé
oins énergiques que les malades continuent quelquefois à imprimer aux
membres
affectés. Je veux me borner, quant à présent, à
its aujourd'hui nom-breux, dans lesquels notre arthropathie siège aux
membres
supérieurs et occupe soit l'épaule, soit le coude
s comme agentprincipal, même dans les cas où l'arthropathie siège aux
membres
inférieurs. J'ai eu soin de faire remarquer, en e
ent spéciaux. Son début brusque, marqué parla tuméfaction générale du
membre
, les altérations rapides que subissent les surfac
pique, n'est pas un résultat de l'inertie fonctionnelle à laquelle le
membre
correspondant aura pu être condamné par le fait d
hypothèse devra être reje-tée, car d'un côté, dans nos deux cas, les
membres
où siégeaient les arthropathies avaient conservé,
chiv. de physiologie, t. III. p. 306, 1870. après l'amputation d'un
membre
ou la section des nerfs qui s'y rendent. Par ce
avec hémiplégie du côté gauche et suc-comba quelques jours après. Les
membres
paralysés avaient 1. M. Schiff. — Gaz, hebdomad
ontractilité électrique commençait à s'affaiblir dans les muscles des
membres
paralysés (1). Comment comprendre ce développpe
l., vol. VII, p. 173, lésions spinales, il est vrai que parfois les
membres
sur lesquels se développent les troubles trophiqu
que était de 1 à 2 degrés plus chaude que la région correspondante du
membre
sain. Mais au-dessus de ce point, le thermomètre
mbre sain. Mais au-dessus de ce point, le thermomètre marquait sur le
membre
malade un degré de moins que sur le membre sain.
hermomètre marquait sur le membre malade un degré de moins que sur le
membre
sain. — H. Fischer. Ueher trophische Stœrungen na
emitaten in Berlin. Klin. Wochensch., 1871, n° 13. La température des
membres
sur lesquels se produisent les troubles trophique
r la théorie des sé-crétions (3). Si l'on coupe tous les nerfs d'un
membre
sur une grenouille, et si l'on détermine ensuite
ts dans la parole. — Rigidité des muscles. — Attitude du tronc et des
membres
. — Déformation des mains et des pieds. Ralentisse
et le siège variables que présentent les oscillations rythmiques des
membres
. Mais une observation plus recueillie vous a bien
mps même où elles exécutent un mouvement d'ensemble à l'aide de leurs
membres
, comme dans l'acte de porter un verre à la bouche
nde série de cas, letremblement est continu, permanent , il agite les
membres
sans cesse, sans trêve, et si les mouvements inte
il seul met momentanément un terme à l'agitation spasmodique de leurs
membres
; mais à peine le réveil a-t-il lieu que le trem-
s des muscles qui sont en jeu, soit pour exécuter le déplacement d'un
membre
ou la translation du corps entier, soitpourcon-
mportants ; mais, dans la première, les oscilla-tions rhythmiques des
membres
sont à peu près permanentes, tandis que, dans la
é à la main droite, s'est étendu et a gagné successivement les autres
membres
. J'aurai l'occa-sion de vous citer d'assez nombre
ste dans un tremblement existant môme au repos, d'abord limité à un
membre
, puis se généralisant peu à peu, tout en respecta
gravité qui lui échappe. Une attitude particulière du corps est des
membres
, la fixité du regard,Yimmobililêdes traits du vis
ment, sans qu'il en ait conscience. La marche, même s'il s'agit des
membres
supérieurs, l'action de saisir un poids, de le so
ement croisé est plus rare. J'ai vu cependant, au moins deux fois, le
membre
supérieur droit, puis le membre in-férieur gauche
vu cependant, au moins deux fois, le membre supérieur droit, puis le
membre
in-férieur gauche être affectés l'un après l'autr
beaucoup plus commun devoir le tremblement borné durant longtemps aux
membres
d'un seul côté du corps (forme hémiplégique), ou
s rhumafoïdes ou névralgiques, parfois des plus vives, et occupant le
membre
ou les régions du membre, qui bientôt seront pris
ques, parfois des plus vives, et occupant le membre ou les régions du
membre
, qui bientôt seront pris, mais secondairement, d'
je l'ai observé, une contusion violente ayant porté son action sur le
membre
qui, ultérieurement, a été affecté de douleurs et
nde, le tremblement est survenu tout à coup, il occupe tantôt un seul
membre
, tantôt, et dès l'origine, tous les membres à la
, il occupe tantôt un seul membre, tantôt, et dès l'origine, tous les
membres
à la fois. Après avoir persisté quelques jours, i
parfait développement, le tremblement, outre qu'il envahit plu-sieurs
membres
, se montre, au moins dans les cas intenses, à peu
à respiration ne pa-raissent point partager le désordre convulsif des
membres
. Di-sons cependant que quelques malades éprouvent
que subis-sent, à une certaine époque de la maladie, les muscles des
membres
, du tronc, et le plus souvent ceux aussi du cou.
tion debout, un peu penché en avant. (V. Pl. 1 et II.) L'attitude des
membres
supérieurs mérite d'être relevée. Fig. 9. — Déf
et les craquements que l'on observe dans le rhumatisme noueux. Aux
membres
inférieurs, la rigidité est quelquefois assez pro
tracture. Chez deux femmes que je vous présentais tout à l'heure, ces
membres
, vous l'avez vu, sont rigides et dans la demi-fle
tant ces femmeg ont encore la faculté de mouvoir volontairement leurs
membres
inférieurs, avec p«*ine et lenteur il est vrai; e
l avait cependant, à Uci-'haùï degré déjà, l'attitude du corps et des
membres
, la difficulté âîins^ mouvements, enfinla démarch
re, elle s'aper-çut, il y a quatre ans, que les diverses jointures du
membre
supérieur droit devenaient raides. A ce phénomène
iblesse. La raideur et ['af-faiblissement gagnèrent successivement le
membre
inférieur droit, le bras gau-che, puis la jambe c
u poignet et revient par accès d'une durée de cinq à six minutes. Les
membres
, principalement le membre supérieur droit, parais
cès d'une durée de cinq à six minutes. Les membres, principalement le
membre
supérieur droit, parais-sent lourds. Lorsque la m
; dans quelques circonstances même, on a vu, phénomène singu-lier, le
membre
le plus agité et le plus affaibli en apparence, ê
adie des plus tristes en ce qu'elle prive le malade de l'usage de ses
membres
et qu'elle le réduit tôt ou tard à une inertie à
ialement sentir à la région épigastrique et sur le dos, Toutefois les
membres
, la face, peuvent aussi en être le siège, Elle n'
tom-bant d'une voiture. Au bout de quelque temps, il survint dans le
membre
blessé une douleur vive, occupant le trajet du ne
, et, peu après, un tremblement se déclara dans toute l'étendue de ce
membre
. D'abord passager, ce tremblement devint plus tar
it était animé d'un léger tremblement qui gagna peu de temps après le
membre
inférieur du même côté. » Elle offre aujourd'hui
mblyopie, nystag-mus. — Embarras de la parole. — Vertiges. Etat des
membres
inférieurs. — Parésie. — Rémissions. — Absence de
; mais que pensez-vous des mouvements rythmiques dont la tête et les
membres
supérieurs sont agités ? — C'est juste, fit le vi
ns conteste le tremblement rythmique tout spécial dont sa tête et ses
membres
étaient, pendant la marche, violemment agités.
se, le tremblement a disparu aussitôt d'une manière complète dans les
membres
supérieurs et inférieurs, mais en partie seulemen
our la faire reparaître seu-lement d'unemanièrepartielle, dans un des
membres
supérieurs par exemple, je vais la prier de porte
lement de la paralysie agitante existe aussibienà l'état de repos des
membres
, que lorsque ceux-ci sont mis en mouvement par la
ce; mais, chose remarquable, c'est en pareil cas plutôt alors que les
membres
sont dans le repos qu'il se manifeste, pour cesse
communiquées ; il s'agit là d'une transmission des secousses dont les
membres
et le torse sont le siège. L'absence du trembleme
marquons en premier lieu que, dans celle-ci, il s'agit par exemple du
membre
supérieur, dans l'acte de porter la main à la bou
ents de la chorée se montrent tout à coup, inopinément, alors que les
membres
sont dans un étatde repos complet; ainsi, en deho
éique tirer la langue, faire une grimace, lever brusquement un de ses
membres
, etc. Or, jamais pareille chose ne s'observe dans
laxie locomotrice progressive (sclérose des cordons postérieurs), les
membres
supérieurs sont affectés, il s'y produit, à l'occ
ci, à peu près exclusive-ment, du tremblementen tant qu'il occupe les
membres
supé- 1. Cruveilhier. — Atlas d'anatomie pathol
ieurs ; mais nous savons déjà qu'il peut agiter la tête,le tronc, les
membres
inférieurs. 11 se présente sur ces divers points
points avec tous les caractères que nous avons signalés à propos des
membres
supérieurs, c'est-à-dire que, absent pendant le r
défaut. Il est de règle que le tremblement disparaît alors que les
membres
sont immobilisés, à une époque plus ou moins avan
certain temps, surajouté au tremble-ment et à l'état paralytique des
membres
; il contribue parfois, pour une bonne part, à ren
centres nerveux, il me reste à diriger votre attention sur l'état des
membres
inférieurs. Vous avez pu remarquer que Mlle V..
trice est surtout la rigidité, comme tétanique, qui s'est emparée des
membres
inférieurs et qui, déjà très prononcée lorsque la
l s'agit pour elle de se lever ou de marcher. Cette contracture des
membres
inférieurs qui, aujourd'hui, est permanente, ne s
tique s'est développée suivant les conditions normales. Parésie des
membres
. — Il s'agit là d'un affaiblissement plus ou moin
un affaiblissement plus ou moins prononcé des puissances motrices des
membres
qui se manifeste fréquemment dès le début de la m
ement, aucun trouble marqué de la sensibilité. En général, l'un des
membres
inférieurs est affecté en premier lieu et seul to
à mouvoir ; le pied tourne dans la marche, au moindre osbtacle, ou le
membre
entier fléchit tout à coup sous le poids du corps
le membre entier fléchit tout à coup sous le poids du corps. L'autre
membre
se prend à son tour tôt ou tard ; cependant, comm
vation de la paralysie motrice, ils peuvent être confinés au lit. Les
membres
supérieurs sont envahis, eux aussi, soit simulta-
ans ce symptôme des rémissions : ainsi, il n'est pas rare de voir les
membres
inférieurs affaiblis reprendre pour un temps, leu
s, il est facile de constater que la sensibilité cutanée est, sur les
membres
affectés, presque toujours conservée dans tous se
rmés, déterminer avec précision l'attitude qui a été imprimée à leurs
membres
. L'occlusion des yeux n'a pas non plus d'influenc
er à chaque instant, et ils se laissent choir, en effet, souvent. Les
membres
inférieurs ne sont pas lancés enavant,sans mesure
ne prennent part que très rarement à l'affais-sement des muscles des
membres
, — ce qui établit un contraste avec beaucoup d'af
ie et le tremblement étaient d'ailleurs déjà assez prononcés dans les
membres
infé-rieurs pour que la malade fut dans l'impossi
hute aurait lieu si la malade n'était pas fortement maintenue » — Aux
membres
inférieurs « la sensibilité tactile a diminué d'u
it pas indiquer, les yeux fermés, l'attitude qui a été imprimée à ses
membres
. — Elle y éprouve de temps à autre de violentes c
compte des observations sui-vantes. Le fait même que la parésie des
membres
inférieurs, qui n'existe pas dans la sclérose pos
iculté de la marche, les yeux étaient fermés: nolion de position îles
membres
inférieurs en grande partie perdue: fréquentes do
es, on notait : un affaiblissement paralytique assez considérable des
membres
inférieurs : la conservation des différents modes
férieurs : la conservation des différents modes de la sensibilité aux
membres
inférieurs et supérieurs: l'intégrité de la visio
es grandes cellules dites motrices (1 ). Contracture permanente des
membres
. Epilepsie spi-nale. — Il est temps de revenir ma
e spi-nale. — Il est temps de revenir maintenant à la contracture des
membres
inférieurs qui, chez V..., constitue aujourd'hui
e de certaines excitations, des espèces d'ac-cès pendant lesquels les
membres
inférieurs se raidissent dans l'extension en même
. Lorsque les choses en sont à ce point, voici ce qu'on ob-serve: les
membres
inférieurs, de même que cela avait lieu lors des
ntre l'autre qu'on ne peut les écarter sans un grand effort. Les deux
membres
inférieurs sont très générale-mont affectés simul
nte peut s'emparer, — le fait esl d'ailleurs assez exceptionnel — des
membres
supérieurs qui, eux aussi, sont alors en général
gré les muscles antagonistes, car il est presque aussi difficile, les
membres
étant fléchis, de les étendre, que de les fléchir
rnée aumembredont le pieda été étendu; elle se propage quelquefois au
membre
du côté opposé : l'agita-tion peut se montrer alo
a rigidité tétanique et le tremblementconvulsif cessent dans les deux
membres
qui, momentanément, deviennent « parfaitement sou
ationje pincement de la peau de la jambe, plus rarement le massage du
membre
inférieur, l'impression du froid, le chatouilleme
quelques autres affections spinales. La contracture permanente des
membres
etl'épilepsie spinale ne doivent pas nous arrêter
fance. Il y avait atrophie générale, rigidité et raccourcissement des
membres
, paralysie, ainsi que cela se voit généralement e
, avec perte incomplète de la connaissance et résolution générale des
membres
, la température rectale était à 40°,3, le pouls à
es premiers symptômes jusqu'à l'époque où la rigidité spasmodique des
membres
réduit le malade à une im-puissance presque absol
me que le trem- blement provoqué parles mouvements et laparésie des
membres
ne viendrait pas tôt ou tard s'y adjoindre, perme
ptômes qu'un affaiblissement, une parésie plus ou moins prononcée des
membres
inférieurs, montrant de la tendance à s'aggraver
e à s'aggraver d'une manière lentement progressive et à s'étendre aux
membres
supérieurs. En pareil cas, la situation du clinic
st nécessairement des plus diffi-ciles. Car, en somme, la parésie des
membres
inférieurs est un symptôme quelque peu banal, com
vertige et la diplopie s'étant déclarés soudainement, la parésie des
membres
et la titubation ont pu venir s'y joindre au bout
ux-ci s'amendcnl : mais, à l'occasion d'une bronchite, la parésie des
membres
reparaît plus considérable et, après des rémissio
astriques, coïncidant ou alternant avec les douleurs ful-gurantes des
membres
, soient en pareil cas, avec la diplopie, etpeut-ê
endant la seconde, et il s'y surajoute la contracture spasmodique des
membres
, avec ou sans accompagnement d'épilepsie spinale,
alors que se montrent, à la région sacrée et sur tous les points des
membres
inférieures soumis à une pression prolongée, des
ans et demi: faiblesse de la région lombaire, fatigue très grande des
membres
inférieurs, élancements dans la jambe droite, aff
Intégrité des masses musculaires. Perte de la no-ion de position des
membres
inférieurs; Parésie et trem-blement des membres
ion de position des membres inférieurs; Parésie et trem-blement des
membres
supé-rieurs. Partout la sensibilité tactile est e
symptômes sont plus accusés à droite qu'à gauche, le trem-blement des
membres
supé-rieurs a augmenté. Douleurs fulgurantes fréq
'exis-tence à peu près constante de la parésie ou de la paralysie des
membres
, suivis tôt ou tard de contracture permanente. Le
d'une fièvre typhoïde. La malade éprouva alors une faiblesse dans les
membres
et de l'embarras dans la parole, les mots étaient
harcot, Nie... Julie, remarqua un certain degré de faiblesse dans les
membres
inférieurs après une attaque de choléra. Un peu p
bservés, il paraît avoir eu sur le tremble-ment et sur la parésie des
membres
une influence très favo-rable, mais qui, à la vér
e tout d'abord chez elle, c'est la contracture énorme qui affecte les
membres
supérieur et inférieur gauches. Cette contracture
suite d'une grande attaque. Disons toutefois que, antérieu-rement, le
membre
supérieur était tout à fait paralysé, mais flasqu
membre supérieur était tout à fait paralysé, mais flasque, et déjà le
membre
inférieur correspondant était rigide. Cette derni
chez cette malade, c'est mmhémianesthésie complète, occupant les deux
membres
con-tractures, le tronc et la face du môme côté.
ière, nous consta-tons : 1° une hémiplégie gauche, avec flaccidité du
membre
supérieur et contracture du membre inférieur, 2°
iplégie gauche, avec flaccidité du membre supérieur et contracture du
membre
inférieur, 2° une hômia-nesthésie et de l'achroma
si ce n'est qu'une nouvelle attaque est suivie d'une contracture du
membre
supérieur gauche; et, lors de mes leçons, en 1870
c sous les yeux une contracture aussi intense que possible des quatre
membres
, contracture absolue, persistant nuit et jour, pe
os absolu au lit; elle était dans l'impossibilité de se servir de ses
membres
, conditions excellentes pour faciliter la surveil
ns pas dans des conditions aussi fa-vorables que la première fois. Le
membre
supérieur droit était redevenu à peu près libre.
que d'hystérie. En mai, faiblesse extrême, malaise, douleurs dans les
membres
(Régime fortifiant: quinquina, fer, bains de mer)
nts de la peau: anesthésie plantaire complète; analgésie profonde des
membres
su-périeurs; achromatopsie de l'œil gauche qui ne
ussi très évidente en ce qui concerne laparésie ou la contracture des
membres
. Ainsi, lorsque la parésie ou la contracture doiv
e. quand elle existe, elle ne siège jamais du même côte que celle des
membres
. C'est là une inexactitude qu'on voit re-produite
umérés, le symptôme qui frappe, c'est une hémiplégie, plus accusée au
membre
supérieur qu'à l'inférieur et s'accompagnant de f
fs vaso-moteurs qui se traduit par une élévation de la température du
membre
paralysé. Quelquefois, cette para-lysie vaso-motr
ie gauche. Bientôt la mo-tilité reparaît. — 12 nov. Les mouvements du
membre
supérieur gauche sont énergiques et rapides ; ceu
ments du membre supérieur gauche sont énergiques et rapides ; ceux du
membre
inférieur correspondant présentent une légère par
légère parésie. Il existe une anesthésie très intense du côté gauche (
membres
, tronc, etc.). A la l'ace, la sensibilité est de
ui, mais en boitant.— Octobre 1855. Depuis l'attaque, anes-thésie des
membres
du côté gauche (face, tronc également aneslbésiés
quoique à un moindre degré). La motilité est revenue : toutefois les
membres
du côté gauche sont moins forts que ceux du côté
ion de l'ovaire et l'arrêt de l'aura épileptique par la ligature d'un
membre
. Conclusion au point de vue de la thérapeutique
ire ressortir que l'hémia-nesthésie, la parésie et la contracture des
membres
occupe-ni le côté gauche, lorsque Yovarie siège à
perte de connaissance est complète. La rigidité tétanique de tous les
membres
qui, en général, inaugure la scène, est poussée à
nt quelquefois des convulsions par la com-pression ou la ligature des
membres
d'où partent, en pareil cas, les phénomènes de l'
ant que l'excitation sub-sistera, de mettre en jeu l'excitabilité des
membres
supérieurs. Et, inversement, si chez une grenouil
réparée de la même façon, vous entourez d'un lien fortement serré les
membres
supérieurs, tant que la ligature persistera, l'ex
membres supérieurs, tant que la ligature persistera, l'excitation des
membres
inférieurs ne sera pas suivie de mouvements réfle
ormes, épileptiformes, écume; — b) grands mouve-ments du tronc et des
membres
inférieurs (période des contor-sions) ; dans ce t
dou-leur ovarienne, une contracture permanente, avec trépida-tion du
membre
inférieur. L'attaque s'annonce par une aura bie
ns épileptiformes, écume et stertor; — 2° puis, grands mouvements des
membres
et de tout le corps; — 3° enfin, période de dél
ianesthé-sie,d'ovarie, de parésie et par moments de contracture des
membres
supérieurs et inférieurs, occupant le côté droit.
de pas à l'histoire de la contracture permanente dont un ou plusieurs
membres
, chez les hystériques, peuvent être atteints, tou
l a publié son ouvrage. Dans un cas, la contrac-ture occupait un seul
membre
; dans deux autres, elle se pré-sentait sous une f
faire loucher du doigt les particularités Fig. 22. — Contracture du
membre
supérieur gauche. les plus intéressantes relati
ns, est atteinte depuis vingt mois d'hémiplégie gauche. Vous voyez le
membre
supérieur de ce côté dans la demi-flexion (/'?/
a flexion et l'impossibilité d'obtenir l'extension complète (1). Le
membre
inférieur gauche est dans l'extension ; ses di-ve
actures. En somme, toutes les jointures sont également rigides, et le
membre
, dans son en-semble, forme comme une barre inflex
tie inférieure du corps de la malade. J'insiste sur cette attitude du
membre
inférieur, parce qu'elle est très rare dans l'hém
peu près normale. 2. Aujourd'hui juillet 1873), la. contracture des
membres
gauches, chez E... se retrouve avec tous les cara
, qu'en redressant forte-ment la pointe du pied, on détermine dans le
membre
inférieur une contracture avec trépidation qui pe
hez certains sujets atteint de paralysie ou seule-ment de parésie des
membres
intérieurs, se produit dans le pied lorsque, sais
tend souvent au mem-bre tout entier et se propage même quelquefois au
membre
inférieur de l'autre côté. Dans le cas où le trem
part la différence que nous avons signalée à propos de l'attitude du
membre
inférieur, toutes les particularités que nous ven
n. Woschenschrift. 1875, n° 26.) Dans quelques cas de paralysie des
membres
supérieurs, lorsqu'il s'agit par exemple d'une hé
énéralisation de l'anesthésie à tout un côté du corps, tête, tronc et
membres
, cette limitation, en quelque sorte géométrique,
rités, si caractéristiques, qui viennent d'être rappelées, l'état des
membres
paralysés pouvait, lui aussi, être invoqué en fav
faveur de l'origine hystérique de la paralysie. Ainsi, tandis que le
membre
supérieur était dans un état de flaccidité complè
mbre supérieur était dans un état de flaccidité complète, absolue, le
membre
inférieur pré-sentait au genou une rigidité très
men. London, 1840, p. 240. manifeste toujours de préférence dans le
membre
supérieur. e) La contracture, qui, aujourd'hui,
le membre supérieur. e) La contracture, qui, aujourd'hui, occupe le
membre
supé-rieur, remonte à quelques mois seulement, et
estatteinte depuis deux ans environ d'une contracture permanente des
membres
inférieurs, qui sont, comme vous pouvez le consta
ue chez Etch..., la contractilité musculaire n'est pas amoindrie. Les
membres
sont amaigris, mais d'une façon générale, et cet
suffisamment. On note,en outre, une analgésie à peu près complète des
membres
para-lysés. \ i. Il a déjà été question de ee
ait pas à provoquer une attaque hys-térique ; — é) la contracture des
membres
inférieurs est sur-venue tout d'un coup, sans tra
ntrer dans l'ordre; et s'il se Fig. 23. — Contracture hystérique du
membre
inférieur droit. trouve qu'à cette époque la di
it pendant plusieurs mois, tout à l'ait incapable de se servir de ses
membres
inférieurs ; le médecin aura abandonné tout espoi
vement. l°Dans le premier cas, il s'agissait de la contracture d'un
membre
inférieur (Fig. 23) datant de quatre ans au moins
d'urine, avec périodes d'ischurie, depuis neuf ans; — contracture du
membre
inférieur droit ; — contracture des membres du cô
neuf ans; — contracture du membre inférieur droit ; — contracture des
membres
du côté gauche datant de six ans; — contracture d
que quel-ques craquements dans les jointures, principalement celle du
membre
inférieur Dès le lendemain, la contracture avai
erne une femme également atteinte d'une contracture limitée à un seul
membre
. Les crises hystéri-ques proprement dites avaient
légique ; elle affectait le côté droit et était surtout pro-noncée au
membre
supérieur. Laguérison survint presque tout à coup
uements, d'ailleurs peu prononcés, se montrant dans les jointures des
membres
autrefois contracture.- (15). (Note de la 2° édit
femmes, jeunes encore, frappées subitement de contracture de l'un des
membres
inférieurs ou des deux membres du même côté du co
subitement de contracture de l'un des membres inférieurs ou des deux
membres
du même côté du corps, lesquels présen-taient en
extenseurs et des adducteurs ; même après seize ans d'immobilité des
membres
1, Bien peu changé, en effet, car les guérisons
oint modifiée pendant le Fig. 24. — Contracture hystérique des deux
membres
inférieurs. sommeil chloroformique. Les muscles
cun événement ^puisse, chez elle, rien changer désormais à l'état des
membres
inférieurs (Fig. 24) (1). 1. X^oir l'observatio
t a entretenu ainsi l'existence de cette paraplégie avec rigidité des
membres
? Évidemment, dans les cas récents de contracture
ue, atteinte, depuis une dizaine d'années, de contrac-ture des quatre
membres
, et dont le début avait été subit, une sclérose q
taque accompagnée de délire pendant 12 heures environ, contracture du
membre
inférieur droit avec pied bot varus équin ; la co
conservé pendant quelques jours un certain degré de faiblesse dans le
membre
inférieur droit, principalement dans le pied qui
te très ancienne et qui ne laissaient plus guère d'espoir de voir les
membres
affectés reprendre jamais leurs fonctions normale
l'influence du sommeil déterminé par le chloro-forme, la rigidité des
membres
ne s'effaçait que lentement ou persistait même à
peler votre atten-tion, la contracture occupait soit la totalité d'un
membre
, soit même deux membres, ou plus encore. Mais il
la contracture occupait soit la totalité d'un membre, soit même deux
membres
, ou plus encore. Mais il est des cas où la rigidi
ts de la physionomie ; puis une ridigité tonique s'empare de tous les
membres
. Cette ridigité est, remarquez-le bien, rarement
que dans laquelle prédomine uneraideur semi-tétanique du tronc et des
membres
. Ne paraît-il pas d'après cela vraisem-blable déj
lui, reste appuyé sur le lit. La raideur tétanique gagne en-suite les
membres
inférieurs. Au bout de quelques secondes, on obse
iques, ap-parues durant cette phase et qui avaient d'abord envahi les
membres
du côlé gauche, prédominent maintenant à droite.
rémissions, la malade est dans la résolution complète. Soulevés, les
membres
retombent inertes. Le pincement énergique produit
ut d'une minute, respiration profonde et supérieure : relâchement des
membres
et de la face. Ensuite sommeil paisible en appare
ractères des troubles moteurs. — Analyse des mouvements du tronc, des
membres
, de la tète, de la langue. — Chorea major. — Natu
d'abord, ce sont les grands mouvements dont la tête, le tronc et les
membres
d'un côté du corps, ceux du côté droit, sont sans
e, ils ont x^arié, dans le même temps, de 40 à 80. En même temps, les
membres
supérieur et inférieur du côté droit, simultanéme
u tronc est aussi prononcée que possible (Fig. 28) ; en ce moment, le
membre
supérieur, tout entier, est dans l'extension; son
rtu duquel la paume de la main se dirige en dehors. Cette attitude du
membre
supérieur rappelle assez bien, vous le voyez, cel
'une façon très accusée le déformation du pied bot équin : alors le
membre
inférieur, rigide dans toutes, ses parties, est f
parties, est fortement appliqué sur le matelas. La flexion des deux
membres
{Fig. 28) commence à se pro-duire aussitôt que se
ct avec la fesse correspondante. Cette attitude de flexion forcée des
membres
ne dure qu'un instant, car elle fait bientôt plac
de flexion et d'extension, se montrent pendant quel-ques instants, le
membre
inférieur surtout, le siège d'une rigi- Fig. 29
a série des mouvements d'extension et de flexion. Remarquez que les
membres
du côté droifsont seuls agités de ces mouvements
se alors avec un balancement rythmé du corps,un mouvement cadencé des
membres
du côté droit qui rappellent assez bien la danse
cas particulier est une hémichorée, puisque les mouvements, pour les
membres
du moins, sont limités à un côté du corps — la ch
u, latête,etc.— Toute la moitié droite du corps, la tête, cou, tronc,
membres
, — est occupée par une anesthésie complète, absol
st encore du côté droit que se manifeste chez G... la contracture des
membres
lorsqu'elle se produit à la suite des attaques, e
a suite des attaques, et vous avez pu remarquer que ce sont aussi les
membres
du côté droit qui sont aujouf=-' d'hui agités des
roduire. Vous voyez, en effet, les mouvements rythmés du tronc et des
membres
s'arrêter brusquement, comme par enchantement. Dé
és de l'agitation à laquelle ils étaient tout à l'heure en proie, les
membres
ne récupèrent pas pour cela leurs fonctions norma
la contracture disparaître et les mouvements ryth-més du tronc et des
membres
, tout à l'heure étendus et rigides, recomm ence r
issiper brusquement une contracture de la mâchoire, de la langue, des
membres
, lorsque ces accidents ne se sont point— passez-m
ux-quels elle se livre à notre sollicitation, l'agitation rythmée des
membres
et du tronc persistent tels quels. M. Briquet, da
... a eu trois attaques qui ont laissé après elle une contracture des
membres
du côté droit. Enfin, après avoir eu quelques se-
n'a plus de mouvements choréiques, mais nous offre une contracture du
membre
inférieur droit, des mâchoires et de la langue. C
aralysie agitante. — Début : faiblesse qui envahit successivement les
membres
.— Tremblement de la tête, puis desmem-r bres. É
ysie. Sa sœur unique est morte d'une pleu-résie à 40 ans. — Aucun des
membres
de sa famille qu'elle a connus n'aurait été attei
e dans le bras droit. Bientôt la faiblesse a gagné le bras gauche, le
membre
inférieur droit, puislegauche simultanément;elle
s mem-bres dans tes premiers mois de 1873 et aurait frappé d'abord le
membre
supérieur droit. Enfin ella a remarqué, à peu prè
rquet. En résumé, le tremblement a fait des pro-grès à la tête et aux
membres
inférieurs, mais n'a guère changé aux membres sup
o-grès à la tête et aux membres inférieurs, mais n'a guère changé aux
membres
supérieurs. Notons aussi que le besoin de déplace
ande lenteur, à porter l'une et l'autre de ses mains à la face. Les
membres
inférieurs ne présentent qu'une légère raideur ;
ement de la maladie de Par-kinson débute le plus souvent par l'un des
membres
et segéné-raliseensuite peu àpeu« tout enrespecta
communiquées ; il s'agit là d'une transmission des secousses dont les
membres
et le torse sont le siège. L'absence du trembleme
en élevant fortement le tronc et les bras, onarrêteles mouvements des
membres
supérieurs, on suspend du môme coup celui de la t
ir son jeu de cette main; peu à peu la main, puis l'avant-bras, et le
membre
tout entier enfin sont devenus faibles. Jamais il
etits,qu'il faut s'armer d'une loupe pour les lire distinctement. Les
membres
inférieurs se sont affaiblis en dernier lieu. L
. R.. marche le corps incliné en avant; il progresse à petits pas;les
membres
inférieurs, et les supérieurs, eux aussi, sont ri
trouve bien nulle part. Cela est surtout marqué ta nuit, au lit : les
membres
ont à peine pris une Charcot. Œuvres complètes,
, à part cette sensation de fatigue, de pesanteur qui existe dans les
membres
pour ainsi dire d'une façon permanente à un certa
crampes douloureuses se repro-duisent encore aujourd'hui dans le même
membre
de temps à autre. Les douleurs sourdes, accompagn
lement lorsque la rigidité s'était montrée surtout pro-noncée sur les
membres
d'un côté. Il y a là une erreur qu'il importe de
ns, elle éprouva une douleur vive, avec impossibilité de mou-voir les
membres
inférieurs. Elle fut confinée au lit pendant six
cher, elle avait le pied droit roide. Sept mois plus tard, roideur du
membre
inférieur gauche qui l'oblige de nouveau à rester
ttaques épilep-tiformes, avec écume à la bouche. Consécutivement, les
membres
supérieurs deviennent roides et on note un embarr
le courant de la même année, on observa une aggra-vation du côté des
membres
inférieurs qui furent pris de trépida-tion sponta
i (décembre 1870), on constate tes symptômes sui-vants : Rigidité des
membres
inférieurs dans l'extension ; — trépidation spont
on ; — trépidation spontanée et provoquée ; — rigidité et parésie des
membres
supérieurs, prédominant dans le membre supérieur
e ; — rigidité et parésie des membres supérieurs, prédominant dans le
membre
supérieur droit ; — absence de tout tremblement d
ans, l'enfant marchait comme une personne ivre. Puis, la tête et les
membres
supérieurs sont envahis. La malade est incapable
he, surtout après une station debout prolongée, et le tremblement des
membres
supérieurs, notamment quand il buvait ou écrivait
malade n'offre aucun tremblement, mais celui-ci se manifeste dans les
membres
supérieurs dès qu'un mouvement est exécuté. C'est
ctères classiques. Lorsque R...., assis, veut se mettre debout, les
membres
décri-vent de légères oscillations. Dans la march
e droit par exemple, seulement un peu d'analgésie sur le tronc et les
membres
, tandis que sur la face du même côté l'anesthésie
ons. On voit souvent survenir des crampes, du tremblement limité à un
membre
, ou des secoussesgénérales, accompagnées de verti
débute le plus souvent par quel-ques mouvements de circumduction des
membres
supérieurs, en même temps que survient la perte d
immobilisation tétanique de tout le corps. b) Phase clonique. — Les
membres
et tout le corps sont animés d'oscillations brève
oscillations rapides et étendues de toute une partie du tronc ou des
membres
seulement. Le plus fréquent des grands mouve-ment
si elles se débattaient contre une étreinte... : d'autres fois.., les
membres
supérieurs et inférieurs se meuvent dans tous les
s difficiles à décrire à cause du désordre qu'elles présentent. Les
membres
un instant raidis (lrc période) se tordent convul
non seulement les contractions des muscles du visage mais celles des
membres
et du tronc, qui s'accompagne parfois de cris qu'
n que nous ont laissée les auteurs touchant les anciens possédés. Les
membres
se contournent et se contorsionnent dans les atti
sit dans l'estomac était immédiatementrejeté. Parla suite, les autres
membres
furent affectésde lamêmefaçon, etildevint impossi
on vient à exercer la plus légère pression sur un point quelconque du
membre
. Elle est surtout vive lorsque la pression a lieu
con tacts, rendant impossible toute exploration un peu approfondie du
membre
, on se décide, 5 ou 6 jours après l'admission, à
sentiment et sur le mouvement et occupant, dans toute son étendue, le
membre
supérieur droit, où existe désor- mais une réso
r- mais une résolution complète. On s'aperçoit bientôt après que le
membre
intérieur du même côté est, lui aussi, paralysé d
la con-tracture permanente des muscles d'une extrémité ou de tout un
membre
, une arthralgïe enfin, simulant une arthrite ou u
attaques et dans les intervalles qui les séparent de contracture des
membres
qui persistent pendant plusieurs jours. Plusieurs
e, puis au même côté du cou et de la tête. Le plus petit mouvement du
membre
, même l'action de soulever l'avant-bras au-dessus
posait,oecasionnait de violentes douleurs et une action convulsive du
membre
, bientôt suivie de ce qu'on pour-rait appeler un
vio-lemment contusionnée; au bout de quelque tempsjl survint dans le
membre
blessé une douleur vive, occupant le trajet du ne
ue, et peu après un tremblement se déclara dans toute l'étendue de ce
membre
. D'abord passager, ce tremble-ment devint plus ta
remble-ment devint plus tard permanent, et s'étendit enfin aux autres
membres
. (Leçons sur les maladies du système nerveux, 1.1
lle s'aperçutque son pied tremblait. Le tremblement resta localisé au
membre
inférieur gauche jusqu'en 1876, époque où la main
e à son tour. Aujourd'hui, le tremble-ment est très prononcé dans les
membres
ducôté gauche, mais il commence à se prononcer da
ymptomatique des lésions cérébrales en loyer. Il se manifeste sur les
membres
frappés de paralysie, principalement à la région
amollis-sement cérébral. Ces arthropathies occupent les jointures des
membres
paralysés. - B. Formes chroniques : elles paraiss
s clans la parole. — Rigidité des muscles. — Attitude du tronc et des
membres
. — Déformation des mains et des pieds. Ralentisse
mblyopie, nystag-mus. — Embarras de la parole. — Vertiges. Etat des
membres
inférieurs. — Parésie. — Rémissions. — Absence de
ion de l'ovaire et l'arrêt de l'aura épileptique par la ligature d'un
membre
. Conclusion au point de vue thérapeutique.— Obs
Caractères des troubles moteurs. Analyse des mouvements du tronc, des
membres
, de la tête, de la langue. — Chorea ma-jor. — Nat
éro-épilep-tique, 381. — Cas graves d'—,383. I Immobilisation des
membres
(Effets de 1'), 8, 12. Incoorbination motrice,
ration des urines dans la), 128. (V. Hé-miparaplégie. ) Parésie des
membres
inférieurs dans la scélrose en plaques, 239. — Ré
ns la paralysie agi-tante, 163 ; note, 173 ; 175, 411. Rigidité des
membres
et du cou dans la paralysie agitante, 159. S
tes, 241. — Ataxie, 212. Atrophie musculaire, 241. — Con-tracture des
membres
, 245. — Epi-lepsie spinale, 245, 247. — Atta-ques
bouti. Sans doute le malade est redevenu à même de se servir de son
membre
supérieur fracturé. Mais peu à peu, un gonfleme
Mais peu à peu, un gonflement énorme, très douloureux, a envahi ce
membre
. Le malade prétend qu'à ce moment-là, il a été qu
t, il souf- frait dans tout le corps, sauf dans la tête et dans les
membres
supérieurs. Quand on se fui mis à le déshabille
t ses mains sur l'abdomen, preuve que la motilité était intacte aux
membres
supérieurs. Par contre, les membres inférieurs
e la motilité était intacte aux membres supérieurs. Par contre, les
membres
inférieurs étaient inertes. Le lendemain mati
ait. Aussi, pendant deux mois, le malade a maintenu le tronc et les
membres
inférieurs dans une complète immobilité. Dès le
à peu la motilité s'est rétablie dans les diffé- rents segments du
membre
inférieur ; au bout de 4 à jours, il ne subsis-
eu de raideur de ce côté. Au contraire, à gauche, la para- lysie du
membre
inférieur se maintenait complète. D'autre part,
e perte complète du senti- ment, dans la moitié du tronc et dans le
membre
inférieur droit. De ce même côté, le pied était
t brûlant. X... éprouvait toujours de violen- tes douleurs dans les
membres
inférieurs,' dans la moitié gauche du ventre et
même d'exécuter quelques légers mouve- ments volontaires, avec son
membre
inférieur gauche. Au bout de deux mois, environ
it pas soutenu. Pendant la déambulation, les différents segments du
membre
inférieur droit se comportaient d'une façon abs
erie très sensible. Couché sur le dos, il pouvait exécuter avec son
membre
inférieur droit tous les mouvements physiologiq
motrice antécédente subsistaient dans un grand nombre de muscles du
membre
in- férieur gauche. Avec cela le malade se pl
tanée était 8, F. RAYMOND . < abolie dans toute l'étendue du
membre
inférieur droit et de la moitié cor- respondant
on deramuscules provenant des 3e et lie intercostaux (Fig. 1). Le
membre
inférieur du côté gauche était le siège d'une hyp
(Pl. I, A et A'). L'exploration de la motilité fait constater qu'au
membre
inférieur droit t la force musculaire est intac
culaire est intacte et puissante. Elle est notablement affaiblie au
membre
inférieur gauche. En outre,les mouvements de ce m
affaiblie au membre inférieur gauche. En outre,les mouvements de ce
membre
s'exé- cutent lentement, entravés qu'ils sont p
la station debout, le malade reporte fout le poids du corps sur le
membre
inférieur droit maintenu en extension forcée; le
orps sur le membre inférieur droit maintenu en extension forcée; le
membre
infé-' rieur gauche est porté, en avant, en lég
rime au bassin, de ce même côté; pendant la phase de suspension, le
membre
est agité par un léger tremblement. Vous voyez
le. J'ajoute que les mesures prises à différentes hauteurs des deux
membres
inférieurs dénotent un certain degré d'émaciati
sou- vent répétée du même côté. Chez les jeunes sujets qui ont un
membre
inférieur plus court que l'au- tre de quelques
ssin, dans la station droite, est incliné la- téralement du côté du
membre
le plus court. Cette obliquité du bassin réagit
é avec laquelle ces en- fants prennent l'habitude de hancher sur le
membre
le plus long, accen- tuant ainsi les déformatio
. Si le mal est observé à son début, une talonnette qui exhausse le
membre
trop court de la hauteur juste nécessaire pour
nt-Hilaire). Les Ectroméliens (de sxrpMM, je fais avorter ; Ne),o5,
membre
) comp'ren- nent tous les individus dont les mem
vorter ; Ne),o5, membre) comp'ren- nent tous les individus dont les
membres
ont subi un avortement plus ou moins complet, l
mèles et les Ectromèles proprement t dits : Chez le Phocomèle, le
membre
difforme est réduit à une main ou à un pied, pl
re ou pelvienne), triple, ou quadruple (1). Chez l'Héxttimèlc, le
membre
difforme est privé de son extrémité, main ou pi
ut être unique, double, triple ou quadruple. Chez l'Ectroxrtèle, le
membre
difforme n'est plus représenté que par un moign
élie est donc une difformité ectromélienne dans laquelle les quatre
membres
ont avorté au point d'être réduits Ù un court moi
usée Dupuytren. (2) Tel le fameux LFDGEWOOD, qui ne possédait qu'un
membre
, le membre inférieur droit, dont il se servait
ren. (2) Tel le fameux LFDGEWOOD, qui ne possédait qu'un membre, le
membre
inférieur droit, dont il se servait avec une ad
e combinaison de deux particula- rités distinctes : remplacement du
membre
par un moignon rudimentaire, ou absence totale
ment du membre par un moignon rudimentaire, ou absence totale de ce
membre
. D'où la possibilité de distinguer deux va- rié
le parfail (cas de Uuck) : Fille de quatorze ans, dont les quatre
membres
sont remplacés par des moignons charnus, mammif
ntures scapulaire et pelvienne ne portent pas le moindre vestige de
membre
; ce seront les Amèles parfaits. Le second groupe
Fille âgée de deux mois, totalement privée de mem- bres ; les deux
membres
inférieurs sont remplacés par deux rotondités m
1800. - Garçon mort-né, privé de bras et de jambes ; à la place des
membres
inférieurs se trouvent deux moignons charnus, d
ille de 14 ans : ceintures scapulaire et pelvienne normales, pas de
membres
; deux masses charnues inférieures, ressem- bla
moyenne. (Fig. 1.) 5. OTTO, 1841. Foetus mort-né ; aucun vestige de
membres
; leur siège est seulement marqué par une petite
.) 6. RANKE, 1880. Fille robuste, 3950 grammes ; sans vestiges de
membres
; moignons charnus inférieurs, ressemblant à des
apulaire et pelvienne, organes génitaux normaux ; absence totale de
membres
. (Fig. 4.) L'auteur signale à ce propos deux ex
tête et tronc bien développés, mais volumineuse hernie ombilicale ;
membres
absents ; d'après l'auteur, AMÉLIE 19 les omo
9. GRAVELY, 1889. Fille née à terme, ayant vécu un mois; privée de
membres
. Simple cicatrice cutanée il la place des extrémi
la nôtre. Dans celle variété, nous savons que le monstre, privé de
membres
, présente cependant un ou plusieurs moignons in
entenl une structure qui les rapproche soit du segment supérieur du
membre
absent (ébauche d'humérus et de fémur), soit au
res, articulé. 3. IfIACL1UGIILIN, '18D4.. - Garçon nouveau-né, sans
membres
; extré- mités inférieures remplacées par deux
: 1\TIN, 1881. Garçon, mort d'entérite aiguë il deux mois ; pas de
membres
inférieurs ; deux moignons supérieurs, mo- bile
te il Page de 6 mois, d'une broncho- pneumonie ; absence totale des
membres
supérieurs et du membre infé- rieur droit; cein
ne broncho- pneumonie ; absence totale des membres supérieurs et du
membre
infé- rieur droit; ceintures scapulaire et pelv
r droit; ceintures scapulaire et pelvienne normales ; à la place du
membre
inférieur gauche, petit appendice formé de deux s
5AUEIt, 1871. - Enfant nouveau-né; pas d'extrémités supérieu- res ;
membre
inférieur gauche totalement absent; membre inféri
trémités supérieu- res ; membre inférieur gauche totalement absent;
membre
inférieur droit représenté par un pied mal conf
du côté droit ; à gauche, moignon de bras renfermant un os et petit
membre
inférieur, composé de segments articulés et ter
nstre parmi les amèles imparfaits : en effet, tandis qu'à gauche le
membre
manque totalement et n'est remplacé que par un
, un accouchement très laborieux qui avait nécessité la section des
membres
du foetus, et la vue de son en- fant amputé des
des membres du foetus, et la vue de son en- fant amputé des quatre
membres
l'avait tellement impressionnée qu'elle en étai
e l'on observe souvent à l'extrémité des moignons ou à la place des
membres
absents. Cette théorie est plausible pour les c
et au nôtre en particulier, étant donné l'absence totale des quatre
membres
, la déformation des cavités glénoïde el cotyloï
atrice vraie. Une dernière théorie enfin suppose que l'absence d'un
membre
est la conséquence d'un arrêt de développement
de développement du système nerveux central, du centre trophique du
membre
. Cette théorie invoquée par Brandt pour son cas
une atrophie très nette de la substance grise cervicale, du côté du
membre
avorté. Ces résultats assez comparables nous on
ont l'une correspond à une eclromélie unilatérale et l'autre il des
membres
normaux, que d'apprécier d'une façon absolue
, en chiffres moyens, le résultat de nos mensurations : AMÉLIE 29
membre
avorté implique un centre médullaire préalablemen
inversement que le centre est atrophié parce qu'il correspond à un
membre
avorté ? Ce dilemme nous paraît difficile à ré-
amputé congénital, vienne nous apprendre que malgré l'absence d'un
membre
, le centre gris corres- pondant n'en a pas moin
monstr. seacent" n° 230. Dziecku, 1851. 0 bez czloukow (Enfant sans
membres
), Pam. Towarz. Lek. Warszaw, XXVI, 57. MÀCLAU
r le développement incomplet ou môme l'absence d'un ou de plusieurs
membres
; le terme plus particulier A'Hémimélie est réserv
r A'Hémimélie est réservé pour les cas où le segment basilaire d'un
membre
existant et ayant acquis tout son développement
fant pàle, d'aspect chétif mais sa conformation générale, à part le
membre
supérieur droit, est parfaite. Quelques ganglions
e sept centimètres seulement à droite, de sorte que cette partie du
membre
prend la forme d'un cône dont la base'serait le p
puisse empêcher la formation ou le développement d'un seg- ment de
membre
. , Une doctrine plus récente attribue l'ectromé
plus récente attribue l'ectromélie à une amputation spon- tanée des
membre
in ntéro, elle s'applique, non seulement aux cas
o, elle s'applique, non seulement aux cas où le segment terminal du
membre
est absent, mais aussi aux cas où persiste, com
un rudiment quelque im- parfait qu'il soit de toutes les parties du
membre
atteint. Il faut alors ad- mettre que le moigno
ttre celle théorie dans les cas où l'ectromélie porte sur plusieurs
membres
en même temps. Reste une troisième explication.
cher qui cite ces auteurs, remarquant que la section des nerfs d'un
membre
est généralement suivie de l'atrophie de la régio
édullaire dans le cas d'ectromélie est consécutive à l'anomalie des
membres
, ou si l'avortement des membres est subordonné, s
ie est consécutive à l'anomalie des membres, ou si l'avortement des
membres
est subordonné, selon la remarque de Lancereaux
, qu'il est impossible de ne pas leur rattacher la malformation des
membres
inférieurs. Aussi nous croyons-nous autorisés à
pansement sérieux ; une écharpe passée au- tour du cou soutient le
membre
malade. L'homme attend son tour de barbe : sa v
ibles ? Le pronostic est plus sombre encore que pour le sarcome des
membres
; et c'est tout dire. Cependant Allen Starr ne dé
arqué que les mouvements convulsifs étaient plus prononcés dans les
membres
du côté gauche. - Pendant ce mois, les crises c
es dimensions diamétrales restèrent sensiblement égales à celles du
membre
opposé. Telle était la situation en février 189
main droite. La parti- cularité intéressante^ c'est que du côté du
membre
supérieur droit il n'y a ni atrophie ni paralys
ieur gauche pré- sente de l'atrophie musculaire. Les extrémités des
membres
supérieurs sont libres dans leurs mouvements et
sistent, en partie même après la position élevée que l'on donne aux
membres
supérieurs. (1) Massius, Un cas de syringomyéli
culier (doigt en forme de saucis- son). La main se cyanose quand le
membre
reste pendant. Dans le travail d'Oppenheim sur
ente la dissociation syringomyélique la plus nette, elle occupe les
membres
supérieurs dans leur totalité, le cou, la moitié
s réagissent bien à la lumière et l'accommodation. Les réflexes des
membres
inférieurs sont exagérés ; les réflexes tendineux
s des membres inférieurs sont exagérés ; les réflexes tendineux aux
membres
supérieurs diminués. Le malade marche facilemen
pographie de l'atrophie musculaire, a donné le résultat suivant :
Membre
supérieur droit. Courant faradique. DE LA MAI
périeur, mais dès le début, elle avait gagné toutes les parties du
membre
su- périeur. Presque en même temps, avec la fai
iou 5 ans. Etat actuels Ce qui frappe tout d'abord en regardant le
membre
supérieur, c'est 1,'aspect dissemblable des mai
ées. L'atrophie musculaire est distribuée d'une manière inégale aux
membres
su- périeurs, l'avant-bras gauche étant plus pr
a sensibi- lité douloureuse est abolie dans les régions suivantes :
membres
supérieurs, face antérieure du tronc et de l'ab
llement dans le service de M. Marie. Etat actuel. -L'attitude des
membres
supérieurs du malade est très caracté- ristique
de des membres supérieurs du malade est très caracté- ristique. Les
membres
sont pendants le long du trouc et présentent une
ux côtés sont tournés vers l'axe de main. L'état des mouvements des
membres
supérieurs est le suivant : le malade ne peut p
Chez lui, comme chez Jacq... ? toute tentative de mouvement dans le
membre
supérieur s'accompagne de l'exagération de cette
ment de sensations de froid aux mains. Les réflexes tendineux des
membres
supérieurs sont abolis, les réflexes patel- lai
'existe pas la moindre modification dans le relief et le contour du
membre
dans les mêmes régions. Les avant-bras sont bie
e quoje cubital antérieur est atrophié. Mais le segment terminal du
membre
supérieur présente une atrophie très marquée, s
pas d'albumine dans l'urine. L'examen électrique des muscles des
membres
supérieurs, pratiqué par M. Muet avec le couran
miné une contusion du plexus brachial avec paralysie et atrophie du
membre
supérieur et oedème très prononcé de la face dors
ace dorsale des mains consécutif à des traumatis- mes des nerfs des
membres
supérieurs. Du reste, on a observé de l'oedème
phiques seraient de nature à prouver que pour une région donnée des
membres
supérieurs et inférieurs, il existe dans la moe
l des centres moteurs, vaso-moteurs et sensitifs des extrémités des
membres
supérieurs. Je pourrais invoquer comme preuve e
preuve en faveur de cetle relation étroite entre la topographie des
membres
moteurs, vaso-moteurs et sensitifs des recherch
ailleurs il n'a jamais éprouvé de douleurs d'aucune espèce dans les
membres
inférieurs UN CAS DE CONTRACTURE UYSTÉRO-TRAUiI
NTRACTURE UYSTÉRO-TRAUiIfATIQUE DES MUSCLES DU TRONC LU ni dans les
membres
supérieurs. Ses viscères et ses sphincters sont r
a peau de l'abdomen leurs saillies quadrilatères fort nettes. Les
membres
inférieurs sont légèrement fléchis. Dans la sta
et os. Au mois de janvier 1894 elle s'aperçut de la déformation des
membres
infé- rieurs. Atteinte d'une bronchite intense,
bronchite intense, d'essoufflement, de palpitations, d'oe- dème des
membres
inférieurs, et d'ascite, elle entra dans le servi
mènes cardio-pulmonaires, elle entre à la Salpêtrière. Examen des
membres
. - La main droite est en pronation forcée. On peu
les facilement explorées ne sont pas le siège d'hypertrophie. Aux
membres
inférieurs, le fémur droit est le siège de modifi
rapprocher l'une de l'autre. La malade se sert au contraire de ses
membres
supérieurs pour manger, mais elle ne peut mettr
ez irrégulière a perdu d'autre part son élasticité. Les artères des
membres
sont épaisses, tor- tueuses, irrégulières. To
emble, que 7 vertèbres dorsales ont leur corps vertébral soudé. Aux
membres
supérieurs l'humérus gauche s'hypertrophie progre
u du radius sain. Les clavicules, les omuplates et les autres os du
membre
supérieur ne sont pas le siège d'altérations.
at., juin 1896, p. 439. OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET. Les os des
membres
sont mis en regard des os normaux correspondants.
ertébraux augmentent la résistance qu'oppose le rachis au poids des
membres
inférieurs, seul facteur possible de son allongem
xécutées, le cadavre étant assis sur la table d'amphi- théâtre, les
membres
inférieurs étendus et fixés il plat sur cette tab
ongation de la moelle et des gros troncs nerveux qui se rendent aux
membres
inférieurs : nous insistons toutefois sur ce fa
stons toutefois sur ce fait que pendant la durée de l'opération les
membres
inférieurs doivent rester étendus à plat, de fa
tion : douleurs en ceinture, crises gastri- ques, douleurs dans les
membres
inférieurs, parésie vésicale et incoordi- natio
ment après l'attentat, il présentait de l'anesthésie superficielle au
membre
inférieur gauche,et une paralysie motrice total
ielle au membre inférieur gauche,et une paralysie motrice totale du
membre
inférieur droit, avec de l'hyperesthésie cutané
scles primitivement paralysés était encore minime. Les jointures du
membre
inférieur droit étaient rigides. A gauche la sen-
staté le retour de la motilité et l'abolition du sentiment, dans le
membre
infé- rieur droit. A gauche, il y avait de l'hy
du pied jusqu'à la crête iliaque ; de ce même côté, la paralysie du
membre
inférieur subsistait, mais moins com- plète. A
s est-il qu'après une première phase de paralysie complète des deux
membres
inférieurs, de paralysie de la vessie et du rectu
les sensitivo-moteurs à disposition croisée, sans participation des
membres
supérieurs à ces mê- mes troubles. Les faits du
9° vertèbres dorsales. La blessure avait déterminé une paralysie du
membre
inférieur droit ; la peau de ce membre conser-
t déterminé une paralysie du membre inférieur droit ; la peau de ce
membre
conser- vait sa sensibilité intacte. Avec cela,
es après l'accident, il conservait encore une certaine faiblesse du
membre
inférieur droit et un excès de sensibilité dans
hissent la paroi abdominale, ils ne restent plus cantonnés dans les
membres
inférieurs. Dans une observation relatée par un
e après l'accidenl, on constatait de l'atrophie et de la parésie du
membre
inférieur gauche, ainsi que l'exagération des r
cales. Le sujet a été examiné, dix-huit mois après l'accident : son
membre
inférieur droit était un peu amaigri ; les mouvem
membre inférieur droit était un peu amaigri ; les mouvements de ce
membre
étaient incoordonnés et sans force ; le sens musc
rès l'attentat, le malade avait présenté une paralysie complète des
membres
inférieurs et une paralysie partielle des membr
ysie complète des membres inférieurs et une paralysie partielle des
membres
supérieurs. Pendant trois jours, il a eu de la ré
bout de 15 jours, le blessé était de nouveau en état de mouvoir ses
membres
inférieurs et sa jambe droite. La para- lysie m
sa jambe droite. La para- lysie motrice subsistait à gauche dans le
membre
inférieur, sans anesthé- sie. A droite il y ava
é- sie. A droite il y avait de l'anesthésie dans toute l'étendue du
membre
inférieur et de la moitié correspondante du tro
rsale a eu pour suites ; A gauche, une paralysie motrice de tout le
membre
inférieur et un peu d'hyperesthésie, la conserv
e côte ; ri droite, une anesthésie relative dans toute l'étendue du
membre
inférieur. Le malade urinait difficilement. Cet
ses. In- dépendamment du syndrome classique - paralysie complète du
membre
inférieur gauche avec hyperesthésie, élévation
enté peu de temps après l'attentat une athropathie dans le genou du
membre
paralysé, ainsi qu'une eschare fessière il gauc
a hauteur de la 2e vertèbre dorsale. II y a eu d'abord paralysie du
membre
inférieur du côté droit et anesthésie du côté g
des apophyses épineuses. Aussitôt après l'attentat, il avait eu le
membre
inférieur gauche paralysé et de l'insensibilité
u le membre inférieur gauche paralysé et de l'insensibilité dans le
membre
du côté opposé, ainsi que de la rétention d'uri
attentai, il ne subsistait plus de trace de la paralysie motrice du
membre
inférieur gauche ; à l'élévation de la tem- pér
u début de ce même côté, s'était substitué le phénomène inverse. Le
membre
était fortement atrophié. Le réflexe rotulien é
du syndrome de Brown-Sequard en ce que, pendant plusieurs mois, le
membre
inférieur du côté opposé a l'hémisection est rest
tate chez la victime : ci droite, une paralysie motrice complète du
membre
in- férieur, un peu d'exagération des réllexes
gération des réllexes tendineux, de l'hyperesthésie qui occupait le
membre
inférieur, le côté correspondant du ventre et du
servation de Bmresi a présenté, indépendamment d'une paraplégie des
membres
inférieurs, une paralysie du membre supérieur g
endamment d'une paraplégie des membres inférieurs, une paralysie du
membre
supérieur gauche sans compter de l'hypoesthésie
s l'accident, la motilité était en voie de réta- blissement dans le
membre
inférieur gauche. En regard de cette observatio
s cervicales. Il en était résulté une paralysie motrice complète du
membre
inférieur droit, avec hyperesthésie de ce même
ut, le patient a eu égale- ment une paralysie motrice incomplète du
membre
inférieur gauche. Les troubles de la motilité e
e pied droit. - En somme vous retiendrez surtout ce détail, que les
membres
supé- rieurs n'ont pas été envahis parles troub
ostiqué une hémisection droite de la moelle ; la parésie motrice du
membre
inférieur gauche pouvait être attribuée à un fo
cales peut occasionner des troubles sensi- tivo-moteurs du côté des
membres
supérieurs, mais qu'il n'en est pas for- cément
peut se faire encore qu'à la suite du traumatisme médul- laire les
membres
supérieurs présentent dcs troubles du mouvement e
, à 1 centimètre de l'apophyse épineuse. Il a eu d'abord les quatre
membres
et la vessie paralysés; mais déjà au bout d'une
à au bout d'une quinzaine de jours il avait récupéré l'usage de ses
membres
su- périeurs, en même temps que s'était dissipé
: II subsistait encore un certain degré de parésie motrice dans le
membre
inférieur droit; à cette parésie motrice étaient
1894, no 1, p. 9. ni r F. RAYMOND pour l'anesthésie adroite. Aux
membres
supérieurs tout se réduisait à une certaine exa
auche), peut occasionner des troubles sensitivo- moteurs aux quatre
membres
, également durables aux'membres supérieurs et a
ux quatre membres, également durables aux'membres supérieurs et aux
membres
inférieurs ; hyperesthésie et paralysie motrice,
vessie,el des érec- tions intermittentes. Circonstance à noter : au
membre
supérieur gauche, les muscles du groupe Erú (de
t du niveau auquel la moelle se trouve entamée, l'envahissement des
membres
supérieurs par les troubles du mouvement et du
equard existait en plein : ri droite, paralysie motrice complète du
membre
infé- rieur, parésie du membre supérieur, rétab
roite, paralysie motrice complète du membre infé- rieur, parésie du
membre
supérieur, rétablissement de la motilité dans les
e tout au début, enfin hyperesthésie. A gauche, anesthésie des deux
membres
et du tronc, qui remontait jusqu'au cou et dont l
s 5e et 6" vertèbres cervicales. Immédiatement après l'attentai, le
membre
inférieur a été frappé d'une paralysie totale et.
tai, le membre inférieur a été frappé d'une paralysie totale et. le
membre
su- périeur d'une paralysie partielle ; les mus
rd ne s'est pas montré avec sa netteté habituelle ; au tronc et aux
membres
on a simplement constaté de l'hypoesthésie dans
uites du traumatisme consistaient dans une paralysie incomplète des
membres
et dans un émoussement de la sensibilité muscul
à laquelle participait la moitié correspondante du diaphragme ; le
membre
inférieur gauche était le siège d'une anesthésie
inférieur gauche était le siège d'une anesthésie qui s'étendait au
membre
supérieur droit, enfin il y avait également para-
rice s'est doublée d'une atrophie qui intéressait les mus- cles des
membres
, de la moitié correspondante du thorax et de l'ab
rs après l'attentat, on a constaté une paralysie et une atrophie du
membre
inférieur gauche, laquelle étaient superposés de
observation se plaignait beaucoup d'un tremblement qui agitait ses
membres
paralysés, sous l'influence de la moindre excit
servation déjà ancienne de Brown-Sequard, une paralysie complète du
membre
supérieur droit avec paresthésie du membre infé-
ne paralysie complète du membre supérieur droit avec paresthésie du
membre
infé- rieur correspondant et une anesthésie de
de l'occiput. Détail à noter, dès le quatrième jour, la parésie du
membre
in- férieur droit s'était dissipée. Dans une
était en voie de rétablissement, aux doigts de la main gauche et au
membre
supérieur droit. Au bout de quelques mois, l'an
on partielle du sentiment, superpo- sée à une paralysie motrice des
membres
; les troubles du sentiment con- sistaient dans
tout le côté paralysé, et dans une hyperesthésie très prononcée au
membre
inférieur et aux doigts de la main. En fait d'a
le. Il est vrai que cinq années après l'attentat, le sujet avait le
membre
supérieur droit atrophié, de même que les muscl
ttentat, la paralysie motrice était en voie de rétrocession dans le
membre
inférieur gauche. Un peu plus tard le malade a
épendant de troncs nerveux très différents. C'est ainsi que pour le
membre
supérieur, on a pu distinguer le centre de comm
es circonstan- ces, le corps se plier, la tête tomber en avant, les
membres
se fléchir, se x 14 194 EMILE BOIX ratatine
nt sensiblement identiques. Il en a'été de même avec l'extrémité du
membre
antérieur d'un solipède. En particulier les deu
culaire dans le mem- bre supérieur sera plus ou moins prononcée aux
membres
supérieurs ou fera complètement défaut. Si dans
elle épinière qui ap- portent l'innervation à certains segments des
membres
sont touchés. La notion de métamérie qui a été
sur la syringo- myélie, a admis au point de vue des déformations du
membre
supérieur, par l'atrophie musculaire, trois typ
. La première s'accompagne de phé- nomènes spasmodiques du côté des
membres
inférieurs, la seconde des signes tabétiques de
rdinairement primitif de la gliomatose, le centre de la tlexion des
membres
supérieurs serait périphérique par rapport à ce
cles de la main-griffe Aran-Duchenne, et des troubles variables des
membres
inférieurs, quelquefois exagération des réflexe
x petits muscles de la main qui sont représentés dans ce segment du
membre
. Ce processus atrophique réalisera ainsi le typ
qui envahit dans un certain ordre les muscles des trois segments du
membre
supérieur en laissant in- tacts pour un certain
hie a une marche diffuse et frappe indistinctement, ies muscles des
membres
supérieurs. Dans ces trois formes ascendante, d
2, elle est entrée à la Salpêtrière avec une atrophie manifeste des
membres
supérieurs et une ankylose pro- gressive des ar
E DANS LES SYRINGOMYÉLIES 2H 1888, elle présentait l'état suivant :
membre
supérieur droit, amaigrisse- ment général des m
exten- sion du médius et de l'index. Le deltoïde est très atrophié.
Membre
supé- rieur gauche : même situation que le bras
prototype de pré- dominance d'action du radial. Pas d'atrophie aux
membres
inférieurs. Dissociation syringomyélique aux me
d'atrophie aux membres inférieurs. Dissociation syringomyélique aux
membres
supérieurs, à la face antérieure et postérieure
de cette paralysie atrophique, c'est qu'elle porte surtout sur les
membres
innervés par le.médian elle cubital, tandis que
le mot segmentaire, car je n'entends pas par là qu'un seg- ment de
membre
soit pris dans sa totalité à l'exclusion des autr
bre soit pris dans sa totalité à l'exclusion des autres segments du
membre
supérieur, car, dans ce cas, le mot d'atrophie se
- - G. MARINESCO ' " - .. - .. ..VIII. ' Pour,'un segment donné du
membre
supérieur, les muscles les plus petits sont rep
e avec la paralysie de Gubler qui frappe le facial d'un côté et les
membres
de l'autre. On a cependant observé, mais sans
ne produisent qu'exceptionnellement le déplacement d'un segment de
membre
, comme un léger mouvement de l'avant-bras, un l
dits (grimaces de la face, mouvements brusques et involontaires des
membres
), « tandis que, dans la forme grave, ces mouvemen
ladie des tics et un cas de tremblement singulier de la tête et des
membres
gauches, in Leç. de clin, médic., Ire série, 1S91
ladie des lies et un cas de tremblement singulier de la tête et des
membres
gauches, in Leç. de clin. rnéd., 1re série. 1891,
ournis. « Torse allongé, cylindrique. Ventre un peu proéminent. «
Membres
potelés, effilés de la racine aux extrémités, une
Leux où Ion remarque « le torse arrondi, le ventre un peu gros, les
membres
potelés, enveloppés de graisse, la peau fine et r
médical, 1896, p. 27 ; Sur la distribution métamérique du zona des
membres
. Presse médicale, 1896, p. 17. (2) Acnnno. Su
pent à l'examen le plus méticuleux : dans l'étude de l'atrophie des
membres
dans l'hémiplégie infantile ils m'ont déjà rendu
épileptiques, 1890, p. 32. - Note sur l'arrêt de développement des
membres
dans l'hémiplégie cérébrale infantile et sur ses
ale. Si certaines disproportions ou malformations de la face et des
membres
peuvent être provoquées à une époque déjà avanc
aissant, par exemple, de 2 centimètres au moins la circonférence du
membre
touché. Il faut savoir, en effet, qu'en absence
te atrophie, qui saute aux yeux lorsqu'elle existe, les muscles des
membres
hémiplégies subissent toujours, par le fait même
sement qui diminue de 1 centimètre, en moyenne, la circonférence du
membre
. Cet amaigrisse- ment diffère complètement de l
comprenant 10 sujets, l'atrophie se limitait à certaines régions du
membre
supérieur paralysé; le membre inférieur restait i
ie se limitait à certaines régions du membre supérieur paralysé; le
membre
inférieur restait in- demne. Dans le second,
ns le second, comprenant 7 sujets, l'atrophie existait à la fois au
membre
supérieur et au membre inférieur. Dans le trois
t 7 sujets, l'atrophie existait à la fois au membre supérieur et au
membre
inférieur. Dans le troisième, comprenant 3 suje
tions suivent. 10r GROUPE. Arthrites avec AMYOTHOPUIE LIMITÉES au
membre
SUPÉRIEUR. 10 MALADES. OBS. L - Hémiplégie dr
la main, pas d'ankylose du opude ou du poignet ; pas d'atrophie.
Membre
inférieur droit; marche..Ni ankylose ni atrophie.
chis dans la main, mais réductibles sans arthrite ; pas d'atrophie.
Membre
inférieur droit spasmodique, sans arthrite ni atr
ntimètres ; bras droit, 28 centimètres. Les autres articulations du
membre
supérieur sont li- bres ; pas d'atrophie. Mar
périeur sont li- bres ; pas d'atrophie. Marche conservée. Rien au
membre
inférieur gauche, si ce n'est un amai- grisseme
s droit, 32 centimètres ; bras gauche, 3. Rien à l'avant-bras ni au
membre
inférieur; marche. ! , '. i 1 OBS. VI. - Hémipl
- mètres ; bras gauche, 30 centimètres. Les autres articulations du
membre
su- périeur sont libres ; p'as d'atrophie, si c
n incomplète qu'elle effectua elle-même ? La malade marche; rien au
membre
inférieur droit. OBS. VII. - Hémiplégie gauche;
de l'ar- ticulation du coude ; avant-bras gauche, 22 ; droit, 23.
Membre
inférieur gauche, trépidation spinale; pas d'atro
uce ? 3dophie du premier espace interosseux et du thénar. Rien au
membre
inférieur ; marche. HÉMIPLÉGIE GAUCHE. ARTHRITE
ssif des ar- thrites. Réflexes olécraniens et rotuliens exagérés.
Membre
inférieur gauche. Réflexe rotulien exagéré. Flacc
OBS. X. Hémiplégie droite. Ankylose de toutes les articulations du
membre
supérieur. Atrophie musculaire ; adipose. Luc
doigts. Atrophie musculaire très marquée dans les trois segments du
membre
supérieur droit. Circonférence du bras au niveau
leurs spontanées ou provoquées que res- sentent ces malades dans le
membre
supérieur sont nettement localisées par eux au
malade de l'observation X, ankylose de toutes les articulations du
membre
supérieur paralysé, épaule, coude et main, atroph
les dix malades du premier groupe, l'atrophie est restée limitée au
membre
supérieur. Remarquons que chez eux le membre su
st restée limitée au membre supérieur. Remarquons que chez eux le
membre
supérieur est impotent, pour ainsi dire, que le
chez eux le membre supérieur est impotent, pour ainsi dire, que le
membre
inférieur est relativement valide, puisqu'ils p
marcher. C'est, du reste, la règle chez les hémi- plégiques, que le
membre
supérieur soit plus sévèrement atteint, nous di
, nous dirions mieux dans la circonstance, soit moins mobile que le
membre
inférieur. L'arthrite presque constante de l'ép
ypes : 1° Dans un premier type, la paralysie motrice est limitée au
membre
inférieur, du côté de ]'hémisection.; les troub
troubles de la sensibilité ne re- montent pas jusqu'à la racine des
membres
inférieurs : c'est ce qui se voit quand la moel
ce et les troubles sensitifs re- montent au-dessus de la racine des
membres
inférieurs, empiètent plus (1) Voir les n-s 1 e
nnes et supérieures. 3° Un troisième type comprend les cas où les
membres
supérieurs et le thorax participent aux trouble
pliqua un pan- sement antiseptique. Le lendemain, il avait les deux
membres
inférieurs paralysés; la paralysie motrice se d
e motrice se doublait d'une anesthésie. Il se plaignait d'avoir les
membres
supérieurs lourds et engourdis, et il fut incapab
is la veille. Le soir, la pa- ralysie du sentiment avait envahi les
membres
supérieurs, que le malade avait de plus en plus
ses sens, il ne pouvait plus re- muer la jambe droite ; de plus ce
membre
le faisait beaucoup souffrir. Ce cas, soit dit
- tats de ce premier examen : A droite, les mouvements passifs du
membre
inférieur étaient libres ; les mouvements volon
it diminuée. · A gauche, il y avait de l'hyperesthésie au niveau du
membre
inférieur et de la moitié correspondante du ven
. 496. , 310 ' - F. RAYMOND d'hyperesthésie à gauche. De plus, le
membre
inférieur droit était forte- ment amaigri. En r
'électricité. Le 18 août de la même année, l'atrophie musculaire du
membre
infé- rieur droit s'était dissipée. La paralysi
mollet 4 centimètres de moins qu'à gauche. La rotation en dehors du
membre
inférieur droit s'était accentuée; la déviation
roite sautait à l'oeil. Le patient ne pouvait plus se servir de son
membre
inférieur droit ; la cuisse et la hanche étaien
t le genou. Il conservait tou- jours un certain degré d'atrophie du
membre
inférieur droit; en outre, de ce côté, les os a
otrice de la jambe gauche et une anesthésie dans toute l'étendue du
membre
inférieur droit, ainsi qu'une rétention d'urine
s que les fonctions de la vessie et du rectum se sont rétablies, le
membre
inférieur gauche a récupéré une partie de sa ca
a récupéré une partie de sa capacité fonctionnelle. L'anesthésie au
membre
inférieur droit ne s'est dissipée que lentement
t le gros intestin fonctionnaient normale- ment. Les mouvements des
membres
supérieurs et du tronc s'effectuaient avec une
lissant, mais la fatigue était prompte à survenir. En examinant les
membres
inférieurs, le raccourcissement de l'une des ja
exe à droite, et le segment lombaire convexe à gauche. En outre, le
membre
inférieur gauche était amaigri. A la mensuratio
tre, le membre inférieur gauche était amaigri. A la mensuration, ce
membre
a été trouvé plus court d'un centimètre environ
mère voulut l'habiller, elle remarqua qu'il était paralysé des deux
membres
inférieurs. On consulta à son sujet toutes les
était perdu. La soif était vive. Pendant trois mois l'impotence des
membres
supérieurs fut complète, puis il pu recom- menc
llaire. Parfois devant les yeux pas- sent des éblouissements. Les
membres
supérieurs sont robustes en général. Cependant la
avait ressentis le malade ont disparu. Tout l'intérêt porte sur les
membres
inférieurs. Le malade peut se tenir debout appu
tte du bassin, qui, comme nous le verrons, s'étend à tous les os du
membre
. Il faut signaler en outre que, tandis qu'à dro
miné dans son lit, il présente, en général, l'attitude suivante. Le
membre
inférieur droit est en rectitude, le pied droit e
ée. Les mouvements de la cuisse gauche sur le bassin'sont ceux d'un
membre
de polichinelle. Les membres inférieurs sont le
e gauche sur le bassin'sont ceux d'un membre de polichinelle. Les
membres
inférieurs sont le siège d'atrophie et de déforma
bles de sensibilité. OBs. IL Paralysie spinale infantile limitée au
membre
supérieur droit, mouvements atéthoïdes des doig
lève ni affection nerveuse, ni affec- tion mentale parmi les autres
membres
de la famille. Antécédents personnels. DÉBUT. I
e son affection au- rait débuté. Il fut pris de convulsions, et son
membre
supérieur droit de- vint paralysé.. - - - - ,
a de délire. Il fut soigné plus récemment pour une lymphan- gite du
membre
inférieur droit. Enfin il présenta une fistule à
du côté gauche. Atrophie du bassin. Scoliose. B. Forme localisée au
membre
supérieur droit. Atrophie en longueur et surtou
pas de déformation de la colonne vertébrale. L'atrophie en masse du
membre
supérieur droit est encore plus évidente, ainsi
utané est amaigri. Les muscles sous-jacents dans toute l'étendue du
membre
sont atrophiés. Les mensurations donnent pour l
membre sont atrophiés. Les mensurations donnent pour la longueur du
membre
74 centimètres à droite, 79 centimètres gauche.
18 centimètres à droite, 25 centimètres à gauche. L'impotence du
membre
supérieur est pour ainsi dire complète. Il ne p
t à l'épaule, elle peut exécu- ter un seul mouvement. L'attitude du
membre
supérieur malade est cons- tamment en pronation
n, la main gauche 3SO en. ACHARD ET LÉOPOLD-LÉVI fait exécuter au
membre
en masse une sorte de torsion, une rotation de
ouble de sensibilité. Jamais le malade n'éprouve de douleur dans le
membre
supérieur droit. Sous l'influence du froid, en
ngourdi, bleuâtre. D'ailleurs il existe une ten- dance pour tout le
membre
, surtout pour la main, à se refroidir facilement.
cte la forme paraplégique chez le premier malade. Elle a atteint le
membre
supérieur droit chez le second. Il faut noter c
reprise et (1) Soc. de biologie, 20 mars 1897, RADIOGRAPHIES DES
MEMBRES
INFERIEURS A. Dans un cas de paralysie infantil
n sujet sain, de même âge. (Epreuves négative ? RADIOGRAPHIES DES
MEMBRES
SUPÉRIEURS dans un cas de paralysie infantile.
posée. Dans un cas (Pl. XXXIII et XXXIV), on voit le sque- lette du
membre
inférieur (fémur, rotule, tibia, péroné) de Ban..
i les mensurations montrent habituellement une différence entre les
membres
sains et pathologiques, il faut tenir compte au
que la première fois, plus foncée vers le tronc et à la racine des
membres
et du cou, s'atténuant vers la périphérie. Il p
s j'ai pu suivre l'effacement de la coloration vers la ra- cine des
membres
, puis sur le tronc où elle persiste plus longtemp
hôpitaux. (Suite et fin 2- GROUPE. - Arthrites ET amyotrophie DES
membres
supérieur ET inférieur. '. SÉJOUR au LIT. 7 mal
ète de l'articulation scapulo-humérale, les autres articulations du
membre
supérieur sont libres. Adipose énorme de tout l
ulations du membre supérieur sont libres. Adipose énorme de tout le
membre
supérieur s'étendant jusqu'à l'extrémité des do
e droite ; craquements dans le genou. Adipose généralisée à tout le
membre
inférieur, atrophie des muscles de la fesse. Ci
gie gauche avec ankylose et arthrite de toutes les articulations du
membre
supérieur; atrophie musculaire . Séjour au lit. A
ire . Séjour au lit. Arthrite de la han- che et du genou, oedème du
membre
inférieur masquant l'atrophie. Ler..., homme, s
griffe ; ankylose, amyotrophie en masse. Séjour permanent au lit;
membre
inférieur contracture en extension. Demi- ankyl
craquements et douleurs; craquements du genou. OEdème généralisé du
membre
masquant l'atrophie musculaire. Circon- férence
e, 22 centimètres à gauche ; 19 à droite. Séjour au lit constant.
Membre
inférieur : Demi-ankylose avec craquements de l
laviculaire. Avant-bras normal. , ' 342 GILLES DE LA TOURETTE Les
membres
inférieurs sont parsemés tous les deux de taches
entimètres ; gauche, 26 centimètres. L'adipose masque l'atrophie.
Membre
inférieur droit. La malade reste couchée. Contrac
ation coxo-fémorale droite ankylosée. Adipose généralisée à tout le
membre
. Atrophie des muscles de fesse et de la cuisse. C
gie droite, séjour au lit, arthrites et amyotrophie généralisée des
membres
supérieur et inférieur. M. Lard..., cinquante a
arthri- tes, atrophie généralysée de tous les muscles de la main.
Membre
inférieur droit. Malade reste au lit; membre infé
es muscles de la main. Membre inférieur droit. Malade reste au lit;
membre
inférieur contracturé en extension. Ankylose pr
upe, pour des causes diverses, contracture très marquée partout, le
membre
inférieur du côté hémiplé- gique ne sert plus p
présentent, comme les sujets du premier groupe, de l'amyotrophie du
membre
supérieur. Mais à l'inverse de ce qui existe ch
e qui existe chez ces derniers, tous présentent de l'amyotrophie du
membre
inférieur portant principalement sur les mus- c
n de la hanche, ne se généralise que si les autres articulations du
membre
inférieur sont à leur tour le siège d'arthrite
tour le siège d'arthrite et d'ankylose. 3e GROUPE. Mobilisation DU
MEMBRE
paralysé. Absence d'arthrites ET D'ATROPHIE MUS
. Hémiplégie gauche spasmodique permettant encore les mouvements du
membre
. Absence d'ankylose et d'atrophie. Cor..., tren
se, sans craquements et sans douleurs provoquées ou spontanées. ,
Membre
inférieur. Pas d'atrophie ni d'arthrite, légère t
XIX. - Hémiplégie gauche sans atrophie ni arthrite. Mobilisation du
membre
supérieur. Chai..., homme, soixante-cinq ans, h
égie faciale ; spasmodique. Flaccidité sans atrophie des muscles du
membre
supérieur; pas d'arthrite, si ce n'est légers c
le porter sur la tête. Réflexes exagérés. Trépidation spinale du
membre
inférieur ; ankylose de l'articulation coxo- fé
A TOURETTE O>3s. XX. Hémiplégie droite, aphasie. Mobilisation du
membre
supérieur, - absence d'ankylose et d'atrophie,
Atrophie des muscles du premier espace interosseux et du thénar.
Membre
inférieur. Trépidation spinale ; pas d'arthrite n
confirmé son dire, il s'est-astreint tous les jours à mobiliser son
membre
paralysé avec la main restée libre. Pas d'arthrit
de de l'observation XX qui lui aussi a mobilisé quotidiennement son
membre
paralysé ; pas d'arthrite ni d'atrophie. Toutef
ne présentent ni douleurs spontanées ni douleurs provoquées dans le
membre
supérieur indemne d'arthrite, sauf en ce qui re
intenant à connaître la nature de l'arthrite. , Nous savons que les
membres
hémiplégies sbnt, du fait de la paralysie, suje
contraints, du fait de la paralysie ou mieux de la contracture, le
membre
supérieur ou inférieur ou mieux certaines régions
eur ou inférieur ou mieux certaines régions bien déterminées de ces
membres
. - Voyons ce qui se passe cliniquement dans le
inées de ces membres. - Voyons ce qui se passe cliniquement dans le
membre
inférieur du- côté hémiplégie. Après une courte
ité des cas. Il mobilise donc de ce fait les articula- tions de son
membre
inférieur, et chez ces malades, du fait de cette
, il ne survient ni arthrite ni atrophie, Si la contracture rend le
membre
inférieur rigide, impotent et confine le malade
ient de l'arthrite et l'atrophie ne tarde pas à apparaître. Pour le
membre
supérieur, l'évolution des phénomènes est encore
s beaucoup plus rarement observées que dans le segment supérieur du
membre
. Enfin, ce qui corrobore la pathogénie que nous
tion des arthrites, de l'amyotrophie et aussi des douleurs dans les
membres
paralysés des sujets hémiplégiques (ou monoplég
m., nov. 1887 et jan- vier 1887) qu'en dehors de toute paralysie du
membre
, l'arthrite la plus vulgaire avec amyotrophie p
que nous décrivons, et qui tire son origine de l'immobilisation des
membres
, diffère des arthro- pathies des hémiplégiques
parait pas influencée par l'immobilisation ou la mobilisa- tion des
membres
paralysés. SUR L'HISTOLOGIE PATHOLOGIQUE DE LA
ouhlieux. Quant au malade lui-même, il se plaignait de douleurs aux
membres
inférieurs et à la tête; en même temps sa démar
alcooliques. Notons encore pendant la dernière année un oedème des
membres
inférieurs, qui apparaissait temporairement.
LYNÉVRITE 353 épinière chez dès sujets ayant subi l'amputation d'un
membre
inférieur. Des recherches faites par M. Sano xi
soudés. Notre malade n'obéit pas à cette règle, car chez elle aucun
membre
de la famille n'a les mains constituées de cette
es testicules sont atrophiés ; il reste à peine deux haricocèles.
Membre
supérieur. - Très long et petit pour sa longueur.
urtout augmentée. Ongles normaux; pas de traces de striations. Le
membre
inférieur très long, paraît beaucoup plus long qu
rophies partielles des muscles des bras et des mains, alors que les
membres
inférieurs n'en présentent point, l'atrophie ta
d'une cy- phose assez prononcée et d'une notable incurvation des
membres
inférieurs qui n'existaient ni l'une ni l'autre
eut accompagner le début de l'accident, et envahir les segments des
membres
adjacents dans une grande étendue. Mais très sou-
droit fut atteint aussi ; un genou suppura. Il y avait parésie des
membres
inférieurs avec un léger oedème le long du tibi
agna de fièvre et d'arthrites tout à fait aiguës, non seulement aux
membres
inférieurs, mais aussi aux membres supérieurs i
à fait aiguës, non seulement aux membres inférieurs, mais aussi aux
membres
supérieurs indemnes de paralysie. Il en est un
hies mobiles voya- geaient d'un côté à l'autre dans les doigts, les
membres
inférieurs restant indemnes quoiqu'ils fussent
aud.I) y eut douleurs et gonflemeut du genou gauche, puis oedème du
membre
qui disparut ; mais une hydarthrose persista avec
hrose n'a peut-être été que la conséquence mécanique de l'oedème du
membre
comme l'admet Chipault lui-même. En tout cas il
eux cuisses à droite et sail- lie des genoux du même côté, les deux
membres
inférieurs formant « les guillemets ». Au premi
n nerveuse datant de l'enfance avait amené une atrophie complète du
membre
: on n'y note les arthropathies qu'à l'autopsie
en encore que tou- tes les articulations d'un doigt, de la main, du
membre
tout entier soient atteintes. Les troubles de n
u membre tout entier soient atteintes. Les troubles de nutrition du
membre
, parmi lesquels rentrent les arthropathies coïn
e Gand semblerait faire exception : trou- bles trophiques graves du
membre
inférieur consécutifs à un traumatisme, Belgique
dans l'examen de la main gauche, car le bras et l'avant-bras de ce
membre
ne sont pas hypertrophiés. L'excellente pho- to
ui contraste fortement avecla maigreur des jambes. La faiblesse des
membres
inférieurs est survenue postérieurement à celle d
ien au coeur, ni dans les poumons. Quelques troubles trophiques aux
membres
inférieurs : rougeur érythémateuse sur les jambes
'établir à 30 ans, insidieusement, sans douleur, et débuter par les
membres
supérieurs. On constate encore actuellement la di
- bras sont atteints à leur tour, plus rarement ceux du bras. Aux
membres
inférieurs, une atrophie du même genre.frappe les
é, et, comme en général les muscles sont atrophiés à l'extrême, les
membres
en sont réduits à leur squelette sur lequel sem
e main ou d'un pied tout entier. Puis, une cicatrice se forme et le
membre
tronqué reste réduit à l'état de moignon. On a
sont déjà plus significatifs, et leur rencontre sur la face ou les
membres
d'un infirme figuré sur un tableau plaide en fave
n faveur de la Lèpre. Lorsqu'on les voit confluer à l'extrémité des
membres
, des mem- bres inférieurs surtout, lorsque ceux
, toute une série d'estropiés, privés d'un ou plusieurs segments de
membres
, doivent prendre place parmi les figurations de L
une pa- raplégie ou une amyotrophie ont privé de l'usage de ses
membres
inférieurs. Mais ce cul-de-jatte est pro- bab
oigts. Or les am- putations lépreuses spontanées des extrémités des
membres
sont notoi- res (1). L'auteur de la peinture
figuré de dos ; on ne voit ni son visage, ni les malformations des
membres
inférieurs. Fra Angelico a peut-être employé cet
de la face et du pied s'ajoutait encore une impotence complète des
membres
inférieurs que la Lèpre avait également pu prov
431 décharnés qui, dans leur prison, agitaient pitoyablement leurs
membres
tronqués, perdant aujourd'hui une phalange, dem
une peau d'un brun très foncé. Un pied raccorni paraît terminer ces
membres
ratatinés. a Un tel ensemble de difformités e
es pertes de substance de la face, l'atrophie et la contracture des
membres
supérieur et inférieur, la coloration foncée de
e mutilation, soit qu'ils aient été dissimulés par la posi- tion du
membre
(2). Dans tous les cas, la griffe est manifeste
de, l'atrophie musculaire est clairement indiquée, à l'extrémité du
membre
. Ici, la vérité patholo- gique de la malformati
it une foule de malades et d'infirmes dont plusieurs présentent des
membres
atrophiés et contracturés, les mains affectant la
es réserves, c'est sur les défor- mations des pieds. Les orteils du
membre
droit sont étrangement tordus, et le pied gauch
chappe et qui ne nous parait pas s'accorder avec l'état du reste du
membre
, dont la musculature est alors trop accentuée.
car il lui reste une jambe à peu près entière ; encore ce résidu de
membre
n'est-il pas bien fameux. Pauvre diable dont le
blement rapiécées, il n'a pas même de quoi couvrir la nudité de ses
membres
malades ; peut-être n'y tient-il guère, après t
eine, son couvre-chef informe. Dans la peinture des difformités des
membres
inférieurs, l'artiste s'est certainement inspir
lacés par des cordes tendineuses saillant de part et d'autre sur ce
membre
des- séché qui ne diffère plus guère du pilon d
quinisme droit, sur le prolongement de l'axe de la jambe : aussi le
membre
repose-t-il sur la pointe du pied. Bien plus, u
tude raidie et le bâton que cette femme tient de la main gauche. Le
membre
supérieur semble moins atteint, car la main droit
nfirme peut prendre place parmi les figurations de Lépreux dont les
membres
ont été mutilés par la maladie. Il est vu de do
ent les sourcils en partie tombés, mais prédominent surtout sur les
membres
tant supérieurs qu'inférieurs. C'est en somme c
gauche qu'on voit dans l'ombre déjeté en dehors; mais c'est sur les
membres
supérieurs, qui se montrent presque complètemen
aisse persister certains mouvements, imprime aux divers segments du
membre
une attitude en rapport avec les muscles dispar
aladie, parvenue à son dernier degré, ait rendu tout déplacement du
membre
impossible. « L'infirme d'Albert Durer a le mem
t déplacement du membre impossible. « L'infirme d'Albert Durer a le
membre
supérieur droit profondément atteint. Il est in
its d'un malade, d'un infirme. Et ce malade privé de l'usage de ses
membres
inférieurs, assis dans une petite voiture, n'es
tite voiture qui sert au malheureux pour se déplacer, l'atrophie du
membre
supérieur gauche est clairement exprimée par la p
e la lèpre, dont elle porte plus manifestement les stigmates sur le
membre
supérieur gauche : atrophie, griffe des interos
u'une place minime dans la composition, est accroupi, à gauche, les
membres
inférieurs très amaigris, comme desséchés, offr
tions qui ont détruit une partie du nez et de l'oreille, les os des
membres
sont déformés, la main gauche est réduite à un
u'il s'efforce de les protéger comme il peut sous son écharpe. Le
membre
inférieur droit est certainement la partie du cor
renseignements de la cou- leur font défaut. On distingue sur les
membres
dénudés des taches destinées à figurer les macu
és de noir. Les altérations de la face sont mal indiquées. Mais les
membres
sont amaigris et déformés, les membres inférieu
sont mal indiquées. Mais les membres sont amaigris et déformés, les
membres
inférieurs surtout ; la jambe gauche est entour
s ; sa cuisse gau- che est entourée de linges. Mais tous ses autres
membres
sont nus. Ils sem- blent réduits à leur squelet
NS L'ART 463 culièrement étendue et sévère, ayant envahi les quatre
membres
et la face en même temps, immobilisant les join
e Lépreux. - L'atrophie musculaire qui prédomine aux extrémités des
membres
, les contractures ayant déterminé aux pieds et
raphie de la main droite d'un sex- digitaire, V. Radiographie des
membres
inférieurs dans la paralysie infantile, XXXIII,
s dans la paralysie infantile, XXXIII, XXXIV. Radiographies des
membres
sup érieurs dans la paralysie infantile, XXXV,
phiée, s'étendre et s'écarter les uns des autres, et en même temps le
membre
supérieur droit tout entier a été pris de secouss
pris de secousses. Elle a voulu continuer sa course, en maintenant le
membre
malade avec la main saine. Mais bientôt, le malai
goût et Yodorat sont normaux. La sensibilité générale est intacte.
Membre
supérieur droit. L'attitude habituelle est celle
diquent, d'une façon précise, le degré de l'arrêt de développement du
membre
supérieur droit. Membre inférieur droit. Il est
se, le degré de l'arrêt de développement du membre supérieur droit.
Membre
inférieur droit. Il est plus faible que le gauche
uit de ces indications que l'atrophie est beaucoup moins prononcée au
membre
inférieur qu'au membre supérieur. R.... se plai
que l'atrophie est beaucoup moins prononcée au membre inférieur qu'au
membre
supérieur. R.... se plaint de palpitations card
ailleurs, en faveur de son récit : c'est Y arrêt de développement des
membres
paralysés qui, chez elle, est beaucoup plus consi
n des accès (22 ans). — Crises gastriques. — Migraine. — Attitude des
membres
paralysés.— Sensibilité spéciale et générale.—Aur
ÉRÉBRALE : EPILEPSIE PARTIELLE hémiplégie gauche l'attitude des
membres
paralysés : (. Depuis que j'ai souvenance, dit-el
présentent rien de particulier.— Les mouvements du cou sont libres.
Membre
supérieur gauche. — La Planche II donne une idée
r gauche. — La Planche II donne une idée très-exacte de l'attitude du
membre
supérieur gauche. On voit: 1° que l'épaule, compa
r et hy-pothénar, les muscles interosseux ne sont pas atrophiés. Le
membre
supérieur gauche, considéré dans son ensemble, es
avec la main gauche, pendant que la droite prépare un second pli.
Membre
inférieur gauche. — Il est moins long que le droi
as sensiblement déformé. Voici les mensurations comparatives des deux
membres
inférieurs : A gauche. A droite. Circonférenc
moitiés du corps.—L'excitabilité réflexe est, cependant, augmentée au
membre
supérieur gauche. La malade nous raconte que, par
ent presque aussitôt des spasmes tétaniques courts et répétés dans le
membre
supérieur correspondant (épilepsie spinale). Ou
us à droite qu'à gauche. L'inégalité que nous avons signalée pour les
membres
, les épaules, n'existent pas pour les seins, qui
t sujette, durant vingt-quatre heures, à des accidents bizarres : les
membres
paralysés se contracturent davantage, se retourne
plus pâle que la gauche. — De nouvelles mensurations comparatives des
membres
ont permis de s'assurer qu'il y avait bien une at
ont permis de s'assurer qu'il y avait bien une atrophie relative des
membres
du côté gauche, mais que les chiffres obtenus éta
l'accès, la malade ne s'est jamais blessée. Elle ne sent rien dans le
membre
inférieur et n'a pas de vision colorée. Décembr
e. ans. Elle est toujours sujette à des migraines. — Les spasmes du
membre
supérieur gauche persistent. — Uodorat et le goût
meure fréquent et la température élevée ; enfin,, on constate que les
membres
qui ont été le siège de convulsions sont paralysé
ientôt les malades ne conservent plus qu'un léger affaiblissement des
membres
, absolument inertes quelques jours auparavant, af
20 ans: accès d'épilepsie. — Etat actuel de la malade. — Attitude des
membres
paralysés. — Description des accès. — Marche de l
eptiques qui se renouvelèrent le lendemain. La seule modification des
membres
paralysés que l'on ait constatée consisterait en
utant qu'il est permis d'en juger, car il n'existe que trois dents.
Membre
supérieur droit (paralysé). Au repos, le bras s'a
ctives ne peuvent en faire plus de trois). Dans l'hiver, la peau du
membre
supérieur droit devient violacée, marbrée. Au tou
ements atmosphériques. Voici les mensurations comparatives des deux
membres
supérieurs. Droit. Gauche. Circonférence du
gauche. — La moitié droite du tronc est moins ample que la gauche.
Membre
inférieur droit. — A part le genou qui présente d
bres. — La malade marche en boitant, en raison du raccourcissement du
membre
; parfois, il lui arrive aussi de traîner un peu
..... 17 18 L'influence du froid sur la peau est moins grande qu'au
membre
supérieur. Au palper, le genou et la jambe sont p
che, l'enfant traîne cette jambe, le pied se renverse. En un mot, les
membres
d'un côté du corps sont « mous comme une chiffe,
à peu, dans beaucoup de cas, la paralysie diminue, principalement au
membre
inférieur. Ensuite la flaccidité des membres para
iminue, principalement au membre inférieur. Ensuite la flaccidité des
membres
paralysés fait place, au bout d'un temps qu'il no
té tardive. On voit donc que, après une période durant laquelle les
membres
sont flasques, il survient une roideur des jointu
ns lentement. Dans tous les cas, d'ailleurs, la contracture impose au
membre
supérieur une attitude particulière. Nous la rapp
roit sur le poignet. La déformation est beaucoup moins prononcée au
membre
inférieur. L'attitude habituelle, c'est L'extensi
à un degré très-accentué. La contracture prédomine en général au
membre
supérieur, de même que les commuions durant l'éta
nt à la paralysie, nous signalerons les arthralgies et Y atrophie des
membres
. Arthralgies. Les jointures des membres paralys
thralgies et Y atrophie des membres. Arthralgies. Les jointures des
membres
paralysés, surtout Y épaule et le coude, sont le
trophie du mieux arrêt de développement. L'arrêt de développement des
membres
ressort nettement des mensurations comparatives q
des symptômes que nous venons de passer en revue, on voit souvent les
membres
paralysés être agités de mouvements cho-réiformes
Planche IV. ATROPHIE CÉRÉBRALE : EPILEPSIE PARTIELLE athétose
Membre
inférieur gauche. — Ni roideur, ni craquements da
e « quand le temps est pour changer. » Dilatations variqueuses sur le
membre
inférieur droit ; à gauche, simples veinosités.
elle. L'hémichorée, ici, n'est pas complète ; elle n'occupe pas les
membres
paralysés dans toute leur longueur : les mouvemen
ins prononcée ; d'un autre côté, chez elles encore, les jointures des
membres
paralysés n'offrent pas, d'habitude, cette rigidi
gie chez les malades que nous étudions, nous devons dire : 1° que les
membres
paralysés ont souvent une coloration plus ou moin
nt être violacés); 2° que leur température est inférieure à celle des
membres
du côté sain. Nous avons, jusqu'ici, passé en r
épileptiques. — Convulsions à trois ans. — Paralysie progressive des
membres
du côté droit. — Apparition de la contracture.
vulsions qui n'ont duré que cinq minutes \ elles étaient limitées aux
membres
du côté droit et à la moitié correspondante de la
ccès dans lesquels les convulsions étaient toujours circonscrites aux
membres
du côté droit et à la face « Emma, dit son père,
à la face « Emma, dit son père, avait un tic dans l'œil droit. » Les
membres
, envahis par les convulsions, se paralysèrent pro
t à petit, pour nous servir des expressions du père de la malade, les
membres
paralysés se sont ratatinés. Lors de sa premièr
'électricité. Durant trois mois, tous les deux jours on électrisa les
membres
paralysés. L'insuccès fut complet. On essaya des
voile palatin. — La percussion du crâne ne provoque pas de douleur.
Membre
supérieur droit. — Rigidité assez prononcée des j
............ 16,5 17 Longueur de la clavicule......... 14,5 15,5
Membre
inférieur droit. — Les jointures sont assez libre
s écarte, on aperçoit les yeux très-déviés à droite et en haut. — Les
membres
du côté droit sont plus rigides que ceux du côté
és de ce fait, nous avons à mentionner l'atrophie assez prononcée des
membres
avec prédominance relative dans le membre inférie
rophie assez prononcée des membres avec prédominance relative dans le
membre
inférieur, phénomène qui est en opposition avec c
udions : chez celles-ci, en effet, l'atrophie était plus prononcée au
membre
supérieur. Ajoutons aussi que le père de St... no
es, des secousses (Obs. I, p. 8), une augmentation de la rigidité des
membres
paralysés et, le plus souvent, du membre supérieu
entation de la rigidité des membres paralysés et, le plus souvent, du
membre
supérieur. Ces douleurs occupent tantôt l'épaule
e seule (Obs. IV), tantôt plusieurs jointures ou toute la longueur du
membre
. Il est des malades qui accusent, en outre, une i
avons vu que les convulsions étaient parfois plus accusées tantôt au
membre
inférieur (Obs. V), tantôt au membre supérieur (O
parfois plus accusées tantôt au membre inférieur (Obs. V), tantôt au
membre
supérieur (Obs. VI); mais, dans bien des cas, il
s qui peuvent succéder aux accès, nous signalerons un tremblement des
membres
paralysés, lequel peut se manifester, d'ailleurs,
es. Observation VI.— Convulsions. — Affaiblissement paralytique des
membres
du côté droit. — Progrès de la paralysie sous l'i
ysie sous l'influence des accès d'épilep-sie.— Aura. —Tremblement des
membres
paralysés.— Sept abcès sur la jambe paralysée.— M
sur la jambe paralysée.— Modification de l'épilepsie. — Attitude des
membres
.— État actuel de la malade. — Marche des accès. —
e. Après l'accès, elle avait durant une demi-heure un tremblement des
membres
du côté droit. — Quelquefois même, sans avoir eu
a pris l'attitude qu'elle a aujourd'hui, que la différence entre les
membres
du côté droit et ceux du côté gauche s'est accusé
ère, T... aurait maigri ; les accès auraient augmenté. L'attitude des
membres
paralysés, l'intelligence n'auraient subi aucune
rait à droite, les convulsions seraient beaucoup plus fortes dans les
membres
paralysés, et il parait qu'elles prédominent dans
symétriques. La percussion de la tête n'est nulle part douloureuse.
Membre
supérieur droit. — Attitude habituelle : le bras
constance due probablement à la pression constante de l'avant-bras.
Membre
inférieur droit. — Roideur de la hanche et du gen
a paralysie n'est pas devenue stationnaire. Autre particularité : les
membres
paralysés sont parfois atteints d'un tremblem
u dire de l'infirmière, les convulsions seraient plus fortes dans les
membres
paralysés. La malade écumerait beaucoup, ne se mo
de l'avant-bras, au niveau de l'extrémité inférieure du radius. Le
membre
inférieur droit est atrophié à un moindre degré q
s. Le membre inférieur droit est atrophié à un moindre degré que le
membre
supérieur correspondant. Les mouvements des joint
centimètres au-dessous du genou. — Ajoutons, enfin,, que la peau des
membres
paralysés a une coloration un peu violacée. Com
coloration un peu violacée. Comme il n'y a aucune cicatrice sur les
membres
non paralysés, que l'atrophie des membres paralys
a aucune cicatrice sur les membres non paralysés, que l'atrophie des
membres
paralysés est assez prononcée, nous pensons que l
ômes que l'on remarque à la face ; voyons ce qui se passe du côté des
membres
. Le bras droit se contracture clans l'extensi
e médius sont allongés, l'auriculaire et l'annulaire demi-fléchis. Le
membre
inférieur droit est souvent contracture, dans l'e
uvent, claquent sur le verre. Enfin, la contracture disparaît dans le
membre
supérieur droit. Br... ne perd pas connaissance
tôt après l'accès, ne contient ni sucre ni albumine. En général,les
membres
du côté gauche ne sont pas envahis par la contrac
ras gauche pris de « retournement, » en même temps d'ailleurs que les
membres
du côté droit, mais jamais isolément. III. —
ns et demi, la paralysie de la jambe droite ne s'est pas aggravée. Le
membre
supérieur droit était libre, l'enfant s'en servai
'étendit au bras correspondant. Enfin, les convulsions ont envahi les
membres
du côté gauche et l'enfant est tombée sans connai
s à la jambe droite pendant quelque temps ; ensuite leur extension au
membre
supérieur droit ; enfin la généralisation des con
s accès à onze ans. — Aura. — Affaiblissement de la motilité dans les
membres
du côté gauche.— Caractères des accès en 1871 et
allucinations de la vue et de l'ouïe. — Contracture intermittente des
membres
dît côté gauche. — Phénomènes hystériformes. — No
lle n'urine pas sous elle dans ses crises. Etat actuel (1866). — Le
membre
supérieur gauche est notablement moins fort que l
e le droit; c'est à peine si la malade peut serrer avec la main. Le
membre
inférieur gauche est aussi plus faible que l'autr
de leucorrhée.—Traitement tonique. Etat actuel (1871). — L'état des
membres
est variable, se présente sous plusieurs aspects.
res est variable, se présente sous plusieurs aspects. Aujourd'hui, le
membre
inférieur gauche est rigide; le pied est en varus
uin. La malade marche 7 sans aide, mais en boitant. — Parfois, le
membre
inférieur est pris spontanément de trépidation; e
bre inférieur est pris spontanément de trépidation; en même temps, le
membre
supérieur qui, lui, était souple auparavant, se c
lorsqu'on exagère la flexion du pied, on provoque une trépidation du
membre
inférieur gauche, suivie de rigidité du bras, de
ères dans un état (Yextase, ayant de temps à autre du tremblement des
membres
, sans que l'accès devienne complet. 4 mars 1872
eux deviennent fixes, la bouche se contourne ; la malade s'assied, le
membre
inférieur gauche est saisi de secousses rapides q
accès dans l'intervalle desquels elle présente l'état suivant : Les
membres
du côté droit sont libres. — Le bras gauche est a
est souple, mais le coude, le poignet et les doigts sont roides. — Le
membre
inférieur gauche est dans l'extension et moyennem
epuis le commencement de l'année, P... a conservé une contracture des
membres
du côté gauche. En voici la description : Membr
e contracture des membres du côté gauche. En voici la description :
Membre
supérieur gauche. — Il est dans l'extension et la
enar. — Les articulations du coude, du poignet, etc., sont rigides.
Membre
inférieur gauche. — Lui aussi est dans l'extensio
e. Après un accès caractérisé par une exagération de la rigidité du
membre
inférieur gauche avec convulsions vibratoires et
férieur gauche avec convulsions vibratoires et par une contracture du
membre
supérieur correspondant, la malade se met à rire.
fortement en haut et à gauche, les paupières battent rapidement ; les
membres
supérieurs se raidissent et se fléchissent ; les
dement ; les membres supérieurs se raidissent et se fléchissent ; les
membres
inférieurs sont rigides. La face, grimaçante au d
nsécutivement, nous notons la disparition totale de la contracture du
membre
inférieur gauche. Le coude est libre ; l'avant-br
l'épaule droite et, aubout d'une minute, se porte à gauche. Alors, le
membre
supérieur gauche s'allonge ; il survient quelques
droit sur l'avant-bras ; les doigts sont plus ou moins fléchis. — Le
membre
inférieur gauche est dans l'extension, rigide, et
dans l'extension, rigide, et le pied est en varus équin. — Quant aux
membres
du côté droit, ils sont en tièrement libres (
té droit, ils sont en tièrement libres (Pl. VIH). 5 atril. — Le
membre
supérieur est tout à fait souple, même la main. D
u qu'on touche la main, celle-ci et les doigts se contracturent. — Le
membre
inférieur est dans le même état. 21 mai. — P...
guinolente s'écoule de la bouche; la respiration est sterto-reuse;les
membres
sont dans la résolution (période de sler-tor).1.
IE PARTIELLE forme vibratoire. par dessus le rebord, cle. — Les
membres
n'étaient aucunement rigides; ils étaient tous ab
a jambe gauche. Quand on la soulève et qu'on fléchit le pied, tout le
membre
est pris de trépidation. En outre, le front se pl
n observe : a) des mouvements de déglutition; — b) une trépidation du
membre
inférieur droit; les membres supérieurs n'ont poi
s de déglutition; — b) une trépidation du membre inférieur droit; les
membres
supérieurs n'ont point participé à cette sorte d'
contracture du sterno-mastoïdien gauche). Lesmembresducôté droit elle
membre
inférieur gauche sont libres. — Le membre supérie
Lesmembresducôté droit elle membre inférieur gauche sont libres. — Le
membre
supérieur est contracture (attitude ordinaire).
s mouvements spontanés ou provoqués, la contracture n'envahit pas les
membres
du côté gauche. P... se promène dans la salle. Bi
ire la langue; attitudes singulières, changeant à chaque instant, des
membres
inférieurs. P... ne veut parier que par signes.
e ne paraît pas être à ce qu'on lui dit. — Contracture habituelle des
membres
du côté gauche. Les mouvements provoqués, la flex
eut pas allonger la langue, serre les dents. — Pas de contracture des
membres
. — La malade gâte toujours dans ses accès de déli
vers la gauche. Le cou est vigoureusement tendu, comme gonflé. Le
membre
supérieur gauche, soulevé à demi, est légèrement
res sont rigides, sauf celles des doigts qui ne sont que roides. ¦ Le
membre
supérieur droit demeure, tout le temps, appliqué
placé entre l'index et le médius. Le tronc se fléchit à demi. Le
membre
inférieur gauche, très-rigide dans toutes ses art
st d'abord immobile, puis envahi par des secousses tétaniformes. Le
membre
inférieur droit est rigide, mais notablement moin
fre que de rares secousses. Ensuite, l'état de la face, du cou, des
membres
restant le même, il survient des convulsions clon
le même, il survient des convulsions cloniques qui soulèvent les deux
membres
inférieurs au-dessus du lit de telle façon que, d
tendu. Les bras et les jambes sont dans l'extension et rigides, les
membres
du côté gauche plus que ceux du côté droit (i). T
ongés; les trois derniers doigts sont fléchis (Pl. IX); peu après, le
membre
supérieur se place en pronation, la main se fléch
1) Dans les accès tout-à-fait isolés, la rigidité n'intéresse que les
membres
du côté gauche; les phénomènes décrits durent env
aractérisée par de grandes secousses qui affectent principalement les
membres
du côté gauche. La tête retombe sur l'oreiller.
t la tête d'un côté ou de l'autre (1). Dans les premiers accès, les
membres
du côté gauche, seuls, sont rigides et seuls ils
clo-niques. Mais, à mesure que les accès se multiplient, on voit les
membres
du côté droit, la jambe en premier lieu, être env
ousses tétaniformes et les convulsions cloniques. Les attitudes des
membres
, toujours les mêmes dans les accès isolés, subiss
délire, consécutivement aux accès d'épilepsie partielle. Tantôt les
membres
du côté gauche sont souples ; tantôt, ils offrent
33 pour la main gauche et 35 pour la main droite. — Les jointures du
membre
inférieur gauche sont libres. La marche est à pei
qui paraît s'enfoncer entre les épaules, se renverse en arrière ; le
membre
supérieur gauche devient rigide, s'allonge, la ma
.......... 103 23 offrant une attitude singulière (Pl. VIII) ; le
membre
inférieur est également rigide, dans l'extension,
s, il survient dans la jambe seule, des secousses tétaniformes. — Les
membres
du côté droit sont respectés ; quelquefois, la co
cède une période clonique consistant en convulsions circonscrites aux
membres
du côté gauche et prédominant au membre inférieur
onvulsions circonscrites aux membres du côté gauche et prédominant au
membre
inférieur. Parfois, enfin, il y a une période de
e variété, les convulsions se généralisent ; le tétanisme envahit les
membres
du côté droit. Les convulsions cloniques, quelque
s, quelquefois limitées au côté gauche, envahissent d'autres fois les
membres
du côté droit ; elles y sont toujours moins inten
té très-vive. — Début des attaques. — Affaiblissement paralytique des
membres
inférieurs.— Chorée. — Symptômes permanents de l'
ient danj lo côté gauche. De plus, V... avait une contracture des
membres
inférieurs, contracture plus accusée à gauche, où
V... n'aurait pas eu d'attaques; mais elle avait de la faiblesse des
membres
inférieurs, et ne pouvait marcher qu'à l'aide de
à fait en bas et à gauche ; les pupilles se dilatent; la rigidité des
membres
augmente ; puis, le tronc s'incurve , les bras ,
s lèvres se plissent ; les yeux se portent à gauche et en bas ; — les
membres
supérieurs se contracturent dans la demi-flexion,
es se portent en haut; les mains et les doigts s'infléchissent ;— les
membres
inférieurs se fléchissent; enfin il y a quelques
son séjour à Lariboisière, et était dirigé contre la contracture des
membres
inférieurs, qui, on se le rappelle, prédominait à
taque, V... est restée dans un état de contracture modérée des quatre
membres
, prédominant aux bras et surtout au bras gauche.
nuit ; mais, ce matin, on l'a trouvée avecune contracture des quatre
membres
dans l'extension, laquelle a disparu à 8 heures e
gauche, côté le moins fort ; les épaules se soulèvent brusquement,les
membres
s'agitent ; en buvant, elle renverse quelquefois
ut; pourtant, elle est capable de coudre sans trop de difficulté. Les
membres
inférieurs sont plus affectés que les supérieurs.
nir et qui reste en arrière ; le pied se place en travers. — Les deux
membres
inférieurs sont pris de trépidation spontanée, pr
xe dit du tendon rotn-lien. — La notion déposition est perdue pour le
membre
inférieur gauche. 13 nov. — Paraplégie hystériq
ouait la jambe, » ensuite sentiment de pesanteur). — La paralysie des
membres
inférieurs, surtout du gauche n'a pas changé. — C
de rigidité : Cri plus ou moins prolongé et modulé ; contracture des
membres
dans l'extension, puis demi-rotation du corps ave
tension, puis demi-rotation du corps avec demi-flexion simultanée des
membres
supérieurs. V) Phase des secousses tétaniformes
Après ces attaques épileptiformes, durant la période de stertor, les
membres
demeurent rigides, ce qui n'a pas lieu dans la pé
s'agit, du reste, ici, de la chorée vulgaire. Elle prédomine dans les
membres
du côté gauche, de même que l'hyperesthésie ovari
me phénomènes marquants: 1° la trépidation spontanée ou provoquée des
membres
inférieurs ; 2° le phénomène du tendon rotulien,
s fortement portés en dedans ; pupilles dilatées ; rigidité générale,
membres
dans l'extension. — h) Bouche largement ouverte ;
tout le côté droit et, de plus, tout le côté gauche, à l'exception du
membre
inférieur. L'hpper-esthésie ovarienne est double
ontait du pied au ventre. Dans la soirée, fourmillements dans tout le
membre
inférieur droit, avec battements dans la fesse co
res et demie, le tremblement a été remplacé par des sauts brusques du
membre
revenant une ou deux fois par minute. Ils se sont
dans le bras droit et des douleurs dans l'épaule. Les soubresauts d u
membre
inférieur ont cessé. La nuit a été assez bonne ;
de ne peut la fléchir, ni l'allonger quand on l'a pliée. Au repos, le
membre
est porté en dehors. Dans la marche, qui n'est po
uleurs dans la jambe droite. Au réveil, contracture très-prononcée du
membre
inférieur droit, dans l'adduction ; pied bot équi
hanche droite. On s'est aperçu qu'elle avait une contracture des deux
membres
inférieurs. Le membre inférieur droit est dans
perçu qu'elle avait une contracture des deux membres inférieurs. Le
membre
inférieur droit est dans l'extension; la cuisse e
n tandis que la jambe est un peu écartée ; le pied est en équin. Le
membre
inférieur gauche est contracture dans la flexion
paume de la main, le pouce placé entre l'annulaire et le médius. — Le
membre
inférieur droit est toujours contracture. (Pl. XX
ainsi que les sens spéciaux. La notion de position est perdue pour le
membre
inférieur. — A gauche , la sensibilité est intact
épïlepti formes, on note, en outre, une contracture du bras droit.
Membre
inférieur droit : la hanche et le genou sont simp
lui tire la jambe du talon à la fesse, comme avec un fil de fer. »
Membre
supérieur droit: l'épaule et le coude sont roides
iane, les poignets se touchant par leur face dorsale (Pl.XVI)(1);—les
membres
inférieurs sont allongés et rapprochés, les pieds
tions si rapides que nous avons signalées au début de l'attaque ; les
membres
sont animés de secousses tétaniformes, quelquefoi
ois, se succèdent dans la même attaque. a) Mouvements cloniques des
membres
, pour ainsi dire surplace; — de la tète qui bat l
l. XXIII). Dans Y intervalle des attaques, le corps est rigide, les
membres
sont dans l'extension et on observe la plupart de
contracturée dans l'extension; il en est de même du bras droit. — Les
membres
du côté gauche sont souples. La malade délivrée d
douleur de la jambe droite reste aussi intense et la contracture des
membres
du côté droit est aussi complète que possible. (
t, de secousses à peu près générales, mais plus intenses dans les
membres
du côté droit. En voulant boire, elle s'est fait
le 1er novembre, chorée rhythmique affectant la tète, le tronc et les
membres
du côté droit. La tête et le tronc se portent e
, se met en pronation, se fléchit, et vient toucher l'épaule; — 2° le
membre
inférieur, qui était allongé, se fléchit, la cuis
ouvements bruyants de déglutition, la protrusion de la langue, et les
membres
du côté droit sont envahis par une contracture tr
, la contracture disparaît et les mouvements rhythmés du tronc et des
membres
tout à l'heure étendus et rigides recommencent de
.. a eu trois attaques qui ont laissé après elles une contracture des
membres
du côté droit. Enfin, après avoir eu quelques sec
le la suspend encore une fois. La malade conserve une contracture des
membres
du côté droit. — La chorée reparaît à six heures
ues. Après la dernière, les mouvements choréiques ont reparu dans les
membres
du côté droit. Nouvelle inhalation de nitrite d'a
interrompu. Ce matin, en se réveillant, X... avait une contracture du
membre
inférieur droit, dans l'extension, une contractur
quefois sanguinolente et secousses isolées soit des épaules, soit des
membres
(20 secondes.) Période de détire. — Gris d'effr
hors de la bouche, sa congestion extrême l'extension du corps et des
membres
, l'attitude du crucifiement, phénomènes que nous
t dit, se mordant au bras, et contournant horri- » blement tous les
membres
; que l'agitation cessa peu » après, et que la
à maintes reprises chez L... Toujours ils prédominaient dans les
membres
du côté droit, c'est-à-dire du côté où existent l
RO-ÉPILEPSIE CONTRACTURE nution de la force musculaire dans les
membres
du côté droit (parésie) lorsque, à la suite d'att
contracture et cela parait vrai non-seulement pour la contracture des
membres
, mais aussi pour les contractures qui affectent s
récède. Nous ne rappellerons pas les caractères de la contracture des
membres
qui a revêtu la forme hémiplégique. (Pl. XXIX et
bre 1877, nous la trouvons, un matin, avec une contracture des quatre
membres
(forme diplé-gique) : les membres supérieurs sont
in, avec une contracture des quatre membres (forme diplé-gique) : les
membres
supérieurs sont dans l'extension et la pronation
cessivement du bras correspondant, des muscles du pharynx, enfin, des
membres
du côté gauche. Suivant elle, on aurait été oblig
es paupières se ferment, la face se convulsé et se congestionne ; les
membres
supérieurs se contracturent dans l'extension et q
uction; les mains sont fléchies et dans la pronation (Pl. XXXII); les
membres
inférieurs sont rigides et rapprochés, les pieds
ments des yeux, convulsions isolées de la face, petites secousses des
membres
, auxquelles s'ajoutent, mais non constamment, des
le pendant lequel la malade offre une contracture, tantôt de tous les
membres
, tantôt des membres du côté droit seulement ; enf
malade offre une contracture, tantôt de tous les membres, tantôt des
membres
du côté droit seulement ; enfin, les attaques peu
, 149, 159, 165; — du larynx, 165; — des mâchoires, 98, 142, 159; —
membres
inférieurs, 96,135, 141, 146 159 163; — des membr
98, 142, 159; — membres inférieurs, 96,135, 141, 146 159 163; — des
membres
supérieurs, 134, 141, 146, 165; — des muscles de
— E P. hémiplégique, 5, 7; Accès, 43, 46, 48, 55, 60; —Atrophie des
membres
, 45,57,etc. ;—Aura, 8, 10, 17, 26, 32, 35, 48, 54
, 1 m. 89 de hauteur, et il faut remarquer que le développement des
membres
inférieurs est considérablement exagéré en comp
exagéré en comparaison de la longueur du tronc. Cet allongement des
membres
inférieurs apparaît encore augmenté par le fait
voûté et qu'il présente une cyphose dor- sale assez prononcée. Les
membres
supérieurs aussi apparaissent plutôt allon- gés
ue est assez réduite (35 kil.). Vu de profil, on s'aperçoit que les
membres
supérieurs sont un peu tombants en avant à caus
la disproportion qui existe entre le développement du tronc et des
membres
, le faciès imberbe, la voix haute, la peau fine
on donnait la mort à tous ceux de leurs enfants qui « nés avec des
membres
déformés courbes, ne promettaient pas à l'Etat
grande ; menton : rond ; visage : teint foncé ; signes divers : les
membres
courts et courbés. Antécédents. Ses parents son
tisme, ni autre déformation. Dès son enfance, on a remarqué que ses
membres
ne se développaient pas et qu'il bégayait ; ce
e résultat car il bégaie toujours. Il était bien portant sauf que ses
membres
ne grandissaient pas. Il se plaint qu'il ne peu
e. Sa tête présente les mensura- tions suivantes : 36 ZOSIN des
membres
sont, par rapport aux membres normaux, d'autant p
a- tions suivantes : 36 ZOSIN des membres sont, par rapport aux
membres
normaux, d'autant plus courts qu'on approche de
e longueur que les jambes, Etant debout, au repos (V. Pl. V), les
membres
supérieurs de notre sujet tombent sans s'approc
fait qu'ils sont trop petits pour le corps dont ils dépendent. Les
membres
supérieurs descendent à peine au niveau des gra
doigts louchent à peine une ligne qui passerait par le pubis. Les
membres
inférieurs sont courbés avec concavité en dedans,
'accommodant à la brièveté des os. Les dimensions, en longueur, des
membres
de notre sujet sont les suivantes : bras 17 cen
ssez grande même pour un homme d'une taille normale, tandis que ses
membres
sont trop.court; 44 MOLODENKOF relativement a
la petitesse de la taille dépend uniquement du raccourcissement des
membres
inférieurs. Chacun sait que la distance du vert
à convexité gauche ; l'ensellure lombaire est très prononcée. Les
membres
supérieurs sont très courts, l'extrémité des doig
ement ils atteignent le tiers inférieur de la cuisse. Il existe aux
membres
supérieurs une légère flexion de l'avant-bras e
as et l'extension complète en est impossible. Tous les segments des
membres
sont réduits, mais on observe la plus grande ré
alanges et s'écartent les uns des autres par leurs extrémités. Au
membre
supérieur droit nous trouvons lesdimensions suiva
arpe = 4 cent. et celle du médius =. 6 cent. 5. Les dimensions du
membre
supérieur gauche sont presque les mêmes,. sa lo
. sa longueur totale est d'un demi-centimètre en moins que celle du
membre
droit. Les membres inférieurs sont aussi racc
est d'un demi-centimètre en moins que celle du membre droit. Les
membres
inférieurs sont aussi raccourcis avec le même car
tère de micromélie rhizomélique.. Voici les mesures prises sur le
membre
inférieur droit : la longueur totale = 39 cm. 5
ais par rapport leur brièveté elles ont l'air d'être épaissies. Les
membres
inférieurs sont un peu arqués, ce qu'on observe s
; depuis la mois de juin la malade seutant des douleurs le long du
membre
supérieur droit. Depuis 5 semaines, douleurs en
e. Des petites tumeurs rosâtres se trouvent dans le voisinage. Le
membre
supérieur droit pend inerte le long du corps. La
enou. Le réflexe du tendon d'Achille est normal. La sensibilité aux
membres
inférieurs est conservée, 2 novembre. - Depuis
inférieurs est conservée, 2 novembre. - Depuis quelques jours, les
membres
inférieurs sont parésiés ' surtout celui du côt
on du genou, du pied et des orteils étaient encore pos- sibles). Le
membre
inférieur droit a perdu toute faculté de mouvemen
douleur. comme si l'on cassait sa hanche droite et sa gauche; « le
membre
inférieur droit lui semble alors plus court que l
urd'hui; il ne se fatiguait pas et n'avait pas de douleurs dans les
membres
inférieurs. Pendant ces dernières années TUMEUR
. Les autres nerfs crâniens sont normaux. La force musculaire des
membres
inférieurs est bien conservée. Les ré- flexes d
sont faibles des deux côtés. La sensibilité est bien conservée. Les
membres
inférieurs conservent leur force muscu- laire n
sous les côtes, et sur la ligne ombilicale. La force musculaire des
membres
supérieurs est bonne. Le gros orteil du pied droi
ue certains espaces intercostaux infé- rieurs à droite. Météorisme.
Membres
inférieurs atrophiés surtout dans la région des
rable en dehors de la pomme d'Adam. Quant aux nerfs crâniens et aux
membres
, on n'y trouve pas de change- ments. Le réflexe
st douloureuse. Météorisme. Les réllexes tendineux et peauciers des
membres
inférieurs sont conservés; les abdominaux impos
'une moyenne intensité mais stables. Peu à peu elles ont envahi les
membres
infé- rieurs et toute la colonne vertébrale. El
tions de chaud et de fourmil- lement) dans le dos, le ventre et les
membres
inférieurs. Elle marche difficile- ment à cause
rvicte du Dr Bregman. Son état à ce moment-là était le suivant : le
membre
inférieur gauche est plus faible que le droit. Le
rnes sans changements appréciables. Les nerfs crâniens normaux. Les
membres
supérieurs fonctionnent normalement. Les réflexes
éflexes du muscle triceps et périostal, normaux des deux côtés. Les
membres
inférieurs, au point de vue des mouvements, son
au point de vue des mouvements, sont normaux. Quanta leur force, le
membre
gauche en jouit à un degré plus grand que le dr
une sensation comme si ou « la coupait avec un couteau) ». Tout le
membre
inférieur droit lui fait mal. Les douleurs, noctu
ste. La malade marche en se tenant raide. La force muscu- laire des
membres
inférieurs est bonne. Les réflexes patellaires so
de se suicider (en vaiu). Douleurs dans le dos, en ceinture et aux
membres
inférieurs (à droite plus fortes). De temps en
ux membres inférieurs (à droite plus fortes). De temps en temps les
membres
inférieurs se plient automatiquement même quand
vers la région abdominale. Les douleurs envahissaient peu à peu les
membres
supérieurs et toute la colonne vertébrale. Au d
is avant l'entrée à l'hôpital, elle présentait l'affaiblissement du
membre
supérieur droit, de vifs réflexes patellaires,
t des nerfs sciatiques et cruraux. Etat actuel. - Nerfs crâniens et
membres
supérieurs sans changement. Membres supérieurs
tat actuel. - Nerfs crâniens et membres supérieurs sans changement.
Membres
supérieurs : le droit un peu plus faible ; les ré
incessantes dans toute la colonne vertébrale, s'irradiant vers les
membres
inférieurs et l'abdomen, douleurs qui ne la qui
ite était plus faible que la gauche, que les réflexes tendineux aux
membres
inférieurs étaient exagérés, le signe de Babins
table. Les pupilles sont égales,, réagissant bien à la lumière. Les
membres
supérieurs et inférieurs ne présen- tent aucun
du gauche, l'extension reste bonne. La sensibilité est intacte aux
membres
inférieurs. Les réllexes peauciers (plantaire,
la tête. Pas de changements dans les nerfs crâ- niens, ni dans les
membres
. Réflexes tendineux aux membres inférieurs, sup
s les nerfs crâ- niens, ni dans les membres. Réflexes tendineux aux
membres
inférieurs, supérieurs faibles. On constate au
l y a 6 mois il a ressenti une douleur au sacrum ; elle a envahi le
membre
inférieur droit (face antérieure). Une semaine
casie où il prenait des bains sulfureux et de boue. C'est là'que ses
membres
inférieurs surtout le gauche commencèrent à mai
qu'il est devenu plus faible et lourd ces derniers temps. Les deux
membres
inférieurs sont maigres (surtout le gauche). Les
nus augmenté), plutôt hypotonicité. La sensibilité est intacte (aux
membres
inférieurs aussi bien qu'au niveau du sa- crum
u sacrum, à la cuisse etau genou. Le malade commença à maigrir. Les
membres
inférieurs devenaient plus faibles, surtout le ga
naires se sont installés. A l'exa- men du malade,on constate que le
membre
inférieur gauche a la force mus- culaire diminu
ment. Les douleurs localisées surtout à la face antérieure des deux
membres
inférieurs font supposer cette situation de la
n de la tumeur. L'absence de dou- leurs sur la face postérieure des
membres
supérieurs fonl présumer que les racines sacrée
e la cuisse gauche. Depuis 4 jours, les douleurs ont envahi tout le
membre
inférieur gauche. Presque simultanément le mem-
t devenu oedémateux. Les douleurs au sacrum se calmèrent un peu. Le
membre
supérieur droit est libre des douleurs jusqu'à pr
emps très court, même sur un coussin mou. Les nerfs crâniens et les
membres
supérieurs ne présentent rien de notable. Les m
membres supérieurs ne présentent rien de notable. Les mouvements du
membre
inférieur droit sont conservés,avec une force e
rieur droit sont conservés,avec une force et amplitude normales. Le
membre
inférieur gauche a les mouvements très limités.
mités et faibles. De fortes douleurs accompagnent l'abduction de ce
membre
. Au genou gauche, mouvements limités et fai- bl
t interne de l'anus sont paralysés. Le ré- flexe anal est aboli. Le
membre
inférieur gauche est très douloureux il la pal-
supé- rieure de la hanche. Successivement, douleurs dans tout le
membre
gauche et gonflement de ce membre. Hyperesthési
essivement, douleurs dans tout le membre gauche et gonflement de ce
membre
. Hyperesthésie de la jambe. Depuis 3 semaines, ré
étention complète de l'urine. Depuis 3 semaines, affaiblissement du
membre
in- férieur gauche, depuis 2 jours, paralysie d
dehors de cela, la sensibilité est intacte. La force musculaire du
membre
droit est normale. La force musculaire de la ja
re du côté droit conservés, à gauche abolis.Gon- flement de tout le
membre
inférieur gauche. Rétention et incontinence des
inférieures. L'affaiblissement prédominant aux segments distaux du
membre
gauche (immobilité du pied) confirme celle supp
l, et l'abolition du ré- flexe anal. L'affaiblissement de tout le
membre
inférieur gauche ainsi que l'aboli- tion du réf
; de cette façon elle a produit ainsi l'affaiblissement de tout le
membre
gauche, l'abolition du réflexe patellaire, le gon
membre gauche, l'abolition du réflexe patellaire, le gonflement du
membre
et la paresthésie de la peau sur l'étendue de tou
ent du membre et la paresthésie de la peau sur l'étendue de tout le
membre
(1). Observation VII. Le malade J. R..., âgé
x pieds (à gauche un peu plus). Puis cette sensation a en- vahi les
membres
inférieurs tout entiers. A la fin du mois de mars
entiers. A la fin du mois de mars est apparu l'affaiblissement des
membres
, le malade dut se servir d'une canne.Tout le mo
il se plaignait davantage de la jambe gauche. L'affaiblissement des
membres
croissait toujours et au bout de deux semaines
n conformé. Les nerfs crâ- niens ne présentent rien de notable. Les
membres
supérieurs de même. Les réflexes tendineux et p
ieurs de même. Les réflexes tendineux et périostaux sont normaux.
Membres
inférieurs : le malade ne peut pas marcher sans ê
er. Il chancelle. Couché il exécute des mouvements minimes avec les
membres
inférieurs, surtout avec celui du côté gauche.
ssus du lit,la gauche à 3 centimètres. Après quelques mouvements le
membre
gauche retombe inerte. La flexion des genoux est
ensibilité tactile, doulou- reuse et thermique est atteinte sur les
membres
inférieurs et l'abdomen jus- qu'à la ligne pass
es sont bien senties. Il se trompe plus rarement quand on pique son
membre
inférieur gauche. La plus atteinte sous ce rapp
a 6 mois, il a ressenti des paresthésies des deux jambes, puis des
membres
inférieurs tout entiers. Lesjambes sont devenues
ion de serrement du ventre. Affaiblissement du pied gauche puis des
membres
inférieurs surtout du gauche. Depuis quelques s
troubles urinaires légers. Etat actuel. Les nerfs crâniens et les
membres
supérieurs ne présen- tent rien de notable. La
res) est atteinte sur l'abdomen, au- dessus de l'ombilic et sur les
membres
inférieurs (plus marquée du côlé droit). Escarr
augmenta continuellement pendant quelques années. II y a 4 an 1/2, le
membre
supérieur droit est devenu faible et contractur
/2, le membre supérieur droit est devenu faible et contracture, les
membres
gauches, quoique faibles pouvaient bien exécute
le on le promenait et fu- contusionné. Depuis ce temps,-dit-il, les
membres
gauches se contractèrent aussi. Il n'avoue pas
nt faiblement à la lumière. Les autres nerfs crâniens sont normaux.
Membres
supérieurs : le membre supérieur droit est consta
re. Les autres nerfs crâniens sont normaux. Membres supérieurs : le
membre
supérieur droit est constamment con- tracture (
de la main et des doigts sont moins marquées que du côté droit. 0
Membres
inférieurs : le membre inférieur droit est contra
sont moins marquées que du côté droit. 0 Membres inférieurs : le
membre
inférieur droit est contracture en flexion, la
Le pied repose sur le lit principa- lement par son bord interne. Le
membre
gauche est étendu sur le membre droit de telle
pa- lement par son bord interne. Le membre gauche est étendu sur le
membre
droit de telle façon que le tiers inférieur de
M. les D' Bornstien et Sterling. 68 FLATAU Mouvements actifs : le
membre
supérieur droit dispose seulement du mouve- men
araître des mouvements associés de la tête et de la main gauche. Le
membre
supérieur gauche peut être levé légèrement à l'ép
des doigts et une flexion minime du genou. Mouvements passifs : Le
membre
supérieur droit peut être élevé en haut jusqu'à
acarpo-phalangieune ; les doigts peuvent être remués facilement. Le
membre
supérieur gauche a les muscles extenseurs du coud
que le genou. Mouvements automatiques : le malade se plaint que le
membre
inférieur gauche se fléchit et s'étend malgré l
inférieur gauche se fléchit et s'étend malgré lui. Réflexes : le
membre
supérieur droit a les réflexes du triceps et péri
t sur les deux pieds. La sen- sibilité douloureuse est diminuée aux
membres
supérieurs (plus sur les doigts), hypoalgésie s
sur les doigts). La sensibilité thermique est très atteinte sur les
membres
inférieurs supérieurs et le tronc jusqu'au 11°
ertèbres, mais dans les espaces intercostaux (obs. III) ou dans les
membres
. Quelquefois la douleur apparaît dans les vertèbr
temps il n'exis- tait que l 'exagération des réflexes tendineux des
membres
inférieurs, sans affaiblissement de la force mu
te des phénomènes spastiques très prononcés et des contractures des
membres
. Notre malade faisait l'im- pression d'un indiv
èbres cervicales ; il y avait des phénomènes spastiques du côté des
membres
inférieurs ; l'autopsie n'a démontré aucune lésio
oie, où il y avait de fortes dou- leurs du nerf sciatique, des deux
membres
inférieurs, des vertèbres, dou- leurs en ceintu
une certaine fréquence dans des cas d'hémiplégie organique dans le
membre
inférieur paralysé. Peut-être paraît-il inutile
signe se pré- sente associé aux autres signes classiques du côté du
membre
inférieur, dans quelques autres cas plus rares,
dans le coma ) faire les recherches méthodiques des t mouvements du
membre
inférieur. Voici en quoi consiste le phénomène.
ération du système pyramidal, soit dans la jambe même, soit dans le
membre
supérieur ou dans le domaine du facial. Car un sy
e peut inspirer la vue d'une maladie familiale frap- pant plusieurs
membres
dans la même nichée et dans le milieu même où e
ère et sa mère étaient morts âgés depuis peu de temps. Jamais aucun
membre
de sa famille n'avait souffert de troubles nerveu
sphère cérébelleuse. Atrophie musculaire énorme en jarretière aux
membres
supérieurs et inférieurs. Valgisme et équînisme
t de santé, elle fut atteinte par de la lièvre avec convulsions des
membres
, spasmes des yeux et raideur géné- ralisée. " 1
que l'enfant présentait encore un certain degré de contracture aux
membres
inférieurs. En effet Marguerite traînait légère-
a mère fut ensuite attirée par les modifications survenues dans les
membres
inférieurs. En effet les pieds prenaient une posi
s phénomènes d'atrophie musculaire, débutant par les extrémités des
membres
, soient restés isolés pendant plusieurs années.
50 à peu près. Le tronc est lourd et carré, le dos est voûté. Les
membres
à leur racine sont très gros et très forts. Il es
cette atrophie est absolument limitée à la portion périphérique des
membres
et que le côté proximal, c'est-à-dire la racine d
que des membres et que le côté proximal, c'est-à-dire la racine des
membres
, est complètement épargnée. 106 -BERTOLOTTI
sont plus prononcées. On peut dire en conclusion que l'atrophie des
membres
supérieurs chez Marguerite s'arrête en forme de
éflexe cutaué plantaire est absent. Tous les mouvements passifs des
membres
inférieurs sont assez faciles ; on ne peut rele
de l'excitatihilité neuro-musculaire galvanique et faradique. Aux
membres
supérieurs, sur le deltoïde, le biceps et le tric
glosse. - - z Asynergie cérébelleuse. Rigidité spasmodique aux
membres
inférieurs avec abolition des réflexes tendineu
uilles. En même temps apparaissaient des altérations trophiques aux
membres
in- férieurs : les pieds maigrissaient, la peau
aux extrémités et va en diminuant de la périphérie à la racine des
membres
. Les masses musculaires du tronc sont un peu mo
les phénomènes paralytiques et atrophiques sont limités aux quatre
membres
. Voici (PI. XIII) la photographie de la main ga
t indolore. Extrémités inférieures. - Comme nous l'avons décrit aux
membres
supé- rieurs, l'atrophie musculaire aux extrémi
ne. , , : Le réflexe cutané plantaire est-aboli. La rigidité 'des
membres
inférieurs chez Aurélie est plus' accusée que c
ions tendiueu- ses, mais aussi à un certain degré de spasticité des
membres
inférieurs. Ses genoux sont eh adduction forcée
type myopalhiq ue. Aucune trace de rigidité ni de contracture aux
membres
. - Diminution des réflexes tendineux. - Exagéra
. Il s'agit en effet d'une atrophie musculaire localisée aux quatre
membres
avec prédominance aux extrémités. Le cou est un
in du degré atteint chez ses soeurs. Extrémités inférieures. -- Les
membres
inférieurs d'Elisabeth sont bien loin de présen
né plantaire est absent. ' Il faut rétorquer que chez Elisabeth les
membres
inférieurs sont parfai- tement souples et qu'il
its muscles delà main sont inexcitables au courant faradique. Aux
membres
inférieurs, on trouve une excitabilité électrique
sés à une atteinte grave du système nerveux. En effet, sur les sept
membres
de cette famille deux sont morts à la suite d'att
et enfin l'exagéra- tion des réflexes profonds et la spasticité des
membres
. De l'autre côté ,on retrouve des symptômes d'o
eau morbide était constitué par de la diplégie avec amyotrophie des
membres
supérieurs, avec nystagmus, strabisme, bradylal
tains de participation médullaire, par le fait de l'amyotrophie des
membres
supérieurs. Je suis parfaitement d'accord avec
us, la bradylalie, les troubles de la déglutition et l'atrophie des
membres
, sont communs chez eux. Seulement, dans les cas
à fait caractéris- tique de présenter une amyotrophie localisée aux
membres
et parfaitement identique au type Charcot-Marie
ière enfance, avaient été frappés par une rigi- dité spasmodiquedes
membres
avec strabisme, nystagmus, atrophie des nerfs e
iques, des troubles de la sensibilité objective à la périphérie des
membres
et enfin, fait très impor- tant à relever, on p
celte maladie l'atrophie musculaire, au lieu de rester limitée aux
membres
, peut aussi se propager aux muscles du visage e
nous pouvons retenir que l'exagération des réflexes pro- fonds aux
membres
inférieurs, bien que rare, n'est pas exceptionnel
me entre les réflexes tendineux et les autres réflexes profonds des
membres
inférieurs (réflexe homolatéral ou controlatéra
où il existait tous les signes d'une lésion névritique intense des
membres
inférieurs, il était encore possible de provoqu
s (1) Bertolotti et VILOBRA, Elude sur quelques réflexes osseux des
membres
inférieurs à l'état normal et pathologique . Co
QUE SUR TKOIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 1 ï1 1 profonds (osseux) des
membres
inférieurs doivent suivre une voie centri- pète
, étant posé, il est logique d'admettre que les réflexes osseux des
membres
infé- rieurs peuvent avoir une importance assez
, il se- rait seulement la conséquence de l'atrophie musculaire des
membres
infé- rieurs ou des durillons douloureux des ex
dant lespre- mières années de la vie ; l'arrêt de développement des
membres
paraly- sés est d'autant plus prononcé que la p
articulation scapulo-humérale et a de la difficulté à sou- lever le
membre
supérieur droit au-dessus de la ligne horizontale
- M. A. se plaint de douleurs comparables à un arrachement dans les
membres
du côté droit. Contre l'insomnie nous ordonnons t
gts de la main droite et d'éprouver de fortes douleurs dans tout le
membre
supérieur droit. Pas de troubles de la sensibil
e mem- bre droit qui est parésié ; douleurs moins violentes dans le
membre
inférieur droit. L'artère radiale droite est so
roite est souple ; le pouls est bien frappé. Le trajet des nerfs du
membre
supérieur droit n'est pas particulièrement doulou
s : la sensibilité tactile et douloureuse est intacte au niveau des
membres
parésiés ; le sens sté- réognostique est conser
ire ; les réflexes pupillaires sont normaux. La force musculaire du
membre
supérieur droit est très diminuée ; celle du me
e musculaire du membre supérieur droit est très diminuée ; celle du
membre
inférieur l'est beaucoup moins. Les mouvements du
auche ; les muscles de la face sont animés d'un tremblement fin. Le
membre
supérieur droit est atteint de secousses convulsi
us étendues et plus rapides dès que le malade cherche à mouvoir son
membre
. Les secousses musculaires ont lieu en même tem
mbre. Les secousses musculaires ont lieu en même temps dans tout le
membre
et détermi- nent une flexion de l'avant-bras su
sont toujours très vives. Mêmes symptômes physiques. Les spasmes du
membre
droit sont cependant moins accusés. 30. - Les
eau de la main du côté droit sont très atténuées. Les mouvements du
membre
supérieur sont plus faciles. M. A. commence à m
t encore un peu scandée ; l'écriture est normale. Les mouvements du
membre
supérieur droit et la force musculaire sont norma
uis plus tard, apparaissent des secousses convulsives localisées au
membre
supérieur droit; les troubles trophiques s'acce
des fourmillements aux doigts et des secousses convulsives dans le
membre
supérieur droit avec scotome scin- tillant. Un
incirent et le derme s'atrophia ; puis l'atrophie porta sur tout le
membre
supérieur. La sensibilité était légère- ment di
nt. Il est apparu de la douleur au dos. Deux semaines plus tard les
membres
inférieurs commencè- rent à faiblir, trois jour
ires normaux. Sensibilité troublée sur les jambes. La paralysie des
membres
inférieurs est devenue flasque ! ,le 26 sep- te
s est devenue flasque ! ,le 26 sep- tembre), troubles sensitifs aux
membres
inférieurs et dans la moitié infé- rieure de l'
sie en quel- quesjours. Au commencement le tonus musculaire dans le
membre
su- périeur gauche était exagéré (à droite dimi
z bien. Il y a une semaine elle a ressenti de la raideur de tout le
membre
supérieur droit. En même temps le membre est de
i de la raideur de tout le membre supérieur droit. En même temps le
membre
est devenu le siège d'une douleur s'irra- diant
est devenu le siège d'une douleur s'irra- diant vers l'omoplate. Le
membre
était froid ; sur sa face postérieure les veines
id ; sur sa face postérieure les veines se gonflèrent. Peu à peu le
membre
s'affaiblissait davantage. Les mouvements sont
et de la raideur de la main gauche. Une demi- heure après, les deux
membres
supérieurs étaient paralysés. Les inférieurs co
mie et elle dormit deux heures de suite. Quand elle se réveilla les
membres
inférieurs étaient aussi paralysés. Auparavant
e est conservée. Les mouvements des globes oculaires sont bons. Les
membres
supérieurs sont complètement paralysés. Les réfle
te sans aucun mouvement. Les réflexes abdominaux sont abolis. Les
membres
inférieurs sont presque complètement paralysés. I
ation veineuse sur la face antérieure de la cage thoracique. Ni les
membres
supérieurs ni les inférieurs ne présentent d'oe
rps depuis les clavicules ou le bord supérieur des omo- plates (les
membres
supérieurs y compris). La sensibilité thermique e
pris). La sensibilité thermique etdoulou- reuse est abolie dans les
membres
inférieurs et affaiblie dans les supérieurs et
u plus vif, le plantaire très faible. Le toucher est aboli dans les
membres
inférieurs et sur l'abdomen jusqu'aux côtes inf
squ'aux VA et IVe espaces intercostaux elle est affaiblie. Dans les
membres
supérieurs la sensibilité tactile et douloureuse
supérieurs la sensibilité tactile et douloureuse est affaiblie. Au
membre
supérieur gauche les troubles sensitifs se locali
me temps la face et le cou enflent. Neuf semaines plus tard tout le
membre
supérieur droit devient raide, la malade y ressen
périeur droit devient raide, la malade y ressent des douleurs et le
membre
s'affaiblit peu à peu. Quelques jours avant la mo
. Quelques jours avant la mort il y avait des paresthésies dans les
membres
supérieurs, la main gauche tremble, de- vient d
euse et se raidit. Très vite se développe la paralysie complète des
membres
supérieurs. Après deux heures de sommeil la malad
eurs. Après deux heures de sommeil la malade se ré- veille avec les
membres
inférieurs paralysés. A l'examen de la malade fai
orps thyroïde. La figure est enflée. La tête reste immobile, raide.
Membres
supérieurs complètement paralysés Réflexes tend
exes tendineux faibles, périostaux abolis. Le tronc reste immobile.
Membres
inférieurs presque complètement paralysés. Réflex
n de l'urine et des matières fécales. La sensibilité est abolie aux
membres
inférieurs et à l'abdomen, diminuée depuis les de
oelle offrait des lésions qui ont provoqué la paralysie de tous les
membres
. L'autopsie de tout le corps n'ayant pu être fa
. La force musculaire et la sensibilité sont intactes dans tous les
membres
. Les réflexes patellaires et achilléens sont tr
ic et de morphine. Puis il a ressenti un engourdissement de tout le
membre
inférieur gauche. Les douleurs augmentaient dan
mammaire droite, instables, qui peu à peu se pro- pagèrent vers le
membre
supérieur droit et tourmentèrent le malade jour
t une trépidation épileptoïde légère. Ce n'est que plus tard que le
membre
inférieur gauche s'engourdit. Ee malade a quitt
eux. Les douleurs sont devenues très fortes depuis une semaine, les
membres
inférieurs sont lourds, le malade a de la peine
ière. Les mouvements des globes oculaires sont bons. Pouls 132. Les
membres
supérieurs ne pré- sentent rien d'anormal. Le
périeures et dorsales inférieures sont douloureuses. La paralysie des
membres
156 FLATAU inférieurs est complète et fiasque
es pieds et les jambes ; douloureux : dans les segments distaux des
membres
inférieurs la sensibilité douloureuse est affaibl
t elle est abolie ; thermiques : affaiblissement de ce sens sur les
membres
inférieurs, abolition sur la jambe et le pied dro
leur maximum et alors survint la paralysie presque instantanée des
membres
inférieurs TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE
ule et le bras gauches et affaiblissement de la force musculaire du
membre
. Pendant que persis- tent les douleurs, intervi
-épineux du côté gauche. Les mouvements de la tête sont normaux. Le
membre
supérieur gauche ne peut pas être élevé jusqu'à
s être élevé jusqu'à la ligne horizontale. Quand la malade porte le
membre
supérieur gauche en avant, l'épaule s'élève en
l'omoplate se sépare du tronc comme une aile. Les mouvements de ce
membre
: la flexion et l'extension du coude sont affai
, la malade- commença à ressentir des douleurs, de ce côté, dans le
membre
supérieur et sur le tronc, surtout au niveau des
fait place à une difficulté d'uriner, à un affaiblissement des deux
membres
inférieurs, surtout du gauche. Il y a une semai
deux membres inférieurs, surtout du gauche. Il y a une semaine les
membres
inférieurs et le tronc sont devenus faibles à t
r l'épaule gauche. Partout ailleurs, elle est conservée. Les deux
membres
inférieurs sont très affaiblis. Dans la position
du dos et de la nuque persistent toujours. La force musculaire des
membres
inférieurs et du supérieur droit est augmentée. A
poumons. 8 septembre. - Mouvements de la tête impossibles. Dans le
membre
supérieur gauche, l'unique mouvement qui a pers
minimes au coude, à la main et extension et flexion des doigts. Aux
membres
inférieurs : à gauche abduc- tion et adduction
auche abduc- tion et adduction minimes de la cuisse, abaissement du
membre
, mouve- ments minimes dans l'articulation de la
nts). Nerfs crâniens normaux. Fentes palpébrales, pupilles, égales.
Membres
inférieurs, complètement paralysés (paralysie fla
es du muscle triceps conservés, périostaux très faibles ou absents.
Membres
inférieurs à l'état de paralysie flasque. Dans
ne sent pas les piqûres, à droite, elle les sent. Analgésie sur le
membre
supérieur gauche, à droite, la malade sent les
NNE VERTÉBRALE 167 mais pas plus bas, à gauche ne les sent pas. Aux
membres
inférieurs elle sent les piqûres sur les jambes
douleurs dans l'épaule et le bras gauches et un affaiblissement des
membres
inférieurs, l'atro- phie des muscles de l'épaul
l'atro- phie des muscles de l'épaule gauche et l'affaiblissement du
membre
supé- rieur gauche (d'origine périphérique). De
ladie, les troubles urinaires ont commencé et l'affaiblissement des
membres
inférieurs a atteint un tel degré que la malade
t à gauche), en même temps que s'affaiblissaient les mouvements des
membres
supérieurs. La sensibilité A cette époque était
s plus tard les mouvements de la tête sont devenus impossibles, aux
membres
supérieurs très limités, et aux inférieurs égal
tés, et aux inférieurs également restreints. Réflexes tendineux des
membres
inférieurs plus vifs. Rétention de l'urine el d
cales. Enfin il survient une paralysie flasque presque complète des
membres
inférieurs et supérieurs. Sensibilité troublée.
auses anatomo-pathologiques. Les phénomènes par exemple du côté des
membres
inférieurs (douleurs, etc.) et de la partie inf
lle cervicale. Tandis que les phénomènes du côté de l'épaule et des
membres
supérieurs dépendaient de deux causes. Il y a lie
siques extra- vertébrales. Mais les symptômes plus tardifs dans les
membres
supérieurs (affaiblissement,atrophie, paralysie
es quand on coupe les nerfs péri- phériques, après l'amputation des
membres
, etc. Eh bien ! nous pouvons admettre que dans
nerveux périphériques ; alors nous constatons des douleurs dans un
membre
supérieur, douleurs fortes, s'irradiant vers le
douleurs fortes, s'irradiant vers les doigts, l'engourdissement du
membre
, des douleurs de la nuque et de l'occiput entre
égion de l'un ou l'autre sein. Bientôt l'affaiblissement de tout le
membre
supérieur s'ajoute aux douleurs (quelquefois le
bleau clinique. Tous ces phénomènes peuvent se limiter d'abord à un
membre
seulement. Dans certains cas des paresthésies dan
d à un membre seulement. Dans certains cas des paresthésies dans le
membre
du côté opposé apparaissent secondairement (obs.
fois violemment. Dans un de nos cas (obs. IX) l'affaiblissement des
membres
inférieurs (après la période des douleurs dans
squelles, en quelques jours, se développa la paralysie complète des
membres
. Dans un autre cas (obs. X), la malade après de
bs. X), la malade après deux heures de sommeil se réveilla avec les
membres
inférieurs paralysés. Le malade décrit parBehie
ehier se coucha tout à fait bien portant et il se réveilla avec les
membres
inférieurs paralysés (l'échinocoque du mé- dias
ent ou d'abolition des réflexes tendineux. La paralysie envahit les
membres
inférieurs et le tronc. Simultanément ou un peu
ullaires supérieurs ou inférieurs, c'est-à-dire que tous les quatre
membres
sont paralysés ou seulement les inférieurs.Si le
impassible et serein, les piqûres, les pincements les torsions des
membres
, tout ce que l'expert imagine de plus doulou- r
u front (Babinski), jamais de flaccidité permettant aux segments de
membre
des excursions exagérées les,uns sur les autres,
s musculaires qui fléchissent la cuisse, et parfois agitent tout le
membre
d'un tremblement convulsif. Tout se passe comme
e pied, elle est très irrégulière, et souvent se généralise a tout le
membre
, DE L'1115'rliRLB 'rLiAU11.1T1QUU 2ll I parfo
alysies dissociées : il n'y a dans l'hystérie que des paralysies de
membres
, de segments de membres ou de groupes musculair
n'y a dans l'hystérie que des paralysies de membres, de segments de
membres
ou de groupes musculaires fonctionnellement ass
; l'hystérique l'emploie par- fois. Soit par exemple une parésie du
membre
inférieur : placez celui-ci en demi-flexion, or
squement; sur un sujet normal ou atteint de paralysie organique, le
membre
s'étendrait aussitôt ; vous le verrez au contrair
sont paralysés, lorsque le sujet essaye de s'asseoir, on voit tout le
membre
inférieur se soulever au-dessus du lit, sous l'
n sujet non paralysé. Lorsque, étendu sur le dos, nous soulevons un
membre
inférieur au dessus du plan du lit, nous devons
e mouve- ment à un sujet normal, placez votre main sous le talon du
membre
qui i doit rester immobile, vous sentirez qu'il
soi-disant paralysés. Dans la paralysie organique au contraire, le
membre
reste inerte et n'appuie pas davantage sur la m
sans modifica- tion du réflexe rotulien ; une contracture des deux
membres
inférieurs sans aucun trouble des sphincters ;
s inférieurs sans aucun trouble des sphincters ; une contracture du
membre
supérieur avec intégrité complète du membre inf
rs ; une contracture du membre supérieur avec intégrité complète du
membre
inférieur. Lorsque les contractures s'accompagn
n fait étendre les mains et alors se traduit surtout à la racine du
membre
par les mou- vements transmis à la chemise, lor
iques s'exagèrent par la fatigue, les autres s'atténuent ; pour les
membres
inférieurs, le tremblement disparaît lorsque le
bes à angle droit (signe de Seeligmuller) ; dans le tremblement des
membres
supérieurs, occupez une des mains à un travail
côté. L'enfant marche à petits pas, en plongeant du côté droit, les
membres
supérieurs sont demi-fléchis et un peu écartés
his et un peu écartés du corps ; le tronc est penché en avant ; les
membres
inférieurs se soulèvent avec raideur. La démarc
spasmodique à droite qu'à gauche ; à droite aussi la maladresse des
membres
supérieurs est plus marquée et elle s'accompagn
pas d'incurvation. La cage thoracique est normale. Le squelette des
membres
est tout à fait normal à l'examen clinique et rad
re, une méningite fébrile bientôt suivie d'une paralysie des quatre
membres
. A seize mois se produisit un accès épileptique
à trois ans, l'état commence à s'amélio- rer ; la malade remue ses
membres
à cinq ans et commence à marcher à six. La prop
mois d'une infection cérébrale, resta trois mois paralysé des deux
membres
inférieurs; actuellement, dit la mère, il marche,
iques ; on a en outre parlé d'achondroplasie familiale où plusieurs
membres
de la même famille étaient affectés. Mais comme
ntimètres ; hémi-circonférence : 40 centimè- tres de chaque côté.
Membres
supérieurs : L'humérus, le radius et le cubitus n
constate les nodosités d'Heberden. Les mêmes remarques que pour les
membres
supérieurs peuvent être faites à l'égard des os
es supérieurs peuvent être faites à l'égard des os du bassin et des
membres
inférieurs : tous, en effet, conser- vent leur
normaux. La malade étant debout, on constate non seulement que les
membres
infé- rieurs ne sont pas arqués, mais encore qu
Aucun signe de rhumatisme aux pieds. Les artères périphériques des
membres
supérieurs et inférieurs n'apparais- sent pas n
oureux à la pression. La force musculaire est un peu diminuée aux
membres
inférieurs ; il s'agit cependant simplement de
smodique. Un an après l'infection, il se manifesta des douleurs aux
membres
de droite, des dysarthries, des troubles psychiqu
uation de cette cure, un mois environ après apparut une parésie des
membres
de droite, une parésie de l'abducteur de gauche
e, lequel, quatre mois après un ulcère dur non soigné, fut pris aux
membres
de droite d'une faiblesse qui bientôt atteignit
ient sui- vies de secousses cloniques auxquelles prenaient part les
membres
et la moitié delà face du même côté (gauche). I
ui quelques minutes après. Il sentit alors une grande faiblesse aux
membres
de gauche, il s'aperçut qu'il avait la bouche dév
on. Les mouvements actifs ou passifs du cou sont à l'état normal.
Membre
supérieur droit. L'on ne remarque pas de troubles
rmalement. Force musculaire au dynamomètre : 19; 28 épreuve : 22.
Membre
supérieur gauche. L'on n'y relève pas d'altératio
pas de beaucoup supérieur à l'horizontale. Les autres mouvements du
membre
, bien qu'assez étendus, ne peuvent pas s'appeler
mplets. Les mouvements passifs opposent dans tous les seg- ments du
membre
une résistance très apparente'. Force musculaire
remarque pas de tremblements des mains dans l'attitude du serment.
Membre
inférieur droit. Trophie normale. Circonférence d
des mouvements actifs ou passifs. Force musculaire bien conservée.
Membre
inférieur gauche. - Trophie normale. Circonférenc
son lit en décubitus dorsal et qu'on lui dise de soulever les deux
membres
inférieurs, on remarque que celui de gauche, es
lo-papuleuse de la peau. 298 COSTANT1NI remarque seulement que le
membre
de gauche est un peu moins tendu et sou- levé q
ble à gauche, très vif à droite. Pharyngien conservé. Les tendons des
membres
supérieurs existent ; vifs- à gauche..Vif le pa
auche plus qu'à droite, avec tendance à la trépidation épileptique du
membre
de ce côté. Vifs aussi les tendons d'Achille. P
pris de céphalée et de douleurs ostéocopes, et la faiblesse de ses
membres
de gauche s'est encore aggravée. Là on le soumet
de l'iodure de potassium, la parésie se résolut en partie, mais le
membre
inférieur droit resta atropliique et parétiqoo.
elques troubles de la motilité, avec exa- gération des réflexes des
membres
inférieurs, et signe de Babinski bilaté- ral. D
de l'abdomen et sensation d'engourdissement de cette région et des
membres
infé- rieurs. Depuis quelques semaines, affaibl
on, bonne. Les organes internes, normaux. Les nerfs crâniens et les
membres
supérieurs ne présentent rien de notable. Le
niens et les membres supérieurs ne présentent rien de notable. Le
membre
inférieur droit est plus faible que le gauche. Le
t est plus faible que le gauche. Le malade peut flé- chir un peu le
membre
inférieur droit dans l'articulatiou de la hanche,
est absolu- ment immobile, les orteils sont un'peu plus mobiles. Le
membre
gauche peut mieux exécuter tous ces mouvements,
s nette le toucher sur la partie inférieure de l'abdomen et sur les
membres
inférieurs qu'au-dessus de cette limite. La sen
de la jambe (on ne peut pas l'affirmer pour la face postérieure des
membres
inférieurs). Même chose en ce qui concerne la sen
uvent et par gouttes. Constipation. 27 novembre. La paralysie des
membres
inférieurs est presque complète. Les seuls mouv
en et les jambes. La sensibilité douloureuse est très affaiblie aux
membres
inférieurs et à l'abdo- men, à un à deux traver
eau de la VII" vertèbre dorsale. Après l'opération la paralysie des
membres
inférieurs persiste ; fièvre. La mort survient
ure dans la région abdominale inférieure et l'engourdis- sement des
membres
inférieurs et de l'abdomen. En même temps, affai-
ines avant l'opération, on constatait l'affaiblissement notable des
membres
inférieurs, le droit était plus faible que le gau
oubles sensitifs dans la partie inférieure de l'abdomen et dans les
membres
inférieurs. Les réflexes patellaires étaient très
elle des antécédents on ne trouve ni tuber- culose ni syphilis. Les
membres
supérieurs se paralysent de plus en plus, et to
au dos et au sacrum. Il y a un an elle a commencé à sentir froid aux
membres
inférieurs et à la partie inférieure de l'abdom
rcher, ni rester debout. Les douleurs au sacrum et surtout dans les
membres
inférieurs sont devenues persistantes. Depuis c
e éprouve, comme si l'on piquait avec des épingles sous la peau des
membres
infé- rieurs. De temps en temps, douleurs en ce
était très pénible, les pieds se réchauffaient difficilement. Dans le
membre
inférieur gauche, contractions spontanées rapid
qucs. A pré- sent la malade se plaint des douleurs au sacrum et aux
membres
inférieurs et de contractions douloureuses dans
et aux membres inférieurs et de contractions douloureuses dans ces
membres
. Elle a aussi la sensation pénible de lourdeur
provoque pas de douleurs, la percussion de la tête est indolore.
Membres
supérieurs. La malade peut exécuter tous les mouv
des troncs nerveux est indolore. Le tonus musculaire est normal.
Membres
inférieurs. Le membre gauche est presque complète
indolore. Le tonus musculaire est normal. Membres inférieurs. Le
membre
gauche est presque complètement paralysé; l'ext
eul peut se fléchir et s'étendre légèrement. L'abduction de tout le
membre
gauche est minime, l'adduction se fait lentement
mouvements sont très faibles. La tonicité-musculaire dans les deux
membres
est exagérée, un peu plus du côté gauche que du
pied où la sensibilité est affaiblie (ces troubles envahissent les
membres
inférieurs et l'abdomen à deux ou trois travers
. La difficulté d'uriner per- siste ainsi que la paralysie des deux
membres
. 2 octobre. - Ponction lombaire ; la pression e
ssous de l'ombilic, et des contractions spontanées douloureuses aux
membres
inférieurs. La paralysie et les réflexes comme
constate que son état du premier séjour persiste. La malade lève le
membre
inférieur droit avec difficulté, à une hauteur
angle droit,mais l'extension ne se fait que grâce à la pesanteur du
membre
,qui tombe. Les mouvements du pied droit et de s
s'effectue pas du tout, l'abduction est minime, à peine visible. Le
membre
inférieur gauche est presque immobile : la malade
la hauteur de quelques centimètres. La tonicité musculaire des deux
membres
inférieurs est exagérée, on la constate le mieux
sensibilité au toucher et à la douleur est conservée dans les deux
membres
, mais la douleur est un peu affaiblie sur la ja
ur la jambe gauche. La sensibilité thermique est affai- blie sur le
membre
inférieur gauche. Le sens musulaire est un peu tr
ains, de la gaze et le pansement. 1 19 juin'. Température 38°3. Les
membres
inférieurs sont complètement flasques. La sensi
. Pouls : 120. Rythme accéléré. La température estélevée.OEdème des
membres
inférieurs. Paraplégie flasque. Sensibilité (tous
é. Fièvre. L'urine ne s'élimine qu'à l'aide de la snnde. OEdème des
membres
inférieurs. 23 juin. - Etat fiévreux. Pouls pet
mbres inférieurs. 23 juin. - Etat fiévreux. Pouls petit. OEdème des
membres
. Rétention d'urine. 25 juin. Etat fiévreux. P
ne pouvait ni rester debout ni marcher ; les douleurs continues des
membres
infé- rieurs et de l'abdomen sont apparues ; de
ération, la malade fut atteinte de la paralysie presque complète du
membre
inférieur gauche et de l'affaiblis- sement nota
auche et de l'affaiblis- sement notable du droit. La sensibilité du
membre
inférieur gauche était 326 C) FLATAU abolie (
édiatement avant l'opération la sensibilité s'est rétablie aux deux
membres
inférieurs, elle ne fut qu'affaiblie au membre in
t rétablie aux deux membres inférieurs, elle ne fut qu'affaiblie au
membre
inférieur gauche; on constata de la douleur à l
ection prédominant sur une moitié du corps. On peut affirmer que le
membre
gauche fut plus touché que le droit. Il nous pa
éjà exécuter aucun mouvement dans toutes les articulations des deux
membres
inférieurs. La malade affirme avec toute certit
tout d'un coup. A ce moment aucune douleur ou paresthésie dans les
membres
inférieurs ou le dos. Cet état persista sans au
son retour à la maison, son état empira et bientôt la paralysie des
membres
inférieurs est devenue définitive. Depuis ce mo
es nerfs crâniens fonctionnent normalement. La force musculaire des
membres
supérieurs est bonne. Les réflexes tendineux et
bonne. Les réflexes tendineux et périostaux sont normaux. Les deux
membres
inférieurs sont paralysés presque complètement).
des genoux). Il y a une tonicité musculaire exagérée dans les deux
membres
(dans le gauche plus que dans le droit) surtout d
complète du sens des attitu- des dans toutes les articulations des
membres
inférieurs (même dans les han- ches). La colonn
. La sensibilité (tactile, douloureuse et thermique) est abolie aux
membres
inférieurs et sur le tronc (deux à trois traver
identique. 22. -La fonction de l'appareil urinaire reste bonne. Les
membres
inférieurs sans changement. 16 novembre. - (D
la malade.) Elle se plaint de la sensation de brûlure dans les deux
membres
inférieurs et de contractions spontanées spastiqu
ki bilatéral. Les gros orteils sont toujours étendus. Analgésie des
membres
inférieurs et de la partie inférieure de l'abdo
-dessus de la crête ilia- que, douleurs et engourdissement dans les
membres
inférieurs surtout à droite, principalement la
uche. Plus de dou- leur dans le côté gauche. Paralysie complète des
membres
inférieurs. La tonicité musculaire dans toutes
moteurs et sensitifs sont les mêmes. Le sens des attitudes dans les
membres
inférieurs aboli, la malade perçoit encore les mo
bas-ventre des deux côtés. Des contractions spontanées dans les deux
membres
inférieurs les jours et les nuits. Sensation.de
ez vite la position couchée ou assise, en se servant des mains. Les
membres
inférieurs sont toujours étendus, les pieds légèr
d interne du pied un angle presque droit. Les mouvements actifs des
membres
inférieurs manquent complètement. La malade aff
ment. La malade affirme que si elle se couche sur le côté droit,son
membre
droit se fléchit dans l'articulation de la hanc
gèrement en dehors. Dans la position couchée sur le côté gauche, le
membre
droit se fléchit également et couvre le gauche. E
xa- gérés, phénomène de Bahinski. L'abolition de la sensibilité aux
membres
inférieurs et sur l'abdomen atteint un à deux t
eurs très fortes, tantôt dans l'hypochondre gauche, tantôt dans les
membres
infé- rieurs (surtout dans le droit) ; sensatio
e. La paraplégie est complète. La tonicité musculaire exagérée, les
membres
tendus comme des cordes. Orteils fléchis dorsalem
douleurs sous le sein droit. Contractions spontanées dans les deux
membres
inférieurs la nuit et le jour. 1 Avant l'opérat
ons spontanées dans les muscles des jambes, l'affaiblis- sement des
membres
tout au début de la maladie qui ensuite se transf
normales et le malin suivant se réveilla tout à fait paralysée des
membres
inférieurs. La veille de cet accident elle marc
dans les côtés, tantôt dans les fesses ou diffé- rentes parties des
membres
inférieurs. Ces symptômes s'accentuaient la nui
des maladies internes (1). Le malade se plaint de douleurs dans les
membres
supérieurs : ce sont des sensations de brûlure
ficulté en chancelant. Etant couché, il peut assez bien mouvoir ses
membres
inférieurs. La force des mouvements est assez b
ire est conservé. Le plantaire faible. Tonus musculaire normal. Les
membres
supérieurs fléchis au coude et rapprochés vers le
ace. De même le muscle thénar (sur- tout le droit). Les muscles aux
membres
supérieurs sont flasques. Le malade ne peut pas
sensibilité tactile est assez bien conservée. Analgésie complète des
membres
inférieurs et supérieurs dans leur région du co
nt conservés. 17. La vessie est fortement dilatée. La paralysie des
membres
inférieurs est complète. Les réflexes patellair
ire des jambes normal. De temps en temps des secousses musculaires.
Membres
supérieurs fléchis au coude et rapprochés du tr
tronc. Atrophie des petits muscles des mains. Affai- blissement des
membres
supérieurs, surtout des segments distaux. Ré- f
s abolis. Pupille droite plus large que la gauche. Les douleurs des
membres
supérieurs tantôt croissaient, tantôt dimi- nua
colonne vertébrale vers les 354 FLATAU mains, affaiblissement des
membres
supérieurs avec atrophie muscu- laire, affaibli
nesthésie des jambes et du tronc jusqu'à une certaine limite et aux
membres
supérieurs, anesthésie des zones radiculaires).
Pas d'autres troubles dans le fonctionnement des nerfs crâniens.
Membres
supérieurs. Les mouvements du membre droit sont n
nnement des nerfs crâniens. Membres supérieurs. Les mouvements du
membre
droit sont normaux. Il vainc avec 'difficulté u
re droit sont normaux. Il vainc avec 'difficulté une résistance. Le
membre
gauche ne peut pas être soulevé même jusqu'à la
ligne horizontale à cause des douleurs. D'autres* mouvements de ce
membre
(au coude, à la main et aux doigts) sont égalemen
muscle triceps sont vifs, les périostaux de même, pas d'atrophies.
Membres
inférieurs. - La malade marche en boitant du côté
de vertiges, de bourdon- nements d'oreille, de fortes douleurs des
membres
inférieurs et désarticulation de la hanche droi
uvait lentement traverser la chambre. Fortes douleurs dans les deux
membres
inférieurs, surtout dans le droit, . Depuis q
rtout dans le droit, . Depuis quelques semaines, douleurs dans le
membre
supérieur gauche. Dou- leurs dans la région lom
t, elle est plus large que la droite. Le fond de l'oeil est normal.
Membres
supérieurs. Le membre gauche est soulevé avec pei
que la droite. Le fond de l'oeil est normal. Membres supérieurs. Le
membre
gauche est soulevé avec peine à cause de douleu
eurs dans l'articulation de l'épaule. Les autres mouvements dans ce
membre
sont aussi plus lents que du côté opposé. En exer
côté opposé. En exerçant une résistance, on s'aperçoit que les deux
membres
sont faibles surtout celui à gauche. La sensibi
ible toucher provoque des douleurs. Les réflexes sont assez vifs.
Membres
inférieurs. Quand elle soulève le membre droit, e
flexes sont assez vifs. Membres inférieurs. Quand elle soulève le
membre
droit, elle ressent une forte douleur dans l'ar
une forte douleur dans l'articulation de la hanche et dans tout le
membre
. En ré- pétant cela à gauche, la douleur \ se l
écute lentement, avec peine, en se plaignant des douleurs. Les deux
membres
sont faibles, mais plus forte- ment lé droit.
t pas à la lumière. Les mem- bres supérieurs sont au même état. Les
membres
inférieurs ne sont plus doulou- reux pendant le
e droit est plus vif que le gauche. Les achilléens sont faibles. Au
membre
inférieur gauche, la malade souvent ne reconnaî
roxystiques au ventre. Le lendemain elle a perdu connaissance ; son
membre
supérieur droit fut pris de mouvements convulsi
arue dans la bouche. Ces accès durait plus de trois heures. Puis le
membre
supérieur droit tremblait pen- dant quelques mi
minutes, la respiration était stertoreuse, écume dans la bouche. Le
membre
supérieur droit levé passivement en haut retombe
à une affection médullaire. La malade se plaignait de douleurs (les
membres
inférieurs et de raideur des articulations. L'a
s inférieurs et de raideur des articulations. L'affaiblissement des
membres
inférieurs et supérieurs se laissait déjà const
différents symptômes cliniques : les fortes et tenaces douleurs des
membres
inférieurs, les douleurs en ceinture, du côté,
sibilité du genou gauche. Il est possible que l'affaiblissement des
membres
inférieurs dépendait, non seulement des douleur
lobes oculaires, de la face, du cou, du thorax, de l'abdomen et des
membres
. Tout récemment deux auteurs d'une grande compéte
deur de la substance grise. Après un temps, la paralysie motrice du
membre
supérieur gauche ayant dimi- nué beaucoup» Faut
ses que celles qui incitent les centres médullaires des muscles des
membres
supérieurs ou des membres inférieurs. Pour ét
t les centres médullaires des muscles des membres supérieurs ou des
membres
inférieurs. Pour étudier les relations du faisc
exacte de l'origine des fibres cor- tico-spinales qui innervent les
membres
et le tronc, est située tout à fait en avant de
ibres innerveraient d'après les recher- ches les plus récentes, les
membres
et le tronc. 4° Cette aire d'origine des fibres
e T... Notes cliniques. 17 ans, hémiplégie gauche plus prononcée au
membre
supérieur ; pouvait marcher. Durée de la maladie,
droite incomplète avec aphasie. La paralysie est plus prononcée au
membre
supérieur. Le ma- lade pouvait marcher étant so
. -- 21 ans, hémiplégie gauche incom- plète, intéressant surtout le
membre
supérieur. Durée de la maladie, 6 mois. Examen
s cliniques.- 64 ans, hémiplégie gauche avec contracture intense du
membre
supérieur. Rire spasmodique. Durée de la maladie,
but lent trois ans avant l'exitus. Voix éteinte. Les mouvements des
membres
du côté droit sont réduits. Atro- phie des émin
nt ayant commencé six ans et demi avant la mort. Parésie aux quatre
membres
, la malade peut mar- cher à petits pas ; parole
sie fa- ciale gauche (syndrome de Millard-Gübler). La paralysie des
membres
était incomplète, le malade pouvait marcher n'é
. Elle fut opérée et la balle fut extraite. Paraplégie flasque. Aux
membres
supérieurs atrophie des muscles des avant-bras, d
ons scapulo-humérales et thénars et hypothénars, les mouvements des
membres
supérieurs, également abolis immédiatement après
c paraplégie spasmodique, contractures et atrophies musculaires aux
membres
inférieurs. Durée de la paraplégie, 6 mois. Exa
ans, paraplégie flasque consécutive à un mal de Pott. Atrophie des
membres
inférieurs. Durée de la paraplégie, 6 mois. Exa
araplégie spasmodique avec con- tracture en flexion et atrophie des
membres
inférieurs. Examen macrosco- pique. -Kyste hyda
plégie spasmodique par com- pression de la moelle. Contractures des
membres
inférieurs, dont la motilité est nulle. Durée d
mement accusée, le malade ne pouvait faire aucun mouvement avec ses
membres
inférieurs. Durée de la maladie, 4 ans. Examen
se latérale amyotrophique, typique avec atrophie plus prononcée aux
membres
supérieurs et à certains mus- cles de la face e
7 ans, atrophies musculaires de la ceinture scapulo-humérale et des
membres
supérieurs, avec lesquels elle ne pouvait t plu
aralysie et l'intensité des lésions corticales de même que entre le
membre
plus atteint et son centre cérébral. En effet, ch
scen- dantes. Dans les cas d'hémiplégies d'origine cérébrale, où le
membre
su- périeur était le plus touché, les lésions c
acentral., L'inverse a lieu quand la paralysie est plus intense [au
membre
inférieur, les lésions corticales étant alors p
cas de sclérose latérale amyotrophique avec troubles bulbaires, les
membres
supérieurs étant également plus atteints, il est
laires cervicaux soient plus altérés que ceux qui correspondent aux
membres
inférieurs. Ayant en vue ces donnnées, il me se
centre cortical du bras et obser- vant que la paralysie motrice, du
membre
supérieur, qui s'est produite immédiatement apr
uents; les limites de leurs territoires sont parallèles à l'axe des
membres
alors que la limite des métaméries spinales lui e
s croisent plus ou moins plusieurs territoires nerveux. Mais, aux
membres
, les naevi-névrites sont aussi disposés parallèle
, les naevi-névrites sont aussi disposés parallèle- ment à l'axe du
membre
, comme nous allons le montrer. Aussi me semble-
du bras, ainsi que le montre bien la photographie, dans laquelle le
membre
supérieur est placé en abduction, est très élevé,
s 28 ans, la femme G... commença à se plaindre de douleurs dans les
membres
inférieurs, localisées plus spécialement dans le
t presque tous les jours, et plusieurs fois par jour, dans les deux
membres
inférieurs, sans que la patiente puisse dire si
'est plus souvent aux genoux ou aux pieds, et parfois même dans les
membres
supérieurs, spécialement aux mains. Peu de mois
de la tête, du cou et du tronc. Mouve- ments passifs et actifs des
membres
supérieurs, normaux. Dynamométrie : D. 12, G. 1
s des membres supérieurs, normaux. Dynamométrie : D. 12, G. 12. Les
membres
supérieurs ne présentent pas de troubles ataxi-
t actifs ; il se manifestent parfois par la ré- traction de tout le
membre
; les abdominaux, les épigastriques, le pharyngie
douleurs lancinantes, les crises gastriques, la faiblesse dans les
membres
inférieurs, l'abolition des réflexes rotuliens
réflexes rotuliens et achilléens,l'ataxie statiqueet dynamique des
membres
inférieurs, les troubles de la sensibilité à type
ssocié, et l'absence de troubles moteurs et trophiques à charge des
membres
. . . Contre l'hypothèse d'une polynévrite serai
que H. Meige a isolé sous le nom de trophoedèl11e est localisé aux
membres
inférieurs. Les observations de trophcedème loc
ux membres inférieurs. Les observations de trophcedème localisé aux
membres
supérieurs sont encore peu nombreuses : en 1901
1/1c1" el Drshnuic). MnçeOn RW fir. h.¡t ? r" TROPHOEDI : l1E DES
MEMBRES
SUPÉRIEURS 427 La force est très bien conservée
e n'a rétrocédé, mais jamais non plus ou ne constata d'oedème m aux
membres
inférieurs, ni à la face ; la localisation est re
inférieurs, ni à la face ; la localisation est restée li- mitée aux
membres
supérieurs, et garde une topographie plus ou moin
26 ans. 1 Dans ses antécédents héréditaires, rien à signaler; aucun
membre
de sa fa- mille ne présente d'oedème analogue ;
de ce cas portent surtout sur la localisation du tro- phoedème aux
membres
supérieurs, sur la consistance de l'oedème qui ne
al inférieur guéri. Le bassin est infantile, étroit et haut. Les-
membres
supérieurs paraissent longs ; les épiphyses sont
m est court, large ; ses trois pièces sont soudées. Le squelette du
membre
supérieur est à peu près normal : on remarque la
itation de la 'tête, grimaces inces- santes, mouvements faibles des
membres
) ; la chorée avait débuté à trois ans ; les deu
horeiformes : c'est plutôt une athétose delà face et une chorée des
membres
. La face est grimaçante, le front ridé transversa
es et l'agrandissement des surfaces articulaires.- Le squelette des
membres
présente encore d'autres malformations : incurvat
résentait entre autres anomalies (exostoses, arrêt de croissance du
membre
inférieur du côté hyperostosé, scoliose dorso-l
nconnus, et qui présentait des exostoses multiples : au thorax, aux
membres
supé- rieurs, aux membres inférieurs surtout (a
des exostoses multiples : au thorax, aux membres supé- rieurs, aux
membres
inférieurs surtout (avec arrêts de développement)
avec une scoliose et différents arrêts de développement du côté des
membres
. Revue d'orthopédie, 2. série, t. VI, 1905, p.
mes consistaient en une douleur de la jambe gauche, puis de tout le
membre
inférieur gauche et enfin de toute la moitié gauc
us tard, douleurs de la jambe droite. L'affaiblissement graduel des
membres
inférieurs amenait l'impossibilité complète de la
lité complète de la marche. On observe ensuite des contractures des
membres
inférieurs, des paresthésies. Quelques semaines
t du rectum. Etal (6 mois avant l'opération). - Affaiblissement des
membres
inférieurs, le gauche est plus faible que le dr
t phénomène de Babinski. Abolition de la sensibilité tactile sur le
membre
inférieur gauche et sur le tronc jusqu'au IIfe
douloureuse et thermique dans les mêmes régions et en outre sur le
membre
supérieur droit et au-dessus jus- qu'à la liane
s du côté gauche. Au cours de la maladie, fortes douleurs dans le
membre
inférieur gauche, dans le côté gauche et dans l
ontractions spontanées de la main gauche avec affaiblissement de ce
membre
. De temps en temps, difficulté d'a- valer (hyst
espace inter- costal. Absence de réflexes abdominaux. Mouvements du
membre
supérieur droit un peu affaiblis. Rétention de
leurs surtout dans le pied et le genou gauches. Les mouvements des
membres
inférieurs deviennent plus faciles, surtout dan
du réflexe abdominal gauche. Contractions spontanées des bouts des
membres
. Deux mois après l'opération, la malade commenc
out la main, est plus faible que le droit. Troubles sensitifs da le
membre
inférieur droit. 2 mois 3/4 après l'opération, la
intensive- ment. Au mois d'août 1906, affaiblissement permanent du
membre
inférieur gauche, allant toujours en augmentant
oujours en augmentant. Douleurs constantes dans la nuque et dans le
membre
supérieur droit ; fourmillements dans le membre s
la nuque et dans le membre supérieur droit ; fourmillements dans le
membre
supérieur gauche. En ce moment, on constate des
pagnés d'une douleur dans la tempe et l'occiput. Les mouvements des
membres
supérieurs sont normaux. Les réflexes du muscle t
triceps sont conservés, les périostaux abolis. Paresthésies dans le
membre
supérieur gau- che (sensation de brûlure). Les
ésies dans le membre supérieur gau- che (sensation de brûlure). Les
membres
supérieurs présentent un affaiblisse- ment très
quent des contractions spasmodiques. La tonicité musculaire dans le
membre
droit est normale, un peu exagérée à gauche. Le
en avant et jusqu'au cou en arrière. Elle est abolie encore sur le
membre
su- périeur gauche et dans une zone limitée en
oubles de la sensibilité douloureuse sont moins pro- noncés dans le
membre
inférieur gauche. La sensibilité thermique est at
ère, elle envahissait la nuque). Le sens musculaire est troublé aux
membres
inférieurs (à gauche il est presque aboli). Le
n 1 la lumière. Les nerfs crâniens sont normaux. Les mouvements des
membres
su- périeurs sont normaux quant à leur parcours
angle inférieur de l'omoplate, en avant au II" espace intercostal).
Membres
inférieurs complètement paralysés. Tonicité muscu
nservés ; plan- taires, abolis. La sensibilité est abolie sur les
membres
inférieurs et sur le tronc. La limite supérieur
rrière, la ligne réunissant les bords supérieurs des omoplates. Aux
membres
supérieurs, la sensibilité tactile est conservée.
peu jusqu'à l'épaule gauche. L'analgésie se porte également sur le
membre
gauche supé- rieur. Les troubles de la sensibil
cuir chevelu et à la nuque). Le sens musculaire est aholi dans les
membres
inférieurs (le malade se trompe quand on met en m
ilité commençait à se troubler depuis les mamelons en bas et sur le
membre
supérieur gau- che, la jambe gauche était un pe
urs se localisaient dans la nuque, au cou, dans la gorge et dans le
membre
supérieur droit. L'état du malade un an et demi
début de la maladie, présentait un affaiblissement considérable des
membres
inférieurs, pourtant le ma- lade, aidé de quelq
peu au-dessus des mamelons jusqu'en bas. Les réflexes tendineux des
membres
inférieurs étaient exagérés. Contractions spont
e. Outre ces régions les douleurs peuvent siéger partout ; dans les
membres
aussi bien que sur le tronc. Elles ont le caractè
chement, s'irradient vers les vertèbres et les segments distaux des
membres
. Parfois on note les douleurs en ceinture. Dans c
n- tre, de courbature dans l'hypochondre et différentes régions des
membres
inférieurs. Les douleurs s'exacerbaient la nuit
ement de la sensibilité aussi bien que de la motilité dans les deux
membres
inférieurs, mais d'un côté prévalent les troubl
. Par contre nous avons observé très souvent l'affaiblissement d'un
membre
(inférieur) seulement, et cela aussi bien au dé
nsversalement dans sa partie supérieure, les réflexes tendineux des
membres
inférieurs peuvent disparaître (Bruns, Taube et
nner on n'a pas pu consta- ter ces troubles malgré la paralysie des
membres
inférieurs ! De même clan, le cas de Koster ce
jour. Elles consistent en une flexion et extension automatiques des
membres
. Bruns croit qu'elles naissent ,'par suite d'une
des troubles vasomoteurs : c'était une paralysie des vaisseaux des
membres
(le syndrome de Baynaud ou l'érytl1romolalgie)
s le IVe cas d'Oppenheim, après les 2 mois 3/4 des parestbésies des
membres
inférieurs sont apparues d'un coup avec un rapi
observation, un certain temps après le début de la maladie les deux
membres
inférieurs sont devenus immobiles. Puis dans le
s la moelle cervicale on a des symptômes radiculaires au cou et aux
membres
supérieurs (douleurs de la nuque, irradiant dan
ans l'os du sacrum, dans le périnée et dans la face postérieure des
membres
inférieurs. Il est exceptionnel que ces douleurs
lasque de la musculature de la vessie, du rectum, du périnée et des
membres
infé- rieurs (suivant la disposition de leurs n
ertèbre lombaire douloureuse, l'irradiation des dou- leurs vers les
membres
inférieurs, la raideur de la partie inférieure de
z souvent ils accusent une sensation étrange et pénible comme si un
membre
était gonflé et ne pouvait pas se placer dans sa
ambes, la faiblesse dans la région sacrée, un engour- dissement des
membres
et des régions génitales, etc. De temps en temps
server des cas où elle frappait une moitié du corps, par exemple le
membre
inférieur droit et le tronc au-dessus ou au-des
les atrophies musculaires et la paralysie flasque (surtout dans les
membres
supérieurs), l'absence de symptômes radiculaires,
malades de sa clinique et les meilleurs travaux de son laboratoire.
Membre
de l'Académie de médecine depuis 1895, il avait é
de revient à lui et commence à exécuter quelques mouvements avec le
membre
supérieur gau- che, consistant en flexion limit
ie de la moitié gauche du corps a un peu diminué. Les mouvements du
membre
supérieur gauche restent très limités; le malad
gauche restent très limités; le malade réussit à soulever un peu le
membre
entier au-dessus du plan du lit. Il parvient au
907. Rien du côté des mouvements passifs et actifs du facial et des
membres
du côté droit. Les mouvements volontaires dans le
al et des membres du côté droit. Les mouvements volontaires dans le
membre
supérieur gauche sont presque tous impossibles. L
our le soulever, s'aide de la main droite. Il réussit à soulever le
membre
inférieur gauche au-dessus du lit, jusqu'à la h
est plus complète à droite qu'à gauche. Mouve- ments volontaires du
membre
supérieur gauche très limités ; forte résistance
les mouvements passifs. Le malade est capable de soulever un peu le
membre
inférieur gauche. Le membre inférieur présente un
alade est capable de soulever un peu le membre inférieur gauche. Le
membre
inférieur présente une faible résistance aux mo
la gauche. Rien d'anormal pour les mouvements actifs et passifs des
membres
du côté droit dont la force musculaire est bien
deux côtés, on note l'absence des réflexes tendineux supérieurs.
Membre
supérieur gauche. Le dos de la main et des doigts
urs. Membre supérieur gauche. Le dos de la main et des doigts de ce
membre
se montre oedématié. Il ne présente aucune atti
n mouvement actif quelconque avec quelque segment que ce soit de ce
membre
; il réussit seulement à le soulever in toto au
toto au-dessus du plan du lit. DE L'APHASIE CHEZ LES GAUCHERS 493
Membre
inférieur gauche. Le patient ne présente aucune e
Aucun essai d'écriture ne peut être tenté parce que le malade a le
membre
supérieur gauche parésie, et qu'il avait toujou
es tics, l'athé- tose, les chorées, et les attitudes spastiques des
membres
. En somme, il nous semble que dans cette catégo
qui, selon nous, correspondent probablement à nos sujets, sont les
membres
mâles de la famille Maggi dont nous avons pu, p
otonie articulaire des extrémités, ni aux grandes.articulations des
membres
, ni aux mains, ni aux pieds. 554 ETTORE LEVI '
nous remarquons dans ce cas les proportions absolument normales des
membres
par rapport au tronc, et des différents segment
es des membres par rapport au tronc, et des différents segments des
membres
entre eux. L'harmonie des formes est dans ce ca
LA MICROSOttlË ESSENTIELLE HÉRËDO-PAMiLlALË 559 fait paraître les
membres
plus minces qu'ils ne sont, cependant que chez
use de manque d'harmonie somatique n'existe pas. Le squelette des
membres
ne présente pas la moindre déformation rachiti-
nt, de' même que l'atrophie musculaire et l'hypo- tonie, les quatre
membres
: elle avait également envahi la face. Dans les
gie devient com- plète, l'aphasie totale. Les réflexes tendineux du
membre
supérieur droit étaient exagérés, ceux du membr
lexes tendineux du membre supérieur droit étaient exagérés, ceux du
membre
supérieur gauche normaux. Les réflexes tendineu
ceux du membre supérieur gauche normaux. Les réflexes tendineux des
membres
inférieurs (rotuliens, achilléens) étaient abolis
ERFS CILIAIRES 569 nnptégie, l'abolition des réflexes tendineux aux
membres
inférieurs, le signe de Romberg, les troubles s
eurs, le signe de Romberg, les troubles sphinctériens, l'ataxie des
membres
inférieurs. La vue avait beaucoup baissé depuis
ieder). Mais le plus souvent la malformation n'atteint que l'un des
membres
d'une famille. Ce n'est pas à dire d'ailleurs
ds-parents très petits; des anomalies digitales affectent plusieurs
membres
de la famille. En d'autres cas, l'enquête a été
la musculature (sinon la force musculaire) est bien développée; les
membres
, et en particulier les inférieurs, sont courts,
nt : « le raccourcissement de la taille, la disproportion entre les
membres
raccourcis et le tronc resté normal, l'asymétri
es raccourcis et le tronc resté normal, l'asymétrie de longueur des
membres
raccourcis. Lors- que l'arrêt de croissance est
le déran- gement foetal... détermine la transformation de tous les
membres
dans le sens d'un excès, d'un défaut ou d'une d
collement épiphysaire chez l'enfant. Influence sur la croissance du
membre
, in Rev. d'Orthop., 1906, p. 29-32.«.. il y a dis
hyses pouvant aboutir au raccourcissement plus ou moins marqué d'un
membre
survenant en dehors de toute cause appré- ciabl
jambes, les réflexes exagérés, la trépida- tion, la rétraction des
membres
, les troubles du sens des attitudes, l'alfai- b
ue de la sclérose en plaques était au complet avec spasmodicité des
membres
inférieurs, parole scandée, tremblement intenti
proportion dans de l'accroissement relatif de certains os longs des
membres
que l'on constate chez les achondro- plasiques
de la tôle (comme chez les frères par une très légère brièveté des
membres
relativement au tronc ; nous sommes bien loin de
es relativement au tronc ; nous sommes bien loin de la brièveté des
membres
propre aux achondroplasiques, mais nous devons
ier que chez le second de nos sujets adultes, les radiographies des
membres
, du crâne, et l'examen radioscopique (très faci
ophisme normal, la voix n'est pas eunuchoïde et les proportions des
membres
vis- à-vis du tronc ne rappellent en rien ce qu
unaire, les mains en palette et le raccourcissement segmentaire des
membres
caractéristiques d'un étal slrumiprive à contreco
grosse, le cou un peu court, le ventre légère- ment proéminent, les
membres
un peu arrondis, le revêtement adipeux général
u processus normal d'ossification pour tous les autres os longs des
membres
. L'ossification du crâne est d'ailleurs complète
, p. 1060 s. 13. N. Magnanini. Déformations congénitales des quatre
membres
, lésions symé- triques des mains et des pieds.
. Le nombre des vertèbres est diminué, les côtes sont stylisées.Les
membres
inférieurs ont une con- formation erronée ; les
es (1 pl.), par Dores et DEVAUX, 605. Ménopause ( Trophoedème des
membres
su- périeurs ayant débuté à la -) (2 pl.), pa
1/'opltiques,gllé/'ison (1 pl.),par Marchand, 135. Trophmdvme des
membres
supérieurs ayant débuté it la ménopause (2 pl.)
visme. Réponse à M. Ettore Levi. 25. et DEsBouis. Trophoedème des
membres
supérieurs ayant débuté à la ménopause (2 Pl.
épendymaires (Pierre MERLE et G. PASTI-,z), LXIX. Trophoedème des
membres
supérieurs (Bauer et DEsaoLls), XLV et XLVI.
IQUE DES MALADIES CUTANÉES ET SYPHILITIQUES PAR PAUL'RICHER
MEMBRE
DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE DIRECTEUR HONre DU LA
aphie la plus fréquente, au niveau xv 1 2 CESTAN ET DUE ! ' des
membres
, des troubles de sensibilité causés par les lésio
e ces troubles en bandes transversales, perpendiculaires à l'axe du
membre
, la théorie de la disposition en bandes longitu
e de la disposition en bandes longitudinales, parallèles à l'axe du
membre
. Pour expliquer la disposition en bandes transver
les, leprofes- seur Brissaud émit une séduisante hypothèse : chaque
membre
est formé par un bourgeon ; de même que le tron
s métamè- res médullaires, de même ce bourgeon qui va constituer le
membre
peut se subdiviser en segments métamériques per
n métamères correspondant aux segments métamériques transversaux du
membre
. On comprend ainsi qu'une lésion du renflement
omprend ainsi qu'une lésion du renflement médullaire d'origine d'un
membre
déterminera au niveau de ce membre des troubles
lement médullaire d'origine d'un membre déterminera au niveau de ce
membre
des troubles de sensibilité périphériques à dis
t évidemment accepter comme démontrée la division embryologique des
membres
supé- rieurs en métamères perpendiculaires à le
leur axe. Or certains embryologistes admettent au contraire que les
membres
sont formés par la fusion de véri- tables rayon
; cette crèle s'épais- sit ses deux extrémités pour constituer les
membres
, tandis que la partie intermédiaire s'atrophie;
les membres, tandis que la partie intermédiaire s'atrophie; chaque
membre
proviendrait ainsi du bour- geonnement de plusi
sion métamérique pourrait bien être, non perpendiculaire à l'axe du
membre
mais au contraire plus ou moins parallèle à cet
a sensibi- lité, comme de la motilité, une partie (dite segment) de
membre
trouve son origine dans la fusion de portions m
de ce problème embryo- logique si obscur encore de la formation des
membres
, nous paraît-il pré- férable dans le cas présen
adiculaire ou segmentaire affectent les troubles de sensibilité des
membres
provoqués par les lésions intra-mé- dullaires,
motilité, se poser dans les mêmes termes : Les troubles moteurs des
membres
, paralysie ou atrophie musculaire, produits par
s groupes cellulaires du renfle- ment cervical en connexion avec le
membre
supérieur et de la moelle lombo-sacrée, en conn
membre supérieur et de la moelle lombo-sacrée, en connexion avec le
membre
inférieur, préside à l'inner- vation de tous le
ieur, préside à l'inner- vation de tous les muscles d'un segment de
membre
, quelle que soit leur fonction physiologique, q
ent parlant, comme correspondant à tous les muscles d'un segment de
membre
, car il y a, ainsi que nous l'avons vu, des seg
certains muscles de ces segments. Au surplus, dans quel segment du
membre
su- périeur doit-on placer le biceps brachial p
syringomyélies n'ayant jamais présenté des douleurs fulgurantes des
membres
supérieurs, douleurs qui sont ordinairement la
ivement motrice s'asso- cient des troubles sensitifs et moteurs des
membres
supérieurs. Les deux bras sont ballants le long
aine des racines les plus basses du groupe radiculaire inférieur du
membre
thoracique droit. A ces troubles de motilité se
chial. Lorsque la poliomyélite aiguë de l'enfance s'étend à tout le
membre
supérieur, ici encore il est souvent facile de
l n'a pas présenté une paralysie 14 CESTAN ET HUET quelconque des
membres
; il n'a pas eu de convulsions ; il a parlé et ma
ions ni de vertiges épileptifor- mes. Sa démarche est normale ; les
membres
inférieurs ne présentent aucun trouble dans leu
intérêt, et nous devons porter particulièrement l'attention sur le
membre
supérieur gauche qui a été atteint par la paral
la disposition de l'atrophie et de la paralysie des muscles sur ce
membre
, on est frappé par le contraste qui existe entre
e extension vo- lontaire de l'avant-bras est impossible, lorsque le
membre
est placé dans une situation supprimant l'actio
ique, un jeune américain, âgé de 12 ans, atteint d'une paralysie du
membre
supérieur gauche avec atrophie assez prononcée
u de la nuque et le long du dos et de douleurs moins vives dans les
membres
. En même temps le mem- bre supérieur gauche fut
périeur gauche fut frappé de paralysie dans sa totalité. Les autres
membres
paraissent avoir présenté aussi dans les premiers
scrivit un trai- tement par l'électrisation et par le massage. Au
membre
supérieur gauche un certain nombre de muscles par
; il est très intelligent et sa santé générale est excellente. Aux
membres
inférieurs, au tronc, et au membre su- périeur
té générale est excellente. Aux membres inférieurs, au tronc, et au
membre
su- périeur droit la force et les fonctions des
e l'intensité des lésions et de leur localisation étroite à un seul
membre
; les autres membres, en effet, s'ils paraissen
sions et de leur localisation étroite à un seul membre ; les autres
membres
, en effet, s'ils paraissent avoir été un peu affa
aralysie correspondraient bien à cette hypothèse : au début tout le
membre
supérieur gauche est paralysé ; la paralysie rétr
: La maladie a débuté en décembre 1900, il y a donc un an, par les
membres
inférieurs. Jusqu'à cette époque, l'enfant avai
oint que l'enfant ne pouvait plus se tenir debout. A ce moment, les
membres
supérieurs se prenaient, le petit malade, d'abord
ment ailées. MYOPATHIE AVEC RÉACTIONS ÉLECTRIQUES NORMALES 29 Les
membres
supérieurs sont uniformément amaigris, cependant
e bras ne peuvent se faire que d'un seul coup; l'enfant lançant son
membre
. Les mou- vements d'extension des doigts sont i
doigts sont impossibles à droite, esnuissés à gauche. Au repos, les
membres
inférieurs offrent un aspect à peu près normal.
ré- traction fibreuse et les mouvements pas- sifs imprimés à ses
membres
ne sont nul- lement limités. Les réflexes son
tions électriques, l'abolition de tous les réflexes tendi- neux des
membres
inférieurs, la rapidité de l'évolution sont autan
ade lui parait bien présenter l'aspect d'un myopa- thique, mais aux
membres
inférieurs les extrémités sont plus atteintes c
n, ce n'est pas tant le fait qu'elles se manifestent chez plusieurs
membres
d'une même famille, car elles ont la même valeu
olongée furent suivis de douleurs dans les reins et surtout dans le
membre
inférieur droit. Rentrée en Suisse, elle fut so
- tait pas ballante, mais elle avait de la peine à la relever ; les
membres
inférieurs étaient très faibles, seuls les pied
ition étant moins pénible que l'extension complète. Le tronc et les
membres
inférieurs sont inertes ; les membres supérieur
ion complète. Le tronc et les membres inférieurs sont inertes ; les
membres
supérieurs ont conservé une certaine motilité et
ée contre le dossier, si elle ne prend pas un point d'appui sur les
membres
supérieurs, elle ne peut rester longtemps dans
appui sur la colonne vertébrale et la fosse iliaque). Muscles des
membres
supérieurs. L'impotence due à l'atrophie muscu-
. L'impotence due à l'atrophie muscu- laire diminue de la racine du
membre
à la périphérie. L'analyse des mouve- ments des
est arrêtée par la fatigue. Muscles de la ceinture pelvienne et des
membres
inférieurs. Les dé- gâts causés par l'atrophie
e sont bien plus considérables qu'à la cein- ture scapulaire et aux
membres
supérieurs. Les muscles de la ceinture pel- vie
l'excitabilité faradique des nerfs et des muscles, plus marquée aux
membres
inférieurs qu'aux membres supérieurs ; Une dimi
es nerfs et des muscles, plus marquée aux membres inférieurs qu'aux
membres
supérieurs ; Une diminution simple de l'excitab
nne. Aggravation lente et progressive ; ex- tension aux muscles des
membres
supérieurs et inférieurs en commençant par leur
en commençant par leur racine et avec une prédominance marquée aux
membres
inférieurs. Intégrité de la face. Participation
ente et régulièrement progressive, la topographie de l'atrophie des
membres
qui a débuté par leur racine, les réactions éle
cuisse. Parfois, mais très rarement ces déformations atteignent les
membres
supérieurs où l'on peut observer une flexion lé
mum d'adduction des bras et des cuisses. 1 : , Flexion complète des
membres
et extension de la tête. UNE MYOPATHIE AVEC RÉT
s cuisses, les pieds en équin légèrement varus. Etude détaillée des
membres
et du tronc. Les troubles sont symétriques et d
ymétriques et d'une égale intensité des deux côtés (Planche VII).
Membres
inférieurs. Très amaigris et sans hypertrophie, d
dominal) sont nor- maux. Les sphincters fonctionnent normalement.
Membres
supérieurs. Très amaigris, surtout à leur racine
Huet, chef du laboratoire d'électrothérapie de la clinique Charcot.
Membres
inférieurs. « Les résultats suivants de l'exame
l'excitation portée sur eux produise en même temps l'excitation des
membres
postérieurs (jumeaux). « En aucun point, on ne
E MYOPATHIE AVEC RÉTRACTIONS FAMILIALES 43 44 CESTAN ET LEJONNE -
Membres
inférieurs. - L'atrophie est prédominante à gauch
u niveau du mollet. Elle est par suite prédominante à la racine des
membres
. ' Membre inf. gauche : 32 cuisse sup. 23 cuiss
ollet. Elle est par suite prédominante à la racine des membres. '
Membre
inf. gauche : 32 cuisse sup. 23 cuisse inf. 23 mo
. ' Membre inf. gauche : 32 cuisse sup. 23 cuisse inf. 23 mollet.
Membre
inf. droit : 33 » 2o » 24 » L'abduction passive
bilité objective et subjective. Les sphincters fonctionnent bien.
Membres
supérieurs. Les deux bras sont fléchis à 55°, le
vant-bras sur les bras. L'atrophie est prédominante à la racine des
membres
; elle ne s'accompagne pas d'hypertrophie. Elle
n électrique, pratiqué par M. Huet, a donné les résultats suivants.
Membres
inférieurs. « L'examen a été fait avec grande a
âge, la marche progressive à début par les muscles de la racine des
membres
, les caractères si particuliers de cette atrophie
ssique. Elle est du type juvénile, à début par la racine des quatre
membres
, sans participation de la face, sans pseudo-hyp
emps que les grands pectoraux rétractés limitent cet écartement des
membres
supérieurs, aussi le malade est-il obligé de te
pèzes et des grands pectoraux. Voilà donc un aspect du tronc et des
membres
supé- rieurs tout à fait différent de ceux du m
à la racine UNE 1111'OP1'IllIE AVEC RÉTRACTIONS FAMILIALES 49 des
membres
avec conservation relative de la joue musculaire
avec conservation relative de la joue musculaire à l'extrémité des
membres
. Souvent le myopathique ne présente pas de sleppa
server l'équilibre, d'autre part de rendre rigides ces segments des
membres
inférieurs dont la mobilité est le grand obstacle
participation de la face. Rétraction en flexion très prononcée des
membres
supérieurs. Rétraction et flexion de la cuisse
ations. Les rétractions tardives, sont localisées de préférence aux
membres
in- férieurs, alors que le malade parélique est
équilibre des forces toniques duquel résulte l'attitude normale des
membres
se trouve rompu et ces derniers sont nécessaireme
former ainsi de véritables cordes. Mais, en réalité, au niveau des
membres
, les muscles les plus rétractés sont aussi les
urs l'emporte sur celle des muscles pré- cédents ; les segments des
membres
se fléchissent peu à peu et peu à peu un proces
ainsi tout à fait impossible l'extension complète des segments des
membres
. 52 CESTAN ET LEJONNE Toutefois, il fautrecon
lades des déformations si anormales, pour donner une rigidité à des
membres
ordinairement très fiasques. On avait essayé au
pareille à la sienne. Elle a un oncle buveur, au reste aucun autre
membre
de sa famille n'a eu de maladie qui puisse nous
y a d'abord un contraste frappant entre la racine et l'extrémité des
membres
, entre la jambe très amaigrie et cylindrique et
er aucun phénomène d'ataxie. Le sens musculaire est conservé. Les
membres
supérieurs sont intacts ; non seulement leur form
peut donc dire que la motricité est parfaitement conservée dans les
membres
supérieurs, 26 ans après le début de la maladie
normale au toucher, à la piqûre et à la cha- leur, partout sauf aux
membres
inférieurs, et encore dans ceux-ci seulement au-
s nette que l'on se rapproche davantage 56 socA de l'extrémité du
membre
. Aux pieds, par exemple, la sensation est assez o
s mouvements, les réflexes. Les réflexes tendineux sont intacts aux
membres
supérieurs ; peut-être très légèrement exagérés
ts aux membres supérieurs ; peut-être très légèrement exagérés. Aux
membres
inférieurs, il manque le réflexe patellaire et
ertson, la distribution radiculaire des anesthésies au tronc et aux
membres
su- périeurs, les phénomènes vésicaux et rectau
e polynévrite qui respecte d'une façon si éton- nante la racine des
membres
et produit celte amyotrophie en jarretière, ser
stribution de l'amyotro- phie, c'est qu'elle respecte la racine des
membres
et s'arrête souvent net- tement au tiers inféri
ntrastent parleur volume et leur force avec ceux de l'extrémité des
membres
. L'exploration électri- que prouve bien que le
aits vraiment remarquables de ce cas, c'est l'intégrité absolue des
membres
supérieurs, 26 ans après le début de la maladie
upérieurs, 26 ans après le début de la maladie. L'envahissement des
membres
supé- rieurs à une époque plus ou moins éloigné
e, si bien qu'il rejette du cadre de la maladie tous les cas où les
membres
supérieurs restent indemnes, au moins quand il
hissement ait pu se produire. Les cas publiés, avec in- tégrité des
membres
supérieurs, appartiendraient à d'autres formes d'
je ne vois pas pourquoi l'affection ne pourrait pas se limiter aux
membres
inférieurs d'une manière définitive. Supposon
ype Charcot-Marie, d'une façon par- faite, sauf l'envahissement des
membres
supérieurs; de quel droit lui refuser l'étiquet
trophie Charcot-Marie. D'après les cas connus , l'envahissement des
membres
supérieurs se produit dans des délais très vari
c aurions-nous porté ? Il est évident que, malgré l'in- tégrité des
membres
supérieurs nous aurions dit : amyotrophie Charcot
myotrophie Charcot- Marie, ce qui veut dire que l'envahissement des
membres
supérieurs, n'est point nécessaire pour constit
temps devrait-on attendre, pour déclarer dans un cas donné, que les
membres
supérieurs ne se prendraient plus ? Voici à pré
t irrécusable, et cependant 26 ans après le début de la maladie les
membres
supérieurs sont encore indemnes. Est-ce un cas
supérieurs sont encore indemnes. Est-ce un cas de transition ? Les
membres
supérieurs se pren- dront-ils ? Cela serait en
tion unique. Le temps le plus long écoulé entre l'envahissement des
membres
inférieurs et celui des membres supérieurs est
ng écoulé entre l'envahissement des membres inférieurs et celui des
membres
supérieurs est de 15 ans, d'après les cas connus
lade réalise le type Charcot-Marie, avec intégrité défi- nitive des
membres
supérieurs, car en effet la maladie paraît immobi
s supérieurs, car en effet la maladie paraît immobili- sée dans les
membres
inférieurs, elle ne progresse plus du tout. La
dit, avec la plus grande précision, que ses forces et l'aspect des
membres
, sont absolument les mêmes depuis un grand nom-
mps fort long. Ce cas paraît donc prouver que l'en- vahissement des
membres
supérieurs, peut ne pas se produire du tout dan
l'envahis- 60 SOCA sèment, peut-être incipient, de la racine des
membres
inférieurs, ce cas prouverait, et cela victorie
ce cas prouverait, et cela victorieusement, que l'envahissement des
membres
supérieurs, n'est nullement nécessaire au diagn
. En même temps qu'apparaissaient les troubles' décrits du côté des
membres
inférieurs, les membres supérieurs devenaient (
aissaient les troubles' décrits du côté des membres inférieurs, les
membres
supérieurs devenaient (1) KOII ! OEOLD, La mala
it; la nutrition est satisfaisante. Les petites veines cutanées des
membres
inférieurs forment de petites dilatationsvariqu
as tout à fait fa- cilement. Le gonflement des joues est libre.
Membres
supérieurs. Tous les mouvements des articulations
mmes, à la gauche : 15 (d'après notre dynamo- mètre particulier).
Membres
inférieurs. - Les mouvements sont impossibles dan
ion marquée du 3° et du 4e espaces interosseux. Circonférence des
membres
smiérieurs : 70 ROSSOLIMO ses qu'à l'état nor
u' degré le plus prononcé : à la figure, les muscles du front ; aux
membres
supérieurs, les muscles des bras ; aux membres
scles du front ; aux membres supérieurs, les muscles des bras ; aux
membres
inférieurs, les muscles des mollets ; une telle l
pagne d'une hypotonie musculaire plus ou moins accusée, surtout aux
membres
inférieurs qui manifestent les premiers des sympt
en- cèrent à se manifester,l'anesthésie et l'ataxie, plus forts aux
membres
infé- rieurs, où les phénomènes myotoniques com
irent et disparurent en dernier lieu dans les jambes, tandis qu'aux
membres
su- périeurs ils sont exprimés à un degré beauc
n turban. De sa bouche sort un diable noir à tête de chauve-souris.
Membres
flasques; bouche ouverte; yeux convulsés à droite
dehors d'une pa- ralvsie sensiliro-molrice, étendue la lotalilé des
membres
inférieurs, sans compter la paralysie de la ves
plus remuer ni les pieds ni les jambes ; c'est à peine si, avec ses
membres
inférieurs, il parvenait encore à exécuter de lég
de flexion des cuisses sur le bassin. Les masses musculaires de ces
membres
étaient flasques. De douleurs, D... n'en éprouvai
uvait pas ; la sensibilité était conservée dans toute l'étendue des
membres
inférieurs. Le lendemain matin, D... urinait pa
s matières. La paralysie du mouvement subsistait, telle quelle, aux
membres
inférieurs ; seul, le triceps crural fonctionnait
t de troubles objectifs de la' sensi- bilité, dans l'étendue de ces
membres
(la sensibilité scrotale n'a pas été AFFECTIONS
ligemment aux questions qu'on lui posait. L'examen de la tête, des
membres
supérieurs et du tronc n'a donné que des résult
s supérieurs et du tronc n'a donné que des résultats normaux. Aux
membres
inférieurs, les muscles de la région postérieure
rieur était indemne. Les pieds n'étaient pas tombants. Partout, aux
membres
inférieurs, les mouvements passifs conservaient
bres musculaires superficielles ne l'étaient pas. Le soulèvement du
membre
inférieur maintenu en extension provoquait de l
AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 87 1" Une paraplégie motrice des
membres
inférieurs, incomplète; à gauche, elle intéress
st-à-dire une sécheresse insolite et un état rugueux de la peau des
membres
inférieurs, un état cassant des poils et des on
gion sacro-lombaire, sans compter l'atrophie musculaire diffuse des
membres
inférieurs, déjà signalée ; 5° Des troubles de
nt en douleurs provoquées par les mouve- ments passifs imprimés aux
membres
inférieurs, et notamment par le sou- lèvement d
x membres inférieurs, et notamment par le sou- lèvement d'un de ces
membres
maintenus dans l'extension. Enfin, le malade es
, avec le plexus lombaire, l'inner- vation motrice et sensitive des
membres
inférieurs. Pour ne parler que de l'innervation
s de la motilité ; ils consistent en une paralysie incom- plète des
membres
inférieurs. Presque toujours elle reste limitée a
, souffre seulement quand on im- prime des mouvements passifs à ses
membres
inférieurs; ces souffrances sont d'ailleurs ass
ouffrances sont d'ailleurs assez vives, voire que le soulèvement du
membre
inférieur maintenu en extension lui occasionne
d ou de chaud, et n'irradiant pas, d'une façon bien nette, vers les
membres
inférieurs, constitue une présomption en faveur
ercussion du sacrum, par les mouvements, douleur irradiant vers les
membres
inférieurs, est presque toujours symp- tomatiqu
ouvées par le malade, quand on imprime des mouvements passifs à ses
membres
inférieurs (1). (1) Le malade a succombé à la c
ction de la queue de cheval sont rarement privés de l'usagede leurs
membres
inférieurs. Presque toujours, ils sont en état
bles qui, partant de la région sacro-lom- baire, irradient dans les
membres
inférieurs. C'est le cas de soupçonner l'existe
s de déformation appréciable du squelette au niveau du crâne ou des
membres
, ni de la colonne vertébrale, quoique la mère d
ion précédente du thorax change d'aspect lorsqu'on fait prendre aux
membres
supérieurs une attitude autre que l'attitude du r
bras droit ont une largeur égale il celle des segments analogues du
membre
supérieur opposé, encore que leur circonférence
scles pectoraux n'a jamais gêné le malade, les mouvements divers du
membre
supérieur n'en ont pas été troublés. Cet homme
us l'avons déjà vu. Cette intégrité fonctionnelle des mouvements du
membre
supérieur, due à la suppléance des muscles delt
jà par Froriep en (8 : 9, qui invoque la compression exercée par le
membre
supérieur sur le thorax du foetus. A l'appui de
e. L'at- titude du foetus dans la cavité utérine et les rapports du
membre
supé- rieur avec la partie pectorale du thorax
on thoracique consécutive à l'absence des muscles pectoraux ; or le
membre
supérieur correspondant s'adaptait exactement à c
dique », des affections caractérisées par des contractures dans les
membres
avec augmentation des réflexes et sans troubles d
init ainsi : « nais- sance avant terme, contracture spasmodique des
membres
, absence de lésion cérébrale et tendance à la g
t deux ans après la naissance. 2° Les contractures spasmodiques des
membres
avec absence de lésions cérébrales. - Il semble
pareil Dans tous les cas, nous avons pu constater que le séjour des
membres
inférieurs dans un appareil plâtré améliorait l
t sujette à des convulsions qui 142 CASTUX DANIEL augmentent. Les
membres
sont en état de rigidité spastique avec athétose
quarante-huit heures. Au réveil, il présentait des tremblements des
membres
et des yeux et lui, qui avait mar- ché à 13 moi
tervention chirurgicale pro- chaine. Les mouvements volontaires des
membres
inférieurs ont reparu inté- gralement, Arthur p
ogrès sont peu prononcés, il y a une sorte de paralysie fiasque des
membres
inférieurs, qui empêche l'enfant de se soutenir s
vons en présence de lésions de tous les faisceaux médullaires : les
membres
inférieurs présen- tent des troubles de la moti
qu'on désigne commu- nément sous le nom de sens de la position des
membres
, terme impropre puis- qu'il s'agit non de posit
it non de position, mais d'attitude, et non particulièrement de nos
membres
, mais de tous les segments de notre corps, articu
(4) E. Claparède, Avons-nous des sensations spécifiques de posit. des
membres
, Année psychol., 1900. (5) P. Bonnier, Vertig
que ces idées ne paraissent pas avoir été très bien saisies par les
membres
du Congrès de Philosophie, où mon rapport n'a d
ieur du corps, aussi bien dans les milieux viscé- raux que dans les
membres
, la température, la valeur hygrométrique du milie
ment toute nuance dans l'hémianesthésie, celle-ci prédomine sur les
membres
(p. 550) augmen- tant d'intensité de la racine
BONNIER § 3. - Le sens des attitudes et le sens de la position des
membres
. Par la nature même de notre constitution anato
du Tabès labyrinthique CI), que le terme de sens de la position des
membres
ne valait pas le terme de sens des altitudes se
fois attitude et situation, l'emplacement par rapport au milieu. Un
membre
est posé de telle façon et aussi posé sur telle
aire il l'attitude, et'par occasion au milieu. D'autre part, le mot
membre
ne s'applique pas au tronc, au cou, à la tête,
orte autant à l'exercice delà motricité que celle de n'importe quel
membre
. Toutes les parties d'un segment sont sensibles
normal pour le sens des attitudes. Nous oublions la position de nos
membres
quand ils s'immobilisent. Il n'y a là rien que de
trouver des malades qui n'aient aucune idée de la position de leur
membre
. » Et plus haut : « Je n'ai jamais vu d'hémiplé
ui ne se rende nullement compte les yeux fermés qu'on lui remue son
membre
paralysé. » Et il remarque que le malade n'accu
a priori), que, y eût-il des sensations spécifiques de position des
membres
, on ne sau- rait en aucune façon considérer la
ur l'état de nos muscles. Il en exclut la sensation de position des
membres
, le sens kinesthésique. On ne fut pas toujours au
de leur énergie et de leur direction ; celle de la position de nos
membres
; celle du'poids, de la résistance, de la fluidit
nseignés sur l'action ou la posi- tion, en un mot sur l'être de nos
membres
; - 2° le sens musculaire est en réalité un cor
naître l'état du muscle, ou connaître, par le muscle, l'être de nos
membres
, c'est deux. Que le sens musculaire nous révèle
ientation et les attitudes segmentaires de la tête, du tronc et des
membres
. De plus, l'appareil de l'utricule et des canaux
hologie nerveuse intervient dans la pensée comme la morphologie des
membres
dans le geste. Je disais plus haut que l'on ne
chial. Lorsque la poliomyélite aiguë de l'enfance s'étend à tout le
membre
su- périeur, ici encore il est souvent facile d
adiculaire de la lésion. LES UROLOGUES (1) PAR PAUL RICHER,
Membre
de l'Académie de médecine, Directeur honoraire du
de l'estime pour elle : je n'en ai pas eu besoin depuis (2) ». Un
membre
de l'Académie des sciences, Nicolas Lémery,écriva
ade répond aux questions qu'on lui pose. Il dit éprouver dans les
membres
inférieurs, depuis quinze ans environ, des doul
e. Le malade ne présente pas d'autres troubles que les douleurs des
membres
inférieurs signalées ci-dessus. Parole. La paro
i par la parole, ni par la mimique. Il présente de la parésie des
membres
du côté droit; lorsqu'on le pique du côté droit
'avec la main gauche. 11. Le malade est dans le coma complet. Les
membres
supérieurs sont contracturés. Lorsqu'on pince l
tait, puis apparaissaient des convulsions gé- néralisées aux quatre
membres
,sans prédominance appréciable d'un côté. n'y av
gauche 9 ki- log.) ; également des deux côtés ; pas de troubles des
membres
inférieurs, mais lorsqu'on appuie sur la zone t
egré TROIS CAS DE NÉOPLASIES CÉRÉBRALES 209 de parésie évident du
membre
supérieur droit ; le malade serre moins fort de
le malade se plaint d'un certain degré d'incoordination motrice du
membre
supérieur droit ; en mangeant il por- terait so
aralysie faciale est toujours très appréciable, mais la parésie des
membres
droits est peu sensible. Abolition du réflexe p
ble. 13 Décembre. - A l'examen : Pas de parésie motrice, les quatre
membres
remuent très bien, pas de troubles de la sensib
de la sensibilité. Si on le pique ou le pince, le malade retire le
membre
. La paralysie faciale n'est appréciable que si
t il coup la sensation d'une bouffée de chaleur qui remonterait des
membres
à la tête ; en même temps, le visage e se conge
é droite du voile du palais, la partie gauche se contracte seule.
Membre
supérieur d2-oit. - Tous les mouvements sont poss
mouvements passifs. Les réflexes sont un peu exa- gérés à droite.
Membre
inférieur droit. - Tous les mouvements sont égale
? fit La marche est impossible, d'une part à cause de la parésie du
membre
infé- rieur droit, d'autre part à cause du vert
ctuelle. Le le'' décembre, on constate une très grande faiblesse du
membre
supérieur l' et inférieur du côté droit. Les
'était anormal. Les malformations, portaient sur les extrémités des
membres
, la face, le crâne et le cerveau. Extrémités.
euve. Les adhéren- ces amniotiques étant admises aux extrémités des
membres
, n'est-il pas dès lors logique de penser qu'ell
femme de 58 ans, atteinte depuis sa naissance d'une malformation du
membre
inférieur droit, dont la photographie est repro
à terme, en bonnes con- ditions. A sa naissance, l'enfant avait le
membre
inférieur droit un peu plus court et moins déve
ez elle un degré prononcé d'hypertrichose faciale. En dehors de son
membre
infé- rieur droit, tout chez elle est normaleme
ts indique bien l'absence de tout rétrécissement des détroits. Le
membre
abdominal droit est considérablement réduit dans
l a relativement très peu grandi depuis la naissance, tandis que le
membre
gauche prenait ses proportions normales. Actuelle
. Voici d'ailleurs les dimensions respectives des segments des deux
membres
. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T.
éro-interne de la jambe, hypertrophie qui ne se retrouve pas sur le
membre
gauche. Les téguments sont à une tempé- rature
, que différents auteurs ont décrites sur les faces externes de ces
membres
atro- phiés. La sensibilité tactile est normale
iliaque que de l'extrémité supérieure du fémur. La radiographie du
membre
inférieur a présenté également quel- ques diffi
entre évidemment dans l'ordre des ectromélies, nom s'appliquant aux
membres
plus ou moins avortés (Isidore G. St-Ililaii-e)
rs doigts, les phocomélies, chez lesquelles le segment basilaire du
membre
s'étant atrophié, la main ou le pied s'in- UN C
n que nous trouvons réalisée ici. On divise enfin les hémimélies du
membre
inférieur en deux grandes variétés ; par absenc
elte malformation, avec la relation de plusieurs cas nouveaux. Le
membre
est très atrophié, surtout dans sa partie distale
le plus caractéristique de l'absence du tibia, avec la position du
membre
, est la subluxation paradoxale des deux extrémité
lle. Le malade de Klaussner était un jeune homme de 18 ans, dont le
membre
inférieur gauche, raccourci et en flexion, n'at
dans lequel Klaussner n'hésite pas à recon- UN CAS D'llÉMIhLÉLIG DU
MEMBRE
ABDOMINAL DROIT 271 naître le tibia. A celui-ci
ts. D'autre part, nous n'avons pas, on s'en souvient, trouvé sur le
membre
avorté de ces cicatrices astéroïdes anciennes, qu
on amniotique trop étroit, sur la face externe du segment distal du
membre
, pendant les premiers mois de la grossesse. (
per plusieurs sujets de la même génération, à plus forte raison des
membres
de la même famille appartenant à des génération
i d'un enfant de 2 ou 3 ans, avec une aréole à peine saillante. Les
membres
supérieurs sont très longs. La voie est un peu
ez lui c'est l'aug- mentation en longueur des bras et des jambes.
Membre
inférieur . Distance de l'épine iliaque à la tête
e malade a la grande taille des eunuques, il en a la lon- gueur des
membres
disproportionnés avec le corps, il en a l'absence
o-moteurs ; chez notre malade, nous avons vu ainsi alterner dans le
membre
supérieur droit des phénomènes convulsifs et para
buté il y a 11 ans et ont consisté en douleurs fulgurantes dans les
membres
inférieurs et dans les membres supérieurs, d'ab
sté en douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs et dans les
membres
supérieurs, d'abord continues, moins fré- quent
hie musculaire généralisée très accusée. Incoordination extrême des
membres
inférieurs et des membres xv 20 298 ' THOMAS
très accusée. Incoordination extrême des membres inférieurs et des
membres
xv 20 298 ' THOMAS ET HAUSER supérieurs. Ab
ble 'dans la perception des sensations douloureuses portées sur les
membres
inférieurs. Pupilles immobiles à la lumière, ma
se tenir debout, émaciation très prononcée. Atrophie musculaire aux
membres
inférieurs. Cyphoscoliose à convexité dirigée d
oit. Abolition des réflexes rotuliens. Incoor- dination extrême aux
membres
inférieurs comme aux membres supérieurs. Troubl
otuliens. Incoor- dination extrême aux membres inférieurs comme aux
membres
supérieurs. Troubles de la sensibilité : retard
s tard survinrent des dou- leurs fulgurantes d'abord localisées aux
membres
inférieurs, puis ga- gnant les membres supérieu
antes d'abord localisées aux membres inférieurs, puis ga- gnant les
membres
supérieurs. A 50 ans, la vue baissa assez rapidem
bes, puis la faiblesse et l'ataxie en- vahirent progressivement les
membres
inférieurs et quatre ans plus tard, c'est-à-dir
Salpêtrière. Etat actuel : incoordination extrêmement accentuée aux
membres
inférieurs, force musculaire normale. Incoordina-
s inférieurs, force musculaire normale. Incoordina- tion légère des
membres
supérieurs. R"é(]exes fibrillaires et plantaires
sieurs années à marche lente. Signes classiques. Incoordination des
membres
inférieurs. Abolition des réflexes lumineux. Ex
q ans par des 316 THOMAS ET IIAUSER douleurs lancinantes dans les
membres
inférieurs ; au bout de 5 à 6 mois, elle était
vait plus marcher. Etat actuel en 1900, Atrophie très prononcée des
membres
inférieurs avec parésie : la malade peut néanmo
its mouvements d'ailleurs mal coordonnés. Incoordination légère des
membres
supérieurs. Abolition des réflexes tendineux au
des membres supérieurs. Abolition des réflexes tendineux aux quatre
membres
. Troubles très marqués de la sensibilité superf
oubles très marqués de la sensibilité superficielle et profonde aux
membres
inférieurs. Incontinence complète des urines et
ffaiblie. Etat actuel, novembre 1900 : Incoordination nota- ble des
membres
inférieurs surtout du membre inférieur droit augm
e 1900 : Incoordination nota- ble des membres inférieurs surtout du
membre
inférieur droit augmentant pendant l'occlusion
t du tendon d'A- chille. Troubles très légers de la sensibilité aux
membres
inférieurs. Aux membres supérieurs incoordinati
Troubles très légers de la sensibilité aux membres inférieurs. Aux
membres
supérieurs incoordination très légère, pas de tro
les jambes. Signe de Romberg, incoordination et faiblesse dans les
membres
inférieurs. Pied-bot paralytique. Abolition des
ot paralytique. Abolition des réflexes rotuliens. Douleurs dans les
membres
inférieurs. Retard dans la transmission des imp
n des impressions douloureuses. Altérations du sens musculaire. Aux
membres
supérieurs, ni incoordination ni atrophie, cons
fulgurantes dans les jambes. Etat actuel (1896). Incoordination des
membres
inférieurs, troubles de la marche; abolition de
rieurs, troubles de la marche; abolition des réflexes tendineux aux
membres
supérieurs et in- férieurs. Signe de Romberg. D
in- férieurs. Signe de Romberg. Douleurs sous forme de lancées aux
membres
inférieurs, Pas de douleurs aux membres supérie
s sous forme de lancées aux membres inférieurs, Pas de douleurs aux
membres
supérieurs, pas de douleurs en ceinture, pas de
iques. Pas d'altérations manifestes de la sensibilité objective aux
membres
inférieurs. Signe d'Argyll-Roberlson. De 1896 à
st à peine si elle peut se tenir dé- bout. Actuellement (1899), aux
membres
inférieurs, incoordination très légère avec aff
ans atrophie ni hypotonie ; abolition des réflexes patellaires. Aux
membres
supérieurs pas d'incoordination ; par intervall
un brouillard devant les yeux. Depuis 8 mois l'incoordina- tion des
membres
supérieurs a tellement augmenté qu'elle ne peut m
lle ne peut mar- cher seule. Etat actuel (1896). Incoordination des
membres
inférieurs, mais pas de démarche caractéristiqu
d'a- trophie musculaire. Sensibilité superficielle altérée sur les
membres
in- férieurs. Sensibilité profonde conservée. I
1898. Abolition des réflexes patellaires. Incoordination légère des
membres
inférieurs devenant plus prononcée les yeux fer
gers de la marche et de la station debout les pieds rapprochés. Aux
membres
supé- rieurs : incoordination très légère, abol
urs impossible de modifier sa position, en raison de la raideur des
membres
. Mutisme absolu. Il ne sort de son lit que pour
t P... se resserrer sur lui-même, exagérer encore la tension de ses
membres
dans l'extension et l'adduction comme s'il se met
nsive et se préparait à la résistance. Lorqu'on vient à saisir un
membre
, un segment du corps quel qu'il soit, pour lui
ne parfois tout d'une pièce,sans pouvoir arriver à lui mobiliser le
membre
en question. On peut parfois arriver à ce résul
cher la main. On réussit plus facilement en mobilisant doucement le
membre
par segments ou en levant progressivement te br
ssez longtemps, un quart d'heure et plus. Pendant tout ce temps les
membres
gardent strictement leur position, sans effort
tudes cataleptiformes ont fait place à une sorte de trémulation des
membres
, des grimaces variées,à des rires explosifs nul
accentuée. Pour les bras on obtient très facilement la mobilité du
membre
qui se laisse ployer comme celui d'un mannequin
cataleptiforme, dans la position dernière que l'on a imprimée à ses
membres
(PI. XLV. J). Ces poses ca- taleptiformes ne pe
alades pré- cédents et petit à petit, par gradation insensible, les
membres
reviennent à leur attitude habituelle. L... c
siègent, d'une façon relativement assez symétrique, sur les os des
membres
, les côtes, etc. Leur second malade, homme de 2
n en 1878, à l'âge de sept ans. Il n'a jamais entendu dire qu'aucun
membre
de sa famille ait présenté des malformations du
cicatrices blanchâ- tres siégeant à la face interne et externe des
membres
inférieurs. La cicatrice qui occupe la paroi ex
du matin et s'aperçoit qu'il est paralysé, incapable de remuer aucun
membre
et de descendre de son lit. Il perd ensuite con
n état comateux. La motilité revient, au bout de ce temps, dans les
membres
du côté droit; ceux du côté gauche demeurent, p
de l'Hôtel-Dieu (janvier 1895), le malade a recouvré l'usage de ses
membres
; il traîne cependant encore la jambe droite. Les
ifférents segments du squelette ; elles sont surtout nombreuses aux
membres
inférieurs ; les extrémités inférieures des tibia
P.-E. Launois et Pierre Roy). Exostoses et fractures spontanées des
membres
inférieurs. (Radiographie). Masson & Cie,
de prédilection au niveau des épiphyses, leur symétrie relative aux
membres
inférieurs sont des caractères qui les en rappr
s qui les en rapprochent. Mais leur symétrie ne se retrouve pas aux
membres
supérieurs, leur prédilection pour les épiphyses
sans qu'on puisse rattacher cette atrophie à l'inaction forcée des
membres
paralysés ; car il n'y a souvent pas de proport
ns la moindre disposition radiculaire ou segmentaire la totalité du
membre
et sous tous les modes sensitifs, reproduit tro
vait observé, put recueillir des renseignements précis sur tous les
membres
de sa famille, il les a réu- nis dans le tablea
ne fut con- fisquée, sa famille fut déclarée éteinte, et tous les
membres
de son clan dispersés, devinrent chevaliers erran
se (1) l'nnhmsov, On Essay of the shating palsy by James Parkinson,
Membre
of the Royal Collège of Surgeons, London,1811.
e ; l'épaule gauche est soulevée, comme la hanche, du même côté, le
membre
inférieur est en exfension, le pied est légèremen
é prédomine nettement au niveau des mus- cles fléchisseurs, pour le
membre
supérieur ; parfois même (obs. 3 et 4), les mou
érieur ; parfois même (obs. 3 et 4), les mouvements d'extension des
membres
sont incomplets, et nettement limités par la te
nsion,non seu- lement pour le tronc, mais aussi pour la tête et les
membres
: dans la position habituelle, ses hras pendent
e par des attitudes vicieuses et des mouve- ments involontaires des
membres
, du tronc et de la tête. (1) ler avril 1902.
- ment une lassitude extrême et une sensation de brisement dans les
membres
. Tandis qu'au début elle se tenait constamment
encore, pour compléter l'observation, une sorte d'inquié- tude des
membres
inférieurs, dans la station debout, et un défaut
dreich et l'hérédo- ataxie (2), où les troubles de la motricité des
membres
supérieurs peuvent se déceler, bien longtemps a
Nous pouvons nous-même maintenir la rectitude, sans grand effort.
Membres
supérieurs. - La force est conservée dans les bra
face du corps, et qui n'amènent pas de déplacements des segments du
membre
. Mais, si l'on dit au malade de lever le bras,
à la bouche sans maladresse, malgré les se- cousses de la tête. .
Membres
inférieurs. - Tous les segments des membres infér
cousses de la tête. . Membres inférieurs. - Tous les segments des
membres
inférieurs semblent avoir conservé l'intégrité
évier de la ligne droite. Il n'y a point d'ataxie statique pour les
membres
inférieurs. . Station. Il se lève sans le secou
n déclanchement de contractions variées de la tête, du tronc et des
membres
, que le cinématographe seul pourrait reproduire
traction des antagonistes ne se produisait pas en temps utile. Le
membre
est comme bridé, et l'effort que fait le malade p
n demi-flexion, la main en pronation, on y remarque, comme pour les
membres
inférieurs, la prédominance d'action des muscles
ement. Réflexes. - Tous les réflexes (2) tendineux sont abolis, aux
membres
in- férieurs et supérieurs ; le chatouillement
nts des muscles qui n'amènent pas de dé- placement des segments des
membres
, mais souvent un ébranlement de tout le membre,
nt des segments des membres, mais souvent un ébranlement de tout le
membre
, et des soubresauts des orteils. Mouvements inv
rte un cas où les réflexes tendineux étaient abolis en même temps aux
membres
supérieurs et inférieurs. 398 DESTARAC Face
. La sensibilité objective est un peu altérée, vers l'extrémité des
membres
in- férieurs. Elle va en s'atténuant de la ja
contractions apparaissent dans le long supinateur à 2 1/2 MA. Aux
membres
inférieurs, 1'liyperexcilibilité est plus marquée
i existe entre l'excitabilité de certains muscles et l'attitude des
membres
dans la marche. Il y a une prédominance d'actio
tabilité des adducteurs. La même remarque peut être- faite pour les
membres
supérieurs. Au point de vue qualitatif, CFP se
i va en décroissant de haut en bas, de la racine à l'ex- trémité du
membre
.Tandis que le deltoïde se contracte avec le plus
ntractent qu'à 5. Cette différence est encore plus marquée pour les
membres
inférieurs : les LE SYNDROME DU TORTICOLIS SPAS
hénomène associé, pendant l'exécution des différents mouvements des
membres
» (Marie, hérédo-ataxie). « Aux lè- vres, dit S
ornent chez noire malade à une légère anesthésie de l'extrémité des
membres
inférieurs, remontant jusqu'à mi- jambe. Ils so
éra- lisées chez Vig.,n'aménent pas de déplacement des segments des
membres
, comme dans le paramyoclonus, mais parfois un s
peuvent se montrer dans un grand nombre de muscles du tronc et des
membres
(dos, cuisses, éminence thénar). Parfois aussi
s ondulatoires, quand un pôle est à la main, l'autre à la racine du
membre
; ces ondulations se montrent aussi pendant la
s cette abolition existe pour tous les réflexes tendineux, tant aux
membres
inférieurs qu'aux supérieurs. Il y a bien aussi
tionnels . Simple nuance, que l'on constate à tout propos, pour les
membres
infé- rieurs et supérieurs, dans la marche, l'é
um, dit Thomas, il y a intégrité relative des mouvements isolés des
membres
. La force musculaire est conservée aux membres
vements isolés des membres. La force musculaire est conservée aux
membres
supérieurs et infé- rieurs. Mais, à côté de c
oca (de Montevideo) publie un cas d'atrophie musculaire limitée aux
membres
inférieurs chez une femme de 46 ans ; un frère de
du cadre de l'atrophie type Charcot Marie les cas où l'atteinte des
membres
supérieurs ne s'est point produite. Je n'ai jam
te qu'aucun des 3 cas dans les- quels l'affection a été limitée aux
membres
inférieurs n'est familial, que l'atrophie a tou
ul le cas de Sachs est familial, mais l'impotence fonctionnelle des
membres
inférieurs, contrairement à ce que j'ai constaté
obant, qui me permît d'admettre l'existence d'une forme limitée aux
membres
inférieurs, si rationnelle que cette hypothèse
ns l'armée italienne, chez lesquels depuis quelques années déjà les
membres
infé- rieurs étaient seuls touchés par l'atroph
e de qlta- tre-vingts ans était atteinte de la même affection ; ses
membres
supérieurs n'avaient jamais présenté la moindre
1902. xv 31 474 RAYMOND paralysie sensilivo-motrice toGale des
membres
inférieurs, lundis qu'on a pris l'habitude de r
ver le diagnostic d'affection de la queue de cheval aux cas où, aux
membres
inférieurs, l'anesthésie et la paralysie motrice
Une autre zone d'anesthësie occupait la plante du pied gauche. Les
membres
inférieurs étaient très amaigris ; cet amaigrisse
Dans le décubitus dorsal, la malade exécutait facilement, avec ses
membres
inférieurs, les différents mouvements segmentai
lit. Par contre, la malade ne pouvait se maintenir d'aplomb sur ses
membres
inférieurs sans être soutenue. Elle ne pouvait
ais faire d'elle, à l'instant. Vous remarquerez d'abord combien les
membres
inférieurs sont amai- gris ; leur amaigrissemen
leur amaigrissement a fait des progrès, dans ces derniers temps. Le
membre
inférieur gauche est plus maigre que le droit; vo
ans la suite, les douleurs ont diminué d'intensité. L'impotence des
membres
inférieurs est allée en augmentant; elle faisait
mentaires. Elle s'est compliquée d'un amaigrissement progressif des
membres
inférieurs, plus prononcée à gau- che, d'une es
nifestations doulou- reuses, d'un côté à l'autre. L'impotence des
membres
inférieurs, survenue un peu après les mani- fes
vons de la topographie des cenlres de l'inner- vation sensitive des
membres
inférieurs parle dans le même sens. En effet, l
he. Le malade se mit à ressen- tir des douleurs assez vives dans le
membre
inférieur gauche, à la face posté- rieure, prin
difficulté pour aller à la selle. Les douleurs et la faiblesse des
membres
inférieurs persistaient. Dans le service de Ren
us remarquerez d'abord que le malade se lient bien d'aplomb sur ses
membres
inférieurs. Vous voyez qu'il boite, en marchant,
'être sujet à des douleurs intermittentes ; elles lui parcourent le
membre
inférieur gauche en totalité, sur le trajet du sc
du sciati- que, pareilles à des éclairs. Dans toute l'étendue de ce
membre
, il éprouve une sensation continuelle de froid
e se sont montrés, à la suite d'un brusque refroidissement, dans le
membre
inférieur gau- che, au pied d'abord, puis à la
ivis de près par des douleurs et par une parésie motrice de ce même
membre
. Peu de temps après est survenue une paralysie
ès huit jours d'un trai- tement par la cathétérisme. L'impotence du
membre
inférieur gauche est allée en augmentant. Auj
douleurs très vives. Puis est survenue une faiblesse croissante du
membre
; il quelque temps de là, elle s'est compliquée
ssie et d'une cons- tipation opiniâtre. Entre temps, l'impotence du
membre
inférieur gauche est allée en s'accentuant. Ell
ésicale qui, à un moment donné, s'associait à la parésie motrice du
membre
inférieur gauche, s'est presque totalement diss
lade la projette en avant. Le pied est ballant. Vous voyez que le
membre
inférieur gauche est fortement amaigri. Il s'ag
e, le malade éprouve une sensation de froid dans toute l'étendue du
membre
inférieur gauche. Enfin il éprouve toujours une
malade. Elles se réduisent présentement à une paralysie motrice du
membre
infé- rieur gauche, qui va en diminuant d'inten
che, qui va en diminuant d'intensité, de l'extrémité à la racine du
membre
, et qui se double d'une atrophie musculaire massi
ériode d'invasion des poliomyélites infectieuses; L'impotence des
membres
inférieurs, faisant place, très rapidement, à u
ieurs, faisant place, très rapidement, à une paralysie partielle du
membre
inférieur gauche, limitée au domaine d'innervat
des modifications des réactions électriques ; Le refroidissement du
membre
paralysé et atrophié, qui ne manque jamais, dan
rait de ce côté s'il était abandonné à lui-même. Dans la marche les
membres
inférieurs sont écartés l'un de l'autre) les mo
rieurs sont écartés l'un de l'autre) les mouvements élémentaires du
membre
infé- rieur gauche sont brusques et le pied gau
t s'appliquer sur le sol d'une manière bruyante ; les mouvements du
membre
inférieur droit pré- sentent aussi ces caractèr
léchi la cuisse sur le bassin et la jambe sur la cuisse, replace le
membre
dans sa position primitive, voici ce qu'on obse
t combiné de flexion de la cuisse et du tronc ». Les mouvements des
membres
supérieurs sont accomplis avec correction, mais
sont normaux. Les réflexes 494 BABINSKI ET NAGEOTTE tendineux du
membre
supérieur paraissent un peu plus forts à droite q
rieure de la couche interolivaire. Comme le noyau grêle répond' aux
membres
inférieurs et le noyau cunéi- forme aux membres
u grêle répond' aux membres inférieurs et le noyau cunéi- forme aux
membres
supérieurs, cela revient à dire que les fibres du
fibres du ruban de Reil qui servent au passage des impressions des
membres
inférieurs sont en arrière et celles des membre
es impressions des membres inférieurs sont en arrière et celles des
membres
supérieurs en avant; or, précisément L on remar
ue la région antérieure, les troubles sen- sitifs prédominaient aux
membres
inférieurs.' go . La région antérieure du ruban
res ascendantes, libres du ruban de Reil, émanées des noyaux grêle (
membres
inférieurs), cunéi- forme (membres supérieurs),
Reil, émanées des noyaux grêle (membres inférieurs), cunéi- forme (
membres
supérieurs), du trijumeau (face) et destinées aux
ent, en pleine santé, d'accidents nerveux graves : hémiasynergie du
membre
inférieur gauche, latéropulsion vers la gau- ch
rieur gauche, latéropulsion vers la gau- che, tremblement léger des
membres
supérieurs, hémiplégie légère et hémianesthésie
ouvait compren- dre, selon nous, la prédominance de l'anesthésie au
membre
inférieur ; elle peut être attribuée à ce que l
auquel aboutissent les fihres longues des racines postérieures des
membres
inférieurs. Si à la face l'anesthésie est bilat
neuses, nystagmus, latéropulsion vers le côté lésé, tremblement des
membres
supérieurs, hémiasynergie du membre inférieur d
le côté lésé, tremblement des membres supérieurs, hémiasynergie du
membre
inférieur du côté lésé. Ces symptômes, qui sont a
ment le sens et l'étendue des plus petits mouvements imprimés à ses
membres
; il reproduit fidèlement les yeux fermés, avec
s à ses membres ; il reproduit fidèlement les yeux fermés, avec ses
membres
sains, les mouvements imprimés à ses membres as
yeux fermés, avec ses membres sains, les mouvements imprimés à ses
membres
asynergiques. Aussi l'occlusion des yeux ne modif
e. Faut-il attribuer à cette lésion le tremblement intentionnel des
membres
supérieurs ? Le noyau de Deiters dont le faisce
n 1 Syndrome cérébelleux' avec asynergie musculaire du tronc et des
membres
. - At1'ophie du cervelet apparemment limitée à
ion verticale, possible seulement avec appui, écartement marqué des
membres
inférieurs pour accroître la base de sustentation
e et, lorsqu'il veut pren- dre un objet, une grande incertitude des
membres
supérieurs. La marche est impossible sans souti
ui dit de se relever il se met à quatre pattes, étend fortement les
membres
inférieurs et grimpe le long de ses cuisses com
ment, il présente au maximum le phénomène décrit par Bahinski : les
membres
inférieurs en ex- tension s'élèvent d'abord à 3
se soulève à son tour formant un angle avec les cuisses. Enfin les
membres
inférieurs retombent sur le plan du lit et le tro
ilepsie. Crises extrêmement fréquentes avec aura sensitive dans les
membres
du côté gauche et conservation apparente de la co
ideur ma- nifeste dans les mouvements provoqués. Il existe aux deux
membres
inférieur et supérieur droits, mais surtout au
s. Pas d'atrophie manifeste ni au bras ni à la jambe ; seulement le
membre
supérieur droit présente une cyanose très appar
Aucun trouble de la sensibilité. Les réflexes tendineux des deux
membres
gauches sont très exagérés et ils le sont aussi
pouls à 120. Rien aux viscères, sauf de la constipation. Les quatre
membres
sont contracturés surtout à gauche où les tremble
lent être plus exacts, ayant été contrôlés à domicile auprès d'autres
membres
de la famille : la mère, le frère ainé. Ce cas
r la première fois à la sortie du régiment et qui siégeaient dans les
membres
inférieurs, ont été en augmentant et lui ont in
cette hau- teur, la plus grande part semble due à l'allongement des
membres
inférieurs : la distance du grand trochanter dr
des différences de races et des autres variations, la longueur des
membres
inférieurs représente les 10/19 de la hauteur t
de la hauteur totale. Pour une taille de 2 m. 04, la lon- gueur des
membres
inférieurs devrait être de 1 m. 07 ; chez le gran
t être de 1 m. 061, soit 68 millimètres en moins de la longueur des
membres
inférieurs de notre sujet. L'écart est ici assez
au menton : 22 cent. 5) (Pl. LXIV et LXV). La déformation énorme du
membre
inférieur gauche (la cuisse et la jambe forment
teur, confirmé encore par l'allongement des différents segments des
membres
. (Voir les mensurations détaillées de 1899 et de
ce au niveau de la ligne mamelonnaire, est de 1 m. 04. Les quatre
membres
sont très angmentés de longueur : nous avons déjà
ongueur : nous avons déjà signalé l'allongement disproportionné des
membres
inférieurs ; celui des mem- bres supérieurs est
ale de l'individu, atteint ici 2 m. 09. Les différents segments des
membres
sont respectivement assez bien proportionnés. S
bien proportionnés. Si l'on excepte une légère atrophie musculaire du
membre
inférieur gauche tenant au moindre fonctionneme
e du membre inférieur gauche tenant au moindre fonctionnement de ce
membre
infirme, ou peut dire que le volume des bras et
depuis l'apparition du genu valgum, de violentes douleurs dans les
membres
inférieurs persistent jour et nuit. L'état ment
dès maintenant que la localisation de cartilages encore actifs aux
membres
et, dans les membres, aux épiphyses qui normale
a localisation de cartilages encore actifs aux membres et, dans les
membres
, aux épiphyses qui normalement s'ossifient le p
us tardivement, donnée- l'explication de l'inégal développement des
membres
et du tronc, camez aussi des différents segment
nt des membres et du tronc, camez aussi des différents segments des
membres
. I ? II. Mode de croissance gigantesque et ses
produit d'ordinaire chez les jeunes sujets dont l'accroissement des
membres
inférieurs est très rapide, et qu'il est dû au
élargissement du bassin contribuait avec la longeur anor- male des
membres
inférieurs à produire le gêna valgum (liiocl-lnce
ent (4.) à peu près normal et l'allonge- ment porte surtout sur les
membres
; 2° Les membres inférieurs sont plus accrus qu
normal et l'allonge- ment porte surtout sur les membres ; 2° Les
membres
inférieurs sont plus accrus que les supérieurs ;
sont plus accrus que les supérieurs ; 3° Les segments proximaux des
membres
(fémur, humérus) sont moins accrus proportionne
st produit en trois ans l'al- longement des différents segments des
membres
que rend plus évident la comparaison des chiffr
Cette comparaison montre, de plus, que les différents segments des
membres
ne se sont pas accrus d'une manière égale et pr
ne le soient peut-être plus autant en 1902. En ce qui concerne le
membre
inférieur droit, il semble tout d'abord que l'a
t, il faut encore tenir compte que les mesuresont été prises sur le
membre
inférieur droit, resté rectiligne, mais qui, ay
seul tout le poids du corps, s'est certainement moins accru que le
membre
inférieur gauche : en examinant les photo- grap
p variables. Il n'en est pas de même pour les mesures prises sur le
membre
supé- rieur (gauche) ; elles sont susceptibles
susceptibles d'une assez suffisante rigueur : la longueur totale du
membre
supérieur, comprise entre l'acromion et l'ex- t
s. La répartition de l'accroissement sur les différents segments du
membre
peut être indiquée de la façon suivante : GIG
stique) établis par les anciens artistes égyptiens, la longueur des
membres
inférieurs, depuis ce point, devrait représente
le excessive, peut être mise en valeur en comparant la longueur des
membres
inférieurs de lady Aama avec leur longueur moye
rbée en arrière. Les épaules sont horizontales ; scapulae alalae.
Membres
supérieurs. Plus longs qu'à l'état normal : l'all
rs. Plus longs qu'à l'état normal : l'allongement porte sur tout le
membre
, mais est frappant surtout aux mains, qui semblen
ux mains, qui semblent dispro- portionnées relativement au reste du
membre
. Musculature faible et flasque. Tous les os sem
e, et ses mouvements d'extension, actifs ou passifs, sont abolis.
Membres
inférieurs. Augmentés également dans toutes leurs
ont diminué d'une façon assez notable, ainsi que la circonférence des
membres
. Toux et expectoration. Anémie et diminution de
he droite. Synoviale vineuse et hypertrophiée aux articulations des
membres
supérieurs. Au niveau de la tibio-tarsienne dro
urs bien plus bas sur jambes que le boeuf de sa race, a surtout des
membres
postérieurs peu, élevés ; tandis que c'est l'al
embres postérieurs peu, élevés ; tandis que c'est l'allongement des
membres
postérieurs qui, chez le boeuf, redresse la lig
). » Poncet a obtenu de même par la castration un allonge- ment des
membres
.postérieurs chez le lapin f5). , . , Enfin che
nt la puberté, se fait remar- quer par l'allongement exagéré de ses
membres
inférieurs. > E. Godard (6) dans ses Notes d
firmé de leur côté ces descriptions. Cette même systématisation aux
membres
inférieurs du gigantisme des eunuques, orientau
oncés (Voir PI. LXVIII) (5). Voici la mensuration exacte des os des
membres
de cet homme prise au la- boratoire de médecine
its par Godard, et comme celui de Lortet, un allongement marqué des
membres
inférieurs. Quand il mourut à t'age de 37 ans,
veloppement est assez en rapport avec celui des autres segments des
membres
; enfin, si son thorax présente une scoliose à co
conjugaison), par la modalité de cet accroissement (allongement des
membres
et surtout des membres inférieurs) et ses anoma
dalité de cet accroissement (allongement des membres et surtout des
membres
inférieurs) et ses anomalies (genu valgum) n'est
artistes n'ont pas hésité à atténuer les difformités du corps des -
membres
ou du visage. Aussi ne trouve-t-on guère de portr
pliotocollogr.), par BAi31-,sKi et Nageotte, 493. Ilzrrrémélie du
membre
abdominal droit étudié par la radiographie (Un
ogr.), 3 dessins), 222. Hertz et Infroit. Un cas d'hémimélie du
membre
abdominal droit étudié par la radiographie (1 p
s myélopathiques, 182. INFROIT et HRITZ. Un cas d'hémimélie du du
membre
abdominal droit étudié par la radiographie (1 p
centres nerveux (13AmXSI([ et NAGEOTTE), LV à LIX. Hémimélie du
membre
inférieur droit (IIEITZ et Infroit), XXXI. In
u- teurs des voies nerveuses motrices des yeux, de la face et des
membres
(fig. 51). Les libres du M. 0. C. s'entrecroi
la partie supérieure de la protubérance, les fibres motrices des
membres
au- dessous dans le bulbe. C'est d'ailleurs l
ouche le M. 0. E. et le facial croisés, les faisceaux nerveux des
membres
non croisés. La connaissance de ces notions a
- sement successif des voies motrices des yeux, de la face et des
membres
. Le trajet des libres motrices est indiqué pa
e le M. 0. C. entrecroisé et le faisceau moteur de la face et des
membres
non entre-croisé (syndrome de Weber). La lésion
e Il. 0. E. et le facial entre-croisés, et le faisceau moteur des
membres
non entre-croisé (syndrome de 311llal'fl-Guhler
S GLOBES. 71 côté (côté de la lésion) ; paralysie de la face et des
membres
du côté opposé (fig. 52 A). Syndrome Millard-
M. 0. E. et du facial d'un côté (côté de la lésion) ; paralysie des
membres
du côté opposé (fig. 52 B). Des lésions pédon
e Foville dans les lésions pédonculaires : paralysie du facial, des
membres
et de l'oculogyre du même côté. (Voir Déviations
RE. paralysie de l'oculogyre d'un côté ; paralysie du facial et des
membres
du côté opposé (fig. 55 B).. '.> Syndrome
cial et de l'oculogyre d'un côté (côté de la lésion); paralysie des
membres
du côté opposé (fig. 55 C). Dans la paralysie d
les lésions pédonculaires ou cérébrales : paralysie du facial, des
membres
et de l'oculogyre du même côté (fig. 53 A). S
: para- lysie de l'oculogyre d'un côté; paralysie du facial et des
membres
du côté opposé. C'est un syndrome de Weber modi
ial et de l'oculogyre d'un côté (côté de la lésion) ; paralysie des
membres
du côté opposé. C'est un syndrome de Millard-Gubl
de regarde l'hémisphère lésé quand il y a paralysie, il regarde ses
membres
con- vulsés quand il y a convulsion. Dans les l
nvulsion. Dans les lésions protubérantiellcs, le malade regarde ses
membres
s'il y a paralysie, et sa lésion s'il y a convu
rd inattentif, et dis- , parait dans la fixation. Souvent plusieurs
membres
d'une même famille en sont atteints, témoignage
ts, témoignage de l'influence héréditaire. Audéoud l'a vu chez sept
membres
d'une même famille. J'ai souvent constaté chez de
ne affection dont l'un des principaux symptômes, le tremblement des
membres
, augmente dans les mouvements intentionnels. Le
x premières années, on voit apparaître un nystagmus persistant; les
membres
supérieurs se niellent à trembler dans les mouv
érieurs se niellent à trembler dans les mouvements volontaires; les
membres
infé- rieurs sont pris d'incoordination motrice
alternes sensitives (anesthésie faciale d'un côté et anesthésie des
membres
du côté opposé). Il peut t y avoir anes- thésie
voir anes- thésie et paralysie faciale d'un cote avec paralysie des
membres
du côté opposé, l'anesthésie faciale constituan
'accompagner de parésie des extenseurs de la tête et de parésie des
membres
inférieures, d'où les types principaux distingu
e des extenseurs de la tête), type de l'aveugle ivre (paralysie des
membres
inférieurs). Les parésies des mem- bres supérie
' VERTIGES. des lombes, des névralgies de la face, du tronc ou des
membres
, accom- pagnent ordinairement les parésies et l
le à son entourage la maladresse d'une main, l'engourdissement d'un
membre
, les fourmillements d'une extrémité, ou bien ac
se gonfle à chaque expiration : le malade fume la pipe. De plus les
membres
du côté atteint présentent parfois des convulsi
nce, de tonicité, d'élasticité; du côté paralysé, au contraire, les
membres
soulevés retombent, plus vite et plus lourdement
ès complètement abolis : fréquemment cependant, le malade retire le
membre
pincé, se plaint même parfois, mais il y a dans
ose latérale amyotrophiquc, facile à reconnaître par l'atrophie des
membres
et l'exagération des réflexes persistant malgré
' '. , TROUBLES DE L'ÉCRITURE.- 207 L'impotence; fonctionnelle du
membre
supérieur droit chez les droi- tiers, gauche ch
l droitier ? gaucher ? ambidextre ? ' ? Est-il hémiplégique ? des
membres
seulement ou aussi de la l'ace ? Ilnel. est l'é
Constate-t-on, lorsque le malade parle, les mouvements associés des
membres
du côté droit observés par Pierre Marie et Sainto
ations des am- putes qui disent accomplir des mouvements avec leurs
membres
fantômes. Sellas a montre que l'hallucination p
ctions d'administrateurs provisoires. Elles désigneront un de leurs
membres
pour les remplir : l'administrateur ainsi désigné
s. Art. 2. Les commissions de surveillance seront composées de cinq
membres
, nommés par les préfets, et renouvelés chaque a
mmés par les préfets, et renouvelés chaque année par cinquième. Les
membres
des commissions de surveillance ne pourront être
s coexistence de rachitisme. Enfin on observe des malformations des
membres
, de la syndactylic. La main des idiots, qui a é
' b) Idiotie diplégique. Dans ce cas, il y a paralysie des quatre
membres
. Bourneville et Crouzon ont étudié une idiotie di
, à l'infiltra- tion myxoedémateuse du tho- rax, du ventre et des
membres
, à l'absence de poils au thorax et au pubis.
t généralement que la sensibilité tactile augmente de la racine des
membres
à leurs extré- mités. On peut avoir recours,
une impression tactile parfai- tement ressentie par eux, non pas au
membre
louché, mais en un point exactement symétrique
non pas au membre louché, mais en un point exactement symétrique du
membre
opposé; c'est le phénomène de l'allo- rit il'il
E LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 38 ? portant sur la partie externe d'un
membre
sont localisées par le malade' sur la partie in
la sensibilité vibratoire. Ils sont plus marqués à l'extrémité des
membres
inférieurs, peuvent revêtir la topographie radi
ieurs, peuvent revêtir la topographie radiculaire (voir fig. 5) aux
membres
supérieurs, 8`' cervicale et 1 dorsale). Habitu
Elle est toujours plus marquée il la périphérie qu'à la racine des
membres
. Fig. 8. Schéma de pallesthésie chez un individ
loyé depuis Ch. Bell pour désigner la somme des perceptions que nos
membres
nous fournissent sur leur position, leurs mouve
ux fermés, dans quelle position se trouve tel ou tel segment de nos
membres
; il ne s'agirait pas ici (d'après Claparède) d'
isant fermer les yeux aux malades et en imprimant aux segments d'un
membre
qu'on suppose atteint de troubles de ce sens di
des positions simples, faciles à expliquer ou à reproduire avec le
membre
opposé, s'il n'est pas paralysé. On peut ainsi fl
nsuite au poignet, au coude, et à l'épaule. On fera de même pour le
membre
inférieur. Ces troubles de la notion de position,
rler, sont toujours plus marqués à la périphérie qu'à la racine des
membres
; ils obéissent ainsi à une loi de topographie g
nts de flexion et d'extension aux différents segments de tel ou tel
membre
, en invitant le malade à indiquer la direction
quand l'individu résiste à la force de la pesanteur. La vitesse du
membre
qui porte l'objet inter- vient dans l'appréciat
ds connus, et l'on compare avec le côté opposé. A l'état normal, le
membre
supérieur peut reconnaître des poids de '1/iU d
bre supérieur peut reconnaître des poids de '1/iU de différence; au
membre
inférieur il faut des différences de ;;0 il 5S gr
0 il 5S gr. On fait tout d'abord l'expérience en tenant immobile le
membre
du sujet, ensuite on invite le malade à faire d
e douleurs (douleurs hrélténcilégiqz.ces de Weir-Mitchell) dans les
membres
d'un côté du corps. Fréquence. Durée. L'hémiane
nctive. Elle est toujours plus marquée au niveau des extrémités des
membres
qu'à leur racine, plus intense également au mem
extrémités des membres qu'à leur racine, plus intense également au
membre
supérieur qu'au membre inférieur ou encore qu'à
qu'à leur racine, plus intense également au membre supérieur qu'au
membre
inférieur ou encore qu'à la face et au tronc, obé
arche vers la guérison se fait ici de la racine vers l'extrémité du
membre
(Dejerine). Dans l'hémianesthésie organique cér
res- pondant, sous la forme d'une zone d'hypoesthésie occupant le
membre
inférieur. On a émis, pour expli- quer ce fai
ndes. Elle peut être .lolale (intéressant la face, le tronc elles
membres
) ou partielle, et revêtir, comme l'hémiplégie, la
et d'indiquer la nature de l'excitation douloureuse portée sur ses
membres
paralysés et de dire, par exemple, s'il s'agit
ent et difficile mouvement de reptation, le seul qui leur reste) le
membre
piqué, bien qu'ils déclarent ne rien sentir au
larent ne rien sentir au moment même où s'exécute cette retraite du
membre
; en réalité, ils ont bien senti une douleur, ma
fonde, plus marquée au niveau de l'extré- mité que de la racine des
membres
. Perte complète de la notion de position des me
analgé- sique ; 5° Des mouvements choa°éo-atlaétosiques dans les
membres
du côté paralysé. On peut se demander si l'hé
la racine descen- dante du trijumeau) ainsi que sur le tronc el les
membres
du côte TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. ;
o-uot,7°ices ». C'est le syndrome de Millarrl-Gubler (paralysie des
membres
d'un côté, avec paralysie faciale et strabisme
e et profonde très marquée avec fourmillements et douleurs dans les
membres
atteints, des mouvements choréo-athétosiformes,
de la lésion en hauteur, l'anesthésie peul intéresser soit les deux
membres
et le tronc d'un côté du corps (si la lésion se
ement cervical), soit seulement la partie inférieure du tronc et le
membre
inférieur de ce côté (si la lésion existe au-de
par coups de tranchet; laminectomie. A droite, paralysie motrice du
membre
inférieur, avec hyperesthésie pendant les premi
Caractères. Dans la paraplégie sensitive, l'anesthésie occupe les
membres
inférieurs et remonte plus ou moins haut sur le t
t remonte plus ou moins haut sur le tronc, sans dépasser jamais les
membres
supérieurs. Les deux membres inférieurs peuvent
sur le tronc, sans dépasser jamais les membres supérieurs. Les deux
membres
inférieurs peuvent être atteints au même degré,
TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 519 lancinent dans les deux
membres
(dans les cas de fracture ou de luxation du rac
s souvent, ils apparaissent petit à petit, en commençant par un des
membres
. Une fois la paraplégie sensitive installée, l'
nsitive installée, l'anesthésie se montrera le plus marquée dans le
membre
sur lequel a débuté l'affection. La paraplégi
bution que celle des filets nerveux Fig. 20. Territoires cutanés du
membre
supérieur. Schéma, d'après Soulié. . (Territoir
tinctes les unes des autres, bandes parallèles au grand axe sur les
membres
, et perpendiculaires à l'axe du corps sur le tr
] Fig. 21. Distribution radiculaire des nerfs du plexus brachial au
membre
supérieur. Schéma d'après les données de )lad,
centes. Celle loi, évidente pour le tronc, s'applique également aux
membres
. Sur le tronc enfin, les bandes de distribution
Les schémas donnés par les auteurs, sensiblement les mêmes pour le
membre
supérieur, différent notablement entre eux pour l
s pour le membre supérieur, différent notablement entre eux pour le
membre
inférieur, en particulier pour la distribution
le et 1 ? dorsale); elle peut occuper quelquefois le bord radial du
membre
supérieur (5", 6e racines cervicales). Rarement
rs de l'évolution du tabès, les troubles sensitifs apparaissent aux
membres
Fig. 27. - Anesthésie du bord cubital des deu
; plus tard encore ils peuvent envahir toute la surface cutanée des
membres
inférieurs et du tronc jusqu'à la région mammai
e chez un alaxique de quarante-sept ans, ancien syphili- tique. Aux
membres
inférieurs, surtout à gauche, le domaine de la 2'
en grisé clair) tactile et douloureuse, il topographie radiculaire (
membre
supérieur : 6 ? Cv, et accessoirement Cyl Il; m
e radiculaire (membre supérieur : 6 ? Cv, et accessoirement Cyl Il;
membre
inférieur : Li, 1.1, LIII, LIV. Le domaine de Lv
taient une distribution dite segmentaire (limitée à des segments de
membre
) ; aussi parlait-on d'anesthésie en gant, en ve
qu'il s'agit d'une distri- bution radiculaire généralisée à tout ce
membre
. Par un examen attentif, on arrive ainsi à reco
bles sensitifs, dans la syringomyélie, occupent le plus souvent les
membres
supérieurs et le tronc, plus rarement les jambes.
opographie seg- mentaire ; plus accentués à l'extrémité distale des
membres
, ils vont en s'atténuant progressivement à mesu
ténuant progressivement à mesure qu'on se rapproche de la racine du
membre
. Il semble cependant, pour tenir compte de quelqu
ue) et segmentaire (myélomérique) ; l'anesthésie en tranche sur les
membres
, se prolonge à sa limite supérieure, suivant un
a limite supérieure, suivant une hande parallèle au grand axe de ce
membre
. 1. Presse médicale, 11 décembre 1901. [ROUSS
ment brachial (schéma d'après Brissaud). S. moelle épinière; M S,
membre
supérieur; BR, renflement brachial de la moelle;
lle; A, B, C, métamères du tronc; il, 2, 5, centres métamériques du
membre
supérieur; z, ? s", zones de sensibilité circul
es du membre supérieur; z, ? s", zones de sensibilité circulaire du
membre
supérieur correspondant aux centres métamériques
ras en s'avançant un peu sur les faces antérieure et postérieure du
membre
. La paralysie motrice occupe tous les petits mu
BILITE. C) Type total. Dans ce type, l'anesthésie s'étend à tout le
membre
supérieur; elle occupe la main et l'avant-bras
troubles sensitifs dans tous les cas de phénomènes doulou- reux du
membre
supérieur; ce qui a permis à Dejerine et à ses él
siège au niveau de la 2e vertèbre lombaire. L'anesthésie occupe les
membres
inférieurs en entier, les régions périnéales et
s moteurs sont habituels et consistent en une paralysie flasque des
membres
infé- rieurs ; il existe, en outre, des trouble
thésiques, les dou- leurs se localisent surtout- aux extrémités des
membres
. Les radiculites peuvent frapper toutes les rac
s; mais, le plus souvent, on observe des troubles sensitifs soit au
membre
supérieur (type cervical ou cervico-dorsal), so
soit au membre supérieur (type cervical ou cervico-dorsal), soit au
membre
inférieur (scialique radiculaire) (Dejerine, Ga
se confon- dent les unes avec les autres et peuvent envahir tout un
membre
ou un segment de membre. On observe alors des t
avec les autres et peuvent envahir tout un membre ou un segment de
membre
. On observe alors des troubles de sensibilité à t
que s'applique surtout aux territoires sensitifs des extrémités des
membres
. ' Fig. '39. Paralysie du cubital par luxation
ues, les troubles sensitifs peuvent se localiser à la totalité d'un
membre
ou à une grande partie de ce membre : type mono-
se localiser à la totalité d'un membre ou à une grande partie de ce
membre
: type mono- plégique, ou bien encore dans les
membre : type mono- plégique, ou bien encore dans les névrites des
membres
inférieurs, revêtir le type paraplégique. Les t
rticuliers au cours des névrites : ils sont fréquents au niveau dcs
membres
, très rares sur le tronc ; plus marqués aux membr
s au niveau dcs membres, très rares sur le tronc ; plus marqués aux
membres
infé- rieurs qu'aux membres supérieurs (dans le
s rares sur le tronc ; plus marqués aux membres infé- rieurs qu'aux
membres
supérieurs (dans les cas de névrite des quatre
ieurs qu'aux membres supérieurs (dans les cas de névrite des quatre
membres
) ; ils sont plus prononcés à la périphérie qu'à l
mbres) ; ils sont plus prononcés à la périphérie qu'à la racine des
membres
, obéissant ainsi il la même loi qui régit la topo
a jambe, etc., et s'arrêter brusque- ment au niveau du tronc ou des
membres
suivant une ligne franche. 'Mais il est à remar
une ligne perpendiculaire, mais oblique par rapport au grand axe du
membre
z (Dejerine). .. , . Fig. 41. Lèpre. Distribu
utres, je les écarte, je fléchis et j'étends les divers segments de
membre
, je fais palper des objets divers, ronds, carrés,
présence d'une telle topographie. Nettement limitée à un segment de
membre
, elle s'arrête brusquement par une ligne perpendi
en doigt de gant, en gant, en manchette, en gant de soirée, pour le
membre
supérieur. Au membre intérieur, c'est l'anesthé
gant, en manchette, en gant de soirée, pour le membre supérieur. Au
membre
intérieur, c'est l'anesthésie en chaussette, en
ncomplète, quelquefois partielle; plus prononcée il l'extrémité des
membres
, elle va en diminuant dans le sens proximal; elle
iminuant dans le sens proximal; elle est plus marquée au niveau des
membres
(membre supérieur surtout) que sur la face et l
dans le sens proximal; elle est plus marquée au niveau des membres (
membre
supérieur surtout) que sur la face et le tronc
ons viscérales, des zones d bypcrestbesie cutanée sur le tronc, les
membres
et la tête, zones dont la topographie est direc
les limites exactes des zones hyperesthésiques. Sur le tronc et les
membres
, Ilead décrit les zones suivantes : Zone dorso-
ficielles ou pro- fondes, généralisées ou localisées au niveau d'un
membre
, du tronc, de la tête, d'un viscère, et peuvent
ng des nerfs intercostaux dans le mal de Polt; irradiation dans les
membres
inférieurs au cours des compressions médullaire
température locale, etc. Lorsque les douleurs siègent au niveau des
membres
, elles peuvent déterminer une véritable impotence
I'naryu wnoi.. 24 i-fc [ROUSSY.] 570 SENSIBILITÉ. Douleurs des
membres
. Au niveau des membres, les dou- leurs sont rep
fc [ROUSSY.] 570 SENSIBILITÉ. Douleurs des membres. Au niveau des
membres
, les dou- leurs sont reportées ordinairement pa
ues pures qui sont faciles à dia- gnostiquer, les douleurs dans les
membres
doivent faire songer, en neuro- pathologie, et
es symptômes primordiaux de l'affection. Tout d'abord localisée aux
membres
, (die peut envahir tout le corps. Elle s'associe
e. Ce sont les plus an- ciennement connues; elles siègent (huis les
membres
, avec une prédilec- tion marquée pour les gross
ut donc les comparer aux douleurs rhumatoïdes, sur- venant dans les
membres
à la suite de fractures ou de luxation, et. les
soit à quelques mois après ; elles siègent non seulement clans les
membres
paralysés, mais aussi à la face et sur le tronc
arrachement de l'oeil, le menton et l'oreille du côté paralysé. Aux
membres
, elles ne se cantonnent pas particulièrement clan
ticulations, mais irradient dans toute la longueur des segments des
membres
, aussi bien au niveau des doigts et des orteils q
bles dysesthésiques : engour- dissements et fourmillements dans les
membres
et même à la face. Un dernier caractère importa
siègent en un point quelconque du corps, à la face, à la nuque, aux
membres
, au coccyx, sous la forme de zone douloureuse l
ements, des fourmillements, des engourdissements, des angoisses des
membres
, des sensations de chaud ou de froid, de doigt
, tantôt diffuses, et siègent au niveau du tronc, de la tête et des
membres
, surtout à leurs extrémités. . Séméiologie. S
ral : dyseslhésics des TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE..575
membres
dans la gangrène vasculaire, la. gangrène sénile,
ng du bord cubital. Dans l'értlaronzélalgie ( u6od5, rouge ; p.na ?
membre
; è1.À')'o ? douleur), les dysesthésies consist
ur, gonflement, chaleur et hyperidrose, siègent le plus souvent aux
membres
inférieurs, aux orteils, aux pieds. Ils peuvent
fait/que les troubles de la marche, la lourdeur, la faiblesse des.
membres
et les sen- sations anormales subjectives, ne s
lade par des sensations anormales, des dysesthésies, dans le ou les
membres
qui vont bientôt se paralyser. Il ne s'agit guère
artérielle par athérome ou syphilis. On peut observer ici, dans un
membre
, ou sur tout le côté du corps, des fourmillements
u- leurs localisées à la tète, au cou, à la colonne vertébrale, aux
membres
, au coccyx; ces douleurs sont persistantes, trè
bles d'intensité. Les douleurs se font sentir dans la profondeur du
membre
plutôt que sur le trajet des nerfs périphérique
après l'injection de cocaïne loco dolenli. Ainsi les névralgies des
membres
provoquées par des ncvromes douloureux, les tic
ude, sur la face antérieure du poignet. Souvent les névralgies du
membre
supérieur sont limitées aux nerfs cutanés, les
t souvent précédée de prodromes (fourmillements, engourdissement du
membre
, etc.), puis apparaissent les paroxysmes doulou
. Souvent il persiste durant très longtemps de l'engourdissement du
membre
et le malade se fatigue très facilement. On a o
ique, la sciatique spasmodique; on observe de la raideur de tout le
membre
, de l'exagération des réflexes, de la trépidation
ifs sous forme de paresthésies, d'hyperesthésies localisées dans un
membre
ou une moitié du corps. La migraine oplttalmo
où il existe un tendon accessible a la per- cussion, au niveau des
membres
inférieurs comme au niveau des membres supérieu
er- cussion, au niveau des membres inférieurs comme au niveau des
membres
supérieurs. Nous examinerons les réflexes les plu
428 . RÉFLEXES. . On pourra également obtenir le relâchement des
membres
en faisant asseoir le malade sur le bord d'un l
en l'appuyant sur la cuisse du côté opposé, on soulèvera ainsi le
membre
à examiner en plaçant la jambe en demi-flexion
la jambe en demi-flexion sur la cuisse. On pourra encore placer le
membre
inférieur en abduction et la jambe en demi-fl
façon que la face externe du genou repose sur le plan du lit : le
membre
est, en géné- ral, ainsi dans le relâchements
est portée sur l'effort qu'il a à fournir et il cesse de raidir ses
membres
inférieurs. La manoeuvre de Muskens consiste ég
xion sur la cuisse et la cuisse en abduction sur le plan du lit. Le
membre
opposé sur lequel on recherche la contraction c
que les adducteurs aient un maximum d'allongement. On place donc ce
membre
dans l'altitude suivante : flexion à angle droit
exes difficiles à trouver. Orschanski ('), en faisait travailler un
membre
, a vu tout d'abord les réflexes tendineux augme
lle est loca- lisée à quelques tendons (et en particulier à ceux du
membre
inférieur) ou suivant qu'elle est généralisée.
réflexes rotuliens. On pensera immédiatement après aux névrites des
membres
inférieurs. Dans ces affections, en effet, l'af
ne façon continue. c) Abolition limitée des réflexes tendineux à un
membre
ou à un segment de membre. L'abolition des réfl
ition limitée des réflexes tendineux à un membre ou à un segment de
membre
. L'abolition des réflexes peut être tout il fait
dineux d'un seul côté du corps, sur les réflexes tendineux des deux
membres
supé- rieurs, enfin sur les réflexes tendineux
eux membres supé- rieurs, enfin sur les réflexes tendineux des deux
membres
inférieurs. Nous allons envisager successivemen
acune de ces modalités cliniques. 1" Exagération des réflexes des
membres
inférieurs. Nous commençons par l'étude de l'ex
eurs. Nous commençons par l'étude de l'exagération des réflexes des
membres
infé- rieurs parce que ce sont les réflexes le
agération des réflexes, comme nous l'avons vu, est caractérisée aux
membres
inférieurs par la brusquerie et la rapidité de la
u pied et par le clonus du pied. Cette exagération des réflexes des
membres
inférieurs est le plus sou- vent liée aux sympt
e; qui suil la paraplégie flasque. '20 Exagération des réflexes des
membres
supérieurs. L'exagé- ration des réflexes des me
s réflexes des membres supérieurs. L'exagé- ration des réflexes des
membres
supérieurs est souvent caractéristique de la sc
ophiés et l'exagération des réflexes n'existe plus qu'au niveau des
membres
inférieurs. L'atrophie des membres supérieurs a
s n'existe plus qu'au niveau des membres inférieurs. L'atrophie des
membres
supérieurs associée à l'exagération des réflexe
ie des membres supérieurs associée à l'exagération des réflexes des
membres
infé- rieurs forme un ensemble caractéristique
atérale amyo- trophique. L'exagération des réflexes tendineux des
membres
supérieurs est également souvent symptolnatiqll
t une localisation cervicale. Enfin, l'exagération des réflexes des
membres
supérieurs peut s'ob- server au cours des affec
ération des réflexes se manifeste par l'exagération des réflexes du
membre
supérieur, par l'exagération du réflexe patella
: ; suivant quelques ailleurs, elle est plus marquée au niveau des
membres
supérieurs, souvent le réflexe massétérin est exa
le malade peut arriver alors il un véritable état de rétraction des
membres
inférieurs et il reste confiné au lit dans cet ét
de et la pneumonie. 5° Exagération des réflexes portant sur un seul
membre
. L'exa- gération des réflexes peut porter sur u
n seul membre. L'exa- gération des réflexes peut porter sur un seul
membre
, elle est alors causée par une affection articu
es adducteurs décrit par Pierre Marie; ce réflexe, provoqué dans le
membre
opposé par la percussion d'un tendon rotulien,
lli- plégie disparue. Pour explorer l'étal des mouvements dans le
membre
supérieur, le mieux est de dire au malade de dé
t une signification pouvant être utilisée. ILÉml'LIGIE..1.fj;¡ Au
membre
inférieur il en est de même pour le réflexe rotul
lète de tout un côté du corps. Ils ne peuvent pas remuer du tout le
membre
supérieur, les mouvements du membre infé- rieur
e peuvent pas remuer du tout le membre supérieur, les mouvements du
membre
infé- rieur sont ordinairement moins complèteme
e peut se tenir debout. D'une façon générale, la paralysie pour les
membres
est beaucoup plus prononcée dans les segments d
rotation en dehors, extension des doigts, élévation du bras pour le
membre
supérieur; pour le membre inférieur, mécanisme
ion des doigts, élévation du bras pour le membre supérieur; pour le
membre
inférieur, mécanisme du raccourcissement de la
qu'ils puissent lever alternativement l'une et l'autre jambe. Les
membres
ne sont, pas seuls frappés dans l'hémiplégie, le
s, le malade re- garde sa lésion s'il y a paralysie, il regarde ses
membres
convulsés s'il y a contracture ; dans les lésio
ire en extension. L'étude des mouvements involontaires (') dans les
membres
est inté- ressante : l'un des plus simples et d
s ordinairement observés con- siste dans un mouvement de flexion du
membre
supérieur paralysé qui se produit pendant le bâ
térieure des cuisses et des mollets, se montrant il la fois dans le
membre
inférieur du côté sain et du côté malade; on igno
pour certains auteurs (Pitres, Dignat), chez tout hémiplégique les
membres
du côté sain ont également subi une diminution
niveau du point piqué, soit même un léger mouve- ment de retrait du
membre
. On dit alors qu'il y a hémianesthésie. Le term
our s'en convaincre (Pierre Marie), il suffit, au lieu de piquer le
membre
paralysé, de le pincer pendant une demi-minute,
bien c'est un des assistants qui s'est appuyé brutale- ment sur son
membre
paralysé, etc.... Jamais, en tout cas, le : malad
incement; si, au contraire, on pince, même bien plus légèrement, le
membre
correspondant du cote sain, on voit le malade p
re de caractères à peu près constants : ils sont plus prononcés aux
membres
que sur le tronc et dans les segments péri- phé
x membres que sur le tronc et dans les segments péri- phériques des
membres
qu 1\ leur racine; la face peut participer à ces
iper à ces troubles sensitifs, mais ils y sont moins marqués qu'aux
membres
. Un autre caractère de ces troubles sensitifs e
cutanée, plus marqués aux segments périphériques qu'à la racine des
membres
; on les recherche surtout au moyen des mouvements
Assez souvent les hémiplégiques se plaignent de douleurs dans les
membres
paralysés, surtout dans les membres supérieurs; c
plaignent de douleurs dans les membres paralysés, surtout dans les
membres
supérieurs; ces douleurs HÉMIPLÉGIE. ! (i7 so
ent en connexion avec de l'arthrite chronique des articulations des
membres
paralysés ; d'autres fois, elles siègent le long
égie, elle atteint principalement certains muscles de la racine des
membres
(deltoïde, muscles de la fesse), quelquefois cepe
gie de l'adulte, des cas où se pro- duisait une atrophie des os des
membres
paralysés. Les Iroubles trophiques cutanés sont
phique bien caractérisé. Quant à l'oedème qui siège parfois sur les
membres
hémiplégiques, on peut presque à coup sur, lors
ec une hémiplégie motrice certains cas de douleurs unilatérales des
membres
. Chez les individus affectés d' épilep81e jacks
épilep81e jacksonienne, on voit assez sou- vent survenir, dans les
membres
qui ont été le siège des manifestations convuls
ble hémiplégie. Il existe un état singulier d'impotence motrice des
membres
qui n'est pas l'hémiplégie et qui en est cepend
it les malades qui en sont atteints être capables de faire avec les
membres
du côté apraxique des mouvements variés d'une m
e assiette et de les porter à sa bouche, ou de bourrer une pipe, le
membre
apraxique n'en peut venir à bout. Ce trouble de
localisations très nettes de la paralysie sur tel ou tel segment de
membre
, sur la face, la langue, etc.; Ions les traités c
e ne déterminent pas de paralysies localisées, de nionopif. gies du
membre
supérieur ou inférieur, ou d'un segment de membre
rgane de conduction en niasse du mouvement volontaire pour les deux
membres
du côté opposé. Cela est si vrai que ce sont le
aisceau pyramidal, et déterminant par conséquent une hémiplégie des
membres
du côté opposé, intéresse en même temps soit le n
s et les mieux connus sont : le type Millard-Gubler (hémiplégie des
membres
d'un côté, paralysie faciale de l'autre côté) e
e de l'autre côté) et le type dit syndrome de Weber (hémiplégie des
membres
d'un côté et paralysie du moteur ocu- laire com
e de Weber), coexiste, de l'autre côté, non plus une hémiplégie des
membres
, mais un tremblement soit continuel, soit inter
e du syndrome de Millard-Gubler (Grasset) : d'un côté paralysie des
membres
, de l'autre, paralysie du facial et d'un oculo-
pe Foville du syndrome de Weber (Grasset) : d'un côté paralysie des
membres
et de la face, de l'autre paralysie d'un oculogyr
pasme facial alterne (Brissaud et Sicard) : d'un côté paralysie des
membres
, de l'autre spasme de la face. Syndrome de Bene
rébelleux alterne de Babinski et Nageottc : d'un côté paralysie des
membres
, de l'autre, troubles cérébelleux, hémiasynergie,
atteinte, et qu'ordinairement la paralysie est plus marquée pour le
membre
inférieur que pour le supérieur. Ce qui permettra
, dans le degré et les modalités de l'impotence fonction- nelle des
membres
, différents caractères qui éveilleront ses soupço
i permet de les recourber fortement dans le sens de l'extension. Le
membre
supérieur et le membre inférieur sont, dans cet
er fortement dans le sens de l'extension. Le membre supérieur et le
membre
inférieur sont, dans cette forme, susceptibles
it plus de contracture, mais d'hénn- athétosc ou d hémicborée : les
membres
de ces malades ne présentent pas l'atrophie sig
ROUZON.] ] 476 . HEMIPLEGIE. pas assez forte pour immobiliser les
membres
. Le réflexe plantaire est presque toujours en e
ie. Ce sont, par exemple, les mouvements qu'exécute en réduction le
membre
malade quand on commande au malade un mouvement
: il s'agit alors d'un mouvement associé symétrique. Quelquefois le
membre
inférieur du côté malade ébauchera un mou- veme
onstatait un tremblement, des mouvements involontaires dans tout le
membre
supérieur du côté droit, atteint du reste d'une
toux ou d'un bâillement par exemple et se passent surtout dans les
membres
supérieurs : du côté [CROUZON.] 478 MOUVEMENT
bassin et le talon se détache du sol tandis que, du côté opposé, le
membre
inférieur reste immobile ou que la flexion de l
n'apparait que plus tardivement et sont bien moins marqués qu'aux
membres
atteints de paralysie. En même temps, l'épaule du
lade reste étendu sur son lit, couché sur le dos, on prend ses deux
membres
intérieurs ei, on cherche à plier les cuisses sur
mbe sur la cuisse. Cosigne de Kernig ne s'observe pas seulcment aux
membres
inférieurs, Il le décrit lui-même au niveau des
EMENTS ASSOCIÉS. coude, dès que le malade s'assoit sur son lit, les
membres
supérieurs se placent en demi-flexion, l'extens
complète est impossible. Cette constatation du signe de Kernig aux
membres
supérieurs a été faite par plusieurs auteurs :
elles que soient la fréquence et la valeur de cette contracture des
membres
supérieurs dans, les méningites, c'est surtout au
s, c'est surtout au signe de Kernig, au niveau des fléchisseurs des
membres
inférieurs, que l'on a l'habitude de rechercher
s de diagnostic. Dans ce cas, une céphalée, une légère paralysie du
membre
inférieur et supérieur du côté gauche était le
z un tabétique en période de crise de douleurs fulgurantes dans les
membres
inférieurs. Dans l'intervalle des crises, ce si
ÉGIE par le Dr MOUTIER La paraplégie est la paralysie motrice des
membres
inférieurs. Elle peut être d'origine cérébrale,
le, médullaire, névritique, musculaire ou fonctionnelle. Les quatre
membres
peuvent être pris, syndrome désigné sous le nom
traplégie. Dans certains cas, la paralysie s'accuse da- vantage aux
membres
supérieurs, paraplégie cervicale. -' Examen du
morbide ? Si le malade garde le lit, l'inspection, la pàlpation des
membres
, l'examen des mouvements actifs ou passifs, l'é
manoeuvres réveillent- elles des irradiations douloureuses dans les
membres
inférieurs ? La valeur de ces constatations ser
étera cet examen local par un examen général du sujet (troubles des
membres
supérieurs, état des yeux, signe d'Argyll, .psych
ces réflexes. On rencontre parfois des termes intermédiaires : des
membres
flasques pouvant présenter de l'exagération des r
la chute devient inévitable. Il est réduit à faire décrire à chaque
membre
un demi-cercle souvent trop étroit, de façon il
ns latérales du tronc [démarche dite de gallinacé) ; plus tard, les
membres
raidis servent seulement de point d'appui et le
e offerte à la flexion ou à l'extension des différents segments des
membres
, on pourra noter au contraire une diminution re
tivement très considérable dans la force des racco1l1'CiSSeltl'S du
membre
inférieur, alors que les extenseurs sont presqu
ouvert le malade que souvent un véritable clonus spontané agite les
membres
inl'é- rieurs. Ceux-ci présentent une attitude
'excitation provoquée dans un muscle aux muscles proches et même au
membre
voisin. La recherche des signes de Babinsky et
egarde marcher le paraplégique : l'urine s'échappe et roule sur les
membres
déplacés avec effort. Chez la femme, les règles
ubles des sensibilités superficielles, de la notion de position des
membres
, sont également assez divers pour qu'il soit impo
t de la complexité de toutes ces formes. Tétraplégies. - Les quatre
membres
sont atteints : les bras sont pris fréquemment
lrccrncl est carac- térisé par une paralysie spasmodique directe du
membre
inférieur, c'est-à-dire du membre homonyme à la
paralysie spasmodique directe du membre inférieur, c'est-à-dire du
membre
homonyme à la lésion, et par une ltémimues- thé
hypcresthésie se décèle une bande étroite d'anesthésie. Sur tout le
membre
d'ailleurs, il y a abolition des sensibilités mus
ontre parfois de la dissociation syringomyeliquc. La température du
membre
paralysé est supérieure il celle de l'autre cote.
sujet se livre il de multiples contorsions du tronc, du visage, des
membres
supérieurs. Les jambes sont jetées latéralement,
r leurs jambes, ils ne peu- vent progresser qu'en sautillant; leurs
membres
semblent raidis, parais- sent avoir oublié le m
une d'atrophie progressive avec exagération des réflexes aux quatre
membres
, débutant à vrai dire par les membres supérieurs,
ation des réflexes aux quatre membres, débutant à vrai dire par les
membres
supérieurs, l'autre d'atrophie intense avec dis
tate seulement, nous le répétons, une impotence bientôt absolue des
membres
inférieurs. Les masses mus- culaires disparaiss
uscles très atrophiés. On peut également observer de l'atrophie des
membres
inférieurs avec exagération des réflexes à la p
La paralysie est progres- sive, spasmodique, prononcée surtout aux
membres
supérieurs. Cette évolution est fort longue, at
lie proprement dite présente un tableau clinique des plus nets. Les
membres
inférieurs présentent un état spastinuc léger l
l'exagération des réflexes. Les principaux troubles intéressent les
membres
supérieurs : contrac- ture, thcrmo-anesthesie e
modiques avec exagération des réflexes et contracture au niveau des
membres
suj>érieui,s. Tétraplégies. La démarche, au
vicale, présentent également, l'exagération des réflexes aux quatre
membres
et la démarche spasnm- dique. Mais, si la contr
r ainsi dire toujours de l'exagération des réflexes ten- dineux aux
membres
supérieurs, même lorsque ceux-ci ne présentent
malade frotte le pied et fait un effort violent pour avancer chaque
membre
. Il semble même y avoir, à première vue, plutôt
sculaire est atteinte seulement au niveau des 1'accou1'cissew's des
membres
inférieurs, parfois aussi du tronc et du cou, e
eut déterminer des plaques de sclérose produisant la spasticité des
membres
supérieurs, du nystagmus, des troubles de la paro
les paraplégiques de Erb, l'exagération des réflexes au niveau du
membre
supérieur est loin d'être exceptionnelle. . PAR
lée, les autres rachidiens, douleurs en ceinture ou irra- diées aux
membres
inférieurs, raideur de la colonne vertébrale (Ker
rcée, le clonus existe au plus haut degré; l'anesthésie s'étend aux
membres
inférieurs et aux régions les plus basses du tron
riable. Les réflexes sont rapidement abolis cl l'immobilisation des
membres
, l'anesthésie sont bientôt complètes. Il existe o
arfois ascen- dante a la période terminale et atteint le tronc, les
membres
supérieurs, les centres bulbaires. On se rappro
II s'agit d'une maladie ascendante, fébrile, atteignant d'abord les
membres
inférieurs, puis les membres supérieurs, les cen-
dante, fébrile, atteignant d'abord les membres inférieurs, puis les
membres
supérieurs, les cen- tres bulbaires enfin. Les
troubles de la sensibilité. Puis l'atrophie musculaire aidant, les
membres
atteints présentent des troubles trophiques sou
sont le pied bot, une laxité spéciale donnant aux articles l'air de
membres
de Polichinelle, enfin la déformation connue so
Il va de soi que de tels troubles sont d'autant plus accusés que le
membre
est plus enclin il subir une perturbation dans so
tenus au lit que paries progrès de l'atrophié. - L'impo- tence des
membres
inférieurs peut être réalisée par la disparition
grès de la maladie, le malade éprouve dans un seul ou dans les deux
membres
des sensations de tension, de gène, de pesanteu
autres termes, il peut s'agir (l'insuffisance vasculaire directe du
membre
par athéromc de l'iliaque ou des fémorales, ou
fémorales, ou d'insuffisance vasculaire des centres médullaires du
membre
par sclérose des artérioles de la substance grise
vaso-moteurs intenses; dans le second cas, il n'existe an niveau du
membre
aucune anomalie de la circulation locale. Il s'
nt d'une tétraplégie flasque, progressive, il évolution rapide. Les
membres
supérieurs sont pris les derniers, mais récupèren
u associées à des crises douloureuses intéressant exclusivement les
membres
inférieurs, ou plus rarement le corps en totali
ement un épuisement rapide, une fatigue précoce et infinie dans les
membres
inférieurs. Les jambes sont lourdes; tout déplace
racture qui va diminuant avec l'âge. Cette raideur siège aux quatre
membres
, mais est plus prononcée aux membres infé- rieu
Cette raideur siège aux quatre membres, mais est plus prononcée aux
membres
infé- rieurs. L'intelligence est souvent intact
ne peut marcher, et, vient-on à le soulever par les aisselles, ses
membres
inférieurs se placent en flexion légère de la c
e, la spina bifida. Il -existe une parésie parfois très accusée des
membres
inférieurs. Le diagnostic est généralement 1 ,
rmation rachidienne, sur une peau souvent amincie. Ajoutons que les
membres
inférieurs de ces malades sont grêles, supporte
pré- sentent souvent un pied bot, rappellent parfois en un mot les
membres
du paralytique infantile. En dehors des lésions
e huit et quinze ans, quelquefois plus tôt. Souvent le tronc et les
membres
supérieurs sont atteints. Les malades peuvent m
monotone; ils peuvent présenter du nystagmus et du tremblement des
membres
supérieurs auquel ne participe point la tète. U
il des ictus ou des attaques (d'hémiplégie ». L'affaiblissement des
membres
inférieurs est progressif, et aboutit il une pa
ées. Le début est insi- dieux, marqué par des paresthésies dans les
membres
inférieurs, par une parésie accompagnée déjà de
onique : il suffit de retenir seulement qu'ils peuvent exister. Les
membres
supérieurs sont indemnes d'ordinaire, il n'y a pa
utre de paraplégie avec extension complète de tous les segments des
membres
inférieurs. Dans les deux cas, il si a intégrit
s jambes lent et progressif, avec douleurs dans la conti- nuité des
membres
, puis les malades doivent garder le lit : l'amyot
délicat des para- plégiques et l'on aura garde de réchauffer leurs
membres
au moyen de bouillottes trop chaudes. Enfin, la
s causes déterminantes; les troubles peuvent être plus intenses aux
membres
supérieurs. Les désordres sphinctériens sont in
tétraplégie à évolution bizarre, capricieuse, frappant parfois les
membres
dans un ordre quelconque, soit une diplégie sup
troubles de la sensibi- lité des régions externe et postérieure du
membre
inférieur avec parti- cipation de la plante du
e ou plus sou- vent une parésie des fessiers (rotation en dehors du
membre
) . des muscles postérieurs de la cuisse (flexio
es sciatiques, et par suite de la motilité et de la sensibilité des
membres
inférieurs, ainsi que par la conservation des r
er à la figure) et du cône médullaire. Il y a paraplégie totale des
membres
inférieurs avec abolition constante du réflexe
eille, on peut noter quelques symptômes prodromiques : lourdeur des
membres
, fourmillements, pico- tements. Quand le malade
ui s'exerçait à un travail de copies; elle survint d'abord dans les
membres
inactifs et n'atteignit les membres actifs qu'apr
; elle survint d'abord dans les membres inactifs et n'atteignit les
membres
actifs qu'après la cession du travail. Quand
e la fonction d'un ou de plusieurs d'entre eux ('). I. MUSCLES DU
MEMBRE
SUPÉRIEUR MUSCLES DE L'ÉPAULE Deltoïde. Inser
muscle. Réciproquement, le deltoïde intact compense les MUSCLES DU
MEMBRE
SUPÉRIEUR. M5 effets de la paralysie du sus-épi
brachiale, fixe l'insertion supérieure des muscles de la MUSCLES DU
MEMBRE
SUhi ? P'f;RI ? 525 couche superficielle du gro
it tendance à se pro- jeter en avant et en dehors, entraînée par le
membre
supérieur dans cer- tains actes, comme' celui d
por- tion prenant insertion sur la ceinture thoracique rapproche le
membre
su- périeur du tronc. Pour que la longue portio
grand palmaire, le petit palmaire, le cubital antérieur; MUSCLES DU
MEMBRE
SUPÉRIEUR. 527 7 le second plan contient le flé
médian et par le cubital. Le médian, par l'intermédiaire MUSCLES DU
MEMBRE
SUPERIEUR. 52 ! ) du nerf interosseux, donne de
core possible grâce à la contraction simultanée des deux MUSCLES DU
MEMBRE
SUPÉRIEUR. 551 autres extenseurs, le premier ra
l par les rameaux que ce nerf envoie au vaste externe. MUSCLES DU
MEMBRE
SUPÉRIEUR, 5 5 Physiologie. L'anconé est extens
pouce amènent la flexion et l'adduction du premier méta- MUSCLES DU
MEMBRE
SUPÉRIEUR. 555 carpien, la flexion de la premiè
alanginnne du médius, se termine sur le tendon extenseur MUSCLES DU
MEMBRE
SUPÉRIEUR. 557 du médius; le troisième lombrica
médius et de l'index, quoique existant toutefois. II. MUSCLES DU
MEMBRE
INFÉRIEUR MUSCLES DU BASSIN Grand fessier. In
la crête iliaque dans sa partie la plus reculée, sur la MUSCLES DU
MEMBRE
INFERIEUR. mis ligne courbe postérieure de l'os
tile dans la fixation du bassin. Quand le corps repose sur un des
membres
inférieurs (station hanchée, deuxième temps de
opposé à celui de la paralysie au moment où le corps repose sur le
membre
inférieur atteint. Dans la marche, quand le pie
aut d'abduction de la cuisse le fera frotter sur la face interne du
membre
inférieur du côté opposé. Si l'on prie le malad
ent, avec lui, la cavité digitale du grand trochanter. MUSCLES DU
MEMBRE
INFÉRIEUR. 541 Innervation. - Le jumeau supérie
le n'entraîne pas de troubles fonctionnels importants. MUSCLES DU
MEMBRE
INFÉRIEUR. 545 Quadriceps fémoral. Insertions.
ation. Le premier adducteur reçoit des filets nerveux de MUSCLES DU
MEMBRE
INFERIEUR. 545 l'obturateur, branche du plexus
mique des ligaments du genou, ils se transmettent à la cuisse et le
membre
inférieur tourne en totalité; les mouvements de r
e tord légèrement en dedans, il porte l'extrémité poste- MUSCLES DU
MEMBRE
INFÉRIEUR. 547 rieure du premier métatarsien en
ns et vient se fixer sur la lèvre supérieure de la ligne MUSCLES DU
MEMBRE
-INFÉRIEUR. 551 oblique du tibia et sur toute l
peuvent, dans certaines conditions, lorsqu'on est suspendu par les
membres
inférieurs par exemple, avoir un rôle dans l'ac
incipaux existent dans la zone corticale motrice : le territoire du
membre
inférieur,. le territoire du membre supérieur, le
cale motrice : le territoire du membre inférieur,. le territoire du
membre
supérieur, le territoire de la face. Ces trois
erritoires moteurs sont échelonnés de haut en bas. Le territoire du
membre
inférieur correspond au quart supérieur des cir
convolutions rolandiques et au lobule paracentral; le territoire du
membre
supérieur occupe les deux quarts moyens des cir-
ts seraient, d'après les expériences, beaucoup plus différenciés au
membre
supérieur qu'au membre inférieur. Les recherches
s expériences, beaucoup plus différenciés au membre supérieur qu'au
membre
inférieur. Les recherches expérimen- tales des
les motrices sont les régions articulaires; les nerfs corticaux des
membres
, d'après cet auteur, sont [G. GUILLAIN,] Pig.
hies musculaires myélopathiques limitées uniquement à un segment de
membre
. On ne rencontre jamais en clinique une atrophie
termine un affaiblissement général, graduel, de tous les muscles du
membre
, et la conservation d'un seul filet suffit à ma
xemple, lors de l'excitation de la première thoracique, on voit les
membres
supérieurs accomplir un mouvement approprié, à
atisme, se présente au médecin avec un bras immobile et abaissé. Le
membre
supérieur est contre le tronc en adduction et e
ient; le scapulum bas- cule alors autour de son angle interne et le
membre
est écarté des côtés du tronc. C'est cette cout
culté, à l'impos- sibilité de la flexion du segment antibrachial du
membre
. Le court supinateur peut aussi être atteint. L
-bras, et, si on fléchit préalablement ce segment anti- brachial du
membre
, on peut constater facilement, par l'impossibilit
e brachiale est absolue, tous les muscles du bras sont atteints. Le
membre
supérieur lésé pend inerte, flasque, le long du
dans la paralysie radiculaire totale sont étendus à presque tout le
membre
supérieur. L'anesthésic existe à ta main, il l'av
le cas de luxation de l'épaule, ou de fracture de la clavicule, si le
membre
a été de suite mis dans un appareil, c'est seul
ne, parfois dans la zone radiculaire interne, parfois aussi tout le
membre
est douloureux. Les douleurs peuvent être provo
sent vite, et la guérison complète avec intégrité de la fonction du
membre
est possible. Paralysies radiculaires obstétric
peau et en examinant alors les mouvements instinctifs de retrait du
membre
que peut faire l'enfant, que l'on pourra détermin
uand elles existent, restent localisées sans jamais envahir tout un
membre
, comme cela se voit dans les paralysies d'ori-
aire on troncutaire. Los lésions corticales localisées an centre du
membre
supérieur, au niveau de. la région rolandique,
nnels, car on observe presque toujours quelques troubles du côté du
membre
inté- rieur. La monoplégie d'origine corticale
aiguë ou subaiguë qui est d'aittcurs rarement localisée il un seul
membre
. Il est des cas de syringomyélie unilatérale lo
ilité, la cypllo-scoliosc, l'exagération des réflexes au niveau des
membres
inférieurs. La monoplégie brachiale peut être c
gine cérébrale est accompagnée le plus souvent d'une hémiplégie des
membres
du même côté. Les caractères de la para- lysie
le, l'angle externe du seapulum est entraîné en bas par le poids du
membre
supérieur tandis que l'angle inférieur se rappr
que l'angle formé par cette flexion dorsale est plus petit quand le
membre
inférieur est en extension que quand il est fléch
- mière de ces forces reste constante quelle que soit l'attitude du
membre
, il n'en est pas de même de la seconde, les mus
lement un cas chez un jeune homme atteint de paralysie infantile du
membre
inférieur. B) Syndrome de Schmidt. L'hémiplégie
ement de convulsions musculaires dans les muscles de la face et des
membres
ressemblant à la chorée. La chorée de Sydenham
e inspection que l'on constate une atrophie musculaire, la forme du
membre
ou de la portion de membre est t modifiée, les
ate une atrophie musculaire, la forme du membre ou de la portion de
membre
est t modifiée, les saillies musculaires normal
eut surtout être faite quand plusieurs muscles d'un même segment de
membre
se trouvent frappés : en prenant ce segment de
me segment de membre se trouvent frappés : en prenant ce segment de
membre
il pleine main ou en l'embrassant entre les deux
'atrophie est encore minime. La mensuration de la circonférence des
membres
révèle parfois entre les deux côtés des différe
se qui servira de point de repère; il faut qne la position des deux
membres
soit rigoureusement la même et que les mêmes musc
t que le cordon métrique soit bien perpendiculaire à la longueur du
membre
sur tout son pourtour, il faut encore qu'il s'acc
es pour qu'on puisse affirmer facile- ment qu'il y a entre les deux
membres
une différence d'une fraction de centimètre ou
me : pour reconnaître l'atrophie, ce n'est plus alors l'anatomie du
membre
qu'il faut envisager, c'est sa physio- logie, c
corde est un lacet ou un bracelet, qui doit entourer le segment du
membre
à explorer, il l'autre extrémité, qui reste pen
des muscles correspon- dants, début de l'atrophie par la racine des
membres
, évolution très lente. Nous allons les passer r
ferait généralement place à l'atrophie : elle siégerait surtout aux
membres
supérieurs sur le deltoïde, les sus- et sous-ép
upérieurs sur le deltoïde, les sus- et sous-épineux, le biceps, aux
membres
inférieurs sur les jumeaux, le tenseur du fasci
, 1902. [A LÉRl.] Fig. 1. - Myopathie. L'affection a envahi les
membres
inférieurs, puis les mem- bres supérieurs. Pied
: or la progression normale des myopathies se fait de la racine des
membres
vers leur extré- mité et, pour ce qui était des
racine des membres vers leur extré- mité et, pour ce qui était des
membres
supérieurs, jusque-là seuls atro- phiés, notre
'ordinaire d'abord les muscles les plus rapprochés de la racine des
membres
soit supérieurs, soit inférieurs, et gagne prog
ie, d'Oppenheim et Cassirer (') où l'atrophie s'était localisée aux
membres
inférieurs dans le domaine des nerfs péroniers,
sée aux membres inférieurs dans le domaine des nerfs péroniers, aux
membres
supérieurs dans une partie des petits muscles d
l ; le début, des amyotrophies d'origine nerveuse par la racine des
membres
est aussi exceptionnel ; on en a cependant sign
ontée par places, ou violacée et froide, cela surtout au niveau des
membres
les plus atrophiés ; la peau ressemble alors à ce
de certains hémiplégiques ou paralytiques infantiles au niveau des
membres
para- lysés et atrophiés. L'érythéme émotif, le
re », et c'est un spectacle bizarre de voir, chez certains sujets à
membres
d'araignée, un thorax plat et considérablement ém
ez un myopathique des accès paroxystiques de para- lysie des quatre
membres
et du cou; il considère, avec Goldflam, que la
sclérosique de Duchenne. Cette forme atteint surtout et d'abord les
membres
inférieurs. Elle débute presque toujours dans l
enfance. Le premier trouble est d'ordinaire un affaiblissement des
membres
inférieurs; pendant quelques mois (jusqu'à un a
le droit antérieur et le vaste externe. La plupart des muscles des
membres
inférieurs peuvent prendre un aspect pseudo-hyp
antérieur de iauuomen et le grand omique, le grand dentelé. Aux
membres
supérieurs le deltoïde est assez fréquemment at
ie, et. quelquefois précoce- ment, peu de mois après le début aux
membres
inférieurs. Il est souvent le seul muscle pseud
inférieurs. Il est souvent le seul muscle pseudo-hypertrophié des
membres
supérieurs;. dans quelques cas le triceps, le b
toujours l'atro- phie prédomine sur la pseudo-hypertro- phie aux
membres
supérieurs et au tho- rax ; elle survient toujo
de volume et de force sont aussi peu marquées et aussi tardives aux
membres
supérieurs (le deltoïde mis à part) qu'elles so
rs (le deltoïde mis à part) qu'elles sont capitales et précoces aux
membres
inférieurs. Les muscles du cou sont exceptionne
musculaires, avec atrophie ou pseudo-hypertrophie, prédominant aux
membres
inférieurs, donne à L 1ll : umaco. Traité Br01t
bord sur le ventre, puis ils soulèvent leur tronc à l'aide de leurs
membres
supérieurs et en fléchis- sant les genoux ; qua
teint tout d'abord, comme la paralysie pseudo-hypertrophique, 9 les
membres
inférieurs et les lombes, très tardivement les ép
mbres inférieurs et les lombes, très tardivement les épaules et les
membres
supérieurs; comme la paralysie pseudo-hypertrophi
la paralysie pseudo-hypertrophique. elle progresse de la racine des
membres
vers l'extrémité; la seule diffé- rence qu'elle
ro- phie au tronc des masses sacro-lombaires et du long dorsal, aux
membres
supérieurs des muscles du groupe d'Erb, biceps,
ps très long, et l'aspect de l'extrémité épaisse et bien musclée du
membre
pendant au bout d'un bras décharné est tout à l
pendant au bout d'un bras décharné est tout à l'ait spéciale. Aux
membres
inférieurs les mêmes muscles sont atteints que da
arrière au moyen d'une brusque rotation du tronc. L'atrophie des
membres
inférieurs, des masses sacro-lombaires et des m
ard, impossibilité de se relever autrement qu'en grimpant sur ses
membres
infé- rieurs, etc. L'évolution est essentiell
tant L;rb a cité des cas où le début avait été unilatéral. Tous les
membres
peuvent être atrophiés et cette variété de myop
des masticateurs. De la face l'atrophie s'étend aux épaules et aux
membres
supé- rieurs; elle envahit les mêmes muscles qu
d'atrophie des intercostaux que l'autopsie n'a pas confirmé. Les
membres
inférieurs sont atteints très tardivement, les mê
de l'attitude et des mouvements sont les mêmes pour le tronc et les
membres
, il une période avancée, dans la forme d'Erb et
le type Charcot-Marie parce qu'elle com- mence par l'extrémité des
membres
tout en évoluant très lentement, dans le type W
n masse et non individuellement, tout en débutant par la racine des
membres
. r,) Nous ajouterons enfin que les arnyotrophie
es mains (Iloffmanti (2), ller-. ringham (3), Sainton) (*). . Aux
membres
inférieurs, l'atrophie atteint au pied tous les
hiée, de Egger où les fes- siers paraissaient un peu touchés. Aux
membres
supérieurs, l'atrophie frappe d'abord les mains
S MUSCULAIRES. L'atrophie est facile à reconnaître par l'examen des
membres
aurepos v et par. les troubles fonctionnels. .'
avec ces troubles considérables, les malades sont habiles de leurs
membres
, et comme ils supportent facilement la marche m
myotro- phique Charcot-Marie qui, malgré une grosse atrophie de ses
membres
inférieurs qui l'empêchait de marcher facilemen
oup plus prononcée aux mem- bres inférieurs, car les mouvements des
membres
inférieurs exigent moins de délicatesse. Aux
uvements des membres inférieurs exigent moins de délicatesse. Aux
membres
supérieurs de même qu'aux membres inférieurs, com
igent moins de délicatesse. Aux membres supérieurs de même qu'aux
membres
inférieurs, comme Guillain (') en a fait la rem
a- blement conservées pour le degré de l'atrophie; l'adaptation des
membres
aux différents usages de la vie semble bien plu
se : sa cause est encore inconnue. L'atrophie, qui débute par les
membres
inférieurs, n'envahit d'ordi- naire les membres
qui débute par les membres inférieurs, n'envahit d'ordi- naire les
membres
supérieurs qu'après un intervalle de quelques moi
années. Exceptionnellement, elle semble pouvoir rester limitée aux
membres
inférieurs seuls [Soca n. P. Marie et Sainton (4)
[Soca n. P. Marie et Sainton (4)]. Quand la maladie débute par les
membres
supérieurs, elle envahit très rapide- ment les
bute par les membres supérieurs, elle envahit très rapide- ment les
membres
inférieurs; d'après llaincl (5), l'affection pour
ieurs; d'après llaincl (5), l'affection pourrait rester limitée aux
membres
supérieurs, mais les cas décrits par cet auteur,
euvent vivre, ayant rarement perdu compte- ternent l'usage de leurs
membres
, jusqu'à un âge très avancé s'ils ne sont empor
a première année ou début de la seconde), par l'affaiblissement des
membres
inférieurs, puis du dos. Cet affaiblissement es
en même temps aux muscles du cou et de la nuque et aux muscles des
membres
supérieurs en commen- çant par l'épaule et le b
e) ; la pro- gression se fait de l'extrémité vers la ra- cine des
membres
; l'atrophie peut être presque généralisée et a
rant, une incoor- dination motrice plus ou moins intense des quatre
membres
; un trem- blement intentionnel et un trouble de
claviculaire du trapèze, l' « ultimum moriens » de Duchenne. Les
membres
inférieurs prennent rarement part à l'atrophie :
ntracture intermittente, passagère et récidivante, des muscles d'un
membre
inférieur; nous ne sommes pas renseigné sur la
omène rare qui consiste en contractions bilatérales des muscles des
membres
supérieurs atrophiés quand on place le pôle nég
rrompt un courant faradique ou galvanique traversant les muscles du
membre
supérieur. Les réflexes tendineux sont variable
éraux, ils sont exagérés, soit précocement, soit tardivement. Les
membres
atrophiés sont souvent froids, légèrement cyanosé
ment atrophiés, il est ordinaire de voir l'atrophie d'un segment de
membre
précéder de quelques mois celle du segment corr
e Aran-Duchenne; l'amyotrophie atteint généra- lement à la fois les
membres
supérieurs et les membres inférieurs; à la main
phie atteint généra- lement à la fois les membres supérieurs et les
membres
inférieurs; à la main elle prédomine sur les in
embres inférieurs; à la main elle prédomine sur les interosseux, au
membre
inférieur sur le triceps sural et le quadriceps
ente jusqu'à un âge très avancé, presque toujours sans atteinte des
membres
inférieurs. L'atrophie, comme les autres troubl
gressive. Atrophie des' mains,du type Aran-Duchenne. Atrophie des
membres
inférieurs. AMYOTROPHIES TYPE ARAN-DUCHENNE. 70
trophies à type Aran- Duchenne. mais le plus souvent l'atteinte des
membres
supérieurs est alors précédée par celle des mem
l'atteinte des membres supérieurs est alors précédée par celle des
membres
inférieurs; parfois aussi on trouve des atrophi
période d'incoordination confirmée, réduisent symétrique- ment les
membres
inférieurs à des proportions squelettiques et pro
a névrite saturnine, s'était ensuite presque généralisée aux quatre
membres
, nous avons trouvé des lésions très intenses de
chenne et s'étant propagée ensuite non seulement il la totalité des 4
membres
, mais encore aux muscles de la face, de la lang
ou, hanche, épaule, plus volontiers aux mem- bres inférieurs qu'aux
membres
supérieurs. L'amyotrophie d'origine articulaire
premiers. Elle peut envahir la totalité des muscles d'un segment du
membre
, elle peut même envahir les muscles du ou des seg
noncée, elle peut parfois être très intense et déterminer entre les
membres
correspondants des différences de circonférence
t parfois diminués, plus ordinairement brusques et exagérés, et, au
membre
inférieur, la trépidation épileptoïde apparaît, p
ut avoir pour conséquence un arrêt de développement du squelette du
membre
et simuler une paralysie infantile. 1. HAi.ip
e lésion quelconque, et en particulier à une lésion traumatique des
membres
; elles peuvent porter sur des muscles voisins
es muscles éloignés et parfois sur tous les muscles d'un segment de
membre
ou d'un membre entier; dans ce cas, elles recon
gnés et parfois sur tous les muscles d'un segment de membre ou d'un
membre
entier; dans ce cas, elles reconnaissent la mêm
seulement des muscles préalablement paralysés d'un ou de plusieurs
membres
; la paralysie est le phénomène morbide initial
et bras) ou suivant le type dorso-lombaire (ceinture pelvienne et.
membres
infé- rieurs). .. - . Dans la paralysie spina
paralysés, très souvent au niveau des muscles de presque tout un
membre
ou de plusieurs membres. Le plus fréquemment el
t au niveau des muscles de presque tout un membre ou de plusieurs
membres
. Le plus fréquemment elle frappe l'un ou les
usieurs membres. Le plus fréquemment elle frappe l'un ou les deux
membres
inférieurs, excep- tionnellement les membres su
ppe l'un ou les deux membres inférieurs, excep- tionnellement les
membres
supérieur et inférieur d'un même côté. Aux me
nnellement les membres supérieur et inférieur d'un même côté. Aux
membres
atteints elle débute le plus souventpar l'extré
raînant un raccour- cissement de la totalité ou d'une partie d'un
membre
, et de troubles trophi- ques et vaso-moteurs po
téguments ; l'adipose sous-cutanée est très ordinaire, surtout aux
membres
inférieurs où elle peut dissimuler plus ou mo
iginelle », dans les lésions, Fig. 15. - Atrophie considérable du
membre
inférieur gauche à la suite d'une paralysie spi
est rare et légère; on constate surtout une émaciation en masse des
membres
inférieurs. A la suite des compressions de la m
phie progressive de la syringomyélie et atteindre en masse les deux
membres
supérieurs; dans certains cas de tumeurs très é
èse Paris, 1884. ' ZA. LÉRI] 714 ATROPHIES MUSCULAIRES. ' ' dés
membres
paralysés; dans, tous ces cas l'atrophie musculai
ceptionnellement (P. Marie); l'atrophie frappe avec prédilection le
membre
supérieur, et à peu près dans une proportion ég
ne proportion égale les. différents groupes musculaires de chaque
membre
; les muscles du tronc et la cage thoracique ne
. 11LIPPIsL. Presse médit, 3J juillet 1897. Fig. 16. - Atrophie des
membres
paralysés dans un cas d'hémiplégie gauche avec
e cérébrale infantile. L'atrophie est sur- tout nette au niveau des
membres
supérieurs. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE PARALY
rs elle est tardive et lente. Le plus souvent elle prédomine sur le
membre
supé- rieur et atteint surtout les muscles de l
e membre supé- rieur et atteint surtout les muscles de la racine du
membre
, les muscles scapuio-huméraux, particulièrement
bre, les muscles scapuio-huméraux, particulièrement le deltoïde; au
membre
inférieur elle prend surtout les muscles de la
l n'est pas rare de voir l'atro- phie commencer par l'extrémité des
membres
et affecter plus ou moins le type Duclienne-Ara
affecter plus ou moins le type Duclienne-Aran. La circonférence des
membres
diminue souvent 1. 3l,mxesco. Semaine médic, 25
ie gauche acquise. Atrophie du côté correspondant du tronc et dcs
membres
. Une telle amyotrophie est exceptionnelle dans
périphérique sont généralement prédominantes vers la périphérie des
membres
. Ce qui les distingue surtout, c'est d'une part
à la pression. Les névrites par compression sont plus fréquentes au
membre
supérieur et presque tou- jours elles sont unil
lure, surtout localisés aux extrémités et surtout à l'extrémité, du
membre
supérieur, aux doigts. La cicatrisation se fait
eu près au même degré l'en- semble des muscles d'un même serment de
membre
. La réaction de dégénérescence s'observe très f
s, ont toujours une évolution subaiguë ou aiguë. Le début par les
membres
inférieurs est presque constant, à l'exception
giques, comme la névrite saturnine, qui affectent de préférence les
membres
supérieurs ; le plus grand nombre des polynévri
eurs ; le plus grand nombre des polynévrites restent localisées aux
membres
inférieurs ou, en tout cas, sont pendant toute
s ou, en tout cas, sont pendant toute l'évolution plus accusées aux
membres
infé- rieurs : c'est le contraire de ce que l'o
gine spinale. Comme celles-ci, c'est généralement à l'extrémité des
membres
qu'elles commencent et ensuite qu'elles prédo-
métrique, parfois localisée ou asymétrique ; elle siège surtout aux
membres
supérieurs, et particulièrement vers l'extrémit
spari- tion des sueurs, etc. La névrite diphtérique n'atteint les
membres
qu'après le voile du palais et souvent les musc
voile du palais et souvent les muscles de l'oeil; elle commence aux
membres
infé- rieurs par les muscles des pieds et des j
s par les muscles des pieds et des jambes, elle atteint parfois les
membres
supérieurs, l'abdomen, le thorax, le cou; elle es
trophie sont cependant presque constantes ; elles se localisent aux
membres
inférieurs et surtout aux extenseurs des pieds;
rtout aux extenseurs des pieds; elles gagnent parfois la racine des
membres
, plus rarement les membres supérieurs. Ces névr
eds; elles gagnent parfois la racine des membres, plus rarement les
membres
supérieurs. Ces névrites sont généralement curabl
ynévrite mixte ; ces troubles atteignent le plus souvent les quatre
membres
, en commençant par les extrémités et par les ex
a beaucoup discuté. L'amyotrophie tabétique frappe généralement les
membres
inférieurs, rarement d'une façon précoce, en gé
res semblait commander rigoureusement une amyotrophie classique des
membres
inférieurs. Il est possible que cette atrophie
s relèvent de la même pathogénie que les paralysies atrophiques des
membres
, surtout de l'altération des nerfs au niveau de
tionnement des muscles. L'atrophie hystérique porte toujours sur un
membre
paralysé, parfois sur un membre contracture; el
ie hystérique porte toujours sur un membre paralysé, parfois sur un
membre
contracture; elle atteint généralement, comme la
atteint généralement, comme la paraly- sie, tous les segments d'un
membre
ou certains groupes fonctionnels; parfois elle
tiqué dès le début et dans la mobilisation passive et raisonnée des
membres
paralysés. Une excellente méthode consiste à pr
sible aux segments paralysés des mouvements actifs que le poids des
membres
ne permettrait souvent pas d'exécuter autrement
rvation pro- longée des réflexes tendineux; début par la racine des
membres
; évolution lente. 2. Symptômes accessoires in
- génitale de muscles. 5. Variétés tO/1ogmphiqucs : Début par :
Membres
inférieurs : Pseudo-hypertrophique ou mvoscléro
que sans hypertrophie : Leyden-Moebius : 1" enfance généralement.
Membres
supérieurs : Scapulo-humérale, juvénile : Erb :
ues : . 1. Type Charcot-Marie : 2" enfance; début par extrémité des
membres
; d'abord membres inférieurs : pieds, extenseurs
harcot-Marie : 2" enfance; début par extrémité des membres; d'abord
membres
inférieurs : pieds, extenseurs de la jambe; puis
lente. 2. Type Werdnig-Hoffmann : 1" enfance; début par racine des
membres
: membres inférieurs, puis supérieurs; évolutio
Type Werdnig-Hoffmann : 1" enfance; début par racine des membres :
membres
inférieurs, puis supérieurs; évolution rapide (qu
cence; modification des réflexes tendineux; début par extrémité des
membres
supérieurs : mains ; évolution : membres supéri
x; début par extrémité des membres supérieurs : mains ; évolution :
membres
supérieurs : mains, avant- bras, épaules, bras,
s, avant- bras, épaules, bras, thorax, tronc; diaphragme; viscères;
membres
infé- rieurs rarement : pieds, jambes, cuisses;
quente; abolition des réflexes tendineux; début par l'extrémité des
membres
; tendance il la régression. 2. Caractères assoc
niveau des muscles de la vie de relation, au niveau des muscles des
membres
et du tronc, que l'atrophie musculaire y est fr
onctionnelles que nous aurons il signaler au niveau des muscles des
membres
ou du tronc qui. pour une cause quelconque, phy
nt beaucoup plus souvent localisées à un ou plusieurs muscles, a un
membre
ou à un segment de membre, que généralisées ou pr
ocalisées à un ou plusieurs muscles, a un membre ou à un segment de
membre
, que généralisées ou progressives. Elles se pré
ertrophies sont localisées à un muscle, d'autres sont étendues à un
membre
, d'autres sont plus ou moins généralisées à toute
sont consécutifs aune altération soit nerveuse soit vasculaire des
membres
atteints. Un petit nombre seulement paraissent
ment anormal et la réplétion du système veineux sous-cutané sur les
membres
hypertrophiés des àthétosiques congénitaux ou a
uis. - - , - Certaines hypertrophies congénitales d'un ou plusieurs
membres
ou segments de membres paraissent porter avec p
hypertrophies congénitales d'un ou plusieurs membres ou segments de
membres
paraissent porter avec prédilection sur la muscu-
s cas plus fré- quents, soit d'hypertrophie congénitale totale d'un
membre
ou segment de membre oÙ la totalité des tissus,
s, soit d'hypertrophie congénitale totale d'un membre ou segment de
membre
oÙ la totalité des tissus, entre autres le tissu
ins muscles, et surtout le deltoïde; elle atteint parfois aussi aux
membres
supérieurs les sus et sous-épineux et les biceps,
aux membres supérieurs les sus et sous-épineux et les biceps, aux
membres
inférieurs les jumeaux, le tenseur du fascia lata
tion. Parfois plus ou moins localisée, surtout à la musculature des
membres
inférieurs, généralement diffuse avec des prédomi
onne le plus. souvent à l'ensemble du corps et principa- lement aux
membres
des proportions vraiment athlétiques. La saillie
Ces troubles de la contractilité volontaire ne sont pas limités aux
membres
et au tronc ; on les observe aussi au niveau des
er le développement lILhlé1.i'lllC îles muscles, surtout rcux des
membres
inférieurs, cuisses el jambes, le « large l'o
, la plu- part étaient étendues à l'ensemble de la musculature d'un
membre
, membre inférieur (Lesage, Berger, Annequin), o
part étaient étendues à l'ensemble de la musculature d'un membre,
membre
inférieur (Lesage, Berger, Annequin), ou membre s
lature d'un membre, membre inférieur (Lesage, Berger, Annequin), ou
membre
supérieur (Cerné, Babinski, etc.). L'altération
parfois peut-être d'artérite, ayant immédiate- ment précédé dans le
membre
atteint le développement de l'hypertro- phie. D
'agissait d'lui sujet al.lcint d'hémiathétose, surtout prononcée au
membre
supérieur droit, depuis l'ige [le 5 ans; observ
musculaire; celle-ci semble s'être développée, précisément dans le
membre
supérieur droit, à la suite d'une fièvre typhoï
lcla). Dans presque tous ces cas, l'hypertrophie était limitée à un
membre
(Auerbach, Durante, Fulda, etc.), une fois aux
tée à un membre (Auerbach, Durante, Fulda, etc.), une fois aux deux
membres
inférieurs (Friedreich) ; ce n'est que dans des
être progressive et généralisée, gagnant successivement les quatre
membres
; c'est à ces cas d'hyper- myotrophie progressiv
tain nombre de mouvements simples, dépla- çant chacun un segment de
membre
ou une partie du corps et s'accom- plissant tou
t, mouvements auxquels prennent part, non seulement les muscles des
membres
inférieurs, mais aussi ceux du tronc et même des
uscles des membres inférieurs, mais aussi ceux du tronc et même des
membres
supérieurs et de la tête, en somme, presque tou
synergique des muscles des jambes et de la plupart des muscles des
membres
inférieurs. On sait quel effort nécessite une i
s troubles les plus différents, d'abord suivant sa localisation aux
membres
supé- rieurs ou inférieurs, au tronc ou la tète
ander en même temps à la musculature de plu- sieurs segments de ses
membres
qui à l'état normal devraient se mouvoir synerg
toute l'ataxie tabétique. L'ataxie débute presque toujours par les
membres
inférieurs; elle s'y y limite parfois définitiv
e s'y y limite parfois définitivement, d'autres fois elle gagne les
membres
supé- rieurs, le tronc, rarement la face. Le dé
ment la face. Le début peut se faire, exceptionnelle- ment, par les
membres
supérieurs (tabès supérieur), presque jamais par
membres supérieurs (tabès supérieur), presque jamais par la tête.
Membres
inférieurs. Les mouvements isolés des membres inf
jamais par la tête. Membres inférieurs. Les mouvements isolés des
membres
infé- rieurs, quand le malade est couché ou ass
ion au mouvement. C'est surtout dans la marche que l'ataxie des
membres
infé- rieurs devient caractéristique, ou du m
de la démarche peuvent être dùs uniquement à l'incoordi- nation des
membres
inférieurs; ils sont parfois bien plus complexes,
lus complexes, et l'incoordination des muscles du tronc et même des
membres
supérieurs y entre pour une part ; c'est ainsi
nettement la perte il un moindre degré de l'équilibre statique des
membres
inférieurs soit en ordonnant au malade de main-
es pieds. C'est ce qu'on a appelé l'ataxie statique. L'ataxie des
membres
inférieurs est souvent beaucoup moins pronon- c
attitude à cloche-pied, les yeux ouverts, puis les yeux fermés. 1
Membres
supérieurs. L'ataxie des membres supérieurs ne va
ouverts, puis les yeux fermés. 1 Membres supérieurs. L'ataxie des
membres
supérieurs ne va pas souvent jusqu'aux grands g
plus volontiers à la découverte précoce des troubles ataxiques des
membres
supérieurs, celles par exemple de tailleur ou
e sont pas tremblées cependant. \luand 1 ataxie est prononcée, le
membre
supérieur entier y prend une part manifeste; le
il se l'enfonce brusquement dans la joue ou dans l'oeil. Pour les
membres
supérieurs comme pour les inférieurs, on observe
s mouvements, l'ataxie statique, l'impos- sibilité de maintenir les
membres
dans une attitude déterminée; on constate aussi
progressive. tant s'en faut. Très souvent elle reste localisée aux
membres
inférieurs; elle peut y être tout à fait excess
t utile des jambes dans le décubitus, sans aucunement atteindre les
membres
supé- rieurs. D'autres fois, l'ataxie reste trè
'autres fois, l'ataxie reste très modérée comme intensité, soit aux
membres
inférieurs seuls, soit ¡'¡la fois aux membres inf
e intensité, soit aux membres inférieurs seuls, soit ¡'¡la fois aux
membres
inférieurs et supé- rieurs : elle peut ne gêner
eurs et supé- rieurs : elle peut ne gêner en rien les fonctions des
membres
et n être décelée que par hasard ou par une rec
e façon tout à fait accessoire et minime (légère incoordination des
membres
su- périeurs dans quelques cas de pellagre par
réflexes rotuliens, douleurs fulgurantes, paroxysti- ques, dans les
membres
inférieurs et en ceinture, crises gastralgiques,
usculaire progressive, des troubles de l'équilibre, de l'ataxie des
membres
inférieurs, le signe de Romberg, une douleur sour
é par la perte du sens musculaire et stéréognostique et l'ataxie du
membre
supérieur du côté de la lésion. Dana a signalé un
tc., conserve toujours la perception de la douleur au niveau de ses
membres
paralysés, il peut perdre seulement la notion d
e) ; la sensibilité est toujours mieux conservée vers la racine des
membres
que vers leur extrémité. L'hémiataxie cérébrale
complète non plus ; elle est très souvent limitée à l'extrémité des
membres
et en particulier du membre supérieur, main et
très souvent limitée à l'extrémité des membres et en particulier du
membre
supérieur, main et doigts. Elle consiste en une
assez bien coordonnées et qui se ralentit au sur et à mesure que le
membre
approche du but; l'influence de l'occlusion des
nce des troubles de l'équilibre sur les troubles des mouvements des
membres
isolés, présente plus de caractères de l'incoor
de la position qu'occupe à chaque moment chacun des segments de ses
membres
. Aussi le concours de la vue ajoute-t-il peu à ce
par suite de cette parfaite sensibilité, les mouvements simples des
membres
sont relativement bien exécutés par les cérébelle
and, pendant la station debout, on fait exécuter un mouvement aux
membres
supérieurs. Dans les cas plus accentués, le mal
ait porteur d'un tubercule du lobe droit du cervelet. Du côté des
membres
supérieurs, on ne constate souvent pas de troub
aînante, hachée et explosive. Ces derniers troubles, troubles des
membres
supérieurs, de l'écriture et de la parole, enco
léments de ce syndrome, tous inconstants, sont : le tremblement des
membres
inférieurs, du tronc, de la tête, moins souvent d
ent des membres inférieurs, du tronc, de la tête, moins souvent des
membres
supérieurs, tremblement qui accentue fréquemmen
evraient être exécutés simultanément par chacun des segments de ses
membres
: un mouvement complexe se trouve ainsi constitué
oit à la fois exécuter le soulèvement et la translation en avant du
membre
inférieur et la translation du corps. Quand l'a
décomposilion des mouvements. Ces épreuves s'appliquent surtout aux
membres
inférieurs, parce que c'est au niveau de ces memb
nt surtout aux membres inférieurs, parce que c'est au niveau de ces
membres
qu'on observe surtout les symptômes de l'incoor
ique : mais des épreuves semblables peuvent être imaginées pour les
membres
supérieurs. Le sujet étant étendu, on le prie d
membres supérieurs. Le sujet étant étendu, on le prie de fléchir un
membre
inférieur, de façon que le pied vienne se poser
oucement se poser à terre. Un tabétique, ou bien exécutera avec ses
membres
inférieurs des mouvements désordonnés sans attein
lante du pied. Si on lui commande ensuite d'allonger de nouveau son
membre
inférieur, la même série de mouvements se repro-
hercher ainsi à s'asseoir. Un sujet normal maintien-' drait ses
membres
inférieurs appliqués au sol par une con- tr
: 10 La recherche de l'asynergie : (1) malade couché : flexion des
membres
inférieurs; passage à la position assise, les b
maladies qui toutes se présentent le plus souvent, chez plusieurs
membres
de la même famille, soit dans une seule, soit dan
vant l'âge de 15 ans, se fait comme clans le tabès vulgaire par les
membres
inférieurs : aussi les troubles de la marche so
ade, nous avons relevé l'asynergie dans les mouve- ments isolés des
membres
inférieurs par l'exercice il la Babinski ; l'asy-
rédominants d'ataxie vraie. L'incoordination est plus tardive aux
membres
supérieurs, mais ne les épargne pas ; elle se r
aques, niais augmen- tant moins nettement au sur et à mesure que le
membre
approche du but; ce tremblement, quand il exist
omènes para- lytiques ont été souvent observés, surtout du côté des
membres
infé- rieurs, ils sont généralement modérés; le
qui a lieu généralement après Page de 15 ans. se fait aussi par les
membres
inférieurs. L'incoordination présente à peu prè
asynergie cérébelleuse, le tronc retardant, pour ainsi dire sur les
membres
inférieurs qui sont brusquement projetés en avant
i semblait tenir à ce que le mouvement du tronc précédait celui des
membres
inférieurs; d'autres fois, surtout quand le mal
le malade se sert de béquilles, le tronc avance le premier, et les
membres
restés en arrière sont ensuite traînés péniblem
h. Il y a pas ou peu de signe de Romberg. Les mouvements isolés des
membres
inférieurs ont présenté, dans plu- sieurs cas o
e de Babinski. La main « plane » pour la préhension des objets, les
membres
supé- rieurs sont animés d'un tremblement inten
llants sous la peau IP. Marie), l'atrophie musculaire manifeste des
membres
inférieurs et supérieurs à type Charcot-Marie,
prolongée ; ledérobement desjambes est fréquent. Les mouvements des
membres
supérieurs présentent des déviations sans rappo
t Station debout hésitante et oscillante. Parfois oscillations des
membres
supérieurs, écriture irrégulière; parole scandé
exécutés ou non tout d'abord sous l'eau pour diminuer le poids du
membre
, les mouvements des différents segments devaient
n ensemble de conditions se trouvent réalisées : 1° Il faut que les
membres
à rééduquer aient conservé une certaine sensibi
i est au contraire de régler, en les modérant, les déplacements des
membres
ou des segments de membre. De plus, les mouveme
r, en les modérant, les déplacements des membres ou des segments de
membre
. De plus, les mouvements forcés amènent à l'étal
es; or, la sensation de fatigue est très atténuée ou nulle dans les
membres
ataxiques : les mouvements forcés n'en sont que p
est bien évident que ces qualités seront bien plus utiles pour les
membres
supérieurs, pour les doigts tout particulièreme
res supérieurs, pour les doigts tout particulièrement, que pour les
membres
inférieurs; quel- 1. Pour éviter la fatigue, Fr
pales séries d'exercices préconisées par Frenkel. ™^ TECHNIQUE A)
Membres
inférieurs. La rééducation des membres inférieurs
r Frenkel. ™^ TECHNIQUE A) Membres inférieurs. La rééducation des
membres
inférieurs comprend des exercices au lit, élimi
le degré de l'ataxie à chaque période de la cure. Les exercices des
membres
inférieurs dans la position debout, nécessitant l
t en tout cas servir qu'a parfaire le traitement. Les exercices des
membres
inférieurs au lit peuvent être exécutés sans ap
isants pour arriver il l'incomplète précision que l'on exige de ces
membres
dans la vie courante. A) Exercices sans apparei
. A) Exercices sans appareils. 1° Exercices alternatifs de chaque
membre
inférieur. Fléchir la jambe au genou et à la hanc
en l'air, la reposer sur le lit. 2° Exercices simultanés des deux
membres
inférieurs. On peut varier à l'infini ces exerc
l'infini ces exercices en faisant exécuter par l'un et l'autre des
membres
inférieurs des mouvements semblables à ceux que n
eux .membres exécutant simultanément le même mouvement; 2° les deux
membres
exécutant alternativement des mouvements soit s
t des mouvements soit semblables, soit dissem- blables; 5° les deux
membres
exécutant simultanément des mouvements dissembl
on fera d'abord exécuter les plus simples, aussi bien avec les deux
membres
inférieurs qu'avec un seul membre, pour passer
imples, aussi bien avec les deux membres inférieurs qu'avec un seul
membre
, pour passer ensuite aux plus complexes; dans l
mples pour donner de la précision aux mouvements exé- cutés par les
membres
inférieurs au lit : leur utilité est très contest
s à différentes hauteurs et à différentes dis- tances au-dessus des
membres
inférieurs du'malade au moyen d'une tige de fer
duquer le tronc en même temps que les jambes, son équilibre sur les
membres
inférieurs étant absolument indispensable à la ma
ercice est complexe. En dehors de ces deux variétés d'exercices des
membres
inférieurs , exercices au lit et exercices de m
vements est ordinairement des plus aisée. Tous ces exercices des
membres
inférieurs seront pratiqués sous le contrôle co
exercices seront exécutés de deux façon : a) le médecin donne à un
membre
inférieur telle ou telle position sous les yeux
x du malade; puis le malade ferme les yeux et doit donner à l'autre
membre
une position analogue; il rouvre alors les yeux e
erreurs; b) le malade, les yeux fermés, doit mettre directement un
membre
inférieur dans telle position commandée par le mé
presque toujours indispensable de la rééducation des mouvements des
membres
inférieurs. La marche n'est possible que grâce au
n'est possible que grâce au maintien en équilibre du tronc sur les
membres
inférieurs, et le plus léger chan- gement dans
maintenu en l'air par deux infir- miers ; on peut ainsi éduquer ses
membres
inférieurs sans avoir à s'occuper de l'équilibr
s résul- tats chez des ataxiques même très gravement atteints. C)
Membres
supérieurs. Le traitement rééducateur des membres
ment atteints. C) Membres supérieurs. Le traitement rééducateur des
membres
supérieurs peut se faire, comme celui des membr
t rééducateur des membres supérieurs peut se faire, comme celui des
membres
inférieurs, avec ou sans appareils. La rééducat
s, avec ou sans appareils. La rééducation des parties proximales du
membre
, bras et avant- bras, ne comporte pas d'apparei
re analogue ou hémiplégie alterne inférieure. Dans cette forme, les
membres
sont paralysés du côté opposé à la lésion, [MOU
s les plus habituel- lement observées ? Négligeant l'hémiplégie des
membres
tout à fait banale en ses caractères, nous nous
ou une hémiatrophie linguale homonymes avec hémiplégie croisée des
membres
(paralysie alterne type Revilliod-Gonkowski), ou
série de troubles spastiques et atrophiques intéressant les quatre
membres
. Quoi qu'il en soit, on observe d'abord des tro
ation et de la déglutition l'emportent sur les troubles moteurs des
membres
. Il va de soi que ce malade pourra présenter non
dans un fauteuil, leur inertie s'explique par la faiblesse de leurs
membres
, par leur maladresse, par un sentiment d'in- sé
ssivement du ptosis, puis .une certaine p.arésie des extenseurs aux
membres
et à la tête. En même : temps se.manifestTit de
s masticateurs, le larynx, le pharynx, les muscles de la racine des
membres
. L'asthénie est exagérée par la fatigue générale
tre intéressés les premiers. -On peut même rencontrer au niveau des
membres
les premières manifestations asthéniques ; elles
ur le tronc, les extenseurs de la nuque se prenant à leur tour. Les
membres
sont atteints en dernier. D'autres localisation
urs très brusques, les tics sont des convulsions (le la face et des
membres
présentant ceci de particulier qu'elles reproduis
s convulsifs cloniques atteignent un nombre variable de muscles des
membres
, du tronc et de la face, le plus souvent symétriq
é, dans la région rolandique. on obtient des mouvements simples des
membres
dn côté opposé. Lorsque cette excitation dépass
ouvelle. Mais ces secousses sont inégales en force et en durée, les
membres
sont portés en tous sens et il arrive fréquemme
c'est toujours il une attitude fixe qu'aboutit la contraction. Les
membres
sont étendus ou dans une demi-flexion, les main
replié dans la paume de la main ou sur les doigts fermés et chaque
membre
est dans un état de raideur telle qu'en cherchant
rchant à le soulever on soulève le corps entier. En même temps, ces
membres
sont animés de secousses qui les ébranlent sur
ielles; elles se localisent alors principa- lement à la face et aux
membres
supérieurs et se caractérisent par les mouvemen
des symptômes cérébraux, céphalée, délire, jactation. agitation des
membres
, convulsions localisées et con- tractures. Mais
ra bientôt un état comateux avec hémiplégie ou paralysie des quatre
membres
. Elle est fréquente chez les alcooliques. Mais un
que ou nasale en faveur d'un abcès. Le début des convulsions par le
membre
inférieur, épilepsie partielle crurale, doit fa
, les tremblements, les spasmes qui remontent de la périphérie d'un
membre
à sa racine; les mouvements automatiques, tels
res de chaud, de froid, d'engourdissement remontant du tronc et des
membres
vers la tète, constituent l'aura sensitive. Les
age est grimaçant et surtout la langue est mordue profondément. Les
membres
raides sont tendus, les mains fermées, le pouce
vée. Au bout de quelques secondes commence la phase clonique. Les
membres
sont portés en tous sens, tout le corps est agité
onvulsive se calme et le malade entre dans la phase de stertor. Les
membres
sont flasques et inertes, la face livide, le mala
tremblement : « Une agitation involontaire du corps ou de quelques
membres
par petites oscillations pendant l'exécution de
1° Siège du tremblement. Le tremblement peut être généra- lisé aux
membres
, il la tête et au tronc. Il peut au contraire êtr
au tronc. Il peut au contraire être limité à un côté du corps, à un
membre
, aux deux membres inférieurs; il est quelquefoi
au contraire être limité à un côté du corps, à un membre, aux deux
membres
inférieurs; il est quelquefois limité aux globe
es pour mettre en évidence ce tremblement. C'est ainsi que pour les
membres
supérieurs il faut demander au malade d'étendre
d'écarter les doigts : c'est l'altitude du serment. Au niveau des
membres
inférieurs, il faut demander au malade d'étendr
uscles qiii ne sont pas suffisantes pour produire un déplacement du
membre
. De même les secousses ten- dineuses ne provoqu
me les secousses ten- dineuses ne provoquent pas de déplacement des
membres
,, et d'autre part ils se produisent d'une façon
dans la faculté d'associer les mouvements des divers segments d'un
membre
dans un mouvement complexe comme la marche par
'ait impossible. D'autre part, ce tremblement est imitatif, tout un
membre
est emporte DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBLEME
MENT. 859 par ses oscillations. Le tremblement part de la racine du
membre
, de l'épaule par exemple, et se transmet au hra
ts S('gll1l'nlail'cs : en général, il est plus marqué au niveau des
membres
supérieurs, mais il est également très marqué au
egré plus avancé. Ce tremble- ment peut également se manifester aux
membres
inférieurs et entrer pour une part dans les tro
s certaines influences et en particulier dans l'état de raideur des
membres
inférieurs; dans ces cas cependant le rythme est
n dit que le malade file de la laine ou compte des écus.. ' , Aux
membres
inférieurs, le tremblement produit le battement d
e de tremblements fibrillaires sur toute la surface du corps. Aux
membres
supérieurs, pour le voir, si on demande au malade
d'ampli- tude variable, niais surtout imperceptibles l'extrémité du
membre
, cependant les doigts ne sont pas animés de mou
st assez analogue il celui du tremblement alcoo- lique. Du côté des
membres
inférieurs, on percevra également le trem- blem
ent intense que la marche des malades devient très difficile et les
membres
supérieurs deviennent tout à fait malhabiles à
T. 845 et ne gêne pas le malade dans l'exécution des mouvements des
membres
supérieurs et inférieurs. Ce tremblement, nous
mblement cesse, dans le décubitus en général, il prédomine dans les
membres
de l'un des côtés du corps, il s'exagère sous l
s rythmée. b) Le tremblement de rythme moyen peut être localisé aux
membres
inférieurs, il revêt le type paraplégique, et c
ans la ligne paternelle et ne pas atteindre nécessairement tous les
membres
d'une même famille, il apparait dès l'enfance qua
s s'exagérer dans les mouvements intentionnels, il peut occuper les
membres
, les paupières, les lèvres, la langue, il a pour
ières, les lèvres, la langue, il a pour siège de pré- dilection les
membres
supérieurs, cependant ces caractères donnés par
r et. rester limité aux mains, mais il peut également s'étendre aux
membres
inférieurs, il peut affecter la tête, à la faço
affecter la tête, à la façon du tremblement sénile; enfin chez des
membres
d'une même famille il peut revêtir des types asse
ils le sont rarement d'emblée, ils débutent, le plus souvent par un
membre
pour s'étendre ensuite au tronc et aux membres
plus souvent par un membre pour s'étendre ensuite au tronc et aux
membres
de l'autre côté : quelquefois cependant, la local
ôté : quelquefois cependant, la localisation initiale persiste à un
membre
, d'autres fois, la localisation est limitée il un
mène de l'hippus (Cruchet, Revue neurologique, 1904). ' Quand les
membres
supérieurs sont atteints, le malade est incapable
lèvres, et le vide tout d'un (rait et très rapidement. Quand les
membres
inférieurs sont pris, la marche devient difficile
re généralisée et alors on constate la flac- cidité généralisée des
membres
ou quelques petits mouvements choréi- formes à
a décrit des amyotrophies consécutives, elles occupent surtout les
membres
supé- rieurs, mais leur fréquence est minime.
l'tiemiehoree hystérique, mais souvent elle peut affecter aussi les
membres
, la face et le cou. Elle se produit sous forme-
ent plus amples et s'exagèrent jusqu'à la mort. Elle siège dans les
membres
, plus rare- ment dans la face, elle s'exagère à
symétrique et habituellement bi-latéral ; c'est en général par les
membres
inférieurs que débute la maladie. Les contracti
et semblent continues; ces mouvements entraînent le déplacement des
membres
dans un certain nombre de cas, quelquefois cepe
ent de position. , Les mouvements les plus variés s'observent aux
membres
supérieurs et aux membres inférieurs, de même a
ouvements les plus variés s'observent aux membres supérieurs et aux
membres
inférieurs, de même au niveau de la face et au ni
vent, elles atteignent l'ensemble du corps : la tète, le tronc, les
membres
. A la tète, ce sont des mouvements brusques {.C
la partie postérieure des cuisses, et par la suite aux muscles des
membres
supérieurs : dans tous les cas, les muscles du
, cèdent peu à peu pour faire place à des secousses musculaires des
membres
, du tronc, secousses qui sont très analogues au
, des secousses fibrillaires qui se produisent dans les muscles des
membres
inférieurs d'une façon con- tinue ; cependant,
souvent aux orteils et aux doigts, c'est-à-dire aux extrémités des
membres
, aux coudes, à la langue et à la face ; elle, s
s raideurs musculaires qui entraînent des attitudes permanentes des
membres
. Nous venons de passer en revue les caractères
ent revêtir les caractères athétosiques à la face et choréiques aux
membres
, c'est à des cas de ce genre que Brissaud a don
parole est lente et spasmodique, les sons sont comme poussés. Aux
membres
supérieurs, les mouvements sont plus accentués au
s autour des autres articulations sont moins étendus, au niveau des
membres
inférieurs c'est encore aux extré- mités que pr
aux extré- mités que prédominent les mouvements, mais moins qu'aux
membres
supérieurs; on les constate également au niveau
2. Rigidité musculaire. La rigidité apparaît surtout au niveau des
membres
, plus particulièrement au niveau des membres infé
surtout au niveau des membres, plus particulièrement au niveau des
membres
inférieurs, c'est la contracture de flexion : l
contracture de flexion : le pied est dévié en \'itl'11St·lllllll aux
membres
, la contracture se fait en flexion. L'état sp
modique plus encore que les mouvements rend difficile l'u- sage des
membres
. La démarche de ces malades est très difficile :
in sont obligés de rester au lit ou dans des chaises roulantes. Les
membres
supérieurs sont également très malhabiles et le
nous avons déjà dit les troubles qu'ils provoquaient au niveau des
membres
supérieurs et des membres inférieurs : c'est, a
roubles qu'ils provoquaient au niveau des membres supérieurs et des
membres
inférieurs : c'est, au niveau des membres supér
membres supérieurs et des membres inférieurs : c'est, au niveau des
membres
supérieurs les mouvements qu'on a comparés à ce
urs les mouvements qu'on a comparés à ceux du poulpe, au niveau des
membres
inférieurs ce sont également des mouvements de
ignet ou du cou-de-pied et il existe également de la contracture du
membre
inférieur (1'Iotclmnc, Thèse de Paris, 1900).
rmittents ; les seconds par des altitudes forcées, permanentes, des
membres
ou du corps. Ces derniers sont dits «tics d'att
holalie), ils répètent les mouvements qu'on imprime à leurs propres
membres
(ecbokinesie). L'imperfection de la volonté, no
tions musculaires et à conserver les positions qu'on donne il leurs
membres
; ce calatonisme a peut-être sa cause autant dan
sse à exécuter des mouvements commandés ou spontanés, même avec les
membres
qui ne prennent aucune part au tic; les mouve-
plus atten- tive montre qu'un trouble de la notion de position des
membres
, Au sens des attitudes segmentaires (P. Bonnier
r le phénomène des orteils, prou- vaient la réalité ('). Tics des
membres
supérieurs. Tics de l'épaule : tics de hausseme
, seraient l'origine de certaines cyphoses ou scolioses. Tics des
membres
inférieurs. Les plus fréquents sont les lies de
ituée par des secousses rythmiques, très brusques, électriques, des
membres
et de la face : ces spasmes sur- viennent par a
ulaires isolés : souvent elles ne provoquent pas de déplacement des
membres
; elles ne sont pas fonction- nellement systéma
rs attitudes segmentaires, de la position de leur corps ou de leurs
membres
. Il permet de plus au malade de se contrôler tu
xige la coopération de, tous les muscles et de tous les segments du
membre
supérieur » : il y des muscles qui doivent se c
galvanique très diminuée ou même abolie, mais les autres muscles du
membre
, en apparence sains, auraient une excitabilité
, il y a des troubles vaso-moteurs plus ou moins nets au niveau des
membres
atteints de. crampe (Brissaud, llallion et Meige)
ampe avait été précédée de lésions traumatiques ou pathologiques du
membre
supérieur (contusion, périostite, etc.), souven
ais « en miroir »; il en résulte qu'un mouvement sera appris par un
membre
malade avec plus de facilité si le membre symét
vement sera appris par un membre malade avec plus de facilité si le
membre
symétrique sain exécute et répète lui-même, ce
réaliser les altitudes cataleptiques. Si le. malade est couché, les
membres
soulevés du plan du lit, au lieu de retomber lo
« inerte » (Brissaud). Lorsqu'une secousse est imprimée au bras, ce
membre
peut présenter pendant un certain temps des osc
s un état spastique. Les muscles conservent l'attitude imprimée aux
membres
, au tronc, il la tête, mais ne sont point contr
hanger la position première, ce résultat s'obtient sans effort : le
membre
est souple et obéit sans peine. C'est ce que l'
atement des états. de contracture ou de paralysie dans lesquels les
membres
sont figés en une position immuable. - Catato
aire est un état spécial de flaccidité des muscles, (lui permet aux
membres
des attitudes anormales. Cette affection se renco
ir comment, se présente ce phénomène chez les tabétiques. " , Aux
membres
inférieurs, on peut constater la flaccidité des f
fléchir la cuisse sur le bassin à 65° ou 75°, chez un tabétique, le
membre
inférieur peut être redressé jusqu'à 100° et 15
e, le membre inférieur peut être redressé jusqu'à 100° et 150° : le
membre
inférieur peut être placé au contact du tronc e
joue (fig. 1) ; si le malade est assis,ou debout, il porte alors son
membre
dans la situation du fusil dans la position du
culaire 0 chez un tabétique-. 910 -HYPOTONIE. ' écart; les deux
membres
inférieurs se trouvent allongés de chaque côté
que la cuisse repose complètement sur le sol. Cette hypotonie des
membres
inférieurs peut, du reste, permettre de compren
sque d'un genou, la torsion soudaine d'un pied. L'hypotonie des
membres
supé- rieurs est surtout évidente au niveau d
portant soit sur les mains (cheiromégalie), soit sur la face et les
membres
supé- rieurs ([seudo-acronOalie), de la sclérod
e, chez les parkin- soniens et les paralytiques infantiles, sur les
membres
paralysés, quelle que soit l'étiologie .de cett
rations cutanées peuvent être étendues ou circonscrites, envahir un
membre
entier, se répartir. en zones méta- mériques-ou
s plus caractéristiques. Cette sclérodermie peut apparaître sur des
membres
atteints de névrite, chez des syringomyéliques, o
chez les paraplégiques, et, d'une façon très générale, sur tous les
membres
qu'immobilise une paralysie de date ancienne déjà
mulation que révèle souvent la trace d'un lien placé à la racine du
membre
. On se souviendra seulement que cette trace peut
ction variable, en nappe sur les surfaces planes, en boudin sur les
membres
, tantôt des élevures arrondies de 2 à 10 cen- t
un troplrceclème acquis, intéressant généralement la totalité d'un
membre
. Le trophoedème peut s'installer insidieusement
elle est généralement segnientaire. et peut atteindre soit les deux
membres
inférieurs, soil plus souvent un seul bras ou u
le jambe. Le trophoedème est le plus fréquent et le plus typique au
membre
inférieur. Il existe un gonflement énorme de to
ique au membre inférieur. Il existe un gonflement énorme de tout le
membre
, qui va généralement s'accusant de haut en bas. L
ais de douleurs : le malade, se plaint seulement de la pesanteur du
membre
lésé. Les malades de cet ordre peuvent avoir ég
fectent une disposition symétrique le long des trajets nerveux (des
membres
, le plus souvent) ou une distribution méta- m
prononcée, une adiposité extraordinaire portant sur le tronc et les
membres
. Mais, point, extrêmement singulier, l'envahiss
e cou, les mains et les pieds; d'où un contraste frappant entre les
membres
, colonnes massives, et les extrémités dont les
maladie, « certaines zones circonscrites du visage, du tronçon des
membres
, dont la dimension varie du diamètre d'une cerise
IQUES. 925 ou sans ulcération, se constituent les mutilations des
membres
. Les ulcères ou maux perforants s'observent en
les points où se trou- vent longuement comprimés les tissus d'un
membre
ou d'un tronc paralysé. C'est ainsi que peut se
ons amputes de tous leurs doigts. Les affections mutilantes des
membres
sont en somme assez fré- quentes. Au plus bas d
d'ailleurs. Dans le tabès s'est trouvée signalée la dépilation d'un
membre
, etc. L'hypertrichose est parfois congénitale,
nfin il existe souvent un dévelop- pement exagéré des poils sur les
membres
paralysés, qu'il s'agisse de poliomyélite infan
dans ces cas non seulement atrophie de squelette, mais réduction du
membre
entier; de tels laits s'observent dans les para
rrêt de développement por- tant non seulement sur la région ou le
membre
atteint, mais également à. distance, sur toute
ig. 14. Paralysie infantile avec atrophie considérable de tout le
membre
supé- rieur droit. - ! )0 ' 1 TROUBLES TROP
ostéoporose se révélera non plus par un chan gcmcnt de volume du
membre
, mais par une fragilité particulière, souvent -
es, guérissent spontanément, niais de façon vicieuse en général. Le
membre
fracturé présente toujours un empâtement énorme
es surfaces osseuses dont tous les rapports normaux ont disparu. Le
membre
peut être déplacé dans tous les sens sans effor
le est toujours plus élevée du côté paralysé, il y a entre les deux
membres
une diffé- rence d'un demi-degré ou de 2(5 de d
ut être augmentée localement ; dans la sciatique, la température du
membre
malade peut être abaissée de Fou 2". Klippel
ssagèrement dans la forme léthargique ou lorsque la contracture des
membres
inférieurs persiste : mais beaucoup des inconti
anesthésie linguale et faciale sera croisée par rapport à celle des
membres
. Les méningites et gommes de la base, syphiliti
s et du pharynx; l'oeil, la face y compris le facial supérieur, les
membres
supérieurs et inférieurs se prennent. Il n'y a pa
ne atrophie musculaire précoce et considérable au niveau des quatre
membres
, de la contracture avec exagération des réflexe
phique dans la syringomyélie, sur les douleurs et la spasticité des
membres
su- périeurs, puis des membres inférieurs dans
ur les douleurs et la spasticité des membres su- périeurs, puis des
membres
inférieurs dans la pachyméningite, etc., tous s
peut, selon les cas, être déviée du côté de la face ou du côté des
membres
. La morphologie linguale peut être modifiée enc
des fourmillements et de l'engourdissement des extrémités; puis les
membres
se prennent. Il s'agit de convulsions toniques, q
VELOPPEMENT A. DIFFORMITÉS TÉRATOLOGIQUES - Les monstruosités des
membres
ou tératomélies par défaut sont représentées pa
mélie vraie, absence complète ou presque complète d'un ou plusieurs
membres
, l'Iaé- rnimélie, absence des segments terminau
e des segments basaux, le seg- ment terminal, la main pour le
membre
su- périeur, étant directement suspendu au
des signes. physiques de;la dégénérescence. - Des hypertrophies des
membres
peuvent ;être congénitales : elles se présenten
rtielle ou d'hémihyper- trophie totale, c'est-à-dire portent sur un
membre
(plutôt un membre inférieur qu'un membre supéri
yper- trophie totale, c'est-à-dire portent sur un membre (plutôt un
membre
inférieur qu'un membre supérieur) ou sur les de
'est-à-dire portent sur un membre (plutôt un membre inférieur qu'un
membre
supérieur) ou sur les denx membres d'un même cô
(plutôt un membre inférieur qu'un membre supérieur) ou sur les denx
membres
d'un même côté (Geoffroy Saint-Hilaire,- Moebiu
ielles,- d'élévation de la température locale. 1 L'atrophie d'un-
membre
congénitale est plus souvent la conséquence d'u
sous ce nom une déformation congénitale-- exceptionnelle des quatre
membres
, surtout des mains, caractérisée par l'allongem
ordinaire en même temps que les mains, les autres articulations des
membres
, coudes, épaules, genoux sont atteints plus tar
e premier cas elle envahit les mains comme la face. le tronc et les
membres
inférieurs, les doigts sont immobilisés, indurés,
constater chez l'adulte la persistance d'une paralysie infantile au
membre
supérieur ; quand la lésion de la moelle est asse
e on observe d'ordinaire une atrophie plus ou moins prononcée des
membres
at- teints et notamment de la main; souvent l
t les mouvements sont si- multanément choréiques il la racine des
membres
et athétosiques il leur extrémité. Dans l'ath
forcée. La contracture s'étend généralement aux autres segments du
membre
. L'ensemble du tableau clinique est très caracté-
la main et au pied : elles jportent souvent symétriquement sur les
membres
. Aux membres inférieurs, on observe parfois a
pied : elles jportent souvent symétriquement sur les membres. Aux
membres
inférieurs, on observe parfois aussi la symélie
, on observe parfois aussi la symélie, soudure ou fusion des deux
membres
: les symé- liens sont divisés (Geoffroy Saint-
(Geoffroy Saint-Hilaire) *) eh : synièles, chez lesquels les deux
membres
inférieurs sont soudés à l'exception des pieds;
l'exception des pieds; urodèles (oupa., queue), chez qui les deux
membres
sou- dés se terminent par un seul pied, sou-
trophies et les atrophies congénitales portent plus souvent sur les
membres
inférieurs que sur les supérieurs et sont souvent
douloureux des phlébitiques, etc.. 1.1 Les oedèmes segmentaires des
membres
inférieurs de Debove, Mathieu, Joffroy, le trop
ivent être rappro- chés de certaines hypertrophies congénitales des
membres
. L'éléphantiasis des pays chauds, comme le pseu
phlébite, etc., prennent surtout la jambe et le pied et donnent aux
membres
inférieurs un aspect spécial. L'oedème aigu, vi
so-moteurs de la jambe et du pied, la peau est froide, violacée, le
membre
est atrophié, le tissu adipeux sous-cutané souv
ssion, ne laissera, pas de doute sur la cause de la para- lysie des
membres
inférieurs et du.pied-hot; cette paralysie s'acco
et vasomoteurs très accusés, un arrêt du développement de tout le
membre
inférieur et du membre supérieur du même côté
usés, un arrêt du développement de tout le membre inférieur et du
membre
supérieur du même côté. . Il est bilatéral da
s céré- brales infantiles. Dans la première variété (fig. 6), les
membres
inférieurs sont contracturés à l'exclusion des
g. 6), les membres inférieurs sont contracturés à l'exclusion des
membres
supérieurs; dans les deux autres variétés la ri
ux autres variétés la rigidité spasmodique est étendue aux quatre
membres
. Des troubles intellectuels prononces, idiotie,
nt diffé- rente : la contracture envahit souvent secondairement les
membres
supé- rieurs et les troubles intellectuels ne s
rement et tardivement des atrophies musculaires assez .accusées des
membres
inférieurs pour produire un pied-bot équin; le
e déformation des pieds dans la paralysie infantile portant sur les
membres
inférieurs. " A) Double pied-bot équin varus tr
rès prononcé. B) Atrophie à la fois des pieds et de la totalité des
membres
inférieurs (cul-de-jatte) (collection Damaschin
les dimensions des [F. JI1OUTIER] 1062 ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE.
membres
, des diamètres transverses du thorax, du bassin,
y a élargissement de la Fiv. 4. Points, de repère du tronc et des
membres
; points de repère ventraux (dessin original J.
me moyen serait de. 1560 cent, environ. Mensuration du tronc et des
membres
: - Bien que ces mensura- tions soient multiple
Cependant, nous conseillons absolument de vérifier les mesures du
membre
supérieur au compas-glissière, en prenant pour 0
d'indiquer en outre, segment par segment, les mesures absolues des
membres
. D'une façon générale, on trouve facilement la
- gnet ; la différence donne la longueur cherchée. Enfin pour les
membres
et pour le tronc comme pour la tète, un chiffre
ectueux) ou à la glissière soigneusement tenue parallèle a l'axe du
membre
le segment compris entre la fourchette sternale
(Papillault). L'anomalie de croissance porte principalement sur les
membres
inférieurs : ceux-ci s'allongent proportionnellem
s inférieurs : ceux-ci s'allongent proportionnellement plus que les
membres
supérieurs, et les avant-bras et les jambes plus
ied sont relativement moins développés que les segments voisins des
membres
respectifs. Il est fréquent de constater un gen
tain nombre de mensurations; les plus intéressantes portent sur les
membres
, surtout les membres inférieurs. .Nous recomm
ations; les plus intéressantes portent sur les membres, surtout les
membres
inférieurs. .Nous recommanderons également de p
rands enfants. L'accroissement de leur taille porte surtout sur les
membres
inférieurs, absolument comme dans le groupe pré
les orteils et les ongles conformes au type précédemment décrit au
membre
supérieur. P. Marie a signalé deux variétés : tan
ntraire un élargissement notable de celle-ci. On mesurera enfin les
membres
, on relèvera le contour des mains et des pieds.
parfois, on voit croître et se développer chez les adolescents les
membres
inférieurs surtout. Ces jambes « en peuplier », c
nts les membres inférieurs surtout. Ces jambes « en peuplier », ces
membres
d' « éctiassicrs », sont des phénomènes tout à
nt de faible taille, et ce raccour- cissement porte surtout sur les
membres
inférieurs. L'hahitus général est celui d'un in
per d'un cou d'ailleurs arrondi, sans grande saillie du larynx. Les
membres
sont potelés, effilés de la racine aux extrémités
d'observer une dys- harmonie de l'organisme, et les dimensions des
membres
inférieurs l'emportent relativement au tronc.
llongée et fixe. La tète est plutôt petite, ainsi que le tronc. Les
membres
sont au contraire rctati- vement longs. Les os
t cylindrique, le ventre gros, et, au contraire du type Lorain, les
membres
sont relativement courts, bien que les épiphyse
l même, pourrait-on dire il plus juste titre. Cet aspect est dû aux
membres
boudinés, à la face bouffie, à la très petite t
r- vation8 éventuelles du rachis, par l'épaisseur et la brièveté de
membres
, . [F. MOUTIER ] 1092 GIGANTISME. INFANTILI
maux en hauteur sinon en proportions, et que seule la brièveté des
membres
détermine le raccourcissement de la taille. L
hizomélique (Pierre Marie), c'est-à-dire prédomine à la racine-du
membre
. Le corps réduit est surmonté d'une tête aux di
gts. - Les mêmes caractères se retrouvent d'une façon générale au
membre
inférieur ; P. Ma- rie a montré que le péroné r
nt les courbures cvphoticlilcs ou sco- liotiques des vertèbres. Aux
membres
, les fractures ne sont point rares; elles se co
urante; elle s'accompagne par- fois de diminution de la taille. Les
membres
sont courts et boudinés. La face est normale, l
lle extension il convient de lui donner. Nanisme par anomalie des
membres
inférieurs. Dans de tels cas, le tronc et les m
anomalie des membres inférieurs. Dans de tels cas, le tronc et les
membres
supérieurs, la tête sont d'un homme normal. Le
ement de la taille dépend uniquement d'un trouble téralologique des
membres
inférieurs désigné sous le nom de phocomélie. S
l'asyrnél1'ie. Elle peut être totale ou ne porter que sur certains
membres
, sur la face, etc. Il ne faut pas oublier, du r
alies musculaires : la plus banale est l'absence du grand pectoral.
