égage de celte constatation, c'est l'existence d'une déformation en masse des orteils méritant le nom d' « or- teils en c

longe par un rudiment de corps dirigé vers le 4° métacarpien. Cette masse osseuse est peu compacte, comme l'indique sa plus

nge, puis viennent une phalangine et une phalangette soudées en une masse confuse, le tout constituant un orteil adventic

; ils sont pourvus d'ongles, d'ailleurs très atro- phiés. Enfin, la masse osseuse du carpe présente trois saillies mamelon-

er- minent là autour des cellules d'origine des fibres qui vont aux masses grises du pont et au delà à l'écorce cérébelleu

urones centrifuges vont à la couche optique correspondante puis aux masses grises inférieures ou à la sphère tactile. Flec

nt le caractère. Ces trois centres sont absolument indépendants des masses grises infé- rieures, ils n'ont pas de fibres d

ni- ques de la conformation du squelette et de la disposition des masses muscu- laires qui le font mouvoir amèneront n

ement de translation, mais le corps doit en- traîner avec lui une masse plus ou moins considérable ou surmonter une r

, mais il cherche à mettre à profit autant que possible sa propre masse en en dépla- çant le centre de gravité de maniè

ravité de manière à aider au déplacement du centre de gravité de la masse à entraîner. Ces nouvelles conditions d'équilib

ent incliné en avant. Il l'est plus ou moins suivant le poids de la masse à déplacer. La phase de double appui est prolon

in présente sur ses parties pé- riphériques une couche abondante de masses cornées, tandis que leurs régions centrales ont

se du corps, sorte d'arrêt de développement qui porte plutôt sur la masse de l'individu que sur un appareil spécial », te

affection de l'appareil locomoteur caractérisée par la formation de masses osseuses dans les muscles, les aponévroses, les

flement du membre inférieur droit. En automne 1883, il constate une masse dure dans la profondeur de la cuisse. En 1881,

sseuse à la partie interne du tiers supérieur de la cuisse gauche : masse ovoïde, longue de Il centimè- tres, large de 1.

microsco- pique, s'exprime ainsi : « Dans le dos siègent d'énormes masses osseuses dans les membranes aponévrotiques, ent

de l'omoplate et l'humérus, en lias jusqu'à la crête iliaque où les masses osseuses atteignent un développement remarquabl

n stade d'ossification. . Le processus s'observe à la fois dans les masses charnues, dans les ten- dons, les aponévroses,

muscle. Les fibres musculaires qui subsistent se montrent, dans la masse claire de la tumeur, comme des stries rouges ; el

encore visibles par place, s'atrophient avec le sarcolemme dans une masse granuleuse; ces brèches et ces fentes donnent,

te des lésions survenues dans le tissu conjonctif du pour- tour des masses osseuses, Munchmeyer en conclut que le processus

et de l'innervation des mus- cles déterminé par la pression que les masses osseuses peuvent exercer sur les nerfs et les v

wkins, notre cas) offre une structure cartilagineuse, tandis que la masse presque tout entière .est formée par du tissu o

La tumeur est entièrement formée par du cartilage; 2° Dans une'môme masse néo- plasique, on trouve dans un point du tissu

e correspondant aucun muscle. Il est probable que cette volumineuse masse osseuse a suivi le trajet de la gaine conjonc-

l a trouvé également une ostéoporose de tout le squelette, sauf des masses osseuses néoformées. Cette constatation semble-

interne de la clavicule (Florschuetz-Mays) due à la rétraction des masses fibreuses s'insérant sur les os. Les cas dans les

exerce ses plus grands ravages, c'est là qu'elle forme des grosses masses monstrueuses, tandis que partout ailleurs elle

nage immédiat du squelette, comme c'est le cas le plus fréquent, la masse osseuse néoformée se joint intimement à ce dernie

la musculature de cette dernière, la protubé- rance qui part de la masse dorsale et pénètre dans le grand oblique (Ger-

fications, surtout celles qui se développent dans l'é- paisseur des masses charnues, semblent, au contraire, s'être réunies

le squelette, appartiennent le cas de Munchmeyer et le nôtre. Les masses osseuses intra-musculaires sont le plus souvent p

plus lisse (Wilkinson). » Minkewitsch a comparé la structure de ces masses celle d'une vertèbre dont la substance médullaire

ssivement en étendue et en consistance et on a alors devant soi une masse molle, caoutchoutée, correspondant à peu près q

t les apophyses épineuses des vertèbres avec, au centre, une petite masse osseuse, dans le rhomboïde et une autre tumeur

on de la contraction idio-musculaire; Pincus a noté, au contact des masses osseuses, des con- tractions fibrillaires inten

ligament cervical postérieur. Les muscles longs du dos forment une masse osseuse unique. Plus tard les muscles de l'épaule

cou ; le dos, par l'ossification des rhomboïdes, des trapèzes, des masses vertébrales et des grands dorsaux, se trouve tran

épaissie, ayant perdu toute mobilité par suite de son adhérence aux masses sous-jacentes. Le tronc est penché légèrement e

l'enfance,. bien longtemps avant ceux qui laissent à leur suite des masses osseuses comme vestiges de leur passage ; ainsi

oyaux s'unissent les uns aux autres, que se développent ces grosses masses qui déforment monstrueusement le sujet, ces sai

émol'ltllJ est immobilisée par des jetées osseuses qui, parties des masses lombaires, vont se fixer sur le fémur (obs. Minke

erminées par les muscles envahis les premiers. Au bras, lorsque les masses osseuses sont aussi volumineuses sur le biceps

inants, comme Rogers en a constaté deux, à l'autopsie, derrière les masses osseuses des grands pectoraux et contenant chacun

forme pendant les pauses, il y a des déchirures vasculaires par les masses osseuses, épanchement de micro-organismes au sein

l'appareil locomoteur. ' Ziégler pour expliquer la localisation des masses osseuses dans le tissu conjonctif de l'appareil

de phlogose du début l'hyperplasie conjonctive, et la formation de masses osseuses au seii muscles, ne retentissent pas s

sifiante progres- sive est facile il diagnostiqueur. La présence de masses osseuses multiples sur tout l'appareil locomote

tumeurs diffuses, sans limites bien précises. La localisation des masses osseuses primitives à la nuque pourrait faire s

ue ; en outre la symétrie parfaite des déformations causées par les masses osseu- ses est plutôt rare. Un 'autre caractè

e au contraire les muscles sont atrophiés, cà et là on constate des masses osseuses qui détruisent l'harmonie des formes.

ite, les tumeurs ne tardent pas à réapparaître. Pollard extirpe une masse osseuse libre du tendon du grand dorsal gauche

ettant même qu'on soit assez heureux pour extirper complètement les masses néoformées, la ten- dance à la reproduction n'e

e- marquer, après l'orage, la présence sur les régions envahies, de masses osseu- ses de nouvelle formation. L'année sui

xplorant souvent les régions malades, a pu se rendre compte que les masses osseuses néoformées augmentaient de volume avec

is. A la nuque, de chaque côté de la ligne médiane, on constate une masse os- seuse semblant provenir des apophyses trans

l'omoplate. L'articulation s(,,a pu lo- li uni 6ral e, bridée parles masses osseuses, se trouve ankylosée ; l'épaule se sou

ée ; l'épaule se soulève, mais difficilement et très légèrement, en masse , humérus, clavicule et omoplate à la fois. L'av

aule ; comme à droite, le triceps est également envahi ici, mais la masse néoplasique est moins épaisse et moins bosselée ;

trie, qu'on pourrait qualifier de parfaite, dans la répartition des masses osseuses et l'envahissement des mus- cles par l

Plus bas, au niveau de la cambrure lombaire, on remarque une grosse masse transversale, d'où partent deux colonnes osseus

tion est surtout marquée à gauche. L'ischion droit offre une grosse masse osseuse au niveau de laquelle il s'est développ

Radiographie du genou gauche; elle montre dans le creux poplité une masse osseuse solidement réunie au fémur et au tibia et

ndes qu'il est souvent impossible de reconnaître pour un cerveau la masse informe que renferme le crâne. Les difformité

t s'amincit et devient si transparent qu'on voit il travers lui une masse cérébrale de la grosseur d'une noix. Dans la fo

entre les os frontaux et s'attachent à la membrane qui recouvre la masse cérébrale disposée dans la fosse crânienne médian

ns durant sa vie. La voûte crâ- nienne manquait chez l'enfant et la masse cérébrale était disposée sur la base crânienne

dans leur for- me tout à fait extraordinaire ; ces cellules ont une masse de vacuoles, peu de chromatine qui ne se présen

ct de blocs informes, qui se colo- rent intensément (Fig. 13) ; ces masses sont disposées en désordre sur les trabéculeset

lO. Mais là n'est pas sa terminaison définitive; au sortir de cette masse grise, la racine interne se bifurque en deux br

hémisphère cérébelleux est coiffé dans son segment antérieur, d'une masse grosse comme une petite mandarine, irrégulièrem

ne, irrégulièrement bosselée, dure, un peu jaunâtre par places. Ces masses se sont creusées, à droite et à gauche,une logelt

ion des pédoncules. Les nerfs crâniens bulbaires sont atrophiés, en masse , des deux côtés. La IIIe paire et la IVe présen

ultérieurement, ren- seignera sur la nature-du néoplasme et sur les masses , blanches ou grises, détruites au cours de son

senter sous trois formes très distinctes : ie Front proéminent en masse , bombant en avant, anormalement dé- veloppé com

icieu- sement conformé d'une moitié à l'autre, et semble refoulé en masse vers le côté gauche, comme si, sur un crâne en

ons pulmonaires. Ouverture du crâne. Entre la voûte crânienne et la masse encéphalique, grand espace vide cloisonné par d

hie porte sur les différents segments du membre. Elle intéresse les masses mus- culaires de la cuisse, du mollet et de la

cune douleur au niveau du membre inférieur. Pas d'hyperesthésie des masses musculaires à la pression. Le membre est consta

l, le procédé d'Azoulay. Enfin la méthode de Fore ! (picrocarmin en masse ) et la méthode de Mardi ont été mises en usage.

une légère différence de volume entre les cor- dons blancs pris en masse d'un côté à l'autre. En aucune région (postérieur

préparations colorées par la méthode de Nissl et le picro-carmin en masse . La différence entre le nombre des cellules d'u

nce notable sur les coupes de la moelle colorées au picro-carmin en masse où on les retrouve. Elles ont été coupées isoléme

s les muscles de l'avant-bras jusqu'au coude et les transforma en une masse osseuse. Le membre supérieur gauche, depuis le

r. Garçon de 14 ans, ayant le dos recouvert de saillies formant une masse osseuse qui s'insère sur les apophyses épineuse

upérieure, de la cla- vicule au bras. Les dépôts osseux forment une masse surélevée et irrégulière. Le sLel'l1o-cléido-ma

e la cuisse, sont transformés en 280 ' ,\. WEILL ET J. NISS1M une masse irrégulière, unissant le fémur au pubis et représ

15° La plus grande partie du tenseur du fascia-lata gauche. 16° Une masse osseuse qui s'unit au précédent et qu'où ne sait

s lombaires, longue de 10 centimètres, large de 4 et repoussant les masses sacro-lombaires en dehors. Une autre, plus gran

auche au moment de sa première admission, et, au milieu, une petite masse osseuse s'étendant sur les côtes, comme si elle é