Membres
. Les monstruosités y sont tout spécialement fréqu
par jour; ces frictions seront faites dans les plis de flexion des
membres
, alternativement dans l'un ou l'autre d'entre e
une solution de cocaïne ou de stovaïne, cl toutes les douleurs des
membres
inférieurs et en particulier la scialique. peuv
ci plutôt tardives que précoces, la rigidité télaniforme des quatre
membres
avec paroxysmes toniques, le trismus, la raideu
bsence habituelle de rétraction du ventre, de paralysie motrice des
membres
, de parésie vaso-motrice, sphinctérienne et sen
elle. Il peut avoir des convulsions. La rigidité de la nuque et des
membres
, le signe de Kernig l'ont ordinai- rement défau
ma qui dura huit heures et s'accompagna de résolution complète, des
membres
, de cyanose, de refroidissement des extrémités,
sensibilité objective, dou- leurs violentes dans les lombes 1'1 les
membres
inférieurs, paralysie des sphincters ano-vesica
et l'examen de grandes étendues de régions ou de grands segments de
membres
; elle élimine donc les clichés trop grands, c'e
'ankylose guère que le rachis et les articulations de la racine des
membres
. Le rhumatisme vertébral est généralement plus
e : il s'agit de déformations portant principalement sur les os des
membres
ou de la tête, et ces déformations. .sont assez
exagération du ressaut post-laml]do'idieu (Papillault)'- .. - Aux
membres
, les métacarpiens, les métatarsiens et surtout lé
au raccourcissement excessif sur- tout du segment rhizomélique des
membres
(cuisses et bras), il la défor- mation des main
tion des cartilages de conjugaison, la déformation des os longs des
membres
qui sont épais, non fragiles et non fracturés, pa
eau du bassin un aplatissement antéro- postérieur ; au niveau des
membres
des os grêles, fréquemment fracturés. incurvé
e de cas au moins, d'une calcification très étendue des artères des
membres
atteints, calcification décelable par la radiogra
lière ou [tins rarement, par des déformai ions caractéristiques des
membres
, a été bien étudiée au point de vue radiotogiqu
tiples; la contra ? ture généralisée du cou, du tronc et des quatre
membres
se modifia en quel- ques jours et disparut en t
dans un cas de paraplégie Masque avec rétraction douloureuse des^.
membres
inférieurs due à une ancienne paralysie infantile
table de la plupart des troubles de la motilité, le tremblement des
membres
supérieurs disparut presque complètement, le ma
e de 1 cent. de diamètre par exemple. Pour les nerfs cl muscles des
membres
et du tronc, il y a avantage à se servir d'une él
ité. [E. HUET.] A FiG. 22 (d'après Erb). B 1. Points moteurs'du
membre
supérieur (face antérieure). 1. Triceps brachial
hisseur du pouce; 28. Adduc- teur du pouce. 11. Points moteurs du
membre
supérieur (face postérieure). -1. Deltoïde (parti
un); 10. Droit antérieur; 11. Vaste externe. B. Points moteurs du
membre
inférieur (face postérieure). -1. \erf sciatique;
nent, à la compression digitale, ou en produisant la compression du
membre
entier avec la bande d'Esmarch. L'augmentation de
l'excitation doit produire des contractions. Il faut donc donner au
membre
ou à la partie du corps que l'on examine une po
sur certains d'entre eux; ainsi on la rencontre assez facilement au
membre
supérieur sur le deltoïde, le vaste externe du tr
pinateur, le 1er interosseux dorsal et l'adducteur du petit doigt; au
membre
inférieur sur les fessiers, le vaste interne, l
semaines, c'est généralement le cas sur les territoires nerveux des
membres
et du tronc ; parfois elle se prolonge davantage,
paralysies, cependant, si la DR fait toujours défaut au niveau des
membres
, elle peut exister sur le territoire des nerfs
a protubérance et du bulbe, la DR fait défaut également du côté des
membres
paralysés, mais elle peut exister sur des nerfs
appliquée sur le tendon terminal des muscles, ou à l'extrémité des
membres
, à la paume de la main ou sur le dos du pied par
ue Delprat a rencontré dans une même famille, en même temps que des
membres
atteints de paramyotonie, d'autres membres atte
e, en même temps que des membres atteints de paramyotonie, d'autres
membres
atteints de myotonie vraie avec réaction myoton
r artificiellement chez des personnes normales, soit en anémiant un
membre
avec la bande d'Esmarch, soit en arrêtant la ci
le cou, elle est plus forte sur le tronc, plus forte encore sur les
membres
. Suivant les régions, la résis- tance initiale
muscles déjà contracturés ou menacés de contracture (en général aux
membres
supérieurs la con- tracture porte plus particul
con- tracture porte plus particulièrement sur les fléchisseurs, aux
membres
inférieurs sur les extenseurs). On pourra aussi
gé. Dans tous les cas il faut surveiller avec grand soin l'état des
membres
paralysés au point de vue de la spus- modicité
diffuse l'action du courant sur l'ensemble des nerfs et muscles du
membre
soumis à l'électrisation. Il est souvent préférab
on d'une électrode assez large, placée il l'extrémité inférieure du
membre
et plutôt du côté des muscles les moins menacés
rsale du poignet et de la partie inférieure de l'avant-bras pour le
membre
supérieur, sur la partie inférieure de la face
tie inférieure de la face antérieure et externe de la jambe pour le
membre
inférieur. Au lieu de la galvanisation continue
t une partie duquel on dirige, sur la colonne vertébrale et sur les
membres
paralysés, des effluves ou la friction électriq
lectrode sera appliquée à la périphérie sur la partie inférieure du
membre
ou sur MYÉLITES-SCLÉROSES MÉDULLAIRES. 'l')95
embre ou sur MYÉLITES-SCLÉROSES MÉDULLAIRES. 'l')95 le segment de
membre
que l'on voudra particulièrement soumettre à l'
ullaires il y a souvent lieu d'électriser de la même façon les deux
membres
homologues; on peut le faire séparément et succ
sivement, ou bien simultanément en plaçant une électrode sur chaque
membre
, et en reliant l'une et l'autre par un conducte
rce galvanique. Dans ces conditions le courant se divise sur chaque
membre
et il y a lieu de donner au courant une intensi
au courant une intensité plus forte que lorsqu'on électrise chaque
membre
séparément. Le bain électrode constitue aussi un
bain électrode constitue aussi un moyen pratique d'électriser deux
membres
simultanément; on peut l'employer également pou
nément; on peut l'employer également pour l'électrisation d'un seul
membre
. - La galvanisation labile est utilisable dans
de grosses atrophies avec déformations plus ou moins accentuées des
membres
. Nous partageons l'avis de ceux qui croient aus
LYSIE INFANTILE. 1 U7 moelle. Si la paralysie est localisée sur les
membres
inférieurs, on place une large cathode sur la c
core sur la paroi abdominale. Si la paralysie est localisée sur les
membres
supérieurs, on place la cathode sur la région c
l'autre des cas précédents, lorsque la paralysie est localisée aux
membres
supérieurs ou aux membres inférieurs; il est par-
s, lorsque la paralysie est localisée aux membres supérieurs ou aux
membres
inférieurs; il est par- ticulièrement applicabl
ar- ticulièrement applicable lorsque la paralysie atteint à la fois
membres
supérieurs et membres inférieurs ; dans ce cas
icable lorsque la paralysie atteint à la fois membres supérieurs et
membres
inférieurs ; dans ce cas il est plus simple de ne
x renflements de la moelle, correspondant a l'origine des nerfs des
membres
, il l'action d'un seul pote, le pote négatif par
continu. Si les troubles paralytiques sont assez étendus sur ! un des
membres
inférieurs, ou sur tous les deux, on se sert avec
mbaire de la colonne vertébrale. Lorsque la paralysie porte sur les
membres
snpe- rieurs on fait plonger dans le bain une m
zéro, l'électrode sur d'autres groupes musculaires soit sur le même
membre
, soit sur l'autre membre. Sur chacune des régio
utres groupes musculaires soit sur le même membre, soit sur l'autre
membre
. Sur chacune des régions choisies on prolonge le
urs. Dans le cas où l'électrisation doit être étendue à plu- sieurs
membres
, il peut y avoir avantage à faire des séances quo
s séances quotidiennes pour soumettre à l'électrisation un jour les
membres
inférieurs et un autre jour les membres supérie
l'électrisation un jour les membres inférieurs et un autre jour les
membres
supérieurs. * A la galvanisation continue ainsi
électrodes sur la colonne vertébrale et l'autre sur les parties des
membres
où les troubles moteurs et sensitifs sont prédo
nières conditions l'une des électrodes est placée vers la racine du
membre
ou sur la colonne vertébrale, et électrode sert à
l'anode de préférence, sur la colonne vertébrale, ou à la racine du
membre
, sur le trajet du nerf, et l'autre électrode, l
i aux paralysies ohstétricales qui, le plus souvent, portent sur le
membre
supérieur et reconnaissent habituellement comme c
urnit, on pourra se contenter d'appliquer sur certaines parties 'du
membre
paralysé le trai- tement indiqué pour les paral
ivies également pour le traite- ment des autres névralgies soit aux
membres
inférieurs, névralgies crurale, obturatrice, et
membres inférieurs, névralgies crurale, obturatrice, etc., soit aux
membres
supérieurs, névralgies des divers nerfs du plex
les pieds, ou les mains, suivant que l'on se propose d'agir sur les
membres
inférieurs ou sur les membres supérieurs; coura
nt que l'on se propose d'agir sur les membres inférieurs ou sur les
membres
supérieurs; courant de 10 à 50 m. A., pendant 1
- geant l'électrisation le long de la colonne vertébrale et sur les
membres
, dans les régions qui sont plus particulièremen
effluves et frictions dirigés sur la colonne vertébrale et sur les
membres
, ou l'cfnuvation de haute fréquence. Les mêmes
la radiothérapie a été utilisée contre les douleurs fulgurantes des
membres
en dirigeant les rayons sur la colonne vertébra
ion ou aux étincelles dirigées sur la colonne vertébrale ou sur les
membres
. Ainsi en appliquant 1 électrisation statique c
bilité peut s'étendre bien au delà des parties électrisées, tout un
membre
et même, la moitié du corps dans les cas d'hémi
cathode indifférente sur la colonne vertébrale ou vers la racine du
membre
, et l'on fera passer, pendant un temps assez prol
; puis on électrise les muscles postérieurs du tronc et les quatre
membres
, en suivant le trajet des gros troncs nerveux e
ns de Nothnagel, placer dans le cas où les troubles portent sur les
membres
supérieurs le pôle négatif à la nuque, le pôle
intensité de à à 10 m. A. pendant 5 à 10 minutes. Pour agir sur les
membres
inférieurs d'une façon analogue, on placerait u
e. Le massage sous l'eau, les mouvements spontanés ou provoqués des
membres
paralysés sous l'eau (bains kiuéto-thérapcutiqu
ées sont améliorées par des bains chauds dérivatifs du siège ou des
membres
inférieurs, en même temps que des compresses fr
u sujet, 1065. Céphalométrie, 10G ? tlIensuration du tronc et des
membres
, 1072. Mens- ration de la taille, ] 075. Anur
ments de la main, 1041. des pieds, 1059. Atrophie congénitale des
membres
, 1016, 1042. du névraxe, technique de mensura
ie, 565. Migraine, 568. Douleurs de la nuque, -du tronc, 569. des
membres
? des viscères, 570. chez les hémiplégiques, 57
l- gies, 1514. -'1'abes,1522, Névroses, 1525. Éléphantiasis des
membres
inférieurs, 1046. Élévateur commun de l'aile
ses causes. 955. Hypertrichose, 927. Hypertrophie congénitale des
membres
, 1010, '10l ? musculaire. Carac- tères, 755.
ors du contrôle de la vue, 754. - Troubles de la mar- che, 755. -
Membres
supérieurs, 757. - Tronc, tète et face, 758.
, 1570. Mastication, troubles, 985. Mégalodactylie, 1015, 1045.
Membres
. Mensuration, 1072, 1075, 1077. Mémoire. Exam
musculaire, type Aran-Duchennc, 704. Mensuration du tronc et des
membres
. 10 i v. - de la taille, 1075. Mentales (Thér
scence, 672. - État des réflexes, 672. - Muscles de la racine des
membres
, 675. Évolution lente, 674. - Symptômes non mus
syphilis. - dstroplriqzt.e. - essentiel, 1095. - par anomalies des
membres
inférieurs, 1096. - R : 1DIOGR<IPIfIE, 1179.
main, 1028. - du pied, 1046. - nerveux, 919. segiiieit- taine des
membres
inférieurs, 1046. OEil (Technique de l'examen d
ion partielle, 456. - Abolition généralisée, 441. Exagération aux
membres
inférieurs, 444. - aux membres supérieurs. -
généralisée, 441. Exagération aux membres inférieurs, 444. - aux
membres
supérieurs. - d'un seul -côté du corps. - génér
d'un seul -côté du corps. - générale, 445. - portant sur un seul
membre
, 447. - cutanés, 447. - Valeur sé- méiologiqu
, 1098. - Prognathisme, dents, nez, face, rachis, thorax, 1009. -
Membres
, or- ganes génitaux, etc., 1100. -obstélri- c
évolution, 879. - Variétés. Tics de la face, z du cou, 889.- des
membres
, - du tronc, - de la déglutition, - de la respi
dons, 952. - des organes des sens, 955. Trophoedème de Meige, z
membres
inférieurs, zig. Troubles de la motilité d'orig
soriel et présentait des crises convulsives à la suite desquelles les
membres
supérieur et inférieur gauches restaient contra
u corps mérite d'attirer tout particulièrement notre atten lion. Le
membre
inférieur gauche est fiasque et inerte; le malade
, et la main ne donne que 5 au dynamomètre; il est flasque comme le
membre
inférieur. Les muscles de ce dernier sont en pl
ment contusionné. Du reste, aucun phénomène paralytique du côté des
membres
ondes sphincters. Trois jours après l'accident,
de faire marcher le malade, qu'il existait une paralysie flasque du
membre
infé- rieur droit. Cette tentative fut suivie d
mine couché, on ne perçoit guère qu'un tremblement très-accentué du
membre
inférieur droit, qui s'exagère dans les divers
s, qui tous d'ailleurs sont conservés de ce côlé aussi bien pour le
membre
supérieur que pour le membre inférieur. Par c
conservés de ce côlé aussi bien pour le membre supérieur que pour le
membre
inférieur. Par contre, le membre inférieur dr
le membre supérieur que pour le membre inférieur. Par contre, le
membre
inférieur droit, qui repose sur le plan du lit pa
s de redressement du pied) avec abolition du réflexe rotulien. Le
membre
supérieur droit est également paralysé, mais à un
leur, perle des réflexes cutanés et du sens musculaire dans tout le
membre
inférieur droit (fi ? 4 et 5). Ces mêmes phénom
dans les phénomènes du double pas ou pas normal. La situation de ce
membre
gauche est intéressante à considérer. On voit,
les, qui sont du reste atrophiés en partie; le segment inférieur du
membre
, la jambe, obéit uniquement aux lois de la pesant
rfaitement compte. Mais, regardons marcher notre malade. Comme le
membre
inférieur gauche lui refuse tout point d'appui,
he comme base de sustentation, base peu solide d'ailleurs, car le
membre
supérieur gauche presque complète- ment paralys
, si le malade veut progresser à nouveau, il lui faut son- ger au
membre
inférieur gauche qui est resté en arrière d'une
nt ainsi de détacher du sol, de sou- lever par le poids du tronc le
membre
inférieur gauche, puis mettant en peu tous les
TUDE ET LA MARCHE DANS L'HEMIPLEGIE HYSTÉRIQUE. 9 qui permettent au
membre
paralysé de balayer passivement le sol qu'il ne
aussi caractéristique que dans le cas précédent; comme chez R... le
membre
paralysé reste en arrière à la façon d'un appendi
e obstacle à la marche et en modifier le type Nous avons dit que le
membre
inférieur gauche (sain) était animé d'un tremblem
blement déjà très-manifeste le malade étant couché. Aussitôt que ce
membre
exécute un mouvement le tremblement s'exagère,
mblement s'exagère, à plus forte raison lorsque pour tirer à lui le
membre
paralysé G... est obligé de porter tout le poid
pied, lançant le tronc en avant et entraînant dans ce mouvement le
membre
paralysé qui suit en balayant le sol. Naturelle
côté opposé à la paralysie et appuie tout le poids du corps sur ce
membre
sain; alors, par une action de circumduction, e
e, ne marche pas de cette façon; elle traîne après elle (clrags) le
membre
paralysé, comme s'il s'agissait d'une pièce de
ent, ainsi qu'il le dit, de l'hémiplégie organique dans laquelle le
membre
inférieur décrirait toujours un mouvement de ci
leusement vu Todd, c'est cette paralysie si absolue, si totale du
membre
, véritable « pièce de matière ina- nimée », sui
est pas assez forte toutefois pour empêcher le malade d'imprimer au
membre
inférieur certains mouvements de flexion et d'e
ucoup moins douloureusement ressentie que pour les articulations du
membre
similaire du côté gauche. Le sens musculaire es
s les déformations de la contracture. Ce moyen consiste à rendre le
membre
exsangue par l'ap- plication de la bande d'Esma
dernier jour, où elle eut quatre crises, apparut la contracture des
membres
inférieurs; dès ce moment les symptômes gastriq
orteils fléchis. On ne pouvait en rien modifier leur position. Les
membres
étaient durs et immobilisés. Depuis ce moment j
ui adresse. Elle attire immédiatement l'attention sur l'état de ses
membres
intérieurs. On constate que les deux pieds sont d
useraient à d'autres qualificatifs. Quant à l'attitude vicieuse des
membres
, son début brusque à la suilc e d'une crise, la
ormation énorme qu'elle produisit d'emblée, la rigidité intense des
membres
, leur anesthésie, enfin la disparition subite d
ien avoir été des crises hystériques ; une paralysie transitoire du
membre
supérieur gauche avec anesthésie et 31 NOUVELLE
riel, et nous avons constaté qu'il était impossible de produire aux
membres
supérieurs la contracture artificielle : enfin le
la suite, les pieds purent être redressés presque complètement. Les
membres
furent immobilisés. Une seconde opération fut p
e, tantôt elle s'irradie dans la hanche et détermine l'impotence du
membre
infé- rieur correspondant. Cette impuissance ne
dans un hôpital où, après l'avoir chloroformisée, on immobilisa le
membre
contracture par l'application d'un appareil plâ
ans l'extension forcée, la droite légèrement fléchie : ce der- nier
membre
est souple et n'est pas contracture. La jambe gau
es de foyers de suppuration. Ce qui frappe le plus à l'aspect de ce
membre
c'est la déformation du pied (fig. 19). Celui-ci
t de la cuisse sont inférieures d'un centimètre à celles de l'autre
membre
. La jambe est aussi le siège de douleurs, non s
. compare ces sensations à des brûlures. Toutefois, presque tout le
membre
participe à l'hémi-aiiesillésie (Fig. 20, 21),
inopportune et n'a-t-elle pas été tentée, quoiqu'il existe dans le
membre
contracture des rétractions fibreuses qui per-
e, intempestivement, en pleine période spasmodique, de redresser le
membre
à l'aide d'un appareil plâtré, et les résultats
urs, dans la station debout, un peu penché en avant. L'attitude des
membres
supérieurs mérite d'être relevée. Habituellemen
auche qu'on voit dans l'ombre déjeté en dehors.. Mais c'est sur les
membres
supérieurs qui se montrent presque complètement
s'atrophient progressivement, un à un, débutant d'ordinaire par les
membres
supérieurs. L'impuissance motrice s'accroît avec
aisse persister certains mouvements, imprime aux divers segments du
membre
une attitude en rapport avec les muscles dispar
aladie par- venue à son dernier degré ait rendu tout déplacement du
membre
impossible. L'infirme d'Albert Durer a le membr
out déplacement du membre impossible. L'infirme d'Albert Durer a le
membre
supérieur droit profondément atteint. Il est in
e la main, jusqu'au mouvement limité que le patient exécute avec ce
membre
, le seul peut-être qui subsiste encore - tout e
ns contraire, si sa jambe étant fléchie on cherche à l'étendre. Aux
membres
supérieurs la force musculaire est également bi
s diverses positions données aux doigts, ou aux divers segments des
membres
. Les réflexes rotuliens sont abolis. Le réfle
occlu- sion des yeux. Il existe également de l'incoordination des
membres
supérieurs; elle esl malhabile de ses mains, su
cillations. On trouve un très léger degré de nystagmus bilatéral.
Membres
supérieurs. - Au repos on n'observe rien d'anorma
on constate qu'elle ne peut conserver cette situation sans que les
membres
soient agités d'oscillations qui deviennent de pl
viennent de plus en plus étendues à mesure que la durée augmente.
Membres
inférieurs. - Au repos on constate une déformatio
s sont complètement abolis au genou ainsi du reste qu'au niveau des
membres
supérieurs. Pas de (rouble des sphincters, ni d
ents ont peu d'am- plitude. Dans les mouvements intentionnels des
membres
supérieurs, la direction générale du mouvement
rend pas un compte exact de la position dans laquelle on place ses
membres
supérieurs et inférieurs. Les pieds présentent un
Celle anesthésie existe également pour tout le segment inférieur du
membre
. CINQ CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 55 inféri
même temps une ensellure lombaire très ac- centuée (pl. XI). Les
membres
inférieurs sont bien développés et leurs divers m
exes rotuliens sont absents. Les réflexes cutanés sont normaux. Les
membres
supérieurs sont normalement conformés; on notedet
ns notés au niveau des orteils. Leurs muscles, de même que ceux des
membres
inférieurs, paraissent avoir con- servé leur fo
tous les mou- vements. L'instabilité existe également du côté des
membres
inférieurs; si, lorsqu'il est assis on lui dit
x ans, l'affec- Ition commença par de l'impotence fonctionnelle des
membres
inférieurs. Quoique la marche fût possible, ell
ble sans le secours d'un aide. C'est vers celte même époque que les
membres
supérieurs furent insensi- blement frappés d'in
vertébrale : sco. liose à convexité droite de la région dorsale.
Membres
supérieurs. -Au repos, les membres supérieurs ne
ité droite de la région dorsale. Membres supérieurs. -Au repos, les
membres
supérieurs ne présentent rien d'anormal. Leur f
i l'on ordonne a la malade de tenir son bras étendu et immobile, le
membre
ne tarde pas à être agité d'oscillations qui le f
ion motrice ; les caractères tracés sonl irréguliers et tremblés.
Membres
inférieurs. De même, au repos, on ne remarque rie
par l'occlusion des yeux. La sensibilité et la force musculaire des
membres
sont conservées; ainsi. on ne parvient pas à pl
CINQ CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 61 l'incoordination motrice des
membres
inférieurs, accompagnée du signe de Romberg et
t nous révéler, c'est l'aspect tout spécial des orteils. Lorsque le
membre
est au repos, les orteils, et particuliè- remen
lou- reuse duré six mois; les douleurs occupaient non seulement les
membres
inférieurs, mais encore le thorax; la moelle do
dorsale était donc atteinte. h période paralytique a débuté par les
membres
supérieurs; peu après, Ici membres inférieurs s
ode paralytique a débuté par les membres supérieurs; peu après, Ici
membres
inférieurs se sont pris ; quoi qu'il en soit, pen
soit, pendant plus d'un an, il exista une paralysie atrophique des
membres
supérieurs avec griffe radiale, et une paralysi
es supérieurs avec griffe radiale, et une paralysie spasmodique des
membres
inférieurs, avec flexion excessive : les talons
rogressive des phéno- mènes paralytiques et atrophiques du côté des
membres
supérieurs; les mou- vements de ces membres son
atrophiques du côté des membres supérieurs; les mou- vements de ces
membres
sont revenus aussi bien à l'avant-bras qu'au bras
éveloppées et la griffe de droite s'est effacée peu à peu. Dans les
membres
inférieurs l'amélioration s'esl faite à peu prè
e opération chirurgicale appropriée aurait pour effet de rendre aux
membres
leurs mouvements d'extension normale. Je consulta
issu fibreux, qui paraît le prin- cipal obstacle au redressement du
membre
. La rotule, fortement appliquée contre les cond
rtrophique ayant produit une paralysie spasmodique avec flexion des
membres
, dans lequel la paralysie a guéri au bout de de
t aisés dans certains sens dans le second. Lorsqu'on les imprime au
membre
contracture, on éprouve une sorte de résistance
de résistance élastique « sensation du ressort tendu D; si c'est au
membre
rétracté, on perçoit tout à coup une apparence
dineuses qui seules s'opposent à la bonne position et à l'usage des
membres
, il y aura lieu de recourir à une opération con-
ts. La respiration saccadée peut être rapprochée du tremblement des
membres
et de la langue, que quelques-uns présentent d'
douleurs spontanées ressenties par le malade dans la profondeur du
membre
et les douleurs à la pression il existe une zone
nt sou vent chez les sujets hystériques avec une hémi-paralysie des
membre
: et présentant des caractères si tranchés qu'i
ladies du système nerveux central pro- voquent dans les muscles des
membres
des contractures plus ou moins rebelles auxquel
ordinairement un caractère qui ne varie pas pour chaque segment du
membre
. Pour le pied, c'est l'équinisme, avec légère f
tour rapide, quelquefois même presque instantané, de la fonction du
membre
depuis longtemps en attitude vicieuse, ne laissen
lent raccourcis.,Quand on essaye de redresser la fausse position du
membre
, on a la notion d'une- résistance brusque, comme
ermanent du muscle entraînant uue attitude vicieuse d'un segment de
membre
, avec conser- vation de la contractilité dans u
ses désirs, je ne crus pas avoir le droit de le priver ainsi de son
membre
supérieur, car la contracture peut disparaître d'
ttre la guérison complète du malade; tel a été également l'avis des
membres
de la Société médicale des hôpitaux et entre autr
ée et per- manente. On n'aurait donc fait que changer l'attitude du
membre
contracturé, mais sans aucun bénéfice. Cet ex
bombées, voûte palatine ogivale, dents plantées irrégulièrement.
Membres
égaux, réguliers, sans incurvations ni nouures. T
ts passagers, avec pâleur de la face et résolution mo- mentanée des
membres
; accidents très fugaces qui se sont montrés trois
Il sent quelque chose qui lui monte de l'estofflac à la gorge. Les
membres
se raidissent, surtout à gauche; il jette un peli
CAS DE LENTIGO UNILATÉRAL. il,; cri et tombe sur le côté droit. Les
membres
se fléchissent convulsive- ment dans tous leurs
oigts viennent toucher la face antérieure de l'avant-bras; les deux
membres
inférieurs, surtout le gauche, s'éten- dent. Il
Cette anesthésie existe également pour tout le segment inférieur du
membre
inférieur droit; commençant un peu au-dessous du
roubles de la sensibilité, « une anesthésie plus souvent limitéeaux
membres
inférieurs' ». Mais ce sont presque là des except
nitoires fout défaut et les convulsions se montrent d'emblée. Les
membres
supérieurs et inférieurs se raidissent, puis ne t
e d'hé- miancslhésie gauche, descendant jusqu'au genou; le reste du
membre
infé- rieur gauche est hypoesthésiclue. Le cô
ce de la fesse : au-dessous hypoesthésie. A gauche, hypoesthésie du
membre
inférieur à partir du pli fessier, le seg- ment
res exceptions, l'observation a été faite sur la radiale droite, le
membre
restant constamment dansla même position, avec le
sur moi-même avec le même résultat. A la suite de l'exercice des
membres
infé- rieurs, d'une course, je n'ai trouvé qu'u
re que par l'étude comparée du pouls 's après l'exercice des quatre
membres
isolément. Les modifications apportées à la for
ant que les mouvements, convulsifs ou non, se sont produits dans le
membre
sur le- quel on fait l'exploration sphygmograph
bservations. Quant à .a modification apportée par l'exer- cice du
membre
sur lequel l'exploration, est faite, j'en ai ch
qu'elle ne se produit pas quand le même effort a été fait avec le
membre
du côté opposé. Il semble probable qu'elle tient
LPÊTRIÈRE. mémoire, ont trait à des lésions des grands os longs des
membres
et des articulations; et il n'a point encore ét
resque toujours liées à des manifestations douloureuses du côté des
membres
ou des viscères. Ordinairement, le début est br
M. Bail, et chez un individu soigné par le docteur Czerny. Tout le
membre
est gonflé; la tuméfaction est plus marquée au ni
rès vives, passagères, revenaient par crises et siégeaient dans les
membres
inférieurs. Ce n'est que depuis trois ans que
;. Douleurs fulgurantes et douleurs en ceinture; incoordination des
membres
inférieurs; abolition des réflexes rotuliens :
uite d'une ]Jhleglilalia alba dolens qui s'était développée dans le
membre
inférieur gauche. Examen anatomique du pied. -
mployer la méthode qui consiste à pro- duire une anémie complète du
membre
en enroulant autour de lui une bande d'Esmarch.
con- sécutives qui sont utiles au rétablissement de la fonction du
membre
. Pour conserver la fonction du muscle après la
rait défectueux, car le muscle devenant impuis- sant, le segment du
membre
dévié prendrait bientôt une déviation en sens o
plique un appareil plâtré qui est disposé de façon à immobiliser le
membre
dans une-position se rap- prochant le plus poss
icatrisation- est' suffisante, après un mois environ, le segment du
membre
dévié n'a pas encore repris sa position-normale
ère compression au moyen d'une bande de flanelle enroulée autour du
membre
. Il ne faut pas négliger non plus l'électricité
e à noire description peut s'appliquer aussi aux : dévia- tions des
membres
supérieurs; leur traitement doit être basé sur le
chirurgicale. Cette femme avait eu une paraplégie spasmodique des
membres
inférieurs, avec flexion à angle aigu des jambes
res qui immobilisent les pieds dans la position de l'équinisme. Les
membres
supérieurs restent libres. Tels sont les rensei
entôt la santé fut complètement rétablie, mais les contractures des
membres
inférieurs résistèrent à tous les moyens de tra
ar l'électricité. La sensibilité est intacte dans toute l'étendue des
membres
inférieurs. Toutes les fonctions de l'économi
régulièrement et la santé serait parfaite sans cette impotence des
membres
inférieurs. 13 juillet 1887. - Section sous-cut
s d'une fièvre typhoïde grave, eut des troubles trophiques des deux
membres
inférieurs. Après la guérison, la plupart des m
ennent des attitudes vicieuses indélébiles de certains segments des
membres
. 2° Les altérations des muscles qui succèdent à
pées, assez résistantes, uniformes partout, pas plus saillantes aux
membres
supérieurs qu'aux membres inférieurs. Nulle par
niformes partout, pas plus saillantes aux membres supérieurs qu'aux
membres
inférieurs. Nulle part ni saillies, ni méplats
t bien fléchir, étendre la jambe, le pied, la cuisse, et diriger le
membre
dans tous les sens, mais ces mouvements sont mala
comme force, sans mesure. Des désordres semblables existent aux'
membres
supérieurs, dans les- quels l'ataxie la plus ne
eux exagère tous ces troubles. Les troubles des mouvements dans les
membres
supérieurs s'accusent encore d'une manière rema
er », qu'il enfonce la plume dans le papier, etc.. En résumé, aux
membres
supérieurs comme aux inférieurs, tous les mou-
s pression ni frôlement, est perçu dans presque toute l'étendue des
membres
inférieurs. Il y a pourtant certains points, ma
ndes, soit arrondies, soit allongées dans le sens de la longueur du
membre
. J'en ai trouvé dix au membre inférieur droit,
ongées dans le sens de la longueur du membre. J'en ai trouvé dix au
membre
inférieur droit, trois au membre gauche et plusie
r du membre. J'en ai trouvé dix au membre inférieur droit, trois au
membre
gauche et plusieurs autres ailleurs, mais plus
elle est aussi, je crois, un peu émoussée. J'ai mis sur la peau, le
membre
étant au repos et reposant sur le lit, des poids
uvait mar- cher, mais présentait des mouvements bizarres des quatre
membres
. C'est à peine si, à six ans, il disait « papa,
s on est tout desuite frappé de la longueur disproportionnée de ses
membres
supérieurs (taille, 1m,58; envergure 4m,69); il
n est irrégulière et mauvaise. Aucune asymétrie sur le tronc et les
membres
, sauf un léger abaissement, avec dédoublement du
ain gauche, 45. B... offre une mobilité extrême de la face et des
membres
; de temps en temps sa bouche se dévie à droite
ns le cou avec prédominance de la rotation de la tête à droite. Les
membres
des deux côtés sont animés de mouvements lents de
pas sur ses jambes. Il se livre à des mouvements bizarres avec ses
membres
supérieurs, prend avec ses mains des objets ima-
uisé dans une juste observation de la nature. Telle déformation des
membres
qui semble un mal tout local relève souvent d'une
ait boiteux de naissance et qui n'avait jamais marché... » a vu ses
membres
inférieurs se redresser et reprendre leur vigueur
dernière oeuvre, Raphaël a représenté la difformité elle-même. Les
membres
in- férieurs sont courts, légèrement amaigris,
es réserves, c'est sur les déforma- tions des pieds. Les orteils du
membre
gauche sont étrangement tordus, et le pied droi
happe, et qui ne nous semble pas s'accorder avec l'état du reste du
membre
, dont la musculature est alors trop accentuée.
alors trop accentuée. En un mot, il y a entre ces deux segments du
membre
inférieur une sorte de contradiction. Et nous s
gure de l'infirme qui occupe l'angle droit de la composi- tion, les
membres
inférieurs sont en partie masqués par une colonne
ais présenté rien d'analogue à l'affection dont il'est atteint. Les
membres
de sa famille sont en général de taille un peu au
e la main gauche. Son diamètre intérieur mesure 20 millimètres. Aux
membres
supérieurs, pas plus du reste qu'aux membres infé
re 20 millimètres. Aux membres supérieurs, pas plus du reste qu'aux
membres
inférieurs, on ne trouve d'atrophie musculaire,
malade accuse une certaine diminution dans l'appétit génital. Aux
membres
inférieurs : Rotule : Diamètre vertical, G cent
estement diminuée. La plupart des données antérieures ont trait aux
membres
inférieurs. La sensibilité aux membres supérieu
es antérieures ont trait aux membres inférieurs. La sensibilité aux
membres
supérieurs est très légèrement émoussée, et le
servir qu'à confirmer d'autres résultats plus sûrs. En résumé, aux
membres
supérieurs, la sensibilité est très légèrement
m'ont convaincu que le sens musculaire est relativement diminué aux
membres
supérieurs et aux membres inférieurs. V. - La
s musculaire est relativement diminué aux membres supérieurs et aux
membres
inférieurs. V. - La vue est parfaite : le fond
rement émoussées. Ces plaques sont au nombre de huit ou dix pour le
membre
droit, et de trois pour le gauche; elles sont t
les se caractérisent parleur médiocre degré, parleur limitation aux
membres
inférieurs, par leur distribution fragmentaire,
na dans le service de médecine, où bientôt l'on vit la motilité des
membres
inférieurs diminuer au point qu'il ne lui était p
us retournâmes alors le patient sur le ventre, et faisant relever les
membres
inférieurs et le bassin par des aides, nous pûm
« Tenez-vous donc droit, vous le pouvez », pour que le tronc et les
membres
prennent une rectitude complète. Quoi qu'il e
le trottoir, sans avoir glissé, elle s'aperçut tout à coup que son
membre
inférieur gauche ne pouvait plus la porter; elle
Pertes des réflexes tendineux, signe d'Argyll Robertson, perle des
membres
dans le lit, etc. Le diagnostic d'ataxie locomo
douteux. Il y a un an, douleurs fulgurantes très violentes dans le
membre
inférieur droit : les douleurs partaient des or
-cinq ans. Il y a cinq ans environ que le malade ressentit dans les
membres
infé- rieurs des douleurs lancinantes. Il a ens
es également. Il a aussi ressenti des douleurs fulgurantes dans les
membres
supérieurs. Depuis quatre ans, sa vue a beaucou
s il dut entrer de nouveau il l'hôpital, pour des douleurs dans les
membres
infé- rieurs : il existait à cette époque un oe
bres infé- rieurs : il existait à cette époque un oedème de tout le
membre
inférieur droit, remontant jusqu'au genou, et l
le pied commença il se déformer. La dou- leur existait dans tout le
membre
inférieur droit, surtout dans le mollet; l'ar-
PIED. 199 Vers 1886, il eut de fortes douleurs fulgurantes dans les
membres
infé- rieurs, et le premier orteil gauche subit
s. Vers l'âge de vingt-cinq ans, il a commencé à ressentir dans les
membres
inférieurs des douleurs fulgurantes. ' Aftren
gauche des mouvements de latéralité. De temps z en lemps, oedème du
membre
inférieur. Il y six mois, mal perforant au nive
e ans. Vers cette époque, elle eut des douleurs très vives dans les
membres
inférieurs, et dut entrer à l'hôpital Lariboisi
Sensibilité. Il y a une'diminution de la sensibilité au niveau des
membres
inférieurs. Incontinence d'urine. - Signalons
d'urine. - Signalons une incoordination très marquée au 'niveau des
membres
supérieurs. - Diminution des réflexes tendineux.
Il est en effet fréquent de voir le sujet recouvrer l'usage de son
membre
malade, qui reste plus ou moins déformé, mais q
aboutir, dans la majorité des cas, à une lésion durable, privant le
membre
de toute fonction. Traitement. Nous serons bref
nché en avant et la tête incli- née dans le même sens. De plus, les
membres
supérieurs sont fléchis dans leurs diverses joi
'hui est du nombre qui en diffèrent par la pré- dominance, dans les
membres
, de l'extension sur la flexion. Il en résulte u
tronc et de la tête, il en diffère complètement par l'attitude des
membres
. Les membres supérieurs sont étendus dans l'art
la tête, il en diffère complètement par l'attitude des membres. Les
membres
supérieurs sont étendus dans l'articulation du co
e particulier, qu'elles ne sont pas affectées de tremble- ment. Les
membres
inférieurs sont également dans l'extension. Pen
ECROSMER ET RADE. ÉDITEURS S HABITUDE EXTÉRIEURE ET FACIES. 215
membres
supérieurs restent droits et pendants, les mains
ire de grandes enjambées. Cette persistance de l'extension dans les
membres
inférieurs donne à la démarche un aspect fort d
ns. - Signes d'hémilésions de la moelle. - Paralysie et atrophie du
membre
inférieur droit. - Signes de myé- lite ascendan
ttière de Bonnet. Le malade éprouva des douleurs vives au niveau du
membre
inférieur droit, douleurs qui commencèrent si a
pénibles; par moments, véritables éclairs douloureux parcourant le
membre
de haut en bas. Hyperesthésie du môme membre et
uloureux parcourant le membre de haut en bas. Hyperesthésie du môme
membre
et de la région lombaire correspon- dante ; cet
ieure et externe de la cuisse. Motilité complètement abolie dans ce
membre
; quelques soubresauts. Enfin, troubles trophiqu
roubles trophiques notés dès le cinquième jour; l'amaigrissement du
membre
aurait atteint en quinze jours le degré auquel on
la coloration était remarquablement pâle et jaunâtre. Tel était le
membre
inférieur droit. Le gauche, au contraire, ne prés
. Au bout de quelques mois il fut réformé. Il persistait, dans le
membre
inférieur droit, divers troubles de la sensi- b
nomène, cette espèce d'ataxie aurait disparu peu à peu. La force du
membre
était assez bien rétablie pour permettre la march
t vrai, un métier exigeant la station debout prolongée. La force du
membre
subissait des variations assez prononcées qui n
divers symptômes d'alcoo- lisme, troubles digestifs, cauchemars. Le
membre
malade s'affaiblit consi- dérablement. Douleur
nèrent des troubles de la santé générale, et C... éprouva, vers le
membre
inférieur droit, des douleurs fulgurantes qu'il
cette époque, apparaissent en outre des douleurs fulgurantes dans le
membre
supérieur droit. Il existait aussi une douleur
istait aussi une douleur sourde, continue, mal loca- lisée, dans le
membre
inférieur du même côté. La force musculaire de ce
e, dans le membre inférieur du même côté. La force musculaire de ce
membre
baissa beaucoup. Le malade vint habiter Paris,
Ce qui frappe tout d'abord, c'est une atrophie très considérable du
membre
inférieur droit. Disons dès maintenant que les
asse musculaire sacro- lombaire. Pas de douleur à la pression. Le
membre
inférieur gauche n'offre rien d'anormal. - Le m
pression. Le membre inférieur gauche n'offre rien d'anormal. - Le
membre
inférieur droit présente les phénomènes suivants.
ns décrit, d'après l'interrogatoire du malade, les douleurs dont ce
membre
est le siège; les douleurs fulgurantes s'y mont
ontaire; c'est un artifice destiné à allonger -le pas qu'exécute le
membre
malade. -Réflexes. - Réflexe patellaire complèt
Troubles trophiques. Pas de changement de coloration de la peau. Le
membre
inférieur droit est notablement plus grêle que le
. La longueur est, à très peu de chose près, la même .pour les deux
membres
, car, le malade étant debout, les deux épines ili
aux courants interrompus, et quel que soit le pôle appliqué sur le
membre
, on ne constate pas, entre la jambe droite et l
s crampes disparurent rapidement. La force revint en partie dans le
membre
inférieur droit. L'état des fonctions digestives
oureux. La marche était devenue plus facile, la force musculaire du
membre
inférieur droit avait notablement augmenté. Cepen
de la substance grise, ce qui explique l'atrophie étendue à toutle
membre
inférieur droit; 2° sur les cordons postérieurs,
se ascendante. Les douleurs fulgurantes, qui, d'abord localisées au
membre
inférieur droit, attei- gnirent ensuite le memb
ord localisées au membre inférieur droit, attei- gnirent ensuite le
membre
supérieur du même côté, l'inégalité pupil- lair
tiques, la paralysie et l'atrophie musculaire prédominantes dans le
membre
inférieur gauche. OBS. II - Fracture du rachis
niveau de la région dorso-lombaire datant de dix ans. -Parésie des
membres
inférieurs plus accentuée à gauche. Anesthésie
s de temps, les phénomènes suivants : Paralysie complète des deux
membres
inférieurs, ayant ensuite diminué peu à peu. Tr
ne provoquait aucune douleur. Atrophie musculaire très prononcée du
membre
inférieur gauche (beaucoup plus prononcée qu'elle
laint surtout de douleurs qui surviennent de temps en temps dans le
membre
inférieur gauche, principalement à la cuisse, et
us avons pu, sur la distribution de la sensibilité cutanée aux deux
membres
in- férieurs, obtenir les renseignement suivant
itement perçu. La motilité est affaiblie 'notablement dans les deux
membres
inférieurs, mais beaucoup plus du côté gauche,
cation de ce côté. Il ne fauche pas, mais les divers segments des
membres
oscillent molle- ment les uns sur les autres, i
on musculaire plus accentués, sinon exclusivement localisés dans le
membre
inférieur gauche. Chez lui, comme chez le premi
qui avait été porté par les médecins, reprit connaissance. Les deux
membres
infé- rieurs étaient presque entièrement paraly
. Il n'y aurait pas eu de troubles génitaux. Enfin la nutrition des
membres
éprouva un ralentissement qui se traduisit par
voit bientôt obligé d'y renoncer, moins à cause de la faiblesse des
membres
in- férieurs, laquelle s'était beaucoup amendée
and nombre de petites cicatrices non pigmentées sur le tronc et les
membres
inférieurs. A la cuisse gauche on voit une cica
qui, par contre, cause une assez grande gêne, c'est la faiblesse des
membres
inférieurs, lesquels résistent assez bien aux f
re, un affaiblissement notable de la force musculaire dans les deux
membres
inférieurs, surtout à droite et, -sâi ? 7ni7t1c
'vra*isemblance, un cer- tain défaut de la nutrition dans ces mêmes
membres
, défaut de la nutrition qui est resté à peu prè
uche et à la jambe droite, enfin elles gagnèrent successivement les
membres
supérieurs, le cou et la tête. Ces douleurs éta
à des sortes de tiraillements, et siégeaient dans la continuité des
membres
, et non dans les jointures. En même temps que c
rogeons à cet égard. C'est pour l'affaiblissement progressif de ses
membres
inférieurs, qui s'est établi lentement à la suite
e au niveau des angles orbitaires externes mesure 61 centimètres.
Membres
supérieurs. - L'augmentation de volume porte surt
de la main au niveau du médius est de 22 centimètres (pl. XLVII).
Membres
inférieurs. - Ce sont ici aussi les extrémités qu
ade arrive difficilement à mettre la main sur sa tête. La force des
membres
inférieurs est diminuée surtout dans la jambe d
sson et sensation de brisement général, elle tremblait *de tous ses
membres
; au bout de quatre ou cinq jours ses règles rep
puis le mois de septembre ou d'octobre. La malade a toujours eu les
membres
assez gros, mais ce n'était pas à comparer avec c
des malléoles, 27.5. Mollet : plus grande circonférence, 33. Les
membres
inférieurs ne présentent aucune adipose, les poil
iculations métatarso- phalangiennes. ? Pas de courbure des os des
membres
, notamment celle des tibias n'est pas exagérée
r du milieu de la jambe et du milieu de l'avant-bras vers en bas le
membre
devient extraordinairement hypertrophique, plus
bre devient extraordinairement hypertrophique, plus encore pour les
membres
supérieurs que pour les inférieurs. 1. Cesare L
ême arc de cercle. Le tronc, gros et massif, était soutenu par deux
membres
inférieurs grêles et droits comme par deux colonn
ieurs grêles et droits comme par deux colonnettes à large base. Les
membres
supérieurs étaient grêles et longs ; les mains se
n, c'est un mélange d'avachissement et de basse sensualité... Les
membres
supérieurs et inférieurs ont leur volume ordinair
ions qui ont détruit une partie du nez et de l'oreille ; les os des
membres
sont déformés, la main gauche est ré- duite à u
D'OST1 : LTE DEFORMANTE 3 Notre malade présente enfin, au niveau du
membre
inférieur atteint, une hyperthermie locale, trè
ermie locale, très marquée ; après une exposition temporaire de ses
membres
inférieurs à l'air extérieur, la main appliquée s
ent, consistant en une élévation de température locale occupant les
membres
supérieurs et infé- rieurs du côté droit. » Ils
malade, c'est la déformation osseuse qu'elle présente au niveau du
membre
inférieur droit et de la colonne vertébrale. Su
et non pour les accidents si marqués qu'elle présente au niveau des
membres
inférieurs, qui ont été indolores jusqu'à ce jo
et extrêmement élargi ; la paroi abdominale proémine en avant ; les
membres
inférieurs sont augmentés de calibre et largement
le fait sans que ses jambes ne se croisent « en ciseaux » ; mais le
membre
droit, très incurvé, est apparemment moins long '
, le tronc s'élevant en quelque sorte lors- qu'elle s'appuie sur le
membre
droit, et s'abaissant au contraire lorsque l'autr
rts entre les deux muscles grands droits de l'abdomen. Du côté du
membre
supérieur on ne constate aucune grossière altérat
us chaude que la gauche, mais à un degré moins élevé. Lorsque les
membres
ont été laissés quelque temps à l'air libre, la m
il nous a révélé peu de choses. La motricité est normale, tant aux
membres
droits que gauches ; la malade s'oppose avec un
lysie infantile. D'autre part, on sait que la section des nerfs des
membres
provoque du côté des os des lésions bien étudié
t voit nette- ment dessinées, (lexueuses, annelées, les artères des
membres
, incrustées de sels calcaires. « Les lésions
eurs lombaires, puis de douleurs fulgurantes 28 GAUTHIER dans les
membres
inférieurs. Dès cette période de début la malade
s faibles et fléchissent. Hypotonie musculaire très accentuée aux
membres
inférieurs. Tendance au pied varus à droite : l
it de plus semble un peu raccourci. Pas d'incordination motrice des
membres
supérieurs. Pas de paralysies. Tous les mouveme
rs. Pas de paralysies. Tous les mouvements sont possibles, tant aux
membres
supérieurs qu'aux membres inférieurs. Sensibi
s les mouvements sont possibles, tant aux membres supérieurs qu'aux
membres
inférieurs. Sensibilité. - Au-dessous d'une lig
1904. On est frappé aujourd'hui en examinant la malade de voir aux
membres
inférieurs une atropliie musculaire très marquée,
remarque également des taches bleuâtres en différents endroits des
membres
inférieurs ; elles sont apparues spontanément,
arée que par un espace peu impor- tant de la crête iliaque. - Les
membres
supérieurs semblent trop longs par rapport au tro
arche d'une façon un peu gênée sans aucune altération relevable aux
membres
inférieurs, mais avec une démarche spéciale don
les mêmes résultats. Examen de la ceinture scapulo-humé1'ale et des
membres
supérieurs . - Le faisceau postérieur du deltoï
n du trapèze. Tous les autres muscles du tronc, de l'abdomen et des
membres
inférieurs n'offrent aucune trace d'atropine.
le réflexe cutané plantaire est absent. Les réflexes tendineux des
membres
supérieurs sont affaiblis. L'exploration de la
ctes les plus variés. La plus grande fréquence de ces désordres aux
membres
supérieurs s'explique par la multiplicité des a
ain et les doigts, mais on peut observer des troubles analogues aux
membres
inférieurs et aux muscles du cou, de l'épaule e
et un ex- cès d'irritabilité. Lorsque la paralysie est complète, le
membre
atteint cesse bientôt d'entrer dans les calculs
sme ; d'autres apportent les preuves de lésions anatomiques dans le
membre
atteint : périostite (Runge) (123) ; névrite (R
u'à l'occasion d'un même acte fonctionnel coutumier, et laissent au
membre
toute son habileté pour les autres actes de la vi
en dehors de la profession, une maladresse plus ou moins grande du
membre
atteint pour les autres actes de la vie courant
e le trai- tement approprié- une altération vasculaire localisée au
membre
atteint du trouble fonctionnel. Voici tout d'
on, la première publiée en France, de claudication intermittente du
membre
supérieur droit, se tradui- sant par une crampe
uons tout d'abord que, tandis que la claudication intermittente des
membres
inférieurs, étudiée depuis longtemps par les vété
ouvent signalée par- les auteurs, la claudication intermittente des
membres
supérieurs n'a au contraire fait jusqu'à présent
2), à propos d'un malade atteint de claudication intermit- tente du
membre
inférieur, avait déjà fait ressortir l'importance
t chez lesquels on voit survenir des troubles vaso-moteurs dans les
membres
paralysés, troubles qui existent toujours à un
tériel périphérique venant aggraver les troubles circulatoires d'un
membre
déjà atteint, et que l'é- motion, le fait d'écr
e peuvent être qu'une épine irritative localisant et fixant sur des
membres
surmenés professionnellement, le désordre psych
ls, malgré les recherches les plus attentives, on ne trouve dans le
membre
atteint aucune trace de lésion anatomique qui p
à la fois un torticolis mental, des mou- vements choréi(01'Jnes des
membres
du côté droit, et une crampe des écrivains de l
le même ordre d'idées, un jeune soldat atteint d'un tic tonique du
membre
supérieur droit, et d'une crampe des écrivains.
roite, tantôt l'une tantôt l'autre, ne pouvait pas se servir de son
membre
supérieur gauche ni de son membre inférieur gau
, ne pouvait pas se servir de son membre supérieur gauche ni de son
membre
inférieur gauche. Elle présentait de l'incontinen
ée à gauche par la contraction des muscles du cou de ce côté. Les
membres
supérieur et inférieur gauches présentent aussi u
s) des yeux dépendante des nerfs oculo-moteurs communs. Du côté des
membres
gauches, outre l'état de contracture, révélé par
ils par l'attouchement de la plante (signe de Babinski). Du côté du
membre
supérieur gauche, les réflexes sont aussi exa,
l'apophyse coracoïde il se produit un mou- vement de contraction du
membre
entier. Du côté du visage les réflexes exa- gér
ne manifeste diminution.du volume des mem- bres gauches, surtout du
membre
supérieur. Les mensurations des deux côtés donn
droite, on trouve de l'hémiplégie avec contracture prédominante aux
membres
. L'avant-bras est en flexion sur le bras, la main
plètement cette contracture. Le malade fauche en marchant, tout son
membre
inférieur est raide et immobile. Du côté de la
musculaires dans toute la face et le cou; elles s'étendent même aux
membres
supérieurs et à la partie supérieure du tronc.
troubles de sensibilité ; pas de douleurs ; Force normale dans les
membres
; Réflexes tendineux normaux ; Anesthésie pha
ontairement qu'elle contracte dans ce but les muscles du cou et des
membres
inférieurs ; elle a de l'infanti- lisme mental
t du spasme, le pourquoi delà localisation bilatérale au cou et aux
membres
supérieurs, unilatérale à la face, il ne nous e
s atteignent à peine le grand trochanter. Le raccourcissement des
membres
est du type ryzomélique, mais tous les segments
ée de la diaphyse humérale ont pour effet une attitude anormale des
membres
pendant le long du tronc ; nous voyons en effet
ux. Extrémités inférieures. Ici aussi la réduction des segments des
membres
est plus totale que ryzomélique et en effet l'i
que ; les mensurations montrent, au contraire, que les segments des
membres
supérieurs et inférieurs sont entre eux presque
icromélie ryzomélique car, relativement, les segments proximaux des
membres
sont plus réduits que les segments distaux. L
M. P. Marie et qui prouvent que les différents segments osseux des
membres
ne sont pas chez les achondroplasiques également
ré que ce fait est une des causes principales de l'aspect arqué des
membres
inférieurs des achondroplases. De même dans mon
Ref. Rev. Neurologique, 1909, p. 82. HEKTVEN. - Corps d'un nain à
membres
courts. Rer. Rev. Neurol., 1906, p. 949. HOBIIO
ents convulsifs des muscles de la face, de la tête, du tronc ou des
membres
, complètement étrangers à l'articulation normale
oxications en disant que la toxine se localise de préférence sur un
membre
déjà altéré dans ses tissus et exposé au surmenag
éjà altéré dans ses tissus et exposé au surmenage professionnel, ce
membre
étant locus minoris 1'esistentiæ,Que si l'on a af
seurs, les tonifiant par le massage. En réalité tous les muscles du
membre
supérieur : tous ceux de la main, tous ceux de
vements saccadés qui se passent dans l'articulation de l'épaule, le
membre
supérieur tout entier formant un bâton rigide,
tout à fait spécialisée, ou si au contraire toutes les fonctions du
membre
sont troublées. Le caractère électif de la maladi
a en même temps de la raideur dans l'avant bras et le bras. Tout le
membre
s'anima d'un tremblement peu étendu qui ne dura q
u commandement des mouvements du bras droit, on observe que tout le
membre
est agité de mouvements rythmés de va et ÉTUDE
à la bouche, etc. Au début le tremblement a atteint égale- ment le
membre
supérieur gauche, mais actuellement le trouble s'
re supérieur gauche, mais actuellement le trouble s'est localisé au
membre
supérieur droit. Il n'existe aucun mouvement chor
'existe aucun mouvement choréique ni à la face, ni au tronc, ni aux
membres
inférieurs. Se basant sur ce fait que le trembl
la plume, on constate une rigidité extrême de la main et de tout le
membre
supérieur, et le malade peut à peine tracer une
fluence de l'émotion, une immobilisation passagère avec rigidité du
membre
. ' Cette dysgraphie se sépare nettement de la c
ux, signalée par Côster (38). Autres crampes professionnelles des
membres
supérieurs. Toutes les professions qui imposent
nte chez les chauffeurs de profession. Crampes professionnelles des
membres
inférieurs. Le type de ces dyskinésies est la c
ement présentent assez souvent des dyskiné- sies fonctionnelles des
membres
inférieurs. C'est ainsi que Duchenne a vu un to
ensuite par un examen somatique général, et une étude attentive du
membre
atteint : on recherchera s'il n'exisle point lo
du coude (1). 1° Borg..., 34 ans, issu d'une famille dont plusieurs
membres
sont tubercu- leux. L'affection débute à 4 ans
eurs membres sont tubercu- leux. L'affection débute à 4 ans par les
membres
inférieurs. Actuellement, c'est un homme de pet
du précédent. Début à l'âge de 16 ans, Mais évolution plus rapide.
Membres
inférieurs pris d'abord, puis les bras, ne peut
abord, puis les bras, ne peut plus marcher depuis 2 ans. L'état des
membres
supérieurs et des mains lui permet encore de fa
ans par l'épaule et le bras droit. Puis, jambe gauche et les autres
membres
. Actuelle- ment, il travaille toujours debout,é
s. Pas d'autre myopathique dans sa famille. Débuta 19 anus, par les
membres
inférieurs, avec des phénomènes douloureux, cramp
nt peu de temps après l'immobilisation (2 ou 3 ans). L'atteinte des
membres
supérieurs a été à peu près parallèle. L'affaibli
vait plus mettre le bras sur la tête. Actuellement, l'impotence des
membres
supérieurs est à peu près complète; cependant l
on observe la formation de boules musculaires dans le triceps. Les
membres
inférieurs sont ankylosés en flexion, la jambe fo
ue s'accroître. C'est vers 9 ans et demi que les lésions du côté du
membre
supérieur ont apparu. Actuellement, il s'agit d'u
éveloppé pour son âge. Il est dans l'impossibilité de marcher, et les
membres
inférieurs sont le siège de rétractions avec an
a jambe sur la cuisse. Le faciès ne présente pas d'altérations. Les
membres
supé- NOUVELLLE Iconographie DE la Salpêtrière
er qu'à peine. Les phénomènes sont un peu plus marqués à gauche. Le
membre
inférieur présente surtout de l'atrophie du quadr
eur présente surtout de l'atrophie du quadriceps et de la racine du
membre
; l'enfant ne peut étendre la jambe sur la cuisse
re la jambe sur la cuisse et l'angle formé par les deux segments de
membre
est au plus de 45°. La cuisse est assez mobile
yses par rapport aux épiphyses, de la même façon que pour les os du
membre
inférieur. L'épi- physe du radius est très homo
peut consta- ter simplement'de la saillie des grands droits. Les
membres
supérieurs sont graciles, de diamètre à peu près
pothénar sont aplaties. Les espaces interosseux sont normaux. Les
membres
inférieurs présentent un contraste frappant entre
s autres ramollis. Les pieds sont nettement tombants. Mensuration
Membres
supérieurs. MYOPATHIE GÉNÉRALISÉE 243 que par
t ses épaules. , Marche. - Se fait par le soulèvement successif des
membres
inférieurs, le malade balance latéralement les
ne sont pas saillantes. Troubles de la réflectivité. - Rien. III.
Membres
supérieurs. Aspect. -Ceinture scapulaire et épa
e si le malade peut écarter légèrement le bras du corps. De tout le
membre
supérieur les seuls segments qui puissent encore
rononcé à gauche. Troubles de la réflectivité. Pas de réflexes au
membre
supérieur. IV. Membres inférieurs. Aspect. Da
oubles de la réflectivité. Pas de réflexes au membre supérieur. IV.
Membres
inférieurs. Aspect. Dans le lit, les deux membr
supérieur. IV. Membres inférieurs. Aspect. Dans le lit, les deux
membres
inférieurs sont à peu près dans la même situati
vec le rebord dorsal du pied. Troubles moteurs. La mobilisation des
membres
inférieurs est essentiel- lement réduite. Le ma
t à une flexion très légère, et le malade pour changer de place ses
membres
inférieurs est obligé de se servir de ses mains
certaines rétractions tendineuses. ? Troubles sensitifs. Comme aux
membres
supérieurs, on ne trouve ici rien d'anormal apr
ts, mais persistent à un degré atténué. C'est surtout du côté des
membres
que l'évolution de la myopathie s'est orientée.
due de sa mo- bilisation est actuellement bien restreinte quant aux
membres
inférieurs ; -, quelques mouvements limités per
sont frappés à un degré du reste extrêmement variable. Enfin les
membres
supérieurs participent à la symptomatologie de la
atteinte, principalement la ceinture scapu- laire. Il y a comme aux
membres
inférieurs des signes d'hypertrophie et 252 VIR
ral, il avait remarqué que les douleurs étaient plus accentuées aux
membres
inférieurs. Contemporairement les petites articu-
es altérations, quoique à un degré moins avancé. La déformation des
membres
inférieurs est constituée par une double incur-
et l'autre il convexité antérieure. Par leur courbure en dedans les
membres
inférieurs forment deux arcs à concavité in- te
rapprocher et restent écartés de 20 centimètres. Cet écartement des
membres
inférieurs rappelle la forme d'une ellipse. Par
reau de sabre qu'on voit dans la syphilis héréditaire. Bien que les
membres
inférieurs soient recourbés dans deux direction
téréognostique, etc. ont été trouvées normales. . La motilité des
membres
s'accomplit au prorata des altérations osseuses e
u diminué, toutefois il n'existe pas une véritable hypotonie. Aux
membres
supérieurs l'on peut noter un léger tremblement à
lle, la courbure du dos, les déformations thoraci- ques, celles des
membres
inférieurs, jusqu'à la forme caractéristique du
entuée d'un côté,et alors c'est dans la plupart des cas un des deux
membres
inférieurs qui est le plus atteint. Chez notre
tion segmentaire, unilatéral ou bi- latéral, frappant notamment les
membres
inférieurs, isolé ou familial et héréditaire, p
pêtrière, 1901, no 6. (2) Rapin, Sur une forme d'hypertrophie des
membres
[dystrophie conjonctive myé- lopalhique). Nouv.
ov.1908. (11) Vsu. et Pentu, Trophmdème chronique non congénital du
membre
inférieur droit chez une enfant de 11 ans. Soc.
épileptique. Lyon méd., 1904. (3) Vigouroux, OEdème dystrophique du
membre
inférieur gauche. Nouv. Iconogra=, phie de la S
9 nov. 1905. (9) A. TESTI, OBdème neurolrophique et vaso-moteur du
membre
supérieur droit. Riv. critica de clinica medica
ées de persécution manifestées antérieurement; M... prétend que ses
membres
supé- rieurs sont atrophiés parce qu'elle a été
e est défoncé ; elle n'a plus d'os ; elle prétend également que ses
membres
sont paralysés et ne fait aucun effort pour ser
tent dessillons longitudinaux; les doigts sont effilés. La peau des
membres
, aussi i bien que celle du corps, ne porte plus
papillome de la grosseur d'une noisette sous le sein gauche. Les
membres
inférieurs sont légèrement oedématiés ; il s'agit
ormale ; la malade ne se plaint d'aucune douleur spontanée dans ses
membres
inférieurs ; la pression des régions cedématiées
er. Elle reste assise dans un fauteuil toute la journée ; seuls les
membres
supérieurs exécutent quelques mouve- ments. 2
« ils veulent me tuer ». 280 RAMADIER ET MARCHAND L'oedème des
membres
inférieurs a encore augmenté ; la peau présente p
er embarras de la parole. L'ouïe est douloureuse du côté droit. Les
membres
ne présen- tent aucun trouble paralytique. Malg
e exagéré depuis l'apparition de la paralysie faciale. L'oedème des
membres
inférieurs présente le même aspect. 45 jvin.
;, ses os sont atrophiés; ses côtes aplaties, etc.. L'oedème des
membres
inférieurs s'est considérablement accru. Il occup
iées des pieds. La localisation de f'oedème est symétrique aux deux
membres
inférieurs, mais il est plus accentué à la jamb
emblement à oscillations étendues et assez rapides. Les muscles des
membres
inférieurs sont atrophiés ; l'atrophie paraît rés
ement contractures. Janvier 1908. - Même état mental ; l'oedème des
membres
inférieurs a pris encore des proportions plus c
ions trophiques de la peau, des poils et des dents, de l'oedème des
membres
inférieurs. Quelques mois plus tard, le goitre di
raît, mais les troubles mentaux persistent, tandis que l'oedème des
membres
inférieurs atteint des proportions monstrueuses
t cassants, les lésions dentaires, la chute des poils, l'oedème des
membres
inférieurs, qui au début rappelait le pseudo-oe
tre observation repose également sur les caractères de l'oedème des
membres
inférieurs qu'il est impossible de rattacher à un
ou; notre malade se plaint en outre de douleurs spontanées dans les
membres
inférieurs et gémit dès qu'on exerce sur la peau
ES 291 ments que dans un seul cas : s'il existe, localement, sur le
membre
atteint, des lésions vasculaires, telles que ar
, on pourra ten- ter soi t des immersions dans l'eau très chaude du
membre
atteint ; soit des applications locales de band
e en deux mois. Zabludowski (257) recom- mande un laçage partiel du
membre
atteint, au moyen d'un tube de drainage. « Ces
lle de pratiquer la galvanisation du cerveau, et en- suite celle du
membre
malade : le cerveau est électrisé tantôt d'une te
renflement cervical ou lombaire, sui- vant que la crampe occupe le
membre
supérieur ou inférieur ; l'autre électrode est
ie donc les vibrateurs mécaniques (Zander, Max Herz), appropriés au
membre
atteint. La vibration produit d'abord une vaso-
névrose. t L'hydrothérapie locale conviendra surtout aux cas où le
membre
atteint présente des lésions locales évidentes.
appareils inventés pour la réédu- cation de l'ataxie tabétique des
membres
supérieurs : règle triangulaire, planchette à c
exercices du même genre pour toute espèce de crampe, aussi bien du
membre
inférieur que du membre su- périeur. Le tout es
pour toute espèce de crampe, aussi bien du membre inférieur que du
membre
su- périeur. Le tout est d'aller lentement, pat
, ni de la réflectivité. Le malade n'éprouve pas de douleur dans le
membre
supérieur droit ; il accuse seulement quelques se
a névrose. Dans la plupart des cas, on nepeut déceler, au niveau du
membre
at- teint, aucune lésion locale. Il se peut qu'
orrespondants. Le diagnostic se poursuivra par l'examen attentif du
membre
atteint : on recherchera avec soin toute trace
och., 1897, p. 718. 88. KRONENBERG. - Claudication intermittente du
membre
supérieur. Wien. klin. Woch., 8 oct. 1908. 89
pract. M. Phila., 1886. 95. Macé DE Claudication intermittente du
membre
supérieur droit ; crampe des écrivains d'origin
ofess. Congr." Genova, octobre, 1904. 122. RUDLER. - Tic tonique du
membre
supérieur droit. Nouv. Icon. Salp., 1903, n° 4.
appareils destinés aux malades affectés de paralysie partielle des
membres
. Bull. gén. thér., 1860. ÉTUDE SUR LES CRAMPES
nce, d'une crise d'épilepsie jacksonnienne exclusivement limitée au
membre
supérieur droit, qui est le siège de convulsion
fs sont assez espacés et laissent, dans l'intervalle des crises, le
membre
contracture; pendant l'accès, qui dure quelques m
s minutes, le malade s'efforce de maintenir avec sa main gauche son
membre
convulsé. Après la crise, persiste, pendant vin
te, pendant vingt minutes environ, un état parétique très accusé du
membre
supérieur droit. La sensibilité reste normale. In
nte et s'accompagne d'amyotrophie généralisée à tous les muscles du
membre
supérieur droit. Le 14 et le 28 janvier, on ob-
nouvelles crises épileptiformes toujours strictement localisées au
membre
supérieur droit. ' Myosis et troubles casomoteu
Ro- lando. Ce noyau cancéreux correspond donc au centre cortical du
membre
supérieur et sa localisation explique l'épileps
s des deux côtés et assez paresseuses à l'excitation lumineuse. Les
membres
supérieur et inférieur du côté gauche sont animés
ysie qui existait, la veille, du côté droit, a diminué au niveau du
membre
supérieur, mais a persisté complètement dans le m
au niveau du membre supérieur, mais a persisté complètement dans le
membre
inférieur droit. Les membres supérieur et inf
mais a persisté complètement dans le membre inférieur droit. Les
membres
supérieur et inférieur du côté gauche présentent
it et qui coexistaient avec des douleurs dans les articulations des
membres
. Son mari est mort tuberculeux, non syphilitiqu
d'une sorte de pseudo-paralysie labio-glosso-laryngée. Du côté des
membres
, on constate une hémiplégie droite complète s'ac-
us de nutation et d'oscilla- tions latérales de la tête ; enfin, le
membre
supérieur gauche est animé de petits mouvements
ments latéraux et de nutation de la tête avec mouvements rythmés du
membre
supérieur gauche. Troubles moteurs et sensiti
hypoestbésie assez marquée. - L'hémiplégie droite est complète. Le
membre
supérieur droit est contrac- ture, la main est
exagérés. Il existe, en outre, une légère atrophie musculaire. Le
membre
inférieur est plus tlasque, le quadriceps est atr
he, la motilité et la sensibilité sont presque normales du côté des
membres
, mais sur le tronc on observe de l'hypoesthésie.
ant considérablement la respiration, du côté du dia- phragme. Les
membres
supérieur et inférieur gauches sont, parfois, agi
connexe de mouvement latéral de la tête à gauche. Ces mouvements du
membre
supérieur gauche et de la tête se reproduisent pa
inq fois par minute ; ces phénomènes moteurs n'existent pas dans le
membre
inférieur correspondant. Les pupilles sont dila
miplégie du côté droit est complète avec contracture douloureuse du
membre
supérieur. L'abolition des deux réflexes rotulien
resser, en se servant des mem- bres du côté gauche non paralysé, le
membre
supérieur droit présente, à l'oc- casion et pen
a ; la température s'abaisse et se maintient ruz ; la paralysie des
membres
est flasque, complète, les mouvements convulsif
te pas d'autres troubles trophiques. Les mouvements convulsifs du
membre
supérieur et ceux de latéralité de la tête et d
nt être généralisées et frapper alors les troncs nerveux des quatre
membres
, et les nerfs crâniens, y compris ceux de la 2e
s ceux de la 2e paire. Plus fréquemment l'affection se localise aux
membres
supé- rieurs ou inférieurs avec une prédilectio
les. Incontinence fécale et urinaire complète. La musculature des
membres
inférieurs est considérablement atrophiée. La m
les pieds en supination reposent sur leur bord externe. La peau des
membres
inférieurs est d'une pâleur cireuse. La press
sion de la région iliaque gauche et des masses musculaires des deux
membres
inférieurs provoque de vives douleurs. Les réflex
plantaires sont abolis. 1 Pas d'oedème. Aucune trace d'escarre des
membres
inférieurs qui sont frap- pés d'impotence absol
ication grave, myocardite, albuminurie accompagnée de paralysie des
membres
inférieurs, d'atrophie musculaire rapide, de doul
nce urinaire et fécale. Au bout d'un mois se produit une escarre au
membre
inférieur droit ; au bout de deux mois la malade
Seule, la persistance de la sensibilité sous toutes ses formes aux
membres
infé- rieurs et l'existence de vives douleurs p
taient d'apparence normale. Nerfs périphériques : Les nerfs des
membres
supérieurs ne présentaient aucune modification ma
périeurs ne présentaient aucune modification ma- croscopique. Aux
membres
inférieurs les nerfs crural et sciatique ainsi qu
lique aisément par l'état de cachexie de la malade. Toutefois aux
membres
inférieurs l'atrophie musculaire était pour ainsi
s crural et sciatique et leurs branches : enfin sur les muscles des
membres
inférieurs (Pl. L). ' La moelle et les ganglion
e, au niveau des colonnes cellulaires présidant à l'innervation des
membres
inférieurs, nous rencontrâmes des lésions tout
funiculaires de la région médullaire présidant à l'innervation des
membres
inférieurs restent intactes, conservent des blocs
ues eux-mêmes lrès altérés par le processus morbide. 5° Muscles des
membres
inférieurs. L'examen microscopique nous a montr
une véritable section transversale des troncs nerveux innervant les
membres
inférieurs. Cette section trans- versale fut ac
, à caractère fulgurant, ne durant qu'un instant, et parcourant les
membres
, de haut en bas, sans localisation précise, et le
t devenue com- plète,spasmodique, avec contracture en extension des
membres
inférieurs, qui ne pouvaient être que très diff
, la sensibilité cutanée est très diminuée dans toute l'étendue des
membres
inférieurs et à la partie inférieure du tronc, et
obligé depousser longtemps pour uriner. Aucun trouble morbide aux
membres
supérieurs et à la tête, le signe d'Argyll n'est
urs vives, rachidiennes, irra- diant autour du tronc ou le long des
membres
, continues avec exacerba- tions, doivenl être r
n. Cette restriction ne con- cerne que la paralysie des muscles des
membres
; quant aux troubles des muscles du tronc et au
sont réparties en groupes, d'après l'extension de la paralysie aux
membres
(un, deux ou plusieurs) au début de la maladie ;
Observations ou les troubles moieurs N'ONT jamais atteint PLUS D'UN
MEMBRE
. a) Observations avec symptômes de méningite.
s prononcé. Au cours de cette semaine s'est produite une parésie du
membre
inférieur gauche, mais les parents ne savent pa
montré. Etat le 2 mars 1907. - Le malade a une parésie partielle du
membre
inférieur gauche, combinée d'atrophie musculair
avec mal de tête et douleurs dans la région lom- baire,et dans les
membres
inférieurs. Il dit qu'il avait eu aussi des doule
ait seulement de 37,15. Le 6 novembre a été observée une parésie du
membre
inférieur gauche et aussi une difficulté à se t
tion du cou s'effectuent librement. Il y a une parésie partielle du
membre
inférieur gauche. Le membre inférieur droit et
rement. Il y a une parésie partielle du membre inférieur gauche. Le
membre
inférieur droit et les membres supérieurs ont u
tielle du membre inférieur gauche. Le membre inférieur droit et les
membres
supérieurs ont une motilité normale. Le malade pe
ique. Au commencement de janvier 1908, l'incompétence musculaire du
membre
inférieur a augmenté pendant quelque temps, mai
hotonos de la nuque ; il y avait en outre une paralysie complète du
membre
inférieur droit. t, 384 PETREN ET E11RENBERG
uin 1905, il y a une parésie très étendue et combinée d'atrophie du
membre
inférieur droit. Pas d'autres symptômes. Observ
pas donner de renseignements quant au moment précis) une parésie du
membre
inférieur gauche est apparue. Depuis, la parési
oustraire. En tout cas, elle peut faire tous les mouvements avec le
membre
inférieur gauche, et s'il y a une parésie pour qu
et des orteils du même pied ; mais pour les autres mouvements de ce
membre
il p a aussi une certaine diminu- tion de la fo
'il août. Il n'y a pas d'autres symptômes qu'une faiblesse dans le
membre
inférieur gauche, nui est spécialement accusée à
pécialement accusée à la flexion dor- sale du pied. Dans les autres
membres
la motilité est normale. Pas de paré- sie du tr
us de parésie bien nette du pied gauche. Les réflexes tendineux des
membres
inférieurs sont égaux des deux côtés. Observa
ment après les parents ont découvert qu'il y avait une faiblesse du
membre
inférieur gauche. Le 19 juillet de la même anné
'ai vu la fille et j'ai constaté une parésie combinée d'atrophie du
membre
inférieur gauche qui s'étend à un assez grand n
férieur gauche qui s'étend à un assez grand nombre de mouvements du
membre
. Observation VIII. E. N..., fille, 18 ans, du d
out à fait sûre qu'il n'y ait pas eu aussi une faiblesse des autres
membres
; mais, en tout cas, quand elle s'est levée au
'est levée au bout de deux semaines, il n'y avait qu'une parésie du
membre
inférieur droit. Le 5 juin 1906, j'ai vu la fil
vu la fille et j'ai trouvé une parésie de quelques mouve- ments du
membre
inférieur droit, particulièrement une paralysie d
in 1908, je constate qu'elle peut faire tous les mouvements avec le
membre
inférieur droit et peut marcher, mais qu'elle boi
boite un peu. Il y a une parésie légère pour quelques mouvements du
membre
inférieur droit, sur- tout de l'articulation co
LES MOTEURS (au MOINS au DÉBUT DE la IAL : 1- DIE) ONT atteint DEUX
membres
(dans TOUS LES cas, LES membres inférieurs), a)
E la IAL : 1- DIE) ONT atteint DEUX membres (dans TOUS LES cas, LES
membres
inférieurs), a) Observations avec symptômes de
ssons. De- ) puis ce jour là elle est restée au lit. La parésie des
membres
inférieurs a apparu le 15 mars, et pendant le m
eurs. Le signe de Kernig est présent. I On trouve une parésie des
membres
inférieurs, qui cependant n'est plus complète ;
s qu'on observe aucun trouble. L'examen détaillé de la motilité des
membres
inférieurs nous révèle qu'il y a une certaine dim
dernière partie de cette nuit il s'est levé et on a observé que le
membre
inférieur s'est fléchi. Le 22 janvier, au matin
de la nuque. Le signe de Lasègue-Kernig est bien développé, car les
membres
inférieurs ne peuvent être levés que jusqu'à un
une pression sur la colonne. Il y a une parésie considérable des
membres
inférieurs, qui est manifeste pour tous les mus
les muscles, mais qui est moins développée pour les extrémités des
membres
. On ne peut sentir aucune contraction des muscles
t quand on a sou- levé le tronc à un angle de 30°. La parésie des
membres
inférieurs est presque la même que dans l'état du
normaux. Le symptôme de Keruig-Lasègue est manifeste pour les deux
membres
inférieurs. Etat le 6 mai. La raideur du dos a
'est seulement alors que ie malade s'est alité. Au dire du malade les
membres
inférieurs étaient alors raides et les mouvemen
Pendant ce temps 390 PETREN ET EHRENBERG une paralysie de tout le
membre
inférieur droit s'est déclarée ; de plus, il y
inférieur droit s'est déclarée ; de plus, il y avait une parésie du
membre
inférieur gauche, qui a cependant disparu au bo
, qui a cependant disparu au bout de 'deux semaines. La motilité du
membre
inférieur droit s'est améliorée peu à peu. Qu
ne peux constater aucune diminution de force pour les mouvements du
membre
inférieur droit. Observation XIII. - 1. M...,
nir debout. Le surlende- main il y avait une paralysie complète des
membres
inférieurs et du tronc ou tout au moins de la p
er la moindre résistance. Pas de symptômes en ce qui con- cerne les
membres
supérieurs. Pas de paralysie de la vessie. Pendan
de la vessie. Pendant ce temps là des douleurs sont venues dans les
membres
inférieurs et dans le tronc, et ont duré deux o
u'il n'y a que très peu à noter quant aux fonctions des muscles des
membres
inférieurs. Cepen- dant, elle opère l'extension
25 décembre. Le jour suivant le médecin a constaté une parésie des
membres
inférieurs. Il ne semble pas qu'elle ait eu ni
t le février. - Il y a maintenant une paralysie presque complète du
membre
inférieur droit et une parésie du gauche. Dailleu
(les parents ne savent pas depuis combien de temps) une parésie des
membres
inférieurs s'est déclarée, mais a disparu à gauch
la même année, il y avait parésie et atrophie très étendues dans le
membre
inférieur droit. J'ai revu la malade le 1°r,jui
roubles moteurs (du moins au début de la maladie) ONT atteint trois
membres
ou les quatre membres. a) Observations avec des
ins au début de la maladie) ONT atteint trois membres ou les quatre
membres
. a) Observations avec des symptômes de méningit
urnées du 14 et du 15 septembre, la parésie s'est étendue aussi aux
membres
supérieurs, spécialement au droit, et il ne pouva
é de la vessie ou du rectum. ' . Elat le 22 septembre. - Pour les
membres
inférieurs, le malade ne fait que quelques mouv
qu'il évitait de la flé- chir en avant. Le même jour la parésie des
membres
inférieurs et de la vessie a commencé. Etal l
cé. Etal le 12 novembre. - Il y a une paralysie presque complète du
membre
inférieur droit et une parésie du gauche. Pour
mplète du membre inférieur droit et une parésie du gauche. Pour les
membres
supérieurs, il n'y avait qu'une incompétence lé
avait disparu au bout de deux jours. Le 15 décembre, la motilité du
membre
inférieur gauche est normale. Pen- dant le mois
clinique, le 6 mars, il y a encore une parésie considérable dans le
membre
inférieur droit, combinée d'atrophie. Observati
ur suivant il y a de la fièvre et le soir on observe une parésie du
membre
inférieur droit. Le 9 août apparaît aussi une p
du membre inférieur droit. Le 9 août apparaît aussi une parésie du
membre
inférieur gauche et du bras droit. Elat le 22 a
2 août. La malade a tout le dos raide. Il y aune paralysie des deux
membres
inférieurs et une parésie de la main droite. Elle
résie du bras droit et du tronc ont disparu, mais la mo- tilité des
membres
inférieurs n'est que très peu développée. Obser
is la nuque jusque vers la région sacrée. Le 22 août une parésie du
membre
inférieur gauche s'est montrée le matin et, le
s difficultés à uriner. Le jour suivant la parésie s'est étendue au
membre
infé- rieur droit ; le même jour un médecin a t
s-occipitaux sont uu peu gonflés et douloureux à la pression. Les
membres
inférieurs sont complètement paralysés. Il y a au
Le 3 janvier 1909, il n'y avait que des mouvements minimes dans les
membres
inférieurs. On ne peut encore sentir aucune con
r la tête. Elle ne peut point du tout rester assise. La parésie des
membres
supérieurs est encore très prononcée, surtout pou
ule droite et du bras droit au-dessus du coude. Pas de troubles des
membres
inférieurs. Le 20 février 1907, je vois encore
ue. La paralysie est venue au bout de quatre jours et a atteint les
membres
inférieurs, le tronc et le bras gauche. Pendant
les deux semaines suivantes il a eu des douleurs intenses dans les
membres
inférieurs et un peu de douleurs lombaires. Depui
de et je constate qu'il y a une parésie très répandue dans les deux
membres
inférieurs et une parésie du bras gauche, surto
ment après cette fièvre les parents ont ob- servé une paralysie des
membres
inférieurs et supérieurs qui n'a pas disparu de
disparu depuis. 1 Etal le 23 juin 1905. - Il y a une parésie des
membres
supérieurs et ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉL
mem- bre supérieur droit. Le lendemain, une paralysie réelle-de ce
membre
et un commencement de parésie du membre inférie
une paralysie réelle-de ce membre et un commencement de parésie du
membre
inférieur droit se sont déclarés ; les douleurs
ment dans la nuque. Le malade dit qu'il a eu quelques secousses des
membres
pendant ces jours-là. Le jour suivant une parés
membres pendant ces jours-là. Le jour suivant une parésie des deux
membres
gauches a également commencé. Depuis, l'incompé
élioré peu il peu. Le 2 juillet 1906,je trouve une parésie des deux
membres
inférieurs qui est plus prononcée à droite. Il
qui est plus prononcée à droite. Il y a aussi une parésie des deux
membres
supérieurs qui est plus étendue à droite.Les mu
s ne vont pas en augmentant régulièrement vers les extré- mités des
membres
. C'est ainsi qu'il existe une paralysie complète
la parésie a fait des progrès très remarquables ; les mouvements du
membre
inférieur gauche sont presque normaux, mais pou
ouleurs se sont apaisées. La paralysie a été complète dans les deux
membres
inférieurs, sauf qu'il pouvait remuer un peu le
ETRÙN ET EHRENBERG lysie du tronc et une parésie très prononcée des
membres
supérieurs.Les mou- vements du cou ont égalemen
je trouve une paralysie complète de quelques-uns des mouvements des
membres
inférieurs ; cette paralysie n'est pas symétriq
nte pas régulièrement en allant des racines vers les extrémités des
membres
: par exemple, les mouvements des cuisses sur le
avait une grippe. Le 1 octobre se sont déclarées une faiblesse des
membres
inférieurs et une paralysie de la vessie, qui a
qu'on a été obligé de le cathéténser. Le lendemain la paralysie des
membres
inférieurs est complète. La céphalalgie a disparu
es douleurs dans le dos, surtout entre les épaules, et aussi dans les
membres
inférieurs. Ensuite, l'état du malade a persist
e 39°. Le 23 octobre l'état du malade a empiré; une faiblesse des
membres
supé- rieurs a apparu et aussi une certaine dif
Au début, en janvier, on constate l'état suivant : la paralysie des
membres
inférieurs est encore complète et combinée avec u
lexes tendineux des bras. Pendant les mois suivants la motilité des
membres
inférieurs commence à revenir. La parésie de la
vois le malade et constate qu'il peut faire tous les mouvements des
membres
inférieurs, sauf l'extension des genoux, mais la
al, les mou- vements des pieds sont mieux conservés. La motilité du
membre
supérieur droit est normale, mais il y a encore
- pirer ; en même temps elle a eu une sensation de chaleur dans les
membres
inférieurs, et elle s'est alitée. Vers midi une
urs, et elle s'est alitée. Vers midi une parésie a commencé dans le
membre
gauche et, un peu plus tard à droite également. D
ard à droite également. Dis cette même après- midi, la paralysie du
membre
inférieur gauche est devenue complète et il n'y
ète et il n'y avait que des 'mouvements extrêmement réduits dans le
membre
inférieur droit. La sensation de chaleur avait
dormi. Le 8 novembre au matin elle avait une paralysie complète des
membres
inférieurs. De plus elle,a senti une faiblesse du
e ne sent pas de douleurs. Il y a une paralysie complète des deux
membres
inférieurs qui sont absolu- ment flasques ; les
olu- ment flasques ; les réflexes rotulieus ont disparu. Il y a aux
membres
inférieurs une analgésie et une thermoauesthési
ssie et la malade est cathétérisée. Il y a une parésie marquée du
membre
supérieur droit pour tous les mou- vements qu'e
avec leur extension normale. Une paré- sie se trouve aussi dans le
membre
supérieur gauche, mais la force musculaire est
s diminuée qu'à droite. Les réflexes des tendons et du périoste des
membres
supérieurs sont très accusés. Aux membres supérie
endons et du périoste des membres supérieurs sont très accusés. Aux
membres
supérieurs la sensibilité est absolument normal
constatons tout à fait les mêmes troubles de la sensibilité qu'aux
membres
inférieurs, et en conséquence la sensibilité ta
évèle que la sensibilité tactile a disparu presque complètement aux
membres
inférieurs et au tronc, avec la même extension
si maintenant des troubles très marqués du sens musculaire dans les
membres
inférieurs. Pendant les jours suivants il y a u
lectrique nous fait constater que la réaction de dégénérescence aux
membres
inférieurs manque toujours. Vers la fin de janv
est apparu.. Pendant le mois de février, lessymptômesspastiquesdes
membres
inférieurs vont s'augmentant de plus en plus ;
contrac- tions de la musculature et il arrive souvent aussi que les
membres
qu'il lui est absolument impossible de mouvoir
pond parfaitement à une poliomyélite aiguë : une paralysie des deux
membres
inférieurs, qui se développe asymétriquement, mai
jours suivants une parésie des bras également et, au moins pour les
membres
inférieurs, paralysie d'un pur type flasque san
a sensibilité sont extrêmement rares. Medin a remarqué une fois aux
membres
inférieurs une diminution de la sensibilité tacti
diminution de la sensibilité tactile et Wickman a noté une fois aux
membres
inférieurs une hypoalgésie et une thermohypoest
et les cornes antérieures dans toute cette étendue. La parésie des
membres
supérieurs, nous l'avons expliquée en supposant
linique des changements très remarquables. La paralysie flasque des
membres
inférieurs a passé peu à peu à une paraplégie t
e Kernig. Celte impossibilité d'amener le tronc à former avec les
membres
infé- rieurs (genoux extendus) un angle de 90°
s occupe, il y a correspondance entre les douleurs persistantes des
membres
inférieurs et l'existence constante du signe de
la diminution progressive de la raideur du dos et des douleurs des
membres
inférieurs s'est effectuée en même temps de tel
rend que sur les dix cas où la parésie n'a jamais atteint plus d'un
membre
, des symp- tômes méningitiques se sont présenté
les 12 cas où il y avait des troubles de la motilité dans les trois
membres
ou dans tous les quatre, 6 ont montré des sympt
e signe de Kernig-Lasègue est encore présent, mais mainte- nant les
membres
inférieurs peuvent être levés à un angle de 60°.
rès marqué ; en effet, son intensité a aug- menté et maintenant les
membres
inférieurs avec les genoux extendus ne peu- ven
tous les cas où il y a en même temps des troubles moteurs pour les
membres
inférieurs et pour un bras au moins. Examinons
I, XXXIII) où il a existé des troubles moteurs pour trois ou quatre
membres
, nous avons trouvé dans 10 des symptômes d'une pa
ue et pendant la phase aiguë, où il y avait parésie de plus de deux
membres
, nous avons toujours constaté des troubles mote
dominaux, il y avait également des troubles moteurs pour les quatre
membres
. Sur les 5 cas de paralysie du tronc, que Johan
ohannessen a publiés, il y avait dans 4 une parésie de plus de deux
membres
. Ces faits constituent évidemment de nouvelles ra
p moins répandue quand il n'y a, par exemple, parésie que d'un seul
membre
; mais alors les malades n'en meurent pas. Mais
eurent pas. Mais, pour tous les cas où nous - avons une parésie des
membres
inférieurs et de l'un ou des deux membres supér
s - avons une parésie des membres inférieurs et de l'un ou des deux
membres
supérieurs, il y a de très bonnes raisons de cr
et dans la nuque. Le 10 juin au matin s'est produite la parésie du
membre
inférieur droit et, le soir, la parésie du gauche
e pression sur la colonne vertébrale. Paralysie presque complète du
membre
inférieur droit, parésie du gauche. La motilité d
e la vessie ou du rectum. Le 13 juin, on remarque que la parésie du
membre
inférieur gauche a aug- menté, et le 18 juin la
membre inférieur gauche a aug- menté, et le 18 juin la paralysie du
membre
inférieur droit est complète et celle du gauche
l'on presse la région fessière. Etat le 17 août. La paralysie des
membres
inférieurs est tout à fait la même que le t8 ju
ontracter les muscles abdominaux. Etat le 21 janvier 1909. Dans les
membres
inférieurs, la motilité n'est revenue qu'à un d
s accidents, en septembre 1906, apparurent des troubles du côté des
membres
inférieurs ; à l'occasion d'efforts, lorsqu'elle
ans avoir recours à l'aide d'une personne. Ces troubles du côté des
membres
inférieurs apparaissaient par périodes sous for
n se produisit : dans ces derniers temps, les accidents du côté des
membres
inférieurs devinrent plus fréquents ; ils étaient
ce assez rapprochée, il lui est impossible d'éteindre une bougie.
Membres
supérieurs. La force y est très diminuée,et on s'
ffre de grandes difficultés. Les réflexes tendineux sont faibles.
Membres
inférieurs. La malade étant au lit, elle peut san
considérablement diminuée des deux côtés et surtout à la racine des
membres
. Nous essayons de faire lever la malade et de l
males. Les troubles moteurs sont toujours aussi marqués du côté des
membres
; ils présentent la même variabilité que l'opht
ne grande partie de cette haute taille soit due à-l'allongement des
membres
infé- rieurs, qui mesurent, du grand trochanter
la plante du pied, 1 m. 04; en effet, on admet que la longueur des
membres
inférieurs représente les 10/19 de la hauteur t
s membres inférieurs représente les 10/19 de la hauteur totale, ces
membres
ne devraient mesurer que 0 m. 99. Il y a lieu c
mètres ; celle du pubis au sol est de 1 m. 025. L'allongement des
membres
supérieurs est également très uet : en position
ur de taille sous-mamelonnaire mesure 0 m. 93. La circonférence des
membres
paraît partout normale. Les mains sont volumine
olumineuses, par comparaison surtout avec les autres seg- ments des
membres
supérieurs : elles sont allongées dans le sens ve
rieur et du tiers moyen de cette même ire phalange. Les muscles des
membres
sont peu développés ; même aux membres supé- ri
re phalange. Les muscles des membres sont peu développés ; même aux
membres
supé- rieurs, qui sont cependant en jeu dans l'
itable tablier au-devant du pubis. Les hanches sont élargies. Les
membres
supérieurs sont un peu tombants en avant, ce qui
dies non précisées. Ni les aïeuls, ni les parents, ni aucun autre
membre
de la famille ne se dis- tinguèrent jamais par
nt à peu près normal et l'allongement anormal porte surtout sur les
membres
.. ; b) Les membres inférieurs sont proportionne
et l'allongement anormal porte surtout sur les membres.. ; b) Les
membres
inférieurs sont proportionnellement plus accrus q
Les membres inférieurs sont proportionnellement plus accrus que les
membres
supérieurs. , c) Les segments proximaux des mem
ccrus que les membres supérieurs. , c) Les segments proximaux des
membres
(fémur, humérus) sont moins accrus proportionne
rons que M. Palazzi a toujours eu conscience de la faiblesse de ses
membres
, apparemment bien développés, et qu'il s'est touj
obilité des muscles oculaires, faciaux, de la tète, du crâne et des
membres
est normale ; la station debout et la démarche au
n d'Achille. Les cartilages épiphysaires de tous les os longs des
membres
sont par- faitement ossifiés. Si nous confron
dir d'une façon excessive à aucun moment. Or, les radiographies des
membres
de cette jeune fille montrent qu'à 19 ans les c
s en lumière et qui est caractérisé par la coexistence, sur un même
membre
, d'un naevus, de varices précoces et d'ostéohyp
aisant la direction de plusieurs nerfs intercostaux ; au niveau des
membres
, ils occupent un segment cutané, nettement comp
, nettement compris entre deux plans perpendiculaires à l'axe de ce
membre
. Ces naevi sont liés sans doute à une lésion spin
lui des spino-métamères, elle est aisée à reconnaître au niveau des
membres
. C'est la topographie radiculo-mtitamérique, De
ont les mêmes limites ; mais il n'en est pas de même au niveau des
membres
où la topogra- phie spinale et la topographie r
es limites des métaméries spinales sont perpendiculaires à l'axe du
membre
: celles des territoires radiculaires lui sont pa
ompliquésd'endocardite.)Clle a une ascendance tu- berculeuse. Aucun
membre
de sa famille n'a de naevus connu d'elle. Notre
xtrémité inférieure du radius, débordant sur la face postérieure du
membre
. C'est un naevus vasculaire avec léger relief,
travail. Ce malade présente au niveau de la région pectorale et du
membre
su- périeur gauche un vaste naevus : il occupe
Sur la face antérieure du bras, il suit en bande le bord interne du
membre
, atteint l'avant-bras dont il longe le bord int
, abandon- nant pendant quelques centimètres la face postérieure du
membre
qu'il rejoint bientôt au niveau de l'avant-bras
icales auxquelles le naevus correspond dans son trajet au niveau du
membre
su- périeur, et des lie, 2', 3e et 1.11 racines
11 racines dorsales auxquelles le naevus cor- respond au' niveau du
membre
supérieur, de la paroi antérieure et de la paro
i à topographie i-idiculo-iii6tiiiiéi@iq[ie, mais qui au niveau des
membres
se caractérisent par leur topographie en bandes
andes nettement limitées par des lignes perpendiculaires à l'axe du
membre
. Quant aux naevi liés à une altération congénit
u point de la moelle qui est voisin des régions de l'innervation du
membre
supérieur et du thorax, alors qu'au- cune altér
hie remarquable de la colonne verlébrale et une atrophie marquée du
membre
inférieur gauche. Les osteo-arthropathies tabét
à ressentir des douleurs erratiques qui parcou- raient surtout les
membres
inférieurs et qui devinrent, dans la suite, très
ôté correspondant. Il accusait de la paresthésie diffuse dans tout le
membre
et spécialement dans le territoire du nerf médi
l- léens avaient disparu. Il n'y avait, ni sur le tronc, ni sur les
membres
infé- rieurs, aucun trouble objectif des divers
est revenu consulter, se plaignant de dou- leurs très violentes aux
membres
inférieurs, notamment au voisinage du genou dro
ntir un affaiblissement particulier et marqué de la musculature des
membres
inférieurs ; cela la suite d'un effort qu'il fit
faiblesse motrice dans les mem- bres inférieurs, notamment dans le
membre
inférieur gauche. En même temps,dans ce même me
tamment dans le membre inférieur gauche. En même temps,dans ce même
membre
inférieur gauche, se rendait évidente une atrop
res. Il existait une hypotonie très accentuée de la musculature des
membres
in- férieurs. Pas d'ataxie. Pas de signe de Rom
ait un peu au-dessus de la ligne de démarcation indiquée ; 4° Aux
membres
inférieurs à droite, anesthésie tactile et à la d
e au chaud et au froid avaient, pour limite supérieure la racine du
membre
, et pour limite inférieure une ligne circulaire
plante du pied. Anesthésie aux vibrations du diapason, sur tout le
membre
, sauf sur la face plantaire du pied. L'examen o
de relever une différence notable dans la masse musculaire des deux
membres
(au niveau du tiers moyen de la cuisse six cent
t situé en dehors relative- ment à la côte iliaque. L'atrophie du
membre
inférieur gauche porte sur tous les muscles en gé
de temps en temps des crises de douleurs localisées spécialement au
membre
inférieur droit et qu'il calme avec de petites do
ent au niveau de l'épine iliaque antéro-snpérieure droite. 3° Aux
membres
supérieurs les troubles sont bilatéraux et analog
nce à être sentie que quand elle a déjà produit une brûlure. 4° Aux
membres
inférieurs : Hypoesthésie tactile et à la doule
bres inférieurs : Hypoesthésie tactile et à la douleur sur les deux
membres
avec anesthésie sur la face antérieure et inter
e sur la plante des pieds : anesthésie sur les autres par- ties des
membres
inférieurs. Sensibilité articulaire : troubles
rs. Sensibilité articulaire : troubles peu évidents dans les quatre
membres
. De l'examen radiographique je parlerai ultérie
opa (li ie : sur l'atrophie remarquable qui s'est manifestée sur le
membre
inférieur gauche. . Ce qui prouve que la caus
n ait rencontré chez notre malade des phénomènes de névrite sur les
membres
supérieurs ceux-là ayant probablement celle ori
semble donc certain que, dans le cas de notre malade l'atrophie du
membre
inférieur gauche est due à l'ostéo-arthropalhie,
les troubles de la sensibilité sont dis- tribués au niveau des deux
membres
inférieurs. Nous avons en effet, constaté que l
s di- verses formes, est, en général, beaucoup plus troublée sur le
membre
in- férieur droit qui ne présente pas d'atrophi
ces raisons, il parait plus probable que l'atrophie muscu- laire du
membre
inférieur est due plutôt à un tiraillement ou à u
onfirment mon opinion sur l'origine non médullaire de l'atrophie du
membre
inférieur gauche. En effet, il serait juste d'a
emarquer combien chez notre malade, même sans compter l'atrophie du
membre
inférieur gauche, due, d'après ma modeste façon
ure. Mais il survint un affaiblissement progressif spécialement des
membres
inférieurs avec atrophie musculaire et depuis l
e malade boita de plus en plus à cause du raccour- cissement de son
membre
inférieur droit. Il y a sept ans, un jour, qu'i
uelettique irrégulière par difformités osseuses et articulaires des
membres
, spécialement delà partie droite du corps. La p
nsions. Les dents, en partie cariées, sont disposées régulièrement.
Membres
supérieurs, Les courbures de la clavicule sont tr
re 27 centimètres, à gauche 22 cen- timètres de circonférence. Le
membre
supérieur gauche, sauf un léger accroissement de
d'altérations dignes d'être notées. Les masses musculaires des deux
membres
supérieurs sont atrophiées. Cependant le patien
ont aussi très marquées. Le coccyx lui- même est épaissi in toto.
Membres
inférieurs. On ne relève aucune altération morpho
La muscula- ture est hypotrophique, flasque. A droite également le
membre
inférieur, vi- siblement plus court que le gauc
orme et dimensions normales, est tenu rapproché du talon de l'autre
membre
inférieur. La force est relativement conservée
ement du mem- bre inférieur droit. Les mesures pratiquées sur les
membres
inférieurs donnent : 528 RAVENNA Pas d'altéra
ien de notable au radius et à l'extrémité distale du cubitus. Aux
membres
inférieurs les fémurs apparaissent tous deux reco
sent d'une longueur disproportionnée, la courbure en parenthèse des
membres
infé- rieurs ; celle-ci est telle que, les talo
témalacie sénile), le manque absolu de dou- leurs, le début par les
membres
la très longue évolution sans que le ma- lade a
upérieur. SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE 533 L'elephantiasis des
membres
se développe aux dépens des parties molles. L
les déformations commencent après 60 ans, et épargnent toujours les
membres
supérieurs et le crâne. Je crois avoir suffisam
c des plaies variqueuses. Leur siège, leur multiplicité sur le même
membre
, leur peu d'étendue la non- existence de varice
t où le malade a été photographié (octobre 1908), ils occupaient le
membre
inférieur droit au niveau du genou, de la face an
elques troubles trophiques beaucoup moins accusés se rencontrent au
membre
inférieur gauche. Ils ne sont pas visibles sur
e. Notons en dernier lieu que B... n'est pas atteint de varices des
membres
inférieurs. Etat mental. - B... présente uu a
s une paralysie des muscles abdominaux quand il va paralysie et des
membres
inférieurs et de l'un au moins des membres supé
d il va paralysie et des membres inférieurs et de l'un au moins des
membres
supérieurs. Cette règle s'explique par la tendanc
547 7 présentant l'extension indiquée ci-dessus de la paralysie des
membres
, des troubles de la respiration thoracique, c'e
en a deux (XVII, XVIII) où il y a eu parésie ou paralysie des deux
membres
inférieurs et de l'un ou des deux mem- bres sup
e, dans le cas XVII, il n'y avait qu'une parésie légère de l'un des
membres
supérieurs, qui a d'ailleurs disparu en peu de te
respiration thora- cique quand la paralysie a atteint à la fois les
membres
inférieurs et les membres supérieurs ; mais, év
uand la paralysie a atteint à la fois les membres inférieurs et les
membres
supérieurs ; mais, évidemment, notre expérience e
LHRENBERG apparue, après quelques petites secousses, une parésie du
membre
supérieur droit. Puis sont venus des frissons,
l ressent des douleurs dans le cou. Il y a une parésie prononcée du
membre
supérieur droit. Il n'y a aucune respiration ab
uvait rester calme. Vers midi, le 28 septembre, il a observé que le
membre
inférieur droit était faible ; le soir, il pouv
il pouvait encore avec de l'aide faire quelques pas, mais les deux
membres
inférieurs étaient affaiblis. Pendant la nuit du
rodes CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 549 ment faibles dans les
membres
inférieurs. La motilité du bras droit est très
n il s'est mis au lit. Pendant ce jour il a senti une faiblesse des
membres
supérieurs, mais aussi des symptômes qui indiquen
ial inférieur droit. Il y a une parésie presque complète de tout le
membre
supérieur droit et une parésie très développée
marquer que la paralysie n'avait atteint, dans ce cas, que l'un des
membres
supérieurs et pas les membres inférieurs; en co
it atteint, dans ce cas, que l'un des membres supérieurs et pas les
membres
inférieurs; en conséquence, le fait que la resp
lie deux cas (dans tous deux, la paralysie avait com- mencé par les
membres
inférieurs), mais il ne semble pas connaître de
jusqu'au dernier moment. Comme la paralysie avait commencé par les
membres
inférieurs et qu'il est survenu plus tard une p
inférieurs et qu'il est survenu plus tard une paralysie de l'un des
membres
supérieurs également, ce cas nous fournit un ex
si les premiers signes de la paralysie sont apparus au tronc ou aux
membres
supérieurs. Toutefois comme les membres inférieur
ont apparus au tronc ou aux membres supérieurs. Toutefois comme les
membres
inférieurs ne sont pas restés libres et comme l
eurs des muscles abdominaux, mais où la restauration des mucles des
membres
semble être complète. Voici ces cas : Observati
en nette. Observation IV, enfant âgée d'un an, d'abord parésie d'un
membre
inférieur ; après dix mois, à peu près guérie.
vation X, enfant âgée de 7 ans, d'abord paralysie complète des deux
membres
inférieurs ; après 12 mois, les troubles moteurs
ervation XII, garçon âgé de 16 ans, d'abord paralysie complète d'un
membre
inférieur, parésie de l'autre; après deux ans, pa
et (pendant un temps assez court, parésie moins développée des deux
membres
inférieurs) ; après deux ans, il n'y a plus que d
ion XIII, femme âgée de 33 ans, d'abord paralysie complète des deux
membres
inférieurs et du tronc; après trois ans. il n'y a
bres inférieurs et du tronc; après trois ans. il n'y avait dans les
membres
inférieurs qu'une diminution très modérée de la f
eu près telle, même s'il a existé une paralysie complète de tout un
membre
inférieur et une parésie de l'autre (obs. XII).
er aussi le cas XIII, où il y avait une paralysie complète des deux
membres
inférieurs, quoi- que la restauration de la mot
ux membres inférieurs, quoi- que la restauration de la motilité des
membres
ne soit pas encore complète ; car, d'après mon
être rap- porté ici, parce qu'il y a eu paralysie complète des deux
membres
infé- rieurs et que la motilité des membres est
lysie complète des deux membres infé- rieurs et que la motilité des
membres
est depuis devenue presque nor- male.) Mes ob
as d'accomplir par eux-mêmes les mouvements (parce que le poids des
membres
oppose une trop grande résistance). Le dernier
ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE A1GUE 563 les mouvements des
membres
atteints et de pratiquer l'exercice partout où
i n'en ont pas assez pour exécuter les mouvements quand le poids du
membre
(ou du tronc) forme un obstacle. Cette méthode
gnet, signe de reconnaissance pour les affiliés d'une bande. Sur le
membre
supérieur gauche sont tatoués un ivrogne et deux
- UN CAS DE GLIOME BULBO-PRbTUBÉRANT1EL 621 lions rachitiques des
membres
inférieurs, devint plus pénible encore par suite
s derniers trois mois, des troubles se sont manifestés au niveau du
membre
supérieur droit ; l'enfant s'est mis à fléchir l'
nt, sur le ventre. Le petit malade ne cherche jamais à se servir du
membre
malade. Lorsqu'on lui commande certains mouvement
enfant t de cinq ans des troubles localisés à l'oeil gauche et aux
membres
droits. Un second examen plus détaillé, pratiqu
inclinée vers la droite et en légère rotation vers la gauche. Le
membre
supérieur droit est en contracture comme lors du
n contracture comme lors du premier exa- men ; il en est de même du
membre
inférieur droit. Dans la station debout, l'enfa
mal. La motilité réflexe se trouve actuellement exagérée aux quatre
membres
; les réflexes tendineux, faciles à provoquer,
urs il se sent mieux, mais il est resté avec une faiblesse dans les
membres
inférieurs. Il ne pouvait parcourir que de peti
reilles sont bien proportionnés. Rien d'anormal daus l'attitude des
membres
supérieurs et inférieurs; il peut exécuter tous
bien conservée dans tous les segments des mem- bres supérieurs. Aux
membres
inférieurs la force des fléchisseurs de la cuisse
de la titubation ébrieuse; le tronc reste en arrière tandis que les
membres
inférieurs sont portés en avant. On constate en
ment suivi par des con- tractions fréquentes se produit du côté des
membres
inférieurs. On le fait res- pirer artificiellem
se disparaît. Il persiste une flaccidité très prononcée de tous les
membres
, Une heure plus tard, la flaccidité est remplacée
également très réduite. Il reste toujours en décubitus dorsal, les
membres
inférieurs en flexion. On constate une atrophie
es jambes, la rétraction des muscles fléchisseurs s'y opposant. Aux
membres
supérieurs, l'atrophie est plus intense à la main
leau comparatif des différentes dimensions de tous les segments des
membres
, les premières mensurations sont faites à l'entré
17 ans 632 MARINESCO ET GOLDSTEIN tion considérable du volume des
membres
, ceux-ci ne se sont pas accrus en longueur pend
ans leur extension, de sorte que cette dernière est incomplète. Aux
membres
inférieurs il exécute avec difficulté la flexion
constate une difficulté, une résistance à leur exé- cution dans les
membres
inférieurs. Cette résistance est surtout manifest
tance est surtout manifeste dans l'articulation de la cheville. Aux
membres
supérieurs, on sent une certaine ré- sistance d
lations on ne constate rien d'anormal. Résistance musculaire.-Aux
membres
inférieurs la force des muscles exten- seurs es
celle des fléchisseurs est très réduite, presque égale à zéro. Aux
membres
supérieurs la résistance des mus- cles extenseu
r seul du décubitus dorsal. Il a des troubles de diadococinésie aux
membres
supérieurs, plus prononcés à droite. La mémoire
r 1908. Le malade garde l'attitude suivante : décubitus dorsal, les
membres
inférieurs en flexion et croisés. Les membres sup
décubitus dorsal, les membres inférieurs en flexion et croisés. Les
membres
supérieurs sont égale- ment en flexion et appli
bras, à 37 centimètres : D. 28 centimètres ; G. 28 centimètres. Les
membres
inférieurs sont d'habitude en flexion, c'est-à-di
'est pas fixe, la malade pouvant les étendre. Tous les segments des
membres
inférieurs sont considérablement augmentés de v
mais ce sont surtout les cuisses qui sont énormes. La longueur des
membres
inférieurs, mesurée de l'épine iliaque, antéro-su
se soulever dans la position assise et même debout. La mobilité des
membres
supérieurs est tout à fait nor- male. La malade
rieurs est tout à fait nor- male. La malade ne se sert pas bien des
membres
inférieurs, malgré que les mouvements de flexio
her sans être soutenue. Debout elle conserve l'attitude fléchie des
membres
inférieurs. Soutenue,elle marche avec les genoux
LISÉE 639 Les mouvements passifs s'exécutent avec facilité même aux
membres
infé- rieurs, on ne rencontre aucune résistance
e de deux ans, il ne s'est produit chez lui aucun accroissement des
membres
, par conséquent ce n'est pas le testicule qui a
ux ; elle n'a eu d'autre résultat que la diminu- tion du volume des
membres
par la réduction du tissu graisseux. Cet in- su
e suivante, le patient nota une sensation de faiblesse dans tout le
membre
inférieur droit, surtout en montant l'escalier
re ; ce trouble a toujours augmenté depuis et s'est étendu aussi au
membre
gauche. Ensuite il lui est arrivé souvent de to
ormales. Pas de dysarthrie. Les mouvements du tronc sont normaux.
Membres
supérieurs. Les masses musculaires des membres'su
ue. La force musculaire est faible (Dynamomètre D : 22 à G : 27).
Membres
inférieurs. - Pas d'attitudes vicieuses des cuiss
ssibles et com- plets ; cependant dans les essais desoulèvement des
membres
inférieurs, le patient ne peut pas tenir la jam
aucune douleur. Il n'y a rien du côté de la sensibilité objective des
membres
supérieurs, du dos,de la poitrine et de l'abdom
ine et de l'abdomen. Rien du côté delà sensibilité tactile dans les
membres
inférieurs. Il existe une hyperesthésie à la doul
minution de l'excita- bilité galvanique et Lradique des muscles des
membres
inférieurs sans inver- sion de la formule. Je n
ugmenté et il s'est aperçu aussi de quelques paresthésies le long des
membres
inférieurs. Le patient a noté aussi quelques se
uris. Maintenant, il accuse aussi une faiblesse appréciable dans le
membre
supérieur droit. L'examen ne montre rien par ra
ur et inférieur, ni en ce qui regarde les mouve- ments du cou et du
membre
supérieur gauche, si ce n'est une légère dimi-
légère dimi- nution de résistance aux mouvements passifs. Dans le
membre
supérieur droit on n'observe aucune attitude vici
: D : 20 centimètres 5 ; G : 22 centimètres. A mains étendues, le
membre
supérieur droit se fatigue plus facilement. Mem
ins étendues, le membre supérieur droit se fatigue plus facilement.
Membres
inférieurs. - On y remarque le pied en griffe déj
oute leur étendue, les mouvements actifs de la cuisse dans les deux
membres
inférieurs. Il réussit avec peine à étendre un
e à peine, les abdominaux manquent des deux côtés. Des réflexes des
membres
supérieurs sont évidents,seulemeut le bicipital
excitabilité électrique galvano-faradique dans tous les muscles des
membres
inférieurs dans lesquels on remarquait aussi de
n et demi, c'est-à-dire quatre ans après le début, les troubles des
membres
inférieurs se sont notablement accrus et les ré
vants : le commencement de l'atrophie musculaire aux extrémités des
membres
inférieurs; le caractère flasque et progressif
VI marche de la maladie, qui a progressé de l'extrémité distale des
membres
au proximal, par la présence de la R. D. partie
t le jeune âge, l'extension de l'atrophie de la portion distale des
membres
et la lenteur de l'évolution. On ne peut adme
e dans celte forme-ci le procès morbide se limite ordinairement aux
membres
inférieurs. Contre la névrite interstitielle hy
ie spinale infantile : ce fut Raymond qui éveilla l'atten- tion des
membres
de la Société de biologie sur un cas étudié par l
dence par Raymond,est que le processus atrophique commence dans les
membres
qui étaient restés paralysés au moment de l'inv
même malade, poliomyélite qui avait causé la paralysie de l'un des
membres
inférieurs et poliencéphalite qui avait causé la
plégie spastique et, d'après l'auteur, également parésie de l'autre
membre
inférieur par suite d'une poliomyélite ; cette de
issement aux extrémités des doigts. Le 8 octobre, une faiblesse des
membres
inférieurs et supérieurs avec dysesthésies anal
t aux doigts. Une parésie très considérable de tous les muscles des
membres
qui est déve- loppée à peu près au même degré p
est déve- loppée à peu près au même degré pour tous les muscles des
membres
inférieurs, mais qui augmente aux membres supér
pour tous les muscles des membres inférieurs, mais qui augmente aux
membres
supérieurs des racines vers les extrémités. La
igne de Lasègue existe des deux côtés (dans le décubitus dorsal les
membres
inférieurs étendus ne peuvent être élevés qu'à un
lièrement en premier lieu la force dans les muscles des racines des
membres
et que par conséquent la parésie la plus développ
sie la plus développée persiste dans les muscles des extrémités des
membres
. A la lin de mars, quand il quitte la clinique,
t disparu en deux jours. Quelques jours plus tard une faiblesse des
membres
inférieurs a commencé et en même temps une cert
même temps une certaine sensation de raideur des articulations des
membres
inférieurs. Il a continué son travail encore deux
la nuque et pas d'autres symptômes généraux. Il y a une parésie des
membres
inférieurs et supérieurs. Il peut faire tous le
res inférieurs et supérieurs. Il peut faire tous les mouvements des
membres
supérieurs, mais la force en est diminuée. La d
mais n'est qu'assez médiocre pour les mouvements des épaules. Aux
membres
inférieurs on a également une diminution très con
t, mais pas de douleurs. En même temps a commencé une faiblesse des
membres
inférieurs, mais au début les symptômes de la fai
jambes, mais nettement développée aussi pour les autres parties des
membres
. Il n'y a aucune réaction de dégénérescence. L'
r sans s'aider des bras. La paralysie des parties périphériques des
membres
supérieurs a augmenté. Les troubles du sens muscu
ite sont, d'après mon expérience, très souvent des dysesthésies des
membres
, surtout de leurs parties les plus périphériques,
es 672 ' PETRIN ET EHRENBERG deux maladies ce sont en général les
membres
inférieurs auxquels s'atta- que de préférence l
Mais, si dans la poliomyélite la paralysie s'étend ailleurs qu'aux
membres
inférieurs, elle atteint toujours les mus- cles
s muscles du tronc, quand il y a des troubles moteurs à la fois des
membres
supérieurs et inférieurs. Sur ce point, nous tr
la polynévrite ; car ici la paralysie se propage très sou- vent des
membres
inférieurs aux membres supérieurs en laissant int
i la paralysie se propage très sou- vent des membres inférieurs aux
membres
supérieurs en laissant intacts les muscles du t
tait très remarquable entre la paralysie très accusée pour tous les
membres
et la motilité normale des muscles du tronc, au
En outre, la répartition de la paralysie entre les muscles du même
membre
montre souvent des différences notables dans les
nces notables dans les deux maladies. On peut le constater même aux
membres
inférieurs ; cardans la poliomyé- lite la paral
èrement la plus marquée pour les muscles les plus périphériques des
membres
dans les cas où tous les muscles des membres ne
plus périphériques des membres dans les cas où tous les muscles des
membres
ne sont pas complètement paralysés. Cette loi d
de l'augmentation de la paralysie en allant vers les extrémités des
membres
a été très nettement confirmée dans les trois cas
ci. S'il y a une phase de paralysie complète de tous les muscles du
membre
, on peut néanmoins s'attendre à trouver la loi co
dant la phase de la restauration des fonctions motrices. Pour les
membres
supérieurs, cette diflérence entre la polynévrite
du liquide céphalo-rachidien et la paralysie ne s'étendant qu'à un
membre
. Au contraire, dans le cas publié par Brissaud
, pas de début brusque de la maladie, mais une paralysie des quatre
membres
qui a disparu en premier lieu dans les membres
paralysie des quatre membres qui a disparu en premier lieu dans les
membres
supérieurs ; par conséquent, tout me semble parle
au début, douleurs dans les doigts, paralysie symétrique des quatre
membres
et des nerfs crâ- niens, jamais de réaction de
enfants de cet âge, surtout s'il y a en même temps une parésie des
membres
inférieurs. Medin explique ces observations ave
axie de la marche d'un type cérébelleux et deux fois une ataxie des
membres
supérieurs. Il ne s'agissait pas d'enfants mais,
différentes les cas où la paralysie a atteint par exem- ple 2 ou 4
membres
. Il serait plus naturel de désigner comme une for
des cas où la paralysie atteint des parties du corps autres que les
membres
inférieurs. Il serait plus vrai de parler des c
, 1908. 74. Oppert et Schmiergeld. Un cas de paraplégie flasque des
membres
inférieurs d'un diagnostic difficile, Rev. neur
eu surtout en vue les micromélies généra- lisées à tous les os des
membres
et nous ont appris à en distinguer deux sortes,
ne brièveté considérable des bras, tandis que les avant-bras et les
membres
inférieurs ont leurs dimen- sions normales. Le
e sujet paraît absolument nor- mal ; la tête, le cou, le tronc, les
membres
inférieurs, ainsi que les avant-bras et les mai
la Société Anatomique, 1836, p. 297. & Vice de conformation des
membres
supérieurs. M. Andral présente à la Société les
rmation des membres supérieurs. M. Andral présente à la Société les
membres
supérieurs d'une jeune fille de 21 ans. Sur ces p
ntre 44 centimètres également pour l'avant-bras (lig,2), Les os des
membres
inférieurs sont normaux... bassin nor- mal, têt
culière- ment si l'on songe que, phylogéniquement, le squelette des
membres
est une portion du système vertébral ; il répon
ille, ensellure lombaire, musculature très développée, brièveté des
membres
, arrêt de déve- loppement très marqué du quatri
la tête du péroné, hauteur du tronc. Elle n'en diffère que par ses
membres
supérieurs trop longs quoique courts et l'absen
e peu épaissie, légère- meut courbée en avant, même bosselée sur le
membre
droit. Les deux avant-bras, surtout le gauche,
t de la même façon après comme avant cette opération idéale. Si les
membres
détachés ne frétillent pas instinctivement comme
t une partie du bras, mais quelquefois, elle peut s'étendre à tout le
membre
supérieur et même à d'autres parties du corps. C'
outissant à la privation presque complète de l'usage d'un ou des deux
membres
supérieure. En ce qui concerne Yétiologie, nos
t continuer, malgré un essai de cinq mois, à cause de la faiblesse du
membre
supérieur gauche. Il n'avait pas la force de harn
solument nulle. Le malade exagère d'ailleurs un peu l'impotence de ce
membre
, cela est facile avoir. Réflexes rotuliens diminu
s qui étaient le siège de cet engourdissement. Mais la faiblesse du
membre
, ainsi que l'engourdissement continuel qu'il y re
en fin de compte à l'impotence fonctionnelle plus ou moins absolue du
membre
ou d'une partie du membre intéressé. Au moment
ence fonctionnelle plus ou moins absolue du membre ou d'une partie du
membre
intéressé. Au moment où le malade entra clans l
peu vigoureuse. « L'anesthésie à la piqûre se prolonge sur tout le
membre
, sans plaques de sensibilité disséminées. Elle es
ont pas été notées. « Il n'existe pas de troubles trophiques sur le
membre
; la température paraît seulement un peu inférieu
plutôt exagéré. La sensibilité est peut-être un peu exagérée dans les
membres
inférieurs. « Le malade n'a jamais eu d'attaque
on constate que la sensibilité est revenue complètement dans tout le
membre
. Peut-être y a-t-il même un certain degré d'hyper
aintint pendant deux mois. Mais, au bout de ce temps, la faiblesse du
membre
supérieur reparut et il fut obligé de nouveau de
peut à peine exercer une force de 4 kil. Les réflexes tendineux du
membre
supérieur sont plus forts du côté sain que du côt
érieur sont plus forts du côté sain que du côté malade. De plus, le
membre
supérieur tout entier est le siège d'une anesthés
nt aboli et qui le guide dans la perception de la position de tout le
membre
. C'est ainsi qu'une grosse erreur pourrait être c
ons croire à une persistance du sens musculaire clans les segments du
membre
paralysé, ce qui n'est point la règle en pareil c
areil cas. Le malade ne se plaint pas de douleur. En aucun point du
membre
vous ne constatez d'atrophie musculaire, ni de tr
nsibilité distribués de la même manière, c'est-à-dire par segments de
membre
. Cette maladie est la syringomyélie. Mais, d'autr
yélie, en effet, l'anesthésie, qui occupe un ou plusieurs segments du
membre
, limitée par une ligne circulaire plus ou moins p
onner des douches, des toniques, lui faire faire de la gymnastique du
membre
malade pour réveiller dans son cer- veau, par d
senter la moindre trace de tremblement. Je soulève successivement ses
membres
supérieurs, puis les membres inférieurs; vous voy
emblement. Je soulève successivement ses membres supérieurs, puis les
membres
inférieurs; vous voyez qu'ils sont dans la résolu
mis plus tard (1888). Le tremblement avait progressivement envahi les
membres
supérieurs. A la suite d'une de ses attaques, i
ous voyez, aussitôt que la main s'approche du verre, survenir dans le
membre
mis en mouvement un tremble- Fig. 14. — Tracé d
debout. Immédiatement vous voyez le corps tout entier, tête, tronc et
membres
, tout à l'heure immobiles, être saisis de ce même
ement, dont nous provoquions il y a un instant l'apparition clans les
membres
supérieurs, par la manœuvre de porter un verre à
genre que serait due, chez notre malade, cette grande trépidation des
membres
inférieurs qui semble se communiquer au corps tou
mpossibilité où nous sommes de faire cesser les oscillations dont les
membres
inférieurs sont le siège, par la brusque flexion
riques permanents très accentués. Il y a sur le tronc, la tête et les
membres
, une hémianesthésie droite totale, absolue, porta
e de huit, neuf et quelquefois dix par secondes. Il occupe les quatre
membres
et rappelle absolument celui de la maladie de Bas
ers le soir et le lendemain, en s'éveillant, il tremblait de tous ses
membres
à un tel point qu'il lui était devenu impossible
nt apparut graduellement, dans les deux jambes d'abord, puis dans les
membres
supérieurs. Il entra alors à l'hôpital d'Auxerre
st le tremblement. Tremblement.— Il est généralisé, prédominant aux
membres
inférieurs et en particulier au membre inférieur
t généralisé, prédominant aux membres inférieurs et en particulier au
membre
inférieur droit. Il n'existe pas quand le malad
mbe ou veut saisir un objet, le tremblement apparaît aussitôt dans le
membre
qui entre en action. Il est donc intentionnel.
t même quelquefois pas du tout, dans les moments d'accalmie. Mais les
membres
inférieurs sont animés d'oscillations tout à fait
rre plein d'eau, on voit le tremblement s'exagérer énormément dans le
membre
qui tient le verre et il ne peut le faire parveni
clérose en plaques. Quand le sujet est debout, les oscillations des
membres
inférieurs prennent une intensité tout à fait rem
ompagnent, dans bien des circonstances, d'une parésie fugace d'un des
membres
supérieurs, avec sensation d'engourdissement remo
érieurs, avec sensation d'engourdissement remontant de l'extrémité du
membre
vers un côté des lèvres et de la langue, en même
scotome scintillant, d'hémiopie, de parésie avec engourdissement d'un
membre
supérieur, etc., les symptômes oculaires seraient
plusieurs fois la colique de plomb. Rien à signaler parmi les autres
membres
de la famille. Antécédents personnels. — Pas de
sse. Jamais de tremblements, ni de secousses involontaires dans les
membres
ni la face ; pas d'épilepsie partielle. Pas de si
ud). Pas de signes d'hémiplégie faciale; pas de parésie du côté des
membres
. L'examen dynamométrique donne à droite 25 kil.,
., à gauche 20 kil. La malade n'est point gau-chère. Rien du côté des
membres
inférieurs où la force est considérable des deux
passe dans l'anasarque, il peut être unilatéral, lorsqu'il siège aux
membres
inférieurs par exemple. Presque toute la séméiolo
l'époque des premiers accidents, a pratiqué des mensurations des deux
membres
inférieurs qui montrent bien à quel point le gonf
ux membres inférieurs qui montrent bien à quel point le gonflement du
membre
malade était parvenu. La circonférence du cou-de*
de la jambe droite, elle fut prise des mêmes phénomènes au niveau du
membre
inférieur gauche i Mais cette fois le chirurgien
malade, qui s'élevait à 10 et 12 degrés centigrades. C'est aussi au
membre
supérieur qu'a paru l'œdème bleu chez les deux ma
née de l'anes-thésie complète, caractéristique, de tout un segment de
membre
. A ce moment, la maladie, loin d'être améliorée
de main, plus haut. La thermoanesthésie absolue persiste dans tout le
membre
au-dessus de la ligne de sensibilité complète, de
vations de M. Tôlken, de placer de nouveau dans un appareil plâtré le
membre
de notre jeune fille. Car sans aucun doute c'est
mplète pour le tact, la douleur, la chaleur dans toute la longueur du
membre
supérieur, jusqu'au-dessus de de l'épaule, en for
ent la même situation. leP février 1890. — L'analgésie a disparu au
membre
supérieur droit dans son entier, mais les impress
a l'emploi d'un appareil à extension continue, après avoir allongé le
membre
pendant le sommeil chloroformique; ce qui fut fai
e moindre résultat autre que celui-ci: quand on enleva l'appareil, le
membre
inférieur droit semblait plus long que le gauche.
osition, ce qui frappe tout d'abord, c'est un allongement apparent du
membre
inférieur du côté droit. Le genou, la malléole in
inte seulement, faisant porter le poids du corps exclusivement sur le
membre
inférieur gauche. D'où l'apparence d'un raccourci
le membre inférieur gauche. D'où l'apparence d'un raccourcissement du
membre
avec un peu d'effacement du pli fessier droit et
de Brodie ici, pas plus qu'au genou. La percussion sur le talon, le
membre
étendu, est douloureuse au niveau du genou (parti
laires dans le triceps droit atrophié. Rien du côté du tronc ou des
membres
supérieurs. La malade est maigre, faible, son i
iminuée pour la douleur, le chaud et le froid dans toute l'étendue du
membre
inférieur droit jusque sur le ventre au-dessous d
s la fesse. Le tact est conservé dans cette étendue. Rien d'autre aux
membres
ni au tronc, sinon un certain degré d'hypoesthési
un certain degré d'hypoesthésie pour le chaud dans toute l'étendue du
membre
supérieur droit. Vue : rétrécissement double du
ns la région de la cuisse. 19 février.— L'hypoesthésie a disparu au
membre
supérieur en grande partie; il reste encore des p
nguer de toutes les autres affections douloureuses ou névralgiques du
membre
inférieur, puis beaucoup plus tard par Valleix qu
'hyperesthésie et l'anesthésie et enfin que l'atrophie des muscles du
membre
inférieur pouvant survenir dans certains cas de s
parfaitement légitime. L'amyotrophie due seulement à l'inactivité du
membre
malade peut se rencontrer dans la sciatique-névra
t il parle est toujours une atrophie en masse, soit de la totalité du
membre
, soit d'un segment de ce membre, jambe ou cuisse,
phie en masse, soit de la totalité du membre, soit d'un segment de ce
membre
, jambe ou cuisse, dans son entier. Elle ne prédom
gén. de mèd., 1875). (2) Bianchi. — Des paralysies traumatiques des
membres
inférieurs chez les nouvelles accouchées. Th. Par
be de ce côté était (1) Lefebvre. — Des paralysies traumatiques des
membres
inférieurs. Th. Paris, 1876. (2) Brivois. — Par
érieurs. Th. Paris, 1876. (2) Brivois. — Paralysies traumatiques du
membre
inférieur consécutives à l'accouchement laborieux
mé succinct : Observation I (résumée). — Paralysie avec atrophie du
membre
inférieur gauche consécutive à un accouchement la
ciatique poplité externe. — (Bianchi. Des paralysies traumatiques des
membres
inférieurs. Th. Paris,1867.) Femme de vingt-deu
ltérieurement par des douleurs et de l'engourdisse-ment dans les deux
membres
inférieurs. Puis les troubles se sont localisés a
s les deux membres inférieurs. Puis les troubles se sont localisés au
membre
du côté gauche, pour se limiter en définitive au
cutive a l'accouchement. — (Lefebvre. Des paralysies iraumatiques des
membres
inférieurs. Th. Paris, 1867.) [Femme de trente-
ccouchement, douleurs continues avec exacerbations très vives dans le
membre
inférieur gauche, surtout dans la fesse. Les do
ions utérines, s'accompagnaient de vives douleurs dans la fesse et le
membre
inférieur du côté gauche. Après une-tentative d'a
at, resta inerte dans son lit, se plaignant de vives douleurs dans le
membre
inférieur gauche et la fesse. Ces douleurs se loc
prunté à Lefebvre. Observation IV (résumée).—Paralysie partielle du
membre
inférieur droit consécutive à un accouchement par
ccouchement le 4 juin 1874. Presque tout de suite après, paralysie du
membre
inférieur droit, dont elle s'aperçoit huit jours
suivi d'une fistule uréthro-vaginale et d'une paralysie partielle, du
membre
inférieur droit. (Lefebvre. Thèse citée.) Femme
ue pendant le travail elle ressentait de vives douleurs dans les deux
membres
inférieurs, mais qu'après l'accouchement celles-c
rs, mais qu'après l'accouchement celles-ci se sont localisées dans le
membre
droit qui était complètement paralysé et insensib
e lésion non seulement du sciatique, mais encore de tous les nerfs du
membre
inférieur. Puis le tronc et les premières branche
éfaction volumineuse dans le côté gauche de l'abdomen. On redresse le
membre
pendant le sommeil chloroformique et on le met da
ent prononcé. Douleurs vives dans l'abdomen avec irradiations dans le
membre
inférieur gauche. Mouvements possibles dans la
troite au domaine du sciatique poplité externe de toute paralysie des
membres
inférieurs consécutive à l'accouchement. La thé
e prédominance se manifeste dans les névrites pour les extenseurs des
membres
. Il n'y aurait rien de plus ici. De même que dans
ut le trajet du nerf que le malade dessine presque exactement sur son
membre
inférieur, indiquant bien que les points lombaire
formellement qu'auparavant il ne s'était aperçu d'aucune faiblesse du
membre
inférieur. Il faisait souvent de longues courses
er les orteils de traîner à terre, lorsque dans la marche il porte le
membre
inférieur gauche en avant. En le regardant de dos
rès, le jour même, elle ressentit une douleur très aiguë dans tout le
membre
inférieur gauche, le long du sciatique. Tout le m
ë dans tout le membre inférieur gauche, le long du sciatique. Tout le
membre
a été pris d'emblée. A la douleur s'ajouta une fa
le membre a été pris d'emblée. A la douleur s'ajouta une faiblesse du
membre
, telle que la malade ne pouvait se tenir debout,
te l'empreinte de la douleur. Elle se plaint de souffrir dans tout le
membre
inférieur gauche, sur le trajet du sciatique. C
e, dorsal du pied, plantc.ire, Il existe des fourmillements dans le
membre
déjà depuis longtemps (la malade ne peut pas préc
n 1870, souffre depuis environ quinze ans de douleurs vagues dans les
membres
inférieurs et particulièrement dans la cuisse dro
r la difficulté de la marche, et les douleurs qu'elle ressent dans le
membre
inférieur droit. Elle indique comme points doul
on postérieure de la cuisse. On constate un amaigrissement général du
membre
inférieur droit. A la cuisse la circonférence mes
ueux à la face interne de la jambe. Un peu d'oedème des malléoles. Le
membre
inférieur droit est notablement plus froid que le
ie au tact, à la douleur et à la température, dans toute l'étendue du
membre
inférieur droit. Motilité. — Impossibilité abso
u pied sur le sol, elle ne marche pas franchement par pas égaux. Le
membre
inférieur doit rester toujours devant lo gauche;
se, avec un amaigrissement en masse assez marqué des deux segments du
membre
inférieur. Ces derniers troubles sont ceux que l'
côté, une simple diminution delà sensibilité clans toute l'étendue du
membre
inférieur. Nous pouvons répéter ^ pour la sensibi
ues lignes plus haut pour la motilité. Cette légère hypoesthésie du
membre
entier fait partie des accidents déjà connus de l
ciatique et est parfaitement connexe avec l'amaigrissement général du
membre
, tandis que les troubles sensitifs profonds, loca
es de MM. Hutinel et Damaschino. C'est au début de cette année que le
membre
inférieur droit devient raide. On s'aperçut à cet
rampes douloureuses. Ces crampes surviennent encore au repos quand le
membre
inférieur est en extension. Attitude. — Le mala
e du pied droit sur le sol, sans jamais l'en détacher. Au repos, le
membre
inférieur doit être étendu, raide, le pied dans l
, que vient contrecarrer un spasme plus ou moins généralisé à tout le
membre
. La jambe se fléchit sur la cuisse jusqu'à l'an
roite sur celle du côté opposé. . Les mouvements de chaque segment du
membre
inférieur droit sont faibles, limités et sont ais
n'empêche pas néanmoins complètement l'exécution des mouvements. Le
membre
inférieur droit tout entier est atteint d'un trem
sentis comme contact. Dans toute la moitié droite du corps, sauf le
membre
inférieur, le passage du pinceau n'est pas perçu;
qûre, la chaleur et le froid sont parfaitement sentis. Au niveau du
membre
inférieur droit, sauf dans la région que nous all
e-pi ed présente les mômes troubles de la sensibilité que le reste du
membre
, c'est-à-dire que la cuisse et la partie postero-
trophiques,ni troubles vaso-moteurs. Pas d'amaigrissement notable du
membre
. Insensibilité pharyngienne. A gauche : goût abol
naître leur véritable nature. Au point de vue de la sensibilité, le
membre
inférieur droit doit être partagé en deux zones d
nés du sciatique poplité externe. Quant à la plus grande partie du [
membre
inférieur, elle présente identiquement les mêmes
érique de l'anesthésie qui occupe comme une jambe de pantalon tout le
membre
inférieur du côté droit, lorsque, en présence d'u
et considérant les caractères de l'anesthésie en jambe de pantalon du
membre
,inférieur droit,anesthésieabsolumentidentique à l
comoteur. » Layet (4) constate l'affaiblissement de l'innervation des
membres
inférieurs; chez les ouvrières à la machine et n'
ien d'anormal. Motilité. — A. Membres inférieurs, face, cou, tronc,
membre
inférieur gauche, sains. B. Membre inférieur dr
exion et d'extension qu'on lui imprime est un peu moindre que pour le
membre
sain. La malade assise peut s'appuyer aujourd'h
and la malade est restée longtemps assise. Troubles trophiques.— Le
membre
inférieur droit présente dans toute son étendue u
s la station debout : pourquoi également nous n'avons pas ici pour le
membre
droit la démarche de stepper si caractéristique d
st généralisée ensuite et a remonté pour ainsi dire vers la racine du
membre
. Par la marche ascendante, notre observation se r
présente une plaque d'anesthésie qui occupe la face antéro-externe du
membre
, remontant jusqu'au pli de l'aine et occupant le
rsqu'il fut pris, sans cause apparente, de douleurs violentes dans le
membre
inférieur gauche. Ces douleurs, presque continuel
externe, dorsal du pied. Peu à peu l'impotence et l'amaigrissement du
membre
devinrent manifestes. Au bout de deux mois, c'est
deux mois, c'est-à-dire il y a un mois, les douleurs s'étendirent au
membre
inférieur droit, affectant la même disposition qu
ntoxication, les névrites que le plomb détermine affectent plutôt les
membres
supérieurs et n'occasionnent pas de douleur. Le
a paralysie motrice n'affecte presque jamais toute l'étendue des deux
membres
inférieurs ; elle est partielle et incomplète, ce
, coïncidant avec l'atrophie musculaire plus ou moins généralisée des
membres
, atrophie qui, d'après les caractères un peu diff
Aucun symptôme tabétique jusqu'à présent, aucune amyotrophie dans les
membres
. Dans ce cas, la lésion est descendante et va du
eurs, on rencontre en même temps, en diverses parties du tronc et des
membres
, des amyotrophies plus ou moins généralisées stat
ncerne une jeune fille de 23 ans qui depuis 4 ans a de la parésie des
membres
et depuis deux ans de l'ophthalmoplégie externe.
ophique des muscles de la main, puis a envahi progressivement tout le
membre
, les bras, les épaules; les muscles de la partie
malade ne peut la relever sans faire de grands efforts ; bientôt les
membres
inférieurs sont pris à leur tour, les réflexes te
rieurs sont pris à leur tour, les réflexes tendineux sont absents aux
membres
supérieurs, normaux aux inférieurs. Il offre des
a dû s'aliter; quand il a voulu se relever, il n'a pu y réussir, ses
membres
étaient devenus impuissants ; peu après les membr
pu y réussir, ses membres étaient devenus impuissants ; peu après les
membres
supérieurs furent pris. C'est 3 mois après le déb
is dont vous remarquez encore les vestiges. Les muscles paralysés des
membres
se sont atrophiés rapidement. Comme vous le voyez
rnes antérieures de la moelle qu'il faut rapporter l'amyotro-phie des
membres
, tandis que le ptosis et la paralysie des muscles
ubles intellectuels quelconques. Pas de troubles vésicaux. Rien aux
membres
; pas de parésie ni d'atrophie. Les réflexes rotu
iratoires. Il n'y avait toujours ni parésie ni atrophie au niveau des
membres
. Il s'agit là bien nettement d'un cas de paraly
il est simplement d'origine inorganique. Les réflexes tendineux des
membres
supérieurs et inférieurs sont normaux. Le réflexe
cassée, un peu nasonnée. L'amyotrophie est considérable au niveau des
membres
supérieurs, du thorax et du cou, si bien que les
ans inversion cle formule. Les ré flexes tendineux sont absents aux
membres
supérieurs, le réflexe patellaire est affaibli à
puisque les réflexes tendineux, loin d'être exagérés, font défaut aux
membres
supérieurs. Obs. III. —Polioencèphalorny élite.
e le malade entra à l'Hôtel-Dieu, il était absolument impotent de ses
membres
supérieurs. Déjà depuis plusieurs mois, depuis
u jusqu'à ce moment, les lésions n'avaient point augmenté du côté des
membres
supérieurs, l'impotence et l'atrophie étaient res
rophie musculaire est considérable au niveau du cou, du thorax et des
membres
supérieurs. Elle n'existe pas au niveau de la fac
abord elle paraît se répartir à peu près également, et le segment de
membre
a conservé presque complètement sa forme. Aux mai
rce dans les mouvements d'opposition et d'adduction des pouces. Les
membres
inférieurs, la moitié inférieure du tronc, parais
ertures lorsqu'il est au lit. Ce phénomène n'existe pas au niveau des
membres
supérieurs ni du cou ; on le constate seulement a
) G = 21 - 1/2 l D = 20 — I G = 19 — Les réilexes tendineux des
membres
supérieurs manquent totalement. Aux membres infér
es réilexes tendineux des membres supérieurs manquent totalement. Aux
membres
inférieurs le réflexe rotulien droit est très aff
près dans le même état, en ce qui concerne l'atrophie musculaire des
membres
supérieurs. Le mal s'est un peu aggravé au niveau
ire des membres supérieurs. Le mal s'est un peu aggravé au niveau des
membres
inférieurs. L'atrophie commence à se manifester à
debout, commence à marcher avec des béquilles. Néanmoins, l'état des
membres
supérieurs est resté stationnaire. Les muscles so
réaction de dégénérescence fait défaut. Les réflexes sont absents aux
membres
supérieurs et il n'y a ni paralysie des sphincter
re gauche se releva pour retomber bientôt après. Pendant ce temps les
membres
inférieurs continuaient à s'affaiblir et à s'atro
sque collés au corps, les mains reposent mollement sur les cuisses.
Membre
supérieur gauche. — Dynamomètre = 0. La main ne s
L'atrophie des muscles de l'avant-bras et du bras est manifeste.
Membre
supérieur droit. — Dynamomètre= 10. Le médius ne
1/2 De chaque bras à l'insertion du grand pectoral. . = 27 — 1/2
Membres
inférieurs. — Mensuration de la circonférence :
ervés. L'atrophie est extrêmement accusée au niveau des muscles des
membres
; à part les adducteurs de la cuisse, qui ont cons
deltoïde réduit à une lame musculaire insignifiante. L'atrophie des
membres
inférieurs est très prononcée, particulièrement a
usculaire; Vin-version de formule fait complètement défaut. Exemple :
Membre
supérieur droit. Nerf deltoïde M. Deltoïde.
j néant. Le malade accuse une sensation de froid permanente dans le
membre
inférieur droit. Pas d'adipose sous-cutanée, pa
bles trophiques de la peau. Le malade ne souffre en aucun point des
membres
. La sensibilité est partout conservée, complète
ibilité de se boutonner lui-même. La sensation de refroidissement aux
membres
inférieurs était moins accusée, la coloration vio
l'appareil. Pendant toute cette période d'immobilisation au lit, les
membres
supérieurs avaient fait quelques progrès, mais le
u lit, les membres supérieurs avaient fait quelques progrès, mais les
membres
inférieurs avaient perdu ce qu'ils avaient gagné
t état pendant quelque temps. Il n'existait alors aucune atrophie des
membres
. Les membres inférieurs présentaient seulement un
t quelque temps. Il n'existait alors aucune atrophie des membres. Les
membres
inférieurs présentaient seulement un certain degr
s muscles s'atrophiaient et devenaient mous et flasques dans les deux
membres
supérieurs. Enfin dans les derniers temps appar
er encore et ainsi de suite. Il en était de même jreur la parésie des
membres
supérieurs. État actuel (juin 1890). — Le signe
u au mouvement passif de flexion de la tête en avant. Au niveau des
membres
supérieurs, la faiblesse va jusqu'à la paralysie.
ôtés les muscles longs supinateurs sont relativement conservés. Les
membres
inférieurs sont affaiblis, mais on n'y peut const
ie véritable. Les réflexes tendineux du genou sont normaux ; ceux des
membres
supérieurs sont complètement absents. La sensib
existence de secousses fibrillaires dans les muscles atrophiés de ses
membres
supérieurs. Les réactions électriques des muscl
cial à signaler ; c'est celle de tout individu atteint d'atrophie des
membres
inférieurs. Le trouble peut aller de la simple fa
ules. Si quelques mouvements sont encore conservés dans un segment du
membre
, il ne peut les exécuter qu'en calant le membre e
és dans un segment du membre, il ne peut les exécuter qu'en calant le
membre
entier soit contre un objet voisin, soit contre s
même se rencontrer seul, en dehors de toute amyo-trophie du côté des
membres
, lorsque la maladie débute par le bulbe. Mais en
e maladie. En ce qui concerne les épaules et le segment supérieur des
membres
thoraciques, ce sont toujours les mêmes bras « ba
une'paralysie des releveurs des paupières, étendue bientôt aux quatre
membres
, qui dura sept mois et se termina par la gué-riso
de l'orbiculaire des lèvres, troubles de la parole. Enfin les quatre
membres
étaient paralysés et atrophiés en masse, sans pré
is pouvant avec le temps envahir l'autre côté du corps, occupe un des
membres
supérieurs, en commençant par l'extrémité. A la s
l se produit une faiblesse et une atrophie plus ou moins prononcée du
membre
. Ces troubles moteurs sont toujours accompagnés d
s douleur, je le répète. Il existe d'ailleurs une paréso-analgésie du
membre
tout entier. Cependant on peut noter quelques t
ons de près les troubles de la sensibilité, sur toute l'étendue de ce
membre
parético-analgésique, nous relevons tous les cara
ensitifs ou moteurs, quelquefois les deux en même temps, occupant les
membres
inférieurs. Ces troubles sensitifs et moteurs o
stepper et qui paraît tenir à ce que la paralysie musculaire dans les
membres
inférieurs prédomine sur les extenseurs du pied.
u au froid. Ces fourmillements existent aussi de temps en temps aux
membres
supérieurs. Pas de douleurs à ce niveau. Pas de m
ombant. On ne constate cependant aucune atrophie musculaire nette aux
membres
inférieurs. Il y a un amaigrissement très notable
ané. La force de la cuisse est à peu près bien conservée; celle des
membres
supérieurs est très diminuée. D = Main droite..
....... 13 — gauche......... 11 Examen électrique des muscles des
membres
Inférieurs pratiqué par M. le D'' Vigouroux, le 7
par la présence d'autres phénomènes. Explorez l'état des muscles des
membres
: vous voyez qu'assis, il résiste assez bien du g
nt aboli du même côté) Il n'existe pas de trace d'hémiplégie dans les
membres
. Le sommeil est agité, souvent interrompu par d
odd écrivait les lignes suivantes 1 : « L'étendue de la paralysie des
membres
, alors qu'il n'y en a pas trace dans la face, est
as plus ancien de Lebreton 2 où l'on dit qu'il y avait hémiplégie des
membres
et paralysie totale de la face d'un côté. Soumis
émontrant que chez les hystériques présentant uue hémiamyosthénie des
membres
, la langue offre souvent une diminution de la rés
ours anesthésie marquée et quelquefois prédominante de la face et des
membres
paralysés. C'est là un caractère important en opp
s on a pu l'observer, isolée en dehors de toute paralysie notoire des
membres
, circonstance peu fréquente dans l'histoire de l'
ystériques la face ne semble point placée sous le même régime que les
membres
et que la paralysie y est, comparativement au spa
— Syndrome de Weber : Paralysie delà troisième paire d'un côté et des
membres
du côté opposé. 11 rentre dans la catégorie des h
de Millard-Gubler (paralysie faciale totale d'un côté, hémiplégie des
membres
du côté opposé). Il est produit par une lésion du
té simultanément une parésie d'abord, puis une paralysie complète des
membres
du côté droit. En présence de la coexistence de c
é par une paralysie alterne de l'oculo-moteur commun d'un côté et des
membres
du côté opposé. Quinze ans plus tard, Mayor2 rapp
alterne de l'oculo-moteur commun d'un côté (côté de la lésion) et des
membres
, du facial et de l'hypoglosse de l'autre (côté op
ui détruira ces deux bandelettes amènera fatalement une paralysie des
membres
, du facial inférieur et de l'hypoglosse, du côté
dence d'une paralysie faciale totale d'un côté avec une paralysie des
membres
du côté opposé du corps. Dans les cas de ce genre
ur et par la déviation de la langue du même côté que l'hémiplégie des
membres
. Ajoutez à ces caractères quelques légers trouble
e viens de relever devant vous. Lorsque survint cette paralysie des
membres
, déjà, depuis deux ans, cette jeuue fille se plai
xistence de symptômes oculaires d'un côté, et de troubles moteurs des
membres
du côté opposé, était si imprévue qu'elle faisait
triques et les pointes de feu qu'on appliquait sur la face externe du
membre
inférieur (on y voit aujourd'hui de nombreuses ci
u bout de ce temps, la motilité revint graduellement, d'abord dans le
membre
supérieur, mais très lentement, et deux mois aprè
e ni albumine. De temps en temps, elle se plaint de douleurs dans les
membres
du côté droit, de migraines, de « syncopes ». L
t ne tarda pas à se cicatriser. Gomme effets immédiats, paralysie des
membres
supérieur et inférieur droits, de ce dernier surt
s'accentue trois semaines plus tard, quand survient de la raideur du
membre
. Bientôt la main droite s'atfaiblit puis s'atroph
emment, il apprend que la sensibilité cutanée s'est affaiblie dans le
membre
inférieur gauche. Je vous ai dit tout à l'heure
était résulté une vive douleur le long du rachis, et une parésie des
membres
inférieurs. Il peut se faire comme l'a montré Vir
hèse que l'examen direct va peut-être nous rendre vraisemblable. Au
membre
supérieur droit existent à la fois des troubles s
laires diversement répartis. Les premiers occupent la face interne du
membre
, et consistent en une anesthésie dissociée suivan
s muscles de la main; les contractions fibrillaires font défaut. Le
membre
supérieur gauche est indemne. Voilà bien quelqu
récent qui pourra se développer ultérieurement. Pour ce qui est des
membres
inférieurs, il nous faut distinguer ce qui appart
n d'eux. A droite, existe une paralysie spasmodique très marquée ; le
membre
est raidi en extension , vous voyez le malade mar
d'une altération de ces faisceaux dans la région dorso-lombaire. Le
membre
inférieur gauche et la moitié correspondante du t
ent par segments que limitent des cercles perpendiculaires à l'axe du
membre
, ainsi qu'on le voit également dans les cas d'hys
le d'expliquer aussi, dans cette hypothèse, les troubles observés aux
membres
inférieurs. Une esquille, une saillie osseuse, pe
iparaplégie spinale, troubles moteurs et réflexes occupant surtout le
membre
inférieur du côté opposé. Ainsi se réalise d'une
pied gauche ; mais cela tient à un état spasmodique de la totalité du
membre
, qui se traduit, en dehors du défaut de coordinat
externe de son pied, comme s'il avait une paralysie des péronés. Le
membre
est absolument raide ou ne peut être fléchi qu'av
s'accentuer. Peu à peu, elle est devenue permanente ; l'extension du
membre
inférieur ne s'est plus jamais faite complètement
Les mouvements du bras et de l'épaule gauche sont très limités. Le
membre
dans sa totalité — moins la main — est réduit à u
abord tenté d'assimiler ce trouble trophique, limité à l'extrémité du
membre
malade, à une variété de la maladie de Marie. Il
ts nerveux, dans un cas de syringomyélie compliquée d'hypertrophie du
membre
supérieur. Il est possible que notre malade'soit
e malade, ajoute-t-il, ne marche pas de la même façon. Elle traîne le
membre
paralysé après elle comme un corps inanimé, sans
marche a été progressive — l'hémiplégie se développa, plus marquée au
membre
inférieur qu'au membre supérieur du côté gauche.
e — l'hémiplégie se développa, plus marquée au membre inférieur qu'au
membre
supérieur du côté gauche. Il traîne aujourd'hui l
ale, d'après le récit du mari, puisqu'elle respecterait la face et le
membre
inférieur, mais n'oubliez pas que dans ces crises
région supérieure, le début des secousses épileptoïdes se fera par le
membre
inférieur, par la face si elle siège dans la régi
ion inférieure et si elle occupe la région moyenne, par la main et le
membre
supérieur, comme chez cette malade. La lésion môn
jusqu'ici accompagnée d'aucun trouble permanent du mouvement dans les
membres
mis en jeu par les convulsions épileptiformes. Il
abilité, car, en somme, il n'y a rien jusqu'ici de permanent dans les
membres
du côté où ont lieu les secousses épileptiques. M
s l'intervalle des accès, ne sont pas suivis de lésion permanente des
membres
, alors même que coexisteraient des altérations ba
superficielle des méninges, siégeant au niveau des centres moteurs du
membre
supérieur droit et n'ayant pas encore déterminé d
ramollissement d'origine athéromateuse par exemple. L'attitude des
membres
supérieur et inférieur du côté paralysé, la parti
moire. Nous devons donc admettre que, en outre de la zone motrice des
membres
, le lobule pariétal inférieur a été lésé. Logiq
, il ressent une sorte d'engourdissement passager dans l'épaule et le
membre
supérieur du côté droit : vers les trois heures d
plégie brachiale, et dans l'une d'elles les convulsions ont envahi le
membre
inférieur. Dans ce laps de temps, il a présenté e
certains cas réduit, à peu de chose près, à la seule contracture des
membres
inférieurs, avec ou sans rigidité concomitante de
acture des membres inférieurs, avec ou sans rigidité concomitante des
membres
supérieurs. En pareil cas, la coexistence actuell
tion. Vous savez que la paraplégie spasmodique généralisée aux quatre
membres
est chose possible dans la sclérose multi-loculai
muscles de la face, puis il se produisit de la raideur tétanique des
membres
, de Topistothonos.....Peu à peu, cette phase co
choréiforrnepersista; toutes les fois que la malade voulait remuer un
membre
, le mouvement se faisait par saccades; la parole
l y a huit mois, la malade fut prise d'un affaiblissement graduel des
membres
supérieur et inférieur du côté droit. Cette faibl
ent la date du début. C'est surtout par la lourdeur et l'impotence du
membre
inférieur que les phénomènes (1) Par MM. Parina
ne fille est le suivant : les signes d'une hémiplégie droite pour les
membres
sont aujourd'hui peu accentués, mais existent enc
e la démarche, mais une diminution assez notable de la force dans les
membres
de ce côté. Le dynamomètre ne donne pas de rensei
a protubérance, lorsqu'elles s'accompagnent de paralysies du côté des
membres
, ce qui n'est d'ailleurs pas absolument nécessair
otubérantiel n'a donné lieu à aucun phénomène paralytique du côté des
membres
; rien de plus plausible, car on connaît des cas
les quintes de toux : la malade s'endort tout à coup, le corps et les
membres
sont raides et contractures, et elle reste incons
e : raideur des bras avec contracture, secousses cloniques des quatre
membres
, demi-inconscience au réveil avec léger délire.
avec perte du sens musculaire de ce côté, sensation de pesanteur des
membres
gauches qui sont faibles ; la main gauche laisse
plaignait d'une violente douleur au cœur et à l'estomac. De plus, les
membres
supérieurs étaient agités de mouvements convulsif
gus. En même temps des mouvements choréiformes rythmiques agitent les
membres
, en particulier les membres inférieurs. Le pied f
ments choréiformes rythmiques agitent les membres, en particulier les
membres
inférieurs. Le pied frappe violemment le sol. De
de contracture. Puis surviennent quelques mouvements rythmiques des
membres
supérieurs et inférieurs, ainsi que des mouvement
de parler correctement. Ce tremblement s'étend jusqu'aux mains et aux
membres
inférieurs. La malade dit même avoir perdu connai
il est fréquent d'observer au début de l'attaque des contractures des
membres
supérieurs ou inférieurs, contractures qui, de to
Syndrome de Weber : paralysie de la troisième paire d'un côté et des
membres
du côté opposé. Il rentre dans la catégorie des h
de Millard-Gubler (paralysie faciale totale d'un côté, hémiplégie des
membres
du côté opposé). Il est produit par une lésion du
ibution sensitive du —,341. Nerfs sbnsitifs : distribution des — au
membre
supérieur, 342 ; — au membre inférieur, 153,154
fs sbnsitifs : distribution des — au membre supérieur, 342 ; — au
membre
inférieur, 153,154. Nerf sciatique : distributi
NERVEUX . SYPHILITIQUES PAR ' PAUL RICHER GILLES DE la TOURETTE
MEMBRE
DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA
rver encore qu'il marchait à petits pas. Les réflexes rotuliens des
membres
inférieurs étaient affaiblis des deux côtés. 11
bouche. 2° Des traces d'hémiplégie droite : la force musculaire du
membre
supé- rieur droit est affaiblie. Les réflexes r
membre supé- rieur droit est affaiblie. Les réflexes rotuliens des
membres
inférieurs sont exagérés. Les réflexes des memb
es rotuliens des membres inférieurs sont exagérés. Les réflexes des
membres
supérieur et inférieur du côté droit sont plus
ieur du côté droit sont plus forts que ceux du côté gauche. Sur les
membres
inférieurs on observe le réflexe contralatéral
lue en plusieurs attaques apoplectiformes à la suite desquelles les
membres
eux-mêmes sont atteints, en outre les fonctions p
emblable à cause de l'absence totale des sympa6- mes de la part des
membres
. Ces circonstances mettent hors de doute, que 1
issait de plus en plus et il se produisit ensuite une paralysie des
membres
, des muscles du cou et vers la fin de la vie un
fant perdit la voix pendant un accès fébrile, le quatrième jour ses
membres
inférieurs, le cinquième, les membres supérieurs
ébrile, le quatrième jour ses membres inférieurs, le cinquième, les
membres
supérieurs n'exé- cutèrent plus aucun mouvement
nture et s'ouvrent. Le traitement consista dans l'immobilisation du
membre
inférieur droit tout entier à l'aide d'une gout
permettront d'en étudier les moindres détails (PI. II et III). Le
membre
inférieur droit est raccourci; le pied est dans l
ices, au nombre de six, vestiges des anciennes suppu- rations. Le
membre
inférieur gauche est remarquable surtout par l'as
ia un angle ob- tus ouvert en avant. Dans la position ordinaire, le
membre
tout entier, y com- pris le pied, se trouve pla
ouve placé sur un plan notablement postérieur au plan occupé par le
membre
inférieur droit. L'examine-t-on de face, on con
alement le creux poplité font un relief tout à fait anormal. Sur le
membre
inférieur gauche se voit encore une autre particu
coxalgie). Positions variées. Commande-t-on au malade de mettre son
membre
infé- rieur gauche en rectitude et de corriger
um ? La position est possible, mais pénible et très instable ; car le
membre
opposé (membre droit) ne repose plus sur le sol
est possible, mais pénible et très instable ; car le membre opposé (
membre
droit) ne repose plus sur le sol que par l'extrém
oiterie très marquée en rapport surtout avec le raccourcissement du
membre
inférieur droit. Couché. Membre inférieur dro
rtout avec le raccourcissement du membre inférieur droit. Couché.
Membre
inférieur droit. Son raccourcissement est de 9 ce
, avec flexion modérée de la cuisse sur le bassin : la rectitude du
membre
entraîne en effet une ensellure lombaire permet
élaton, Roser, en un mot, les signes d'une luxation de la hanehe.
Membre
inférieur gauche. Si l'on examine ensuite le memb
n de la hanehe. Membre inférieur gauche. Si l'on examine ensuite le
membre
inférieur gau 52 GASNE ET COURTELLEMONT che,,
ssant sous-cutanée; elle est mollasse et légèrement mobile quand le
membre
est au repos. Mais vient-on à faire contracter
du muscle tenseur du fascia lata. Le genou gauche, observé quand le
membre
repose sur le lit, ne présente' rien d'anormal
la jambe en dedans, vers la ligne médiane. L'état des muscles du
membre
est excellent ; en particulier les muscles de la
fforts tentés pour s'opposer aux mouvements des divers segments des
membres
. Il n'y a pas de déplacement cunéen de la rotul
otule. La longueur du ligament rotulien est de 3 centimètres sur le
membre
inférieur droit, de 5 centimètres sur le membre
centimètres sur le membre inférieur droit, de 5 centimètres sur le
membre
gauche. Les autres jointures (membre supérieur,
oit, de 5 centimètres sur le membre gauche. Les autres jointures (
membre
supérieur, etc.) et le système musculaire du re
trémités osseuses. Malgré tous ces accidents pathologiques dont les
membres
inférieurs de notre sujet sont le siège, les fo
tiquée sur le genou (1), pas de lésion de l'extrémité inférieure du
membre
(2) ; d'autre part, aucune manifestation même f
ous les cas étudiés par ces auteurs, la déformation siégeait sur le
membre
atteint de coxalgie. L'observation que nous rappo
vicieuse peut s'observer du côté opposé à la hanche malade, sur le
membre
sain. Marty, dans sa thèse (4), mentionne un fait
tte anomalie. Indépendamment de cette notion de localisation sur un
membre
ou sur l'autre, l'étude de tous les cas connus
au lit et des troubles trophiques (ligamenteux, etc.) dont tout le
membre
est souvent le siège. Or, il semble bien que la m
ucoup, puisqu'ils surviennent chez des mala- des débiles et sur des
membres
frappés de troubles trophiques. On peut compare
s reproduites dans ces ouvra- ges, le phénomène est localisé sur le
membre
opposé à celui de la hanche malade. Mais à cô
e nous avons en vue dans le cours de cet article. Qu'elle occupe le
membre
sain ou le membre correspondant à la hanche malad
e dans le cours de cet article. Qu'elle occupe le membre sain ou le
membre
correspondant à la hanche malade, cette déforma
non, Potel, le nôtre). Enfin l'intégrité relative des fonctions des
membres
inférieurs est une particularité fréquente et t
. Bien plus, dans le cas de notre malade,.où la lésion siège sur le
membre
sain, il n'existe sur celui-ci ni faiblesse, ni
ante au muscle quadriceps ; enfin et surtout position rectiligne du
membre
, qui ne repose franchement sur le lit qu'en hau
la maladie, le séjour prolongé au lit et la position i,ectiligne du
membre
sont donc des éléments étiologiques qu'il faut
nque, il n'en saurait être question, puisque la déviation occupe le
membre
sain. En face de ces hypothèses qui font jouer
tte façon la tendance au genu recurvatum qu'on voit survenir sur le
membre
atteint de coxalgie : c'est une consé- quence d
bas- sin. On conçoit en effet, qu'en raison du raccourcissement du
membre
et de l'équinisme consécutif le point d'appui d
ant aux tètes des métatarsiens et aux orteils : par suite, l'axe du
membre
se trouve en arrière de l'axe mécanique, fictif :
a-t-elle pour résultat d'exagérer sans cesse l'hyper- extension du
membre
inférieur (schéma 1). Au contraire, y a-t-il an
, il n'y a pas tendance à la production d'un genu recurvatum sur le
membre
atteint de coxalgie, mais prédisposition à cett
atteint de coxalgie, mais prédisposition à cette déformation sur le
membre
opposé. C'est en effet une notion courante que
t pas d'autre cause). Par suite de cette bascule du bassin, l'autre
membre
inférieur, le membre sain se trouve modifié dans
Par suite de cette bascule du bassin, l'autre membre inférieur, le
membre
sain se trouve modifié dans sa direction : son
axe mécanique, fictif, vient-il tomber en avant de l'axe réel de ce
membre
; d'où tendance à l'hyperextension, au genu recu
issions (celui de Marty et le nôtre) de genu recurvatum localisé au
membre
opposé à la hanche atteinte ont coïncidé avec u
avec une ankylose en flexion. Quant au genu recurvatum occupant le
membre
affecté de coxalgie, deux. observations seulement
e rappelle le rôle que M. Campenon fait jouer à l'hyperextension du
membre
dans la pathogénie de l'affection, on inclinera
que ces déviations du genou coïncidaient avec une bonne attitude du
membre
inférieur, c'est-à-dire une extension du fémur su
rrection de la flexion par la bascule du bassin; en a, direction du
membre
sain. . Schéma 4. Genu recurvatum sur le me
a, direction du membre sain. . Schéma 4. Genu recurvatum sur le
membre
sain ramenant le pied vers l'axe (fictif) mé-
blerait moins juste d'invoquer le degré du raccourcissement dont le
membre
est frappé ; puisque le genu recurvatum peut siég
e membre est frappé ; puisque le genu recurvatum peut siéger sur le
membre
le plus long ou sur le membre le plus court. Si c
le genu recurvatum peut siéger sur le membre le plus long ou sur le
membre
le plus court. Si cette disposition anatomique
mentaire : « Quand on considère,dit-il,quels effets produit sur un
membre
paralysé la vapeur qui s'élève du corps d'un an
, élève et neveu de l'auteur, professeur à l'Université de Trêves,'
membre
de l'académie des curieux de la Nature. Cohause
comme le disent certains écrivains un ordre de chevalerie dont les
membres
appelés salutatores, prétendent guérir les bles
question n'a d'ailleurs rien de spécial au point de vue médical.Le
membre
supérieur gauche repose sur le genou, le bras d
e. Nous pouvons même noter un épaississement oedémateux notable des
membres
inférieurs. Tout à fait à droite, derrière l'hy
ain semble normale, mais l'ensemble du bras donne l'impression d'un
membre
contracturé. Du même côté à droite, il a le gen
t du côté droit une hémiplégie avec contracture en flexion des deux
membres
; quant à la contracture en flexion du pied gau-
en légère flexion. On peut remarquer que le Christ ne touche pas le
membre
malade. Il n'y a, par suite,aucune espèce de do
es genoux sont hésitants. Le paralytique est assis sur son lit, ses
membres
ne présentent rien de particulier (voir figure L)
n personnage renversé, et s'appuyant sur le sol du bras gauche. Les
membres
inférieurs sont couverts de taches sem- blables
nt couverts de taches sem- blables à celles que nous voyons sur les
membres
des lépreux. Mais il n'est pas douteux qu'il se
é du corps, le poing forte- ment contracturé en demi-pronation. Les
membres
inférieurs semblent s'agiter un peu au.hasard.
que Suétone nous a laissé de lui : « Il avait la taille carrée, les
membres
forts et compacts, la figure comme celle d'un h
ombre de malades, d'aveugles, de boiteux et de ceux qui avaient les
membres
desséchés; et tous attendaient que l'eau fût re
es méfaits ordinaires de la Lèpre. C'est un de ces malheureux « aux
membres
desséchés » dont parle Saint Jean dans son Evan
essentit un soir des douleurs lombaires, suivies de contracture des
membres
inférieurs pendant plusieurs jours. Il reprit c
lus pénible, ses SUR l'état TROPHIQUE DE la MOELLE GPINI7;liE 107
membres
inférieurs étaient raides, il ne sentait pas ses
ésicale et rectale. Sensibilité tactile fortement émoussée aux deux
membres
inférieurs, surtout depuis la cheville jusqu'au
aut. Défauts de localisation du contact simple ou douloureux. Les
membres
supérieurs et la face sont indemnes de troubles m
; la contracture spasmodique est moins intense, les mouvements des
membres
inférieurs sont plus étendus. Mais les troubles d
ois premiers mois de la maladie, état de lourdeur et de raideur des
membres
inférieurs ; au quatrième mois apparition de trou
il per- met de saisir entre diverses anomalies de développement des
membres
. Observation G..., âgé de 24 ans, est de tail
de 24 ans, est de taille moyenne. La tête, la face, le tronc et les
membres
inférieurs paraissent bien constitués et ne prése
Mais l'attention est de suite attirée sur la malformation des deux
membres
supérieurs, dont on peut se rendre compte sur les
de dé- veloppement et présentent des malformations qui donnent aux
membres
supé- rieurs une ressemblance grossière avec le
ons pu faire chez ce sujet à l'aide de diverses ra- diographies des
membres
supérieurs. · Membre supérieur droit. Une premi
et à l'aide de diverses ra- diographies des membres supérieurs. ·
Membre
supérieur droit. Une première radiographie nous r
ur droit. Une première radiographie nous représente l'en- semble du
membre
supérieur du côté droit (PI. XVI) . Elle a été pr
XVI UN ECTROMÉLIEN HÉMIMÈLE (Huet et Infroit). Radiographie du
membre
supérieur droit. Masson & Cie, Editeurs ,
XVII 1 .) 3 If UN ECTROMÉLIEN HÉMIMÈLE HCt7))/)-0 ? 1.
Membre
supérieur droit. 2. Radiographie du coude droit d
extension maxima de l'avant-bras. 3. Radiographie de l'extrémité du
membre
supérieur droit. 4. Radio- graphie du coude dro
eux phalanges du pouce réunies ne mesurent pas plus de 3 cm. 1/2.
Membre
supérieur gauche. Dans son ensemble le squelette
cm. 1/2. Membre supérieur gauche. Dans son ensemble le squelette du
membre
supérieur gauche présente de grandes analogies
membre supérieur gauche présente de grandes analogies avec celui du
membre
supé- rieur droit; aussi nous étendrons-nous mo
VIII UN ECTROMÉLIEN HÉMIMÈLE ;ti'<et7) ? ro. Radiographie du
membre
supérieur gauche. MSSOn & CI, l : diteurc
i maintenant nous étudions les mouve- ments des divers segments des
membres
supérieurs, voici ce que nous cons- tatons :
segments des membres supérieurs, voici ce que nous cons- tatons :
Membre
supérieur droit. -- Les mouvements du bras sur l'
. XIX 1 2 .. 'i UN ECTROMELIEN HÉMIMÈLE 7 ? et7 ? o. 1.
Membre
supérieur gauche. 2. Radiographie du coude gauche
extension maxima de l'avant-bras. 3. Radiographie de l'extrémité du
membre
supérieur gauche. 4. Radiographie du coude gauc
l au bras n'a pas paru éveiller de sen- sations dans l'extrémité du
membre
; au contraire, quand l'excitation était portée
s n'avons pu lui faire préciser davantage leur to- pographie. - -
Membre
supérieur gauche. - Comme à droite la musculature
s, semble assez peu développé dans le segment périphérique des deux
membres
supérieurs ; nous n'avons pas réussi à percevoi
'avons pas constaté sur le reste du corps d'anomalies notables. Les
membres
inférieurs sont bien conformés dans tous leurs
ras et des mains, G... a acquis une assez grande dextérité avec les
membres
supérieurs. Comme nous l'avons vu, il a pu être
ous venons de rapporter, il n'existe de malfor- mations qu'aux deux
membres
supérieurs, et seulement dans leur segment péri
I, figures 10, A, B, et C, de l'ouvrage cité) et repré- sentant les
membres
supérieurs d'un sujet de 9 ans, on pourrait croir
rieurs d'un sujet de 9 ans, on pourrait croire être en présence des
membres
de notre sujet, si le doigt unique ne se trouva
tre à l'absence du cubitus. Dans les difformités congénitales des
membres
supérieurs l'absence du cubitus est beaucoup pl
ôtés le radius est court ; les quatre derniers doigts manquent. Aux
membres
inférieurs, des deux côtés, absence du péroné e
in en fer à cheval. Hypospadias. Vésicule biliaire rudimentaire. Au
membre
inférieur, du même côté, tibia très mince ; abs
ia très mince ; absence de la rotule, du péroné et de 3 orteils. Au
membre
inférieur, du côté opposé, tibia très mince ; abs
igts avec les métacarpiens et les os du carpe correspondants. - Aux
membres
in- férieurs, des deux côtés, absence de la moi
; le condyle interne de l'humérus est petit; la main normale. - Au
membre
inférieur, du même côté, absence partielle du p
Pagenstecher (1) ; il concerne une jeune fille de 17 ans ; les deux
membres
supérieurs présentent des difformités. A droite l
apophyse (une apophyse semblable existe aussi au même niveau sur le
membre
supérieur de l'autre côté). L'os de l'avant-bras
ticle que nous avons déjà cité sur la main-bote. Les difformités du
membre
supérieur, observées dans ces cas, présentent bea
èles, phocomèles et hémimèles. Chez les ectromèles, un ou plusieurs
membres
, les quatre membres parfois, font complètement
hémimèles. Chez les ectromèles, un ou plusieurs membres, les quatre
membres
parfois, font complètement ou à peu près complète
nt- avortées. Chez les hémimèles, au contraire, le segment basal du
membre
, bras ou cuisse, est plus ou moins bien dévelop
la tige radiale. Une divi- sion analogue peut être établie pour le
membre
inférieur, mais nous aurons plus spécialement e
ais nous aurons plus spécialement en vue ici les cas d'hémimélie du
membre
supé- rieur. Dans le premier groupe, hémimèle
observation avait acquis, malgré le développement si imparfait des
membres
supérieurs, une assez grande habileté lui perme
nt arrivés à suppléer par des artifices divers aux défauts de leurs
membres
. Comme exemples nous pourrions citer les cas ra
marquable talent une vaste compo- sition de peinture, suppléant les
membres
supérieurs absents par l'emploi des membres inf
peinture, suppléant les membres supérieurs absents par l'emploi des
membres
inférieurs eux-mômes mal conformés. Nous avons vu
nées, un ectromélien qui, privé de la plus grande partie des quatre
membres
, était montré dans les foires sous la désigna-
Nouveau Cirque de la rue Saint-Honoré un ectromélien privé des deux
membres
supérieurs qui nageait et faisait des exercices
d'ectromélie et d'ectrodactylie. Pour quelques autres anomalies des
membres
on a pu invoquer aussi une régression atavique.
voquer aussi une régression atavique. Au premier abord l'aspect des
membres
supérieurs de notre sujet rappelle celui des me
d l'aspect des membres supérieurs de notre sujet rappelle celui des
membres
antérieurs de certains oiseaux ; mais on reconnaî
e-ci correspondant à la formation et au pre- mier développement des
membres
. Le mécanisme de leur production n'est sans dou
ance entraîne des lésions spinales à la suite des amputa- tions des
membres
. Nous avons vu que chez notre ectromélien il ex
on ne peut découvrir d'atrophie ; elle peut se ser- vir de ses deux
membres
pour tous les mouvements, sauf pour ceux spécifié
iés plus haut. Cependant elle ressent une grande faiblesse dans ses
membres
; sa santé générale est excellente. Nous avon
l'incertitude dans les mouve- ments, de la difficulté à diriger le
membre
. E. Dans les débuts, et au cours du plus grand
quand elle se manifeste sous l'influence de tous les mouvements du
membre
. Les cas les plus graves sont ceux qui s'accomp
es s'échappent trois démons. Aucune trace de convulsions dans leurs
membres
. Un d'en- tre eux cependant a le bras droit éca
deux pieds écartés. Il n'y a pas de tendance à l'arc de cercle. Les
membres
supérieurs sont écar- tés, les avant-bras à dem
Il est cependant plus vraisemblable qu'il y a paralysie flasque du
membre
entier, et nous pouvons remarquer à l'appui de ce
entier, et nous pouvons remarquer à l'appui de cette opinion que le
membre
supérieur gauche repose inerte et très atrophié s
jeune homme à la main sèche. Toute la scène se concentre autour du
membre
malade que l'infirme tend en suppliant vers le Ch
dé, intermittent, exagéré par les mouvements vo- lontaires, dans le
membre
supérieur droit, qui se montre aussi un peu affai
oration rouge, mais moins prononcée que chez ce dernier, de tout le
membre
supérieur gauche, coloration qui s'accentue au
ation qui s'accentue au cours des crises. Après chacune d'elles, ce
membre
reste parésié pendant un ou deux jours. NOUV1
six ans, elle est atteinte d'une affection de la hanche droite. Le
membre
inférieur droit est plus court que l'autre. Le
coloration rouge vineux de la peau, limitée au côté gauche pour les
membres
supérieurs et le tronc. Cette coloration est ré
ain droite. - Coloration rougeâtre, plus accusée à la face dorsale.
Membres
inférieurs. - Les membres inférieurs présentent é
ougeâtre, plus accusée à la face dorsale. Membres inférieurs. - Les
membres
inférieurs présentent également une coloration
u et le tissu cellulaire sous-cutané sont épaissis à gauche pour le
membre
supérieur et le tronc. De là les résultats sui-
avec contraction. A droite : 48 cm. 5 et 47 cm. 5. Périmètres des
membres
supérieurs. Bras, à 12 centimètres au-dessus de
xercer de ce côté pour atteindre l'artère. Très légères varices aux
membres
inférieurs. - V. Système NERVEUX. - L'intellige
rce musculaire est notablemeut diminuée à gauche, du moins pour les
membres
supérieurs. En effet alors qu'à droite le malade
6 kilog. 5 (moyenne de quatre observations). Déplus, selon lui, les
membres
supérieurs seraient souvent le siège d'un tremb
) et, sous certaines influences (flagellation, froid ou chaud), des
membres
inférieurs. Mais, au rebours de ce qui a lieu d
ale localisée au côté gauche 226 BINET-SANGLÉ ET VANNIER pour les
membres
et le tronc, et, pour le tronc, s'arrêtant en ava
lésés, sont par- ticulièrement sensibles au choc épileptique, et ce
membre
reste parésié pendant un ou deux jours après l'
isons de la grandeur des cercles de sensation à la face externe des
membres
, au dos, aux fesses, etc. La sensibilité muscul
e, malformations de l'oreille, anomalies dentaires. difformités des
membres
,...... par exemple; d'autres sont plus rares et
CilépaoJoachimsthal). 29. Geyl. - Hypertrichose lombaire chez trois
membres
d'une même famille : grand- père, père, fils. C
par Raphaël nese voitpas en clinique. Enfin, le calme, l'aplomb des
membres
inférieurs jurent avec la contrac- ture de la p
t la terreur qui se peint sur le visage de tous les assistants. Les
membres
inférieurs qui ne supportent pas le poids du co
blement de celles de l'adulte, que l'enfant a la tête grosse et les
membres
trop courts; cette disproportion disparaît peu
urtout rhizomélique, c'est-à-dire portant surtout sur la racine des
membres
, s'atténuant au contraire vers l'extrémité dis-
art la macrocéphalie, la tête étant trop grosse aussi bien pour les
membres
que pour le tronc ; d'autre part, la micromé- l
les membres que pour le tronc ; d'autre part, la micromé- lie, les
membres
étant trop courts par rapport à la longueur du tr
axillaires et la dentition ne présentent pas de modificalion. Les
membres
sont courts et cette micromélie est surtout rhizo
elle s'atténue à me- sure que l'on atteint l'extrémité distale. Les
membres
paraissent comme tassés sur eux-mêmes et le par
nt se rap- proche dans ses proportions de l'achondroplasie avec des
membres
trop courts et une tête trop grosse pour un tro
XXXVI, X). Or, ce Caracalla a le dos et les fesses saillantes, les
membres
courts, bien musclés avec micromélie surtout rh
ns d'abord que pour mémoire ce na- nisme créé par des anomalies des
membres
, absence complète ou mauvais développement tota
te ou mauvais développement total ou partiel d'un seul ou plusieurs
membres
, consti- tuant la famille des Ectroméliens de G
suivant que l'anomalie atteint l'extrémité proximale ou distale du
membre
. On reconnaîtra aussi sans peine les enfants at
nce ; il atteint indistinctement les os longs et les os courts, les
membres
et le thorax, les épiphyses et les diaphyses créa
es courbures de la diaphyse des fémurs et des tibias, et, comme les
membres
supérieurs ont conservé leur longueur, l'extrémit
Grenade. Bien que le sujet soit habillé, la proportion minime de ses
membres
laisse supposer qu'il s'agit d'un achondroplase
, moitié moindre qu'elle ne devrait. C'est donc à la brièveté des
membres
inférieurs et uniquement à cette brièveté qu'es
iquement à cette brièveté qu'est due la petitesse de la taille. Les
membres
supérieurs par- ticipent à cette brièveté. Tand
à peine l'é- pine iliaque antéro-supérieure. Tous les segments des
membres
semblent participer à cette réduction, mais sur
la photographie ci-jointe de la main de Sicard (Pl. XL, C). ' Au
membre
inférieur, la cuisse (de l'épine iliaque antéro-s
é du gros orteil) 18 au lieu de 25. Là encore les segments longs du
membre
sont diminués de plus du tiers, tandis que le p
sée par une diminution considérable de la longueur des os longs des
membres
, les proportions du tronc et de tète, constitués
ls sont déjà tels qu'ils seront plus tard. La brièveté relative des
membres
que l'on constate chez l'enfant nouveau-né comp
istingue l'achondroplasie du rachitisme. Dans le rachitisme, si les
membres
sont diminués de longueur, ce n'est pas du fait
croméliques comme les achondroplases, mais chez eux la brièveté des
membres
est acquise par des déformations de leur axe os
t axe. Enfin, chez le rachitique, l'affection n'est pas limitée aux
membres
; on constate des déformations de la cage thora
on du genou, l'obliquité en bas et en dedans des plis de flexion du
membre
su- périeur, signalés par M. Marie. Il n'y a
re, le Professeur Raymond, une petite famille dont presque tous les
membres
présentent des stigmates de rachitisme. Sur hui
la section lombaire où l'on constate une ensellure très marquée.
Membres
supérieurs : Epiphyses claviculaires et humérales
uses. Les humérus sont incurvés et se regardent par leur concavité.
Membres
inférieurs : Fémur et tibia sont déformés. Le f
e vers la partie supérieure de la région lombaire. 3° Du côté des
membres
supérieurs, peu de modifications sauf que l'épaul
annulaire présente la même lon- gueur que l'index. 4° Du côté des
membres
inférieurs, le squelette a subi des altérations n
nférieurs, le squelette a subi des altérations nota- bles. Les deux
membres
paraissent s'entrecroiser comme les branches d'un
ntales proéminentes, une voûte pala- tine légèrement ogivale. Les
membres
inférieurs sont un peu en parenthèse, et, en 'out
où l'on constate une ébauche du « chapelet » classique. Du côté des
membres
inférieurs, on note un épaississement marqué du g
mie, il semble avoir pris racine dans la famille, s'attaquant à ses
membres
avec une fréquence surprenante. A considérer de
pouvant plus remuer ni bras ni jambes, mais trem- blant de tous ses
membres
. Il ne mangea pas, on dut le porter au lit ; aprè
ru par les mouvements volontaires, mais il était assez vif dans les
membres
supérieurs pour empêcher une cuillère d'arriver à
uère que sous l'influence de la fatigue, ils dispa- rurent même aux
membres
inférieurs par intervalles. W... a remarqué qu'un
bé sur les genoux, puis couché, il s'est mis à trembler de tous ses
membres
. Il avait toute sa connaissance, il se rappelle
.. se réduisent à un mouvement spasmodique rythmé et symétrique des
membres
supérieurs. Ce spasme était, les jours précéden
es contractions n'entraî- nent aucun déplacement des épaules ou des
membres
supérieurs, on ne les soupçonne pas si une serv
ement d'une manière générale que les muscles de l'épaule agitent le
membre
supérieur dans sa totalité : à la main le tremble
main le tremblement est communiqué. La tête ne tremble pas, ni les
membres
inférieurs si ce n'est pen- dant les grandes cr
, le tremblement reparu très fort pendant dix minutes dans tous les
membres
et deux heures environ dans les bras. Ce matin
e la friture (Joal). On a cité des accidents parétiques du côté des
membres
(2) ou même des accidents plus graves : d'après T
exagération des réflexes mais sans impotence fonctionnelle. Dans les
membres
supérieurs, en relevant brusquement la paume de
ont le costume dissi- mule les anomalies corporelles, mais dont les
membres
supérieurs sont' .d'une brièveté que l'achondro
7 ans. A cette époque, crises gastriques, douleurs irradiées dans les
membres
inférieurs, térébrantes ; puis titubation, seco
. Morte à 50 ans, 13 ans après le début. Mort précédée d'oedème des
membres
inférieurs. Une tante maternelle a été atteinte
impossibilité de s'arrêter brusquement. Pendant la progression, les
membres
inférieurs, surtout il gauche, décri- vent un d
auche. Oscillations latérales des doigts ; oscillations légères des
membres
supérieurs ; écriture difficile, fatigue à la s
mal à l'examen électrique. Sensibilité au contact très diminuée aux
membres
inférieurs et abolie au-dessous du genou, sensi
lité à la piqûre conservée partout. Sensibilité au froid abolie aux
membres
inférieurs à partir du genou. Cram- pes. Pupill
blissement extrême, est très amaigri ; il existe aux extrémités des
membres
une atrophie que nous exposons plus bas. Le malad
naissance des accès convulsifs à début jacksonien commençant par le
membre
supérieur gau- che et se généralisant rapidemen
bientôt le type épileploïde avec miction à la fin de la crise. Les
membres
inférieurs étaient raides, les réflexes palella
êmement accusée, étendue uniformément sur le tronc, les bras et les
membres
inférieurs. La peau était dans ces régions d'un
s, la lé- sion la plus marquée en dehors des altérations des os des
membres
. Les côtes ne semblaient pas prises, et la cage
t pas prises, et la cage thoracique avait gardé sa forme ordinaire.
Membres
supérieurs. Les deux clavicules ont leurs courbur
aux différents segments et les réflexes ten- dineux sont normaux.
Membres
inférieurs. - La courbure des fémurs est légèreme
stées de sels calcairès. ' Nous n'avons pas examiné les artères des
membres
supérieurs, mais il est probable qu'elles prése
aorte abdominale était extrêmement lésée, ainsi que les artères des
membres
. Les vaisseaux de l'encéphale, des os du crâne, d
t son trajet, mais surtout à la portion abdominale; les artères des
membres
épaissies, tortueuses, irré- gulières ; les rei
1901. 428 HUDELO ET HEITZ met en évidence toutes les artères des
membres
, jusqu'aux arcades plan- taires et palmaires, r
ntré à la Société médicale des hôpitaux les différentes artères des
membres
sur les radiographies du malade de Gail- liard,
ème autopsie de Gilles de la Tourette (1), les troncs ner- veux des
membres
inférieurs ont été examinés. On y a trouvé un pro
l est donc un fait certain, que dans les trois cas où des nerfs des
membres
inférieurs ont été examinés, ils ont été trouvé
echner ont signalé l'influence et l'éducation des mou- vements d'un
membre
sur les adaptations motrices de son congénère.
croisée de l'éducation (1). Mais l'influence des mouvements d'un
membre
sur ceux de son congé- nère n'est pas seulement
ement analogue peut être produit par des mouve- ments préalables du
membre
inférieur gauche, par des mouvements d'arli- cu
sans émission de sons. J'avais relevé l'influence des mouvements du
membre
supérieur droit sur les mouvements d'articulation
tion- des mouvements de mastication, l'association de mouvements du
membre
inférieur du côté correspondant au médius qui t
eption, c'est dans le cas où le travail associé est le mouvement du
membre
infé- rieur gauche qui constitue un travail add
la main gauche, 183, 99; sous l'inlluencedes mouvement associés du
membre
inférieur droit 161, 99, sous l'influence de mo
inférieur droit 161, 99, sous l'influence de mouvements associés du
membre
inférieur gauche, 133, 86, soit en moyenne 162,
d'oedème blanc, dur, indolore, à répar- tition segmentaire sur les
membres
(3). « Le terme de trophoedème sans épithète, d
3 générations, naquirent avec cette affection portant tantôt sur un
membre
inférieur, tantôt sur les deux ; un des enfants p
sur 3 générations el ayant présenté à leur naissance un oedème des
membres
inférieurs qui ne disparut pas avec )'age. La d
? indolore, occupant un ou plusieurs seg- ments de l'un ou des deux
membres
inférieurs et persistant la rie entière sans pr
ion de M. II. Mabille fait connaître un cas de trophoedème des deux
membres
inférieurs, coexistant avec une affection nerve
thermiques). Nous avions noté également des troubles sensitifs des
membres
inférieurs chez une de nos malades. La coexiste
llulo-cutané. Le lropltoedt;me chronique frappe-t-il uniquement les
membres
infé- rieurs ? Telle semble être sa localisat
ce sur un seul pied, les deux pieds, une jambe, les deux jambes, un
membre
inférieur tout entier, ou les deux à la fois Au
a Pitié, avec mon ami, M. Ernest Dupré. L'aspect éléphantiasique du
membre
inférieur gauche conduisit M. E. Dupré à recher
r l'existence de cet oedème, blanc, dur, indolore, localisé au seul
membre
inférieur gauche, ne s'accompagnant d'aucun autre
de la SALPi.1 KILK. @r. XIV, 1'l. Lez TROPHCEDEME CHRONIQUE DU
MEMBRE
INFERIEUR GAUCHE (Hm,.\, 5\Crige). Masson &am
tc. C'est bien encore un exemple de trophoedème localisé à l'un des
membres
inférieurs. ' ? Mais voici que deux observation
de M. Rapin nous permettent d'entre- voir une localisation sur les
membres
supérieurs. Chez sa première malade, l'affectio
croisée (bras droit et jambe gauche). Chez la dernière, les deux
membres
supérieurs sont atteints simultané- ment. Bien
elle femme est atteinte d'un oedème blanc, dur et indolore des deux
membres
supérieurs, ayant présenté pendant 30 ans les m
oïncidence ? ? Au demeurant, la localisation du trophoedème sur les
membres
supé- rieurs n'a rien que de très vraisemblable
, tantôt acquis, tantôt isolé, tantôt accompagné d'hypertrophie des
membres
, est produit le plus souvent par une hypertroph
démateuse puisse se manifester sur le visage aussi bien que sur les
membres
. Cependant dans les cas bien étudiés jusqu'alor
e dans les cas où il est associé à l'hypertrophie squelettique d'un
membre
. J'ai déjà trop insisté sur les liens de parent
lle qu'on la voit frapper avec une préférence digne de remarque les
membres
inférieurs : oedème claro- nique, blanc, dur, i
edème sera définitivement établie. SUR UNE FORME D'HYPERTROPHIE DES
MEMBRES
(DYSTROPHIE CONJONCTIVE MI'ÉLUPATH1QUE PAR n
IE CONJONCTIVE MI'ÉLUPATH1QUE PAR n le Dr E. RAPIN (de Genève),
Membre
correspondant de la Société de Neurologie de Pari
té caracté- risée par l'augmentation de volume d'un ou de plusieurs
membres
. Bien que ces singularités pathologiques se rap
mpresser de couper la chemisette. Nous constatons, en effet, que le
membre
supérieur droit est tuméfié dans toute sa longu
symptômes, aucun signe accompagnant ou expliquant ce gonflement du
membre
: pas d'adénopathie, nulle cause apparente de com
sultation avec le Dr E. Revilliod. Surpris comme nous à l'aspect du
membre
, notre distingué confrère se demande également
ent de notre arrivée. 12. -- Etat général meilleur ; a bien dormi ;
membre
moins enflé. Le bord cubital donne encore l'imp
. A cette époque-là - l'enfant avait 3 ans -la mère remarqua que le
membre
inférieur gauche, la cuisse surtout, paraissait p
oto- graphie (PI. LXII) représente Alice à cette date. La cuisse du
membre
affecté mesure circulairement 10 centimètres de
urelle, douce au toucher, et donne à la palpation l'impression d'un
membre
grassouillet, d'élasticité partout égale. La pres
'aiguille fasse perler une gouttelette de sérosité transparente. Le
membre
, de température peut-être légè- rement abaissée
traîne cependant quelque peu la jambe et il arrive que le poids du
membre
cause parfois des chutes ; aussi le soulier gauch
oisé, de coloration partout égale, qui n'a occupé exactement que le
membre
abdominal hypertrophié, s'arrêtant au pli de l'
rès discrète, et, fait à noter, ne se développa aucun bouton sur le
membre
hyper- trophié qui avait été envahi par le rash
. La peau est partout d'égale coloration ; elle est assez tendue au
membre
inférieur pour ne causer par pression digitale
donne du sang. Le système pileux semble un peu plus apparent sur le
membre
inférieur hypertrophié, les poils légèrement pl
uels nous avons montré l'enfant. SUR UNE FORME D'nYPEnTROPniE DES
MEMBRES
477 La température dé la peau parait être légèr
t être légèrement plus basse à la jambe hyper- trophiée. Les deux
membres
inférieurs n'ont pas conservé leur différence de
posé. Quinze mois plus tard, découverte du développement exagéré du
membre
inférieur gauche, sans fièvre ni douleur. Pouvons
r atteindre pareil volume, le tra- vail d'hypercroissance auquel le
membre
était livré a dû y mettre du temps. Une durée d
ns : même début fébrile, même variété dans la distribution dans les
membres
. C'est peu pour entraîner la conviction, dira-t
e, qui, en plus ou moins grande abondance, se fait parfois dans les
membres
, à la suite du coup porté sur la moelle par l'a
ion d'un pannicule graisseux plus épais que celui qui enveloppe les
membres
sains, Dans quelques cas exceptionnels, le tissu
compenser la perte de volume causée par l'atrophie, mais rendre le
membre
malade plus volu- mineux encore que celui du cô
s-cutanée, thèse de Paris, 1818. - SUR UNE FORME D'HYPERTROPHIE DES
MEMBRES
481 aux compressions médullaires, aux méninao-m
ne ». Selon Vulpian (2), « le tissu cellulo-adipeux sous-cutané des
membres
ou des segments de membre frappés d'atrophie es
le tissu cellulo-adipeux sous-cutané des membres ou des segments de
membre
frappés d'atrophie est d'ordinaire plus épais q
masquer entièrement l'atrophie ou même de simuler l'hypertrophie du
membre
. Cette adipose, ajoute-t-il, est loin d'être co
e infantile - début fébrile, paralysie motrice d'un ou de plusieurs
membres
, atrophie muscu- laire graisseuse avec les défo
infantile, en raison de la lipomatose que prennent quelquefois les
membres
infé- rieurs, nous disait le professur Raymond
de les faire figurer comme le point de départ de l'hypertrophie du
membre
inférieur. La paralysie également affecte tous
urs en rapport avec le degré et l'étendue de la paralysie. Ainsi un
membre
pourra avoir perdu la plupart de ses muscles, a
timètres seulement, tandis que la diminution de longueur d'un autre
membre
ira jusqu'à 5 ou 6 centimètres, quoique la lési
nservé leur force et leur dimension normale ; seul, le squelette du
membre
atteint a subi un arrêt de développement. D'aut
une proportion entre l'atrophie des muscles et celle des os dans le
membre
paralysé. » L'on voit par ces quelques citation
rès voisins sont souvent tou- chés. L'idée que l'hypertrophie des
membres
, dont on a décrit des types divers, pouvait rel
uble trophique : « L'on chercherait en vain cette adi- pose sur les
membres
des hystériques qu'une hémiplégie ou une paraplé-
ans certaines affections nerveuses SUR UNE FORME D'HYPERTROPHIE DES
MEMBRES
487 cifique, M. Vanlair fait valoir de bonnes r
urs susnommés en faveur d'une subor- dination de l'hypertrophie des
membres
à une lésion médullaire, leurs lé- gitimes soup
ermination sur un bras, suivie plus tard d'un phénomène analogue au
membre
inférieur. Ces quelques données, en leur énoncé
vu survenir des syphilides malignes précoces partout excepté sur le
membre
atrophié. JoLLY a observé un cas semblable pour
té sur le membre atrophié. JoLLY a observé un cas semblable pour le
membre
inférieur. Lannois rappelle à ce propos l'absence
s l'absence d'éruption au cours des fièvres éruptives au niveau des
membres
atrophiés consécutivement à une para- lysie inf
un homme atteint d'une éruption syphilitique qui avait respecté le
membre
inférieur droit atrophié. L'on pourrait objecter
emarquerons d'abord que dans les cas d'hypertrophie unilatérale des
membres
qui ont élé publiés, l'on note cette particular
ser un lien de parenté entre diverses catégories d'hypertrophie des
membres
. Au membre inférieur, par contre, les trou- ble
de parenté entre diverses catégories d'hypertrophie des membres. Au
membre
inférieur, par contre, les trou- bles trophique
tion - irritation, excitation - du centre trophi- que conjonctif du
membre
abdominal gauche. Dans le domaine quelque peu a
mes aventuré, nous avons cherché à démontrer que l'hypertrophie des
membres
, telle qu'elle se présente chez notre jeune suj
ercher, une augmentation de volume pareille à celle que présente le
membre
inférieur chez le même sujet, est une curiosité
arçon de Mans, atteint depuis j'age de 10 ans d'une hypertrophie du
membre
inférieur droit absolument comparable à celle q
- (1) Lyon médical, 1897, no 21. SUR UNE FORME D'HYPERTROPHIE DES
MEMBRES
491 sive et active du membre est normale, la fo
1. SUR UNE FORME D'HYPERTROPHIE DES MEMBRES 491 sive et active du
membre
est normale, la force conservée, la sensibilité
a force conservée, la sensibilité intacte. On note seulement que le
membre
donne à la main une sensation de fraîcheur d'ai
alade at- teinte de paralysie infantile avec oedème considérable du
membre
infé- rieur droit, M. Meige admet que le diagno
essant, car ce ne fut qn'iL 18 ans que la différence entre les deux
membres
devint très marquée. Mariée il 2t ans, Mme G. e
LXIII DYSTROPHIE CONJONCTIVE CONGÉNITALE. OEDÈME CONGENITAL des
membres
supérieurs et de la moitié droite delà face. (R
la locomotion. Mme G... ne peut supporter aucune constriction de ce
membre
. Les tenta- tives de compression faites autrefo
la mensuration n'indique pas de différence sensible entre les deux
membres
supérieurs. Mme G. travaille debout et fait aller
la variole. Faut-il voir là la cause lointaine de l'hypertrophie du
membre
? Sans en avoir la certitude absolue, nous nous
d'attirer l'attention sur ce rappro- chement. L'hypertrophie des
membres
peut être aussi d'origine congénitale. Avons-no
de présenter l'enfant à la Société médicale de Ge- nève. Les deux
membres
supérieurs sont fort augmentés de volume. L'hyper
29 seulement. C'est à l'avant-bras que la différence entre les deux
membres
est le plus considérable : 0 m. 37 et 0 m. 27 ; a
rième métacarpien. La malade avait SUR UNE FORME D'HYPERTROPHIE DES
MEMBRES
493 beaucoup maigri. Elle s'est refusée, m'a-t-
utation par- tielle (1). (1) Il semblerait que l'hypertrophie des
membres
place les porteurs de cette infir- mité dans un
ice F..., a été atteinte d'une lymphangite (ou d'un érysipèle) de son
membre
inférieur hypertrophié qui, pendant quelques jo
ments. La porte d'entrée fut une excoriation au deuxième orteil. Le
membre
était enflé, dou- loureux et de coloration rosé
és et nombreux de dégénérescence que présen- tent les sujets et les
membres
de leur famille. Observation I (PI. LXIV). Lo
rtrophiée. Le mollet a 0 m. 428 de tour et la cuisse 0 m. 415. Le
membre
inférieur sain est d'une maigreur extrême et rapp
La face est couverte de taches vineuses irrégulières. Les bras, le
membre
hypertrophié sont marbrés de ces mêmes taches, sa
nd foncé sont devenus d'un blond plus doux. De temps en temps, le
membre
inférieur subit une poussée d'accroissement. La
somme, il s'agit bien d'un oedème blanc, dur, indolore, localisé au
membre
inférieur droit, présentant tous les caractères d
aine. Taille : 1 ni. 204, au lieu de 1 m. 52. Poids : 28 kilo-. Les
membres
inférieurs sont uniformément gros, cylindriques,
III. Mme C..., 52 ans, multipare, a vu se développer et grossir le
membre
infé- rieur gauche depuis 3 ans. A cette époque
ns : TROPHDEDÈ11ME CHRONIQUE 501 trière. La maigreur, la forme du
membre
sain, la conformation du thorax, les anomalies
e malade, naine, infantile. Elle présente un oedème appréciable des
membres
inférieurs. En 1896, nous avons donné la thy- r
GRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XIV. I'L. lXVl1 T1OPIID1 : 1111 : DES
MEMBRES
INFERIEURS (Mabille.) llnss0\ s2 C ? l : ldcu
imace. , La force musculaire est diminée droite et à gauche pour le
membre
. supérieur, sans qu'il y ait de paralysie vérit
évolution de la maladie qui a engendré le développement exagéré des
membres
inférieurs s'est accentuée. Actuellement les
TROP11OEDÈME 505 Quand on pique la malade avec une aiguille sur les
membres
inférieurs, on trouve que la sensibilité à la d
pratiquer en raison de l'épaisseur des tissus. J'ajouterai que les
membres
inférieurs ne sont pas atteints de paralysie co
jambes sont à peu près nuls. Comme la photographie l'indique, les
membres
supérieurs n'ont pas participé au développement
ieurs n'ont pas participé au développement exagéré constaté sur les
membres
inférieurs ; ce développement s'arrête, comme j
énomènes qui font surtout l'objet de cette relation, dystrophie des
membres
inférieurs, avec développement considérable du tr
de la sensibilité thermique, phénomènes paralytiques affectant les
membres
inférieurs comme on les rencontre dans l'hémiplég
udrions appeler l'attention a trait à l'accroissement in- solite du
membre
inférieur. , Les troubles de cette nature ont f
bservations de même nature et note l'hérédité similaire chez divers
membres
de la même famille. Il en est de même des cas de
lier que l'accroissement signalé chez notre malade affecte les deux
membres
intérieurs d'une façon symétrique et qu'il en e
à admettre que l'anesthésie comprend toute la partie inférieure des
membres
pelviens et est limitée en haut par une ligne c
he de la moelle lombo-sacrée d'autant plus élevée que le segment de
membre
atteint est lui-même plus haut. Dans notre ob
personnelle. L'hypertrophie faciale peut exister seule, ou bien les
membres
du même côté sont également hypertrophiés ; dan
ns plus rares (Lewen) l'hémihypertrophie est croisée. La face et le
membre
supé- rieur sont hypertrophiés d'un côté, le me
. La face et le membre supé- rieur sont hypertrophiés d'un côté, le
membre
inférieur du côté opposé, il est sans doute exc
il est sans doute exceptionnel que la face soit prise d'un côté, les
membres
et le tissu du côté opposé : dans leur travail,
une fillette de 12 ans atteinte d'hémihypertrophie du corps et des
membres
(la face est respectée), très marquée surtout p
t des membres (la face est respectée), très marquée surtout pour le
membre
supérieur et plus particulièrement encore pour
qu'après l'avoir déshabillée, c'est la moitié gauche du corps et les
membres
gauches qui l'emportent par le volume sur ceux
diffé- rence entre les deux côtes est beaucoup plus grande pour les
membres
infé- rieurs que pour les membres supérieurs.
est beaucoup plus grande pour les membres infé- rieurs que pour les
membres
supérieurs. La peau est plus épaisse sur tout l
sur tout le côté gauche, mais principalement au 510 ANDRÉ THOMAS
membre
inférieur, où elle semble trop grande pour la sur
s téguments sont égales des deux côtés. La différence de volume des
membres
inférieurs n'est pas uniquement imputable à un dé
nt exagéré des téguments ; car, à la palpation profonde, les os des
membres
infé- rieurs (fémur, tibia et péroné) paraissen
du côté gauche et il en est de même pour les muscles. D'ailleurs le
membre
inférieur gauche est plus long que le droit. L'
forte à gauche qu'à droite. A ce premier examen, les mouvements des
membres
droits nous ont paru avoir une amplitude un peu p
s nous ont paru avoir une amplitude un peu plus grande que ceux des
membres
gauches : d'autre part l'examen électrique a donn
tion de la contractilité faradique pour les nerfs et les muscles du
membre
inférieur gauche. Les réflexes rotuliens sont per
à l'examen de cette enfant, c'est l'hypertrophie consi- dérable du
membre
supérieur gauche, hypertrophie plus accentuée à l
he, hypertrophie plus accentuée à la péri- phérie qu'à la racine du
membre
(PI. L1'III, C). La main gauche n'est pas seule
de même pour le bras, mais à mesure qu'on remonte vers la racine du
membre
, les différences sont de moins en moins sensibles
en mesure que 28 ; de même il existe une petite différence dans les
membres
inférieurs, non pas dans la longueur mais dans
s la circonférence, elle ne s'appliqued'ailleurs' qu'à la racine du
membre
et la circonférence de la cuisse est à gauche de
e la cuisse est à gauche de 38 centimètres et à droite de 37. Aux
membres
inférieurs comme aux supérieurs, il n'existe aucu
qui siège à droite sur la face et sur la langue, et à gauche sur les
membres
et sur le tronc. J A la face l'hypertrophie e
'y a pas de dif- ' férence appréciable. ' Sur le tronc et sur les
membres
, plus particulièrement pour le membre inférieur
e. ' Sur le tronc et sur les membres, plus particulièrement pour le
membre
inférieur, la différence entre les deux côtés e
coup moins épaisse que la première fois, aussi bien à la face qu'au
membre
inférieur où la différence était le plus sensible
KYLOSES GENERALISEES de la colonne vertébralc et de la totalité des
membres
CLINIQUE MÉDICALE DE L'IIOTEL-DIEU DE PARIS (
KYLOSES GÉNÉRALISÉES DE LA COLONNE VERTÉBRALE ET DE LA TOTALITÉ DES
MEMBRES
PAR E. APERT, chef de clinique de la Facult
par son ensellure prononcée, par la position en demi-flexion de ses
membres
, avec saillie exagérée des attaches des mus- cl
ge en bas et,en dehors et la jambe droite un peu en dedans. , Les
membres
supérieurs semblent démesurés, et quoiqu'à demi i
menus. Cette démarche bizarre tient à ce que les articulations des
membres
inférieurs sont atteintes d'ankylose presque co
l en est de même du reste des articulations du tronc, du cou et des
membres
supérieurs. , - La tête est presque totalement
té chez ses malades. Quant aux largeurs des différents segments des
membres
, les mensuratious suivantes mises en regard de
nq centimètres, non seu- lement par la position semi-fléchie de ses
membres
inférieurs qui ne lui en fait pas perdre beauco
e, de la cuisse et de la jambe. Aussi, sur les photogra- phies, les
membres
supérieurs semblent de dimension exagérée et donn
e et donnent au malade l'allure d'un anthropoïde. Si l'extension du
membre
supérieur était 'possible, l'extrémité du médiu
KYLOSES GENERALISEES de la colonne vertébrale et de la totalité des
membres
(E. Ae-t.j Photographies ltU squelette ANKY
. Ae-t.j Photographies ltU squelette ANKYLOSES GÉNÉRALISÉES 521
membres
, l'absence de soudure osseuse, l'existence d'une
arie, même en la supposant étendue par exception aux extrémités des
membres
, une différence de nature empêchant tout rappro
er, de conserver et d'étudier à loisir la colonne vertébrale, et le
membre
inférieur droit. Afin d'avoir entière l'articul
avoir entière l'articulation de la hanche nous avons enlevé avec le
membre
infé- rieur la plus grande portion de l'os coxa
e scie. Ces lésions se sont retrouvées dans toutes articulations du
membre
inférieur, tant à la hanche,au genou et au cou-
dans l'examen des os de ce ma- lade, c'est du côté des os longs des
membres
, une sorte d'aplatissement des extrémités artic
ion qu'elle a à supporter le plus habituellement. Les os courts des
membres
sont peu altérés. En revanche, un certain nombr
e rachitisme, ni d'ostéomalacie. Si l'on n'examinait que les os des
membres
on pourrait à la rigueur considérer qu'il s'agit
hon. C'est le chirurgien. De la main gauche, il soulève le talon du
membre
blessé. De son côté, le malade soutient le mollet
roite a un double but : il sert de point d'appui pour le soutien du
membre
tout entier, en même temps que par la pression
poison de Socrate, la cigué. Il le but; mais en vain, car déjà ses
membres
étaient glacés. On admettait en effet que l'actio
voyons pas non'plus que les veines saphènes aient été ouvertes aux
membres
inférieurs. A cette scène majestueuse, manque u
kylose généralisée de la colonne verté- brale et de la totalité des
membres
, par A. APERT (2 pl. en photocollogr.), 517.
ce, par Lucien Mayet (1 pl. en photograv.), 266. Hypertrophie des
membres
(Sur une forme d'), par E. Rapin (2 pl. eu phot
lose généralisée de la co- lonne vertébrale et de la totalité des
membres
(2 pl. en photocollogr.), 517. BEAUVOIS A. La g
n photocollogr.), 19. Rapin E. Sur une forme d'hypertrophie des
membres
(2 pl. en photocollogr.), 473. Riche, mousseux
lose généralisée de la colonne verté- . braie et de la totalité des
membres
(A. APERT), LXX et LXXI. Démoniaques (Les) et
e anatomique de dégénérescence (L. Mayet), XXXI. Hypertrophie des
membres
(E.BApiri),XLII et XLIII. Kystes parasitaires
d'un adolescent. La tête est forte pour la taille. La poitrine, les
membres
sont gras et potelés, le ventre est gros et lég
ssance, sa tête reste grosse relativement au reste du corps, si ses
membres
inférieurs ne deviennent pas plus longs que les
rps, si ses membres inférieurs ne deviennent pas plus longs que les
membres
supérieurs, s'il ne fait pas ses dents, s'il a
oteurs spinaux qui détermine l'arrêt de développement en masse d'un
membre
frappé de paralysie infantile au cours de la prem
immobile au lit ou dans un fauteuil, sans prononcer une parole, les
membres
raides, les yeux fermés ; les mâchoires serrées
aires, pas de troubles des réflexes. Attitudes cataleptiformes. Les
membres
conservent les attitudes fatigantes qu'on leur
ement, très insidieusement, s'installe une cer- taine gêne dans les
membres
inférieurs, la marche est pénible, et, peu à peu,
ONNEIX alitée pendant deux mois, reprenant peu à peu l'usage de ses
membres
supé- rieurs d'abord, puis de ses membres infér
peu à peu l'usage de ses membres supé- rieurs d'abord, puis de ses
membres
inférieurs, recouvrant enfin la souplesse de sa
ied et ceux des orteils ont toujours été parfaitement libres. Les
membres
supérieurs ne sont pas tout à fait normaux, bien'
ire de la colonne vertébrale, et aux articulations de la racine des
membres
. Il a dé- buté insidieusement, sans douleurs d'
; 3° ankylose purement fibreuse des articulations de la racine des
membres
, ankylose mixte de la colonne vertébrale : fibr
tion débute par les muscles de la nuque, du dos, de la ra- cine des
membres
pour envahir l'un après l'autre tous les muscles,
ations de la racine, mais atteint parfois celles de l'extrémité des
membres
. La maladie se développe sous l'influence de deux
ni d'anesthésie ; elle a atteint les articulations de la racine des
membres
. Autant d'éléments qui différencient notre cas
de la plupart des articulations, débutant par les extré- mités des
membres
pour atteindre en dernier lieu la colonne vertébr
e-ci, l'ankylose s'est localisée aux articulations de la racine des
membres
et à la colonne vertébrale et a presque complèt
lose plus ou moins pronon- « cée des articulations de la racine des
membres
, les petites articulations « des extrémités dem
roubles de la déglutition. Quant aux articulations de la racine des
membres
, elles présentent des lésions analogues, surtou
craquements. Dans les formes pures, les autres arti- culations des
membres
sont intactes. Ces ankyloses osseuses détermine
nkylose vertébrale et l'ankylose des articulations de la racine des
membres
, on comprendra que, cliniquement, M. Gasne ait pu
transversale. (Pal et Carmin). ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES
MEMBRES
SUPERIEURS TYPE ARAN-DUCHENNE, PAR NEVRITE INTE
STITIELLE HYPERTROPHIQUE. LONG. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES
MEMBRES
SUPÉRIEURS si pendaison, le second est mort en
ers, assistants du service, donnent les renseignements suivants :
Membre
supérieur gauche. - Les muscles de la main sont c
épineux ne paraissent pas atteints. L'impotence fonctionnelle de ce
membre
supérieur gauche est complète, il pend inerte le
r gauche est complète, il pend inerte le long du corps (Pl. ? A).
Membre
supérieur droit. De ce côté l'atrophie est arrivé
état lisse de la peau qui est très mince. La face, le tronc et les
membres
inférieurs sont indemnes de tout trouble paraly
avoir quelquefois des fourmillements et des crampes, tantôt dans le
membre
supérieur droit, tantôt dans le gauche, au niveau
chroniques et y reste jusqu'en 1899. L'atrophie et l'impotence des
membres
supérieurs persistent 48 . LONG mais ne parai
malade s'est plainte au début de dou- leurs intermittentes dans les
membres
atrophiés, partant parfois du rachis ou de la r
les membres atrophiés, partant parfois du rachis ou de la racine du
membre
et pareilles à des douleurs lancinantes ou fulgur
iki qui m'avait signalé ce cas intéressant. Nous constatons que les
membres
supérieurs seuls sont atteints par l'atrophie m
urs seuls sont atteints par l'atrophie musculaire ; le tronc et les
membres
inférieurs sont indemnes et la malade peut fair
et la malade peut faire à pied de longues promenades. L'atrophie des
membres
supérieurs n'est pas symétrique, elle est beauc
la sensibilité. La malade dit ne pas sen- tir de douleurs dans les
membres
paralysés (ce n'est que rétrospectivement que n
ve de nature myélopathique à distribution asymé- trique limitée aux
membres
supérieurs et arrêtée depuis longtemps dans son
dinale. ([>,11 et Carmin). ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES
MEMBRES
SUPERIEURS TYPE ARAN-DUCHENNE, PAR NEVRITE INTE
TROPHIQUE. (Long, de Genève.) ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES
MEMBRES
SUPÉRIEURS 49 pelle les lésions bien connues de
. Pal et carmin. Oc. 1, obj. 3. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES
MEMBRES
SUPÉRIEURS 51 un feutrage plus ou moins épais e
l et carmin. Oc. III, obj. 6. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES
MEMBRES
SUPÉRIEURS 53 Nombre de gaines fibreuses ne con
xyline-éosine. Oc. III, obj. 6. atrophie musculaire PROGRESSIVE DES
MEMBRES
SUPÉRIEURS 55 est notablement plus atrophié que
ouzaine d'années d'évolution. Intégrité de la face, du tronc et des
membres
inférieurs. Pas de trou- bles de la sensibilité
cutanée. Douleurs intermittentes pendant quel- ques années dans les
membres
supérieurs. Mort à 67 ans par néo- plasme des v
(poliomyélite antérieure chronique). Le début pa les extrémités des
membres
supé- , rieurs, l'extension lente et progressiv
nt légitimer ce diagnostic. L'intégrité des muscles du tronc et des
membres
inférieurs s'expliquait par l'arrêt de l'évolutio
la malade a souffert pendant plusieurs années de douleurs dans les
membres
supérieurs, douleurs intermittentes, variables de
mme des douleurs lancinantes à long trajet partant de la racine des
membres
ou même du rachis. Ces douleurs que l'on prit p
(poliomyélite antérieure chro- atrophie musculaire PROGRESSIVE DES
membres
SUPÉRIEURS 57 nique, syringomyélie, sclérose la
rvation I (atrophie musculaire progressive de la main droite et des
membres
inférieurs, intégrité de la main gauche) montre
itielle. Dans l'observation II (atrophie musculaire progressive des
membres
supérieurs et inférieurs) il trouve des lésions
e Mus- kelhypcrtrophie, 1813. atrophie musculaire PROGRESSIVE DES
membres
SUPÉRIEURS 59 res et des nerfs périphériques, e
nerfs périphériques, et dans les muscles des lésions fibreuses aux
membres
supérieurs, lipomateuses aux membres inférieurs.
cles des lésions fibreuses aux membres supérieurs, lipomateuses aux
membres
inférieurs. Les mo- difications des nerfs périp
ervation I de ce travail est une atrophie qui atteignit d'abord les
membres
inférieurs et fut attribuée à des névrites suit
des névrites suite de gelure et de blessures par éclat d'obus ; les
membres
supérieurs se prirent plus tard alors que le ma
emps des secousses fibril- laires visibles et des douleurs dans les
membres
atrophiés. L'examen his- tologique montre une d
trophiques des éléments nerveux ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES
MEMBRES
SUPÉRIEURS 63 ou musculaires. A proprement parl
atrophie musculaire avait atteint les mem- bres inférieurs puis les
membres
supérieurs il y avait des lésions des cor- dons
ces troncs nerveux. L'observation I de Friedreich (atro- phie d'un
membre
supérieur et des deux membres inférieurs) indique
ation I de Friedreich (atro- phie d'un membre supérieur et des deux
membres
inférieurs) indique une intégrité évidente de l
ures plus que les postérieures. Dans l'observation II (atrophie des
membres
supé- rieurs et inférieurs) les lésions portent
lésions des fibres mus- culaires s'accompagnaient de lipomatose aux
membres
inférieurs, de sclé- rose interstitielle simple
ose aux membres inférieurs, de sclé- rose interstitielle simple aux
membres
supérieurs. Les deux cas publiés par Dubreuilh
sur les coupes transversales et ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES
MEMBRES
SUPÉRIEURS 65 longitudinales des nerfs cette or
sont traduites par une atrophie musculaire progressive, limitée aux
membres
supérieurs avec prédominance du côté gauche et pa
s était donné par l'association de phénomènes spasmodiques dans les
membres
infé- rieurs avec des phénomènes ataxiques et c
rs l'âge de 60 ans, au dire du malade, par de la faiblesse dans les
membres
inférieurs. Cette faiblesse des jambes cependan
conservée d'une façon à peu près égale dans ,tous les segments des
membres
inférieurs et supérieurs. Le malade ne fait pas t
lques petites oscillations, analogues à celles qui existent dans le
membre
supérieur droit et qui tiennent plutôt du tremb
force musculaire est très bien conservée dans tous les segments des
membres
inférieurs et supérieurs. L'épreuve de la diadoco
utané plantaire en extension des deux côtés. Réflexes tendineux des
membres
supérieurs pas exagérés. Réflexe pupillaire à l
a démarche allaient en augmentant de même que les troubles dans les
membres
supé- rieurs ; quant à la parole elle allait en
. La force musculaire est bien conservée dans tous les segments des
membres
supérieurs et inférieurs ; elle est cependant p
es supérieurs et inférieurs ; elle est cependant plus forte dans le
membre
inférieur droit que dans le gauche. Il n'y a
e dans le gauche. Il n'y a pas d'incoordination proprement dite des
membres
supérieurs. Quand 70 ITALO ROSSI le malade sa
ose en plaques. Il existe des troubles de la diadococinésie dans le
membre
supérieur gauche et non dans le membre supérieu
de la diadococinésie dans le membre supérieur gauche et non dans le
membre
supérieur droit. On note aussi dans les mouvement
it. On note aussi dans les mouvements de flexion et d'extension des
membres
inférieurs à droite et à gauche, un certain deg
it en extension aussi à droite. Le tremblement particulier dans les
membres
supérieurs était devenu plus accusé. ' Mort le
laire est à peu près également conservée dans tous les segments des
membres
inférieurs et supérieurs ; la motilité des yeux
bilité sub- jective et objective sous la forme de douleurs dans les
membres
infé- rieurs et de légère hypalgésie aux jambes
cordons latéraux suffit à expliquer la légère spasmodicité dans les
membres
infé- rieurs et le réflexe cutané plantaire en
s après le début des troubles oculaires, elle éprouva dans tous les
membres
des douleurs nettement fulgurantes, tout à fait c
uleurs fulgurantes, non plus profondes mais superficielles, dans le
membre
inférieur droit et la cuisse gauche. L'attent
bauché. La force musculaire est difficile à apprécier, car tous les
membres
sont dou- loureux à des degrés divers ; d'une f
on des réactions normales. Dans les divers mouvements commandés des
membres
supérieurs et infé- rieurs, il existe des phéno
mentée de volume, mobile encore, mais sensible à la pression. Les
membres
supérieurs ne présentent aucune déformation appré
ent, consistant en une élévation de température locale occupant les
membres
supérieurs et inlé- rieurs du côté droit, et qu
assez bien, au moins en ce qui concerne leur sécrétion interne. Les
membres
sont arrondis et très gros. Par contre, on n'obse
e ni une hypertrophie des extrémités ni un allongement excessif des
membres
infé- rieurs par rapport au tronc comme chez la
géants. Voici maintenant, quelques mesures de la circonférence des
membres
comparées à celles prises chez un adulte normal
cin est appelé à se prononcer sur les proportions relatives de deux
membres
ou de deux segments d'un même membre, ou de tel
proportions relatives de deux membres ou de deux segments d'un même
membre
, ou de telle ou telle partie du corps par rappo
on, la station, la marche, la course, et les mouvements simples des
membres
. A ce propos, Paul Richer a de nouveau insisté,
NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. T. XX, PL. XIII. SQUELETTE DU
MEMBRE
SUPÉRIEUR (SUITE) Pal. 7. m : "111 n ? C'I' e.t
N : OUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XX, PL, XIV. MUSCLES DU
MEMBRE
SUPÉRIEUR (ÉCORCHÉ, SUITE) t'v Il 01 Pad PsAn t
VI ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XX, PL. XVI 1. SQUELETTE DU
MEMBRE
INFÉRIEUR (SUITE) ru l*). 1.1 ? Plan PQSTi..W £
OUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XX. PL. XVIII. MUSCLES DU
MEMBRE
INFÉRIEUR (ÉCORCIIÉ, SUITE) PL.26. l'un ur8nw £
lorsqu'ils ont ainsi figuré tous les os d'une partie du corps, d'un
membre
par exemple, on leur présente un modèle nu sur le
santé ; en particulier jamais de douleurs dans la tête ni dans les
membres
. Elle a continué à faire des ménages dans cet é
nsibilité normale à tous points de vue : ni sur la face, ni sur les
membres
, nous n'avons relevé d'anesthésie sous quelque mo
de tête. La marche est normale ; aucun trouble de coordination des
membres
, pas de paralysie. Réflexes tendineux. Le réf
illes, mais avec celles-ci il marche encore assez bien, en usant du
membre
inférieur droit seulement, car le gauche pend p
igidité dans les mouvements passifs ; pas d'atrophie musculaire. Le
membre
inférieur droit présente d'une façon typique l'as
ifs sont plus ou moins limités dans les diverses ar- ticulations du
membre
, du fait de la contracture. Celle-ci est surtout
LE INFANTILE 125 de la force musculaire dans les divers segments du
membre
; le pied est celui dont la motilité est le plu
lantaire est nettement en extension avec éventail des orteils. Le
membre
inférieur gauche présente un aspect tout à fait d
embre inférieur gauche présente un aspect tout à fait différent. Le
membre
tout entier montre des muscles considérablement a
ité complète, contrairement à ce qui se passe dans les mus- cles du
membre
inférieur droit; c'est ainsi que le membre présen
se dans les mus- cles du membre inférieur droit; c'est ainsi que le
membre
présente d'une fa- çon très nette l'aspect conn
aucoup plus marquée que celle déjà décrite dans la jambe droite. Le
membre
inférieur gauche est de 6 centimètres plus court
rce musculaire, on peut dire qu'il existe dans tous les segments du
membre
une paralysie presque absolue. . Il existe des
plégie que l'examen actuel montre se présenter dans chacun des deux
membres
avec des caractères tout à fait dissemblables.
des deux membres avec des caractères tout à fait dissemblables. Le
membre
inférieur droit présente en effet l'aspect typi
spect typique qu'on voit dans la paraplégie spastique infantile. Le
membre
inférieur gauche, au contraire, offre d'une façon
foyer que nous devons rap- porter la paralysie spinale infantile du
membre
inférieur gauche. Nous nous réservons de dévelo
gie cérébrale infantile, du moins des cas stricte- ment limités aux
membres
inférieurs sont fort rares. Il semble que notre
son entrée à Bicêtre, a montré l'intégrité absolument parfaite des
membres
supérieurs. Or le résultat de l'autopsie montra
noter la présence du signe de Babinski des deux côtés, même dans le
membre
gauche atteint de paralysie infantile, presque co
her ce phénomène à la même cause qui le détermine à droite, dans le
membre
qui présente d'une façon typique l'ensemble des
ession de la spasmodicité d'origine cérébrale, si manifeste dans le
membre
inférieur droit (1). Dans notre cas il semble d
hiatrie de Vienne, 3 cas de paralysie spinale infan- tile d'un seul
membre
inférieur avec réflexe cutané plantaire en extens
une courte période de temps. Dans quelques fa- milles où plusieurs
membres
furent frappés, les uns étaient atteints de par
émiplégie droite avec aphasie. Il exisleactuellement (1899) dans le
membre
supérieur droit de la parésie spasmodique avec mo
vec mouve- ments choréiformes et réactions électriques normales. Le
membre
infé- rieur du même côté est plus court que le
droite, caractère cérébral, et d'une paralysie spinale infantile du
membre
inférieur droit, survenues à l'âge de 2 ans. Le
sive, tandis que le pied droit est fixé en talus valgûs. La peau du
membre
inférieur gauche est cyanotiqueet froide. Le ré
talmoplégie : à gauche une hémiplégie spastique frappant surtout le
membre
supérieur (avec des mouvements choréo-athétosiq
ou pas d'atrophie musculaire),; à droite, une paralysie flaccide du
membre
inférieur (avec atrophie musculaire, abolition
usculaires. L'examen fait par Negro 5 mois plus tard révèle dans le
membre
inférieur droit les signes résiduels d'une poli
rescence dans le muscle jambier antérieur, sensibilité intacte). Au
membre
inférieur gauche l'aspect est (1) NEUDATH, Wien
les s'associaient parfois à des phénomènes polynévritiques dans les
membres
inférieurs, parfois à de la paralysie spinale i
e affection aiguë. En tout cas, il n'a jamais entendu dire qu'aucun
membre
de la famille ait été atteint d'un gonflement que
membre de la famille ait été atteint d'un gonflement quelconque des
membres
. ' Ce vieillard vient nous consulter au sujet d
Ce vieillard vient nous consulter au sujet de la difformité de son
membre
su- périeur gauche, et nous raconte, ainsi avec
esté stationnaire depuis la fin de 1905. Actuellement l'aspect du
membre
supérieur gauche est monstrueux, d'aspect éléph
n énorme boursouflement par empâtement effaçant tous les reliefs du
membre
; à la région dorsale de la main, l'oedème donn
godet per- sistant. ' Voici les circonférences comparées des deux
membres
supérieurs soigneuse ment repérées : 148 ' fi
cause locale pouvant, déterminer une gêne circulatoire au niveau de
membre
supérieur gauche Le coeur est en état très suffis
r, indolore», occupant un ou plusieurs segments de l'un ou des deux
membres
inférieurs et persistant la vie en- tière sans
st at- teint de vitiligo) qui ne contribuent pas peu à donner à son
membre
son aspect extraordinaire. - L'oedème est bie
recouvre. , Le trophoedème occupe, dans notre observation, tout le
membre
supé- rieur gauche, atteint d'une façon netteme
onnelle, puisque tous les cas antérieurement publiés concernent des
membres
inférieurs, sauf les deux cas de Rapin don t l'
de cette localisation, rien ne s'oppose théoriquement à ce que les
membres
supérieurs puissent, eux aussi, être lésés. bES
t clinique ressemblait vraiment beaucoup aux cas de trophoedème des
membres
inférieurs iconographiquement publiés; mais ils r
i de Sicard et Laignel-Lavastine (obs. III), où il se développe. au
membre
inférieur à la suite d'une entorse tibio-tarsienn
ette, débutant au niveau traumatisé, s'étendant vers la ra- cine du
membre
, augmentant d'intensité, et très persistante. Et
tion vicieuse du sympathique ainsi impressionné, se produira sur le
membre
lésé sous forme d'une manifestation du type seg
ndolores, occupant un ou plusieurs segments de l'un ou de plusieurs
membres
et persis- 154 ' ÉTIENNE tant la vie entière
nève, dans un travail intitulé : « Sur une forme d'hypertrophie des
membres
, dystrophie conjonctive myélopathique. » Elle été
s, malformation congénitale consistant en une hypertrophie des deux
membres
supérieurs due à la présence d'un oedème dur, n
e précédent (1). ? (1) E. Long, Atrophie musculaire progressive des
membres
supérieurs type Aran- Duchenne, par névrite int
la deuxième. s En même temps que les douleurs et la tuméfaction, le
membre
malade était le siège d'une éruption disséminée
Ces vésicules disparurent avec les douleurs, mais la tuméfaction du
membre
n'en persista pas moins. Pendant les deux ans q
la malade n'eut plus aucune douleur. Elle n'était gênée que par son
membre
inférieur gauche qui augmentait toujours. Les a
e inférieur gauche qui augmentait toujours. Les articulations de ce
membre
permettaient d'ailleurs tous les -mouvements.
urée a été courte.Ces douleurs étaient spontanées et la pression du
membre
n'était pas douloureuse. Elle souffrit encore,
ut de sa maladie, plusieurs fois de fièvres palustres. Le volume du
membre
continua encore à augmenter au point de limiter
trou- ble pour lequel le malade vient consulter est l'oedème de son
membre
in- térieur gauche (PI. XXXI). C'est un oedème
e, la pression digi- ,tale ne laisse pas de godet. La coloration du
membre
est normale. La pression n'est pasi douloureuse
liquide séreux. Les orteils ne participent pas à l'augmentation du
membre
qui n'inté- resse donc que le pied, la jambe et
ulations. Voici d'ailleurs les circonférences comparatives des deux
membres
à plusieurs niveaux : ' Cuisse droite au nive
rations). Il en était de même pour les cas de Milroy (22 cas sur 27
membres
de la fa- mille en 6 générations, ainsi que pou
ue nous avons établi dans ce cas. D'ailleurs,si la localisation aux
membres
inférieurs est la plus fréquente dans ce syndro
rophoedème et on doit se demander si l'état de la trophicité de ces
membres
n'a été simplement un simple facteur favorisant l
oise, de coloration partout égale, qui n'a occupé exactement que le
membre
abdominal hypertrophié, s'arrêtant au pli de l'
rès discrète et,faità noter, il ne se développa aucun bouton sur le
membre
hypertrophié qui avait été envahi par le rasch.
notre cas a été précé- dée par des douleurs assez intenses dans le
membre
du côté malade ainsi que par une éruption vésic
présentait, si la présence du même trouble trophique chez d'autres
membres
de sa fa- mille et dans plusieurs générations n
ifférente du mal. . La malade de Mabille présentait t'anesthésie du
membre
oedématié, sauf pour les agents thermiques. N
chez l'enfant obser- vée par cet auteur une adipose sous-cutanée du
membre
supérieur ainsi que l'oedème trophique du membr
se sous-cutanée du membre supérieur ainsi que l'oedème trophique du
membre
inférieur du côté opposé. , Le début brusque, f
lpêtrière, no 6, 1901. 2. Rapin. - Sur une forme d'hypertrophie des
membres
(dystrophie conjonctive myé- lopathique), Nouve
iliaux. Thèse de Paris, 1905. 10. Vigouroux. OEdème dystrophique du
membre
inférieur gauche, Nouvelle Ico- nographie de la
loureuse. La circonférence de la taille est de 1 m. 05. C'est aux
membres
que nous rencontrons l'infiltration la plus serré
n'est point devenu trop lâche par disparition de celle-ci ? ? Aux
membres
inférieurs, les jambes semblables à des poteaux p
l'adipose diffuse de la cuisse de celle de la jambe ; ici, comme au
membre
supérieur, l'adipose est plus abondante en arrièr
ortants ; les orteils ont une teinte asphyxique et sont froids, les
membres
sont le siège de marbrures irrégulières. La fac
crit une autre mixte où l'adipose,diffuse au tronc, se présente aux
membres
en néoplasies nettement circonscrites. Un derni
les modifications du masque cutané. La morphologie du corps et des
membres
est d'une grande exactitude. On remarque en par
méliora ainsi légèrement pendant quelques mois encore, bien que les
membres
du côté droit se fussent contractures. Il vint à
laquelle il y rentra dé- finitivement. Depuis 1880 l'état de ses
membres
du côté droit n'a pas sensiblement varié. L'oei
eut aucune envie de rire. » Il n'a jamais eu de douleurs dans les
membres
paralysés ni d'anesthésie, mais il nous dit que
te typique, avec par- ticipation du facial et de l'hypoglosse. Le
membre
supérieur droit est contracture en flexion : flex
niveau de la première et de la seconde phalange. Tout mouvement du
membre
supérieur est impossible sauf un léger degré d'ab
ieur est impossible sauf un léger degré d'ab- duction du bras. Le
membre
inférieur droit est paralysé et en extension ; il
it est paralysé et en extension ; il existe de la rai- deur dans ce
membre
, mais pas de contracture véritable ; le malade pe
uche. Troubles trophiques : Il existe une atrophie très marquée des
membres
du côté droit. La jambe gauche mesure, au milie
rotule, on a 39 centimètres à gauche et 35 centimètres adroite. Le
membre
supérieur gau- che, aussi bien à 10 'centimètre
normal. Goût et odorat normaux. Forte diminution de volume dans les
membres
paralysés. Pas de troubles sphinctériens. Pas de
de fourmillement, puis de paralysie et d'anesthésie com- plètes des
membres
inférieurs et supérieurs Le lendemain il me fut a
paralysie flasque et d'une anesthésie complète. Pas de réflexes anx
membres
supérieurs et inférieurs. Le tronc était légèreme
artie supérieure du tronc (4° cervicale),plus faible à la surface des
membres
supérieurs innervée par la 76 et 8e cervicale.
rs innervée par la 76 et 8e cervicale. La superficie interne de ces
membres
(innervée par la 1'" dorsale) restait insensible.
istait une cein- ture d'hyperesthésie douloureuse. La paralysie des
membres
supérieurs (aussi bien que des inférieurs) pers
érieure du tronc innervé par la 4e cervicale, et les sur- faces des
membres
supérieurs innervés par la 6e et la 7e. Dans le
petits foyers hémorragiques. Ces faits expliquent la paralysie des
membres
supérieurs et l'absence des réflexes tendineux.
vements actifs réapparurent lentement, spécialement aux racines des
membres
; elle pouvait mouvoir, bien qu'avec difficulté
mique, qui diminue progressivement de la périphérie à la racine des
membres
; suppression des contractions faradiques ; suppr
tensité de la paralysie dans la périphérie que dans les racines des
membres
, symptôme distinctif sur le- quel Babinski appe
'elle évolue rapidement pour se localiser dans les muscles, dans le
membre
ou membres qui doivent res- ter atrophiés d'une
ue rapidement pour se localiser dans les muscles, dans le membre ou
membres
qui doivent res- ter atrophiés d'une manière pe
ensibilité, diminuant lentement de la périphérie vers la racine des
membres
, constituent un symptôme qui, non seulement exc
es des ceintures scapulaires et des mollets. Ceinture scapulaire el
membres
supérieurs.- Les muscles qui montrent le degré
ne peut provoquer le réflexe de Bechterew. Ceinture pelvienne et
membres
inférieurs. - Les mollets présentent l'as- pect
du crâne et de la clavicule et la gibbosité constatée. Du côté des
membres
supérieurs, on remarque une malformation spéciale
e dus à la déforma- tion thoracique. Les rapports des segments du
membre
sont normaux. Longueur de l'avant-bras de ia sa
, 5 ; 25. Longueur de l'avant-bras : 21 ; 22, 5 ; 23. Du côté des
membres
inférieurs, on constate que les fémurs ont une co
que normalement. Enfin le pied est un peu plat. Les dimensions du
membre
inférieur sont les suivantes : De l'extrémité i
implantées et se sont cariées de bonne heure. » - Enfin tous les
membres
de la famille observée par Villaret et Francoz
l s'agissait d'une femme de 28 ans, de petite taille (1 m. 43), aux
membres
courts dont le mouvement de supination des deux
aillant ont un aspect spécial rappelant les organes féminins. Les
membres
, sauf une cuisse déformée par deux fractures anci
muscles antérieurs et externes, des deux côtés. En examinant les
membres
supérieurs, on est frappé immédiatement par la
|malade se plaint de fourmillements et d'engourdissement de tout le
membre
i ^supérieur. Il existe nettement une augment
naris, ni d'ulcérations des doigts (Pl. L et LI). La motilité des
membres
supérieurs n'est pas indemne; si tous les mouve-
une vigueur satisfaisante, à droite les mouvements de la racine du
membre
sont seuls normaux, la pronation et la supination
Au-dessous, c'est-à-dire dans toute la moitié droite du tronc et des
membres
, ~'les trois modes de la sensibilité superficie
ité aux trois modes Sln1\GO\(1'GLIG AVEC PHÉNOMÈNES BUL1U1HES 267
membres
supérieur et inférieur droits; elle est très dimi
ls. ' Dans les mouvements, on constate un certain degré d'ataxie au
membre
1 supérieur droit; rien de pareil il gauche. Pa
iffuse), et les troubles vasomoteurs (rougeur et refroidissement du
membre
supérieur droit). 1 Il n'y a aucun trouble sphi
que avec trépidation spinale et signe de Babinski et une parésie du
membre
supérieur droit, -accompagnée d'affaiblissement d
ux troubles trophiques et vaso- moteurs qu'on remarque au niveau du
membre
supérieur droit. Ainsi donc l'existence d'une s
ns la syringomyélie. Ces hypertrophies atteignent parfois tout un
membre
; c'est presque toujours alors le membre supéri
atteignent parfois tout un membre ; c'est presque toujours alors le
membre
supérieur qui est touché [Lunz (4), Chauffard (
ffon (1), Heldenbergh (2), Raymond et Guillaiu (3)], tantôt tout le
membre
, tantôt seulement l'avant-bras et le bras, toujou
les ne durent jamais plus de 2 à 4 jours. Depuis plusieurs mois les
membres
et surtout le bras et la jambe droits présentent
t en arrière de la ligne normale d'implanta- tion. (Pl. LIV). Son
membre
thoracique droit est représenté par son segment h
ros que sur un sujet normal ; c'est le muscle le plus volumineux du
membre
tout entier, tant en largeur qu'en épaisseur. S
morphologie de l'hérnimèle. Si même on restreint la comparaison au
membre
supérieur seul, on ne trouve pas un stade où le
dre histologique, amenant par rétraction des tissus l'amputation du
membre
(Kristeller, Menzel, Longuet). ' Il existe enfi
partie anti-brachiale. La circonférence prise au milieu du bras du
membre
amputé est de 15 centimètres ; celle du membre dr
au milieu du bras du membre amputé est de 15 centimètres ; celle du
membre
droit sain, de 17 centimètres 1/2. L'extrémité
guré et décrit avec soin un enfant mâle de 15 mois, dont les quatre
membres
étaient affectés d'hémimélie. Les testicules n'ét
, 1836, t. II, p. 214. (Genre II, Hémimèles, de ;zi, demi, et pD.o"
membre
). L'auteur rapporte deux cas : I. - Une jeune
te deux cas : I. - Une jeune fille, privée presque complètement des
membres
inférieurs, avait le membre supérieur droit bie
fille, privée presque complètement des membres inférieurs, avait le
membre
supérieur droit bien conformé, et le gauche affec
ormés, quoique n'étant articulés avec aucune autre partie osseuse. Le
membre
se terminait en un moignon hémisphérique, porta
'amputation du bras au-dessous du coude. Le bras gauche et l'un des
membres
inférieurs étaient aussi affectés d'hémimélie,
856, p. 281-284. Dissection. - Sujet mâle mort à 2 mois. Les deux
membres
supérieurs sont réduits de chaque côté à un fragm
demment de 3 enfants nés vivants et bien conformés. Dissection du
membre
. - Le cuhitus a 3 centimètres et demi, le radius
inattendue ne peut être expliquée par une différence entre les deux
membres
inférieurs. L'amoindrissement porte sur les deu
ologie. Paris, 1877 (p. 371-390). Sujet masculin de 5 mois. Les 4
membres
sont le siège d'un vice de confor- mation. Di
membres sont le siège d'un vice de confor- mation. Dissection. -
Membre
supérieur droit. La malformation ne remonte pas
ette en dedans et vient se fondre avec la partie osseuse voisine.
Membre
supérieur gauche : ici non plus, il n'y a que la
d'écrevisse. Son volume est moindre que celui de la main droite.
Membre
supérieur droit : les muscles du bras ne présente
lombricaux, mais il y a deux interosseux palmaires et un dorsal.
Membre
supérieur gauche : Les muscles du bras sont norma
cteur et le court flé- chisseur du 5°. Le palmaire cutané existe.
Membre
inférieur droit. - Tous les muscles de la cuisse
cutané et se perd à la face profonde de la peau de cette région.
Membre
inférieur gauche. Cuisse. Tout est normal ; mais
e interne de la pince et le rameau externe de la branche externe.
Membre
supérieur droit.- Les artères de l'avant-bras arr
atellites ordinaires. Les veines répondent au trajet des artères.
Membres
inférieurs. - Arrivée au creux poplité, la fémora
icroscope, n'y a trouvé absolu- rien d'anormal non plus. Nerfs. -
Membre
supérieur droit. - Le médian, au pli du coude, pa
ont sous la dépendance normale de ce nerf reçoivent ses branches.
Membre
supérieur gauche. - Le médian est très ténu ; il
r profond et se termine en deux rameaux, antérieur et postérieur.
Membres
inférieurs. Le sciatique poplité externe contourn
ser que ces rameaux anastomotiques se rendaient au petit pédieux du
membre
droit. Le sciatique poplité interne va aux jume
on d'Achille et vient se perdre dans la peau du moignon terminal du
membre
. Les nerfs se com- portent symétriquement à dro
à gauche ; il n'y a à signaler que l'absence du saphène externe au
membre
gauche. Os. - Membre supérieur droit. - Carpe.
signaler que l'absence du saphène externe au membre gauche. Os. -
Membre
supérieur droit. - Carpe. Ire rangée. Le scaphoïd
ette de l'index est soudée à celle du doigt qui serait le médius.
Membre
supérieur gauche. Le carpe se réduit il 3 os : le
premiers os du carpe ; le 5° s'unit seulement au grand os anormal.
Membres
inférieurs. Les condyles externes fémoraux, de ch
oppement porte principalement sur les avant-bras. L'extré- mité des
membres
avortés se termine par un appendice digital uniqu
ortés se termine par un appendice digital unique. On a appliqué des
membres
supérieurs artificiels. XIV. - J. GRYNFELDT, An
très impropre, puisqu'elle semble indiquer que toute la moitié d'un
membre
fait défaut, alors que, presque tou- jours, l'a
beaucoup plus limitée, ne porte que sur l'extrémité termi- nale du
membre
. Ici, l'avant-bras, raccourci et présentant à s
par arrêt de développement. Montpellier médical, 1886, p. 501. Le
membre
supérieur gauche se termine par une extrémité arr
rs supérieur avec les deux tiers inférieurs. La comparaison avec un
membre
amputé est d'autant plus exacte qu'on remarque un
a pas eu simple arrêt de développement du squelette et du reste du
membre
. Les coupes de la moelle, faites par M. Bourdon
des orteils est normale. Les orteils sont réguliers. L'attitude des
membres
est symétrique. Les deux pieds se touchent par
rmations résultant de plusieurs arrêts de développement. Du côté du
membre
supérieur droit, le bras est nor- mal ; l'artèr
gauche ; il n'y a pas trace de jambe ; près de l'extrémité libre du
membre
incomplet, à la partie postérieure, se détache
la partie postérieure, se détache perpendiculairement à l'axe de ce
membre
, une ébauche de pied. Il n'existe de tare d'auc
rteils. ' XXIV. - G. Commandeur (de Lyon). Hémimélie unilatérale du
membre
su- périeur. - Note sur l'anatomie des moignons
ur. - Note sur l'anatomie des moignons d'arrêt de développement des
membres
. Archives provinciales de chirurgie, 1896 (p. 550
caractère s'accentue à mesure que l'on s'approche de l'extrémité du
membre
. Nous n'avons pas remarqué d'anomalie. Il n'y e
olumineux que celui du côté opposé. L'avant-bras était atrophié, le
membre
se terminait par un moignon au bout duquel on ape
êt de développement et présentent des malformations qui donnent aux
membres
su- périeurs une ressemblance grossière avec le
n bas et en dedans par rapport à l'axe de cette 2e phalange. * Le
membre
supérieur gauche présente de grandes analogies, d
nte de grandes analogies, dans son en- semble, avec le squelette du
membre
droit. Muscles et nerfs. - A droite ; mouvement
iographie à la Société, est porteur d'une difformité congénitale du
membre
supérieur droit. A l'inspection, le bras pa- ra
ent de main jouit d'une mobilité indépendante. La radiographie du
membre
montre que les deux os de l'avant-bras existent
à 4 ans, ayant la tête et le tronc bien conformés ; il s'est noyé.
Membre
supérieur droit. Normal, sauf la main qui est pri
re est fléchi et ankylosé à l'articulation phalango-phalangienne.
Membre
supérieur gauche. Le bras est normal, mais il y a
t elle- même un moignon de pouce avec ongle, mais sans squelette.
Membre
inférieur. De chaque côté, il est incomplet et gr
ce une cuisse, est-ce une jambe ? Toujours est-il que ce segment de
membre
s'articule mollement à un bassin qui parait nor
al. On est embarrassé pour déterminer quel est l'os qui supporte ce
membre
abdominal, fémur ou tibia ? On ne sent pas de tub
d'une femme atteinte d'hémimélie des 330 KLIPPEL ET BOUCIIET deux
membres
supérieurs. Le bras droit ne présente plus qu'un
s sous . XXXIV. - HEITZ (J.) et Infroit (C.), Un cas d'hémimélie du
membre
abdo- minal droit, étudié par, la radiographie.
malade. Pas de nervosisme. La taille est moyenne. Le squelette, le
membre
malformé excepté, ne présente aucune difformité
gauche. L'humérus gauche a la même longueur que l'humérus droit. Le
membre
supérieur gauche se termine, un peu au-dessous
articulation une circonférence de 10 centimètres. Le coude de ce
membre
malformé reposant sur un plan résistant, le moign
isposé dans le plan vertical dans la situation où nous examinons le
membre
, est constitué par cinq tubercules cutanés, arron
élie thoracique droite, L. L... est parfaitement bien conformée. Le
membre
supérieur droit n'est représenté que par le bras
pée, à tous les modes. Des mouvements délicats sont exécutés par ce
membre
frappé d'arrêt de développement. En outre, la p
03, p. 238. Il s'agit d'un cas d'hémimélie radiale très atténuée du
membre
gauche, por- tant principalement sur la pue pha
aire, elle porte sur l'ensemble du tissu conjonctif embryonnaire du
membre
, sans égard pour les différenciations ultérieures
dans ces cas d'hémimélie que le radius. Pli. - Faix, Musculature du
membre
malformé chez un hémimèle. Bull. Soc. obstét. P
sort de leurs devanciers. Le sol est imprégné de sang et couvert de
membres
humains. Il est impossible de passer sans foule
existait alors fréquente dans le sud-ouest de la France. M. Gibert,
membre
de l'Académie émit, une opinion contraire à l'ori
ni de convulsions, ni de troubles moteurs du côté de la face ou des
membres
. Il y a deux mois, le malade ressent pour la pr
nert pas de secousses convulsives, mais pendant quelques minutes le
membre
infé- rieur reste faillie et ne peut supporter
t normaux. 11 en est de même des réflexes ten- dineux et osseux des
membres
supérieurs. Pas de troubles vaso-moteurs ni tro
il éprouve tous les huit ou quinze jours quelques secousses dans le
membre
inférieur droit. Ces secousses sont quotidienne
ces crises jacksonniennes il y a paralysie post-épileptoïde même du
membre
supérieur droit. La paralysie dure dix à quinze
une façon solide, et qu'il est un peu faible du côté droit (même au
membre
supérieur). Au dynamomètre on a cependant 60 à dr
matique révélait l'existence d'une parésie spasmodique des qua- tre
membres
, qui étaient un peu raides, et dont les mouvement
de s'en rendre compte. Tous les réflxes tendineux sont, aux quatre
membres
, notable- ment exagérés ; le clonus du pied, le
s innervés par le bulbe, dont les mouve- ments sont, comme ceux des
membres
, difficiles et maladroits. Le réflexe mas- sété
les mouvements extrêmes, en dehors, des deux globes oculaires ; les
membres
supérieurs pré- 372 RAYMOND ET ALQUIER sentai
remblement intentionnel, que présentait notre malade ; les qua- tre
membres
étaient atteints de parésie spasmodique, mais non
'autres, moins fréquem- ment observés, qui atteignent un segment de
membre
ou même unmem- (1) Schlesinger, Die Syringomyél
x- tenseurs de la main. Les réflexes tendineux étaient abolis aux
membres
supérieurs. Aux mem- bres inférieurs, il exista
e dans la région dorsale. Au point de vue de la sensibilité, sur le
membre
supérieur droit la thermo- anesthésie était trè
- sociation syringomyélique,.qui se prolongeait sur l'abdomen et le
membre
in- férieur droit à l'exception des racines sac
le musculo-cutané du côté droit. Tandis que les coupes des nerfs du
membre
inférieur ne nous ont montré que de légères lésio
ue de légères lésions de sclérose sans dégénérescence, les nerfs du
membre
supérieur droit présentaient des lésions marqué
non épaissis, sans aucune infiltration. Muscles. Les muscles des
membres
inférieurs ne présentaient aucune atrophie. Le
urrait faire remarquer que l'exagération des réflexes tendineux des
membres
inférieurs cadre bien avec la dégénération pyra
avec la dégénération pyramidale bilatérale, que leur abolition aux
membres
supérieurs dérive des lésions nerveuses périphé
les désordres sensitifs et particulièrement la thermo-anesthésie du
membre
supérieur à la destruction des cornes postérieure
la syringomyélie. Enfin, dans l'acromégalie, les hypertrophies des
membres
évoluent parallèle- ment et dans le même temps
peuvent plaider : c'est, d'une part, la juxtapo- sition sur le même
membre
des troubles trophiques divers, de la macro- 38
alie les déformations et l'hypertrophie des extrémités distales des
membres
et à (1) De CAbll3lAlRuThèse de Paris, 1899 : H
ins ni des pieds, mais seulement une raré- faction du squelette des
membres
. La question qui nous reste à résoudre est part
nnée du sys- tème nerveux, les I issus constitutifs d'un segment de
membre
(os, muscles, tissu conjonctif, peau) réagissen
elle la taille totale atteint seulement 1 m. 34. Cette exiguïté des
membres
inférieurs est ici l'unique cause du nanisme, c
me plan transversal que le premier. La mobilité du pied est minime.
Membre
inférieur gauche. Le membre abdominal gauche, plu
remier. La mobilité du pied est minime. Membre inférieur gauche. Le
membre
abdominal gauche, plus long que le droit, prése
que le gauche, la saillie des fessiers est plus accusée à gauche. '
Membres
supérieurs. - Les membres supérieurs out un dével
des fessiers est plus accusée à gauche. ' Membres supérieurs. - Les
membres
supérieurs out un développement en harmonie ave
a pas eu simple arrêt de développement du squelette et du reste du
membre
. » Mathias Duval, à l'occasion du cas de Variot
as lieu ». Chaput pense pour son observation à « un étranglement du
membre
par une bride amniotique ou par le cordon ombil
n n'a pas été tout à fait consommée puisqu'il existe un rudiment du
membre
constitué par la main et le cordon fibreux qui
e et la phocomélie. Ce n'est pas une malformation ayant maintenu le
membre
à l'un des stades de son évolution embryonnaire.
re, il suffit de se rappeler comment se fait le dévelop- pement des
membres
, à savoir, de leur extrémité à leur attache, les
il va arrêt de développement, ce qui manquera, ce sera la racine du
membre
, dont la partie terminale e se retrouvera, au c
hémimélie. « Celle-ci résulte de conditions précisément inverses.Un
membre
hémi- mèle possède ses segments radicaux, qui y
circula- 398 KLIPPEL ET BOUCHET lion sanguine dans une partie du
membre
. C'est par ce mécanisme que se produisent les a
diments digitaux sont le résultat d'un bourgeonnement secondaire du
membre
amputé. Mais, comme dit Mouchotte, d'une part l
s présentent parfois une grande analogie avec les malformations des
membres
résultant d'une am- putation intra-utérine. Mai
nt-bras a subi un arrêt de développement consécutif à la section du
membre
, faite immédiatement au-dessus des os du carpe.
rprétation, puisqu'il est admis que les parties péri- phériques des
membres
sont celles qui se forment les premières. » Pou
le et il faut pour expliquer que le moignon représentant la base du
membre
puisse porter des extrémités digitales rudimentai
dit de même : « Mon observation est un arrêt de dévelop- pement du
membre
et non une amputation congénitale, car : 1 il exi
développe- 400 KLIPPEL ET BOUCHET ment de la portion terminale du
membre
, qui est la cause de l'absence de ce muscle. »
Si la compression a lieu au début de l'apparition des bourgeons des
membres
, ils avortent et on a un ectromélien ; lorsque le
on amniotique trop étroit, sur la face externe du segment distal du
membre
, pendant les premiers mois de la grossesse ». H
ale est l'absence du cubitus. Dans les difformités congénitales des
membres
supérieurs, l'absence du cubitus est beaucoup p
ectromélie et d'ectrodactylie. Pour quelques autres anoma- lies des
membres
on a pu invoquer aussi une régression atavique. A
uer aussi une régression atavique. Au pre- mier abord, l'aspect des
membres
supérieurs de notre sujet rappelle celui des me
, l'aspect des membres supérieurs de notre sujet rappelle celui des
membres
antérieurs de certains oiseaux ; mais cette resse
lle-ci correspondant à la formation et au premier développement des
membres
. Le mécanisme de leur production n'est sans dou
vec une insistance remarquable le système nerveux. L'avortement des
membres
est subordonné, suivant la remarque de Lancerea
timement, et probablement consécutive à l'arrêt de développement du
membre
, à moins qu'elle ne soit sous la dé- pendance m
motrices, et en particulier celles qui commandent les mouvements du
membre
supérieur, n'apparais- sent point à ce premier
marquées. Ainsi les troubles sont relativement plus marqués dans le
membre
que dans la moelle, plus marqués dans celle-ci
dant aux mouvements de la main. Quoi qu'il en soit; l'atrophie du
membre
n'est pas projetée sur le cer- veau au degré qu
r l'explication. Les anomalies constatées par la dissection dans le
membre
supérieur sont nombreuses et diverses, marquant
es longs du pouce. Si l'on étudie le développement embryologique du
membre
supérieur, et en particulier les différentes ép
ion, de perfectionne- ment, d'isolement de chacun des muscles de ce
membre
, on voit aisément, d'après le tableau ci-joint,
orter au tableau ci-joint pour s'en rendre compte. Développement du
membre
supérieur (d'après Warren Harmon LEwis). Aprè
us grand. Après la cinquième semaine : embryon de H millimètres. Le
membre
supérieur est légèrement plus avancé en dévelop
membre supérieur est légèrement plus avancé en développement que le
membre
inférieur. Os : L'humérus est en continuité a
ques, tumeurs blan- ches, caries, traumatismes, etc., au niveau des
membres
, du tronc, de la face. En renvoyant le lecteu
thropol. Pa- ris, 1902, 6 s., Il,51. AUDEBERT. - Malformation des
membres
supérieurs ; hémimélie. Toulouse médical, 1901,
1901, 2 s., III, 290-292. (il ICLIPFEL, Arrêt de développement des
membres
à la suite de lésions dans l'en- fance. Atrophi
e MM. Brun et Chaillous). Commandeur (G.). Hémimélie unilatérale du
membre
supérieur ; note sur l'anatomie des moignons d'
eur ; note sur l'anatomie des moignons d'arrêt de développement des
membres
. Archiv. prov. de chir. Paris, 1896, V, 551-557
s vices de conformation produits par l'arrêt de développe- ment des
membres
. Mém. Soc. chirurgie, t. VI, 1863. - Noie sur l'h
85, VII, 517, 529 (article de J. Grynfeldt). FAIX. - Musculature du
membre
malformé chez un hémimèle. Soc. obstétrique de
Cambridge, 1812. IIEITZ (J.) et Infroit (C.). Un cas d'hémimélie du
membre
abdominal droit étudié par la radiographie. Nou
, fig. 334, 335, 336,337,338. Klippel. - Arrêt de développement des
membres
à la suite de lésions dans l'enfance. Atrophie
ligence nulle, qui avait de l'exagération des réflexes, et les deux
membres
inférieurs en état de paraplégie spasmodique. Z
n). Le rachis présente une cyphose dorsale et une lordose lombaire.
Membres
supérieurs : Longueur des bras : 26 centimètres
isposition en trident ; l'annulaire de la même main est en retrait.
Membres
inférieurs : De l'épine iliaque antéro-supérieu
STROPHIE OSSEUSE HÉRÉDITAIRE (Halipré et Hébert) Radiographie des
membres
supérieurs. (Obs. I) Nouvelle Iconographie DE
YSTROPHIE OSSEUSE HÉRÉDITAIRE (Halipré et Hébert) Radiographie du
membre
supérieur. ? ,. (Oh ? n EXOSTOSES OSTÉOGÉNIQUES
d'ailleurs que les « nombreuses bosses » que présentent les os des
membres
. (I) Piiiimii Uwum, Presse médicale, n 56, 14 j
ntre l'autre. Si l'on en excepte le radius gauche, les os longs des
membres
ne présentent pas de courbure. L'axe général de
longs des membres ne présentent pas de courbure. L'axe général des
membres
n'est pas modifié. Il n'y a rien qui rappelle l
STROPHIE OSSEUSE HEREDITAIRE (Halipré et Hébert) Radiographie des
membres
supérieurs. (Obs. III) NOUVELLE Iconographie
STROPHIE OSSEUSE HÉRÉDITAIRE (Halipré et Hébert) Radiographie des
membres
inférieurs. (Obs. III) EXOSTOSES OSTÉOGEN1QUE
l'auriculaire s'écarte au niveau des deux dernières pha- langes.
Membres
inférieurs présentent, principalement au voisinag
pour le mem- bre supérieur aux points éloignés du coude et pour le
membre
inférieur au voisinage du genou. Si dans les ca
rrot), aboutit à une insuffisance de développement du squelette des
membres
. La micromélie est rendue plus frappante par le d
, que celle d'un torse d'adultesur lequel viennent s'insérer quatre
membres
xx 28 4M 2 HALIPRÉ ET RIÉBEIIT ayant tout a
ui nous occupe aujourd'hui a pour siège d'élection les os longs des
membres
. Là encore c'est au voisinage du cartilage d'ac
ssés. Il est vrai qu'ils sont beaucoup moins touchés que les os des
membres
. Ainsi achondroplasie et dystrophie osseuse rel
qui assu- rent la formation de l'os, cartilage et périoste pour les
membres
,tissu em- bryonnaire primitif pour le thorax, l
à l'état actuel. Des tuméfactions molles se formèrent peu à peu aux
membres
inférieurs au niveau du tibia; d'abord ces tumé
quelques mois on remarque un affaiblissement lent et progressif des
membres
inférieurs, de sorte que la patiente ne peut marc
peut marcher qu'avec des bé- quilles ; elle n'a pas de douleurs aux
membres
, mais une céphalée, localisée particulièrement
de faiblesse générale, de vertiges, accompagnés de paresthésies aux
membres
inférieurs. Etai actuel. - I. F. est de taille
épaisseur. A la palpation on ne perçoit rien dans le squelette aux
membres
supérieurs, à la colonne vertébrale, aux côtes,
périeure. On obtient le même résultat si l'on palpe le squelette au
membre
inférieur gauche, mais les difformités y sont m
rien de remarquable, excepté son volume exagéré. Les mouvements des
membres
supérieurs sont normaux et la force y est assez
périeurs sont normaux et la force y est assez bien conservée. Aux
membres
inférieurs, au contraire, la flexion de la cuisse
conservé leur intégrité. , Les réflexes profonds sont faibles aux
membres
supérieurs; aux membres inférieurs on remarque
é. , Les réflexes profonds sont faibles aux membres supérieurs; aux
membres
inférieurs on remarque l'absence du réflexe au-
ytique. Pour ce qui se rapporte à l'énorme accroissement des os des
membres
inférieurs, à l'exostose et aux ostéopli3 tes,
23 ans elle a eu une éruption intéressant la face, le tronc et les
membres
, constituée par des éléments proéminents (papules
peu marquées, mais très prurigineuses sur le front, le tronc et les
membres
. Depuis l'apparition de ces troubles la malade
ans une certaine mesure au moins l'apparition du trophoedème de ses
membres
inférieurs. Ces derniers sont en effet le siège
semblé bon de mettre en parallèle ces dimensions avec celles des -
membres
d'une autre malade (âgée de 19 ans) atteinte du m
cette façon établir une comparaison avec les dimensions d'un autre
membre
atteint de trophoedème et surtout avec ceux d'un
d'un autre membre atteint de trophoedème et surtout avec ceux d'un
membre
nor- mal d'une malade à développement moyen.
aire, éruptions très prurigineuses et intéressant non seulement les
membres
inférieurs, mais aussi les supérieurs, le tronc e
transsudation analogue dans le tissu cellulaire sous-cutané de ses
membres
inférieurs, favorisée probablement par la stati
ases ou à des transsudations lymphatiques qui n'est pas limitée aux
membres
inférieurs soulève le problème d'un certain éta
malade atteinte de trophoedème (un des cas de RAPIN) et dont un des
membres
456 PARUON ET CAZACOU affectés par ce trouble
lpêtrière, n° 2, 1907. 3. RAPIN. - Sur une forme d'hypertrophie des
membres
(dystrophie conjonctive myélopathique). Nouvell
u traitement thyroïdien une di- minution de la circonférence de ses
membres
inférieurs. xx 29 l 458 » PARHON ET CAZACOU
du moins cliniquement. Les réflexes tendineux sont faibles tant aux
membres
supérieurs qu'aux membres inférieurs, et cela d
réflexes tendineux sont faibles tant aux membres supérieurs qu'aux
membres
inférieurs, et cela d'une façon symétrique. Il
ongénital (t pt.), 155. Long. Atrophie musculaire progressive des
membres
supérieurs, type Aran-Duchen- ne, par névrite i
à disparaître et le malade devient alors complètement maître de ses
membres
(-1) ». Le professeur Erb a dési- gné l'ensembl
e développement exagéré du système musculaire, prin- cipalement aux
membres
inférieurs. Les cuisses et les mollets, en effet,
ment moins développées. Il n'existe pas d'ensellure lombaire. Les
membres
supérieurs ont aussi un volume assez considérable
assez considérable, beaucoup moins exagéré toutefois que celui des
membres
inférieurs ; le bras mesure 27 cen- timètres de
bras 20 centimètres. D'ail- leurs, au dire du malade, le volume des
membres
supérieurs aurait un peu di- minué depuis quelq
s quelque temps. Les muscles ont une consistance moins ferme qu'aux
membres
inférieurs. Malgré le puissant développement de
dans la plupart des actes que le malade doit accomplir. Du côté des
membres
supérieurs, par exemple, il est gêné lorsqu'il
malade veut accomplir, après être resté quelque temps en repos. Aux
membres
inférieurs les mêmes troubles se rencontrent et s
elque temps un courant assez intense (courant stabile) à travers un
membre
tout entier (bras, cuisse, jambe) on produit faci
e la cuisse, les vastes internes et externes, les jumeaux, pour les
membres
inférieurs; les biceps, les deltoïdes, les fléc
s; les biceps, les deltoïdes, les fléchisseurs des doigts, pour les
membres
supérieurs, etc. Sur certains de ces muscles, n
ères se remplissent de sang. Pendant la suspension, les muscles des
membres
inférieurs sont relativement flasques et l'afflux
fait difficilement, ce qui dépend aussi de la position verticale des
membres
inférieurs. Tous les tissus deviennent dans ces
comme preuve les cas où on a observé pendant la séance l'oedème des
membres
inférieurs. III Une méthode thérapeutique doi
août, les convulsions générales cessèrenl : et la contrac- ture des
membres
supérieurs apparut alors. Dans cette situation, l
Dans cette situation, la fièvre se présenta, et la contracture des
membres
supérieurs disparut immédiatement, sans que les
céphalalgie supra-orbitraire et occipitale et de douleurs dans les
membres
. Point de garde-robes depuis cinq jours, grande
les douleurs disparaissent. Après que les douleurs articulaires des
membres
eurent disparu. une douleur aiguë persista dans
; la céphalalgie, la prostration, l'anorexie, les douleurs dans les
membres
et 38° 8 de chaleur avec les oscillations success
u'il avait avec Mesmer. Les pattes de bouc qui lui tiennent lieu de
membres
infé- rieurs, et les femmes nues et les yeux ba
r très mal, parler diffici- lement ou môme pas du tout, traîner les
membres
inférieurs raidis, pres- que comme dans la mala
tôt s'ajouter les mouvements athétosiques de la face et des quatre
membres
. Mais les premières manifestations de l'athétos
ent et envahit progressivement les diverses régions de la face, des
membres
supérieurs et inférieurs et du tronc, en commença
t au bras droit quatre ans plus tard (sept ans) et n'envahirent les
membres
inférieurs qu'à seize ans; enfin l'articulation
ds, mais sans résultat. Au bout de quelque temps les mouvements des
membres
ont augmenté au point que le malade ne peut plus
onformée, palais normal, dentition bonne, intelligence conservée.
Membres
supérieurs. Assis sans bouger quand on dit au mal
qui est serrée entre les épaules tourne de temps en temps aussi.
Membres
inférieurs. -- On voit le même phénomène se produ
mbres inférieurs. -- On voit le même phénomène se produire dans les
membres
inférieurs. Le malade étant même chaussé on voit
, des avant-bras, les doigts se meuvent plus vite et plus fort, les
membres
infé- rieurs également et après cet effort géné
Thorax assez bien conformé. Pas d'atrophies ni d'hypertrophies des
membres
ou des muscles excepté des sterno-cléido-mastoï
avant et en arrière en une mi- nute, Massalongo quatre seulement.
Membres
supérieurs. L'aspectdu malade atteint d'athétose
côtés sont presque toujours plus prononcés d'un côté du corps. Les
membres
supérieurs sont touchés de bonne heure, souvent
ts, les mains et les poignets et moins fréquemment par la racine du
membre
. Ce sont ceux de l'athétose classique, hémiathé
adiaux. Les avant-bras et les bras et quelquefois môme la racine du
membre
su- périeur peuvent être également le siège des
celui qu'on fait en fermant une serrure aux ressorts rouillés ».
Membres
inférieurs. -Dans les neuf dixièmes des cas les m
rouillés ». Membres inférieurs. -Dans les neuf dixièmes des cas les
membres
inférieurs sont également le siège de mouvement
ns dans lesquelles leur ab- sence a été dûment constatée. Comme aux
membres
supérieurs les mou- vements sont surtout pronon
urs les mou- vements sont surtout prononcés vers les extrémités des
membres
, aux or- teils et aux pieds. Aux orteils, la
stiques de l'a- thétose double consiste dans l'état de rigidité des
membres
qui sont le siège des mouvements, état si réel,
ents, des spasmes et des contractures dépendent les attitu- des des
membres
; dans les formes légères, c'est-à-dire dans des
des cherchent certains artifices pour arriver à immo- biliser leurs
membres
, dans une attitude moins voyante et moins ridicul
mes malades (obs. 2) usait d'un procédé analogue. Quelquefois les
membres
supérieurs offrent des attitudes particulières
re enfance, occupant la face el les quatre extrémités. Rigidité des
membres
infé- rieurs. Virginie IL.. âgée de onze ans,
ours, l'enfant devenait raide au point de ne pas pouvoir remuer ses
membres
, manger ou même s'as- seoir. A deux ans et de
ôt en exten- sion et flexion, tantôt en abduction et adduction. -
Membres
supérieurs. La malade est raide, peul cependant s
s des doigts qui tiennent la plume. Elle n'y réussit ce prix. Les
membres
supérieurs sont le siège d'une raideur générale,
i rend les mouvements passifs difficiles, et en limite l'étendue.
Membres
inférieurs. Les mouvements passifs de tous les se
bres inférieurs. Les mouvements passifs de tous les segments de ces
membres
s'exécutent assez difficilement à cause de la rai
t à cause de la raideur qui est en- core bien plus accentuée qu'aux
membres
supérieurs. Le côté droit paraît plus raide que
e. Les mouvements involontaires s'exécutent de la même façon qu'aux
membres
supérieurs. C'est un passage incessant des orte
violentes atta- ques convulsives, de la fièvre et une paralysie des
membres
inférieurs sui- vie d'arrêt de développement cl
s membres inférieurs sui- vie d'arrêt de développement cle ces deux
membres
. Un fait de Massalongo se rapproche de celui-la
miplégie spastique bilatérale el qu'on peul observer l'atrophie des
membres
au cours de cette dernière. Massalongo déclare
u près complet. Observation III (Personnelle) ? Alhétose des quatre
membres
et de la face. Imbécillité. Paul G... six ans
e som- meil seul suspend les mouvements involontaires. Rigidité des
membres
in- férieurs. ' Face. Tous les muscles de la
a tête oscille à droite et à gauche, mais surtout de haut en bas. 1
Membres
supérieurs. Quand le malade est au repos, assis p
de l'extension. Il y a surtout un état d'instabilité dans les deux
membres
supérieurs. . Il n'y a de déformation nulle par
bjets, les petits objets glissent assez facilement de ses doigts.
Membres
inférieurs. Les mouvements athétosiques sont bien
es doigts et des orteils sont à leur maximum.. Pas de paralysie des
membres
. Pas d'hypertrophie, ni d'atrophie. Pas do dé-
s rotuliens sont difficiles à provoquer à cause de la rai- deur des
membres
inférieurs. Pas de trépidation épileptoide. Pas d
transformer en contractures et finissent alors par immobiliser les
membres
supérieurs, au niveau desquels peut disparaître
nt arriver à immobiliser complètement ou pres- que complètement les
membres
supérieurs (obs. de Clay Schav, Richar- dière,
in), mais elles sont cependant moins fréquentes là qu'au niveau des
membres
inférieurs d'après Massalongo. On sait que dans
ssalongo. On sait que dans la maladie de Little, la contracture des
membres
infé- rieurs est constante, qu'elle siège quelq
s membres infé- rieurs est constante, qu'elle siège quelquefois aux
membres
supérieurs dans le type spinal, et souvent au n
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Le type le plus souvent observé aux
membres
supérieurs c'est le t) pe ell flexion, dans leq
sur le bras ; on a aussi constaté à l'état permanent l'extension du
membre
, son adduction, la flexion du poignet, la dévia
t, la déviation des doigts vers le bord cubital, etc. Au niveau des
membres
inférieurs, les orteils se placent dans des posit
tater tout d'abord qu'il n'y a pas d'inégalité de longueur des deux
membres
inférieurs ; les talons sont bien sur la même l
tions; elles le sont môme il l'excès. Il est fa- cile en portant le
membre
inférieur en adduction avec rotation en dedans
subi en outre un mouvement de rotation en dehors entraînant tout le
membre
dans cette position. Ils sont, en outre, rappro
tater tout d'abord que les dimensions en'hauteur du sque- lette des
membres
inférieurs ne sont point altérées. Conformément a
la raison de l'altitude imprimée à la statue. Elle a d'un côté les
membres
dans l'extension pour permettre les mensurations
mettre les mensurations régulières, pendanl que de l'autre côlé les
membres
sont fléchis à angle 182 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
TRIÈRE. droit pour faciliter la comparaison des proportions du même
membre
dans ces positions différentes. L'unité de me
es organes génitaux, ou bien les coupe à leur partie inférieure. Le
membre
inférieur, comme le torse, mesure quatre têtes, d
au centre articulaire de la hanche. Mais ces deux mesures, tronc et
membre
inférieur, chevauchent l'une sur l'autre d'une
e la partie commune, à un point situé à la racine de la verge. Le
membre
inférieur se subdivise ainsi qu'il suit : du sol
la li- gne épi-trochantérienne. Elle forme la limite supérieure du
membre
infé- rieur et ses rapports avec le bassin sont
ine iliaque antérieure et supérieure. Vu par sa face postérieure le
membre
inférieur mesure 3 têtes 1/2 du sol au pli fess
on en peut faire il l'étude du malade. Je passe rapidement sur le
membre
supérieur qui mesure dans sa totalité de l'acro
mal. Nous pouvons donc conclure que les proportions du squelette du
membre
inférieur sont normales et n'ont pas été modifi
ètres. Les fesses sont donc descendues par rapport au squelette des
membres
inférieurs, et une des conséquences morphologiq
droit, 5 fois parlé/côté gauche. Dans ces divers faits est l'un des
membres
supérieurs que s'étaient, comme d'habitude, man
s muscles spinaux. L'atrophie a envahi successive- ment la main, le
membre
supérieur, l'épaule et le thorax du côté droit. A
lure, un an , plus tard, même découverte pour la main gauche. Les
membres
supérieur et inférieur gauches n'ont commencé à p
nstrueuse ' du tronc ; nous la décrirons plus loin. 1 lllotilité.
Membres
supérieurs ; atrophie très notable, plus marquée
carpiens. Parésie très marquée pour tous les mouvements de ces deux
membres
; elle diminue de plus en plus à mesure qu'on s
iminue de plus en plus à mesure qu'on se rapproche de la racine des
membres
; elle est plus considé- ) râblé à droite, la m
esse ( les doigts sans peine, aucune contracture ne s'y oppose. 1
Membres
inférieurs. Force très suffisamment conservée pou
rce très suffisamment conservée pour tous les / mouvements, même au
membre
inférieur droit qui est atrophié. Seuls les mou-
scles, surtout du côté droit. i Mensuration de la circonférence des
membres
en centimètres : 142 'NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
t-il en demi-flexion assez accusée quand le malade est debout et le
membre
inférieur gaucho pi-éseiite-t-il un allongement a
du bassin et de l'inégalité apparente qu'elle entraîne i ! pour les
membres
inférieurs, résulte une claudication assez pronon
e servir d'une ou de deux béquilles à cause de l'instabilité de ses
membres
supérieurs. Les béquilles s'embarrassaient dans s
ofession, empêché par la raideur et la faiblesse survenues dans les
membres
inférieurs. 146 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAL
La relation entre l'intensité des troubles actuels dans les divers
membres
répond à l'ordre d'envahissement. Etat actuel.
nvahissement. Etat actuel. La santé générale est bonne. Motilité.
Membre
supérieur droit. Les mouvements de l'épaule, du
te toutefois une dépression légère des espaces intermétacarpiens.
Membre
supérieur gauche. Mêmes constatations, avec un de
es divers phénomènes, notamment pour ce qui concerne l'auriculaire.
Membres
inférieurs. Force diminuée, surtout au membre inf
cerne l'auriculaire. Membres inférieurs. Force diminuée, surtout au
membre
inférieur droit. Aux pieds notamment, la flexio
e. A la piqûre. Abolition de la sensibilité au-dessous du milieu du
membre
supérieur; diminu- tion légère partout ailleurs
du membre supérieur; diminu- tion légère partout ailleurs, sauf au
membre
inférieur, où l'anesthésie va s'ac- croissanl d
pied. A la chaleur (75 à 80°), même, répartition, si ce n'est qu'au
membre
in- férieur la sensibilité décroît de haut en b
tition, avec celte diffé- rence que l'anesthésie absolue remonte au
membre
supérieur jusqu'à la racine de ce membre, et au
sthésie absolue remonte au membre supérieur jusqu'à la racine de ce
membre
, et au membre inférieur jusqu'au genou. A gauche
e remonte au membre supérieur jusqu'à la racine de ce membre, et au
membre
inférieur jusqu'au genou. A gauche : la sensibili
. La sensibilité a la piqûre s'est abolie dans les mômes régions du
membre
supérieur gauche. On note également des trem- b
raît pas en rapport avec l'existence de lésions artlwopatliques des
membres
... En revanche, il y a une relation marquée enl
son du bassin et provoque- ront une lordose compensatrice. L'un des
membres
inférieurs est-il atro- phié, raccourci, comme
arrive assez souvent, alors le rachis lombaire s'inclinera vers le
membre
sain, il surviendra une scoliose dorso-lombaire
lle que nous avons eu l'occasion d'examiner. L'atrophie frappait le
membre
supérieur droit et la jambe gauche. Le membre i
'atrophie frappait le membre supérieur droit et la jambe gauche. Le
membre
inférieur gauche était raccourci, l'épine iliaque
arche restée possible avec une canne, malgré le raccourcissement du
membre
. « Quel- que temps après, elle devint presque s
intenses des racines postérieures lombaires et de divers nerfs des
membres
inférieurs. Arthropathies tabétiques types des
boulanger. Depuis 1872, douleurs, progressivement accrues, dans les
membres
inférieurs ; parestitésios. En 1882, il glissa en
jeune sujet affecté depuis 4 ans de mouvements choréiformes dans le
membre
supérieur gau- che et la face, avec contracture
t la face, avec contracture de divers muscles, particulièrement aux
membres
supérieurs, à l'épaule gauche et au cou (sterno-m
l la sciatique névrite et s'ac- compagnant volontiers d'atrophie du
membre
. Brunelli fait remarquer (1) Schiidel, Arch. f.
rrespondant, sont. les conséquences de l'incurvation lombaire. Le
membre
malade est toujours plus ou moins fléchi. Alors d
un signe capital dans l'athétose double : c'est la raideur dans les
membres
athétosiques si je peux m'exprimer ainsi; les mou
pendant d'habitude telles que les muscles ne puissent mouvoir leurs
membres
ou qu'il ne soit possible à l'observateur de chan
ns quelques cas il y a des morsures de la langue et des lèvres. Aux
membres
supérieurs l'enfant relève brus- quement le bra
aire des auteurs.. 'ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 193 Aux
membres
inférieurs l'instabilité musculaire est encore pl
nférieurs l'instabilité musculaire est encore plus mar- quée qu'aux
membres
supérieurs, de là une démarche toute spéciale ; d
s de la face. Ces contractures finissent par déterminer du côté des
membres
, principalement aux mains, des déformations sembl
ndant d'habitude telles que les malades ne puissent mou- voir leurs
membres
ou qu'il ne soit possible à l'observateur de chan
n de ceux-ci. Ces contractures finissent par déterminer du côté des
membres
, principalement aux mains, des déformations et su
convulsives, laissant après elles un certain degré de paralysie des
membres
et de déviations de. la face, telle qu'elle exi
et que les spasmes musculaires peuvent produire le déplacement des
membres
atteinls. D'après Silvestrini et Seeligmuller l
eune âge, par les mouvements involontaires de la face et les quatre
membres
. Mais un examen attentif des mouvements des mal
ir soudé, leur masque immobile et figé, la raideur extrême de leurs
membres
et de tout le corps, les propul- sions et les r
. Voulez-vous faire réapparaître le phénomène partiellement dans un
membre
? Commandez au malade de por- ter à sa bouche u
n sens inverse. Dans le premier cas, il y a allongement apparent du
membre
malade, qui est dès lors forcé de se fléchir da
station debout. Dans le deuxième cas, il y a raccourcissement de ce
membre
, et le pied reste élevé à quelques centimètres
coxalgie hystérique. Ainsi donc, la position du bassin et celle du
membre
inférieur malade, solidaires l'une de l'attire,
côté malade, ascension du bassin et raccourcis- sement apparent du
membre
. Comme on voit, c'est ici la hanche du côté sai
irecte de la déviation. Mais ce n'est pas tout. On constate dans le
membre
affecté la trépidation épileptoïde, l'exagérati
du degré plus fort de la contracture, de son ex- tension à tout le
membre
, autant de caractères plus spéciaux à la coxalgie
doptent l'attitude han- chée, avec flexion plus ou moins marquée du
membre
inférieur malade. C'est chez les sujets affecté
répond à la scoliose croisée des sciatiques ; la flexion légère du
membre
inférieur droit paralysé entraîne un abaissemen
produire ce résultat. Mais alors le poids du corps va tomber sur le
membre
malade ; le centre de gravité va se projeter ve
côté sain ; celte translation est obtenue par l'adduction forcée du
membre
inférieur intact, et l'abduction du membre infé
ar l'adduction forcée du membre inférieur intact, et l'abduction du
membre
inférieur impotent. On le voit, ce deuxième cas
l'abduction de la cuisse gauche. Ainsi, l'axe du tronc et l'axe des
membres
inférieurs se dirigent respecti- vement en sens
inverse, et forment un angle obtus ouvert à gauche. Il y a plus, le
membre
inférieur gauche, étant paralysé, ne doit pas, ou
née vers le côté paralysé ; 2° bassin déplacé vers le côté sain ; 3°
membres
inférieurs déjetés vers le côté paralysé. Ain
légie infantile, l'un avec contracture et déformation prononcée des
membres
, l'autre allié- tose vraie. Dans le premier typ
endant, chez deux sujets frappés d'une atrophie très manifeste d'un
membre
supérieur, de l'épaule et du thorax du même côt
contre le poids du tronc. Ainsi, la répartition de la paralysie aux
membres
inférieurs, aussi bien que son siège dans la régi
ès générale; toutefois elle respectait la face; elle atteignait les
membres
inférieurs plus que les supérieurs, frappait les
vertébrales. Des rétractions fibreuses associées à l'atro- phie des
membres
inférieurs empêchent le malade de se tenir debout
légiques. Elles paraissent être la conséquence de la paralysie d'un
membre
inférieur. Elles résultent d'une contraction mu
raient plus particulièrement les conséquences. Si les fractures des
membres
sont relativement rares, cela est dû peut-être à
trois années, ce fut presque le seul symp- tôme avec la raideur du
membre
; au commencement de 1891, la jambe droite comm
s instants; l'aspect général est le même que pendant la marche, les
membres
inférieurs restent accolés l'un à l'autre, les
baissée de ce point tomberait bien loin en arrière des talons. Le
membre
supérieur gauche est en extension complète long d
ythme est exactement de 5 oscillations par se- conde. La roideur du
membre
supérieur constitue une des principales causes de
quelques semaines, la roideur a envahi le côté droit, aussi bien le
membre
inférieur que le supérieur. La physionomie est
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. elle parle, s'est étendu à tout le
membre
supérieur, et enfin au membre inférieur du même
E. elle parle, s'est étendu à tout le membre supérieur, et enfin au
membre
inférieur du même côté. Depuis le mois d'août 1
sur lequel il frotte continuellement. Le tremblement occupe tout le
membre
supérieur gauche. , Le membre inférieur fléch
ment. Le tremblement occupe tout le membre supérieur gauche. , Le
membre
inférieur fléchit pendant la marche ; le pied se
che le sol que par sa pointe. Le trem- blement se manifeste dans le
membre
inférieur quand la malade est émotion- née ; au
este dans le membre inférieur quand la malade est émotion- née ; au
membre
supérieur, il existe continuellement ; ses oscill
certaine déforma- tion à la main ; puis, un an après l'accident, le
membre
inférieur droit était at- teint à son tour, de
pied, en- suite ; progressivement, tout le côté droit du tronc, dos
membres
et du cou furent pris et l'affection resta unil
t sur le pied gauche ; il incline fortement le tronc de ce côté, le
membre
inférieur droit en extension soulevé à un centimè
iste également, mais à un degré moindre (Pl. xxix, xxx, xxxi). Le
membre
supérieur droit tombe le long du tronc, allongé e
roite est cyanosée et presque constam- ment couverte de sueur. Le
membre
supérieur gauche est légèrement fléchi ; la main
e signalés : Après avoir existé pen- dant plus de deux ans dans les
membres
droits, il a disparu depuis que la roi- deur et
fluence de l'émotion ; il est surtout exagéré par les mouvements du
membre
du côté opposé. Le nombre des oscillations est
alors que les troubles étaient limités au côté droit, et surtout au
membre
supérieur, il a été impossible de préciser la nat
également lorsque l'on fait passer un courant slahilc à travers un
membre
entier, le bras par exemple, ou un segment de m
c à travers un membre entier, le bras par exemple, ou un segment de
membre
, la cuisse, la jambe. On voit, alors, bientôt a
nstabilité continuelle dans la position de la tête, du tronc et des
membres
. La démarche est ti- tubante, mal assurée, enfi
par certaines influences telles que l'émotion, le tiraillement d'un
membre
, parfois par la compression ou l'excitation de po
exes tendineux, trépidation épileptoïde, arrêt de développement des
membres
du côté atteint, etc., etc., qui n'existent néc
feste à marcher sur la pointe des pieds. Lorsque la contracture des
membres
inférieurs atteint son maxi- mum, les malades s
alades sont souvent dans l'impossibilité complète de s'asseoir. Aux
membres
supérieurs il n'y a pas de contracture manifeste,
255 par hasard quelquefois, ils sont d'abord limités seulement aux
membres
supérieurs et ne surviennent qu'au moment des m
e u 10 ans, la presque totalité de leurs fonctions. La rigidité des
membres
inférieurs disparaît parfois suffisamment. Dépl
tile et cela du fait de l'atrophie, de l'arrêt de développement des
membres
, de l'intégrité des mouvements de la face, de la
es spinaux étaient prédominants, la plaque sacrée, la faiblesse des
membres
inférieurs, l'impotence sexuelle relative dispa
urbure exagérée, en verre de montre, où les autres articulations du
membre
sont généralement atteintes, poignet, cou-de-pied
, nous voulons signaler surtout ce qui a trait à la sensibilité : «
Membre
supérieur droit : anesthésie complète de la mai
nette sur les régions internes des faces antérieure et postérieure.
Membre
supérieur gauche : même distribution de l'anest
pendant elle est moins complète sur l'avant-bras que du côté droit.
Membre
inférieur gauche : au pied, anes- thésie sur la
antérieure ; à la cuisse, sensibilité diminuée sur la face externe.
Membre
inférieur droit : au pied, anesthésie limitée aux
, steppante et douloureuse au bout de dix à quinze minutes. ` Aux
membres
supérieurs, il n'y a ni parésie ni paralysie nota
que cette anésthésie est complète. L'anesthésie frappe les quatre
membres
symétriquement. Aux membres supérieurs, elle es
omplète. L'anesthésie frappe les quatre membres symétriquement. Aux
membres
supérieurs, elle est limitée en haut par la rég
es supérieurs, elle est limitée en haut par la région du coude. Aux
membres
inférieurs elle s'élève jusqu'à la moitié de la
formations scolio-cy- photiques demandent à être recherchées. Aux
membres
supérieurs, à droite et à gauche, l'avant-bras, l
'as- pect normal ; aux doigts, elle est lisse, fine et rosée. Aux
membres
inférieurs, la peau de la face dorsale des pieds
tose double datant de la première en fance, occupant la face et les
membres
supérieurs. Rigidité des membres inférieurs. Ge
en fance, occupant la face et les membres supérieurs. Rigidité des
membres
inférieurs. Germaine B..., 8 ans, demeurant che
cients ; parole difficile; démarche commençant à devenir hésitante.
Membres
supérieurs et inférieurs presque toujours froids.
maladie de Friedreich. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 297
Membres
supérieurs. Mouvements athétosiques des mains et
e, mais très maladroitement et salement. La position habituelle des
membres
supérieurs : Bras fléchis et contre le tronc. P
fléchis et contre le tronc. Pas d'hypertrophie. Pas de secousses.
Membres
inférieurs. Pas de mouvements athétosiques appréc
e enfance occupant les quatre extrémi- tés et la face. Rigidité des
membres
inférieurs. Imbécillité. Paul Poupart, né il Pa
s son lit, remuant un peu la tête de côté, et de temps en temps les
membres
infé- rieurs, les bras sont écartés du tronc, l
de 15 1/2 c. du poignet il 1/2 c. Pas de contracture du niveau du
membre
supérieur droit. A gauche l'écartement du tronc
car la mère est venue très rarement il l'hospice. État actuel :
Membres
supérieurs émaciés ; les mains sont cyanosées ; r
gauche l'état de raideur augmente dès qu'on cherche il étendre les
membres
; il droite comme il gauche l'enfant étend ses
t saillie sous la peau ; elle ne présente pas de courbure anormale.
Membres
inférieurs rétractés vers l'abdomen ; flexion com
CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 305 deur et même émaciation qu'aux
membres
supérieurs (on ne remarque pas de mouvement ath
s orteils). De temps : 1 autre, l'enfant allonge complè- tement ses
membres
inférieurs de préférence à droite. Quand on veu
ce à droite. Quand on veut faire marcher l'enfant il étend ses deux
membres
inférieurs surtout le gaucho et ébauche quelque
ur le reste. Il donne en effet pour les mensurations du torse et du
membre
infé- rieur des points de repère que nous retro
rons plus loin. Il est d'ailleurs incomplet puisque les mesures des
membres
supérieurs n'y sont pas données. Si l'on veut en
e J. Cousin. Mais ce dernier canon ayant huit têtes de hauteur, les
membres
lion .'i la préfecture de police, nous communiq
taille, suivant la tradition artistique, suppose, au contraire, des
membres
supérieurs trop courts. Nous avons vu que la scie
sent se rencontrer chez quelques individus. Mais les proportions du
membre
in- férieur de Lomazzo dépassent les limites du
iné qui en abaisse la pointe. Il en résulte, pour les dimensions du
membre
inférieur et particulièrement de la jambe, une
ANON DES PROPORTIONS DU CORPS HUMAIN. 3l5 Les poin ts de repère des
membres
inférieurs manquent donc de précision. Quant il
de précision. Quant il la moitié supérieure de l'individu, torse et
membres
supérieurs, elle reproduit à très peu de chose
ans le canon de Ch. Blanc, le cou est un peu plus long et aussi les
membres
inférieurs. Les membres su- périeurs sont sembl
c, le cou est un peu plus long et aussi les membres inférieurs. Les
membres
su- périeurs sont semblables. M. le colonel D
rois segments égaux chacun à une face ou trois quarts de tête. Le
membre
supérieur rappelle l'égalité déjà signalée par Lé
e la taille est-elle due à un accroissement relatif du tronc ou des
membres
infé- rieurs ? Individuellement, on observe, à
ation paraissent héréditaires (1). D'autre part, que deviennent les
membres
su- périeurs ? dans les hautes tailles sont-ils
règne également au sujet des proportions relatives du tronc et des
membres
inférieurs, le tronc devenant plus court et le me
tronc et des membres inférieurs, le tronc devenant plus court et le
membre
infé- rieur plus long dans les grandes tailles.
es grandes tailles. Mais il y a divergence sur les pro- portions du
membre
supérieur. M. Collignon, par exemple, le fait plu
tient le milieu avec deux séries de mesures, l'une dans laquelle le
membre
su- périeur est plus court et l'autre dans laqu
s que la tête et le torse diminuent avec la taille, pendant que les
membres
inférieurs augmentent. Quant aux mem- bres supé
se sont moins précises que dans le canon de sept têtes et demie, le
membre
supérieur comporte, par contre, une mensura- ti
émité du médius, deux têtes (avant-bras et main). Les égalités du
membre
supérieur subsistent comme dans le canon pré- c
à l'articulation métacarpo phalangienne du médius. De môme pour le
membre
inférieur. Le milieu de la rotule partage éga-
ns que le premier diffère du second surtout par les proportions des
membres
inférieurs qui atteignent quatre tôles du sol a
fre un peu. Enfin dans l'un comme dans l'autre,-les subdivisions du
membre
supé- rieur, d'ailleurs fort peu différentes, c
st ainsi que, sur les figures consacrées séparément au torse et aux
membres
isolés, les mesure» ne sont plus les mêmes que
tout entier. Notre canon de huit tètes reproduit les proportions du
membre
supérieur de la figure d'ensemble de J. Cousin,
s du membre supérieur de la figure d'ensemble de J. Cousin, le môme
membre
supérieur présen- tant des proportions bien moi
- tant des proportions bien moindres sur les figures consacrées aux
membres
séparés. Par contre, c'est sur ces derniers des
membres séparés. Par contre, c'est sur ces derniers dessins que le
membre
inférieur est conforme à celui de notre canon,
sept têtes et demie et, sans rien changer au torse, d'allonger les
membres
inférieurs d'une demi-tête. Or nous avons vu que
issement de la taille se faisait surtout grâce il l'allongement des
membres
inférieurs, il n'en dépendait pas exclusivement.
e J. Cousin, présente, comme ce dernier, un torse trop court et les
membres
inférieurs trop longs. Le membre supérieur, en
rnier, un torse trop court et les membres inférieurs trop longs. Le
membre
supérieur, en outre, esl trop courtpuisclu'il ne
huit tètes reproduit très exactement la proportion du torse et des
membres
inférieurs. Il se rapproche d'ailleurs beaucoup
eu plus haute, le cou plus court, le tronc plus long, et les quatre
membres
plus courts. Le pied est plus petit, la main de
de la grande envergure ne dépend pas seulement de la briè- veté des
membres
, elle tient aussi à la diminution des diamètres d
e antéro-postérieur ne s'augmente que de 1 à 2,36. La longueur du
membre
supérieur moins la main est doublée entre 4 et
st doublée entre et 7 ans, puis triplée à l'âge adulte. Des os du
membre
supérieur, ce sont ceux de l'avant-bras qui crois
t ceux de l'avant-bras qui croissent avec le plus d'intensité. Le
membre
inférieur est doublé avant la troisième année, tr
i précède que CANON DES PROPORTIONS DU CORPS HUMAIN. 325 tous les
membres
sont plus courts ce qui donne au torse plus d'imp
s sont plus courts ce qui donne au torse plus d'impor- tance et les
membres
inférieurs plus courts encore que les membres su-
d'impor- tance et les membres inférieurs plus courts encore que les
membres
su- périeurs. Le milieu du corps est donc sit
rmination suivant les âges aidera il fixer la longueur relative des
membres
inférieurs et du torse. A la naissance, le poin
lle, on peut déjà tirer quelques indications sur les proportions du
membre
supérieur. Si nous comparons ce dernier au memb
es proportions du membre supérieur. Si nous comparons ce dernier au
membre
inférieur, voici quelques remar- ques intéressa
- teint pour la troisième fois de tremblements hystériques d'un des
membres
supérieurs. La première atteinte avait duré 15
du côté pa- ralysé, la contracture avec déformations prononcées des
membres
, l'hé- michorée et 1'liéniialliétose, les troub
d reste encore vraie pour la majorité des cas (2). L'atrophie des
membres
peut faire complètement défaut dans les lésions
cas môme où celle atrophie existerait, sans raccour- cissement des
membres
, ce ne serait pas un signe suffisant pour rejeter
us les cas, elle est sur- tout marquée au niveau des extrémités des
membres
; le même fait se re- trouve chez les hystériqu
et des crises convulsives. Au bout de ce temps, on remarque que ses
membres
du côté droit sont animés de mouvements involon
it là d'une hémichorée avec mouvements arythmiques, plus marqués au
membre
supérieur qu'au membre inférieur, et gênant beau-
avec mouvements arythmiques, plus marqués au membre supérieur qu'au
membre
inférieur, et gênant beau- coup la préhension e
it plus possible du côté droit, la contracture avec déformation des
membres
s'étant surajoutée à leurs mouvements choréi- f
ecousses involontaires. Cette immobilisation est impossible pour le
membre
inférieur droit qui est constamment agité de mo
ade à l'é- tat de repos, résultent de la contracture permanente des
membres
du côté droit. En effet, le bras droit est étro
afin de supprimer les mouvements dont il n'est pas le maître. Au
membre
inférieur droit, il n'est pas, nous l'avons vu, d
vu, de position de re- repos ; mais la contracture existe comme au
membre
supérieur. On peut en effet par le pied droit s
sion ; le pli inguinal est plus accentué à droite qu'à gauche et le
membre
tout entier paraît remonté. Le pied droit est e
légère. Ces diverses contractures ne cèdent que sous l'effort. Au
membre
inférieur gauche, il existe aussi un léger état d
te sur un siège pour l'y asseoir, il tend à glisser en avant et ses
membres
inférieurs ne se plient qu'avec peine sur le tr
s, que nous devons maintenant étudier, s'observent naturellement au
membre
inférieur droit qui n'est pas immobilisé ; nous
sé ; nous avons vu par quelle manoeuvre on pouvait les provoquer au
membre
supérieur du même côté. (Fig. 43). Leur forme e
t bien plutôt l'impossibilité d'atteindre un but fixé avec les deux
membres
que l'impossibilité de les mouvoir. La force mu
bilité est complètement abolie sur toute la moitié droite du corps,
membres
, face et tronc, exactement à partir de la ligne
pérature. Le sens musculaire, en tant que notion de la position des
membres
, n'existe pas non plus pour les membres du côté
e notion de la position des membres, n'existe pas non plus pour les
membres
du côté droit. On peut aussi tirer de toutes ses
u côté gauche. III. Nutrition ET réaction ÉLECTRIQUE. - L'aspect du
membre
inférieur droit qui est remonté et en légère ad
entation de nombre des mou- vements choréiformes du côté droit ; au
membre
inférieur, on peut compter jus- qu'à 160 mouvem
la jambe droite ; ils représentent l'attitude de repos de ces deux
membres
, c'est-à-dire leur attitude en dehors des actes v
que l'hémichorée, la contracture, les décor- mations prononcées des
membres
et même, à un examen superficiel, d'une apparen
el, d'une apparence de troubles trophiques avec raccourcissement du
membre
infé- NOUVELLE IC040CPAPRIE DE LA SaLPÉTRiCrE £
hémiplégiques de cet ordre pouvant le plus souvent s'aider de leurs
membres
, malgré la contracture et l'hémichorée. Venaien
ec- tuels et d'aphasie, l'absence de déformations incorrigibles des
membres
et d'arrêt de développement des os ; l'intégrit
à votre attention aura été appelée par le tremblement qui agite ses
membres
, surtout les bras, qui pendent inertes de chaqu
r ; en général il s'atténue d'une façon très considérable quand les
membres
sont au repos. Les mouvements volontaires le pr
a sensalion particulière accusée par nos femmes hystériques dans le
membre
soumis au choc, et que l'on peut supposer s'êtr
z ceux- ci comme chez celles-là, l'idée de l'impuissance motrice du
membre
. Eh bien ! par suite de l'obnubilation du moi,
i- que. J'ai eu l'idée de provoquer le resserrement des artères des
membres
au moyen delà faradisation modérée et prolongée
s superficielles. Dans les cas où il y inflammation d'une partie du
membre
inférieur c'est à la faradisa- tion de l'artère
e la partie tibiale du grand saphène. J'obtiens dans la névrite des
membres
inférieurs des résultats tout aussi satisfaisants
i le malade n'est pas au lit, je le vois toujours mieux marcher; le
membre
affecté devient 370 NOUVELLE 1 rv ? tfAPIlIE DE
paraître incroyable et je passe maintenant il d'autres par- ties du
membre
inférieur et du corps. Pour en finir avec le memb
es par- ties du membre inférieur et du corps. Pour en finir avec le
membre
infé- rieur, il faut ajouter encore qu'on peut
ujets atteints par J'influenza qui se plaignaient de dou- leurs aux
membres
pelviens qu'il fallait expliquer par la sciatique
e d'être retenu. Si l'on a à faire à une inflammation des tissus du
membre
supérieur d'o- rigine quelconque on peut tenter
ours depuis quelque temps. Dans les cas d'arthrite rhumatismale des
membres
supérieurs j'obtiens les mêmes résultats qu'aux
tismale des membres supérieurs j'obtiens les mêmes résultats qu'aux
membres
inférieurs par la faradisation de l'artère fémo
ar la faradisation de l'artère fémorale. Mais quant à la névrite du
membre
supérieur, il faut dire qu'il est en général im
hrachial, dont l'irritation retentit t\ser- jours sur les nerfs du
membre
supérieur atteints de la névrite. ¡ser- Que fau
fugace; il peut durer plusieurs heures comme dans les maladies des
membres
dont nous avons parlé plus haut. Notre manipu-
ue j'espère toujours faciliter les mouvements encore possibles. Les
membres
sont flasques immédiatement après l'apoplexie et
des mouvements et delasensibilité complète; on voit une parésie des
membres
pelviens. La sensibilité est en partie conser-
uée. Il faut se contenter alors de la faradisation périphérique des
membres
, ainsi que le recommande Duchenne (de Boulogne)
ffection. Mais l'effet immédiat d'une séance sur les mouvements des
membres
infé- rieurs peut paraître étrange et j'ajouter
aient mieux ou plus mal il y avait quelque fois de la faiblesse des
membres
pelviens croissante. Ces observations et le cas
résorption du liquide extravasé (1). Je crois que la souplesse des
membres
des ataxiques est la suite de leurs mouvements
onformation féminine fort accen- tuée du bassin, des hanches et des
membres
inférieurs. Examinons maintenant notre malade e
ètre, la couturer de lignes sail- lantes dues à la constriction des
membres
et du tronc par des liens circulaires ou la mar
trer avec facilité sous l'influence d'une friction légère sur les
membres
malades de sujets paraplégiques, hémi- plégique
ur agrégé de la Faculté d'Athènes; Médecin de l'asile de Dromocaitis;
Membre
de la Société Médico-psychologique de Paris.
tte rétrogression pouvant mar- cher un peu plus rapidement à un des
membres
inférieurs (Oris. XV, XVII, XIX), pouvant même
entée par tous les malades; 3° à la perte de notion de position des
membres
présentée par les ma- Jades des OBSERVATIONS XV
ument piquant, par exemple une aiguille, une région quelconque du
membre
droit, le malade ressent la même sensation de p
ême sensation de picotements d'aiguilles sur toute la longueur du
membre
. La même sensation se produit par le con- 26 CL
mais un senti- ment très désagréable et indéfinissable de tout le
membre
. 5). Crises gastriques. Elles ont existé seulem
aines qu'il recommença à voir clair petit à petit. A ce moment, les
membres
inférieurs étaient complètement paralysés, les
moment, les membres inférieurs étaient complètement paralysés, les
membres
supérieurs l'étaient aussi un peu, le malade av
lade en eût conscience; à ce moment, la sensibilité au niveau des
membres
et même du tronc jusqu'au cou aurait été complète
ysie brusque qui ctpi-is successivement et 1res rapidement : a), le
membre
supérieur droit ; b), l'inférieur droit; c), le s
tenir debout. Vers la fin de ce mois, le retour de la motilité aux
membres
inférieurs s'effectue complètement. Douleurs en
complètement. Douleurs en ceinture, perte de notion de position de
membres
. - Au commencement de juin, faiblesse progressi
on de membres. - Au commencement de juin, faiblesse progressive des
membres
. Etat actuel (13 juillet 1886). Demnrc/te alaxi
omplètement pour faire place à une paralysie brusque et complète du
membre
supérieur droit, quelques minutes plus tard, du
complète du membre supérieur droit, quelques minutes plus tard, du
membre
inférieur droit. Une dizaine de minutes après, le
tard, du membre inférieur droit. Une dizaine de minutes après, le
membre
supérieur gauche est pris à son touret devient pa
auche est pris à son touret devient paralytique; aussitôt après, le
membre
inférieur est lui-même atteint. A ce moment don
membre inférieur est lui-même atteint. A ce moment donc, les quatre
membres
étaient paralytiques ; il ne bougeait que la tê
lytiques ; il ne bougeait que la tête. La sensibilité au niveau des
membres
para- lysés et du tronc aurait été complètement
e commence à mouvoir son bras gauche; vers le coucher du soleil, ce
membre
était complètement dégagé de sa paralysie. Le 2
elques heures, le dégagement s'est tout à fait opéré. L'état de ses
membres
inférieurs n'a pas du tout changé. Continuité de
tout changé. Continuité de la parésie vésicale et rectale. Dans les
membres
, il avait des sensations de brûlure. Il est res
it une vingtaine de jours, durant lesquels le malade avait dans les
membres
des douleurs isolées, comme des éclairs qui par
essé, que le 8 avril il a pu marcher sans appui, mais il sentit ses
membres
faibles et lourds pendant quelques jours encore
du mois d'avril, ses Archives, t. XVII. 3 31 CLINIQUE NERVEUSE.
membres
ont recouvré leurs fonctions. Par contre, de nouv
l lui arrivait fréquemment de perdre la notion de position de ses
membres
. ' Au commencement de juin, après une très long
Au commencement de juin, après une très longue course, il sent ses
membres
s'affaiblir et se ployer sous lui. Cette faibless
réthrales; et un peu plus tard, douleurs comme des éclairs dans les
membres
inférieurs. Au bout d'un mois après l'invasion de
de marcher sans appui. En septembre, pas de trace de faiblesse des
membres
; continuité de douleurs uréthrales et de doule
lure à la cuisse gauche. Vers le commencement de 1884, faiblesse de
membres
, qui, dès lors, augmentait de mois en mois. E
il constate avec surprise qu'il est tout à fait paraplégique de ses
membres
inférieurs, au point qu'aucun mouvement n'était
inférieurs, au point qu'aucun mouvement n'était possible. Rien aux
membres
supérieurs ni à la face. La sensibilité aurait ét
commencement de 1884, après un refroidissement, dit-il, il sent ses
membres
faibles. Cette faiblesse, loin de disparaître,
le lendemain matin, à son réveil, il cons- tate la paralysie de ses
membres
inférieurs, évidemment survenue pendant son som
n'était précédée, ni accompagnée, ni suivie d'au- cune paralysie de
membres
supérieurs. Il n'en est pas de même pour le mal
e l'OBSERVATION XX, qui avait en même temps que la paralysie de ses
membres
inférieurs un peu de paralysie aux supérieurs.
ATioN XXI, qui a saisi successivement et très rapidement : a). le
membre
supérieur droit, b), l'inférieur droit, c). le
d). l'inférieur gauche. En d'autres termes, la paraplégie de chaque
membre
inférieur était précédée pendant quelques momen
upérieur correspondant, de sorte qu'en quelques minutes, les quatre
membres
étaient paralytiques, le malade ne remuait plus
lytiques, le malade ne remuait plus que la tête. Les paralysies des
membres
supérieurs, qui ont accompagné la paraplégie so
ne pas oublier de rattacher la perte de notion de posi- tion des
membres
inférieurs du malade de 1OBSI : RYA- Tiori XX 1
l'ataxie. Le signal de son arrivée est marqué par la faiblesse des
membres
inférieurs, occasionnée peut- être par la fatig
alysie et le commencement de l'ataxie marqué par la faiblesse des
membres
inférieurs, c'est-à-dire le temps que le syndro
heures, qui réapparaissent bientôt. Perte de notion de position des
membres
inférieurs. Etat actuel (20 août 4 884). Anesih
scurité et les yeux fermés. Perle de notion précise de position des
membres
. Abolition de tous les réflexes, plantaires, cr
n sol tapissé d'épongés. Il n'y avait aucune trace de paralysie des
membres
ou de la face. Pas de moindre trouble, soit de
s, étant au lit, il a perdu plusieurs fois la notion déposition des
membres
inférieurs et, par moments, il les perdait tout
plaques d'anesthésie assez étendues aux différentes régions do ses
membres
inférieurs. A d'autres régions, nous avons cons
s une notion précise des différentes positions que l'on imprime aux
membres
inférieurs. Les réflexes sont complètement abol
l n'y a pas de troubles de la sensibilité et du sens musculaire aux
membres
supérieurs. Réflexes normaux. Pas do picotement
de perte de la notion précise, des diverses positions imprimées aux
membres
. Retour de; réflexes rotuliens, crémastériens e
des troubles du sens musculaire et par l'abolition des réflexes des
membres
inférieurs, sans aucune trace de paralysie, san
her du soleil, faiblesse se transformant en paralysie com- plète du
membre
inférieur droit. Abolition de la sensibilité au
- plète du membre inférieur droit. Abolition de la sensibilité au
membre
inférieur gauche. -Le 2 septembre, possibilité de
ssibilité de mar- cher sans appui, secousses. Les mois suivants, le
membre
para- lytique se dégage de plus en plus, épihps
eurs articulaires disparaissent pour faire place à une faiblesse du
membre
inférieur droit, laquelle dans un délai de deux
heures se transforme en une paralysie complète. La sen- sibilité du
membre
inférieur gauche aurait été abolie. Rien du côt
mbre, il a pu se tenir debout et faire quelques par en traînant son
membre
et à l'aide d'nn appui. L'amélioration qui a si
ns appui. A ce moment le malade commence à avoir des secousses; son
membre
paralytique se fléchissait et s'étendait tout d
se fléchissait et s'étendait tout d'un coup. Les mois suivants, son
membre
se dé- gageait de plus en plus de sa paralysie
s. Plusieurs fois aussi, il avait des contractures passagères ; son
membre
se raidissait en exten- sion durant quelques mi
'il veut dépasser ce temps, il commence à sentir delà fatigue à son
membre
inférieur droit, qui alors, si la marche se con
62 CLINIQUE NERVEUSE. Quelques secousses surviennent parfois à son
membre
parétique. Il n'y a plus de contractures passag
érien plantaire et rotulien de ce ..membre. Pas trace de parésie au
membre
inférieur gauche, aux supérieurs et à la face.
égère diminution de la sensibilité sous tous ses modes au niveau du
membre
infé- rieur gauche. 11 n'y a aucune trace d'atr
gauche. 11 n'y a aucune trace d'atrophie musculaire. Les muscles du
membre
droit sont aussi bien conservés que ceux du gau
e la disparition de ces symptômes et l'invasion de la monoplégie du
membre
inférieur droit. Abolition de la sensibilité de
e du membre inférieur droit. Abolition de la sensibilité de ce même
membre
. Le 18 juillet possibilité de se tenir debout e
ntractures passagères. Etat actuel (2 septembre 1884). - Parésie du
membre
inférieur droit. Très léger boitement, à peine
e délai, le sujet est pris de paralysie subite et com- plète de son
membre
inférieur droit. La sensibilité de ce même memb
m- plète de son membre inférieur droit. La sensibilité de ce même
membre
aurait été considérablement diminuée, quand on se
0 juillet, quitte le bâton et marche sans appui. Au mois d'août son
membre
est dégagé plus encore de sa paralysie. A cette
A cette époque notre homme a eu des secousses et plusieurs fois son
membre
a été pris d'un tremblement rythmique. La nuit
fois son membre a été pris d'un tremblement rythmique. La nuit son
membre
paralytique se raidissait parfois en extension,
à peine perceptible. 11 y a une exaltation de tous les réflexes du
membre
droit facilement constatable par les procédés l
lepsie spinale spon- tanée, mais non provoquée. Plusieurs fois, son
membre
se fléchit et s'étend tout d'un coup. Pas de co
n de ces symptômes et l'explo- sion de la paralysie. o ! Mpeg'ie du
membre
inférieur gauche. Abolition de la sensibilité d
'ie du membre inférieur gauche. Abolition de la sensibilité du même
membre
. Un certain degré de rétention d'urines. Le 13
e l'améliora- tion.. , Etat actuel (19 novembre 1883). Parésie du
membre
infé- rieur gauche. Exaltation des réflexes. Ép
besoin perçu. Fonctions génitales émoussées. Sensation du froid au
membre
parétique. Nicolas Cirkas, âgé de vingt-sept an
urdis- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 65 sements des
membres
supérieurs, qui partaient des doigts pour » rem
ssement de forces dis- paraissent pour faire place à une parésie du
membre
inférieur gauche, laquelle d'une heure à l'autr
e aucun mouvement. La sensibilité aurait été abolie au niveau de ce
membre
et peut-être un peu au- dessus de sa racine; qu
- gressivement. Etat actuel (19 novembre 1883). Pas de parésie du
membre
in- férieur droit; par contre, le gauche est pa
e de tous les réflexes, plantaires, rotuliens et crémastériens. Son
membre
est plusieurs fois pris d'un tremblement rythmi
leurs aisément provoquer en relevant brusquement l'avant-pied. Ce
membre
se raidit parfois en extension, surtout la nuit,
d'atrophie musculaire. La contractilité faradique est nor- male. Ce
membre
est plus froid que l'autre. Plus de fréquence d
40 0 minutes, rempltt- cement de ces douleurs par la monoplégie du
membre
inférieur droit. Sensibilité du même membre énz
rs par la monoplégie du membre inférieur droit. Sensibilité du même
membre
énzozessée. Deux mois d'alite- ment, secousses.
ctures passagères. Sensibilité émoussée sous tous les modes au même
membre
. Stylianos Myris, âgé de vingt-cinq ans, pas d'
douleurs disparaissent pour faire place à une paralysie complète du
membre
inférieur droit. La sensibilité de ce membre au
paralysie complète du membre inférieur droit. La sensibilité de ce
membre
aurait été émoussée. Pas de troubles du côté de
remble du pied droit en marchant. A cette époque plusieurs fois son
membre
se raidissait en extension pendant quelques min
ris qu'il lui arrivait parfois après la décompression de sentir son
membre
plus fatigue, plus lourd, et sa marche devenait
aire pendant trois années entières, le malade traînant toujours son
membre
inférieur droit, qui plusieurs fois s'était agi
te et de cette façon pouvoir détacher du sol et porter en avant son
membre
inférieur droit qui à ce moment décrit un léger
ur en frottant le sol : son soulier droit s'use très rapidement. Le
membre
inférieur gauche n'a pas trace de paralysie. Ri
s Ja jambe, parfois même provoque un petit mouvement d'adduction du
membre
inférieur opposé. Le membre paralytique est trè
voque un petit mouvement d'adduction du membre inférieur opposé. Le
membre
paralytique est très souvent- agité d'un trembl
quement le grand doigt. Les secousses surviennent fréquemment à son
membre
et surtout la nuit. Les contractures passagères
es. Quant on veut communiquer des mouvements aux arti- culations du
membre
inférieur droit, on sent une résistance très ma
n le saisissait et le serrait fortement, les en- gourdissements des
membres
supérieurs qui partaient des doigts pour arrive
ômes associés et sa marche. a). Mode d'invasion. La monoplégie du
membre
inférieur soit le gauche, soit le droit, survie
Observa- TLONS XXV, XXVI et XXVII.- Elle peut toutefois siéger au
membre
opposé, à preuve l'OBSERVATMN XXIV où la monopl
bre opposé, à preuve l'OBSERVATMN XXIV où la monoplégie siégeait au
membre
inférieur droit et l'anesthésie, au membre infé
a monoplégie siégeait au membre inférieur droit et l'anesthésie, au
membre
inférieur gauche. b). Troubles vésicaux. La ves
ymptôme a existé chez deux malades, Observation XXVI et XXVII, le
membre
paralytique se raidit en extension durant quelq
articulaire. Quand on fait com- muniquer des mouvements passifs au
membre
paraly- tique du malade de t'OBSERVATiON XXVII,
, et de cette façon, pouvoir détacher du sol et porter en avant son
membre
inférieur droit, qui, à ce DES ACCIDENTS PAR L'
'une légère diminution de la sensibilité, par exemple, au niveau du
membre
opposé au paralytique, à savoir l'inférieur gau
malade de l'OBSERVATION XXVI, qui avait une sensation de froid au
membre
paralytique, ceux des Observations XXIV, XXV et
mple, qui est le même pour tous les cas, à savoir : monoplégie d'un
membre
inférieur quel- conque, anesthésie, soit du mêm
plégie d'un membre inférieur quel- conque, anesthésie, soit du même
membre
, soit du membre opposé et parfois troubles vési
inférieur quel- conque, anesthésie, soit du même membre, soit du
membre
opposé et parfois troubles vésicaux ; enfin, à
ouleurs extrêmement vives, s'étendant à l'occiput et s'irradiant au
membre
supérieur droit, exaspération de ces douleurs,
cou. Dans l'après- midi, fourmillements et engourdissements dans le
membre
supérieur droit, en même temps qu'un certain de
supérieur droit, en même temps qu'un certain degré de parésie de ce
membre
. Le 19 septembre, diminution de l'intensité des
vation de la parésie. - Le 20 septembre, paralysie complète .de ce
membre
, localisation- des douleurs à la nuque et à l'épa
des douleurs à la nuque et à l'épaule.- La 3 octobre, faiblesse du
membre
inférieur droit. Etat actuel (6 octobre). Paral
de chose près à celle de la paralysie motrice. Parésie spastique au
membre
inférieur droit. Traitement. Applica- tion de p
cette région, s'étendant jusqu'à l'occiput et s'irradiant aussi au
membre
supérieur droit et surtout aux grandes articulati
troces, tels que des fourmillements et des engourdissements dans le
membre
supérieur droit, en même temps qu'un certain de
Le 20 septembre, le malade est dans l'impossibilité de remuer le
membre
supérieur droit qui pend le long de son tronc com
ts et les fourmillements n'ontcessé de tourmenter le malade. De son
membre
paralysé, il pouvait faire quelques mouvements.
re paralysé, il pouvait faire quelques mouvements. A ce moment, son
membre
aurait commencé à devenir grêle. ' Le 3 octob
Le 3 octobre 1883, le malade a été effrayé en constatant que son
membre
inférieur droit était faible et lui paraissait lo
lors que nous fûmes consulté. Etat du malade (6 octobre 1883). Le
membre
supérieur droit est pendant, dans une attitude
ée. L'examen électrique est négatif pour tous les autres muscles du
membre
supérieur droit. Sensibilité. Le malade se plai
est presque complètement anesthésique. Enfin, pour finir avec le
membre
supérieur droit, n'oublions pas de noter quelques
ait des stries transversales. Afcm)'es ! <pe)' ! eu ! 'd)'ot. Ce
membre
est parétique. Il y a une exaltation très marqu
ence des émotions et de la fatigue et dans certaines positions, son
membre
inférieur droit commence à être agité d'un trem-
e la vessie du rectum et des organes génitaux. Pas de paralysie aux
membres
inférieur et supérieur gauches. Il n'y a aucun
au bord radial de l'avant-bras. Il n'y a presque plus de parésie au
membre
inférieur droit. L'épilepsie spinale survient t
e au bord radial de l'avant-bras. Il n'y a plus trace de parésie au
membre
inférieur droit. L'épi- lepsie spinale a dispar
du cou, douleurs qui s'éten- daient à l'occiput et s'irradiaient au
membre
supérieur droit. C'est elle qui afait naître le
e qui afait naître les fourmillements et les engourdissements de ce
membre
. Dans l'espace de deux jours, la lésion méningé
inique; ce sont la paralysie et, un peu plus tard, la myatrophie du
membre
supérieur droit. 84 CLINIQUE NERVEUSE. A une
de procéder à l'explication des symptômes qui sont présentés par le
membre
inférieur droit, nous devons signaler la distri
a raison anatomique et physiologique de la parésie spasmodique du
membre
inférieur droit, qui a paru quinze jours après
droit, qui a paru quinze jours après l'invasion de la monoplégie du
membre
supé- rieur droit. Elle est due à la formation
fréquente. La mère est habituée à réduire le rectum en prolapsus.
Membres
. Ils sont gros, potelés par le fait du pseudo-mde
otelés par le fait du pseudo-mdeme. Les attaches sont épaisses. Les
membres
supérieurs égaux ont 0"'22 de longueur, les inf
nomie tout à fait semblable et caractéristique ; l'état du cou, des
membres
et, en particulier, des pieds et des mains est
e comme dans l'hystérie, soumis à d'autres lois que les muscles des
membres
. C'est ainsi que jusqu'à présent on n'a jamais
aralysie flasque de la face dans l'hystérie, tandis que du côté des
membres
, ces paralysies sont, comme on le sait, très fr
façon que l'irritation directe de ces muscles. Il en résulte que le
membre
sur lequel on expérimente prend une attitude ca
e de la comparaison. Sous l'influence d'une traction continue, le
membre
contracture d'un sujet léthargique cède par degré
membre contracture d'un sujet léthargique cède par degrés, comme le
membre
raidi par la volonté, à ce point de vue il y a
s différences fondamentales : chez lu simulateur, le tremblement du
membre
et l'irrégula- rité de la respiration ne tarden
z l'hypnotique le rythme respiratoire ne varie pas et la détente du
membre
contracture s'opère lentement, sans la moindre
96 REVUE CRITIQUE. licite cataleptique, qui consiste en ce que les
membres
sou- levés ou fléchis par l'observateur ne sont
ce et que le sujet garde toutes les attitudes qu'on'im- prime à ses
membres
ou à son corps.' . On peut distinguer par des p
Voici comment on procède : on commence, par exemple, par placer le
membre
supérieur dans l'abduction de façon à ce qu'il
zontale. On applique alors un tam- bour à réaction à l'extrémité du
membre
étendu qui servira à enregistrer les moindres o
re étendu qui servira à enregistrer les moindres oscillations de ce
membre
pendant qu'un pneumographe fixé sur la poitrine
dant toute la durée de l'observation, la plume qui correspond au
membre
étendu trace une ligne droite parfaitement régu-
rrespond aux indices de la fatigue musculaire notés sur le tracé du
membre
, un rythme irrégulier et on constate de profond
en est ainsi, les attitudes fixes artificielle- ment imprimées aux
membres
, ou d'une façon plus générale aux diverses part
tion ou de suggestion, restent le plus souvent sans effet'. « Les
membres
sont mous, flasques, pendants, et soulevés, ils
-même, le sujet parait endormi, mais même alors la réso- lution des
membres
n'est pas aussi prononcée que lorsqu'il s'agit
l'expérience sera plus souvent renouvelée. Dans la catalepsie, les
membres
soulevés et placés dans des attitudes diverses
Seppili, on peut supprimer l'excitabilité neuro-musculaire dans un
membre
par l'application d'eau froide ou de glace. Nou
ue par suggestion le développement d'une paralysie llaccide dans un
membre
, on lui fait perdre, pendant la durée GRAND ET
éâtre de la faculté de médecine du 19 au 24 août. Il comprendra des
membres
fon- dateurs qui sont les membres titulaires de
19 au 24 août. Il comprendra des membres fon- dateurs qui sont les
membres
titulaires de la société et des membres adhéren
fon- dateurs qui sont les membres titulaires de la société et des
membres
adhérents français et étrangers. La souscription
e publiés dans le n° de mai des annales médico-psychologiques1. Les
membres
du congrès qui désireront prendre la parole sur
e la conformation du crâne, des déforma- lions ou malformations des
membres
, enfin des différents signes de troubles nerveu
'atrophie est celle qui siège sur un hémisphère avec atro- phie des
membres
du côté opposé ; cette lésion aurait pour l'au-
es derniers, partiellement ou totalement, le prix de journée de ses
membres
(secours mutuels). Il en existe d'ailleurs à Fuer
st un nuisible contre lequel la société a le devoir de protéger ses
membres
. Et, comme, ainsi qu'on l'a vu, les dégénérés s
·la. Concours pour l'internat en pharmacie. Le tirage au sort des
membres
du jury du concours pour l'internat en pharmacie
était impossible à cause de l'artUropathie). Force normale dans les
membres
inférieurs; diminution notable de la sensibilité,
le bras droit remarquée depuis peu; ataxie très prononcée dans les
membres
inférieurs pendant la marche et pendant les mouve
musculaire (la malade ne peut se rendre compte de la position d'un
membre
dans l'espace); les autres espèces de sensibili
leurs très vives dans les deux épaules, sur- tout la nuit. Dans les
membres
inférieurs, douleurs lancinantes sur le parcour
tes. Depuis un mois, l'ouïe et l'odorat se sont affaiblis. Dans les
membres
supérieurs, il faut remarquer l'absence complèt
ons. La sensibilité à la pression est très émous- sée dans les deux
membres
inférieurs et est presque réduite à zéro dans l
ontractilité électrique normale. Sensibilité très exagérée dans les
membres
inférieurs et la moitié inférieure du tronc, ma
année de sa vie, ressentit des douleurs « tiraillantes » dans les
membres
inférieurs, « comme si les nerfs se tendaient et
ut) ; dans d'autres endroits, au contraire, hyperesthésie. Dans les
membres
supérieurs, sensation d'engourdissement dans les
D, Fhkdéric BATEMAN, Médecin de l'hôpital de Norwich (Anelctcrrr),
membre
correspondant étranger de l'Académie de médecin
grégé de la Faculté d'Athènes : Médecin de l'asile de .Dromocaitis;
Membre
de la Société Mhdico-psychologique de Paris. F.
ue, ce scaphandrier tombe soudain complètement paralytique de ses
membres
inférieurs, qui étaient en même temps absolument
après l'enlèvement du casque, le plongeur est pris d'une parésie du
membre
inférieur gauche, qui dans quelques minutes s'e
rait pas eu d'autres symptômes nulle part. Vers 1 heure du soir, le
membre
a récupéré in integro sa motilité. Observation
. Au bout de ce temps, il est pris tout d'un coup d'une parésie des
membres
supérieurs, bientôt suivie de celle des membres
d'une parésie des membres supérieurs, bientôt suivie de celle des
membres
inférieurs. Quelques minutes après, le malade e
e malade est réduit à l'impossibilité absolue de mouvoir ses quatre
membres
, il ne bougeait plus que la tête. La sensibilit
es céphaliques ou autres. Le soir, le malade commence à mouvoir ses
membres
supérieurs et dans le cours de la nuit, l'améli
ton- namment rapides, il récupère complètement la motilité de ces
membres
. Les membres inférieurs restent dans le même état
t rapides, il récupère complètement la motilité de ces membres. Les
membres
inférieurs restent dans le même état. Le 17 et
initivement guéri, la motilité aussi bien-que la sensibilité de ses
membres
inférieurs étant revenue à l'état normal. Nou
senter sous trois types distincts : 1° le type de paraplégie des
membres
inférieurs ; 2° le type de double paraplégie et 3
eu ni'perte de connaissance, ni bouche de travers, ni paralysie des
membres
, ni autres troublées cépha- liques. Cet état
ymptômes céphaliques. Pas de bouche de travers. Pas de paralysie de
membres
. Pas de troubles de la sensibilité, du sens mus
on lui disait. , Pas de perte de connaissance, pas de paralysie des
membres
, pas de bouche de travers enfin pas d'autres sy
es accès convulsifs ; l'accès commence par une flexion excessive du
membre
supérieur gauche au niveau des articulations du
l'attitude de la pronation forcée. Au bout de quelques secondes, ce
membre
s'agite dans toute son étendue par des secousse
s de gri- maces qui se succèdent rapidement et rhythmiquement. Le
membre
inférieur gauche ne tarde pas à son tour à être e
cident qui a eu lieu à midi 40 et qui a été suivi d'une parésie des
membres
supérieurs et inférieurs gauches. Cetle parésie
é une heure et demie. Au bout de ce laps de temps, une paralysie du
membre
inférieur gauche survint. A ce moment, le malad
ans gonflement au moins apparent, en même temps qu'une paralysie du
membre
supérieur non plus le gauche, ce qui lui est ar
dure deux heures, au bout desquelles il est pris d'une paralysie du
membre
inférieur droit, sans troubles de la sensibilit
er, il était atteint des mêmes accidents, à savoir une paralysie du
membre
supérieur tantôt gauche tantôt droit avec ou sa
ps qui varie entre une demi-heure et deux heures d'une paralysie du
membre
droit correspondant avec des douleurs vagues au
orrespondant avec des douleurs vagues aux lombes et lancinantes aux
membres
affectés ; pas d'autre symptôme céphalique, pas
téressantes dont l'une est un exemple de paralysie de la face et du
membre
supérieur gauche. a). Paralysie faciale. '
VEUSE. ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. b). Paralsie de la face et du
membre
supérieur droit. Observation XLVIII. Le nommé
t de ce temps, tout d'un coup, il est pris de paralysie complète du
membre
supérieur gauche. La bouche, en même temps, éta
uche aussi bien que le droit. Il n'y a aucune trace de paralysie au
membre
supérieur droit et aux inférieurs. Sauf quelque
bre 1884. 11 n'y a aucune trace de paralysie, soit faciale, soit du
membre
supérieur gauche depuis un mois, époque de la d
léthargique; il suffit de presser sur les muscles, de comprimer un
membre
avec une bande élastique, de presser sur un tronc
ne peut pas être incriminée. En quoi en effet, la compression d'un
membre
par une bande élastique ou celle d'un tronc ner
nerf entrent en contraction ou en contracture, et com- muniquent au
membre
sur lequel on opère une position inva- riable e
l'expérience est ren- ouvelée. Si dans la catalepsie on soulève un
membre
, celui- ci ne garde qu'un temps très limité la
e traduit parfois par une manifestation unique, la contracture d'un
membre
, le mutisme, par exemple ? c'est là l'hystérie
ommandent chacun la contraction en masse de tous les mus- cles d'un
membre
. Autour de ces centres primitifs se déve- loppe
eu à peu des centres destinés aux différents groupes musculaires du
membre
innervé parle centre primitif. Chez le chien no
mnolence intense, sans maux de tête ni nausées. Un peu d'ataxie des
membres
supérieurs et faiblesse du membre inférieur gau
ni nausées. Un peu d'ataxie des membres supérieurs et faiblesse du
membre
inférieur gauche. Réflexes tendineux abolis parto
le au niveau de la dixième vertèbre dorsale amène la paralysie du
membre
inférieur gauche, paralysie qui disparait au bout
-section gauche au-dessous de l'entrecroisement des pyramides, le
membre
supérieur gauche seul est paralysé, tandis que la
s que la même hémi-section, sur un cobaye sain, paralyse les deux
membres
gauches. Donc les impulsions motrices, chez le co
quelques heures, les mouvements se rétablissaient par seg- ments de
membres
, en commençant par les extrémités; les choses s
rapport direct avec le développement de la face du même côté et des
membres
du côté opposé. Nerfs dilatateurs de la pupille
e à il. le professeur Ball, s'explique par ce l'ait que beaucoup de
membres
se sont rappelés que le tour de M. Boucliereau
d'autant plus inexplicable que c'est précisé- ment devant deux des
membres
de ce même bureau que M. Boucherean, candidat c
la parole. M. Le président. La parole est à M. Delsol. M. DELSOL,
membre
de la commission. Messieurs, l'article 39, sur
d'inconvénients à ce que, à quelques minutes d'intervalle, le même
membre
du parquet qui aura demandé au jury de condamne
empire de la folie qui l'obsède, exercer son ressentiment contre un
membre
du jury, faire d'un témoin une victime. La- com
res con- ditions opératoires. Immédiatement, après l'opération, les
membres
inférieurs sont paralysés, quelquefois rigides,
la disparition de ces troubles du début, il reste une paralysie du
membre
correspondant à la lésion, paralysie qui se dis
araitre complètement au bout de quelques mois. Ce rétablissement du
membre
serait dû à des fibres suppléantes, car jamais
e d'une fonction donnée, par exemple du mouvement volontaire d'un
membre
, il réunit tous les cas de lésions cérébrales d
tous les cas de lésions cérébrales dans lesquels la motilité de ce
membre
était demeurée intacte. Puis il reporte sur un
ts centres corticaux plus ou moins chargés et remplis, le centre du
membre
considéré reste en blanc. Ce centre coïncide do
tion était lésée et où il exis- tait des troubles de la motilité du
membre
supérieur du côté opposé à la lésion. On peut,
s faible que le gauche 1... est gau- cher. Aucune rigidité dans les
membres
supérieurs. Les mouve- ments passifs s'opèrent
dans presque tout le tronc depuis les deux spina scapuloe, dans les
membres
infé- rieurs jusqu'à la plante des deux pieds e
it remarquer ces derniers temps dans le bras gauche aussi. Dans les
membres
inférieurs, un assez grand espace à la jambe ga
ire (c'est-à-dire la faculté de se rendre compte de la position des
membres
) est extrêmement troublé dans les membres infér
mpte de la position des membres) est extrêmement troublé dans les
membres
inférieurs. La localisation des sensations est
ractère général de l'anesthé- sie reste toujours le même : dans les
membres
supérieurs, la face ulnaire, ainsi que les deux
aire, ainsi que les deuxième et troisième derniers doigts; dans les
membres
inférieurs, les jambes (du genou au pied); dans
. * Les réflexes l'Ofztlte7tS sont totalement tibolib dans les deux
membres
inférieurs à ce que prouvent les observations r
réactions électriques sont également normales dans les muscles des -
membres
supérieurs et inférieurs. L'irritabilité mécani
èrent, mais par contre apparurent des douleurs fulgurantes dans les
membres
inférieurs. Vers le 2 novembre 1886, l'augmenta
ataxie violente que nous voyons progresser devant nos yeux dans les
membres
infé- rieurs et moins prononcée dans les extrém
plial aux deux jambes ; la faculté de reconnaître la position d'un
membre
dans l'espace est tombée; la sensibilité farado
es, outre l'ataxie, l'affaiblissement du sens musculaire dans les
membres
inférieurs et l'abolition de réflexes rotuliers,
gé de la Faculté cl'.ltliènes : Médecin de l'asile de. Dromocaitis;
Membre
de la Société )Iedico-psycliologiqtje de l'aiis.
aussi bien que sa tenue, en désordre. Ses habits sont déchirés. Ses
membres
sont'agités de mouvements incessants. Le mala
matin le lendemain. Le malade revenu à lui a observé que ses quatre
membres
étaient complètement et absolument paralysés. L
guille a montré que la sensibilité aurait été abolie au niveau des
membres
paralysés. Il avait en même temps des douleurs li
endant treize jours, le malade a dû garder le lit, ayant ses quatre
membres
paralysés. Sa bouche n'aurait pas été de traver
a diplopie et les vertiges persistaient. Au bout de ce temps, les
membres
supérieurs étaient com- plètement dégagés de la
ce qu'il disait, il vomissait des injures, tl mouvait avec rage ses
membres
, il aboyait et se jetait sur ceux 406 CLINIQUE
sie aussi bien de la sensi- bilité que de la motilité de ses quatre
membres
. La bouche n'aurait pas été de travers. La paré
t jours, au bout desquels il a complètement récupéré l'usage de ses
membres
supérieurs. Quant aux inférieurs, l'amélioratio
ide d'un appui, que depuis lors il n'a pas quitté. A ce moment, ses
membres
s'agitaient d'un tremblement rythmique. Depuis
pinaux. Le fait qui domine l'état maladif, c'est une paralysie des.
membres
inférieurs qui est beaucoup plus accentuée au m
aralysie des. membres inférieurs qui est beaucoup plus accentuée au
membre
gauche. La démarche est tout à fait spasmodique
de cette manière arriver à détacher du sol 'et porter en avant son
membre
inférieur gauche qui alors décrit un demi-cercl
n frottant de temps à autre le sol. Il n'en est pas de même pour le
membre
inférieur droit qu'il peut détacher du sol et f
lémentaires. .' Il a des secousses surtout la nuit, plus souvent au
membre
infé- rieur gauche. Les membres se fléchissent
ses surtout la nuit, plus souvent au membre infé- rieur gauche. Les
membres
se fléchissent et s'étendent tout d'un coup. Se
auche. Les membres se fléchissent et s'étendent tout d'un coup. Ses
membres
paralysés et surtout le gauche sont agités souv
est facile de cons- taterparles mouvements passifs communiqués aux
membres
qu'il va une dyscampsie des articulations très
ie des articulations très marquée, surioutà gauche. - Souvent,' son
membre
gauche et parfois le droit se raidit en extensi
s modes a montré des plaques .d'anesthésie très étendues surtout au
membre
gauche. Le sens musculaire ne parait pas altéré
rmanente, au contraire, il s'est amélioré considérablement de son
membre
droit; quant au membre gauche, si d'un côté les
e, il s'est amélioré considérablement de son membre droit; quant au
membre
gauche, si d'un côté les symptômes spasmodiques
enaient ce qu'il disait. Il vomissait des injures, il mouvait ses
membres
avec rage, il aboyait, il se jetait, pour les m
ntale; les vertiges de la forme vertigineuse; enfin une parésie des
membres
inférieurs avec anesthésie et un certain degré
nt au malade. A ce moment, le malade était pris d'une parésie des
membres
inférieurs qui lui paraissaient très lourds. La s
ssion brusque. Immédiatement après la décompression : monoplégie du
membre
inférieur droit une heure et demie de durée. Le
aire place à une hémiplégie gauche. La bouche était de travers, ses
membres
supérieur et inférieur du côté gauche, ne pouva
bout de laquelle le malade se porte parfaitement bien, remuant son
membre
para- lytique aussi bien qu'avant l'accident.
mps, d'une paralysie de la sensibilité et de la motilité des quatre
membres
. 11 ne pouvait bouger que la tête. 420 0 CLINIQ
utres symptômes. Au bout de deux heures, il recouvre l'usage de ses
membres
et le malade le lendemain malin a repris son tr
er était une hémiplégie gau- che, le second était une monoplégie du
membre
infé- rieur droit et le troisième une paraplégi
embre infé- rieur droit et le troisième une paraplégie des quatre
membres
. Tous les trois étaient fugitifs, transitoires.
é par un engourdissement très fort suivi bientôt d'une paralysie du
membre
supérieur et inférieur droit; sa bouche aurait
ait de l'estomac aux pieds et qui a été suivi d'une paralysie des
membres
inférieurs qui est devenue complète dans deux heu
mencé son métier dès qu'il s'est senti capable de remuer un peu ses
membres
. Le mieux se faisait sentir d'un jour à l'autre
eu ses membres. Le mieux se faisait sentir d'un jour à l'autre. Les
membres
reprenaient des forces et après un mois il marc
ses modes, de temps en temps le malade a des engourdisse- ments aux
membres
surtout sous l'influence des variations atmos-
Bientôt après, le malade est atteint subitement d'une paralysie du
membre
supérieur et inférieur droit, la bouche était aus
us les mots. A ce moment aussi, il a com- mencé à remuer un peu ses
membres
paralysés. Il s'endort et le matin se lève bien
ures du matin, le plongeur est atteint d'une paralysie complète des
membres
inférieurs, qui a été bien- tôt suivie de perte
lus d'un quart d'heure, au bout duquel il est pris d'une parésie du
membre
inférieur gauche, les trois autres ayant conser
nt après une longue course que notre .homme sent de la fatigue à ce
membre
. Son membre parélique après une fatigue ou sous
ongue course que notre .homme sent de la fatigue à ce membre. Son
membre
parélique après une fatigue ou sous l'influence
tremblement. 11 y a une exaltation considérable des réflexes de ce
membre
. Son membre parétique parfois se fléchit et s'é
11 y a une exaltation considérable des réflexes de ce membre. Son
membre
parétique parfois se fléchit et s'étend tout d'un
et s'étend tout d'un coup. Il y a des anesthésies par plaques, à ce
membre
, la sensibilité est intacte à l'autre. Rien d
aucune amélioration du côté de la motilité et de la sensibilité des
membres
inférieurs. J. Z... d'Hydra, âgé de vingt-cinq
imie et qu'il perdit connaissance; étant re- venu à lui, il vit ses
membres
inférieurs paralysés. Je l'examinai et je vis q
t ses membres inférieurs paralysés. Je l'examinai et je vis que ses
membres
inférieurs étaient paralysés et insensi- bles;
'il allait recouvrer entièrement le mou- vement et la sensation des
membres
inférieurs; mais malheureu- sement il était pau
dire, des vertiges, la tendance à la lipothymie et des douleurs aux
membres
inférieurs; il demanda qu'on le déshabillât et
à Hydra et il me disait qu'il se trouvait bien, si ce n'est que ses
membres
inférieurs étaient attaqués; ces membres avaien
bien, si ce n'est que ses membres inférieurs étaient attaqués; ces
membres
avaient perdu complètement la motilité; la sens
auprès de lui, le trouva sans connaissance, la figure 7-uiige, les
membres
complètement inertes et couverts de sueur froide.
lques signes d'intelligence et de souffrance; mais la paralysie des
membres
est restée complète. , Le travail de M. Lampada
supérieurs froids, son pouls était petit. faible et filiforme, ses
membres
inférieurs étaient couverts et chauds par suite d
es mots incohérents ; quel- quefois il remuait un peu seulement les
membres
supérieurs et avait de la dyspnée depuis le com
ique irnmersive, il sentit des douleurs et des engourdissements aux
membres
supérieurs et inférieurs, qu'il remuait diffici
mais il avait seulement beaucoup de taches livides au thorax ; ses
membres
supérieurs et inférieurs ne cessèrent pas de re
de l'espoir en voyant que sa tête n'était pas gonflée et que ses
membres
remuaient, quoique avec une certaine difficulté.
aires quelque chose d'analogue à ce qui a lieu pour la motilité des
membres
inférieurs dans l'abasie. Le n° 67 nous offre a
iquides rejetés par le nez. Deux semaines après, faiblesse dans les
membres
inférieurs avec diminution de la sensibilité, d
ux que dans les gros troncs et elles prédominent aux extrémités des
membres
inférieurs. Elles peuvent exister sans la moind
ept ans éprouve des douleurs et des crampes, puis une paralysie des
membres
inférieurs ; vingt- quatre heures après les mem
e paralysie des membres inférieurs ; vingt- quatre heures après les
membres
supérieurs présentent les mêmes phénomènes. Au
es suivants : paralysie complète de tous les muscles du bassin, des
membres
inférieurs et des membres supé- rieurs jusqu'au
mplète de tous les muscles du bassin, des membres inférieurs et des
membres
supé- rieurs jusqu'aux épaules; pas de mouvemen
e suivant, rapportée par M. Platonoff. Paralysie débutant par les
membres
inférieurs, puis gagnant les membres supérieurs
. Paralysie débutant par les membres inférieurs, puis gagnant les
membres
supérieurs, et peu de temps après la face ; pas
ue temps, il meurt dans une cachexie extrême, paralysé des quatre
membres
. M. Rogovitch, le premier, a montré qu'il s'agit
émiplégie droite avec aphasie complète. Atro- phie très marquée des
membres
droits, avec exagération des réflexes du même c
n" 30, 1880. Fursteter. Un cas de guérison de contracture de trois
membres
chez un enfant de 12 ans par la suggestion. Le
on (aisselles, etc.), on ne rencontre trace de transpiration. Les
membres
supérieurs sont gros ; les extrémités sont froide
; le pied est gonflé, épais. Dans les derniers temps de la vie, les
membres
avaient beaucoup diminué de volume, la peau y é
e partie du corps. Voici les dimensions des différentes parties des
membres
: 482 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Elisa 1 ?
ile progressive subaiguè. Cette affection débute par les muscles du
membre
inférieur, puis envahit tous ceux de l'économie
èbre cervicale deux fois de suite. Il présentait de la paralysie du
membre
supérieur, de la parésie du membre infé- rieur
Il présentait de la paralysie du membre supérieur, de la parésie du
membre
infé- rieur et de la difficulté de la déglutiti
acture de la colonne cervicale qui a guéri, gardant une parésie des
membres
supérieurs. AL le 1)' Putnam pense que dans un
deviendrait en état d'ébriété sans alcool ; l'auteur cite de vieux
membres
de société de tempérance qui, quoique très sobr
alysé, augmentés par les.excitations, les efforts pour se servir du
membre
malade, au moment d'un mouvement associé. Il en
se tiendra à Paris du 5 au 10 août 1889. Le Congrès se com- pose de
membres
fondateurs et de membres adhérents, nationaux e
u 10 août 1889. Le Congrès se com- pose de membres fondateurs et de
membres
adhérents, nationaux et étrangers. Sont membres
es fondateurs et de membres adhérents, nationaux et étrangers. Sont
membres
fondateurs : les membres titulaires et honorair
es adhérents, nationaux et étrangers. Sont membres fondateurs : les
membres
titulaires et honoraires de la Société médico-p
logique, dont la souscrip- tion est fixée à vingt-cinq francs. Sont
membres
adhérents : les médecins, les directeurs des as
aux questions relatives à l'aliénation mentale. La souscription des
membres
adhérents nationaux et des membres étrangers es
n mentale. La souscription des membres adhérents nationaux et des
membres
étrangers est fixée à vingt francs. Le Comité a
édecine légale des aliénés pourront être sou- mis au Congrès. Les
membres
du Congrès qui voudront prendre la parole dans
urement, un compte rendu du Congrès, compre- nant : a. la liste des
membres
fondateurs et adhérents ; b. les actes et.trava
aire des statuts du règlement et du Congrès sera adressé à tous les
membres
adhérents en même temps que les rapports dont i
e clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Paris,
membre
de l'Acadé- mie de médecine, vice-président de
e Charenton, secrétaire général de la Société médico-psychologique.
Membres
du Comité. MM. BLANCHE, mem- bre de l'Académie
nt : « pour caractère distinc- tif de se rencontrer parmi plusieurs
membres
d'une même famille. C'est une maladie qui tend
on tardive de la cause provocatrice explique l'immunité de certains
membres
d'une même famille et les exceptions à la loi de
me ivre, titubant, bras et jambes écartées. Une certaine ataxie des
membres
supérieurs et des mo- difications dans l'écritu
on lit ; d'ailleurs elle n'éprouve ni douleurs, ni crampes dans les
membres
inférieurs et elle garde la notion de la positi
perdent pas dans son lit. La force musculaire est diminuée dans les
membres
inférieurs, en rapport avec un amaigrissementgé
grosse incoordination motrice apparaissant dès qu'elle soulève ses
membres
, l'abolition du réflexe tendineux du ge- nou et
mal, la jambe étant envoyée brusquement à droite ou à gauche. Aux
membres
inférieurs, c'est en somme une sorte de paraplégi
ce domine avec une hypotonicité générale de tous les muscles. Aux
membres
supérieurs, les phénomènes observés sont de même
ion des paupières, rend difficiles les divers mouvements. Comme aux
membres
inférieurs, la sensibilité objective et subjectiv
rsions de sensations existent surtout dans le mu 2 18 RÉVILL10D
membre
inférieur droit, depuis la ceinture du bassin à l
gauche, la para- lysie motrice est complète, paralysie flasque. Le
membre
soulevé retombe lourdement. Le talon posé sur l
penche en varus équin. Il y a perte de la notion de la position des
membres
inférieurs. Assise, Mme X... ignore où sont ses
dysesthésie delà jambe droite. Il n'y a pas de douleurs le long des
membres
ni en ceinture. Les réflexes patellaires sont e
incters intacts. Rachis normal. Pas de troubles d'inner- vation des
membres
supérieurs, du bulbe, de l'encéphale, des fonctio
ard. C'est une dissociation thermique qui consiste en ceci : que le
membre
inférieur droit sent le chaud, mais ne sent pas
rieur droit sent le chaud, mais ne sent pas le froid, tandis que le
membre
inférieur gauche sent le froid et ne sent pas l
-lombaire dans laquelle se trouve compris : 1° Le tractus moteur du
membre
inférieur gauche (faisceau pyramidal) ; 2° Le t
(faisceau pyramidal) ; 2° Le tractus thermique du chaud de ce même
membre
inférieur gauche(subs- tance grise centrale) ;
trale) ; 3° Le tractus sensitivo-sensoriel et thermique du froid du
membre
inférieur droit qui doit donc s'entrecroiser po
es dysesthésies primitivement localisées à droite diminuent dans ce
membre
inférieur droit, mais se diffusent, se propagent
uche, puis tendent à disparaître, d'abord à la face postérieure des
membres
, sauf la fesse gauche qui reste plus longtemps
n corps étranger appliqué contre elle. Il semble qu'a mesure que ce
membre
inférieur gauche recouvre sa motilité, il perde
sensations reviennent aussi plus tard à la face postérieure des deux
membres
. SCLÉROSE MÉDULLAIRE 21 à droite. Cette jambe
ndant que l'amélioration ne discontinue pas. La face antérieure des
membres
inférieurs, recouvre à son tour la sensibilité th
ne man- que pas de raisons contre ; en particulier l'intégrité des
membres
supérieurs, de la nutrition musculaire, cutanée
nt rien à faire avec le syndrome Brown-Séquard. Dans notre cas, les
membres
inférieurs ont été pris en masse dès le début, à
e de la moelle, de même que l'absence des troubles fonctionnels des
membres
supérieurs, de la respiration, déglutition, etc
. Il s'agit d'un homme de 40 ans,amputé de cuisse, chez lequel « le
membre
inférieur du côté opposé à celui de l'amputation
pable de faire le moindre mouve- ment ; elle est paralysée des deux
membres
inférieurs, même de la jambe droite qui avait é
ure, etc. sont revenues à la normale : 1° A la face postérieure des
membres
inférieurs (Fig. 3). - 2° A leur face antérieur
chaud et froid reviennent aussi plus tard à la face antérieure des
membres
(Retour à l'état normal). 28 RÉVILLIOD L'amél
tinuant : b) par la face postérieure, c) par la face antérieure des
membres
inférieurs. Amélioration générale, interrompue pa
ses à propos de son obésité. Aussitôt les troubles fonctionnels des
membres
inférieurs constatés, on fit la faradisation as
fit les prescriptions suivantes : 1° Courant galvanique le long des
membres
inférieurs, avec large électrode appliqué au mi
stagmus, aucun déficit sensoriel, pas de tremblement volontaire des
membres
supérieurs, mais seulement de la maladresse et
sation est accusée, on peut voir de légères oscillations agiter les
membres
inférieurs, et par suite le ma- lade se plaint
gauche, et, dans le cours, d'une faiblesse particulière de tous les
membres
, avec délire. Quand la pneumonie fut guérie, les
a force. Cette incertitude, cette faiblesse dans les mouvemeuts des
membres
inférieurs, il les ressentait aussi dans les supé
s mouvements, quand il est couché. Les mouvements de préhension des
membres
supérieurs sont imparfaits, irréguliers, brusqu
le tronc, en arrière, ne suit pas ou suit mal les mouve- ments des
membres
inférieurs. Il faut souvent attirer le malade en
che. 2° Dans la station, si on fait porter le tronc en arrière, les
membres
infé- rieurs restent fixes, rigides et ne fléch
e vermis fut trouvé en voie d'atrophie et où l'in- coordination des
membres
supérieurs était telle qu'on devait aider le mala
s'élèvent. Il a perdu le sens de la stabilisation (Grasset) de ses
membres
infé- rieurs, qui permet de se lever en les app
statique : si on le fait coucher sur le dos et qu'on lui tienne les
membres
inférieurs fléchis, en l'air, on est surpris de v
t cette asthénie générales ; dès qu'on lui demande un effort de ses
membres
supérieurs, SCLÉROSE EN PLAQUES FRUSTE 35 il
uis la paralysie aurait ensuite gagné la face et en dernier lieu le
membre
inférieur. Le 11 décembre, la malade entre à l'
s d'hémianop- sie. Le lendemain, la motilité est revenue dans les
membres
supérieur et infé- rieur droits. Seule l'hémi-h
'état de contraction ou de relâchement des muscles. Les muscles des
membres
inférieurs sont loin d'être les seuls à pren- d
efforts se succèdent immédiatement l'un à l'autre comme les pas des
membres
. Je nomme le premier « effort d'élévatiort.»,pa
fort pour élever et fixer le bassin, et par suite, pour détacher le
membre
du sol et le maintenir suspendu en l'air. Le seco
e sujet, dit, après avoir décrit les contractions musculai- res des
membres
inférieurs : « D'autres actions musculaires se mo
e sacro-lombaire se contracte énergiquement à chaque pas du côté du
membre
oscillant. A quel moment précis se produit cette
raction des spinaux se maintient tout le temps de l'oscillation dit
membre
inférieur correspondant ; et elle cesse brusqueme
as encore touché le sol, et le poids du corps porte toujours sur le
membre
inférieur gauche. C. 'Début du pas postérieur (
il n'est pas toujours aisé de déterminer par la seule inspection du
membre
inférieur. Le passage d'un côté il l'autre se f
'est un « effort d'éléw- lion» » du bassin pendant l'oscillation du
membre
inférieur du même côté. A priori cette opinion
la question de savoir si le bassin s'élève ou s'abaisse du côté du
membre
inférieur oscillant. Pour Gerdy, « chacun des
si le bassin s'élevait, comme il le prétend, du côté oscillant, le
membre
inférieur pourrait osciller dans l'extension co
g. 7. Oscillation sur place. Le poids du corps porte sur le
membre
infé- rieur droit, contraction des spinaux
tal ; 2° Cette contraction est unilatérale et se produit du côté du
membre
inférieur oscillant ; elle passe alternativemen
llation elle-même. 3° Elle débute à l'instant précis où le talon du
membre
portant vient rencontrer le sol. C'est une cont
ns), les condyles fémoraux demeurent écar- tés l'un de l'autre, les
membres
inférieurs sont arques ; les tibias très épaissis
groupe à part. Les déformations portent surtout sur le tronc et les
membres
inférieurs ; ce sont elles que nous allons main
e de l'abdomen. Mais ce qui frappe surtout lorsque l'on examine les
membres
inférieurs, c'est l'écartement des condyles fém
ttitude les condyles fémoraux sont éloignés de 4 à 5 centimètres, les
membres
inférieurs légèrement arqués laissent entre eux
nternes. Cette courbure à concavité interne porte sur l'ensemble du
membre
et non spécialement sur un de ses segments. N
un de ses segments. Nous n'avons jamais observé de déformations des
membres
supérieurs. Par contre, nous avons été plusieur
accusées. Il nous est arrivé de trouver le rachis, le bassin et les
membres
inférieurs presque normaux. D'autres fois au cont
. Nous pouvons comparer le tibia au fémur, le fémur à l'humérus, le
membre
supérieur au membre inférieur, enfin nous compa
rer le tibia au fémur, le fémur à l'humérus, le membre supérieur au
membre
inférieur, enfin nous comparerons le diamètre bit
ant. 74 MOCQUOT ET MOUTIER Pour en revenir à nos déformations des
membres
inférieurs, terminons en disant que l'angle du
moyenne des indices d'une série donnée. Abandonnant maintenant les
membres
inférieurs, nous allons aborder l'étude du thor
nce lentement et maladroitement,. souvent appuyé sur une canne, les
membres
inférieurs écartés' et décrivant une large courbe
stose des tibias, de déformations des clavicules, d'altérations des
membres
supérieurs ni d'épaissis- sementdu crâne. L'att
habitus, la conformation de la poitrine, la déviation en dehors des
membres
inférieurs, la douleur même plaident en faveur
ident en faveur du Paget, le crâne, les clavicules, l'omoplate, les
membres
supérieurs sont indemnes ; et l'hypertrophie des
plate, les membres supérieurs sont indemnes ; et l'hypertrophie des
membres
infé- rieurs au lieu d'envahir toute la diaphys
s élargi ; par contre, il n'y a de déformations ni à la tête ni aux
membres
(1). » Nous avons rapporté ces deux citations,
oudure complète du rachis avec ankylose plus ou moins prononcée des
membres
. Nous n'aurions pas songé à discuter le diagnos
is avait une nombreuse clientèle en ville. Cependant il n'était pas
membre
de la corporation des chirurgiens, c'est-à-dire
courait de mille façons. Grâce à lui un homme « perclus de tous ses
membres
» en recouvra l'usage ; une pauvre femme « atte
même maladie que son petit-fils ; dans la deuxième génération,trois
membres
sur cinq payent leur tribut ; dans la troisième
,sur huit descendants,quatre sont touchés ; il est possible que des
membres
de la quatrième génération su- bissent à leur t
onologie : 1° elle est toujours semblable à elle-même chez tous les
membres
atteints ; 2° elle débute tardivement, vers 30
a cachexie et à la mort vers 50 ans. Nous avons pu examiner trois
membres
de cette intéressante famille : 9° Un cousin du
'a éprouvé de vertiges auriculaires. Dans les autres mouvements des
membres
inférieurs, il n'existe pas d'asynergie. Un lég
ed est normal,sans déformation aucune ; il n'y a pas trace, dans le
membre
, d'atrophie musculaire. Aux membres supérieurs,
; il n'y a pas trace, dans le membre, d'atrophie musculaire. Aux
membres
supérieurs, on ne constale pas de tremblement int
gauche surtout ; il en est de même pour ceux du poignet. Comme aux'
membres
inférieurs, pas d'atrophie musculaire, pas de d
sous le non d'ataxie cérébelleuse. ' Impossibilité de maintenir les
membres
dans une attitude déterminée quand ils ne sont
t le propre de l'ataxie statique. Légère incoordination motrice aux
membres
supérieurs se traduisant par une hésitation à a
dre le but indiqué. Affaiblissement du réflexe tendineux aux quatre
membres
. Lenteur et scansion de la parole (1). , (1)
phie musculaire. La. force segmen- taire est diminuée dans tous les
membres
. Aux membres supérieurs, l'incoordination est b
. La. force segmen- taire est diminuée dans tous les membres. Aux
membres
supérieurs, l'incoordination est beaucoup plus ma
u, à l'âge de 35 ans, d'une sorte de faiblesse progres- sive de ses
membres
inférieurs et d'une certaine titubation. Actuel
ctérisée, ana- logue à celle de Henri R..., une certaine ataxie des
membres
supérieurs, une légère scansion de la parole. L
ouvements atteint aussi les mains (ce dé- but par l'incertitude des
membres
supérieurs aurait été noté par Sanger- Brown, m
lade res- sentait de vives douleurs, à caractère fulgurant,dans les
membres
inférieurs ainsi que des crampes et des fourmil
servée à droite, était très amoindrie à gauche, aussi bien dans les
membres
supérieurs que dans les membres inférieurs. L
ndrie à gauche, aussi bien dans les membres supérieurs que dans les
membres
inférieurs. La marche était impossible tant e
us est amenée en décembre 1900. Tête et tronc relativement énormes,
membres
très courts et graciles, peu musclés ; obésité re
n lit, la piquent et lui font ressentir un fourmille- ment dans les
membres
. Ils sont de couleur brunâtre ou grisâtre et ress
ins d'une infiltration des deux sommets. L'examen du tronc et des
membres
fait constater l'existence d'une hémiplé- gie d
e centrale, elle est plus marquée aux extrémités qu'à la racine des
membres
, elle est accompagnée par de la dysesthésie, de
-slrié de l'laémisplaère gauchepar athérome artériel; né- vrite des
membres
inférieurs. Marie R..., ménagère, âgée de 70 an
ment (25 novembre 1902) elle ne se plaint que de l'impotence de ses
membres
inférieurs. La tête est volumineuse. L'examen
c saillie exagérée des angles costaux à la base gauche du thorax.
Membre
supérieur. Main hypertrophiée, large. Sur /6[T/ac
ppocratisme.Ils sont striés,cannelés dans le sens de leur longueur.
Membres
inférieurs. Les orteils et les pieds sont volumin
s ne paraissent pas augmentés. On constate une parésie complète des
membres
inférieurs. La malade ne peut pas soulever les
égalie 179 En juillet 1903, la force est revenue en partie dans les
membres
inférieurs, quoique la malade ne puisse pas mar
malade se plaint de douleurs plus ou moins généra- lisées dans les
membres
. En mars 1904, la santé était toujours sensible
a des petites crises d'asystolie caractérisées par de l'oedème des
membres
inférieurs, de la dyspnée, de l'augmentation de l
d'oedèmes circonscrits passagers, peu à peu se forme un oedème d'un
membre
, ou bien d'un segment de membre qui persiste tout
, peu à peu se forme un oedème d'un membre, ou bien d'un segment de
membre
qui persiste toute la vie, résis- tant à tous l
variable lors- qu'ils apparaissaient sur la peau du tronc, dans les
membres
ils prenaient toujours un caractère segmentaire
de ses fonctions. La seule anomalie qu'on trouve, c'est du côté du
membre
in- férieur droit. Ceci est parfaitement normal
Le genou aussi est égal à celui de. gauche. Au-dessous du genou le
membre
est nota- blement tuméfié : la jambe n'a plus s
'est un vrai pied succulent. La cou- leur de la portion tuméfiée du
membre
est pâle; la peau est un peu ridée. La pression
: 208 VALOBRA soigné par des massages. Malgré cela les mesures du
membre
ne furent dimi- nuées que de quelques millimètr
tre un peu augmenté, car cette deuxième mesure fut prise lorsque le
membre
était encore sous l'influence de l'étroite bande
, il fut frappé de la quasi-difficulté qu'il avait à mar- cher : le
membre
inférieur droit lui semblait plus raide que le ga
uant la crampe professionnelle exclusivement aux troubles locaux du
membre
, dont les muscles sont atteints de parésie ou de
che ataxique du tabétique est une incoordination des mouvements des
membres
inférieurs pendant la marche. Nous avons ici cinq
férents appareils destinés à la rééducation de l'ataxie motrice des
membres
supérieurs des tabétiques : le casier, le jeu de
rminée ; on aperçoit nettement la section des chairs et des os ; le
membre
amputé gît sur le sol à côté de la scie, et l'on
oses successives pour les deux positions du corps. Le bassin et les
membres
inférieurs n'ont subi qu'un déplacement insignifi
: la scoliose croisée, dans laquelle le tronc s'incline du côté du
membre
sain, et la scoliose homologue, dans laquelle l'i
homologue, dans laquelle l'inclinaison du tronc se fait du côté du
membre
atteint de sciatique ; cette seconde forme appa
e se tient pas en station han- 7 chée : les reliefs musculaires des
membres
inférieurs et des fesses restent 'sensiblement
r l'inclinaison homologue, ainsi que les phénomènes spasmodiques du
membre
inférieur droit permettent de croire qu'il s'ag
ique, est un phénomène commun à toutes les maladies douloureuses du
membre
inférieur. « En dehors dû mouvement instinctif
ne peut ouvrir la bouche ; la parole est incompréhensible. Tous ses
membres
sont en contracture; réflexes rotuliens très exag
croisées. Oss. III (1).- P.G. Démence ; contracture en flexion des
membres
inférieurs ; dégénérescence des faisceaux pyram
ul des deux côtés, il existe une certaine contracture au niveau des
membres
supérieurs, mais à un degré bien moindre. Il gr
L-LAVASTINE 1 OBs. IV. P. G. Démence ; contracture en flexion des
membres
, inférieurs ; gomme du masséter ; pachyméningit
douleurs gastriques. En 1889, il eut de violentes douleurs dans les
membres
inférieurs qualifiées csciatique ». En même tem
à tout le monde. B... présente une incoordination très marquée des
membres
inférieurs. L'incoordination est moindre aux me
ès marquée des membres inférieurs. L'incoordination est moindre aux
membres
supérieurs; B... peut saisir une épingle après
st plaint sou- vent aussi de douleurs rapides et violentes dans les
membres
inférieurs. En outre sa vue s'est affaiblie. M.
ment le signe de Romberg. M... se plaint de douleurs vives dans les
membres
inférieurs. L'auscultation des poumons est néga
t éteinte ; il fait pourtant de grands mouvements de la tête et des
membres
. On observe que la main droite est froide ainsi
peu irréguliers. 23. Affaiblissement progressif. Même état local au
membre
supérieur droit, mais, de plus, le membre infér
essif. Même état local au membre supérieur droit, mais, de plus, le
membre
inférieur du même côté se refroidit depuis les
cée, mais le malade cependant conserve la notion de la position des
membres
. Il reste alité et devient gâteux. Au point de
. Démence (1) progressive, abolition des sens spéciaux, parésie des
membres
, mouvements de manège de gauche à droite. - Aut
ps légèrement incliné à droite. Il se relève diffici- lement et ses
membres
fléchissent sous son poids ; les quatre membres s
fici- lement et ses membres fléchissent sous son poids ; les quatre
membres
sont parésiés, mais les postérieurs le sont dav
ace est symétrique. Les réflexes tendineux sont exagérés aux quatre
membres
. Les membres et la langue sont animés de trembl
que. Les réflexes tendineux sont exagérés aux quatre membres. Les
membres
et la langue sont animés de tremblement à oscilla
exes tendineux, elles arrivent à immobiliser les divers segments du
membre
atteint dans des positions fixes, immuables par
en contracture perma- nente » (p. 477). L'attitude habituelle des
membres
contracturés est la flexion pour le membre supé
attitude habituelle des membres contracturés est la flexion pour le
membre
supérieur et l'extension pour le membre inférieur
urés est la flexion pour le membre supérieur et l'extension pour le
membre
inférieur ; mais les ty- pes inverses peuvent s
Au cours de cette dernière affection, les positions prises par les
membres
peuvent être des plus variées : aux extrémités
e cette femme, un peu geignarde, mais qui souffre réellement de ses
membres
contracturés, ses enfants l'ont fait admettre une
nant à la contracture dans le domaine du facial inférieur droit. Le
membre
supérieur droit complètement paralysé est dans un
peu d'arthopathie de l'épaule, car toute tentative pour mobiliser le
membre
supérieur, arrache des cris à la malade (PI. XX
e raideur qu'au niveau des doigts ou du poignet. La sensibilité, au
membre
supérieur, ne présente pas de troubles objectifs,
l n'y a pas de troubles trophi- ques par rapport au côté sain. Le
membre
inférieur droit est le siège de mouvements fort l
uer les déformations des extrémités paraly- sées, surtout celles du
membre
supérieur. On n'y retrouve pas le type habituel
cérébrale in- fantile.. Nous n'avons pas joint la photographie du
membre
inférieur droit : la description que nous en do
a malade a été l'objet devant la Société de Neurologie, plu- sieurs
membres
de cette Société savante ont beaucoup hésité sur
'est-à-dire une sen- sation de faiblesse dans les mains et dans les
membres
inférieurs avec tendance au dérobement des jamb
XVIII 17 i 230 DUPRÉ ET PAGNIEZ pas et cesse brusquemement, le
membre
devenant aussitôt absolument flasque. L'explora
it, elle approche une chaise du lit, soulève avec les deux mains le
membre
inférieur gauche en le prenant au niveau du jar
d'hypotonie qui permet de dépasser l'angle droit dans la flexion du
membre
inférieur sur le bassin. Cette hypotonie est ap
bassin. Cette hypotonie est appréciable des deux côtés et aux quatre
membres
. Elle est comparable à celle que l'on observe c
e myasthénie avec hypotonie intéresse l'ensemble de la musculature (
membres
, colonne vertébrale, muscles masticateurs et orbi
être simulé par des sujets hystériques par la ligature prolongée du
membre
(Lannois et Lançon) (26). 238 VALOBRA comme u
l'observation très intéressante de M. Testi (56) le trophoedème du
membre
supérieur avait été précédé par un oedème passa
t les vaisseaux sains ; il ne donne pas de la gêne à la fonction du
membre
, ni ne cause d'altérations de la sensibilité ob
ulement à l'occasion d'une gène considérable dans la circulation du
membre
[grossesse (Lannois), fatigue]. A cette dernière
vertébrale qui avait produit des phénomènes de compression dans les
membres
infé- rieurs a vu sur la peau de ces derniers d
on anatomique de la maladie, le phénomène est plus fréquent dans le
membre
supérieur (main succulente) et est accompagné p
observée dans tous les cas dans lesquels la circulation veineuse du
membre
se fait mal, faute l'impuissance aux mouvements
ation de la circulation du sang; il s'arrête nettement aux plis des
membres
et les oedèmes des différents seg- ments du mem
nt aux plis des membres et les oedèmes des différents seg- ments du
membre
sont souvent limités par les articulations (Debov
senter dans plusieurs régions du corps. L'éléphantiasis préfère les
membres
, mais on l'observe parfois au pénis, aux lèvres
scopique de Neisser, l'éléphantiasis a été précédé par un oedème du
membre
qui disparut après quatre mois de durée. Chez la
sion, ni par la piqûre, qui peut s'accompagner d'une amyotrophie du
membre
. Cet oedème ne gêne pas les fonctions des membr
une amyotrophie du membre. Cet oedème ne gêne pas les fonctions des
membres
malades. « C'est merveilleux que, tout en prése
des membres malades. « C'est merveilleux que, tout en présentant un
membre
énormément augmenté de volume, ces malades peuv
e, à savoir que, tandis que dans le trophoedème « chaque segment du
membre
est affecté isolément » et il s'arrête au nivea
jointures, dans l'élé- phantiasis ce caractère fait défaut. Dans le
membre
inférieur par exemple, « le pied tuméfié est di
correspondante à l'articulation du pied fait défaut, autant que le
membre
semble vraiment un pied d'élé- phant » (Lesser)
d'une lésion mécanique(évidage des glandes lymphatiques aux plis du
membre
), ramène la théorie de l'infection à la théorie
Presse Médicale, 28-5-02. 62. Rnrw. - Sur une forme d'hypertr. des
membres
. Nouv. Icon. de la Salp., 1901, p. 473. LES O
olonne vertébrale cy- phosée, le thorax déformé et globuleux. Les
membres
supérieurs sont indemnes. C'est au niveau des m
buleux. Les membres supérieurs sont indemnes. C'est au niveau des
membres
inférieurs que le squelette est le plus atteint.
ont très saillantes et très sinueuses, les radiales sont dures. Les
membres
inférieurs sont variqueux. Aux poumons nous tro
ambes arquées. Dans les observations de Robinson (1886- 1889), deux
membres
d'une même famille sont atteints. M. Chauffard (S
oire de cette famille, la longévité remarquable de presque tous ses
membres
, le grand nombre d'enfants, avec une mortalité re
ntré son intégrité absolue ; les réflexes patellaire, achilléen, du
membre
supérieur, les réflexes cutanés et pupillaires,
sie claviculaire des mouvements anormaux spontanés et provoqués des
membres
supérieurs par rapport au thorax. Très facileme
nter, cette dernière la plus inté- ressante puisqu'elle porte sur 6
membres
de la même famille. Les cas de MM. Pinard et Va
ue, si la clavicule joue dans l'économie un rôle de soutien pour le
membre
supérieur. (Bichat), ce rôle est très relatif pui
it qu'il se fait parallèlement avec le libre jeu des mouvements des
membres
antérieurs; là où cette liberté est limitée et
s des membres antérieurs; là où cette liberté est limitée et où les
membres
antérieurs servent uniquement à l'appui du corp
ue M. Apert (2) rapproche la dysos- spasmodique très prononcé des 4
membres
et l'existence de la main en pince patho- gnomo
n de Gibertt est très inté- ressante à ce point de vue ; les os des
membres
étaient mous et sans consis- tance et la fillet
omyélite aiguë. Ces tares peuvent se remarquer d'ailleurs parmi les
membres
de la famille atteinte qui ne pré- sentent pas
de tirer la langue hors de la bouche. Rien d'extérieur aux yeux.
Membres
supérieurs normaux de tous points. Parésie des
aux yeux. Membres supérieurs normaux de tous points. Parésie des
membres
inférieurs ; démarche difficile à caractère ataxo
des mains sans tremblement. Exagération des réflexes tendineux des
membres
supérieurs. Céphalée frontale intense. Vertiges
s'accompagnant de mouve- menlsà oscillations courtes et rapides du
membre
supérieur. 11 août 1903. Démarche à petits pas,
ne fatigue légère, il est pris d'un tremblement généralisé qui, aux
membres
supérieurs, s'exagère après la répétition des mou
bes et de la nuque. Les réflexes tendineux sont exagérés aux quatre
membres
, la percussion du tendon rotulien détermine des
les pieds sont en varus équin. Impression de raideur générale.
Membres
inférieurs. Force musculaire conservée tant dans
t, à oscillations courtes et de peu d'ampleur, généralisé à tout le
membre
et pouvant même gagner le membre du côté opposé
eu d'ampleur, généralisé à tout le membre et pouvant même gagner le
membre
du côté opposé. Il existe un certain degré de c
on et de descente du testicule, indépendants de la respiration. ,
Membres
supérieurs. Force musculaire bien conservée, sauf
rche lentement, frottant les talons par terre. Les mouvements des
membres
et la force musculaire sont conservés. Il exist
pas du négativisme. Les réflexes tendineux sont exagérés aux quatre
membres
. Ebauche de clonus des deux côtés. Réflexe pl
celui-ci elle se traduit par une contracture généralisée aux quatre
membres
, au cou, aux muscles faciaux et oculaires, à la l
ements actifs AFFECTION SPASTIQUE BULBO-SPINALE FAMILIALE 409 des
membres
inférieurs ou pour s'opposer grandement aux mouve
ensons que ce tremblement est l'analogue de celui qu'on observe aux
membres
inférieurs quand on essaye de faire marcher le ma
ire, soit plutôt à la fatigue (Kojevnikoff). Avant de quitter les
membres
, rappelons (fait que nous n'avons re- trouvé da
ns,.où toute la symptomatologie se résume dans une spasmodicité des
membres
inférieurs (Metotti et Cantalamessa, Erb, Naef, K
car suivant la remarque de Jendrassik, la non-atteinte de plusieurs
membres
de la même famille ne prouve pas qu'une affecti
com- pagnent de mouvements associés. Réflexes tendineux vifs. Aux
membres
inférieurs, ni spasme ni tremblement. Démarche pa
nts d'atrophie musculaire et d'impotence fonc- tionnelle des quatre
membres
; notre maître formula le diagnostic de myopath
amiliale. La myopathie avait commencé par l'atrophie musculaire des
membres
inférieurs sans passer par le stade d'hypertrop
ser par le stade d'hypertrophie ; la participation simul- tanée des
membres
supérieurs chez l'un des frères et chez l'autre s
uloureux, inflammatoire, localisé dans les articulations des quatre
membres
, ainsi qu'on le voit dans les cas de rhumatisme
isme aigu polarticulaire. Les douleurs ont persisté trois mois. Les
membres
supérieurs se sont pris trois ans après, mais jam
r, etc. De plus, des douleurs terribles surviennent dans les quatre
membres
; elles persistent pendant trois mois, elles ont d
ar la suite. Il est à remarquer que chez le cadet, la paralysie des
membres
s'est produite en même temps qu'aux membres infér
cadet, la paralysie des membres s'est produite en même temps qu'aux
membres
inférieurs. Le symptôme des douleurs a été cons
notre cas. Rohinson a également observé des douleurs vives dans les
membres
in- férieurs chez un malade atteint de paralysi
r malade Pauline Legr... ? les douleurs étaient localisées dans les
membres
et surtout dans les os et le long de la colonne
t entré à l'hôpital, parce qu'il ne pou- vait plus se servir de ses
membres
supérieurs, ni rester debout. Mais ce qui attir
ttiré l'attention, dans son article (2), sur l'état des os dans les
membres
chez les myopathiques, et que MM. Pierre Marie
sur toute la colonne vertébrale et sur tout le tronc, mais pas aux
membres
(nous verrons que plus tard, il a souffert auss
bres (nous verrons que plus tard, il a souffert aussi dans tous les
membres
). Le malade nous raconte, qu'outre ces douleurs
NTS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE 431 étendre. Après cela, les
membres
supérieurs ont commencé à faiblir, il pouvait à
t il versait tout le contenu de la cuillère avant d'y parvenir. Les
membres
inférieurs'ont faibli presque en.même temps, le m
e en.même temps, le malade ne peut pas bien préciser si ce sont les
membres
supérieurs ou inférieurs qui ont faibli les pre
ister, tombait. Cette faiblesse n'a fait qu'augmenter dans tous les
membres
, de sorte que deux mois après le début de sa mala
e nouveau, mais cette fois elles ne se sont localisées que dans les
membres
inférieurs et supérieurs ; elles devenaient plu
s le même état de paralysie ; les douleurs avaient disparu dans les
membres
supérieurs et ne persistaient que dans les memb
disparu dans les membres supérieurs et ne persistaient que dans les
membres
inférieurs. De l'hôpital, le malade a été ramen
u- voir manger seul, cependant il a encore éprouvé des douleurs aux
membres
inférieurs pendant les deux premiers mois qu'il
isparu et le malade pouvait effectuer de légers mouvements avec ses
membres
inférieurs. Donc, son état était meilleur à la
ut de même exécuter quelques légers mouvements avec le corps et les
membres
, tandis qu'à l'hôpital il était complètement pa
ilité. Les muscles de l'abdomen sont de même bien développés. Les
membres
supérieurs ont des attitudes variables dans leur
e 16 cent. 5, et à gauche 17 centimètres. Les mouvements actifs aux
membres
supérieurs sont réduits, le malade peut à peine
es, assez bien conservée aux épaules. II tient habituellement ses
membres
inférieurs en extension. Les orteils sont fléch
ssin, dépassant la position verticale. La résistance musculaire aux
membres
inférieurs est abolie, ou presque, aux pieds et
exe plantaire, mais il se produit une rétraction du pied et même du
membre
tout entier, un véritable mouvement de défense, l
la palpation, mais le malade se plaint de douleurs aiguës dans les
membres
, surtout dans les membres supérieurs. Le malade
ade se plaint de douleurs aiguës dans les membres, surtout dans les
membres
supérieurs. Le malade passe son temps couché su
de passe son temps couché sur le dos, en décubitus dorsal, avec les
membres
inférieurs étendus. Pour pouvoir, se relever da
ses accès de paludisme il commence par sentir des douleurs dans les
membres
inférieurs et supérieurs, les douleurs étant en
douleurs, le malade remarquait qu'il perdait ses forces et que ses
membres
maigrissaient. De même que son frère, il préten
les muscles hypertro- phiés et affirme que dès le commencement ses
membres
ont commencé à mai- grir jusqu'au degré où on l
les douleurs ont disparu, par suite de rétractions tendineuses les
membres
inférieurs ont gardé cette position vicieuse. Le
nt gardé cette position vicieuse. Le malade a pu faire usage de ses
membres
supérieurs jusqu'à l'âge de 17 ans, c'est-à- di
s se dessinent très bien. La main ressemble à celle d'un singe. Les
membres
supérieurs ont l'attitude suivante : le membre en
lle d'un singe. Les membres supérieurs ont l'attitude suivante : le
membre
en entier tombe le long du corps, ballant, l'av
lange du pouce légèrement fléchie sur la première. Dimensions des
membres
supérieurs : DEUX FRÈRES ATTEINTS DE MYOPATHIE
ine conduire la main à la bouche, cela avec nombre d'artifices. Aux
membres
infé- rieurs la motilité est de même très rédui
orteils sont abolis. Tous les mouvements passifs des segments des
membres
supérieurs se font avec facilité, mais la résis
e est nulle, sauf à l'épaule, où elle est seulement diminuée. Aux
membres
inférieurs les mouvements ne se font ni facilemen
se de la rétraction du tendon d'Achille. Les réflexes tendineux des
membres
supérieurs ne se produisent plus non plus, par
s. z Les muscles de la masse sacro-lombaire et tous les muscles des
membres
inférieurs, contractions nulles. Tous les ner
s des membres inférieurs, contractions nulles. Tous les nerfs des
membres
inférieurs, excités, ne provoquent plus de cont
ou il n'existe' aucun change- ment de l'excitabilité, tandis qu'aux
membres
supérieurs il existe une diminu- tion très marq
membres supérieurs il existe une diminu- tion très marquée, et aux
membres
inférieurs elle a disparu entièrement. Sur la f
u maximum de l'excitation. . Tous les muscles et tous les nerfs des
membres
inférieurs excités, ne don nent aucune contract
ns fortes. Masse sacro-lombaire, fessiers et tous les muscles des
membres
inférieurs, contractions nulles. D'une façon
t résumer : diminution quantitative, mais non qualitative. Pour les
membres
inférieurs, y compris les muscles du bassin, ab
que sur le talon, ayant l'air de souffrir, escamotant le pas sur ce
membre
. Sur l'enfant couchée, nous voyons un pied plat,
ur même, on le met à l'extension continue avec contre-extension aux
membres
inférieurs. Le lendemain l'appareil est en- lev
re-extension continue avec poids à la tête et contre-poids aux deux
membres
inférieurs. Le lendemain à la visite du matin,
mus- cles atteints. Ici, au contraire, pas de douleur au niveau des
membres
musculaires, seule une contracture immobilisant
gauche est saillante et beaucoup- plus élevée que la droite, et le
membre
correspondant, de configu- ration extérieure no
roite. De cette élévation résulte un raccourcis- sement apparent du
membre
, mais la mensuration ne montre aucune différence
l'esprit : une scoliose compensatrice par inégalité de longueur des
membres
inférieurs pour corriger l'inclinaison du bassin.
elle causée par cinq centimètres de différence dans la longueur des
membres
inférieurs, mais dans ce cas l'incurvation lomb
était horizontal. En outre, sur le sujet couché nous trouvâmes les
membres
tout à fait égaux, à la mensuration aussi bien qu
t avec l'indolence des mouvements actifs et passifs du tronc ou des
membres
. Car, en som- me, les mouvements sont conservés
it ; mais qu'on lui fasse exécuter quelques mouvements spéciaux des
membres
supérieurs, avec flexion du tronc, qu'on lui ordo
u bien il se dévie pour corriger quelque chose d'anormal du côté du
membre
inférieur. , ' Il va sans dire qu'une coxalgie
s deux jambes, mais bien plutôt il se met en position hanchée : au.
membre
sur lequel il appuie, il élève le bassin et fait
bien étudié le rôle dans le mécanisme de la station debout ; sur le
membre
opposé, au contraire, le sujet se laisse aller,
s'inclinant sur lui quand il veut alléger le poids du corps sur un
membre
douloureux. L'hystérie provoquerait cette attit
s fièvre nouvelle, elle fut prise de douleurs dans les reins et les
membres
inférieurs. Elles semblaient surtout accentuées
les membres inférieurs. Elles semblaient surtout accentuées dans le
membre
supérieur droit, sans cependant de localisation
et de ne plus pouvoir se porter. » Sur la malade couchée, les deux
membres
supérieurs sont en extension, sans différence d
partie du corps, sauf, comme nous venons de le dire, au niveau des
membres
inférieurs ; point d'hy- perestbésie au niveau
voir été de ces pseudo-névralgies. Mais, comme elles ont occupé les
membres
inférieurs, le droit surtout, elles auraient eu
à peu près nuls. Toutefois, des irradiations douloureuses dans les
membres
in- 468 BROCA ET HERBINET , férieurs et non p
nées qui vint à l'hôpital Trousseau, remplaçant par une béquille un
membre
dont le genou, soigné pendant plusieurs mois po
IOSTALE, PAR MM. C. PORAK Accoucheur en chef de la Maternité,
Membre
de l'Académie de médecine. G.DURANTE Ancien i
basant sur cette micromélie, sur l'aspect court, trapu, boudiné des
membres
, on a, dans le cours de ces dernières années, réu
cle dernier, puis Duménil avaient séparé du rachitisme des foetus à
membres
courts, épais et boudinés ; par leurs fractu- r
lis. Virchow décrit en 1856 comme rachitique congénital un foetus à
membres
'courts et à tête volumineuse. M. Müller (1860)
ine, et intéressant particulièrement les épiphyses des os longs des
membres
, le bassin et la base du crâne. Ilistologiquement
cliniquement caractérisée par un raccourcissement considérable des
membres
qui prennent un aspect boudiné, par une déforma
droplasique se développe régulièrement ; mais la peti- tesse de ses
membres
qui persiste lui donne une physionomie spéciale.
, le nanisme simple qui pourraient L en imposer par la brièveté des
membres
, et de reconnaître les lésions sura- joutées qu
t de longueur normale, mais la micro- mélie avec aspect boudiné des
membres
généralement déviés, et un enfonce- ment de la
enfant dont le tronc normal supporte une tête un peu grosse et des
membres
trop courts. Sauf dans quelqués cas exceptionne
lVoy. formes frustes), la micromélie porte également sur les quatre
membres
. Après extension des bras, les doigts, au lieu
souvent un travail 5 à 6 fois plus considérable que l'autre. Les
membres
paraissent d'autant plus courts, plus ramassés qu
raccourcissement peuvent être tels, que le diamètre transversal du
membre
arrive à égaler pres- que la longueur d'un segm
e nos observations (inédite ; enfant Darr...) la longueur totale du
membre
supérieur était de 8 cen- timètres, corresponda
cent., égal pour le bras et l'a- vant-bras ; la longueur totale du
membre
inférieur de 9 centimètres correspon- dait à un
comme pourrait le faire un vêtement beaucoup trop large. Les os des
membres
de ce foetus sont petits, épais, anguleux, la rac
sence de tout examen histologique. Outre leur raccourcissement, les
membres
présentent souvent des déviations, des déformat
ite. Quoique généralement moins touchés que les autres segments des
membres
, les mains et les pieds sont épais et doivent u
, mais, par cela même, disproportionné par rapport à l'exiguïté des
membres
. - Cette hypertrophie crânienne est encore exag
Boeckh), a fait ranger ces malades parmi les nains. La brièveté des
membres
par rapport à un tronc normal et à une tête en
malement la main devrait arriver au tiers moyen de la cuisse. Les
membres
inférieurs, épais, courts, aux muscles vigoureux,
se et de la jambe qui exagère la convexité externe dessinée par les
membres
inférieurs et qui pour- rait en imposer pour un
n au tiers de la hau- teur totale par suite du raccourcissement des
membres
inférieurs. * ' C'est donc uniquement à cette b
membres inférieurs. * ' C'est donc uniquement à cette brièveté des
membres
qu'est due la petite taille de ces malades dont
t normales et en rap- port avec leur âge. Le raccourcissement des
membres
affecte souvent le type rhizomélique (P. Marie)
Foetus achondroplasique. Raccourcissement extrême des os longs des
membres
qui, cependant, ont une épais- seur à peine inf
pour l'examen histologique), Gracilité des os de l'avant-bras. Aux
membres
inférieurs on distingue, comme chez les achondr
neuse. Ce cas est anormal sous plusieurs rapports. Limité aux seuls
membres
supérieurs avec intégrité de la tête et des membr
Limité aux seuls membres supérieurs avec intégrité de la tête et des
membres
inférieurs, il a été amélioré par le traitement
ondues jusqu'ici. 1° Chez le foetus (voy. fig. 4), les os longs des
membres
sont courts, ramas- sés, anguleux. Le raccourci
gisse- ment de l'espace interosseux, qui est plus rare au niveau du
membre
supé- rieur. Pas de courbures arrondies et ré
s arrondies et régulières. Les déformations, assez fréquen- tes aux
membres
inférieurs, plus rares aux supérieurs, consistent
uelette que chez l'enfant (voy. p ! . II, fig. 6). Les os longs des
membres
sont courts et épaissis. Les épiphyses volumine
t des surfaces articulaires qui modifie l'aplomb des seg- ments des
membres
les uns sur les autres. 3° L'inégalité du racco
ondroplasique de la &g,6) les incurvations arrondies des os des
membres
inférieurs, les déformations du bassin, de la col
icromélie. L'atrophie, portant surtout sur le segment supérieur des
membres
supérieurs et inférieurs, aura nécessairement de
e synostose prématurée de la base du crâne, mais la micromélie avec
membres
trapus et boudinés est, sinon constante, du moi
e et faisait au moins le tiers de la longueur totale du corps ; les 4
membres
étaient gros, courts, épais, rainasses ; leur s
sépa- rée par des sillons profonds, comme on nous a représenté les
membres
des éiéphantiasiques. En remuant les bras, les
e quantité d'un fluide jaunâtre, inodore, un peu visqueux. Dans les
membres
, le tissu adipeux ramassé en pelotons granulés ét
le trouve dans les foetus à terme bien conformés. Les os longs des
membres
étaient évidemment courts, mais plus gros, plus
dées avec cal s'élevait à 113 ». Duménil décrit aussi un foetus à
membres
courts dont les os très courts, très volumineux
enfants sont, en général, également des lIliCl'o1l ! èles.. " Les
membres
sont courts, ramassés, boudinés, parfois épaissis
gts n'arrivaient pas à la crête iliaque, et le raccourcissement des
membres
inférieurs reportait, comme chez l'achon- dropl
minent. Peut-être est-ce à la position du foetus dans l'oeuf où les
membres
sont appliqués contre le corps qu'il faut attri
nde partie membraneuse (Porak et Durante, 1894). Les os longs des
membres
sont plus ou moins notablement raccourcis. Les
rtement atteintes sont, en général : les diaphyses des os longs des
membres
, la voûte crânienne, les côtes et les cla- vicu
défaut ou sont très atténués. C'est ainsi que les déformations des
membres
peuvent être peu marquées, la tête peu volumineus
pancréas kystiques, six doigts à chaque extrémité), qui, à côté de
membres
supérieurs normaux, possédait des mem- bres inf
boudinés. Le diagnostic posé avait été : achondroplasie limitée aux
membres
inférieurs. L'examen histologique des os nous m
dans un squelette de Regnault, la tête était normale et les quatre
membres
raccourcis ; mais les inférieurs, lisses, ne prés
nault, qui a étudié leur squelette, constate la brièveté des os des
membres
qui sont épais et à insertions musculaires très m
ostérieur. Geoffroy St- Hilaire a décrit des bassets incomplets aux
membres
antérieurs seuls rac- courcis. Dareste, Sanso
où il est facile de l'étudier, on connaît deux variétés : l'une il
membres
droits, l'autre à membres torses. Cette différenc
dier, on connaît deux variétés : l'une il membres droits, l'autre à
membres
torses. Cette différence importante doit releve
par une hydrocé- phalie légère. - La micromélie, la petitesse des
membres
par rapport à un tronc normal, est un symptôme
elle affecte le type rhizo- mélique et si elle est généralisée aux
membres
, l'aspect boudiné des extrémi- tés, l'égalité d
ns pas chez l'achondroplasique. Il n'y a pas micromélie et même les
membres
inférieurs sont souvent trop dé- veloppés relat
t même, chez ces peuplades, un allongement exagéré du bras avec des
membres
inférieurs présentant des dimensions varia- ble
avons observée chez le nouveau-né, elle intéressait, une fois les 4
membres
, et l'autre fois, les membres inférieurs seulemen
-né, elle intéressait, une fois les 4 membres, et l'autre fois, les
membres
inférieurs seulement qui étaient courts, épais,
des épiphyses, fractures fréquentes mais peu nombreuses des os des
membres
qui sont courbés et non pas coudés, non-sy- nos
mètres du bassin. L'augmentation du poids du tronc, la brièveté des
membres
inférieurs entraînent une bascule du sacrum qui i
es et pariétales saillantes et bien ossifiées, son thorax normal, ses
membres
trapus à larges épiphyses et à diaphyses courte
n, à l'ossification crânienne imparfaite, au chapelet costal et aux
membres
rac- courcis par incurvation des os grêles et s
ns eu l'occasion d'observer à la Maternité 9 enfants présentant les
membres
courts et boudinés que l'on consi- dère comme p
adies ne présentent pas de disproportion entre les di- mensions des
membres
et du tronc, il n'y a pas inversion rhizomélique
la voûte crânienne, la cla- vicule, les diaphyses des os longs des
membres
et les côtes. On peut se demander si la dysosto
s'accompagne d'un raccourcis- sement par arrêt de développement du
membre
frappé. Cette hypothèse a été à la fois soulevé
sera seul affecté. ' Cette localisation pourra varier suivant les
membres
d'une même famille (hérédité hélérologue), port
cas, au contraire, la localisation est la même chez les différents
membres
d'une famille (hérédité homologue), comme chez ce
isparates dont le seul symptôme commun est la brièveté relative des
membres
. Les principales sont l'achondroplasie vraie, l
ar le développement normal de l'individu (sauf pour la longueur des
membres
), par le développement physiologique des organe
Championnière, 1902). Méry et BAEoxxEtx. Déform. congen. des quatre
membres
, allongement et amin- cissement des os (Soc. mé
mes and Gaz. London, 1812). ROI.LET. Mensuration des os longs des
membres
(Thèse Lyon, 1888). Roos. - Schwere Knochenerkr
e observation vu de face. Remarquer surtout le raccourcissement des
membres
avec microrizomélie, l'enfonce- ment de la raci
vec beaucoup de force la main de ses visiteurs pour plaisanter. Les
membres
sont très courts. La main n'arrive que jusqu'à
courts. La main n'arrive que jusqu'à la région trochantérienne. Au
membre
su- périeur il existe d'ailleurs comme d'habitu
s segments n'est=pas possible. Voici quelques mesures prises sur le
membre
supérieur droit : Le médius = cent. 8. La main,
et la cuisse droite on voit les cicatri- ces d'une brûlure. ' Au
membre
inférieur nous trouvons les dimensions suivantes
s dimensions normales du tronc et un rac- courcissement notable des
membres
supérieurs etinférieurs,l'arrêt de crois- sance
l'aspect d'un petit athlète d'une vigueur musculaire insolite. Les
membres
ont en outre un aspect noueux du fait de l'épai
sont occupés de la question ont insisté sur le raccourcissement des
membres
, caractéristique de cette dystrophie. Ce symptô
ssement ne se fait pas d'une façon égale pour tous les segments des
membres
, mais qu'il y a changement dans la proportion n
es segments de la ra- 544 PARUON, SIIUNDA ET ZALPLACIITA cine des
membres
sont plus courts que les mésoméliques (le bras. e
centimètres, l'avant-bras = 26 centimètres. En ce qui concerne les
membres
inférieurs, une erreur d'imprimerie nous empêch
tiqueestmoins prononcée. Dans certains cas elle n'est pas égale aux
membres
supérieurs et aux membres inférieurs,pouvant êt
ans certains cas elle n'est pas égale aux membres supérieurs et aux
membres
inférieurs,pouvant être plus prononcée aux memb
upérieurs et aux membres inférieurs,pouvant être plus prononcée aux
membres
supérieurs ouinver- sement. Dans d'autres cas
nous l'avons dit,la micromélie rhizomélique est plus prononcée aux
membres
supérieurs. Ainsi chez le malade de Ces- tan,le
ie rhizomélique, peut être prouvée qu'en comparant les segments des
membres
achrondroplasiques aux segments respectifs de l'h
explicable par le changement d'équilibre dû au raccourcissement des
membres
inférieurs. Mais si l'on passe en revue les obs
des deux clavicules présentent leur surface articulaire libre. Les
membres
supérieurs et inférieurs sont remarquables par la
ieure droite, distance représentant la corde de l'arc décrit par le
membre
inférieur = 61 centimètres. De l'épine iliaque an
ème observation. On remarque parfaitement le raccourcis- sement des
membres
, les supérieurs n'atteignant que la région trocha
n'atteignant que la région trochantérienne ; la microrizomélie des
membres
supérieurs, avec main en trident; la courbure des
e congénitale. 2° Petite taille due à l'arrêt d'ac- croissement des
membres
, le tronc restant normal. 3° Micromélie rizo- m
s membres, le tronc restant normal. 3° Micromélie rizo- mélique des
membres
supérieurs.4° Main en trident. 5° Ensellure lomba
ces caractères un autre symptôme consistant dans l'incurvation des
membres
inférieurs, déformation qui ne tient pas à une
rre Marie, « plutôt à un déplacement angulaire des deux segments du
membre
inférieur au niveau du genou ou un peu au-desso
uelle on a pratiqué une opération chi- rurgicale pour redresser les
membres
. ' Par d'autres points ce malade diffère par co
a les dimensions normales, que la micromélie rizomélique manque aux
membres
inférieurs, que le nez n'est pas aplati et enfo
omélique manque ou est très peu prononcée et cela non seulement aux
membres
inférieurs mais aussi aux membres supérieurs (b
ononcée et cela non seulement aux membres inférieurs mais aussi aux
membres
supérieurs (bras = 18, avant-bras = 14 cm.). En c
- gieuse, un véritable gigantisme caractérisé par l'allongement des
membres
, surtout dans leurs segments radiculaires, avec
firme dans cette persuasion. Nous observons dans la morphologie des
membres
de ce sujet des altérations congénitales multip
s parents s'aperçurent bientôt des anomalies de la main, et que les
membres
inférieurs étaient très peu développés et déformé
la possibilité de se tenir debout et de marcher. Les altérations du
membre
inférieur droit étaient plus profondes que les al
de un SALPÊTRItHti T. XVIII. Pl. LVIII DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES
MEMBRES
(7/0. DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES MEMBRES 561
FFORMITÉ CONGÉNITALE DES MEMBRES (7/0. DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES
MEMBRES
561 rations du membre gauche car, même avec l'a
MEMBRES (7/0. DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES MEMBRES 561 rations du
membre
gauche car, même avec l'appareil, il ne pouvait p
le, nous voyons que la tête et le tronc sont à peu près normaux. Le
membre
inférieur droit fait défaut. Nous voyons à gauc
aux. Le membre inférieur droit fait défaut. Nous voyons à gauche un
membre
inférieur, d'une brièveté extraordinaire qui ra
RA Circonférence du thorax au niveau : DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES
MEMBRES
563 564 VALOBRA Main droite. Carpe. - Le scap
dernier est remplacé par deux petits os. DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES
MEMBRES
565 Les os du carpe de la main gauche ne sont p
us aurait éclairé un peu ; malheureusement elle nous fait défaut.
Membre
inférieur gauche. Orteils. Les orteils sont au no
rapports sont très profondes. En correspondance du bord interne du
membre
il y a un os qui s'articule en bas'avec l'astra
t. Mais nous sommes toujours limités aux DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES
MEMBRES
567 hypothèses, et une interprétation sûre des
es de la façon suivante pour, ce qui concerne les monstruosités des
membres
. 1° Théorie mécanique (anomalies du développeme
eut pas nier que dans les observations d'arrêt de développement des
membres
on observe souvent un arrêt de développement des
élie de Brissaud et Bruandet (12) et de Pelizzi (13), on trouva les
membres
normalement développés; dans ces cas, même en a
est que cette atrophie n'a pas d'influence sur le développement des
membres
. Nous verrons encore que les déformations congé
membres. Nous verrons encore que les déformations congénitales des
membres
ont leur origine dans les premières périodes du
pendant la vie embryonnaire amènerait une transformation des quatre
membres
. Dans notre observation il faudrait être doué d'u
e la théorie de Serres (4) des anomalies de l'artère nourricière du
membre
. Cette théorie qui fut pour un moment élevée au
faut. Parn1l1n (19) a démontré d'ail- leurs que les altérations des
membres
précédent la formation même des vaisseaux. Je
raphie de la SALPÊTRltU T. XVIII. PI. UX DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES
MEMBRES
Radiographie des mains. Nouvelle Iconographie
phie de la Salpêtrière. T. XVIII. PI. LX DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES
MEMBRES
(vnlolra) . DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES MEMBRE
TÉ CONGÉNITALE DES MEMBRES (vnlolra) . DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES
MEMBRES
569 mention, a été scientifiquement étudiée dan
la manière sui- vante : 570 VALOBRA DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES
MEMBRES
571 les, ont conduit les auteurs à une hypothès
grande partie à l'état indifférent. Et il est bon de rappeler que les
membres
sont constitués par des cellules qui jouissent
nt obtenir la po- lymyélie et la polydactylie par la mutilation des
membres
et des doigts. Chez les Pleurodes qui possèdent
més à l'intérieur. Si nous songeons qu'à DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES
MEMBRES
573 cette époque les ongles commencent déjà à s
entre les doigts. Si une cause externe empêche le développement du
membre
) particulièrement de [son extrémité distale) l'
it de consulter la littérature sur les altérations congénitales des
membres
pour voir que lorsque une cause quelconque produi
elconque produit une dévia- tion ou bien une lésion d'un segment de
membre
, elle produit aussi presque toujours de la synd
phénomène commun à toutes les altérations dans le développement des
membres
et qui fait songer à un moment étiolo- gique un
les qui empêchent le développement normal de l'extrémité distale du
membre
. L'étude méthodiquement poursuivie des principa
poursuivie des principales déformations des extrémités distales des
membres
de notre sujet, nous permettra à présent de nou
quer la théorie atavique pour expliquer les autres alté- rations du
membre
inférieur. On ne peut non plus comparer notre suj
emières périodes du développement de l'embryon. Nous savons que les
membres
se montrent à la fin de la 4e semaine, comme de
assager dans son développement, nous comprenons que dans ce cas les
membres
en formation heurtent contre l'obstacle et que
eur de 0 m. 33 du grand trochanter à son DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES
MEMBRES
575 extrémité inférieure. Selon les tables de I
cilement si nous songeons que dans le foetus le deuxième segment du
membre
inférieur est plus en contact avec la membrane
e déformante agit dans les premières périodes de la vie foetale, le
membre
inférieur n'a pas encore subi son mouve- ment d
ifformité. Gegenbaur songe que le soutien de \' Al'chiptel'ygiwn du
membre
inférieur est constitué par le fémur, le péroné
étroitesse du capuchon amniotique serait la cause d'une aplasie des
membres
comprimés, la présence de brides serait la cause
avant tout, la présence fréquente des cicatrices sur la peau de ces
membres
mal formés. Ces cicatrices, selon les recherche
Young (66)], justifie cette opinion. , DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES
MEMBRES
' 577 portance des altérations amniotiques. Dan
el (84)]. Le phénomène peut être observé dans le même sujet dans le
membre
supérieur [Dreiblaol (85) ; Melde (86) ; Kummel
ion complète. Chez notre sujet la force externe qui comprimait t le
membre
de bas en haut, en agissant sur le péroné qui se
de contre-partie dans le système de charpente, dans l'ossa- ture du
membre
. » La partie supérieure du péroné, comprimée co
t une inflexion. On comprend à présent la disposition actuelle du
membre
inférieur. L'extrémité inférieure du fémur luxé
lacements des os qu'on ob- serve dans les deux premiers segments du
membre
et qui ont produit l'espèce de nanisme du sujet
i formait l'extrémité distale du bourgeon destiné à la formation du
membre
inférieur, souffert une sorte d'irritation, compa
vons en effet que presque toujours les difformités congénitales des
membres
(en défaut, ou bien en excès) sont accompagnées
e ces brides. La même cause qui a produit les autres difformités du
membre
(étroitesse anormale du capuchon amniotique, ol
avé la normale division des doigts (1). (1) Pour ce qui concerne le
membre
inférieur droit, le sujet affirme qu'il avait la
uence de cet élément étiologique est très difficile à nier dans les
membres
supérieurs. Les mains sont formées par six doigts
r. Une force externe dans un premier temps a irrité le moi- gnon du
membre
du côté radial (qui correspond au côté tibial du
a membrane amniotique qui a produit dans les segments distaux des 4
membres
des altérations de la même nature a laissé inde
bryologie nous explique encore ce fait. Il suffit de songer que les
membres
inférieurs se développent à une époque plus ava
développent à une époque plus avancée de la vie foetale et que les
membres
supérieurs se développent plus tôt. Si l'arrêt
oe'tus et les propor- tions de l'amnios s'est fait au moment où les
membres
supérieurs avaient déjà commencé leur différenc
nt à peine ébauchés, la différence est facile à expliquer. Dans les
membres
su- périeurs les deux segments proximaux étaien
t contre la membrane, souffraient la conséquence de l'anomalie. Les
membres
inférieurs dans lesquels à cette époque, tous l
n défaut permanent d'un point d'appui. DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES
MEMBRES
581 l'ébauche d'un rayon de la nageoire primiti
transmis aux descendants. Dans ces cas, en effet, l'amputation des
membres
défectueux arrête la transmission de l'anomalie
Pétersbourg, t. XV, p. 352 et 312, 1871. DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES
MEMBRES
583 30. TARUFFI. Storia della Teratologia. Bolo
le début de cette maladie le malade s'aperçut d'un tremblement aux
membres
supérieurs. Guéri du choléra sortit de l'hôpital,
i on invite le malade à le faire. Diplopie homonyme pour parésie du
membre
droit externe gauche. Tous les réflexes tendine
e dyspnée survenue progressivement et des oedèmes considérables des
membres
inférieurs et du scrotum qui sont rouges. Les
tremble légèrement. La sensibilité semble émoussée au niveau des
membres
inférieurs, mais il faut mettre en compte le gr
res inférieurs, mais il faut mettre en compte le gros oedème de ces
membres
. On ne peut pas à cause de l'oedème provoquer l
sont exagé- rés des deux côtés. De même les réflexes tendineux des
membres
supérieurs. Le réflexe massétérin est un peu ac
Depuis quelque temps il comnence un peu d'atrophie de la racine du
membre
in- férieur droit (3). La'même année, Scherb
dée, et qui marche par instant d'un air mal assuré. Il présente aux
membres
supérieurs une atrophie très apparente, plus marq
e autre adhérente au cubitus gauche vers son tiers inférieur. Aux
membres
inférieurs on note une même cicatrice, large comm
dans toute sa longueur, ce qui rend la pronation impossible. Aux
membres
inférieurs, où les muscles sont un peu graciles,
st incontestable que les contractions des muscles de la face on des
membres
agissent directement sur les articulations et l
e et retient surtout l'attention, ce sont les défor- mations de ses
membres
, dont la palpation permet de reconnaître la natur
u lu ans, il ne boitait presque pas. C'est à ce moment que ses deux
membres
se sont allongés d'une façon inégale et que la
20e année, toutes les exostoses, aussi bien celles siégeant sur les
membres
supérieurs que celles occupant le tronc, le bassi
s membres supérieurs que celles occupant le tronc, le bassin ou les
membres
inférieurs, étaient constituées. Depuis cette é
cune prolifération osseuse ; c'est aussi l'inégal développement des
membres
supérieurs et des membres inférieurs. Les membr
; c'est aussi l'inégal développement des membres supérieurs et des
membres
inférieurs. Les membres supérieurs paraissent t
développement des membres supérieurs et des membres inférieurs. Les
membres
supérieurs paraissent très courts, alors que les
ieurs. Les membres supérieurs paraissent très courts, alors que les
membres
infé- rieurs semblent mieux proportionnés à la
s membres infé- rieurs semblent mieux proportionnés à la taille. Le
membre
supérieur gauche, du creux de l'aisselle à l'ex
le à l'extrémité du médius, a 50 centimètres ; le droit en a 51. Le
membre
inférieur gauche, qui présente le plus grand nomb
supérieure au sommet de la malléole péronière, 81 centimètres ; le
membre
inférieur droit ne présente entre ces deux poin
r métatarsien est tout particulièrement parsemé d'exos- toses. Le
membre
inférieur gauche mesure 81 centimètres, le membre
exos- toses. Le membre inférieur gauche mesure 81 centimètres, le
membre
droit 76 seu- lement et cependant le membre gau
sure 81 centimètres, le membre droit 76 seu- lement et cependant le
membre
gauche est celui qui présente les exostoses les
s exostoses les plus volumineuses. Par suite du raccourcissement du
membre
inférieur droit, la jambe gauche est toujours à
carac- tères propres. I Le squelette (fémur, tibia et péroné) du
membre
inférieur gauche a pu être prélevé et des fragm
ns, on obtient un total de 66 exos- toses pour le tronc, 25 pour le
membre
supérieur droit, 33 pour le mem- bre supérieur
e supérieur droit, 33 pour le mem- bre supérieur gauche, 32 pour le
membre
inférieur droit, 38 pour le membre inférieur ga
bre supérieur gauche, 32 pour le membre inférieur droit, 38 pour le
membre
inférieur gauche. Ou encore, 58 exostoses pour le
r le membre inférieur gauche. Ou encore, 58 exostoses pour les deux
membres
supérieurs, 70 pour les deux membres inférieurs
re, 58 exostoses pour les deux membres supérieurs, 70 pour les deux
membres
inférieurs, ce qui fait 128 exos- toses pour le
eux membres inférieurs, ce qui fait 128 exos- toses pour les quatre
membres
. En ajoutant ce chiffre de 128 à celui de 66 no
ULTIPLES (Launois et Tremoliurcs.) Radiographies du thorax et des
membres
supérieurs llaes0\ CI', éditeurs. EXOSTOSES M
rère M. R... portait, lui aussi, en naissant, des exostoses sur les
membres
inférieurs. Marié jeune, il eut trois fils, qui
la naissance, des exostoses fémoro- tibiales. L'un d'eux avait les
membres
inférieurs tellement déformés par la présence d
s, dont quatre vivants sont nés avec des exostoses siégeant sur les
membres
inférieurs, à des hauteurs diverses et presque
EXOSTOSES MULTIPLES S (Launois et Trcmoli2rcs.) Radiographie du
membre
inférieur. \fassoa et CU : , éditeurs. EXOSTO
'il subit en bas âge, à l'humérus droit, et qui le força à tenir ce
membre
immobile pendant longtemps. Les interrogations
as avoir été très importante parce que la liberté de la fonction du
membre
est complètement conservée. Ce fut sur celui-ci
notre maître, M. le Dr Thibierge. Cette famille se compose de sept
membres
dont cinq sont atteints d'ophtalmoplégie, à savoi
la force musculaire moyenne; les ré- flexes tendineux sont partout (
membres
supérieurs et inférieurs) un peu exa- gérés ; i
u'on lui donne habituellement) apparaissant ici et là chez quelques
membres
de cette famille : existence de bégaiement chez
intégrité absolue de la musculature interne de l'oeil chez tous les
membres
de cette famille est un fait qui parait constant
barre fixe ou avec une canne, des mouvements d'assouplissement des
membres
supérieurs exi- geant une véritable dislocation
as au corps, avant-bras en flexion, dans la position qu'on fixe aux
membres
supé- rieurs dans le pas gymnastique; l'autre,
l n'existe aucune gêne de l'écriture ni des mouvements complexes du
membre
supérieur. Le trapèze a conservé, des deux côté
ouloureuses ou non, pas d'en- gourdissement ni de fourmillement des
membres
, aucune douleur viscé- rale. Sensibilités tacti
(1) Wixthebert, 1° Influence du système nerveux sur l'ontogenèse des
membres
Acad. des sc., 13 juillet 1903). 2o Sur la ré
13 juillet 1903). 2o Sur la régénération, chez les amphibiens, des
membres
postérieurs et de la queue en l'absence du syst
rveux (Acad. des sciences, 9 nov. 1903). 2° Sur la régénération des
membres
postérieurs chez l'axolotl adulte après ablation
ent de la forme extérieure du corps ; les proportions relatives des
membres
et du tronc sont conservées ; les seg- ments de
atives des membres et du tronc sont conservées ; les seg- ments des
membres
sont comparables à ceux de foetus sains,et l'on n
2. P. Wintrebert. Influence du système nerveux sur l'ontogenèse des
membres
. C. R. de l'Académie des Sciences, 13 juillet 1
ences, 13 juillet 1903. Sur la régénération chez les amphibiens des
membres
postérieurs et de la queue en l'absence du syst
B. de l'Académie des Sciences, 9 nov. 1903. Sur la régénération des
membres
postérieurs chez l'Axolotl adulte après ablation
1861- 1865) (1 pl.), par MARGAIN, 471. Difformité congénitale des
membres
(3 pl.), par VALOBRA, 560. Dysostose cléido-c
do- Paget (MocQuoT et Moutier), IX, X. Difformité congénitale des
membres
(Va- Lonn.), LVIII à LX. Dysostose cléido-crâ
IQUE DES MALADIES CUTANEES ET SYPHILITIQUES PAR PAUL RICHER
MEMBRE
DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE DIRECTEUR H0 ! <"
bes, qu'en raison des sensations pénibles qu'il éprouvait, dans les
membres
inférieurs, au niveau des lombes, des .tempes e
YÉLITE * 3 bre, il dut s'aliter; il était comme paralysé aux quatre
membres
, au tronc et à la face. La moindre pression, ex
nts pby- - 1. 1 ? RAYMOND siologiques des différents segments des
membres
supérieurs se compor- taient de même. Aussi le
de affirmait n'avoir pas maigri. De temps en temps, les muscles des
membres
supérieurs étaient agités par quelques secousses
s faradiques et galvaniques étaient sensiblement normales aux deux'
membres
supérieurs, sans la moindre trace de R. D. De m
alvaniques étaient assez hien conservées, dans les muscles des deux
membres
inférieurs, sauf dans le vaste interne et dans
C = PFC dans le frontal, et avec NFC PFC dans les zygomatiques. Aux
membres
supérieurs et inférieurs, l'état des réactions él
sation et le massage. Les mouvements ont commencé à revenir dans le
membre
inférieur, d'abord dans les muscles de la cuiss
uisse, ensuite dans ceux des jambes, enfin dans ceux du pied. Aux
membres
supérieurs, l'amélioration a suivi le même ordre,
s supérieurs, l'amélioration a suivi le même ordre, de la racine du
membre
à l'extrémité. L'état général était bon. *
missements et de diarrhée. Les jambes se sont mises à faiblir ; les
membres
inférieurs, la région des lombes, les tempes et l
alade dut prendre-le lit, en raison des progrès de la faiblesse des
membres
. La paralysie s'était étendue aux muscles du tr
ère fois le malade, elle subsistait dans toute l'étendue des quatre
membres
et du tronc, avec son caractère de parésie, de
pace de trois ou quatre jours. Elle frappera en totalité les quatre
membres
, ou seulement deux, si tués d'un même côté ou de
urs segments, et de préférence ceux qui constituent les racines des
membres
. Une fois parvenue à son apogée, elle rétrocède
rogressivité bien manifeste. Elle débute presque tou- jours par les
membres
inférieurs, et elle se propage des extrémités ver
inférieurs, et elle se propage des extrémités vers les racines des
membres
; presque toujours, elle suit une marche symé- t
ainsi deux ou trois semaines à se généraliser, à envahir les quatre
membres
et le tronc. Presque toujours, elle reste incom
en masse 'de certains groupes de muscles,ou de segments entiers de
membre
, mais seulement d'une émaciation diffuse, dont
e où la paralysie avait atteint son maximum d'intensité, aux quatre
membres
et au tronc, les réactions galvaniques et farad
irréparables, sous la forme d'une atrophie limitée à un segment de
membre
ou d'un groupe de muscles, et sous la forme de
jours, privés qu'ils sont de l'usage régulier d'un ou de plusieurs
membres
, en raison de ces atro- phies et de ces rétract
hait de cette gêne. Comme la faiblesse que ressentait X... dans ses
membres
inférieurs, n'avait aucune tendance il disparaî
. a très bon appétit. xa 2 18 E. NOGUÈS ET J. S1ROL Du côté des
membres
supérieurs on ne constate rien d'anormal sinon un
enir nous consulter, c'est la faiblesse progressive qui envahit ses
membres
inférieurs et le gêne tous les jours davantage
ur son travail ; c'est l'amaigrissement considérable 0 de ces mêmes
membres
; c'est enfin la crainte que cette impotence limi
res ; c'est enfin la crainte que cette impotence limitée encore aux
membres
inférieurs atteigne aussi ses bras, car il commen
rieurs atteigne aussi ses bras, car il commence à éprouver dans les
membres
supérieurs ce qu'il a ressenti au début dans se
sent que cinq fois dans sa manifes- tation multiple, chez plusieurs
membres
d'une même famille. Dans toutes ces observation
symptômes morbides car- dinaux se trouvent présents chez plusieurs
membres
appartenant à une même famille. Il existe pou
ui nous décident de publier l'observation suivante concernant trois
membres
d'une même famille, une soeur et deux frères, d
s'établirent d'une faiblesse progressi- façon constante et ve des
membres
su- prononcée il partir périeurs et un trem- de
égale- Le dernier temps ment une faiblesse elle ressent de la des
membres
supé- diplopie au regard rieurs. Mais même di
ux. les, réagissant bien il la lumière et il l'accommodation.
Membres
su- Développement La seule anoma- Rien d'anormal
encore plus mal. Sensibilité La sensibilité est Idem. Idem, (des
membres
tout à fait normale. supérieurs). Pas de troubl
. Plantes voûtées. Développement considérable de la musculature des
membres
inférieurs. Légère parésie du muscle droit inte
ressive et lentement progressive des symptômes ; 4° Instabilité des
membres
inférieurs ; attitude debout, les jambes lar- g
. C'est ensuite le développement considérable de la musculature des
membres
inférieurs. Il ne s'agit ici, ni d'un état pseu
régulièrement, mais la mère s'aperçut d'une certaine rigi- dité des
membres
inférieurs, qui alla tous les jours en augmentant
ient l'un sur l'autre. Elle remarqua de même, en ce qui regarde les
membres
supérieurs, qu'à droite en particulier, l'avant
-mercurielle, mais sans résultat ; la con- tracture spasmodique des
membres
ne se modifia pas. Quant au reste, l'enfant est
ant est caractérisée en général par une contracture spasmodique des
membres
. Motilité. - Il est incapable de se maintenir d
l'enfant dans la position de- bout la contracture en extension des
membres
inférieurs devient plus visi- ble par suite de
le pied gauche tend toujours à chevaucher le pied droit. Dans les
membres
supérieurs la contracture est en flexion et se mo
e l'avant-bras. Sous l'influence d'une émolion les contractures des
membres
supérieurs et inférieurs s'exagèrent, ou elles
s. Alors même qu'on n'observe pas de contracture les mouvements des
membres
supérieurs sont incomplets et lents et cela plus
ant, lorsqu'il écrivait, il se plaignait parfois de crampes dans le
membre
supérieur droit. Pas de syphilis. Alcoolisme modé
n retire un bénéfice quelconque. A l'âge de 28 ans, les muscles des
membres
inférieurs ont commencé à participer à l'atroph
nt asymétrique dans le rire, dans l'action de faire la moue, etc.
Membres
supérieurs. - Lorsqu'on découvre le malade, on vo
ent sous la peau ; celle-ci est flasque, beaucoup plus large que le
membre
qu'elle enveloppe ; les pl is que l'on forme en
male des espaces interosseux, des éminences thénar et hypothénar.
Membres
INFÉRIEURS.- Les régions fessières sont affaissée
fléchis en arc de cercle vers la plante du pied. En aucun point des
membres
supérieurs et inférieurs il ne se produit de co
xamen des muscles a été pratiqué par 1\1. le professeur Bergomé. Au
membre
supérieur droit, conservation de l'exci- tabili
-cléido-mastoïdien a sa couleur et sa con- sistance normales. Aux
membres
inférieurs on n'a examiné de près que le couturie
i est subluxée. Les racines nerveuses, le nerf facial, les nerfs du
membre
supérieur, circonflexe, radial, médian, cubital
s ou moins complètement atrophiés (biceps, pectoraux). Les nerfs du
membre
infé- rieur ne se distinguent en rien des nerfs
orizontale, le diagnostic aurait pu hésiter. Les trophonévroses des
membres
, au contraire, ont des localisations qui nous f
s tronçons transversaux, c'est- à-dire perpendiculaires à l'axe des
membres
; tandis que les territoires tributaires des éta
des bandes longitudinales, c'est-à-dire parallèles au grand axe des
membres
. J'ai déjà formulé et je répéterai encore cette p
yringomyélie, et sans les trophonévroses limitées à des tronçons de
membres
nous ne saurions rien des myélomères. La totali
ents superposés et transversaux par rapport à l'axe du tronc et des
membres
, il faut admettre - et la clinique en fail foi
ritoires cutanés, disposés en tranches perpendiculaires à l'axe des
membres
, tandis que les lésions radiculaires mettent en é
évi- dence des territoires disposés en zones parallèles à l'axe des
membres
. Les chirurgiens ont bien étudié la répartition
udié la répartition des territoires en zones parallèles à l'axe des
membres
. Ils ont, de cette façon, introduit dans la pat
es lésions, les symptômes ou les signes localisés à des tronçons de
membre
et limités par des lignes circulaires d'amputat
écédée de violentes douleurs spontanées et localisées un segment de
membre
: en haut, elles s'arrêtaient au pli inguinal,
'amputation correspondant aux extrémi- tés naturelles du segment de
membre
(Fig. 1). Enfin à la suife de l'éruption, se
accepter la théorie des métamères. Toutes les fibres sensibles d'un
membre
ou d'un segment de membre se rendant au même ni
tamères. Toutes les fibres sensibles d'un membre ou d'un segment de
membre
se rendant au même niveau médullaire, on compre
l une infection, on peut concevoir une localisation à un segment de
membre
sans avoir recours à la théorie médullaire ». A
ines racines. Du premier coup, vous déterminez ces racines. Pour le
membre
supé- rieur ce sont les 7" et 8e cervicales et
nt les 7" et 8e cervicales et les deux premières dorsales ; pour le
membre
inférieur, ce sont la cinquième lombaire et la pr
t la métamérie- primitive de la chaîne gan- glionnaire divisant les
membres
en segments longitudinaux. La métamérie spinale
renflements cervico- dorsal et lombo-sacré du névraxe divisant les
membres
en segments trans- versaux. Une sclérodermie qu
erait à la métamérie spinale ne serait donc pas représentée sur les
membres
par des bandes longitudinales, mais par des tro
aux 7° et 8° segments cervicaux, aux 1 ? et 2° dorsaux, et, pour le
membre
inférieur, aux 5e segment lombaire et 1er segment
SSAUD sclérodermie généralisée qui le réalise. Car elle affecte les
membres
d'a- bord, et ce sont, les extrémités qui sont
phérie vers le centre, comme une onde perpendi- culaire à l'axe des
membres
. Sans doute la ligne de démarcation entre les t
parables à Fig. 3 et 4. Métamérie primitive du névraxe divisant les
membres
en segments longitudinaux (métamérie radiculair
daire des renflements cer- vico--dorsal et lombo-sacré divisant les
membres
en segments transversaux (méta- mérie spinale).
à un trouble trophique procédant régu- lièrement de l'extrémité du
membre
vers sa racine implique une symétrie d'action q
rf périphérique, mais d'une racine. Il en a été ainsi du zona des
membres
qui.jusqu'à ces toutes dernières années, sembla
t significatif. Chez les ectromèles, l'absence ou l'atro- phie d'un
membre
on d'un segment de membre n'implique nullement
ctromèles, l'absence ou l'atro- phie d'un membre on d'un segment de
membre
n'implique nullement l'ahsence ou l'atrophie du
ent l'ahsence ou l'atrophie du renflement spinal correspondant à ce
membre
. Jules Guérin admettait que les monstruosités é
1832, p. 729 et suiv. LA MÉTAMÉRIE DANS LES TROPHONÉVROSES 89 Aux
membres
la dC1'1natoméJ'ie n'est pas moins nettement cara
des tranches ou segments cylindri- ques du tronc, de la tête et des
membres
. Si le système nerveux prend une part quelconqu
es malades sont la tête, le cou, la région supérieure du buste, les
membres
supérieurs depuis le milieu du bras jusqu'à l'ext
zontalité des lignes où la dermopathie s'arrête ou com- mence ; aux
membres
comme au tronc, ces limites sont mathématiquement
lles dessinent à la surface du tégument, au thorax, aux lombes, aux
membres
, des cica- trices qu'on dirait produites par un
s'étaient développés dès l'enfance des phénomènes spasmodiques des
membres
intérieurs. Ces symptômes s'étaient améliorés d
ent subitement des douleurs en ceinture et des fulgurations dans le
membre
inférieur gauche qui ne tarda pas à s'engour- d
tarda pas à s'engour- dir ; l'année suivante même phénomène dans le
membre
inférieur droit : le traitement ioduré détermin
s, des paralysies oculaires passagères, puis en 1894 une poussée du
membre
supérieur droit avec exagération de l'engourdis
du membre supérieur droit avec exagération de l'engourdissement des
membres
inférieurs et exaltation des réflexes rotuliens
QUES DE LA FACULTE DE BORDEAUX. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU
MEMBRE
SUPÉRIEUR DROIT CONSÉCUTIVE A DES TRAUMATISMES
. Observation. Sommaire. - Homme, 27 ans, colporteur; atrophie du
membre
supérieur droit : début à 12 ans après luxation
ré d'atrophie des muscles ; épaississement dermique à la surface du
membre
supérieur droit atrophié où le pouls est plus pet
salle 15, lit 3, en juillet 1898; il est atteint d'une atrophie du
membre
supérieur droit. Cette atrophie a débuté, à de
nt réduite pendant un mois environ. Au bout de ce laps de temps, le
membre
était amaigri et affaibli sans qu'il eût été le
eurs vives. Toutefois un an après cet accident, les fonctions de ce
membre
sont récupérées et le malade peut s'en servir com
le bras, mais persistent légères dans l'épaule; l'amaigrissement du
membre
ne fait par contre que s'accuser. atrophie musc
ents de la main. La sensibilité est toujours conservée dans tout le
membre
. Au bout d'un mois et demi, les mouvements de l
les mouvements de l'épaule redeviennent possibles. Ajoutons que le
membre
était déjà atrophié (peut-être un peu moins qu'au
lue- rait toutefois sur la réapparition relative des forces dans le
membre
atrophié. En dehors de ces accidents et de l'at
le membre atrophié. En dehors de ces accidents et de l'atrophie du
membre
supérieur droit qui en est la conséquence on ne
ÈS ET L. MARTY vée, tirée en haut, et par le volume inégal des deux
membres
supérieurs : le droit est très grêle (Voir 7'/&
oscopique, Pl. XVII) par rapport au gauche, lequel a le volume d'un
membre
bien constitué. Le membre droit est tombant, ap
apport au gauche, lequel a le volume d'un membre bien constitué. Le
membre
droit est tombant, appliqué au tronc en pronati
n marquée, tandis que le gauche a la position et l'incurvation d'un
membre
bien suspendu et attaché par des mus- cles puis
partie supérieure du thorax. Si maintenant on examine en détail le
membre
droit, on voit que la ceinture scapulaire au lieu
ions qui se réduisent toujours spontanément par le fait du poids du
membre
qui ramène la tête Im- morale dans le grand axe
le sommet de l'omoplate tient, dans certains mouvements d'effort du
membre
supérieur, le scapulum en arrêt par rapport au ra
la SAII'ÉrRIEHE. T. XII. PI. XVII ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU
MEMBRE
SUPÉRIEUR DROIT (S,ibi-izès et Marty) rP71 ?
la Salpètrière. T. XII. PI. XVIII ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU
MEMBRE
SUPÉRIEUR DROIT (S.tL,razcs et 1\ ! arty) Rad
XIX ph't'tyl'te n, rmsnn Paris ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU
MEMBRE
SUPERIEUR DROIT (S.IlW,IZ0s et M.1rty) Radiog
ns, est au con- traire sensiblement réduit. ' En somme, les os du
membre
supérieur droit (humérus, radius et cubitus) pr
ent de 5 centimètres (60 centim. au lieu de 70 centim. pour tout le
membre
). Le corps de ces os est atrophié. Les extrémit
ive à peine, en flé- chissant les doigts dans la main, à écarter le
membre
tombant à quatre travers de doigt environ en de
de doigt environ en dehors du plan du corps. On est en présence d'un
membre
ballant. Le malade ramène la main derrière lui,
LA SALPÈTRIÈRE. T. XII. PL. XX. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU
MEMBRE
SUPÉRIEUR DROIT (Sabrazès et MARTY) Main gauc
bras est nulle. Pour l'obtenir, le malade est obligé de projeter le
membre
par un mouvement de bilboquet. Le bras est cons
on ou à l'abduction des doigts. Examen DES réactions électriques DU
membre
supérieur DROIT ET DU côté DROIT Du cou (20 jui
malade ne se souvient pas d'avoir jamais eu d'insensibilité dans le
membre
supérieur droit; mais il a eu des fourmillement
s les mains. Interrogé au sujet de la température subjective de ses
membres
, le malade prétend avoir toujours plus froid en
anormale, ni d'un côté, ni de l'autre. La température objective du
membre
supérieur droit est un peu plus basse dans ses
r droit est un peu plus basse dans ses divers segments que celle du
membre
supérieur gauche. La sensation au contact d'un
t saillantes au bout de deux à trois minutes, mais plus vite sur le
membre
su- périeur gauche que sur le droit. Sur le tho
et de la main. Pas de contractions fibrillaires des muscles dans le
membre
supérieur droit, ni dans la région pectorale et
ate, on voit que le malade réagit davantage à droite qu'à gauche.
Membres
inférieurs. - Marcheur infatigable, V... fait 30
able, V... fait 30 kilomètres par jour sans éprouver de fatigue des
membres
inférieurs. Ceux-ci ne se différencient pas l'u
rs- qu'elle a été suscitée par la piqûre. Quand on fait placer le
membre
étendu au-dessus du plan du lit, on remar- que
as sensiblement de ce qu'il était au mois de juillet. L'atrophie du
membre
supé- rieur droit ne s'est pas notablement modi
its mo- biles, grande volubilité, mouvements brusques du tronc, des
membres
infé- rieurs. Lorsqu'on lui serre brusquement l
oite a été suivie d'amaigrisse- ment et de diminution des forces du
membre
correspondant, après une immobilisation de 40 j
douloureux de l'épaule avec ir- radiations des douleurs le long du
membre
. Ce nouveau traumatisme a-t-il déterminé une re
ans. Il est important de remarquer qu'à partir de cette époque, le
membre
est frappé d'impotence presque absolue et que l
a sensibilité qui jamais au dire du malade n'a été diminuée dans ce
membre
. La part de cette fracture de la clavicule dans
ne atrophie musculaire et osseuse extrêmement marquée, limitée à un
membre
. Malgré l'atrophie osseuse, le raccourcissement
itée à un membre. Malgré l'atrophie osseuse, le raccourcissement du
membre
n'excède pas 5 centimètres. Il faut tenir compt
de cette hyperalgésie. Les traumatismes nombreux qui ont frappé le
membre
malade ont déterminé une lésion radiculaire chron
ans doute, d'une altération des cornes antérieures du même côté. Le
membre
droit a été frappé dans sa motricité et dans sa n
érieures des 5e, 6e, 7e cervicales. Par contre, pendant la nuit. le
membre
est dans l'attitude du repos ; la traction sur
ophie de la corne antérieure et du centre cérébral correspondant au
membre
paralysé. L'intervention de ces divers facteurs
ces divers facteurs permet de comprendre pourquoi l'atrophie de ce
membre
a atteint un si haut degré. La participation de l
umérus et de la clavicule du même côté, on peut voir les muscles du
membre
intéressé s'atrophier au plus haut point. Les o
qu'en témoigne l'examen radiographique. Par contre, à la surface du
membre
ainsi rapetissé le derme et le panni- cule cell
par une hy- peresthésie cutanée, musculaire, osseuse et nerveuse du
membre
malade. Déplus l'élongation et l'ébranlement de
e, sous l'influence de violents efforts de traction exercés sur des
membres
de cadavres. (1) ArrnT, Soc. méd. des hôpitau
u'on désigne souvent sous le nom de « conscience de la position des
membres
». J'avoue préférer de beaucoup le terme attitu
d'un rap- port. - Je préfère d'autre part le mot segment au terme
membre
. La tête, le cou, le tronc ne sont pas des memb
segment au terme membre. La tête, le cou, le tronc ne sont pas des
membres
, ce sont des segments du corps : segment étant
de toutes les parties mobiles du corps, tandis que la position des
membres
ne peut signifier que la distribution dans l'es
distribution dans l'espace de certaines de ces parties mobiles, les
membres
articulés. Mon expression est donc plus générale,
s complète, ignore l'atti- tude que l'on donne à tel segment de ses
membres
, que vient faire, dans ce cas d'inactivité musc
axique, qui ne sait pas où sont placés et comment sont disposés ses
membres
quand il ne les voit pas, a perdu la notion sub
rtout dans la moitié inférieure. Dans ces diverses situations des
membres
supérieurs, le cou et la tête ne présentent auc
s l'épaule gau- che, avec notable difficulté dans les mouvements du
membre
inférieur correspondant. L'observation de Buc
-à-dire de donner un point fixe aux muscles qui vont du scapulum au
membre
supérieur. Il joue donc un rôle primordial, dan
ité et la vigueur, avec lesquelles se fait l'élévation verticale du
membre
supérieur, est pro- portionnelle à la force du
des cicatrices de brûlures. Elles s'accompagnaient d'atro- phie des
membres
du môme côté. Ces plaques blanchâtres semblaient
a masse des muscles scapulaires est un peu moins dé- veloppée. Le
membre
inférieur droit au centimètres de moins en longue
oit, surtout accentuée au niveau des pla- cards sclérodermiques. Le
membre
inférieur du côté droit est même raccourci de p
ant est née à terme. Présentait à la naissance la pigmen- tation du
membre
inférieur gauche et l'atrophie de la jambe qui ex
o-conjonctivite et vulvo-vaginite gonococcique. Pas de syphilis. Le
membre
inférieur gauche est atrophié. La cuisse a 1 cent
. CAS DE SCLÉRODERMIE ET DE VITILIGO- CUEZ DES ENFANTS 203 Sur le
membre
inférieur gauche existe une pigmentation violacée
clérose cutanée au début coïncidaient avec une atrophie e légère du
membre
, du cas de l'observation nI où l'amincissement de
de dessinateur. Mais l'atrophie s'étendit rapidement aux muscles du
membre
inférieur droit, puis aux muscles gauches, de s
el, le 26 mai 1896. Il existe des secousses légères dans les quatre
membres
, survenant à intervalles irréguliers et durant di
x à quinze secondes : ces secousses sont beaucoup plus m arquées au
membre
inférieur du côté gauche. Membre supérieur dr
sont beaucoup plus m arquées au membre inférieur du côté gauche.
Membre
supérieur droit. Atrophie très marquée des muscle
Le deltoïde, les pectoraux, les sus et sous-épineux sont normaux.
Membre
inférieur droit. - Les muscles de la région antér
bien conservés. A la jambe, l'atrophie atteint tous les muscles. Le
membre
inférieur droit est dans une position spé- cial
des os du pied (astragale et scaphoïde) qui semblent être luxés.
Membre
supérieur gauche. L'examen des membres de ce côté
e) qui semblent être luxés. Membre supérieur gauche. L'examen des
membres
de ce côté présente un intérêt moins grand que
légie gauche légère pour laquelle entre à l'infirmerie. L'aspect du
membre
supérieur droit est comparable à celui du côté ga
du membre supérieur droit est comparable à celui du côté gauche.
Membre
inférieur gauche. - L'atrophie y est moins marqué
ieur gauche. - L'atrophie y est moins marquée que du côté droit. Le
membre
inférieur présente également une position parti-
u bras du tronc sont assez bien consenés. L'examen de la moitié des
membres
inférieurs n'a pu être fait à gauche il cause d
s inférieurs n'a pu être fait à gauche il cause de l'hémiplégie, au
membre
inférieur droit, par suite d'une eschare sacrée
s qu'accuse II... aussitôt qu'on imprime le moindre mouvement à ses
membres
inférieurs. Tels sont les renseignements que no
re de la moelle cervicale. DE L'AMYOTROPHIE CHARCOT-MARIE 213 Aux
membres
inférieurs, les nerfs examinés ont été : le nerf
ique peut être considéré comme sain, ainsi que le nerf crural. Au
membre
supérieur, les altérations des nerfs sont encore
ieur, les altérations des nerfs sont encore moins in- tenses qu'aux
membres
inférieurs : le médian et le cubital ont été exam
es nerfs intra-musculaires, la méthode de Weigert. Les muscles du
membre
supérieur qui ont été examinés sont : l'exten-
. Il y a une sclérose périarfériefteetpériveineuse très intense. Au
membre
inférieur, les muscles examinés sont le biceps cr
e aux artistes hollandais, à Jan Steen tout particulièrement. Les
membres
eux-mêmes participent à cette légère enflure qui
toute la Faculté représentée par Jan Steen, c'est assurément un des
membres
les plus sympathiques. Sa cliente, au contraire
n Hoogstraaten, son frère, s'adonna également à la peinture et devint
membre
de l'Académie des beaux-arts de Dordrecht (1649
plus les soins du médecin que lorsque les dou- leurs du dos et des
membres
devenaient trop fortes el que le gonflement des
sie et de rhumatismes. La patiente se plaint surtout de fatigue des
membres
et de douleurs dans le dos. Elle a eu six enfan
îna, lasse, épuisée, somnolente, ayant des dou- leurs dans tous les
membres
; de plus, elle eut des ménorrhagies pendant un
e. ' Cette malheureuse souffre beaucoup de douleurs musculaires des
membres
et attribue tous ses maux au rhumatisme. La con
r l'idée de rhumatisme. La douleur peut siéger dans un ou plusieurs
membres
simultanément. Fréquente est la douleur des épa
stralgie et ménorrhagie hypothyroïdiennes. Mélancolie. Douleurs des
membres
. L'épouse A... vient me consulter pour ses doul
une femme de cet âge. La figure 25 représente le radio- gramme du
membre
ectromélique. Ous. IV. Menstruation tardive.
kilo- grammes. Les règles ont commencé Fig. 2;).- Radiographie du
membre
ectromélique (Observation 11l). tard, vers la
oide et chaude, et attribue les douleurs des épaules, du dos et des
membres
aux rhumatismes que la douche lui a con- férés.
statai l'amélioration progressive des douleurs de tête, du dos, des
membres
, la disparition des phénomènes dyspnéiques. J'arr
7.) OBs IL - X2... appartient à la même catégorie d'infantiles. Les
membres
in- férieurs sont grêles, allongés ; il y a de
s cariées ; les gencives rouges, injectées, chargées de tartre. Les
membres
supérieurs sont douloureux et raides ; elle ne pe
oureux et raides ; elle ne peut lever les bras pour se coiffer. Les
membres
inférieurs sont le siège de fourmillements très p
la médication, les maux de tête, la constipation, les douleurs des
membres
, l'oppression avaient cédé, puis ces symptômes
présente tous les caractères des infantiles définis plus haut. Les
membres
sont grêles, élancés, la poitrine étroite. Il est
moments et à souffrir de douleurs sous forme d'élancements dans les
membres
. Il imaginait un sys- tème de signaux, mais dès
gne d'incoordination, il a de temps en temps des secousses dans les
membres
. Les réflexes rotuliens sont conservés. Il exis
tains jours. Il se plaint toujours de douleurs lancinantes dans les
membres
surtout au voisinage des articulations et aussi
ophie a débuté, comme cela a déjà été observé par Hoffmann, par les
membres
supérieurs,puis elle s'est étendue aux membres in
ar Hoffmann, par les membres supérieurs,puis elle s'est étendue aux
membres
inférieurs, de sorte que huit ans après l'appar
ncapable de gagner sa vie. A ce moment l'atrophie avait atteint aux
membres
supérieurs les éminences thénar et hypothénar, le
r- osseux, les muscles de la moitié inférieure de l'avant-bras, aux
membres
inférieurs les muscles de la jambe et du pied,
uel on n'aperçoit plus de chair musculaire. 322 PAUL SAINTON - Au
membre
supérieur, les muscles de la main sont le siège d
230. 324 PAUL SAINTON après la naissance. En général ce sont les
membres
inférieurs qui sont pris les premiers ; quelque
s premiers ; quelquefois cependant l'atrophie se montre d'abord aux
membres
supérieurs. Le début n'est jamais brusque : il es
té subite que présentent les avant-bras et les jambes. En effet aux
membres
inférieurs, l'atrophie frappe les péroniers, l'ex
s. La jambe est mince, la cuisse est atrophiée en jarretière. Aux
membres
supérieurs (v. PI. LU, fig. E. IL), l'atrophie oc
de la région antérieure ; les mus- cles du bras et de la racine du
membre
sont habituellement intacts. Par suite de ces l
s avancé (PI. III, fig. II), c'est la main en griffe. De même qu'au
membre
inférieur, l'atrophie est en jarretière, elle est
ême irrégularité, que cependant leur début habituel se fait par les
membres
inférieurs et qu'aux membres supérieurs leur sièg
nt leur début habituel se fait par les membres inférieurs et qu'aux
membres
supérieurs leur siège d'élection se trouve être
rmes, aucune lésion du fond de toit. Les réflexes sont abolis aux
membres
supérieurs. Les réflexes du genou et du tendon
lles reviennent environ une fois par mois ; elles se produisent aux
membres
inférieurs et remontent des pieds jus- qu'à la
uperficielle (Pl. LYI). I. Tact. A. Face antérieure. Anesthésie aux
membres
inférieurs, mon- tant à gauche sur le tronc dan
et au-dessus du genou gauche. Hyperalgésie à la tête, au tronc, aux
membres
supérieurs, et à la cuisse gauche dans une petite
tout le tronc, à la tête, aux bras. Hyperesthésie à la chaleur aux
membres
inférieurs. 338 ANDRÉ RICHE ET DE GOTHARD ' O
du pli fessier, qui se prolonge jusqu'à la moitié de ce segment de
membre
. II. Douleur. - A. Face antérieure. - Hyperesth
dre les méfaits de la maladie : la faiblesse de ce petit corps, ses
membres
amaigris, ses chairs flasques,et surtout ce visag
us en plus précis : On dirait d'un animalcule pourvu d'un corps, de
membres
, d'une tète, et cet infiniment petit a toute l'ap
ement d'ap- parence plus ou moins compliquée, siégeant sur tous les
membres
et qui se rattachent plus ou moins directement
n autre trouble du mouvement ; si le malade est étendu, la force du
membre
est conservée, les mouvements des orteils sont
érisée cliniquement par : 1) Son début habituel par l'extrémité des
membres
supérieurs, leplus souvent par les petits muscl
spontanés au niveau des muscles de l'épaule, des deux cuisses et du
membre
supérieur gauche, et provoqués très énergiquement
ite. Sensation spontanée de fourmillements dans toute l'étendue des
membres
supérieurs. Sensibilité conservée au tact, à
st survenu. L'atrophie n'a ni rétrocédé ni augmenté ; le volume des
membres
supérieurs est resté ce qu'il était à l'entrée
lade étant assis, pour se coucher, se laisse tomber en arrière. Aux
membres
inférieurs les mouvements se font bien. La rési
e font bien. La résistance aux mouvements passifs est conservée aux
membres
infé- rieurs. Aux membres supérieurs la résis
ux mouvements passifs est conservée aux membres infé- rieurs. Aux
membres
supérieurs la résistance aux mouvements passifs e
ans paralysie proprement dite, dominant nettement à l'extrémité des
membres
; il ne peut y avoir syringomyélie, la principale
éressé que la jambe droite. Observation IL Paralysie infantile du
membre
inférieur droit. - Atrophie musculaire, type -
qui laissa comme déformation une atrophie des masses musculaire du
membre
inférieur droit, et une luxation de la hanche e
ndons de la main. L'état reste stationnaire depuis 18 mois dans les
membres
supérieurs. L'atrophie du thorax aurait accompa
es deltoïdes sont absolument disparus. Tête de l'humérus saillante.
Membres
supérieurs . - Biceps réduit à l'état d'une corde
positions sont plus marquées à droite qu'à gauche. Mouvements des
membres
supérieurs. - Le malade ne peut élever le bras en
partie inférieure. Les muscles de l'abdomen se contractent bien.
Membres
inférieurs : les saillies musculaires existent co
acarpiens égal des deux côtés. L'atrophie, moins considérable aux
membres
inférieurs, contraste avec celle des membres su
moins considérable aux membres inférieurs, contraste avec celle des
membres
supérieurs. Circonférence partie moyenne cuisse
ne peut s'asseoir sur son lit tout seul sans aide. La motilité des
membres
inférieurs semble intacte. Impossibilité d'élev
une maladie qui aurait duré 7 ans ; elle était sans force dans les
membres
et serait morte dans un grand état d'amaigrisse
bien portants, bien conformés. En janvier 1888 il remarqua que ses
membres
inférieurs fléchissaient pen- dant la marche ;
E 371 Depuis quatre mois, le malade a constaté l'amaigrissement des
membres
inférieurs, et des membres supérieurs ; depuis
e malade a constaté l'amaigrissement des membres inférieurs, et des
membres
supérieurs ; depuis deux mois il ne peut plus s'h
et circulatoires normales ; pas de douleurs ; intelligence nette.
Membres
inférieurs. - Le pied gauche présente l'apparence
nt pour ramasser un objet. Pas d'atrophie des muscles abdominaux.
Membres
supérieurs. - Aplatissement des muscles des émine
jet fortement amaigri, de constitution primitivement assez bonne.
Membre
supérieur droit. La main droite présente l'aspect
n. La résistance aux mouvements passifs est assez bien conservée.
Membre
supérieur gauche. - Les doigts de la main gauche
c difficulté, et il retombe lourdement dès qu'il veut se recoucher.
Membres
inférieurs considérablement atrophiés, toutefois
s électriques, faite par notre collègue M. le professeur Guilloz.
Membre
supérieur gauche : réactions électriques : A. -
ouls régulier, égal, à 80. Respiration normale. Eczéma localisé aux
membres
inférieurs et au niveau du coccyx. Troubles tro
e est beaucoup moins marquée à la partie inférieure du tronc et aux
membres
inférieurs (fig. H). , Circonférence, partie mo
traordinaire surtout du côté droit. De ce côté, tous les muscles du
membre
supérieur sont pour ainsi dire totalement dispa
muscles du tronc, thorax, abdo- men et bassin, ceux du cou, ceux du
membre
supérieur gauche, ceux des membres inférieurs,
n et bassin, ceux du cou, ceux du membre supérieur gauche, ceux des
membres
inférieurs, n'apparaissent plus que sous forme de
ec atrophie plus ou moins prononcée et parfois très prononcée de ce
membre
. » L'observation que nous rapportons est celle
ssible de continuer sa profession, impossible de faire usage de ses
membres
supérieurs. Cette impotence de ses membres supé
le de faire usage de ses membres supérieurs. Cette impotence de ses
membres
supérieurs elle existait depuis plusieurs mois,
sensibilité subjective, il n'a jamais eu de fourmillements dans ses
membres
atrophiés, mais il a des douleurs parfois dans
, normale aussi la sensibilité thermique; la notion de position des
membres
est bien conservée, le sens musculaire est inta
sur les muscles envoie d'atrophie, aucun trouble trophique sur les
membres
supérieurs du malade. Les réflexes tendineux du
e exagération des réflexes se retrouve quoiqu'à un degré moindre au
membre
inférieur droit. Voici l'examen des réactions é
ent douloureuse. Il existait une atrophie con- sidérable de tout le
membre
inférieur portant sur les muscles de la jambe,
é, sans boiter. Il accusait seulement une certaine faiblesse de son
membre
inférieur. Un jeune, garçon (2) de dix-huit ans
out de quelques jours il éprouva une sensation de faiblesse dans le
membre
inférieur; bientôt il s'aperçut que sa jambe av
ôt il s'aperçut que sa jambe avait maigri ; il vint consul- ter. Le
membre
inférieur était notablement atrophié dans ses tro
u longue sans éprouver un sentiment de fatigue très marquée dans le
membre
inférieur malade. Un jeune homme (1) héréditair
t alors, diagnostiquèrent une ténosite des tendons fléchisseurs. Le
membre
inférieur droit s'atrophie, et quand Charcot le v
Charcot, une atrophie du même caractère s'é- tait produite dans le
membre
inférieur droit à la suite d'une rupture mus- c
aujourd'hui. 1° Les muscles, a-t-on dit, s'atrophient parce que le
membre
est im- mobilisé. C'est la théorie de Cruveilhi
quer aux amyotrophies déve- loppées à distance ou généralisées à un
membre
tout entier, ni rendre compte de la rapidité av
e la moelle accé- lèrent la marche de l'atrophie musculaire dans le
membre
correspondant dont une articulation a été lésée
té lésée, mais n'influent pas sur la marche de l'a- trophie dans le
membre
opposé, si les articulations des deux membres ho-
e l'a- trophie dans le membre opposé, si les articulations des deux
membres
ho- mologues ont été le siège d'un traumatisme.
-malaire ........... M1,9 Si nous passons maintenant à l'examen des
membres
, nous constatons que les masses musculaires ass
de dyschromatopsie, ni de nystagmus. Les réflexes sont abolis aux
membres
supérieurs et inférieurs, le réflexe plantaire
le (PI. LXVI). I. Tact. - A. Face antérieure. - Anesthésie des deux
membres
inférieurs, remontant du pied jusqu'au pli ingu
remontant jusqu'à la moi- tié de la jambe droite, hyperalgésie aux
membres
supérieurs et au thorax jus- qu'à la ligue bi-a
hie musculaire ; la force est conservée dans tous les seg- ments de
membres
comme dans les muscles du tronc : le dynamomètre
t cette période des engourdissements douloureux persistent dans les
membres
inférieurs. 1. Sensibilité objective superficie
des douleurs dans les bras ; très violentes elles parcouraient les
membres
dans toute leur étendue la malade les compare à
les résultats suivants : Excitabilité faradique. - Les nerfs des
membres
supérieurs ont conservé l'excitabilité (distanc
rophie). Excitabilité galvanique. - Contractions dans les nerfs des
membres
supé- rieurs, un peu affaiblies surtout dans la
> PFC. Cette excitation est conservée dans tous les muscles des
membres
supérieurs, les contractions sont assez bonnes,
réflexe patellaire, les douleurs fulgurantes, l'incoordination aux
membres
inférieurs, les troubles urinaires font défaut.
e môme zone d'anesthésie à la face dorsale et à la face ventrale du
membre
supérieur contiguë à la zone précédente, mais q
gérés, il y a ébauche de tremblement épileptoïde des deux côtés. Le
membre
supé- rieur gauche présente une contracture inc
r l'attention, l'an dernier, sur une variété d'arme chro- nique des
membres
inférieurs survenant chez plusieurs membres d'une
d'arme chro- nique des membres inférieurs survenant chez plusieurs
membres
d'une même famille et pendant plusieurs générat
et dès le premier examen, voici ce qu'on a pu constater : Tout le
membre
inférieur droit, depuis la racine de la cuisse ju
en haut aux plis in- guinaux et fessiers. Tel est l'aspect de ce
membre
bouffi dont la difformité est rendue plus saisi
es permet d'évaluer approximativement l'augmentation de vo- lume du
membre
oedématié. Ce dernier n'est pas seulement diffo
uchements. OEdème blanc, dur, boursouflé, exactement limité au seul
membre
inférieur droit, survenu sans douleurs et sans
- à cette vaste enflure blanche, dure et indolore, occupant tout le
membre
inférieur droit, et celui-ci seulement. Poursui
u'elle, était atteinte d'un oedème analogue, mais occupant les deux
membres
inférieurs tout entiers. Le fait était rigoureu
98 par M. Léon Goujon. MESURES 21" nn FE ? de circonférence des
membres
21 ans 11 ans inférieurs droite gauche droite g
IQUE HÉRÉDITAIRE 457 En résumé, chez cette seconde malade, les deux
membres
inférieurs sont envahis par un oedème volumineu
re, en tout semblable à celui que la soeur cadette présente au seul
membre
inférieur droit. Les deux membres sont attein
a soeur cadette présente au seul membre inférieur droit. Les deux
membres
sont atteints à un degré presque égal : voilà déj
qu'elles aient siégé sur un trajet défini : toute la périphérie du
membre
était doulou- reuse ; le contact des draps étai
Or, ce n'est pas tout : cette difformité s'étend encore à d'autres
membres
de la famille. Observation IV. 1 . A..., âg
é est exempte de toute tare. Ainsi, sur deux générations, voici six
membres
d'une même famille, atteints, à des degrés dive
ési- ques ? Les cniiirba indiquent les mesures de circonférence des
membres
inférieurs. LE TROPIIOEDÈME CHRONIQUE HÉRÉDITAI
, occu- pant tantôt les pieds et les jambes, tantôt la totalité des
membres
infé- rieurs, et généralement des deux côtés (F
de les éliminer dans chacun des cas pris isolément. Chez aucun des
membres
de la famille que nous avons eu l'occasion d'ex
aquelle on ne pouvait s'empêcher de songer par le simple examen des
membres
malades, c'est l'éléphantiasis. Nous ferons rem
iasis est com- munément appliqué à toutes les variétés d'enflure de
membres
qui attei- gnent un développement anormal. Il
écutif à une intoxication aiguë par le sulfure de carbone. Les deux
membres
inférieurs ont été envahis par un oedème dur, b
Griffon, Hypertrophie yseuclo- acromégalique segmentaire de tord un
membre
supérieur, avec troubles syringomyé- liques aya
En outre, dans les statistiques récentes, les localisations sur le
membre
supérieur sont de beaucoup les plus fréquemment
femme, atteinte desciatique double avec dou- leurs rhumatoïdes des
membres
inférieurs, présentait en outre un oedème symét
'Me,Arch. de Neurologie, septembre 1896. - Cas d'oedème bleu sur un
membre
contracture. Ce- pendant l'auteur a observé l'o
es névralgies », eut successivement trois poussées d'oedème mou des
membres
inférieurs accompagnées de douleurs dans les cu
n à la bande de caoutchouc, les dou- ches, le massage, l'enflure du
membre
inférieur droit a été diminuée. Les caractères,
de 30 ans, sujette à des crises nerveuses, atteinte d'un oedème du
membre
supérieur droit datant de six années. L'enflure
ssait d'une femme de 23 ans, atteinte depuis 8 mois d'un oedème des
membres
inférieurs. L'enflure était très développée au
aux orteils. Cet oedème permettait toute liberté aux mouvements des
membres
infé- rieurs. Au demeurant, cette femme était d
trois femmes, atteintes de la même variété d'oedème segmentaire des
membres
inférieurs. Ces malades, sans lésions cardiaques
. En outre, chez elles, l'oedème (1) Debove, OEdème segmentaire des
membres
inférieurs, Soc. méd. des hôpitaux, 15 octobre
ui ce propos,le cas d'une malade atteinte de paralysie infantile du
membre
inférieur droit accompagnée d'un oedème présent
Joffroy a encore observé un oedème localisé à certains segments de
membres
inférieurs et au dos des mains. Pour lui, il s'ag
une jeune fille de vingt ans atteinte depuis ans d'un oedème dur du
membre
inférieur gauche. Aucune lésion viscérale, gan-
crits chez nos malades. (2) Dans un cas d'oedèmeéléphantiasique des
membres
inférieurs rapporté par M. A. Weil, il s'agissa
1895, M. Ricochon (1) a rapporté l'histoire d'une famille dont les
membres
ont pendant trois généra- tions présenté une va
itale et se développe lentement avec t'age. 2° Elle est limitée aux
membres
inférieurs, tantôt bilatérale, tantôt uni- laté
indemnes. 1 oedème des deux jambes. ? 0 génération : Comprenant 48
membres
, sur lesquels li-3 indemnes. 1 oedème des deux
le d'envahir progressivement 474 urinity MEIGE de bas en haut les
membres
inférieurs, tantôt un seul, tantôt les deux il la
ière, les troubles sensitifs et trophiques occupent des segments de
membres
à limites supé- rieures circulaires, qui n'offr
rologie de Bruxelles, 1S99, no 9. 480 HENRY MEIGE deux jambes, un
membre
inférieur tout entier, ou les deux à la fois. E
s chargés d'assurer la vitalité de ce tissu, spé cialement dans les
membres
inférieurs. En tout état de cause, l'importance
issent presque toujours à atténuer plus ou moins l'hypertrophie des
membres
; mais jamais l'oedème ne disparaît complètement
UCHE (,4. MASSON & cie, Editeurs. OEDÈME DYSTROPIIIQUE DU
MEMBRE
INFÉRIEUR GAUCHE PAR , A. VIGOUROUX Médecin
gée de 22 ans, couturière, qui présentait un oedème dsytrophique du
membre
supérieur gauche. Toute la jambe gauche depui
squ'aux orteils est envahie d'un oedème blanc, dure et indolore. Le
membre
semble noyé dans une sorte de gangue oedémateus
l. LXXXIII.) Le tableau comparatif des mesures de circonférence des
membres
in- férieurs est le suivant : Jambe droite. J
is, l'oedème, d'abord moins dur, s'est accentué et a envahi tout le
membre
; et depuis sept ans que nous connaissons la ma-
coolisme, ni traumatisme. L'atrophie musculaire frappe d'abord le
membre
supérieur gauche et inté- resse successivement
res ; panaris anesthésique. En novembre 1898, impotence absolue des
membres
supérieurs ; mains succulentes cyanosées et ref
st atteint, depuis l'âge de 18 ans, d'une paralysie progressive des
membres
supérieurs. On ne connaît pas de maladie sembla
musculaire du mem- bre supérieur gauche, puis, 7 ou 8 ans après, du
membre
supérieur droit. La colonne vertébrale subit, i
CdUl1l15. SYRINGOMYÉLIE 491 On est frappé surtout par l'état des
membres
supérieurs. Dans la sta- lion debout, les bras
'une main gelée très froide au toucher. ' . L'altitude tombante des
membres
supérieurs, les abaissements de la température
du coude exige pour se produire un mouvement de rotation de tout le
membre
. Les mains ne sont plus douées que de mouvements
Conservation de l'excitabilité faradique pour tous les muscles des
membres
inférieurs et pour les muscles des gouttières ver
ilité à peu près complète du cubital. Mêmes réactions pour les deux
membres
. Excitabilité normale des nerfs aux membres inf
réactions pour les deux membres. Excitabilité normale des nerfs aux
membres
inférieurs. Courants galvaniques : impossible d
mpossible de trouver une réaction de dégéné- rescence nette sur les
membres
même les plus atrophiés. Inexcitabilité galvani
s les muscles ayant perdu leur excitabilité faradique. Sensibilité.
Membre
supérieur gauche. Contact bien perçu et bien lo
gauche. Contact bien perçu et bien localisé sur toute la surface du
membre
, moins l'auriculaire et l'an- nulaire qui sont
é d'autant plus émoussée qu'on se rapproche de l'extrémité libre du
membre
. Température : thermanes- thésie au chaud depui
La sensibilité au froid est simplement émoussée. SYRINGOMYÉLIE 9J
Membre
supérieur droit. Contact et piqûre très bien perç
t insensible et ne détermine aucune répercussion dans les doigts.
Membres
inférieurs. - Pendant la marche, le pied droit es
, à la piqûre, à la température est normale sur toute l'étendue des
membres
inférieurs. . Le pouls est ample mais un peu
contiennent ni sucre, ni albumine. Réflexes : périostique nul au
membre
supérieur droit, conservé à gau- che ; abdomina
breuse. Ce vieux podagre à la bouche édentée, aux reins brisés, aux
membres
ankylosés, tout perclus de rhumatismes, possède
ec autopsie, par Sabrazès et Brenguès, 48. OEdème dystrophique du
membre
inférieur gauche, par Vigoureux (1 phot.), 481.
. .Marty L. et G. SABRAZES. Atrophie mus- ' culaire et osseuse du
membre
supérieur (1 stéréo-phot.), 107. Meige (Henry
22. Suiiiazès J. et L. MARTY. Atrophie muscu- laire el osseuse du
membre
supérieur (1 stéréo-phot.), 107. Sabrazès et
progressive (Sabra- ZÈS et BRENGUES), XI. OEdème dystrophique du
membre
inférieur gauche (VIGOUROUX). LXXXIII. Paraly
n- tinuer, malgré un essai de cinq mois, à cause de la faiblesse du
membre
supérieur gauche. Il n'avait pas la force de ha
lle. Le malade semble d'ailleurs exagérer légèrement l'impotence du
membre
. Réflexes rotuliens diminués, mais présents. La
dent, il marchait péniblement; ce n'était pas, nous dit-il, que ses
membres
inférieurs fussent paralysés à un degré quel- c
rs des accès douloureux; Un affaiblissement lentement progressif du
membre
inférieur et du membre supérieur du côté droit;
Un affaiblissement lentement progressif du membre inférieur et du
membre
supérieur du côté droit; ' Enfin des troubles I
es qui ont pour siège la main droite le plus souvent et parfois le.
membre
inférieur du côté correspondant. ]Nous avons pu
se produit le plus souvent. ' Ces divers troubles, faiblesse des
membres
du côté droit, douleurs dans la région dorsale
ure une inclinaison latérale du bassin qui explique l'inégalité des
membres
inférieurs et la boiterie (pl. IV). Toutes ce
a motilité sont les suivants : nystagmus très prononcé. Parésie des
membres
du côté droit. Le malade peut porter sa main et
pable de déployer une résistance égale à celle qu'il oppose avec le
membre
supérieur du côté opposé. 12 NOUVELLE ICONOGR
on fait mouvoir cette jointure on perçoit quelques craquements. Le
membre
inférieur droit est aussi plus faible que le ga
Les mouvements de flexion et d'extension des divers segments de ce
membre
sont peu énergiques. Les réflexes tendineux son
3 Les muscles de l'avant-bras, du bras, de l'épaule, du tronc, du
membre
inférieur droit ne sont pas atrophiés (mensuratio
nkyloses, avec atrophie mus- culaire consécutive et contracture des
membres
supérieurs et infé- rieurs. En même temps, elle
été réglée. Elle ne peut ni marcher, ni même se tenir debout. Les
membres
sont comme desséchés, la peau est sèche et rugueu
llant légèrement. La contracture avait à peu près disparu; tant aux
membres
supérieurs qu'inférieurs, le système musculaire p
cordant, il est vrai, avec l'arrêt de développement du tronc et des
membres
, mais formant un contraste absolu avec les autr
uble de ce qu'elle est, en avant, au niveau de la pomme d'Adam. Aux
membres
, il diminue d'épaisseur de haut en bas. Au bras
ons avec les surfaces aponévrotiques. DU-* ROLE DE LA GRAISSE. 33
membre
inférieur, la différence est notable entre la cui
t qui présentait, à côté de troubles hystériques, un tremblement du
membre
supérieur droit que l'auteur a décrit dans les te
ur droit que l'auteur a décrit dans les termes suivants : « Tout le
membre
est agité de secousses rhythmiques très régulière
es étendus à toute la moitié gauche du corps et d'un tremblement du
membre
supérieur droit dont voici la description : « L
mblement du membre supérieur droit dont voici la description : « Le
membre
est animé d'oscillations pendu- laires qui l'éc
our à tour du tronc; aux mou- vements pendulaires de la totalité du
membre
supérieur s'ajoutent des mouvements alternatifs
une contrariété, avait été prise d'un tremblement des jambes et des
membres
supérieurs qui gênait considérablement la malade
hystérique, certain tremblement très intense, généralisé aux quatre
membres
et dont la guérison fut rapidement obtenue par
mianesthésic hystérique anormale avec contracture et tremblement du
membre
inférieur droit; Progrès médical, 5 juillet 1879,
ir de la crise, eh se levant par exemple, qu'il tremble de tous ses
membres
ou seulement de l'un deux. C'est là, de tous le
re connaissance, le malade se met à trembler violemment de tous ses
membres
. Ce tremblement peut s'apaiser au bout de quelq
isés ou partiels; dans ce dernier cas, ils se localisent tantôt aux
membres
d'un même côté du corps (forme hémiplégique), t
ux membres d'un même côté du corps (forme hémiplégique), tantôt aux
membres
supérieurs, ou bien encore aux membres inférieu
me hémiplégique), tantôt aux membres supérieurs, ou bien encore aux
membres
inférieurs (forme paraplégique). Enfin, on peut
urs (forme paraplégique). Enfin, on peut les voir se cantonner à un
membre
, à un segment de membre. Leur durée est égaleme
. Enfin, on peut les voir se cantonner à un membre, à un segment de
membre
. Leur durée est également très variable; il y a
de leurs mouvements, et qu'il faut, pour les constater, placer les
membres
dans une certaine attitude qui favorise le déve
e le développement des oscillations (attitude du serment pour les
membres
supérieurs; extension de la jambe pour les membre
serment pour les membres supérieurs; extension de la jambe pour les
membres
infé- rieurs, etc.). Par contre, le trembleme
e la marche des malades devient difficile, incertaine. De même, aux
membres
supérieurs, il peut gêner considérablement la p
fait déshabiller le malade, on -peut constater que les muscles des
membres
et du tronc sont animés de petites èontractions
tremblement vibratoire que nous décrivons. Prédominant tantôt aux
membres
supérieurs, tantôt aux membres inférieurs, le t
us décrivons. Prédominant tantôt aux membres supérieurs, tantôt aux
membres
inférieurs, le tremblement ne s'efface que pend
bras dans l'attitude dite du serment, les oscillations dont tout le
membre
est animé se montrent alors avec une grande net
émulation. Dans les cas que nous avons observés, le tremblement des
membres
inférieurs était toujours apparent, soit que le
sant sur le sol. Dans la position debout, les oscillations dont les
membres
inférieurs sont animés s'effectuent dans le sen
les moments où le tremblement acquiert une certaine intensité, les
membres
inférieurs exécutent parfois des mouvements rhyth
n des mouvements. La démarche des malades est ferme et assurée. Aux
membres
supérieurs, seuls, les actes qui nécessitent de
ion n'est pas aussi rapide, aussi immédiate qu'à l'état normal. Aux
membres
inférieurs, le tremblement, lorsqu'il est très pr
éger balancement du tronc causé par le fléchissement alternatif des
membres
inférieurs. Or, cette impotence fonctionnelle, qu
lissement des forces musculaires. Il n'y avait chez lui parésie des
membres
inférieurs à aucun degré; car si l'on examinait
la force et la précision, les mouvements d'ensemble ou partiels des
membres
inférieurs ne laissaient rien à désirer. Tels s
st-il une conséquence directe, mécanique des oscillations, dont les
membres
inférieurs sont animés et de l'état d'instabili
bétiques, chez les hystériques, en dehors de tout tremble- ment des
membres
inférieurs (astasie choréiforme) et très souvent
perdre connaissance, il se mettait à trembler violemment des quatre
membres
. Lors des premières crises, le tremblement ne d
ique des champs visuels, etc.), pré- sente un petit tremblement des
membres
tout à fait semblable à celui de la maladie de
avons toujours choisis sont les suivants : le sommet de la tête; au
membre
supérieur, la face dorsale du métacarpe, la main
et étendue dans l'attitude du serment, ou reposant sur une table; au
membre
inférieur, la face antérieure de la cuisse, un
il consiste essentiellement : On fixe solidement sur le segment de
membre
dont on se propose d'inscrire les oscillations
n tremblement communiqué et dû aux secousses des autres segments du
membre
supérieur, tandis que, dans les autres maladies
parents. Cependant il est à remarquer que, bien que sa femme et les
membres
de la famille de sa femme, paraissent être inde
'agacement, qui le tenait aux genoux. Il était moins solide sur ses
membres
inférieurs ; il était obligé d'écarter largemen
ait qu'en dormant il avait des soubresauts très vio- lents dans les
membres
. A. DUTIL, (A suivre.) Ancien interne de la
qui rappelle celle des solipèdes ou des ruminants. Les faunesontdes
membres
postérieurs d'homme, quelquefois seule- ment de
présentait une hémi- anesthésie droite particulièrement marquée au
membre
inférieur qui avait été, pendant la nuit, le si
a jambe gauche et le retient au fond de l'eau : toute la portion du
membre
inférieur serrée par la corde deviendra le sièg
ussi procédé par saccades dans la production de l'effet morbide. Le
membre
para- lysé, le bras par exemple, ne retrouve pa
LR & RABI., 1=..DI1EUS UN CAS DE CARCINOSE VERTÉBRALE. 77 les
membres
inférieurs, sans que les muscles du tronc y prenn
à été fait mention. » Pas d'atrophie musculaire nette au niveau des
membres
inférieurs. Il existe plutôt un certain degré d
perçus dans toute l'étendue de la moitié inférieure du tronc et les
membres
inférieurs. On provoque une douleur vive en per
DES MUSCLES LARGES Les mouvements anormaux qui se passent dans les
membres
du côté paralysé dans l'hémiplégie spasmodique
èrement frappé l'attention sont ceux des segments périphériques des
membres
, et surtout ceux des extrémités. C'est à peine
est pas précisée, paraissent coïncider avec d'autres mouvements des
membres
. Il existe quelquefois d'autres mouvements anor
sivement plusieurs faisceaux dès muscles larges de la racine des
membres
. Uns. - Le nommé P..., Eugène, tripier, âgé de
Il n'existe pas de raccourcissement sensible des divers segments du
membre
atteint de parésie. ' Le membre inférieur a u
t sensible des divers segments du membre atteint de parésie. ' Le
membre
inférieur a une tendance à se porter dans la flex
apparaissent comme autant de cordes faisant relief sous la peau. Le
membre
inférieur comme le supérieur est facilement ramen
réflexe patel- laire est plus exagéré que les réflexes tendineux du
membre
supérieur. Le redressement de la pointe du pied
pied ne provoque pas de trépidation èpileptoïde. ' L'atrophie des
membres
est peu marquée. La circonférence du bras est é
; à la jambe, 29 des deux côtés. La longueur des divers segments du
membre
supérieur est égale des deux côtés; mais au mem
rs segments du membre supérieur est égale des deux côtés; mais au
membre
inférieur, la jambe mesurée de l'interligne artic
té parait intacte sur tout le tégument, aussi bien à la face qu'aux
membres
, au contact, à la température, à la douleur. Pa
malade est complètement nu, on constate qu'il ne se passe dans les
membres
aucun autre mouvement que ceux qui ont été sign
muscles ne sont pas altérées, pas plus que celles' des muscles des
membres
. Dès son entrée Il... a été soumis àdes cautéri
mbes » ; il craignait de voir la faiblesse déjà très marquée de ses
membres
'inférieurs se changer en paralysie. « Il avait
, ses genoux fléchissaient il chaque pas ; il tremblait de tous ses
membres
, il était dans un état d'anxiété, d'angoisse in
-labié notamment. Peut-être existe-t-il un léger affaiblissement du
membre
supérieur droit. A l'exploration dynamométrique o
' la compression des zones hystérogènes, lorsque le tremblement des
membres
acquiert son plus haut degré d'intensité. Au bo
ble, quelques heures, un jour, quelquefois plus, la trémulation des
membres
s'apaise, sans dispa- raître jamais complètemen
tremblement rapide, véritablement vibratoire. Généralisé aux quatre
membres
, il prédomine tantôt aux membres supérieurs tantô
vibratoire. Généralisé aux quatre membres, il prédomine tantôt aux
membres
supérieurs tantôt aux membres inférieurs, mais
atre membres, il prédomine tantôt aux membres supérieurs tantôt aux
membres
inférieurs, mais il est toujours plus prononcé da
aux membres inférieurs, mais il est toujours plus prononcé dans les
membres
du côté droit (côté de l'hémianesthésie). Les tra
e glace. Le sens mus- culaire enfin est complètement aboli dans les
membres
supérieur et in- férieur du côté droit. Les z
u i jours, après quoi, le malade se sent un peu plus solide sur ses
membres
inférieurs ; le tremblement qui ne s'efface jamai
rès violent, entrecoupé de sursauts, de brusques secousses dans les
membres
. Il ne perdit pas connaissance. Ces troubles se
'une aura carac- téristique ; pendant deux jours le tremblement des
membres
fut si intense que le malade ne put pas quitter
pas quitter le lit. Au bout de cette période, le tremble- ment des
membres
s'étant amendé, mais sans disparaître complètemen
hui. Le malade raconte, en effet, d'une manière très nette, que les
membres
inférieurs, qui, dans la station debout, ne pou
ité à terre. Avec l'amélioration des troubles fonctionnels dont ses
membres
inférieurs avaient été le siège, le tremblement
membres inférieurs avaient été le siège, le tremblement des quatre
membres
s'était atténué et avait fini par disparaître.
les quintes de toux : lamalade s'endort tout à coup, lecorps et les
membres
sont raides et contracturés, et elle reste inco
raideur des bras avec contracture, secousses classiques des quatre
membres
, demi-inconscience au réveil avec léger délire.
vec perte du sens musculaire de ce côté, sensation de pesanteur des
membres
gauches qui sont faibles; la main gauche laisse p
ignait d'une violente douleur au coeur et à l'estomac. De plus, les
membres
supérieurs étaient agités de mouvements convuls
. En même temps des mouvements choréiformes rhythmiques agitent les
membres
, en particulier les membres inférieurs. Le pied
ts choréiformes rhythmiques agitent les membres, en particulier les
membres
inférieurs. Le pied frappe violemment le sol. D
e contracture. Puis surviennent quelques mouvements rhythmiques des
membres
supérieurs et inférieurs, ainsi que des mouveme
parler correctement. Ce tremblement s'étend jusqu'aux mains et aux
membres
inférieurs. La malade dit même avoir perdu conn
est fréquent d'observer au début de l'attaque des contractures des
membres
supérieurs ou inférieurs, contractures qui, de to
hant un peu la bouche, dans l'attitude de la réflexion. Quant aux
membres
inférieurs, ils restent toujours dans la position
uelconque, en le pinçant par exemple, il tourne la tête, retire le-
membre
pincé, sourit si l'excitation est légère, ou se d
ilité cireuse caractéristique des cataleptiques vrais, mais que ses~
membres
présentent une certaine raideur comparable à ce
ses~membres présentent une certaine raideur comparable à celle d'un
membre
d'un sujet normal soumis volontairement à la mê
attitudes passionnelles provoquées. De plus, quand on place un des
membres
*dans une situation quelconque, on remarque qu'
Ce phénomène est encore plus net quand on se dispose à placer le
membre
dans une attitude un peu différente. A peine le m
e sent-il ou même se croit-il touché, qu'il ramène brusquement ce
membre
dans la position de l'autre. Enfin la durée de se
une grimace ou profère quelque parole, et de lui-même replace. son
membre
dans sa position habituelle. Si on lui donne l'
aux divers. Le pre- mier, à genoux et appuyé sur un bâton, porte au
membre
supérieur droit la déformation caractéristique
ées de la science. Le deuxième infirme du même bas-relief, sain des
membres
supé- rieurs, a la jambe gauche contracturéc en
se tromper celui de contracture hystérique. Le pied et le reste du
membre
ne paraissent pas, en effet, diminués de volume s
paraissent pas, en effet, diminués de volume si on les com- pare au
membre
droit demeuré 'sain. Le sexe et l'aspect barbu du
e pendant vingt- quatre heures. Le lendemain elle est paralysée des
membres
inférieurs sans douleurs ni paresthésie. En mêm
Il existe un affaiblissement considérable de la motilité des quatre
membres
. Le membre inférieur gauche est complètement para
affaiblissement considérable de la motilité des quatre membres. Le
membre
inférieur gauche est complètement paralysé, la
conservé quelques mouvements de l'articulation coxo- fémorale. Les
membres
supérieurs sont très parésiés, de même que les
eure après, c'est le tour de la jambe droite. Le lendemain tous les
membres
sont paralysés. Pas de douleurs. Tem- pérature
male, la paralysie est encore généralisée, mais plus accentuée aux
membres
inférieurs. Les réflexes rotuliens sont abolis. M
côté, des muscles du dos, enfin de tous les muscles inférieurs. Le
membre
supérieur droit est complètement indemne. Il exis
sclérose plus accusée dans les régions du névraxé correspondant aux
membres
atteints pendant la vie. Cette autopsie établit
z1883 d'une faiblesse du bras droit. Au bout de quatorze jours, le
membre
inférieur gauche se prit; enfin, quelques mois
qu'il fût impossible à la malade de marcher et de se servir de ses
membres
supérieurs. Il n'existait aucun trouble ni de l
existait une paralysie flasque avec atrophie musculaire des quatre
membres
. Les divers groupes musculaires étaient inégale
ntuée, tandis que .le triceps fonc- tionnait encore assez bien. Aux
membres
inférieurs, les, muscles innervés par le nerf s
eulement le territoire musculaire innervé par le nerf péronicr. Aux
membres
supérieurs on la constate dans la sphère du rad
attaqua les muscles encore indemnes, bien que les fléchisseurs des
membres
supérieurs conser- vassent encore un certain de
avec l'aide d'une canne. Elle se plaignait d'un affaiblissement des
membres
supérieurs, qui aurait été plus notable encore
ine difficulté, en.s'aidant de ses mains et de ses bras, mettre ses
membres
inférieurs hors de son lit. A ce moment les mem
ras, mettre ses membres inférieurs hors de son lit. A ce moment les
membres
thoraciques étaient libres et assez forts. De
Pendant les premiers jours de septembre 1884, l'affaiblissement des
membres
inférieurs devint plus accentué et ceux-ci furent
ît, et les troubles aug- mentent. Elle accuse quelques douleurs aux
membres
inférieurs, et à la partie inférieure du tronc.
re du tronc. La respiration est anxieuse, rapide, dyspnéique. Les
membres
supérieurs s'affaiblissent et bientôt la malade p
bientôt la malade peut difficilement se tenir à l'aide de ces mêmes
membres
. Elle ne peut pas s'asseoir complètement, de te
à inter- valles variables, ressentait des douleurs vagues dans les
membres
. Tou- tefois, ces douleurs n'étaient- rien en-
bres supérieurs a été proportionnellement plus rapide que celui des
membres
inférieurs et du tronc, car l'envergure est de lm
hypertro- phie qui a été noté dans beaucoup de cas d'acromégalie.
Membre
supérieur. - L'hypertrophie des mains est bien év
égale à la moyenne à droite et un peu inférieure à elle à gauche.
Membre
inférieur. - On y retrouve aussi accentuée qu'au
e à gauche. Membre inférieur. - On y retrouve aussi accentuée qu'au
membre
thoracique, l'hyperthrophie de l'extrémité. Le
ointure, elle est obligée de les commander sur mesure. Ici comme au
membre
supé- rieur, l'hypertrophie ne porte pas seulem
nts dans l'hypertrophie générale. Quelques douleurs vagues dans les
membres
, plus tard une céphalalgie violente, puis une n
iste dans tout le corps, toutes les parties gauches du corps, face,
membres
, étant moins volumineuses que celles du côté op
onnabilité au froid. Elle éprouve quelquefois des douleurs dans les
membres
; quand elle est fatiguée, et elle se fatigue fa
énitaux ou acquis. Lorsqu'il s'agit de développer les fonctions des
membres
, on 1. Ch. Féré, Hystérie el Fatigue (C. r. Soc
l'anesthésie de la conjonctive, quelques pares- thésies le long des
membres
et des parois thoraciques. Notons qu'il n'y avait
t appréciables; le phrénique, les intercostaux, plusieurs nerfs des
membres
étaient également en voie de dégénération. En
lle reprit conscience d'elle-même, elle était paralysée de tous les
membres
, avec prédominance de la paralysie à gauche.
de force et dura trois jours. Lorsqu'elle revint à elle, les quatre
membres
étaient paralysés. Comme la première fois, la par
s, la paralysie avait été progressivement et la malade avait vu ses
membres
s'affaiblir peu `l00 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
cte, Amaigrissement considérable. Paralysie incomplète des quatre
membres
, plus marquée à gauche. Face très amaigrie. Rien
uche. Face très amaigrie. Rien du côté de la langue, ni des yeux.
Membres
supérieurs. - M01wements. - Côté droit : presque
uscles atrophiés, et du deltoïde gauche (paralysé et non atrophié).
Membres
inférieurs. Elle se tient assez bien sur ses jamb
e semble pas très abondant. La malade n'accuse aucune faiblesse des
membres
supérieurs; elle peut soulever de lourds fardea
courants galvaniques). La malade accuse une certaine faiblesse des
membres
inférieurs et surtout des articulations tibio-t
s jambes et du dos. Elle accuse des élancements douloureux dans les
membres
inférieurs, mais pas de soubresauts. En explora
: extension, flexion, adduction et abduction. Il en est de même aux
membres
inférieurs (Fig. 63 et 63). Réflexes rotu- lien
t paraît un peu injectée, en les diverses régions de l'organe. Au
membre
supérieur, l'atrophie porte sur les muscles (inte
u atrophiés, ils ne présentent pas de modifications sensibles. Au
membre
inférieur, on trouve les muscles interosseux atro
s. Il n'y a pas de maladie nerveuse à signaler parmi les différents
membres
de la famille. Antécédents personnels. -Pas de
C'est en avril 1884 que les premières douleurs apparurent dans les
membres
infé- rieurs sous forme d'élancements, de tirai
alla consulter un médecin qui lui prescrivit des frictions sur les
membres
inférieurs, des instillations d'atropine dans l
1889, le malade fut tourmenté par des douleurs fulgurantes dans les
membres
inférieurs surve- nant par crises, huit à dix f
qu'un petit nombre de fois dans lajournée. Pas de douleurs dans les
membres
supérieurs, de douleurs en ceinture, de serreme
escend l'escalier avec difficulté. Pas d'incoordination motrice des
membres
supérieurs. 11 a beaucoup de peine à se boutonner
Bien qu'il n'y ait pas d'atrophie musculaire et que la puissance des
membres
inférieurs soit considérable, le malade résista
il marche. Tlternto-anesthésie (Fig. 66, 67). - Les extrémités des
membres
sont insensibles au froid et au chaud. Au-desso
e' doigt. L'anesthésie au froid (Fig. 68, 69) est complète pour les
membres
inférieurs à partir des genoux et pour les memb
omplète pour les membres inférieurs à partir des genoux et pour les
membres
supérieurs à partir du coude. On peut appliquer
lgésie (Fig. 70, 71). - Elle est absolue pour les mêmes segments de
membres
. Le pincement de la peau, la piqûre, ne détermine
urantes; aujourd'hui encore il a des élancements par accès dans les
membres
inférieurs; il présente des troubles vésicaux,
rdons antéro-latéraux et de la substance grise, l'insensibilité des
membres
inférieurs au contact et au froid et la conservat
ar îlots, intéressant la face plantaire, les doigts, une partie des
membres
supérieurs et inférieurs; que ces plaques plus
l est exceptionnel enfin de les voir apparaître simultané- ment aux
membres
supérieurs, d'une part, aux membres inférieurs, d
apparaître simultané- ment aux membres supérieurs, d'une part, aux
membres
inférieurs, de l'autre, et remonter ainsi de pr
y a huit mois, la malade fut prise d'un affaiblissement graduel des
membres
supérieur et inférieur du côté droit. Cette fai
t la date du début. C'est surtout par la lourdeur et l'impotence du
membre
inférieur que les phénomènes ont débuté. Puis d
fille est le suivant : les signes d'une hémiplégie droite pour les
membres
sont aujourd'hni peu accentués, mais existent e
démarche, mais une diminution assez notable de la force dans les
membres
de ce côté. Le dynamomètre ne donne pas de rensei
ubérance, lors- 1 qu'elles s'accompagnent de paralysies du côté des
membres
, ce qui 1 n'est d'ailleurs pas absolument néces
ubérantiel n'a donné lieu à aucun phénomène-paralytique du côté des
membres
; rien de plus plausible, car on connaît des cas d
de se déplacer sur sa chaise; de même, quand il voulait étendre le
membre
inférieur droit, ce mouvement d'extension réveill
par la marche, qui n'est pas sensiblement gênée; les mouvements du
membre
ne la provoquent pas davantage, à l'exception d
e par la douleur. Dans la station debout, le malade se présente, le
membre
inférieur droit légèrement fléchi, dans l'attit
tanées paroxystiques, outre la flexion instinctive et permanente du
membre
, cette sciatique droite se traduit encore par de
contraste singulièrement, avec le relief du côté opposé. Dans le
membre
inférieur proprement dit, l'amyotrophie est nette
oint existent quelques sillons transversaux cutanés. - ' . Les deux
membres
inférieurs ne sont pas parallèles comme dans l'
inférieurs ne sont pas parallèles comme dans l'attitude normale. Le
membre
inférieur du côté malade est légèrement fléchi
c de sciatique à distance, et même d'indiquer presque à coup sûr le
membre
affecté. Le malade marche'sans boiter, avec une
ois, quatre et cinq minutes, eton ajoute un poids de kilogrammes au
membre
malade. Immédiatement après chaque séance, la d
cuisse et à la jambe un centimètre de diffé- rence au détriment du
membre
droit. La fesse présente toujours la même goutt
de la jambe et l'amyotrophie, les autres phénomènes ont disparu. Le
membre
inférieur droit, dans la station debout, est da
nt à la même hauteur et dans un même plan vertico-transversal. Le
membre
inférieur droit n'est plus fléchi; il est droit e
40 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALI'l;'fltlEItE. debout, les deux
membres
inférieurs étant dans le parallélisme, est très
t dans le parallélisme, est très limitée et douloureuse lorsque ces
membres
restent dans l'exten- sion. Si au`contraire le
, dans cette même station debout, a soin de fléchir au préalable le
membre
droit, cette flexion en avant rede- vient norma
ortent à terre toute leur étendue. Il y a une légère amyotrophie du
membre
inférieur gauche. Ce malade a guéri depuis lors
e est encore stigmatisée par l'amyotrophie diffuse des muscles du
membre
inférieur et par l'impossibilité, dans la station
TABLEAU X 202 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S.1L1'L'l'1;Il : liE.
membre
inférieur gauche et au niveau du coude droit. Eta
issu n'a pas été altéré ; 4° Déformations partielles et variées des
membres
dans une période très avancée ; 5° Pas de tro
scène ; puis, il survint ensuite un affaiblissement progressif des
membres
. Enfin, à son entrée à l'hôpital, l'état de la
s la paralysie spinale. Le retrait de l'atrophie ne se fait pas par
membres
ou par groupes de muscles, mais d'une façon gén
eu, en effet, des varia- tions de températures très manifestes d'un
membre
à l'autre, et même du même membre à différents
températures très manifestes d'un membre à l'autre, et même du même
membre
à différents moments. Les détails de l'observatio
u'il importe de préciser. Dans ce qui suit, nous nous en tenons aux
membres
supé- rieurs, qui offraient, en somme, le maxim
le maximum de lésions. Ainsi qu'on l'a vu, les troncs nerveux de ce
membre
, le médian et le cubital, examinés même au nive
certes pas en rapport avec l'intensité de l'atrophie. Celle-ci, aux
membres
supérieurs en particulier, portait surtout sur
ervateur a constaté que l'atrophie musculaire qui se montre dans un
membre
dont une articulation a été lésée était accélérée
éraux n'offrent aucune tare patholo- gique digne de remarque. Aucun
membre
de sa famille n'a jamais pré- senté une affecti
es parleront mieux aux sens qu'une descrip- tion minutieuse. 1 Le
membre
inférieur droit présente depuis dix ans une défor
nd avec ses mains, et cela non sans précautions infinies. Dans le
membre
supérieur gauche, les déformations semblent cal-
externes ont un volume et un aspect normal. Il en est de même des
membres
supérieurs, du tronc, du cou et de la face. Nulle
esnier, loc. cil. UN CAS D'ÉLÉPIIANTIASIS N0STRAS. 285 - Dans les
membres
inférieurs, n'existe nulle part aucune trace d'
absolue. Elle ne peut supporter qu'une infirmière lui enveloppe ses
membres
; elle s'acquitte elle-même de ce soin avec la plu
oit à cause de cette douleur, soit en raison de l'énorme volume des
membres
inférieurs, la malade est réduite à une impotence
des Arabes. Elle est classique en ce sens que l'affection siège aux
membres
inférieurs, qu'elle est rigoureusement et nette
à dire que l'oedème hypertrophique ne frappe d'habitude qu'un seul
membre
. Elle n'est pourtant pas absolument exceptionne
s de la jambe n'est pénible que parce qu'il empêche de se servir du
membre
... Il ne devient douloureux qu'au moment des ma
peu oedématiées. - Pas d'affection cardiaque. - Jamais d'oedème des
membres
inférieurs. - Quelques douleurs dans les articula
les intellectuels quelconques. Pas de troubles vésicaux. Rien aux
membres
; pas de parésie ni d'atrophie. Les réflexes rotul
oires. II n'y avait toujours ni pa- résie ni atrophie au niveau des
membres
. Nous terminerons ici la nomenclature des cas d
est simplement d'origine inorganique. Les réflexes tendineux des
membres
supérieurs et inférieurs sont normaux. Le réfle
hyses, — abcès sous-périostiques aigus, — ostéo-myélite, — typhus des
membres
, — inflammation pseudo-rhumatis-male des os et de
n groupe morbide auquel il donne le nom caractéristique de typhus des
membres
. Toutes ces idées furent reproduites et ap-puyées
(pé-riode de déformation).— Entérite.— Eschare du sacrum. — Œdème des
membres
inférieurs,etc.—Mort.—Résultats nécroscopiques (F
; l'autre, plus âgée que notre malade, jouit d'une bonne santé. Aucun
membre
de la fa-mille n'aurait eu d'attaques de nerfs.
a vision. A la même date, elle aurait perdu la notion de position des
membres
inférieurs. Jusqu'à son entrée à la Salpêtrière,
as-sable, constipation habituelle. État actuel, 27 avril 1868. —Les
membres
inférieurs sont éga-lement amaigris. Incoordinati
ante des pieds ; elle compare ces phénomènes à un bouillonnement. Les
membres
inférieurs, affectés au même degré, sont encore l
our la remettre debout, elle oublie de lâcher les bras du fauteuil.
Membres
supérieurs. La malade serre assez fortement des d
seule. Incoordi- nation des mouvements, mais moins prononcée qu'aux
membres
inférieurs. La notion de position semble conservé
, un malin (9 juin), en se réveillant, elle s'est aperçue que tout le
membre
supérieur, depuis le poignet jusqu'à l'épaule, ét
; par instant aussi, on remarque des mouvements spasmodiques dans les
membres
supérieurs. — H y a eu deux selles abondantes. In
ct, à la douleur, etc., est conservée. Rien d'extraordinaire vers les
membres
intérieurs.— Injection de 5gr,50 de chloral sous
les. — De temps en temps, mouvements convulsifs (tétaniques) dans les
membres
supérieurs. — Pepuis deux heures, le malade a du
s droit appuie sur le pubis; le gauche est caché sous le placenta. Le
membre
inférieur gauche est fléchi, le talon accolé à la
vation pelvienne. Le cordon ombilical vient apparaître entre les deux
membres
du côté droit, puis entre eux et le tronc, remont
is que ses deux extrémités étaient portées sur les faces latérales du
membre
. Le tout fut fixé au moyen d'une bande de toile o
contractions cloniques excessivement douloureuses. — Les muscles des
membres
ne sont pas atteints. P. 96; T. Ax. 39°,3. Chlora
orifice d'entrée du projectile se trouvant à la partie postérieure du
membre
, et la suppuration par cette plaie étant notable,
e gouttière plâtrée complète, moulée sur les deux tiers antérieurs du
membre
, ne convenait pas davantage; car l'arthrite traum
mière période de la maladie ou au commencement de la seconde, pour le
membre
que l'on considère. Ainsi, chez deux de nos malad
malades, l'ataxie était arrivée à une période déjà ancienne dans les
membres
inférieurs, et était à peine à la seconde période
ans les membres inférieurs, et était à peine à la seconde période aux
membres
supérieurs ou, en d'autres termes, l'incoordinati
n même temps qu'on rapproche les surfaces articulaires, on imprime au
membre
des mouvements, manoeuvres qui, du reste, ne sont
marche ; on voit donc l'arlhropathie s'établir indifféremment sur le
membre
inférieur droit ou sur celui du côté gauche. » (h
Cette explication nous semble sujette à caution, au moins pour les
membres
supérieurs, car s'il est vrai que l'arthropathie
carpo-pha-langiennes gauches, ce qui établit l'égalité entre les deux
membres
supérieurs. 11 serait peut-être aussi rationnel d
point.— Œdème profond, étendu, envahissant en général presque tout le
membre
; hydarthrose, liquide clair, citrin, sans pus ni
grise n'est pas un résultat de l'inertie fonctionnelle à laquelle les
membres
avaient pu être condamnés, car, dans les deux cas
es membres avaient pu être condamnés, car, dans les deux cas : 1° les
membres
où siégeaient les arthropathies avaient conservé
iellement de celle qui se produit en conséquence de l'amputation d'un
membre
ou de la section des nerfs qui s'y rendent1. La
d'autres symptômes de même ordre et surtout Yatrophie des muscles du
membre
atteint d'arthropathie. En pareil cas, Yataxie lo
ais, dans le rhumatisme, on ne voit ce gonflement qui envahit tout le
membre
correspondant à l'arthropathie. Enfin, tandis q
llèle. Dans Yhydarthrose, on n'observe pas un gonflement général du
membre
correspondant. Si, comme dans l'arthropathie, il
luxations anciennes. Or le début spontané, le gonflement indolore du
membre
, la marche des accidents dans l'arthropathie n'on
Traitement. Pour faciliter la disparition de l'œdème qui a envahi le
membre
, on pourra recourir à une compression méthodique.
mes; puis elle a vu paraître l'anesthésie et de l'affaiblissement des
membres
supérieurs, surtout à droite. Peu de temps après,
dès que la malade exécute un mouvement. Elle se sert assez bien de ce
membre
, et parvient à s'habiller seule; mais tous les mo
épinière, soit par lésion du sciatique, soit par lésion des nerfs des
membres
inférieurs; sur la zone épileptogène, sur la prod
e partie, coïncidant avec l'affaiblissement et l'engour-dissement des
membres
inférieurs, indique l'existence d'une ma-ladie ai
ers la troisième année de la maladie, l'atrophie s'était éten-due aux
membres
inférieurs avec perte de la contraddite élec-triq
. Le premier jour, on observa une paralysie motrice complète des deux
membres
inférieurs, de la vessie et du rectum. A gauche,
es inférieurs, de la vessie et du rectum. A gauche, la sensibilité du
membre
abdomi-nal était évidemment exagérée; à droite, a
rotule des condyles de plus d'un centimètre. La partie postérieure du
membre
était surtout infiltrée. Le treizième jour, on re
urs de la myélite primitive avec ra-mollissement, soit enfin dans les
membres
paralysés chez les hémi-plégiques. Nous ne cons
de 15 mois (avril 1857), le gauche s'affaiblit de la même façon : les
membres
paralysés pendaient flasques et inertes. La tête
ertes. La tête étaitfrétraclée entre les épaules, le cou roide. Les
membres
inférieurs étaient faibles, mais pouvaient cepend
nchement dans la membrane synoviale et, à partir de cette époque, les
membres
inférieurs furent en partie paralysés. On y voyai
utre, des contractions spasmodiques fréquentes, plus marquées dans le
membre
droit, qui était le plus faible (épilepsie spinal
ITE PRIMITIVE. « L'inflammation aiguë ou subaiguë des jointures des
membres
paralysés peut survenir aussi, dit M. Gharcot, da
ythéinateuses. Pouls à 100. 13 avril : mieux, parfois contraction des
membres
, mais pas de rigidité permanente; mains gonflées,
fa-tigues. La paralysie du mouvement commence à se prononcer dans les
membres
inférieurs le 25 janvier ; elle y est complète le
ommen-cement d'avril, il y eut une amélioration du pouvoir moteur des
membres
. En juin, le malade marchait seul. Durant le somm
que les jointures du côté paralysé. VI. ATTITUDE ET CONTRACTURE DES
MEMBRES
. - LÉSIONS ARTICULAIRES QUI s'ORSERVENT CHEZ LE
u début, les accès d'épilepsie consécutifs, l'état mental, l'état des
membres
et du tronc, etc., sont successivement décrits. I
e; nous espérons faire voir que la connaissance des dé-formations des
membres
, des lésions des jointures, etc., n'est pas moins
— Aggravation des accès (22 ans). — Crises gastriques. — Attitude des
membres
paralysés. Lecom.., Adèle Louise, 42 ans, est e
omplets. Ni le petit mal ni le grand mal n'ont modifié l'attitude des
membres
paralysés : « Depuis que j'ai souvenance, dit-ell
PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX ARTHROPATHIE CHEZ UNE HÉMIPLÉGIQUE
Membre
supérieur gauche. La planche VII: donne une idée
r gauche. La planche VII: donne une idée très-exacte de l'atlitude du
membre
supérieur gauche. On voit : 1° que Vépaule, compa
r et hypothénar, les muscles interrosseux ne sont pas atrophiés. Le
membre
supérieur gauche, considéré dans son ensemble est
ée avec la main gauche pendant que la droite prépare un second pli.
Membre
inférieur gauche. 11 est moins long que le droit
s sen-siblement déformé. Voici les mensurations comparatives des deux
membres
inférieurs : A UAULUt.. A IH'.Ulir Circonfére
moitiés du corps. — L'excitabilité réflexe est cependant augmentée au
membre
supérieur gauche. La malade nous raconte que, par
ent presque aussitôt des spasmes tétaniques courts et répétés dans le
membre
supérieur correspon-dant (épilepsie spinale). O
us à droite qu'à gauche. L'inégalité que nous avons signalée pour les
membres
, les épaules, n'existent pas pour les seins, qui
cela depuis l'origine de sa paralysie à des accidents bizarres : les
membres
paralysés se coutraclurent davantage, se retourne
yenne, en rap-port du reste avec sa naissance un peu prématurée. — Le
membre
supérieur droit est le siège d'un arrêt de dévelo
ÉLIE DE L'AVANT-BRAS DROIT S ÷ ñ E li E T T !¦: II. DISSECTION DU
MEMBRE
par Teoisteb, interne des hôpitaux de Paris.
un autre vice de conformation que celui dont nous allons parler. Le
membre
supérieur droit a sa configuration normale. Du so
les phénomènes suivants : stupeur profonde, yeux hagards ; œdème des
membres
inférieurs; grossesse à terme: le col, assez haut
face vers l'épaule «auche ; le bras gauche se soulève, se roidit, les
membres
inférieurs sont animés de quelques secousses, pui
ont déterminé un gonflement assez considérable. Le cou est roide. Les
membres
sont contractures; les inférieurs dans l'extensio
Des effets de la coxalgie infantile sur la croissance ultérieure du
membre
; par le docteur E. Rœckel. Voici les conclus
de développement de squelette est d'autant plus con-sidérable que le
membre
a été privé plus longtemps de ses fonc-tions ; au
avec le corps de l'os. — D'autre part M. Ollier avance que les os des
membres
supérieurs s'allongent surtout par les extrémités
s s'allongent surtout par les extrémités opposées au coude ; ceux des
membres
inférieurs par les extrémités qui regardent le ge
renseigner sur les différences qui existent, à l'âge adulte, entre le
membre
normal et le membre arrêté dans son développement
ifférences qui existent, à l'âge adulte, entre le membre normal et le
membre
arrêté dans son développement. REVUE PHOTOGRAPH
figurée sur la planche XV. D'une manière générale, ce qui existe du
membre
droit est plus grêle que la portion correspondant
uration donne pour le bras gauche 28 centimètres près de la racine du
membre
, 26 centimètres et demi à la partie moyenne, 23 c
droit nous ne trouvons que les dimensions suivantes : à la racine du
membre
, 24 centimètres; à la partie moyenne, 22; près du
sis-tant, car on ne peut pas les faire glisser l'un sur l'autre. Ce
membre
imparfait est encore d'une grande utilité pour la
née. Elle entre à l'hôpital civil le 14 novembre pour une iymphite du
membre
inférieur gauche. A cette date : pouls à 104, rég
s, généralisés, mais n'allant pas jusqu'à produire un déplacement des
membres
.Respiration de plus en plus embarras-sée. Mort à
, et par cette voie nouvelle s'infiltrer dans le tissu cellu-laire du
membre
, où il formera des fusées plus ou moins étendues.
VEAU par bqubnevii.le 1 — suite — VI. ATTITUDE ET CONTRACTURE DES
MEMBRES
; LÉSIONS ARTICULAIRES qui S'OBSERVENT CHEZ LES HÉ
ère catégorie, en insistant plus particulière-ment sur l'altitude des
membres
(voy. Planche VIII), l'inégalité de la face et de
qui a trait aux lésions articulaires et les caractères principaux des
membres
paralysés, nous allons rapporter une observation
gt ans : accès d'épilepsie. — État actuel de la malade ; attitude des
membres
paralysés1. — Delet... Joséphine, âgée de quarant
On n'observe aucune déviation soit de la bouche soit de la langue.
Membre
supérieur droit (paralysé). Au repos, le bras s'a
s'acquitte de sa besogne qu'avec lenteur. Dans l'hiver, la peau du
membre
supérieur droit devient violacée, marbrée. Au tou
ements atmosphériques. Voici les mensurations comparatives des deux
membres
supé- rieurs 1 : DROIT GAUCHE Longueur du b
gauche. — La moitié droite du tronc est moins ample que la gauche.
Membre
inférieur droit. — A part le genou qui présente u
res. — La malade marche en boitant, en raison du raccourcisse-ment du
membre
; parfois il lui arrive aussi de traîner un peu l
chaussure plus d'un côté que de l'autre. DROIT GAUCHE Longueur du
membre
inférieur.... 79 cent. 82,5 cent. — du pied....
22,5 — 23 — L'influence du froid sur la peau est moins forte qu'au
membre
1 La planche XVI indique bien les différences de
onte qu'il a tou-jours été bien portant, et il ne sait pas si quelque
membre
de sa fa-mille a été atteint de cancer. Il remarq
e au sein jusqu'à un an. Elle a marché à 14 mois; à cette époque, ses
membres
étaient normaux. A sept ans, elle aurait eu des c
normaux. A sept ans, elle aurait eu des convulsions et peu après ses
membres
se sont recourbés. La marche n'était plus possibl
é ; la Planche XVIII le démontre d'une façon assez péremptoire. — Les
membres
supérieurs sont relativement très-longs ; lorsqu'
chitique est plus marquée à gauche qu'à droite ; il en résulte que le
membre
supérieur gauche (60 centimètres) est moins long
onne vertébrale ri est pas sensiblement déviée. (Voy. Planche XIX.)
Membres
inférieurs. Les fémurs sont considérablement incu
t 25 centimètres de lon-gueur; les jambes, 25 centimètres et demi; le
membre
entier, 62 centimètres. Sur la Planche XIX repr
xions I. — Rachitisme. Les déformations affectent principa-lement les
membres
et plus les inférieurs que les supérieurs. Le bas
e, volumineuse. — Rappelons aussi la différence de longueur entre les
membres
supérieurs, la disproportion de ces membres avec
nce de longueur entre les membres supérieurs, la disproportion de ces
membres
avec le tronc. — Les courbures des membres inféri
s, la disproportion de ces membres avec le tronc. — Les courbures des
membres
inférieurs sont tout à fait classiques. — Enfin r
s gros troncs veineux sont quelquefois obli-térés. Les fonctions du
membre
sont complètement troublées. Il reste dans une im
ouls s'élève, l'enfant est courbaturé, se plaint de douleurs dans les
membres
, les jointures. La soif est vive, l'appétit dis-p
é-ralisée (Louvet). Le malade se plaint beaucoup de douleurs dans les
membres
et dans tout le corps (Louvet); « il pousse à cha
nfirmier. L'examen des poumons et du cœur fut d'ailleurs négatif. Les
membres
inférieurs, non para-lysés, sont œdématiés dans u
ule une salive mousseuse, blanche, abondante. Le cou est roide. Les
membres
supérieurs sont rigides ; le droit l'est moins qu
stants, on voit le malade le soule-ver d'une façon automatique. — Les
membres
inférieurs sont dans l'extension et très-rigides,
parfois à gauche, d'autres fois à droite, et cela aussi bien pour les
membres
supérieurs que pour les inférieurs. Ainsi, à ce m
es membres supérieurs que pour les inférieurs. Ainsi, à ce moment, le
membre
inférieur droit est plus rigide que le gauche, su
ce qui est l'inverse de ce que nous avions vu au précédent examen.
Membre
supérieur droit : soulevé, il retombe inerte ; le
net, le coude, sont flasques; l'épaule offre une certaine roi-deur. —
Membre
supérieur gauche : flaccidité absolue. Vers les
roi-deur. — Membre supérieur gauche : flaccidité absolue. Vers les
membres
inférieurs, à part une légère roideur du genou dr
lique à 24 ; T. R. 52",4. 11 heures. Flaccidité complète des quatre
membres
. Refroidisse-ment notable du tégument externe. —
. 24 février ; une heure. Le malade vient de mourir. A la main, les
membres
sont un peu moins froids qu'à minuit. Nulle trace
ales. Mais ces arrêts de développement avaient tous pour siège un des
membres
supérieurs et appartenaient, au genre de monstruo
telligents ; il est très-gai et parle parfaitement. C'est du côté des
membres
que l'on trouve chez lui des anomalies curieuses
omalies curieuses ; nous allons successivement les passer en revue.
Membre
supérieur gauche. — Le bras parait bien conformé;
es ; les mouvements sont faciles, et l'enfant se sert très-bien de ce
membre
imparfait pour tenir un objet. Lorsqu'il veut boi
gauche, et parvient ainsi à l'amener jusqu'au niveau de sa bouche.
Membre
supérieur droit. — Le bras est bien conformé; il
la peau, dont la disposition rappelle la membrane des pal-mipèdes.
Membre
inférieur droit. — Tandis que le membre inférieur
a membrane des pal-mipèdes. Membre inférieur droit. — Tandis que le
membre
inférieur gauche mesure 57 cen-timètres 1/2 de lo
celui du côté droit n'en présente que 14 1/2. L'aspect général de ce
membre
rappelle ceux du phoque. Le fémur paraît ne pas e
est bien difficile d'établir ce qui existe exactement, car la base du
membre
, au niveau du pli de l'aine, présente une circonf
par des parties molles ne se prêtant pas à une exploration facile. Le
membre
, à partir de sa base, se rétrécit progressivement
est bien conformé ; les mouvements de la jambe sont assez li-mités.
Membre
inférieur gauche. — Le membre inférieur gauche pa
ents de la jambe sont assez li-mités. Membre inférieur gauche. — Le
membre
inférieur gauche paraît avoir une conformation no
uvements à la jambe. — B, embouchoir qui saisit tout ce qui existe du
membre
intérieur droit. C, jambière à rallonges. pemcn
ite (hémimélie), et un arrêt de développement, de genre différent, du
membre
inférieur droit (phocomélie). — Isid. Geoffroy Sa
du thorax, principalement du côté gauche. — Dé-formations nulles aux
membres
inférieurs. Bellinghen, Auguste-Joseph, marchan
montre les déformations, conséquence obligée de l'amaigrissement. Les
membres
inférieurs, qui commencent à s'affaiblir, n'ont p
subi d'atrophie appréciable. Les lésions occupent donc surtout les
membres
supérieurs, ainsi que le tronc; elles sont d'aill
généraliser, et dans un temps plus ou moins éloigné elle occupera les
membres
inférieurs, qui, jusqu'à présent, ont à peu près
lle, dans son centre, sur les racines postérieures, sur les nerfs des
membres
, sur les nerfs crâniens, grand hypoglosse, spinal
hysaire s'est trop tôt soudé, ou, au contraire, a trop produit, et le
membre
at-teint reste plus court ou devient plus long qu
ade dénote d'ailleurs quelque point douloureux dans la continuité des
membres
, et ce point douloureux trouvé suffit encore à fi
s grandes. Le patient a pu avoir au début des douleurs contusives des
membres
, des jointures, qu'il vous signale, ou que vous i
vous signale, ou que vous indiquent les parents ; — ou bien les deux
membres
inférieurs sont malades ; — ou encore il est sur-
de pas à l'histoire de la contracture permanente dont un ou plusieurs
membres
, chez les hystériques, peuvent être atteints, tou
il a publié son ouvrage. Dans un cas, la contracture occupait un seul
membre
; dans deux autres, elle se présentait sous forme
ns, est atteinte depuis vingt mois d'hémiplégie gauche. Vous voyez le
membre
supérieur de S9 année. 9 ce côté dans la demi
impossibilité d'obtenir l'extension complète (voy. Planche XXV). Le
membre
inférieur gauche est dansjl'extension ; ses diver
actures. En somme, toutes les jointures sont également rigides, et le
membre
, dans son ensemble, forme comme une barre in-flex
tie inférieure du corps de la malade. J'insiste sur cette attitude du
membre
inférieur, parce qu'elle est très-rare dans l'hém
t, qu'en redressant fortement la pointe du pied, on détermine dans le
membre
inférieur contrac-ture une trémulation convulsive
part la différence que nous avons signalée à propos de l'atti-tude du
membre
inférieur, toutes les particularités que nous ven
énéralisation de l'anesthésie à tout un côté du corps, tête, tronc et
membres
; cette limitation, en quelque sorte géométrique,
rités, si caractéristiques, qui viennent d'être rappelées, l'état des
membres
paralysés pouvait, lui aussi, être in-voqué en fa
faveur de l'origine hystérique de la paralysie. Ainsi, tandis que le
membre
supérieur était dans un état de flaccidité complè
mbre supérieur était dans un état de flaccidité complète, absolue, le
membre
inférieur présentait, au genou, une rigidité très
e mem-bre supérieur. e. La contracture, qui, aujourd'hui, occupe le
membre
supérieur, date de quelques mois seulement et ell
est atteinte depuis deux ans environ d'une contracture permanente des
membres
inférieurs (voy. Planche XXVI) qui sont, comme vo
e chez Etch..., la con-tractilité musculaire n'est pas amoindrie. Les
membres
sont amai-gris, mais d'une façon générale, et cet
uffisamment. On note, en outre, une analgésie à peu près complète des
membres
paralysés. Voici maintenant des circonstances v
rait pas à provoquer une attaque hystérique ; — 5e la contracture des
membres
inférieurs est survenue tout d'un coup, sans tran
lit pendant plusieurs mois, tout à fait incapable de se servir de ses
membres
inférieurs ; le médecin aura aban-donné tout espo
erne une femme également atteinte d'une contracture limitée à un seul
membre
. Les crises hystériques pro-prement dites avaient
plégique ; elle affectait le côté droit et était surtout prononcée au
membre
supérieur. La guérison survint presque tout à cou
subitement de contracture de l'un des mem-bres inférieurs ou des deux
membres
du même côté du corps, les-quels présentaient en
des extenseurs et des adducteurs ; même après 16 ans d'immobilité des
membres
inférieurs, les parties ligamenteuses n'y sont po
ucun événement puisse, chez elle, rien changer désormais à l'état des
membres
inférieurs. h. Quelle condition est donc surven
a entretenu ainsi l'exis-tence de cette paraplégie avec rigidité des
membres
? Evidemment, dans les cas récents de contracture
que, atteinte, depuis une dizaine d'années, de contracture des quatre
membres
et dont le début avait été subit, une sclérose qu
gard une valeur pro-nostique absolue. La trémulation convulsive des
membres
contractures, provoquée ou survenant spontanément
te très-ancienne et qui ne laissaient plus guère d'espoir de voir les
membres
affectés repren-dre jamais leurs fonctions normal
l'influence du sommeil déterminé par le chloroforme, la rigidité des
membres
ne s'effaçait que lentement ou persistait même à
ppeler votre attention, la contracture occupait soit la totalité d'un
membre
, soit même deux membres, ou plus encore. Mais il
la contracture occupait soit la totalité d'un membre, soit même deux
membres
, ou plus encore. Mais il est des cas où la rigidi
cas où la rigidité spasmodique reste limitée à quelque partie d'un
membre
, au pied par exemple et produit une sorte de pied
tion d'engourdissement, d'abord cir-conscrite, puis étendue à tout le
membre
et par une douleur occu-pant le centre de la fess
s de nature lancinante avaient augmenté et envahi d'autres parties du
membre
, de telle sorte qu'il lui était impossible de res
ondyles du fémur ; 5° en ar-rière de la malléole externe. Jamais le
membre
inférieur gauche n'a été atteint; jamais non plus
intenses. L'éruption furonculeuse est parfaitement circonscrite au
membre
inférieur droit et elle n'a été précédée d'aucun
ité, sur un point de son éten-due, entre autres au zona du cou et des
membres
supérieurs consé-cutif à une névrite due à la com
à la main; cependant il n'y a pas un état fébrile, bien franc. Les
membres
inférieurs sont très-œdématiés. 11 n'y a pas eu d
e le tracé de la ligne. Je crois que les mouvements spontanés de ce
membre
droit de Gimel deviendront plus amples et plus
ueur de la portion de l'humé-rus enlevée, est des plus heureux, et ce
membre
conservé rendra certainement de nombreux et impor
nd il n'y a qu'une petite plaque de plomb. L'œdème considérable des
membres
inférieurs, survenu trois jours après la blessure
LE ET DU CERVEAU par bourneville1 vi. attitude et contracture des
membres
; — lésions articulaires qui s'observent chez les
ps que la flexion augmente dans l'articulation radio-carpienne, et le
membre
reste indéfiniment dans cette nou-velle position.
lectiques répétées. — Hémiplégie droite complète. — Rétablissement du
membre
inférieur. — Con-tracture persistante du membre s
. — Rétablissement du membre inférieur. — Con-tracture persistante du
membre
supérieur. — État actuel. Trib... Louise-Joséph
troisième attaque, suivie d'une hémiplégie droite avec résolution des
membres
. Ces diverses attaques auraient été précédées de
ade traîne la jambe droite en marchant. Elle ne peut se servir de son
membre
supérieur, qui est lourd, mais elle le soulève. L
nce est beaucoup moins grande aux bras qu'aux mains. De même pour les
membres
inférieurs, le pied, la jambe, le genou et la cui
nt pas de différence. Il n'y a pas de signes de paralysie fa-ciale.
Membre
supérieur droit. La malade élève le bras jusqu'à
vantes indiquent les dimen-sions comparatives des divers segments des
membres
supérieurs : DROIT GAUCHE Circonférence du mé
s elle, la faiblesse serait plus grande sous l'in-fluence du froid.
Membre
inférieur droit. La hanche et le genou sont libre
aussi longs l'un que l'autre. Voici les mesures respectives des deux
membres
inférieurs : DROIT GAUCHE Circonférence du mé
-de-pied. ... 18,5 — 19 — — du mollet....... 23,3 — 24 — Les deux
membres
supérieurs ont la même longueur. — Les règles com
e femme, dont l'hémiplégie est très-ancienne, l'attitude générale des
membres
, les déformations de la main, des doigts, se rapp
hémiplégies apparues à 17 mois et à 7 ans. D'après M. Cotard, « le
membre
supérieur est rapproché du tronc, l'avant-bras fl
ent fermé. La contracture est d'ordinaire beaucoup moins prononcée au
membre
inférieur; on observe une légère flexion du genou
contracture ; les autres doigts sont plutôt dans l'extension. Tout le
membre
supérieur gauche, par rapport à l'autre, est atro
ils sont dans la demi-flexion, ou dans l'extension complète. Tout le
membre
paralysé est moins développé que l'autre. — Gra
suffisantes pour que chacun puisse se rendre compte de l'attitude des
membres
supérieurs chez les malades que nous avons eu plu
ne expression des malades, la paralysie les travaille, l'attitude des
membres
, les déformations des mains subissent quelques mo
nœuvre sembla ramener quelques mouvements dans la face, le cou et les
membres
supérieurs. Deux piles de Bunsen furent apprêtées
l'ataxie. Subites et passagères, elles atteignaient surtout les deux
membres
inférieurs, et le membre supérieur droit. Cependa
agères, elles atteignaient surtout les deux membres inférieurs, et le
membre
supérieur droit. Cependant la constriction circul
signaler le lendemain même. Nous avons alors décou-vert totalement le
membre
, et voici le spectacle qui s'est offert à nos yeu
e qui s'est offert à nos yeux: Depuis l'épaule jusqu'au poignet, le
membre
supérieur gauche présente une tuméfaction général
ette tuméfaction augmente à mesure qu'on se rapproche de la racine du
membre
; faiblement prononcée à la main, elle est plus f
nous venons de décrire ont graduellement diminué1 : la tuméfaction du
membre
s'est effa-cée peu à peu ; l'ecchymose a pâli : l
glénoïde. On comprend aisément qu'une disposition pareille permet au
membre
de se luxer et de se replacer ensuite dans ses ra
chez lui, la température s'est élevée à 40 degrés. Le gonflement du
membre
qui se développe très-rapidement est toujours plu
e que je mets ici sous vos yeux (voy. planche I). L'infiltration du
membre
disparaît rapidement dans la plupart des cas : le
ètes, tantôt incomplètes et le plus souvent la perte des fonctions du
membre
; toutefois, dans les cas légers et surtout dans l
'à présent on avait attribué cette prédominance si marquée du côté du
membre
supérieur droit à l'usage habituel que nous faiso
Ces infirmités n'empêcheront pas le malade de tirer quelque parti du
membre
affecté, d'autant plus que les lésions de ce genr
as en général suivre une marche progressive. Enfin, la tuméfaction du
membre
, et les ecchymoses qui se sont dévelop-pées sur d
dissiperont presque sans aucun traite-ment; il suffira d'entourer le
membre
de coton cardé, de l'enve- lopper de compresses
mpérature convenable. Voici le tableau des mesures comparatives des
membres
supé-rieurs de ce malade. gauche. droite. 24
t atteints, et l'un d'eux se trouvait être M. Villemain lui-même. Les
membres
étaient froids ainsi que la langue, la cyanose co
ès: P. 78; R. 18; T. R. 57°4. —Exeat le 26 juin. 16 août. Œdème des
membres
inférieurs et des bourses. Cin-quième ponction ;
août. 9 septembre. Le ventre a lm,12 de circonférence. L'œdème des
membres
inférieurs, des bourses, du pénis, est très-prono
ois. Le sommeil est bon. Le pouls est petit. 5 octobre. L'œdème des
membres
inférieurs a presque disparu. L... se plaint de d
description de certains muscles, comme ceux de la fesse, du cou, des
membres
, surtout chez le chien et le bœuf, pour la descri
xalgie infantile (Des effets de la) sur la croissance ultérieure du
membre
, par E. Boeckel, 96. Culot (Ch.), 1, 44, 115,14
R Rachitisme, 176. Ramollissement cérébral ancien, attitude des
membres
paralysés, 243 {voy. Anévrysme). Rate (Kystes d
PAR M. LE DOCTEUR H. BOUVIER, MÉDECIN DE L'HOPITAL DES ENFANTS,
MEMBRE
DE L'ACADÉMIE IMPERIALE DE MÉDECINE, 1JE LA SOCIÉ
lement du cartilage, comme la chose a lieu dans les articulations des
membres
. Nous trouvons sur cette pièce une excavation p
t réside dans la région cervicale, il y a ordinairement paralysie des
membres
supérieurs et des membres inférieurs; cependant o
rvicale, il y a ordinairement paralysie des membres supérieurs et des
membres
inférieurs; cependant on a vu la paralysie n'affe
membres inférieurs; cependant on a vu la paralysie n'affecter que les
membres
supérieurs seulement. La moelle, dans ces cas, de
des mou-vements involontaires très-prononcés de toutes les parties du
membre
. Il est à remarquer que, quel que soit le point t
n'accuse point de douleur. Ce mouvement automatique de projection du
membre
en dehors rappelle tout à fait celui qu'on voit e
ouvent sous le poids du corps, et la fatigue arrive promple-ment. Les
membres
sont le siège de fourmillements, d'engour disse
bout ni marcher ; mais ils peuvent encore imprimer des mouvements aux
membres
inférieurs, lorsqu'ils sont assis ou couchés. E
in, dans le troisième degré, tout mouvement volontaire est aboli; les
membres
inférieurs sont des masses inertes, obéissant pas
on de la pesanteur et à toutes les impulsions extérieures. Les deux
membres
peuvent être inégalement affectés, de manière que
phincters vésical et anal, peuvent participer à l'affaiblissement des
membres
abdominaux. On observe alors la rétention ou l'in
uleurs dans les reins et en un affaiblissement assez considérable des
membres
inférieurs. Huit jours après, il ne marchait plus
— Voici un jeune enfant qui offre un affaiblissement considérable des
membres
inférieurs ; il y a, de plus, une légère saillie
s de mal vertébral. Cet enfant est ra-chitique. Quant à la lésion des
membres
abdominaux, on pourrait se tromper sur sa cause s
it dans lequel on voit qu'un enfant qui ne pouvait faire usage de ses
membres
bouvier. 4 inférieurs marchait facilement à l'a
e, et ayant éprouvé à trois reprises, depuis un an, une paralysie des
membres
supérieurs et inférieurs. Les deux premières atta
u, d'autant plus qu'un diverticule, qui s'était présenté dans l'autre
membre
, a déjà disparu. Si la résorption n'a pas lieu, s
avait de la paraplégie, mais, chose surprenante, pas de paralysie des
membres
supérieurs. La moelle était comme ramassée et rev
ts convulsifs, de la paralysie. La paralysie affecte plus souvent les
membres
supérieurs que dans le mal vertébral des autres r
ment de la tête ? Il tient à la grande loi générale de l'attitude des
membres
dans les affections articulaires. Les coxalgies s
ent ceux d'une coxalgie; il n'existait point d'altération osseuse; le
membre
avait une attitude fixe ; les mouvements étaient
la place qu'elle occupe ; cette disposition conserve les fonctions du
membre
. Cette union ligamenteuse est propre aux pseuda
lieu, ne changerait rien aux conditions de solidité et de mobilité du
membre
. La surface extérieure de la portion libre est,
ette disposition sur la mobilité du fémur; elle limite l'abduction du
membre
, et l'empêche de s'abaisser par son propre poids
ngestion, j'ai indiqué celle influence du psoas sur la position des
membres
inférieurs; mais je le crois le plus souvent étra
fin, il se fait presque toujours des changements dans la nutrition du
membre
ou même de toute une moitié du corps; un arrêt de
que deux erreurs que je signalerai bientôt. I. Raccourcissement du
membre
. — Le fait qui frappe tout d'abord lorsqu'on exam
u'on examine le malade debout ou couché, c'est un raccourcissement du
membre
, constant dans la luxation iliaque, mais variable
vec le déplacement de la tête ; plus elle est remontée, plus aussi le
membre
inférieur présente de brièveté. Il se peut cepend
sidérable ne s'accompagne pas d'une diminution notable de longueur du
membre
abdominal luxé ; c'est lorsque la tête, déviée en
On peut constater de plusieurs manières la diminution de longueur des
membres
abdominaux chez les sujets dont une des hanches s
à la vue simple, on prend des points similaires sur le bassin et les
membres
abdominaux, et l'on compare la distance (1) Dou
tude, si la luxation est unilatérale, les parties semblables des deux
membres
, malléoles, rotules, etc., sont situées à une hau
lacées horizontalement, que d'ailleur s la longueur propre des os des
membres
soit la même, on détermine une obliquité prononcé
ier moyen, qui convient surtout si la différence de longueur des deux
membres
est considérable. Lorsqu'elle est faible, au cont
recours, un point fixe du bassin et un autre point bien apparent des
membres
inférieurs, l'une ou l'autre des malléoles, pat-e
u'elle est facilement sentie à travers les parties molles. Les deux
membres
doivent être bien perpendiculaires à l'axe transv
Une lésion articulaire détermine-t-elle une attitude fixe de l'un des
membres
? il faut donner à l'autre membre une altitude sem
des instruments plus compliqués pour mesurer le raccourcissement des
membres
luxés. M. Ferdinand Martin, présent à notre réuni
mploie. L'essentiel est de donner une bonne position au bassin et aux
membres
abdominaux, et d'appliquer l'instrument de chaque
moins que l'autre ; il faut donc mesurer la longueur des os de chaque
membre
, et si l'on trouve égalité entre eux, le raccourc
oubles, on manque des renseignements tirés de la comparaison des deux
membres
; le diagnostic est alors plus embarrassant. Cepen
bserve naturellement. Il existe, en effet, entre ces deux sections du
membre
inférieur, dans l'état sain, une différence de 1
n trochantérienne est en rapport constant avec le raccourcissement du
membre
et dépend des mêmes conditions anatomiques, à sup
s la position an-téro-postérieure de l'os dépendant de la rotation du
membre
, et dans la direction des fémurs , lorsqu'elle n'
e de l'éminence osseuse est, en outre, en rapport avec la rotation du
membre
en dehors. Si, sur cet enfant, j'applique les pou
e des cas, toutefois, la tête fémorale ne peut être sentie lorsque le
membre
est étendu ; mais au moyen de certaines attitudes
ndu ; mais au moyen de certaines attitudes, telles que la rotation du
membre
en dedans, combinée avec la flexion, on la rend s
entir la tête en avant, près de l'épine iliaque, lorsqu'on imprime au
membre
placé dans l'extension des mouvements alternatifs
ient à la luxation. La totalité du fémur a changé de direction ; le
membre
luxé se rapproche du membre opposé dans la statio
alité du fémur a changé de direction ; le membre luxé se rapproche du
membre
opposé dans la station verticale ; il en résulte
une légère flexion permanente de la cuisse accompagne la rotation du
membre
en dehors. III. Conformation du membre. — Dans
se accompagne la rotation du membre en dehors. III. Conformation du
membre
. — Dans la luxation simple, le membre affecté dif
dehors. III. Conformation du membre. — Dans la luxation simple, le
membre
affecté diffère dans sa totalité de celui du côté
dérable à sa partie supérieure ; inférieurement il est plus grêle. Ce
membre
présente dans l'aine une dépression située à la h
dans le creux inguinal et en imprimant des mouvements de rotation au
membre
luxé, on ne sent plus la tête rouler sous les doi
pli de la fesse est plus élevé et quelquefois déformé. Le reste du
membre
présente des particularités que je dois si gnal
esure que le sujet avance en âge ; la circonférence et la longueur du
membre
restent moins considérables de ce côté. Tous les
il a signalé le moindre développement des vaisseaux cruraux dans les
membres
anciennement luxés. IV. Disposition du bassin.
i dépendent des attitudes de la ceinture osseuse et des mouvements du
membre
inférieur. Pour bien apprécier les attitudes, vou
presque tout le rachis, décrit une courbe dont la convexité répond au
membre
luxé. Le malade peut atténuer les effets de l'inc
aison du bassin, soit par le soulèvement du talon et l'allongement du
membre
luxé, soit en fléchissant le genou du côté sain.
le monde est frappé de cette différence ; il doit en résulter pour le
membre
luxé un raccourcissement que vous constatez en vo
confondue avec d'autres lésions qui produisent un raccourcissement du
membre
, et dont la cause réside aux environs de la joint
avec l'axe du corps de l'os, il s'ensuit un raccourcissement dans le
membre
correspondant. La fracture ancienne, consolidée a
dée avec raccourcissement de l'os, est aussi une cause de brièveté du
membre
. Voilà donc quatre cas déterminés par une lésion
cotyloïde, et dont le résultat est une réduction dans la longueur du
membre
. Un caractère des vraies luxations manque pourt
seul. Les particularités relatives à la rotation et à l'abduction du
membre
n'ont ici qu'une utilité secondaire : elles peuve
sions. Je ne m'arrête pas à quelques causes de raccourcissement des
membres
inférieurs, telles qu'une fracture du corps du fé
t saillie du trochanter, et si l'altération existe d'un seul côté, le
membre
correspondant peut offrir moins de longueur que l
s luxations. En voici un exemple : voyez cette rotation en dedans des
membres
inférieurs, ce rapprochement considérable des gen
dans la station et dans la marche. Si l'enfant maintenait droits ses
membres
abdominaux, vous verriez se produire immédiatemen
la luxation comprend celles dans lesquelles Vacinésie occupe tout un
membre
, mais est tellement incomplète qu'on la reconnaît
ît à peine. Elle peut donner lieu à un raccourcissement atrophique du
membre
, à la claudication, et l'on pourrait croire à un
la luxation est congeniale. Un de nos enfants, atteint de luxation du
membre
abdominal droit, est né d'une mère affectée d'une
ion congeniale que vous observez une grande liberté des mouvements du
membre
, de grands arcs de cercle décrits sur l'ilium par
'enfant a marché ; il n'a existé à aucune époque d'état douloureux du
membre
, suivi de raccourcissement et de claudication ; i
ication ; il n'y a point eu de chute ayant déterminé une impotence du
membre
telle que celle qui succède à une luxation trauma
de l'impotence inséparables d'un état pathologique ou traumatique du
membre
. Morgagni a fait la dissection d'un lainier, po
dans lesquels on ne replaçait le fémur sur le cotyle qu'en donnant au
membre
une position forcée, et même impossible pendant l
sujet affecté de pseudarthrose est couché, pour peu qu'on tire sur le
membre
luxé, on ramène la tête du fémur au même niveau q
Voici un premier sujet chez lequel la différence de longueur des deux
membres
abdominaux est considérable. Si j'exerce une fort
es abdominaux est considérable. Si j'exerce une forte traction sur le
membre
luxé, le trochanter s'abaisse à la vérité, mais e
ement complet ; néanmoins mon collègue n'a pu obtenir rallongement du
membre
luxé. Y a-t-il des exceptions à celte fixité du f
ur pallier cet inconvénient. Les manœuvres employées pour allonger le
membre
ou pour réduire agissent souvent d'une manière fâ
toute illusion, vous vous efforcerez d'apprécier exactement l'étal du
membre
avant et après le traitement. Vous saurez vous pr
n savant et éminent collègue, M. Malgaigne. Si le raccourcissement du
membre
subsiste, vous ne serez pas aveuglés au point de
l'environnent peuvent être trop courts ; l'adduction d'un ou des deux
membres
exagérée. L'inclinaison du bassin produit un racc
. Les deux dessins que je place sous vos yeux représentent l'état des
membres
avant et après le traitement. J'ai revu ce jeune
'occupe, à celui où une articulation trop lâche nuit aux fonctions du
membre
et fait craindre une aggravation de la malformati
e celles qui existent dans le reste de l'économie. Il suffit, dans un
membre
, de rétablir l'attitude normale, de rendre, par e
un membre, de rétablir l'attitude normale, de rendre, par exemple, au
membre
inférieur sa rectitude pour assurer l'exercice à
t Galien se sont servis du mot kullosis pour désigner la courbure des
membres
, et en particulier le pied bot. (I) Première l
et pes intus inclinatur (1). » « Si la cuisse est luxée en dedans, le
membre
est plus long que l'autre, et il devient valgus ;
bout du pied se tourne en dehors. Quand la luxation est en dehors, le
membre
se raccourcit et devient varus ; le pied s'inclin
et équilibre musculaire. Si vous maintenez longtemps les muscles d'un
membre
raccourcis ou allongés, l'équilibre est rompu dan
alement; certains muscles demeurent plus, faibles que d'autres, et le
membre
est entraîné dans le sens des. plus forts. Noto
lte que de l'effort volontaire pour soulever sur la pointe du pied le
membre
raccourci. A côté des pieds bots proprement dit
que dans la conformation normale. Le pied plat nuit aux fonctions du
membre
lorsqu'il est très-prononcé; mais ce n'est plus a
n (Zi) ; mais on ne peut nier que, dans certains cas, la pression des
membres
du fœtus paraisse réellement donner lieu à des in
, et Bulletin de VAcadémie de médecine, t. Ier, p. 196. hauteurs du
membre
; ce plâtre vous en offre un bel exemple. D'autre
lairer sur l'origine du pied bot natif, non-seulement par l'examen du
membre
et de l'état général de l'enfant, mais encore à l
, qui passa à l'état chronique. 11 en est résulté une déformation des
membres
supérieurs et inférieurs, déformation qui n'empêc
ent, les difformités n'ont fait que s'accroître. Vous voyez , dans le
membre
supérieur, comme une subluxation du cubitus en ar
me côté. Vous voyez que, chez cette femme, la déformation existe au
membre
supérieur comme à l'inférieur. Remarquez la forme
paralysie a été primitivement une paraplégie; mais, avec le temps, le
membre
droit a recouvré une grande partie de ses mouveme
te femme, nous trouvons un pied bot varus droit, avec une atrophie du
membre
supérieur gauche, et, comme antécédents, des conv
une paralysie croisée. Mais le mouvement est revenu en partie dans le
membre
supérieur, tandis qu'au pied la paralysie est com
ration plus profonde ajoute encore, avec les années, à l'impotence du
membre
: c'est la transformation grais euse des muscles.
se trouvaient remplacés par du tissu fibreux. Atrophie générale du
membre
. — L'atrophie, l'arrêt de développement qui attei
rale du membre. — L'atrophie, l'arrêt de développement qui atteint un
membre
pied bot, porte sur toutes les parties de ce memb
nt qui atteint un membre pied bot, porte sur toutes les parties de ce
membre
, os, muscles, vaisseaux, nerfs. Cet état persiste
ôté un pied équin à peu près direct. Ce pied est paralysé, et tout le
membre
est atrophié jusqu'à sa partie supérieure. Une br
is quelque temps, un chirurgien orthopédiste imprime fréquemment à ce
membre
des mouvements avec la main , et il en est résult
iation du pied; on peut comprendre que les muscles du côté externe du
membre
n'ayant pas trouvé la même résistance que ceux
. Le talon, déjà un peu tourné en dehors dans la première attitude du
membre
, se renversait encore davantage, comme dans le va
i les fléchisseurs des genoux l'emportent sur leurs extenseurs, et le
membre
s'étend avec peine. Aux pieds, nous trouvons des
ment, en jetant un coup d'œd sur ces muscles artificiels adaptés à un
membre
de squelette par M. le docteur Duchenne. Les mu
s pied creux que dans les autres formes de pied bot. Les fonctions du
membre
sont cependant plus ou moins lésées par la paraly
enfin le pied sous toutes ses faces et dans les positions diverses du
membre
. Puis on appréciera la disposition des articula
lations, leur degré de mobilité, les rapports de leurs surfaces. Le
membre
inférieur tout entier doit être lui-même l'objet
e la jambe et de la cuisse, leur longueur comparée à celle de l'autre
membre
, la force et la disposition des muscles qui les m
ans les cas les plus favorables, ce n'est que dans la jeunesse que le
membre
remplit passablement ses fonctions; les progrès d
eut même survenir des ulcères , des caries. Cet état fonctionnel du
membre
pied bot prive les pauvres d'une foule de travaux
utes tes régions où des tendons s'opposent à l'attitude naturelle des
membres
, quelle que soit l'origine de la difformité (1).
, sans les manipulations, la guérison soit très-imparfaite, et que le
membre
reste demi-ankylosé ; je n'ai jamais rien vu de s
r pour redresser le varus, et d'autres tours de bande maintiennent le
membre
dans celte situa-lion. Mon collègue, M. Guersant,
cette immobilité trop absolue pour les mouvements et la nutrition du
membre
. En résumé, les bandages même composés ne peuve
Il y a eu en même temps, chez cet enfant, une paralysie incomplète du
membre
supérieur. Cet autre enfant est un exemple curi
es difformités multiples dont je vous ai entretenus précédemment. Les
membres
supérieurs, paralysés presque complètement, sont
ment, sont dans l'exten?ionj les mains fléchies sur l'avant-bras. Les
membres
inférieurs, écartés très-largement, sont dans la
asion , il faut arriver à la contrainte physique. On enferme alors le
membre
dans une enveloppe qu'on fixe solidement au genou
sations de déchirement, de torsion, d'arrachement. Il ressent dans le
membre
une chaleur si incommode, qu'il le laisse à décou
ir en aide aux autres moyens. Mais, en général, il faut soustraire le
membre
à son action, qui, en raison de la position du pi
. Si l'on tenait à porter le ténotome dans le même sens pour les deux
membres
, soit afin d'être plus sûr de diviser le plantair
le seul moyen d'obtenir une rectitude indispensable aux fonctions du
membre
. C. Accidents de la ténotomie. — Je vous ai déc
sitions normales; et, à supposer qu'on arrive à procurer au malade un
membre
moins difforme, il peut se faire qu'il soit moins
e. Mais si vous avez affaire à une paralysie trop étendue pour que le
membre
, une fois redressé, serve à la locomotion, absten
e à la locomotion, abstenez-vous de toute opération. La brièveté du
membre
, dans le pied équin, est-elle une contre-indicati
ion devient utile , a-t-on dit, en ce qu'elle rétablit la longueur du
membre
. Cela est vrai, et on ne devra pas opérer, si la
elle-ci augmente au point de devenir plus nuisible que la brièveté du
membre
elle-même, l'opération sera utile. La ténotomie
onsidération des causes, dans la cure des pieds bols. L'atrophie du
membre
, effet constant de la difformité, n'est point eff
s locaux les plus propres à activer la circulation et la nutrition du
membre
; tels sont : l'exercice musculaire, le massage,
ns après le premier, vous montre la conformation actuelle du pied. Le
membre
a été moulé dans sa plus grande extension , et vo
e différente entre la diaphyse et le cartilage épiphysaire des os des
membres
, de même qu'entre les côtes et leurs cartilages,
égère, une faible pression, suffisent pour produire des fractures des
membres
et des côtes. Ces fractures peuvent être incomplè
qué par Glis-son (1) : c'est l'arrêt de développement en longueur des
membres
, d'où la petitesse de la stature. Déjà, dans les
os ont subi la transformation éburnée. A ce moment, l'allongement des
membres
devient presque impossible; car il se fait une so
tout de rallongement des diaphyses à leurs deux extrémités. Aussi les
membres
affectés de rachitisme présentent-ils, sur beauco
de cet arrêt de développement intra-utérin. Les os de la plupart des
membres
sont d'une brièveté extraordinaire, plus ou moins
es : 1° de la tête, 2° du ra-chis, 3° du thorax, k° du bassin, 5° des
membres
thoraciques et abdominaux. a. Rachitisme de la
Celui que vous voyez a le corps bien conformé ; il est grand, et ses
membres
ne présentent pas de courbure sensible. Le thorax
ppartient à un sujet rachi-tique, si on ne voit pas en même temps les
membres
. Voici une colonne rachidienne d'un jeune sujet
ânien est donc peu prononcé. Remarquez la brièveté et la solidité des
membres
, le boursouflement des chairs, les plis profonds
éburnation dans le ventre de sa mère, au moins en ce qui concerne les
membres
. IIe cas.— Garçon de vingt-huit mois; les membr
qui concerne les membres. IIe cas.— Garçon de vingt-huit mois; les
membres
inférieurs forment la parenthèse; ils sont courbé
t peu volumineuse et les bosses frontales ne sont pas saillantes. Aux
membres
supérieurs, pas de courbures ; le rachitisme ne s
. Il est probable que cette courbure de l'épine date de peu d'années.
Membres
supérieurs bien conformés; les inférieurs sont un
ion dorsale latérale droite, avec saillie des côtes du même côté. Les
membres
inférieurs sont fortement courbés en X, et les ge
nférieurs sont fortement courbés en X, et les genoux se touchent. Les
membres
supérieurs ont seuls échappé à l'envahissement du
elet bien marqué. Le rachis est droit; le bassin paraît régulier. Les
membres
supérieurs n'offrent pas de courbures, mais les
'offrent pas de courbures, mais les poignets sont très-renflés. Les
membres
inférieurs sont déformés comme chez le précédent,
ssin participe du rachitisme vertébral par le sacrum, et de celui des
membres
inférieurs par les os coxaux. Les déformations
a maladie, le développement du bassin peut être entravé avec celui du
membre
inférieur par les causes que j'ai déjà indiquées.
tisme vertébral, une claudication causée par un ancien rachitisme des
membres
inférieurs, peuvent aussi, avec l'âge, déformer l
du pubis résiste plus que les cotyles, qui, cédant à la pression des
membres
inférieurs, s'enfoncent plus ou moins dans l'inté
blique, trad. par A. Danyau. Paris, 1840, in-8°. sans courbures des
membres
inférieurs ou de la colonne vertébrale , et elles
sont des plus prononcées quand le rachitisme porte à la fois sur les
membres
et sur le rachis. Vous en voyez un exemple dans c
e diamètre sacro-pubien n'a que sept centimètres. e. Rachitisme des
membres
. — Le rachitisme des membres est sans contredit l
ue sept centimètres. e. Rachitisme des membres. — Le rachitisme des
membres
est sans contredit le plus constant ; celui du th
rapport. 1° Siège des déformations. — Les différentes sections des
membres
ne sont affectées ni avec la même fréquence, ni à
à cet égard, les trois altérations rachitiques principales des os des
membres
, savoir : 1° l'accumulation des couches chondroïd
on des couches chondroïde et spongoïde se fait simultanément dans les
membres
supérieurs et inférieurs, mais en des points diff
des diaphyses est plus fréquente, comme l'avait déjà dit Glisson, aux
membres
inférieurs, où elle précède, en général, celle de
isson, aux membres inférieurs, où elle précède, en général, celle des
membres
supérieurs. Mais elle se voit à peu près aussi so
successivement de bas en haut, » depuis les os de la jambe jusqu'aux
membres
supérieurs, au rachis et au crâne. Vous savez déj
a-chitique, accompagne toujours et précède souvent toute courbure des
membres
. Depuis que je vous ai signalé ce fait, j'ai été
prétendue loi que ce que Glisson avait déjà reconnu , savoir, que les
membres
inférieurs se courbent avant les supérieurs, et,
extérieures tendent le plus à déformer. Voilà pourquoi le thorax, les
membres
abdominaux, siège tout à la fois d'un développeme
e influence réelle sur le développement des courbures rachitiques aux
membres
inférieurs; mais il ne faut pas exagérer cette in
(1) que, avant la marche , la déformation porte plus souvent sur les
membres
supérieurs que sur les inférieurs. Les vingt exem
r Glisson. Même dans le rachitisme congénial, il peut arriver que les
membres
inférieurs soient les seuls déformés. Ce fœtus de
Ce fœtus de huit mois vous présente des courbures très-prononcées aux
membres
abdominaux, et une rectitude presque complète des
noncées aux membres abdominaux, et une rectitude presque complète des
membres
thora-ciques. Les cas de rachitisme congénital éb
t dessiné de Chaussier, offraient des déformations aussi étendues aux
membres
inférieurs qu'aux supérieurs. 2° Causes, sens d
ses. Nous allons examiner rapidement les courbures de chaque os des
membres
en particulier, en faisant ressortir quelques fai
mpossible de ne pas voir, dans cette disposition, l'effet du poids du
membre
supérieur agissant de haut en bas sur l'extrémité
le qui puisse le courber dans ce sens. Je crois que c'est le poids du
membre
qui tend à fléchir l'humérus dans les cas de ce g
ier cas, et même dans le premier, du poids de la partie inférieure du
membre
, lorsque la cuisse est soulevée par l'action de s
nformées, et que les fémurs sont en même temps courbés en dehors, les
membres
ont la figure de deux S. Si tout le membre abdomi
ps courbés en dehors, les membres ont la figure de deux S. Si tout le
membre
abdominal est dévié en dedans, des deux côtés, il
partielle ou générale. Si elle fait suite à celle du fémur, les deux
membres
inférieurs, arqués dans toute leur longueur, ont
. Les courbures peuvent aussi être concentriques, opposées aux deux
membres
, en forme de guillemets. Quelquefois enfin, il
Quelquefois enfin, il existe une double courbure en S dans un seul
membre
ou d'autres formes plus bizarres. Sur les fœtus a
l'action musculaire, et l'effet produit par le poids du pied quand le
membre
est soulevé. Les articulations participent plus
nt-bras sont légèrement courbés, les poignets très-renflés. Enfin les
membres
inférieurs offrent, de haut en bas, une courbure
ds peu considérables; thorax déprimé latéralement, avec chapelet; les
membres
inférieurs offrent la disposition de guillemets.
tissement latéral. Rien aux bras; légère courbure aux avant-bras. Aux
membres
inférieurs, il y a une légère courbure des fémurs
ativement aux avant-bras. La déformation porte principalement sur les
membres
inférieurs; la courbure antérieure des fémurs est
éprimé latéralement ; le sternum est saillant en forme de carène. Les
membres
sont à peu près droits; la clavicule gauche est c
es en dehors, forment la parenthèse; les fémurs sont peu courbés; les
membres
supérieurs droits. II. Lésions des parties moll
ux vices de direction et de configuration des os. C'est surtout aux
membres
que le système musculaire est ainsi profondément
configuration des os à transformer totalement l'aspect extérieur des
membres
. En voici un exemple sur ce dessin d'une femme mo
trière, à l'âge de soixante-neuf ans. La déformation considérable des
membres
inférieurs avait réduit sa taille à un mètre. Les
sur lesquelles ils passent sont souvent infléchies en sens inverse du
membre
incurvé, et que l'élongation qu'ils éprouvent par
e postérieure qui ne disparaît pas complètement dans l'extension. Les
membres
inférieurs ne présentent qu'un peu de courbure de
nt de nourrice, à neuf mois ; mais il paraît qu'elle avait encore les
membres
droits. Aujourd'hui, elle est âgée de deux ans, e
ent cette convexité dans l'extension. Le bassin paraît bien fait. Les
membres
inférieurs sont courbés en dehors et ont la forme
plus guère appréciable qu'à droite, le thorax n'est pas déprimé. Les
membres
supérieurs sont droits et offrent seulement le go
es à l'extérieur. Le chapelet, le thorax en carène, les courbures des
membres
, sont des signes pathognomoniques, quand ils exis
attitude assise, la petitesse de la taille et surtout la brièveté des
membres
, l'évolution tardive et l'altération des dents, l
fants au-dessous de deux ans. Les nœuds articulaires, la brièveté des
membres
, sont plus prononcés chez les sujets un peu plus
ouffissure de la face , téguments flasques, décolorés, chairs molles,
membres
grêles, amaigrissement général, disposition aux s
uefois spontanées dans les os ramollis. Le mouvement, la pression des
membres
lui arrachent des cris, quand on le soulève par l
la marche aux enfants dont les tibias sont flexibles, à moins que les
membres
ne soient étayés par des supports artificiels.
nt ; cette courbure s'efface en partie. Le ventre est volumineux. Les
membres
supérieurs n'ont de particulier que le renflement
s supérieurs n'ont de particulier que le renflement des poignets. Aux
membres
inférieurs, vous voyez les fémurs convexes en deh
t des vertèbres. Le chapelet est prononcé , le ventre volumineux. Les
membres
supérieurs et inférieurs offrent de légères courb
fre une grande convexité en arrière. Les clavicules, les os longs des
membres
sont peu déformés; ces os sont flexibles, presque
'est une fdle de quatorze ans, qui ne marche plus depuis six ans. Les
membres
inférieurs sont tellement déviés, que les jambes
grande difformité, cette jeune fdle peut, au moyen d'une rotation des
membres
, rapprocher assez les pieds pour marcher, en pren
térale du thorax est peu prononcée; le rachis est droit ainsi que les
membres
; cependant les membres inférieurs présentent une
prononcée; le rachis est droit ainsi que les membres ; cependant les
membres
inférieurs présentent une légère courbure en deho
s ce cas, le rachitisme porte donc principalement sur le crâne et les
membres
inférieurs. VIe cas. — Voici une petite fille â
ontanelle est complètement fermée; le rachis est droit, ainsi que les
membres
supérieurs. L'enfant marche, et vous ne pensez pr
Hirschfeld (U), de ne pas attribuer la courbure dorsale au poids des
membres
supérieurs, de certains viscères et de la tête el
finir par s'ankyloser; mais cet accident, qui est assez fréquent aux
membres
, est très-rare au rachis, et c'est d'une tout au
les ils s'insèrent. Le haut du tronc, la tête, les épaules, tout le
membre
supérieur, sont droits ou portés en arrière dans
en charge les mains; et, suivant que les mouvements exécutés par les
membres
supérieurs portent ces poids en avant ou en arriè
ition telle qu'il soit obligé de faire effort de haut en bas avec les
membres
supérieurs dans l'attitude du scieur de long plac
ure des lombes en avant. L'attitude du bassin et les mouvements des
membres
inférieurs dont elle dépend fournissent encore
stituée à la concavité des lombes, si l'on est assis très-bas, si les
membres
inférieurs sont allongés sur un même plan horizon
de la région lombaire ; on élève la tête, et surtout le bassin et les
membres
inférieurs. On peut, dans cette attitude, fixer
dans cette attitude, fixer le bassin d'une part, la tête, le haut des
membres
supérieurs ou la poitrine, de l'autre, et exercer
u fémur non ré -duites ou congénitales, les courbures rachitiques des
membres
inférieurs, les abcès par congestion, les rétract
ent dans ce sens par la moindre surcharge, par un léger mouvement des
membres
supérieurs qui déplace le centre de gravité , le
é en arrière par sa partie inférieure, est sous la base du crâne. Les
membres
inférieurs sont suspendus sous la tête à des os i
la paroi abdominale et une exstrophie de la vessie. En même temps les
membres
inférieurs ont éprouvé une rotation en dehors d'u
ieurs plans; suivant les positions diverses, le repos ou l'action des
membres
supérieurs, etc. Le rachis, cette carene du squ
nts aux autres sections du corps et surtout à la tête, au thorax, aux
membres
supérieurs et au bassin. A notre point de vue,
re du tronc est une attitude anormale dans la station, à moins que le
membre
supérieur abaissé ne trouve un appui; elle est mo
ager, on fait porter le poids du corps alternativement sur chacun des
membres
inférieurs ; l'autre membre est alors légèrement
du corps alternativement sur chacun des membres inférieurs ; l'autre
membre
est alors légèrement fléchi et porté un peu en av
nt fléchi et porté un peu en avant ; le bassin, abaissé du côté de ce
membre
, incline dans le même sens l'extrémité inférieure
e tronc s'inflé- (1) Pl. 2, fig. 3. chit, c'est-à-dire du côté du
membre
qui soutient le corps. Elle a en outre pour effet
faut de symétrie, une inégalité de force des deux côtés du corps, des
membres
ou des organes des sens, puisse donner lieu à ces
tés les influences qui agissaient dans le sens antéro-postérieur. Les
membres
supérieurs, entraînant l'épine latéralement dans
on à volonté, de changer la hauteur comparative des épaules, etc. Les
membres
inférieurs, vous l'avez vu, exercent la même infl
tif et par la prédominance d'action des muscles de ce côté. L'état du
membre
inférieur influe aussi, dans ce cas, sur l'attitu
claudication, quelle que soit la cause de l'inégalité de longueur des
membres
inférieurs, l'inclinaison du bassin, dans la stat
aire, dont la concavité , de même que lorsqu'on se hanche, regarde le
membre
le plus élevé. Cette courbure disparaît dès que l
vez encore un exemple d'une scoliose sympto-niatique d'une lésion des
membres
inférieurs. Le sujet se tient sur la pointe du pi
'heureuse idée de mettre une semelle de plomb au soulier droit, et le
membre
s'est notablement redressé. Il n'y a ici qu'une s
maux, où l'on ne peut admettre celle de l'exercice exclusif d'un seul
membre
. Voici la colonne vertébrale d'un singe sur leque
ermine la claudication. La convexité delà courbure répond toujours au
membre
le plus court, à celui vers lequel penche le bass
hez les sujets gibbeux, que lorsqu'ils présentaient des courbures des
membres
inférieurs. Mais, avec l'âge, la scoliose spont
nt le poids du corps est transmis, à travers le bassin, du rachis aux
membres
inférieurs. La scoliose rachilique exerce la mê
raîner le bassin de manière à soulever l'une des hanches ainsi que le
membre
inférieur correspondant, qui ne posait que sur la
. E. Membres. — On attribue généralement aux individus gib-beux des
membres
longs et grêles ; leur longueur ne paraît excessi
t pas augmentée comparativement à l'état normal. Le peu de volume des
membres
dépend des parties molles. La brièveté et la cour
des membres dépend des parties molles. La brièveté et la courbure des
membres
inférieurs n'appartiennent qu'à la scoliose rachi
bures de l'épine qui succède à la pleurésie, au raccourcissement d'un
membre
abdominal, au torticolis, à une attitude forcée q
rhomboïde, le trapèze, en agissant sur l'épaule clans les efforts du
membre
supérieur, attirent les vertèbres horizontalement
ou même avant cet âge. Portai (2) a vu la scoliose frapper ainsi sept
membres
de la même famille, et j'ai Observé plusieurs fai
observe une inégalité originelle. On tient souvent de ses parents un
membre
plus volumineux que l'autre, une moitié du crâne,
son de la région cervicale dans le même sens, et par l'abaissement du
membre
supérieur gauche. La tète revient un peu à droite
s, lorsqu'une force étrangère suspend le corps par la tête ou par les
membres
supérieurs, de manière que le poids des parties i
ujets gibbeux, d'engourdissements, de paralysies, de contractures des
membres
, de vertiges, de cécités, etc., auxquels ils sera
lieu des plus grands écarts de la conformation du rachis, on voit les
membres
inférieurs conserver leur motilité et leur sensib
rmité congéniale à un torse plus ou moins bien conformé, presque sans
membres
; mais c'est là un ordre de faits différents de la
e n'a pas laissé d'autres traces évidentes dans le squelette ; si les
membres
ont été courbés, ils se sont redressés. Le thor
négale n'est qu'apparente, quand on rétablit l'égalité de hauteur des
membres
inférieurs; elle dépend de ce que la hanche droit
de son âge, sauf la brièveté du tronc, qui n'est pas proportionné aux
membres
. La face, tout en conservant quelque chose des fo
s crêtes et des épines iliaques. Il suffit, pour cela, d'exhausser le
membre
court ou de faire asseoir le malade au lieu de l'
ébrale en donnant une position convenable à la tête, aux épaules, aux
membres
inférieurs, quand la flexion latérale n'est produ
quilibrer à droite et à gauche l'action de ces muscles et de ceux des
membres
supérieurs et inférieurs. On préviendra ainsi l'i
n. Ce qui est alors le plus urgent, c'est d'exhausser la chaussure du
membre
le plus court pour redresser le hassin, et avec l
iées et les rapprochent de la ligne médiane, ou que, dans l'action du
membre
thoracique, les muscles spinaux du côté droit inc
la position horizontale du corps. 1° Exercices avec station sur les
membres
inférieurs. — Il en est qui font agir à la fois l
achis à droite, en sens inverse de la courbure dorsale, surtout si le
membre
thoracique est amené près de la têle, s'il se por
, comme pour tirer de l'eau d'un puits, etc. De là diverses passes du
membre
supérieur qui se pratiquent dans les gymnases. On
ncore cette flexion du tronc à.droite dans les efforts de traction du
membre
supérieur gauche sur un corps résistant, dans l'a
convénient que je signale en combinant les mouvements du bassin et du
membre
inférieur avec ceux du membre thoracique. Par exe
ombinant les mouvements du bassin et du membre inférieur avec ceux du
membre
thoracique. Par exemple, en même temps que le bra
; mais une position fixe du rachis, dans laquelle on fait mouvoir les
membres
sans déranger le tronc, est préférable sous ce ra
des moyens de redressement. Certains exercices avec station sur les
membres
inférieurs doivent, au contraire, être interdits
t appuyer plus fortement les vertèbres les unes sur les autres. Les
membres
supérieurs, que nous verrons, dans le deuxième or
que nous verrons, dans le deuxième ordre d'exercices, substitués aux
membres
inférieurs pour la sustentation du corps, peuvent
ge pour y devenir habile; la sustentation et l'ascension au moyen des
membres
supérieurs seuls exigent surtout une pratique spé
, afin de maintenir les rapports natu- 34, rels du tronc avec les
membres
supérieurs. Je ne reviens pas sur la conséquence
soutient d'abord et on ne confie que par degrés le poids du corps aux
membres
supérieurs. On leur laisse, dans les premiers tem
n les exerce, dans la position horizontale ou inclinée, à s'aider des
membres
supérieurs pour déplacer le tronc et les membres
linée, à s'aider des membres supérieurs pour déplacer le tronc et les
membres
inférieurs. On s'attache surtout à développer, pa
ceux que l'on exécute dans la station et dans la progression sur les
membres
inférieurs. Aux exercices sur place des membres i
a progression sur les membres inférieurs. Aux exercices sur place des
membres
inférieurs, connus sous le nom de pas sur place,
ascension. Une espèce de saut se pratique sur les mains comme sur les
membres
inférieurs. Les progressions ou locomotions se
différentes manières de monter aux échelles et d'en descendre par les
membres
supérieurs seuls, l'ascension aux mâts, à deux pe
cher à habituer les malades à tenir le plus possible le bassin et les
membres
inférieurs dans le prolongement de l'axe du tronc
que le corps, ordinairement supporté par un plan, ne fatigue pas les
membres
de son poids. Ils ressemblent aux précédents en c
du moins pour l'objet spécial qui nous occupe, de faire peu agir les
membres
inférieurs, et en ce que l'on donne presque toujo
traction sur le rachis au moyen du poids des parties inférieures. Les
membres
supérieurs sont alors employés à mouvoir le corps
elle par la tête et le haut de la poitrine, ou par les hanches et les
membres
inférieurs, suivant le siège du mal, et on le pré
Venel, qui entourait toute la tête, ainsi qu'aux liens placés sur les
membres
inférieurs. Une espèce de collier ou de bourrel
du diacre Paris, dit qu'une bossue, âgée de vingt-sept ans, ayant des
membres
très difformes et une taille de deux pieds onze
nde ou épau-lette la forme d'une croupière, dans laquelle on passe le
membre
supérieur, et qui agit sur le haut du thorax de l
ous soulevons avec les mains, sur ces enfants, soit la tête, soit les
membres
supérieurs et le haut du thorax, sans détacher le
ns d'effet, dans ces expériences, en agissant sur la tête que sur les
membres
supérieurs. Aussi les appareils à arbre suspenseu
cas exceptionnels de courbures cervico dorsales. Le soulèvement des
membres
supérieurs par les mains placées sous les aissell
but, comme l'effort des mains, tantôt de soutenir et de soulever les
membres
supérieurs et le haut du thorax, tantôt de presse
inture à des tiges métalliques attachées par des courroies le long du
membre
inférieur ; mais, outre qu'il en résulte une asse
pareil est encore sujet à se déranger. Ces points d'appui pris sur le
membre
inférieur sont d'ailleurs insuffisants, parce que
que la force avec laquelle le tronc s'incline latéralement enlève le
membre
lui-même et le détache du sol, ce qui ajoute la c
§ II. — Diagnostic...................... 115 I. Raccourcissement du
membre
............... II. Caractères tirés de la dispo
irés de la disposition des fémurs......... 117 III. Conformation du
membre
................ 120 IV. Disposition du bassin..
95 État des muscles..................... 196 Atrophie générale du
membre
........,....... 200 Complications du varus. , »
4- d. Rachitisme du bassin................. 287 e. Rachitisme des
membres
............... 290 1° Siège des déformations...
n musculaire................. 474 1° Exercices avec station sûr les
membres
inférieurs. 476 2° Exercices avec suspension pa
ce genre. Ce n'est que assez rarement que les engourdissements des
membres
et de la face, les diverses formes d'aphasie, v
lmique est accompagnée. J'ajouterai, que les engourdissements des '
membres
et de la face, l'aphasie, ne sont pas lesseuls ac
pris l'habitude intermit- tente de dormir, étendu- sur le dos, les
membres
supérieurs relevés et les mains jointes derrièr
as gauche. C'est vous dire qu'il ne pouvait aucune- ment élever ses
membres
supérieurs. Ainsi, quand on lui demandait de fa
ion (1), vous pourrez aisément vous convain- cre qu'en donnant au
membre
supé- rieur l'altitude prise et gardée par no
e m'abuse, ce qui se passe dans le (1) Pièce anatomique (tête, cou,
membres
supérieurs et tronc d'un cadavre) disséquée M.
comprimé ni distendu, quelque extrême que fût la position donnée au
membre
supérieur. Ces résultats sont d'ailleurs, en parf
élonga- tion déterminée elle-même par une attitude forcée des deux
membres
su- périeurs, chez un homme ayant vraisemblable
s et syphilitiques, hôpital Saint-Louis, pour une « paralysie » des
membres
inférieurs. La mère bien portante, âgée de 30 a
ient normales, que la santé en un mot laissait peu à désirer, les 4
membres
semblaient frappés de paralysie, au moins les m
ésirer, les 4 membres semblaient frappés de paralysie, au moins les
membres
inférieurs. De même, l'enfant ne pouvait se tenir
bras s'améliorèrent et devin- rent presque normaux, surtout pour le
membre
supérieur gauclie, le bras droit devenant raide
24 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Vers la môme époque, les
membres
inférieurs firent eux aussi des progrès : ail s
apparut une raideur qui devint de plus en plus marquée, surtout au
membre
inférieur gauche. La mère a souvent noté que, s
t restés à peu près station- naires. Actuellement (nov. 1893) les
membres
supérieurs, qui sont peut-être un peu raides (s
ides (surtout le droit), possèdent tous leurs mouvements. Quant aux
membres
inférieurs, si on les considère pendant que l'enf
-jatte ; il peut encore pro- gresser sur les genoux en s'aidant des
membres
supérieurs (Pl. I et II). Dans toutes ces posit
ni d'écorchures sur le tégument cutané. Les ongles du pied gauche,
membre
le plus atteint, sont mal nourris, striés trans
et immobilisés dans cette position ? datait-elle de l'époque où les
membres
inférieurs étaient flasques et où la pointe du
, le 14 décembre 1893, fit la section du tendon d'Achille droit. Le
membre
in- férieur fut placé dans un appareil plâtré d
pidation spinale a presque complètement dis- paru ; toutefois les 2
membres
inférieurs sont toujours raides. Mais Louis X...
. Des massages légers, quotidiens, dans le -sens de la longueur des
membres
, suivis de l'exécution répétée des mouvements'
nt d'une épaule sur l'autre, les reins faiblissaient constamment; les
membres
supérieurs étaient maladroits, saisissant mal l
ts, saisissant mal les objets que la main laissait vite tomber. Les
membres
inférieurs d'abord mous, « paralysés », jusque ve
rticulier est très impotent; il est plus maigre que le droit. Les
membres
inférieurs sont manifestement raides, on les plie
continus) suivis de massages doux dans le sens de la continuité des
membres
. Ce traitement semble avoir donné de bons résul
, produit constam- ment et sûrement une détente dans la raideur des
membres
inférieurs en parti- culier, qui sont affectés
nfants qui en sont l'objet étaient atteints. L'état paralytique des
membres
et du tronc qui a persisté jusqu'à l'âge 28 NOU
igidité spasmodique allant tou- jours s'accentuant surtout dans les
membres
inférieurs ; l'intégrité de la sensibilité sous
érieures, car la dimi- nution comparative de volume portait sur les
membres
les plus raides, c'est-à-dire sur ceux dont les
ne amélioration notable, une détente certaine dans la rai- deur des
membres
. Les parents des enfants sont à ce sujet très aff
certain degré de faiblesse vésicale. Il éprouvait en outre dans les
membres
inférieurs, des douleurs que l'on avait attribu
le 23 août, il n'y avait pas une région de la tête, du tronc ou des
membres
qui n'ait été en- vahie. Complètement sèche au
te à un suintement considérable dans les territoires de flexion des
membres
. A certains endroits le derme était épaissi, oedé
poils sur le pubis, non plus qu'aux aisselles ni sur la ligure. Les
membres
inférieurs sont enveloppés par une épaisse couche
nce fut assez mala- dive. A la suite de violentes douleurs dans les
membres
, des abcès sont survenus. On en voit encore les
is, le poignet mince, la main petite et les doigts fins. Corps et
membres
sont franchement féminins. Angelo marche l'échiné
ant les genoux comme une femme. Cependant il ne souffre plus de son
membre
opéré. Dans la description précédente, on retro
éminines. Epaules et poitrine étroites, bassin anormalement élargi,
membres
s'effi- lant de la racine à l'extrémité, répart
mme d'un beau modèle. Les courbes des cuis- ses, des hanches et des
membres
sont harmonieusement fondues. La taille est bie
e celles de l'enfant. Les hanches sont fortes, mais sans excès, les
membres
enveloppés de graisse. (1) Personnage ithyphall
que les souffrances dont'elle se plaint ont pour siège principal le
membre
inférieur gauche. Ce sont des douleurs lancinan
uche. Ce sont des douleurs lancinantes qui, partant de la racine du
membre
, ou plutôt de la fesse, s'irradient jusqu'aux o
NS DE LA QUEUE DE CUEVAL 67 * s . 1 En poursuivant l'examen des
membres
inférieurs de cette femme, nous allons mettre e
le. Au contraire, la malade peut, au comman- dement, soulever son
membre
inférieur gauche au-dessus du plan du lit, à la
nt sous l'influence du contact d'un corps froid, de l'exposition\du
membre
à l'air, d'un pince- Fig. 6. l'1â. Î. , 68
s mollets. l' Vous pouvez constater ensuite que, comparativement au
membre
infé- rieur droit, le membre inférieur gauche e
stater ensuite que, comparativement au membre infé- rieur droit, le
membre
inférieur gauche est atrophié. Celte atrophie est
gaux. ; Au niveau de la partie moyenne de la cuisse, le pourtour du
membre
mesure 44 centimètres à gauche et 48 à droite,
t de cette atrophie circonscrite a cer- tains groupes de muscles du
membre
inférieur gauche, indépendamment du steppage, l
e inférieur gauche, indépendamment du steppage, l'examen de ce même
membre
nous fait constater.une exigé- ration des réfle
Je vous signale encore en passant un léger trem- blement des quatre
membres
, plus prononcé aux membres supérieurs, et qui n
assant un léger trem- blement des quatre membres, plus prononcé aux
membres
supérieurs, et qui n'a pas grande signification
coïncidant avec de l'hy- peresthésie et des douleurs spontanées du
membre
inférieur gauche, de la région sacrée et de la
vinrent quelques douleurs vagues dans la région lombaire et dans le
membre
inférieur gauche, ce qui gênait un peu la march
e, les douleurs vives, qui s'étaient atténuées, revin- rent dans le
membre
inférieur gauche et la marche fut presque impos-
19 ans, entrée dans mon service pour des douleurs violentes dans le
membre
inférieur droit. 1. - A son entrée, les douleur
les contractions du visage de la malade. Le plus petit mouvement du
membre
, le moindre attouchement à la surface de la pea
ndue de 4 centimètres carrés environ. , J'ajoute clu'à la racine du
membre
gauche se produisaient parfois des élancements
NS DE LA QUEUE DE C EVAL 73 douleurs, je ne pus étudier la force du
membre
infé ienr droit, ni l'étal du réflexe rotulien.
de ressemblance : f L'intensité des douleurs siégeant dans un seul
membre
inférieur-et dans la région sacro-coccygienne;
ccygienne; l'anesthésie du périnée, et de certains terri- toires du
membre
inférieur innervés par des branches nerveuses dét
ominer des douleurs ou de l'atrophie musculaire ayant pour siège le
membre
inférieur et la région sacro-lombaire ? Dans
l'atrophie musculaire consécutive, qui s'attaque en masse à tout le
membre
inférieur ou à tout un segment de ce membre.
aque en masse à tout le membre inférieur ou à tout un segment de ce
membre
. Une confusion est tout aussi facile à éviter d
des douleurs siégeant dans la région lombo-sacrée ou dans l'un des
membres
inférieurs. D'autres fois, cette même question
0 mois ; dans l'intervalle, elle a été atteinte d'une monoplégie du
membre
inférieur (1) Id., p. 127. 76 NOUVELLE ICONOG
ie occu- 78 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE pant l'un des
membres
inférieurs et la région sacro-lombaire, nous n'en
la fois l'axe spinal et l'origine d'une partie des nerfs destinés au
membre
inférieur. Il faut, en un mot, qu'elle siège à
ent aux différents nerfs qui la constituent, dans l'innervation des
membres
inférieurs et des orga- nes pelviens. ,' ' .
ar les derniers/nerfs rachidiens, lombaires et sacrés, destinés aux
membres
inférieurs ; ces nerfs naissent du renflement l
DE LA SALI'L1'HII : RE FlG. 10. Territoires des nerfs cutanés du
membre
inférieur, vus sur la face antérieure. 7, ram
8, plantaire interne. Fig. 11. Territoires des nerfs cutanés du
membre
inférieur, vus sur la face postérieure (d'ap,
s la région du sacrum ; presque toujours elles s'irradient dans les
membres
inférieurs ou seulement dans l'un d'eux. Quel
est extrêmement rare que l'anesthésie occupe toute l'é- tendue des
membres
inférieurs. Elle est assez souvent symétrique ou
par- tie de notre sujet. Habituellement l'anesthésie envahit les
membres
inférieurs, et alors elle est le plus souvent l
omplète, souvent tran- sitoire, de certains groupes de muscles, aux
membres
inférieurs. Je trai- terai séparément des troub
alades soient dans l'im- possibilité complète de se servir de leurs
membres
inférieurs, sauf dans les cas d'origine traumat
rvent l'intégrité fonctionnelle d'une partie des muscles de leurs .
membres
inférieurs, de ceux qui sont innervés par le nerf
la faradisation périphérique, de la galvanisation du rachis et des
membres
inférieurs, de la franklinisation, a quelquefois
ouleurs ; diminution de l'anesthésie et de la paralysie motrice aux
membres
inférieurs. Contre la paralysie de la vessie et
tions mercurielles fut suivie d'une amélioration de la motilité aux
membres
inférieurs, améliora lion de très courte durée.
t que des phéno- mènes de paralysie sensitivo-motrice, siégeant aux
membres
inférieurs, sont ou ne sont pas associés aux tr
résence d'un malade affecté d'une paralysie sensitivo-mo- trice aux
membres
inférieurs, paralysie à disposition approximative
involontaires. L'anesthésie cutanée dépasse, en haut, la racine des
membres
inférieurs; elle envahit les organes génitaux ext
rs contusives ou térébrantes au siège, avec irradia- tions dans les
membres
inférieurs. Je dis qu'en présence d'un tel ense
re éventualité, d'une interprétation très facile, est celle où, aux
membres
inférieurs, la paralysie sensitivo-motrice est co
tivo-motrice est complète : l'anesthésie occupe toute l'étendue des
membres
inférieurs, et elle re- monte jusqu'au pubis en
lité est celle où la paralysie sensitivo-motrice est incomplète aux
membres
inférieurs. Je suppose que l'analyse des troubl
associent également une paralysie sens- tivo-motrice incomplète des
membres
inférieurs; seulement, à l'inverse de ce qui av
ion de la 5e vertèbre lombaire, la paralysie sensitivo-motrice, aux
membres
inférieurs, était limitée la zone d'innervation
plexus sacré). d) Ces mêmes symptômes, avec cette différence qu'aux
membres
infé- rieurs la paralysie sensitivo-motrice est
xus sacre') . e) Ces mêmes symptômes, avec cette différence, qu'aux
membres
infé- SUR LES AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL
Enfin, une paralysie sensitivo-motrice complète de la totalité des
membres
inférieurs, l'anesthésie remontant jusqu'à la par
nt par les symptômes de notre catégorie g) : Paralysie totale des
membres
inférieurs, avec suppression des réflexes, atro
dégénérescence. La sensibilité est abolie dans toute l'étendue des
membres
inférieurs et l'anesthésie re- monte jusqu'au-d
en propre aux affections de la queue de cheval (catégorie e) : Aux
membres
inférieurs, la paralysie motrice se limite aux mu
complications graves du côté de la vessie. De même, l'impotence des
membres
inférieurs n'étant pas complète, les malades ne s
u de la 5e lombaire, la paralysie sensitivo-motrice présentera, aux
membres
inférieurs, une disposition inverse que dans les
la diarrhée d'origine hystérique, des hémoptysies, des ecchymoses des
membres
inférieurs avec oedème in situ, et enfin une tu
refermer et à guérir ». La nuit suivante, nouveau prodige. « Ses
membres
paralytiques qui depuis tant d'années représent
es membres paralytiques qui depuis tant d'années représentaient les
membres
d'un corps mort par leur froid glaçant, leurs m
;.elle essaye si elle pourra dès ce pre- mier jour se servir de ces
membres
nouvellement rappelés à la vie, mais dont la ma
is leur rôle est changé ; ils résistent il la force qui entraîne le
membre
. Ils sont maintenant résis- tance, et la pesant
3° l'extension est très rapide et dépasse la vi- tesse imprimée au
membre
par la seule influence de la pesanteur. Une nouve
elle cède plus ou moins rapidement il la pesanteur qui entraîne le
membre
et ne fait plus office que de modérateur. Dans le
uscu- , laire fait juste équilibre il la pesanteur, et maintient le
membre
immobile dans une position donnée. Cette dern
rai contraction frénatrice celle qui simplement retarde la chute du
membre
entraîné par la pesanteur. C'est la contraction d
re ou sur le côté, qu'il s'accroupisse, qu'il abaisse lentement les
membres
après les avoir élevés, c'est la contraction fr
soit dans un état de contraction différent. Dans le premier'cas, le
membre
est immobile, le biceps est en contraction stat
ion dy- namique avec travail positif. " Dans le troisième cas, le
membre
s'étend, le biceps est en contraction dyna- miq
blables à -celles de la contraction dynamique,' et que l'image d'un
membre
qui s'étend rie'. différait guère de celle d'un
l'image d'un membre qui s'étend rie'. différait guère de celle d'un
membre
qui se fléchit. Ceci est certainement vrai d'une
solé, sou ligné par une ombre plus forte que le relief du biceps du
membre
qui s'étend. La saillie 'générale : du' 111usle
nt augmente de rapidité, l'effort du muscle qui retarde la chute du
membre
est d'autant moindre qu'il la retarde moins, c'
nt moindre qu'il la retarde moins, c'est-à-dire que le mouvement du
membre
se rapproche davantage de celui que lui imprime
ntraction dynamique. Nous pouvons donc conclure que les images d'un
membre
qui s'étend, différe- ront d'autant plus de cel
n membre qui s'étend, différe- ront d'autant plus de celles du même
membre
qui se fléchit que la rapidité du mouvement ser
ans les mouvements très rapides, l'opposition est complète entre le
membre
qui se fléchit et le membre qui s'é- tend. Les
des, l'opposition est complète entre le membre qui se fléchit et le
membre
qui s'é- tend. Les photographies (Pl. XVI, fig.
er, ont une grande importance au point de vue de la morphologie des
membres
en mouvement. Il en résulte qu'il n'est point tou
nt. Il en résulte qu'il n'est point toujours vrai que la forme d'un
membre
dilfère suivant le sens du mouvement. Cela n'est
ns déterminées. Il peut donc arriver que, sur l'image immobile d'un
membre
qui se meut, il soit complètement impossible, d
e que, dans les mêmes circonstances, l'artiste ne saurait donner au
membre
qui se fléchit d'autres formes qu'à celui qui s'é
riceps brachial. L'image obtenue par la photographie instantanée du
membre
au milieu de son mouvement de llexion, ne diffè
'intensité seulement de la contraction qui parait plus forte sur le
membre
qui se fléchit. La raison VIII o . 9 130 NOUV
u modéré, en tous cas, moins rapide que celui qui serait imprimé au
membre
par la seule action de la pesanteur. Si au lieu
Pl. XVI, fig. 1 et 2), ou observerait les mêmes phénomè- nes, et le
membre
qui se fléchit ressemblerait considérablement au
nes, et le membre qui se fléchit ressemblerait considérablement au
membre
qui s'étend..Seulement la contraction au"lieu d
uer plus haut. C'est ainsi que dans les exercices avec haltères, le
membre
qui soulève l'hal- tère ressemble absolument à
semblables au point de vue morphologique. Dans le pas sur place, le
membre
qui se lève a les mêmes apparences que celui qu
'exercice qui consiste à s'accroupir et à se relever, le modelé des
membres
inférieurs est le même dans la descente et dans l
se détruire, s'ajoutent l'une à l'autre puisqu'elles entraînent le
membre
dans le même sens. La ré- sultante au lieu d'êt
chronophotographiques (PI. XVI, Hg. 1). Si l'on compare l'image du
membre
qui se fléchit il l'image du membre soutenu et ma
1). Si l'on compare l'image du membre qui se fléchit il l'image du
membre
soutenu et maintenu immobile dans la même posit
anée des muscles antagonistes. Nous prions le modèle de laisser son
membre
inerte pendant que nous soule- vons son avant-b
que le triceps est légèrement distendu. Mais si nous abandonnons le
membre
tout d'un coup en priant le modèle de conserver
même temps que le biceps. Si maintenant, nous comparons l'image du
membre
qui se fléchit il celle du membre qui s'étend,
tenant, nous comparons l'image du membre qui se fléchit il celle du
membre
qui s'étend, nous constatons que le triceps est m
e d'intensité, la contraction du triceps augmente également. Sur un
membre
qui soulève en se fléchissant un poids très lou
s se contracter fort énergiquement à tour de rôle pour entraîner le
membre
alternativement chacun de son côté, et en même
ons que chacun des muscles cesse son action subitement avant que le
membre
ait achevé son mouvement qui se continue en vertu
tinue en vertu de la seule inertie des parties. Ainsi, prenons le
membre
au moment où il est étendu; le biceps se contract
ort énergiquement et sa contraction persiste encore au moment où le
membre
passe à l'angle droit, mais arrivé au point extrê
es deux sont prises sur le mem- bre en mouvement, sur l'une (5), le
membre
se meut lentement, sur l'au- tre (3), il se meu
hé (ce qui n'a pas lieu dans le mouvement lent). Mais, avant que le
membre
arrive ;i l'extension, le triceps est.déjà relâch
ier tiers est donc antagoniste de l'autre portion du muscle. Que le
membre
s'élève ou s'abaisse, la main chargée 'd'un poids
s pendant que l'autre s'élève et saisi juste au moment où' les deux
membres
sont au même niveau,' il est impossible de dire
t impossible de dire, d'après le seul examen morphologique des deux
membres
, lequel descend et lequel monte.' . Si le mem
ogique des deux membres, lequel descend et lequel monte.' . Si le
membre
, dans ce mouvement, au lieu de porter un poids, e
orte, cela va sans dire, dans l'abaissement que dans l'élévation du
membre
, car dans ce dernier cas, le muscle ,ne fait, que
us voyons' une opposition complète dans les formes.' suivant que le
membre
monte ou descend. S'il monte, la contraction est
! ' .' Dans ce cas. il nous, sera donc très facile sur. l'imagé du
membre
saisi au milieu de son mouvement de dire dans q
ire dans quel sens s'exécute ce mouvement. De 'même sur l'image du'
membre
arrivé'à son' point extrême d'élévation, nous s
que, dans le mouvement rapide, elle n'existe plus bien avant que le
membre
ait atteint la fin de sa course. C'est encore
la un exemple de cette sorte de contraction balistique qui lance le
membre
dans une direction et cesse bien avant que le mem
e qui lance le membre dans une direction et cesse bien avant que le
membre
ait achevé son mouvement. Nous venons de cons
sur le bras qui monte, un relâchement du deltoïde bien avant que ce
membre
ait atteint la verticale, de même on peut const
bre ait atteint la verticale, de même on peut constater, lorsque le
membre
est en bas, près de la fin de r sa course, un r
ambe en sens inverse, etc., etc... Dans tous les cas, la forme du
membre
en action ne changera guère quel que soit le se
se produit du côté même oÙ s'effectue le mouvement. Exemple : si le
membre
supérieur étendu horizontalement en dehors est
toïde) pour le mouvement en ce sens. Les mouvements de rotation des
membres
sur leur axe obéissent aux mê- mes lois. La rot
onistes sont manifestement re- lâchés. ' Dans ce cas, la forme du
membre
est telle qu'a la seule inspection on peut dédu
lle qu'a la seule inspection on peut déduire le sens dans lequel le
membre
se meut. NÉVRALGIE DE LA VIII0 RACINE POSTÉRIEU
êchaient tout sommeil. D'autre part le malade nous délimita sur son
membre
malade une zone d'anesthésie tac- tile occupant
e de l'olécràne ; ces deux bandes ne se rejoignant pas en dedans du
membre
et laissant libre tout de son long une surface
intra-durale de sa par- Fio. z Cicatrices et troubles trophiques du
membre
avant la résection des racines postérieures.
i, trois bouquets flottants de filets nerveux, Fin. 20. Position du
membre
déter- minée par l'électrisation de la 8- ra-
ésence d'une zone d'hypoesthésie tactile occupantla face interne du
membre
et débordant même en dehors les limites du terr
poignet ne provoquait plus d'extension de la main. Les réflexes des
membres
inférieurs étaient nor- maux. La miction exigea
ujours parfait; les petites ulcérations tro- phiques, notées sur le
membre
malade avant l'opération se cicatrisent; l'oedè
s atrophies musculaires il a repris, à très peu près, l'aspect d'un
membre
normal (fig. 2ü). Le 16, le pansement est chang
ur à l'hôpital' jusqu'au '11 dé- cembre. , , . , FiG. 26. Etat du
membre
le surlendemain de l'opération : l'oedème et les
aux opérations qui avaient précédé la notre; toutefois, de plus, le
membre
est resté très susceptible au froid, et, lorsqu
r qu'une erreur analogue a du être, au moins quelques fois faite au
membre
supérieur dans les mêmes conditions, et peut êt
rieur dans les mêmes conditions, et peut être même d'autres fois au
membre
inférieur où la névralgie radiculaire des 2a et
qui disparut en vingt- quatre heures, de la racine à l'extrémité du
membre
. Nouvelles preuves, après tant d'autres, que la
résultats de notre examen. z Tout le syndrome morbide se limite aux
membres
inférieurs et au bas- sin. Veuillez remarquer t
et au bas- sin. Veuillez remarquer tout d'abord que,1, du côté des
membres
inférieurs, tous les mouvements sonl normaux et
, les yeux fermés, sans osciller. Seuls les réflexes tendineux, aux
membres
inférieurs, ^sont altérés. Très diminué à droit
ment. Eh bien ! la sensibilité est intacte dans toute l'étendue des
membres
inférieurs, sauf clans le territoire dessiné su
aves objections. Vous n'avez pas oublié que, chez notre malade, les
membres
inférieurs ont conservé leur motilité et leur t
n individu est frappé de paralysie motrice avec engourdissement des
membres
inférieurs, avec rétention d'urine. La paralysie
la suile d'une chute sur le siège, avait eu une paralysie des deux
membres
inférieurs. Au bout de quinze jours ce malade p
de ce côté; et, suivant les autres, à la prédominance d'action , du
membre
supérieur droit. 1- .- 2° Conformation postérie
ma de la face, du cou et des extrémités supérieures. Anesthésie des
membres
supérieurs et du dos par zones : de toutes les
réparti lion de l'anesthésie a été le plus souvent régio- nal (par
membres
ou par parties de membre), mais parfois aussi cér
sie a été le plus souvent régio- nal (par membres ou par parties de
membre
), mais parfois aussi cérébral (cas 1 et IItet p
sur le bras gauche jusqu'au niveau du pouce, en se limitant sur ce
membre
à la face dorsale du premier espace intermétacarp
encore sur la cuisse, surtout au niveau de la moitié externe, et au
membre
supérieur où elle est distri - buée d'une façon
de. UN NOUVEAU TYPE D'HÉMIPLÉGIE ALTERNE v IIYI'OGLOSSE gauche ET
membres
droits) z PAR Madame Anna GOUKOVSKY, d'Odessa
: 1° le type 1411llard-Gul)ler intéressant le facial d'un côté, les
membres
de l'au- tre : 2° le type connu depuis Charcot
ber, caractérisé par la paralysie de la 111" paire d'un côté et des
membres
de l'autre. On pourrait ajouter la paralysie al
t connue au,jourcrllui, ac- compagne l'hémiplégie de la face et des
membres
du même côté, comme l'indique le trajet dn fais
s homonyme. On observe en effet avec la paralysie de la face et des
membres
d'un côté, la déviation de la langue du même côté
On pouvait constater en effet : ' 1° Une hémiplégie complète des
membres
supérieur et inférieur droits, sans paralysie f
ister qu'au delà du point où le facial est dissocié du faisceau des
membres
. La contracture des membres, qui était très pro
le facial est dissocié du faisceau des membres. La contracture des
membres
, qui était très prononcée el relalivement préco
rfaitement limitée, pouvait commander aux troubles fonctionnels des
membres
droits et de l'hypoglosse gauche. L'ab- sence d
arrassées. Cependant ses facultés intellectuelles et l'usage de ses
membres
étaient dans leur état normal. Le leur décembre
11 I UN NOUVEAU TYPE D'HEMIPLÉGIE ALTERNE. (Hypoglosse gauche et
membres
droits.) (La dlSl ? I ? ioll dl" /111'/111>/
droite = 3. Le 21, la gauche = et la droite = 1 (1). Motilité des
membres
. Du côté gauche, le bras est parfaitement normal,
é tous ses mouvements. Du côté droit il y a hémiplégie complète des
membres
supérieurs et inférieurs, avec contracture en f
loureuses. Le malade éprouve aussi de douleurs, spontanées dans les
membres
paralysés. Sauf cola les sensibilités générale
le et spéciale (tact, température), sont normales. Les réflexes des
membres
sont très exagérés de deux côtés. A droite on a d
la moitié gaucho de la langue. Notons la contrac- ture précoce des
membres
paralysés el la dégénérescence descendante du f
out, l'un au-devant du thorax et de l'abdomen, l'autre couvrant les
membres
infé- rieurs. Tous les soirs, comme il ne pouva
loogslràalen, son frère, s'adonna également à la peinture et devint
membre
de l'Académie des beaux-arts de Dordrecht (1649).
que, dans les figurations religieuses, les possédés ont souvent les
membres
ligottés. J'ai vu dernièrement dans la cathédra
rveux : paralysies, douleurs diverses, troubles des sphincters. Les
membres
inférieurs étaient oedéma- tiés à un tel degré
du sillon postérieur. Nous avons noté que les troncs nerveux des
membres
inférieurs en particulier subissaient une augme
même torse cylindrique, même bassin, même enveloppement adipeux des
membres
, même voix, mêmes instincts. C'est un enfant :
res comme aussi son état mental. Torse arrondi, ventre un peu gros,
membres
potelés enveloppés de graisse, peau fine et ros
MME L BATTAILLE FT C" Éditeurs INFANTILISME CHEZ LA FEMME 221
Membres
potelés, effilés de la racine aux extrémités. U
exe féminin. Le bassin reste étroit, les épaules s'élargissent, les
membres
fortement musclés offrent des reliefs heurtés.
fossettes qu'on observe d'ordinaire seulement chez la femme. Les
membres
inférieurs ainsi que les supérieurs sont d'un bea
du corps. On distinguera ainsi les opérations sur la tête, sur les
membres
, sur les extrémités, etc. Rarement, il s'agit d
chait comme s'il avait bu ». Trébuchait-il à cause d'une parésie du
membre
inférieur droit ? S'agissait-il simplement de t
ctobre dernier, l'ophtalmoplégie externe de cet enfant. Du côté des
membres
, nous notions deux phénomènes distincts : une t
es mouvements d'élévation des globes oculaires et un tremblement du
membre
supérieur droit, provoqué par les mouvements volo
cité un cas d'ophtalmoplégie externe, associée à une paralysie des
membres
inférieurs et de certains nerfs crâniens (facial,
- quelle participaient et les nerfs de la base du crâne et ceux des
membres
. Un tel exemple est assurément très instructif
le, le 22 mars 1894, et, quelques jours plus tard, de paralysie des
membres
avec inconti- nence des matières et de l'urine.
urs les patients la comparent ». Lorsque la contracture affecte les
membres
supérieurs, les doigts se ser- rent les uns con
oquer, dit Trousseau, il suffit « d'exercer une compression sur les
membres
affec- tés, soit sur le trajet des principaux c
onc, chez certains malades atteints de tétanie, la compression d'un
membre
: peau, muscles, filets nerveux, veines ou artère
déterminer l'apparition de cette dernière par l'application sur un
membre
de la bande d'Esmarck. De même, il peut exister
membre de la bande d'Esmarck. De même, il peut exister le long des
membres
, à l'attache des tendons ou en n'importe quel p
et se demandait si elle allait ne plus pou- voir, se servir do ses
membres
supérieurs. Les mains étaient raides, mais non
du pouce. *" La malade ressentait des douleurs excessives dans les
membres
surtout Nouv. ICONOG. ! JE LA SALP £ TRI1- RE
éné- ralisée au moment des crises, très exaltée quand on touche les
membres
con- tractures. Chaleur. Diminution considéra
agitation continue; puis les contractures apparaissent. Tantôt les
membres
supérieurs sont en demi-flexion, tantôt en exte
chis dans la paume de la main, avec ou sans pronation du pouce. Les
membres
inférieurs sont toujours en extension avec addu
est hyperesthésie et la douleur empêche la malade de respirer. Les
membres
supérieurs contracturés sont douloureux. Les cr
ux des vieux ulcères variqueux. On constate d'ailleurs sur les deux
membres
inférieurs des dilatations veineuses, peu prononc
bois qu'un vieux bas ne dissimule guère, il traîne derrière lui son
membre
déformé et son pied en griffe. Cependant il a c
plégie est flasque et complète, le moindre mouvement volontaire des
membres
inférieurs est impossible, mais il existe des sou
rieure du corps. La sensibilité à la piqûre est abolie dans tout le
membre
inférieur droit et cette abolition remonte sur
e, en haut par une ligne horizontale passant par l'épi- gastre ; au
membre
inférieur gauche l'anesthésie à la piqûre ne remo
trochantériennes : : - ces ulcérations sont indolentes, la peau des
membres
inférieurs s'ulcère sous l'influence des moindr
ulcère sous l'influence des moindres traumatismes. La tête et les
membres
supérieurs sont indemnes. L'état général est ma
nte entre 40° et 41°. La mort survient le 28 février. Autopsie. Les
membres
supérieurs présentent une rigidité cadavéri- qu
supérieurs présentent une rigidité cadavéri- que très marquée; les
membres
, inférieurs au contraire sont flasques, un peu
u des mollets, sans être là plus épais qu'ailleurs. Les muscles des
membres
inférieurs ne présentent aucune atrophie apprécia
colorés, mais n'offrent pas la rigidité cadavérique des muscles des
membres
supérieurs ; seuls les muscles de la région anté-
é du renflement lombaire il ne s'est pas produit de contracture des
membres
inférieurs paralysés, contrai- rement à ce qui
d; elles laissaient après elles un endolorissement vague de tout le
membre
. Vers la fin de cette période la malade s'est a
st ainsi depuis 17 ans, c'est-à-dire dès avant sa syphilis. , Les
membres
inférieurs et l'abdomen sont le siège d'un oedème
n semble gênée : néan- moins le jeu du diaphragme est normal. Les
membres
inférieurs sont absolument paralysés; il est impo
bre 1892, emportée par des complications septiques. Autopsie. Les
membres
inférieurs sont fiasques; les membres supé- rie
ions septiques. Autopsie. Les membres inférieurs sont fiasques; les
membres
supé- rieurs sont en état de rigidité cadavériq
halalgies, paralysie faciale transitoire, impo- tence passagère des
membres
inférieurs ; puis, peu de temps avant la para-
ez un homme de 44 ans avec déformation. Début il y a 18 mois par le
membre
supérieur gauche. Prédominance sur les muscles
glace promenée sur la peau. La perte du sens musculaire aux quatre
membres
est complète. Les autres sens ne sont pas respe
d'aborder l'étude des troubles du système moteur de la face et des
membres
disons qu'il y a un tremblement variable des doig
sibilité absolue de siffler. '' ' Au contraire les déformations des
membres
sont frappantes. .âu &- MYOPATHIE ATROPHI
Chc7 un hystérique. i MYOPATHIE ATROPHIQUE PROGRESSIVE - 357
Membre
supérieur. Le membre supérieur gauche abaissé en
. i MYOPATHIE ATROPHIQUE PROGRESSIVE - 357 Membre supérieur. Le
membre
supérieur gauche abaissé en masse semble n'être
, il n'y a pas de déviation marquée de la colonne vertébrale. - ,
Membres
inférieurs. -A gauche les masses musculaires sont
les muscles sont manifestement atrophiés dans tous les segments du
membre
mais surtout dans la jambe : le pied est dans une
47 1/2 et la droite 34, 40 1/2 et lieu centimètres. En mesurant les
membres
supérieurs du haut en bas nous trouvons au con-
aupières, orbiculaire des lèvres, etc., louchant plus fortement les
membres
; aux membres supérieurs avec prédominance cons
culaire des lèvres, etc., louchant plus fortement les membres ; aux
membres
supérieurs avec prédominance considérable du cô
us- cles fléchisseurs de la main et des doigts sont respectés ; aux
membres
inférieurs la prédominance est au contraire trè
ite elle était toujours liée aux paralysies ou aux contractures des
membres
inférieurs. Bien qu'il ne soit pas facile de dé
nché en avant et la tête in- clinée dans le même sens. De plus, les
membres
supérieurs sont fléchis dans leurs diverses joi
ciale, reposent sur la ceinture. La flexion prédomine également aux
membres
inférieurs et les genoux sont généralement plus
. L'en- vahissement a suivi la même marche qu'à droite : d'abord le
membre
su- périeur, puis la jambe qui, même actuelleme
ives aussi bien dans les jointures que dans les divers segments des
membres
, mais uniquement' localisées au côté droit du c
lons, faisant une dizaine de pas environ. Tremblement. Les quatre
membres
et la tête tremblent; le tronc n'est agité que
vements communiqués; le côté gauche tremble moins que le droit, les
membres
supérieurs moins que les inférieurs. Les oscill
pas très rapides et disparaissent pendant les mouvements. Tout le
membre
oscille mais d'autant plus qu'on se rapproche de
e bord cubital, «filant de la laine ». Les segments du corps et des
membres
sont soudés dans la demi-flexion. Le tremblemen
o-tarsienne, une aulre ligne représente approximativement l'axe des
membres
inférieurs. Du centre des épaules au centre d'a
rière ; l'axe dû tronc se porte au contraire en avant, et celui des
membres
inférieurs revient en arrière (Fig. 69). Il en
nte. Nulle part n' apparaît le relâchement musculaire. Partout, aux
membres
, comme au torse et au cou, dans les groupes syner
logique. ' ÉTUDE MORPHOLOGIQUE DE LA MALADIE DE PARKINSON 371 Les
membres
inférieurs ne sont pas moins intéressants à étudi
grande crise d'épilepsie avec tremblements et frissons de tous les
membres
. Ce que voyant, je fis soulever le malade par l
alformations du bassin ; 50 Le raccourcissement et l'abaissement du
membre
inférieur droit. Pour ce qui est de l'abaisseme
lombaire. Enfin nous n'avons rien signalé du côté du bassin et des
membres
inférieurs. M. le Dr Clozier pense que la série
s ne peuvent rester en place; elles ont des inquiétudes dans tous les
membres
, et il n'est pas rare de les voir tourner contre
fois un petit accès épileptoïde (fig. 2). Elle perd connaissance, ses
membres
se raidissent dans l'extension, un léger tremblem
, elle reprend sa course désordonnée. La contracture passagère d'un
membre
vient souvent imprimer à toute cette scène une
qui vient subitement pour disparaître de même, immobilisant tantôt un
membre
, tantôt un autre, est comme le sceau de la grande
lière attitude, continue sa course. Il n'est pasrare de voir les deux
membres
supérieurs contractures de la même façon, 1 un en
ter; elle saute sur un pied. La contracture est souvent croisée, le
membre
supérieur gauche et le membre inférieur droit se
La contracture est souvent croisée, le membre supérieur gauche et le
membre
inférieur droit se contracturent dans l'extension
même sens, de gauche à droite. Ils montent quelquefois jusque sur ses
membres
, et lui occasionnent de grandes frayeurs. Les r
er 1878. — Deux heures après midi, Gen... est au lit, contracturéedes
membres
, elle sent que ses attaques vont la prendre. Depu
euses, des secousses, ou un tremblement analogue à la trépidation. Le
membre
est dans cet état particulier qui permet l'exagér
du corps — et alors c'est de préférence le côté anesthésié, — un seul
membre
, la face, le ventre, etc., ou bien elle est génér
lle ne mange plus, quelquefois elle vomit. Elle éprouve dans tous les
membres
des inquiétudes, des engourdis-sements, des doule
plus ordinai-rement partielle et débute brusquement. Elle passe d'un
membre
dans l'autre, cesse pour revenir, et se généralis
nir, et se généralise peu à peu au point d'envahir parfois les quatre
membres
quelques instants avant l'at-taque. L'attitude
s quatre membres quelques instants avant l'at-taque. L'attitude des
membres
contractures est des plus variables ; tou-tefois,
ar le bras gauche, envahit ensuite la jambe droite, puis les autres
membres
. Le bras gauche et les deux jambes sont contractu
lle se renferme dans un mutisme obstiné. — Elle est libre de tous ses
membres
et va se placer dans l'embrasure d'une fenêtre po
tants, elle y est immobilisée par la contracture qui envahit tous ses
membres
(fig. 7). Elle conserve toute sa connaissance, ma
mettent facilement de reconnaître (fig. 8), on essaye de déplacer ses
membres
, on éprouve une résistance presque invincible due
e 4 juillet, Gen... demeure contracturée toute la journée. Les quatre
membres
sont pris. Elle est confinée au lit. De temps à a
nt plus particulièrement un côté du corps, ou bien se locali-sent aux
membres
supérieurs. Ces secousses, d'abord éloignées, se
'en faut pour l'écrire, peut être ainsi analysé. — Tout d'un coup les
membres
supérieurs s'étendent, s'élèvent un peu et se rap
ut degré; de plus, ils sont étendus, ils produisent un déplacement du
membre
dans sa totalité; le plus souvent, ce sont des mo
ents de la phase clonique, qui sont précipités et provoquent dans les
membres
de courtes oscil-lations. Cette partie de la ph
épond aux grands mouvements de flexion, d'extension ou de rotation du
membre
, pendant lesquels les muscles sur lesquels se tro
de toute la ligne qui correspond à une légère trépidation de tout le
membre
., et qui semble être la marque d'une tétanisation
es inspirations rapides indiquées sur le tracé pneumographique. Les
membres
exécutent dès le début de la phase tonique quelqu
de se fléchit ensuite, ramenant la main au niveau de la figure, et le
membre
tout en-tier reprend sa position première, étendu
mouvement dont il vient d'être question. Le tronc, pendant que les
membres
s'agitent, ne demeure pas immobile, il se tourne
t ou s'étend. ;,. 17. Phase tonique. Mouvement de circumduction des
membres
supérieurs. (Grands-mouvements toniques.) Marc.
r lequel les Fig. 18. Phase tonique. Grands mouvements toniques des
membres
inférieurs. mains passent successivement devant
e milieu du corps, se touchent par leur dos et même se croi-sent. Les
membres
inférieurs sont également dans l'extension, les g
coup. Fig, 23. Phase tonique. Attitude tétanique. Le tronc et les
membres
, diversement fléchis ou étendus, peu-vent donner
La phase clonique commence par de rapides et brèves oscilla-tions du
membre
tétanisé. Elle est marquée sur nos tracés par une
côté gauche. très rapprochées les unes des autres et qui agitent le
membre
, alors qu'il n'existe plus trace de tétanisation.
ivement, la tête est animée d'oscillations rapides aussi bien que les
membres
. Mais le plus souvent ils prédominent d'un côté d
grandes secousses dont nous avons parlé, qui prédominent sou-vent aux
membres
supérieurs ou d'un seul côté du corps. La tête el
ré de contrac-ture persister clans tout le corps ou seulement dans un
membre
. Cette contracture imprime à la malade, pendant
t. S. Secousses. Les secousses peuvent être partielles, occuper les
membres
ou la face. Fig. 30. Phase de résolution. Secou
us leurs muscles. b) Immobilité tonique (pl. II, p. 41). — Puis les
membres
demeurent étendus et tétanisés : les bras dans l'
ique. — Bientôt surviennent de petits mouvements brefs et rapides des
membres
, les traits sont agités convulsivement. L'amplitu
deviennent de plus en plus éloignées. La secousse est plus forte aux
membres
supérieurs qu'aux inférieurs, et du côté droit qu
ndue. et augmentent graduellement d'amplitude en même temps que les
membres
quittent peu à peu leur position première pour de
ts entre-coupés. Bientôt le relâchement musculaire est complet et les
membres
sont encore animés de grandes secousses qui s'élo
La malade demeure rigide en diverses situa-tions, le plus souvent les
membres
étendus, la tête renversée, le bassin soulevé, et
xtension forcée, le poignet fléchi, et l'avant-bras en pronation. Les
membres
inférieurs sont dans l'adduction et l'extension f
s une attitude semblable à celle qui est figurée (pl. II, p. 41). Les
membres
sont dans l'extension, le tronc dans le décubitus
nc dans le décubitus dorsal; il arrive que l'attitude peut varier, un
membre
s'élevant un peu ou se fléchissant, le tronc se c
de temps à autre agitent la malade, se montrent plus fortes dans les
membres
supé-rieurs. Telle est la période épileptoïde c
mouvements cloniques le tétanisme revient de nouveau immobiliser les
membres
, il en résulte une nouvelle attitude tétanique qu
rme le sommet de la courbe (pl. III, fig. 2). La rigidité de tous les
membres
est telle, qu'on peut déplacer la malade, la mett
ve les parois du ventre chez la plupart de nos malades. De plus les
membres
inférieurs du tétanique, complètement rigides dan
e / : 0. : j ¦ Fig. 49. — Grands mouvements limités à un seul
membre
. vivement, et le dos et la tête frappent avec v
'autres fois, le mouvement est plus local, il est exécuté par un seul
membre
. Le pied droit, par exemple, vient frapper le gen
riode. — Tétanisme généralisé suivi de convulsions cloniques dans les
membres
et dans la face. L'écume coule des lèvres. Suit u
e s'immobilise dans une attitude qui peut varier, le plus souvent les
membres
étendus et le tronc demi-courbé en avant, et alor
ement, en même temps qu'il augmente de rapidité, s'étend et gagne les
membres
. Les bras, par des mouvements alternatifs de flex
oup la. période épileptoïde la surprend au milieu de son sourire. Ses
membres
se tétanisent, la respiration se précipite, les p
iverse-ment. La phase clonique est marquée par quelques secousses des
membres
; suit un stertor assez court pendant lequel l'écu
aissance, elle se plaint de douleurs atroces dans la tête ou dans les
membres
, est prise de vertiges, et voit parfois ses membr
tête ou dans les membres, est prise de vertiges, et voit parfois ses
membres
se contracturer partiellement. Voici quelques e
e, j'ai le gosier sec... » Elle boit. « Ça va mieux. » Elle étend les
membres
, se plaint encore des bêtes. Il est 7 heures 20
lique par la contracture qui existe durant l'attaque. Elle détire ses
membres
, se plaint de souffrir de l'épigastre, à la tête;
déchirants. Gen... à la fin de ses attaques voit souvent ses quatre
membres
contractures dans des situations variables. Le pl
successivement sur les différents segments du corps, de sorte que les
membres
se contournent les uns après les autres; tantôt l
certains muscles, se traduisant par l'impuissance fonctionnelle d'un
membre
, par l'incontinence d'urine..., etc. Enfin les
droite est contracturée dans l'extension, le pied en varus équin.Les
membres
du côté gauche sont libres. Nous la voyons à on
s survient un hoquet violent avec des secousses dans le ventre et les
membres
supérieurs. Elle vomit à deux reprises des matièr
ure, les grands mouvements toniques, et les convulsions cloniques des
membres
et des muscles de la face................... 45
retour de la connaissance et sensation douloureuse très vive dans les
membres
contractures. De temps à autre surviennent quelqu
èdent ainsi qu'il suit : N° I. — lr0 Période. — Tétanisme prolongé;
membres
dans l'extension; — mouvements cloniques;— secous
rsal, les yeux convulsés en haut et à droite, le faciès immobile. Les
membres
conservent les positions variées qu'on leur commu
ve l'immobilité pendant quelques instants. Elle est cataleptique. Les
membres
se laissent déplacer facilement et conservent la
rolongée. Les yeux sont fermés. Le tronc s'incurve en arrière, et les
membres
exécutent les grands mouvements toniques déjà déc
ui devient impassible, les yeux sont tournés en haut et à droite. Les
membres
gardent les positions variées qu'on leur communiq
'une demi-heure sans faire aucun mouvement et sans que la raideur des
membres
cesse une minute. 11 h m. La respiration se pré
utre de petits cris étouffés. Elle n'est point contracturée, mais ses
membres
se raidissent par instants. Insensiblement l'ag
ve la compression et présen-tent les caractères suivants : Tous les
membres
se raidissent, la tête se renverse en arrière, la
ir. —• On voit encore de temps à autre quelques contractions dans les
membres
; puis bientôt l'attaque recommence de la façon qu
tout le temps de celte phase. La physionomie exprime la terreur. Les
membres
sont plus ou moins raides. La malade conserve cet
cs passer devant elle. Ils sont couverts de linceuls et ont de grands
membres
décharnés. c). Tout d'un coup elle semble reven
ait en pension, elle sentit tout à coup une vio-lente douleur dans le
membre
inférieur du côté gauche. Cette douleur ne pouvai
us trou-vons la grand'mère du côté paternel hystérique, paralysée des
membres
inférieurs pendant quinze mois. Le père très nerv
raideur est telle qu'on peut la transporter à la douche sans que les
membres
ni le corps éprouvent la moindre flexion. Parfois
oute quelques manipulations sur tout le corps, et spécialement sur le
membre
contracture. Le 23 septembre, c'est-à-dire deux m
lques applications électriques (courants continus très légers) sur le
membre
contracture. Nous marchons ainsi pendant cinq m
a région précordiale; le regard devenait fixe, puis elle tombait, les
membres
raides. Au bout de trois à quatre minutes, elle s
remières périodes sont ici facilement reconnaissables. La raideur des
membres
du début de l'attaque appartient évidem-ment à la
cuisses et les jambes levées perpen-diculairement. Souvent alors les
membres
inférieurs exécutaient de grands mouvements. De
arrivée, la malade se tordait sur son lit, ramenant sur le bassin les
membres
inférieurs. Cette position durait de huit à dix s
térique de la jambe droite, survenue à la suite d'un trauma-tisme (le
membre
, contrairement à ce que l'on observe d'habitude,
mbulisme. Les crises débutaient invariablement par de la rigidité des
membres
inférieurs. Cette rigidité gagnait rapidement le
des, le mouvement d'arc de cercle se produisait, puis l'agitation des
membres
, et finalement l'attitude passionnelle. La malade
r arc de cercle dont laconcavité répond à la gauche de la malade. Les
membres
sont dans l'extension forcée, l'avant-bras en pro
laquelle la malade est agitée de violents mouve-ments du tronc et des
membres
. Le corps est alternativement projeté en avant et
rise hystérique simple (boule hystérique, cris, grands mouvements des
membres
). Les mois suivants, les mêmes phénomènes se repr
ésie cutanée existe dans tout le côté gauche, mais principalement aux
membres
contractures. On ne peut toucher même légèrement
en se fléchissant et en s'étendant tour à tour. Pendant ce temps, les
membres
à gauche demeurent contractures dans la situation
'une tétanisation musculaire géné-ralisée avec contracture des quatre
membres
. La langue est dans un état de protrusion et de d
l'ovaire droit. D'autres fois la phase clonique prédomine; c'est le
membre
inférieur droit qui en fait presque exclusivement
be et la cuisse contracturées se fléchissent sur le bassin et tout le
membre
retombe en cadence sur le talon. — La figure est
res, bientôt cet état léthargique est interrompu par des secousses du
membre
supérieur et de la moitié de la face. D'autres fo
e la face. D'autres fois elle pousse un cri de terreur, et les quatre
membres
, contractures subite-ment, sont projetés en avant
èvent, et retombent sur l'oreiller et forment un angle droit avec les
membres
inférieurs. Mon intervention alors devient impos-
Dyschromatopsie, Parésie des extrémités. Contractures passagères des
membres
, etc. Mademoiselle X., âgée de quinze ans et de
lations d'abord brèves et comme hachées s'accentuent, s'é-tendent aux
membres
supérieurs et inférieurs et gagnent toutes les ré
ite ou non; elle laissait après elle des contrac-tures partielles des
membres
ou une parésie très marquée. Il n'y a pas eu im
OBSERVATION. Hystérie. Hyperesthésie ovarienne gauche. Parésie des
membres
supé-rieurs et inférieurs. Contracture passagère
commencée : 1° Il existe une raideur semi-tétanique du tronc et des
membres
. La face reste pâle, elle n'est ni tuméfiée, ni v
accadés, le corps est agité de faibles secousses, com-mençant par les
membres
supérieurs, puis inférieurs, et se généralisant d
tre dans la période de contorsions et de grands mou-vements. 2° Les
membres
supérieurs sont pris de mouvements lents : le bra
extension, quelquefois de torsion, sans être désordonnés. Quant aux
membres
inférieurs, on voit la cuisse fléchie sur le bass
isse fléchie sur le bassin et la jambe sur la cuisse, parfois tout le
membre
est étendu; les orteils sont fléchis, ou encore l
trois minutes, et voici qu'apparaissent les grands mouvements. Les
membres
sont agités de mouvements rythmiques, mais rapide
ion. Quel-ques mouvements légers apparaissent sur la face et dans les
membres
. A cette phase tonique succède une phase nettem
s animent les muscles de la face, les mouvements de circumduction des
membres
supérieurs se dessinent. Le corps est parfois agi
ns, des oscillations rapides et étendues d'une partie du tronc et des
membres
inférieurs. 3° Ces mouvements, accompagnés de d
des mouvements rapides et grimaçants de la face, des oscillations des
membres
supérieurs et inférieurs et gagnant tout le corps
s une à deux minutes de calme, le petit malade grimace, contourne ses
membres
, crispe ses doigts, puis il s'agite, jette les ja
pirations, puis cette inspiration s'entend à peine et s'arrête. Les
membres
ont de véritables convulsions toniques : ce sont
aits contractures ; une écume plus abondante baigne les lèvres. Les
membres
sont dans l'extension, le poing est fermé, les pi
issent et font place à des secousses assez accentuées qui agitent les
membres
, la face, la tête et prédominent à gauche. Puis c
des fonctions digestives (gastralgie) et de la motilité (parésie des
membres
inférieurs) préludent; mais le prodrome le plus i
s faible. (Phase tonique.) Mais bientôt le tétanisme disparaît, les
membres
et plus spécialement le côté gauche sont pris de
it quelques grimaces qui semblent adressées à un être imaginaire. Les
membres
sont contractures. Quatrième période. — Cette c
tanique succèdent des mouvements des pau-pières, des trépidations des
membres
et quelques faibles secousses du corps. La respir
ou l'autre épaule; il paroît rarement des mouvemen s convulsifs; les
membres
conservent, comme dans la catalep-sie, la positio
, chute, perte de connaissance, contraction tétanique des muscles des
membres
, de la tête qui se penche en arrière, mouvements
ependant de la divaga-tion dans ses idées) et montre avec anxiété son
membre
inférieur droit ré-tracté, elle ne peut l'étendre
de quelques attaques, il y a de la raideur tétanique du tronc et des
membres
, des grimaces de la face qui devient livide, un p
se montre l'épilepsie; la tête se dévie à droite, la face pâlit, les
membres
se raidissent et s'agitent plus forte-ment du côt
ée, 1. Dunant, loc. cit., obs. III. tandis que du côté gauche les
membres
sont, après quelques-unes des atta-ques, en état
ît une crise convulsive instantanée, commençant par de la raideur des
membres
qui sont contournés et se continuant par d'autres
nvulsive qui dure plusieurs heures et qui laisse après elle, dans les
membres
du côté gauche, de la contracture, suivie le lend
rynx et enfin les convulsions étendues et très fortes du tronc et des
membres
. La respiration est gênée; le cou grossit, la fac
lle est étrangère à tout ce qui l'entoure. Cet état cesse et tous les
membres
sont pris d'un trem-blement général,alors arriven
ce que vous lui dites; mais elle vous ré-pond comme si vous étiez un
membre
de sa famille. Tel jour, elle se croit marquise,
t des bonds qui la jette-raient hors du lit si on ne la retenait; ses
membres
sont agités de convul-sions cloniques ; elle cont
d'autres points hystérogènes. DIX-SEPTIÈME OBSERVATION1. ... Ses
membres
étaient dans la résolution laplus complète. Une m
ro-longées et saccadées que je remarquai être localisées dans tout le
membre
inférieur droit (c'était le côté contracture depu
epsie; mais bientôt le tableau changea; les mouvements de torsion des
membres
supérieur et inférieur droits furent remplacés pa
sont accompagnées d'un cri su-bit; puis survient une contracture des
membres
en flexion, ainsi que du trismus. Écume à la bouc
cline en avant, tandis que la tête est projetée en arrière et que les
membres
font des mouvements in-coordonnés. Pendant ces at
ivant la gravité des accès, de quelques heures à un ou deux jours. Le
membre
inférieur paralysé n'était pas oscillant, mais tr
cataleptique avec abolition de la conscience, dura trois heures. Les
membres
présentaient la flexibilitas cerea et gardaient l
Le spasme s'étend bientôt à tous les muscles soumis à la volonté; les
membres
, le tronc, la tête sont agités de mouvements conv
Les mouvements acquièrent une énergie extraordinaire; le tronc et les
membres
se fléchissent et se redressent alternativement a
l ne se manifeste que des raideurs convulsives et des contorsions des
membres
, qui ne font point changer le malade de place. (C
qui sont particu-lièrement mis en mouvement : ce sont les muscles des
membres
, du tronc, et quelquefois les élévateurs des mâch
ent surtout les muscles qui servent à la flexion ou à l'extension des
membres
. Chez quelques malades la convulsion devient toni
plus extraordinaires, se plaignent de cordes qui leur compriment les
membres
, de bêtes qui leur rongent les os, etc., etc. »
déglutition pénible... » En même temps ou presque en même temps les
membres
commencent à s'agiter convulsivement, le plus sou
vulsivement, le plus souvent, tous à la fois. Quelquefois ce sont les
membres
supérieurs qui commencent les premiers par une so
par une sorte de pan-diculation forte et involontaire, et bientôt les
membres
inférieurs en font au tant. Alors ils s'agitent p
défaut de soutien convenable, soit par le mouvement désordonné de ses
membres
. Ce ne-sont pas seulement les membres qui s'agite
le mouvement désordonné de ses membres. Ce ne-sont pas seulement les
membres
qui s'agitent ainsi, le tronc y participe ordinai
si elles se débattaient contre une étreinte;... d'autres Pois... les
membres
supérieurs et inférieurs se meu-vent dans tous le
s difficiles à décrire, à cause du désordre qu'elles pré-sentent. Les
membres
, un instant raidis (première période), se tordent
non seulement les contractions des muscles du visage, mais celles des
membres
et du tronc, qui s'accompagnent parfois de cris q
ues; puis à la fin coma ou sanglots et pleurs, et enfin brisement des
membres
pendant plusieurs heures. » C'est là une descri
èrement incurvée et la pointe dirigée en haut, sort de la bouche. Les
membres
se raidissent, les bras sont étendus ou fléchis d
ue dehors par les arcades dentaires qui se sont rapprochées. Tous les
membres
sont en résolution. Celte phase de relâchement
soldat de Ch. Bell (fig. 38). Ce signe consiste dans la situation des
membres
inférieurs qui sont en extension complète, et dan
ée net. Puis quelques contractions apparaissent dans la face et les
membres
du côté droit seulement. Le bras s'étend et se me
extension, le pied se place dans la position du pied bot équin. Les
membres
ainsi contractés sont animés de petits mouvements
temps à autre, elle est prise de secousses partielles, soit dans les
membres
, soit dans les muscles de la face. Parfois les se
ître à la jambe, et vice versa; elle envahit même transitoirement les
membres
du côté droit. Des secousses généralisées se prod
soudaineté et une violence extraordinaires. Tout d'un coup les quatre
membres
sont projetés en avant comme sous l'action d'une
ite seulement, le pied est en varus équin. Peu à peu les trois autres
membres
se raidissent et bientôt la contracture est deven
ture est devenue générale. Quand on la découvre, on provoque dans les
membres
contractures quelques secousses de peu d'amplitud
e la maintenir, il se produit une brusque secousse qui agite tous les
membres
, les traits de la face se plissent, la parole est
e la trouve dans fétat suivant : coma complet, résolution de tous les
membres
dans le décubitus dorsal, la tête un peu inclinée
s bras sont soulevés et animés de mouvements cloniques, ainsi que les
membres
inférieurs. La respiration est suspendue; quelq
oluer sans modi-fier en aucune façon la contracture. — L'attitude des
membres
contractures est toujours la même avant comme apr
avant-bras est eu pronation forcée et le poignet dans la flexion. Les
membres
inférieurs sont demi-tléchis et croisés, la jambe
r. La con-tracture cesse, la langue rentre dans la bouche et tous les
membres
tombent en complète résolution. B. — La conti^a
entent le stertor, mais la résolution musculaire ne survient pas, les
membres
demeurent con-tractures en diverses situations, e
ures représentées (Fig. 91, 92,93, 94 et 95) en donnent une idée. Les
membres
contractures dans l'exten-sion s'élèvent perpendi
Contorsion. Attaque démoniaque. (^"acherau visage, pendant que ses
membres
sont diversement iin- mobilisés par la cootract
le, mais la contracture ne disparaît pas; des crampes coutournent ses
membres
et lui arrachent des cris de douleur déchirants;
que je vais décrire. La malade était prise de convulsion de tous les
membres
et des muscles du cou, de la bouche, des yeux, en
mbe suffoquée, les poings serrés, le pouce en dessus; les muscles des
membres
et du tronc sont raidis, tantôt dans un état téta
composent ordinairement la deuxième période (mouvements iTthinés des
membres
, soulève-ments en arc de cercle,...) une malade d
a se relever, puis retombe encore et s'assoupit de nouveau, tend ses
membres
qui deviennent d'une raideur tétanique, grince le
D'une façon générale, immobilité complète de la face, du tronc et des
membres
. La tète est rectiligne, fortement portée en arri
uvements de déglutition. Les muscles du cou sont durs, tendus. Lq?,
membres
supérieurs, très contractures et étendus perpendi
ve et que le ventre, par conséquent, est un peu projeté en.avant. Les
membres
inférieurs sont rapprochés, allongés, les orteils
is six ou sept heures, ha descente de croix s'effectue peu à peu. Les
membres
qui, pendant l'attaque, étaient pâles, presque fr
l'état suivant : La figure est altérée, le regard inquiet, tous les
membres
agités par un tremblement convulsif; la malade, c
ta. Le visage était devenu plus calme, le tremblement convulsif des
membres
avait diminué, les conceptions délirantes s'étaie
calme, l'œil fermé, la pau-pière animée d'un mouvement incessant, tes
membres
souples et retombant doucement et sans effort, qu
hée de la pupille : elle est très contractile, et un peu di'aiée; les
membres
sont raides, mais nous remarquons qu'ils se laiss
ne à voir la pupille; l'œil se rejette en haut immédiatement. » Les
membres
sont dans l'extension forcée, très raides ; il fa
nt des dents, l'écume à la bouche, les grands mouvements toniques des
membres
et un court tétanisiue. Le tout ne dure que quelq
tu quand lu me chantais : Ne parle pas, Bose,... ); A ce moment ses
membres
se contracturent, mais elle ne perd pas connais-s
s, de points névralgiques et même de légers mouvements convulsifs des
membres
. Ces accidents ne se montrent guère qu'un peu ava
semblait avoir dormi. Elle eut ensuite une paraplégie hystérique des
membres
inférieurs. qui lui fit garder le lit pendant d
pas au miheu du désordre et de la variété infinie des convulsions, tm
membre
immobilisé tout d'un coup par ce fait encore inex
vient anesthésique totale. Elle n'est point contracturée, et tous ses
membres
ont la souplesse de l'état normal ou à peu près (
taque hystéro-épileptique; mais la res-semblance s'arrête là, car les
membres
et tout le corps, loin de présenter la tétanisati
chirurgie pratiques, par M. Mathias Duval. tion du muscle, sur les
membres
, persiste après l'excitation, pour peu que celle-
nt. Sur un bras l'excitation des fléchisseurs amène la contracture du
membre
dans la flexion, qui cesse par l'excitation des e
sujet une petite différence entre les muscles de la face et ceux des
membres
. A la face, on provoque très facilement la contra
elle conserve la position qu'on vient de lui donner. Par contre, les
membres
sont le plus souvent dans la résolution la plus a
— L'œil est grand ouvert; anesthésie totale et absolue; aptitude des
membres
et des diverses parties du corps à conserver la s
; anesthésie totale et absolue ; hyperexcitabilité mus-culaire : les
membres
dans la résolution ne conservent plus la situa-ti
rence qui sépare les muscles et les nerfs de la face, des muscles des
membres
, s'est toujours trouvée telle que nous l'avions t
tation mécanique des muscles ou des nerfs amène une contraction ; aux
membres
, l'excitation mécanique des muscles et des nerfs
'état de léthargie provoquée^ avec cette différence toutefois, qu'aux
membres
la contracture remplace la contraction. Dans ce d
en dépendent, une con-traction permanente ou contracture qui place le
membre
dans une attitude qui est la résultante de l'acti
e du biceps produit la contracture en flexion de tous les segments du
membre
, avant-bras, main, doigts. Au contraire l'excitat
lle ne se transforme jamais en une contracture comparable à celle des
membres
. Nous avons ainsi fait contracter individuellem
ant qu'elle demeure cataleptique du côté gauche. C'est-à-dire que les
membres
et la face du côté droit sont dans la ré-solution
tabilité musculaire caracté-ristique de la léthargie, pendant que les
membres
du côté gauche seulement ont la propriété de cons
les n'ont plus conscience de ce qui se passe autour d'elles, et leurs
membres
conservent les diverses attitudes qu'on leur impr
s du diapason, immédiatement se fait entendre le bruit laryngien, les
membres
tombent dans la résolution, et les malades sont p
s oreilles. La cata-lepsie paraît plus intense qu'habituellement, ses
membres
se laissent déplacer et conservent la nouvelle at
ncohérents, une sorte de discours interminable, composé de mots et de
membres
de plirases sans suite, et n'ayant aucun sens dét
ommeil. Son œil demeure toujours grand ouvert, elle est immobile, ses
membres
conservent l'attitude qu'on leur communique; en u
ses traits principaux, dans l'ordre général. Ainsi la résolution des
membres
n'est pas complète. Pendant le sommeil léthargiqu
itabilité muscu-laire, la catalepsie existe à un léger degré dans les
membres
supé-rieurs, quelquefois dans un seul. Ils sont l
loin. raideur. Mais l'état cataleptique est bien imparfait, car le
membre
soulevé ne tarde pas à retomber peu à peu et par
ux conditions deviennent alors indispensables pour faire conserver au
membre
la position que l'on désire lui voir garder : ou
la position que l'on désire lui voir garder : ou bien il faut que le
membre
soit brusqué, ou bien il faut le maintenir quelqu
auche d'attaque épileptoïde; la malade se ren-verse et se raidit, ses
membres
dans l'extension se tétanisent, la tête s'étend,
Cette rigidité disparaît facilement par une légère friction sur les
membres
contractures. La résolution peut être obtenue com
stant. Mais le muscle n'est plus excitable, pas plus à la face qu'aux
membres
, et la résolution qui existe ne peut être modifié
ever les paupières de h malade, la catalepsie n'est plus possible, le
membre
soulevé retombe inerte. Mais le somnambulisme e
vec hyperexcitabilité musculaire, fexcitation faradique portée sur un
membre
produit infailliblement la con-tracture permanent
sous le nom de léthargie avec hyperexcitabilité neuro-musculaire. Les
membres
sont en résolution et l'excitation mécanique même
ux restent ouverts les muscles ne sont plus hyperexcitables, mais les
membres
ont acquis la propriété de conserver les attitude
ison est d'autant plus vraie, que le plus souvent aux mouve-ments des
membres
gauches de fexpérimentateur correspondent des mou
tateur correspondent des mouvements semblables, mais exécutés par les
membres
droits de la malade. Par exemple si l'expérimenta
uvements ont alors moins de précision, ils ne sont pas exécutes parle
membre
cor-respondant; à un saut complet la malade peut
culaire apporte au centre nerveux la notion de la position exacte des
membres
. Il peut être également la source de mouvements a
parfaitement coordonnés qui exécu-tent l'action dont la position des
membres
est l'image. Par exem-ple, dans l'angle d'une piè
effaçant, l'état cataleptique général reparaisse. Si l'on place les
membres
de la malade dans l'attitude du dé-but de l'attaq
é sur la planche II, page 41. on voit, au bout de peu d'instants, les
membres
se raidir davantage, la tête tourner un peu de cô
ser, s'agenouiller, et faire le geste de rouler une bande autour d'un
membre
malade. La vue d'une troupe de petits enfants l
ant ses mains de ses lèvres, le grimper en RICHER. 26 plaçant ses
membres
dans l'attitude du grimper, la marche à quatre pa
o-tion, ou de l'ébranlement occasionné par le choc en retour ^? les
membres
retombent plus lentement, jusqu'à ce que l'intens
intensité de la lumière augmentant peu à peu, l'état cataleptique des
membres
s'accuse par degrés et s'af-firme complètement lo
tance partielle des sens (Obs. I, II, III, 2' série) ^ Au sortir de
membres
peu de temps après la mort, démontre incontestabl
n lui communique. La ré-solution musculaire peut être complète et les
membres
conservent une grande souplesse. On les meut avec
parer par les auteurs la sensation que l'on éprouve, en déplaçant les
membres
cataleptiques, à celle que donne la flexibi-lité
la contracture permanente du muscle. La friction ou le massage sur le
membre
cataleptique n'amène aucune modification dans l'a
r le pro-duire, quelques phénomènes épileptoïdes : légère raideur des
membres
, mouvements de déglutition, bruit pharyngien, ins
ésolution musculaire le plus souvent. Quelquefois légère rai-deur des
membres
. Contractures partielles. La contracture cède à l
« Un soufffe d'air, une friction, font cesser la catalepsie sur un
membre
, sur un doigt; cet état revient en replaçant douc
r un membre, sur un doigt; cet état revient en replaçant doucement le
membre
à sa place. Si, pendant la résolution, je t'invit
une nouvelle manifestation. Lorsqu'on soulève un peu brusque-ment le
membre
d'une malade dont les muscles sont en état d'hy-p
sont en état d'hy-perexcitabilité, ou bien, qu'après avoir soulevé le
membre
, on msiste un peu en le maintenant dans la même p
rtu de la propriété dont ils sont doués, ils se sont contractures. Le
membre
qui paraît catalep-tique est un membre contractur
, ils se sont contractures. Le membre qui paraît catalep-tique est un
membre
contracture. En effet, si l'on veut ensuite dé-pl
st un membre contracture. En effet, si l'on veut ensuite dé-placer le
membre
, on éprouve une certaine résistance, évidemment d
-pières. — Élat cataleptique général. — Souplesse et légèreté des
membres
. — Le membre garde aussitôt la po-sition commun
t cataleptique général. — Souplesse et légèreté des membres. — Le
membre
garde aussitôt la po-sition communiquée. — Le m
embres. — Le membre garde aussitôt la po-sition communiquée. — Le
membre
conserve indéfiniment la position communiquée.
le massage ne mo-difient en aucune façon la position com-muniquée au
membre
. ÉTAT CATALEPTJFOUME ue la léthargie — Yeux
cataleptique partiel. — Le plus souvent une certaine rigi-dité des
membres
— Le membre est toujours lourd à soulevé r. — I
partiel. — Le plus souvent une certaine rigi-dité des membres — Le
membre
est toujours lourd à soulevé r. — Il faut le pl
t le plus souvent insister et maintenir quelques secondes au moins le
membre
avant de l'abandonner. — Le plus souvent, le me
des au moins le membre avant de l'abandonner. — Le plus souvent, le
membre
re-tombe bientôt. — La friction et le massage a
ntôt. — La friction et le massage amènent toujours la résolution du
membre
qui retombe inerte. Cette distinction nous para
partielle, complète ou incomplète, passagère ou durable. De plus, les
membres
sont le siège d'une certaine raideur, ils ont la
la catalepsie ne paraît pas s'établir d'em-blée, c'est-à-dire que les
membres
ne gardent pas immédiatement les positions donnée
t effort devenir en ({uelque sorte constant et l'état cataleptique du
membre
élevé se produire. C'est dans liraid ({ue j'ai pr
ve souvent que l'état cataleptiiiue ne peut être produit que dans les
membres
supérieurs. » (Azam,/oc. cil. p. 14). h l'autre
par un serrement des mâchoires, et par un raidissement momentané des
membres
, troubles qui ces- saient aussitôt. Chez une de
ait normale, le pouls était à soixante, la peau était fraîche, et les
membres
étaient en résolution. Nous avons eu occasion d
lectriques. Elle était dans le décubitus dorsal, la face colorée, les
membres
dans la résolution la plus complète, les paupière
e, mouvement de déglutition, écume, quelquefois raideur passagère des
membres
. Des phénomènes semblables inaugurent, d'après Br
convulsions s'étaient bornées à du trismus et à un peu de raideur des
membres
. — Chez d'autres il y avait eu une attaque convul
phénomènes convulsifs ordinairement toniques dans la face et dans les
membres
; il existe des signes manifestes de congestion cé
la tète est immobilisée dans la situation que nous avons décrite. Les
membres
supérieurs sont étendus, un peu écartés du tronc
transpercer les bras sans provoquer un mouvement. La contracture des
membres
cède un instant sous l'influence du massage, mais
Elle est prise, de temps à autre, de légers tressaillements dans les
membres
supérieurs, rappelant les accès incomplets d'épil
n douloureuse du visage, des plaintes et des tressaillements dans les
membres
supérieurs. En insistant un peu, fon n'obtient ri
et supposez que, juste au mo-ment où elle se raidit en. étendant les
membres
, elle soit immobilisée dans cette position, et qu
e temps qu'on le tienne dans cette position, quand on l'abandonne, le
membre
s'étend de nouveau et reprend la position qu'il y
je vis reparaître plusieurs fois les contractures passagères des deux
membres
gauches. Comme la malade se plaignait beaucoup de
même temps dans les muscles voisins de ceux qui ont été touchés. Aux
membres
supérieurs, la pression sur la partie antérieure
clignotantes. Souvent, contracture partielle ou rigidité générale. Le
membre
garde peu la position dans laquelle on le place,
lle est prise de céphalalgie, d. éblouissements, de douleurs dans les
membres
qui se font sentir exclusivement dans, le coude,
is souvent aussi, cela lui est rendu impossible par une faiblesse des
membres
inférieurs qui la prend subitement, et ne lui lai
t si pendant ce som-meil, on imprime à la main, à l'avant-bras, ou au
membre
supérieur tout en-tier, un mouvement, et qu'ensui
uvements cataleptiques, que nous avons en vain essayé deprovoquer aux
membres
inférieurs, au tronc et à la tête. Toutes les foi
lutôt toniques, tantôt bornés à la contracture d'un ou de plusieurs
membres
, tantôt étendus atout le système musculaire, et e
sommeil, elle avait les yeux fermés. La catalepsie n'exis-tait qu'aux
membres
supérieurs. Il y est dit expressément que le memb
exis-tait qu'aux membres supérieurs. Il y est dit expressément que le
membre
était soutenu quelques secondes avant d'être aban
apporte com-ment, à l'aide de frictions, il amenait la résolution des
membres
cataleptiques nous paraîtun bel exemple de léthar
contracter successivement les massé-ters, les muscles du tronc et des
membres
, enfin, les orbiculaires des pau-pières; en sorte
onc et ame-nant un tel sentiment d'anxiété, qu'il fallait abaisser le
membre
pour éviter la contracture tétanique des muscles
ain, continuaient à se contracter avec énergie; ainsi en soulevant le
membre
su-périeur et en le plaçant dans une position trè
ément une attaque clonique d'hystérie avec mouvements désordonnés des
membres
, et nous par le simple contact de la main, ou mêm
avoir déterminé de la contracture musculaire, et avoir catalepsie le
membre
touché, augmentaient après la cessation de tout c
s voulons faire remarquer ici, qu'il était réduit à l'aptitude que le
membre
déplacé avait de conserver la position qu'on lui
par une véritable contracture qui durait autant que le déplacement du
membre
; aussi les masses musculaires au lieu d'être mo
masses musculaires au lieu d'être molles, étaient-elles dures ; les
membres
au lieu d'avoir la consis-tance de la cire avaien
s'exclure et nous avons vu, pen-dant les attitudes passionnelles, les
membres
de la malade présenter tous les caractères de l'é
age impassible,, les yeux ouverts, les pupilles dirigées en haut. Les
membres
gardent les diverses attitudes qu'on leur communi
niblement son bras droit en le dirigeant vers le ventre. « Remuez les
membres
? » — Elle fait faire quelques mouvements pénibles
uelques mouvements pénibles à son bras et à sa jambe droite. Ces deux
membres
gardent cependant les attitudes cataleptiques aus
pour voir si elle maintiendra longtemps cette situation. Rientôt ses
membres
se raidissent, et il éclate une attaque bien curi
. Première période. — Début par les grands mouvements cloniques des
membres
, accompagnés de petits cris entrecoupés, et d'une
uivent bientôt les mouvements cloniques qui s'exécutent dans tous les
membres
; d'abord de peu d'amplitude, ils augmentent peu à
taques cette nuit. Depuis ce matin, elle est prise de secousses des
membres
et du ventre. Pendant que nous sommes près d'elle
es altitudes nous constatons les caractères suivants : Aptitude des
membres
et de tout le corps à conserver les positions com
es unions angéhques dont elles ont été les témoins ^. » De plus les
membres
sont le siège d'un état cataleptique dont l'inten
d'un état cataleptique dont l'intensité varie. Au premier degré, les
membres
sont souples et conservent les attitudes variées
es variées qu'on leur communique. A un degré un peu plus intense, les
membres
, tout en étant susceptibles d'être déplacés, sont
e de l'état cataleptique, la raideur est telle que le déplacement des
membres
n'est plus possible. J'ajouterai que l'aptitude d
ement des membres n'est plus possible. J'ajouterai que l'aptitude des
membres
à conserver les attitudes communiquées est un sym
n 1758. (Favrot, toc. cit. p. 67). 2. Malade observée par M. Jolly,
membre
de l'Académie de médecine. (Favrot, toc. cit. p.
xaient un point dans l'espace, elle éréthisme léger, résolution des
membres
et entraînement forcé dans une vague rêverie; éré
ciét. méd. psych. 1858, p. 227.) RICHER, 30 était immobile et ses
membres
non rigides conservaient les atti-tudes communiqu
pouls, resta levé ; je fis alors as-seoir la malade, je soulevai les
membres
inférieurs, ils conservèrent la posi-tion qu'on l
désirait, que lorsqu'elle était en état de diriger ses yeux vers ses
membres
. A la suite de fortes attaques, la flexibilité ci
, le même à peu près qu'aux personnes qui dorment tranquillement; ses
membres
étaient souples, légers, et se laissaient manier
e souriante, la respiration tranquille, régulière et silencieuse, les
membres
dans la résolution complète, tel est l'état dans
Assoupissement. On ne parvient pas à réveiller la malade. Le soir les
membres
ont une raideur presque tétanique ; ils gardent l
du larynx ne sont pas perçus et ne déterminent point de réflexes. Les
membres
immobiles ont une raideur quasi cadavé-rique : on
ion où on les place, quelque fati-gante qu'elle puisse être. Dans les
membres
inférieurs la raideur est à son comble, et il est
reproche de lui faire mal. La malade rêvait. Pendant cette scène, les
membres
conservent la même raideur et la même insensibili
sprès, chef du service. Le 12, à la visite du matin, la raideur des
membres
a disparu, et les bras gardent à peine une minute
de retour de la connaissance. Plaintes. Le soir un peu de raideur des
membres
, pas de stabilité : Le 18. La somnolence persis
e au niveau du plexus droit, provoquait des mouvements dans tout ce
membre
et même à la longue dans le membre opposé, les pa
uait des mouvements dans tout ce membre et même à la longue dans le
membre
opposé, les parties frictionnées retournaient seu
s autres restaient cataleptiques ; si par exemple, nous soulevions le
membre
supérieur pour frictionner seulement la main et l
ce, d'après laquelle la main droite une fois frictionnée, et les deux
membres
supérieurs placés à la fois dans la même position
t avoir quelques analogies avec f hyperexcitabilité musculaire. Les
membres
, même dans leur état morbide (l'état cataleptique
c soin permit de constater qu'elle était complètement abolie dans les
membres
inférieurs^, très obtuse dans les supérieurs, exc
ettant en équilibre sur les ischions, les bras levés en l'air, et les
membres
inférieurs soulevés pareillement. Elle resta envi
nstant où j'arrive, lamalade vient de perdre connaissance. Elle a les
membres
en résolution, les dents serrées ; les pupilles d
les. 9 h. 20. — Quelques contractions des muscles de la face et des
membres
apparaissent. Ces contractions vont toujours en a
. La malade se dresse avec force, et chaque fois qu'elle retombe, ses
membres
sont en résolution. 10 h. 10 minutes. — Project
n avant (hystérie libidineuse). La mousse disparait de la bouche, les
membres
sont en complète résolution. 10 h. 13 minutes.
anque. 10 h. 29 minutes. —Pleurs, sanglots, quelques secousses; les
membres
tombent en résolution. 10 h. 35 minutes. — Les
s rhythmées du bassin. 12 h. 24' minutes. — Secousses violentes des
membres
inférieurs, en cadence avec la respiration. 12
ccidents que de loin en loin. Aujourd'hui il y a des douleurs dans le
membre
inférieur gauche. L'é-thérisation ne réussit pas
mêle des accès épileptiques. Les grandes convulsions ayant cessé, les
membres
supérieurs restent étendus et rigides, les pouces
duisant fixité du regard, pâleur de la face, contracture, raideur des
membres
, puis con-vulsions cloniques, courtes et égales,
es vêtements, provoquait aussitôt une secousse générale dans tous les
membres
et il a été suivi par une scène de somnambulisme
carreau sans connaissance et dans un état de rigidité inflexible, les
membres
supérieurs et les inférieurs étendus horizontalem
si la description : « L'incurvation du tronc, comme l'extension des
membres
, augmente par secousses successives. A mesure que
'occlusion des yeux. Le pouls et la respiration sont réguliers, les
membres
soulevés retombent doucement, et nous n'avons pu
rognon, triste, se plaint vivement de douleurs dans la tête, dans les
membres
, se cache sous ses couvertures ; elle sent, dit-e
début d'une attaque d'hys-térie : spasmes toniques et contorsions des
membres
, sensation de strangu-lation que la malade exprim
le sommeil était-il obtenu qu'elle se plaignait de douleurs dans les
membres
et se livrait tour à tour au rire et aux larmes.
de l'observation où il est question de vomissements, de paralysie du
membre
inférieur droit, avec anesthésie, tympanite, héma
la position donnée. L'avant-bras gauche est fléchi sur le bras et le
membre
conserve la position coudée. En exécutant ces div
la tête et du tronc, puis il tombe brusque-ment sur le côté. Tous ses
membres
sont raides, tendus convulsivement, les mâchoires
L'animal est toujours couché sur le côté, mais non plus soulevé, les
membres
sont agités de fortes secousses qui les font alle
nts, des douleurs dans les bras et les jambes, une faiblesse dans les
membres
inférieurs qui le force plusieurs fois à s'asseoi
os, sans lui ôter les muscles, et qui essayant de se soutenir sur ses
membres
pliants et lâches, tomberait à chaque pas. Pourta
r un canapé : « Pourquoi, m'écriai-je tout à coup, me clouez-vous les
membres
? Je sens que je deviens de plomb. Ah! comme je su
rrégulièrement, elle peut être circonscrite à un point du tronc, à un
membre
, ou bien le plus souvent, dans les cas d'hystérie
x os. Les yeux fermés, la malade perd la notion de la position de ses
membres
, et, si elle est debout, n'est plus capable de co
de conserver son équilibre. Lorsque l'anesthésie est complète, les
membres
peuvent être transfixés par une épingle de grosse
lité sous l'influence d'agents divers, nous avons vu la coloration du
membre
ne suivre en aucune façon la marche de la sensibi
sternum et en arrière la ligne des apophyses épineuses. La tête, les
membres
, le tronc d'un seul côté sont simultanément attei
u bout de quelques minutes, le malade éprouve de la lour-deur dans le
membre
, des fourmillements ; si alors on fait des pi-qûr
ie métallique ou port-métallique, débute simultanément sur les quatre
membres
par autant de points symétriques dont l'un est oc
st placé au-delà, c'est-à-dire entre le métal actif et l'extrémité du
membre
. c) Des expériences entreprises par notre excel
t se traduit par un affaiblissement marqué de la force musculaire des
membres
anesthésiés (amyosthénie de Burq). Cet état peut
La paralysie peut intéresser les différents muscles du tronc et des
membres
. D'après Briquet et Landouzy dont les statistique
he qu'à droite ; c) que la paralysie est cinq fois plus fréquente aux
membres
inférieurs qu'aux membres supérieurs; d) qu'enfin
paralysie est cinq fois plus fréquente aux membres inférieurs qu'aux
membres
supérieurs; d) qu'enfin elle attaque très raremen
u graduel. Les muscles conservent leur excitabilité électrique. Les
membres
atteints de parésie ou de paralysie hystériques s
égale valeur. Fréquemment tous deux s'observent à la fois sur un même
membre
placé dans des conditions patholo-giques spéciale
une époque moins avancée de la maladie et alors que la trépidation du
membre
ne peut pas encore être provoquée. D'un autre côt
ériques, l'étude de la contractilité musculaire nous a montré que les
membres
atteints, à un degré variable, de parésie présent
de constater que le réflexe rotulien est exagéré de ce même côté ; au
membre
supérieur la percussion du tendon du triceps brac
d'analogue s'observe chez les hystériques hémi-anesthésiques. Si les
membres
du côté hémianesthésique présen-tent à un assez h
côté, la percussion du tendon rotulien gauche retentit jusque sur le
membre
supérieur du côté opposé. Ainsi, lorsqu'on percut
n percute le tendon rotulien du côté gauche, on voit non-seulement le
membre
inférieur droit être animé d'un mouvement analogu
ement le membre inférieur droit être animé d'un mouvement analogue au
membre
inférieur gauche, mais le bras droit lui-même, av
d'où la rétention d'urine et la néces-sité du sondage; — f) enfin les
membres
. La contracture des membres revêt la forme hémi
a néces-sité du sondage; — f) enfin les membres. La contracture des
membres
revêt la forme hémiplégique ou paraplégique. La p
paraplégique. La paraplégie est cervicale ou lombaire. Enfin un seul
membre
peut être atteint. La contracture permanente hy
jours d'un trouble dans l'état de la sensibilité. Le plus souvent, le
membre
contracture est en même temps frappé d'anesthésie
ture hystérique perma-nente réside dans le degré de son intensité. Le
membre
atteint est d'une rigidité extrême, les muscles s
es influences morales vives ou sans cause appréciable — laissant le
membre
dans un état d'intégrité fonctionnelle parfait, q
une attitude de prédilection que nous allons brièvement in-diquer. Au
membre
supérieur c'est la flexion qui prédomine, au memb
ent in-diquer. Au membre supérieur c'est la flexion qui prédomine, au
membre
inférieur c'est l'extension. Le membre inférieu
la flexion qui prédomine, au membre inférieur c'est l'extension. Le
membre
inférieur est dans l'adduction et l'extension, le
, dont l'histoire a été rapportée plus haut (page 197), l'attitude du
membre
inférieur faisait exception à la règle. Il était
ntracture est limitée au pied. La contracture permanente limitée au
membre
supérieur est un fait rare. Bourneville et Voulet
ière, au moins un cas bien caracté-risé. Associée à la contracture du
membre
inférieur du même côté, la contracture du membre
à la contracture du membre inférieur du même côté, la contracture du
membre
supérieur estbeaucoupplus fréquente, t Le bras es
PAR PLUSIEURS PROCÉDÉS Nous avons vu que, chez les hystériques, les
membres
atteints de parésie étaient en imminence de contr
la facilité avec laquelle la contracture elle-même apparaît dans les
membres
parésiés sous l'influence de causes variées. L'
uisent le même effet. Ainsi des tractions un peu vives opérées sur un
membre
parésie, le bras par exemple, peuvent, dans certa
parfois, à la suite d'un mouvement un peu forcé, de voir un de leurs
membres
atteint d'une contracture dont elles ne parvienne
chenne de Boulogne trouve dans le plus léger degré de contracture des
membres
paralysés, une contre-indication formelle de l'em
iant en médecine qui, atteint d'hémiplégie avec contracture légère du
membre
supérieur, vit sous l'influence de l'emploi intem
lusieurs se-maines. L'action de la faradisation est la même sur les
membres
paré-siés des hystériques. M. Brissaud l'a égalem
n, même légère, déterminait constamment une contracture permanente du
membre
électrisé. En augmentant l'intensité du courant e
e gauche. La paralysie est flasque et la malade traîne en marchant un
membre
complètement inerte, mais le réflexe rotulien est
te, mais le réflexe rotulien est exagéré et la trépidation de tout le
membre
facilement obtenue en relevant la pointe du pied.
cutanée est complète et totale. Le sens musculaire est aboli dans le
membre
paralysé; les yeux fermés, Wand... perd complètem
ailliblement la contracture musculaire, lorsqu'elles portaient sur le
membre
paralysé qui prenait alors l'attitude du pied-bot
anches),et de-viennent une des causes de la déformation permanente du
membre
; Duchenne de Boulogne en a décrit une variété so
ture ne se développera-t-elle pas lorsque la même cause agira sur des
membres
placés, de par l'hémiplégie cérébrale, dans des c
s qui jusque-là n'avait présenté que peu ou point de raideur dans les
membres
paralysés, la con-tracture, à la suite d'une chut
t contusion de la jambe droite, suivies de contracture douloureuse du
membre
pa-ralysé. 2. Il n'est pas rare, dit Rrodie (pa
ent aux régions voisines et peuvent même occuper toute l'étendue d'un
membre
. Une fois établis, ils persistent fréquemment tel
es entré, au sujet de cette disposition nerveuse spéciale qui met les
membres
d'une hystérique ou d'une hémiplégique céré-brale
jours nous avons obtenu les mêmes résultats. L'aimant appliqué sur un
membre
contracture artificiellement a toujours eu pour e
mêmes phénomènes s'accusent da-vantage, et bientôt la contracture du
membre
droit cède complè-tement, pendant que la roideur
racture du membre droit cède complè-tement, pendant que la roideur du
membre
gauche s'est exagérée au point de devenir une vér
e ordinairement une contraction réflexe passagère dans les muscles du
membre
, amène parfois un commencement de contracture. (V
vu une faradisation intempestive faire naître la contracture sur des
membres
prédisposés. d) L'action reconnue du traumatism
su-jet. Les mouvements rhythmés occupaient la face, le tronc et les
membres
exclusivement du côté droit. Ils persistaient inv
se met en pronation, se fléchit, et vient toucher l'épaule ; — 2° le
membre
inférieur qui était allongé, se fléchit, la cuiss
atrième, à peine âgée de vingt ans, ne quitte plus son fauteuil ; ses
membres
sont constamment agités de secousses épi-leptique
nt de plus en plus fréquents. Elle est prise de secousses de tous les
membres
. La démence fait de rapides progrès. Un de ses
-lement sans transfert ni oscillations. L'anesthésie partielle d'un
membre
par exemple est ordinairement plus tenace, surtou
iolent amour pour lui, qui commença par un petit frisson par tous ses
membres
. L'autre dit qu'ayant été arrêtée par lui dans la
ontournant horriblement tous 1. Histoire des Diables, p. 226. les
membres
: que l'agitation cessa peu après, et que la fill
de chirurgien expert, avait recherché les marques diaboliques sur lés
membres
et le corps du curéde Loudun et, danscctte opérat
la nature. » Les convulsions horribles et universelles par tous les
membres
, accompagnées de hur-lements et de cris; quelquef
bord aux parties supérieures, gagnent succes-sivement le tronc et les
membres
inférieurs; la respiration devient haletante, les
haque instant », suivie d'une léthargie de 7 â 8 jours. L'œdème des
membres
qui existait depuis quelque temps déjà, se pronon
ernbres, le froid s'empare de son corps..... » Bientôt..-, tous les
membres
paralytiques de notre agonisante s'agitent avec t
e front, sa bouche se tourna, ses yeux parurent tout égarés, tous ses
membres
se raidirent d'une force épouvantable ; tout son
prit un grand frisson et peu après une grande agitation dans tous les
membres
, qui me faisait élancer tout le corps en l'air et
ar un engourdissement des nerfs, suivi par un tremblement de tous les
membres
. « Les mouvements convulsifs que j'ai eus, sans p
une manière familière ses voisins et ses proches, leur frappe sur les
membres
, les regarde d'un air égaré, recommence à leur po
e et n'ont pas perdu entière-ment foute sensibilité, et quoique leurs
membres
devinssent fort raides dans cer-tains moments, qu
nt « que Dieu met, de temps en temps, une force prodi-gieuse dans les
membres
de certains convulsionnaires, et jusque dans les
ontre les murs, même contre le marbre; elles se font tirer les quatre
membres
par des hommes très forts et quelquefois écartele
le plomb fondu, les fourches rougies faisant palpiter des nerfs, des
membres
, des chairs, aucune ne fut oubliée par le prédica
s jointes, la tête penchée sur la poitrine et tremblant de tous leurs
membres
. Les chants continuaient tou-jours. Ces pauvres c
es qui laissassent plus de liberté aux mouvements convulsifs de leurs
membres
, et bientôt je n'eus plus sous les yeux qu'une ho
et jusqu'à 7 en un jour; elle avait perdu la parole et fiisage de ses
membres
» Le petit livre ^ du Piév. SamuelJ. Moore nous
et de repentir, une oppression ou douleur légère dans la tête et les
membres
une respiration difficile, peu d'appétit, une sou
ant de leurs abîmes montent peu à peu vers elle, enveloppent tous ses
membres
l'un après l'autre et s'amassent autour de son âm
e bras gauche; les yeux sont fermés; la bouche est entr'ouverte ; les
membres
inférieurs sont étendus en ligne droite et la rob
e jusqu'au talon. A trois heures, elle fait un mouvement brusque; les
membres
supérieurs s'étendent transversale-ment en croix,
a moti-lité et la sensibilité. Au palper, les muscles de la face, des
membres
et du tronc n'offrent pas de tension anormale; il
le front se plisse profondément. Quand on imprime des mouvements aux
membres
, le résultat est variable; tantôt ils conservent
ls conservent la position qu'on leur donne. Ainsi, quand on élève les
membres
su-périeurs, ils gardent pendant neuf ou dix minu
fait prendre, puis ils redescendent peu à peu; il en est de même des
membres
infé-rieurs. Cependant, si on soulève la jeune pe
t réciproquement d'enveloppes les uns aux autres: tels sont, pour les
membres
, les divers groupes musculaires superposés; et, p
contention et d'insertion musculaire: ex. les grandes aponévroses des
membres
; et parfois moyens de séparation : ex. au tronc,
ue, pelvienne; feuillets fibreux sous-pleural et sous-péritonéal; aux
membres
, cloisons aponévrotiques d'isolement des groupes
l, tunique albuginée, gaines fibro-celluleuses des grands muscles des
membres
. (d) Les membranes fibro-celluleuses splanchniq
, dans cet état, constituent les grandes enveloppes sous-cutanées des
membres
et du tronc. Les extrémités ouvertes de ces cavit
r les ceintures osseuses du tronc ou au contour des articulations des
membres
. Comme fragmens de cylindres, les cavités aponévr
le squelette flexible de sa paroi circulaire, et, pour le cou et les
membres
, rassemblent les divers groupes des muscles syner
des mouvemens, un levier brisé en une série d'anneaux superposés. Aux
membres
il constitue, pour la sustentation, des colonnes
ns celles qu'il faut considérer comme telles, varient au tronc et aux
membres
. Dans les deux membres elles sont superficielles,
nsidérer comme telles, varient au tronc et aux membres. Dans les deux
membres
elles sont superficielles, par rapport aux muscle
eux plans de fibres, les unes longitudinales ou parallèles à l'axe du
membre
, et conséquemment à la direction de ses muscles;
res est transversal; celles-ci ne décrivent jamais tout le contour du
membre
; elles sont divisées par autant de lames distinct
nombreux exemples. Extérieurement, les aponévroses d'enveloppe des
membres
sont en rapport avec la peau, mais seulement par
onsidérable pour les grands troncs veineux, tels que les saphè-ncs au
membre
abdominal, les radiales, basilique et cépha-lique
hè-ncs au membre abdominal, les radiales, basilique et cépha-lique au
membre
thoracique. Cette couche fibro-celluleuse sous-cu
es dont elles supportent les vaisseaux. Ainsi, dans la profondeur des
membres
, la couche cellulo-vasculaire commune se trouve r
s exceptions, la disposition commune aux gaines des longs muscles des
membres
. Il n'en est pas de même des larges muscles de l'
l'omoplate, la fosse temporale au crâne. Il en est de même des os des
membres
par rapport aux grands muscles profonds. (Ex. : a
es. Cette disposition générale , commune aux diverses fractions des
membres
et qui résume l'idée complète de leur organisatio
anisées au point de vue de leurs fonctions spéciales. Ainsi, dans les
membres
, toutes les loges sont verticales ou obliques et
e sternum, faisant ici l'office de levier central analogue à l'os des
membres
, tandis que les muscles des parois, pour compléte
spéciales , celles des muscles pyramidal et obturateur interne. 5°
MEMBRES
. membre thoracique 1. Le membre thoracique, au
s , celles des muscles pyramidal et obturateur interne. 5° MEMBRES.
membre
thoracique 1. Le membre thoracique, au point de
amidal et obturateur interne. 5° MEMBRES. membre thoracique 1. Le
membre
thoracique, au point de vue de l'anatomie chirurg
la main. L'enveloppe générale commune, ou la peau, présente pour ce
membre
des différences analogues à celles que l'on remar
où sa texture est fibreuse, à larges mailles; dans toute l'étendue du
membre
il se charge d'une quantité assez abondante de ti
à l'aponévrose palmaire. A partir des enveloppes aponévro-tiques, le
membre
doit être analysé à part dans chacune de ses frac
le adipeux sous-cutané très abondant, qui fait office de coussinet.
membre
abdominal 1. L'enveloppe cutanée du membre abdo
t office de coussinet. membre abdominal 1. L'enveloppe cutanée du
membre
abdominal est analogue à celle du membre thoraciq
1. L'enveloppe cutanée du membre abdominal est analogue à celle du
membre
thoracique. Épaisse dans les trois quarts de sa c
é isole la peau de l'aponévrose d'enveloppe, dans toute la hauteur du
membre
. C'est à la région inguinale,où ce fascia est le
om de lascia superficiaîis. A partir de l'aponévrose sous-cutanée, le
membre
abdominal se distingue dans ses quatre fractions:
moro-tibiale. En raison de son épaisseur, du volume et de la force du
membre
qu'elle renferme, elle est pourvue d'un muscle te
r une première couche de fibres entre croisées. Dans la profondeur du
membre
, le tibia et le péroné, réunis par le ligament in
le tibia, ne forment encore que le tiers antérieur de l'épaisseur du
membre
. Eu arrière, la jambe offre deux groupes musculai
jambe, les loges des jumeaux, et au-devant, dans toute la hauteur du
membre
, celle du soléaire. Le groupe profond, appliqué c
énitude, soit l'utérus chargé du produit de la conception. Dans les
membres
, considérés comme tiges d'isolement, les os, en d
sculaires. Cette disposition, que l'on observe partout sur les os des
membres
, donne la théorie des foyers dans les abcès profo
glement. Cet effet est très sensible pour les grandes aponévroses des
membres
, dans les érysipèles phlegmo-ncux où le chirurgie
uleurs atroces du panaris. Des phénomènes analogues se remarquent aux
membres
dans toute espèce de congestion ou d'épanchement,
nscrits entre les limites d'une région du corps ou d'une fraction des
membres
. A l'appui de cette assertion, vient la théorie d
ité céphalique par les artères carotides et les veines jugulaires, le
membre
thoracique par les artères et veines sous-clavièr
dont les vaisseaux superficiels sont fournis par les troncs des deux
membres
. Eu égard aux sacs pleurétiques, l'intervalle c
division des gros troncs qui fournissent aux viscères du bassin et au
membre
abdominal. Les grands troncs d'origine, l'aorte
ode de production et l'usage ne peuvent encore être que soupçonnés.
MEMBRES
. La structure des appendices locomoteurs ou des
upçonnés. MEMBRES. La structure des appendices locomoteurs ou des
membres
, eu égard à l'anatomie de communication, est des
s, se distribuer dans les loges organiques. A la naissance des deux
membres
, au tronc, chacun des faisceaux vasculaires commu
nce fibreuse; nous avons déjà vu en quoi consiste l'orifice crural du
membre
inférieur, si important sous le rapport des herni
u membre inférieur, si important sous le rapport des hernies. Pour le
membre
supérieur, la disposition est analogue, mais moin
de la cavité de la poitrine, les gros vaisseaux, avant de parvenir au
membre
thoracique, parcourent les deux régions sus et so
épendamment du trajet principal des gros troncs vasculaires, les deux
membres
, à leur naissance, communiquent avec le tronc par
avec le tronc par des ramifications secondaires : tels sont, pour le
membre
abdominal, les vaisseaux fessiers, ischiatiques e
nostic est souvent très difficile à établir; tels sont aussi, pour le
membre
thoracique, les vaisseaux scapulaires, supérieurs
les vaisseaux scapulaires, supérieurs ou inférieurs; seulement, à ce
membre
, les vaisseaux étant, par leur origine, extérieur
principale au-dessous d'eux. Dans les deux premières fractions des
membres
, les faisceaux vasculaires sont renfermés dans le
t également, pour íes divisions secondaires, aux autres fractions des
membres
, la jambe et l'avant-hras, le pied et la main. Da
la main. Dans chaque point où les vaisseaux passent d'une fraction de
membre
à une autre, d'un groupe dans un autre groupe, il
s à l'intérieur, et à l'extérieur s'harmoniant avec les appendices ou
membres
pour composer en commun l'appareil de la locomoti
n l'appareil de la locomotion. Les diverses fractions du corps et des
membres
étant déterminées par le squelette, dans une sous
pplique à un grand nombre de muscles et d'aponévroses au tronc et aux
membres
. Si l'on ajoute que, pour les vaisseaux, aqueducs
et surmonté ou recouvert par la face interne du bras, suivant que ce
membre
est élevé ou abaissé, qui constitue proprement le
lle, intermédiaire et affluent commun des parois de la poitrine et du
membre
thoracique et participant aux maladies des unes e
érable en chirurgie, comme affluent commun des vaisseaux absorbans du
membre
thoracique et des parois de la poitrine. Enfin, a
collections purulentes ou des indurations dans toutes les maladies du
membre
thoracique et des parois delà poitrine, et surtou
quelques rameaux du circonflexe. ' Planche 1, n°37; et planchée).
MEMBRE
ÏHORACIQUE. bras. Le bras se divise en quatre
. En anatomie,le bras comprend la totalité de la première fraction du
membre
thoraci-que, déterminée parla longueur de l'humér
de la topographie chirurgicale, toute la partie scapulo-thoracique du
membre
se trouvant divisée en régions spéciales, celles
antérieur au biceps; l'autre, interne, occupant toute la longueur du
membre
, légèrement oblique d'arrière en avant, et de ded
à l'opération de la phlébotomic. Néanmoins, vu les nombreux usages du
membre
, elle est fréquemment exposée aux lésions trauma
rne et interne d'une étendue considérable en raison de la longueur du
membre
. De la région antérieure se sépare, en haut, la r
es de la rangée inférieure ganglionnaire consécutifs à une maladie du
membre
au-dessous; puis viennent les hernies crurales et
eaux entre eux, la veine, interne en haut, est postérieure le long du
membre
, pour devenir externe dans le canal fémoro-poplit
arices , les hémorrhoïdes, les corps étrangers dans la profondeur des
membres
; nombre de petites opérations propres à certains
un aide; il en est de même de quelques opérations qui se font sur le
membre
abdominal et de la plupart de celles qui ont pour
le membre abdominal et de la plupart de celles qui ont pour siège le
membre
thoracique. Mais les opérations qui se pratiquent
râne, dans l'état de coma, la plupart de celles qui s'exercent sur le
membre
abdominal, exigent que le malade soit couché. La
le maillet de plomb '. Dans la section avec la scie, l'os, avec le
membre
dont il fait partie, doit être maintenu, par le c
l'emploi. Dans les cas les plus simples, où la compression de tout un
membre
, de l'extrémité vers le centre, peut être long-te
ennent plus secs, la fibre musculaire tourne au gras; de sorte que le
membre
, raide, flétri et impuissant, devient peu-à-peu i
tie malade doit être soutenue mollement, et l'attitude du corps ou du
membre
ménagée de telle sorte que la plaie ne supporte a
nt elles maintiennent les parties en contact. Ordinairement, pour les
membres
, elles doivent être taillées assez longues pour e
d'un pouce de largeur et d'une longueur double de la circonférence du
membre
ou de la partie qui est le siège de la plaie. Cha
le malade ? Evidemment , c'est à l'expérience à prononcer. Pour le
membre
abdominal en particulier, Moore avait fait fabriq
e du cours du sang passant avant toute autre considération. Pour le
membre
thoracique, le compresseur cle J.-L. Petit, dont
une heure et demie avant l'opération , comme on a pu le faire pour le
membre
abdominal dans le cas cité plus haut. En résumé
tendre à la grande gaîne musculaire voisine ou à toute la fraction du
membre
, qui accpiiert ainsi, en peu de temps, un volume
nt graduel, puis de l'extinction de la circulation artérielle dans le
membre
. Les préceptes ultérieurs varient suivant que l
longueur de l'artère, tandis crue, la voûte de la main embrassant le
membre
ou les masses musculaires voisines, le pouce réag
de ne pouvoir s appliquer avec efficacité qu'à la partie moyenne des
membres
; (b) de s'opposer à la rétraction des muscles da
raction des muscles dans le cas où l'on opère sur la fraction même du
membre
où il est appliqué, et par conséquent d'augmenter
carotide et la sous-clavière. Dans tous, le principe est le même, le
membre
étant compris entre deux pelotes, l'une de pressi
fixée d'une main, tandis que de l'autre on dispose le lacs autour du
membre
, en posant la pelote d'opposition en sens inverse
l'abord du sang artériel sans l'interrompre entièrement. Artères du
membre
thoracique. i° Artère sous-clavière. Elleest fa
dans les ligatures et les autres opérations qui se pratiquent sur le
membre
thoracique. Mais on ne possédait encore aucun moy
n perpendiculaire assez forte sur la phalange en regard. Artères du
membre
abdominal. i° Artère fémorale. (Pl. 21.) (a) Su
à exercer, est difficile à maintenir en raison de la configuration du
membre
en arrière. Néanmoins, le compresseur de Petit s'
er au mouvement de bascule de la pelote, déterminé par la conicité du
membre
et l'obliquité de traction du lacs, il faut fixer
nerfs sciatiques poplités, incommode et peu sûre par la situation du
membre
, elle est complètement inusitée et remplacée avec
ent pour diminuer l'activité de la circulation locale au point que le
membre
devienne froid et en apparence sec et flétri. Cet
renaissance, on ne pratiquait plus que la ligature circulaire sur le
membre
en entier, employée comme moyen préventif, la cau
gauche appliquée sur la face postérieureclu bras , il circonscrit ce
membre
en amenant de chaque côté le pouce et les doigts
de la cavité abdominale; enfin, dans presque toute l'étendue des deux
membres
supérieurs et inférieurs. Dans les névralgies, le
e vertébrale, dans les cas de rachialgie ou de paraplégie; enfin, aux
membres
, comme dérivatif continu, dans les cas les plus v
dans les maladies des organes thoraciques et abdominaux; 6° les deux
membres
, dans les cas d'infiltration purulente ou de spb
rceau d'étoffe ou du papier ; on applique ce modèle sur la portion du
membre
qui peut le plus facilement se rapprocher de la p
ndu, en conservant un pédicule d'autant plus large que le tégument du
membre
est moins pourvu de vaisseaux. On fait rapprocher
telles que le linge écru et la soie, fixe solidement, en rapport, le
membre
avec la tête, de manière à ce qu'ils ne puissent
l'appareil, on coupe le pédicule du lambeau et on réunit la plaie du
membre
pour la faire cicatriser. On peut, par prudence,
sur le cou , les parois latérales du tronc et les faces opposées des
membres
qu'elles maintiennent forcément dans une situatio
paume de la main et de la plante du pied, les grandes aponévroses des
membres
ne pouvant être une cause de rétraction qu'autant
nécessité de couper sont, en général, ceux des secondes fractions des
membres
: à l'avant bras, les tendons extenseurs ou fléch
. Stromeyer. Le malade étant couché sur une table, la face interne du
membre
tournée vers l'opérateur, le genou et le pied fix
section du tendon, en revenant suivant le premier trajet parcouru. Le
membre
est placé dans un appareil extensif pour rapproch
pécifier les moyens employés contre les cicatrices superficielles des
membres
avec rétraction. Lear siège le plus habituel esta
bituel esta la jambe et surtout à lavant-bras, ces deux fractions des
membres
étant à-la-fois très compliquées et les plus expo
ncision perpendiculaire, suffisante pour permettre le redressement du
membre
. Ordinairement un ou deux tendons seuls, soit flé
ar des sutures, et maintenu, pendant la durée de la cicatrisation, le
membre
à l'état d'extension par un appareil contentif :
nce que l'on ait encore pratiqué la section isolée des gros troncs du
membre
tho-racique; mais, au membre abdominal, on a osé
qué la section isolée des gros troncs du membre tho-racique; mais, au
membre
abdominal, on a osé couper le grand tronc sciatiq
assez nombreux pour en justifier l'emploi. Enfin quant aux nerfs des
membres
et du tronc, qui renferment à-la-fois les filets
ensuite le bout inférieur devenu flottant dans la plaie. nerfs des
membres
. Nous avons exprimé plus haut notre opinion nég
exprimé plus haut notre opinion négative sur la section des nerfs des
membres
, à-la-fois conducteurs du sentiment et du mouveme
st partielle, se compose de deux grands tubes destinés à agir sur les
membres
thoraciques et abdominaux (pl. 28). L'autre, dont
ression de dedans en dehors. mode d'action. Pression locale sur les
membres
: 10 par le vide. En théorie on sait que si on
e du corps. Ainsi, en résumé, dans toute pression partielle sur les
membres
, le corps étant enveloppé par l'air extérieur, la
indiquer les phénomènes produits par les ventouses partielles sur les
membres
, les applications thérapeutiques de la ventouse g
neuvième d'atmosphère ou 8 à 10 centimètres. Phénomènes locaux. Le
membre
étant clans l'appareil augmente graduellement de
ranspiration abondante qui se condense sur les parois du cylindre. Le
membre
étant retiré de l'appareil est rouge, gonflé ; on
veinules sont visibles clans leur trajet. Cet état de turgescence du
membre
se fait sentir encore pendant un ou deux jours, e
ression par refoulement. Phénomènes locaux. Diminution de volume du
membre
, affaissement des veines superficielles , pâleur
s cette double expérience inverse : Si on agit à la fois sur les deux
membres
thoraciques et abdominaux en sens contraire, au m
ératoire. Si l'on ne veut produire qu'un effet peu intense, un seul
membre
soit thoracique, soit abdominal, est mis sous la
s la ventouse ; et on le change pour celui du côté opposé, lorsque ce
membre
se fatigue par une action prolongée. Pour obtenir
enir un effet plus énergique, on applique à la fois l'appareil sur un
membre
thoracique et abdominal ou sur les deux membres a
fois l'appareil sur un membre thoracique et abdominal ou sur les deux
membres
abdominaux. Le membre étant mis à nu , on arme
mbre thoracique et abdominal ou sur les deux membres abdominaux. Le
membre
étant mis à nu , on arme le cylindre d'un ajutage
ube. Dès les premiers coups cle piston la succion happe et allonge le
membre
, l'ajutage refoule les tégumens et en forme un bo
rétabli; le cylindre alors se relâche cle lui-même et on en dégage le
membre
avec précaution. 11 faut de suite l'essuyer et le
est le même que celui de la saignée ou cle la ligature circulaire des
membres
. 4° Enfin, son application est tellement générale
disparaissent fréquemment par l'application cle la ventouse à un seul
membre
. 20 Pression par refoulement. Son application l
entouse dans ce cas, en ranimant, par l'abord des fluides chassés des
membres
, le cerveau et le cœur exsangues, a produit quelq
qu'à 15 ou 18 centimètres que la circulation a été suspendue dans les
membres
. Au reste, on conçoit que l'intensité de la press
soit indifférent, pour l'organisme, d'appeler immédiatement dans les
membres
ou à la surface et d'y retenir à volonté plusieur
presque exclusivement la phlébotomie sont dans l'ordre suivant. i° Le
membre
thoracique en plusieurs points : (a) au pli moyen
clans quelques cas exceptionnels, à la face dorsale de la main. 2° Le
membre
abdominal à sa partie inférieure sur les deux sap
veine jugulaire externe, et au moyen d'une bande pour les veines des
membres
. Cette dernière compression ne doit pas être asse
térielle. On aide à la réplétion veineuse par la situation déclive du
membre
, et en faisant exécuter au malade des contraction
l'ombre légère que forme son relief en promenant une bougie autour du
membre
. Ce caractère indique presque certainement l'exis
epousse le doigt lorsqu'on exerce des frictions de bas en haut sur le
membre
. Si cependant tous ces moyens sont infructueux, e
e, qui doit être de linge à demi usé, en taisant autour t. vi. du
membre
, à deux travers de doigt environ au-dessus du poi
il assure par une rosette. L'une des mains est employée à soutenir le
membre
qu'elle embrasse et à tendre les tégumens au moye
de sang, on applique sur la plaie le pouce de la main qui soutient le
membre
, et de l'autre main on enlève la ligature. On lav
membre, et de l'autre main on enlève la ligature. On lave ensuite le
membre
avec un peu d'eau tiède, on applique sur la plaie
a supination, sauf, pour recevoir le liquide, à faire tourner tout le
membre
en dedans par un léger mouvement de rotation cle
ne reste plus de doute sur la nature de l'accident, il faut placer le
membre
en demi-flexion et faire, sur l'artère,une compre
couper si l'on craint de refroidir le malade; ou autrement, mettre le
membre
entièrement à nu. Le bras disposé, reconnaître le
lade dont l'opérateur applique et contient la main sous l'aisselle du
membre
qui doit supporter le bras opéré; du côté gauche
t sans pincer la peau, les rappeler en avant, faire un second tour du
membre
et les arrêter sur la face externe du bras par un
e. La ligature pratiquée, on abandonne pendant quelques in-stans le
membre
queJ'on^fait supporter pour donner le temps aux v
a main sous son aisselle gauche et la maintient immobile en fixant le
membre
contre sa poitrine; la paume de sa main gauche em
ux, comme le lancetier, un étui, etc. L'opération terminée, on met le
membre
dans la demi-flexion, on lave la plaie et on la r
ité sur la partie externe supérieure de l'avant-bras. On environne le
membre
par une série de tours en huit de chiffre, en cro
ratiquée, on facilite au besoin le saignement en laissant immerger le
membre
et faisant exécuter au malade de nombreux mouveme
dans la saignée de la jugulaire. Quant aux grandes sections, soit un
membre
en entier ou une certaine étendue des parois du t
ntigrades, à peu près équivalente à celle du sang dans les veines des
membres
. Le tube de la seringue par où se fait l'injectio
s et résolutifs, aidés de la compression circulaire étendue à tout le
membre
. Mais déjà Hippocrate ne considère ces moyens que
ent en France. Procédé de Béclard. Faire à la peau, sur le point du
membre
où la veine est unique et le plus superficielle ,
formés. Incision multiple (pl. 3i, fig. 2, n° 7). Appliquer sur le
membre
deux ligatures circulaires au-dessus et au-dessou
les voies circulatoires du sang veineux, il y a à craindre l'œdème du
membre
. Trois propositions établissent les règles d'ap
le bandage une exacte compression permanente de l'extrémité libre du
membre
au-dessus des veines affectées, seul moyen ration
rs vers l'angle déclive de la plaie ; celle-ci est rapprochée , et le
membre
est posé dans le relâchement en situation convena
xsudent de la plaie trouvent une issue facile au dehors. ARTÈRES DU
MEMBRE
ABDOMINAL. On pratique la ligature de presque t
ique la ligature de presque toutes les artères un peu volumineuses du
membre
abdominal, de la pédieuse à l'iliaque externe, su
fixé dans l'extension par des aides, le chirurgien placé en dehors du
membre
, inciser suivant une ligne qui s'étend, un peu ob
nation, la jambe étendue, rapprochée du chirurgien placé en dehors du
membre
, et fixée par des aides, l'un contenant le genou
ongueur de huit à neuf centimètres, en agissant de haut en bas sur le
membre
droit et de bas en haut sur le membre gauche; inc
agissant de haut en bas sur le membre droit et de bas en haut sur le
membre
gauche; inciser d'un second coup l'aponévrose d'u
aison que M. Manec choisit la ligne moyenne. Procédé opératoire. Le
membre
en demi-flexion et couché à plat sur sa face inte
i-flexion et couché à plat sur sa face interne, la face antérieure du
membre
tournée vers l'opérateur, inciser du premier coup
du soléaire et plus haut par celui du jumeau. Procédé ordinaire. Le
membre
étant dans la situation indiquée plus haut, conte
ique, pag. 37 et pl. 12. Manuel opératoire. Procédé ordinaire. Le
membre
étant couché sur sa face interne, la face antérie
s les cas, le malade étant couché sur la face antérieure du tronc, le
membre
abdominal, contenu par des aides, repose modéréme
: planche 38, fig. 2.) Le sujet couché de côté ou sur le dos, le
membre
abdominal placé sur sa face externe, la cuisse da
iale antérieure. 2° Incision oblique. (Procédé de M. Marshal.) Le
membre
placé comme il a été dit plus haut, reconnaître p
rde de léser ces gaînes. Déposant alors le bistouri, faire fléchir le
membre
, soulever et décoller avec l'indicateur le bord d
r la cuisse, la face antérieure du genou tournée vers l'opérateur, le
membre
est fixé par des aides dont le plus intelligent,
aides dont le plus intelligent, placé à gauche de l'opérateur pour le
membre
droit et vice versa, comprime l'artère fémorale s
ôté sur lequel on opère incliné vers le chirurgien placé en dehors du
membre
, pratiquer sur le trajet des vaisseaux, à partir
u pied tournée en haut et en dedans, le chirurgien placé en dehors du
membre
, tracer en idée une ligne oblique qui de la saill
iques qui masquent'les vaisseaux chez les sujets obèses. ARTÈRES DU
MEMBRE
THORACIQUE. On pratique la ligature de toutes l
On pratique la ligature de toutes les artères un peu volumineuses du
membre
thoracique depuis les branches digitales jusqu'à
suit. 2° Ligature au tiers inférieur de l'avant-bras (pl. 4o). Le
membre
étendu et fixé en supination, sa face palmaire to
s rond pronatcur, grand et petit palmaires et cubital antérieur. Le
membre
étant placé dans l'extension et la supination, ti
natcur et du grand palmaire ; séparant et divisant cet interstice, le
membre
mis en flexion et demi-pronation, puis écartant e
aumatique. Si, par sa situation au centre du mouvement d'extension du
membre
le plus long , l'artère poplitée est le siège le
dinaire de l'anévrisme spontané, l'artère humérale, qui appartient au
membre
le plus mobile , doit être, par cela même, la plu
lle. Manuel opératoire. i° Ligature au pli du bras (pl. 4o). Le
membre
placé dans l'extension et la supination, et légèr
placé en dehors ; un aide, à gauche de l'opérateur si on agit sur le
membre
droit, ou à gauche du chirurgien si on agit sur l
agit sur le membre droit, ou à gauche du chirurgien si on agit sur le
membre
gauche , étant chargé de contenir le membre à son
rurgien si on agit sur le membre gauche , étant chargé de contenir le
membre
à son extrémité scapulaire et en même temps, ce q
'ordinaire. 2" Ligature ¿1 la partie moyenne du bras (pl. /\a ). Le
membre
placé comme il a été dit plus haut, l'opérateur e
humérale, et non, comme tous les chirurgiens, axillaire, l'artère du
membre
tho-racique au - dessous du grand pectoral. Le ma
et les aides, placés dans les situations respectives convenables; le
membre
écarté du corps dans l'extension et l'abduction e
une sorte de griffe, le pouce faisant opposition sur l'autre face du
membre
, refouler et déprimer en arrière le biceps, le co
et s'assurer que cette compression fait cesser les battemens dans le
membre
. Alors, en se servant de l'indicateur gauche conn
RE ILIAQUE EXTERNE (pl. 47, %• 2 ) '. La ligature du grand tronc du
membre
abdominal est véritablement l'une des conquêtes l
de circulation dans les parties situées au-dessous; et l'isolement du
membre
lui-même, en excluant toute possibilité d'anastom
dans le parallèle de la ligature entre les troncs artériels des deux
membres
, celle de la sous-clavière a fourni des résultat
breuses anastomoses qui facilitent le retour delà circulation dans le
membre
, mais seulement après un laps de temps qui a perm
igature a été suivie de l'accident qui lui est propre, la gangrène du
membre
. Il n'y a certainement en chirurgie qu'un petit n
cas de rétrécissement sans cause connue trouvés sur des cadavres, les
membres
inférieurs étant bien nourris (.I.-F. Meckel) etc
re do l'artère humérale, la tumeur a reparu (Dupuytren, Breschet). Au
membre
inférieur, dans deux cas de ligature de l'artère
réussi à guérir par la compression locale divers ané-vrismes aux deux
membres
; Acrel a obtenu le même succès pour un anévrisme
t sur la tumeur, mais également au-dessus, au-dessous, et sur tout le
membre
. Les moyens de l'exercer n'ont pas moins varié qu
e ; le tout fixé par un bandage contentif approprié. B. Sur tout le
membre
. Ce mode de compression, qui commence par l'extré
permet. Toutefois il est bon d'y adjoindre la compression de tout le
membre
au-dessous, qui évite les effets de l'engorgement
é le bandage de Sennefio, préconisé par M.Freer. Il consiste, pour le
membre
, en un bandage spiral ; la compression au-dessus
des corps étrangers engagés dans les os ou dans les chairs, pour les
membres
ou les parois du tronc; quant à ceux qui ont péné
ses mastoïdes. On en a vu également sur divers points de la face; aux
membres
, elles se trouvent plus souvent sur les parties e
trouvent plus souvent sur les parties exposées à des frottemens : au
membre
thoracique, l'épaule, le coude, la main; au membr
es frottemens : au membre thoracique, l'épaule, le coude, la main; au
membre
abdominal, les fesses, les genoux, les pieds. Qua
gles. M. Velpeau cite quatre faits de cette nature, où la surface des
membres
en était comme hérissée. Procédés opératoires.
sur les parois du crâne, à la face, au pourtour du thorax et sur les
membres
. M. Tassery en a vu à la main dont il a fait la r
s parois du thorax, à la main, au pied et en divers autres points des
membres
. En résultat général, surtout pour les tumeurs où
signifiante sinon funeste. (b) La ligature des troncs artériels des
membres
n'a pas été pratiquée aussi souvent, les tumeurs
tiquée aussi souvent, les tumeurs érectiles et fongueuses offrant aux
membres
plus de latitude dans le choix des diverses métho
importance et l'on devrait presque dire l'insignifiance relative des
membres
dans l'organisme a permis d'obtenir de meilleurs
us fréquentes dans les opérations sur la tête que dans celles sur les
membres
. 5° Dès que la masse principale est enlevée, on
mps la peau en haut et en dehors, il pratique, suivant la longueur du
membre
, une incision dont l'étendue varie d'après le vol
'eau blanche. La plupart des chirurgiens recommandent de maintenir le
membre
dans l'extension; M. Malgaigne préfère la flexion
ion artificielle; 3° enfin, en excisant l'un des os pour redresser le
membre
lorsque l'ankylose est accompagnée d'une déviatio
les de compromettre la vie, ou de nécessiter au moins l'amputation du
membre
, on jugera, eommejious, qu'il est plus sage et pl
suite de fractures non consolidées, dans lesquelles les fonctions du
membre
étaient en partie conservées, avaient pu instruir
ne dura que sept minutes et il n'y eut pas la moindre hémorragie. Le
membre
fut ramené de sa position vicieuse et maintenu da
matoires furent calmés, on commença à imprimer de légers mouvemens au
membre
; au soixantième jour la plaie était cicatrisée. A
t de l'hôpital complètement guéri. 3° Excision de l'os. Lorsqu'un
membre
est ankylosé dans une position vicieuse, qui le r
tiellement l'articulation déformée, pour favoriser le redressement du
membre
; telle est l'idée qui conduisit M. Barton à une o
raits de scie, il en excisa un fragment cunéiforme; puis, ramenant le
membre
dans sa situation normale, il le plaça dans l'ext
n favorise ensuite l'action adhesivo par le repos et en maintenant le
membre
dans un appareil contentif. 20 Compression. On
eil contentif. 20 Compression. On l'obtient en appliquant autour du
membre
une enveloppe formée à l'extérieur d'un fort cuir
dis qu'on recommande au malade d'exercer, autant qu'il le pourra, son
membre
ainsi comprimé (White). On pourrait encore exerce
te par la suite comme dans une fracture compliquée et on maintient le
membre
dans un appareil contentif. Il est indispensable,
ment suffisant pour le passage de l'aiguille, l'opérateur traversa le
membre
de part en part avec une aiguille à séton ordinai
ce ne fut que lorsque la suppuration fut bien établie qu'on plaça le
membre
dans un appareil à extension. Douze semaines aprè
nt ou déplacement des fragmens; 2° lorsque, par un usage prématuré du
membre
, le cal, qui n'était point encore assez solide, a
rable de l'os. Dans ces deux cas il en résulte un raccourcissement du
membre
, auquel on a essayé de remédier par plusieurs pro
droit saillant au côté externe de la cuisse. Il en résultait, pour le
membre
, un raccourcissement cle douze travers de doigt.
résisté aux efforts assez violens exercés sur les deux extrémités du
membre
, il fallut agrandir l'incision des parties molles
fut ainsi achevée en très peu de temps et presque sans hémorragie. Le
membre
fut mis clans l'extension permanente et un succès
oussa l'aiguille dans les chairs et lui fit traverser complètement le
membre
. Il n'y eut plus qu'à passer un séton à la manièr
à extension fut mis en usage, et on obtint un allongement tel que le
membre
n'était plus court que l'autre que de quatre mill
r M. Lucas, elle amena des accidens qui nécessitèrent l'amputation du
membre
. Elle ne réussit guère mieux à Dupuytren, qui vit
on a acquis assez de solidité pour permettre au malade l'usage de son
membre
sans crainte d'une fracture ou d'une incurvation.
horax et sur des points trop rapprochés des grandes articulations des
membres
. Avant d'opérer il faut avoir fait disposer un
ais rejetée clu cadre d'une saine chirurgie. Trépanation des os des
membres
. On trouve dans les anciens de nombreux exemple
s anciens de nombreux exemples d'application du trépan sur les os des
membres
pour des indications très variées, telles que la
du canal médullaire, etc. Mais aujourd'hui la trépanation des os des
membres
, comme celle des os de la poitrine, se confond pr
malade les grandes mutilations qui résultent de la perte totale d'un
membre
ou de l'une de ses fractions. Historique. Conse
les os prêtent à l'appareil locomoteur, afin d'éviter l'amputation du
membre
, telle est l'idée qui domine les résections, tel
oit dénuder et scier que la portion d'os malade, sans désarticuler le
membre
et le séparer du corps. » Presque dans le même te
dar-throse. Le premier de ces états se traduit, dans les fonctions du
membre
, par un raccourcissement et entraîne l'immobilité
e fausse articulation, le raccourcissement existe également; et si le
membre
a conservé une grande partie de ses mouvemens, ce
is qu'aux dépens de ses conditions statiques. On conçoit que dans les
membres
inférieurs ce dernier résultat est plus funeste q
e que « peut-être faut-il renoncer à « jamais aux résections pour les
membres
inférieurs, particu-« fièrement pour l'articulati
rs, particu-« fièrement pour l'articulation du genou. » Mais dans les
membres
supérieurs, où la conservation des mouvemens est
es résec* tions ont des avantages éviclens, particulièrement pour les
membres
supérieurs et dans certains cas spéciaux (pie nou
x parties situées au-dessous. C'est ainsi cpie dans la continuité des
membres
et dans les articulations orbiculaircs l'incision
sseaux et les nerfs étant généralement situés à la partie interne des
membres
; dans les articulations g in gly moi claies on p
ions les plus favorables pour obtenir la guérison. Si on opère sur le
membre
abdominal, il faudra chercher à obtenir la soudur
r dans la direction rectiligne la plus convenable pour la fonction du
membre
. On atteint ce double but au moyen des différens
de l'appareil salies par le pus, sans causer de déplacement. Pour le
membre
thora-cique,on tâche d'obtenir une articulation a
s, nous n'avons pas à nous en occuper. RÉSECTIONS EN PARTICULIER.
MEMBRE
THORACIQUE. Toutes les parties de la main sont
s, du milieu de chacune des plaies latérales vers la ligne moyenne du
membre
, de manière à faire rencontrer les deux trajets s
n est pluscommode, en commençant par l'un ou l'autre côté, suivant le
membre
sur lequel on agit. La même manœuvre est recommen
on écarte et on dénude les os jusque sur les limites du mal; puis, le
membre
étant reporté en pronation, on insinue la scie à
ction se trouve ainsi presque entièrement conservée pour l'utilité du
membre
après la guéri son. Pansement. L'avant-bras ten
de nouvelle formation réunit les deux bouts de l'os, et maintient le
membre
dans sa rectitude. Peu à peu l'avant-bras reprend
é de Park. Pratiquer une incision postérieure et parallèle à l'axe du
membre
, étendue à six centimètres (deux pouces) au-dessu
he les lambeaux à l'aide de quelques points de suture entortillée; le
membre
entouré de l'appareil de Scultet est mis dans la
s insertions sont conservées au bénéfice des mouvemens dont jouira le
membre
après la guérison; l\° enfin cette opération, en
tumeur enlevée, de nature encéphaloïde, pesait cpiatre kilogrammes.