être ni levé, ni remué ; le gauche se déplace facilement, mais les masses osseuses qui remplissent en arrière un espace d

est levé. A la base de l'omoplate on sent des craque- ments. Cette masse osseuse augmentant très vite et se fixant à l'épi

les muscles, particulièrement dans les pectoraux, grands dorsaux et masses sacro-lombaires. L'une d'elles, longue de 10 po

cuurte portion du biceps. Dans l'épaisseur du biceps gauche, une masse de 2 pouces 1/2. Deux apo- physes s'insèrent su

ir lui-même avec difficulté. Depuis, développe- ment de différentes masses dans différentes parties du corps, principalement

du cou, dans le trapèze, immédiatement au niveau de son insertion, masse osseuse, dure, comme un oeuf de pigeon ; plus bas

bas, entre l'an- gle de l'omoplate et la colonne vertébrale, grande masse irrégulière ; entre la 10" et la 11° côte, là o

; entre la 10" et la 11° côte, là où s'insère le trapèze, une autre masse mobile, semblant appartenir à l'angle inférieur

roite, à 5 centimètres au-dessous de l'angle inférieur de l'omoplate, masse dure, irrégulière, comme un gros oeuf ; la dern

ieur du grand dorsal. Dans la région loinbiîre, des deux côtés, des masses osseuses. Un petit noyau d'une noix sur le calc

ation des temporaux et des deux ptérygoïdes ; sur le dos une grosse masse en fer-à- cheval, réunie au squelette, à concav

s pouces au-dessous de l'articulation tibio- tarsienne, se voit une masse stalactiforme douloureuse appartenant au tibial

e, d'où partent des ramifications dans toutes les directions. Cette masse émet de chaque côté, en bas et en dehors,une ba

stiques. Des deux côtés de la colonne lombaire, dans le domaine des masses sacro-lombaires, on trouve en outre des saillie

eur commun des doigts (Fig. 2). Le biceps brachial gauche forme une masse dure comme de la gutta-percha ; de sa partie ch

au de leurs tendons. Grand ligament de la nuque trans- formé en une masse osseuse énorme. Une bande osseuse suit le bord ex

sécutive du genou et de la hanche. Eu 1868. - Dos transformé en une masse dure, recouverte de saillies, de noyaux, d'angl

e ossifiée de façon à immobiliser le grand trochanter et le sacrum. Masses osseuses sur la face antérieure du fémur droit

résultat d'une fracture mal réduite et consolidée avec un gros cal. Masse osseuse sur le segment inférieur qui suit le traj

tion lombaire. Atrophie de la musculature de la cuisse droite ; une masse osseuse s'insérant sur l'épine iliaque antérieu

met une bande osseuse qui va s'insérer sur l'os iliaque ; une autre masse , située sur l'iliaque gauche, va s'insérer sur le

droite, et, en peu de temps, tout le creux axillaire a présenté une masse osseuse ; ces phénomènes furent précédés de chu

eur; le coraco-brachial se confond à droite avec le biceps dans une masse osseuse, à gauche il contient deux noyaux osseu

n des arcs des vertèbres les uns aux autres par un tissu osseux. La masse osseuse, formée par la fusion des arcs vertébraux

rès prononcée, quelques-uns sont fibreux, d'autres graisseux. Des masses osseuses se voient dans les parties molles ; cell

de petites élevures. DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 297 .. Masses osseuses dans les muscles postérieurs du cou. La

parties sous-jacentes, surtout il gauche. La tête est fixée par une masse osseuse qui commence il l'apophyse mastoïde gauch

irigeant en bas. Le trapèze se sépare cependant facilement de cette masse . Un peu au-dessous de la clavicule, la masse ex

nt facilement de cette masse. Un peu au-dessous de la clavicule, la masse excuse se divise en forme de fourche dont l'une d

osseuse libre. Sous le grand pectoral droit aminci, siège une grosse masse osseuse qui se met en rapport avec plusieurs mu

fre un noyau osseux,qui se réunit avec la portion bra- chiale de la masse osseuse décrite plus haut et avec l'ossification

le, au point d'in- sertion du grand pectoral. A droite également, masse osseuse sur le bord inférieur du grand pectoral,

sur le bord inférieur du grand pectoral, au creux axillaire ; cette masse envoie, en dedans une plaque osseuse qui se ra-

on au niveau de l'articulation chondro-costale des 4e et 5° côtes. La masse centrale envoie également en dehors, une masse

s 4e et 5° côtes. La masse centrale envoie également en dehors, une masse bifurquée dont la branche 298 A. WEILL ET J. NI

nt dans le 5e espace intercostal. 3e et 10° côtes épaissies par une masse osseuse faisant saillie dans la cage tho- raciq

térieure de l'iliaque gauche, en avant des fibres du grand fessier, masse osseuse comme un neuf de poule. Tumeur semblable

ête iliaque droite. De ces deux tumeurs s'étend sur tout le dos une masse osseuse, très irrégulièrement conformée. Elle o

tion osseuse du grand rond qui se prolonge jusqu'à l'humérus. Cette masse de la moitié gauche du dos se réunit à la 10e c

physe qui s'insère sur la 3° côte. En arrière, elle se réunit avec la masse os- seuse du trapèze. Grand dorsal très atrop

sculature de la jambe; hypertrophie considérable des aponévroses. Masse osseuse considérable sur la cuisse gauche allant

re du moyen fessier et la moitié supérieure du vaste externe. Cette masse s'insère au grand trochanter. La partie supérie

and trochanter. La partie supérieure de la tumeur est bifurquée. La masse princi- pale émet une expansion antérieure alla

la colonne vertébrale, surtout à la colonne lombaire, se voient des masses saillantes qui prennent naissance aux épines il

nds dorsaux. Des nombreuses travées transversales unissent ces deux masses . Leur disposition est d'une symétrie remarquabl

droite des tuber- cules, qui plus tard se confondent en une grosse masse ; une autre, grosse comme un oeuf de cane, doulo

es plumes à écrire et allant de haut en bas. Dans les trapèzes, des masses osseuses. Légère diminution dans l'étendue de l

'articulation sca- pulo-humérale est complète ; le bras se remue en masse avec l'omoplate. Avant-bras et main droite norm

déglutition sont normaux. Le plancher buccal est transformé en une masse dure, calleuse dans laquelle se trouvent enferm

la colonne cervicale en avant, elle semble transformée en une seule masse . A côté de l'apophyse épi- neuse de la 5e vertè

bilic. La narcose fait constater la transformation du psoas en deux masses dures. Scoliose droite de la colonne dorsale et

ses épineuses et les ligaments susépineux sont trans- formés en une masse osseuse. L'apophyse épineuse de la 7" dorsale, ép

tout les demi-tendineux et demi-membraneux, sont transformés en une masse fibreuse ; à côté des tendons,nn noyau osseux com

sa partie supérieure, une pointe osseuse qui se perd dans le muscle. Masse osseuse sur l'articulation du coude qui descend

ie du muscle grand pectoral droit. A droite de la papille ( ? ) une masse osseuse comme une noisette ; les cartilages costa

e dorsale part verticalement en haut jusqu'à la 4e cer- vicale, une masse osseuse fixe, avec une large base, et pourvue de

cations comme des pois. Dans le tiers supérieur du bras existe une masse de consistance cartilagineuse superficiellement

ie des muscles du bras et de la main.Dans le brachial antérieur une masse osseuse sous forme de stylet, longue de 8 centi

ANTE PROGRESSIVE 319 Dans l'épaisseur du triceps droit, on voit une masse allant du bord posté- rieur de l'aisselle jusqu

et gon- flement au-dessus du genou gauche. A ce niveau, on voit une masse dure ayant envahi le droit antérieur et les deu

y a comme une contracture permanente des muscles de la paroi. La masse sacro-lombaire est diminuée de volume, ce qui ren

2, H. 2, mars 1898, p. 177. UN CAS DE SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 335 masse par les mouvements des'articulations des genoux e

uliens sont normaux. Pas d'inégalité dans le volume des fesses, des masses sacro-lombaires, du tronc. Il existe une petite

cette période on fixe le cerveau dans le formol, on trouve déjà une masse de vacuoles ; mais si le cerveau est fixé Py. 4

le grand dorsal du côté gauche. A gauche, sur(le dos, une grande masse élastique, constituant apparemment une nouvelle

la clavicule : l'omoplate se trouve prise daus l'intérieur de cette masse . A son niveau la peau est épaissie par place ; el

e, fixée et déviée vers la droite ; le cou est raide ; il offre des masses osseuses ; les steruo-mastoïdiens et les trapèzes

vait noté au-dessous de l'angle inférieur de l'omoplate gauche, une masse osseuse fixée aux tissus sous-jacents. La tête

ous de la paroi postérieure du creux axillaire il existe une grande masse dure et bosselée. De l'angle inférieur de l'omopl

e lui rendre une certaine mobilité par l'extirpation de cer- taines masses osseuses sur quelques points du squelette. Il a t

cles grand dentelé, grands pectoraux, grands dorsaux, trapèzes, les masses sacro-lombai- res sont ossifiés. Rien dans le

droite, il y a moins de lésions, les mouvements sont plus libres. Masses volumineuses à l'angle inférieur des omoplates; l

hique d'une région montagneuse. A la palpation, on sent partout une masse dure, osseuse. Nombreuses exostoses sur les parti

lus bas ; la moitié supérieure est en- tièrement fixe, et forme une masse compacte avec les muscles qui entourent l'épaul

393 cou, sur le bord externe, du trapèze gauche, se voit une petite masse ovale de 5 centimètres. La partie supérieure du

'enfant se penche à droite. En janvier 188' nouvelle tumeur dans la masse sacro-lombaire gauche ; et à l'angle inférieur

sque entièrement abdominale ; omoplates presque fixées ; une grosse masse sur le bord interne de l'omoplate droite, plus la

auche au même niveau et sur l'apophyse transverse. Ossification des masses sacro-lombaires, à gauche plus prononcée. Sur l

oncée. Sur le côté externe du genou droit, au-dessus du péroné, une masse osseuse, plate, d'un pouce de diamètre, et un n

rçon, 9 ans, vu en juillet 1891. A t'age de 6 mois, on constate une masse il l'angle inférieure de l'omoplate droite ; à

ules sur les côtes. 2P année : fixité du bras et augmentation de la masse de l'omoplate, rigidité de la nuque sans qu'on y

a masse de l'omoplate, rigidité de la nuque sans qu'on y trouve des masses osseuses. 3e année : masse dure entre la crête il

ité de la nuque sans qu'on y trouve des masses osseuses. 3e année : masse dure entre la crête iliaque droite et la 12° cô

: chute sur le genou, plaie, qui guérit, mais laisse à sa suite une masse au-dessous et à droite de la rotule droite. Nuque

6e année : nuque très raide, pour la première fois on y trouve des masses osseuses ; plusieurs autres sur les côtes. 7° a

faire tomber. Mouvements de la tête très limités, nuque très raide. Masse osseuse entre le menton et le sternum; elle se

icoïde sous forme d'une corde arrondie et dure. Des angles de cette masse partent deux cordes osseuses, l'une il droite et

muscles du creux axillaire. Dans la paroi postérieure de l'aisselle masse osseuse allant en bas jusqu'à l'angle inférieur

u-dessus de l'apophyse styloïde. Dans le long supinateur probablement masse ovale d'un pouce de long sur 1/2 de large, mobi

'à 45°, l'adduction complète est impossi- ble. Dans le grand dorsal masse osseuse étendue de l'angle inférieur de l'omo-

GRESSIVE 39o nexion avec le tendon du biceps. Plus profondément une masse semblant ap- partenir à la partie inférieure du

ertèbres dorsales, dans les fibres les plus inférieures du trapèze, masse arrondie, mesurant 3/4 de pouce de long, sur 1/2

ui en partent. A droite de la colonne, dans la région lombaire, une masse plate très mobile. Elle s'étend de la ligne méd