MEMBRE
ABDOMINAL. Le squelette clu pied étant entièrem
a jambe en commençant par la résection du péroné. Premier temps. Le
membre
étant tourné en dedans et convenablement fixé par
érieure de l'articulation aussi loin que possible. Puis retournant le
membre
en dehors afin de dégager l'incision interne, on
par-dessus le bandage de Scultet, dontonaura préalablement entouré le
membre
. Supprimer les deux incisions transversales de
en grande partie la responsabilité. Deux malades ont survécu avec un
membre
dont ils ne pouvaient se servir. Enfin dans quatr
t la branche transversale comprendra la moitié de la circonférence du
membre
. Les quatre angles de la plaie étant relevés et é
aie réunis par quelques points de suture entortillée. On entourera le
membre
avec un appareil de Scultet, et le tout sera main
et avec une claudication si considérable qu'elle rendait l'action du
membre
peu utile et très pénible. Les prévisions de Chau
errière l'articulation, tailler, aux dépens des chairs delà racine du
membre
, un large lambeau à convexité inférieure ; après
ltération des os. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LA TOTALITÉ D'UN
MEMBRE
OU SUR LUNE DE SES FRACTIONS. AMPUTATIONS. AM
s, et limite de toutes nos recherches historiques. L'amputation des
membres
n'a pas été inventée par suite d'un raisonnement
trop long-temps on laissa la gangrène opérer seule la séparation des
membres
, en se contentant de la favoriser par des topique
ère, et donnèrent la hardiesse de porter le fer sur la continuité des
membres
; encore la main mal assurée du chirurgien s'arrêt
oupé chemin à la mortification, enveloppait avec du sparadrap tout le
membre
mortifié et attendait patiemment que la jointure
ortifié et attendait patiemment que la jointure fût séparée et que le
membre
tombât de lui-même. Que cette méthode cruelle ne
ecs, amputatio des Latins) est généralement définie : l'ablation d'un
membre
ou d'une partie|de membre, clans la continuité ou
est généralement définie : l'ablation d'un membre ou d'une partie|de
membre
, clans la continuité ou la contiguïté, à l'aide d
tations. Depuis on s'est peut-être montré trop facile à retrancher un
membre
; mais, en restant dans de justes bornes, que d'in
proscrites, surtout quand elles portent sur les grandes divisions des
membres
. Pour celles de nécessité, on doit mûrement exami
ion; mais on ne peut admettre de nécessité absolue qu'à la racine des
membres
: partout ailleurs ce n'est qu'une nécessité rela
là encore des lieux de nécessité? D'un autre côté, tous les points du
membre
ne sont-ils pas des lieux de nécessité, ou d'élec
ais dont la première idée a été fournie par la ligature circulaire du
membre
, fort en usage avant Morel ; 2° de quatre couteau
La méthode circulaire, suggérée la première par la structure même des
membres
, est en apparence la plus simple, comme l'entenda
une ligature fort étroite, et on coupera toute la chair à l'entour du
membre
, trois ou quatre doigts au-dessous du mal;... la
marqués clans les désarticulations, pour opérer sur des fractions cle
membre
inégalement pourvues de parties molles, ou dont l
entions dont on ait pu doter la chirurgie. Quel que soit le plan du
membre
auquel elle se rapporte dans les procédés différe
éger les chairs; de façon que les chefs soient repliés sur la face du
membre
qui est le moins garnie de muscles, afin que la p
cadre que nous nous sommes tracé. AMPUTATIONS DANS LA CONTINUITÉ.
MEMBRE
THORACIQUE. Historique général. Les amputations
INUITÉ. MEMBRE THORACIQUE. Historique général. Les amputations du
membre
thoracique ont moins occupé l'attention des ancie
bre thoracique ont moins occupé l'attention des anciens que celles du
membre
abdominal, ou parce qu'ils les pratiquaient plus
ngagés à présenter d'ensemble l'historique général des amputations du
membre
thoracique, afin de lui donner un peu plus d'inté
amputation du bras des préceptes raisonnes. Dans les amputations du
membre
thoracique, sauf quelques exceptions pour l'avant
es cas extrêmes et pratiquées seulement sur les grandes divisions des
membres
: on conçut l'idée des amputations partielles. Ma
éthode pour les fractions terminales que pour les autres sections des
membres
. AMPUTATION DANS LA CONTINUITÉ DES PHALANGES (p
pagation cle l'inflammation ou de fusées purulentes vers la racine du
membre
est donc spécialement favorisée par le tissu cell
du point de section, suivant le côté de l'amputation; porter sous le
membre
la main droite armée du couteau, appliquer le tra
ière manœuvre est rendue impossible par la conicité trop prononcée du
membre
, on incise la peau plus bas en avant qu'en arrièr
ar M. Velpeau. L'avant-bras tourné en pronation, porter par-dessus le
membre
, sur la face dorsale du cubitus, le couteau la po
eau, inciser les parties molles attachées au radius, reporter sous le
membre
le couteau sur le cubitus et pénétrer dans l'espa
lement l'espace inter-osseux en haut et en bas, porter par-dessous le
membre
le tranchant du couteau sur le bord externe du ra
r-osseuses; réunir transversalement suivant le plus grand diamètre du
membre
: les angles s'effacent bientôt par le travail de
s , et conseillent la dissection des té-gumens. Au tiers supérieur du
membre
, M. Malgaigne propose, dans son Anatomic chirurgi
n postérieur. Procédé à deux lambeaux (imité de Vermale). Placer le
membre
en supination, enfoncer le couteau du bord intern
emble, au premier abord, convenir davantage à la structure aplatie du
membre
, devoir protéger plus efficacement les os, et pro
ter cette méthode, on s'écarte de la règle qui veut qu'on conserve du
membre
la plus grande longueur possible. En effet, on pe
arté du tronc, la peau tirée en haut, le couteau porté par-dessous le
membre
sur la partie moyenne du biceps, inciser circulai
upérieur. MM. Bégin et Sanson, qui ont étendu cette méthode à tout le
membre
, conseillent un lambeau unique, pris en avant, en
oit et de la main droite pour le bras gauche, la partie inférieure du
membre
. De la main restée libre il taille en frappant de
in droite en se mettant, suivant le besoin, en dedans ou en dehors du
membre
. Quant aux lambeaux, ils seraient plus abon-dans,
dans tous les cas, la méthode à lambeaux aux deux tiers inférieurs du
membre
nous paraît, comme à M. Velpeau, une aberration d
. Velpeau, une aberration de l'esprit de système. Nul autre point des
membres
n'est plus défavorable pour cette méthode ; et nu
direction oblique, est accolée avec des bandelettes agglutinatives.
MEMBRE
ABDOMINAL. AMPUTATIONS DU PIED. Analomie opérat
ôté externe et surtout à la face postérieure. Au mollet, le centre du
membre
se trouve en arrière clu tibia; et le grand diamè
ussinet. Pour éviter les fusées purulentes, il convient d'entourer le
membre
d'un bandage roulé, modérément serré, et de laiss
eux angles cle la peau dans le tiers antérieur de la circonférence du
membre
, les relever, détacher seulement les brides en ar
introduites dans cette amputation consistent à se placer en dedans du
membre
, à ménager la patte d'oie et le tendon rotulien,
e rétracte facilement sous l'influence des mouvemens qu'on imprime au
membre
. Méthode circulaire (pl. 82 ). Procédé de Lou
s os, pour laquelle l'opérateur doit être nécessairement en dedans du
membre
: mais, pour concilier les deux opinions, rien n'
bre : mais, pour concilier les deux opinions, rien n'empêche, pour le
membre
droit, de commencer l'opération en dehors et de l
e le commencement de 1 incision sur la crête du tibia, porter sous le
membre
le bras, dont la main, armée du couteau, est fort
emps. Il est bon de considérer ici, avec M. Lisfranc, quatre faces au
membre
, de ménager les coups du couteau en conséquence,
e du couteau et l'action du rétracteur; porter ensuite par-dessous le
membre
le couteau sur l'espace inter-osseux antérieur, l
sant de scier ces deux os ensemble quand l'opérateur est en dehors du
membre
. Serrer fortement le péroné contre le tibia, selo
pe si éminemment vrai, et déjà émis par Botal, qu'il faut amputer les
membres
aussi loin que possible du tronc ; principe qu'on
irs, et de les remonter après leur incision; un quatrième soutient le
membre
sain pour prévenir les mouvemens et la fatigue de
MÉTHODE CIRCULAIRE. L'opérateur se place généralement en dehors du
membre
qu'il va amputer. Les chirurgiens anglais se mett
e mettent toujours à droite du malade, et ne craignent pas d'avoir le
membre
sain entre eux et le membre qu'ils opèrent. M. Ve
du malade, et ne craignent pas d'avoir le membre sain entre eux et le
membre
qu'ils opèrent. M. Velpeau s'élève avec force con
t la position assignée pour la jambe, porte le couteau par-dessous le
membre
, sur sa face antérieure, et incise circulairement
et; si le tour du couteau n'a pas intéressé toute la circonférence du
membre
, on l'achève en faisant agir l'instrument devant
les muscles jusqu'à l'os en quatre temps, suivant les quatre faces du
membre
, laisse un peu rétracter les chairs et, d'un troi
r par la torsion. M. Bau-dens m'a assuré que pour ces gros troncs des
membres
il emploie avec sécurité la torsion avec le refou
vaste interne et, inclinant fortement le tranchant vers la racine du
membre
, tomber sur l'os à trois travers de doigt plus ha
tion des parties molles de la même manière. Procédé de Valentin. Le
membre
dans l'abduction, la cuisse étendue sur le bassin
r la cuisse, couper les chairs de la partie antérieure et interne; le
membre
dans l'adduction, la cuisse fléchie sur le bassin
ale (pl. 86). Le chirurgien est placé ordinairement en dehors pour le
membre
droit, en dedans pour le gauche. Pour la cuisse d
mpossible par Wardenburgh, si on le pratique sur toute l'épaisseur du
membre
; mais il convient très bien pour la section des
unir, mais contre celle de toutes les parties molles qui entourent le
membre
. AMPUTATIONS DANS LA CONTIGUÏTÉ. Dans les amp
GUÏTÉ. Dans les amputations qui se pratiquent sur la continuité des
membres
les combinaisons opératoires se rapportent surtou
ralisées pour les désarticulations. Les formes variées que prend le
membre
, les dispositions irrégulières des parties molles
tre elles les articulations qui se correspondent dans l'un et l'autre
membre
, prenant garde toutefois cle mettre en regard, po
core de l'analogie entre elles parce que dans la première la forme du
membre
est autant déterminée par les parties molles que
uite on peut croire qu'il préfère la chute naturelle des fractions du
membre
à leur ablation mécanique, et cependant il comman
mpue de témoignages, d'abord, que l'amputation dans la continuité des
membres
fut pratiquée à toutes les époques depuis Ilippoc
avec l'articulation cherchée; pour trouver ces tubérosités on met le
membre
dans la situation qui les fait proéminer davantag
ur les deux extrémités du plus grand diamètre de l'article, mettre le
membre
dans une demi-flexion, quand on ouvre l'articulat
d'établir la possibilité chirurgicale de l'amputation à la racine des
membres
, et dans beaucoup de circonstances de limiter à u
raction de parties qu'il faudrait étendre à la fraction supérieure du
membre
dans sa continuité. AMPUTATION DANS LA CONTIGUÏ
eure du membre dans sa continuité. AMPUTATION DANS LA CONTIGUÏTÉ DU
MEMBRE
THORACIQUE. amputations dans les articulations
rizontale, elle se trouve coupée, presque à angle droit, par l'axe du
membre
; le plan inter-articulaire forme une autre ligne
irculaire. — Procédé de M. Velpeau. i° L'opérateur placé en dehors du
membre
, faire une incision circulaire, bornée à l'épaiss
Baudens (pl. 91, fig. 1 ). i° L'avant-bras étendu, la face externe du
membre
tournée en haut, tracer un trait d'encre sur la p
travers de doigt plus haut que la première, puis, placé en dehors du
membre
, réunir ces deux traits par une section ovalaire
aste lambeau externe. Méthode a un lambeau. — Procédé deBiasdor. Le
membre
placé dans l'extension, à un centimètre au-dessou
rculaire à convexité inférieure qui comprend la demi-circonférence du
membre
, et diviser, par un second coup, le tendon du tri
l'olécrane du triceps. Procédé de Dupuytren (pl. 73, fig. 1). i°Lc
membre
en supination complète et légèrement fléchi, l'op
ser horizontalement les parties molles sur la face postérieure. 3° Le
membre
rappelé dans l'extension, couper les ligamens et
r la section des parties molles par celle de la moitié postérieure du
membre
, en rejoignant la première section, de manière à
ndre les deux en une incision circulaire. Procédé de M. Cornuau. Le
membre
relevé, diviser la peau à quatre travers de doigt
L. Sanson (pl. 76). C'est en fait la méthode circulaire complète. Le
membre
élevé horizontalement et saisi fortement, en plei
nt, en plein, par la main gauche du chirurgien placé en avant pour le
membre
droit, en arrière pour le gauche, l'artère sous-c
s l'aisselle : 10 offrir le couteau perpendiculairement en travers du
membre
, à vingt-sept millimètres au-dessous de l'aeromio
dé de Desaidt. L'artère préalablement comprimée entre lesscalènes, le
membre
soulevé dans une demi-abduction, au rapport de Gi
sions en V. Dans ce procédé, le chirurgien étant placé en dehors du
membre
, il est difficile de faire les deux incisions obl
Ainsi, partant du dessous de l'acromion, il contourne obliquement le
membre
en avant, élève le bras, parcourt l'espace de l'a
'espace de l'aisselle jusqu'à son bord postérieur et, vu le volume du
membre
cpti ne lui permet pas de continuer de suite, rep
nd nombre de considérations , dont les unes se rapportent à l'état du
membre
et les autres aux conditions de la méthode et du
désorganisées dans une certaine étendue sur l'une ou l'autre face du
membre
, de manière à ne pouvoir être conservées, c'est f
rs avec dégénérescence. Suivant le cas, il s'agit d'emporter, avec le
membre
en entier, tantôt une portion de l'omoplate, tant
réunion pour chaque cas spécial. AMPUTATIONS DANS LA CONTIGUÏTÉ DU
MEMBRE
ABDOMINAL. D'après l'analogie des articulations
s l'analogie des articulations, les amputations dans la contiguïté du
membre
abdominal correspondent généralement à celles du
contiguïté du membre abdominal correspondent généralement à celles du
membre
thoracique par le nombre des opérations, le choix
s du lit, le chirurgien, armé d'un couteau droit, se place en face du
membre
à opérer. Pied gauche. 10 La plante du pied saisi
e bottine analogue à celle de M. Mille. A sa mort, arrivée en 1834, h
membre
a été disséqué par M. Le-noir, qui a constaté qu'
a donné le premier exemple d'ablation par la séparation spontanée du
membre
dans son pli de jointure. Ainsi elle est vaguemen
toutes récentes. Méthode a lambeaux. — Procédé de Hoin (pl. 84). Le
membre
étant étendu, la jambe saisie au-dessous de la ro
yles en parcourant les trois quarts antérieurs de la circonférence du
membre
: cette incision divise du premier coup la peau,
anciens et le moyen-âge, qui ont commencé à aborder l'amputation des
membres
par les désarticulations, n'avaient point porté l
enfant de quatorze ans, par Lacroix d'Orléans, après un sphacèle des
membres
causé par le seigle ergoté : cas à la vérité impé
pénètre du premier coup jusque sur l'articulation; incliner alors le
membre
en dedans, ouvrir la capsule avec la pointe du co
ambeau interne et antérieur d'une longueur proportionnée au volume du
membre
, mais nui ne doit pa» avoir moins de sept travers
ligature étant pratiquée d'abord et le chirurgien placé en dehors du
membre
: i° insinuer la pointe d'un long couteau droit à
rimée sur le pubis par un aide ; le chirurgien est placé en dedans du
membre
et se servira de préférence de la main droite pou
edans du membre et se servira de préférence de la main droite pour le
membre
droit et delà main gauche pour le membre gauche :
ce de la main droite pour le membre droit et delà main gauche pour le
membre
gauche : toutefois, s'il n'est pas ambidextre , l
rne et interne: pl. 89, fig. 2). Le chirurgien est place en dehors du
membre
le long de la cuisse pour le côté gauche, et le l
es débordant un peu le plan sur lequel il repose; un aide soutient le
membre
étendu la cuisse légèrement fléchie sur le bassin
ue dans une demi-abduction, et le chirurgien placé au côté externe du
membre
: armé d'un long couteau à un seul ou à deux tran
et, inclinant un peu le couteau en bas, ressortir au côté interne du
membre
au-dessus de la tubérosité sciatique, par un mouv
ression, sur la grosse tubérosité sciatique, de la branche interne du
membre
artificiel dans la station, la cicatrice se trouv
t au procédé en lui-même: le chirurgien étant placé en dehors pour le
membre
gauche et, pour plus de facilité, en dedans pour
rs pour le membre gauche et, pour plus de facilité, en dedans pour le
membre
droit, quoique la section puisse se faire égaleme
on de l'artère fémorale est exercée, sur le pubis, par un aide. i° Le
membre
supporté par un autre aide, dans l'extension, ave
désorganisation des tegumens s'étend assez haut à la circonférence du
membre
pour exclure tout autre procédé. La méthode ovala
tête, du cou, du thorax et de l'abdomen, 14—16.— Loges et cavités des
membres
, 17, 18. = Considerations physiologiques, 18, 19.
que, 24. — Cavité abdomino-pelvienne, 25— 27. — Cou et tête, 27, 28. —
Membres
, 28. ANATOMIE TOPOGRAPHIQUE. CRANE. Région fr
axillaire, 47. — Région scapulo-humérale, région scapulaire, 48.
MEMBRE
THORACIQUE. Région brachiale interne et antérieur
eure, région du poignet, région palmaire, 51. — Région dorsale, 52.
MEMBRE
ABDOMINAL. Région inguino-fémorale, 52, 53.—Régio
sous-orbitaire, nerf dentaire inférieur, 137. — Nerf facial, nerf des
membres
, 138. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES VAIS
Ligature des artères, 154—179. Généralités, 154—156. = Artères du
membre
abdominal. Pédieuse, 156. —Tibiale antérieure, 15
Poplitée, 159—161. — Fémorale, 161—164. — Fessière, 164. = Artères du
membre
thoracique. Radiale, 164, 165.—Cubitale, 165, 166
n, 205. — Résection, 206. Trépanation. Os du crâne, du tronc et des
membres
, 207—210. Résections. Généralités, 210—212. — A
sections. Généralités, 210—212. — Appareils et instrumens, 212—213. =
Membre
thoracique. Résection de l'articulation métacarpo
lo-humérale, 217—219. — De la clavicule, 219. — De l'omoplate, 220. ^
Membre
abdominal. Résection du premier os métatarsien, 2
tèbres, 228, 229. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LA TOTALITÉ D'UN
MEMBRE
OU SUR SES FRACTIONS. Page 229—275. AMPUTATIO
Amputations dans la continuité. amputations dans la continuité du
membre
thoracique. Amputations de la main. Des phalang
6. = Amputation du bras, 236—238. amputations dans la continuité du
membre
abdominal. Amputations du pied. Des orteils, 23
Historique, généralités, 250—253. amputation dans la contiguïté du
membre
thoracique. Amputations dans les articulations
tion de l'épaule et du bras, 264. amputations dans la contiguïté du
membre
abdominal. Amputations dans les articulations m
axillaire. 36. Région scapulo-humérale. 37. Région scapulaire.
MEMBRE
THORACIQUE. BRAS. 38. Région brachiale antéri
e postérieure. MAIN. 47. Région palmaire. 48. Région dorsale.
MEMBRE
ABDOMINAL. CUISSE. 49. Région inguino-fémoral
URGICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONÉVROSES, VAISSEAUX ET NERFS DU
MEMBRE
THORACIQUE. Figure i. — Plan antérieur. Figure
TOMIE CHIRURGICALE. PLANS DE SECTIONS TRANSVERSALES DU COU, ET DU
MEMBRE
THORACIQUE, A DIVERSES HAUTEURS. Figure 1. Plan
Frey. ANATOMIE CHIRURGICALE. PLANS DE SECTIONS TRANSVERSALES DU
MEMBRE
ABDOMINAL A DIVERSES HAUTEURS. Figure i. — Plan
idente de pouvoir se rendre maître à volonté du cours du sang dans le
membre
thoracique, surtout d'après la remarque que nous
b. Instrument fabriqué parMr Charrière COMPRESSION DES ARTÈRES DU
MEMBRE
THORACIQUE. ADULTE, DEMI-NATURE. Cette planch
ette planche représente les divers modes de compression usités sur le
membre
thoracique. Dans le milieu de la planche sont les
mmande la plaque d'opposition (c), agissant sur le diamètre opposé du
membre
. Une compresse en double (d) préserve la peau de
me convenable, sur laquelle elle s'applique. Le lacs qui enveloppe le
membre
circulairement est fixé de chaque côté de la pelo
de Mr. Charrière Imp. Becquet, Paris. COMPRESSION DES ARTÈRES DU
MEMBRE
ABDOMINAL. ADULTE, DEMI-NATURE. FIGURE 1. COM
arrière. VENTOUSES-JUNOD. TIERS DE DIMENSION DE L'APPAREIL ET DES
MEMBRES
. DISPOSITION GÉNÉRALE. Cet appareil se compos
obinet. Ces cylindres sont assez spacieux pour recevoir l'un des deux
membres
thoracique ou abdominal. A l'extrémité libre s'ad
trémité libre s'adapte un ajutage en cuivre, par lequel on insinue le
membre
. Chaque cylindre est muni de plusieurs de ces aju
dont l'orifice libre varie de diamètre, pour s'adapter au volume des
membres
chez divers sujets. Au robinet situé à l'extrémit
ES \ ET 2. 1. Cylindre en cristal, dans lequel se trouve enfermé le
membre
gauche, soit abdominal (fig. 1), ou thoracique (f
2). 2. Ajutage en cuivre, qui s'adapte à l'extrémité supérieure du
membre
. 3. Bourrelet circulaire, formé par la peau, qu
ibule aérien qui précède la pompe. FIGURE 3. PROFIL DE L'AJUTAGE DU
MEMBRE
ABDOMINAL. Il a pour objet de montrer la différ
c la cavité d'autant de cylindres qui renferment isolément les quatre
membres
. L'action s'exerce ou simultanément sur plusieurs
les quatre membres. L'action s'exerce ou simultanément sur plusieurs
membres
, ou successivement sur un membre après l'autre, t
erce ou simultanément sur plusieurs membres, ou successivement sur un
membre
après l'autre, trois robinets étant fermés pendan
c la même pompe d'agir, suivant le besoin, sur un, deux, ouïes quatre
membres
, soit par aspiration, soit par refoulement. 2,
SAIGNÉE DU BRAS, FIGURES I, l ET 3. Figure 1. Elle représente le
membre
thoracique droit, disposé pour l'opération de la
. La ligature circulaire (a), nouée sur la face antérieure externe du
membre
, produit le gonflement des veines superficielles:
atiques. (6) Fig. 2. Groupe principal des vaisseaux lymphatiques du
membre
thoracique. 3° Nerfs. (7),t fig. 2 et 3. Branches
se serait étendue à un grand nombre d'artères, et d'abord à celles du
membre
thoracique droit. Ce cas est curieux quant au mod
plusieurs années, la circulation était parfaitement rétablie dans le
membre
. La pièce, disséquée et traduite en dessins, mont
te, demi-fléchie, est couchée sur un oreiller, le pied étendu. Sur ce
membre
sont représentées les ligatures de l'artère tibia
ONS. FIGURE 4. LIGATURE DE LA POPLITÉE. (Procédé ordinaire). Le
membre
abdominal droit, légèrement fléchi, est posé sur
stérieure tournée en haut vers le chirurgien placé du côté externe du
membre
. L'opération est pratiquée dans le creux ou losan
IGATURE DE L'ARTÈRE POPLITÉE ;B et B2). (Procédé de M. Marshal). Le
membre
, légèrement fléchi, est couché sur sa face extern
NATURE. DISPOSITION GÉNÉRALE. Le malade étant couché sur le dos, le
membre
abdominal droit,, sur lequel se fait l'opération
besoin, servir de la main droite à l'opération. La lumière, comme le
membre
l'indique, doit venir d'en face ou être donnée pa
OPÉRATIONS. Chacune des deux opérations, représentées sur le même
membre
, a pour auxiliaire deux figures : 2 et 4 reprodui
DEMI-NATURE. DISPOSITION GÉNÉRALE. Le malade, couché sur le dos, le
membre
thoracique droit, sur lequel se fait l'opération,
MI-NATURE. DISPOSITION GÉNÉRALE. Le malade, couché sur le dos, le
membre
thoracique droit, sur lequel se fait l'opération,
n entre les portions axillaire et humérale du grand tronc artériel du
membre
thoracique. Le malade couché sur le dos, le mem
ronc artériel du membre thoracique. Le malade couché sur le dos, le
membre
thoracique écarté du tronc, l'aide de droite de l
paule déprimée, le cou tendu et la tête inclinée en sens inverse ; le
membre
thoracique est légèrement écarté du tronc. La lum
, le cou tendu, et la tête inclinée du côté opposé aux opérations. Le
membre
thoracique est légèrement écarté du tronc. La lum
ant le triceps. Avant de procéder à la réduction et à l'alongement du
membre
, le chirurgien est occupé à détacher et à enlever
INFÉRIEURE DE L'tIUMÉRUS. Le malade étant couché sur le ventre, le
membre
thoracique gauche, un peu écarté du tronc, présen
Résection de la tête humérale. Le malade étant en position assise, le
membre
est maintenu soulevé par la main gauche du chirur
ssé; un troisième aide, auxiliaire du chirurgien et placé en avant du
membre
, soulève de la main gauche la bande de la masse c
les mauvais résultats que donnent, même en cas de guérison, celles du
membre
abdominal en général, principalement pour l'artic
s la figure, l'opération est supposée au moment de sa terminaison. Le
membre
est vu de trois quarts par son côté interne. (a
l'auteur.) Figure 4. Résection de l'extrémité tibio-péronienne. Le
membre
étant couché sur sa face postérieure, le pied con
de la scie. Le chirurgien étant placé en regard de la face externe du
membre
, abaisse de sa main gauche, D, les deux bouts de
sont les tendons péroniers, G. Figure 5. Résection de [astragale. Le
membre
, dans la même situation, est vu par sa face int
ce genre, puisqu'elle permet, sans danger grave, la conservation d'un
membre
non difforme. Une longue incision verticale aya
e l'extrémité du tibia. Figure 3. Réunion de la plaie. Figure 1. Le
membre
abdominal gauche étant couché sur sa face postéri
points de suture entortillée. La dépression de la peau et la forme du
membre
indiquent l'absence des extrémités articulaires.
et con-tre-balancer l'antagonisme des muscles, lorsqu'une portion du
membre
, à laquelle s'inséraient les tendons, est enlevée
eurs mouvemens. Figures 3, 4,5, 6, 7, 8, 9, 10. Extrémités d'os des
membres
provenant dr moignons. (Pièces copiées au Muséum
PUTATION CIRCULAIRE DANS LA CONTINUITÉ DES QUATRE OS MÉTACARPIENS. (
Membre
droit.) Figure 1. Section des chairs sur la face
ON OVALAIRE DANS L ARTICULATION CARPO-ME TA CARPIENNE DU POUCE. (
Membre
droit.) L'incision de la peau et des chairs éta
é de M. Lisfranc.) Un premier lambeau palmaire ayant été taillé, le
membre
en supination, l'opération est représentée au mom
BRAS. FIGURES I , 2 ET 3. amputation girculaire de l'avant-bras. (
Membre
gauche.) La figure 1 représente le premier temp
de la plaie. FIGURE 4. amputation de l'avant-bras a un lambeau. (
Membre
droit.) La figure représente la surface du moigno
ion circulaire dans la contiguïté de l'articulation huméro-cubitale. (
Membre
gauche.) ( Procédé de M. Velpeau. ) La sectio
re par N.H. Jacob. TOME VI. PLANCHES 75 ET 74. AMPUTATIONS SUR LE
MEMBRE
THORACIQUE. ADULTE, DEMI-NATURE. PLANCHE 75.
RE \. amputation a lambeaux dans l'articulation huméro-cubitale. (
Membre
droit.) Après avoir taillé le lambeau antérieur
. e , Autre main du même aide qui soutient le fragment supérieur du
membre
malade. f, Main gauche du chirurgien qui mainti
on, dont l'humérus forme le sommet, k, Main d'un aide qui soutient le
membre
et fronce les chairs en bas. 1,1, Ligatures des
IGURE 4. amputation a lambeaux de la partie supérieure du bras. (
Membre
droit. ) ( Procédé de Sabatier. ) L'opération e
ÉRALE. ADULTE, DEMI-NATURE. PLANCHE 75. Procédé de Dupuytren. (
Membre
gauche. ) FIGURE I. Le malade, assis en attit
PLANCHE 76. AMPUTATION CIRCULAIRE. Procédé d'J/rurson modifié. (
Membre
droit.) FIGURE \. La section circulaire de la
eau achève la section des chairs. Le chirurgien est placé en avant du
membre
. a , Main droite d'un aide qui comprime avec un
comme dans la figure 1. f, Main gauche du chirurgien qui maintient le
membre
comme ci-dessus. g , Sa main droite armée du co
vière. b. Main gauche du chirurgien qui gouverne les mouvemens du
membre
. c. Main droite armée du bistouri convexe , et
E L'ARTICULATION MÉDIO-TARSIENNE. (Opération de Chopart modifiée.) (
Membre
droit.) Figure 1. Désarticulation. Le pied main
, ï)EM I - N A T UR E. AMPUTATION CIRCULAIRE AU LIEU D'ÉLECTION. (
MEMBRE
DROIT.) FIGURE \. SECTION DES CHAIRS. La se
ATION DE LA JAMBE A DEUX LAMBEAUX. ( Procédé de Vermale modifié.) (
Membre
gauche. — Lieu d'élection. ) Figure 1. Section
U. (Au-dessous du lieu d'élection.) (Partie inférieure de la jambe. —
Membre
droit.) FIGURE 4. Section du lambeau. o, Main
ticité d'un ressort, la flexion et l'extension. La figure 12 est le
membre
artificiel modifié par M. Charrière. La figure
E 85. AMPUTATION CIRCULAIRE DE LA CUISSE A SA PARTIE INFÉRIEURE. (
MEMBRE
DB OIT.) figure \. La peau, ayant été coupée
figure 5. AMPUTATION A DEUX LAMBEAUX. ( Procédé de M. Lancjenbeck. —
Membre
gauche. ) On a figuré l'opération à son début,
jenbeck. — Membre gauche. ) On a figuré l'opération à son début, le
membre
contenu par la main gauche du chirurgien, dont la
86 AMPUTATION DE LA CUISSE A DEUX LAMREAUX (interne et externe). (
MEMBRE
DROIT. ) FIGURE \. SECTION DU LAMBEAU. L'op
ssance , sur le pubis. b. Main gauche du chirurgien qui embrasse le
membre
au-dessus de l'opération. Un autre aide, dont l
ision perpendiculaire préalable.) Le chirurgien, placé en dedans du
membre
, une incision longitudinale (g) étant faite sur l
mbeau externe. b. Petit lambeau externe triangulaire, laissé sur le
membre
dans l'écartement des deux incisions. c. Artè
DEMI-NATURE. FIGURE \. PROCÉDÉ DE DELPECH, A UN LAMREAU INTERNE. (
Membre
droit.) La ligature de l'artère fémorale étant
ment, le fil (a) relevé sur l'aine, le chirurgien, placé en dedans du
membre
, a fait, en piquant d'avant en arrière, la secti
intient des deux mains (d, e) les lambeaux relevés; les mouve-mens du
membre
( f ), déjà séparé de la vie, sont gouvernés par
iée ( 1 ). FIGURE 2. AMPUTATION CIRCULAIRE. PROCÉDÉ D'ARERNETHY. (
Membre
gauche.) Le chirurgien est placé en dedans du m
D'ARERNETHY. (Membre gauche.) Le chirurgien est placé en dedans du
membre
. — La ligature de l'artère fémorale étant faite c
. Imp. de Lemercier, Benard et Cie. DIVERSES AMPUTATIONS DES DEUX
MEMBRES
PAR LA MÉTHODE GÉNÉRALE DE M. BAUDENS. ADULTE
escriptions de Ferrier :A, centres pour les mouvements volontaires du
membre
antérieur ; —B, centres pour le membre postérieur
les mouvements volontaires du membre antérieur ; —B, centres pour le
membre
postérieur : — C, mouvements de rotation de la
re de cette circonvolution est occupée par les centres moteurs (A) du
membre
supérieur du côté opposé. Des sillons perpendic
e pariétal supérieur (Ippa), qui est le cen-tre (B) des mouvements du
membre
inférieur, d'après Fer-mer ; 2° le lobule pariéta
e ascendante. Dans une partie de ce lobule réside le centre moteur du
membre
supérieur (À), qui s'étend jusqu'à l'extrémité su
ces de M. Ferrier (1), siégeraient les centres psychomoteurs pour les
membres
. N'est-ce pas là, Messieurs, une coïnci-dence gui
ile. Cette affection avait atteint et atrophié plus ou moins tous les
membres
et surtout ceux du côté gauche. L'autopsie fit
à gauche qu'à droite. L'auteur émet l'opinion que, dans ce cas, les
membres
ayant été de bonne heure complètement paralysés,
noté une atrophie jyip^ (nrcortvolulions cérébrales du côté opposé au
membre
ampute\ Malheureusement, le siège de l'atrophie,
oints psycho-moteurs ne produisait aucun movement musculaire dans les
membres
correspondants, tandis que quelque temps après la
itent aux faisceaux latéraux et qui se traduisent par une parésie des
membres
avec tendance à la contracture. Vous n'ignorez.pa
expériences de Ferrier sur le singe, le siège des centres moteurs des
membres
. Vous voyez, d'après la distribution ar-térielle,
ez le singe, est le siège, selon Ferrier,-du centre des mouvements du
membre
supérieur et, pour une partie, du membre inféri
u centre des mouvements du membre supérieur et, pour une partie, du
membre
inférieur. Dans ce cas, la circon-volution en que
ervation — il existait une hémiplégie complète, per-manente, dans les
membres
supérieur et inférieur du côté opposé (Fig 13).
uvent d'hyperesthésies, de sensations pénibles de tout genre dans les
membres
du côté opposé, d'hallucinations de la vue, etc.,
C'est là, du reste, un détail d'importance secondaire. La tête, les
membres
, le tronc, d'un côté du corps, sont donc affectés
rusquement, à la suite d'un ictus apoplectique, en même temps que les
membres
d'un côté du corps sont frappés d'hémiplégie motr
re, diverses modifications de la sensibilité ou du mouvement dans les
membres
du côté droit du corps (2). Ces faits ne consli-
'un certain degré d'aphasie et d'engourdisse-ment dans la face et les
membres
du côté droit du corps. La céphalalgie, les nausé
atérale droite, très caractérisée, de l'aphasie et une hémiplégie des
membres
du côté droit. A l'autopsie, on trouva dans l'épa
la môme façon chez le lapin. Une faiblesse à peine accentuée dans les
membres
d'un côté du corps, chez cet animal, est la seule
ces de l'écorce cérébrale déter-mine une parésie tempo-raire dans les
membres
du côté opposé du corps ; 2° L'extirpation du noy
de la capsule interne, il se produit du côté opposé du corps, dans le
membre
antérieur et dans le postérieur, non plus une sim
imal ainsi opéré peut encore reposer sur ses mem-bres sains, mais les
membres
affectés pendent flasques, iner-tes, et ne sont p
i-verses parties d'un hé- L mi sphère du cerveau sur le mouvement des
membres
du côté opposé du corps, cette contradiction, dis
oire, mais totale, c'est-à-dire inté-ressant à la fois la face et les
membres
. Il n'y a, à cet égard, aucune différence à relev
ps et jamais des mouvements dis-sociés, localisés par exemple dans un
membre
ou une partie d'un membre (1). Dans le cas d'un
s dis-sociés, localisés par exemple dans un membre ou une partie d'un
membre
(1). Dans le cas d'une lésion destructive de la
, dite tardive (1), qui, dans ces mêmes cas, s'empare tôt ou tard des
membres
paralysés, et joue, d'une façon générale, un rôle
islinclion entre la contracture précoce et la contracture tardive des
membres
chez les apoplectiques. La première se montre dès
uinzième au tren-tième jour après l'attaque, siège' toujours dans les
membres
du côté opposé à la lésion, et s'y établit le plu
rable à l'atrophie que, dans les mêmes circons-tances, présentent les
membres
du côté du corps frappé d'hé-miplégie (hémiplégie
nce motrice, une contracture passagère d'abord, puis per-manente, des
membres
, avec trépidation spontanée ou pro-voquée, etc„ f
beaucoup d'auteurs, qui pourront (1) La contracture permanente des
membres
, comme le montre entre autre l'histoire de l'hyst
venir dans le tableau symptomatique ; c'est ainsi que les muscles des
membres
paralysés qui, d'ordinaire, dans l'hémiplégie per
e prédomine quelquefois con-sidérablement, à un moment donné, dans le
membre
infé-rieur, ou s'étend même parfois au membre inf
n moment donné, dans le membre infé-rieur, ou s'étend même parfois au
membre
inférieur du côté opposé (1). VI. Je ne me su
ue des régions dites psychomotrices détermine des mouvements dans les
membres
ou les autres parties du côté opposé du corps ; e
gions produit un état parétique plus ou moins prononcé dans ces mêmes
membres
, qui tout à l'heure entraient en mouvement sous l
On a depuis longtemps remarqué que, dans la règle, les muscles des
membres
du côté paralysé chez les sujets atteints d'hémip
ns, et il peut arriver que, contrairement à la règle, les muscles des
membres
frappés d'hémiplégie subissent, à un moment donné
auche à la suite d'une hémorragie en foyer de l'hémisphère droit. Les
membres
du côté paralysé qui, de très bonne heure, avaien
ie musculaire était unifor-mément répandue sur toutes les parties des
membres
paralysés et elle s'accompagnait d'une diminution
vie, l'atro-phie musculaire qui avait attiré l'attention, occupait le
membre
supérieur gauche à peu près dans sa totalité. Au
ieur gauche à peu près dans sa totalité. Au contraire, les muscles du
membre
inférieur paralysé ne présentaient pas d'atrophie
conservation des mouvements ; à droite, hyperesthésie et paralysie du
membre
inférieur. La mort eut lieu au bout de quarante-t
si les paraplégies plus ou moins complètes et les paralysies des deux
membres
inférieurs, qui se produisent parfois dans des ca
ie locomotrice, aussi bien clans les mem-bres inférieurs que dans les
membres
supérieurs, les faisceaux de Burdach étaient seul
u côté d'abord respecté, la paraplégie devient complète dans les deux
membres
. C'est donc nécessairement par les cordons anté
t que les faisceaux antéro-latéraux soient coupés des deux côtés, les
membres
postérieurs sont complètement paralysés. Ceci veu
es faisceaux latéraux et posté-rieurs, l'animal ne se sert que de ses
membres
antérieurs. Le train de derrière est complètement
si la section est totale, un seul faisceau latéral étant respecté, le
membre
inférieur du côté sectionné estcom- plètement p
ralysé. Au contraire, du côté où le faisceau la-téral est épargné, le
membre
obéit encore à la volonté ; si on l'étend, l'anim
ice complète, absolue, ou peu s'en faut, de tout un côté du corps. Le
membre
supérieur est complètement flasque et retombe lou
nca-pable d'imprimer le moindre mouvement aux diverses par-ties de ce
membre
; il en est de même du membre inférieur, bien que
e mouvement aux diverses par-ties de ce membre ; il en est de même du
membre
inférieur, bien que peut-être à un moindre degré.
llectuelles; mais récupérera-t-il, un jour ou l'autre, l'usage de ses
membres
paralysés ? Pourra-t-il se servir de sa main, de
amné à une impuissance motrice le privant de l'u-sage régulier de ses
membres
? En un mot, demeurera-t-il à l'état d'infirme, co
int menacée, mais en ce qui concerne le retour du mouve-ment dans les
membres
frappés d'hémiplégie. Très certaine-ment, alors,
ce indéfinie plus ou moins complète de l'impuissance motrice dans les
membres
paralysés. Ainsi, vous le voyez, quelques milli
ici, au demeurant, en quoi consiste ce phénomène. Quand on soulève le
membre
inférieur paralysé d'un hémiplégique, en plaçant
huit jours après l'at-taque, et quinze jours plus tard la rigidité du
membre
infé-rieur inaugurait peu à peu la série des acci
a fait voir récemment que ce symptôme se révèle parfois dans les deux
membres
inférieurs, et nous verrons qu'il en est quelquef
mouvements, cette même trépidation, qui s'étend dans cer-tains cas au
membre
tout entier, peut aussi se manifester à l'occasio
ralysé, éprouvent une trépidation semblable à celle qui se produit au
membre
inférieur dans les mômes circontances. Mais le ph
e survient la contracture secondaire des hémiplégiques.— Attitude des
membres
. — La contracture affecte tous les groupes antago
une action réflexe permanente. Types et variétés des attitudes des
membres
contractures. — Contracture de la face. — Termina
dit, a fait récemment la remarque intéressante et très exacte que le
membre
inférieur, du côté non paralysé, devient quelque-
re même, en pareil cas, que la contracture permanente s'em-pare de ce
membre
, de telle sorte que l'hémiplégie se com-pljique e
épidation du pied, qui, quel-quefois, s'étend à toutes les parties du
membre
, peut se ma-nifester à l'occasion d'un mouvement
n, phénomène du genou, etc. Voici comment on le met en évidence. Le
membre
qu'on veut explorer est soutenu, comme dans le ca
paralysie. Il reparut lorsque le malade put recouvrer l'usage de ses
membres
. Ceci tend à démontrer que l'exis-tence du phénom
insi, un pincement de la peau du ventre ou la faradisation intense du
membre
du côté opposé suffisent pour mettre obstacle à l
à-dire lorsque existe une cer-taine tendance à la contracture dans le
membre
supérieur, ou lorsque cette contracture s'est déj
me différente. (Dicrolismc.) moitié de la moelle qui correspond aux
membres
paralysés. En effet, tandis que du côté demeuré s
duit parfois chez les hé-miplégiques un mouvement automatique dans le
membre
su-périeur, alors même que ce membre est complète
un mouvement automatique dans le membre su-périeur, alors même que ce
membre
est complètement pa-ralysé et que le malade est d
à considérer pour le côté pratique, sont les effets produits sur les
membres
paralysés des hémi-plégiques frappés de contractu
arque de Fouquier est que, dans ses contrac-tions provoquées dans les
membres
paralysés par l'emploi de la noix vomique, les me
quées dans les membres paralysés par l'emploi de la noix vomique, les
membres
thoraciques se placent dans la flexion, et les me
x vomique, les membres thoraciques se placent dans la flexion, et les
membres
abdominaux dans l'extension. Nous verrons bientôt
rès l'administration de la noix vomique, une raideur considérable des
membres
, bien que l'usage du médicament soit depuis longt
r grada-tions. — Elle détermine des attitudes et des déformations des
membres
qui sont toujours les mêmes. — Interprétation de
électrothérapie, que la fara-disation intempestive et mal réglée des
membres
paralysés, chez les malades de cette catégorie, p
épo-que, mais elle se traduisait seulement par une légère rigidité du
membre
supérieur droit; le membre inférieur était à peu
isait seulement par une légère rigidité du membre supérieur droit; le
membre
inférieur était à peu près complètement libre; el
ue. Mais voici le point intéressant; le lendemain de l'aaçci-dent, le
membre
inférieur droit, c'est-à-dire correspondant à la
ible. Déplus, la contracture s'était consi-dérablement accrue dans le
membre
supérieur ou elle était auparavant à peine accent
. Au-jourd'hui, six semaines après le traumatisme, la contracture des
membres
s'est amendée, mais elle persiste à un haut degré
mène du pied ainsi que le réflexe rotulien sont très exagérés dans le
membre
inférieur. 2° Les faits de ce genre ne sont san
it que, chez les hystériques hémi-an esthési-ques en particulier, les
membres
du côté où siège l'insensibilité sont fréquemment
s réflexes tendineux sont, en général, manifestement exagérés sur les
membres
ainsi paralysés, et qu'on peut souvent, lors-qu'i
membres ainsi paralysés, et qu'on peut souvent, lors-qu'il s'agit du
membre
inférieur, y p ovoquer la trépidation épi-leptoïd
eille occurence,il m'est arrivé plusieurs fois de déterminer dans les
membres
frappés d'impuissance, l'ap-parition d'une contra
moins intense et plus ou moins permanente par l'application sur ces
membres
de cou-rants galvaniques faibles, ou môme par la
vu se développer chez certains sujets, presque immédiatement, dans le
membre
cor-respondant, une contracture qui ensuite a per
voilà devenue permanente. Dans l'immense ma-jorité des cas, c'est le
membre
supérieur qu'elle occupe en premier lieu. On trou
en outre pour effet de déterminer des déformations, des attitudes des
membres
presque toujours les mêmes, et dontje compte vous
les données de la physiologie actuelle. Veuillez remarquer que ces
membres
immoblies placés dans une position déterminée, dé
instant la résistance, soit dans une direction, soit dans l'autre, le
membre
abandonné à lui-même reprendra presque aussitôt s
es jumeaux. Au contraire, la contracture dont il s'agit maintient les
membres
inférieurs indéfiniment dans des atti-tudes forcé
rie des mouvements associés. B. Un mot encore sur les attitudes des
membres
dans l'hé-miplégie ancienne. 11 est très remarqua
attitudes se rapportent dans la règle à un type fondamental. Dans les
membres
supérieurs, la flexion prédomine, tandis que dans
ans les membres supérieurs, la flexion prédomine, tandis que dans les
membres
inférieurs, c'est l'extension. Fouquier avait déj
n est de même dans l'épilepsie partielle. 1° Considérons d'abord le
membre
supérieur. C'est, avons-nous dit, le type de flex
ntôt il est dans la supination. Je ne crois pas qu'il existe, pour le
membre
supérieur, d'autres at-titudes que celles que je
e signaler. La main ouverte est un fait rare. 2° Pour ce qui est du
membre
inférieur, il est de règle, ainsi que je vous l'a
leurs, la contracture est là habituellement moins accusée que dans le
membre
supérieur. Un degré même Fig. 85. — Hémiplégie
e Fig. 85. — Hémiplégie ancienne. — Contracture en flexion des deux
membres
inférieurs (1). assez prononcé d'extension du
on des deux membres inférieurs (1). assez prononcé d'extension du
membre
inférieur n'empêche pas la marche quia lieu, comm
le dé-veloppement de la contracture dans les groupes fléchisseurs du
membre
inférieur. La cuisse est alors fléchie sur le bas
uche aux fesses, et cette flexion même s'étendant quelquefois dans le
membre
du côté opposé il est clair que la marche est ren
oplectiques. —Causes anatomiques de cette hémiplé-gie. — Atrophie des
membres
, du thorax, du bassin. Intermittences de la con
eçon une des-cription abrégée des diverses attitudes qu'affectent les
membres
paralysés chez les hémiplégiques atteints de cont
e de types toujours les mêmes: type de flexion avec pronation pour le
membre
supérieur, type d'ex-tension ou d'équinisme avec
membre supérieur, type d'ex-tension ou d'équinisme avec varus pour le
membre
inférieur. Telle est la règle, tel est le genre d
au type décrit à pro-pos de l'hémiplégie de l'adulte. Ainsi, pour le
membre
supé-rieur, le type de flexion avec pronation est
e type de flexion avec pronation est ici encore la règle, et, pour le
membre
inférieur, c'est l'extension en varies équin. Seu
evée, à savoir l'existence presque constante d'un raccourcissementdes
membres
paralysés. Les os sont plus courts, moins volumin
t cet arrêt de développement ne porte pas toujours uniquement sur les
membres
; ainsi, quelquefois, du côté paralysé, le tronc
re dans l'enfance, un raccourcissement par arrêt de déve-loppement du
membre
où siègent les lésions musculaires, alors même qu
ment du membre où siègent les lésions musculaires, alors même que ces
membres
remplissent une partie de leurs fonctions, tandis
it et jour, vous disais-je, dans le sommeil comme dans la veille, les
membres
sont rigides et contractures. Il en est réellemen
ue le repos au lit, le sommeil peuvent avoir pour effet de rendre les
membres
momentanément plus flexibles ; mais aussitôt que
tôt que le malade se lève, ou s'il veut imprimer un mouvement soit au
membre
malade, soit au membre sain, aussitôt la con-trac
ve, ou s'il veut imprimer un mouvement soit au membre malade, soit au
membre
sain, aussitôt la con-tracture reparaît dans tout
mprend que, dans ces cas, les mouvements volontaires exécutés par les
membres
du côté sain retentissent sur le côté malade. L
, et il faut considérer comme exceptionnels les cas dans lesquels les
membres
contractures des hémiplégiques présentent, sous l
re dont la conséquence est une atrophie musculaire survenant dans les
membres
paralysés. 2° Mais ces cas, vous le savez, loin
ment pour une bonne part à donner à la démarche et aux mouvements des
membres
, les-quels conservent d'ailleurs pendant longtemp
is environ; bien entendu, les réflexes tendineux sont abolis dans les
membres
inférieurs et il est absolument im-possible de pr
étude descriptive. 1° La strychnine agira particulièrement sur les
membres
paralysés ; son action, bien que s'étendant à tou
xcitées. 2° L'influence irritative des traumatismes portant sur les
membres
affectés sera transmise à l'axe central soit par
contracture sous l'influence des mouvements volontaires im-primés au
membre
sain. Il suffit d'admettre ici que l'irritation s
et même à ut certain moment, une contracture parfois considérable dea
membres
. La contracture et, à son défaut, l'exagération d
ecousses énergiques, des mouvements convulsifs involontaires dans les
membres
paralysés. — d) Enfin, tôt ou tard la contracture
ten-sion qui se produit ; et cependant, il n'est pas rare de voir les
membres
inférieurs se ramasser sur le bassin en flexion f
non plus inutile de relever que tous ces phéno-mènes occupent un seul
membre
quand la compression est unilatérale, et ce membr
s occupent un seul membre quand la compression est unilatérale, et ce
membre
est naturellement celui qui réponcL au côté où si
pe, les mouvements Volontaires s'exécutent de nouveau ; seulement les
membres
conservent encore une certaine rigidité due à la
paraplégie tétanoïde. Lorsque le malade est couché, la raideur des
membres
est déjà très sensible ; lorsqu'il est assis, ell
resse et se renverse en arrière comme pour contrebalancer le poids du
membre
inférieur qu'un trem-blement involontaire agite a
ires, compression, myélites, etc. ; d'ailleurs, outre la rigidité des
membres
, il existe encore d'autres symptômes concomitants
absence de tous symp-tômes autres que la rigidité musculaire qui, des
membres
inférieurs où elle reste fréquemment confinée, te
érieurs où elle reste fréquemment confinée, tend parfois à gagner les
membres
supérieurs. M. Erb a émis l'idée que ces cas se
ns verses et hémisections de la moelle épinière. — Paralysie des deux
membres
inférieurs dans le cas de lésion spinale unila-té
ons spinales organiques dans lesquelles la contracture permanente des
membres
paralysés est un symp-tôme habituel, appartenant
verse hémilaté-rale, produit une paralysie motrice aussi bien dans le
membre
opposé que dans le membre correspondant à la sect
it une paralysie motrice aussi bien dans le membre opposé que dans le
membre
correspondant à la section. A. ce propos, je vo
ions volontaires était directe ; et, d'autre part, il est rare que le
membre
du côté opposé à la lésion ne présente pas, lui a
des cas de guérison imparfaite ; les mouvements reparaissent dans les
membres
inférieurs, grâce à l'amendement de la rigidité m
in le malade se dresse et se tient debout. Par ce seul fait, ses deux
membres
se raidissent et se collent l'un à l'autre, ani-m
resse et se renverse en arrière comme pour contrebalancer le poids du
membre
infé-rieur, qu'un tremblement involontaire agite
n lente et par une tendance marquée à l'en-vahissement progressif des
membres
supérieurs. Ce genre de paraplégie spasmodique
ment il y a lieu de mentionner surtout un tremblement particulier des
membres
supérieurs, quelquefois remplacé par de la contra
accompagnement d'accidents cérébraux. La nour-rice s'aperçoit que les
membres
sont rigides et qu'il devient dès lors plus diffi
'absence de ce symptôme ou môme par un état opposé, la flaccidité des
membres
. Cette division dichotomique, toute sommaire qu
n constate, à première vue, que cette femme est paralysée de tous les
membres
, que la tète elle-même ne se tient plus en sa pos
at relatif des différentes parties du corps. En ce qui concerne les
membres
inférieurs, on s'aperçoit, en effet, qu'ils ont u
raideur existe vraiment, ou, en d'autres termes, que la flaccidité du
membre
est rem-placée par ce qu'on a appelé la flexibili
temps des mouvements rapides de l'épilepsie spinale. Enfin, ces deux
membres
sont émaciés, mais non atrophiés, et ce que l'on
mal ; de telle sorte, que si l'on s'en tenait simplement à l'état des
membres
inférieurs en faisant abstraction des caractères
cette malade que des symptômes de paraplégie spasmodique. Mais les
membres
supérieurs présentent, eux aussi, des caractères
les mains tournées en avant, les doigts recroquevillés. De plus, ces
membres
sont extrêmement amaigris et en apparence flasque
aires spontanées et passagères; en outre, la flexion provoquée de ces
membres
détermine la même sensation de résistance que dan
de ces membres détermine la même sensation de résistance que dans les
membres
inférieurs; enfin, la percussion du tendon du tri
nt, à l'état normal. Il faut également signaler ce fait, que les deux
membres
supérieurs sont symétriquement affectés, à d'infi
chaque pied ». Trois mois plus tard, s'est déclarée la paralysie des
membres
supérieurs, caractérisée par de l'impuissance mot
tion recueillie alors par M. Huchard: secousses continuelles dans les
membres
, tremblements fibrillaires, contracture des fléch
laire s'accentuait, ils diminuèrent progres-sivement d'abord dans les
membres
supérieurs, puis, dans les membres inférieurs, et
progres-sivement d'abord dans les membres supérieurs, puis, dans les
membres
inférieurs, et c'est ainsi, qu'aujourd'hui, la ma
nent en quelques jours un affaiblissement de la jambe gauche, puis du
membre
su-périeur et inférieur droits, une difficulté co
chaque main, et les éminences thénar et hypothénar ont dis-paru. Ces
membres
pendent inertes et flasques en apparence, de chaq
les réflexes tendineux, sont considérable-ment exagérés dans tous les
membres
. Le signe du tendon rotulien, surtout, est beauco
courte échéance, suivi les symptômes de la paralysie atro-phique des
membres
. Mais, à part cette légère différence, les deux o
etc., etc. ; et même aujourd'hui, en dépit de l'atrophie extrême des
membres
supérieurs, on peut encore provoquer un réflexe t
la flexion forcée des avant-bras, avec une trémulation convulsive des
membres
inférieurs. Quant aux faits de Rigal et de Pick e
ôpital. L'état où elle se présen-tait alors est le suivant. Œdème des
membres
inférieurs. Pouls 90. Respiration 18. Ses bras so
rées dans la flexion et pronation ; les pha-langes sont fléchies. Ses
membres
sont très émaciés ; l'avant-bras est même complèt
rillaires, Les réflexes sont exagérés partout (réflexes tendineux des
membres
supérieurs et des membres inférieurs ; trépidatio
nt exagérés partout (réflexes tendineux des membres supérieurs et des
membres
inférieurs ; trépidation spinale;. (1) Beitrage
-cinq ans, journalier, a été pris de faiblesse et de raideurs dans le
membre
supérieur gauche, vers le mois de janvier 1876. P
membre supérieur gauche, vers le mois de janvier 1876. Peu à peu, le
membre
supérieur droit fut frappé de la même manière, et
, c'est-à-dire quatre mois environ après le début de l'affection, les
membres
inférieurs s'affaiblirent et le malade y accusa d
ndant de faibles mouvements vo-lontaires sont encore possibles. Les
membres
inférieurs sont paralysés et contractures, mais l
mois après le début de l'affection, la contracture a diminué dans les
membres
supérieurs; mais les membres inférieurs sont dans
ction, la contracture a diminué dans les membres supérieurs; mais les
membres
inférieurs sont dans un état spas- (i) Cette ob
égère douleur dans le bras gauche, avec faiblesse et rigidité du même
membre
. Le mois suivant, le bras droit se prit à son tou
s musculaires fréquentes. Au mois d'avril, survint la faiblesse des
membres
inférieurs. De temps en temps, la progression est
e par la trépidation spinale. A mesure que la maladie s'accentue, les
membres
infé- (1) Dublin Journal of medi science, 1879;
e malade cherche à les fléchir avec ses mains. Dans le temps où les
membres
se raidissent, la physionomie se transforme ; la
ophiée. L'articulation des mots est exces-sivement embarrassée. — Les
membres
supérieurs sont pro-fondément atrophiés, surtout
hénar mais il n'y a plus de rigidité constatable. Pour ce qui est des
membres
inférieurs, ils ne sont nullement atrophiés et le
un certain état de rigidité déterminé par la position habituelle des
membres
, et cette rigidité serait sensible au genou, à l'
bservations de M. Leyden lui-même. En effet, à ne con-sidérer que les
membres
inférieurs, où l'atrophie est tardive eL par cons
- venant auparavant), il est incontestable que, de prime-abord, ces
membres
paraissent frappés d'une paralysie toute simple.
malade cité dans l'observation I du profes-seur de Berlin (1). « Aux
membres
inférieurs, les masses musculaires ne sont pas pr
ument identique ; il signale l'impuissance motrice très prononcée des
membres
inférieurs, avec conservation des réflexes tendin
membres inférieurs, avec conservation des réflexes tendineux : « Les
membres
inférieurs, dit-il, sont flasques : le malade ne
t marcher debout sans être aidé (3). » Donc, pour ce qui concerne les
membres
inférieurs, aucun doute n'est possible : l'atroph
t précédée d'une période plus ou moins longue de paralysie. Mais, aux
membres
supérieurs même, quand l'atrophie ne survient pas
suivants: insuffisance aortique, hémiplégie gauche, plus prononcée au
membre
supé-rieur; exagération des réflexes tendineux du
survient la contracture secondaire des hémiplégiques. — Attitude des
membres
. — La contracture affecte tous les groupes antago
une action réflexe permanente. Types et variétés des attitudes des
membres
contractures. — Contracture de la face. — Termina
grada— tions. — Elle détermine des attitudes et des déformations des
membres
qui sont toujours les mêmes. — Interprétation de
oplectiques. —Causes anatomiques de cette hémiplé-gie. — Atrophie des
membres
, du thorax, du bassin. Intermittences de la con
ns verses et hémisections de la moelle épinière. — Paralysie des deux
membres
inférieurs dans le cas de lésion spinale unila-té
latérale amyotrophique, 397 ; — progressive, 307, 383. Attitude des
membres
dans le cas de contracture permanente, 324, 329 ;
eux, 20, 350. rlbsenzellen, 21. (v. cellules géantes.) Rigidité des
membres
, 358 ; — dans le tabès dorsal spasmodique, 371.
st migraineuse. Il ne con- naît d'affection nerveuse chez aucun des
membres
de la famille. Antécédents personnels. Il a sou
mps de faiblesse et d'amaigrissement. L'impotence fonctionnelle des
membres
supérieurs résultant de ces symp- tômes devint
bien portante, de même que sa soeur. Il connaît trop peu les autres
membres
de sa famille pour nous renseigner au sujet des
ène. Il y a un mois elle éprouva desdoulcurs dans la continuité des
membres
supérieurs, et vint pour ce motif réclamer des
rien de bien pénible et ne nécessitait pas d'excès fonctionnels des
membres
supé- rieurs, Il été pris à droite d'abord, àga
oigts étant surtout accusée sur les deux derniers. Les fonctions du
membre
sont en conséquence singulièrement gênées, et l
e trouble ne se produisit dans la santé générale, ni sur les autres
membres
. État actuel(7 mars 1887). - La main vue par sa
y a trente-quatre ans) .au niveau du coude, et les fonctions de ce
membre
n'ont jamais été égales il celles du bras droit
: il est peu admissible, en effet, qu'un intervalle d'intégrité du
membre
aussi considérable sépare l'accident t de sa co
cinq ans déjà ressentait des douleurs dans la partie interne de ce
membre
, douleurs qui revenaient par accès. La faibless
survenu pendant le cours d'un tremblement qui, d'abord localisé aux
membres
, avait envahi la tête agitée dès lors de petits
rieure; aussi les phénomènes nerveux étaient-ils localisés dans les
membres
abdominaux. Le fait suivant nous montre une lésio
suivant nous montre une lésion de la colonne cervicale. Les quatre
membres
sont atteints, et les troubles prédominent dans
quatre membres sont atteints, et les troubles prédominent dans les
membres
supérieurs. Observation IV. - Fracture du rachi
se rappelle bien qu'il ne pouvait remuer ni bras ni jambes, que ses
membres
, soulevés par le médecin appelé aussitôt, retom
cr novembre 1887 à l'hôpital. Dès le lendemain de l'accident, les
membres
supérieurs et inférieurs se seraient contractur
et douloureuses. C'est seulement à la fin du troisième mois que les
membres
inférieurs, puis les membres supérieurs, purent
ent à la fin du troisième mois que les membres inférieurs, puis les
membres
supérieurs, purent exécuter quelques mouvements v
s. Elles sur- venaient exclusivement la nuit, et seulement dans les
membres
inférieurs. Elles firent place au phénomène sui
ure, une heure et demie, quelquefois davantage, il éprouve dans les
membres
inférieurs et supérieurs comme des secousses pr
e mesure très limitée. La motilité est très affaiblie dans tous les
membres
. Le malade porte assez difficilement la main dr
uches, que la contraction réflexe se 'produit plus intense, dans le
membre
infé- rieur du côté opposé, que dans le membre
lus intense, dans le membre infé- rieur du côté opposé, que dans le
membre
excité lui-même. La sensibilité est intacte à l
très ralenti, dit-elle. Un peu plus tard, palpitations. Du côté des
membres
inférieurs, paralysie complète et anesthésie te
ps que la malade ne peut préciser, une atrophie musculaire des deux
membres
inférieurs. Pas de troubles trophiques cutanés.
nrent des phénomènes douloureux et spasmodiques prédominant dans le
membre
droit et consistant en élancements douloureux, cr
rteils. Au bout de seize mois, la malade quitta l'hôpital. Ses deux
membres
inférieurs demeuraient à peu près complètement
ehors des symptômes que son ancienne fracture a développés dans les
membres
inférieurs. Au niveau de l'extrémité inférieure
erveux consécutifs à cette lésion du sacrum sont localisés aux deux
membres
inférieurs. La malade marche difficilement et l
es inférieurs. La malade marche difficilement et les mouvements des
membres
inférieurs manquent de force; ceux qui s'accomp
tant; tantôt ce sont de simples élancements. Elles siègent dans les
membres
inférieurs; elles seraient influencées de la fa
ues sont les suivants : atrophie sensiblement symé- trique des deux
membres
inférieurs. Les jambes sont plus atrophiées que l
. le professeur Lannelonguc, qui constata une paralysie flasque des
membres
inférieurs avec insensibilité complète au froid,
nt une autre qui se produisit dans les circonstances suivantes. Les
membres
inférieurs, avons-nous dit, étaient devenus raide
très bien devant nous aujourd'hui cette situation particulière des
membres
inférieurs. On peut ainsi voir que, grâce à la
bres inférieurs. On peut ainsi voir que, grâce à la demi-flexion du
membre
droit, les deux malléoles internes se trouvaien
spasmodique des muscles, il s'était produit un raccourcissement du
membre
dont nous allons bientôt parler. Au bout de q
-Enfant de dix ans bien développée physiquement; muscu- lature des
membres
inférieurs et supérieurs au-dessus de la moyenne,
du fémur gauche. Cette subluxation met obstacle à l'allongement du
membre
dont le raccourcis- sement est réel. L'articula
que par le gros orteil, le pied étant en équin direct. De plus, le
membre
inférieur gauche est porté en adduction et eu r
(pl. V) le pied gauche peut porter à plat sur le sol, mais alorsle
membre
inférieur droit se met en demi-flexion, les deu
dans le droit. 2 décembre. - Le malade accuse de la douleur dans le
membre
inférieur droit. La toux et l'oppression ont de
ÉLOIGNÉES DES TRAUMATISEES DE LA MOELLE. à 7 décembre. -Atrophie du
membre
inférieur droit. Du côté de la plaie, bon état.
e de la jambe droite. La motilité volontaire revient un peu dans ce
membre
; elle reste abolie dans le membre supérieur. -
volontaire revient un peu dans ce membre; elle reste abolie dans le
membre
supérieur. - La sensibilité tend à devenir égal
décembre. Le malade quitte l'hôpital. Il subsiste une paralysie du
membre
supérieur droit et de l'épaule correspondante; le
vant les cas, sont les suivants : Troubles de la sensibilité. - Les
membres
atteints sont souvent le siège de douleurs très
ent de douleurs fulgurantes dans la jambe droite, plus tard dans le
membre
supérieur du même côté, et inégalité pupillaire
tait très variable suivant les cas. · Ils se manifestèrent dans les
membres
où avait retenti primiti- vement la lésion médu
avait retenti primiti- vement la lésion médullaire, à savoir : les
membres
inférieurs dans les quatre cas où la fracture o
ù la fracture occupait les régions dorsale, lombaire et sacrée, les
membres
supérieurs plus que les inférieurs dans le cas
de l'excitabilité réflexe. Les fonctions sensitives et motrices des
membres
inférieurs se rétablissent tantôt de bas en hau
orteils ; tantôt, surtout pour la sensibilité,en sens inverse. Les
membres
supérieurs sont rarement pris sans que la respi
Les trou- bles nerveux peuvent rester prédominants dans un des deux
membres
. Il ne faut pas considérer comme étant à l'abri
érison apparente dans un cas). L'anes- thésie qui persiste dans les
membres
peut s'étendre; la vessie se para- lyse, un cal
renaître en même temps que disparaître la paralysie. L'atrophie des
membres
in- férieurs est fréquente. » Les désordres n
S. 3 ! ) réaction chargé de poids que l'on fait tenir à la main, le
membre
supérieur étant étendu. Les deux premières fi
ques, àl'aided'un tambour myographique appliqué sur les muscles des
membres
supérieurs et en particulier sur le biceps. La
? -13 111 pas seulement d'ailleurs les irritations portées sur les
membres
du côté choréique qui sont capables d'exciter l
s mouvements anormaux; les efforts même peu violents faits avec les
membres
du côté opposé peuvent produire le même résulta
ques spon- tanés ou provoqués ne sont pas exclusivement limités aux
membres
, en général ils s'étendent au thorax, et se tra
nsibilité farado-cutanée par la méthode de Erb donna à la face, aux
membres
supérieurs et inférieurs des chiffres normaux, sa
coulait la vie. Phénomène singulier, le clergé lui-même - certains
membres
tout au moins - apportait son appui au grand-pr
actérisées par des mouvements précipités, involontaires de tous les
membres
et du corps entier, par le resserrement à la gorg
ridiculisé de la belle manière. Bien plus, ses élèves eux-mêmes,
membres
de la Société de l'Harmo- nie qu'il avait fondé
r objet qu'elle trouve et on peut à peine vaincre la raideur de ses
membres
.. ' , ! Le 28 juillet nous nous apercevons pour
tigantes et cela pendant un temps assez long (15 à 90 minutes). Les
membres
immobilisés dans ces poses cataleptoïdes ne se
ur la poitrine, voici ce qu'on observe3 : chez la cata- leptique le
membre
catalepsié ne tremble pas; il descend lentement
; il descend lentement sans secousses et la plume qui correspond au
membre
étendu trace une ligne droite parfaitement régu
côtes sont légèrement- déprimées.' Lorsque le sujet est debout les
membres
supérieurs allongés le long du corps (pl. XIII)
est plus dévelopée à droite qu'à gauche. Le développement des deux
membres
inférieurs semble égal à pre- mière vue. Mais l
t des deux membres inférieurs semble égal à pre- mière vue. Mais le
membre
inférieur droit est de 2 centimètres plus court
accompagné par une augmentation de volume des os de la face et des
membres
, et spécialement de la mâchoire inférieure, des
ient massives, de sorte que le sternum semblait enfoncé. Les os des
membres
n'étaient généralement pas épaissis, mais toutes
t quelquefois en douleurs lancinantes pénibles dans la nuque et les
membres
. De sorte que de vive et active qu'elle était aut
plus saillante la différence de volume des différents segments des
membres
. Au contraire, les parties molles des mains et de
et de la ceinture qui rattache au tronc chacune des deux paires de
membres
. La face tout entière (fig. 3G), d'une façon préd
nesthésie et l'analgésie sont complètes : cette zone occupe tout le
membre
supérieur gauche et se termine en manchon sur l'é
n manchon sur l'épaule. Rien de particulier pour la sensibilité des
membres
inférieurs, si ce n'est que le gauche est un pe
ure la main en flexion; de même, si l'on étend brusquement l'un des
membres
supérieurs, celui-ci reste ainsi fixé en extens
u'elle est en léthargie, on tient les paupières relevées, alors les
membres
restent dans l'attitude qu'on leur imprime; mai
pasme reparaissent, ainsi que d'autres contractures des muscles des
membres
supérieurs et inférieurs, qu'on enlève ensuite fa
crânienne, la zone périorbitaire, la cornée et la conjonctive et le
membre
supé- rieur gauches, un peu moindres pour le cô
u accentuées 116 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA Salpêtrière. pour le
membre
inférieur gauche. Le côté droit du tronc et le me
ière. pour le membre inférieur gauche. Le côté droit du tronc et le
membre
infé- rieur droit ont leur sensibilité normale.
t le membre infé- rieur droit ont leur sensibilité normale. Mais le
membre
supérieur droit, y compris l'épaule, est hypere
et. On constate aussi que tous les muscles de l'épaule droite et du
membre
supérieur droit sont en imminence de contractur
jour-là, à midi, des contractures se produisent spontanément dans le
membre
supérieur droit : le bras est en adduction cont
aros- pasme avec amaurose et de ses arlbralgies avec contracture du
membre
supérieur droit. Tous les matins, on fait dispa
complè- tement disparu; mais les arthralgies et les contractures du
membre
supé- rieur droit persistent toujours avec les
oduisit plus et ne s'est plus reproduite depuis. Les arthralgies du
membre
supérieur droit et les contractures qui les accom
accident de nature hystérique est venu s'ajouter aux arthralgies du
membre
supérieur droit : ce membre est incessamment ag
e est venu s'ajouter aux arthralgies du membre supérieur droit : ce
membre
est incessamment agité de mouvements malléatoires
nts malléatoires de chorée rhythmée. L'état de la sensibilité de ce
membre
n'est aucunement modifié par l'adjonction de ce
gauche, douleur qui s'accompagne bientôt d'une fatigue excessive du
membre
. Elle s'alite alors (janvier 1882), la hanche se
rasse dont nous avons parlé et s'en enserre le cou, la taille et le
membre
inférieur gauche. Elle appuie à peine sur le talo
THOUBLES. 127 existe un raccourcissement de 8 ou 10 centimètres du
membre
inférieur gauche par suite d'une contracture tr
n trois reprises sur le côté gauche coulracturé en insistant sur le
membre
inférieur et le cou. De même effleurage des rég
santé. Les jeux étaient convulsés en haut, la face grimaçante, les
membres
étaient agités de petits mouvements de flexion
an », et tomba à terre sans connaissance, les yeux sont fermés, les
membres
raidis; il n'y a pas de convulsion, pas de mouvem
un nouvel accès. Le malade pousse un cri et tombe à lerre. Tous les
membres
sont raidis, les bras en croix, les jambes légè
Le sys- tème pileux est très développé sur la face, le crâne et les
membres
infé- rieurs ; le thorax et les membres supérie
ur la face, le crâne et les membres infé- rieurs ; le thorax et les
membres
supérieurs sont presque complètement glabres.
d'ailleurs peu accusée, n'enlraîne aucune gène fonctionnelle. Aux
membres
supérieurs, même absence de poils que sur le thor
de l'échelle et celle de la main gauche jusqu'au 32. La longueur du
membre
supérieur prise de l'acr4miou .u.l'elrémité du mé
e malade a des éjaculations nocturnes et involontaires. Quant aux
membres
inférieurs, ils sont régulièrement conformés. Les
droite a un double but; il sert de point d'appui pour le soulien du
membre
tout entier, en même LES MALADES UAPi5 L'ali'l'
z Idiogr. 500. 8 décembre. On remarque sur la peau du thorax et des
membres
une des- quamation de l'épiderme sous formes d'
redouille alors des phrases absolument inintelligibles. Du côté des
membres
supérieurs, le tremblement est peu accusé lorsqu'
caractères tremblés absolument indéchiffrables. ' Pas plus dans les
membres
supérieurs qu'inférieurs nous ne constatons s d
enu à pied d'Ivry il l'hospice de Bicêtre et pourra y retourner. Le
membre
supérieur droit pend flasque le long du corps;. i
inée en avant : le tronc est lui-même penché dans le même sens. Les
membres
sont fléchis dans toutes leurs jointures; les c
VELLE DE LA S,ll'ÈTRILPE. lesquels l'extension prédominant dans les
membres
, sur la flexion, imprime aux malades un aspect
type vulgaire, il s'en éloigne singulièrement par l'atti- tude des
membres
. Les avant-bras sont étendus sur les bras, les ja
les bras, les jambes sur les cuisses, de telle sorte que les quatre
membres
forment comme des barres rigides. Pendant la ma
es rigides. Pendant la marche, cet état d'extension persiste; . les
membres
supérieurs restent droits; les mains ne quittent
t, dans le cas que nous venons de citer, cette posture anormale des
membres
, jointe à l'absence de tremblement, avait été l
. Il s'agit d'un cas de paralysie agitante à forme hémiplégique. Le
membre
supérieur pré- sente l'attitude fléchie et le t
sieurs reprises de tomber sans pouvoir se retenir. En mars 1888, le
membre
inférieur gauche fut affecté à son tour. Il lui
e. L'épaule' gauche est surélevée, comme là hanche du même côlé. Le
membre
inférieur est en extension, le pied est légèrem
nt-pied appuyant surtout sur le sol. ' ' Par contre, la position du
membre
supérieur gauche ne diffère en rien de l'attitu
e supérieur gauche ne diffère en rien de l'attitude classique de ce
membre
dans la paralysie agitante. Le coude est un peu
tremblement n'existe qu'à la main gauche; 'il n'apparaît jamais au
membre
supérieur. Les membres du côté droit sont indem
'à la main gauche; 'il n'apparaît jamais au membre supérieur. Les
membres
du côté droit sont indemnes de tout trouble fonct
er. ' Pendant la marche, toute cette altitude persiste cl, comme le
membre
infé- rieur est maintenu en extension par la ri
la raideur musculaire sans paralysie proprement dite, l'attitude du
membre
supérieur gauche, la déformation de la main, le
achiale hystérique l'anesthésie se limite en manchon à la racine du
membre
, elle est bien différente de celle que l'on obs
r avec la colonne vertébrale un angle d'en- viron 110 degrés. Les
membres
ne présentent pas de moindres analogies avec les
observations d'Orfila et de Devergie représente la longueur de ces
membres
, on obtient 9l centi- mètres. Cette longueur ét
'en réalité il n'en compte que 1,G50. Ce qui revient à dire que les
membres
infé- NOUVELLE ICONOGRAPIIIK '1'. II, PL. XXXI
u corps se trouverait, comme d'habitude, à peu près au pubis. Les
membres
supérieurs se montrent également excessivement lo
dont celles-ci sont prises, on peut considérer comme établi que le
membre
supé- rieur entre deux fois et un quart (Deverg
tiers (Giosué Marcacci) dans la mesure du squelette entier. Or les
membres
supérieurs de Ghirlenzoni ont une longueur de 810
ètres, suivant Marcacci à t 1,892 millimètres, de là résulte que le
membre
supérieur serait, par rapport au tronc, plus lo
qui ont été exposées plus haut relativement à la disproportion des
membres
inférieurs. Voyons maintenant quelles modificat
la face externe de l'os iliaque se montrent très apparentes. Aux
membres
supérieurs, les phalanges méritent une mention ta
les contrac- tures des muscles de la face, du cou, du tronc ou des
membres
. d) Les contractures provoquées de la langue ne
r Charcot, une jeune malade atteinte de contracture hystérique du
membre
inférieur droit, remarquable par l'attitude inacc
membre inférieur droit, remarquable par l'attitude inaccoutumée du
membre
, par sa persistance et par la résistance à toute
l'observation détaillée. Ons. I. - A onze ans, contracture des deux
membres
du côté droit; guérison du bras droit au bout d
du côté droit; guérison du bras droit au bout de dix-huit mois. Le
membre
inférieur droit seul demeure contracture. Attit
jours. Pendant qu'elle gardait encore le lit, on s'aperçut que son
membre
inférieur droit était raide. Peu de temps après
était raide. Peu de temps après, le bras droit se raidit aussi. Le
membre
supérieur était contracture en flexion, les doi
e que l'avant-bras était placé transversalement derrière le dos. Le
membre
inférieur était contracturé en extension : la cui
mal. OBSERVATION DE CONTRACTURE HYSTERIQUE. 209 La contracture du
membre
inférieur persiste, il est impossible il la mal
s. Des phénomènes analogues d'instabilité musculaire s'observent au
membre
inférieur droit contracture et sur lequel elle
d on essaye de fléchir la jambe sur la cuisse. En soulevant tout le
membre
, on entraîne le bassin et le tronc qui demeure
îne le bassin et le tronc qui demeure rigide dans l'extension. Le
membre
contracturé est amaigri. Voici les mensurations c
bras avec 3° du galvanomètre gradué en milliweber, tandis qu'aux
membres
inférieurs, il faut de 10 à 15°. Ne s'agit-il i
agit-il ici que d'une différence entre la résistance électrique des
membres
su- périeurs et celle des membres inférieurs ?
ntre la résistance électrique des membres su- périeurs et celle des
membres
inférieurs ? C'est probable. Tout ce qu'on peut
ystérique, forme que je désignais sous le Fie. 50. Contracture du
membre
inférieur droit. OBSERVATION DE CONTRACTURE HYS
spinale. La raideur varie d'un moment à l'autre, et l'altitude des
membres
peut se modifier légèrement. Elle s'exagère tou
lieu dans la forme spinale. c) Les attitudes variées imprimées aux
membres
diffèrent d'or- dinaire de celles décrites géné
ntatives de redressement ou de flexion qui ont été exercées sur des
membres
atteints d'une légère arthrite ou périarthrite li
se traduit par une résistance énergique à'tout mouvement imprimé au
membre
malaxé, d'où équilibre musculaire rompu, sans q
ions prédominant dans tout le côté gauche et en particulier dans le
membre
inférieur du même côté. Il arrive parfois que l
LA 5.1LP1;'l'1t1È111. Le malade reste souvent debout cependant, le
membre
inférieur gauche dans la rectitude. Le malade e
la jambe gauche, se généralisent successivement au bras gauche, au
membre
inférieur droit, au bras droit, à la face. En
ondément et forme comme un lien qui enserre solidement la racine du
membre
à la partie interne, pen- dant que, du côté opp
és partout où existe normalement une saillie, sont plus marqués aux
membres
intérieurs qu'aux membres supé- rieurs ; nous n
lement une saillie, sont plus marqués aux membres intérieurs qu'aux
membres
supé- rieurs ; nous ne trouvons d'altération ni
llimètres. ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE L'ACROMÉGALIE. 235 Les os des
membres
supérieurs n'offrent pas un développement aussi
. Utérus très petit. Ovaires du volume d'un petit oeuf de pigeon.
Membres
supérieurs et inférieurs normaux; les supérieurs
sa maîtresse de venir la reprendre. « Mais comment Iransporter les
membres
froids et perclus de cette impotente ? Les nerf
accablant et qui depuis plus de six mois ressembloient mieux aux
membres
d'un cadavre qu'à ceux d'un corps animé, se trouv
'état suivant : Paralysie incomplète du bras gauche ; par contre le
membre
in- férieur est tellement atteint « qu'elle le
artant incurable, c'est cette flacci- dité absolue et permanente du
membre
inférieur paralysé, dont Marie- Anne Couronneau
plégie organique, la marche commençait à pouvoir s'effectuer, le
membre
inférieur était déjà, devenu raide par suite de l
trouver un point d'appui, indispensable pour la progression sur le
membre
paralysé. Par contre, la flaccidité absolue du
ession sur le membre paralysé. Par contre, la flaccidité absolue du
membre
inférieur est la caracté- ristique de l'hémiplé
. « La malade, dit le célèbre médecin anglais, traîne après elle le
membre
paralysé comme s'il s'agissait d'une pièce de m
e 1 juin 1731, plus de huit mois après le début de la paralysie, le
membre
inférieur de M.-A. Couronneau était aussi llasq
ations il y a prédominance de la paralysie et de l'atrophie dans le
membre
supérieur, dans l'autre, prédominance dans le m
rophie dans le membre supérieur, dans l'autre, prédominance dans le
membre
inférieur. » Puis il donne les caractères de ce
raide; il ne pouvait incli- ner la tète dans aucun sens. Les quatre
membres
étaient aussi rigides et immobilisés en extensi
e contracture persista pendant trois mois. Un jour, la rigidité des
membres
et du cou cessa brusquement et spontanément; se
ais qui ne dura que huit jours. En juin 1888, chorée malléatoire du
membre
supérieur droit qui persista pendant une dizain
icroméga- lopsie. Pas de dyschromatopsie. Hyperesthésie 'de tout le
membre
inférieur gauche (la plante du pied exceptée).
a un éblouissement bientôt buivi d'une forte secousse dans tous les
membres
. Sa main droite se crispa sur un manche de mart
core ce qu'il nomme des secousses, généralisées d'emblée aux quatre
membres
; en même temps, la vue se trouble; ces phénomènes
e les couleurs. Ajoutons qu'il existe un très léger tremblement des
membres
supérieurs qui s'exagérerait au moment des éblo
mpê- chaient pas de vaquer à ses occupations. En janvier 1887, le
membre
inférieur gauche fut envahi subitement par un o
station debout, avec vive hyperesthésie de la plante du pied. Le
membre
inférieur droit était normal. Comme C... ne pouva
il qui resta en place pendant un mois. Quand on l'enleva, l'état du
membre
inférieur n'avait pas changé. Depuis cette époq
fec- tion, elle n'a plus marché de ce côté qu'avec une béquille, le
membre
dans son entier paraissant diminué de longueur,
de 1 aine empiétant sur la région supéro-externe de la hanche. Le
membre
inférieur gauche est en con- tracture en totali
rcissement apparent de quatre centimètres com- parativement avec le
membre
inférieur droit. La malade étant endormie à l'a
ant endormie à l'aide du chloroforme, la contracture des muscles du
membre
inférieur se résont, le raccourcissement dispar
nt saine, mobile, sans craque- ments. Il n'existe pas d'atrophie du
membre
infé- rieur gauche. La main droile est toujou
par les auteurs qui l'ont suivi, l'atrophie a toujours porté sur un
membre
atteint de paralysie ou de contracture; c'est é
zut NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. contracturé des quatre
membres
et l'atrophie porte uniquement sur le bras droi
paralysie, semble donc, au moins, se localiser de préférence sur le
membre
ou le côté le plus atteint par les diverses manif
us à leur état normal. Quelque temps après, il a pu prévoir que son
membre
supérieur gauche allait s'atro- phier en voyant
rophie musculaire d'origine hystérique peut quelquefois envahir des
membres
indemnes de paralysie ou de contracture. Géné-
cence. III On a pu remarquer, en lisant l'observation III, que le
membre
inféj rieur gauche, siège de la contracture, av
droite. Vers le 10 juin, le malade s'est plaint de crampes dans les
membres
, apparaissant seulement la nuit. 21 juin. - L
et du bras droits : durée : 30 secondes, suivi de crampes dans les
membres
du même côté. Le gonflement de la main reparaît
te ; la face se congestionne et aussitôt, brus- quement, les quatre
membres
se roidissent en extension, les avant-bras en p
chis, les poings fermés, la paume de la main tournée eu dehors. Les
membres
sont agités de petites secousses épileptoïdes t
s le malade se remet dans le décubitus dorsal, les yeux fermés, les
membres
souples. Cet état de calme dure une minute au plu
répétés de déglution, ébauche d'attaque, efforts respiratoires, les
membres
se raidissent, mais l'attaque s'arrête là, et l
ses nouvelles. IV L' oedème hystérique siège généralement sur les
membres
, parti- culièrement lorsqu'ils sont en état de
mmuniquer. Ons. III. - OEdème, cyanose et contracture hystérique du
membre
inférieur gauche. (Observation recueillie par M
ntracture d'abord localisée au gros orteil se généralise il tout le
membre
inférieur gauche ; le pied se place dans l'atti
n, de telle sorte que la malade marche péniblement en soulevant son
membre
tout d'une pièce et en s'appuyant sur le talon.
ers inférieurs de la jambe est énorme, donnant aux deux segments du
membre
une forme cylindrique. Les saillies et méplats
se sont effacés progressivement. Le 10 juin, alors que le volume du
membre
avait déjà sensiblement diminué, les chiffres des
diminué, les chiffres des mensura- tions faites comparativement au
membre
inférieur droit et au membre inférieur gauche,
nsura- tions faites comparativement au membre inférieur droit et au
membre
inférieur gauche, étaient les suivants : ÉTUD
L'HYSTÉRIE. 577 278 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE, son
membre
inférieur droit en même temps que la peau de la r
année, pareil accident se produisit à l'autre jambe. A son tour, le
membre
inférieur gauche fut envahi spontanément par un
e nous résumons à cause de son importance, il siégeait sur les deux
membres
inférieurs contrac- turés et s'accompagnait de
re typhoïde il dix ans, à la suite de laquelle chorée rhytltmée des
membres
inférieurs. A quinze ans, 1. Noire regretté maî
u bout de cinq ans. A vingt-trois ans, douleurs très vives dans les
membres
supérieurs qui sont gonflés jusqu'aux épaules san
es mois plus tard, hémiplégie hystérique droite avec contracture du
membre
inférieur droit; certain degré de parésie du cô
889 il l'hôpital Laënnec; au bout de quelques jours, contracture du
membre
inférieur gauche : paraplégie complète; l'anesthé
me un faux embonpoint au visage, aux mains et sur divers points des
membres
, particulièrement au voisinage des articulation
té. Un oedème sous-cutané beaucoup plus manifeste occupai ! tout le
membre
inférieur droit chez une hystérique observée pa
sie, conservation du tact; l'oedème siège particu- lièrement sur le
membre
inférieur gauche ; il existe également sur le bra
uperpose presque toujours à une contracture ou à une paralysie d'un
membre
. L'aspect de l'oedème hystérique est bien tel q
oedème se superposent; il existe de plus, souvent, in situ, dans le
membre
atteint, des sensations d'engourdissement, de f
disparaître brusquement à lasuite d'une attaque; en deux heures le
membre
qui en était indemne peut mesurer z ou 5 centim
t pas l'augmenter : dans notre observation III (Corn...) l'usage du
membre
inférieur gauche contrac- turé (coxalgie hystér
oduire le phénomène, principalement dans la région dorsale. Sur les
membres
, l'excitabilité va en décroissant de la racine
aient en contact avec eux. Cette anesthésie s'observe en général au
membre
supérieur, et n'est pas toujours en raison dire
stic de sclérose latérale amyotrophique, étant donné l'atrophie des
membres
supérieurs débutant par les mains et l'exagé- :
manière intermittente. L'atrophie ne porte pas sur les muscles des
membres
inférieurs. Réflexes des membres supérieurs nor
e ne porte pas sur les muscles des membres inférieurs. Réflexes des
membres
supérieurs normaux. Réflexes rotuliens très exa
de 17 ans. ' . , . ' Sensibilité à la douleur (fig. 81, 82). - Aux
membres
supérieurs elle est symétriquement abolie jusqu
pace interscapulairc, la nuque et la face postérieure de la tète.
Membres
inférieurs. - Hyperesthésie s'arrêtant des deux c
perverties qu'abolies. Sensibilité au froid (glace) (fig. 85, 86).
Membres
supérieurs : com- ptt'tement abolie jusqu'au ni
s coudes; diminuée jusqu'au moignon de l'épaule. Tronc : normale. -
Membres
inférieurs : hyperesthésiés. Sensibilité à la c
- Conservée pour le reste du corps et hypéresthésiée au niveau des
membres
inférieurs. Sens musculaire : aboli : le malade
côté et l'expression fixe du regard. Les muscles du tronc et des
membres
sont violemment secoués, les réflexes cutanés et
e malade exécute des mouve- ments difficiles à décrire et lance ses
membres
avec une force extrême, le tronc se contourne d
ier de la dyspnée au moindre effort, qui, jointe a la faiblesse des
membres
inférieurs, l'ont obligé a plusieurs re- prises
mière fois à l'hôpital par un atta- que d'asystolie avec oedème des
membres
inférieurs. L'attention n'est attirée que sur l
à l'hôpital Cochin en proie à une attaque d'asys- tolie. Les deux
membres
inférieurs sont le siège d'un oedème considérable
très peu abondantes tendent à revenir au taux normal ; l'oedème des
membres
inférieurs di- minue on voit alors très netteme
poitrine, ajoute encore à cet aspect si spécial. La déformation des
membres
inférieurs est très marquée; ils décrivent un a
nt qu'on en peut juger : les crêtes iliaques sont normales. ' Les
membres
supérieurs présentent également une déformation m
main est déformée il leur niveau. A part cela, la déformation du
membre
supérieur est comparable à celle du membre infé
cela, la déformation du membre supérieur est comparable à celle du
membre
inférieur. La courbure générale très accentuée es
cellulaire sous-cutané est presque généralisé; sur- tout énorme aux
membres
inférieurs. Pas de troubles apparents du systèm
ité appréciables tout au moins, car l'infiltration considérable des
membres
in- férieurs par l'oedème rend difficile l'expl
sensiblement normales, SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 7
Membre
inférieur droit. Pied. Les phalanges et le méta
. Poids = 860 gr. Les rotules droite et gauche semblent normales.
Membre
inférieur gauche. Pied ; même aspect que le pied
: i... ? Circon- férence suscondylienne = 17 cent. Poids 900 gr.
Membre
supérieur droit. Les os de la main droite contrai
é externe = 0. 05 cent. Longueur (en lignedroite) = 6 cent. 1/2. Le
membre
supérieur gauche est comparable au membre supérie
droite) = 6 cent. 1/2. Le membre supérieur gauche est comparable au
membre
supérieur droit. Sternum. Longueur = 23 cent. A
e. droit. 230 gr., congestion intense. (1) M. le Dr Albert Robin,
membre
de l'Académie de médecine, nous a communiqué la
n type défini, occupantplutùt les deux genoux que la continuité des
membres
. Les déformations il leur début ont été plus re
qui semble augmenter. Les épaules ont leur aspect ordinaire. Les
membres
supérieurs sont déformés et cette déformation app
2e métacarpiens du même côté. L'ostéopathie est très marquée aux
membres
inférieurs. Les fémurs sont énormes. L'épaissis
musculai- res environnantes sont très peu marquées, et le volume du
membre
est dû presque en entier à l'hypertrophie du sq
auche, provoquée par une excitation quelconque de l'oeil droit; les
membres
droits restaient flasques. Par des excitations de
eil quelconque, uni- quement une hémicontracture droite, l'état des
membres
gauches ne se modifiant pas du tout. Ces dive
gauche, et de la aux faisceaux pyramidaux droits, c'est-à-dire aux
membres
droits. Le ré- sultat est une hémicontracture d
n dénudant l'écorce cérébrale, ils excitaient le- centre moteur des
membres
antérieurs, et déterminaient par des exci- * ta
becs de lièvre, scolioses, déformations du crâne, de la face ou des
membres
, etc., qui sonl assurément l'expression d'une ano
équilibre et de toute habitude que peuvent affecter les traits, les
membres
et le torse pendant les attaques (1) ». Cette
; sa tète est fortement rejetée en arrière, les cheveux épars. Les
membres
inférieurs sont légèrement fléchis, et les pieds
orps et de la tête en arrière, le gonflement du cou, la raideur des
membres
, la même pose il la fois abandonnée el violente
t sur le bras, semble indiquer que la raideur a déjà envahi tout le
membre
. Ces détails sont trop significatifs pour pouvo
représentées dans des poses violentes, courant à toute vitesse, les
membres
contorsionnés, des serpents dans leurs cheveux
s il n'est pas sans intérêt de constater l'attitude désordonnée des
membres
, et surtout la convulsion des yeux de la Python
GTtAPHfEDELASALPTHtnE T. V.1, PL. PHOTOTYPE Ne.CATir MICHE OS DES
MEMBRES
DANS LA MALADIE DE PAGET COMPARÉS AUX OS D'UN S
rs axes font un angle ouvert d'environ 35°. Le torse est droit, les
membres
supérieurs retombent naturellement de' chaque c
ici. Mais ce principe est parfaitement applicable aux os longs des
membres
. Le sacrum sur lequel repose la colonne vertébr
laquelle le poids du tronc avec la tète et les bras se transmet aux
membres
inférieurs. Nous avons déjà fait remarquer com-
odèle repose sur les talons, et la direction que prennent alors les
membres
inférieurs diffère considérable- ment de celle
e le tronc tout entier, en y comprenant le poids de la tète et deux
membres
supé- rieurs, porte sur les deux fémurs. Etant
médiane de la tète, du cou etdu tronc, puis descend entre les deux
membres
inférieurs à égale distance de l'un et de l'aut
nne une autre ligne représentera bien qu'im- parfaitement l'axe des
membres
inférieurs (Il T). Du centre des épaules au cen
arrière, puis l'axe du tronc se porte en avant, et enfin l'axe des
membres
inférieurs se dirige il son tour en arrière. En
veau des articulations méla- tarso-pllalangiennes et coupe l'axe du
membre
inférieur à la hauteur du genou. (Fig. 25.) D
out le torse en avant el par une obliquité plus grande de l'axe des
membres
inférieurs. La caractéristique morphologique ré
r le sol est fort minime, et ne dépasse pas de beaucoup le poids du
membre
lui-même. Mais il arrive parfois qu'un rôle un pe
cette jambe est la droite, on dit que l'homme hanche il droite. Le
membre
inférieur droit est alors dans l'extension complè
rôle actif du astrocnén ien est le mèn7e dans les deux cas. L'autre
membre
inférieur est fléchi dans toutes les arti- FiG.
aules au milieu de l'axe des hanches forme l'axe du tronc. L'axe du
membre
inférieur a été tracé de la ligne des hanches p
homme qui hanche est très facile à établir (Fig. 26 et 27). L'axe du
membre
portant incline en haut et en dehors. L'axe des
(Fig. 26). Il est légèrement incliné dans le même sens que l'axe du
membre
portant, comme chez la plupart des statues antiqu
ier cas, la saillie de la hanche augmente, ainsi que l'obliquité du
membre
portant, le torse dans son ensemble est comme d
- les. Je ne parlerai pas ici de la forme du cou, ni de celle des
membres
su- périeurs qui sont absolument subordonnées a
els et les conditions qu'elles doivent remplir. Le déplacement d'un
membre
inférieur a pour effet de déplacer le cen- tre
tracté pour empêcher la chute latérale du bassin. En outre, si le
membre
est porté en avant, il y a flexion de la cuisse
ant ou en arrière. Si nous prions le modèle de porter en arrière le
membre
inférieur droit, par exemple, on voit aussitôt
i est large et aplatie. Mais si au lieu d'être porté en arrière, le
membre
inférieur est porté légèrement en avant, on obs
ointe d'un seul pied, l'équilibre devient encore plus précaire. Les
membres
supérieurs s'écartent davantage et cette statio
Elle est, en outre, d'un joli mou- vement par le contraste des deux
membres
inférieurs, et est fréquem- ment employée par l
plus longuement. V. Station assise. Dans la station assise, les
membres
inférieurs n'entrent pour ainsi dire pas en lig
e base est surtout étendue en avant par suite de la disposition des
membres
inférieurs fléchis et le torse peut s'incliner
ent, violentes douleurs rachidiennes cervicales, irradiées dans les
membres
supérieurs. Atrophie musculaire considérable dans
s les membres supérieurs. Atrophie musculaire considérable dans les
membres
supé- rieurs (surtout les avant-bras et les mus
, et vers la même époque il a éprouvé des douleurs sourdes dans les
membres
, et des céphalées inces- santes, sans caractère
douleurs d'une grande violence . Celles-ci se propageaient dans les
membres
supérieurs, dans les côtés de la poitrine. Le c
oduisait, les douleurs n'ont fait qu'augmenter d'intensité dans les
membres
supérieurs. Elles sont devenues très aiguës dan
c une atrophie musculaire très accentuée, occupant le thorax et les
membres
supérieurs dansjeur entier, avec prédominance dan
e de la tête et une paralysie des deux sixièmes paires (PI. XVI).
Membres
supérieurs ? L'atropine est très marquée aux main
MÉNINGITE CERVICALE SYPHILITIQUE 107 l'axe de l'avant-bras quand le
membre
supérieur est pendant au repos ; il n'y a pas d
s à l'articulation de l'épaule sont très douloureux. L'abduction du
membre
supérieur est limitée surtout par la tension du
supérieure des douleurs semblables à celles qu'il ressent dans les
membres
supérieurs. Symptômes cérébraux. L'intelligence
malade se tient voûté alors qu'il se tenait très droit autrefois.
Membres
inférieurs. Rien d'anormal, ils participent à l'a
es ont été profondément altérées, car la paralysie atro- phique des
membres
supérieurs est du type radiculaire. On doit admet
RIÈRE. traitement, malgré un commencement d'atrophie musculaire aux
membres
supérieurs. (De la méningo-myélite syphilitique
ée salle Briquet, n° 19, le 19 décembre 1893, pour une paralysie du
membre
pelvien du côlé gauche. C'est une femme de co
muqueuses des parties génitales et de la gorge, d'éruptions sur les
membres
(probablement sy- pllilides papulo-squameuses),
mmence à ressentir de l'engourdissement, des fourmillements dans le
membre
inférieur gauche, qui devient plus faible que c
même les matières fécales, s'il y a un peu de diarrhée. Depuis, le
membre
inférieur gauche s'est progressivement affaibli a
est impossible actuellement. État actuel. 21 déc. 1893. Au lit, les
membres
inférieurs étant en extension, le pied gauche n
n du pied : en somme celui- ci est placé en varus équin léger. Le
membre
inférieur gauche, sans être complètement privé de
ter dans tous les sens, sans que la malade puisse s'y opposer. Le
membre
pelvien du côté droit peut accomplir tous les mou
traîne sur 1 e sol par l'ex- trémité desorteils, chaque fois que le
membre
se porte péniblement en avant. La sensibilité e
se porte péniblement en avant. La sensibilité est conservée dans le
membre
inférieur gauche ; il n'y a pas cl'hyperesthési
té à la dou- leur, à la chaleur et au froid est abolie dans tout le
membre
et sur la moi- tié latérale et inférieure du tr
légers ou plutôt sensation de froid dans la région dorsale; dans le
membre
anesthé- sique, sensation de « chatouillements
», qui sont apparus depuis quel- que temps au niveau du mollet. Ce
membre
lui paraît plus froid que l'au- tre ; à la main
lade ressent en outre de temps en temps des fourmillements dans les
membres
supérieurs et jus- que dans la face. A part cel
té, soit la motilité. Le sens musculaire est conservé dans les deux
membres
pelviens. Le volume de ceux-ci, mesuré au centi
e même des deux côtés. Il n'y a donc pas d'atrophie muscu- laire du
membre
paralysé. Pas de troubles trophiques. Les fon
: ilt'ARAPLEGIC aPIN.IL 117 Les symptômes paralytiques du côté des
membres
inférieurs semblent s'être légèrement aggravés.
primitivement que dans le mollet droit occupent maintenant tout le
membre
, la région fessière et l'hy- pogastre qui parai
evue de la station et de la marche. D'abord, l'état des muscles des
membres
inférieurs. Ceux-ci, comme on peut s'en rendre
ts légèrement augmentés de volume. Mais s'ils ne rappellent pas les
membres
remarquablement grêles de certaines variétés d'am
les ont été signalées par la plupart des auteurs. Elles siègent aux
membres
supé- rieurs aussi bien qu'aux'membres inférieu
t prêter ai aucune confusion'. Le double pas est exécuté par chaque
membre
, non plus successivement mais simultanément, de
eu, devient vcrtical, puis oblique en sens opposé. En même temps le
membre
qui a quitté le sol oscille d'arrière en avant, e
fig. 4H), jusqu'à ce que, louchant le sol par le talon, il devienne
membre
portant à son tour. Je désignerai par moment de
st celle qui précède le moment de la verticale. Dans celle phase le
membre
portant est oblique et haut et en arrière, le m
celle phase le membre portant est oblique et haut et en arrière, le
membre
oscillant est postérieur. Je le désignerai sous l
lle s'oppose à la chute latérale du bassin entraîné par le poids du
membre
oscillant, et elle maintient il peu près pendant
be nécessairement à chaque pas du côté oscil- lant, entraîné par le
membre
qui y est suspendu. Quand au mouvement du torse
isation rapide de la maladie, l'envahissement presque simultané des
membres
supérieurs, et de la face, le peu d'accroissement
de) fille du second lit, était is- sue d'une famille dont plusieurs
membres
sont morts fous ; une de ses tantes très intell
té plus faible que la droite. Ce trouble de la motilité du côté des
membres
inférieurs était précédé de douleurs. Elle éprou-
HIE DE LA SALPÊTRIÈRE n'a noté aucune modification du volume de ses
membres
en plus ou en moins. Dès l'âge de 17 ans, il lu
uestion que de troubles de la station et de la marche. A 18 ans les
membres
supérieurs furent atteints par la maladie. Le tra
e au niveau de l'épine ou de la pointe de l'omoplate (Pl. XVIII).
Membres
supérieurs. Les deltoïdes sont très diminués ; le
e de continuer le mouvement. Réflexes tendineux ou périostiques des
membres
supérieurs inappréciables. Membres inférieurs.
es tendineux ou périostiques des membres supérieurs inappréciables.
Membres
inférieurs. Le grand fessier est atrophié et il e
che elle arrive en s'appuyant sur une table ci se redresser sur ses
membres
inférieurs préalablement étendus. La cuisse gau
oint; il en résulte un raccourcisse- ment apparent de ce segment du
membre
inférieur. (Fig. 48). Les mouvements du pied so
t cependant très rapidement vaincue. Or, de tous les segments des
membres
la jambe, et surtout le mollet est la région qu
du tronc des deux côtés à chaque pas. Le tronc s'incline du côté du
membre
inférieur qui supporte le poids du corps, et plus
ou torse à gauche, le côté droit du bassin s'abaisse pendant que le
membre
inférieur droit se soulève. Cette chute du bassin
e. Le sens musculaire est intact aussi. Troubles trop/tiques. Les
membres
sont froids au toucher surtout aux ex- trémités
; ¡ 2° L'envahissement rapide de l'impotence fonctionnelle pour les
membres
inférieurs, les membres supérieurs et la face,
apide de l'impotence fonctionnelle pour les membres inférieurs, les
membres
supérieurs et la face, él ! fI la localisation lt
1 4° La conservation apparente des formes .extérieures surtout aux
membres
inférieurs (pseudo-hypertrophie sans hypertroph
prit bizarre. Il n'est pas sans intérêt de noter aussi que certains
membres
de sa famille ont été atteints de scrofulose et d
; on peut les résumer, d'une façon générale, comme il suit : Aux
membres
supérieurs la diminution de l'excitabilité électr
a diminution de l'excitabilité électrique est peu accusée. Pour les
membres
inférieurs les altérations quantitatives de l'exc
face il n'y a que des altérations moins importantes à signaler. I.
MEMBRES
supérieurs et ceinture scaruLantr. ,1. - Couran
aruLantr. ,1. - Courants faradiques. (L'exploration faradique des
membres
supérieurs a été faite avec l'appa- reil à char
1Vh'C > PFC ? 3 1/4 NFCC (légèrement Te) > PFC > POC". II.
Membres
inférieurs. 1. Courants faradiques. (L'examen
mbres inférieurs. 1. Courants faradiques. (L'examen faradique des
membres
inférieurs, ayant été fait dans le lit de la ma
donc pas comparables, d'une façon absolue, à ceux obtenus pour les
membres
supérieurs accole grand chariot; leur comparaison
m- mun. 2. Courants galvaniques. (Mômes conditions que pour les
membres
supérieurs. Nous ne rappor- tons que les réacti
d'ailleurs toutes celles obtenues aussi sur les autres muscles des
membres
inférieurs. Sur ce muscle, de môme que sur les au
comme pour les suivants, ainsi que pour les muscles et les nerfs du
membre
supérieur, une résistance assez considérable se t
que ses épaules maigrissaient. A l'âge de 20 ans, la faiblesse des
membres
supérieurs s'était accentuée, au point qu'il a
de renoncer son métier. Il n'avait encore rien remarqué du côté des
membres
inférieurs. A 21 ans, ceux-ci ont commencé à fa
t. Le bassin est fléchi sur les cuisses et ne peut être redressé.
Membres
inférieurs. Les fessiers sont atrophies et l'anus
pas d'altérations manifestes de la contractilité électrique. I. -
Membres
supérieurs. Ceinture scapulaire. Tronc 1. Coura
2 m. A. NFC" ; 3 m. A. NFC'>PFC" ; 5 NFCC >PFC'>POC. II.
Membres
inférieurs. 1. Courants faradiques. Les résul
LA SALPÊTRIÈRE Couturier : Ce muscle est un des mieux conservés aux
membres
inférieurs ; il se tend fortement pendant les c
descend sa main gauche au-dessous du genou correspondant, étend le
membre
supérieur droit, grimpe avec la main gauche le
83 tête et le thorax en extension exagérée, joints à l'attitude des
membres
supérieurs, donnent il l'habitus général de ce
ent chez les enfants, leur début est brusque. Plusieurs muscles des
membres
sont atteints à la fois; tous ces muscles ou quel
en évidence les déformations dont nous avons parlé. L'atrophie des
membres
est suffisamment apparente pour qu'il soit inutil
des troncs nerveux et des muscles ont disparu. La circonférence des
membres
gauches (bras, avant-bras, cuisse, jambe) excèd
membres gauches (bras, avant-bras, cuisse, jambe) excède celle des
membres
droits de 1/4 de ponce. Actuellement les membre
) excède celle des membres droits de 1/4 de ponce. Actuellement les
membres
du côté droit sont plus atrophiés que ceux du c
n même temps chez le même individu, ou bien atteignant diffé- rents
membres
d'une même famille, toutes étant dans un certains
orte du temple rendant la santé à un infirme (1). L'incurvation des
membres
de celui-ci rappelle les déformations rachi- ti
les couvres d'art, les représentations d'atrophies musculaires des
membres
sont mieux connues. , Dans les Malades et les D
temple au moment où passent St-Jean et St-Pierre. L'émaciation des
membres
supérieurs est extrême. L'attitude de la main e
cations articulaires qui semblent incompatibles avec la fonction du
membre
intéressé, et vous aurez seulement alors une idée
enou, vous consta- tez que l'infiltration s'étend il la totalité du
membre
depuis le pied jusqu'au pli de l'aine. C'est un
pertoire. Pas un jour ne se passe sans de cruelles souffrances. Les
membres
inférieurs principalement sont affectes. Les ré
1889, le gonfle- ment envahit sans cause appareille la totalité du
membre
inférieur. La défor- mation s'exagère et l'arti
t pour marcher, lient à l'énorme poids d'oedème qu'il a il porter. Le
membre
a l'aspect élépliantiasidue. L'infiltration au-
pue laisse le liquide synovial s'insinuer dans le tissu conjonctif du
membre
. Je n'y contredis pas à priori. Il est toutefoi
en ne fut nullemeut douloureuse; mais immédiatement après, loti[ le
membre
supérieur gauche, y compris la main, s'infiltra
n'est pas impossible qu'un gros caillot ainsi formé il la racine du
membre
, fasse obstacle à la circulation en retour et dev
depuis deux mois, un oedème absolu- ment semblable s'est montré au
membre
inférieur droit dans la même région que celui d
ion, il y a un instant, sur une difformité toute particu- lière des
membres
inférieurs chez les sujets atteints d'arlhropathi
, provoquées par le froid ou la fatigue sont restées localisées aux
membres
inférieurs pen- dant do longues années : elles
ine. En 1869, l'incoordination motrice fait son apparition dans les
membres
infé- rieurs, d'abord dans la jambe et le pied
on motrice. En 1881, elle ressent des douleurs fulgurantes dans les
membres
supérieurs droit et gauche (au niveau des mains
ent et n'avait pas eu de crise récente de douleurs. On enveloppe le
membre
dans un appareil dex- trasé qu'on enlève quatre
disparu, mais la malade ne pouvait pas lever son bras. On remet le
membre
dans l'appareil qu'en en- lève une seconde fois
il qu'en en- lève une seconde fois, cinq mois après. L'épaule et le
membre
supérieurs étaient alors, dit la malade, dans l
iode, les dou- leurs fulgurantes ne s'étaient pas montrées dans les
membres
supérieurs. De- puis elles sont revenues, à int
lit et entend aussitôt' son épaule craquer. Le lendemain matin, le
membre
correspondant était gon- né par une ecchymose t
eiller avec une ecchymose étendue, soit dans l'un soit dans l'autre
membre
supérieur. Ces ecchymoses n'étaient ni précédées
nomène nouveau : des mouvements involontaires cboréiformos dans les
membres
, inférieurs (cuisses et jambes).- Ces mouvement
nsations douloureuses et thermi- ques perçues mais avec retard. Aux
membres
supérieurs 'et à la face,- le contact est conse
te.. '. > La -notion de position est tout à fait abolie dans lés
membres
inférieurs. : Pas de troubles vaso-moteurs ni L
ltitudes les plus extraordinaires et faire faire, par exem- ple, au
membre
deux ou trois tours complets autour de 'son axe l
Malgré ces lésions, la ma- lade se sert encore passablement de ses
membres
supérieurs, du moins de ses mains et de ses ava
e sont pas plus marqués au niveau de l'épaule que dans le reste des
membres
supérieurs. Quant à 1 ? iiiiyo[ropiiie, si elle
e degré, en raison de l'émaciation générale du corps. Du côté des
membres
inférieurs, on trouve une arthropathie (hypertrop
ubitement. Sa grand' mère est morte, à 60 ans, paralysée des quatre
membres
. Parmi les oncles et les tantes, il n'y a il si
, ces douleurs se sont fait sentir, dans les mêmes con- ditions, au
membre
inférieur gauche, toujours au niveau du mollet. A
r de ce moment, elles se sont produites simultanément dans les deux
membres
in- férieurs, au niveau des mollets, revenant t
violentes si possible, et se sont généralisées divers segments des
membres
inférieurs : mollets. talons, plantes du pied,
été épargnées : la ceinture, le tronc, le cou, la face et même les
membres
supérieurs, sauf cependant la sphère du cubital q
ans, les douleurs fulgurantes on[ presque exclusivement frappé les
membres
inférieurs, surtout les jamhes et les pieds (cr
es. La malade n'avait jamais remarqué de trouble moteur du côté des
membres
inférieurs : ni parésie, ni incoordination, ni dé
'incoordination motrice. L'intérêt se concentre sur (les genoux. Le
membre
inférieur gauche est dévié et déformé; la jambe
ngle droit. Au contraire, l'extension n'est pas limitée. Lorsque le
membre
est en extension, la jambe est très déviée en d
i bien que de l'état des parties fibreuses de l'article. Quant au
membre
inférieur droit, la flexion de la jambe est loin
t loin d'aller jusqu'à l'angle droit. L'extension est normale et le
membre
apparaît alors dans une atti- tude vicieuse trè
a mobilité latérale très nette, tout épanchement absent. Dans les
membres
inférieurs, on ne constate ni troubles Irophiqucs
lade s'aperçoit que son genou droit enfle progressivement ; tout le
membre
inférieur du même côté ne tarde pas il s'oedémati
é cutanée est normale sur toute la surface du corps, tronc, face et
membres
; la région lombaire pré- sente une zone limité
d'Aryll-Robertson est très net. Aucun trouble de la mobilité dans les
membres
supérieurs : dans ceux-ci, comme dans les membr
mobilité dans les membres supérieurs : dans ceux-ci, comme dans les
membres
inférieurs, conservation absolue du sens muscul
s musculaire. n'y a pas d'incoordination motrice apparente dans les
membres
inférieurs, la marche sans béquilles est impossib
oeur, pancréas, foie normaux. Rien d'anormal dans les urines. Les
membres
inférieurs sont déformés; les cuisses sont le siè
veau des chevilles ou elle est un peu écaillcuse et rougcâtrc. Le
membre
inférieur droit est d'un volume considérable, la
canne, la cuisse forme avec la jambe un angle il sommet externe. Le
membre
inférieur gauche présente dans son en- semble,
n III, on voit encore aujourd'hui un oedème considéra- ble des deux
membres
inférieurs, surtout du côté droit. Dans ce dernie
des deux membres inférieurs, surtout du côté droit. Dans ce dernier
membre
, au-dessous du genou, il s'agit d'un oedème vulga
dans quelle mesure ce pseudo-lipôme enlre dans l'hypertro- phie du
membre
. Il se pourrait que les tissus osseux et musculai
sations est très significatif. Elle est beaucoup plus fréquente aux
membres
supérieurs, contrairement à ce qui se passe dans
périeurs, contrairement à ce qui se passe dans le tabes, et pour le
membre
supérieur sa fréquence est plus grande pour les a
rande pour les articula- lions les plus rapprochées de la racine du
membre
(Voy. PI. XXIX et XXX). Elle n'a guère plus de
'origine à la fois périarticulaire et articulaire. Les segments des
membres
adjacents à lajointure sont infil- trés dans un
PAR AMPUTATION CONGÉNITALE On divise les anomalies congénitales des
membres
en deux catégories : les anomalies par excès et
ments amputés. Il en est de même des faits où l'on constate sur les
membres
soit des sillons congénitaux, soit surtout une
LE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Description de la malformation du
membre
supérieur gauche Voy. Fig. 63 (1). ' La malade
63 (1). ' La malade présente depuis sa naissance une déformation du
membre
supérieur gauche. Ce membre, dans son ensemble,
depuis sa naissance une déformation du membre supérieur gauche. Ce
membre
, dans son ensemble, a des dimensions sensiblement
n ensemble, a des dimensions sensiblement infé- rieures à celles du
membre
opposé. La main semble, à première vue, avoir s
st impossible pour l'avant- bras. Mensurations comparées des deux
membres
. UN CAS DE BIDACTYLIE DE LA MAIN DROITE 243 L
conformée et ne présente aucune malformation congénitale aux autres
membres
ni il la face. Enfin elle utilise merveilleusem
mme, tout se borne à une anomalie de la main droite. Sans doute, le
membre
supérieur droit est atrophié dans son ensemble, m
pant avec la main du côté sain. Du reste, les divers segments de ce
membre
supérieur droit (épaule, bras, avant-bras, carpe
tails caractéristiques, tels que les contrac- tures, la raideur des
membres
qu'on retrouve au contraire si exactement rendu
de son épaule droite, du poignet droit et de l'impotencc de tout le
membre
supérieur. Le 17 mai, il se présente il la cons
, l'épaule droite est tuméfiée ; il se plaint de l'impotence de son
membre
supérieur droit. Motilité. On ne remarque pas d
it. Motilité. On ne remarque pas d'atrophie visible des muscles des
membres
et du tronc, sauf au niveau de l'hypothénar dro
sion de l'avant-bras est énergique. Les mou- vements volontaires du
membre
en totalité sont peu étendus ; l'abduction du b
n dehors et en arrière (PL XXXIII et XXXIV). Tous les mouvements du
membre
supérieur gauche sont libres, sauf l'éléva- tio
uche sont libres, sauf l'éléva- tion du bras qui est limitée. Les
membres
inférieurs ne présentent rien d'anormal. Les mu
rs intacts. Fin juin. L'état du malade a peu changé; l'impotence du
membre
supérieur droit persiste, la laxité de l'épaule
atteint, il doit en être de même de la lésion; enfin elle occupe le
membre
supérieur, le siège de la lésion est donc le ren-
atente. Les lésions trophiques et sensitives sont localisées sur le
membre
droit; (1) ZA.)ii3,co, LAJAIII), l3aumsi, etc.
les fatigués. La grenouille est l'animal choisi. On lie l'artère du
membre
postérieur droit. On fait passer un courant ind
ent, je vous montrais une femme hémiplégique chez laquelle les deux
membres
paralysés et, plus spécialement le bras gauche ét
ent le bras gauche étaient le siège d'une vive douleur. Or ces deux
membres
et surtout le membre supérieur étaient frappés
ient le siège d'une vive douleur. Or ces deux membres et surtout le
membre
supérieur étaient frappés d'atrophie; ce dernie
combien sont fréquentes les douleurs sponta- nées et continues des
membres
paralysés, dans l'hémiplégie d'origine cérébrale.
ie. Le pincement d'un orteil a pour premier effet, la rétraction du
membre
inférieur. L'écrasement d'un orteil a pour effet
'écrasement d'un orteil a pour effet non seulement la rétraction du
membre
, mais encore une secousse convulsive plus ou mo
vent comme dans l'arthropathie tabétique une déviation de l'axe des
membres
malades. Nous n'insisterons pas pour le moment
localisation correspondant la syringomyélie ? Les arthropathies des
membres
supérieurs sont de beaucoup les plus fréquentes p
ouffert, dans son articulation, de douleurs sour- des, puis dans le
membre
de douleurs en éclairs; des poussées fugaces d'
n tabès classique, sans acci- dents sensitifs ou moteurs du côté du
membre
artbropa- thique, sauf une analgésie complète d
nifestée seulement par des crises de douleurs fulgurantes clans les
membres
inférieurs et l'abdomen, remontait à ans environ
° de l'axe de l'avant-bras sur l'axe du bras, dans l'extension du
membre
. En somme il s'agissait d'un véritable coude «
t du reste, avouons-le, plutôt d'une ar- thrite tuberculeuse sur un
membre
trophique que d'une arthrite tubercu- leuse dan
er : plaie, éruption ou ulcération trophique, soit à l'extrémité du
membre
, soit sur la peau même qui recouvre l'arti- cul
nes, Porson, Polosson, Schneiber à la suite de plaies des nerfs des
membres
inférieurs. Il est à prévoir que ces diverses
ammatoire, qu'affectent les accidents articulaires signalés sur les
membres
paraplégies par J. K. Mitchell, Gull, Michaud, Ba
nd les genoux des deux côtés se remplirent de liquide, au milieu du
membre
gonflé par l'oedème. Ajoutons que nous avons ob
dans ce second cas que la conséquence articu- laire de l'oedème du
membre
, tout en pouvant acquérir un volume suffi- sant
Peut-être, mais à mon avis seulement si l'arthropathie, siégeant au
membre
inférieur, retient seule et invinciblement le m
une vie active. semble donc bien que si, théoriquement, amputer un
membre
pour une arthropathie médullaire simple soit un
, plutôt qu'antiseptique, à cause de la susceptibilité trophique du
membre
. Si ce moyen joint à une immobilisa- tion prolo
ÈRE avec succès des amputations destinées à supprimer il la fois le
membre
inutile et le foyer bacillaire. c) Considérat
la main droite soit en extension forcée sur l'avant-bras ; tout le
membre
parait raidi. Quant au saint, son expression es
sa famille, conseille le repos au lit avec ex- tension continue du
membre
malade. Le corset est bien entendu supprimé. El
ates, les côtes, les apophyses vertébrales, les os du bassin et des
membres
font un relief très accusé. Partout des méplats
part le sens des attitudes segmentaires du reste du corps, tronc et
membres
, que l'on a souvent appelé sens musculaire, bie
ralysie alterne de l'oculo-moteur commun d'un côté du corps, et des
membres
et du facial inférieur de l'autre. C'est en effet
893), elle a ressenti durant quelques jours des dou- leurs dans les
membres
du côté gauche, bientôt suivies de paralysie de c
de connaissance et progressivement dans l'espace de huit jours. Le
membre
inférieur est resté paralysé quelques jours seu
es jours seulement et ensuite a repris ses mouvements peu à peu. Le
membre
su- périeur, au contraire, est toujours resté e
té paralysé, l'occlusion isolée do l'oeil gauche est impossible. Le
membre
supérieur gauche est totalement paralysé ; les do
cture ; les réflexes olécrftnien et carpien sont exagérés. Quant au
membre
inférieur correspondant, il est simplement parési
érailchoesfleésae anclae, pour tous les modes de la sensibilité. Au
membre
supérieur, il y a une légère atrophie musculaire
t est fléchi à angle droit au devant de la poitrine et impotent. Le
membre
supérieur droit est raide et résiste aux mouvemen
tellaires sont exagérés du côté droit; il y a de la trépidation. Au
membre
supérieur ces réflexes sont impossibles à provoqu
me, c'est le pédoncule gauche qui est intéressé puisque ce sont les
membres
du côté droit et le moteur oculaire commun gauche
la lt° apophyse épineuse dorsale. Il n'y avait aucune gibbosité. Le
membre
inférieur gauche était entièrement paralysé, sauf
rier; les muscles de la fesse gauche étaient également atteints. Le
membre
inférieur droit présentait sa motilité normale.
toute la moi- tié inférieure de la jambe, y compris le pied. Sur le
membre
inférieur gaucho, ou constatait seulement une t
ocre, le plantaire nul ; le pincement de la peau provoquait, sur le
membre
inférieur paralysé des tremblements fibrillaires
ique (f. vestibulaires) et d'attitudes segmentaires du tronc et des
membres
(f. médullaires), indispensables il l'équilibrati
suffisante pour soulever le talon du lit. Les troubles sensitifs du
membre
inférieur gauche ont disparu. Sur le membre inf
s troubles sensitifs du membre inférieur gauche ont disparu. Sur le
membre
inférieur droit, la bande d'anesthésie cru- ral
fessières se limitent une zone péria- uale très restreinte; sur le
membre
inférieur droit, l'li3,pooslliésie avec retard
a normale. Pendant la première quinzaine de juin, les mouvements du
membre
inférieur gauche reprennent toute leur activité
charges pesant cent livres et plus. Ses muscles, non seulement des
membres
supérieurs, mais des lombes et des membres inféri
scles, non seulement des membres supérieurs, mais des lombes et des
membres
inférieurs se sont ex- traordinairement dévelop
embres inférieurs se sont ex- traordinairement développés : seul le
membre
inférieur gauche, membre para- lysé par le trau
ex- traordinairement développés : seul le membre inférieur gauche,
membre
para- lysé par le traumatisme, est un peu amaig
rectale sans anesthésie, et une notable susceptibilité au froid du
membre
inférieur gauche. Les réflexes rotuliens sont red
e luxation cervicale immédiatement suivie de paralysie des qua- tre
membres
. En quelques semaines, celle paralysie disparut,
lever un maximum qu'elle gardait toute la journée. En même temps le
membre
supérieur gauche qui pendant le décubitus avait
autres troubles de la sensibi- ité (Fig. 97 et 98). Les réflexes du
membre
supérieur gauche et de toutes les autres partie
on bien précise des accidents sans retentissement aucun du côté des
membres
inférieurs ou des organes vésico-rectaux, le sièg
provoquait plus de fourmillements ni de faiblesse du pouls dans le
membre
gauche, qui accomplissait avec une souplesse déjà
géné- ral du corps, dont les lignes rappellent le type féminin. Les
membres
sont longs, la partie inférieure du corps préva
absence complète de poils aux aisselles, sur la poitrine et sur les
membres
. A la région pubienne ils sont très clairsemés et
rement. Absence totale de poils aux aisselles, au thorax et sur les
membres
; un simple duvet à la région sus-pubienne. A p
s'est fracturé le fémur droit, d'où résulta un raccourcissement du
membre
lésé et une scoliose consécutive. Taille, 1 m.
ence complète de poils aux aisselles et au pubis, ainsi que sur les
membres
. Voix de fausset parfaitement caractéristique. Ad
sence de poils aux régions axillaire et pubienne, ainsi que sur les
membres
. Adipose très prononcée, surtout à la région in
stème veineux se dessine bien en évidence sous la peau, surtout aux
membres
inférieurs où l'on trouve des varices. La peau
malade est venu consulter, parce qu'il souffre de douleurs dans les
membres
inférieurs, surtout dans les jambes et les pied
uivi d'amélioration évidente et rapide, en tant qu'aux douleurs des
membres
et aux altérations osseuses. Observation VII (P
La conformation du corps est du type féminin, le bassin large, les
membres
arrondis. Poils rares à l'aisselle et à la régi
Poids, 50 k. Crâne d'aspect normal. Conformation féminine du corps.
Membres
supérieurs très longs. Mains féminines, fines e
eurement par une ligne horizontale. Des poils fins et rares sur les
membres
. Dents cariées, beaucoup manquent. Adipose pron
stant on observe des tics très violents dans la tête, le cou et les
membres
, accompagnés de coprolalie. Le malade saute, tr
e de poils aux aisselles et au pubis. Système pileux normal sur les
membres
et le tronc. Pénis insignifiant (2 cent. 1/2).
ets, l'effort de redressement provoque un tremblement classique des
membres
inférieurs, qui persiste ensuite pendant 15 à 2
e et douloureuse en botte, remontant jusqu'au genou. L'examen des
membres
au point de vue de la motilité ne montre aucun
se propageait parfois en avant en ceinture, ou descendait dans les
membres
inférieurs. Evacués du front dans les formation
cles- Pendant la deuxième phase. (des corrections postérieures), le
membre
. est sous l'influence permanente de l'attention
ans) évoluarit'depuis plusieurs années, flaccidité mdsculaire; aux
membres
inférieurs, des"contractions toniques ont égal-
a mère nous dit qüé l'enfant' n'était pas capable'd'immobiliser' le
membre
supérieur g'3u'¿he pendant l'usage du bras'droi
dés accès de crampes épileptlqùes se déclarent;'déhu- tant dans les
membres
gauches. Des mouvements'ath'étosiques de la main
ttentes de la musculature faciale.' Des spasmes inter- mittents des
membres
, surtout à gauche; leur communiquent des position
ne seule épaule, les mouvements isolés de l'index et du pouce ; aux
membres
inférieurs, les mouvements dans l'arti- culatio
rieurs, les mouvements dans l'arti- culation de la banche(élever le
membre
au-dessus du plan du lit), du genou, des orteil
our l'acte projeté, causant des mouvements dans un autre segment du
membre
, ou intéressant des groupes musculaires plus él
ractère clonique, par leur action prolongée elles communiquent aux
membres
des positions qui durent quelque temps. Même dans
tout le temps à la contraction de ces muscles qui font rebondir le
membre
dans la position ancienne. Parfois ce sont certai
: adducteurs du bras, fléchisseurs de l'avant-bras ; allongeurs du
membre
inférieur provoquant 42 WOERKOM ''1 ? > ,-
ntractures passagères. Le même malade, qui inconsciemment étend les
membres
inférieurs sans difficulté apparente; est souve
e phase le mouvement'estlent, diffi- cile : puis, tout d'un coup le
membre
s'élance sans être arrêté par la contraction de
trop vif et démesuré, le malade est souvent incapable d'arrêter le
membre
au juste moment, le but est dépassé d'un coup.
ment, le but est dépassé d'un coup. C'est le cas contraire quand le
membre
fait le trajet lentement, avec interruptions mu
que,dans la fonction des synergistes, ^communiquant la stabilité au
membre
pendant le mouvement. Pendant l'effort, les aut
tion quelconque : adduction du bras, flexion du coude; extension du
membre
inférieur; extension du gros orteil avec abduct
ier effet dynamique, mais ils ne sont pas, capables de gartler ,le.
membre
.dans la position acquise. Ce sont encore les e
étaient capables de conserver pendant quelque. temps la position du
membre
(1) (lengtbening-sliortening-reaction); après l
ale des pieds, l'opisthotonus se combinant d'une flexion forcée des
membres
. Quant aux contractions toniques des extenseurs
quittant son lit, présente une contraction tonique en extension des
membres
inférieurs malgré l'atonie musculaire. Revenons
, perte de conscience, puis légères convulsions des doigts des deux
membres
supérieurs, ainsi que des muscles de la face. Pro
variant de 2 à 20 jours, il est pris de convulsions instantanées du
membre
supérieur gauche. Ces convulsions sont suivies
ulsions sont suivies d'engourdissement et de légère fatigue du même
membre
durant quelques minutes, souvent même une demi-he
essus depuis 5 ans environ il est pris parfois d'engourdissement du
membre
inférieur gauche et de la langue durant tantôt
onscience, puis état spasmodique instantané seulement des doigts du
membre
inférieur gauche. Puis revient à lui. Il sent seu
s revient à lui. Il sent seulement un engourdissement des doigts du
membre
inférieur gauche et de la langue ainsi qu'un lé
urs, se dissipant petit à petit. Etat actuel. Léger tremblement des
membres
supérieurs à l'extension. A la pression des car
examen, quel est le nerf lésé, rien qu'en se basant sur l'aspect du
membre
. Ce sont surtout les attitudes de la main qu'il
Très souvent, à'mesure que le temps s'écoule, le fonctionnement du
membre
se trouve plus compromis. Les attitudes de dé
ec rétractions très marquées et chevauchement des doigts rendant le
membre
, la main en particulier, absolument inutilisables
qu'aux signes habituels de la paralysie d'un ou plusieurs nerfs du
membre
supérieur s'ajoutent des troubles vasomoteurs et
hémie, à la suite de la compression ou de la striction prolongée du
membre
par un appareil plâtré (pl. XXII, fig. D). Nous
erve de préférence au niveau de la main, plus rarement au niveau du
membre
inférieur. C'est vers le milieu de l'année 1915
cèrent à signaler l'apparition de certaines attitudes vicieuses des
membres
et notamment de la main, s'accompagnant d'impoten
ssocie à la con- tracture de certains autres. Les contractures du
membre
supérieur prédominent ordinairement à ! la main
'alcoolisation tronculaire au cours des acromyo- fonies rebelles du
membre
supérieur, Paris médical, 3 juin 1916, n° 23. C
ive d'extension provoquant une vive douleur à la face antérieure du
membre
. 3. Attitude actuelle. - La main seule a une at
ssus de l'interligne articulaire, elle est perpendiculaire à l'axe du
membre
, longue de deux centimètres, froncée et un peu
lète, et ces quatre doigts sont en adduction par rapport à l'axe du
membre
, le petit doigt étant sur un plan légèrement anté
ouvrir le poing. Quelques jours après, on appliqua un plâtre sur le
membre
mis en extension, et c'est depuis son abla- tio
mble rester au même degré. Il en est de même de la -contracture. Le
membre
, conserve plus longtemps la chaleur. 14. Inte
t en exten- sion et la main tomba sur l'avant-bras. On lui mit le
membre
en écharpe à diverses reprises après la cicartisa
ion marquée avec flexion de sa dernière phalange. Cette attitude du
membre
droit du malade rappelle celle de la patte que
du cubital ne sont que le produit de l'inactivité fonctionnelle du
membre
et peuvent être considérés comme d'origine hyst
révèle un cal légèrement exubérant. 2. Conséquences immédiates. Le
membre
pendit inerte et pendant cin- quante-cinq jours
vateurs de l'omoplate, qui est rapprochée de la ligne médiane. Le
membre
, qui parait plus court que l'autre, ne peut pas s
appelle celle d'un égreneur de chapelet. 4. Motilité volontaire. Le
membre
garde l'attitude ci-dessus décrite sans que le
complète. 5. Motilité provoquée. - On peut faire exécuter à tout le
membre
tous les mouvements. Toutefois l'abduction du b
r. - 6. Sensibilité. - Hypoesthésie tactile très marquée de tout le
membre
, de la région sus-scapulaire du cou et de la fa
il constata que sa main tombait sur le poignet et était blessée. Le
membre
fut pansé et mis en extension sur une planchett
aient en flexion comme ils le sont encore. 3. Attitude actuelle. Le
membre
étant en pronation, la main est en flexion comp
i redressa la main en extension. Lorsqu'on enleva cet appareil, le
membre
conserva l'attitude actuelle, qui est celle qu'
appareil redresseur. 3. Attitude actuelle. La main pend au bout du
membre
, inerte. Lorsque l'avant-bras est relevé et en
ntradiction avec elles, on saisit des rI1'ouvements de re- trait du
membre
. 7. Réflectivité. - Pas de modification des réf
XXV, H). 1. Historique. T..., enseveli le 28 juillet 1915, avec le
membre
supé- rieur comprimé sous un amoncellement de d
it étendre au sujet le bras en pronation et qu'on regarde le dos du
membre
, la main se présente sous la forme d'une surface
té électrique. - Hypoexcitabilité électrique de tous les muscles du
membre
droit. ' - 8. Excitabilité mécanique. Hyperexci
à une lésion ne siégeant pas sur un tronc nerveux bien défini (IV,
membre
d'échassier après perforation des masses muscul
absence de décalcification des phalanges. Amaigrissement général du
membre
: II, VIII (R. + P.), IX (R. +P.), ce dernier c
e base lésionnelle, lorsqu'elle persiste malgré le réchauffement du
membre
. Nos sujets ne réunissaient pas la totalité des
lques instants l'empreinte d doigt. L'aspect général est celui d'un
membre
atteint d'éléphantiasis. La peau, surtout dans
ic de syringomyélie fut alors posé, en se basant sur l'apparence du
membre
et sur certains troubles d'hypoesthésie mal local
ne ecchymose linéaire ; l'application d'un plâtre enfermant tout le
membre
supérieur amena en quelques jours un dégonfleme
, très largement posée sur une couche d'ouate, mais prenant tout le
membre
de l'épaule à l'extrémité des doigts. C'est un vi
eil sym- pathique et de l'appareil vasculaire dans les blessures du
membre
, Presse médicale, 6 avril 1916. DÉFORMATIONS
x douleurs, elles sont presque toujours localisées à l'extrémité du
membre
, main ou pied, quel que soit le niveau du membr
s à l'extrémité du membre, main ou pied, quel que soit le niveau du
membre
où le nerf, médian ou sciatique interne, ait ét
, par le chaud ou le froid, par l'humidité, par tout contact sur le
membre
malade ou souvent sur le membre opposé, voire m
l'humidité, par tout contact sur le membre malade ou souvent sur le
membre
opposé, voire même sur toute aulre partie du co
(1). C'est là un phéno- mène que nous' retrouverons chez différents
membres
de cette famille. Ajoutons par ailleurs que not
l. Le commun de l'humanité, qui ne dis- pose que de cinq doigts par
membre
, serait en état de dégénérescence. Seuls les po
ue ou, abdominale. Il n'existe aucun trouble du système nerveux. Le
membre
supérieur droit est très atrophié dans son segm
hippopotame ; Sédibé, perdreau Diarra, lion ; Koné oiseau, et aucun
membre
de la famille ne mange ni ne chasse l'animal do
la pression. 3. T. : 35°3 à 36°. P. : 62. Impotence complète des
membres
supérieurs et inférieurs. Le malade ne peut flé
asmes. Réflexes normaux. Pas de Kernig. 4. Impotence complète des
membres
et des muscles ; réapparition de lé- gers mouve
uer aux cartes. Constipation. 9. Le malade soulève spontanément les
membres
supérieurs à 40 centi- mètres au-dessus du plan
au-dessus du plan du lit, plus facilement à droite qu'à gauche. Aux
membres
inférieurs, il soulève la jambe gauche à 30 centi
ectionne un petit panier en rafla. 12. Se lève, se supporte sur ses
membres
, esquisse quelques pas. 17. Réflexes normaux.
MIES MILITAIRES 201 29. Réflexes normaux. Elève très facilement les
membres
inférieurs au- dessus du plan du lit. 42 juin
ficilement les deux jambes jusqu'à la verticale. Les mouvements des
membres
inférieurs sont lents. Abo- lition totale des r
out, le malade s'affaisserait s'il n'était soutenu. Au niveau des
membres
inférieurs, sensibilité superficielle au toucher
202 ÉTIENNE 1 Pas de contracture de la nuque. ' Faiblesse des
membres
supérieurs. 27. Reprenant mon service après que
aibles, mais pas tête en boule de bilboquet. Analgésie complète aux
membres
inférieurs ; diminution de la sensibilité à la
p- toïde du pied à droite et à gauche. Mouvements d'élévation des
membres
inférieurs difficiles du côté gauche, impossibl
au côté droit. Contraction idio-musculaire. La force musculaire des
membres
supérieurs paraît intacte. Le réflexe cubital est
ade urine spontanément. La force musculaire paraît intacte dans les
membres
supérieurs. 18. - Trépidation indéfinie du pied
e faciles. Sensibilités normales, sauf douleurs diffuses dans les
membres
inférieurs. Atrophie considérable des muscles d
tive ; en même temps inappétence. Pas de céphalée. Rien du côté des
membres
supérieurs. Symptômes à l'entrée. A l'inspectio
ection, aucune modification objective des genoux ou des jambes. Les
membres
inférieurs sont en contracture, les pieds en éq
'urine, tempé- rature. 31. Au matin, disparition des douleurs des
membres
inférieurs. La con- tracture est très amoindrie
ilité à la piqûre et à la température semble exagérée dans les deux
membres
inférieurs, et redevenir normale à la hauteur de
vif à droite ; et dans la marche nuance de raideur, surtout dans le
membre
inférieur droit. - Observation VI. Roui..., s
du pied. 27. - Réélévation de la température, crise douloureuse des
membres
infé- rieurs, empêchant le mouvement. Aucune do
nué. , Le malade ne peut se tenir debout. Déplacement difficile des
membres
infé- rieurs sur le lit. 2 juin. Les mouvemen
s sur le lit. 2 juin. Les mouvements d'abduction et d'adduction des
membres
infé- rieurs sont très difficiles ; le malade y
vation de la température avec crise douloureuse, puis paré- sie des
membres
inférieurs. 4. Elévation de la jambe gauche à 3
té à la piqûre existe, bien atténuée. 8. - Pas de douleurs dans les
membres
, jambe engourdie, sans force. 42. Réflexe du ge
très marqué ; réflexe du tendon d'Achille exagéré. 208 ETIENNE
Membres
inférieurs engourdis. Réflexes des membres supéri
e exagéré. 208 ETIENNE Membres inférieurs engourdis. Réflexes des
membres
supérieurs normaux. 10. Démarche encore hésitan
es. Symptômes à l'entrée. - Sensation de fatigue. Douleurs dans les
membres
inférieurs. Céphalée. Exagération du réflexe ro
halée intense. Le malade se plaint de douleurs lancinantes dans les
membres
inférieurs. Masses musculaires très douloureuse
des jambes. Constipation. , 19. - Dans les masses musculaires des
membres
inférieurs, les douleurs sont bien moindres, le
essus du plan du lit, il n'y arrive pas ; mais quand on soulève les
membres
inférieurs, ils ne retom- bent pas. ' Pas de
ttement par exemple, pro- voque, non seulement une réaction dans le
membre
excité, mais aussi dans le membre symétrique ;
on seulement une réaction dans le membre excité, mais aussi dans le
membre
symétrique ; et si l'excitation est plus forte, i
xcitation est plus forte, il se produit des con- tractions dans les
membres
supérieurs. Quand le malade s'asseoit, il éprou
Langue blanche, humide. Bruits cardiaques normaux. Douleur dans le
membre
inférieur droit et dans le coude droit. Pas de go
que nor- male. Zone hépatique normale. Selles normales. Parésie des
membres
infé- rieurs. Légère exagération des réflexes d
n'est que vers le 20. jour que se constate nettement la parésie des
membres
inférieurs. Il importe de ne pas confondre l'im
e avec l'im- potence résultant de l'intensité des douleurs dans les
membres
inférieurs. La distinction est nettement établi
t un nouveau saut fugitif à 39°, alors que s'établit la parésie des
membres
inférieurs : le malade ne peut plus se tenir su
mouvement ni de la nuque (boule de bilboquet), ni du tronc, ni des
membres
; pas le plus petit mouvement de l'orteil ou d'
lever la jambe au-dessus du plan du lit ; mais quand on soulève les
membres
, le malade peut les maintenir élevés pendant un c
seulement partielle, mais aussi incom- plète en ce cas, surtout aux
membres
inférieurs : nous trouvons le type paraplégique
s le type paraplégique net dans l'observation III : l'élévation des
membres
infé- rieurs est difficile du côté gauche, impo
che, impossible du côté droit. Mais le malade peut s'asseoir et les
membres
supérieurs sont totalement indemnes. Enfin, de
début des crises douloureuses, il existe un état de contracture des
membres
inférieurs, le malade ne pouvant que difficilem
ion III, le réflexe cubital apparut un peu marqué. Les réflexes des
membres
supérieurs ont été intéressés dans l'observation
ur, nous avons très nettement noté d'énergiques mouvements dans les
membres
inférieurs, mouvements contro-latéraux d'abord,
phérique était plus forte, extension des contractions propagées aux
membres
supérieurs. Mouvements contro-latéraux égalem
urs spontanées les plus fréquemment observées sont les douleurs des
membres
, notamment des membres inférieurs, parfois des
fréquemment observées sont les douleurs des membres, notamment des
membres
inférieurs, parfois des membres supérieurs et i
douleurs des membres, notamment des membres inférieurs, parfois des
membres
supérieurs et inférieurs (obs. XII) ; douleurs mu
de la maladie, accompagnée d'une recrudescence de douleurs dans les
membres
. Même incident à 38° au 23e jour, puis poussées
déjà plus ou moins longtemps. Il persiste alors de la faiblesse des
membres
inférieurs. Le malade, qui jusqu'à présent n'av
, mais avec sensation de très grande fatigue, d'engourdissement des
membres
après quelques pas. Les forces des membres revien
e, d'engourdissement des membres après quelques pas. Les forces des
membres
reviennent pro- gressivement ; en quelques jour
a céphalée, le ralentissement du pouls, et surtout les douleurs des
membres
et le long des tibias. Mais la circulaire 2.709/
tique, mais une adénopathie générale. L'état général est bon. Aux
membres
inférieurs, on ne peut observer aucune atrophie n
s sur son lit. Il peut faire les mouve- ments des articulations des
membres
inférieurs au degré normal, mais la force de ce
réduite. Il y a une certaine agitation motrice dans les muscles des
membres
inférieurs. La sensibilité au tact et à la doul
flexe achilléen. 9. - Nous constatons une faiblesse très grande des
membres
supérieurs. En essayant le dynamomètre, on ne v
diminution et plus tard une abolition des ré- flexes tendineux aux
membres
inférieurs, un symptôme qui en tout casa progre
arité. En outre, il y avait une parésie assez développée des quatre
membres
. En considérant ensemble tous ces symptômes du
ILITIQUE OU MERCURIELLE 231 Enfin, nous avons vu un tremblement des
membres
assez notable. Par conséquent, comme nous nous
ro- gressé depuis 8 ans ; pas de parésie, mais analgésie des quatre
membres
, panaris, mutilation des'doigts et des orteils,
ntino (cité d'après Cestan), il y avait de l'anal- gésie des quatre
membres
, apparaissant d'abord aux membres supérieurs, ,
avait de l'anal- gésie des quatre membres, apparaissant d'abord aux
membres
supérieurs, , mutilation des doigts, pas de par
r à un autre diagnostic que celui de la lèpre (symptômes des quatre
membres
, qui avaient commencé aux membres supérieurs, m
de la lèpre (symptômes des quatre membres, qui avaient commencé aux
membres
supérieurs, maladie chronique, toujours progres
ynévrite, mais les troubles de la motilité sont plus développés aux
membres
supérieurs. On discute la question de savoir s'il
yphilis de 20 ans. La maladie avait envahi non seulement les quatre
membres
, mais encore le diaphragme et les nerfs crâniens
. BuzznRn. Syphilis de 14 ans. Affection non seulement des quatre
membres
, mais encore paralysie faciale, parésie du voile
out cas, il semble que les symptômes ont été le plus développés aux
membres
su- périeurs. Amélioration rapide pendant le tr
onnue. Polynévrite pas typique ; les symptômes ont commencé par les
membres
supérieurs, peu de parésie. Anesthésie et ataxi
is date de 1 an. z- Symptômes de polyné- vrite, mais commençant aux
membres
supérieurs. Bientôt guéri pendant le traitement
hilis de 6 mois. - Symptômes de névrite d'un cubital, puis des deux
membres
inférieurs. Cependant, presque pas de parésie, ma
Syphilis de 3 mois. Symptômes de polynévrite, plus pro- noncés aux
membres
supérieurs. Douleurs fortes aux membres supérieur
vrite, plus pro- noncés aux membres supérieurs. Douleurs fortes aux
membres
supérieurs. Paralysie unilatérale faciale, de l
té des nerfs crâniens, mais en même temps les symptômes du côté des
membres
sont très augmentés. Le malade, o mois après l'in
ique. , WANDEL. Syphilis de 3 mois. D'abord névralgies intenses aux
membres
supérieurs, puis paralysie des quatre membres.
vralgies intenses aux membres supérieurs, puis paralysie des quatre
membres
. Mort 4 mois plus tard (symptô- mes de paralysi
ie d'abord d'un bras, puis de l'autre. Pas de symptômes du côté des
membres
inférieurs. Après traitement "iodomercuriel pen
PETREN CESTAN (obs. II). - Syphilis de 1 mois. Paralysie des quatre
membres
, Deux mois plus tard, éruption syphilitique de
des croû- teuses du cuir chevelu et papulo-squameuses du tronc, des
membres
et de la face. Symptômes correspondant à ceux d
il y en a plusieurs où les symptômes n'ont pas envahi seulement les
membres
, mais encore les nerfs crâniens. Si l'on examin
ales. Mais, en ce cas, il est évident que les symptômes du côté des
membres
peuvent même être la conséquence d'une méningit
syphilitique âgée de moins d'un an, on trouve que les symptômes des
membres
ont commencé aux bras (Wandel) ou ont été les p
vident que ce fait parle en faveur de l'idée que la pa- ralysie des
membres
en ces cas est due à une méningite (spinale). P
t au tableau clinique : Oppenheim (symptômes le plus développés aux
membres
supérieurs, réflexes exagérés), Frugoni (symptôme
urs, réflexes exagérés), Frugoni (symptômes les plus développés aux
membres
supérieurs), Nonne (obs. 47J) (symptômes d'abor
res supérieurs), Nonne (obs. 47J) (symptômes d'abord développés aux
membres
supérieurs), Crocq (des symptômes d'abord seule
t en un bras), Cestan (obs. 1) (symptômes exclusivement du côté des
membres
supérieurs). 240 PETREN Je le répète : quand
teinte d'abord d'une stomatite très intense et d'un tremblement des
membres
supérieurs qui dura peu de temps, mais ensuite
ns le compte rendu dont je dispose du cas) seulement développés aux
membres
supérieurs. Meinertz a publié un cas où il s'es
fut atteint d'abord d'un tremblement, puis d'une parésie des quatre
membres
. Il y avait le signe de Romberg. La réaction d'él
u tableau clinique d'une polynévrite, mais ils n'ont envahi que les
membres
supé- 244 PETREN rieurs. En regardant ces deu
lynévrite dus à une intoxication mercurielle puissent se borner aux
membres
supérieurs. En passant, je rappelle la comparai
e faire naître une polynévrite, peut-être localisée seule- ment aux
membres
supérieurs (quand ils ont travaillé manuellement
lexes exagérés, ataxie considérable des jambes, un peu d'ataxie des
membres
supérieurs et une parésie légère d'un facial. N
'une polynévrite sont apparus, mais ils étaient marqués surtout aux
membres
supérieurs, peu développés aux jambes. Une anesth
quand on prend en considération la prédomi- nance des symptômes aux
membres
supérieurs. Il y a quelques années, un cas étai
ro- bable que la polynévrite qui était la cause de la paralysie des
membres
est due à l'intoxication mercurielle, vu que le
pillaires très bons. Aucun trouble trophique, moteur ou réflexe des
membres
inférieurs. .. En somme, tout se réduit chez
la sacoche du cheval et le pavé, le cavalier roulant sur le dos, le
membre
supérieur s'est pour ainsi dire déroulé, un peu t
amyotrophiques Aran- Duchenne l'atrophie musculaire avait gagné les
membres
inférieurs, mais tardivement et accessoirement
t : les amyotrophies spinales de l'adulte sont aussi fréquentes aux
membres
supérieurs qu'elles sont rares aux membres infé
ont aussi fréquentes aux membres supérieurs qu'elles sont rares aux
membres
inférieurs; que la syphilis soit ou non en caus
de l'adulte, type Aran-Duchenne, portant d'abord et surtout sur les
membres
supé- rieurs, s'oppose l'amyotrophie spinale de
adolescence, type Charcot-Marie; portant d'abord et surtout sur les
membres
infé- rieurs ; la syphilis est susceptible de s
'aucun parent ait eu des troubles de la marche ou de l'atrophie des
membres
. Le 20 mai 1915, un obus éclata près de lui ; i
, l'avant-pied dépasse le bont des quatre derniers orteils quand le
membre
est soulevé ; quand il repose à terre, les orteil
es). - Malgré l'atrophie, tous les mouvements segmentaires des deux
membres
inférieurs se font bien et avec beaucoup de for
ers orteils et des mouvements beaucoup plus forts du premier. Les
membres
supérieurs ont dans tous leurs segments une muscu
es, frémissement qui s'accom- pagne d'ailleurs d'un tremblement des
membres
inférieurs et du tronc. Il n'y a nulle part de
olume. La contractilité idio-musculaire est extrêmement réduite aux
membres
infé- rieurs ; l'excitation mécanique du tricep
ent tout à fait ,; xxviii , 18 266 \ LÉRI exceptionnelle; les
membres
supérieurs sont absolument indemnes, ce qui, à
vations probables d'amyo- trophie Charcot-Marie restant limitée aux
membres
inférieurs ; mais même dans ces cas l'amyotroph
l'amyotrophie marche plus vite et, au bout de quelques années, les
membres
inférieurs au moins sont réduits à l'état squelet
courir aux observations originales (1). trophie type Charcot-Marie (
membres
supérieurs et inférieurs) ; il avait présenté 22
nifeste. La malade n'a jamais présenté aucun signe de faiblesse aux
membres
inférieurs : le lourd travail qu'elle fait à la
no-mastoïdiens, des muscles lombaires, des muscles du bassin et des
membres
inférieurs. L'atrophie musculaire a donc attein
ormale dans ses différentes modalités. Les réflexes tendineux des
membres
supérieurs et inférieurs sont normaux. Il s'agi
t de la fonction des muscles de la face, de la nuque, du cou et des
membres
supérieurs et inférieurs. Les muscles dorso-lom
ibrillaires. Sensibilité générale normale. Réflexes tendineux des
membres
supérieurs et inférieurs normaux. Comme le préc
sensibilité sub- jective. d b ... f.. M .' . d.. Rien du côté des
membres
supérieurs ou inférieurs. Mémoire et idéation n
les de la sensibilité. La parésie semble plus accentuée à gauche.
Membres
supérieurs. - Force normale. Réflexes anti-brachi
ce normale. Réflexes anti-brachiaux normaux. Sensibilité normale.
Membres
inférieurs. Force normale. Marche normale. Réflex
ns le cas de OLLIER, il existait en même temps une hypertrophie des
membres
du même côté. Il en était de même dans celui de L
re sur la région cervicale des noevi mélanoïdes. L'hypertrophie des
membres
se retrouve aussi dans le cas de Truc et de V'I
ême temps elle res- sentait des douleurs vagues plus accentuées aux
membres
inférieurs et souffrait d'une hémicrânie droite
c, plus prononcée au ventre et régions fessières ; elle s'étend aux
membres
se terminant aux articulations du genou dans le
'étend aux membres se terminant aux articulations du genou dans les
membres
inférieurs et aux articulations du poignet dans
ans les membres inférieurs et aux articulations du poignet dans les
membres
supérieurs. Les plis de la région fessière et d
s d'ataxie, d'apraxie ni d'agnosie. Sensibilité. Douleurs vagues au
membre
inférieur gauche. Douleurs bien prononcées dans
gauche. Douleurs bien prononcées dans les parties oedématiées. Aux
membres
inférieurs on remar- que que l'hyperesthésie s'
. L'examen somatique ne révèle pas d'autre altération que celle des
membres
supérieurs et du tronc. Le développement intellec
tellectuel de l'en- fant est normal, il fait ses études, se sert du
membre
supérieur droit pour écrire du mieux qu'il peut
re service à la policlinique permet les constatations suivantes :
Membre
thoracique gauche. - Humérus plus long que normal
- de 3 phalanges, avec l'ongle correspondant. Il y a syndactylie.
Membre
thoracique droit. - Humérus normal. L'extrémité s
nt familial ne mérite d'être mentionné. C'est un cas d'hémimélie du
membre
inférieur droit, inapte à la fonction locomotri
de la jambe droite. Voici les détails de l'examen radiographique du
membre
atrophié (fig. 8 et 9). Fémur normal. Atrophie
énie (asthenia, languor virium), « c'est une débi- lité de tous les
membres
(1)... elle se manifeste par la paresse, la lente
e les efforts que l'on fait, par un sentiment de pesanteur dans les
membres
, par l'abattement du corps et surtout par la post
ui ont une asthénie sentent des douleurs vagues et légères dans les
membres
pour peu qu'ils se remuent, parce que leur faible
oins effrayer le médecin (p. 339)... C'est une débilité de tous les
membres
, laquelle n'influe point sur les actions vitale
ue point sur les actions vitales, je veux dire que la faiblesse des
membres
soumis à la volonté estplus grande qu'on ne devai
dès le premier jour des contractures des muscles de la face et des
membres
: « l'enfant était raide comme un morceau de bo
ntrée une rigidité spasmodique (maladie de Little) plus marquée aux
membres
inférieurs qu'aux membres supérieurs, plus mar-
ique (maladie de Little) plus marquée aux membres inférieurs qu'aux
membres
supérieurs, plus mar- quée à la jambe gauche qu
i ne lui arrive plus aujourd'hui, bien que la raideur persiste. Ses
membres
supérieurs étaient agités de mouvements choréique
té qui se traduit par des grimaces et des mouvements choréiques des
membres
supérieurs ; chaque syllabe sort péniblement, s
r seule et même à coudre malgré les troubles de la motricité de ses
membres
supérieurs. Il s'agit donc, dans ce cas, d'un
abisme ; par contre, les réflexes rotuliens sont très exagérés. Les
membres
présentent un mélange de contracture et de parési
ni agraphie, ni alexie, ni aphasie sensorielle. La zone motrice des
membres
supérieurs et inférieurs doit aussi être attein
t, il est peu probable que les mouvements anormaux du visage et des
membres
supérieurs s'améliorent également; ils persistent
avant et de l'épine de l'omoplate en arrière et intéressait tout le
membre
supérieur. Chez Georges, la pilocarpine n'a pro
'ailleurs que l'abaissement corrélatif de la pression artérielle du
membre
supérieur gauche (Mx. : 15,3 au lieu de 17 ; Mn.
faite au bras gauche et que la comparaison oscillométrique des deux
membres
supérieurs avant et après l'injection donne des
ommotions compliquées de contusions ayant porté spécialement sur le
membre
supé- rieur, soit de tiraillements plus ou moin
on observe des troubles musculaires et des troubles tro- phiques du
membre
supérieur. Les troubles musculaires du membre s
les tro- phiques du membre supérieur. Les troubles musculaires du
membre
supérieur sont quelquefois géné- ralisés, beauc
ophiques portent aussi`souvent sur les os et les articula- tions du
membre
supérieur, particulièrement celles des doigts (ob
esthésie au contact et à la piqûre sur une partie ou la totalité du
membre
atteint. Il est d'ailleurs souvent difficile de p
40 ; 8 juillet et 30 août, Les lésions des gros troncs nerveux des
membres
par projectiles de guerre. 1 LES SYNDROMES FRUS
plus que, dans les syndromes d'irritation, l'équilibre thermique du
membre
est particulièrement instable. Des recherches en
cas d'atrophie musculaire, de parésies et de troubles trophiques du
membre
supérieur pour lesquels les anciens procédés d'
exus brachial 359 Observation. 1. - De P... Jean. Tiraillement du
membre
supérieur droit par retour de manivelle. Atroph
t diminuée. Le blessé accuse quelques douleurs spon- tanées dans le
membre
atteint, sous forme de lancers et de fourmillemen
2 juillet 1916. Etat le 15 novembre 116. - Parésie avec atrophie du
membre
supérieur droit prédominant à l'épaule. La para
u plus d'atrophie. Dans l'ensemble, parésie et atrophie diffuses du
membre
supérieur droit prédominant à l'épaule d'une pa
classi- ques au galvanique et au faradique dans tout le domaine du
membre
supérieur droit.. 1 Il semble donc qu'on ait
II et DI. , Observation IV (PL. LXI), F... Ernest. - Contusion du
membre
supérieur gauche. Parésie et atl'o- phie prédom
ion d'une poudrière le 19 mai 1915. Dans la projection du corps, le
membre
supérieur gauche a été fortement traumatisé. Il y
e malade présente une paralysie incomplète avec atrophie moyenne du
membre
supérieur gauche. Paralysie et atrophie : \OU\"
utre trouble moteur un tremblement total et intermittent de tout le
membre
supérieur gauche, tremblement s'étendant parfoi
tout le membre supérieur gauche, tremblement s'étendant parfois au
membre
inférieur du même côté. L'importance des troubl
tive au contact et à la piqûre est diminuée dans toute l'étendue du
membre
supérieur. Mais il est difficile de préciser s'il
naient à rectifier avec la main droite la ilexion involon- taire du
membre
opposé. La diminution de la force s'accentua pr
N les résultats suivants : ayant porté comparativement sur les deux
membres
supérieurs, sur les nerfs (cubital, médian, rad
tremblement à l'occasion des mouve- ments volontaires du niveau des
membres
supérieurs, ce tremblement esta rythme lent et
rise : a) Par des signes de la série tabétique (Romberg, ataxie des
membres
supérieurs, signe d'Argyll), ici limités au min
chez l'adulte, sans hérédité ni familiarité con- nues, débutant aux
membres
supérieurs et d'abord unilatérale. L'épo- que t
itement de peu de durée. A 28 ans, il commence à éprouver, dans les
membres
inférieurs et dans la partie inférieure du tron
des douleurs assez mal définies, distribuées sur- la totalité des'
membres
, sans localisation articulaire spéciale. douleurs
ue ce traitement spécifique demeure sans effet snr les douleurs des
membres
infé- rieurs. A l'âge de 57 ans; c'est-à-dire
t gonflées par un certain degré d'hydarthrose. Les muscles des deux
membres
supérieurs sont atrophiés d'une façon globale,
que la persis- tance pendant 28 ans de crises douloureuses dans les
membres
inférieurs attire l'attention sur la possibilit
ôme de tabes : les réflexes achilléens, rotuliens et les réflexes des
membres
supérieurs sont normaux ; les diverses sensibil
d'une polyarthropathie ayant atteint au début les articulations des
membres
supérieurs et de la colonne cervicale, puis aya
ont les diamètres transverses sont très augmentés, est remarquable.
Membres
inférieurs longs. Mains allongées, de type fémini
oils aux aisselles, scrotum et périnée, ils sont clairsemés sur les
membres
et la région pubienne. Système veineux développé
ur les membres et la région pubienne. Système veineux développé aux
membres
inférieurs, les petites veines se dessinant sou
à l'âge de l'individu sous examen, et conserve toujours l'aspect du
membre
des adolescents dans la phase pré- pubère. 39
t à la région pubienne, au périnée, sur le scrotum, le tronc et les
membres
. Quand les poils existent dans la région pubien
veloppement génital, la croissance exagérée et disproportionnée des
membres
s'effectue par un retard anormal dans l'ossificat
anes génitaux atrophiés au plus haut point et l'hypercroissance des
membres
avec arrêt de croissance du tronc. Les auteurs
P. Jeandelize et L. Richon, A propos d'un type d'infantile à longs
membres
avec persistance des cartilages épiphysaires. Com
'existe jamais de poils à la région antérieure du thorax et sur les
membres
leur développement est incomplet ou nul. (1) Il
rouve trop court en comparaison de leur longueur. La croissance des
membres
, et surtout des inférieurs, excède les dimensio
si la proportion réciproque des segments respectifs se conserve aux
membres
inférieurs, il n'en est pas toujours ainsi aux me
conserve aux membres inférieurs, il n'en est pas toujours ainsi aux
membres
supérieurs qui s'allongent aussi plus que norma
rps. En outre, l'excessif développement des extrémités distales des
membres
qui s'allon- gent est remarquable également (1)
développés, on voit tom- ber les poils de la barbe, du tronc et des
membres
, et en conséquence de l'installation de l'adipo
à fait droit, et les deux omoplates touchent le sol. La motilité du
membre
inférieur droit est normale. A gauche, la flexion
le, comme nous venons de le dire, est impossible. La motilité des
membres
inférieurs et supérieurs est bonne ; la force mus
ion volontaire est seule impossible. Les mouvements et la-force des
membres
supérieurs sont normaux ; il en est de même au
s membres supérieurs sont normaux ; il en est de même au niveau des
membres
inférieurs. Ici cependant il accuse une douleur
otuliens et achilléens sont normaux ; il en est de même de ceux des
membres
supérieurs et des réflexes cutanés. Il n'y a au
e la tête se font normalement. Il en est de même des mouvements des
membres
supérieurs et inférieurs. ) Pas de troubles d
eurs ressenties dans la région lombaire et de tremblements dans les
membres
inférieurs. Il souffrait, en outre, d'une cépha
o- voquent aussi une douleur dans la même région. La motilité des
membres
inférieurs et supérieurs est normale. Les réfle
tait obligé d'être toujours couché sur le côté droit ou gauche, les
membres
inférieurs en chien de fusil. Le décubitus dors
érieurs en chien de fusil. Le décubitus dorsal et l'allongement des
membres
provoquaient une vive douleur sacro-lombaire.
esse com- plètement, les omoplates touchant le sol. La motilité des
membres
inférieurs est normale : à signaler simplement
ous donne des allures carnavalesques et vous fait prendre pour des'
membres
de la confrérie des fous. Je suis un maître en
E ROYALE DE MEDECINE , PRESIDENT PERPETUEL DE LA SOCIETE ANATOMIQUE ,
MEMBRE
CORRESPONDANT DE LACADEMIE ROYALE DES SCIENCES DE
s-ci obéissent à la loi générale des fractures dans la continuité des
membres
et se consolident comme elles : les fractures int
ent, et même l'existence bien positive de ce raccourcissement, car le
membre
malade était demi-fléchi et les mouvemens d'exten
même indépendamment de tout contact, de tonte traction exercée sur le
membre
fracturé. Le lendemain, je fus frappé par un autr
e ni des douleurs ni de l'augmentation considérable dans le volume du
membre
. A l'ouverture, je m'assurai que le raccourciss
e du membre. A l'ouverture, je m'assurai que le raccourcissement du
membre
était beaucoup moindre que de coutume, et je vis
exerce d'influence manifeste ni sur l'attitude ni sur la déviation du
membre
. La demi-flexion de la cuisse et la rotation du p
eût été séparé du reste de l'os. Quant au peu de raccourcissement du
membre
, il s'explique par le défaut de déplacement des f
s du pied en dehors tient en général non aux muscles, non au poids du
membre
, mais bien au mode d'engrenement des fragmens.
tômes qu'elle présentait du côté de la fracture : raccourcissement du
membre
de i5 lignes; rotation du pied en dedans. Saillie
douleur très vive à la cuisse droite. Symptômes: raccourcissement du
membre
avec déviation du pied en dehors, rapprochement d
s vives à la région trochantérienne; raccourcissement de 18 lignes du
membre
inférieur avec forte déviation du pied en dehors
es cataplasmes émolliens. Le i3mai, mouvement fébrile, rigidité des
membres
; tendance à l'assoupissement : vaste eschare au s
use. Mort le 20 mai. Ouverture du cadavre. — Le raccourcissement du
membre
est de deux pouces: je fais remarquer aux assista
niveau de la fesse; dans cette même attitude, le raccourcissement du
membre
et l'obliquité du fémur sont beaucoup plus pronon
us prononcés. Il en est de même du mouvement de rotation qu'a subi ce
membre
inférieur. Ainsi la face postérieure de la cuisse
à l'aide des signes fournis par l'examen de la région postérieure du
membre
inférieur qu'à l'aide de ceux fournis par l'exame
à l'aide de ceux fournis par l'examen de la région antérieure du même
membre
. Ce que je viens de dire s'applique également a
u d'abord que le déplacement et par conséquent le raccourcissement du
membre
étaient plus considérables dans la fracture extra
el de vouloir à tout prix, par des mouvemens de rotation imprimés aux
membres
, obtenir le bruit de crépitation comme moyen de d
sure, de lacération. La direction du fémur n'est pas invariable et le
membre
inférieur peut prendre alternativement et la dire
moins ne l'avoir été qu'incomplètement; alors le raccourcissement du
membre
est peu considérable, et la luxation est dite, ma
cavité articulaire nouvelle étant planiforme , le raccourcissement du
membre
n'est pas fixe; une traction légère peut allonger
sement du membre n'est pas fixe; une traction légère peut allonger le
membre
, comme aussi une forte pression, dirigée de bas e
ur le diagnostic de ce genre de luxation : ainsi, raccourcissement du
membre
de deux pouces environ, rotation du membre inféri
ainsi, raccourcissement du membre de deux pouces environ, rotation du
membre
inférieur en dedans; obliquité extrêmement consid
ante d'un pouce seulement de la crête iliaque. Le raccourcissement du
membre
était proportionnel; il était de deux pouces et d
s une fracture du col du fémur pour une luxation. Je vis alors que le
membre
pouvait être indifféremment porté soit dans la ro
la laxité de la capsule fibreuse nouvelle m'expliquèrent pourquoi le
membre
pouvait être également porté et dans la rotation
crut reconnaître une fracture du col du fémur. Le raccourcissement du
membre
était de quatre à cinq lignes; le membre était po
émur. Le raccourcissement du membre était de quatre à cinq lignes; le
membre
était porté dans l'adduction, la jambe fléchie su
cuisse, la pointe du pied tourné en dehors; la rotation en dehors du
membre
était facile; celle en dedans difficile. On senta
es qui ont été présentées à la société anatomique ont paru à quelques
membres
établir l'existence d'une luxation incomplète du
iveau que la cavité cotyloïde, il y avait à peine raccourcissement du
membre
. Je pense néanmoins qu'il ne saurait exister de l
ol) une douleur très vive, et parfois comme un coup de marteau. Les
membres
inférieurs sont le siège de crampes aussi fréquen
mençant par les pieds et s'étendant aux genoux, aux cuisses, puis aux
membres
supérieurs : elles occupent surtout le côté droit
'infirmerie de la Salpêtrière le i5 août i836, pour une paralysie des
membres
supérieurs et inférieurs. Il n'était pas difficil
de la 2e et de la 3e vertèbre cervicale. La paralysie porte sur les
membres
supérieurs et inférieurs droit et gauche; mais le
te sur les membres supérieurs et inférieurs droit et gauche; mais les
membres
du côté droit sont plus faibles que les membres d
t et gauche; mais les membres du côté droit sont plus faibles que les
membres
du côté gauche, et les membres supérieurs sont mo
u côté droit sont plus faibles que les membres du côté gauche, et les
membres
supérieurs sont moins affectés que les membres in
du côté gauche, et les membres supérieurs sont moins affectés que les
membres
inférieurs. La paralysie porte à-la-fois sur le
n peu, sans pouvoir, à beaucoup près, soutenir le poids du corps. Les
membres
supérieurs pourraient rendre quelques services, n
ingle n'est sentie que faiblement. Souvent la malade éprouve dans les
membres
paralysés un fourmillement douloureux, des élance
aient souvent sous la malade et la faisaient choir; depuis un an, les
membres
supérieurs, surtout celui du côté droit, ont été
à établir. Ainsi à la Salpêtrière, sur plusieurs femmes paralysées du
membre
supérieur depuis leur enfance, à la suite de conv
nsidérable peut-être que la première, mais dans une autre position du
membre
. Cette rigidité, si elle peut être vaincue, ne sa
it la moitié inférieure de la cuisse, ayant nécessité l'amputation du
membre
, Boyer trouva que le membre amputé pesait 36 livr
a cuisse, ayant nécessité l'amputation du membre, Boyer trouva que le
membre
amputé pesait 36 livres : les muscles amincis, él
s et l'épaule gauches. Ces douleurs, qui occupaient la continuité des
membres
, qui n'augmentaient pas par la pression , mais s'
gnées ni de rougeur, ni de gonflement, se portèrent successivement au
membre
supérieur droit et aux jambes. Elles cédèrent à d
complètement disparu : il ne restait qu'une grande pesanteur dans les
membres
. Il semblait à la malade que les membres inférieu
ne grande pesanteur dans les membres. Il semblait à la malade que les
membres
inférieurs pesaient cent livres. Dans les premi
un raccourcissement de trois pouces, sans changement de direction du
membre
. La réduction fut laborieuse; les douleurs rhumat
i-je pas trouvé des surfaces articulaires parfaitement saines sur des
membres
immobiles depuis longues années, et que je croyai
une machine, imaginée pour redresser brusquement, instantanément, les
membres
ankyloses, j'eus d'abord la pensée que les succès
je n'ose dire de la section de quelques ligamens, un grand nombre de
membres
, jugés définitivement et incurablement ankyloses,
ns generales sur la monopodie ou SIRENIE. La réunion congèniale des
membres
inférieurs a été observée un grand nombre de fois
lasse de monstruosités le nom de monstres symeliens (gw, avec ; pàoç,
membres
), dénomination qui, sans doute, remplit toutes le
issant de haut en bas, de telle façon qu'un bassin étroit supporte un
membre
unique, médian, symétrique, formé par la fusion p
dian, symétrique, formé par la fusion plus ou moins complète des deux
membres
inférieurs : d'où il résulte que les fœtus, ainsi
ettant que, dans les premiers temps de la vie intra-utérine, les deux
membres
inférieurs, y compris le bassin, avaient été soum
, et d'avant en arrière, de telle manière que la face postérieure des
membres
soit devenue antérieure, et réciproquement; ii° à
érieure, et réciproquement; ii° à une force qui, pressant ensuite les
membres
l'un contre l'autre, a déterminé leur fusion. C
émurs, les deux jambes, les deux pieds, sont distincts; mais les deux
membres
inférieurs ont subi un mouvement de quart de rota
serait le résultat d'une pression à laquelle auraient été soumis les
membres
inférieurs et le bassin de l'enfant à une époque
ts dont se compose la monopodie, savoir, le mouvement de rotation des
membres
inférieurs autour de leur axe, et leur fusion par
ssant sur le bassinet sur les grands trochanters, ferait exécuter aux
membres
inférieurs un mouvement de rotation en même temps
e période plus ou moins avancée. Ainsi, dans le cas de M. Lenoir, les
membres
inférieurs n'avaient subi qu'un quart de rotation
ient subi qu'un quart de rotation, ou du moins les côtés externes des
membres
n'étaient pas encore arrivés au contact. Il y ava
e neuf, on n'en trouve plus que cinq, deux, un; de telle sorte que le
membre
inférieur unique ressemble à une queue, d'où la d
ré le plus avancé, il n'y a plus de pied, ni même vestige de pied: le
membre
inférieur unique se termine par une jambe incompl
ambe incomplète, qui finit en pointe très aiguë, si bien que les deux
membres
inférieurs représentent un cône à base dirigée en
ent de correspondans dans les muscles, les nerfs et les vaisseaux des
membres
inférieurs. En outre, le vice de conformation du
uction des parties intermédiaires, et c'est pour cette raison que les
membres
supérieurs que sépare le thorax n'ont jamais été
Il résulterait de cette manière de voir que l'adhésion, la fusion des
membres
serait une chose toute naturelle , et que, au lie
éorie qui, à quelques égards, pourrait rendre compte de la fusion des
membres
, est impuissante pour expliquer le phénomène cons
même dire primitif de la sirénie : je veux parler de la rotation des
membres
. C'est là le sort de tous les systèmes exclusifs,
il contre lequel elles viennent se briser : telle est la rotation des
membres
par rapport à la sirénie. Aussi, voyez-vous Mec
aire reconnaît que, dans l'état actuel de la science, l'inversion des
membres
est tout-à-fait inexplicable; mais il espère qu'i
mécanique, par une pression latérale exercée sur le bassin et sur les
membres
inférieurs; que cette pression latérale survenant
trompe), que cette pression latérale, dis-je, détermine la fusion des
membres
; que, suivant les degrés de cette pression, la f
on des parties: on conçoit très bien, d'ailleurs, que l'inversion des
membres
inférieurs puisse être le premier effet de la pre
e comprimante a agi en même temps d'avant en arrière. L'inversion des
membres
précédant la fusion, on conçoit encore que la cau
nçoit encore que la cause comprimante puisse cesser d'agir lorsque le
membre
aura exécuté un mouvement de quart de rotation ou
ans la monopédie ou sirénie: icr genre. Inversion sans adhésion des
membres
inférieurs.—Espèces. Quart de rotation, demi-rota
ale congèniale très considérable et d'une monstruosité par fusion des
membres
inférieurs est un fait très important, qui vient
la bouche directement en haut ; en outre, dans l'attitude bipède, les
membres
supérieurs ne peuvent s'appliquer sur les parties
s que tout rentre pour ainsi dire dans l'ordre, lorsqu'on donne à ces
membres
supérieurs une direction perpendiculaire au tronc
l'exception toutefois de la main droite, qui est un peu main-bot. Les
membres
inférieurs ou pelviens sont réunis sous le même t
aire. Sur la figure 2 , comme sur la figure 1, on voit que les deux
membres
inférieurs sont confondus, mais distincts sous un
a mieux rendu que sur les figures 1 et 2 une inclinaison latérale des
membres
inférieurs, en vertu de laquelle les jambes forma
férieure de l'utérus rudimentaire. 2° La dissection des muscles des
membres
inférieurs, qui a été faite avec beaucoup de soin
de ces muscles, il est bon de rappeler que, dans toute syrénie , les
membres
inférieurs subissent un mouvement de rotation plu
ent de rotation qui peut être porté jusqu'à un demi-tour. Or, ici, le
membre
inférieur gauche a éprouvé un mouvement de quart
e inférieur gauche a éprouvé un mouvement de quart de rotation, et le
membre
inférieur droit un mouvement de trois huitièmes d
la position de la rotule R, qui regarde directement en dehors dans le
membre
inférieur gauche, en dehors et en arrière dans le
hors dans le membre inférieur gauche, en dehors et en arrière dans le
membre
inférieur droit. Les tubérosités internes du fému
parfaite de la différence qui existe entre la rotation qu'a subie le
membre
inférieur gauche et celle qu'a subie le membre in
rotation qu'a subie le membre inférieur gauche et celle qu'a subie le
membre
inférieur droit. L'axe du couturier droit est ver
ibles à débrouiller. Fig. 4- La figure 4-,qui représente les deux
membres
inférieurs, vus parla face postérieure, offre les
P sont parfaitement conservés. Fig. 5. La figure 5 représente le
membre
inférieur, vu par sa face externe, et met en lumi
be. Les figures 6, 7, 8, représentent le squelette du bassin et des
membres
pelviens. Fig. 6. Squelette du bassin et des
assin et des membres pelviens. Fig. 6. Squelette du bassin et des
membres
inférieurs, vus par la région antérieure. Le bass
s jambes et les pieds est identiquement lemême. Fig. 7. Bassin et
membres
inférieurs vus par leur face postérieure; bassin
ncontre toujours deux élémens bien distincts, savoir, l'inversion des
membres
ou la rotation sur leur axe, et leur rapprochemen
st bien évident que la lésion du bassin domine toutes les lésions des
membres
pelviens; car on l'observe dans les syrénies les
degré d'intensité relativement beaucoup plus considérable me dans les
membres
inférieurs proprement dits. Ainsi, dans la planch
assin, et en même temps imprimerait aux fémurs, et par conséquent aux
membres
inférieurs, un mouvement de rotation qui peut all
pour le bassin,reste incomplète et comme seulement indiquée pour les
membres
inférieurs; mais un fait bien remarquable, c'est
es inférieurs; mais un fait bien remarquable, c'est que la fusion des
membres
inférieurs n'ait jamais lieu que parla rencontre
e général, un sentiment continuel de fatigue et de faiblesse dans les
membres
, de la fréquence du pouls, de la chaleur de la pe
ques coliques. Il y a eu de la diarrhée dans les derniers jours ; les
membres
inférieurs, puis les supérieurs, se sont infiltré
s. 11 y a une légère infiltration du tissu cellulaire sous-cutané des
membres
. «Deux particularités fort remarquables dominen
Il a été présenté à la Société anatomique par M. Thivet, l'un de ses
membres
, et son histoire, que je rapporte textuellement i
gèrement courbé en avant; la tête est penchée sur sa poitrine, et les
membres
inférieurs sont dans la demi-flexion. « Son vol
nc offre des traces de décomposition putride; ainsi, l'omoplate et le
membre
supérieur correspondant ne conservent plus que qu
pour le moment que cet enfant n'était point du sexe masculin. « Le
membre
supérieur gauche est parfaitement conservé; la po
r le moignon de l'épaule; sa longueur est de 4 pouces et demi. « Le
membre
inférieur gauche est parfaitement conservé, mais
x ovaires O. — La vessie V ne paraît contenir aucun liquide. 70 Les
membres
supérieur et inférieur disséqués font voir que le
réfaction , doivent rester inaltérables. L'altération observée sur le
membre
supérieur du côté droit est probablement antérieu
uer par une théorie autre que celle de la compression exercée sur les
membres
inférieurs de l'enfant, par suite de la position
Observation recueillie par M. Grisolles, interne à l'hôpital Beaujon,
membre
de la Société anatomique. dur et volumineux : l
ment du tronc en arrière et de côté et de pied-bots avec atrophie des
membres
inférieurs. Lors même qu'on n'adopterait pas ce
par M. Lafont, interne à l'hôpital Necker (service de M. Delarroque),
membre
de la Société anatomique. (2) Il est bien diffi
uffie, infiltrée, comme dans la cachexie cancéreuse, infiltration des
membres
; abdomen volumineux ; tympanite; la percussion d
s mèches. A son arrivée à la Salpêtrière, marasme, infiltration des
membres
inférieurs; pouls extrêmement petit et fréquent;
du diagnostic que nous avions porté sur la maladie, et plusieurs des
membres
de la famille étaient persuadés que la tumeur don
n sentiment d'angoisse et de suffocation. M. le docteur Villeneuve,
membre
de l'académie royale de médecine, lui donnait des
issement de plus en plus profond, immobilité. Eschares au sacrum. Les
membres
inférieurs s'infiltrent, et l'œdème devient génér
el et des frictions mercu-rielles. Les cataplasmes de Pradier sur les
membres
inférieurs, les pédiluves excitans, les sinapisme
ncé,a succombé à une gangrène des tégumens et du tissu cellulaire des
membres
inférieurs, suite d'œdème de ces membres. La fo
s et du tissu cellulaire des membres inférieurs, suite d'œdème de ces
membres
. La formation d'une caverne pulmonaire par sépa
urgicales, une des plus fréquentes est sans contredit la phlébite des
membres
inférieurs, consécutive à la phlébite utérine et
nsécutive à la phlébite utérine et hypogastrique : cette phlébite des
membres
inférieurs survient dans deux circonstances bien
cancer utérin. i° Phlébite traumatique puerpérale.—La phlébite des
membres
inférieurs, par suite de l'accouchement, qu'on po
isième adducteur, pour reparaître au creux poplité. En même temps, le
membre
est œdémateux, et les degrés de l'œdème sont marq
onsidérable ; la douleur et l'œdème s'étendent au contraire à tout le
membre
, lorsque la phlébite occupe les troncs et leurs d
les troncs et leurs divisions. Voici la théorie de la phlébite des
membres
inférieurs à la suite de l'accouchement.La phlébi
se, ft) i° Phlébite consécutive au cancer utérin. — La phlébite des
membres
inférieurs est une des conséquences les plus fréq
douleur occupe, au contraire, tous les points de la circonférence du
membre
, et l'œdème est véritablement douloureux, lorsque
rs élèves, M. Olivieri, médecin à Marseille (2), a fait de Xœdème des
membres
inférieurs chez les femmes affectées de cancer de
ion, et qu'il a recueillies sous mes yeux, il conclut que l'œdème des
membres
inférieurs, chez les femmes affectées de cancer d
s quelques cas exceptionnels, qu'on peut admettre que la phlébite des
membres
inférieurs se développe à l'occasion du cancer ut
ladie chronique, par suite de l'altération du sang. La phlébite des
membres
inférieurs, suite du cancer utérin, guérit souven
'absence de tout traitement et par le simple fait de la position, les
membres
se détuméfier, la douleur disparaître, et la vein
chose, c'est-à-dire la guérison spontanée de la phlébite adhésive des
membres
inférieurs, s'observe aussi à la suite de l'accou
ti ces vues de l'esprit en démonstration. Du reste, la phlébite des
membres
inférieurs, lors même qu'elle se termine par supp
ffectée de cancer utérin, qui mourut avec un œdème peu douloureux des
membres
inférieurs et chez laquelle la douleur était limi
du fait suivant qui fournira un bel exemple de phlébite spontanée du
membre
inférieur. Phlébite spontanée du membre inférie
le de phlébite spontanée du membre inférieur. Phlébite spontanée du
membre
inférieur droit. Geneviève Lecoq, 81 ans, est a
ecoq, 81 ans, est apportée à l'infirmerie,pour un œdème douloureux du
membre
inférieur du côté droit. Veine fémorale formant c
oint de fréquence dans le pouls. Sous l'influence de la position du
membre
( position telle que le pied était de beaucoup pl
ns. Elle redescend quelques jours après, il y avait encore œdème du
membre
inférieur, mais sans douleur : les veines superfi
cure. Je crains une phlébite pulmonaire, consécutive à la phlébite du
membre
inférieur.. Mort par asphyxie pendant la nuit.
es des autres parties du corps, sont parfaitement saines. Veines du
membre
inférieur. — Oblitération complète de la veine sa
lation veineuse. La dissection attentive avec injection préalable des
membres
affectés d eléphantiasis, pourra jeter un grand j
, crurales, etc. Cancer du vagin et du museau de tanche.— OEdème du
membre
inférieur. —Phlébite. J'avais constaté, pendant
tater son état. Dans les derniers temps de la vie, infiltration des
membres
inférieurs, surtout du côté droit: phlébite. Je n
salle Saint-Luc, n° 10, dans l'état suivant : Hémiplégie gauche. Le
membre
supérieur de ce côté est rigide, demi fléchi, par
cutanées et cutanées, étendues de la clavicule au bout des doigts. Ce
membre
supérieur est infiltré et complètement immobile.
ement immobile. On reconnaît, à l'aide des doigts promenés le long du
membre
, que la dégénération variqueuse s'étend profondém
'épaisseur des muscles. — Il reste encore un peu de myotilité dans le
membre
inférieur gauche, qui n'offre d'ailleurs rien de
elet que présentait cette malade, pour m'en tenir à la description du
membre
supérieur gauche. Ce membre supérieur (voyez pl
de, pour m'en tenir à la description du membre supérieur gauche. Ce
membre
supérieur (voyez planche v, xxxe livraison) prése
es muscles divisés, voici les particularités que présente l'examen du
membre
: i° Les tumeurs couleur bleu foncé étaient dév
été recueilli sur une vieille femme de la Salpêtrière. J'ignore si le
membre
transformé était le siège d'une paralysie. Dans
ons veineuses qu'on rencontre presque toujours simultanément dans les
membres
variqueux. i° Les varices serpentines : ce sont
vation avait été publiée sous ce titre. Voici d'ailleurs l'état des
membres
inférieurs : couleur lie-de-vin violacé uniforme
elles-mêmes étaient oblitérées, et pourtant point d'infiltration des
membres
inférieurs. On voit que, par une anomalie bien si
irculation incomplète. Comment expliquer le défaut d'infiltration des
membres
dans un cas où toutes les veines principales de c
ration des membres dans un cas où toutes les veines principales de ce
membre
étaient oblitérées? i° Indépendamment de cette
lige les malades à garder le lit. Ce scorbut aigu des jambes (car les
membres
présentent, en effet, tous les caractères du scor
J'ai même rencontré plusieurs fois du sang dans les articulations du
membre
inférieur. Quelques exemples donneront une idée p
en mars i836, pour des plaques d'ecchymoses, qui occupaient les deux
membres
inférieurs. Il y avait en même temps infiltration
e follicule présentant une couleur noire parfaitement circonscrite.
Membres
inférieurs. Le sang infiltre la couche cutanée so
ble dans le tissu cellulaire sous-cutané. Tension très douloureuse du
membre
, qui est considérablement tuméfié. L'état général
ble. L'intensité de la douleur, la chaleur de la peau et le volume du
membre
me parurent indiquer l'utilité d'une saignée au b
n même temps des douleurs très intenses se manifestèrent dans tout le
membre
inférieur. Ces douleurs étaient exaspérées par le
de succomba le 25 septembre. Ouverture du cadavre. La dissection du
membre
inférieur montre qu'il existe un épanchement de s
ulation commencement d'usure du cartilage. Les veines et artères du
membre
étaient sains; les viscères thoraciques et abdomi
et ne cessèrent pas un seul instant. Elles occupaient la totalité du
membre
abdominal et même, chose assez remarquable, elles
la même cause qui fait que les amputés rapportent leurs douleurs aux
membres
qu'ils n'ont plus. Le 27 décembre, la cuisse es
té parfaite de l'utérus et de la paroi antérieure du vagin. Etat du
membre
gangrené. (Voyez pl. 5, fig. 1.) La gangrène, c
aurait été complète. Les figures 2 et 3 représentent les artères du
membre
inférieur depuis l'arcade fémorale jusqu'à la pla
artère fémorale de plusieurs chiens : quelques instans après, mort du
membre
, manifestée par la paralysie immédiate du mouveme
rale d'un chien. Vive douleur immé-« diatement après l'injection : le
membre
est pendant, insensible ; le soir la peau était d
a putréfaction était bien « constatée; quarante-huit heures après, le
membre
exhalait une forte odeur de gangrène; « j'en fis
e étaient réduits en bouillie rou-« geâtre, que le périoste des os du
membre
inférieur et lesligamens des articulations fémoro
ce qui existait entre la partie supérieure et la partie inférieure du
membre
gangrené, sous le rapport de la putréfaction, ten
uelques gouttelettes de sang artériel arrivent de loin à loin dans un
membre
, la nutrition de ce membre pourra en souffrir, ma
g artériel arrivent de loin à loin dans un membre, la nutrition de ce
membre
pourra en souffrir, mais enfin la vie pourra s'y
ement rare que le cours du sang artériel ne se rétablisse pas dans le
membre
à l'aide des collatérales; l'oblitération, dans u
les; l'oblitération, dans une grande étendue, du tronc principal d'un
membre
peut également n'être suivie d'aucune gangrène, p
u sang est subite, dans une certaine longueur du vaisseau, la mort du
membre
est inévitable. J'ai fait une expérience bien sim
expérience : le 11 septembre l'animal était mort avec une gangrène du
membre
inférieur. L'artérite, comme la phlébite, a pou
, et cependant la gangrène était limitée à quelques orteils d'un seul
membre
. Dans d'autres cas, on trouve les grosses et moye
cipale un corps irritant qui arrêtait immédiatement la circulation du
membre
, la douleur était complètement nulle; lorsque, au
ut goûter un instant de repos. La plus légère pression exercée sur le
membre
augmente les souffrances Le cinquième jour,le pie
le ne convient que comme traitement consécutif pour se débarrasser du
membre
devenu corps étranger après la délimitation parfa
La nature s'est quelquefois suffi à elle-même pour la séparation d'un
membre
gangrené : ainsi, j'ai vu dans un hôpital de prov
abitué aux opérations, se décida à scier les os, ce qui débarrassa le
membre
d'un poids incommode, dont la nature aurait fini
tanément; il arrive en effet quelquefois qu'une paralysie complète du
membre
, sans changement de couleur à la peau, précède de
actères à l'aide desquels on pourra éviter une semblable erreur. Un
membre
paralysé par suspension ou cessation complète de
on complète de la circulation artérielle diffère essentiellement d'un
membre
paralysé par lésion des nerfs ou du centre céphal
dans la paralysie artérielle, les artères ont cessé de battre dans le
membre
; la pression exercée le long des troncs artériels
érielle. quatrième observation. —Pneumonie. — Gangrène spontanée du
membre
inférieur droit présentant tous les signes de la
présentant tous les signes de la paralysie. — Décoloration simple du
membre
paralysé, qui représente le membre d'un cadavre p
aralysie. — Décoloration simple du membre paralysé, qui représente le
membre
d'un cadavre peu ancien. Lorsque je repris le s
une femme âgée de 78 ans qui était affectée de gangrène spontanée du
membre
inférieur droit. Voici les symptômes que je notai
gidité, avec perte complète du sentiment et du mouvement dans tout le
membre
inférieur du côté droit. La malade n'accuse auc
acerçsur le bassin et se plaignit de froid et de douleur dans tout le
membre
inférieur droit.—Le iermai, froid, insensibilité
rtère, 4o le matin et 4o le soir. — Sachets de sable chaud le long du
membre
. Le 3 mai, la mortification n'a pas fait de pro
algidité, même décoloration , même insensibilité, même immobilité du
membre
qui présente exactement les caractères du membre
, même immobilité du membre qui présente exactement les caractères du
membre
d'un cadavre dans un commencement de putréfaction
e. Ce n'est pas delà gangrène, il n'y pas odeur gangreneuse. C'est un
membre
cadavéreux qui va se décomposer comme le membre d
gangreneuse. C'est un membre cadavéreux qui va se décomposer comme le
membre
d'un cadavre. La malade vécut dans un état de s
concrétions ossiformes suffit-il pour expliquer la cadavérisation du
membre
inférieur ? Cela est possible. Je n'ai point cons
e par ossification des petites artères. Le mode de putréfaction des
membres
gangrenés présente trois variétés : savoir la mom
oivent tenir exclusivement à la quantité de liquides contenue dans le
membre
au moment de la mort locale. Cinquième observat
eillis les commémoratifs suivans : Depuis un an , douleurs dans les
membres
supérieurs qu'elle rapportait à la goutte. Ces do
it à la goutte. Ces douleurs étaient temporaires et se portaient d'un
membre
supérieur à l'autre , jamais aux membres inférieu
poraires et se portaient d'un membre supérieur à l'autre , jamais aux
membres
inférieurs. Prescription. — Saignée au bras qui
la main sans paralysie du coude et du bras, sans paralysie aucune du
membre
inférieur, sans hémiplégie faciale ; pourquoi une
s être sentis. Le trajet de l'artère est douloureux. Les mouvemens du
membre
sont également douloureux. Le pouls est insensibl
Potion avec camphre x grains.) 26, même état. — 27, momification du
membre
; la malade demande à manger : délire tranquille.
du matin. Depuis ce moment elle est sans connaissance. Flaccidité des
membres
; insensibilité générale. Respiration fréquente, s
es séparées seulement par des brides. Les artères et les veines des
membres
supérieurs ont été injectées. Cette injection ne
sans déchirure. Le tissu propre du cœur m'a paru intact. Artère du
membre
supérieur gauche ( Côté du membre gangrené).—Un c
u cœur m'a paru intact. Artère du membre supérieur gauche ( Côté du
membre
gangrené).—Un caillot sanguin occupait l'artère s
J'ai vu chez une jeune femme une gangrène spontanée de la totalité du
membre
inférieur survenir dans le cours d'une phthisie p
uleur et souvent la dureté le long du trajet du vaisseau principal du
membre
. Le mot de gangrène ne s'applique pas parfaitem
conçoit que, d'une part, les artères ne portant plus de sang dans les
membres
, et, d'une autre part, les veines, les vaisseaux
ès: l'oblitération peut occuper les troncs ou l'artère principale des
membres
dans une étendue plus ou moins considérable, les
s faites par MM. Denonvilliers, JXélaton, Aug. Bérard et par d'autres
membres
de la Société, me fit faire de sérieuses réflexio
Anatomiqne par M. Pelletier. (2) Pièce présentée par M. Perrochon ,
membre
de la Société Anatomique. 28fL wrcujon PLlel2
me temps qu'une suffocation imminente ; il est,en outre, paralysé des
membres
inférieurs ; il ne les sent pas ; il ne peut pas
cé de suspendre ses travaux de jardinage, à cause de la faiblesse des
membres
inférieurs et aussi à cause d'un piquotement doul
et aussi à cause d'un piquotement douloureux qu'il éprouvait dans le
membre
supérieur gauche. Depuis la même époque, il souff
l était obligé de sauter du lit et de pratiquer des frictions sur les
membres
spasmodiquement contractés. Il pouvait d'ailleurs
froid intense et d'absence de sensibilité tactile, en disant que ses
membres
sont froids et morts. La sensation du froid n'est
faut d'une personne qui lui rende ce service, il déplace lui-même ses
membres
inférieurs à l'aide de ses mains. Quelquefois la
septembre au 21 décembre, état stationnaire. Du reste, même état des
membres
. Le malade ne peut dormir ni jour ni nuit ; senti
tembre i834, se plaignant d'une excessive faiblesse, surtout dans les
membres
inférieurs. Il avait en outre un catarrhe pulmona
. Les détails ont été recueillis par M. Padieu, interne des hôpitaux,
membre
de la Société anatomique. XXIe LIVRAISON. I l
ieds cyanoses comme dans le choléra le plus intense; infiltration des
membres
inférieurs et de sparois abdominales. Étouffemens
rte cette matité à un épanchement dans les plèvres ; infiltration des
membres
inférieurs. Commcmoratifs. Il y a sept semaines
e des ventouses sèches et scarifiées, des synapismes promenés sur les
membres
inférieurs, des vésicatoires aux jambes, le retir
és, et même, dans quelques cas, algidité, cyanose générale; œdème des
membres
inférieurs; anasarque; épanchement dans les diver
à l'Hôtel-Dieu dans l'état suivant : face bouffie, lèvres violacées,
membres
inférieurs très infiltrés, abdomen tuméfié dans s
s la circulation veineuse générale, la face n'était pas violacée, les
membres
n'étaient pas infiltrés. Il est d'ailleurs malheu
i84i Voici dans quel état : décoloration et bouffissure de la face ;
membres
inférieurs très infiltrés ; oppression avec ortho
—Le 22, le rhumatisme articulaire, qui avait commencé à abandonner le
membre
inférieur gauche , s'est porté au coude et au poi
es inquiétudes au sujet de ce malade: c'est l'infiltration légère des
membres
inférieurs, et même des membres supérieurs. Réten
lade: c'est l'infiltration légère des membres inférieurs, et même des
membres
supérieurs. Rétention d'urine, cathétérisme. Le
gasme ou de surexcitation, sont menacées ; d'abord les synoviales des
membres
inférieurs, puis celles des membres supérieurs, p
cées ; d'abord les synoviales des membres inférieurs, puis celles des
membres
supérieurs, puis les séreuses et plus particulièr
pulmonaire et la pneumonie œdémateuse la même différence qu'entre un
membre
infiltré et un membre érysipélateux. (i) A. Gri
monie œdémateuse la même différence qu'entre un membre infiltré et un
membre
érysipélateux. (i) A. Grisolle , Traité pratiqu
action convulsive des muscles de la face, accompagnée de rigidité des
membres
, et principalement de ceux du côté gauche. La m
sont plus limitées à la face, mais s'accompagnent de raideur dans les
membres
supérieurs. La malade entre à l'hôpital Beaujon
égie du côté gauche; portant sur le mouvement et sur le sentiment. Le
membre
supérieur est dans un état de demi-flexion avec r
e membre supérieur est dans un état de demi-flexion avec rigidité. Le
membre
inférieur est incomplètement paralysé; la malade,
face postérieure du roclwr. — Flexion permanente avec rigidité des
membres
inférieurs. Femme Douart, âgée de 5o ans, bruni
lation des sons lente, laborieuse ; déglutition un peu difficile: les
membres
inférieurs sont dans une flexion permanente, à ce
on, et que lorsque cette extension a été produite, si on abandonne le
membre
à lui-même, il est de suite ramené dans le sens d
eprend son empire aussitôt que la cause étrangère a cessé d'agir. Les
membres
supérieurs servent encore à la malade : ils ne so
nt encore à la malade : ils ne sont nullement rétractés ; parfois les
membres
inférieurs sont brusquement agités de secousses s
de trois ans, qu'elle avait débuté par un affaiblissement graduel des
membres
inférieurs, par un état de titubation semblable à
une altération organique propre de cette origine. La rétraction des
membres
inférieurs persiste : la malade accuse de vives d
res inférieurs persiste : la malade accuse de vives douleurs dans les
membres
inférieurs surtout dans celui du côté gauche : el
station, étaient intactes; l'intelligence était entière: pourquoi les
membres
supérieurs ont-ils été libres, alors que les memb
re: pourquoi les membres supérieurs ont-ils été libres, alors que les
membres
inférieurs étaient dans un état de rigidité paral
ION DE LA MOELLE. Paraplégie avecflexion et rigidité permanente des
membres
inférieurs.—Mort par suite d'eschares et d'inflam
é remarquable. La rigidité est telle que, pour opérer l'extension des
membres
inférieurs, les infirmières sont obligées de se p
tend les jambes et qu'on les abandonne brusquement à elles-mêmes, les
membres
reviennent instantanément à leur position forteme
Du reste, la paralysie du mouvement volontaire est complète dans les
membres
inférieurs. J'ai voulu voir ce qui se passerait s
e passerait si on soutenait la malade dans la position verticale. Les
membres
inférieurs étaient un embarras plutôt qu'un moyen
olontaires, des sautillemens très douloureux et très répétés dans les
membres
inférieurs. Ce ne sont pas de simples secousses;
t fixés au bois du lit. La sensibilité est conservée dans les mêmes
membres
inférieurs. Du reste, intégrité parfaite du mou
Du reste, intégrité parfaite du mouvement et du sentiment dans les
membres
supérieurs: les urines et les selles sont rendues
de la région dorsale. Dans les paraplégies parfaitement limitées aux
membres
inférieurs, il faut bien se garder de croire que
démembrement des nerfs, qui se distribuent à toutes les divisions du
membre
inférieur. Les picotemens douloureux éprouvés par
elle tomberait comme une masse si on cessait delà soutenir : les deux
membres
inférieurs sont également affaiblis. Les membres
soutenir : les deux membres inférieurs sont également affaiblis. Les
membres
supérieurs sont parfaitement sains. L'examen de l
demoiselle Gault, retenue au lit par un engourdissement douloureux du
membre
inférieur gauche: il y avait paralysie du mouveme
toutes les apparences , la paralysie allait gagner progressivement le
membre
inférieur droit, les parois du tronc, la vessie,
it, les parois du tronc, la vessie, le rectum, et peut-être aussi les
membres
supérieurs. Ce fut en effet ce qui advint les jou
supérieurs. Ce fut en effet ce qui advint les jours suivans. Les deux
membres
inférieurs, le tronc , les membres supérieurs pré
advint les jours suivans. Les deux membres inférieurs, le tronc , les
membres
supérieurs présentèrent ce singulier amalgame de
fort remarquables de cette paralysie. Impossibilité de mouvoir les
membres
inférieurs. Cependant, à force de volonté, la mal
qu'on fermait brusquement, lui donnait une secousse. Du reste, les
membres
supérieurs, la région cervicale, la tête, n'ont,
ment de la peau et la paralysie douloureuse des muscles ont envahi le
membre
supérieur droit. Déjà , la veille, l'épaule comme
ommençait à être engagée. C'est pendant la nuit que s'est paralysé ce
membre
supérieur à la suite de douleurs vives et de seco
ui fut suivie de vomissemens. 9 juin. La paralysie s'est étendue au
membre
supérieur gauche , seul membre qui n'eût pas été
9 juin. La paralysie s'est étendue au membre supérieur gauche , seul
membre
qui n'eût pas été envahi. Le bras n'a commencé à
n peu difficile. La douleur spinale persiste. Le moindre contact du
membre
paralysé est douloureux ; le moindre mouvement pr
re envahis. Il y a paralysie complète du sentiment et du mouvement du
membre
inférieur droit. Du reste, même état,contraste to
ête lourde; douleur légère derrière le cou: la malade souffre plus du
membre
supérieur droit, lequel a été primitivement affec
du membre supérieur droit, lequel a été primitivement affecté, que du
membre
supérieur gauche. Elle peut remuer le pouce et le
ion première. La paralysie complète du sentiment et du mouvement du
membre
inférieur droit subsiste. Evacuations alvines nom
uvoir en outre les orteils et même un peu le genou du côté gauche. Le
membre
supérieur droit,qui avait été pris le premier et
t à l'empire de la volonté. Rien à droite. La douleur cesse, dans les
membres
, à mesure que ces membres acquièrent la faculté d
. Rien à droite. La douleur cesse, dans les membres, à mesure que ces
membres
acquièrent la faculté de se mouvoir volontairemen
ndantes. 15 juin : le mouvement est revenu la nuit dernière dans le
membre
supérieur droit, à la suite de douleurs excessive
a malade fait un grand effort de volonté, elle parvient à soulever le
membre
, mais avec une vive douleur: elle croit qu'elle p
rfois élancemens sourds. La malade assure qu'elle pourrait remuer les
membres
, mais qu'elle ne le fait pas à cause de la douleu
nne est donc, i° une paralysie cutanée qui envahit successivement les
membres
inférieurs, le tronc et les membres supérieurs, p
ée qui envahit successivement les membres inférieurs, le tronc et les
membres
supérieurs, paralysie qui survient graduellement,
s, paralysie qui survient graduellement, d'abord dans une fraction de
membre
, puis dans tout un membre, et passe delà dans un
graduellement, d'abord dans une fraction de membre, puis dans tout un
membre
, et passe delà dans un autre membre; i° une paral
tion de membre, puis dans tout un membre, et passe delà dans un autre
membre
; i° une paralysie des muscles par douleur dans la
u'il y a paralysie. Si, dans la méningite rachidienne, le contact des
membres
est douloureux, ce n'est point par l'exaltation d
en vingt-quatre heures, en quelques heures, la faculté de mouvoir les
membres
douloureusement paralysés. Dans l'observation p
e l'état de son malade. Or, voici les détails: on veut soulever les
membres
inférieurs; le malade pousse des cris, se plaint
ade pousse des cris, se plaint de souffrir, surtout quand on remue le
membre
abdominal droit : il lui est impossible de les so
les a fléchis. Le pincement est également perçu dans l'un et l'autre
membres
. Remarquons cette expression le pincement: donc,
olie. Plus loin, lorsque la paralysie douloureuse s'est étendue aux
membres
supérieurs, il dit" « La sensibilité persiste tou
mbres supérieurs, il dit" « La sensibilité persiste toujours dans les
membres
inférieurs, alors qu'on pince le malade, « quelqu
e manger comme un enfant au berceau. Douleurs générales et dans les
membres
et dans le tronc; tremblemens légers par momens,
our de son entrée. Paralysie presque complète du mouvement dans les
membres
inférieurs: la malade exécute [quelques mouvemens
llement en rapport avec celle de la cause. Paralysie incomplète des
membres
inférieurs : affaiblissement moindre des membres
lysie incomplète des membres inférieurs : affaiblissement moindre des
membres
supérieurs. — Atrophie et induratio n de la moell
est entrée à l'infirmerie de la Salpêtrière, dans l'état suivant :
Membres
inférieurs très affaiblis. Pour apprécier le degr
nférieurs très affaiblis. Pour apprécier le degré de faiblesse de ces
membres
, je fais placer la malade dans l'attitude vertica
t, le train inférieur reste en arrière et les jambes se croisent. Les
membres
supérieurs sont affaiblis, mais moins que les mem
e croisent. Les membres supérieurs sont affaiblis, mais moins que les
membres
inférieurs, et cependant on est obligé de faire m
on est obligé de faire manger la malade comme un enfant. Au lit, les
membres
inférieurs se fléchissent et sont toujours placés
issement a débuté avec la pneumonie. Paraplégie avec rétraction des
membres
inférieurs. —» Paralysie incomplète du membre sup
ie avec rétraction des membres inférieurs. —» Paralysie incomplète du
membre
supérieur gauche. — Induration de la moelle. — Mo
ervée le 15 décembre i832, me présenta l'état suivant: Rigidité des
membres
inférieurs qui sont demi fléchis, et qu'elle ne p
le meut un peu la jambe gauche. L'extension forcée est douloureuse.
Membres
supérieurs affaiblis: elle les meut cependant; ma
rieurs affaiblis: elle les meut cependant; mais elle se sert mieux du
membre
supérieur droit que du membre supérieur gauche. Q
t cependant; mais elle se sert mieux du membre supérieur droit que du
membre
supérieur gauche. Quand on met un objet quelconqu
re et fait effort pour changer de position.Dans l'attitude assise, le
membre
inférieur droit reste fortement rétracté. Intelli
e renflement cervico-brachial de la moelle, qui répond aux muscles du
membre
supérieur, et le renflement lombaire, qui répond
embre supérieur, et le renflement lombaire, qui répond aux muscles du
membre
inférieur. Fausse paraplégie produite par la ri
rtant au point de faire croire à une paralysie complète, alors que le
membre
, revenu à sa flexibilité naturelle, pourrait rend
rendre encore de très grands services: d'où le précepte d'exercer les
membres
paralysés, soit par des mouvemens spontanés, soit
és. Je suis parvenu, à l'aide de mouvemens graduellement imprimés aux
membres
, à guérir d'apparentes paraplégies. Le fait suiva
uchée salle Saint-Luc, n° i : supination, extension avec rigidité des
membre
» inférieurs. La malade ne peut exécuter aucun mou
çu à la plante des pieds ; mais il ne détermine aucun déplacement des
membres
, bien que les muscles se raidissent et tendent au
e de son âge: elle exécutait toute sorte de mouvemens à T'aide de ses
membres
supérieurs, et je ne remarquai aucune différence
es articulaires et des cartilages inter-articulaires. Les muscles des
membres
inférieurs n'avaient pas encore subi la transform
à la fin du troisième jour, elle se trouva complètement paralysée des
membres
inférieurs, lesquels furent pendant long-temps ag
complètement en septembre 1832. C'est à cette époque que la peau des
membres
a perdu sa sensibilité. Voici son état le i5 fé
état le i5 février i833 , jour de son entrée. Paralysie complète des
membres
inférieurs; le chatouillement, les pincemens viol
oup de soin l'étendue de la paralysie du sen-timent:elle occupait les
membres
inférieurs, et les parois de l'abdomen jusqu'à l'
n point d'appui. Dans le principe, elle avait le libre exercice des
membres
supérieurs: ils s'engourdirent à leur tour. Elle
ésultent ces mouvemens désordonnés qui caractérisent la chorée. Les
membres
inférieurs sont complètement atrophiés, les pieds
ans cette position permanente des pieds et des orteils. Lorsque les
membres
in férienrs n'étaient pas contenus par la pressio
uliers et les plus violens, à l'instar de ces polichinelles, dont les
membres
sont tirés par des (ils; et, lorsque les infirm
sur leurs gardes, qu'elles eussent le soin de contenir fortement les
membres
inférieurs, sous peine de recevoir les coups les
nifestaient lorsqu'on disait à la malade de remuer volontairement les
membres
inférieurs. Elle priait alors de se mettre à dist
as maîtriser, et qui ne cessaient que par la contention mécanique des
membres
. Les membres supérieurs obéissent mieux à l'emp
t qui ne cessaient que par la contention mécanique des membres. Les
membres
supérieurs obéissent mieux à l'empire de la volon
s membres supérieurs obéissent mieux à l'empire de la volonté que les
membres
inférieurs. La malade a pu prendre toute seule le
coup de temps, par un mouvement combiné et brusque de la tête, et, du
membre
supérieur, elle s'appliquait avec force la main c
aralysie. Plusieurs fois j'avais essayé de la faire marcher; mais les
membres
inférieurs fléchissaient sous elle et ne pouvaien
s, paralysée depuis la même époque. Au début, elle fut prise dans les
membres
inférieurs d'engourdissement sans douleur : il lu
pieds était endurcie, qu'elle n'embrassait pas exactement le sol. Le
membre
inférieur gauche fut pris avant le droit. Plus ta
oit. Plus tard l'engourdissement, la semi-paralysie, s'étendirent aux
membres
supérieurs. La malade resta dans mes salles la
lité : tous les mouvemens sont exécutés; mais ils sont faibles et les
membres
ne peuvent remplir les fonctions auxquelles ils s
es ne peuvent remplir les fonctions auxquelles ils sont destinés. Les
membres
inférieurs, mobiles au lit, refusent complètement
a rue. Trois mois après, la jambe droite se prit comme la gauche. Les
membres
supérieurs finirent par participer à la paralysie
chatouillement des pieds déterminait une rétraction très prononcée du
membre
inférieur. Du reste, la malade était condamnée à
as noté de rétraction spasmodique, de secousses douloureuses dans les
membres
. Je l'observai à son entrée, il y a deux ans: ell
une émotion difficile à rendre. Elle rougissait, riait, pleurait; ses
membres
et son tronc étaient saisis de mouvemens involont
ent ou à un fourmillement très intense. Souvent elle éprouve dans les
membres
inférieurs des crampes et des sautillemens analog
ont pas perçus. 2° Paralysie incomplète du mouvement dans ces mêmes
membres
inférieurs. Au lit, elle exécute à-peu-près tous
ut et soutenue par deux personnes, elle peut à peine se servir de ses
membres
inférieurs comme support; si je l'engage à faire
pieds. a0 Mouvement. Intégrité à-peu-près parfaite du mouvement aux
membres
supérieurs, érosion. Aucune douleur spinale. La s
qu'elle fait remonter à une époque très éloignée, l'infiltration des
membres
inférieurs, la fièvre continue, l'oppression anno
orps à l'empire de la volonté. Voici d'ailleurs quel était l'état des
membres
paralysés : paralysie complète des membres inféri
eurs quel était l'état des membres paralysés : paralysie complète des
membres
inférieurs, quant au mouvement volontaire. La myo
. Il semble à la malade qu'un feu la dévore. L'action de soulever les
membres
inférieurs , le moindre mouvement qui leur est im
s'étend du point qui a été le siège du contact à toute la longueur du
membre
inférieur. Le chatouillement de la plante des pie
es douleurs sourdes à la région lombaire, et de la faiblesse dans les
membres
inférieurs. Il y a un an, que, voulant soulever u
à la région lombaire, s'étendirent peu-à-peu à toute la longueur des
membres
inférieurs. A chaque fois que la malade essayait
inquante ans environ, qui est entièrement privée du mouvement dans le
membre
supérieur et le membre inférieur du côté droit, e
ui est entièrement privée du mouvement dans le membre supérieur et le
membre
inférieur du côté droit, et chez laquelle ces mêm
ieur et le membre inférieur du côté droit, et chez laquelle ces mêmes
membres
ont conservé toute la délicatesse du sentiment. C
comme paraplégique. On essaya plusieurs fois de la faire lever : ses
membres
inférieurs ployaient sous le poids de son corps.
er : ses membres inférieurs ployaient sous le poids de son corps. Ces
membres
étaient atrophiés, froids, et tout semblait indiq
le fut conduite à Paris. Après avoir reconnu que-la sensibilité des
membres
inférieurs était intacte, que le chatouillement d
malade, déterminait des contractions brusques et vives dans ces mêmes
membres
inférieurs, que ces mouvemens devenaient volontai
alade et on la forçât à se tenir sur ses jambes, on vit peu-à-peu les
membres
inférieurs, qu'elle traînait d'abord et qui ploya
rieurs, qu'elle traînait d'abord et qui ployaient sous elle comme les
membres
d'un cadavre, exécuter quelques mouvemens volonta
, accusée d'imposture, était entièrement privée du sentiment dans les
membres
inférieurs et dans le membre supérieur droit ; c'
ntièrement privée du sentiment dans les membres inférieurs et dans le
membre
supérieur droit ; c'est parce que je l'ai soumise
e, chez cette dernière malade, il y avait en même temps paralysie des
membres
inférieurs et paralysie du membre supérieur. Ce n
avait en même temps paralysie des membres inférieurs et paralysie du
membre
supérieur. Ce n'est pas la première fois que j'ai
hologique qu'elles représentent: Insensibilité presque complète des
membres
inférieurs. Diminution de la sensibilité des memb
que complète des membres inférieurs. Diminution de la sensibilité des
membres
supérieurs. Diminution notabley mais relativement
e 4 mai i84o pour une bronchite. M'étant aperçu que les mouvemens des
membres
supérieurs étaient faibles et incertains, je l'in
avec un peu d'aide, mais elle tremble sur ses jambes : évidemment le
membre
inférieur gauche est plus faible que le membre in
jambes : évidemment le membre inférieur gauche est plus faible que le
membre
inférieur droit. Voici d'ailleurs l'analyse de
le membre inférieur droit. Voici d'ailleurs l'analyse de l'état des
membres
quant au sentiment et quant au mouvement : Memb
se de l'état des membres quant au sentiment et quant au mouvement :
Membres
inférieurs. — Insensibilité presque complète des
ouvement : Membres inférieurs. — Insensibilité presque complète des
membres
inférieurs. — Il n'y a sous ce rapport aucune dif
nt cette plante. La 7?iyotilitévolontaire existe en partie dans les
membres
inférieurs, surtout à droite. La malade meut volo
ntairement les orteils, le pied, la jambe ; mais lorsqu'on soulève le
membre
, elle ne peut le maintenir dans cette attitude. J
le membre, elle ne peut le maintenir dans cette attitude. Jamais les
membres
inférieurs ne sont agités par des crampes ou par
u par des secousses convulsives , douloureuses ou non douloureuses.
Membres
supérieurs. — La sensibilité des membres supérieu
euses ou non douloureuses. Membres supérieurs. — La sensibilité des
membres
supérieurs est singulièrement diminuée. J'engage
e. Du reste, la malade ne se plaint d'aucune douleur. Myotilité. Le
membre
supérieur droit se meut avec agilité bien mieux q
ité. Le membre supérieur droit se meut avec agilité bien mieux que le
membre
supérieur gauche, et c'est principalement de ce m
n mieux que le membre supérieur gauche, et c'est principalement de ce
membre
qu'elle se sert pour vaquer à ses divers besoins
, ce qui lui faisait souvent cracher le sang. L'affaiblissement des
membres
débuta, il y a dix-huit mois environ, par des fou
die, la malade est prise, le 9 mars, de douleurs extrêmement vives au
membre
supérieur gauche, et plus particulièrement à la r
t plus fondé à l'admettre, qu'au milieu de cette excessive douleur du
membre
par l'effet de la moindre pression et du moindre
ent, la peau a conservé son insensibilité : je ne puis pas toucher le
membre
sans faire pousser des cris à la malade; la simpl
à I'arachnitis spinale. D'un autre côté, la lésion étant bornée à un
membre
, il était bien difficile d'admettre une arachniti
Les 10 et 11 mars, la douleur subsiste, mais elle ne dépasse pas le
membre
supérieur ; d'un autre côté la malade remue très
upérieur ; d'un autre côté la malade remue très bien les doigts de ce
membre
, circonstance qui m'éloigne entièrement de l'idée
une pleurésie. Le 19, mars, diminution notable des douleurs dans le
membre
supérieur gauche. Pour la première fois, elle acc
rieur gauche. Pour la première fois, elle accuse des douleurs dans le
membre
inférieur du même côté ; on dirait que des chiens
musculaires qui envahissent tous les muscles ou certains muscles des
membres
; 2° sur les gros troncs nerveux d'où résulte une
altération remontait à la première enfance. atrophie complète d'un
membre
inférieur depuis la première enfance. — Dégénérat
useau de tanche. Je m'aperçois, en découvrant cette malade, que son
membre
inférieur gauche est complètement atrophié. Il es
sur la longueur qui est moindre de 7 à 8 pouces que celle de l'autre
membre
. La malade marche avec une seule béquille, mais t
malade marche avec une seule béquille, mais très péniblement pour le
membre
inférieur droit, qui tend à devenir pied-bot, et
orce qu'il a coutume d'offrir chez les personnes qui n'ont qu'un seul
membre
inférieur disponible. Les membres supérieurs joui
z les personnes qui n'ont qu'un seul membre inférieur disponible. Les
membres
supérieurs jouissent de toutes leurs facultés sen
'intelligence est parfaite. Je n'ai pas tenu note écrite de l'état du
membre
atrophié sous le rapport du sentiment; mais je me
cancéreuses. Tous les organes abdominaux sont sains. Dissection du
membre
inférieur atrophié. Tous les muscles ont subi la
ts faisceaux rouges, et le muscle soléaire qui en présente deux. Le
membre
inférieur non atrophié qui est à-peu-près pied-bo
t biceps. Tous les autres muscles étaient sains, mais généralement le
membre
n'offre ni dans son squelette, ni dans ses muscle
ffre ni dans son squelette, ni dans ses muscles le développement d'un
membre
inférieur pris chez tout autre sujet, à plus fort
o-Ionibaire; sa concavité regardait à gauche, c'est-à-dire du côté du
membre
atrophié. Cette courbure était unique et une cons
tance m'avait d'abord embarrassé, pour expliquer l'atrophie d'un seul
membre
inférieur, bien que Paltération fût plus prononcé
ile de me rendre compte de cette circonstance en réfléchissant que le
membre
inférieur droit, quoique incomparablement plus dé
embre inférieur droit, quoique incomparablement plus développé que le
membre
inférieur gauche, n'était pourtant pas à l'état n
L'atrophie en longueur aussi bien qu'en largeur et en épaisseur d'un
membre
complètement paralysé est un fait déjà noté. Tout
it déjà noté. Toutefois, il importe ici d'établir une distinction. Un
membre
paralysé ne se raccourcit pas, mais si une paraly
IIe LIVRAISON. 2 à une période peu avancée de son développement, ce
membre
, sans rester complètement stationnaire ( du moins
mais vu), s'accroîtra dans des proportions infiniment moindres que le
membre
non paralysé: ainsi on voit un membre paralysé da
ions infiniment moindres que le membre non paralysé: ainsi on voit un
membre
paralysé dans la première enfance ne dépasser jam
dépasser jamais, dans son développement, le volume et la longueur du
membre
d'un enfant de sept à huit ans. Il y a donc à-la-
s elles n'empêchaient pas la malade de marcher comme de coutume : les
membres
supérieurs et inférieurs n'ont jamais été doulour
lques heures, passa des pieds aux jambes pour envahir la totalité des
membres
inférieurs. Cette paraplégie n'est accompagnée ni
ieu aux dépens de cinq ou six vertèbres. Paralysie du sentiment des
membres
inférieurs jusqu'au niveau de l'ombilic; cette pa
au chatouillement, et cependant toute irritation vive exercée sur les
membres
inférieurs détermine des secousses brusques ; mai
es brusques ; mais le malade n'en a nullement conscience, il voit ses
membres
agités par des mouvemens, mais il n'a la conscien
lonté; point d'érections; point de désirs vénériens. Myotilité. Les
membres
inférieurs sont constamment fléchis et rigides, e
tat du malade reste stationnaire jusqu'au 20 mars. A cette époque les
membres
inférieurs demeurent continuellement fléchis au p
20 mars, après la visite, fièvre vive, douleurs très intenses dans le
membre
supérieur gauche; ces douleurs sont permanentes e
n totalité ou en partie et, cependant, les malades percevoir dans les
membres
des impressions intérieures quelquefois fort vive
e, est celie du froid ou du chaud: tantôt il semble au malade que les
membres
paralysés sont entourés de glace, ou qu'il y a de
efois on fait cesser cette sensation très incommode en enveloppant le
membre
de flanelle, de ouate, de sachets de sable chaud
le dans ses veines, et il ne trouve de soulagement qu'en exposant ses
membres
à l'air. Un paraplégique, qui est couché actuelle
erdinand, éprouve une sensation très incommode: il lui semble que ses
membres
inférieurs sont soutenus en Pair et ne portent su
es les nuits à changer eux-mêmes ou à faire changer de position leurs
membres
paralysés. Ce fourmillement est la lésion de sens
r la contraction spasmodique, involontaire avec ou sans secousses des
membres
inférieurs paralysés. J'appellerai l'attention
nt, c'est comme si une étincelle électrique avait passé à travers son
membre
sans qu'il en eût la conscience. Ce que je dis du
n, et ce sentiment de constriction,qui occupait toute la longueur des
membres
inférieurs,et nommément les articulations des gen
aire; or, voici cet état : Paralysie complète du sentiment dans les
membres
inférieurs et à la peau des parois thoraciques et
es jusqu'au niveau des mamelons. Flexion permanente avec rigidité des
membres
inférieurs; il faut exercer un très grand effort
res inférieurs; il faut exercer un très grand effort pour étendre les
membres
qui reprennent brusquement leur position fléchie,
s convulsives , brusques, très énergiques et très fréquentes dans ces
membres
: ces secousses surviennent spontanément; mais ell
ontaire. Il me dit souvent qu'il a le sentiment de la présence de ses
membres
, de ses orteils, et qu'il lui semble que sa volon
re des contractions aussi éner-« giques que celles que présentent vos
membres
inférieurs. Si nous parvenons à triompher de la c
ue le train supérieur n'était pas soutenu par le train inférieur. Les
membres
inférieurs ont conservé la rigidité jusqu'à la fi
olue de connaissance; perte absolue du sentiment et du mouvement; les
membres
sont dans un état de résolution complète; la bouc
viée : les conjonctives sont injectées : les yeux sont saillans. Le
membre
supérieur gauche est immobile, mais d'une rigidit
tous les autres moyens de stimulation (paralysie avec rigidité), lue
membre
supérieur droit est dans un état complet de résol
quand on le soulève; mais la malade le retire quand on le pince. Les
membres
inférieurs, soumis au pincement, se rétractent ég
ut exciter la malade, mais sans obtenir aucune réponse de sa part. Le
membre
supérieur gauche est complètement paralysé et moi
e est complètement paralysé et moins rigide que le jour précédent; le
membre
supérieur droit est dans le même état; sensibilit
ent; le membre supérieur droit est dans le même état; sensibilité des
membres
inférieurs, qui se retirent par le pincement. Dég
1, pâleur de la face, immobilité, résolution complète et générale des
membres
: respiration peu perceptible, pouls faible et pe
ue possible pour le mouvement, et s'accompagnant de rigidité dans les
membres
paralysés; hémiplégie incomplète du sentiment; im
est dans la division dite des gâteuses. Bien qu'elle se servît des
membres
gauches, il m'a paru que ces membres ne jouissaie
es. Bien qu'elle se servît des membres gauches, il m'a paru que ces
membres
ne jouissaient pas, à beaucoup près, de toute leu
ne peut conclure de l'hémiplégie générale que la force de mouvoir les
membres
supérieurs et inférieurs a son organe exclusif da
bras ou de le laisser au lit, et pourtant il meut à volonté tous ses
membres
; mais les mouvemens n'ont aucune précision et sur
illations. Le matin, vous croyez le malade complètement paralysé d'un
membre
, et, le soir, il le remue. Je crois pouvoir déd
le mouvement. Je ne mentionne pas la rigidité ou les contractions des
membres
comme un caractère propre au ramollissement; car
miplégie gauche complète du mouvement avec rigidité très prononcée du
membre
supérieur; paralysie moins complète et sans rigid
cée du membre supérieur; paralysie moins complète et sans rigidité du
membre
inférieur. Sensibilité intacte. Urines et selles
à gauche avec déviation de la commissure, rigidité très prononcée du
membre
supérieur du même côté : bien que le mouvement y
périeur du même côté : bien que le mouvement y soit aboli, j'ai vu ce
membre
rigide se déplacer spontanément et comme automati
qu'on fait, sans savoir quel est le point de départ de la douleur. Le
membre
inférieur est sensible au chatouillement, qui dét
e phénomène qui se rattache au même ordre de faits que la rigidité du
membre
supérieur. Le pincement des membres paralysés d
rdre de faits que la rigidité du membre supérieur. Le pincement des
membres
paralysés détermine un léger mouvement, mais ce m
perçue, et les phénomènes de contraction paraissent se passer dans le
membre
par suite d'une action directe des nerfs de la pe
ur. Le 3o,à la visite du matin, hémiplégie avec rigidité gauche. Le
membre
supérieur est plus particulièrement affecté. Comm
, n° 10, le 9 novembre i836, pour une infiltration non douloureuse du
membre
inférieur gauche. Cette infiltration était surven
puis quelque temps; mais l'affaiblissement ne portait pas plus sur un
membre
que sur l'autre. Le 15 novembre, je reconnais l
estée par une diminution notable du sentiment et du mouvement dans le
membre
supérieur de ce côté. La malade remue péniblement
t dans le membre supérieur de ce côté. La malade remue péniblement ce
membre
supérieur; mais tous les mouvemens sont possibles
eur; mais tous les mouvemens sont possibles, quoique très faibles. Le
membre
inférieur gauche, in filtré, était complètement p
les orteils. En général, le sentiment est extrêmement obtus dans les
membres
paralysés, et par momens je le croyais complèteme
proprement dits. Le 19 novembre, je fus surpris de trouver dans le
membre
supérieur gauche une rigidité que je n'avais pas
et nous dit qu'elle désire la mort. Le 20, résolution complète des
membres
paralysés; le sentiment est extrêmement obtus, si
daim. En procédant à la recherche des causes de l'infiltration des
membres
inférieurs, je découvris une phlébite déjà suppur
er mouvement de l'orteil gauche par l'effet de ce chatouillement. Les
membres
tombent comme une masse inerte; coma qui ressembl
nt. La vue et l'ouïe paraissent conservés. Mobilité des pupilles. Les
membres
sont dans une complète résolution. Sensibilité ex
e d'arachnitis, le malade pourrait guérir, avec ou sans paralysie des
membres
inférieurs, suivant que la partie inférieure de l
de, le rachis n'était nullement douloureux; la locomotion de tous les
membres
était facile; état général excellent, et pourtant
alade est pris pour la première fois de mouvemens convulsifs dans les
membres
. Le 12, au matin, pendant qu'on fait mettre le
t probable qu'il a expiré dans une crise de convulsions. Ouverture.
Membres
d'une raideur extrême ; face décolorée. Téte. L
aux sont contractiles. La paralysie du mouvement est complète dans le
membre
supérieur droit : elle est incomplète dans le mem
complète dans le membre supérieur droit : elle est incomplète dans le
membre
inférieur. Intégrité du sentiment. L'articulation
l est également très difficile d'apprécier le degré de sensibilité du
membre
paralysé. La déglutition , toujours difficile, pr
Les jours suivans, état stationnaire. Le 28 décembre, je trouve les
membres
supérieur et inférieur fléchis et dans un état de
rres d'eau ; miel scillitique deux onces. Même état jusqu'au 3i. Le
membre
supérieur de rigide qu'il était devient flasque.
'au 3i. Le membre supérieur de rigide qu'il était devient flasque. Le
membre
inférieur demeure toujours fortement fléchi. Les
ensibilité générale. La malade paraît ne pas entendre. Flaccidité des
membres
; déglutition impossible. Mort le 3 janvier. Ouv
sanguin récent occupait essentiellement la couche optique : aussi le
membre
supérieur du coté opposé était-il beaucoup plus p
embre supérieur du coté opposé était-il beaucoup plus paralysé que le
membre
inférieur. MM. Foville et Pinel-Grandchamp ont do
raison de placer dans la couche optique le principe des mouvemens du
membre
supérieur. Ce foyer sanguin bien limité eût guéri
atives de flaccidité et de rigidité que nous avons remarquées dans le
membre
supérieur tenaient peut-être à ce que le foyer sa
de cet œil ; paralysie faciale gauche ; faiblesse, fourmillement des
membres
du côté gauche. Après deux mois de cette nouvelle
gion occipitale, coïncidant avec une diminution dans la myotilité des
membres
du côté gauche, pourrait faire présumer la présen
bras. Le 24, coma ; respiration stertoreuse; flaccidité de tous les
membres
, à l'exception du membre supérieur gauche, qui pr
iration stertoreuse; flaccidité de tous les membres, à l'exception du
membre
supérieur gauche, qui présente un peu de rigidité
ui a été présenté à la Société anatomique par M. Nélaton, l'un de ses
membres
les plus distingués. De petites masses tuberculeu
tomique, dans sa séance du 6 août i835 , par M. Landouzy, l'un de ses
membres
. Voici l'histoire de cette production. Madame v
ertain nombre se voit à la partie inférieure du cou, quelques-uns aux
membres
supérieurs, d'autres à la partie supérieure de la
nimaux vivans, la section des nerfs, pratiquée dans la continuité des
membres
avec ou sans perte de substance, donne pour résul
les vaisseaux artériels et veineux, les nerfs qui appartiennent à un
membre
amputé et qui par conséquent n'ont plus qu'une sp
Une discussion s'est élevée, relativement à cette eschare. Plusieurs
membres
ont pensé que c'était une fausse membrane; quant
es synapismes furent appliqués, des frictions pratiquées sur tous les
membres
, des serviettes chaudes sans cesse renouvelées. J
aupières: les pupilles sont contractées et immobiles ; je soulève les
membres
: ils tombent comme une niasse inerte ; je soulèv
sion qui décelait un épanchement dans la poitrine, l'infiltration des
membres
inférieurs et un amaigrissement rapide : c'est da
èvre. Desmoulins {Marianne) , 83 ans, très fortement rachitique des
membres
inférieurs, demoiselle, est entrée à la Salpêtriè
sselle qui est rempli de ganglions volumineux et extrêmement durs. Le
membre
supérieur droit est le siège d'un oedème dur, élé
al était d'ailleurs excellent. La malade ne se plaignait guère que du
membre
supérieur droit qui était le siège d'un œdème dur
e amenait un peu plus de gonflement et un peu plus de densité dans le
membre
dont l'aspect rugueux et comme gauffré, tenait év
oire que cette malade portait depuis long-temps, devint cancéreux. Le
membre
supérieur droit était énormément infiltré. La mal
i occasion d'en rapporter plus tard quelques exemples. 6° Œdème des
membres
supérieurs, — L'œdème des membres supérieurs est
d quelques exemples. 6° Œdème des membres supérieurs, — L'œdème des
membres
supérieurs est au moins aussi fréquent dans le ca
s aussi fréquent dans le cancer de la glande mammaire que l'œdème dés
membres
inférieurs dans le cancer de l'utérus. Dans l'un
use, plus fatigante pour le médecin et pour la malade que l'œdème des
membres
supérieurs dans le cas de cancer mammaire. J'ai s
de cancer mammaire. J'ai sous les yeux un cas dans lequel le poids du
membre
est tellement incommode que la malade s'est résig
avant-bras appuyés sur un oreiller placé sur ses genoux. Du reste, le
membre
infiltré est le siège d'érysipèles répétés, dont
a pour résultat une augmentation dans le volume et dans la densité du
membre
. Les frictions, onctions et applications de toute
et aux vésicatoires, sinon avec succès, au moins avec soulagement. Le
membre
a fini par devenir éléphantiasique ; les papilles
s pas exagérer en disant qu'il a quatre fois le volume et le poids du
membre
de l'autre coté. Dans les cas de ce genre, à l'
mens dans l'abdomen ; dépérissement graduel ; infiltration légère des
membres
inférieurs ; un peu d epanchement dans l'abdomen;
es du matin, la malade fut prise de mouvemens convulsifs saccadés des
membres
supérieur et inférieur du côté droit : les secous
te, mais, depuis un an, elle était sujette à un tremblement léger des
membres
supérieurs, et surtout du bras droit, ce qui l'av
nt suivi d'hémiplégie. Le 17, je trouve une résolution complète des
membres
supérieur et inférieur du côté droit; la volonté
involontaires depuis la veille. Le 23 novembre, on observe que les
membres
paralysés sont le siège de contractions qui sont
tte opinion trouva d'abord beaucoup de contradicteurs: la plupart des
membres
présens pensèrent qu'il y avait fluctuation liqui
nses. — Foyers sanguins sous-cutanés multiples. — Œdème douloureux du
membre
inférieur gauche. — Induration cancéreuse du tiss
e nouvelles bosses sanguines se manifestèrent successivement aux deux
membres
inférieurs : on en compta jusqu'à cinquante. Je r
la véritable cause. Le 3o octobre, survient un œdème douloureux du
membre
inférieur gauche. Cet oedème n'est véritablement
x qu'à la région inguinale et seulement sur le trajet de la veine. Le
membre
est insensible dans tous les autres points. A ces
ns l'idée de vérifier l'état de l'utérus. A cet œdème douloureux du
membre
inférieur que je croyais spontané, se joignit une
uel milite puissamment en faveur de la dégénération. La phlébite du
membre
inférieur est une des conséquences les plus fréqu
veineux: elle est nulle dans les autres points de la circonférence du
membre
. Dans le cas, au contraire, où la phlébite occupe
is surtout dans la figure 2, on voit en avant le thorax; en haut, les
membres
supérieurs ; en bas, les membres inférieurs ; en
oit en avant le thorax; en haut, les membres supérieurs ; en bas, les
membres
inférieurs ; en arrière et en dehors, une grosse
es mouvemens; on eût dit que c'était sous la peau que s'agitaient les
membres
du fœtus , qui s'étendait pour ainsi dire à son a
L'adhésion du bassin et de la cavité thoraco-abdominale. Quant aux
membres
, ils suivent en général le sort de la partie à la
général le sort de la partie à laquelle ils correspondent : ainsi les
membres
inférieurs se soudent ou se confondent en même te
férieurs se soudent ou se confondent en même temps que le bassin; les
membres
supérieurs se soudent ou se confondent avec le th
deux jumeaux. 25e liv., pl. v, vi, p. 1. — Adhésions congénitales des
membres
inférieurs d'un même individu. 38e liv., pl. 1, p
laquelle peut donner lieu la gangrène spontanée.Gangrène spontanée du
membre
inférieur droit présentant tous les signes de la
it présentant tous les signes de la paralysie.Décoloration sim pie du
membre
paralysé, qui représente le membre d'un cadavre p
paralysie.Décoloration sim pie du membre paralysé, qui représente le
membre
d'un cadavre peu ancien. 27e liv., pl. v,p. 7.—Ga
me tuberculeuse du cancer. 27e liv., pl. m, p. 4. — Sur l'œdème des
membres
supérieurs dans le cancer mammaire. 27e liv., pl.
reux. Observation: idiotie. Demi-flexion permanente avec rigidité des
membres
thoraciques et abdominaux. Immobilité. Mort par s
oup perte complète de la connaissance et du sentiment. Résolution des
membres
droits ; rigidité des membres gauches. Ramollisse
issance et du sentiment. Résolution des membres droits ; rigidité des
membres
gauches. Ramollissement hortensia d'un grand nomb
cence du choléra. 14e liv., pl. i, n, m, iv, v, p. 52. CONVULSIONS.
Membres
paralysés, participant à des mouve-mens convulsif
v., pl. 1, n, m, p. 4. — Hémiplégie avec douleurs excessives dans les
membres
et mouvemens épilepti-formes. Deux tumeurs cancér
de laface postérieure du rocher. Flexion permanente avec rigidité des
membres
inférieurs. 26e liv., pl. n, p. 7. — Tumeur carci
ntenses. Foyers sanguins sous-cutanés multiples. OEdôme douloureux du
membre
inférieur gauche. Induration cancéreuse du tissu
la gangrène spontanée. Observations. Pneumonie. Gangrène spontanée du
membre
inférieur droit, présentant tous les signes de la
t, présentant tous les signes de la paralysie. Décoloration simple du
membre
paralysé, qui représente le membre d'un cadavre p
paralysie. Décoloration simple du membre paralysé, qui représente le
membre
d'un cadavre peu ancien. 26e liv., pl. v, p. y. —
iv., pl. 1, n, m, p. 4-— Hémiplégie avec douleurs excessives dans les
membres
et mouvemens épilepliformes. — Deux tumeurs cancé
vi, p. 3. — Cas d'idiolie. Demi-flexion permanente avec rigidité des
membres
thoraciques et abdominaux. Immobilité. Mort par s
lle- Observations. Paraplégie avec flexion et rigidité permanente des
membres
inférieurs. Mort par suite d'eschares et d'inflam
la moelle; symptômes de cette atrophie. = Paralysie incomplète des
membres
inférieurs; affaiblissement moindre des membres s
alysie incomplète des membres inférieurs; affaiblissement moindre des
membres
supérieurs. Atrophie et induration de la moelle.
hnoïde cérébrale. Mort de pneumonie. — Paraplégie avec rétraction des
membres
inférieurs. Paralysie incomplète du membre supéri
légie avec rétraction des membres inférieurs. Paralysie incomplète du
membre
supérieur gauche. Induration de la moelle. Mort p
n grise de la moelle. Observations Insensibilité presque complète des
membres
inférieurs. Diminution de la sensibililé des memb
que complète des membres inférieurs. Diminution de la sensibililé des
membres
supérieurs. Diminution notable , mais relativemen
iment et du mouvement. 38e liv., pl. v, p. 4.— Atrophie complète d'un
membre
inférieur depuis la première enfance. Dégénératio
thme et de l'œdème du poumon. 22e liv-, pl. m, p. 5.— Sur l'œdème des
membres
supérieurs dans le cancer mammaire. 27e liv., pl.
as la paralysie n'est ni précédée ni accompagnée de douleurs dans les
membres
paralysés. 3e liv., pl. vi, p. 4- — Membres paral
gnée de douleurs dans les membres paralysés. 3e liv., pl. vi, p. 4- —
Membres
paralysés participant à des mouvemens convulsifs.
sculaire. 32e liv. pl. 1, 11, p. fot 11. — Arrêt de développement des
membres
paralysés. 38e liv., pl. v,p. S, 6. PARAPLÉGIE.
lle. Observations. Paraplégie avec flexion et rigidité permanente des
membres
inférieurs. Mort par suite d'eschares et d'inflam
ous-péritonéal. 32e liv., pl. 1, n, p. i3. — Paralysie incomplète des
membres
inférieurs : affaiblissement moindre des membres
lysie incomplète des membres inférieurs : affaiblissement moindre des
membres
supérieurs. Atrophie et induration de la moelle.
hnoïde cérébrale. Mort de pneumonie. = Paraplégie avec rétraction des
membres
inférieurs. Paralysie incomplète du membre supéri
légie avec rétraction des membres inférieurs. Paralysie incomplète du
membre
supérieur gauche. Induration delà moelle. Mort pa
utérin. 27e liv., pl. iv, p. a. — Observation • Phlébite spontanée du
membre
inférieur droit. 27e liv., pl. iv,p. 4. — Sur la
S, — Observation : Cancer du vagin et du museau de tanche. OEdème du
membre
inférieur. Phlébite. 27e liv., pl. iv, p. 6. —
e la face postérieure du rocher. Flexion permanente avec rigidité des
membres
inférieurs. 26e liv-, pl. n, p. 7. ROEDLRER. Me
enne? 32e liv., pl. 1,11, p. /2. — Insensibilité presque complète des
membres
inférieurs. Diminution de la sensibilité des memb
que complète des membres inférieurs. Diminution de la sensibilité des
membres
supérieurs, suite de degeneration grise de la moe
iv., pl. m, p. 4. — Cancer du vagin et du museau de tanche. OEdème du
membre
inférieur. Phlébite. 27e liv., pl. iv, p. 6. — Ga
ntenses. Foyers sanguins sous-cutanés multiples. OEdème douloureux du
membre
inférieur gauche. Induration cancéreuse du tissu
er utérin. 27eliv., pl. iv, p. a.— Observation. Phlébite spontanée du
membre
inférieur droit. 27e liv., pl iv,p.4-— Sur la pré
p. 5.— Observation. Cancer du vagin et du museau de lauche. OEdème du
membre
inférieur. Phlébite. =Cas remarquable de veine-ca
astrique, les dou- leurs lombaires, les douleurs irradiées dans les
membres
inférieurs, ont presque toujours une forme un p
ubles médullaires : difficulté de la marche, liée à une parésie des
membres
inférieurs. Les troubles paraplégiques devancent,
rveux bizarres : de l'engourdissement et même de la pa- ralysie des
membres
inférieurs, bien avant l'apparition de la coudure
(troubles sen- sitifs radiculaires à limites parallèles à l'axe du
membre
, médullaires à limites obliques, cordonaux à li
gnait de fourmillements, et, depuis quelque temps, de faiblesse des
membres
inférieurs, eut subitement, il y a 20 jours, (1
le cas d'un enfant qui lui avait été adressé pour une myopathie des
membres
inférieurs : le droit était atrophié en masse,
- scapulaires qui se propagèrent ensuite aux côtés du thorax et aux
membres
in- férieurs. Flexion et extension de la tête d
ie incomplète avec rétention des réservoirs, sensibilité obtuse aux
membres
inférieurs. Quelques jours après mort dans le mar
, surtout nocturnes, dans toute l'étendue de la face postérieure du
membre
in- férieur droit, puis du gauche. Huit mois ap
de 6 mois, on constatait en outre, de l'affaiblissement du côté dès
membres
inférieurs. Un mois plus tard, apparais- sait l
, aux malléoles externes, au bord externe du pied droit ; oedème du
membre
inférieur droit, hydarthrose des deux genoux, m
des engourdissements, des fourmillements et une légère parésie des
membres
inférieurs. Tous ces troubles disparaissent et se
continence des sphincters, douleurs en ceinture, hy- poesthésie des
membres
inférieurs, puis eschares. Mort par infection gén
ptôme, puis surviennent des engourdissements, puis des douleurs des
membres
inférieurs, qui s'affaiblissent progressivement,
e qui s'agrandit de jour en jour ; puis apparaît un gros oedème des
membres
inférieurs. Affaiblissement progressif. Mort 16
leurésie séro-fibrineuse, suivie d'une ascite aiguë avec oedème des
membres
inférieurs, qui fut attribuée à une péritonite
meut. L'examen montre à cette époque une paralysie flasque des deux
membres
inférieurs. Le malade marche avec peine à l'aid
On constate un affaiblissement considérable de tous les segments du
membre
inférieur droit (pied, jambe, cuisse), simple par
e en ceinture, haute de 5 à 6 centimètres. Rien à noter du côté des
membres
supérieurs de la tête et du cou, pas de trouble
utent souvent, par la suite, des sensa- tions anormales du côté des
membres
inférieurs : tantôt de simples pares- thésies (
e, le malade étant incapable d'exécuter le plus petit mouvement des
membres
inférieurs. Son intensité n'est pas toujours ég
inture. Dans plusieurs observations, se trouve signalé l'oedème des
membres
inférieurs; fréquemment apparaissent des eschar
e de douleurs interscapulaires, paralysie flasque et anesthésie des
membres
inférieurs, avec rétention d'urine. Abcès par con
niveau de la région sacrée. Atrophie mus- culaire très marquée aux
membres
inférieurs : sciatique douloureuse à la pres- s
les scapulae alatae de la myopathie, avec ensellure lombaire ; les
membres
inférieurs sont particuliè- rement maigres ; en
is on s'aperçoit vite qu'elle se relève ainsi non par faiblesse des
membres
inférieurs, mais pour maintenir immobile la col
vre ; 24 jours après douleurs en ceinture, fourmil- lements dans le
membre
inférieur droit, sensibilité obtuse, retard à la
flasque. 6 ans plus tard; on constatait une paraplégie complète des
membres
in- férieurs, avec, seulement conservation des
mes nocturnes, et irradiations le long de la face posté- rieure des
membres
inférieurs. Ces douleurs deviennent rapidement in
ois après le début on constatait une impotence presque complète des
membres
inférieurs, due surtout, semblait-il, à l'intensi
Sensibilité normale aux faces antérieures externes et internes des
membres
inférieurs ; on constate seulement un peu d'hypoe
it, et à la dernière phalange des orteils ; la face postérieure des
membres
n'a malheureusement pas été assez étudiée, à caus
astériens faibles. Peut-être légère atrophie musculaire diffuse aux
membres
inférieurs. Lenteur et difficulté de la miction.
us ces faits il y avait des douleurs précoces et intenses, dans les
membres
inférieurs, presque toujours dans le domaine du s
a nuque : puis survint une paraplégie avec anesthésie étendue aux 4
membres
, sans troubles sphinc- (1) Decroly Journal de N
pour des troubles moteurs progressifs apparus 3 ans avant dans les
membres
supérieurs. A 36 ans, troubles analogues dans l
dans les membres supérieurs. A 36 ans, troubles analogues dans les
membres
inférieurs. A 43 ans on constate, outre l'atrop
- cissement notable du cou, sans signes de lésion en activité ; aux
membres
su- périeurs, de l'ataxie dans les mouvements d
ie musculaire ni altération des sensibilités superfi- cielles ; aux
membres
inférieurs, ataxie, légère parésie avec exagérati
saud résume deux autres cas : l'un avec atrophie légère diffuse des
membres
supérieurs, et grosse impotence, pleurer spasmo
é emprunte son intérêt à la possibilité d'une paralysie flasque des
membres
supérieurs, avec atrophie musculaire. Il est ex
RINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 17 aucun trouble du côté des
membres
inférieurs ; l'observation de M. Bro- ca (1) es
notamment. Quelques névralgies avaient précédé cette paralysie : « Au
membre
supérieur gauche, la sensibilité était un peu a
mourant par ses parents. D'ordinaire, à la paralysie flasque des
membres
supérieurs s'ajoute une paraplégie spasmodique
sque des membres supérieurs s'ajoute une paraplégie spasmodique des
membres
inférieurs. Un tel ensemblesympto- matique prés
riété, surtout lorsqu'elle s'ac- compagne d'atrophie musculaire des
membres
supérieurs et de troubles . de la sensibilité.
travail. Au bout de 2 mois,douleurs dans les épaules, puis dans le
membre
supérieur gauche, présentant la diffusion et les
de douleurs radiculaires. Un mois plus tard, atrophie et paralysie du
membre
supérieur, puis du membre inférieur gauche, pui
mois plus tard, atrophie et paralysie du membre supérieur, puis du
membre
inférieur gauche, puis des 2 membres du côté op-
ie du membre supérieur, puis du membre inférieur gauche, puis des 2
membres
du côté op- posé. Ou constate alors : atrophie
t-bras et du triceps trachial : paraplégie spasmodique complète des
membres
inférieurs avec rétention des réservoirs et anest
nférieurs avec rétention des réservoirs et anesthésie occupant, aux
membres
supérieurs, le domaine du plexus brachial inférie
ans le dos et les côtés, avec affai- blissement progressif des deux
membres
inférieurs et du membre supérieur droit. 8 mois
avec affai- blissement progressif des deux membres inférieurs et du
membre
supérieur droit. 8 mois après, paraplégie spasm
is après, paraplégie spasmodique sans troubles vésicaux, parésie du
membre
supérieur droit surtout à la main et à l'avant-br
avec scoliose légère (Pl. IV).' La malade ne peut se servir de ses
membres
supérieurs, à cause de l'affaiblissement et de l'
, qu'après une série d'oscillations irrégulières. On constate : aux
membres
supérieurs, parésie des triceps brachiaux, des
IV), avec affaiblissement des réflexes olécrâniens et du poignet.
Membres
inférieurs : parésie surtout des fléchisseurs, av
, augmentation des douleurs, avec sensation de chaleur exagérée aux
membres
supérieurs, et de froid aux inférieurs, les réf
aralysie flasque avec atrophie musculaire et troubles sensitifs aux
membres
supérieurs, sans troubles notables de la partie
dans la région comprimée, en particulier sur le trajet des nerfs du
membre
supérieur. Plus tard, la compression des mêmes ra
jours, l'anesthésie affecte le caractère dissocié. La paralysie des
membres
supérieurs suit de près ; elle est géné- raleme
sion s'exerce sur la moelle, il en résulte une paralysie des quatre
membres
et du tronc, les réflexes sont exaltés aux infé
on de la moelle et des racines cervicales inférieures détermine aux
membres
supérieurs une paralysie flasque, avec alrophie m
lasque, avec alrophie musculaire, et l'exagération des réflexes des
membres
inférieurs (cas de Touche, de Long et Machard,
rend, surtout lorsque ces douleurs occupent la face postérieure des
membres
inférieurs, et qu'on trouve, soit le signe de L
On devra donc, en présence d'une douleur névralgi forme, tenace des
membres
ou du tronc, et dont la cause n'est pas évidente,
que avec ou sans atrophie musculaire ; 20 Paralysie spasmodique des
membres
inférieurs avec intégrité des membres supérieur
20 Paralysie spasmodique des membres inférieurs avec intégrité des
membres
supérieurs ; 3° Paralysie spasmodique des quatr
rité des membres supérieurs ; 3° Paralysie spasmodique des quatre
membres
; 4° Paralysie spasmodique des membres inférieu
lysie spasmodique des quatre membres ; 4° Paralysie spasmodique des
membres
inférieurs, paralysie flasque des membres supér
Paralysie spasmodique des membres inférieurs, paralysie flasque des
membres
supérieurs. 1° Il est exceptionnel que la paral
rs. 1° Il est exceptionnel que la paralysie flasque se localise aux
membres
supérieurs comme dans le cas de M. Broca ; d'or
on trouve tout au moins l'ébauche d'une paraplégie spasmodique des
membres
inférieurs : exagération des réflexes rotuliens
exes rotuliens, signe de Babinski, etc. 2° La paralysie flasque des
membres
inférieurs peut au contraire s'obser- ver, lors
ntanément la moelle. Dans les deux cas, cette paralysie flasque des
membres
inférieurs pourra donner lieu aux erreurs de di
, l'hypothèse d'une névrite peu vraisemblable ; la localisation aux
membres
inférieurs avec intégrité habituelle des supéri
t précieuse pour le diagnostie. L'amaigrissementet la faiblesse des
membres
inférieurs, la manière de se relever du sujet c
tent ; on re- connaît que le sujet ne prend appui des mains sur ses
membres
inférieurs que pour immobiliser le rachis ; l'a
aux contraire- ment au mal de Pott. b) En cas de spasmodicité des
membres
inférieurs avec intégrité des membres supérieur
b) En cas de spasmodicité des membres inférieurs avec intégrité des
membres
supérieurs, les signes ressemblent beaucoup à ceu
le professeur Raymond, atteinte d'une paraplégie spasmo- dique des
membres
inférieurs avec incontinence et légère rétention
t douloureuse, de la 3° à la 6e dorsale. Aucun symptôme morbide aux
membres
supérieurs, à la tête et au cou. Le traitement
uellement l'étude histologique. 3° Paralysie spasmodique des quatre
membres
. Pour donner naissance à cette variété, le foye
a- t-on de rie pas insister sur la paralysie spasmodique des qualre
membres
, dont nous n'avons pas d'observation avec autop
oubles bulbaires signalés plus haut. 4° Paralysie spasmodique des
membres
inférieurs, paralysie flasque des membres supér
Paralysie spasmodique des membres inférieurs, paralysie flasque des
membres
supérieurs . - Lorsque cette dernière s'accompagn
notre Ve observation personnelle, 'l'existence de spasmodicité des
membres
inférieurs, avec paralysie flas- que des supéri
âce à l'intensité et à la précocité des douleurs de la nuque et des
membres
supérieurs, qui offraient avec la plus grande net
tuberculose pulmonaire, chez lequel une paraplégie spasmodique des
membres
infé- rieurs avec troubles sphinctériens, hypoe
lonne vertébrale (spondylose) et des articulations de la racine des
membres
(rhizomélique). Les deux malades présentés alor
crite par P. Marie que par le défaut de l'ankylose de la racine des
membres
et par quelques différences évolutives, on comp
e vertébrale, que par l'ankylose des articulations de la racine des
membres
, c'est parce que ces articulations sont celles qu
i s'ankylosaient étaient les articulations proches de la racine des
membres
, la hanche et l'épaule, très souvent le genou, so
sée être identique et égale à celle du sujet normal Les portions de
membres
encore mobiles sont en pointillé. LA SPONDYLOSE
és du côté des extrémités et les déformations des articulations des
membres
. Il y a donc dans le rhumatisme vertébral chron
epté pour les éléments fournis par la configuration du tronc et des
membres
torse arrondi, cylindrique, ventre un peu proém
des membres torse arrondi, cylindrique, ventre un peu proéminent et
membres
potelés - qu'on peut cependant apercevoir, mais
e trop long, ce qui donne au malade un air trapu. L'adiposité des
membres
fait disparaître les saillies osseuses et les f
on poplitée interne. Bref, l'adipose sous-cutanée du tronc et des
membres
a déformé l'aspect extérieur du corps, qui est
aient été stimulés à une très grande activité. En même temps un des
membres
de la famille du malade habitant la même maison q
dont notre malade est atteint. La nature de la surdité de quelques
membres
de la famille est restée obscure. Si nous poson
ui est aussi le cas pour les mouvements de toutes les jointures des
membres
supérieurs. - Les mains larges, camardes, aux l
l'aspect singulier de la peau des paumes de la main. Mesures des
membres
supérieurs. ACROMÉGALIE PARTIELLE AVEC INFANTIL
eurs et sensitifs, ainsi que le réseau de veines très développé aux
membres
hypertrophiés correspon- dent parfaitement au t
es phalanges aux 3 derniers doigts de la main droite. Atrophie du
membre
inférieur droit portant sur le fémur. Aux pieds,
insisté dans ma thèse (1), sur l'importance qu'avaient la stase du
membre
et l'état cachectique du sujet dans la production
ples : l'une est une hydrocéphale paraplégique avec contracture des
membres
inférieurs ; l'autre, une microcéphale avec atr
s volontairement, mais à un plus faible degré. La muscula- ture des
membres
est peu développée, sans atrophie. En résumé, n
e nue, on note chez cette enfant les particularités suivantes : Les
membres
inférieurs sont trop courts. Le buste, de la four
du tiers moyen de la cuisse. Dimensions des différents segments des
membres
: NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTllIiRE T.
ractères qu'on rencontre dans l'achondroplasie typique, ce sont :
Membres
supérieurs trop longs, quoique courts ; ils dépas
quer le désé- quilibre de développement osseux dans les segments de
membre
, où deux os sont accouplés, comme l'avant-bras.
lume organique. Supposons, par exemple, l'atrophie numérique d'un
membre
consécutive à une brûlure de la peau ou à une a
enfance. Tandis que les os, les muscles, les nerfs qui composent ce
membre
sont plus grêles et plus courts que ceux du côt
ce, comme apparaissant après croissance complète, localisée dans le
membre
, dans le côté de la face ou du tronc qui durant
entraîne un arrêt de développement de tous les segments os- seux du
membre
, avant-bras, bras et même omoplate. Une arthrite
ndant la vie intra-utérine. (1) Klippel, Arrêt de développement des
membres
à la suite de lésions dans l'enfance. Atrophie
II ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 139 Sans doute, aux extrémités des
membres
la lésion est tout à fait nette. Mais en recher
peu », la main gauche « devient toute rouge » et les mouvements du
membre
supé- rieur sont très douloureux. Après les bai
xtérieur, relativement volumineux par rapport aux autres parties du
membre
inférieur, leur bord externe est très épaissi et
eds, aspect extérieur. 142 KLIPPEL Cuisses à peu près normales.
Membres
inférieurs.- l'axe total du membre est en Z de ba
Cuisses à peu près normales. Membres inférieurs.- l'axe total du
membre
est en Z de baïonnette Axe de la cuisse, obliqu
adiographie, existe réellement et est perceptible à la palpation.
Membres
supérieurs. Main : on y observe des arrêts de dév
e et supérieure gauche plus basse que la droite de 1 centimètre. Le
membre
inférieur droit semble raccourci ; mais, en réali
ressentait des douleurs dans la région lombaire et surtout dans les
membres
inférieurs. Elle consulta plusieurs médecins et s
cher la malade, on voit qu'elle présente une certaine rai- deur des
membres
inférieurs et un dandinement assez marqué des han
phie. Nous constatons une hypoesthésie tactile très intense sur les
membres
supé- rieurs et inférieurs. Sur les premiers, l
ier la, topographie des troubles de la sensibilité tactile. - Les
membres
supérieurs et inférieurs, sauf les faces palmaire
reux, le début de la paralysie par les extrémités périphériques des
membres
, la prédo- minance aujourd'hui des paralysies m
i des paralysies musculaires aux extrémités plus qu'aux racines des
membres
, une conservation relative des réactions élec-
uatre années de service au 9er dragons, présente de l'ichthyose des
membres
supérieurs et du dos (état rugueux de la peau q
offre une ichthyose généralisée plus accentuée que chez les autres
membres
de la famille (peau fen- dillée, craquelée, eng
teur d'un grand nombre de tumeurs répandues sur le tronc et sur les
membres
dont deux, ài droite, sur l'épaule et sur la ha
la photographie que sur le tégument lui-même. Rien au visage ni aux
membres
. Pas de plaques pigmentées. Pas de noevi pilaires
Aucun trouble de motilité : pas de vertige ; pas de tremblement des
membres
ou des doigts, pas de tic ni de convulsions ; pas
éné- ralisée avec localisations principales sur la face interne des
membres
pos- térieurs, le dessous du ventre, de la poit
d'autres tumeurs plus petites sur l'oreille gauche, la face et les
membres
; on pouvait facilement en compter une centaine s
ou la disparition des nodosités cutanées et des petites tumeurs des
membres
; il ne reste en décembre 1905 (malade revue par M
et des hallu- cinations auditives. A la fin de juin il a eu sur les
membres
inférieurs une éruption de furoncles. Mais sur
ournée, mais il persiste jusqu'au lendemain une légère impotence du
membre
supérieur droit et un violent mal de tête. 6 se
qu'il se sent mieux. 13. Légère céphalée ; à droite, on observe au
membre
inférieur de la contracture et de l'exagération
r de la contracture et de l'exagération des réflexes tendineux ; au
membre
supérieur, une monoplégie flasque, de l'hypoest
sd'amener chez le vieillard une impotence plus ou moins marquée des
membres
inférieurs allant même jusqu'à la paralysie com
gle de constater un affaiblissement de la motricité plus marqué aux
membres
inférieurs qu'aux membres supérieurs (Durand-Fard
lissement de la motricité plus marqué aux membres inférieurs qu'aux
membres
supérieurs (Durand-Fardel (1), De- mange (2), C
a plupart des fibres. Principalement localisées sur les muscles des
membres
inférieurs et de la paroi abdominale ces modifi
cor- des dont la saillie s'exagère dès qu'on essaye d'imprimer aux
membres
(1) GEIOT, Klinick der Greisenkrankheiten. Erla
e malade atteinte d'une paraplégie avec rétraction considérable des
membres
inférieurs. Nous croyons devoir la donner ici e
tisme). Un an après survien- nent des douleurs bilatérales dans les
membres
inférieurs, la jambe droite puis la jambe gauch
Les réflexes tendineux,forts au début, disparaissent. Plus tard les
membres
su- périeurs deviennent raides et douloureux, l
émaciation parfois colossale des muscles striés prédominant sur les
membres
inférieurs,suivie ou non de rétractions tendine
t général, que même arrivés à la phase de rétrac- tion complète des
membres
inférieurs, ils s'alimentaient très suffisam- m
es malades ont consulté autrefois pour des douleurs vagues dans les
membres
inférieurs comparées à des crampes, des tiraillem
acées qu'elles sont par une lourdeur progressivement croissante des
membres
inférieurs. Les malades marchent comme si elles
ne saurait non plus constater bien nettement d'amyotrophie dans les
membres
inférieurs, les muscles sont mous, flasques, donn
en évidence c'est l'affaiblissement musculaire prédominant sur les
membres
inférieurs. Tous les mouvements sont indistinctem
lus ou moins mar- quée. Au début ce raccourcissement en flexion des
membres
inférieurs peut être en partie corrigé par une
immobiles tout le jour, craignant le moindre déplace- ment de leurs
membres
. Si les douleurs subjectives sont très supportabl
articles sont fort pénibles et s'étendent à toute la continuité du
membre
. La pression des muscles, du quadriceps fémoral
men électrique. L'examen électrique des muscles montre que dans les
membres
inférieurs les plus rétractés la perturbation des
ienne. Jamais elle ne s'accompagne de secousses fibril- laires. Les
membres
supérieurs, le cou, le tronc ont conservé la libe
flexes tendineux apprend que ceux-ci sont conservés, aussi bien aux
membres
supérieurs qu'aux membres inférieurs, un peu fa
ue ceux-ci sont conservés, aussi bien aux membres supérieurs qu'aux
membres
inférieurs, un peu faibles si l'amyotrophie est
doit tenir aucun compte de l'amplitude du mouvement exécuté par le
membre
puisque ce dernier est immobilisé par les rétrac-
es vertèbres sont saillantes, les omoplates déchar- nées. Sur les
membres
les articulations paraissent énormes, relativemen
bres les articulations paraissent énormes, relativement au reste du
membre
.Cela ne veut pas dire qu'elles soient atteintes,
l point sont réduits les muscles qui s'insèrent autour d'elles. Les^
membres
supérieurs jusqu'ici à peu près' respectés devien
sement moteur qui marche de pair avec l'amyotrophie. La flexion des
membres
inférieurs s'établit progressivement et devient
uis les muscles de la ceinture pelvienne se prennent,enfin ceux des
membres
su- périeurs et du cou s'enraidissent et s'atro
ic prête à des hésitations. L'affaiblissement moteur qui frappe les
membres
inférieurs du vieil- lard peut relever des caus
opathique. Un même début insidieux, par- fois des douleurs dans les
membres
inférieurs analogues peuveut tromper sur la nat
nt été doulou- reuses. Lorsqu'on mobilise les divers segments des
membres
inférieurs on peut s'assurer facilement que le
el que les déformations du rhumatisme se localisent strictement aux
membres
inférieurs, en général les mains sont prises à
ons plus ou moins notables, enfin l'affection ne se confine pas aux
membres
inférieurs, les bras et surtout les mains sont
tions vigoureuses d'allonger les muscles enraidis et de mouvoir les
membres
on rencontre les mêmes résis- tances que pendan
vicieuses ne peuvent être cor- rigées. La fixité de position des
membres
est assurée en effet, tant par la sclérose des
d'épaisseur. Sa section circulaire permet d'allonger légèrement le
membre
, mais toutefois la résistance la plus con- sidé
moins altérés. Suivant que l'affection s'est généralisée aux quatre
membres
ou qu'elle est restée localisée aux membres inf
généralisée aux quatre membres ou qu'elle est restée localisée aux
membres
inférieurs, la musculature des bras apparait co
sions et calcaires. Il en est ainsi parfois des grosses artères des
membres
inférieurs qui sont presque indemnes de lésions
tous égards. Les symptômes : parésie progressivement croissante des
membres
inférieurs, puis douleurs et rétractions marquées
sins, et quand il a fini, se fâche de n'avoir pas été mieux écouté.
Membre
militant de divers comités et syndicats ouvriers,
n (Voy. pl. XLIII) ayant pour résultat un léger raccourcissement du
membre
et surtout une dévia- tion de la jamhe en dehor
ite qu'à gauche. Nulle part il n'y a d'inversion de la formule. Aux
membres
inférieurs, comme aux membres supérieurs, pas la
n'y a d'inversion de la formule. Aux membres inférieurs, comme aux
membres
supérieurs, pas la moindre trace d'incoordinati
pied ; réflexe de Babinski en extension. Les réflexes tendineux des
membres
supérieurs sont également exagérés. Les sensibi
sseur précité), mais quand il en l'occasion il n'y pense plus. Deux
membres
du comité de son syndicat viennent le voir, il
face externe. Cette opération améliora nota- blement la fonction du
membre
et le malade put reprendre son métier. Mais la
double dystrophie congénitale déjà ébauchée chez quelques- uns des
membres
de sa famille : la dystrophie d'origine ectodermi
mps qu'il rejette la tête un peu en arrière, fléchit légèrement les
membres
supérieurs et prend dans l'en- semble l'attitud
s, contorsion générale du corps, torsion des épaules, étirement des
membres
, mouvements saccadés du bras avec épaule correspo
2 premières racines sacrées. Réunion sans suppuration, parésie des
membres
postérieurs très légère et transitoire. L'animal
depuis l'âge de 19 ans. La maladie débuta avec de la faiblesse aux
membres
inférieurs et de l'im- puissance génitale ; ens
6 ans il a été sujet à des douleurs rhumatismales siégeant aux deux
membres
supérieurs, douleurs qui depuis ont reparu de tem
nou- veaux survinrent l'empêchant de continuer son travail. Dans le
membre
inférieur droit il commença à éprouver des doul
Les pieds sont en exten- sion sur la jambe. Les divers segments des
membres
inférieurs sont fixés dans 'l'attitude décrite
écarter un peu les deux cuisses ser- rées l'une contre l'autre. Les
membres
inférieurs peuvent être étendus pas- sivement,
d'il y a un an et l'empê- che de se tenir debout et de marcher. Ses
membres
supérieurs ne présentent pas de raideur. La fle
ion, l'extension,la rotation de la tête sont bonnes. Quoi- que^ les
membres
supérieurs n'aient pas de raideur évidente, les m
n. ' La sensibilité tactile est conservée au niveau de la face, des
membres
supé- rieurs et du tronc ; elle est très émouss
ention- nels, sa tête tremble et ses dents s'entrechoquent. , Les
membres
inférieurs ont un peu maigri. Le champ visuel n
. L'eschare fessière sup- pure assez abondamment. Les muscles des
membres
inférieurs sont atrophiés, surtout à la jambe ; l
les des membres inférieurs sont atrophiés, surtout à la jambe ; les
membres
supérieurs sont, eux aussi, quoique un peu moins,
nt, eux aussi, quoique un peu moins, nettement atro- phiés. · Les
membres
inférieurs conservent l'attitude que nous avons c
ieurs conservent l'attitude que nous avons ci-dessus dé- crite. Aux
membres
supérieurs au contraire, les mouvements sont asse
rogressive ; douleurs fulgurantes et sensations de constriction aux
membres
inférieurs et à la base du thorax. Tremblement in
intentionnel progres- sif. Difficulté des mouvements au niveau des
membres
supérieurs. Diminution de la sensibilité aux cu
gne de Babinski des deux côtés. Légère exagération des réflexes des
membres
supérieurs . Affaiblissement de la vue ; pendant
e la cause la plus insignifiante. Atrophie évidente des muscles des
membres
inférieurs. Eschare sacrée suppurante et fièvre é
e cou- che. A ce moment le malade a la jambe droite paralysée et le
membre
supé- rieur droit malhabile et plus faible qu'à
ue il entre à Bicêtre. Examen : 1902. Rien de particulier aux yeux.
Membres
inférieurs extrême- ment amaigris. Ils sont le
nt abolies. L'abduction est nulle, l'adduction presque nulle. Les
membres
supérieurs sont amaigris mais à un degré moindre
ue. Le malade souffrait depuis mois de tremblement intentionnel des
membres
supérieurs et inférieurs ; il traînait les pied
de l'exagération des réflexes tendineux une légère contracture des
membres
, de la trépidation spinale, du nystagmus vrai.
0 ans, le malade est atteint d'une cécité d'origine incon- nue. Les
membres
du côté gauche sont flasques; il existe une certa
, remue son bras droit (quel que soit le côté piqué), fléchi t- ses
membres
inférieurs et même son bras gauche. Le 18 mai,
Paris (séance du 7 juin 1906). 384 MARIE ET MOUTIER raide, elles
membres
gauches décèlent, eux aussi, un certain manque de
ononcé. Pas de déviation des yeux. Il existe une raideur des quatre
membres
, beaucoup plus prononcée à droite. Le réflexe p
aralysé, réagissaient par des gri- maces, des déplacements de leurs
membres
. Mais cette agitation était ir- raisonnée et pr
0 octobre 1905 pour des oedèmes gé- néralisés avec prédominance aux
membres
inférieurs, pour une dyspnée assez vive et de l
imensions exagérées des extré* UN cas D'ACHOMÉGAUE 393 mités, les
membres
gardent leurs proportions régulières eu égard à l
Chez notre malade la longueur du pied était accrue et ce segment du
membre
inférieur était dispropor- tionné, non dans ses
mentation considérable du volume et de la courbure des os longs des
membres
et des os du tronc et de la tête produisant un
laire. Ouïe bonne. Corps thyroïde et tous les viscères normaux. Les
membres
inférieurs étaient très fortement musclés, mais
PAR LES PROJECTILES MODERNES PAR J.-J. MATIGNON, Médecin-major,
membre
de la mission militaire aux armées japonaises d
rébrale de la grosseur d'une noisette. Paralysie des extrémités des
membres
supérieur et inférieur gauche. Pas de troubles
ver- ture le cerveau fait une légère hernie. ' Parésie légère des
membres
inférieurs. Légers troubles de la sensibilité.
dilacérée. Diminution de la motilité et de la sensibilité dans les
membres
supérieur et inférieur droits. Déviation légè
5, est un événement assez significatif pour que les amis du nouveau
membre
de l'Institut aient eu la pensée de le célébrer.
quela plaiiclieLX11répioduitunpeti réduite, consiste en une épée de
Membre
de l'Institut.Bien qu'enserré dans d'étroites l
d. Allocution prononcée par 111. le Professeur Raphaël Blanchard,
membre
de l'Académie de médecine. Cher ami, Ceux qui
it en arrière, soit en avant ou sur les épaules ; en même temps les
membres
devenaient flasques et leurs mouvements de plus
sur le lit, ne fait aucun mouvement ni du tronc, ni du cou, ni des
membres
inférieurs ; aux membres supérieurs, on constat
n mouvement ni du tronc, ni du cou, ni des membres inférieurs ; aux
membres
supérieurs, on constate quelques très faibles m
tête est absolument ballante et retombe sans aucune résistance,les
membres
sont complètement flasques ; si on les soulève,
anique et faradique réapparaît très faiblement dans les muscles des
membres
supé- rieurs et inférieurs, mais les intercosta
céphalo-rachidien. 18. La réaction électrique, dans les muscles des
membres
, se fait avec 9 ou 10 milliampères. On constate
atrophie en est notablement moins marquée que celle des muscles des
membres
infé- rieurs. Il existe des lésions d'atrophie
moins d'intensité ; à l'âge de 3 ans, il existait de la parésie des
membres
inférieurs empêchant la station et la marche ; de
hant la station et la marche ; de la parésie,mais moins marquée, du
membre
supérieur, et un certain degré de faiblesse des
utenait, mais à partir de ce moment, la force et les mouvements des
membres
inférieurs diminuèrent, au point que l'enfant ne
ervait également une pa- résie très marquée de tous les muscles des
membres
inférieurs, des muscles du dos et de la paroi a
dérable de l'exci- tabilité faradique et galvanique des muscles des
membres
, avec réaction de dégénérescence. La sensibil
ésie très marquée des muscles de la nuque, du cou, des épaules, des
membres
supérieurs et des muscles du tronc. La paralysie
et des muscles du tronc. La paralysie flasque était peu marquée aux
membres
inférieurs, ceux-ci très atrophiés présentaient
parties supérieures du corps et en particulier au tronc et dans les
membres
supérieurs. L'enfant ne put être suivi ultérieu
e flasque des muscles de la nuque, ducou et du tronc, ainsi que des
membres
, dont l'amyotrophie était très marquée avec con
on de la force, de la rapidité et de la facilité des mouvements des
membres
inférieurs, puis de la faiblesse des muscles du
tronc et de la nuque, les muscles de la ceinture scapulaire et des
membres
supérieurs se prennent. La paralysie s'accompa-
e le 12e et le 18e mois de la vie, ou était apparue une parésie des
membres
inférieurs. Un an après, la paralysie atteignai
une paralysie flasque avec atrophie musculaire affectant les quatre
membres
et tous les muscles du tronc (à l'exception du
de à terme et bien constitué; mais rapidement on s'aperçoit que les
membres
supérieurs et inférieurs, parfois les quatre me
erçoit que les membres supérieurs et inférieurs, parfois les quatre
membres
et même la tête, ne peuvent se mouvoir libre- m
ulaire paraît assez bien conservée dans les différents segments des
membres
, sauf au niveau des mains qui sont le siège d'u
atrophie très marquée, et au niveau du pied droit. Amyotrophie. Aux
membres
supérieurs, l'atrophie musculaire porte surtout
actéristique, bien visible sur les photo- graphies ci-jointes. Au
membre
inférieur droit il existe un peu d'amyotrophie de
ngomyélique s'observent se distri- buent de la façon suivante : aux
membres
supérieurs l'anesthésie porte sur tout le membr
on suivante : aux membres supérieurs l'anesthésie porte sur tout le
membre
jusqu'à la racine (à l'exception d'une plaque au
ne à la distribution de l'anesthésie une apparence radiculaire; aux
membres
inférieurs l'anesthésie envahit toute l'étendue d
, secoué par de violentes convulsions particulièrement accusées aux
membres
et à la mâchoire inférieure. Les yeux grands ou
te constamment couché, immobile, somnolent, la tête appuyée sur ses
membres
antérieurs allongés, les paupières closes, indiff
gions, le côté droit du corps (Pl. LXV). Si nous comparons les deux
membres
supérieurs l'un avec l'autre, nous constatons q
tué est long de 24 centimètres. Par la palpation de ce segment t de
membre
droit, on ne sent que fort peu de saillies muscul
du carpe en relation avec le pouce, le scaphoïde et le trapèze. Les
membres
inférieurs sont normaux. On remarque seulement un
bonne. La sensibilité et les réflexes sont normaux partout, sauf au
membre
supérieur droit où il n'y a pas de réflexe du p
nt soudés entre eux. Mais tous les animaux dont la conformation des
membres
est comparable à celle de l'homme, sont pourvus
e volumineuse attirent de suite l'attention. Dans sa famille, aucun
membre
n'est petit ou mal- formé ; personne ne présent
cune fièvre érup- tive. Elle ne présenta ni nouures ni courbure des
membres
; en somme, (1) Communication à la Société de Ne
urbure lombaire decom- pensation. 468 LEJONNE ET CHARTIER 1 Les
membres
supérieurs et inférieurs sont par rapport au tron
daires, lorsque la face reste arrondie, le torse cylindri- que, les
membres
potelés, tout comme chez l'enfant, on est en prés
fantilisme. Ici,-les organes génitaux et les poils sont formés, les
membres
et le bassin sont développés ; notre malade ne sa
quelette éloigne toute idée d'achondroplasie. Les propor- tions des
membres
relativement au tronc, des segments de membres en
es propor- tions des membres relativement au tronc, des segments de
membres
en- tre eux sont normales. 11 ne s'agit pas non
psychique). Il se plaint parfois de douleurs et de crampes dans les
membres
et les attribue à des fatigues sexuelles causées
e incurvation de la colonne vertébrale dorsale et une déviation des
membres
inférieurs caractérisée par l'obli- quité du fé
contribuant à donner au corps l'aspect féminin.1 L'allongement des
membres
inférieurs malgré leurs déviations est la cause
pubis à poil rare. Pas de développement exagéré des extrémités des
membres
ni de pro- gnatisme plus marqué que chez les au
rescences centripètes comme chez certains amputés,et lephénomène du
membre
fantôme pourrait être invoqué en certains cas d'e
térisée cliniquement par les symptômes suivants : ataxie des quatre
membres
avec atrophie muscu- laire ; troubles très marq
rès marquée avec dureté très accusée de tous les troncs nerveux des
membres
accessibles à la palpa- tion ; ces symptômes ét
d aux nitis- cles des mains. Intégrité des muscles de la racine des
membres
. Pieds-bols équins. Atrophie des muscles des ma
type Aran-Duchenne. Contractions fibrillaires dans les muscles des
membres
et de la face. Altération considéra- ble de la
nique sans réaction de dégénéres- cence. Cypho-scoliose. Ataxie des
membres
inférieurs et supérieurs avec im- possibilité d
rophie très marquée avec durelé trèsprononcée de tous les nerfs des
membres
accessibles à la palpation. Dou- leurs fulguran
nant. A la même époque également, il commmença à ressentir daus les
membres
inférieurs et supérieurs, dans les inférieurs s
rieurs surtout, des douleurs très pénibles qui lui traversaient les
membres
comme un éclair. A cette époque également, il r
'hôpital. A partir de cet accident, les troubles de la motilité des
membres
supérieurs et inférieurs vont en augmen- tant a
prononcée des deux pieds et des mains, avec atrophie musculaire, le
membre
inférieur droit (frac- ture ancienne) est racco
il peut seulement faire quelques pas. Signe de Romberg très accusé.
Membres
supérieurs Atrophie musculaire, type Aran-Duchenn
bombent en arrière, d'une fa- çon très prononcée. Sensibilité. -
Membres
inférieurs, sensibilité tactile très altérée. Nul
'anesthésie, diminue à mesure que l'on se rapproche de la racine du
membre
. Le chatouillement de la plante du pied n'est p
rononcés, qu'on examine des régions plus éloignées de la racine des
membres
. . , Membres supérieurs. Les différents modes d
examine des régions plus éloignées de la racine des membres. . ,
Membres
supérieurs. Les différents modes de sensibilité,
ont également altérés ; l'altération, un peu moins prononcée qu'aux
membres
inférieurs, diminue aussi ici en remontant le-lon
dans le décubitus dorsal et les yeux ouverts, l'incoordination des
membres
inférieurs est peu prononcée, et si on lui dit de
son talon, lorsqu'il croit être arrivé dans la bonne direction. Aux
membres
supérieurs, l'incoor- dination est plus marquée
encore très lisible. Le sens musculaire est intact dans les quatre
membres
; le malade, les yeux fermés, indique facilement d
lgurantes. Depuis l'âge de dix-sept ans, le malade ressent dans les
membres
inférieurs des douleurs ayant tous les caractères
ssez souvent, lorsqu'il marche, d'être pris tout d'un coup dans les
membres
iufé- NÉVRITE INTERSTITIELLE UYPERTROPIliQUE ET
gauche, d'une douleur lancinante extrêmement intense, parcourant le
membre
du haut en bas. Cette douleur est tellement aig
e douleurs constrictives ni téré- brantes. Pas de douleurs dans les
membres
supérieurs. L'intelligence du malade est assez
sa canne, tout à coup il tombe assis à terre. L'incoordination des
membres
supérieurs a également augmenté. Les troubles d
e malade peut, les yeux fermés, reproduire assez exactement avec un
membre
les attitudes passives imprimées à l'autre mem-
r, les yeux fermés, une partie quelconque de l'un ou l'autre de ses
membres
, il commet des erreurs de lieu considérables et n
avoir pratiqué l'autopsie de sa soeur, tous les troncs nerveux des
membres
accessibles la palpation, à savoir : le' cubital
sensiblement le même au point de vue de l'atro- phie musculaire des
membres
, l'incoordination motrice augmenta légèrement.
eumogastriques qui sont très augmentés de volume. Tous les nerfs du
membre
supérieur et inférieur sont en quelque sorte gi
pra- tiquer nous-mêmes l'examen macroscopique et- la dissection des
membres
, comme cela avait été fait pour la soeur du mal
NCE 487 muscles de l'éminence thénar, deltoïde, biceps, etc... aux'
membres
supé- rieurs ; muscles de la région antéro-exte
les de la région antéro-externe de la'jambe, triceps fémoral... aux
membres
inférieurs. Les coupes, soit longitudinales, soit
araison ; mais ce que nous avons observé dans les troncs nerveux du
membre
supérieur, ou inférieur, nous permet d'applique
NDRÉ-THOMAS très accusés, diminuent en remontant vers la racine des
membres
et, leur distribution paraît appartenir à la to
es jambes et des cuisses plus marquée à la périphérie. Atrophie des
membres
supérieurs type Aran-Duchenne, diminuant égalem
ie au centre. Douleurs fulgu- rantes. Incoordination très nette des
membres
supérieurs, moins nette aux membres inférieurs
. Incoordination très nette des membres supérieurs, moins nette aux
membres
inférieurs du fait de l'atrophie. Marche possible
stagmus dynamique. Contractions fibril- laires dans les muscles des
membres
ainsi que dans ceux de la face. Intégrité des s
ique sans réaction de dégénérescence (PI. LXXII E, F). Sensibilité.
Membres
inférieurs. Sensibilité tactile abolie complèteme
e retard, et la malade croit qu'on la touche avec un corps chaud.
Membres
supérieurs : altération très prononcée de la sens
fications de la sensibilité douloureuse et ther- mique que'dans les
membres
inférieurs, avec retard diminuant de bas en haut.
trice a aug- menté, et, si elle est diffficile à apprécier dans les
membres
inférieurs, du fait de l'intensité extrême de l
re fût conservé chez elle, et cepen- dant la notion de position des
membres
est très altérée, car si l'on dit à la malade d
t ans par des troubles de la marche. Atrophie musculaire des quatre
membres
diminuant de la périphérie vers la racine. Aux
e des quatre membres diminuant de la périphérie vers la racine. Aux
membres
inférieurs double pied-bot équin varus avec pie
membres inférieurs double pied-bot équin varus avec pied creux. Aux
membres
supérieurs atrophie musculaire type Aran-Duchen
et rire transversal. Contractions fibrillaires dans les muscles des
membres
et dans l'orbiculaire des lèvres. Altérations m
réaction partielle de dégénéres- cence. Incoordination marquée des
membres
supérieurs et inférieurs. Signe de Romberg très
trophie très marquée et dureté très prononcée de tous les nerfs des
membres
accessibles à la palpation. Pas de troubles troph
es ou autres. 1° Sensibilité tacite examinée à l'aide d'un pinceau.
Membres
inférieurs. Complètement abolie sur la face pla
rs la Fig. 5. Fig. c. 500 DEJERINE ET ANDRE-THOMAS racine des
membres
,mais il faut arriver jusqu'au dessus de l'ombilic
esdeux côtés les troubles de la sensibilité tactile sont les mêmes.
Membres
supérieurs. A droite, anesthésie absolue sur tout
ite. 2° Sensibilité à la douleur examinée à l'aide d'une épingle.
Membres
inférieurs. A droite la sensibilité à la douleur
aut. Ce retard est accompagné d'un certain degré d'hyperesthésie.
Membres
supérieurs. Les troubles de la sensibilité doulou
légère consécutive. La sensibilité thermique est également altérée.
Membres
inférieurs. Chaleur (eau à 70 degrés). Très dim
pou- vait tenir ces oeufs dans la main très longtemps, ce qu'aucun
membre
de la famille ne pouvait faire. Froid (mélange
ités et de diminuer à mesure que l'on se rapproche de la racine des^
membres
. Nous tenons enfin à attirer de nouveau l'atten
ie moyenne une véritable rigole à diamètre antéro-postérieur. Aux
membres
inférieurs les troubles fonctionnels sont la cons
dans cette position, on leur fait fermer les yeux ils tombent. Aux
membres
supérieurs l'incoordination n'est pas moins nette
st d'une constatai ion facile, non seulement sur les gros nerfs des
membres
médian, cubital, radial, origines du plexus bra
: les lésions sont plus marquées pour les nerfs et les racines des
membres
in- férieurs que pour ceux du tronc et desmembr
isée. Or, s'il est vrai que l'atrophie musculaire est excessive aux
membres
inférieurs chez les malades de Pierre Marie et
aux membres inférieurs chez les malades de Pierre Marie et que les
membres
supérieurs sont au contraire peu atrophiés, moins
ice de M. le professeur Raymond, où l'on constate ce qui suit : les
membres
inférieurs contracturés, rétractés en flexion, ne
entes. Clonus. Pas de troubles sensitifs ni sphinctériens. Rien aux
membres
supérieurs ni à la face ; examen ophtalmoscopiq
s : douleurs et cyphose dorsale, sciatique double et paraplégie des
membres
inférieurs, qui se serait constituée en 15 jour
ère. 6 ans après, on constatait une paralysie, presque complète des
membres
inférieurs, avec exagération des réflexes rotul
eurs rachidiennes ayant duré plusieurs mois, paraplégie brusque des
membres
inférieurs, avec anesthésie et incon- tinence d
irmerie, pour bronchite, avec emphysème pulmonaire. Gros oedème des
membres
inférieurs, avec albuminurie. L'examen du rachis
des urines et des ma- tières ; le lendemain, paralysie complète des
membres
inférieurs,flasque, mais avec signe de Babinski
dissement (sensation de froid), puis des douleurs diffuses dans les
membres
inférieurs, qui s'affaiblissent. Les troubles m
lade ignorait l'existence. Quinze jours plus tard, les douleurs des
membres
inférieurs se réveillent, plus violentes que ja
idement considérable. Fièvre, hecticité, amaigrissement, oedème des
membres
inférieurs. Mort 16 mois après le début, 2 mois
sme. 52 ans, pleurésie avec épanchement ponctionné, puis oedème des
membres
inférieurs avec ascite ponctionnée deux fois et
s mouvements du rachis. Un mois après, affaiblissement ra- pide des
membres
inférieurs. Au bout de huit jours, à son entrée à
n constate une paralysie presque complète pour tous les segments du
membre
inférieur droit, plus marquée à l'extrémité à gau
edème péri-malléolaire droit,pas de troubles sphinctériens.Rien aux
membres
supérieurs et à la tête. Rachis : mouvements gê
matin, puis engourdissements, fourmillements et légère parésie des
membres
inférieurs. Ces troubles appa- raissent et disp
M. le profes- seur Raymond, on constate une paraplégie complète des
membres
inférieurs, avec spasmodicité,exaltation des ré
ans D R. Rétention et incontinence des sphincters. Hypoesthésie des
membres
inférieurs. Apparition d'escarres multiples, he
bature lombaire avec irradiation le long de la face postérieure des
membres
inférieurs ; ces douleurs, surtout nocturnes, de-
emblent expliquer l'impotence presque absolue que l'on constate aux
membres
inférieurs. Ceux-ci, en effet, n'ont maigri qu'à
araissait, étendue au sacrum, et le long de la face postérieure des
membres
inférieurs, dans toute leur hauteur, durant jou
n constata : z Paralysie de tous les fléchisseurs et abducteurs des
membres
inférieurs, 824 ALOUiER flasque avec orteil e
. - Evolution en 8 mois 1/2. Paralysie fiasque avec amyotrophie aux
membres
sllpé- rieurs, spasmodique aux inférieurs ; dis
dient dans le bras droit, et sont réveillées par les mouvements des
membres
supérieurs, qui deviennent maladroits. 7 mois-p
i deviennent maladroits. 7 mois-plus tard,» paraplégie complète des
membres
inférieurs ; elle entre dans le service du prof
ce qui suit : la tête est penchée en avant, raide et immobile ; aux
membres
supérieurs, atrophie du type Aran-Duchenne avec
une légère ataxie avec affaiblissement des réflexes tendineux; aux
membres
inférieurs, parésie surtout des fléchisseurs av
r. la moelle. Evolution en 6 mois 1/2 ; douleurs rndicu- laires des
membres
supérieurs ; à la période terminale, syndrome de
supérieurs ; à la période terminale, syndrome de Brown Séquard aux
membres
inférieurs. Homme de 47 ans. A 38 ans, pleurési
ement de la tête, qu'il tient inclinée en avant et à gauche, et des
membres
supérieurs, qu'il tient croisés, et ne peut se
rhomboïde. A droite, réactions bien conservées, sans DR. Rien aux
membres
inférieurs : pas de troubles sphinctériens ; exam
opique négatif ; tuberculose pulmonaire. Quelquesjours plus tard,le
membre
inférieur gauche s'affaiblit ; en trois jours,
orsales, surtout gauches Cliniquement : pamplégie spasmo- dique des
membres
inférieurs, troubles sensitifs et sphinctériens,
à la Salpêtrière. A l'examen, on constate : paraplégie complète des
membres
inférieurs, très spasmodique, avec exaltation d
dessous d'une ligne horizontale,passant par la 6e dorsale. Rien aux
membres
supérieurs ni à la face ; myosis gauche ; pas de
des cellules motrices dans la patho- génie des troubles moteurs des
membres
supérieurs (atrophie musculaire, dans l'observa
- tate une cyphose dorsale moyenne indolore : paralysie flasque des
membres
iu- NOUVELLE Iconographie de la SALPÊTRIÈRE. T.
bout de 3 mois, s'établit en 3 jours une paraplégie incomplète des
membres
inférieurs, avec paresthésie des membres inférieu
paraplégie incomplète des membres inférieurs, avec paresthésie des
membres
inférieurs, rétention et incontinence des réser
presque toujours aux précédentes. Fréquemment, elles prennent, aux
membres
inférieurs, les caractères d'une sciatique doub
de mal de Pott cervical, comment distinguer, parmi les troubles des
membres
supérieurs, les symptômes radiculaire et les symp
xes des articulations supérieures faibles, mais présents ; ceux des
membres
inférieurs sont normaux. Autopsie (faite 12 heu
main matin, et il présente à ce moment une monoplégie complète du
membre
supérieur gauche, avec anesthésie absolue. Cette
e grouper d'aubes phénomènes qui sont : un léger affaiblissement du
membre
inférieur gauche; des attaques à formes variées
lant s'habiller, il s'aperçoit qu'il ne peut plus du tout remuer le
membre
supérieur gauche. - Le mé- decin l'examine à la
périeur gauche. - Le mé- decin l'examine à la visite du matin. - Le
membre
supérieur gauche pendait le long du corps; il é
trière; nous en indiquerons plus loin les caractères. L'attitude du
membre
supérieur a subi de- puis le début quelques mod
a main, puis les doigts s'étendaient de nouveau; d'autre part, le
membre
était tantôt flasque, tantôt contracturé. Sept jo
c'est-à-dire une semaine environ après le début de la paralysie, le
membre
supérieur a commence à s'atrophier. (le malade
tuellement chez lui en l'examinant d'une façon méthodique : '. Le
membre
supérieur gauche est complètement paralysé; les
t ils pré,- si CLINIQUE NERVEUSE. sentent un peu de raideur. - Le
membre
supérieur gauche est beaucoup plus grêle que le
ans laquelle on place le malade; cette diminution dans le volume du
membre
parait tenir principalement sinon exclusi- veme
asses musculaires et celle-ci s'ob- serve dans tous les segments du
membre
à partir de l'épaule jusqu'à la main. L'épaule
ec- DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 7 La sensibilité est abolie dans le
membre
supérieur gauche, comme l'indiquent les figures
d'épaule. Le sens musculaire fait aussi complètement défaut dans ce
membre
. La température du membre supérieur gauche est
re fait aussi complètement défaut dans ce membre. La température du
membre
supérieur gauche est plus élevée que celle du c
tout net en ce qui con- cerne la sensibilité à la température. Le
membre
inférieur gauche est un peu plus faible que le
E. mord son bras; la jambe droite est fléchie sur la cuisse et le
membre
inférieur droit est raide comme le membre supérie
échie sur la cuisse et le membre inférieur droit est raide comme le
membre
supérieur. La raideur s'observe aussi du côté g
le est moins accentuée que du côté droit. En plus, la situation des
membres
est différente ; le membre supérieur gauche est
u côté droit. En plus, la situation des membres est différente ; le
membre
supérieur gauche est appliqué le long du corps,
araissent avoir la même force. Mais la paralysie et l'anesthésie du
membre
supérieur DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 1 t ne se
ue le massage avec succès, de masser le malade. M. Gautiez masse le
membre
supérieur droit, c'est-à- dire le membre sain,
alade. M. Gautiez masse le membre supérieur droit, c'est-à- dire le
membre
sain, et on observe alors, au bout de cinq mi-
et il parle comme par le passé. - 4. - Paralysie et anesthésie du
membre
supérieur gauche dans le même état. M. Gautiez
minutes environ après le début de l'opération, tous les segments du
membre
supérieur peuvent se mouvoir spontanément ; pou
ouvements de l'épaule sont en particulier très limités ; et tout le
membre
supérieur, en particulier la main et les doigts
sez étendues et assez fréquentes, mais régulières. En même temps le
membre
supérieur du côté opposé s'engourdit un peu, ma
temporo-pariétale droite et la sensibilité revient aussitôt dans le
membre
supérieur gauche.-Le malade est alors abandonné
veille ; on recommande enfin au ma- lade de continuer à exercer son
membre
supérieur pendant la journée. Le malade est e
lui, la motilité persiste encore. 6. - Les mouvements spontanés du
membre
supérieur gauche persistent encore, et ils sont
mou-, voir son bras. 7. 11 se réveille absolument impotent de son
membre
su- périeur. Le bras et l'avant-bras sont flasq
turés. 10. - Le malade depuis le 7 mars est redevenu paralysé du
membre
supérieur gauche. Il s'endort dans l'après-midi e
nt qu'il peut de nouveau le mouvoir. 13. On prend les mesures des
membres
et voici ce qu'on constate : la circonférence d
de cette façon la prédominance des troubles fonctionnels dans le
membre
supérieur, le peu d'intensité des trou- bles ob
re supérieur, le peu d'intensité des trou- bles observés du côté du
membre
inférieur et enfin. l'intégrité de la face ; la
ulier la paralysie brachiale, en négligeant les troubles moteurs du
membre
inférieur qui sont tout à fait accessoires, nou
qui sont tout à fait accessoires, nous voyons que la sensibilité du
membre
supérieur est tout à fait abolie, et il en est
bras disparut la première, puis la motilité revint aussi dans le
membre
inférieur. En 1877, à la suite d'une grande fraye
. Berbez, interne du service, prit à ce moment son observation. Les
membres
supérieur et inférieur sont presque complètemen
e est augmentée. - La sensibilité est complètement abolie dans le
membre
supérieur gauche (sensibilité au tact, à la doule
es exercices de gymnastique et d'exé- cuter en particulier des deux
membres
supérieurs des mouve- ments synergiques. On pri
on pariétale droite; après chaque séance, a sensibilité reparaît au
membre
supérieur gauche pendant plusieurs heures, et a
vait recommandé de faire. Son état général est toujours le même. Le
membre
supérieur gauche paraît un peu plus fort qu'aut
: le choc a porté sur le côté gauche de la tête et la paralysie des
membres
s'est développée du même côté, dans le côté gau
NIQUE ! OERYEUSE, - DE l/ ATROPHIE MUSCULAIRE. et la flaccidité des
membres
paralysés ? Ne devrait-il pas y avoir, dans une
, mais si l'on jette les yeux sur les figures 3 et 4, on voit qu'au
membre
supérieur, seul membre paralysé au moment où ce
yeux sur les figures 3 et 4, on voit qu'au membre supérieur, seul
membre
paralysé au moment où cette figure a été dessin
ne peut relever d'une autre cause. Elle est limitée, eu effet, aux
membres
paralysés, elle est bien plus accentuée dans le
effet, aux membres paralysés, elle est bien plus accentuée dans le
membre
supérieur dans lequel la paralysie est plus ten
stérieurs, les phénomènes spastiques ne se développent pas dans les
membres
supérieurs ou inférieurs, quand la lésion des c
ences; en voici un exemple : on peut provoquer une paralysie d'un
membre
sans mot dire, par quelques passés seule- ment
troubles nerveux multiples. l'arthrite déformante, les varices des
membres
, etc... G. D. XIV. Cas DE méningite cérébro-spi
porencépualie avec idiotie ET RIGIDITÉ spasmodique congénitale DES
membres
; par R. OTTO. (Arch. f. Psych., XVI, 1.) Garçon
a du côté gauche. Quant aux phénomènes spasmodiques du tronc et des
membres
, sans anomalies de l'exci- tabilité électrique,
e l'observation clinique : L» amnésie avec agraphie; 2° parésie des
membres
supérieur et inférieur droits; 3° accès convuls
es supérieur et inférieur droits; 3° accès convulsifs affectant les
membres
du côté droit et les muscles de la face du même
convulsions, crampes dans le museau; les oreilles, la queue et les
membres
; dilatation des pupilles ; température rec- tal
bles augmentent; il se produit une paraly- sie complète d'abord des
membres
inférieurs, puis des extrémités supérieures; dy
sur les avant-bras, .occupe le bord cubital de la face dorsale du
membre
, à 10 ou 12 centimètres au-dessous de la pointe d
accroissait et se compliquait de roideur dans les articulations des
membres
inférieurs. Une soeur est sourde-muette. Examen :
es procédés que l'on sait, mais irrégulièrement; amaigrissement des
membres
infé- rieurs sans atrophie, même partielle ; mo
AtENDEL et REMAK, M. WESTPHAL répond que les réflexes tendineux des
membres
supérieurs ne présen- taient pas une exagératio
igue facilement. Dans le décubitus dorsal, faible, raideur dans les
membres
, phénomènes tendineux normaux ; mouve- ments ac
, une atrophie musculaire, portant sur un grand nombre de nerfs des
membres
inférieurs, une lésion circonscrite de la corne
inte de délire, de réaction paresseuse des pupilles, de parésie des
membres
inférieurs; elle ne peut marcherqu'en s'ap- puy
de ces confé- rences sera intéressante pour quelques-uns mêmes des
membres
du corps médical; et si l'expérience des autres
et chiruigiens de la Maison nationale auxquels seront adjoints deux
membres
nommés par nous palmi les médecins inspecteurs
Les candidats sont surveillés pendant la composition écrite par des
membres
du jury. Tout candidat qui s'est servi pour sa
ues publiquement par leurs auteurs sous la surveillance de l'un des
membres
du jury. - Art. 10. A la fin de chaque séance, il
arrabé, François Delattre et le Dr A.-J. Devoisins; 468 diplômes de
membre
associé hono- raire, 6 médailles d'argent, 180
surait deux pieds six pouces (63 c. 51); son corps était épais, ses
membres
dispropor- tionnellement larges et longs. Les m
it épais, ses membres dispropor- tionnellement larges et longs. Les
membres
et le dos étaient poi- lus. La tête était gross
gate. La mère me dit que l'enfant était inhabile à se servir de ses
membres
inférieurs, qu'elle n'était pas aussi forte que
aucune trace de glande thyroïde. Le thorax est bien conformé. Les
membres
sont courts et gros; les tibias, quelque peu co
ce niveau un sillon vertical assez profond pour contenir le doigt.
Membres
. Etant donnée la taille exiguë de Gr.. (1m,20) le
doigt. Membres. Etant donnée la taille exiguë de Gr.. (1m,20) les
membres
tant supérieurs qu'inférieurs sont réguliers, éga
n ne le sent qu'au niveau de l'humérale. La peau présente sur les
membres
et la plus grande partie du tronc des altératio
quel aspect elle se présente plus de trois ans après son début : le
membre
inférieur est complète- ment paralysé; le membr
rès son début : le membre inférieur est complète- ment paralysé; le
membre
supérieur est très affaibli; les muscles du côt
très affaibli; les muscles du côté gauche, particulièrement ceux du
membre
inférieur, sont atrophiés ; au point de vue éle
brale, le malade était sujet à des crises pendant lesquelles les
membres
se raidissaient et à la suite desquelles les memb
lesquelles les membres se raidissaient et à la suite desquelles les
membres
supérieurs et inférieurs gauches restaient cont
t d'un certain temps, l'état s'améliora de nouveau; la paralysie du
membre
supérieur finit par disparaître; le membre infé
nouveau; la paralysie du membre supérieur finit par disparaître; le
membre
inférieur gauche resta seul paralysé , et M. Fé
prit son observation, et voici quel était. alors l'étatdeR... : le
membre
supérieur gauche est absolument flasque; aucun
ue; aucun mouvement n'est possible de ce côté; il en est de même du
membre
inférieur gauche, et lorsque le malade progress
e le malade progresse au moyen de béquilles, il traîne après lui ce
membre
comme un corps inerte qui balaye le sol; il se
rt d'habitude du pilon que M. Féréol a fait construire pour lui; le
membre
inférieur droit parait un peu affaibli, le memb
uire pour lui; le membre inférieur droit parait un peu affaibli, le
membre
supérieur droit se meut normalement; - rien au
, il est pris de douleurs vives dans la tête et dans le rachis, ses
membres
se raidissent, se contracturent, t, puis le côt
s jours après l'attaque; le malade reste aussi contrac- ture de ses
membres
pendant plusieurs jours et parfois sa langue es
t absolument normale en ce qui concerne la motilité. La motilité du
membre
supérieur est très affaiblie; le malade peut fa
ses doigts quelques mouvements, mais ceux-ci sont très limités. Le
membre
inférieur est complète- ment paralysé dans tous
VEUSE. un cerceau d'acier; lorsque le malade marche, il avance le
membre
inférieur droit en prenant un point d'appui sur l
un point d'appui sur le sol au moyen de son pilon, et il avance le
membre
inférieur gauche en inclinant son tronc à droit
nclinant son tronc à droite et en avant et en proje- tant ainsi son
membre
sous l'influence de la pesanteur ; lorsque le m
n et qu'il cherche à marcher avec des béquille ? , pour avancer son
membre
inférieur gauche, il incline son tronc en avant
eur gauche, il incline son tronc en avant, et il entraine ainsi son
membre
, le pied étant tourné en dehors et balayant le
i son membre, le pied étant tourné en dehors et balayant le sol. Le
membre
inférieur gauche est notablement plus grêle que
domi- DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 163 nance de la paralysie dans le
membre
inférieur, et la diminution des réflexes tendin
que. Nous ferons encore remarquer que l'aspect de la paralysie du
membre
inférieur présente exactement les carac- tères
ce d'une lésion organique du cerveau,'on voit que, pour porter le
membre
inférieur paralysé en avant, cette personne inc
ne marche pas de cette façon, elle traîne lourdement (she drags) le
membre
' Todd. Lect. on diseases of Nel'V01tS System.
effet, limitée au côté paralysé, elle prédomine de beaucoup dans le
membre
inférieur, dans lequel la paralysie est le plus
vec une hémiplégie gauche, la face étant indemne. La para- lysie du
membre
inférieur disparaît rapidement. Il persiste seu
loppe une nouvelle para- lysie gauche, analogue à la précédente; le
membre
inférieur est très peu atteint, la face est ind
; le membre inférieur est très peu atteint, la face est indemne; le
membre
supérieur gauche est complètement paralysé ; en
a été impossible de se lever. Au bout de ce temps, la faiblesse du
membre
inférieur s'était très atténuée si bien qu'il p
urner chez lui. A ce momentvoici dans quel état il se trouvait : le
membre
supérieur était complètement paralysé; il lui é
paralysé; il lui était imposible de faire le moindre mouvement. Le
membre
inférieur était simplement affaibli. 11 n'y ava
e fermer l'oeil gauche. La sensibilité était complètement abolie au
membre
supérieur; au membre infé- rieur et à la face e
e. La sensibilité était complètement abolie au membre supérieur; au
membre
infé- rieur et à la face elle était simplement
encore quinze jours environ. A ce moment. le malade remarqua que le
membre
supérieur gauche devenait raide, les doigts com
is les mouvements spontanés qui jusqu'alors avaient été abolis au
membre
supérieur, reparurent; la sensibilité reparut de
lui, il lui fut possible de se lever, de- marcher, mais pourtant le
membre
inférieur gauche était, dit-il, manifestement plu
e, mais la vue lui paraissait plus trouble à gauche qu'à droite. Le
membre
supérieur était complète- tement paralysé : les
oué d'une excellente mémoire et d'une intelligence assez vive. Le
membre
supérieur gauche est complètement paralysé comm
é comme le jour de l'accident, et cette paralysie est flasque. Le
membre
inférieur gauche est un peu affaibli. La face est
ture, à la douleur, et le sens musculaire sont absolument abolis au
membre
supérieur gauche. Au membre inférieur gauche, l
musculaire sont absolument abolis au membre supérieur gauche. Au
membre
inférieur gauche, la sensibilité est affaiblie. A
té paralysé. - Les réflexes tendineux sont conservés. 5 février. Le
membre
supérieur gauche, qui était flasque au début, d
DE l'atrophie musculaire. 167 10. - La raideur s'est accentuée; le
membre
est contrac- turé, les ongles des doigts s'enfo
la paume de la main une pelote de ouate. 15. - On s'aperçoit que le
membre
supérieur gauche est beaucoup plus grêle que le
tel mars. Les douleurs ont disparu. 15. - On remarque que l'état du
membre
supérieur se mo- difie, la contracture est moin
deux jours est survenue une modification importante dans l'état du
membre
supérieur; quelques mouve- ments des doigts trè
ont toujours absolument impossibles. On examine aussi ce jour-là le
membre
inférieur gauche, il ne présente plus rien d'an
al, il est aussi fort que celui du côté opposé. La sensibilité du
membre
supérieur sauf aux doigts est tou- jours complè
tou- jours complètement abolie ; il en est de même à la face, au
membre
inférieur elle est simplement émoussée. Les sen
lade demande à sortir, et voici dans quel. état il se trouve : . le
membre
supérieur gauche n'est plus para- 168 CLINIQUE
outenir ; car, la localisation pres- que absolue de la paralysie au
membre
supérieur n'est guère conciliable avec les donn
être aussi de nature hys- térique. L'amyotrophie étant limitée au
membre
paralysé, ayant débuté peu de temps après le co
héréditaires, soit per- sonnels. A la suite d'un traumatisme sur le
membre
supérieur gauche, ayant, selon toute vraisembla
nte-cinq jours. Lorsqu'on lui enlève l'appareil, on constate que le
membre
supérieur est contrac- turé. Le malade est exam
rès l'accident; la contracture persiste toujours, les mouvements du
membre
supérieur sont presque complètement abolis. Il
de dyspnée, de nature hystérique. Il existe une amyotrophie dans le
membre
paralysé. A la suite d'une séance de massage de
mou- vement n'était possible, il n'y avait aucune raideur dans le
membre
. A Saint-Antoine, on lui a mis pendant quinze j
es sont très limités, pour ainsi dire nuls, dans toute l'étendue du
membre
. Les mouvements passifs ne sont guère plus éten
au froid est abolie ou du moins amoindrie dans toute la hauteur du
membre
, sauf à la face palmaire des doigts et dans un
ui fait; il ignore la position qu'occu- pent les divers segments du
membre
. Il n'en est, pas de même des doigts dont la se
HIE MUSCULAIRE. 175 176 CLINIQUE NERVEUSE. Les divers segments du
membre
sont manifestement atrophiés. DE L'ATROPHIE M
inutes a suffi pour ramener en grande partie les mouvements dans un
membre
qui, depuis plus de deux mois, était complèteme
ois, était complètement paralysé. II existe une amyotrophie dans le
membre
paralysé qui doit être de toute évidence rattac
les premiers jours, il y avait en même temps, un affaiblissement du
membre
supérieur gauche et dps membres inférieurs, mai
même temps, un affaiblissement du membre supérieur gauche et dps
membres
inférieurs, mais ces phénomènes ne furent que t
bolition absolue de la sen- sibilité sous toutes ses formes dans le
membre
supérieur droit. Diminution de la sensibilité d
diplopie monoculaire. Anesthésie du pharynx. Amyotrophie légère du
membre
para- lysé, simple au point de vue des réaction
e M. Charcot, à la Salpètrière. Antécédents héréditaires. Aucun des
membres
de sa famille qu'il connaît (père, mère, trois
ênée, il était très oppressé, il lui semblait en même temps que son
membre
su- périeur droit, était absentet il avait en p
laviculaire et une partie de la face; la sensibilité à la piqûre du
membre
supérieur était complètement abolie, mais le ma-
abolie, mais le ma- lade éprouva des douleurs lorsqu'on fit sur son
membre
des tractions assez fortes pour voir s'il y ava
rtes pour voir s'il y avait fracture ou luxa- tion ; la motilité du
membre
supérieur était, comme au début, abolie; les do
iers jours, le malade se sentait un peu étourdi; en même temps, les
membres
inférieurs étaient assez affaiblis. Le malade e
le huitième jour, mais il lui fut impossible de se tenir debout; le
membre
supérieur gauche était aussi affaibli, et le ma
NIQUE NERVEUSE. Le malade au bout de treize jours peutse lever, son
membre
supérieur gauche avait recouvré sa force ; le m
tse lever, son membre supérieur gauche avait recouvré sa force ; le
membre
supérieur droit seul restait paralysé et d'aprè
, mais paraissant d'une intelligence au-dessous de la moyenne. Le
membre
supérieur droit pend flasque et inerte le long du
es réflexes tendineux du coude et du poignet sont con- servés. Le
membre
supérieur droit est un peu violacé et il est plus
tel-Dieu. - Son état général est toujours très bon. La paralysie du
membre
supérieur droit est complète et flasque. Les mo
ire est aboli. Les réflexes tendineux sont affaiblis à droite. Le
membre
supérieur droit est plus froid que le gauche. L
L'amyotrophie hystérique envahit-elle en masse tous les muscles des
membres
paralysés ou se localise-t-elle particulièremen
ce que nous constatons. Dans l'Observation I, tous les muscles du
membre
supérieur gauche paralysé depuis l'épaule jusqu
'avant-bras; mais si on envisage en par- ticulier chaque segment du
membre
, on ne note pas de prédominance dans une région
s une région quelconque. Dans l'Observation II, tous les muscles du
membre
supérieur gauche paralysé sont atrophiés, mais
ans l'Observation III, il est dit, en ce qui concerne l'atrophie du
membre
supérieur gauche, qu'elle ne 188 clinique NERVE
Ces observa- - tions semblent donc montrer que l'atrophie dans un
membre
paralysé peut prédominer dans tel ou tel seg- m
s un membre paralysé peut prédominer dans tel ou tel seg- ment du
membre
, mais que dans chaque segment, cette atrophie s
nne, par exemple, dans laquelle un muscle ou plusieurs muscles d'un
membre
peuvent avoir subi une notable diminution de vo
du bras avait déjà augmenté d'un centimètre, et un mois après le
membre
atteint avait recouvré presque son volume norma
rvation 111, depuis le mois de février jusqu'au mois de juillet, le
membre
inférieur gauche est resté complètement paralys
téressante de monoplégie hystérique, avec atrophie consécutive du
membre
, survenue chez un enfant de treize ans'. La mon
iode de croissance du squelette, avait retenti jusque sur les os du
membre
paralysé, en produisant non pas une atrophie, l
e, le 5 novembre 1884, en se plaignant de la perte du mouvement des
membres
supérieurs et inférieurs. Quant aux antécédents
un peu la plante des pieds. Il est en état de faire la flexion du
membre
supérieur droit. Les membres supérieurs ainsi q
Il est en état de faire la flexion du membre supérieur droit. Les
membres
supérieurs ainsi que les inférieurs sont tout à f
ette, n'avait jamais été troublée depuis le début des accidents. Le
membre
supérieur droit était le siège d'une paralysie av
tives qu'on faisait pour obtenir l'extension des divers segments du
membre
ne servaient qu'à provoquer de vives douleurs e
tous ses modes; il n'existait pas d'atrophie musculaire. Les autres
membres
, le tronc et la face ne présentaient rien d'ano
sommeil complet, avec analgésie et flaccidité ab- solue des quatre
membres
. Je lui enjoins alors, d'une voix forte, d'éten
s de manifestations fébriles et en même temps d'affaiblissement des
membres
inférieurs ; puis rapidement surviennent : une
membres inférieurs ; puis rapidement surviennent : une parésie des
membres
supérieurs, des troubles de la sensibilité dans
e de paralysie complète et de reaction dégénérative, l'ataxie des
membres
supérieurs quand on obstrue les yeux du patient.
; atrophie irrégulièrement disséminée des mus- cles du tronc et des
membres
supérieurs ou inférieurs. Asymétrie faciale tém
, et insistait sur la diversité des origines sociales de chacun des
membres
envisagés. Le petit mémoire de M. Ber- nhardt,
te, avec celte particularité que l'affection réside surtout sur les
membres
inférieurs et que les muscles de la motilité vo
ans la réaction des pu- pilles ; presque en même temps, parésie des
membres
supérieurs et inférieurs (impossibilité de marc
résie des muscles de la nuque, ataxie et affaiblissement des quatre
membres
, signe de Romberg, disparition des réflexes ten
sensibilité et d'atro- phie dégénéiative partielle des muscles des
membres
inférieurs; absence de phénomènes tendineux; dé
iges, des vomissements, de l'apathie, de la faiblesse accentuée des
membres
inférieurs, des convulsions généralisées l'empê
1° que l'on ne peut obtenir un relâchement parfait des muscles des
membres
inférieurs que lorsqu'ils pendent librement, ce
lexes cutanés; parésie vésico-rectale; les muscles et les nerfs des
membres
ne réagissent plus sous l'influence des deux espè
e paresthésie, fut bientôt suivie de para- lysie complète des mêmes
membres
avec anesthésie et troubles vasomoteurs; sur ce
dans les extrémités supérieures, de la paralysie spasmodique des
membres
inférieurs, sans atrophie ni perturbation de la
rurent maladroits; l'enfant ne présentait pas cette allure vive des
membres
caractéristique de l'état normal; quand on voul
ité mentale, mais intégrité de la mé- moire. La famille compte cinq
membres
atteints de la même forme morbide, ayant exacte
faire des acquisitions inutiles se retrouve souvent chez plusieurs
membres
de la même famille. J'ai encore dans mon petvic
un quart d'heure après l'ingestion médicamenteuse elle sentait ses
membres
lourds, puis c'etait le tour de sa tête : il lu
e légère timbale lui paraissait lourde comme un broc en zinc et les
membres
eux-mêmes avant acquis la pesanteur du plomb; b
berculose chez les aliénés. M. t''ALK fait la notion suivante : Les
membres
de la société sont invités à fournir un rapport
ût, sous la présidence de M. le Dr Bourneville, député de la Seine,
membre
de la com- mission de surveillance des asiles d
sse dans les bras et dans la jambe gauches, et, le 30 décembre, ces
membres
étaient tout à fait paralysés. Le 2 janvier, on
e oculaire roule en bas. Un tremblement des jambes; les muscles des
membres
inférieurs sont relâchés ; les réflexes de la p
outes les articulations et la moindre tentative de redresser un des
membres
provoquait une nouvelle attaque. Dans l'espace
la peau ; le malade ne peut plus se représenter la position de ses
membres
au point QUELQUES CAS D'HYS1`ERIE DANS LES TROU
ve plus son nez, ni son autre bras, etc. 11 en est de même pour les
membres
inférieurs. Néanmoins, il marche facilement , s
le faire marcher un peu; mais les jambes tremblent; les muscles des
membres
inférieurs sont à l'état de rigidité, les genou
orme d'hémi- plégie (cas 6); le 5e malade avait une paralysie des
membres
inférieurs et du bras droit; cinq malades étaie
. 8. Les convulsions sous la forme de tiraillements de différents
membres
, de tressaillements de tout le corps, de trembl
ésions organiques de la moelle épi- nière, lorsque la paralysie des
membres
inférieurs est compliquée d'une rétention d'uri
ais les malades à faire des mouvements actifs et passifs avec les
membres
paralysés, je les faisais promener en les soute
e lente à venir et comme traînée. L'habitus général du tronc et des
membres
est assez remar- quable. Outre le défaut de tai
ssement de la température centrale. Le ventre est volumineux. Les
membres
sont gros, courts, empâtés, et la peau y présente
uche offre un état analogue, bien qu'à un degré moins marqué. Aux
membres
inférieurs, la bouffissure est surtout prononcée
mbes et aux pieds dont la peau est plus ou moins cyanosée. Les deux
membres
sont de longueur égale. La voûte plantaire est
82). IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 301 Sur le tronc et les
membres
, la peau est absolument glabre, même aux aissel
ore sur le cuir che-' velu. Cette desquamation, surtout marquée aux
membres
, au tronc et à la face, était furfuracée. Elle
a grosseur des diverses parties du corps, de la fête, du tronc, des
membres
, n'était démesurément exagérée. La tête, en effet
ffet, est volumineuse, le col est court, le tronc est trapu, et les
membres
sont fort gros. - Le crâne n'est pas sensibleme
de l'enfant, et nous constatâmes le même état de la peau sur les
membres
supérieurs et inférieurs, à l'abdomen et aux rein
le ne sait pas diriger son regard, ne peut tenir la tête, remue les
membres
, mais sans les diriger, ne peut se tenir debout
iminué. Ce ne fut que plus tard qu'elle remarqua l'empâtement des
membres
inférieurs, qu'elle rapportait d'ailleurs à la ca
e bien marquée. Les tibias sont courbés. Les épiphyses des os des
membres
inférieurs sont quelque peu hypertrophiées, agran
thorax : IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 345 Dimensions des
membres
: 346 CLINIQUE NERVEUSE. de la Société d'anth
res et des ailes du nez. L'abdomen était volumineux et flasque; les
membres
étaient grêles, la peau était lâche ; aucune fo
abondant. - 4° La peau des diverses parties du corps (tête, tronc,
membres
, scrotum), est normale, sauf un fort pannicule
femme n'aplusété un instant bien portante. Le corps est gonflé, les
membres
sont anesthésiés, elle a toujours froid; périod
gr. en août 1882; quelques mois après, lour- deur et froid dans les
membres
; pâleur et idéation ralenties, visage infiltré,
B... prétend qu'elle veut débarrasser son mari et la société d'un
membre
inutile, puisqu'elle est assez dénaturée pour ne
ujours le même caractère; elles commençaient habituellement dans le
membre
inférieur droit; d'autres fois dans les deux me
llement dans le membre inférieur droit; d'autres fois dans les deux
membres
droits simultanément. Voici un exemple de la pr
s simultanément. Voici un exemple de la première catégorie : « Le
membre
inférieur droit était étendu toniquement, et puis
toniquement, et puis il devenait le siège d'un spasme clonique. Le
membre
supérieur droit était alors lentement étendu à
et les doigts fléchis; les doigts s'étendaient ensuite; et tout le
membre
était pris de spasmes cloniques de flexion et d'e
coude se fléchissant graduellement. Un moment, les spasmes dans le
membre
inférieur cessaient; mais ceux du membre supéri
ent, les spasmes dans le membre inférieur cessaient; mais ceux du
membre
supérieur continuaient avec vigueur; le spasme af
e, les différentes parties étaient prises dans l'ordre suivant : le
membre
inférieur, le membre supérieur, la face et le c
rties étaient prises dans l'ordre suivant : le membre inférieur, le
membre
supérieur, la face et le cou; le caractère des
ère attaque, mais il pouvait accomplir tous les mouvements dans les
membres
droits, quoiqu'avec moitié moins de force que R
es réflexes superficiels et profonds étaient exagérés dans les deux
membres
droits. Opération (25 mai 1886). - Suivant la m
sse cérébrale on a dû lier trois grosses veines venant du centre du
membre
supérieur, parce qu'elles traversaient directe-
pération, le malade fut d'abord complètement paralysé des doigts du
membre
supérieur droit; de plus, il y avait une grande
it connaissance. La main et les yeux étaient tournés à gauche et le
membre
inférieur gauche était élevé. Le membre inférie
ient tournés à gauche et le membre inférieur gauche était élevé. Le
membre
inférieur droit était ensuite pris, et enfin le
it élevé. Le membre inférieur droit était ensuite pris, et enfin le
membre
supérieur droit. La paralysie du membre supérie
t ensuite pris, et enfin le membre supérieur droit. La paralysie du
membre
supérieur gauche succédait sou- vent à l'attaqu
a main droite à 85. Il pouvait exécuter tous les mouvements avec.le
membre
supérieur gauche; ceux de la main étaient un pe
s le pouce gauche. Les réflexes profonds étaient exa- gérés dans le
membre
supérieur gauche. Le malade avait souvent des m
la tumeur venant de la région de l'écorce pour les mou- vements du
membre
supérieur. La plaie fut refermée comme ci-dessu
ice par- tiellede la face du côté gauche, une paralysie complète du
membre
supérieur gauche depuis et y compris l'épaule.
droite, et il y avait une perte complète du sens musculaire dans le
membre
supérieur gauche, au-dessous de l'épaule. Le seco
cond jour après l'opération, en faisant un effort pour remuer son
membre
supérieur gauche, le malade a mis tout d'un coup
re et a dit qu'il sentait un « bourdonnement ». Quand on remuait le
membre
supérieur gauche, il se plaignait que la douleu
eur gauche, il se plaignait que la douleur semblait frapper l'os du
membre
, le côté du cou, et s'étendre de la main à la b
éflexes profonds étaient très exagérés du côté gauche dans les deux
membres
. Cet état s'améliora et, à l'époque de la réuni
t étendu par secousses, et le malade perdait connaissance. Tous les
membres
étaient pris dans la flexion généralement; les
. Tous les membres étaient pris dans la flexion généralement; les
membres
inférieurs, cependant, sont quelquefois fléchis.
après l'opération, le malade se plaignait de faiblesse dans tout le
membre
inférieur droit. Tous les mouvements étaient atte
bras ou de la jambe avec épilepsie corticale. Dans les deux cas le
membre
atteint présentait de la tension mus- culaire e
, ainsi que la faculté de percevoir la situation et la position des
membres
affec- tés ; parfois il se produisait des accès
affec- tés ; parfois il se produisait des accès convulsifs dans le
membre
atteint sans autres troubles de la motilité, L'
peau du crâne et des oreilles bleuâtre, à la partie postérieure des
membres
et du corps des sugillations cada- vériques dif
1875 . PAR BOURNEVILLE Ancien interne des hôpitaux de Paris,
Membre
de la Société dé biologie et de la Société anatom
i-, ture qui écrasait un enfant (syncope immédiate, faiblesse des
membres
inférieurs pendant 4 ou 5 jours). Déjà, quelques
ue la malade rit ou parle. - L'attitude de la tète est naturelle.
Membres
supérieurs, tronc, etc. - Les doigts de la main g
, les deux moitiés du tronc, les seins, ont les mêmes dimensions.
Membres
inférieurs. Les cuisses et les jambes ne présen-
les globes oculaires et la face se dirigent vers la droite. - Le
membre
supérieur gauche, fléchi à angle droit et reposan
de la main, le pouce étant recouvert par les autres doigts. - Le
membre
supérieur droit est aussi très-rigide, mais allon
sont fléchis, le pouce à côté des autres. - Dans cette phase, les
membres
inférieurs, qui étaient fléchis, s'étendent dans
multanément, secousses cloniques, d'une intensité modérée, dans les
membres
inférieurs, surtout le droit ,, Enfin stertor,
tracées avec l'ongle sur le ventre, restent longtemps rouges. Les
membres
sont dans la résolution la plus complète. Le ch
ure, la malade a maintenu le bras gauche élevé au-dessus du lit; ce
membre
, en général, retombe moins lourdement que le dr
t que le droit, qui est absolument flasque. Lors- qu'on soulève les
membres
inférieurs, ils retombent inertes, mais le gauc
égal d'ailleurs des deux côtés. La piqûre, rapidement répétée, des
membres
supérieurs et inférieurs produit des grimaces a
s à autre, on note quelques petits mouvements convulsifs dans les
membres
. Nulle trace de contracture. P. 132 ; R. titi; T.
- les garde-robes étaient supprimées; les urines involontaires. Les
membres
étaient dans la résolution la plus complète. Le
manière régulière ; la motilité reparaît t . relativement dans les
membres
du côté gauche. Cette amé- lioration permet de
es du côté gauche. Cette amé- lioration permet de constater que les
membres
du côté droit sont paralysés ainsi que la moiti
s par la perte de connais- sance, par des convulsions cloniques des
membres
, par une anesthésie cutanée incomplète, altérat
iques de- puis son enfance; pas d'autres symptômes nerveux. Aucun
membre
de sa famille n'aurait de paralysies, d'infirmité
céleste). J'ai exposé, dans la séance précédente, sous les yeux des
membres
de la Société, un tube contenant une dizaine de
rte, est fortement tirée à droite, contor- sionnée. La rigidité des
membres
, qui sont allongés, est très- accusée à droite,
es yeux se portent à gauche et alors la rigidité prédomine dans les
membres
de ce côté. Enfin, la face se congestionne et l
encore quelques instants avant qu'elle ne perde connais- sance. Les
membres
sont douloureux : « on dirait qu'on les tire. »
n, elle perd con- naissance. La tôle se place dans l'extension, les
membres
se raidissent et sont pris ensuite de convulsio
et cela sans peine. Elle se plaignait d'un engourdissement dans le
membre
supérieur gauche qu'elle était obligé de souten
nt l'interrogation, elle devient tout à coup immobile, hébétée; les
membres
supérieurs sont envahis par des secousses ; la
jusqu'à l'épaule. Elle a ensuite ressenti des picotements dans les
membres
et surtout dans les doigts. Le soir, au lit, elle
omme, à la tête, au cou, à la partie supérieure du tronc et sur les
membres
supérieurs, mérite qu'on s'y arrête : La peau d
on voit se produire. : 1° une . rigidité générale, qui fait que les
membres
se placent crans''1 l'extension (chats, lapins)
ne, hémianesthésie droites. ? Coaatracticre 2assa,ère du fJaf «`7 -
membre
intérieur droit. - Arrêt des attaques par la comp
de demi connaissance, avait les yeux convulsés, de la rigidité des
membres
et faisait des mouve- ments de lappement et de
débattait pas beaucoup, qu'elle avait des « four- miches » dans les
membres
et des sifflements dans la tête, dans les tempe
hargie pendant 3 jours et 3 nuits. » Elle ne se rappelle pas si ses
membres
et son corps étaient rigides, mais elle était c
tre jours ; puis, tout d'un coup, elle tombe et jette des cris. Ses
membres
se contracturent avec une force effrayante, les
int que les doigts vont toucher le bord radial de l'avant-bras. Ses
membres
inférieurs sont aussi for- tement fléchis, le g
ux se tournent à droite et en haut ; la tête se porte à droite. Les
membres
sont pris de convulsions. Les jambes sont tantô
se, tantôt allongées; de temps en temps, elle élève l'un ou l'autre
membre
inférieur qu'elle fléchit sur le tronc et rappr
éprouve encore des douleurs dans le ventre. Bientôt, en effet, les
membres
se roidissent de nouveau, les jambes sont prise
ace est cyanosée ; le corps tend à rouler de gauche à droite. Les
membres
supérieurs sont dans l'extension forcée, les av
ont fermés, excepté les index et les médius, qui sont allongés; les
membres
infé- rieurs sont étendus,' les orteils fléchis
tarse ; les cuisses sont croisées; les diffé- rents segments de ces
membres
sont fixés dans leur position; c'est à peine s'
sorte que son extrémité arrive entre le médius et l'annulaire. Les
membres
inférieurs sont l'Il (1) Dans son livre sur Lou
corps ne porte plus que sur la nuque et les talons. Les muscles des
membres
et du tronc ne sont le siège d'aucune convulsio
ractérisée que par la moindre intensité de la courbure dorsale. Les
membres
restent tou- jours contracturés au môme degré.
. T.R. 37",3. Ce matin on trouve la malade avec une contracture des
membres
du côté droit, des muscles de la face à droite,
des muscles de la face à droite, et de la langue. Contracture des
membres
(Forme hémiplégique) . Le membre supérieur est
et de la langue. Contracture des membres (Forme hémiplégique) . Le
membre
supérieur est dans l'extension, le bras fixé le
t dans la pronation, le pouce entre le médius et l'annulaire ; - le
membre
inférieur est aussi dans l'extension forcée; en
gts sont fermés, le pouce appli- qué contre la paume de la main. Le
membre
inférieur gauche s'étend, passe au-dessus du dr
de son lit si on ne la soutenait. Pas de convulsions cloniques des
membres
. Enfin, après un ron- flement stertoreux qui du
.rendu au bras gauche la liberté de ses mouvements. Ce soir, les
membres
du côté droit sont toujours contrac- tures ; ce
te sur toute la moitié gauche du corps, aussi bien à la face qu'aux
membres
. L... a vomi son bouillon et son vin aussitôt a
roite, face déviée à droite, tète inclinée sur l'épaule droite). Le
membre
supérieur droit est fléchi et HYSTÉRO-ÉPILEPSIE
n du bras avec extension et pronation forcées de l'avant-bras. Le
membre
supérieur gauche, fixé dans sa position, est reto
de telle façon que la main est appliquée sur l'épine dorsale. Le
membre
inférieur droit reste dans l'extension. Le gauche
respiration est accélérée et il y a des convulsions clo- niques du
membre
supérieur droit. Les membres du côté gauche con
t il y a des convulsions clo- niques du membre supérieur droit. Les
membres
du côté gauche conservent leur attitude. Durant
ade se plaint d'étoufl'ements, de douleurs dans la tète et dans les
membres
; elle dit ne plus savoir ce qu'est devenu son
'membres ; mais, après une nouvelle crise, la contracture cesse au
membre
supérieur gauche, et l'usage de ce membre repar
, la contracture cesse au membre supérieur gauche, et l'usage de ce
membre
reparait... Soir. - Le bras et la jambe gauch
nt pas changé. L'odorat est conservé à gauche (tabac). 4 mars. Le
membre
inférieur gauche est anesthésié, rigide et dans
ns lesquelles le bras gauche s'est encore porté derrière le dos. Le
membre
inférieur gauche est rigide au niveau du ge- no
dos. Le membre inférieur gauche est rigide au niveau du ge- nou. Le
membre
supérieur correspondant est libre, mais on y ob
libre, mais on y observe toujours des soubresauts des tendons. Les
membres
du côté droit, la face, la langue, etc., sont d
la face, la langue, etc., sont dans le même état. ZD Soir. - Les
membres
supérieurs sont agités de secousses presque inc
de fourmillements; i la main ne peut saisir les petits objets. Les
membres
in- férieurs, où il n'y a pas de secousses, n'o
bras gauche appuyé sur la colonne vertébrale. La malade soulève le
membre
inférieur gauche. Le pied est normal quant à se
d dans l'extension prennent ensuite les positions suivantes : . .
Membre
supérieur droit. L'avant-bras est fléchi, sur le
, ou bien encore la -main droite va se poser sur l'épaule gauche.
Membre
supérieur gauche. - Il offre les mêmes convulsion
e dos où, comme nous l'avons vu, il peut rester plusieurs heures.
Membre
inférieur droit. Rigide et dans l'extension à l'o
i- gine, il devient bientôt perpendiculaire au tronc; parfois, le
membre
inférieur gauche le croise au niveau du jarret.
arfois, le membre inférieur gauche le croise au niveau du jarret.
Membre
inférieur gauche. - Il est fléchi fortement sur l
face. Nous devons déclarer que ces attitudes varient pour chaque
membre
qui prend celle qu'avait l'autre quelques instant
mordent quelque chose. Nouvello période convulsive. Contorsions des
membres
; grimaces hideuses ; face vultueuse ; bouche t
, du larynx (aphonie), du col de la vessie (rétention d'urine), des
membres
(contractures va- riées, erz(cilie;7e)it). Tout
(17 juin) (1). - Motilité. Paralysie com- plète avec flaccidité du
membre
supérieur gauche. Le mem- bre inférieur du même
L'anesthésie palmaire et plan- taire est complète; l'excitation des
membres
ne provoque au- cune action réflexe. Muqueuse
nt nulle à gauche ; mais adroite, on note une analgésie complète du
membre
inférieur droit. Tout le côté correspondant est
ne peut plus se mettre dans l'extension. A gauche, la flaccidité du
membre
supérieur et la rigidité du membre inférieur so
sion. A gauche, la flaccidité du membre supérieur et la rigidité du
membre
inférieur sont les mêmes qu'auparavant. - La ve
té identiques à celles que nous avons signa- lées précédemment. Les
membres
du côté droit ont pris part à ces accidents d'u
er septembre, à la suite de laquelle la paralysie s'est étendue aux
membres
du côté droit. Aujourd'hui, la contrac- tilité
in sur la plante du pied, préalablement fléchi, et qu'on soulève le
membre
infé- rieur en exerçant une certaine pression s
certaine pression sur le pied, on voit au bout d'un instant tout le
membre
entrer en convulsion et s'agiter avec violence.
t et lui faisant croire à la plénitude de sa vessie. ' 7 mars. Le
membre
supérieur gauche est dans un état de flac- cidi
du côté droit, mais la faradisation'ne produit aucune sensation. Le
membre
infé- rieur gauche est dans la rigidité la plus
rs. La malade a eu hier une attaque très-intense. De- puis lors, le
membre
supérieur gauche qui, jusque-là, était flas- qu
venu contracture. (Fig. 6). \6mai. La contracture persiste dans les
membres
du côté gauche. L'avant-bras est fléchi sur le
tives pour l'étendre produisent une trémulation convulsive. - Le
membre
inférieur est très-rigide, dans l'extension ; le
rougeurs de la face, d'un léger accroissement de la contracture du
membre
du côté gauche, sans convulsions proprement dit
s jours, elle se plaignait de fourmillements et de douleurs dans le
membre
supérieur droit. Pendant cette série d'attaques
t toujours obligé de sonder la malade. 17 avril. La contracture des
membres
du côté gauche et la paralysie avec flaccidité
ture des membres du côté gauche et la paralysie avec flaccidité des
membres
du côté droit persistent, Depuis plusieurs jour
douleurs, le 1301 R\E VItLfi. 11 162 Ii1 STi : RO-EPILN.PSI1;.
membre
supérieur droit est devenu rigide ; le bras est a
g- menté progressivement et est devenue complète le 23 avril. Les
membres
inférieurs sont contractures et dans l'extension.
- Urines rares. 25 avril. Attaque qui ne modifie en rien l'état des
membres
. C'est à partir de cette date que les accidents
100 T. lt. : 37, ? 28 aoilt. Persistance de la contracture dans les
membres
su- périeurs et inférieurs. Hyperesthésie ovari
sous l'influence de laquelle on remarque une résolution complète du
membre
supérieur droit et incomplète du membre supérie
une résolution complète du membre supérieur droit et incomplète du
membre
supérieur gauche. Les deux mem- bres inférieurs
atin, il est un peu mouillé. Les vomissements sont les mêmes. - Les
membres
inférieurs sont redevenus rigides; la contractu
mais elle est encore incapable de porter un vase à sa bouche. - Le
membre
inférieur droit a récupéré quelques mouvements.
est le même. Il octobre. Etch... est réveillée et parle un peu. Le
membre
supérieur droit est dans la même position ; de
buvaient leurs urines, etc. in HYSTLlRO-ÉPILEPSIE. 4 novembre. Le
membre
supérieur gauche commence à se contracturer de
... se plaint, depuis plusieurs jours, de souffrances vives dans le
membre
supérieur droit qui est dé- cidément contractur
l'attaque d'hier, la malade se sert de la main droite et. mange. Le
membre
inférieur droit est libre. Le membre inférieur
la main droite et. mange. Le membre inférieur droit est libre. Le
membre
inférieur gauche qui, jusqu'ici, était contractur
n demeurant pa- ralysé. Il ne reste donc plus qu'une contracture du
membre
supérieur gauche. - Le vaste externe du côté ga
donné des fibres musculaires parfaitement saines. 14 décembre. Le
membre
supérieur gauche est redevenu le siége de doule
signalée et qui se remarque aussi dans la jambe correspondante. Le
membre
inférieur est flasque et ne peut être soulevé.-
; il s'écoule par la sonde 500 gr.d'urine. 1872 (1). 23 janvier. Le
membre
inférieur gauche est repris de rigidité. - Exas
mâchoires qui s'oppose à l'allongement de la langue. 2 mars. Les
membres
du côté droit sont libres. Analgésie de la moit
uatre jours, les urines sont beaucoup plus abondantes. J mars. Le
membre
supérieur droit est agité, dans les mouvements,
quatre ou cinq per- sonnes sont nécessaires pour la maintenir. Les
membres
du côté droit, seuls, exécutent des mouvements
t pas il vaincre; ceux du côté gauche sont à peu près immobiles. Le
membre
supérieur gauche est toujours fixé dans la même
gauches; 2° de bruits pharyngiens; 3° de petites secousses dans les
membres
du côté droit. A d'autres moments, l'embarras d
riennes sont douloureuses; le ventre est médiocrement ballonné. Les
membres
du côté gauche sont daus la même situation qu'a
en pronation; la main et les doigts sont dans la flexion forcée. Le
membre
inférieur droit est rigide dans l'ex- tension.
is hier, agitation extrême, engourdissements et tremblement dans le
membre
supérieur droit; augmenta- tion de l'hyperesthé
e période d'exci- tation assez courte, on obtient la résolution des
membres
du côté droit (non paralysé) : puis, l'inhalati
ement frais et moites. Pas de différence bien appréciable entre les
membres
supérieurs. La température prise au-dessus du g
le com- pare à une gouttelette d'eau qui remonterait au milieu du
membre
, puis une douleur à la région précordiale et des
re, elle re- couvre la voix haute. La contracture persiste dans les
membres
du côté gauche. - ? 1873. Dans le courant de
ôté gauche. - ? 1873. Dans le courant de l'année, la contracture du
membre
inférieur gauche s'amende au point que la malad
; la malade parvient à la faire avancer jusque sur les dents. - Les
membres
du côté gauche sont toujours contracturés : ceu
ure est collée par- dessus l'arcade dentaire supérieure) et que les
membres
du côté droit étaient contractures. Cematin,
dans la demi flexion et la jambe gauche dans l'extension. Quant aux
membres
du côté droit, ils ont l'attitude suivante :
n. Quant aux membres du côté droit, ils ont l'attitude suivante :
Membre
supérieur. Le bras est accolé au tronc, l'avant-b
sont rigides; le poignet est raide; les doigts sont très-rigides.
Membre
inférieur. Il est dans l'adduction forcée. La cui
anesthésié. A droite, l'insensibilité est également absolue sur le
membre
inférieur droit et sur la moitié droite du tron
ite, il y a enfin, au niveau de la région sacrée, de la fesse et du
membre
inférieur, des douleurs spontanées, reve- nant
es ou exaspérées par les mouvements que l'on cherche à imprimer aux
membres
pour constater le degré de la rigidité. 19 ma
e trace de roideur du cou. Céphalalgie. La contracture a diminué au
membre
supé- rieur droit. Le coude est à peine roide;
a malade se sert de sa main et soulève, avec effort il est vrai, le
membre
tout entier .-La rigidité est toujours aussi in
le membre tout entier .-La rigidité est toujours aussi intense aux
membres
inférieurs et au bras gauche. L'insensibilité e
t pas encore possible. Les douleurs lancinantes dans les bras et le
membre
inférieur droits la font toujours souffrir ; ma
s du café au lait (2). Au moment de la visite, elle est debout. Les
membres
du côté droit sont ani- més d'un léger tremblem
'a aucune notion sur le mode de disparition de la con- tracture des
membres
. Ce matin, nous voyons Etch... levée ; elle s'e
d'hallucinations tout le temps qu'a duré la contracture des quatre
membres
et la contracture des mâchoires. 1.11e raconte
ne hémianesthésie du côté gauche bientôt suivie d'une paralysie des
membres
du même côté. Chez Etch..., de même que chez be
une paralysie motrice et plus tard enfin avec la con- tracture des
membres
, elle envahit, à d'autres moments, l'ovaire dro
cas, les formes revêtues par la contracture. Limitée à l'origine au
membre
supérieur gauche (forme hémipai'aplégique), ell
upérieur gauche (forme hémipai'aplégique), elle a envahi ensuite le
membre
inférieur correspondant (forme hémi- plégiqi(e)
plégiqi(e) ; plus tard, tout en persistant*à gauche, elle gagna les
membres
du côté droit (forme diplégique). Nous devons m
chez Etch... Ces signes sont les sui- vants : la main ou le pied du
membre
menacé de contrac- ture se contracturent d'une
menacé de contrac- ture se contracturent d'une façon passagère ; le
membre
lui-môme est pris par instants d'un tremblement
qui nous arrêtera plus loin (1). - f. Outre les contractures des
membres
, Etch... a été at- teinte d'une contracture du
ar jour : elle était clouée sur son lit par la contracture de ses
membres
inférieurs, et il n'est jamais arrivé qu'on ait
atigue, etc, il fut pris dit-il d'un « tremblement » subit dans les
membres
inférieurs sans VI . 1 2 NOUVELLE ICONOGRAPHI
s sont lourdes et il ne peut courir. Les divers mouvements des deux
membres
inférieurs sont du reste bien conservés en tant
eux consistant surtout en four- millements dans les pieds, dans les
membres
inférieurs avec sensations d'eau chaude ou d'ea
ec sensations d'eau chaude ou d'eau froide glissant tout le long du
membre
du haut en bas ; miction difficile ; quelquefoi
rche. Le malade en effet éprouve des lassitudes constantes dans les
membres
inférieurs, qui le forcent à s'asseoir fréquemm
particulières dans 4 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. les
membres
inférieurs que nous avons décrites ont vu leur ré
établies. Il est singulier de voir que ce sont presque toujours les
membres
infé- rieurs qui sont atteints; la myélite sera
nt nous avons trouvé quelques phénomènes d'engourdissement dans les
membres
supérieurs, dont les réflexes étaient devenus p
la chute de la paupière supérieure droite, chez un malade dont les
membres
supérieurs étaient fortement engourdis et certain
7 novembre 1892 pour des syphilides papulo-squameuses du tronc, des
membres
et de la face ; des syphilides croùteuses du cuir
ir-chevelu ; le corps est tigré par une série de macules larges aux
membres
inférieurs, grisâ- tres et bistrées sur ce tron
férieurs, grisâ- tres et bistrées sur ce tronc ; jambonnées sur les
membres
supérieurs. Quelques taches palmaires et planta
t les détacher mais avec peine du plan du lit mais la paralysie des
membres
inférieurs pour être incomplète n'en est pas'mo
té aux divers modes. Il est difficile, étant donné la faiblesse des
membres
inférieurs, de juger s'il existe le signe de Ro
membres inférieurs, de juger s'il existe le signe de Romberg. Les
membres
supérieurs participent dans une certaine mesure à
e décembre l'état général s'améliore et la para- lysie diminue. Les
membres
supérieurs recouvrent leurs mouvements ; la mar-
syphilitique produisant une paralysie flasque presque complète des
membres
inférieurs moins marquée aux membres su- périeu
e flasque presque complète des membres inférieurs moins marquée aux
membres
su- périeurs, s'imposait ici étant donnée la co
endant on pouvait encore émettre deux hypothèses : l'empâtement des
membres
inférieurs, les troubles trophiques et vaso-moteu
observation d'un malade de cet ordre chez lequel la paralysie des 4
membres
lui presque subite et devint très rapidement to
M. Charcot chez une jeune femme une paralysie presque complète des
membres
inférieurs avec troubles vé- sicaux s'accompagn
t des jambes, à la suite d'une sorte de secousse ressentie dans les
membres
inférieurs. Au dessous de la rotule droite on t
de l'onglée et la cyanose y est assez fréquente. Etat actuel. Aux
membres
supérieurs, l'omoplate a son bord spinal dis- t
gts. Il y arrive encore très bien lorsqu'elle est tenue en l'air.
Membres
supérieurs. Au niveau de l'extrémité inférieure d
leur aspect exté- rieur) (2). Mais si l'on considère, au niveau des
membres
, les muscles ou les groupes de muscles pseudo-h
à se faire facteur rural. On peut conclure de là qu'à ce moment ses
membres
inférieurs étaient encore parfaitement sains, car
s. Conservation relative des autres muscles. En ce qui concerne les
membres
supérieurs, il est survenu depuis 1889 quel- qu
le tronc, quand il est couché sur le dos. En ce qui concerne les
membres
inférieurs, le mal a fait d'assez grands pro- g
en conservant la forme hémiplé- gique et la flaccidité complète des
membres
succède à leur parésie primitive. Tout cela s'e
e, ni d'athétose. Rien à la face ni à la langue. La contracture des
membres
du côté droit ne tarde pas à s'accompagner de l
1888 qu'on constate une légère diminu- tion île la contracture des
membres
paralysés, en même temps qu'une plus grande fac
ure organique ? La contracture avait suivi la paralysie flasque des
membres
, el l'atrophie musculaire avait suivi la contract
ues à la jambe et il la face du côté droit, doulou- reuses dans les
membres
. Durée d'une minute euviron. Ni morsure de la lan
ysie organique, il n'est pas rare devoir la contracture envahir les
membres
atteints de paralysie hystérique. Mais le mode d'
tisme, d'une impres- sion morale ou même sans cause appréciable, le
membre
paralysé devient contracturé. Mais la contractu
t aussi s'établir par degrés et n'enva- hir que progressivement les
membres
paralysés. Ce second mode de début de la contra
ariables. Elles s'accompa- gnent fréquemment de convulsions dans le
membre
». - Autres analo- gies. Il y a des monoplégies
e, que si l'hystérie pou- vait copier exactement les paralysies des
membres
, elle respectait toujours la face. Cette opinio
se répartit d'une façon très régulière en occupant exclusivement le
membre
ou le segment de membre paralysé et elle se ter
très régulière en occupant exclusivement le membre ou le segment de
membre
paralysé et elle se termine par des lignes nett
s nettement circulaires qui sont perpendi- culaires au grand axe du
membre
. M. le professeur Charcot qualifie cette distri
paralysie alterne du nerf moteur ocu- laire commun d'un côté et des
membres
du côté opposé. Le syndrome de 11lillal'd-Guble
ste en une paralysie faciale totale d'un côté et une hémiplégie des
membres
du côté opposé. En sorte que le fait dominant et
térique simulateur du syndrome de Weber : hémiplégie hystérique des
membres
et faux ptosis du côté opposé. (Charcot, in op. c
er de la faradisation de la région claviculaire dans la névrite des
membres
supérieurs. Je pose les rhéophores du côté opposé
opposé à l'affection pour éviter l'excitation du plexus brachial du
membre
malade. Je compte sur le resserrement des vaiss
faite du côté opposé à la lésion ; elle facilite les mouvements du
membre
affecté et supprime le sentiment de lourdeur du b
sur LA FARADISATION THÉRAPEUTIQUE 5t les vaisseaux des nerfs des
membres
pelviens et reste sans effets dans la sciatiffu
t utile dans la sciatique, si ce sont les parties supé- rieures des
membres
pelviens et notamment les plexus lombaire et scia
jective de l'effet du cou- rant pendant la faradisation. J'élève le
membre
, je fléchis l'avant-bras et je le place sur le
pieds et les mains avec de fortes courroies, mais il re- muait ses
membres
comme s'il n'avait pas eu d'entraves. Après ces p
é à l'aide de béquilles, voient survenir des troubles trophiques du
membre
supérieur ; il faut alors savoir reconnaître po
es comme la syringomyélie, l'anesthé- sie se montre par segments de
membre
. Cette différence de distribution est une indic
sont trèsmarqués. Ce sont des douleurs fulgurantes dans les quatre
membres
, se mon- trant tout à coup pendant quelques jou
sen- sibilité à la douleur (piqûre, pincement) est abolie aux deux
membres
inférieurs. La sensibilité thermique est perver
es inférieurs. La sensibilité thermique est pervertie également aux
membres
inférieurs ; le froid est quelquefois ressenti
des mouvements de latéralité sur un arc de 45°. Dans la station, le
membre
se met en varus ou valgus. Tous ces mouvements
appréciable surviennent des douleurs fulgurantes et térébrantes des
membres
inférieurs, douleurs passagères revenant une à
VELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. L'ataxie est très marquée aux
membres
inférieurs ainsi que le signe de Romberg. Dans
e même de la sensibilité à la douleur. La notion de la position des
membres
est conservée. Les réflexes patellaires sont ab
peine à fléchir son pied droit, le talon reste élevé. Peu à peu le
membre
inférieur droit maigrit. A 7 ans le pied gauche c
salle Axenfeld, n° 21, avec une impotence il peu près complète des
membres
infé- rieurs. Dans son passé pathologique, en d
tinence d'urine et constipation. Etat du malade à son. entrée. -Les
membres
inférieurs sont presque absolu- ment impotents.
mais la sensibilité à la température est fortement diminuée sur les
membres
inférieurs et la partie inférieure du tronc.
sur les membres inférieurs et la partie inférieure du tronc. Les
membres
supérieurs sont indemnes. Pas de phénomènes céréb
ni de pâleur du visage. Pas d'opistllotonos, ni de contracture des
membres
supérieurs : mais quand on soulève les deux membr
contracture des membres supérieurs : mais quand on soulève les deux
membres
inférieurs, on sent une raideur assez marquée d
de photophobie, accélération du pouls, léger strabisme, raideur des
membres
inférieurs et surtout, attitude de l'enfant, on n
, la constipa- tion a cessé ; plus de céphalée, plus de raideur des
membres
inférieurs. L'en- fant est gaie et s'habitue à
hylmi- ques qui occupent toute la moitié supérieure du tronc et les
membres
supé- rieurs. Rien n'attire l'attention du cô
céplcalite chronique ; cépha- lée persistante, contracture des deux
membres
inférieurs el du membre su- périeur gauche; att
pha- lée persistante, contracture des deux membres inférieurs el du
membre
su- périeur gauche; attaques syncopales et conv
rres : il lui semblait, le soir, dans son lit, que son buste et ses
membres
s'hypertrophiaient, prenaient des dimensions dé
prolongées aggravent les lésions. Pas de sudation exagérée sur les
membres
; les mains et les pieds sont plutôt secs. Tr
servée. Mais il existe de l'analgésie et de la Ihermo-anesthésie.
Membre
supérieur droit. Contact, chaleur, température so
e petite zone triangulaire de la paume de la main. Tout le reste du
membre
présente la dissociation dite syringomyélique d
sente la dissociation dite syringomyélique dans toute sa pureté. Au
membre
supérieur gauche, la ligne à partir de laquelle o
state la dissociation sensitive est il peu près la même que pour le
membre
droit. Leslroubles sensitifs sont identiques à
li cutané moyen, à l'extrémité supérieure du pouce et de l'index.
Membre
inférieur droit. La sensibilité au contact persis
température, bien que la sensi- bilité au contact soit conservée.
Membre
inférieur gauche. Même topographie des troubles s
naît ni la forme ni la nature de ce qu'on met entre ses doigts. Les
membres
supérieurs, placés dans l'attitude du serment,
s avoir résidé au Tonkin de 1883 il 1886, vit se développer sur ses
membres
inférieurs des ulcères perforants plantaires, p
ÈRE. sociation syringomyélique très nette de la sensibilité sur les
membres
supé- rieurs, le tronc, le crâne et la face. Le
UE L'hypertrichose localisée a ta partie inférieure du corps et aux
membres
inférieurs se développe quelquefois en conséque
IQUE 148 sieurs fois le malade a conservé de la contracture dans le
membre
su- périeur gauche à la suite des accès. Sous l
la main droite, de 40 pour la main gauche. Il ne pré- sente sur les
membres
et le tronc aucune déformation notable. Il n'a
s spontanées ou provoquées. Les réflexes tendineux sont normaux aux
membres
inférieurs et aux membres supérieurs. Aucun trou-
. Les réflexes tendineux sont normaux aux membres inférieurs et aux
membres
supérieurs. Aucun trou- ble de la marche, ni de
a marche, ni de la miction, ni de la défécation. Tandis que sur les
membres
et la partie supérieure du tronc il n'existe que
tronc il n'existe que quelques poils fo- lets à peine colorés, les
membres
inférieurs, les fesses et le pourtour du bassin
peau (Pl. XXII). Il semble alors que le tronc soit suspendu à deux
membres
inférieurs. Cette luxation spontanée et tempora
petite série de faits. Par contre les troubles de la sensibilité aux
membres
inférieurs ne paraissent pas fréquents dans ces
maladie il est dans le même état au point de vue de la motilité des
membres
inférieurs : des troubles trophiques (eschares fe
é de se sonder. Le malade prétend qu'au début de sa paraplégie, les
membres
inférieurs étaient complètement insensibles, et q
'au niveau de l'eschare coccygienne. Décembre 1890. Même état : les
membres
inférieurs sont immobiles, con- (1) M. le Dr La
on électrique, on n'obtient aucuue contraction dans les muscles des
membres
inférieurs ; mais les excitations éner- giques
s, insomnies persistantes, douleurs erra- tiques dans le dos et les
membres
, etc., etc. Plusieurs, franchement hystériques,
de la nuque el exagération considérable des réflexes tendineux aux
membres
supérieurs. Mort des suites d'un érysipèle de l
'une intensité très grande à ce niveau ; une grande fai- blesse des
membres
inférieurs. Elle eut, pendant son séjour à l'hôpi
énéral ; les douleurs cervicales reparaissent (1), la faiblesse des
membres
inférieurs aug- mente, et la malade entre dans
se prolonge. Elle présente une paralysie presque complète des deux
membres
inférieurs. Dès qu'on la met sur ses pieds, ell
ne espèce de résistance musculaire dans les différents segments des
membres
in- férieurs. Les membres supérieurs sont aff
ulaire dans les différents segments des membres in- férieurs. Les
membres
supérieurs sont affaiblis également, mais il un d
ucoup moindre. Les réflexes tendineux sont très exagérés aux quatre
membres
(sur- tout du côté gauche pour le membre supéri
très exagérés aux quatre membres (sur- tout du côté gauche pour le
membre
supérieur). La trépidation spinale se pro- duit
supérieur). La trépidation spinale se pro- duit très facilement aux
membres
inférieurs, plus fortement du côté gauche. Les
es de l'épaule. Réflexes tendineux toujours très exagérés, même aux
membres
supérieurs. La malade contracte un érysipèle de
plus ou moins irradiées ; fourmillements, engourdissements dans les
membres
. M. le professeur Charcot dans une clinique tou
e raideur de la nuque avec douleurs irradiées dans le cou, dans les
membres
supérieurs. Les mouvements communiqués ou spont
cessitaient des piqûres de morphine. Puis apparut une paralysie des
membres
supérieurs et inférieurs gauches sans ictus. '
de 5 francs. Elle met un mois à guérir. Depuis que la paralysie des
membres
du côté gauche est survenue, la malade n'a pas
A mesure qu'ils reviennent la malade res- sent des crampes dans le
membre
inférieur gauche, et le mollet est le siège d'u
tte époque, la jambe droite se paralyse en 8 jours. Au moment où le
membre
inférieur droit se paralyse, l'inférieur gauche,
on abdominale du côté gauche deviennent insensibles a la piqûre. Le
membre
inférieur droit au contraire était le siège d'u
n cein- ture. La paralysie devient un peu moins accentuée dans le
membre
inférieur droit, t, dans le courant du mois de
lument sains. Paralysie très marquée, mais, toutefois incomplète du
membre
inférieur droit, t, sans amyotrophie. Cependant
dant les masses musculaires sont un peu moins fermes, que celles du
membre
inférieur gauche. Pas de troubles de sensibilité.
te d'absence cérébrale, suivie d'une faiblesse très grande dans les
membres
infé- rieurs. Cela dura 6 semaines ; on était o
e incomplète avec prédominance de la faiblesse et du spasme dans le
membre
in- férieur droit. La marche est possible ; ell
force musculaire est considérable dans les différents segments des
membres
inférieurs ; cependant elle paraît diminuée à dro
eulement de lourdeur des reins : il ne souffre aucunement clans les
membres
inférieurs. La sensibilité objective est absolu
st absolument normale sous tous ses modes dans l'é- tendue des deux
membres
inférieurs : contact, température, douleur, tout
ion tenace, qui exige l'usage presque continuel de purgatifs. Aux
membres
supérieurs, rien d'anormal autre qu'une exagérati
ut de quelques jours, envahissement de la moelle : paralysie des si
membres
. Antélio- ration considérable par le traitement
893 : paraplégie spasmodique exagération des réflexes tendineux aux
membres
supérieurs anesthésie dans le domaine du trijumea
ours d'un état géné- ral des plus graves : paralysie complète des 4
membres
et de la langue, (fini- culté de la déglutition
nes, une amélioration considérable ; il pou- vait remuer les quatre
membres
au lit (juillet 1892), puis il put bientôt mar-
spas- modique légère ; la raideur est un peu plus accentuée dans le
membre
inférieur gauche. Néanmoins la tonicité muscula
ns le membre inférieur gauche. Néanmoins la tonicité musculaire des
membres
inférieurs est normale au repos. La démarche es
sont très exagérés des deux côtés ; pas de trépidation spinale. Aux
membres
supérieurs, les réflexes du coude et du poignet s
pas d'atrophie musculaire, ni le moindre trouble de sensibilité aux
membres
; mais à la face, il y a une hypoeslhésie dans
ni chute de cheveux. Eu juin 1891 survinrent des douleurs dans les
membres
supérieurs. C'étaient des douleurs sourdes et p
il la malade. Ces élancements avaient pour siège non seulement les
membres
supérieurs, mais aussi la partie supérieure du
sternale. Jamais la malade n'a éprouvé la moindre douleur dans les
membres
inférieurs. Du côté de la vessie pas de trouble
lètement ; les douleurs lancinantes augmentent d'intensité dans les
membres
supérieurs. La malade ne fait aucun traitement
le 17 mars. Examen le 22 mars 1892. Malade d'aspect chétif, petite,
membre
grêles. Elle ne tousse pas cependant et ne prés
gion sternalc, dans les deux régions claviculaires et la racine des
membres
supérieurs. La pression, la percussion sur les
la tête sont limités à la moitié environ de leur étendue normale.
Membres
supérieurs. Il existe une atrophie musculaire évi
État de la motilité.- - Tous les mouvements sont possibles dans les
membres
supérieurs (sauf les mouvements sus-indiqués de
e elle est tout fait nulle. Le sens musculaire est parfait dans les
membres
supérieurs ; il n'y a pas la moindre ataxie, mê
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Les réflexes tendineux aux
membres
supérieurs (coudes et poignets) sont normaux.
de la main gauche, mais pas de réaction de dé- générescence. Aux
membres
inférieurs, rien d'anormal. Les réflexes sont pré
. Rien d'anormal maintenant du côté de la colonne vertébrale et des
membres
supérieurs : plus de douleurs du tout. Dynamomè
paraissent des douleurs sourdes dans la région lombaire et dans les
membres
inférieurs, précé- dant la paralysie. Examiné à
cidents médullaires. Début par des troubles de sensibilité dans les
membres
iifé)-ieiiis et tle l'iiieoiiii)ie)ice (1' ? i,ii
iiis et tle l'iiieoiiii)ie)ice (1' ? i,iiie, - Puis fai- blesse des
membres
inférieurs, qui aboutit à une paraplégie complète
ied plus tard ; au bout de 3 mois, rigidité modérée des muscles aux
membres
inférieurs. Phénomènes cérébraux légers et transi
; la paraplégie est devenue presque complète cette nuit. Examen des
membres
inférieurs ; - la vaolilité est très tou- chée
talons au-dessus du plan du lit, mais il est incapable de garder le
membre
inférieur dans l'extension, lors- qu'il est sou
température sont perçus partout sur le tronc aussi bien que sur les
membres
inférieurs. Mais il y a une hyperes- thésie man
isses, les jambes, les pieds, sans localisation plus précise. Les
membres
supérieurs sont absolument sains, mais il est à n
vertébrale. 5 juin 1892. La paralysie motrice a encore augmenté aux
membres
infé- rieurs. Il est impossible maintenant au m
). La piqûre légère est sentie, même dans cette ré- gion. Dans le
membre
inférieur droit, le malade accuse une sensation d
enant disparu entièrement. 21. L'amélioration obtenue du côté des
membres
inférieurs ne s'est pas maintenue ; la paraplég
ment sont possibles. En outre, perte de la notion de po- sition des
membres
inférieurs, qui n'existait pas au début. Le malad
8°. Pas le moindre trouble trophique, pas d'atrophie musculaire aux
membres
inférieurs. L'excitabilité faradique des muscle
nt, il se produit des convulsions toniques dans tous les muscles du
membre
. Il en est ainsi aux jambes, alors même que le
r causée par l'application de l'électrode. 29 août. Les muscles des
membres
inférieurs, qui étaient restés flasques jusqu'i
de, et qui entraînent des mouve- ments de flexion ou d'extension du
membre
. L'eschare sacrée est cicatrisée. 3 septembre.
racine des bras. Les réflexes tendineux sont toujours exagérés aux
membres
supérieurs. Les frictions mercurielles, qui ava
Vienne (St Ignace guérissant les possédés). La tète, le tronc, les
membres
ont l'attitude et les contorsions classiques ;
e d'années. Ce sont d'abord des paresthésics, des douleurs dans les
membres
inférieurs, dans le rachis ; de la faiblesse et d
nserve une grande force musculaire dans les différents segments des
membres
inférieurs. Ce qu'il y a de remarquable, c'es
ns les cas non compliqués : on n'observe rien d'anormal du côté des
membres
supé- rieurs, des nerfs crâniens ou des fonctio
ébut des accidents en avril 1892 par de lé- gères douleurs dans les
membres
inférieurs et de la lenteur dans la miction. En
eurement amélioration de la paraplégie, mais raideur spasmodique du
membre
inférieur droit. Diminution légère de la sensib
membre inférieur droit. Diminution légère de la sensibilité dans le
membre
inférieur gauche, im- puissance génitale et per
uelle. En avril 1892, il ressent des douleurs sourdes dans les deux
membres
infé- rieurs, principalement au niveau des tend
lit pendant près d'une semaine ; au lit d'ailleurs les mouvements des
membres
inférieurs étaient parfaitement libres. Depui
possible depuis lors. Mais la raideur a envahi très rapidement les
membres
inférieurs, surtout le droit. En même temps, le m
E SYPHILITIQUE 355 motilité. Tous les mouvements sont possibles aux
membres
inférieurs : ils sont seulement gênés par la ra
te une grande puissance musculaire dans les différents segments des
membres
, le malade étant assis. Cependant à droite, la
males. ' Les réflexes rotuliens sont exaltés au plus haut degré aux
membres
inférieurs ; bien qu'il n'y ait pas de tonicité
uisable; à gauche, elle s'épuise au bout de 2 ou 3 secousses. Les
membres
supérieurs ne présentent aucun trouble du mouveme
les extrémités ; puis survient de la dysurie, et une faiblesse des
membres
inférieurs, qui l'oblige à garder le lit quelqu
us on moins complètement guéries ; des accidents légers du côté des
membres
supérieurs, tels que des raideurs passagères, u
ctuels, seule l'exagération considérable des réllexes tendineux aux
membres
supérieurs pouvait mettre sur la voie d'une pou
ue légère avec troubles vésicaux. 1 ? xa- aération des réflexes aux
membres
supérieurs. Disparition de tous les acci- dents
instants, on observe une légère trépidation, au moment où c'est le
membre
inférieur droit qui porte le poids du corps. La
pas les oscillations. Au lit, dans un fauteuil, les mouvements des
membres
inférieurs sont parfai- tement libres. La puiss
absolu- ment intacte, sous tous ses modes, dans toute l'étendue des
membres
inférieurs. Les réflexes rotuliens sont considé
pénible. En outre il se plaint d'un sen- timent de lourdeur dans le
membre
inférieur droit. L'incontinence d'urine persist
s le membre inférieur droit. L'incontinence d'urine persiste. Aux
membres
supérieurs, la motilité est parfaite, la sensibil
tuellement des stigmates de syphilis a la surface de la peau. / Aux
membres
inférieurs, cicatrice d'ecthyma à fond brunâtre,
t pas pendant la marche. La force musculaire est conservée dans les
membres
inférieurs cependant ; elle est égale des deux
GRAPHIE DE LA SALPETRIERE. vue. A la contracture très accentuée des
membres
inférieurs s'ajoute un état spasmodique très év
es membres inférieurs s'ajoute un état spasmodique très évident des
membres
supérieurs, se traduisant par l'exaltation cons
bès dorsal spasmodique. - L'exaltation des réflexes tendineux aux
membres
supérieurs dans la pa- raplégie syphilitique n'
é et sans troubles vé- sicaux. Exagération notable des réflexes aux
membres
supérieurs ; en un mot, tableau du labes dorsal
263 lombaire, plutôt pénible que véritablement douloureux. Dans les
membres
in- férieurs il n'a jamais souffert, dit-il.
epuis cette époque a continué à faire des pro- grès. La raideur des
membres
inférieurs est devenue de jour en jour plus mar-
ente la démarche spasmodique typique : il s'avance i pas lents, les
membres
inférieurs raidis dans l'extension, les genoux co
sible de croiser les jambes l'une sur l'autre. Examinés au lit, les
membres
inférieurs se présentent dans l'état suivant : ex
r de production de mouve- ment réflexe, car l'extension complète du
membre
ne le permet pas. Le pied est à angle droit sur
commande, aux mouvements provoqués dans les différents segments des
membres
inférieurs. La sensibilité des membres inférieu
es différents segments des membres inférieurs. La sensibilité des
membres
inférieurs est absolument intacte partout et con-
il n'a eu de rétention véritable; jamais non plus d'incontinence.
Membres
supérieurs. Le malade accuse une faiblesse et une
lade accuse une faiblesse et une légère douleur mal définie dans le
membre
supérieur droit, surtout l'avant-bras et la main.
ration très grande des réflexes au coude clan poignet dans les deux
membres
supérieurs. Ces réflexes sont aussi forts que dan
e atrophie ni la moindre perversion de la sensibilité objective aux
membres
supérieurs. Le réflexe massétérin semble fort ;
exagéré d'une façon pathologique, tandis que pour les réflexes des
membres
supérieurs, cela ne fait pas de doute. Dans l
mais il y a des variations légères dans la raideur des muscles aux
membres
inférieurs. Ce matin, la tonicité musculaire est
elle est inépuisable. Une trépidation spontanée se produit dans les
membres
inférieurs, sous l'influence du froid pendant q
marche spasmodique, môme absence de troubles de la sensibilité aux
membres
inférieurs, même exagération des réflexes aux m
nsibilité aux membres inférieurs, même exagération des réflexes aux
membres
supérieurs. Les troubles vésicaux sont si léger
malgré la gêne évidente de la marche, due à l'état spasmodique des
membres
inférieurs, la paralysie motrice à proprement p
importance qu'ils n'avaient pas dans la variété précé- dente. Les
membres
inférieurs^ la partie inférieure du tronc parfois
profondes de dé- cubitus, voire même l'atrophie musculaire dans les
membres
paralysés, la perte de l'excitabilité électriqu
le. Puis un matin, il ressent en se levant de la faiblesse dans les
membres
infé- rieurs : l'après-midi du même jour, la pa
l, le lendemain, on constate une paralysie flasque absolue des deux
membres
pelviens, avec perte des réflexes tendineux. La s
réflexes tendineux et de l'excitabilité électrique des muscles aux
membres
inférieurs. Anesthésie absolue du mem- bre infé
e une paraplégie motrice absolue. L'anesthésie est complète dans le
membre
inférieur droit; la sensibilité est conservée du
tendineux et la contractilité faradique sont entièrement abolis aux
membres
inférieurs ; l'impotence motrice est absolue. L
te, 2 jours avant que la paraplégie se produise. La paralysie des
membres
inférieurs survient en une nuit (Siemerling), e
d'une façon différente. Ainsi l'on peut voir une parésie légère des
membres
inférieurs s'exagérer tout à coup et se transfo
nsibilité peul être également complète sous tous ses modes dans les
membres
inférieurs et la partie inférieure du tronc (Déje
re observation I il est fait mention d'une anesthésie thermique des
membres
inférieurs, particularité qu'il n'est pas sans
des réflexes persiste jusqu'à la fin de la maladie. Les muscles des
membres
inférieurs présentent alors jusqu'à la fin une
myélite transverse cer- vicale (observ. IV), intéressant les quatre
membres
en prédominant plus ou DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SY
myélite spécifique se traduisit par une grande faiblesse des quatre
membres
mais sans paralysie à proprement parler (1). Ces
plus tard il éprouve des douleurs lombaires, de la fai- blesse des
membres
inférieurs, et il devient paraplégique dans l'esp
couverts de boue. Au réveil, il ressentait dans toute l'étendue du
membre
supérieur droit et dans la cuisse ainsi que dan
journée du 2 août 88. Anesthésie complète et sous tous les modes du
membre
supérieur droit limitée en gigot. Au membre inf
ous tous les modes du membre supérieur droit limitée en gigot. Au
membre
inférieur droit, contracture analogue au niveau d
ment marquée entre les deux épaules et à la région sacrée. Dans les
membres
, aux jointures et dans les muscles, des douleurs
oue droite. Picottements à fleur d'épiderme qui parcourent tous les
membres
, etc., etc. Toutes ces impressions, le sujet pa
ais eu cependant de maladies de poitrine. Il souffre aussi dans les
membres
, partout, dans les jointures, dans les mas- ses
l son réveil il s'est trouvé paralysé de tout le côté gau- che. Les
membres
supérieur et inférieur raidis, contractures, et c
alysé du côté gauche, mais moins fortement que la première fois. Le
membre
supérieur était surtout atteint. Il y avait une
r. Cette douleur excitait déjà lors de la première paralysie. Les
membres
paralysés sont contracturés, surtout le supérieur
rofonde, affaiblie dans tout le côté gauche à la douleur, abolie au
membre
supérieur. Anesthésie en manche de veste. (Fig. 3
ne autre série de malades les contractu- res se répartissent sur le
membre
supérieur du côté excité et sur le mem- bre inf
du côté droit. Après la contracture du bras survient la rigidité du
membre
inférieur droit. Cette rigidité tonique débute
ceuxque nous venons de voir se produire aux doigts. La position du
membre
inférieur droit après la contracture est la sui
ed est en flexion plantaire, le genou est fortement plié et tout le
membre
est en adduction. Nous voyons donc, que la cont
es orteils du pied présentent cet état avant la rigidité totale des
membres
. J'insiste aussi sur le fait qu'avant l'é- - vo
ée, la contracture s'ef- fectue de la même façon qu'au bras, que le
membre
.inférieur n'est pas plié au niveau du genou, ma
it, c'est une flexion plantaire, qui survenait la première; puis le
membre
inférieur se contractait, bientôt suivi de la c
produit en premier lieu une contracture du bras, l'ex- citation du
membre
inférieur, la contracture de celui-ci. La propa
période de petits mouvements) et sont suivis par ceux du bras et du
membre
inférieur gauchos; en définitive, une hémicontr
- bre inférieur et de la face. ' 3. La contracture débuté dans le
membre
inférieur et gagne aussitôt le bras et la face,
our déterminer une résolution d'une hémicontracture, alors c'est le
membre
inférieur, qui entre en résolution le premier p
moitiés du corps tout d'un coup et avec une inten- sité égale. Les
membres
des deux côtés, au moment où la carte blanche du
- trifuge, la contracture bilatérale se résout au même point où les
membres
sont devenus tétaniques, savoir à 780. Après av
cles, modification du périoste et des os formant l'articulation des
membres
, prin- cipalement de l'épaule, affaiblissement
s frustes, durant deux à trois minutes il peine. Les mouvements des
membres
paralysés, quoique pénibles et difficiles encor
évite de ployer l'échiné. Les douleurs se retrouvent aussi dans les
membres
, mais légères, erratiques, sauf l'épaule gauche
artie de l'observation persistent pour la plupart. La raideur des
membres
existe encore, au point qu'il faut un temps très
. Toutefois S..... trouve une légère amélioration sur l'état de ces
membres
lors de son premier voyage. L'anesthésie cutané
de maux de tète, et de quelques douleurs vagues dans le dos et les
membres
; mais c'étaient de très légères indispositions.
vec maximum dans la région lombo-sacrée. Douleurs vagues dans les
membres
, surtout le bras et la jambe droits ; le poi- g
une hypoesthésie il la piqûre du côté gauche de la face, et sur les
membres
du côté droit (correspondant aux régions où s'acc
usque. Ils accusent aussi des sensations douloureuses dans tous les
membres
, souvent appelées par eux « rhumatismes » et do
x « rhumatismes » et dont le principal caractère est de sauter d'un
membre
à l'autre du jour au lendemain. L'insomnie est
ompagnée de contractures. llémianesthésies limitées à la racine des
membres
. 350 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
ts clichés des mains et des pieds. Lorsqu'il s'agira d'étu- dier un
membre
entier, le bras, la cuisse par exemple, ou une pa
e de M. Roentgen. Dans la premiè- re épreuve la forme extérieure du
membre
est seule visible et on ne sau- rait y faire le
ringomyélie, la malade a été prise d'une faiblesse considérable des
membres
supérieurs, compliquée bientôt d'une atrophie mus
et plus rapi- SYRINGOMYÉLIE AVEC ANESTHÉSIE TOTALE 7 des dans le
membre
supérieur gauche. Dès les premiers jours d'avril,
it complète. Vers la fin de ce même mois, la faiblesse a envahi les
membres
infé- rieurs ; il en est résulté des chutes fré
satisfaisant; l'impotence motrice était presque absolue aux quatre
membres
; seuls les doigts de la main gau- che pouvaien
satisfaisant, mais qui était atteinte d'une paralysie complète des
membres
et du tronc compliquée d'une atro- phie muscula
bres et du tronc compliquée d'une atro- phie musculaire intense aux
membres
surtout ; les muscles du cou et ceux de la tète
ait que, chez l'hystérique, un pincement violent, une pi- qûre d'un
membre
anestbésié provoquait la dilatation de la pupille
et aux mains. Puis l'abolition de la sensibilité avait en- vahi les
membres
supérieurs, dans toute leur étendue, le tronc, et
supérieurs, dans toute leur étendue, le tronc, et finale- ment les
membres
inférieurs. La sensibilité n'était conservée que
it plus conscience des changements d'attitude qu'on imprimait à ses
membres
. Le sens musculaire était diminué. Les réflexes é
ous elle. A la même époque des douleurs fulgurantes apparurent- aux
membres
inférieurs en particulier à gauche. Ces douleurs
minué en même temps que sont apparus du ptosis et de la diplopie.
Membres
supérieurs. Au dynamomètre : 20 NOUVELLE ICONOG
as de paralysie. La force musculaire est conservée intégralement.
Membres
inférieurs. - Ils ont également conservé dans son
s sont conservés. Il n'existe pas de trépidation épileptoïde. Aux
membres
supérieurs les réflexes sont également conservés
dérobement des jambes, les crises de douleurs fulgurantes dans les
membres
inférieurs souvent avec prédominance nocturne.
diminuaient (en ce temps ou peu après le début de l'amyotrophie des
membres
supérieurs), il le mettait naturellement sur le c
ue la douleur a diminué, que l'écoulement est tari, les muscles des
membres
inférieurs ne paraissent nullement « se refaire »
fente palpébrale droite, les symptômes oculaires, l'amyotrophie des
membres
, chez un homme ayant pris des injections pour son
a douleur seule qui l'empêche encore de se servir facilement de ses
membres
inférieurs. En plus, l'atrophie musculaire s'es
à la douleur pour empê- cher le malade de se servir aisément de ses
membres
. Il y a des troubles de la marche, mais qui tie
te de cause interne, nous de- vons mettre l'atrophie musculaire aux
membres
supérieurs, uniquement sous la dépendance des a
res supérieurs, uniquement sous la dépendance des arthropathies aux
membres
inférieurs sous la dépendance des lésions des b
e larges oreil- les écartées, un torse irrégulièrement gibbeux, des
membres
grêles aux os incurvés. On les voit se livrer à
mais fermes et proéminents. Les hanches sont larges et grasses, les
membres
bien enveloppés. La verge et les bourses sont ru-
e derrière le corps. A droite, un vieillard à cheveux blancs et aux
membres
étrangement poilus joue de la lyre; à gauche, e
ianesthésie double, avec dissociation syringomyélique au niveau des
membres
inférieurs ; incontinence d'2tritte; inégalité
il'est resté -sur son lit, absolument im- mobilisé du tronc.et clés
membres
inférieurs. C'est dans cet état lamentable qu'i
vement volontaire n'est pos- sible dans les groupés musculaires des
membres
inférieurs, du pelvis, de la région clorso-lomb
diagnostic topographique de la lésion : d'une façon géné- rale, les
membres
supérieurs paraissent exclus de la paraplégie ; l
éclairent précieusement le diagnostic du siège de la lésion. Aux
membres
inférieurs la sen- sibilité tactile est presque
ouble, avec dissociation syringomyélique au niveau du bassin et des
membres
inférieurs. (Les hachures obliques correspondent
m niveau de la tre côte ? " ' - " La sensibilité tégumenlaire des
membres
supérieurs est intacte; celle du cou et de la f
e cou ; l'opisthotonos de la nuque n'a pas diminué. La parésie. des
membres
supérieurs a gardé les mêmes caractères; les mo
ation aurait déterminé de bonne heure des troubles paralytiques des
membres
inférieurs et des phénomènes doulou- reux. Cett
SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA MOELLE ÉPIN1ÈRE 77 ralysie du tronc et du
membre
inférieur, à gauche); en outre, la tumeur T, pa
sociation syringo- oéliqucconstatée chez notre malade au niveau des
membres
inférieurs. Ici encore le rappel des lésions hi
é, en dépit de sa paraplégie, une taclillié à peine émoussée de ses
membres
inférieurs; cette sensibilité spéciale franchissa
SALPÊTRIÈHE qu'olle s'assied, le tronc oscille de çà et de là, les
membres
sont agités par un tremblement. Son langage est
, avec ou sans nystagmus ; chez le 2c il existait de l'athétose des
membres
supérieurs. Deux enfants avaient des crises qui
utopsie de Jürgens en fait foi, que les troubles de la motilité des
membres
inférieurs lorsqu'ils existent ne doivent pas êtr
- graphies de Roentgen que dans les régions extrêmes du corps ; les
membres
et surtout les extrémités, mains et pieds. Le b
en. pronation forcée, tout cela indique une violente contracture du
membre
supérieur, sans doute observée sur le vif et re
s garrottés à l'aide de solides armatures de fer qui retiennent les
membres
accolés l'un à l'autre. Le haut du corps est pe
de l'attaque démonia- que (PI. XVI). Les contorsions illogiques des
membres
, les contractions grimaçantes de la face sont e
me phénomènes prédominants, pardela rigidité soit généralisée aux 4
membres
, soit limitée aux membres inférieurs sous forme d
, pardela rigidité soit généralisée aux 4 membres, soit limitée aux
membres
inférieurs sous forme de para- plégie spasmodiq
e ne. s'associent pas à la rigidité plus ou moins généralisée aux 4
membres
'qui constitue la caractéristique clinique du syn
mois de la naissance et qui porte sur presque tous les muscles des
membres
et du tronc succède, ainsi qu'il est de règle e
ne rigidité spasmodique qui va en s'allé- nuant de plus en plus aux
membres
supérieurs, de telle sorte qu'à l'âge de 4 ans
ue. Par contre, la rigidité spasmodique persiste très accentuée aux
membres
inférieurs qui présentent de la trépidation spi
que, peut aujourd'hui (189G) se tenir debout et détacher du sol ses
membres
rendus rigides par la paralysie. , .. · En so
es cas il ne persiste pas de déformations osseuses. Les muscles des
membres
inférieurs n'étaient pas atrophiés. Vers 14 o
Vers 14 ou 15 ans, la marche s'effectuait assez bien, toutefois les
membres
inférieurs se fatiguaient vite, les longues pro
marquées à gauche, il s'aperçut un matin, après le déjeuner, que le
membre
inférieur gauche était le siège d'un affaiblissem
ain, il marcha encore avec une canne mais eni traînant la jambe. Le
membre
inférieur droit resta sain ; pas de phénomènes cé
membre inférieur droit resta sain ; pas de phénomènes cérébraux. Le
membre
inférieur gauche devint le siège de douleurs sour
lombaires et une sensation d'engourdis- sement très marqué dans le
membre
. Pendant l'année 1892, il prit pour tout traite
traitement de l'antipyrine et des bains sulfureux. 1 En 1893, le
membre
inférieur droit devint le siège de phénomènes ana
i était restée difficile devient presque impossible d'autant que le
membre
inférieur droit se prend à nouveau et devient le
, que les yeux soient ouverts ou fermés. Les masses musculaires des
membres
inférieurs ne sont pas atrophiées. Le réflexe r
iste de la trépidation spinale. Dans le décubitus horizontal, les
membres
inférieurs sont accolés l'un il l'au- tre, le m
l l'au- tre, le malade les soulève difficilement. Les muscles des
membres
supérieurs ne sont pas atrophiés, toutefois la
lements surtout marquées au niveau des deux talons. Quelquefois les
membres
inférieurs sont.particulièrement pendant la nui
lletle de 4 mois, atteinte 3 jours auparavant d'une pa- ralysie des
membres
supérieurs qui avait débuté subitement. « Les bra
n'y avait pas non plus de raideur. musculaire ».. Rien du côté des
membres
inférieurs ; sphincters intacts. Pas de fièvre.
aissons que par le compte rendu ci-dessus. (3) BAnnE. Paralysie des
membres
supérieurs chez une petite fille atteinte de sypl
96) dans lesquels il est parlé de paralysies et de contractures des
membres
chez des enfants hérédo-syphilitiques. La pathogé
nt d'atrophie du nerf optique, s'accompa- gnant d'une faiblesse des
membres
inférieurs avec ataxie des bras et des jambes.
bisme et d'attaques épileptiques.Sur- vinrent des douleurs dans les
membres
inférieurs avec phénomènes spas- modiques et co
d on nous l'a amené, ou plutôt ap- porté, il y a quelques mois, ses
membres
étaient incapables de le soutenir, bien que cap
e; la contractilité dans la zone du facial est aussi normale. Les
membres
supérieurs sont étendus,rigides,sans atrophie mus
uvements volontaires. Il existe un certain degré de contracture des
membres
inférieurs, mais la marche n'est pas gênée. Apr
crémastériens sont diminués. Le réflexe abdominal est forint. Aux
membres
supérieurs, les réflexes tendineux sont augmentés
s réflexes tendineux sont augmentés, il y à moins de raideur qu'aux
membres
inférieurs et les mouvements volontai- res ne s
rition d'une cyphose cervicale et d'une paralysie spas- modique des
membres
inférieurs ; en 1 an la guérison est complète.
e; dans les 5 premiers mois survient une paralysie simultanée des 4
membres
don la guérison, est complète en un an. L'enfan
semaines et guérit. t. ' - . - A 4 ans, paralysie spasmodique des
membres
inférieurs avec inconti- nence d'urine qui dure
se serait guère accentuée qu'après l'apparition de la paralysie des
membres
infé- rieurs, un an après, dit la malade. Toute
ette époque. ' Depuis le début, à l'âge de 6 ans, l'impotence des
membres
inférieurs est res- tée complète. A la paralysi
ysie flasque,ont succédé de la raideur, puis des défor- mations des
membres
inférieurs dues aux contractures et aux rétractio
nir le siège et sur lesquelles nous reviendrons. Rien du côté des
membres
supérieurs. Il arrive parfois à la malade de la
tartre ne permet pas de juger de leur exacte confi- guration. Les
membres
supérieurs sont normalement conformés et sains. I
rs sont normalement conformés et sains. Il n'en est pas de même des
membres
inférieurs. Les cuisses sont fléchies sur le bass
'axe de la jambe. ' La marche est complètement impossible. Les deux
membres
inférieurs sont presque absolument inertes, la
mètres. Il est assez difficile de déterminer la longueur exacte des
membres
inférieurs par suite de l'attitude vicieuse qu'
jusque l'articu- lation tihio-tarsienne. On peut en inférer que les
membres
inférieurs ont subi, relativement aux membres s
ut en inférer que les membres inférieurs ont subi, relativement aux
membres
supérieurs, un véritable arrêt de développement.
? ' \ Réflexes rotuliens très exagérés, trépidation épileptoïde des
membres
inférieurs. La malade est soumise immédiatement
omènes iden- tiques du côté des orteils s'étendant ensuite aux deux
membres
inférieurs, de sorte qu'il ne sentait rien ni a
abso- lue de mouvoir les bras ou les doigts ; légers mouvements des
membres
infé- rieurs ; sensibilité abolie au niveau des
au des doigts et des avant-bras, légèrement conservée au niveau des
membres
inférieurs ; les muscles intercostaux ne fonc-
vul- sion spinale. 18 octobre. La sensibilité a augmenté dans les
membres
inférieurs dont les mouvements sont plus étendu
éditaire fut atteint, vers l'âge de22ans, d'une faiblesse telle des
membres
inférieurs « qu'il ne pouvait marcher », Ces ac
che incertaine et vacillante », bien que le sujet éprouvât dans les
membres
inférieurs « des fourmillements et y sentît comme
uis le bras droit et enfin la jambe droite. Sensibilité intacte des
membres
paralysés; paralysie des sphinc- ters, de la ve
ressenti une forte sensation de fatigue et de cour- bature dans les
membres
inférieurs particulièrement à droite, avec impote
plus marcher, ne pouvait plus se tenir debout les yeux formés ; les
membres
inférieurs étaient paralysés, flasques, non ' r
sfaisant, peut-être existe-t-il encore un peu de faiblesse dans les
membres
inférieurs avec besoins impérieux d'uriner. Qua
mé- diatement une sensation très marquée d'engourdissement dans les
membres
inférieurs. Il existe encore quelques fourmil
1 ? ait' été atteint, en juillet 1892, d'une paralysie complète des
membres
inférieurs tendant il envahir les membres supér
ne paralysie complète des membres inférieurs tendant il envahir les
membres
supérieurs, due il des manifes- tations qui doi
ie des muscles innervés par l'hypoglosse. , « Etant donné que les
membres
inférieurs ont été pris d'une façon in- tense e
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 133 un sentiment de paralysie des
membres
inférieurs. Il faut donc croire qu'il existait
it plus de crampes dans le bras droit ni d'engourdissement dans les
membres
infé- rieurs, la tête élant en flexion forcée,
, guéri. A celte époque, il ressentit une grande faiblesse dans les
membres
infé- rieurs au point qu'il dut rester couché p
urs ressenti des fourmillements dans la région lombaire et dans les
membres
inférieurs, chaque fois qu'il s'est livré à cette
upations ; toutefois il res- sent assez vite de la fatigue dans les
membres
inférieurs. Le réflexe rotulien gauche est un p
urrait le risque de souiller ses vêtements. La force musculaire des
membres
supérieurs et inférieurs est normale ; pas d'at
l'hypoglosse ou des nerfs du voile du palais. Mais l'impotence des
membres
supérieurs et la localisation toute parti- culi
urs et la localisation toute parti- culière de la paralysie sur les
membres
inférieurs, montrent (en dehors de lésions des
it, au bout de 2 heures, elle était paralysée du bras*gauche et des
membres
inférieurs. Il avait un ptosis de la paupière s
ue qu'elle eut une paralysie de la face. - Au bout de 15 jours, les
membres
inférieurs qui étaient complètement iner- tes r
ts. Ce ne fut qu'au bout de six mois que ceux- ci revinrent dans le
membre
supérieur gauche, progressivement, on commen- ç
nt par les doigts. Bien que les mouvements fussent revenus dans les
membres
^ inférieurs, elle resta néanmoins couchée penda
n'existe pas d'incoordination portant, à proprement parler, sur les
membres
inférieurs qui nesont pas lancés en avant. Au l
ancés en avant. Au lit, la direction imprimée, au commandement, aux
membres
infé- rieurs est sensiblement conservée : elle
ied un objet placé au-dessus du lit et dans diverses situations. Le
membre
soulevé retombe brusquement sur le lit. La forc
de Romberg). Les réflexes rotuliens sont abolis des deux côtés. Les
membres
supérieurs exécutent des mouvements coordonnés. L
un logement humide, elle aurait eu des douleurs dans le cou et les
membres
, mais sans gonflement des articulations. Le 28
ras était telle qu'elle ne pouvait les lever. La parésie des quatre
membres
s'accentua insensiblement mais ne devint jamais
les. Depuis le mois d'août 1894, il existe une grande faiblesse des
membres
in- férieurs. La marche peut cependant s'effe
INIÈRE 141 de troubles de sensibilité, ni d'atrophie musculaire des
membres
inférieurs. Pas de signe de Romberg. Incontin
g. Incontinence d'urine permanente et constipation opiniâtre. Les
membres
supérieurs sont indemnes de phénomènes paralytiqu
st prise de phénomènes paralytiques atteignant à un léger degré les
membres
supé- rieurs, puis se localisant sur les membre
un léger degré les membres supé- rieurs, puis se localisant sur les
membres
inférieurs sous forme de para- - plégie spasmod
es enfants : pas de fausses couches. Au mois de janvier 1895, ses
membres
inférieurs devinrent le siège de phé- nomènes i
l'autre. Les sensations d'engourdissement qu'elle éprouve dans les
membres
infé- rieurs sont encore plus marquées du côté
sie des fesses, de la sensation moins marquée d'engourdissement des
membres
in- férieurs, on constate que les muscles des c
un point douloureux, aucune déforma lion ! locale. Rien du côté des
membres
supérieurs ; les pupilles sont normales. Le mar
or- cée de garder le lit pendant 15 jours. Lorsqu'elle se lève, ses
membres
inférieurs sont faibles, bien que la marche soi
. z Sous l'influence du traitement, les phénomènes de faiblesse des
membres
in- férieurs disparaissent nouveau, la marche r
marcha encore pendant 5 semaines malgré la faiblesse persistante du
membre
inférieur gauche. LA SYPUILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
lle entre à St-Antoine,chezM.Hayem,pourdes douleurs fulgurantes des
membres
inférieurs, des douleurs en ceinture, abdo- min
lexes plantaire et pharyngien conservés. L'atrophie des muscles des
membres
inférieurs semble en relation directe avec les
es trophiques. --Nous avons déjà signalé l'atrophie des muscles des
membres
inférieurs ; les ongles des orteils sont fendillé
ble s'être' formé là une pseudarthrose permettant les mouvements du
membre
inférieur sur le bassin. ' . Le genou droit e
ours gardé couché. A aucun moment il n'a senti de douleurs dans les
membres
inférieurs. La cyphose s'est accentuée peu à pe
rosions et les incisives médianes inférieures atteintes de carie.
Membres
inférieurs. Les membres inférieurs sont en extens
médianes inférieures atteintes de carie. Membres inférieurs. Les
membres
inférieurs sont en extension, les pieds tombant
rnée en dedans. Les orteils sont légère- ment rétractés. Les deux
membres
sont atteints de paralysie presque complète avec
subjective. Il y a une hyperesthésie totale sur toute l'étendue des
membres
inférieurs et pour tous les modes de sensibilit
les jambes. La sensation de froid, moins facilement accusée qu'aux
membres
supérieurs, est néanmoins rapidement perçue. Il
erse en arrière même si on lui oppose une résistance assez forte.
Membres
supérieurs. Assez bien musclés. , Ils ne présen
. On en'reconnaît aisément les traces dans l'incurvation des os des
membres
, des jambes surtout (en parenthèses on en X), d
moins complet pour les os de la face que pour ceux du corps et des
membres
. En outre, un grand nombre de nains sont attein
s portent les marqués indestructibles dans l'incurva- tion de leurs
membres
, la conformation de leur. thorax et de leurs boss
igurations du dieu Bès, avec sa large face, ses joues plates et ses
membres
oedémateux, nous fait entrevoir le myxoedëme in
eloppé, peau fine;.poils rares ; torse allongé, ventre proéminent ;
membres
potelés ; organes sexuels rudimen- taires ; voi
- , fantilisme. La répartition de la graisse' sur le corps et les
membres
, suivant l'aspect qu'on observe' chez l'enfant,
on modèle dans la station hanchée, l'incurvation i(ichiliq ? te des
membres
inférieurs est manifeste. Mais, la figure est s
le double, habitué pendant la vié terrestre à la difformité de ses
membres
, n'aurait pu s'appuyer sur ce corps redressé et n
'agissait de rachitisme, on en verrait l'in- dice dans la forme des
membres
, des jambes principalement. Celles-ci sont au c
res nor- maux, sans atrophie ni pseudo-hypertrophie, sur tous les
membres
, permettent d'écarter l'hypothèse d'une figurat
omégalique, pas plus que la seule extrémité qui soit conservée. Les
membres
supérieurs n'offrent rien d'anormal. Le bras droi
les impriment à la cage thoracique, et aux rapports réciproques des
membres
, de la tête et du tronc. Les bossus ont aussi
horizontal résistant, la tête seule étant soulevée et soutenue. Le
membre
inférieur immobile sera fixé dans l'extension c
ptionnel qu'il dépasse 80°, môme chez des sujets jeunes et dont les
membres
sont assouplis par les exercices physiques. D'e
es malades portent spontanément, sur l'ordre qu'on leur donne, leur
membre
inférieur dans une direction voisine de la vert
résistance légère, et sans que le sujet ac- cuse de la douleur. Le
membre
ayant atteint l'attitude maxima, le sujet peut
fût l'origine. Voici les chiffres que nous avons obtenus, avec les
membres
atrophiés et non douloureux. ATTITUDES ANORMALE
ES ANORMALES DANS LE TABES 193 se produit pas. En effet, lorsque le
membre
, élevé spontanément, dépasse l'attitude vertica
il provoque une dou- leur vive, localisée à la face postérieure du
membre
, étendue jusqu'au pied, et due à l'élongation d
nsidérons, du reste, la figure G, ou toute autre représentation des
membres
d'un tabétique au repos. Les jambes flottent au
anteur, et le relâchement des muscles est tel, que la forme même-du
membre
en est modifiée. En dehors de l'intervention d'
ifiée. En dehors de l'intervention d'une contraction volontaire, le
membre
entier s'avachit. Nous ne pou- vons expliquer c
qué chez eux l'altitude habituelle, en choisissant de préférence le
membre
le plus anesthésique. ATTITUDES ANORMALES DANS
itement borique avaient le plus souvent leur poussée d'oe- dème des
membres
inférieurs à la suite d'accès d'épilepsie isolés
la suite d'accès d'épilepsie isolés ou sé- riels. A l'oedème des
membres
inférieurs peut se trouver liée une manifesta-
s. D'autres fois, elle perdait connaissance, tombait par terre, les
membres
raidis, ou bien se débattait furieusement en po
pé aux armes du comte de Clermont, Louis de Bourbon-Condé, général,
membre
de l'Académie française. Une dédicace de la main
de poussées éruptives. Une « enflure » qui envahit son corps et ses
membres
à plusieurs reprises vint encore grossir le nom
vante, il fit le voyage d'Angleterre pour* apprendre de Chesel- (1)
Membre
de l'Académie des sciences en 17`22, chirurgien d
témoignent, sur ces procès-verbaux, leurs signatures et celles des
membres
du clergé ici présents. « Cet autre tas est com
umeux avec syncopes, serrements de dents, raidissements de tous les
membres
, et autres symptômes qui paraissaient épileptique
furent tout d'un coup suivis de cris, de raidissements de tous les
membres
, le corps s'élevant de dessus le lit, avec beau
plaindre. Sur les six heures, les contorsions, les raidissements de
membres
étaient à un point in-- croyal)le, et accompagn
- che. Déplus, les fontanelles nous paraissent mal ossifiées. Les
membres
supérieurs sont dans leur totalité extrêmement ré
upérieurs sont dans leur totalité extrêmement réduits : ce sonl des
membres
d'enfant et encore ! d'enfant malingre (PI. XXXIX
otographie Roentgen. UN HOMME MOMIE 261 Si nous considérons les
membres
inférieurs, nous voyons reparaître comme aux me
onsidérons les membres inférieurs, nous voyons reparaître comme aux
membres
supérieurs le processus atrophique, généralisé et
néralisé et d'autant plus marqué que l'on s'éloigne de la racine du
membre
: ce sont des membres d'échassier. A gauche, l'
plus marqué que l'on s'éloigne de la racine du membre : ce sont des
membres
d'échassier. A gauche, l'atrophie et l'impotence
achent, au niveau du dos quelques Dots dyschromiques, au niveau des
membres
des points rosés peu apparents; enfin au niveau
HOMME MOMIE » (Face.) G. MASSON, Editeur UN « HOMME MOMIE » (
Membre
supérieur.) G. MASSON, Editeur UN « HOMME MOM
raphie de la main par la méthode de Roentgen. UN « HOMME MOMIE » (
Membres
inférieurs.) G MASSON. ! EDITEUR TRAVAIL DU S
double, avec phénomènes douloureux plus diffus, envahissant tout le
membre
inférieur. Il y avait en même temps une telle h
e hypcresthésie cutanée que le moindre attouche- ment au niveau des
membres
inférieurs ne pouvait être supporté. Un an plus
ence de 2 mois est néces- saire au rétablissement de la fonction du
membre
. Si l'on interroge B... sur l'état de sa jambe
ont amendées peu à peu, et actuellement la force musculaire dans le
membre
inférieur est normale, et l'atrophie a disparu.
, c'est de \oir le tabès s'annoncer par une paralysie complète d'un
membre
isolé, ou d'un groupe de mus- cles, si on en ex
ent, une paralysie même localisée, mais localisée à un seg- ment de
membre
(obs. iVlortoll Prince), doit plutôt être rapport
s du tabes, à la suite des manifes- tations de l'incoordination des
membres
inférieurs et supérieurs. Les au- teurs de l'ar
272 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE dinalion el celle des
membres
supérieurs ; de plus chez B..., on ne cons- tat
a cuisse, la cuisse fléchie à angle droit sur le bassin) on voit le
membre
inférieur osciller de côté et d'autre et ne gar
ur Thévenard constate une luxation iliaque avec raccourcissement du
membre
et léger empale- ment de la fosse iliaque. Quel
tuméfaction est globuleuse, allongée dans le sens de la longueur du
membre
et fluctuante. Elle siège à une assez grande di
iquide augmente de volume, et voici l'état dans lequel se trouve le
membre
inférieur gauche lors de l'entrée du ma- lade à
nt à celle-ci un élargissement monstrueux et imprimant vaguement au
membre
l'aspect d'un énorme gigot dont la petite extrémi
flammatoire. Les muscles de la cuisse sonl amaigris. La longueur du
membre
inférieur gauche est dom. 81 ; celle du mem- br
son opération. On peut voir par son altitude le raccourcissement du
membre
produit par la luxation iliaque gauche. lx . 18
voici que le 5 mai, la jeune Il... fut frappée d'une paraplégie des
membres
inférieurs. A ce moment son état général ne laiss
avait pris de l'embonpoint. La paralysie motrice était complète aux
membres
inférieurs ; la malade ne pouvait ni marcher, n
s sulfureux. Une dizaine de jours plus tard, la paralysie gagna les
membres
supé- rieurs ; elle s'étendit aux sphincters, d
la paralysie des sphincters, ainsi que le retour de la motilité aux
membres
supérieurs ; voire que déjà quelques légers mou-
; voire que déjà quelques légers mou- vements étaient possibles aux
membres
inférieurs. L'amélioration fit des progrès rapi
ysie. * .. Vous pouvez constater d'abord que les mouvements des
membres
supé- rieurs s'exécutent avec une force normale
fant fléchit sur ses jambes, des deux côtés également. Du reste les
membres
inférieurs sont loin d'avoir récupéré leur forc
e, mais elle ne présente pas de modi- fications qualitatives. Aux
membres
supérieurs les réactions électriques sont normale
douleurs quand on lui comprime les muscles, en particulier ceux des
membres
infé- rieurs. La pression des troncs nerveux, e
ent aussi les malades ressentent une très grande faiblesse dans les
membres
; des douleurs, des fourmillements, des picoteme
, la faiblesse dégénère en paraly- sie. Celle-ci envahit les quatre
membres
presque simultanément, ou bien elle débute par
s quatre membres presque simultanément, ou bien elle débute par les
membres
inférieurs; plus tard, elle peut s'étendre au t
eut s'étendre au tronc, à des organes innervés par l'encéphale. Aux
membres
, elle se pro- page des extrémités vers la racin
nt des caractères particuliers. Il leur semble qu'on leur brise les
membres
, qu'on leur broie les os du pied et de la jambe,
l'ordre inverse de leur apparition, c'est-à- dire de la racine des
membres
vers les extrémités, laissent des résidus irré-
des rétrac- tions qui portent principalement sur les extrémités des
membres
, doigts, orteils. Chez l'un des deux malades do
ladie, cette jeune femme éprouvait des sensations bizarres dans les
membres
: engourdissement, fourmillements, piqûres et b
e corps, occasionnant à la malade des souffrances intolérables. Aux
membres
, la sensibilité objective était fortement émous
l'arsenic. Or peu à peu la paralysie et l'atrophie s'emparèrent des
membres
de la malade ; en même temps l'insensibilité s'
embres de la malade ; en même temps l'insensibilité s'accentua. Les
membres
inférieurs furent envahis d'abord, puis les mem
s'accentua. Les membres inférieurs furent envahis d'abord, puis les
membres
supérieurs. Aux crampes dans les mollets succéd
parésie et l'incoordination. Puis la paralysie devint complète aux
membres
; elle s'étendit à certains muscles du tronc, a
us marcher. Elle se plaignait de douleurs dans les bras et dans les
membres
inférieurs. La pression des muscles et des nerfs
cles et des nerfs exaspérait ces douleurs. La paralysie envahit les
membres
supérieurs. Il n'est pas dit qu'il s'y associa
tal. Il avait été frappé d'une paralysie, qui avait envahi les quatre
membres
ainsi que des muscles du tronc. L'atrophie s'em
sse motrice qui a dégénéré en paralysie. Celle-ci était limitée aux
membres
; elle s'est accompagnée d'atrophie musculaire,
minels par l'arsenic (4), la paralysie peut se lo- caliser dans les
membres
inférieurs, ne frapper que certains groupes de
ont ballants* quelquefois même ils flottent en tous sens, comme des
membres
de polichinelle. Ne perdez pas de vue que la
es caractères circons- crits. Elle peut être généralisée aux quatre
membres
et à un certain nom- bre de muscles du tronc ;
ement et de la faiblesse dans les doigts et dans les extrémités des
membres
inférieurs. Ces phénomènes se propagèrent des e
Ces phénomènes se propagèrent des extrémités vers la naissance des
membres
, et bientôt ceux-ci se trouvèrent complètement
s les pieds et dans les jambes. Mais bientôt la parésie envahit les
membres
; le malade perdit l'usage complet de ses mains
à cette époque la jeune fille avait ressenti des douleurs dans les
membres
; plus tard ses pieds et ses mains se sont para-
vait contracté une paralysie de la sensibilité et du mouvement, aux
membres
inférieurs, sans préjudice des troubles gastro-in
un médecin, obligée qu'elle était de garder le lit. Elle avait les
membres
inférieurs paralysés et amaigris; la peau de ses
avait les membres inférieurs paralysés et amaigris; la peau de ses
membres
était sèche, rugueuse, froide. L'analyse du papie
qui gagne jusqu'aux lèvres ; dans certains cas il reste limité aux
membres
supérieurs. Sa durée est variable. Les auteurs
engourdissements, four- millements, picotements aux extrémités des
membres
, douleurs violentes qui empêchent les malades d
à la pression. La paralysie peut rester limitée aux extrémités des
membres
, gagner tout au plus les jambes et les avant-br
la paralysie poursuit sa marche envahissante ; elle se propage des
membres
vers leurs racines, puis aux muscles du tronc, qu
aux petits muscles des mains et des pieds, aux autres segments des
membres
, au thorax. Une fois qu'il en est ainsi, les ch
sseurs des doigts et des orteils. La peau se desquame au niveau des
membres
paralysés, elle se couvre de lâches ; elle prend
moindre tendance à se généraliser, qu'elle peut se circonscrire aux
membres
inférieurs, et s'y cantonner dans certains. gro
e a de la tendance à se généraliser, à envahir tous les muscles des
membres
, et quand elle reste circonscrite à certains grou
tes. Dans les deux cas la paralysie débute par les extré- mités des
membres
. Dans les deux cas, elle peut prédominer aux extr
x pieds (type chiropodal) . Dans les deux cas elle peut envahir les
membres
en totalité, et alors sa marche est centripète
mie d'II3éres, un prêtre polonais, était encore paralysé des quatre
membres
, un an après l'in- toxication (2). Eh bien, mes
S 351 tion considérables, aboutir à la fonte des muscles des quatre
membres
et d'une partie du tronc, sans que pour cela le
aralysie et la contracture, en règle générale, prédominent dans les
membres
inférieurs, mais les cas de contracture et para
que d'autres ne peuvent se mouvoir qu'accroupis et avec l'aide des
membres
supérieurs, généralement moins atteints. Chez l
rveux, lorsqu'il n'existe pas de déficit de la motilité normale des
membres
. Les éléments du syndrome de diplégie cérébrale
, peu d'anormalité étant observé du côté des fonctions motrices des
membres
(PI. TI, ph. G). Dans les cas de diplégie cérébr
attitude verticale, quoi- qu'il ait de la force musculaire dans les
membres
inférieurs et dans le tronc. La titubation céré
mouvements ataxiques, qui déterminent aussitôt la chute, agitent les
membres
inférieurs. Pendant la marche, appuyé à une a
le tronc, penché en avant, comme s'jl précédait dans la marche les
membres
inférieurs forme avec ceux-ci un angle obtus ; le
és, ce qui donne une large amplitude au pas. Pendant la marche, les
membres
font des mouvements ataxiques et la chute a lie
d'extension des jambes sur les cuisses. Les réflexes tendineux des
membres
supérieurs ne donnent pas d'indications précise
érieure des cuisses peuvent se provoquer. Force musculaire dans ses
membres
inférieurs bien conssrvée. Le malade exécute de
a station difficile. En même temps survinrent des douleurs dans les
membres
et la ceinture et la malade fut prise de rétentio
ni statique; tous les mouvements sont coordon- nés. On constate aux
membres
supérieurs un léger tremblement à l'occasion de
ni hypotonie ni atro- phie musculaire. Les réflexes tendineux des
membres
supérieurs et inférieurs sont très forts surtou
de la sensibilité, les dou- leurs dont se plaint la malade dans les
membres
et le tronc ; elles varient d'intensité et de c
elle doit être soutenue, car autrement son corps s'affaisse. Ses
membres
inférieurs sont étendus complètement inertes et p
ant-bras et à la main un peu de raideur. Les réflexes tendineux des
membres
inférieurs sont forts, les réflexes ten- diueux
eux des membres inférieurs sont forts, les réflexes ten- diueux des
membres
supérieurs sont en partie exagérés en partie affa
lonne vertébrale, douleurs qu'exagèrent les moindres mouvements des
membres
; les douleurs lancinantes des membres inférieurs
les moindres mouvements des membres ; les douleurs lancinantes des
membres
inférieurs et les douleurs constrictives du déb
On peut provoquer par l'application des différents excitants sur les
membres
inférieurs et le tronc des réflexes de défense
les (Voir schéma) on obtient des mouvements réflexes de défense aux
membres
supérieurs : ils consistent en une extension de
ux pronation de la main, adduc- tion et rotation interne de tout le
membre
. Il existe des troubles des sphincters : la mal
provoquer des mouvements réflexes de défense non seulement sur les
membres
inférieurs et le tronc, mais encore au niveau des
t sur les membres inférieurs et le tronc, mais encore au niveau des
membres
supé- rieurs dans leur partie interne (C7, C s,
els un peut provoquer Irs mouvements réflexes de défense ltd.i. aux
membres
inférieurs, dont la limite supérieure est en X et
. aux membres inférieurs, dont la limite supérieure est en X et aux
membres
supérieurs R d. s. dont la il mite supérieure e
4° Enfin nous avons constaté des mouvements réflexes de défense aux
membres
supérieurs que nous avons pu utiliser pour la loc
anopsie. La pupille droite est un peu plus petite que la gauche. Le
membre
supérieur droit est à demi fléchi et en pronati
il reprend immédiatement cette position quand on l'en a écarté. Le
membre
supérieur gauche garde une attitude quelconque et
se du bras droit dont les mouvements sont assez limi- tés. Les deux
membres
supérieurs sont agités d'un tremblement qui exist
ouvements. Ce tremblement est plus marqué à droite qu'à gauche. Les
membres
inférieurs gardent une attitude normale. Des deux
onc une hémiplégie droite à distribution très inégale. Alors que le
membre
supérieur était presque complètement im- mobili
mplètement im- mobilisé, la face n'était que légèrement prise et ce
membre
inférieur ne semblait pas atteint de tout. Or,
vent, en effet, les meilleures intentions de la garde-malade ou des
membres
de la famille, n'a- 24 ARCHAMBAULT boutissaie
se promenait régulièrement tous les jours dans son jardin. Dans le
membre
supérieur, également, la force motrice revint s
le laboratoire. Le malade accuse une très légère faiblesse dans les
membres
inférieur et supérieur droits. Il ne monte pas
culaire normale. Pupilles égales, régulières et contrac- tiles. ,
Membres
supérieurs. Motilité conservée et égale des deux
droitier). Sensibilité égale des deux côtés. Trophicité normale.
Membres
inférieurs Les mouvements actifs s'exécutent avec
retour des aliments par le nez, parole mieux articulée, parésie du
membre
supérieur droits, sensation de cuisson au nivea
brale et non une hémiatrophie linguale gauche, avec hémiparésie des
membres
droits, comme dans notre cas, ne pourrait pro-
résie du même côté. Par contre paralysie faciale et hémiparésie des
membres
ho- monymes s'expliquent très bien par une lési
pratiquée, le malade commença à ressentir un affai- blissement des
membres
inférieurs, surtout dans les mouvements du pied ;
oli- ques. Le malade se plaint principalement de la paralysie des
membres
inférieurs et de douleurs continues, d'intensit
Etat actuel.-Le malade est grand, maigre,bien bâti. Nerfs crâniens,
membres
supérieurs en bon état. Les membres inférieurs
aigre,bien bâti. Nerfs crâniens,membres supérieurs en bon état. Les
membres
inférieurs sont absolument inertes, les muscles
s les pieds augmentèrent ainsi que les symptômes spastiques dans le
membre
droit inférieur. 13. -Tiraillement douloureux e
des résultats négatifs. Constipation ; tonicité des muscles dans le
membre
gauche plus forte, cependant moindre que dans le
bas du thorax. Peu après apparaissent des symptômes de parésie des
membres
inférieurs, suivis de mouvements involontaires,
à l'endroit indiqué, surtout au côté droit, paralysie complète des
membres
inférieurs, suppression de la sensibilité à la
ouleurs en ceinture au niveau de l'endroit opéré, douleurs dans les
membres
inférieurs. 25. Le malade remue le pied droit,
embres inférieurs. 25. Le malade remue le pied droit, rapproche les
membres
écartés, dans la direction de la ligne médiane.
de la ligne médiane. 15. - Il remue facilement sur son lit les deux
membres
inférieurs ; étendue et force d'extension des a
crâniens fonctionnent régulièrement ; il se sert norma- lement des
membres
supérieurs, dans des proportions et avec une forc
rester couché sur le dos. La force et l'amplitude motrice des deux
membres
dans l'articulation de la hanche est lente et inc
ndances et les oscillations suivantes. 15 octobre 1910. Muscles des
membres
inférieurs sans flaccidité, leur tension bien n
e de piqûre, de brûlure, dans les pieds, d'engourdissement des deux
membres
inférieurs, augmentent les symptômes de parésie
ité ; disparition du senti- ment de la douleur et de la chaleur aux
membres
inférieurs, affaiblissement de ces deux formes
s. Le cours inégal, l'origine et l'accroissement de la paralysie du
membre
inférieur droit et beaucoup plus tard celui du
paralysie du membre inférieur droit et beaucoup plus tard celui du
membre
gauche, durant 9 mois,. sans aucun symptôme doulo
ra un gouvernement scientifique. Le Conseil d'Etat sera composé des
membres
suivants : du Président de la République et des p
sans reliefs musculaires accusés et sans adipose, ont le galbe des
membres
des enfants. Ils ne sont pas infiltrés ; les main
d d'ossification des os. La radiographie (PL XIV) des divers os des
membres
montre la persistance des cartilages épiphysaires
l'attitude que présente aux différentes phases de la progression le
membre
inférieur paralysé, les courbes qu'il décrit, l
lui de la marche, de façon à décharger le poids du corps sur un des
membres
inférieurs, après quoi l'autre membre subit un
le poids du corps sur un des membres inférieurs, après quoi l'autre
membre
subit un mouvement d'élévation et d'abduction, ju
'autre côté, à l'inverse de ce qu'il a fait t antérieurement, et le
membre
qui jusqu'à ce moment était resté ployé se tran
différence; mais elle se réalise vers le côté normal, l'attitude du
membre
paralysé empêcherait son ad- duction complète e
racle le sol par son bord externe Ce n'est pas à l'allongement du
membre
paralysé (type Mann de l'hé- miplégie) qu'on do
imension du pas. Dans des cas il y a, en effet, adduction limité du
membre
paralytique ; dans d'autres il y a réduction da
ralytique ; dans d'autres il y a réduction dans l'abduction du même
membre
; eufin dans un troisième groupe de cas (type C
côté paralysé, le corps tend à tourner plutôt dans la direction du
membre
malade. La démonstration des troubles que nous
apport à l'autre (4). Les figures S à 8 représentent l'abduction du
membre
normal. La progression vers le côté paralytique
ALOYSIO DE CASTRO sur la planche XVI; on y voit que l'abduction du
membre
ne produit pas le raclement du sol par le bord
nnaître avec détail les groupes musculaires pris de pré- férence au
membre
inférieur dans les différents cas. Nous devons
quefois dans sa période initiale. Après, viennent les secousses des
membres
: rapides instantanées, semblables à celles qui
infection méningée. Tinel et André Cain ont décrit une myoclonie du
membre
inférieur, chez un malade, comme équivalent jac
érébrale infantile congénitale. Les mouvements étaient localisés au
membre
supérieur droit du côté paralysé. Unverricht a
t ou d'un côté, ou de l'autre, localisées dans quelques muscles des
membres
, tantôt supérieurs, tantôt inférieurs, mais res
, pouvant ensuite s'étendre aux muscles du tronc et même à l'un des
membres
supérieurs, mais respectant toujours les muscles
à leur répartition, elles peuvent être localisées à la tête et aux
membres
, mais le plus ordinairement elles sont généralisé
lle a perdu la voix et a commencé à sentir des secous- ses dans les
membres
, ensuite dans le tronc et enfin dans la tête. Un
40 par minute. Ce phénomène se produit souvent dans les muscles des
membres
inférieurs. En 1909 les contractions avaient un
En 1909 les contractions avaient une prédilection initiale pour le
membre
inférieur droit, d'où elles passaient aux muscl
pour le membre inférieur droit, d'où elles passaient aux muscles du
membre
inférieur gauche en se propageant ensuite presq
nférieur gauche en se propageant ensuite presque instantanément aux
membres
supérieurs et quelquefois à la face. Quand la m
, aux bras et à la jambe droite ou plus généralisés au tronc et aux
membres
(fig. E) et encore à la tête ( fig. B). Nous ne
ous avons noté un mouvement presque symétrique de contrac- tion des
membres
supérieurs avec soulèvement des épaules, une peti
mouvement de latéralisation droite, avec extension du tronc et des
membres
supérieurs, notamment du bras droit. La durée de
ents similaires à ceux observés dans les autres positions. Dans les
membres
inférieurs les secousses produisent des mouveme
tronc. Ces mouvements sont un peu plus intenses du côté droit. Les
membres
supérieurs exécutent des mouvements similaires et
té avec l'âge. Il y a trois ans elle a,senti des secousses dans les
membres
et dans le tronc Au commencement elles étaient
. Ces contractions n'ont pas un siège fixe. Ou elles paraissent aux
membres
inférieurs, ou au bras, spécialement au bras droi
quentes. Souvent ce mouvement est accompagné d'autres mouvements du
membre
supérieur, du déplacement de la tête et de mouv
ssi que ce mouvement se généralise à tout le corps avec flexion des
membres
inférieurs et flexion du tronc sur les cuisses. Q
alade. D'autres fois les contractions sont localisées seulement aux
membres
infé- rieurs. Alors surviennent des flexions de
mêmes mouvements que quand elle est debout; mais les mouvements des
membres
inférieurs sont plus pro- noncés. Elle frappe t
cès. Le tronc s'incline dans le lit en flexion sur les cuisses. Les
membres
inférieurs font des mouvements les plus divers
ale de flexion totale ou partielle, d'adduction et d'abduction. Les
membres
supérieurs exécutent les mouvements habituels d
é, mais en in- tensité, des accès. En marchant, les secousses des
membres
inférieurs l'obligent à faire de pe- tits sauts
nt aussi être atteints. Les muscles les plus atteints sont ceux des
membres
supérieurs et inférieurs, du tronc, du cou, de la
les et des bras ; mais la symétrie n'existe pas dans les muscles du
membre
inférieur. Chez la seconde malade la symétrie
ion exacte des muscles préférés. Mais il semble que les muscles des
membres
inférieurs sont les plus atteints et spécialement
Tinel et André Cain qui ont observé des mouvements myocloniques du
membre
inférieur comme équivalentjachso- nien dans une
Shanahan les mouvements étaient localisés au visage, au cou et aux
membres
supérieurs et dans l'autre cas ils étaient géné
s supérieurs et dans l'autre cas ils étaient généralisés aux quatre
membres
. Les myoclonies familiales rl'Iliauerniclit ont
évelopper. Les contractions musculaires sont surtout accentuées aux
membres
et au tronc, moins appréciables à la face. Da
escomme chez nos deux observées présentent de grands mouvements des
membres
, du tronc, du cou, de la face, etc., comme cons
s plus accentués à la face et au cou, mais qui existaient aussi aux
membres
; mouvements qui ont apparu successivement et len
ndort rapidement d'un sommeil stertoreux, les sourcils froncés, les
membres
raidis et présentant t un certain degré de raid
is une cinquantaine d'années, d'étudier une famille royale dont les
membres
présentèrent des troubles mentaux nfultiples : le
ttes, constatées chez Jeanne la Folle et Charles II, la plupart des
membres
de cette famille ont présenté des ma- nifestati
en de la cuisse. On pourrait faire les mêmes constatations pour les
membres
inférieurs. Et le tronc ayant poursuivi son dév
voit adaptées les jambes d'un enfant de 5 ou 6 ans. La brièveté des
membres
est due à la réduction de toutes les parties qu
uction en longueur des os formant le squelette du même segment d'un
membre
. Un tel fait est plus évident à la jambe où le
difformités ne sont pas légères, où au contraire la micromélie des
membres
supérieurs est bien évidente. Mais je ne peux p
rencontrer des disproportions même dans le rapport des segments des
membres
. Ainsi à côté des cas d'achondroplasie classiqu
peuvent manquer, ou être très atténués ; ainsi les difformités des
membres
peuvent être à peine marquées, la tête peu volu
humérus ; enfin un cas de M. Variot t avec des lésions limitées aux
membres
inférieurs. M. Dufour a fait le diagnostic d'ac
le diagnostic d'achondroplasie incomplète dans un cas parce que les
membres
supérieurs n'étaient pas raccourcis, les doigts a
izomélique. Dans une observation de MM. Cbaron, Degouy et Tissot le
membre
inférieur droit était de beaucoup plus court qu
Bonnet, sur une femme arabe atteinte de micromélie rhizomélique des
membres
inférieurs (index tibio-fé- moral = 112). 162
sseuses qui apparaissaient de nature aclondroplasique; en effet les
membres
in- férieurs étaient anormalement petits en rap
les altérations osseuses prédominaient aux extrémités distales des
membres
; les cuisses, les jambes, les pieds et les mains
n élargi, la stature n'était pas celle d'un nain, la micromélie des
membres
inférieurs, bien que manifeste, était loin d'être
rotesque ; il y avait un léger degré de micromélie rhizomélique aux
membres
supérieurs, les doigts des mains ne présentaien
ie non indifférent dans les proportions réciproques du tronc et des
membres
et des différents segments de ceux-ci. En outre,
elève la disproportion entre le développement du tronc et celui des
membres
. Cette impression est amplement confirmée par l
95,8 à 100, au lieu d'être supérieure a cette dernière. De plus le
membre
supérieur n'atteint pas 40/100 de la hauteur tota
on veut analyser les chiffres correspondants aux divers segments du
membre
lui-même exprimés en centièmes de stature, on tro
charnues, les jambes légèrement arquées en dehors de sorte que les
membres
inférieurs apparaissent un peu trapus, mais sans
du crâne, mais pas trop si l'on ne considère que la base. Quant aux
membres
supérieurs, la tête de l'humérus apparaît grosse
: on relève la peti- tesse des omoplates et la largeur des côtes.
Membres
inférieurs. - Le col du fémur est gros, tassé et,
e proximale. L'ossification est complète dans tous les segments des
membres
. Bref, nous sommes en présence d'un homme dont
e ouver- ture des bras est à la hauteur ce que 95,5 est à 100), les
membres
infé- rieurs et les supérieurs réprésentant res
oeil exercé, non seulement relève une brièveté à peine marquée des
membres
supérieurs, mais il s'aperçoit que cette micromél
es confronter avec les données de l'homme normal, on trouve pour le
membre
supérieur entiér 40. 8 au lieu de .45 ; pour le b
AVENNA aucun indice de la main dite « en trident ». La position des
membres
supé- rieurs est normale, et très grande la for
ieurs est normale, et très grande la force que Frassi peut fournir.
Membres
inférieurs. Les membres inférieurs eux aussi prés
ès grande la force que Frassi peut fournir. Membres inférieurs. Les
membres
inférieurs eux aussi présentent à l'examen un r
dex tibio-fémural est égal à 100. Sauf cette brièveté anormale, les
membres
inférieurs sont bien conformés.Les jambes appar
up plus court que les autres. Tous les mouve- ment sont normaux aux
membres
supérieurs aussi bien qu'aux inférieurs. La sen
il digne d'être rapporté, aussi ne l'ai-je pas reproduite. Pour les
membres
supérieurs on peut confirmer la brièveté anormale
ie 58 millimètres. Les phalanges sont grosses, robustes. Pour les
membres
inférieurs, est évidente la direction nettement o
es de fractures. Le rachitisme est la cause du raccourcissement des
membres
parce qu'il 1 produit des courbures dans les os
ble, résulte de la comparaison des chiffres obtenus en mesurant les
membres
et les différents segments du corps de notre suje
penser à une forme de micromélie segmentaire symétrique diffuse aux
membres
supérieurs et aux inférieurs ; mais nous avons
mme un individu chez lequel les différents segments du corps et des
membres
sont de dimensions harllloniquemeut réduites. C
grosse et un léger degré de microsomie nettement rhizo- mélique aux
membres
supérieurs. Quant au sujet de la première obser
t de la première observation, la macrocéphalie et la microsomie des
membres
supérieurs sont si prononcées qu'elles consti-
tion delà microsomie pure. Même en prenant comme longueur totale du
membre
la somme des différents segments qui est supéri
qui se rap- porte à la circonférence du crâne et à la longueur des
membres
supérieurs, mieux proportionné que le premier c
sse anormale du ft." métacarpien ou métatarsien, rencontrée dans un
membre
ou dans tous les membres. La raison principale de
acarpien ou métatarsien, rencontrée dans un membre ou dans tous les
membres
. La raison principale de celle localisation nou
ongueur du tronc qui ne présente rien de parti- culier et celle des
membres
ni est très réduite. La tête est volumineuse. L
ur la ligne médiane. Les lobes latéraux semblent perceptibles. Le
membre
supérieur est court. La tête humérale se sent de
par la forme peu arrondie de la tête humérale. La radiographie du
membre
supérieur montre que l'humérus présente une for
osition en tri- dent des doigts. La radiographie du bassin et des
membres
inférieurs du malade H. Y... n'est pas bien réu
; de la fourcette sternale au pubis : 50 cen- timètres. Les deux
membres
supérieurs sont très courts et asymétriques, celu
e le niveau du pubis. La micromélie est surtout rhizomélique. , Les
membres
inférieurs sont également très courts, mais, ici
omélique, le bras : 20 centimètres, le fémur : 35 cen- timètres. Le
membre
inférieur : 65 centimètres. La circonférence de l
lle-ci était bien réduite et cela à cause des faibles longueurs des
membres
inférieurs, car le tronc ne semblait pas réduit
tive des glandes endocrines chez des animaux bassets et chez ceux à
membres
habituels. On devra étudier le poids et l'état
muette. On ne trouve aucune dystrophie du squelette chez les divers
membres
de la famille. Dès la naissance de l'enfant, on
faut de proportion qui existait entre l'extrémité céphalique et les
membres
est devenu plus sensible. La difformité est app
, surtout au niveau des petites articula- tions. Les extrémités des
membres
inférieurs présentent. des particularités analo
bien dans certains cas donner lieu à une réduction de longueur des
membres
, mais on observe en même temps des incurvations
u'il lui soit difficile de le démontrer à cause de la paralysie des
membres
, du cou, de la déglutition et l'impossibilité d
n mouvement avec la tête. Le malade n'accomplit aucun mouvement des
membres
supérieurs et inférieurs ; dès qu'on soulève ce
u'on soulève ceux-ci, ils retombent lourdement sur le lit. Dans les
membres
on ne remarque pas de troubles tropbiques et il n
ent abdominal mais costo-abdominal. Le malade, invité à mouvoir les
membres
supérieurs, réussit assez bien à exé- cuter l'o
e et ils sont faits par détentes. Il met également en mouvement les
membres
in- férieurs, mais l'activité est plus limitée
mpréhensibles, d'abord d'une voix aphone. Les mouvements actifs des
membres
supérieurs et inférieurs s'accomplissent mieux qu
température est normale (toujours sous 37°). ' On observe dans les
membres
supérieurs et inférieurs des mouvements cho- ré
l persiste encore de légers mouvements choréiformcs à la charge des
membres
supérieurs. la juin. - L'allure est encore moin
INTERNE 213 sans tremblements; les mouvements passifs et actifs des
membres
sont amé- liorés. Les réflexes superficiels son
, auxquels fit suite une forte diminution de la force dans tous les
membres
. Celle-ci très vite et en peu de jours devint u
sente une parésie du VIl" à droite, liée à une paralysie des quatre
membres
, des muscles du cou, de la dé- glutition : la s
pérature du corps devient normale. Alors l'enfant présente dans les
membres
supérieurs et inférieurs des mouvements choréi
c elle l'abolition des réflexes, tandis que chez mon malade dans le
membre
inférieur les achilléens étaient vivaces, ainsi
ons. En outre, l'évolu- tion spéciale avec ascension successive des
membres
inférieurs aux muscles des lèvres, de la langue
as toutefois, on n'atteint jamais la complète paralysie de tous les
membres
, comme on l'a constaté chez mon malade. D'autre
ment du mutisme, de la paralysie de la langue, du facial droit, des
membres
ajoutés à la dysphagie, dyspnée, etc., mais éclai
première ponction, après quelques heures seulement, la motilité des
membres
tendait à se rétablir et l'enfant réussissait à p
triques, sont bien per- çues. Le sujet n'a point de paresthésie des
membres
; sur la région des omo- plates, il sent de temp
plus satisfaisants, sont apparus les phénomènes de névrite dans le
membre
in- férieur gauche. Observation. M. T..., â
'elle ne peut faire aucun mouvement que nous lui demandions avec le
membre
malade, et elle nous empêche de lui toucher son
ions avec le membre malade, et elle nous empêche de lui toucher son
membre
. , 4 mai : Le membre inférieur garde la positio
ade, et elle nous empêche de lui toucher son membre. , 4 mai : Le
membre
inférieur garde la position qu'il a prise dès le
r les sensations thermiques sur le bord externe du pied. Du côté du
membre
inférieur droit on n'observe rien d'anormal. Le
ystème nerveux : Sensibilité : est intacte à la face, au tronc, aux
membres
supérieurs et infé- rieurs, à tous ses modes, o
face, aux yeux, au voile du palais, aux membres- inférieurs et aux
membres
supérieurs dans ses trois segments. Au dynamo-
henar et hypothénar. De même, les muscles du tronc, des bras et des
membres
inférieurs, les nerfs sciatiques présentent une
ant reçu- aucun coup d'un instrument tranchant ou contondant sur le
membre
supérieur. Il est au contraire permis d'hé- sit
M. le Dr Bonnet (4) ; elles y étaient entrées pour des névrites des
membres
in- férieurs contractées dans l'exercice de leu
lenteur de miction), de 1900, et les douleurs fulgurantes, dans les
membres
inférieurs, de 1902. - Signes de tabes classiqu
de tabes classiques à début lombaire. Parésie de la Ille paire. Les
membres
supérieurs sont aussi pris actuellement (surtout
r la taille du malade. Il est en effet « tout en jambes », et a des
membres
supérieurs d'une lon- gueur quelque peu démesur
jour. Il y eut de plus une complication de nature inconnue dans les
membres
supérieur et inférieur du côté droit, complicatio
dont la hauteur est due uniquement au dévelop- » pement exagéré des
membres
inférieurs ; les membres supérieurs présen- ten
niquement au dévelop- » pement exagéré des membres inférieurs ; les
membres
supérieurs présen- tent aussi une longueur anor
le buste est de dimension moyenne. Qu'il s'agisse d'ailleurs des
membres
supérieurs ou inférieurs, l'excès de développem
: exagé- ration de la taille par accroissement disproportionné des
membres
infé- rieurs, sans déformation acromégalique. -
ités. Il n'y a pas d'hémianopsie. Seul le développement exagéré des
membres
, surtout des membres infé- rieurs, attire l'att
hémianopsie. Seul le développement exagéré des membres, surtout des
membres
infé- rieurs, attire l'attention. Lui-même a re
tion du développe- ment des os longs, surtout du segment distal des
membres
inférieurs : 2° Un retard dans l'apparition des
t la haute stature (1 m. 86) est due au déve- loppement exagéré des
membres
inférieurs. L'apparition des caractères sexuels
atoire minutieux des sujets présentant un développement exagéré des
membres
, de nouveaux documents seront produits, dont bé
prend le pouls on sent les tremblements et les tressaillements des
membres
. Les accès de transpiration et de diarrhée pers
es contractures, accompagnée d'un état de sclé- rose de la peau des
membres
inférieurs. Plusieurs auteurs mettent en doute
ent des troubles thyroïdiens avec la sclérodermie de la face et des
membres
supérieurs, mais elle n'est pas en concordance
rties génitales ne pré- sentent aucune trace de pigmentation. Aux
membres
inférieurs, au contraire, les lésions sont plus m
phie musculaire, très accusée -aux mollets, diminue à la racine des
membres
et à la ceinture pelvienne. Les mouvements arti
- tamment du côté gauche. Les réflexes tendineux et périostés aux
membres
supérieurs sont plutôt vifs. Pas de troubles du
dant l'enfance. A Page de 10 ans elle éprouve des douleurs dans les
membres
inférieurs, se répétant de temps eu temps et qu
graduellement avec la croissance. Et j'ai trouvé que, chez quelques
membres
de la famille du malade, il existe de l'oedème
ui ont de l'oedènle des jambes, et de plus que des enfants d'un des
membres
qui n'en a pas lui-même, ont des enfants avec de
ui-même, ont des enfants avec de l'oedème des jambes. Chez tous les
membres
de celte famille qui ont de l'oedème et qui son
famille ne peut attribuer aucune cause marquante. J'ai vu tous les
membres
de la famille qui onl de l'oedème excepté un ;
oire de la médecine, on ne parle que de six familles, dont quelques
membres
en sont atteints. J'ai trouvé des cas donnés pa
e groupe, car je n'ai pu lire leurs propres écrits. Le nombre des
membres
des familles, qui souffrent de cette maladie, e
; Hope et French trouvaient, sur 5 générations d'une famille de 42
membres
, 13 affligés de celle maladie, pendant que dans
ment l'oedème chez des nouveau-nés. L'oedème existait chez quelques
membres
d'une famille et n'existait pas chez d'autres m
chez quelques membres d'une famille et n'existait pas chez d'autres
membres
de la même famille et l'oedème se montrait chez l
a même famille et l'oedème se montrait chez les enfants de certains
membres
d'une famille, qui n'en avaient pas eux- mêmes.
se. gauche écrasée. Le Dr Leblus ampute, à l'hôpital de Malines, le
membre
au quart infé- rieur de la cuisse et le réamput
ents, toute souffrance est dissipée. 2G...... ? Le malade remet son
membre
artificiel et, après un séjour il la cam- pagne
début des accidents). - L'hémi- plégie droite est très intense. Le
membre
supérieur est contracture en flexion très marqu
éré. La paralysie et la contracture sont beaucoup moins marquées au
membre
inférieur. La résistance aux mouvements de flex
ade ne se rend pas un compte exact de la position qu'on donne à son
membre
supérieur droit; de même quand on la touche, el
n remarque le développement sculptural de l'appareil musculaire des
membres
inférieurs ainsi que la délicatesse des attaches
inférieurs ainsi que la délicatesse des attaches articulaires. Les
membres
supérieurs, pendant la danse, sont fléchis à angl
. Il cesse les mouvements du corps pour exécuter des mouvements des
membres
supérieurs ; il se touche les oreilles, surtout d
alar- mèrent fort la malade. D'à bord un tremblement convulsif des
membres
supérieurs et du haut du corps, qui persista pe
nts avec rongements dans les articulations se montrè- rent dans les
membres
du côté droit : ces sensations douloureuses furen
i à gauche. Tous les mouvements volontaires sont conservés dans les
membres
tant supérieurs qu'inférieurs, droits que gauches
ce à la pression de la main droite et de la force de résistance des
membres
supérieurs et inférieurs droits. La marche est
insomnies persistent toujours. Pas de douleurs spontanées dans les
membres
. La malade est revue deux mois après, le 8 juil
usculaires convulsives ailleurs, à la tète, au cou, au tronc et aux
membres
. Exclusivement localisées à l'hémiface droite,
s traces très légères d'une parésie faciale droite. La motilité des
membres
est parfaite. Les réflexes sont normaux. Pas de
sistent en mouvements incoordonnés portant sur les mains et sur les
membres
inférieurs. Ces mouvements sont aussi marqués à d
ateur ouvre facilement, ce qui est impossible à droite. Du côté des
membres
supérieurs et inférieurs, la motilité spontanée e
pontanée est nor- male ; la marche se fait sans difficulté, mais le
membre
supérieur gauche est nettement plus faible que
ius) dans tous les segments. Cette différence ne se perçoit pas aux
membres
inférieurs. Les réflexes sont vifs des deux côt
aux membres inférieurs. Les réflexes sont vifs des deux côtés aux
membres
supérieurs. Il en est de même des rotuliens. Le
droit. Tuberculomes de la frontale ascendante : m, dans le centre du
membre
supérieur ; f, dans le centre de la face. B.
sure de Rolando où il occupait les centres moteurs de la face et du
membre
supérieur gauche. Deux autres sont retrouvés da
cérébraux (céphalée, troubles visuels, paralysies de la face et du
membre
supérieur gauches) des symptômes médullaires (K
écorce dans la frontale ascendante, au niveau des centres droits du
membre
supérieur TUBERCULOMES MULT1PLFS DU CERVEAU ET
jumelle normale, mariée et mère d'un enfant bien portant. Aucun des
membres
de cette nombreuse famille ne présente d'anomal
sont peu saillantes, et la graisse assez abondante, si bien que ses
membres
ont un aspect fuselé féminin. Malgré le développe
eins, le mamelon et l'aréole sont à peine indiqués. Au niveau des
membres
inférieurs on remarque simplement la saillie part
au niveau des muqueuses. Disséminées sur le thorax, les bras et les
membres
inférieurs, on remarque des lésions eczéma- teu
peu ridée, mais non infiltrée ; corps petit mais bien proportionné;
membres
sans relief, présentant le galbe de ceux d'un e
ileux normaux. Pas de syn- drome surrénal. Rien à signaler dans les
membres
, ni dans les viscères si ce n'est une légère co
nterosseux. Il semble que l'atrophie ait commencé par la racine des
membres
, dans la région scapulo-humérale. Les muscles d
des nerfs. Le début a eu lieu dans l'enfance et par les racines des
membres
; l'existence de la psemlo-liypertropltie et l'évo
: « il s'est toujours connu ainsi » et fait remarquer que plusieurs
membres
de sa famille ont la même dystrophie : son gran
voûte palatine a une courbure normale. Le squelette du tronc et des
membres
n'a rien de particulier à signaler. Les deux me
u tronc et des membres n'a rien de particulier à signaler. Les deux
membres
supérieurs identiques ont les dimensions suivan
ligne du coude à l'interligne radio-carpien= 26 centimètres. Les deux
membres
inférieurs ont une longueur totale de 88 centim
inférieurs ont une longueur totale de 88 centimètres. Les os dit
membre
supérieur, à la palpation, sont normaux. Les main
, avec une forme de battoir et une peau ferme et épaisse. Les os du
membre
inférieur sont normaux et ne présentent pas non p
approchent des modifications identiques rencon- trées chez d'autres
membres
de la même famille el rappellent enfin quelques
ues des mains et des pieds sans aucune déformation des os longs des
membres
». Notre sujet a en effet de fortes mains, mais
râne n'est ici atteint que tardivement, bien après le bassin et les
membres
: le crâne s'épaissit, le visage se raccourcit,
sée ou dissé- minée, mais presque toujours limitée aux os longs des
membres
, aux os du, tronc et et la voûte du crâne : c'e
une particularité intéressante : dans l'une, où la déformation des
membres
était caractéristique, la voûte du crâne était
DE DE LA BASE DU CRANE DANS LA MALADIE DE PAGET 453 déformation des
membres
faisait défaut, de sorte que le diagnostic ne put
t en, trouvant sur les coupes microscopiques du crâne el des os des
membres
les lésions historiques typiques de la maladie de
êmement prononcées, même en l'absence de toute déformation soit des
membres
, soit de la voûte. Semblable constatation est t
de deux ordres, tout à fait comparables en cela aux altérations des
membres
, à savoir : l'hypertrophie et la défor- mation
es radiographiques de la hase du crâne, comme sur celles des os des
membres
. Nous avons attiré l'attention, avec notre ami
ifférence pourtant que l'aspect ouateux est plus net sur les os des
membres
, sans doute simple- ment parce que, sur une bas
rmations existent au niveau de la base du crâne comme au niveau des
membres
, ainsi que l'a justement fait obser- ver tout r
tions avec celles que l'on constate, par exemple, sur un os long des
membres
on peul dire qu'il y a une incurvation totale d
haut et en avant, face en avant et en bas. Ici comme au niveau des
membres
, on peut dire que jusqu'à un cer- tain point l'
quement appréciable soit des os de la voûte, soit des os longs des
membres
. 466 LÉRI Ces altérations consistent en une h
nt s'observer en l'absence de lésions de la voûte ou de lésions des
membres
. 3° Les altérations de la base du crâne des pag
nées, mais s'est aggravée dans ces derniers temps. Pas d'ataxie aux
membres
supérieurs. Signe de Rllmbprg très net. L'examen
recurvatvm) et de la cuisse. Les réflexes tendineux sont abolis aux
membres
inférieurs; les réflexes cutanés sont faibles.
jective. Le malade se plaint de douleurs dans le corps, surtout aux
membres
inférieurs, parfois assez aiguës. Il y a aussi
mités inférieures, cas congénital et se présen- tant chez plusieurs
membres
de la famille, pareillement congénital chez tou
des douleurs dans la région lombaire et impotence fonctionnelle des
membres
inférieurs. - A l'age de 29 ans, il con- tracta
uté il y a 17 ans, date à laquelle il a senti une faiblesse dans le
membre
inférieur gauche. Cette faiblesse disparaissait p
ans, tourmentaient aussi le malade à la même date. L'impotence des
membres
inférieurs est restée telle jusqu'à l'entrée du
e, on constate que dans le décubitus dorsal il ne peut t relever le
membre
inférieur droit qu'à 5-10 centimètres seulement a
du lit. La répétition du même mouvement provoque la contracture du
membre
. La jambe gauche est tout à fait immobilisée. L
s. La sensibilité tactile, thermique et douloureuse, est abolie aux
membres
inférieurs et à la région abdominale inférieure
Il sentait des fourmillements et des engourdissements accentués des
membres
in- férieurs. Pendant deux semaines il a été so
OVICI lombaires apparaissent de nouveau, avec irradiations dans les
membres
infé- rieurs, engourdissement, de sorte qu'il s
sorte qu'il se voit obligé de garder le lit. Quelques mouvements du
membre
gauche ont persisté jusqu'à son entrée dans le
ervice. A l'examen du malade on constate une impotence complète des
membres
inférieurs qui sont maintenus dans l'attitude s
ie musculaire à la jambe et aux cuisses. - La motilité active des
membres
inférieurs est tout à fait abolie. La motilité
du genou droit. Les réflexes tendineux (rotuliens et achilléens) du
membre
inférieur droit sont exagérés. On obtient aussi l
e accuse des douleurs lombaires intenses avec irradiations dans les
membres
. La sensibilité objective, tactile, thermique et
st profondément atteinte. La sensibilité tactile est abolie sur les
membres
inférieurs et se continue sur une zone d'hypoesth
DE LA COAGULATION 489 Les réflexes achilléens sont abolis aux deux
membres
.Le phénomène de Ba- binski s'est effacé à droit
Le malade a un facies altéré, presque cachectique. La motilité des
membres
supérieurs est normale. Dans la région lombaire g
l'a et de la 11e vertèbres lombaires est douloureuse. L'examen des
membres
inférieurs indique une paraplégie flasque. La mo-
euse et thermique profondé- ment altérée. Les douleurs intenses des
membres
inférieurs persistent. In- continence et rétent
mnolent, avec quelques mani- festations délirantes tranquilles. Les
membres
inférieurs sont réduits pres- qu'au squelette E
e. En même temps, le ma- lade accuse des douleurs intenses dans les
membres
inférieurs, surtout dans la région postérieure.
la réception, un organisme bien bâti, pas d'attitudes vicieuses des
membres
supérieurs et inférieurs, pas de défor- formati
DE LA XANTOCHROMIR ET DE LA COAGULATION 491 La motilité active des
membres
inférieurs est complètement abolie au niveau de
ticulations. Passivement, on peut exécuter tous les mouvements. Aux
membres
supérieurs, il n'est gardé de la motilité des doi
tière. 24. On note une remarquable amélioration de la motilité. Aux
membres
supérieurs il exécute le mouvement actif d'oppo
ude. Il peut relever les bras, jusqu'à la position verticale. Aux
membres
inférieurs, l'amélioration de la motilité est moi
de la jambe sont un peu plus libres ; il ne peut pourtant relever les
membres
inférieurs du plan du lit. Les douleurs spontan
é dus cas observés par divers auteurs ont présenté des troubles des
membres
inférieurs - paraplégie - et l'examen indi- qua
e Lasègue (Lépine), jusqu'à la complète impotence fonctionnelle des
membres
inférieurs et atrophie musculaire massive (le 3
ésente une phase de transition ayant des phénomènes spastiques à un
membre
, pendant que l'autre avail les réflexes abolis
après les instructions de la Société d'Anthro- pologie. Taille et
membres
inférieurs. Leurs rapports. La taille, dans la
que dans les photogra- phies que nous reproduisons, la longueur des
membres
inférieurs par rapport à la taille est exagérée
gyptien de Lepsius, on voit que chez l'homme normal la longueur des
membres
inférieurs, à partir du pubis comme point de re
105 au lieu de 1 m. 165, que nous avons mesuré. La longueur de ses
membres
inférieurs dépasse donc de 60 millimètres les pro
orps et la longueur des GIGANTISME, INFANTILISME ET ACROMÉGALIE 5
membres
inférieurs apparaît encore plus grande si nous no
let, qui donne pour une taille de 1000 une longueur de 513 pour les
membres
inférieurs. D'après ce canon, à une taille de 2
ssus mentionnés, nous pouvons conclure que le géant portugais a les
membres
inférieurs notablement plus longs que ne le com
orme et en disproportion flagrante avec la partie fémoro-tihiale du
membre
le pied du grand Charles, étudié par MM. Launoi
Avec MM. Launois et Pierre Roy, nous disons que cet allongement des
membres
inférieurs réalise un type tout à fait particulie
rd et Loeper à la Société de Neurologie (2), était un bel exemple.'
Membres
supérieurs. - De même que les membres inférieurs,
e (2), était un bel exemple.' Membres supérieurs. - De même que les
membres
inférieurs, les membres supérieurs sont aussi t
ple.' Membres supérieurs. - De même que les membres inférieurs, les
membres
supérieurs sont aussi très longs, comme le prou
nte de la mesure qu'on obtient en ajoutant deux fois la longueur du
membre
supérieur (950) à la dis- tance bi-acromiale (4
ns un regard sur les proportions intrinsèques des trois segments du
membre
supérieur, si nous les comparons entre eux et ave
ments devaient avoir pour une longueur totale de 0 m. 9JO, celle du
membre
supérieur de José Lopes, si les rapports du can
tionné des mains et des pieds, par rapport aux autres seg- ments de
membres
. Revenons donc sur ces déformations squelettiques
Topinard, contraste par son exagération avec la longueur totale du
membre
supérieur, et surtout de son segment proximal (
imaux châtrés, le chapon et le boeuf spécialement, rallongement des
membres
postérieurs est aussi notoire, arrivant à donne
s (1), garde d'ha- bitude le décubitus latéral gauche ou droit, les
membres
inférieurs étant en flexion. La tête de confo
disparu. Les poils de cette région sont rares et très minces. Les
membres
supérieurs gardent d'habitude la position en demi
et friables. 36 MARINESCO, PAUHON ET M1NEA En ce qui concerne les
membres
inférieurs, on constate que les cuisses sont d'
facilement les ganglions inguinaux. La musculature du bassin et des
membres
inférieurs est très réduite. Sur la partie exte
ts. La malade garde quelques instants la position qu'on imprime ses
membres
. La marche est impossible surtout à cause de la
neuse des mus- cles postérieurs de la cuisse. En lui soulevant le
membre
supérieur et en le laissant tomber de lui-même,
ude, les mouvements deviennent douloureux et la malade gémit. Aux
membres
inférieurs, on constate que la flexion et l'exten
tude du pied-bot ? 7 Une fois les crampes intéressèrent aussi les
membres
supérieurs. Le signe de Trousseau n'existait pa
ouvé des modifications dans les dimen- sions et le poids des os des
membres
après l'élongation ou l'arrachement des nerfs r
GooD. - Analysé in Presse méd., 1906. 99. LORTET. - Allongement des
membres
inférieurs dû à la castration. Arch. d'An- trop
à la question au travail de Vaiobra : « Difformité congénitale des
membres
» où l'auteur étudie les susdites théories à trav
de médecine, avril 1885. 30. VALOBI\A, - Difformité congénitale des
membres
. Nouvelle Iconographie de la Sal- pètrière, sep
ombre, forme, grandeur et implantation. Etat normal du tronc et des
membres
inférieurs. Quant aux membres supérieurs, on y re
antation. Etat normal du tronc et des membres inférieurs. Quant aux
membres
supérieurs, on y re- marque l'anomalie qui sera
e fait même que la polydaclylie se manifeste plus fréquem- ment aux
membres
supérieurs qu'aux membres inférieurs sérail bien
lylie se manifeste plus fréquem- ment aux membres supérieurs qu'aux
membres
inférieurs sérail bien en harmonie avec ce qui
résentent des signes manifestes de polynévrite, surtout accusée aux
membres
inférieurs. « Cette association morbide est d'a
pas mentionné l'examen de la sensibilité et de la réflectivité des
membres
in- férieurs. D'un autre côté, l'étiologie de l
ns, douleurs à la malaxation des mollets. Hyperesthésie marquée aux
membres
inférieurs, moins nette aux membres supérieurs.
lets. Hyperesthésie marquée aux membres inférieurs, moins nette aux
membres
supérieurs. Atrophie musculaire du quadriceps,
membres supérieurs. Atrophie musculaire du quadriceps, parésie des
membres
inférieurs. Signes d'éthylisme : cauchemars, pi
ières boursoufftées, peu de cils, peu de cheveux, pas de poils, les
membres
cylindriques, en colonnes... Ce sont des dyslhy-
de sa face contraste singulièrement avec t'exiguïté du tronc et des
membres
. Un vêtement, très seyant d'ailleurs, dissimule a
avait sous les yeux ? artiste a su mettre en valeur la brièveté des
membres
, le développement disproportionné de la tète et
dylose rhizomélique (0'1<'(;'31)),0;, vertèbre, pix, racine, pÛQ"
membre
). Dans ces deux cas, toute la colonne vertébral
ans les muscles atrophiés. Exagération des réflexes tendi- neux aux
membres
inférieurs. Le système nerveux est normal. Les vi
ensibilité, surtout la sensibilité musculaire, est alfalblie dans les
membres
inférieurs. Douleurs de l'abdomen et vomissemen
ortir, ni marcher. Celles-ci apparaissaient à tout mouvement de son
membre
malade et même spontanément, de sorte que le pa
our et nuit, ne lui laissant aucun repos; amaigrissement marqué. Le
membre
inférieur droit est tout à fait immobile et, au
trouve une proéminence, au lieu du creux normal de cette région. Le
membre
droit est beaucoup plus court que le gauche. Il
gauche. Il existe une atrophie très marquée de tous les muscles du
membre
malade. Mais surtout l'atrophie est grande aux mu
onséquent soumis le malade au traitement spécifique, et appliqué au
membre
fracturé l'extension continue. L'état du malade
u'au point de vue général ; il faisait quelques mouvements avec son
membre
inférieur droit, les douleurs ont été diminuées
- pomatose diffuse. Les seins sont très volumineux. Au niveau des
membres
, il existe une in- filtration intense qui augme
mais seulement du tissu adipeux. Cette couche mesure au niveau des
membres
une épaisseur de 5 centimètres environ. Cerve
à Bel-Air, en décembre 1904. L'hémiplégie gauche est complète; les
membres
sont affectés d'une contrac- ture que l'on peut
rvation de Raconicéanu (2) où la gangrène nécessita l'amputation du
membre
et celle de De Amicis (3) suivie de mort par ga
a droite, avec de petites secousses de nystagmus, très rapides. Les
membres
inférieurs sont raides, surtout le droit, les r
inski parait douteux. La contracture est très marquée dans les deux
membres
inférieurs. : \ : \1\' . 13 194 SOUQUES La se
quand on les pique mais retire moins la droite que la gauche. Aux
membres
supérieurs, la contracture est plus marquée à gau
exes tendineux paraissent normaux. Le malade élève cons- tamment le
membre
gauche en dirigeant sa main vers la partie droite
s grima- çantes dans la partie droite du visage ; en même temps, le
membre
supérieur droit s'agite d'une façon non rythmiq
ps, le membre supérieur droit s'agite d'une façon non rythmique. Le
membre
inférieur, découvert dès le début de la crise,
lleur, il a eu des crises convulsives dans lesquelles la face et le
membre
supérieur, du côté droit, auraient seuls été ag
et des yeux, pas de nystagmus. L'hémiparésie droite est nette : les
membres
de ce côté retombent lourde- ment sur le lit ;
à droite. L'excitation de la plante du pied provoque le retrait du
membre
, à gauche ; à droite, ce retrait reste faible, à
qui lui sont donnés. A 11 h. 1/2, nouvelle crise convulsive dans le
membre
supérieur droit ; pas de secousses au membre in
ise convulsive dans le membre supérieur droit ; pas de secousses au
membre
inférieur qui est seulement raidi. De nouveau, la
vril. Il y a chez le malade une raideur généralisée très prononcée (
membres
supérieurs et inférieurs, nuque, trismus invincib
ux et paraît très affaibli intellectuellement. On voit au niveau du
membre
supérieur droit des secousses assez lentes (70
uis le rythme redevient régulier et plus lent. Rien à la face ni au
membre
inférieur. Le malade a une espèce de stéréotypi
d ; mêmes signes d'hémiplégie gauche. 3. Le malade présente dans le
membre
supérieur droit des mouvements convulsifs dépla
ur droit des mouvements convulsifs déplaçant les divers segments du
membre
. Ces mouvements persis- tent toute la matinée p
s disparaissent. Dans l'après-midi, nouvelles convul- sions dans le
membre
supérieur droit. Rien à la face ni au membre infé
convul- sions dans le membre supérieur droit. Rien à la face ni au
membre
inférieur. Le coma est absolu. 4. Le malade m
te époque gâteux et ne bougeait pas de sou lit. Il remuait bien ses
membres
et parlait facilement. Il est conduit à l'infirme
rie, d'une crise d'asystolie avec dyspnée, cyanose, gros oedème des
membres
inférieurs, stase pulmonaire ; l'auscultation rév
deux jours plus tard. Cette femme avait, en outre, une atrophie des
membres
supérieur et inférieur 200 ALQUIER ET KLAIIFELD
lade, cette atro- phie serait survenue à l'âge de 3 ans, les quatre
membres
auraient été paraly- és, au début. Aucun symp
une lête d'hydrocéphale, léger strabisme divergent, paraplégie des
membres
infé- rieurs avec contracture en flexion. Onani
s, parésie des inférieurs, et contractions toniques dans les quatre
membres
. Somnolence les quatre derniers mois, cécité co
aire lourdeur du bras droit et d'une diminution de la force dans ce
membre
. Plus tard (3-4 mois après) le malade constata
nser cette proéminence du côté droit. Etal actuel (janvier 1911).
Membre
supérieur droit. La main droite est en légère e
Pas de tremblement intentionnel, pas d'ataxie dans les mouvements.
Membre
supérieur gauche. - Le membre supérieur gauche se
el, pas d'ataxie dans les mouvements. Membre supérieur gauche. - Le
membre
supérieur gauche se présente d'aspect tout à fa
ltérations de la sensibilité à la piqûre sont bien manifestes sur les
membres
supérieurs, sur le cou et sur la poitrine jusqu
périeure du corps, mais cette altération est plus manifeste sur les
membres
supérieurs et sur la région de l'épaule. Dans c
ent sans s'en apercevoir. ' Cette thermo-anesthésie occupe les deux
membres
supérieurs, le cou, la par- tie supérieure de l
n- dant, il résiste à tous les mouvements qu'on veut imprimer à ses
membres
et fait des gestes d'impatience ; pourtant il é
ons de l'ouïe et de la sensibilité générale, impotence partielle du
membre
supérieur droit, due à une chute récente causée
du délire. Le malade présente quelques varices surtout marqués au
membre
inférieur droit, et un noevus vasculaire consti
'un franc. En avant ces taches ne dépassent pas la ligne médiane du
membre
autrement dit une ligue réunissant le milieu du p
assante ; ces taches pigmentées n'occupent pas tout un seg- ment de
membre
, et ne semblent pas correspondre par conséquent à
et sa localisation : il recouvre en effet la plus grande partie du
membre
supérieur et du thorax du côté droit ; sa teinte
ent quelques verrucosités ; au contraire sur la face postérieure du
membre
supérieur, et autour des îlots de peau saine que
uement la région sus;claviculaire, notre point de départ. Tout le
membre
supérieur est envahi, à part cependant quelques î
intéressante, à cause de la disproportion qui existe entre les deux
membres
supérieurs ; tandis que les membres infé- rieur
rtion qui existe entre les deux membres supérieurs ; tandis que les
membres
infé- rieurs ne présentent qu'une différence d'
oit, voici les dimensions comparatives des divers segments des deux
membres
thoraciques : Circonférence maximum du bras.
r à ce que le noevus ostéo-hypertrophique généralement localisé aux
membres
inférieurs siège ici au membre supérieur, ou enco
trophique généralement localisé aux membres inférieurs siège ici au
membre
supérieur, ou encore à ce qu'une légère dilatat
côté droit du corps. 2° Il existe sur la face postéro-interne du
membre
supérieur une série d'îlots de peau saine qui d
osseuse, spongieuse et ho- mogène. LES GRANDES ARTICULATIONS DES
MEMBRES
Vue anatomique macroscopique. - La tête de l'hu
pathologique et l'intégrité des articulations « de ces racines des
membres
», un affaiblissement de la mobilité (n'allant pa
es faits produit la transformation du rachis et des « ra- cines des
membres
» en un seul bloc osseux. L'ostéoporose est la lé
résence des lésions dans les ganglions rachidiens correspondant aux
membres
malades. Ainsi, dans le premier cas de paralysi
seuls les ganglions de la région cervicale du côté correspondant au
membre
atrophié sont lé- sés. Dans le deuxième cas de
sma de certaines cellules des ganglions rachidiens correspondant au
membre
paralysé il nous a été donné de constater la prés
chose. 3/o/ ! 7 ? La force est relativement conservée au niveau des
membres
supérieurs et inférieurs aussi bien à droite qu
onné l'intégrité parfaite de la motilité et de la sen- sibilité des
membres
supérieurs. Or on ne peut même pas supposer que
ofonde misère. Il était d'une saleté repous- sante et avait sur les
membres
inférieurs des plaies superficielles mais infecté
(n° 1,1911). Taille : 1 m. 78 dans la station debout. Hauteur des
membres
inférieurs partir du pubis : 0 m. 90. Par consé
s le canon égyptien de Septuis chez l'homme normal, la longueur des
membres
inférieurs à partir du pubis représente 10/19 de
anthropologie genevoise, p. 1092) cette disproportion au profit des
membres
inférieurs appa- rait encore mieux. ' Les div
nférieurs appa- rait encore mieux. ' Les diverses mensurations du
membre
inférieur droit et du membre infé- rieur gauche
mieux. ' Les diverses mensurations du membre inférieur droit et du
membre
infé- rieur gauche nous ont donné des chiffres
entimètres au lieu des 30 trouvés (PI. XLV11). Aucune portion des
membres
inférieurs n'est difforme, les orteils sont bien
qui d'ailleurs ne le gêne pas pour accomplir de longues marches.
Membres
supérieurs. Grande envergure : 1 m. 88, prise dir
droit de l'extrémité du médius gauche, le malade étant debout, les
membres
supérieurs étendus en croix. Cette grande env
'il est curieuxde noter, ce sont les longueurs différentes des deux
membres
supérieurs. Il suffit de jeter un coup d'oeil s
de 35 millimètres. Cet allongement porte sur tous les segments du
membre
supérieur, qui pris individuellement sont chacu
hacun plus longs que leurs homologues du côté opposé. Par contre le
membre
supérieur gauche est plus gros que le droit. On l
reproduire. Si maintenant nous opposons ces trois parties du corps,
membres
supérieurs, tronc et membres inférieurs, nous c
s opposons ces trois parties du corps, membres supérieurs, tronc et
membres
inférieurs, nous constatons que ces derniers bi
lement longs, s'harmonisent assez bien avec le tronc. Tronc solide,
membres
inférieurs robustes, pieds énormes. Les membres
nc. Tronc solide, membres inférieurs robustes, pieds énormes. Les
membres
supérieurs au contraire paraissent plus grêles.
60. Le malade savait d'ailleurs mal s'en servir. Il semble doncque le
membre
supérieur gauche soit plus fort que le membre s
Il semble doncque le membre supérieur gauche soit plus fort que le
membre
supérieur droit, ce qui cadrerait avec nos mesu
oit, ce qui cadrerait avec nos mesures puisque nous avons vu que le
membre
supérieur gauche était à la fois plus gros et p
ent très insouciant et paraît avoir peu d'affection pour les divers
membres
de sa famille. Il a assez bonne mémoire, mais u
déformé, mais son périmètre thoracique témoigne de son ampleur. Les
membres
supé- rieurs sont moins gros ; toutes proportio
s supé- rieurs sont moins gros ; toutes proportions gardées que les
membres
inférieurs et nous avons montré l'asymétrie si
inférieurs et nous avons montré l'asymétrie si appréciable entre le
membre
supérieur droit et le membre supérieur gauche.
ré l'asymétrie si appréciable entre le membre supérieur droit et le
membre
supérieur gauche. Ce n'est pas non plus un infa
comment expliquer par la pathologie glandulaire cette asymétrie des
membres
supérieurs ? Le système nerveux est-il atteint
plantées. Développement abondant de poils sur les épaules, sur les
membres
supérieurs, sur le thorax et sur la région sacro-
rax et sur la région sacro- lombaire. Le squelette du bassin et des
membres
inférieurs est normal. Pieds plats. Le thorax e
ALES 331 Les mouvements passifs offrent dans les divers segments du
membre
, une augmentation de résistance un peu supérieu
es suivantes du côté des membres- supérieurs et du thorax : a) Au
membre
supérieur droit : développement anormal du squele
base des deux os qui la constituent (syndactylie incomplète). b) Au
membre
supérieur gauche : absence congénitale du pouce (
le dérangement foetal.... détermine la transforma- tion de tous les
membres
dans le sens d'un excès, d'un défaut ou d'une d
formation des anomalies les plus variées du côté des extrémités des
membres
, est certainement trop hypothétique. Mais on pe
énitales regardent, en effet, le squelelle des parties distales des
membres
et celui de la face, précisément celles qui sont
clinaison du corps à gauche, traits figés exprimant l'indifférence.
Membres
inférieurs immobiles et fléchis. Poings fermés,
fléchis. Poings fermés, bras fortement repliés sur les avant-bras.
Membres
supérieurs.- Parésie complète et flexion des avan
ppréciable. L'inertie de la malade rend la recherche difficile. 1
Membres
inférieurs. Paraplégie complète avec contracture
mblaient et ce tremblement ne fit que s'accentuer et gagna tous les
membres
. Elle avait alors 17 ans. En octobre 1879, au m
rsal, elle ne peut se nourrir seule. On note alors : spasticité des
membres
inférieurs sans flexion, varus équin à droite s
ieurs sans flexion, varus équin à droite seulement; pas de clonus ;
membres
supérieurs en flexion sans contracture véritabl
lever la jambe en l'air - le genou en extension on observe : que le
membre
oscille pendant l'exécution du mouvement; et même
oubles deviennent plus accentués, c'est-à-dire les oscillations des
membres
inférieurs et du corps en général sont d'autant
plus difficile, les pieds sont écartés de 20 ai 30 centimètres, les
membres
plus raides, les pas plus courts, et les pieds
s est froid et humide, des douleurs fulgurantes lui passent par les
membres
inférieurs. De plus, depuis ce temps-ia, il a re-
c minutie la sensibilité des attitudes pour chaque articulation des
membres
inférieurs, y compris l'articulation des orteils,
nous ne pouvions pas lui plier les genoux s'il nous résistait. Aux
membres
supérieurs, rien d'anormal. Quoique ce malade n
t pas fixée. Sup- posons que nous avons un bâton de- la longueur du
membre
inférieur ; à l'une des extrémités, celle qui v
s contractions, l'ab- sence de fixité de la tête du fémur, quand le
membre
est soulevé en l'air, comme dans l'exemple préc
es contractions, qui s'observent quand le malade relève en l'air le
membre
inférieur, on les observe aussi quand il exécute
out autre mou- vement, comme par exemple : toucher avec le talon du
membre
relevé le genou de l'autre membre qui repose su
xemple : toucher avec le talon du membre relevé le genou de l'autre
membre
qui repose sur le lit; rester debout avec les t
e 350 NOICA statique et cinétique, nous les observons surtout aux
membres
inférieurs de nos malades ataxiques, car il s'a
ressemblent à des spasmes. Pour constater ce fait, il faut que les
membres
inférieurs soient nus et à découvert; alors on vo
lus ou moins vivement par ces oscillations, certains muscles de ces
membres
se contracter fortement et brusquement, et pend
us observons, soit quand le malade est couché et désire soulever le
membre
inférieur en l'air, ou toucher avec le talon un
haut, dans lequel le malade, étant couché dans son lit, soulève le
membre
inférieur étendu, est un mouvement simple. Pour
aire. Il est absolument logique de conclure que les oscillations du
membre
sont consécutives à ces contractions. Mais il
xxiv 23 35 i NOICA Nous observons, quand l'homme sain soulève lo
membre
inférieur en totalité, le genou en extension, q
l exécute ce mouvement et pendant 'tout le temps qu'il maintient le
membre
en l'air, à condition que le mem- bre ne fasse
la durée du mouvement, et pendant tout le lemps qu'il maintient le
membre
en l'air, à condition que le membre ne fasse pas
out le lemps qu'il maintient le membre en l'air, à condition que le
membre
ne fasse pas un angle droit avec l'abdomen. Si
ion que le membre ne fasse pas un angle droit avec l'abdomen. Si le
membre
est soulevé jusqu'à un angle droit, la contract
plus besoin d'un grand effort, car dans cette position verticale le
membre
s'appuie déjà sur son centre de gravité. Si m
on centre de gravité. Si maintenant nous lui disons d'abaisser le
membre
lentement, on sent alors que la contracture du
ntinuellement, diminue progressivement, et c'est seulement quand le
membre
est bien appliqué sur le lit qu'on sent que la
é sur le lit qu'on sent que la dureté disparaît. Par contre, si, le
membre
étant soulevé, nous lui disons de le laisser '
ps mou. 2° Si maintenant nous disons à l'homme normal de relever le
membre
en l'air, pendant que nous tenons dans une de n
de plus en plus, et elle devient beaucoup plus dure encore quand le
membre
arrive à faire un angle droit et même à le dépa
on musculaire, et si celle dureté est encore exagérée, c'est que le
membre
se renversant sur l'abdomen, le muscle s'étend.
té dès le début du mou- vement. t. Si nous soulevons nous-même le
membre
du malade en lui disant de ne LE MÉCANISME DE L
ais seulement un peu plus tard, quand il commence à être étendu. Le
membre
étant soulevé en l'air, par la volonté de l'indiv
se reposer, soutenu seulement par noire main appliquée derrière le
membre
, on se rend compte alors que la dureté des mucl
s muscles adducteurs se contractent, puis, continuant de relever le
membre
, celle dureté diminue et disparaît même, surtou
le membre, celle dureté diminue et disparaît même, surtout quand le
membre
se rapproche de la position verticale. Cela s'e
t n'est plus nécessaire. Si l'homme abaisse maintenant lentement le
membre
, la masse muscu- laire des adducteurs est tout
urs est tout le temps flasque, sauf à la fin du mouvement, quand le
membre
est près d'arriver sur la surface du lit, alors o
probablement parce que l'homme croyant qu'il a abaissé trop vite le
membre
, il contracte ces muscles de nouveau pour reten
embre, il contracte ces muscles de nouveau pour retenir la chute du
membre
, mais ceci pour très peu de temps. Il résulte d
si. Si nous reprenons l'exemple précédent, quand l'homme soulève le
membre
infé- rieur en l'air, nous avons vu que dès le
l doit faire un effort pour relever un levier, lourd comme l'est le
membre
inférieur, fait un effort beaucoup plus grand q
plier simplement l'avant-bras sur le bras. De même, en abaissant le
membre
, nous avons vu que pendant toute la durée de la
que les muscles adducteurs, qui étaient mous pendant la descente du
membre
, se sont contractés eux aussi à la fin, car l'h
à la fin, car l'homme craignant d'avoir abaissé trop rapidement son
membre
, il contracte ceux-ci pour le retenir. Voilà je
end très bien, maintenant, pourquoi l'homme normal, en soulevant le
membre
inférieur étendu en l'air, contracte tous les mus
e autour de l'articulation coxo-fémo- rale, et ne permettent pas au
membre
d'osciller.' La physiologie d'un mouvement simp
La physiologie d'un mouvement simple comme celui de la flexion dn
membre
inférieur, étant bien saisie, il est très facile
i troublent involontaire- ment l'équilibre statique et cinétique du
membre
. Regardonsunataxique, à qui on dit de soulever
gardonsunataxique, à qui on dit de soulever la jambe en l'air ; son
membre
oscille en dedans ou en dehors. Profitons d'un
membre oscille en dedans ou en dehors. Profitons d'un moment que le
membre
n'oscille pas, et palpons-lui ses muscles : on
durs, et ceux-ci par la volonté du malade. Disons-lui d'abaisser le
membre
, et de le laisser sur le lit, on voit t que rap
le membre, et de le laisser sur le lit, on voit t que rapidement le
membre
tombe , tant la contracture des muscles antérie
dans les muscles latéraux pour retenir la descente trop brusque du
membre
. LE MÉCANISME DE L'ATAXIE TABÉTIQUE 357 Au co
traire, attirons son attention, en lui disant de bien maintenir, le
membre
en l'air, de ne pas le laisser osciller; on voit
et de nouveau ils se relâchent et puis le malade laisse tomber son
membre
, en nous disant qu'il n'en pouvait plus, qu'il
ué. Ceci s'explique parce que le malade, pour maintenir fixement le
membre
en l'air, avait besoin de grands efforts volont
ucoup d'attention, tandis que l'homme normal maintient longtemps le
membre
en l'air, on peut dire presque automatiquement.
rnier cas la fatigue met beaucoup de temps pour apparaître. Si le
membre
oscille par conséquent quand le malade le soulève
rieur à la tonicité normale des muscles, on l'observe même quand le
membre
repose tranquillement sur le lit, et il dure qu
se tranquillement sur le lit, et il dure quand le malade soulève le
membre
et le maintient en l'air. Il est vrai qu'au déb
araît rapidement. Il est vrai aussi que plus le malade soulève le
membre
, plus on sent. seulement du côté postérieur, qu
ces muscles-là s'étendent et se durcis- sent. Il en résulte que le
membre
ne peut osciller que latéralement, ce qui arriv
s croire qu'on puisse implicitement renverser plus qu'il ne faut le
membre
sur le bassin ; il se peut très bien que la mas
re sur le bassin ; il se peut très bien que la masse musculaire des
membres
inférieurs soit déjà molle et fiasque, quand la
qu'il faut y rap- porter la flaccidité et la mobilité anormale des
membres
. Ils n'ont pour ainsi dire plus de frein, il n'
SME DE L'ATAXIE TABÉTIQUE 351l ) flexion; ils sont lancés comme les
membres
d'un polichinelle. L'liarmo- nie des antagonist
cés dès leur enfance à faire des mouvements très étendus avec leurs
membres
, ne sont pas pour cela, des ataxiques. L'exagér
e, les atrophies devaient remonter de la périphérie à la racine des
membres
; ayant débuté à droite, en 1895, par la main et
nt imprécis. Les manifestations du côté des organes pelviens et des
membres
infé- rieurs s'expliquaient par l'hypothèse d'u
'eau dans la tête ; elle ne se rappelle pas les dimensions de leurs
membres
, et il est impossible de savoir s'ils étaient ach
asiques. L'exiguïté de la taille tient uniquement à la brièveté des
membres
inférieurs. La micromélie est aussi marquée au
s membres inférieurs. La micromélie est aussi marquée au niveau des
membres
su- périeurs, elle est rhizomélique, ; en effet
médecin, ils avaient de l'eau dans la tête; mais elle ne sait leurs
membres
étaient anormalement courts, et l'on ne peut sa
udure est retardée, expliquant ainsi le développement exa- géré des
membres
, L'opposition enlre le gigantisme et l'achondropl
c est sensiblement normal, l'anomalie porte exclu- sivement sur les
membres
, qui présentent soit une brièveté anormale, soi t
système glandulaire qui tient sous sa dépendance la croissance des
membres
, qu'il faut incriminer. Il existe d'ailleurs
fantilisme prolongé; ce sont des adolescents, détaille ,élevée, aux
membres
très développés, mais dépourvus des caractères se
taille de leurs condisci- ples ; leur buste est développé, mais les
membres
sont un peu courts, les jambes surtout ; en môm
et leur tronc son bien dévelop- pés, mais la brièveté relative des
membres
attire l'attention. Il semble bien qu'en pareil
s. Soc. de pédiatrie, 16 juin 1908. IIektveiW - Corps d'un nain à
membres
courts. Cf. Rev. Neurol., 1906, p. 949. Hoaaous
os épais, ce qui favorise l'épaississement des muscles ; il a comme
membres
des bras de leviers courts, ce qui favo- rise l
du même côté; il se produisit alors des mouve- ments convulsifs des
membres
gauches, avec chute, rotation de la tête à gau-
; accessoirement ils ont un peu d'oedème, soit de la face, soit des
membres
; parfois entin des rides. Voyons avec quelle fr
nt; le cou, les joues, le busle sont toujours aussi glabres que les
membres
, le pénil n'a que quelques rares poils clairsemés
orchite trau- matique, nous avons noté un allongement insolite des
membres
supérieurs et inférieurs. La radioscopie et la
ien d'exac- tement calqué. Par ailleurs les allongements des os des
membres
infé- L'INFANTILISME RÉGRESSIF OU TARDIF 415
téristiques de la croissance du squelette ; or la disproportion des
membres
inférieurs, les caractères de la voix et la men
ît la conservation du type infantile, un allonge- ment insolite des
membres
, une légère infériorité intellectuelle et morale.
à la même époque par de la faiblesse générale; puis gonflement des
membres
inférieurs et de la face. La peau est pâle, n
e n'est pas bouffi ; infiltra- tion adipeuse légère du tronc et des
membres
; les téguments du tronc et des membres inférie
euse légère du tronc et des membres ; les téguments du tronc et des
membres
inférieurs sont un peu épaissis ; la peau est rid
On est frappé par la disproportion qui existe entre la longueur des
membres
et celle du tronc. Assis, il paraît d'une taille
t féminines, avec les hanches larges et la taille plus étroite. Les
membres
sont assez mal proportionnés ; étendu sur un plan
leurs ne peuvent se retrouver qu'a un examen attentif. L'oedème des
membres
existe uniquement aux parties déclives et encor
s. Il est proba- ble que cet accroissement s'est fait au niveau des
membres
qui, d'après les chiffres donnés plus haut, son
ti. Pas d'ostéomalacie, pas de signe de Laszko. La radiographie des
membres
a montré des cartilages soudés (voir la planche
autres sens ; la sensibilité parfaite et les réflexes conservés aux
membres
et aux yeux. Le tube digestif fonctionne parfai
e la fièvre, et il a souffert de partout, dans les lombes, dans les
membres
inférieurs ; les douleurs abdominales s'accompa
ez lente sur un ton dolent et monotone. - Le cou, le tronc et les
membres
sont un peu amaigris : la peau est lisse, sembl
s un état de santé générale parfaite et, en dehors de l'état de ses
membres
supé- rieurs, il ne présente aucune difformité.
bras et les avant-bras (PI. LXXI,lig, 2). Alors que le tronc et les
membres
inférieurs sont bien proportionnés et d'un dévelo
ob- servé en janvier 1910. Il n'existe d'état similaire chez aucun
membre
de la famille. Autant qu'il peut être établi, l
s le cas précédent, la seule défectuosité à si- gnaler concerne les
membres
supérieurs. Un coup d'oeil sur la photographie
eint et dépasse ainsi le tiers de la longueur normale du segment de
membre
. = 3° Hauteur du sujet : 163 centimètres. 4°
ptio des deux tibias qui se présentent quelque peu arqués, les deux
membres
inférieurs, le tronc et la tète sont normalement
te du corps ; et le raccourcisse- ment affecte les deux segments du
membre
supérieur ; de plus le membre su- périeur gauch
se- ment affecte les deux segments du membre supérieur ; de plus le
membre
su- périeur gauche est plus court que le droit
re micromèle. Elle est vigoureuse. Elle se dandine en marchant. Les
membres
inférieurs sont normaux aussi bien que le tronc e
lé- ments d'un complexus capable d'affecter les autres segments des
membres
? 3° Ne s'agit -il que de l'une des caractérist
. On y note par exemple le raccourcissement de tous les segments du
membre
supérieur et la main gauche y présente les caract
lets. Ainsi Jules et Roger Voisin ont décrit un cas dans lequel les
membres
étaient plus LA 1111CRO}IÉLOE HUMÉRALE BILATÉRA
'inversion dans les proportions relatives des deux segments du même
membre
. Du- four a enregistré un cas où il y avait abs
des centres trophiques, et une atrophie passive observée dans tout
membre
condamné à l'immobilité. Le système osseux prés
usculaire et des douleurs que l'aspect généralement satisfaisant du
membre
blessé ne peut expliquer. Pour Sudeck, la lésio
e présentent qu'une atrophie lente proportionnelle à l'impotence du
membre
. Les os qui ont conservé leurs relations normal
aissent pas justifiées par les signes objectifs, qu'il s'agisse des
membres
supérieurs ou des membres inférieurs, il y a li
les signes objectifs, qu'il s'agisse des membres supérieurs ou des
membres
inférieurs, il y a lieu, avant de s'arrêter l'i
e sensibilité superficielle et profonde surtout aux extrémités, des
membres
ma- lades quelques phénomènes ataxiques. Voilà
es avec le même résultat chez nos malades tabétiques, ataxiques des
membres
supérieurs, et puis encore chez un autre hémipl
Il s'agit d'un malade, J... A..., tabétique et ataxique des quatre
membres
, âgé de 56 ans, et entré à l'Hospice Zerlendi,
lade de tabès, il a eu une hémiplégie droite, qui a été gué- rie au
membre
supérieur presque complètement, mais son membre i
i a été gué- rie au membre supérieur presque complètement, mais son
membre
inférieur est resté paralysé depuis ; son tabès
x pieds, qui petit il petit ont envahi tout le corps, y compris les
membres
supérieurs, sauf la tête. Puis sont survenues d
auf la tête. Puis sont survenues des douleurs assez fortes dans les
membres
, mais non comparables au début avec les douleur
éagissent à la distance (signe d'Argyll- Roberston positif). ' Le
membre
supérieur droit ne se ressent plus de l'attaque d
la maiu droite indique 95 divisions et à gauche 85 divisions. Le
membre
inférieur droit est.au contraire bien paralysé, c
exion et d'extension du genou, mais il est incapable de détacher le
membre
entièrement de la surface du lit. Quant à la ré
s imprimer à cette jambe elle est nulle. Les mouvements actifs du
membre
inférieur gauche sont conservés, mais faibles e
s les réflexes tendineux et cutanés sont abolis des deux côtés, aux
membres
supérieurs comme aussi aux membres inférieurs. Le
sont abolis des deux côtés, aux membres supérieurs comme aussi aux
membres
inférieurs. Le malade souffre de constipation,
e sens des at- titudes est complètement perdu aux articulations des
membres
inférieurs et à toutes les articulations des me
iculations des membres inférieurs et à toutes les articulations des
membres
supérieurs, sauf aux articulations sca- pndo-hu
ulaire, n'est pas seulement utile pour diri- ger volontairement nos
membres
vers un but déterminé, quand nous avons les yeu
quand nous avons les yeux'fermés, ou que nous ne regardons pas nos
membres
quand ils se meu- vent, comme nous venons de le
e : c'est grâce à cette sensibilité profonde que nous dirigeons nos
membres
et nos segments des membres, avec la vitesse que
ibilité profonde que nous dirigeons nos membres et nos segments des
membres
, avec la vitesse que nous voulons, et dont nous
aurait fallu contracter les extenseurs. Si je passe maintenant aux
membres
inférieurs, pour voir quels sont les troubles m
e ne peut ni marcher, ni même se mettre debout. Il remue à peine le
membre
inférieur et ceci avec beaucoup de difficulté.
ant de fléchir le genou, il faudrait raidir toute la musculature du
membre
inférieur, et par conséquent, il ne peut pas plie
rouve notre malade de pouvoir faire les mouvements combinés avec le
membre
inférieur doit nous faire réfléchir un instant.
he est une réunion de mouvements combinés que nous faisons avec nos
membres
inférieurs. Par exemple, pour porter la jambe e
musculaire ou du sens des attitudes, comme nous l'avons vu aussi au
membre
supérieur, pour beaucoup de mouvements combinés
ique nous n'ayons pas trouvé chez nos autres malades, ataxiques des
membres
inférieurs, cette absence des mouvements.combinés
lternance bien régulière, pour que la marche soit parfaite. Déjà au
membre
supérieur nous avons vu chez notre malade que les
on actuelle. Nous désirons ajouter que celui-ci présentait aussi au
membre
inférieur gauche des troubles du premier groupe,
lé, quand nous voulons exécuter des mouvements volontaires avec nos
membres
. Observation III A. F..., âgé de 46 ans, anci
e a commencé il y a huit ans, par des douleurs fulgurantes dans les
membres
inférieurs, qui ont été longtemps con- sidérées
t abolis. Les réflexes cutanés abdominaux sont seuls conservés. Aux
membres
supé- rieurs, les réflexes sont normaux. Les
attitudes qui est complètement aboli à toutes les articulations des
membres
in- férieurs. Aux membres supérieurs, le sens
nt aboli à toutes les articulations des membres in- férieurs. Aux
membres
supérieurs, le sens des attitudes est conservé, e
s est conservé, et on n'y ob- serve pas d'ataxie. Au contraire, aux
membres
inférieurs, l'ataxie est très grande, quoique l
ec les yeux fermés. Pour toucher avec un talon le genou opposé, son
membre
mobile oscille, et ne peut pas toucher le genou
toucher le genou en tenant les yeux fermés, il fléchit la jambe du
membre
avec lequel il veut toucher le genou opposé, si b
s nouveaux, d'un tout autre ordre. Nous avons vu qu'il soulève le
membre
trop brusquement et plus fort qu'il ne faut. De
tenir ce trouble ? Si nous nous rappelons les troubles ataxiques des
membres
supérieurs que présentait le malade de la secon
s avons interprété ces phénomènes par l'absence du sens profond aux
membres
supérieurs, d'où il ne peut plus graduer son ef
tant. Quand le malade, cité plus haut,est couché au lit et soulève le
membre
infé- rieur trop brusquement, et plus loin que
rts, et s'il le fait avec grande précaution, il réussit à soulever le
membre
presque comme une personne normale, c'est-à-dir
ervation plus loin, et qui présentait le même trou- ble : que si le
membre
dépassait, en s'élevant, l'angle droit, c'était,
au moins à ce moment-là, quand il fai- sait un angle droit - que le
membre
va trop loin, mais que s'il allait trop loin, c
Frenkel, c'est-à-dire chez qui on pouvait renverser passivement le
membre
sur l'abdo- men plus que chez l'homme normal, l
était normal - de le faire, et le malade ne pouvait plus retenir le
membre
, qui avait pris trop d'élan. Mais est-ce tout ?
ce qui se passe en réalité chez des pareils malades trop avancés le
membre
prend alors dès le début un grand élan, ne pouv
encore parce que, dans ce cas, le sens articulaire étant aboli aux
membres
inférieurs, le malade était privé de renseignemen
scillations et surtout sur le sens des oscillations du tronc et des
membres
inférieurs. Avant de passer à une autre observa
avaient perdu le sens articulaire à toutes les ar- ticulations des
membres
inférieurs, y compris les articulations coxo-fémo
u pied droit, qui progres- sivement dans une année a envahi tout le
membre
inférieur, jusqu'à sa racine. (1) Ce phénomène,
ent - cette fois-ci dans trois mois est montée jusqu'à la racine du
membre
correspondant. Il est survenu après un engour-
einture, qui rapidement est descendu en bas, envahis- sant les deux
membres
inférieurs jusqu'aux pieds. . Cet engourdisseme
e nous le ver- rons plus loin. La sensation de brûlure, il aent aux
membres
inférieurs et surtout aux pieds, encore aujourd
es pieds. Une fois les brûlures pas- sées, il a continuellement les
membres
froids, depuis les genoux jusqu'aux orteils.
tes surtout la nuit : il a la sensation qu'on lui implante dans les
membres
inférieurs des couteaux et qu'on les tord sur p
du toucher sur le bord interne de la main droite. Pas d'ataxie aux
membres
supérieurs, mais il y a tout de même un commenc
rès troublé aux hanches, sans être aboli complètement. La chair des
membres
inférieurs est molle, flasque, et en plus le mala
er son genou, si le malade résiste. Tous les réflexes tendineux des
membres
inférieurs et des membres supé- rieurs sont abo
résiste. Tous les réflexes tendineux des membres inférieurs et des
membres
supé- rieurs sont abolis ; de même les réflexes
Pendant l'exécution de ce mouvement, il surveille bien des yeux le
membre
qui se déplace, pour qu'il n'oscille pas, et po
de la ligne de direction. Car s'il ne regarde pas, ou s'il déplace le
membre
en fermant les yeux, on observe qu'il relève le
is-ci il soulève le pied plus haut que normalement, les segments du
membre
fléchissent plus qu'il ne faut, et quand il étend
tion du second mécanisme, il cite, du côté des mains et du côté des
membres
inférieurs, des exemples des phénomènes ataxiqu
des mains, absence ou (rouble de tous les mouvements coordonnés des
membres
supérieurs et inférieurs, etc. De plus,les mouv
IQUE DES MALADIES CUTANÉES ET SYPHILITIQUES PAR PAUL RICHER
MEMBRE
DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE PROFESSEUR d'ANATOMIE
. 519). L'ACROCYANOSE CHRONIQUE HYPERTROPIIIANTE 5 des pieds. Aux
membres
inférieurs, la peau était tendue ; la pression n'
ux mains. Pendant l'examen, une coloration rouge franc apparaît aux
membres
inférieurs : cette coloration est intermittente
ît aux membres inférieurs : cette coloration est intermittente. Aux
membres
supérieurs, la teinte est d'un bleu accusé. Par
ments, mais la force musculaire est no- tablement diminuée aux deux
membres
supérieurs, au dynamomètre. A droite : 22.38.
ie est strictement limitée à la tête et que le tronc, le cou et les
membres
ne présentent pas trace d'atrophie. Aujourd'hui
'hémiatrophie faciale s'accompagnant d'hémiatrophie du tronc et des
membres
et les cas d'hémia[cophie sans par- ticipation
s de la malade est hystérique. Les autres sont bien portants. Aucun
membre
de la famille n'a présenté d'oedème segmentaire a
leu de méthylène et l'électri- cité, essais d'hypnose, élévation du
membre
morbide sur un plan incliné, com- pression grad
ïdienne avec des glandes fraîches de mouton, etc.) L'élévation du
membre
diminuait son volume, mais temporairement; l'opo-
a pro- duit une sudation bilatérale et symétrique des téguments des
membres
infé- rieurs. L'examen des urines a donné les
trophoedèmes dans laquelle l'affection avait procédé chez trois des
membres
, et au début tout au moins, par des poussées su
on debout de la malade. Dansle décubitus dorsal .les proportions du
membre
inférieursontmoindres, et l'oedème se transform
, l'hypertrophie s'est encore déve- loppée ; elle porte sur tout le
membre
et sur la moitié interne de la main, le lipome
S. - 1,'affection est congénitale (PI. VIIIetI1). L'hypertrophie du
membre
droit a été constatée dès la naissance; elle po
Eo. CLAPARÈDE, Avons-nous des sensations spécifiqups de position des
membres
? 7 (Année psychol. VII, 1901). A PROPOS DU S
celle de savoir comment nous arrivons à percevoir l'attitude de nos
membres
(je n'aborde pas ici la question de l'attitude
fiant rien par elles-mêmes correspondant à chacune des attitudes du
membre
évoqueront alors, par association, l'usage de l
r association, l'usage de la distance qui sépare telle partie de ce
membre
d'autres parties plus ou moins voisines, de même
'après l'hypothèse de M. Bonnier non la forme et la position de nos
membres
, mais la forme et la position des constellation
des constellations de neurones correspondant à l'innervation de ces
membres
. A moins d'admettre que ces constellations repr
hommage inattendu, lorsqu'il dit, par exemple, que dans le repos du
membre
« la conscience abandonne la représentation [de
ion acquise ? Notion déposition. La connaissance de la position des
membres
n'est qu'un[cas particulier du problème de la l
CLAPARÈDE sensibilité superficielle, dans le cas de l'attitude d'un
membre
, elles le sont par les voies de la sensibilité
ion de toute nature met en jeu la détermination de la position d'un
membre
. A ce propos, je tiens à relever encore un sing
rmédiaire de celles-ci que s'établit la perception de l'attitude du
membre
. Tel n'est pas l'avis de M. Bonnier : L'interve
e objectif, c'est-à-dire comme désignant simplement le mouvement du
membre
, et comme n'impliquant pas de la part du sujet la
e, ont conservé cependant la sensation de mouvement passif de leurs
membres
. A quoi M. Bonnier, qui ne nie pas le fait, ré-
ient mieux sentir ['attitude (ou les attitudes successives) de leur
membre
lorsqu'on soumet celui-ci à des mouvements, mai
l'au- tre ; on arrive à ne plus se comprendre. « Le mouvement d'un
membre
est une circonstance très favorable à la notion
e Saint-Pétersbourg est peut-être plus véridique par l'attitude des
membres
, le renversement en arrière de la tête, le gonf
tion doulou- reuse ni inflammatoire. Depuis cette époque, tout le
membre
supérieur gauche est affaibli, amaigri, même at
mble et le sujet n'est pas gaucher. Aucun trouble fonctionnel des
membres
inférieurs. Vers l'époque où le malade s'aperçu
ieure et à la moitié de l'avant-bras pour la face postérieure. Au
membre
droit on constate une légère thermo-analgésie rép
onstrueuse et indolente, d'une atrophie muscu- laire progressive du
membre
supérieur gauche et d'une dissociation de la se
che et d'une dissociation de la sensibilité aux extrémités des deux
membres
supérieurs. Au mois de janvier (4 janvier), cin
trique des muscles est pratiqué par M. Allard. Tous les muscles des
membres
supérieurs et des épaules se contractent normal
actent normalement aux deux courants faradique et galvanique. Aux
membres
inférieurs, la contraction est normale pour tous
nfantile. Toute la moitié gauche du corps, la face, le tronc et les
membres
présentaient un arrêt de développement très prono
u palais et la luette étaient deviés du côté droit. Sensibilité des
membres
intacte. Abolition complète de l'ouïe etpresque
, la fonte musculaire complète aussi bien sur le tronc que dans les
membres
. Le malade mourut trois ans et demi après le dé
épilepsie avec mauvais penchants. Antécédents héréditaires. - Aucun
membre
de la famille de B... n'a été interné. Son père
édés d'une aura qui se manifeste par une sensation de frôlement aux
membres
inférieurs, gagne le tronc et les membres supérie
ensation de frôlement aux membres inférieurs, gagne le tronc et les
membres
supérieurs. En serrant fortement les poignets d
l'aura se manifeste toujours par une sensation de frôlement sur les
membres
inférieurs. A la suite des accès, B... reste ob
thique, n'en a pas moins une évolution centrifuge, de la racine des
membres
à la périphérie comme dans la myopathie. L'état
10 uns, le malade commence à ressentir de la faiblesse de tous ses
membres
avec douleurs parfois violentes parcourant les me
de tous ses membres avec douleurs parfois violentes parcourant les
membres
, Chutes fréquentes avec sensation de dérobement
t douleurs furent d'emblée sy. métriques et généralisées à tous les
membres
. Toutefois le malade conservait encore la possi
aise. Quand on l'interroge sur la façon dont se sont développés ses
membres
, il 112 LANNOIS );T POROT répond que ses bras
répond que ses bras sont restés toujours très grêles, tandis que ses
membres
inférieurs ont grossi d'une façon continuelle e
confiné au lit, dans l'impossibilité absolue de se ser- vir de ses
membres
inférieurs et très limité dans l'usage de ses bra
ses bras. L'aspect général traduit cependant une bonne santé. Les
membres
inférieurs offrent au premier aspect un volume à
as de relèvement permanent des orteils ; pas de griffe du pied. Les
membres
supérieurs présentent eux aussi une grosse atroph
ophie muscu- laire, symétrique, prédominante encore à la racine des
membres
, mais non masquée comme aux membres inférieurs
ominante encore à la racine des membres, mais non masquée comme aux
membres
inférieurs par de l'adipose sous-cutanée. Atrop
a encore la faculté de préhension. Dans les mouvements composés du
membre
supérieur, on reconnaît bien cette inégale répa
ée et de boire, on le voit d'abord incliner le tronc pour porter le
membre
supérieur dans la direction du verre ; une fois
é. Sensibilité subjective. Le malade dit souffrir toujours dans ses
membres
des mêmes douleurs lancinantes qui ont marqué l
duré depuis. Elles sont cependant moins intenses, plus marquées aux
membres
inférieurs, sans localisation précise. Sensibil
ut le corps, sauf cependant à certaines régions qui sont : pour les
membres
supérieurs la face antérieure des bras ; pour l
pour les membres supérieurs la face antérieure des bras ; pour les
membres
inférieurs, les pieds, la face postérieure des ja
met dans sa main. Les réflexes tendineux sont totalement abolis aux
membres
supérieurs et inférieurs. - Les réflexes cuta
é faradique. Nerfs. - Est diminuée. Semble en outre plus faible aux
membres
inférieurs Le pointillé indique les zones d'hyp
sthésie très marquée. MYOPATHIE ATROPHIQUB PROGRESSIVE 115 qu'aux
membres
supérieurs. Alors que les contractions par électr
doigts, surtout de l'index. Commencent à apparaître vers 120. Aux
membres
inférieurs, on obtient une contraction très nette
s en rapport avec l'atrophie : abolition au niveau de la racine des
membres
; simple diminution au niveau des muscles encore c
la périphérie. L' excitabilité galvanique est abolie au niveau des
membres
et conservée au niveau de la face. En résumé
rogressive avec persistance des douleurs et fausse hypertrophie des
membres
inférieurs. - Actuellement, atrophie musculaire é
inférieurs. - Actuellement, atrophie musculaire étendue aux quatre
membres
, symétrique, totale pour la racine des membres, p
e étendue aux quatre membres, symétrique, totale pour la racine des
membres
, presque totale pour les segments périphériques
s segments périphériques. - Face respectée. Fausse hypertrophie des
membres
inférieurs. Aplatissement postérieur du crâne.
de l'atrophie à la racine des mem- bres, la fausse hypertrophie des
membres
inférieurs, la disparition des réflexes et des
des troubles urinaires et une abolition des réflexes tendineux des
membres
inférieurs ; celte malade est en outre atteinte d
dit- il, à des boutons de variole, localisés surtout la surface du
membre
inférieur droit. Vers la même époque, les os de
urface du membre inférieur droit. Vers la même époque, les os de ce
membre
commencèrent à se déformer, progressivement et,
que, vers l'âge de six ans, elle nécessita la mise en gouttière du
membre
pendant plusieurs mois. A cette époque, M. J. e
mettent à cet homme de continuer à travailler. Pas de vertiges. Les
membres
supérieurs ont conservé leur dexté- rité. Il n'
es. C'est le tibia qui par l'intensité de sa déformation imprime au
membre
l'aspect caractéristique en fourreau de sabre.
né participe dans une certaine mesure à l'inflexion. Les muscles du
membre
inférieur droit sont plus grêles que ceux du ga
effet qu'on avait été obligé, à t'age de six ans, d'immobiliser le
membre
, en voie de déforma- tion depuis t'age de deux
valgus et surtout raccourcissement très notahle dès cette époque du
membre
inférieur gauche. A )'age de 8 mois il a présenté
ire de l'astragale très diminuée de volume et unie au calcanéum. Le
membre
est ensuite immobilisé et M. Kirmisson put il la
marche très facilement avec un appareil orthopédique appliqué à son
membre
gauche. @ Ernest F..., est sourd-muet et la sur
res, dentaires ou palatins. Le système pileux est nor- mal. ' Les
membres
supérieurs n'offrent rien à signaler, ni comme fo
balanique, la seule malformation qui ait son siège ailleurs qu'aux
membres
inférieurs. L'inégalité des membres' inférieurs
rs est saisissante : mesurée depuis la crête iliaque, la hauteur du
membre
inférieur droit est de 61 centimètres ; à gauch
es séparés du premier par un assez large intervalle. A gauche, le
membre
inférieur a, nous l'avons dit et la photographie
l'autre, nous montre l'identité des déformations sur ce segment des
membres
: à gauche, comme à droite, il y a antécourbure
première phalange. La musculature et la motilité varient aux deux
membres
. A droite, on trouve des muscles bien développé
masses musculaires bien développées dans la saillie de la racine du
membre
. A la face postérieure de la jambe, le triceps es
ations du fémur sont considérables. Dans la saillie de la racine du
membre
, dont l'exploration était rendue des plus diffi
du fémur estassez considérable, l'atrophie du segment basilaire du
membre
assez marquée pour faire donner l'étiquette de ph
c une exactitude parfaite le gonflement oedémateux de ce segment de
membre
. Les orteils semblent enchâssés dans une masse
on oedémateuse et ulcéreuse de la jambe. Les exemples d'oedèmes des
membres
inférieurs représentés par les ar- tistes ne so
u osseux. Les dits ganglions sont très dé- veloppés à la racine des
membres
; au membre supérieur sont 4 ou 5 gan- glions,
dits ganglions sont très dé- veloppés à la racine des membres ; au
membre
supérieur sont 4 ou 5 gan- glions, fusionnés le
eu du mois d'octobre 1898, la malade ressentit des douleurs dans le
membre
supérieur droit; ces douleurs survenaient sous fo
uisirent dans la jambe droite, entraînant une impotence complète du
membre
. Trois jours plus tard, des phénomènes identiqu
jours plus tard, des phénomènes identiques se produisirent dans le
membre
inférieur gauche. La malade entre à la clinique
une diminution de la force au dynamomètre. Paraplégie complète des
membres
inférieurs, avec atrophie commençante PARAPLÉGI
ner en moins de six semaines le tableau d'une paraplégie des quatre
membres
, avec anesthésie et atrophie musculaire, quand da
te lésion le tableau sympto- matique (nerveux) était le suivant :
Membre
supérieur droit. Atrophie des muscles de la main
te 161 (Les cordons postérieurs sont en grande partie respectés.)
Membre
supérieur gauche. Atrophie très légère, diminutio
e. Atrophie très légère, diminution de la force au dynamomètre. ,
Membres
inférieurs. Paralysie complète, fiasque. Réflexes
aucune maladie in- fectieuse eût influencé sa croissance. Plusieurs
membres
de sa famille auraient atteint une taille élevé
gle formé par l'union de la poignée avec le corps du sternum. Aux
membres
: Largeur exagérée des extrémités (mains et pieds
s et pieds), doigts en boudin (PI. XXXVII, B) ; longueur totale des
membres
inférieurs bien pro- portionnée à la taille ; m
de sa stature. On constate quelques troubles parétiques du côté des
membres
supérieurs et une certaine inhabileté des mains
s reste cependant assez fort et bien frappé. De 3 en 5 minutes, les
membres
en résolution sont agités de secousses convulsive
és au développement du corps, très gros à l'égard de l'âge. - Les
membres
supérieurs bien développées, sont cependant un pe
n droite donne 13 kgr. celle de la gauche 12 kgr. Les mesures des
membres
supérieurs sont : GIGANTISME PRÉCOCE 185 186
l n'y a pas moins de cinq suivantes occupées à tenir chacune un des
membres
ou la tête. La sage-femme à genoux reçoit le se-
ine d'années qui semblait présen- ter des crises de'contracture des
membres
inférieurs. Pendant certaines de ces crises, el
le côté gauche, quoique d'une manière moins forte à l'extrémité des
membres
. A son arrivée dans le service, il y a quinze j
eloppe le plus souvent avant lui ; ici il n'y a pas de raideur, les
membres
sont très sou- ples, le malade ne se sent pas r
troubles; ils n'ont pas perdu la sensibilité, ni la conscience des
membres
malades. Au contraire, il faut distraire leur att
ces diverses dérivations motrices qu'ils présentent. TIC TONIQUE DU
MEMBRE
SUPÉRIEUR DROIT PAR le Dr Fernand RUDLER, méd
ladie. - L... se présente à notre observation pour une affection du
membre
supérieur droit qui remonte à cinq ans. Il est al
iner ; toutes ces manoeuvres exigent un travail soutenu et suivi du
membre
supérieur droit. La répétition de ces mouvements
nts n'a toutefois jamais déterminé de fatigue dans aucun segment du
membre
, et, dans ses derniers mois de présence à l'ate
nce à l'atelier, le malade a même pu exercer la pro- TIC TONIQUE DU
MEMBRE
SUPÉRIEUR DROIT 219 fession de tisserand qui de
ve de la gêne, sans aucune douleur, dans une foule de mouvements du
membre
supérieur droit, en particulier dans les mouve-
ades, le décide aussitôt à se servir pour les usages journaliers du
membre
supérieur 'gauche. La gêne dans les mouvements
êne dans les mouvements est accompagnée d'un tremblement de tout le
membre
, et d'une façon inconstante, de grands mouvements
s ressenti de douleur, ni de fourmillement, ni d'engourdissement du
membre
; il a constaté que la force musculaire et la sen
taté que la force musculaire et la sensibilité étaient intactes. Le
membre
a conservé une attitude normale jusqu'au mois d'a
ion avec le léger traumatisme signalé. Ils sont restés localisés au
membre
supérieur droit. L... a essayé de régulariser l
imètre thoracique 0 m. 86, pour une taille de l m. 77. A la vue, le
membre
supérieur droit ne présente aucune déformation ap
onie des formes est sensiblement conservée, pas d'amaigrissement du
membre
; en avant, on constate seulement une exagéra- t
et le tissu cellulaire ne présentent rien d'anormal. Les muscles du
membre
supérieur droit ne semblent pas atrophiés. Toute-
volume du biceps droit; de plus, lorsque, dans cette posi- tion des
membres
, on saisit les deux biceps entre le pouce et l'in
et 92 kilogs dans le gauche. La réaction électrique des muscles du
membre
supérieur droit est normale. La contractilité f
e est intacte et la secousse musculaire est identique dans les deux
membres
; tous les muscles, excités séparément, répondent
une forte contraction musculaire est néces- saire pour maintenir le
membre
dans la position acquise. Quand le malade, les
as et veut exécuter dans cette position un mouvement d'abduction du
membre
supé- rieur, le mouvement de rotation de l'humé
e Iconographie DE la Salpêtrière. T. XVI. Pl. XLIX TIC TONIQUE DU
MEMBRE
SUPÉRIEUR DROIT (F. Riidlei-). Masson & C
son & CI ? I : dimurs . E 'h.totyp)e,B ? j ? TIC TONIQUE DU
MEMBRE
SUPÉLllEUR DROIT 221 scapulum est beaucoup plus
re, le malade se couche en quelque sorte sur l'avant-bras droit, le
membre
supérieur droit en flexion complète, l'épaule trè
nuque. Pas de déformation cra- nienne. Pas de tremblement dans le
membre
supérieur droit, sinon dans l'écriture ; pas de
n dehors du point de Erb. Aucun trouble de la sensibilité dans le
membre
supérieur droit, ni sur aucune autre partie du
vée ; il y a toutefois exagération de la sensation de froid dans le
membre
snpérieur droit quand le malade reste exposé lo
mouvement commandé; la maladresse dans les mouvements complexes du
membre
supérieur droit et la gêne dans l'écriture sont p
es sécrétojres, pas de sueurs plus abondantes ni plus rares dans le
membre
supérieur droit. Pas de dépig- mentation, mais,
eries très marquées du caractère, mais il est émotif TIC TONIQUE DU
MEMBRE
SUPÉRIEUR DROIT 223 impatient, d'humeur irritab
de trépignement, l'exagération du mouvement de rotation signalé du
membre
supérieur droit. L'attention volontaire est encor
général. Le diagnostic peut hésiter entre un trouble fonctionnel du
membre
su- périeur et une affection, paralysie parcell
s (poussées de rougeur au visage, engourdissement et sensibilité du
membre
supérieur droit à des tempéra- tures basses). I
es). Il ne peut être question de névrite alcoolique qui atteint les
membres
inférieurs (pseudo-tabes alcoolique), ni de paral
l'idée de névrite des diabétiques. L'irrégularité des mouvements du
membre
supérieur droit (maladresse pour porter un obje
ue les mouvements de flexion et d'extension de tous les segmenls du
membre
sont possibles, et que l'at- titude de demi-fle
de l'écriture et aussi celle d'une foule de mouvements complexes du
membre
supérieur » (1). La. perturbation dans les foncti
exus brachial dans Collet, Palh. int., t. I, p. 261. TIC TONIQUE DU
MEMBRE
SUPÉRIEUR DROIT 225 entraîne une gêne dans l'él
du second groupe commande l'attitude en adduction et en rotation du
membre
supérieur ; la sensibilité est presque toujours i
edans, gêne de l'écriture et d'une foule de mouvements complexes du
membre
supérieur), et du grand dorsal (élévation de l'
es de cette fonction marquent souvent le point de départ de tics du
membre
supérieur droit. Le torticolis mental reconnaît
iture sont extrê- mement rares chez les tiqueurs, même chez ceux du
membre
supérieur droit. Et ce fait tient à ce que, dan
observation, par la réunion d'autres caractères. Les mouvements du
membre
supérieur droit sont coordonnés, on observe seu
point de réduire progressivement les services que doit ren- dre le
membre
supérieur droit. L... a consulté plusieurs médeci
é d'une façon absolue à l'état mental du liqueur ? TIC TONIQUE DU
MEMBRE
SUPÉRIEUR DHOIT 229 Peut-on concilier avec l'hy
dans le cas particulier par le repos ac- cordé par le malade à son
membre
supérieur droit pendant de longues années. Il
es. Il résulte de cette discussion que L... est atteint d'un tic du
membre
supérieur droit. L'absence des modifications de
Le trouble moteur « se manifeste par l'immobilisation exagérée d'un
membre
ou d'un segment de membre. Au lieu de se tradui
ifeste par l'immobilisation exagérée d'un membre ou d'un segment de
membre
. Au lieu de se traduire par les changements de po
essant. La maladresse dans l'exécution d'une foule de mouvements du
membre
supérieur droit qui semblait relever de trouble
e fait que L... n'avait pas une notion exacte de la position de ses
membres
; fait qui a été signalé par IL Meige. Le contr
marqués dans la position des bras en croix et dans l'élévation des
membres
supé- rieurs. Dans le mouvement du salut milita
ciables. Nous avons fait exécuter au malade tous les mouvements des
membres
supérieurs « len- teinent, régulièrement, corre
ous pouvons affirmer que la gêne dans les mouve- ments complexes du
membre
supérieur droit a considérablement diminué ; en
hie est d'ailleurs complète dans ce dernier ouvrage. TIC TONIQUE DU
MEMBRE
SUPÉRIEUR DROIT 231 L... peut actuellement port
toute- fois dans ce sens des dessins variés sur un tableau noir. Le
membre
supé- rieur gauche sain servira de précepteur a
au noir. Le membre supé- rieur gauche sain servira de précepteur au
membre
supérieur droit malade. La correction du tic de
liens sont égaux et normaux, de même que les réflexes tendineux des
membres
supérieurs, les réactions pupil- laires et la s
ic (2). Nous ne nous attarderons pas non plus sur ce tremblement du
membre
supérieur droit survenu à l'âge de 12 ans, sans
ifier son étude. Il s'agit d'une hémimélie radiale très atténuée du
membre
gauche, portant principalement sur la première
cousin germain, l'existence d'une liexadactylie cubitale des quatre
membres
. Aucun renseignement ne permet de supposer que ce
aladive. L'anomalie qui a attiré notre attention intéresse les deux
membres
supé-, rieurs. A gauche, le pouce est extrême
e rareté et, parmi les nombreuses relations d'anomalies osseuses du
membre
supérieur, nous n'avons pu trouver qu'un seul cas
minales, mais dans d'autres anomalies touchant d'autres parties des
membres
. A cet égard nous connaissons un nombre relativ
s par l'absence complète ou partielle d'un segment intercalaire des
membres
. Ayant établi cette première spécification de l
quelettiques apparte- nant toutes, exclusivement, au bord radial du
membre
supérieur. Ces constatations nous conduisent à
passe comme si les phénomènes corrélatifs de la colonne osseuse des
membres
se déroulaient de bas en haut et non de haut en b
, mais comme une variété d'hémimélie intercalaire An bord radial du
membre
supérieur. Elle rentre (1) Delanglade a employé
ion qui prête à confusion : L'ectromélie lon- gitudinale externe du
membre
inférieur ; absence du péroné et du cinquième ort
aire, elle porte sur l'ensemble du tissu conjonctif embryonnaire du
membre
, sans égard pour les dif- férenciations ultérie
tre. III Nous avons seulement considéré, jusqu'ici, l'anomalie du
membre
su- périeur gauche. Notre observation signale,
ents : dans un certain nombre d'ob- servations, à l'ectromélie d'un
membre
correspond simplement une di- minution de volum
pond simplement une di- minution de volume plus ou moins marquée du
membre
opposé. Or, l'analyse du cas qui nous occupe pe
atrophie n'est pas le seul caractère de la variation qui atteint le
membre
droit. L'artère radiale de ce côté est atrophié
ses batte- ments malgré la recherche la plus attentive. L'examen du
membre
gauche nous a présenté une disposition très com
dérée comme faisant partie intégrante de l'anomalie observée sur ce
membre
. Reliant donc, comme il convient, l'atrophie de
ctromélie toute anomalie déficiente qui affecte l'un quelconque des
membres
. Généraliser dans ce sens constituerait, croyon
naître comme cause d'un grand nombre d'anomalies, les anomalies des
membres
en particulier, l'action mécanique d'un amnios
avantage la localisation très nette de l'anomalie au bord radial du
membre
supérieur. Une stric- tion, une compression int
mpte du système nerveux les variations et déformations diverses des
membres
. ' Il nous est difficile, en l'espèce, de discu
lies '( UNE FORME RARE D'HÉMIMÉLIE RADIALE INTERCALAIRE 251 des
membres
ressortissent nécessairement à une modification p
erveux foetal, il n'y avait aucune maladie, ni aucune variation des
membres
. Ce qui se dégage de cet ensemble, ce n'est point
qui se dégage de cet ensemble, ce n'est point une subordination du
membre
à l'axe nerveux, mais bien plutôt la possi- bil
d'origine. Que la modification initiale ait pour siège le tissu des
membres
ou celui de l'axe nerveux, quelle que soit l'ét
rmal. Sensibilité au contact el à la piqûre, conservée dans tout le
membre
infé- rieur gauche. La sensibilité au froid e
extrémités osseuses, tout cela donnait une physionomie nouvelle au
membre
malade. Puis la fièvre s'allume avec son cortèg
ssocia tionsyringomyétique. D'autre part, dans cette affection, les
membres
supérieurs sont surtout atteints, les atrophies
mputation que comme dernière res- source, dans les arthropathies du
membre
inférieur retenant le malade au lit. La questio
pération. Un mois après, le malade était guéri et se servait de son
membre
supérieur. Tels sont les cas de résection artic
on était peu en droit d'espérer un rétablissement de la solidité du
membre
inférieur ; on a vu cependant les tissus péri-a
te on a tout avantage de faire une opération conservatrice, même au
membre
inférieur. Le résultat fonctionnel est suffisamme
bondant épanchement pleural à droite. Pas d'ascite, ni d'oedème des
membres
inférieurs. A l'auscultation du coeur : bruit d
nte en outre une adipose sous-cutanée segmentaire et symétrique des
membres
et d'une partie du tronc ; elle pèse, en effet,
ne dépasse pas 1 m. 47. Cette adipose est un peu plus accusée aux
membres
inférieurs qu'aux membres supérieurs; elle a en
Cette adipose est un peu plus accusée aux membres inférieurs qu'aux
membres
supérieurs; elle a en outre une tendance à affect
en outre une tendance à affecter une disposi- tion croisée, car aux
membres
inférieurs c'est le côté droit qui est le plus
urs c'est le côté droit qui est le plus hypertrophié, tandis qu'aux
membres
supérieurs la différence, quoique moins sensibl
t les planches LVI et LVII, cette adipose n'est pas lo- calisée aux
membres
; elle s'étend à l'abdomen dont la peau retombe
ins comparé à celui des autres parties du corps. La tuméfaction des
membres
et de la portion inférieure du tronc est due en
masses lipoma- teuses à contours mal limités. La tuméfaction des
membres
inférieurs se termine brusquement au-des- sus d
e façon générale,la peau a conservé sa coloration normale, sauf aux
membres
inférieurs où la présence de quelques varices cap
ntimètre. La température de la peau est normale, sauf au niveau des
membres
inférieurs où elle est légèrement abaissée. La
s, elle est, à d'autres, plus ferme qu'à l'état normal, surtout aux
membres
inférieurs où la pression même prolongée du doi
son père, s'est pendu. Une soeur est atteinte d'imbécillité. Aucun
membre
, mort ou existant, de la famille de D... n'a pr
existant, de la famille de D... n'a présenté d' oedème chronique des
membres
: une de ses filles est atteinte de varices, ma
une de ses filles est atteinte de varices, mais sans tuméfaction des
membres
inférieurs. A quel âge cette tuméfaction a-t-
Salpêtrière, il n'est fait mention d'une augmentation de volume des
membres
inférieurs. On est donc conduit à admettre que ce
rpulente, mais qu'elle était loin de présenter une hypertrophie des
membres
et du tronc comparable à celle qui existe aujou
lle a débuté tardivement. En outre,la tuméfaction n'affecte pas aux
membres
une répartition cylindrique. Les pieds et les m
adipeux augmente d'autant plus qu'on se rapproche de la racine des
membres
. Enfin, la peau, aux extrémités, en hiver surto
ue notre malade ait ou ait eu des douleurs spontanées au niveau des
membres
, mais les réactions défensives qu'elle présente
rave maladie dont il demeura avec une im- potence des jambes et des
membres
..., mutisme et un état intellectuel très miséra
rises tapageuses, tirait la langue, grinçait des dents, tordait ses
membres
, poussait des hurlements et des imprécations, ou
l semble hors de doute, écrivait à l'un de nous, à ce sujet, un des
membres
lesplus distingués de l'Académie flamande, M. l
e des petits muscles de la main, pas plus que des autres muscles du
membre
supérieur. Pensant à une ancienne section traum
de ces altérations, à mesure que l'on se rapproche de la racine du
membre
, semblerait parler également en faveur NÉVROME
gestes parfois complexes et qui ne sont pas adaptés à un but, ou de
membres
de phrase dénués de sens. Les attitudes cataton
tion pour le dos du pied et le dos de la main. Si par ailleurs, les
membres
et le tronc paraissent épaissis, c'est que là le
Elles se font au niveau d'un ou plusieurs segments d'un ou des deux
membres
inférieurs. (1) MABILLB. Nouvelle Iconographi
nique : il dépasse toujours les limites de l'extrémité distale d'un
membre
(1) et se poursuit, sans interruption, depuis la
dessus de la cheville ou du poignet et souvent jusqu'à la racine du
membre
. - La consistance du trophoedème est notable et
ui se distingue par la maigreur générale des masses musculaires des
membres
et de la face, la finesse des attaches des pied
La forme diffuse localisée, dans laquelle l'adipose se cantonne aux
membres
ou aux segments de membres sous forme de masses é
dans laquelle l'adipose se cantonne aux membres ou aux segments de
membres
sous forme de masses étendues. 3° La forme diff
nent au tégument un aspect matelassé. La localisation au niveau des
membres
est capitale et il semble que les auteurs n'aient
tion personnelle, le tissu graisseux ne fait saillie à la racine du
membre
, lequel, dans son hypermégalie a conservé ses p
'iso- lent très difficilement d'une colonne; Rasoir fléchit sur ses
membres
sous le coup d'une émotion vive ; plusieurs che
ous l'a observé récem- ment chez un sujet atteint de tic tonique du
membre
supérieur droit 1). Il existe des tiqueurs huma
moyen, résistance physique assez bonne, malgré l'âge et l'usure des
membres
. Lèche exclusivement ses voisins, quels qu'ils
d'officier. A été sous-verge, très bon état d'entretien. Tares des
membres
peu marquées. Lèche de préférence après avoir m
judant. Au moment de l'examen, très bon état d'entretien. Tares des
membres
insignifiantes. A l'écurie, lèche ses voisins,
e (2 pl. en pho- tocollogr.), par F. CunIONI, 276. Tic tonique du
membre
supérieur droit (1 pl. en photocollogr.), par F
ue (7 pl. en pho- togr., 2 fig.), 163. RUDLER (F.) Tic tonique du
membre
supé- rieur droit (1 pl. en photocoll.), 218.
au de sabre chez un tabé- tique (SADCtnzâs), XXIV. Tic tonique du
membre
supérieur droit (Rudler), XLIX. Trophoedème c
IQUE DES MALADIES CUTANÉES ET SYPHILITIQUES PAR PAUL RICHER
MEMBRE
DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE PROFESSEUR d'ANATOMIE
e de 30 ans et jouit d'une excellente santé. Ni la malade, ni aucun
membre
de sa famille n'ont jamais souffert de rhumatis
i"i'if"i"i/i' '" ... LA MALADIE DE PARKINSON 3 encore localisé au
membre
supérieur gauche. Mais la raideur était géné- r
oute qu'elle accusait de fréquentes douleurs dans les jointures des
membres
supérieurs ; à cette époque, on provoquait aiséme
y a dix-huit mois, le tremblement a envahi la main droite, puis les
membres
inférieurs : la ri- gidité est devenue telle qu
ent, en outre, des dou- leurs incessantes dans la continuité de ses
membres
, une sensation con- tinuelle de chaleur exagéré
collègue Brissaud : elle a besoin qu'on la remue, qu'on change ses
membres
, à chaque instant, de position. Voici cette pau
age ; vous remarquez enfin, Messieurs, le tremblement qui agite ses
membres
supérieurs et les défor- mationsconsidérables d
es membres supérieurs et les défor- mationsconsidérables des quatre
membres
et du tronc. 1 Du tremblement, je ne vous dirai
, lorsque ses mains sont appuyées sur le lit. Rien de semblable aux
membres
inférieurs ; parfois le tremble- ment est manif
maxillaire, lorsque la malade ouvre la bouche. Les déformations des
membres
et du tronc sont fréquentes dans la ma- ladie d
ans qu'elle puisse la redresser : les divers segments de ses quatre
membres
sont légèrement fléchis, ce qui est la- manière
ureté qui est particulièrement accentuée, presque fibreuse, pour le
membre
su- périeur, aux biceps et aux muscles fléchiss
réduites ; cette femme ne peut qu'ébaucher de légers mouvements des
membres
su- périeurs, les inférieurs étant presque comp
en même temps que les attitudes vicieuses, et les déformations des
membres
, engendrées par la rigidité, et, recon- naissen
iques. Mais, procédons par ordre. Le tremblement est localisé aux
membres
supérieurs. Même lorsque le malade est couché,
rs. Même lorsque le malade est couché, lorsqu'il tient soulevés ses
membres
inférieurs, ce qui d'habitude rend manifeste le
r amplitude normale, mais se font un peu lentement, surtout ceux du
membre
supérieur gauche ; et, entre tous, surtout les
ents de pronation et de supination. Même len- teur et même gêne des
membres
inférieurs ; il marche à petits pas, en traînan
t remarquablement bien conservée. dans tous les segments des quatre
membres
; nous ne trouvons pas trace d'atro- phie muscu
ais vous remarquez la même tendance à fléchir tous les segments des
membres
supérieurs; la main, en particulier, prend déjà
que les réflexes tendineux, à peu près nuls, dans les trois autres
membres
, sont forts, au coude et au poignet gau- ches :
actuelle- ment, le signe d'Argyll-Robertson. Ni le malade, ni aucun
membre
de sa famille n'ont jamais eu ni rhumatismes, n
ans, il éprouve, de temps à autre, des douleurs erratiques dans les
membres
, avec des tressaute- ments musculaires, surtout
es membres, avec des tressaute- ments musculaires, surtout dans les
membres
inférieurs. Il nie tout éthylisme. Il y a qua
votre attention sur la lenteur et la gêne des mouvements, dans les
membres
du côté gauche; elle contraste avec la souplesse
s du côté gauche; elle contraste avec la souplesse et l'agilité des
membres
du côté droit. Au palper, nous trouvons une notab
le malade accuse, lui- même, un certain degré d'affaiblissement des
membres
du côté gauche, qu'il a remarqué depuis quelque
ndons détermine, vous le voyez, un léger mouvement de projection du
membre
; mais, en même temps, les muscles se contrac-
énéres- cence. Ainsi donc, voici un malade qui présente, dans les
membres
du côté gauche, un tremblement, de la rigidité
ent la force mus- culaire, mais n'entrave pas le fonctionnement des
membres
, comme le ferait une contracture véritable. Rap
a, depuis, augmenté progressivement, et s'est généralisé aux quatre
membres
, ainsi que vous pouvez le constater. ' Six mo
bras, nui s'affaiblirent neu à neu. Actuellement, elle a gagné les
membres
in- férieurs, que le malade traîne en marchant.
isément, princi- palement lorsqu'il se redresse complètement. Les
membres
ont une légère tendance à se placer en flexion ;
peu accentuée, est prédominante dans les muscles fléchisseurs , des
membres
. J'ajoute que les réflexes rotuliens sont seuls
névroglique. - Absence de toute névrite périphérique sensitive aux
membres
inférieurs (acide osmique), en rapport avec l'a
l'âge de 40 ans. La cécité survient progressivement. Faiblesse des
membres
inférieurs qui s'accentue tellement qu'à partir
et rectaux ; douleurs rectales. Perte de la notion de position des
membres
. Myosis de l'oeil gauche, légère chute de la paup
de rétention d'urine à 23 ans. Puis faiblesse et incoordination des
membres
inférieurs. La cécité survient vers l'âge de 30
. La cécité survient vers l'âge de 30 ans. Douleurs fulgurantes des
membres
inférieurs ; engourdissements des mains. Diminuti
Marie à l'hospice de Bicêtre. Antécédents mal connus. Douleurs des
membres
inférieurs ; paraplégie ; abolition des réflexe
otuliens, signe de Romberg, ataxie, affaiblissement et atrophie des
membres
inférieurs, surtout'à gauche. Examen microscopi
m- blyopie et de la diplopie. Vers 36 ou 37 ans, incoordination des
membres
infé- rieurs, pupilles irrégulières. Troubles u
irrégulières. Troubles urinaires. Force musculaire diminuée dans le
membre
inférieur droit. Troubles de la sensibilité du tr
ABADIE Médecins des hôpitaux de Bordeaux. Les réflexes cutanés du
membre
inférieur ont pris, dans ces dernières années,
x de Brissaud, de Babinski, ont attribué aux mouvements réflexes du
membre
inférieur que provoque l'excitation de la plant
qu'on se borne à enregistrer les mouvements des divers segments du
membre
au moyen de tambours manipulateurs convenable-
uelle était la réaction musculaire apparaissant la première dans le
membre
inférieur à la suite d'une excitation plantaire
e la plante est seule efficace, à l'exclusion des autres parties du
membre
infé- rieur, pour la production du réflexe plan
onsidéré comme formé,*par l'ensemble des mouvements segmentaires du
membre
inférieur et non par telle ou telle réaction mu
sclérose en plaques avec un état re- marquablement spasmodique des
membres
inférieurs : le type d'extension . pure était c
du réflexe plan- taire. La zone excitable peut s'étendre à tout le
membre
inférieur : des excitations portées successivem
n du gros orteil par l'excitation cutanée de régions quelconques du
membre
inférieur.A cette donnée déjà connue,il faut ajou
on de la planle du côté sain chez les hémiplégiques produit dans le
membre
inférieur correspon- ÉTUDE GRAPHIQUE DES RÉFLEX
i table peut souvent même dépasser la plante et s'étendre à tout le
membre
inférieur. 3' En ce qui concerne plus particu
e des empreintes plantaires avec les affec- tions chirurgicales des
membres
inférieurs, th. Lyon, 1901. (2) Gilles DE la TO
ade n'accuse aucune douleur spontanée. Toutes les articulations des
membres
sont libres, non déformées; on n'y perçoit pas
colonne vertébrale a seule été prise,, que les articula- tions des
membres
et l'articulation temporo-maxillaire sont respect
e Marie et du type Bechterew. Par l'intégrité des articulations des
membres
, par les douleurs du début, il se rapproche des
gauche une piquée (sic) et de suite des four- millements le long du
membre
, puis de la douleur. Pendant 7 mois il souffrit
e long du membre, puis de la douleur. Pendant 7 mois il souffrit du
membre
gauche, les douleurs se calmant ou s'exagérant
e piqûre et s'accompagne de crampes au mollet. - L'amyotrophie du
membre
gauche est manifeste à la cuisse et à la fesse.Pa
la fesse.Pas de troubles vasculaires, cyanose notable à la peau du
membre
. Sensibilité cutanée. - La peau est moins sensi
rès marqué ; mollet : très marqué ; les autres beaucoup moins. Au
membre
droit aucun point douloureux. Signe de Lasègue
tendineux du côté malade, les troubles de la sensibilité cutanée au
membre
sain, la guérison et le redressement du malade.
net. D'autre part il y a diminution de la sensibilité au contact du
membre
sain et des crampes fréquentes au mollet, au mo
qué par une douleur fessière subite et des fourmil- lements dans le
membre
. On est tenté de penser à une hémorragie au ni-
radiculaire. Le fait de la diminution de la sensibilité cutanée au
membre
sain, en l'absence de paralysie motrice du coté
as de spondylose ankylosante avec intégrité des arti- culations des
membres
. Leur attitude, leur silhouette offre vraiment
orragique, mais qu'il y a eu anté- rieurement des arthropathies des
membres
ayant les caractères cliniques 2 1) forestier
noux. Il a peine à se tourner dans son lit. Les articulations des
membres
et notamment les épaules, les hanches sont inta
u toua les trois, antérieurement, des artliropatiiies multiples des
membres
avec gon ! 1ement,'douleur, les ayant retenus a
rit : déviation légère des traits à gauche. Pas de paralysie des
membres
du même côté; la malade -résiste très bien aux
ngue; pas de mouvements fibrillaires. Aucune trace de paralysie des
membres
; les mouvements isolés des membres sont conser
. Aucune trace de paralysie des membres ; les mouvements isolés des
membres
sont conservés dans toute leur intégrité. Pas
comme caractéristique de l'atrophie du cervelet les tremblements du
membre
supérieur et les altérations de la parole. Ces
aînerait des mouvements de manège, sa lésion légère une raideur des
membres
opposés et sa destruction partielle une paralys
ultats nous devons constater qu'il n'y a pas trace de paralysie des
membres
et ce fait vient à l'appui des observations de
nfluence de sa volonté, mais dit-il, de l'air qui lui manque. Aux
membres
supérieurs : ataxie très marquée ; le malade ne p
che. Pas de tremblement. Réflexes existant, quoique diminués. Aux
membres
inférieurs : le malade étant au lit, présente les
arrive à soulever légèrement et avec une grande incoordination ses
membres
infé- rieurs au-dessus du lit. Ceux-ci sont à l
xes plantaire abdominale, crémastérien sont également abolis. Aux
membres
supérieurs persistance du réflexe du long supinat
tête tombe entre les épaules. Incoordination mo- trice extrême. Aux
membres
inférieurs, impotence complète. Aux membres sup
mo- trice extrême. Aux membres inférieurs, impotence complète. Aux
membres
supérieurs, force musculaire plus diminuée à ga
squ'à la ceinture ; les bras semblent contracturés. Ce- pendant les
membres
inférieurs marchent normalement. A gauche, nous
ntre, il y a un effort pour rendre les convulsions de la crise. Les
membres
inférieurs sont tordus et convulsés, les pointe
dedans. Ce dernier trait' est exact ; malheureusement cet état des
membres
inférieurs est, incom- patible avec la position
a position debout. Les artistes de la Renaissance qui ont donné aux
membres
inférieurs de leurs démoniaques des attitudes sem
fait. soutenir par derrière. Par contre, du côté de la face et des
membres
supérieurs, nous trouvons d'excellents détails.
a langue, la torsion latérale de la tête, la contracture des quatre
membres
, forment avec l'attitude du bras droit un ensembl
es jambes demi-fléchies; un petit démon s'échappe de sa bouche. Les
membres
supé- rieurs sont comme retournés : « Il semble
tordu en pronation forcée, le tout cons- tituant une contracture du
membre
supérieur parfaitement observée et rendue. » Il
sseuses sont les plus nombreuses, c'est-à-dire aux extré- mités des
membres
, aux mains, aux pieds, à la face. Aussi les défor
ype morphologique féminin. Signalons encore une particularité des
membres
inférieurs : ceux-ci sont proportionnellement u
ait particulièrement évidente chez le grand Charles. De plus, les
membres
inférieurs présentent une incurvation à concavité
c réalise plutôt le quadrilatère masculin que l'ovoïde féminin. Les
membres
sont relativement courts, la main est également c
e malade habillé, songer il l'achondroplasie. Il n'en est rien; les
membres
sont courts,c'est vrai, mais pas d'une façon exag
lets qui forcent les doigts à s'é- carter les uns des autres. Les
membres
supérieurs et inférieurs sont arrondis,sans saill
radiographie que M. Infroit a bien voulu exécuter pour nous. Les
membres
inférieurs ne présentent rien de particulier que
es troubles trophiques de la peau, comme on en voit souvent sur les
membres
variqueux (amincissement, pigmentation). Les on
a cinq ou six ans il a commencé à ressentir des dou- leurs dans les
membres
inférieurs ; il y a quatre ans, on s'est aperçu p
soir du 8 décembre, elle sentit un engourdissement marqué dans les
membres
supérieur et inférieur gauches, sans qu'elle so
ion du peaucier du côté gauche. Le réflexe pharyngé est diminué. Au
membre
supérieur gauche, on note la per- sistance de q
, on note la per- sistance de quelques mouvements dans la racine du
membre
et l'abolition complète des mouvements de la ma
ier leur forme. Le sens des mouvements passifs et de la position du
membre
est conservé. Le réflexe radial est un peu plus f
Le réflexe radial est un peu plus fort à gau- che qu'à droite. Au
membre
inférieur gauche, les mouvements sont à peu près
tite quantité d'albumine. Le 20 février la mensuration comparée des
membres
donnait les résultats suivants : Nouvelle Ico
lexe pharyngé est conservé. Le sens stéréognostique est conservé au
membre
supérieur droit. On constate la présence des sign
précier d'une façon précise la tension artérielle comparée des deux
membres
inférieurs. Cette malade est atteinte aussi des
ours à l'alimentation déchlo- rurée. Les mensurations composées des
membres
inférieurs donnèrent pendant ce régime les résu
er chez elle l'hémianopsie. On constate le signe du peaucier. Son
membre
supérieur droit est incomplètement paralysé ; la
iers inférieur du bras. Il n'existait tout d'abord aucun oedème des
membres
inférieurs, mais le 28 avril, est apparu un léger
urs du bras. Comme dans noire cas III, il n'y avait pas d'oedème du
membre
inférieur au début, l'oedème ne survint que plus
le siège d'un oedème très accentué dès le début de l'hémiplégie, le
membre
inférieur fut aussi atteint d'oedème. L'autopsi
phies tabétiques,soit en dehors d'elles au niveau de la face ou des
membres
. On les rencon- tre encore dans la syringomyéli
parFaure, par Sicard et Guillain (2) nous montrent que l'oedéme du
membre
paralysé doit avoir la même cause et ressortir
sultera l'accumulation de liquide dans les espaces interstitiels du
membre
paralysé. Il semble que les tissus soient peu t
ifestations d'origine nerveuse. En résumé, pour nous, l'oedème du
membre
hémiplégie est fréquem- ment d'origine mixte; l
e (Debove), on désigne des troubles trophiques d'un ou de plusieurs
membres
se tra- duisant par « un oedème blanc, dur, ind
r, indolore, occupant un ou plusieurs segments' de l'un ou des deux
membres
inférieurs et persistant la vie en- tière sans
ené il l'hôpital Beaujon, le 10 avril 1903, pour une tuméfaction du
membre
inférieur ayant débuté, il y a environ trois mo
nts phéniqués furent remplacés par des lavages à l'eau bouillie, le
membre
fut entouré d'ouate sèche. Quelques jours après,
ne augmentation de volume de la jambe. On constate un gonflement du
membre
inférieur droit portant sur le pied, la jambe e
ur le pied, la jambe et la cuisse ; il est régulier de sorte que le
membre
n'est point déformé ; voici les résultats donné
rence appréciable dans la composition du sang recueilli dans ces deux
membres
; voici d'ailleurs l'examen hématologique : Sa
OUVEAU CAS D'AC11ONDItOPLASIE 201 Ce même caractère se retrouve aux
membres
inférieurs, la jambe est plus longue que la cui
e qu'on ait à relever, il en existe une autre entre la longueur des
membres
et les dimensions du tronc qui sont depuis la f
n a l'impression d'un torse d'adulte sur lequel sont insérés quatre
membres
ayant tout au plus la Inngueur'de ceux d'un.jeu
rouve rejeté en haut et en arrière. Mensurations qui concernent les
membres
: Membre supérieur : Longueur de l'humérus, 2
en haut et en arrière. Mensurations qui concernent les membres :
Membre
supérieur : Longueur de l'humérus, 22. de l'a
ne du bras, 24. Partie inférieure » 26. Partie supérieure » 28.
Membre
inférieur : Longueur totale de la jambe de l'ép
principalement dans la dix-septième année, occupant le tronc et les
membres
, respectant la face. La pigmentation de la peau,
u cou où il forme col- lier ; largement répandu sur le tronc et les
membres
supérieurs, il respecte les organes génitaux et
et les membres supérieurs, il respecte les organes génitaux et les
membres
inférieurs, à l'exclusion cependant de la racin
e tranchet pour s'occuper exclusivement de la vente des chaussures.
Membre
d'une société de sport, D... a accompli plusieu
xtrêmement marquée aux mem- bres inférieurs. Ataxie très légère aux
membres
supérieurs et à la face. Hypo- tonie considérab
e aux membres supérieurs et à la face. Hypo- tonie considérable aux
membres
inférieurs ; atrophie musculaire assez mar- qué
le aux membres inférieurs ; atrophie musculaire assez mar- quée aux
membres
inférieurs et supérieurs. Retard dans la transmis
etard dans la transmission de la sensibilité avec byperesthésie aux
membres
inférieurs. En dehors de cela il u'existe aucun
ensibilité superficielle ou profonde. Réflexes tendineux abolis aux
membres
supérieurs et inférieurs. Réflexe cutané plan-
vagin. Depuis 1896 elle se plaint de douleurs fulgurantes dans les
membres
inférieurs, plus rarement dans le tronc et dans l
la malade avait des douleurs lancinantes et fulgu- rantes dans les
membres
inférieurs, de la difficulté pour uriner. Les tro
ssible depuis 1898. Examen en 1900. Incoordination très marquée aux
membres
inférieurs. Ataxie légère aux membres supérieur
coordination très marquée aux membres inférieurs. Ataxie légère aux
membres
supérieurs. Abolition des réflexes tendineux. '
exe cutané plantaire. Troubles radiculaires de la sensibi- lité aux
membres
supérieurs (sur le trajet des 5e et 6e racines ce
es supérieurs (sur le trajet des 5e et 6e racines cervicales et aux
membres
inférieurs, surtout sur la face antéro-externe de
8). Abolition des réflexes patellaires. Incoordina- tion légère des
membres
inférieurs devenant plus prononcée les yeux fermé
gers de la marche et de la station debout les pieds rapprochés. Aux
membres
supérieurs : incoordination très légère, abolit
un brouillard devant les yeux. Depuis six mois l'incoordination des
membres
supérieurs a tellement augmenté qu'elle ne peut
lle ne peut marcher seule. Etal actuel (1896). - Incoordination des
membres
inférieurs. Réflexe patel- laire aboli. Pas d'a
as d'atrophie musculaire. Sensibilité superficielle altérée sur les
membres
inférieurs. Sensibilité profonde conservée. Inéga
cher. Etal actuel en octobre 4902.- Incoordination très marquée aux
membres
inférieurs, absente aux membres supérieurs. Hyp
2.- Incoordination très marquée aux membres inférieurs, absente aux
membres
supérieurs. Hypotonie aux membres supé- rieurs
x membres inférieurs, absente aux membres supérieurs. Hypotonie aux
membres
supé- rieurs et inférieurs. - Peu de troubles
alade avait souffert deux ans auparavant de vives douleurs dans les
membres
inférieurs, douleurs qui s'amendèrent lorsque la
. Abolition des réflexes tendineux. Incoordination très marquée aux
membres
inférieurs, légère aux membres supérieurs. Sens
eux. Incoordination très marquée aux membres inférieurs, légère aux
membres
supérieurs. Sensibilité peu touchée aux membres
érieurs, légère aux membres supérieurs. Sensibilité peu touchée aux
membres
, cependant anesthésie plantaire et quelques erreu
à la lumière et étaient en myosis. Incoordination très accusée aux
membres
inférieurs. Peu de troubles de la sensibilité cut
douleur). Altérations très marquées des sensibilités profondes aux
membres
inférieurs et aux membres supérieurs. Réflexes te
s marquées des sensibilités profondes aux membres inférieurs et aux
membres
supérieurs. Réflexes tendineux aboli ? . Parest
ant. A 1 heure, on constate une paralysie flasque totale des quatre
membres
, avec abolition des réflexes cutanés et tendine
tie antérieure des 3" côtes. Au-dessous, c'est-à-dire au niveau des
membres
et du reste du torse, la sensi- bilité cutanée
les enfants de ses descendants. naissaient pres- que tous avec des
membres
estropiés et mutilés ou affectés de maladies in
ortures des esclaves qui avaient volé en éclats, les béquilles, les
membres
de cire et de métal... étaient tellement nom- L
les mendiants se recrutent-ils surtout parmi les infirmes nomades,
membres
actifs de la société foraine. Leurs béquilles e
les, et dans les gestes hâtifs pour les rattra- per des segments de
membres
insoupçonnés se révèlent... Il y a bien aussi d
brûlé, carbonisé... » Saint Willibrord, s'il ne fil pas revivre le
membre
carbonisé, permit du moins que quelques « cents
nces de la foi avec les précautions thérapeutiques. Lorsqu'un des
membres
d'une famille est atteint d'une affection ner-
chez ce malade, sont les déformations multiples qu'il présente aux
membres
tant inférieurs que supérieurs. Le malade- prés
tout, le sol que par sa pointe. C'est encore le raccourcissement du
membre
occasionné par cette défor- mation qui fait pre
ée, bitonale. Jamais il n'y eut aucun phénomène morbide du côté des
membres
. Il existe chez ce malade des signes de paralys
par la pachyméningi te, et enfin par les déformations osseuses des
membres
, que nous voudrions y rattacher. Voici commen
ger, le 14 juillet 1903 pour des déformations siégeant sur les deux
membres
supé- rieurs. (PI XL,XLI,XLII). Son père et s
indéterminée; quant aux six autres, ils se portent très bien. Aucun
membre
de sa famille ne présente à sa connaissance d'inf
` 1-. }" VII : 1'1 : XLII' MALFORMATIONS OSSEUSES (,fl. Cange.)
Membres
supérieurs, deux mois après l'opération. DÉFORM
fisante pour qu'après redresse- ment forcé nous puissions amener le
membre
dans la rectitude parfaite. Au cours de notre i
ons, dès les premiers jours, une impotence fonctionnelle absolue du
membre
opéré ; le malade ne peut imprimer aux doigts l
un de traitement consécutif, avaient suffi. Pendant ce temps, le
membre
du côté gauche devenait le siège de modifica- t
uelette, mais elle le déforme à sa façon : la direction générale du
membre
n'est pas modifiée, l'axe des os reste le même
écrit Kirmisson, que l'existence des déforma- tions rachitiques du
membre
supérieur. » Et plus loin il ajoute : « Elles o
est aussi satisfaisant que le résultat fonctionnel, surtout pour le
membre
supérieur droit, le plus déformé. En ce qui con
r le membre supérieur droit, le plus déformé. En ce qui concerne le
membre
supérieur gauche, la pseu- darthrose, l'impoten
es supérieurs. Sensibilité au contact et au froid très diminuée aux
membres
inférieurs et abolie au-dessous du genou ; sens
. (6), soeur du précédent. Début à 3o ans, par des douleurs dans le
membre
inférieur gauche. Démarche difficile, ébrieuse. T
bre inférieur gauche. Démarche difficile, ébrieuse. Tremblement des
membres
inférieurs. Signe de Romberg. Réflexes rotuliens
on lombaire et les fesses. Troubles de la sensibilité au niveau des
membres
inférieurs, réactions pupillaires bonnes. Sec
s, fourmillements dans les jambes et par l'affaiblissement dans les
membres
inférieurs : il se fatigue vite. Ensuite dou- l
s anomalies. En comparant les observations cliniques de ces trois
membres
de la UNE FORME D'HÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 30
s la même région, la localisation de troubles de la sensibilité aux
membres
inférieurs, diminution de l'acuité auditive, sc
xcellence des cellules motrices, qui furent trouvées chez les trois
membres
de la famille Hand... Cette sorte de lésion, quoi
héréditaire. Batteu (4) a décrit une famille composée de plusieurs
membres
, dans laquelle la ma- ladie de Friedreich était
ortait à l'inspiration divine. On les voyait accom- plir avec leurs
membres
frêles de véritables tours de force ; elles osaie
phénomènes spasmodiques. Il n'y a aucun trouble de la motilité; aux
membres
supérieurs il existe un léger tremblement qui s
RAUZIER, Maladies du système nerveux, t. II, p. 554. 342 GAUSSEL
membres
à l'agitation; on l'observe chez les jeunes enfan
sion visible. - Etat des muscles. - A la dissection des muscles des
membres
, on est frappé de la coloration pâle qu'ils pré
rtains d'entre eux, biceps fémoral, jumeaux et jambier antérieur au
membre
inférieur, biceps brachial et fléchisseurs des
au membre inférieur, biceps brachial et fléchisseurs des doigts au
membre
supérieur, on observe des bigar- rures blanchât
muscles homologues du côté droit et du côté gauche, les muscles des
membres
supérieurs sont notablement moins at- teints qu
s membres supérieurs sont notablement moins at- teints que ceux des
membres
inférieurs et du tronc. Aux membres supérieurs
t moins at- teints que ceux des membres inférieurs et du tronc. Aux
membres
supérieurs même, les muscles du bras et ceux de
anière générale, l'atrophie est donc plus prononcée à la racine des
membres
qu'à l'extrémité, au niveau des muscles de la c
de Weigert-Pal et deMarchi. Nous avons examiné des deux côtés, aux
membres
supérieurs les muscles des éminences thénar et
'extenseur commun des doigts, le biceps, le triceps, le deltoïde; aux
membres
inférieurs, le droit antérieur de la cuisse, le
considérable. D'une manière générale, les muscles de la racine des
membres
et du tronc sont beaucoup plus riches en vésicule
ans les muscles des segments 348 CESTAN ET LEJONNE supérieurs des
membres
; elles sont d'ailleurs beaucoup plus évidentes a
res ; elles sont d'ailleurs beaucoup plus évidentes au ni- veau des
membres
inférieurs qu'au niveau des membres supérieurs ;
plus évidentes au ni- veau des membres inférieurs qu'au niveau des
membres
supérieurs ; d'autre part, il semble bien que l
les nerfs médian et radial à l'avant-bras, cubital il la main ; aux
membres
infé- rieurs, le sciatique et le crural à la cu
par le processus lé- sionnel, dans le long supinateur au niveau des
membres
supérieurs, dans le grand pectoral et le grand
le droit an- térieur, le biceps, le jambier antérieur au niveau des
membres
inférieurs, on peut se demander si le processus
ticuliers de l'observation ; en effet, la rétraction en flexion des
membres
supérieurs et inférieurs, la rigidité du tronc qu
ncer à manger seule et se vit complètement privée de l'usage de ses
membres
supérieurs dont les différents segments ne pouvai
u gênée, et s'embarrasse lorsqu'elle a causé un certain temps. Le
membre
supérieur droit est paralysé, mais il n'existe pa
e la main. Il ne semble pas qu'il y ait d'atrophie musculaire. Au
membre
supérieur gauche, les mouvements sont en général
, l'index et l'annu- laire étant les moins pris. Les réflexes des
membres
supérieurs sont normaux. Du côté des membres in
is. Les réflexes des membres supérieurs sont normaux. Du côté des
membres
inférieurs on note la peine à élever la jambe dro
ile est partout normale. La notion de position est très altérée aux
membres
supérieurs, et les membres inférieurs présenten
La notion de position est très altérée aux membres supérieurs, et les
membres
inférieurs présentent un certain degré d'incoor
nés a gauche ; mais rien à droite. Pas d'atrophie musculaire. Aux
membres
supérieurs, les mouvements spontanés du bras et d
Le sensibilité cutanée est très diminuée sur tout le côté gnuche, au
membre
inférieur, au tronc, au membre supérieur; à dro
diminuée sur tout le côté gnuche, au membre inférieur, au tronc, au
membre
supérieur; à droite on trouve nettement indiqué
l'oeil est trouvé normal (Vialet). , En 1902. - Même impotence des
membres
supérieurs, sans raideur, ni contracture sauf p
HISTOLOGIE PATHOLOGIQUE ET PATIIOGÉNIE DE LA SYRINGOMYÉLIE 379 Aux
membres
inférieurs l'affaiblissement porte surtout sur le
oit la partie supérieure du tronc, l'épaule et la partie externe du
membre
supérieur; les territoires radiculaires sous- j
dans le cours de la paralysie générale, avec ou sans paralysie des
membres
du côté droit. Voici deux exemples de cette var
inte de paralysie infantile ? (fièvre, puis pa- ralysie de tous les
membres
? ) ; il était, dit-il, « paralysé de ses membres
ralysie de tous les membres ? ) ; il était, dit-il, « paralysé de ses
membres
et POLIOMYÉLITE ANTIUUEUIÎE AIGUË DE L'ADULTE 4
octobre 1895 il est rentré chez lui éprouvant de fortes douleurs au
membre
inférieur droit : il a été obligé de s'aliter. De
oïde. Le 7, le malade s'est aperçu qu'il ne pouvait plus remuer son
membre
infé- rieur gauche; le droit était faible, mais
eu. Examen le 8 octobre 1895. Le malade présente une paralysie du
membre
inférieur gauche et une fai- blesse assez grand
lysie du membre inférieur gauche et une fai- blesse assez grande du
membre
inférieur droit. Le réflexe rotulien est complè
té à la chaleur existe. ' Quelques faibles douleurs dans les deux
membres
inférieurs. Douleurs de tête, surtout le matin
porté à pleurer. 434 LÉI11 ET WILSON 9 octobre. - La paralysie du
membre
inférieur gauche persiste ainsi que la faibless
lysie du membre inférieur gauche persiste ainsi que la faiblesse du
membre
inférieur droit et l'hyperesthésie cutanée. Le ré
sparu. Sensibilité à la chaleur normale. Urine norma- lement. Les
membres
supérieurs ne présentent qu'une légère diminution
force. T. : matin, 38; soir, 38.3. 10 octobre. - La paralysie du
membre
inférieur gauche et la faiblesse du droit persi
bilité au toucher et à la chaleur normale, la douleur augmentée. Au
membre
inférieur les adducteurs de la cuisse ont seuls c
t de flexion de la jambe sur. la cuisse. Etat stationnaire pour les
membres
supérieurs. ' * Le malade a été purgé là veille
a la sensation que sa force revient, mais il souffre davantage des
membres
inférieurs. Il a été agité la nuit, a crié. I
40. Respiration normale. 16 octobre. - Etat stationnaire pour les
membres
. A pris la veille au soir chloral et morphine e
ds tombent et ne peuvent être fléchis sur la jambe. Paralysie des
membres
supérieurs plus complète à gauche qu'à droite. Re
che en totalité au commandement, mais ne peut l'élever en l'air. Le
membre
droit reste appliqué au corps dans la demi-flexio
la main se porte dans l'adduction à 130°. Pas de contracture des
membres
. Atrophie des membres inférieurs, pas de troubl
l'adduction à 130°. Pas de contracture des membres. Atrophie des
membres
inférieurs, pas de troubles trophiques, pas d'esc
pas de troubles trophiques, pas d'escha- res ; légère atrophie des
membres
supérieurs. Réflexe patellaire presque aboli à
en conservées, normales, non dissociées. Pas de dou- leurs dans les
membres
. Thorax normal. Pas d'atrophie des pectoraux. P
, mais au contraire progressive pendant une huitaine de jours : les
membres
inférieurs furent atteints les premiers (avec que
parésie avec diminution de ce réflexe; au bout de 4 ou 5 jours les
membres
supérieurs se prirent progressivement il leur tou
fièvre tomba et la paralysie diminua d'in- tensité dans les quatre
membres
: elle resta pourtant plus accentuée dans les m
ns les quatre membres : elle resta pourtant plus accentuée dans les
membres
supérieur et inférieur gauches qui avaient été pl
s une paralysie complète de tous les muscles du tronc et des quatre
membres
avec intégrité complété de la sensibilité : mor
les formes athlétiques des cuisses. Le même contraste existe aux
membres
supérieurs entre le volume du bras et celui de
e volume du bras et celui de l'avant-bras, mais moins accusé qu'aux
membres
inférieurs : l'avant- bras paraît plus petit qu
pe musculaire déterminé. Le malade se plaint de la faiblesse de ses
membres
et de fait il ne donne que 25 au dynamomètre de
qui eut successivement de l'atrophie des mains, des avant-bras, des
membres
inférieurs et même des mastica- leurs. Dans cha
e la face, du cou, du tronc, de la ceinture scapulo-humérale et des
membres
inférieurs avec prédominance au bras. Plus tard
ntractures localisées sur la longueur d'un faisceau musculaire, aux
membres
inférieurs surtout : pour ne citer qu'un cas..p
s livides, violacés à côté de surfaces exsangues d'un blanc mat. Le
membre
dans son ensemble est refroidi à tel point que le
être invoquée. Elle nous parait peu vraisemblable. Tout d'abord, le
membre
sur lequel les plaques de sphacèle se sont pro-
e prognathisme, les malformations des oreilles, les difformités des
membres
, les doigts supplémentaires, etc. Parmi les tar
vement sur le crâne, la face, les organes des sens, le tronc et les
membres
, les organes génitaux, la peau et les appendice
xpression de de Curnieu, « la clef de son individualité. » Tronc et
membres
, L'examen du tronc et des membres peut être fai
de son individualité. » Tronc et membres, L'examen du tronc et des
membres
peut être fait au double point de vue hippométr
éressant aux carac- tères ethniques fournis par le tronc et par les
membres
; tout récemment enlin, l'un de nous (2), en co
y-Monge, a pu préciser les données suivantes : Points de repère :
Membre
antérieur : Crête sus-épineuse (épaule) ; scissur
e) ; scissure de l'os crochu (genou) ; ligne du bourrelet (pied).
Membre
postérieur : Angle externe de l'ilium (hanche) ;
e de l'ilium (hanche) ; ligne du bourrelet (pied). Mensurations :
Membre
antérieur : De la crête sus-épineuse à l'os croch
sus-épineuse à l'os crochu ; do l'os crochu au bourrelet du pied.
Membre
postérieur : De l'angle externe de l'ilium au bou
es a été constatée (Carlos par Hospodar et Carlotta). ' Du côté des
membres
, il existe une foule de difformités congénitales.
'épaule et de la han- che (4). -, , Les vices de conformation des
membres
sont fréquemment héréditaires. Ils se sont repr
ltant de l'ostéite phalangienne ; le cheval Président présentait au
membre
postérieur gauche une forme qu'il tenait de son
ilement d'une colonne, d'autres fléchissent brusque- ment sur leurs
membres
sous le coup d'une émotion vive. Il faut toutefoi
e. Nous pouvons même noter un épaississement oedémateux notable des
membres
inférieurs ». - A l'Académie des Beaux-Arts de
fontaine miraculeuse. Parmi eux, on reconnaît plusieurs lépreux aux
membres
atrophiés, avec griffes et contractures. 'Et l'on
la bouffissure du visage.de lamalàde,' ainsi que de l'oedème de ses
membres
inférieurs. L'hydropisie abdominale se devine à
stologie (Thomas et HAu- 'sEn). LUI, LIV, LV, LVI. Trophoedème du
membre
inférieur droit (P. SwcvTO.r et R. Voisin), XXV
ÈME NERVEUX SYPHILITIQUES PAR PAUL RICHER GILLES DE la TOURETTE
MEMBRE
DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA
le l'hémiplégie purement motrice dans laquelle il y a paralysie des
membres
, de la langue et de la partie inférieure de la
liod). Un nouveau type d'hé- miplégie alterne (hypoglosse gauche et
membres
tlrots). Iconographie de la Salpêtrière, 1895,
ne section expéri- mentale. Le malade présenta une hémiplégie des
membres
du côté opposé à la lésion, c'est-à-dire une hé
urs noyaux. (Fig. 5.) Dans cette variété d hémiplégie alterne les
membres
, supérieur et inférieur, sont paralysés du côté
ésion. Il existera en effet, une hémiplégie croisée intéressant les
membres
supérieur, inférieur, et la partie inférieure d
Pl. I. A.) Vous pouvez voir que la malade soulève avec facilité les
membres
du côté droit, lesquels ne sont du reste nullem
t paralysés, tandis que cela lui est absolument impossible pour les
membres
du côté gauche ; il existe en effet une hémiplé
du côté gauche, de sorte que l'hémiplégie affecte non seulement le
membre
supérieur et le membre inférieur, mais encore la
te que l'hémiplégie affecte non seulement le membre supérieur et le
membre
inférieur, mais encore la partie infé- rieure d
ainsi dire en s'effa- çant, il y a trois semaines l'hémiplégie des
membres
était complète, ainsi que la paralysie du relev
ait dans la jambe. En même temps le malade portait ses mains sur le
membre
gauche et le serrait fortement au-dessus du gen
topographiquement parlant, c'est-à-dire que la sensibilité, pour un
membre
ou pour un segment de membre, a la même représe
est-à-dire que la sensibilité, pour un membre ou pour un segment de
membre
, a la même représentation corticale que la motili
membre, a la même représentation corticale que la motilité pour ce
membre
ou ce segment de membre. La seule différence cons
sentation corticale que la motilité pour ce membre ou ce segment de
membre
. La seule différence consiste en ce que celle-c
implanté le tubercule, quoique voisin du centre moteur cortical du
membre
inférieur, est plutôt le centre du sens muscula
du membre inférieur, est plutôt le centre du sens musculaire de ce
membre
. (1) Brain, vol. ier, p. G7. 30 11L1GALIIAÈS
et une certaine indécision dans les mouvements volontaires du même
membre
, observés une seule fois. Ces deux symptômes
l'explosion se fasse dans le centre cortical du sens musculaire du
membre
inférieur. En somme : aussi bien l'aura que les
semblent démontrer que le centre de la sensibilité muscu- laire du
membre
inférieur est placé dans le lieu atteint par la l
rtie supérieure des circon- volutions ascendantes, centre moteur du
membre
inférieur - peut donner lieu, dans le moment de
tique dansle centre de transformation des sensations musculaires du
membre
inférieur en perceptions et en images mentales
ex lésé. EN résumé : I. Le centre de la sensibilité musculaire du
membre
inférieur semble être placé dans la partie anté
et il ressentit aussitôt « quelque chose de bizarre » dans tout le
membre
supérieur gauche ; depuis ce moment il reste in
orce musculaire, elfe parait conservée dans tous les seg-" ments du
membre
malade ; toutes les phalanges se fléchissent et s
t plus qu'une certaine raideur de la jambe et une hyperesthésie des
membres
et du tronc rendant tout contact, même des vête
sir de cette main lui échappe. Nous constatons d'abord que les deux
membres
inférieurs se comportent éga- lement bien, même
avons noté déjà les sensations subjectives de froid perçues dans le
membre
supérieur gauche, que la malade est obligée de co
orce de ces mouvements est troublée surtout lorsqu'on soustrait les
membres
au contrôle de la vue. Nous soignons en ce moment
i, grâce à une rééducation attentive, C : 1acun des segments de son
membre
supérieur droit, il peut saisir des objets de f
articulaire; on l'a employé pour désigner la notion de position des
membres
et de leurs segments, dite encore le sens de l'
A cette époque, pendant ou après ( ? ) survint une paralysie de son
membre
supérieur droit à laquelle succéda l'amyotrophi
à la main. 58 ? 13 CHARCOT L'amyotrophie porte sur la totalité du
membre
et est très prononcée, la sensibilité parait in
es. Le squelette est normal comparé pour ses dimensions il celui du
membre
opposé. Les seuls mou- vements possibles du bra
peut remarquer encore qu'au moment de la verticale, l'extension du
membre
portant est bien plus complète dans la marche à r
a marche en avant. En outre de ces différences dans la position des
membres
inférieurs, on constate dans leur morphologie d
commencer à détacher le talon (Fig. 15). Quant aux mouvements des
membres
inférieurs, ils sont à peu près les mêmes que
es qui ne diffèrent que par.une plus grande ac- centuation sur le
membre
portant. Si la charge était portée sur les deux
nombre de mouvements de compensation qui ont lieu au torse et aux
membres
inférieurs. Les oscillations transversales de l
ue complètement supprimées par l'attitude spéciale que prennent les
membres
inférieurs dans la marche dite « en flexion » et
a pointe. Une fois que le pied a bien pris son appui sur le sol, le
membre
se redresse progressivement et avec effort pour
nsion que bien après avoir passé le moment de la verticale. Ce même
membre
de- meure en extension complète pendant tout le
à la propulsion (Fig. 7). Puis la pointe elle-même se détache et le
membre
devenu oscillant s'avance en état de flexion plus
-ce un seul instant. En résumé, l'extension ne s'observe que sur le
membre
portant et lors dupas antérieur seulement. Au
vient à son tour l'agent de propulsion. Le modelé de la cuisse du
membre
portant est tout à fait caractéris- tique. .
en avant ; Augmentation de durée de la phase de double appui ; Le
membre
oscillant arrive en flexion à l'appui, mais la fl
out à l'heure. La phase du double appui est également prolongée, le
membre
oscillant arrive en flexion à l'appui, le pied
xion à l'appui, le pied prend contact avec le sol par la plante, le
membre
ne se redresse qu'après le moment de la verticale
cale (Fig. 9). L'effort musculaire se voit surtout à la cuisse du
membre
portant pen- dant le pas postérieur et le quadr
ntérieur, l'effort musculaire se déplace et, se produit sur le même
membre
au mollet dont le muscle soulevant le talon ser
rses mar- ches que nous venons d'étudier (Fig. -11). En effet, le
membre
oscillant arrive à l'appui en extension complèt
lan horizontal. Ils rou- lent sur le sol du talon à la pointe. Le
membre
portant se fléchit légè- rement aussitôt que le
, mais avec plus d'énergie (Fig. 12). Il est vrai qu'à ce moment le
membre
portant soutient non seulement le poids du corp
l'inclinaison du plan de marche. Pendant tout le pas postérieur le
membre
portant reste légèrement fléchi, il ne se redress
pas antérieur. Sa flexion augmente au moment du double appui. Le
membre
oscillant est fléchi à des degrés divers tout le
ant. Là aussi l'agent principal de l'ascension est le quadriceps du
membre
portant qui travaille tout le temps du pas po
degrés successifs. Je n'insisterai pas sur les mouvements des deux
membres
inférieurs, ilsuffira au lecteur de jeter un
escalier. Je pense inutile de décrire en détails les mouvements des
membres
in- férieurs lors de la descente d'un escalier,
ans la marche ordinaire. En résumé dans le pas postérieur, les deux
membres
sont en flexion. Dans le pas anérieui le membre
stérieur, les deux membres sont en flexion. Dans le pas anérieui le
membre
portant seul est en ex- tension. La figure qu
E il Dans cette démarche, le corps est incliné en avant et les deux
membres
inférieurs se montrent dans une flexion encore
r la jambe portante seulement et tout à la fin du pas antérieur. Le
membre
oscillant arrive fléchi sur le sol (Voyez Fig.
lles) est le caractère dit « de flexion ». Il consiste en ce que le
membre
oscillant, au lieu d'aborder le sol en extensio
pour ainsi dire, au moment de la verticale, alors que la flexion du
membre
place le muscle en état de distension, pour cesse
nsion, pour cesser pres- que aussitôt bien avant que l'extension du
membre
soit achevée et que le talon touche le sol. Il
r soutenir le poids du corps qui tendrait à accentuer la flexion du
membre
qui lui sert alors de soutien. Cette contraction
te à l'exagéra- tion tous les caractères de la marche vulgaire. Les
membres
inférieurs sont le plus possible en extension c
leur balancement ; et ce balancement alterne avec le mouvement des
membres
inférieurs comme cela a lieu dans la marche ord
s, au moyen d'entraves, à transpor- ter en avant à la fois les deux
membres
du même côté et à marcher l'am- ble plutôt que
a phase d'appui, au moment où le pied prend contact avec le sol, le
membre
au levé est beau- coup moins en arrière qu'il n
ans la course ordinaire, et, par suite, se trouve plus rapproché du
membre
portant. Nous savons que d'or- dinaire la retom
dans la marche pathologique, les différents points du corps et des
membres
. Il y aurait aujourd'hui mieux a faire encore,
. Aux symptômes précédents s'ajoutèrent des fourmillements dans les
membres
infé- rieurs, surtout accusés à droite, une sen
litoridiennes. Elle présente des douleurs lancinantes au niveau des
membres
supérieurs, de l'anesthésie suivant le trajet d
anesthésie suivant le trajet du nerf cubital, de l'incoordination des
membres
supérieurs. Pas d'incoordination motrice des me
ordination des membres supérieurs. Pas d'incoordination motrice des
membres
inférieurs, pas désigne de Romberg à aucun exer
Maire bilatérale. Douleurs fulgurantes. Pas d'incoor- dination des
membres
inférieurs. Les réflexes rolulims sont conservés,
auche, le signe d'A. Ro- bertson, des douleurs fulgurantes dans les
membres
inférieurs, la démarche tabétique. Les réflexes
e du Dr Polaillon. Vers la même époque, il aurait ressenti dans les
membres
inférieurs des douleurs fulgurantes survenant p
ate d'apparition, de douleurs constrictives et de douleurs dans les
membres
supérieurs. Dès le début, des phénomènes vésica
nt des deux pieds. Il a le signe de Rom- berg. L'incoordination des
membres
inférieurs est peu marquée dans le lit. On trou
gauche la trace du mal perforant, non complètement cicatrisé. Aux
membres
supérieurs, on note une incoordination motrice in
ènes vésicaux, la démarche caractéristique, de l'incoordination des
membres
supérieurs, mais au cours duquel les ré- flexes
DU LICHEN RUBER 91 en stries sur la peau le long des nerfs sur les
membres
inférieurs; un cas semblable est décrit par Gal
cas les plus typiques de ce genre. 1. - Lichen ruber planus sur les
membres
inférieurs. - Les éruptions sont disposées très
de 75 ans, allemand. La maladie a commencé, il y a 10 ans, sur les
membres
inférieurs, s'est étendue peu à pen sur toute l
é- rable. V. Un homme de 59 ans, juif. - Le lichen planus sur les
membres
inférieurs et principalement dans les régions s
. Aussi semble-t-il moins potelé que ne le sont ses congénères. Ses
membres
sont cependant des membres d'enfant, d'enfant ché
otelé que ne le sont ses congénères. Ses membres sont cependant des
membres
d'enfant, d'enfant chétif il est vrai ; mais le
nt ses joues, plus d'enveloppement adipeux masquant les reliefs des
membres
; le thorax est dessiné, le ventre ne proémine pas
idu qui avait été longtemps tourmenté par un rhumatisme et dont les
membres
avaient perdu tout mouvement, trouva les muscle
vant, qui habile le dé- partement du Doubs. Cet homme, impotent des
membres
inférieurs, a les chairs de ces parties d'une d
ssifiante. Il tombe en 1883 et il se for- me alors un gonflement du
membre
inférieur droit. En automne 1883, il constate une
rès étendus, ils envahissaient toute une région, tout un segment de
membre
; dans le cas de Pincus il y avait une stase vei-
es premières manifestations morbides ; dans celui de Fuerstner, les
membres
inférieurs. Macdonald signale le bord postérieu
de gran- dir, sa peau s'épaissit ; il souffrit de douleurs dans les
membres
et l'abdo- men, ayant parfois des crises de vom
ormation était accusée surtout à droite, d'où raccourcis- sement du
membre
. Lorsque les genoux étaient en contact, l'écartem
subluxation en avant de la tête de l'astragale. « Au thorax et aux
membres
supérieurs, les manifestations pathologi- ques
ère courbure la- térale du rachis compensait le raccourcissement du
membre
inférieur droit. « La palpation du cou s'effect
servation de dermato-sclérose partielle de la région dorsale et des
membres
supérieurs et inférieurs, recueillie par I. l3art
usquement, vers 7 heures du soir, de mouvements convulsifs dans les
membres
supérieurs et inférieurs. Les globes oculaires so
de la phys., 1892, p. 434). 148 Con. séné posé à la paralysie des
membres
, peut être la conséquence de la paralysie de la
onsultation le 25 janvier 1898, se plai- gnant de secousses dans le
membre
supérieur et d'engourdissements dans le membre
de secousses dans le membre supérieur et d'engourdissements dans le
membre
inférieur du côté droit. Elle ne connaît pas d'
ly- sie du côté droit. Cette paralysie parait avoir été totale, les
membres
étaient balants et mous comme des-chiffons, dit
face était atteinte ; l'oeil ne se fermait pas. Les mouvements des
membres
revinrent graduellement, l'asy- métrie de la fa
ontact, il la douleur, à la température paraît normale dans tout le
membre
inférieur. Le réflexe patellaire ne diffère pas
pas de celui du côté gauche sain. Aucune trace d'atrophie. C'est le
membre
supérieur seulement qui a été le siège de secouss
par le bromure de potassium à doses crois- santes, les secousses du
membre
supérieur qui se reproduisaient presque huit et
n était pas produit dans la dernière semaine de mars. La fatigue du
membre
inférieur semblait aussi s'ètre atténuée. Quant a
ion se pose maintenant. Quelle est la loi qui régit la position des
membres
et de la tête ? Pourquoi dans tel cas, il y a une
l'extension). Il en est de même du torticolis et de la position des
membres
inférieurs, des déformations de la colonne vert
unchmeyer seul parle d'un refroidissement objectif et subjectif des
membres
inférieurs dû probablement à l'oedème. La sensi
e que la gouvernante de son malade, s'est aperçue d'une raideur des
membres
supérieurs ainsi que d'une difformité de la colon
et Dambressi dont les premières difficultés dans les mouvements des
membres
se manifestè- rent à 26 ans, et l'observation d
stase locale aussi bien qu'à la compression des veines profondes du
membre
, l'engor- gement aigu et passager des ganglions
aires des muscles, une agitation particulière qu'on observe dans le
membre
pendant la période de progression, sont dus évi
u désarticulations ; les premières atteintes du mal se montrent aux
membres
; déplus il y a une symétrie parfaite en- tre l
tes ; la musculature des pseudo- hyperlrophiques, surtout celle des
membres
inférieurs, est monstrueuse- ment développée; l
s sont bien portants. Ses père et mère sont morts très âgés ; aucun
membre
de la famille ne présente une affection semblable
par- ties du corps également; les plans musculaires antérieurs des
membres
supé- rieurs, du tronc, des jambes, oatété part
t suivant les mouvements des tendons. A quelques détails près, le
membre
supérieur gauche présente les mêmes Fil. 1 - It
me dans le rhumatisme déformant. Hallux valgus du gros orteil. Le
membre
inférieur gauche au contraire a été fortement épr
e une espèce de pont très solide, jeté entre les deux seg- ments du
membre
et immobilisant l'article. Les battements de l'ar
fémur et au tibia et jetée comme un pont entre les deux segments du
membre
inférieur. DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE
plus marquées droite. Plus tard, douleurs en cein- ture et dans les
membres
supérieurs (sphère du cubital). En 1890. Troubl
périeurs (sphère du cubital). En 1890. Troubles moteurs du côté des
membres
supérieurs; les mou- vements deviennent brusque
n aug- mente. Vacillation de la tête. Réflexe rotulien aboli. Les
membres
supérieurs, pendant l'occlusion des yeux, présent
r que difficilement dans son lit. Troubles moteurs. - Du côté des
membres
inférieurs, il y a abolition com- plète du réfl
on peut en juger, la force musculaire paraît conservée. Du côté des
membres
supérieurs, l'incoordination est aussi très marqu
urs légères sur le trajet du sciatique, surtout il gauche. Dans les
membres
supérieurs le malade sent des fourmille- ments.
omplète des ra- cines rachidiennes et d'un certain nombre de nerfs.
Membre
inférieur : collatéral interne du pouce, pédieu
: sciatique (tronc), saphène interne et nerf du quadriceps crural.
Membre
supérieur : collatéral externe du pouce, radial
uve- ments ne restaient pas localisés et se propageaient aux autres
membres
. A l'examen microscopique du cerveau, on consta
avait les yeux clos ; sa respiration était à peine perceptible, ses
membres
étaient en résolution complète. Elle n'a pas eu d
insister sur l'absence de vomissements. - La force musculaire des
membres
, explorée tandis que la malade était assise sur
les ré- llexes tendineux étaient manifestement exagérés,aux quatre
membres
,sans qu'il fut possible de provoquer le phénomè
r, retombait inces- samment d'un côté ou d'un autre. Il remuait ses
membres
, mais n'avait aucune force. Jamais il n'a pu se
issant nulles. Contractilité volontaire nulle; immobilité absolue ;
membres
contractures ; opisthotonos permanent, sans rém
n et une hébétude complète ; des contractures passagè- res dans les
membres
inférieurs, et un écoulement constant de la saliv
l'enfant devient prospère ; les dents poussent en leur temps : les
membres
se dévelop- pent et se meuvent bien ; la croiss
erne-lauréat des l'Hôpital Tenon. Hôpitaux. L'atrophie de tout un
membre
, y compris les os, est bien connue au cours de
îné l'atrophie des cellules trophiques de la corne correspondant au
membre
frappé. D'autre part, l'atrophie d'un membre se
corne correspondant au membre frappé. D'autre part, l'atrophie d'un
membre
se rencontre encore au cours de lésions périphé
ion articulaire ancienne avec ankylose du -genou droit. Atrophie du
membre
inférieur droit et aplasie osseuse. Atrophie médu
aladie articulaire, il se produisit progressivement une atrophie du
membre
inférieur droit. Hormis une rougeole bénigne co
u- leuse. On note la date du 18 octobre de l'oedème bilatéral des
membres
inférieurs avec prédominance à gauche, qui gagn
omène nerveux. Pendant la vie, l'attention avait été attirée sur le
membre
inférieur droit, qui, avec son atrophie tant en
rophie tant en longueur qu'en largeur,aurait donné l'apparence d'un
membre
de paralysie infantile, n'eùt été l'ankylose du g
'ankylose du genou. L'atrophie porte sur les différents segments du
membre
. Elle intéresse les masses mus- culaires de la
. L'extension est impossible. La sensibilité objective au niveau du
membre
atrophié est intacte à tous les modes. Il n'exi
t intacte à tous les modes. Il n'existe aucune douleur au niveau du
membre
inférieur. Pas d'hyperesthésie des masses muscu
eur. Pas d'hyperesthésie des masses musculaires à la pression. Le
membre
est constamment froid. Il est le siège de trouble
s les hivers. 264 ACHARD ET LI;OPOLD-LBVI Les radiographies des
membres
inférieurs ont été faites pendant la vie (1) (P
pose et de distance de l'appareil étaient iden- tiques pour chaque
membre
. La diminution de volume des os dans le sens tr
rotule, dans l'attitude qui correspond à la position natu- relle du
membre
atrophié, affecte des rapports seulement avec la
bercu- lose caséeuse de la capsule surrénale droite. Au niveau du
membre
inférieur droit, on constate de l'oedème du tissu
. - Il existe des diffé- rences considérables entre les os des deux
membres
inférieurs. Ils ne parais- sent pas appartenir
PHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE D'ORIGINE ARTICULAIRE (Radiographies des
membres
inférieurs) A. CÔTÉ DROIT ATROPHIÉ. B. CÔTÉ GAU
minution de volume de la corne antérieure du côté correspondant au
membre
atrophié (PI. XXXV,2). Cette atrophie devient
que du genou, développée à l'âge de 7 ans, survient une atrophie du
membre
inférieur correspondant. Le malade meurt de tuber
qu'on observe, par exemple, à la suite des arthrites chroniques des
membres
inférieurs chez les enfants. M. Lannelongue (2)
o- tuberculose, signale l'atrophie spéciale de tout le squelette du
membre
. M. Klippel (3) a publié trois cas dans lesquel
la fois de l'atrophie mus- culaire et un arrêt de développement du
membre
correspondant. L'un de ces cas, suivi d'ailleur
genou gauche. A la suite, il se fit un arrêt de dé- veloppement du
membre
inférieur gauche. L'aspect extérieur du membre
e dé- veloppement du membre inférieur gauche. L'aspect extérieur du
membre
était celui de la paralysie infantile. Il exist
(3) Klippel, De l'arrêt du développement à la suite de lésions des
membres
dans l'enfance, Revue de médecine, 1893. 270
ACHARD ET LÉOPOLD-LÉVI formation du genou. L'extension complète du
membre
était impossible. Le fait de l'aplasie osseuse
ui unissent l'atrophie médullaire et l'arrêt du développe- ment des
membres
. En ce qui concerne la constatation d'altératio
l'examen, on note un raccourcissement de 10 centimètres environ du
membre
inférieur droit. Il existe une atrophie musculair
accentuée et une atrophie osseuse portant sur les divers segments du
membre
: le pied droit chausse 36, le pied gauche 3 :
eyden (1), concernant une ankylose du genou avec légère atrophie du
membre
. Il s'était produit une diminution de volume peu
e les centres spinaux, qui exercent une action sur la nutrition des
membres
, en ont également sur leur développe- ment, pen
période de croissance. On peut rapprocher des cas d'atro- phie d'un
membre
, consécutive aux arthrites, les exemples inverses
où, au cours d'une affection articulaire chronique ou subaiguë, le
membre
du côté malade s'accroit en longueur d'une faço
e est très voisine de l'atrophie secondaire liée à l'amputation des
membres
, très diffé- rente de celle de la paralysie inf
érations de la moelle, lors d'amputation acquise ou congénitale des
membres
, sont complexes en général et variées. Sans ins
e de GO ans, atteint dans l'enfance de paralysie infantile des deux
membres
inférieurs avec prédomi- nance à gauche, on rec
ogique permettrait de séparer, dans un cas douteux, l'atrophie d'un
membre
par lésion périphérique ou par para- lysie infa
poser que l'anam- nèse est souvent incertaine ; que l'apparence du
membre
est comparable dans les deux cas. Ce qui déjà f
de l'écorce cérébrale, répondant comme siège au centre mo- teur du
membre
atteint, a été signalée à la suite de l'amputatio
uet et Mongour (8), Schaw (9). Bourdon a conclu que l'ablation d'un
membre
ou son impotence amène à la longue l'atro- phie
sé par une voiture qui lui avait passé sur la main droite et sur le
membre
inférieur droit. Ce membre était resté moins gros
avait passé sur la main droite et sur le membre inférieur droit. Ce
membre
était resté moins gros et moins long que le mem
érieur droit. Ce membre était resté moins gros et moins long que le
membre
inférieur gauche. Le raccourcissement résultait e
Le pied formait un varus équin. La différence de longueur entre le
membre
inférieur droit et le membre inférieur gauche éta
in. La différence de longueur entre le membre inférieur droit et le
membre
inférieur gauche était de 23 centimètres. La ma
e périphérique, la théo- rie qui s'applique aux cas d'amputation de
membre
convient à ceux d'impotence fonctionnelle liée
eurs corticaux et rendus inutiles par le fait de la suppression des
membres
dont ils étaient destinés à stimuler et à diriger
firme même l'idée de la solidarité étroite qui unit les différents
membres
(1) LE DOuBLE ET VlOLL1;T, Tribune médicale, 18
orne antérieure de la moelle et du centre cérébral correspondant au
membre
paralysé. A l'occasion de cette présentation, M
vant-bras jusqu'au coude et les transforma en une masse osseuse. Le
membre
supérieur gauche, depuis le poignet jusqu'au coud
sans cause connue. On remarqua d'abord la perte des mouvements des
membres
supérieurs : il était incapable de les lever, l
d'après le diagnostic posé. Huit ans après, douleurs dans tous les
membres
accompagnées de mouvement fébrile intense. Les mo
ments n'avaient commencé il être gênés que longtemps après ceux des
membres
thoraciques et abdominaux. En 1834 mouvement fé
rouve la plus grande partie de ce tissu, il en est de même dans les
membres
supérieurs ; mais aux membres inférieurs, certain
ce tissu, il en est de même dans les membres supérieurs ; mais aux
membres
inférieurs, certaines portions sont d'une textu
a configuration de celui de l'homme. A. l'âge de 8 mois raideur des
membres
supérieurs, on constata alors des saillies dans
autre apparaît derrière l'épaule droite. Trois semaines après, les
membres
supérieurs commencent à devenir raides, et, dan
tumeurs osseuses signalées plus haut sont augmentées de volume. Les
membres
inférieurs sont dans l'extension forcée et oedé
du métacarpe des noyaux indurés. Août 1864. Gonflement de tout le
membre
inférieur gauche jusqu'à la hanche sans cause.
x appréciables, il en est de même dans les adducteurs; cependant ce
membre
fonctionne encore assez bien. Ons. XVIII. C.
e contrac- tent. Pas de dysphagie. Muscles de la mimique normaux.
Membre
inférieur gauche normal ; le droit ne peut être é
néral de la raideur de la marche et des troubles de la motilité des
membres
supérieurs et inférieurs. La disparition des
congénitale de l'articulation phalangienne du pouce, sont normaux.
Membre
inférieur gauche. - A l'aine li à 5 ganglions ind
crête iliaque Anomalie de la première phalange du gros orteil. -
Membre
inférieur droit. Mêmes anomalies dans la région f
re de l'état du malade. Mêmes dif- ficultés dans les mouvements des
membres
. Rien d'anormal dans les urines. Le 14 avril 18
es atrophiés, fibreux ou ossifiés. Réaction normale des muscles des
membres
supérieurs et inférieurs avec de légères except
Les tendons des droit antérieur et couturier sont durs. Longueur du
membre
inférieure droit 73 centimètres. Ankylose de la
la cuisse, s'élève au-dessus des muscles de la cuisse. Longueur du
membre
inférieur gauche 75 centimètres. Ankylose du ge
nkylose plus ou moins complète des articula- lions de la racine des
membres
. Le mémoire de M. P. Marie est basé sur six obs
nts qui s'effectuent dans les autres articulations de la racine des
membres
. Antécédents. Père et mère bien portants, non r
ervice militaire, Duf... commença à éprouver des dou- leurs dans le
membre
inférieur droit et plus rarement dans le gauche à
e la cuisse, depuis la partie moyenne jusqu'au trochan- ter pour le
membre
inférieur droit; même localisation à gauche, où l
se porte ordinairement sur la jambe droite; dans cette position, le
membre
infé- rieur droit est dans la rectitude, la cui
pose il gauche (position dou- loureuse au bout de peu de temps), le
membre
gauche, vertical, est dans la rectitude, la jam
lement plus gros que normalement. Sa rétroflexion est impossible.
Membres
inférieurs . Lorsque le malade est couché, la jam
-tarsiennes, du tarse, du métatarse et des orteils sont normales.
Membres
supérieurs. - Les deux épaules sont portées en av
nsation de tiraillement. Les mouvements des autres articulations du
membre
supérieur sont abso- lument normaux. Des nodosi
mouvements du bras. Les sus-épineux et sous-épineux sont normaux.
Membres
supérieurs. - La force musculaire, est bien conse
bres supérieurs. - La force musculaire, est bien conservée dans les
membres
supérieurs. A gauche le malade porte facilement à
iliaques supé- rieures et postérieures proéminentes. Du côté des
membres
inférieurs, les fessiers surtout moyens et petits
douleurde reins, qui envoie des irradiations fulgu- rantes dans le
membre
inférieur gauche. De même tout ébranlement géné
s se passant dans les articulations encore mobiles de la racine des
membres
sont douloureux à leur limite. Ainsi, la cuisse
correspondante pour les mouvements des seg- ments de la racine des
membres
non complètement ankylosés. Tout ébranlement de
n de la cuisse sur le bassin. Lorsqu'au contraire, il repose sur le
membre
gauche, le membre inférieur droit, plus long qu
le bassin. Lorsqu'au contraire, il repose sur le membre gauche, le
membre
inférieur droit, plus long que le gauche, se po
ur la cuisse et le pied vient reposer à terre grâce à la flexion du
membre
droit qui s'exécute alors. Puis Uuf... se por
; le corps penche fortement en avant lorsque Duf... se porte sur le
membre
inférieur gauche vertical, la jambe étant en exte
rand pas ne peut être suivi d'un second. En somme la progression du
membre
gauche est simplifiée par la flexion permanente
sacro- vertébrale ankylosée, il se fait tout d'une pièce autour du
membre
droit étendu. Porter le pied droit en arrière e
s mouve- ments pour les trois autres articulations de la racine des
membres
, les autres articulations restant libres. Ici
pressément mention de l'ankylose des articulations de la racine des
membres
il semble bien que le malade dont ils reproduisen
ankylose plus ou moins prononcée des articulations de la racine des
membres
, les petites articulations des extrémités demeura
auf le cou) forme une tige droite. Ankylose des articulations des
membres
. - D'ordinaire, les articulations coxo-fémorai
tés et s'accompagnent de craquements. Les petites articulations des
membres
sont intactes. A côté de la soudure du rachis e
rachis et de l'ankylose des grosses articulations de la racine des
membres
, on peut constater dans la spondylose rhizomé-
se rhizomélique aboutit à i'ank))ose du rachis et de la ra- cine de
membres
; mais ne peut-il arriver que le processus d'anky
e envahissante en gagnant peu à peu les petites arti- culations des
membres
? Le fait due, dans les cas de M. Marie comme che
que celles M 23 338 E. FEINDEL ET P. FROUSSARD de la racine des
membres
, la temporo-maxillaire droite-, est atteinte, et
sant d'abord les articulations du rachis et celles de la racine des
membres
pourrait-elle donc gagner les autres articulation
mation faciale peut coexis- ter avec une augmentation de volume des
membres
du même côté. Friedreich (1863) indique la part
de ce coté ; la tempéra- ture est aussi plus élevée. A droite, le
membre
supérieur est plus long, l'inférieur plus gros qu
e, le membre supérieur est plus long, l'inférieur plus gros que les
membres
similaires du côté opposé ; la force y est égalem
t Monod est relative à un jeune homme de 19 ans dont la face et les
membres
sont hypertrophiés du côté droit ; ces régions so
'hypertrophie est croisée. Tout le côté gauche est atteint, face et
membres
. Le bras gauche est plus long que le droit de 2
tion est congénitale ; elle occupe tout le côté droit du corps, les
membres
et la face avec participation des os en quelques
mihypertrophie faciale droite congénitale avec une hypertrophie des
membres
du même côté, portant non sur la longueur mais su
ur du côté droit; l'enfant est droitier. Pas de différence dans les
membres
inférieurs (l'enfant, bon marcheur, fait 2 kilomè
eure du côté malade (Ollier). L'odorat reste toujours intact. Les
membres
peuvent participer en partie ou en totalité à l'h
ité à l'hypertro- phie. Tantôt tout le côté droit du corps (face et
membres
) est intéressé (Ollier, Trélat et Monod, Truc e
c et Masméjean, Mac Gregor, Steffen, Zhu- kovski) ; tantôt c'est le
membre
supérieur correspondant (Arnheim, Stembo) ou la
1). Ces hypertrophies intéressent soit une moitié du corps, soit un
membre
, un segment de membre ou de la face. Rarement e
intéressent soit une moitié du corps, soit un membre, un segment de
membre
ou de la face. Rarement elles sont alternes. Elle
am (2) a vu des sillons congénitaux s'accompagner d'hypertrophie du
membre
correspon- dant ; ils agissaient à l'instar d'u
même côté. Par contre, une solution de continuité des nerfs dans un
membre
s'accompagne plutôt d'une atrophie des os et cela
s, en apparence contradictoires, tiennent à l'impotence absolue des
membres
dont il a coupé les nerfs, tan- dis que les mou
devient raide, puis le bras gauche et tout le tronc de même que les
membres
inférieurs, subissent la même raideur, et le ma
ncore quelques mouvements incom- plets. Mains et doigts libres. Aux
membres
inférieurs tous les mouvements sont possibles,
tteint l'angulaire de l'omoplate. En 1893, tête inclinée à droite ;
membres
supérieurs recourbés ; les coudes séparés des p
peut se passer dans ces conditions : Un coup violent, porté sur un
membre
, peut en déterminer la paralysie. Obsédé par ce
ncapable de faire mouvoir, sous l'impulsion de sa seule volonté, le
membre
qu'il se figure paralysé. Mais qu'une personne
ns de la région scapulo-humérale dans les diverses attitudes et des
membres
supérieurs, nous ferons remarquer en passant qu
is longtemps, montré l'importance. Quelle serait donc l'attitude du
membre
supérieur et de l'épaule qui favoriserait parti
ernière des forces qui neu- oralisaient l'action de la pesanleur du
membre
sur son angle externe, et que celui-ci, en cons
gérée est déterminée par le besoin de lutter contre la pesanteur du
membre
supérieur qui se trouve maintenu à l'horizontale
du corps on remarque une hémiparésie du côté gauche, atteignant le
membre
supérieur et le membre inférieur. xi 30 450 0
ne hémiparésie du côté gauche, atteignant le membre supérieur et le
membre
inférieur. xi 30 450 0 LANNOIS ET BERNOUD L
rieur et le membre inférieur. xi 30 450 0 LANNOIS ET BERNOUD Le
membre
supérieur gauche ne présente pas d'atrophie en lo
. On note en effet au dynamomètre, à gauche, 4 ; à droite, 17. Au
membre
inférieur gauche il n'y a pas non plus d'atrophie
sur le tendon rotulien. La trépidation épileptoïde existe aussi au
membre
supérieur. Mais si le côté droit est plus fort
gération nota- ble des réflexes et de la trépidation épileptoïde au
membre
supérieur comme au membre inférieur. La sensi
lexes et de la trépidation épileptoïde au membre supérieur comme au
membre
inférieur. La sensibilité parait égale des deux
les qui ont donné naissance à l'hémiplégie gauche;- la diplégie des
membres
inférieurs, à la demi-idiotie et à l'épilepsie. D
nnaires épileptiques des Chazeaux porte un énorme noevus de tout le
membre
supérieur et de l'épaule gauches : elle a en mê
légie spasmodique du côté droit avec atrophie très marquée nette du
membre
inférieur (au niveau du mollet, il a 4 4 centim
ati du même côté, plusieurs taches pigmentaires sur le tronc et les
membres
inférieurs. Vers la fin d'octobre, elle a comme
férents sens. - On la ramena à la consultation le le,* février. Les
membres
, la face, le tronc, - a langue sont affectés de
ion, elle ne faisait plus aucun mouvement, la face aussi bien que les
membres
était immobile ; l'ancien spasme facial ne lais
ments, elle l'interpella brusquement ; au cours de la querelle, les
membres
et la face commencèrent à s'agiter de nouveau,
ivement de petits mouvements très légers et limités à la face et au
membre
supérieur. Ce nouvel accès n'a duré qu'une quin
tirage sus-claviculaire. La bouche se couvre d'écume blanche et les
membres
deviennent rigides. Aussitôt com- mencent des g
sification sur la tête, ni dans les muscles abdominaux, ni dans les
membres
inférieurs. L'enfant est resté à l'hôpital plus
gements dans les muscles de l'ab- domen et du bassin; rien dans les
membres
inférieurs. Pendant que la malade était en obse
âge de 14 ans. Peu à peu, il a perdu ses forces, surtout celles des
membres
inférieurs dont les muscles s'atrophièrent à un
me, 35 ans. Lésions congénitales et ayant progressé, localisées aux
membres
supérieurs. Dans certains endroits des plaques
nkylose de quelques ar- ticulations et malformation congénitale des
membres
supérieurs. En outre quelques os sont eux-mêmes
son nom ? ... z IIEI\Y IEI(1; TABLE DES MATIÈRES Amyotrophie du
membre
supérieur gauche chez un Fellah consécutive à l
hie faciale (2 phot., 1 fig.), 343. Charcot (J.-B.). Amyotrophie du
membre
supérieur gauche chez un fellah consé- cutive
l'existence d'une sciatique, mais encore son siège sur tel ou tel
membre
. L'examen plus direct du malade confirmait ensu
vives dou- leurs. ' Un an environ après le début des douleurs du
membre
inférieur, la déformation du tronc, sur laquell
a percussion de la région trochantérienne et du talon, lorsque le
membre
inférieur est étendu, ne provoque pas de douleurs
ge la douleur, de telle façon que le corps porte da- vantage sur le
membre
inférieur droit; outre l'inclinaison laté- rale
ne serait-ce que temporairement, l'attitude normale. Revenons au
membre
inférieur gauche, siège des douleurs. Les tégum
a percussion de la région irochantérienne et du talon, lorsque le
membre
inférieur est étendu, ne provoque pas de dou- l
e jarret; il est alors obligé de se coucher, ne peut plus remuer le
membre
inférieur gauche, et le poids même de couvertur
trière le 23 janvier 1887. Etat actuel. Le malade ressent dans le
membre
inférieur gauche, le long du nerf sciatique, un
Quand le malade est debout, on constate qn'il repose surtout sur le
membre
droit et que le tronc est fortement incliné à dro
ès le début des douleurs. Le malade souffre quand dans la marche le
membre
inférieur gauche vient poser sur le sol ; il ma
s téguments, il n'y a pas de trouble trophique, mais les muscles du
membre
inférieur gauche sont un peu atrophiés. L'amyot
lle éprouva une nuit une sensation d'engour- dissement dans tout le
membre
inférieur droit, puis des dou- leurs très vives
nclinaison latérale; le tronc est fortement incliné à gauche sur le
membre
inférieur correspondant; l'épaule droite est un
e. Dans la station, le malade repose presque exclusivement sur le
membre
inférieur gauclie ; cependant la plante du pied d
eposée, elle est moins inclinée que vers la fin de la journée. Le
membre
atteint no présente pas d'autres troubles : la se
PATHOLOGIE NERVEUSE. neux du côté gauche. Léger amaigrissement du
membre
inférieur gauche, Observation V. ' Malade â
à terre dans toute leur étendue. Il y a une légère amyotrophie du
membre
inférieur gauche. Ces deux dernières observatio
ne pas en tenir compte. Il nous reste à considérer l'attitude des
membres
inférieurs. Dans l'OBSERVATiON I (sciatique gau
III on remarque que le malade repose presque exclusivement sur le
membre
inférieur gauche, mais la plante du pied droit
vations se rapportent à des cas de sciatique de cette catégorie. Le
membre
affecté pré- sente, chez la plupart de nos mala
on l'a vu, tout le poids du corps porte presque uniquement sur le
membre
sain, et la compression normale, que le nerf sc
mem- bre inférieur entrent en contraction, est supprimée dans le
membre
malade par suite du relâchement de ses muscles.
NERVEUSE. complètement appliqué sur le sol, car le soulèvement du
membre
amènerait un tiraillement du nerf qui se- rait
mps, le plus générale- ment, de torticolis spasmodique, et les deux
membres
inférieurs exercent sur le sol la même pression
t semblable à celle de sciatique; mais, dans la plupart des cas, le
membre
malade est légèrement soulevé, et le talon, de
a force musculaire, et de la coordination des autres mouvements des
membres
inférieurs. En dépit des néologismes que nous e
et P. Richer l'ont décrite sous le nom « d'impuissance motrice des
membres
infé- rieurs par défaut de coordination relativ
des mou- vements généraux puisque le malade exécute, à l'aide des
membres
inférieurs, avec la plus grande préci- sion, de
» ce trouble caractéristique. D'après l'avis'éclairé de M. Girard,
membre
de l'Institut, que nous'remer- cions ici de l'o
ous ce titre : « Sur une forme spéciale d'im- puissance motrice des
membres
inférieurs par défaut de coordination relative
après l'émotion ou la chute, sur- vient une impuissance motrice des
membres
infé- rieurs. Rien n'attire l'attention du côté
tégrité de la force musculaire et la précision des mouvements des
membres
. On observe quelques variétés; parfois, lors de
qui existent entre « cette forme spéciale d'impotence motrice des
membres
inférieurs » et les paralysies psychiques; mais
alade, dans ces cas, n'a pas de troubles de la sensibilité dans les
membres
infé- rieurs et conserve le libre usage de ces
ité dans les membres infé- rieurs et conserve le libre usage de ces
membres
quand elle est couchée. Mais, debout ou à genou
lexes et n'apparaît pas dans les cas de mouvements volontaires d'un
membre
; la faiblesse n'y est pour rien, car la malade,
mais non sur la tête et les bras. Lorsqu'on lui dit de remuer les
membres
inférieurs au lit, elle les porte aisément dans
resthésie qui rend douloureux le fait seul de prendre un segment de
membre
. Il n'y a pas de trépidation du pied, ni trace
de marcher, elle affirme qu'elle ne le peut pas, et, en effet, les
membres
inférieurs restent accolés l'un à l'autre. Le p
d des maux de tête, et, le même jour, un affaiblissement marqué des
membres
inférieurs. Le lendemain, il ne put se lever. L
e la marche et remarqua que, couché, Charles pouvait imprimer à ses
membres
des mouvements de flexion et d'extension assez
t, cependant, la force musculaire était absolument intacte dans les
membres
inférieurs, et Ja coor- dination parfaitement c
aisément, du reste, de la conservation de la vigueur musculaire des
membres
inférieurs eu lui faisant étendre la jambe et e
le plus grand soin. La sensibilité et l'énergie musculaire des deux
membres
infé- rieurs étaient normales. le reste des fon
it, on voyait un jeune enfant vigou- reux, a)ant les mouvements des
membres
inférieurs bien coor- donnés, lorsqne cet enfan
ppe la para- plégie spéciale. Au lit, la puissance musculaire des
membres
inférieurs est con- sidérable, toutefois les mo
puis sur- vinrent les accidents qu'on observe aujourd'hui, dans les
membres
inférieurs, 40 PATHOLOGIE NERVEUSE. Etat ac
bsolue de se tenir debout et de marcher. Le malade se sert de ses
membres
supérieurs, mais les mains sont fermées : le pè
ue la flexion revient aussitôt, bien que le sommeil continue. Les
membres
inférieurs sont dans l'extension et se raidissent
e debout avec l'aide du bras de deux per- sonnes. On voit alors ses
membres
inférieurs s'élever au-dessus du sol et se mett
mme, il semble que, à part l'acte du saut et celui de flé- chir les
membres
inférieurs qui répondent jusqu'à un certain poi
squ'à un certain point la volonté toute coordination volontaire des
membres
in- férieurs soit impossible. Il n'y a pas de
rsale, la malade se tient courbée. Puis survinrent les troubles des
membres
inférieurs qui empêchèrent la marche. Les chiru
ns d'aura. C'est une zone hyperesthésique et non hystérogène. Les
membres
inférieurs ne sont ni mous, ni roides; les réflex
nesthésie, ni de diminution du sens musculaire. Couchée au lit, les
membres
inférieurs sont fléchis et il est impossible à
ible à la malade de les étendre volontairement; sa mère dit que ses
membres
s'allongent pendant le sommeil. Elle peut cepen
communi- qués avec résistance dela part du sujet, les segments des
membres
ne se laissent pas déplacer indifféremment, mai
fort, rapidement et pour ainsi dire sans lutte. Assise on étend les
membres
fléchis, sans la moindre diffi- culté, et la ma
essaires pour la marche. Dans la station, à l'aide de béquilles les
membres
fléchis restent en l'air. Observation VIII. E
entôt le pouvoir de maîtriser ses muscles et se redressait. Puis le
membre
inférieur droit fut atteint à son tour. Une n
une modification de la force, aucun trouble de la coordination. Les
membres
ne sont pas rigides. La flexion du genou a lieu
s les genoux une sensation particulière qui lui fait croire que les
membres
sont agités de secousses alors qu'ils sont au rep
usses par aucun procédé lors- qu'elle est assise : en examinant les
membres
inférieurs, on cons- tate qu'il n'y a pas d'atr
triction dans la gorge, puis perte de connaissance, et raideur des.
membres
et de tout le corps ; cela dure dix à quinze mi
six pas la difficulté apparaît, on voit comme des secoussésdans les
membres
inférieurs qui vont en s'accentuant rapidement, e
à éviter une chute et s'efforce de rétablir l'équilibre au moyen du
membre
inférieur opposé, et elle le change de situatio
opposé, et elle le change de situation; puis, du côté de ce dernier
membre
se répètent les mêmes phénomènes, et on voit, à m
que la malade est assise, on constate que la force muscu- laire des
membres
inférieurs est tout à fait conservée. Il existe
lever, elle tomba du lit, et ne s'aperçut qu'à celte chute que ses
membres
inférieurs ne pouvaient la porter. On dut la re
la recoucher, et dès ce moment elle ne recouvra plus l'usage des
membres
inférieurs : à cette même époque alfirnre-t-elle
ême époque alfirnre-t-elle l'état général restant satisfaisant, les
membres
supérieurs et la tête auraient été paralysés au
ux mois, au bout desquels le mouvement revint complètement dans les
membres
supérieurs, mais très imparfai- tement dans les
nt dans les membres supérieurs, mais très imparfai- tement dans les
membres
inférieurs. Pendant cette seconde période il y
même temps des douleurs et des fourmil- lements constants dans les
membres
inférieurs. Depuis la difficulté de la marche s
n. , Fi ? S.. Archives, t. XV. 4 o PATHOLOGIE NERVEUSE. Les
membres
inférieurs atteints dans leur leur motilité, dans
iminuée; la malade résiste mal aux mouvements qu'on im- prime à ses
membres
inférieurs, et ne peut garder la jambe éten- du
offre une tendance à l'extension : elle gagne le cou, l'épaule, le
membre
supérieur. On n'a plus alors affaire à une éphi
orrespondant. Thermanesthésie et troubles de la sensibilité dans le
membre
supérieur droit. Le nommé Emile D..., âgé de tr
elle-ci est intacte dans tous ses modes, à la face, au tronc et aux
membres
inférieurs. Mais il n'en est pas de même aux me
u tronc et aux membres inférieurs. Mais il n'en est pas de même aux
membres
supérieurs. D... a remarqué, depuis quelques an
ur la' sensibilité élec- trique persistent dans toute l'étendue des
membres
supérieurs; mais le malade nous dit qu'il sent
raconte en outre, que depuis '18"/7 il ressent des douleurs dans le
membre
supérieur droit. Ces douleurs ont débuté par le
ermine d'ailleurs au- cune douleur par la pression sur les nerfs du
membre
supé- rieur droit, non plus qu'au niveau du ple
côtes le long de la ligne axillaire. Il n'y a pas d'amiotrophie du
membre
supérieur droit, les forces y sont conservées.
du fauteuil, puis, par un autre mouvement brusque sous le lit. Les
membres
inférieurs sont écartés, les membres su- périeu
ement brusque sous le lit. Les membres inférieurs sont écartés, les
membres
su- périeurs allongés le long du thorax; il y a
genre particulier. Puis secousses tétani- formes de la face et des
membres
. Période clonique. - 10 La face se tourne à dro
t quatre ou cinq fois ; 2° la face se tourne à gauche, et alors les
membres
du côté gauche sont pris de con- vulsions cloni
imposé aux soins directs et à l'affection d'une famille dont aucun
membre
autorisé ne parait vouloir se charger d'une tel
e généraliser à DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 103 l'autre
membre
inférieur, et le corps tout entier est bientôt ag
ès peu, avait des nausées- fréquentes, ne mangeait presque pas. Ses
membres
tremblaient; il était très affaibli; il avait des
gère ; l'animal récupéra très vite et tout à fait l'usage de ses
membres
. Il est vrai que, pour l'habituer à se servir de
it après la mort une destruction com- plète des centres moteurs des
membres
. Il n'y aurait donc pas dans l'écorce de centre
, de pseudo-hypertrophie. Même aspect athlétique des extrémités des
membres
inférieurs, des mains, des avant-bras, mais moi
é- rieures avec un peu de fièvre. Hypéresthésie et émaciation des
membres
inférieurs, légères douleurs du tronc et des extr
osurie. Fin juin et début de juillet, les douleurs décroissent, les
membres
jusque-là para- lysés reprennent leur motilité;
e personne privée recevant, soit comme conséquence de sa qualité de
membre
de la commission administrative de sur- veillan
ervation ? Il me parait nécessaire de retrancher de l'article 13 ce
membre
de phrase : « ou d'un autre médecin choisi par
d'après l'article 7, les aliénés qui sont soignés à domicile par un
membre
de la famille, sont sou- mis à la même surveill
ntérieur détermine les conditions. « Sont admis à concourir : les
membres
de l'Académie de mé- decine, les professeurs et
térieur, un comité supérieur des aliénés composé comme il suit : un
membre
SÉNAT. 151 du Conseil d'Etat, élu par le cons
our; le procureur général près la cour d'appel de Paris ou l'un des
membres
du parquet de celte cour, désigné par lui; un m
s ou l'un des membres du parquet de celte cour, désigné par lui; un
membre
de l'Académie de médecine, élu par l'académie;
e Ministre ; les inspecteurs généraux du service des aliéné ? ; les
membres
désignés par le Conseil d'Etat, la Cour de cass
bout du trente-cinquième, il eut un tel affaiblissement de tous les
membres
qu'il fut, bon gré mal gré, forcé de se coucher
inspecteurs deux fois par an. L'école serait ainsi débarrassée des
membres
débiles qui sont au désavantage de la classe. L
, surtout des scapulaires et des deltoïdes. Therizo-`cnesthésie des
membres
supérieurs et du thorax. - Analgésie limitée. J
de Catherine le 20 janvier 1886, se plaignant de la faiblesse des
membres
supérieurs. Le malade naquit dans le gouverneme
interosseux et un léger amai- grissement du second. Les muscles des
membres
inférieurs et les autres muscles plats du tronc
ncomplète. Le dynamomètre indique 20 à droite et 35° K. à gauche.
Membres
inférieurs. Le malade marche et court bien; cep
rs. Le malade marche et court bien; cependant il lui semble que les
membres
inférieurs sont un peu plus lourds qu'ils n'éta
région des sus-épineux, où il a une anes- thésie égale à celle des
membres
supé- rieurs. Mais sur la poitrine il ne perçoi
Des différences de 1° et moins se perçoivent sur le ventre et les
membres
inférieurs. Le plus léger attouchement au pince
s le mois d'octobre 1883 par un chan- gement de sensibilité dans le
membre
inférieur droit; sa jambe lui semblait étrangèr
ilis. L'urine n'a pas subi d'altérations pathologiques. Motilité.
Membres
inférieurs. Pas d'altérations objectives; le DE
e beaucoup et bien ; la jambe droite et plus lourde subjectivement.
Membres
supérieurs : les petits mouvements de la main s
alade se plaint éter- nellement de sensations indéfinies dans les
membres
droits qui tiennent tou- jours son attention en
presque pas de différence dans Ja seusibilite a la douleur; sur le
membre
inférieur droit, cette dernière est abaissée, p
e la température est très abaissé dans la région anal- gésique ; le
membre
inférieur droit, par exemple, ne sent pas la di
et moins, de même que pour toute la moitié gauche du corps. Sur le
membre
Fig. 16. 1 I PATHOLOGIE NERVEUSE. inférieur
p maigri, la bronchite empiré, le foie aug- menté, le coeur faibli.
Membres
supérieurs : les mouvements de l'articulation d
aut, une thermanesthésie, quoique peu profonde, s'observe sur les
membres
inférieurs, sur le membre supérieur gauche et l
uoique peu profonde, s'observe sur les membres inférieurs, sur le
membre
supérieur gauche et les parties du thorax resté
le courant constant. Le tnorax au-dessous des ma- melons, tout le
membre
supérieur gauche et les membres infé- rieurs pe
x au-dessous des ma- melons, tout le membre supérieur gauche et les
membres
infé- rieurs perçoivent maintenant la différenc
atteinte ; la nuque, de même que les épaules, le sont davantage. Le
membre
supérieur gauche a été bien moins atteint; de m
qu'une piqûre profonde ne produit que l'effet d'un attouchement. Le
membre
inférieur droit est dans le même état qu'il pré
altérée (sur la nuque et le thorax), des troubles prédominants des
membres
supérieurs, la participation du nerf trijumeau
es douleurs, de l'analgésie et de la thermo-anesthésie partielle du
membre
supérieur droit; atro- phie des muscles de la m
de dégénéres- cence. Les mouvements ne sont troublés que dans le
membre
supé- rieur droit; ici, ils sont considérableme
considérablement limités, surtout dans les parties périphériques du
membre
, par suite des douleurs qu'ils provoquent. La p
alade se plaint d'une douleur sourde et profonde siégeant dans le
membre
supérieur droit, surtout dans la main. Toute se
e, irra- diée du centre ; la douleur s'irradie le long de tout le
membre
et est ressentie dans ses parties superficielle
ndolorisse- ment local de tel ou tel autre organe. Sensibilité. -
Membre
supérieur droit. Le plus léger attouchement est
ure de l'épaule elle peut percevoir une différence moindre de 2°.
Membre
supérieur gauche. Toutes les espèces de sensibili
ents du malade. - L'époque à laquelle parut la therma- nesthésie du
membre
supérieur droit nous est inconnue. Il y. a deux
t. La malade éprouva une seule fois une douleur sourde dans tout le
membre
supérieur gauche; mais cette dernière avait un
e, douleurs) se localisèrent ici presque exclusivement dans un seul
membre
. Malgré le tableau clinique simulant une affect
ésie et la sphère anesthésiée sont tous limités par des segments du
membre
et ne coïn- cident pas avec la région de la dis
ne traumatique ou autre produisant la lésion de tous les nerfs du
membre
supérieur droit au-dessous de l'épaule ; 4) nou
ntérieures, Mathieu ne se souvient que d'une hydropisie (oedème des
membres
inférieurs et des testicules), dont il était at
des articulations radio-carpiennes et les autres articulations des
membres
supérieurs ne sont pas atteints. Contractilité
ain sont libres et forts, de même que tous les autres mouvements du
membre
supérieur droit. Souvent se produisent les mouv
eber donne partout des chiffres dans les limites de la normale. Aux
membres
supérieurs : les bouts des . doigts des deux cô
parait pas double. Le sens du lieu est très bien développé sur les
membres
inférieurs. La sensibilité à la douleur examiné
malade sent la différence thermique de 2 à 3°; au maximum dans les
membres
supérieurs où le malade ne perçoit pas de diffé
de sensations spécifiques de chaleur et de froid. Le thorax et les
membres
inférieurs occupent le milieu dans l'anesthésie
fourmillements sous-cutanés, d'eau froide coulant sous la peau des
membres
inférieurs dans la direc- tion du nerf sciatiqu
cependant quelquefois des altérations de la sensibilité cutanée des
membres
inférieurs. Mais, du moins dans les cas typique
s cas typiques, la puissance dynamométrique des muscles des mêmes
membres
persiste, la conscience musculaire est in- demn
tteindre avec le pied le but qu'on lui désigne, etc. De plus, les
membres
inférieurs ne présentent ni mouvements involont
e que se traîner, soutenu de chaque côté par des aides : alors, les
membres
infé- rieurs restent accolés l'un à l'autre san
mouvements n'ont de la marche que l'alternance des actes des deux
membres
et ressemblent beaucoup à ceux d'un petit enfan
comme disloquées et s'embarrassent l'une dans l'autre, ou bien les
membres
, souples au lit et dans la station assise, se r
x suivis d'une extension très rapide; à chacune de ces flexions des
membres
corres- pond une flexion du tronc sur le bassin
qu'on donne, à l'improviste, un coup sec sur le creux du jarret, le
membre
étant dans l'extension. Ces contorsions capital
s capitales entraînent des mouvements secondaires compensateurs des
membres
supérieurs et de la tête, destinés à maintenir
ade dans la catégorie que nous décrivons, quoique les fonctions des
membres
inférieurs fussent, au repos, altérées à un cer
isse, et elle résiste assez énergiquement lorsqu'on veut fléchir le
membre
... Cependant, la sta- tion n'est possible qu'av
spèce d'im- DE l'astasie ET DE l'abasie 193 puissance motrice des
membres
inférieurs , quelle qu'elle puisse être. Cepend
vation I), mais ce n'est pas l'ataxie tabétique. Dans le tabès, les
membres
inférieurs se dérobent souvent, mais jamais de
pos offre toujours de l'incoordination pour tous les mouvements des
membres
inférieurs. Enfin, il existe d'autres signes :
ste également, le malade étant assis ou couché et affecte aussi les
membres
supérieurs; de plus, le nystagmus, l'embarras d
que, c'est-à-dire l'incoordination motrice qui se manifeste sur des
membres
privés du sens musculaire et articulaire lors d
ée vulgaire, en tous cas, qui, entre autres caractères, affecte les
membres
supérieurs et la face, et, de plus, ne cesse pa
jorité des cas, le malade étant assis ou couché, les mouvements des
membres
infé- rieurs reparaissent de nouveau à un certa
ieu avec les mêmes alter- natives de flexion et de redressement des
membres
inférieurs et du tronc ; le saut que présente l
nfin les rares convulsions fonc- tionnelles dont sont passibles les
membres
inférieurs : spasme des jumeaux chez les ouvrie
e, atteinte de mal de Pott et de paraplégie 2. La para- lysie des
membres
inférieurs avait disparu au boutd'un certain te
y a pas étant assise de modification de la force dynamométrique des
membres
inférieurs, ni de la coordina- tion des mouveme
part des sujets une sorte de parésie avec ou sans tremblement des
membres
inférieurs. Ces phénomènes se mon- trent d'une
a main ainsi que des élancements et des crises douloureuses dans le
membre
supérieur droit, et cela dans la sphère du nerf
que l'abdomen et le bassin. Percussion et auscul- tation normales.
Membres
supérieurs et inférieurs réguliers- Peau blanch
le cou est en extension ; le tronc raidi se dresse à moitié; les
membres
supérieurs sont contractures dans la flexion ; le
ans la flexion ; le pouce est dans la main, les doigts fléchis; les
membres
supérieurs sont en extension forcée. Tout le co
n forcée. Tout le corps est ensuite agité de mouvements rapides. Le
membre
inférieur gauche se relève à une distance de 20
elle baise le verre d'eau qu'on lui présente, se raidit de tous les
membres
, et l'attaque se complète. - Le fils d'un méd
cela dure plus longtemps ; il s'affaisse, les yeux se tournent, les
membres
se raidissent, puis il a des secousses, de l'éc
dans l'état de stupeur, on constate une flexibilité ! ¡ cireuse des
membres
; on peut trouver aussi et dès le début > des
mi les autres phénomènes physiques, signalons l'oedème fréquent des
membres
inférieurs, quelquefois des paupières ; 1 la de
de qui parlait se tait d'une façon continue en avant la tête et les
membres
raides, c'est sûrement de la Catatonie. En l'ab
t que pendant celui-ci la résolution muscu- laire est complète : le
membre
soulevé retombe - lorsque l'individu ne se réve
spi- rale du muscle, trépidation qui ne tardait pas à envahir le
membre
du côté opposé, se généralisant en outre bientôt
lus autrefois pour conclure à la mort réelle. On peut traverser les
membres
1 Lezioni clilliche dell anno scolastico 1883-8
tion réflexe mise en oeuvre par la perception sensitive, retirer le
membre
piqué. Enfin il arrive assez souvent que l'on p
le z, à 10 heures du matin; immobilité complète, légère raideur des
membres
, pas de cata- lepsie. Elle est réveillée, sans
nte et symé- trique delazone sensible qui s'étendit au tronc et aux
membres
. La tête resta toujours insensible et cette ane
e fréquent qui se montre tantôt et à la fois sur la face et sur les
membres
. Quel est maintenant le pronostic des attaques
le pronostic en est bénin. Au contraire, la contracture rapide des
membres
dans les lésions organiques du cerveau est rare
i la face ni la langue, ne sont prises; la paralysie est limitée au
membre
supérieur et inférieur et souvent n'est pas com
les compare avec ceux du côté opposé; de temps en temps un ou deux
membres
peuvent être affectés de spasme de quelques-uns
ucun moyen irritant n'avait de l'efficacité : si on lui relevait un
membre
, il retombait sans vie, le teint était pâle, ma
quer des topi- ques chauds ou des révulsifs sur le tronc ou sur les
membres
'si la circulation ou la respiration paraissaie
n'y en a plus ? Au banc de la commission. Mais si. Bu. RIG.4L,
membre
de la commission. Les médecins adjoints existen
d'efforts ont été faits pour multi- plier et varier les métiers des
membres
de la colonie. Pour les hommes seulement, on en
G. Lncoé et G. DE la ToupETTE. Préface de M. le professeur Charcot,
membre
de l'Institut. Un beau volume in-8° de 330 page
r des crises douloureuses et de l'incoordination des mouvements des
membres
inférieurs. Antécédents héréditaires Pare, mort
siégeait uniquement dans les lombes ; jamais elle ne s'étendait aux
membres
. « J'éprouvais, dit Pur ? sans avoir fait aucun
d'aucune lésion. L'incoordination motrice existe seulement dans les
membres
in- férieurs. La marche n'est pas impossible, m
AS DE PSEUDO-TABES. 347 L'énergie de la contraction des muscles des
membres
inférieurs est normale. Quand on dit à Pur.. de
s trophiques de la peau ou des ongles. La sensation de position des
membres
inférieurs est bien con- servée. Les yeux fermé
. Tandis qu'il sait toujours la position dans laquelle on place ses
membres
supérieurs, il a besoin d'un instant d'attentio
tention pour avoir la notion précise de la position qu'occupent ses
membres
inférieurs. Il ne lui arrive pas de perdre ses ja
ue, comme chez les sujets sains. Il n'y a rien d'anormal dans les
membres
supérieurs. Les pupilles sont égales, mais rétr
icularités suivantes : « Depuis un an environ, le malade a dans les
membres
inférieurs de véritables crises de douleurs ful
lles, il y a souvent des crampes très pénibles dans les muscles des
membres
inférieurs. Depuis que ces crises fulgurantes o
obtuse qu'en 1883. Les piqûres et les pincements pratiqués sur les
membres
inférieurs sont perçus avec des retards considé
ogressive : douleurs à type fulgurant, incoordination motrice des
membres
inférieurs, crises gastralgiques, etc. Ces acci-
et surtout les affections vésani- ques qui ont pu frapper certains
membres
de leur famille. Mais si, au lieu de se content
de cinq cas de paralysie de la septième paire, observés chez des
membres
de la même famille. Ce n'est plus seule- ment,
aucoup plus rapproché des vésanies et des névroses que des autres
membres
de la famille neuropathologique. Il suffit, pou
le, ni de râles ; gémissements transmis à l'oreille, résolution des
membres
. Lait, purgatif, vésicatoire à la base du poumo
respiration plus fréquente, la bouche ouverte. Pas de paralysie des
membres
, mais résolution DE l'épilepsie PROCURSIVE. 387
e sur la planche; les oreilles dressées; les pupilles dilatées, les
membres
en tremble- ment. Après le balancement, leur dé
ure rectale est descendue à 37° et puis à 36°. Le tremblement des
membres
qui s'observe souvent pendant le balancement se
leurs pupilles se dilatent; ils ont souvent le tremble- ment des
membres
. La température rectale descend de 1° à 2° et m
nsation de fatigue les positions que l'on imprime passivement à ses
membres
ou qu'il il veut lui-même prendre et garder et
longtemps dans la même position. Pas de raideur chez lui quand un
membre
est étendu. D'ailleurs aucun signe d'hystérie, au
lle entend autour d'elle. Secousses dans le bras droit imprimant au
membre
un mouvement à peu près rythmé qu'on pourrait c
s. Chez l'une d'elles, surtout, qui avait l'habi- tude de tenir ses
membres
en flexion forcée, on s'était vu obligé d'appli
a face. Lorsqu'ils sont assis, on observe quelques mouvements des
membres
, de la face ou de la tète. Ces mouvements augmen-
oux sont en contact, les jambes très écartées. Dans la marche les
membres
inférieurs sont demi-fléchis, les cuisses toujour
, les cuisses toujours rap- prochées ainsi que le genou et l'un des
membres
supérieurs est élevé, servant en quelque sorte
siques ou hypc- resthésiques, la perte de notion de la position des
membres
et de la résistance du sol, la difficulté ou l'
emble pas à l'in- coordination athétosique : en ce qui concerne les
membres
inférieurs, si l'athétosique et l'ataxique soul
D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 437 l'incoordination motricedes
membres
supérieurs chez l'ataxique elle se distingue de
n des mouvements, débutent par les jambes envahissent plus tard les
membres
supérieurs et vont en augmentant progres- sivem
émotion, et même de violentes secousses, surtout prononcées dans le
membre
supérieur. En même temps parésie gauche. Intégr
ion delà réaction pupillaire. Légère névrite optique. Paralysie des
membres
inférieurs. Parésie des membres supérieurs, sur
gère névrite optique. Paralysie des membres inférieurs. Parésie des
membres
supérieurs, surtout dans les extenseurs. Pas d'
l, des extenseurs des jambes, et, mais moindre,dans les muscles des
membres
intérieurs et dans les vastes de la cuisse. Int
e musculaire et d'une paralysie partielle de la sensibilité du même
membre
, paralysie généralement très étendue. Dans le c
et de dilatation de la pupille; 2° un centre pour les mouvements du
membre
antérieur du côté opposé ; 3° un centre pour le
ntérieur du côté opposé ; 3° un centre pour les mouvements des deux
membres
du côté opposé; 4° un autre pour les mouvements
des deux membres du côté opposé; 4° un autre pour les mouvements du
membre
posté- rieur du même côté; 5° enfin un dernier
is elles sont aussi par- tielles, et alors frappent des segments de
membre
. Leurs carac- tères sont, outre la flaccidité h
e paralysies rigides, avec exaltation des réflexes tendi- neux, les
membres
se contracturent dans la flexion, et très rare-
- dissement local qui provoque la suggestion de la disparition du
membre
atteint. Cette notion est acceptée sans contrôle
sion de toutes les représentations cérébrales motrices relatives au
membre
. Le chapitre consacré au traitement rappelle les
hydrothérapie, etc., et conseille de plus des exercices répétés du
membre
sain. P. B. SÉNAT DISCUSSION DU PROJET DE LOI
r. Comment ! vous voulez empêcher une famille de dépayser un de ses
membres
malades dans les conditions terribles que vous
mis à une famille de placer dans un de ces établissements un de ses
membres
qui est l'objet de leur sollici- tude et de leu
e psychialria, publiée à Lis- bonne par le DrHodrlgllezBellencourt,
membre
correspondant de la Société médico-psychologiqu
aisir les anomalies rachitiques présentées par notre petit sujet. Les
membres
supérieurs minces et grêles paraissent très lon
scoliose de la colonne vertébrale, disproportion de la longueur des
membres
avec le corps, et en plus un certain degré degenu
tique, asthénie, asynergie cérébelleuse, étatparéto- spasmodiquedes
membres
), avait produit un syndrome hypophysaire ca- ra
rtout au tronc, en avant comme en arrière, et moins fréquemment aux
membres
supérieurs, elles sont très rares aux membres i
moins fréquemment aux membres supérieurs, elles sont très rares aux
membres
inférieurs. On en trouve une à la face, à la ha
scum pendulum. Ces petites tumeurs ne dépassaient pas la racine des
membres
. Seule l'une d'elles se développa sur le sommet
lève, mais après un pas ou deux, les convulsions se communiquent au
membre
supérieur droit, avec lequel il a l'air de se fro
otter le côté antéro- latéral du thorax. Après quelques instants le
membre
inférieur droit est éga- lement pris par les mo
e insupportables. 11 a vomi les aliments pris le soir précédent. Le
membre
supérieur droit est parésié, il ne peut exécuter
ne intel- ligible, le malade présentant des troubles aphasiques. Le
membre
inférieur droit est également faible, les réfle
at du malade progresse encore. Il ne peut plus parler du tout ; les
membres
du côté droit sont complètement paralysés, les ré
'à 8 ? Le malade est complètement inconscient, il ne remue plus les
membres
du côté gauche. Il ne peut plus être nourri à c
oration est assez appréciable, le malade commence à remuer avec ses
membres
et à parler, mais toujours dans le jargon aphasiq
prostration. On constate de la faiblesse et de la parésie dans les
membres
du côté gauche. Léger mouvement fébrile : 37"6.
gémit et il présente de temps en temps des tressaillements dans le
membre
supérieur gauche. ' 23. - L'état de prostrati
gémit continuelle- ment et il ne répond plus aux interrogations. Le
membre
supérieur du côté gauche, surtout les doigts et
nant les,bras croisés sur la poitrine, il est forcé de soulever les
membres
inférieurs jusqu'à une hauteur d'environ 30 centi
pro- voque une flexion brusque dorsale du pied et la rétraction du
membre
inférieur tout entier. Il ne se produit pas le
. On constate un état de raideur musculaire appréciable surtout aux
membres
supérieurs : l'extension passive de l'avant-bra
rendue difficile par la résistance antagoniste des extenseurs. Les
membres
sont sensiblement amaigris, ce qui paraît tenir a
n effet, comme le soutient Jendrassik, la non atteinte de plusieurs
membres
de la même famille ne prouve pas qu'une affection
conservation des ré- flexes rotuliens et des réflexes tendineux aux
membres
supérieurs. M. Babinski, en 1898, étudiant l'ét
ront de nature névritique, comme celles des nerfs périphériques des
membres
; à l'inverse de la lésion analogue, décrite par
tion temporale à la zone de Broca et à la zone motrice corticale du
membre
supérieur ». 13...présenleunecerlaineparésie de
que sa soeur du reste), n'apporte aucune gêne dans les mouvements du
membre
supérieur gauche. Celui-ci, ainsi que le membre
s les mouvements du membre supérieur gauche. Celui-ci, ainsi que le
membre
supérieur droit, peut exécuter des mouvements p
on géné- sique depuis l'établissement des règles, qui fut tardif.
Membres
supérieurs. -- Le bras et Iavant-bras ont des pro
st impossible de faire passer cette mauvaise habitude à Khéroufa.
Membres
inférieurs. - Il y a une micromélie rhizomélique
défini. C'est un nanisme caractérisé par le raccourcis- sement des
membres
, surtout des segments proximaux (rhizoméliques) a
happe complètement. La micromélie rhizomélique n'est marquée qu'aux
membres
inférieurs, aux fémurs. Mais ce ne serait pas u
' Louis DUPUY, Médecin major de 2- classe à la Garde Républicaine
Membre
externe de la Section technique de Santé. Sous
ation d'un liquide céphalo-racbidien hémorragique), traumatisme des
membres
inférieurs 2, varices 3, rhumatisme 2, blennorrag
er, 25 ans ; rhumatisme blennorragique à '.)Il. ans ; va- rices des
membres
inférieurs surtout à droite. Le réflexe achilléen
oir eu il y a J ans pendant quelques semaines des douleurs dans les
membres
inférieurs surtout à gauche ; depuis, il n'éprouv
ui en dépendent et aussi la principale cause de la formation de ses
membres
. Deuxième édition, Clerselier, pp. 99-154. (3)
ins mus- cles plutôt que vers d'autres, et ainsi qu'ils meuvent nos
membres
, ce que je prouverai seulement ici par un exemp
d'un costé tantôt d'un autre » (2). Or « l'idée de ce mouvement des
membres
ne consiste qu'en la façon dont les esprits sor
nerfs dans les muscles, au moyen de quoi elle leur fait mouvoir les
membres
(1) ». C'est ainsi que Descartes présente les r
à se réunir suivant la besogne et le but qu'ils ont à remplir : aux
membres
supérieurs, les muscles se perfection- nent, il
se du travail toujours plus délicat qu'ils doi= vent accomplir. Aux
membres
inférieurs, au contraire, on assiste progres- s
unique médian, l'exencéphalie, le coeur double, la fusion des deux
membres
inférieurs en un seul ou symélie, elc.... ; Il
s interne et externe. Exagération des réflexes tendineux aux quatre
membres
. Le fils de ce malade, âgé de 12 ans, présentai
u'à l'angle inférieur : 13 centimètres. Les différents segments des
membres
sont plus courts qu'à l'état normal. Les doigts
mpte de toutes les parti- cularités en ce qui est des attitudes des
membres
, du tronc et de la tête dans les différentes ph
ourte. ' Mais ce sont surtout et la position du tronc et celles des
membres
supé- rieurs qui frappent l'observateur. Les br
iques. Nous avons observé que celle dérivation dans la position des
membres
supérieurs est d'autant plus prononcée que les
r plus vite ou quand ils sont pris d'émotion. Cette abduction des
membres
supérieurs, surtout bien visible quand on regar
arche de devant ou par derrière, est toujours plus forte du côté du
membre
inférieur oscillant, c'est-à-dire, du côté opposé
tié de la journée, laissée seule dans la maison, lorsque les autres
membres
de la famille, la gouvernante comprise, avaient l
a- ges dans l'île de Oknô) l'avaient vue sur l'escalier lorsque les
membres
de la famille étaient absents. « Depuis la mort
ant, elle répondit en riant qu'il n'était pas encore trop tard. Les
membres
de la famille étaient unanimes à affirmer que m
le sont chez des sujets normaux ; elle avait des souvenirs nets des
membres
de la famille voisine, elle se rappela qui avai
ides que de l'atrophie musculaire et des troubles de la motilité.
Membre
supérieur gauche : A l'état de repos, le pouce es
ments fins, notamment dans la palpation. Les réflexes tendineux des
membres
supérieurs sont abolis. Aux membres inférieurs,
ion. Les réflexes tendineux des membres supérieurs sont abolis. Aux
membres
inférieurs, les réflexes rotuliens et crémastér
uses et thermiques. Le malade se plaint de douleurs vagues dans les
membres
inférieurs. Le trajet du sciatique droit est do
mètres. b On constate des secousses musculaires dans les muscles du
membre
supé- rieur gauche, depuis la main jusqu'à l'ép
fémoral gauche et dans le gastro-cnémien du même côté. Motilité. --
Membre
supérieur gauche : Les doigts restent fléchis et
nergique. L'élévation du bras se fait encore presque normalement.
Membre
supérieur droit : L'écartement des doigts en éven
ieure à la normale. Au bras, la force musculaire est conservée. Aux
membres
inférieurs, celle-ci est presque normale à droite
diminuée à gauche (cuisse et jambe). Réflexes tendineux abolis aux
membres
inférieurs (rotuliens et achilléens). Réflexes
le objectif de la sensibilité (contact, tempéra- ture, douleur) aux
membres
supérieurs et inférieurs, au tronc; il n'y a aucu
dant son séjour précédent, le malade se plaint de douleurs dans les
membres
inférieurs, avec une prédominance à gauche, mais
'intensité; elles furent, en particulier, beaucoup plus visibles au
membre
supérieur droit. Dans un troisième séjour, du 2
ent les éminences théuar ethypothénar : elle s'étend à la racine du
membre
; les muscles deltoïde et les muscles de l'omoplat
ateurs de l'épaule sont respectés (trapèze, grand pectoral). , Au
membre
supérieur druit, l'atrophie a aboli presque compl
uscles du bras et de l'é- paule sont partiellement conservés. Aux
membres
inférieurs, même prédominance du côté gauche où o
tent, maisatténués. Les réflexes tendineux sont abolis aux quatre
membres
. Pas de troubles objectifs de la sensibilité.
les faits suivants : La rigidité cadavérique est plus prononcée aux
membres
inférieurs qu'aux membres supérieurs et plus à
gidité cadavérique est plus prononcée aux membres inférieurs qu'aux
membres
supérieurs et plus à droite qu'à gauche. La muscu
sculature du tronc est bien conservée, en opposition avec celle des
membres
, atrophiée à divers degrés. Le cerveau ne porte
istologique a porté surtout sur les troncs nerveux de la racine des
membres
: les modifications si considérables que l'on y t
la main gauche ; la main droite est prise trois ans plus tard, les
membres
inférieurs presque à la même époque. Après douz
ive de l'atrophie avait produit : une impotence presque complète du
membre
supérieur gauche intéressé jus- qu'au deltoïde,
, une parésie des muscles de la main et de l'avant-bras droit', aux
membres
inférieurs, une parésie des muscles de la jambe e
générescence partielle. Abolition des réflexes tendineux des quatre
membres
. Sensations douloureuses intermittentes dans les
des quatre membres. Sensations douloureuses intermittentes dans les
membres
inférieurs. Pas de troubles objectifs de la sensi
tte atrophie musculaire progressive débutant par les extrémités des
membres
supérieurs (type Aran-Duchenne), dont la cause an
atrophie musculaire à marche lente, débutant par les extrémités des
membres
inférieurs, n'at- teignant que secondairement l
mités des membres inférieurs, n'at- teignant que secondairement les
membres
supérieurs, et caractérisée en outre par l'abol
est seulement dans des articles de périodiques que le début par les
membres
supérieurs du même ensemble s5 mptomatique, est s
deux ou trois ans plus tard. Pour l'autre frère, au contraire, les
membres
inférieurs ont été les premiers atrophiés ; ici
ée est frappée depuis l'àge de 5 ans d'une atrophie progressive des
membres
supérieurs, commençant par les muscles des mains,
res supérieurs, commençant par les muscles des mains, tandis qu'aux
membres
inférieurs, on ne trouve qu'un léger degré d'équi
phie musculaire, répartis sur quatre générations, et chez tous, les
membres
supérieurs seuls étaient atteints. Le début ava
contractions fibrillaires n'ont été observées que sur un sujet. Les
membres
inférieurs étaient indemnes et les réflexes patel
quatre sujets frères et soeurs, atrophiés aux extrémités des quatre
membres
; le début avait eu lieu à 20, 27, 25 et 50 ans,
pas dans ses caractères essentiels le début par les extrémités des
membres
inférieurs, mais que les muscles des mains et d
ibilité de cette erreur : une atrophie progressive débutant par les
membres
inférieurs avec extension aux membres supérieur
progressive débutant par les membres inférieurs avec extension aux
membres
supérieurs, accompagnée de phénomènes douloureux
es- sures par éclat d'obus et des gelures pour expliquer l'état des
membres
infé- rieurs, et le saturnisme pour la parésie
état des membres infé- rieurs, et le saturnisme pour la parésie des
membres
supérieurs. L'examen histologique montra l'inté
nsion jusqu'à l'épaule et au tronc, et plus tard aux extrémités des
membres
infé- rieurs. La moelle ne présentait qu'un peu
ière observation est importante pour le début de la maladie par les
membres
supérieurs, et pour la névrite interstitielle q
ans, frappée d'une atrophie progressive débutant par la racine des
membres
supérieurs, avec extension consécutive aux memb
ar la racine des membres supérieurs, avec extension consécutive aux
membres
inférieurs et aux nerfs crâniens, abolition des
et Marie (cas Sultz). Débuta l'âge de 15 ans par les extrémités des
membres
inférieurs avec douleurs lancinantes pendant plus
ar les muscles des jambes, extension consécutive aux cuisses et aux
membres
supérieurs. Abolition des réflexes tendineux, t
muscles de la main droite ; extension aux muscles de l'avant-bras, au
membre
inférieur droit, puis aux extrémités des membre
de l'avant-bras, au membre inférieur droit, puis aux extrémités des
membres
du côté gauche ; secousses fibrillaires ; troub
- Début à 27 ans par des douleurs dans les extrémités; atrophie des
membres
inférieurs, steppage, réflexes rotuliens très f
ns très faibles, légère diminution de la sensibilité ; atrophie des
membres
supérieurs, mains, avant-bras, bras, épaules ;
t Arsiand-Delille (1). - Début de l'atrophie par les extrémités des
membres
, vers l'âge de 20 ans ; extension aux muscles de
tielle ni de dégénération apprécia- ble dans les troncs nerveux des
membres
; les nerfs cutanés sont intacts ; les nerfs in
des jambes avec crampes fréquentes ; extension progressive dans les
membres
inférieurs et supérieurs,puis arrêt de la maladie
rédité similaire ; atrophie des muscles de la jambe, pied-bot ; aux
membres
supérieurs, atrophie des muscles de la main, pu
électriques, parfois RD. ; diminution de la sensibilité cutanée aux
membres
inférieurs attribuée au Kakke ; rétention vésic
trophie muscu- laire débutaut dans l'enfance par les extrémités des
membres
inférieurs, puis des membres supérieurs ; exten
dans l'enfance par les extrémités des membres inférieurs, puis des
membres
supérieurs ; extension progressive avec intégrité
rs ; extension progressive avec intégrité relative de la racine des
membres
; cypho-scoliose, parésie de l'orbiculaire des lè
paralysie laryngée ; contractions fibrillaires dans les muscles des
membres
et de la face : abolition des réflexes tendineu
ieds-bots équins, mains simiennes. Diminution de la sensibilité aux
membres
inférieurs et dans la moitié inférieure du tron
0, p. 145. 302 LONG Atrophie musculaire familiale prédominant aux
membres
inférieurs, pieds- bots, scoliose, perte des ré
ouzaine d'années d'évolution. Intégrité de la face, du tronc et des
membres
inférieurs. Pas de troubles de la sensibi- lité
rachidiennes dont les anté- (1) Atrophie musculaire progressive des
membres
supérieurs (type A.'ali-Duchenl1e), par névrite
a plus grande extension de l'atro- phie musculaire, qui a gagné les
membres
inférieurs et l'existence de contractions fibri
l a eu une courte durée et ne s'est manifesté que dans les nerfs du
membre
inférieur et encore seulement dans le territoire
oire du sciatique. A égalité de lésions, les autres nerfs, ceux des
membres
supérieurs en par- ticulier, n'y ont pas partic
ue les contractions fibrillaires étaient disséminées sur les quatre
membres
, exclut une cause spinale. , 308 LONG LÉGENDE
aladies nerveuses le 21 juillet 1911 pour une paralysie marquée des
membres
inférieurs, dont le début remonte à 1899 et pou
s'affaiblit progressivement, il ressent en même temps dans les deux
membres
inférieurs, surtout dans le gauche, des crampes d
mpes douloureu- ses, de courte durée, s'accompagnant de raideur des
membres
avec contracture des muscles. Ces douleurs sont
her qu'avec une canne et son pied tombe. Les réflexes tendineux des
membres
inférieurs sont normaux, sauf l'achilléen gauch
al et l'obturateur sont mieux conservés. Les réflexes tendineux des
membres
inférieurs, achil- léens et patellaires sont ab
ra de nouveau (1910). Alors il s'aperçut qu'il n'avait plus dans le
membre
inférieur de droite autant d'énergie qu'auparavan
u'il est étendu sur son lit, le sujet n'y arrive qu'en s'aidant des
membres
supérieurs, et en arc-boutant fortement la tête
ronc sont aussi très difficiles et incom- plets. 324 MINGAZZINI
Membres
supérieurs. - Tandis que le sujet arrive facileme
es mou- vements actifs des muscles de la ceinture scapulaire et des
membres
supérieur et inférieur de gauche. Membre supé
nture scapulaire et des membres supérieur et inférieur de gauche.
Membre
supérieur droit. Au repos, quand le bras est aban
e. Il est de toute évidence que toutes les masses musculaires de ce
membre
supérieur droit sont atrophiées, mais l'atrophie
ors et la main a une tendance à tomber. Le sujet peut soulever le
membre
supérieur droit tout entier, mais c'est là un m
l ne peut exécuter complètement. Il peut également appli- quer à ce
membre
tout entier les mouvements d'adduction et d'abduc
uce a un mouvement d'adduc- tion. En outre, dans cette position, le
membre
supérieur droit se fatigue très vite et a une t
lui de gauche et le tissu osseux est un peu raréfié ( PI. XLVII).
Membre
inférieur droit. - La fesse de droite est moins d
ais remarqué de tremblements fibrillaires dans les muscles tant des
membres
que de la face. L'excitabilité idio-musculaire n'
es deux côtés ; les réflexes plantaires entraînent la rétraction du
membre
inférieur tout entier, des deux côtés. Les réfl
rophiés. Aucun troublede la sensibilité. Les réflexes tendineux des
membres
inférieurs sont faibles des deux côtés et ils man
es inférieurs sont faibles des deux côtés et ils man- quent dans le
membre
supérieur droit, côté de l'atrophie. Or, si l'o
i s'est écoulé entre l'invasion de la moitié de la face et celle du
membre
supérieur droit, pour ne pas supposer que le je
et à ceux du bras, puis à ceux de l'avant- bras, de la main, et du
membre
inférieur ; la manière dont se présente la fent
nsidérable qui s'est écoulé entre l'invasion de la face et celle du
membre
supérieur, puis en- tre ce dernier et le membre
la face et celle du membre supérieur, puis en- tre ce dernier et le
membre
inférieur, ce sont là des faits qui ne sont pas
t prise lorsque le sujet avait 6 ans. A 12 ans, c'était le tour des
membres
supérieurs, et quel- ques années encore après,
. J'insiste sur ce point, car jusqu'à présent l'atrophie des os des
membres
, que l'on signalait, ap- partenait presque touj
, jusqu'au niveau du genou : l'attitude n'a rien d'anthropoïde. Les
membres
supérieurs ne pré- sentent aucun épaississement
ATISME ET SYNDROME DE PAGET (A. Léri et G. Legros). ... en 191 I.
Membre
inférieur droit incurvé en arc dans son ensemble
pied (PI.XLVIIf). L'affection se trouve donc uniquement limitée au
membre
inférieur droit. Ce qui frappe le plus, c'est l
beaucoup de pagé- tiques. L'augmentation de volume de ce segment de
membre
ne tient pas seule- ment à son accroissement d'
arrière, mais aussi à une augmentation transversale très nette. Le
membre
droit présente une circonférence de 43 cm. au n
conférence de 43 cm. au niveau de sa convexité maxima, alors que le
membre
gauche a seulement 35 cm. 1/2 au niveau corresp
le membre gauche a seulement 35 cm. 1/2 au niveau correspondant; le
membre
malade a 37 cm. immédia- tement au-dessous du g
; le membre malade a 37 cm. immédia- tement au-dessous du genou, le
membre
sain n'a que 32 cm. 1/2. Toute la longueur de l
ensemble un arc de cercle, de sorte que le malade fauche. Quand les
membres
inférieurs sont rapprochés, la cuisse et la jambe
chés, la cuisse et la jambe droites forment ensemble un arc dont le
membre
inférieur gauche serait la corde. Le début de l
atisme avait précédé de treize ans les déformations vé- ritables du
membre
. Un autre malade de Thibierge etGauducltaux (mars
ze ans avant les déformations qui atteignirent précisément les deux
membres
inférieurs. Ménétrier et Ru- bens Duval (3) ont
squ'ici que des lésions évolutives at- teignant progressivement les
membres
supérieurs, les membres inférieurs, le tronc, e
évolutives at- teignant progressivement les membres supérieurs, les
membres
inférieurs, le tronc, et causant finalement des
nt une amyotrophie, l'une relativement diffuse, l'autre limitée aux
membres
supérieurs, observé une raréfaction et une atroph
plus accentuée du côté gauche. Pas de perle du sens de position des
membres
. Les mouvements des membres supérieurs et infér
e. Pas de perle du sens de position des membres. Les mouvements des
membres
supérieurs et inférieurs sont normaux ; la marche
-bras. Le réflexe du muscle triceps et du périoste est assez vif.
Membres
inférieurs : la démarche est spastique ; le malad
de avance lentement en écartant les jambes ; couché, il déplace les
membres
, surmontant la résis- tance au moyen d'un effor
nus, petite escarre superficielle. Sensa- tion de froid sur tout le
membre
supérieur gauche. 12. Ne peut plus marcher seul
noux fortes douleurs pendant la nuit; contractions douloureuses des
membres
inférieurs. 7 avi,il 1904. Etat actuel. Membre
ns douloureuses des membres inférieurs. 7 avi,il 1904. Etat actuel.
Membre
supérieur gaucho plus faible que le droit. Le m
aissement; il lui est de même plus facile de faire l'ad- duction du
membre
que l'abduction. La flexion du coude et de la mai
le malade exécute lentement et avec effort tout mouvement avec ses
membres
inférieurs. L'étendue de ces mouvements est bea
es troubles sensitifs augmentent. Ils envahissent également tout le
membre
inférieur droit sur sa face antérieure (flg. 2).
n gauche. La flexion du coude est meilleure que son extension. Le
membre
inférieur droit est plus faible que le gauche ; l
é du pied droit. Les orteils exécu- tent des mouvements limités. Le
membre
inférieur gauche conserve des mou- vements un p
douloureux au toucher. 24. Phénomènes spastiques très prononcés aux
membres
inférieurs. 3 juin 1904. Paralysie des membres
s très prononcés aux membres inférieurs. 3 juin 1904. Paralysie des
membres
inférieurs un peu moindre; le ma- lade les soul
u. Il s'agit d'un abcès froid. 11 juillet 1904. Fortes douleurs aux
membres
inférieurs ; affaiblissement général ; insomnie
eurs ; affaiblissement général ; insomnie. Sensation de brûlure aux
membres
inférieurs. Fig. 2. Sensibilité au chaud et au
Douleurs moindres. Contractions spontanées très sensibles dans les
membres
inférieurs. - 17. Réapparition de fortes douleu
. Douleurs aux jambes et aux bras. Augmentation de la paralysie des
membres
inférieurs. Affaiblissement général. 27. Insomn
acilement à expliquer la parésie et les phénomènes spasti- ques-des
membres
inférieurs. Nous savons en effet que la syringomy
l'entrée du malade à l'hôpital que les douleurs apparurent dans les
membres
et dans le tronc pour persister en augmentant t
la nuque et aux mains suivies d'un affaiblissement nota- table des
membres
supérieurs et d'atrophie des muscles du type Aran
s du type Aran-Du- chenne, les réflexes tendineux et périostaux des
membres
supérieurs fai- blirent, les membres inférieurs
es tendineux et périostaux des membres supérieurs fai- blirent, les
membres
inférieurs ont présenté des phénomènes spastiques
ssivement apparaissent les paresthésies et la paralysie flasque des
membres
inférieurs. L'observation de la sensibilité décou
bservation de la sensibilité découvre également la dissociation aux
membres
inférieurs. L'autopsie ne constate pas la syrin
latéralement, à la région hypogastrique, à la région périnéale, aux
membres
inférieurs (sensation de rigidité dans ces dernie
ait au côté gauche du tronc, au flanc. 406 PAST1NE Plus tard, ses
membres
du côté droit ont commencé à trembler, mais seule
se fait avec quelque difficulté. La force est à peine diminuée aux
membres
du côté gauche, beaucoup plus h. ceux du côté d
res du côté gauche, beaucoup plus h. ceux du côté droit, et pour le
membre
supérieur c'est surtout la flexion de l'avant-b
ions fibrillai- res. Il n'y a pas de mouvements involontaires des
membres
et les réflexes cuta- nés de défense ne sont nu
exes cuta- nés de défense ne sont nullement exagérés. ' Réflexes.
Membre
supérieur gauche. Position de ce membre pour l'ex
ement exagérés. ' Réflexes. Membre supérieur gauche. Position de ce
membre
pour l'exa- men : l'avant-bras est fléchi presq
e muscle extenseur commun. Le réflexe du biceps est très vif. ,
Membre
supérieur droit a) En plaçant les segments du mem
st très vif. , Membre supérieur droit a) En plaçant les segments du
membre
dans la première position décrite et en percuta
point de la percussion. ? Pour la recherche de tous ces réflexes du
membre
supérieur droit il faut pren- dre encore quelqu
uel- que peu l'examen il se produit facilement de la trépidation.
Membres
inférieurs. Les réflexes rotuliens et achilléens
lit, dans l'état de repos absolu. Du reste, pas de douleurs, ni aux
membres
ni au tronc. Toute sensibilité objective est co
ne des nerfs crâniens et dans les différentes régions du cou. Aux
membres
supérieurs, il existe une très faible, minime dim
'elle est plus manifeste à gauche. Dans les régions postérieurs des
membres
inférieurs et dans le périnée, la sensibilité s
e Pierre Marie, parce que les grandes articulations des racines des
membres
ne sont pasatteintes, parceque les altérations
lexe du radius (signe de Babinski), la parésie spastique des quatre
membres
, beaucoup plus accusée à droite, l'impuissance
sur les états de rigidité vertébrale avec ankylose des racines des
membres
, les obser- vations s'en sont multipliées de te
vertical, de fléchir aussi les jambes ; d'autre part, comme c'est le
membre
droit qui conserve le mieux les petits mouvemen
douleur était égale des deux côtés. Il y a adiadococinésie dans le
membre
supérieur droit. Dans les membres in- férieurs,
és. Il y a adiadococinésie dans le membre supérieur droit. Dans les
membres
in- férieurs, soit de gauche, soit même de droi
La mar- che sur un seul pied est impossible. Adiadococinésie des
membres
supérieur et inférieur droits. Nystagmus bien p
te, la tête ne commence à tomber à droite qu'à 8 milliampères. Le
membre
supérieur droit présente un certain tremblement.
r et se trouble quand il les fixe. Il sent de la faiblesse dans les
membres
du côté droit. Cette faiblesse est venue progre
sible à droite. Il a la diadococinésie très prononcée dans les deux
membres
du côté droit. Catalepsie cérébelleuse. Nys
racontait avoir autrefois souffert de douleurs assez vives dans les
membres
supérieurs et surtout dans la main notamment au
e atrophie hypothénarienne modérée. Un certain degré d'atrophie des
membres
interosseux. Pas d'autre atrophie musculaire. L
ON PKOGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 433 3 par suite de l'atrophie des
membres
interosseux. Les mouvements de la main se font
pommes de terre. L'hémiplégie droite s'accompagne d'une raideur des
membres
sans déviation nette de la face. La sensibilité p
autres articulations sont complètement libres, notamment celles des
membres
supérieurs de l'épaule, du poignet et de la main.
ne et hypothénarienne, plus marquée du côté gauche. Les muscles des
membres
supérieurs, avant-bras, bras et épaules sont d'
au des muscles des mains. Rien d'anormal il la face, au thorax, aux
membres
inférieurs du niveau à la simple inspection. La
à la simple inspection. La force est conservée à tous les segments du
membre
inférieur. Le malade marche bien. La force est
inal existe. Le réflexe pupillaire existe. Enfin la réflectivité du
membre
supérieur donne les résultats suivants : Les ré
ucteur et l'opposant. ' La main gauche paraît indemne ainsi que les
membres
supérieurs et infé- rieurs. L'examen du systè
e abdominal et le réflexe crémateux sont conservés. Les réflexes du
membre
supérieur méritent une mention spéciale. Il n'y a
- mal. La force est normale à droite pour tous les mouvements des
membres
supé- rieurs. A gauche, la flexion et l'exten
tisant. Depuis un an et demi il a des douleurs lancinantes dans les
membres
inférieurs et les membres supérieurs. Pas de cr
mi il a des douleurs lancinantes dans les membres inférieurs et les
membres
supérieurs. Pas de crises gastriques, mais mictio
t de même de l'extension des deux dernières phalanges. Réflexe du
membre
supérieur : coude, paraît aboli des deux côtés.
m ET FOIX Ainsi donc, abolition à peu près complète des réflexes du
membre
supérieur, sauf du réflexe radial droit (côté a
e syphilitique avec lésions cellulaires diffuses, où l'atteinte des
membres
supérieurs est à la fois diffuse et plus ou moins
es de la main, s'accompagne d'a- myotrophie considérable de tout le
membre
supérieur. Il s'agit donc en réalité d'atrophie
eurologique. «AyONDPtRENnu. Tabès avec atrophie musculaire des deux
membres
supérieurs. Re- vue Neurologique, 1904, p. 162.
uivants. Ces crises commençaient du côté gauche, et rapide- ment du
membre
supérieur se généralisaient à tout le corps, avec
particuliers étudiés à l'autopsie : Taille : 1 m. 75. Longueur du
membre
inférieur (de l'épine iliaque antéro-supérieure à
malléole externe) : 0, 85. Le pied est plutôt petit. Longueur du
membre
supérieur (de l'acromion à l'extrémité du médius)
t la largeur de la main et les dimensions boudinées des doigts, les
membres
ne sont pas sensiblement allongés, le sujet étant
es sur le nez. Epaississement des clavicules. Notons encore que les
membres
supérieurs sont trop courts, leur extrémité dig
, et rappelant celle du myxoedème. Le tissu adipeux du tronc et des
membres
plus développé qu'â l'état normal couvre les re
oppé qu'â l'état normal couvre les reliefs musculaires et donne aux
membres
des formes arrondies, rappelant celles des femm
e consul- tation de l'hôpital 1 Laënllec pour grosseur anormale des
membres
inférieurs. Antécédents héréditaires. - La mère
l'impression d'être délicate, mesure 1 m. 50 et pèse 53 kilos. Les
membres
inférieurs sont très augmentés de volume et contr
acilité de la moitié su- férieure du corps et le volume exagéré des
membres
inférieurs. La face et le cou sont normaux, les
tite lèvre droite est nettement visible entre les deux cuisses. Les
membres
inférieurs sont volumineux et inégalement déformé
de guêpe au-dessus d'un train postérieur d'obèse. L'hypertrophie du
membre
inférieur gauche, surtout à la fesse et à la cuis
e est conservée. La raie vaso-motrice de Vulpian est différente aux
membres
supérieurs et aux membres inférieurs. Aux membr
aso-motrice de Vulpian est différente aux membres supérieurs et aux
membres
inférieurs. Aux membres supérieurs son évolution
st différente aux membres supérieurs et aux membres inférieurs. Aux
membres
supérieurs son évolution est normale ; aux memb
inférieurs. Aux membres supérieurs son évolution est normale ; aux
membres
inférieurs la raie blanche persiste très longtemp
s. La malade accuse de la lassitude et un peu d'engourdissement des
membres
inférieurs après une marclie ou une station deb
alade, cette femme présente parallèlement à l'hy- pertrophie de ses
membres
inférieurs une augmentation énorme de l'épais-
ies, il existe un contraste plastique entre la grosseur massive des
membres
inférieurs et la gracilité des membres supérieu
ntre la grosseur massive des membres inférieurs et la gracilité des
membres
supérieurs et du tronc presque juvénile. En out
des membres supérieurs et du tronc presque juvénile. En outre,si le
membre
inférieur gauche est plus massif que le droit, on
donc pouvoir conclure qu'il s'agit d'une adipose segmen- taire des
membres
inférieurs , qui nous paraît être un exemplaire e
pose. L'éléphantiasis des pays chauds transforme, en général, les
membres
inférieurs en un tronc de cône à base inférieur
ue de Mathieu et Weill : la limitation brusquede l'infiltration des
membres
par un bour- relet, l'intégrité des pieds le ra
icale du corps avec yM'eMo-A6r'op ? e de la région pelvienne et des
membres
inférieurs un cas qui par plusieurs points se r
E SEGMENTAIRE DES MEMBRES INFÉRIEURS 479 grissement de la face, des
membres
supérieurs et du thorax. Par contre, on constat
et du thorax. Par contre, on constate un développement anormal des
membres
inférieurs. Dans ses antécédents, rien à relate
mentation fut immédiatement institué : les forces revinrent... et les
membres
inférieurs se mirent à augmenter de volume indé
constante, mais la face et les bras restent maigres, tandis que les
membres
inférieurs grossissent toujours. Le teint est
res et doublée d'une large couche de tissu cellulo-graisseux. Aux
membres
inférieurs, les réflexes rotuliens sont très fort
s- culaires ne sont pas atrophiées. La démarche est normale, et les
membres
résistent à la fatigue. Aux membres supérieur
démarche est normale, et les membres résistent à la fatigue. Aux
membres
supérieurs, les masses musculaires sont atrophiée
d'une part le développement exagéré du tissu adipeux au niveau des
membres
inférieurs, d'autre part l'atrophie de ce même
et aussi du tissu musculaire au niveau de la face, du thorax et des
membres
inférieurs, faits qui ont déjà été signalés parmi
traste entre la maigreur de tout le haut du corps et l'énormité des
membres
infé- rieurs. J'ai eu l'occasion d'observer plu
iques du type pseudo-hypertrophi- que, chez lesquels l'énormité des
membres
inférieurs contraste avec la gracilité de la pa
l'attention de l'un de nous sur ce contraste entre la grosseur des
membres
inférieurs et la maigreur de la moitié supérieu
upérieure du corps à propos d'une basedowienne avec myxoe- dème des
membres
inférieurs, qui guérit de son myxoedème par opoth
Pour situer le cas actuel dans la série croissante des adiposes des
membres
inférieurs dont on voit la fréquence chez la femm
00 si TRENEL ET PASSOU sence déjà signalée de nombreuses tumeurs au
membre
supérieur ; s'il en était besoin, ce détail aid
fet de la paralysie : la guérison, la raideur et la contracture des
membres
paralysés et il essaie d'en donner une explicatio
unois (1 pl.), par Trénel et FASSOU, 483. Adipose segmenlaire des
membres
inférieurs (1 pl.), par LA1GNEL-LAVASTINE et Vi
, 489. L.11GNEL-LAV.1STINB et VIARD (M.). Adipose segmentaire des
membres
inférieurs(l pl.), 473. LE(;ROS (G.) et LÉRi
Adénolipomutose (TRENEr. et FAssou), LXVI. Adipose segmentaire des
membres
infé- rieurs (L.11GNEL-LAVASTINE et Viard), LXV
est celle de Follin. Pour lui la contracture est la déformation des
membres
provoquée par l'altération des muscles ou par l
e il se produit des déformations définitives dans les attitudes des
membres
. Une autre théorie est survenue après, attribua
décrit : si au bras nous avons une contraction des fléchisseurs, au
membre
inférieur nous avons habituellement une contrac
t la con- tracture tardive qui survient quelque temps après que les
membres
sont restés à l'état flasque. En résumé jusqu
la contracture aux lésions des nerfs qu'ils cons- talaient dans les
membres
paralysés. Mais Bouchard a répondu à cette théo
e Bouchard,montra par ses expériences célèbres,' que si on serre un
membre
contracturé à sa racine, avec uhebande d'Esmarc
malades, même après le ré- veil, restent tranquilles au lit, leurs
membres
restent mous et flexibles. Hitzig donne des exe
t bien clair que ces mouvements involontaires apparaissent dans les
membres
plus ou moins paralysés el ce que nous appelons
s et que les pertes de la subs- tance cérébrale correspondant il un
membre
produisent de l'ataxie dans (1) Von D'En. EIITZ
eiten, 3 Band, 1812, p. 312. LE MÉCANISME DE LA CONTRACTURE 31 ce
membre
, et même des troubles de la motilité volontaire c
1882. (4) Camus A., Des mouvements involontaires provoqués dans les
membres
paralysés des hémiplégiques par les mouvements
, l'hémorragie détruit toutes les fibres capsulaires desti- nées au
membre
supérieur, par exemple, la paralysie consécutive
ragie respecte quelques-unes des fibres capsulai- res destinées aux
membres
supérieurs, la paralysie n'envahira pas au même
e. Mais personnelle ou non, elle ne fait que constater un fait : au
membre
supérieur la contracture se fait en flexion par
sseurs sont plus forts même normale- ment que les extenseurs, et au
membre
inférieur la contracture se fait (1) V. VAN GE1
RE 3 en extension, parce que même à l'état normal les extenseurs du
membre
inférieur sont plus forts que les fléchisseurs
tension. Le même raisonnement peut s'appliquer à la contracture des
membres
inférieurs. Nous pouvons encore moins expliquer p
lité des cas chez l'adulte, la contracture se produit en flexion du
membre
supérieur et en extension au membre inférieur, ca
acture se produit en flexion du membre supérieur et en extension au
membre
inférieur, car est curieux que l'hémorragie, su
tal. Etat actuel : Motilité : Pas de paralysie de la face, ni des
membres
supérieurs, ni du membre inférieur droit. Le me
ité : Pas de paralysie de la face, ni des membres supérieurs, ni du
membre
inférieur droit. Le membre inférieur gauche est f
a face, ni des membres supérieurs, ni du membre inférieur droit. Le
membre
inférieur gauche est faible ; la jambe ne peut
a pas du diminution nette de la sensibilité cutanée ou 'profonde du
membre
inférieur gauche. On note même un certain degré d
férieur gauche. On note même un certain degré d'hy- peresthésie des
membres
inférieurs ; d'autre part dans les mouvements pas
tte région externe ; ainsi s'explique l'intégrité des mouvements du
membre
supé- rieur. En suivant sur la série des coup
ration très évidente de la localisation corticale des mouvements du
membre
inférieur dans la région rolandique supérieure. D
gion du lobule paracentral peut déterminer une paralysie motrice du
membre
infé- rieur sans que le membre supérieur partic
déterminer une paralysie motrice du membre infé- rieur sans que le
membre
supérieur participe à l'hémiplégie. Cette forme
ns les régions corticales et sous-corticales les zones motrices des
membres
supérieur et inférieur sont anatomiquement et p
Dans les deux cas on observe une paralysie mo- trice simultanée des
membres
supérieur et inférieur ; la face peut même part
sidérables sans compro- mettre les connexions du centre cortical du
membre
inférieur avec la cap- sule interne. Une autr
es, on doit s'en tenir à la constatation d'une paralysie motrice du
membre
inférieur, relevant d'une nécrose du lobule parac
n'y avait en somme qu'un affaiblissement de la force musculaire du
membre
inférieur, sans perte complète de la motilité,
oir pu être interrogée. Elle présentait une diminution de volume du
membre
supérieur gauche, plus marquée à l'avant-bras e
té cutanée. Le diagnostic à appliquer à cette atrophie partielle du
membre
supérieur gauche avait paru incertain et dans l
bas). Remarques. La malade présentait une inégalité de volume des
membres
supérieurs, l'avant-bras et la main gauches éta
de l'écorce cérébrale qui correspond à la localisation motrice- du
membre
supérieur étant, en fait, presque complètement dé
es symptômes cliniques, en même temps que l'état dystrophique de ce
membre
supérieur, une altération beaucoup plus notable
ie à ]'action de l'hémisphère opposé. L'intégrité des mouvements du
membre
inférieur est due évidemment à la conservation de
pa- ralysie permanente. , La faible diminution de la motilité du
membre
supérieur gauche ob- servée chez la malade et l
ribuer avec quelque vraisemblance la conservation des mouvements du
membre
supérieur; mais elle n'a pas empêché cependant
sions erronées. ' Dans la seconde observation le centre cortical du
membre
supérieur est détruit pendant la vie intra-utér
se sent mal, les troncs nerveux paraissent normaux à la palpation.
Membres
inférieurs Le moignon droit ne présente rien de p
droit des macules qui occupè- rent uniquement la face externe de ce
membre
, de l'épaule jusqu'au pouce. Il y en avait en t
ièmes phalanges. existe de l'ankylose des diverses articulations du
membre
supérieur droit.Elle est incomplète,car on peut m
froid. La sensibilité objective est normale partout. La motilité du
membre
est difficile à examiner, les douleurs et la limi
Meige (1898) et celle de Lannois : la déformation frappe plusieurs
membres
d'une même famille mais n'apparaît en général q
iste dès la nais-1 68 COURTELLEMONT sance et ne frappe qu'un seul
membre
de la famille. Ce type paraît le plus rare de t
nitale ou acquise, et en particulier d'oedème ou d'hypertrophie des
membres
. Ses antécédents ne contiennent aucun fait inté
per- sisté toute sa vie. Elle n'apporta' dans le fonctionnement du
membre
inférieur qu'un minimum de troubles. Son volume
llcmol1t) Masson et Cie, Éditeurs TROPTlOEDÈ1E CHRONIQUE 69 Son
membre
inférieur gauche est normal au-dessus du genou ;
rmal au-dessus du genou ; au-dessous, il est plus volumineux que le
membre
correspondant droit, la jambe a la forme d'un c
Le sujet se plaint aussi d'une sensation de froid fréquente dans ce
membre
. La pression ne détermine pas de doulenr, sauf en
s taches jaunâtres superficielles ; il en existe autant sur l'autre
membre
. Les poils sont' plus rares sur cette jambe que
roné à la pointe de la malléole ex- terne). ' La circonférence du
membre
n'est pas la même le matin avant le lever et le
a jambe gauche se dessine très nettement une des grosses artères du
membre
, stigmate radiographique d'athérome. La descrip
arties molles, il'ne peut donc s'agir d'hypertrophie partielle d'un
membre
; cet' oedème est chronique au premier chef, puis
ntue encore à la fin de la journée. Rappelons à ce propos qu'un des
membres
de la famille étudiée par Miron avait un oedème r
éger degré d'oedème mécanique, oedème unilatéral, lo- calisé sur ce
membre
par suite de l'infirmité préexistante, et c'est à
apportons la possibilité de pro- duire le godet. Le gonflement du
membre
augmente le soir, après la journée passée debou
signalée dans les familles de trophoedémateux ; sa présence sur les
membres
mêmes atteints de la dystrophie doit être rare.
obs. I) parlent de veines, réseau veineux, varices, à la surface du
membre
. Nous signalerons encore un détail mis en évide
çade. C'est le corps de Judas pendu, la tête inclinée à droite, les
membres
complètement relâchés, les pieds maigris en exten
e au-dessus de la jeune fille. Celle-ci est représentée guérie, les
membres
inférieurs reposant normalement sur le sol, les m
maladie actuelle a dé- buté, en septembre 1906, par une fatigue des
membres
inférieurs, ap- paraissant le soir et cédant le
ois après, survinrent des dou- leurs des omoplates, de l'oedème des
membres
inférieurs, enfin, la marche devenail de plus e
ée dans le service, le 12 juin 1907, on constatait : paraplégie des
membres
inférieurs, complète (motilité nulle), spasmodiqu
al). Le malade accuse de violentes douleurs en ceinture et dans les
membres
inférieurs. La sensibilité est abolie, pour tous
nt une douleur ; il existe, en ce point, une légère voussure. Aux
membres
supérieurs, rien à noter, qu'une légère exagérati
nence des sphincters, une escarre sacrée, enfin, un gros oedème des
membres
inférieurs vinrent compléter le tableau sympto-
23 ans fut prise de douleurs avec affaiblissement et anesthésie des
membres
inférieurs et légère in- continence des sphinte
és, Anal, de la Som. méd., 1892, p. 92. 1 J G RAYMOND ET ALQ1TIER
membres
inférieurs, avec douleurs spontanées et à la pres
se. Seule provoque de la douleur la percussion forte du sacrum. Les
membres
inférieurs et le tarse sont normaux : le membre s
rte du sacrum. Les membres inférieurs et le tarse sont normaux : le
membre
supérieur gauche est à peine plus faible que le
ig. 2. Anesthésie tactile, douloureuse et thermique' du périnée et du
membre
infé- rieur à droite dans les domaines des 1 ?
tié gauche du segment terminal de la moelle une impotence subite du
membre
inférieur gauche avec atrophie rapide et abolit
aucun trouble de sensibilité, de trophisme, de circulation dans les
membres
, les doigts y compris. Réflexe olécrânien absen
sculo-cutané sont paralysés et ils s'atrophient rapidement. Tout le
membre
est tombant, sans aucun mouvement de flexion ou
i semble beaucoup 132 G. CATOLA moins touché. Il s'agit d'un vrai
membre
de polichinelle. Les masses muscu- laires atrop
dire, on retrouve à gauche la répétition des symptômes initiaux du
membre
supérieur droit : une main tombante par paralys
malade peut encore porter le bras en légère- abduction mais tout le
membre
oscille en tous sens d'une façon analogue au bras
e pour le bras droit au sujet des troubles de la sensibilité. Les
membres
inférieurs ne sont plus intacts : eux aussi comme
jambier antérieur et à l'extenseur commun des orteils. 25. - Les
membres
supérieurs sont extrêmement atrophiés, il n'y res
t en juger par les réactions données par la malade. Les muscles des
membres
inférieurs sont tous paralysés et atrophiés, ma
n de la jambe sur la cuisse. RD. complète dans les muscles des deux
membres
sauf dans les muscles desservis par le sciatique
à cause'de l'état mental de la'malade, ainsi que l'on a vu pour les
membres
supé- rieurs. Les muscles du tronc sont eux aus
rappée par une paralysie amyotrophique progressive débutant par les
membres
supérieurs. Au niveau de ces membres la paralys
e progressive débutant par les membres supérieurs. Au niveau de ces
membres
la paralysie et l'atrophie musculaire se locali-
- sent initialement aux muscles desservis par le nerf radial et aux
membres
inférieurs au territoire du nerf sciatique popl
poplité externe, pour s'étendre ensuite à toute la musculature des
membres
et aux muscles du thorax. L'amyotrophie est acc
évolution chronique, mais ordinairement elle débute par les quatre
membres
à la fois, les muscles y sont atrophiés et non pa
raly- sés et il n'y a'pas une marche progressive de l'extrémité des
membres
vers 1eulraGine : 11 ne reste donc à discuter q
plus grande qu'elle s'est ré- pétée successivement dans les quatre
membres
; et, précisément, dans les nerfs radiaux aux m
ns les quatre membres ; et, précisément, dans les nerfs radiaux aux
membres
supérieurs et dans le sciatique poplité externe
aux aux membres supérieurs et dans le sciatique poplité externe aux
membres
inférieurs. En outre, en faveur de la polinévrite
paralysie amyotrophique de l'extrémité vers la partie proximale des
membres
et la douleur, quoique très légère, des masses
chez notre malade la paralysie et l'amyotrophie débutèrent par les
membres
supérieurs tandis que, com- me on le sait, la p
a polynévrite tuberculeuse commence le plus ordinairement t par les
membres
inférieurs. En d'autres termes, nous nous trouvâm
rt. Les coupes transversales et longitudinales de tous les nerfs du
membre
supérieur et du membre infé- rieur, sauf, dans
sales et longitudinales de tous les nerfs du membre supérieur et du
membre
infé- rieur, sauf, dans ce dernier cas, une par
LA CONTRACTURE 153 tendon et sans qu'il en résulte de mouvement du
membre
. On trouve néanmoins par une observation rigour
très souvent cette contraction n'était pas unique. Par exemple, au
membre
supérieur, le réflexe osseux qu'on provoque par
uscle triceps et des fibres postérieurs du muscle deltoïde, etc. Au
membre
inférieur, la percussion de la mal- léole inter
e représente le mouvement qui étend le coude et porte en arrière le
membre
supérieur, etc.. Le réflexe osseux en général,
coude. Nous pouvons citer aussi quelques exemples de propagation au
membre
inférieur. LE MÉCANISME DE LA CONTRACTURE 155
énomène de la contracture spasmodique. Si on regardera position des
membres
qui s'observe chez un hémiplé- gique contractur
d est le réflexe de la Se racine cervicale. Passons maintenant au
membre
inférieur. Ici, le type classique de la contrac
eur. Ici, le type classique de la contracture est en extension : le
membre
entier en adduction, rapproché de la ligne médi
d fessier; une autre d'extension du genou et d'adduction de tout le
membre
, provoquée par la contracture du quadriceps cru
ions cliniques sur la propagation des réflexes. Même difficulté aux
membres
supérieurs. Mais si par une seule excitation pé
ercher une autre explication à ce phénomène. Et comme l'attitude du
membre
supérieur indique plutôt un mouvement coordonné
re un objet avec la main et le porter à la bouche, et l'altitude du
membre
inférieur indique le mouvement de s'appuyer sur l
n, unique, qui, arrivant à la moelle, peut reproduire l'attitude du
membre
supérieur ou du membre inférieur en contraction,
t à la moelle, peut reproduire l'attitude du membre supérieur ou du
membre
inférieur en contraction, ne peut prove- nir qu
nvolontaires, qui se produisaient dans le côté malade, soit dans le
membre
supérieur, soit dans le membre inférieur, quand n
nt dans le côté malade, soit dans le membre supérieur, soit dans le
membre
inférieur, quand nous examinions plus minutieus
ues du côté malade, exagéraient ou reproduisaient les attitudes des
membres
en contracture. Mais avant de passer à un autre
usculaires chez les hémiplégiques. Mann en examinant les muscles du
membre
supérieur et du membre inférieur chez des hémiplé
iplégiques. Mann en examinant les muscles du membre supérieur et du
membre
inférieur chez des hémiplégiques en contracture
s en contracture, est arrivé à ces constatations. Il trouve que, au
membre
infé- rieur (1), « ce sont surtout les muscles
« ce sont surtout les muscles dont la fonction est de raccourcir le
membre
inférieur qui sont paralysés (fléchisseur dorsal
cuisse), tandis que les muscles dont la fonction est d'allonger le
membre
inférieur (extenseurs de la cuisse, extenseurs
reprennent assez rapidement leurs fonctions u. Mann constate que,au
membre
supérieur,« c'esl le coilrt abdtlc- « teur du p
ressemblance et la reproduction presque complète des attitudes des
membres
absolument analogue à celles qu'on voit dans le
vements associés suivants (1) : « Dans ces' mouvements associés, le
membre
inférieur reste dans l'ex- tension complète, le
lète, les orteils se fléchissent plus fortement, tandis que tout le
membre
est élevé en masse par flexion de la cuisse sur l
embre est élevé en masse par flexion de la cuisse sur le bassin. Au
membre
supérieur il se produit tout d'abord un léger mou
dent,on voit en effet qu'à la suite des mouvements volontaires d'un
membre
sain, l'association se produit successivement :
n membre sain, l'association se produit successivement : Io dans le
membre
symétrique ; 2° dans l'autre membre paralysé et
uit successivement : Io dans le membre symétrique ; 2° dans l'autre
membre
paralysé et quelquefois simultanément dans le m
° dans l'autre membre paralysé et quelquefois simultanément dans le
membre
symétrique à ce dernier ; 3° l'effort se généra
ue à ce dernier ; 3° l'effort se généralise et tous les muscles des
membres
et de la face se contractent. » Ces attitudes
les des membres et de la face se contractent. » Ces attitudes des
membres
en contracture du côté lésé se reproduisent (1)
lance aux mouvements volontaires que le malade doit, faire avec les
membres
du côté sain. Ce que nous faisons d'habitude pour
s l'avant- bras pour l'en empêcher. Les mouvements volontaires du
membre
inférieur sain, provoquent aussi des mouvements
a plante du pied, pendant que nous lui résistons. Les attitudes des
membres
du côté malade reprodui- saient les attitudes c
membres du côté malade reprodui- saient les attitudes classiques du
membre
supérieur en flexion et du mem- bre inférieur e
portant de remarquer que tous ces trois mouvements volon- taires du
membre
inférieur qui provoquent les ^attitudes des membr
volon- taires du membre inférieur qui provoquent les ^attitudes des
membres
en contracture : étendre le genou, appuyer avec
spondent aux muscles extenseurs, les muscles les plus puissants des
membres
inférieurs. De même pour le membre upérieur, la
muscles les plus puissants des membres inférieurs. De même pour le
membre
upérieur, la fermeture du poing, ou la flexion
mme. Ces mouvements sont produits par les muscles les plus forts du
membre
su- périeur, les fléchisseurs. Il est bien en
pas très forte, les mouvements volontaires qu'il fait alors avec un
membre
sain, provoquent des mouvements associés dans le
ors avec un membre sain, provoquent des mouvements associés dans le
membre
malade du même côté ; surtout si on oppose de l
était malade, des mouvements de gymnastique dans la salle,avec ses
membres
des deux côtés même et se promenait parce que, di
beaucoup plus rares.Aujourd'hui i il n'existe plus de paralysie au
membre
supérieur ; par contre le membre inférieur est
i il n'existe plus de paralysie au membre supérieur ; par contre le
membre
inférieur est très contracture ; en extension l
e malade présentait les mouvements as- sociés de Pitres et Camus au
membre
supérieur et au membre inférieur ; il ne présen
mouvements as- sociés de Pitres et Camus au membre supérieur et au
membre
inférieur ; il ne présentait de la contracture
r et au membre inférieur ; il ne présentait de la contracture qu'au
membre
inférieur, là où il y avait en même temps des t
e temps des troubles graves de la motilité volontaire, tandis qu'au
membre
supérieur il présentait des mouvements associés;
et très connue de M. X...Celui-ci se rap- pelle alors que l'un des
membres
de sa famille, depuis plusieurs années décédé,
'enfance. La santé générale n'était en rien atteinte et lorsque les
membres
inférieurs étaient entourés d'un bandage, elle
au toucher, dou- loureux, et si sensibles que toute pression sur ce
membre
inférieur droit pensait provoquer une défaillan
nflure ne s'étendait pas sur le tronc. S'il y avait des régions des
membres
inférieurs moins affectés que le reste, c'étaient
La tuméfaction était sen- siblement uniforme sur la continuité des
membres
, avec de profonds sil- lons transversaux en tra
alifie parfois du nom de demi-solide. On prit des radiographies des
membres
inférieurs et les rayons X n'ont pas décelé d'a
ente et semble devoir prendre la même évolution que chez les autres
membres
de la famille qui ont été attaqués. Les enfan
olleston dans un article sur « Un oedème héréditaire persistant des
membres
inférieurs » (1902). La littéra- ture contient
n appellation il faut l'appeler « oedème héréditaire persistant des
membres
inférieurs », comme dit Rolleston, jusqu'à ce q
isemblable par celle autre considération que la circulation dans le
membre
affecté semble être tout à fait bonne. Un malad
de crises épileptiques. Une histoire similaire d'épilepsie chez les
membres
d'une famille dont d'autres membres sont attein
similaire d'épilepsie chez les membres d'une famille dont d'autres
membres
sont atteints de trophoedème* des jambes a été
d'autres observateurs. Le point capital de la maladie dont certains
membres
de la famille ont été atteints (13 sujets sur 4
ican Physicians, vol. XII, p. 411. DEBOVE. - OEdème segmentaire des
membres
inférieurs. Société médicale des hôpi- taux, 15
un exa- men médical; c'est alors qu'on découvrit une anesthésie du
membre
supé- rieur droit, qui justifia sa réforme. D
n; il ressent, de plus, me dit-il, quelques douleurs vagues dans ce
membre
. L'examen objectif révèle un oedème apparent, m
au des masses épicondy- liennes et épitrocliléennes ; les veines du
membre
sont dilatées, mais il n'y a pas de rougeur bie
uler sous l'oedème. Pas de modifications des réflexes tendineux aux
membres
supérieurs ni aux membres inférieurs. Pas de
modifications des réflexes tendineux aux membres supérieurs ni aux
membres
inférieurs. Pas de phénomène oculo-pupillaire,
a sensibilité révèle une analgésie complète à la piqûre sur tout le
membre
supérieur droit et sur le thorax, limitée assez e
Les divers objets métalliques amenés au contact du 202 ' DESPLATS
membre
supérieur droit ou du thorax du même côté ne sont
hermoanesthésie e est moins accentuée. - La paroi abdominale, les
membres
et le tronc du côté opposé, le mem- bre inférie
la peau fine et glabre, des cheveux fins, un ventre proéminent,des
membres
potelés, une couche adipeuse épaisse, des organ
l'apathie la plus complète, céphalée occipitale, douleurs dans les
membres
, verti- ges, somnolence, troubles digestifs, co
côté opposé à la paralysie et appuie tout le poids du corps sur le
membre
sain ; alors par une réaction de circumduction,
e marche pas de cette façon : elle traîne après elle (« drags ») le
membre
paralysé comme s'il s'agissait d'une pièce de m
le plus frappant dans la démarche de Todd (dit Charcot) est que le
membre
paralysé est, pour ainsi dire, Iraîné par le ma
e. des muscles du tronc, le sujet parviendra à faire progresser son
membre
inerte. Les tracés de Gilles de la Tourelle m
resque constante. Mais ce n'est pas seulement sur les mouvements du
membre
inférieur que nous devons porter notre attentio
t du côté sain, tirant par son poids et par les muscles du tronc le
membre
paralysé, l'hé- miplégique hystérique au contra
oir si bien fixé l'attention sur cette inertie totale et absurde du
membre
paralysé, qui fait tout de suite exclure l'idée
vements les plus absurdes et paradoxaux, soit en ce qui regarde ses
membres
, soit en ce qui regarde son tronc. Il va sans d
araplégie organique. Voici encore un cas de paralysie hystérique du
membre
inférieur droit que j'ai étudié avec la méthode
s jambes. En le faisant reculer, il porte activement en arrière son
membre
paralysé, rigide, comme s'il était d'une seule pi
alors à réduire sa douleur au minimum en penchant son corps sur le
membre
sain ; 2° la démarche après la guérison, le malad
démarche après la guérison, le malade se laisse tomber alors sur le
membre
raccourci. Examinons de plus près la démarche p
u'au moment où il passe sur la verticale. La durée d'oscillation du
membre
malade est beaucoup plus longue que celle du cô
le patient cherche à s'appuyer le moins long- temps possible sur le
membre
douloureux. En conséquence la durée to- tale du
t du côté sain, ce qui diminue l'influence du poids du corps sur le
membre
malade. Enfin toujours dans le même but, il exé
. Enfin toujours dans le même but, il exécute simultanément avec le
membre
su- périeur des mouvements de flexion et de bal
énuméré les caractères des arthralgies hystériques, l'attitude des
membres
, les mo- 236 NERI dalités spéciales de la dou
on fait lever la malade, elle conserve les recroquevil- lements du
membre
inférieur, dus à son attitude vicieuse, mais elle
t pour cause réelle ou apparente une simple faiblesse musculaire du
membre
, d'autres une légère chorée partielle. Les prem
. Beaucoup plus compliqués sont les cas de chorée légère de tout le
membre
inférieur, dans lesquels le patient, lors- qu'i
us ou moins complète des autres mouvements que peuvent exécuter les
membres
inférieurs, les disbasies, qui différentes chez
qui, pendant la marche, par une sorte d'état spasmodique, tenait le
membre
inférieur droit à un léger degré de flexion et
resse, avec un balancement rythmé du corps, un mouvement cadencé du
membre
du côté droit qui rappellent assez bien la danse
s au niveau de la région mammaire, de la fosse iliaque droite et du
membre
inférieur droit. Exagération transitoire des ré
nt sur l'état général. ' Le 20. - Les douleurs se sont étendues aux
membres
supérieurs et particu- Nouvelle Iconographie DE
au niveau de l'angle saillant du thyroïde est de 36 centimètres.
Membres
supérieurs. Les épaules sont tombantes. L'abducti
de tente-t-il un mouvement, il essaie de l'exécuter en traînant son
membre
impotent, par une sorte de reptation, en prenan
u bras tant en dehors qu'en dedans est nulle. Vient-on a écarter le
membre
du tronc, pour l'appliquer à nouveau contre le th
t plus heureux, mais après beaucoup d'efforts et seulement quand le
membre
prend son point d'appui sur le plan du lit : ai
abolie. Enfin les mouvements de déduction sont nuls. Dimensions des
membres
supérieurs : Circonférence du bras prise à 20 c
s. Le bras droit lui-même est légèrement mobilisable. Néanmoins les
membres
supérieurs ne peuvent se déplacer que par des m
males. Pas de lésions du fond d'oeil. Le retour des fonctions des
membres
est complet pour la jambe. Il est moins accusé
des membres est complet pour la jambe. Il est moins accusé pour les
membres
supérieurs. C'est ainsi que le malade ne peut m
s électriques ne sont que très légèrement modifiées, aussi bien aux
membres
supérieurs qu'aux membres inférieurs. 13. On pr
très légèrement modifiées, aussi bien aux membres supérieurs qu'aux
membres
inférieurs. 13. On pratique un troisième examen
bilités galvaniques et faradiques des nerfs et des autres muscles du
membre
inférieur droit sont absolument normales. Not
ection, un ensemble de troubles paralytiques intéressant les quatre
membres
, la musculature externe des yeux, le territoire
e poliencépha- 10myélite; dans l'une, outre la paralysie des quatre
membres
, on nota des troubles de l'ouïe, des convulsion
ant légèrement la jambe droite ; il n'existe pas de raideur dans le
membre
inférieur droit, la malade ne se sert pas du br
xe controlatéral. Westphal (1) signale en effet des contractions du
membre
inférieur succédant à l'excitation du membre du
et des contractions du membre inférieur succédant à l'excitation du
membre
du côté opposé ;Slrumpell (2), un peu plus tard
malade atteint de myélite transverse ; il est paraplégique, mais le
membre
inférieur droit est peu paralysé par rapport à
assez facilement selon nous. Le faisceau pyramidal correspondant au
membre
inférieur gauche, paralysé à un très haut degré,
ue droit avec aphasie. Actuellement il est devenu paraplégique : le
membre
inférieur gauche est assez paralysé pour que le
r comme tout à l'heure. Nous avons donc au niveau de l'extrémité du
membre
inférieur droit un mou- vement réflexe qui tien
que le paraplégique dont nous avons parlé avant lui ne l'est de son
membre
droit, le moins impotent des deux : chez celui-
de son membre droit, le moins impotent des deux : chez celui-ci le
membre
est presque sain, et l'excitation provoque un réf
et le cou-de-pied droit sont augmentés de volume et ankylosés, les
membres
inférieurs en rota- tion et en demi-flexion ; i
sissant : il repose sur la convexité de sa colonne vertébrale ; les
membres
et la tête relevés au-dessus des bords de la bi
érapeutique peut tirer de ce fait. Ici comme dans les ankyloses des
membres
, on doi s'efforcer de donner l'attitude la plus u
e, quelquefois aussi des secousses convulsives dans l'un ou l'autre
membre
. En somme, ainsi que le fait remarquer le Profe
Il fut enfin réformé pour une coxalgie avec allongement apparent du
membre
. Il contracta à cette épo- que, mais bien après
, on constaté que les deux hanches sont ankylosées. En soulevant le
membre
inférieur, on soulève aussi le bassin. L'ankylose
fulgurantes par- tant de la région lombaire et s'irradiant dans les
membres
inférieurs. Ces dou- leurs sont parfois continu
orces musculaires. Les réflexes tendineux sont abolis dans les deux
membres
inférieurs. Pas de signes de Babinski. Les réflex
symptômes tabétiques. Actuellement : avril 1907, nous relevons aux
membres
inférieurs : a) des troubles sensitifs très acc
bilité manifeste. Sensa- tion de tiraillement et de déplacement des
membres
durant l'immobilité. Plaques d'hyperesthésie su
sculaire et le sens des altitudes sont complètement abolis dans les
membres
inférieurs. ÉTUDE D'UNE COLONNE VERTÉBRALE 293
esthésie' uréthrale et rectale. L'incoordination motrice dans les
membres
inférieurs est complète; le malade ne peut se t
mmobilisées en myosis. Pas de troubles visuels, pas de scotome. Les
membres
supérieurs paraissent intacts. Par con- tre, l'
opologiques qui sont l'apanage de l'insuffisance testiculaire ; ses
membres
sont grêles et longs, il a l'aspect d'un vérita
appartenant à une famille dont nous pûmes étudier avec soin chaque
membre
dans le but de dépister les symptômes frustes de
tissu adipeux est très délicient ; la petite est très maigre et ses
membres
ne sont pas du tout arrondis. Les masses muscul
ons multiples qui sont éviden- tes chez Marguerite et chez d'autres
membres
de la famille. La langue est fine, à surface no
grande à droite qu'à gauche. Rien de particulier l' au tronc et aux
membres
. , Examen ophtalmoscopique. Les artères sont tr
pas de troubles trophiques, ils ,sont assez courts et robustes. Aux
membres
inférieurs il n'y a de remarquable qu'un énorme d
re est triste. La marche est difficile, les mouvements lents et les
membres
raides ; les pas petits et hésitants. Le membre
ments lents et les membres raides ; les pas petits et hésitants. Le
membre
inférieur droit paraît un peu plus difficile à
nnante n'ont pas suffi non plus à conserver la moindre motilité des
membres
. Hémisphère droit. Un foyer néoplasique occupe
ils, une fièvre typhoïde dont auraient été atteints à la fois douze
membres
de la famille. Elle a été réglée à 13 ans, et jus
es. Les malformations ne se sont jamais manifestées chez les autres
membres
de la famille, ni parmi leurs ascendants. En ou
n varie, suivant les différentes régions du corps ; au tronc et aux
membres
infé- rieurs, elle est normale ; aux membres su
orps ; au tronc et aux membres infé- rieurs, elle est normale ; aux
membres
supérieurs, elle est plus rouge que partout ail
fait considérer comme un anormal, inférieur mentalement aux autres
membres
de sa famille. Son intelligence est très peu dé
ation. G. T..., 26 ans, est atteint d'une infirmité congénitale des
membres
supé- rieurs. Au membre supérieur droit le pouc
st atteint d'une infirmité congénitale des membres supé- rieurs. Au
membre
supérieur droit le pouce manque, l'index est peu
vé presque verticalement. ' Le reste du tronc, le cou, la tête, les
membres
inférieurs ne présentent rien de particulier. '
ement aient présenté rien de particulier. Radiographies. - Les deux
membres
supérieurs jusqu'à mi-bras ont été radiographié
ouis. Ces radio- graphies sont reproduites ci-contre (pl. LXVII).
MEMBRE
supérieur GAUCHE.- Le radius fait défaut ainsi qu
adaptation moins parfaite à l'extrémité inférieure de l'humérus.
Membre
supérieur DROIT. La disposition générale est la m
d'absence congénitale de toute la portion radiale du squelette des.
membres
supérieurs ; radius, 1 et métacarpien et squelett
arés, la musculature est altérée non seulement dans les segments de
membres
où une partie du squelette fait défaut, mais jusq
t 14 unilatéra- les et 2 bilatérales, la plupart avec dissection du
membre
), de Kirmisson (Traité des maladies chirurgical
s six observations, elle coïncide avec la malformation homologue du
membre
inférieur, l'absence du tibia. ,c Dans quelques
bsence d'un rayon osseux, mais tout le côté externe et antérieur du
membre
supérieur est atrophié; cette atrophie remonte
r est atrophié; cette atrophie remonte parfois jusqu'à la racine du
membre
et même jus- qu'au thorax et jusqu'à la mâchoir
ues, mais encore des faits ex- périmentaux sur le développement des
membres
chez les têtards de gre- nouille. L'agénésie de
atée par la sage-femme au moment de la naissance. Le côté radial du
membre
supérieur regarde chez le foetus vers l'extrémité
r la malformation qui nous occupe avec la malformation homologue du
membre
inférieur. Cette comparaison est facile grâce à
aunois et Kuss : « L'absence congénitale des deux os homologues des
membres
supérieurs et des membres inférieurs-radius pour
ce congénitale des deux os homologues des membres supérieurs et des
membres
inférieurs-radius pour l'avant- bras, tibia pou
e dans les deux premiers mois de la vie embryonnaire, époque où les
membres
sont de simples bourgeons cellulai- res sur les
eure. Il faut ajouter qu'à celle époque de la vie, où la torsion du
membre
infé- rieur ne s'est pas encore faite, la situa
on amniotique caudal est identique à celle de la portion radiale du
membre
supérieur par rapport au capuchon amniotique cé
cou court et gros ; torse allongé cylindrique ; ventre proéminent ;
membres
arrondis et gros ; gangue adipeuse qui revêt tout
12 à 13 ans. Les mêmes faits étaient évidenls chez tous les autres
membres
de la même famille. Il ne paraît pas que chez a
ésente un soupçon de caput quadratum hydrocéphalique. Chez d'autres
membres
de la même famille nous avons aussi constaté de
uerite, et enfin les mêmes déformations dentaires chez trois autres
membres
de la même famille ; un frère a enfin un palais
rois observa- tions d'infantilisme ils considèrent rallongement des
membres
inférieurs et la persistance des cartilages épi
ne gangrène unique, sèche, précédée de douleurs lancinantes dans le
membre
. Je crois donc pouvoir exclure aussi l'origine em
on du tégument souffre, comme on l'observe lorsque les artères d'un
membre
sont bouchées par des embo- 496 VALOBRA lies
hiatrie de Paris, en se créant, lui offrit la prési lence. Il était
membre
de l'Académie de Médecine et de plusieurs autre
prit, suffit à le dépeindre. A Gheel, en Belgique,visitant avec les
membres
d'un Congrès une colo- nie familiale d'aliénés,
ME NERVEUX SYPHILITIQUES PAR' PAUL RICHER GILLES DE la TOURETTE
MEMBRE
DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA
n'a pas su se modérer à son repas du soir. Tous les mouvements des
membres
se font aussi bien à droite qu'à gauche et anév
motrice est générale, très prononcée des deux côtés dans les quatre
membres
. La commissure des lèvres est légèrement abaiss
der. Il reconnaît parfaitement les personnes qui le soignent et les
membres
de sa famille. Il répond toujours avec une parf
non seulement avec une réelle faiblesse musculaire prédominant sur le
membre
inférieur gauche, mais surtout avec des phénomè
ales, sur les parties latérales de base du thorax; crampes dans les
membres
inférieurs, douleurs dans les masses musculaire
abdomen. Enfin un peu plus tardivement l'éruption se généralisa aux
membres
. En janvier 1895, son état était le suivant : .
entaires. Les tumeurs sont réparties de la façon suivante : Sur les
membres
supérieurs il y en a quelques-unes extrêmement
mblables au-dessous du pli du coude. Il n'y en a pas aux mains. Les
membres
inférieurs en présentent quelques-unes irrégulièr
ont groupées sous forme de traî- nées longitudinales. Au niveau des
membres
, elles sont moins nombreuses, il en existe quel
réflexes crémastérien et abdominal sont abolis. Le squelette des
membres
est absolument normal, la colonne vertébrale n'es
'on le pousse un peu il est ca- pable de répondre et de mouvoir ses
membres
. En même temps les déforma- tions thoraciques à
s'étendant de la région cervicale à la région lombaire, Les os des
membres
restent normaux. La peau ne présente pas plus d
pratiquée 36 heures après la mort. Squelette osseux. - Les os des
membres
ne présentent aucune altération morphologique.
ccessivement la tète, le tronc et le ventre et plus tardivement les
membres
. Cliniquement, il s'agit donc d'une neurofibromat
,signalé par JEANSELME a trait à un homme de petite taille dont les
membres
infé- rieurs figuraient une parenthèse.Dans tou
vrais, multiples et symétriques, des pseudo-lipomes symétriques des
membres
inférieurs (1) LAUNOis et Bensaude, L'adéno-lip
s lieux d'élection qui sont les parties supérieures et internes des
membres
, tant au bras qu'à la cuisse, les régions pectora
de tumeurs. Mais, même dans les cas de ce genre, les extrémités des
membres
res- tent indemnes (Williams a cependant observ
du corps. Beaucoup d'auteurs notent l'aspect extraordinaire de ces
membres
athlétiques à leur racine, étiques à leur extrémi
teur etplus tard commerçant dans une ville. Pas de tumeurs chez les
membres
de sa famille. Pas d'alcoolisme. Opéré il y a 9
haud, au Jroid; nulle part d'anesthésie ni sur le tronc, ni sur les
membres
.' Il n'y a pas de points llyperesthésiés. Seule
a dernière poussée urticarienne. Nous avons parlé du gonflement des
membres
paralysés lors de la paraplégie de l'année der-
emet rapidement. Dès le lendemain cette impotence fonctionnelle des
membres
inférieurs n'est plus que de la faiblesse. Il s
; cependant, l'absence absolue de tout trouble nerveux du côté des
membres
inférieurs, de la vessie et du rectum ne cadrai
il tranquille, la respiration lente, cadencée, le pouls normal, les
membres
en résolution, la figure calme et naturelle.
qu'elle frotte avecses mains, bnilleàplusieurs reprises, détend ses
membres
, reproduit en somme tous les actes du réveil chez
ée de cinquante- trois ans, atteinte de troubles de la motilité des
membres
inférieurs, chez laquelle on avait remarqué une
9 ans, apparition des premières douleurs fulgurantes, faiblesse des
membres
inférieurs, marche difficile. Six ans plus tard
'un lipome. En 1870, Bad... ressentit une grande faiblesse dans les
membres
inférieurs survenue subitement, et sa marche de
gauche, jusqu'à l'articulation métacarpo-phalangienne. L'examen des
membres
inférieurs révèle des déformations articulaires n
deux aides vigoureux. Au lit, il peut mouvoir avec énergie les deux
membres
inférieurs. Les réflexes rotuliens et testicula
pais, jaunâtres, profondément striés en travers. Rien d'anormal aux
membres
supérieurs. La sensibilité cutanée, la sensatio
tion brusque d'une gibbosité.Crises de douleurs fulgurantes dansles
membres
inférieurs. Dix ans plus tard, arthropathie de
olongée et l'application d'appareils. Malgré le raccourcissement du
membre
inférieur correspondant, la malade pouvait encore
oque, apparition de crises de douleurs fulgurantes parcou- rant les
membres
supérieurs dans le sens de leur longueur et d'aut
douleur assez vive apparaît sans localisation précise dans tout le
membre
inférieur gauche et dix jours plus tard, en mon-
gauche. Elle put s'accrocher à son lit et éviter une chute. Mais le
membre
resta douloureux et la malade se fit transporter
e. La malade éprouve très souvent des douleurs fulgurantes dans les
membres
inférieurs : la sensation du sol est conservée,
ement syphilitique. A 27 ans, crises de douleurs fulgurantes dans les
membres
et le tronc; douleurs en ceinture. A 29 ans, tr
ans, en 1884. Signes non douteux de tabès avec ataxie confirmée des
membres
inférieurs. Chute et dystrophie unguéale, Existen
n, trois ans après, en 1887. Amaigrissement extrême de la face, des
membres
et du tronc . Marche de plus en plus difficile. Q
douleurs fidgurantes encore. Phénomènes acroparesthésiques dans les
membres
supérieurs. Diminution des crises clitoridienne
au lit depuis un an. Amai- grissement allant jusqu'à l'atrophie des
membres
. Légère incoordination motrice des membres supé
t jusqu'à l'atrophie des membres. Légère incoordination motrice des
membres
supérieurs. Craquements articulaires dans ces mem
n motrice des membres supérieurs. Craquements articulaires dans ces
membres
. Arthropa- thies de la hanche droite etdu genou
e droite à type fulgurant, s'accompagnant de faiblesse dans tout le
membre
. Cette dou- leur reparut tout le long du jour,
es douleurs de ceinture et quelques dou- leurs fulgurantes dans les
membres
supérieurs et le tronc. , Deux ans après l'appa
xtrême- ment violentes siégeant surtuut dans la hanche droite et le
membre
inférieur droit, la malade fut surprise de voir
e robuste, bien faite, aux yeux noirs et vifs. Ataxie confirmée des
membres
inférieurs. ' LES OSTÉO-ARTnROPATMES VERTÉBRALE
. Abolition du réflexe rotulien des deux côtés. Aucun trouble des
membres
supérieurs, sauf l'existence de quelques dou- l
ts dans les mouvements provoqués de la hanche : raccourcissement du
membre
inférieur droit. , L'ongle du gros orteil dro
t surtout apparent au niveau des muscles du cou, du tronc, dans les
membres
supérieurs et inférieurs. Les mus- cles des ext
le que la malade me- nace de tomber. Les douleurs fulgurantes des
membres
inférieurs existent encore. Les dou- 138 JEAN A
nté de fréquence et d'intensité. Il en est de même des douleurs des
membres
inférieurs. Depuis deux ans en outre, la malade
: un peu de douleur à la pression de la fosse iliaque gauche. Les
membres
supérieurs possèdent des muscles très amaigris. L
'in- 140 JEAN ABADIE coordination motrice dans la motilité de ces
membres
insuffisant pour gêner la malade dans les actes
dinaires de la vie. L'amaigrissement devient de l'atrophie dans les
membres
inférieurs. La peau est blanche, sèche, écaille
ses jambes dans son lit. Elle n'a pas la notion de position de ses
membres
inférieurs. L'incoordination est très grande, mêm
nue. La sensibilité est à peu près normale, en particulier dans les
membres
infé- rieurs : il faut signaler cependant à ce
position, elle est obligée de fléchir forte- ment le tronc sur les
membres
inférieurs. Le corps fait ainsi un angle de 45°
- En 1896, il ressent les premières douleurs ful- gurantes dans les
membres
inférieurs et bientôt après il perd la direction
e ce phénomène qu'aucun traumatisme ne lui explique, il examine son
membre
inférieur et s'aperçoit que sa cuisse est toute d
r Grasset, où nous notons les détails suivants : a) Motilité. - Les
membres
supérieurs sont normaux. Le malade marche avec
onne vertébrale et l'inclinaison du bassin. b) Sensibilité. - Aux
membres
inférieurs, douleurs fulgurantes et sensation d
lade n'en con- serve aucune souvenance. Troubles trophiques. - Le
membre
inférieur droit est le seul atteint dans sa tro
e font dans toute leur étendue, ils déterminent des craquements. Le
membre
inférieur droit est raccourci de quatre travers d
ée Anaïs A..., âgée de 40 ans, se plaignant d'impotence absolue des
membres
inférieurs. Dans ses antécédents personnels, on
du côté gauche. Sensibilité dimi- nuée, à tous les modes, dans les
membres
inférieurs. Anesthésie oculaire, pas d'anesthés
des tumeurs dures, de volumes divers, faisant corps avec l'os. Le
membre
inférieur droit est atrophié dans son ensemble, e
parvînmes à le dé- montrer. Depuis vingt ans, il ressent dans les
membres
inférieurs, a intervalles éloi- gnés, des doule
hiques. En résumé, le malade est atteint de polynévrite motrice des
membres
supérieurs à prédominance dans le territoire du r
s de notre malade et nous allons résumer les ré- sultats obtenus.
Membres
supérieurs. - Le le, examen pratiqué le 30 août 1
auche, hypoexcitabi- lité surtout pour les réactions galvaniques.