Le bord antérieur du grand dorsal est saillant et transformé en une masse irrégulière, étendue de la crête iliaque aux côte

hanche droite conservés. Juste au-dessous du grand trochanter, une masse de 3 pouces de long sur 1 de large, paraissant

en adducteur : les deux sont fixes à leur extrémité inférieure. Une masse mobile, irrégulière entre l'extrémité inférieure

e entre l'extrémité inférieure du condyle interne et la rotule; une masse plus petite, mobile, juste au-dessus de la tubéro

tion osseuse à leur niveau ; la paroi postérieure est occupée par une masse attachée à l'angle inférieure de l'omoplate et

de. Transformation DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 397 de la masse sacro-lombaire aux lombes en une masse osseuse la

FIANTE PROGRESSIVE 397 de la masse sacro-lombaire aux lombes en une masse osseuse large de 4 pou- ces 1/2 dont deux pouce

grande partie de la portion axillaire du grand dorsal. ' D'autres masses dans le grand rond, le long du bord interne de l'

ux pieds. Avril 1893. Pas d'augmentation de la raideur du dos ; les masses osseuses, surtout celles du grand dorsal, sont

surtout celles du grand dorsal, sont augmentées de volume. Nouvelles masses osseuses il gauche de la colonne commençant ver

ales. Les muscles atteints sont : le grand dorsal, les scalènes, la masse sacro-lombaire. Bras droit fixé par le tendon o

convexité dirigée vers la nuque. A sa première moitié il existe une masse irrégulière, osseuse mesurant un demi-pouce. La

ements respiratoires limités. A la partie moyenne de la 5° côte une masse osseuse, triangulaire, se pro- , longeant en ar

le, on sectionne le tendon du grand dorsal il droite, on excise une masse osseuse très dense et très dure, mais une nouve

excise une masse osseuse très dense et très dure, mais une nouvelle masse , plus dense, ne tarda pas il réapparaître. i Un

e nouvelle masse, plus dense, ne tarda pas il réapparaître. i Une masse plus petite située sur le tendon d'Achille à droi

dans les esprits et, à mesure que l'instruction se répand dans les masses , nous sentons grandir l'espoir que notre généra

au, siège des facultés supérieures, on se le représentait comme une masse homogène au point de vue fonctionnel, quelque c

n exemple, un amaigrissement, rapide ou progressif, qui envahit une masse plus ou moins considérable de muscles du squele

aissement du moignon de l'épaule mais plus accentué. L'élévation en masse du scapulum est par contre moins accusée. Le bord

frappe c'est le scapulum ala- l2t))t. Le scapulum paraît élevé en masse , mais nous tenons à dire, une fois pour toutes,

du corps. 10 Abaissement du moignon de T épaule. 2° Elévation en masse de l'omoplate. 3° Eloignement du bord spinal pa

A. - Au repos, le bras tombant le long du corps. ,1- Elévation en masse du scapulum. 2° Rapprochement du bord spinal pa

ctoraux et du grand dorsal. Quel est le mécanisme de l'élévation en masse de l'omoplate ? Cette élé- vation est occasionn

un mouvement de rotation pro- duisent en même temps l'élévation en masse de cet os (1). » Ce mouvement de rotation est p

le nom de scapulum olat2cn. Tout d'abord l'omoplate est élevée en masse , beaucoup plus élevée que lorsque le bras pend

levée que lorsque le bras pend le long du corps. Cette élévation en masse est facile à concevoir. Nous savons, en effet,

ur de son angle externe. Il s'ensuit t logiquement une élévation en masse de l'omoplate. D'autre part, dans l'élévation v

e thorax, imprime à l'omoplate un mouvement de rotation, l'élève en masse et lui communique un mouve- ment de totalité en

latum. Or qu'est-ce que le scapulum en aile, sinon l'éléva- tion en masse de cet os, le rapprochement de son bord spinal pa

l'os devient interne ? C'est, en d'autres termes, la projection en masse de l'omoplate en arrière, en dedans et en haut. C

sont : a) l'abaissement du moignon de l'épaule, b) l'élévation en masse de l'omoplate, c) l'obliquité de son bord spina

d'élever le bras au delà de la ligne horizontale, b) l'élévation en masse de l'omoplate, c) l'obliquité de son bord spina

n ait ici ÉNORME NjEVUS ANGIOMATEUX DE LA FACE 449 l'aspect d'une masse molle qui a poussé dans les points laissés libres

e supérieur gauche ne présente pas d'atrophie en longueur, mais les masses musculaires sont flasques et la mensuration circo

non proéminent; au- dessous de l'angle de l'onioplatê, il y a deux masses proéminentes, mais non fixées à l'os. Les muscl

ie a très peu progressé. Les deux cordons latéraux ont disparu. Les masses osseuses paraissent plus fixes et semblent unies

. A..., fille, 5 ans, vue pour la 1 ra fois le 21 juillet 1895 pour masses lom- baires et raideur de la muque. Trois sem

uscles, suivre si bien le trajet de ces derniers, par exemple dans la masse sacro-lombaire gauche, qu'il faut admettre qu'e

sacro-lombaire gauche, qu'il faut admettre qu'elles se rattachent aux masses musculaires. Ailleurs les ossifications se sont

cervical. Toute la musculature du cou semble ne former qu'une seule masse garnie de bandelettes osseuses. Saillie notable

ointes osseuses dans le droit. Bras dans l'adduction. On voit des masses osseuses tout autour de la région axillaire, su

lonne vertébrale et les apophyses épineuses sonl transformés en une masse osseuse. L'ossification des muscles du dos va san

lombo-dorsal avec les muscles sous- jacents sont transformés en une masse s'étendant jusqu'à la moitié de la crête iliaqu

va probablement jusqu'au carré lombaire. '^Partout à la limite des masses osseuses on constate des contractions fibrillaire

sacro-iliaqne des deux côtés. Dans le fascia lata droit se voit une masse osseuse. De même à gauche. Mouvements du genou li

at normal, particulièrement s'ils se trouvent dans le voisinage des masses osseuses. La réaction est bonne dans les muscles

e, lordose de la colonne lombaire. Résistance plus considérable des masses sacro-lombaires. Une grande partie des muscles de

atteints ; les fessiers, le quadriceps, les adducteurs offrent des masses osseuses. Autant que l'état des muscles le permet

de tout l'appareil locomoteur ; elle se caractérise par le dépôt de masses osseuses dans le tissu conjonclif des muscles,

1894, p. 43. - Ossification du grand dorsal, des scalènes et des masses sacro-lombaires. Med. et Surg. Heporter. Philad

es joueurs esl pré- rise en quatre ou cinq traits minuscules. Cl la masse des spectateurs rendue avec un procédé schémati

r la scie ou le marteau, fait tomber la calotte crânienne, on voit la masse encéphalique, enveloppée encore par la dure-mère,

e extrémité répond à l'occiput et la petite extrémité au front. Cette masse encéphalique, solidement maintenue dans sa forme

clusivement constitués, à leur surface convexe ou supérieure, par une masse de tissu nerveux dont l'écorce uniformément grise

C), bridé en quelque sorte par les deux bandelettes optiques, est une masse de substance grise, bombée, terminée par une tige

perforé postérieur. Les pédoncules cérébraux (PP) sont deux grosses masses de faisceaux nerveux dirigés de dedans en dehors,

l et l'on divise la moelle au niveau du collet du bulbe. Lorsque la masse encéphalique est ainsi extraite de la boîte du cr

ère basilaire. Si l'on relève d'arrière en avant et de bas en haut la masse cérébelleuse, on constate que le cervelet est rel

terminer derrière les tubercules quadrijumeaux antérieurs, dans deux masses ganglionnaires, situées immédiatement au-dessous

rsque le couteau a traversé le corps calleux, c'est-à-dire lorsque la masse cérébrale est complètement divisée, on ne cesse p

alleux, qui est la grande commissure inter-hémisphérique, puis à la masse pédon-culaire et aux divers organes de la base du

avité crânienne dans sa totalité, que le cervelet a été détaché de la masse encéphalique, et que les deux hémisphères ont été

té renflée. Chacune de ces extrémités paraît être une réflexion de la masse calleuse sur elle-même. L'extrémité antérieure, o

ule latéral. — La paroi du ventricule moyen est représentée par une masse grise considérable, ovoïde, allongée dans le sens

ius (AQ), [qui traverse d'arrière en avant la région supérieure de la masse protubérantielle (PV), a pour paroi supérieure le

QP. Les tubercules quadrijumeaux antérieur et postérieur sont deux masses grises mamelonnées situées sur le prolongement de

s est renforcé, en avant du tubercule quadrijumeau antérieur, par une masse cylindrique de fibres transversales qu'on appelle

l'habénule (HAB) n'est que le prolongement superficiel fibreux de la masse grise commune au ganglion de l'habénule et à la g

le pédoncule cérébral (PP) pénètre dans l'hémisphère au-dessous de la masse du thalamus, avec laquelle il se confond. En arri

'écorce; elles sont aussi celles qui s'enfoncent le plus loin dans la masse cérébrale. Mais la scissure de Bolando qui, à tou

rentrant correspond à une sorte de bride qui relie la périphérie aux masses opto-striées. D'autre part, nous savons que le

ieure de la corne frontale du ventricule latéral est tapissée par une masse de substance grise, renflée en avant, amincie en

ieure de la corne sphônoï— dale, où elle se termine, au contact d'une masse grise (NA), connue sous le nom de noyau amygdalie

compose de trois segments : un externe, un interne et un moyen. La masse totale des trois segments porte le nom de noyau l

p (CAS), puis s'enfonce d'avant en arrière et de haut en bas, dans la masse du cap. Ce diverticulum peut être appelé Yincisur

rps calleux. Toute la face convexe du corps calleux est séparée de la masse des circonvolutions qui l'entoure, par un sillon

ner dans le lobule de l'hippocampe (IIL) et qui est cachée ici par la masse des tubercules quadrijumeaux antérieurs (QA), de

grande circonvolution limbique fait le tour du corps calleux et de la masse pédonculaire, et elle arrive jusqu'au voisinage d

et le gyrus postérieur du lobe, carré forment dans leur ensemble une masse triangulaire à sommet antéro-inférieur, s'enfonça

érieur est la branche supérieure de la scissure pariétale {sP). Cette masse triangulaire est incomplètement divisée, du milie

d'anastomose sur aucun point de son parcours. 11 sépare absolument la masse corticale commune à la cinquième circonvolution o

ion occipitale (0^) et à la circonvolution de l'hippocampe (T") de la masse commune k la quatrième circonvolution occipitale

ne {Oi) s'avançant, d'avant en arrière, à une faible distance dans la masse de la sixième circonvolution occipitale (0"). Par

ersalement par son milieu ; le cervelet ayant été ainsi détaché de la masse cérébrale, une coupe sagittale a été pratiquée su

e, Figure 2. face interne du même hémisphère après ablation de la masse protubérantielle Si l'on se reporte à la figu

gure 2. Le cerveau étant appliqué sur sa face convexe, on relève la masse et qui est la scissure sous-pariétale (sP). Ell

obe carré (CQ) et le pli de passage cunéo-limbique (xO*') forment une masse bilobée, et ne sont divisés que par l'extrémité i

ercule qiuidrijumcau postérieur (QP). Il va sans dire qu'on relève la masse protubéranticlle avec les doigts; l'érigne déchir

les doigts; l'érigne déchirerait le tissu nerveux. La traction sur la masse protubéranticlle doit être suffisante pour qu'on

atum intermedium, de couleur foncée, est un faisceau qui traverse une masse pigmentée, le locus niger de Sœmmering. Il est in