Membres
inférieurs. - L'examen électrique a montré en sep
l est assez vraisemblable d'admettre qu'il y a eu aussi du côté des
membres
inférieurs de la DR et que la simple hypoexcitabi
du bras et de la jambe droite, atrophie plus marquée à la racine des
membres
, bras et cuisse. Le malade marche sans steppage
ue montre une diminution de l'excitabilité faradique des muscles du
membre
inférieur, du deltoïde el du biceps droit, cette
e 1895. Depuis 5 ou 6 mois, le malade ressent des douleurs dans les
membres
qui sont d'ailleurs faibles ; depuis 2 mois nouve
s les bras. A cette époque diminution de la force segmentaire des 4
membres
, si- gne de Westphal, signe de Romberg, démarch
al- gré des injections de calomel. Bientôt paralysie complète des 4
membres
avec atrophie musculaire, douleurs la pression
ire. Douleurs à la pression des masses musculaires et des nerfs des
membres
inférieurs. Paraplégie flasque complète avec atro
ure par frictions mercurielles de 5 semaines. Bientôt parésie des 4
membres
avec engourdissements, diplopie, gêne de la par
icylate de mercure. Exagération des troubles moteurs. Parésie des 4
membres
avec abolition des réflexes tendi- neux ; atrop
désordres sensitifs attei- gnent l'épaule ; ils se manifestent aux
membres
inférieurs, mais on trouve encore des espaces o
paces où la sensibilité est conservée. Engourdissement passager des
membres
en 1884 ; pas de paralysie vraie. Pendant l'été d
nt l'origine de la cuisse. Il semble ainsi au ma- lade que tous ses
membres
sont comme morts.En juillet 1891 nécrose des tiss
ype du pseudo-tabes avec parésie et troubles de la 'sensibilité des
membres
inférieurs, signe de Romberg, signe de Wesphal,
ez notre deuxième malade la paralysie a gagné rapidement les quatre
membres
pour se localiser finalement sur les membres du c
rapidement les quatre membres pour se localiser finalement sur les
membres
du côté droit qui seuls se sont atrophiés en pr
rs. On est frappé lorsqu'on l'examine d'une hypertrophie de tout le
membre
supérieur droit et aussi de la région latérale et
le trophique.De nombreuses varicosités se montrent bleuâtres sur ce
membre
hypertrophié. Les tuméfactions que l'on perçoit
un souffle. Il n'existe aucune vibration anor- male. Les artères du
membre
ne paraissent avoir subi aucune modifica- tion
icosités toutefois sont légèrement sensibles à la pression. Dans le
membre
hypertrophié la malade souffre sou- 170 GEORGES
aucune modification et ne contribue nulle- ment à l'hypertrophie du
membre
. La photographie ci-jointe montre bien les sail
cl irrégulier comme mamelonné. Nous avons eu l'idée de soumettre ce
membre
à l'examen radiographique pensantque lesos part
èment l'épreuve que nous publions rappelant assez bien l'aspect des
membres
criblés de grains de plomb après un coup de feu
usqu'à sa cinquante-troisième année, cette femme souffrait dans son
membre
malade à chaque époque menstruelle. Vers l'âge
femme sont peu instructifs. Sa mère aurait souffert de varices aux
membres
inférieurs, elle meurt à 82 ans. La malade aura
femme qui depuis sa naissance pré- sente une ectasie vasculaire du
membre
supérieur droit et de la région thoracique laté
uta- nés congénitaux, de dilatations vasculaires développées sur le
membre
su- périeur droit et dans la région supérieure
ici avec une netteté saisis- sante. Si les angiomes solitaires du
membre
supérieur sont relativement fré- quents, les an
publions, l'angiome ici prend un segment tout entier du corps : le
membre
supérieur droit depuis l'extrémité des doigts j
agissait d'hémiplégie, accentuée surtout au niveau de la face et du
membre
supérieur. En effet, tandis que le malade soule
e supérieur. En effet, tandis que le malade soulevait assez bien le
membre
inférieur, elle portait la main à sa tète diffi-
mar- cher ni faire aucun mouvement du bras droit. La paralysie des
membres
lui donnait l'impression de ne plus les posséde
ts existassent et la résistance passive des différents segments des
membres
paralysés était considérablement diminuée. Les mo
gnait de sensations de fourmillement, et d'engourdissement dans les
membres
paralysés. Il n'y a pas eu de paralysie ni de s
Il n'y a pas eu de troubles vaso-moteurs ou trophiques du côté des
membres
paralysés. Les réflexes plantaires du côté droi
flexes rotuliens des deux côtés normaux, les réflexes tendineux du
membre
supérieur paralysé conservés. La malade jouit
e, ne marche pas de cette façon ; elle traîne après elle (drags) le
membre
paralysé, comme s'il s'agissait d'une pièce de ma
cette affection, c'est la paralysie flasque de tous les muscles des
membres
touchés. C'est nne paralysie massive, et ce fait
égio hystérique. Ainsi, nous ne voyons pas de mouvements propres du
membre
paralysé dans les différentes phases de la marche
ue j'ai hypnotisé la malade et que je lui ai suggéré l'idée que ses
membres
ne sont plus engourdis, no sont plus lourds, qu
pparut la contracture débutant par les doigts de la main gauche. Le
membre
inférieur gauche fut pris ensuite. Notre blessé
de force pour la vaincre. Les mouvements actifs sont abolis dans ce
membre
. Cependant, le malade peut augmenter la flexion
flaccidité musculaire. La même atrophie que nous avons signalée au
membre
supérieur se reproduit au membre inférieur et se
trophie que nous avons signalée au membre supérieur se reproduit au
membre
inférieur et se traduit par des diffé- rences d
par des diffé- rences de 4 à 2 centimètres suivant les segments du
membre
. Le pied gauche paraît plus petit que le droit
doigts de la main, de l'avant-bras, du bras et même de l'épaule. Le
membre
entier est dans la résolution. Le membre inférieu
as et même de l'épaule. Le membre entier est dans la résolution. Le
membre
inférieur droit est presque complètement privé
extension. Les mouvements réflexes sont complètement abolis dans le
membre
supérieur, fort affaiblis dans le membre inférieu
omplètement abolis dans le membre supérieur, fort affaiblis dans le
membre
inférieur. Il existe en outre une diminution gé
18. Le retour à la motilité continue à s'accentuer, d'abord dans les
membres
supérieur et inférieur gauches qui ont repris.l
tégralité, la contracture a disparu de la jambe et du pied droits. Le
membre
su- périeur peut exécuter quelques mouvements,
sont pas très accentués en général et affectent le plus souvent le
membre
supérieur, la main en particulier. Ce sont par
quente chez les hémiplégiques atteints de contracture. Du côté du
membre
inférieur, on constate une tendance marquée du pi
Au mois d'août de la même année il y avait amélioration du côté du
membre
inférieur. Sept années plus tard, le 21 mai 189
cher, quoique avec peine, lorsqu'apparut de la contracture dans les
membres
para- lysés. Cette contracture s'installa peu à
ses yeux et glisser son front également bien des deux côtés. ' Le
membre
supérieur gauche est raidi en demi-flexion et inc
bras sur le bras, à la condition d'y employer un peu de force. Le
membre
inférieur gauche est raidi en extension. Les réfl
tient facilement et s'ac- compagne de soubresauts étendus à tout le
membre
: il est difficile de fléchir la jambe sur la c
obligé de s'appuyer sur une canne. Il relève le bassin et porte son
membre
en avant par un mou- vement de torsion de la pa
objets usuels placés dans sa main gauche. La notion de position des
membres
est altérée notablement. La parole, très troubl
l'hé- mispasme glosso-labié. Quand il marche, le malade porte son
membre
en avant fout d'une pièce par un mouvement d'él
s le .début. De plus la contracture hystérique est très forte; le
membre
atteint est pour ainsi dire transformé en tronc
stance lipomateuse. On ne trouve pas de néoplasme aux aines, ni aux
membres
inférieurs, ni autour ou dans le bassin ni dans
ur ou dans le bassin ni dans l'abdomen.Pas d'ascite ni d'oedème des
membres
inférieurs. La face est rouge, un peu vultueuse
ni troubles de la vue, ni troubles sen- sitifs ou moteurs dans les
membres
. Mais il est attristé par sa maladie qui le ren
pas eu la notion de pareille difformité chez ses parents ou chez un
membre
quelconque de sa famille. La radiographie de la
M. Rondot suppléé par M. Sabrazès. Une impotence pro- gressive des
membres
inférieurs accompagnée de douleurs fulgurantes a
point que la station debout est devenue impossible. Les muscles des
membres
inférieurs ont notablement diminué de.volume de
teils est en extension; les autres phalanges sont inflé- chies. Les
membres
supérieurs sont devenus très maladroits, surtout
le. Sensibilité générale. - Des douleurs fulgurantes parcourent les
membres
inférieurs du pli de l'aine aux genoux ; leur a
es, narines, oreilles, sont parfaitement sensibles. Cryesthésie des
membres
inférieurs. Les os sont douloureux à la percuss
u est sèche à la surface de tout le corps mais particulièrement aux
membres
inférieurs. Les muscles des bras ont subi une l
ecke, 35 ans, boulanger. Depuis 1872, douleurs rhumatoïdes dans les
membres
inférieurs : paresthésies (sensation de picotemen
inclinaison latérale. Phénomène du genou manifeste. Ataxie des deux
membres
inférieurs, douleurs lancinantes dans les extré
érieures, douleurs progressivement accrues, envahissant bientôt les
membres
supérieurs, accompagnées de paresthésies (pic
s. Phénomène de Romberg. Dou- leurs lancinantes très vives dans les
membres
et le visage. Douleurs semblables dans le rectu
faiblie au chaud et au froid. Douleurs fulgurantes parcourant les
membres
inférieurs, apparaissant aussi aux membres supé
lgurantes parcourant les membres inférieurs, apparaissant aussi aux
membres
supérieurs, s'irradiant quelquefois aux épaules,
exion des quatre derniers doigts de la main gauche, la motilité des
membres
supérieurs est normale : il existe cepen- dant
ÉBRALES DANS LE TABES 265 Les mouvements sont également faciles aux
membres
inférieurs, quoique avec une force assez faible
nte, la conversation interrompue. Dans le cas de crampes isolées du
membre
supérieur gauche, on constate une adduction et
égère de la sensibilité tactile. Douleurs lancinantes dans les deux
membres
inférieurs. Abolition du phénomène du pied et d
du goût et de l'odorat. L'ouïe est intacte. Sensibilité cutanée des
membres
et du tronc normale au contact. Hyperes- thésie
nés. La vessie et le rectum sont sains. Les mouvements actifs des
membres
tant supérieurs qu'inférieurs sont ra- pides et
Il n'existe pas la moindre trace d'incoordination motrice dans les
membres
supérieurs. Aux membres inférieurs au contrai
e trace d'incoordination motrice dans les membres supérieurs. Aux
membres
inférieurs au contraire, l'ataxie se révèle de mi
clitori- diennes. A 35 ans, premières douleurs fulgurantes dans les
membres
inférieurs, lancinantes dans les membres supéri
leurs fulgurantes dans les membres inférieurs, lancinantes dans les
membres
supérieurs, constrictives dans les hypochondres,
gnes non douteux de tabes avec très légère incoordination motrice des
membres
inférieurs. Pas de déviation de la colonne vert
nes, apparaissent les premières douleurs fulgurantes parcourant les
membres
inférieurs tantôt de bas en haut, tantôt de hau
douleurs lancinantes d'une intensité moindre se montraient dans les
membres
supérieurs. Les céphalées devenaient plus fréqu
le 17 octobre 1898. Cet amaigrissement siège sur le tronc, sur les
membres
, mais il est particu- lièrement remarquable à l
lièrement remarquable à la face. 276 JEAN ABADIE Les muscles des
membres
sont d'une flaccidité extrême, mais la force musc
t grande. Il n'existe pas du tout d'incoordination motrice dans les
membres
supérieurs. La marche est très peu hésitante, e
perd plus ses jambes. Elle a conservé la notion de position de ses
membres
. La sensibilité osseuse est très bien conservée
la crête iliaque. La marche est possible grâce au peu d'ataxie des
membres
inférieurs : elle s'exécute, la tête et les épa
ac. A 38 ans, premières douleurs fulgurantes. Début de l'ataxie des
membres
inférieurs. A 45 ans, marche impossible, troubl
, à trente-huit ans, apparaissent des douleurs fulgurantes dans les
membres
inférieurs bientôt suivies d'une incoordination m
la percussion sont diminuées. A noter un retard des sensations aux
membres
inférieurs. La colonne vertébrale est examinée,
ébrale. Signes évidents de tabes. Légère incoordination motrice des
membres
inférieurs. Déviation de la colonne vertébrale.
absolument im- mobile. Pas d'autres arthropathies du tronc ou des
membres
. Mort six ans après. Pas d'autopsie. M. P...,
ype fulgurant avaient disparu depuis quelque temps : la raideur des
membres
inférieurs persistait toujours. En outre, il prés
: le malade ne sent pas de raideur dans les joues ni la face. Les
membres
ne sont pas amaigris. La force musculaire y est i
éflexes rotuliens. La sensibilité cutanée est normale sauf dans les
membres
inférieurs où elle présente des troubles profon
Suppression des érections. Phénomènes acro- parcsthésiques dans les
membres
. Doulcurs ombilicales nocturnes. Signes non dou
icales nocturnes. Signes non douteux de tabès. Ataxie confirmée des
membres
inférieurs. Pas d'arthropathies volumineuses ma
tement. Dix ans après, se montrent les premières atteintes dans les
membres
infé- rieurs : ce sont de la raideur dans les d
de fréquence et d'intensité : elles siè- gent de préférence dans le
membre
inférieur droit. Des douleurs constantes à type
86 JEAN ABADIE L'amaigrissement est notable et surtout apparent aux
membres
inférieurs. La force musculaire est bien conser
, mais une incoordination motrice z assez accentuée existe dans les
membres
inférieurs. La marche est d'habitude mal assuré
roubles vésicaux. Signes de tabes. Peu d'incoordination motrice des
membres
inférieurs. Depuis une quinzaine d'années, défo
s fulgu- rantes : elles survenaient par crises, siégeaient dans les
membres
inférieurs, étaient brusques et passaient rapid
sensibilité testiculaire sont abolies. La sensibilité profonde des
membres
inférieurs est perdue : on peut frapper forteme
dantes sont épais- sies. Le tronc paraît raccourci, par rapport aux
membres
inférieurs, et sans être un bossu véritable, le
esseur Pitres le 4 novembre 1899 pour douleurs fulgurantes dans les
membres
inférieurs. Son père ést mort à l'âge de soixan
ade ressentit des douleurs fulgurantes, siégeant principalement aux
membres
inférieurs et au tronc. Il y a sept ans, le mal
onservées. Il-n'a jamais existé de troubles des sphinc- ters. Les
membres
supérieurs ne présentent rien d'anormal à signale
es avec un canif au moins tous les huit jours. Les mouvements des
membres
inférieurs sont conservés. Le malade ne perd ja
de ressent encore des douleurs il type fulgurant qui sillonnent les
membres
et le tronc. Ces douleurs laissent quelquefois co
es trois ou quatre jours. Ces douleurs ont pour siège principal les
membres
inférieurs, elles peu- vent même siéger dans le
son corps fait à peine un angle de 60° avec le plan horizontal des
membres
inférieurs. La colonne vertébrale, vue de profil,
est possible, le malade présente peu d'incoor- dination motrice des
membres
inférieurs : elle s'exécute, le corps penché en
e que la parole est devenue plus lente et légèrement saccadée ; les
membres
supérieurs étaient aussi moins adroits ; l'écri
nous avons mise à exécution pour l'examen de notre second malade.
Membres
supérieurs. - Aucune trace de paralysie, la résis
ion et d'extension est très grande et du reste la muscu- lature des
membres
supérieurs est puissante ; il n'y a pas de différ
st puissante ; il n'y a pas de différence entre les deux côtes. Les
membres
peuvent être étendus, les avant-bras-sur les bras
les mains sur les avant-bras, les doigts écartés, sans oscillation du
membre
, ni tremblement des doigts. Il n'existe pas,
ent intentionnel ; lorsque la malade porte un objet à sa bouche, le
membre
correspondant ne tremble ,pas, pas plus au dépa
térée ; dès que la malade prend le porte-plume entre ses doigts, le
membre
supérieur décrit des oscillations et les muscles
n oreille, les yeux fermés ou les yeux ouverts ; la sensibilité des
membres
supérieurs sous tous ses modes (tact, douleur, te
gérés ; il n'y a pas de trépi- da ôl pilelioidê`té ? lâ min ? Aux
membres
inférieurs, la motilité est parfaite, tous les mo
n avant. Elle peut cependant se tenir debout quelques secondes, les
membres
in- férieurs en abduction ; elle ne peut rester
nt, à se porter soit de côté, soit en avant, soit en arrière. Les
membres
inférieurs sont très écartés et par suite la base
provoque des oscillations de grande amplitude dans le tronc et les
membres
inférieurs. Assis sur un tabouret, il se tient
; il est à remarquer tout d'abord qu'il n'existe aucune ataxie des
membres
inférieurs, les jambes ne sont nullement lancée
que l'appareil vestibulaire fonctionne normalement. Motilité des
membres
supérieurs. - Ni paralysie, ni atrophie musculair
u moment de les saisir ou de les porter. Les réflexes tendineux des
membres
supérieurs sont exagérés (réflexe du poignet, r
il lui a fallu dix minutes pour l'écrire (Fig. z) : Motilité des
membres
inférieurs. -Ni paralysie, ni atrophie. Il éprouv
ez l'individu normal, un mouvement de flexion du gros orteil. Aux
membres
supérieurs et inférieurs, la résistance aux mouve
ut persister plusieurs secondes. Il n'existe pas d'hypotonie ni aux
membres
supérieurs, ni aux membres inférieurs. Tête e
ndes. Il n'existe pas d'hypotonie ni aux membres supérieurs, ni aux
membres
inférieurs. Tête et face. Il n'y a pas de tre
aggravé, les troubles de l'équilibration se sont accentués, et les
membres
su- périeurs tremblent un peu, quand il saisit
corps, et sur l'intégrité presque absolue des mouvements isolés des
membres
. Tous les mouvements d'ensemble du corps sont p
un point d'appui. Pendant la marche, les jambes sont écartées, les
membres
supérieurs en abduction légère, les malades mar
assise ou couchée, car dans la station de- bout les mouvements des
membres
supérieurs d'une assez grande ampli- tude modif
l'équilibre; d'autre part il existe une très légère maladresse des
membres
supérieurs au moment de saisir ou de po- ser un
hiv. sur Psychiatrie, 1891. " 3 la ) J. DEJERINE et A. THOMAS des
membres
inférieurs et par la coïncidence d'une atrophie m
tiologiques. La malade de Menzel présentait de l'incoordination des
membres
supé- rieurs, du signe de Romberg, la tonicité
Rojet et Collet : chez la malade de Arndt les mouvements isolés des
membres
inférieurs n'étaient pas libres, ils s'accompagna
es fois elle éprou- vait seulement des raideurs tétaniques dans les
membres
inférieurs et dans les muscles de la mâchoire :
Menzel et^bien que les renseignements cliniques sur les différents
membre
(fua famille soient assez vagues, l'hérédité simil
l'atrophie OLI'0-PONTO-CÉRÉBBLLI;USIz. 355 par l'incoordination des
membres
inférieurs, les mouvements choréiformes des bra
out, l'absence de signe de Romberg. A une période plus avancée, les
membres
supérieurs se prennent, la main hésite au momen
es patellaires disparurent, il existait une légère hypoesthésie des
membres
inférieurs. Les sphincters se prirent ; il eut
lente, elle compte en outre dans sa symptomatologie de l'ataxie des
membres
, des déformations telles que la scoliose et le
s amples ; l'état parétique, la contracture, l'étal spasmodique des
membres
supérieurs et inférieurs sont pour ainsi dire c
diminution de l'équilibre, un peu d'incertitude,du tremblement des
membres
, symptômes qui peuvent t en imposer pour une lé
le, les troubles de la déglutition, la dysar- thrie, la parésie des
membres
, le rire et le pleurer spasmodiques appar- tien
e la locomotion et l'in- tégrité relative des mouvements isolés des
membres
sont particulière- ment favorables à la théorie
gers aux troubles de l'équilibre : ce sont un léger tremblement des
membres
supérieurs, les secousses nystagmiformes, les a
e cervelet aurait-il encore d'autres fonctions ? Le tremblement des
membres
supérieurs n'existe pas au repos, il appa- raît
de se rendre compte du mécanisme physiolo- gique du tremblement des
membres
, du nyslagmus, de l'altération de la parole, et
ent du moins suffisamment pour permettre à la malade l'usage de ses
membres
. Mais il restait encore des signes de paralysie
ne motrice, expliquerait successivement l'aphasie et la parésie des
membres
. Nous n'avons trouvé qu'un seul cas de paralysi
du lit, il en est de même de la jambe du même côté, tandis que les
membres
gauches peuvent exé- cuter des mouvements, surt
e). Avec le temps elle recouvra jusqu'à un certain point l'usage du
membre
inférieur mais elle n'a jamais ré- cupéré celui
'usage du membre inférieur mais elle n'a jamais ré- cupéré celui du
membre
supérieur du même côté. Les parents déclarent qu'
es et la peau présente une teinte basanée. Quand elle est au lit le
membre
inférieur ne présente rien de particu- lier, ma
réapparaissent..... Mais elle était plus habile à se servir de ses
membres
gauches et avait gagné cela à l'opération. En o
le 8 mai. Il y rentre le 18 mai, se plaignant de douleurs dans les
membres
inférieurs (1) Nous avons pu voir des photograp
ine, un peu d'indican. Le malade a toujours un peu de diarrhée. Aux
membres
inférieurs, les réflexes patellaires sont très di
la main est relativement plus développée que les autres segments du
membre
. Toutefois ces défauts de proportion coexistent
atif, le malade n'a aucune douleur, ne se plaint de rien que de son
membre
supérieur droit impo- tent, il peut bien ci la
en,sert même pas pour s'habiller ou se désha- biller. Au repos le
membre
pend légèrement écarté du tronc, l'avant-bras dem
chaud, au froid est par- tout normale. Les réflexes tendineux du
membre
malade sont encore sensibles, ils M8 GASNE i.
la forme de l'ostéopathie que dans le début par l'oedème étendu au
membre
tout entier. Mais l'ostéoarthropathie tabétique
, il mesure 1 m. 317 au lieu de -1 m. 37, taille physiologique. Les
membres
sont minces, fluets, grêles. La poitrine est allo
e, les phénomènes suivent une marche lente mais pro- gressive ; les
membres
supérieurs, peu musclés sont sans force ; leur ma
ernier ; la faiblesse musculaire est des plus marquées, surtout aux
membres
supérieurs : l'abduction des bras est impossible
e sur le côté gauche. La masse sacro-lom- baire fait saillie. Les
membres
supérieurs sont le siège d'une atrophie généralis
angle obtus ouvert en arrière. Le deltoïde est hypertrophié. Aux
membres
inférieurs, l'atrophie des muscles de la cuisse e
les de la cuisse est notablement moins marquée qu'elle ne l'est aux
membres
supérieurs, cependant quand les genoux sont ame
es myopathies. Les troubles ont commencé dès le Loti[ jeune âge aux
membres
inférieurs et se sont propagés ensuite au thora
aux membres inférieurs et se sont propagés ensuite au thorax et aux
membres
supérieurs, y com- pris les mains; les muscles
ataxie et phénomènes oculo-moteurs, ni début par les extrémités des
membres
et marche vers la racine comme dans le type név
mbaire qui ne lui procure jamais la moin- dre douleur. L'ataxie des
membres
inférieurs croit de jour en jour chez lui, il r
s de mâchoire capable de lui résister. C'est ce que savent bien les
membres
de la famille'du patient qui l'ont accompagné p
graphie que se trouve l'épitre curieuse qui lui fut adressée par un
membre
du parlement de Bretagne et dont nous citons qu
paralytiques disparurent presque, mais resta une rigidité dans les
membres
supérieurs et inférieurs. Huit mois avant la mo
u une paralysie du côté droit, quoique presque tous les muscles des
membres
étaient rigides aussi. Quatre mois avant la mor
il en dehors). Il y avait des con- tractures très marquées dans les
membres
inférieures. Autopsie. Examen microscopique.
noncés dans le cas premier; il y avait là des contractures dans les
membres
inférieurs, une rigidité dans les mains, des ti
engourdissements douloureux du côté gauche, principalement dans le
membre
supérieur. Elle sent des picotements et des fourm
e hémianesthésie perma- nente de tout le côté gauche prédominant au
membre
supérieur, mais compre- nant la sensibilité spé
le droit. En 1890, apparition, d'abord à droite, puis dans les deux
membres
in- férieurs, de douleurs fulgurantes. Quelques
-lombaire permanente. Enfin celui dont l'incoordination motrice des
membres
inférieurs domine, surveille la folie de ses ja
l s'appuiera pesamment sur elle, et fera effort avec les muscles du
membre
supérieur et de l'hémithorax correspondants : la
non seulement le poids de la partie supé- rieure de la colonne, des
membres
supérieurs et de la tête, mais elles subissent
ntes de la part du bassin dans la po- sition assise, de la part des
membres
inférieurs et de la résistance du sol dans la s
ations, dites compensatrices, qui accompagnent une malformation des
membres
inférieurs, pieds-bots, genu valgum, luxation c
es uns étaient confinés au lit par la seule incoordination de leurs
membres
infé- rieurs, ils n'avaient que faire d'un cors
mobiles, même lors du pincement, tandis que les diverses parties du
membre
s'agitent et se fléchissent à l'occasion d'un sim
nuelle- 'ment; enfin l'influence centrale ne s'exerçait plus sur le
membre
abdominal correspondant. Cette succession de ma
role était conservée, mais depuis sa chute il ne pouvait bouger aucun
membre
. Il était ivre, légèrement du moins. Je le lais
auche, la sensibilité intacte du côté droit, anesthésie complète du
membre
supérieur, légère insen- sibilité du membre sup
anesthésie complète du membre supérieur, légère insen- sibilité du
membre
supérieur. Ces hémiplégie et anesthésie provenaie
- Sensibilité cutanée. - Hémianalgésie gauche pour le tronc et les
membres
; la tête est épargnée. Les sensations tactiles
est devenu très irascible lI1otilité. - Léger affaiblissement des
membres
gauches. La mensuration indique une différence
-centimètre en 'faveur du côté droit Au lit tous les mouvements des
membres
sont possibles et aussi bien exécutés à gauche
s mus- cles donne une réaction exagérée à la plupart des muscles du
membre
infé rieur. Réflexe rotulien exagéré des deux c
stationnaire par la suite, la paralysie se limite à l'extrémité du
membre
supérieur gauche à la moitié gauche de la face.
ur la pointe du pied est impossible. Tous les mouvements propres au
membre
inférieur gauche seul sont impos- sibles La f
cutanée, et à un moindre degré la sensibilité thermique) jus- qu'au
membre
supérieur est sérieusement atteinte. Le réflexe
un enfoncement siégeant vers la partie antérieure du pariétal. Les
membres
étaient tous en résolution, mais le bras droit
sortait la langue, qui paraissait lé- gèrement déviée à droite. Les
membres
inférieurs et le membre supérieur gau- che avai
raissait lé- gèrement déviée à droite. Les membres inférieurs et le
membre
supérieur gau- che avaient récupéré leur motili
disparu, mais il semble qu'il y ait une légère atrophie de tout le
membre
supérieur droit en même temps qu'on y constate
as. - L'atrophie est aussi visible que pour le segment supérieur du
membre
, le sillon médian antérieur étant plus marqué que
orte- plume de dimensions moyennes. Réflexes. - Pas modifiés. '
Membres
inférieurs.- Il n'existe pas de différences sensi
n'existe pas de différences sensibles entre le vo- lume de ces deux
membres
. La cuisse droite mesure à la partie moyenne 41
ouleurs, ni fourmille- ments, zone d'hypoesthésie étendue à tout le
membre
supérieur droit. Diminution de la sensibilité t
s droits, une parésie du facial droit et une paralysie complète des
membres
inférieur et supérieur droits. Il est impossibl
droite. Depuis il n'a pas eu d'autres convulsions. La paralysie des
membres
s'améliora et il ne resta que l'aphasie. Etat a
aso-génien restent abaissés. La langue est déviée à droite. Dans le
membre
supérieur droit, la force n'est que peu diminuée.
p, il avait perdu la parole, il n'a pas cons- taté de faiblesse des
membres
. La blessure de la tête a fortement saigné. Eta
e légèrement déviées à droite. Les mouvements actifs et passifs des
membres
sont normaux. La sensibilité de la main droite es
progressivement dans les mem- bres.... 3 octobre. Les paralysies (
membres
et facial) ont disparu, mais la parole ne s'est
rement tournée en dehors, elle est flasque et sans contracture. Les
membres
droits se meuvent à la volonté du malade. La se
a complètement disparu, les mouvements commencent à revenir dans le
membre
supérieur gauche. L'amélioration continue de jo
et, Lond., t. II, p. 81-253. 1863. SoNttiER. Paralysie des quatre
membres
, de la vessie et du rectum, consécutive à un co
roubles sphinctériens, abolition des réflexes tendineux, dans les
membres
para- lysés, troubles qui ont fait leur ap- p
vent accentuer davantage les muscles qui causent les mouvements des
membres
, plus que ceux qui ne s'emploient pas dans ce mou
a main gauche : cela tient à la disposition des muscles dans chaque
membre
, qui sont symétriques par rapport à l'axe du co
e d'orientation, les mouvements physiologiques symétriques des deux
membres
sont de même sens,ils sont de sens opposé les u
cligne les yeux un peu plus que norma- lement. Les mouvements des
membres
se font très convenablement. La marche est norm
it très bien. La sensibilité est également intacte, autant' sur les
membres
que sur les deux parties symétriques de la face
u point de vue intellectuel. Le crâne est bien conformé, les os des
membres
sont bien constitués à l'exception du 3e cas de
t familiale, capable d'envahir progres- sivement de bas en haut les
membres
inférieurs, tantôt un seul, tantôt les deux à l
té, occupant tantôt les pieds et les jambes, tantôt la totalité des
membres
inférieurs et généralement les deux côtés. »
en souples, les oreilles non déformés. Les mains et les doigts, les
membres
supérieurs sont ceux d'une femme grasse, sans d
aspect relative- ment gracile, les ongles sont hippocratiques. Le
membre
inférieur droit est considérablement augmenté de
é moindre et la peau ne retrouve sa souplesse que vers la racine du
membre
et à sa face interne. Le membre inférieur gauch
a souplesse que vers la racine du membre et à sa face interne. Le
membre
inférieur gauche est moins cylindroïde que le dro
rexie, dispa- rition des règles pendant trois mois, tremblement des
membres
inférieurs. Eu novembre 1898, elle se trouvait
aient faire écarter ce diagnostic. La localisation des troubles aux
membres
inférieurs n'était pas en faveur de la cachexie
ntellectuels. Motricité.- Pas de troubles moteurs notables dans les
membres
supérieurs ; tout au plus existe-t-il une légèr
se tenir debout, ni marcher ; raideur assez accentuée dans les deux
membres
inférieurs, qui sont habituellement au lit fixés
gère de ce côté. Diminution de la sensibilité tactile au niveau des
membres
inférieurs, sur l'abdomen, jusqu'à la ceinture
trophie des mollets est un peu plus accentuée, quoique modérée. Aux
membres
supérieurs, même maladresse légère dans les mou
dant ici, comme il arrive souvent du reste, limitée à un segment de
membre
; elle était relative et mobile ; elle s'accomp
t à une paraplégie spasmodique avec atrophie légère des muscles des
membres
in- férieurs : mais nous savons que l'on a décr
out d'abord par sectionner chez ces animaux les nerfs principaux du
membre
antérieur... Après avoir gardé les animaux de d
plus profondes, « car, dit-il, on saitque dans les amputations des
membres
où l'effort régénérateur du bout central du nerf
e les pupilles sont davantage dilatées. Le cou est gonflé, tendu. Les
membres
supérieurs, aemi-fléchis, rigides, et qui reposai
i reposaient d'abord sur le tronc, se soulèvent au-dessus du lit. Les
membres
inférieurs sont rigides et dans l'extension. b)
petits mouvements tétaniques envahissent tout le corps et surtout les
membres
inférieurs. Période clonique. La tète et le cor
es qui s'accompagnent d'une rigidité générale de tout le corps et des
membres
constituent une première période très-courte, que
, le pouce étant fortement appliqué contre la paume de la main. Les
membres
inférieurs, à l'origine très-rigides et dans l'ex
ui sonnent à toute volée, etc. Variétés. Dans quelques attaques, le
membre
supé- (l) Ce gonflement est un trait cruel de l
D'une façon générale, immobilité complète de la face, du tronc et des
membres
. La tête est rectiligne, fortementportée en arriè
ouvements de déglutition. Les muscles du cou sont durs, tendus. Les
membres
supérieurs, très contractures et étendus perpendi
ve et que le ventre, par conséquent, est un peu projeté en avant. Les
membres
inférieurs sont rapprochés, allongés, les orteils
is six ou sept heures. La descente de croix s'effectue peu à peu. Les
membres
qui, pendant l'attaque, étaient pâles, presque fr
raconté que souvent, dans ses attaques, L.. essaie de se déchirer les
membres
, la poitrine, le cou. C'est également ce qui avai
l avait dit, se mordait aux bras et contournait horriblement tous les
membres
(lj. » Nous avons vu encore que, dans quelques-
ut cas il se soumettoit » àl'opinition du Tout, dont il n'étoit qu'un
Membre
, » et que jamais personne ne fut hérétique pour a
n manque de détails précis; ce qu'on affirme pourtant, c'est qu'aucun
membre
de la famille n'aurait été ou ne serait atteint d
froid ne sont pas perçus sur la moitié gauche du corps (face, tronc,
membres
). —La moitié correspondante de la muqueuse lingua
deviennent très-rigides. Les doigts sont vigoureusement fléchis. Les
membres
inférieurs sont dans l'extension forcée, y compri
rarement absence de cris. Rigidité générale; attitude variable des
membres
; crucifiement. Mouvements cloniques très-éten-
ent brusque, les bras se mettent en croix et deviennent rigides ; les
membres
inférieurs, allongés, sont également rigides. Alo
rpendiculairement au tronc, en croix', les doigts sont fléchis. — Les
membres
inférieurs, allongés et rapprochés, sont rigides.
xe. (Début). — Elle tombe sans connaissance et se blesse souvent. Les
membres
sont rigides, dans l'extension. La tète est porté
rs ; les globes oculaires s'abaissent, la rigidité diminue dans les
membres
où se produisent quelques secousses cloniques [Pé
ble hyperesthésie ovarienne. — Anesthésie générale. — Contracture du ¦
membre
inférieur droit ; — prodromes, symptômes ; — infl
t le 30 novembre, ni le 1er décembre. — Le 2 décembre, contracture du
membre
inférieur droit dans l'extension. 7 décembre. —
it de nouveau la jambe droite et, le 16, elle n'est pas modifiée : le
membre
inférieur tout entier est rigide ; il est impossi
lexion dorsale du gros orteil détermine une trépidation générale du
membre
. — La contracture se dissipe le 30 décembre consé
e douleurs névralgiques occupant la tête ; elle a des contorsions des
membres
et de la face. 21 fév. — Elle saute pardessus l
mi. Quand elle s'est mise au lit, elle avait le libre exercice de ses
membres
. Aujourd'hui, à son lever, il lui a été impossibl
les ont commencé le 6 et fini le 9. 13 janvier. — La contracture du
membre
inférieur droit persiste. La malade marche en boi
e une double ovaralgie. Le pied est redevenu libre: par conséquent le
membre
inférieur droit est presque normal : il n'y a plu
s qu'elle se procure de façon ou d'autre. — Hier, dans la journée, le
membre
supérieur droit a été pris d'une contracture très
ation qui a pu exister entre ces traumatismes et les contractures des
membres
supérieur et inférieur du côté droit dont elle a
ons se dissipent en général au bout de 5 à 10 minutes. 23 mai. — Le
membre
supérieur gauche est contracture dans la demi-fle
est contracture dans la demi-flexion et on note des secousses dans le
membre
supérieur droit avec contracture passagère des do
iquement fléchis sur la paume de la main, les pouces en dehors. — Les
membres
inférieurs sont dans l'extension et l'adduction;
nt tranquille; toutefois la rigidité générale est la même et tous les
membres
, sauf le membre inférieur gauche qui est infléchi
utefois la rigidité générale est la même et tous les membres, sauf le
membre
inférieur gauche qui est infléchi, sont dans l'ex
dorsale et ne repose plus que sut la nuque et le talon droit, car le
membre
inférieur gauche, y compris le pied, est soulevé
le 17. Lorsqu'elles ont été finies, on a constaté une contracture du
membre
inférieur droit et une rétention d'urine. 18 ju
ux déviés en bas et à gauche, les pupilles modérément dilatées. — Les
membres
supérieurs sont rigides : le bras gauche est éten
'avant-bras droits sont allongés et croisent le poignet gauche. — Les
membres
inférieurs sont rigides, le gauche croisant le dr
e.— La jambe gauche se décroise, devient souple, ainsi que les autres
membres
; les yeux ! s'ouvrent largement, le re-| gard ex
torticolis du côté gauche (p. 53), et plus tard des contractures des
membres
(p. 59, 62, 65, 74); elles étaient le plus souven
ette un cri, la tête se renverse en arrière, ia face se convulsé, les
membres
supérieurs se contractureiit violemment dans l'ex
n du col utérin au fer rouge ; son action. — Contracture passagère du
membre
inférieur gauche.— Torticolis hystérique. Descr
her, de la glace, du nitrite d aw y le. — Erythème. — Contracture des
membres
dît côté gauche (Forme hémiplégiqtie). — Névralgi
locaux et généraux. — Hallucinations terrifiantes. — Contracture des
membres
du côté gauche. — Ovarie double ; anesthésie géné
compagnés ou suivis d'une très-grande agitation, avec contracture des
membres
, grincements des dents, écume, sueurs, congestion
nt ouverts ; de temps en temps, il se produit de la rigidité dans les
membres
et il s'écoule de l'écume de la bouche; M... rest
lus du bras droit déjà analgésie, la moitié droite du tronc; seul, le
membre
inférieur a gardé sa sensibilité. § novembre.—
que le pied, qui était en varus équin, s'est remis en deux temps. Les
membres
du côté gauche sont toujours très-faibles et engo
as ; les trois derniers doigts sont fléchis, les autres allongés. Les
membres
supérieurs se contournent simultanément ou succes
été relativement bonne. Ce matin, à 6 heures, on a constaté que les
membres
supérieur et inférieur gauches étaient entièremen
uement fléchis. Tout mouvement spontané ou provoqué est impossible.
Membre
supérieur: Le bras est accolé au tronc ; l'avant-
oucher l'épaule (Pl. XXVII). Si l'on essaie de modifier l'attitude du
membre
, on ne produit qu'un déplacement insignifiant, ta
es, à gauche des 4° et 5e cervicales. D'après elle, la contracture du
membre
supérieur se serait constituée progressivement :
le aurait gagné le coude, puis le poignet. Nous avons vu que, pour le
membre
inférieur, elle aurait commencé par le pied. On
r uriner. P. 92; T. R. 38°,4. — Soir : T. R. 38°,2. % juillet. — Le
membre
supérieur gauche est devenu tout à fait libre dan
suite de crampes et d'une exacerbation des douleurs névralgiques. Le
membre
inférieur gauche reste contracture; par moments,
l. de 0 gr. 05 d'extrait thé-baïque. 6 juillet. — La contracture du
membre
inférieur gauche a disparu. M... a passé la journ
ontanées et à la pression occupant les jointures et la continuité des
membres
et prédominant à gauche. 11 juillet. — T. R. 38
ioration. On a levé la malade hier et on a remarqué que , debout, les
membres
du côté droit étaient pris de tremblement. — Les
, se livrer à la boisson. » Ce matin, il existe une contracture des
membres
du côté gauche (forme hémiplégique). L'attitude d
st celle que nous avons décrite plus haut (Pl. XXVIII). L'attitude du
membre
inférieur est différente : la cuisse est fléchie
t, nous constatons que, par moments, la contracture disparaît dans le
membre
supérieur gauche. — Nous administrons du nitrite
habitude après l'inhalation de nitrite d'amyle. Dans cette crise, les
membres
inférieurs se dressent en l'air, s'entre-croisent
se dissipent peu à peu et M... ne conserve plus que la contracture du
membre
inférieur gauche dans l'extension. 23 novembre.
inférieur gauche dans l'extension. 23 novembre. — La contracture du
membre
inférieur gauche n'a pas changé. M... a, de temps
bras et la jambe droite, qui étaient libres deviennent rigides et le
membre
inférieur gauche se roidit davantage. Ceci dure 3
'hystérie, etc., p. 116. 24 non. — La contracture est permanente au
membre
inférieur gauche, mais variable dans sa forme ; t
able dans sa forme ; toutefois, c'est l'extension qui l'emporte. — Au
membre
supérieur, elle n'apparaît que durant les crises
gourdissements et de sueurs froides. — A 9 heures 1/2, contracture du
membre
inférieur gauche dans l'extension et du membre su
es 1/2, contracture du membre inférieur gauche dans l'extension et du
membre
supérieur dans la flexion; à 11 heures, contractu
n et du membre supérieur dans la flexion; à 11 heures, contracture du
membre
inférieur gauche dans l'extension; le membre supé
1 heures, contracture du membre inférieur gauche dans l'extension; le
membre
supérieurestflasque. Ovarie double. — Hémianes-
ppendice xi phoïde et sur le bras droit. 24 nov. — Contracture du
membre
inférieur gauche et du membre supérieur droit.
bras droit. 24 nov. — Contracture du membre inférieur gauche et du
membre
supérieur droit. 30 nov. — La contracture persi
u membre supérieur droit. 30 nov. — La contracture persiste dans le
membre
inférieur gauche; dans le membre supérieur droit
v. — La contracture persiste dans le membre inférieur gauche; dans le
membre
supérieur droit elle a disparu, sans attaques, il
des, fourmillements, crampes, contractures passagères dans les quatre
membres
, tout cela ne se dissipe pas. — Ovaralgie double,
-rées précédemment. Elle a des accès de tremblement des lèvres et des
membres
, sans éprouver, d'ailleurs, de sensations de froi
nt. Hier soir, on a observé des tortillements, puis un tremblement du
membre
inférieur gauche, suivi d'une contracture, dans l
r. T. R. 38°. 28 juillet. — Hier, de 3 à -j heures, contracture des
membres
inférieurs (forme paraplégique). T. R. 38°. Elixi
a droite du lit, la malade présente les fesses, qui sont élevées, les
membres
inférieurs étant fléchis. Au bout de quelques ins
Le bras gauche a la même attitude. En raison de la position des deux
membres
Planche XXXVI. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : DÉLIRE L
ent le 16 dans la soirée. 19 oct.— Contractions passagères dans les
membres
. 21 oct.— Attaques de 8 à 10 h. Arrêt par la co
mêmes phénomènes se reproduisent. De plus, elle a une trépidation du
membre
inférieur droit. Quand elle a eu fini, elle s'est
nalgésie droite, avec anesthésie complète de la face, du thorax et dû
membre
supérieur droit; et, à partir de 1874, uñe série
hacune d'elles. o) En 1874, M... a présenté : 1° une contracture du
membre
inférieur g anche (forme hémiparaplégique), dont
ut d'une demi heure, s'est effectuée progressivement, les segments du
membre
étant redevenus libres en deux temps; 2° une cont
us avons observé : 3° une contracture du pied gauche, puis de tout le
membre
inférieur, enfin, du membre supérieur du même côt
ntracture du pied gauche, puis de tout le membre inférieur, enfin, du
membre
supérieur du même côté (forme hémiplégique). Cett
de la contracture. Nous avons noté ensuite : 4° une contracture des
membres
du côté gauche (forme hémiplégique), qui a duré q
rme hémiplégique), qui a duré quelques heures ; 5° une contracture du
membre
inférieur gauche (forme hémiparaplégique), qui a
t (forme monoplégique), qui a duré cinq jours ; 7° une contracture du
membre
inférieur gauche (l) Voir p. 128. La contractur
aut). (forme hémiparaplégique) ; 8° enfin, une contracture des deux
membres
inférieurs (forme paraplégique), qui a disparu en
113,124, 130, etc.); il se montre par accès, affecte d'ordinaire les
membres
du côté droit, et de préférence le membre inférie
s, affecte d'ordinaire les membres du côté droit, et de préférence le
membre
inférieur ; si, alors, la malade est assise, on e
143, 148. Contractions, 138 140, 148. Contracture, 93, 146. C. du
membre
supérieur gauche, 74, 122,126. — droit, 65. 128.—
3, 146. C. du membre supérieur gauche, 74, 122,126. — droit, 65. 128.—
membre
inférieur gauche, 118, 122, 126, 126. — droit, 59
qu'on lui imprime, avec plus ou moins de résistance. Seulement, les
membres
et le tronc, incomplètement contractures, repre
le reçoit dans la tête des chocs mortels. Des fusées traversent ses
membres
, se répandent dans son corps et lui occasionnen
Rordeaui. , Les troubles fonctionnels, qui se produisent dans les
membres
, consécutivement à une lésion cérébrale, sont b
t limités à un côté du corps. Ils portent en réalité sur les quatre
membres
, mais d'une façon inégale et différente. En gén
membres, mais d'une façon inégale et différente. En général, les
membres
du côté correspondant à la lésion sont sim- ple
t. ÉTAT DES FORCES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES. 27 Î paralysie. Or, un
membre
affaibli n'est pas, par cela même, un membre pa
Î paralysie. Or, un membre affaibli n'est pas, par cela même, un
membre
paralysé. Nous voyons tous les jours des hystér
embre paralysé. Nous voyons tous les jours des hystériques dont les
membres
du côté anes- thésié donnent une pression infér
nnent une pression inférieure de 10 ou 15 kilo- grammes à celle des
membres
du côté opposé. Cepen- dant ces malades se serv
es du côté opposé. Cepen- dant ces malades se servent de tous leurs
membres
sans la moindre maladresse; elles marchent sans
ne produit pas exclusivement et invariablement une paralysie des
membres
du côté opposé. En général, en outre de la para
urrait déterminer une paralysie limitée à trois mem- bres (les deux
membres
inférieurs et le membre supé- rieur du côté opp
alysie limitée à trois mem- bres (les deux membres inférieurs et le
membre
supé- rieur du côté opposé) ou aux deux membres
res inférieurs et le membre supé- rieur du côté opposé) ou aux deux
membres
inférieurs seulement. Les conclusions développé
s que j'indi- querai très brièvement. Pour apprécier la force des
membres
, je me suis tou- jours servi du dynamomètre de
is tou- jours servi du dynamomètre de pression ordinaire. Pour le
membre
supérieur, l'instrument était serré dans la mai
le membre supérieur, l'instrument était serré dans la main; pour le
membre
inférieur, il était placé dans le jarret pendan
r un certain nombre de conclusions. - 1. ÉTAT DES FORCES DANS LES
MEMBRES
DU COTÉ OPPOSÉ A L'HÉMIPLÉGIE 1° Dans l'lcénz
PPOSÉ A L'HÉMIPLÉGIE 1° Dans l'lcénziplégie d'origine cérébrale les
membres
du côté opposé à F hémiplégie sont toujours plu
ès les chiffres précités, la force de pres- sion développée par les
membres
du côté non paralysé est en moyenne de 40 à 45
p. 100 au-dessous de la normale. 2° Dans l'hémiplégie droite, les
membres
du côté a«- elle sont proportionnellement moins
elle sont proportionnellement moins affaiblis que ne le sont les
membres
du côté droit dans l'hémiplégie gauche. Ainsi,
té gauche est de 41 p. 100, tandis que dans l'hémiplégie gauche les
membres
du côté droit perdent 49 p. 100. 3° D'ordinai
, la perle des forces est proportionnellement plus grande dans le
membre
inférieur que dans le membre supérieur corres-
roportionnellement plus grande dans le membre inférieur que dans le
membre
supérieur corres- pondant. En prenant pour base
emble des 40 observations rapportées plus haut, on trouve que les
membres
supérieurs du côté opposé à l'hémiplégie ' ÉTAT
EGIQUES. 33 ont perdu en moyenne 38,5 p. 100 de leur force et les
membres
inférieurs 50 p. 100. Je n'ai jamais rencontré
amais rencontré d'exemple d'affaiblissement manifeste de l'un des
membres
du côté opposé à l'hémiplégie, l'autre ayant co
iplégie, l'autre ayant conservé sa force normale. Toujours les deux
membres
supérieur et inférieur m'ont paru affaiblis. Ma
efois, que, contrairement aux chiffres fournis par les moyennes, le
membre
supérieur est proportionnellement plus faible q
llement plus faible que l'inférieur. Ainsi, chez Can... (n° 5), les
membres
supérieur et inférieur du côté non paralysé don
côté non paralysé donnent chacun 20 kilogr. de pres- sion. Or, le-
membre
supérieur donnant à l'état normal une pression
donnant à l'état normal une pression notablement plus forte que le
membre
inférieur, il résulte de l'égalité observée dan
e inférieur, il résulte de l'égalité observée dans ce cas, que le
membre
supérieur a été proportionnelle- ment plus affa
e membre supérieur a été proportionnelle- ment plus affaibli que le
membre
inférieur correspon- dant. Chez Pin... (n° 24),
li que le membre inférieur correspon- dant. Chez Pin... (n° 24), le
membre
supérieur droit non paralysé donne 20 kilogr. e
24), le membre supérieur droit non paralysé donne 20 kilogr. et le
membre
inférieur 21 kilogr. Le premier a donc perdu 59
. Mais les cas de ce genre sont exceptionnels. Le plus souvent le
membre
inférieur est proportionnellement plus affaibli
ellement plus affaibli que le supérieur. 4° L'affaiblissement des
membres
du côté opposé à l'hémiplégie est d'autant plus
e malade a repris ses facultés, la force est très diminuée dans les
membres
du côté opposé à l'hémiplégie et nulle dans ceu
é. Les jours suivants, elle revient graduellement, d'abord dans les
membres
non paralysés, puis dans les membres paralysés.
duellement, d'abord dans les membres non paralysés, puis dans les
membres
paralysés. D'ordinaire, le membre inférieur rep
res non paralysés, puis dans les membres paralysés. D'ordinaire, le
membre
inférieur reprend quelque force avant le membre
és. D'ordinaire, le membre inférieur reprend quelque force avant le
membre
supérieur correspondant, ainsi que l'ont indiqu
ÉTAT DES FORCES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES. 35 fonctionnelle des deux
membres
inférieurs, de telle sorte que les malades sont
e ce genre est très difficile. Si on examine les malades au lit, le
membre
inférieur du côté opposé à l'hémiplégie paraît
ent dans ce cas une différence entre l'état de la motilité des deux
membres
inférieurs, puisque celui du côté paralysé ne p
marcher, soient seules troublées, et que l'impotence élective du
membre
dépende de certaines modifications dans ses rap
a volonté. Jamais aucun phénomène analogue ne se produit dans les
membres
supérieurs : l'impotence fonctionnelle est touj
ù la lésion cérébrale est unilatérale. II. ÉTAT DES FORCES DANS LES
MEMBRES
DU CÔTÉ CORRESPONDANT A L'HÉMIPLÉGIE L'état d
S DU CÔTÉ CORRESPONDANT A L'HÉMIPLÉGIE L'état des forces dans les
membres
du côté hémi- plégié est tellement variable qu'
rmal ou du côté non paralysé. Dans les hémi- plégies complètes, les
membres
paralysés sont inca- pables d'exercer, la plus
e tous les intermédiaires. La paralysie peut aussi être complète au
membre
supérieur et incomplète au membre inférieur ou
lysie peut aussi être complète au membre supérieur et incomplète au
membre
inférieur ou inver- sement. Il est à peine beso
ine précision le phénomène de l'associalion des mouvements dans les
membres
similaires. On sait que chez beaucoup d'hémiplé
ain du côté sain amène un mouvement quelquefois très étendu dans le
membre
supérieur du côté paralysé, sur lequel la volon
3 à 4 kilogr. Le même phénomène d'association se produit dans les
membres
inférieurs, mais il est moins net et les différ
ètre ne donne pas la mesure exacte de l'impotence fonctionnelle des
membres
paralysés. Cette proposition, en apparence -par
rnis par le dynamomètre sont égaux ou presque égaux pour les deux
membres
symétriques. Les observations n°" 8, 16, 28 et
alité complète ou presque complète de la force de pression dans les
membres
symétriques, les malades auxquels je fais allus
allusion sont de vrais hémiplégiques, c'est-à-dire que chez eux les
membres
d'un côté du corps obéissent imparfaitement aux
toujours son verre de la main gauche. Chez certains malades, les
membres
du côté paralysé peuvent même donner une pressi
u côté paralysé peuvent même donner une pression plus forte que les
membres
symé- triques du côté opposé (exemples : Can...
affaiblissement musculaire. L'étude comparative des forces dans les
membres
inférieurs chez les hémiplégiques qui peuvent m
hémiplégiques, n'est pas en rapport avec l'état des forces dans les
membres
inférieurs. Beaucoup de malades qui peuvent mar
ou sans canne, n'ont qu'une force de pression très modérée dans les
membres
inférieurs , tandis qu'au ÉTAT DES FORCES CHEZ
canne, dans l'hospice et dans la ville. La force de pression des
membres
inférieurs est cependant relativement faible, à
er, bien qu'ils aient beaucoup plus de force. Seg..., dont les deux
membres
inférieurs donnent chacun 15 kilogr., est incap
fonctionnelle. Pour apprécier exactement le degré de paralysie d'un
membre
, il ne suffit pas de connaître l'énergie avec l
n'exigent qu'un très faible déploiement de forces. De même pour les
membres
inférieurs qui peuvent avoir la même valeur dyn
nctionnelle. J'ai vu plusieurs fois des hémiplégiques dont les deux
membres
inférieurs déve- loppaient exactement la même f
u cerveau pro- duit un affaiblissement musculaire dans les quatre
membres
. Mais, en général , les membres du côté opposé
issement musculaire dans les quatre membres. Mais, en général , les
membres
du côté opposé sont seuls le siège de l'impoten
nctionnelle absolue ou relative qui caractérise la paralysie. Les
membres
du côté correspondant à la lésion initiale ne p
res. Toutefois cette loi n'est rigoureuse- ment exacte que pour les
membres
supérieurs. La motilité des membres inférieurs
use- ment exacte que pour les membres supérieurs. La motilité des
membres
inférieurs paraît être sous la dépendance moins
mmédiate et moins exclusive des hémisphères cérébraux que celle des
membres
supé- rieurs. Aussi observe-t-on quelquefois à
Fig. 1. Schéma destiné a montrer l'état des forces dans les quatre
membres
dans un cas d'hémiplégie droite. (Début 7 février
u moment où il allait entrer à Charenton. On ne connaît pas d'autre
membre
parmi les ascendants ou descendants ayant été s
l. Thorax. L'épaule droite est portée plus haute que la gauche. Les
membres
supérieurs et inférieurs sont bien conformés; i
s et demie du matin. Rigidité cadavérique très prononcée aux quatre
membres
et également des deux côtés. La/iice est pâle p
cérébraux, et que chaque hémisphère a une action bilatérale sur les
membres
, l'action croisée, toutefois, restant toujours
omplète ou conszdé- pi-oditiseiti aussi une parésie dans les autres
membres
surtout dans l'inférieur. (I3ttll. de la Soc. d
mmunication entre les zones motrices de la surface cérébrale et les
membres
. (l3ull. de la Soc. de biol., 1882, p. 328.)
côté supposé sain, et cette para- lysie est surtout marquée dans le
membre
inférieur. M. Charcot a fait la même remarque.
e d'une certaine violence, l'apparition d'une contracture 3 dans le
membre
paralysé qui a été soumis au choc. Ici, il s'ag
avance un pied, onvoitsoncorpss'incliner du côté opposé comme si le
membre
qui entre en jeu était à la fois trop long et t
ur l'autre : on voit alors le pied qui sup- porte le poids des deux
membres
se redresser sur la pointe et s'animer de mouve
détermine une trépidation qui se prolonge et se généralise aux deux
membres
inférieurs et au membre supérieur droit. ' La
qui se prolonge et se généralise aux deux membres inférieurs et au
membre
supérieur droit. ' La trépidation du pied et l'
gauche, qui lui semble aussi plus raide. Quand on veut imprimer aux
membres
inférieurs des mouvements passifs, on éprouve une
endineux sont exagérés au bras droit ; mais ils existent à peine au
membre
supérieur gauche qui parait complète- ment inta
t le malade est souvent réveillé par do brusques soubresauts de ses
membres
inférieurs. il en résulte un état d'affaiblisse
irigés exclusivement sur le tronc en épargnant particulièrement les
membres
inférieurs. hémiplégie et paraplégie spasmodiqu
l'état général s'améliora rapi- dement, l'excitabilité réflexe des
membres
inférieurs s'amenda. Quand il vint nous voir le
n, mais par un doucheur qui, non prévenu, avait dirigé lejelsur les
membres
infé- rieurs. Immédiatement après il s'était se
et il était resté dix heures sans pouvoir uriner. La rigidité des
membres
et la difficulté de la miction a persisté pen-
ntuer. Quand le malade a quitté Paris au commencement de mars, le
membre
inférieur droit (côté hémiplégique) était à peu p
ent, c'est-à-dire que la rigidité y était à peu près nulle. Dans le
membre
inférieur gauche, qui était le siège de réflexe
e. Dans une lettre datée du 6 mai, le malade nous affirme que son
membre
inférieur droit se maintient dans l'état où il ét
anifestés sponta- nément, sans choc spécial, sans réaction, dans le
membre
inférieur sain, longtemps après l'apparition de
- brale ; puis à la suite d'une irritation cutanée portant sur le
membre
inférieur droit, le plus anciennement et le plus
ciennement et le plus grave- ment atteint, il s'est produit dans ce
membre
un certain degré de rigidité; et enfin, à propo
ré de rigidité; et enfin, à propos d'un traumatisme atteignant le
membre
inférieur gauche resté, sain longtemps après l'at
hémisphère cérébral et les deux côtés du corps et surtout les deux
membres
inférieurs. Il met en outre en lumière l'influe
ître une sclérose en plaques au début, a vu la contracture des deux
membres
inférieurs se développer aussi rapidement, sous
che droite : on appliqua un vésica- toire, et le lendemain les deux
membres
inférieurs étaient complètement rigides, appliq
oucher le sol, d'une trépidation très intense ; la parésie des deux
membres
s'étant transformée, pour ainsi dire, instantan
spasmodiques, il faut éviter les applications révul- sives sur les
membres
, et en particulier au voisinage des arti- culat
locales très vives, s'irradiant dans le thorax, le cou, la face, le
membre
supérieur du côté répondant à la lésion ; hyper
r du côté répondant à la lésion ; hyperesthésie et con- tracture du
membre
supérieur et du cou, contracture inter- rompue
he à la suite d'une fracture du péroné gauche sans réaction dans le
membre
inférieur, F. Terrier et II. Luc se demandent s
aires perdent leur éclat, le regard n'a plus aucune expression. Les
membres
inférieurs s'oedérnatient, la démarche devient
la langue et des mains, quelquefois môme de l'incoordination des
membres
inférieurs. Les paralysies véritables manquent ha
cet antagonisme entre les deux ordres de réllexes est très net aux
membres
inférieurs, absolument comme dans le tabes clas
ix jours après l'accident, la sensibilité est extrême dans tous les
membres
et au tronc : intégrité de la motilité; la tête
ouble égale et constante. L'auteur a également vu de la parésie des
membres
inférieurs entraînant parfois une chute, mais il
ment bonne pour ne pas exiger, auprès de lui, l'immobilisation d'un
membre
de la famille. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE BLAI9
veille; la sensibilité est revenue à gauche complète- ment dans le
membre
supérieur et à la face, légèrement dans le memb
e- ment dans le membre supérieur et à la face, légèrement dans le
membre
inférieur; du côté opposé anesthésie ou simple
on veut changer leur atti- tude, imprimer quelque mouvement à leurs
membres
, ils contractent énergiquement leurs muscles po
comparer qu'à celle de l'ataxie; rien d'analogue ne se montrait au
membre
supérieur. L'autopsie faite plus tard fit voir
ant. - La Société décide qu'une souscription sera ouverte parmi les
membres
et parmi les médecins d'asile pour élever à Tou
haines séances, pour qu'elle puisse servir à éclairer l'opinion des
membres
de la Commission extra-parlemen- taire qui étud
asu;;ue, DaConet, Legrand du Saulle, Motet et Christian sont nommés
membres
de la Com- mission qui proposera les questions
emblable Commission ne peut être composée que d'un nombre impair de
membres
pour qu'une majorité soit toujours cer- taliie
rnière proposition soulève des protestations de la part de quelques
membres
. M. li. Séance du 17 juillet 1881. Présidence d
n France, et cependant la Commission n'est composée que de ceux des
membres
qui déjà ont repoussé la construction de ces asil
l'impotence est complète, même pour la station debout; mobilité des
membres
supérieurs limitée surtout à droite, phénomènes
une telle évolution en insistant sur cette ataxie très prononcée du
membre
supérieur droit, qui persiste plus de cinq ans
Dalldorf, pré- senta successivement : en 1878, des douleurs dans le
membre
inférieur gauche; au mois d'avril 188l, du myos
e psychiatrique de l'hôpital général, de la rendre accessible aux
membres
de la Société pendant les heures de jour, enfin d
la Société : acquiescement de l'assemblée. M. Pohl est choisi comme
membre
du conseil d'administration en remplacement du
n pseudo- aphasique. · M. RÜDINGER. Le poids du cerveau humain.
Membres
reçus par la Société pendant l'année précédente :
Tré- sorier : D' Holler; Secrétaires : D*' Fritsch et Hollaender.
Membres
du conseil' d'administration : Professeur Ilofima
que l'alcoolisme, l'absinthisme détermine un affai- blissement des
membres
, pouvant aller jusqu'à une véritable para- 261
bles par leur symétrie et leur marche ascendante vers la racine des
membres
. Les convulsions généralisées sont un symptôme de
t 60, 188 ? ), disait qu'on n'en avait point encore observé sur les
membres
: les observations très circonstan- ciées de MA
qu'on peut en rencontrer de nettement caractérisées, aussi bien aux
membres
inférieurs qu'aux supérieurs. D'une manière gén
froid excessif (pulvérisations d'éther), les zones hystérogenes des
membres
et des seins ne se conduisent pas de la même fa
il n'y a que la pression qui la révèle. Les zones hystérogenes des
membres
ont pour siège les irradia- tions nerveuses pér
ement d'hé- miplégie gauche ; le délire n'est nullement modifié. Le
membre
inférieur reprend incomplètement ses fonctions,
. Le membre inférieur reprend incomplètement ses fonctions, mais le
membre
supérieur se contracture. \1 ? 11Z... répète co
ensément riche, qu'il était le premier avocat de Paris, qu'il était
membre
de l'Académie française, président de la Républ
s ; il avait à soutenir des assauts terribles : la tête en feu, les
membres
raidis, les dents serrées, les poings fermés, il
que temps, il a des engourdissements et des fourmillements dans les
membres
inférieurs; les jambes lui semblent lourdes ; i
ital, les symptômes prirent un caractère menaçant. La faiblesse des
membres
inférieurs se trans- forma en une paraplégie co
s occupe. Elle se montre avant L tous les autres symptômes soit aux
membres
inférieurs, soit aux lombes, simulant ici le lu
e sucre dans les urines. Ces paralysies peuvent être bornées à un
membre
ou même à un segment de membre ; souvent elles
paralysies peuvent être bornées à un membre ou même à un segment de
membre
; souvent elles sont limitées à la face où elle
naissance, d'une paralysie du bras gauche avec engourdisse- ment du
membre
et un peu d'embarras de la parole. Le membre in
c engourdisse- ment du membre et un peu d'embarras de la parole. Le
membre
inférieur est resté indemne. Mais un des fait
calme, accuse des four- millements, plus un affaiblissement tel du
membre
inférieur gauche que, sans abolition des mouvem
M. Charcot. ' Observation VI. Le D IL ? diabétique. Faiblesse des
membres
inférieurs, douleurs en ceinture; anesthésie de
blesse des membres inférieurs, douleurs en ceinture; anesthésie des
membres
inférieurs du scrotum du bas-ventre; engourdiss
Ce symptôme peut s'associer à une sensation de picotement dans les
membres
inférieurs, comme nous le trouvons mentionné da
ion, la fréquence et la valeur clinique. On les observe surtout aux
membres
inférieurs, et durant la nuit; non moins que la
extrémités ou d'une extré- mité isolée. C'est plus souvent sur les
membres
inférieurs qu'on trouve cette anesthésie. Quelq
onsidérable, coïncidant avec un affaiblissement graduel de tous les
membres
, grâce auxquels le malade offre les appa- rence
sançon, est atteint d'une atro- phie musculaire prédominant dans le
membre
inférieur gauche. L'exploration électiique a do
d'engourdissements. La sensibilité au froid est plus grande sur le
membre
inférieur droit, elle y est plus douloureuse, l
e y est plus douloureuse, le contact parait bien moins senti sur le
membre
inférieur gauche; sens musculaire intact. Mensu
quante-quatre à gauche. Il existe une atrophie unifoime de, tout le
membre
inférieur sans prédominance sur aucun groupe de
ées. Dès son entrée à l'hôpital, le blessé présenta : anesthésie du
membre
inférieur gauche, hyperesthésie et parésie légère
ie du membre inférieur gauche, hyperesthésie et parésie légère du
membre
droit; en outre, dès le premier jour, selles invo
sseux et musculaire bien développés ; faiblesse paralytique dans le
membre
inférieur droit, avec tendance au tremblement,
c tendance au tremblement, sensibilité douloureuse de la peau de ce
membre
et de la moitié droite du tronc ; sensation de
fermés, n'apprécie pas exactement les changements de posi- tion du
membre
droit. La force du membre droit est un peu dimi
actement les changements de posi- tion du membre droit. La force du
membre
droit est un peu diminuée, la motilité imparfai
ble. Il n'existe ni ataxie, ni raideur musculaire. Le tégument du
membre
inférieur droit et de la moitié droite du tronc,
à gauche elle est normale ou même un peu diminuée. A gauche, sur le
membre
inférieur et sur le tronc, les attou- chements
d'Achille et par suite tout réflexe tendineux. On peut encore, le
membre
étant placé de la même façon, saisir le mollet
minutes il devint complètement paraplégique. Ni douleurs dans les
membres
, ni convulsions. C'était au moment de son entré
roubles trophiques du côté de la peau, des os ou des jointures. Les
membres
inférieurs étaient dans l'extension complète. I
iculté. L'anesthésie et l'analgésie de toute la circonférence des
membres
était complète à partir de la rotule jusqu'au niv
sion détermine des ver- tiges, des céphalalgies, des hyperalgies du
membre
supérieur en question. Puis céphalagie permanen
dont on faisait aisément sortir la malade par le simple contact des
membres
atteints. L'autopsie montre dans la cavité crân
. Le mécanisme des douleurs qui ont ouvert la scène (douleurs des
membres
inférieurs) suscite, selon l'explication qu'on le
l'ataxie brachiale, et de l'opinion de Westphal que l'ataxie des
membres
inférieurs dépend de la dégénérescence des rubans
laires. Les tremblements à l'occasion de mouvements voulus dans les
membres
supérieurs, évidemment d'origine centrale (les
escendante secondaire. 2° Il y avait des contractures rigi- des des
membres
du côté gauche (le bras étant dans la flexion e
t d'un certain degré d'hyperesthésie qui avait paru exister sur les
membres
du côté droit. L'état de la moelle tou- tefois
e langueur extrême; céphalalgie; pas de palpitations; pas d'œdème des
membres
inférieurs. La ma-lade ne tousse pas; elle assure
stules non ombiliquées sur la région antérieure de la poitrine. Les
membres
inférieurs présentent les boutons les plus volu-
e, et plus bas, deux ou trois petits points blancs non ombiliqués. Le
membre
supérieur droit ne présente qu'une seule pustule,
u scro-tum. Cinq grandes pustules sont disséminées sur les fesses. Le
membre
supérieur gauche présente douze pustules volumine
ustules volumineuses, dont deux seulement occupent la face interne du
membre
. Membre thoracique droit : quatre petites pustu
lumineuses, dont deux seulement occupent la face interne du membre.
Membre
thoracique droit : quatre petites pustules seulem
épaule, et une sur la partie externe et supérieure de l'avant-bras.
Membres
abdominaux : côté droit, cinq pustules disséminée
nq pustules disséminées, dont deux à la partie interne et antérieure.
Membre
gauche : sept pustules, dont trois forment un gro
érale est partout normale ; il n'existe pas dé trace de paralysie des
membres
; la vue et en général tous les organes des sens s
hangite avec production d'ab-cès multiples, et l'œdème douloureux des
membres
inférieurs, peuvent parfois retarder de beaucoup
sur les parties les plus déclives du tronc et sur les ex-trémités des
membres
; l'abondance et la coloration foncée des taches
ue cette maladie vienne de Saint-Pétersbourg. ment de brisement des
membres
, des douleurs musculaires ou articulaires simulan
paraissent quelquefois sur la peau du cou, de la poitrine ou même des
membres
. Le pestiféré éprouve à l'intérieur une ardeur ex
e, des vertiges, des douleurs lombaires, des dou-leurs contusives des
membres
. L'œil est injecté, terne, le regard vague, la fa
rfois, les vaisseaux lymphatiques, et successivement les ganglions du
membre
où siège la tumeur, s'enflamment et se tuméfient
l est vrai, siéger à la face, sur le cuir chevelu, aux extrémités des
membres
. Ils apparaissent plus tard que les bubons, et ta
ée; mais c'est principale-ment sur le cou, sur la poitrine et sur les
membres
qu'elles se développent; elles ont une coloration
du mésentère, de la région lom-baire, de l'entrée du bassin, ceux des
membres
, enfin, sont plus gros qu'à l'état normal, souven
s individus. Ces remarques s'appliquent parfaite-ment à la peste. Les
membres
de la commission nommée en 1844, par l'Académie d
is, 1822. — Documents recueillis par MM. Cher-vin Louis et Trousseau,
membres
de la commission médicale française en-voyée à Gi
us ou moins vives sié-geant à la tête, à Ja région lombaire, dans les
membres
. Ils ont de l'inappétence, des nausées; leurs yeu
moyens de traitement; des douleurs qui siègent aux lombes ou sous les
membres
inférieurs, et qui, parfois, sont tellement viole
sur l'avant-bras et nécessite une large incision à la face dorsale du
membre
. L'année suivante, un nou- 1. Extrait du Journa
lesse dans la main et dans l'avant-bras du côté droit ; peu à peu, le
membre
s'est atropine; enfin, il est survenu des engourd
uis quelque temps, l'anesthésie paraît gagner vers la racine des deux
membres
, si bien que la peau qui recouvre les mains, les
, qui puissent être rapportés à une affection du système nerveux; les
membres
inférieurs fonctionnent très bien et la démarche
le, et surtout d'où viennent l'insensibilité et l'atrophie de tout le
membre
supérieur droit? Je l'ignore. Je vois, dans Rombe
ion analogue pour l'anes-thésie et l'atrophie, observées tant dans le
membre
droit que dans le gauche. Il faudrait un cas anal
ême absence d'altération de nutrition, après la section des nerfs des
membres
. Nous avons signalé, ailleurs, les causes auxquel
une action nécessaire à la nutrition, après la section des nerfs d'un
membre
. Nous avons fait voir que ces altérations ne se p
rs ganglions volumineux très durs se rencontrent dans l'ais-selle. Le
membre
supérieur droit n'est pas tuméfié. Vers le 15 d
ue ou traumatique, portant sur la partie périr phérique des nerfs des
membres
, loin du lieu d'origine de ces nerfs. Or, il est
unis entre eux par des sillons plus ou moins obliquement dirigés. Aux
membres
antérieurs et aux membres postérieurs surtout, il
lons plus ou moins obliquement dirigés. Aux membres antérieurs et aux
membres
postérieurs surtout, ils se dirigent obliquement
la grande lèvre. . H y avait un certain degré d'engourdissement du
membre
pulvien gauche. M. Roux se décida à pratiquer une
ment surtout fît de rapides pro-grès. Un érysipèle se déclara sur les
membres
inférieurs; cet érysipèle guérit cependant assez
mi-nute, hémiplégie du côté droit, paralysie du mouvement complète au
membre
supérieur, très incomplète au membre inférieur ;
ralysie du mouvement complète au membre supérieur, très incomplète au
membre
inférieur ; le malade, en effet, peut marcher; ma
avoir fait quel-ques pas ; la sensibilité est intacte, tant dans les
membres
supé-rieurs que dans les inférieurs. Lorsque le
en plus. Vers le 15, l'hémiplégie est devenue complète, aussi bien au
membre
infé-rieur qu'au supérieur, et la station debout
tation debout est tout à fait impossi-sible. Absence totale, dans les
membres
paralysés, de contracture et de mouvements sponta
aigrissement. — Epigastralgie. — Gargouillement stomacal. — Œdème des
membres
inférieurs. — Ascile. — Diarrhée. — Muguet. — Mar
eux mois environ avant la mort du malade, de l'œdème se manifeste aux
membres
inférieurs, et bientôt après, il y a ascite. L'ép
à un degré extrême ; ce qui contraste avec l'état de l'abdomen et des
membres
inférieurs, qui sont extrêmement distendus par la
nt sain. Il n'y avait pas de caillots dans les principales veines des
membres
inférieurs et de l'abdomen. Remarques. —Nous fe
rative effects, indépendamment des tremblements et des paralysies des
membres
, observés par plusieurs auteurs, le fait suivant
oir été mouillé. Maladie datant de trois mois; sensibilité obtuse aux
membres
inférieurs. Le malade peut, au lit, remuer ses ja
mieux très marqué, la sensibi-lité est plus nette et le mouvement des
membres
inférieurs plus libre. Le 4 juin, cinq pilules ch
uvait plus se tenir debout, bien qu'au lit, il re-muât facilement les
membres
inférieurs. Or, ce malade est justement le seul c
de. Elle commença à y éprouver de la roideur et des douleurs dans les
membres
infé-rieurs. Attribuant à l'influence de l'humidi
début. Ces douleurs avaient leur siège presque exclusivement dans les
membres
inférieurs ; c'é-taient des élancements, des tira
tiraillements qui parcouraient tout d'un coup l'un ou l'autre de ces
membres
; ou bien, parfois c'était une douleur de brûlure
dans la salle lorsqu'on la sou- tenait sous les deux bras, mais ses
membres
inférieurs se mou-vaient sans régutarilé et sans
t pour coudre. Douleurs extrêmement violentes, fulgurantes,dans les
membres
C'est peu de temps après l'entrée à la Salpêtrièr
s un fauteuil, il faut l'y attacher pour qu'elle ne glisse pas. Les
membres
inférieurs sont grêles ; les masses musculaires s
y a d'ailleurs une résolution complète des autres seg- ments de ces
membres
. Le mouvement de flexion des pieds est possible,
que celui de flexion. Ces divers mouvements sont plus faibles dans le
membre
droit que dans le membre gauche. La faradisatio
divers mouvements sont plus faibles dans le membre droit que dans le
membre
gauche. La faradisation produit aussi des contr
isation produit aussi des contractions musculaires plus vives dans le
membre
gauche que dans le droit ; mais même du côté gauc
gauche, la contractilité paraît bien inférieure au degré nor-mal. Les
membres
supérieurs sont atteints à un moindre degré que l
férence sous tous les rap-ports, et dans le même sens, entre les deux
membres
supé-rieurs. La sensibilité tactile est obtuse
ilité tactile et musculaire est également bien diminuée dans les deux
membres
supérieurs, moins obtuse dans le gauche que dans
e gauche que dans le droit. Même perversion de la sensi-bilité qu'aux
membres
inférieurs, même retard des sensations, notions d
s. Le tact est moins diminué sur la surface cutanée du tronc qu'aux
membres
: mais il est loin d'y être normal. La vue est
abso-lument impossible; la malade, soulevée par deux aides, lance ses
membres
de la façon la plus désordonnée, ses pieds vienne
cinantes, térébrantes, qui maintenant se montrent même aussi dans les
membres
supé-rieurs. Dans les quelques jours qui suiven
ait douloureux qu'à la main gauche, laquelle avait, ainsi que tout le
membre
correspondant, comme il a été dit plus haut, cons
re ou cinq jours, mouvements brusques et involontaires de flexion des
membres
inférieurs, ayant la rapidité de soubresauts, dém
rapidité de soubresauts, démangeai-sons très vives de la peau de ces
membres
, où l'on voit une érup-tion lichénoïde. 1er mai
ulté. Les notions de posi-tion ont repris de la netteté dans tous les
membres
: elle porte maintenant, sans presque jamais se t
urs ont complètement disparu. Il y a en-core des soubresauts dans les
membres
inférieurs et des déman-geaisons. La malade aff
ent. L'amélioration fait chaque jour de nouveaux pas. 20 mai. — Les
membres
inférieurs, qui étaient si profondément atteints,
la malade éprouve d'assez vives dou-leurs dans des points variés des
membres
inférieurs, douleurs qui se manifestent une heure
s. Chute considérable de cheveux depuis plusieurs jours. Bien que ses
membres
inférieurs soient bien moins faibles, elle ne peu
s, se montrèrent pour la première fois des douleurs, d'abord dans les
membres
supérieurs, puis dans les membres inférieurs, et
fois des douleurs, d'abord dans les membres supérieurs, puis dans les
membres
inférieurs, et presque aussitôt, dans les régions
ait à faire quelques pas, maintenue des deux côtés par des aides, les
membres
inférieurs exécutaient des mouvements incohérents
re, soit dans ceux des personnes qui lui donnaient le bras. Quant aux
membres
supérieurs, ils étaient plus affectés encore, la
mme incurable. Depuis qu'elle est dans cet hos-pice, la faiblesse des
membres
inférieurs ou plutôt celle des mas-ses musculaire
us, la malade ressent toujours dans le cou, le dos, les bras et les
membres
inférieurs ses douleurs ordi-naires. La face es
La sensibilité tactile est diminuée sur toute la surface cutanée des
membres
inférieurs ; sensation du sol très obtuse ; la se
que intacte ; les notions de position sont encore assez nettes. Les
membres
supérieurs sont aujourd'hui encore plus grave-men
n léger changement, les douleurs sont moins vives, les mouvements des
membres
supérieurs sont moins roides. Le 22 avril, l'am
core diminué et les mouvements, soit des mem-bres inférieurs soit des
membres
supérieurs, sont certainement plus faciles. La ma
a aussi de temps en temps de petites secousses dans divers points des
membres
supérieurs. La sensibilité y reprend de jour en j
z elle à un plus haut degré de gravité dans les yeux, le tronc et les
membres
supérieurs que dans les membres inférieurs. Aussi
ravité dans les yeux, le tronc et les membres supérieurs que dans les
membres
inférieurs. Aussi est-ce dans les membres inférie
res supérieurs que dans les membres inférieurs. Aussi est-ce dans les
membres
inférieurs que l'amélioration a été le plus sensi
ns l'observation suivante, les phénomènes morbides étaient bornés aux
membres
inférieurs, mais ils y étaient aussi accusés que
, et peut même faire ainsi quelques pas : l'ataxie des mouvements des
membres
infé-rieurs est évidemment diminuée, et les troub
mpagnée d'un sentiment de cons-triction thoracique. Douleurs dans les
membres
inférieurs, éga-lement avec exacerbations paroxys
été : sangsues sur la région spinale, — frictions irritantes sur les
membres
in-férieurs, — administration de quarante pilules
la nuit, il y a des secousses, des convulsions douloureuses dans les
membres
inférieurs. Pendant les derniers mois, la malade
. En janvier 1862. — La malade est pâle, profondé-ment amaigrie ; les
membres
inférieurs surtout sont remarqua-blement atrophié
mes qui n'appartiennent pas au type le plus commun de la maladie. Aux
membres
inférieurs le sens du tact est émoussé, mais une
é marqué. La force mus-culaire est remarquablement conservée dans les
membres
infé-rieurs. La malade peut, au lit, mouvoir à
membres infé-rieurs. La malade peut, au lit, mouvoir à son gré ses
membres
dans tontes les directions, et même avec force, m
e dépasse le but et coordonne mal. La notion de position est pour les
membres
inférieurs singulièrement amoindrie. La con-tract
gulièrement amoindrie. La con-tractilité électrique persiste dans ces
membres
, mais il est difficile d'en donner la mesure, par
t placée dans la situation verticale, elle s'affaisse aussitôt et ses
membres
inférieurs, pris de mouvements contra-dictoires,
oute l'étendue des jambes. La nuit, de temps à autre, soubresauts des
membres
inférieurs, assez forts pour réveiller la malade.
tion fébrile in-tense. A partir de cette époque, il survient dans les
membres
in-férieurs des convulsions, revenant par accès c
ement par l'application d'un corps froid sur la peau des cuisses, les
membres
inférieurs sont pris de mouvements convulsifs dés
cinq à dix minutes, sont accompa-gnées de douleurs violentes dans les
membres
inférieurs et le long du rachis. En même temps,
té à trois par jour. Le 25, la malade dit ne plus éprouver dans ses
membres
infé-rieurs le sentiment du froid très vif qu'ell
ne s'affaisse plus sur elle-même comme elle le faisait autrefois. Les
membres
sont roides, mais ils ne sont plus le siège de mo
Elle peut faire plusieurs pas, soutenue par une seule per-sonne. Les
membres
inférieurs sont alors lancés en avant d'une façon
au des cuisses ne provoque plus de mouve- ments convulsifs dans les
membres
inférieurs, comme cela avait lieu avant le traite
a maladie, dans le cas qui va suivre, datait de cinq ans environ. Les
membres
inférieurs étaient seuls atteints : ja-mais il n'
e disparition des soubresauts, des tiraillements doulou-reux dans les
membres
inférieurs, et en une augmentation marquée de l'a
couraient tout le corps, mais qui étaient surtout très vives dans les
membres
inférieurs. Jamais les jointures n'ont été parti-
t affectées. C'est vers la fin de l'année 1857 que la paralysie des
membres
inférieurs a commencé à se montrer. Apparition pr
sement augmente peu à peu, et au bout d'un an, pa-ralysie complète du
membre
inférieur gauche. A l'âge de cin-quante trois ans
trois ans, ménopause ; depuis lors, chaque mois, survien-nent dans ce
membre
de violentes douleurs, accompagnées de mouvements
uis le 19 juillet 1861, salle Saint-Ma-thieu, n° 3. A ce moment, le
membre
inférieur gauche était encore seul paralysé, mais
oment, le membre inférieur gauche était encore seul paralysé, mais le
membre
inférieur droit se prend à son tour peu de temps
temps après, et maintenant (avril 1862), il y a plusieurs mois que ce
membre
est très faible ; cependant, elle peut encore se
t, elle peut encore se te-nir pendant quelques instants debout sur ce
membre
en s'ap-puyant fortement à l'aide des mains sur s
e membre en s'ap-puyant fortement à l'aide des mains sur son lit. Les
membres
supérieurs sont tout à fait dans l'état normal ;
it dans l'état normal ; il n'y a jamais eu aucun trouble de la vue.
Membres
inférieurs un peu atrophiés. Couchée sur son lit,
xie remarquable : im-possibilité de lever ou d'abaisser lentement les
membres
qui dé-passent toujours, lorsque la malade les so
la malade les soulève, la limite qu'on a indiquée. Une fois levé, le
membre
droit ou le membre gauche oscille involontairemen
ève, la limite qu'on a indiquée. Une fois levé, le membre droit ou le
membre
gauche oscille involontairement de l'adduction à
us insupportable que celle qui est produite de la même façon dans les
membres
supérieurs. Les impressions produites par le fr
à l'époque ordinaire. La ma-lade peut lever et abaisser lentement les
membres
, mais il y a encore des oscillations lorsqu'ils s
rouve dans toutes les parties du corps, mais principale-ment dans les
membres
inférieurs, une sorte de frémissement qui commenc
ataxie locomotrice progressive était ici très prononcée et bornée aux
membres
inférieurs ; cependant, il y avait depuis quelque
ine depuis deux ans qu'elle commença à éprouver des douleurs dans les
membres
inférieurs et la région lombaire, puisbientôt une
on considérable. Peu de temps après qu'elle a quitté cet hôpital, les
membres
inférieurs s'affaiblissent de nouveau. Séjour de
r son lit, peut fléchir et étendre ensuite les divers segments de ses
membres
inférieurs : le pied sur la jambe, la jambe sur l
ie, il y avait parfois des soubresauts et des mouvements brusques des
membres
inférieurs, mouvements ac-compagnés de vives doul
ux fermés, la malade ne sent pas les contacts légers produits sur les
membres
inférieurs ; et même elle ne sait pas reconnaître
les membres inférieurs ; et même elle ne sait pas reconnaître si ses
membres
sont posés sur son lit ou soulevés à une certaine
ne hauteur. Si l'on touche assez fortement un point quelconque de ses
membres
, il y a une sen-sation tactile assez nette. Notio
u moment de l'exci-tation, des mouvements réflexes considérables, les
membres
se soulèvent involontairement et se portent dans
ctionjTexagérées. Sensibilité et motilité intactes à la face et aux
membres
supé-rieurs; cependant, depuis quelque temps, lég
n'a pu faire depuis son admission à la Salpètrière. Les douleurs des
membres
et de la région lombaire ont presque entièrement
rinci-palement et quelquefois même à peu près exclusivement, dans les
membres
affectés. Elles ressentaient dans ces par-ties, p
ade il y avait, en outre de ces sensations, des soubre-sauts dans les
membres
inférieurs : l'intensité plus grande de ces manif
ap-pelle, jusqu'à un certain point, l'action de la strychnine sur les
membres
paralysés, dans les cas de paralysie de cause cér
t du traitement sur toute la surface du corps, principalement sur les
membres
; ces éruptions persistent encore actuellement.
nte aujourd'hui et depuis longtemps déjà d'alié-nation mentale, a les
membres
inférieurs paralysés depuis sept ans, et il y a c
peu de temps pour ne plus se renouveler depuis. A la même époque, les
membres
inférieurs devinrent le siège de douleurs très vi
xtrêmement vives, se produisant tout d'un coup dans la profondeur des
membres
. La faiblesse augmenta peu à peu ; la marche devi
avant et tel qu'il était il y a bien peu de temps. La paralysie des
membres
inférieurs est à peu près absolument complète au
st à peu près absolument complète au point de vue de la motilité. Ces
membres
sont un peu atrophiés, la malade ne peut pas le
'effort qu'elle fait pour exécuter ce mouvement. Si on soulève un des
membres
, dès qu'on cesse de le tenir, il retombe à peu pr
sur la plante du pied. Les mouvements d'abduction et d'adduction des
membres
sont impossibles aussi. La malade est forcée de
tacte ; cependant elle est légèrement obtuse, sur toute la surface du
membre
inférieur droit. Froid habituel des jambes et des
n place un de ses pieds. Les diverses excita-tions pratiquées sur les
membres
inférieurs ne déterminent pas de mouvements réfle
isation, que la contractilité est conservée dans tous les muscles des
membres
inférieurs. Quant à la sensibilité musculaire, el
ne sent pas, par exemple, ses orteils se fléchir ou s'étendre. Les
membres
supérieurs ont conservé la liberté de leurs mou-v
lques instants. Elle peut soulever quelque peu l'un et l'autre de ses
membres
inférieurs au-dessus de la surface de son lit; el
facilement sur son lit et dans un fauteuil ; elle peut imprimer à ses
membres
inférieurs tous les mouvements qu'on lui indique;
oiijs abondantes. Les douleurs violentes, continues ou passagères des
membres
infé-rieurs, des lombes, du dos et des membres su
nues ou passagères des membres infé-rieurs, des lombes, du dos et des
membres
supérieurs ont complè-tement disparu; mais à la p
ébut du trailement, il s'est produit une éruption de pru-rigo sur les
membres
supérieurs et inférieurs, principalement à la rég
tique. 20 gravation marquée des symptômes dans des paralysies des
membres
inférieurs qui paraissaient liées à la myélite.
reuse modification de l'embarras de la parole, et de la paralysie des
membres
. Des faits aussi remarquables et aussi peu conf
n mesure de les indiquer ; nous croyons toutefois que la rigidité des
membres
inférieurs, et l'atrophie des muscles destinés à
ent. 1° Les paraplégies avec contracture et rigidité permanente des
membres
, qui correspondent en général à des scléroses plu
liquée de méningite spinale. 2° Les paraplégies avec flaccidité des
membres
inférieurs, qui correspondent à un grand nombre d
hez la-quelle il existait depuis une année une flaccidité absolue des
membres
, avec perte des mouvements volontaires et même ré
éflexes se sont reproduits; bientôt après, on a vu renaître, dans les
membres
paralysés, une sensibilité émoussée ; le froid, l
lors le nitrate d'argent, s'il n'existe point de contracture dans les
membres
affectés. Dans les cas de paraplégie hystérique
rigine cérébrale date de quelques mois, il existe une contracture des
membres
, qui correspond à une altération de la moelle, dé
ici des soubresauts, des déman-geaisons, des fourmillements dans les
membres
. Les malades semblent récupérer jusqu'à un certai
le mouvement peut alors renaître, ainsi que la sensi-bilité, dans les
membres
paralysés, qui cependant ne retrouve-ront jamais
rsqu'il existe au contraire un état de faiblesse et de flaccidité des
membres
, on peut souvent espérer un résultat heureux de c
tait normal. Il n'existait à ce moment ni parésie, ni paralysie des
membres
ou de la face. La parole, les réflexes oculaire
amen d'un spécialiste. L'examen de la bouche et de la langue, des
membres
, du thorax, du bassin, de la colonne vertébrale
portant, il est sobre, travailleur et intelli- gent. Comme tous les
membres
de sa famille, il est un peu nerveux. Nous n'av
énéralement tardif ; elles commencent par les extrémités des quatre
membres
et leur évolution cli- nique est assez semblabl
s pour expliquer certains cas de polydactylie symétrique aux quatre
membres
. Il suppose, dans la partie de l'axe cérébro-spin
drset : , Berlin, 1913. 14 BÉRTOLOTTi (arrêt de développement des
membres
, polydactylie) et certains cas de tu- meur hypo
le chez Marguerite. Nous ferons relever, en passant, que chez aucun
membre
de la famille n'existe aucune trace de dystbyro
OSO-GÊNITAL ET NANISME HYPOPHYSAIRE AVEC ARRÊT DE DÉVELOPPEMENT DES
MEMBRES
ET POLYDACTYLIE Obs. Margueritte. (M. 'Berlol
RTOLOTTI troncs nerveux indolores à la pression, aucune parésie aux
membres
. Les sphincters sont normaux. ° 1 1 Le Sophis
reinte marquant le parcours des sinus cérébraux. Radiographie des
membres
. - Bras gauche : Nous n'avons plus à insister i
mation de la main un cachet tout à fait caractéristique (PI. VII).
Membre
supérieur droit. Acromélie : anomalie du carpe ca
le prennent naissance deux petits articles phalangiens (PI. VII).
Membre
inférieur gauche. L'acroméiie est encore plus pro
mbre inférieur gauche. L'acroméiie est encore plus prononcée qu'aux
membres
supérieurs : les os du tarse sont profondément al
commandent chacune un rayon digital à trois phalanges (PI. VII).
Membre
inférieur droit.- Anomalies du tarse identiques.L
éni- tales telles que la polydactylie, l'arrêt de développement des
membres
, les anomalies'dentaires, etc., tandis que d'un
hiladelfla et London, 1912. 24 - RERTOLOTTI Si nous observons les
membres
supérieurs de Marguerite, nous aperce- vons de
trochanter. Le même arrêt de développement se rencontre du côté des
membres
inférieurs. - ? Or si nous passons il mesurer
assons il mesurer les rapports entre la longueur des seg- ments des
membres
en établissant ainsi la valeur des indices aatlar
pro- portion qu'il y a entre la longueur de chacun des segments des
membres
, nous trouvons en effet qu'à un humérus de 29 c
o et acromélique. Les mêmes altérations étant aussi constatâmes aux
membres
infé- rieurs, nous nous trouvons en présence d'
risée par ce fait que le déve- loppement des segments proximaux des
membres
est complet et contraste avec la réduction des
pas- sent dans le gigantisme, où les indices anthropométriques des
membres
pré- sentent des valeurs complètement inverses,
apodium sur les indices anthropomé- triques des autres segments des
membres
; en d'autres termes, selon la loi établie par
en, Fumarola, a décrit un cas typique de ce genre, où il y avait au
membre
supérieur gauche absence du pouce (ectrodactylie
qui se trouve plus à l'externe en rapport à la direction axiale du
membre
, possède toujours le nombre majeur d'ar- ticles
es rayons métapodiaux. En premier lieu nous constatons aux quatre
membres
une disposition différente pour le Ve rayon mét
al surnuméraire, c'est-à-dire le plus externe en rapport à l'axe du
membre
, présente un nombre des phalanges inférieur (main
ré fréquemment, dans certains cas de polydactylie symétri- ques des
membres
, la présence des lésions inflammatoires traumatiq
ass. l, p. 240-247, 10 mars 1913. ' 30 BERTOLÛTTt anormale des
membres
et particulièrement à des troubles de l'acrométa-
que entre la base du cerveau et le développement des extrémités des
membres
(2). Ce qui nous a frappé le plus dans l'élude de
aire concomitante dans certaines anomalies tératologiques de quatre
membres
. Un rap- port de cause à effet entre ces donnée
tiés ; la luette est verticale. Les mouvements actifs et passifs des
membres
supérieurs et inférieurs. et du tronc sont norm
ctuelle date de septembre 1911.A ce moment l'ictère se déclare, les
membres
inférieurs, le scrotum et le ventre sont gonflés.
ominaux ne sont pas provoqués, les crémastériens sont présents. Aux
membres
, pas de paralysies véritables constatées, mais pa
oit être très élémentaire. Après les excita- tions douloureuses les
membres
sont bien retirés. Les mouvements passifs ne se
'on le transporte à l'hôpital. 1° Examen (20 juillet 1912). Les
membres
inférieures sont suivant les moments en extension
on de la plante détermine un mouvement net mais léger de retrait du
membre
inférieur. Les réflexes crémastériens sont abol
de la sensibilité s'étend peu à peu en montant de l'ex- trémité des
membres
vers la racine. -- PARAPLF,GtE TYPE BABINSKI 83
taires sont toujours nuls. Dès qu'on découvre le malade on voit les
membres
déjà fortement fléchis (la jambe sur la cuisse
ent, soit en même temps, soit l'un après l'autre; par- fois même un
membre
inférieur s'étend tandis que l'autre se fléchit.
e inférieur s'étend tandis que l'autre se fléchit. Rapide- ment les
membres
retrouvent le repos, en flexion, mais si l'on rec
xion, mais si l'on recherche l'état du réflexe cutané plantaire, le
membre
examiné se retire brusquement. La facilité avec
dans l'attitude de flexion forte de tous ses segments que prend le
membre
dès qu'on l'excite en un point). Le pincement d
du pied suffit à provoquer un vif mouve- ment de flexion de tout le
membre
inférieur ; la manoeuvre des raccourcis- seurs
l nous a été impossible de produire le moindre mouvement réflexe du
membre
inférieur eu excitant la peau des régions abdomin
eu au moment où nous avons fait le premier examen une tendance des
membres
à se fléchir. En quelques semaines les signes s
ient naissance que sous l'influence d'une excitation portant sur le
membre
inférieur. La zone de production était limitée pa
romégalique : les difformités qu'il présente sont systématisées aux
membres
ou à des segments de membres et respectent l'en
qu'il présente sont systématisées aux membres ou à des segments de
membres
et respectent l'ensemble de l'ossature. De tail
un trouble de sécrétion uni ou pluriglan- dulaire. A l'examen des
membres
supérieurs, nous voyons tout d'abord que le pro
avec un cubitus et un radius exagérément développés. A l'examen des
membres
inférieurs, on ne retrouve plus cette appa- ren
ment horizontal, le sujet présente une prépondérance de longueur du
membre
inférieur gauche ; on trouve, de l'épine iliaqu
le. Le jeune homme de la figure 5 en est un exemple. La peau de ses
membres
inférieurs ne sent pas, jusqu'au Irait il l'enc
e passage du doigt ou du porte-plume avec une pression moyenne. Aux
membres
supérieurs, t'anesthésie est thermique et tacti
d'étendue, comme fait l'individu qui vérifie l'étal d'un segment de
membre
qui a été pendant quelque temps sous l'influenc
lité pro- fonde des articulations plus rapprochées de la racine des
membres
, telles que les métatarsiennes, les tarsiennes,
que la polynévrite lépreuse est toujours constatée dans les quatre
membres
il un degré plus ou moins élevé. Par suite de
STEME NERVEUX et qui, néanmoins, conservent la sensibilité de leurs
membres
inférieurs, Letabétique est un lllédullo-cérébe
oup plus grande, qui comprend non seulement plusieurs articles d'un
membre
, mais même plusieurs membres et par conséquent le
d non seulement plusieurs articles d'un membre, mais même plusieurs
membres
et par conséquent le tronc et la tête. Les se
itabilité morbide de l'arc réflexe correspondant. Parfois, sur un
membre
paralysé, et même dans des cas de paraplégie lé
re et même avec mutilations, peuvent continuer à se servir de leurs
membres
su- périeurs et inférieurs jusqu'à une période
tition d'un oedème de même nature existant depuis trois ans dans le
membre
in- férieur droit. Il fut acquis après un traum
iorité dans la lutte pour la vie, du célibat auquel nombre de leurs
membres
se trouvent condamnés, en raison aussi de cette r
dans le type classique qui est de beaucoup le plus commun, par les
membres
inférieurs, prenant d'abord les pieds, puis les
un moment donné de cette marche ascendante, l'atro- phie passe aux
membres
supérieurs : d'abord aux mains, puis aux avant-
, puis aux avant- bras, et quelquefois aux bras. Le début par les
membres
inférieurs, pour fréquent qu'il soit, n'est pas
gne au Maroc. DEUX CAS D'ATROPHIE MUSCULAIRE CHA11COT-MARIE 179 9
membres
supérieurs. Dans ce dernier cas, il semble que, l
il semble que, le plus sou- vent, l'affection gagne rapidement les
membres
inférieurs Quand, au contraire, elle commence p
t les membres inférieurs Quand, au contraire, elle commence par les
membres
inférieurs, elle s'y cantonne pendant plusieurs
ieurs années, deux ou trois ans en moyenne, avant d'attein- dre les
membres
supérieurs. En général, les mains se prennent au
remier de nos deux malades, S... Chez lui, l'affection a débuté aux
membres
inférieurs, vers l'âge de 11 ans, par une gêne de
gêne de la marche, et ce n'est que deux ou trois ans après que les
membres
supérieurs ont été atteints. Chez le second, F.
hopédiques. Très vraisemblablement, le début s'est fait ici par les
membres
inférieurs, encore que le malade ne puisse rien
mbes ne pouvaient plus le maintenir longtemps debout. Du reste, ses
membres
supérieurs sont aujourd'hui infiniment moins to
embres supérieurs sont aujourd'hui infiniment moins touchés que ses
membres
inférieurs. L'atrophie Charcot-Marie, arrivée
rastent par leur relief et leur vigueur avec l'atrophie extrême des
membres
; il n'y a aucune lésion viscérale, aucun trouble
, aucun trouble intellectuel. Toutseborneaune amyotrophiedes quatre
membres
, et en particulier de la partie distale des ¡ m
hiedes quatre membres, et en particulier de la partie distale des ¡
membres
. Avant de procéder à l'examen de ces deux malad
t d'abord les pieds et les 180 SOUQUES jambes, ne se montrant aux
membres
supérieurs (mains d'abord, puis avant-bras) que
volution lente. » « Intégrité relative des muscles de la racine des
membres
ou lout 'âl1 moins conservation beaucoup plus l
muscles en voie d'atro- phie. Troubles vaso-moteurs des segments de
membres
atteints. Pas de rétractions tendineuses notabl
ord F..., âgé de 25 ans, qui est un cas schématique. Considérez ses
membres
inférieurs. Deux symptô- mes frappent au premie
au- moins pendant une très longue période (PI. XXXII, XXXIV). Aux
membres
supérieurs, les mains présentent les déformations
nt ici les cuisses, dans leur totalité (PI. XXXIII et XXXIV). Aux
membres
supérieurs, il faut noter l'atrophie extrême des
le bassin se font avec une force certainement très diminuée. Aux
membres
supérieurs, F ? peut fléchir et étendre les doigt
ce contraste, dis-je, se retrouve encore plus frappantau niveau des
membres
supérieurs. Avec des mains extrêmement atrophié
qualitativement sur certains autres. Au contraire, à la racine des
membres
(hanches, épaules et bras) les réaclions muscul
exes, ils diminuent de bas en haut et disparaissent à la racine des
membres
. En dehors des phénomènes déjà étudiés, il n'y
ooth, dans laquelle les troubles restent indéfiniment limi- tés aux
membres
inférieurs, quelle que soit la durée de l'affecti
Enfin, dans quelques rares cas, l'amyotrophie qui a débuté par les
membres
supérieurs, pourrait s'y fixer pour toute la vi
ficultés que dans les cas où l'a- trophie musculaire débute par les
membres
supérieurs et s'y maintient longtemps. En effet
trophie musculaire CHARCOT-MAHIE 18S une incoordination extrême des
membres
inférieurs, le signe de Romberg, une ataxie moi
mbres inférieurs, le signe de Romberg, une ataxie moins marquée des
membres
supérieurs. Tous les mouvements s'effectuent av
particulière d'atrophie musculaire progressive, limilée aux quatre
membres
, ayant une origine hérédo familiale. une évolutio
rontalegauclie. accompa- gnée d'une hypertrophie des extrémités des
membres
supérieurs et inférieurs. Antécédents héréditai
netteté qui font de notre malade un acromégalie indiscutable. Aux
membres
supérieurs, les mains (PI. XL, fig. 1) ont l'aspe
aissent trop petits. Les poignets sont manifestement élargis. Aux
membres
inférieurs, les pieds (PI. XL, fiez) élargis, épa
- (1) Julien SALMON, Recherches sur les variations ontogéniques des
membres
chez les v erlebrés. Etude des Ectoméliens, Th.
il avait été pris à cette époque d'une sorte de faiblesse dans les
membres
inférieurs, Le médecin le fait trans- porter à
die. - Le 10 mars 191, il se sent un peu fatigué. En môme temps, le
membre
supérieur gauche lui semble un peu lourd et mal
es. Au bout de deux à trois jours, apparition d'une éruption sur le
membre
supérieur gauche. Il vient à la consultation et
ion et entre à l'infirmerie, le 13 mars 1914, présentant un zona du
membre
supérieur gauche. Examen actuel (20 mars t91fJ,
uche. Examen actuel (20 mars t91fJ,). - L'éruption est localisée au
membre
supérieur gauche. Pas de vésicules aberrantes.
sa main gauche avait perdu de force depuis l'apparition du zona.
Membres
inférieurs. La démarche est normale, la force est
sibilité subjective : Jamais de douleurs propre- ment dites dans le
membre
supérieur gauche depuis l'apparition du zona. Le
out le territoire du zona. 1 Sensibilité objective : Au niveau du
membre
supérieur gauche, la sensa- tion de contact au
posé. La douleur est nor- malemeut perçue partout sauf au niveau du
membre
supérieur gauche. A ce niveau, il n'y a pas d'a
ur de la secousse sans inversion. En résumé, il s'agit d'un zona du
membre
supérieur, occupant tout le territoire cutané d
re de ces divers troubles. Les paralysies consécutives au zona du
membre
supérieur sont excep- tionuelles. Nous rappelle
s que toutes les paralysies zostériennes, quel que soit leur siège,
membre
, tronc ou face, relèvent d'un mécanisme analogue.
lé, infecté et augmenté de volume. (1) JoFFRov, Deux cas de zona du
membre
supérieur avec atrophie musculaire. Archives de
rêt la direction d'une bille, accomplit très souvent avec un de ses
membres
des mouvements involon- taires dans la même dir
pulsion à les accomplir, en éprouvant presque la sensation que leur
membre
volait. Or, si l'on considère que le sens d'inn
éprouvée par le malade à l'idée delà paralysie; la contracture d'un
membre
implique de même l'image cénesthésique fixe du
- gônistes qui empêche le mouvement projeté et qui fait rebondir le
membre
. Le malade n'est pas èapable de faire ses effor
encore la position suivante qui est involontaire- ment occupée ; le
membre
est pressé contre le thorax, il est mis en flexio
insuffisamment relâchés et dont la' contraction fait rebondir le '
membre
. Au moment où les avant-bras sont jetés en avant,
ie musculaire nous permet de donner des positions contre nature aux
membres
inférieurs. Les réflexes patellaires sont prése
laire bizarre. Au lieu de faire un mouvement de flexion, souvent le
membre
est fixé en extension par la contraction spasmo
en forte contraction. Pour mettre le talon sur le genou de l'autre
membre
, il commence par plier ^brusquement le membre d
r le genou de l'autre membre, il commence par plier ^brusquement le
membre
dans la hanche, le genou reste en extension; dans
stes qui nous frappe. Quand le. malade est assis sur sa chaise, les
membres
inférieurs pliés aux genous, la mise en extensi
es grimaces, par des mouvements en avant du tronc entier; enfin, le
membre
est lancé en avant. Parfois les membres exé- cu
t du tronc entier; enfin, le membre est lancé en avant. Parfois les
membres
exé- cutent bien des mouvements alternatifs de
mps de réaction plus . xxvii 19 , VAN WOERKOM ou moins long, le
membre
est jeté en avant. L'amplitude de ce mouve- men
ude de ce mouve- ment est, en général, fort restreinte ; bientôt le
membre
se heurte aux muscles antagonistes qui le font
la fonction frénatrice des antagonistes est trop prononcée, puis le
membre
s'élance tout d'un coup. TROUBLI : S DES MOUVEM
RKOM cutanés montrent le type normal. Les mouvements de retrait des
membres
inférieurs après excitation de la plante du pie
e direction fut constatée. Plus le malade s'efforçait de relever le
membre
, plus son exécution restait en défaut. En relevan
on le trouve incapable de prononcer un mot, il a perdu l'usage des
membres
et il' se tient tout raide quand on veut le met
agitation par des contractions cloniques plus du moins fortes. Aux
membres
inférieurs c'est le muscle extensor hallucis lo
in gauche ne présentait aucun trouble fonctionnel', pas plus que le
membre
supérieur droit. Il a constaté lui-même comment l
. Le malade se tient habituellement dans la position suivante : les
membres
pendant inertes le long du tronc, la tête forteme
menton arrivant presque à toucher la face antérieure du sternum. Le
membre
supérieur gauche présente tout d'abord au niveau
issent palper aisément ; aucun mouvement actif n'est possible. Le
membre
supérieur droit présente au niveau de la main une
lle absolue. Il faut enfin signaler que les différents segments des
membres
supérieurs sont flasques, mobiles, sans rétract
emblent présenter une atteinte qu'il est difficile de préciser. Les
membres
inférieurs sont absolument indemnes, leur force
que l'on ne voit pas de secousses fibrillaires, même au niveau des
membres
supérieurs où elles existent peut-être, mais où
ais il n'a eu même d'engourdissements ni de fourmillements dans ses
membres
supérieurs. La sensibilité objective est normale,
ique y est moindre. Il n'y a pas de modi- fications électriques aux
membres
inférieurs. L'observation précédente est intére
apparues qu'ultérieurement en 1912. En 1904, l'ataxie apparaît aux
membres
inférieurs, le malade ne peut plus monter un es
qu'on le pousse par derrière ; surtout il remarque en 1910 que son
membre
supérieur gauche perd de sa force. Il remarque
n an après l'atteinte de la main gauche, en 1911, alors que tout le
membre
supérieur gauche est fonctionnellement très touch
ché, la main droite se prend. Lentement, et de bas en haut, tout le
membre
supérieur droit est atteint. En 1911, il marche
ux, ayantdes sortes de vertiges ou des crises de faiblesse dans les
membres
inférieurs. Il prévoit d'ailleurs toujours ses ch
oit d'ailleurs toujours ses chutes, et peut éviter, en s'aidant des
membres
supérieurs, que sa tête ne heurte le sol. Jamais
l marchait encore soit soutenu, soit en longeant les murs. Les deux
membres
supérieurs étaient atteints, mais il pouvait enco
ement confiné au lit, mais l'état général est satisfaisant. - Les
membres
supérieurs sont flasques, sans raideur ni contrac
tion scapulo-humé- ale est nettement visible sous les téguments. Le
membre
supérieur droit est un peu moins touché que le
e. Par ailleurs, le bras droit est comparable au bras gauche. Les
membres
inférieurs sont atrophiés dans leur ensemble, amy
t, à détacher le talon du plan du lit. Dans tous ces mouvements, le
membre
inférieur gauche apparaît nettement plus vigour
sibilité superficielle semble à peu près normale sauf au niveau des
membres
inférieurs où l'on constate une zone d'hypoes-
ns. Les vibrations du.dia- pason sont à peine perçues au niveau des
membres
inférieurs et du membre supérieur gauche ; elle
- pason sont à peine perçues au niveau des membres inférieurs et du
membre
supérieur gauche ; elles sont un peu mieux perç
; elles sont un peu mieux perçues, quoique très mal, au ni- veau du
membre
supérieur droit. Le sens des attitudes persiste,
e musculaire progressive qui a évolué selon le type Aran-Duchenne :
membres
supérieurs, gauche d'a- bord, puis droit, et fi
e : membres supérieurs, gauche d'a- bord, puis droit, et finalement
membres
inférieurs. Le malade a refusé une ponction lom
La première caractérisée par des troubles sensitifs et moteurs des
membres
inférieurs, déjà décrite et discutée dans l' «
ou- tenu à grand'peine avec la digitale et la caféine. L'oedème des
membres
inférieurs gagne le tronc., puis les bras et la
ans la région thoracique médiane, dans la région lombaire, dans les
membres
, douleurs peu intenses mais contiuues ; aux extré
eau normale. La pigmentation existe il la face, sur le tronc et les
membres
. Le cou est très fortement coloré, les lâches y
résentent de l'hypo ou hyperesthésie. Les réflexes sont normaux aux
membres
inférieurs. Il n'y a pas de signe de Babinski,
Babinski, ni de clonus. Les réflexes abdominaux sont normaux. Aux
membres
supérieurs tous les réflexes tendineux sont aboli
chamois ou café au lait clair crible de façon diffuse le tronc, les
membres
, prédomine au cou et au dos. Sur la région dors
s, en particulier du chevauchement des incisives supérieures. Aux
membres
. inférieurs, seule l'extrémité inférieure gauche
; le pied gauche est légèrement plus volumineux que le droit. Le
membre
supérieur droit est normal. ` L'épaule, le hras
[il, Cusson [2]) ou d'hypertrophie congénitale partielle : les deux
membres
d'un même côté (Geoffroy-Saint-flilaire, Moebius,
; Cie, Editeurs. ÉTUDE SUR - LES MALFORMATIONS CONGÉNITALES DES
MEMBRES
PAR Maurice KLIPPEL et Etienne RABAUD Médec
er ectrodactyle que nous examinerons est un homme de 49 ans dont le
membre
supérieur gauche paraît, dans l'ensemble, plus co
on & Cie, Editeurs étude SUR LES malformations congénitales DES
membres
335 carpe et les métacarpiens sont également no
e un peu dif- férente. Voici tout d'abord un homme de 32 ansdunl le
membre
supérieur droit est terminé par un moignon port
Le sujet en question est une femme âgée de 82 ans, ectrodaclyle du
membre
supérieur gauche. Le membre se termine par un moi
e femme âgée de 82 ans, ectrodaclyle du membre supérieur gauche. Le
membre
se termine par un moignon légè- xxvii 22 338
t s'est efforcé d'étu- dier les possibilités physiologiques de leur
membre
, la question se pose de l'utilisation de ce mem
logiques de leur membre, la question se pose de l'utilisation de ce
membre
. Ces individus se trouvent dans des conditions
. (2) Julien SALMON, Recherches sur les variations onlogéniqnes des
membres
chez les vertébrés, th. de la Fac. des Se. de P
toute évidence, en effet, une bride s'accroche plus facilement à un
membre
isolé qu'elle ne s'accroche en deux parties cor-
e isolé qu'elle ne s'accroche en deux parties cor- respondantes des
membres
symétriques. Mais, par contre, si l'on examine
ntes des membres symétriques. Mais, par contre, si l'on examine les
membres
intéressés, la régularité même des dispositions
des os véritablement hélérotypiques. En'fait, c'est la formation du
membre
dans son ensemble qui a subi un changement prof
e la conformation syndactyle existe comparable à elle-même aux deux
membres
supérieurs, a forliori quand elle existe en mêm
orliori quand elle existe en même temps et sous une autre forme aux
membres
inférieurs, la théorie mécanique devient très p
radiogra- phie montrait un signe quelconque donnant à croire que le
membre
a subi une section nette. . Mais l'aspect du
ce et surtout plus ou moins complète, l'histogenèse des ébauches du
membre
intéressé s'est effectuée d'une manière anormale.
sont pas restés em- bryonnaires, mais au lieu qu'il se produise des
membres
cartilagineux, le tissu conjonctif embryonnaire
rer qu'ils étaient à la base d'un très grand nombre d'anomalies des
membres
. Sur l'origine de ce processus, nous ne sommes
ion simple, l'attention est attirée par la conformation de ses deux
membres
inférieurs et tout particulièrement des segments
é de la courbure regardant en arrière. ¡ La conformation des deux
membres
est très comparable en ce qui concerne le segme
différence est que l'amnios étroit comprime simultanément les deux
membres
, tandis que la bande peut n'en comprimer qu'un
t une proéminence frontale très accusée (2). Ainsi, dans le cas des
membres
inférieurs, un amnios étroit ou une bride membr
oit l'hypothèse que l'on puisse faire sur la situation relative des
membres
inférieurs au moment où la compression aurait p
evrait rencontrer des déformations incohérentes, non seulement d'un
membre
à l'autre, mais sur un même membre, et surtout
incohérentes, non seulement d'un membre à l'autre, mais sur un même
membre
, et surtout d'un individu à l'autre : et nous avo
au- che, et a des contractions des muscles gauches du visage et des
membres
gauches ; le plus souvent, mais non toujours, l
contractent aussi. Après une douzaine d'attaques, le facial et les
membres
gauches sont complètement paralysés ; entre les
e est assez lucide, toutefois il ne peut absolument pas mouvoir les
membres
très contractures du côté gauche. Le réflexe de l
t l'hémi- sphère gauche que l'hémisphère droit, ce qui fait que les
membres
droils se sont trouvés en condition quelque peu
endance aux tics et aux mouvements coordonnés), mobilité facile des
membres
, des positions du corps, sont les exposants de
n toutes régions liyperestliésiée une pression légère au niveau des
membres
ou du thorax provoque des dou- leurs vives acco
a- lion des -), par Il. Meige, 57. Malformations congénitales des
membres
. Quatre cas d'eclrodaclylie. Un cas de syndac
yndactylie, par et HAIIAIIO, 312. Zona et paralysie radiculaires du
membre
supérieur, par Souques, Baudouin et LANTUÉJOU
BAUDOUIN, Souques et Lantuéjoul. Zona et paralysie radiculaires du
membre
supé- rieur, 251. - - Amyotrophie Aran-Duchen
Lantuéjoul, Souques et BAUDOUIN, Znna et paralysie radiculaires du
membre
supé- rieur, 231. Amyotrophie Aran-Duchenne,
UD (Etienne) et Klippel (Maurice). Mal- formations congénitales des
membres
, 333. Cas de poly-syndactylie, 246. REGNALL
ues (A.), BAUDOUIN et LANTUÉJOLL. Zona et paralysie radiculaires du
membre
supérieur, 251. Amyotrophie progressive Aran-
tératome -) (Bertolotti), IV à X. Malformations congénitales des
membres
(KLIPPEL et Rabaud), LVI à LXII. Moelle, comp
nne vertébrale et on donne de l'iodure de sodium. Actuellement, ses
membres
inférieurs sont très faibles ou plutôt inhabile
ade ; la résistance opposée par les poids ne s'opérait que quand le
membre
passait de la position fléchie à" l'extension c
sifs. D'abord limités à la face, ils auraient envahi peu à peu , le
membre
supérieur droit, le membre inférieur de ce même c
face, ils auraient envahi peu à peu , le membre supérieur droit, le
membre
inférieur de ce même côté et le bras gauche.
fréquent et le plus complet, ils occu- pent la langue, la face, le
membre
supérieur droit, le membre infé- rieur de ce mê
t, ils occu- pent la langue, la face, le membre supérieur droit, le
membre
infé- rieur de ce même côté et le membre supéri
membre supérieur droit, le membre infé- rieur de ce même côté et le
membre
supérieur gauche. Voici l'ordre dans lequel ils
ui termine la série des secousses musculaires de la face. Pour le
membre
supérieur droit, la sériation est la suivante : l
ront, et en dernier lieu la partie dorso-Iatérale du nez. Dans le
membre
inférieur, les mouvements sont moins com- plexe
e bras gauche, les mouvements sont à peu près les mêmes que pour le
membre
du côté opposé ; ils sont seulement moins énerg
tractions s'accomplissent presque simultanément pour la face et les
membres
du côté droit; ce n'est que lorsque leur évolu-
on du bras droit sur l'abdomen, qui inaugure les contractions de ce
membre
, Fig. 2. Inscription du mouvement du bras droit
seules modifications portent sur l'étendue; assise ou couchée, le
membre
inférieur demeure le plus habituellement immobile
Par du terme pardi. A cet instant^ les muscles de la face, ceux du
membre
supérieur entrent en action ; le mot voilà pron
ires. En dernier lieu, la manière dont s'effectue le mouvement du
membre
inférieur soulève quelques remarques. Ce mouve-
e. En effet, elle laisse entendre, que la contraction accomplie, le
membre
, aussitôt, est ramené à sa position première, e
ainsi un commencement de valgus équin. Or, une pareille position du
membre
ne peut être obtenue que par la contrac- tion d
D'abord, limités au bras droit, ils ont envahi la face, les autres
membres
et le tronc. Leur extension aurait été occasion
est telle que l'enfant est plusieurs heures à trembler de tous ses
membres
. C'est à la suite de ce der- nier incident que
de ce der- nier incident que les mouvements se sont généralisés aux
membres
inférieurs et au tronc. Etat actuel. - Jeune
né- DE LA MALADIE DES TICS. 27 ralisés, ils occupent la tête, les
membres
et le tronc; ces derniers sont de beaucoup les
son tour; le bras gauche demi-fléchi est porté sur la poitrine ; le
membre
inférieur de ce côté est placé en adduction, le
jambes étendues, les mouvements restent les mêmes pour la face, les
membres
supérieurs et le tronc, mais la jambe droite se
Dans la station debout, en plus des contractions de la tête et des
membres
supérieurs, on observe une légère flexion de la c
ques semaines de durée, mais, même dans ces moments, la- face et le
membre
supérieur droit étaient le siège de contraction
s déliés que trace le choréique, trahissent les contorsions dont le
membre
est agité. ' A ces signes extérieurs s'ajoutent
'un quart de seconde. ' . 32 U2 PATHOLOGIE NERVEUSE. segment de
membre
, mais au membre tout entier. De plus, ils sont
econde. ' . 32 U2 PATHOLOGIE NERVEUSE. segment de membre, mais au
membre
tout entier. De plus, ils sont systématisés, c'
limités, se généralisent et peuvent s'accompagner de soubresauts du
membre
inférieur; ils sont systématisés, se produisent
ont occupé le bras droit, la face, puis se sont étendues aux autres
membres
et au tronc ; voilà qui est d'accord avec la ma
liers, surviennent par accès, s'accompagnent de tressaute- ment des
membres
inférieurs, reconnaissent constamment la mise e
ement dans la main, dans l'avant-bras et dans le bras, puis dans le
membre
inférieur. Après six semaines, la motilité s'ét
che gauche un brusque- mouvement de rotation et porte devant soi le
membre
inférieur gauche, en' fauchant d'une façon très é
tre le bras; pendant les mouvements passifs on trouve dans les deux
membres
de gauche un certain degré de résistance et de
elle-ci, du reste, peut être observée, même dans l'hystérie, si les
membres
sont contracturés (Charcot). La nature hystériq
la façon des organiques, parfois il jette en dehors brusquement son
membre
en le laissant retomber presque aussitôt sur le
orce musculaire. Elle est presque complètement abolie dans les deux
membres
de gauche. Le bras aussi bien que la jambe, aus
ment passif qu'on imprime aux différents groupes musculaires de ses
membres
est presque nulle. Pour ce qui est des mouvements
t est à peine appréciable; ceux des doigts sont nuls. Quant à son
membre
inférieur, il ne peut fléchir sa cuisse sur le
leurs. Le sens musculaire est complètement absent dans les deux
membres
gauches. En faisant fermer les yeux à B..., il ré
RIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 55 rentes parties de ses
membres
gauches situés dans les différentes positions.
anesthésie s'était déjà modifiée. L'analgésie occupait seulement le
membre
supérieur gauche, la moitié gauche de la face e
u commencement d'août, la sensibilité était revenue dans tous les
membres
inférieurs et dans la moitié inférieure du tronc
à percussion et sa partie en bois. Le sens musculaire, tant dans le
membre
inférieur que dans le supérieur est complètemen
ur est complètement revenu. Les différentes positions imprimées aux
membres
sont jugées par B... avec une très grande préci
dité. Motilité. La force musculaire s'est améliorée dans les deux
membres
. L'on peut dire que dans le membre inférieur, ell
e s'est améliorée dans les deux membres. L'on peut dire que dans le
membre
inférieur, elle est presque normale. Tous les m
s les mouvements qui intéressent les diffé- rentes articulations du
membre
s'accomplissent avec une énergie qui diffère tr
ssent avec une énergie qui diffère très peu de celle déployée parle
membre
sain. L'amélioration n'est pas très remarquable
arle membre sain. L'amélioration n'est pas très remarquable dans le
membre
supé- rieur gauche; cependant elle existe pour
tre en forme de crises; après une de ces crises, une paralysie du
membre
droit. jusqu'alors sain se produisit; celte paral
qui avait le type de la démarche décrite par Tood; au contraire le
membre
, en examinant ses différents groupes musculaires,
se décelait une force complètement normale. Contem- porairement, le
membre
inférieur gauche acheva brusquement sa guérison
sait sur son crâne, l'hémiplégie du côté opposé prédominant dans le
membre
supérieur avec exagération des réflexes, l'atti
n cranienne. Du reste, Bo... jouit du parfait fonctionnement de ses
membres
jusqu'à ce que le deuxième accident survînt. Ma
ndis que les réflexes olécranien et patellaire étaient exagérés, le
membre
soulevé- retombait lourdement comme une masse i
dans les lésions capsu- laires, mais la paralysie peut respecter le
membre
inférieur correspon- dant en se bornant au seul
respecter le membre inférieur correspon- dant en se bornant au seul
membre
supérieur. V. Jouffroy. Monoplégie brachiale pa
GIE NERVEUSE. ment elle peut être observée dans l'hystérie dans les
membres
paralysés ' ; 7° La démarche hélicopoide peut
icopoide peut s'observer dans l'hémi- plégie hystérique lorsque les
membres
sont contractures ou dans l'état d'opportunité
émiplégie à la suite d'un traumatisme dont l'action directe sur les
membres
ne pouvait donner raison de leur paralysie, con
istique en man- chon. Le sens musculaire est réapparu dans les deux
membres
. 2° Le membre inférieur gauche a réacquis la f
chon. Le sens musculaire est réapparu dans les deux membres . 2° Le
membre
inférieur gauche a réacquis la force muscu- - l
ée brusquement, après une attaque de rachialgie. Pour ce qui est du
membre
supérieur, ' son amélioration est plus lente, m
porainement avec le début et l'amélioration de la paralysie dans le
membre
infé- rieur ; donc il n'y a pas de raison pour
n avant, de la façon la plus caractéristique. Contemporainement, le
membre
inférieur gauche retrouve brusquement toute sa
examiner avec beaucoup de fréquence l'état de la motilité dans ses
membres
gauches, afin de se persuader que la grave lési
sons dites miraculeuses, que la faith-healing ait fait repousser un
membre
amputé. Par contre, c'est par centaines qu'on y
atteint de vingt maladies différentes, et c'est tou- jours le même
membre
, la même forme traditionnelle que l'on découvre
ntes-Mariés. Parmi les ex-voto, je distinguai le moule en plâtre du
membre
inférieur d'une jeune fille d'une douzaine d'an
exactement la figure bien con- nue de la contracture hystérique du
membre
inférieur. La gué- rison s'était opérée rapidem
refermer et à guérir ». La nuit suivante, nouveau prodige. « Les
membres
para- lytiques qui depuis tant d'années représe
membres para- lytiques qui depuis tant d'années représentoient les
membres
d'un corps mort par leur froid glaçant, leurs m
it; elle essaye si elle pourra dès ce premier jour se servir de ces
membres
nouvelle- ment rappelés à la vie, mais dont la
ours qui suivent, l'examen attentif montre qu'il persiste dans le
membre
qui a été contracturé des troubles de sensibilité
nte émotion nous cloue au sol sans que nous puissions mou- voir nos
membres
. Lorsque l'influx moteur parti du cerveau s'est
Mais si pendant cette paralysie les muscles se sont atrophiés, le
membre
né reprendra sa force et son volume que lorsque l
ne au tombeau du diacre Paris, il est guéri d'une contrac- ture des
membres
du côté droit avec atrophie. « Mais, dit explic
ant pu moi-même leur inspirer la faith- healing. J'ai examiné leurs
membres
atteints quelques jours auparavant de paralysie
z trois Saurs; par le Dr iI : IBILLE. Les cas de suicide chez les
membres
d'une même famille ne sont malheureusement pas
érédité accumulée que ce phéno- mène se produit : certain jour, tel
membre
d'une de ces familles, jusqu'alors indemne d'ac
patient d'exécuter des mouvements, ou on imprime des mouvements aux
membres
paralysés. On éduque, ou plutôt on rééduque les
mplète. Age, cinq à six ans. Chez l'un, impotence fonctionnelle des
membres
. Chez l'autre, contrac- tures multiples. Chez t
résente une forte atrophie musculaire et un anesthésie typique d'un
membre
, le symptôme de Morvan de l'autre; il eut des p
nte une grande quantité de cicatrices après brûlures et panaris aux
membres
supérieurs et près des trochanters. Déviation l
itubante. Le symptôme de Romberg. Une atrophie diffuse générale des
membres
gauches. Diminution de la force musculaire de l
es gauches. Diminution de la force musculaire de la main droite, du
membre
inférieur et du tronc. Secousses fibrillaires d
typhus abdominal très grave, par l'apparition de tremblements des
membres
, de brûlures et de panaris analgésiques. Les trou
plaie guérit per p1'imam. Résultat de l'opération : la parésie des
membres
supérieurs n'existe plus ; au lieu de la parapleg
la circulation périphérique déterminant un changement de volume du
membre
, toutes modifications que l'on peut objectiver,
te deux points de vue, celui de l'individu considéré seul, ou comme
membre
d'une collectivité. Aussi M. Féré après avoir e
contre ces individus improductifs et au bénéfice des VARIA.- 149
membres
utiles de la collectivité, une discipline, la néc
affections, c'est, vous le savez, que dans la maladie ATROPHIE D'UN
MEMBRE
INFERIEUR. 1G3 de Duchenne-Aran, la poliomyélit
cas, on se trouve en présence d'une paralysie atrophique des deux
membres
supérieurs, dont l'évolution plus ou moins prog
lution plus ou moins progressive, jointe à l'état spasmodique des
membres
inférieurs, à certains troubles bulbaires peut
n résulte une atrophie progressive et souvent symétrique des deux
membres
supérieurs, tout à fait semblable, vous le comp
un état spasmodique suffisamment accentué. Jetez les yeux sur les
membres
supérieurs de ce malade et faites pour un insta
ment, car si vous poursuivez votre examen, vous remarquerez que les
membres
inférieurs sont raides, les réflexes tendineux,
n spinale se produit dès qu'on redresse brusquement ATROPHIE D'UN
MEMBRE
INFÉRIEUR. 165 l'avant-pied. Serait-ce donc la
que vous allez le voir. Il existe chez cet homme, étendue à tout le
membre
supérieur gauche et à une partie du thorax, une
vers la vingtième année; elle débute par les muscles atrophie D'UN
membre
inférieur, 167 de la ceinture scapulo-humérale,
remière fois (aucun trouble fonctionnel ne l'avait annoncé) que son
membre
inférieur gauche, cuisse, jambe et pied, ces de
uble de la sensibilité dans l'accomplissement des fonctions de ce
membre
. C'est la vue, la vue seule qui lui a révélé l'
vue seule qui lui a révélé l'atrophie considérable qui porte sur le
membre
atrophie D'UN MEMBRE inférieur. 169 inférieur
évélé l'atrophie considérable qui porte sur le membre atrophie D'UN
MEMBRE
inférieur. 169 inférieur gauche. Et son étonnem
te pour ainsi dire aux yeux tant la différence de volume des deux
membres
inférieurs, est marquée (elle est de 5 centi- m
la cuisse et de la fesse. Elle prédomine à la jambe; l'attitude du
membre
est à peu près nor- male ; il semble seulement
y a aucune modifica- tion de la coloration, ni de la température du
membre
, aucun trouble de la sensibilité. Les muscles a
ressentir dans la jambe atrophiée un sentiment de fa- atrophie d'un
membre
inférieur. Il -1 1 ligue ou de gêne appréciable
nous étudions l'état des différentes régions et en particulier des
membres
supérieurs nous trouvons que les muscles de l'é
laires manifestes et qu'enfin les réflexes tendineux comme ceux des
membres
inférieurs sont notablement exagérés. Il s'agit
tes permanents, il est vrai, pas d'anesthésie, pas de atrophie D'UN
MEMBRE
INFÉRIEUR. 173 rétrécissement du champ visuel,
fréquemment mais non toujours avec la paralysie ou l'anesthésie des
membres
où elles se produisent, elles se développent pa
quelques jours après une durée qui est très variable ATROPHIE D'UN
MEMBRE
INFÉRIEUR. 175 elles peuvent rétrocéder soit le
i, pris de frayeur, il se dressait sur son lit, trem- ATROPHIE D'UN
MEMBRE
INFÉRIEUR. 177 7 blant de tous ses membres, bru
it, trem- ATROPHIE D'UN MEMBRE INFÉRIEUR. 177 7 blant de tous ses
membres
, brusquement il sautait à terre et cou- rait ve
1893. 1 Etat actuel. On constate chez cet homme : 1° Atrophie du
membre
inférieur gauche intéressant les deux seg- ment
ophie du membre inférieur gauche intéressant les deux seg- ments du
membre
(jambe, cuisse et fesse), cette atrophie est très
très prononcée. Contraste choquant au premier coup d'oeil avec le
membre
du côté droit. DU VERTIGE DES . ATAXIQUES. 179
alade n'accuse aucune gêne fonctionnelle, aucune faiblesse dans les
membres
intéressés par l'atrophie. Cependant à l'épreuv
oins résistants. Les réflexes rotuliens, les réflexes tendineux des
membres
supé- rieurs sont exagérés, mais sensiblement é
Déjà Duchenne avait observé un homme qui la nuit était paralysé du
membre
supérieur droit, tandis que dans la journée, il
u jour. Au milieu d'un mouvement volontaire, si on masque la vue du
membre
en mouvement ou si on détourne le regard, le mo
en mouvement ou si on détourne le regard, le mouvement s'arrête, le
membre
reste où il est, bien que la malade croie conti
vant brusque- ment le bras, ce qui entraîne le segment inférieur du
membre
, et cela d'autant plus facilement que le bras e
on assise. Elle peut se relever complètement sans grimper après ses
membres
inférieurs, à la manière des malades atteints de
tie supérieure du corps, sauf aux muscles thénar et hypothénar. Aux
membres
inférieurs, elle existe au triceps crural, sur
t-elle plus à marcher sans le secours d'une de ses compagnes. Aux
membres
supérieurs, la main et l'avant-bras restent ind
us à se vêtir elle-même; elle ne peut plus soulever les bras. Aux
membres
inférieurs, la marche en steppant devient carac
ion appré- ciable, ni dans leur aspect, ni dans leur consistance.
Membres
supérieurs. A la dissection des muscles du bras,
et hypothénar sont indemnes. Les lésions sont symétriques aux deux
membres
supérieurs. Membres supérieurs. Les muscles du
demnes. Les lésions sont symétriques aux deux membres supérieurs.
Membres
supérieurs. Les muscles du pied sont sains. A la
nutieusement que nous l'eussions désiré les muscles du tronc et des
membres
. SUR UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE.
ns, l'enfant aurait présenté des mouvements cho- réiformes dans les
membres
, tant à droite qu'à gauche. C'est après la disp
? G. idiotie congénitale. 235 Thorax bien conformé ainsi que les
membres
supérieurs et infé- rieurs. Aucun signe de rach
et, remarquable de voir Ross... user tout particuliè- rement de ses
membres
droits, les seuls véritablement actifs, tandis
upait la face antérieure de la jambe gauche. Lorsqu'il marchait, ce
membre
se cyanosait, devenait douloureux et oedémateux
anosait, devenait douloureux et oedémateux; puis, la sensibilité du
membre
diminuait, et le triceps fémoral était pris de co
laquelle prennent part MM. Wernicke, DORNHLUETH, ALTER, sont nommés
membres
de la commission : MM. ALTER, GUIIICH, KARCZEWS
. L'attitude des mémbres dans la première serait la flexion pour le
membre
supérieur, l'extension pour l'inférieur; dans l
ogique en unilatérale et bilaté- rale, suivant que l'un ou les deux
membres
inférieurs sont pris. La démarche bilatérale pe
r l'architecte départemental à se mettre en rapport avec le Dr Rey,
membre
de la Commission, rapporteur, pour dresser sur
renseigne bien sur les divers événements de sa maladie. Examen du
membre
supérieur droit. Motilité. La paralysie atteint
t indiquer parfaitement où est son bras. Il peut reproduire avec le
membre
gauche toutes les positions imprimées au membre
reproduire avec le membre gauche toutes les positions imprimées au
membre
droit. Atrophie musculaire. Elle est incontesta
plusieurs reprises, montre qu'il n'y a pas une seule région dans le
membre
supérieur malade ou dans l'épaule, où la sensib
au traitement psychique, c'est-à- dire qu'on essaie l'éducation du
membre
paralysé. Voici les résul- tats notés jour par
tre jours, puis s'est traduite extérieurement par une monoplégie du
membre
supérieur. Il devait fatalement en être ainsi :
ez notre malade est l'absence de troubles de la sensibilité dans le
membre
paralysé. C'est un fait extraordinaire qu'on n'
uelles j'ai suggéré purement et simplement, la paralysie motrice du
membre
sans rien dire de la sensibilité. J'ignore, qua
gnet. Hypéresthésie en manche de veste de la partie supérieure du
membre
. Réflexes tendineux normaux, pas de tremblement
ux normaux, pas de tremblement de la main droite. Pas d'atrophie du
membre
paralysé. La main gauche éten- due présente un
- sentait encore une notable diminution de la sensibilité dans le
membre
paralysé, aujourd'hui il y a peu de troubles mani
peu, l'injection conjonctivale est moins intense. Les mouvements du
membre
supérieur droit sont tout à fait libres. 6 mai.
atténuée. Pas d'attaque de migraine ophthalmique. Les mouvements du
membre
supérieur droit sont tout à fait libres. Fig. 4
ques soins, il fut reconduit à pied à son domicile. La paralysie du
membre
supérieur gauche n'a pas cessé d'exister depuis c
paralysie spasmodique. B. Quant à la paralysie post-traumatique du
membre
supérieur gauche, elle présente les caractères
s mouvements divers des doigts de la main et des autres segments du
membre
supérieur gauche. Depuis 21. /4. Le malade es
rès le choc de la para- lysie et une anesthésie complète de tout le
membre
, l'existence de la réaction de dégénérescence d
nts, d'engour- dissements ou de troubles vasomoteurs, etc., dans le
membre
intéressé (cinq cas). Dans trois cas une émotio
dans un endroit humide et froid. La fixation et l'immobilisation du
membre
semble avoir quelque influence sur le développe
alades après un traumatisme qui avait nécessité l'immobilisation du
membre
dans un appareil de fracture se développer une
suit : 384 CLINIQUE NERVEUSE. de la paralysie brachiale un autre
membre
du même côté est plus ou moins affaibli, toujou
as). D'autres fois, l'anesthésie est limitée autour de la racine du
membre
paralysé par une ligne perpen- diculaire au gra
phiques. - Nous avons noté dans neuf cas l'atro- phie musculaire du
membre
paralysé, dont deux cas en même temps avec atro
17-18. RENDU. - Contribution à l'histoire des monoplégies part, du
membre
sup. d'origine hystéro-traumalique. (Archives de
famille où le tempérament névropathique s'est révélé chez plusieurs
membres
, sous diverses formes. Il est lui-même mort, ve
manifeste. On aurait tout d'abord constaté de la faiblesse dans les
membres
inférieurs, et une certaine hypertrophie des mo
d'eau, et pendant quelque temps, aurait supporté l'humidité. Les
membres
supérieurs ne tardent pas à être pris; mais ici,
lesse, assez grande ,dans les bras, mais surtout manifeste dans les
membres
inférieurs. La marche n'est guère possible qu'a
pas s'habiller, à cause de la gêne des divers mouve- ments dans les
membres
supérieurs. Les mollets sont un peu hypertrophi
aît aux jambes, aux cuisses, au tronc et s'accentue un peu plus aux
membres
su- périeurs. La marche devient alors complètem
on de certains muscles, il n'est déjà plus possible de remettre les
membres
dans une position rectiligne. Il passe la plu
urmillements dans les pieds, et d'un peu de trépidation du côté des
membres
pendant son séjour au lit. Il y a une certaine
ater l'état d'amaigrisse- ment considérable que montrent les quatre
membres
; les masses musculaires ne masquent plus les sa
s. Pas d'exostose. Nous avons examiné de la même manière les os des
membres
, et nous n'y avons décélé aucun détail intéress
sise, en raison de la scoliose, de s'appuyer assez fortement sur le
membre
supérieur de ce côté. Et si maintenant elle per
rophie qui n'a été précédée que d'une hypertrophie assez légère aux
membres
inférieurs, tandis qu'aux bras, elle s'est mont
ar cette même ma- ladie avait présenté une atrophie de la racine du
membre
infé- rieur droit; les parents, qui avaient été
ques ; 2° Une atrophie musculaire familiale ayant déjà frappé des
membres
dans trois générations successives ; 3° Une sco
nt rien de pathologique. Lorsqu'il est couché tranquille- ment, ses
membres
inférieurs sont dans un tremblement continu, ré
ateur tâche d'arrêter avec ses propres mains les mouve- - ments des
membres
du malade et les troubles moteurs deviennent pl
ssi sensitifs. L'irritabilité mécanique des muscles du tronc et des
membres
, ainsi que les réflexes tendineux sont augmenté
force musculaire peut être aussi observée sur les mouve- ments des
membres
inférieurs. Toutes les espèces de la sensibilité
le tremblement hystérique se bornait, comme chez notre malade, au
membre
inférieur et durait plus de dix ans. Cependant so
anesthésie hystérique anor- male avec contracture et tremblement du
membre
inférieur. Prog. Méd., -1879, p. 518) concerne
mentait par les émotions et les mou- vements et ne s'étendait qu'au
membre
inférieur, où par con- séquence le tableau clin
pée à l'âge de huit ans et s'est manifestée comme un tremblement du
membre
inférieur droit, apparu soudainement après l'ef
r. ' Elle recherche des propos obscènes, fait des ouvertures à un
membre
du service médical et simule des maladies pour se
ent ; le malade, immobilisé par la contracture qui envahit tous ses
membres
, ne peut plus bouger. Les bras obéissent si vit
ur mélancolique sont assez différents. Les malades redressent leurs
membres
sur ordre; le phénomène est variable et transit
flexes son nor- maux. La sensibilité est partout conservée sauf aux
membres
infé- rieurs, où la sensibilité au chaud et au
t intéressant de cette observation, siègent depuis quatorze ans aux
membres
inférieurs sous forme d'ulcères inguérissables,
LV. UN cas d'imbécillité associé A UN arrêt de développement D'UN
MEMBRE
; par ANGIOLELLA. (Il manicomio, fasc. 2, 3, 1892
dans ses symptômes et dans sa marche constam- ment fatale, que les
membres
des familles atteintes doivent le plus souvent-
eproduire ou à analyser ici, les symptômes observés chez les divers
membres
de ces deux familles. Les pi incipales remarques
fait à ce propos une communication sur la vie, les tra- vaux et les
membres
de la Société durant ces vingt-cinq années, à p
oechling, Sewaes, Wahl, Wiebecke. Actuellement la Société compte 73
membres
. L'ensemble des com- munications qui y ont été
oût 1870, agrégé de la Faculté en 1866 (Du rhumatisme viscéral), et
membre
de l'Académie de médecine en 1883. Après avoi
à travers la campagne. «Puis, après avoir rejeté dans la tombe les
membres
déchiquetés, ils s'en retournèrent chez eux en
us sommes loin du savoir exacte- ment quels sont les mouvements des
membres
, les contorsions de la face, les troubles circu
vements complexes et intelligents que l'on peut provoquer dans des
membres
anesthésiques. Il existe un phénomène tout à fa
'il est pris d'un refroidissement ( ? ) qui lui tient la tête et le
membre
supérieur gauche. Il ne peut incliner la tête d
aire des mains dont le bord interne est incliné sur le cubilus. Les
membres
inférieurs fléchis à angle droit, modérément éc
és, appuient sur le sol par toute la surface plantaire. Debout, les
membres
supérieurs occu- pent la même position que préc
sse sa vie au grand air la face palmaire est d'un blanc livide. Les
membres
inférieurs pré- sentent une légère flexion de l
s le secours de la rampe. Le tremblement occupe principalement le
membre
supérieur gauche, où il est surtout prononcé à
eur gauche, où il est surtout prononcé à la main; pour les autres
membres
, on ne l'observe que lorsque le malade est fatigu
malade écrit de droite à gauche. main droite et fait défaut dans le
membre
inférieur du même côté. Etudié à la main, il co
ent qui est très prononcé à la partie postéro-latérale du cou et au
membre
supérieur. Il se plaint encore d'une fatigue gé
mais, en marche, G.... se sent comme entraîné en avant. Assis, les
membres
supérieurs reposent sur les cuisses, les mains
opération indiquée dans ces cas par des troubles de la motilité des
membres
, a été suivie d'une amélioration sensible presq
t les manifestations; tantôt la forme en est paraplégique sur les
membres
inférieurs, tantôt hémiplégique, tantôt généralis
M. le professeur- N; 0. Kovalevski qui a été un des VARIA. 483 i
membres
les plus influents de l'Université de Kazan. Vien
olske, Miller, 292. Imbécillité avec arrêt de développe ment d'un
membre
, par Angio- lella, 390. hrLUENzA et névrose,
très souvent aussi, long- temps après le début de la maladie. Les
membres
postérieurs sont atteints les premiers. Cette par
ovoque une véritable trépidation, qui se propage parfois à tous les
membres
. Ce spasme, qui disparaît quand l'animal est endo
ent par des cris per- çants, lorsqu'on exerce des (raclions sur les
membres
ou quand on comprime la paroi abdominale. On ob
s arthropathies qui paraissent se développer de préférence dans les
membres
paralysés. Ce ne sont pas des arthropathies ner-
ositions favorables à l'exploration des réflexes osso-tendineux des
membres
supérieurs. Pour le réflexe du triceps brachial
triceps brachial ou d'extension de l'avant-bras, on fait porter le
membre
supérieur en dehors et en arrière ; on le souti
s. La position suivante me semble encore préférable : l'attitude du
membre
supérieur est analogue à la précédente, mais au
à propos du réflexe d'extension. Pour le réflexe de pronation, le
membre
supérieur est placé dans la même position que p
ssus exposées sur le réflexe achilléen et les réflexes tendineux du
membre
supérieur m'ont permis d'établir quelques no- t
sément d'autres combinaisons. Le sens du mouvement qu'un segment de
membre
exécute à la suite d'une percussion osso-tendin
e ce qui précède que mes observations sur les réflexes tendineux du
membre
supérieur, dont la recherche était d'habitude n
pui, la jambe étant relevée et soutenue par l'expéri- mentateur. Le
membre
inférieur étant placé dans cette attitude, on a
dus à des mouvements si vifs des divers 40 SÉMIOLOGIE segments du
membre
inférieur qu'il est difficile de les analyser ; e
plégie gauche remontant à trois ans ; la paralysie était flasque au
membre
inférieur; le membre supé- rieur gauche était l
nt à trois ans ; la paralysie était flasque au membre inférieur; le
membre
supé- rieur gauche était légèrement contracture
phalito diffuse ; il y avait en môme temps une grande faiblesse des
membres
inférieurs et les réflexes tendineux étaient exag
xception à cette règle car, ainsi que vous l'avez vu, chez elle les
membres
inférieurs ne sont que très peu affaiblis et le
ingéré de la strychnine à dose toxique ; tous deux présentaient aux
membres
infé- RÉFLEXES CUTANÉS 43 rieurs de la contra
tre; en ellet, le phénomène des orteils fait parfois défaut dans un
membre
atteint de paralysie spasmodique avec exagérati
chez des sujets présentant le signe des orteils, une compression du
membre
inférieur avec une bande élastique peut ame- 48
s le voisinage du tendon d'Achille ou encore en d'autres parties du
membre
inférieur, et j'ai constaté les mêmes mouvement
mbre inférieur, et j'ai constaté les mêmes mouvements réflexes. Les
membres
de la Société peuvent vérifier le fait sur les
s du côté droit chez une malade atteinte d'un spasme fonctionnel du
membre
supérieur droit, qui se manifestait en particul
'Achille ou encore dans d'autres par- RÉFLEXES CUTANÉS 57 ties du
membre
inférieur, peut provoquer une flexion réflexe du
s crural et du côté de l'anesthésie un retrait énergique de tout le
membre
inférieur ; le pincement du côté de l'anesthésie
e cutanéo- réflexe. La contracture cutanéo-réflexe peut occuper les
membres
supé- rieurs, mais c'est aux membres inférieurs
tanéo-réflexe peut occuper les membres supé- rieurs, mais c'est aux
membres
inférieurs qu'on l'a observée le plus souvent ;
pavillon de l'oreille et les masti- cateurs sont réfractaires. Aux
membres
inférieurs, le triceps crural est prédisposé, l
faire remarquer que l'intensité de la con- tracture permanente des
membres
, et surtout de la contracture avec flexion, est
e manière intermittente, de secousses involontaires des muscles des
membres
inférieurs, se répétant avec rapidité, mais n'a
c rapidité, mais n'ayant pas pour effet de fléchir les segments des
membres
les uns sur les autres. De plus, je ferai remar
tractions intermittentes involontaires, souvent dou- loureuses, des
membres
inférieurs. Ces contractions provoquent des mou
les constituent une notion clas- sique. B. Réflexes tendineux des
membres
supérieurs. L'état de ces réflexes, dans le tab
r, leur abolition précéderait habituellement l'irrélleclibilité des
membres
inférieurs et constituerait un signe précoce de
cause des fautes de technique dans l'exploration des réflexes des
membres
thoraciques. En les recherchant suivant les procé
ns un grand nombre de cas leur présence, alors que les réflexes des
membres
pelviens sont déjà abolis : le fait inverse est
s moins vrai qu'à une certaine phase de la maladie les réflexes des
membres
supérieurs s'affaiblissent et disparaissent à leu
la myélite circonscrite destruc- tive (paralysie et anesthésie des
membres
inférieurs, troubles dans les fonctions de la v
l'ab- domen restait ordinairement sans effet, tandis que celle des
membres
inférieurs était constamment suivie de mouvemen
e des cas où la zone des mouvements réflexes de défense dépasse les
membres
inférieurs et occupe une partie plus ou moins é
des réflexes tendineux et des réflexes cutanés, l'amyotro- phie du
membre
gauche, la thermo-asymétrie et la thermo-anesthés
ic). Huit jours environ après la première séance radiographique, le
membre
supérieur droit peut se mouvoir suffisamment po
our la première fois, le malade a recouvré intégralement l'usage du
membre
supérieur droit et en partie celui du membre su
tégralement l'usage du membre supérieur droit et en partie celui du
membre
supérieur gauche, il remue la tête et le tronc
gie crurale qui se caractérise par une con- tracture très forte des
membres
inférieurs, accompagnée de douleurs et de mouve
s, ni réaction de dégénérescence. 110 Enfin, nous avons constaté au
membre
supérieur des mouve- ments réflexes de défense
i un moyen de mettre en évidence l'hypotonicité dans les muscles du
membre
supérieur : 118 AFFECTIONS DE L'ENCÉPHALE L
sur le bras et qu'on cherche à appliquer ainsi ces deux segments du
membre
supérieur l'un sur l'autre, on constate, FIG. 1
bassin et le talon se détache du sol, tandis que du côté opposé le
membre
inférieur reste immobile ou ne se soulève que p
sur le dos, 122 AFFECTIONS DE L'ENCÉPHALE cherche à maintenir ses
membres
inférieurs appliqués aussi étroite- ment que po
iplégie organique avec contracture, à condition que la paralysie du
membre
supérieur soit assez marquée : jamais 124 AFFEC
dence ce phénomène : on recommande au malade de laisser inertes les
membres
supérieurs, puis on place les avant-bras en sup
ments volontaires du bras étant abolis ou très affai- blis, ceux du
membre
inférieur sont suffisamment conservés pour que
de faire exé- cuter un mouvement quelconque aux divers segments du
membre
supérieur paralysé. Faites l'expérience suivant
rtiez de la patience dans votre examen, il arrivera un moment où le
membre
soulevé conservera plus ou moins longtemps, apr
s la marche, le côté sain présente l'allure habituelle : lorsque le
membre
inférieur se porte en avant, on voit le bras se p
ut, le malade tourne sur lui-même avec une certaine brusquerie, les
membres
supérieurs s'écartent du tronc ; mais du côté a
is ou debout, si, après lui avoir recom- mandé de laisser inerte le
membre
sain, je lui soulève les deux bras et les aband
abandonne ensuite à eux-mêmes, je constate ceci : du côté sain, le
membre
supérieur vient heurter le tronc, rebondit une fo
bondit une fois ou deux, puis reste immobile ; du côté paralysé, le
membre
supérieur exécute des oscillations plus nombreu
laisse reposer ses mains sur les miennes et cesse de les tenir, le
membre
supérieur garde généralement du côté sain l'att
s et accessoires. Dans la marche, par exemple, les mouve- ments des
membres
inférieurs et du tronc constituent les mouvements
ssentiels ; on doit considérer comme accessoires les mouvements des
membres
supérieurs qui, sans être d'ailleurs indispensabl
écuter ainsi un mouvement passif; si, comme cela arrive souvent, le
membre
supérieur, après être retombé, reste immédiatem
NCEPHALE est intervenue, car, en vertu des lois de la mécanique, le
membre
supérieur, s'il avait été complètement inerte,
VII, 1878). On avait affaire à un malade dont les mouvements des
membres
supérieurs et inférieurs manquaient de mesure (Ma
ignale, entre autres symptômes, des mou- vements démesurés dans les
membres
du côté droit. Souques (Société de Neurologie,
que et démesuré, l'index dépassant le but et frappant la joue ». \u
membre
inférieur, il y a aussi de l'hypermélric. Dej
HALE Jusqu'à présent l'adiadococinésie a été observée surtout aux
membres
supérieurs. Elle est tantôt bilatérale, tantôt un
uche du cervelet et ayant donné lieu à de l'adiadococinésie dans le
membre
supérieur gauche. Marburg (Nearol. Centralblati
blablement d'atrophie cérébelleuse, où le trouble était très net au
membre
supérieur gauche. Max Rothmann, de lierlin, (Th
dis que le tronc, étendu sur le bassin, ne suit pas le mouvement du
membre
inférieur (voir fig. 15); il est en même temps
es de déam- bulation, le tronc reste comme inerte, tandis que les
membres
inférieurs fonctionnent. Je donne également l
rrière et à courber le tronc dans le même sens, en forme d'arc, les
membres
inférieurs restent presque immobiles (voir fig. 1
malade est soutenue des deux côtés et qu'elle cherche à marcher, le
membre
inférieur exécute les mouvements élémentaires d
que les troubles asynergiques tels que je les avais observés aux
membres
inférieurs peuvent être localisés d'un côté (cô
cérébello-pro- tuhéraniielle (ï2), j'ai noté de l'asyner- gie au
membre
inférieur droit chez un sujet à l'autopsie duqu
iasynergie était modérée et n'entravait pas notablement l'usage des
membres
. A l'autopsie (outre un foyer de ramollissement
la plus développée de l'asynergie. Sa démarche et l'attitude de ses
membres
sont calquées sur la description que j'en ai donn
secondes. Cette photographie met en évidence l'insta- bilité des
membres
inférieurs. écartés l'un de l'autre (voir fig.
après s'être mis sur le dos, cherche à prendre cette attitude, ses
membres
inférieurs et son tronc exécutent pour commence
droite à gauche, mais au bout de quelques instants le corps et les
membres
deviennent fixes. Cette fixité est remarquable
-ci placé dans la même attitude se comporte tout différemment : ses
membres
oscillent dans tous les sens et il lui est impo
déjà une notion très nette ; ils savent dans quelle direction leurs
membres
se déplacent, mais ils sont incapables de les i
Thèse, Paris, igi i) ont constaté un état catalep- toide léger des
membres
supérieurs associé à un défaut d'équilibration da
cas où il existait une attitude cataleptique singulière des quatre
membres
; ceux-ci, quelle que fût la position dans laqu
nu ; il est sans cesse entraîné à gauche. Dans la déambulation, les
membres
inférieurs sont écartés l'un de l'autre ; les m
ieurs sont écartés l'un de l'autre ; les mouvements élémentaires du
membre
inférieur gauche sont brusques et le pied gauch
'agissait probablement de mouvements démesurés) ; les mouvements du
membre
inférieur droit présentent aussi ces caractères
is d'une manière bien moins prononcée. On note de l'hémiasynergieau
membre
inférieur gauche, apparente quand le malade, pl
fléchi la cuisse sur le bassin et la jambe sur la cuisse, remet le
membre
dans sa posi- tion primitive. Les mouvements du
se, remet le membre dans sa posi- tion primitive. Les mouvements du
membre
inférieur droit sont exé- cutés presque synergi
re inférieur droit sont exé- cutés presque synergiquemenl. Ceux des
membres
supérieurs sont correctement accomplis, mais av
celles de la pyramide gauche. La prédominance de l'anesthésie au
membre
inférieur peut être attribuée à ce que les lési
ssent les fibres longues des racines postérieures correspondant aux
membres
infé- rieurs. Le rétrécissement de la pupille
nées dans la production du nystagmus). Le tremblement bilatéral des
membres
supérieurs est peut-être dû aux lésions des sys
ie, les malades éprouvaient une sensation de froid et les veines du
membre
supérieur, particulièrement celles du dos de la
(57) un malade atteint d'un hémispasme occupant le côté gauche ; au
membre
inférieur les troubles étaient légers ; ils éta
roubles étaient légers ; ils étaient au contraire très mar- qués au
membre
supérieur et à la région cervicale. Le spasme du
cou prédominant dans le sterno-mastoïdien et associé à un spasme du
membre
supérieur gauche. La tête, à peu près constamme
t mental. Ce qui faisait sortir ce fait de la banalité, c'est qu'au
membre
supérieur gauche le réflexe du triceps brachial
assez rapidement une régénération; ces muscles, comparés à ceux des
membres
inférieurs ou des membres supérieurs, paraissent
ération; ces muscles, comparés à ceux des membres inférieurs ou des
membres
supérieurs, paraissent sou- mis à un régime pri
ué, une exophtalmie bilatérale fort appa- rente, du tremblement des
membres
supérieurs et une augmentation du nombre des pu
es tendineux ; là, une paraplégie, avec de la sur- réflectivité aux
membres
inférieurs, de la trépidation épileptoïde du 19
ique. Paralysie partielle ou systématique des fonctions motrices du
membre
intérieur gauche (Id.). 30. Paralysie hystériqu
médicale, 27 juillet 1898). Crg. De quelques mouvements associés du
membre
inférieur paralysé dans l'hé- miplégie organiqu
gie, g janvier igo8). t48. Instabilité hystérique (pithiatique) des
membres
et du tronc (Id., 5 mai 1\)08). 149- Spondylo
Etudes cliniques go Réflexe achilléen go Réflexes tendineux des
membres
supérieurs 1)2 Du champ visuel et de la vision
aboli du même côté. Il n'existe pas de trace d'hémiplégie dans les
membres
. Le sommeil est agité, souvent interrompu par d
d écrivait les lignes suivantes ' : « L'étendue de la paralysie des
membres
, alors qu'il n'y en a pas trace dans la face, e
plus ancien de Lebreton 2 où l'on dit qu'il y avait hémiplégie des
membres
et paralysie totale de la face d'un côté. Soumi
ontrant que chez les hystériques présentant une hemiamyosthenie des
membres
, la langue offre souvent une diminution de la r
anesthésie marquée et quelquefois prédomi- nante de la face et des
membres
paralysés. C'est là un caractère important en o
on a pu l'observer, isolée en dehors de toute paralysie notoire des
membres
, circonstance peu fréquente dans l'histoire de
tériques la face ne semble point placée sous le même régime que les
membres
et que la paralysie y est, comparativement au s
t. » Plus loin : « Ma pensée git, il me CAS DE PARALYSIE DES QUATRE
MEMBRES
. 31 semble, à la poitrine, à l'estomac ; je sui
NOTE SUR UN CAS DE PARALYSIE 11YS1');BO-TRrIUIIaTIQUG DES QUATRE
MEMBRES
; Par le Dr PAUL SÉRIEUX, Médecin-adjoint des
hénomènes convulsifs et délirants dans le cours desquels les quatre
membres
furent soumis à des traumatismes d'une intensit
furent soumis à des traumatismes d'une intensité variable pour les
membres
supérieurs et infé- rieurs : quelques jours apr
eurs : quelques jours après se développait une paralysie des quatre
membres
dont le degré était en rapport avec l'énergie d
lles de la chorée électrique. Les paralysies hystériques des quatre
membres
ne sont point chose banale. Briquet n'a observé
rique à la suite de grandes fatigues et de douleurs dans les quatre
membres
. Dans toutes ces observations relativement CAS
ns toutes ces observations relativement CAS DE PARALYSIE DES QUATRE
MEMBRES
. 33 anciennes, on ne trouve point signalé le tr
qu'à ce jour, nous n'avons pas rencontré de paraly- sies des quatre
membres
. Il s'agit tantôt d'une monoplégie d'un membre,
- sies des quatre membres. Il s'agit tantôt d'une monoplégie d'un
membre
, supérieur ou inférieur, tantôt d'une hémiplégie
tion IV de sa thèse a noté une tendance à la paralysie des quatre
membres
. OB S I ? Il VAT 10 iN. Marie Dun..., âgée de
taques convulsives, pas de paralysie. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE
MEMBRES
. 33 30. - Légère parésie des membres inférieurs
CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 33 30. - Légère parésie des
membres
inférieurs, n'empêchant point la marche. Persis
produite : les mem- bres inférieurs sont frappés de paralysie; les
membres
supérieurs sont parésiés. Tig. 1. tJlladl'I
re du territoire insensible ( : l sept.). 36 PATHOLOGIE NERVEUSE.
Membres
inférieurs. Motilité. L'impuissance est complète;
; l'une d'elles, plus éten- due a plusieurs centimètres de long.
Membres
supérieurs. - Motilité. Il existe un certain degr
d'anesthésie réunit les bottes du mem- CAS DE PARALYSIE DES QUATRE
MEMBRES
. 37 bre inférieur à la région antéro-interne de
mouvements convulsifs portent plus spécialement sur la tête et les
membres
supérieurs; -, les bras se rapprochent du tronc
ions im- portantes qui suivirent. 3 septembre. Les extrémités des
membres
supérieurs sont complètement paralysées, la mal
re MD : 0 ; MG : 4 K. La zone d'a- nesthésie a gagné du terrain aux
membres
supérieurs et remonte au niveau d'une circonfér
mplète. D'impor- tantes modifications se sont produites du côté des
membres
thora- ciques. Les membres supérieurs sont para
ifications se sont produites du côté des membres thora- ciques. Les
membres
supérieurs sont paralysés dans tous leurs seg-
us avons sous les yeux une paralysie complète et flasque des quatre
membres
. A la généralisation des phénomènes paralytique
, la sensi- bilité à la température n'a été recheichép que pour les
membres
. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 39 9 th
'a été recheichép que pour les membres. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE
MEMBRES
. 39 9 thorax, le cou jusqu'au niveau de l'os hy
; d.) les seins et la région périphérique (à part le sillon). - Les
membres
supérieurs sont totalement insensibles et tous
gauche ; seule l'aura se produit. Amendement de la pa- ralysie des
membres
supérieurs. MD : 20 MG : 15. D... peut mettre l
upérieure du dos. Dis- sociation des troubles de la sensibilité aux
membres
supérieurs : l'in- sensibilité au contact, à la
male pour tous les modes comprenant les CAS DE PARALYSIE DES QUATRE
MEMBRES
. 41 doigts, et limitée en haut par uue ligne ci
s modes d'ex- citation. Motilité. Disparition de la paralysie des
membres
supérieurs. Dynamomètre : MD : 30 K. MG 20 K. L
'excitation faradique. L'électrisation des muscles et des nerfs des
membres
inférieurs ne donne Jieu qu'à des mouvements in
ts insignifiants et reste ignorée de la malade. L'électrisation des
membres
supérieurs produit des contractions énergiques,
a température et à la piqûre seulement. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE
MEMBRES
. 'M duite : le membre supérieur droit en son en
ûre seulement. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 'M duite : le
membre
supérieur droit en son entier jusqu'à l'insertion
ion du deltoïde est devenu sensible à la température (fig. 7). Le
membre
gauche (bras, avant-bras et main) est insensible
droite. Il existe en somme une leémlanestlaésie gauche complète. Le
membre
inférieur droit conserve toujours une botte d'a
inférieur droit conserve toujours une botte d'anesthésie. Quant au
membre
supérieur, il peut, au point de vue de la dissoci
quatre segments limités par des cercles perpendiculaires à l'axe du
membre
(fig. 8) : il, épaule ; perte complète de tous
jour plus étendus. 7. Modifications de la sensibilité. La zone du
membre
droit sensible à la température et à la piqûre
ant été suspendu pendant dix jours, D... a perdu les mouvements des
membres
inférieurs antérieurement récupérés. En novembr
malade : des troubles moteurs et 10. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE
MEMBRES
. 4o sensitifs si généralisés et si intenses qu'
s secousses électriques. Pour ce qui est de la paralysie des quatre
membres
, elle a présenté les caractères fondamentaux de
u contraire par des lignes circulaires perpendiculaires à l'axe des
membres
; tous les modes de sensibilité étaient atteint
alysie a été plus consi- 46 PATHOLOGIE NERVEUSE. dérable pour les
membres
supérieurs que pour les membres inférieurs et e
THOLOGIE NERVEUSE. dérable pour les membres supérieurs que pour les
membres
inférieurs et en rapport comme la durée de la p
paraplégie ne s'accom- pagnait pas d'une anesthésie généralisée aux
membres
infé- rieurs dans toute leur étendue. La sensib
s'agrandissent, di- minuent, se modifient du jour au lendemain aux
membres
supérieurs. D'abord limitée aux mains, et à la
de l'avant-bras, l'anesthésie gagne les coudes, puis envahit les
membres
dans toute leur étendue, et va se confondre avec
la partie supéro-interne des cuisses. Les bottes d'anesthésie des
membres
inférieurs persistent au contraire plusieurs mo
ent et tous à la fois. La sensibilité ne revient que par segment de
membre
et pour tel ou tel de ses modes : tempéra- ture
des mains; la zone sensible à la tempé- CAS DE PARALYSIE DES QUATRE
MEMBRES
. 47 'l rature gagne chaque jour du terrain : sa
gagnant encore du terrain, remonte au niveau du pli du coude. Le
membre
supérieur se divise ainsi en quatre segments ;
d'après M. Paul Berbez une atrophie plus ou moins considérable du
membre
, un changement de coloration de la peau, un abais
ies du système nerveux, t. III, p. 460. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE
MEMBRES
.. , 49 vements brusques, rapides, saccadés, s'é
ments brusques, rapides, saccadés, s'étendant à la tète, à l'un des
membres
ou à une moitié du corps et se montrant gé- nér
ques qui surviennent dans les muscles de la nuque, des épaules, des
membres
. La. tête est attirée en avant ou rejetée en ar
nterpréter cette paraplégie suivie à bref délai d'une paralysie des
membres
supérieurs ? S'agit-il d'une para- lysie émotiv
ontraire, ratta- ' cher le développement de la paralysie des quatre
membres
à des traumatismes localisés à ces membres ? On
la paralysie des quatre membres à des traumatismes localisés à ces
membres
? On a cité un certain nombre de paraplégies re
été publié en effet, que nous sachions, de paralysie émotive des
membres
supérieurs. Quelle est donc la cause de ces tro
» suggérée par autrui, ou provoquée par la sensation d'absence du
membre
, de parésie, produite par un traumatisme (choc
ormation par auto-suggestion d'une im- ,CAS DE PARALYSIE DES QUATRE
MEMBRES
. Si puissance musculaire passagère en une paral
on complète. Ne peut-on admettre que cette conten- tion brutale des
membres
dont les mouvements ont été rendus ainsi subite
gère produite par un choc local. L'impuissance passagère des quatre
membres
produite par l'immobilisation forcée n'a-t-elle
négliger l'influence de la terreur sur l'im- puissance motrice des
membres
inférieurs, nous pensons que c'est à l'immobili
es inférieurs, nous pensons que c'est à l'immobilisation des quatre
membres
durant une série d'attaques convulsives et déli
délire, une prédisposition à la paraplégie; à l'immobilisation des
membres
, leur-paralysie. Remarquons enfin que la fixité
voir été en rapport avec l'intensité du traumatisme : passagers aux
membres
su- périeurs, où le choc a été peu énergique, i
rs, où le choc a été peu énergique, ils se sont montrés tenaces aux
membres
inférieurs où le traumatisme a été plus grave.
florts donner des résultats et les mouvements revenir lentement aux
membres
supérieurs et inférieurs. La part importante qu
ois, elle ne peut ni se tenir debout, ni mar- cher. A l'examen, les
membres
inférieurs ne présentent rien d'a- normal, si c
cun malaise et se trouverait très bien si elle avait l'usage de ses
membres
inférieurs. Depuis six mois environ, l'im- pote
n'offrent qu'un intérêt secondaire, pour nous occuper de l'état des
membres
inférieurs dans lequel réside tout l'intérêt de
é que nous étions en présence d'un cas type d'astasie-abasie. Les
membres
inférieurs de cette malade ne présentent, en effe
usculaire est intact, la malade assise ou couchée peut déplacer ses
membres
avec facilité, fléchir les jambes sur les cuiss
et de la coordination motrice appliquées à d'autresmouvements des
membres
inférieurs, même assez complexes, tels que ceux
convolutions. Il en résultera simultanément : '1° une paralysie des
membres
; 2° des convul- sions de la face. Quant à la n
sions cloniques d'abord circonscrites, puis généralisées à tous les
membres
). Luciani avoue que, lorsqu'il publia son mémoi
urant le plus faible, capable de provoquer une réaction motrice des
membres
, est incapable de déterminer une réaction du mê
ne; incapables de se tenir debout, ils présentaient une parésie des
membres
du côté opposé à l'hémisphère excité. L'inexcit
oreilles ou du dos dé l'animal, des convul- sions éclatent dans le
membre
supérieur droit ; après des exci- tations plus
plus fortes, toujours périphériques, les convulsions s'étendent au
membre
postérieur droit, puis aux extrémités gauches ;
ne détermine plus de convulsions cloniques, mais toniques, de ce
membre
. Ziehen ajoute que la succession rapide des con-
ale, chez ce malade, du tiers inférieur de la FA gauche. Ainsi, les
membres
dont les centres d'innervation corticale avaien
aient alors accompagnées de perte de conscience. Après l'accès, les
membres
du côté gauche restaient tout à fait flasques,
e des noyaux des nerfs spinaux, cervicaux et lombaires (muscles des
membres
et muscles abdomi- naux. - - P. K. III. Hémor
l'ère d'activité de la nouvelle Société, com- posée de vingt et un
membres
fondateurs. Seuls les spécialistes, ncuro- path
s les spécialistes, ncuro- pathologistes et aliénistes peuvent être
membres
actifs de la Société. Les séances ont lieu tous
et modifie, s'il y a lieu, l'ordre du jour des séauces. Art. 5. Les
membres
adhérents français ou étrangers ont seuls le dr
istrations publiques françaises jouiront des avantages réservés aux
membres
du Congrès. ART. 6. Les orateurs, de même que l
a tribune pendant plus de vingt minutes. 154 VARIA. ART, 7. Les
membres
du Congrès qui auront pris la parole dans une s
ieu. ART. 8. Les procès-verbaux seront imprimés et distribués aux
membres
du Congrès le plus tôt possible après la session.
recteur de l'asile, avec son personnel, se met à la disposition des
membres
du Congrès pour organiser des excur- sions à la
r P. Lacour. Les rapports sur ces questions seront envoyés à chaque
membre
adhérent, un mois avant la réunion du Congrès.
'à présent il y est allé à sesfrais. Après obser- vations de divers
membres
, la proposition de M. Gircourt est ren- voyée à
phine, sur ordonnances déjà exécutées, a chargé quelques-uns de ses
membres
de faire une en- quête à ce sujet. Des nombre
tarda pas à se cicatriser. Comme effets immédiats, paralysie des
membres
supérieur et inférieur droits, de ce dernier su
plus tard, quand survient de 164 CLINIQUE NERVEUSE. la raideur du
membre
. Bientôt la main droite s'affaiblit puis s'atro
ment, il apprend que la sensibilité cutanée s'est affaiblie dans le
membre
inférieur gauche. Je vous ai dit tout à l'heure
it résulté une vive douleur le long du rachis, et une parésie des
membres
inférieurs. Il peut se faire comme 1 Transactio
ue l'examen direct va peut-être nous rendre vraisem- blable. Au
membre
supérieur droit existent à la fois des troubles
ires diversement répartis. Les premiers occupent la face interne du
membre
, et consistent en une anesthésie dissociée suiv
muscles de la main; les contractions fibrillaires font défaut. Le
membre
supérieur gauche est indemne. Voilà bien quelqu
nt qui pourra se déve- lopper ultérieurement. Pour ce qui est des
membres
inférieurs, il nous faut distinguer ce qui appa
'eux. A droite, existe une paralysie spasmodique très marquée; le
membre
est raidi en extension , vous voyez le malade m
une altération de ces faisceaux dans la région dorso-lombaire. Le
membre
inférieur gauche et la moitié correspon- dante
par segments que limi- tent des cercles perpendiculaires à l'axe du
membre
, ainsi qu'on le voit également dans les cas d'h
d'expliquer aussi, dans cette hypothèse, les troubles observés aux
membres
inférieurs. Une es- quille, une saillie osseuse
aplégie spinale, troubles moteurs et réflexes occupant surtout le
membre
inférieur du côté opposé. Ainsi se réalise d'un
et homme ne perdit pas connaissance sur le coup, ni l'usage d'aucun
membre
, d'au- cune faculté. Le dixième jour après l'ac
auche et de la jambe gauche, avec impossibilité de se tenir sur les
membres
atteints. Cet état dure deux heures. , 29. -
ers le sommet de la pariétale ascendante, centre du mouvement des
membres
inférieurs en arrière, et plus en avant, des mem-
ère en 188 CLINIQUE NERVEUSE. avant, au centre des mouvements des
membres
inférieurs, vers celui des membres supérieurs ;
nt, au centre des mouvements des membres inférieurs, vers celui des
membres
supérieurs ; 3° Que les mouvements des yeux son
les étourdissements, les fourmillements et les crampes dans les-
membres
, quelques petits ictus apoplectiformes et épilept
épileptiformes s'accompagnant souvent d'une parésie passagère d'un
membre
,, surtout, quand à ces troubles viennent s'ajou
re à cinq grammes d'alcool absolu, on observe l'affaiblissement des
membres
inférieurs, des mouve- ments cboréiformes de la
s de 1878. M. Rebatel lit un voeu proposé au vote du Congrès. Les
Membres
du Congrès de Médecine mentale de Lyon, considéra
a suite démence précoce. 4° observation. - Paraplégie absolue des
membres
inférieurs, fièvre typhoïde antérieure, stigmat
ocalités pro- posées à celles dont les autorités ou les aliénistes,
membres
de l'administration locale, ont été au-devant d
'elle est couverte de cassures, qu'elle a un trou au coeur, que ses
membres
sont arrachés, que son corps est à l'envers; qu'e
e d'ecchymoses multiples, ayant pour siège la face, le tronc et les
membres
, très étendues surtout au bras gauche. En dernier
reau se fait l'interprète des adhérents absents ou empêchés, et les
membres
présents votent à l'unani- mité un ordre du jou
1° VISITE A l'asile départemental DE BRON (5 août). Le 5 août, les
membres
du Congrès ont visité l'asile départemen- tal d
e surveiller les cours cellulaires ont aussi attiré l'attention des
membres
du Congrès. Le luxe de grillages en fer forgé,
ar M. Rivaud, préfet du Rhône. Après avoir exprimé l'espoir que les
membres
du Congrès garderont un bon souvenir de l'accue
e A l'asile départemental DE SAJNT-RoBERT (ISÈRE). Le 8 août, les
membres
du Congrès, au nombre de 30, se sont rendus à l
jambe devenue ataxique; exagération des réflexes tendineux de ce
membre
. M. ŸBSTPÜAL. Chez un malade atteint de paralys
nts des yeux ; rien d'anormal à l'ophtalmoscope. Parésie légère des
membres
supérieurs; parésie plus accusée des membres in
pe. Parésie légère des membres supérieurs; parésie plus accusée des
membres
inférieurs, surtout à gauche ; signe de Westpha
le resta comme anéantie, se plaignant de céphalée, douleur dans les
membres
, incapacité de travailler, mélancolie simple. L
l'asile soit lu, article par article, en séance publique. Plusieurs
membres
combattent cette motion comme contraire à l'usa
lecture du budget, et après une discussion très animée entre divers
membres
, le conseil vote le budget de l'asile.» La lect
liers doit avoir lieu article par article, ce qui permet à tous les
membres
des conseils élus de présenter leurs observations
départementales RÉUNION de la société d'hypnologie. - En 1889, les
membres
du Congrès international de l'hypnotisme, avant
t d'hypnotisme ou dans les états analogues, il a été décidé que les
membres
du Congrès seraient convoqués périodiquement et
tpallier, G. Ballet, Grasset, Liégeois, Auguste Voisin et Bérillon,
membres
du bureau du Congrès. Conformément à ces décisi
és par de nombreux auteurs qui les ont étudiés soit dans les divers
membres
d'une même famille, soit chez un même individu.
au hasard, mais relèvent de la parenté étroite qui existe entre les
membres
des deux familles arthritique et névropathique.
itre, soit loo grammes environ par vingt-quatre heures. Il est un
membre
de la grande famille névropa- thique, sur leque
la marche. Ces engourdissements et cette gêne ont gagné ensuite le
membre
inférieur droit. Le malade fait naturellement r
is cinq ans, il souffre de véritables douleurs fulgurantes dans les
membres
inférieurs et de troubles vésicaux (incontinenc
. L'ataxie locomotrice progressive affecte du reste avec d'autres
membres
de la famille arthritique des rapports du même
clure que le tabes affecte des liens de parenté avec le rhumatisme,
membre
de la famille arthritique. C'est sans doute e
fié. Des récriminations contre son père, son beau-frère et d'autres
membres
de sa famille, voilà pour les idées de persécut
te atrophie muscu- laire ne s'accompagne pas de raccourcissement du
membre
; C... ne boite pas et il supporte, sans fatigue
i se compliquaient parfois par des phénomènes paralytiques dans les
membres
, et, d'autre côté, celles qui se distinguaient
ontemporaine ne connaît plus de maladies telles que l'atrophie d'un
membre
, l'atrophie de la langue, etc., et traite les t
à terre et reste sans connaissance. 11 y a donc eu un moment où le
membre
supérieur gauche a été fortement tiraillé et où l
journée et les journées suivantes. Etat actuel. 1° Aspect général :
membre
supérieur gauche pendant, flasque, très amaigri
lité conslatée à l'aide de certaines explorations, a). La peau du
membre
présente une disposition remarquable de l'anesthé
ésie superficielle ; 4° a). Troubles trophiques : Amaigrissement du
membre
, différence de 1 à 2 cent. 50, et cela en un mo
re gauche du tronc, du cou et de la face. Elle est conservée sur le
membre
infé- 366 RECUEIL DE FAITS. rieur gauche à pa
ie de. la moitié postérieure droite du tronc, du bras droit et du
membre
inférieur droit. La sensibilité à la douleur du c
au cuir chevelu, à la face, sauf à la moitié gauche du menton, aux
membres
supérieurs sauf aux doigts; sur le ventre et la
re du thorax du côté gauche. Elle est con- servée dans le dos et au
membre
inférieur gauche. Du côté droit, la disposition
'HYSTÉRIE MALE. 367 et demie. Puis il a des battements violents des
membres
inférieurs qui ébranlent le lit; les jambes son
Puis il est pris de secousses tétaniformes, prolongées, des quatre
membres
, égales des deux côtés. Ensuite il sort de sa bou
n fréquente bruyante. - Le corps est dans l'extension ainsi que les
membres
. Puis il se tortille, se retourne très vile, se
ée à gauche, puis à droite. Secousses tétaniformes, prolongées, des
membres
et des paupières. Stertor, écume abondante, san-
ques avec flexion des jambes, des cuisses, du tronc, projection des
membres
en l'air, puis il retombe sur le lit. Petits mo
n l'air, puis il retombe sur le lit. Petits mouvements surplace des
membres
inférieurs. - Repos puis de nouveau grands mouvem
quels il crie. - Repos, puis arc de cercle : le corps repose sur le
membre
inférieur droit, tandis que le gauche est soulevé
artout. Les secousses sont tantôt dans les épaules, tantôt dans les
membres
inférieurs. Tout d'un coup il se' relève, la
place sur la tête dans l'attitude d'un clown, le tronc étendu, les
membres
à demi-fléchis. Il retombe, s'asseoit, regarde
arrive, il est pris subitement de convulsions cloniques des quatre
membres
. Un tremblement très fort secoue tous les mem-
ue d'une durée de trente secondes. A 8 h. 24, une secousse dans les
membres
supérieurs. C'est la pre- mière depuis le comme
s des mains tournées l'une contre l'autre, les poings fermés et les
membres
inférieurs sont dans l'extension, puis présentent
gémissement; la tête se soulève, tout le corps devient rigide, les
membres
dans la même attitude que plus haut. Surviennen
fin arrivent des mouvements cloniques assez étendus dans les quatre
membres
et aussi intenses d'un côté que de l'autre.-La
é et créant chez elle un état nerveux ethnique qui prédispose ses
membres
d'une façon particulière à toutes les maladies ne
; régulier, symétrique. Fracture ancienne de la clavicule gauche.
Membres
supérieurs. Bien conformés et développés. Réflexe
et développés. Réflexes du coude et du poignet égaux et normaux.
Membres
inférieurs, bien conformés. Réflexes patellaires
e, mais d'une façon plus marquée à gauche au tronc, aux bras et aux
membres
inférieurs. La sensibilité à la piqûre parait a
ôté droit au cuir chevelu, à la face et au cou. Sur le tronc et les
membres
inférieurs, les yeux fermés, elle est prise pou
e demi- miuule environ. Arc de cercle latéral. Secousses dans les
membres
. Résolution d'environ deux minutes. Puis gémiss
sur le dos. Surviennent alors des convulsions toniques de tous les
membres
, avec gonflement du cou, constriction des mâcho
s la coordination des mouvements du train postérieur, puis dans les
membres
antérieurs, et au bout d'un temps variable, l'a
stincte, finalement démence complète, raideur, puis contracture des
membres
ramenés contre le ventre, salivation, dysphagie
héréditaire. Il existe en revan- che beaucoup de familles dont les
membres
, quoiqu'ils ne soient pas normaux, ne se suicid
diaires. (P. K.) SOCIÉTÉS SAVANTES. 421 la prévenance de quelques
membres
de la Société,- celle-ci peut disposer d'une so
e Berlin pour les aliénés guéris et demande le concours de ceux des
membres
qui n'ont pas encore apporté leur obole'. Séanc
ons tous été frappés de l'ardent désir dont étaient animés tous ses
membres
de ne tenir compte d'aucune idée préconçue pour
un an. Après discussion, cette proposition a rallié la majorité des
membres
du groupe, mais à la condition que le pharmacien
du service médical s'exercerait sur les actes d'administration. Les
membres
du cin- quième groupe, également à l'unanimité,
idées, c'est-à-dire afin de bien indiquer la pensée qui inspire les
membres
du groupe et sur la remarque judicieuse de M. L
s membres du groupe et sur la remarque judicieuse de M. Lunier, les
membres
du groupe, à l'una- nimité, ont demandé que, do
rsonnes assistées venaient de dix-huit asiles différents. Parmi les
membres
de la Société se trouvent en général des membre
férents. Parmi les membres de la Société se trouvent en général des
membres
du clergé, des méde- cins, des gens charitables
ié dans le Journal of Mentale Science une étude sur la natalité des
membres
de quelques-unes des professions libé- rales de
rougeur, chaleur, ampoule) au milieu de la sur- face interne de ce
membre
. On répéta trois fois les suggestions, puis on
qui correspondait exactement Eu point indiqué par la suggestion. Le
membre
fut alors pansé et le jeune homme envoyé se cou
voisine, large de 4 ou 5 centimètres, était extrêmement tendre. Le
membre
fut de nouveau pansé avec soin et réexaminé le
Saint-Péters- bourg a décerné, dans sa dernière séance, le titre de
membre
honoraire à notre éminent directeur, M. le prof
Pour la circonscription de Paris, le concours s'ouvrira le 15 dé-
membre
. Le jury est ainsi composé : Président, Dr Drouin
iale totale, par Ona- noff, 357 ; histéro-traunaatlque des quatre
membres
, par Sérieux, 31 ; isolée Au nerf bus-scapulair
, absolue à la douleur. Cette anes- thésie s'observe à la face, aux
membres
, au tronc et à l'abdomen. Toutefois, comme on p
ariable, correspondant aux parties blanches du schéma, existent aux
membres
et au tronc. Au niveau de plusieurs de ces plaque
e conservé, en ce sens que le ma- lade reproduit exactement avec le
membre
supérieur gauche les mouvements passifs communi
ec le membre supérieur gauche les mouvements passifs communiqués au
membre
droit et réciproque- ment. Mais si l'on ordonne
d'un tremblement du bras droit accompagné d'un peu de parésie de ce
membre
. A l'âge de 23 ans, deux ou trois nouvelles cri
ent DE l'entrée. 1° On constate une faiblesse très accusée des deux
membres
droits, particulièrement ' de l'inférieur. La p
tient debout, il écarte notablement les jambes l'une de l'autre. Le
membre
inférieur droit est animé d'un tremblement rhyl
; 2° La sensibilité est abolie dans tous ses modes au niveau des
membres
parésiés. On peut loucher, piquer, brûler la peau
quer, brûler la peau sans. que D... accuse la moindre sensation. Au
membre
inférieur, il exisLe trois petites zones sensib
plité. La zone anesthésique se termine brus- quement à la racine du
membre
(fir. 4). 3° La sensibilité spéciale à peu près
13. L'examen de la sensibilité montre une anesthésie complète du
membre
supérieur droit. La zone insensible s'étend jusqu
forme un véritable gigot. A la face, anesthésie du côté droit. Aux
membres
inférieurs, même état qu'à l'entrée. A la fac
et des fourmillements dans son avant-bras gauche. Le bras, puis le
membre
inférieur gauche sont pris successivement. Le m
sont très diminués au côté droit. 3° Troubles de la motilité. Le
membre
inférieur gauche, est plus faible que le membre d
de la motilité. Le membre inférieur gauche, est plus faible que le
membre
droit et le malade ne peut se tenir debuut sur
ir debuut sur sa jambe gauche. Diminution de la force musculaire au
membre
supérieur gauche qui serre moins fort, et qui d
e est ému. 11 ne se modifie pas dans le bain. 15 - La parésie des
membres
supérieur et inférieur gauches a à peu près com
ovembre. Anesthésie complète Fig. 6. 16 PATHOLOGIE NERVEUSE. du
membre
supérieur se terminant en arrière à l'omoplate. A
e, avec perte de connaissance; on note alors : 1° de la parésie des
membres
supérieur et inférieur droits; des troubles de
langue, vers la gauche; 2° de l'anes- thésie absolue au niveau des
membres
parésiés, se terminant brusquement à la racine
veau des membres parésiés, se terminant brusquement à la racine des
membres
; tics zones d'hypéresthésie au niveau des fosse
LADIE DES TICS ET UN CAS DE TREMBLEMENT SINGULIER DE LA TÈTE ET DES
MEMBRES
GAUCHES; Par le professeur J. GRASSET (de Mon
les sont quelquefois accompagnées d'un mouvement corres- pondant du
membre
, d'autres fois pas ; nous voyons encore ces sec
à peu près généralisés à tout le corps, aussi bien au tronc qu'aux
membres
. Assis, il remue moins, le tronc est presque im
surtout les extrémités qui sont le siège de secousses. Debout, les
membres
inférieurs sont à peu près indemnes, à part tou
ents de torsion et des oscillations diverses, en même temps que les
membres
supérieurs sont constamment agités. » Les mou
traîné pendant quelques mois la jambe droite, ne s'appuyant sur ce
membre
pendant la marche qu'avec la plus grande diffic
arant aux formes classiques, on constate que la localisation sur le
membre
inférieur est loin d'être la plus fréquente.
extrémité céphalique en un mot. Les mouve- ments analogues dans les
membres
sont beaucoup moins fréquents; rarement, affirm
ou quelque mouvement involontaire du cou. Déjà les mouvements du
membre
supérieur sont peu fré- quents : bien plus exce
périeur sont peu fré- quents : bien plus exceptionnels sont ceux du
membre
infé- rieur. 11 semble, en quelque sorte que la
rps. D'après Guinon, « les mouvements involontaires qui animent les
membres
inférieurs sont les plus rares de tous. Nous ne
te déjà un certain intérêt, puisqu'elle nous révèle un tic isolé du
membre
inférieur. Un fait plus rare encore, et qui n'e
même pas classique- ment signalé, c'est la paralysie consécutive du
membre
. Ce fait appelle immédiatement un rapprochement
t de cinq jours, elle présente une paralysie presque complète des
membres
inférieurs, de l'incontinence des urines et des m
; de petites plaques de gangrène apparaissent en divers points des
membres
inférieurs. L'état général décline rapidement e
seur Masius, qui en quarante- huit heures est pris de paralysie des
membres
inférieurs et d'in- continence des sphincters.
tus fessier, oedème des pieds, ulcérations en différents points des
membres
inférieurs. Il se produit, en outre, de la cyst
d'épilepsie que je peux observer moi-même. A ce moment, les quatre
membres
sont encore tétanisés, raides, le malade ne peu
s teinte cyanosée de la face et convulsions cloniques violentes des
membres
, du bassin et du cou. Le tout dure trois minute
a persisté plusieurs mois non seulement aux mains, mais encore aux
membres
inférieurs; 4° une albumi- nu'rie transitoire e
ellement, l'anomalie décroit. Elle ne se manifeste pas sur tous les
membres
de la famille, mais simplement sur une petite p
des accès, le malade se plaint d'une impuissance absolue des quatre
membres
: anesthésie légère et passagère ; pas d'atroph
nt caractéristique de la période d'impuissance apparente des quatre
membres
: un jour, il se met en colère contre son gar-
onvexité à gauche, sans aucun point douloureux ; pas d'atrophie des
membres
inférieurs; réflexes normaux. Ici encore, sous
pect de névrophate, souffre depuis quatre ans d'une paralysie des
membres
inférieurs, accompagnée de sensations particulièr
graduellement progressive de la faiblesse motrice ; rigi- dité des
membres
; tremblements fihrillaires ; émaciation ; atro-
2 revue DE patiiologie mentale. fonctions motrices, la rigidité des
membres
et leur résistance aux mouvements' passifs anno
symptômes nerveux ; embarras de la parole, aphasie ; parésie des
membres
; exagéiafion du réflexe du genou; pupilles réguli
léments d'un délire général avec gémissements, inquiétudes dans les
membres
, turbulence, idées de suicide, siliophobie, conce
e\itent (diminution du champ visuel, plaques d'hypéresthésie) ; les
membres
supérieurs sont moins solides qu'auparavant, et
s solides qu'auparavant, et agités par un tremblement ainsi que les
membres
supérieurs. L'auteur à propos de cette observat
n et la marche des anesthésies, et débutant de préférence par les
membres
supérieurs où l'on observe l'une des trois formes
à Nicolas Harmant, chez de service à Choisy-le-Roi. 137 diplômes de
membre
associé honoraire; 13 médailles d'argent 445 mé
r de toutes les autres affections douloureuses ou névralgiques du
membre
inférieur, puis beaucoup plus tard par Valleix
éresthésie et l'anesthésie et enfin que l'atrophie des muscles du
membre
inférieur pouvant survenir dans certains cas de
arfaitement légitime. L'amyotrophie due seulement à l'inactivité du
membre
malade peut se rencontrer dans la sciatique-név
il parle est toujours une atrophie en masse, soit de la totalité du
membre
, soit d'un segment de ce membre, jambe ou cuiss
ie en masse, soit de la totalité du membre, soit d'un segment de ce
membre
, jambe ou cuisse, dans son entier. Elle ne préd
, des muscles du mollet. ' Bianchi. De* paralysies traumatiques des
membres
inférieurs chez les nouvelles accouchées. Th. P
chées. Th. Paris, 1867. - Lefebvre. Des paralysies traumatiques des
membres
inférieurs.. Th. Paris, 1876 3 Brivois. - Par
érieurs.. Th. Paris, 1876 3 Brivois. - Paralysies traumatiques du
membre
inférieur consécutives il l'accouchement labori
rieurement par des douleurs et de l'engourdisse- ment dans les deux
membres
inférieurs. Puis les trou- ,hies se sont locali
deux membres inférieurs. Puis les trou- ,hies se sont localisés au
membre
du côté gauche, pour se limiter en définitive a
e à l'accouchement. - (LEFFBVRE. Des paralysies t1'aU- matiques des
membres
inférieurs. Th. Paris, 1867.) Femme de trente-q
ouchement, douleurs continues avec exacerbations très vives dans le
membre
inférieur gauche,surtout ,dans la fesse. Les
ons utérines s'accompagnaient de vives douleurs dans la fesse et le
membre
inférieur du côté gauche. Aptes une tentative d
reste inerte dans son lit, se plaignant de vives douleurs dans le
membre
inférieur gauche et la fesse. Ces douleurs se loc
unté à Lefebvre. Observation IV (résumée). - Paralysie partielle du
membre
infé- rieur droit consécutive àun accouchement
chement le 4 juin 1874. Presque tout de suite après, para- lysie du
membre
inférieur droit, dont elle s'aperçoit huit jours
d'une fistule 1t1'éthl'o-vllginale et d'une paralysie partielle du
membre
in- férieur droit. (LErrnvnu. Thèse citée.) F
pendant le travail elle ressentait de vives douleurs.dans les deux
membres
inférieurs, mais qu'après l'accouchement celles
, mais qu'après l'accouchement celles-ci se sont localisées dans le
membre
droit qui était complètement paralysé et insens
lésion non seulement du sciatique, mais encore de tous les nerfs du
membre
inférieur. Puis le tronc et les premières branc
action volumineuse dans le côté gauche de l'abdomen. On redresse le
membre
pendant le sommeil chloroformique et on le met
t prononcé. Douleurs vives dans l'abdomen avec irradiations dans le
membre
inférieur gauche. Mouvements possibles dans la
te au domaine du sciatique poplité externe de toute paralysie des
membres
inférieurs consécutive à l'accouchement. La thé
prédominance se manifeste dans les névrites pour les extenseurs des
membres
. Il n'y aurait rien de plus ici. De même que da
e trajet du nerf que le malade dessine presque exactement sur son
membre
inférieur, indiquant bien que les points lombaire
rmellement qu'auparavant il ne s'était aperçu d'aucune faiblesse du
membre
inférieur. 11 faisait souvent de longues course
les orleils de trainer à terre, lorsque dans la marche il porte le
membre
inférieur gauche en avant. En le regardant de d
s, le jour même, elle ressentit une douleur très aiguë dans tout le
membre
inférieur gauche, le long du sciatique. Tout le
dans tout le membre inférieur gauche, le long du sciatique. Tout le
membre
a été pris d'emblée. A la douleur s'ajouta une fa
membre a été pris d'emblée. A la douleur s'ajouta une faiblesse du
membre
, telle que la malade ne pouvait se tenir debout,
'empreinte de la z douleur. Elle se plaint de souffrir dans tout le
membre
inférieur gauche, sur le trajet du sciatique.
re, dorsal du pied, plantaire. Il existe des fourmillements dans le
membre
déjà depuis long- temps (la malade ne peut pas
1870, souffre depuis environ quinze ans de douleurs vagues dans les
membres
inférieurs, et particulière- ment dans la cuiss
urlaifficulté de la marche, et les douleurs qu'elle ressent dans le
membre
inférieur droit. Elle indique comme points do
postérieure de la cuisse. On constate un amaigrissement général du
membre
inférieur droit.A la cuisse la circonférence me
ux à la face interne de la jambe. Un peu d'oedème des malléoles. Le
membre
inférieur droit est notablement plus froid que
au tact, à la douleur et à la température, dans toute l'étendue du
membre
inférieur droit. 1 Motilité. Impossibilité ab
u pied sur le sol, elle ne marche pas franchement par pas égaux. Le
membre
inférieur doit rester toujours devant le gauche
, avec un amaigrissement en masse assez marqué des deux segments du
membre
inférieur. Ces derniers troubles sont ceux que
, une simple diminution de la sensi- bilité dans toute l'étendue du
membre
inférieur. Nous pouvons répéter pour la sensibi
ues lignes plus haut pour la motilité. Cette légère hypoesthésie du
membre
entier fait partie des accidents déjà connus de
atique et est parfaitement connexe avec l'amaigrissement général du
membre
, tandis que les troubles sensitifs profonds loc
mpes douloureuses. Ces crampes surviennent encore au repos quand le
membre
inférieur est en extension. Attitude. Le malade
du pied droit sur le sol, sans jamais l'en détacher. Au repos, le
membre
inférieur doit être étendu, raide, le pied dans
que vient contrecarrer un spasme plus ou moins généralisé à tout le
membre
. La jambe se fléchit sur la cuisse jusqu'à l'an
ite sur celle du côté opposé. 1 Les mouvements de chaque segment du
membre
inférieur droit sont faibles, limités et sont a
empêche pas néanmoins complètement l'exécution des mouvements. Le
membre
inférieur droit tout entier est atteint d'un trem
sentis comme contact. Dans toute la moitié droite du corps, sauf le
membre
in- férieur, le passage du pinceau n'est pas pe
re, la chaleur et le froid sont parfaitement sentis. Au niveau du
membre
inférieur droit, sauf dans la région que nous a
pied présente les mêmes troubles de la sensibilité que le reste du
membre
, c'est-à-dire que la cuisse et la partie postér
hiques, ni troubles vaso-moteurs. Pas d'amai- grissement notable du
membre
. Insensibilité pharyngienne. A gauche : goût ab
ître leur véritable nature, Au point de vue de la sensibilité, le
membre
inférieur droit doit être partagé en deux zones
anés du sciatique poplité externe. Quant à la plus grande partie du
membre
inférieur, elle présente identiquement les même
ue de l'anesthésie qui occupe comme une jambe de pantalon tout le
membre
inférieur du côté droit, lorsque, en présence d
dé- rant les caractères de l'anesthésie en jambe de pan- talon du
membre
inférieur droit, anethésie abso- lument identiq
LADIE DES TICS ET UN CAS DE TREMBLEMENT SINGULIER DE LA TÈTE ET DES
MEMBRES
GAUCHES ' ; Par le professeur J. GRASSET ( de
le Sainte-Marie et qui présente, principalement dans la tête et les
membres
, des mouvements très bizarres et difficiles à a
céphalique et ne se sont manifestés qu'à un moindre degré dans les
membres
, avec une prédominance marquée pour le côté gau
ent guère que pendant les mouvements volontaires ou bien lorsque le
membre
n'est pas soutenu ; les mouvements du bras sont
enu ; les mouvements du bras sont beaucoup plus marqués que ceux du
membre
inférieur. Tous ces mouvements ont le caractère
rmittente des muscles frontaux et sourciliers. Les mouvements des
membres
ont également un caractère rythmé. Plus marqués
nt également un caractère rythmé. Plus marqués, ai-je dit, dans les
membres
supérieurs, ils ont une amplitude différente, s
de rendre l'acte impossible. Ce der- nier caractère vise surtout le
membre
supérieur droit, auquel l'amplitude moindre des
rémulation intense, à préciser l'acte voulu. · La trépidation des
membres
ne se produit pas au repos propre- ment dit, c'
ssitôt que l'on dit à la malade d'élever sa main ou de soulever son
membre
inférieur. C'est dire que la marche est impossi
et se produisant également, bien qu'à un moindre degré, dans les
membres
supérieurs et inférieurs. La première maladie à
te particularité qu'à toute affection qui survient chez un de leurs
membres
, s'ajoute un élément nerveux. - Si, dans une pa
né l'absence de tremblement céphalique, opposé à la trépidation des
membres
, comme un signe caractéristique et d'une valeur
provoqué par l'intensité des secousses ayant leur origine dans les
membres
. - Ce caractère n'est pas aussi constant qu'on
crois, à écarter la paralysie agitante. Puisque le tremblement des
membres
peu marqué au repos, apparaît nettement à l'occ
et du cou ; la tête branle plus rarement, le début a lieu par les
membres
supérieurs, le tremblement peut rester longtemps,
e, localisé à la tête, mais habituellement il occupe la tête et les
membres
supérieurs ; très rarement, il envahit progres-
embres supérieurs ; très rarement, il envahit progres- sivement les
membres
inférieurs et tend à se généraliser. « Le tremb
à la tête 'des oscillations obliques. ' ...... Le tremblement des
membres
supérieurs est moins cons- , tant que celui de
atoires sont habituellement localisés à 202 CLINIQUE NERVEUSE. un
membre
inférieur. Ils sont constitués par des secousses
par de très ' petites secousses, brèves et uniformes, imprimant aux
membres
: des mouvements' d'oscillations vibratoires rapi
ties du corps, cependant ils sont plus fré- quents et plus nets aux
membres
supérieurs. Dans un certain nom- , bre de cas,
ostic définitif est donc le suivant : Tremblement de la tête et des
membres
du côté gauche cons- taté chez une hystérique,
n'est pas exact de dire que, comme lui, il se localise surtout aux
membres
inférieurs : loin de là. Les muscles le plus so
pers.). Nous n'avons relevé que six cas de monoplégie de tout un
membre
et encore n'est-il pas possible d'affir- mer qu
efois agi d'une para- lysie des extenseurs. Sauf une fois, c'est le
membre
supérieur qui a été touché; dans le cas auquel
e fonctionnelle de la jambe et l'insensibilité du pied complète. Au
membre
supérieur, la paralysie s'est localisée d'emblé
i disparut plus tard. Il n'existe que quatre cas de paraplégies des
membres
inférieur-; qui se sont tous terminés par la gu
seraient soit secondait es4, consécutives à une parésie des quatre
membres
6, soit primitives, se montrant aussitôt après
est l'anesthésie localisée à une moitié du corps pu à un segment de
membre
, ou répondant au trajet d'un nerf. Bourru ' a s
Dans toutes les observa- tions où la paralysie ne frappait dans un
membre
qu'un certain groupe de muscles, les extenseurs
des plus caractéristiques est l'empâtement que l'on observe dans le
membre
paralysé. Ainsi, dans un cas cité par Lytten '
mbre paralysé. Ainsi, dans un cas cité par Lytten ' de paralysie du
membre
supérieur, il y avait un empâtement de tout le
e la peau. Une autre fois, l'empâtement siégeait dans un segment de
membre
autre que celui qui était paralysé. Cette tum
du) la peau des doigts était tendue et lisse, les ongles striés, le
membre
entier couvert de sueur et se refroidissant plu
, toujours peu marquée d'ailleurs, a été signalée aussi bien sur un
membre
entier (Bour- don, Hurchzeimer) ' que sur des g
seulement vingt jours après l'accident : D'abord, localisation à un
membre
inférieur, ensuite paraplégie, troubles des sph
rieur, ensuite paraplégie, troubles des sphincters, paralysie des
membres
supérieurs, du nerf facial, et mort avec des si
pas fait). Mais il y avait des alté- rations nerveuses au niveau du
membre
inférieur par où la paralysie avait débuté. Là,
ERVEUSE. - PARALYSIES. présenta à la suite d'une parésie des quatre
membres
une cécité absolue et une hémiplégie droite com
table, produira nécessairement, soit uniquement sur la partie du
membre
où le coup a porté, soit sur le membre tout entie
uniquement sur la partie du membre où le coup a porté, soit sur le
membre
tout entier divers troubles transitoires de la
tion d'engourdissement, de pesanteur et de faiblesse dans tout le
membre
supérieur; « il lui semble que le membre frappé n
de faiblesse dans tout le membre supérieur; « il lui semble que le
membre
frappé ne lui appartienne plus, qu'il lui soit
s- thésie, paralysie, sensation d'engourdissement et d'absence du
membre
, et les caractères habituels mais passagers des
rritoires anesthésies par des cercles perpendicu- laires à l'axe du
membre
, pertes de toutes les sensibilités, pa- résie.
r Putnam (paresthésie pério- disque, 1880), Berger (paresthésie des
membres
inférieurs, 1879) et surtout ceux d'Ormerod et
que. Immédiatement après, 244 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 1 les
membres
inférieurs reprennent leur flaccidité, leur calme
. Pas d'autopsie. II. Opïcthcllrlmoplégie externe avec ataxie des
membres
inférieurs, exagération des réflexes patellaire
cert avec d'autres causes occasionnelles, provoqué de la parésie du
membre
inférieur gauche et en particulier du pied. - 0
in afin de pouvoir comparer le côté de la moelle cor- respondant au
membre
amputé et la dégénérescence secondaire des cord
LOGIE PATHOLOGIQUES. lysie, contracture, arrêt de développement des
membres
gauches; épilepsie passagère depuis l'âge de hu
leur présence cette première séance du Congrès. Puis, il invite les
membres
à former leur bureau et à nommer les présidents
ning, les autres au D' Stirling. Il fait passer sous les yeux des
membres
du Congrès : 1° un tableau statistique comprenant
et d'autre comme une ataxique. Une fois couchée, les mouvements des
membres
inférieurs sont absolument normaux; l'examen él
ectrique n'y ré- vèle rien de particulier; sensibilité diminuée aux
membres
infé- rieurs surtout aux jambes; perte du sens
un Congrès de psychiatrie et de neurologie, n'est pas adoptée. Les
membres
du bureau actuel formeront une Commission perma
prochain comme elles l'ont été cette année. . Un grand nombre de
membres
du Congrès se sont réunis à un banquet sans auc
leptiques. Après avoir remercié M. le Dr Giraud d'avoir remis aux
membres
du Congrès un plan des deux asiles et son rapport
l qui servira de lieu de réunion et de bureau de renseignements aux
membres
de la sec- tion de psychiatrie et neurologie. M
urvient alors : le malade tombe à terre, privé de connaissance, ses
membres
sont agités de mouvements convulsifs peu intens
organique les plus caractéristiques c'est celui des mouvements des
membres
inférieurs pendant la locomotion, et c'est ains
malade, les altérations profondes de la sensibilité existant aux
membres
inférieurs ne peuvent-elles pas être considérées
chez une femme qui, avec les troubles de la sensibilité tactile aux
membres
inférieurs, a perdu totale- ment la notion de p
Ici, nous n'avons pas, il est vrai, constaté objectivement dans les
membres
supérieurs des troubles de sensibilité analogue
membres supérieurs des troubles de sensibilité analogues à ceux des
membres
inférieurs ; mais il est cependant à noter que
ion d'équilibre. Leur faculté de locomotion reste la même, et les
membres
sont coordonnés avec précision. Si on pince leu
ctions d'une complexité assez grande. - La puissance musculaire des
membres
a assez considérablement diminué, et cela davan
embres a assez considérablement diminué, et cela davantage dans les
membres
antérieurs que dans les postérieurs. Néanmoins,
par exemple que, quoique les lésions qui causent une affection du
membre
supérieur soient groupées principalement dans une
le (fig. 38 +) le centre pour les exten- seurs et les abducteurs du
membre
antérieur. Un peu derrière et plus près de la s
oronale (fig. 37 +) est le centre pour la flexion et la rotation du
membre
. Le centre pour le membre pos- térieure. 37$$)s
centre pour la flexion et la rotation du membre. Le centre pour le
membre
pos- térieure. 37$$)se trouve aussi sur la circ
ution postfrontale, mais plus près de la ligne médiane que celui du
membre
anté- , localisation der Functionen in der Gros
me de stimulant, cependant il a pu produire des mouvements dans les
membres
opposés en irritant les parois 1 Expérimental r
es et peut répondre non seulement par des mouvements partiels des
membres
opposés, mais aussi par une attaque épileptique l
ne différerait pas de celle des lésions analogues qui frappent les
membres
ou les autres viscères à système artériel anast
de les suivre, de les soutenir pendant le mouvement d'élévation du
membre
et de ne les laisser exercer leur action qu'au
1890 par des douleurs dans la cuisse gauche ; ultérieure- ment, le
membre
s'cedématie et devient douloureux à la pression.
ate une pleurésie sèche double. Ensuite l'oe- dème s'étend aux deux
membres
inférieurs, et à la fin de février, on pouvait
ndevoir endormi rappelait la phase léthargique de l'hypnotisme; ses
membres
soulevés retombaient inertes, mais il continuai
Proskauer, 77. Tics, maladie des et tremblement de la tête et des
membres
gauches, par Grasset, 27. 187; étiologie du c
uper que de celles qui se montrent dans les gros troncs nerveux des
membres
. Celles-ci du reste ne surviennent pas fataleme
endant à ce point de vue avec quelque soin, n'ont présenté dans les
membres
de paralysie, ni surtout de paralysie localisée
t après la blessure, des douleurs intolérables survinrent dans le
membre
supérieur correspondant sans s'accompagner de p
e attribuée au mauvais état de la nutri- tion générale; limitée aux
membres
frappés d'incoor- dination, elle était en outre
mum dans certains muscles qui sont presque toujours les mêmes; aux.
membres
inférieurs, ce sont les muscles antérieurs de l
nt-bras, chez les sujets dont l'incoordination motrice a envahi les
membres
supérieurs,mous avons trouvé également d'une ma
muscles du mollet et ceux de la partie antérieure de la cuisse, le
membre
infé- rieur, étant dans l'extension. Dans une p
indispensable, pour éviter toute erreur, d'examiner. les muscles du
membre
inférieur, celui-ci étant dans la demi-flexion.
s'' est modifié et que, dans les mêmes circons- tances, sur un même
membre
, ceux-ci' réagissent différemment sous l'influe
ation motrice : Nous ne'1 les'1 avons' pas davantage observées' aux
membres
supérieurs' 'des ataxiques^ dont l'incoordinati
supérieurs' 'des ataxiques^ dont l'incoordination était limitée aux
membres
inférieurs'. Il paraît donc y avoir un lien étr
pe les1 racines postérieures, correspondant aux- nerfs de tout'un
membre
, on observe des troubles moteurs bien connus de
tionne toutes les racines postérieures correspondant aux nerfs d'un
membre
,,on remarque une certaine gêne dans la marche '
sé 'ne lè'sont plus,' 'd'où défaut de synergie dans l'action 'des
membres
. « Si» l'on coupe, dit M. Vulpian \ toutes les,
\ toutes les,, racines postérieures des nerfs destinés à1' un des
membres
postérieurs ;' on voit-que'les mouvements' de c
' un des membres postérieurs ;' on voit-que'les mouvements' de ce
membre
cessent de se'produire, comme dans l'état norma
Le même fait existe chez les ataxiques, pour les muscles d'un même
membre
. *' Tschirjew, dans son remarquable travail, a
amment à régulariser les mouvements et à prévenir la projection des
membres
. On peut objecter à Tschirjew, que si sa théori
leur tonus par des efforts énergiques Aussi lorsqu'on examine leurs
membres
inférieurs dans la station, les trouve-t-on dur
sent d'atteindre, et nous pouvons comprendre ainsi les troubles des
membres
supérieurs dans la préhen- sion des objets, aus
supérieurs dans la préhen- sion des objets, aussi bien que ceux des
membres
infé- rieurs dans la marche. Lorsqu'un sujet
s la marche. Lorsqu'un sujet atteint d'incoordination motrice des
membres
supérieurs veut saisir un objet de petit volume
t-il le but qu'il se propose d'atteindre d'où projection brusque du
membre
. La projection est encore favorisée par cette c
souvent relâchés, d'où une certaine brusquerie dans l'extension du
membre
. Les muscles rotateurs en dehors l'emportent de
embre. Les muscles rotateurs en dehors l'emportent de beaucoup au
membre
inférieur sur les rotateurs en dedans; aussi, l
ateurs en dedans; aussi, lorsque la contraction des muscles de ce
membre
est portée à son maximum, devra-t-il être dans
simple déviation du pied en dehors, mais d'une rotation de tout le
membre
, ainsi qu'il est. facile de s'en assurer en exa
mère, elle avait déjàlatête aussi volumineuse, qu'aujourd'hui ;,les
membres
ont toujours 'été très grêles; l'enfant voyait
ve pas de changement notable dans sa situation, si ce n'est que ses
membres
sont plus amai- gris. La parole et l'intelligen
cariées. - La voûte palatine est plate, assez large, symétrique.
Membres
supérieurs.-On note un peu de raideur des épaules
aucun objet avec ses doigts; les mains sont froides et cyanosées.
Membres
inférieurs Les cuisses sont fléchies à angle droi
elle interprétation nous paraît d'autant plus jus- tifiée, qu'aucun
membre
de la famille du père et de la mère de l'enfant
lèvres relativement développées présentent quelques poils longs.
Membres
supérieurs. Le bras gauche est assez libre. - L
bouche pour la sucer, moins souvent toutefois que la main gauche.
Membres
inférieurs. Le membre inférieur gauche est plus
oins souvent toutefois que la main gauche. Membres inférieurs. Le
membre
inférieur gauche est plus long, et relativement
che. Ensuite apparaissent quelques convulsions cloniques dans les
membres
du côté droit, en même temps que des convulsions
;,2. Description d'un accès. - a) Pas de cri; rigidité des quatre
membres
prédominant à droite; paupières ouvertes; yeux
dirigés en avant. b) Convulsions tétaniformes des paupières et des
membres
qui, dans cet accès, sont égales des deux côtés
yeux et la face se portent à droite. c) Assoupissement; retour des
membres
à leur état habi- tuel ; pas de stertor ni d'éc
be du côté droit. Il n'y a ni ronflement, ni écume; le corps et les
membres
reprennent la position qu'ils avaient avant l'a
plus forts, la langue est animée d'un mouvement de va-et-vient; les
membres
du côté gauche sont pris de raideur, et sont en
sements ; selles diarrhéiques. - Pla- ques noires sur le sacrum. Le
membre
inférieur droit est souple.-L'épaule droite est
coude très rigide; l'avant- bras fléchi ; le poignet rigide. -- Les
membres
du côté gauche sont souples. - P... ne grince p
nous, que l'on doit ratta- cher les convulsions qui affectaient les
membres
du côté droit. NOTES SUR L'IDIOTIE. 91 Nous
e de .M. OuLMpNT), salle Saint-Augustin, n° 11. Les mouvements du
membre
inférieur gauche sont très limités; le malade s
uteur. Il marche en remor- quant laborieusement sa jambe malade. Le
membre
supérieur ne peut se mouvoir; la main se ferme
oque-t-on pas une contraction intense de la totalité des muscles du
membre
? Il est toujours fort difficile, sauf par l'él
ndique dans les observations la paralysie de la face ou celle des
membres
, mais qu'on ne recherche guère une paralysie du
s de la communication de M. Amidon à la Société de biologie, un des
membres
, M. Vallin, rappelait une observation dans laqu
du côté opposé. Ces deux effets se manifesteraient surtout dans les
membres
pelviens ; 2° Chez un animal ayant subi une hém
compris la faradisation. Chose curieuse, elle est émoussée dans les
membres
antérieurs, et jamais l'auteur n'a constaté l'h
bres antérieurs, et jamais l'auteur n'a constaté l'hyperesthésie du
membre
para- lysé, à quelque époque que ce fût. Au bou
modifient légèrement. Ainsi, vers la fin de la première semaine, le
membre
du côté de l'hémisection peut 134 REVUE DE PHYS
l'ani- mal, on constate que les mouvements sont très nets dans le
membre
postérieur gauche. Le lendemain, la patte droite
ralysie et l'anesthésie sont complètes et définitives dans les deux
membres
postérieurs. Sur un autre jeune chien, M. Weiss
uelques secondes, durant laquelle les yeux étaient convulsés et les
membres
rigides; une autre fois, il y eut une absence d
e habi- tude de locomotion; dans leurs efforts pour mouvoir leurs
membres
paralysés, ils ne sont guidés ni par la raison, n
u 20 février 1880, le ministre de l'intérieur et des cultes a nommé
membre
de la commission chargée d'examiner les titres
e bras. Cette traction doit se faire uniquement avec les muscles du
membre
supé- - , J' -j,Il. ta m U ' - rieur, et il f
" 1 1 . 200 ? <1 PATHOLOGIE ,INTERNE,IOR1A't contracture des,
membres
j inférieurs, Un¡choc"sur, le) tendon rotulien
là même' fig. 12, T S, repré- sente une' trémulation spontanée 'des
membres
in- férieurs, qui se produisait quelquefois* ch
ymptôme, soit à.la résistance qu'on éprouve en voulant donner aux
membres
certaines attitudes, soit à l'augmenta- tion de
ents sont dus à l'action du biceps et du triceps; aussi, lorsque le
membre
est étendu en supination, le mou- vement a-t-il
action exercée sur ce muscle par le poids de l'avant-bras.. - Aux
membres
inférieurs il y a un tremblement peu marqué et
usqu'à présent', on s'est contenté 'de signaler les oscillations du
membre
supérieur, sans chercher à . ? (Jt m ·Ilo·(r··y
ent spontané : car c'est bien certainement le poids du segment du
membre
sur lequel s'insère le muscle contracturé, qui
donne aux malades cette rigidité si caractéristique du tronc, des
membres
et de la face. Chez là plupart de'nos ma- lades
aralysie agitante ; immobilité de la face, roideur du tronc r e\)4e,
membre
, propulsion et rétropulsion, etc. ; sur tous les
c r e\)4e,membre, propulsion et rétropulsion, etc. ; sur tous les
membres
, les ni'uscles sont rigides et contracturés. '
scles sont rigides et contracturés. ' Voici les détails observés au
membre
supérieur gauche : des 'mouvements' de totalité
rit ou siffle, la bouche est fortement tirée à droite. , ,, ' , :
Membre
supérieur droit. La malade s'en sert bien ; sensi
e la main droite. it >rrt r;7 , . ' ,.¥ '11 h... ? 1 1 . )q. '
Membres
inférieurs bien conformés, sauf, pour le pied dro
a motilité et la sensibilité sont intactes fnais le volume des^deux
membres
est unpeu différent , ainsi que le montrent les
démente, gâteuse et se tient recro- quevillée dans un fauteuil, les
membres
supérieurs fortement fléchis, les talons sous l
res supérieurs fortement fléchis, les talons sous les fesses. - Les
membres
inférieurs sont également dans la flexion; raid
même; gâtisme, salacité, onanisme. Eschares ausacrum. Raideur des
membres
surtout marquée du côté droit. Depuis le mois d
sur la face; il est agité de convulsions qui attei- gnent tous les
membres
, écume beaucoup, se mord la langue et, souvent,
a portion métallique du bracelet n'embrasse pas tout le pourtour du
membre
; elle ne' dépasse pas la face antéro-externe. C
ons particulières de fourmillement, de chaleur, de lourdeur dans le
membre
, précèdent immédiatement le re- tour de la sens
ontinue. Cette ex- tension, qui se fait à la fois vers la racine du
membre
et vers son extrémité, est très variable suivan
est très variable suivant les sujets; elle peut comprendre tout le
membre
et même, dans des cas très excep- tionnels qui
cation,' la force musculaire, très gé- néralement diminuée dans les
membres
anesthésiques, se -trouve rétablie. à son taux
ndispensables pour la métal- loscopie. Au commencement de 1877, les
membres
de la Com- mission de la Société de biologie, d
- poser des caisses de différentes grandeurs, pouvant recevoir un
membre
entier, et même supporter le poids d'une ou deux
n du pouvoir excito-moteur ou d'une paralysie motrice complète d'un
membre
. - REVUE DE PHYSIOLOGIE. 279 Cependant, Treub
IOLOGIE. maigre, chétif, très petit pc ur son âge ; le tronc et les
membres
sont bien conformés et ne présentent aucun sign
mmation épidermique, un affaiblissement avec résolution notable des
membres
postérieurs. Cet affaiblissement semblait dû à
affaiblissement semblait dû à une augmentation énorme de volume des
membres
et spécialement de leurs muscles. L'infiltratio
finis- REVUE DE physiologie. 283 sait par envahir le tronc et les
membres
antérieurs, de sorte que l'animal se trouvait t
giéniques, il survint une aggravation notable de la chorée pour les
membres
supérieurs, et en même temps une contracture de
quels1'unè éldngatioriÍ' de1'grds *nerfs mixtes- ou.de plexus 1 des
membres
Il' Mai j¡ 1suivie' d'à uCUll trouble de sensib
rmale.. Pen'-> f il- Ptilï Il '1\ lU IJ "'1J¡ 1 . ? ellée, lès
membres
inférieurs sont dans, l'axe- du corps ;imaisi ,
ilité. n Le réflexe rotulien est un peu exagéré. Rien du, côté des.
membres
} supérieurs',1 du rectum ou de la. vessie. Dive
mplète ; mais les mouvements dediffi- cileslet si faibles, que le !
membre
i est àT peuîprès1" inutile ? Il ne peut se coi
trois 'dernières paires cervicales et de la première dorsale). Le
membre
supérieur gauche' présentait une paralysie complè
1, rMJà,,9b1 ? Hn malade qui présentait,- du 8té°dë 'l'céil et. du
membre
supérieur correspondants,, des , ? , ? étd,1 (,
s de .vomissements : La localisa- tion des phénomènes convulsifs au
membre
supérieur droit pendant plusieurs attaques fit
e devient 'chancelante^' bien" qu'il' n'y ait" aucune paralysie dés
membres
. ? "' ' 1 1 ? ? ut I] n'y a généralement pas d'
y; il propose de n'ac- corder la sortie que sur l'avis conforme des
membres
du par- quet, le désaccord entre le préfet et l
sont valables, mais elles nous semblent s'appliquer aussi bien aux
membres
du parquet; ceux-ci n'ont, en ces matières, pas
ns les statistiques une foi aussi profonde qu'un certain nombre des
membres
présents, et, surtout à propos du sujet actuell
ous analysons est consa- crée à la température des aisselles et des
membres
dans le cas de lésions cérébrales. Le sujet ava
apitre suivant, l'auteur étudie la température des aisselles et des
membres
en dehors de l'état apoplectique, chez des suje
laise a donné de longs détails sur ces modifications thermiques des
membres
paralysés, mais n'a pu cependant résoudre ces q
Tout degré de parenté ou d'alliance entre un concurrent et l'un des
membres
du jury donne lieu à récusation d'office de la pa
ans les hospices de Bicêtre et de la Salpêtrière se compose de sept
membres
, savoir : quatre médecins tirés au sort parmi l
ix Guislain et de 400 fr. pour les autres questions; 2° le titre de
membre
correspondant; 3° cinquante exemplaires de son
âge de 77 ans. Auteur de plusieurs travaux estimés, M. Belloc était
membre
correspondant de la Société médico-psychologique,
dès le jour de sa naissance, une paralysie musculaire de tous ses
membres
, jointe à la contracture. On trouvait, pour l'a
n forme d'arc. Si on arrivait, de vive force, à redresser un de ces
membres
' Cruveithier ? l)M<OM ! epa</to ? Me du
ait, il revenait à son ancienne attitude. Enfin, aux extrémités des
membres
, une impression douloureuse, sur la peau, susci
nes qui, depuis longtemps impotentes, n'ont plus l'usage de leurs
membres
. Pour nous, de l'observation même de Cru- veilh
he : et dès lors apparaissait très nettement une parésie des deux
membres
gauches ; d'où une démarche traînante, et un éq
arler. Puis, lors de ses premiers pas, on remarqua une faiblesse du
membre
gauche; de même, pour les muscles fléchisseurs
ès sa naissance, il était atteint de mutisme et de paraplégie : les
membres
inférieurs se trouvaient contracturés, et leurs
pport au tronc, le bras gauche est complètement en adduction. Les
membres
inférieurs sont entrecroisés : et si l'on place
scles et, en partie, aussi des ligaments, durant la vie. Les os des
membres
inférieurs sont minces, atrophiés, d'un tissu c
dents, de dé- viations oculaires, de diplopie, ni de paralysie des
membres
; le ventre n'est pas rétracté et l'on n'y peut
strabisme divergent. La sensi- bilité est conservée sur les quatre
membres
, elle paraît cepen- dant un peu obtuse du côté
de se plaint de grandes douleurs à la tête, au cou et dans tous les
membres
. Tremblement léger de la lèvre inférieure et de
t en haut; la pupille gauche est moins contractée que la droite. Le
membre
supérieur gauche nous a paru un peu hy- poresth
ité de mouvements incessants auxquels ne participent pas les autres
membres
. Ces mouvements con- sistent dans la flexion de
uche, contracturé pen- dant la vie, est moins rigide que les autres
membres
. Ouverture de la cavité crânio-médullaire (fait
st vive dans les jointures malades;-les veines superficielles des
membres
sont très turgescentes ; pas de souffle au coeur,
es cuisses ; et, quand pour le déplacer dans son lit, on saisit ses
membres
à pleines mains, il paraît particulière- ment s
ois en tentant de force la flexion de la tête, -l'hyperesthésie des
membres
est très marquée.- Le délire d'action a presque
erveux; quatre frères et soeurs bien portants. Rien chez les autres
membres
de sa famille. ] Pas de consanguinité. Trois
conformé, si ce n'est une saillie exagérée des fausses côtes. 'Les
membres
supérieurs sont dans la flexion ; les jointures
est assez difficile d'étendre les doigts. Mêmes particularités aux
membres
inférieurs. Les mains et les pieds sont cyanosé
lés, huile de foie de morue, sirop d'io- dure de fer, extension des
membres
inférieurs. 21 décembre. Depuis le début des gr
; les pieds et les mains sont violacés. B... est très maigre; ses
membres
sont longs et grêles; les côtes sont saillantes
sfert. C'est ce dernier mot qui fut adopté, comme on le sait. Les
membres
de la commission eurent aussitôt la pensée de v
iguration égales se montre sur un endroit symétriquement placé du
membre
opposé. On voit ici la conformité parfaite avec
ent où la sensibilité apparaît au voisinage du métal, on explore le
membre
inférieur, on constate que dans une région que
dans le point symétrique une plaque d'anesthésie. En un mot, les
membres
inférieurs, bien qu'ils n'aient été le siège d'au
une reproduction exacte de ce qui se passe au même moment dans les
membres
supérieurs. Cette action à distance peut être c
rd une forme elliptique, le grand axe dirigé suivant la longueur du
membre
. Leur dimen- sion dépend de celle de la pièce d
inal quo dans le transversal, et aussi, plus vite vers la racine du
membre
que vers la périphérie. De sorte que, au bout d
sthésie sont devenues des bandes qui occupent toute la hauteur du
membre
sur la partie antéro-externe; elles ont, au contr
enter, mais d'une façon uniforme. Il en résulte que les portions du
membre
, les premières envahies dans tout leur pourtour
ane de ces différentes plaques primitivement écloses sur les quatre
membres
. Nous n'affirmerions pas cependant qu'il n'y a
ais les plus évidents se trou- vent, dans l'exemple choisi, sur les
membres
. Une expérience de ce genre est très facile à r
cun des côtés, il y a pour chaque moitié du corps un effet dans le
membre
inférieur, correspondant à celui qui est produit
observé l'anomalie suivante, il y a plus de vingt-sept ans, sur le
membre
inférieur droit d'un homme.-Le nerftibialanté-
son trajet habituel. En 1878, l'auteur observa un fait analogue au
membre
inférieur gauche. Ces deux faits sont presque s
ches ont porté d'abord sur la moelle des os de l'homme prise sur un
membre
amputé dans le service de M. le professeur Goss
ement consciente ; 3° certains malades, atteints de para- lysie des
membres
, d'origine périphérique, exécutent des mouvemen
mort, l'excitabilité de la moelle a disparu. Les nerfs d'un même
membre
perdent toujours leur excita- bilité dans l'ord
sauf le mas- séter. Laperte de lacontractilité pour les muscles des
membres
440 REVUE DE PHYSIOLOGIE. débute par les musc
la contracture généralisée de tous les grou- pes musculaires, d'un
membre
, l'auteur invoque la grande richesse du système
substance grise. Ainsi, la cause pro- vocatrice du spasme dans les
membres
du côté paralysé réside dans l'excitation corti
tionnée comme résultant des mouvements volontaires exécutés par les
membres
du côté sain. Mais, de ce que les mou- vements
t pas assez intense pour empêcher tout chan- gement de position des
membres
. Or, cela n'a pas lieu. Les mouvements associés
ale est, dansl'immense majorité des cas, beaucoup plus prononcée au
membre
supérieur qu'au membre inférieur : « Aussi, dit
majorité des cas, beaucoup plus prononcée au membre supérieur qu'au
membre
inférieur : « Aussi, dit M. Vulpian, lorsqu'il
pour valables que sous toutes réserves. L'action paralytique sur le
membre
inférieur peut être de courte durée, et, si l'a
lution des cas d'hémiplégie où la contracture a frappé également le
membre
inférieur et le membre supé- Clinique de la Cha
égie où la contracture a frappé également le membre inférieur et le
membre
supé- Clinique de la Charité, p. 562. REVUE D
e toujours à la rétrocession partielle de cette contracture dans le
membre
inférieur, et très exception- nellement dans le
ture dans le membre inférieur, et très exception- nellement dans le
membre
supérieur. La raison de ce fait est d'ordre pur
ment anatomique. Elle consiste en ceci, que les centres spinaux des
membres
inférieurs reçoivent beaucoup plus de fibres co
çoivent beaucoup plus de fibres commissurales que les cen- tres des
membres
supérieurs ; l'entrecroisement des fibres des-
ion de la contracture s'effectue à peu près exclusive- ment dans le
membre
inférieur, c'est-à-dire là où les excita- tions
ade est en droit d'espérer un retour partiel de l'exercice de ses
membres
. Mais, comme la lésion est toujours là, incurable
be para- lysée. L'auteur signale encore l'atrophie musculaire des
membres
du côté malade, et il considère cette complicat
tent pas de considérer comme une simple paresthésie douloureuse des
membres
inférieurs. Voici quelques observa- tions à l'a
jours été ner- veux et qu'il a souffert beaucoup de tremblement des
membres
, d'embarras de la tête et d'humeur noire. Depui
puis quelque an- nées, il est sujet aune affection particulière des
membres
infé- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 447 rieur
ïdes. Il n'y a aucun trouble de la sensibilité, ni des réflexes des
membres
inférieurs. Il est à noter que le père du malad
d'une pneumonie accompagnée d'accidents nerveux et d'une raideur du
membre
inférieur gauche. Il y a quatre ans, chute viol
femme est souf- frante et se plaint de douleurs erratiques dans les
membres
. En ces dernières années, elle mentionne un lég
bras et la jambe du côté droit sont plus fortement atteints que les
membres
opposés. Il y a sou- vent quelque diminution da
urbulence immodérée, caractérisée par la projection à l'aveugle des
membres
animés en outre de mouvements de flexion et d'e
loniques; 3° une tétanisation plus ou moins continue des muscles du
membre
affecté et souvent des muscles abdominaux ; 4°
RME ENCORE PEU CONNUE d'altération TEMPORAIRE DU MOUVEMENT DANS LES
MEMBRES
INFÉRIEURS, LIÉE A LA SURDITÉ PERMANENTE CHEZ L
rois semaines après, le 9 septembre 1879, l'enfant peut mouvoir ses
membres
inférieurs, avec force dans toutes les directio
ans les oreilles, iodure de potassium à l'intérieur). Parésie des
membres
inférieurs, sans troubles du côté de la vessie et
Pas d'altérations de la sensibilité ni de réactions électriques aux
membres
inférieurs. Réflexes normaux. Surdité complète
tés; au bout de deux ou trois heures, la motilité reparaît dans les
membres
droits, mais le malade ne peut se sentir de sa
nde entrée en mai 1877. (Démence, embarras de la parole, gâtisme. -
Membres
gauches contractés dans la flexion. -Sensibi- l
juin 1877. Six semaines auparavant, sensation de pesanteur dans les
membres
gauches et huit jours plus tard paralysie compl
s membres gauches et huit jours plus tard paralysie complète de ces
membres
et du côté correspondant de la face. Au moment
la motilité reparaît dans la jambe et la sensibilité dans les deux
membres
. Quelques jours plus tard, ptosis de la paupièr
ent choréiforme de la main droite, contracture dans la flexion du
membre
inférieur gauche; l'intelligence et la parole son
rapportent deux observations de convulsions épileptiformes dans les
membres
du côté droit s'étendant quel- quefois à ceux d
tarsien droit. Il existait des nodosités de même nature le long des
membres
inférieurs et dans les ganglions de l'aine. La
'influence du sommeil déterminé par le chloroforme, la rigidité des
membres
ne s'effaçait que lente- ment ou persistait mêm
s et quelquefois de vomissements et do diarrhée. Les épaules et les
membres
étaient ensuite agités de secousses et de contr
mane, avait commis une triple tentative d'assassinat sur les divers
membres
d'une famille qu'il regardait comme ses per- sé
mois de ce traitement, le malade venait de recouvrer l'usage de ses
membres
paralysés lorsqu'il fut pris d'un nouvel accès
muscles surmenés, sur leurs antagonistes, jusqu'à ce que tout le
membre
soit atteint. La forme parétique est caractérisée
ceau pédonculaire moyen est destiné à l'innervation des muscles des
membres
et du tronc. Il correspond aux deux tiers antér
ts les plus forts contre elle est le suivant : il roule autour d'un
membre
contracturé depuis plusieurs années une bande d
, l'auteur constate qu'on peut sans la moindre difficulté rendre au
membre
sa posi- tion normale ; il n'y avait donc pas d
t.-Tous les muscles du mem- bre contracture sont atteints, et si le
membre
prend une posi- tion fixe, cela tient à la préd
minance d'action d'un groupe mus- culaire (les fléchisseurs pour le
membre
supérieur). Quant aux contractures latentes ell
médecin de l'asile de Saint- Pons, à Nice. Nécrologie. M. Peisse,
membre
honoraire de la Société médico-psychologique, e
I et donné une édition de Cabanis fort appréciée. M. Peisse était
membre
associé libre de l'Académie de médecine et de l
MW.VjWvwyvA v-s^iva 90 ao,'tn crises .de douleurs . fulgurantes des
membres
, et de , r 3'0"'»JJ'i)0 CI) atyi'OIOlV P,4 1'l
t. , base du\ thorax. Apparition, d'ecchymoses, sur la peau .des ^
membres
, inférieurs et supérieurs, ,a la suite des forte
(|rib '.i.'ii *-» >t» *i M*yilnmirji*0 ->l )9Vn 9'IWi iù ? Les,
membres
supérieurs sont également atteints. Il ressent
ln("l 'i e 'î r rieures, les ecchymoses siègent dans le segment du
membre
situé aii-dessus de'celui où résident principal
âSâcaexié.ziouyl ? qûésd leilifo igrH 'fâches ecchymotiques sur les
membres
inférieurs à La suite de zsïç'i ? IrÎuly2t ? z'
ilI3ÉTItUES. '5 \1 r t .... 4q rri'Prtl ^nR- e 2 iuuüohilisptUle3
membre
'dàîïslll'extensi6n. Cette contracture , ., . '
- JItI,X4 sitin r 0 trl9n rr' tlTr21 Tt'a')"A'i n Tnr- ? ni. Aux
membres
intérieurs^ ce sont dès dbuleurs'parcourant com
ladici'e'sti-arrivécfi àtson.apogéei : iincoordiriâtion' énorme dés
membres
inférieurs p s la marche est impossible. Violen
la marche est impossible. Violentes crises fulgurantesrdans,'lë £ I
membres
;inférieurs7 empêchant lé somm'eilDouIeursconstnc-
.e,,et le, s,ee- u ? u ? uu Yt.'u ? Tt.) ur 0 i tlia liel ment du
membre
qui esttle.sièse-principaL.des, dour riJllr tr1
oceuflent le jfe*5MfettTOq ,9T3nus Les grands accès douloureux.des
membres
, chez. les ,)fl91H9H9U0b'i;3 0009JJb «< ÎJJp
eénéralement un p, oint / ? , placé'tantôt dans la, continuité , du
membre
,, tantôt au ,0.'0Hj610 maïualbl'juPa t, 7111111
tra en es uUnI4 en jeu,.et iljneaùraêtr,e, ? NR.eséstnhdu choc des@
membres
, contre des objets urg,)'a la,&uit, rilinco
e dedilatation des vais- seaux et d'augmentation de température des
membres
postérieurs ; mais on peut objecter à ces expér
essous, c'est-à-dire plus rapprochée de l'extrémité périphérique du
membre
, l'arrêt n'a lieu que pour cette extrémité. Mai
produites : tels sont les résul- tats obtenus par l'auteur sur les
membres
atrophiés. Il conclut t également des enseignem
ir été pris d'opisthotonos et de convulsions toniques des' quatre
membres
. Les nodosités scléreuses' de la substance cortic
ion, dit l'auteur, est' en rapport avec ce fait que les muscles des
membres
inférieurs étaient très atrophiés. » C.'T. ",~r*
(spasmes et paralysies) ? 6° Altération des. nerfs sensitifs (face,
membres
, tronc); 7° Troubles psychiques ou altéra- tion
ie de la jambe du même côté), compliqués de thromboses veineuses du
membre
inférieur atteint ; le bras contracture, après
s, picotements, engourdisse- ment, sensation de brûlure) occupe les
membres
inférieurs. Les crises se produisent quand on e
es nerfs du bras par la tète, ou par le corps portant à faux sur le
membre
? C. T. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XLIX. CON
est, écrit-elle, la voix de Dieu qui lui a enjoint de s'arracher un
membre
; elle n'a choisi la langue que parce que le dia
dans des villes où se trouvent des asiles, de manière à fournir aux
membres
de l'association l'occasion de visiter un ou pl
let. Le 21 août, il y avait des mouvements choréiques de tous les
membres
et des muscles du tronc et de la face. L'enfant a
tale, et elle 'serait accompagnée d'un arrêt de développement des
membres
beaucoup plus considérable. Les convulsions pré-
rs ; il reste dans un assoupissement profond et on constate que les
membres
qui ont été le siège des convulsions restent pa
? Daus beaucoup de cas, la paralysie''diminue''principalement au
membre
inférieur. Au bout d'un 'temps 'variable, la flac
membre inférieur. Au bout d'un 'temps 'variable, la flaccidité des
membres
inférieurs fait place "a ! la contracture qui'se'
'ordinaire lentement.1 Dans tous les cas* la' contracture impose au
membre
supérieur une attitude ' particulière; 'la bras
que la main, qui est ordinairement a angle sur I'avant-bras.,rLe
membre
inférieur est en général moins déformer il est'da
moi1Ís 'pro : nonce., La, contracture prédomine 'ordinairement' au
membre
supérieur ainsi, Mquç les convulsions durant 'l
ntractures, il faut' encore noter les arthralgies et l'atrophie des
membres
. Les douleurs, quelque*- fois avec craquements,
idité permanente qui existe chez les autres. Dans tous les cas^ les
membres
paralysés ont souvent une coloration plus ou'mo
des douleurs, des secousses, unc aug- mentation de la rigidité des
membres
paralysés et le, plus souvent du membre supérie
ntation de la rigidité des membres paralysés et le, plus souvent du
membre
supérieur; quelques malades accusent une propul
iolentes et moins prolongées ; , elles sont tantôt plus accusées au
membre
supérieur,, tantôt au membre inférieur., L'écum
; , elles sont tantôt plus accusées au membre supérieur,, tantôt au
membre
inférieur., L'écume est assez rare, la miction
; quelquefois on observe' à la suite de l'accès un tremblement .des
membres
paralysés, qui petit d'ailleurs se manifester,,
s il survient dans la jambe seule des secousses tétaniformcs. Les
membres
du côté droit sont respectés, quelquefois la co
que succède une période clonique de convulsions circonscrites aux
membres
du côté gauche et prédominant au membre inférieur
vulsions circonscrites aux membres du côté gauche et prédominant au
membre
inférieur; quelquefois, il y a une courte pério
t pritses grades à University-College (1861.) En 1862, il fut nommé
membre
de l'Ame¡'ican médical Association. Quelques an
ion et les règlements concernant les aliénés. ART. 2. Sont nommés
membres
de cette Commission : MM. Fal- lières, sous-sec
e Paris ; IIerold, sénateur, préfet de la Seine; Roussel, sénateur,
membre
de l'Académie de médecine; Andrieux, député, pr
Seine; Allou, ancien bâtonnier de l'ordre des avocats; Baillarger,
membre
de l'Académie de médecine; - Béclard, membre de
s avocats; Baillarger, membre de l'Académie de médecine; - Béclard,
membre
de l'Académie de médecine, professeur à la Facu
e de l'Académie de médecine, professeur à la Faculté ; Brouardel,
membre
de l'Académie de médecine, professeur à la Facult
cadémie de médecine, professeur à la Faculté; VARIA. 643 Lasègue,
membre
de l'Académie de médecine, professeur à la Facu
s), secrétaire général de la préfecture de police ; Dr Bourneville,
membre
du Conseil muni- cipal de Paris ; M. Leven, mem
Dr Bourneville, membre du Conseil muni- cipal de Paris ; M. Leven,
membre
du Conseil municipal de Paris; Dl Loiseau, memb
Paris ; M. Leven, membre du Conseil municipal de Paris; Dl Loiseau,
membre
du Conseil municipal de Paris; Dr Thulié, membr
Paris; Dl Loiseau, membre du Conseil municipal de Paris; Dr Thulié,
membre
du Conseil municipal de Paris; - Caron, admi- n
es, Constans. Asiles d'aliénés DE la Seine. MM. CARON et PRES'r.\T,
membres
sortants de la commission de surveillance des a
ans les maladies aiguës, par Landouzy, 166. Paralysie, des quatre
membres
et du'torse (par une myélite), par Gray, 454;
quatre membres et du'torse (par une myélite), par Gray, 454; des
membres
infé- rieurs, liée à la surdité chez l'en- fa
bornée aux muscles de la vie animale, en particulier aux muscles des
membres
; le tronc, la tête ne sont pas épargnées, tant s'
ge. La paralysie est parfois absolue, com-plète, intéresse les quatre
membres
(Yoy. planche II et III) ou trois d'entre eux ; —
II et III) ou trois d'entre eux ; — ou bien elle n'affecte qu'un seul
membre
inférieur, ou encore l'un des membres supérieurs3
u bien elle n'affecte qu'un seul membre inférieur, ou encore l'un des
membres
supérieurs3 ; — d'autres fois,très-rare-ment à la
s fois,très-rare-ment à la vérité, elle frappe exclusivement les deux
membres
su-périeurs*; — enfin, il est des cas où la paral
*; — enfin, il est des cas où la paralysie, atteignant seule-ment les
membres
inférieurs, revêt la forme paraplégique. (Yoy. pl
, on observe ici une paralysie complète, absolue, avec flaccidité des
membres
, avec abolition ou diminution de l'excitabilité r
ENFANCE observation par les drs ball et liouvili.e Paralysie des
membres
inférieurs, survenue après des accidents convulsi
auts physiques, et ne veut pas, à toute force, être bossu. Tronc et
membres
. —A. Membres supérieurs. — Les éminences thénar e
iqué le coït deux ou trois fois par nuit; cela il y a plus d'un an.
Membres
inférieurs. Ils présentent les déformations les p
lètement compromise que la droite. La sensibilité est conservée aux
membres
inférieurs, des deux côtés, au pincement, à l'éle
à courant inter-rompu, et nous avons noté les résultats suivants :
Membre
inférieur gauche. Le tibial antérieur n'offre pas
peu; l'extenseur de même, ainsi le couturier. Toutefois il s'étend.
Membre
inférieur droit. Il y a un très-petit mouvement d
s ont pas paru plus sensibles par l'électricité. Ainsi, également, le
membre
inférieur gauche nous a été constaté moins complè
érieur gauche nous a été constaté moins complètement compromis que le
membre
inférieur droit. La longueur totale du corps de c
ouvait comme une espèce de frémissement spontané dans les muscles des
membres
supérieurs et inférieurs. Depuis trois ou quatre
: elle entra à l'hôpital le 12 mai 1845. A ce moment, les muscles des
membres
supérieurs étaient continuellement en mouvement ;
es membres supérieurs étaient continuellement en mouvement ; ceux des
membres
inférieurs étaient moins affectés, car la malade
uvements convulsifs saccadés : les mouvements sont surtout marqués au
membre
supé-rieur ; la face est à peu près normale ; les
embre supé-rieur ; la face est à peu près normale ; les mouvements du
membre
abdominal sont moins accentués que ceux du membre
; les mouvements du membre abdominal sont moins accentués que ceux du
membre
supérieur qui exécute continuellement des alterna
ve du 1* volume de la rate. — Aphonie. — Paralysie incomplète des
membres
supérieurs, puis des membres inférieurs. — Douleu
e. — Aphonie. — Paralysie incomplète des membres supérieurs, puis des
membres
inférieurs. — Douleurs dans les mem-bres inférieu
sque aussitôt se joindre une paralysie in-complète de la motilité des
membres
supérieurs, d'abord, puis des membres inférieurs
in-complète de la motilité des membres supérieurs, d'abord, puis des
membres
inférieurs ; l'intelligence restant néanmoins par
es douleurs violentes, continues, gravatives dans toute l'étendue des
membres
inférieurs. Ces douleurs se faisaient sentir auss
ans une phase plus favorable. — La voix revint, mais la paralysie des
membres
augmenta, et avec elle l'atrophie musculaire. L
ordinaires, il est toujours quelques muscles, ceux parfois de tout un
membre
ou seulement d'une région d'un membre, dans lesqu
uscles, ceux parfois de tout un membre ou seulement d'une région d'un
membre
, dans lesquels les lésions continuent à progresse
ulement ; tandis que, dans un autre cas, la diminution en longueur du
membre
frappé de paralysie pourra aller jusqu'à 5 ou 6 c
de son côté, a observé des faits de raccourcissement considérable^du
membre
affecté chez des enfants qui, en raison du léger
'action de l'inertie fonctionnelle prolongée. c) Refroidissement du
membre
. Un autre phénomène qui mérite d'être signalé, au
is-sement permanent souvent très-prononcé que présente tôt ou tard le
membre
paralysé. De même que l'atrophie, ce phénomène pa
ncomplète, les troubles trophiques dont il s'agit peuvent affecter le
membre
dans toute son étendue; on en retrouve souvent de
aractère sera fourni par les déformations qui se manifestent dans les
membres
paralysés en conséquence de la pré-dominance d'ac
l'atrophie n'est pas répan-due uniformément sur tous les muscles d'un
membre
; elle prédo-mine dans certains muscles et groupe
est extrême, et l'on peut facilement imprimer aux diverses parties du
membre
paralysé les attitudes les plus forcées et rappe-
mbre paralysé les attitudes les plus forcées et rappe-lant celles des
membres
d'un polichinelle. Jointe aux autres carac-tères,
utres carac-tères, et ,en particulier au refroidissement permanent du
membre
, cette grande laxité des jointures permet de dist
-bres dont la plupart des muscles s'étaient rapidement atrophiés, Les
membres
d'ailleurs avaient subi un remarquable arrêt de d
gion lombaire, dans un cas de paralysie infantile spinale occupant le
membre
inférieur droit. La lésion porte exclusivement su
sie, ni analgésie bien manifestes. On constate de la roideur dans les
membres
, quelquefois du tremblement (Murray), de la lente
s nombreux, non-seulement à la face, mais sur le péricrâne et sur les
membres
. Le bromure ayant été continué, un certain nombre
ue et simulant le rupia. On observait deux autres ulcères sur le même
membre
et trois sur le bras gauche et la nuque. Le bromu
au cou et sur les extrémités supérieures, mais beaucoup moins sur les
membres
inférieurs. Elles étaient indolentes, molles, et.
il survint pendant la nuit une espèce d'accès avec rigidité dans les
membres
, difficulté à ouvrir la bouche et à bâiller, doul
rapprochées, massélers et temporaux durs, tendus et fort douloureux,
membres
rigides, surtout les supérieurs, parois abdominal
ismus des mâchoires, la convulsion des muscles de la face et même des
membres
chez l'un des malades. Le traitement employé dans
se subitement de roideur dans le bras et la jambe du côté droit : ces
membres
étaient contractures, la main fléchie sur l'avant
l'immobilité la plus absolue; tous les muscles, ceux du corps et des
membres
, étaient durs, rigides et tendus. On avait eu rec
ux détails sur certains chefs de la Commune, sur un certain nombre de
membres
du fameux comité central, et il démontre facileme
. A cette époque, sans cause appréciable, le malade ressentit dans le
membre
inférieur droit, principalement au niveau de la c
mplète. Le malade est assis dans son lit, le corps incliné du côté du
membre
malade qui est dans une position demi-fléchie. Au
xtrémité tournée en bas, à petite extrémité tournée vers la racine du
membre
. Elle com-mence brusquement, à 10 centimètres au-
nfin, par suite de la compression exercée sur les veines profondes du
membre
, un léger œdème au pourtour des malléoles, ainsi
s. Dans ces mouvements, il commence par incliner le bassin du côté du
membre
qui est le siège de la tumeur ; en môme temps, pr
externe et le droit antérieur; ce dernier se dévie un peu de l'axe du
membre
pour venir s'insérer à la rotule, qui se trouve l
lle nécessitait une amputation de la cuisse très-près de la racine du
membre
. Aussi, au point de vue clinique, devons-nous la
Soixante-sept ans plus tard, nous la trouvons dans l'état suivant: le
membre
inférieur gauche et la cuisse droite ayant acquis
fin de décembre, il commença à éprouver une grande faiblesse dans les
membres
; cet état persista pen-dant huit jours, puis le t
s dans les avant-bras et les mollets.— La sensibilité est intacte aux
membres
supérieurs et intérieurs; la contractilité muscul
la contractilité musculaire s'exerce bien aux avant-bras. De même aux
membres
inférieurs. Traitement. Le 14 janvier, El... pr
rmal dans la sensibilité, ni dans la contraclilité des muscles. — Les
membres
supérieurs sont agités d'un violent tremblement;
8 avril. Il a pris 5 bains ; le tremblement a un peu diminué dans les
membres
supérieurs ; les jambes tremblent toujours beauco
a Société vétérinaire en 1859 : c'est celle à laquelle la plupart des
membres
de la savante compagnie se sont ralliés; ce nous
e tout d'abord chez elle, c'est la contracture énorme qui affecte les
membres
supérieur et inférieur gauches. Cette contracture
suite d'une grande attaque. Disons toutefois que, antérieurement, le
membre
supé-rieur était tout à fait paralysé, mais flasq
e supé-rieur était tout à fait paralysé, mais flasque, et que déjà le
membre
inférieur correspondant était rigide. Cette derni
ez cette malade, c'est une hémianeslhésie complète, occupant les deux
membres
contractures, le tronc et la face du même côté. N
rière, nous constatons : 1° une hémiplégie gauche, avec flaccidité du
membre
supérieur et contracture du membre inférieur; 2°
iplégie gauche, avec flaccidité du membre supérieur et contracture du
membre
inférieur; 2° une hémianesthésie et de l'a-chroma
sous les yeux une con-tracture aussi iniense que possible des quatre
membres
, contracture absolue, persistant nuit et jour, pe
été malade; il est intelligent, bien développé, si l'on en excepte le
membre
infé-rieur droit. Description de la malformatio
de l'âge de l'enfant et de la difficulté d'obtenir un repos absolu du
membre
sain. REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX Pla
EVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX Planche XVIII. MALFORMATION DU
MEMBRE
INFÉRIEUR DROIT l Il O c O M É L l E l Il O c
il ne marche; encore pour opérer cet acte est-il obligé d'adapter son
membre
sain à la longueur de l'autre ; ce qu'il fait en
au contraire, à l'exagérer par le mécanisme suivant : la pression du
membre
viril s'effectuant, vu la conicité du col, en arr
e, par le docteur Ernest Bourgeois, ex-interne des hôpitaux de Paris,
membre
de la Société anatomique. Paris, Adr. Delahaye, é
il aura une durée de neuf jours. Art. 3. Le Congrès se composera de
membres
fondateurs et de membres adhérents. Seront membre
jours. Art. 3. Le Congrès se composera de membres fondateurs et de
membres
adhérents. Seront membres fondateurs les docteurs
ès se composera de membres fondateurs et de membres adhérents. Seront
membres
fondateurs les docteurs en médecine, les phar-mac
n d'organisation. Le prix de la souscription est fixé à 15 fr. Seront
membres
adhérents les docteurs en médecine, pharmaciens,
communications sur des sujets étrangers au programme. Art. 7. — Les
membres
fondateurs ou adhérents qui désireront faire une
faites. Art. 8. — Les séances du Congrès seront publiques, mais les
membres
fondateurs ou adhérents auront seuls droit de pre
tes. Elle ne se souvient que d'une chose, c'est que son ventre et ses
membres
inférieurs étaient enflés. On examina son urine p
t de 3,700 grammes. Sur diverses parties du corps, et notamment aux
membres
infé-rieurs, on aperçoit de petites saillies brun
urs de ces tumeurs se voient nettement sur les Planches XIX et XX. Le
membre
inférieur droit est en outre le siège de varicosi
ction morbide, mais encore par la considération de la présence sur le
membre
inférieur correspondant d'un certain nombre de sa
rieur; il sera par exemple différent, selon que les rhéophores sur un
membre
seront placés à quelques millimètres de distance,
nté-rieure se maintiendra le même, lorsqu'il aura à traverser un seul
membre
ou tout le corps, un seul muscle, ou tout un grou
prochain numéro. — PATHOLOGIE INTERNE FLEXION PERMANENTE DES DEUX
MEMBRES
INFÉRIEURS reconnaissant pour cause probable un
Vers l'âge de REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX CONTRACTURE DES
MEMBRES
INFÉRIEURS g hez une l'hiiiisique 7 ans, elle
n'a éprouvé de douleurs dans les jointures ou dans la continuité des
membres
. Réglée vers l'âge de 14 ans, elle s'est mariée e
t que dans la position assise, les genoux à la hauteur du menton, les
membres
supérieurs croisés au-tour des jambes et prenant
journées entières. Du reste, aucun trouble paralytique ni du côté des
membres
, ni du côté des sphincters ne survint; la colonne
la dis-parition quasi complète des masses musculaires, aussi bien aux
membres
thoraciques qu'aux membres pelviens, qui sont pou
ète des masses musculaires, aussi bien aux membres thoraciques qu'aux
membres
pelviens, qui sont pour ainsi dire réduits au squ
au squelette. Du reste, il n'y a pas de paralysie véri-table dans ces
membres
, et, à part une grande faiblesse, la malade fait
t dans son lit, soit sur un fauteuil. Lorsqu'on cherche à étendre les
membres
inférieurs, on éprouve une résis-tance invincible
née est conservée dans tous les modes, et la malade n'accuse dans les
membres
inférieurs ni fourmillements ni sensation anormal
e va en s'aggravant; l'affaiblissement fait des progrès rapides ; les
membres
inférieurs s'infiltrent de sérosité et la malade
ur les cordes vocales et sur la face inférieure de l'épiglotte. Aux
membres
inférieurs, malgré la cessation de la rigidité ca
en temps quelques communications faites, la plupart du temps, par des
membres
étran-gers à l'aréopage ! 1 Voy. Revue, p. 121.
différents cas à la Société de chirurgie; d'une manière générale, les
membres
de la Société ne sont pas partisans d'une interve
à l'actif de cette médication bon nombre de faits bien observés. Les
membres
de la Société n'ont pas récusé les heureux effets
vier à droite fortement sous l'influence du cou-rant qui traverse les
membres
; et maintenant en enlevant un des fds du galvano
blissons le cir-cuit, après avoir préalablement cessé d'éleclriser le
membre
. Il se forme donc dans les tissus, au moment de l
euvent même être isolés dans une région limitée, et en électrisant le
membre
antérieur cbez des animaux, nous avons constaté d
aiguille d'un galvanomètre communiquant avec des fils plongés dans le
membre
postérieur. Nous avons observé ces faits en 1868
s parties molles et appa-raissant comme une masse flasque appenduc au
membre
. (Voy. Planche XXII.) Cette irrégularité jointe a
rque une tumeur de la grosseur des deux poings. Sur le tronc et les
membres
on voit une foule de véritables li-pomes, non péd
oter les particularités suivantes : Le tronc est déjeté en avant, les
membres
inférieurs étant repoussés en ar-rière. Ensellure
cuisse droite est fléchie sur le bassin dans la station verticale, le
membre
inférieur gauche étant dans l'extension. Claudica
par le docteur Albert Délbarre, ancien interne des hôpitaux de Paris,
membre
de la Société anatomique, lauréat des hôpitaux. P
aits delà physionomie; puis une rigidité tonique s'empare de tous les
membres
. Cette rigidité est, remarquez le bien, rarement
e dans laquelle prédomine une roideur semi-tétanique, du tronc et des
membres
. Ne paraît-il pas d'après cela très-vraisem-blabl
t d'une minute, respiration profonde et supérieure et relâchement des
membres
et de la face. Ensuite sommeil paisible en appare
es atrophies musculaires, ce sont toujours les muscles extenseurs des
membres
supérieurs ou des membres inférieurs qui sont att
ce sont toujours les muscles extenseurs des membres supérieurs ou des
membres
inférieurs qui sont atteints en premier lieu et d
galement d'autres muscles, qui sont paralysés, et souvent sur le même
membre
on peut trouver les trois classes que nous avons
paralysé : le malade parvient à le soulever un peu et avec peine, Le
membre
inférieur droit est moins paralysé que le bras :
ras, ceux-ci exécutent des oscillations dans le sens vertical ; si le
membre
repose sur un plan résistant, les mouve-ments res
tir des douleurs vagues par tout le corps, et principalement dans les
membres
; pendant son sommeil, il avait des secousses. Ce
constate une amé-lioration très-sensible. Les mouvements saccadés des
membres
supérieurs ont beaucoup diminué d'étendue ; la dé
tandis qu'il y avait une éléva-tion à peu près correspondante dans le
membre
parcouru parle courant descendant. Mais cette dif
remière heure, elle disparaît les heures sui-vantes, et pour les deux
membres
la température reste alors la môme et un peu plus
sie était complète et c'est à peine si la malade pouvait dire oui. Le
membre
supérieur était complètement inerte et aujour-d'h
ième, âgée de 53 ans, dont l'attaque remonte à huit mois, l'usage des
membres
était revenu assez promptement, mais il lui resta
restait un peu de difficulté dans les mouvements, de la pesan-teur du
membre
et de la faiblesse. Le traitement par les courant
mes. Dans les cas d'hémiplégie, nous agissons non-seulement sur les
membres
paralysés, mais encore nous faisons passer un cou
alades, fait des recherches à ce sujet, et nous avons observé dans le
membre
par-couru par le courant ascendant un léger abais
s grand que la première, il est cependant facile de constater que les
membres
sont devenus plus volumineux : c'est en effet ce
le courant continu est appliqué sur les muscles ou sur les nerfs des
membres
. La contraction galvano-tonique est un phénomèn
, en effet, depuis onze ans, a vu successivement tous ses muscles des
membres
supérieurs s'atrophier les uns après les autres,
a commencé d'une façon brusque, et s'est manifesté à la fois dans les
membres
supérieurs et les extrémités inférieures, et dans
repos, la tête a de légers mouve-ments de latéralité. Les muscles des
membres
supérieurs ont des secousses qui ne permettent pa
ente; 4 pilules. — 6 août. Secousses convulsives et douleurs dans les
membres
; la céphalalgie ne s'est pas reproduite ; les tr
ier. » La lésion musculaire a pour conséquence l'amoindrissement du
membre
: on le constate par la mensuration des deux membr
amoindrissement du membre: on le constate par la mensuration des deux
membres
. M. Collette est porté à admetlre une diminution
s et huit semaines pour les luxations de la cuisse. Il prétend que le
membre
réduit n'est pas plus utile qu'il ne l'eût été en
, et nous dirons avec M. Sédillot : « Si les mouvements imprimés au
membre
ne font entendre au-cune crépitation, le cartilag
âche. Pas de poils aux aisselles ; quelques rares poils au pubis. Les
membres
sont droits. Le ventre est très-gros ; sa circonf
à l*œil nu, soit au mi-croscope. Pas de caillots dans les veines des
membres
. J'appelle un instant l'attention sur la phlébi
sie, de la gastralgie, un bruit de souffle anémique très-intense. Les
membres
sont grêles, la peau est décolorée et la face pré
mpléter son travail. Les paralysies de la face et les paralysies du
membre
supérieur sont successivement décrites. Chacune d
ar lui paraîtraient l'indiquer. Viennent ensuite les paralysies des
membres
supérieurs, qui sont beaucoup moins rares qu'on n
guérison de l'enfant. Dans une dernière partie, les paralysies des
membres
inférieurs devraient être étudiées, mais ce chapi
elle s'établit gra-duellement, s'accompagne d'abord de flaccidité du
membre
, puis de contracture; celle-ci se produit d'abord
la paraplégie cervicale. M. Gull désigne sous ce nom la paralysie des
membres
thoraciques avec conservation des mouve-ments dan
Quant à la paehyméningite cervicale, les douleurs précoces dans les
membres
supérieurs, l'atrophie musculaire rapide qui leur
sses imbi-bées d'eau pure. On ne trouve aucune trace de prépuce. Le
membre
inférieur droit, mesuré depuis le talon jusqu'au
. Sa circonférence à la base de la cuisse est de 10 centimètres. Le
membre
inférieur gauche a une longueur de 75 millimètres
le sorte que la partie gauche du haut du corps paraît, comme dans les
membres
inférieurs, un peu plus développée que la droite.
a scissure médiane, un bourgeon fongoïde qui doit être le rudiment du
membre
supérieur droit, et qui ressemble à un mamelon qu
uis la partie supérieure jusqu'au pubis ; une autre transversale d'un
membre
supérieur à l'autre. — Tous les téguments de la
eur œdème dur que sont dues les saillies globuleuses situées sous les
membres
supérieurs. Le tronc doit être divisé" en trois
le médian pour l'extrémité céphalique, les deux laté-raux pour chaque
membre
supérieur et la partie correspondante de la poche
non réunies pour former la veine cave inférieure, qui se rendent aux
membres
inférieurs. La veine iliaque gauche passe en avan
me est épais, complet, mais les muscles de la paroi thoracique et des
membres
supérieurs sont formés de rares faisceaux sépar
n sternum cartilagineux unique seulement dans sa première pièce. Le
membre
supérieur droit n'est relié à la clavicule que pa
iane de cette omoplate part un ligament qui supporte les téguments du
membre
supérieur; mais sur la partie moyenne de ce ligam
e (1812). EXPLICATION DE LA PLANCHE XXXV I, bourgeon répondant au
membre
supérieur droit;— II, bourgeon répondant au membr
rgeon répondant au membre supérieur droit;— II, bourgeon répondant au
membre
supérieur gauche ; — III, bourgeon céphalique. —
nous fûmes frappé de sa démarche, de sa tournure, de la longueur des
membres
supérieurs. Impossible de voir, au premier exam
des membres supérieurs. Impossible de voir, au premier examen, les
membres
inférieurs. Le fond de l'utérus remontait jusqu'a
jette du côté gauche pour former une courbure de compen-sation. Les
membres
inférieurs, très-longs, avons-nous dit, sont cons
,77; leur grosseur, prise au-dessus de la malléole, est pour les deux
membres
sensiblement la même (0m,58); au niveau du mollet
0m,48. On se rend compte alors de l'aspect de cette femme dont les
membres
in-férieurs sont si développés en tous sens et le
érieurs sont si développés en tous sens et le tronc si court... Les
membres
supérieurs, loin de présenter cet aspect fœtal, n
lalgie, vertiges, délire, con-vulsions, gangrène, chute spontanée des
membres
, et se terminant le plus souvent par la mort. — L
Contraction musculaire (De la), par P. Dupuy, 115. Contracture des
membres
inférieurs, 226. — musculaire, 235. — hystéri-que
), par Giraldcs, 52. — (Né-crose phospjhorée du—), par divers, 251.
Membres
inférieurs (Flexion perma-nente des), par Gombaul
même après l'ac-couchement.........215 Planche XXI. Contracture des
membres
inférieurs.....227 Planche XXII. Hypertrophie c
on, la convulsion amoureuse et la perte de sperme à la seule vue du
membre
viril d'un homme. La nuit, mon imagination trav
onnais- sance, se raidit; présente ensuite des secousses dans les
membres
, les yeux se convulsent, les mâchoires s'entre-
forme tout le corps, particulièrement la face et les extrémités des
membres
, et qui constitue l'un des traits les plus cara
lluci- nations fréquentes; démarche vacillante sans paralysie des
membres
; perversions du goût et de l'odorat pou- vant
hit insensiblement et progressivement les paupières, les mains, les
membres
et le tronc. Les paupières sont gonflées, ridée
a préhension est faible; l'excitabilité faradique des muscles des
membres
et du visage diminuée, ce qui n'existe pas sur
s cas. Le corps thyroïde est petit; les tégu- ments du tronc et des
membres
sont enflés et bouffis, les mains larges et gro
énergique. Il existait de l'incoordination dans les mouvements des
membres
supérieurs et inférieurs. La marche, les yeux f
état : L'amaigrissement est considérable et porte notamment sur les
membres
et le thorax, qui fait un contraste frappant av
e : coma, avec perte subite de connaissance ; résolution des quatre
membres
. A la visite du matin, on le trouve encore pres
à droite; les paupières se ferment également des deux côtés. Les
membres
gauches, bras et jambe, sont aussi paralysés; qua
apprécier la sensi- bilité cutanée. En pinçant fortement la peau du
membre
supérieur ou inférieur droit, on voit la face g
er, etc. Voici leur théorie : la plu- part des hommes se servent du
membre
supérieur droit pour faire es gestes, pour les
ngage, et son rôle comme centre des mouvements les plus délicats du
membre
supérieur.Si, au contraire, l'homme se sert sur
ie progressive de l'ensemble du système musculaire débutant par les
membres
supérieurs et ne sautant pas de tel groupe à te
thologie NERVEUSE. 97 L'allongement brusque et vigoureux de tout un
membre
raidi et contracture par la mort produit, de mê
orer," l'atrophie et les contractures tendineuses survenir dans les
membres
pâralpsés, la ? éépl>;a- lalgie et les verti
al (et aussi le lobule pariétal supérieur ? ) ,, avec ceux des deux
membres
du côté opposé et peut-être plus particulièreme
ecine, le'D i)laral' Brinnd et'le De sont nommés, les^deux premiers
membres
correspondants,' et le troisième membre titulai
nommés, les^deux premiers membres correspondants,' et le troisième
membre
titulaire delà Société iiiédico-Sy11010,-i(ILIC
ce du\ % juin 1880. n ' "" Le Dr Schuchardt, d'Andernach; est nommé
membre
titulaire. Le De Hertz 'met sous lès' yeux de l
! 'ih ? )'10' nh 'ni ? l . ' s.'O , t -, Après la réception comme-,
membres
titulaires des D™ Huberty, de Dùren, et Von Ean
nternational de , médecine. 1 11 souhaite,, que quelques-uns de ses
membres
puissent agréer à cette invitation. V. - 11, Le
881). Contribution à l'étude des modifications de la sensibilité du
membre
supérieur consécutives aux lésions nerveuses; p
est nommé médecin inspecteur-adjoint. Nécrologie. M. le Dr Briquet,
membre
de l'Académie de mé- decine, professeur agrégé
énomène existe à un égal degré sur tous les muscles, aussi bien aux
membres
qu'à la face (il n'est pas question ici de la d
question ici de la différence du résultat obtenu : contracture aux
membres
, contraction à la face). Mais il arrive fréquem
ps, étude DE L·H1P\O'l'IS\IE CIIEZ les hystériques. 131 entre les
membres
inférieurs, les membres supérieurs et la face,
'IS\IE CIIEZ les hystériques. 131 entre les membres inférieurs, les
membres
supérieurs et la face, l'hyperexcitabilité pouv
ble d'obtenir la contrac- ture partielle des différents muscles des
membres
, et les différents procédés à l'aide desquels o
lexes tendineux sont exagérés aux genoux, mais sans irradiation aux
membres
supérieurs, ils exis- tent aux coudes ; aux poi
ne de coups portés successivement sur le tendon pour immobiliser le
membre
dans une attitude forcée de contracture permane
cause apparente, toute trace d'hvperexcitabilité disparait dans ce
membre
et à la fois dans tout le côté droit du corps a
a fois dans tout le côté droit du corps aussi bien à la face qu'aux
membres
. Le bras droit retombe inerte le long du corps,
ente peu à peu, puis gagne le bras droit, puis la jambe droite. Les
membres
du côté gauche con- servent leur immobilité, ju
e disposition musculaire spéciale a pu être rappelée dans un seul
membre
: 26 janvier 1880. B... est plongée par la fric
de quelques instants de faradi- sation, nous nous apercevons qae le
membre
sur lequel nous opérons est redevenu hyperexcit
t peu accusés aux poignets et aux coudes, un peu plus cependant aux
membres
du côté gauche. La malade est assise sur une
té du regard augmente, le clignotement dis- parait. A ce moment les
membres
sont insensibles à la piqûre; lorsqu'on les sou
lade. Puis tout d'un coup, pendant que l'on continue à piquer les
membres
du sujet, on s'aperçoit que la sensibilité a repa
donnent naissance à des mouvements réflexes ; la malade retire son
membre
, et la douleur se peint sur sa physionomie, qui
droit. Pas d'achromatopsie. Exagération des réflexes tendineux aux
membres
supérieurs comme aux membres inférieurs, plus a
Exagération des réflexes tendineux aux membres supérieurs comme aux
membres
inférieurs, plus accusés à gauche qu'à droite.
dans l'extension et la contracture envahit en même temps les quatre
membres
. Cette contracture cède facilement par la frict
ption de petits boutons, gros comme une tête d'épingle, limitée aux
membres
supérieurs, et qui dura environ cinq à six jour
ions métacarpo-phalangienncs et dans les parties sus- jacentes. Aux
membres
inférieurs, le gonflement est plus marqué, à l'
l existe un défaut de proportion très manifeste entre le volume des
membres
aux différentes hau- teurs. Ainsi, à partir de
a l'avantage de rap- peler la forme particulière des extrémités des
membres
. Les observations de cachexie pach) dermique pu
e est rendue difficile par le gonflement des téguments. Du côté des
membres
, 152 PATHOLOGIE NERVEUSE. l'infiltration cuta
mine la plu- part du temps des déformations caractéristiques. Les
membres
sont tranformés « en véritables colonnes pesant
être d'ailleurs plus marqué d'un côté que de l'autre au niveau des
membres
. Sur le tronc, on observe toujours ce même gonf
e lève assez posément, se fléchit sur le bassin pour faire avec les
membres
supérieurs étendus un angle de 45° environ ; el
idérablement accrues et généralisées à toutes les articulations des
membres
. Autour des cous-de-pied il existe un gonflemen
entouses scarifiéesà la nuque ; lotions vinaigrées ; sinapismes aux
membres
inférieurs ; potion cordiale). T. R. 381,4. - S
minué. Lorsque l'on explore, par la piqûre, la sensibilité d'un des
membres
paralysés, on voit le membre correspondant du c
ar la piqûre, la sensibilité d'un des membres paralysés, on voit le
membre
correspondant du côté sain s'agiter de violents
dévie du côté paralysé. Thorax et abdomen normalement conformés.
Membres
supérieurs. Le bras gauche est raide avec contrac
droit, l'attitude est normale. La mensuration comparative des deux
membres
donne les résultats suivants : RECUEIL DE FAI
ibilité reste normale. Voici les mensurations comparatives des deux
membres
: 180 RECUEIL DE FAITS. souvent qu'il a été o
légie sur le côté gauche. L'apparition de cette ulcération sur un
membre
condamné à une inaction fonctionnelle relative, e
ssante la rigidité musculaire envahir de jour en jour davantage ses
membres
immobilisés déjà par un long repos ; la seconde
galvanisme, a pu l'accomplir ; elle a pour ainsi dire électrisé les
membres
de la paralytique et leur a rendu'rapi-' dément
riens sinon syphilitiques ( ? ), se plaignant de douleurs dans les
membres
, de céphalalgies frontales, surtout nocturnes. Il
eule fois, les convulsions se montrèrent tandis qu'on tirait sur le
membre
; en tous les cas elles consistèrent en une court
ns ataxiques et reparaître ensuite. D'autres fois, lorsque les deux
membres
inférieurs sont également atteints d'incoordina
881. lloffiiiann, Sauvages, Bosquillon signalent la paralysie des
membres
supérieurs ' dans le cours de l'empyème ; en 1875
ques, la para- lysie diminue progressivement en commençant, par les
membres
inférieurs et en même temps la parole devient p
re : qu'elle fuyoit l'accouplement du Diable, àcaufe qu'ayant son
membre
faift en efcailles il faid fouffrir vne extrefme
eulx. La tierce par l'inhibition du partage des esprits animaulx es
membres
genitaulc. La quarte par deffeicher & tolli
icher & tollir la licqueur prolificque. La quinte en rendant le
membre
de l'homme mol & flafque toutes fois que ve
& coarctation extrefme des parties de la femme ou en faifant le
membre
de l'homme retrait ! , abfcons & comme du t
fcons & comme du tout perdu. Ce n'eft à dire toutes fois que le
membre
viril foit en vérité enleué du corps, mais par
Par arrêté préfectoral, en date du 26 décembre 1881, ont été nommés
membres
de la commission de surveillance des asiles pub
nq années, à dater du Ier janvier 4882, MM. Barbier et Pelletier,
membres
sortants. Concours de l'internat. Le concours s
ficielle sera l'espagnol; mais, BULLETIN bibliographique. 271 les
membres
étrangers pourront parler latin -et français. Les
- Iléniil)a7-aplégie avec troubles de la sensibilité, dans les deux
membres
inférieurs, d'origine traumatique. Dans la nuit
oubles paralytiques se réduisent à une hémiparaplécie. A gauche, le
membre
abdominal est tota- lement paralysé, il ne peut
de flexion et d'extension. A droite, la motilité est intacte, et le
membre
abdominal a conservé toute sa force. Il en est de
membre abdominal a conservé toute sa force. Il en est de même des
membres
supérieurs. Les réflexes offrent une remarquabl
sensibilité n'est pas moins atteinte que la motilité. A gauche, le
membre
inférieur, l'abdomen, le thorax jusqu'au mamelo
partie droite do l'abdomen en dehors des muscles droits, et sur le
membre
inférieur : dans toutes ces régions l'analgésie
à sa jambe : tantôt et par hasard, il reconnaît la situation de son
membre
, tantôt et le plus souvent il commet de grossiè
cations dans la température et la coloration respec- tives des deux
membres
. Au simple palper, le membre abdo- minal gauche
la coloration respec- tives des deux membres. Au simple palper, le
membre
abdo- minal gauche parait plus chaud que le mem
imple palper, le membre abdo- minal gauche parait plus chaud que le
membre
droit ; et plusieurs explorations thermométriqu
fférence de tem- pérature déplus d'un degré. La coloration des deux
membres
est identique quand le malade est couché, mais
t couché, mais sitôt qu'il est placé dans la position verticale, le
membre
gauche devient pourpre du haut en bas, et se si
autant plus distincte qu'elle est faite plus haut vers la racine du
membre
. L'insensibilité ther- mique seule demeure enti
éflexes, et en particulier le réflexe tendineux, ont reparu dans le
membre
paralysé. Les sensibilités à la dou- leur, au t
commence à renaître. La perte incomplète du sens musculaire dans le
membre
gauche persiste encore et se reconnaît à une at
e 29 avril, le malade quitte 1'llôtel-Dieu dans l'état suivant : le
membre
abdominal gauche reste très notablement parésié.
alement abolie. Les troubles vaso-moteurs se sont très atténués. Le
membre
inférieur gauche est très légèrement t atrophié
tait debout, par une vive rougeur et de nombreuses varicosités du
membre
inférieur gauche. L'érection du pénis avait déj
phique qu'il nous a été permis de constater, à part l'atrophie du
membre
inférieur gauche qui était légère encore quand
te d'abord au pied, puis z la main, remon- tant progressivement des
membres
a la face; ce n'est qu'en demie ! lieu que la f
ce se convulsé, se tourne d'un côté, les yeux deviennent fixes, les
membres
se rai- dissent et restent un moment fixes, pui
ade éprouve de temps en temps des crampes très douloureuses dans le
membre
inférieur droit et exclusivement dans sa partie
jonctive et jusqu'à la cornée. L'état de la pupille varie; 3° Les
membres
gardent les positions qu'on leur communique. Il
r des mannequins de peintre n'existe pas. On modifie l'attitude des
membres
avec la plus grande facilité et sans le moindre
fin cet état cataleptique est uniformément développé sur tous les
membres
et le tronc; 4° L'hyperexcitabilité neuro-muscu
écédemment; mais nous constatons en outre une aptitude spéciale des
membres
à conserver les attitudes communiquées. Il semb
nifestation de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire. En effet les
membres
sont toujours lourds à soulever; ils ne conserv
attitudes communiquées, et la friction amène toujours la détente du
membre
, et la résolu- tion musculaire complète. En sou
saurait être obtenu. Les réflexes tendineux persis- tent, et si les
membres
gardent les attitudes communiquées, c'est avec
étaient ouverts, quelqu'imparfaitement que ce soit, l'aptitude des
membres
à conserver les attitudes com- muniquées augmen
lobes oculaires empêche toute fixité du regard. 2° L'aptitude des
membres
à garder une situation communiquée présente les
alement déve- loppée sur les différents segments du corps. b.) Le
membre
est lourd à soulever et il existe dans les arti
ions une certaine roideur(/ ? ejr ? ace ? 'e<7). c). Pour que le
membre
garde la position dans la- quelle on le place,
avant de l'a- bandonner. d). Dans le plus grand nombre de cas, le
membre
retombe bientôt de lui-même. e). Enfin la fri
assage cles rnasses muscu- laires amènent toujours la résolution du
membre
qui retombe inerte. 3° L'hyperexcitabilité ne
ttache au phénomène de l'hyper- excitabilité neuro-musculaire. Le
membre
qui paraît cataleptique n'est, en somme, qu'un
culaire. Le membre qui paraît cataleptique n'est, en somme, qu'un
membre
contracture. La contracture s'y déve- loppe sou
nce des manoeuvres de l'expérimen- tateur qui cherche à déplacer le
membre
. Nous avons vu, en effet, qu'il est nécessaire
effet, qu'il est nécessaire d'insister un peu pour faire garder au
membre
l'altitude communiquée. De ÉTUDE DE L'HYPNOTISM
S HYSTÉRIQUES. 317 plus, lorsqu'on cherche à modifier l'altitude du
membre
, on constate une roideur, indice certain de con
Enfin cette contracture cède sous l'influence de la ma- laxation du
membre
. Pour terminer, nous rapporterons l'observation
e. L'état cataleptique que nous obtenons ainsi est imparfait, les
membres
conservent bien les attitudes communiquées ; mais
ien les attitudes communiquées ; mais les frictions à la surface du
membre
les font cesser ; l'hyperexci- tabilité neuro-m
et le regard devient fixe. Dès lors la catalepsie est parfaite. Les
membres
sont souples, légers à mouvoir; les attitudes c
es attitudes communiquées ne sont plus modifiées par la friction du
membre
; plus de réflexes tendineux, ni d'hyperexcitabi
usculaire. Cette expérience consiste à produire sur un segment de
membre
l'état cataleptiforme pendant la phase de létharg
t pour cela de malaxer légèrement toute la surface de ce segment de
membre
, pour obtenir au lieu d'une contracture localis
sée, une sortederoideur généralisée, qui per- met à cette partie du
membre
de conserver les diverses atti- tudes communiqu
nous avons dite ; car il suffit d'exercer quelques frictions sur le
membre
pour faire cesser toute roideur et en même temp
enu au monde avec cette infirmité. Toutes les masses musculaires du
membre
inférieur gauche étaient plus grêles que celles
s, il existe une véritable paralysie du 'membre supérieur droit; le
membre
inférieur est atteint, mais à un moindre degré;
branches sous-occipitales. 11 existe une paralysie incomplète des
membres
du côte droit. Les mouvements volontaires du me
incomplète des membres du côte droit. Les mouvements volontaires du
membre
supérieur sont encore possibles, mais très limi
'elle est de vingt-huit à gauche. La parésie est moins prononcée au
membre
inférieur; la jambe traîne à peine pendant la m
égie faciale. La sensibilité est conservée à droite au niveau des
membres
, du tronc et de la face. 11 n'en est pas de mêm
act, à la piqûre, au pincement et au froid, dans toute l'étendue du
membre
supérieur, du membre inférieur et du tronc, jus
pincement et au froid, dans toute l'étendue du membre supérieur, du
membre
inférieur et du tronc, jusqu'à cinq centimètres
s. La paralysie du 'côté droit tend t diminuer, les mouvements du
membre
supérieur sont un plus étendus, mais la force mus
aralysie motrice. La paralysie du mouvement était plus prononcée au
membre
supérieur qu'au membre inférieur, tandis que l'
ralysie du mouvement était plus prononcée au membre supérieur qu'au
membre
inférieur, tandis que l'anesthésie était égale
gauche, il est très amaigri. Aucune malformation congénitale ni aux
membres
supérieurs, ni aux inférieurs, qui sont longs e
lie des côtes, du sternum, des reliefs du bassin, des ischions; les
membres
montrent les reliefs musculaires et les fosses
au niveau des branches du maxillaire inférieur; quelques poils aux
membres
, sur le dos, le sacrum, au pubis ; rien aux ais
ent ceux de la motilité (parésies ou para- lysies). Ils occupent le
membre
supérieur, tout un côté du corps, le corps enti
ves (Bouchard, P. Dubois, 1868), sur la trépidation épileptoïde des
membres
(phénomène du pied, clonus du bras). En 1874, E
- sion détermine quelquefois un mouvement qui se propage jusqu'au
membre
du côté opposé, se rangent à l'idée qu'il s'agi
que le mou- vement du côté opposé est un mouvement d'ensemble du
membre
, et non une contraction du triceps crural seul. E
effet, lorsqu'on a sectionné toutes les racines postérieures d'un
membre
, et même, en outre, tous les nerfs de ce membre,
s postérieures d'un membre, et même, en outre, tous les nerfs de ce
membre
, on abolit bien le réflexe de ce côté, mais san
LE patronage familial , adressée au comte DE Bêla (de K,,tlnoicy),
membre
de la diète de Moravie ; par le Dl J. Peeters,
s'élève avec indignation contre de semblables procédés et tous les
membres
, s'associant à cette protestation, décident de
ésorier. Comité de publication. MM. J. Falret, DAGONET, DUMESNIL.
Membres
adjoints au bureau pour le conseil de famille.
ontracture de la jambe et qui refuse depuis de laisser examiner son
membre
. M. Dally a employé ce qu'il appelle le traitemen
chez certains hémiplégiques l'appré- hension devoir examiner leurs
membres
augmente la contracture. 1)1. B. 1 Voir plus
Société des appuis bienveillants et sympathiques que chacun de ses
membres
n'a cessé delui prodiguer pendant qu'il remplis
lecture du rapport à la commission des finances ; il fait appel aux
membres
de la Société qui ne sont pas encore inscrits s
circonvolutions, avec le lobule paracentral, est affectée aux deux
membres
; quant au tiers moi en des circonvolutions roland
des circonvolutions rolandiques, il appartiendrait exclusivement au
membre
supérieur et même seulement à l'avant-bras et l
ontre de celte opinion, signale douze observations de paralysie des
membres
sans lésions du lobule paracentral ou des parti
élevée des circonvolutions cen- trales renferme le champ absolu du
membre
supérieur et non pas celui du membre inférieur,
es renferme le champ absolu du membre supérieur et non pas celui du
membre
inférieur, etc.. On pourrait, à notre avis, adr
faits analogues à celle-ci, aura dé- montré que le champ absolu du
membre
supérieur siège a la face inférieure du lobe sp
. Contribution il l'étude de* modifications rl(, la sensibilité dit
membre
supérieur consécutives aux lésions nerveuses; p
and nombre à leurs frais. 383 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. l ota Les
membres
titulaires et les membres honoraires de l'Aca-
383 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. l ota Les membres titulaires et les
membres
honoraires de l'Aca- démie ne peuvent prendre p
maladies du système nerveux dans leur ensemble, et à rassembler les
membres
épars de cette famille ; car chacun d'eux, s'il
à la suite d'une plaie légère à la fesse, a eu une contracture du
membre
inférieur qui a duré plusieurs mois. Observatio
a question. II. Observation. - Paralysie spasmodique des quatre
membres
. - Douleurs au niveau du thorax et des membres
asmodique des quatre membres. - Douleurs au niveau du thorax et des
membres
inférieurs. Atrophie grise des nerfs optiques.
après le début des symptômes oculaires, apparition des douleurs aux
membres
inférieurs. Ces douleurs semblent avoir eu le c
'est pris le premier, et c'est seu- lement trois mois après que les
membres
inférieurs ont été affectés. Etal actuel (22
- La malade, par suite des troubles de la vue et de l'impotence des
membres
est confinée au lit ou réduite à être assise.
et légers. b) l11otitité, II existe une paralysie très avancée des
membres
supérieurs et inférieurs. Aux membres inférieur
ne paralysie très avancée des membres supérieurs et inférieurs. Aux
membres
inférieurs, elle est à peu près complète. La ma
e très légers mouvements, et encore avec une grande difficulté. Les
membres
supérieurs sont un peu moins atteints. 48 8 PAT
possible à la malade de se servir de ses mains. La paralysie des
membres
est une paralysie spasmodique. La contracture n
spasmodique. La contracture n'est pas assez prononcée pour que les
membres
soient immobilisés dans des attitudes fixes, ma
viennent par périodes. Ces douleurs sont surtout prononcées dans le
membre
pelvien droit, elles s'accompagnent d'engourdis
est relativement peu atteinte. Il existe cepen- dant dans tous les
membres
un certain degré d'hyperesthésie douloureuse. L
s tous les membres un certain degré d'hyperesthésie douloureuse. Le
membre
inférieur gauche est au contraire anesthésié, m
t, nous constatons une poussée d'herpès aux lèvres, de l'oedème des
membres
inférieurs, un très grand abattement, sans déli
cordon latéral, à savoir : la paralysie avec contracture des quatre
membres
, et l'exagération des réflexes tendineux. Il
u'à la contracture complète. A peu près en même temps, douleurs des
membres
inférieurs et des organes génitaux. Deux ans ap
culaire, puis paralysie de la vessie; 2° contracture en flexion des
membres
inférieurs; 3° conservation des réflexes tendin
passage à l'arc réflexe correspondant aux réflexes tendineux des
membres
supérieur et inférieur. La même interprétation
te l'étendue de la moelle, il yavait aboli- tion de la motilité des
membres
inférieurs sans contrac- ture, sans rigidité de
hauteur de la moelle, l'abolition des réflexes est la règle et les
membres
ordinairement flasques ou peu contractures; si,
bourrelet épais et ont le lohule adhérent. Le ne ? est aquilin. Les
membres
supérieurs sont régulièrement conformés. Le pie
te des cou- 90 RECUEIL DE FAITS. vulsions dont il est agité : les
membres
s'étendent et se fléchissent alternativement av
gidité absolue : la tête est fortement étendue en opisthotonos. les
membres
infé- rieurs se maintiennent en extension, tand
s se ferment, les pouces en dehors. Bientôt, à la cun- tracture des
membres
, succède une trémitlation convulsive et, peu d'
t comme de pivot pour projeter lourdement et dans tous les sens ses
membres
inférieurs . En même temps que ces phénomènes,
se portent aussitôt dans l'attitude du crucifiement, tandis que les
membres
in- férieurs se mettent dans un étatd'extension
mier répit de courte durée, apparaissent de grands mou- vements des
membres
et des tortillements du tronc. Nouveau repos et
e est en griffe et la main droite se ferme, le pouce eu dehors. Les
membres
inférieurs sont rigides, en extension (phase to
et se met à exécuter sur place des mouvements de circumduction des
membres
inférieurs ; sur l'ordre qu'on lui intime de se
re du côté correspondant, mais on n'obtient pas de catalepsie et le
membre
retombe inerte. Après six minutes de sommeil hy
t assis sur le bord d'une chaise, on soulève simultanément ses deux
membres
inférieurs, de telle sorte que leur axe devienn
aient violemment et avec rapidité les malades, avec projections des
membres
de côté et d'autre, étaient fré- quents chez le
l'accompagnant de mouvements extrêmes de flexion et d'extension des
membres
inférieurs qui frappent bruyam- ment le parquet
nne ver- tébrale ractiligne.- Abdomen très développé et saillant.
Membres
supérieurs grêles, mais bien conformés; mains pet
és; mains petites, doigts longs, ongles intacts malgré la succion.-
Membres
inférieurs maigres; légère concavité des tibias
dos; sourcils peu abondants. Pas de poils aux aisselles, ni sur les
membres
, ni au pubis. Trois cicatrices de vac- cin sur
ngt-six jours, et faire voir enfin la malade à un certain nombre de
membres
de notre com- pagnie, parmi lesquels je citerai
a langue sort quelquefois de la bouche, sans jamais être mordue. Le
membre
supérieur droit est étendu dans l'adduction et
ation au-dehors, le poignet est un peu fléchi et le poing fermé. Le
membre
inférieur est dans l'extension, et la jambe en
en pied-bot équin est tournée un peu en dehors. Du côté gauche, le
membre
supérieur se roidit, mais bien après la jambe d
s cloniques se montrent presque immédiatement à la face et dans les
membres
roidis du côté droit et se succèdent avec la pl
. 11 apparaît quelquefois un peu d'écume à la bouche. A gauche, les
membres
restent un peu roides et étendus, mais on n'obs
Les crises sont donc seulement épileptoïdes. Après les attaques, le
membre
droit est contracté et les poings sont fermés. A
membre droit est contracté et les poings sont fermés. A gauche, le
membre
devient flasque. La sensibilité ne présente rien
lus complètes et le côté gauche est envahi à son tour. En effet, le
membre
supérieur gauche est tout à fait dans l'extensi
vements cloniques se montrent alors pour la première fois dans le
membre
supérieur gauche, mais toujours plus légèrement q
On a invoqué en faveur de l'épilepsie l'existence de secousses des
membres
qui se produisaient quelquefois en dehors des a
ervice de M. Charcot, qui est prise de temps en temps de spasmes du
membre
inférieur gauche, rappelant certaines formes de
cours s'est ouvert le 10 courant à l'asile clinique (Ste-Anne). Les
membres
du jury étaient : MM. Beaudrimont, direc- teur
Vaucluse; Bouchereau, médecin de l'asile Sainte- Anne; Bourneville,
membre
de la commission de surveillance des asiles; Le
s; Leclerc, chef de bureau de la préfecture de la Seine; Loi- seau,
membre
du Conseil général; Maréchal, architecte des asil
embre du Conseil général; Maréchal, architecte des asiles; Puteaux,
membre
de la commission de surveillance; Roux, sous- d
t, AL Dupié, son secrétaire, M. Urugerol'e, et quatre autres de ses
membres
, AU ! . Uelsol, Théo- l'hile Houssel, Tenadle-S
; aussi, différant en cela des lésions destructives des centres des
membres
, les lésions des centres oro-linguaux ne provoq
s être déglutie facile- ment. Aucune paralysie appréciable dans les
membres
. L'action des muscles des mâchoires, du voile d
quand on crie très fort près de son oreille. Aucune paralysie des
membres
, motrice ou sensitive. La malade se tient debout
r aiguë dans le côté droit du front, secousses convulsives dans les
membres
. En même temps, le malade ne pouvait ni parler,
nter- mittences, soixante-dix pulsations à la minute. Du côté des
membres
, rien à noter, si ce n'est un affaiblisse- ment
....., ,,f ? t '11'll.'S" ? avec une Nara ? ac ? une hémiplégze des
membres
, , "'1 f ..1 ? 1 If n, '" \t -0 1 h avec des
ant les trois der- nières années delà vie, faiblesse croissante des
membres
infé- rieurs, et articulation des mots de plus
connaissance incomplète, à laquelle avait succédé une paralysie du
membre
supérieur droit, et la perte de la parole. Troi
ue temps de là, le malade revient avec une parésie croissante des
membres
inférieurs, diminution de la sensibilité dans ses
dans les doigts de la'main droite une crampe qui remonte le long du
membre
.' Pas ' de perte de connais- sance, mais troub
rine s'écoulant goutte à goutte. Le 6 novembre, affaiblissement des
membres
inférieurs qui va jusqu'à la para- 17 pathologi
chorée dite goutteuse ; la perte de coordination du mouvement des
membres
supérieurs et inférieurs avec démarche ataxique
sieurs exemples de troubles de la motilité et de la sensibilité des
membres
inférieurs, mais il s'agissait d'arthrites défo
grand nombre de cas, parfaitement normales. Souvent les muscles des
membres
inférieurs, frappés d'incoordination motrice, s
ute M. Charcot, l'atrophie portait à la fois sur toute l'étendue du
membre
supé- rieur et du membre inférieur d'un même cô
portait à la fois sur toute l'étendue du membre supé- rieur et du
membre
inférieur d'un même côté ». Or, parmi ces amyot
uche de la face el de la langue et de quelques-uns des muscles du
membre
supérieur gauche. Arthropalhie du coude à gauch
r gauche. Arthropalhie du coude à gauche. Anesthésie et parésie des
membres
du côté gaurlee. - (Observation rédigée sur les
temps, de la gène pour parler et avaler ses aliments. Du côté des
membres
, des troubles se montrèrent aussi à gauche : pe
sensibilité cutanée, et affaiblissement de la motilité au niveau du
membre
supé- rieur. Au membre inférieur la sensibilité
affaiblissement de la motilité au niveau du membre supé- rieur. Au
membre
inférieur la sensibilité était obtuse, mais - s
tre mois. Au mo- ment de sa sortie, la face n'était plus déviée, le
membre
infé- rieur gauche avait recouvré son activité.
rsistaient encore. En 1a66, le malade éprouva des douleurs dans les
membres
. Ces douleurs auraient occupé les jointures. Le
de douleur, ce, que le malade explique par l'insensibilité dont le
membre
était affecté depuis trois ans. La jointure per
autre partie de la tète, elle n'est entendue que du côté sain. b)
Membre
supérieur gauche. Sensibilité tactile un peu af
m. La contractilité est affaiblie au niveau des interos- seux. c)
Membre
inférieur gauche. Pas d'atrophie musculaire; ma
omotrice avec arthropathies rhumatismales des grosses jointures des
membres
. L'autopsie démontra que les lésions osseuses r
e scrofule. Vers l'âge de trente et un ans apparurent, dans les
membres
inférieurs, des dou- leurs qu'on lui disait êtr
at pendant sept à huit ans. - Dès 1860, l'in- coordination dans les
membres
inférieurs était déjà très manifeste; la malade
ig. 3) '. Il n'y avait d'ailleurs aucune atrophie des muscles des
membres
et du tronc. Un second cas, que nous sommes en
u haut mal et est morte dans une de ses attaques. - Plusieurs des
membres
de la famille de Grossor... ont des dispositions
'atro- phies musculaires multiples. 1° Atrophie des muscles des
membres
. L'atrophie est surtout marquée au niveau des
scles des membres. L'atrophie est surtout marquée au niveau des
membres
supérieurs, et bien plus prononcée du côté gauc
uscles de la masse sacro-lombaire sont atrophiés. Les muscles des
membres
inférieurs (cuisse et jambe) sont amaigris, mai
Il comme dans le cas de Leisier cité plus haut, ou même les deux
membres
inférieurs. M. Charcot dit dans ses leçons avoi
lade est prise tout d'un coup, dans la rue, de faiblesse dans les
membres
inférieurs; elle ne peut continuer de mar- cher
a partie inférieure des jam- bes... Au lit, tous les mouvements des
membres
infé- rieurs sont conservés, mais un peu affaib
ui sont de notion vulgaire. Toutes ces paralysies, comme celles des
membres
, sont, par essence, légères et transitoires; le
ementdesatrophies musculaires, qu'elles intéressent les muscles des
membres
ou ceux innervés par la langue, comme dans les
dépendance de cette atrophie. Le fait est vrai pour les muscles des
membres
, il l'est pour la langue, il est très vraisembl
'elles DE L'HÉJfIATROPHIE DE LA LANGUE. 215 occupent, muscles des
membres
, de la langue ou des yeux, reconnaître une path
tre une pathogénie univoque. On sait que l'atrophie des muscles des
membres
résulte d'une atrophie des cellules des cornes
; OBs. de MM. Vidal et Cuffer) avec celle de certains muscles des
membres
supérieurs..Ce qui semble indi- quer que, dans
sistance à la flexion et à l'extension est égale de chaque côté aux
membres
inférieurs. Les réflexes rotuliens sont normaux
rtains cas où la vessie est très atteinte bien que la paralysie des
membres
inférieurs soit peu prononcée relativement. C'e
es et en particulier celles qui s'accompagnent de contracture des
membres
peuvent offrir ce même trouble de la miction. C'e
sens musculaire persiste dans la vessie, comme il persiste dans les
membres
, malgré la perte absolue de la sensibilité tégu
ée 1882 (deux années après), il était pris d'une paralysie des deux
membres
inférieurs, qui a disparu après l'ap- plication
manifeste avec des convulsions toniques, commençant par la face, le
membre
supérieur et ensuite l'infé- rieur ou vice vers
en un état cataleptique (conservation des attitudes qu'on donne aux
membres
). En étudiant ce cas intéressant, il est regret-
et un ans, fils d'alcoolique, atteint de contracture permanente des
membres
inférieurs avec pieds bots, qui présenta des co
vec pieds bots, qui présenta des contractures passagères des autres
membres
, des attaques convulsives au cours desquelles o
néralisé. G. D. VI. Tremblement hystérique d'origine traumatique DU
MEMBRE
INFÉ- rieur droit; par M. Carafi. (France médic
esthésie droite, etc.) était atteinte d'un tremblement convulsif du
membre
inférieur droit qui la condamnait à garder le l
èrent limitées au voile du palais; les deux autres s'étendirent aux
membres
supérieurs et inférieurs. L'ensemble symptomati
is dans le cours de la même année, fut atteinte d'une paralysie des
membres
inférieurs, qui survint et disparut brusquement
ations réi- térées de son fils et surtout à la pression de quelques
membres
de la famille, sa mère voulut faire un nouvel e
ns cas, lorsque surtout sont en jeu de graves intérêts entre divers
membres
d'une famille, un procès peut surgir, par le fa
ue temps à Ville-Evrard, où des imprimés ad hoc sont remplis par le
membre
de la famille qui demande la sortie du malade,
ssion dont vous et moi faisions partie, et non par M. X. ou AI. Y.,
membres
de cette commission;je vous prie donc de ne pas
16 ô BIBLIOGRAPHIE. III. De l'hémiplégie homonyme de la face et des
membres
dans les lésions en foyer de la protubérance an
les la paralysie de la face siège du même côté que la paralysie des
membres
, on admet généralement depuis le savait de Gubl
ysie d'emblée complète et unilaté- rale a compris en même temps les
membres
et la face du même côté ; fréquemment elle est
u volontaire et déterminent alors du côté opposé une hémiplégie des
membres
et de la face. - Celte paralysie moins intense
ce. - Celte paralysie moins intense habituellement à la face qu'aux
membres
, en raison de l'intégrité des fibres, d'une por
ce. Par arrêté préfectoral en date du 30 décembre 1881, sont nommés
membres
de la commission de surveillance des asiles pub
nce de cette Société a eu lieu le samedi 19 janvier. La plupart des
membres
fondateurs, dont le chiffre s'élève déjà à 130,
chiviste, M. Emile Lalanne; conservateur de collection, M. Tissier;
membres
du conseil, MM. Espinas, de Mensignac, Faure, C
a Société étant constituée, leur demande doit être appuyée par deux
membres
. Revue philosophique, dirigée par Tu. Uibot, pa
ntérieure- ment l'effet produit par cette mort prématurée sur les
membres
de ma famille. » 1 Auguste Comte. Politique pos
r contiennent le faisceau destiné à l'innervation des muscles des
membres
et du tronc ; . 1 Voiries Archives de Neurologi
s de : faisceau sensitif, faisceau pyra- midal (faisceau moteur des
membres
), faisceau géniculé (faisceau moteur de la face
les de l'intelligence, sans aucune -manifestation paralytique aux
membres
, au visage ou à la langue; tandis que les dégén
ultanée des veux. Le 27 janvier, le malade est paralysé à droite (
membres
supérieurs et inférieurs; le facial inférieur d
ion de la tête. Paralysie faciale inférieure droite. Résolution des
membres
du côté gauche qui retombent, inertes, dès qu'o
, du facial supérieur et des muscles des yeux. Pas de paralysie des
membres
. Mort par épanchement pleural. A l'AUTOPSIE,
t. Vil. 20 306 PATHOLOGIE NERVEUSE. LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. les
membres
et le facial inférieur du côté gauche, en- semb
dit constate, dès le premier jour, une chorée posthémi- plégique du
membre
supérieur droit, de l'hémianopsie du même côté
ralysie vésico- rectale, enfin des élancements avec convulsions des
membres
supérieurs. On constate presque au début de la
e hémiplégique accompagnée de tremblements inten- tionnels dans les
membres
supérieurs et de symptômes oscil- lants et inég
pense qu'il s'agit là d'un défaut de développement par inaction du
membre
, la malade s'en servait très peu en effet, puis
A. Voisin ; Conseil de famille : MM. Motet etUALLYSont adjoints aux
membres
du bureau pour former le conseil de famille.
il de famille. M. le Président annonce à la Société que deux de ses
membres
MM. Ballet et Garnier, ont déposé à l'Académie
ation mentale. M. LE Président donne ensuite la parole à M. Taguet,
membre
correspondant de la Société, pour la lecture de
même la vie où elle l'avait laissée avant de s'endormir. Enfin les
membres
de celte malade prennent, quand elle est en cat
catalepsie, il suffit du moindre effort pour changer l'attitude des
membres
et ceux-ci restent alors dans la nouvelle posit
55 A l'étranger, on tient aussi à honneur de recevoir le titre de
membre
associé. Notre liste déjà longue, et sur laquelle
moins dé- voués ; MM. Bonnefons(de Leyme) et M. Petit (de \antes),
membres
correspondants nous ont été aussi enlevés celte
tte, aujourd'hui le bureau, personne ne doute qu'il ne reste un des
membres
les plus assidus de nos séances et qu'il ne con
les candidatures de MM. Briand etCarlier qui sont élus, le premier,
membre
titulaire et le second membre correspondant.
etCarlier qui sont élus, le premier, membre titulaire et le second
membre
correspondant. Discussion sur les mesures propo
mois de soins, une famille ne prévient' pas l'autorité qu'un de ses
membres
a été frappé de folie, son silence la rendra pa
uberculeuse, tout le monde, en effet, sait le contraire; je suis le
membre
de la Société auquel M. Voisin fait allusion et
-il bon d'introduire en France la même mesure et enfin jusqu'à quel
membre
de la famille s'éten- dra l'obligation de faire
boissons alcoo- liques a été fondée, le 29 mars 1883, à Casses. Des
membres
de la Société des aliénistes allemands ayant pr
conséquent, rationnelle. Le bureau demande simplement à ceux des
membres
du congrès qui, suivant le mot d'ordre de Francfo
quer dans des établissements spéciaux. Nomination de trois uouveaux
membres
du Bureau ; MM. Westphal et Nasse sont réélus p
zig-zags dans leur trajet. Deux coupes sont soumises à l'examen des
membres
du Congrès; l'une d'elles pro- vient du chevreu
r rapport au noyau caudé, tandis que les animaux qui se servent des
membres
supérieurs pour d'autres fonctions (chauves-souri
tll'U lai l'e sont caraclérisées pal' une paralysie plus marquée du
membre
supérieur que du membre inférieur; la paralysie
lérisées pal' une paralysie plus marquée du membre supérieur que du
membre
inférieur; la paralysie du membre inférieur ser
arquée du membre supérieur que du membre inférieur; la paralysie du
membre
inférieur serait, dans l'espèce, plutôt seconda
a trait au placement des malades dans les asiles. Il parait que les
membres
de la Commission sénatoriale voulaient que l'in
ent l'avis du Congrès inter- national de médecine mentale, dont les
membres
se sont ralliés à la proposition de M. Barbier,
mmission extra-parlementaire son in- compétence, la majorité de ses
membres
étant étrangers à la mé- decine. Or, sur vingt-
de ses membres étant étrangers à la mé- decine. Or, sur vingt-cinq
membres
pris en dehors du Parlement, l'orateur fait rem
l'orateur fait remarquer que onze étaient médecins, et parmi les
membres
pris dans le Parlement, trois appartenaient égale
par Olivier. Thèse de Paris, 1884. De la compression des nerfs du
membre
supérieur à la suite des fractures; par l3o.m..
i le passage d'un rapport que nous avons fait, en avril 1882, comme
membre
de la commission administrative char- gée d'étu
s et les médecins chefs de ser- vice à faire des remplacements, les
membres
du cinquième groupe pensent mettre de la sorte
ives, après ou sans concours, en vertu de la loi d'août 1851. Les
membres
du cinquième groupe ont été unamimes à demander
stration de l'Assistance publique, de même, il a semblé à plusieurs
membres
du groupe que la population con- sidérable des
autres Facultés de médecine. Ces arguments n'ont pas convaincu les
membres
du groupe qui, à la majorité de trois (MM. Bail
ate du 12 mars 1884, MM. les D13 Bertillon et Chervin sont nom- més
membres
de la Commission chargée d'étudier les mesures à
s vocales), par Seitz, 253. Hémiplégie homonyme de la face et des
membres
dans les lésions en foyer de la protubérance an
llon, 253. Hystérique (tremblement - d'ori- giue traumatique du
membre
in- férieur droit), par Carafi, 247;- (parapl
tenant sous les bras, soit a l'aide du chariot; on fortifie leurs
membres
en exerçant successivement chaque jour et à plu
nciens, ont apporté la conviction dans l'esprit de quelques-uns des
membres
de la Commission. L'un d'eux, M. L;rnest lorcc,
es aux écoles primaires pour les enfants arriérés. I. A MM. les
membres
de la 3° Commission du Conseil général de la Se
1891, le Comité des écoles de Londres char- gea quelques-uns de ses
membres
d'examiner l'oppor- tunité de mettre en pratiqu
ial du président de la commission, doyen de la Faculté de médecine,
membre
du Conseil de surveil- lance de l'Administratio
rise par le dit Conseil de surveillance, sur le rapport d'un de ses
membres
, et ce rapport y annexé, tendant : 1° A ce que
te à quatre ans. - Aggrava- tion de la paralysie et contracture des
membres
inférieurs. - Abcès multiples du genou droit. -
cond panaris analgésique. - Quelques semaines après, deux abcès dit
membre
supérieur droit. - Description du malade en 188
évrier 1887) : a B..., idiotie, violences passagères; rétraction du
membre
droit; malformation de la main Antécédents pers
inture, ce qui contribue encore à augmenter la saillie. ? ? ,o. ?
Membres
supérieurs. - On n'observe pas de déformation des
ont plus volumineux il gauche (voir le Tableau des mensurations des
membres
). Les coudes sont déformés par suite d'une gran
, est nul. Au dynamomètre, 10 à gauche, 6 à droite (fig. 4 et 6).
Membres
inférieurs. - Dans l'attitude habituelle, la cuis
sensibilité). Pas de troubles de la sensibilité sur le tronc et les
membres
inférieurs. Avril. - Deux furoncles l'un au côt
s'il refuse. 1892. Juillet. - Puberté. Le visage, le tronc et les
membres
sont glabres. Quelques poils sous l'aisselle ga
teil. Dans la marche, Il... avance ses béquilles simultanément, les
membres
inférieurs con- servant leur attitude de la sta
rale. - Elle est conservée sur la face, au cou, sur le tronc et les
membres
inférieurs. Toutefois 1;... prétend que le froi
tion d'eau) est plus vif à droite qu'à gauche ; que d'ha- bitude le
membre
inférieur gaucho est toujours assez chaud tandis
jambe. - La notion de position est normale. En ce qui concerne les
membres
supérieurs, les divers modes de la sensibilité
mités SUPÉRIEURES. V. - L'hémiplégie du côté droit qui prédomine au
membre
inférieur se complique d'une paralysie du membr
t qui prédomine au membre inférieur se complique d'une paralysie du
membre
inférieur gauche. Il semblerait donc que les ré
erait donc que les régions motrices du cer- veau, correspondant aux
membres
inférieurs auraient été plus atteintes que les
s auraient été plus atteintes que les régions qui correspondent aux
membres
supérieurs. Les mensurations des membres faites
ions qui correspondent aux membres supérieurs. Les mensurations des
membres
faites à différentes reprises et dont nous ne c
1896) mettent bien en relief les différences qui existent entre les
membres
des deux côtés du corps et donnent une idée de
ractions musculaires et tendineuses peu prononcées aux jointures du
membre
supé- rieur mais très accusées au membre inféri
rononcées aux jointures du membre supé- rieur mais très accusées au
membre
inférieur où elles ont été aggravées par des tr
cès qui se sont formés, aux opérations qui ont été prati- quées. Le
membre
inférieur gauche, dans son attitude générale, '
bituels (craque- ments, rigidité, arrêt de développement, etc.) des
membres
frappés de paralysie. - Rappelons que l'arrèt d
ralysie. - Rappelons que l'arrèt de développe- ment qui atteint les
membres
inférieurs, le droit plus que le gauche, a égal
antiscrofuleux pendant l'hiver, à l'hydrothérapie durant l'été, les
membres
inférieurs, surtout le gauche, seraient devenus r
surtout le gauche, seraient devenus rela- tivement plus agiles, les
membres
supérieurs se seraient fortifiés et l'attitude
sur la colonne vertébrale, à la région cervicale pour l'examen des
membres
supérieurs, à la région lombaire pour les membr
pour l'examen des membres supérieurs, à la région lombaire pour les
membres
inférieurs, l'électrode active est cons- tituée
conlractililé muscu- laire nous avons suivi la méthode de Erb. '
MEMBRE
supérieur gauche A. Sensibilité. Main. Face dor
ité, les signes sont plus pro- noncés à droite qu'à gauche aux deux
membres
. Sur le tronc et la face, la sensibilité et la
as de goitre, ni de ganglions ; circonférence : 30 cen. timètres.
Membres
supérieurs. - Bien conformés. Le bras droit pré
gts ont gardé leur motilité. L'enfant ne se ronge pas les ongles.
Membres
inférieurs. - Le membre inférieur gauche est pl
lité. L'enfant ne se ronge pas les ongles. Membres inférieurs. - Le
membre
inférieur gauche est plus long que le membre in
mbres inférieurs. - Le membre inférieur gauche est plus long que le
membre
inférieur du côté droit. Les mouve- ments de la
ulières mais diarrhéiques. Gâtisme. (Fig. 7). ). Mensurations des
membres
(1). 38 MÈNINGO -ENCÉPHALITE. Traitement. - S
ubitus dorsal, les bras et les mains fléchis sur les extrémités des
membres
et dans un degré très prononcé de contracture.
e n'est que par un effort violent qu'on peut arriver à redresser le
membre
con- tracture. L'état de maigreur de l'enfant e
latéral droit, et on perçoit à peine la respiration. L'attitude des
membres
inférieurs est toujours la même : ils sont contra
rès fléchie sur le bord cubital, mais non sur l'a- vant-bras. Les
membres
inférieurs sont très amaigris et conservent tou-
est contracturé en extension et la peau de ce pied est cyanosée. Le
membre
inférieur droit est en extension dans toute sa
cachexie progressive et déterminé en même temps une contracture des
membres
très accusée (Fig. 8). II. Nous avons trouvé da
s prononcée de la région lom- baire. Saillie exagérée des fesses.
Membres
supérieurs et inférieurs gros, courts, incurvés.
rations il n'y a pas de ditTé. rence entre les deux mem- bres .
Membres
inférieur...;, - Les cuisses sont arquées. Le d
nsibilité est un peu obtuse. - Les réflexes paraissent normaux.
Membres
inférieurs. - Ils sont remarquables par leur
relevait seul, parait-il, une fois la crise passée mais avait les
membres
brisés et restait éreinté et hébété durant le res
de la bouche sans mouvements des yeux et sans accidents du côté des
membres
. Aucun trouble n'accompa- gnait ces crises qui
et circon- férence 3a mm. Aucune trace de hernie n'est constatée.
Membres
supérieurs égaux et réguliers; il en de même des
nstatée. Membres supérieurs égaux et réguliers; il en de même des
membres
inférieurs Petites adénites chroniques dans les
à peine couché, il fut pris de convulsions généralisées aux quatre
membres
, et qui ne durèrent que quelques minutes. Vers
lever, et on s'aperçut que le côté droit était paralysé et que les
membres
de ce côté étaient devenus rigides. Il dut appr
mi-flexion. Si on observe le malade, on voit qu'il- n'imprime à son
membre
que des mou- vements de totalité ; si on l'enga
é ; si on l'engage à remuer tel ou tel seg- ment, il secoue tout le
membre
, et les mouvements se passent 16P.t're l'omopla
la nutrition de la peau, ni du système pileux. A la palpation, le
membre
paralysé parait, plus froid que le gauche. Memb
a palpation, le membre paralysé parait, plus froid que le gauche.
Membres
inférieurs. Le membre droit, moins développé qu
e paralysé parait, plus froid que le gauche. Membres inférieurs. Le
membre
droit, moins développé que l'autre à première v
endre de remuer son pied. En marchant, légère boiterie. comme si ce
membre
, était trop court ; le pied retombe de la point
es on ne perçoit aucun craquement. On obtient parfois, sur les deux
membres
infé- rieurs, des phénomènes d'épilepsie spinal
abondants aux aisselles, au pénil ; tronc glabre ; poils aux quatre
membres
. Pas d'adénite. ' - Quelques petites cicatrices
ée à gauche. La phase tét'1niforme qui a suivi a prédominé aux deux
membres
inférieurs. Les secous- ses cloniques ont iL pe
- ses cloniques ont iL peu près impressionné également les quatre
membres
. Pas d'écume : stertor terminal et sommeil cons
tique : sans aucune notion, mauvaise volonté, ne veut rien faire.
Membres
supérieurs. 90 Marche DE LA maladie. 1 ? sept
Quand on veut défléchr la jambe gauche, l'on n'y parvient pas. Le
membre
supérieur gauche n'est pas contracture, les membr
parvient pas. Le membre supérieur gauche n'est pas contracture, les
membres
du côté droit ont leur ancienne attitude. La fa
té cadavérique amoin- drie. On peut, sans trop d'efforts, plier les
membres
supérieur et inférieur gauches, beaucoup plus d
res supérieur et inférieur gauches, beaucoup plus difficilement les
membres
supérieur et inférieur droits. Autopsie faite
ur conséquence ultérieure l'épilepsie, 1° L'hémiplégie occupait les
membres
du cûtédooil, qui avaient été le siège des conv
i avaient été le siège des convulsions. Elle était complète pour le
membre
supérieur, incomplète pour l'inférieur. Le memb
complète pour le membre supérieur, incomplète pour l'inférieur. Le
membre
supérieur était contracture, le bras collé cont
l'atrophie, ou mieux l'arrêt de développement, était plus accusé au
membre
supérieur qu'au membre inférieur, qu'il allait
arrêt de développement, était plus accusé au membre supérieur qu'au
membre
inférieur, qu'il allait en quel- que sorte eu d
ais que leur développement à été sensiblement moindre que celui des
membres
du côté sain. Ajoutons que l'hémiplégie se comp
seur de l'os est à droite de 2Z millim. et à gauche de 23 millim.
Membres
inférieurs. VIII. Idiotie complète : Pseudo-p
ion de contractures très prononcées des deux côtés, prédominant aux
membres
inférieurs. -Attaques épileptiformes, - Eschare
t. Hymen circulaire. Région anale normale ; pas d'hémor- rhoides.
Membres
supérieurs. - La forme des bras est normale ; l
vée, la même des deux côtés. L'enfant se ronge un peu les ongles.
Membres
inférieurs. -A l'inspection, les membres infé-
e ronge un peu les ongles. Membres inférieurs. -A l'inspection, les
membres
infé- rieurs ont une forme naturelle. A droite
ectuelle s'accuse, Per... est devenue incapable de se servir de ses
membres
. Ses jambes fléchissent, elle tremble constamme
le cirée qui les protège. Fiy, 17. -.1 UIIl 1896. Contracture des
membres
; ESCHARES. 121 Mai et juin. - La déchéance dev
L'enfant décline de plus en plus. On observe de la contracture aux
membres
inférieurs. Ceux-ci sont en flexion à angle aig
ses. La contracture est tenace et très dif- ficile à vaincre. - Les
membres
inférieurs sont indemnes.- L'enfant a beaucoup
, les facultés intellectuelles déclinent, la force musculaire des
membres
surtout des inférieurs diminue, les mouve- ment
a moustache se dessine et quelques poils ont poussé au pénil. Les
membres
supérieurs et inférieurs sont gros, courts et o
; petites lèvres réduites à un léger repli de 4 à 5 millimètres.
Membres
supérieurs. -Le développement des bras est en r
ssie. Rien au niveau des articulations. Mains violacées, froides.
Membres
inférieurs . - Légère incurvation des tibias en
et 28 janvier. - B ? toujours gaie, semble énervée. Elle agite ses
membres
« comme des petits ressorts ». 29 janvier. - B.
et qu'on ne pouvait faire rire. » - Tremble- ment de la tète et des
membres
« comme une petite vieille. e Sueurs peu abonda
peu agité ; elle est sou- vent réveillée par des secousses dans les
membres
, elle se rendort aussitôt. Jili12.- Le traite
tout dans la partie sus-ombilicale. l'ointe de hernie ombilicale.
Membres
supérieurs. Ils sont épais, cylindriques ; les
téguments des mains ; sous les aisselles graisse assez abondante.
Membres
inférieurs. Cuisses grasses ainsi que les mollets
ée. Pas de cyanose des orteils. Les mensurations comparatives des
membres
supérieurs et inférieurs n'ont décélé aucune di
et inférieurs n'ont décélé aucune différence. Les mouvements des
membres
supérieurs sont relativement vifs surtout quand
ien de particulier. Les organes génitaux sont bien conformés. Les
membres
du côté droit sont normaux et jouissent de tous
côté droit sont normaux et jouissent de tous les mouvements. Les
membres
du côté gauche sont, au contraire, paralysés. L
'avant-bras -fléchi, la main pendante, la face dorsale en avant. Au
membre
inférieur la paralysie est incomplète, l'enfant
a pas de contracture, le -réflexe rotulien parait aboli ( ? ). Les
membres
clu côté gauche offrent un léger arrêt de dével
heures 1/2 du matin (390, ù). 212 MAUCHEDKS accès. POIDS, TAILLE,
MEMBRES
. 213 214 Alcoolisme r.nnÉnnAL ; pachyméningite.
Puberté : visage glabre ainsi que les aisselles, le tronc et les
membres
. Rien au pénil ni aux bourses qui sont pendantes,
2 ans et demi, attribuée à un mal de Pott, qui n'a jamais existé.
Membres
inférieurs ratatinés sur le tronc, contractu- r
n 1886 et en '1896, - Développement physique : poids, taille, tête,
membres
, puberté. - Amé- lioration intellectuelle très
ril à novembre. Exercices des jointures. - L'attitude, l'état des
membres
supérieurs et inférieurs sont les mêmes. Pubert
ive latérale gau- che a eu sa couronne détruite par la carie. Les
membres
et le thorax offrent toujours un développement
l et comparativement plus prononcés que le ventre, le bassin et les
membres
inférieurs. Au lit, flexion des cuisses sur le
n V contrairement à d'autres cas de paraplégie spasmodique où les
membres
ont l'attitude en X..Le malade assure que la ma
tion sudorale assez abondante. Tronc glabre. Duvet très fin sur les
membres
/ip. 41 1 240 Imbécillité et paraplégie spasm
existait chez, une petite (ille de la Fondation l'allée, Glay., les
membres
inférieurs étaient contrac- turés, mais ils l'é
ui frappe tout d'abord c'est l'arrêt de dévelop- pement relatif des
membres
inférieurs et de la moitié correspondante du tr
a moitié correspondante du tronc par rapport à la poitrine et aux
membres
supérieurs qui sont bien développés; puis l'alt
; puis l'altitude générale du tronc, penché en avant et celle des
membres
inférieurs : flexion des cuisses en adduction t
'autres cas de paralysies spasmodiques dans lequel l'attitude des
membres
inférieurs contractures est comparable à un X.
'extension du pied, prédomine il droite. Au dire du malade c'est le
membre
inférieur droit qui serait, le plus atteint. C'
teur médiane du front n'a pas subi de modification (p. 2'iGi. Les
membres
supérieurs, égaux, ont continué il se développe
lopper en grosseur et en longueur et dans les mêmes proportions. Le
membre
inférieur droit aurait été un peu arrêté dans s
modique. tête, les cheveux sont plus ou moins longs, et, pour les
membres
, parce qu'il peut survenir un amaigrisse- ment
c, il avait de la peine ci se lever ; mais il semble qu'a- lors ses
membres
supérieurs étaient indemnes, du moins il n'a co
ue ceux-ci ont été répétés un certain nombre do fois, lorsque les
membres
«se sont échauffés », on cesse de l'observer. C'e
o- malie do la contraction musculaire s'observe non seulement aux
membres
inférieurs, mais aussi aux supérieurs. C'est ai
voici d'ailleurs les chiffres qui représentent la circonférence des
membres
: SPASME MUSCULAIRE. ô bien légère, si tant e
forcé de prier quelqu'un de lutter avec lui pour lui assouplir les
membres
, puis au bout de quelques minutes les muscles s
venue pendant la nuit, dans une jambe d'abord, puis dans les autres
membres
; cet homme éprouve, luiaussi, delà gêne pour se
r et une maladresse toutes parti- culières ; il ressentait dans les
membres
des raideurs semblables à des crampes dès qu'il
de et même courir avec agilité. De même pour les mou- vements des
membres
supérieurs. Sensibilité in- tacte. - Ilieii de
que chez l'aîné. Quant aux symptômes présentés par les différents
membres
de cette famille, ce sont ceux que nous avons v
plus haut. Ces raideurs siègent non seulement sur les muscles des
membres
, mais aussi dans la majorité des cas sur la lan
die de l'enfance, congénitale même, caractérisée par la raideur des
membres
inférieurs; mais là s'ar- rêtent les analogies,
l'épilepsie spi- nale; on ne retrouve rien d'analogue du côté des
membres
supérieurs ou des muscles de la langue et de la
rtains cas, réduit, à peu de chose près, à la seule contracture des
membres
inférieurs, avec ou sans rigidité concomi- tant
re des membres inférieurs, avec ou sans rigidité concomi- tante des
membres
inférieurs. » - (Lecoi2s sur les maladies du sys-
cendait à la cave. 11 ne souffrait nullement d'ailleurs ni dans les
membres
, ni dans la colonne ver- tébrale. La contract
re fit des progrès rapides et s'accompagna bientôt de faiblesse des
membres
inférieurs, si bien qu'au bout de six mois la m
le jour de l'entrée du malade à l'infirmerie. Pour ce qui est des
membres
, ils sont inégalement intéressés. Les supérieur
, elle nous-donne onze divisions à droite et dix à gauche. Si les
membres
supérieurs sont presque indemnes, il n'en est p
vait une adipose tellement développée que les saillies osseuses des
membres
étaient masquées, et ceux-ci présen- taient un
que cliniquement on avait affaire à une paralysie spasmodique des
membres
inférieurs, accompagnée de troubles de la parole,
l'apparition progressive des phénomènes médul- laires, rigidité des
membres
inférieurs, intermittente d'abord, per- manente
ici en résumé son histoire : affaiblissement général et graduel des
membres
, vertiges, léger tremblement des mains, cécité
es mains, cécité transitoire, diplopie, rémissions, trépidation des
membres
inférieurs, douleurs fulgurantes. Etat de la
eurs, douleurs fulgurantes. Etat de la malade en 1877 : Parésie des
membres
inférieurs, con- tracture passagère des membres
1877 : Parésie des membres inférieurs, con- tracture passagère des
membres
inférieurs, trépidation, strabisme. Persistance
inférieurs, trépidation, strabisme. Persistance de la rigidité des
membres
inférieurs, de la trépidation en 1873. )Jscliar
ue, signalons l'énorme quan- tité de graisse qui double la peau des
membres
inférieurs et la dégénération graisseuse de leu
frustes par M. Charcot et s'est accusée pendant la vie, du côté des
membres
par de la rai- deur d'abord, et par de l'atroph
totale a duré une demi-heure. Quand l'engour- dissement a envahi le
membre
inférieur, la face était déjà dégagée et l'ambl
mais l'engourdissement a aussi envahi le ANOMALIE DU CERVEAU. 59
membre
inférieur gauche, et le trouble de la vue s'est g
mettre en rapport avec l'absence congé- nitale ou accidentelle d'un
membre
certaines atrophies appa- rentes des circonvolu
r les animaux, pour rechercher si à la suite de l'amputation d'un
membre
la dégénération des fibres nerveuses pouvait re
us n'avons pas été plus heureux. Quant aux faits dans lesquels un
membre
ou un segment de membre manque par suite d'un a
heureux. Quant aux faits dans lesquels un membre ou un segment de
membre
manque par suite d'un arrêt de développement, n
volutions cérébrales, consécutivement aux amputations anciennes des
membres
du côté opposé, (Biill. Soc. l31ol., 1877, p. 2
ces atténuantes. Ajoutons qu'elle n'offre aucune malformation des
membres
, pas de déviation de la face, pas de troubles d
riode des contorsions et des grands moMuemeH<s. Bientôt tous les
membres
sont pris de mouvements lents et très désordonnés
sions cessent , tout le corps parait légèrement tétanisé , et les
membres
conservent pendant longtemps la position qu'on le
t alors pendant quelque temps de mal de tête et de fatigue dans les
membres
; mais l'état s'améliore rapidement, et souvent
les reins. Elle éprouvait de la faiblesse et de la fatigue dans les
membres
. Au commencement de l'attaque ses yeux devenaie
lques instants, un tremblement convulsif parcourut son corps et ses
membres
. Les bras s'écartèrent légèrement, les mains en
isy mettre fin par l'étbérisation, ou par une vive faradisation des
membres
et du tronc. La période qui suivait les convuls
ie salivaire, indicatrice du besoin de manger, et les secousses des
membres
, les balancements céphaliques, les con- vulsion
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 103 lysie de la sensibilité des quatre
membres
. Entrée en convales- cence et capacité de trava
la moelle et le bulbe, et passe en revue les nombreux centres des
membres
de la respiration et de la circulation, cilio-spi
plique de M. Falret, qui rappelle que M. Magnan et plusieurs autres
membres
ont promis leur avis, on procède à un vote. A
rovisoire le Dl liainmoild, de New-York. Après avoir féli- cité les
membres
de la Société du succès croissant de leur Associa
; T%ice-présiclezt, 111. MonroN ; Secrétaire-trésorier, M. Seguin ;
Membres
du conseil, MAI. MiLEs et SiiAw. Le bureau est
rs les symptômes étaient iden- tiques : Affaiblissement graduel des
membres
inférieurs, absence de douleur, pupilles égales
impressions. Vendredi 23 juin. Séance de. jour. M. D wa est nommé
membre
titulaire ; AU"LiSte Ollivier, de Paris, et Mie
mé membre titulaire ; AU"LiSte Ollivier, de Paris, et Mierzejewski,
membres
correspondants. Observation de myélite des corn
levée et le Congrès ajourné en juin 1883. Dauce. XV= CONGRÈS DES
MEMBRES
DE LA SOCIÉTÉ DES MÉDECINS ALIÉNISTES DE LA BAS
e. En consé- quence la séance est levée. La prochaine réunion des
membres
de la Société aura lieu le BIBLIOGRAPHIE. 127
iles publics appartenant à des départements seront composés de cinq
membres
dont deux conseillers généraux élus par l'assem
conseillers généraux élus par l'assemblée départementale et trois
membres
choisis par le préfet. Elles se renouvelleront ch
commission de surveillance unique, qui sera composée de 7, 9 ou Il
membres
. Le même décret indiquera la proportion des mem
e de 7, 9 ou Il membres. Le même décret indiquera la proportion des
membres
élus par le conseil général dans son sein et de
tratcur provisoire. Elles désigneront pour les remplir un de leurs
membres
. Cet administrateur ainsi désigné aura les même
dépôts et consigna- tions.' ART. 47.- L'administrateur provisoire
membre
d'une commission administrative ou de surveilla
: M. Leguay. MM. de Quatrefages, Parrot et Auburtin ont été réélus
membres
de la commission de publication. ' Société T1
côté opposé et surtout d'une paralysie alterne de la face et des
membres
appellera l'attention sur la para- lysie conjug
La tendance à tomber du côté gauche, sans paralysie appréciable des
membres
, plaide également dans le sens d'une lésion bul
érance. Je relèverai entre autres symptômes un engourdissement du
membre
inférieur gauche, qui s'est reproduit plusieurs f
ésie mirs- culaire. Nous avons signalé des troubles analogues des
membres
dans les Observations I et IV. Si nous rapproch
pagnent de nausées et d'une sorte d'engourdissement doulou- reux du
membre
inférieur droit. Jamais de perte de connais- sa
iable sans perte de connaissance ni vomissements. Tremble- ment des
membres
plus prononcé à certaines époques, ne s'exagéra
a pointe est déviée vers la gauche. Hémiplégie gauche flaccide, les
membres
du côté gauche sont inertes, et si on les soulève
indre tonicité; ils sont en outre, sensiblement plus chauds que les
membres
du côté droit. La température prise comparative
paralysie ren- dant impossibles tous les mouvements volontaires des
membres
du côté gauche. De plus, dès le 19 avril, c'est
'y a pas de rotation de la tète, ni de déviation des yeux. Les deux
membres
du côté gauche sont inertes, flaccides, et soul
e. Le malade ne peut exécuter aucun mou- vement volontaire avec les
membres
du côté gauche. Pas d'hé- mianesthésie. Le réfl
lien est exagéré du côté gauche. Il existe un peu d'oedème dans les
membres
du côté paralysé. État des forces au dynamomètr
est stertoreuse, les pupilles sont insensibles, contractées et les
membres
en réso- lution complète. Il n'existe d'autre t
du bord posté- rieur du pariétal gauche et quelques contusions aux
membres
inférieurs, particulièrement du côté droit. 2
r consécutive ; signes de méningite, vomissements , contracture des
membres
supé- rieurs et de la nuque, mort. AuTOPSiE ?
ax. 33° et 33 ? ; P. 92. IL survient bientôt de la contracture des
membres
supérieurs et des muscles du cou, avec déviatio
J... perd subitement l'usage de ses sens, les yeux sont fixes, les
membres
roidis. On ne peut obtenir aucune réponse. Cet ét
e tomber presque instantanément dans un état semi-cataleptique. Ses
membres
conservent la position qu'on leur imprime, il y
en dehors. Le pouce est fortement appuyé sur l'index fléchi. Les
membres
supérieurs sont dans la supination et un peu dans
forme avec le bras un angle très ouvert d'en- viron H0° à 150". Les
membres
inférieurs sont dans l'extension, et très rappr
c et les extrémités, le malade, dépourvu de toute sensibilité aux
membres
inférieurs, en proie à une paralysie motrice géné
re. Il attribue la dégénérescence atrophique des muscles dans les
membres
inférieurs à une longue impotence (pas d'altérati
anique), la période catalep- tique par la flexibilité plastique des
membres
, qui gardent long- temps les positions communiq
e se trouble alors. Jamais de nystagmus. Presque aussi fréquent aux
membres
supérieurs, il consiste en des mouvements de fl
gis- treur de Marin a été utilisé pour celte étude. < Rare aux
membres
inférieurs, le tremblement sénile ne s'y montre
ente d'un tremblement pareil à celui de la sclérose en plaques. Les
membres
inférieurs et supérieurs exécutent, au-dessus et
de 90 à 48, la tempéra- ture rectale de 140°,6 à 310,,1,. Celle des
membres
paralysés d'abord augmentée était finalement si
dans celle-ci) et que la sensibilité générale était obtuse dans les
membres
paralysés. Il ne parait pas en outre que des co
Voisin; Conseil de famille, 1111. Luos et 1).%LLY sont adjoints aux
membres
du Bureau pour former le. conseil de famille. Com
ibuée au lauréat M. Marcel Briand, ancien interne de Sainte-Anne et
membre
de la Société. Suite de la discussion sur la cr
en- combreraient l'asile d'État. Malgré cette objection plusieurs
membres
considèrent cette inno- vation comme heureuse;
in traitant serait l'inter- médiaire naturel entre le malade et les
membres
de la commis- sion, dont il ferait partie, et à
dans les cas simples, grossiers et à la portée du public, les trois
membres
non médecins de la commission l'emporteront sur
a'tout propos que la commission d'examen a été constituée avec des
membres
appartenant à différentes catégories de la soci
asile, se déplacera seul; on trouvera toujours sur place les autres
membres
, le magis- trat, l'avocat et le notaire. M. F
1883. Recherches expérimentales et cliniques sur les atrophies des
membres
dans les affections chirurgicales (système musc
but de révéler le nom de l'auteur à la commission ou à l'un de ses
membres
, ferait exclure le mémoire du concours ; 7" Le
Lutaud. Archiuiste, M. Ladreit de Lacbarrière. Trésorier, M. Mayet.
Membres
de la Commission permanente : MM. Chaude, Galla
rs, Pinard, d'IIerbelot, Motet, Polaillon, Legraud du Saulle, Gram.
Membres
du conseil de famille : MM. Chaude, Chopin d'Ar
: MM. Chaude, Chopin d'Arnouville, -de Villiers, Le Fort, Luuier. -
Membres
du Comité de publication : MM. Gattard, secréta
MOTRICES DANS L'ÉCORCE DU CERVEAU. (Relation des monoplégies des
membres
inférieurs avec les lésions du lobule paracentral
rconvolution pariétale ascendante, détermine une paralysie des deux
membres
(supérieur et inférieur) du côté opposé, sans p
exacte 'et le siège 'précis du centre pour les mouvements isoles du
membre
inférieur ». Cette limite exacte et ce siège pr
ici de montrer par quelques exemples que la monoplégie de l'un des
membres
in- férieurs correspond anatomiquement à des lé
n'est pas très fréquent en clinique d'observer des monoplégies des
membres
inférieurs. Si celles du bras sont relativement
psie, rappellent les nôtres. 7 . Observation I.-11102101)légiC du
membre
aü fére'etc' gauclze. ltla- q(es d'épilepsie pa
lze. ltla- q(es d'épilepsie partielle. Extension de la paralysie au
membre
supérieur gauche. Plaque de méningite tubercule
vêtu les caractères d'un accès d'épilepsie partielle : la jambe, le
membre
supérieur et les muscles de la face du côté gau
aient antérieurement, c'est-à-dire, engourdissement avec parésie du
membre
inférieur gauche, sans aucun trouble para ! lyt
ie du membre inférieur gauche, sans aucun trouble para ! lytique du
membre
supérieur de ce côté. 1 Huit jours après, deuxi
lysé. ' État actuel (9 mars). Il existe une paralysie flaccide du
membre
supérieur et du membre inférieur gauches. 1 Les
9 mars). Il existe une paralysie flaccide du membre supérieur et du
membre
inférieur gauches. 1 Les pièces antomiuos relat
de lit Société, IS82, p. 192. )7(i ' PATHOLOGIE NERVEUSE. ' Au
membre
inférieur, la paralysie est absolue. Tout au plus
la cuisse, du pied sur la jambe, sont' totalement 'abolis ? 1- Le'
membre
su- périeur est aussi ? fortement atteint' : lé
ose méningée. Et se fondant sur )la localisation de la paralysie au
membre
infé- rieur dans les premiers, temps de l'affec
auche, où ils sont plus forts qu'à droite. Ils manquent toujours au
membre
inférieur. Nous constatons, en outre, un symptô
RICES PU CERVEAU. 277 La paralysie motrice est toujours absolue. Le
membre
infé- rieur gauche très.oedématié, et sur leque
dans l'ex- tension forcée et légèrement déjeté en dehors.')' ' Le
membre
supérieur est inerte. Cependant la malade exécute
r l'avant-bras. L'extension est impos- sible. - Les muscles de ce,,
membre
supérieur, surtout ceux du bras, sont flasques
ent, nous avons eu affaire à une. paralysie limitée tout d'abord au
membre
. ues, o ·m i y. ,i . 7 .n»'"> '(.t"t ? .. .
,i . 7 .n»'"> '(.t"t ? .. . intérieur gauche, et^qui a gagne le
membre
supérieur ? ,D. ) ? ? ? 0 . o r41 . , i corresp
orte d'engourdissement, avec fourmillements dans toute l'étendue du
membre
inférieur gauche; ces, troubles de la sen- sibi
e affaiblissement\lans la jambe gauche. -Le 3, l'affaiblissement du
membre
avait encore augmenté, et' il Iiii'fallut 1 aid
ts du visage né sont nullement déviés, pas plus que la langue. Le
membre
supérieur gauche est complètement indemne. Il fai
le se plaint d'une sensation d'engourdissement s'étendant à tout le
membre
inférieur gauche qui est tout à fait impotent.
t. Il n'existe plus aucun mouvement volontaire d'aucun segment du
membre
, qui est complètement flasque. Il y existe une ex
. , ou La sensibilité est intacte comme la motilité à la face, au
membre
supérieur et au, tronc. Au membre inférieur, la s
e comme la motilité à la face, au membre supérieur et au, tronc. Au
membre
inférieur, la sensi- t i / i >y i i il 1·N
rande comme une pièce de deux francs., Rien de nouveau du' côté des
membres
et 'de la face. .4 " ' ., i , ". i. .if'1 " -w,
trouble quel- conque de la sensibilité. L'état de la sensibilité du
membre
inférieur est le même qu'au début ? , '. 8 av
de nouveau* à'lai'face. Sur leFeôté âauché,du corps, et ,sur, le
membre
supérieur;da sensibilité au contact, parait un pe
\ v\ \, "I'à%e, »\ ,-».,V , 1 1 13 avril.. Quelque soit le point du
membre
supérieur que l'on pique ou que 1 on touche, la
en plus ses .forces, re- marqua déplus qu'il avait do l'oedème des
membres
inférieurs, il dut cesser tout à fait son trava
ons chez le malade une paralysie motrice complète, occupant tout le
membre
inférieur gauche, avec crampes dou- û4 . W '' %
mbres' *>inférieûi's'(monoplégie)i ? qui gagne ultérieurement le
membre
thoracique cor- respondant : ' quatre1 fois* oh
comme dans les nôtres, il y, a eulmonoplégie primitive de l'un,des
membres
] pelviens et plus tard ex- tension de- la paral
du voisinage des terri- toires, préposés à. la motilité.de.-chaque
membre
, les lésions qui intéressent l'un d'eux retenti
de la tuberculose, fut pris d'une paralysie avec lnjpcresthésie du
membre
inférieur \ gauche. L'autop- sie montra à la pa
! égie. pro- prement dite quifp'réegdent'et ceux de monoplégie du
membre
inférieur 'consécutivement=combinéeàla,pa- raly
du membre inférieur 'consécutivement=combinéeàla,pa- ralysie'- du
membre
supérieur : Ils'ait'd'un homme de cinquante et
z 'q, .1 , On voit donc que, dans tous ces faits de monoplégie du
membre
'inférieur, les, lésions· ont été trouvées loca
oment- de, sa durée a.des troubles, permaiieiits cle'lamotilité.,du
membre
supé- rieur : tels les cas publiés par 'Landouz
rapide, le bras droit recouvra tout d'abord ses fonctions, et le
membre
inférieur resta paralysé le dernier'. Nous pour
observées chez des individus depuis longtemps amputés de l'un des
membres
inférieurs. Mais la réalité de ces atrophies n'
t qui s'était traduite ciiniquement par' une paralysie localisée au
membre
inférieur du coté opposé. Nouveau l'ait, aussi
encore'rles mémesjdoùleurs ''avec une grande- lassitude- dans, les,
membres
..Toutefois il con- . D ? i ,/ \t';^xu 'ii'it.Ji
i.t ? jd/a.y/e peo;Ho ? eeM'oyt'eM6 ? 6SWp ? ? ! e tnchronique, du,
membre
inférieur gauche. Arthronalhie du genou gauche.
it se lever; fia marchelétait. alors incertaine'ètullésitè,lrte.Les`
membres
inférieurs j.étaient^aussi 1 douleurs-fulgurant
t- n f;t';t ? .qt )). t.t ? r, , . ? ... ? U. ,' . ,,1 , .. - 17 Le
membre
intérieur gauche est depuis n dune tuméfaction
es- sion, des sueurs nocturnes, de l'ascite, de l'oedème des deux
membres
inférieurs, de l'incontinence d'urine, c'est-à-di
n) ? ft m ;IY Jtl)J). ,·1 v rations nerveuses périphériques dans le;
membre
affecté soe, n A ? t- 't y ·..rn n·. Ym W ititm
Jt' ' 1 'Àjià ? J ? , J".l i. > ! Illj* phiques observés dans le
membre
correspondant, '>'► n .. I,t i ,n -, ' 1 · .
twyt111 J1W1 11l1 ? ( .itiH-n r ? XJr *5V»*r existe a la face et am
membres
avec les caractere5 ctu`nous ses avons' décrits
ste de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire. 't ht z portée sur urr
membre
en amène lâ coiltrlcturé ? d'uné façonibrtisqûe
t un peu iliténselil'ale 1ontrac ! I ture'se généralise aussitôt au
membre
* tout entier. ''^'"l -11"J' Nous cohtihùons'Ies
contracture' de^out^ lemembre.' 1 L,a secousse 'retentit' sur le
membre
du1' côté opposé,' mais la contracture "reste tou
ifications suivantes : "' ' ' ? Il se produit par instants dans les
membres
secolisses spoîl taoées. ,La,i4qlade s'agite,
J L' 'JC.r f . t"t '. 't j't 1, je, -.1.1. ' tt 1 d'un coup dans un
membre
supérieur, seulement ou dans 1 les deux mèmbr
deux mèmbrès a la fols, pour l ** ivir.v i-i'iii'< ,Tï les deux
membres
a la fois, pour reparaître quelques moments apr
E. 1 LI (,. ' O,IStl1- lt i t t 1 tfi 5 rv(r-tr1 ! ·1 rn v t "' '
membre
qui, tout à l'heure -7 pendant l'état léthargique
a n'lli*,)fill 11) '^'l'r'1(' if`1 i l' ' ! m r9ll'fl( modifiée, le
membre
reste inerte.et dans la résolution. - ? f;' t t
n ! t. 'rfa7fr r .n , f< : ;tt : ? pio;r} ! arrrrr a t( tout le
membre
intéresse. L action du doigt ,pro- arf(,,r( i a
rn ? t· 'rr pnti .fuRtrrM ? ? r' ! `)I5 n'ujt mené a la surface du
membre
, même à distiiice pro-, , . - . , ....s41r;siHo
contracture est plus diffuse, , elle envahit habituellement tout un
membre
.. ,.ltl 1 , ? »* ...' · I ' ni . - 't I...' ? l
i .. * ' ? quel que soit son point d'application à la surface du
membre
contracture. , , . t t .. , . ! 1,11' | ,1 ., 1
flasque de tout le cote droit au corps; ne pouvait mouvoir^. lçs,|
membres
de ce côté; si on les soulevait, Hs.retombaientjn
) .4 -11 Il 1 -1 1 ai, 1 , iù 1 , , résulûtion complète des quatre
membres
. 6<u)..q tel, j ? ^ , . , , >1 't ( gg 1
ent fléçlüëvsiüvlx"cûissë ét'céllé=ci'sur'le bassin ? A droit'é"'au
membre
inférieur en'eoré ? illexiste''de la'contractuïè
isse ,enrin, la malade peut, dans une certaine, mesure, soulever le
membre
au-dessus du plan du lit" , ? "L'e'mémbre' supe
'a"itante,dë)a'sctérosc en plaques/ de 1 ataxie 6âde'l'a choree. Le
membre
supérieur droit est 'ilasqe s8uiev'é', il retom
9, "attaques épiteptiformosfi'équente's;']oca]isécs.surt,outdaus le
membre
, supérieur gauche et qui continuent à se reprodui
D'autre part, un certain nombre de névralgies, principale- ment du
membre
sup.61eur,'s'acco- p- 7 ilciïfd& douleurs rac
lé, même doute peut s'élever à propos de la paralysie saturnine du
membre
supérieur -.«par exemple, qui occupe un certain
sultat de 1 expérience de Panizza, qui n a obtenu 1 immobilité du
membre
qu après avoir sectionne toutes les racines. "1 "
es racines motrices du plexus /o/;t&6[t)'e/n ? M ? t ! Mc/cs du
membre
inférieur. (Société de Biologie,1 29 juïIluL^13
dant leur durée clic entend et comprend sans pou- voir remuer aucun
membre
. Disparition des phénomènes pendant un congé qu
quelconque. < t < ! " ,, , ' Grâce à la persévérance de ses
membres
, la Société verra bientôt la statue du bienfait
dants, soit chez les collatéraux ; mais cela ne veut pas dire qu'un
membre
d'une famille étant atteint d'aliéna- tion ment
embre d'une famille étant atteint d'aliéna- tion mentale les autres
membres
doivent l'être fatalement à leur tour. L'hérédi
ance est suspendue pendant le temps nécessaire à l'élection de deux
membres
du Bureau. MM. Nasse et Westphal sont réélus. M
III, p. 234. , SOCIÉTÉS SAVANTES. 395 venues de quelques-uns des
membres
absents et annonce que M. Reissiger (d'Erlangen
adoptées par elle, avec les modifications proposées par chacun des
membres
: 1° Sont appelés idiots tous les psychopathes
commission soient, avant la lecture, impri- mées et distribuées aux
membres
de la Société. Le président rappelle que sembla
la présidence, fait remarquer que l'heure avancée a forcé pl-ieurs
membres
à retirer leurs communications. Il soumet en co
emblement commence le plus souvent par la tête, quelquefois par les
membres
supérieurs, souvent par la tête et les bras sim
ouvent par la tête et les bras simultanément, très rarement par les
membres
inférieurs. La maladie est surtout caraco téris
yse de ce travail que de l'emprunter au rapport de SI. Charpentier,
membre
de la commission du prix Au- 1);Illel : « Dan
rBEArtD est mort à New-York le 3 janvier 1883. Né en 1839, il était
membre
du collège des médecins et des chirur- giens de
, par Kirchhoff, 368. Chorée post-paralytique, 119. Congrès des
membres
de la Société des médecins aliénistes de la B
ontribution il l'é- tude des) ; relation des illoiloi)]- gies des
membres
inférieurs avec les lésions du lobule paracentr
ieuse de trois cas de paralysie faciale a frigore survenus chez des
membres
de la même famille (la soeur et les deux frères
. En présence de ces trois paralysies faciales survenues chez les
membres
de la même famille, de la récidive de la para-
ns dans Ja première enfance; à l'âge de dix ans, tic convulsif du
membre
supérieur droit, qui a persisté pendant plusieurs
vation nette. Elle disait n'avoir pas d'attaques de nerfs, mais des
membres
de la famille m'ont affirmé qu'elle en avait eu
ée par un nombre variable de musiciens a duré quelque temps, un des
membres
de la troupe se lève brusquement, fait face aux
e d'un phénomène com- mun chez les hystériques. On sait que sur les
membres
anesthésiés, fréquemment les piqûres ne saignen
l'hystérie chez l'homme. 43 rencontre dans le même groupe plusieurs
membres
de la même famille. J'y ai vu le père et les de
aux intempéries des saisons, il se plaignait de douleurs dans les
membres
, auxquelles une fièvre se joignit plus tard , les
auxquelles une fièvre se joignit plus tard , les douleurs dans les
membres
cessèrent, et il se crut parfaitement guéri. La
le malade, qui était couché sur le dos, s'est courbé en avant. Les
membres
sont dans un état de roideur qu'on peut surmont
ement convulsif du bras droit au moment où l'on pinça la peau de ce
membre
, et un mouvement semblable au moment où l'on in
usse un cri aigu, perd connais- sance, s'agite un instant, puis ses
membres
deviennent le siège de fortes secousses. Ces ac
nts étaient irréguliers, involontaires ; au dire de la malade, le
membre
gauche était refroidi, surtout les doigts ; ce qu
s doigts ; ce qu'il y a de certain, c'est qu'elle éprouvait dans ce
membre
une sensa- tion de froid. Les secousses se so
x côtés du corps. La maladie a fait de rapides progrès ; tous les
membres
sont agités de mouvements désordonnés, tous les
urait eu des mouvements ir- réguliers des muscles de la face et des
membres
. Une de ses tantes, du côté de sa mère, a eu au
nombre de fois dans la journée, et dans l'intervalle desquelles les
membres
étaient souvent un peu agités. Cette affectio
ndant sous ce terme toutes les impressions que nous recevons de nos
membres
en mou- vement, ou des mouvements en général, l
e. Pour un grand nombre ce serait surtout la notion de position des
membres
qui constituerait le sens musculaire. Pour cert
autres les sensations provenant de toutes les parties profondes des
membres
, apo- névroses, tendons, articulations et muscl
les yeux sont fermés, et à la perte de la notion de position de nos
membres
. Nous y reviendrons à propos du siège du sens m
faculté locomotrice; et d'autre part des impressions sensitives des
membres
en mou- vement, impressions centripètes émanant
sent un grand effort musculaire, bien qu'ils remuent à peine leur
membre
. D'après cela, la conscience de l'effort serait i
CI. Bernard, qui, en enlevant la peau d'un 88 REVUE CRITIQUE. des
membres
d'une grenouille, ou en coupant ses racines pos
ont montré qu'elle se servait avec autant de précision de ses deux
membres
, et que par consé- quent elle devait avoir cons
nations sensorielles des amputés qui croient encore faire agir leur
membre
perdu. Il s'exprime ainsi (Injuries of nerves,
des impressions trans- mises par les nerfs sensitifs ordinaires des
membres
en mou- vement, par exemple des muscles, des ar
étendue, l'énergie, la direction des mouvements, la position de nos
membres
, en un mot les effets de l'incita- tion central
es restant intacts. Les centres corticaux pour les mouvements des
membres
sont en rapport uniquement avec les impulsions
les racines antérieures pour aller au grand sympa- thique.- Pour le
membre
supérieur, ils liassent par le 3° gan- glion ce
eures, sous le nom de monoplégie anesthésique, quand il s'agit d'un
membre
. On ajoutera à cette dénomination l'épithète de r
e assez commun de rencontrer des cas de contracture spasmodique des
membres
inférieurs, de mutisme, de hoquet, qui sont, à
kiewicz lui-même, à des brûlures qui résultaient de l'anesthésie du
membre
et n'étaient pas par conséquent de véritables t
s troubles vaso-moteurs et sécrétoires, le refroi- dissement (r'tin
membre
anesthésie, la sudation excessive, ce sont là d
otre argumentation de la façon suivante : 1° le cas d'anesthésie du
membre
supérieur observé par M. Adamkiewicz présente t
cédé de Jendrassik, sous l'influence des mouvements du tronc et des
membres
supérieurs. Quoi qu'il en soit, la disparition
eau, de Tours. Le soir un grand banquet réunissait chez Brébant les
membres
de la Société. Plusieurs toasts ont été portés
issements semblables en Russie. Il démontre, et un grand nombre des
membres
du congrès sont de son avis, qu'une certaine pa
is aussi quels effets opposés : là, convulsions atroces de tous les
membres
, rictus hideux de la face, ici, au contraire, c
e toutes ses actions, ne puisse pas, dans l'intérêt même des autres
membres
de sa famille, demeurer avec l'aliéné; qu'il ne
une surveillance qui s'exercera par des visites très fréquentes des
membres
de la commission permanente, ou par celles des di
e guère. Nous pou- vons être à peu près certains de l'affection des
membres
de la branche ascendante de la famille pour la
je lui demande encore d'admettre que toutes les fois que ce sera un
membre
rapproché de la famille qui soignera un malade pa
llatéraux, à des familles avides, le soin de protéger ceux de leurs
membres
que le malheur a frappés ? Pour ma part, je ne
cceptent le principe, bien qu'avec des modifications; mais certains
membres
de cette Assemblée le repoussent absolu- ment,
ttre un vote plus clair pour la plupart d'entre nous. M. DrLSOr.,
membre
de la commission. Messieurs, la commission n'ac
présenter, qu'il pouvait y avoir utilité pour un aliéné à ce qu'un
membre
de la famille dans ces conditions pût s'adresse
ticle 8 du cas seulement où une coercition est nécessaire. C'est un
membre
de la commission, M. Delsol, qui estvenuapporte
ment donner la famille au cas d'alié- nation mentale de l'un de ses
membres
, lorsque c'est par les parents les plus proches
NERVEUSE CONTRIBUTION A L'HISTOIRE DES MONOPLÉGIES PARTIELLES DU
MEMBRE
SUPÉRIEUR, D'ORIGINE HYSTÉRO-TRAUMA- TIQUE ;
s lignes sur la description des monoplégies hystéro-traumatiques du
membre
su- périeur, afin d'être bien fixé sur leurs al
es affectent d'or- dinaire la forme flasque, celle dans laquelle le
membre
pend le long du corps, incapable d'être soulevé
mouvement, qui s'arrêtent brusquement, en procédant par segments de
membres
, sans suivre la topographie anatomique des nerf
l, 1886. 130 PATHOLOGIE NERVEUSE. lieu à une vive douleur dans le
membre
supérieur gauche. D'abord limitées à l'avant-br
grande. En moins de huit jours, survient une contracture de tout le
membre
accompa- gnée de rigidité et d'hypéresthésie cu
tusion ; la gêne dans les mouvements, la lourdeur et l'inertie du
membre
, ne viennent que tardivement : on dirait que le
isme. Le relevé des observations les plus con- nues de paralysie du
membre
supérieur est, à cet égard, singulièrement inst
Les jours suivants, il y eut de l'affaiblissement progressif des
membres
, et finalement, une monoplégie complète du memb
progressif des membres, et finalement, une monoplégie complète du
membre
supérieur s'accentuant d'autant plus que la mot
érieur s'accentuant d'autant plus que la motilité revenait dans les
membres
inférieurs. 'Ici en- core, le développement de
me de vingt ans, observé par Féréol, eut une monoplégie tenace du
membre
supérieur, à la suite d'un léger coup sur l'épa
es hôpitaux (27 novembre 1885) un malade atteint de monoplégie du
membre
supérieur droit, avec hémi- anesthésie sensitiv
ie brachiale psycho-trauma- tique, ceux dans lesquels un segment de
membre
, le plus souvent la main et l'avant-bras, se tr
elle faisait des progrès : bientôt la parésie s'accusa dans tout le
membre
supérieur. Au moment de son entrée à l'hôpita
e son entrée à l'hôpital, on constate l'état suivant : Parésie du
membre
supérieur droit, portant exclu- sivement sur la
éjà de paraplégie psycho-traumatique à la suite d'une contusion des
membres
inférieurs. Nous empruntons cette; curieuse obs
dont une roue lui a passé au travers du corps, vers la racine des
membres
inférieurs. On le relève sans connaissance. Ren-
: Amnésie très accusée, faiblesse extrême, anesthésie complète des
membres
inférieurs ' Nous résumons les grands traits de
ulaire abolis ; le malade n'a pas la notion de la position de ses
membres
. Les mouvements sont nuls aux cuisses et aux
able éveillent une hys- térie grave et une paraplégie psychique des
membres
inférieurs. Pendant des mois, les membres supér
paraplégie psychique des membres inférieurs. Pendant des mois, les
membres
supérieurs Fig. 13. DES MONOPLÉGIES PARTIELLE
ets. Depuis deux mois, il existe quelques mouvements choréiques aux
membres
supérieurs. Au moment de son entrée à l'hôpital
rs 1887), on cons- tate les signes suivants la forme et l'aspect du
membre
supé- rieur gauche ne sont pas modifiés. Il exi
supé- rieur gauche ne sont pas modifiés. Il existe une parésie du
membre
supérieur, il est très diffi- cile à la malade
la forme, l'aspect extérieur, la colora- tion et la température du
membre
affecté. Mouvements. - Rien d'anormal dans les
bilité de ce côté porte sur la moitié antérieure du tronc et sur le
membre
supérieur tout entier. Le ventre et les membres
du tronc et sur le membre supérieur tout entier. Le ventre et les
membres
inférieurs ont leur sensibilité normale. A gauche
che, la sensibilité est également émoussée sur le tronc et sur le
membre
supérieur (voir le schéma), mais les phénomènes l
effet, et malgré l'exagération de la sensibilité, l'état actuel du
membre
se rapproche presque complètement de la normale
ison brusque en manchette circulaire, comprenant tout un segment de
membre
sans tenir compte de la distribution des fibres
tériques, qui précèdent, accompagnent ou suivent la monoplégie du
membre
supérieur sous l'influence de la provoca- tion
UPÉRIEUR. 199 que cette anesthésie se circonscrit à un segment de
membre
, sans suivre la distribution des nerfs de la ré
E NERVEUSE. sensibilité est très émoussée et presque abolie dans le
membre
supérieur droit. Etat actuel. Fille robuste,
anesthésie et une anal- gésie complète. Cette anesthésie occupe le
membre
supérieur droit Fig. 16. Fig. 17. DES MONOP
nquent, et à cause des troubles trophi- ques ou vasomoteurs dont le
membre
anesthésié était le siège. Nous savons aujourd'
st également perdue. Cette analgésie se limite exactement à tout le
membre
inférieur droit, elle se termine brusquement à
ainsi que les réflexes tendineux. Quelques semaines plus tard, le
membre
inférieur gauche se prend à son tour, brusqueme
me par lé passé, à des troubles de la sensibilité limités à un seul
membre
, sans aucun désordre de la motilité. Il est i
. La brusquerie du début, la limi- tation de l'anesthésie à un seul
membre
, sa circonscription très spéciale, l'absence de
chique ^ il n'est pas jusqu'à ce brusque transfert des accidents de
membre
droit au membre gauche, qui ne soit encore une
t pas jusqu'à ce brusque transfert des accidents de membre droit au
membre
gauche, qui ne soit encore une preuve confirmat
centres nerveux capable de donner lieu à une analgésie limitée à un
membre
, tandis que, momentanément, son congénère est a
tique de 100 familles de paralytiques généraux, com- prenant ,565
membres
, ils n'ont trouvé que 5 aliénés. (Régis, Manuel
à partir de cette époque, il éprouva de violentes douleurs dans les
membres
. Deux ans après, ces douleurs cessèrent, et il
oduit souvent des accidents paralytiques, principa- lement dans les
membres
inférieurs, le voile du pa- lais, etc. Ces para
onformées et l'ouïe est le plus fin des cinq sens. Les mains et les
membres
supérieurs n'oifrent rien de particulier; les m
mains et les membres supérieurs n'oifrent rien de particulier; les
membres
inférieurs relativement peu développés, sont in
faut une grande aisance dans les mouve- ments des articulations du
membre
supérieur, et une intégrité complète des muscle
ndant la contraction musculaire; 4° une sen- sation de faiblesse du
membre
, surtout la nuit et empêchant de le placer dans
illé. Les nerfs sont sensibles à la pression et dans l'extension du
membre
. Ce même fait de douleur localisée aux points o
Seillère. Les violences du langage, les me- naces contre plusieurs
membres
de sa famille, non moins que les exagérations v
- Présidence de M. LOEHR. Après avoir transmis les salutations des
membres
empê- chés d'assister à la séance, le président
s pupilles sont normales; des deux côtés, le corps est raide et les
membres
in- flexibles ; pas de convulsions; ronflement;
LIII,, 4-5.) P. KERAVAL. SOCIÉTÉS SAVANTES. 293 XXe CONGRÈS DES
MEMBRES
DE LA SOCIÉTÉ DES ALIÉNISTES DE LA BASSE-SAXE E
it être accordée aux parents qui désirent l'élargissement de leur
membre
de famille interné dans une maison de santépubliq
une contracture commençante annoncée par des raideurs nocturnes des
membres
et de l'exagération des réflexes. P. B. V. Co
sse insultera la dignité d'une assemblée dont j'ai l'honneur d'être
membre
. M. LE Président. Quand on fait de l'obstructio
eçut en 1874 ses grades du collège d'Ilamilton. En 1873, il fut élu
membre
honoraire de la Société de Fréniatrie italienne
lu membre honoraire de la Société de Fréniatrie italienne; en 1875,
membre
de la Société médico- psychologique anglaise, e
- psychologique anglaise, et en 1878, de celle de Paris. Il était
membre
aussi de plusieurs Sociétés scientifiques américa
c tant d'énergie qu'il se creuse des empreintes dans la peau; les
membres
sont en contracture, la jambe gauche est croisée
tion ne peut être fléchie, aucun mouvement ne peut être imprimé aux
membres
, les doigts sont tellement serrés que leur extr
très remarquables caractérisées par des positions différentes des
membres
. D'abord les jambes se décroisent, en même temps
: « Donnez la main », elle croit la donner, mais ne bouge pas, ses
membres
étant fixés par la contracture. Mais ce qu'elle n
e, elle s'accompagne de contracture et d'anesthésie limitées à ce
membre
, et souvent aussi de douleurs vives. Quelquefois
uleurs vives. Quelquefois la paralysie suggérée ne se limite pas au
membre
désigné, mais elle frappe à la fois les deux me
e limite pas au membre désigné, mais elle frappe à la fois les deux
membres
du même côté, elle affecte-'alors le type hé- m
récédemment signalés. Par suggestion, on lui donne une paralysie du
membre
supérieur gau- che, avec contracture et anesthé
se produit parfaitement au réveil et s'accompagne pour chacun des
membres
de contracture et d'anesthésie. Nous lui ordon-
sommeil elle est en contracture permanente et ne peut remuer aucun
membre
. M. Grasset lui ordonne alors plu- sieurs fois
emier type, c'est l'aspect du sommeil naturel avec résolution des
membres
, dans le deuxième, au sommeil s'ajou- tent des
es phénomènes convulsifs ordinairement toniques dans la face et les
membres
et des signes de congés- 340 CLINIQUE NERVEUSE.
s contrac- tures dans les attaques de sommeil : « Le corps et les
membres
, disent-ils, offrent des alternatives de rigi-
mouvements passifs, il y a impos- sibilité absolue de déplacer les
membres
; la vue et le sens musculaire sont abolis; enfi
e contractures généralisées au lieu de réso- lution musculaire; ses
membres
sont dans un état précisément opposé à celui de
laire; ses membres sont dans un état précisément opposé à celui des
membres
mous, flasques et pendants de la léthargique. D
ues faits curieux. L'excitation du cubital ou d'un autre nerf des
membres
par les procédés classiques de Charcot et Riche
es dans le bras gauche, suivis d'altération de la sensibilité de ce
membre
, et de la moitié gauche du tronc. Il n'existait
tre années, une faiblesse accompagnée d'atrophie muscu- laire des
membres
supérieurs, une suppression partielle du sens d
sion partielle du sens de la température, de l'analgésie dans les
membres
supérieurs et le thorax, puis dans les mem- bre
au thorax jusqu'à la sixième côte et 374 PATHOLOGIE NERVEUSE. les
membres
supérieurs, et s'étant manifesté dans ces régio
par un affai- blissement unilatéral ou symétrique des muscles des
membres
supérieurs, avec anesthésie ou analgésie par- 3
en développé. , DE LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE 381 La musculature du
membre
supérieur du coté droit présente un certain ama
difficile par la tension du pectoral. Tous les autres mouvements du
membre
supérieur droit et tous ceux du gauches sont norm
oite ; elle l'est moins à gauche. Le réflexe aponévrotique dans les
membres
inférieurs est exa- géré dans les muscles du mo
é qu'à gauche. Le sens musculaire (la conscience de la position des
membres
, l'appréciation des mouvements passifs) est nor
ures; une céphalalgie générale fréquente; douleur à la nuque et les
membres
. Une sensation de cuisson inquiétait souvent le
dans la position assise d'origine ap- paremment musculaire. Dans le
membre
supérieur droit il y a eu des crampes de courte
c établies par Schultze. Nous avons : 1° atro- phie des muscles des
membres
supérieurs; 2°anesthé- sie partielle sans sympt
fficulté de man- ger et de boire due aux mouvements désordonnés des
membres
supérieurs. Contorsions du tronc, du cou, des m
blent être plus vivement perçus à gauche qu'à droite, au tronc, aux
membres
et à la face ? La vue est bonne. La vision mo
malade veut saisir un verre, placé sur une table devant lui, les
membres
supérieurs quittent leur position allongée sur le
ent le rôle d'un balancier afin de maintenir l'équilibre. Quant aux
membres
inférieurs, ils conser- vent leur même degré de
ières, venaient par intervalles, on ne peut rien dire de l'état des
membres
. Il refusait le sein et était « tombé en élisie »
outons d'acné ' en avant et sur les deux tiers supérieurs du dos.