Derrière le lobule de l'hippocampe, la fente de Bichat (Bf) sépare la masse protubérantielle (PV) de la circonvolution de l'h

e ventricule frontal. En arrière et en dehors il repose sur une large masse de fibres qui convergent vers la couche optique (

ge masse de fibres qui convergent vers la couche optique (NeC); cette masse de fibres est la couronne rayonnante, dirigée obl

ois noyaux de la couche optique forment aussi, dans leur ensemble, la masse ovoïde du thalamus. Ils sont séparés les uns de

x noyaux externe et interne (NeC, NiC) se con- ' fondent en une seule masse , que nous étudierons sur une coupe plus inférieur

de ce ventricule. GO. Le centre ovale, dans le lobe frontal, est la masse de fibres qui émergent de la partie supérieure et

n des coupes verticales. FPV. Le faisceau pariétal vertical est une masse de fibres d'association, étendues entre les circo

dus (GLP) et le glohus medialis (GLM), constituent avec le putamen la masse grise à laquelle on a donné le nom de noyau lenti

t du segment postérieur de la capsule (CID). Elles s'arrêtent dans la masse grise du putamen, après avoir présenté d'assez no

NeC) qui avaient été entamés par une coupe plus supérieure. C'est une masse grise assez homogène, limitée encore en dehors pa

épare de la circonvolution de l'hippocampe (Hip). Le pulvinar est une masse grise qui correspond à la fusion des noyaux inter

s'arrête pas nettement à la lame médullaire externe; il envoie nne masse de libres horizontales, dirigées de dedans en deh

ales, dirigées de dedans en dehors, au faisceau sensitif (FSi). Cette masse de fibres n'est autre chose que la couronne rayon

ieur, qui semble faire corps avec la couche optique, présente dans sa masse grise une tache foncée, nettement arrêtée en deda

ue du noyau caudé (NCC). FPV. Le faisceau pariétal vertical est une masse peu compacte de fibres d'association qui réunisse

voit, en efl'et, que le pont de Varole représente sur cette coupe une masse parfaitement distincte de l'hémisphère proprement

ue la scissure calcarine, s'enfonçant à une grande profondeur dans la masse cérébrale, réduit l'espace vide aux proportions e

ur un cerveau frais, on voit la pénétration de cette scissure dans la masse du cuneus). Au-dessous du cuneus, la scissure c

t accolé. Sa coloration foncée indique qu'il est toujours formé d'une masse compacte de fibres dirigées d'avant en arrière. A

ns se rejoindre. Cela fait que le lobe carré semble n'être relié à la masse cérébrale que par un pédicule limité à droite et

deux branches, un(i supérieure [Oi), qui sépare le lo-be carré de la masse hémisphérique ; une inférieure (sQ), qu'on peut a

ans, accolé à la substance grise du recessus, pour aller se porter en masse à la partie la plus interne de l'hémisphère. Il e

ment isolé, qu'il appelle le premier l'attention. Nous verrons que la masse compacte de fibres dont il se compose est cependa

de sa portion interne s'incurvent sous le ventricule. La plus grande masse se porte directement d'avant en arrière; et, au n

gures suivantes (14 et 15), lorsque les fibres moyennes se portent en masse vers la ligne médiane, tandis que les fibres infé

les. Elles sont interrompues sur leur trajet ascendant par une petite masse grise (Fci), le fasciola cinerea, accolée à la pa

isinage du sinus du corps calleux (sC) résulte une augmentation de la masse des libres antéro-posté-rieures qui, à la partie

avité ventriculaire.-Au-dessus de cet angle fortement enfoncé dans la masse blanche des fibres du forceps, on ne trouve plus

comme sur les coupes précédentes. Fci. Fasciola cinerea. La petite masse de substance grise attenante à l'écorce du pli de

dits, on peut l'étudier comme telle, vu sa situation profonde dans la masse des fibres blanches. CAM. Corne d'Ammon. Sur la

est bien rare que le couteau n'entame pas à la fois les trois petites masses grises représentées sur la fîg. 25 (CAM). Sur la

onvolution godronnée; la coupe 24 ne l'entame que deux fois; les deux masses externes se confondent en une seule, par le fait

e peut être appelé sillon du subiculum (Dsu). Substance grise. La masse grise enveloppée par la substance blanche qui ref

tes. La portion grise (Fci) se présente d'abord sous l'aspect d'une masse homogène, résultant de la fusion des trois taches

figuraient, sur la coupe, trois saillies d'une circonvolution dont la masse (Fci) est la base commune. Un peu plus en avant,

asse (Fci) est la base commune. Un peu plus en avant, au centre de la masse grise, apparaît une bande blanche (LMA, fig. 26)

ières, représentent encore les saillies d'une circonvolution dont une masse nouvelle (Fd, fig. 50) est la base commune. D'a

une partie àe substance blanche reste à la périphérie d'une petite masse de substance grise. La figure schématique ci-jo

ntales de l'hémisphère (pl. XXXVIII, fig. 1 et 2). Les rapports de la masse grise de la corne d'Ammon avec la substance blanc

(Fd). Schéma 61. Bref, on en arrive aisément à se représenter la masse grise de la corne d'Ammon comme un groupement de

raît une tache triangulaire (fig. 28, FOi) indiquant la section d'une masse de fibres dirigées d'avant en arrière et apparten

'au voisinage de la paroi ventriculaire interne et se confond avec la masse grise déjà connue de la corne d'Ammon. Il s'agit

actement ce que nous avons déjà vu sur la figure 29, c'est-à-dire une masse grise homogène au milieu de laquelle se trouve un

e une tache blanche, et au milieu de cette tache blanche une nouvelle masse grise. Seulement tout cet ensemble, au lieu d'êtr

l'hippocampe (Hip). Sur la fig. 52 on comprend ce que représente la masse grise centrale : au-dessous du corps calleux la b

pocampe (sh). Pour s'en assurer on n'a qu'à suivre le trajet de cette masse grise jusqu'à la circonvolution de l'hippocampe e

de la bandelette cendrée (Tf). Il paraît alors plongé au milieu d'une masse de substance blanche (LMA). Mais ce n'est qu'une

masse de substance blanche (LMA). Mais ce n'est qu'une apparence. La masse de substance blanche est tout simplement la lame

que la réflexion à la face inférieure du ventricule ne se fait pas en masse , tout d'un coup, pour toutes les fibres visibles

ît au-dessus et en dedans du fascia dentata (Fd), une nouvelle petite masse grise (Fd') ; celle-ci est la section d'un autre

i-même. Le fascia dentata n'est autre chose que le corps godronné. La masse grise (Fd') est un godron placé au devant du godr

postérieur. GI, corps genouillé interne. 79. Il se compose d'une masse grise (QA) recouverte d'une lame blanche superfic

— Au pourtour de l'aqueduc de Sylvius (Aq, fig. 52) on distingue une masse de substance grise qui tapisse de toutes parts la

araître, vers le milieu de la paroi ventriculaire externe, une petite masse grise (NC) perdue dans la substance blanche du ta

vité s'enfonce dans le corps calleux plus profondément en dedans ; la masse du corps calleux se trouve ainsi divisée en deux

scissure de Sylvius (S') s'enfonce profondément et se relève dans la masse de la circonvolution pariétale inférieure (P2, fi

circonvolution temporale à la deuxième (T2). A la face interne, la masse protubérantielle est sectionnée sur la ligne médi

é entre la couche optique et l'aqueduc de Sylvius, est perdu dans une masse de fibres obliques ou antéro-postérieures, dont l

Th. La couche optique (61, 62, 65, 64) est représentée par une large masse d'un gris clair, parcourue de dehors en dedans et

he XXI. BQP. Le bras du tubercule quadrijumeau postérieur forme une masse de fibres beaucoup plus importante que celle du b

ée ici encore tout au voisinage de son extrémité postérieure, est une masse de substance grise, beaucoup plus claire et beauc

n voit s'isoler un noyau interne (NiC, fig. 89) ; il est séparé de la masse commune par des faisceaux de la capsule interne r

ceaux de la capsule interne représentant la couronne rayonnante de la masse commune postérieure (Rth, fig. 70), et provenant

la substance grise paraisse au premier abord confondue en une seule masse , il est donc possible déjà d'établir quelques div

rêne de la glande pinéale semble y prendre naissance, est une petite masse grise située au-dessous et en dedans du thalamus,

us la glande pinéale, ce tractus vraiment minime équivaudrait dans sa masse totale à ces quatre racines réunies. Cette supp

e tubercule quadrijumeau antérieur a disparu. Il est remplacé par une masse de fibres dirigées en haut, en avant et en dehors

r partie interne (Lmd, 67), plus claires à leur partie externe. Cette masse de fibres représente In lamina lateralis. Sur l

ue (ansa intergenicularis de Rauber (fig. 68, 71) représente, sous la masse du thalamus, entre le corps genouillé externe et

ssus et en dehors du noyau caudé (fig. 69, TAP) et qui, sorties de la masse du corps calleux, se portent encore en arrière, e

de façon à laisser un vide, une excavation fissuraire, entre ces deux masses grises. Cette excavation est visible sur la coupe

"), se compose de trois lames concentriques, aboutissant en haut à la masse très petite du fascia dentata (Fd). En réalité,

Le centre médian ou centre de Luys (fig. 75, 74, 75, 76, 77) est une masse grise dont la section verticale est assez réguliè

me une portion commune à ces deux derniers. La plus antérieure de ces masses grises est celle que nous venons de signaler sous

vons déjà étudiée sous le nom de tractus Iransver.ws pcdunculi. Cette masse grise, placée en avant du corps genouillé interne

. 76). Rth. La couronne rayonnante du thalamus (fig. 75) sort de la masse de la couche optique, entre le noyau thalamique e

ît, en haut et en dehors de la substance blanche qui le recouvre, une masse grise qui appartient à son noyau proprement dit

e, une masse grise qui appartient à son noyau proprement dit. Cette masse est parcourue par des fibres recourbées, à concav

au point (Pcs) de la coupe 84. Elle est toujours intercalée entre la masse la plus importante des fibres cérébelleuses et le

artie inférieure et extérieure du tegmentum donne ici naissance à une masse de fibres dont la direction antéro-postérieure se

interrompant les fibres du faisceau de la calotte. Sur la coupe 79 la masse principale se présente sous l'aspect d'un cercle

ne, crochet de l'hippocampe. pocampe [SU fig. 89), se compose d'une masse grise au milieu de laquelle apparaissent des tach

ord enveloppé de sa capsule blanche et constitué en apparence par une masse grise uniforme, présente sur les coupes 87, 88, 8

te de cette disposition. Le corps genouillé externe ne serait pas une masse grise uniforme et compacte, comme l'est, par exem

. Le pédoncule Cérébelleux supérieur (fig. 85, 87, 89) se porte, en masse , en haut et en dehors, en décrivant autour de son

Il est certain que, si le pédoncule cérébelleux supérieur se jette en masse dans le noyau rouge de la calotte, il abandonne u

idal pénétrer directement dans la capsule interne sous la forme d'une masse compacte de fibres claires, limitée en dehors par

e abopdance ses fibres transversales vers la capsule interne, mais la masse des fibres postéro-antérieures reste encore assez

faisceau du centre ovale (fig. 88), fondu à sa partie interne dans la masse des fibres du corps calleux, s'incline en bas et

ngitudinal postérieur, dont elle semble être l'épanouissement dans la masse thalamique ; mais nous ne prétendons pas pour cel

ce blanche. PV. Le pont de Varole esL sectionné ici au milieu de la masse des fibres du pied du pédoncule (fig. 91). Le nom

ourt trajet, le stratum intermedium ne peut plus être reconnu dans la masse des fibres du pied. CAO. Le faisceau tegmento-t

I, fig. 96). FP. Le faisceau pyramidal (fig. 91), formé d'une belle masse de fibres blanches, passe, d'une seule traite, de

tubérance (PV), il se porte en bas et en dedans, formant toujours une masse homogène et suffisamment isolée. Dans Région pé

g. 94), dont il sera plus longuement question ultérieurement, est une masse de fibres antéro-postérieures courant au-dessous

férieure (CIF). Les faisceaux du pied du pédoncule qui constituent la masse fondamentale de la capsule interne sont le faisce

rieur du thalamus (fig. 97, 101), ou corpm album subrotundum, est une masse grise bien isolée, enveloppée de tous côtés par d

le se confond en dehors avec le discus lentiformis (PL). Cette petite masse grise est en rapport intime avec la lame terminal