Membres
supérieurs assez bien conformés. L'épaule gauche
rs le sol, les doigts fortement étendus. (Planches III et IV.) .)
Membres
inférieurs. Ils sont égaux et n'offrent aucune dé
eds fortement portées en dedans se touchent. On ne peut ramener les
membres
dans l'extension, même avec une certaine force,
e premier, qu'il déborde même en dedans. Voici les mensurations des
membres
: a) Membres supérieurs. DEUX CAS D'ATHÉTOSE
l déborde même en dedans. Voici les mensurations des membres : a)
Membres
supérieurs. DEUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMB
mes exagérés qui lui font tordre et contracter le tronc, les quatre
membres
et le cou à chaque pas qu'il fait. Dans la jour
e allure ramassée (Planches 111 et IV). Mais ce n'est pas tout, les
membres
supérieurs qu'il étend pour se soutenir aux Arc
polichinelle dont on tirerait tous les fils, de façon à mettre ses
membres
dans des atti- tudes extrêmes. Au repos, nulle
es; parfois nul mouvement; il reste accroupi dans son fauteuil, les
membres
fléchis, les doigts fermés. Il comprend ce qu'o
che. Do temps en temps, on observe des contractions des muscles des
membres
inférieurs qui sont soulevés, ainsi que les épa
vons relevées chez Derno... Quand Lem... veut prendre un verre, les
membres
supérieurs décrivent 404 RECUEIL DE FAITS. - DE
te. Sous l'influence des émotions même légères les mouvements des
membres
et du tronc et les grimaces de la face s'exagèren
le malade a un sentiment exact de la flexion et de l'extension des
membres
. -- Au dynamomètre Mathieu moyen on trouve 5 de
alysie infantile, conserva une impotence presque absolue des deux
membres
inférieurs et du membre supérieur gauche. Tous le
rva une impotence presque absolue des deux membres inférieurs et du
membre
supérieur gauche. Tous les deux ou trois mois d
VUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE. 4'H 1 ceux, au contraire, dont le
membre
était placé dans la flexion, l'abduction et la
rtion antéro-interne de la synoviale pour déterminer l'adduction du
membre
avec rotation du pied en dehors. G. D. III. S
s supérieur de celle même circonvolution (paralysie incom- plète du
membre
inférieur droit) et qui avait en outre détruit le
tions d'administrateurs provisoires; elles désigneront un de leurs
membres
pour les remplir, etc. » , Ainsi, la loi sembla
surveillance des asiles publics d'aliénés; elle les composa de cinq
membres
nommés par les préfets ; elle leur attribua « l
r ce projet à l'Assem- blée nationale, en mon nom et au nom de deux
membres
de cette societé, le très regretté M. Jozon, av
ue desquels ils sont établis, que nous proposons de donner aux deux
membres
essentiels de celte commission, c'est-à-dire au
les trois niois les asiles privés. Il faut rendre cette justice aux
membres
du parquet qu'ils se sont occu- pés d'une façon
d'ailleurs, le comprend - à ce qu'on ne sache pas que tel de leurs
membres
a été touché par une de ces maladies ter- rible
les personnes qui ont répondu à notre appel et particulièrement les
membres
du Conseil général et de l'Administration supér
keley, il est question d'une famille de Slimbridge, dont tous les
membres
avaient six doigts (un pouce supplémentaire), dep
a anoesthetica, par Adam- kievicz, 101. Monoplégies partielles du
membre
supérieur d'origine hvstéro-trau- matique, pa
troubles de la parole, agraphie, parésie et incoordina-. tion des
membres
inférieurs. Dans l'observation sui- vante, rapp
10 CLINIQUE NERVEUSE. une paralysie absolue du mouvement dans les
membres
supé- rieur et inférieur du côté droit. Il y a
et inférieur du côté droit. Il y a une hémianesthésie complète des
membres
et du tronc; une épingle, enfoncée jusque dans
ntis. Il a en même temps un certain degré de contracture dans les
membres
du côté droit qui sont dans l'extension ; on épro
e. La langue est aussi un peu déviée du côté gauche. La raideur des
membres
persiste quoique atténuée; l'anesthésie a beauc
ir reparaître quelques mouvements assez faibles d'ailleurs dans les
membres
paralysés. La paralysie de la face s'est complè
lui présente (assiette, couteau, etc.) sans trop de difficulté. Les
membres
, sous l'influence des courants faradiques, repr
ot fourchette. Il y a encore de la faiblesse assez marquée dans les
membres
à droite : la main droite serre avec beaucoup m
nts, consti- pation, ralentissement relatif du pouls, raideur des
membres
paralysés, dilatation pupillaire, nous semblent
très obtuse ; il existe une paraplégie motrice incomplète des deux
membres
inférieurs, plus marquée adroite ; le membre su
e incomplète des deux membres inférieurs, plus marquée adroite ; le
membre
supérieur droit, dont la force muscu- laire est
c nullement aventureuse, en présence de l'impuissance motrice des
membres
et des contractures qui, survenues dans les der-
ue son âge. Il existe une hémiparésie gauche totale, portant sur le
membre
supérieur, le membre inférieur, et un peu sur l
une hémiparésie gauche totale, portant sur le membre supérieur, le
membre
inférieur, et un peu sur la face du même côté;
iée d gauche. des zones cékébralks motrices. 35 Les mouvements du
membre
supérieur sont possibles mais lents, limités et
. Ce traitement est resté sans effet appré- ciable. 15 avril. Les
membres
supérieur et inférieur gauches sont plus énergi
BRALES MOTRICES. 39 de la faculté du langage, et une hémiplégie des
membres
droits, sans anesthésie. A droite, une vaste
culaire commun avec hémianesthésie du côté opposé de la face et des
membres
. On n'a jamais non plus observé l'hémiopie, la
cérébrale que l'on retrouve en analysant soigneusement la vie des
membres
de la famille. Certains n'ont présenté que l'ét
ns- tituent des épisodes saillants dans la vie intellectuelle des
membres
d'une même famille. Cet état mental qui se tran
, ni d'épilcpsie, ni de vertiges, ni d'excès alcooliques. Aucun des
membres
de la famille n'a, parait-il, présenté de malfo
. 17 i volonté de il" G..., de qui nous les tenons. Bon nombre de
membres
de la famille ont échappé à notre analyse. G...
prement dite, bien que le sujet ait à peine la force de mouvoir ses
membres
: la face est pâle, la voix éteinte; l'intellig
toute excita- tion est infructueuse à provoquer un mouvement ; les
membres
soulevés retombent flasques et inertes. Les ext
ive, la constipation opiniâtre. La sensibilité était diminuée aux
membres
supérieurs; l'affaissement était considérable, la
à un état comateux, accompagné de quelques mouvements convulsifs du
membre
supérieur droit. Ce coma se termina en quatre j
ent, symétriquement ou asymétrique- ment distribués dans les quatre
membres
; en même temps, troubles de la sensibilité sub
face, quelquefois, dans l'ado- lescence ou à l'âge adulte, par les
membres
supérieurs ou, plus souvent, par les inférieurs
s, immobilité des traits). De la face, l'atrophie se généralise aux
membres
, en étant toujours plus marquée u leur racine :
généralisée qui, au contraire, persista. Actuellement, la peau des
membres
, du tronc et surtout du visage,' est le siège d
es extenseurs de la main, puis une impo- tence presque complète des
membres
supérieurs. Tous les muscles innervés par les d
aire général, donne lecture du discours prononcé sur la tombe de ce
membre
regretté. M. Christian rend compte des travaux
affectant lu forme d'accès névralgiques ; grande lourdeur dans les
membres
pendant les mouvements; les muscles du mollet g
obes occipitaux et temporaux serait sensorielle. M. J. Pop est reçu
membre
de la société. 116 6 SOCIÉTÉS SAVANTES. Séanc
our ga- gner les noyaux lenticulaire et caudé. M. Konrad est reçu
membre
de la société. (Tnlar61 : li. f. Psych. VI, 1.)
M. Benedikt (de Vienne), M. Hack Tuke(de Londres), etc., etc. Les
membres
du Congrès ont été reçus, à l'hôtel de ville, par
e de Belgique, a pris ensuite la parole; après avoir remercié les
membres
étrangers d'avoir bien voulu apporter leur concou
immédiatement quelques secousses nerveuses se produisent dans les
membres
supérieurs; puis, la malade s'éveille en souriant
la façon suivante : le bureau du Congrès nommera d'abord autant de
membres
qu'il y a de nationalités, puis chacun de ces m
ord autant de membres qu'il y a de nationalités, puis chacun de ces
membres
, après avoir référé, à la Société psychiatrique
n'opposent aucune résistance aux mouvements qu'on veut imprimer aux
membres
. » Nous verrons que c'est précisément le contra
un peu. Ainsi, le tremblement qui agitait, par sortes d'accès, les
membres
du malade dans les premières périodes de l'affe
parfois de quelques jours, se produisant dans certains muscles des
membres
inférieurs, princi- palement dans les muscles d
spas- modique des orteils. Pendant une certaine période aussi, le
membre
inférieur du côté droit était agité par moments
'est graduel- lement développé, comme nous allons le décrire. Aux
membres
inférieurs l'anesthésie paraplégique est très m
articulièrement désagréable. Quand on le pique avec une épingle aux
membres
inférieurs, il ne sent rien ou presque rien (lé
s réflexes rotuliens. Le matin, au réveil, il perd complètement ses
membres
dans son lit. Allongé dans son lit, il fait,
il fait, les yeux ouverts, tous les mouvements qu'il veut avec ses
membres
inférieurs et il les exécute avec une certaine
endant l'examen, des contractions spontanées involontaires dans les
membres
in- férieurs, surtout à droite. Il éprouve souv
ent l'incoordination, mais surtout la raideur qui s'empare des deux
membres
inférieurs. Il sent lui-même dans l'aine et au
ait, la cuisse et la jambe se contracturent en extension et tout le
membre
in- férieur ne forme plus qu'une barre rigide a
ut le membre in- férieur ne forme plus qu'une barre rigide avec les
membres
gros et durs. Certains mouvements sont du res
Pas de douleur à la percussion des apophyses épineuses. Dans les
membres
supérieurs, les douleurs ont apparu (mains et b
n'opposent aucune résistance aux mouvements qu'on veut imprimer aux
membres
; on n'a pas observé jusqu'ici de raideur muscu
tion folle, la flexion exagérée succédant à l'extension forcée, les
membres
de polichinelle. Ici le tableau est bien diff
ou tout au moins a des traits nouveaux. Au repos, il y a dans les
membres
inférieurs des contractions spontanées, involon
, la cuisse et la jambe se con- tracturent en extension, et tout le
membre
inférieur ne forme plus qu'une barre rigide ave
qu'une barre rigide avec ses muscles gros et durs. En somme, les
membres
inférieurs présentent su- perposés (au moins en
re semble s'arrêter au-dessous du renflement brachial, et alors aux
membres
supérieurs la symptomatologie latérale domine b
, avec sialorrhée, une certaine raideur des mem- bres et oedème des
membres
pelviens; quelques années avant sa mort, elle d
ées par la pression des parties douloureuses ou par la traction des
membres
. A ces mo- ments, elle présente un état mental
u milieu duquel elle tourne sa tête à gauche, se raidit de tous ses
membres
, principalement dans la moitié gauche du corps,
eine passées que les paupières s'agitent rapidement, la figure, les
membres
, surtout les gauches, entrent en convulsions cl
membres, surtout les gauches, entrent en convulsions cloniques, le
membre
supérieur gauche se plaçant avant le droit, tou
, elle ne reconnaît pas les différentes positions où l'on place ses
membres
ou leurs segments. Le 31 du même mois, elle dit
n exercée sur leurs fibres. Les attitudes cataleptiques données aux
membres
, ils ne les conservent pas. Le frôlement ne pro
re par le frottement de son faisceau sternal ou claviculaire; les
membres
supérieur et inférieur ne se contracturent pas bi
; il est dans la limite de sa contrac- tilité ; 20 catalepsie : les
membres
droits se mettent dans l'attitude particulière,
ticulière, à cettepériode moins nettement qu'à l'état ordinaire les
membres
gauches l'ont perdue et, abandonnés à eux-mêmes,
erno-mastoïdien droit ; contracture somnambulique presque nulle des
membres
droits, nulle dans les membres gauches et au st
ture somnambulique presque nulle des membres droits, nulle dans les
membres
gauches et au sterno-mastoïdien droit; le membr
s, nulle dans les membres gauches et au sterno-mastoïdien droit; le
membre
inférieur droit prend seul l'immobilité catalep
ble que les altérations articulaires s'accentuent aux jointures des
membres
, surtout sur le côté gauche du corps. Léthargie
ale à gauche, un peu au-dessous du normal à droite; contracture des
membres
thoraciques et pelviens, faible adroite, nulle
adroite, nulle à gauche. Catalepsie : immobilité cataleptique des
membres
adroite, pas à gauche; absence des suggestions ca
cette période comme à la première elle se plaint quand on remue ses
membres
. Le 4, les phénomènes propres à chacune des pér
es à chacune des périodes ne se manifestent aujourd'hui que dans le
membre
inférieur droit, dans les trois autres on en co
ôté droit. La contracture léthargique est facile à être obtenue aux
membres
thoraciques, un peu moins franche au membre inf
ile à être obtenue aux membres thoraciques, un peu moins franche au
membre
inférieur droit, absente à son congénère gauche
t, absente à son congénère gauche. Manifestations cataleptiques aux
membres
droits; le membresupéneur gauche n'en présente
possibles à l'aide.,du gauche. Contracture somnambulique absente au
membre
inférieur gauche. Le 8, l'articulation du poi
; phénomènes arthritiques 230 RECUEIL DE FAITS. très amoindris au
membre
pelvien droit. Phénomènes léthargi- ques aux mu
s léthargi- ques aux muscles de la face, aux sterno-mastoïdiens, au
membre
pelvien droit; leur absence dans les trois autr
ïdiens, au membre pelvien droit; leur absence dans les trois autres
membres
. Stabilité musculaire cataleptique dans les mus
e cataleptique dans les muscles de la tête et du cou, dans ceux des
membres
droits ; dans ces derniers, elle est normale; s
a main droite (sourire, un peu de colère); absence de stabilité aux
membres
gauches. Mani- festations somnambuliques motric
somnambuliques motrices à droite, pas à gauche, nous entendons les
membres
. Le 11, accentuation et'concentration-ides alté
embres. Le 11, accentuation et'concentration-ides altérations aux
membres
gauches, surtout au genou; différences assez nota
hénomènes neuro-musculaires : absence de contracture léthargique au
membre
inférieur gauche seul; stabilité musculaire à d
ins de douleur; contracture léthargique et somnambulique aux quatre
membres
, prédominant pourtant dans ceux du côté gauche
ntures gauches est manifestement amendé, on peut produire sur les
membres
correspondants les propriétés neuro-musculaires m
les propriétés neuro-musculaires moins durables encore que sur les
membres
de l'autre côté. (Le plus ou moins d'accentuati
des altérations articulaires retentit sur les muscles et nerfs des
membres
d'une façon presque toujours.pro- portionnelle.
Contracture léthargique et somnambulique diffi- ciles et légères au
membre
supérieur gauche, assez marquées aux trois autr
Stabilité musculaire réduite presque aux trois doigts mé- dians du
membre
supérieur gauche; elle est présente partout ail
cherche les manifes- tations hypnotiques, qui sont absentes dans le
membre
corres- pondant, mais qui, dans les autres memb
absentes dans le membre corres- pondant, mais qui, dans les autres
membres
, ne s'éloignent pas beaucoup de ce qu'elles doi
hésie cutanée, car un vésicatoire, appliqué sur la même partie d'un
membre
sensible d'une hysté- rique hémiatiesthésique,
gère amélioration du genou gauche. En cherchant les contractures du
membre
inférieur de ce côté, de petits mouvements répo
des orteils. L'adducteur du pouce aplati, et certains muscles du
membre
pelvien gauches sont notablement atrophiés. Le
ts la malade ne laisse pas de faire savoir de temps à autre que son
membre
pelvien gauche est moins fort que le droit (ell
e et sensorielle, de même que l'absence de la notion de position du
membre
inférieur gauche, n'étaient pas modifiées. Par
uis envahissement du bras et de la jambe du même côté, et enfin des
membres
du côté gauche, mais à un moindre degré. L'agit
a reparu tout d'un coup : mouvements de la tête, des yeux , des
membres
, envie de pleurer, etc. On l'a couché, et peu
peu près guéri : parole libre, absence de grimaces, mouvements des
membres
réguliers, marche na- turelle : cependant sa mè
du discours qu'il a prononcé sur la tombe du regretté M. Dechambre,
membre
fonda- teur de la société. M. Motet fait un i
an, maintenant que la discussion est ouverte, voudrait que tous les
membres
désireux de prendre la parole dévelopas- sentle
er et Garnier; trésorier, M. A. Voisin. Prix Aubancl. Sont nommés
membres
de la commission du prix Aubanel : MM. Falret,
is- tian, et Charpentier, rapporteur. Pria; Esqidrol. Sont nommés
membres
de la commission du prix Esquirol : MM. Baillar
e d'un rapport de candidature, à la suite duquel M. Saury est nommé
membre
titulaire. M. Voisin rapporte, sur la demande d
ion, surtout à droite ; les doigts sont rétractés dans la main. Les
membres
infé- rieurs également très atrophiés, se tienn
On parvient sans grande difficulté à vaincre les contractures des
membres
, mais momentanément, et il semble que ces manipu-
provoquent de la douleur. Capable de saisir les objets à l'aide des
membres
supérieurs, le petit malade préfère presque tou
ro- duit un mouvement associé dans la main droite. Immobilité des
membres
inférieurs; le déplacement forcé d'une de ces ext
eut assister à la séance. MM. Goldstein et Loehr junior, sont reçus
membres
de la société. M. Schroeter (11.). Deux ces de
ureux, qu'il n'osait plus coïter : ataxie extrêmement accentuée des
membres
inférieurs et des mouvements de préhension. Le
préhension. Le troisième ataxique présentait peu d'ataxie dans les
membres
inférieurs, alors que, depuis quinze à vingt an
douleurs en ceinture, ataxie ex- trêmement prononcée dansles quatre
membres
; ne peut marcher sans canne ; signe de Romberg
ralysie des extrémités, et rapide disparition des réflexes dans les
membres
inférieurs. Excitabilité électiiqup normale; abse
ysic, de contracture, de cyanose et de refroidissement excessif des
membres
inférieurs. Du reste l'annonce d'une prochaine ca
o 3. La discussion, renvoyée à la séance du 14 pour permettre aux
membres
du congrès de prendre connaissance des préparatio
, qui se réunit aujourd'hui pour la dixième fois; à ce savant les
membres
du congrès avaient envoyé leurs salutations respe
Lefort, avocat, docteur en droit; trésorier : M. Mayet, pharmacien.
Membres
de la com- mission permanente chargée de répond
avocat; Benoist, magistrat; Boudet, avocat; Dr Falret, ])'Motet.
Membres
du comité de publication : 1111. Gallard, secréta
eignien, Poucttet, Socquet. Dans la même séance, la Société a nommé
membres
honoraires : MAI. les D" Pénard et Worms. La So
ans la salle des référés. Les séances sont publiques. Six places de
membres
correspondants nationaux sont déclarées vacante
m- blyopie ; paralysie du voile du palais ; paralysie, des quatre
membres
avec troubles de la sensibilité. Parésie du dia-
alade accuse un affaiblissement de la niotilité du bras gauche ; ce
membre
est devenu lourd, paresseux et moins habile à s
les mêmes caractères. 18. La parésie du bras gauche s'accentue. Les
membres
inférieurs deviennent vacillants et se fatiguen
t encore dans les doigts. Anesthésie absolue sur toute l'étendue du
membre
; les douleurs spon- tanées ne cessent pas de s'
pon- tanées ne cessent pas de s'y produire. L'affaiblissement des
membres
inférieurs se prononce davan- tage et c'est ave
upant successivement le trajet des différents nerfs. La parésie des
membres
inférieurs est devenue telle que la marche ou l
ire est aboli; le malade n'a plus la notion de la posi- tion de ses
membres
inférieurs, les perd dans son lit, et ne peut i
les diverses attitudes qu'on leur communique. 15. La paralysie des
membres
inférieurs est devenue complète, absolue, intér
complètement paralysé, privé de sensibilité. A ce moment les quatre
membres
sont donc frappés de paralysie flasque, complèt
es douleurs vives, contusives, permanentes, se pro- duisent dans le
membre
inférieur gauche particulièrement au niveau du
les orteils, puis le malade arrive progressive- ment à déplacer ses
membres
en les faisant glisser sur le plan du lit. Les
ontre aucune altération appré- ciable. . Les différents nerfs des
membres
supérieurs et inférieurs mis à nu sur la. plus
he est partout absolument saine. Nerfs périphériques. A. Nerfs du
membre
supérieur gauche. 1° Filets du radial à la face
Médian à la partie moyenne du bras. Mêmes altérations. B. Nerfs du
membre
supérieur droit. Le cubital et le coraco-brachi
ts, avec végétation appréciable du protoplasma. 0 rad C. Nerfs du
membre
inférieur gauche. Le saphène externe renferme à
ices d'une phase de restauration plus ou moins étendue. D. Nerfs du
membre
inférieur droit. Un grand nombre des fibres du
anesthésie absolue et des phéno- mènes douloureux qui, sur certains
membres
, précè- dent l'apparition des désordres moteurs
e du voile du palais, l'envahissement ulté- rieur et progressif des
membres
, du diaphragme consti- tuent un ensemble de car
'ils ont irrité une partie de l'écorce grise qui correspondait à un
membre
à l'aide d'un courant faradique, la contraction
si surprenant la circonstance qu'après avoir légè- rement touché un
membre
on arrivait à faire contracter les muscles de c
t touché un membre on arrivait à faire contracter les muscles de ce
membre
par l'irritation de la zone motrice corresponda
rons dans quelque temps que le chien regagne son pouvoir dans ses
membres
, il parvient à marcher, peut-être pas avec 372
écorce cérébrale humaine, jamais l'individu ne pourra remuer soir
membre
, correspondant, une paralysie complète suivra c
e est notée très nettement et à un haut degré, soit dans les quatre
membres
, soit dans deux. Dans 8 autres cas (no' 3, 4,
, 17, 18, 21 et 29), des douleurs de différents ordres : dans les
membres
, dans le thorax, l'abdomen, de tension, de pres
(nous 17, 25 et 30), les troubles moteurs sont mentionnés (dans les
membres
inférieurs) sans que les mots de parésie ou par
vons constatés. 400 MÉDECINE LÉGALE. «Nous, soussignés, Caarscor,
membre
de l'Institut, professeur à la Faculté de médec
plus particulièrement perçus à droite, de pal- pitations. Puis ses
membres
se raidissent, elle perd connaissance et ne sai
ne détermine, qu'une attaque d'hystérie à forme cataleptoïde : les
membres
sont raides, étendus, gardent quelque temps la
généralisées paraissent quelquefois plus fortes à gauche, soit aux
membres
, soit à la face et aux yeux. Au moins de févr
mpes dans les muscles des mains et une impotence fonction- nelle du
membre
inférieur gauche. Le 24 décembre : torticolis d
Etat actuel. Perte notable de la mémoire. Pas de faiblesse dans les
membres
. - Pas de trépidation plantaire. Le réflexe ro
ise difficilement la douleur. La motilité n'a pas reparu ni dans le
membre
supérieur, ni dans le membre inférieur gauche.
La motilité n'a pas reparu ni dans le membre supérieur, ni dans le
membre
inférieur gauche. C'est à peine s'il peut cons-
côté paralysé, mais normaux à droite. Contractures épileptoïdes des
membres
.-Rien au coeur, ni aux poumons. - Depuis son en
apparition de crises convulsives intenses probablement limitées aux
membres
droits, et la quatrième par une hémiplégie droi
otale avec production de crises convulsives généralisées aux quatre
membres
et à la face. A l'autopsie, on trouva un vast
les lésions du lobe droit s'accompagneraient de faiblesse dans les
membres
du même côté. , Les symptômes moteurs et sens
ation passagère terminée par une exaceiba- tion : douleurs dans les
membres
, paresthésies, exagération des réflexes tendine
les extrémités supérieures, n'atteignant que très légèrement les
membres
inférieurs. Les pupilles, observées immédiatement
nce DE M. Semelaigne Le Président annonce à la Société qu'un de ses
membres
, M. Ballet, vient d'être, à la suite d'un brill
la myélite circons- crite destructive (paralysie et anesthésie des
membres
inférieurs, troubles dans les fonctions de la v
de l'infirmerie spéciale près le dépôt de la Préfecture de police,
membre
fondateur de la Société de médecine légale, anc
aison nationale de Charenton, maire de la commune de Saint-Maurice,
membre
du conseil général de la Seine, est décédé le 2
aladies mentales a la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNAN
Membre
de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
sont atteints, mais à un degré beaucoup moindre que les muscles des
membres
. Pour dévoiler cette paralysie latente, il a fa
six ans, presque complètement guérie ; il n'existe plus du côté des
membres
droits que de la diminution de la force muscula
x-sept ans. Hémiplégie gauche remontant à un an, très accentuée aux
membres
supérieur et inférieur. La joue gauche est fl
ite avec aphasie à soixante-cinq aus. Paralysie prédominante sur le
membre
inférieur ; contracture avec exagération des réfl
ement vers l'âge de vingt-cinq ait,. Hémiplégie prédominante sur le
membre
supérieur. Sensibilité intacte. Réflexes tendin
asie motrice en voie d'amélioration. Paralysie prédominante dans le
membre
supérieur; diminution et retard de la sensibili
oite, qui depuis cette époque va en n'améliorant surtout du côté du
membre
inférieur. La joue droite est tombante ; la com
e-un ans d'hémiplégie gauche, encore aujourd'hui très accentuée aux
membres
supérieur et inférieur ; troubles de la sen- si
émiplégie^ droite remontant à dix-huit mois. Contracture surtout au
membre
supérieur qui est de beaucoup le plus atteint.
appée vers quarante ans, d'hémiplégie droite, prédominante sur le
membre
supérieur. Contracture. Pas de troubles de la sen
11 gauche en janvier 1896. Contracture très accentuée surtout au
membre
inférieur; paralysie prédominante au membre supér
ès accentuée surtout au membre inférieur; paralysie prédominante au
membre
supérieur. Crises de larmes involontaires, spas
depuis 1888 d'hémiplégie gauche avec contracture prédominant sur le
membre
supérieur. Paralysie nette du facial inférieu
-dix ans. Hémiplégie gauche en 1895. Contracture très accentuée des
membres
. Le pli naso-génien gauche est abaissé et très
c aphasie motrice en 1896. Contrac- ture très accentuée, surtout au
membre
supérieur. Marche très péniblement et en faucha
et l'autre oeil. Pas de troubles de motilité ni de sensibilité des
membres
, mai- ! exagération manifeste du réflexe radial
même coup toute la moitié du corps ; complè- tement les muscles des
membres
dont les mouvements sont asynergiques, moins co
Débilité marquée. Tremblements légers aux LES MÉLANCOLIQUES. 39
membres
supérieurs. Les pupilles sont égales, mais réagis
tulien exagéré. Les réflexes des extenseurs et des fléchisseurs aux
membres
supé- rieurs normaux. Pas de tremblements de la
rémités supérieures offrent des tremblements, les .5 mouvements des
membres
sont lents. La force musculaire est notablement
éflexe pha- ryngien normal, le réflexe rotulien un peu exagéré. Les
membres
supérieurs présentent des tremblements très mar
nts aux lèvres, ni de contractions dans les muscles de la face. Les
membres
supérieurs ne présentent pas de tremblements au
ours lente, il parle en tenant la bouche fermée. Les extrémités des
membres
supérieurs froides et légèrement cyanosées. Nou
s lèvres. La parole est nor- male. Il n'y a pas de tremblements aux
membres
supérieurs. La force musculaire est diminuée. L
agissent bien à la lumière et à l'ac- commodation. Les réflexes des
membres
supérieurs et le réflexe rotulien sont normaux;
es, réagissent % la lumière et à l'accommodation. Les réflexes' des
membres
supérieurs et les réflexes rotuliens sont norma
ie inférieure de la région dorsale, légère convexité à droite ; les
membres
sont symétriques, assez bien faits, un peu grêl
bout de quelques minutes, quelques contorsions, puis raideur des
membres
, surtout a droite ; les dents sont serrées, les l
de colère se multiplient. 0... menace de se suicider, de tuer les
membres
de sa famille, sans qu'il y ait une tentative vra
exécutés par des tabétiques, ou bien, que l'on peut donner à leurs
membres
des positions impossibles chez l'homme normal.
e la jambe, une élévation plus considérable, telle, parfois, que ce
membre
touche la face du malade. M. Frenkel indique le
uscles (extenseur de la jambe, adducteurs de la cuisse, muscles des
membres
supérieurs, muscu- lature du ventre, etc.). En
par suite de l'attitude plus ou moins anormale qu'elle imprime aux
membres
. L'état pseudo-parétique des muscles hypotoniqu
ATHOLOGIE NERVEUSE. ment ou presque complètement, les téguments des
membres
para- lysés. L'étude de ces faits ne permet pas
re, ne jouent un rôle dans la détermination de la localisa- tion au
membre
sain ou malade. A. Fenayrou. VII. Rapports entr
rt. LXXVII.) Héréditaire, frappant les adultes et souvent plusieurs
membres
d'une famille pour aboutir généralement à l'ali
le pied droit, puis dans le bras droit, étendues enfin à tous les
membres
; depuis six mois diminution de la mémoire, interv
des muscles épargnés par le plomb, et pour cette raison hantent les
membres
inférieurs. Tout à coup on voit se pro- duire u
vue sert à renseigner et orienter le malade sur la situation de ses
membres
avant le début du mouvement, puis sur leur état
eut- être l'infection tuberculeuse, a déterminé une monoplégie du
membre
inférieur droit par paralysie radiculaire, avec u
orphe. A une seconde étape de la maladie, la para- lysie envahit le
membre
inférieur gauche, les sphincters se pren- nent
ouleurs en ceinture, les crises gastriques, les dou- leurs dans les
membres
inférieurs, la parésie vésicale et l'incoordi-
(variété de pseudo-encéphalie). M. Bares : Étude de la gangrène des
membres
chez les neuroarthritiques. M. PELLE- Qui.4 : L
une ulcération à la jambe gauche; plusieurs petites ecchymoses aux
membres
inférieurs. Des vergetures abdo- minales s'éten
ouffrir des piqûres profondes. A l'esthésio- mètre, au tronc et aux
membres
elle répond à une distance de 6-8 centimètres.
mouvements sont très lents, en imprimant divers mouve- ments à ses
membres
, en les mettant dans diverses positions, ils re
elque temps, bien tard et bien lente- ment ; il semble même que ses
membres
tombent et reviennent à leur situation normale
A l'esthésiomètre le malade répond à 4 centimètres au tronc et aux
membres
supérieurs ; à t)' centimètres pour les cuisses
t pas limité à certaines zones, mais disséminé aux extrémités des
membres
et associé à d'autres paresthésies ou à des doule
ions générales ne sont pas sans intérêt. Comme pour les muscles des
membres
un segment seulement (longitudinal ou latéral)
édecin de l'infirmerie spéciale de la préfecture de police, est élu
membre
titulaire. Elections : Après les élections, le
OLLIER. Conseil de famille. Le conseil de famille est composé des
membres
du bureau auxquels sont adjoints les deux dernier
lusieurs heures de suite, avec des secousses convulsives des quatre
membres
. Dans l'expérience ci-dessous, nous ne trouvons
à souris de 1j gr. L'injection est sous-cutanée, au-devant des deux
membres
posté- rieurs. La quantité est 1 ce. Dix minu
souris a brusquement des secousses épi- leptiformes dans les quatre
membres
; ces secousses durent à peine une minute; les
s les quatre membres ; ces secousses durent à peine une minute; les
membres
postérieurs sont anesthésiés. L'animal ferme le
parésie gauche), puis elle tombe avec quelques secousses dans les
membres
, elle reste étendue sur l'abdomen, la tête sur le
ue, injecté à souris de 20 gr. Malaise, torpeur, secousses dans les
membres
. Survie. Expérience XIV. La malade E... a eu un
184 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. convulsions très courtes dans les
membres
à 4 h. 50'. Grande faiblesse après ces convulsi
sse après ces convulsions. Température 36°5'. Anesthésie des quatre
membres
. Somnolence. A 5 heures, le lapin reste flasque
6°5. Myosis. L'animal s'affaisse tout à fait, et soudain les quatre
membres
sont agités par des convul- sions cloniques et
subitement des convul- sions cloniques et toniques dans les quatre
membres
, la respiration s'arrête, le coeur bat très vit
ns la peau, un dernier la sensation d'une constriction comme si les
membres
étaient serrés avec une corde. Des 8 qui eurent
premiers symptômes seraient des douleurs dans les articulations des
membres
inférieurs; ce n'est que longtemps après que su
la sensibilité et une paralysie qui persista et s'étendit aux deux
membres
du même côté ; enfin quinze ans après le début de
rent des attaques convulsives épilepliformes qui débutèrent dans le
membre
supérieur du côté paralysé et s'accom- pagnèren
artères qui l'alimentent el déterminer une paralysie ptssagere du
membre
par le fait de la compression ou de l'anémie. Plu
a maladie a présenté les particularités suivantes : contracture des
membres
inférieurs, lesquels sont croisés en X, avec do
et anesthésie cutanées segmentaires ; anesthesie kinesthésique des
membres
supérieurs, et symptômes d'amnésie rétro-antéro
cédé rapidement, et le malade a recouvré la mobilité absolue de ses
membres
inférieurs, en même temps que disparaissaient,
flexes tendineux, l'astasie et l'abasie, ce trouble fonctionnel des
membres
inférieurs beaucoup plus fréquent chez les enfa
enir sur un pied. Développement, considérable de la musculature des
membres
inférieurs. Sentiment de lassi- tude dans les j
ique cérébelleuse. Développement considérable de la musculature des
membres
inférieurs. Sentiment de lassitude dans les jam
du muscle droit externe) ; 2° hyper- trophie vraie des muscles des
membres
inférieurs, par suite d'un exercice exagéré (hy
ille a rapidement augmenté, elle est maintenant de 93 cent. 5 ; les
membres
supérieurs se sont allongés de 18 p. 100 de leu
s du côté de l'appareil neuro-muscu- laire et des articulations des
membres
inférieurs. A l'autopsie on trouva une sarcomat
ence de tout autre facteur étio- logique plausible. Les muscles des
membres
inférieurs présen- taient le tableaude la myosi
vingt-six ans, la contagion s'étendit en même temps à cinq autres
membres
de sa famille (le père et la mère, un frère et
n de l'Asile l'isolement fut suivi à la sortie de la dispersion des
membres
de la famille; les soeurs allèrent à la ville a
c le temps et marqués par une agitation plus grande. ' Les autres
membres
de la famille, restés depuis indemnes étaient l
ellules des cornes antérieures de la moelle épinière. Les nerfs des
membres
inférieurs présentaient une dégénérescence à ty
ue l'agent toxique ait, au cerveau, comme au niveau des nerfs des
membres
, porté primitivement son action sur les fibres à.
pris d'une paralysie ascendante aiguë. L'affection commença par les
membres
inférieurs, envahit le tronc puis les membres s
tion commença par les membres inférieurs, envahit le tronc puis les
membres
supérieurs, enfin les muscles de la res- pirati
einte des sphincters. La sen- sibilité était émoussée au niveau des
membres
paralysés. 11 n'exis- .tait pas d'atrophie. La
on consé- cutive qui ont entraîné la paraplégie absolue. L'étude du
membre
fracturé explique cette impotence. Les troubl
tibio-tarsienne, l'ostéopathie tabétique du pied droit- siègent au
membre
où le traumatisme et l'immobilisation ont parti
st augmentée de volume et déformée. Atrophie des mus- cles des deux
membres
supérieurs, avec diminution notable des réflexe
e montre indifférente à toutes les exci- tations périphériques. Les
membres
sont extrêmement souples et gardent les attitud
e V et l'équilibre sur la position iscliio-sacrée par extension des
membres
inférieurs et flexion du corps. Cette attitude
erche à quitter sa chemise, se passe plusieurs fois la main sur les
membres
, comme pour en chasser certains contacts désa-
. A la seconde blessure, la femme tomba abattue sur le sol avec les
membres
abdominaux paralysés. L'arme tranchante était u
ainsi que la vessie ont marché régulièrement. Motilité. Dans les
membres
abdominaux existe une para- plégie flasque comp
ouvements passifs de flexion et d'extension. Sensibilité. Dans le
membre
abdominal droit existe une anes- thésie complèt
côté et réfère à ce dernier point la sensation de brûlure. Dans le
membre
abdominal gauche se notait une hyperesthésie te
objet de nos observations. La motilité a reparu plus vite dans le
membre
inférieur droit que dans le gauche, et dans les
aciles et plus énergiques que ceux d'extension. En octobre 1896, le
membre
abdominal droit jouissait de tous ses mouvement
érentes que pendant son sommeil la malade pouvait communiquer à son
membre
des mouvements de flexion et d'extension dont i
archer, mais il arrivait qu'à peine le corps reposait-il sur un des
membres
inférieurs, ceux-ci étaient pris d'un fort trem-
rem- blement. Ce tremblement a toujours été plus prononcé dans le
membre
inférieur gauche que dans le droit. Dans le cours
s dernières années, ce tremblement a disparu complètement dans le
membre
droit et a augmenté dans celui de gauche, arrivan
quinisme). Dans la note correspondant au 11 juin 1898 on lit : « Le
membre
inférieur gauche est contracté ainsi que tous s
le réflexe patellaire gauche est très exalté ; clo- nus du pied. Le
membre
inférieur droit jouit de tous ses mouve- ments
onus du pied. 11 n'existe pas d'atrophie pro- noncée dans aucun des
membres
inférieurs. » Quant à l'anesthésie, elle dispar
he, en même temps que la contracture envahissait de plus en plus le
membre
du même côté. Dans le cours de ces deux années,
llaire, il se produisit une paraplégie flasque, accompagnée dans le
membre
droit d'une anesthésie complète depuis le nivea
droit, se maintenait dans le gauche où la contracture a envahi le
membre
correspondant; que dans l'espace de deux ans la
ns l'espace de deux ans la motilité a réapparu complètement dans le
membre
inférieur droit, tandis que dans l'opposé elle
les doigts; que l'anesthésie n'a pas disparu complète- ment dans le
membre
inférieur droit et qu'il n'y a aucune perturbat
lésion circonscrite au faisceau pyramidal, d'où l'hémiparaplégie du
membre
abdominal droit. Cette explication, en parfait-
ni sensitif, dans le côté de l'hémisection, il se développe dans le
membre
correspondant une hémianes- thésie et une hémip
arfaitement compte des symptômes observés chez cette malade dans le
membre
abdominal droit, où, comme nous avons vu, il y
l'hémisection du même côté de la moelle. Quant à la para- lysie du
membre
opposé et à la contraction qui, plus tard, s'y
ne dégé- néralioii descendante et, comme suite, la contraction du
membre
du même côté. La théorie de la décussation des
ur le singe; et la symptomatologie se serait-elle circonscrite au
membre
inférieur droit, nous aurions désigné le syndrome
né successivement et lentement, le bras gauche, les avant-bras, les
membres
inférieurs, la face, le thorax et l'abdomen. Le
supé- rieurs, le développement considérable de la musculature des
membres
inférieurs, les phénomènes pathologiques ayant pr
. L'enfant présente dès sa naissance de la rigidité spasmodique des
membres
inférieurs qui s'accentue progressi- vement san
ous, Messieurs de la Presse, comme vous pouvez compter sur tous les
membres
du bureau pour vous faci- liter les devoirs pén
de nos attributs, la Raison. Au nom du comité d'organisation et des
membres
du congrès, nous vous prions, Monsieur le Maire
eille tâter le terrain, prendre pied et entrer en relation avec les
membres
du comité d'organisation ; vous avez aplani, pa
aux conseillers généraux du département'l'hommage respectueux des
membres
du .congrès., Monsieur l'Inspecteur général,
t décoré et illuminé pour la circons- tance, par M. le Maire et les
membres
du Conseil municipal. M. Flaissières recevait l
urel, conseiller général; la plupart des congressistes et nombre de
membres
du corps médical de la ville. Le président du C
e Prési- dent de la Société médico-cinrurgicale vient de porter aux
membres
du Congrès, que l'un des maîtres éminents, qui
lève mon verre en l'honneur du Président, le docteur Arnaud et des
Membres
delà Société médico-chirurgicale de Marseille, et
mbres delà Société médico-chirurgicale de Marseille, et, au nom des
Membres
du Congrès, je les remercie cordialement de la
ncore beaucoup de l'appareil digestif, elle avait éprouvé, dans les
membres
inférieurs, des fourmilla- ments, des douleurs
e se plaignait maintenant de ressentir les mêmes symptômes dans les
membres
supérieurs. L'attaque d'influenza avait duré un
ris à leur tour ; la marche devint alors absolument impossible. Aux
membres
supérieurs, les extenseurs anti-brachiaux furen
it au début, ainsi que nous l'avons dit, de fourmillements dans les
membres
et aussi d'une sensation de froid presque conti
sur le trajet des nerfs. Ces douleurs siégeaient principalement aux
membres
supé- rieurs ; elles étaient lancinantes et d'u
supporter le moindre contact. Cette souffrance atteignait aussi les
membres
inférieurs, mais elle était moins intense. En
e névrite alcoolique ? Ainsi que nous l'avons dit plus haut, si les
membres
supérieurs et les membres inférieurs étaient en
que nous l'avons dit plus haut, si les membres supérieurs et les
membres
inférieurs étaient envahis, les premiers semblaie
riphérique ou à une affection de la moelle ? Chez notre malade, les
membres
para- lysés n'étaient pas flasclues, ainsi qu'o
térieure, la paralysie laisse souvent in- demmes les extrémités des
membres
et il est rare que les nerfs crâniens soient fr
que dans la névrite. Chez notre malade, il y avait de l'oedemedes
membres
, ce qui se voit souvent dans la polynévrite et pa
rophie, la position du pied, le steppage, de la maladresse dans les
membres
supérieurs au début, de l'oedème des membres in
la maladresse dans les membres supérieurs au début, de l'oedème des
membres
inférieurs, de l'af- faiblissement de la vision
était-elle seule ou associée à une autre affection .' En effet, les
membres
inférieurs furent les premiers atteints. puis l
ffet, les membres inférieurs furent les premiers atteints. puis les
membres
supérieurs et, enfin, le tronc et la partie supé-
est agitée de mouvements de oui, de non et de latéralité. Dans les
membres
gauches 1 hémiauesthésie a disparu, il y a un t
et galvanique sans réaction de dégénérescence. Le tremblement du
membre
supérieur droit, qui seul nous inté- resse ici,
e massif, il est segmentaire et, au lieu de porter sur la racine du
membre
, il en affecte exclusivement l'extrémité. A cela
uée par une hémiplégie droite com- plète portant sur la face et les
membres
avec exagération du réflexe tendineux et d'autr
'une méningite tuberculeuse : hémiplégie droite de la face et des
membres
, ptosis avec strabisme interne et dilatation pupi
t avec les deux côtés du tronc ; le vermis supérieur correspond aux
membres
inférieurs ; sa partie postérieure et inférieur
res inférieurs ; sa partie postérieure et inférieure correspond aux
membres
supérieurs ; 4° En outre le cervelet se trouve
-labial est quelque peu effacé. Impossible de siffler. La force des
membres
supérieurs est affaiblie. Les muscles pectoraux s
lus vite. A l'heure actuelle on constate une certaine faiblesse des
membres
et de l'incertitude dans les mouvements surtout
I. 1899. Disparition des réflexes rotuliens; parésie atrophique des
membres
inférieurs ; les troncs nerveux sont dou- loure
ablir bientôt. Au mois de juin apparut une faiblesse croissante des
membres
infé- rieurs ; au mois d'août s'ajoutèrent des
on. Etat présent. 2 IX. 1898. Ptosis léger à gauche ; parésie des
membres
droits supérieur et interne du même oeil ; la pup
'automne 1892, affaiblissement de la mémoire, amnésie, douleurs aux
membres
inférieurs et incontinence d'urine. Au mois de
ntrées subitement et les recherches les plus minutieuses auprès des
membres
de la famille qui n'avaient pas quitté le malad
re d'enfants aptes au dévelop- pement intellectuel et le nombre des
membres
utiles de la société serait d'autant augmente.
dre l'équilibre perdu, mouvements ataxico-parético-spasmodiques des
membres
, épuisement très notable de l'énergie, faibless
oidissement d'abord de fourmillements et de douleurs vagues dans le
membre
inférieur gauche, puis de paralysie avec atroph
en masse et hypoesthésie à tous les modes ; trois mois plus tard le
membre
inférieur droit se paralyse à son tour et s'atr
re ans, qui, depuis sept ans, à la suite d'une paralysie des quatre
membres
, présente une abolition totale des mouvements p
s'accompagne de mouvements jack- sonniens convulsifs localisés aux
membres
supérieur et inférieur droits. Le 2 ces mouveme
ion frontale, s'irradient parfois vers l'occiput. Les mouvements du
membre
inférieur droit sont moins étendus, moins fréqu
s. Le 2 septembre. Les mouvements cliorëiformes, jaclaonniens, du
membre
supérieur et de la moitié droite de la face persi
la pronation la plus complète à la supi- nation exagérée ; enfin le
membre
supérieur présente, dans son ensemble, des mouv
ièvre, intelligence normale, paralysie complète et flasque des deux
membres
inférieurs, abolition presque complète des réfl
gne les muscles des deu e épaules puis des deux bras. Au niveau des
membres
inférieurs, la sensibilité au contact et à la d
Syndrome de Litlle d'origine obstétricale. Amyolrophie tardive des
membres
supérieur et inférieur gauches. M. BotNHT. Ce p
és également à terme. Elle ne s'aperçoit de la contracture des deux
membres
inférieurs que trois semaines environ après la*
ix mois, l'eniant peut à peine remuer les mem- bres inférieurs. Les
membres
supérieurs sont moins contracturés; ils n'exécu
nués pendant trois mois, la rigidité symé- trique et bilatérale des
membres
inférieurs diminue ; cette amélio- ration est p
de spire, racle le sol qu'il ne quitte pas. Depuis trois mois, les
membres
inférieur et supérieur gauches se sont atrophiés
gauches se sont atrophiés ils sont plus mous, plus flasques que les
membres
correspondants. Le pied gauche glisse mieux sur
Sarah Mac lutt, de Railton. L'amyotrophie secondaire et tardive des
membres
supérieur et infé- rieur gauches cadre bien ave
temporo-pariélale droite, contracture secondaire et permanente des
membres
supérieur et infé- rieur gauches. R..., trente
e la main. Tout mouvement SOCIÉTÉS SAVANTES. 501 spontané de ce
membre
était impossible. La jambe gauche était fléchie
i marcher, ni se tenir debout : dès qu'il veut faire exécuter à ses
membres
contractures le moindre mouvement, ils sont pri
re dans le service de clinique médicale dont nous étions chargé. Le
membre
supérieur gauche peut exé- cuter quelques mouve
; on note une anesthésie en manchette au poignet gauche. La peau du
membre
supérieur gauche parait plus froide; la raie de
rique normale, pas de réaction de dégénérescence. Les mouvements du
membre
inférieur gauche sont très brusques et iucoordo
'appui de deux aides qui sou- tiennent le malade de chaque côté. Le
membre
inférieur droit n'est jamais porté au-devant de
il quitte à peine le sol et il est placé légèrement en équerre. Le
membre
inférieur gauche décrit un mouvement spiroïde, s'
le. Après une trentaine de séances de pendaison, les mouvements des
membres
supérieurs et inférieurs gauche sont moins brus
c perte de connaissance de courte durée, de paralysie incomplète du
membre
supérieur droit, augmentant progressivement ; l
complète du membre supérieur droit, augmentant progressivement ; le
membre
inférieur du même côté ne se paralyse que huit
ux à gauche. Il regarde sa lésion. Sensibilité abolie'au niveau des
membres
paralysés. Quel- ques jours plus tard, contract
u des membres paralysés. Quel- ques jours plus tard, contracture du
membre
inférieur droit avec exagération des réflexes r
versation, elle ressent des crampes, de l'engourdisse- ment dans le
membre
inférieur gauche ; elle s'affaisse, sans ver- t
cette parésie augmente ; il existe une paralysie très prononcée des
membres
supérieur et inférieur gauches ; enfin le côté
sie complète, flasque, sans convulsions, ni contractures des quatre
membres
; face respectée, pas de douleurs, pas de verti
rotuliens abolis. Pieds en équin varus. Sensi- bilité diminuée aux
membres
inférieurs. La paralysie gagne les muscles du c
; pouls filiforme, intermittent, pupilles punctiformes ; les quatre
membres
sont toujours inertes, flasques, glacés. Elle ne
cuisses ; elle suivit la même progression ascen- dante du côté des
membres
supérieurs. Ce malade succomba avec des phénomè
douloureuse, la bouche est tuméfiée. Atrophie considérable des deux
membres
inférieurs, paraplégie complète, marche impos-
e, douloureuse, les mouvements sont fort difficiles. L'atrophie des
membres
inférieurs a encore aug- menté. Hébétude, délir
médecin directeur le Dr Ph. Rey, par les DTS Chabrier et Bourguet,
membres
de la Commission de surveillance. Les assistant
ueusement ser- vie. De nombreuses dames, pour la plupart femmes des
membres
du congrès, en toilettes claires, piquaient çà
ffet d'étudier les progrès de l'al- coolisme en France. Sont nommés
membres
de cette commission : MM. Debove, Joffroy, Le G
Villejuif; CRUISE (de Dublin); CHARCOT, prof, à la Faculié de Paris,
membre
de l'Institut CHILTOFF, prof, à l'Université de
tif. En 1889, au premier Congrès international de l'Hypnotisme, les
membres
du Congrès, appelés à se prononcer sur les conclu
vrai, (1) L'hypnose et les suggestion criminelles, par J. Delbœit,
membre
de l'Académie royale de Belgique, professeur à l'
hypnotisé suggestionnelle-ment tendu et quelqu'un venant peser sur le
membre
pour l'abaisser, les muscles se raidissent soudai
. M. le secrétaire général annonce à la Société la mort d'un de ses
membres
les plus dévoués, M. Charles Ploix. Notre collègu
ommé son président en 1894. Dans toutes les Société dont il avait été
membre
, M. Ploix laissera le souvenir d'un esprit élevé,
apparent. Certains mets sont délestés d'un commun accord par tous les
membres
d'une famille, soit à cause d'un caractère spécia
savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Du-montpallier,
membre
de l'Académie de médecine. La réunion sera suiv
epsie. Je dis : le bras est raide ; je ne peux pas plier le coude. Le
membre
est rigide, contracture. Je lui dis de tourner le
uberculeux aussi et souffrant depuis des années de vives douleurs des
membres
, se trouve aujourd'hui délivré de ses douleurs et
tats analogues, 1866, p. 352. aigu ou chronique, localisé dans un
membre
, il sera bon, après avoir provoqué l'anesthésie d
gatures près des jointures des bras, jambes et cuisses, deux à chacun
membre
qui luy ont esté pareillement laissées assez long
de grands froids étant survenus, de vives douleurs apparurent dans le
membre
, en même temps qu'il bleuissait, s'œdémaliait et
loureuse, très douloureuse aussi la pression des muscles du cou et du
membre
supérieur droit. L'irritabilité spinale se tradui
roubles de la sensibilité étaient aussi singulièrement distribués aux
membres
inférieurs : ils étaient localisés aux deux pieds
es fois il aurait de l'engourdissement et des fourmillements dans les
membres
inférieurs. Hier et avant-hier, il a eu constamme
quelques jours, des douleurs vives de pseudo-sciatique dans les deux
membres
inférieurs. Je me contente d'affirmer que ce sont
hologie Comme les années précédentes, après la séance annuelle, les
membres
de la Société d'hypnologic et de psychologie se s
quet organisé par l'Association, grâce au concours dévoué de ses deux
membres
bordelais, MM. Mauriac et Moure. A ce diner avaie
, MM. Laborde, Chevallereau, Doléris, Bilhaut, Bérillon, M. Baudouin,
membres
de l'Association , et, à. titre d'invité, M. le P
ît les travaux sur la psychologie et l'hypnotisme, vient d'être nommé
membre
correspondant national de l'Académie de médecine
, professeur de psychiatrie, Université de Moscou. « Le bureau et les
membres
du Congrès des aliénistes et neurologistes frança
évolution lente et chronique. Quelle est la nature des douleurs des
membres
greffés sur la maladie ? Sont-elles rhumatismales
la tuberculose. On ne constate aucun trouble circulatoire; les deux
membres
ont la même température et la même coloration
ns qui, atteinte depuis trois mois de paralysie hystérique des quatre
membres
, a été guérie en une seule séance par la suggesti
ères animées d'un frémissement naissant. Le corps s'est affaissé, les
membres
,dans la révolution complète, sont flasques etpend
urdi ; son attitude n'est point aussi affaissée, et la résolution des
membres
n'est jamais aussi accentuée que dans l'état léth
gers attouchements, promenés à plusieurs reprises sur la surface d'un
membre
ou d'un souffle léger dirigé sur la peau, dévelop
n membre ou d'un souffle léger dirigé sur la peau, développer dans ce
membre
un état de rigidité qui diffère de la contracture
passe lentement de chaque côté de la téte et ensuite tout le long des
membres
, en ayant soin de les tenir écartées d'au moins d
œur ne sont pas modifiés, la respiration est lente et profonde. Les
membres
ne sont pas en état de résolution comme dans l'ét
nce de la part des muscles ni des articulations. Si l'on a déplacé un
membre
en le soulevant avec la main, abandonné à lui-mêm
placé un membre en le soulevant avec la main, abandonné à lui-même le
membre
ne garde pas la position qu'on lui a donnée, il n
lentement et à plusieurs reprises les doigts de la main le long d'un
membre
et à une certaine distance de ce membre. On obtie
oigts de la main le long d'un membre et à une certaine distance de ce
membre
. On obtient ainsi le mouvement, l'élévation, la f
ce membre. On obtient ainsi le mouvement, l'élévation, la flexion du
membre
qui obéit d'une manière absolue aux mouvements de
a main lentement et à plusieurs reprises à une certaine distance d'un
membre
du sujet. Une particularité très remarquable dans
très remarquable dans ce phénomène c'est que, si l'on élève ainsi un
membre
et qu'on l'abandonne dans cette position en cessa
ns cette position en cessant les manœuvres destinées à le mouvoir, le
membre
conserve la position nouvelle qu'il occupe et il
e fatigue apparente. Or il n'y a aucune espèce de contracture dans ce
membre
, il n'y a aucune similitude entre le membre ainsi
ce de contracture dans ce membre, il n'y a aucune similitude entre le
membre
ainsi placé et le même membre auquel on donnerait
re, il n'y a aucune similitude entre le membre ainsi placé et le même
membre
auquel on donnerait une situation analogue pendan
rait une situation analogue pendant la catalepsie. Si l'on reprend ce
membre
avec la main et si on le replace dans sa position
absolument souple et on n'éprouve aucune résistance à le mouvoir. Le
membre
reste, avons-nous dit, dans la position qui lui a
s doigts à une certaine distance, mais alors à la face postérieure du
membre
et en sens inverse, c'est-à-dire en faisant de no
haut, dans les caractères généraux de l'état médianique passif, qu'un
membre
quelconque du sujet pris et soulevé avec la main
vec la main retombe immédiatement dans sa position normale. L'état du
membre
, mis en mouvement par les passesJaites à distance
par les passesJaites à distance, n'est donc plus le même que celui du
membre
soulevé avec la main. Ces mouvements de translati
tenir pour la totalité du corps du sujet, tout aussi bien que pour un
membre
en particulier. Ainsi je me place à une certain
bien caractérisée par un léger état de parésie affectant certains
membres
, et par des zones d'anesthésie et d'hypereslhésie
iration et palpita-lions, état de souffrance visible, tremblement des
membres
et parfois mouvements convulsifs. La crise étan
rticulier s'accompagnent d'un état de raideur et de forte tension des
membres
du sujet, de contractions presque convulsives des
le corps. Quoique agissant à distance de l'objet, le sujet étend les
membres
vers cet objet, place son corps dans la position
ciété. Dans le cours de la troisième année (1893-1894), le nombre des
membres
cotisants a été de 82. Le total des recettes (cot
ur les dépenses est de 55 francs. Un certain nombre de cotisations de
membres
résidant à l'étranger restent encore à recouvrer.
couvrer. En résumé, à la fin de l'exercice 1S93-1894, le nombre des
membres
titulaires s'élevait à plus de 100 ; celui des me
le nombre des membres titulaires s'élevait à plus de 100 ; celui des
membres
honoraires était de 10. M. le président met a
rième année, 1894-1895. Dans le cours de cette année, le nombre des
membres
ayant payé leur cotisation s'est élevé à 86. Un c
son alcoolique. Cette Société compte actuellement plus de douze mille
membres
. L'ordre des Bons-Templiers possède également de
: il y a, répandus dans le monde, plus de 600.000 Bons-Templiers. Les
membres
de l'ordre s'engagent personnellement pour toute
savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Dumont-pallier,
membre
de l'Académie de médecine. Les prochaines séanc
1894. Couchée ou assise au lit, elle exécute tous les mouvements dos
membres
inférieurs avec une parfaite précision et force,
savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Dumont-pallier,
membre
de l'Académie de médecine. La prochaine séance
y en avoir puisque les courses sont renvoyées à un autre jour. Les
membres
du jury le regardent étonnés, car les dix coureur
savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Dumont-pallier,
membre
de l'Académie de médecine. Les prochaines séanc
énéral : Dr baron de Schrenck-Notzing ; Trésorier : Ernst Retter.
Membres
du Comité : Dr Grashey, professeur à la Faculté d
a créé une bourse d'études qui porte le nom de Kogevnikoff et l'a élu
membre
honoraire. On l'a nommé, récemment, vice-présiden
années dans le domaine de la médecine psychologique. S'adressant aux
membres
de la Société, il leur disait avec raison : « Per
tion scientifique dont tous les initiateurs figurent au nombre de nos
membres
honoraires, » La communication qui vient d'être f
sens par lequel nous percevons les mouvements et les positions de nos
membres
, sens dont l'appareil physiologique est assez com
important de ce sens; cela lient, je pense, à ce que la position des
membres
, pendant un rêve, est assez difficile à découvrir
ir l'attitude précédente par la faible sensation d'une courbature des
membres
. Enfin, j'ai fait des expériences. Je vais expliq
le questionnaire rempli. La position dans laquelle se trouvaient les
membres
au réveil devait être dépeinte aussi exactement q
e fait que Ton changerait, pendant leur sommeil, la position de leurs
membres
, celle de leurs bras, par exemple ; toutes person
pieds. De ces différentes manières, j'ai fait subir une flexion aux
membres
en question, et, en analysant les rêves des perso
l m'a été possible de trouver un rapport causal entre la position des
membres
et la vie psychique pendant le sommeil. Mais, pou
res, — soit par des expériences parallèles. a) Comment savoir si le
membre
en question a été tranquille ou s'est déplacé pen
rêve ? Dans le premier cas, il s'agirait seulement de la position du
membre
; dans le second, d'un mouvement actuel. La solut
eu d'attention et de patience, tout en s'éveillant, observer si leurs
membres
sont tranquilles ou non; s'ils ne se meuvent pas
ion d'une faible courbature annonce, dans beaucoup de cas, que le
membre
ne s'est pas déplacé. D'après mes expériences, le
placé. D'après mes expériences, les rêves causés par la position d'un
membre
immobile sont assez nombreux. b) Comment abstra
ès s'être couche, on mettait la chose (ruban, ficelle ou gant) sur le
membre
(pied, main ou doigt), ne l'y retenant que quelqu
soir, généralement le lendemain soir, on mettait la même chose sur le
membre
et l'y retenait toute la nuit. Le résultat des ex
la personne disait avoir senti, le lendemain, une courbature dans le
membre
en question; ainsi le résultat, dans ces cas, acc
s ont une tendance plus ou moins marquée à percevoir la position d'un
membre
courbé, de sorte que la position perçue forme par
ordinaires sous lesquelles se présente l'influence de la position des
membres
dans les rêves : 1° La position du membre se re
uence de la position des membres dans les rêves : 1° La position du
membre
se retrouve dans le rêve à peu près telle qu'elle
: on rêve d'un étal statique correspondant à l'état statique réel du
membre
; les autres parties du corps se règlent dans l'e
nte (2°). 2° On rêve que le corps se trouve dans une position où le
membre
en question joue un rôle prépondérant ; le membre
une position où le membre en question joue un rôle prépondérant ; le
membre
présente — en rêve — un mouvement tel qu'une
résentent à l'esprit de celui qui dort conformément à l'état perçu du
membre
; mais voici la différence : dans notre cas (2°)
voici la différence : dans notre cas (2°) la perception de l'état du
membre
est plus indistincte, de sorte que la différence
t du membre est plus indistincte, de sorte que la différence entre le
membre
fléchi, mais immobile, et le membre en mouvement
sorte que la différence entre le membre fléchi, mais immobile, et le
membre
en mouvement n'est pas conçue ; en conséquence, l
lieu une telle flexion, elle se réve surtout dans un mouvement où le
membre
(actuellement courbé) joue un rôle important. — P
e la sensation isolément conçue. Or, la sensation d'un mouvement d'un
membre
est, sans doute, celeris paribus, plus marquée qu
e sent conçoit la sensation indistincte (qui dépend, en réalité, d'un
membre
fléchi, mais immobile) comme si elle dépendait d'
lité, d'un membre fléchi, mais immobile) comme si elle dépendait d'un
membre
en mouvement. Je suppose toujours ce que je reg
st que les autres parties du corps ne s'accommodent pas réellement au
membre
en question, mais cette opération a lieu seulemen
rêves est un intermédiaire entre le n° 1 et le n° 2. 5° Parfois le
membre
fléchi se présente à celui qui rêve sous la forme
forme d'un animai ou d'une chose morte qui a quelque analogie avec le
membre
. Ce cinquième genre de rêves n'est, comme on s'en
ns quelques cas, assez intéressants au point de vue psychologique, le
membre
perçu en rêve fait naitre des pensées abstraites
erçu en rêve fait naitre des pensées abstraites pouvant avoir avec le
membre
une certaine relation. Ainsi, la perception de qu
rêves, mais qui ne se rapportent pas directe-ment à la perception du
membre
en question. Ces différents genresde rêves d'or
ait qu'il a gardé pendant quelque temps la position d'un ou plusieurs
membres
fléchis; mais sa conscience est vague et jusqu'à
ute interprétation de celle-ci, on peut rêver très indistinctement du
membre
en question sans être capable d'associer sa sensa
en question sans être capable d'associer sa sensation à la notion du
membre
et de sa propre personne ; donc on rêve d'une cho
une chose qui a une certaine analogie, peut-être très faible, avec le
membre
, mais pas de celui-ci ; ordinairement, on voit ce
profond, on est peut-être capable d'une perception assez distincte du
membre
, mais pas de la concevoir comme appartenant à sa
surtout difficile pour l'esprit fatigué ; en ce cas-là, on associe le
membre
perçu à une autre personne (ou à un animal) qui n
r quelques marques sensorielles ; en conséquence on voit, en réve, le
membre
en question comme appartenant à une autre personn
d ou sa propre main, A quoi tient la différence entre les rêves où le
membre
se présente à l'état statique et ceux où il se me
mbre se présente à l'état statique et ceux où il se meut ? Lorsque le
membre
se présente en mouvement à celui qui dort, il fau
peu plus fatiguées que dans le cas où Ton rêve d'un état statique du
membre
; voilà pourquoi, dans le premier cas, la percept
re Dumas fils et la médecine Conversation avec lo Dr Domontpallier,
membre
de l'Académie de médecine (1). Comme on compren
s savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Dumontpallier,
membre
de l'Académie de médecine. Les prochaines séanc
ur Erismann; secrétaires, professeurs Diakonoff, Thikomiroff, Neydig;
membres
, professeurs Ostroumoff et Korsakoff. OUVRAGES
amena bientôt la paralysie de la sensibilité et du mouvement dans les
membres
inférieurs, ainsi que celle du rectum, des douleu
, elle avait 28 ans. Depuis l'âge de 20 ans, elle était paralysée des
membres
droits et y éprouvait, au moindre mouvement, de v
lques secondes, laissent tomber, après plus ou moins d'hésitation, le
membre
soulevé. D'autres essaient quelques mouvements av
quelques mouvements avec les doigts ou la main, laissant le reste du
membre
immobile; d'autres le gardent tout entier catalep
tte catalepsie est quelquefois molle : une légère impulsion donnée au
membre
le fait retomber. Plus souvent elle est rigide ou
me ligée. Cette attitude catalcptiformc s'obtient rarement dans les
membres
inférieurs. Dans les supérieurs, où elle est si f
chez quelques-uns d'étendre Tavant-bras sur le bras pour que tout le
membre
entre momentanément en rigidité, si bien qu'on ne
able dia-ihèse de contracture. Parfois on peut déterminer, dans les
membres
supérieurs cataleptisés, une tendance plus ou moi
quoi cette attitude cataleptiforme ne s'obtient que rarement dans les
membres
inférieurs : l'effort musculaire nécessité pour m
ue se développe- facilement la tendance à l'automatisme rotatoire, le
membre
continuant sans résistance cérébrale à tourner, g
e l'ai dit. Il y a catalepsie du cerveau, comme il y a catalepsie des
membres
; c'est-à-dire que le cerveau tout entier reste e
olait en songeant à son malheur, souffrant des" secousses agitant ses
membres
et de son impuissance à les faire cesser, mais se
ant-bras, suite de résection du coude pour arthrite tuberculeuse ; le
membre
était ballant, inerte, et plus froid que l'autre
savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Dumont-pallier,
membre
de l'Académie de médecine. Lec prochaines séanc
olument égarée. Le lendemain, il est survenu des secousses des quatre
membres
et du tronc qui se reproduisaient d'une façon con
t du côté droit du tronc et du bassin, entraînant l'immobilisation du
membre
inférieur, en flexion pour la cuisse, en extensio
savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Dumont-pallier,
membre
de l'Académie de médecine. Les prochaines séanc
sur le Sommeil impératif. Qu'il soit permis à cette occasion à un des
membres
de la Soeiété de faire respectueusement observer
des époques déterminées de l'année devant un jury dont la moitié des
membres
seraient désignés par les candidats.Les examens c
sur la psychologie physiologique. Conférences. — M. Albert Colas,
membre
de la Société d'hypnologie et dc psychologie de P
e la cotisation, au secrétaire général. Les souscripteurs deviendront
membres
adhérents et recevront gratuitement le volume des
ué au congrès. Art- 4. — Les séances du congrès sont publiques. Les
membres
du congrès ont seuls le droit dc voter ou de pren
eurs auteurs et n'engagent en aucune façon le bureau. Art. 6. — Les
membres
du congrès qui désireraient faire insérer le litr
es rapports imprimés par les soins du Comité et distribués à tous les
membres
ne seront pas lus en séance ; les orateurs ne pou
utes et, avec l'agrément du président, pendant un quart d'heure ; les
membres
qui désireront faire des communications non annon
M. le D' Millée et de M. Coutaud, remerciant de leur nomination comme
membres
dc la Société. M. le secrétaire général donne l
raide, et on ne pouvait l'étendre ; les doigts pouvaient remuer. . Le
membre
inférieur était fléchi et douloureux. Tout le tem
savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence dc M. Dumont-paliier,
membre
de l'Académie de médecine. Les prochaines séanc
participation dc la France au Congrès de Moscou. II. — Sont nommés
membres
de ce Comité: 1° MM. les Doyens de toutes les Fac
e France ; 2° M. le Président de l'Académie dc Médecine ; 3° Tous les
membres
de l'Association de la Presse médicale, présents
ière de ces biographies sera celle de M. le docteur D ? montp allier,
membre
de l'Académie de médecine, président perpétuel de
11 commandait aux paralytiques de marcher et de faire faire à leurs
membres
atteints des mouvements de flexion; il imitait en
savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Dumont-pallier,
membre
de l'Académie de médecine. Adresser les communi
Savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Dumont-pallier,
membre
de l'Académie de médecine. Les auteurs sont inv
di. Réunions. Lundi 3 août. — A 8 heures du soir : Réceptions des
membres
du Congrès dans une salle du Café Luitpold (Brien
peut définir, à cause du froid qu'il éprouve lui même dans tous scs
membres
, menace le navire français du plus grand danger;
Société actuelle, il se prendrait à rire, car il y est dit que chaque
membre
s engage à ne point faire d'exjicricnces, lorsque
Cataleptisbr.Produire la catalepsie; état magnétique dans lequel les
membres
, souples, conservent les diverses attitudes qu’on
ens. TÈTANisKn. Produire la contracture des muscles, la raideur des
membres
, une sorte de tétanos enfin, que la plupart des m
dans un tel élatde raideur cataleptique, qu’à moins de lui briser les
membres
il eût été impossible de les faire fléchir. Cet é
er, ainsi que l’a fait le professeur Cloquet, un sein cancéreux ou un
membre
, sans faire éprouver ail malade la moindre douleu
tion, jusqu’ici un peu tiraillée, languissante, de cette société. Les
membres
comprennent maintenant que l'élément philanthropi
ns qu’il éprouvera : il résiste. Bientôt un tremblement convulsif des
membres
inférieurs se manifeste et se communique à toute
e les précédents. Cette épreuve encore va donner des résultats. Les
membres
de cet homme résolu sont agités convulsivement^ l
t de celles où elle surabonde comme le mouvement qui revient dans des
membres
paralysés, n’en sont-ils pas l’indice le plus cer
rtèrent quelque soulagement du côlé de la téte. Mais la paralysie des
membres
subsistant, cette dame ne pouvait ni marcher ni t
s paralysé. Je déterminai de violentes secousses dans le tronc et les
membres
paralysés, et laissai à la malade de l’eau magnét
, et de nous faire connaître scs sensations. Au bout d’un instant les
membres
inférieurs sont agités; on remarque un écartement
gage approprié est mis avec adresse dans la bou- clic de chacun des
membres
de cette immense députation. — Un nouveau journ
a sociélé. De cette manière, la société doit faire en sorte que ses
membres
connaissent distinctement et puissent sc représen
ion particulière de la règle générale qui veut le bonheur de tous les
membres
, les législateurs et les ministres de la justice
4° La privation de la lumière; 6° La privation de l’usage de scs
membres
; 6” Les travaux publics. - • La sensibilité d
ise la Société médicale du sixième arrondissement contre trois de ses
membres
. Après avoir rapporté le texte et les considérant
mpassion des assistants. Séance du 3 décembre. — Réception de trois
membres
stagiaires, MM. Roigneau, Emile Jacques et Guillo
acien, soutient sa thèse sur les maladies hystériques. 11 est admis
membre
titulaire. M. Dalmas, docteur-médecin, et M. Ra
itulaire. M. Dalmas, docteur-médecin, et M. Ramel, sont aussi admis
membres
stagiaires. M. Maeyens soutient sa thèse sur l'
agés, et le tout se termine par l’admission du candidat au nombre des
membres
titulaires. CONFÉRENCES MAGNÉTIQUES. Dans ses
de l'Orient opposés h ceux de l’Occident. Les premiers « enlevant les
membres
sans douleur; les seconds sui-« vaut la bonne vie
e, l’his-« toire de la médecine doit suffisamment montrer aux «jeunes
membres
de cette profession la nécessité qu’il « y a pour
à la vue d’un reptile? Pourquoi celle vague horreur qui parcourt nos
membres
, dresse nos cheveux quand notre pied rencontre «
ue temps des convulsions atteignent cette enfant, lui contournent les
membres
et la rendent aveugle. La pauvre nourrice eut tou
d une expression bientôt sérieuse; il se trouble, tremble de tous ses
membres
, puis redevient calme. Différent du premier expér
e de la première célébration de la naissance de Mesmer a convoqué les
membres
du banquet du 23 mai dernier en assemblée général
ifs mécontents. Dès ce jour la haine remplaça l’amitié : ils furent
membres
de factions opposées, et se cherchèrent dans les
MM. Laporte, Gally et Boullet ont été nommés commissaires. Tous les
membres
présents ont signé la liste de souscription. M.
que rien ne pouvait faire pressentir une telle maladie, car aucun des
membres
de cette nombreuse famille n’en avait jamais été
orporelle. D’abord ils souffrent d’une grande lassitude dans tous les
membres
; puis ils éprouvent des mouvements convulsifs; le
d’un grand principe, d’une vérité humanitaire; comme il n’était point
membre
de l’Académie, car on ne manque jamais de raisons
ction, la répulsion, la contracture, la catalepsie, la résolution des
membres
, les hallucinations. Nous sommes forcé d’en con
les Juifs seuls (ou plutôt Moïse) ont compris en rapportant tous les
membres
à un môme chef. La Grèce, cette terre d’imaginati
Ce que craignait Bufion arriva : les méthodes emportèrent chacune un
membre
du corps; mais ce qu’il n’avait pas prévu, c’est
tants de l’Océanie, n’ont que la pensée en sus de l’orang-outang, des
membres
allongés et maigres, des idiomes pauvres comme le
notre Académie de médecine si l’on soumettait l’un après l’autre ses
membres
à celte action qui ne laisse aucun échappatoires
rapport de la commission orgatii-1 nlricc, qui sera envoyé à tous les
membres
. des gens sans vertus, mais à la généralité des
t de l’un à l’autre ; c’est le lien rompu qui se renoue, afin que les
membres
d’un même corps ne soient plus étrangers entre eu
ant on distribuât les médailles à l’effigie de Mesmer. On appelle les
membres
du premier banquet qui avaient voulu concourir au
semblée générale le 15 juin suivant, nommèrent une commission de cinq
membres
pour régler tout ce qui se rattachait k l’exécuti
t reçu des médailles d’encouragement ou de récompense. Ces nouveaux
membres
jouiront des mêmes droits et prérogatives que les
es nouveaux membres jouiront des mêmes droits et prérogatives que les
membres
fondateurs. Abt. 4. — Les noms et demeures des
ives que les membres fondateurs. Abt. 4. — Les noms et demeures des
membres
du Jury seront inscrits, savoir : Les fondateur
résent acte de constitution; Les fondateurs, et successivement les -
membres
arrivant chaque année, en vertu des dispositions
dministration; comité. Art. 5. — Le Jury sera présidé par un de ses
membres
, auquel sera adjointun secrétaire général archivi
ts, ses droits ou prérogatives. Art. 7. — Un comité composé de neuf
membres
sera chargé de recueillir, dans le courant de cha
décision de l’un ou de l’autre exigera la présence des deux tiers des
membres
. Les décisions seront prises à la majorité des
es dispositions de l'art. 7, soit par tous autres moyens; mais chaque
membre
devra communiquer chaque mois à ses collègues les
las conclusions du comité. Art. I j. — Il esl bien entendu que tout
membre
du Jury qui se trouvera dans les conditions énonc
ires. Art. 16. — Le président du Jury, le secrétaire général et les
membres
du comité seront élus par l’assemblée générale de
ral et les membres du comité seront élus par l’assemblée générale des
membres
du Jury, au scrutin, par bulletins de liste, savo
président et le secrétaire général à la majorité absolue des voix des
membres
présents ; Et les membres du comité à la plural
énéral à la majorité absolue des voix des membres présents ; Et les
membres
du comité à la pluralité des voix. CHAPITRE IV.
ral du Jury seront élus tous les trois ans. Art. 18. — Le tiers des
membres
du comité sera renouvelé chaque année. Le premier
Le premier elle second tiers des sortants, pris sur les neuf premiers
membres
, seront désignés parle sort; les trois membres re
sur les neuf premiers membres, seront désignés parle sort; les trois
membres
restants seront renouvelés la troisième année, et
l’ordre des nominations. Les démissionnaires seront considérés comme
membres
sortants. Art. 19. — Les fonctionnaires sortant
au 25 avril, sur la convocation faite par le secrétaire général, les
membres
du Jury se réuniront en assemblée générale, à Par
ée sera présidée par le président du Jury. Le bureau sera formé des
membres
du comité, qui y prendront place dans l’ordre d
le secrétaire général du procès-verbal de la précédente réunion, les
membres
du comité donneront lecture des rapports qu’ils a
t ouverte sur chacun de ces rapports en particulier. Art. 25. — Nul
membre
ne pourra prendre la parole sans l’avoir demandée
mera la discussion avant de soumettre les questions à la décision des
membres
de la réunion. La position des questions lui ap
. 29. — Toutes les décisions seront prises à la majorité des voix des
membres
présents. En cas de partage, la voix du président
ter au scrutin toutes les fois que la demande en sera faite par trois
membres
de l’assemblée. Art. 30. — Après que l’assemblé
rt. 30. — Après que l’assemblée aura voté sur chacun des rapports des
membres
du comité, et qu’elle aura décidé la nature des m
sc trouvait point à cette fête, ou ne s’y faisait pas représenter, un
membre
du Jury serait chargé d’office, par le président,
enses, an moyen d’une cotisation mensuelle île 50 centimes par chaque
membre
du Jury. Cette cotisation sera payée d’avance,
y pourra, par une délibération prise à la majorité des deux tiers des
membres
présents, et après discussion, apporter à son act
ution, délibéré en assemblée générale, sera obligatoire pour (ous les
membres
composant le Jury, conformément aux dispositions
octeur Besuciiet de Saunois. L assemblée a nommé un comité île neuf
membres
, lequel est ainsi constitué : M. le chevalier M
. M. Cosson, secrétaire-adjoint. Et MM. Gally, Ladorde etLAPORTK,
membres
. ÉTAT NOMINATIF DES MEMBRES FONDATEURS DU JURY.
int. Et MM. Gally, Ladorde etLAPORTK, membres. ÉTAT NOMINATIF DES
MEMBRES
FONDATEURS DU JURY. MM. Andrlrc.iu, 17, rue d
bras un collier d’ambre. Immédiatement les spasmes cessèrent dans ce
membre
. Son médecin, étonné, lui met un collier à l’autr
rt il prêche la concorde, de l’autre il la reud impossible. MM. les
membres
de la commission nous ont adressé ij.ee sujet la
it même une faiblesse, des tremblements, trémoussements de tous les
membres
, qui dureraient deux minutes; qu’il faudrait que
g; — d’Alphonse, colonel du 62° régiment de ligne; — Obel, D.-M., P.,
membre
correspondant de l’Académie royale de médecine ;
de médecine ; — Henry, négociant, commandant de la garde nationale,
membre
du conseil municipal ; — Lab-bey, D.-M., P. ; — L
, D.-M., P. ; — Le Seigneurial, juge d’instruction au tribunal civil,
membre
du conseil d’arrondissement; — De» Rivos, sous-in
militaire, à Cherbourg; — vicomte de Tocqueville ; —Clictxci, «voué,
membre
du conseil d’arrondissement et du conseil municip
du collège; — De Viaris, capitaine d’artillerie; — Rossignol, avocat,
membre
du conseil d’arrondissement et du conseil municip
ions navales j — Hérouville, D.-M., P. ; — Nunia Marie, propriétaire,
membre
du conseil municipal ; — Bresson , ingénieur des
, avocat ; — Leroy, directeur des postes ; — Boissiere, propriétaire,
membre
du conseil municipal; — P. Marie, sous-principal
aque, elle fut immédiatement paralysée de la vessie, du rectum et des
membres
inférieurs. La paralysie des membres inférieurs p
e de la vessie, du rectum et des membres inférieurs. La paralysie des
membres
inférieurs portait à la fois sur la mo-tilité et
isme. Depuis cette époque, elle a eu des espèces de raideurs dans les
membres
qui simulaient, jusqu’à un certain point, la para
es, n'offrent pas l’analogue. La Société se fonda avec vingt-quatre
membres
, parmi lesquels nous remarquons M. Plantin, (ils
iété depuis que nous n’avons parlé de ses travaux. Un grand nombre de
membres
ont été reçus, ce qui est la marque certaine du p
Révérend G. Sandby, jeune; « Le trésorier : « M. Briggs; » Les
membres
du comité : « Docteur Ashburner, « Docteur El
mps viendra bientôt où dans chaque famille on verra s’exercer sur les
membres
souffrants les préceptes nouveaux. Nous sentons q
ndance avec les sociétés magnétiques. Art. IV. — Elle se compose de
membres
: honoraires, titulaires, correspondants, stagiair
spondants, stagiaires et adhérents. Les honoraires sont : 1* I)cs
membres
démissionnaires auxquels la Société décerne un ti
in d’être augmentées ou améliorées avant qu’ils puissent être reçus
membres
titulaires. Les adhérents sont des partisans du
ns du magnétisme qui n'ont pas les connaissances requises pour entrer
membres
actifs de la Société. Aiit. V. — L’admission de
our entrer membres actifs de la Société. Aiit. V. — L’admission des
membres
sus-dési-gnés n’a lieu qu’aux conditions suivante
sus-dési-gnés n’a lieu qu’aux conditions suivantes : 1° Le titre de
membre
honoraire ne peut être conféré qu’en raison de se
jorité des quatre cinquièmes des voix. 2° Tout candidat au grade de
membre
titulaire doit être majeur, stagiaire depuis troi
orique et pratique. Absents, il leur suffit d’étre présentés par deux
membres
, honoraires ou titulaires, faisant connaître, dan
dans un rapport écrit, leurs titres moraux et scientifiques. 4° Les
membres
stagiaires pouvant être requis comme auxiliaires
ale uniforme. Leur demande d’admission doit être appuyée par deux
membres
, honoraires ou titulaires, à moins qu’ils ne soie
à aucun eiamen ; il sufüt qu’ils soient présentés au Bureau par deux
membres
, au moins stagiaires. Les dames peuvent être ad
2° Six mois pour les bacheliers ès-leltres, gradués ès-sciences ou
membres
d’une société magnétique connue. 3° Un an pour
r tous ceux qui n’ont aucun des titres sus-énoncés. Art. VII. — Les
membres
honoraires et titulaires jouissent de tous les dr
trésorier. Art. IX. — Le Bureau représente la Société. 11 admet les
membres
adhérents, arrête le programme des cours et des e
orité par assis et levé, ou au scrutin secret sur la demande de trois
membres
. L’admission des titulaires correspondants et s
our être prise en considération, doit être écrite et appuyée par deux
membres
, honoraires ou titulaires. La discussion en est r
ureau ne décide qu’il sera statué séance tenante. AnT. XIII. — Tout
membre
. lors de son admission, prête serment d'observer
. Art. XIV. — La Société a un conseil de discipline composé de cinq
membres
, devant lequel le président et un censeur peuvent
embres, devant lequel le président et un censeur peuvent traduire les
membres
dont la conduite leur paraît répréhensible. Les
nseil de discipline sont tracées par les règlements. Art. XV. — Les
membres
du Bureau et ceux du conseil de discipline sont é
de discipline sont élus pour un an et rééli-gibles. Art. XVI. — Les
membres
honoraires, titulaires et correspondants admis re
oréum, valériane,camphre, éther; lesquels, réuuis, forment le premier
membre
de l’équation algébrique suivante : Médicam. :
cissements sur ce point; j’en voudrais devant un plus grand nombre de
membres
, devant le nombre légal, afin que tous ceux qui d
nous parlons. A. — Mademoiselle Eulalie de Peindray, paralysée des
membres
supérieurs et inférieurs depuis huit mois , ayant
upé uniquement du ministère, lorsqu’un jour on vint me dire que trois
membres
de l’épiscopat français, après avoir examiné en p
Vos noms seront l'orgueil de la postérité ! Honneur à vous enfin,
membres
de l'Athénée! Dans scs fastes à peine il compte
à celle des ordres monastiques, judiciaires et chevaleresques, chaque
membre
de ces corporations tient autant et souvent beauc
la reconnaissance publique par les marques de respect que les autres
membres
de la société seront empressés de témoigner dans
re et le pouvoir arbitraire, caractérisé par l'expulsion de plusieurs
membres
du tribunat, qui lui faisaient ombrage, comme 'pr
é et jugé relativement à mes démonstrations, soit que vous ou quelque
membre
de votre famille ayez vu ou éprouvé les effets de
la présence deM. F. Mesmer, qu'elle comptera bientôt au nombre de ses
membres
, va continuer ses recherches; car ces documents j
lète et qu’on puisse présenter comme authentique. — i4uis à MM. les
membres
: M. le président commencera le 19 un cours éléme
Composition de la Société. Article 1er. — La Société se compose de
membres
titulaires, de membres correspondants et de membr
été. Article 1er. — La Société se compose de membres titulaires, de
membres
correspondants et de membres stagiaires. Le nombr
été se compose de membres titulaires, de membres correspondants et de
membres
stagiaires. Le nombre des uns et des autres est i
iaires. Le nombre des uns et des autres est illimité. Art. 2. — Les
membres
titulaires ont seuls voix déli-bérative. Pour d
— Les membres titulaires ont seuls voix déli-bérative. Pour devenir
membre
(itulaire, il faut résider à la T0J1E V.— j\0 5
la T0J1E V.— j\0 5«. — 25 AOUT 18£i7. 4 Nouvelle-Orléans cl être
membre
correspondant ou membre stagiaire de la Société d
— 25 AOUT 18£i7. 4 Nouvelle-Orléans cl être membre correspondant ou
membre
stagiaire de la Société depuis un an au moins ; o
giaire de la Société depuis un an au moins ; ou bien il faudrait être
membre
titulaire d'une autre société s'occupant du même
itulaire d'une autre société s'occupant du même objet. Art. 3. —Les
membres
correspondants sont des résidants au dehors. Leur
sidants au dehors. Leur demande d’admission doit cire appuyée de deux
membres
titulaires. Tout membre correspondant qui viend
ande d’admission doit cire appuyée de deux membres titulaires. Tout
membre
correspondant qui viendrait fixer son domicile à
eut, sur sa demande, et conformément à l'article qui précède, devenir
membre
titulaire. Art. i. — Les membres stagiaires son
nt à l'article qui précède, devenir membre titulaire. Art. i. — Les
membres
stagiaires sont des magné-tisles qui désirent s’i
irent s’instruire. Leur demande d’admission doit être appuyée de deux
membres
titulaires. Les membres stagiaires ont voix con
mande d’admission doit être appuyée de deux membres titulaires. Les
membres
stagiaires ont voix consultative seulement, mais
érimentation. Art. 5. — L’admission dans la Société se fait par les
membres
titulaires, à la majorité. Le nombre des votants
a majorité. Le nombre des votants doit excéder la moitié de celui des
membres
titulaires inscrits. Art. 6. — Un diplôme sera
res titulaires inscrits. Art. 6. — Un diplôme sera délivré à chaque
membre
titulaire et à chaque membre correspondant; et un
t. 6. — Un diplôme sera délivré à chaque membre titulaire et à chaque
membre
correspondant; et un tableau indiquant, par class
et un tableau indiquant, par classe, le nom et la demeure de tous les
membres
, restera aftiché dans la salle des séances. Cha
ur le terme d’un an, à l’assemblée générale, sont choisis parmi les
membres
titulaires, et sont récligibles. Ils entrent de s
cédente ; règle l’ordre du jour et fait observer le règlement. Il est
membre
d’office de toutes les commissions, où il a droit
n est requis. A l’assemblée générale annuelle une commission de trois
membres
titulaires est nommée, à la majorité simple, pour
ciété. Il a aussi la garde de la bibliothèque, où sont admis tous les
membres
de la Société, ainsi que les amis du magnétisme q
nt lieu tous les lundis; 3° Les séances extraordinaires. Tous les
membres
de la Société, quel que soit leur titre, assisten
respondance, la présentation des candidats et l’admission de nouveaux
membres
. Le restant de l'ordre du jour est réglé par le P
onctionnaires sont absents, la présidence est dévolue au plus âgé des
membres
titulaires présents, et le plus jeune remplit les
e le bureau en y remplaçant le Trésorier, s’il est absent, par un des
membres
titulaires présents. Art. 16. — Quand une expér
laires présents. Art. 16. — Quand une expérience est terminée, tout
membre
peut demander à faire des observations. Le Présid
à cet effet. Chapitre IV. — Biens de la Société. Art. 19. — Tout
membre
titulaire ou stagiaire paie un droit d’admission
piastres. Art. 20. — La Société forme une bibliothèque que tous les
membres
et le public en général peuvent augmenter de leur
donné. CHAPITRE V. — Dispositions générale». Art. 21. — Tous les
membres
doivent concourir, autant qu’il est en leur pouvo
bienveillant. Art. 22. — Par le seul fait de son admission , chaque
membre
s’engage à observer les dispositions du présent r
glement; à ne faire usage d'aucune épithèle blessante pour les autres
membres
, cl à n’employer que de nobles moyens dans la pra
la Société procéderait de suite à son remplacement. Art. 24. — Tout
membre
dont la conduite ne serait pas en harmonie avec l
r des bruits, des attouchements, et font prendre au corps, à tous les
membres
, la position qui convient à leur dessein.» M. l
soin d’être tenus, il y avait des mouvements vagues et convulsifs des
membres
supérieurs, contorsion du corps, distorsion des t
magnétiques que par la méthode ordinaire, trois des quatre médecins,
membres
de la commission, ont été d’avis qu’il n’y avait
et aussi avec respect que les fonctions publiques dont la plupart des
membres
sont investis durent subir une sérieuse interru
clara qu’il y avait urgence de procéder promptement à l’amputation du
membre
, la gangrène menaçant de gagner la cuisse, puis l
ie à une fièvre ardente; le frisson de l’insomnie parcourait tous mes
membres
, mes dents claquaient avec force, et les convulsi
M. Andrivcau. proposa de me soulager, et dirigeant ses mains sur mes
membres
convulsés il en calma bientôt l’agitation; l’oppr
première, c’est-à-dire pendant une partie de l’hiver, la rigidité des
membres
était un des principaux caractères de la magnétis
de Pau. (Maladie de langueur; le malade avait perdu l’usage de ses
membres
.) 187. Pierre Lartigue fils, d’Ydron. (Fièvre
ité à assister à la séance, et il attesta, devant une cinquantaine de
membres
ou visiteurs l'exactitude de l’exposé dont nous a
première vue, parait très-forte; mais puisque ce ne sont pas tout les
membres
du clergé catholique, ni tout les ministres des a
er doctrinam autoribut adheer entes. Je le demande maintenant : ces
membres
du clergé catholique et ces ministres du culte ré
e changer de local. Celui qu’il tenait de la complaisance d’un de ses
membres
ne peut plus suffire à l'aflluence des visiteurs.
tisme par M. Poulard, lequel sera suivi d’autres cours par différents
membres
, ainsi qu'aux affaires d’intérieur ; l’autre à de
D’abord des ouvrages en faveur du magnétisme ont é!4 publiés par un
membre
du clergé calholique, magnétiseui lui-môme, SI. l
nts. {Note de la Rédaction). blâmé le moins du monde par ces deux
membres
de l’épis-copat? Monseigneur Fiaromonli, prélal
le 1er décembre. Il ne fit pas le moindre mouvement du corps ou des
membres
. Un gémissement indistinct s’échappa durant la se
ple de s’assembler pour exprimer et pour accorder les volontés de ses
membres
sur les intérêts communs. Si l’on prenait pour
sitive des assemblées, dans laquelle on considère : i° la qualité des
membres
; 2° la manière de délibérer et de manifester la v
de délibérer et de manifester la volonté. A0 La qualité requise des
membres
de l’assemblée, c’est qu’ils soient d’une conditi
par un moyen quelconque ne puisse dominer, ou influencer!...ment les
membres
de l’assemblée. La lactique usitée jusqu’ici dans
e de l’aulre côté. Toul cela sera imprimé et distribué parmi tous les
membres
de l’assemblée et en même temps exposé en public.
en famille, en conversation, en petite société. De cette manière les
membres
du peuple comme les mineurs, les femmes, les viei
aire lira les nouveaux motifs publiquement afin d’en instruire chaque
membre
qui, en conséquence, déclarera sa volonté définit
ndre sur ses traits; son corps a peine à se maintenir debout, car ses
membres
fléchissent; la mâchoire inférieure exécute des m
nt point •'■coulées que nous la voyons en proie à l'inquiétude, ges
membres
sont agités, elle avance et tourne autour du miro
e l’insensibilité, de la catalepsie, du trismus, de la roideur de ses
membres
, des hallucinations, de l’épilepsie, de la folie,
é cités. Iæ nom de M. le professeur Jules Cluquel, celui de M. Oudet,
membre
de l’académie royale de médecine, garantissent su
vie, 65 ; les assemblées publiques. 289 Médailles des fondateurs et
membres
du jury magnétique. 170 Miroir magique, — expérie
Villejuif; CRUISE (de Dublin); CHARCOT, prof, à la Faculté de Paris,
membre
de l'Institut ; CHILTOFF, professeur a l'Universi
s yeux et de l'impression inconsciente des mouvements exécutés par le
membre
droit. Les images se produisent donc dans les deu
t et mon visage, diminuaient dans les mêmes proportions; le froid des
membres
inférieurs faisait place à une chaleur normale, l
ique. 2* Présentation de malades; 3* Vote sur l'admission de nouveaux
membres
. Adresser les communications s- M. le D' Bérill
ansmission de la pensée. Le comité de réception comprend, parmi ses
membres
. MM. Bain. Ferrier, Galton. Shadworth-Hodson, H
ssue du Congrès. M. Dumontpallier remercie M. Auguste Voisin et les
membres
de la Société de leurs témoignages de sympathie.
ces pertes, la Société, qui se composait au début d'environ cinquante
membres
titulaires, en compte actuellement soixante-dix L
e, de le dispenser de toute cotisation. Sur la demande de plusieurs
membres
. Il est décidé que la Revue de l'Hypnotisme sera
es. Il est décidé que la Revue de l'Hypnotisme sera servie à tous les
membres
de la Société. Le procès-verbal de la séance du
e formulé par M. le professeur Lacassagne, de Lyon, est distribué aux
membres
de la Société. Des communications sont faites p
t ni n'entend (par hypothèse) ; elle ne peut ni parler ni mouvoir ses
membres
, flasques et pendants; la peau et les muqueuses s
permet a la malade de lire. La paralysie flasque ou la contracture du
membre
supérieur droit, dans la léthargie, ne permettait
sifs et toujours d'après le même procédé, des centres « moteurs » des
membres
supérieurs et inférieurs. La sensibilité cutanée
i B... la sensibilité générale et le sens musculaire de la face, des
membres
et du tronc. Mais ce qui, au point de vue de l'
uption du courant, des secousses musculaires dans la face et dans les
membres
du côté opposé chez le sujet hystérique en léthar
xcitation, outre des mouvements d'ensemble, des mouvements isolés des
membres
et de la face. Dès 1886, un an avant les expéri
gie et de Psychologie. Apres la séance annuelle, selon l'usage, les
membres
de la Société d'Hypnologie et de Psychologie se s
uet, sous ta présidence de M. le Dr Dumontpallier; un grand nombre de
membres
de la Société avaient pris pari à cette fête inti
umontpallier s'est acquis des titres éternels à la reconnaisiance des
membre
* de la Société, et ils sont heureux de porter un
ts les plus zèles. M. Boirac exprime le» remerciements des nouveaux
membres
de la Société, et M. Bourdon, de Méru, clôt la sé
ève mon verre en l'honneur de notre cher maître, le Dr Dumontpallier,
membre
de l'Académie de Médecine. » Ce discours, couve
tioue LE CONGRÈS DE PSYCHOLOGIE EXPÉRIMENTALE En se séparant, les
membres
du premier Congrès international de psychologie,
mique ne saurait remplacer. Pour gagner du temps, les organisateurs
membres
du comité avaient créé deux sections, l'une consa
ccuper la tribune plus d'une vingtaine de fois, indique assez que les
membres
du Congres ont été trop exposés à entendre souven
ôpital de la Charité de Lille le 4 Juin 1891, pour un tremblement des
membres
du eôté droit. Rien à relever dans les antécéde
roit. Le tremblement, d'abord léger, s'accentue peu à peu. Bientôt le
membre
inférieur doit participer à ce tremblement qui s'
t de vue de la sensibilité, on trouve des plaques d anesthésie sur le
membre
supérieur droit, au milieu de l'avant-bras et à l
inutes, on l'éveille par suggestion verbale. A l'étal de repos, set
membres
ne tremblent plus du tout. Un léger tremblement e
.., âgée de vingt-quatre ans, entre à l'hôpital pour des douleurs des
membres
inférieurs, accompagnées de paralysie des jambes
tive. Observation IV. — Hysterie, névralgie sciatique et parésie du
membre
inférieur droit. Guérison par l'emploi du miroir
é de la marche, due à des mouvements involontaires et Incoordonnés du
membre
inférieur gauche. Elle présente des signes d'al
, et les mouvements involontaires disparurent presque complètement du
membre
supérieur. Actuellement on constate que le memb
e complètement du membre supérieur. Actuellement on constate que le
membre
intérieur gauche ?? agité de mouvements incoordon
ent des qu'on approche de la malade ou des qu'elle est émotionnée. Le
membre
supérieur est encore le siège de quelques petits
etit hypnotisme; cependant, dès la première séance, les mouvements du
membre
inférieur gauche deviennent beaucoup moins réquen
ophie musculaire. La force dynamo-métrique est conservée normale. Les
membres
supérieurs sont intacts, mais il n'en est pas de
Les membres supérieurs sont intacts, mais il n'en est pas de même des
membres
inférieurs. Il existe une véritable paraplégie qu
ésie de forme triangulaire, en avant du grand trochanter. Sur le même
membre
, uno autre plaque d'anesthésie en forme de triang
tin étaient consacrées à des séances générales. Dans l'après-midi les
membres
du Congrès étaient répartis en deux sections :
s Fêtes du Congrès de psychologie expérimentale. L'accueil fait aux
membres
du Congrès de psychologie par les membres du Comi
ntale. L'accueil fait aux membres du Congrès de psychologie par les
membres
du Comité de réception a dépassé en courtoisie et
onneurs de leurs salons avec une amabilité et une grâce dont tous les
membres
du Congres garderont le souvenir. En outre, de
ont le souvenir. En outre, de nombreux banquets ont été offerts aux
membres
étrangers. Nous devons une mention particulière a
ngué confrère, le Dr Lloyd Tuckcy, qui a servi de lten eutre tous les
membres
du Congrès qui s'intéressent aux questions d'hypn
rimentale, M. le professeur Ferrier avait invité un certain nombre de
membres
du Congrès à visiter l'hôpital consacré aux malad
présente aussi dans le sommeil normal. Dans le sommeil ordinaire, les
membres
du malade peuvent subir quelquefois une pression
et parce que, de droit, dans leur qualité d'hommes indépendants, ses
membres
ne veulent pas être commandés. Ils n'ont pas to
ait expliquer l'organisme de l'Etat sans tenir compte du fait que les
membres
de l'État peuvent lire et écrire. Il n'est pas
uent un rôle comparable à celui de la faculté de lire et d'écrire des
membres
dans l'ensemble d'un État. Le médecin qui veut
ginerait devoir ainsi communiquer ses idées de vive voix à chacun des
membres
. Et pourtant de tout temps l'idée fondamentale
: 2° Présentation de malades; 3° Vote sur l'admission do nouveaux
membres
. Adresser les communications à M. le Dr Bérillo
'hypnotisme. Cette société, qaî compte actuellement enriron cinquante
membres
et est composée presque exclusivement de médecins
it collé au corps, la douleur empêchant tout mouvement d'abduction du
membre
. Trois semaines après l'accident, l'anes-thésie a
r Lloyd-Tuckey ; traduit de l'anglais, par M. le Dr David, de Sigcan,
membre
de la Société. La correspondance imprimée compr
: 3° Présenation de malades ; 3° Vote sur l'admission de nouveaux
membres
. Adresser les communications a M. le Dr Bérillo
re. Bloomington, Illinois (États-Unis). — M. le Dr Homer Wakefield.
membre
de la Société d'Hypnologie et de Psychologie de P
t peut permettre l'intromission facile d'un corps volumineux comme !c
membre
viril. Les fesses sont régulièrement développée
permettent de supposer l'intromission d'un corps volumineux comme le
membre
viril; 4° Du coté de l'anus, les signes habitue
signes habituels de l'intromission d'un corps volumi-mineux comme le
membre
viril ne sont pas assez caractérisés pour permett
on suivante : La Klep-tomanie et le vol dans les grands magasins. Les
membre
de la So:iété qui désirent prendre la parole dans
érie par la thérapeutique suggestive, Par M. le Dr DUMONTPALLIER,
membre
de l'Académie de Médecine. Une jeune personne d
ont agités de mouvements de pronation et de supination incessants. Le
membre
inférieur droit ne parait pas atteint de spasmes
la marche fatigue l'enfant et il existe un léger degré de parésie du
membre
inférieur droit. La sensibilité est normale à la
bre inférieur droit. La sensibilité est normale à la face est daus le
membre
supérieur droit. L'ouïe, l'odorat et le goût ne p
e sur le coussin ; j'agitai l'air autour de sa tête et le long de ses
membres
avec un éventail et j'ajoutai : « Levez-vous, m
de la scène sauvage qui avait bouleversé sa vie : et immédiatement le
membre
abdominal contracture reprit peu a peu sa situati
es paralysies? L'auteur a expérimenté dons des cas de paralysie des
membres
supérieurs, exclusivement, notamment de celles oc
tagne que se placerait, d'après Matthieu, la guerison à distance d'un
membre
de la maison d'un centurion de Capharnaum. qui es
— Oui. Tout de suite, si tu veax. La malade a quelques spasmes des
membres
, quelques battements des paupières et s'endort. M
smc. M. le Président met aux voix les candidatures de M. le Dr Luys
membre
de l'Académie de Médecine, médecin de la Charit
Paris, Félix Alcan; Liège, Descer, 1889 Tremblement choréiforme du
membre
supérieur droit- — Lypémanie, idées de mort et de
ndie de sa maison. Elle avait été prise de tremblement choréiforme du
membre
supérieur droit qui n'avait pas cessé depuis lors
n 1888 : Physionomie triste, souffrante. Tremblement choréiforme du
membre
supérieur droit continu, consistant en petits mou
it continu, consistant en petits mouvements rythmés d'élévation de ce
membre
jour et nuit et comparables au tremblement de La
rs. Insomnie ou cauchemars presque continuels. Douleurs dans les deux
membres
inférieurs ; gène dans la marche. Douleurs dans l
s), mes suggestion* ont porté sur le tremblement, sur les douleurs du
membre
, sur les évanouissements et sur la céphalée. Le
icide, de douleurs et du même tremblemment très intense et continu du
membre
supérieur droit à la suite d'un très grand chagri
remblement, les idées noires, les évanouissements et les douleurs des
membres
. 9 novembre. Pas de tremblement, pas d'évanouis
nvolution frontale ascendanle gauche, siège de la fonction motrice du
membre
supérieur droit et que des troubles de circulatio
tre n'accepte pas l'idée suggérée de sommeil, alors que cependant ses
membres
se raidissent ou sont frappés d'anesthésie par si
: 2° Présentation de malades. 3° Vole sur l'admission de nouveaux
membres
. Adresser les communications à M. le Dr Bérillo
purement psychique. Il semble avoir perdu la notion de la position du
membre
supérieur gauche; il ne peut, de cette main, rama
aquelle il s'exprime ainsi : « Il a été reconnu par l'unanimité des
membres
présents de la commission que la loi sur l'exer
. 3° Présentation de malades. 4° Vote sur l'admission de nouveaux
membres
. Adresser les communications à M. le Dr Bérillo
Torto. La correspondance imprimée comprend des lettres de plusieurs
membres
s'ex-cusant de ne pouvoir assister à la séance.
lgré lui. La suggestibilité de sa fonction motrice parait limitée aux
membres
inférieurs, car il est impossible de lui faire ex
3: de M. le D! Jackson, de New-York, demandant â être admis parmi les
membres
de la Société: de M. le Dr Wakefield, de Blooming
bouche, fermée depuis quelques heures, restait contraclurée, mais les
membres
étaient en résolution (on la vil plusieurs fois r
était passé de 33 le. 500 à 36 k. 500. Vers la fin de décembre, les
membres
perdirent leur disposition à la contracture et l'
is ce fut tout. Elle retomba bientôt dans son attitude extatique, ses
membres
recouvrèrent leur disposition à la contracture, l
e période, j avais continué à la soumettre chaque jour au massage des
membres
cl à la douche, mais l'état général était resté s
état général était resté stationnai re. Vers la fin de janvier, les
membres
perdirent de nouveau leur disposition à la contra
ès souvent, et était accompagnée de fortes contractures dans tous les
membres
(sans perte de connaissance). Les douleurs étai
endues miraculeuses dans lesquelles la foi ait suffi pour rétablir un
membre
amputé, tandis qu'au contraire les cas abondent d
t constatée dans les cas de paralysie hystérique et de contraction de
membres
... Il en est de même du prétendu cancer. Chacun s
édecin des bôpitaux le 12 août 1470, agrégé de la Faculté en 18CG, et
membre
de l'Académie de Médecine en 1883. Apres avoir
ais à lobule adhérent. Pas de sensibilité profonde à la torsion des
membres
. Hypoalgésie de tout le corps; par endroits analg
ant à l'intérieur de ses bras et de ses jambes, lui raccourcirait les
membres
; survient alors une envie de crier qu'il parvient
êcher de tressauter et «entant comme des fourmillements dans tous les
membres
. L'hypnose est facile à provoquer; la simple in
n temps surviennent des contractures des masseters ou des muscles des
membres
inférieurs; ces phénomènes, survenant surtout le
udrait pas une grande émotion pour me faire éclater; je sens dans les
membres
des tiraillements et, par instant, comme des piqû
ne de ces pseudo-coxalgies dépendant d'une différence de longueur des
membres
, par suite d'un défaut de symétrie dans le dévelo
res, par suite d'un défaut de symétrie dans le développement des deux
membres
inférieurs, signalées par Mesnard. Terrillon. etc
l'interroge elle est prise d'un tremblement rapide et rythmé dans les
membres
gauches, d'une durée de quelques secondes. Pas d'
te que nous constatons : soupirs, respiration râlante, contracture do
membre
supérieur droit, puis convulsions cloniqoes dans
racture do membre supérieur droit, puis convulsions cloniqoes dans ce
membre
suivies de contracture générale des quatre membre
s cloniqoes dans ce membre suivies de contracture générale des quatre
membres
. De plus, depuis son entrée, elle a été prise u
l'état de sommeil. — Insensibilité de la moitié droite du troue et du
membre
supérieur droit Contractilité dans ces même ? par
ibilité très vive et contractait.; de la moitié gauche du tronc et do
membre
supérieur gauche Sensibilité et contractilité d
tronc et do membre supérieur gauche Sensibilité et contractilité de
membre
inférieur gauche et du tiers supérieur et moyen d
et du tiers supérieur et moyen de la jambe droite. Contractilité du
membre
inférieur droit, mais insensibilité de ce membre.
. Contractilité du membre inférieur droit, mais insensibilité de ce
membre
. Contractilité de la face à droite, mais insensib
ndue sur son lit toute droite, dans le décubitus dorsal. Les quatre
membres
sont dans l'extension et complètement raides; les
isme convergent. Par instants la malade se contracture et fléchit les
membres
, le tronc présente une tendance a l'arc de cercle
miques. Rapidement on obtient une resolution musculaire complète; les
membres
deviennent flasques, et bientôt la résolution est
mbres deviennent flasques, et bientôt la résolution est telle que les
membres
soulevés retombent lourdement sur le lit. Le tr
lorsque l'on touche la malade, soit au niveau de l'abdomen, so:t aux
membres
, elle est prise de violents soubresauts avec mouv
en voiture sans connaissance, dans un étal de catalepsie absolu, les
membres
, le cou, le tronc complètement raides, insensible
s. Intégrité de la coutractilité électro-musculaire de la face, des
membres
inférieurs el supérieurs, du tronc. La sensibil
ler, par son symbolisme, les bases des principes adoptés par long les
membres
appartenant a la même tribu, à la même famille, a
e viens de vous donner, mais n'imposez pas cette opération au nouveau
membre
de l'Islam. » RECUEIL DE FAITS Une Suggestion
r lui une cause de terreurs indicibles. La moindre indisposition d'un
membre
de sa famille est à ses yeux une maladie mortelle
ons nous réconcilient parfois avec la vilaine espèce dont nous sommes
membres
, combien, par contre, ne trouvons-nous pas d'occa
médicale a eu lieu le 7 avril 1893, au restaurant Marguery: quatorze
membres
ont assisté a cette séance que présidait M. de Ra
u Journal des Maladies cutanées et syphilitiques, ont été admis comme
membres
de l'Association de la Presse médicale. Sur la
s à la Chambre des députes, les objections émises par l'unanimité des
membres
présents de l'Association contre l'agra-vation. p
ne peuvent d'aucune façon communiquer avec le monde extérieur, leurs
membres
soulevés retombent inertes. Les paupières sont fe
tat cataleptique se reconnaît à la fixité du regard, l'immobilité des
membres
, la conservation des attitudes, la possibilité de
réside dans la conservation des attitudes, sans fatigues quoique les
membres
ne soient pas raides. L'hyperexcitabilité muscula
Bernheim. : De la suggestion page 124, Paris 1888. « Pour mettre an
membre
en catalepsie, il n'est pas nécessaire d'ouvrir l
violent, comme cela se fait à la Salpêtrière ; il suffit de lever ce
membre
, de le laisser quelque temps en l'air, au besoin
re, de le laisser quelque temps en l'air, au besoin d'affirmer que le
membre
ne peut plus être abaissé: il reste en catalepsie
ou sans engourdissements; d'autres ont. en outre de la résolution des
membres
avec inertie ou inaptitude à faire des mouvements
du regard. Pour que l'attitude persiste, il faut souvent maintenir le
membre
pendant quelque temps, et lorsqu'on le lâche, il
hyperexcitabilité neuro-musculaire, la catalepsie avec plasticité des
membres
et automatisme spinal, le somnambulisme avec exci
uestions, ils obéissent aux ordres qu'on leur donne; malgré cela, les
membres
conservent les attitudes. Cet état catalepiolde p
veux sont fermés, les paupières agitées d'un léger frémissement, les
membres
sont flasques et ne conservent pas les attitudes,
nte; la personne obéissait aux ordres et répondait aux questions, les
membres
soulevés retombaient inertes, tous phénomènes qui
objet, brillant. Les veux sont fermés, la sensibilité est abolie, les
membres
sont flasques, caractères qui tous appartiennent
de extérieur, elle entendait ; sa sensibilité était absente, mais ses
membres
conservaient les attitudes qu'on leur donnait. Ce
ant troublées par des rêves, des cauchemars, des soubresauts dans les
membres
et des réveils subits. Le membre inférieur gauc
chemars, des soubresauts dans les membres et des réveils subits. Le
membre
inférieur gauche est dans l'attitude d'extension
. 2° Présentation de malades. 3° Vote sur l'admission de nouveaux
membres
. Adresser les communications à M. le Dr Bérillo
de mourir dans un âge avancé, était médecin honoraire des hôpitaux et
membre
de l'Académie de Médecine. C'était un clinicien
ambe et la face interne de la cuisse. La sensibilité est normale au
membre
inférieur gauche et aux deux membres supérieurs.
. La sensibilité est normale au membre inférieur gauche et aux deux
membres
supérieurs. Il résulte, sans contestation, de c
il n'a rien de cette rigidité spéciale aux hypnotisés. Peu à peu son
membre
se fatigue, on observe des secousses fibrillaires
n la mit alors aux douches, et au bout de peu de temps, la parésie du
membre
inférieur disparut aussi. Celte observation nou
lieu dans l'électrisation localisée. La contraction du muscle sur les
membres
persiste après l'excitation, pour peu que celle-c
sque instantanément en portant l'excitation sur les antago nistes des
membres
contractures. Il faut encore savoir que ceci s'
ncore savoir que ceci s'applique d'une façon générale aux muscles des
membres
, du tronc et du cou. A la face, au contraire, et
égers attouchements promenés à plusieurs reprises sur la surface d'un
membre
, ou encore a l'aide d'un souffle léger dirigé sur
ore a l'aide d'un souffle léger dirigé sur la peu, développer daus ce
membre
un état de rigidité qui diffère de la contracture
récédentes, d'un banquet. Il exprime l'espoir qu'un certain nombre de
membres
de la Société qui résident en province et à l'étr
. 2° Présentation de malades. 3° Vote sur l'admission de nouveaux
membres
. Adresser les communications, à M. le Dr Bérill
ts pour témoigner la sympathie qu'il éprouvait pour la France, et les
membres
du Congres ne lui ménagèrent pas les ovations les
ion d'un hystérique, par Brémaud, 289. Tremblement choréiforme du
membre
supérieurdroit. Lypémanie, guérison par la sugges
ladies mentales à la Faculté de médecine tle Paris. V. MAGNAN
Membre
de l'Académie de médecine Médecin de l'Agile
e malade offrait, huit ans plus tard, un défaut de coordination des
membres
inférieurs, lequel ressemblait beaucoup à l'ata
erniers temps de la vie, un certain degré de contracture des quatre
membres
, etc. Bref, ni l'ensemble symptomatique, ni l'é
s que le malade présentait une anesthésie absolue de la face et des
membres
supérieurs, qu'il refusait toute nourriture et
ions, pouvant agir par compression sur la moelle. Les muscles des
membres
supérieurs et inférieurs sont notable- ment ama
e assommée. C'est un anéantissement, un engourdissement de tous les
membres
, elle est incapable de faire la plus petite cho
aisant. Mais on remarque un tremblement oscillatoire permanent du
membre
supérieur, prédominant aux doigts et n'augmentant
es mouvements commandés, et un tremblement épileptoïde permanent du
membre
inférieur droit. Sur un ordre réitéré la malade
de la sclé- rose latérale amyotophique (contracture musculaire des
membres
avec commencement d'atrophie, portant surtout s
e des membres avec commencement d'atrophie, portant surtout sur les
membres
supérieurs, exagération des réflexes tendineux,
e de gravité des images des choses. R. CHARON. IX. Amyotrophie DU
membre
supérieur DROIT, consécutive A la variole chez
chercher trois cas identiques d'atrophie réellement squelettique du
membre
supérieur, reconnaissant pour cause la variole.
iole vers la vingtième année. L'atrophie portait sur la totalité du
membre
, entraînant une impotence fonctionnelle presque
L'auteur en conclut : «1° Le centre de la sensibilité musculaire du
membre
inférieur semble être placé- dans la partie ant
Deux observations d'hystériques chez lesquels on constate, dans un
membre
supérieur, l'abolition de la sensibilité des reli
graisseuse et ayant présenté à la fin de sa maladie une névrite des
membres
inférieurs et supérieurs, avec paralysie des exte
intéressant rarement lesquatre REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 51
membres
. Il ne reste que l'hypothèse d'une névrite par in
ement de la faiblesse puis une paralysie plus ou moins complète des
membres
inférieurs, la pointe du pied, traîne à terre,
du sciatique poplilé interne. Plus rarement l'affection atteint les
membres
inférieurs, dans ce cas, il y a paralysie des ext
ée en arrière, hypermydriase gauche, cyanose, et légère parésie des
membres
à gauche; le huitième jour : T, s., 38°,2; le n
des hémiplégiques qui ont complètement cessé de s'appuyer sur leur
membre
affecté essaieront peu à peu de récupérer la fi
urroies et de poulies destinées : 1° à assurer l'immobilisation des
membres
infé- rieurs allongés et du siège; 2° à produir
l'hôpital. Les convulsions sont intenses, et plus marquées dans les
membres
du côté droit. Le sujet est sans connaissance e
cyanosé. Mais les convulsions per- sistaient aussi fortes dans les
membres
du côté droit. Au bout de trois quarts d'heure
mouvements : efforts d'immo- bilisation de la tête, du tronc et des
membres
, fixation du regard, 64 REVUE DE THÉRAPEUTIQU
plémentaire con- sécutif ne s'obtient plus que pour le tronc et les
membres
supé- rieurs, encore le bassin ne se modifie-t-
bien réellement à des paralytiques généraux. Il n'est pas un seul
membre
de notre société qui puisse considérer ces malade
d'apparition de taches bleu- foncées, et de sensation de froid aux
membres
. Les réflexes cuta- nés sont légèrement allaibl
d aux membres. Les réflexes cuta- nés sont légèrement allaiblis aux
membres
supérieurs, principale- ment du côté droit. Aux
laiblis aux membres supérieurs, principale- ment du côté droit. Aux
membres
inférieurs, on constate au contraire une légère
Légère diminution de l'excitabilité électrique neuro-musculaire du
membre
supérieur droit. Les sphinctes sont intacts. Etat
e à longue durée, celle qui s'accompagne toujours d'im- potence des
membres
. La cellule atrophiée n'a plus qu'un prolongeme
'autres nerfs crâniens. Il n'y a pas de troubles fonc- tionnels des
membres
; donc il n'y a pas lésion de cette partie de j'
grand trochanter au condyle externe, et la face antérieure du même
membre
, de quelques travers du doigt au-dessous du liga-
ésentait tous les symptômes de la maladie de Friedreich (ataxie des
membres
infé- rieurs et supérieurs, ataxie statique, em
isées en trois groupes : A. arthrites avec amyotrophies limitées au
membre
supérieur, 10 malades. B. Arthrites et amyotrop
s au membre supérieur, 10 malades. B. Arthrites et amyotrophies des
membres
supérieur et infé- rieur. Séjour au lit, 7 mala
rieur et infé- rieur. Séjour au lit, 7 malades.- C. Mobilisation du
membre
para- lysé. Absence d'arthrites et d'atrophies
122 I-) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. s'étend aux articulations des
membres
que secondairement à l'ar- thrite de ces articu
apparition des arthrites, de l'amyotrophie et des douleurs dans les
membres
paralysés des hémiplégiques et monoplégiques pa
u début; c'est le type Aran-Duchenne; 8° Pour un segment donné du
membre
supérieur, les muscles les plus petits sont rep
; plaie peu grave de la région dorsale avec quelques contusions aux
membres
. Après l'accident, le malade regagne seul son d
s, tremblement de la langue et des mains), et en outre, surtout aux
membres
inférieurs, un tremblement comparable à celui q
t de l'appareil ligamenteux périarticulaire. Même réflexion pour le
membre
supérieur; on ne trouvait, au milieu de J'avant
bras droit est diminuée à partir et au-dessqus de l'en- droit où ce
membre
a été serré. La conductibilité des nerfs est fa
ur. Dans les cas où le malade se plaint de douleurs tout le long du
membre
, exercez les premières compressions au niveau d
e l'estomac chez les neurasthéniques; par le Dr Raffegeau. z I. Les
membres
du Congrès sont instamment priés défaire connaî
tramways pour obtenir des voilures spéciales qui transporteront les
membres
du Congrès d'Angers à Trélazé. VIII. - Un ser
à Paris, du 2 au 9 août 1900, s'est constitué. Il est composé de 25
membres
choisis parmi les aliénistes, tant de Paris que d
eur à la Faculté de Paris, médecin à l'asile Sainte- Anne ; Magnan,
membre
de l'Académie de médecine, médecin à l'asile Sa
ault; Meuriot, président de la Société médico-psychologique; Motet,
membre
de l'Académie de médecine, Parant, médecin de l
nière de médecine légale. Cette séance eut lieu le 18 juin 1898. 19
membres
du Comité y assistaient. Voici les questions qui
proches. Elle a son siège à Paris. ART. 2. La Société se compose de
membres
perpétuels (ou fondateurs), de membres titulair
2. La Société se compose de membres perpétuels (ou fondateurs), de
membres
titulaires, de membres adhérents et de membres
se de membres perpétuels (ou fondateurs), de membres titulaires, de
membres
adhérents et de membres auxiliaires. Le titre
ou fondateurs), de membres titulaires, de membres adhérents et de
membres
auxiliaires. Le titre de membre perpétuel ou fo
ires, de membres adhérents et de membres auxiliaires. Le titre de
membre
perpétuel ou fondateur s'acquiert par le don fa
ait à la Société d'un capital de 200 francs au minimum. Le titre de
membre
titulaire est acquis à toute personne payant une
rsonne payant une sous- cription de 20 francs au moins. Le titre de
membre
adhérent appartient aux personnes qui paieront
aux personnes qui paieront une cotisation de 5 francs. Le titre de
membre
auxiliaire appartient aux personnes qui, sans e
, de leur porter des encouragements et au besoin des secours. Les
membres
fondateurs, titulaires, adhérents, auxiliaires, o
xiliaires, ont voix à l'assemblée générale. ART. 3. La qualité de
membre
de la Société se perd : Il par la démission; 2°
prononcée, pour motifs graves, par le Conseil d'administration, le
membre
intéressé ayant été préalablement appelé à four
de la Société est confiée à un Conseil d'administration composé de
membres
de droit et de membres élus. Les membres de dro
iée à un Conseil d'administration composé de membres de droit et de
membres
élus. Les membres de droit sont : 1° le préfet
'administration composé de membres de droit et de membres élus. Les
membres
de droit sont : 1° le préfet de la Seine, le Pré-
ce de chacun des asiles ou quartiers d'hos- pice de la Seine. Les
membres
élus sont au nombre de trente, savoir : six élus
onseil a lieu par tiers tous les ans. Le tirage au sort désigne les
membres
sortants pendant les deux pre- mières années. A
pendant les deux pre- mières années. Après la troisième année, les
membres
élus sorti- ront par voie de roulement. Les mem
ième année, les membres élus sorti- ront par voie de roulement. Les
membres
sortants sont rééli- ribles. , Le Conseil d'a
nt rééli- ribles. , Le Conseil d'administration choisit parmi ses
membres
, après chaque renouvellement : un président, de
secrétaires, un trésorier et un comité de direction composé de dix
membres
. Au\', 5. Le Conseil d'administration se réuni
est convoqué par son Président ou sur la demande du quart de ses
membres
. Il peut, après avis du Comité de direction, ache
par le Conseil d'administration. IRT. 7. - L'Assemblée générale des
membres
de la Société se réu- nit au moins une fois cha
Conseil d'administration ou sur la demande du quart au moins de ses
membres
. Le Conseil d'administration y expose la situat
le budget de l'exercice suivant, et pourvoir an renouvellement des
membres
du Conseil d'administration décédés ou ayant ce
éance, l'assemblée délibère, quel que soit d'ailleurs le nombre des
membres
présents, sur toutes les ques- tions qui lui so
la Société. Le compte rendu de la séance annuelle est adressé à les
membres
de la Société, à AI. le Ministre de l'Inté- rie
le Préfet de Police, aux loi VARIA. Conseillers généraux et aux
membres
de la Commission de surveil- lance. ART. 8. -
de la Commission de surveil- lance. ART. 8. - Le Président, ou un
membre
du Conseil d'administra- tion délégué par lui,
urces annuelles de la Société se composent : 1° Des cotisations des
membres
des différentes catégories; 2° des revenus de t
ART. 15. Les secours moraux sont donnés aux patronnés par tous les
membres
de la Société. Ils s'informent de l'état moral de
té décidé par l'Assemblée générale à la majorité des deux tiers des
membres
présents. ART. 18. L'Assemblée générale appelée
ement à cet effet doit comprendre au moins la moitié plus un de ses
membres
en exercice. La dissolution ne peut être votée
dissolution ne peut être votée qu'à la majorité des deux tiers des
membres
présents. ART. 19. - En cas de dissolution, l'a
ées en exten- sion, les pieds en varo-équinisme; la musculature des
membres
inférieurs est amaigrie - et flasque, excepté l
n fessière, les organes génitaux, et continue sur les téguments des
membres
inférieurs envahissant les faces antérieure, ex
phénomène du pied à droite. Comme trouble vasomoteur, cyanose des
membres
inférieurs. De temps à autre, incontinence d'ur
tate que l'atrophie musculaire et les troubles électriques dans les
membres
inférieurs ont notable- ment augmenté d'intensi
éger nyslagmus. Bien ! ôt ia malade commence à res- sentir dans les
membres
supérieurs des picotements et des four- milleme
tend à la surface intérieure des deux bras. Parésie pro- noncée des
membres
supérieurs, principalement dans les segments pé
cèdent aux vésicatoires sur la colonne cervicale. La parésie des
membres
inférieurs s'étant accentuée, la malade n'est p
s avant-bras (la partie cubitale est plus atteinte). Anesthésie des
membres
supérieurs, prédominante aussi dans le domaine de
jacent. t. Les nerfs périphériques et les muscles, surtout ceux des
membres
inférieurs présentent tous les indices d'une at
. Joxé, député, maire d'An- gers, ayant à ses côtés M. le Dr Motet,
membre
de l'Académie de médecine, Regnard, inspecteur
e la Société drs lettres, sciences et arts d'Angers, la plupart des
membres
du corps médi- cal d'Angers et un grand nombre
otre séjour dans notre cité. » Succédant à,M. Joxé, M. le DJ Motet,
membre
de l'Académie de médecine, a prononcé le discou
, les tyranniques exigences, les excès alcooliques de l'un de leurs
membres
qui devient un jour un meurtrier ? « Combien
pératoires. » Sont nommés présidents d'honneur : MM. le D1' Magnan,
membre
de l'Académie de Médecine ; le Dr Regnard, insp
ion de délires graves qui lès amènent à l'asile. Presque tous les
membres
de la Société ont pris part à la discus- sion e
ammes il restait, à la fin de la bataille, 931 blessés atteints aux
membres
inférieurs et au tronc. Ces malheureux, sortis
e confusion mentale auquel se joint un mois après, la faiblesse des
membres
du côté gauche, puis du côté droit. Elle il des
juin, elle est dans un état typhoïde avec carphologie, raideur des
membres
, exagération des SOCIÉTÉS SAVANTES. 225 réf
convulsifs en général et ayant en vue ce fait remarquable que les
membres
inférieurs tendent à entrer en convulsions lorsqu
a réservé un amphithéâtre pour nos séances scientifiques; enfin les
membres
ici présents des différentes administrations et
toutes. » Succédant à M. le docteur Petrucci, M. le docteur Motet,
membre
de l'Académie de médecine, dit une allocution q
oute la chaleur des sentiments dont mon coeur est plein. Au nom des
membres
du IX° Congrès des médecins aliénistes et neuro
éficier du placement familial. VISITE A l'asile sainte-gemmes Les
membres
du Congrès se sont rendus dans l'après-midi du
essieurs je lève mon verre en l'honneur de M. le Préfet, de MM. les
membres
du Conseil général, de la commission de surveil
st exprimé en ces termes : .. Monsieur le Préfet, c Messieurs les
Membres
du Conseil général, « Vous avez tenu à nous rec
ssieurs, je lève mon verre en l'honneur de M. le Préfet, de MM. les
membres
du conseil général et de la commission admi- ni
toute anesthésie ou hyperesthésie assez marquée d'un organe ou d'un
membre
correspond une anesthésie avec point douloureux
alisés, tantôt généralisés le plus souvent : sauts, contorsions des
membres
, grimaces de la face, spasmes laryngés, cris, a
de surveillance de l'asile du département où a lieu le Congrès, les
membres
de la commission d'assistance publique, du cons
d'une application de forceps, d'une paralysie avec anesthésie des
membres
inférieurs jusqu'au-dessus des malléoles. L'élect
parente et les jours suivants eut des convul- sions. A l'examen les
membres
inférieurs paraissent normaux à l'état de repos
l'influence d'une piqûre, d'une émotion quelconque : au niveau des
membres
supérieurs la rigidité existe, mais est beaucou
cervicale. A qua- torze ans, l'atrophie envahissait les muscles des
membres
supé- rieurs et du tronc, produisant dans sa dé
aujourd'hui cette maladie. Atrophie. Celle-ci ayant commencé par le
membre
supérieur droit, tout le côté correspondant du
ux du bras, de l'avant-bras et de la main. Trois mois plus tard, le
membre
supérieur opposé était atteint à son tour, et q
6 6 CLINIQUE NERVEUSE. encore sont visibles dans divers muscles des
membres
supérieurs et plus particulièrement dans les in
Dès le commencement, l'atrophie s'est prononcée davantage dans le
membre
supérieur gauche que dans le membre opposé ains
est prononcée davantage dans le membre supérieur gauche que dans le
membre
opposé ainsi que l'indiquent les chiffres suiva
ns le membre opposé ainsi que l'indiquent les chiffres suivants :
Membre
supérieur droit. SYRING011YÉLIE. z77 Dissoc
. Dans le reste du corps, il y a hypoalgésie plus prononcée dans le
membre
inférieur gauche que dans l'opposé et le reste du
es. Ce retard est moins marqué dans le côté gauche et dans les deux
membres
inférieurs. La thermanesthésie au froid est res
région cervicale pouvant se pro- pager jusqu'aux articulations des
membres
supérieurs, rigi- dité du cou et parfois des ér
nt laquelle se manifestent la parésie et l'atrophie des muscles des
membres
supérieurs en respectant généralement ceux qui
ue d'éruption, les localisations de l'atrophie dans les muscles des
membres
supérieurs et du tronc et la déformation de la
ng intervalle. La thermanesthésie est moins prononcée dans les deux
membres
supérieurs, dans le tiers supérieur de la jambe
rminé de muscles, mais elle en- vahit conjointement ceux des quatre
membres
, ceux du tronc et du visage. Dans le cas de Man
e qu'avec un état si avancé d'atro- phie dans ces muscles, ceux des
membres
inférieurs et du visage auraient pu échapper à
tie Cela même a été observé par Ferrannini chez Francesco, un des
membres
de la famille syrinaomvélique qui a été l'objet d
légère, des troubles de la sensibilité et une grande faiblesse des
membres
inférieurs. Ces symptômes se sont accentués rap
s se sont accentués rapidement; en quelques jours, la faiblesse des
membres
inférieurs s'est transformée en une paralysie c
membres inférieurs s'est transformée en une paralysie complète; les
membres
supérieurs ont été ensuite envahis, à leur tour
également traumatique et suivie de paralysie transitoire des quatre
membres
. A. M. LIV. Contribution A l'étude DE l'étiol
ominance des troubles parétiques du côté des muscles extenseurs des
membres
thoraciques, la para- plégie foudroyante, coïnc
distrait. A. Marie. LXVII. Myélite localisée (paralysie des quatre
membres
); par B. 13RAUVELL. (British médical Journal, m
le et intestinale) disparurent avec les paralysies transitoires des
membres
. Traitement dans les deux cas par l'élec- trici
permanent soit facilement réductible, l'impotence fonctionnelle du
membre
est presque complète. C'est un syndrome bien dé
uis s'est étendue jusqu'à l'épaule. Même chose s'est passée pour le
membre
inférieur du même côté. Plus tard survint une s
éritable. Il ne présente d'ailleurs pas de para- lysie, du côté des
membres
ni des nerfs craniens; pas de troubles oculaire
ocalisation, ne concerne-I-elle que quelques groupes musculaires du
membre
hémiplégique ? Autant de problèmes non encore rés
; 2° Il existe deux grands noyaux d'innervation de ce segment du
membre
inférieur : un premier noyau très grand s'étend d
x, particulièrement en ce qui concerne le centre des mouvements des
membres
inférieurs. A. Marie. XXXI Altérations CELLULUR
ux suivantes, sur les mêmes points. D'abord partielle, limitée à un
membre
ou à un côté du corps, elle se généralise à la
vements fibrillaires des muscles de la face et du tremblement des
membres
. A la quinzaine, je mentionne dans mon certificat
U.3 l'autre, la langue déviée à droite (hémiplégie incomplète); les
membres
supérieurs sont affaiblis, la parole très embar
mes physiques. - Embarras de la parole, tremblement des lèvres, des
membres
, inégalité pupillaire, affaiblissement mus- cul
l s'agisse des questions traitées sous l'initiative personnelle des
membres
du Congrès. Vous avez rendu particulièrement agré
nérale aux jambes, au tronc et aux bras ; ataxie très prononcée des
membres
inférieurs, ataxie moins prononcée des membres
e très prononcée des membres inférieurs, ataxie moins prononcée des
membres
supérieurs ; absence des réflexes rotuliens ; i
D' Richer, a été inséré dans le numéro d'août. Le Dr PAUL RICHER,
Membre
de l'Académie de médecine* 348 BIOGRAPHIE.
et neurologistes, sous la présidence de M. Magnan. La plupart des
membres
de la province y assistaient. M. le Secrétaire
ons à la visite, étendue sur le dos, les yeux fermés, immobile, les
membres
souples, indifférente aux excitations, avec un
xcitation maniaque se modifie. Il existe un oedème considérable des
membres
inférieurs. Les cuisses sont le siège d'un purp
paralytiques qui prétendaient n'avoir plus de tête, de ventre ni de
membres
; il n'en est rien et comme 56 fois nos constat
me. Les mouvements cloniques sont d'abord limités aux muscles des
membres
, puis ils envahissent ceux du cou et du tronc, le
personne charitable, quelles que soient ses res- sources. Si les
membres
qui paient un certaine cotisation ont droit à la
ons, mais n'occupant pas la même situation de fortune; les derniers
membres
seraient considérés comme adhé- rents à la bonn
Tout degré de parenté ou d'alliance entre un concurrent et l'un des
membres
du jury ou entre les membres du jury, donne lieu
liance entre un concurrent et l'un des membres du jury ou entre les
membres
du jury, donne lieu à récusation d'office de la
ans des hospices de Bicêtre et de la Salpêtrière se compose de sept
membres
, savoir : trois membres tirés au sort parmi les
tre et de la Salpêtrière se compose de sept membres, savoir : trois
membres
tirés au sort parmi les médecins aliénistes, ch
s de service des hôpitaux et hospices en exercice ou honoraires; un
membre
tiré au sort parmi i les médecins chefs de serv
, et le médecin du Bureau d'admission de l'Asile clinique; et trois
membres
tirés au sort parmi les médecins chefs de servi
mission de l'Asile clinique ne peuvent être portés sur la liste des
membres
parmi les quels doit être le jury, qu'après cin
ormes usitées pour les concours des hôpi- taux, en présence de deux
membres
du Conseil de surveillance de l'Administration
urveillance de l'Administration de l'Assistance publique et de deux
membres
de la Commission de surveillance des asiles pub
flammatoires aigus, subaigus et chroniques. La faiblesse des quatre
membres
correspond aux altérations de la zone de dégéné
troubles variés de la sensibilité constatés pendant la vie sur les
membres
affectés dans leur motilité rendent probable l'
? 6) ? fasc. III, 1897.) XLVIII. LES réflexes vasculaires dans les
MEMBRES
ET dans LE CER- veau DE l'homme; par l'ATRIZI.
nuant du cerveau au bras et est inappréciable dans les vaisseaux du
membre
inférieur. Les mouvements du sang dans le cerve
e des réflexes actives et autonomes. Le réflexe vasculaire dans les
membres
par stimulus sensoriels et psychiques s'accom-
s suffisante pour expliquer l'abolition complète des réflexes des
membres
inférieurs, puisque les cellules des ganglions sp
E D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. due à l'immobilité du
membre
pendant les mouvements associés, et à la jeunes
e des muscles auparavant contractés, déterminer un mouvement sur un
membre
pendant; mais ce mem- bre retombe bien plus vit
bre retombe bien plus vite après la suspension de l'excitant que le
membre
non paralysé et il subit alors des oscillations p
non paralysé et il subit alors des oscillations pendulaires que le
membre
normal ne subit pas en s'abaissant. Mais dans c
emme. Peu après on pécha un autre sac dans lequel se trouvaient les
membres
et la tête qui se rapportaient à ce tronc. Et v
e, aidé par deux métis, avait tué sa maîtresse, une mulâtresse. Les
membres
et la tête furent jetés à la mer, et le tronc c
qu ils allument eux-mêmes. Les monastères qui possèdent parmi leurs
membres
des sujets capables de se livrer ainsi aux flam
nisé le travail comme un moyen de rendre les aliénés chroniques des
membres
pacifiques et utiles de la société, il reste en
s sur l'emploi industuel des -, par 1Jlllmer, 528. AmoTRoPll1E du
membre
supérieur droit, par J.-B. Chalcot, 46. - de
nt complètement. Cependant les jambes commencent à enfler ; le 19 les
membres
inférieurs sont le siège d'une anasarque assez pr
a mentionné, dans plusieurs cas, l'existence d'un œdème siégeant aux
membres
inférieurs. En un mot, on observe un ensemble de
Pas de diarrhée, plutôt de la constipation, pas d infiltration des
membres
inférieurs. L'expectoration qui était depuis long
une hydropisie notée dans un certain nombre d'observations (œdème des
membres
inférieurs et ascite). 2° Déplacement plus ou moi
ant le typhus, et dans lequel on vit paraître sur le tronc et sur les
membres
de nombreuses pétéchies; mais il n'est pas questi
parfaitement libres. D'ailleurs, pas de traces de paralysie dans les
membres
; pas d'anesthésie. Le malade n'a pas uriné, et la
on lom-baire et qui, de là, s'irradient dans toute l'étendue des deux
membres
inférieurs ; ils sont parfois tourmentés par un s
ait une ceinture, la partie la plus inférieure de l'abdomen. Dans les
membres
, on ne saurait localiser ces douleurs sur le traj
rche est difficile, en partie, sans doute, en raison des douleurs des
membres
, mais surtout à cause de l'affaiblissement muscu-
ts. Plus lard encore, l'atrophie musculaire se met de la partie ; les
membres
inférieurs s'amaigrissent en même temps qu'ils s'
vait eu tout à coup hémiplégie complète, absolue, avec flaccidité des
membres
et persistance des mou-vements réflexes ; la face
des mouvements, ainsi qu'une anesthésie cutanée à peu près absolue du
membre
correspon-dant. Les battements artériels étaient
spon-dant. Les battements artériels étaient tout à fait supprimés. Le
membre
était froid et couvert çà et là de taches livides
neuse que nous aurons à décrire. Il y a trois mois, environ, les deux
membres
in-férieurs se sont gonflés simuttanément et sont
ons le ma-lade dans l'état suivant: amaigrissement assez prononcé des
membres
et de la face ; abdomen tuméfié, surtout du côté
érébrale très intense: résolution, insensibilité presque complète des
membres
; respiration stertoreuse, et bien-tôt râle laryn
seul jour, les paupières et les joues s'enflent considérablement, les
membres
inférieurs et les avant-bras s'œdématient ; cette
emps du cœur ayant son maximum a la base. — OLdeme considérable des
membres
su-périeurs et inférieurs ; bydropérilonie, œdème
— Un homme âgé de 30 ans, non tuberculeux. Œdème avec douleur dans le
membre
inférieur gauche. Caillot contenant une matière p
e obser-vée pendant si longtemps, et d'une manière permanente dans le
membre
supérieur droit de la malade, aurait pu donner le
endant une remarque à ce sujet : les artères humérale et axillaire du
membre
contracture ont été trouvées, à l'autopsie, rempl
nd, ce qui est assez difficile, la malade pousse des cris; et quandle
membre
étendu est abandonné à lui-même, il se fléchit de
ïfiforme, très irrégufier et extrêmement fré-quent. La contracture du
membre
supérieur droit persiste. A l'auscultation, on
f heures du matin. — La con-tracture qui, pendant la vie, occupait le
membre
supérieur droit, a complètement disparu après la
froides. La malade assure ne pas éprouver de fourmillements dans les
membres
tant inférieurs que supérieurs. La sensibilité et
à l'autopsie au-cune altération qui puisse expliquer la paralysie des
membres
postérieurs. Le cœur est très volumineux ; les pa
iné et qu'hier il a eu une selle diarrhéique; aucune douleur dans les
membres
, les veines sous-cutanées des membres supérieurs
héique; aucune douleur dans les membres, les veines sous-cutanées des
membres
supérieurs sont très déve-loppées. Pouls fréque
ué dans la jugulaire interne et dans la jugulaire externe. Veines des
membres
supérieurs et inférieurs gonflées. Pouls (128 pul
La peau est chaude et humectée de sueur. Les veines sous-cutanées des
membres
supérieurs] et inféreiurs et de l'abdomen, ainsi
haque jour le gonflement permanent du système veineux sous-cutané des
membres
, du tronc et du cou, on avait pensé qu'il était b
volumineuse qui ne tarde pas à devenir fluc-tuante. Bientôt après, le
membre
inférieur gauche devient le siège d'un œdème doul
e pouls est moins fréquent (90), parfaitement régulier. La douleur du
membre
inférieur et de la fosse iliaque gauches ont dimi
illots détachés des concrétions sanguines for-mées dans les veines du
membre
inférieur. Autopsie. — Abdomen. La cavité du pé
ait volontiers qu'en pareil cas le bouchon qui oblitère les veines du
membre
infé-rieur peut se détacher, et, entraîné par le
rès l'accouchement. La veine crurale gauche et toutes les branches du
membre
inférieur qui s'y rendent sont complètement obstr
ur d'une phlébite crurale gauche des plus intenses, suivie d'œdème du
membre
: la digitale à l'intérieur, les frictions mercuri
spontanée du sang dans les veines, principalement dans les veines des
membres
inférieurs, peut survenir dans le cours, mais sur
diminué graduellement après l'accouchement, et après la mort les deux
membres
inférieurs ne présentèrent au-cune différence de
bs. XIV) était encore atteinte d'un œdème douloureux siégeant dans le
membre
inférieur gauche, peu de temps avant sa mort ; il
a malade, des symptômes d'œdème douloureux se sont manifestés dans le
membre
droit. Quoi qu'il en soit, les fragments détachés
con-sistent dans l'extension brusque et répétée d'un ou de plu-sieurs
membres
, ou dans la contraction spasmodique de quel-ques-
surer, c'est qu'avant comme après l'accident, il n'y a eu ni dans les
membres
inférieurs, ni dans le bassin aucun indice sensib
s on voit « qu'avant comme après l'accident, il n'y a eu, ni dans les
membres
inférieurs, ni dans « le bassin, aucun indice sen
e amène parfois des troubles cérébraux, ou des lésions localisées aux
membres
supérieurs. Un œdème unila-téral de l'un ou l'aut
pre-mier malaise s'est calmé, envahissent rapidement les épaules, les
membres
supérieurs, et la partie correspondante du tronc.
uand la vie se prolonge, on voit se dé-velopper un œdème prononcé des
membres
inférieurs, avec dilatation variqueuse des veines
e intra-utérine, l'aorte ne distribue de branches qu'à la tête et aux
membres
supérieurs, et l'artère pulmonaire s'inflé-chit d
ymptômes de quelque maladie antérieure: d'ail-leurs, la paralysie des
membres
inférieurs, fréquente dans le second cas, ne s'ob
ulons parler de la claudication in-termittente et de la paralysie des
membres
inférieurs ou pos-térieurs. Les oblitérations d
be alors à plat ventre, et l'extension forcée qui en résulte pour les
membres
postérieurs, peut amener une déchirure de la memb
ù il reste étendu, en donnant tous les signes d'une vive douleur; les
membres
sont roides, contractés, refroidis. Au bout de vi
e iliaque primitive droite, avec claudication intermittente dans le
membre
inférieur du même côté ; le malade était sujet à
dilatation sensible des ar-tères collatérales (Barth). L'atrophie des
membres
inférieurs, dans de telles conditions, n'a presqu
détachées de la valvule mitrale : il en était résulté une gangrène du
membre
correspondant, qui se termina ultérieurement par
. de la Société de Biologie, 1858, p. 225. rie dans un ou plusieurs
membres
, le plus souvent dans les deux membres postérieur
25. rie dans un ou plusieurs membres, le plus souvent dans les deux
membres
postérieurs à la fois. Si on lui accorde alors qu
e coliques violentes. Pendant ce temps une observation at-tentive des
membres
atteints de claudication permet de cons-tater les
ts de claudication permet de cons-tater les phénomènes suivants ; ces
membres
paraissent être le siège principal de la douleur,
ue point de douleur. On a vu dans un certain nombre de cas la peau du
membre
affecté rester sèche alors que le reste du corps
leur rliytme normal, l'expression de souf-france s'efface ; enfin le
membre
atteint de boiterie récupère sa mobilité, prend s
la disparition de ces acci-dents, «parfaitement droit sur ses quatre
membres
, libre dans ses allures, l'œil vif et expressif,
nomè-nes de la claudication intermittente. J'ignore si le sphacèle du
membre
a jamais été observé comme conséquence ultime de
blitération plus ou moins complète des troncs artériels principaux du
membre
af- fecté. L'artère, dont les diverses tuniques
e que faiblement. Dans le cas de beaucoup le plus commun, où les deux
membres
pos-térieurs ont été simultanément atteints de cl
; si, au contraire, la boiterie portait exclusivement sur un des deux
membres
antérieurs, c'est le tronc brachial correspondant
illots fibrineux oblitérants, dans les troncs artériels principaux du
membre
affecté, n'est d'ailleurs pas ici une condition e
à la société par M. Bouley et, dans lequel la boiterie portait sur le
membre
antérieur droit on a trouvé le tronc brachial cor
u moins complète des troncs artériels principaux d'un ou de plusieurs
membres
, perméabilité des branches artérielles secondaire
rée. (Oblitération ligamenteuse). — Claudicationintermittente dans le
membre
inférieur droit ; une communication s'établit ent
pendant plus d'un quart d'heure, il éprouve, dans toute l'étendue du
membre
infé-rieur droit, un sentiment de faiblesse accom
t ; puis sur-viennent des crampes accompagnées de roideur générale du
membre
, qui refuse enfin tout service. Le malade se voit
l'a vu, prolongée pendant un certain temps. Dans leur intervalle, le
membre
inférieur droit fonctionne tout aussi bien que le
pénibles se font sentir dans l'abdomen au voisinage de l'ombilic; le
membre
inférieur droit est devenu en outre, d'une manièr
et les douleurs se manifestent dans la jambe et la cuisse droites. Ce
membre
est d'ailleurs aussi volumineux et aussi bien nou
oies par lesquelles la circulation s'opérait, tant dans les veines du
membre
inférieur gauche que dans les artères du membre i
nt dans les veines du membre inférieur gauche que dans les artères du
membre
inférieur droit, elles n'ont malheureusement pas
en relief les troubles fonc-tionnels remarquables, qu'a présentés le
membre
inférieur droit. Ces troubles fonctionnels ont
pied et bientôt suivis de faiblesse extrême et de raideur générale du
membre
. Ils constituaient des accès qui se déclaraient s
été important de rechercher si, pendant les accès, la température du
membre
s'abaissait et si la sensibilité cutanée y était
valle des accès, ces phénomènes n'existaient certaine-ment pas, et le
membre
inférieur droit, qui alors exerçait ses fonctions
étaient aussi plus intenses. En dernier lieu, enfin, la faiblesse du
membre
affecté était devenue per-manente. III. Si l'
rouvent soumis les divers tissus, et, en particulier, les muscles des
membres
affectés, par suite de l'interruption du courant
es principaux phénomènes observés pendant l'acccès de la paralysie du
membre
et la contracture ; pour ce qui est de l'abaissem
permanente produite par l'oblitéra-tion des artères principales d'un
membre
, pour rechercher si la claudication intermittente
une paralysie complète, n'a éprouvé, pendant plusieurs mois, dans les
membres
infé-rieurs, d'autres accidents que des fourmille
hez l'homme à la suite de l'oblitération des artères principales d'un
membre
. Mais quelles sont les conditions anatomiques par
lus ou moins fugaces, soit enfin la cadavérisa-tion et la gangrène du
membre
? C'est là un problème de physiologie pathologique
bientôt avec un plein succès. Aujourd'hui, le malade est privé de son
membre
, c'est bien entendu, mais il ne souffre plus. L'é
e à la Société de chirurgie (séance du 9 juin 1886). La dissection du
membre
amputé lui montra que les artères de la jambe éta
aux dimensions d'un crin de Florence. mitfente ou fonctionnelle du
membre
, par une série de symp-tômes d'ordre neuro-muscul
ion artérielle. Le carac-tère fondamental est, en effet, que, dans le
membre
ischémie 1 Voir le Mémoire, p. 572. l'impuiss
t seulement par accès, évidemment déterminés par le fonctionnement du
membre
, c'est-à-dire pendant l'exercice de la marche. A
que vétérinaire, d'une boiterie dans un ou le plus sou-vent dans deux
membres
à la fois; ce seront généralement les deux membre
sou-vent dans deux membres à la fois; ce seront généralement les deux
membres
postérieurs ou un seul des membres antérieurs.
s; ce seront généralement les deux membres postérieurs ou un seul des
membres
antérieurs. On accorde à l'animal un temps de r
re générale, les autres sont locaux, en quelque sorte, et relatifs au
membre
atteint de claudication. Le pauvre animal qui f
général, sueurs abondantes partout, excepté, nous le verrons, dans le
membre
affecté. Enfin, il tombe sur le sol, se roulant e
animaux atteints de coliques violentes. Pour ce qui est maintenant du
membre
ou des membres affectés de claudication, ils doiv
ts de coliques violentes. Pour ce qui est maintenant du membre ou des
membres
affectés de claudication, ils doivent être l'obje
: 1° d'abord la façon dont l'animal fait des efforts pour agiter ses
membres
indique que là est le siège de la douleur ; 2° on
se et les battements artériels cessent d'y être perçus ; 4° enfin les
membres
dont l'impuissance motrice est cause de la claudi
ablissement de l'état normal : 1° la circulation se rétablit dans les
membres
; on sent de nouveau les battements arté-riels, et
e ce genre de claudication aient jamais présenté de sphacèle dans les
membres
atteints, comme on pourrait s'y attendre en parei
n encore de l'o-blitération du tronc de l'artère principale d'un seul
membre
; c'est dans le 1er cas qu'il y a boîterie double
es ces oblitéra-tions qui produisent non la parésie et la gangrène du
membre
, mais le phénomène de la claudication intermitten
de la claudication intermittente, c'est que si le tronc principal du
membre
est oblitéré, les branches ar-térielles secondair
l du membre est oblitéré, les branches ar-térielles secondaires de ce
membre
sont perméables et per-mettent le rétablissement
lier l'aorte chez un animal et à ob-server ce qui se produit dans les
membres
inférieurs. Pour qu'elle puisse nous servir de te
a voie des collatérales n'a pas pu s'établir ; ce sont les tissus des
membres
inférieurs seuls, os, nerfs et muscles, qui sont
xp. de Schiffer) !. Or, successivement, on voit que la température du
membre
s'a-baisse, les artères cessent de battre, les mo
lysie est complète au bout d'une heure, l'animal souffre ; la peau du
membre
est cependant anesthé-siée. Enfin, deux heures en
heures environ après le début de l'expé-rience, il se produit dans le
membre
parésiô une véritable rigidité. Si la rigidité
périence se prolonge, la rigidité devient permanente et la nécrose du
membre
se produit. Cette rigidité qui, par le rétablisse
n-tien de la ligature, elle est bientôt suivie delà cadavérisation du
membre
, et, chose importante, lorsque l'animal succombe,
temps de la rigidité cadavérique est venu, elle s'empare de tous les
membres
, à l'exception de celui-là justement, sur lequel
M. Léser ont décrit un genre particulier de contracture, surtout aux
membres
supérieurs, à la chez l'homme ? Très certaineme
ain étaient contractures, les doigts violacés, tandis que le reste du
membre
était livide. Le membre était froid et in-sensibl
, les doigts violacés, tandis que le reste du membre était livide. Le
membre
était froid et in-sensible. Cela dura deux jours.
re était froid et in-sensible. Cela dura deux jours. Le troisième, le
membre
était devenu flasque, et une teinte violacée livi
ure de cette contracture, qui s'est manifestée pendant la vie dans le
membre
ischémie ? Très certainement c'était la rigidit
re chez l'homme à la suite de la ligature de l'artère principale d'un
membre
. (Pour plus de détails voir : J.-M. Charcot. — Le
cite quelques cas de brusque inter-ruption de la circulation dans un
membre
, par ligature, dans lesquels une contracture des
muscles, analogue à la nridité cadavérique, a précédé la gangrène du
membre
. 1 Benni, thèse de Paris, 1867 et J. Simon, art
eau dictionnaire de médecine, t. IX, p. 1869. de refroidissement du
membre
, de parésie, de contracture enfin, que nous avons
nstances ici sont bien différentes. Dans l'expérience de Stenson, les
membres
ne fonctionnent pas ; dans la clau-dication inter
mps méconnue, elle fait place à la cadavérisation et à la gangrène du
membre
. Mais il est temps d'en venir à la description
près de huit mois, avait présenté les phénomènes que voici : dans le
membre
inférieur droit, après un quart d'heure de marche
eure de marche, fai-blesse, engourdissement, puis raideur générale du
membre
; cessation des troubles après un repos de cinq à
était oblitéré. La circulation s'était admirablement rétablie dans le
membre
, par la voie des collatérales. Depuis la public
r obli-tération artérielle. Thèse de Paris, 1873. — Un cas relatif au
membre
supé-rieur a été publié par W. Nothnagel. (Berlin
observation est, à cet égard, fort explicite — avaitprésentédans le
membre
qui devait être finalement frappé de sphacèle les
en digne d'être particulièrement signa-lée. Les troubles du côté du
membre
inférieur apparurent 16 mois après cette perte su
ime l'artère fé- morale et la veine dans le triangle de Scarpa ; le
membre
ma-lade est beaucoup plus froid que celui du côté
d'un diabétique atteint de claudication ischémique, où le sphacèle du
membre
avait été évité, non seulement en soumet-tantle m
s convaincu que ce malade nous doit de lui avoir évité le sphacèle du
membre
avec toutes les tristes conséquences qu'il entraî
is on n'a remarqué ni convulsions cloniques, ni contractures dans les
membres
paraly-sés. Toutefois, à plusieurs reprises, le m
lade a accusé une dou-leur assez intense et spontanée tout le long du
membre
inférieur gauche, paralysé du sentiment et du mou
délire bruyant, il se plaint beaucoup de douleurs spontanées dans les
membres
paralysés. En même temps la face est devenue prof
oduit non plus à noter. Plusieurs veines prises au hasard (veines des
membres
inférieurs et supérieurs, veine cave) ont été ouv
e, elle se plaint de douleurs vives avec fourmillements dans les deux
membres
inférieurs, surtout dans le gauche qui présente d
très pénible de froid. Cependant, le sentiment persiste dans ces deux
membres
; la malade ne peut les mouvoir sans y éprouver un
e la co-lonne vertébrale. Le 5 décembre, les douleurs dans les deux
membres
inférieurs et spécialement dans le gauche sont de
Il se manifeste un peu de délire et l'état adynamique se prononce. Le
membre
inférieur gauche a une température très basse ; i
lents; elle ne peut elle-même la remuer. Quand on pince la peau de ce
membre
, la douleur accu-sée par la malade paraît très vi
du côté de la cuisse par un bord sinueux, mais nettement tranché. Le
membre
, qu'on n'a cessé, depuis l'apparition de la gangr
des bat-tements très faibles. Le 15 décembre, les douleurs dans les
membres
spbacélés ont manifestement diminué. Les pupilles
ronière présentent des altérations analogues. Les grosses veines du
membre
sphacélé, la veine fémorale elle-même et les vein
t distendues par du sang noir à demi-coagulé. Toutes les parties du
membre
inférieur qui correspondent aux points où il exis
ri-neux viscéraux multiples, de gangrènes des organes profonds ou des
membres
, de certaines espèces de ramollissement céré-bral
et l'oblitération d'une artère ?volumineuse, suivie de gangrène d'un
membre
, existent seuls. C'est ce qui avait lieu chez l
de croire que l'inflammation, ou toute autre affection des artères du
membre
inférieur gauche, aient existé primitivement et a
première de cette coagulation spontanée du sang dans les ar-tères des
membres
inférieurs. La rigidité des parois de l'aorte abd
evra ren-dre compte, non-seulement de la gangrène qui a frappé un des
membres
, mais encore de la présence des dépôts fibrineux
qu'il nous suffise de faire remarquer que la gangrène sponta-née des
membres
n'est certainement pas toujours une affec-tions t
Gangrène (des extrémités dans les anévrismes aortiques), 506; — du
membre
inférieur, 364; — par oblitération artérielle, 58
formative, 59; — èpithéliale, 115. Ischémie pulmonaire, 461; — du
membre
inférieur intermittente et fonctionnelle, 589.
de l'iliaque primitive, 557, 564, 5"i6;— permanente des artères d'un
membre
, 585. Oblitération de l'artère pulmonaire 421 ;
5;— adhé-rence d'un caillot, 555; — symp-tômes, 536; — paralysie des
membres
inférieurs, 357 ; — clau-dication intermittente,
aladies mentales a la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNAN
Membre
de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
étudier deux cas de cette affection. La mala- die a débuté par les
membres
inférieurs dans un cas, par les mains dans l'au
tabétique par la perte absolue des réflexes tendineux et osseux des
membres
inférieurs aussi bien à droite qu'à gauche, par
a- sie. Elle est, malgré sa longue durée, absolument flasque. Aux
membres
supérieurs les réflexes osseux et tendineux exist
s du côté hémiplégie, très faibles au contraire du côté gauche. Aux
membres
inférieurs, les réflexes tendineux et osseux so
ion complète et définitive des réflexes tendineux d'un ou plusieurs
membres
, une hémiplégie cérébrale restera flaccide, san
e ne pourra survenir sans le retour des réflexes tendineux, dans le
membre
dont les réflexes tendineux et osseux sont à ja
ections du cône se composent, d'un côté, de l'intégrité absolue des
membres
inférieurs et de l'autre d'une affection des sp
ns. Depuis dix-huit mois douleurs dans le bras gauche. Paralysie du
membre
supérieur gauche depuis huit mois, faiblesse du
Paralysie du membre supérieur gauche depuis huit mois, faiblesse du
membre
inférieur gauche depuis six mois. Membre supéri
huit mois, faiblesse du membre inférieur gauche depuis six mois.
Membre
supérieur gauche : Atrophie des éminences thénar,
droite dans la partie du corps au-dessous du rein, et y compris les
membres
inférieurs. Sensibilité thermique : même topograp
associés chez elle deux syndro- mes morbides assez peu connus. Les
membres
inférieurs sont le siège de mouvements myocloni
s de toute sorte. Les secousses agitent les muscles symétriques des
membres
, sans déterminer de grand déplacement, le foie
nique, qui au cours d'une pneumonie est tombée dans le coma. Les
membres
inférieurs et supérieurs étaient animés de mouve-
des phénomènes pachyméningitiques notamment par les contractures du
membre
supérieur amenant des déformations qu'il fallai
ouleur augmente, la con- traction gagne les muscles du corps et des
membres
; elle s'accom- pagne des différents mouvements,
séance du 6/t0 octobre, cette Société a élu M. Bourneville comme
membre
associé étranger. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. B
rir de la tête, d'éprouver des élancements et des douleurs dans les
membres
et toutes les par- ties du corps. , Le médeci
ce mili- taire, la ferme paternelle. Ils étaient considérés par les
membres
de leur famille comme des faibles d'esprit. L
es fibres nerveuses du côté de la moelle épinière correspondant aux
membres
amputés n'a pas laissé de fournir aussi des arg
de Marchi, les racines et les cordons postérieurs correspondant aux
membres
amputés dégénérés. Au point de vue expériment
rs de la sensibilité, puis par des troubles avec faiblesse dans les
membres
aboutissant progressivement à une paralysie plu
on, en général il reste de l'atrophie et une certaine impotence des
membres
. Comme les autres névrites, la névrite paludéen
oit et le reste du corps avec prédominance du côté de la racine des
membres
; 2° une exagération des réflexes tendineux et du
les troubles de la sensibilité cutanée étaient surtout marqués aux
membres
inférieurs; une grande partie des mêmes snrfaces.
prolongements du sommet. A mesure que se montrent les dendrites, le
membre
de ces appendices s'accroit de plus en plus ; 8
aucun mouvement spontané usuel, la marche lui était impossible. Ses
membres
étaient en contracture, mais étaient susceptibl
l'hémiplégie hysté- rique, la paralysie s'établit à la fois sur le
membre
supérieur et sur le membre inférieur, mais très
la paralysie s'établit à la fois sur le membre supérieur et sur le
membre
inférieur, mais très rarement elle envahit la fac
diffère de la monoplégie corticale par sa restriction absolue à ce
membre
, ou à un segment de ce membre ; et par l'associ
ale par sa restriction absolue à ce membre, ou à un segment de ce
membre
; et par l'association d'anesthésie de type morph
e plus de trois mois de durée, la contracture se manifeste dans les
membres
paralysés, et ne disparait que pour faire place
u côté opposé, etc.). - 4. L'intensité relative de la paralysie des
membres
et des groupes musculaires d'un membre est d'ha
elative de la paralysie des membres et des groupes musculaires d'un
membre
est d'habitude typique. D'où les atti- tudes ca
l est probable que dans l'hystérie toute la masse musculaire d'un
membre
est contracturée, tandis que dans l'hémiplégie or
. Troubles de pigmentation cutanée. Infiltration pachydcrmiqite des
membres
inférieurs ; par Cu. Achard (de Paris). (Présen
et un ans. Sept ans après le début des accidents, l'amyotrophie des
membres
inférieurs était telle que la malade était cond
lus quitté depuis cette époque. Amyotiophie très accentuée des deux
membres
inférieurs surtout à droite, et frappant les mu
igert); des racines antérieures correspon- dantes, et des nerfs des
membres
inférieurs (tibial postérieur et antérieur, ner
uto-microsthé- sique. Lorsqu'elle se palpait, elle trouvait que ses
membres
étaient diminués de volume, que sa tête était r
iques sont tous auto-microsthésiques. La trépidation épileptique du
membre
inférieur; par 111A URICF. BLOC); (de Paris).
. 173 3 sans autre signe de paralysie facial; intégrité motrice des
membres
, mais exagération des réflexes à droite. Conser
se subite dans le bras droit, parésie légère de tout le côté droit (
membres
supérieur et inférieur), hémianesthésie incompl
eur), hémianesthésie incomplète de tout ce coté, le malade perd ses
membres
dans son lit. Paralysie du droit externe gauche
a position en dehors de l'oeil gauche; les troubles de motilité des
membres
droits ont disparu, sauf un léger degré de spas
de paraplégie spasmodique avec troubles de la sensibilité dans' les
membres
inférieurs (thermanesthésie variable comme sièg
YJIOND' (de Paris). Décisions relatives ci la prochaine réunion des
membres
de la section de neurologie. A la suite d'une
roy, les décisions suivantes ont été approuvées par la majorité des
membres
présents : 1° Il n'y a pas lieu de réunir ultér
ibliothécaire-archiviste : 1\1. 1301SSlER; Conseil de famille : Les
membres
DU Bureau ET les deux Présidents sortants : MM.
Après une brève et cordiale allocution en laquelle il remercie les
membres
de la Société de l'avoir invité à diriger leurs t
fait Perrin de la Touche et Dide. Coupes de moelles d'amputés du
membre
inférieur. M. SL'IIITL.15KI présente des dessin
ou spontanément. Il n'existe aucune modification de volume des deux
membres
inférieurs : la mensuration, pratiquée au nivea
ureux qui ressemblaient, à des piqûres dans trois endroits ( ? ) du
membre
inférieur gauche au moment de la paralysie, per
. Il n'y en aurait jamais eu, même au moment de la paralysie. Les
membres
supérieurs ont conservé toute leur force muscu-
uverts ou fermés. La force musculaire est également con- servée aux
membres
inférieurs, qui, en outre, ne présentent pas de
blé dans les champs lorsqu'il ressentit une douleur sourde dans le
membre
inférieur du cote gauche. Cette douleur s'accompa
t. Un an après le début de l'accident, la différence entre les deux
membres
était fort nette. Le sujet fait un métier pén
n'existait pas de clonus. 11 n'y avait pas de signe de Romberg. Les
membres
supérieurs étaient indemnes. La marche était faci
ait bien. Le thorax est bien conformé, les masses muscu- laires des
membres
supérieurs sont solides. Toute la force musculair
upérieurs sont solides. Toute la force musculaire est conservée aux
membres
supérieurs, le malade oppose une , MALADIE NERV
us les efforts pour étendre, fléchir, etc., les divers segments des
membres
supérieurs. Il existe une très légère esquisse
e la sentait plus. La force musculaire est absolument conservée aux
membres
intérieurs, il n'y a pas de pied bot. ' MENSU
s de signe de Babinski. Le sujet étant dans le décubitus dorsal, le
membre
inférieui gauche dans son ensemble est reporté
e ou articulaire, pas de mouvements intentionnels des muscles des
membres
supérieurs. Troubles sensoriels. Pas de nystagm
t marcher le sujet comme alors, en steppant et en boitant un peu du
membre
inférieur gauche.. Pendant tout le temps compri
sensibilité, pas de troubles sphinctériens, pas de- nystagmus. Les
membres
supérieurs restaient indemnes. On ins-, titua u
tait légèrement spasmodique. Le malade, un peu courbé, marchait les
membres
inférieurs légèrement repliés sur eux-mêmes.
ivantes. Légère esquisse de Romberg. Force musculaire conservée aux
membres
supérieurs et égale- ment aux membres inférieur
orce musculaire conservée aux membres supérieurs et égale- ment aux
membres
inférieurs. G... (Jean) prétend pourtant qu'il
inférieurs. G... (Jean) prétend pourtant qu'il serait plus fort du
membre
inférieur gauche que du droit, mais cette diffé
Rien de particulier aux réflexes cremastériens, ni aux réflexes des
membres
supérieurs. Si l'on fait marcher le malade tout
let gau- che, mais elles n'ont pas persisté. La flexion forcée du
membre
inférieur droit dans l'extension détermine une
é de ce côté également. Le sujet sent bien le sol sous ses pieds.
Membres
supérieurs. - Pas de tremblement intentionnel des
pieds. Membres supérieurs. - Pas de tremblement intentionnel des
membres
supérieurs (yeux ouverts ou fermés). La langue ne
arsiennes des deux côtés. Pas de.contractions fibrillaires dans les
membres
, inférieurs. Mensurations des mesures. Cuisses
conservé dans les années qui suivirent une atrophie transitoire du
membre
paralysé ; peut-être même peut-on retrouver act
par le sujet dans la cuisse gauche et dans la sensation de froid du
membre
inférieur corres- pondant. Mais ce sont là des
re d'arriver à un diagnostic rétrospectif.' Chez les fils, les deux
membres
inférieurs ont été tour à' tour ou simultanémen
côté opposé et peut-être aussi un léger raccourcissement de tout le
membre
* inférieur gauche : le tout persistant neuf ans
t lieu dans l'enfance et l'ado- lescence. Elle apparaît d'abord aux
membres
inférieurs. Par contre, l'évolution progressive
ADIE NERVEUSE FAMILIALE. zou ment successif des divers segments des
membres
inférieurs depuis les petits muscles des pieds
des pieds jusqu'à la cuisse, son extension fatale et régulière aux
membres
supérieurs, l'aspect général du malade ne perme
anormal consistant en esjoAë- nomènes douloureux dans la sphère des
membres
inférieurs et rappelant la névralgie . sciatiqu
re le moindre. rapport avec la bizarre affection présentée, par les
membres
de, la famille G... Westphal7 a signalé,le cas
fectieuse fut affecté de crises de paralysie progressive des quatre
membres
, revenant d'abord tous les mois, puis plus fréq
t de trois heures. Elle était pro- - agressive, frappait les quatre
membres
et le tronc; les mâchoires restaient mobiles, l
couche- ment, elle fut frappée de paralysie périodique des quatre
membres
, envahissant même la langue : la durée variait de
x-huit ans, fut frappé à plusieurs reprises de paralysie des quatre
membres
avec gène' de la parole, de la déglutition, de
comme hérédo-syphilitiques. Goldflamm' a publié l'histoire de onze
membres
de la même famille chez lesquels une para- lysi
, se caractérisait par une paralysie brusque, flasque, totale des
membres
et du dos avec diminution ou perte des réflexes e
irsch, Bernhardt, Tay- loi\ etc.). La paralysies frappe tautôt.les3
membres
supé- rieurs, tantôt les membres inférieurs; ta
. La paralysies frappe tautôt.les3 membres supé- rieurs, tantôt les
membres
inférieurs; tantôt dans le même.- orclre;tanlôt
on). nommée par l'autorité compétent(,. se compose, à Berlin, de 23
membres
; parmi lesquels se recrutent les examinateurs.
examen de doctorat consiste : .1° en' une épreuve orale- devant six
membres
de.la Faculté ; 2° en une thèse imprimée (Dissert
sibilité est partout normale. Les réflexes tendineux sont abolis au
membre
supérieur gauche et un peu exagérés à droite. L
utre atrophie musculaire qui, après avoir débuté à l'extré- mité du
membre
supérieur gauche, a envahi le côté droit et ent
e temps il est sur- venu une exagération des réflexes tendineux aux
membres
infé- rieurs et supérieurs et un léger nystagmu
jeunes sujets; chez l'adulte, elle débute presque toujours par les
membres
supérieurs, tandis que chez les enfants de deux
nne vertébrale était fracturée au niveau de la onzième dorsale. Les
membres
inférieurs étaient complète- ment paralysés et
. « On s'est assez occupé des anormaux », a-t-il été répondu par un
membre
du bureau, à la proposition que nous faisions d
asque, tête retombante. Développement régulier du corps et même des
membres
; arrêt de développement de la tète, du front s
roisième ou quatrième mois. Pas de syncope, mais, tremble- ment des
membres
pendant cinq minutes l'empêchant de rester debo
Premières convulsions à quinze jours pendant une heure, les quatre
membres
étaient raides durant quelques instants, puis é
plus endormi que d'ordinaire. Spontanément, il remuait très peu ses
membres
, mais moins mal les bras que les jambes. Il ne
quième jour, qu'on a remarqué que les mains se fermaient et que les
membres
se contracturaient. La contracture était la même
porter au-dessus de la tête. 11 aurait fait les mêmes exercices aux
membres
inférieurs. Il était parvenu à diminuer la cont
bou- geait pas. Le crâne serait resté le même depuis un an. - Les
membres
se sont développés régulièrement, il était fort p
s testicules, dans les bourses, sont de la grosseur d'un haricot.
Membres
supérieurs. IDIOTIE MICROCÉPHALIQUE. " . 281
CROCÉPHALIQUE. " . 281 une contracture modérée des fléchisseurs des
membres
inférieurs. Les réflexes sont exagérés. On cons
qué très nettement l'établissement d'un certain degré de parésie du
membre
supérieur gauche. Il y a un an, nous notons que
ubles de la sensibilité sauf peut-être un peu d'hyperes- thésie des
membres
inférieurs. Les réflexes sont couservés, le cré-r
iculaire. Ongles bombés, contractions idiomusculaires des biceps.
Membres
inférieurs normaux sans oedème ni troubles trophi
la sensibilité générale, il y avait hypereslhésie à gauche pour les
membres
supérieur et inférieur, réaction normale pour -
rieur et inférieur, réaction normale pour -le tronc et la face. Aux
membres
supérieur et inférieur droits, un peu d'hypoest
aralysie parait aujourd'hui complète ci gauche mais plus marquée au
membre
supérieur dont la force musculaire est nulle et
éaction aux excitations est difficile : pour la douleur ce sont les
membres
droits en effet qui réagissent et il faut une p
FAITS. ' Les réflexes rotulieus sont exagérés des deux côtés ; les
membres
inférieurs dans la résolution absolue ; les mem
eux côtés ; les membres inférieurs dans la résolution absolue ; les
membres
supérieurs contractures, l'avant-bras est fléch
malignes : il est obligé de s'aliter, avec des élancements dans le
membre
inférieur droit, puis dans le gauche, puis dans
té. Puis cessation de la miction, et paralysie presque complète des
membres
inférieurs, de la vessie et du rectum ! diminutio
notablement de la forme observée chez les ascendants, et différents
membres
d'une même famille ou d'une même génération peu
de ce cas, ce sont les troubles de motilité qu'on observe dans les
membres
et qui siègent à droite, comme à la face. Or, o
r, en réalité, on n'a pas affaire ici à une véritable paralysie des
membres
, liée, comme la paralysie alterne, à une altéra
touchée, mais d'une manière toute autre que dans l'hémiplégie. Le
membre
supérieur est atteint d'un tremblement à peu près
n pla- ques. - Les mouvements élémentaires des divers serments du
membre
inférieur droit soit bien accomplis, mais les a
com- plexes, sont imparfaitement exécutés : pendant la marche, ce
membre
, légèrement en rotation en'dehors, s'écarte de la
nose généralisée à tous les organes, principalement aux muscles des
membres
sous forme de nodules de très petites dimension
rt heureusement pour le bien des mala- des ». M. le 1)' Viret était
membre
fondateur de la Société médico- 1)ychologiqite.
Leyme, nommé Aristide Lapergue, âge de vingt-sept ans, paralysé des
membres
inférieurs, passait ses journées dans un fauteu
pent encore aux mou- vements volontaires exécutés par l'ensemble du
membre
supérieur;' elles sont entraînées dans les mouv
NIE ET TRAITEMENT. 371 I qu'exécutent les différents segments de ce
membre
. Bref, les désordres relèvent bien plus de l'in
des inten- sités de courant maxima déterminait des contractions du
membre
supérieur droit. Les attaques convulsives se so
sives réapparurent avec une grande fréquence. La parésie motrice du
membre
supérieur gauche persistait, elle se compliquai
t, puis des convulsions agitèrent successivement la main droite, le
membre
inférieur correspon- dant : finalement les spas
fantilisme. Le il février 1896, on extirpa tout le centre moteur du
membre
supérieur de l'hémisphère gauche. Déjà douze he
- Le 13 mars 1896, on procéda à l'extirpation du centre moteur du
membre
supérieur de l'hémisphère droit. Cette dernière o
à noter qu'à la suite de ces excisions de fragments de l'écorce, le
membre
supérieur correspondant a été frappé d'une simp
une aura, sous la forme d'une sensation anormale qui parcourait le
membre
supé- rieur gauche, de l'épaule à la main... 1
es spasmes débutaient par le pouce et l'index, pour envahir tout le
membre
supérieur droit. D'autres accès semblables se r
ement du pied droit; puis, des secousses cloniques envahissaient le
membre
inférieur droit ; le membre supérieur se raidis
es secousses cloniques envahissaient le membre inférieur droit ; le
membre
supérieur se raidissait. Les spasmes envahissai
millimètres 4/2. Le malade a pré- senté une paralysie passagère du
membre
supérieur droit. Les attaques d'épilepsie se so
s les vingt-quatre heures. Elles étaient suivies d'une paralysie du
membre
supérieur gauche et de la moitié gauche de la f
s l'épaule gauche, et d'une certaine maladresse des mouvements du
membre
supérieur gauche. La sensibilité était intacte de
mes sont restés limités aux muscles du côté droit' de la face et du
membre
supérieur droit ; ils se sont accompagnés de pe
e jour de l'accident on avait remarqué une agi- tation insolite des
membres
du côté droit; pendant une semaine L'EPILEPSIE
ndroit où l'excitation électrique provoquait des mouvements dans le
membre
supérieur du côté opposé. A la suite de cette s
r à quoi que ce soit pour ne pas tomber. Les mouvements séparés des
membres
n'ont rien d'ataxique, sauf le tremblement des
ou léger embarras delà langue un peu tremblée, pas de paralysie des
membres
, pas de trou- bles de la sensibilité, rien aux
phie dégénérative : il y a seulement une maigreur généra- lisée des
membres
frappés. C. Dans beaucoup de cas, l'hémiplégie
ec conservation de la sensibilité tactile, puis affaiblissement des
membres
inférieurs. Deux ans et demi après l'apparition
enton- nière et vertébrale, les parties supérieures et internes des
membres
, les régions pectorale, épigastrique, suspubien
nt souvent présenté notamment une paralysie prédominante d'un des
membres
inférieurs avec hypéresthésie du côté moins parés
syphilitiques sans aucun trouble cérébral. Il y avait paralysie des
membres
supérieurs et quelquefois des infé- rieurs. Les
upérieurs et quelquefois des infé- rieurs. Les troubles moteurs des
membres
supérieurs étaient variables, réalisant tantôt
ce mot. Arrivé chez lui, il .ne put descendre de sa charrette, les
membres
inférieurs étant paralysés : ceci s'était passé e
dination parétique, ordinairement, mais non toujours, limitée aux
membres
inférieurs; l'absence ou la diminution des réflex
os, des circons- tances multiples pouvant faire varier l'opacité du
membre
radiographié. Il n'en reste pas moins que cet
t un mois, il souffrit d'une attaque convulsive dont la jambe et le
membre
supérieur droit restèrent paralysés. La mère ne
onze à douze mois sa dentition commença, et sa mère observa que les
membres
paralysés étaient devenus durs, ce qui la gênai
aralysés étaient devenus durs, ce qui la gênait pour l'habiller, le
membre
supérieur avec l'avant-bras en flexion, était a
upérieur avec l'avant-bras en flexion, était appliqué au tronc : le
membre
inférieur était aussi en flexion, lajambe sur l
t il souffre constamment. Il souffre aussi d'autres attaques où ses
membres
sont agités convulsivement, inclus les membres
es attaques où ses membres sont agités convulsivement, inclus les
membres
paralysés, de même que la figure. La paralysie
a main en semi-flexion sur l'avant-bras; la partie inférieure de ce
membre
en pronation était entièrement appliquée au tho
t que le pied gauche. Les réflexes étaient exagérés dans ces deux
membres
, mais ils l'étaient davantage dans le membre dr
xagérés dans ces deux membres, mais ils l'étaient davantage dans le
membre
droit. Le phénomène de Uabinski s'observait dan
sensibilité générale, ce que je peux dire, c'est qu'il retirait les
membres
ou la partie dans laquelle on lui faisait une e
xiontiait davantage sur la cuisse, en augmentant la contracture, le
membre
supérieur s'appliquait en même temps, avec plus d
des muscles. Mais, dans ce dernier cas, les attitudes vicieuses des
membres
persistent, par les rétractions musculaires et
t seul. En le prenant de la main gauche il marche facilement. Son
membre
supérieur droit devient rigide en flexion, les do
s et les abaisse, en évitant toute pression sur le corps ou sur les
membres
. Alors REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 485 l'opérateu
Exposition universelle. En adressant un dernier mot de souvenir aux
membres
décédés en 1900, M. Magnan fait connaître que M
a Société, annonce son intention de faire la biographie de tous ses
membres
fondateurs. Commission des prix : Prix Bellioii
des félicita- tions a son président M. Joffroy qui vient d'être élu
membre
de l'Académie de médecine. M. Joffroy remerci
uvelle marque de sympa- thie qu'elle lui donne alors que chacun des
membres
en particulier lui a déjà adressé des complimen
et surtout l'incoordination est marquée au bras gauche; les deux
membres
inférieurs sont atrophiques, paretiques et piivés
ur le tronc mais net- 508 SOCIÉTÉS SAVANTES. tement nodulaire aux
membres
: les douleurs sont spontanées et augmentées pa
occupent un côté du corps, qui se caractérisent principale- ment au
membre
supérieur par un tremblement, au membre infé- r
érisent principale- ment au membre supérieur par un tremblement, au
membre
infé- rieur par une perturbation de la faculté
a- tion des réflexes tendineux au côté droit, particulièrement au
membre
supérieur ; les réflexes du biceps brachial et du
ie hystérique les réflexes tendineux peuvent être exagérés dans les
membres
paralysés est d'une grande importance et jusqu'
des muscles volontaires et qui dispa- raît pendant le sommeil ; les
membres
ne tremblent pas. C'est donc un tremblement ide
ze ans et a régulièrement progressé depuis. Actuellement les quatre
membres
sont impotents; le thorax est pris au point que
es ne marche qu'avec des béquilles- sans que l'innervation de ses
membres
supérieurs ait jamais été altérée. Or, après une
paialy- tique spa.,modique, parJ. Voisin, 158. Tiépiriation - du
membre
inférieur, par Block, 172. Folie - , par llou
agents; délire. Périodes d'excitation maniaque. — Contractures des
membres
inférieurs et du membre supérieur gauche. — C. ar
es d'excitation maniaque. — Contractures des membres inférieurs et du
membre
supérieur gauche. — C. artificielles. — C. des mu
la tête et a des mouvements alternatifs de flexion et d'extension des
membres
inférieurs. (C'est, en quelque sorte, une ébauche
rien d'insolite, la malade présentait une contracture générale : les
membres
inférieurs auraient été envahis les premiers, et,
émissement des muscles de la face, secousses tétanifbrmes rapides des
membres
. — c) Phase de stertor : respiration un peu bruya
matin, au moment de la visite. Alors, elle a une contracture des deux
membres
inférieurs dans l'extension et l'adduction et d
e des deux membres inférieurs dans l'extension et l'adduction et du
membre
supérieur gauche : l'avant-bras, fléchi à angle d
sent conserver leurs dimensions ; les mâchoires se contracturent, les
membres
supérieurs s'allongent, deviennent rigides, se to
que les poignets sont presque en contact par leur face dorsale ; les
membres
inférieurs sont également rigides, ceux-ci dans l
Durant ce somnambulisme, les paupières sont toujours fermées, et les
membres
, soulevés, retombent inertes. 2° Phase catalept
s une autre expérience, les paupières étant closes, on contracture le
membre
supérieur droit dans la demi-flexion, on comprime
elle s'est réveillée en pleurant, disant qu'elle ne sentait plus ses
membres
, qu'elle était paralysée. Elle a vomi, ce qui lui
més, W... est incapable d'indiquer avec exactitude la position de ses
membres
, de désigner les objets qu'elle tient dans ses ma
acture, doit être relevée en quelques mots. Elle a affecté tantôt les
membres
du côté gauche (forme hémiplégique), tantôt les m
té tantôt les membres du côté gauche (forme hémiplégique), tantôt les
membres
inférieurs (forme paraplégique) : ce sont là des
mprend toutes les sensations qui annoncent l'approche de l'attaque.
membres
, arrachait des cris de douleur1 . — Parfois, l'hy
s'endort; elle est dans la résolution la plus complète; soulevés, les
membres
retombent inertes ; l'insensibilité est absolue.
Catalepsie. — Les paupières, qui étaient closes, sont ouvertes. Les
membres
, le corps tout entier, prennent l'attitude que l'
és sont ouvertes, P... est dans la période cataleptique. On place les
membres
, le corps, dans des attitudes menaçantes, supplia
aune, » dit la malade. Elle a, de plus, des secousses dans les quatre
membres
(A. médiate). —Puis survient une douleur au nivea
aleptique. (D'habitude, elle reste les yeux ouverts). — Le corps, les
membres
, prennent et conservent toutes les attitudes qu'o
ortement fléchis; les pouces placés entre l'index et le médius. — Les
membres
inférieurs sont dans l'extension et l'adduction.
ens, une respiration saccadée, des mouvements tétaniformes des quatre
membres
, également très prononcés des deux côtés, et auxq
oins intense que durant la phase tonique. Des secousses soulèvent les
membres
, principalement ceux du côté gauche. Ces attaqu
e que, en réalité, il n'y a pas de résolution puisque le corps et les
membres
demeurent rigides tant que dure Y état de mal.
ibles au toucher; nystagmus; pupilles normales, peu contractiles. Les
membres
offrent un certain degré de raideur, facile à vai
nd elle est sur le point de s'endormir, elle a des secousses dans les
membres
du côté gauche, des inquiétudes dans les deux jam
mètres en arrière. — A droite, la sensibilité est normale sur tout le
membre
supérieur. 17 janvier. — Sensibilité normale su
mâchoires contracturées. — Le cou est violemment tendu, gonflé. Les
membres
supérieurs sont rigides, allongés, les doigts flé
igides, allongés, les doigts fléchis, le pouce placé en dehors. — Les
membres
inférieurs sont rigides, allongés, rapprochés; le
on et de rétraction de la langue, des secousses tétaniformes dans les
membres
supérieurs, des mouvements de latéralité de la tê
de l'avant-bras, de la main, du tronc au-dessous de la ceinture et du
membre
inférieur gauche. — Sensibilité de la poitrine et
provoqué ou léthargie. — L'insensibilité est limitée actuellement au
membre
inférieur gauche ; tout le reste du corps est sen
nt de leurs yeux la jeune fille suspendue en l'air. La roideur de ses
membres
, le refus qu'elle fit pendant huit jours de prend
ères. Catalepsie. — On ouvre les paupières : état cataleptique. Les
membres
, le tronc gardent les attitudes exagérées qu'on l
lep-tiformes , etc. Contractures des mâchoires ; de la langue ; des
membres
supérieurs et inférieurs ; des doigts, etc. Arr
—Adroite, actuellement, l'anesthésie est totale à la face, au cou, au
membre
supérieur, au tronc; elle s'arrête à une ligne ho
ts dans les doigts, les jambes ; elle a des impatiences dans tous les
membres
. La langue est chargée, l'appétit nul, il y a d
le déjeuner, endormie sur le sol : les mâchoires étaient serrées, les
membres
étaient souples, mais se raidissaient par moments
e le 5 à 10 heures du matin : immobilité complète, légère raideur des
membres
, pas de catalepsie. Elle est réveillée, sans atta
leurs dimensions primitives. Presque partout la peau est moite. Les
membres
supérieurs et inférieurs sont dans l'extension, à
es pupilles sont un peu dilatées.—L'insensibilité est générale. — Les
membres
soulevés retombent lourdement. Il n'y a pas d'hyp
né sous elle depuis le commencement de cette attaque de sommeil ; les
membres
sont souples ; la peau, sauf à la face, est norma
des pieds. — Arthrite chronique des genoux. — Atrophie relative des
membres
du côté gauche. Sommeil ordinaire. — Attaques d
. 1/2) est un peu moins volumineux que le droit (23 cent. 1/2). Les
membres
inférieurs sont paralysés, et d'habitude dans l'a
ns la tête : « Ça me serre au front, j'ai des secousses dans tous les
membres
et même dans la tête. J'ai des bouffées de chaleu
rement fort de la main droite et encore moins de la main gauche. Le
membre
inférieur droit est libre; la malade le fléchit,
et étendre, en s'y opposant, on constate un effort assez grand. Le
membre
inférieur gauche est entièrement inerte. Le pied
es sont très dilatées ; elles se contractent très prompte-ment. Les
membres
supérieurs sont allongés et rigides dans toutes l
les doigts qui sont simplement raides. — On note la même rigidité aux
membres
inférieurs; seuls, les pieds sont flasques. L'abd
soir, accès de fou rire suivi de pleurs. — Bâillements fréquents. Les
membres
sont toujours contractures, ne conservent pas la
la submatité dans le flanc gauche. — Rigidité générale; extension des
membres
. Persistance de l'état cataleptique. 17 mai. —
lement changé. Alternatives de rires et de pleurs ; — contracture des
membres
qui conservent l'attitude qu'on leur impose. — H.
le a la bouche pâteuse, une soif vive, mais ne désire pas manger; les
membres
ne sont plus contractures; la main gauche tremble
rties du corps, avec prédominance à gauche; secousses dans les quatre
membres
. L'appétit est médiocre; il y a souvent des vomis
s et se replacent dans l'extension et rigides le long du corps. — Les
membres
inférieurs sont rigides; à gauche, le rigidité ne
. La contracture est générale ; toutefois, elle est moins accusée aux
membres
inférieurs. L'état cataleptique existe encore.
-de-pied droit, c. de brûlure sur la face dorsale du même pied. Les
membres
supérieurs ne présentent pas de modifications not
gauche, — Quelques craquements dans l'épaule gauche. — Même état des
membres
inférieurs. De temps en temps, les deux jambes
is elle s'exagère et la malade croit qu'une attaque va éclater. Les
membres
supérieurs offrent les mêmes symptômes : attitude
rs seraient plus vives à droite. Yoici la mensuration comparative des
membres
inférieurs : droit. gauche. Circonférence au
rs). Il n'y a ni rachialgie, ni clou hystérique. —Les jointures des
membres
supérieurs sont libres et exemptes de craquements
dynamomètre Burq : 19 à droite, 16 à gauche. Mai. — Les muscles des
membres
inférieurs ont conservé leur contractilité faradi
persiste dans une étendue de 3 centimètres sur 3 ; — anesthésie des
membres
supérieur et inférieur du côté droit. — A gauch
lques minutes à plusieurs heures, même une journée. Le corps et les
membres
offrent des alternatives de rigidité et de souple
r force était moyenne ; la peau était fraîche , mais non froide ; les
membres
étaient en résolution dans l'état d'immobilité. Q
ncore ici le cas de terminer par quelques passes dérivatrices sur les
membres
inférieurs; mais encore, si votre sujet vous a of
et des avant-bras, on détermine une contracture artificielle des deux
membres
supérieurs (Pl. XIII). On peut, par la même man
e les paupières : la malade est en catalepsie, en d'autres termes les
membres
conservent l'attitude qu'on leur impose; le corps
doigts et des avant-bras, et nous obtenons une double contracture des
membres
supérieurs. (Pl. XIX.) Les paupières sont écart
a sommation dans Vétat cataleptique. Elle conserve sa contracture des
membres
supérieurs. On donne au corps des attitudes varié
tombe aussitôt en catalepsie (Fig. 11) et il est facile d'imposer aux
membres
et au tronc, toutes les attitudes que l'on veut.
1879).—Pendant l'examen, S...estprise d'un tremblement momentané des
membres
, et de secousses. Tout d'un coup , sans pousser d
be en attaques. 1° Période tonique. — Tout le corps est rigide, les
membres
sont dans l'extension, le cou gonflé, tendu. 2°
s. — Au bout d'un temps très court, les bras se mettent en croix, les
membres
inférieurs sont rigides dans la flexion. Ceci dur
LEPSIE SUGGESTION Planche XXXVI. CATALEPSIE DÉCLAMATION aux
membres
, au tronc, la physionomie reflète des sentiments
ondre : qu'elle fuyoit l'accouplement du Diable, à caufe qu'ayant lbn
membre
faidt en efcailles il fait fouffrir vne extrême d
. — De la langue, 22, 72. — Du larynx, 36. — Des mâchoires, 72. — Des
membres
inférieurs, 15, 35, 120. — Permanente (voir Atrop
dies mentales ? [J\ Faculté de l11édPl'llIe de Paris. V. MAGNAN
Membre
de l'Académie de médecine hléJecm nle l'Aile
chinson. 31al de Pott, paraplégie spas- modique avec anesthésie des
membres
inférieurs, p. 305. Londe. Mal de Pott, paraplé
305. Londe. Mal de Pott, paraplégie spasmodique avec anesthésie des
membres
inférieurs, p. 356. - Roux et Paviot. Tumeur de
icotements à la plante des pieds, des crampes dans les mollets; les
membres
inférieurs deviennent raides, le malade ne peut
e ; depuis dix jours il a des douleurs lombaires et une parésie des
membres
inférieurs : la jambe droite est la plus faible
ements cloniques du pied droit. Dans son lit, le malade déplace ses
membres
inférieurs tout d'une pièce en s'aidant volonti
6 CLINIQUE NERVEUSE. La sensibilité au tact est un peu diminuée aux
membres
infé- rieurs. La sensibilité à la douleur est d
bres infé- rieurs. La sensibilité à la douleur est diminuéeaux deux
membres
inférieurs, et plus aux jambes qu'aux cuisses.-
ons (fig. 2). Par moments, sensations de froid ou de chaud dans les
membres
inférieurs. Les réflexes rotuliens sont exagé
aidant des mains et de sa jambe gauche, ne peut ensuite étendre son
membre
inférieur droit qu'avec difficulté. Les orteils
vent répétée du phénomène le prive de som- meil. Puis la flexion du
membre
inférieur droit devient perma- nente ; D... ne
-amaigrissement, toujours de l'albumine dans l'urine. En mai, les
membres
inférieurs se placent en adduction forcée ; la
ie de déplacer une jambe, la con- tracture entraine le bassin et le
membre
inférieur du côté opposé. Les' contractions fai
inférieur du côté opposé. Les' contractions faisant se fléchir les
membres
inférieurs et les maintenant fléchis se produis
me droit contiennent des noyaux tuberculeux. Différents nerfs des
membres
inférieurs (sciatique, sciatique poplité extern
est décoloré jusqu'à la commissure. Un certain nombre de nerfs des
membres
inférieurs (sciatique droit et gauche, tibial a
s prodromes, M. li.ummo faisait remarquer, avec la spasticité des
membres
inférieurs et l'exagération des réflexes rotulien
e Chipault où l'anesthésie avec thermo- anesthésie et analgésie des
membres
inférieurs ne se com- pléta que deux mois plus
lètement abolie; le malade est incapable de tout mouvement dans ses
membres
para- lysés ». Peut-être M. Van Gehuchten laiss
nd mental disease, 1898, p.2571. . PARAPLÉGIE SPASMODIQUE. 17 7
membres
inférieurs sans être cependant dans l'impossibili
impo- tents par suite du progrès de l'incoordination motrice aux
membres
inférieurs, récupèrent très facilement l'usage de
oté des crises laryngées, provoquées par la pendaison, l'oedème des
membres
inférieurs, les four- millements des membres su
endaison, l'oedème des membres inférieurs, les four- millements des
membres
supérieurs, la paralysie radiale, l'hématurie,
de l'appareil sans connaissance, avec mydriase et con- vulsions des
membres
supérieurs. Chez un malade d'Erb six séances de
elle épinière, produite par la flexion du corps du patient vers les
membres
inférieurs ou par la flexion des membres inféri
corps du patient vers les membres inférieurs ou par la flexion des
membres
inférieurs vers le tronc du patient. Dans le pr
ntage de ne pas com- primer les viscères et de ne pas engourdir les
membres
infé- rieurs du patient. De plus, l'appareil d'
ts, de la faiblesse générale et de l'impossibilité de se servir des
membres
inférieurs pendant plusieurs heures après chaqu
procédé de Bonuzzi est moins brutal; il consiste à flé- ' chir les
membres
inférieurs vers le tronc, quand le patient est
primé. Crampes dans les mollets; sensibilité émoussée surtout aux
membres
inférieurs. Exagération des réflexes patellaires.
dite. Pas de signe de Romberg. Atrophie des masses musculaires des
membres
inférieurs. P... se plaint de l'insomnie et des
complète avec incontinence d'urine et des matières. Anesthésie des
membres
inférieurs et des réservoirs. L'état intel- lec
en divers points du corps, entre à l'hôpital avec une parésie des
membres
inférieurs, du tremblement, de l'amnésie et de la
i est dû à l'oblitération ou à lacons- triction des artères dans le
membre
affecté ; en effet, dansl'artério- sclérose gén
près une angine diphtérique, fut atteint d'une faiblesse des quatre
membres
, avec abolition de tous les réflexes tendineux,
t atteinte d'un oedème scléreux de la peau du cou, du thorax et des
membres
supérieurs, et qui fut très améliorée par le trai
atteint de tubercu- lose pulmonaire, qui fut pris de faiblesse des
membres
inférieurs avec douleurs au niveau des creux po
sente de l'atrophie progressive débutant dans le tout jeune âge aux
membres
inférieurs et s'étendant successive- ment au th
membres inférieurs et s'étendant successive- ment au thorax et aux
membres
supérieurs, avec réaction de dégénérescence et
ve l'affection à son début, on voit qu'elle envahit d'ordinaire les
membres
d'uncôté, avant 52 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
sont surtout des myal- gies, des arthralhies, des crampes dans les
membres
, des fourmille- ments des extrémités, ordinaire
s fourmille- ments des extrémités, ordinairement localisés dans les
membres
qui sont le siège des mouvements choréiques.
telles que atti- tudes vicieuses, extension forcée et continue des
membres
frois- sant le plexus, rotation exagérée de la
cocher de trente-neuf ans, qui, soudain est frappé de paralysie des
membres
supérieurs, symétrique. La paralysie porte surt
lusieurs semaines il éprouve dans la colonne vertébrale et dans les
membres
les douleurs les plus vives, qui le privent presq
temps opportun. Les observations 13, 14, 15, 16, de tabes chez les
membres
d'une même famille, ont obtenu un sou- z lageme
s criblé de noevi disséminés sur toutes les parties du tronc et des
membres
avec dermographisme et nombre de manifestations
llants sont : la rachialgie lombaire et les douleurs .irradiées aux
membres
inférieurs, plus intenses la nuit, sans fris- s
es la nuit, sans fris- sons ni fièvre apparente; puis paralysie des
membres
inférieurs (droit chez l'un, gauche chez l'autr
un homme de soixante-dix sept ans ayant présenté une hémiplégie des
membres
SOCIÉTÉS SAVANTES. 83 avec intégrité de la fa
iffuse provoquée, et, comme troubles tro- phiques : de l'oedème des
membres
et des escarres du siège et du talon gauche. Le
l est resté peu développé. Cependant, le traitement prolongé de ses
membres
spasmodiques permet d'espérer une amélioration
loses généralisées de la colonne vertébrale et de la totalité des .
membres
. M. Averti. Le malade que j'ai l'honneur de pr
ant et leur localisation à la - fois a la colonne vertébrale et aux
membres
l'affection que M. P. Marie a dénommée spondylo
s lésions ankylosantes aux extrémités aussi bien qu'aux racines des
membres
. l'existence d'une lordose au lieu d'une xyphos
olomélique », c'est-à- dire avec participation de la « totalité des
membres
», pourrait convenir, ne serait-ce que pour cré
ent place. SOCIÉTÉS SAVANTES. 85 Sur une forme d'hypertrophie des
membres
. Dystrophie conjonctive myélopathique. M. Rap
sept ans, qui, à l'âge de vingt mois présente une hypertrophie du
membre
supérieur droit survenue à la suite d'une période
te d'une période fébrile de quelques jours. A l'âge de trois ans le
membre
supérieur gau- che s'hypertrophia à son tour sa
ques, type juvénile chez lesquels l'affection débuta par les quatre
membres
. Glycosurie et albuminurie nerveuses. M. J. R
complète, molle et idolore.. Celle-ci s'améliora vite, sauf pour le
membre
supérieur. Cependant pour celui-ci les muscles
ante-cinq ans atteinte de syringomyélie; paraplégie spasmodique des
membres
inférieurs sans troubles sensitifs marqués; aux
modique des membres inférieurs sans troubles sensitifs marqués; aux
membres
supérieurs, au contraire, sensibilité et motili
sur la partie supérieure du thorax en avant et en arrière, tout le
membre
supérieur droit, saut sur la région interne et
ur droit, saut sur la région interne et sur la partie supérieure du
membre
' gauche, où la thermoanesthésie s'arrête net e
d'avoir vu dans cette impossibilité de fixer par les extenseurs le
membre
inférieur sur le lit, et dans cette flexion com
ratien progres- sive et la guérison d'une déformation rachilique du
membre
infé- rieur avec hernie crurale parla thyroïdis
de leurs descendants. La proposition paraît utopique à plusieurs '
membres
. Une commission sera nommée pour en examiner la
1 i Étude sur six cas de paralysie hystéro-alcoolique bénigne du
membre
supérieur. , Par Jean GAUnAUU, Intente piovis
piovisoire des hôpitaux de Bordeaux. Les monoplégies hystériques du
membre
supérieur sont loin d'être rares. Dans le coura
relief les principaux caractères de cette forme de paralysie des
membres
supérieurs. Observation I. Bern..., trente-sept
la notion de l'existence et de la position de tous les segments du
membre
supérieur droit. L'exploration de la sensibilit
se per- ' siste. Une deuxième séance pratiquée le lendemain rend au
membre
paralysé une partie seulement de sa vigueur nor
x est à- peine esquissé. ' La sensibilité est normale sur tout le
membre
: la piqûre, le pincement, le contact, la tempé
est conservé. Le malade a très bien la sensation de position de ses
membres
et reconnaît les lettres que l'on trace dans sa
ôpital, service de M. le professeur Pitres, pour une monoparésie du
membre
supérieur droit. Antécédents héréditaires. - N'
e troubles de l'ouïe, pas de troubles du goût. Le cou, le tronc, le
membre
supérieur gauche sont normaux et n'offrent rien
es de la motricité que pour les douleurs dont il est le siège. Le
membre
n'est pas diminué de volume. Il ne présente ^ni
. Le sens stéréognostique est intact, la sensation de position du
membre
conservée (fig. 14). - , L'excitabilité des mus
ue est conservé, ainsi d'ailleurs que la sen- sation de position du
membre
paralysé. La percussion des muscles Fig. 15.
par une sensation légère d'engourdissement ou de fourmillements du
membre
paralysé. Il n'y a jamais eu d'actes apoplectiq
elle siégeait du côté gauche, la para- lysie a toujours atteint le
membre
supérieur droit. Elle a toujours prédominé à l'
périeur droit. Elle a toujours prédominé à l'extrémité terminale du
membre
, aux doigts, à la main, au poignet. Parfois mêm
· Dans la majorité des cas (cinq fois sur six), on a noté sur le
membre
paralysé des troubles très marqués de la sensi-
e la notion de l'existence et de la position des divers segments du
membre
paralysé. Le champ visuel exploré chez cinq de
. Le traitement que nous avons employé (faradisation énergique du
membre
paralysé) a toujours été efficace. Il est à rem
., et parfois davan- tage, lorsqu'on fait fléchir le corps vers les
membres
infé- rieurs. De ses expériences, faites avec S
chose et crainte de tomber par terre. Nous constatons, l'ataxie des
membres
inférieurs, diffi- culté de se tourner sur plac
lade se porte très bien, n'a plus ses douleurs, ni de gêne dans les
membres
inférieurs. Passe les nuits sans être réveillé
. En même temps se déclarèrent chez lui des fourmillements dans les
membres
infé- rieurs, le fléchissement des genoux, les
la génuflexion et l'incoordination très avancée. Pas d'ataxie des
membres
supérieurs. Les douleurs fulgurantes n'ont jama
eurs fulgurantes d'un tabes au début. Pas d'incoordi- nation ni des
membres
supérieurs ni des membres inférieurs. Depuis ce
s au début. Pas d'incoordi- nation ni des membres supérieurs ni des
membres
inférieurs. Depuis cette époque le malade suit
ut prise au mois de juillet ,1897 de fourmillements dans les quatre
membres
et de douleurs fulgurantes le long du rachis. «
ent du mois d'octobre 1898 la malade fut prise de douleurs dans les
membres
inférieurs avec lourdeur et fatigue, empêchant
es jambes en plèin désordre. Nous avons commencé par le massage des
membres
inférieurs (deux fois par jour) et la rééducati
s'agit d'un sujet qui présentait une paralysie complète des. quatre
membres
et même des muscles du cou, à la suite d'une pl
nte sans motifs de paralysie agitante, qui occupe successivement le
membre
supé- rieur et le membre inférieur droits. L'an
sie agitante, qui occupe successivement le membre supé- rieur et le
membre
inférieur droits. L'an dernier, dans sa chambre,
ois premiers mois de la maladie, état de lourdeur et de raideur des
membres
inférieurs; au quatrième mois,-apparition des t
es des muscles de la face, de la langue, du pharynx, du larynx, des
membres
: le pied de la troisième fron- tale commande a
st le gouvernement qui utilise les produits des travaux de tous les
membres
du parle- ment, au bénéfice de la personnalité.
de d'o ? i- cier de la Légion d'honneui de notre ami le D'' Magnan,
membre
du Comité de rédaction des Archives de Neurolog
kylose généralisée de la colonne vertébrale et de la totalité des -
membres
. M. Appert montre les pièces d'autopsie d'un ma
le professeur v. Krafft-Ebing (de Vienne), est élu à l'unani- mité
membre
honoraire de la Société. Séance du 17 novembre
. Les manuscrits envoyés seront soumis à un jury composé de trois
membres
de la Société de Neurologie de New-York et l'attr
et à la cuisse. Je constate en même temps quelques mouvements du
membre
supérieur droit dont la main fermée exécute des m
ès rapides, près de 100 à la minute. Léger tremblement latéral du
membre
supérieur droit. De temps à autre, quelques mouve
upérieur droit. De temps à autre, quelques mouvements de flexion du
membre
inférieur. Les orteils sont libres au bout de d
z le pied : mouvements assez étendus de flexion et d'exten- sion,du
membre
inférieur droit et. très légers des doigts de la
flexion, d'exten- sion, d'abduction et d'adduction de la jambe. Le
membre
supé- lieur droit exécute des mouvements sembla
Sentez l'os de la jambe : mouvements de flexion et d'extension aux
membres
inférieurs et supérieurs ? Louis se plaint qu'on
ez le pied et la jambe : mouvements de flexion et d'exten- sion des
membres
inférieurs et supérieurs. Au bout de cinq minut
lé, dans l'articulation. Il me fait mal. Il est libre. Sentez les
membres
inférieurs : grands mouvements de flexion et d'
embres inférieurs : grands mouvements de flexion et d'extension des
membres
inférieurs qui s'accompagnent de mouvements de
membres inférieurs qui s'accompagnent de mouvements de rotation du
membre
supérieur droit. Sentez la hanche, les fesses,
ès légers mouvements extenseurs de la jambe et du pied. Sentez le
membre
supérieur droit : mouvements de flexion en demi
ements de flexion en demi-supination et d'extension. 8. Sentez le
membre
supérienr droit : la percussion de la zone d'hy
rienr droit : la percussion de la zone d'hyperesthésie cérébrale du
membre
supérieur droit me produit ceci : vous me frapp
est dégagé + Mouvements de salutation de la tête et de rotation du
membre
supérieur droit + Vous n'avez pas entendu ? que
e pendant laquelle on entend des craque- ments des articulations du
membre
inférieur - -f- Toute la tête me fait mal -j- S
pnagogique, je constate alors que l'anesthésie a disparu, étire ses
membres
, se frotte les yeux et me dit : Oh ! il fait ch
èles et les hémimèles. Chez ces der- niers, le segment basilaire du
membre
existe et a acquis tout son développement; mais
i'avant-bras droits, à la jambe et au pied gauches. Les racines des
membres
, le bras comme la cuisse sont normaux; il n'exi
met généralement qu'il s'agit d'un arrêt de développement du ou des
membres
embryon- naires. Cet arrêt de développement peu
es quand on lui dit de se relever, et le fait en grimpant après ses
membres
. Ce cas difficile à classer mérite le nom d'hyp
missements, vertiges, titubation, démarche ébrieuse, écartement des
membres
dans la station debout, abolition des réflexes
ttre aux voix la motion suivante, qui est adoptée à l'unanimité des
membres
présents : -. « En conformité des conclusions f
901. JA13OULY. Chirurgie des centres nerveux, des viscères et des
membres
, t. I, in-8° de 400 pages. Lyon 1902. Stock et C
e « la volonté, considérée comme faculté de mettre en mouvement les
membres
, et l'intelligence, considérée comme l'élaborat
développée. La voûte pala- tine est étroite, un peu ogivale. - Les
membres
sont longs et grêles; rien autre à signaler. ,
en rapport avec l'entrée des racines postérieures correspondant au
membre
amputé, où elle a la même dimension que dans le
richo-hyperesthésie, associés à des douleurs rhu- matoïdes dans les
membres
: le traitement convenable fait tout disparaîtr
publication : 1111. B.t,r, Briand, Vallon. Conseil de famille. Les
membres
du bureau auxquels sont adjoints les deux prési
ieds. L'anesthésie va en diminuant de la périphérie à la racine des
membres
, c'est-à-dire qu'elle est moins prononcée aux a
que la caisse en devait le montant aux intéressés Et M. Maucombte,
membre
du conseil de surveillance des asiles des alién
bouffées de chaleur àla tête et une sensation de pesanteur dans les
membres
. La perte de connaissance pendant les accès est
alaise général, vertiges, bouf- fées de chaleur, pesanteur dans les
membres
) faisaient craindre l'imminence d'une attaque ;
aint, ces deux derniers jours, de vertiges et de pesanteur dans les
membres
. Depuis quinze jours environ, il s'écoule quoti
es. Seigle ergoté (3 x 0,3). 24. La sensation de pesanteur dans les
membres
et les verti- ges ont disparu, de même que les
stions qu'on lui adresse, mais pendant près d'une minute encore ses
membres
sont agités de légères secousses. 6. La malad
convulsive. 17. - Vertiges, bouffées de chaleur, pesanteur dans les
membres
. Saignée (100 gr.) dans le pli du coude droit.
notre observation. La question de l'origine des mons- truosités des
membres
se trouve en outre posée de nouveau. Sans voulo
e ; mais comment se fait-il que ce moignon, représentant la base du
membre
, puisse porter des extrémités digitales rudimen
de procéder à la palpation de la face antérieure et cubitale de ce
membre
pour y sentir nettement une puissante contracti
s moins précoces, c'est un engour- dissement et de la faiblesse des
membres
, au besoin de la pares- thésie (obs. VI). L'ane
un spasme de plusieurs muscles de la face, du cou, des bras, et des
membres
inférieurs. ainsi que du tronc : les muscles de
xie était particulièrement accentuée. Les malades perdaient leurs
membres
et ne pouvaient ni se tenir debout, ni marcher, s
e musculaire, mais le malade pouvait toujours mouvoir librement ses
membres
dans toutes les directions, et se tenir debout
pas cherché le phénomène de Babinski. Il n'y avait ni atrophie des
membres
, ni modification des réactions électriques. On
seule des extrémités, mais le plus souvent elle frappe les, deux
membres
inférieurs; - elle tend à une guérison presque co
ndance aux idées de persécution. En même temps, engourdissement des
membres
. Lors du premier examen de la malade on trouve
qui avait déterminé des ecchymoses, on constate une anesthésie des
membres
que la malade avait ignorée jusque-là : les con
de ces deux points provoque immédiatement une crise hystérique. Les
membres
infé- rieurs y compris les pieds, présentent un
a lié en 1894 l'origine de la sous-clavière et de la caro- tide. Le
membre
supérieur correspondant est atrophié, la main .
tteint de paralysie double à topographie radiculaire supérieure des
membres
thora- ciques. Tous les muscles innervés par le
a paralysie, sur l'absence de douleurs et l'absence de raideurs des
membres
ou de la nuque. Ils croient aussi assez importa
atteint de mouvements involontaires et constants de la tête et des
membres
supérieurs. Le second, également, remue la tète
second, également, remue la tète et les bras, mais le tronc et les
membres
supérieurs sont animés des mêmes mou- vements.
dans les cuisses et subit consécutivement une paralysie des quatre
membres
sans troubles de la sensibilité, de la dysphoni
ns l'étiologie, leur BIBLIOGRAPHIE. 427 plus grande fréquence aux
membres
supérieurs 80 p. 100 et plus particulièrement p
culièrement pour les articulations plus rapprochées de la racine du
membre
; leur fréquence au cours de la syringomyélie 10
iteur. JABOUL IY. Chirurgie des centres nerveux des viscères et des
membres
, t. 11., ni-8° de 504 pages avec 44 figures. Ly
ent sous la dépendance ma- nifeste de l'hémianopsie. ' Aux quatre
membres
, les réflexes tendineux se produi- saient avec
amais eu d'hallucinations de la vue. L'examen de la motilité, aux
membres
, va nous fournir la preuve que l'hémiparésie dr
ne pouvait pas davantage marcher, en raison de la faiblesse de son
membre
inférieur droit. Au bout de quarante-huit heure
oeil, ou du trijumeau, des phénomènes de paralysie motrice dans les
membres
(compression des pédoncules cérébraux), c'est s
ment de la langue et des petits muscles de la face, tremblement des
membres
, embarras de la parole, perte de la 490 RECUEIL
vés 43 fois ; chez 8, ces stigmates se retrouvaient parmi plusieurs
membres
de la famille ; pour 15, il s'agissait de la fo
LAMY présente un malade atteint d'atrophie totale radicu- laire du
membre
supérieur à la suite d'un traumatisme au coude.
ition irraisonnée à tous les actes qu'on ordonne, ou résistance dès
membres
du malade au mouvement qu'on veut lui faire exé
s- titués ; 4° Absence de paralysie ou d'atrophie du tronc et des
membres
. Dans ce mutisme de naissance il s'agit d'absen
à ce titre de signalés services à ses concitoyens ; il était aussi
membre
du Con- seil provincial du Hainaut, où il a déf
ination dans toutes les communes de la province. Il était également
membre
du comité des habitations ouvrières pour sa rég
lonne vertébrale et de la totalité TABLE DES MATIÈRES. 533 des
membres
, par Apert, 84. -, par Apeit, 157 Anormaux de
par Mayen, 144. Hypéuestiiésie. Voir Névroses. Hypertrophie des
membres
. Voir Dystrophie. 538 TABLE DES MATIÈRES. H
culaire, par Huet et Cestau, 88. - hystéro-alcoo- hque bénigne du
membre
supé- lieur, par Jean Gauraud, 97. - Générale
de son entrée à l'hôpital Tenon, elle accuse des douleurs dans les
membres
inférieurs, dans les genoux, dans les épaules,
n'y en a jamais eu du côté droit. On ne constate pas d'atrophie des
membres
; la marche n'est possible qu'avec une chaise q
rvice le 31 juillet, elle se plaignait surtout de douleurs dans les
membres
au niveau des jointures et des masses musculair
être constatés. Les contractions primitivement localisées dans le
membre
inférieur gauche gagnent la jambe droite. Dans
e inférieur gauche gagnent la jambe droite. Dans ces moments, les
membres
sont dans l'extension, le bord interne du pied
les, de même que l'impotence fonctionnelle s'est accentuée. ' Les
membres
inférieurs sont contracturés dans l'extension e
NERVEUSE. Absence de trémulation épileptoïde. Pas d'atrophie des
membres
inférieurs. La malade est obligée de garder le
, flasques, très atrophiés ; un contraste frappant existe entre les
membres
inférieurs et les supérieurs ; ces derniers son
s, et lorsqu'on imprime des mouvements de flexion ou d'extension au
membre
au niveau de l'articulation du coude et du poig
urs et les extenseurs sont à peu près également contracturés. Les
membres
inférieurs sont depuis trois jours, le siège d'un
férieure du sacrum, à peu de distance du sillon interfessier. Les
membres
inférieurs ne sont pas contracturés, et en les
SCLEROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 13 1a· PATHOLOGIE NERVEUSE. Les
membres
supérieurs sont dans un état de rigidité bien c
ration normale : le deltoïde est un peu jaunâtre. Les muscles des
membres
inférieurs ont un aspect normal ; les veines pr
embres inférieurs ont un aspect normal ; les veines principales des
membres
sont ouvertes pour recher- cher si, dans quelqu
il existe une thrombose à laquelle on puisse rapporter l'oedème des
membres
inférieurs ; on n'en trouve aucune trace. Le
e d'augmentation des troubles bulbaires. Parésie puis- atrophie des
membres
supérieurs. Paralysie des membres inférieurs av
aires. Parésie puis- atrophie des membres supérieurs. Paralysie des
membres
inférieurs avec phénomènes spasmodiques. Mort d
qu'on la releva; la fille affirme qu'elle n'était paralysée d'aucun
membre
; on la coucha, elle dormit assez mal ; dès ce
ans diffi- culté et sans qu'on remarquât la moindre paralysie des
membres
. Pendant le séjour à Tenon, la fille dit avoir
s bien. En novembre 1883, elle eut pendant quelque temps dans les
membres
des crampes très fortes, mais n'éprouva jamais de
coule de la bouche ; les rides du front sont très prononcées. Aux
membres
supérieurs on constate un certain degré d'atrop
gré d'atrophie plus marquée à la main droite qu'à la gauche. (Les
membres
supérieurs ont d'ailleurs montré de l'atrophie av
membres supérieurs ont d'ailleurs montré de l'atrophie avant les
membres
inférieurs, et tout d'abord dans la main droite o
ndant encore assez bien conservées dans les différents segments des
membres
supérieurs, mais beaucoup mieux d'ailleurs à ga
vir pour un assez grand nombre de mouvements. Légère résistance des
membres
supérieurs aux mouvements passifs. La main droi
. Au dynamomètre, main gauche= 13 1{ ? main droite=71t. Dans les
membres
inférieurs, résistanco cireuse aux mou- vements
embres inférieurs, résistanco cireuse aux mou- vements passifs; ces
membres
naturellement étendus sont dans l'adduction, qu
do la ré- gion sternale. Les réflexes tendineux sont exagérés aux
membres
supé- rieurs et inférieurs; trépidation du pied
l'élongation des nerfs amène un retour de la sensibilité dans le
membre
où l'hémisection de la moelle épinière avait pr
la moelle dorsale, l'hyperesthésie causée par cette lésion dans le
membre
postérieur du côté correspondant s'est augmenté
ant s'est augmentée après l'élongation du nerf sciatique de l'autre
membre
. Chez tous les animaux soumis à ces expériences
hez tous les animaux soumis à ces expériences, il y a eu, dans le
membre
postérieur où l'élongation du nerf sciatique il
s mar- quée et persistante, et une élévation de température de ce
membre
. Non seulement les parties animées par le nerf
renoncer à l'école; peu à peu, elle a été atteinte d'une atonie des
membres
supérieurs et d'une instabilité dans la marche.
général n'était pas mauvais, sensibilité normale partout. Les deux
membres
inférieurs étaient parétiques, surtout, le gauc
e du tremblement pendant les mouvements intentionnels des bras; les
membres
inférieurs peuvent faire des mouvements, mais i
t complètement passés, pour faire place à un tremblement surtout du
membre
supérieur droit, que sa mère, dame fort intelli
sie spinale, et enfin n un certain degré de faiblesse parétique des
membres
inférieurs. L'avenir n'a pas tardé a dissipé le
ard vague, clonus du pied tant spontané que provoqué, faiblesse des
membres
inférieurs, et enfin un état psychique bizarre
s, l'exaltation des réflexes, l'épilepsie spinale, la faiblesse des
membres
inférieurs, l'état psychique, enfin tout a disp
par mal de Pott arrivée à sa dernière période, à la contracture des
membres
inférieurs, et nous-mème, nous sommes en train
M. La malade, qui était dans l'impossibilité absolue de mouvoir ses
membres
inférieurs, a commencé à marcher à l'aide des a
, il existe de la para- plégie avec diminution dela sensibilité des
membres
inférieurs, des douleurs térébrantes dans les m
dimensions fort variables, ont pour siège ordinaire le tronc et les
membres
. Tantôt une douleur caractéristique lancinante
ports favorables à leur candidature, sont élus : M. DUIJUlSSO : -1,
membre
titulaire, et lI. LABITTE, membre correspondant
e, sont élus : M. DUIJUlSSO : -1, membre titulaire, et lI. LABITTE,
membre
correspondant de la Société. Présentations de
ieures. Mais ce n'est pas tout, elle a aussi quelques tics dans les
membres
ou dans la tête, et souvent il lui arrive d'agi
lication sur le centre psychomoteur la convulsion la plus faible du
membre
opposé correspondant. Cet animal est soigné et
ire, ou petite hystérie. - Il existe des zones hystérogènes sur les
membres
. MM. Bourneville et Re-nard, M. Richer n'en ont
des hystériques vulgaires, il y a des zones hysté- rogènes sur les
membres
supérieurs ou inférieurs. Leur siège d'élection
une seule hystérique avec des points hystérogènes seulement sur les
membres
; il y en avait aussi sur le tronc ou la tête. D
sur le tronc ou la tête. Dans la majorité des cas, les zones des
membres
et du thorax sont exclusivement spasmogènes, et l
les inhalations anesthésiques, l'anémie locale (par exemple sur un
membre
), la réfrigération de la peau qui recouvre une
s-cutanées. (Les sina- pismes appliquées circulairement autour d'un
membre
font dispa- raître toutes les zones situées au-
res, des hallucinations; ses sens ont conservé leur activité. Les
membres
conservent l'attitude qu'on leur communique. Bref
d l'étude du bureau des commissionners in Lunacy, composé de onze
membres
(dont trois médecins et trois avocats, rece- va
ssez s'occuper des aliénés non interdits, de trop peu comprendre de
membres
, eu égard à leurs nom- breuses attributions, de
raires ren- trent dans les attributions de ce même bureau, dont les
membres
font visite à ces aliénés en outre des visiteur
Fondé par la Johannes-Verein, il vit au moyen des contributions des
membres
de cette société, augmen- tées de collectes et
suggesteur ne fait pas de mouvements; il ne fait que remettre ses
membres
dans le même état d'équilibre, dont les mou- ve
e déplacer à droite ou à gauche, comme si j'avais affaire avec un
membre
en état de contracture. Il était évi- dent quel
sbourg, le 27 décembre 1884. Les expériences ont été faites sur des
membres
de cette société. PATHOLOGIE MENTALE DE L'O
nt et se mettant, à la moindre contrariété, à' trembler de tous ses
membres
. Quant à lui, toujours nerveux, émotif, il' a é
C(1f.111E. 167 Détique. Il avait fait des croix devant les noms des
membres
d'une même famille ou les noms des personnes am
e apoplectiforme (sans aucune manifestation paralytique du côté des
membres
), à la suite de laquelle ces phénomènes bulbair
C'est seulement en mai 1883. que survient une parésie notable des
membres
supérieurs, et en avril 1884 que ceux-ci commen
il 1884 que ceux-ci commencent à présenter de l'atrophie; quant aux
membres
inférieurs, ils ne sont atteints qu'en mai 1884
pe clinique tout spécial : para- lysie et atrophie débutant par les
membres
supérieurs, le plus souvent, s'étendant ensuite
nts bulbaires. Mais il y a eu toujours auparavant une paralysie des
membres
avec contrac- ture souvent très marquée, avec a
des fois dans ses leçons 1 : « Telle est la règle (le début par les
membres
supérieurs), mais il y a le chapitre des anomal
ent d'être tracé. Ainsi la maladie dans certains cas débute par les
membres
inférieurs, d'autres fois elle se circonscrit d
'autres fois elle se circonscrit dans ses commencements soit à un
membre
supérieur, soit à un membre inférieur, parfois
nscrit dans ses commencements soit à un membre supérieur, soit à un
membre
inférieur, parfois elle reste limitée pendant q
premier on verra les symptômes se montrer tout d'abord du côté des
membres
supérieurs ou inférieurs, ou du côté du bulbe;
anifes- tement dans la déchéance de cette famille où les derniers
membres
arrivés à un âge avancé, ne vivant guère que d'un
et dit : « Maman, cela me prend »; il disait aussi qu'il avait les
membres
engourdis, tan- tôt les bras, tantôt les jambes
le tournée a gauche et l'inférieure lombaire, tournée à droite. Les
membres
supérieurs et inférieurs . l' ? H. ? IIJJ'1.U ?
au pubis; visage glabre, pas de poil sous les aisselles ni sur les
membres
; une cicatrice de vaccin il l'extrémité infé- r
rappellent le portrait de la mère. Nous avons pu examiner tous les
membres
survivants de^'celte famille et voici les notes
saillant que chez notre sujet. L'attitude du corps est la même, les
membres
sont courts; lasituationde repos des membres su
corps est la même, les membres sont courts; lasituationde repos des
membres
supérieurs est une légère flexion de l'avant-br
âle, elle est manifeste- ment anémique. 'Elle est bien musclée, ses
membres
sont forts et arrondis sans qu'il yi ait vérita
a cuisse. Le pied est petit, sec, osseux. D'une façon générale, les
membres
sont gros et courts. Les os sont plutôt grêles.
t grêles. Quoique le sujet soit de petite taille, il semble que les
membres
inférieurs et supérieurs sont moins longs que c
nt considérablement les mouvements de la tête. La mensuration des
membres
donne les chiffres suivants : MALADIE DU THOMSE
ie par les muscles d'un sujet normal (Fig. 4, B). Les muscles des
membres
ne sont pas seuls atteints des troubles fonctio
tête et du tronc sont gênés de la même façon que les mouvements des
membres
. M.M...,sot)icité détourner rapidement la tête
rolongées, remuer des fardeaux. Lorsqu'il est échauffé, il sent ses
membres
très libres et très forts. Le senti- ment de gê
es de la motilité que nous venons de décrire pour les muscles des
membres
du tronc et de la face. La déglutition et la phon
dité des muscles du thorax. Les mouvements passifs, communiqués aux
membres
sont faciles. Il n'y a pas traces de contractur
ature des corps est exactement appréciée; la notion de position des
membres
est parfaite. En dehors de la sensation de gêne
ar accès périodiques de plus en plus graves. En plus, paralysie des
membres
inférieurs avec incontinence d'urine et de mati
mai 4879 à mai 1880, état second coïncidant avec la contracture des
membres
in- férieurs, et se terminant quand elle dispar
reprenait sa phrase à la syllabe où il l'avait interrompue, et les
membres
du côté droit retombaient inertes sur le lit. S
udation du côté hémi-anesthésié. Bientôt le visage, le tronc et les
membres
supérieurs sont couverts de sueur. Mais les jam
cil. UN CAS DE GRANDE HYSTERIE CHEZ L'HOMME. 219 21. - Les quatre
membres
sont contractures. Le transfert obtenu par la p
er la diaphorèse et la salivation. 22. -Même contracture des quatre
membres
. Anesthésie géné- ralisée. Jusqu'ici, on avait
879, mai 1880) pendant lesquels il était resté contracturé des deux
membres
inférieurs. Au mois de janvier 1884, il tombe d
ation psychique en même temps que le transfert de la contracture du
membre
. De tout ceci il parait résulter que les causes
'une hémiplégie de la face du côté droit et d'un état parétique des
membres
supérieur et inférieur du même côté. Ces accident
anatomiques consécutives ; elles n'ont pas de valeur, car chez les
membres
de la famille envisagée ici, l'adipose existait
e et la parésie remontèrent jusqu'à l'épaule. Tous les muscles du
membre
supérieur étaient en état de parésie, mais l'anes
lettres de salutations de 11111. Pèlman et Flamm. -= Souvenirs aux
membres
morts pendant l'année : Frese (de Kasan), E : ,fl
tion de l'année précédente comme sans objet, mais elle in- vite ses
membres
à ne cesser de rechercher et d'examiner les cas
est inutile de rappeler, avaient fait retarder cette cérémonie. Les
membres
de la Société iiiédico-psycholo- gique ont enfi
cette statue et de l'offrir à la ville deParis, jeremrcie tous les
membres
de la Société médico-psychologique et je remerc
cin en chef de la Salpêtrière, professeur à la faculté de médecine,
membre
de l'Académie des sciences et membre d'honneur
seur à la faculté de médecine, membre de l'Académie des sciences et
membre
d'honneur de l'Académie de médecine, mort à la
ue nous sommes ici aujourd'hui. « Le médecin dont il s'agit était
membre
delà Société médico- psychologique. Il avait co
je dois au préalable présenter la Société médico-paycluloâique aux
membres
du corps municipal et à toute l'assistance. «
s accréditées, et nous avons compté ou nous comptons parmi nous des
membres
du Sénat, de la Chambre des députés, du Conseil
sé dans l'atelier d'un statuaire, monta il la tribune et soumit aux
membres
de la Compagnie l'avant-projet d'une statue à é
rchés. Nommé successivement professeur de la Faculté de médecine,
membre
de l'Institut, de l'Académie de médecine, il ne v
r Semai, médecin-directeur de l'asile d'aliénées de Mons, tous deux
membres
titulaires de la Société. La première a été For
u, des douleurs dans le dos, du tremblement et des crampes dans les
membres
inférieurs se firent sentir. Il s'y joignit une
1882, la malade commence à s'aperce- voir qu'en se réveillant, ses
membres
supérieurs sont fortement fléchis dans l'articu
cin de la famille, et qu'il n'avait jamais constaté chez les divers
membres
rien qui eût trait à une faiblesse d'esprit ou
es doigts longs et normaux. La coloration des extrémités des quatre
membres
n'a rien de particulier. Organes génitaux : v
t dure une heure, et portaient également sur la face et les quatres
membres
. Un moi» plus tard, il a eu une seconde attaque
âtains, abondants ; pas de poils aux aisselles, au pubis ni sur les
membres
: trois cicatrices de vaccin sur chaque bras; u
ruption papuleuse confluente à la région lombaire, discrète sur les
membres
et le tronc; à la nuque, les papules présentent
ssous de l'omoplate. Le rachis est normal, ainsi que le bassin. Les
membres
supé- rieurs et'inférieurs sont bien conformés,
ertébrale rectiligne. Pas de développement exagéré de l'abdomen..
Membres
supérieurs grêles, bien conformés; mains violacée
formés; mains violacées, doigts longs; pas de ganglions axillaires.
Membres
inférieurs maigres, sans déviations; extrémités
âchonnement des mains, stra- bisme ; affaiblissement prédominant au
membre
inférieur gauche. Tuberculose pulmonaire, march
turbulence, gâtisme. Arrêt gé- néral de développement, atrophie des
membres
inférieurs, para- plégie. 16 octobre. Depuis
ue la précédente, nous avons plutôt alors un état cataleptoide; les
membres
n'ont pas la flexibilité cireuse caracté- risti
durant depuis trois heures avec contractures invincibles des quatre
membres
: le bras gauche et les deux jambes sont dans l
. 4 septembre. - Attaque de léthargie avec contracture des quatre
membres
de une heure de durée. Archives, t. X. 25 386
sans connaissance ; puis surviennent des mouvements désordonnés des
membres
, comme un tremblement excessif, ne ressemblant
UE SUGGESTIVE. 391 < celle d'un spasmodique : légère raideur des
membres
du côté droit. De ce côté, les réflexes tendine
u point pariétal. Outre la trépidation qui agite par intervalle les
membres
en entier, on sent une trémulation de tous les
tomber. Chez ces malades, la sensi- bilité était très émoussée, aux
membres
supérieurs ; on cons- tatait, à l'aide du compa
gères, incomplètes et limitées; elles occupent le plus souvent un
membre
, ou un groupe de muscles, parfois même un muscle
te question. Quelques malades se plaignent de crampes limitées au
membre
supérieur. Dans un cas, nous avons observé des tr
es extrémi- tés paralysées, sur les troubles vaso-moteurs des mêmes
membres
et la diminution de l'excitabilité faradique su
êmement marquée, parésie vésicale, contracture exces- sive des deux
membres
inférieurs, exagération des réflexes tendineux,
une fillette de cinq ans, atteinte [(extrémité supérieure droite et
membres
inférieurs) depuis sa deuxième année. Il faut n
é suivies de dimi- nution de la sensibilité cutanée du tronc et des
membres
. Mort de phthisie pulmonaire. Autopsie. Tumeur
celles de gauche ; dans la conservation des fonctions motrices du
membre
supérieur gauche, et, par contre, la contracture
ces du membre supérieur gauche, et, par contre, la contracture du
membre
supérieur droit (excitation permanente des racine
fois des mou- vements giratoires variés avec les bras, à jeter ces
membres
en avant ou en arrière, à faire subir au tronc
ET. Le président donne lecture de plusieurs lettres de différents
membres
de la société qui s'excusent de n'avoir pu assist
ts analogues à de simples réflexes, se passant dans le segment d'un
membre
ou dans tout un membre, ne paraissant mettre en
es réflexes, se passant dans le segment d'un membre ou dans tout un
membre
, ne paraissant mettre en jeu qu'une région limi
Séance du 16 novembre z Secrétaires : MM. Loehr et Ungar. Nouveaux
membres
reçus : MM. Arnoldi, Hebold, Fr. Hertz, Zimmerm
'asile provincial d'aliénés d'Eichberg (Nassau). Récep- tion, comme
membres
nouveaux, de MM. Gottlob, Ungar, Hoes- termann.
ait déjà constaté que. dans l'état cataleptique, en impri- mant aux
membres
du sujet une attitude déterminée, l'émotion en
la 10 juillet, à l'âge de quarante et un ans. ' Le Dr L. Lanier,
membre
, fondateur et secrétaire général de l'associati
e l'association française contre l'abus des boissons alcooliques,
membre
de l'Académie de médecine, inspecteur général hon
enant sous les bras, soit à l'aide du charriot. On fortifie leurs
membres
en les fléchissant et les étendant alternative--
nisation d'une Société de Jeux sous la direction de M. Boyer. Les
membres
de cette petite société paient une cotisation m
100 francs. - XIV VISITES ET congés. de la Fanfare ; banquet aux
membres
de la Fanfare. - Les parents des enfants assist
mouvements de flexion et d'extension de toutes les join- tures des
membres
(Massage). De plus nous faisons asseoir les enf
ndissement de la Fondation Vallée. Premier rapport. En qualité de
membre
de la Commission de sur- veillance des asiles d
l'extension dès- dits services généraux. Avant de m'engager comme
membre
de la Commission de surveillance, je prie en co
rter la conviction sur le danger des escaliers, nous avons prié les
membres
de la Sous-Commission d'assister à la descente
tion aux voix. La commission consultée émet, à l'unanimité de ses
membres
, le voeu qu'un asile pour les jeunes filles idiot
lusions sont adoptées par sept voix contre une abstention, sur huit
membres
présents. ' M. le PnÈS ! DE\'r. Je mets mainten
projet. de règlement par sept voix contre une abstention sur huit
membres
présents. III. De l'éducation d'une catégorie
ge un bruit que le père définit : « comme si on l'étranglait.»» Les
membres
« se raidissaient droits ». On n'a pas remarqué
fente antéro- postérieure. Pourtour de l'anus fortement pigmenté.
Membres
supérieurs assez grêles. Pannicule adipeux assez
s saines. Mains petites, doigts effilés.- Ongles courts, aplatis.
Membres
inférieurs assez développés, d'égale longueur. Os
ibleonne remarque aucune différence appréciable dans la force des
membres
inférieurs. Pourquoi la préférence de l'en- fan
icules perceptibles dans les bourses, ni dans le trajet inguinal.
Membres
supérieurs gros, bien conformés, mains bien faite
ien conformés, mains bien faites, ongles régulièrement implantés.
Membres
inférieurs. Le membre gauche est sensiblement m
en faites, ongles régulièrement implantés. Membres inférieurs. Le
membre
gauche est sensiblement moins volumineux que le
e de mouvements athétosiques. Le bras est assez mobile. Du côté des
membres
inférieurs, l'on constate de la tendance à l'éq
férences de longueur et de circonférence assez prononcées entre les
membres
droits et gauches. (Voir le tableau p. 29). 189
a mère,, qui vient visiter fréquemment son enfant prétend que ses
membres
inférieurs gauches s'atrophient de plus en plus.
e foie de morue ; sirop d'iodure de fer, bains salés, exercices des
membres
. 28 novembre. - Diarrhée et fièvre. (La tempéra
en mai 1890 il pesait 9 kilog. 250. Mensurations de la tête et des
membres
: Tête. 30 Sclérose ATROPHIQUE DU cerveau.
après. Les convulsions liées sans doute à l'asphyxie, limitées aux
membres
du côté gau- che et portant sur toute la face,
scène : 1° la paralysie avec contrac- tures, se manifestant sur les
membres
inférieurs, prin- cipalement le gauche et sur l
nt sur les membres inférieurs, prin- cipalement le gauche et sur le
membre
supérieur correspondant; 2° le gâtisme. L'autop
ccupe toute la zone motrice; notre malade n'avait, en effet, que le
membre
inférieur paralysé du côté droit, tandis qu'à g
mbre inférieur paralysé du côté droit, tandis qu'à gauche, les deux
membres
étaient frappés de paralysie. La lésion bilat
droit est plus rapprochée que la gauche de la ligne médiane. Les
membres
supérieurs sont bien musclés. On observe Descri
3 à droite des mouvements athétosiques. Il en est de môme dans le
membre
inférieur droit. La parole et la prononciation
er. (Voir plus loin le tableau des men- surations de la tête et des
membres
.) Puberté. - Visage et aisselles glabres. Un bo
distraite par une sorte de contemplation. La tenue restait bonne.
Membres
supérieurs. 48 DÉVELOPPEMENT DU POIDS ET DE L
s irrégularités. Ici les mensurations montrent que l'atro- phie des
membres
paralysés n'était pas considérable. Persistance
dans les cas de ce genre, c'est-à-dire com- pliqués d'athétose ; le
membre
supérieur n'avait pas d'attitude fixe, ainsi qu
nnaître notre méthode habituelle : men- surations de la tête et des
membres
(quand il s'agit d'un hémiplégique), toujours n
le besoin de manger et de boire. Qu'on soulève la tête ou l'un des
membres
inférieurs, on enlève l'enfant « comme un morce
ement extensible, non déchiqueté. Fourchette assez saillante. Les
membres
supérieurs sont contractures. La contracture, q
u moins vaguement de méningite. Ici, l'existence de contracture des
membres
conduisait à douter de la réalité d'une méningi
u- vement tonique, ni clonique; pas de déviation du tronc, ni des
membres
. Parfois survenait durant la crise, une expulsion
peine apparente à la face, est très développée sur le tronc et les
membres
. Les taches larges, dentelées, en for- me de co
dente. Subdélirium continuel. Eruption confluente au tronc et aux
membres
. Sirop d'ipéca; potion au musc. 15 mars. - Etat
e, parole, préhension nulles.- Gâtisme, - Contractures des quatre
membres
. . 1892. Rubéole. - Tuberculose pulmonaire; mor
erceptible. L'abdo- men est souple, non douloureux à la pression.
Membres
; supérieurs décharnés. L'avant-bras droit est en
tacarpien et la deuxième en luxation postérieure sur la première.
Membre
supérieur gauche dans le môme état d'amaigrisse-
res sauf ceux du pouce qui reste le plus souvent en opposi- tion.
Membres
inférieurs, complètement décharnés, couverts de
mplètement décharnés, couverts de poils qui commencent à noircir.
Membre
droit : la cuisse est à-peu-près fixée en demi-fl
il est, de plus, en adduc- tion. Le pied est en rotation externe.
Membre
gauche en flexion presque complète sur le bassin
roïde est légèrement perceptible. Le larynx n'est pas saillant. Les
membres
supérieurs sont en adduction, l'avant-bras dans
ons, sauf de celles du poignet et des doigts qui sont saines. Les
membres
inférieurs font dans la situation suivante : la
t eu demi-flexion sur le bas in et en adduction énergique. Les deux
membres
.sont ce aux. En arrière du grand trochanter dr
les yeux. Légers mouvements des paupières ; quelques secousses des
membres
supérieurs; rien aux inférieurs. Ni morsure de
clnmen souple, non douloureux à la palpation. Région anale saine.
Membres
supérieurs amaigris. Muscles sans puissance. Ma
gs et nerveux, non hippocra- tiques. - Rien de particulier pour les
membres
inférieurs. Sensibilité intacte au toucher, il
Thorax, rien de particulier. - .Abdomen souple, pas de hernies.
Membres
supérieurs bien conformés et symétriques, ainsi
. Membres supérieurs bien conformés et symétriques, ainsi que les
membres
inférieurs, sauf que le 3" orteil du pied gauch
droite à 11 mois, compliquée de contracture. Tic particulier des
membres
du côté droit à 18 mois. - Déviation du rachis.
rofonde et un lobule détaché. L'ouïe sem- ble bien développée. Le
membre
supérieur droit est contracture. L'avant-bras e
Le pouce est en adduction et les autres doigts repliés sur lui. Le
membre
supérieur gauche est normal. Les ongles sont bi
che est normal. Les ongles sont bien implantés aux deux mains. Le
membre
inférieur droit est le siège d'une contracture
e fléchir le pied droit, l'on produit la trémulation épileptoïde du
membre
, phénomène qui, provoqué deux on trois fois, ce
é deux on trois fois, cesse de se manifester.. La contracture de ce
membre
est incomplète car parfois l'enfant seul étend
r parfois l'enfant seul étend presque com- plètement la jambe. - Le
membre
inférieur gauche n'est le siège d'aucune contra
ecousse tonique tétaniforme très rapide des muscles du tronc et des
membres
. Le thora\ : est aplati- latéralement, bombé en
tie antérieure de l'abdomen et du thorax où telle est discrète. Les
membres
supérieurs sont indemnes. Le men- ton, le front
rhytmiques et isochrones à ceux du pied. Parfois ces mouvements des
membres
supérieurs et inférieurs du côté gauche étaient
complète du côté droit. Antérieurement, demi-contracture des quatre
membres
' · avec mouvements athétosiques des quatre mem
ture des quatre membres ' · avec mouvements athétosiques des quatre
membres
. ' AUTOPSIE. - .État des trois brèches osseuses
ppé, peu large à sa base. Pas de lésions du coeur ni des poumons.
Membres
supérieurs longs et grêles, très peu musclés ;
ale. A droite, il semble n'y avoir qu'une parésie des extenseurs.
Membres
inférieurs minces et grêles peu musclés. Le mem-
dre. Debout, il se tient un peu voûté, le bras droit allongé sur le
membre
inférieur du même côté ; le gauche un peu fléch
eur du même côté ; le gauche un peu fléchi et la main pendante. Les
membres
inférieurs sont assez droits, mais le pied gauc
choréiformes des mains et un état de demi-con- tracture des quatre
membres
. Vers le huitième ou le neuvième mois, il a eu
s. Le certificat de M. le Dr Hutinel porte « qu'il présente sur les
membres
, le thorax « et le crâne, les traces d'un rachi
peu proéminent. Le foie déborde légèrement les fausses cotes. Les
membres
supérieurs minces et peu musclés, sontnéan- moi
congestionnée, une écume sanguinolente s'échappe de la bouche. Les
membres
sont raidis à droite, tandis qu'à gauche, ils s
son. Très colère et alors « on dirait une folle ; elle tremble; ses
membres
se retournent ». - Les grands- parents paternel
nt toute cette grossesse, la mère affecta une position bizarre, les
membres
inférieurs plies dans tous leurs seg- ments ; l
tre des convulsions. L'enfant avait les yeux convulsés en haut, les
membres
supérieurs étaient agités de quelques mouvement
tte bien marquée. Orifice de l'hymen non visible. Muqueuse saine.
Membres
supérieurs d'inégale longueur. Bras et avant-bras
our prendre les objets. Elle ne sait pas se servir de la cuiller.
Membres
inférieurs. Le droit est plus long que le gauche.
s. Le droit est plus long que le gauche. Il en est de même des deux
membre
., supérieurs l'un par rap- port à l'autre. Genu
; pas de saillie du corps thyroïde. Mouvements du larynx normaux.
Membres
supérieurs amaigris, peu musclés mais réguliers
et des phalangettes, et des phalangines. Ongles courts et bombés.
Membres
inférieurs : rien de particulier, pas d'amaigriss
ements toniques du côté gauche. 194 État de mal épileptique. Le
membre
inférieur gauche a été animé de mouvements con-
à la palpation. Matité hépa- tique normale. Rate non perceptible.
Membres
supérieurs égaux, sans saillies musculaires, asse
s deux bras paraissent possibles. Ongles minces. MÉNINGITE. 203
Membres
inférieurs égaux, assez développés. Pannicule a
érieurs égaux, assez développés. Pannicule adipeux assez épais. Les
membres
sont mobiles, mais occupent toujours la même po
seul perceptible, Très petit comme un petit haricot. An usnormal.
Membres
supérieurs normalement conformés; motilité et s
aux deux épaules sur la partie supérieure et externe du deltoïde.
Membres
inférieurs normalement conformés. Mobilité et s
a Est atteint depuis sa naissance de contractures généralisées des
membres
supé- rieurs et inférieurs ayant débuté par le
la grosseur d'un oeuf d'oiseau. Rien sur le pubis, anus normal. Les
membres
supérieurs sont en flexion. L'avant-bras est fl
face. Toutefois, sur ce point, il convient d'être réservé car les
membres
du coté droit étaient, a-t-on dit, plus paralys
ans. - Parole et marche nulles; - gâtisme incomplet Atrophie des
membres
du côté droit. Autopsie : Synostose partielle d
céphalalgies frontales et est fréquemment pris de crampes dans les
membres
des deux côtés. Il est tranquille, s'amuse d'un
nt à droite et à gauche. Poids : 48 kilogr. 500- Taille : 1 ? 61.
Membres
supérieurs. Le droit est atrophié. (Voir plus loi
oint que la face palmaire le touche et ne peut être redressée. Le
membre
supérieur gauche n'est pas atrophié mais est fort
supérieur gauche n'est pas atrophié mais est fort peu développé.
Membres
inférieurs. Ils présentent des deux côtés une dis
idiotie à la sclé- rose atrophique. II. L'atrophie musculaire des
membres
droits accompagnée de contracture, et la malfor
t en arrière. Voici le tableau des mensurations comparatives de ses
membres
supérieurs : Antécédents PERSONNELS. 235 viol
e la méningite. Puis elle fut conduite aux Enfants- Malades. Là.tes
membres
inférieurs, qui s'affaiblissaient avant l'entré
centimètre 5. Abdomen. Rien de particulier. Rate et foie normaux.
Membres
supérieurs régulièrement conformés. Articula- t
sains. Force égale des deux côtés. Pas d'ar- rêt de développement
Membres
inférieurs. L'enfant présente une paraplégie spas
s, exercice des jointures. 2 octobre. Il y a, au point de vue des
membres
inférieurs, une amélioration notable : les mouv
imètres au-dessus du plan du lit. Elle se couohe sur le dos, et les
membres
inférieurs sont complètement éten- dus. Elle co
s à 86. Il est régulier, plein. Pas de rai- deur de la nuque ou des
membres
. Un gramme d'antipyrine. Juin.- Depuis six mois
as des dents, ne se cogne pas la tête, n'a pas de roideurs dans les
membres
, ni de secousses brusques. Parfois, il y aurait
bras gauche est contracturé en adduc- tion, et tous les segments du
membre
en flexion forcée. L'en- fant crie si l'on veut
a cyanose, des grimaces de la face et des mouvements convulsifs des
membres
sans prédominance Fi 17. 264 Antécédents pe
ans, l'enfant aurait présenté des mouvements choréiformes dans les
membres
, tant il droite qu'il gauche. C'est après la di
éveloppé et adhérent à gauche. Thorax bien conformé ainsi que les
membres
supérieurs et inférieurs. Aucun signe de rachit
effet, remarquable devoir Ros... user tout particulièrement de ses
membres
droits, les seuls véritablement actifs, tandis
chis et en avant, le tronc incliné, les jambes écartées lançant les
membres
inférieurs en avant et posant lourdement le pie
déchiqueté. Les seins ont 7 centimètres et demi de diamè- tre.
Membres
supérieurs grêles, peau saine, sans cicatrice,
ns grandes, maigres, doigts effilés, ongles longs, un peu bombés. -
Membres
inférieurs égale- ment peu développés ; leur pe
lles. - Strabisme externe ; cécité com- plète. - Contractures des 4
membres
. - Mastication nulle ; bave, accès de cris. - T
adies mentales à I, Faculté de médecine de Paris. 1 V. MAGNAN
Membre
de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
mais le plus fréquemment on a une monoplégie affectant soit tout un
membre
, soit une partie seulement. Ces mono- plégies t
omènes sont au cerveau ce que la claudication intermittente est aux
membres
inférieurs dans le rétrécisse- ment de l'aorte
uvent combinée à des phénomènes parétiques du côté de la face ou du
membre
supérieur droit, on peut aussi la voir s'allier
elle ne pouvait marcher droit, oscillait et titubait; parfois' ses
membres
étaient agités de secousses convulsives. Il y a
paire gauche. Aucun trouble du côté de la face du côté droit ni du
membre
supé- rieur du côté gauche. La démarche est n
ade résiste bien à tous les mouvements. La force semble normale aux
membres
inférieurs ; cependant elle sent sa jambe droit
ation épileptique. Réflexes plantaires également exagérés. Les deux
membres
inférieurs sont raides. les articulations, se m
eur ¡musculaire. Pendant l'examen et quelquefois au repos, les deux
membres
inférieurs sont agités par quelques secousses c
quelques secousses convulsives involontaires. Rien de semblable aux
membres
supérieurs ni à la face. Pas de tremble- ment.
oubles du côté du sphincter anal. B. Sensibilité. Aucun trouble aux
membres
supérieurs ni il la face. La main droite est un
eu plus froide que la gauche ; les doigts sont un peu violacés. Aux
membres
inférieurs, le contact même léger est pourtant
e sorte de crise. Appelé auprès d'elle, nous la trouvons les quatre
membres
en contraction tonique et agités d'une sorte de
ive ; pas de perte de connaissance; souffrances très vives dans les
membres
et sensation d'angoisse, de mort prochaine; légèr
e la face et des lèvres. Nous la retrouvons à 10 h 1/2 ; les qualre
membres
sont en réso- lution ; la respiration est stert
difficultés. Nous éliminerons d'abord les symp- tômes du côté des.
membres
inférieurs (phénomènes spasmo- diques, raideurs
paire; 11 fois elle était accompagnée d'une para- lysie croisée des
membres
. n . Raymond= a observé un cas ayant beaucoup d
l'atrophie musculaire des interosseux palmaires et des muscles des
membres
. Dans le remarquable article du dictionnaire De
bles d'une éruption antérieure iden- tique. Le tronc, le dos et les
membres
supérieurs sont indemnes. Chaque bulle durait d
est hésitante, la mémoire est mauvaise. Pupilles inégales. Sur les
membres
inférieurs, on constate des taches plus ou moins
époque, nous trouvons des taches purpuriques disséminées sur les
membres
inférieurs. Vers le 20 janvier, l'eschare se fo
ume malgré tous les soins hygiéniques et antiseptiques. La peau des
membres
inférieurs et supérieurs est rugueuse, sèche. I
chat et le chien permettent de formuler : 1° Le centre cortical des
membres
, localisé dans les ascendants, n'a chez ces ani
nverricht et Kusick après avoir extirpé la région correspondant aux
membres
, dans l'expérience connue sous le nom d'expérie
la substance grise de la moelle dorsale et unissant les centles des
membres
avec les centres médullaires des muscles du tro
ulbe, aucune trace de dégénérescence, tandis que dans la région des
membres
on trou- vait une dégénérescence partant du cer
té s'imagine porter, à la place de l'extrémité qu'il a perdue, « un
membre
fantôme qui le 58 revue d'anatomie ET DE physio
L'amputé ne localise des perceptions sur un point quel- conque des
membres
absents que s'il a, au préalable, la notion ill
que s'il a, au préalable, la notion illusoire de l'existence de ces
membres
, etcette notion est toujours d'origine périphér
ours d'origine périphérique. E. BLIN. XX. UN cas DE mouvements DU
membre
inférieur droit associés A l'exercice DE la par
haise dans la position normale, on ne tarde pas à constater que son
membre
inférieur du côté droit paralysé est animé, pen
ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 61 XXII. Arrêt DE DÉVELOPPMENT DU
membre
supérieur consécutif A un- traumatisme datant D
d'autopsie d'un malade ayant présenté un arrêt de développement du
membre
supérieur consé- cutif à un traumatisme du coud
péciale, le malade étant couché sur le côté opposé à la lésion, les
membres
fléchis, etc.) ne permettent pas toujours de po
ndrome est composé de trois phénomèmes principaux : 1° paralysie du
membre
superieur du côté de la lésion, avec faiblesse
superieur du côté de la lésion, avec faiblesse musculaire dans les
membres
inférieurs ; 2° exagération du réflexe rotulien
s signes secondaires : contractures et accès convulsifs limités aux
membres
du côté de la lésion, parésie des membres du cô
ès convulsifs limités aux membres du côté de la lésion, parésie des
membres
du côté opposé à l'abcès, nystagmus latéral..
lement cervical. L'hémisphère gauche, au niveau du centre moteur du
membre
supérieur, ne présentait pas d'atrophie visible
oquée dans les centres corres- pondants par la section des nerfs du
membre
amputé. Elles corres- pondent et sont superposa
e corps thyroïde était légèrement hypertrophié ; le tremblement des
membres
était très appréciable. A part un certain amaig
aires, lit le rapport sur le classe- ment des candidats au titre de
membres
titulaires, et propose, au nom de la commission
gauche ; la langue est un peu déviée à gauche ; pas de parésie des
membres
gauches. La démarche est chancelante. Artériosc
nt du pli naso-labial droit et une déviation de langue à droite; le
membre
supérieur droit est plus faible que le membre 8
e langue à droite; le membre supérieur droit est plus faible que le
membre
86 sociétés savantes. supérieur gauche. Le se
e pouls aussi devint faible (50 par minute); apparut une oedème des
membres
et en partie de la face; commen- cèrent àparait
coin gauche de la bouche se déviait de côté et en bas. La force des
membres
supérieurs était très affaiblie ; à la compress
36°0, le pouls très faible (50 par minute); oedème très accusé des
membres
inférieurs; elle n'avait pas eu de règles penda
la chambre, mais aussi au jardin, sans ressen- tir de fatigue. Ses
membres
supérieurs devinrent plus forts, de sorte qu'el
y a souvent en même temps des douleurs extrêmement vives, dans les
membres
, le tronc, au niveau des viscères même. L'exame
ersistante. Troubles de la vue par neurorétinile. Douleurs dans les
membres
d'origine cen- trale. Agitation. Hallucinations
` Il y a souvent des souffrances, quelquefois très vives dans les
membres
, sans que la malade puisse leslocaliser exactemen
gie qu'elle a eue il y a quinze mois. La force est très diminuée au
membre
supérieur droit; au dynamomètre = 18 ; du côté
mbre supérieur droit; au dynamomètre = 18 ; du côté gauche = 2. Aux
membres
inférieurs, la malade n'accuse aucune diminutio
nt un peu calmées, quoique encore très vives. Les douleurs dans les
membres
et le tronc ont complète- ment disparu. Pendant
u'une certaine lourdeur de tête. Il n'y a plus de douleurs dans les
membres
. Elle se plaint surtout de sa vision. L'oeil ga
on constate quel- ques secousses musculaires involontaires dans les
membres
, plus prononcées au bras gauche et à la jambe d
tensité et la persistance de la céphalalgie, l'exis- tence dans les
membres
de douleurs d'origine centrale, l'in- ' Cet exa
ée; la malade résiste assez bien aux mouvements qu'on imprime à ses
membres
. Pas de paralysie faciale. Abolition complète des
n état habituel, ressentant seu- lement un peu de faiblesse dans le
membre
supérieur droit. Depuis, elle a eu deux crises
effet, une diminution générale de la force musculaire, surtout aux
membres
inférieurs. Le bras droit est un peu plus faibl
lésions. En résumé, asthénie très prononcée, parésie très légère du
membre
supérieur droit et de la face à droite; aboliti
de connaissance; mais de plus elles se sont généralisées aux quatre
membres
. l novembre. -Sans aucun traitement il s'est pr
éger degré de para- lysie faciale droite. Parésie plus accentuée du
membre
supérieur droit qui reste habituellement inerte
ces. Il ne semble pas y avoir de différence de force entre les deux
membres
inférieurs ; la marche se fait bien, sans type
de sa naissance, le mois et l'année actuels... etc. Tous ces courts
membres
de phrases, les seuls qu'on puisse obte- nir, s
encore un très léger degré de paralysie faciale, et de parésie du
membre
supérieur. Réflexes rotuliens abolis. Il n'y a pl
lement héréditaire, et il atteint ordinairement un grand nombre des
membres
d'une même famille. L'activité cardiaque est ac
ur se base : sur la précocité de l'affaiblissement dou- loureux des
membres
, bien avant qu'on remarquât des troubles pcychi
la malade ou qu'on lui parle; il est limité au côté et prédomine au
membre
supérieur; il augmente d'amplitude à l'occasion
oit. La force musculaire est con- servée. Les réflexes tendineux du
membre
inférieur droit sont légèrement exagérés. Il n'
s crises épileptiformes, ou l'exagération des réflexes tendineux du
membre
inférieur droit semblent se rattacher à une scl
symptômes de névrite toxique apparurent aux coudes et extrémités de
membres
supé- rieurs, précisément au siège des friction
usculaire pour retenir son cheval emballé, d'une paralysie des deux
membres
supérieurs. Quelques minutes plus tard, la para
as. Pas d'atro- phie ni de parésie dans les muscles du troue et des
membres
infé- rieurs. En outre, ou trouve une analgésie
el », et le nystagmus. Au mois de septembre, l'anesthésie gagne les
membres
supérieurs, en même temps qu'on remarque une pa
- mation du jury, de manière à limiter dans ce jury le nombre des
membres
pris parmi les médecins des asiles publics d'alié
ées de doctorat. 4 ART. 5. Le jury du concours sera composé de sept
membre
*, savoir : trois membres tirés au sort parmi le
5. Le jury du concours sera composé de sept membre*, savoir : trois
membres
tirés au sort parmi les médecins aliénistes che
de service des hôpitaux et hospices, en exercice ou honoraires; un
membre
tiré au sort parmi les médecins chefs de service
noraires, et le médecin du bureau d'admission de Sainte-Anne; trois
membres
tirés au sort parmi les médecins chefs de servi
clinique de Sainte-Anne. ne pourront être portés sur la liste des
membres
parmi lesquels devra être tiré le jury du concour
ée pour les concours des médecins des hôpitaux, en présence de deux
membres
du Conseil de surveillance de l'administration
urveillance de l'administration de l'Assistance publique et de deux
membres
de la Commission de surveillance des asiles pub
mettre que des résolu- tions à prendre. Elle est composée, hors les
membres
de droit, de tous les médecins titulaires et ad
is d'août dernier (1896), des plil3,ctènes appa- raissaient sur les
membres
inférieurs, sans cause apparente. Ces phlyctène
ur aînée du malade lui ressemble si bien, qu'au dire textuel d'un
membre
de la famille, il, suffirait d'habiller J... en f
ésulte d'un ralen- tissement de la circulation des liquides dans le
membre
para- lysé. A. F. III. Saturnisme professionn
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 225. qui a présenté de la paralysie des
membres
supérieurs, portant sur les muscles extenseurs
ervement, vomissements, oppression, douleurs très pénibles dans les
membres
, ont, à plusieurs reprises, nécessité l'interru
dernier moment avec des douleurs spontanées très violentes dans les
membres
inférieurs, alors qu'il est de règle que les ph
rofuses, contracture des muscles de la face, opistotonos permanent,
membres
inférieurs en exten- sion forcée, supérieurs en
après l'accident, des crampes douloureuses se déclarèrent dans le
membre
inférieur correspondant. On constata en outre une
ion de la contractilité volontaire et électrique des muscles de ces
membres
, de la trépidation spi- anale, etc. Pas de trou
se, de la parésie, presque aussitôt transformée en paralysie, des
membres
inférieurs, puis du membre supérieur droit. Le me
aussitôt transformée en paralysie, des membres inférieurs, puis du
membre
supérieur droit. Le membre supérieur gauche, en
ralysie, des membres inférieurs, puis du membre supérieur droit. Le
membre
supérieur gauche, envahi en dernier lieu, n'a é
ractéristique : nystagmus, bradylalie, tremblement intentionnel des
membres
, exagération des réflexes Chez les trois il y a
périphériques ne se traduit que par des douleurs insignifiantes des
membres
. Certains auteurs (Babinski, Henry), s'appuyant
, parait-il. L'idéal de l'abstinence, qui doit être imposé à tout
membre
de société de tempérance, est, pour Lentz, celle
i vise spécialement au relèvement des buveurs, ne demandent à leurs
membres
que l'abstinence des spiritueux, plus conforme
mée ne possède pas de spécialistes. Recommanda- tion sera faite aux
membres
du conseil de guerre détenir compte de la dépos
s médico-légales (ch. XII). lllqetr.Lt. NÉCROLOGIE. Le Dt MESNET,
membre
de l'Académie de médecine, médecin honoraire de
s, le lundi l ? aoi7t 189S, sous la prési- dence de M. le Dr Motet,
membre
de l'Académie de médecine. Le programme compren
. Strabisme. Puberté. Gâtisme. Tics. MSunfttOMS de la tête et des
membres
. Traitement de l'hydrocéphalie. Amygdalite. Dia
t parle. - Rien à signaler dans le reste de la famille du père. Les
membres
de cette famille ont plutôt en général la tète
intelligente. Rien à signaler dans le reste de la famille, dont les
membres
n'ont pas en général la tête grosse. Pas de con
s petit avec capuchon peu développé. Hymen ovalaire. Anus normal.
Membres
supérieurs bien développés, même très gras. Mains
t surtout de la gauche. Les extrémités sont violacées et froides.
Membres
inférieurs très gras, jambes flasques ; l'enfant
qu'une pro- portion considérable de nos confrères sont actuellement
membres
des sociétés de tempérance qui, depuis deux ans
harnée à l'alcool proprement dit et aux liqueurs, mais a laissé ses
membres
libres de consommer, dans une sage mesure, des
comme une richesse française ? Con- viction incomplète de certains
membres
qui pensent que la boisson fermentée est peu re
n intérieure, et dont le nombre atteint 135, avec un total de 7.000
membres
environ '. De jour en jour, de nouveaux groupes
doute beaucoup la marche. Dans celte dernière attitude, parésie des
membres
inférieurs, inclinaison du tronc en arrière et
enne. Pas de signe de Romherg, incoordina- tion moins accentuée aux
membres
supérieurs. Tremblement léger au repos continua
. On ne constate pas de lésions vertébrales. Les autres segments du
membre
supérieur présentent leurs mouve- ments normaux
loigne davantage du corps. Les mouvements sont très limités dans ce
membre
, surtout le mouvement d'élévation. Le malade es
ité pour certaines maladies conta- gieuses ; propension de tous les
membres
d'une famille à prendre et à avoir plusieurs fo
es chiens, il résulte que dans tous les cas il a constaté, dans les
membres
du côté opposé à la lésion corticale, lésion po
- lité kinesthésique sont altérées d'une façon constante dans les
membres
du côté opposé à la lésion ; la sensibilité doulo
lements, de picotements, de courbatures, lassitude géné- rale ; les
membres
semblent engourdis et endoloris; les vis- cères
peut se produire des troubles analogues dans les mouvements de ces
membres
intérieurs par lesquels nous remuons les matéri
déduit quatre types. Premier type : .' Paralysie motrice limitée au
membre
inférieur; troubles sensitifs ne remontant pas
nférieur; troubles sensitifs ne remontant pas jusqu'à la racine des
membres
inférieurs. Siège de la lésion : au dessous de
motrice et troubles sensitifs remontant au-dessus de la racine des
membres
inférieurs et empiétant plus ou moins sur le tr
espond aux vertèbres moyennes et supérieures. -Troisième type : Les
membres
supérieurs et le thorax participent aux troubles
tue l'hypnose. Il est d'abord à remarquer que l'immobilisation d'un
membre
peut être obtenue dans des conditions tout à fa
articulaires ; ce sont aussi certaines arthropathies tabétiques des
membres
inférieurs. Les appareils orthopédiques protège
f facial droit, anesthésie du trijumeau du même côté, paralysie des
membres
du côté droit avec atrophie musculaire. A l'éta
apparemment d'une façon brusque par une paralysie spasmodique des
membres
du côté gauche avec diminution de la sensibilité
e. Quelques mois plus tard vint s'ajouter une paralysie motrice des
membres
du côté droit avec diminution du sens musculair
s'adonna activement à la pratique des maladies nerveuses, fut nommé
membre
de plusieurs Sociétés de neurologie en Europe,
es troubles subjectifs de la sensibilité au bras gauche et aux deux
membres
inférieurs. Diminution de force, parésie, enfin
Diminution de force, parésie, enfin paraplégie spasmodique des deux
membres
inférieurs, égale des deux côtés ; douleurs aiguë
sphincters. Paraplégie devient complète; apparition de l'oedème des
membres
Archives, 21 série, t. V. 28 434 ANAT0M1E PAT
s icflexes; contractions réflexes très douloureuses des muscles des
membres
inférieurs survenant sous l'influence de la ill
égion dorso-lomhaire, et il y a trois semaines se sont montrées aux
membres
inférieurs. En même temps se produisait de l'an
lade résiste bien à tous les mouvements qu'on essaye d'imprimer aux
membres
inférieurs, la force ne semble pas diminuée. Il
tive. Pas de troubles tro- phiques, ni d'atrophie musculaire. Aux
membres
supérieurs, il paraît y avoir une diminution de
et conserve ses caractères spasmodiques. Il y a un peu d'oedème des
membres
inférieurs. La sensibilité czttanée-(daus ses t
sibilité czttanée-(daus ses trois modes) est très diminuée aux deux
membres
inférieurs, presque abolie dans cer- taines zon
le malade a parfaite- ment la notion de la position imprimée à ses
membres
. 24 août. Membres inférieurs. Motilité volontai
e- ment la notion de la position imprimée à ses membres. 24 août.
Membres
inférieurs. Motilité volontaire totalement abol
ture. Les mouvements iinpii- i- més passifs provoquent dans tout le
membre
de vives douleurs, 1 mais sans localisation pré
ation précise. Une pression un peu forte en un point quelconque des
membres
inférieurs provoque également de vives douleurs
s ces explorations précé- dentes déterminent, non seulement dans le
membre
examiné, mais aussi dans l'autre, des contracti
tions musculaires qui fléchissent légèrement les divers segments du
membre
les uns sur les autres, et sont extrêmement dou
l'urine seule- ment la nuit : le besoin d'urmer n'est plus perçu.
Membres
supérieurs. 1° 21 gauche, n) Motilité. Pas de déf
t être provoqués. Pas de contrac- tures douloureuses comme dans les
membres
inférieurs. b) Sensibilité est intacte dans ses
eut préciser. Il a conscience des mouvements passifs imprimés à ses
membres
. Il conserve tou- jours les mêmes contractions
ontractions réflexes douloureuses. Il lui semble parfois sentir ses
membres
inférieurs se mouvoir, et cependant s'il les re
toujours, sans localisations précises dans toute l'étendue des deux
membres
supérieurs, permet de supposer que les racines de
ique. Le diagnostic n'était pas sans difficultés. L'existence aux
membres
inférieurs d'une paraplégie spasmodique avec trou
gique de ces troubles de la sensibilité. c). En remontant, dans les
membres
supérieurs nous trou- UN CAS DE TUMEUR DE LA MO
intégrité complète de l'extrémité céphalique. En résumé, pour les
membres
inférieurs, signes de lésion transverse de la m
res inférieurs, signes de lésion transverse de la moelle ; pour les
membres
supérieurs, signes de compressions radiculaires
table delà portion lombaire, car en pinçant la peau de la racine du
membre
on provoquait encore des con- tractions réflexe
es. Le sens musculaire ne peut évidemment pas être recherché sur un
membre
dont les muscles ne se contrac- tent pas. Dans
artie supérieure de la moelle dorsale produit de l'hyperesthésie du
membre
inférieur du même côté de l'anesthésie du côté op
es, etc., la meilleure épreuve consiste croyons- nous, à placer nos
membres
dans une attitude donnée et à la faire reprodui
mbres dans une attitude donnée et à la faire reproduire par l'autre
membre
, tout cela bien entendu en fermant les yeux du
ci est sous la dépendance de lésions centrales), ou bien pour les
membres
supérieurs des erreurs notables dans l'appréciati
t, en manchettes, limitée par des plans perpendiculaires à l'axe du
membre
. Brissaud a donné de cette disposition une rais
CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 455 Les troubles de la sensibilité aux
membres
supérieurs d'ailleurs très légers, affectaient
servation d'une femme qui se croit possédée par l'esprit malin. Ses
membres
sont agités de mouvements bizarres rap- pelant
nctionnement cérébral naturel et spontané (vision, mouve- ments des
membres
, etc.), sont, par suite de l'éducation, dressés à
ntiques dans l'extrémité saine, quand on essaie de faire mouvoir le
membre
paralysé; de plus, REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSI
ésies de la jambe, les mêmes mouvements se peuvent produire dans le
membre
supérieur, du même côté que celui de la jambe (
une exagération de la flexion du coude avec graduelle élévation du
membre
en avant, de sorte que la main se porte à la bo
ale gauche. Les troubles de la sensibilité et de la coordination du
membre
supé- rieur droit peuvent tenir à un foyer cort
s et guérissent après exci- sion d'un neurone ou d'une cicatrice du
membre
blessé. Ces épi- lepsies sont rares. La statist
Arié (Joachim). Étude sur la compression des cordons nerveux des
membres
par du tissu fibreux cicatriciel. Astié (Chartes-
Contribution à l'étude des troubles nerveux par cals exubérants au
membre
supérieur. Friteau (Edouard). Les branches extr
périeure droite dans l ? par Remak, 486. Aphasique. Mouvements du
membre
inférieur droit associés à la parole chez un
à la parole chez un , par Sainton, 58. Arrêt DE développement du
membre
supérieur consécutif à un trauma- tisme de l'
phénomènes se produisent, ainsi que Brown-Séquard l'a montré, sur un
membre
dont les propriétés vitales ont été épuisées par
vie animale et cette altération peut atteindre un degré tel, dans les
membres
inférieurs, où elle se montre surtout, qu'elle dé
ous l'aspect d'une véritable hémiplégie, avec ou sans contracture des
membres
paralysés. J'insiste tout particulièrement sur ce
érisés par un tremblement convulsif, par la cyanose et l'algidité des
membres
, se montrent avec une intensité plus grande encor
point malade rougit et se tuméfie ; on voit se gonfler les veines du
membre
affecté, qui prend une coloration violacée et se
urs, un œdème prononcé des parties en-flammées, s'étendant bientôt au
membre
tout entier, et capable de conserver l'impression
rhumatisme, mais qu'au second tour c'était la goutte. 2° L'œdème du
membre
vers le début de l'accès, la desqua-mation au déc
nt une anémie profonde, une faiblesse musculaire extrême, surtout aux
membres
infé-rieurs, et une dépression intense du système
impatient de souffrir, le malade a commis l'imprudence de plonger le
membre
dans l'eau glacée (Lynch, Parry), ou de s'adminis
s des accès, des crampes douloureuses dans les masses musculaires des
membres
; il sont sujets au lumbago, et peu-vent ressenti
ission héréditaire des accidents, et leur répartition chez les divers
membres
d'une même famille. Chez le même sujet on voit
a scrofule, le diabète et l'obésité se manifester chez la plupart des
membres
de la même famille. Voici cette observation rédui
es maladies se reproduisant ainsi, à divers de- grés, chez tous les
membres
d'une même famille. J'ai observé moi-même la comb
mais le gros orteil; d'ailleurs, la maladie envahit simultanément les
membres
inférieurs et supérieurs. Dans la majorité des ca
ence d'un caillot volumineux parti du cœur. Lorsque les artères des
membres
se trouvent ainsi oblité-rées, il en résulte une
a fini par succomber, après avoir présenté un œdème considé-rable des
membres
inférieurs. L'autopsie a permis de constater :
arche progressive chez les sujets âgés. — Déformation consécutive des
membres
. — Deux types principaux ; leurs variétés. Marc
hique ; — forme œdémateuse. — Perte des mouvements. Déformation des
membres
inférieurs ; — de la colonne vertébrale. — Déviat
qui produit une attitude singulière, et quel-quefois permanente, des
membres
affectés. A la seconde période, des désordres p
d'une mala-die aiguë. H nous reste à signaler les déformations des
membres
qui orteil : dans le rhumatisme noueux, ce sont
changement de rapports qui s'est opéré entre les diverses parties du
membre
. Ces difformités sont presque toujours identiqu
flexion, quelque-fois dans l'extension. Les autres articulations du
membre
supérieur participent, dans une certaine mesure,
cubitus et du radius. Enfin, l'épaule est quelquefois rigide, et le
membre
supé-rieur se trouve fixé contre le thorax. Voy
tenant de quelle manière, et suivant quel ordre, les articulations du
membre
supérieur se trouvent envahies. Deux cas peuven
ltration œdémateuse, qui simule l'éléphantiasis, se développer sur le
membre
: Nous allons maintenant étudier les lésions ar
ires, qui peuvent se produire sur d'autres points du squelette. Les
membres
inférieurs sont parfois indemnes, alors que les m
mptômes in-flammatoires ; mais ces phénomènes s'observent surtout aux
membres
inférieurs. Au reste, les muscles des membres s
observent surtout aux membres inférieurs. Au reste, les muscles des
membres
subissent toujours, à la longue, sous l'influence
eau, dans l'atrophie des muscles interosseux, on voit quelquefois les
membres
prendre des formes qui sont de tout point semblab
ette cause fondamentale des déforma-tions rhumatismales. Le poids des
membres
, la laxité plus ou ou moins grande des ligament
e manifester sans qu'il se produise de déformations consécutives ? Le
membre
reste, au contraire, dans un état de flaccidité c
t le plus souvent insidieux ; les douleurs sont peu pronon-cées ; les
membres
affectés conservent le plus souvent leur mobilité
orale droite, et peu après la marche devint extrêmement difficile. Le
membre
s'était raccourci et se por-tait dans la rotation
'est une maladie héréditaire; elle peut se mani-fester chez plusieurs
membres
de la môme famille. Elle offre une connexité évid
ion stertoreuse, la flaccidité des joues, la résolution com-plète des
membres
, rien ne manque au tableau. Il s'y adjoint parfoi
oint parfois des phénomènes d'hémiplégie, ou môme la contracture d'un
membre
, et nous avons rencontré plusieurs fois, en pa-re
tent : si l'on coupe en travers la moelle à différentes hauteurs, les
membres
deviennent plus chauds par suite de la paralysie
gangrène traumatique ou spontanée, s'étendant aune grande partie d'un
membre
. 11 est avéré, vous le savez, qu'alors même que l
rs même que la circulation du sang s'est complètement arrêtée dans un
membre
frappé de gangrène, et que des caillots se sont f
ience de Kussmaul a mis le fait dans tout son jour. Sous la peau d'un
membre
ainsi séparé, au moins en appa-rence, du reste de
n athéromateuse ou par thrombose des troncs artériels principaux d'un
membre
. Si, en pareil cas, le malade résiste à l'infecti
phériques, telle que celle produite par exemple par l'écrasement d'un
membre
, a pour effet de déprimer la pression cardiaque ;
énéralement prises plus ou moins long-temps après les petites, et les
membres
, alors placés dans un état de demi-flexion perman
tion plus ou moins rapide des dévia-tions des extrémités, ou même des
membres
, tous ces carac-tères ont imprimé à la maladie, d
ction, la rougeur des jointures, les déviations des extrémités ou des
membres
, sont les principaux symptômes présentés par les
ointures; mais, assez souvent, elle occupe en même temps le corps des
membres
; et alors, elle paraît résider soit dans les ext
ndant tout le cours de la maladie, alors même que les dévia-tions des
membres
se prononcent avec une rapidité extrême ; c'est c
ritables, mais avec un sentiment de crampes se propageant le long des
membres
. Au bout de deux ou trois mois, pendant lesquels
es tendons des muscles postérieurs de la cuisse, et plaça ensuite les
membres
inférieurs dans un appareil. Trois mois après cet
es inférieurs dans un appareil. Trois mois après cette opération, les
membres
avaient pris à peu près leur lon-gueur normale, e
sculaire, presque invincible, qui amène la flexion ou l'extension des
membres
et constitue un phénomène souvent très pénible, c
ersistance. Celte douleur oc-cupe généralement toute la longneur d'un
membre
, depuis l'épaule, par exemple, jusqu'à l'extrémit
re symétriquement des deux côtés; elle peut occuper simultanément les
membres
abdominaux et les membres thoraciques. Nous verro
côtés; elle peut occuper simultanément les membres abdominaux et les
membres
thoraciques. Nous verrons que c'est principalemen
des jointures s'accompagne souvent de douleurs spas-modiques dans les
membres
. Dans ces derniers temps, M. Adams a parfaitement
uleurs musculaires sourdes, qui sont accompagnées de crampes dans les
membres
, et suivies de rétraction, nous semblent bien dis
le roideur)... 2 On voit, par ce tableau, que les articulations des
membres
supérieurs sont plus souvent affectées que celles
age de leurs mains et de leurs bras, tandis que les articulations des
membres
inférieurs sont très sou-vent assez libres pour p
ontrée très tardivement. Dans tous les cas, sous son influence, les
membres
, et leurs extrémités surtout, se dévient tôt ou t
le, et si l'on cherche à l'opérer après avoir préalablement fléchi le
membre
, les muscles fléchisseurs en-trent immédiatement
a rotule repose sur le condyle externe du fé-mur ; si l'on examine le
membre
de profil, il est aisé de re-connaître qu'il y a
ent de cram-pes des plus pénibles dans toute la partie postérieure du
membre
abdominal, et en outre, la tension môme du corps
n du genou par un moyen ingénieux : elles ont fait pla-cer sous leurs
membres
inférieurs un long coussin en forme de plan incli
uscles. Elles ont obtenu ainsi une légère demi-flexion permanente des
membres
inférieurs, qu'elles considèrent com-me bien moin
ge de permettre la marche à l'aide de béquilles, si les fonctions des
membres
supérieurs étaient d'ailleurs suffisamment con-se
brale (scoliose), qui s'est pro-duite à l'époque où les jointures des
membres
ont été enva-hies. Dans I'Observation V, on peu
om-bre de ces infirmes ont les muscles fléchisseurs et extenseurs des
membres
d'un côté du corps dans une sorte de tension cont
sultat d'une position instinctive que les malades imprimeraient leurs
membres
pour atténuer les douleurs. On ne pourrait guère,
jeu sous l'influence du repos prolongé au-quel seraient condamnés les
membres
; car, outre que cette rétraction se montre parfo
e époque où les malades font encore, tant bien que mal usage de leurs
membres
. Nous éliminons également l'hydarthrose, qui n'a,
alisation, dans certains cas, des déviations à toutes les parties des
membres
supé-rieurs ou inférieurs, la symétrie avec laque
a période d'accroissement de la maladie, et déjà percluse de tous ses
membres
; le plus souvent, les règles n'ont pas été arr
ise la première. La manière dont les arthrites se succèdent dans un
membre
est bien curieuse à noter : au membre supérieur,
arthrites se succèdent dans un membre est bien curieuse à noter : au
membre
supérieur, les doigts sont affectés les premiers;
e coude, et enfin l'épaule ; fout se passe à peu près de même pour le
membre
inférieur. Hâtons-nous d'ajouter que cet ordre n'
que, dans presque foutes nos observations, lorsque les jointures des
membres
inférieurs ont été atteintes en certain nombre et
ont été atteintes en certain nombre et à un certain degré, celles du
membre
supérieur ont présenté les mêmes lésions à un deg
diqué plus haut; la ré-traction des extrémités, et bientôt celles des
membres
, se sont manifestées au bout de quelques jours, d
s difformités qui privent les malheureuses femmes de l'usage de leurs
membres
, et les condamnent trop souvent, pour le reste de
-neuf jours, pendant lesquels la malade continue à manger, l'état des
membres
inférieurs s'amende au point qu'elle peut marcher
'amende au point qu'elle peut marcher un peu; mais, dès le début, les
membres
supérieurs se sont déformés, contractures, à un d
de gonflement considérable des articulations, grandes ou petites, des
membres
supérieurs ; il s'est manifesté plutôt, dès l'ori
, peu à peu, et sans que les douleurs soient devenues plus vives, les
membres
supérieurs se montrent déplus en plus difformes,
petites jointures, on ne peut pas constater de craquements. Les deux
membres
supérieurs sont dans le même état à peu près ; la
aint le plus, c'est d'une sensation de tiraillement dans le corps des
membres
, accompagnée quelquefois de fourmillements ; les
ter qu'à l'hôpital Necker, on a essayé, sans succès, de redresser les
membres
supérieurs par des tractions répétées. Observat
rmaux. Cette dernière malade présente une infiltration œdémateuse des
membres
inférieurs. Terminaisons. — Haygarth a signalé
nt quelquefois disparu plus ou moins com-plètement. Les muscles des
membres
dont les articulations étaient atteintes d'ankylo
muscles, et qui s'accom-pagnaient de rétraction des extrémités ou des
membres
eux-mêmes ; d'autres fois, cette rétraction ne s'
sque sans interrup-tion pendant quatre ans. Dès le début, l'usage des
membres
a été presque complètement aboli; la malade a mai
des mouvements. Dès le début des nouvelles douleurs articulaires, les
membres
ont pris une attitude vicieuse ; la malade y épro
lexion ; ce qui la gênait surtout, c'était la tendance qu'avaient les
membres
inférieurs à se fléchir, à se contracturer. Mais
un mécanisme ingénieux, a mis fin à la rétraction douloureuse de ses
membres
: elle a fait placer, sous ses cuis-ses, un long
lques mouvements de totalité du bras, au moyen de l'omoplate; tout le
membre
supérieur est alors soulevé d'une pièce. Les de
souffert dans les; articulations fémoro-tibiales ou coxo-fémorales.
Membre
supérieur gauche. — En général, les articulations
et les mouvements en sonb assez libres. Tout ce que nous avons dit du
membre
supérieur-gauche s'applique exactement au membre
ue nous avons dit du membre supérieur-gauche s'applique exactement au
membre
supérieur droit. Tel-est l'état des diverses arti
rier 1849, atteinte d'arthropathies multiples qui avaient produit aux
membres
, et surtout aux ex- 1. Mémoire lu à la Société
ns que présen-taitM....Toutes, ou à peu près toutes les jointures des
membres
et des extrémités étaient rigides, à l'exception
écroscopie. Examen des jointures. — La plupart des arti-culations des
membres
inférieurs et supérieurs ont été ouvertes, et, à
en portants, sont très sujets à éprouver des accès de goutte dans les
membres
. M. C..., en-tre autres, a eu la goutte au pied,
s accès, actuel-lement, toutes ou à peu près toutes les jointures des
membres
se montrent souvent également douloureuses et tum
symptômes per-sistent encore aujourd'hui, mais à un faible degré; les
membres
inférieur et supérieur du côté droit sont évidemm
état d'infirmité où il était avant l'accès. Examen le 24 octobre. —
Membres
inférieurs. — Les orteils qui ont été si fréquemm
'une affection chronique. Par suite, la plupart des articulations des
membres
ont été successive-ment atteintes, et il s'y est
t, de rougeur et d'une incapacité plus ou moins absolue de mouvoir le
membre
; elles étaient, par conséquent, bien distinctes
souffert dans les articu-lations fémoro-tibiales ou coxo-fémorales.
Membre
supérieur gauche. — En général, les articulations
t les mouve-ments en sont assez libres. Tout ce que nous avons dit du
membre
supérieur gauche s'applique exactement au membre
ue nous avons dit du membre supérieur gauche s'applique exactement au
membre
supérieur droit. Tel est l'état des diverses ar
te dernière variété d'ankylose qu'était due la fausse contracture des
membres
supérieurs. N'est-il pas possible, dès lors, que
es atteintes. Il est à remarquer cepen-dant que les articulations des
membres
supérieurs sont encore, dans cette période ultime
de ultime, plus souvent et plus profondément affectées que celles des
membres
inférieurs. Les articulations de la hanche et cel
ladie. Le mode suivant lequel les arthropathies se succèdent sur un
membre
, dans le rhumatisme noueux, est intéressant à not
i ne se rencontre également dans la goutte chronique généralisée. Aux
membres
supérieurs les doigts sont, dans les deux maladie
emiers, puis c'est le poignet, puis le coude, et enlin l'épaule ; aux
membres
inférieurs, le genou se prend après l'articulatio
leurs, en peu de mots, quel était l'état des diverses jointures. —Aux
membres
supérieurs, les articulations scapulo-humérales é
ôt hlanc, toutes les autres jointures des doigts sont intactes. Aux
membres
inférieurs : Les deux articulations coxo-fémo-ral
craquements. — Peu de temps après l'admission à l'hôpital, œdème des
membres
inférieurs, vomissements répétés, puis, au bout d
uatre ans, atteinte d'arthropathies multiples qui avaient produit aux
membres
et surtout aux mains et aux pieds des difformités
présentent cette femme. Toutes ou à peu près toutes les jointures des
membres
et de leurs extrémités étaient rigides, à l'excep
exception des jointures des hanches, la plupart des articulations des
membres
inférieurs et celles des membres su-périeurs prés
es, la plupart des articulations des membres inférieurs et celles des
membres
su-périeurs présentaient une altération consistan
e peut reproduire fort exactement les autres types de déformation des
membres
qu'on observe dans le rhu-matisme noueux; mais c'
en portants, sont très sujets à éprouver des accès de goutte dans les
membres
. M. C..., entre autres, a eu la goutte au pied, e
ulaires qui avaient déterminé un sentiment marqué de fatigue dans les
membres
. Ces résultats contradictoires montrent assez que
721), on voit une paralysie complète du mouvement et du sentiment des
membres
inférieurs disparaître peu de temps après que la
ire chronique progressif. Nous avons vu là que les articu-lations des
membres
supérieurs sont affectées en premier lieu et plus
rs sont affectées en premier lieu et plus profondément que celles des
membres
inférieurs. Aussi, beaucoup d'infirmes ne peuvent
sage de leurs mains et de leurs bras, alors que les articulations des
membres
inférieurs sont encore assez libres pour permettr
tions des jointures et les déviations que présen-tent tôt ou tard les
membres
, dans les cas où la maladie a agi avec intensité,
Chez quelques malades atteints de rhumatisme noueux, les muscles des
membres
immobilisés s'atrophient. La peau est lisse, luis
ète chez un même sujet; il faut les rechercher encore chez les divers
membres
d'une même famille. On peut voir un père goutteux
s pathologiques se reproduisant ainsi, à divers degrés, chez tous les
membres
d'une même famille. Voici l'indication de plusi
ntrac-tures permanentes, siégeant dans divers muscles du tronc ou des
membres
. 1. En commun avec M. Vcjuman. Cette note, tiré
s leurs comédies les vieillards tremblant à l'excès de la tête et des
membres
. C'est là une erreur que Shakespeare, obser-vateu
un de ses locataires ; deux heures après, la chorée débutait par les
membres
supé-rieurs. Elle se généralisa en quelques jours
rche progressive chez les sujets âgés. — Défor-mation consécutive des
membres
. — Deux types principaux ; leurs va-riétés. Mar
hique ; — forme œdémateuse. — Perte des mouvements. Déformation des
membres
inférieurs ; — de la colonne vertébrale. — Déviat
maladies mentales à la Faculté de médecine de Pans. V. MAGNAN
Membre
de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
les variétés de la neurasthénie et de l'hypocondrie chez les divers
membres
de la famille, ainsi que les psychoses, les div
IDÉES FIXES. Par le D' LARROUSSINIE, médecin de Castel-d'Andorte,
Membre
correspondant de la Société ,¡¡Mico-Psychologlque
4) qui lui assure la stabilité que les mouvements incoordonnés des
membres
rendent très précaire. . Cette démarche n'est n
nique de l'encéphale, tantôt primitive. Elle peut être limitée à un
membre
, à une moitié du corps ou bien généralisée. Les
ente : tout d'abord le syndrome morbide est limité au bassin et aux
membres
inférieurs. Aux membres inférieurs, la motilité
yndrome morbide est limité au bassin et aux membres inférieurs. Aux
membres
inférieurs, la motilité est intacte, il n'y a n
et, de l'épaule à la partie moyenne de la cuisse correspondante, le
membre
supérieur est envahi jusqu'au pouce. Cette affe
. VII. UN nouveau TYPE d'hémiplégie alterne (HYPOGLOSSE gauche ET
MEMBRES
droits; par l\1me Anna Goukovsky, d'Odessa). (Nou
nt : 1° le type Millard-Gluber intéressant le facial d'un côté, les
membres
de l'autre; 2° le type de Weber, caractérisé pa
caractérisé par la paralysie de la troisième paire d'un côté et des
membres
de l'autre. Ces formes d'hémiplégie indiquent u
te. L'observation peut se résumer ainsi : hémiplé- gie complète des
membres
du côté droit, sans paralysie faciale, sans aph
ister qu'au delà du point où le facial est dissocié du faisceau des
membres
. En outre, paralysie complète avec déviation à
aractérisé par la paralysie de l'hypoglosse d'un côté, et celle des
membres
du côté opposé. C. VIII. OPHTALMOPLÉGIE EXTERNE
orge, puis les mains devenaient absolument insensibles, ensuite les
membres
supérieurs, et dans certaines crises les membre
ibles, ensuite les membres supérieurs, et dans certaines crises les
membres
inférieurs également, se raidissaient et se contr
pe facio-scapulo- huméral) avec pseudo-hypertrophie DES muscles des
membres
infé- rieurs ET attitude vicieuse extraordinair
du présent mémoire, on croit avoir affaire, à ne considérer que les
membres
inférieurs, à un cas de paralysie pseudo-hypertro
nti- tés morbides distinctes. Du reste, l'atrophie musculaire des
membres
supérieurs n'est pas localisée exclusivement aux
es les plus précoces des cas de myopathie primitive intéressant les
membres
inférieurs, ne peut être attribuée, comme on le
céphaliquesou abdominales, et finalement convulsions cloniques des
membres
supérieurs, zones hystérogèues le long de la co
comprime les testicules. Diminution des réflexes tendineux dans les
membres
inférieurs, surtout à gauche; exagération des r
he. Puis, soudain, paralysie des extenseurs successivement des deux
membres
supérieurs et des muscles péroniers; plus tard
les modes de la sensibilité aux extrémités les plus reculées des
membres
, troncs nerveux un peu sensibles à la pression; m
OCIÉTÉS SAVANTES. isolés ou groupés de différentes façons parmi les
membres
du grand groupe des criminels d'habitude, croup
tte modeste réforme à la Commission de surveillance des asiles, aux
membres
de la Commission du Conseil général et nous leu
ques tressaillements convul.Mfs légers, puis un peu de rigidité des
membres
, laissant la place à un coma profond avec résolut
le fait de la contraction des muscles de la nuque. Les muscles des
membres
sont très rigides et le malade immubile sur son
ion. , Depuis un an environ sont survenues des secousses dans les
membres
inférieurs, secousses qui se manifestent en série
recherches, par exemple la détermination de la courbe que trace le
membre
inférieur dans le mouvement de pendule. Il cons
recherches exécutées à l'aide de cet appareil. Après la séance, les
membres
du Congrès visitent l'hôpital d'Ep- pendorf.
'Est, Midi, Orléans, Nord et Paris-Lyon- Méditerranée accordent aux
Membres
du Congrès une réduction 1 Les membres du Congr
Méditerranée accordent aux Membres du Congrès une réduction 1 Les
membres
du Congrès de Médecine mentale et nerveuse, qui
Bordeaux-Bastide à Paris (Orléans) et de Paris (Est) à Nancy. Les
membres
du Congrès recevront en temps opportun les bons
r marché (sensation de cour- bature, de lourdeur, de plomb dans les
membres
). A cette période d'hyperesthésie succède une p
te rien d'anor- mal ni dans la sensibilité, ni dans la motilité des
membres
supé- rieurs. ' Au tronc il est à noter une s
on, est cet oedème bleu de Charcot qui envahit le plus souvent un
membre
déjà paralysé ou contracturé, et offre, outre sa
lhésie à distribution très irrégulière : tout le côté gauche, et le
membre
supérieur droit, en manche de veste. En arrière n
t une forte cicatrice, répon- dant à peu près à la ligne médiane du
membre
, d'une longueur de 9 centimètres et de 7 millim
uloureuses, sont très difficiles à réaliser. Anesthésie complète du
membre
. - Dimensions : G, 19; D. 21 1/2. - T. G. 26°,5
la Salpêtrière. ' La compression au pli du coude, l'élévation du
membre
donnent, au bout de trois à quatre minutes, les
hésiques présenlent leur ordinaire disposition, si ce n'est que, au
membre
supérieur gauche, l'anesthésie en manche de ves
ssudation suit la stase sanguine, ce que favorise l'immo- bilité du
membre
parésié ou contracturé. Nous pensons en outre q
s, dont est couverte la peau du thorax antérieur, de l'abdomen, des
membres
, du cou, du front et même du cuir chevelu. Ces
ntendu, en venant à Nancy, au seuil de la frontière, vous mêler aux
membres
d'une Université qui est l'héritière de l'Acadé
LADAME (de Genève). , Il est ensuite procédé à la nomination des
membres
qui doi- vent assister le président. Sont nommé
lques curieux cas d'hallucination chez les amputés perce- vant leur
membre
absent comme toujours existant ct soumis à leur
tre l'illusion. M. Pitres a fait l'inverse et a fait disparaître le
membre
fantôme chez des amputés ayant l'illusion préci
une paralysie, une parésie ou une contracture d'un ou de plusieurs
membres
; bientôt les parties atteinles prennent une co
e et un godet qui s'effacent assez douce- ment ; la température des
membres
atteints est abaissée de plusieurs degrés. L'oe
aru, il revient périodiquement; il n'occupe généralement qu'un seul
membre
et siège toujours à son extré mité. Les observa
l'oedème estpré- cédé de paralysie, de parésie ou de contracture du
membre
atteint, conditions qui favorisent la stase et
s de part et d'autre de sa position d'équilibre ; non seulement les
membres
peuvent être atteints mais encore les paupières
TÉS SAVANTES. M. MEYER s'est mis gracieusement à la disposition des
membres
du Congrès pour leur montrer son appareil très
ucun de nos asiles et auxquelles certainement n'a recours aucun des
membres
du Congrès. Lorsque, dans cette Maison déparlem
sont au bénéfice des finances départe- mentales, dans l'esprit des
membres
des commissions de surveil- lance, des membres
s, dans l'esprit des membres des commissions de surveil- lance, des
membres
des conseils généraux et des préfets. M. DELMAS
tteints d'obésité. Des tableaux et des tracés mis sous les yeux des
membres
du Congrès, il ressort que l'adminis- 2S6 FAITS
poitrine dans une phase en quelque sorte tétanique, elle atteint le
membre
supérieur ; l'avant-bras en demi-flexion, un mo
r, à plusieurs reprises, à la main du même côté, toute l'étendue du
membre
supérieur gauche contre lequel elle s'applique
litude décrits par l'àvant-bras droit, n'existe pas à gauche. Les
membres
inférieurs, sauf lorsque le malade est dans le dé
senten même temps que les troubles respiratoires et l'agitation des
membres
s'accroissent, puis tout à coup l'obstacle cède
puis tout à coup l'obstacle cède, un mot ou deux, quelquefois un
membre
de phrase, toujours dits correctement, sont prono
iques avec une vio- lence rapidement progressive ; à chaque nouveau
membre
de phrase qui tend à s'extérioriser, les secous
atoires se montrent en même temps que les phénomènes convulsifs des
membres
: la cage thoracique est presque immobilisée, e
sentée par K... sont nombreux. En première ligne le début par les
membres
inférieurs et l'intégrité presque constante de la
exemple, la superposition des trois centres moteurs de la face, du
membre
supérieur, du TROUBLES MOTEURS DE l'articulatio
upérieur, du TROUBLES MOTEURS DE l'articulation DE la parole. 269
membre
inférieur, rend compte de l'apparition successive
e, dont le centre est situé au-dessous du centre brachial ; puis le
membre
inférieur, dont le centre est situé au-dessus.
érieur, dont le centre est situé au-dessus. Mais comme le centre du
membre
inférieur est plus éloigné du centre brachial q
successivement le cou, la poitrine, les mem- bres supérieurs et les
membres
inférieurs qui passent par une phase tonique et
entrer successivement en action les centres moteurs du tronc, du
membre
supérieur et du membre inférieur. Nous nous en
t en action les centres moteurs du tronc, du membre supérieur et du
membre
inférieur. Nous nous en tiendrons là, dans l'as
irement loca- lisée à la région sacrée, s'irradie plus ou moins aux
membres
infé- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 291 rieur
e limitée à ces seules régions, mais habituelle- ment elle gagne le
membre
inférieur et souvent alors elle se limite à la
Ils se résument en la paralysie de certains groupes de muscles des
membres
inférieurs. La paralysie se borne presque toujo
aperçoit 292 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. qu'il est paralysé des
membres
inférieurs. Cette paralysie se dis- sipe ou dim
ncinantes, par- tant de la fesse gauche et s'irradiant dans tout le
membre
inférieur gauche, ces douleurs sont irrégulière
ralysie, c'est un pied bot paralytique. Atrophie marquée de tout le
membre
inférieur gauche. Exagération des réflexes rotu
n'était, en réalité, pas douloureux en cette région. A noter que le
membre
était en partie oedématié et que les muscles in
ident, les douleurs disparurent rapidement et rapide- ment aussi le
membre
se remit à fonctionner normalement. CAMUSET.
e autres une hémiplégie faciale avec troubles de la sensibilité des
membres
inférieurs, -dont on obtint la guérison après t
s cutanés n'en étaient pas moins conservés. Malgré la paralysie des
membres
inférieurs, il survenait parfois des soubresaut
tion complète des urines et des matières fécales. OEdème marqué des
membres
inférieurs et du ventre. Cette malade, comme la
te-quatre ans avec déformation. Début, il y a dix-huit mois, par le
membre
supérieur gauche. Prédominance sur les muscles
lique de haut en bas et d'arrière en avant, il forme avec l'axe des
membres
infé- rieurs un angle obtus ouvert en arrière.
ires et de la nuque contractures. Sensibilité tactile conservée aux
membres
inférieurs, mais affaiblie et retardée, sensibi
ès, c'est-à-dire il y a un an seulement, faiblesse considérable des
membres
supérieurs avec atrophie musculaire généralisée
l'état suivant : état général satisfaisant, paralysie complète des
membres
et du tronc avec atrophie musculaire intense gé
ar de l'amblyopie, plus tard quelques douleurs fulgurantes dans les
membres
infé- rieurs et dans le membre supérieur gauche
lques douleurs fulgurantes dans les membres infé- rieurs et dans le
membre
supérieur gauche, sensation de compres- sion du
tes et les veines très volumi- neuses. Les douleurs fulgurantes des
membres
, la constriction en ceinture du thorax ont, pou
eur : hémiplégie avec anesthésie du côté gauche et tremble- ment du
membre
supérieur également du côté gauche. Puis con- t
main gauche qui disparait alors que le tremblement se manifeste au
membre
supérieur droit. La suggestion aidée de l'élect
ître complètement l'hémiplégie et l'anes- thésie, cette dernière au
membre
inférieur seulement. Marche normale. Les membre
, cette dernière au membre inférieur seulement. Marche normale. Les
membres
supérieurs, le gauche principalement, sont cont
l'exagèrent. Zone d'anesthésie comprenant, du côté gauche, tout le
membre
supérieur, l'épaule, la moitié de la tête et du c
auche. Très peu après, début d'un ptosis à gauche. En trois mois le
membre
affaibli se paralyse complètement et la paralys
dante et continuelle. En mars, même année, paralysie et atrophie du
membre
supérieur droit et de l'épaule. Au moment où l'
ble des muscles du cou, de la nuque surtout, du dos, du thorax, des
membres
supérieurs. Les membres inférieurs sont faibles
de la nuque surtout, du dos, du thorax, des membres supérieurs. Les
membres
inférieurs sont faibles mais non atrophiés. Les
sont faibles mais non atrophiés. Les réflexes tendineux, abolis aux
membres
supérieurs, sont normaux aux inférieurs. Sur to
lien exagéré. Excitabilité électrique diminuée dans les muscles des
membres
supérieurs. La sensibilité au lou- cher et à la
us se lever. Voici les signes morbides qu'on note à ce moment : les
membres
inférieurs complètement paralysés, inertes, réf
nertes, réflexes rotuliens diminués. Anes- thésie absolue des mêmes
membres
, la malade ne les sent pas. T = 38°. Rétention
is. Les diverses sensibilités repa- rurent progressivement dans les
membres
inférieurs, plus rapide- ment à droite qu'à gau
s les troubles sen- sitifs avaient disparu. Quant à la motilité, le
membre
inférieur droit s'améliora le premier et la par
mplètement disparu le cinquième mois. La motilité ne revint dans le
membre
gauche que plus tardivement, elle se rétablit p
tout dans les premiers temps, de fortes contractions des muscles du
membre
inférieur gauche, principalement la nuit, pen-
ouleur qui est très vive. La malade se plaint de faiblesse dans les
membres
inférieurs, de céphalalgie frontale et d'une se
La question est de savoir si le souffle cardiaque et 1"oedème des
membres
inférieurs dépendent d'une affection cardiaque ou
apper chez les très jeunes sujets, a été trouvée 56 fois; celle des
membres
inférieurs 52 fois; des muscles de l'oeil 26 fois
des membres inférieurs 52 fois; des muscles de l'oeil 26 fois; des
membres
inférieurs 21 fois; du larynx 11 fois; du diaphra
: face arrondie, lèvres charnues, visage glabre, torse cylindrique,
membres
pote- lés, etc. L'infantilisme existe isolé ou
ET DES NEUROLOGISTES SESSION de NANCY. Excursions ET visites. Les
membres
du Congrès ont visité le vieil asile de Maréville
rrivée dans l'asile. Mieux vaudrait les mettre à la disposition des
membres
du Congrès dès la première séance. Ils auraient
édecin de la clinique psychiatrique de Moscou, candidat au titre de
membre
associé étranger. M. B. BIBLIOGRAPHIE. III.
ravaux de l'année. Nous en avons retenu que la société compte 1,800
membres
et 27 sec- tions à Paris et en province (Nîmes,
nfinement au lit par suite d'une incoordination motrice absolue des
membres
inférieurs. Fréquentes crises gastriques et lar
s secondes, et diminue à mesure qu'on se rapproche de la racine des
membres
. Excepté à la plante des pieds, il y a aussi un
qui se développa d'une façon lente et graduelle, commençant par les
membres
supérieurs et s'étendant peu à peu aux membres
, commençant par les membres supérieurs et s'étendant peu à peu aux
membres
inférieurs. La chorée dispa- rut au bout d'un a
op serré. Elle souffre d'un froid continu, d'un engourdissement aux
membres
inférieurs. Elle perd les jambes dans son lit.
nt facilement ou se déchaussent, la malade en a ainsi perdu deux.
Membres
supérieurs ne présentent aucune altération du côt
nt aucune altération du côté de la sensibilité ni de la motilité.
Membres
inférieurs. - Sensibilité au tact normale. A la p
ensibilité au tact normale. A la piqûre : la malade ne peut sur les
membres
inférieurs distinguer la sensa- sation qu'elle
de précision les positions qu'on fait prendre aux articulations des
membres
inférieurs, et exécute les yeux ouverts avec les
roubles de la marche débutant par de la fatigue; lassitude dans les
membres
inférieurs à la fin de la journée. Ces accident
sauf pour la face. Ce retard est de deux à trois secondes pour les
membres
inférieurs. On cons- tate de l'hypoesthésie sur
bles existent aussi au tronc, mais peut-être moins accentués qu'aux
membres
inférieurs. Les douleurs fulgu- rantes reparais
1 n'existe pas d'autres troubles de motilité, ni de sensibilité aux
membres
supérieurs. Rien d'anormal au tronc, excepté une
etard va en diminuant à mesure qu'on se rapproche de la racine des.
membres
inférieurs. Le froid est bien senti sur toute l
angienne est normale, ainsi que dans les autres articu- lations des
membres
supérieurs. Aucun trouble d'incoordination motr
t des corrections s'y fit leprésenter par son président et d'autres
membres
. Enfin, le New-York Herald y envoya également u
ielle à la lumière seulement; paralysie ataxique des extrémités des
membres
inférieurs; ataxie faciale marquée avec trouble
re l'abus des boissons spiritueuses a déjà réuni un grand nombre de
membres
. On peut dire que l'assistance des alcooliques
le corps décharné et sale, complète- ment replié sur lui-même. Les
membres
inférieurs sont ankylosés. Il semble privé de l
s à l'étude et qui n'a pas encore reçu commencement d'exécution. Un
membre
de l'administration municipale de Blois espérai
lir les aliénés, mais tout à fait, à titre provisoire. Les avis des
membres
de la commission de surveillance et leurs juste
érales fort remarquables; ils n'avaient pas manqué de consulter les
membres
du conseil de santé. Les médecins avaient donné
on rit, se moque ou abuse quand ils sont doux et inoffensifs. Les
membres
du conseil de santé du bureau de bienfaisance e
enfant se mit à se courber, enfin en moins d'un an la paralysie des
membres
inférieurs devint complète. Réflexes conservés,
on s'effectue uniquement par le type abdominal. Rien de notable aux
membres
supérieurs, sens spéciaux normaux. La seconde v
ans la partie postérieure des deux jambes. Le moindre mouvement des
membres
, la moindre pression les exas- pèrent. Les jour
s après, il retombe malade à nouveau ; faiblesse, douleurs dans les
membres
, dans les inférieurs surtout, mauvais état géné-
isseurs au contraire sont affaiblis. Légère atrophie musculaire aux
membres
inférieurs. Arthropathie spéciale siégeant à ch
ieurs. Arthropathie spéciale siégeant à chaque genou, qui donne aux
membres
inférieurs une forme réellement très bizarre. Q
a disparu. Il résulte, de cette demi- luxation, que l'axe de chaque
membre
inférieur est représenté par une ligne courbe à
à noter que les mouvements sont bien coordonnes. Douleurs dans les
membres
, surtout dans 'les inférieurs, mais, sans le ty
à la dou- leur, en plus la sensibilité tactile est abolie dans les
membres
inférieurs. Sensation de marcher sur du velours
der s'aggrave rapidement. L. Le niveau de l'anesthésie remonte, les
membres
supérieurs devien- nent' de plus en plus doulou
l'avant-bras un angle très obtus ouvcrt en arrière et que l'axe du
membre
, clans son ensemble, représente une courbe à co
sous-cutané. On provoque la paralysie vaso-mo- trice, soit dans un
membre
en sectionnant son tronc nerveux, soit dans l'o
ectueuse ou forcée et on peut les voir se manifester aussi bien aux
membres
qu'au tronc. Une telle association combinée ave
de la bourse séreuse et crânienne. Les symptômes étant localisés au
membre
supérieur et à la moitié supérieure du thorax p
tiformes de la moitié droite du visage, la langue, la mâchoire, les
membres
du même côté. Plusieurs accès convul- sifs ont
ossible, parfaite conscience. Tout disparait moins l'hémiplégie des
membres
; if s'installe de la contracture avec exagération
tique de l'alimentation thyroïdienne (Leichtenstern). Le volume des
membres
ne subit cependant aucun changement. Bientôt s'
distribution fonctionnelle DES RC1,NES MOTRICES D15 LES muscles DES
membres
, recherches expérimentales; par I. le DOswaLDE
erches il résulte les propositions suivantes : 1° L'innervation des
membres
est systématisée dès la sortie des nerfs de la
zier. Enfin, ce dernier signale des malforma- tions du bassin et du
membre
inférieur droit, lesquelles n'ont pas été obser
(Alphée), D. M. à Paris 1 Celaren, docteur en médecine et chirurgie,
membre
d la commission médicale de la province d'An-
(J.), House surgeon to the Warrington Dis- pensary i Roche, D. M.,
membre
de l'académie royale de médecine à Paris 1 Rohrma
franche et loyale. Je ne compte pas moins encore sur le concours des
membres
de la Société ana-tomique, composée de l'élite de
es que le professeur de Leyde donnait à son peintre. M. J.-G. Martin,
membre
de la Société anatomique, profondément versé dans
tion sans teinte jaune de la peau; débilité extrême; infiltration des
membres
inférieurs; dévoiement; soif; langue lisse et pâl
a rate dépouillée de sa pulpe ; l'analogie était telle, que plusieurs
membres
de la Société anatomique, à laquelle cette pièce
étative : son corps est fruid, la peau décolorée. Gémissemens sourds,
membres
contractés, mouvemens presque nuls, quelques légè
rret , et par conséquent un angle rentrant du côté de la rotule. Le
membre
inférieur droit était également atrophié d'une ma
formé par les soins de M. Serres. Je n'ai point fait dessiner l'autre
membre
également affecté de pied-bot. (**) Cette pièce
ffecté de pied-bot. (**) Cette pièce m'a été donnée par M. Fischer,
membre
de la Société anatomique» ire livraison. i Le
e, à une position défectueuse, à une compression qui ne permet pas au
membre
dévié de se développer dans la direction qui lui
qui se sont occupés d'orthopédin ^«t pas aussi tenté de redresser les
membres
tordus des rachitiques. Je ne doute nullement que
es encore; un cal récent est-il déformé, y a-t-il raccourcissement du
membre
, on peut ramener ce membre dans sa direction, lui
t-il déformé, y a-t-il raccourcissement du membre, on peut ramener ce
membre
dans sa direction, lui redonner sa longueur, et c
eurs de faire observer que, si plusieurs pieds-bots naissent avec des
membres
atrophiés, il en est chez lesquels les deux membr
naissent avec des membres atrophiés, il en est chez lesquels les deux
membres
ont le même volume : et ayant eu occasion d'obser
a première année de sa naissance, j'ai pu constater que l'atrophie du
membre
était consécutive. Se pourrait-il cependant qu'il
us fréquens qu'on ne l'imagine (*), que les frictions exercées sur le
membre
dévié, que le redressement temporaire opéré plusi
ns un sens, non comprimées dans un autre. D'ailleurs, une fois que le
membre
a été en partie ramené à sa direction naturelle,
doit-elle compléter la guérison. C'est alors qu'on devra exercer les
membres
, se hâter de supprimer les machines, ou du moins
ra considérable, parce que cette déviation augmente par l'exercice du
membre
; parce que l'os est plus difficile à reformer qu
n'est pas une contre-indication. Il est plus que probable que, si le
membre
est ramené à une bonne direction, le muscle solli
muscle reparaîtra. C'est alors que des frictions exercées le long du
membre
, en sollicitant la contraction musculaire et en f
sion, bien que la respiration soit parfaitement libre : brisement des
membres
; pouls vif, fréquent; langue rouge; soif; vives
esoin d'un courant d'air, demande sans cesse qu'on lui frictionne les
membres
supérieurs. Sueur considérable, mais sans amendem
ourant d'air frais à l'aide d'un éventail, de frictions rudes sur les
membres
supérieurs , faute de quoi elle est dans un état
continuel de changer de place, d'un courant d'air ou de frictions aux
membres
supérieurs. Soupirs de temps en temps. Le 19 au
és supérieures; un peu de sensibilité aux extrémités inférieures. Les
membres
soulevés tombent comme une masse inerte. Face déc
t sans chaleur et sans pouls; la respiration courte et fréquente; les
membres
dans un état de résolution complète. Ces symptôme
oreuse : surviennent des vomissemens qui sont suivis de paralysie des
membres
supérieurs; large saignée; affaissement : mort à
i qui a été soumis à la Société anatomique par M. Robert, l'un de ses
membres
. Tous les organes, la peau, le tissu cellulaire,
nt une perforation commençante. (*) Pièce communiquée par M. Tîosc,
membre
de la Société anatomique. 3e. Livraison. Pl. 5.
emblement toute la nuit du 29 au 3o; coliques; douleurs dans tous les
membres
. Le 3o, soif vive, langue sèche, douleurs de coli
e la plus attentive des extrémités inférieures infiltrées : placer le
membre
dans la situation la plus favorable à la circulat
t rigoureux. Corps amaigri; pas de contracture ni de raideur dans les
membres
; une très-vaste escharre a dénudé le sacrum. Le
n'est d'ailleurs jamais précédée ni accompagnée de douleurs dans les
membres
paralysés. Elle en est quelquefois suivie, ainsi
ccompagnée de douleurs vives à la région qui en a été le siège et aux
membres
correspond ans, peut-être de contractions spasmod
eurs vives à la tête, souvent encore de contractions spasmodiques des
membres
correspondans; elle se fait aussi graduellement.
ment, douleur que le malade conrpare à un rhumatisme, qui s'étend aux
membres
sous la forme de fourmillemens douloureux et d'en
e même que dans l'apoplexie de la moelle, la douleur du racbis et des
membres
précède la paralysie du mouvement et lui survit ;
sement douloureux et la paralysie du mouvement ont affecté d'abord le
membre
inférieur droit tout entier, puis le membre infér
nt ont affecté d'abord le membre inférieur droit tout entier, puis le
membre
inférieur gauche, et en partie les parois de l'ab
ne boule remonte de l'épigastre au pharynx; alors elle étouffe et ses
membres
se contournent spasmodiquement. Les deux tumeurs
ar tant de (*) Voici les détails de celte analyse : « La portion de
membre
sur laquelle se trouvent ces concrétions est une
précède la formation des concrétions ; le développement des veines du
membre
affecté de goutte, les varices dont il est si sou
rieure et la courbure postérieure. (*) Pièce donnée par M. Fischer,
membre
de la Société anatomique. ive livraison. 1 Il
colonne vertébrale. La sensibilité ne tarde pas à reparaître dans les
membres
paralysés. Pour ramener la myotilité, on eut reco
re, on trouva l'artère iliaque primitive et ses divisions (du côté du
membre
gangrené) oblitérées par des concrétions sanguine
. Argent. , 1752, planche I, figure 1. (***) Observé par M. Martin,
membre
de la Société anatomique. La tumeur sphéroïde qui
des veines dans les varices, si leur section dans les amputations des
membres
sont si souvent la cause efficiente de l'inflamma
ndemain il se plaint de mal à la gorge et de fortes douleurs dans les
membres
. Le pouls est fréquent ; la peau brûlante.—Le tro
niquées à la Société anatomique par M. le docteur Fisher, l'un de ses
membres
. ve livraison. i en arrière existe un petit per
ux doigts explorateurs qu'à travers une grande épaisseur de parties :
membres
abdominaux très-infiltrés ; état général peu sati
ulcération. Les autres organes étaient sains. Le tissu cellulaire des
membres
inférieurs était infiltré de sérosité. Le cerveau
Cette enfant est cacochyme dans toute la rigueur de l'expression. Les
membres
sont flasques et retombent presque comme une mass
des organes des sens, de la vue en particulier, que l'état précis des
membres
n'aient pu être notés. Il est probable qu'il y av
lus perçue immédiatement. Surdité et aphonie complètes. Mouvemens des
membres
rares et faibles : le plus souvent décubitus sur
sentées à la Société anatomique par M. Barbier du Bocage, l'un de ses
membres
. 5e. Livraison. Pl. 5. MALADIES DU CERVEAU. (
gsues à l'anus. Les jours suivans, la malade remue plus librement ses
membres
; je la trouve toujours en arc de cercle, couchée
œdémateuses. Le malade se plaint en outre d'une vive chaleur dans le
membre
inférieur du même côté : cette chaleur, appréciab
rêvassé pendant la nuit, qu'il a eu des mouvemens convulsifs dans les
membres
. (Saignée de trois poëlettes, et pédiluves.) — Le
encore ramassé en foyer. Légère infiltration séreuse sous-cutanée du
membre
inférieur du même côté. Les viscères contenus dan
maladie est qualifiée d'adynamique et traitée comme telle. Coma ; les
membres
soulevés tombent comme une masse inerte. Le malad
ologique présentées à la Société anatomique par MM. Dehanne et Guyot,
membres
Je cette Société. FIGURES 3 ET t\ (*). Les fi
logique présentée à la Société anatomique par M. Sestier, l'un de ses
membres
. 6e. Livraison. Pl. 4. MALADIES DU REIN. MA
se aiguë : à peine frappé, le malade éprouve un brisement complet des
membres
, une prostration excessive; il est forcé de s'ali
son lit, insensible , dans une sorte d'engourdissement; la tête, les
membres
lui semblent d'une lourdeur excessive; le système
ttement plus prononcé des lèvres et de la langue ; tremblottement des
membres
. Ventre souple et indolent. — Le 2, la respiratio
le, le sentiment et le mouvement diminuent, puis s'éteignent dans les
membres
correspondans à la partie du cerveau comprimée :
us grand nombre des apoplexies, tels que douleurs très-vives dans les
membres
paralysés, mouvemens épileptiformes ; les commémo
ernes de la dure-mère. Hémiplégie avec douleurs excessives dans les
membres
et mouvemens épileptiformes. Deux tumeurs cancére
rver plusieurs fois ce phénomène. Les moindres mouvemens imprimés aux
membres
paralysés étaient excessivement douloureux. Le po
hémiplégie était à droite ). Les douleurs si vives éprouvées dans les
membres
étaient le résultat de l'irritation produite par
ction cérébrale, conservé une paraplégie et un œdème considérable des
membres
inférieurs. Tout le corps était fléchi en avant.
our le mouvement, incomplète pour le sentiment, avec oedème léger des
membres
paralysés. On croit à une hémiplégie apoplectique
mouvemens convulsifs des plus violens, portant exclusivement sur les
membres
paralysés : pendant toute la durée de cette attaq
aucun accident. IX. L'oblitération du tronc veineux principal d'un
membre
, dans un point ou dans une petite étendue, a peu
e petite étendue, a peu d'influence sur la circulation veineuse de ce
membre
; les voies collatérales remplaceront surabondamm
s veines collatérales, alors, mais seulement alors, arrive l'œdème du
membre
, ainsi que l'a parfaitement signalé M. Bouillaud.
ecte un corps irritant du cœur vers les extrémités dans la veine d'un
membre
, ce membre se tuméfie énormément au bout de quelq
ps irritant du cœur vers les extrémités dans la veine d'un membre, ce
membre
se tuméfie énormément au bout de quelques heures;
résultat que par l'injection d'un corps irritant dans les veines des
membres
. Or l'inflammation spontanée des sinus de la dure
. Le 18, les pupilles sont toujours dilatées; cris, rigidité dans les
membres
. La petite malade peut à peine soutenir la tête (
face décolorée; respiration légèrement stertoreuse avec gémissement.
Membres
insensibles aux pincemens les plus forts. Flexion
pièce pathologique présentée à la Société anatomique par M. Martin ,
membre
de cette Société. viiie livraison. i La face in
. Du reste, le malade exécute des mouvemens volontaires dans tous ses
membres
; la moitié gauche du corps semble un peu moins f
émiplégie droite incomplète dont il ne se rappelait pas le début. Les
membres
paralysés sont amaigris, atrophiés. Les secondes
uit heures après la mort. Voici ce qu'on observa : Infiltration des
membres
abdominaux, surtout du côté droit ; épanchement d
ais présentaient les mêmes éminences, les mêmes cavités que les os du
membre
opposé; d'un autre côté, si, comme je l'ai dit ai
modifications nombreuses. Ainsi l'athlète, qui a exercé beaucoup ses
membres
, et l'homme de cabinet ont les mêmes apophyses, l
e présentée à la Société anatomique par le docteur Maure, l'un de ses
membres
, ixe livraison. 2 La fig. 3 représente, sépar
e présentée à la Société anatomique par le docteur Manec, l'un de ses
membres
. 9e. Livraison. Pl. 4. MALADIES DES ARTICULAT
cette luxation, savoir, la pronation avec impossibilité de porter le
membre
dans la supination, la demi-flexion avec impossib
e dans la supination, la demi-flexion avec impossibilité de porter le
membre
dans l'extension, deviennent permanens. Si on m
ce présentée à la Société anatomique par M. Bérard jeune, l'un de ses
membres
. (**) Cette pièce a été présentée à la Société
ce a été présentée à la Société anatomique par M. Robert, l'un de ses
membres
. ixe livraison. â uns libres, les autres adhé
la face est triste et présente quelque chose d'insolite, Rigidité des
membres
. Le malade ne se plaint de rien, mais il repousse
omm. opium i gr. dans une potion. Le 7 mai, agitation, rigidité des
membres
, les yeux sont largement ouverts, le pouls grêle
e communiquées à la Société anatomique par M. Plainchamp, l'un de ses
membres
(service de M. Jadioux, médecin de l'hôpital Coch
vation présentées à la Société anatomique, par M. Ricard, l'un de ses
membres
. (Hôpital de la Charité , service de M. Rullier.)
dulées, de glace sur l'abdomen, de sinapismes et de frictions sur les
membres
. Les jours suivans, l'état du malade est moins dé
jection est immédiatement mortelle ; au bout de trente-six heures, le
membre
malade se tuméfie, et si l'animal meurt ou est sa
apoplectiques) dans l'épaisseur des muscles et du tissu cellulaire du
membre
. Les grosses veines sont distendues par du sang c
endait jusqu'aux parois thoraciques. Toutes les veines et veinules du
membre
inférieur étaient injectées de pus. Lorsqu'on div
érée : ces cas sont le type des abcès disséminés dans l'épaisseur des
membres
qu'on rencontre si souvent à la suite de la phléb
le, iliaque externe , a pour conséquence l'œdème plus ou moins dur du
membre
inférieur, et les variétés des accidens locaux dé
l'impossibilité qu'éprouve la circulation veineuse à s'opérer dans le
membre
par les voies collatérales; mais la phlébite est
e, au-dessous de la partie moyenne du bras. L'une d'elles traversa le
membre
de part en part, et sortit par un point diamétral
n première et vint faire saillie sous la peau, à la partie interne du
membre
. Ce malade entre à l'hôpital Beaujon le 5 août av
sortie. L'humérus était intact, les vaisseaux et nerfs principaux du
membre
paraissaient également avoir été respectés. Le re
ortir, lorsque, tout-à-coup, le 28 août, sans aucune cause connue, le
membre
se tuméfia, les petites plaies cessèrent de fourn
jolin et Blandin. Les observations ont été recueillies par M. Lenoir,
membre
de la Société Anatomique. xie livraison. 4 La f
e tibiale antérieure et ses divisions étaient parfaitement saines. Le
membre
inférieur n'était pas infiltré d'une manière nota
restait, encore assez de veines pour maintenir la circulation dans le
membre
. 11 n'existait d'ailleurs aucune trace ni de sa
n'est pas rare de rencontrer dans le cas d'inflammation des veines du
membre
supérieur, à la suite d'une saignée, des phlébite
eines du membre supérieur, à la suite d'une saignée, des phlébites du
membre
inférieur avec ou sans inflammations viscérales.
te par le gonflement de la prostate. Des douleurs surviennent dans le
membre
inférieur et plus particulièrement au mollet. On
cordons très-durs. Le malade mourut, et on trouva dans les veines du
membre
inférieur tous les degrés de la phlébite. Bien qu
chirurgical. VIL Nous avons vu dans la dernière observation que le
membre
inférieur n'était pas infiltré d'une manière nota
as infiltré d'une manière notable, bien que les veines principales du
membre
inférieur fussent complètement inutiles pour la c
ux, et présentant çà et là des points blanchâtres, comme purulens. Le
membre
inférieur gauche n'était nullement infiltré, et c
constant que la circulation veineuse n'a pas pu se faire dans tout le
membre
inférieur du côté. Les extrémités inférieures éta
très-dense. On ne conçoit pas que la vie ait pu se continuer dans des
membres
évidemment privés de toute circulation veineuse.
tive à la manière du cercle inflammatoire qui limite la gangrène d'un
membre
; mais bien de l'histoire de la maladie qui nous p
nt décolorées comme dans la chlorose; sentiment de faiblesse dans les
membres
; peu d'appétit, mais point de dégoût, la langue e
des orifices veineux béants qui représentent les orifices veineux des
membres
amputés. On ne trouve de débris de muqueuse que s
jambe. Plusieurs vaisseaux lymphatiques, superficiels et profonds du
membre
abdominal étaient remplis de pus dans toute leur
éantissement des forces porté jusqu'à la syncope, engourdissement des
membres
et même crampes légères, qui se sont terminés spo
que des borborygmes, des selles cholériques, de la faiblesse dans les
membres
et de la soif. Prescription : Un quart de lavem
r, face amaigrie et altérée; pouls affaibli; crampes légères dans les
membres
; soif vive; sentiment de faiblesse porté jusqu'à
ures après la mort. Couleur bleue de tout le corps; rigidité dans les
membres
; flexion des jambes sur les cuisses, et de celles
s; selles cholériques très nombreuses; vomissements; crampes dans les
membres
; douleurs vives à l'épigastre ; oppression; soif
la malade éprouvait un sentiment de malaise et de brisement dans les
membres
. Depuis deux jours, coliques avec dévoiement d'ab
vécu dix-huit mois; il n'avait donné aucun signe d'intelligence: ses
membres
étaient continuellement en mouvement; il criait p
oussant des cris. Le moindre bruit provoquait des cris d'effroi ; les
membres
étaient contractés. Pendant plusieurs jours, au
(i) Observations et pièces anatomiques présentées par M. Cazalis ?
membre
de la société anatomique, interne dans le service
l'hospice des orphelins: son bulletin porte qu'elle est paralysée des
membres
abdominaux, qu'elle parle difficilement, et que c
exemple, à ceux où une tumeur blanche ayant nécessité l'amputation du
membre
, le malade n'a eu à subir aucun transport, aucune
n'y avait ni imperforation de l'anus, ni exstrophie, ni déviation des
membres
, lésions qu'on a vues quelquefois coïncider avec
1, 17e liv. (1) Idiotie, Demi-flexion permanente avec rigidité des
membres
thoraciques et abdominaux. Immobilité. Mort par
manifestement inclinés vers la région plantaire. Veut-on étendre les
membres
, on éprouve une grande résistance et l'on arrache
Oliviéri, élève interne des hôpitaux. et des yeux. Le pincement des
membres
détermine des mouvements. Les pupilles ont la lar
e violents efforts de défécation. Du reste,pendant tout ce temps, les
membres
conservent la même position. Ces accès durent plu
nvulsion et sans autres phénomènes particuliers. La contracture des
membres
a été permanente jusqu'au dernier moment. Autop
ment. Autopsie cadavérique, dix-sept heures après la mort. Etat des
membres
et du tronc, comme pendant la vie ; raideur extrê
tion des sons et les lobes antérieurs. L'état de flexion forcée des
membres
thoraciques et abdominaux ne me parait nullement
mps dans l'immobilité. La difficulté qu'on éprouvait pour étendre les
membres
, les cris qui accompagnaient les efforts d'extens
siège émollients. Le soir, la malade accuse une vive douleur dans le
membre
abdominal gauche. 40 sangsues sur l'hypogastre.