érieur du ventricule sphénoïdal, est remplie en grande partie par une masse ganglionnaire (NA, fig. 104, 105, 106, 107), de p

P. La queue du noyau caudé (fig. 105, 104) réduite à une toute petite masse grise à peine reconnaissable dans l'angle inféro-

che du stratum zonale, il reçoit à sa face inférieure, adhérente à la masse de la couche optique, le faisceau de Vicq-d'Azyr

ieure du thalamus (Thl). G1P. Le ganglion interpédonculaire est une masse ganglionnaire (figure 105) située dans la substan

e et qui nous semble pouvoir être présenté de la façon suivante : Les masses grises situées sur le trajet des fibres, sont des

x-ci ne pénètrent que très rarement d'emblée dans les noyaux dont les masses grises se composent. La plupart du temps ils enve

atum zonale de la couche optique est le type de cet encapsulemcnt des masses grises, dont on retrouve les stratifications lame

rfois saillir en arrière des tubercules mamillaires (TM) deux petites masses grises perdues dans la substance grise de l'espac

lamina tegmenli (LTE), lorsque ce faisceau vient s'épuiser dans cette masse ganglionnaire et dans le discus lentiformis. Nous

mmédiatement au-dessus du faisceau capsulaire (MF, fig. 108), est une masse convergente de fibres en pinceaux superposés, iss

e. Le faisceau sensitif externe (fig. 107), réduit à une toute petite masse prismatique de fibres compactes, logées entre le

faisceau d'origine externe naît de la substance grise dans une petite masse ganglionnaire qu'on appelle noyau postéro-externe

CAM. La corne d'Ammon n'est plus représentée ici que par une petite masse grise, ovalaire, allongée transversalement (CAM),

couche optique, le noyau externe est rempli, en quelque sorte, par la masse énorme des libres qui y viennent aboutir de tous

'est blanc qu'à la surface; c'est un noyau gris, adhérent à la grande masse basilaire. D'après de récents travaux (Gudden,

ient directement dans la substance grise qui constitue la plus grande masse du tubercule (4). Celui-ci serait enveloppé par l

es divergentes se répartiraient de la façon suivante : La plus grande masse du faisceau de Vicq-d'Azyr (9) sortirait du noyau

fig. 112), de telle sorte que ses fibres postérieures entrent dans la masse líbrense de la capsule interne au-dessus du glo

(fîg. 112, 115). Sur la coupe 115 le faisceau d'Arnold forme môme une masse fibreuse très remarquablement limitée et compacte

e antérieure de la couche optique (ThÀ, fig. 116, 117 et suiv.). La masse des fibres foncées de ce dernier faisceau s'en au

ine antérieure de la couche optique (ThA) forment ensemble une grande masse fibreuse interposée entre les trois segments du n

ne part, et le noyau caudé, d'autre part. En haut et en dehors, cette masse fibreuse est entrecoupée obliquement par les fibr

du troisième ventricule (SG, fig. 116, 117). Il est constitué par une masse homogène de fibres ondulées, spiroïdes, blanches,

ance grise du septum luci-dum (GSL, fig. 125). Nous verrons que cette masse de substance grise n'est que le prolongement du n

nce grise de la lame terminale. Mais, en fait, c'est toujours la même masse de substance nerveuse, en continuité avec la mass

t toujours la même masse de substance nerveuse, en continuité avec la masse du tuber cinereum, en d'autres termes, avec la pa

rs vers la rigole inférieure de Sylvius, mais elle est arrêtée par la masse énorme du fasciculus uncinatus (FU, fig. 125). Pl

lobus medialis (GLM). Elles se confondent toutefois, au-dessous de la masse grise commune au noyau lenticulaire et au noyau c

asse grise commune au noyau lenticulaire et au noyau caudé ; ces deux masses n'en faisant en réalité qu'une seule, les deux an

ormer la portion blanche, car le septum lucidum est constitué par une masse grise (GSL), prolongement du noyau caudé qui remo

es 124, 125, 126, la commissure antérieure est située au-dessus d'une masse grise que nous connaissons, et qui n'est autre qu

ui n'est autre que la lame terminale (LAT). Dans l'épaisseur de cette masse grise, arrivent de bas en haut, c'est-à-dire de l

le fond noir sur lequel se détachent ces stries est constitué par la masse des fibres de la racine antérieure du thalamus (T

qui se confond avec celle du faisceau du centre ovale (CO). CO. La masse des fibres du centre ovale (iîg. 128, 13Ô) dont l

du faisceau diffus (FDF), arrive bientôt à ne plus faire qu'une seule masse avec ce dernier. Mais s'il se réfléchit sous le c

c le gyrus rectus (GI{). Le corps calleux (ce) se compose ici d'une masse considérable de fibres transversales, qui se -div

et en dehors et va rejoindre au milieu du lobe frontal (fig. 158) la masse des fibres antéro-postérieures. ARC. Le faiscea

au voisinage du noyau caudé (NCC, fig. 5). 11 se compose d'une grosse masse grise qui, à sa partie inférieure, est séparée du

e optique (NpC). NmC. Le centre médian, situé juste au devant de la masse du pulvinar, se présente ici comme l'ovoïde aplat

u-dessus, en dehors et en arrière du ganglion de l'habénule; c'est la masse grise où se confondent les deux noyaux interne et

us haut (fig. 6) le corps calleux (ce) s'insinue entre l'écorce et la masse ammonique. Une partie du splenium, la plus petite

AU-DESSUS DE l'hABÉNULE Substance grise. Sur ces trois coupes la masse opto-striée s'est rendue indépendante de l'étage

anche. ce. Le corps calleux, sectionné en avant et en arrière de la masse opto-striée, présente sur la coupe 7 une striatio

accole, en dehors, au faisceau géniculé (FG). Nous savons que dans la masse grise du thalamus elle se divise en deux faisceau

'un seul tenant, sans faire escale dans les différentes régions de la masse opto-slriée qu'il parcourt. LMf. La lame médull

E XXXVll COUPES HORIZONTALES PASSANT PAR LA RÉGION SUPÉRIEURE DE LA MASSE OPTO-STRIÉE. Les deux premières figures (10 et

a plus à distinguer de noyaux. Le thalamus (Th) est constitué par une masse grise uniforme, à la partie antérieure de laquell

ssus de la scissure de Sylvius, au-dessus de l'insula. Elle entame la masse de l'opercule (OF, OP) qui, sur la coupe précéden

noyau caudé (RNC) envoie à la capsule externe (CE) des fibres dont la masse décrit une courbe à concavité postérieure. Nous s

limite en dehors la bandelette optique (BO) et qui fait partie de la masse du tuber cinereum. Le tuber cinereum (TC, fig. 5)

voluta elle-même. On constate d'ailleurs que toute l'étendue de cette masse grise est recouverte par l'alveus (ALV), lequel p

trorrhagie au milieu de laquelle la malade rend en une seule fois une masse , vésiculaire dans la moitié de sa surface, non vé

s racemosay etc. (*) planche i. Fig. i. La figure i représente la masse expulsée vue du côté non vésiculeux. Toutes les v

. Les vésicules BBB se distinguent par leur volume au milieu de cette masse globuleuse, dont les grains sont comme pressés le

2 et i'. Elles représentent deux grappes vésiculaires détachées de la masse commune. On voit les vésicules tantôt agglomérées

t généralement que les grappes, comme les vésicules, ne tiennent à la masse que par un seul point ; mais on peut s'assurer ic

pédicule. Souvent une ou deux vésicules plus petites (10, 12), ou une masse de vésicules plus petites (i3), surmontent une vé

ement petites, affaissées, extraites de la partie supérieure Ce de la masse commune ( fig. 1 ) ; ces grappes, que je ne puis

res, qui sont frappantes de vérité , représentent : la figure 4 ? des masses de grappes enveloppées dans des caillots de sang

'éprouve dans la main, par le seul fait du battement des artères, une masse de liquide, et d'une autre part n'ait pas été ind

acentaires sont en petit nombre et développées dans l'épaisseur de la masse , tant qu'il existe une croûte placentaire intacte

igé d'opérer la dilatation avec l'index, et quelques heures après une masse vésiculeuse fut expulsée. Dans ce même cas, des a

s que dans l'autre cas la totalité du placenta était convertie en une masse de vésicules qui sortit en plusieurs fois et remp

de l'art prouve que l'altération existait à différens degrés dans la masse placentaire : donc elle s'était déclarée successi

és poches se voyaient des caillots de sang faisant suite à de petites masses carcinomateuses MC, MC, libres dans toute leur su

alactiforme, gélatiniforme, du cancer. Aussi voit-on ici que toute la masse tuberculeuse TTT, fig. 2, ne présente aucun vaiss

sselures tenaient à la présence d'une quantité innombrable de petites masses , les unes tuberculeuses, les autres encéphaloïdes

amina loc ^ïnç, la vessie, l'utérus et ses annexes. J'entame l'énorme masse adipeuse au milieu de laquelle le rein gauche éta

des calculs d'acide urique. Autour du foyer principal, au milieu des masses adipeuses, on reconnaissait de petits foyers puru

pe utérine gauches. Après avoir complètement séparé l'uretère de la masse indurée, j'ai reconnu que ce canal contenait une

osition granuleuse de la substance corticale; je n'y ai trouvé qu'une masse celluleuse dont les mailles auraient été dissocié

uide trouble interposé : on ne pouvait d'ailleurs exprimer de cette masse une seule goutte de pus ou de sérosité. Il y avai

points, ce pus était concret PC et représentait assez bien de petites masses de matière tuberculeuse. Du reste, la surface du

ssu merveilleusement organisé sortir en quelque sorte du milieu d'une masse énorme de pus ; de voir le tissu du rein disséqué

s le rein, mais dans les autres tissus. Il m'a exactement rappelé des masses de mélanose développées dans le tissu musculaire

squ'à un groupe de ganglions lombaires qui étaient transformés en une masse cancéreuse, au-delà de laquelle apparaissait le c

a face inférieure de ce muscle. Ce plaqué rouge était dû à de petites masses de sang. Les vaisseaux n'avaient pas encore eu le

ur de l'organe. Au moment de la section de la rate, la couleur de ces masses infiltrées de pus était tout-à-fait semblable à l

té aux extrémités inférieures. Les membres soulevés tombent comme une masse inerte. Face décolorée, jaunâtre ; pupilles contr

ses sont extrêmement fréquentes dans nos organes : tantôt ce sont des masses adipeuses qui parviennent à un volume plus ou moi

hymus, etc. H n'est pas rare de rencontrer de la graisse au milieu de masses squirrheuses ; mais alors je ne pense pas qu'elle

ar de petites perles de cholestérine. J'ai vu les lamelles ou petites masses de cholestérine extraites, par M. Barruel, de l'o

d'une fétidité intolérable. Il expectorait sans difficulté, en grosse masse , du mucus d'un blanc jaunâtre, d'apparence purule

il y a de nombreuses exceptions à cet égard; ainsi au centre de cette masse de concrétions, on voit un caillot sanguin très-c

ire de points blancs. Au microscope, on voit une forme aréolaire, une masse homogène, mais point de traces de vaisseaux. Du

excroissances, de végétations à base large VE, VF, formant de petites masses séparées les unes des autres; celle du duodénum V

ne de la synoviale; d'autres étaient agglomérés. On voyait de petites masses plâtreuses à la face postérieure des tendons des

l'épaisseur de l'os, à une certaine distance du cartilage, de petites masses crétacées; le cartilage articulaire, en se desséc

canéum était pénétré de matière plâtreuse déposée çà et là en petites masses : autour du tendon d'Achille, masse plâtreuse con

euse déposée çà et là en petites masses : autour du tendon d'Achille, masse plâtreuse considérable non adhérente. Fig. 5. R

aire, existent des concrétions goutteuses CL : CP, CP sont de petites masses de concrétions goutteuses déposées le long des ph

bras, et même dans l'épaisseur de quelques muscles j'ai rencontré des masses de concrétions plâtreuses sous la forme de petits

le lieu de la soudure : la matière plâtreuse était déposée en petites masses tout autour. — L'articulation métatarso-phalangie

lâtreuse qui semble être déposée sous, la membrane synoviale. Petites masses plâtreuses dures à l'extérieur de ces articulatio

Incrustation simple des articulations phalangiennes. Autour d'elles, masses plâtreuses qui formaient les nodosités observées

VD, 7e VD, 8e VD, 9e VD, 10e VD) : leurs débris confondus forment une masse couverte de végétations protectrices V, laquelle

us forment une masse couverte de végétations protectrices V, laquelle masse se continue en bas avec la onzième vertèbre dorsa

re le pus et la matière tuberculeuse. Il y a, dans divers points, des masses de cette matière pultacée qui sort par expression

phaloïde, il y avait çà et là des concrétions sanguines et de petites masses tuberculeuses, ou plutôt de pus concret MT, MT, e

ques qui étaient dus à de la matière tuberculeuse. Au milieu de cette masse existait « un kyste du volume d'une petite noix,

refoulée sur un des cotés de la tumeur, et il m'a semblé retrouver la masse « entière du testicule. L'épididyme était induré

nullement entravé. A l'ouverture, nous trouvâmes un paquet énorme de masses encéphaloïdes tout le long de la colonne lombaire

t que ces produits tantôt peuvent exister long-temps sans infecter la masse , et tantôt l'infectent immédiatement. Ce qui me p

ercules TB, TB, TB, gris jaunâtre, séparés les uns des autres par une masse plus ou moins considérable de filamens testicul

use n'adhérait pas aux parois des cellules, dont elle se détachait en masse , sans qu'il en restât le moindre vestige. Dans un

'expression. Les membres sont flasques et retombent presque comme une masse inerte : cette enfant ne peut se tenir debout ni

la cavité de l'arachnoïde et entre cette membrane et la pie-mère. La masse encéphalique remplissait à peine la moitié de la

une membrane celluleuse très-bien organisée, qui pouvait s'enlever en masse par une sorte d'énucléation. La couleur a été par

et traitée comme telle. Coma ; les membres soulevés tombent comme une masse inerte. Le malade ne répond à aucune question. (V

ous-arachnoïdien de la moelle épinière. J'ai coutume de décrire cette masse de tissu cellulaire comme le centre du tissu cell

-arachnoïdienne a eu pour résultat un dépôt de pus concret en petites masses ou tubercules. Observation Ire. — (Fig. i.) U

La figure 4 représente les méninges détachées et étalées. On voit les masses tuberculeuses qui longent les vaisseaux. 6e. Li

, bien que l'organe acquière un volume double, triple, quadruple, les masses de rein intermédiaires sont comprimées, atrophiée

la surface du rein entre les bosselures qu'elle présente, de petites masses de granulations qui ont échappé plus ou moins com

lcération, à la désorganisation ; quelquefois elles s'escarrifient en masse , et dans.ce cas, il n'est pas rare de voir le feu

es la tunique musculeuse était à nu. Ces escarres formaient une seule masse comme difïluente, et adhéraient fortement dans le

able de cette figure PP, et,on rencontre sur divers points de petites masses concrètes jaunâtres qui précèdent en général l'ér

t-être par la promptitude de la mort du malade : pas de doute que ces masses de follicules et de papilles intestinales n'eusse

nées filiformes separables; mais que les papilles réunies forment une masse conique, sur laquelle comme sur une seule papille

tête et la moitié supérieure du tronc l'entraînent en avant comme une masse inerte. L'extrémité inférieure gauche me paraît t

st aussi parfaitement indiquée : la figure 2 représente la base de la masse encéphalique : l'atrophie de l'hémisphère gauche

conscrivait exactement la tumeur. Je pensai que j'avais affaire à une masse encéphaloïde enkystée. Peut-être cette masse étai

ue j'avais affaire à une masse encéphaloïde enkystée. Peut-être cette masse était-elle développée dans la cavité de la tuniqu

ulés ou non articulés et presque toujours accompagnés de mouvemens en masse ou de mouvemens partiels et désordonnés, de posit

vantage; 2° sous celle de transformation des organes eux-mêmes en une masse aréolaire et gélatiniforme. Dans ce dernier cas,

tion est uniforme, et il est impossible de démêler au milieu de cette masse homogène ce qui appartient à chaque tunique eu pa

avait également subi la transformation aréolaire gélatiniforme : des masses fibreuses traversent la tumeur et envoient des pr

la tumeur et envoient des prolongemens secondaires qui la séparent en masses moins considérables ; ces masses elles-mêmes sont

emens secondaires qui la séparent en masses moins considérables ; ces masses elles-mêmes sont divisées en aréoles plus petites

me que l'absorption physiologique, ne s'exercent pas sur les corps en masse , mais successivement sur les divers élémens de ce

pus formé dans l'intérieur dune veine n'infecte donc pas toujours la masse du sang. Circonscrit par des caillots qui l'entou

ar suppuration, que c'est là la seule médication rationnelle; car, la masse du sang une fois infectée par le mélange du pus,

La rate, plus volumineuse que de coutume, était parsemée çà et là de masses sphéroïdes denses, d'un rouge foncé, tout-à-fait

e couleur ardoisée ; incisé au niveau de ces plaques, il a offert des masses irrégulières, plus ou moins profondes, marbrées d

Dans presque tous, une couche épaisse d'induration rouge entoure une masse blanche et dure formée par du pus infiltré dans l

ire. Des points d'induration rouge se voient çà et là au milieu de la masse infiltrée de pus. Quelques-uns, tels que le foyer

. .Te reconnus des tumeurs fibreuses ramollies, altérées; les petites masses arrondies qui constituent ce genre de tumeurs s'é

lement très abondant et d'une horrible fétidité, a expulsé de petites masses que j'ai reconnu être des tumeurs fibreuses. Cett

omme une » dissociation des deux élémens naturels de cet organe : les masses jaunes, fauves, » constituant le tissu accidentel

Livraison. Pl. 2. MALADIES DU FOIE MALADIES DU FOIE. Cancer par masses disséminées. (xilc LIVRAISON, PLANCHES 1 ET 3.)

la plus grave est peut-être la dégénération cancéreuse, sous forme de masses disséminées. Il n'est pas moins positif que cette

ême que les abcès multiples du foie, suite de phlébite, le cancer par masses disséminées affecte une sorte de prédilection pou

l'irritation du péritoine. Je signalerai comme le siège habituel des masses cancéreuses les plus volumineuses, cette partie d

dinaire proéminente. VIII. Sous le rapport du volume, le cancer par masses disséminées du foie présente beaucoup de variétés

Les états divers sous lesquels se présentent les cancers du foie par masses disséminées, me paraissent devoir se rapporter à

e qui présentait toutes les variétés et tous les degrés du cancer par masses disséminées. Plusieurs masses cancéreuses offraie

riétés et tous les degrés du cancer par masses disséminées. Plusieurs masses cancéreuses offraient, dans une partie de leur ét

dividu mort à la Maison royale de Santé, j'ai rencontré un cancer par masses disséminées tout à la fois dans le foie et dans l

horax; cancer de deux ovaires; foie parsemé d'un très grand nombre de masses cancéreuses d'une dureté cartilagineuse; quelques

e de masses cancéreuses d'une dureté cartilagineuse; quelques petites masses de même nature dans les poumons. XVIII. La ques

me, les granulations hépatiques; 3° dans un grand nombre de. ras, une masse plus ou moins considérable du foie ayant été enva

au milieu d'un tissu sain, et en celles qui envahissent à la fois une masse plus ou moins considérable de granulations contig

s cancéreuses du foie, une ou plusieurs veines hépatiques remplies de masses cancéreuses adhérentes. Or, si la matière cancére

n eût dit que c'était un cancer enkysté; dans une seconde variété, la masse cancéreuse remplit les divisions delà veine, dans

comme le ferait une matière injectée, avec cette différence que cette masse cancéreuse est adhérente aux parois et évidemment

ax et présente des bosselures; car la fréquence du cancer au foie par masses disséminées est telle qu'il suffit, en général, d

hépatiques; tristesse ; anorexie ; marasme ; mort. Cancer au Joie par masses disséminées ; variété dure. Leroux (J. B.), t

tristesse profonde, et même désespoir. Je diagnostiquai un cancer par masses disse'mine'es dans le foie, et je me bornai à la

oie ne déborde les côtes que quarante jours avant la mort. Cancer par masses disséminées du foie (variété molle). Ulcère cancé

n de pus dans le tissu de l'ovaire. Inférieurement se voit une petite masse jaunâtre, OE, qui me paraît le corpus luteum des

infiltrée et même épanchée dans une cavité creusée au milieu de cette masse ramollie. Il y a donc ramollissement et pulpe,

res du matin. Ouverture du cadavre : Péritonite pseudo-membraneuse; masses défausses membranes rassemblées comme par foyers

V, remplis de sang concret. Cette tumeur était ramollie ; les petites masses dont l'agglomération constitue les tumeurs fibreu

sont vus d'arrière en avant; ils présentent çà et là des lobules, des masses de lobules imperméables par infiltration sanguine

ntent à l'extérieur un aspect truite : cet aspect est dû à de petites masses d'induration très multipliées, rouges, sphéroïdal

çà et là au milieu d'un tissu sain : tantôt, les poumons sont pris en masse dans une grande étendue, il n'est même pas rare d

venu naturellement : mort au bout de quarante-huit heures. Lobules et masses de lobules infiltrés de sang au milieu de lobules

it infiltré de sang et de sérosité. Cette infiltration avait lieu par masses plus ou moins considérables, absolument comme dan

ans la brûlure. Je trouvai dans les poumons une douzaine de petites masses indurées sphéroïdes et superficielles pour la plu

aient compris plusieurs lobules pulmonaires. Au milieu de ces petites masses était du pus épais contenu dans des foyers ? dont

ersées par des brides pénétrées du même liquide. On peut dire que ces masses de pneumonie lobulaire tiennent le milieu entre l

altérations n'est comparable à celles que l'on observe, soit dans la masse encéphalique, soit dans les poumons du fœtus. Et

sieurs jours , et même plusieurs mois , avec des fractions minimes de masse encéphalique. Du reste, l'altération de la subs

ent indurées, cartilagineuses, et comme déposées çà et là par petites masses à la surface interne des membranes pie-mère et ar

choroïdes, PC; la voûte à trois piliers, V. La fig. 2 représente la masse encéphalique vue par sa base ; le cervelet, CC, t

NOL, qui en partent; les membranes cérébrales. La fig. 5 montre la masse encéphalique, vue d'arrière en avant : on voit ma

itement sain. On ne trouve d'autre vestige du cervelet, qu'une petite masse , DC, DC, située derrière le bulbe. Point de protu

nte du cervelet incisées, la moelle coupée vers le trou occipital, la masse encéphalique enlevée et renversée, on remarque qu

roit, avait été déchiré; vers ces pédoncules, je trouvai deux petites masses de substance blanche, w isolées et comme détachée