. Parfois, contractions spasmodiques extrêmement douloureuses dans le
membre
inférieur du même côté ; l'abdomen est toujours b
ont succombé dans les premiers jours, j'ai trouvé tous les muscles du
membre
inférieur parsemés de foyers sanguins formés par
nd pectoral, une autre au niveau du deltoïde; d'autres existaient aux
membres
inférieurs. Ces tumeurs, qui ne permettaient pas
eurs. Ces tumeurs, qui ne permettaient pas le plus léger mouvement du
membre
sans de vives douleurs, étaient molles au centre
ornée à la synoviale articulaire. Le 14 mars, l'œdème gagne tout le
membre
abdominal gauche : les parties tuméfiées sont dou
'articulation du genou au lieu d'envahir en même temps la totalité du
membre
, comme dans le cas d'oedème, proprement dit. D'un
minuer; le genou devient plus douloureux à la . pression ainsi que le
membre
abdominal tout entier et plus particulièrement la
t général est toujours très grave et toujours le même. Le genou et le
membre
inférieur me paraissent le point de départ. La di
s ; les phlyctènes se multiplient le long de la région postérieure du
membre
abdominal; fluctuation manifeste autour du genou;
s avec celle de la synoviale du genou et du tissu cellulaire libre du
membre
inférieur. Ces deux altérations sont-elles simult
ns l'état suivant : altération et pâleur des traits, infiltration des
membres
abdominaux et du scrotum ; ascite ; dyspnée extrê
ation présentées à la Société anatomique. par M. Peltier, l'un de ses
membres
. XVIIIe LIVRAISON. 1 la paume de la main : do
ante communiquée à la Société anatomique par M. Sédillot, l'un de ses
membres
, répond parfaitement aux cas représentés fig. 1 e
e cérébrale qui dura plusieurs semaines. Pendant la convalescence les
membres
inférieurs s'œdématisèrent et un épanchement se f
difficile : le malade bredouillait; la bouche se dévia à gauche ; les
membres
droits s'engourdirent. Aubout de six semaines,
ents , mais sans perte complète de connaissance, sans contracture des
membres
et sans écume à la bouche. Cependant la vue resta
t de plus en plus marquée. La myotilité était presque abolie dans les
membres
droits qui étaient froids et infiltrés. Le 21 d
et abaissement de la commissure de ce côté. Paralysie incomplète des
membres
droits. $j Le jeune malade peut faire exécuter
Varticulation des sons difficile, la myotilité et la sensibilité des
membres
gauches sont intactes-La vue est également affaib
urbeuses, rares. Les jours suivants, affaiblissement progressif des
membres
droits ; déviation plus grande de la bouche; inte
s un cas présenté à la Société anatomique, par M. Nélaton , un de ses
membres
, la matière tuberculeuse était déposée autour de
ente, l'hémiplégie avec ou sans rigidité, la rigidité du tronc ou des
membres
; tels sont les symptômes qui ont été le plus habi
le trou sous-orbitaire. (i) Pièce pathologique donnée par M. Gaffe,
membre
de la Société anatomique. xviiie livraison. 1
té, mais point assez pour altérer sa consistance et sa couleur. Aux
membres
, la peau distincte recouvrait des muscles distinc
eds, et deux bras dans ee fœtus. Les téguments, les muscles, tous les
membres
, en un mot toutes les parties extérieures étaient
ons inguinaux des deux côtés s'engorgèrent bientôt : infiltration des
membres
abdominaux ; la malade s'épuisa graduellement et
es dans l'intérieur du thorax. Constipation opiniâtre. Bientôt les me
membres
inférieurs s'infiltrent.L'abdomen devient très do
imaient la veine cave pouvaient servir à expliquer l'infiltration des
membres
inférieurs. Les intestins présentaient quelques
retourna de même, et qu'elle n'accusait alors aucune douleur dans les
membres
. Le 10 février i834, la malade fut apportée à l'h
ture; ajoutez à cela que la malade, en désignant la partie interne du
membre
comme le point le plus douloureux, écartait un pe
malade n'eût accusé aucune douleur de tête, aucun affaiblissement des
membres
et n'eût présenté en un mot aucun symptôme de com
e pourra amener la déchirure de l'organe à la manière des muscles des
membres
inférieurs des scorbutiques qui se rompent par le
ulsifs épileptiformes dans la moitié gauche du corps, surtout dans le
membre
supérieur : le pouce de la main gauche reste très
sa rectitude naturelle; paupières abaissées ; pupilles dilatées; les
membres
du côté gauche sont dans un état de rigidité perm
résentées à la Société anatomique par M. le Dr. Montault, l'un de ses
membres
honoraires. 20me. Livraison, Pl. 4. Apoplexis
gauche n'a reçu aucune atteinte : la malade peut marcher, et les deux
membres
inférieurs paraissent ne présenter aucune différe
alade marchait en tremblant; qu'elle se servait également bien de ses
membres
supérieurs. Peu d'heures avant l'accident, elle a
uent. Le soir, contraction et relâchement alternatifs des muscles des
membres
; roulement des yeux dans leurs orbites ; teinte
oup perte complète de la connaissance et du sentiment. Résolution des
membres
droits. Rigidité des membres gauches. Ramollissem
aissance et du sentiment. Résolution des membres droits. Rigidité des
membres
gauches. Ramollissement hortensia d'un grand nomb
elle se plaignait de picotemens ou fourmillemens douloureux dans les
membres
affaiblis (côté gauche). Parfois ils augmentaient
beaucoup la malade. Appétit, mais point de changement dans l'état des
membres
. Pesanteur de tête; céphalalgie. Seconde saigné
s yeux injectés; point de déviation dans la commissure des lèvres. Le
membre
supérieur droit est dans un état complet de résol
omplet de résolution : soulevé, il retombe comme une masse inerte; le
membre
supérieur gauche est rigide et ne tombe que lente
le membre supérieur gauche est rigide et ne tombe que lentement. Les
membres
inférieurs étaient respectivement dans le même ét
ée, la respiration parut moins gênée, les raidissemens convulsifs des
membres
gauches furent moins fréquens. Néanmoins, les den
pâle à gauche. Perte complète du sentiment. — Rigidité rémittente du
membre
supérieur gauche; extension avec rigidité du memb
ité rémittente du membre supérieur gauche; extension avec rigidité du
membre
inférieur du même côté. Flaccidité des membres dr
ension avec rigidité du membre inférieur du même côté. Flaccidité des
membres
droits ; pouls naturel. Pendant la période de rig
et ramollissement à droite pour expliquer la rigidité rémittente des
membres
du côté gauche. Mais la différence qui existait
d'une manière graduelle; presque toujours aussi il y a rigidité des
membres
paralysés, ou plutôt alternative de rigidité et d
larité dans les symptômes qui fait que l'on trouve dans un instant le
membre
complètement paralysé, dans un autre instant le m
un instant le membre complètement paralysé, dans un autre instant le
membre
susceptible de quelques mouvemens; presque toujou
entre à l'infirmerie le i5 novembre 183a, avec un engourdissement des
membres
supérieur et inférieur du côté droit : cet engour
plications de sangsues et de purgatifs, le mouvement revient dans les
membres
paralysés, qui restent rigides. Le 5 décembre,
alle Saint-Antoine, n° 4, elle présenta l'état suivant : paralysie du
membre
supérieur droit; soulevé, ce membre ne tombe pas
nta l'état suivant : paralysie du membre supérieur droit; soulevé, ce
membre
ne tombe pas à la manière d'un membre inerte; il
re supérieur droit; soulevé, ce membre ne tombe pas à la manière d'un
membre
inerte; il présente une certaine rigidité. Le gra
Le 5, coma; pupilles également contractées; paralysie incomplète du
membre
abdominal droit, complète du membre thoracique. I
tractées; paralysie incomplète du membre abdominal droit, complète du
membre
thoracique. Il est douteux que le sentiment soit
et lente; le pouls est naturel. La malade remue de temps en temps les
membres
gauches. (20 sangsues aux jugulaires; lavement pu
videmment primitive. La paralysie avait porté principalement sur le
membre
supérieur; le membre inférieur était très imcompl
La paralysie avait porté principalement sur le membre supérieur; le
membre
inférieur était très imcomplètement paralysé, et
rait porté à conclure que le lobe antérieur préside aux mouvemens des
membres
supérieurs. J'avais diagnostiqué un ramollissem
timent et sur la rigidité légère du grand pectoral et des muscles des
membres
thoraciques. Je me fondais aussi sur ce que la pa
s membres thoraciques. Je me fondais aussi sur ce que la paralysie du
membre
inférieur parut nulle le premier jour, circonstan
très difficilement, et se plaignait de piquotemens habituels dans les
membres
affaiblis. Trois semaines avant son entrée à l'
nnaissance. Saignée : la malade revient à elle. On s'aperçoit que les
membres
gauches étaient plus affaiblis qu'avant cet accid
x côtés du corps. Point de myotilité, avec cette différence que les
membres
du coté droit sont résistans et presque passifs,
du coté gauche ont la flaccidité du cadavre, d'où je conclus que les
membres
gauches sont paralysés, tandis que la paralysie d
us que les membres gauches sont paralysés, tandis que la paralysie du
membre
droit paraît tenir à l'absence de volonté. La dég
après elles des douleurs dans les mâchoires et de la fatigue dans les
membres
. Je répétai celte expérience avec de légères diff
d’être renouvelé par M. P. Hedde devant l’Académie du Gard, dont les
membres
sont, jusqu’ici, restés étrangers à la question.
tendu avec le plus grand intérêt la lecture de ce mémoire. « Un des
membres
de l’assemblée a fait observer que? la science de
’il pourrait être utile que l’auteur rendît, s’il était possible, les
membres
de l’Académie témoins de quelques-uns des phénomè
pour renouveler quelques expériences devant un ou plusieurs de ses
membres
, suivant le plus ou moins d’aptitude des sujets s
entorse eut lieu. Malgré l’emploi des moyens exigés en pareil cas, le
membre
prit un volume considérable ; des douleurs aiguës
ortées tome Ier, page 422, du Journal du Magnétisme, est M. Chalande,
membre
de l’Athénée élec-tro-magnétique de Lyon. Le Co
ire. Ces lampes prêtes à s’éteindre vont se rallumer, le froid de ces
membres
où la vie ne va plus va cesser, le mouvement va r
p la limite tracée par la science : lorsque la vie s’est retirée d’un
membre
; lorsque tous les vaisseaux qui lui donnaient pa
groupes principaux, savoir : Premier groupe. — Chaleur ou froid des
membres
, accélération de la respiration, augmentation ou
cles de la face et quelquefois convulsions; céphalalgie, roi-deur des
membres
, dureté considérable des muscles qui servent à la
me groupe. — Sommeil artificiel profond ou léger, engourdissement des
membres
et du tronc ; difficulté, quelquefois impossibili
magnétiques extérieurs; deux offrent un commencement de rigidité des
membres
, de contraction musculaire, avec occlusion des pa
ain vers la région hypogastrique. Séance du 14 janvier. — Plusieurs
membres
lisent des rapports de guérisons de malades à eux
d’attraction magnétique. Séance du 8 janvier. — Réception de quatre
membres
stagiaires et examen de mesures adminstratives.
avocat. MM. De Chardnnnet. Bataille aîné. Jourdeuil. Viancin,
membre
de l'Aca-démie. Berthold. De Lorcy. Bernhei
ouvrer la raison. Dès qu’elle eut franchi le moment de résolution des
membres
qui séparait toujours chez elle l’état de veille
ui un « grand nombre d’expériences avec succès, et le pré-«sentai aux
membres
de l’Académie chargés de re- « connaître l'exac
igué de cette séance, qui a duré plus de trois « heures. Les médecins
membres
de l’Académie du « Puy (llaute-Loire) qui y assis
s l’avant-bras gauche, rarement ailleurs. Cette déviation imprime au
membre
un mouvement presque convulsif et détermine un su
ue des Ecritures, les hommes publ'îs, et surtout sur le caractère des
membres
de la famille et de leurs visiteurs. Dans ces dis
st atteinte d’un « rhumatisme universel ; elle ne peut remuer aucun «
membre
. (Vrai.) Cette dame a en outre une pleuré-« sie.
lles de persil, d’orties, et fleurs de gui-« mauve. 2 Septembre : les
membres
sont dégagés, « douleur lancinante à la base de
le tronc roide comme une barre de 1er, les mâchoires serrées et les
membres
agités de mouvements convulsifs. Je la transpor
n discours après le Banquet, qui sera ouvert à six heures. POUH LES
MEMBRES
DE I.A COMMISSION, BR1CE DE BEAUREGARD, Secrét.
détails qu’on reconnaît exacts. Séance du 28 janvier. — Un nouveau
membre
, M. Péreyra, de Tiflis, lit un long mémoire, dont
intérêt. Séance du \ \ février. — La Société admet au nombre de ses
membres
titulaires M. Gréa, ancien député du Doubs et mem
u nombre de ses membres titulaires M. Gréa, ancien député du Doubs et
membre
de la Société du Magnétisme. Il expose à la Socié
iences ont été faites une à une et successivement, sur la demande des
membres
de la société. La première de toutes et l’indis
r manifesté par l’assemblée, le phénomène d’attraction sur chacun des
membres
désignés. Cette expérience a eu un plein succès,
mmeil magnétique, de la catalepsie, et partant de l’insensibilité des
membres
magnétisés, a droit à la reconnaissance des homme
ambulisme, mais parfaitement éveillée ; qu’elle causait, comptait les
membres
de l'assemblée, sans s’aperce-voir qu'elle oublia
nement satisfaisants. En effet, je me suis assuré de la paralysie des
membres
; je me suis convaincu de la minutieuse peinture
’est que vanité ! » Voici un homme d’un rare mérite, comme écrivain ;
membre
de l’Académie de Médecine, ancien député, etc., e
gnotements fréquents de paupières, et de violentes secousses dans les
membres
thoraciques attestent que M"" Du-ménil est sous l
manifestésau sein de la Société. Séance du 5 mars. — Réception d’un
membre
stagiaire, M. Legenvre. M. Lovy lit le rapport qu
ce rapport que, pendant l’année qui vient de s’écouler, le nombre des
membres
s’est augmenté de vingt-sept, et que deux mille p
par MM. Girollet et Lacoste. Séance du 19 mars. — Réception de deux
membres
stagiaires : MM. A. Martin et J. de Clédat. ; M
Après réplique, on passe au vote, et M. le docteur Viancin est admis
membre
titulaire. Séance du 26 mars. — Sur sept magnét
ui de Broussais : *Il est pénible d'a-« vouer, dit le docteur Castel,
membre
de l'Académie • de Médecine, que ce système a r
e converti en loi, mais avec la « certitude qu’il deviendra, pour les
membres
qui « s’occupent de cette matière, l’objet des pl
la loi qui sera rendue ne remplira pas le but que se sont proposé les
membres
du Congrès médical de Paris. Non, jamais, quoi qu
de catalepsie et d’attraction partielle sans aucun contact et sirrÎes
membres
désignés. » Après ce discours, lecture a été do
ser notre opinion particulière; nous attendrons le rapport de MM. les
membres
do la commission chargés de surveiller l’exécutio
de Florival, professeur d'arménien à la Bibliothèque royale, est reçu
membre
titulaire. M. Simon relate la guérison d’une br
avril. — Coma magnétique avec insensibilité et roideur tétanique des
membres
thora-ciques obtenus sur une damo Agée; sur trois
date de ce premier banquet, de cette première l'ôte, afin que chaque
membre
de cette réunion en possédât un exemplaire. Il
monstration possible pour quiconque veut s’obstiner à nier. Témoin ce
membre
de l’Aca-démie de Médecine, M. Rochoux,, qui offr
essus: o Messieurs « Noël-Agnôs, sous-préfet; « Obet, d.-m. P.,
membre
correspondant de l’A-caxlémie royale de Médecine
t d'entendro leur magnétiseur et même d’en dépendre. Réception d’un
membre
stagiaire, M. Lefébure.' Séance du 23 avril. —
une extraction de dent faite sans douleor snr Mlle Dubois, sœur d’un
membre
de la Société. Dans la rédaction de ses statuts
pris naissance à la Salpètrière. Séance du 14 mai. — Réception d'un
membre
stagiaire, M. Bourdon , chimiste , préparateur du
cette séance un grand nombre de partisans du magnétisme. Plusieurs
membres
de la Société philanthropico-ma-gnitique témoigna
de oette science que par le souvenir de son père. Il était cependant
membre
résidant de la Société du Magnétisme. Banquet d
envers ceux qui ont concouru à cette œuvre fraternelle. — Tout les
membres
da banquet ont été convo- qués pour le 15 juin,
inouïs pour les ouvrir, mais la possibilité lui en manque; comme ses
membres
, sa volonté est enchaînée déjà. Dominée de plus e
freux!... ôte-moi ce tableau. Par lambeaux mon corps est déchiré, mes
membres
sont souillés; puis j’excite le rire d’hommes qui
uffoque. » Le magnétiseur passe les mains longitudinalement sur les
membres
; la somnambule cesse de s’agiter, son sommeil dev
ignore la vertu bienfaisante. Engage-le à promener ses mains sur tes
membres
roidis, sur ton abdomen gonflé, irrité par le mal
2i, était atteinte, depuis six ans, d’une paralysie rhumatismale des
membres
inférieurs. Traitée dans presque tous les hôpitau
ction forte et soutenue elle éprouva des douleurs fort vives dans les
membres
inférieurs, ce quelle n’avait jamais ressenti dep
si modifié, est communi-niqué aux instruments de l’appétit, de là aux
membres
îles extrémités qui déterminent l’homme à s’appro
sion mécanique qu’il aura apprise, à un certain âge puisse devenir un
membre
heureux et utile de la société civile. Ce sont
extension ou un supplément au code de l’éducation, et d’ailleurs tout
membre
de la république étant dans le cas d’administre
sera par une assimilation organique, en quelque sorte, qu’il se fera
membre
vivant et libre du grand corps de l’humanité. E
té et la liberté. La santé consiste dans l'accord des fonctions des
membres
et des viscères. L’homme jouit de la liberté qu
té et la liberté. La santé consiste dans l'accord des fonctions des
membres
et des viscères. L’homme jouit de la liberté qu
placer tous les moyens dans l’ordre de cette société dont il se fait
membre
sous la seule condition qu’elle contribuera à son
nfants, ainsi que les domestiques, ne sont à considérer que comme les
membres
: c’est donc ce chel seul qu'on doit appeler cito
ns pour leur exécution. La masse résultante de la liberté de chaque
membre
ou la réunion de tous les moyens nécessaires au b
La santé consiste dans l’accord des facultés, et des fonctions des
membres
et des viscères. La sûrété renferme donc la lib
; et l’homme attache l’une et l’autre à la s,p-eiété'dortt'fï se fait
membre
. La propriété peut être appelée originaire ou n
ments si divers, forme un tout homogène, nn corps unique, dont chaque
membre
isolé reçoit le contre-coup sympathique du membre
unique, dont chaque membre isolé reçoit le contre-coup sympathique du
membre
voisin. Cette masse, animée d’une'même-vie et dir
esprits ou remuant les cœurs, ébranle assez fortement l’âme de chaque
membre
isolé pour que le consensus résultant de la masse
qui pouvaient rendre ce vocable si différemment expressif pour chaque
membre
isolé de la foule, il est douteux que le mot de D
MÉRISME. Séance du 28 mai. — Travaux administratifs. Admission d’un
membre
stagiaire, M. Marchand. Séance du A juin. .— Hu
rits, etci, etc. mi; n Séance du il juin; —«• M. Farnault est admis
membre
(1 ) De l’amour. stagiaire. Discussions spéci
qui tomba bientôt pesamment à genoux. Ainsi privée de l’usage de ses
membres
, elle se mit à cracher sur quiconque l’approchait
sur le traitement magnétique des maladies de la matrice. Il est admis
membre
titulaire. Séance du 2 juillet. — M. Lefeburc l
male. Séance du 9 juillet. — Admission de M. Beaudoux au nombre des
membres
stagiaires. Séance du l(i juillet. — On tente d
un bras contracturé (cata-leptisé), dans l’intention de savoir si ce
membre
était encore sensible à 1 action du calorique, no
plutôt les individus en société ont établies et proposées à tous les
membres
qui la composent pour leur sûreté sont les lois.
sûreté sont les lois. Ces lois, qui émanent de la volonté de chaque
membre
, sont les résultats des conventions réciproques.
ont pour objet la sûreté des sociétés entières considérées comme dos
membres
individuels sont appelées la politique externe.
is qui règlent les intérêts, les actions et les habitudes de tous les
membres
qui composent une société sont les lois civiles o
et des autres. L’homme qui fait cette application est le juge. Tout
membre
dans la société doit être juge de ses propres act
rfection, la société confie le ministère de la justice publique à des
membres
qu’elle suppose les plus éclairés et les plus sag
té consiste dans la force et le pouvoir suprême de soumettre tous les
membres
aux lois. Comme elle n’.est que l'exercice ou la
istes; les pauvres, moins nombreux, étaient quakers, anabaptistes, ou
membres
des autres sectes comprises sous la dénomination
Qui osera conseiller et qui voudra prendre pareils remèdes? Plusieurs
membres
pensent que ce livre sera funeste aux deux scienc
ique, l’insensibilité, etc. Séance du \"r juillet. — Réception d’un
membre
correspondant, M. Clapier; admission de deux memb
— Réception d’un membre correspondant, M. Clapier; admission de deux
membres
titulaires, MM. Derrien et Smith. Séance du 8 j
sans beuucoup de succès. Scance du 11 juillet. — Réception de trois
membres
, MM. Thuillier, Dumont et Morot. Séance du 22ju
dur, en effet, pour des hommes que la science compte au nombre de ses
membres
les plus haut placés, d’avouer qu’ils ignorent qu
BIBLIOGRAPHIE. Essai sur le magnétisme vital, par M. Pli. Hedde,
membre
de plusieurs sociétés savantes. St-Elienne, 1816.
sibilité, à l’Hôtel-Dieu, à la Charité et au Val-de-Grâce, devant les
membres
de l’Académie de médecine, par de célèbres médeci
n, pour s’assurer de l’insensibilité (1) Professeur de philosophie,
membre
de la Légion-d’Honneur. du sujet, lui plonge br
notes prises avec une scrupuleuse exactitude par M. Che-vrel, avoué,
membre
du conseil d’arrondissement et du conseil municip
veur des finances, ancien sous-préfet de Cherbourg. — Obet, D.-M.-P.,
membre
corres- pondant de l’Académie royale de médecin
febvre, ancien directeur des constructions navales. — Chcvrel, avoué,
membre
du conseil d’arrondissement et du conseil municip
il municipal. — Le Seigneurial, juge d’instruction au tribunal civil,
membre
du conseil d’arrondissement. — L’abbé Fafin, aumô
ie. — De Serry, ingénieur des ponts et chaussées de l’arrondissement,
membre
du conseil municipal. — Des Rives, sous-intendant
— Quernel, capitaine de corvette. — Ludó, greffier du tribunal civil,
membre
du conseil municipal. — Mangin, ingénieur de la m
gnétique animal. Pour la première démonstration, je prierai MM. les
membres
de l’Athénée qui ont des somnambules de les inter
c Observation. — Supposons un mal local, par exemple une brûlure : un
membre
est en santé; lo fluide y circule librement d’un
te, de l’huile ou un corps brûlant quelconque touche une partie de ce
membre
, il établit au point de contact un pôle insolite
é et l’intelligence de l’homme. Je dirai encore que la polarité des
membres
correspondants a été reconnue par un grand nombre
du magnétisme et surtout de Mesmer. Un feu secret parcourait tous ses
membres
et les animait; sa prunelle devenait brillante, e
t prononcé unanimement pour l'affirmative. Quant au second, plusieurs
membres
, se basant sur leur expérience personnelle et cel
isme, est due en grande partie aux efforts de M. le doctéur Camélias,
membre
des Sociétés du mesmérisme et philanthropico-mayn
Dix minutes s’étaient à peine écoulées que la résolution complète des
membres
s’opéra; la contracture musculaire et les mouveme
ant être apportées à sa constitution et sa base élargie, la lisle des
membres
et la nature des travaux seront ultérieurement pu
l’avis qui nous en est donné par M. le secrétaire : « ....Dix-sept
membres
sur environ vingt souscripteurs étaient présents.
n vingt souscripteurs étaient présents. On a procédé à l’élection des
membres
du bureau, qui est ainsi composé: « MM. Gerraut
ra ne ressentir d’autre effet qu’une lassitude générale dans tous les
membres
; peu d’instants après, elle s’endormit naturellem
en moins de cinq minutes. La catalepsie, la rigidité tétanique des
membres
, pro duitesen premier lieu,surprirent étrangement
ile 1 engagement d’élever leurs enfants de manière à en devenir des
membres
utiles et heureux. On doit donc établir une for
A développer et à exercer successivement tous les mouvements dont ses
membres
sont susceptibles. La perfection des organes de
ns possibles de leur usage (1). La perfection des mouvements de ses
membres
consiste : 1° Dans la facilité ; 2° Dans la j
ière de faire tous les mouvements et tous les essais possibles de ses
membres
; 3" Qu’il puisse apercevoir de nouveaux objets
ion de toute société consistant dans l’harmonie, il faut que tous les
membres
qui la composent soient en proportion entre eux ;
naturelles; que toutes les actions deviennent réciproques, et que les
membres
de cette société éprouvent le retour ou le reflet
re objet à remplir que d’ordonner et de maintenir l’égalité entre les
membres
de la société, et ils auront tout l'ait pour la l
uart d’heure, sur la voie publique. M. Lefébure, herboriste, est reçu
membre
titulaire à la suite d'un examen capacilaire. S
ion spéciale. Séance du 8. — Admission de M. Roigneau au nombre des
membres
stagiaires. Lecture du procès-verbal de la dern
diriger vers les ganglions épigastriques. Séance du22. — M. Dubois,
membre
stagiaire, présente et soutient sa thèse pour l’o
e de titulaire, qui lui est conféré à 1 unanimité. Ensuite sont reçus
membres
stagiaires MM. Houüer, llortolan, Clerget, de Col
Séance du 5 novembre.— Discussions réglementaires. Admission comme
membres
stagiaires de MM. Gentil, Poullain, Lange et Schw
pour faire plus quelle, ne l’a pas môme nommé à une de ses places de
membre
correspondant ! « Mais le mal est bien plus gra
faits somnambuliques, elle s’était montrée partiale; plusieurs de ses
membres
, on doit le leur reprocher aujourd’hui, agirent c
r la place où avait été le marchand, fut prise de mouvements dans les
membres
; son cou éprouva aussi un vif mouvement de rotati
assez facilement, mais provoquent de la dou- leur dans le cou. Les
membres
supérieurs présentent quelques mouvements d'ens
ents bornés d'expansion. La paralysie du mouvement est complète aux
membres
inférieurs. La sensibilité à l'épingle est cons
ux membres inférieurs. La sensibilité à l'épingle est conservée aux
membres
supé- rieurs et à la partie supérieure du tronc
ement abolie au-dessous de cette ligne et sur toute l'étendue des
membres
inférieurs. L'excitation de la plante des pieds a
tation de la plante des pieds avec l'épingle provoque dans les deux
membres
inférieurs des mou- vements réflexes assez éten
cathétérisme est renouvelé le soir. 2° jour. - Les mouvements des
membres
supérieurs sont un peu plus étendus, mais toujo
és aux muscles des épaules; la respiration est diaphragmatique ; le
membre
infé- rieur gauche présente quelques légers mou
e côté droit du thorax. Les mouvements sont un peu plus étendus aux
membres
supérieurs ; du côté gauche, il peut, avec diff
és au point do ne permettre que très difficilement l'écartemcnt des
membres
. Le malade a pu uriner un peu dans le bassin, e
mouvements sont les mêmes. Il se produit de temps en temps dans les
membres
inférieurs des secousses qui retentissent vers
urs un peu dans la vessie ; elle est neutre et un peu louche. Aux
membres
supérieurs, douleurs spontanées jusqu'au COMMOT
PINIÈRE. 7 poignet à droite, jusqu'au métacarpe à gauche. Sur ces
membres
, le toucher avec le doigt et la piqûre à l'épingl
nsation du toucher; anesthésie et analgésie à la face plantaire. Au
membre
inférieur gauche le pincement et la piqûre donn
la face antérieure de la cuisse. L'application d'un corps froid aux
membres
supérieurs donne la sensation normale,; sur le
u à la plante des pieds. Les mouvements sont un peu plus étendus au
membre
supé- rieur gauche, persistance de la contractu
ls sont plus accentués. La perception des tempé- ratures existe aux
membres
inférieurs, mais un peu obtuse. Inertie de la v
à la cuisse gauche. Les mouvements continuent à s'accentuer dans le
membre
inférieur gauche. L'urine fraîche est neutre ;
itrate de bismuth. 1 le jour. Les douleurs sont plus fortes dans le
membre
supérieur droit; elles arrachent par moments de
e l'avant-bras peut seule s'exécuter faiblement. Les mouvements des
membres
inférieurs continuent à augmenter d'étendue et
ION DE LA. MOELLE ÉPINIÈRE. 9 Les douleurs profondes persistent aux
membres
supérieurs. L'hyperesthésie a notablement dimin
le froid ne donne que la sensation du toucher. Secousses dans les
membres
inférieurs, avec retentissement dans les bras ;
ocher les bras du tronc. 19° jour. - IIyperesthésic des muscles des
membres
infé- rieurs, surtout à la cuisse droite. 0 gr.
10 PATHOLOGIE NERVEUSE. Il soulève à une assez grande hauteur le
membre
inférieur gauche, mais il ne peut que détacher
ent revenue partout. La sensibilité thermique est encore obtuse aux
membres
inférieurs. 39° jour. - Urines beaucoup moins t
du côté droit. Contractilité plus déve- loppée dans les jumeaux.
Membre
supérieur droit : à la région antérieure de l'ava
ontraction énergique dans le biceps, assez forte dans le triceps.
Membre
supérieur gauche : contractions énergiques aux
extenseur commun se contractent énergiquement des deux côtés. Aux
membres
supérieurs la contractilité est bien développée
matin, persistance de la raideur des jambes ; les mouve- ments des
membres
inférieurs provoquent des douleurs dans le bass
lanci- nantes qui déterminent des contractions involontaires. Les
membres
supérieurs ne présentent rien de particulier, sau
rile et frissons. Température à 3cJ°,4.. Ce matin, la raideur des
membres
inférieurs est plus pro- noncée, les mouvements
Température du matin, 38°; du soir, 38°,7. 56° jour. La raideur des
membres
a augmenté et les mouvements sont encore plus l
de douleurs, avec sentiment de constriction autour de la racine des
membres
inférieurs et 'du bassin. Ces accidents ont déb
nu à son état antérieur ; il y a cependant plus de raideur dans les
membres
. 98° jour. Nouvel accès de fièvre avec frissons
men. Même impossibilité d'imprimer des mou- vements volontaires aux
membres
inférieurs ; mouvements très limités aux bras e
r, 38 ? 1.. 125° jour. - Quelques mouvements volontaires dans les
membres
supérieurs, surtout à gauche. Température du ma-
du soir, d'un nouvel accès fébrile avec tremblement très accusé des
membres
supé- rieurs. Il accuse, à la face postérieure
avec COMMOTION DE LA. MOELLE ÉPINIÈRE. 15 tremblement violent des
membres
supérieurs. Douleurs vives à la face antérieure
isite, le malade est pris d'un frisson avec tremblement violent des
membres
; il accuse la sensation d'un froid intense. La
également disparu : il n'existe plus que des mouvements limités du
membre
supé- rieur droit dans son ensemble : les orbic
uvements involontaires dans les muscles de la face, du tronc et des
membres
, mouvements qui n'ont fait que s'accroître et d
parler. A l'âge de neuf ans, M"° X... a commencé a avoir dans les
membres
et la face des tics choréiformes, des secousses i
Pas de troubles appréciables de la sensibilité, pas de parésie des
membres
. M. le professeur Pitres nous écrit, en outre,
bande roulée, à un accident, est l'injection sous-cutanée dans les
membres
avec les précautions qu'elle exige. « Les mal
ain gauches. DE l'hystérie. 55 Si, fermant ses yeux, on place les
membres
gauches de la ma- lade, étendus ou fléchis, dan
l'aide de sa main gauche, on voit qu'elle s'y trompe. L'examen des
membres
droits donne des résultats opposés. Sensibilité
- tômes, ses extrémités sont le siège de convulsions, surtout les
membres
droits et les membres pelviens plus encore que le
tés sont le siège de convulsions, surtout les membres droits et les
membres
pelviens plus encore que les membres thoracique
ut les membres droits et les membres pelviens plus encore que les
membres
thoraciques. Ces convulsions sont toniques. Ces d
t réalisé, soit des grands mouvements désordonnés dans lesquels les
membres
sont éloignes de son corps, en jetant au loin l
e dans l'acte d'une personne qui va éternuer. De temps en temps les
membres
thoraciques sont agités de mouvements rapides e
s et de toux de courte durée et présente très peu de mouvements aux
membres
; les attaques de celte catégorie ne dépassent g
es cervicales s'accompagne généralement d'atrophie mus- culaire des
membres
supérieurs, d'abord des interosseux, puis 62 RE
la fièvre typhoïde et sa convalescence. L'anémie ar- tificielle des
membres
inférieurs par la bande d'Esmarck ne sup- prime
est la peau de la face qui présente la plus grande sensibilité; les
membres
inférieurs sont moins sensibles que les membres
sensibilité; les membres inférieurs sont moins sensibles que les
membres
supérieurs, et la surface des mains et des pieds
s le dos, des secousses dans tout le corps, fourmillements dans les
membres
, surtout dans les inférieurs et fréquence de la
lentes dans les jambes; il lui semble aussi qu'on a rac- courci ses
membres
inférieurs. En même temps, la température s'élè
cussions qui ont eu lieu, cette commission ne soit composée, que de
membres
n'ayant pas jusqu'alors émis leur avis dans la
male ; cette augmentation existe quand les mouvements imprimés au
membre
par le clinicien lui donnent, chez un patient qui
hez un individu sain soumis au chloroforme dont on fait mouvoir les
membres
(ab- sence de tonus), et les sensations de rési
sseaux, il produit une réplétion exagérée du système vasculaire des
membres
inférieurs, il dégage la tête; d'où la diminuti
Allg. Zeilscha. f. Psyrli. XLI, 1.) P. KÉRAYAL. XVIIe CONGRÈS DES
MEMBRES
DE LA SOCIÉTÉ DES ALIËMSTES DE LA BASSE-SAXE ET
entités morbides, une sensation de douleur et de pesanteur dans les
membres
empêche les patients de marcher. Elles sont par
es idées fixes. La lassitude, le besoin de sommeil, la lourdeur des
membres
, qui parfois se montrent au début, résultent de
lle révèle une contradiction presque unanime de la part de tous les
membres
présents. L'opium est loin de fournir des résul-
re l'abus du T.l3C. La Société contre l'abus du tabac vient d'élire
membres
de son bureau pour 188 : i : Président, M. Decr
, et il s'y joignit également des douleurs dans la tête et dans les
membres
. Il y eut une insomnie presque complète, du ref
va graduellement de l'engour- dissement et de la faiblesse dans les
membres
inférieurs. Les troubles de l'ataxie se caracté
ibilité -générale ou spéciale. L'atrophie musculaire envahit- les `
membres
? supé- rieurs. ' ' '" " - < ' ? W. Robert
guissant et graduellement, à partir de ce moment, les muscles des
membres
supérieurs s'atrophient, les bras perdent leur
un bras, tantôt dans un bras et une jambe, tantôt dans les quatres
membres
. Ces mouvements rhythmés se manifestaient toujo
'hui encore quand ils sont très intenses et envahissent les quatres
membres
, le malade tourne sur lui- même et tombe; mais
ves est dans l'étendue des mouvements qui peuvent être limités à un
membre
, ou se montrer sous la forme hémiplégique, ou s
crises un peu importantes et encore il n'y a pas eu d'agitation des
membres
inférieurs, ni de paroles invo- lontaires ; tou
cousses musculaires débutent le plus souvent par la face ou par les
membres
supérieurs; généralement l'un de ces derniers e
sion : les sterno-mastoïdiens l'inclinent de côté et d'autre. Les
membres
inférieurs ne tardent pas à être enva- his à le
le plus souvent sur l'en- semble des muscles de l'un ou de l'autre
membre
, sou- vent des deux à la fois. Le malade frappe
les contractions musculaires limi- tées, soit à la face, soit à un
membre
,- soit l'associa- tion particulière de celles-c
u- tenue pour empêcher l'alimentation, lorsqu'elle siège dans les
membres
supérieurs, par exemple, ou la marche lorsqu'el
es supérieurs, par exemple, ou la marche lorsqu'elle siège dans les
membres
inférieurs. Quant à l'état mental, il est parfa
pendamment d'une cause connue, et même coexister chez différents
membres
d'une même famille; c'est alors que les difficu
chorée de Sydenham, des contractions des muscles de la face ou des
membres
, indépendantes les unes des autres, de même ces
, tantôttléchi dans la paume de la main, les autres doigts fléchis.
Membres
inférieurs dans l'extension in- complète ; pied
onvulsions téta- nitbrmes de la face à droite, puis dans les quatre
membres
, avec légère prédominance adroite. Période clon
oite. Période clonique : peu accentuée; quelques secousses dans les
membres
surtoutdans la jambe droite; pâleurde la face t
rait flasque dans tous les iiiotivements. - Pat-al3,sie complète du
membre
supérieur droit, avec raideur de toutes les art
fortement Ilécliis, le pouce eu dessus. Para lysie moins marquée du
membre
inférieur, qui est en demi flexion, raideur art
e 1878 : aphasie transitoire ; contracture du côté hémiplégique, le
membre
supérieur dans la flexion, le membre inférieur
ure du côté hémiplégique, le membre supérieur dans la flexion, le
membre
inférieur dans l'extension avec pied équin varus.
flexes tendineux ; diminution du sens de la température dans les
membres
inférieurs, avec un peu d'exagération de la sensi
constater, consistent ici dans la perte de notion de situation des
membres
et dans l'impossibilité de tirer la langue, bie
pa- rébie très accusée de la- jambe du même côté (atrophie de ces
membres
), un nystagnius horizontal des deux yeux avec str
complète après l'élongation du nerf médian. Pour en finir avec le
membre
supérieur citons encore quelques observations s
de courte durée pour une épilepsie débutant par des crampes dans le
membre
inférieur. Après la traction, les intervalles a
lent sur la nuque, une paraplégie subite se déclare dans les quatre
membres
, sans que les par- ties molles paraissent aucun
nt le caractère de symptômes inflammatoires et que la paralysie des
membres
ne vint que peu à peu dans les derniers temps d
s voyons l'anesthésie épargner la partie supérieure du tronc et les
membres
supérieurs, lorsque la paralysie motrice y est
urs. Je revis le malade le 2 décembre 1884, et je trouvai tout le
membre
supérieur droit notablement amaigri. Le relief de
; la main tremblait en écrivant. La sensibilité était intacte. Le
membre
inférieur correspondant ne présentait aucune ap
e temps, il ressentait de l'engourdissement et des douleurs dans le
membre
inférieur droit. Il lui semblait aussi sentir
: 1° que, outre la contracture et un certain degré d'alhétose, les
membres
du côté paralysé, ainsi que la moitié correspon
ce de M. FOVILLE. M. le Président annonce à la Société qu'un de ses
membres
, M. G. Ballet, vient d'être nommé médecin du bu
rts de MM. Christian et Garnier, MM. Camu- set et Mairet sont nommé
membres
correspondants. M. Motet, qui, dans la précéden
isdea. Sa famille, véritable type d'hérédité morbide, compte treize
membres
, dont deux générations; presque tous sont fous;
ar le gouvernement, du bourgmestre, du pasteur et d'un ou de deux
membres
de la commune de Gheel. Cette commission nomme un
ommune de Gheel. Cette commission nomme un comité permanent de cinq
membres
qui, sous la présidence du bourgmestre, choisit
inévitablement prévue et de faire rentrer ces malheureux parmi les
membres
actifs de la société humaine. Discussion :
s alle- mands à Berlin en 1866; c'est sur la demande de plusieurs
membres
de cette dernière, qu'elle fut constituée en tant
défunts, Boettger, Kceppe, Weyert. Elle a compté dans son sein 105
membres
, dont 4 sont sorlis et 15 sont morts. Toutes le
uvellera désormais le bureau chaque année, en le composant de trois
membres
chargés de conduire alternativement chacune des
iatrie et aux sciences adjuvantes un mou- vement de progrès. 2" Les
membres
seront des médecins, ils se conformeront aux st
des médecins, ils se conformeront aux statuts, seront élus par les
membres
delà société; on pourra également, dans les mêm
été; on pourra également, dans les mêmes conditions, admettre des
membres
non médecins. 3° Organisation. Le bureau se compo
crétaire. Il préparera l'ordre du jour de la séance, convoquera les
membres
quatorze jours avant sa tenue, rédi- gera le pr
avant sa tenue, rédi- gera le procès- verbal, établira la liste des
membres
et provoquera les éléments de travail. On admet
lieu que par l'assemblée générale, à la majorité des deux tiers des
membres
présents. 7o Addition du 15 juin 1883. Le temps d
mal qui demeure au repos dans sa niche, troubles de la motilité des
membres
postérieurs, perte de la no- tion de position d
nt commencé leur apparition. Deux chiens sont soumis à l'examen des
membres
de la Société. L'un d'eux est arrivé à un degré
de Thomsen 1. M. REMA&. La raideur congénitale spasmodique des
membres
décrite par Rupprecht chez les enfants idiots d
ssent au grand gymnase, où on complète l'assou- plissement de leurs
membres
par des mouvements d'ensemble cadencés et rhyth
M. INDEX bibliographique Contribution à l'étude des névralgies du
membre
supérieur; par TURBERT. (Thèse de Paris, 1884.)
Devoisins, Jac- quemart, Legendre et John Lemoine, 244 diplômes de
membre
associé honoraire, 29 médailles d'argent, 265 m
ire, 29 médailles d'argent, 265 médailles de bronze, 14 diplômes de
membre
titulaire et 421 diplômes de témoignage de sati
hode d'observation et d'expérimentation. Elle se compose : 1° de 30
membres
titulaires résidants à Paris; 2° de membres cor
se compose : 1° de 30 membres titulaires résidants à Paris; 2° de
membres
correspondants dans les départements. Le bureau
rétaires, MM. Ch. Féré et E. GLEY ; trésorier, M. FERRARI. Pour les
membres
correspondants, la cotisation annuelle est fixé
mentales. « Le Dr Prosper Lucas était le frère de M. Charles Lucas,
membre
de l'Académie des sciences morales et politique
es. La médecine aliéniste perd en M. le Dr Prosper Lucas, un de ses
membres
les plus éminents, un esprit distingué et érudi
a charité. 448 FAITS DIVERS. LeD'Hurel était officier d'académie,
membre
correspondant de la Société de médecine légale
aculté de Médecine et autres compagnies dont l'illustre Pinel était
membre
. La fête se terminera par un banquet offert par
sous le nom d'état d'in- conscience), par Pick, 261. Congrès des
membres
de la Société des aliénistes de basse Saxe et
aladies mentales à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNAN
Membre
de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
nu- tion de poids de 2 kilogrammes) ; quelques secousses dans les
membres
. 13 juin. Tremblement presque continuel des mem
sses dans les membres. 13 juin. Tremblement presque continuel des
membres
supé- rieurs. 14 juin. - Persistance du tremb
crétion pathologique. L'anus et les ais- selles sont glabres. Les
membres
sont petits, gros, épais et relativement courts p
t est moins accusée chez elle querellez les malades précédents. Aux
membres
supérieurs, nous n'avons à noter que l'épaissis
érieurs, nous n'avons à noter que l'épaississement des mains. Aux
membres
inférieurs signalons une légère incurvation à con
pour un rien, est très énervée et mange moins. Secousses dans les
membres
supérieurs. 14 juin. Les secousses continuent d
es membres supérieurs. 14 juin. Les secousses continuent dans les
membres
supérieurs. Inappétence, vomissements. Suspensi
persistance de la fontanelle antérieure, la déformation des os des
membres
, l'état particulier des os 2, etc.), sur le sys
cas d'un enfant de six ans, atteint de parésie doulou- reuse ; des
membres
, consécutive à une rougeole considéré d'abord c
ns un têt cas. II. Atrophie primitive des muscles du tronc et des
membres
; par 13.RLO ? C'est un cas de paralysie de Erb
ns, de la paresse vésicale, de la dysurie, de l'affaiblissement des
membres
. P. K. 5"6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XX
ir écrire. Il présenta en avril 1891 une parésie passagère des deux
membres
inférieurs et du bras droit qui disparut bientôt.
IV, 1895.) On fait une première fois agir sur le centre moteur d'un
membre
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 55 (du singe) l
On extirpe alors tous les points excito-moteurs en rapport avec le
membre
en question, et on laisse l'animal au repos. Il d
ce par une éponge, provoquera des contractions convulsives dans les
membres
de la moitié opposée du corps. De plus, au vois
, pour obtenir des contractions marquées des groupes musculaires du
membre
en question privé cependant de ses centres cort
ou puis la hanche droite. Au bout de sept mois elle s'étendait au
membre
supérieur du même côté; enfin la parole devint di
la fatigue, le REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 61J léger tremblement des
membres
, la céphalalgie, les douleurs mus- culaires gén
er les idées par des gestes de la main gauche sont conservés. Ni le
membre
inférieur droit, ni les membres inférieur et su
la main gauche sont conservés. Ni le membre inférieur droit, ni les
membres
inférieur et supérieur gauches ne participent à
ts : Dr Stumpf, professeur à la Faculté de philosophie à Berlin, et
membre
de l'Aca-' démie des sciences, Berlin W., Nùrnb
e temps, elles recevront gracieusement le journal avec la liste des
membres
et un exemplaire des rapports officiels. Cette
illet d'entrée aux fêtes diverses qui auront lieu en l'honneur 'des
membres
du congrès. Le journal paraîtra en quatre num
scours à tenir, les divertissements qui sont projetés, la liste des
membres
du congrès et enfin un aperçu des galeries et d
pport lu dans les sections est fixée à vingt mi- nutes au plus. Les
membres
qui voudront prendre part aux dis- cussions son
hension du rapport. Quant aux détails du programme des travaux, les
membres
du comité local donne- ront volontiers tous les
re de ces sociétés était pour toute la Belgique, de 952 avec 16,307
membres
. Ne trouvez-vous pas que le besoin d'un ltobyns
amais. Les douleurs, très accu- sées à la face, affectent aussi les
membres
, avec une certaine prédominance pour le côté ga
sujet à des hallucinations unilatérales du sens du toucher dans le
membre
supérieur gauche. Il lui semblait parfois que s
semble pas téméraire de penser que le malade, ayant éprouvé dans le
membre
supérieur gauche des sensations mor- bides, les
nvolontaires qui d'abord limités à la tête s'étendirent bientôt aux
membres
. On la vit faire semblant de jouer du piano, du
eut être soudain. Vacances. LE PRÉSIDENT déclare la vacance de deux
membres
titulaires. Election du bureau. Le bureau se
ntéresser plusqu'ils ne nous regarderaient s'ils s'étaient cassé un
membre
avant de commettre'un crime. Qu'on les enferme
enant des communes ou du département. , Sur les observations d'un
membre
du conseil, M. Clauzet, que le projet adopté do
e et est un peu déviée à droite. Il a un nystagmus très accusé. Les
membres
supérieurs sont en général faibles, mais le bra
a main gauche est presque impossible. La sensibilité générale des
membres
supérieurs est conservée, quant à]la main droit
blesse des muscles abdominaux, ne pré- sentent aucune anomalie. Les
membres
inférieurs se trouvent dans la situation suivan
Puberté : visage glabre ainsi que les aisselles, le tronc et les
membres
. Rien au pénil ni aux bourses qui sont pendantes,
lade présentait les tremblements généraux de l'incoordination des
membres
qui accompagnent souvent ces lésions, que Luciani
uand le réflexe est suffi- samment actif, car alors la position des
membres
est indifférente ; mais, dans les cas douteux,
malade soit par des questions, soit par des mouvements imposés des
membres
supé- rieurs pour se mettre en garde contre les
culaire considérable; anesthésie marquée de -certaines PORTIONS DES
membres
; PERTE DE l'irritabilité faradique, ET réactio
des muscles de la face : puis les bras, le corps et finalement les
membres
inférieurs ontélé successivementenvahis. Les spas
l, les mouvements des extrémités infé- rieures sont entravés et les
membres
inférieurs refusent d'obéir aux impulsions qui
e manifeste à l'occasion des mouvements volontaires des muscles des
membres
et de ceux des yeux, du larynx et de la langue.
par une diminution de la sensibilité aux frôlements, tandis qu'aux
membres
supérieurs c'est la sensibilité à la douleur et
dirent et l'acromé- galie s'établit graduellement, d'abord dans les
membres
inférieurs, puis à la tête, finalement dans les
in de profession), il a éprouvé des sensations désagréables dans ce
membre
envahissant bientôt les autres extrémités et le
pasmodique s'établit définitivement, les contrac- tures gagnent les
membres
supérieurs où l'atrophie est très mar- quée, ta
trophie est très mar- quée, tandis qu'elle est légère seulement aux
membres
inférieurs. Les sphincters ont recouvré leur in
oteur ocu- laire externe d'un côté, coïncidant avec une parésie des
membres
du côté opposé, et d'autre part des symptômes i
contractions douloureuses et de troubles sensitifs variés dans les
membres
inférieurs, consistant principalement en une défo
s même sont féminins. Les malheureux qui y sont sujets adorent le
membre
viril, mais d'un amour idéal, souvent désintéress
et ils immobilisent en quelque sorte et presque complètement un des
membres
de la famille, alors que dans les asiles, une p
cotisation, au secrétariat général. Les souscripteurs devien- dront
membres
. adhérents et recevront gratuitement le volume de
au congrès. ART. 4. - Les séances du congrès sont publiques. Les
membres
du congrès ont seuls le droit de voter ou de pr
auteurs et n'en- gagent en aucune façon le bureau. ART. 6. - Les
membres
du congrès qui désireraient faire insérer le ti
s environ, et s'est montré, après un fort refroidissement. Chez les
membres
de la famille du palient, on n'a observé aucune
paralysée. Le patient se plaint de douleurs et de faiblesse dans le
membre
supérieur gauche. Les douleurs sont parfois si
si intenses qu'elles empêchent le sommeil. Le degré de faiblesse du
membre
est tel que tout mouvement est impossible. Parf
ut mouvement est impossible. Parfois des convulsions se montrent au
membre
atteint. A l'examen du malade on constata : u
, elle est seulement un peu lente et traînante. Les mouvements du
membre
supérieur droit sont normaux; le membre supérie
înante. Les mouvements du membre supérieur droit sont normaux; le
membre
supérieur gauche pend inerte le tons du tronc. Le
rouve aucune douleur pendant la pro- duction de ces mouvements. Aux
membres
inférieurs on ne note aucune modification, sauf
ent des pieds. Abolition des réflexes tendineux et périostiques aux
membres
supérieurs, diminution notable aux membres infé
neux et périostiques aux membres supérieurs, diminution notable aux
membres
inférieurs. Force musculaire de 90 kilogrammes
ut au bras et à l'avant-bras gauches. Toute la partie supérieure du
membre
semble plus amaigrie que la partie correspondan
eure du membre semble plus amaigrie que la partie correspondante du
membre
du côté opposé. ÉTUDE ANATOMO-PATHOLOG1QUE DE
citabilité électrique est diminuée pour les muscles et les nerfs du
membre
supérieur gauche dans les limites de 1 à 2 mil-
cence. Affaiblissement de l'excitabilité mécanique des muscles du
membre
supérieur gauche. Diminution de la sensibilité cu
he du corps; la sensibilité au contact est conservée par places. Au
membre
supé- rieur gauche, il y a abolition presque co
t indolores à la pression. Pour se rendre compte de l'irrigation du
membre
supérieur gauche on a retiré une gouttelette de
a face dorsale des deux mains. L'examen a démontré que le sans du
membre
droit, sain, contient 85 p. 100 d'hémoglobine. Le
ports des globules blancs aux rouges était de 1 : 2 200. Le sang du
membre
gauche, malade contenait 95 p. 100 d'hémoglobin
e lorsque la température ambiante baissait de 3°, la température du
membre
supérieur droit baissait de 0°,6, celle du membre
la température du membre supérieur droit baissait de 0°,6, celle du
membre
gauche de 2°,6. L'appareil régularisaleur était
complètement détruit et les conditions de la perte en calorique du
membre
atteint étaient les mêmes que pour un corps mort.
ôt se montra un épuisement progressif de l'organisme, un oedème des
membres
inférieurs, une augmentation de l'oedème et de
oedémateux est resté tel quel. Après avoir enlevé la peau des deux
membres
supérieurs, ce qui frappe surtout c'est la diff
qui frappe surtout c'est la différence du calibre des vaisseaux des
membres
gauche et droit; les artères du membre gauche s
u calibre des vaisseaux des membres gauche et droit; les artères du
membre
gauche sont notablement plus étroites que celle
tères du membre gauche sont notablement plus étroites que celles du
membre
droit; les veines, au contraire, sont légè- rem
contraire, sont légè- rement dilatées. En examinant les artères du
membre
atteint depuis la main jusqu'à la sous-cldvière
erfs des extrémités supé- rieures, la peau des différents points du
membre
atteint au-dessus et au-dessous des parties oed
et sympathiques. Il en est de même pour les gros troncs nerveux du
membre
malade, sauf pour le nerf cubital ; sur des cou
a fait suite à une paralysie, une parésie ou une contracture des
membres
atteints. Les mêmes symptômes cardinaux ont été
n de la température, et le cas de Gajkiewicz où la tempéra- ture du
membre
atteint oscillait tantôt au-dessus, tantôt au-
atteint oscillait tantôt au-dessus, tantôt au- dessous de celle du
membre
sain; dans tous les cas, disons-nous, l'oedème
du professeur Charcot la différence dans la température des deux
membres
atteignait 4ouzo ; dans les cas de Bosit cette di
ité des cas, de même que dans le mien, l'oedème n'occupe qu'un seul
membre
et siège toujours à son extrémité. La durée d
ehors du traumatisme, de paralysie, de parésie ou de contracture du
membre
atteint. Ces phénomènes - seuls créent déjà des
r. Les conditions de stase ou d'oedème sont donc favorisées dans un
membre
immobilisé par la paralysie ou la contracture.
eflux du sang veineux, telles que le massage, la position élevée du
membre
, ne peuvent plus rétablir l'équi- libre rompu é
eut dans aucun cas expliquer les troubles paraly- tiques de tout le
membre
; d'autre part il n'y a aucune donnée pour l'or
u'en massage, en gymnastique active ou passive, en enveloppement du
membre
malade afin de diminuer la perte de calorique o
é encore aggravées par les mariages qu'ont contractés entre eux les
membres
les plus faibles de la population et par la pro
La loi demande à savoir à quel moment une personne cesse d'être un
membre
utile de la société, et elle hésite à entraver la
cquérir, de sorte qu'il peut y avoir perte fonctionnelle de tout un
membre
aussi bien que d'un mouvement isolé. En d'autre
particulier la race américaine ne dégénère pas; si certains de ses
membres
ont dégénéré, on peut, dire que la race type s'
contractions douloureuses et de troubles sensitifs variés dans les
membres
inférieurs, consistant principalement en une défo
développe- ment de la poitrine et du tronc relativement à celui des
membres
. La longueur du membre inférieur mesurait 47 po
itrine et du tronc relativement à celui des membres. La longueur du
membre
inférieur mesurait 47 pouces (li, 193), soit pr
paraît-il, suivi par les anciens artistes égyptiens, la longueur du
membre
inférieur représenterait normalement les 10/19
les 10/19 de la hauteur totale (soit environ 52 p. 100). De même le
membre
supérieur mesurait 37 pouces (os, (30) et, d'ap
nne différentes mensurations portant sur le tronc, le bassin et les
membres
. Dans ses considérations générales, il parait a
à tomber à gauche pendant la marche, ataxie dans les mouvements des
membres
du côté gauche, parésie de la moitié gauche du
douleur et du sens thermique dans la moitié droite du tronc et des
membres
, intéressant les différentes renions à des degr
ération des autres modes de sensi- bilité ; signes d'ataxie dans le
membre
inférieur gauche, absence des réflexes abdomina
nsion brusque du tendon du biceps que l'on voit se produire dans le
membre
paralysé des vieux hémiplé- giques, lorsque flé
es excita- lions sensibles. Ceci s'observe encore, parfois, dans le
membre
para- lysé des hémiplégiques, ainsi que dans le
gauche ; affaiblisse- ment et diminution de la sensibilité dans les
membres
du côté droit, c'est-à-dire paralysie croisée d
ar des troubles de coordination dans les mouvements des muscles des
membres
, de la tête, du tronc, des muscles de la phonat
gt ans, présente de la parésie, dyses- thésie et incoordination des
membres
, sans altérations mentales. F. B. LXXI. Essai
destruction, anesthésie complète du trijumeau ; sur le corps et les
membres
, abolition de la sensibilité tactile et de ses
'association d'infirmiers créée par le professeur Zimmer oblige ses
membres
à passer un an dans un service d'hôpital avant
de police à Paris.) 5. L'inversion génitale. (Rapp. : D'' lIAGtTOr,
membre
de l'Académie de médecine, à Paris.) 15. Rela
nt ou sont abolis ; il n'y a aucun phénomène de con- tracture ; les
membres
ne sont déformés que par des rétrac- tions. 3
te à quatre ans. - Aggrava- tion de la paralysie et contracture des
membres
inférieurs. - Abcès multiples du genou droit. -
econd panaris analgésique. - Quelques semaines après, deux abcès du
membre
supérieur droit. - Description du malade en 188
évrier 1887) : « B..., idiotie, violences passagères; rétraction du
membre
droit; malformation de la main PARÉSO-ANALGÉSIE
t de la ceinture, ce qui contribue encore à augmenter la saillie.
Membres
supérieurs. On n'observe pas de déformation des b
ont plus volumineux à gauche (voir le Tableau des mensurations ,le,
membres
). Les coudes sont déformés par suite d'une gran
, est nul. Au dynamomètre, 10 à gauche, 6 à droite (y. 28 et 30).
Membres
inférieurs. Dans l'attitude habituelle, la cuisse
sensibilité). Pas de troubles de la sensibilité sur le tronc et les
membres
inférieurs. Avril. -Deux furoncles l'un au côté
s'il refuse. 1892. Juillet. - Puberté. Le visage, le tronc et les
membres
sont glabres. Quelques poils sous l'aisselle ga
rteil. Dans la marche, B... avance ses béquilles simultanément, les
membres
inférieurs con- servant leur attitude de la sta
nérale. Elle est conservée sur la face, au cou, sur le tronc et les
membres
inférieurs. Toutefois B... prétend que le froid
tion d'eau) est plus vif à droite qu'à gauche ; que d'ha- bitude Je
membre
inférieur gauche est toujours assez chaud tandis
jambe. La notion de position est normale. En ce qui concerne les
membres
supérieurs, les divers modes de la sensibilité
étier de cordonnier. V. L'hémiplégie du côté droit qui prédomine au
membre
1 L'enfant ayant été envoyé en nourrice trois o
\ 464 RECUEIL DE FAITS. inférieur se complique d'une paralysie du
membre
inférieur gauche. Il semblerait donc que les ré
erait donc que les régions motrices du cer- veau, correspondant aux
membres
inférieurs auraient été plus atteintes que les
s auraient été plus atteintes que les régions qui correspondent aux
membres
supérieurs. Les mensurations des membres'faites
1896) mettent bien en relief les différences qui existent entre les
membres
des deux côtés du corps et donnent une idée de
ractions musculaires et tendineuses peu prononcées aux jointures du
membre
supé- rieur mais très accusées au membre inféri
rononcées aux jointures du membre supé- rieur mais très accusées au
membre
inférieur où elles ont été aggravées par des tr
cès qui se sont formés, aux opérations qui ont été prati- quées. Le
membre
inférieur gauche, dans son attitude générale, d
bituels (craque- ments, rigidité, arrêt de développement, etc.) des
membres
frappés de paralysie. Rappelons que l'arrêt de
ÉSO-ANALGESIE DES EXTRÉMITÉS SUPÉRIEURES. 468 ment, qui atteint les
membres
inférieurs, le droit plus que le gauche, a égal
antiscrofuleux pendant l'hiver, à l'hydrothérapie durant l'été, les
membres
inférieurs, surtout le gauche, seraient devenus r
surtout le gauche, seraient devenus rela- tivement plus agiles, les
membres
supérieurs se seraient fortifiés et,l'attitude
sur la colonne vertébrale, à la répion cervicale pour l'examen des
membres
supérieurs, à la région lombaire pour les membr
pour l'examen des membres supérieurs, à la région lombaire pour les
membres
inférieurs, l'électrode active est cons- tituée
contractilité muscu- laire nous avons suivi la méthode de Erb. '
MEMBRE
SUPÉRIEUR GAUCHE 468 RECUEIL DE FAITS. face d
urant. La contraction musculaire est obtenue avec 5 milliampères.
MEMBRE
SUPÉRIEUR DROIT REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLO
ité, les signes sont plus pro- noncés à droite qu'à gauche aux deux
membres
. Sur le tronc et la face, la sensibilité et la
t et de marcher quoiqu'il conserve la liberté des mouvements de ses
membres
. Une simple, lésion du tubercule quadrijumeau p
mais la flexion en est possible, quoique limitée, excepté quand le
membre
est placé en supination. Pendant la flexion de
r les extrémités du côté droit, mais se servait plus volontiers des
membres
gauches ; plus tard survint une hémiplégie droi
s par des représenta- tions : ces troubles intéressent en effet des
membres
entiers ou des segments de membres, et ne corre
roubles intéressent en effet des membres entiers ou des segments de
membres
, et ne correspondent jamais aux groupe- ments d
d'un malade atteint d'une paralysie périphérique des extenseurs des
membres
inférieurs par névrite symétrique post-érysipél
ar Grasset, 493. Atrophie primitive des muscles du tronc et des
membres
par Barlow, 47. - de Charcot chez un tabé- ti
& BOUJINEVILLE PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE MM. V. MGNtIN \
Membre
de l'Académie de médecine. 1 Médecin de l'Asile
- pellent celle ci « maman » ou « grand'mère » donnant aux autres
membres
de la famille les noms qui leur convien- nent d
dissection je revis en pensée l'Homme avec ses deux hémisphères,ses
membres
et ses organes pairs, ses sens en double. Puis
a dualité anatomique du cerveau, la disDosition paire des sens, des
membres
, des ovaires, ou testicules et de nombre d'autres
haque paire, etc.) Il lui suffit que la dualité fonctionnelle « des
membres
, des ovaires ou testicules et de nombre d'autre
, tient des propos incohé- rents et insulte à tort et à travers les
membres
de sa famille. Il ' est riche, il a la plus jol
ires et une coloration marbrée de la p ! m ! , au niveau des quatre
membres
. Il) Bonnets Troubles trophiques dans la paraly
il mène une vie végétative. L'examen physique révèle la parésie des
membres
inférieurs avec abolition presque totale des ré
malléolaire du côté gauche présente subitement un cedénme énorme du
membre
supérieur droit. La veille, cette région était
que dans ses dimensions. A l'inspection, et par comparaison avec le
membre
supérieur du côté opposé, on est immédiatement
re aux mensurations pratiquées sur les régions corres- pondantes du
membre
sain, qui est le siège d'une atrophie mus- cula
e hyper- hydrose manifeste : la-sueur perle et ruisselle le long du
membre
. La motilité n'est pas diminuée ; le malade rés
he aux mouvements forcés de flexion et d'extension qu'on imprime au
membre
.Par cnnfre,la sensibilité à la piqûre paraît ob
ré leur souplesse normale; les différences du volume entre les deux
membres
ne sont plus que de 3 cm. au niveau du bras, au
siste un certain dcgré d'oedème chronique dans la partie moyenne du
membre
et particulière- ment à la lace postérieure du
eur indolence, enfin l'intégrité parfaite de tous les mouvements du
membre
, voilà autant de traits susceptibles de nous él
ine postérieure ne produit pas le plus léger trouble moteur dans le
membre
correspondant. La section de plusieurs des raci
La section de plusieurs des racines postérieures correspondant à un
membre
produit des troubles ataxiques, une certaine ga
rieures d'un 56 REVUE n'ANA10MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.
membre
est suivie de faiblesse et d'atrophie des muscles
S. membre est suivie de faiblesse et d'atrophie des muscles de ce
membre
. Quoique la 8° racine postérieure cervicale pré
ie de la main, son rôle n'est que secon- daire dans la motricité du
membre
: quand la 1 racine postérieure dorsale et « vr
'une série ininterrompue de racines postérieures correspondant à un
membre
, les mouvements de préhension au moyen de la ma
. On sait que la section des racines postérieures produit dans le
membre
correspondant des troubles dits trophiques que l'
un angle de 16 à 20°. Ce signe est constant quand il y a ataxie des
membres
inférieurs ; toujours plus accusé du côté où pr
s des 4e et 5e doigts de la main droite, qui s'étendaient à tout le
membre
avant la perte de con- sance. En 1904,parésie d
ête, des verti- ges, etc. : les convulsions restaient localisées au
membre
supérieur droit et même à un seul de ses segmen
ne perçoit pas de résistance. Jusqu'en décembre les convulsions du
membre
supé- rieur droit persistèrent, limitées le plu
de Fa au niveau du pied de r2,c'est- à-dire,en effet, du centre du
membre
.supérieur. Voici les éléments principaux du di
lepsie jacksonienne semblables : Parésie persistante et limitée du
membre
supérieur droit ; convulsions toujours limitées à
; quand les convulsions ne s'étendaient pas immédiatement à tout le
membre
, elles se propageaient, non pas régulièrement d
el qu'elle pût exciter l'écorce d'une facon diffuse(mo- nospasme du
membre
) et diminuer ou supprimer t'excitabilité des ce
ou supprimer t'excitabilité des centres particuliers de la zone du
membre
supérieur, probablement par compression jointe
n an après l'acci- dent, il existait encore, outre la paralysie des
membres
inférieurs, une perle complète de lasensibihté
actile ; portion motrice du nerf intacte. Moitié droite du tronc et
membres
droits : même dissociation syringomyélique. Ata
elleuse : connaissait exactement la situation et la position de ses
membres
; le sens musculaire était conservé ; mais la d
fantile à droite, à 4 ans : paralysie rapidement établie de fout le
membre
supérieur droit puis retour de quelques mouveme
à anche. Atrophie considéra- ble avec R. D. de tous les muscles du
membre
supérieur droit, des muscles du côté droit du t
s du côté droit du thorax ; légère scoliose à concavité gau- che.
Membre
supérieur gauche.-Atrophie des deux tiers inférie
Observation d'un homme de 26 ans présentant de l'amyotrophie des
membres
et des placards cutanés érythémateux à bords bru-
e à l'état démentiel mais à cette incapacité spéciale à mouvoir les
membres
conformément au but proposé malgré la conservat
bes,par exemple à l'hypoalgésie du thorax et de la face interne des
membres
supérieurs, mais présentant une topographie dif
es qui s'ob- servent en l'absence d'aucun symptôme de paralysie des
membres
. Il ne faut pas confondre cette apraxie motrice
; bibliothécaire-archiviste : M. BoiSSIER. Conseil de famille : les
membres
du bureau auxquels sont adjoints les deux derni
u fauteuil de la présidence. MM. DENY adresse des remerciements aux
membres
de la So- ciété qui l'ont élevés à la présidenc
Mélancolie sénile,athérome aortique et gangrène symétrique des ,
membres
inférieurs. M. Deny présente en son nom et en c
iagnostic, ils invoquent l'apparition de la gangrène symétrique des
membres
inférieurs, à début et à évolution classiques,
psychologique de Paris, toutes réserves faites sur l'opinion de ses
membres
sur l'ensemble de la loi, considérant que,dans
une réincarnation du Christ, les adeptes se recrutaient parmi les
membres
de la noblesse et de l'université, ainsi que parm
d'Etat Tesson, qui préside, se lève pour souhaiter la bienvenue aux
membres
du congrès. Il les remercie d'avoir choisi Genè
là Suisse. M. le professeur Laskowski souhaite la bienve- nue aux
membres
du congrès au nom de l'Université de Genève. Il
débauche de souvenirs, débauche dont profitèrent le lendemain les
membres
du Congrès. On ne peut vraiment juger un homme
rvécu deux ans, en présentant un état de contracture permanente des
membres
et du tronc, nous avons trouvé un cerveau avec
ante-cinq ans (chancre à vingt-deux ans) avec ataxie très nette des
membres
supérieurs et inférieurs, aboli- CONGRÈS DES MÉ
te d'un oedème progressif de la moitié droite du corps, accentué au
membre
supérieur,différent des infiltrations séreuses
débile, catatonique. M. ARMAND DELILLE présente un sujet dont les
membres
ont l'attitude de la double paralysie radiale.
un malade atteint d'hémiparé- sie gauche intéressant la face et les
membres
,d'hémi-LremhlemenL L surtout marqué dans les mo
le traitement mercuriel. Tabes avec atrophie musculaire des deux
membres
supérieurs. MM. F. RAYMOND et H. Rendu présente
concours. Art. 7.- Dès que la liste des candidats est close, les
membres
du jury qui doivent être ainsi désignés conform
intérieur, président; d'un délégué du préfet de la Seine et de deux
membres
délégués par la commission de surveillance des
ue et y com- pris le sixième degré, entre un concurrent et l'un des
membres
du jury, ou entre les membres du jury, donne li
egré, entre un concurrent et l'un des membres du jury, ou entre les
membres
du jury, donne lieu à récusation d'office de la
e jury dans les diverses opérations du concours. Art. 10. - Si un
membre
du jury, pour un motif quelconque, ne peut assi
ncours ; mais le jury devra, pour dé- libérer, être composé de cinq
membres
au moins. Art. 11. - Les épreuves du concours s
nels à noter en dehors d'une érup- tion furonculeuse qui laissa aux
membres
inférieurs des cica- trices ne prêtant d'ailleu
sieurs les délégués des Gouvernements et à vous tous, Messieurs les
membres
du congrès, et ensuite en remerciant les Gouverne
raisons personnelles de se réjouir de l'heureuse collaboration des
membres
de ce congrès. Le Département à la tête duquel il
Il y a encore là des fonctions psychologiques, la fonction des deux
membres
d'un même côté du corps, la fonction des deux m
tion des deux membres d'un même côté du corps, la fonction des deux
membres
d'un même segment qui ont une certaine unité et
de la décontraction, la forme de la courbe de contraction dans ces
membres
disposés à la contracture me semblent montrer q
s sans perte de connaissance; Puis paralysie progressive des quatre
membres
qui fut réalisée au bout de quatre heures une f
re heures une fois les symptômes de début éteints. La paralysie des
membres
supérieurs ne persista pas et disparut au bout
de quinze jours. Dès le début f nesthésie complète au ni- veau des
membres
inférieurs. Rétention d'urine qui dura un mois
ntion d'urine qui dura un mois et troubles trophiques au niveau des
membres
inférieurs. A partir du quatrième mois à la pér
milieu de 1903 par des douleurs névralgiques dans le bras droit. Ce
membre
commença à s'atrophier en juin 1905. Cette atro
n juin 1905. Cette atrophie a débuté par le deltoïde. L'atrophie du
membre
supérieur gauche ne date que du milieu.de 1906 et
du milieu.de 1906 et pré- senta la même évolution, de la racine du
membre
à l'extrémité. Le membre inférieur gauche s'est
senta la même évolution, de la racine du membre à l'extrémité. Le
membre
inférieur gauche s'est un peu atrophié, depuis le
. En résumé : Atrophie musculaire progressive à peu près totale aux
membres
supérieurs, commencant actuellement a apparaîtr
ale aux membres supérieurs, commencant actuellement a apparaître au
membre
inférieur gauche. - Début par la racine du memb
a apparaître au membre inférieur gauche. - Début par la racine du
membre
pour descendre jusqu'à son extrémité, avec cont
liome. Elle avait donné comme symptôme une paraly- sie soudaine des
membres
inférieurs avec abolition complète de la motric
avec atrophie marquée des muscles de la jambe et de la cuisse. Les
membres
inférieurs étaient en flexion avec contracture qu
ît sain. L'intervention ne produisit aucun changement du côté des
membres
inférieurs et la malade succomba après avoir décl
nt communiqués. Il y aurait donc intérèt à désigner sans tarder les
membres
de cette commission. Le président du conseil, m
osée de : Président. M. Coulon, vice-président du conseil d'Etat.
Membres
. MM. Albanel, juge d'instruction près le tribunal
ti à des obligations do ce genre ; quoiqu'à un degré moin- dre, les
membres
de la commission ont aussi un rôle de surveil-
férents points énumérés à l'article 4 de l'ordonnance précitée. Les
membres
'des Commissions ont la surveillance générale s
AU PROFESSEUR BROUARDEL. Le Président, les Vice-Présidents et les
Membres
du comité constitué pour perpétuer la mémoire d
spérer que vous voudrez bien collabo- rer à notre oeuvre. M. PUECH,
Membre
de l'Institut, a bien voulu se charger de l'exé
nage sera constitué auprès de chaque école de perfectionnement. Les
membres
seront nommés par le Ministre de l'Instruction
ntent une malade atteinte de paralysie flasque avec amyotrophie des
membres
supérieurs et du thorax et dégénérescence vallé
statuts avaient été adoptés dans une réunion avec l'adhésion de 33
membres
fonda. 308 SOCIÉTÉS SAVANTES teurs, comportan
res fonda. 308 SOCIÉTÉS SAVANTES teurs, comportant un comité de 8
membres
, dont plusieurs sont présents à la réunion d'au
et discuter article par article les statuts de l'union de 1895. Un
membre
de l'assemblée fait remarquer que la situation
que l'association nouvelle ne peut être ouverte, au moins pour les
membres
actifs, qu'aux médecins de tous grades des asil
1° De prendre en mains les intérêts généraux et particuliers de ses
membres
en leur donnant un appui quand ils en auront be
ation morale et matérielle. ; 2° de créer et de maintenir entre ses
membres
des liens de bonne confrater- nité, de favorise
modes d'assistance des aliénés. ART. 3. L'association comprend des
membres
actifs et des mem- bres honoraires. ART. 4. S
membres actifs et des mem- bres honoraires. ART. 4. Sont de droit
membres
actifs, après en avoir adressé la demande au co
'hospices affectés au trailement des aliénés. ART. 5. Le titre de
membre
honoraire peut être donné par un vole de l'asse
tance des alié- nés, soit à l'association elle-même. ART. 6. Tout
membre
actif de l'association doit une cotisation annu
démis- sionnaire. ART. 8. Pourra être exclu de l'association tout
membre
qui au- rait commis une faute contre l'honorabi
agissements tendraient à compromettre la bonne harmonie entre les
membres
de l'association. L'exclusion sera proposée par l
un président, un vice-président, un secrétaire-trésorier et quatre
membres
. ART. 10. Le président, le vice-président, le s
trésorier sont nommés pour un an, et rééligibles. Les quatre autres
membres
sont élus pour deux ans et renouvelables annuel
aura été adressée au président, par lettre recommandée signée de 10
membres
dé l'association. ART. 13. Pour qu'un vole émis
ssemblée générale soit vala- ble, il faut que le quart au moins des
membres
de l'association soit présent et que le vote ai
ion soit présent et que le vote ait été exprimé par la majorité des
membres
pré- sents. ART. 14. Le président dirige les
est suppléé par le vice-président ou, à défaut de celui-ci, par un
membre
du comité désigné par lui. ART. 15. Le secrétai
état de la caisse, et ses comptes de gestion sont vérifiés par deux
membres
désignés par le comité. ART 16. -En cas de diss
tatuts dont les articles précédent sont adoptés à l'unani- mité des
membres
présents, après une deuxième lecture. Le prési-
Antheaume, médecin honoraire de la Maison nationale de Charenton ;
Membres
, MM. les Drs Charon, médecin directeur de l'asi
pas, médecin adjoint, chef de clinique à la Faculté de Paris. Les
membres
du comité élus remercient l'assemblée de la mar-
tion. M. l'Inspecteur général Drouineau est, par acclamation, nommé
membre
honoraire de l'association. Le Président annonc
éformées, congénitales pour ainsi dire : champ de projec- tion d'un
membre
, centres de fonctions déterminées, que les pro-
sie des organes génitaux et de la mamelle.Quand,après un trauma, un
membre
est immobilisé un certain temps, et qu'il se pr
ent fréquemment lieu à des erreurs de diagnostic. La paraplégie des
membres
inférieurs pourra être attribuée à une méningo-
simulation,il faut aussi étudier le re- flexe des adducteurs et au
membre
supérieur ceux des muscles biceps brachial, bic
ngt-cinq gouttes par jour. 380 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. deux
membres
inférieurs paraît être due à un affaiblissement o
bassin ou les épaules à l'aide des mains l'élévation simultanée des
membres
infé- rieurs redevient possible. G. DENY. XLV
tions subjectives anormales et abolition du sens de la position des
membres
; céphalée à gauche. Accès d'angoisse ; état cac
nt lente ; pause après chaque syllabe ; faiblesse et maladresse des
membres
supérieurs ; l'identifi- cation des petits obje
cocité et intensité des troubles sphinctériens oedème trophique des
membres
inférieurs, lymphocytose abon- dante, existence
eur en date du 26 novembre 1907, arrête : Art. 1 CI'. Sont nommés
membres
du jury du concours du 3 z février 1908, pour l
général des services administratifs au ministère de l'inté- rieur.
Membres
titulai1'es. : \DI. le docteur Mairet, professeur
eur-médecin de l'asile public d'aliénés de Dury-lès-Amiens (Somme).
Membres
suppléant. "LIe docteur \'iallon, médecin en ch
; pas de dysp- née, de cyanose, de douleurs ni de crampes dans les
membres
; l'intelligence restait tout à fait lucide. Le
rvée et on ne trouve aucun trouble objectif de la sensi- bilité aux
membres
inférieurs, sauf l'hypoesthésie vibratoire men-
e un peu d'asthénie (la fatigue se produit trop vite). Sensibilité.
Membres
inférieurs. La sensibilité musculo-arti- culair
branches périphériques des nerfs sont très sensibles à la pression.
Membres
supérieurs. Anesthésie vibratoire des extré- mi
rée aussi. Pas d'atrophies muscu- laires. Les réflexes profonds des
membres
supérieurs et inférieurs font défaut. Sensibili
développement graduel de l'anesthésie vibratoire, enva- hissant les
membres
inférieurs et supérieurs en entier ; 4° le sign
avait aucun trouble de la sensibilité ni de la mobi- lité dans les
membres
inférieurs. Les symptômes que nous venons d'énu
éprouver aucun mal ; mais le lende- main c'était l'hiver - tous les
membres
d'une autrc famille ayant consommé les restes d
ésen- ta nausées, vomissements, douleurs et contractures dans les
membres
, hypertrophie de la rate ». Dans un cas re- mar
tête, nausées, vomissements, sentiment d'alour- dissement dans les
membres
; dans les plus graves : cyanose de la face, sy
ans des conditions semblables à celles de notre ob- servation.Trois
membres
de la famille d'un officier (père, mère et fils
bilité au tact et à la douleur a été longtemps abolie au niveau des
membres
inférieurs. Les réflexes rotuliens abolis ( ? )
Est .atteinte d'idiotie congénitale avec strabisme, impotence des
membres
inférieurs, défaut de développement de la parole,
timètres. Corps thyroïde parais- sant normal ainsi que le larynx.
Membres
supérieurs : de forme, attitude et motilité parai
té parais- sant normales. Sensibilité normale, pas d'onycophagie.
Membres
inférieurs. Rien de particulier à l'inspection, n
falciforme à assez grand orifice. Périnée et région anale glabres.
Membres
supérieurs et inférieurs glabres. DE. L'ÉTAT DE
urée et toujours identiques. L'enfant pousse un cri plaintif et ses
membres
supérieurs et inférieurs 4 ? CLINIQUE NERVEUSE.
tenant elle ne dit rien, elle se tourne sur le côté droit, puis les
membres
supérieurs et inférieurs éprouvent de violentes
des modi- fications vaso-motrices dont se ressent la trophicité du
membre
. Ce résultat intéressant concorde avec celui dé
de la Seine. Art. 7. Dès que la liste des candidats est close, les
membres
du jury.qui doivent être ainsi désignés conform
ntérieur, président ; d'un délégué du préfet de la Seine et de deux
membres
délégués par la commis- sion de surveillance de
degré, entre un concurrent et un des mem- bres du jury ou entre les
membres
du jury donne lieu à récusa- tion d'office de l
ts. Les listes des médecins parmi lesquels sont tirés au sort les
membres
du jury, sont arrêtées par le ministre, sur la pr
jury dans les di- verses opérations du concours. Art. 10. - Si un
membre
du jury, pour un motif quelconque, ne peut assi
concours ;mais le jury devra, pour délibérer, être composé de cinq
membres
au moins : Art. 11. Les épreuves du concours so
Mélancolie sénile, athérome aortiquc et gangrène symétri- que des
membres
inférieurs, par Deny. p. 84. Méningite. Certa
- taire, par Bicbclonne, p. 378. Sur un signe de - orgnnique du
membre
inférieur, p : 11' Noiea et Cohen, p. 379. Trai
ougerot, p. 165. Voir Ataxie. avec atrophie musculaire des deux
membres
supérieurs, par Ray- mond et Rendu, p. 168. Rev
adies mentales a la Faculté de médecine de P.l1 ¡s. V. MAGNAN
Membre
de l'Académie de médecine Médecin de l'Agile
bientôt, à son tour, de légers troubles de la sensibilité dans les
membres
du côté droit (noter que l'amblyopie dans l'acc
et pour expliquer la localisation de l'amyotrophie à l'extrémité du
membre
supérieur, il admet que la lésion est elle-même
ué des douleurs telles qu'elles arrachaient des cris au malade ; le
membre
était frappé d'incapacité fonctionnelle totale;
ossible d'y faire un pli; il semblait au malade que cette partie du
membre
était recouverte de carton dur. Il existait au ti
atrophie musculaire et contractures particulièrement accusées au
membre
supérieur ; on constatait, en outre, des troubles
avec aphasie, hémiplégie qui, cette fois, se dissipa seulement aux
membres
pour se cantonner à la région du facial inférie
recteur, le Dr Ph. Rey, par les Dy Chabrier, président et Bourguet,
membre
de la Commission de surveillance. On s'est rend
ÉTÉS SAVANTES. vie. De nombreuses dames, pour la plupart femmes des
membres
du congrès, en toilettes claires, piquaient çà
naissance, on n'a constaté aucune anomalie, aucune douleur, dans le
membre
supérieur gauche jusqu'à la maladie convulsive
percevait déjà que le bras gauche était plus court que le droit. Ce
membre
est resté raule plus longtemps que les autres m
e le droit. Ce membre est resté raule plus longtemps que les autres
membres
, et moins actif dans ses mouvements. La jambe éta
f plus accusé à droite. Chen... a beaucoup de peine à maintenir son
membre
supérieur gauche dans cette position, il le lai
l'extension des poignets. - Les mouvements du tronc, du bassin, des
membres
inférieurs ne diffèrent pas d'un côté à l'autre
Duparcque. 31éi) ? . sur l'inégalité professionnelle de longueur des
membres
supérieurs considérée comme cause d'erreurs dia
ier 1863, p. 5b). 6 L. Jacquet et Napieralski. Névrite prolongée du
membre
inférieur droit avec arrêt de développement et
les faits étudiés par lui, le trouble trophique est plus marqué aux
membres
supérieurs qu'aux membres inférieurs : mais il
le trouble trophique est plus marqué aux membres supérieurs qu'aux
membres
inférieurs : mais il n'est pas aussi étroitemen
rs 1898, p. 269). 2 Ch. Féré. Sole sur l'arrêt de développement des
membres
dans l'hé- miplégie cérébrale infantile el sur
elle est responsable de cette double anomalie dans l'évolution des
membres
supé- rieurs. Ne voit-on pas chez les hémiplégi
s hémiplégiques adultes la force musculaire amoindrie même dans les
membres
indemnes ? Il y a certainement une part à faire
siol., IV, p. 72, 1871). - F. Dreyrolls, Arrêt de développement des
membres
supérieurs. EC/l'Ut/ac ? ie. ,1/lél'll- lion de
contractées, de temps en temps un rire sardonique. Le tronc et les
membres
inférieurs sont tranquilles et normaux, mais au
rmes de tout le corps : ces secousses duraient dix minutes dans les
membres
inférieurs, elles sont moins longues au tronc e
ns les membres inférieurs, elles sont moins longues au tronc et aux
membres
supérieurs. L'alimentation impossible, la parol
guinales. Depuis un an remarque de l'ataxie dans les mouvements des
membres
inférieurs. Archives, 2° série, t. VIII. 10
males). Toutes les deux fois, les principaux phénomènes du côté des
membres
furent précédés d'une parésie de courte durée d
onsiste en une parésie à évolu- tion progressive de tous les quatre
membres
avec ataxie, atrophie SOCIÉTÉS SAVANTES. 147
AVANTES. 147 musculaire, secousses fibrillaires (notamment dans les
membres
supérieurs); anesthésies légères dans les parti
supérieurs); anesthésies légères dans les parties périphériques des
membres
; certaine sensibilité à la palpation des troncs n
pation des troncs nerveux, notablement gonflés et durs, et qui, aux
membres
supérieurs, pré- sentent en outre des nodosités
a obtenu des phénomènes parai) tiques très accusés d'abord dans les
membres
postérieurs, ensuite dans les membres antérieur
ès accusés d'abord dans les membres postérieurs, ensuite dans les
membres
antérieurs de ces animaux. La durée de l'intoxica
s quinze mois l'état est le même qu'au premier jour. Au niveau du
membre
atteint, on constate une légère atrophie muscul
rte absolue de la motilité, de la sensibilité des réflexes dans les
membres
inférieurs; un tt aumatisme, capable d'avoir se
quand chez un malade, atteint, par exemple, de la paralysie d'un
membre
, on applique l'aimant sur le membre sain, le mala
r exemple, de la paralysie d'un membre, on applique l'aimant sur le
membre
sain, le malade, par suggestion, pourra bien fa
e disparaître la paralysie, mais il ne la fera point passer dans le
membre
sain. Il ne peut pas penser que l'on commence p
mort dans le coma profond pouvant s'accompagner de contractures des
membres
para- lysés et de mouvements convulsifs des mem
ontractures des membres para- lysés et de mouvements convulsifs des
membres
sains, ces derniers phénomènes en rapport avec
dans le côté gauche, les phénomènes étant plus marqués au niveau du
membre
supérieur qu'au niveau du membre infé- rieur. L
es étant plus marqués au niveau du membre supérieur qu'au niveau du
membre
infé- rieur. Les réflexes tendineux sont exagér
e bras et la jambe du côté droit qui demeurent con- tracturés ; les
membres
gauches sont en état de paralysie flasque et le
; elle montre par sa physionomie et par de légers mou- . vements du
membre
inférieur droit qu'elle comprend. La sensibilit
ée fortement à gauche par rapport au côté droit; quand on pique les
membres
droits, la physionomie de la malade exprime la
du malaise et des vomissements, des secousses convul- sives dans le
membre
supérieur droit et l'on constate le ' lendemain
e dégénérescence au même titre que celles relevées sur la face, les
membres
, etc. ? Peut-être les malformations internes ne
it des troubles graves de la motilité et de la sensibilité dans les
membres
postérieurs, mais point de paralysie complète.
e de quelques groupes musculaires des 232 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE.
membres
inférieurs. Cette contracture frappe les adducteu
x se croisent pendant la marche, les doigts trainent par terre. Les
membres
supérieurs sont pris rarement. Parfois les musc
à cause du chevauchement des os pariétaux. Les centres moteurs des
membres
inférieurs peuvent être contusionnés, ce qui pe
vent être contusionnés, ce qui peut expliquer les troubles dans les
membres
inférieurs. Frend explique ainsi le phénomène d
cle droit interne de l'oeil droit et de la jambe droite; ataxie des
membres
inférieurs plus prononcée du côté droit. Pouls
à l'élude des sar- comes des nel fi, et en particulier des nerfs du
membre
supérieur. Champomier (Alexandre). De la morphi
qui s'occupent des maladies du système nerveux. Elle se compose de
membres
titulaires et de membres correspondants nationaux
ies du système nerveux. Elle se compose de membres titulaires et de
membres
correspondants nationaux et étrangers. La Soc
S DIVERS. présentations de malades ou de pièces sont faites par les
membres
de la Société. Des communications et présenta
secrétaire des séances : M. Henry Meige ; trésorier : M. Souques.
Membres
titulaires fondateurs. 11111. Achard, Babinski, B
s dans le bras, et éprouvait une difficulté croissante à mouvoir ce
membre
. Il dut cesser son travail; puis, le volume de
e par laquelle s'écoule encore une assez grande quantité de pus. Le
membre
opéré est considérablement oedématié; la tempér
oedématié; la température en est sensiblement inférieure à celle du
membre
sain , ses téguments sont violacés, cyanosés; sa
ts, et parfois même de vives douleurs spontanées. Les mouvements du
membre
et en particulier ceux de l'articulation de l'é
de divagations incohérentes formées par un assemblage de mots ou de
membres
de phrases sans aucun rapport les uns avec les
en jour. Les ulcérations des doigts sont cicatrisées ; l'oedème du
membre
supérieur gauche est toujours très accusé. Octo
du palais sont flasques et tombants. Facial supérieur intact. Au
membre
supérieur gauche, la paralysie estcomplète avec d
flexion de l'avant-bras sur le bras et des doigts dans la main. Au
membre
inférieur gauche, l'inertie n'est pas absolue,
iste pour qu'on l'enlève. Si on la découvre, elle dit en voyant son
membre
supérieur paralysé : « Tiens ! voilà ce malheur
ent de la température. Sans avoir besoin de voir, ni de toucher son
membre
paralysé, la malade se rend parfaitement compte
mouvements imprimés aux articulations du 280 0 CLINIQUE NERVEUSE.
membre
supérieur déterminent de vives douleurs sauf au n
iveau des articulations métacarpo-phalangiennes et du poignet. Au
membre
inférieur, l'oedème remonte jusqu'au genou où a
niveau du cou-de-pied. ,6 janvier 1899. - Contracture en flexion du
membre
supérieur et du membre inférieur gauche. Douleu
,6 janvier 1899. - Contracture en flexion du membre supérieur et du
membre
inférieur gauche. Douleurs spontanées très vives,
é hémiplégie que du côté sain, quel que soit du reste le segment de
membre
examiné. Cet examen fait à plusieurs reprises a
et à quelques secondes d'intervalle, parfois même, elle rapporte au
membre
infé- rieur droit les sensations qui ont pour o
ions qui ont pour origine une excitation périphérique portée sur le
membre
inférieur gauche. Cette malade vécut ainsi jusq
alysé; ayant voulu marcher, il constata une impotence complète du
membre
inférieur du même côté. Ces accidents survinrent
; il se rend compte de son état et cause avec facilité. Motilité.
Membre
supérieur droit. Impotence absolue de lout le m
é. Motilité. Membre supérieur droit. Impotence absolue de lout le
membre
; paralysie flasque. La température parait plus é
; paralysie flasque. La température parait plus élevée que celle du
membre
sain, la peau plus rouge et les veines plus app
et les veines plus apparentes. Ecchymose au niveau de l'olécrâne.
Membre
inférieur droit. -Impotence absolue. Paralysie fl
tre main repose sur son coude. Les mêmes manoeuvres répétées sur le
membre
supérieur gauche donnent des résultats tout dif
sa main gauche, il explore très bien les différentes régions de son
membre
supérieur droit dont il apprécie fort bien l'él
dont il apprécie fort bien l'élévation de température. Au niveau du
membre
inférieur droil, résultat identique; le sens du
e semble légèrement conservée au bras, à la moitié de la face et au
membre
inférieur; en tout t cas, la sensibilité à la p
parablement moins vive que du côté sain. Si l'on pique fortement le
membre
inférieur droit, le malade déclare éprouver une
, le malade déclare éprouver une douleur légère qu'il rapporte au
membre
inférieur sain. Sensibilité au froid. Exactemen
es. Normaux à gauche, ils sont légèrement exagérés a droite pour le
membre
inférieur (réflexe plantaire et rotulien). Au m
droite pour le membre inférieur (réflexe plantaire et rotulien). Au
membre
supérieur droit, le réflexe des radiaux est très
ensibilité à la piqûre est absolument nulle dans toute l'étendue du
membre
supérieur ; le malade ne réagit même pas par un
embre supérieur ; le malade ne réagit même pas par un mouvement; au
membre
infé- rieur, la piqûre est suivie d'une rétract
n rapide, brusque, courte, parfois même de mouvements de flexion du
membre
inférieur sain ; mais il ne semble pas que M...
que M... perçoive de sensation dou- loureuse, car, si l'on pique le
membre
gauche, il fait une grimace syuuc : mve qui Il
pas quand on pique rait pas quand on pique ou quand on pince le
membre
droit. La sensibilité est très diminuée au ni
sa main gauche au point blessé. 24. Anesthésie to- tale pour le
membre
su- périeur droit, et pour le membre inférieu
nesthésie to- tale pour le membre su- périeur droit, et pour le
membre
inférieur du même côté. A gauche, pas de trou
a malade a été conduite à l'asile par sa nièce et un voisin ; aucun
membre
de la famille n'est venu assister à l'enterreme
é- rence au niveau des crêtes iliaques est de 86 centimètres. Les
membres
sont grêles, les muscles peu développés. Le bras,
s à droite et à gauche. Le pied est petit, bien cambré. La peau des
membres
rappelle de tous points celle du tronc; comme c
qu'à l'entrée de M... à l'asile ; cependant la peau du tronc et des
membres
a gardé sa blancheur et sa finesse et contraste
le bassin; il était femme par la chevelure, la peau du tronc et des
membres
, la finesse des dents, la gracilité des os, la
mise. Faut-il regarder le développement imparfait du tronc et des
membres
comme la conséquence directe de l'hypospadias, ou
d'une scarlatine, fut atteint d'une paralysie progressive des deux
membres
supérieurs, précédée de douleurs et accompagnée
localisées au- dessous de la IVe lombaire, du côté correspondant au
membre
malade, étaient également asculaires, interstit
ans les nerfs. A. Fenayrou. XXIV. Atrophie musculaire et osseuse du
membre
supérieur droit, consécutive à des traumatismes
nt de vue diagnostic, les phénomènes spasmodiques des muscles des
membres
, le tremblement qu'il attribue à une lésion des c
ut à la face, puis successivement secousses dans les bras, enfin le
membre
infé- rieur, pas de cri initial, etc. Recherche
C'est vraiment ici une maladie familiale puisqu'elle atteint deux
membres
d'une même famille et tout jeunes (on sait que ce
rapport médico-légal rédigé par le Dl' Hughes et signé par tous les
membres
de la commission, chacun des cinq membres de la
s et signé par tous les membres de la commission, chacun des cinq
membres
de la commission a exposé, dans un rapport person
s la voix nasonée, des vertiges et une paralysie de tous les quatre
membres
. Actuellement le malade présente une diplopie a
déglutition et de la mastication ; parésie de tous les muscles, des
membres
et du tronc sans H, D.; intégrité de la sensibili
trois derniers doigts de la main gauche. Les réflexes tendineux des
membres
supérieurs sont exagérés ; le réflexe rotulien
avec confusion mentale et hallucinations, parésies passa- gères des
membres
supérieurs, parfois délire de possession. Sur-
pasmodique et congénitale des quatre mem- brefs; plus prononcée aux
membres
inférieurs, appartenant en propre aux enfants n
mmencé le i avril, brusquement, par des troubles de la motilité des
membres
inférieurs ; ceux-ci d'abord simplement parésié
de rachialgie. Rapidement les troubles paralytiques gagnèrent les
membres
supérieurs, puis le larynx ; depuis un jour la pa
r. Les troubles paralytiques attirent tout d'abord l'attention. Les
membres
inférieurs sont totalement paralysés, les membr
l'attention. Les membres inférieurs sont totalement paralysés, les
membres
supérieurs également; cette paralysie est flasq
nt entre cette lucidité intellectuelle et l'immobilité complète des
membres
et de la plupart des muscles moteurs. Tempéra
ques troncs nerveux : médian et sciatique poplité externe de chaque
membre
. Ces nerfs examinés * au Pal et au Marchi, en c
eu rond, la colonne vertébrale régulière, le ventre assez gros. Les
membres
ne présentent rien de particulier. Ptibei té
alade de tout son long à terre. Mouvements tétaniformes limités aux
membres
supérieurs, se pro- duisant toutes les douze ou
à nouveau et que son corps 39C RECUEIL DE FAITS. se raidisse, les
membres
supérieurs se projettent en avant dans une seco
es. La phase d'hyperexcitabilité s'accompagne d'hyperesthésie des
membres
. Chez deux animaux il y eut ensuite de l'anesthés
s membres. Chez deux animaux il y eut ensuite de l'anesthésie des
membres
mais rien que des pattes. Forte dilatation des va
lion brusque de volume du goitre, tremblement des doigts et même du
membre
supérieur en entier, vitiligo, irritabilité et
a volonté et du pouvoir inhibiteur au moyen de mouvements lents des
membres
supérieurs. L'amélioration a été assez considér
s visuelles terriliantes. Hémiparésie gauche plus accentuée pour le
membre
inférieur. Incoordination des mouvements avec m
avec cris et gesticulations incohérents. Mouvements convulsifs des
membres
à droite, plus accentués au membre supérieur et
ts. Mouvements convulsifs des membres à droite, plus accentués au
membre
supérieur et suivis d'hémiparésie du même côté.
n, on constate un affaiblissement physique, avec état parétique des
membres
droits, plus accentué au membre supérieur. La m
physique, avec état parétique des membres droits, plus accentué au
membre
supérieur. La malade ne profère que des sons in
stes et neurologistes. un confrère russe, M. Serbski, demande aux
membres
de l'assemblée si le traitement par le lit est ap
3 des mouvements volontaires et aussi des mouvements réflexes des
membres
toutes les fois que la contraction musculaire est
se du mouvement ; 2" La notion des mouvements passifs lorsque les
membres
sont mis en mouvement par une cause externe quelc
ucune réaction musculaire intervienne; 3° La notion de position des
membres
qui renseigne sur leur situation dans l'espace
otales, expression qui'correspond à celle de notion de position des
membres
. La notion de mouvement actif ou passif serait
osition qu'ils se rendaient compte d'un certain déplacement de leur
membre
, mais qu'ils étaient Incapables de se rendre éga-
de mouvement passif peut exister sans que la position définitive du
membre
soit elle-même perçue, il parait bien diflicile
sensations d'autre nature. Pour lui, la sensation de position des
membres
, la plus facile à explorer cliniquement n'est p
à une sensation primitive irré- ductible. Une position donnée d'un
membre
suscite certaines sen- sations sur l'origine de
visuels antérieurs que se crée l'image mentale de la position du
membre
et de fait cette image est une image visuelle. La
'on a d'autant plus de peine à se rendre compte de la position d'un
membre
, que ce membre est immobile depuis plus longtem
plus de peine à se rendre compte de la position d'un membre, que ce
membre
est immobile depuis plus longtemps comme cela a
ours une certaine résistance représentée au minimum par le poids du
membre
à mouvoir, il est aisé de concevoir que la perc
conscience, mais chez l'individu normal les mouvements réflexes des
membres
donnent lieu à une représentation consciente au
nt le thorax comme dans une cuirasse, des fourmille- ments dans les
membres
inférieurs. Sa famille inquiète le conduisit à
le petit doigt de la main droite. Sensibilité tactile retardée aux
membres
inférieurs ; sensibilité thermique normale ; se
l'hypothèse de monoplégie hystérique, cliniquement admise pour le
membre
supérieur, devait être formellement rejetée, et q
le membre supérieur, devait être formellement rejetée, et qu'à ce
membre
supérieur existait une névrite, à la fois motrice
en même temps toutes les branches terminales du plexus brachial. Au
membre
inférieur, la névrite était purement motrice et
z qui, après des - attaques de choléra est survenue une atrophie du
membre
supé- rieur droit en même temps que se manifest
sclérose en plaques. 11 est difficile desavoir si cette atrophie du
membre
supérieur est due à la présence d'une plaque de
. B. LI. Hypertrophie pseudo-acromégalique segmentaire de tout un
membre
supérieur, avec troubles syringomyéliques ayant l
a peau a conservé son aspect normal. En même temps, tout le long du
membre
supérieur droit, dans la région de l'épaule, da
ement chiromégalie, mais bien hyper- trophie segmentaire de tout le
membre
supérieur jusques et y compris la clavicule et
oteurs; localisation des accidents surtout aux parties extrêmes des
membres
. En faveur d'une myélite, l'ataxie, inexplicable
rnée, du coryza, toujours à gauche; de la douleur avec faiblesse du
membre
inférieur gauche dont le sciatique est particul
ans le bras gauche; peut-être quelque diminution de la force de ces
membres
. La sensibilité a diminué dans les ex- trémités
tous. On sait avec quelle amabilité cordiale il reçut en 1595 les
membres
du Congrès des aliénistes et neurologistes à l'as
ll, 510. Atrophie. Musculaire et osseuse du TABLE DES MATIERES.
membre
supérieur droit, consécu- tive il des traumatis
28. Hypertrophie. Pseudo-acroméga- lique segmentaire de tout un
membre
supérieur avec troubles syrmgomyéliques ayant l
is-Jacksonienne ou partielle, débutant toujours, uniformément, par le
membre
inférieur gauche, s'étant produites pour la premi
MM. Souques et J.-B. Oharcot. Charcot, t. ii. 1 gère faiblesse du
membre
inférieur gauche qui, après avoir survécu à la cr
s qui président à l'exécution des mouvements volontaires vulgaires du
membre
inférieur. Quant à la structure, il n'y a rien
chez certains animaux, comme le singe par exemple, des paralysies des
membres
, contrairement à l'opinion de Flourens et d'autre
circonvolution pariétale ascendante président à la motilité des deux
membres
du côté opposé du corps. » C'était du reste à p
circonvolution pariétale ascendante détermine une paralysie des deux
membres
(supérieur et inférieur) du côté opposé, sans par
ite exacte et le siège précis du centre pour les mouvements isolés du
membre
inférieur. » Mais, cinq ans plus tard, en 1883, —
n d'autres termes que la région corticale présidant aux mouvements du
membre
inférieur d'un côté du corps se trouve, chez l'ho
'est ainsi que le rôle du lobule paracentral, dans les mouvements des
membres
inférieurs, s'est trouvé enfin fixé. Je dis fixé,
ons motrices dans l'écorce du cerveau. (Relations des monoplégies des
membres
in/èrieui^s avec les lésions du lobule paracentra
hésie profonde et systématique, intéressant le sens musculaire, si le
membre
frappé est traîné par le malade derrière lui, com
elle se traduit par des secousses ou par des accès convulsifs dans le
membre
; c'est pour ainsi dire la caractéristique habitue
à la face, de perte de connaissance,etc., suivi parfois de parésie du
membre
inférieur, sachez bien, dis-je, que cette épileps
qui est arrivé. Une paralysie se développe rapidement d'abord sur un
membre
inférieur, puis sur l'autre. Le malade étant tube
généraliser à tout le côté gauche du corps, sans jamais atteindre les
membres
du côté opposé, et que le Charcot, t. ii. 2 mal
es morbides, en même temps que les accès restaient souvent limités au
membre
inférieur. Et, autre détail qui a bien son import
bien son importance, à chaque crise survivait un peu de parésie de ce
membre
, mais cette faiblesse ne tardait pas à disparaîtr
A son entrée, il n'y avait aucune trace de paralysie motrice dans les
membres
, sauf un peu de parésie au niveau du membre infér
ralysie motrice dans les membres, sauf un peu de parésie au niveau du
membre
inférieur gauche ; le bras correspondant, en part
accès d'épilepsie Bravais- Jacksonienne, exclusivement localisés au
membre
inférieur gauche, et, le lendemain, nous constati
croissait subitement, l'asystolie menaçait, l'œdème apparaissait aux
membres
inférieurs et l'état général ne tardait pas à dev
par la jambe gauche des phénomènes convulsifs et leur limitation à ce
membre
et, par sa situation méningée, la persistance de
sérieux à la doctrine de la localisation cérébrale des mouvements du
membre
inférieur au niveau de la région du lobule parace
ession du plaisir et de la joie. Il ne se produit aucun mouvement des
membres
. Verre bleu. — Elle fronce les sourcils et sa p
scles des jambes sont contractures. Cette contracture qui s'étend aux
membres
supérieurs persiste quelque temps après l'attaque
lucination donnant lieu à des mouvements de tremblement dans tous les
membres
. Il crie, il pleure, il grince des dents. Verre
, 1890). terre, il était pris de quelques mouvements convulsifs des
membres
, véritable esquisse de la phase épileptoïde, qui
quelles, l'élément convulsif se bornant à quelques légers spasmes des
membres
, le délire atteignait au contraire une intensité
ans. Sa voix n'a pas encore mué. Pas de traces de poils sur la face.
Membres
grêles, taille petite, quoiqu'il soit assez bien
nesthésie cutanée bien délimitée, cependant il y a par places sur ses
membres
supérieurs et inférieurs, à droite et à gauche, q
'une grosse tête d'épingle brillante. Même période de contorsions des
membres
; même délire : la bête, le poteau vert où est éc
ots : 1° Une période de contorsions, portant principalement sur les
membres
supérieurs, et qui semble être le vestige des pha
va vomir, mais les vomissements ne se produi- sent pas. Bientôt les
membres
se raidissent légèrement ; ils sont étendus suiva
étendus suivant l'axe du corps qui s'incurve un peu en arrière ; les
membres
inférieurs rapprochés l'un contre l'autre, le pie
eurs rapprochés l'un contre l'autre, le pied en extension forcée. Les
membres
supérieurs sont rapprochés du corps ; les avant-b
e. Puis le malade est agité de quelques frissonnements et bientôt les
membres
redeviennent souples et le malade reste assis, ca
e les phénomènes convulsifs se bornaient à quelques tiraillements des
membres
et quelques mouvements de déglutition. Mais il fa
rve les mêmes mouvements de régurgitation et de déglutition; puis les
membres
se raidissent légèrement, étendus et rapprochés d
du corps, qui s'incurve en arrière. Au bout de quelques secondes, les
membres
redeviennent souples et le malade reprend l'attit
les globules oculaires. Après quelques secondes de tiraillements des
membres
et de mouvements de déglutition, il se met à réci
es et des personnes de service. Il s'étend peu sur la description des
membres
du personnel médical, raconte ses émotions, son p
veux (contracture des léthargiques), et l'immobilité cataleptique des
membres
placés dans les attitudes les plus diverses, et a
du poing, et vous la voyez aussitôt s'immobiliser en catalepsie ; les
membres
conservent la situation qu'on leur imprime, et, l
enverser en arrière (esquisse d'arc de cercle), en même temps que les
membres
s'étendent violemment..., etc. C'est une esquisse
bandonné son corps, en « causant un horrible tremblement par tous ses
membres
, » autrement dit elle venait d'avoir une attaque
remarque « un stade de collapsus ou de léthargie, avec résolution des
membres
. » L'individu, les yeux fermés, et dans la résolu
e ; immédiatement quelques secousses nerveuses se produisent dans les
membres
supérieurs, puis la malade ouvre les yeux ; alors
rises hystériques violentes et resta, pendant trois ans, paralysé des
membres
inférieurs. Ne pouvant rien faire de lui à Sain
ier de tailleur, qui était compatible avec l'état de paralysie de ses
membres
inférieurs et, au bout de quelques mois, il était
état de vigilambulisme, dans lequel elle avait le libre usage de ses
membres
inférieurs, avec une perte absolue de la mémoire
degré de diathèse de contracture. La bande d'Esmark appliquée sur un
membre
le fait entrer immédiatement en contracture. Mais
oduit. Si on la retire alors de cette position, on s'aperçoit que ses
membres
présentent la flexibilité, la mollesse spéciales
dire, et en éprouvant la force musculaire des différents segments des
membres
inférieurs, on s'aperçoit qu'ils ont conservé tou
rveux (contracture des léthargiques) et l'immobilité cataleptique des
membres
placés dans les attitudes les plus diverses, et a
respiration superficielle, ralentie, flexibilité cireuse spéciale des
membres
, qui gardent la position qu'on leur donne, sans s
n qu'on leur donne, sans signes manifestes de fatigue (tremblement du
membre
, efforts et accélération de la respiration). Ces
ace peu à peu et n'est plus représenté que par quelques secousses des
membres
supérieurs. Quant aux malades de M. Camuset et
ivrognerie, nous la retrou- vons très accusée chez presque tous les
membres
de sa famille, du côté paternel. Enfin, la sœur d
paraît-il, se débattait au point qu'on était obligé de maintenir ses
membres
et sa tête pour éviter des contusions. On la déla
lés par de nombreux auteurs, qui les ont étudiés soit dans les divers
membres
d'une même famille, soit chez un même individu.
s au hasard, mais relèvent de la parenté étroite qui existe entre les
membres
des deux familles arthritique et névropathique.
litre, soit 155 grammes environ par vingt-quatre heures. II est un
membre
de la grande famille névropathique sur lequel on
s après la syphilis. L'un de nous a eu l'occasion d'observer divers
membres
d'une famille dont on peut résumer ainsi le pedig
ns la marche. Ces engourdissements et cette gêne ont gagné ensuite le
membre
inférieur droit. Le malade fait naturellement r
puis cinq ans, il soutire de véritables douleurs fulgurantes dans les
membres
inférieurs et de (roubles vésicaux (incontinence
mples précédents que le diabète alterne avec le tabès dans les divers
membres
d'une même famille, absolument comme il alterne a
es. L'ataxie locomotrice progressive affecte du reste avec d'autres
membres
de la famille arthritique des rapports du même or
onclure que le tabès affecte des liens de parenté avec le rhumatisme,
membre
de la famille arthritique. C'est sans doute en
enons de voir jusqu'ici le diabète alterner avec le tabès chez divers
membres
d'une même famille. Nous avons hâte de démontrer
ignement sur ses grands-parents maternels ni sur un certain nombre de
membres
de sa famille. Il sait cependant que son grand-pè
ses qu'il faisait Tan dernier. Cependant la force musculaire dans les
membres
inférieurs est normale; il oppose aux mouvements
nesthésie. Il n'a pas de douleurs fulgurantes bien nettes ni dans les
membres
, ni au niveau de Ja ceinture. 11 accuse simplemen
tre du côté paternel est aliéné. Il y a en outre un certain nombre de
membres
de sa famille qu'il ne fréquente pas et qu'il ne
tre. 11 n'en a jamais ressenti dans la face, dans le cou, ni dans les
membres
inférieurs. Elles laissaient après elles une bypé
t bien ; les fourmillements sont soulagés par la position croisée des
membres
inférieurs; au?si ne tient-il presque jamais ceux
varices ont fait disparaître. Rien de particulier à noter dans les
membres
inférieurs si ce n'est un « énervement » qu'il fa
— K... est un homme de corpulence moyenne, sans obésité. Il porte aux
membres
inférieurs des varices très apparentes compliquée
leurs ont reparu sous forme de crises absolument classiques, dans les
membres
inférieurs et autour de la ceinture. Puis, huit a
es. Jamais il n'a entendu parler de maladie dans sa famille. Tous les
membres
qu'il connaît n'ont ou n'ont eu ni alfections ner
s survenant par crises, lancinantes ou terebrantes, siégeant dans les
membres
inférieurs au niveau des articulations, des cuiss
malement aux mouvements passifs effectués sur les divers segments des
membres
inférieurs. Il suffit de le voir marcher pour rec
une intéressante communication sûr une famille dont presque tous les
membres
étaient atteints de maladie de Friedreich. L'un d
e A... offre un intéressant exemple à'ataxie héréditaire. Huit de ses
membres
ont été atteints successivement en l'espace de qu
génération se compose de trois filles et d'un fils. Parmi ces quatre
membres
, trois sont ataxiques, et le troisième, la second
ions, au delà desquelles le malade ne connaît plus personne. Tous les
membres
de la famille sont morts à un âge avancé. Il a
lla en augmentant jusqu'au mois de juin et s'étendit graduellement au
membre
supérieur du même côté. Au mois de juin se décl
entraînement vers la gauche, mais par suite de la faiblesse réelle du
membre
inférieur gauche. Debout, à condition qu'on ne
pidation spinale, très affaiblis à droite. Les réflexes tendineux des
membres
supérieurs sont normaux. La sensibilité au cont
e le malade, mérite aussi d'attirer notre attention. L'hémiplégie des
membres
est aisée à com- (\) Parinaud et Georges Guinon
ent des jambes, à la suite d'une sorte de secousse ressentie dans les
membres
inférieurs. Au-dessous de la rotule droite on tro
l'onglée et la cyanose y est assez fréquente. T État actuel. — Aux
membres
supérieurs, l'omoplate a son bord spinal distant,
.... 25 cent. 22 cent. L'exploration galvanique des muscles des
membres
supérieurs montre qu'il existe en certains points
n voit se produire des mouvements fibrillaires dans les muscles. Le
membre
supérieur droit peut être utilisé directement : l
de la main. Le malade tient sa plume à écrire comme sa fourchette. Le
membre
supérieur gauche n'est utilisé qu'indirectement :
oigts. Il y arrive encore très bien lorsqu'elle est tenue en l'air.
Membres
inférieurs. Au niveau de l'extrémité inférieure d
res inférieurs. Au niveau de l'extrémité inférieure de la cuisse, les
membres
sont atrophiés. Le bord interne de la cuisse form
sur le rachis, par suite d'un mouvement d'adduction et de rotation du
membre
supérieur. Les jambes sont lancées en dehors, la
difficile. Quelques tremblements, qui existent spontanément dans les
membres
, sont également accrus par la même cause. Pour
ujet). aspect extérieur) (1). Mais, si l'on considère au niveau des
membres
les muscles ou les groupes de muscles pseudo-hype
t à se faire facteur rural. On peut conclure de là qu'à ce moment ses
membres
inférieurs étaient encore parfaitement sains, car
s. Conservation relative des autres muscles. En ce qui concerne les
membres
supérieurs, il est survenu depuis 1889 quelques c
er le tronc, quand il est couché sur le dos. En ce qui concerne les
membres
inférieurs, le mal a fait d'assez grands progrès,
ppement habituel au niveau de la ceinture scapulaire, du tronc et des
membres
. En conséquence de cette atrophie et des rétracti
tement immobilisées, par rester couché toujours sur le même côté, les
membres
inférieurs fléchis, posés à plat sur le lit et le
liqué, depuis un simple tremblement ou un mouvement involontaire d'un
membre
ou d'un segment de membre, jusqu'à des actes plus
emblement ou un mouvement involontaire d'un membre ou d'un segment de
membre
, jusqu'à des actes plus ou moins coordonnés très
de l'accès [accès avortés). Légère faiblesse ou mieux maladresse du
membre
supérieur gauche. Mais pas de signe d'hémiplégie
frayeur ; elle a peur de tout ce qui l'entoure, tremblant de tous ses
membres
; « des idées vagues, bizarres » lui passent par
cervicale et lombaire mises à nu, je provoque non seulement dans les
membres
, mais encore un peu partout, de brusques secousse
u larynx, sans accompagnement de gesticulations choréiformes dans les
membres
, et tous les exemples publiés sous cette rubrique
stématiquement les mêmes, qui consistent en une brusque élévation des
membres
du côté droit en même temps que la tête s'incline
ces conditions-là, on le comprend aisément, l'apparition, chez un des
membres
du groupe, d'une affection reproduisant un aboiem
de quatre à cinq jours, des crampes, des douleurs violentes dans les
membres
inférieurs, la nuit surtout; sa vue se serait trè
malade se plaint, en outre, d'avoir souvent des contractures dans le
membre
supérieur gauche ; sa main se fléchit quand il tr
des mains, surtout à gauche. Le côté gauche, et particulièrement le
membre
inférieur, est un peu plus faible à gauche qu'à d
On a constaté, de plus, que l'application de la bande d'Esmarch au
membre
supérieur gauche déterminait l'apparition de la c
le paracentral, puisque les mouvements convulsifs prédominent dans le
membre
inférieur, qui est même un peu parésié en dehors
s que la goutte, affection arthritique par excellence, et l'hystérie,
membre
important de la grande famille neuropathologique,
Le malade nous a assuré qu'il n'a pas eu d'écume à la bouche, que les
membres
étaient dans l'extension plutôt que dans la flexi
Il y a faiblesse de tout le côté et diminution de la sensibilité aux
membres
comme à la face ; pas de douleurs dans le trajet
lité aux membres comme à la face ; pas de douleurs dans le trajet des
membres
; amaurose incomplète de l'œil droit (probablemen
paralytique, qui s'est montré sur les muscles de la langue et des
membres
du côté droit a été passager, parce que la dest
ix ans; le 22 novembre 1875, sensation d'en- gourdissement dans les
membres
du côté droit, puis graduelle- ment hémiplégie
e 1863, Brug... sortit guéri. Je suis en relations à Dijon avec des
membres
de la famille Brug... ; j'ai pu obtenir ainsi s
té pendant l'attaque. Pas d'asymétrie faciale, pas d'atrophie des
membres
, ni aucune déformation, ni asymétrie apparente.
epen- dant vers la mi-août (1881). 30 août. OEdèmede la face, des
membres
inférieurs de l'ab- domen ; urines rares très c
d'hérédité, de rechercher les liens qui les unissent aux différents
membres
de la famille névropathique ' . '. 1 Cli. Fér
rLedela parole, tantôt unique, tantôt accompagnée de monoplégie (du
membre
supérieur) ou d'hémiplégie (des deux membres) d
agnée de monoplégie (du membre supérieur) ou d'hémiplégie (des deux
membres
) du côté droit. Ni céphalalgie, ni perte de con
et demi plus tard, soudain perte de connaissance, flaccidité des
membres
, insensibilité, immobilité, thorax fixe, respirat
er à un citoyen le droit de garder dans un domicile particulier les
membres
de sa famille qui sont dans un état d'aliénatio
une fa- çon très fine est un trouble spécial dans les fonctions des
membres
inférieurs sans aucun rapport avec l'ataxie ell
pprimées, mais presque toujours il y a eu un transfert, soit sur le
membre
du côté opposé, soit sur l'autre membre du même
u un transfert, soit sur le membre du côté opposé, soit sur l'autre
membre
du même côté (de la jambe au bras et vice oei-s
e Paris, 1884. Contribution ci l'étude du centre moteur cortical du
membre
infé- rieur; par C. l'nsvusn. Thèse de Paris, 1
ses expériences sur la prophylaxie de la rase, Arrête : Sont nommés
membres
de la commission chargée de contrôler les expér
de Paris, professeur de physiologie à la même faculté; -Paul Bert,
membre
de l'Institut, professeur de physiologie généra
physiologie générale à la faculté des sciences de Paris; Uouley,
membre
de l'Institut, professeur de pathologie comparée
thologie comparée au Muséum d'histoire naturelle,- le De Villernin,
membre
de l'Aca- démie de médecine, professeur de clin
ion de médecine et de pharmacie militaires de Paris; le Dr Vulpian,
membre
de l'Institut, professeur de pathologie comparé
, tantôt par des spasmes limités à un côté de la face ou à l'un des
membres
. Dans le premier cas, le tableau clinique était
L Fig. 1 ? Phase tonique. 13V CLINIQUE nerveuse. A droite, le
membre
supérieur rigide est étendu dans l'adduc- tion
; le poignet est fléchi sur l'avant- bras, et le poing convulsé. Le
membre
inférieur est en exten- sion, le genou droit fo
et le pied sont tournés un peu en dehors. (Fig. 1.) .) A gauche, le
membre
supérieur se raidit un peu, mais tou- jours con
e période de convul- sions cloniques. Les muscles de la face et des
membres
du côté droit sont agités de secousses brèves,
s grande rapidité. Du côté gauche, il n'y a rien de semblable : les
membres
restent un peu étendus, et un peu raides; mais
Après les crises, la main droite reste fermée convulsivement, et le
membre
supérieur droit un peu contracté. A gauche, les
ent, et le membre supérieur droit un peu contracté. A gauche, les
membres
deviennent flasques. Du 3 au 1'4 octobre, les a
alisent : le côté gauche se prend à son tour. Dans chaque accès, le
membre
supérieur gauche s'étend et se raidit, les doig
st également rigide. Les mou- vements cloniques se montrent dans le
membre
supérieur gauche, mais beaucoup plus faiblement
ion cérébrale. Ce signe négatif, c'est l'absence de paralysie des
membres
convulsés, quelqu'ait été le nombre des attaque
enne. Rosa G... n'a jamais été atteinte de la moindre parésie des
membres
droits, même après avoir eu, dans une même jour
cas est publié plus bas, présentait constamment de la paralysie des
membres
convulsés après quelques accès. Enfin, si le
. Puis la douleur gagne l'épaule gauche, et enfin s'irradie dans le
membre
supé- rieur du même côté jusqu'à l'extrémité de
ssives : 1° le regard devient fixe, les pupilles se contractent. Le
membre
supérieur gauche se place dans l'ex- tension ;
ion. Dans son ensemble, la main revêt l'apparence d'une griffe.- Le
membre
inférieur gauche est étendu et raide, le pied d
he est étendu et raide, le pied dans l'attitude du varus équin. Les
membres
du côté droit se raidissent un peu eux aussi, m
ircumduc- tion commence; 3° enfin arrive la troisième phase : les
membres
gauches sont animés de petites convulsions cloni-
seulement par intervalles quelques petites secousses au niveau des
membres
. Foisn... a aussi de nombreux vertiges. En août
^soitlêT'nonhire°des crises ; chez Rosa G..., pas de paralysies des
membres
convulsés,o°même,`quand°.laSlnaladeraeu·plus.de
celle1 et perd la parole ; paralysie du bras droit, et plus tard'du
membre
inférieur du même côté. - Entrée le 93 août.l8
rquoi également les fibres destinées à porter le mouvement dans les
membres
étant détruites, la pa- ralysie reste permanent
l'aphasie, car, dans ce cas comme dans le premier, la paralysie du
membre
supérieur surtout se manifestera à cause du voi
jdeesijustejî,-< ? ttajs pqrolej Irèjs difficile.iForce égale des
membres
des deux côtés. ,19 avril, affaiblissement brus
oyer par une légère couche de substance blanche; hémiplégie gauche;
membre
supérieur complètement paralysé, l'inférieur ex
ns sa plus grande épaisseur ; athérome artériel. Hémiplégie gauche;
membre
supérieur beaucoup plus para- lysé que l'inféri
ériel. Trois attaques d'hémiplégie gauche ; paralysie com- plète du
membre
supérieur, incomplète du membre inférieur : dév
ie gauche ; paralysie com- plète du membre supérieur, incomplète du
membre
inférieur : déviation des traits à droite ; par
tsJdela,rtète.faciles,Z,·,1 mouvement et sensibilité conservés aux*
membres
^ droits \n\> I 70 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. m
onservés aux* membres^ droits \n\> I 70 ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
membre
supérieur gauche paralysé, mais encore sensible ;
des mouvements réflexes et spontanés y sont facilement produits.
Membre
inférieur gauche un peu roide dans l'adduction ;
mouvements très étendus, et suivie de jactitation très violente des
membres
; , ? dans un de ce; moments de violence, il s'
de la maladie; il s'en faut aussi qu'il soit toujours égal aux deux
membres
; il varie encore dans sa rapidité absolue^ et
ut ? io, ciz 9° Douleur. 'Les douleurs tant ? soit' peu' vives des'
membres
et' du tronc.sont.plus fréquentes dans les cas'
;« '] ? y ri ri ? ? t ? )>lli,il(, r- - .u J, t. JU JW u01\"nt ?
membres
valides de la famille; il est nourrr comme eux,,c
1l> Rii « 'H. r1) ? . |l ... ? ni' r" . "i) lancinantes dans les
membres
et le dos,, de.,1 insomnie, ^de l'affaiblisseme
k) des paroles de regret. L'as- semblée se lève par respect pour ce
membre
décédé. L'ordre du jour appelle la communicatio
n de « cerveaux de famille » ; il s'agit de l'exis- tence, chez les
membres
d'une même famille, d'un type de circon- voluti
pour,faire les démarches nécessaires à la réception solennelle des
membres
du congrès. On lui donne pleins pouvoirs à cet ef
elle la révision du protocole de chaque séance est confiée à deux
membres
éligibles tous les ans, est ainsi modifiée : cett
ns, est ainsi modifiée : cette révision sera effectuée par deux des
membres
présents à chaque séance. ' On procède au choix
tant a toute sorte de sollicitalions ; les UCIKi'MS SAVANTES. 253
membres
soulevés retombent comme s'ils avaient la lourdeu
développés dans la cavité pelvienne, peuvent déterminer du côté des
membres
inférieurs, des troubles moteurs d'une étendue tr
Tout degré de parenté ou d'alliance entre un concurrent et l'un des
membres
du jury donne lieu à récusation d'office de la
ans les hospices de BieûLre et de la Salpêtrière se compose de huit
membres
, savoir : Quatre médecins tirés au sort parmi l
i les signes classiques de la paralysie pseudo- hypertrophique. Les
membres
inférieurs, à partir du bassin, ont un développ
ous-cutané une masse homogène de consistance pâteuse. Au cou et aux
membres
supérieurs, on note l'aspect pseudo-hypertrophi
r, autant qu'il le peut, aux mouvements qu'on fait exécuter à ses
membres
, on constate que sa résistance est très faible,
ur le galvanique. On ne peut obtenir de contraction des muscles des
membres
qu'avec un courant de 110 à 120 dix-millièmes (
mbes deviennent plus aisés. La même particularité a lieu pour les
membres
supérieurs. Si le malade étend vivement le bras
. Le sens musculaire est affaibli, particulièrement au niveau des
membres
supérieurs. Ces troubles de la sensibilité généra
ue la tète se place dans l'attitude que nous venons d'indiquer, les
membres
du côté gauche se téta- nisent : le membre supé
venons d'indiquer, les membres du côté gauche se téta- nisent : le
membre
supérieur se raidit dans l'extension, le poing
EUSE. nique, pas de contractions imprimant aux divers segments du
membre
des mouvements à grande amplitude, comme ceux que
ous allons voir se produire à droite. (Fig. 9). Les convulsions des
membres
droits, bien que plus accusées que celles dos m
nvulsions des membres droits, bien que plus accusées que celles dos
membres
gauches, débutent toujours après ces dernières
bras et se porte sur la partie latérale et postérieure du tronc. Le
membre
inférieur est dans l'extension forcée et en tét
é gauche de la face est animé de petits mouve- ments convulsifs, le
membre
supérieur du même côté, puis la jambe, sont dan
r du même côté, puis la jambe, sont dans l'extension et raides. Les
membres
du côté droit sont flasques ; ils ne présentent
ous les phénomènes se limitaient à la tète et la face, sans que les
membres
, pas plus à gauche qu'à droite, ne prissent par
t ont duré plusieurs jours, il existe une sorte d'état parésique du
membre
supérieur gauche. La malade éprouve quelque dif
supérieur gauche. La malade éprouve quelque difficulté à mouvoir ce
membre
. En examinant les choses de près, nous sommes a
cutive aux accès, mais simplement de l'impotence fonctionnelle du
membre
supérieur gauche, se rattachant à un état doulour
l'épilepsie, si l'absence d'hyperthermie et de paralysie nette des
membres
convulsés à la suite des attaques, si l'existen
e, c'est-à-dire que les spasmes intéres- saient la face et les deux
membres
d'un côté du corps, se généralisant même ultéri
monoplégique ou circonscrite, les convulsions se limitant soit à un
membre
, soit à la face, ou envahissant à la fois la fa
à un membre, soit à la face, ou envahissant à la fois la face et le
membre
su- périeur sans intéresser le membre inférieur
ssant à la fois la face et le membre su- périeur sans intéresser le
membre
inférieur corres- pondant. La première observ
circonstanciés. La mère de Fore... a été atteinte de paralysie des
membres
( ? ) à la suite de couches. Son père est d'un
lle est prise, en effet, de temps en temps de spasmes convulsifs du
membre
supérieur gauche. Ces spasmes s'accusent de la
ncline vers ladroite. -Dans une seule matinée, on a vu le manège du
membre
supérieur 288 CLINIQUE NERVEUSE. gauche se re
vé chez Fore..., L'absence de tout phénomène permanent du côté du
membre
(exagération des réflexes, parésie) à la suite
s apoplectique ; jamais elle n'a éprouvé d'affaiblissement dans les
membres
du côté gauche. Elle n'a pas d'anesthésie; elle
lement - épileptiformes. b) Puis vient l'absence de paralysie des
membres
convulsés dans la fausse épilepsie jacksonnienn
cloniquesdes deux côtés mais plus prolongées à gauche, surtout au
membre
supérieur, parfois limitées à la partie gauche du
parait moins développé que le droit. Pas de déviation du rachis.
Membres
supérieurs. A l'inspection, le membre gauche n'a
Pas de déviation du rachis. Membres supérieurs. A l'inspection, le
membre
gauche n'a pas d'attitude vicieuse et parait un
une contras- ture intermittente du deuxième orteil gauche, les deux
membres
inférieurs ne présentaient, en 1882, que de trè
urs ne présentaient, en 1882, que de très légères diffé- rences. Au
membre
supérieur gauche la paralysie persista plus lon
nique, les secousses étaient plus prolongées à gauche, sur- tout au
membre
supérieur. Enfin, dans certains accès, surtout
ade, et notamment la prédominance des accidents convulsifs, dans le
membre
supérieur gauche, dont le centre mo- teur, qui
un degré prononcé par le foyer pathologique. En ce qui concerne le
membre
inférieur qui est plus spécialement sous la dép
sent au bout de douze jours et sont remplacées par des parésies des
membres
inférieurs et des troubles de coordination ; bien
es de coordination ; bientôt .paralysie véritable et anesthésie des
membres
affectés. Jamais de paralysie de la vessie ni d
la vessie ni du rectum, pas d eschares, spasmes fréquents dans les
membres
inférieurs, impuissance. Après deux ans pendant
et mécanique des muscles et des nerfs; contracture et parésie des
membres
. Mort au bout de deux ans. La nécropsie révèle le
ru. L'atrophie mus- culaire est générale; réaction dégénérative aux
membres
. Quand on agit sur les extrémités inférieures,
REVUE DE PATHOLOGIE \( : It1'EUSK. 333 gnostic,lacontracture des
membres
supérieurs survenue après une. attaque des plus
- robes dépourvues de sang. P. K. XLIX. SUR la PERTE DE force DES
membres
non paralysés dans L'HÉ- MIPLÉGIE cérébrale; pa
abilité électl ique ; l'exagération des réflexes tendineux dans les
membres
atteints et dans les extrémités supérieures, une
emi, et son intelli- gence s'en est ressentie. Paralysie motrice du
membre
supérieur droit et faiblesse marquée du membre
Paralysie motrice du membre supérieur droit et faiblesse marquée du
membre
inférieur du même côté. C'est une imbécile, mai
es du cerveau qui sont préposées au mouvement étant atrophiées, les
membres
dont l'action est régie par ces parties n'ont p
s la lecture du rapport de MM. Ballet, Motet et Féré, sont nommés :
membres
associés étrangers MM. Ladame et Camille Focchi
nommés : membres associés étrangers MM. Ladame et Camille Focchi;
membre
correspondant, M. Séglas. M. Motet communique à
oses. Quant aux troubles circulatoires (refroidissement, oedème des
membres
inférieurs), signalés ailleurs, ils manquent chez
revient l'honneur d'avoir signalé que l'animal n'avait plus de son
membre
paralysé une parfaite conscience, qu'il ne s'en
une a cinq heures. Ce sont : delà lourdeur avec engourdissement des
membres
; des convulsions musculaires, des secousses dan
du phénomène du genou. En même temps, paraplégie accentuée dans les
membres
inférieurs, modérée sur les extrémités supérieu
e des manifestations cliniques. 11f.11tosES place sous les yeux des
membres
de la Société les or- ganes, et en particulier
ccasion, les savants de l'étranger les plus éminents ont été nommés
membres
honoraires. La France a comme représentants : M
lie a double forme, par Mordret (An. Charpentier), 206. Force des
membres
non paralysés dans l'hémiplégie cérébrale, 344.
es maladies mentales à la Faculté de médecine (le V. MAGNAN
Membre
de l'Académie ! de médecine Médecin de l'Asil
ns cutanées un peu fortes déterminent encore des mouvements dans le
membre
supérieur droit, et même ce membre présente des
nt encore des mouvements dans le membre supérieur droit, et même ce
membre
présente des mouvements sponlané., le malade l'
sa portée et par exemple les vêlements de ceux qui l'entourent. Ce
membre
présente un cei tain degré de raideur, tandis que
ent. Ce membre présente un cei tain degré de raideur, tandis que le
membre
supérieur gauche est flasque, retombant lourdem
e le membre supérieur gauche est flasque, retombant lourdement. Les
membres
inférieurs plus ou moins repliés sont aussi con
rieur gauche est parésié. Le malade respire la bouche ouverte. Les
membres
du côté gauche sont absolument flasques et tomben
du côté gauche sont absolument flasques et tombent lourdement. Les
membres
inférieur et supérieur droits présentent au con
nt dans la moitié gauche de la lèvre intérieure, puis s'étendant au
membre
supérieur qui est agité de mouvements cloniques
vements cloniques étendus, assez souvent descen- dant aussi dans le
membre
inférieur du même côté, enfin parfois se généra
excitations diverses et spécialement par des mouvements imprimés au
membre
supérieur gauche. Elles peuvent être aussi spon
du coma absolu. L'hémi- plégie flasque gauche (facial inférieur et
membres
) persiste aussi. 4 CLINIQUE NERVEUSE. Il y a
NERVEUSE. Il y a toujours un état de contracture de la face et des
membres
du côté droit. Les crises d'épilepsie jackson
paralysie faciale droite, paralysie du bras gauche, contracture des
membres
inférieurs, contracture moins forte du membre s
che, contracture des membres inférieurs, contracture moins forte du
membre
supérieur droit, pupilles égales, hypothermie.
tard : Coma complet, hémiplégie gauche flasque (facial inférieur et
membres
supérieur et inférieur gauches), con- tractures
s supérieur et inférieur gauches), con- tractures de la face et des
membres
à droite, déviation* des yeux à droite, myosis
e, mais dans les débuts pourtant il existait de la raideur des deux
membres
inférieurs, puis plus tard cette raideur se loc
ns de M. le profes- seur Lépine où l'on notait de la contracture du
membre
supérieur du côté de la lésion. Il est donc pos
facial inférieur droit et du bras gauche, et de la contracture des
membres
inférieurs et du membre supérieur droit. Le l
du bras gauche, et de la contracture des membres inférieurs et du
membre
supérieur droit. Le lendemain nous notions une
nous notions une hémiplegie gauche flasque et de la contracture des
membres
du côté droit. Mêmes varia- tions du côté de l'
expliquer la rareté relative des troubles de motricité du côté des
membres
ou de la face, au cours des hémorrhagies sous-a
éterminaient après un temps variable l'éjaculation sans rigidité du
membre
, ou le réflexe ne se produisait jamais malgré l
ttention, pat oie, préhension, mastica- tion nulles ; paralysie des
membres
; grincement des dents ; accès de cris. Epileps
ait point. » A trois mois l'enfant si. été pris de convulsions. Les
membres
étaient affectés également des deux côtés. « La
que les yeux étaient brouillés comme s'il ne voyait pas clair. Les
membres
, qui, auparavant, remuaient naturellement et ég
ndant deux autres mois il aurait eu également des convulsions : les
membres
étaient raides, le corps tressautait. Il a été
et contracture prédominant à gauche. La préhension est nulle. Les
membres
inférieurs sont incapables de tout mouvement. Les
à toutes les manifes- tations de la névrose, aussi bien du cûté des
membres
que du côté des viscères. Comme d'autre part
la veille et de leurs résultats, et reçoivent ses instructions. Les
membres
du comité local visitent également les malades
de. Les aliénés paraissent être généralement traités à l'égal des
membres
de la famille : ils partagent la table, le travai
420. La colonie est administrée par une commission composée* de 7
membres
, dont 3 sont pris parmi les principaux fonctionna
ont 3 sont pris parmi les principaux fonctionnaires de la province (
membres
de droit), dont un autre membre est le bourgmes
aux fonctionnaires de la province (membres de droit), dont un autre
membre
est le bourgmestre ou l'un des échevins, dont (
s nodules sous-cutanés développés dans le sens de la longueur des
membres
et qui sont à peu près indolores, la masse de ces
le plus élémentaire et le plus frappant consiste dans le fait qu'un
membre
ou un segment de membre peut être paralysé par
e plus frappant consiste dans le fait qu'un membre ou un segment de
membre
peut être paralysé par suggestion. Que ces para
la suggestion, ne peut plus, par exemple, marcher ou se servir d'un
membre
. A notre avis, un tel phéno- mène ne peut s'exp
concours ; prenant en considération le voeu unanime et pressant des
membres
du jury; vu la nécessité de maintenir à ce conc
ires et dans l'hystérie ; dans des cas semblables, je fais faire au
membre
malade des exercices passifs par le membre bien
lables, je fais faire au membre malade des exercices passifs par le
membre
bien portant, à l'aide d'un appareil, qui a, al
de d'un appareil, qui a, alors, deux poulies; l'une est attachée au
membre
souffrant, l'autre est mise en activité par le
attachée au membre souffrant, l'autre est mise en activité par le
membre
bien portant. Ces mouvements passifs con- vienn
IQUE. saient débutant par la main gauche, gagnant bientôt tout le
membre
supérieur, les muscles de la face et l'orbiculair
e la face et l'orbiculaire des pau- pières du même côté, ensuite le
membre
inférieur. La crise finis- sait par se générali
naissance ; les mouvements volontaires sont impossibles dans les
membres
du côté gauche, et bien que le bras de ce même cô
fulgurantes revenant par crises, parcourant la face postérieure des
membres
MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE. 105 inférieurs
de constipation, puis d'une lourdeur et d'un engourdis- sement des
membres
inférieurs. L'état s'est ainsi peu à peu aggrav
plaint de constipation opiniâtre. Il présente une hypoesthésie des
membres
inférieurs et se plaint d'une lourdeur lombaire
ipation, de fourmillements dans la plante des pieds, de parésie des
membres
inférieurs. Cet état a peu à peu progressé. Act
pagnée de crampes dans les deux mollets. Les réflexes tendineux des
membres
inférieurs sont très exagérés, avec trépidation
sauf l'ongle du pouce droit qui a été altéré par un panaris. Les
membres
inférieurs sont bien développés, normaux de forme
orte de diarrhée tuberculeuse ; incoordination des mouvements des
membres
inférieurs, plus maltraités que les membres supér
tion des mouvements des membres inférieurs, plus maltraités que les
membres
supérieurs, élocution ralentie mais distincte,
observation réside dans ce fait que malgré la paralysie des quatre
membres
présentée par le malade la voie pyramidale ou v
démarche spasmo- dique, l'exagération des reflexes tendineux aux 4
membres
. Il parlait. Il était sujet à des attaques d'ép
schares guérissent et il n'y a plus actuellement qu'une parésie des
membres
inférieurs avec abo- lition des réflexes. L'a
lysés. Alité jusqu'en 1896, il reprend graduellement l'usage de ses
membres
, mais la voix reste entiè- rement perdue. En oc
nt du bras gauche qui dure actuellement depuis trois ans. Tout le
membre
, depuis l'épaule jusqu'aux doigts inclusivement,
la colonne vertébrale avec incurvation. L'affection commence parles
membres
et affecte non pas seulement les articulations
upilles, signe de Westphal (unilatéral). Les symptômes relatifs aux
membres
inférieurs paraissent cependant avoir rétrocédé
extrêmement intense de la parole, des mouvements du tronc et des
membres
contrastant avec l'intégrité de la sensibilité (r
analyse des symptômes indique l'ataxie des mouvements du tronc, des
membres
, de la parole, de la physionomie. Leur persis-
ours auparavant, il a ressenti un craquement dans les muscles de ce
membre
; à chaque pas il traîne le pied gauche en march
idence DE M. Magnan. LE Président annonce la vacance d'une place de
membre
titulaire, en remplacement de celle occupée par
désigner une maladie frappant à la fois ou successivement plusieurs
membres
d'une même génération (frères, soeurs, cousins
as voulu dire dans sa communication que lorsque dans une famille un
membre
était frappé de folie, si un congénère venait à
a région de la tête E » de Muni. Le gyrus sigmoïde (zone motrice du
membre
antérieur) le limite en arrière ; 2° Fritsch
aphique est encore à déterminer. L'hémiplégie avec hémiatrophie des
membres
et de la langue est un syndrome rare. Après une
le traitement des malades par l'internement. En 1892 le nombre des
membres
de la Société était de 660. 176 VARIA. sont
montant du secours à accorder, et le remet au malade lui-même ou au
membre
qui est son représentant. Le président peut à l
u Comité d'organisation. Nomination des présidents d'honneur et des
membres
du bureau. Fixation du programme des travaux de
-Evrard et de la Maison-Blanche. Banquet. Le soir, fête offerte aux
membres
du Congrès par le Bureau et les Comités d'organ
utes les fêtes du Congrès, les femmes, filles et soeurs de JIN. les
membres
du Congrès seront invitées. Un Comité de dames es
eurs de les mem- lues du Congrès. Ce Comité, composé des femmes des
membres
du Comité exécutif du Congrès et des présidents
ont retirer leurs insignes, se réunir et trouver, aupiès des dames,
membres
du Comité, tous les renseignements qui leur seron
usculaire et de douleurs très violentes, localisés d'abord dans les
membres
inférieurs, puis dans les membres supérieurs, e
entes, localisés d'abord dans les membres inférieurs, puis dans les
membres
supérieurs, et d'autant plus marqués que l'on se
me une circonstance fortuite. On a décrit des cas dans lesquels les
membres
supérieurs ont été pris les premiers. Leyden a
ercure qui a ressenti d'abord un affaiblissement de la motilité des
membres
supérieurs. Puis surviennent trois ictus apoplect
ute dans un escalier fut atteint d'une paralysie fiasque des quatre
membres
. Cette paralysie qui fut suivie d'une atrophie
te. . D. 224 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XL. Parésie des quatre
membres
, contractures, exagération des réflexes et phén
ans le même endroit, ce qui aurait facilité les relations entre les
membres
des deux sections et leur aurait rendu plus commo
orateurs les plus aimés et les plus distingué ? , le Dr Bouchereau,
membre
du Comité d'orga- nisation, à la mémoire duquel
mais aux sujets d'études, et M. Pierre Marie propose d'envoyer aux
membres
de la Section de Psychiatrie l'adresse suivante
n de Psychiatrie l'adresse suivante approuvée par l'unanimité des
membres
présents : « Les membres de la Section de Neuro
e suivante approuvée par l'unanimité des membres présents : « Les
membres
de la Section de Neurologie du XIII0 Congrès in
emblés à la Sorbonne, dans l'amphi- théâtre Richelieu, envoient aux
membres
de la Section de Psy- chiatrie un cordial salut
de Psychiatrie, présent à la séance, adresse ses remerciements aux
membres
de la Section de Neurologie. A l'adresse qu'on
Psychiatrie a répondu le lendemain par l'adresse suivante : « Les
membres
de la Section de Psychiatrie du XIII" Congrès i
ational de Médecine, assemblés à l'Ecole de Pharmacie, envoient aux
membres
de la Section de Neurologie leurs sincères reme
cours d'un médecin célèbre, qui est à la fois homme politique et
membre
de l'Académie de médecine. La bonne affirme tenir
re accompli, alors que l'amélioration est peu marquée du côté des
membres
paralysés. Dans la forme acquise, il y a perte de
rophie de l'un des hémisphères, avec une atrophie concomittante des
membres
du côté opposé. Dans un cas signalé par Beach,
pposé. Dans un cas signalé par Beach, il y avait épaississement des
membres
, épan- chement de sérosité dans l'espace sous-a
ur l'Anatomie pathologique de l'idiotie; par .1. 1111EBZEJI\I\'SKI,
membre
du Conseil médical, ancien professeur de cliniq
aud-Broca), où l'on constate la conservation de quelques mots, d'un
membre
de phrase ou d'une phrase, même de plusieurs ph
u de pleurer spasmodiques. Les réflexes tendineux sont exagérés aux
membres
supérieurs et inférieurs. Il n'y a pas d'atroph
attention de la Société sur la trépidation épi- leptoïde de tout le
membre
inférieur dans la sclérose en plaques. BIBLIOGR
ures et d'obtenir le rétablissement relatif de la motilité dans les
membres
paralysés. » M. Gilles de la Tourette 2 écrit d
es, est néanmoins contraire au devoir médical. L'immobilisation des
membres
paralysés et l'aban- don de l'hémiplégique à so
, le massage permet d'étudier : les arthrites des articulations des
membres
paralysés ; l'anesthésie et l'hyper- esthésie d
apeutique. gique comme les autres, en commençant par la racine du
membre
et en terminant par ses extrémités. A ce point de
Golia- lcllowsky', qui, avant de commencer le massage général du
membre
, le prépare en partant de la racine vers l'extrém
éthode déterminée par l'hypotonie ou l'hypertonie des muscles des
membres
paralysés. La force des manoeuvres appliquées var
ôt que nous constatons le retour de la force muscu- laire et que le
membre
est capable d'exécuter un mouvement quelconque,
plégique présente la perte absolue de l'exécution des mouvements du
membre
paralysé. Souvent l'hémiplégique hésite à faire
s de la marche consistent en exécution des mouvements cardinaux des
membres
inférieurs : la flexion,- l'extension, la circu
e traction à double poulie. (Exercices de flexion et d'extension du
membre
supérieure.) 362 THERAPEUTIQUE. Pour aider
s le trai- tement des ataxiques. La rééducation des mouvements du
membre
supérieur exige plus de temps et de sagacité, q
de sagacité, que la rééducation de la marche, car les mouvements du
membre
supérieur sont plus étendus que ceux du membre
ar les mouvements du membre supérieur sont plus étendus que ceux du
membre
inférieur. Ici, nous commençons toujours par le
seuls ont peu d'importance dans la rééducation des mouvements du
membre
supérieur. On peut tourner le bras paralysé dans
nt fait disparaître complètement les arthrites des articulations du
membre
atteint. Par consé- quent, si on veut obtenir q
tteint. Par consé- quent, si on veut obtenir quelques mouvements du
membre
supérieur, c'est aux mouvement» actifs qu'il fa
érents objets, etc. Pour faciliter la rééducation des mouvements du
membre
supérieur, nous employons comme appareils de mé
TEMENT MÉCANOTHÉRAPIQUE DES HÉMIPLÉGIQUES. 367 Î des mouvements des
membres
atteints de paralysie. La gym- nastique rationn
re malade ne se décourage plus vite qu'un hémiplégique. La vue d'un
membre
immobile, qu'il considère avec tous les siens c
mal, alors que les hémiplégiques marchaient et se servaient de leur
membre
supérieur. Nous avons eu également l'occasion d
on veut-examiner l'appréciation des variations de poids : pour les
membres
inférieurs, on adapte il une chaussette un peti
on dépose les sphères. D'après les recher- ches de E. II. Weber, au
membre
supérieur, on apprécie des diffé- rences de poi
s fournissent des renseignements beaucoup plus impar- faits que les
membres
supérieurs. D'après Chavet, on apprécie aussi b
avet, on apprécie aussi bien une augmentation de poids de 1 gr. aux
membres
supérieui s qu'une augmentation de 30 à 40 gr.
gr. aux membres supérieui s qu'une augmentation de 30 à 40 gr. aux
membres
infé- rieurs. Nous empruntons à un travail ré
c le même poids (4 kilogrammes) et le même rythme (une seconde). Le
membre
était fixe de manière à exclure le con- cours d
tion de l'épine dorsale, dans la seconde la galvanisation d'un seul
membre
, dans la troisième le bain statique, tantôt posit
courant- sont soulevés du sol par une brusque-tension des quatre
membres
et un tétanos rigide de tous les muscles du corps
s musculaire). Mesure de la sensation d'innervation motrice dans un
membre
immobile tendu. Seuil des poids perçus sans pre
s sans pression cutanée et sans mou- vements (actifs ou passifs) du
membre
. - liizzesthésiomèlre indi- quant la sensation
l'expérience ainsi conduite il n'y a plus du tout de déplacement du
membre
, ni mouvement actif, ni mouvement passif. La pr
nous avons aussi, dans SECTION DE NEUROLOGIE. 419 l'immobilité du
membre
, sans déplacement aucun, une sensation de l'act
sensation de l'activité musculaire au repos, sans déplacement du
membre
, que l'on peut étudier très facilement en cliniqu
, comme l'avait admis Todd. Si la plupart des malades traînent le
membre
paralysé comme une pièce de matière étrangère, il
ssins nombreux les appa- reils employés pour donner de la force aux
membres
, et les résultats très encourageants obtenus. P
e, la danse sont utilisées pour l'éducation et le développement des
membres
. Successivement on éduque les jambes, la main,
oprement. Il y a peu de mois que, sur la proposition de deux de ses
membres
, MM. le comte Hervé de Kergorlay et Cochin, le
és. « Cette institution se perfectionnera, je l'espère; plusieurs
membres
du Conseil, parmi lesquels je ne puis m'empêcher
nous avons cherché à obtenir une résolution complète des muscles du
membre
inférieur. Les malades sont étendus dans le déc
e inférieur. Les malades sont étendus dans le décubitus dorsal, les
membres
inférieurs un peu fléchis, le pied dans une lég
moyen de livres spéciaux que pourront consulter les candidats, les
membres
du jury, les inspecteurs et que chaque établiss
on du Congrès qui, comme nous l'avons déjà dit, ne comptait que des
membres
de l'enseignement, n'a voulu, malgré notre inte
ns que les auteurs ont déjà étudiées et groupées pour constituer le
membre
fantôme. D'après les faits cliniques que j'ai o
ts cliniques que j'ai observés, un amputé ne sent pas seulement son
membre
perdu, mais il peut le voir distinctement sous
is il peut le voir distinctement sous un aspect analogue à celui du
membre
symétrique qui lui reste. La vision du membre f
t analogue à celui du membre symétrique qui lui reste. La vision du
membre
fantôme se modifie par l'inlerposition de verre
que du moignon; elles n'existent que chez les amputés qui ont un
membre
fantôme, mais si ce dernier n'est senti que parti
n de ces hallucina- tions de la vue qui viennent ainsi compléter le
membre
fantôme. Sur le délire consécutif aux brûlures
seurs du genou. Le réflexe spinal le plus facile à obtenir dans les
membres
postérieurs des animaux par l'excitalion du mem
btenir dans les membres postérieurs des animaux par l'excitalion du
membre
lui-même est la flexion du membre au genou et à
s des animaux par l'excitalion du membre lui-même est la flexion du
membre
au genou et à la hanche. Aussi un moyen facile
n de la « secousse du genou » est d'exciter le mouvement réflexe du
membre
postérieur dans une portion du membre parce que
citer le mouvement réflexe du membre postérieur dans une portion du
membre
parce que les fléchisseurs du genou entrent en
ment de la peau est suivi de mouvements réflexes étendus aux deux
membres
inférieurs, et il rapproche ces cas pathologiques
duire en excitant n'importe quelle partie de la surface cutanée des
membres
inférieurs. Ce sont en quelque sorte des réflexes
ophie légère du système musculaire au niveau des omoplates et des
membres
supérieurs ; quelques modifications de la sensibi
x un peu exagérés dans les extrémités inférieures. Articulation des
membres
intacte. Evolution progressive depuis quatre an
lade, qui ayant subi à l'âge de cinq ans une paralysie infantile du
membre
inférieur droit, a recommencé à marcher avec appu
scence d'une lièvre typhoïde fut pris de tremblement choréiforme du
membre
supérieur droit associé à une rétinite gauche.
sciatique cherchent toujours à fléchir les articu- lations de leur
membre
malade. C'est Lasègue qui a le premier insisté
éterminer les conditions de cette attitude nouvelle. Quand un des
membres
inférieurs est endolori, quelle que soit la cau
vité vers le côté sain. Ce qui a fait supposer à M. Babinski que le
membre
malade, légèrement fléchi, .reposait toujours s
t sur ses photographies l'abaissement du pli de la fesse du côté du
membre
fléchi, c'est-à-dire du côté malade ; cet abais
nt, dans l'attitude han- . chée, existe infailliblement, du côté du
membre
fléchi, à l'état sain comme à l'état pathologiq
. Tel nous semble être le mécanisme de l'attitude du tronc et des
membres
inférieurs chez les sujets atteints de sciatiqu
rve dans toutes les variétés possibles de maladies douloureuses des
membres
pelviens, c'est à dire de maladies capables de
temps que dure la station verticale, lorsque la moindre pression du
membre
malade sur le sol est douloureuse. Les exempl
côté opposé à la paralysie et appuie tout le poids du corps sur ce
membre
sain. » On peut, d'une façon très simple, provo
rite sciatique avec légère contracture spasmo- dique des muscles du
membre
inférieur.- Déformation du tronc. Inclinaison d
le vent. - Il y a cinq mois il ressentit une douleur sourde dans le
membre
inférieur gauche ; il en indique si nettement l
u pied en dedans. Tout mouvement L de flexion devint impossible. Le
membre
inférieur gauche était comme ankylosé, et la ma
IATIQUES. 25 5 Le 30m ai on constate une rotation très accentuée du
membre
inférieur tout entier en dedans. Le malade accu
fléchie, peut être poussée plus loin (signe de Lasègue). -- v. Le
membre
malade et le membre sain sont le siège d'une con-
oussée plus loin (signe de Lasègue). -- v. Le membre malade et le
membre
sain sont le siège d'une con- traction musculai
s. Ainsi, quand on exerce une traction de dedans en dehors sur le
membre
inférieur gauche, le bassin suit ce mouvement com
de genu valgus. La flexion semble résulter de l'allongement t du
membre
. L'angle formé par la cuisse et la jambe est ou
D'autre part, il existait un état spasmo- dique douloureux des deux
membres
pelviens qu'on n'observe pas communément dans l
essentielles. A un moment donné, en raison de la participation du
membre
droit à l'état spasmodique douloureux, il n'éta
ortance fort secondaire. La plupart des affections douloureuses des
membres
inférieurs peu- vent provoquer l'exagération du
, est un phénomène commun à toutes les maladies doulou- reuses du
membre
inférieur, comme à toutes celles qui, sans être
sans être douloureuses, consistent dans un rac- courcissement de ce
membre
\ Or, dans la sciatique, le malade fléchit pres
à cette règle ; elle appartient au cas, rela- tivement rare, où le
membre
atteint de sciatique se trouverait, en vertu d'
se trouverait, en vertu d'une cause préexistante, plus long que le
membre
sain. DES SCOLIOSES DANS LES NI : VRAL(3ES SCIA
en l'absence de toute affection douloureuse ou non douloureuse du
membre
inférieur, le rapprochement costo-iliaque s'eff
-iliaque se produit forcé- ment, dans l'attitude hanchée du côté du
membre
sur lequel on s'appuie, c'est-à-dire du côté de
n s'appuie, c'est-à-dire du côté de l'inclinai- son rachidienne. Le
membre
sur lequel on ne s'appuie pas est alors plus fl
'atti- tude normale du hanchement) d'une flaccidité rela- tive du
membre
malade, c'est-à-dire du membre sur 38 CLINIQUE
ment) d'une flaccidité rela- tive du membre malade, c'est-à-dire du
membre
sur 38 CLINIQUE NERVEUSE. lequel on ne s'appu
sin, et la jambe sur la cuisse. La douleur spasmodique de tout le
membre
inférieur rend à peu près impossible la sta- ti
fin, dans les cas où le spasme musculaire est limité aux muscles du
membre
inférieur et ne s'étend pas aux muscles de la r
clarèrent : C'est comme si je perdais subitement le contrôle de mes
membres
, par manque de sang, car je deviens très pâle,»
té dans la même région; n'a pas uriné depuis l'accident. T. 38°,2 ;
membres
inférieurs paralysés et insensibles. Traitement
bilité reparaît d'une façon très obtuse, à la partie supérieure des
membres
abdominaux. T. 38 ? Acci- dents thoraciques amé
rchives, t. XIX. 4 50 . CLINIQUE NERVEUSE. fourmillement dans les
membres
inférieurs ; sensibilité augmen- tée. Lavement
pnée intense, sensibilité émoussée, douleurs fulgu- rantes dans les
membres
inférieurs ; douleurs en ceinture au niveau de
eiller la contractibi- lité musculaire. Les mouvements réflexes des
membres
inférieurs ont totalement disparu. Muscles athr
des pieds, vingt minutes après, survint- une paralysie complète des
membres
inférieurs, au point que la marche et la statio
eger a constaté ce qui suit : paralysie com- plète motrice des deux
membres
inférieurs et incapacité du patient de s'asseoi
dent, ils amènent la mort. Au coursde la maladie, lasensibililé des
membres
inférieurs était décidément améliorée. La paral
nti une douleur intense aux lombes et un fort engourdissement des
membres
inférieurs, dont les mouvements après une heure
bilité à son tour était complètement abolie sur toute l'étendue des
membres
inférieurs, sauf le tiers supérieur de la cuiss
malade avait parfois spontané- ment une sensation de brûlure à ses
membres
paralytiques et surtout aux jambes. Paralysie d
, une gêne de la respiration et une sensation d'affaiblissement des
membres
inférieurs. Les deux membres inférieurs sont co
une sensation d'affaiblissement des membres inférieurs. Les deux
membres
inférieurs sont complètement paralysés; le mala
malade, même quand il est couché,' n'est pas en état de mouvoir ses
membres
qui sont, en outre, insensibles aux piqûres d'aig
ssi bien de la motilité que de la sensibilité est complète aux deux
membres
; les muscles paralysés se contractenl vivement
ique sans que le malade en ait la moindre sensation. for août. Le
membre
inférieur gauche peut, dans la position horizon
our le droit qui est complètement immobile. L'anes- thésie des deux
membres
inférieurs est encore complète. L'urine extrait
ascen- dante et qui fournit aux centres du facial inférieur et du
membre
supérieur peut, par l'ischémie de ces régions e
u droit, rendre compte de la para- lysie du facial inférieur' et du
membre
supérieur du malade qui fait le sujet de ]'ÜnsE
a- riétale ascendante comprend une partie des centres moteurs des
membres
. Le lobule paracentral, le tiers supérieur de l
a pariétale ascendante, régions ou siège le centre psycho-moteur du
membre
inférieur sont irriguées par la brauche moyenne
ale, résultat de l'is- chémie des centres du facial inférieur et du
membre
supérieur, suivie au bout d'un certain temps d'
e supérieur, suivie au bout d'un certain temps d'une paralysie du
membre
inférieur par le fait de l'ischémie du centre p
e inférieur par le fait de l'ischémie du centre psycho-moteur de ce
membre
. La même localisation a eu lieu quinze fois au
qu'aux embolies gazeuses. La paralysie du facial inférieur et du
membre
supé- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRE
les centres de la langue, du voile du palais, des mâchoires, des
membres
antérieur et postérieur. C'est toujours la théo
ale sont abolis dans l'ataxie spinale : mais le sens musculaire des
membres
et du tronc est seul atteint dans l'ataxie céré
rice, le cervelet n'a point de part dans les réactions motrices des
membres
, puisqu'il peut être entièrement détruit sans q
ce que les cliniciens appellent l'ataxie cérébelleuse. La tête, les
membres
et le tronc sont agités de continuels mouvement
pression de titubation cérébelleuse. Debout, le chien se tenait les
membres
écartés. D'ailleurs, toutes les formes de la se
ieure ou inférieure du côté opposé, mouvements souvent localisés au
membre
correspon- dant, quelquefois aussi combinés et
ntractures circonscrites, etc. En somme, les réactions motrices des
membres
correspondaient aux points, toujours les mêmes,
et ces points ont paru coïncider avec les centres moteurs de ces
membres
. En dehors de ces zones, la percussion ne provo
avait eu des accidents nerveux suivis.d'une paralysie complète du
membre
inférieur gauche, puis d'une parésie avec contr
s cas cliniques d'altérations de la sensi- bilité de la face et des
membres
; 2° les cas où la sen- sibilité des membres ét
lité de la face et des membres ; 2° les cas où la sen- sibilité des
membres
était seule affectée; 3° ceux où la 1 A. l31âna
zone motrice, ils ne dégénèrent pas à la fois après l'ablation d'un
membre
. L'amputation est suivie, dans la moelle, de l'at
e la sen- sibilité. C'est ainsi que la destruction du centre d'un
membre
postérieur est suivie, nous l'avons vu, de pa-
ouvement et de la sensibi- lité qui, loin d'être circonscrites à ce
membre
, s'éten- draient plus ou moins au membre antéri
d'être circonscrites à ce membre, s'éten- draient plus ou moins au
membre
antérieur et à la face. Mêmes résultats si la l
ésultats si la lésion destructive intéressait le centre cortical du
membre
antérieur ou celui de la face. De même encore,
e violacée, les yeux , grands ouverts, fixes, la tête immobile, les
membres
flasques, la respiration très gênée. On lui a f
rencontrerait, paraît-il, assez sou- vent de ces exemples parmi les
membres
des Sociétés de tem- pérance (des convertis), e
nateur Roussel, dont il fait un éloge mérité, sollicite le titre de
membre
de la Société. 11 demande que cette candidature
porteur de la loi sur les aliénés en sollicitant sa nomina- tion de
membre
titulaire, rappelle que le règlement s'oppose aux
oppose aux votes par acclamation en ce qui concerne l'admission des
membres
titulaires. Il croit que ce serait créer un pré
rt fort élogieux auquel il a droit. M. Ballet et plusieurs autres
membres
s'associent à l'opinion de M. Briand. ' M. FA
e seulement. Plus tard, la sensibilité s'est manifestée aux quatres
membres
. Parfois cette jeune fille est calme et immo- b
Béhier, lit, n° 28. Mardi matin, la jeune femme dormait encore. Ses
membres
étaient dans la rigidité, et la malade, dont la
la direction de M. le Dr BETTENCOURT RODRIGUEZ, médecin-aliéniste,
membre
de la Société médico-psychologique, qui a autre
uses analogues à celles qu'on remarque au cou et aux ais- selles.
Membres
. Les membres supérieurs et inférieurs sont 1'J'0&
s à celles qu'on remarque au cou et aux ais- selles. Membres. Les
membres
supérieurs et inférieurs sont 1'J'0<, courts
ns rachitiques, inté- ressant surtout la colonne vertébrale, et les
membres
, complications qui montrent combien est profond
autres névroses ; par exemple, il a vu la paralysie hystérique d'un
membre
guérir Archives, t. XIX. 16 242 REVUE DE PATH
Séance du 30 décembre 1889. - Présidente DE M. FALRET. Plusieurs
membres
, atteintspar la grippe, s'excusent de ne pou- v
ion d'un vice-président. SI. Bou- chekeau est élu à l'unanimité des
membres
présents. - Le Bureau est ainsi composé : secré
es et métacarpiennes et qu'il présentait en outre de l'oe- dème des
membres
inférieurs. Les commémoratifs démontrèrent cepe
ion de sa clinique offi- cielle2. Visite de l'établissement par les
membres
du congrès. SESSION DE GltLI1'7. Séance du 29
'état mental reste le même ; il s'y joint des idées de grandeur; le
membre
inférieur droit traîne en marchant à terre. En
fonctions; la monoplégie du bras droit a persisté telle quelle; ce
membre
a diminué de volume. On constate aussi une hémi
rrespondante; les mêmes phénomènes se rencontrent surle tronc etles
membres
infé- rieurs, mais ils ne tardent pas à s'évano
e Dr Vallon, médecin en chef de la division des hommes. - Plusieurs
membres
du conseil général de la Seine ou de la commiss
Les choses toutefois ne tardèrent pas à rentrer dans l'ordre ; les
membres
de la commission et les médecins furent remis en
les murs. Une aliénée se tenait dans un coin, tremblant de tous ses
membres
; une autre se tenait assise en riant sur son li
e ! ' et qui paraît tenir à ce que la paralysie musculaire dans les
membres
inférieurs pré- domine sur les extenseurs du pi
au froid. Ces fourmillements existent aussi de temps en temps aux
membres
supérieurs. Pas de douleurs à ce niveau. Pas de
On ne constate cependant aucune atrophie musculaire bien nette aux
membres
inférieurs. Il y a un amaigrissement très notab
é. La force de la cuisse est à peu près bien conservée; celle des
membres
supérieurs est très diminuée. . . D = Main droi
D = Main droite 13 - gauche 11 Examen électrique des muscles des
membres
Inférieurs pra- tiqué par M. le D'' Vigouroux,
ar la présence d'autres phénomènes. Explorez l'état des muscles des
membres
: vous voyez qu'assis, il résiste assez bien du
r l'occlusion des yeux. Il existe également de l'incoordination des
membres
supérieurs elle est malhabile de ses mains, sur
nitoires font défaut et les convulsions se montrent d'emblée. Les
membres
supérieurs et inférieurs se raidissent, puis ne t
one d'hémianesthésie gauche, descendant jusqu'au genou; le reste du
membre
inférieur gauche est hypoes- thésique. Le côté
ance de la fesse; au-dessous hypoesthésie. A gauche hypoesthésie du
membre
inférieur à partir du pli fessier, le seg- ment
les deux cas, le malade ne sait pas s'il a, ou n'a pas, déplacé son
membre
. Cette simple expérience montre l'existence des
lontaire et qui nécessite l'intégrité parfaite de la sensibilité du
membre
mis en mouvement, ne diffère du second, dont la
é, perd connaissance, et, au réveil, accuse des faiblesses dans les
membres
inférieurs qui deviennent complètement paralysé
ie, t. XIX, li. 181. ÉTUDES SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE. 379 résie des
membres
inférieurs : cette parésie a progressé len- tem
accusé des douleurs en ceinture et des douleurs irradiées dans les
membres
inférieurs : le phéno mène du genou faisait déf
d'un rapport de candida- tures et demande de ne plus admettre comme
membres
titulaires les médecins résidant habituellement
suffrages de la société. Une protestation, signée de vingt-trois
membres
fitulaires, est remise au Bureau, en vue d'acco
té du dixième congrès international de Berlin pour 1890 à nommer un
membre
de la Société pour la représenter an Congrès de
t adoptée à la majorité ; le bureau choisira les rapporteurs. Les
membres
sortants, MM. PELAInN et WESTPHAL sont réélus par
ranoïa. (P. K.) 424 bibliographie. origines : l'amputation d'un
membre
ou sa paralysie atropllique. La modification de
façon, localiser jusqu'à un certain point les centres corticaux des
membres
. Les régions atrophiées présentent à l'examen hos
ie, avec alternance entre les différentes générations, ou entre les
membres
d'une même génération atteints à des degrés var
s bras, soit à l'aide du chariot (h'ig. 3 et 4) ; on fortifie leurs
membres
en exerçant succes- sivement chaque jour toutes
traitement médico- péda- gogique consiste à donner des forces à ses
membres
(balançoire-tremplin, massage, saut), à lui ens
gnés d'écartement latéral des bras et de projection alternative des
membres
infé- rieurs ; l'expiration se fait en ramenant
ec son élève. cxxxiv Traitement 71 ! I : : DICO-P¡ : : DAGOGIQUE,
membres
supérieurs. On élève et on abaisse simultané- m
e des enfants. - Les leçons de chant et de petite gymnastique des
membres
seraient données par la surveillante-institutrice
de poils châtain brun, assez longs, de 6 cent. sur 2. Le tronc, les
membres
, sont glabres. Les seins, égaux, sont assez dév
re, elliptique, presque lisse, à peu près sans rides. Le tronc, les
membres
, le périnée et l'anus sont glabres. Poids : 36
on âge, le tronc, en particulier le bassin,n'est pas développé, les
membres
sont grêles ; les systèmes pileux et adipeux so
au niveau du cartilage thyroïde, 26 cm. Glande thyroïde normale.
Membres
supérieurs réguliers, un peu maigres. Léger duvet
érieurs réguliers, un peu maigres. Léger duvet sur les deux bras. -
Membres
inférieurs. Rien à signaler concernant la forme
veau du tiers interno du 3e espace intercostal. 1/icrosphyynie. -
Membres
supérieurs sans saillie muscu- laire ; la peau
une petite noix. Périnée : quelques poils. Pas d'appétit sexuel.
Membres
supérieurs, gros, courts, doublés d'un pannicule
nsetdes doigts normale. Pas d'onychophagie. Préhension naturelle.
Membres
inférieurs, gros. courts, doublés d'un pannicule
. l'ou : Circonférence 0,26. Corps thyroïde à peine sen- sible.
Membres
supérieurs : de forme, d'attitude, de volume nor-
igts, rien ¡'¡ noter. Pas d'ony- chophagie. Préhension régulière.
Membres
inférieurs. -Volumineux. Léger épaississement d
uation du réflexe patellaire est difficile, l'enfant raidissant ses
membres
. Nanisme avec infantilisme. 59 Abdomen : glob
rogressé. Etat glabre de tout le corps, sauf un léger duvet sur les
membres
inférieurs. Verge de 5 cm. de long sur 5 de cir
l en a 16. Il a la stature d'un enfant de 8 ans. Squelette grêle. -
Membres
arrondis, recouverts d'un pannicule graisseux a
isseux assez épais. Aucune saillie mus- culaire n'est dessinée. Les
membres
supérieurs s'effilent ré- gulièrement de leurs
à peu près nulle. L'enfant ne pré- sente qu'un léger duvet sur les
membres
inférieurs. Les membres supérieurs, les aissell
t ne pré- sente qu'un léger duvet sur les membres inférieurs. Les
membres
supérieurs, les aisselles, le thorax et l'abdomen
présentent de l'atrophie cuspidienne. Le con est très court. Les
membres
supérieurs et inférieurs sont bien confor- més
u thorax sont peu marquées. Le pannicule adipeux est notable. Les
membres
supérieurs et inférieurs sont grêles, les saill
vre inférieure. Duvet abondant aux joues. Thorax, ventre, fesses,
membres
glabres. Dans les aisselles, poils noirs (4 cent.
s. Fin duvet entre les deux épaules, rien sur les fesses ni sur les
membres
. Poils châtains, frisés assez longs, sur la par
fant aurait eu des convulsions durant deux ou trois jours. Tous les
membres
auraient été le siège de contractions to- nique
ure, joues, menton, glabres, ainsi que la poitrine, l'abdomen etles
membres
. Aisselles, léger duvet. Pénil, poils rares, lo
cm. Verge : longueur cinq centimètres sur 8 cm. de circonférence.
Membres
supérieurs. Leur attitude, leur mobilité, sont no
nt les saillies musculaires. L'attitude, les arti- culations de ces
membres
, la station et la marche sont nor- males. Plant
, les saillies musculaires des pectoraux sont bien indi- quées. Les
membres
sont bien musclés. Le tronc n'est pas cylindriq
t, recouvert d'un pannicule adipeux épais. La peau du thorax et des
membres
est également doublée d'une épaisse couche grai
une circonférence de 8 cen- timètres. Nanisme avec obésité. 85
MEMBRES
SUPERIEURS 86 De quelques FORMES DE nanisme. &l
iques, raideur de la nuque, la tête étant en extension, raideur des
membres
en extension. Phase de convulsions cloniques gé
cro-lombaires sont peu épaisses. Le bassin est peu développé. Les
membres
supérieurs sont longs et grêles, les masses mus
lière. Les pieds sont un peu cyanosés. Les mouvements spontanés des
membres
supérieurs et inférieurs sont normaux. Il en es
et. Nanisme avec OBÉSITÉ. 97 pannicule adipeux très épais sur les
membres
et l'abdomen. Elle est polgsarcicpie. Cette n
sculaires en sont dissimulées par un épais pannicule adipeux, - Les
membres
supérieurs sont de forme normale, mais recouver
courts. Les plis articulaires y sont marqués par des encoches. Les
membres
inférieurs présentent des caractères analogues.
urplombant le pli inguinal. Ombilic très déprimé. Bassin large. ,
Membres
supérieurs : adipose très marquée. Membres xi o
déprimé. Bassin large. , Membres supérieurs : adipose très marquée.
Membres
xi ouf DE QUELQUES formes DE nanisme. . inf
ures du soir ou six heures du matin. Les yeux se retour- naient les
membres
s'agitaient, on ne sait si les convulsions clon
ngé, admettant la totalité de l'index. Périnée glabre ainsi que les
membres
supérieurs et infé- rieurs. - Règles d'abondanc
'abondance moyenne. Aucun trouble de la sensibilité générale. Les
membres
supérieurs ne présentent rien de particulier au
férence 26 centimètres. Corps thyroïde difficilement appréciable.
Membres
supérieurs volumineux, épais pannicule adipeux.
ieurs volumineux, épais pannicule adipeux. Brièveté des segments du
membre
supérieur. Membres inférieurs courts, adiposc e
ais pannicule adipeux. Brièveté des segments du membre supérieur.
Membres
inférieurs courts, adiposc exagérée. Six orteils
, non adhérent. Audition bon- ne. - Cou circonférence, 24 cm. Les
membres
supérieurs et inférieurs n'offrent rien d'anor-
au ? menté. Son pannicule adipeux est épais sur l'abdomen et les
membres
. Aucune modification des organes génitaux. Amél
es est couverte de vergetures. Kératose péripilaire sur la peau des
membres
. (Fig. 32, 33, 34). Membres supérieurs. D'un gr
Kératose péripilaire sur la peau des membres. (Fig. 32, 33, 34).
Membres
supérieurs. D'un gros volume, ils vont en s'efii-
e est doublée d'un épais pannicule adi- peux. Pas d'onychophagie.
Membres
inférieurs. Volume énorme. Les cuisses ont la f
urt; la tête enfoncée dans les épaules est inclinée en avant. Les
membres
supérieurs sont longs, amaigris ; l'extré- mité
sacrum qui offre une convexité plus prononcée que normalement. Les
membres
inférieurs sont longs, grê- les, sans incurvati
correspondante. Bassin. - Élargissement du diamètre supérieur.
Membres
supérieurs. - Humérus légèrement incurvé ! ; arti
incurvé ! ; arti- culations sensiblement augmentées de volume. '
Membres
inférieurs. - Fémurs légèrement tordus. En haut
t le pourtour est glabre. Puberté en 1904. - Face, thorax, abdomen,
membres
, tout à fait glabres. Seins égaux, 11 cent. d
encore bien prononcées, ainsi que le montre le résumé ci-après :
Membres
supérieurs un peu gros, n'apparaissant pas de p
nouùres. L'épiphyse inférieure du cubitus gauche est épaisse....
Membres
inférieurs : Ils sont le siège de déformations ra
aptitude musi- cale, mais l'enfant aime la musique et le chant. ,
Membres
supérieurs suffisamment développés. Mains assez
ant sait distinguer un objet poli d'un objet rugueux. (Fig. 45 j.
Membres
inférieurs normaux. Pieds très-froids. Les extré-
déclare atteinte « d'idiotie, avec absence du langage, parésie des
membres
inférieurs, gâtisme. » État de la malade. - L'é
ne certaine fixité, mais sans aucune convul- sion de la face ou des
membres
; puis, après une demi-minute environ, elle rep
e qui concerne le foie et la rate. La région anale est normale. Les
membres
supérieurs sont de forme régulière. Leur volu-
pas de la main droite. Le toucher est normal. (Voir p. 210). Les
membres
inférieurs sont de forme naturelle. Leur volume
act, à la douleur, à la température, est intacte. Le tronc et les
membres
sont entièrement glabres. Il en est de même de
ation involontaire ; rigidité générale et immobilité complète : les
membres
, très-rigides, n'éprouvent aucune secousse ; le
Puberté : quelques poils sous les aisselles ; thorax, abdo- men et
membres
, glabres ; pas de seins ; sur le pénil, quelques
te un duvet abon- dant ; l'abdomen et les fesses sont glabres ; les
membres
sont recouverts d'un duvet, abondant sur les cu
indemne. Du côté gauche, il y avait un tremblement très prononcé du
membre
inférieur; il s'agit, d'après ce que montre le
onne. Cou : circonférence, 2R centimètres. Corps thyroïde normal.
Membres
supérieurs. - Le membre supérieur gauche est atro
ce, 2R centimètres. Corps thyroïde normal. Membres supérieurs. - Le
membre
supérieur gauche est atrophié, les masses muscu
et en pronation ; la main légèrement fermée, le pouce en dedans. Le
membre
entier présente une contracture presque invincibl
athétose. Sur les mains, les mêmes taches que sur le visage. - Le
membre
supérieur droit est normal. Membres inférieurs
taches que sur le visage. - Le membre supérieur droit est normal.
Membres
inférieurs . - Le membre inférieur gauche est atr
- Le membre supérieur droit est normal. Membres inférieurs . - Le
membre
inférieur gauche est atrophié comme le supérieu
e en extension sur la cuisse, le pied en extension sur la jambe. Le
membre
entier est paralysé et en état de contracture.
e noix, le gauche est plus petit ; périnée et anus, gla- bres ; les
membres
supérieur et inférieur droits, glabres; les mem-
yeux légèrement injectés, les lèvres noirâtres; mêmes secousses des
membres
et mêmes battements des paupières]que dans les
is il avait perdu connais- sance. Brusquement, le visage pâlit, les
membres
s'allongent, et l'enfant rend le dernier soupir
b. L'hémiplégie gauche (fig. 66) est nettement caracté- risée. Au
membre
supérieur les mouvements spontanés sont à peu p
laire bien mis en évidence par les mensurations et la lit. 66. Le
membre
inférieur gauche offre les mêmes particula- ' B
ite, léger nystagmus, cécité. Hémipa- résie gauche. Contractures du
membre
supérieur gauche. Description des convulsions.
rigidilé permanente, Le corps thyroïde n'est pas appréciable. Les
membres
supérieurs et intérieurs sont d'apparence norma
t tous les mouvements. Il existe une hémiparésie du côté gauche. Le
membre
supérieur est contraclteré mais non d'une façon
échi clans le milieu de la main est caché par les autres doigts. Le
membre
inférieur gauche est a peu près flasque. Ongles
gauche déjà signalée. Articulations assez raides, plus souples aux
membres
inférieurs. Les mouvements spontanés se font di
Les mouvements spontanés se font difficilement à gauche et pour le
membre
supérieur, reniant s'aide avec le membre sain.
lement à gauche et pour le membre supérieur, reniant s'aide avec le
membre
sain. Les mouve- ments provoqués se font sans d
n observe chez l'enfant des secousses assez fréquentes soulevant le
membre
supérieur gauche. En même temps, la tête est po
ant l'aspect cadavérique. L'hypothermie Il) s'est accrue (350). Les
membres
inférieurs contractures sont en demi flexion. D
e avec la base élargie du thorax donnant l'aspect de batracien. Les
membres
inférieurs en demi flexion ne peuvent être redr
s membres inférieurs en demi flexion ne peuvent être redressés. Les
membres
tant supérieurs qu'intérieurs paraissent absolu
le rentrant à sa face antérieure. Il n'existe pas de contracture au
membre
droit. Le membre supérieur gauche est le siège
face antérieure. Il n'existe pas de contracture au membre droit. Le
membre
supérieur gauche est le siège d'une demi contra
on du genou étaient suspendus ; la couleur des téguments rosée,[et le
membre
un peu œdématié. — Les battements expansifs, le b
és par le bromure de potassium. Elle consiste dans l'existence, aux
membres
inférieurs, rarement ailleurs, de tumeurs ou sail
Les membranes furent rompues et le fœtus fut aisément saisi par les
membres
inférieurs et extrait sans difficulté. Il cria im
t graduellement tous les mouvements volontaires se rétablirent, et le
membre
devint si utile que, dès le quarantième jour, si
Humphry, la croissance ultérieure de l'os est à peine altérée, et le
membre
peut, après l'opération, conserver la même longue
, du volume d'un pois à celui d'une petite noix. Le volume total du
membre
est augmenté, et la jambe est recouverte de croût
en somme, se trouve aujourd'hui notablement amélioré, et le volume du
membre
gauche a diminué de près d'un tiers, résultat trè
ue nous venons de décrire. A cinq ans, amaigrissement du tronc et des
membres
inférieurs; entre six et sept ans début de l'atro
des membres inférieurs; entre six et sept ans début de l'atrophie aux
membres
supérieurs. Nous n'entrerons pas dans le détail d
précédée ni de fièvre, ni de paralysie en masse d'un ou de plusieurs
membres
, comme dans la paralysie atrophique graisseuse de
face et ne s'est étendue que dans l'adolescence (vers treize ans) aux
membres
et au tronc, où elle a détruit un grand nombre de
bres et au tronc, où elle a détruit un grand nombre de muscles. Trois
membres
de sa famille avaient été atteints de la même mal
envahit que plus tard, en général dans l'adolescence, les muscles des
membres
ou du tronc, en débutant par les membres supérieu
adolescence, les muscles des membres ou du tronc, en débutant par les
membres
supérieurs, et n'atteint les membres inférieurs q
ou du tronc, en débutant par les membres supérieurs, et n'atteint les
membres
inférieurs qu'à une période fort avancée ; elle d
(de 15 jours à 2 et 3 ans), qu'elle est complète dans un ou plusieurs
membres
au début, qu'elle va ensuite en diminuant et se l
dans tous les cas observés jusqu'à ce jour par un affaiblissement des
membres
inférieurs et des extenseurs du rachis, qu'elle e
e de profil. Ses parents jouissaient d'une excellente santé ; aucun
membre
de leur famille n'a présenté de tumeurs analogues
al, où il est employé aujourd'hui en qualité d'infirmier. — Aucun des
membres
de sa famille n'a été atteint d'une maladie sembl
adémie impériale de médecine. L'Académie vient de nommer un nouveau
membre
académicien libre, M. Coste, en remplacement d'un
le Conseil a reçu une lettre de M. Laf-fon de Ladébat, qui a jeté ses
membres
dans une stupéfaction profonde. Ajoutez que ce jo
de l'aimable président, et du rigide perpétuel, et de tous les dignes
membres
du Conseil ! Que taire, que devenir et comment so
nos contrées que l'éléphantiasis des Grecs, occupe ordinairement les
membres
et en particulier les inférieurs. Il est caractér
rs. Il est caractérisé par une augmentation de volume considérable du
membre
malade, qui prend véritablement un aspect monstru
'il me suffise de vous dire que dans ces cas, tous les tissus mous du
membre
prennent l'aspect d'une masse lardacée, les muscl
seconde est fournie par le fait, que l'on a souvent constaté sur les
membres
atteints d'élé-phantiasis, de petits tubercules,
entrer à l'hôpital. Depuis trois ans seulement il a remarqué que le
membre
inférieur gauche l'emportait en volume sur le dro
peu à peu, atteignant à peu près en même temps toutes les parties du
membre
. Il ne s'en inquiétait au reste aucunement ; il n
dispensera d'entrer dans de grands détails sur l'aspect général de ce
membre
. Eléphantiasis, jambe d'éléphant, ce mot dit tout
eu différents ; l'augmenta- (1) La mensuration comparative des deux
membres
donne les chiffres suivants : C. gauc. C. dr.
rt cependant rien qui rappelle l'œdème. Au cou-de-pied le volume du
membre
devient excessif; puis précisément au-dessous vou
ativement beaucoup moins développé que la jambe. Toutes les formes du
membre
sont effacées. La peau n'a pas subi dans son aspe
ignaler : dans le tiers inférieur de la jambe, sur la face externe du
membre
, vous avez peut-être remarqué deux petites cicatr
lement. Chez notre malade, l'éléphantiasis est exactement limité au
membre
inférieur, et se termine au pli de l'aine. L'épai
es symptômes fonctionnels qui accompagnent un tel état physique de ce
membre
? C'est d'abord une difformité, mais ce n'est pas
apeutique étaient nulles ou à peu près. La compression méthodique des
membres
, le repos au lit, tels étaient les seuls moyens q
coule par la commissure labiale gauche. — Résolution complète. — Les
membres
supérieurs et inférieurs sont froids ; le pouls e
ente les particularités suivantes (voir planche XXI) : Entre ses deux
membres
abdominaux se trouve une troisième jambe dont l'i
it au périnée en avant de l'anus et derrière le scrotum. Ce troisième
membre
est atrophié et une ankylose fémoro-tibiale, pres
eurs phalanges; ces dernières sont au nombre de dix. La totalité du
membre
mesure 79 centim. de longueur, 36 centim. du pé
nous ce serait un os iliaque irrégulièrement conformé. En avant du
membre
abdominal supplémentaire dont nous venons de parl
les cysticerques découverts infectaient plus ou moins un organe ou un
membre
; mais il n'est point dit nulle part qu'ils aient
marquay l'a montré à la Société anatomique^ en i8q5, en présentant le
membre
inférieur d'une femme qui en était infecté. M. Be
développées; l'une d'elles est affectée d'un pied-bot. Entre ces deux
membres
abdominaux, que l'on peut considérer comme normau
naux, que l'on peut considérer comme normaux, se trouvent deux autres
membres
dont l'un, sauf son volume un peu moindre et la p
des accès de fièvre intermittente, des douleurs rhumatoïdes, dans les
membres
, suivies de langueur, d'affaiblissement général.
t sans grandes douleurs. On a vu des phalanges des doigts et même des
membres
se détacher du corps sans occasionner la moindre
et sa mère sont nés dans le pays, mais descendent de Français; aucun
membre
de sa famille ne présente d'affection analogue à
s, et c'est après avoir contracté la gale qu'il s'aperçut que sur les
membres
existaient des plaques circulaires rouges à rebor
atrisation est parfaite. Vers le 11 février la peau de la face et des
membres
se congestionne, la langue devient saburrale et l
entraîner un commencement d'atrophie des tubercules, excepté sur les
membres
où la dessiccation est plus lente. Le 23. L'apl
certaine hésitation. Point de paralysie faciale. (Pl. XXVIII.) Les
membres
du côté droit sont moins volumineux que ceux du c
e la cuisse — 3 2 c. 5 — 34 c. 5 — du mollet — 24 c. — 27 c. 5 Le
membre
inférieur droit est plus court de deux centimètre
; le bras droit s'élève, l'avant-bras se fléchit sur le bras, tout le
membre
supérieur droit devient roide ; presque en même t
pides et assez fortes à droite, rares et moins marquées à gauche. Les
membres
inférieurs, après une courte période de tonicité,
pupilles étaient dilatées au même degré. Les convulsions toniques des
membres
inférieurs ont été très marquées et la jambe gauc
che. Dents serrées. Le corps est couvert d'une sueur visqueuse. Les
membres
supérieurs sont fiasques. Teinte violacée de la m
gauche. Même différence entre les deux pieds; mais pour le reste des
membres
, la teinte violacée est la même. La tache éryth
ts, — médiocre du poignet. — Rigidité médiocre des trois jointures du
membre
inférieur droit, assez forte à gauche. 5 heures
. A gauche, roideur de l'épaule; coude, poignet et doigts rigides. Le
membre
inférieur gauche est un peu plus roide que le dro
ucune trace de paralysie ni d'atrophie. Il n'en était pas de même des
membres
. Bien que Fayadat pût se servir de la main droite
ême des membres. Bien que Fayadat pût se servir de la main droite, le
membre
correspondant était atrophié et moins habile que
l'atrophie qui portait en même temps sur le volume et la longueur des
membres
. Les chiffres que nous avons donnés ne laissent a
jour, un érysipèle partit de cette excoriation et s'étendit à tout le
membre
inférieur gauche et à une partie du tronc. Cet ér
ents et envahissant successivement les couches les plus profondes des
membres
. Déformation du crâne. — Idiotie. Les deux pl
ts sont indiqués et discutés avec soin, les vices de conformation des
membres
supérieurs, le torticolis, le pied-bot, la ténoto
'une interprétation psychique'. » « Les paralysies par segment de
membre
, disait'M. G. Guinon, sont des phénomènes cérébra
s les ongles des mains et des pieds, et particulière- ment dans les
membres
qui sont le plus atteint de paralysie... Une ma
dans l'hystérie. De l'hémi- plégie commune organique (paralysie des
membres
supérieur et inférieur et du facial inférieur)
t du facial inférieur) l'hystérie ne reproduit que la paralysie des
membres
et dissocie même assez souvent, et avec la plus
ociation se ma- nifeste dans les paralysies isolées d'un segment de
membre
avec intégrité complète des autres parties du m
egment de membre avec intégrité complète des autres parties du même
membre
, ou encore dans l'abolition complète d'une fonc
capillaires dans la moelle. - OGselw2tioz Il ? Paralysie d'un seul
membre
, vacuolisation des cellules nerveuses, dégénéresc
ielle, puis hémiplégie gauche, accompagnée d'anesthésie complète du
membre
supérieur du même côté. L'autopsie a montré la
ve un appui dans l'existence des hallucinations du sens musculaire (
membres
amputés) et récem- ment dans un mémoire de Tamb
atteinte d'atrophie musculaire compliquée d'anesthésie complète des
membres
inférieurs. L'auteur, après avoir discuté les dif
du côté droit, avec mutisme, hémi- plégie gauche et paraplégie des
membres
inférieurs, rigidité des muscles et abolition d
s. En M. Delasiauve, le publiciste ne fut pas moins fécond que le
membre
des Sociétés scientifiques. Outre les journaux do
atronage pour les aliénés convalescents, dont il est resté l'un des
membres
les plus actifs jusqu'à sa mort. En 1848, il se
sychologique adresse un suprême adieu au maître qui a été un de ses
membres
fondateurs et un de ses anciens présidents. Ell
e clien- tèle ne suffisaient pas à remplir la vie de M. Delasiauve.
Membre
dès 1833, de la délégation cantonale, il prit s
aturelle pour la Société médico-psycholo- gique. Il en était un des
membres
fondateurs; il l'avait vue naître et grandir, i
el je viens saluer sa vénérée mémoire : celui d'anthropologue et de
membre
de la Société d'anthropologie, une des sociétés
p. 85G.) FAITS DIVERS Création d'un syndicat de magnétiseurs. Les
membres
de la Société magnétique de France se sont réun
syndicat des magnétiseurs ne comprendra que des professionnels; ses
membres
ne traiteront que par le magnétisme curatif ; ils
t un feu très vif. En même temps survenait une légère parésie des
membres
inférieurs, le gênant beaucoup dans son travail.
de six mois environ, il avait de la raideur généralisée aux quatre
membres
, et à la poitrine, d'où une certaine gêne de la
nu, c'est une sorte de raideur généralisée étendue au tronc et aux
membres
su- périeurs et inférieurs. La tête est légèrem
ure). Les deltoïdes ont, pour ainsi dire, leur volume normal. Les
membres
supérieurs, en demi-flexion, sont comme collés
ficiles dans l'extension. De même, pour les,doigts. Les muscles des
membres
superieurs ont conservé à peu près leur volume
ntracture est moins accen- tuée à gauche qu'à droite. Du côté des
membres
inférieurs, on constate un certain degré de par
, on constate un certain degré de parésie et la même raideur qu'aux
membres
supérieurs. L'ex- tension du genou est assez di
lement de la plante des pieds et de lourdeur générale dans les deux
membres
inférieurs. M... ne peut se tenir debout sur un
ent dans les DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. '101
membres
inférieurs du malade. Les draps relevés, la simpl
paraissent peu à peu, dans l'espace de quinze jours. 15 avril. Le
membre
supérieur droit est dans la demi-flexion et la
n constate l'apparition d'une zone d'hyperesthésie occupant tout le
membre
inférieur droit, sauf au niveau du pied, où la
HOLOGIE NERVEUSE. La force musculaire est conservée. On constate au
membre
infé- rieur une contracture marquée. La jambe e
arquée. La jambe est légèrement tléchie sur la cuisse. De même, les
membres
supérieurs sont le siège d'une parésie spasmodi
. P. 120. Le malade se trouve bien. Un peu moins de contracture des
membres
inférieurs et supérieurs, surtout à droite. 3
L'amélioration est manifeste; le malade remue beaucoup mieux les
membres
. 2 janvier. Matin, T. 39°,4 Soir, 40. P. 110,10
n lit. T.40°,4, pouls rapide, mais régulier, à 120. Contracture des
membres
infé- rieurs en extension, des supérieurs en fl
IV. Lésions des nerfs et des muscles. - Les gros troncs nerveux des
membres
supérieurs et inférieurs, examinés sur des coupes
nte-quatre ans qui, sans cause appréciable, présente du côté de ses
membres
inférieurs, puis du côté de ses membres supérie
le, présente du côté de ses membres inférieurs, puis du côté de ses
membres
supérieurs des troubles nerveux dont l'intensit
culaire, il se développe une paralysie spasmodique, qui affecte, au
membre
supérieur, de préférence les muscles extenseurs
novembre 1889 qu'apparaît une zone d'hyperesthésie occupant tout le
membre
inférieur droit, sauf le pied. A cette époque l
eints de pacha- f. méningite, la distribution de l'atrophie dans le
membre
supé-' rieur est toute spéciale et très caracté
wpr; au,x,)l1 ? ? ]2q ? s. f\v.eu¡¡ ! co91 ? vol,t. peu à peu. ses"
membres
recouvrer leur poumon' moteur, et ses muscles'
Exagération persistante du tbnu ? ata : xie, affaiblisseme'nt'des .
membres
inférieurs avec anesthésie partiel[6. le P : 'K '
t de la même' manière ;et'les' désordres' psychiques,' chez 'trois*
membres
de cette famille, ont présenté de grandes' ress
aboli- tion des rétlexès ? otuliens; il y a degré 'd'anesthésie des
membres
inférieurs; crises, , de,, vessie, sous forme i
XVIL Chorée congénitale; INCAPACITE@DE coordonner les fonctions des
membres
ou delà parole; absence d'intelligence. - Cuaniec
ent d'ivresse désagréable avec obtusion céphalique et impotence des
membres
. M. BBDDEBERG. Nouvelles observations de paraly
entales. A 6 heures, visite des tours de La Rochelle. Réception des
membres
du Congrès par la municipa- lité à l'Hôtel de V
u matin; Visite de l'asile de La Roche-sur-Yon; Déjeuner offert aux
membres
du, Congrès par l'administration de l'asile; -
Pour le rendre attrayant et compré- ' Cette même année, il fut élu
membre
de l'Académie de médecine. 2 Elles ont été publ
nique se terminent par un exposé du traitement'. M. CHARCOT fut élu
membre
de l'Institut en 1883 en remplacement de J. Clo
ur au milieu des siens et de ses élèves qu'il considérait comme des
membres
de sa fa- mille, nous avons parfois frémi d'eff
s. Son Exposé de litres, qui date de l'époque où il avait été nommé
membre
de l'Institut (1883), forme un volume de 200 pa
atique chez l'homme ; Sur un cas de concmcl1l1'e spas- modique d'un
membre
supérieur survenu chez l'homme, en conséquence
Charcot. TITRES HONORIFIQUES DE M. CHARCOT M. CHARCOT a été nommé
membre
adjoint de la Société anato- znque le 16 mars 1
rs 1849, président de 1872 à 1881, président hono- raire en 1882.
Membre
de la Société de biologie en 1851, vice-président
de biologie en 1851, vice-président de ladite Société, en 1860 ;
Membre
de l'Académie de Médecine de Paris en 1872 ; Me
té, en 1860 ; Membre de l'Académie de Médecine de Paris en 1872 ;
Membre
correspondant de la Société royale des Sciences n
la Société royale des Sciences naturelles de Bruxelles, en 1874 ;
Membre
correspondant de la « New-Y01'k Society of Ne1t1'
a « New-Y01'k Society of Ne1t1'ology and Electricity », en 1874 ;
Membre
honoraire de la Société clinique de Londres, en 1
74 ; Membre honoraire de la Société clinique de Londres, en 1874;
Membre
correspondant de la Société royale de Médecine de
ondant de la Société royale de Médecine de Buda- Pesth, en 1876 ;
Membre
correspondant de la Société impériale de Médecine
spondant de la Société impériale de Médecine de Vienne, en 1878 ;
Membre
honoraire de la « Harveian Society » (Londres), e
Membre honoraire de la « Harveian Society » (Londres), en 1878 ;
Membre
correspondant de la Société pathologique de Londr
re correspondant de la Société pathologique de Londres, en 1878 ;
Membre
associé étranger de la Société médico-chi1'UJ'{ji
ger de la Société médico-chi1'UJ'{jicale d'Edim- bourg, en 1878 ;
Membre
honoraire de la Société physico-médicale d'Erlang
angen, en 1878; En 1879, 1880 et 1881, M. Charcot a été nommé :
Membre
correspondant de {'Académie royale de médecine de
e correspondant de {'Académie royale de médecine de Bel- giqzie ;
Membre
honoraire de la Société des sciences naturelles e
re de la Société des sciences naturelles et médicales de Dresde ;
Membre
honoraire de la Société médicale de Finlande (Hel
re honoraire de la Société médicale de Finlande (Hel- singfors) ;
Membre
de l'Association médico-psychologique de Londres
fors) ; Membre de l'Association médico-psychologique de Londres ;
Membre
honoraire étranger de la Société médico-physique
ire étranger de la Société médico-physique Flo- 1'entine (1881) ;
Membre
correspondant de l'Académie de médecine de New-I'
) ; Membre correspondant de l'Académie de médecine de New-I'orlc;
Membre
honoraire de la Société psychiatrique de Saint-Pé
onoraire de la Société psychiatrique de Saint-Péte1's- bourg ; ,-
Membre
de la Société des médecins Russes de IIloscou,.
a Société des médecins Russes de IIloscou,. J.-M. CHARCOT. 207 -1
Membre
honoraire de la Société des sciences médicales de
honoraire de la Société des sciences médicales de Lis- bonne ; ,-
Membre
honoraire de la Société de médecine de Londres;
bonne ; ,- Membre honoraire de la Société de médecine de Londres;
Membre
honoraire de l'Académie royale de médecine de Rom
ndres; Membre honoraire de l'Académie royale de médecine de Rome;
Membre
honoraire de l'Association neurologique Américain
é) de la fondation de l'Université de cette ville en juin 1882 1.
Membre
honoraire de la Société médicale Royale d'Edimbou
honoraire de la Société médicale Royale d'Edimbourg en mars 1882.
Membre
honoraire de la « Royal Irislt Academy » (Académi
Irislt Academy » (Académie des Sciences de Dublin) en mars 1883.
Membre
correspondant de l'Académie de médecine de Rio-de
rrespondant de l'Académie de médecine de Rio-de- Janeiro (1883) ;
Membre
de la Société de médecine de Suède (1883) ; Mem
neiro (1883) ; Membre de la Société de médecine de Suède (1883) ;
Membre
correspondant étranger de la Société de médecine
t étranger de la Société de médecine publique de Belgique (1883);
Membre
de l'Academica frezzopatica espanola (1883) ; M
ique (1883); Membre de l'Academica frezzopatica espanola (1883) ;
Membre
de l'Institut (Académie des sciences), en 1883.
s sciences), en 1883. De 1884 à ce jour, M. CHARCOT a été nommé :
Membre
correspondant de l'Académie royale des sciences d
spondant de l'Académie royale des sciences de Lis- bonne (1884) ;
Membre
de l'Université de Kief (1884) ; Membre honorai
de Lis- bonne (1884) ; Membre de l'Université de Kief (1884) ;
Membre
honoraire de l'Académie de médecine d'Irlande (18
) ; Membre honoraire de l'Académie de médecine d'Irlande (1885) ;
Membre
de l'Académie des sciences de Bologne (1885) ;
de (1885) ; Membre de l'Académie des sciences de Bologne (1885) ;
Membre
de l'Académie royale des sciences de Suède (1887)
885) ; Membre de l'Académie royale des sciences de Suède (1887) ;
Membre
honoraire du King and Queen College of Physicians
King and Queen College of Physicians 11'clmul (26 juillet 1887);
Membre
honoraire de la Société française d'hygiène (1887
887); Membre honoraire de la Société française d'hygiène (1887) ;
Membre
de la Trinity historical Society, Dallas, Texas (
y, especially of the central nervous system... 208 J.-M. CHARCOT.
Membre
honoraire étranger de la Société médicale de Norv
de Norvège (1887) ; Docteur de l'Université de Bologne (1888) ;
Membre
honoraire de la Société impériale de médecine de
de la Société impériale de médecine de Cons- tantinople (1889) ;
Membre
de l'Academia medico-cleirurgica de Perugia (1889
89) ; Membre de l'Academia medico-cleirurgica de Perugia (1889) ;
Membre
de la Société impériale de médecine du Caucase (1
; Membre de la Société impériale de médecine du Caucase (1889) ;
Membre
de la Société du College of Physicians de Philade
ciété du College of Physicians de Philadelphie (25 mars 1889) ; .
Membre
de la Société royale des sciences d'Upsa ! a (188
; . Membre de la Société royale des sciences d'Upsa ! a (1889) ;
Membre
de l'Institut historique, géographique et ethnogr
ent d'honneur de la British Ilypnotic Society de Londres (1889) ;
Membre
de la Société médico-légale de New-Yorlc (t889);
(1889) ; Membre de la Société médico-légale de New-Yorlc (t889);
Membre
correspondant de l'Instituto Veneto di science, l
ondant de l'Instituto Veneto di science, lettcre ed arti (1889) ;
Membre
de la Société de médecine de Vienne (1890) ; Me
arti (1889) ; Membre de la Société de médecine de Vienne (1890) ;
Membre
de l'Université de Dublin (1891) ; Membre de l'
cine de Vienne (1890) ; Membre de l'Université de Dublin (1891) ;
Membre
de l'Académie des sciences, des lettres et des ar
Académie des sciences, des lettres et des arts de Padoue (1891) ;
Membre
de la Société des neurologistes de bloscou (f 891
91) ; Membre de la Société des neurologistes de bloscou (f 891) ;
Membre
honoraire de la Société médico-psychologique néer
Des places étaient réservées dans le choeur : à droite, pour les
membres
et les amis de la famille ; à gauche, pour les
M. Lépine, préfet de police ; MM. Faye, Sappey, Grandidier, Loevy,
membres
de l'Institut; MM. Larrey, Daremberg, Javal, La
s de l'Institut; MM. Larrey, Daremberg, Javal, Lagneau, Lancereaux,
membres
de l'Aca- démie de Médecine ; MM. Bouchard, Cor
es phénomènes. Les réflexes tendineux sont exagérés dans les quatre
membres
. Sensibilité générale et sens spéciaux normaux.
e de tabes dorsal spasmo- dique, grâce à la rigidité musculaire des
membres
inférieurs, rigi- dité qui disparaît au repos.
voir un cas de microcéphalie chez un enfant atteint de rigidité des
membres
et de rétraction de la tête. Les parents étaien
e. Cette proposition, déposée par M. Brissaud, appuyée par divers
membres
du Congrès, entre autres M. Bourneville, Deny, et
Salpêtrière, cela se conçoit, puisqu'ils ne sont distribués qu'aux
membres
de l'OEuvre. Mais il y a eu des communications
eu- reuses conséquences des conférences populaires faites par les
membres
des sociétés de patronage, surtout en Suisse, et
éphalique. et ses variétés). M. Bourneville place sous les yeux des
membres
du congrès dix-sept crânes d'en- fants hydrocép
nt bien conservée ; il n'existe aucun tremblement de la face ni des
membres
, aucune trace de contracture et les réflexes pa
immunité. Plusieurs cas graves se sont en effet déclarés parmi les
membres
des familles de l'au- mônier, du chef de cultur
cteur, sous le contrôle d'une com- mission de surveillance de trois
membres
. Les formalités de l'ad- mission et du maintien
dépend des excitations périphériques. Si l'on enlève un nerf ou un
membre
recteur de ce nerf, on modifie la quantité et l
pièce. Ils se plai- gnent aussi tous de douleurs errantes dans les
membres
; des « rhu- matismes qui se promènent », disent
o-sensoriels. Hémiplégies ou monoplégies. Tremblements limités à un
membre
ou à un seul côté du corps. , L'état mental d
es femmes. Le secours peut être renouvelé sur l'avis favorable d'un
membre
délégué de la Commission de surveillance dans l
dix-huit mois; les premiers troubles se seraient manifestés dans le
membre
supérieur droit, qui aurait été le siège de dou
parfois, au dire du malade, des contrac- tures dans les muscles des
membres
inférieurs, surtout dans les mollets; mais à l'
ne peut produire l'épilepsie spi- nale. Un peu de tremblement des
membres
supérieurs quand le ma- lade étend les bras en
ue durée de la maladie; titubation cérébelleuse et mala- dresse des
membres
supérieurs; troubles de la parole; nys- tagmus
ues. Tout d'abord la titubation cérébelleuse et la maladresse des
membres
supérieurs pouvaient être prévues a priori. Ces
rve analogue; dans la troi- sième, les incurvations rachitiques des
membres
empêchaient l'incoordination de se montrer; dan
plaques. Lôri l'assimile volontiers au tremblement intentionel des
membres
, caractéristique de cette affection. Récemment
à droite de l'atrophie générale et de la contracture musculaire des
membres
: d'après les renseigne- ments, il est épilepti
rou- ver en la personne de M. DELASIAUVE, son ancien président et
membre
fondateur qui vient de succomber. Il donne lectur
avait, outre un trouble notable de la sen* sibilité avec ataxie du
membre
supérieur droit, une très vive sécrétion sudora
es. Le père est ensuite atteint de tremblements et de faiblesse des
membres
inférieurs, SOCIÉTÉS SAVANTES. 425 l'épaule g
tte hyperesthésie, on constatait un certain degré de parésie et les
membres
inférieurs restaient tou- jours en demi-flexion
il existait une paralysie hystéro-traumatique avec anesthésie du
membre
jusqu'au coude. J'endors en quelques secondes le
n vendéen que la fracture entraîne l'impuissance, la para- lysie du
membre
. Vous êtes fracturé d'un bras, vous ne pouvez p
tion III. Hyperesthésie plantaire. Douleurs téi,ébi,ai2tes dans les
membres
inférieurs. - Faiblesse musculaire. Guérison pa
lesse 432 CLINIQUE MENTALE. musculaire très marquée dans les deux
membres
inférieurs. Quant aux douleurs, ce sont, disait
mps et à de rares intervalles, quelques douleurs fugitives dans les
membres
. Observation IV. Vomissements hystériques datan
'endors la jeune fille et lui enlève instantanément sa paralysie du
membre
. La voix revient aussitôt; elle parle avec la m
Mais là elle ne pouvait rester seule, il lui fallait près d'elle un
membre
de sa famille, son mari ou un de ses enfants, s
s de Neu- rologie. 462 CLINIQUE MENTALE. par son grand âge, les
membres
inférieurs et supérieurs avaient conservé leur
gauche, hémianes- thésique à droite. Je fis cesser les douleurs des
membres
gauches et les douleurs gastro-abdominales; mai
st rompu, la rectitude s'efface ; si le choc se fait d'un côté, les
membres
inférieurs feront aussitôt avec le reste du tro
usses fibriliaires. Quelques douleurs fugitives et légères dans les
membres
. Les fonc- tions digestives ne sont pas troublé
t-on pas conduits à ma consultation, pour que je rende la vie à des
membres
qui refusaient tout service. Pour peu mon cabinet
de quatorze ans hystérique avec hyperesthésie douloureuse aux deux
membres
supérieurs, un autre enfant hystérique avec tou
s de médecine mentale et de neurologie une commission composée des,
membres
. du. Bureau auxquels s'adjoindront MM. Fairet,
'·111z Wi1t ! Commission de classement des candidats aux places de
membres
, · titùtâlrés.`Elle)esl'cômposéé`dè'11111 : B)
bre du vélocipède. Il y a en réa- lité paralysie des extrémités des
membres
inférieurs par névrite symétrique post-érysipél
s crises d'hystérie apparurent avec diminution de la sensibilité du
membre
inférieur droit, existence de zones hystérogène
, témoigner à notre représentant les condoléances des élèves et des
membres
de l'Ecole pour la grande perte faite par la Fr
les a frappées fait éprouver à la Société ; 2° De charger un des
membres
de la Société de prononcer, en séance publique,
. Mais, par contre, à chaque tentative, elle sentait son corps et ses
membres
se raidir au point de ne plus pouvoir faire un mo
n. La contracture est quelquefois assez forte pourque la rigidité des
membres
ne puisse être vaincue, même en déployant une gra
ement bien complet chez un homme qui n'est pas accoutumé a remuer ses
membres
par des images de ce genre, mais suffisamment pou
Séquard (de l'Institut) Azam, Brouardel, Charles Riciiet, Lombroso.
MEMBRES
DU COMITÉ D'ORGANISATION : M. le Dr G. Ballet,
es. M. le Dr Bérillos, rédacteur en chef de la Revue de l'Hypnotisme,
membre
de la Société de psychologie physiologique. M.
de médecine de Nancy. M. Bordier, avocat a la Cour d'appel de Paris,
membre
de la Société de médecine légale. M. le Dr Bo
t. professeur à l'Ecole de médecine de Rochefort. M. le Dr Collineau,
membre
de la Société médico-psychologique. M. le Dr Dejé
cêtre, professeur agrégé à la Faculté de médecine. M. le Dr Dubois,
membre
du Conseil municipal de Paris. M. le Dr Dumontp
néral de la Société de biologie. M. le Dr FèrÉ, médecin de Bicêtre,
membre
de la Société d; biologie. M. le Dr fontan, profe
té de Montpellier. M. Pierre Janet, professeur agrégé de philosophie,
membre
de la Société de psychologie physiologique. M.
Mabille. médecin en chef de l'Asile de Lafont. NU le Dr Paul Magnin,
membre
de la Société de psychologie physiologique. M.
logique. M. le Dr Manouvrier. professeur a l'École d'anthropologie,
membre
de la Société de psychologie physiologique. m.
sychologie physiologique. m. le Dr Mesnet, médecin de l'Hôtel-Dieu,
membre
de l'Académie de méde-cine. M. le Dr ramadier,
Asile de Vaucluse. M. le dr Aug. Voisin, médecin de la Salpêtriére,
membre
de la Société médico-psychologique. -m. Emile Yun
es Richet ; secrétaires: MM. Gley, Marillier ; trésorier: M. Ferrari;
membres
du Comité: MM. Brissaud, Ochorowicz, le docteur R
s-Unis, etc..- L'Académie de médecine de Belgique a désigné un de ses
membres
, M. le professeur Masoin. pour la représenter off
ne réception des plus cordiales est réservée par l'administration aux
membres
du Congrès. Nous sommes convaincu que le premie
intime et par l'intérêt de ses travaux, laissera dans l'esprit de ses
membres
le souvenir le plus agréable et le plus durable.
délire. Il lui était arrivé fréquemment de poursuivre son mari et les
membres
de sa famille avec un couteau. Quoique peu disp
C'est à peine si quatre vigoureux infirmiers, le tenant chacun par un
membre
, peuvent limiter ses mouvements et le maintenir s
t sujette à des crises de pleurs accompagnées de tremblement dans les
membres
et à la migraine. La diathèse herpétique est de
n-Séqcard (de l'institut Azam, Brouardel. Charles Richet, Loubroso.
MEMBRES
DU COMITÉ D'ORGANISATION : M. le Dr G. Ballet,
es. M- le Dr Bérillon, rédacteur en chef de la Revue de l'Hypnotisme,
membre
de la Société de psychologie physiologique. M.
de médecine de Nancy. H. Bordier, avocat a la Cour d'appel de Paris,
membre
de la Société de médecine légale. H. le Dr Bo
. professeur à l'École de médecine de Rochefort. M. le Drr Collineau,
membre
de la Société médico-psychologique. M. le Dr Déjé
cêtre, professeur agrégé à la Faculté de médecine. H. le Dr Dubois,
membre
du Conseil municipal de Paris. M. le Dr Dumomtp
té de Montpellier. M. Pierre Janet, professeur agrégé de philosophie,
membre
de la Société de psychologie physiologique. H.
Mabille, médecin en chef de l'Asile de Lafont. M. le Dr Paul Magnin,
membre
de la Société de psychologie physiologique. M.
logique. M. le Dr Manouvrier, professeur à l'École d'anthropologie,
membre
de la Société de psychologie physiologique. M.
sychologie physiologique. M. le Dr Mesnet. médecin de l'Hôtel-Dieu,
membre
de l'Académie de médecine. M. le Dr Ramadier, m
e l'Asile de Mons. M. le Dr Aug. Voisin, médecin de la Salpêtrière,
membre
de la Société médico-psychologique. M. Emile Yung
hypnotisme était voté récemment par cette assemblée, vient d'être élu
membre
correspondant étranger de 1 Académie de médecine
teurs. Restant avec intention dans le domaine des faits positifs, les
membres
du Congrès ont su éviter sagement les débats stér
ions génitales. 11 y a aussi des aliénés du côté de la mère. D'autres
membres
de la famille se distinguent par leur caractère v
chées de la tête, lobule très petit, adhérent. Pas de difformités des
membres
. Une hernie inguinale, probablement d'origine con
. M. le Dr BÉRILLON, rédacteur en chef de la Revue de l'Hypnotisme,
membre
de la Société de psychologie physiologique. M.
BONY, médecin-major. M. BORDIER, avocat à la Cour d'appel de Paris,
membre
de la Société de médecine légale. M. de BOURGON
la Société d'Études philosophiques et sociales. M. le Dr COLLINEAU,
membre
de la Société médico-psychologique. M. Paul COP
Paris. M. doin octava, libraire éditeur à Paris. M. le Dr DUBOIS,
membre
du Conseil municipal de Paris. M. DUMONT-CARPEN
docteur ès lettres, professeur a la Sorbonnc. M. le Dr MAGNIN Paul,
membre
la Société de psychologie physiologique. M. le
logique. M. le Dr MANOUVRIER, professeur à l'École d'anthropologie,
membre
de Société de psychologie physiologique. M. MAR
ecin de l'asile Ste Anne, M. le Dr MESNET, médecin de l'Hôtel-Dieu,
membre
de l'Académie de médecine. M. METZGER Daniel, p
r d'appel. H. G. de TENCIN, publiciste à Paris. M. le Dr TILLAUX,
membre
de l'Académie de médecine, chirurgien de l'Hotel-
de la Salpctriére. M. le Dr VOISIN Aug. médecin ds la Salpctriére,
membre
de la Société mé-dico- psychologique. MEMBRES A
cin ds la Salpctriére, membre de la Société mé-dico- psychologique.
MEMBRES
ADHÉRENTS ÉTRANGERS H. le Dr ASSIMIS. ds la Facul
bert, chirurgien-major, de Kingston (Canada). M. le Dr PRENDERGAST,
membre
du College royal des médecins de Londres. M. le
nich (Bavière). M. le Dr SEMAL, médecin en chef de l'Asile de Mons,
membre
de l'Acade mie de médecine de Belgique. M. le D
KI, médecin de ta Clinique psychiatriquede Moscou. M. le Dr TONNER,
membre
de la Société médicale de New-York M. de TRANSC
n sentiment honnête et il déféra a ce sentiment en nommant, parmi les
membres
de la Société de Biologie, une commission qui éta
tée à vérifier les recherches métallothérapiques du docteur Burq. Les
membres
de la Commission étaient MM. Charcot, Luys et Dum
ltats. Mais avant d'établir, par la succession des faits, comment les
membres
de la commission du Burquisme furent conduits à s
erches d'une commission sur la métallos-copie qui devait conduire les
membres
de cette Commission a étudier l'action de l'élect
L'Académie de médecine de Belgique n'a-t-elle pas désigne l'un de ces
membres
, M. le professeur Masoin, pour la représenter off
Paris et à M. le Ministre des Travaux publics qui ont invité tons les
membres
du Congrès aux réceptions données le 8 août à l'h
nce que l'Académie royale de médecine de Belgique a désigné un de ses
membres
. M. Masoin, professeur à 1'Université de Louvain,
ront ultérieurement étudiés. Je propose au Congrès de proclamer comme
membres
du bureau de Société les membres du bureau du Con
ropose au Congrès de proclamer comme membres du bureau de Société les
membres
du bureau du Congrès MM. Du mont pallier. Ballet.
d'une Commission d'organisation du prochain Congres ; ont été nommés
membres
de cette Commission : MM. Dumontpallier. Masoin,
mplètes. 1° Ressemblance physique et psychique entre les différents
membres
d'une même famille (physionomie, intelligence, ém
deuxième suggestion venait de se manifester, phénomènes que tous les
membres
du Congrès ont pu contrôler. Un des savants pré
ce, j'ajoute : « Laissez-vous aller ; vos paupières sont lourdes, vos
membres
s'engourdissent, le sommeil vient. Dormez. »11 es
ite à l'Asile d'Aliénés de Villejuif Le Dimanche 11 Août 1889 Les
membres
da Congrès de l'Hypnotisme avaient été invités pa
n, au nombre d'une centaine environ, dans des voitures spéciales, les
membres
du Congrès arrivaient à dix heures a l'Asile, ou
, médecin en chef de l'Asile, n'avaient rien négligé pour laisser aux
membres
du Congrès le souvenir et l'accueil à la fois le
la fois le plus cordiale et le plus sympathique. Pour permettre aux
membres
du Congrès de se rendre' compte par une vue d'ens
s de l'Asile de Villejuif. Nous devons nous borner à rappeler que les
membres
du Congrès ont pu constater avec satisfaction les
le. la nommée Ch..., M. le docteur Briand a pu reproduire, devant les
membres
du Congrès, un certain nombre d'expériences physi
médecin et du personnel. Banquet du Congrès. Après la visite, les
membres
du Congrès se rendirent dans une vaste salle, mag
ns â cette table aucun représentant du Conseil général, c'est que ses
membres
les plus autorisés sont retenus par d'autres cong
emps qu'un plaisir, d'exprimer toute la reconnaissance qu'inspire aux
membres
du Congrès de l'hypnotisme expérimental et thérap
cri de : Vive la Science ! » M. Huard, avocat à la Cour de Paris et
membre
du Conseil de surveil- lance des Asiles d'Alién
ceux qui veulent bien la visiter avec sympathie. A cinq heures, les
membres
du Congrès rentraient à Paris, emportant de cette
OSPICE DE LA SALPÉTRIÈRE Le lundi 12 août 1880 A neui heures, les
membres
du Congrès commençaient sous la direction de M. l
n Rambuteau. Au cours de cette visite, M. le Dr Voisin présente aux
membres
du Congrès une dizaine de malades traités par la
l provoqué, puis à utiliser la suggestibilité ainsi développée. Les
membres
du Congrès vivement frappés des résultats obtenus
la grande bienveillance dont il est coutumier. Après la visite, les
membres
du Congrès se rendirent dans le réfectoire de ser
offert. A la fin de ce lunch, M. le professeur Masoin (de Louvain)
membre
de l'Académie de médecine de Belgique, remercie M
e la Salpétrièrc, et à leurs zélés collaborateurs les internes et les
membres
du personnel hospitalier qui ne cessent de prodig
eprésentée par M. Amaury, de l'accueil si cordial qu'il a réservé aux
membres
du Congrès. » Puis M. le Dr van Renterghem : .
Vive Liébcault ! Vive ! l'Ecole de Nancy ! » Le lunch terminé, les
membres
du Congrès sous la direction] de M;. le Dr séglas
blissement d'hydrothérapie et les divers services de l'hospice. Les
membres
du Congrès ont emporté de cette visite et de la c
ès la lecture de la communication de M. le docteur Laurent, plusieurs
membres
lui ont demandé de formuler des conclusions qui p
, la suggestion réussit à ramener la force et les mouvements dans les
membres
paralysés, mais à condition qu'il n'y ait ni hypé
qui commence à se contractera. Douleurs spontanées dans ce bras. Le
membre
inférieur a repris des mouvements ; il jouit d'un
séances de suggestion en huit jours ont fait brusquement gagner au
membre
inférieur une force, une mobilité et une coordina
tes dans la région dorsale avec irradiations en ceinture, et dans les
membres
inférieurs. Ceux-ci étaient en paraplégie depuis
is — cicatrice sacrée en voie d'ulcération — contracture complète des
membres
inférieurs, les talons étant fixés contre ses fes
les accès d'étouffé ment, mais ne put rien contre la contracture des
membres
inférieurs. Là encore on peut préciser la limit
vait été subitement frappée de paraplégie flasque avec anesthésie des
membres
inférieurs. Elle entrait à Villejuif dans le cour
ifférente à tout et tombait enfin dans le gâtisme. En même temps, ses
membres
paralysés se contracturaient progressivement à un
dernier de troubles de la motilité et de la sensibilité limités aux
membres
inférieurs, troubles qui ont disparu après quelqu
s accidents pour lesquels je Pavois dèja traité. Occupant d'abord les
membres
inférieurs, comme la première fois, ils ont pris
s ou les maisons centrales, il n'en faut plus rien espérer ; c'est un
membre
gangrené qu'il faudrait retrancher pour toujous d
que professent non-seulement M. le Docteur Liébeault, mais aussi deux
membres
éminents de la faculté de médecine de Nancy, MM.
nt de vue médico-légal. Aussi le rapport appelle-t-il l'attention des
membres
du Congrès sur tout ce qui concerne : La condit
es de différentes sortes, des crises et surtout de la contracture des
membres
. La contracture des bras s'accompagna d'un cert
onnait 30°. L'anesthésie et l'analgésie étaient complètes sur tout le
membre
. Les muscles de l'avant-bras étaient contractures
es hommes en l'air, et a les rattraper avec leur trompe, à couper les
membres
sur des couteaux attachés à leurs défenses, ou bi
péciaux. Plus de cent adhérents ont pris part au banquet offert aux
membres
du Congrès à l'Asile de Villejuif. Hypnotisme e
ui se sont constituées jusque dans les campagnes reculées et dont les
membres
s'amusent à s'hypnotiser entre eux, à défaut d'au
lle a présenté de la catalepsie spontanée, une paralysie complète des
membres
inférieurs et, à différentes reprises, des contra
. Le corps est rigide et il est absolument impossible de déplacer les
membres
. La respiration et le pouls sont ralentis. Toute
avec mobilité des grandes articulations permettant le déplacement des
membres
. Dans cette seconde variété de l'attaque, la mala
lle occupe. Les yeux sont largement ouverts. le regard est fixe ; les
membres
ont une certaine rai-deur et gardent toutes les p
ndormie complètement. La peau est devenue insensible à la piqûre, les
membres
soulevés tombent comme des masses inertes et moll
ion scapulo-humérale et ceux du coude étaient très limités et tout le
membre
supérieur était condamné à une immobilité presque
ient été sollicités par une lettre circulaire, d'accepter le titre de
membres
honoraires de cette société. Nous avons écrit A
ives — Début par la sensation de boule et des fourmillements dans les
membres
. La malade étouffe et ne peut parler pendant tout
es, on a vu survenir, pendant le sommeil, une contracture de l'un des
membres
supérieurs : cette contracture a toujours cédé à
s fréquent et faible; la peau un peu chaude et visqueuse. Du côté des
membres
, la résolution était complète. Pour la réveiller,
Krafft-Ebing est bien connu dans le public comme médecin de plusieurs
membres
des familles souveraines de l'Europe, en outre le
le des sciences médicales sera annexée M Congres. La cotisation des
membres
est fixée à 20 marks payables au moment de l' ins
, il y avait eu, chez cette malade, une coxalgie avec renversement du
membre
en dedans, et, dans certains moments, avec renver
du membre en dedans, et, dans certains moments, avec renversement du
membre
en dehors. Quand M. Verneuil prit possession du s
elle du côté droit, en même temps qu'un affaiblissement musculaire du
membre
supérieur du même côté. La sensibilité et la forc
cette jeune malade était hystérique ; les contractures des muscles du
membre
inférieur avaient eu pour cause déterminante une
l'illustre Claude Bernard, d'étudier les travaux du docteur Burq. Les
membres
de la commission étaient MM. Charcot, Luys et Dum
atrophie, et l'hydrothérapie, les toniques et l'exercice rendront au
membre
malade sa force et ses fonctions. LES SUGGESTIO
s péripéties, entendait la voix des victimes et tremblait de tous ses
membres
. Pranzini lui apparaissait surtout à la tombée de
t « insaisissable. » C'est pourquoi je dois quelques explications aux
membres
du Congrès et au comité qui m'a fait l'honneur de
minent collaborateur M. le docteur Mesnet. médecin de l'Hôtel-Dieu et
membre
de l'Académie de médecine, a lait mardi dernier d
ine et des principales Sociétés médicales de l'Empire Allemand, comme
membres
d'un comité d'organisation pour la section. C'est
ne assemblée annuelle. Comme le fait remarquer le Médical Record, les
membres
de cette société sembleraient reconnaître implici
celte société, n'avait paru justifier ls espérances spiritualités des
membres
de la société. En France, quelques observateurs
ME ET STIGMATES Par M. le Docteur MESNET Médecin de l'Hôtel-Dieu,
membre
de l'Académie de Médecine Ma communication a po
ennant l'application de la glace, ou la compression asphyxique sur un
membre
. L' autographisme ne peut être confondu avec la
analgésie complète, on peut lui traverser de part en part la peau des
membres
, du ventre, des seins, sans qu'elle ressente la m
avait la notion exacte des diverses positions que nous donnions à ses
membres
, des mouvements que nous leur imprimions: le sens
i le laisse en rapport exclusivement avec moi), état cataleptoïde des
membres
. La démonstration était faite par cette première
r par suggestion ses sensibilités sur telles ou telles parties de ses
membres
engourdis, je me décidai à abandonner l'usage de
du Bulletin Municipal pour montre à nos lecteurs le peu de ca que les
membres
du Conseil Municipal font des idées fantaisistes
pe qu'un seul côté du corps : mais il paraît siéger de préférence aux
membres
supérieurs, main et poignet, du moins dans les ob
ssez fréquemment au même endroit ; il est froid, très froid mème : le
membre
envahi offre une différence de température de tro
re une différence de température de trois à cinq degrés inférieure au
membre
sain : dans une observation de M. Raymond on a si
bleu disparut comme par enchantement, pour reparaître ensuite sur le
membre
opposé : et cette fois elle guérit de même sans a
senté deuxtypes d'œdème bleu hystérique occupant toute l'extrémité du
membre
supérieur et donnant à ces mains l'aspect de main
mi rappelait grossièrement ta phase léthargique de l'hypnotisme ; ses
membres
soulevés retombaient inertes, mais il continuait
émirent collaborateur. M. le professeur . Lacassagne vient d'être elu
membre
correspondant de l'Académie de médecine de Paris.
de révision de la loi du 30 juin 1838.— 3° Mémoires présentes par les
membres
du Congres. - 4° Visite des asiles d'aliénés de l
nùles mentales à la (-'acuité de médecine 'ie Pm is V. MAGNAN
Membre
de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
rt que la friction des jambes est plus énergique. Elle sent mal ses
membres
quand elle ne les voit pas. Ils lui font quelque-
contraire très net. L'ensemble du malaise, - même les douleurs des
membres
, s'amende facilement quand on tient à la malade
ontracture hâtive persistante. 2° Cette contracture peut envahir un
membre
, alors que l'autre reste flasque. 3° Dans l'obs
sque. 3° Dans l'observation rapportée, la contracture, localisée au
membre
infé- rieur était en flexion. 4° La lésion caus
progressive. Cette hyper- ti-opliie intéresse tous les segments du
membre
supérieur droit avec maximum aux trois doigts e
ancinantes, évolution lente, atrophie musculaire étendue aux quatre
membres
, fausse bypertrohie des membres inférieurs, rét
ophie musculaire étendue aux quatre membres, fausse bypertrohie des
membres
inférieurs, rétractions tendineuses, aboli'.ion
des muscles, corticale et sous-corticale ; mais tandis que pour le
membre
supérieur l'innervation corticale des exten- se
innervation corticale des exten- seurs serait prédominante, pour le
membre
inférieur, ce serait celle des fléchisseurs, et
inférieur, ce serait celle des fléchisseurs, et vice-versa. Pour le
membre
supérieur, l'inner- vation sous-corticale des f
seurs. On s'expliquerait ainsi pourquoi la plupart des réflexes des
membres
inférieurs se passent dans le domaine des exten
araplégie, l'hypertonie porte souvent sur les muscles extenseurs du
membre
inférieur. (Revue neurologique, mai 1903.) E. B
titubation) et du tonus (asthénie, atonie), de l'incoordination des
membres
supérieurs, de l'asynergie cérébel- leuse et de
érébelleux (perturbation de l'équilibre, asynergie, atonie pour les
membres
inférieurs, ataxie pour les supérieurs), occupe
t très accentuées des différentes régions osseuses du bassin et des
membres
inférieurs : à gauche phocomiélie et hémimélie,
ans. L'adipose est localisée presque exclusivement à la racine des
membres
dont le segment ectrome- lique a conservé son a
te association morbide lipomatose localisée surtout à la racine des
membres
accompagnée de douleurs et de troubles psychiqu
ses épilepti- formes. L'examen montra une certaine spasmodicité des
membres
inférieurs avec démarche spasmodique, et de plu
tre invoquée et ne cadre pas avec le neurone. Un seul gros tronc du
membre
ayant parfois suppléé à toute la sensibilité du
ros tronc du membre ayant parfois suppléé à toute la sensibilité du
membre
,il faudrait admet- treque chaque tronc peut ass
reque chaque tronc peut assurer à lui seul toute l'innervation d'un
membre
. Ici encore les anastomoses périphériques expliqu
jours avant l'entrée à l'hôpital, le malade sentit une faiblesse du
membre
supérieur droit et puis une gêne de la respirat
examen des symptômes que 100 CLINIQUE NERVEUSE. nous observons au
membre
supérieur gauche d'une part et à la face d'autr
embre supérieur gauche d'une part et à la face d'autre part. ' Le
membre
supérieur gauche est le siège d'une paralysie à
le sens des attitudes segmen- taires est conservé. Actuellement, le
membre
n'est le siège d'aucune douleur spontanée. Il n
lus prononcée pour les rameaux supérieurs que pour les moyens. Au
membre
supérieur gauche, on constate de la DR très pro
point de vue de la sensibilité, l'examen de la face comme celui du
membre
supérieur gauche révèlent des trou- bles profon
189-4. Aussitôt après, de nouvelles plaques violacées, siégeant aux
membres
inférieurs, aux bras et à la joue gauche font l
sur les extenseurs, en sorte que la face dorsale de ces segments de
membres
était tout à fait plate. Aux membres inférieurs
ace dorsale de ces segments de membres était tout à fait plate. Aux
membres
inférieurs, elle intéressait surtout les muscle
montrait l'eutrée etsèclie, surtout si on la comparait à celle des
membres
supérieurs ; enfin, aux pieds, on remarquait de
t en troubles moteurs paralytiques débutant par la périphérie des
membres
pour remonter peu à peu vers leur racine et réa
pour remonter peu à peu vers leur racine et réalisant au niveau des
membres
supérieurs l'aspect' clas- sique de la main sim
LÈPRE NERVEUSE. 119 attention. Chez notre femme, elle occupait les
membres
supérieurs et les inférieurs, chez cet homme, e
érieurs et les inférieurs, chez cet homme, elle ne porte que sur le
membre
supérieur gauche, mais chez l'un comme chez l'a
tout à fait celle que réalise cette dernière affection; du côté des
membres
inférieurs, nous n'avons pas constaté d'exagéra
ain nombre de syringomyé- lies avérées peuvent réaliser du côté des
membres
supérieurs un tableau clinique rappelant de tou
aralysies-et des atrophies mus- culaires ayant débuté au niveau des
membres
par les extré- mités, par dés troubles de la se
se sent plus lui-même. Il ne sent ni sa tête, ni son corps, ni ses
membres
. Dans la nuit, il en- tend l'esprit de D... lui
s son corps, tantôt il s'étire et en même temps il sent et voit ses
membres
s'allonger comme du caoutchouc. Ce qui l'au- go
ce tendon fait contracter tout le muscle et produit l'adduction du
membre
au torse. Comme il est en partie recouvert des
jet atteint d'un noevus variqueux ostéo-hypertrophique, occupant le
membre
supé- rieur droit avec le moignon de l'épaule,
convulsives, sans choc; elles siègent principalement sur les os des
membres
nférieurs (tibia, fémur). Dans la paralysie gén
anvier 1903, se plaignant sur la faiblesse des muscles du cou et du
membre
supérieur droit; en mars de 1902 il avait eu un
excitabilité électrique galvanique et faradique. Les mouvements des
membres
inférieurs sont normaux et la nutrition suffisa
des deux côtés. Dans les muscles de la face, du cou, du tronc, des
membres
supérieurs et', en partie, des membres infé- ri
face, du cou, du tronc, des membres supérieurs et', en partie, des
membres
infé- rieures, on remarque des tiraillements pa
ières années il se plai- gnait parfois sur des élancements dans les
membres
inférieurs et un sentiment de pince dans les pl
tion avec ràle- ments, un grincement de dents et un tremblement'des
membres
supérieurs de courte durée ; le malade était ga
ment général des muscles de tout le corps. Une faiblesse des deux
membres
inférieurs, surtout plus accusée dans le membre g
faiblesse des deux membres inférieurs, surtout plus accusée dans le
membre
gauche et dans les articulations centrales. Une
ns les articulations centrales. Une faiblesse, peu signifiante, des
membres
supérieurs. Les réflexes tendineux sont exagérés,
la paralysie de toutes les extrémités. Une paralysie com- plète des
membres
supérieurs et inférieurs ; une anesthésie com-
e des lésions cutanées serait par ordre de fréquence : - Tronc.
Membres
supérieurs. Abdomen. Tète. Très rarement :
- Tronc. Membres supérieurs. Abdomen. Tète. Très rarement :
Membres
supérieurs. Siège le plus rare : Jambe. M. Ga
vations nous ont montré que ces lésions siègent au tronc puis aux
membres
supérieurs, contrairement à l'opinion de M. Le
men. Avec une fréquence à peu près égale, puis, en second ordre :
Membres
: faces internes des bras, des cuisses. Dans au
alé par Hébra, est la rareté des productions cutanées au niveau des
membres
inférieurs. Cette rareté existe surtout pour le
mala- des observés, il n'y en avait que 47 porteurs de noevi aux
membres
inférieurs ainsi répartis : DISTRIBUTION DES NJ
NÆVI CHEZ LES ALIÉNÉS. 199 Répartition des molluscums au niveau des
membres
inférieurs : 200 PATHOLOGIE. On peut conclu
éments séniles, on rencontre des productions cutanées au niveau des
membres
inférieurs dans le rapport de 46, 'la p. 100.
i permet de saluer dans le président du Congrès des aliénistes un
membre
récemment élu du Conseil général des Basses- Py
et leurs attitudes, conservent les positions qu'on imprime à leurs
membres
(catalepsie), répètent les mots prononcés devan
lades se dissimulent complètement sous leurs draps, le tronc et les
membres
repliés sur eux-mêmes, les genoux touchant souv
a tête légèrement inclinée, les bras ramenés le long du tronc,' les
membres
tantôt résistants, impossibles à déplacer, tant
n assez grand nombre étaient accompagnés de;leurs dames et d'autres
membres
de leurs familles. · M. le professeur Brissaud,
ns la moelle, des noyaux nettement circonscrits, d'où les nerfs des
membres
tireraient leur origine, mais différents groupe
11mc Parhon). Van Gehuchten et de Neef amputè- rent des segments de
membres
, et découvrirent des localisations nettes dans
ionnel muscu- laire répond un groupement de noyaux, au segment d'un
membre
correspond, dans la moelle, une zone qui compre
is zones d'innervation segmentaires répondant aux trois segments du
membre
supérieur, bras, avant-bras et main; chacune de
noyaux dans la moelle reproduit la topographie des muscles dans les
membres
; c'est ainsi que le noyau du deltoïde entoure l
ions qui ont nécessité l'intervention opératoire, l'amputation d'un
membre
, par exemple, ainsi que des affections ou infec
occupent des zones limitées par des lignes parallèles à l'axe des
membres
; 3° le type à distribution individuelle musculai
de» toasts applaudis. Puis, après la photographie d'ensemble des
membres
du Con- grès, on se rend au travail au milieu d
haleur de la salle préparée pour la séance d'après-midi. Seuls, les
membres
du bureau et quelques membres de la presse ont
la séance d'après-midi. Seuls, les membres du bureau et quelques
membres
de la presse ont une table et des chaises; la maj
opos des modifications de la moelle consécutives aux amputations de
membres
chez le Têtard. . Ji31. BRISSAUD, et BAUER. Lor
e n'est jamais par- faite. Il ne s'agit pas ici comme au niveau des
membres
d'une SOCIÉTÉS SAVANTES. 245 régénération. Le
ait aucun parrallélisme entre la force motrice et la sensibilité du
membre
, et le sens de l'estimation du poids ou du volu
mbre, et le sens de l'estimation du poids ou du volume perçu par ce
membre
; c'est-à-dire que cer- tains malades surestimen
mettent du reste eux-mêmes en usage, tels que la constriction d'un
membre
; autant on s'incline devant l'impossibilité d'a
médecine de Pau, dont le président Brissaud est depuis longtemps le
membre
associé. Auparavant, M. Sano projeta des schéma
des masses mus- culaires n'était pas douloureuse. Le lendemain les
membres
infé- rieurs étaient totalement paralysés, les
emps après, anurie presque com- plète ; la température s'élève, les
membres
supérieurs, le tronc se prennent à leur tour, e
Certains actes respirateurs brusques sont consécutifs aux tics des
membres
supérieurs et du tronc ; 3° Les tics de frappem
on se maintient du côté oscillant tout le temps de l'oscillation du
membre
. Elle cesse au moment où celui-ci touchant le s
quadriceps. Contribution à l'étude des représentations motrices du
membre
in/ë- rieur dans la moelle épinière de l'homme.
èbe MORDRE, ex-médecin en chef de l'asile des aliénés de la Sarthe,
membre
correspondant de l'Académie de médecine depuis
pensée, d'un mouvement conscient : elle peut étendre ou plier un
membre
, elle peut se soulever sur son lit mais sans s'en
ce mouvement est beaucoup plus long qu'à l'état normal. De plus ce
membre
se raidit d'une façon spasmodique s'accompagnan
nné le peu de résistance ordinaire de la malade. De même lorsque le
membre
fléchit ou mieux revient à son état de repos, l
à d'autres, de même la conscience universelle contient une série de
membres
complets, ayant une existence autonome ; ce sont
vers la droite, tandis que pour . aller vers la gauche il traîne le
membre
droit au moment où il doit le rapprocher du mem
che il traîne le membre droit au moment où il doit le rapprocher du
membre
gauche. Cela tient à ce que la jambe spasmodiqu
subi un allongement dû à l'extension de toutes les articulations du
membre
inlérieur (Mann). La jambe droite étant plus lo
1. Les troubles de la motilité sont : a, une paralysie complète du
membre
supérieur lorsque le foyer se limite à la couronn
ique; celui-ci se complique parfois de paresthésie de la face et du
membre
supérieur du côté opposé à la céphalalgie. Fina
ent, leur extension en rapport avec la localisation des centres des
membres
dans l'écorce, l'absence de convulsions faciale
emps après; elles se sont effec- tuées graduellement d'abord sur le
membre
inférieur droit, puis, sur le membre supérieur
s graduellement d'abord sur le membre inférieur droit, puis, sur le
membre
supérieur droit, enfin, dans le môme ordre, plus
nervés par l'oculo-moleur commun et léger strabisme divergent. Le
membre
supérieur droit est animé de mouvements spasmodiq
ques- beaucoup plus marqués dans la position assise de la malade.
Membres
inférieurs paralysés. La malade peut avec beaucou
ême temps que de mouvements spasmodiques. Langue déviée à droite.
Membre
supérieur droit paralysé, atrophié et atteint de
ux moteurs, mais des centres moteurs qui commandent aux muscles des
membres
, à l'intérieur desquels (et cette opinion s'imp
pond au courant minimum propre à faire mouvoir le moins possible le
membre
antérieur ou le membre postérieur, on expose av
propre à faire mouvoir le moins possible le membre antérieur ou le
membre
postérieur, on expose avec toutes les précautio
it depuis sa naissance une absence complète du troisième segment du
membre
supérieur gauche, en même temps qu'un certain n
mates de dégénéres- cence physique. L'origine de la malformation du
membre
est attribuée par le malade à ce que sa mère, é
'expansion de ses pro- longements peut-être le long des artères des
membres
et qui expli- querait l'angoisse d'origine péri
ndant tout ce temps, il est inquiet ressent du tremblement dans les
membres
, éprouve l'idée fixe d'une anomalie dans sa per
é, le mutisme, la raideur par- ticulière avec flexion difficile des
membres
, l'état cataleptique, etc. Mais la physionomie,
r plusieurs. /L'appel au collège médical s'explique par ceci que le
membre
aliéniste de ce collège est généralement un des
stituer une com- mission chargée d'étudier la question. Sont nommés
membres
de cette commission : MM. Léon Bourgeois, dép
laboratoire d'études psychologiques à la Sorbonne. Dr Bourneville,
membre
du conseil supérieur de l'Assistance publique.
indemne. Du côté gauche, il y avait un tremblement très prononcé du
membre
inférieur; il s'agit, d'après ce que montre le
e. , Cois : circonférence, 29 centimètres. Corps thyroïde normal.
Membres
supérieurs. Le membre supérieur gauche est atroph
ence, 29 centimètres. Corps thyroïde normal. Membres supérieurs. Le
membre
supérieur gauche est atrophié, les masses muscu
et en pronation ; la main légèrement fermée, le pouce en dedans. Le
membre
entier présente une contracture presque invincibl
athétose. Sur les mains, les mêmes taches que sur le visage. - Le
membre
supérieur droit est normal. Membres inférieurs
taches que sur le visage. - Le membre supérieur droit est normal.
Membres
inférieurs . - Le membre inférieur gauche est atr
- Le membre supérieur droit est normal. Membres inférieurs . - Le
membre
inférieur gauche est atrophié comme le supérieu
e en extension sur la cuisse, le pied en extension sur la jambe. Le
membre
entier est paralysé et en état de contracture.
e noix, le gauche est plus petit ; périnée et anus, gla- bres ; les
membres
supérieur et inférieur droits, glabres; les mem-
yeux légèrement injectés, les lèvres noirâtres; mêmes secousses des
membres
et même battements des paupières que dans les a
is il avait perdu connais- sance. Brusquement, le visage pâlit, les
membres
s'allongent, et l'enfant rend le dernier soupir
b. L'hémiplégie gauche (fig. 14) est nettement caracté- risées, au
membre
supérieur les mouvements spontanés sont à peu p
laire bien mis en évidence par les mensurations et la fig. 15. Le
membre
inférieur gauche offre les mêmes particula- rit
l'attitude du pied bot équin. Les mensuretions montrent que tous le
membre
est atrophié, à un moindre degré toutefois que
ue tous le membre est atrophié, à un moindre degré toutefois que le
membre
supérieur. Notons encore la petitesse relative
du testicule gauche et la présenced'un duvet assez abondant sur les
membres
du côté paralysé, alors que le côté sain estgla
is, parce que cette hémiplégie eut une prédominance marquée pour le
membre
supérieur. ' Le cas que l'auteur présente autor
oint intéressant, c'est-à-dire la pré- dominance de la paralysie au
membre
supérieur, l'auteur pense que le fait est dû à
ns plus déli- cates. Il en serait ainsi pour les centres moteurs du
membre
supé- rieur. ' G. C. XCVIII. Lésions du cerve
ans, sans hérédité pathologique. Dou- leurs débutant à la racine du
membre
supérieur droit, irradiant vers l'extrémité. At
d'un cas de malformation portant sur deux régions sy- métriques des
membres
supérieurs avec atténuation du côté droit atrop
cours du tabès et où on ne voit que la résorption du squelette avec
membres
de polichinelle. L'auteur insiste sur ce fait q
choréiques). Il présentait en outre une paralysie avec atrophie du
membre
inférieur droit, vraisemblablement d'origine mé
de la névrose spéciale dite psychasthénique. LXVIII. Tic tonique du
membre
supérieur droit; par IiUDLn. zone. Iconogr. del
la gêne dans les mouvements du bras, puis une altitude vicieuse du
membre
qui reste en formation et peu à peu s'accuse de
ouillement de vers 10 SOCIÉTÉS SAVANTES. et qui se produit sur le
membre
inférieur des deux cotés dans l'hémiplégie orga
re est bilatéral et se pro- duit seulement ou surtout au niveau des
membres
inférieurs tient à ce que ceux-ci reçoivent tou
es deux beaucoup plus de fibres venant d'un seul hémisphère que les
membres
supérieurs. Maladie bleue et cyanose rétinienne
ropos des modifications de la con- sécutives aux amputations de
membres
chez le tétard, par Brissaud et Bauer, 244. Con
, 244. Contri- bution à l'étude des représenta- tions motrices du
membre
infé- rieur dans la de 1 homme, par TABLE DES
if avec coprolalie, par Morel de Litchfield, 4 ? 1 - to- nique du
membre
supérieur droit, par Rudler, 497. - et sté- r
vient d'entrer dans quelques développements. En février 1878, les
membres
de la commission de l'Assistance publique du Co
nt l'occiput ; rigidité gé- nérale ; secousses cloniques des quatre
membres
; léger ron- lement un peu d'écume non sanguino
l'épigastre très cohérente sur le reste du tronc, très peu sur les
membres
; fuliginosités labiales ; léger coryza; pas d'
ses sont fermes (quelques petites cicatrices sans caractère). Les
membres
supérieurs sont normaux (3 cicatrices de vaccin
être cogné, il y a 3 ou 4 ans, contre le bord d'une cheminée. Les
membres
inférieurs sont assez bien conformés (incurva-
manifestement plus petit que le droit n'est jamais descendu. Les
membres
supérieurs et inférieurs sont bien conformés, b
environ ; depuis la même époque il ressentirait des picotements aux
membres
inférieurs et des engourdissements aux membres
des picotements aux membres inférieurs et des engourdissements aux
membres
supérieurs; il accuse de plus de fortes déman-
00 AILNINGO-LNCi;PHALIT1; CHRONIQUE. gauche, quelques secousses des
membres
. On ne sait comment étaient les jambes et on cr
fant est endormi : figure pâle; pas de secousses cloniques dans les
membres
; pas de raideur. Mais les petites secousses, q
e bras gauche allongé le long du corps, le bras droit étendu, les
membres
inférieurs fléchis, les jambes croisées, la gau
ue chose avec cette épaule ; les mouvements convulsifs du reste des
membres
sont surtout des mouvements de pronation et de
n et la crispation des doigts. Ces mouvements, si mar- qués dans le
membre
supérieur gauche, existent à peine dans le droi
'on observe en même temps de légers mouve- ments d'opisthotonos. Le
membre
inférieur gauche est complètement immobile; à d
s convulsifs sont aussi fréquents dans ce pied qu'à la figure et au
membre
supérieur gauche, c'est-à- dire à peu près cont
es y sont plus fréquentes ; c'est toujours là qu'elles prédominent.
Membres
inférieurs allongés ou légèrement fléchis; pas
s convulsifs qui fléchissent les orteils avec petites secousses des
membres
; pas de paralysie ; pas d'exagéra- tion du réf
nt cessé ; l'enfant était dans la résolu- tion, sans mouvements des
membres
; pas de cris. Ce matin, face pâle, regard étei
es et modérément dilatées. Pas de paralysie, pas de contracture des
membres
L'en- fant tousse un peu depuis hier soir ; râl
paru. Thorax et abdomen s.. -... métriques, poitrine assez bombée :
membres
réguliers ;pa\ de déformations. ' A l'ouvertu
marchait en sautant ; cette conservation partielle du mouvement des
membres
inférieurs est en rapport avec l'intégrité rela
et du lobe paracentral. Nous avons vu que l'enfant se servait des
membres
supérieurs, qui paraissaient plus vigoureux et
supérieurs, qui paraissaient plus vigoureux et plus habiles que les
membres
inférieurs, l'autopsie nous a montré que les ci
fir- mation de la localisation du siège des centres moteurs . des
membres
. La séparation presque complète de la substance
it remarqué aucune des grosseurs que G.... porte actuellement aux
membres
; lui-même ne s'en était jamais plaint. Descript
est remplacée par des se- cousses tétaniformes occupant les quatre
membres
et la face et durant un peu plus longtemps; la
rne du radius, au-dessus de l'apophyse styloïde. Rien au cubitus.
Membre
supérieur gauche. Rien à la clavicule ni au bra
a partie infé- rieure du bord externe du radius. Rien au cubitus.
Membre
inférieur droit. - La cuisse paraît un peu plus
rière. Les malléoles présentent également deux petites aspérités.
Membre
inférieur gauche.A la cuisse, deux exostoses de
ines plus fuligineuses que la veille. Contracture assez marquée aux
membres
FRACTURE DU CRANE. 115 supérieurs, mais pouva
s fine dirigée supérieurement d'environ 3 centimètres. Les os des
membres
supérieurs sont moins atteints; cependant. on t
alisée consécutive aux attaques (13 ans) et compliquée d'oedème des
membres
inférieurs ; suspension des atla- ques. Guériso
rs ; suspension des atla- ques. Guérison subite de la paralysie des
membres
supérieurs ; guérison graduelle de la paraplégi
'elles, il aurait été atteint d'une paralysie qui, débutant par les
membres
inférieurs, aurait envahi successivement tout l
cées pour en faire sortir de l'eau. Le mouvement serait revenu aux
membres
supérieurs du jour au lendemain ; les membres i
t serait revenu aux membres supérieurs du jour au lendemain ; les
membres
inférieurs n'ont guéri que bien plus lente- men
g de chaque cuisse. 10 h. 45. - La sensibilité est revenue dans les
membres
inférieurs en procédant de haut en bas, les cui
11 h. La sensibilité a reparu sur toute la partie supé- rieure du
membre
supérieur gauche, en procédant de haut en bas e
h. 30.- La sensibilité est entièrement revenue, aussi bien sur les
membres
qu'au cuir chevelu. T. Ax. à droite, 3do,6; à g
iquent d'une paralysie généralisée. En quoi a consisté l'oedème des
membres
inférieurs qour lequel on a pratiqué des piqûre
elle a suivi des attaques hystériques et, en ce qui concerne les
membres
supérieurs, elle a guéri subitement. HYSTÉRIQUE
eptique a été atteint durant le traitement d'un affaiblissement des
membres
infé- rieurs qui s'est bientôt transformé en un
ffection cérébrale avec paralysie de la langue sans para- lysie des
membres
; sujette à des céphalalgies. Le reste de la fa
ssait, puis survenaient quelques se- cousses égales dans les quatre
membres
; un peu de stertor, miction involontaire; fina
ons : quelques râles ronflants et muqueux en avant et en arrière.
Membres
inférieurs. L'enfant paraît très faible, mais p
rcice; frictions avec de l'alcool camphré. 21 juillet. L'état des
membres
inférieurs n'a pas changé; de plus, il existe d
s sur la face externe des cuisses et la partie inférieure du dos.
Membres
inférieurs. L'enfant se tient sur les jambes lo
E. - Pas d'éruptions ; - pieds et mains un peu cyanoses. Tronc et
membres
bien conformés. Fonctions digestives : appétit
re. Depuis 8 jours, l'agitation est plus mar- quée. Tremblement des
membres
supérieurs. 18 septembre. Hier, le malade a pri
illaires ; de temps en temps, un certain degré de tremblement des
membres
supérieurs. Depuis le début des accidents, Sch.
t levé plusieurs fois. Le retour de la force musculaire, dans les
membres
inférieurs, est très sensible. . 25 mai. Les do
nt; l'agitation a notablement diminué. Si nous examinons l'état des
membres
inférieurs, nous constatons : l'intégrité de la
tour de la salle. Etat général excel- lent. Plus de tremblement des
membres
supérieurs. Sc... gâte moins. Décembre. - Les
ment, la marche et la station sont impossibles, et la paralysie des
membres
inférieurs le force à rester au lit. Dix jours
Trois semaines après le début de la maladie, la paralysie gagna les
membres
supérieurs et fut surtout marquée aux mains et au
;, 1 ' . f .. r r f 1 f,. . If . . Etat actuel (22 janvier 1891).
Membres
inférieurs. Le malade est dans le décubitus .do
at de la motilité. La paralysie de la motilité est absolue dans les
membres
inférieurs; quand on le lève sur une chaise, les
gri. 1 , 1 ' ' L'atrophie est très prononcée, bien que la forme des
membres
soit encore un peu marquée, c'est-à-dire,qu'ell
· 1 f - 1 1 , ' Le malade n'accuse aucune douleur pas plus dans les
membres
inférieurs que dans les autres parties du corps
nte l'endroit où on le touche quel que soit le point de la peau des
membres
inférieurs. La sensibilité à la piqûre est dimi
vec une épingle on pique la peau du malade en divers endroits des
membres
inférieures, le malade perçoit bien la piqûre, ma
il lui était impossible de savoir à quelle distance on écartait ses
membres
inférieurs l'un de l'autre. Membres supérieurs.
elle distance on écartait ses membres inférieurs l'un de l'autre.
Membres
supérieurs. La paralysie ne parait pas aussi abso
s supérieurs. La paralysie ne parait pas aussi absolue que dans les
membres
inférieurs dans lesquels il n'y a plus aucun mo
mbres inférieurs dans lesquels il n'y a plus aucun mouvement. Les
membres
supérieurs ne sont pas inertes et étendus le long
énar sont presque totalement effacées. L'état de la sensibilité des
membres
supérieurs ne pré- sente actuellement rien de p
PARALYSIE GÉNÉRALE SPINALE DE DUCHENNE. 2o 5 'pas plus que pour les
membres
inférieurs. La sensibilité générale est seuleme
ainement sans aucun phénomène prémonitoire . par une paraplégie des
membres
inférieurs : Dix jours après, paralysie des rés
sie des réservoirs. Vers le vingt et unième jour de la maladie, les
membres
supérieurs\sont enva- his. Enfin, ces phénomène
ccompagne d'une atrophie très prononcée des quatre extrémités des
membres
, répartie avec une remarquabble symétrie. Les c
trice en produisant uniquement une paralysie amyolrophique des deux
membres
supé- rieurs et en s'attaquant peu après à la p
ertaine sensation tactile, un chatouil- lement, par exemple, sur un
membre
qui est anesthésique, il arrive parfois que la
t le bras, que la sensibilité tactile est revenue tout entière à ce
membre
. L'image n'a pu être évoquée sans ramener en mê
'a jamais, en somme, noté de maladie nerveuse ou mentale chez aucun
membre
de la famill-e. Il se pourrait cependant, mais
endant, avec quelques égratignures au cou. Il tremblait de tous ses
membres
et suffoquait, incapable de proférer une parole
s toutes récentes, obnubilation de la connais- sance, faiblesse des
membres
, disparition des réflexes patellaires, douleurs
urée chaude. En massant la région et en imprimant des mouvements au
membre
il a pu injecter 500 centimètres cubes d'une so
l'on retrouve dans la génération des ascendants; sur quarante et un
membres
de cette famille, dix-neuf sujets sont atteints
cupation du même genre, on fait diminuer les tremblements. Ceux des
membres
de la famille qui boivent volontiers des boisso
ntre temps, se multiplient les nombreuses citations judiciaires des
membres
de la famille pour constituer un curateur, les pé
; M. BUBErtIH, bibliothécaire; MM. PFLEGER, HOLLER, FRITSCH, Fries,
membres
du conseil d'administration. M. GAUSSER propose
nsi, provoque, de propos délibéré, la perte irréparable d'un de ses
membres
. L'interdiction est une mesure utile, à la cond
ttention que le malade a, à la suite du traumatisme, accordée à son
membre
blessé, l'émotion exagérée avec les préoccupati
- Le malade a quarante ans. Atrophie musculaire et fai- blesse des
membres
supérieurs du cou, du dos et en partie des memb
ai- blesse des membres supérieurs du cou, du dos et en partie des
membres
inférieurs à évolution progressive. Réaction part
dégénérescence. Aucun phénomène de rigidité. Réflexes tendineux des
membres
supérieurs absents, réflexes rotuliens présents e
e progressive, type périphérique (péronéal type) du rapporteur. Les
membres
inférieurs de la malade sont défor- més : genua
grés d'atrophie des muscles des cuisses. L'atrophie des muscles des
membres
supé- rieurs, atteints à un degré moindre, est
uellement prononcée dans les parties plus ou moins périphériques du
membre
. Absence de réflexes patellaires. Ni douleur, n
udées. Mais elle cherchait à faire dispa- raître une contracture du
membre
supérieur gauche, survenue depuis trois mois à
e M. Duchesneau, c'est qu'on constatait une atrophie musculaire des
membres
supérieurs et inférieurs. Pour ces derniers, el
n des signes graphiques, par vice d'éducation, par malformation des
membres
, par mala- dies nerveuses, et par grapllonévros
e Il. - Composition de la Société. ART. 2. La Société se compose de
membres
perpétuels (ou fon- dateurs), de membres titula
. La Société se compose de membres perpétuels (ou fon- dateurs), de
membres
titulaires, de membres adhérents et de mem- 6re
de membres perpétuels (ou fon- dateurs), de membres titulaires, de
membres
adhérents et de mem- 6res auxiliaires. Le titre
ires, de membres adhérents et de mem- 6res auxiliaires. Le titre de
membre
adhérent appartient aux per- sonnes qui paieron
ux per- sonnes qui paieront une cotisation de 5 francs. Le titre de
membre
- perpétuel ou fondateur s'acquiert par le don
é d'un capital de 200 francs au minimum. VARIA. 143 Le titre de
membre
titulaire est acquis à toute personne payant un
personne payant une souscription de 20 francs au moins. Le titre de
membre
auxi- liaire appartient aux personnes qui sans
la Société est confiée à un Conseil d'ad- ministration, composé de
membres
de droit et de membres élus. Les membres de dro
à un Conseil d'ad- ministration, composé de membres de droit et de
membres
élus. Les membres de droit sont : 1° le préfet
ministration, composé de membres de droit et de membres élus. Les
membres
de droit sont : 1° le préfet de la Seine, le prés
vice de chacun des asiles ou quartiers d'hospice de la Seine. Les
membres
élus sont au nombre de trente : 1° trois élus par
eine; 3° vingt-quatre élus par l'assemblée générale annuelle. Les
membres
élus du conseil d'administration sont renouvela-
ouvela- bles par tiers tous les ans. Le tirage au sort désigne ,les
membres
sortants pendant les deux premières années. Apr
ts pendant les deux premières années. Après la troisième année, les
membres
élus sortiront par voie de roulement. Ils peu-
secrétaires, un trésorier et un Comité de direction, composé de dix
membres
. Use réunit sur la convocation du président, chaq
t tréso- rier du comité de direction. ART. 6. Le président, ou un
membre
du conseil d'adminis- tration délégué par lui,
es ressources de la Société se composent : 1° des coti- sations des
membres
des différentes catégories ; 2° des revenus de
. Il en fait la distribution sur autorisations signées par l'un des
membres
du comité de direction et par le membre de la S
tions signées par l'un des membres du comité de direction et par le
membre
de la Société qui a visité le patronné, ou par
RT. 16. - Les secours moraux sont donnés aux patronnés par tous les
membres
de la Société. Ils s'informent de l'état moral de
spositions générales. ART. 18. - Une assemblée générale de tous les
membres
de la Société a lieu au moins une fois chaque a
tre de l'intérieur, à M. le préfet, aux conseillers généraux et aux
membres
de la commission de surveil- lance. ART. 19.
de la réunion, ainsi que l'ordre du jour, sont adressées à tous les
membres
de la Société. ART. 20. - L'assemblée procède,
ède, d'après les dispositions de l'ar- ticle 3, au remplacement des
membres
du conseil d'administration décédés ou ayant ce
ance, l'assemblée délibère- d'ailleurs, quel que soit le nombre des
membres
présents, sur toutes les questions qui lui sont
vis de l'assemblée géné- rale émis à la majorité des deux tiers des
membres
présents. Voilà un premier pas dans la voie de
des aliénés et épileptiques. C. A 2 heures du soir : Réception des
membres
du congrès par la municipalité dans la salle de
à M. le Dr DOUTREBENTE, 34, avenue de Paris à Blois. La qualité de
membre
du congrès est acquise à tout doc- teur en méde
e soumets à la bienveillante attention de M. le préfet et à MM. les
membres
du conseil gé- néral. Le domicile de secours
commissure des lèvres. On sent les masséters fortement agités. Les
membres
supérieurs se fixèrent à leur tour. On voit les m
voit les muscles danser dans la profondeur de la plaie du bras. Les
membres
infé- rieurs enfin sont agités de quelques seco
ppa- raissent dans les muscles de la face, gagnent rapidement les
membres
et le tronc, qui paraissent agités d'une sorte de
ilate légèrement. A 230, cris répétés, .quelques secousses dans les
membres
. A 242, nouveaux cris, l'e1ophlaJmie s'accentue
usquement en opistothonos, mais le tracis postérieur, le tronc, les
membres
antérieurs se contractent. en quelque sorte d'u
rveux, tels que l'embarras de la parole ou l'engourdissement d'un
membre
(cas de Baralt). La douleur céphalique suit les
toire, les troubles de motilité et de sensibilité de la face et des
membres
siègent du côté droit. Ce dernier est du reste,
ons la forme faciale, et s'il commence par le pied et monte dans le
membre
inférieur, puis dans le bras et dans la face, c
jacksonienne). En outre, le trouble sensitif peut être limité à un
membre
seulement, sans envahir la moitié du corps tout
a (épilepsie partielle motrice), le malade remue volontairement son
membre
comme pour en faire dispa- raître complètement
choses en restent là. Mais, d'autres fois elles vont plus loin; le
membre
supérieur tout entier est pris de tremblement,
à ses accès : la compression de la main au début des convulsions du
membre
peut seulement suspendre pendant quel- ques min
nière se raidit un peu sans avoir de véritables convulsions dansles
membres
, ni déviation de la bouche, ni écume aux lèvres
ttaque d'amblyopie le saisit en même temps que l'engourdissement du
membre
inférieur droit; il dit que la partie inférieur
cette sensation pénible gagna bientôt le bras, l'épaule, puis le
membre
inférieur, du même côté. Le malade ne perdit pa
sie motrice pure et isolée, sans partici- pation à la paralysie des
membres
ni de la face, ont été fort rares. Bernard ne c
latés ces dernières années, étaient accompagnés de paralysie des
membres
et de la face avec lésions correspondantes de l
sacrés. A leur mort, c'était une coutume pour leurs parents et les
membres
de la tribu, de se confectionner des amulettes
e, bientôt sui- vies d'une légère parésie et de la faiblesse de ces
membres
. Ces attaques commençaient et se terminaient pa
n'y fait. Pour qu'il change de position, il faut lui tour- ner les
membres
à lui faire mal. Si vous le suspendez par la peau
se, l'auteur conclut que la léthargie pure avec avec flaccidité des
membres
, et les attaques de sommeil qui com- prennent t
ntégrité de la sensibilité et des fonctions vésicales, douleurs des
membres
, douleurs en cein- ture). Dans ces quatre cas,
nserre, préfet de Loir-et Cher, a souhaité d'abord la bienvenue aux
membres
du Congrès. Puis M. Bouchereau, président du Co
specter le secret médical. Ce ne sont jamais les médecins, mais des
membres
de famille en désaccord avec les autres qui div
et a eu lieu à l'hôtel de Blois où assistaient outre la plupart des
membres
du Congrès, M. Sincère, préfet de Loir-et-Cher,
C'était une façon de forcer le Dr BOURNEVILLE, médecin de Bicêtre,
membre
de la Commission de surveillance des asiles de la
projetée à Villejuif. M. BOUR1VEVILLE fait passer sous les yeux des
membres
du Con- grès les plans de ces divers projets, d
te rendu au Républicain Orléanais des 7 et 8 août. A 11 heures, les
membres
du Congrès arrivaient à l'hôpital d'Orléans où
des hospices. Après la visite des divers quartiers des aliénés, les
membres
du Congrès se sont réunis en un banquet offert
eurs - M. le préfet a pris la parole et souhaité la bienvenne aux
membres
du Congrès. Après M. le préfet, M. Boullé, membre
la bienvenne aux membres du Congrès. Après M. le préfet, M. Boullé,
membre
de la commission des hospices, a pris la parole
mon tour, au nom de l'administration des hospices, dont je suis le
membre
le plus ancien, vous remercier de l'intérêt que
des congrès qui établissent des relations personnelles entre leurs
membres
, où l'on constate des faits et on échange des i
logie inséreront, à l'occasion, toutes les rectifi- cations que les
membres
du Congrès jugeront utiles de leur adresser. 33
cilité avec laquelle l'enfant se sert aujour- d'hui librement de ce
membre
. La condition des microcéphales est si déplorab
oup moins d'attention et de soins. Elle prend plaisir à étendre ses
membres
, à exercer ses muscles, à soulever son corps, et
rations des nerfs et de la moelle consécutives à une amputation des
membres
. M. Marie ne considère comme tabes spasmodique
cela elle ressentait très fréquemment des fourmillements dans les
membres
, particulièrement au bout des doigts, qui survena
ement « lorsqu'elle se trouvait mal placée, » de façon à ce que ses
membres
fussent sujets à une pression même peu pro- lon
ialgies devinrent plus fréquentes, elle avait des douleurs dans les
membres
surtout en correspondance des articulations, le
u bout des doigts de la main gauche, qui après avoir envahi tout le
membre
, 390 pathologie NERVEUSE. s'irradia à la moit
de la langue, et envahit tout le restant de la tête, du tronc et du
membre
inférieur du même coté.- La bouche devint sèche
ntit un peu faible, mais elle retrouva immédiatement l'usage de ses
membres
. Au contraire la langue resta paralysée longuem
lorsqu'elle parle; un tremblement ana- logue se rencontre dans les
membres
supérieurs. Il est très léger, très rapide, mai
issant toute une moitié du corps, la langue comprise; paralysie des
membres
, aphasie motrice, troubles de l'intelligence, r
taient tantôt spontanément, mais avec plus de fré- quence, dans ses
membres
« lorsqu'ils étaient mal placés », de façon à ê
roubles à un côté du corps. b). Pour ce qui est de la paralysie des
membres
, il est connu qu'un certain degré de paralysie
rée, sa face congestionnée, la bouche est tirée vers la droite, les
membres
raidis, les poings fermés; la respiration est r
éger trem- blement du bras droit, soit d'une légère parésie du même
membre
, soit de tous les deux à la fois. Quelquefois c
vements passifs, imprimés aux différents groupes musculaires de ses
membres
. La station debout, la démarche ne présentent p
émarche ne présentent pas d'anomalie. Pas de signe de Romberg. Le
membre
supérieur droit est le siège d'un tremblement qui
horizontale, l'angle labié gauche s'étira en dehors, après les deux
membres
successivement furent pris de convulsions cloni
t pas ressentis; le sens musculaire est aboli, B... ne sent pas ses
membres
. A ces attaques s'en ajoutèrent seize à de bref
r, en peu de minutes le mouvement revint complètement dans les deux
membres
et C... fut en mesure de pouvoir sortir de son
minutes. Cette attaque ne fut pas suivie non plus de paralysie des
membres
. Le fait d'avoir perdu connaissance, ce qui lui
sent. B... ignore absolument les diverses positions imprimées à ses
membres
gauches. Les conjonctives et le pharynx sont in
tié du corps, ensuite convulsions toniques et chroniques des deux
membres
, débutant par l'extrémité inférieure; c'est bien
par la foudre; il perdit connaissance; lorsqu'il revint à lui, son
membre
supérieur droit était paralysé, insen- sible et
et l'angoisse précordiale, le refroidissement et le tremblement des
membres
figurent bien parmi les manifesta- tions commun
s continuèrent toujours avec le même caractère; la faiblesse de ses
membres
droits s'accrut tellement que son travail , lui
ération au fond de lui). Motilité. - La force musculaire dans les
membres
est au-dessous de la normale, particulièrement
ètre donne 25° pour les deux mains. Cependant la faiblesse des deux
membres
de droite devient bien plus forte après un exerci
t la plume s'échappe de ses doigts. La même chose arrive pour les
membres
inférieurs droits. Si F... marche peu d'instants,
céphalée ? C'est possible; nous rappelons, en effet, l'attitude des
membres
supérieurs pendant l'attaque; le bras en forte
vaso-moteurs du côté de la face, des phénomènes divers du côté des
membres
, des troubles plus ou moins localisés de la sen
et des sentiments, l'autre est accompagnée de mouvements réels des
membres
. Le système reproduit dans son ensemble provoqu
et à écrire avec une nouvelle ardeur. Hémiplégie gauche. - Les deux
membres
de ce côté, incapables d'exécuter le moindre mo
décubitus dorsal, aucun tremblement perceptible. Les mouvements du
membre
supérieur droit s'accom- pagnent de quelques os
quelques oscillations peu marquées, mais il n'en est pas de même du
membre
supérieur gauche, qui, à l'occasion du moindre
é d'un tremblement rythmique si intense qu'il se propage aux autres
membre
. L'action de porter un verre plein d'eau à la b
lement et même généralisation, si on prescrit au malade de lever le
membre
infé- rieur gauche au dessus du plan du lit.
ès difficile : John fortement penché en avant, avance avec peine le
membre
inférieur droit et embrasse la cuisse gauche de
embrasse la cuisse gauche de ses deux mains pour porter en avant le
membre
gauche qui reste inerte et balaie le sol (démar
ration progressive et le 8 juin, on constate que le volume des deux
membres
supérieurs est sensiblement le même alors que,
re pour l'avant-bras du même côté. Le mouvement est revenu dans les
membres
gauches et le malade peut marcher avec l'aide d
par des voie différentes, d'au- tant plus qu'une grande partie des
membres
de la Société psychia- trique appartiennent aus
nt et de l'engourdissement des mains, une ataxie caractérisée des
membres
inférieurs, de la dysurie. Actuellement, on const
ans et demi. Il s'agit ici d'une athéthose bilatérale primitive des
membres
inférieurs; l'affection a débuté d'une façon in
le mémoire de Ruprecht sur la rigidité spasmodique congénitale des
membres
, ainsi que dans celui de J. Ross (paralysie spasm
e, notre attention sur certaines formes de rigidité spasmodique des
membres
congénitales ou précoces. Parmi ces faits, il y
gde, les deux secrétaires, M. F. W.-H. Myers et M. James Sully, les
membres
de la Society for psychical researche ont consacr
écouter le discours de bienvenue du président. Le nombre total des
membres
du congrès a été a peu près de 300. La plupart
l'amaurose unilatérale des hystériques. M. F. W. Myers, l'un des
membres
lesplus actifs de la Société des recherches psych
ROT, prof.à l'Ecole de Rochefon CHARCOT, prof, à la Faculté de Paris,
membre
de l'Institut; CHILTOFF (de Kharkoff) ; COLLINEAU
privat-docent à l'Université de Genève ; LIÉBEAULT (de Nancy); LUYS,
membre
de l'Académie de médecine, médecin de la Charité;
t la malade, elle était absolument insensible à la douleur et que les
membres
, devenus comme de la cire, garderaient sans fatig
t de morphiomanie. Sa santé inspirait des inquiétudes sérieuses aux
membres
le» plusclair-voyants de sa famille, quand vers l
quelquefois plus tôt, ces infantiles prennent de l'embonpoint, leurs
membres
des allures féminines, et c'est parmi eux que les
MBULISME PROVOQUÉ DÉDUCTIONS MÉDICO-LÉGALES Par M. le D' MESNET
MEMBRE
DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE, MÉDECIN DE L'HOTEL-DIE
me : les paupières closes, les globes oculaires convulsés en bas, les
membres
inertes en repos sur son lit, ou relevés et fixes
me : les paupières closes, les globes oculaires convulsés en bas, les
membres
dans l'état cataleptoïde conservant les positions
servant avec soin les états de paralysie ou de contracture des divers
membres
pendant la grande attaque et en n-tant les parole
ù commence le déroulement, V... a les mouvements libres dans tous les
membres
, sa jambe droite est néanmoins parésiée. 11 est à
ssant les tendons des jambes et des genoux, il met en contracture les
membres
inférieurs; aussitôt les zones sensibles et anest
vive : sa soif est extrême. Elle demande du vin : pas de fièvre; les
membres
supérieurs tremblent considérablement ; pas de tr
Diminution notable de la sensibilité aux piqûres. Demi-collapsus des
membres
supérieurs. Respiration forte a type supérieur.
CHEZ LES SUJETS EN ÉTAT D'HYPNOTISME(1) Par M. le Docteur J, LUYS
membre
de l'académie de medecine, medecin de la charité
re d'Alfort. — M. Edmond Nocard. professeur de clinique chirurgicale,
membre
de l'Académie de médecine, est nomme directeur de
IRAUD-TEULON. Giraud-Teulon, ancien élève de l'École polytechnique,
membre
de la So-ciété de chirurgie, membre de l'Académie
n élève de l'École polytechnique, membre de la So-ciété de chirurgie,
membre
de l'Académie de médecine, vient de mourir à Sa
S CHEZ LES SUJETS EN ÉTAT D'HYPNOTISME(1) Par M. le Docteur J. LUYS
membre
de l'Académie de médecine, médecin de la charité
ns passagères dans les muscles de la face, des veux, ou dans ceux des
membres
: quelquefois tout- un côté est frappé de convuls
atée, la vision troublée au point qu'il ne reconnaissait pas même les
membres
de sa famille. Quand il voulait s'asseoir sur une
i que la Société de la Croix bleue, fondée à Genève en 1877, dont les
membres
s'engagent à l'abstinence totale, affirme que des
ante. Je ne mets nullement en doute ces brillants résultats, dont les
membres
dévoués de cette Société peuvent à juste titre se
n hypnotique. Si on faisait l'histoire des guérïsons obtenues par les
membres
de la Croix bleue, on verrait que les buveurs arr
séance, 14 avril. — Premiers phénomènes de catalepsie suggestive des
membres
, encore peu marqués. Le malade perçoit toujours l
t de dédoublement de corps et de l'esprit. Impossibilité de remuer un
membre
volontairement. Hyperexcitabilité neuro-musculair
et, en les maintenant, on ne vit point se renouveler le mouvement des
membres
inférieurs. A chaque reprise de l'expérience, le
e X... est atteinte de secousses convulsives dans la face et dans les
membres
et ces secousses sont accompagnées de l'émission
ndant que j'exécutais avec la main droite de douces frictions sur les
membres
. Soumise à cette influence, elle était beaucoup p
perpendiculairement à l'axe du corps sur un même côté du buste ou des
membres
d'un sensitif hypnotisable. n'y produit pas les m
l positif (cuivre, argent, or, etc.), contracture le côté externe des
membres
et le côté gauche du buste, et esthésie ou décont
esthésie ou contracture le côté droit du buste et le côté interne des
membres
, et esthésie ou décontracture le côté opposé. E
ls ont appelé positifs le côté gauche du buste et le côté externe des
membres
contractures par le pôle positif soit de l'aimant
la pile, et négatifs le côté droit du buste et le côté interne des
membres
, contractures par le pôle négatif soit de la pile
tat dynamique que déter-minent les pôles de la pile, de l'aimant, des
membres
humains ; les uns agissent . comme le pôle positi
ont positifs sur la moitié gauche du buste et sur le côté externe des
membres
; ils sont négatifs sur la moitié droite du buste
ont négatifs sur la moitié droite du buste et sur le côté interne des
membres
. Il n'y a d'exception que pour les gauchers, cher
eval et la main de l'expérimentateur appliqués sur le buste ou sur un
membre
du sujet ne contractures en position isonome que
n et Dècle. qui en ont répété un grand nombre sur un sujet devant les
membres
du Congrès. Mais les membres et le buste de l'h
n grand nombre sur un sujet devant les membres du Congrès. Mais les
membres
et le buste de l'homme se comportent comme des ai
t-à-dire ascendant sur le côté gauche du buste et le côté externe des
membres
et descendant sur le côté droit du buste et sur l
s et descendant sur le côté droit du buste et sur le côté interne des
membres
(fig. 3 et 6). Quand les courants employés sont
nd les courants employés sont de sens inverse de celui du buste ou da
membre
sur lequel ils sont appliqués, ils anesthésient o
n direction descendante quand il est appliqué sur le côté externe des
membres
et sur le côté gauche du buste, et en direction a
é gauche du buste, et en direction ascendante sur le côté interne des
membres
et sur le côté droit du buste, parce qu'il est de
états de même nature en direction ascendante sur le côté externe des
membres
et sur le côté gauche du buste, en direction desc
ôté gauche du buste, en direction descendante sur le côté interne des
membres
et sur le côté droit du buste, parce qu'il est de
I APPLICATIONS SEMBLABLES DU COURANT DE LA PILE, DE L'AIMANT ET DES
MEMBRES
. PRODUISANT DES EFFETS SEMBLABLES EN POSITION I
applications semblables du courant de la pile, de l'aimait et des
membres
produisant des effets semblables EN POSITION HÉTÉ
ctions polaires proprement dites, fournies par la pile, l'aimant, les
membres
humains et les métaux; dans celle du soir, que de
s et des courants de même sens (courants de la pile, de l'aimant, des
membres
humains, courant engendré par l'application longi
e. Au dos, aux lombes, au rachis nous ne trouvons rien d'anormal. Les
membres
supérieurs et les membres inférieurs sont bien co
rachis nous ne trouvons rien d'anormal. Les membres supérieurs et les
membres
inférieurs sont bien conformés. La sensibilité
nfant est très forte pour son âge, elle paraît avoir quinze ans ; ses
membres
, son ventre présentent un grand embonpoint. Le
impossible, pendant cet état, de soulever les paupières,dc remuer les
membres
; ses joues deviennent pourpres, la respiration e
ion involontaire (parfois j'ai observé des secousses fines des quatre
membres
). Il existe de l'analgésie et de la flaccidité de
des quatre membres). Il existe de l'analgésie et de la flaccidité des
membres
. Mes suggestions ont, dès cette séance, porté sur
s borné à constater sur deux ou trois sujets que les contractures des
membres
dues à des actions de polarité persistaient malgr
ue. — Par arrêté ministériel, en date du 18 octobre 1887, sont nommes
membres
de la Commission chargée de reviser les programme
ouardel. doyen de la Faculté de médecine de Paris; Dujardin-Beaumetz,
membre
de l'Académie de médecine ; Lacazc-Duthiers, prof
, professeur à la Faculté des sciences de Paris ; le docteur Lagneau,
membre
de l'Académie de médecine ; le docteur Perrin, me
octeur Lagneau, membre de l'Académie de médecine ; le docteur Perrin,
membre
de l'Académie de médecine ; le docteur Proust, pr
, professeur d'hygiène à la Faculté de médecine ; le docteur Rochard.
membre
de l'Académie de médecine ; le docteur A. Martin,
ualifie piquante, est exagérée par la pression. Elle peut remuer le
membre
, mais dit le mouvoir moins facilement que l'autre
ue la douleur est un peu moins intense. Je constate alors que tcut le
membre
est anesthésié et analgésique ; les articulations
et à l'épaule droits. Je constate de l'anesthésie, avec analgésie des
membres
et l'abolition du sens musculaire. A 4 heures 3
l'eau de laurier-cerise des douleurs articulaires avec anesthésie du
membre
supérieur droit; la strychnine ne détermine aucun
e de lumière. M. Charcot a son siège lait d'avance, et les autres
membres
s'en désintéressent dans une certaine mesure, ou
lation avec eux dans leur sommeil naturel : même attitude passive des
membres
, dite catalepsie, mêmes mouvements automatiques,
neau de meuble, ne sont certainement pas produits par le corps ou les
membres
de l'enfant, qui ne bouge nullement. Pour que c
Le 11 mai de la même année. Boucher fils mettait sous les yeux des
membres
de la Société de médecine de Rouen un jeune homme
verte. Cet avis n'a pas prévalu, et il a été décidé que le nombre des
membres
resterait limité à trente. Dans la même séance.
la Faculté de médecine, en 1884. Excitait-on , par exemple, sur un
membre
, les téguments répondant a un muscle ou a un grou
séance du 31 janvier 1888. le muscle ou les muscles homologues du
membre
correspondant de l'autre côté. Toutefois, ces e
n verbale; souvenir complet au réveil. Je suggère a la malade que ses
membres
sont libres maintenant, qu'elle peut les mouvoir
u'elle a marché dans la maison; elle a pris ses repas avec les autres
membres
de la famille; elle n'a plus eu ses défaillances,
e frac-turc des deux os de l'avant-bras, de contracture musculaire du
membre
thoracique, d'hémianesthésie, d'abolition presque
— M. le docteur Chautemps, conseiller municipal de Paris, est nommé
membre
du Conseil de surveillance de l'administration gé
ter à l'une de ces réunions depuis que vous m'avez honoré du titre de
membre
associé étranger de la Société médico—psychologiq
n résolution musculaire, anesthésique totale. Pas de contractures des
membres
par les frictions ou la malaxation des muscles. J
s régulières de bonne heure usées, corps gros, trapu, épaules larges,
membres
épais contrastant avec la finesse des extrémités,
idissement se trahissent par de vives douleurs élisant pour siège les
membres
. Puis se manifeste un sentiment d'anxiété irraiso
dessus du poignet par une ligne circulaire perpendiculaire à l'axe du
membre
. Cette disposition ne se rencontre jamais dans le
rtait dans ce cas non plus seulement sur le poignet, mais sur tout le
membre
supérieur. C'est qu'en effet, dans le premier
Braid organise une conférence gratuite à laquelle il convie tous les
membres
de l'Association. La nouveauté du sujet attire
a fin de la séance, on remercie Braid, par un vote, d'avoir donne aux
membres
de l'Association britannique le spectacle d'expér
matière de thérapeutique suggestive. Il en a donné la primeur aux
membres
de la Société « Oefening in weten-schappen » de H
° de névralgie faciale; 2° de paraplégie avec anesthésie complète des
membres
inférieurs sans trouble des sphincters ; 3° de pa
es membres inférieurs sans trouble des sphincters ; 3° de parésie des
membres
supérieurs : 4° d'hémiplégie avec hémianesthésie
tan et Ségard) de paraplégie avec anesthésie occupant inégalement les
membres
inférieurs, la jambe droite étant prise à partir
ue songneusement on se garde de toutes personnes qui ont de faulte de
membre
naturel en eulx comme de pié de main d'œl ou d'au
faulte de membre naturel en eulx comme de pié de main d'œl ou d'autre
membre
quel quil soit de boiteux : et especialement de h
la vue. Plus fréquemment, le point de départ de l'attaque est dans le
membre
supérieur. Beaucoup éprouvent une sensation de pr
vidu commence par avoir de la rigidité dans les muscles du cou et des
membres
, sa respiration est entrecoupée, etc. ; nous avon
remarqué que, en examinant une grenouille ainsi endormie, elle a les
membres
légèrement contracturés, elle est, en un mot, en
qui persiste encore dans tout le côté droit et principalement dans le
membre
inférieur. De plus, fait curieux encore, sa p
avec grand soin, dans des procès-verbaux acceptés par M. Luys et les
membres
de la commission, les différents symptômes qui se
nts du a 5 janvier courant, le lendemain du jour où M. le Dr Thiriar,
membre
de cette assemblée, a signalé certains faits rela
e en arriére et que l'on constate que les phénomènes dont l'honorable
membre
a parlé hier sont décrits dans les ouvrages de ce
idération, puis adoptée. Elle est renvoyée à une commission de cinq
membres
à désigner par le bureau. Sont désignés pour en
. Sont désignés pour en faire partie : MM. Boddaert, Crocq, Masoin,
membres
titulaires; MM. Heger et Semai, correspondants. C
, Masoin, membres titulaires; MM. Heger et Semai, correspondants. Ces
membres
sont invités à déposer leur rapport dans la pro
(3 fr. 5o.) Les frontières de la folie, par le docteur A. Cullerre.
membre
correspondant de la Société médico-psychologique.
trois orateurs autorisés, devant un public nombreux de médecins et de
membres
du corps enseignant. Enfin, la section d'hygièn
ation de cette nouvelle méthode thérapeutique. Un certain nombre de
membres
du Congrès ont eu l'occasion d'assister à des séa
Del-phin. de l'excellente idée qu'il a eue de grouper, à l'usage des
membres
du Congrès, tous les renseignements historiques c
a une pression modérée. Diminution de la sensibilité aux piqûres du
membre
supérieur gauche et des deux sclérotiques. Insomn
us de quinze années de secousses convulsives dans la face et dans les
membres
, et ces secousses sont accompagnées de l'émission
ières, pendant que la main droite faisait de douces frictions sur les
membres
. Je lui faisais la suggestion d'être calme, de ne
ent par des frissons dans le dos accompagnés de tremblements dans les
membres
, suivis de chaleur, de sueurs et surtout d'une fo
MEDECINE PUBLIQUE President d'honneur. . . MM. les Drs Th. Roussel [
membre
de l'Academie de mode- cine dc Paris). Presid
t, l'Académie dc médecine de Belgique est saisie par plusieurs de ses
membres
d'une proposition tendant à l'interdiction des sé
(1) La Commission était composée de MM. Crocq, Boddaert et Masoin,
membres
titulaires; Héger et Semal, correspondants. a
e le malade ne fût pas en état de faire le moindre mouvement avec ses
membres
, que l'on se trouvait en présence d'une paralysie
tement, et que le remède exercerait ensuite la même influence sur les
membres
inférieurs. En effet, la confiance du malade en
élus : Secrétaire général. M. Riant ; vice-secrétaire, M. Richelot ;
membres
du conseil général, MM. Bucquov. Jaccoud. Motet,
n). MM. Passant, Richelot (de Paris) et Thomas (de Tours) sont élus
membres
de la commission des pensions, en remplacement de
élus membres de la commission des pensions, en remplacement de trois
membres
sortants. index bibliographique international
rendre complètement l'élude de l'hypnotisme scientifique. Plusieurs
membres
de l'Académie ont fait, avec un remarquable talen
enfant n'a plus été surpris. Examinant ensuite, le aa décembre, son
membre
, nous avons pu constater la disparition complète
e vivante, bien qu'endormie dans un sommeil léthargique. Devant les
membres
de la Société, l'oiseau a été réveillé et rendu à
ROT, prof.à l'Ecole de Rochefon CHARCOT, prof, à la Faculté de Paris,
membre
de l'Institut; CHILTOFF (de Kharkoff) ; COLLINEAU
privat-docent à l'Université de Genève ; LIÉBEAULT (de Nancy); LUYS,
membre
de l'Académie de médecine, médecin de la Charité;
t la malade, elle était absolument insensible à la douleur et que les
membres
, devenus comme de la cire, garderaient sans fatig
t de morphiomanie. Sa santé inspirait des inquiétudes sérieuses aux
membres
le» plusclair-voyants de sa famille, quand vers l
quelquefois plus tôt, ces infantiles prennent de l'embonpoint, leurs
membres
des allures féminines, et c'est parmi eux que les
MBULISME PROVOQUÉ DÉDUCTIONS MÉDICO-LÉGALES Par M. le D' MESNET
MEMBRE
DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE, MÉDECIN DE L'HOTEL-DIE
me : les paupières closes, les globes oculaires convulsés en bas, les
membres
inertes en repos sur son lit, ou relevés et fixes
me : les paupières closes, les globes oculaires convulsés en bas, les
membres
dans l'état cataleptoïde conservant les positions
servant avec soin les états de paralysie ou de contracture des divers
membres
pendant la grande attaque et en n-tant les parole
ù commence le déroulement, V... a les mouvements libres dans tous les
membres
, sa jambe droite est néanmoins parésiée. 11 est à
ssant les tendons des jambes et des genoux, il met en contracture les
membres
inférieurs; aussitôt les zones sensibles et anest
vive : sa soif est extrême. Elle demande du vin : pas de fièvre; les
membres
supérieurs tremblent considérablement ; pas de tr
Diminution notable de la sensibilité aux piqûres. Demi-collapsus des
membres
supérieurs. Respiration forte a type supérieur.
CHEZ LES SUJETS EN ÉTAT D'HYPNOTISME(1) Par M. le Docteur J, LUYS
membre
de l'académie de medecine, medecin de la charité
re d'Alfort. — M. Edmond Nocard. professeur de clinique chirurgicale,
membre
de l'Académie de médecine, est nomme directeur de
IRAUD-TEULON. Giraud-Teulon, ancien élève de l'École polytechnique,
membre
de la So-ciété de chirurgie, membre de l'Académie
n élève de l'École polytechnique, membre de la So-ciété de chirurgie,
membre
de l'Académie de médecine, vient de mourir à Sa
S CHEZ LES SUJETS EN ÉTAT D'HYPNOTISME(1) Par M. le Docteur J. LUYS
membre
de l'Académie de médecine, médecin de la charité
ns passagères dans les muscles de la face, des veux, ou dans ceux des
membres
: quelquefois tout- un côté est frappé de convuls
atée, la vision troublée au point qu'il ne reconnaissait pas même les
membres
de sa famille. Quand il voulait s'asseoir sur une
i que la Société de la Croix bleue, fondée à Genève en 1877, dont les
membres
s'engagent à l'abstinence totale, affirme que des
ante. Je ne mets nullement en doute ces brillants résultats, dont les
membres
dévoués de cette Société peuvent à juste titre se
n hypnotique. Si on faisait l'histoire des guérïsons obtenues par les
membres
de la Croix bleue, on verrait que les buveurs arr
séance, 14 avril. — Premiers phénomènes de catalepsie suggestive des
membres
, encore peu marqués. Le malade perçoit toujours l
t de dédoublement de corps et de l'esprit. Impossibilité de remuer un
membre
volontairement. Hyperexcitabilité neuro-musculair
et, en les maintenant, on ne vit point se renouveler le mouvement des
membres
inférieurs. A chaque reprise de l'expérience, le
e X... est atteinte de secousses convulsives dans la face et dans les
membres
et ces secousses sont accompagnées de l'émission
ndant que j'exécutais avec la main droite de douces frictions sur les
membres
. Soumise à cette influence, elle était beaucoup p
perpendiculairement à l'axe du corps sur un même côté du buste ou des
membres
d'un sensitif hypnotisable. n'y produit pas les m
l positif (cuivre, argent, or, etc.), contracture le côté externe des
membres
et le côté gauche du buste, et esthésie ou décont
esthésie ou contracture le côté droit du buste et le côté interne des
membres
, et esthésie ou décontracture le côté opposé. E
ls ont appelé positifs le côté gauche du buste et le côté externe des
membres
contractures par le pôle positif soit de l'aimant
la pile, et négatifs le côté droit du buste et le côté interne des
membres
, contractures par le pôle négatif soit de la pile
tat dynamique que déter-minent les pôles de la pile, de l'aimant, des
membres
humains ; les uns agissent . comme le pôle positi
ont positifs sur la moitié gauche du buste et sur le côté externe des
membres
; ils sont négatifs sur la moitié droite du buste
ont négatifs sur la moitié droite du buste et sur le côté interne des
membres
. Il n'y a d'exception que pour les gauchers, cher
eval et la main de l'expérimentateur appliqués sur le buste ou sur un
membre
du sujet ne contractures en position isonome que
n et Dècle. qui en ont répété un grand nombre sur un sujet devant les
membres
du Congrès. Mais les membres et le buste de l'h
n grand nombre sur un sujet devant les membres du Congrès. Mais les
membres
et le buste de l'homme se comportent comme des ai
t-à-dire ascendant sur le côté gauche du buste et le côté externe des
membres
et descendant sur le côté droit du buste et sur l
s et descendant sur le côté droit du buste et sur le côté interne des
membres
(fig. 3 et 6). Quand les courants employés sont
nd les courants employés sont de sens inverse de celui du buste ou da
membre
sur lequel ils sont appliqués, ils anesthésient o
n direction descendante quand il est appliqué sur le côté externe des
membres
et sur le côté gauche du buste, et en direction a
é gauche du buste, et en direction ascendante sur le côté interne des
membres
et sur le côté droit du buste, parce qu'il est de
états de même nature en direction ascendante sur le côté externe des
membres
et sur le côté gauche du buste, en direction desc
ôté gauche du buste, en direction descendante sur le côté interne des
membres
et sur le côté droit du buste, parce qu'il est de
I APPLICATIONS SEMBLABLES DU COURANT DE LA PILE, DE L'AIMANT ET DES
MEMBRES
. PRODUISANT DES EFFETS SEMBLABLES EN POSITION I
applications semblables du courant de la pile, de l'aimait et des
membres
produisant des effets semblables EN POSITION HÉTÉ
ctions polaires proprement dites, fournies par la pile, l'aimant, les
membres
humains et les métaux; dans celle du soir, que de
s et des courants de même sens (courants de la pile, de l'aimant, des
membres
humains, courant engendré par l'application longi
e. Au dos, aux lombes, au rachis nous ne trouvons rien d'anormal. Les
membres
supérieurs et les membres inférieurs sont bien co
rachis nous ne trouvons rien d'anormal. Les membres supérieurs et les
membres
inférieurs sont bien conformés. La sensibilité
nfant est très forte pour son âge, elle paraît avoir quinze ans ; ses
membres
, son ventre présentent un grand embonpoint. Le
impossible, pendant cet état, de soulever les paupières,dc remuer les
membres
; ses joues deviennent pourpres, la respiration e
ion involontaire (parfois j'ai observé des secousses fines des quatre
membres
). Il existe de l'analgésie et de la flaccidité de
des quatre membres). Il existe de l'analgésie et de la flaccidité des
membres
. Mes suggestions ont, dès cette séance, porté sur
s borné à constater sur deux ou trois sujets que les contractures des
membres
dues à des actions de polarité persistaient malgr
ue. — Par arrêté ministériel, en date du 18 octobre 1887, sont nommes
membres
de la Commission chargée de reviser les programme
ouardel. doyen de la Faculté de médecine de Paris; Dujardin-Beaumetz,
membre
de l'Académie de médecine ; Lacazc-Duthiers, prof
, professeur à la Faculté des sciences de Paris ; le docteur Lagneau,
membre
de l'Académie de médecine ; le docteur Perrin, me
octeur Lagneau, membre de l'Académie de médecine ; le docteur Perrin,
membre
de l'Académie de médecine ; le docteur Proust, pr
, professeur d'hygiène à la Faculté de médecine ; le docteur Rochard.
membre
de l'Académie de médecine ; le docteur A. Martin,
ualifie piquante, est exagérée par la pression. Elle peut remuer le
membre
, mais dit le mouvoir moins facilement que l'autre
ue la douleur est un peu moins intense. Je constate alors que tcut le
membre
est anesthésié et analgésique ; les articulations
et à l'épaule droits. Je constate de l'anesthésie, avec analgésie des
membres
et l'abolition du sens musculaire. A 4 heures 3
l'eau de laurier-cerise des douleurs articulaires avec anesthésie du
membre
supérieur droit; la strychnine ne détermine aucun
e de lumière. M. Charcot a son siège lait d'avance, et les autres
membres
s'en désintéressent dans une certaine mesure, ou
lation avec eux dans leur sommeil naturel : même attitude passive des
membres
, dite catalepsie, mêmes mouvements automatiques,
neau de meuble, ne sont certainement pas produits par le corps ou les
membres
de l'enfant, qui ne bouge nullement. Pour que c
Le 11 mai de la même année. Boucher fils mettait sous les yeux des
membres
de la Société de médecine de Rouen un jeune homme
verte. Cet avis n'a pas prévalu, et il a été décidé que le nombre des
membres
resterait limité à trente. Dans la même séance.
la Faculté de médecine, en 1884. Excitait-on , par exemple, sur un
membre
, les téguments répondant a un muscle ou a un grou
séance du 31 janvier 1888. le muscle ou les muscles homologues du
membre
correspondant de l'autre côté. Toutefois, ces e
n verbale; souvenir complet au réveil. Je suggère a la malade que ses
membres
sont libres maintenant, qu'elle peut les mouvoir
u'elle a marché dans la maison; elle a pris ses repas avec les autres
membres
de la famille; elle n'a plus eu ses défaillances,
e frac-turc des deux os de l'avant-bras, de contracture musculaire du
membre
thoracique, d'hémianesthésie, d'abolition presque
— M. le docteur Chautemps, conseiller municipal de Paris, est nommé
membre
du Conseil de surveillance de l'administration gé
ter à l'une de ces réunions depuis que vous m'avez honoré du titre de
membre
associé étranger de la Société médico—psychologiq
n résolution musculaire, anesthésique totale. Pas de contractures des
membres
par les frictions ou la malaxation des muscles. J
s régulières de bonne heure usées, corps gros, trapu, épaules larges,
membres
épais contrastant avec la finesse des extrémités,
idissement se trahissent par de vives douleurs élisant pour siège les
membres
. Puis se manifeste un sentiment d'anxiété irraiso
dessus du poignet par une ligne circulaire perpendiculaire à l'axe du
membre
. Cette disposition ne se rencontre jamais dans le
rtait dans ce cas non plus seulement sur le poignet, mais sur tout le
membre
supérieur. C'est qu'en effet, dans le premier
Braid organise une conférence gratuite à laquelle il convie tous les
membres
de l'Association. La nouveauté du sujet attire
a fin de la séance, on remercie Braid, par un vote, d'avoir donne aux
membres
de l'Association britannique le spectacle d'expér
matière de thérapeutique suggestive. Il en a donné la primeur aux
membres
de la Société « Oefening in weten-schappen » de H
° de névralgie faciale; 2° de paraplégie avec anesthésie complète des
membres
inférieurs sans trouble des sphincters ; 3° de pa
es membres inférieurs sans trouble des sphincters ; 3° de parésie des
membres
supérieurs : 4° d'hémiplégie avec hémianesthésie
tan et Ségard) de paraplégie avec anesthésie occupant inégalement les
membres
inférieurs, la jambe droite étant prise à partir
ue songneusement on se garde de toutes personnes qui ont de faulte de
membre
naturel en eulx comme de pié de main d'œl ou d'au
faulte de membre naturel en eulx comme de pié de main d'œl ou d'autre
membre
quel quil soit de boiteux : et especialement de h
la vue. Plus fréquemment, le point de départ de l'attaque est dans le
membre
supérieur. Beaucoup éprouvent une sensation de pr
vidu commence par avoir de la rigidité dans les muscles du cou et des
membres
, sa respiration est entrecoupée, etc. ; nous avon
remarqué que, en examinant une grenouille ainsi endormie, elle a les
membres
légèrement contracturés, elle est, en un mot, en
qui persiste encore dans tout le côté droit et principalement dans le
membre
inférieur. De plus, fait curieux encore, sa p
avec grand soin, dans des procès-verbaux acceptés par M. Luys et les
membres
de la commission, les différents symptômes qui se
nts du a 5 janvier courant, le lendemain du jour où M. le Dr Thiriar,
membre
de cette assemblée, a signalé certains faits rela
e en arriére et que l'on constate que les phénomènes dont l'honorable
membre
a parlé hier sont décrits dans les ouvrages de ce
idération, puis adoptée. Elle est renvoyée à une commission de cinq
membres
à désigner par le bureau. Sont désignés pour en
. Sont désignés pour en faire partie : MM. Boddaert, Crocq, Masoin,
membres
titulaires; MM. Heger et Semai, correspondants. C
, Masoin, membres titulaires; MM. Heger et Semai, correspondants. Ces
membres
sont invités à déposer leur rapport dans la pro
(3 fr. 5o.) Les frontières de la folie, par le docteur A. Cullerre.
membre
correspondant de la Société médico-psychologique.
trois orateurs autorisés, devant un public nombreux de médecins et de
membres
du corps enseignant. Enfin, la section d'hygièn
ation de cette nouvelle méthode thérapeutique. Un certain nombre de
membres
du Congrès ont eu l'occasion d'assister à des séa
Del-phin. de l'excellente idée qu'il a eue de grouper, à l'usage des
membres
du Congrès, tous les renseignements historiques c
a une pression modérée. Diminution de la sensibilité aux piqûres du
membre
supérieur gauche et des deux sclérotiques. Insomn
us de quinze années de secousses convulsives dans la face et dans les
membres
, et ces secousses sont accompagnées de l'émission
ières, pendant que la main droite faisait de douces frictions sur les
membres
. Je lui faisais la suggestion d'être calme, de ne
ent par des frissons dans le dos accompagnés de tremblements dans les
membres
, suivis de chaleur, de sueurs et surtout d'une fo
MEDECINE PUBLIQUE President d'honneur. . . MM. les Drs Th. Roussel [
membre
de l'Academie de mode- cine dc Paris). Presid
t, l'Académie dc médecine de Belgique est saisie par plusieurs de ses
membres
d'une proposition tendant à l'interdiction des sé
(1) La Commission était composée de MM. Crocq, Boddaert et Masoin,
membres
titulaires; Héger et Semal, correspondants. a
e le malade ne fût pas en état de faire le moindre mouvement avec ses
membres
, que l'on se trouvait en présence d'une paralysie
tement, et que le remède exercerait ensuite la même influence sur les
membres
inférieurs. En effet, la confiance du malade en
élus : Secrétaire général. M. Riant ; vice-secrétaire, M. Richelot ;
membres
du conseil général, MM. Bucquov. Jaccoud. Motet,
n). MM. Passant, Richelot (de Paris) et Thomas (de Tours) sont élus
membres
de la commission des pensions, en remplacement de
élus membres de la commission des pensions, en remplacement de trois
membres
sortants. index bibliographique international
rendre complètement l'élude de l'hypnotisme scientifique. Plusieurs
membres
de l'Académie ont fait, avec un remarquable talen
enfant n'a plus été surpris. Examinant ensuite, le aa décembre, son
membre
, nous avons pu constater la disparition complète
e vivante, bien qu'endormie dans un sommeil léthargique. Devant les
membres
de la Société, l'oiseau a été réveillé et rendu à
Villejuif; CRUISE (de Dublin); CHARCOT, prof. à la Faculté de Paris,
membre
de l'Institut; CHILTOFF, prof. à l'Université d
pour finir avec les circonstances des faits, que Palladino obtint des
membres
des expériences 14,000 livres (italiens) et les f
digé par M. Matuszewski sur la base d'un questionnaire rempli par les
membres
, contient l'énumération des phénomènes observés d
vés dans les 8 séances collectives avec les notes et observations des
membres
, et les opinions sur l'ensemble des expériences,
-rendu est terminé par trois conclusions, auxquelles se rallièrent 15
membres
, savoir : 1. « Que l'hypothèse expliquant tous
écartés au milieu et permettent de voir l'intérieur de la tente. Les
membres
de la séance l'examinent en détail et voient, que
missements après suggestion hypnotique. Par M. le Dr Dumontpallier,
membre
do l'Académie do Médecine. Mlle C. V..., âgée d
u des attaques de nerfs, elle est sujette à des contractures dans les
membres
inférieurs, qui s'accusent surtout par un double
n l'apportait chez moi : Elle était affectée de contractures des deux
membres
inférieurs avec douleur vive dans les genoux. A
nti une douleur très vive dans les deux genoux et dans la journée ses
membres
inférieurs s'étaient contractures. Cette contra
otique réussit à diminuer la douleur des genoux et la contracture des
membres
. Le 24 avril les règles ont apparu et les contr
et dans l'assistance très nombreuse nous avons remarqué : MM. Magnan,
membre
de l'Académie de Médecine, Auguste Voisin, présid
ion annuelle du 17 juillet 1893, indiquait la situation suivante : 59
membres
avaient payé (cotisations et droits d'admission)
e année (1892-93), indique une situation plus prospère. Le nombre des
membres
ayant payé leur cotisation s'est élevé à 81. Le t
fr. L'excédant s'élève à 72 fr.) Un certain nombre de cotisations de
membres
résidant à l'étranger restent encore à recouvrer.
s cotisations de l'année 1893-1894 s'effectue d'une façon normale, 82
membres
ont déjà acquitté leurs cotisations. L'état de
état de la société est actuellement des plus prospères. Le nombre des
membres
titulaires s'élève à plus de cent. Elle compte en
membres titulaires s'élève à plus de cent. Elle compte en outre onze
membres
honoraires. Dans le courant de l'année la Socié
aires. Dans le courant de l'année la Société n'a perdu aucun de ses
membres
titulaires. Elle a perdu deux de ses membres hono
é n'a perdu aucun de ses membres titulaires. Elle a perdu deux de ses
membres
honoraires, MM. les professeurs Charcot et Brown-
la Société ont été exprimés par la parole autorisée du président. Un
membre
titulaire de la Société, M. Raymond, dont les enc
ation très intéressante de contracture hystérique de l'avant-bras. Le
membre
était resté en contraction pen- dant plusieurs
un certain temps, à rétablir l'équilibre dans l'activité nerveuse des
membres
. Mais cela ne suffisait pas, et ce résultat imp
tenu pouvait paraître nul au premier abord, car l'aspect extérieur du
membre
n'avait pas changé. La cause seule avait changé,
ire disparaitre la sensibilité et seulement consécutivement rendre au
membre
sa mobilité. Nous pourrions encore signaler bie
Séance du 2i juillet 1894. De la reviviscence de la sensibilité du
membre
amputé chez un sujet en état hypnotique. M. J
lés : il s'agit de la reviviscence des impressions sensitives dans un
membre
amputé chez un sujet en état d'hypnotisation. Cet
où il était en état hypnotique, la région correspondant au moignon du
membre
amputé donnait des signes de douleur. J'ai noté e
t en vertu de cette puissance d'extériorisation que la sensibilité du
membre
amputé, qui sommeille dans les régions sensitives
le 17 juillet, d'un banquet auquel ont pris part un grand nombre des
membres
de la Société. M. Dumontpallier, membre de l'Acad
ris part un grand nombre des membres de la Société. M. Dumontpallier,
membre
de l'Académie de médecine, a ouvert la série des
s fier comme Artaban, gaillard comme un sabre et valide de ses quatre
membres
. M. Paul Arène ajoute : « En dépit du diagnosti
ient d'adresser à un certain nombre de savants, et en particulier aux
membres
de la Société d'hypnologie, un appel qui, nous l'
l nous parait indiqué d'appeler plus particulièrement l'attention des
membres
du Congrès : 1o L'hystérie est-elle une maladie
(1). J'exécutai de cette façon la lévitation en présence de plusieurs
membres
des séances, qui reconnurent une grande ressembla
, de lui enlever la chaîne, etc. J'ai démontré ces expériences à deux
membres
des séances, MM. Matuszewski et Prus-Glowacki. »
porelle générale, une faible puissance musculaire, du tremblement des
membres
, une disposition aux accès spasmodiques, de l'ané
oduits par la limitation de la conscience à l'idée de la position des
membres
. Par conséquent, le caractère moteur de l'hypno
s devraient, d'après la commission, pouvoir employer l'hypnose. Les
membres
de celte commission étaient : Broadbent, Clocston
Doiu, place de l'Odéoo, 8, 1891. paralysies d'un seul ou plusieurs
membres
, des impossibilités d'avaler certaines choses, de
ommeil se les relie, et par lui, ils sont, morbides ou non, comme des
membres
plus ou moins éloignés d'une même famille. IV
deau. ( « Compte-rendu », Opinions.) D'autre part, presque tous les
membres
des séances ont constaté l'existence des mouvemen
à l'aide des mouvements involontaires et instinctifs exécutés par ses
membres
charnels dans la direction où doit se rendre son
utés par ses membres charnels dans la direction où doit se rendre son
membre
éthérique détaché du corps. Le soupçon de la trom
u au public européen. qui ne permette au médium de se servir de ses
membres
pour exécuter les phénomènes ; alors la division
s pour exécuter les phénomènes ; alors la division se produira et les
membres
extériorisés et souvent même matérialisés à l'ext
u les Dahoméens du Champs-de-Mars, dans une représentation donnée aux
membres
de la Société d'anthropologie, consacrer et adore
omme appartenait à une famille très nerveuse et dont presque tous les
membres
devenaient sorciers. C'est un poids énorme qui l'
èbres de M. Charcot. Ces expériences ont paru vivement intéresser les
membres
de la commission. Nominations. — M. G. Dumas, d
onstate une tension des muscles du médium ou même un mouvement de son
membre
dans la direction de l'objet de l'expérience, san
l'expérience, sans pouvoir pourtant constater aucun contact entre le
membre
et l'objet, et je passerai à d'autres rapports su
e l'animation, ses mouvements deviennent élastiques, son corps et ses
membres
acquièrent de la souplesse, ce qui n'est pas sans
nt celle de la paralysie agitante (rigidité légère de la nuque et des
membres
, exagération des réflexes rotuliens, mouvements d
s fondateurs de la Société de Biologie et son vice-président en 1860.
Membre
de la Société Anatomique depuis 1852, il a présid
'anatomie pathologique et presque sans manquer une séance. Il fut élu
membre
de l'Académie de Médecine en 1872 et membre de l'
er une séance. Il fut élu membre de l'Académie de Médecine en 1872 et
membre
de l'Institut en 1883. La liste des titres honori
ations cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. M. le Dr !.. \ -.
membre
de l'Académie de médecine, a fait don à l'Institu
ce fait que lejury, informé d'une indisposition passagère d'un de ses
membres
, s'était ajourné au lendemain, au lieu de se comp
ndemain, au lieu de se compléter par un tirage au sort fait parmi les
membres
suppléants. Ces candidats croyaient pouvoir sou
ts. Ces candidats croyaient pouvoir soutenir cette thèse que, si le
membre
absent eût été sur-le-champ remplacé, leurs chanc
grégation fût obtenu aussi facilement. Nous pensions, à tort, que les
membres
du congrès, ayant tous de profondes attaches avec
3). Pour fixer la question, et avec l'intention d'être agréable aux
membres
de la Société d'hypnologie ainsi qu'aux nombreux
le bain; quand elle rouvrit les yeux, toute douleur avait cessé, les
membres
étaient remis en place ; elle se leva droite et a
ant déplore encore la perte prématurée, demandait à voir repousser un
membre
(') avant de reconnaître une intervention surnatu
s des phénomènes surnaturels au même litre que la reconstitution d'un
membre
amputé? Une restauration instantanée de pareilles
s serons heureux si, par la lecture de ces opinions, quelques-uns des
membres
de la Société d'hypnologie étaient amenés à scrut
orifiques, auxquelles nous avons applaudies, ont été décernées à deux
membres
de la Société d'hypnologie et de psychologie. M.
de psychologie. Nous sommes également heureux d'annoncer que trois
membres
de la Société d'hypnologie et de psychologie ont
er. Ils soignent les fractures et les dislocations en immobilisant le
membre
dans l'argile. Comme nos ancêtres qui se trépanai
; Flournoy, directeur du laboratoire de psychologie à Genève; Wecks,
membre
du collège de Harvard, et de quelques autres je
M. le Dr Motet, secrétaire général de la Société de médecine légale,
membre
titulaire dans la section de médecine légale. Nou
5. L'HYPNOSE ET LES SUGGESTIONS CRIMINELLES(1) Par J. Delboeuf,
Membre
de l'Académie royale de Belgique, professeur à lX
a beaucoup maigri. Je constate que les masses musculaires des quatre
membres
sont excessivement maigres. Les battements du c
savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Dumont-pallier,
membre
de l'Académie de médecine. Les prochaines séanc
ique. L'HYPNOSE ET LES SUGGESTIONS CRIMINELLES Par J. Delboeuf,
Membre
de l'Académie royale de Belgique, professeur a l'
e. Ces expériences donnent lieu û un échange d'observations entre les
membres
de la Société, et M. le président remercie l'expé
savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Dumont-pallier,
membre
de l'Académie de médecine. Les prochaines séanc
conscription scolaire de Moscou, le comte P.-A. Kapnist, et parmi les
membres
duquel se trouvent presque tous les professeurs d
es sociétés correspondantes. MM. les Drs Van Eeden et Van Renterghem,
membres
de la Société, adressent un de leurs ouvrages aya
iation de pointe de la langue, à droite monoplégie incomplète dans le
membre
supérieur droit. Le dynamomètre marque à droite 0
la jambe droite 31 cent. Contractilité et sensibilité électrique :
membre
supérieur droit : sensibilité nulle ; contractili
membre supérieur droit : sensibilité nulle ; contractilité normale.
Membre
supérieur gauche: sensibilité et contractilité no
Membre supérieur gauche: sensibilité et contractilité normales. Au
membre
inférieur droit, sensibilité nulle; contractilité
mbre inférieur droit, sensibilité nulle; contractilité très faible.
Membre
inférieur gauche, sensibilité et contractilité fa
xpérience avec l'épingle montre qu'il existe de l'anesthésie dans les
membres
droits. Le chatouillement n'est pas senti à la
terre, tremblements, mouvements convulsifs saccadés surtout dans les
membres
droits, dans le début, s'étendant aux autres memb
surtout dans les membres droits, dans le début, s'étendant aux autres
membres
. Par intervalles, convulsions toniques. Pas de
correspondance écrite comprend une lettre de M. Auguste Voisin, qui.
membre
du jury de l'internat des asiles de la Seine, s'e
ant constante, sourde, aggravée par la marche ou lorsqu'on touche les
membres
affectés. Voici son état au moment de son admis
ns hystériques, — cette jeune fille a subséquemment une paralysie des
membres
inférieurs qui dura six mois. La paralysie ?'est
savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Dumont-pallier,
membre
de l'Académie de médecine. Les prochaines séanc
sport vélocipédique sur la circulation et sur le système nerveux des
membres
inférieurs, et sur l'utilité ou le danger qui peu
sidérations suivantes : 1' Le développement exagéré des muscles des
membres
inférieurs qui peut se produire à la suite de l'e
des modifications marquées de la circulation, non seulement dans les
membres
inférieurs,, mais aussi dans les viscères (cceur,
re du corps, sur la sécrétion sudorale, etc. Mais ce sont surtout les
membres
inférieurs qui souffrent plus que toutes les autr
ique exclusive. Le travail prolongé et systématique des muscles des
membres
inférieurs, inciiés à cette activité par les cent
trifuge), mémoire qui n'est pas constituée par un souvenir visuel des
membres
se mouvant, mais par la mémoire même des modifica
cine. La Société a reçu un travail de M. le docteur Schrenck-Notzing,
membre
de la Société, intitulé Le Procès Czinski. M. le
lepsie débute par des convulsions toniques qui portent sur les quatre
membres
et le cou, le tronc, le cou et la tête. Les mains
savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Dumont-pallier,
membre
de l'Académie de médecine. La prochaine séance
x à demi fermés, avec quelques tremblements rares des paupières-, les
membres
en résolution et insensibles, elle se réveillait
sensation de la boule, puis survenaiseni quelques secousses dans les
membres
et quelquefois même (je les-ai vues une fois) que
pensées, M. Wassilieff. A cette époque, quoique n'étant pas encore
membre
de la société d'hypnologie, j'eus cependant l'hon
r une exostose et à laquelle il attribua l'impotence fonctionnelle du
membre
. Son avis fut qu'une opération était nécessaire.
éfectueuse; les amygdales sont légèrement hypertrophiées. Du côté des
membres
, renflement osseux très-prononcé et notamment à l
aucune douleur. La petite ne se plaint que lorsque je veux mettre le
membre
malade dans l'extension forcée, et encore la doul
lle été provoquée par la morsure ou par l'immobilisation prolongée du
membre
? La morsure entre peut-être en ligne' de compte;
sionner la petite L... et attirer son attention, puis j'ai imprimé au
membre
, insensiblement, de petits mouvements de flexion
savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Dumont-pallier,
membre
de l'Académie de médecine. La séance annuelle e
ai 1895, au restaurant Marguery. sous la présidence de M. Cornil.— 23
membres
assistaient au diner. MM. Augagneur, Butte. Var
ue infantiles, et des Archives générales d'Hydrologie, ont été nommés
membres
de l'Association. M. le Dr A. Robin, comme direct
e du 8 Juin consacre un article biographique à M. le Dr Dumontpalier,
membre
de l'académie de médecine. Elle rappelle qu'il di
des maladies mentales à la de médecine de Paris. V. MAGNAN
Membre
de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
rimée, soit temporairement, soit définitivement, et où néanmoins le
membre
tout entier continue de remplir les fonctions d
és au but à atteindre les leviers osseux constituant l'armature des
membres
ou du tronc. Ces déplacements sont déterminés p
vrait être reprise à part. 1° Station et locomotion (mouvements des
membres
inférieurs et du tronc) : chez les tabétiques,
érébelleuses ( ? ), la sclérose en plaques ( ? ). 2° Mouvements des
membres
supérieurs (préhen- sion, écriture, etc.) : dan
tion étaient divisés en deux groupes : Exercices de rééducation des
membres
supérieurs, ima- ginés pour rétablir les divers
ablir les divers mouvements des mains. Exercices de rééducation des
membres
inférieurs, ceux-ci représentant toute la réédu
leur action tonique à des déplace- ments intempestifs du segment de
membre
considéré, on comprend que le rétablissement de
puisse être con- centrée sur la seule région de son corps ou de ses
membres
qu'il est en train de rééduquer : plus tard vie
continue à entretenir leurs mouvements en même temps que ceux des
membres
inférieurs. Ons. VIII. M. S..., quarante-cinq a
e ans, comptable. Incoordination moyenne intéressant le tronc et le
membre
inférieur gauche. Le LA RÉÉDUCATION MOTRICE. 85
mois; l'hypertrophie intéresse la face et la langue, à droite, les
membres
et le tronc à gauche; dans le deuxième cas, la
me cas, la face est indemne et l'hypertro- phie porte surtout surie
membre
supérieur. Dans les deux cas, il y a diminution
kyloses généralisées de la colonne vertébrale et de la totalité des
membres
; par E. APERT. (Nouv. Iconogr. de la S(ilpé- tr
moins très serrées de la plupart des articulations du tronc et des
membres
. L'auteur élimine le diagnostic de rhumatisme d
rapide, mais chez le second les troubles ont persisté, laissant le
membre
dans un état d'impotence fonctionnelle. A noter
t chaque crise présente des phénomènes différents (parésie d'un des
membres
supérieurs, le gauche le plus souvent, et alalie)
e obstétricale. lILHuET a suivi 20 cas de paralysie obstétricale du
membre
supé- rieur et en présente 4 cas à la société.
ie souvent considérable et prédomi- nante au niveau des muscles des
membres
inférieurs. Cette amyo- trophie a évolué assez
te antérieure primitive commande rigoureusement l'amyo- trophie des
membres
inférieurs. Ainsi, ces trois observations plaid
tombe à la renverse et l'on est obligé de le relever. Aussitôt, ses
membres
inférieurs présentent des secousses qui, bientôt,
lement l'oprobe et le déshon- neur de la condamnation d'un de leurs
membres
, taches auxquelles ces familles auraient échapp
ur Général des services administratifs au Ministère de l'Intérieur;
Membres
titulaires : M. le De Mairet, professeur de cli
de, directeur-médecin de l'asile public d'aliénés d'Alençon (Orne);
membre
suppléant : M. le Dr Giraud, directeur-médecin
Oscar Woods. Note sur quelques cas de folie (t deux chez plusieurs
membres
d'une même famille (th., .0 ? )t. of ment. Scienc
ur, indolore, occupant un ou plusieurs segments de l'un ou des deux
membres
inférieurs, et per- sistant la vie entière, san
Trois observations de trophoedème intéressant, dans deux cas. un
membre
inférieur, dans le troisième, la face, avec carac
<p<nc7'e, n° 6, 1901). OEdème chronique considérable des deux
membres
inférieurs tout entiers chez une femme de dix-h
décrits plus haut par Meige. Vit. Sur une forme d'hypertrophie des
membres
; par E. Rapin. (oMt)./M) ! oa')'.de/a5a< ! '
ations de trophoedème intéressant : l'une (enfant de vingt mois) le
membre
inférieur gauche, la deuxième (femme de cinquan
mbre inférieur gauche, la deuxième (femme de cinquante-deux ans) le
membre
inférieur gauche avec début à l'âge de quatorze
l'âge de quatorze ans, la troisième (femme de trente ans), les deux
membres
supérieurs et la moitié droite de la face avec dé
des jambes sans la réaction myasthénique. Tendance à la fatigue des
membres
. En peu de semaines les extrémités, le tronc et
aire totale du plexus brachial gauche et para- lysie temporaire des
membres
inférieurs du même côté ; par 111. DUPLANT. (So
immédiatement après un grave accident, eut une paralysie flasque du
membre
supérieur et du membre inférieur gauches. On co
grave accident, eut une paralysie flasque du membre supérieur et du
membre
inférieur gauches. On constate, en même temps, un
n retour de la motilité dans le mem- bre inférieur, La paralysie du
membre
supérieur est restée flasque avec légère amyotr
niveau de l'épaule. Il y a eu, en outre, une anesthésie complète du
membre
supérieur; il n'y a pas de paralysie faciale ;
ne des VII, IX, X, XI et XII0 paires crâniennes ; de la parésie des
membres
supérieurs et inférieurs, de la parésie du diap
ment. G. C. XVIII. Paralysie agitante avec tremblement limité aux
membres
supérieurs; par M.-CoLLET. (Société des Science
une observation 'de paralysie agitante avec tremblement limité aux
membres
supérieurs, mais étendu à la face, à la langue,
été malade. Il se plaint seulement de tremblement, de rai- deur des
membres
et de la colonne vertébrale. Les mouvements déb
s trans- mis mais bien de mouvements propres à ces régions. - Les
membres
supérieurs sont intacts., . Pas de tremblement
rvés par les nerfs crâniens, mais aussi les muscles du tronc et des
membres
tributaires des nerfs rachidieus. L'examen hi
térisée par une parésie du facial inférieur, de l'hypoglosse et des
membres
, avec hémitremblement. C'est là le syndrome de
ans, atteinte de mouvements singuliers de la tête, du tronc et des
membres
. Ces mouvements, à première vue, semblent indescr
hochements de tête et toutes sortes de contorsions du tronc et des
membres
. Ces mouvements sont tantôt convulsifs, de form
à trouver, par suite d'un état de raideur presque cata- tonique des
membres
; enfin, cette femme est atteinte d'un tic aréo-
e, mais sans réaction de dégénérescence ni troubles des réflexes du
membre
inférieur, s'étendant du pied à la cuisse qu'il
q VARIA. 207 heures, sous la présidence de M. le professeur Guno,
membre
de l'Académie des sciences, professeur à la Sor
uberculeux, le cardiaque, le dyspeptique, par M. le Dr 1'lESSmcr.a,
membre
correspondant de l'Académie de médecine. Vendredi
t à la forme de la psychose. Les opérations pénibles, la perte d'un
membre
, du sein chez la femme, l'anus contre nature ou
appartenant à une famille 'dont l'un de nous soigne les différents
membres
depuis dix-huit ans et il en connaît les moindr
il sent qu'on lui tire le ventre, il ressent des douleurs dans les
membres
, sa face est cyanosée, sauf autour de la bouche
ions musculaires convulsives. Le déplacement de l'un ou l'autre des
membres
inférieurs, une légère caresse de la main sur l
is, provoquent instantanément la contraction convulsive dans un des
membres
ou dans les deux de muscles tels que le triceps
réflexe extenseur de la jambe s'exprime par l'extension en bloc du
membre
entier, due à une énergique contraction des mus-
isse subissent une extension qui détermine leur con- traction : les
membres
inférieurs se rapprochent. 11 s'en faut de beau
S. la peau, par exemple à l'éponge d'eau froide, au pincement des
membres
inférieurs. M. Bechterew les compare enfin aux ré
es de paralysie alterne : une hémianesthésie droite totale pour les
membres
, gauche et incomplète pour la face, coïncidant
nce ou maladie de Dejerine, a pour caractères : ataxie des qua- tre
membres
avec atrophie musculaire et contractions fibrilla
jambes, il présente de l'amnésie des vomissements, une parésie des
membres
inférieurs. Actuellement on observe de l'obnubi
alalgie etune lombalgie intenses, une parésie avec anesthé- sie des
membres
inférieurs; les réflexes tendineux sont exagérés,
llulaires en connexion intime avec les différents segments, soit du
membre
supérieur, soit du membre inférieur. XXXVI. S
ime avec les différents segments, soit du membre supérieur, soit du
membre
inférieur. XXXVI. Sur un cas de colique hépatiq
ogie, 1902, n° 15). Dans les quatre cas de névrite périphérique des
membres
infé- rieurs relaies dans ce travail, les réfle
d'un cas de sclérose en plaques où le tremblement était limité aux
membres
supérieurs et inférieurs droits. Les autres sym
uit : atrophie musculaire progressive et très lente débutant par le
membre
supérieur et par les muscles des éminences thén
ule, intéressant enfin et toujours très lentement les mus- cles des
membres
inférieurs en commençant par le pied. Au point
hémiplégie spasmo- dique avec un léger tremblement intentionnel du
membre
supé- rieur. L'étude histologique montra des
n 1887, par de la parésie des mouve- ments des yeux à gauche et des
membres
gauches. Après quelques semaines, retour à l'ét
scillations des mains et des- prises survenant dans l'extension des
membres
et ayant tous les caractères d'un tremblement h
d de son importance comme signe de lésion organique. Atrophie des
membres
de nature mal déterminée. M. Marie montre un je
ui eut à quatre ans des convulsions suivies de paralysie des quatre
membre
, A huit ans il put marcher de nouveau. Il prése
marcher de nouveau. Il présente aujourd'hui une atrophie énorme des
membres
; mais cette atrophie n'atteint pas le squelette.
par une fraction dont le nominateur représente le nombre total des
membres
de la famille et le numérateur le nom- bre de r
èmes familiaux dont quelques- uns comptent jusqu'à 30, 38, 40 et 43
membres
et qui montrent le rôle joué à la lois par l'hé
e de communications à la Société médico-psychologique dont il était
membre
titulaire, à la Société de chirurgie; il a publ
ue délire de satisfaction et de richesses, symptômes de névrite des
membres
inférieurs ». On constate à l'entrée de l'hyper
us de mémoire. Je ne me rappelle plus d'un instant à l'autre ». Les
membres
infé- rieurs continuent à être faibles et la dé
taques épileptiformes en série- Abrutissement profond; gâtisme; les
membres
refusent tout service; elle ne quitte plus le l
principes sur lesquels repose la responsabilité juridique de ses
membres
seront les mêmes que ceux qui sont applicables à
theaume, Dupré, Garnier, Joffroy et Moreau (de Tours) sont nommés
membres
de la Commission chargée de décerner le prix Mo
ndidatures. MM. Arnaud, Dupré, Legros, Pottier et Sollier sont élus
membres
de la Commission chargée d'examiner les titres
qu'elle reprit le chemin du retour. Elections. M. Vigouroux est élu
membre
titulaire. Marcel Briand. SOCIÉTÉ DE NEUROLOG
t plaque de sclérose rhumatismale. Malformations congénitales des
membres
inférieurs. M. Gombault présente un enfant sour
es inférieurs. M. Gombault présente un enfant sourd et muet dont le
membre
inférieur droit extrêmement diminué dans toutes
oné de dimensions trop exi- guës, le pied n'a que trois doigts ; le
membre
inférieur gauche plus mal conformé montre à la
0 gr. 003 et 1 gr. (système Toulouse- Vaschide), est abolie sur les
membres
gauches et est très faible sur les membres droi
ide), est abolie sur les membres gauches et est très faible sur les
membres
droits Sur ces derniers, les erreurs de localisat
musculaire profonde, dynamique, est seule con- servée, et pour les
membres
supérieurs uniquement. Le système des sensation
urs uniquement. Le système des sensations musculaires profondes des
membres
supérieurs forme la base de l'orientation dans
ns définis exclusivement par la notion des positions successives du
membre
. Il apparaît de ces observations que l'espace v
rdonne la cinesthésie musculaire, et le sentiment de la position du
membre
, l'ensemble des sensations musculaires cessera
ant tout dans la moitié gauche de la face et bientôt après dans les
membres
supérieur et inférieur gauches. Les convulsions
utrition des muscles, on remarque une certaine différence entre les
membres
supérieurs droit et gauche, en faveur du membre
fférence entre les membres supérieurs droit et gauche, en faveur du
membre
droit. Les mouvements actifs sont libres et éga
e ; le sens musculaire est, ptut-êlre, légèrement troublé dans le
membre
supérieur gauche. Les fonctions des sens supérieu
che de la bouche ; bientôt s'associent les convulsions cloniques du
membre
supérieur et ensuite du membre inférieur, lorsq
socient les convulsions cloniques du membre supérieur et ensuite du
membre
inférieur, lorsque déjà les muscles faciaux son
sont en repos. Vers la fin de l'accès les convulsions cloniques des
membres
se transforment en spasme tonique s'achevant pa
rt encore les muscles cervicaux, spinaux, et parlois les muscles du
membre
inférieur droit; certains accès se terminaient
cuisse, delajambe, de la main et de l'avant-bras du côté gauche; le
membre
inférieur gauche était en état de pied bot. Les
rieure et de la face; parfois les accès débutaient de la face ou du
membre
infé- rieur. Rarement, et surtout dans les accè
eur. Rarement, et surtout dans les accès très forts, participait le
membre
inférieur droit et encore plus rarement, le membr
, participait le membre inférieur droit et encore plus rarement, le
membre
supé- rieur droit. La conscience, comme toujour
ares, se limitaient seulement par des tiraillements delà face et du
membre
supérieur. L'état général s'améliora aussi. Act
: la malade se met surle bord externe de la plante, ne plie pas le
membre
dans le genou et dans la plante et emporte le p
vision, nez, lèvres, mâchoires, cou, tronc, épaules, bras, bassin,
membres
inférieurs, etc. y participent. Signalons tout
e de casque. Dépression nerveuse pro- fonde. Fatigue, pesanteur des
membres
, dégoût, de l'action et de l'effort. Troubles d
ne espèce de paralysie qui, lui ôtant insensiblement l'usage de ses
membres
les uns après les autres, la réduisit à la fin
La formule hiérologique de la famille Giroust se réduit à ces trois
membres
: Marguerite Angélique Julien Giroust de Bessi
capsules et les ligaments péii-artieu- laires. Le squelette d'un
membre
dont la peau a conservé sa sensi- bilité normal
rçoit pas les trépidations d'un diapason appliqué sur lui ; mais un
membre
à anesthésie tégumentaire totale reste sensible
eux de paralysie infantile présentant des atrophies musculaires des
membres
supérieurs intéressant le groupe radiculaire du
ssi que la suppression des pectoraux n'entraîne aucune impotence du
membre
supérieur. R. C. XLII. Le sens des attitudes ;
hésie qui ne persiste aujourd'hui que sous la forme d'une plaque au
membre
inférieur droit. Il n'y a jamais eu aucune doul
brachial d'origine traumatique remontant à quatre ans. L'état du
membre
, excessivement atrophié, dont l'impotence et l'
umer qu'il y avait une destruction complète des fibres nerveuses du
membre
atteint, aussi les auteurs ont-ils été surpris
mité inférieure droite. Tous les mouvements sont conservés dans les
membres
anesthésiés. Il y a seulement diminution consi-
y a seulement diminution consi- dérable de la force musculaire des
membres
du côté gauche et de la jambe du côté droit. Da
et cinétique du levier de rapport. En un mot la désorientation d'un
membre
de l'ataxique tabétique contraste fortement avec
mouvement en puissance d'exécution. L'impulsion motive part sur un
membre
privé du tonus musculaire, privé delà faculté d
'une fixation statique eteiné- tique, cette impulsion arrive sur un
membre
dont la musculature ne se contracte plus dans u
pas modifiés, ceux du tendon d'Aciiille manquent; les réflexes des
membres
supérieurs sont normaux. Point de réflexe Babinsk
lesse dans les bouts desdoigts et un tremblement avec faiblesse des
membres
inférieurs ; en 1891 survint un trouble de la p
e communication a été l'objet de plusieurs remarques par différents
membres
de la société, et quelques questions ont été po
ndications sur les maladies nerveuses et psychiques au moins chez 3
membres
de la famille donnée parmi les plus proches par
s l'un d'une polynévrite sensi- tivo-motrice généralisée aux quatre
membres
et à la face, à forme de polynévrite ascendante
orme de polynévrite ascendante, avec un minimum d'intensité sur les
membres
qui n'ont jamais présenté la réaction de dégéné-
tués et généralisés, atrophie scléreuse extrême avec rétraction des
membres
supérieurs et inférieurs qui sont plus accentué
e dégénérescence, troubles des sensibilités, localisation nette aux
membres
inférieurs, intégrité de la racine des membres
calisation nette aux membres inférieurs, intégrité de la racine des
membres
avec les particularités nouvelles : douleurs fu
nomènes myotoniques généralisés de la face, du cou, du tronc et des
membres
. L'examen anatomique des muscles dénote toutes
an Gehuchten ; « naissance avant terme, contracture spasmodique des
membres
, absence de lésionscérébrales, tendance à la gu
le de la partie supérieure de la pariétale ascendante (région des
membres
inférieurs successivement étiquetée sous les numé
vaso-paralysie est dans l'écorce au niv au des centres moteurs des
membres
. La physiologie n'y contredit pas ; on sait, en
n'y contredit pas ; on sait, en effet, que les centres moteurs des
membres
sont susceptibles d'influencer la circulation d
'ai présenté l'observation récemment. La paralysie motrice des deux
membres
supérieurs avait été précédée par un oedème.
rappelle en avoir vu plusieurs cas. Je les ai constatés surtout aux
membres
supérieurs. Je ne pense pas toutefois qu'ils se p
ensuite les expressions données par la tête, le tronc et enfin les
membres
qui sont examinés un à un d'après chaque segmen
, Couchent. Lausanne, 1903. Grasset. Les nerfs articalontoteurs des
membres
. Librairie Alcali, 108, boulevard Saint-Germain
.S gélll'll]SéeS de la colon- ne vertéblale et de la totalité des
membres
, par Apert, J0. Annuaire allemand de neurologie
Eg- ger, 474. Atrophie ponto-cérébelleuse, par Thomas, 198, des
membres
de nature ma) déterminée, par Marie, 295. du
leptique, par Smith, 193. Hypertrophie. Sur une forme Il' - des
membres
, par Rapin, 179. Hypnotisme fortuit, par Berill
anolT et Sannouch- Iiine, 270. Malformations ? congénitales des
membres
inférieurs, par Gom- bault, 382. Manie p l'ol
l'électricité, par Xnmnern, p. 237, 335. pares- tlvésique sur un
membre
atteint de paralysie infantile, par Sollier,
culaiie du plexus brachial gau- che et paralysie temporaire des
membres
intérieurs du même côté, par Duplant. 15. agi-
e côté, par Duplant. 15. agi- tante avec tremblement limité aux
membres
supérieurs, par Col- let, 186. hysléro-satuinii
des liens de sympathie et une communauté de sentiments entre tous les
membres
de la Société. Cette année, un grand nombre de me
entre tous les membres de la Société. Cette année, un grand nombre de
membres
résidant à l'étranger et en province avaient répo
sous la présidence du regretté Dumontpallier, elle comptait soixante
membres
. Depuis, beaucoup d'adhérents de la première heur
osé espérer au début. Elle compte actuellement plus de cent cinquante
membres
et se compose de médecins, de magistrals, d'a
e, de sociologues, de pédagogues à l'esprit pratique comme M. Baguer,
membre
de l'Institut départemental des Sourds-Muets de l
lé auprès d'elle. Cette fois, l'aboulie motrice s'était localisée aux
membres
supérieurs. La malade restait capable d'accomplir
hologie. Parmi les convives, nous devons citer M. le Dr Fiessinger,
membre
correspondant de l'Académie de médecine, MM. les
tous ceux qui y ont assisté. Les liens de sympathie qui unissent les
membres
de la Société d'hypnologie et en font comme une v
use, avec crispations, raideurs musculaires, puis agitations dans les
membres
. Je lui suggère le calme, exactement comme je l'a
cion chez le nouveau-né ni la phonation chez l'enfant. Il s'agit d'un
membre
de sa famille qui, élevé au sein tétait fort bien
rs lombaires, soit en ceinture (lumbago), soit le long du tronc et du
membre
inférieur (sciatique). Mais ces contradictions do
té également avec plaisir la présence au Congrès d'un grand nombre de
membres
français et étrangers de la Société d'hypnologie
resse à notre eminent collègue les félicitations unanimes de tous les
Membres
de la Société. L'ordre du jour appelle la lectu
ientôt ouvrit un cours d'hypnotisme qui attira de nombreux auditeurs.
Membre
fondateur et correspondant de la Société d'hypnol
« II faut distinguer, dans les familles qui fournissent beaucoup de
membres
ayant une vie religieuse : « i° Ceux qui sont c
-à-vis d'eux une profonde reconnaissance. Je suis convaincu que les
membres
de la Société d'hypnologie apprendront avec plais
: « On n'a jamais noté que la foi qui guérit ait fait repousser un
membre
amputé ; par contre, c'est par centaines qu'on tr
oixante-seize ans. Le nom de sa maladie lui avait été transmis par un
membre
de sa famille et ce nom, tout d'abord, ne lui ava
. Le diagnostic de l'angine de poitrine avait été fourni ici par un
membre
de l'entourage. L'effet sur le malade se montre,
Pendant qu'on coupait la jambe, je lui dis qu'on lui avait coupé ce
membre
au dessous du genou. Elle rit et dit : a O'est bi
et troubles digestifs. Bartholin a connu une famille dont tous les
membres
avaient pour le beurre et le fromage une telle an
u au collodion coloré en rouge ou en bleu, bracelets dessinés sur les
membres
animés de contractions spasmodiques, résultats in
n'étant même pas recherchée, nous opérons quelques frictions sur les
membres
atteints, frictions perçues par le malade, puis t
frictions perçues par le malade, puis toujours sous chloroforme, les
membres
sont placés en des gouttières; bras et jambes son
s'il persistait quelque mouvement, si minime soit-il, de nouveau les
membres
atteints sont replacés en gouttière et durant le
lade est toujours en auto-suggestion. 2o Le malade ne voit plus ses
membres
, il oublie donc de bouger. La vue des mouvements
t sur son lit, fut piise de douleurs vives dans le côté gauche, face,
membres
supérieurs, tronc, membres inférieurs, douleur su
douleurs vives dans le côté gauche, face, membres supérieurs, tronc,
membres
inférieurs, douleur survenant au moindre mouvemen
ui-même d'une façon rapide et que la main se balance à l'extrémité du
membre
, puis le poignet se ferme et le mouvement s'arrêt
'influence sur son intelligence assez bornée. Par ce traitement les
membres
furent donc isolés, et la vue ne put s'exercer po
anesthésie, ni thermo-anesthésie, aucune variation dans le volume des
membres
atteints lors des époques, à son entrée à l'hôpit
ns internes, bleu de méthylène, enfin, fait notable, il enveloppa les
membres
de bandes de flanelle, mais enveloppement incompl
t vraiment curative que consécutivement à l'enveloppement complet des
membres
, en effet : 1° Tous les moyens de traitement avai
n lui en donnerait 12 à peine, tant il est chétif : maigreur extrême,
membres
grêles, teint très pâle, légèrement jaune à certa
inq heures du soir, sous la présidence de M. le professeur Blanchard,
membre
de l'Académie de médecine, professeur à la Facult
èrne familial (fipoç-sacré, cuvy-i^ua-groupe) le groupe formé par les
membres
d'une même famille ayant subi avec succès des sug
défini : 1° par les dates entre lesquelles ont vécu l'ensemble de ses
membres
; 2° par une fraction dont le numérateur représent
présente le nombre de ceux-ci, et le dénominateur le nombre total des
membres
de la famille depuis le membre initial jusqu'au m
t le dénominateur le nombre total des membres de la famille depuis le
membre
initial jusqu'au membre terminal de l'hiérosyncro
bre total des membres de la famille depuis le membre initial jusqu'au
membre
terminal de l'hiérosyncrotème; 3° par sa formule
r lesquelles les familles du XIe et du XIIe siècle ont fourni tant de
membres
ayant fait acte de dévotion, est en effet que ces
l'Église catholique atteignit son apogée. D'autre part, sur ces 104
membres
, je relève 35 religieux de profession et 21 crois
son entourage lui veut du mal. Elle craint qu'il n'arrive malheur aux
membres
de sa famille. Le sommeil est mauvais, l'appétit
mptômes du sommeil; il n'en résulte qu'un certain engourdissement des
membres
sans aucun résultat thérapeutique. Le troisième j
te au supplice de la roue, et elle donne le jour à un enfant dont les
membres
présentent des fractures juste aux endroits où la
ent ceux que Lucas, Morel et d'autres nous ont fait connaître. Tout
membre
, tout organe, tout point vivant de notre organism
inq heures du soir, sous la présidence de M. le professeur Blanchard,
membre
de l'Académie de médecine, professeur à la Facult
anvier, à cinq heures, sous la présidence du professeur R. Blanchard,
membre
de l'Académie de médecine. L'enseignement de l'Ec
— La psychologie et la médecine, par M. !e professeur R. Blax-chard,
membre
de l'Académie de médecine. La réouverture annue
vaient pris place : M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière,
membre
du Comité de patronage et tous les professeurs de
-Grand, Marcille, professeur au lycée Montaigne, M. le Dr Fiessinger,
membre
correspondant de l'Académie de médecine, M. Valen
rch. Il faut le reconnaître, les études auxquelles se sont livrés les
membres
de la Société anglaise n'ont donné aucun résultat
il me soit permis de remercier du fond du cœur M. le Dr Jules Voisin,
membre
de notre conseil de patronage, dont la présence à
les professeurs de l'Ecole de psychologie. - Nous avons reçu des
membres
de notre conseil de patronage, les témoignages le
ncours de M. Guimet, le fondateur du musée Guimet, et sur M. Huchard,
membre
rie l'Académie de Médecine. Ces maîtres éminents,
Il me reste à souhaiter la bienvenue à M. le professeur Blanchard,
membre
de l'Académie de Médecine. En le remerciant du gr
e l'enflure de la face, du tremblement de la langue, des mains et des
membres
, de la tuméfaction ganglionnaire, etc. Puis à l'a
égulière, la température ainsi que le pouls normaux ; le tronc et les
membres
sont dans la résolution musculaire ; parfois, cep
accident ; toutefois, brûlé au thermocautère, il retire légèrement le
membre
touché ; quant à l'alimentation par la sonde, ell
de M. le Professeur R. Blanchard Professeur à la Faculté de Médecine,
Membre
de l'Académie de Médecine Mesdames, Messieurs,
ndre ce but, les animaux doivent contracter certains muscles de leurs
membres
et du corps, et cette contraction persiste dans l
ontrait de la tendance à se retourner, on lui élongeait doucement les
membres
postérieurs et on la retenait par des chevilles d
circonstance, on peut à plusieurs reprises changer la position de ses
membres
, on peut même soulever avec précaution l'animal e
es fois, la grenouille en hypnose lève brusquement en l'air un de ses
membres
postérieurs, le contracte fortement, et dans cett
: 1° la léthargie, où les muscles se trouvent dans la résolution, les
membres
sont flasques, pendants, et, soulevés,retombent s
ent si on les abandonne; on n'éprouve aucune résistance à fléchir les
membres
et à les étendre ; 2° l'état de catalepsie, penda
ie, pendant lequel le sujet est immobile et parait comme fasciné. Les
membres
et toutes les parties du corps gardent souvent pe
ant des bonds dans la cage autant que le lui permettait l'état de ses
membres
émaciés par soustraction d'eau. Or les grenouille
ralités d'une famille envers un monastère sont dues à ce qu'un de ses
membres
y a fait profession, soit qu'on donne un capital
rnier, Guigues IV, s'allie à une famille qui comptait aussi parmi ses
membres
des bienfaiteurs de cette abbaye. Le grand-père d
on fils Etienne, beau père de Guigues de Viennois IV. L'entrée d'un
membre
d'une famille dans un monastère déterminé peut d'
pour étudier l'action physiologique des anesthesiquen. Sont élus
membres
de la commission : MM. Jules Voisin, président; P
Demonchy, de Bourgade, Lépinay, Lavaux et Grollet. Ces trois derniers
membres
, médecins-vétérinaires, institueront des expérien
nces se répètent, j'obtiens une hypotaxie de plus en plus grande; les
membres
sont inertes, il ne saurait les remuer; le corps
Société d'hypnologie et de psychologie de Paris, dont Liébeault était
membre
fondateur et membre d'honnei:r, votait dans sa de
et de psychologie de Paris, dont Liébeault était membre fondateur et
membre
d'honnei:r, votait dans sa dernière séance une so
t en état d'hypnose profonde, précédée d'une phase de catalepsie: les
membres
sont rigides, la membrane interdigitale tendue. L
olument immobiles, puis elle commence à faire des mouvements avec les
membres
antérieurs, tout en restant encore couchée sur le
; elle essaie de se soulever et ne réussit pas du coup, letroncet les
membres
postérieurs étant encore inertes. Cependant, aprè
le (sauf le cas de dessèchement partiel), soit en la secouant par les
membres
, soit en la piquant fortement dans les articulati
des essais plus apparents, par exemple en levant la tête ou bien les
membres
, et en les laissant retomber de nouveau. Quelquef
e après le sommeil prolongé. La paralysie intéressait chaque fois les
membres
postérieurs, parfois un seul membre; elle était t
ysie intéressait chaque fois les membres postérieurs, parfois un seul
membre
; elle était toujours passagère et de durée variab
toujours passagère et de durée variable; quelquefois la paralysie des
membres
postérieurs ne durait que plusieurs minutes; d'au
avec succès. En 1SS1, il réussit à obtenir la collaboration de trois
membres
de l'Université de Nancy : Bernheim, professeur à
.... 20 D" Gorodichze, à Paris...................... 20 Dr David,
membre
de la Société d'hypnologie, à Narbonne..... 10
erne des hôpitaux de Paris........... 5 M. Blech, docteur en droit,
membre
de la Société d'hypnologie. . 5 Les Assistants
s remerciements. Nous publierons dans le prochain numéro la liste des
membres
du Conseil de patronage. • * Une autre nouvel
regret la mort d'un collaborateur et d'un ami. M. le Dr Arie de Jong,
membre
de la Société d'hypnologie, professeur à l'Ecole
s légères variantes qui dépendent de sa taille, de la longueur de ses
membres
inférieurs, du rapport de la longueur de ses jamb
le de Ville-Evrard. MM. Marnay et Legrain sont nommés à l'unanimité,,
membres
titulaires de la Société d'HypnoIogie. La séanc
six ans, atteint d'épilepsie, ayant les nerfs malades et épuisés, les
membres
paralysés et ayant perdu l'usage de la parole, tr
nel à la mémoire du Dr Liébeault. Elle espère qu'à cette occasion les
membres
de la Société résidant en province où à l'étrange
ue de pathologie comparée (M. Lépinay, directeur) . 20 Dr Orlitzky,
Membre
de la Société d'Hypnologie........ 20 D'Bianchi
e, avocat, id. ....... 10 Dr Grimoux. de Beaufort (Maine-et-Loire;,
Membre
de la Société d'Hypnologie.................... 10
Membre de la Société d'Hypnologie.................... 10 Dr Laine.
Membre
de la Société d'Hypnologie......... 10 Dr Le Me
....... 5 Dr Raffbgbau, du Vésinct id........... 5 Dr Fiessinger,
Membre
de l'Académie de Médecine, ld. . . . 5 Dr Potti
essinger, Membre de l'Académie de Médecine, ld. . . . 5 Dr Pottier,
Membre
de la Société d'hypnologie........ 5 Dr Deuonch
Secrétaire : M. le Dr Bêrillon, professeur à l'Ecole de psychologie.
Membres
du comité: M. le Dc Huchard, membre de l'Académie
esseur à l'Ecole de psychologie. Membres du comité: M. le Dc Huchard,
membre
de l'Académie de médecine, M. le Dr Albert Robin,
Dc Huchard, membre de l'Académie de médecine, M. le Dr Albert Robin,
membre
de l'Académie de médecine, M. le Dr Fiessinger, m
Albert Robin, membre de l'Académie de médecine, M. le Dr Fiessinger,
membre
correspondant de l'Académie de médecine, M. le Dr
le, vice-président du conseil municipal de Paris, m / le dr Orlitzky,
membre
de la Société d'hypnologie, à Moscou./etc. De n
riel Tarde, professeur de philosophie moderne au Collège de France et
membre
de l'Académie des Sciences morales et politiques.
oisin, président de la Société; 3° Eloge du D' Liébeault, de Nancy,
membre
d'honneur de la Société, par M. le Dr Van Rente
es (1) — Présentation de malades; 6° Vote sur l'admission de nouveaux
membres
; 7° Elections complémentaires du bureau ; Commu
nerveuses à la Salpétrière............... 20 fr. M. le Dr HuChard,
membre
de l'Académie de Médecine .... 20 Ml le Dr Tripie
rapie de Paris...................... 20 M. le Dr Hamilton Osgood,
membre
de la Société d'Hypnologie, Boston (E. U.) . .
psychologie, Sao Paulo (Brésil)............ 50 M. le Dr de Groer,
membre
de la Société d'Hypnologie, Saint-Pétersbourg....
ogie, Saint-Pétersbourg........................ 15 M. le Dr Stembo,
membre
de la Société d'Hypnologie, Vilna . 20 M. le Dr W
n d'infanterie, Odessa....................... 10 M. le Dr Zeliqzon.
membre
de la Société d'Hypnologie, Cleveland Ohio.......
tenant sous les bras, soit à l'aide du chariot ; on fortifie leurs
membres
en exerçant suc- cessivement, chaque jour et il
un des moyens qui nous servent à développer la force musculaire des
membres
in- férieurs, un appareil particulier que nous
exercice donne de la souplesse, de l'élasticité, de la force aux
membres
inférieurs. Au bout de quelques jours l'en- fan
aisant partie de la fanfare s'élève à 30 (21 instrumentistes et 6
membres
honoraires). La cotisation mensuelle est de 0 f
ne marchent pas, on Fij. 6. Enseignement. xxxix fortifie les
membres
inférieurs à l'aide de la balan- çoire tremplin
pement hydrocé- phalique. Retour des convulsions. Contracture des
membres
. Vagissements. Persistance des fontanelles anté
les. ? ll'Lll)1S772e externe; cécité com- plète. Contractures des 4
membres
. - Mastication nulle; bave, accès de cris. Tics
roite à 11 mois, compliquée de contracture. - Tic particulier des
membres
du côté droit à 18 mois. Déviation du rachis. R
Sentiment de la pudeur. - Pas d'onanisme. Déviation du tronc et des
membres
à partir.de 3 ans. - Caractères classiques (.le
complète du côté droit. Antérieurement, demi-contracture des quatre
membres
avec mouvements athétosiques des quatre membres
tracture des quatre membres avec mouvements athétosiques des quatre
membres
. AUTOPSIE. - État des trois brèches osseuses de
s eu de convulsions. Dans le reste de la famille on ne trouve aucun
membre
ayant présenté des accidents nerveux.] Mère,
ntimètres. On perçoit facilement toute l'étendue du corps thyroïde.
Membres
supérieurs normaux, peu musclés; ongles légèrem
oint culminant est au niveau des omoplates. Abdomen peu saillant.
Membres
inférieurs et pieds normaux. Puberté. - Verge :
rt, sa circonférence est de 28,5. Corps thyroïde de volume moyen.
Membres
supérieurs bien musclés, longueur égale, articu-
Ongles à peine colorés, mains violacées, doigts épais, en boudin.
Membres
inférieurs. - Volume, attitude, marche, mouve-
égulière. Menton, oreilles, réguliers. Description DU malade. 115
Membres
, thorax, abdomen, bien conformés. Digestion, res-
. Puis surviennent des secousses t{¡ ! nni(o¡'mes dans les quatre
membres
, se prolongeant pendant environ une minute. « O
une minute. « On note ensuite des mouvements cloniques des quatre
membres
, égaux, durant 10 secondes. La face est cyanosée,
e connaissance, bouche tournée, yeux fixes ; écume, convulsions des
membres
surtout à gauche; pas de morsure de la langue.
Menton peu développé. Notons cependant que les mensura- tions des
membres
inférieurs indiquent une légère différence au d
membres inférieurs indiquent une légère différence au détriment du
membre
inférieur gauche. Membres, thorax, abdomen, bas
nt une légère différence au détriment du membre inférieur gauche.
Membres
, thorax, abdomen, bassin, bien conformés. 128 É
rlées; lobule assez développé, non adhérent. Cou, thorax, bassin,
membres
, bien développés. Sensi- bilité générale et spé
l d'un de nos enfants qui présente une malformation intéressant les
membres
inférieurs, dont nous allons donner la descript
est né dans le Cher, le 26 juillet 1854. La tête toute entière, les
membres
supérieurs et le tronc parais- sent bien confor
peut-être quelles ne devraient l'être, par rapport au tronc et aux
membres
supérieurs. Voici quelques mesures qui donnent
uche. - Augmentation des accès à 9 ans. Arrêt de développement du
membre
supérieur droit.-Gaucher. - Irritabilité. - Aff
- tion du rachis. - Organes génitaux normaux, pas d'ona- nisme.
Membres
supérieurs. - A l'inspection, le membre droit p
rmaux, pas d'ona- nisme. Membres supérieurs. - A l'inspection, le
membre
droit parait un peu moins gros, surtout la main
utes. Dans les accès, les convulsions n'exis- teraient que dans les
membres
du côté droit, tandis que le côté gauche reste
s oreilles' sont un peu cyanosées. La peau est chaude, sèche. Les
membres
supérieurs sont flasques, et demeurent immobiles,
ues, et demeurent immobiles, même quand on les pince fortement. Les
membres
inférieurs sont flasques, fléchis, le membre ga
pince fortement. Les membres inférieurs sont flasques, fléchis, le
membre
gauche retombe immédiate- ment tandis que le cô
ont pote- lées ; doigts en fuseaux, ongles rongés (Onychophagic).
Membres
inférieurs symétriques, assez bien constitués, pi
, assez bien constitués, pieds plats surtout àgauche. .VoZiZi'Zédes
membres
supérieurs nor- male. Marche défectueuse. L'enf
générale de l'enfant et en particulier de celle, très curieuse, des
membres
inférieurs. La sensibilité sensitivo-scnsoriell
au niveau des trois ou quatre dernières vertèbres dorsales. . Les
membres
supérieurs sont assez bien développés. L'a- van
Abatte- ment, cris plaintifs. Augmentation de la contracture des
membres
. 15 février. L'enfant a maigri légèrement, néan
tique est manifeste. La sensibilité assez obtuse au tronc et, aux
membres
, est assez vive à la face. L'enfant réagit à la c
ue et de la suture sagittale, accès de cris, contracture des quatre
membres
(Fig. 45), cyphose, cryptorchi- die. z Nous n
ements lents et sourds. - Poumons et viscères abdominaux normaux.
Membres
supérieurs maigres, émaciés, mais sans malforma-
ués. Verge assez développée, pas de phimosis. Testicules normaux.
Membres
bien musclés, proportionnés et sans anomalie. .
mâchoire sans cesse en mouvements, mâchonnait continuellement ; les
membres
étaient agités de secousses cloniques, égalemen
oite. A la suite de l'état de mal convulsif l'enfant avait les deux
membres
inférieurs et le membre supérieur droit contrac
t de mal convulsif l'enfant avait les deux membres inférieurs et le
membre
supérieur droit contractures ; lorsque sa tète
oit contractures ; lorsque sa tète eut pris ce volume anormal, le
membre
supérieur gauche, libre jusqu'alors, futaussi att
ignaler qu'une hernie ombilicale de la grosseur d'une noisette. '
Membres
supérieurs non déformés, en état de demi-con- t
' Membres supérieurs non déformés, en état de demi-con- tracture.
Membres
inférieurs, légèrement incurvés en dedans, cont
s inférieurs, légèrement incurvés en dedans, contractures comme les
membres
supérieurs. Organes génitaux, rien de particuli
2 ans, qui ont duré 8 jours; elle est depuis paralysée de tous les
membres
, mais surtout à gauche ; elle a deux pieds bots
uche. Ses parents ont toujours remarqué une disproportion entre ses
membres
supérieurs et inférieurs, ces derniers paraissa
bdomen assez volumineux; pas d'anomalies viscérales perceptibles.
Membres
supérieurs assez bien conformés et sensiblement
supérieurs assez bien conformés et sensiblement égaux. Toutefois le
membre
droit est le siège d'une certaine contracture,
main, droite est du reste z légèrement déviée du côté cubital. Les
membres
inré- rieurs sont aussi sensiblement égaux, mai
talité ancestrale; elle est morte phtisique et paralysée des quatre
membres
. Dès la naissance la tête attire l'attention de
inquiétantes. Les parents avaient noté des disproportions entre les
membres
supérieurs et les inférieurs que nous n'avons p
t une certaine raideur des arti- Hydrocéphalie. 241 culations des
membres
inférieurs. Aucun trouble sensitivo-sensoriel e
État actuel : Description de la tête, dentition, contracture des
membres
. Puberté. - B ? 'OnC110-pnel,L1n07z2e. - Mort.
e était nota- blement plus faible que le droit et que la main et le
membre
supérieur gauches étaient fortement déviés. A4
au des mamelons : ! )4 centimètres. - Abdomen et bassin, normaux.
Membres
supérieurs amaigris, le membre droit parait mieux
tres. - Abdomen et bassin, normaux. Membres supérieurs amaigris, le
membre
droit parait mieux développé. Les mains sont as
tiques de chaque côté du sternum. - Abdomen, rien de particulier.
Membres
bien conformés. Le membre inférieur semble moin
ernum. - Abdomen, rien de particulier. Membres bien conformés. Le
membre
inférieur semble moins habile, et plus faible ;
ve pas de changement notable dans sa situation, si ce n'est que ses
membres
sont plus amaigris. La parole et l'intelligence
rche à 22 mois. Accroissement de la tête 2 ans 1/2. . Faiblesse des
membres
inférieurs. Oblitération de la . fontanelle ant
e soignée aux Enfants- Malades qui détermina une légère parésie des
membres
inférieurs. Il est fréquemment atteint de bronc
bdo- minale du testicule gauche. Scrotum développé. Pénil glabre.
Membres
supérieurs bien conformés. Motilité normale ; m
articulations des phalangettes raides, ongles courts mais normaux.
Membres
inférieurs symétriques. Pieds nor- maux, légère
t actuel. Gâtisme complet. - Idiotie complète. Demi-contracture des
membres
inférieurs. Muguet. Stomatite ulcéreuse. - Mort
tir de 3 ans, les convulsions se généralisèrent, atteigni- rent les
membres
; les mouvements convulsifs étaient nette- ment
on. Verge moyenne, phimosis, méat normal. Testicules très petits.
Membres
supérieurs très grêles. A la. partie postérieure
mais avec faiblesse et l'attitude normale est ladvtni-Ilexion. Les
membres
supérieurs sont à la mensuration sensiblement é
membres supérieurs sont à la mensuration sensiblement égaux. Les
membres
inférieurs sont contractures. Les cuisses sont t
fficiles à trou- ver, delà grosseur d'une noisette. Région anale et
membres
glabres. : . 1892. Mai. Nouveau séjour à l'in
tiques et ces modifications sont purement de compensation. 3" Les
membres
supérieurs et inférieurs sont fré- quemment le
ur du cer- velet, la paralysie, portant plus spécialement sur les
membres
inférieurs, empêche tout fonctionnement de ces
des cas, il n'y avait pas de malforma- tion rachitique notable des
membres
. - 1 328 Hydrocéphalie CHRONIQUE. 4° Motilité
Hydrocéphalie chronique. pas paralysés. Chez les paraplégiques, les
membres
inférieurs, atrophiés à un degré plus ou moins
loppé. - Le moignon de l'épaule est un peu plus élevé à droite. Les
membres
sont faiblement musclés. Les mains et les ongle
examen des os et des articulations qui fonc- tionnent assez bien.
Membres
infédeurs. - Cuisses assez grosses, la droite est
en d'anormal à la percussion, ni à l'auscultation. Abdomen, normal.
Membres
supérieurs assez musclés. Poignets, mains, ongl
eurs assez musclés. Poignets, mains, ongles, rien de particulier.
Membres
inférieurs bien développés et normaux. Sensibil
cal est complété par le traitement physique, exercices, massage des
membres
, etc., et par des bains salés, des douches, des
e plus qu'un centimètre dans toutes ses dimensions. Le corps et les
membres
de l'enfant sont bien conformés. L'embonpoint e
▲