, tom. 4'^ )• Le siège des concrétions par aiguilles ou par petites masses formant gravier est bien évidemment dans les va

ait en outre à la face interne du lobe supérieur du poumon gauche une masse considérable de matière tuberculeuse. Dans un a

ur, sans autre trace manifeste d'inflammation. Quelquefois une grande masse de granulations est affectée; d'autres fois, l'al

la densité du pus, à la multiplicité des foyers, à l'irrégularité des masses envahies, a pu faire croire à la nature tubercule

on de pus ou abcès dont les dimensions sont mesurées par celles de la masse primitivement envahie. Existe-t-il dans les pla

aucun obstacle à la sortie des boules fécales qui se détachent de la masse et s'échappent avec plus ou moins de facilité.

ode de formation pour les hernies diaphragmatiques accidentelles. Une masse adipeuse se forme entre le péritoine et le diaphr

e le péritoine et le diaphragme, derrière l'appendice xyphoïde; cette masse graduellement accrue écarte les fibres à la maniè

rable du ventricule gauche. Les poumons présentaient une trentaine de masses encéphaloïdes qui occupaient toute leur surface e

a surface était bosselée. Divisé par son bord convexe il présenta une masse encéphaloïde volumineuse qui avait refoulé en bas

e pancréas normal. L'aorte abdominale rétrécie était entourée par une masse squirrheuse qui s'étendait depuis l'orifice aorti

aissait ici pour cause l'oblitération de la veine cave et aussi cette masse cancéreuse qui entourait l'aorte. La veine cave

ne part importante, on aurait dû tirer une conséquence opposée. Les masses encéphaloïdes des poumons, niasses qui occupent l

es du rein. MALADIES DU CERVELET ET DE LA PROTUBÉRANCE ANNULAIRE ( MASSES TUBERCULEUSES). ( XVIIIe livr., pl. IL ) EXPL

ésente la face supérieure du cervelet d'un enfant de 9 à 10 ans. Deux masses tuberculeuses sphéroïdales TO,TO, sont logées dan

e ces tubercules, comme d'ailleurs celle de tous les tubercules de la masse encéphalique, est d'un jaune verdâtre. Fig. 2.

bercules de la masse encéphalique, est d'un jaune verdâtre. Fig. 2. Masses tuberculeuses TO, TO occupant la face inférieure

cervelet et susceptible d'énucléation. Il n'en est pas de même de la masse tuberculeuse du lobe droit LDG qui paraît formée

membres, répond parfaitement aux cas représentés fig. 1 et 2. Deux masses tuberculeuses dans le lobe gauche du cervelet. Au

ie livraison. 1 Dans l'hémisphère gauche du cervelet se voient deux masses tuberculeuses dont chacune a le volume d'un œuf d

ait ni injectée ni ramollie. Le poumon gauche était converti en une masse tuberculeuse infiltrée au milieu d'un tissu hépat

rme infiltrée sous l'arachnoïde. Protubérance annulaire. Au centre, masse tuberculeuse spl îeroi'dale du volume d'une noix,

x de ce côté. Le pédoncule cérébelleux droit est occupé par une autre masse tuberculeuse bien distincte de la précédente, aya

t de bas en haut les tubercules quadrijumeaux. Cervelet. Une petite masse tuberculeuse, irrégulière occupait le côté extern

même. Dans le cas d'infiltration, la matière tuberculeuse forme une masse imparfaitement limitée et parcourue par des vaiss

extrêmement déliés. Ils sont tantôt enkystés, tantôt non enkystés. La masse tuberculeuse est quelquefois disposée par couches

bercules pisiformes disséminés : souvent on ne rencontre qu'une seule masse tuberculeuse , plus souvent deux ou trois. Ces ma

tre qu'une seule masse tuberculeuse , plus souvent deux ou trois. Ces masses constituent ordinairement des tumeurs sphéroïdale

ie latérale gauche de l'hémisphère, au niveau de la région temporale; masse tuberculeuse, blanc jaunâtre, à surface granulée

e-mère et ayant acquis tout son développement du coté du cerveau. Une masse tuberculeuse , plus petite, existait au-dessus de

et par suite de rétention du mucus utérin. La fîg. 5 représente la masse de poils qui était contenue dans le kyste KP, fig

ovarique (je n'ai pas noté de quel côté) très volumineux : on voit la masse adipeuse et pileuse MP, des plaques ossifiées PO,

stes qui n'avaient aucune communication entre eux, l'un contenait une masse pileuse M P, l'autre ne contenait qu'une matière

ans poils. Dans l'épaisseur de la cloison intermédiaire se voyait une masse informe de dents soudées entre elles et soutenues

u'on a débarrassés de la matière grasse à l'aide de l'alcool. Cette masse pileuse MP, fig. 1, ovoïde, qui était formée par

eu lieu; qu'il leur était même arrivé parfois d'entraîner de petites masses de poils qui se présentaient à l'ouverture fistul

e, au milieu de laquelle ils sont disséminés, il suffit de plonger la masse enkystée dans l'huile essentielle de térébenthine

onsidérable que dans le cas représenté pl. V; mais au milieu de cette masse osseuse dont toutes les parties étaient soudées e

nac, ce fœtus était contenu , à l'extrémité de la trompe droite : une masse comme plâtreuse, du volume du poing, se voyait ve

ntés fig. 4, 4' et 5 ; ils étaient évidemment formés aux dépens de la masse encéphalique desséchée. La coupe delà colonne v

abdominale se voient, 1° le foie qui est desséché et converti en une masse celluleuse, 2° les coupes du canal intestinal qui

de 61 ans d'une fluxion de poitrine. .A l'ouverture, on trouva une masse ovoïde du volume de la tète d'un homme « attachée

rice, et qui semblait partir de la trompe droite : en ouvrant » cette masse qui pesait près de huit livres, on y découvrit un

N DES FIGURES» Planche ire. La fîg. 1 (1/2 grandeur) représente une masse de kystes acéphalocystes qui remplissait l'abdome

st entre le foie et la rate et au-dessous de ces organes qu'existe la masse très considérable, globuleuse, terminée en pointe

ui descendait jusque dans l'excavation du bassin; l'incision de cette masse nous a présenté une foule de kystes remplis d'acé

ien fig. 2, pl. 1. Pl. II. La fig. 1 (i/2 grandeur) représente la masse formée par le foie, la rate et la tumeur, vus par

postérieure une espèce de demi-anneau qui venait se continuer avec la masse qui appuyait sur la face antérieure de cet organe

la partie sous-diaphragmatique de ce canal. L'aspect général de la masse , vue postérieurement, n'est pas exactement le mêm

ité et une période de ramollissement , et quatre formes : i° celle de masses enkystées; i° celle de masses non-enkystées; 3° c

sement , et quatre formes : i° celle de masses enkystées; i° celle de masses non-enkystées; 3° celle de matière infiltrée dans

rti en une espèce de granit ou mieux de mica noir, formant de petites masses concrètes peu régulières moulées les unes sur les

forme de cancer peu étudiée jusqua ce jour, et qui consiste dans des masses ou gros tubercules cancéreux disséminés dans l'ép

du cancer marronne du foie. De même que dans le foie, le cancer par masses disséminées des os se présente dans deux conditio

ire opéré sans récidive, que j'ai eu occasinod'observer le cancer par masses disséminées des os. A cette occasion je ferai rem

u'ils sont rares à la suite du cancer utérin. Le cancer des os, par masses disséminées, s'observe dans la cavité médullaire

à ce niveau, et la moelle pénétrée de sérosité. Dans le cancer par masses disséminées des os, ce n'est point le tissu osseu

ane médullaire des os que siégerait cette altération. Le cancer par masses disséminées des os se présente sous l'aspect de t

é cylindrique des os longs, le cancer se moule en cylindre. Quant aux masses cancéreuses du tissu spongieux des os courts ou d

eur siège dans le tissu gingival intra-alvéolaire. Les cancers, par masses disséminées desos, ne sont point accompagnés du d

éré étaient dans l'état le plus parfait d'intégrité. Le cancer, par masses disséminées des os, mérite d'être distingué du ca

re la pneumonie tabulaire et la pneumonie ordinaire. Le cancer, par masses disséminées des os, porte exclusivement sur le ti

r de la mamelle gauche. Rupture spontanée des deux fémurs. Cancer par masses disséminées dans les os, le foie, le tissu cell

s de la longueur, on vit qu'ils contenaient un nombre considérable de masses d'apparence fibreuse, de volume variable , irrégu

ns le tissu spongieux de ces os. Dans quelques points, on voyait deux masses placées à côté l'une de l'autre. La figure 4 re

ans la dure-mère, qui lui formaient une enveloppe fibreuse. Plusieurs masses fibreuses se voyaient encore dans d'autres points

arfaitement sains. Ainsi, dans l'infection cancéreuse générale, les masses ou tubercules cancéreux peuvent se développer dan

es os n'ont pas été examinés. Le foie présentait un petit nombre de masses cancéreuses blanches offrant absolument le même a

une grosse noix, faisaient saillie sur les régions pariétales, ce Une masse fibreuse, partout de même organisation, mais d'ap

qu'ils parussent sains à l'extérieur, présentaient à l'intérieur une masse fibreuse qui remplaçait la moelle de ces os. Le

çait la moelle de ces os. Le foie était occupé par une multitude de masses consistantes, sans vaisseaux apparens, et criant

ait avec le pancréas, devenu cancéreux lui-même, et était parsemée de masses encéphaloïdes solides ou ramollies. Tous les autr

ux tiers supérieurs. Le canal médullaire de l'os était rempli par des masses cancéreuses superposées M, mais sans adhérence le

provenait évidemment de la pression exercée sur eux par la tumeur. La masse la plus volumineuse répondait bien évidemment à l

lus volumineuse répondait bien évidemment à la fracture indiquée. Ces masses étaient de consistance inégale : celle qui répond

st dans un état complet de résolution : soulevé, il retombe comme une masse inerte; le membre supérieur gauche est rigide et

..... — — Granulations, cyrrhose................. --- Cancers par masses disséminées ; variétés dure et molle. Considérati

zième année. Maladies du 'cervelet et de la protubérance annulaire. Masses tuberculeuses. Observations et considérations gén

ns et les aponé-« vroses restent long-temps distincts au milieu de la masse , cartilagineuse d'abord, puis os-« seuse, qui con

is. Dans un cas, il s'était détaché au centre du grand trochanter une masse de tissu spongieux qui s'était enfoncée dans l'ép

re des surfaces articulaires. Les os du carpe sont confondus en une masse irrégulière, dans laquelle il est bien difficile

ccréditer cette opinion, c'est qu'on voyait dans la narine gauche une masse charnue d'apparence polypeuse, et qu'on entendait

t offrait plusieurs tumeurs fibreuses; l'un des ovaires contenait une masse blanchâtre, adipocireuse par sa consistance, qui

séquent que le tissu osseux ne constituait que le tiers environ de la masse . La tumeur présente une disposition lobuleuse,

'indépendance des mamelons et tubercules qui sont groupés par petites masses , mais parfaitement isolés les uns des autres,leur

us en substance spongieuse, il entre dans l'épaisseur delà tumeur des masses calcaires irrégulières, qui ne présentent aucun c

able que la portion antérieure. Cette tumeur est divisée en grosses masses ou lobules, séparés les uns des autres par des si

lons ne tiennent au lobule qu'à l'aide d'un tissu fibreux. Toutes ces masses sont plongées au milieu d'une sorte de gangue fib

a tumeur, qu'elle occupe en outre son centre où elle forme de grosses masses . On voit quelques géodes, des masses cartilagineu

centre où elle forme de grosses masses. On voit quelques géodes, des masses cartilagineuses à la circonférence, calcaires au

st formé par une matière plâtreuse, phosphatique, disposée en grosses masses amorphes ou en petits corps globuleux, granuleux,

cette tumeur séparée à l'aide de la scie. On voit la coupe de petites masses calcaires que l'action de l'instrument a fait écl

caires inégaux sont réunis non par la vie, mais par l'agrégation. Ces masses sont un agrégat de petits grains phosphatiques, d

on du tissu cartilagineux. Ces portions membraneuses, interposées aux masses phosphatiques, se déchirent par une violence un p

i permet devoir les vides que la dessiccation a laissés au milieu des masses phosphatiques. Réflexions. A quelle catégorie d

membrane qui enveloppait la tumeur. Celle-ci était formée «par « une masse à-peu-près sphérique, d'une substance couleur de

bres charnues, était facile à reconnaître à la super-« ficie de cette masse . 11 passait directement de l'un à l'autre des lob

bra-« neuse de la tumeur étant enlevée avec soin , la substance de la masse restée à nu présentait « une structure et une con

nne proprement dite: les deux premiers cunéiformes, ne forment qu'une masse qui s'articule en avant avec le premier métatarsi

tarsien ; le cuboide et le troisième cunéiforme forment également une masse qui s'articule avec le cinquième métatarsien et a

arrière la crête médiane, et, se renflant tout-à-coup, formaient une masse circulaire qui représentait les deux tubérosités

LIVRAISON. i Une vaste cavité cotyloïde, unique, creusée sur cette masse , reçoit les tètes réunies des deux fémurs. En p

in B, étreint par une ligature. M. le docteur Bleynie a appris qu'une masse considérable d'intestin en partie pleine de mécon

ou plutôt confondues, et nous verrons tout-à-l'heure que c'est sur la masse apophysaire, formée par la réunion de ces deux tu

e les extrémités inférieures des fémurs et supérieures des tibias,une masse charnue, libre en bas JR , que je considère comme

mmun EC,et extenseur propre EP de chaque jambe, sont confondus en une masse charnue, de laquelle partent les tendons qui appa

rture spontanée se fait dans le lieu le plus déclive. Une très grosse masse gangrenée se présente aux deux ouvertures, trop p

l'espèce de pont qui les sépare, et alors j'extrais avec violence une masse très considérable, spongieuse, pénétrée de pus, q

ect lobuleux , comme si la glande parotide n'avait pas été envahie en masse , mais bien simultanément ou successivement dans p

ncer mélanique de l'œil, qui a été extirpé. La figure 4 représente la masse cancéreuse vue de côté. Le muscle petit oblique M

rtenaient au globe lui-même; mais la section antéro-postérieure de la masse (fig. 4") montre que le globe de l'œil et le nerf

e truffe noire, les stries blanches et fibreuses qui traversent cette masse . Il ne m'a pas été donné de voir si les muscles a

est tendu, gros, indolent à la pression : on y sent profondément des masses dures qui en occupent le centre. L'appétit est nu

chapelet. Dans le mésentère et dans les mésocolons ils composent une masse qui en contient plusieurs centaines et qui rempli

res , beaucoup plus mous, et ce sont les plus gros , ont l'aspect des masses encéphaloïdes prêtes à se ramollir ; enfin il en

rveau un peu ferme. Les autres, beaucoup plus f mous, ont l'aspect de masses encéphaloïdes prêtes a se ramollir; enfin il en e

vaisseaux étaient très dilatés, partait du côté interne d'une grosse masse molle, ellipsoïde, aplatie, du volume de la tête

e. Après avoir détruit les adhérences, j'enfonçai la main derrière la masse intestinale grêle, et je ramenai un enfant qui ét

ches bleuâtres, et offre assez d'analogie, quant à l'aspect, avec une masse informe de savon ordinaire. « Au toucher, la tê

. 3° Entre les os du crâne et la dure-mère on trouvait çà et là des masses analogues, quant aux propriétés physiques, à de l

ne rencontre aucune trace de substance cérébrale, mais on trouve une masse semblable à celle qui avait été observée entre le

'un enfant à terme ; sa partie supérieure gauche est convertie en une masse graisseuse ferme, lobulée, d'un blanc mat. Les va

ir, cette invagination ne pouvant franchir la valvule iléo-cœcale, la masse invaginée pourrait s'invaginer encore dans le gro

correspondant. De cette manière, il évitait de mettre à découvert la masse considérable d'intestins contenue dans la tumeur,

nt se confondre avec la première. Un snspensoir sert à soutenir cette masse énorme qui ne lui fait éprouver que peu d'incommo

ncision longitudinale ; on ouvre le sac herniaire, il se présente une masse épiploïque considérable qu'on retranche sans effu

et en haut, où l'on sentait une fluctuation manifeste; on trouva une masse épiploïque comme squirrheuse recouvrant plusieurs

vi, xxive livraison, fig. 1, représente le sac herniaire ouvert et la masse intestinale contenue dans sa cavité. On voit qu'a

s fine, formait une couche uniforme et présentait çà et là de petites masses qui soulevaient la membrane interne de l'intestin

té ; il y avait souvent hématurie. Les urines présentaient de petites masses demi concrètes qu'on aurait prises au premier abo

ant ensuite l'intérieur du bassin , je vis qu'il était rempli par une masse fortement indurée. L'S iliaque du colon présentai

ammation chronique. J'enlevai ensuite, pour mieux l'étudier, toute la masse indurée qui remplissait le bassin, en rasant les

es fécales par suite de cette compression ; en outre, ouverture de la masse dégénérée dans le rectum. Voici d'ailleurs les

grand nombre de vaisseaux sanguins. En arrière du rectum était une masse aréolaire gélatiniforme, dont toutes les aréoles

soit primitivement, soit consécutivement, est si souvent le siège de masses cancéreuses disséminées; la rate n'en présente ja

éphaloïde du foie qui peut servir de type pour la variété molle : ces masses , de volume et d'aspect si divers, disséminées dan

sseur, les autres en contenaient un très grand nombre. Toutefois, les masses blanc de lait sans apparence vasculaire, présente

'est l'intégrité parfaite des granulations du foie qui avoisinent les masses encéphaloïdes, d'où la doctrine qui établissait q

nt les masses encéphaloïdes, d'où la doctrine qui établissait que ces masses encéphaloïdes n'étaient point formées aux dépens

veineux du foie de divers ordres, ceux même qui passent au centre des masses encéphaloïdes, sont parfaitement sains. Réflexi

parfaitement sains. Réflexions. Le cancer encéphaloïde du foie par masses disséminées est une des lésions les plus importan

aux faits et quelques réflexions : I. Les cancers encéphaloïdes par masses disséminées du foie sont primitifs ou consécutifs

n opérés sans rencontrer dans le foie des tubercules cancéreux ou des masses cancéreuses. Ces mêmes masses ou tubercules cancé

le foie des tubercules cancéreux ou des masses cancéreuses. Ces mêmes masses ou tubercules cancéreux s'observent très habituel

ire, sont d'une date toute récente. Sous ce rapport les tubercules ou masses cancéreuses du foie se comportent absolument de l

aphragme. III. Un point important dans l'histoire des tubercules ou masses cancéreuses du foie, c'est l'étude des altération

apparition jusqu'à sa terminaison. IV. Le volume de ces tumeurs ou masses carcinomateuses, la rapidité ou la lenteur de leu

qui est plutôt atrophié qu'hypertrophié dans le cancer, mais sur les masses parasites disséminées dans l'épaisseur de cet org

de cet organe. Ayant débarrassé une portion considérable du foie des masses cancéreuses qu'elle contenait dans son épaisseur,

e qui a lieu de plusieurs manières, i° tantôt par l'accroissement des masses cancéreuses qui sont le siège d'un travail nutrit

morbide extrêmement actif : et c'est dans ces cas qu'on rencontre des masses cancéreuses tellement molles, tellement gorgées d

par l'infiltration séreuse, gélatineuse, purulente, caséiforme de ces masses : car il est positif que l'inflammation et ses di

pus liquide ou concret et de la matière tuberculeuse au centre de ces masses dégénérées; 3° mais c'est surtout dans le cas si

exploratrice. VI. Ces foyers sanguins spontanés, ces apoplexies des masses carcinomateuses éprouvent une série de modificati

-L. Jourdan, Paris, 1837, t. vi,p. i36. VIL Les foyers sanguins des masses carcinomateuses peuvent être tellement considérab

ine et l'épanchement du sang dans la cavité du péritoine. V1ÏI. Les masses carcinomateuses du foie sont quelquefois la cause

en admets la possibilité. IX. Un des effets les plus ordinaires des masses carcinomateuses du foie, c'est l'ascite. Générale

c'est l'ascite. Généralement attribuée à l'obstacle mécanique que ces masses apportent au cours du sang, l'hydropisie péritoné

peut pénétrer consécutivement dans les veines, autour desquelles les masses cancéreuses sont développées. Dans l'un et l'autr

nt développées. Dans l'un et l'autre cas, il y a infection du sang. Masses encèphaldides du foie présentant l'aspect de boui

. Ce grand volume du foie était dû à d'innombrables et volumineuses masses carcinomateuses développées dans l'épaisseur de c

sse, et l'absence de bosselures tenait probablement à la moilesse des masses carcinomateuses elles-mêmes. Le foie adhérait i

uire ces adhérences, on a entamé un foyer morbide. Ce foyer était une masse encéphaloïde qui avait subi une altération bien p

er sanguin qui avait été la source de l'hémorrhagie appartenait à une masse encéphaloïde. Dans l'épaisseur du grand épiploo

évidemment le foyer sanguin était une conséquence de la rupture de la masse encéphaloïde. Les poumons présentaient une multit

u-nés, Paris , 1837, page $1. MALADIES DU i OiE livraison. ru Masses Cancer crises dlècès enkus s- A Chazal del. l

oie. i (Planche v, xxmc livraison.) Les tubercules cancéreux et masses cancéreuses du foie sont tantôt primitifs, tantôt

cquiert le foie cancéreux : il ne l'est pas moins par la multitude de masses et de tubercules cancéreux, dont un grand nombre

comme dans les cas analogues, la plus grande partie des tubercules et masses cancéreuses occupait la surface du foie. Les mass

des tubercules et masses cancéreuses occupait la surface du foie. Les masses cancéreuses de la surface étaient proéminentes et

ésentait proportionnellement un plus grand nombre de tubercules et de masses que le lobe droit. La plus grande partie de ces

rcules et de masses que le lobe droit. La plus grande partie de ces masses et tubercules était très dense et à l'état qu'on

ns résistante que celle des tumeurs dures. L'examen attentif de ces masses et tubercules m'a permis de voir : i° que les tub

ent autre chose que les granulations du foie transformées; i° que les masses étaient constituées par des groupes de granulatio

verture du cadavre. —¦ La glande mammaire droite est convertie en une masse cancéreuse. La peau et le tissu cellulaire subjac

ui participent à la dégénération. Le foie ne présente qu'une grosse masse cancéreuse et trois tubercules cancéreux. La mass

ente qu'une grosse masse cancéreuse et trois tubercules cancéreux. La masse cancéreuse occupe la surface; elle est creusée d'

endu (tubercules cutanés et sous-cutanés); 3° sur le foie (une grosse masse cancéreuse et trois tubercules); 4° sur les poumo

ères ou sous deux formes distinctes : i° tantôt sous celle de grosses masses cancéreuses analogues à celles du foie; i° tantôt

écédé celle du poumon. Dans le cas actuel, l'antériorité de la grosse masse cancéreuse du foie sur les plaques superficielles

; mais on a lieu de s'étonner que le foie n'ait présenté qu'une seule masse cancéreuse. 5° Le cancer consécutif des ovaires

d'autres cas, elle s'empare de la totalité de l'organe, qui tombe en masse comme s'il avait été soumis à l'action d'un caust

e s'est effectuée : je crus la malade guérie; mais bientôt de petites masses dures se manifestèrent dans l'épaisseur de la cic

je les détruisis par le chlorure de zinc ; mais bientôt de nouvelles masses plus profondes s'étant manifestées non-seulement

s, c'est par le foie. Du reste, l'identité d'aspect entre les petites masses cancéreuses observées dans les poumons et les abc

ineux, en occupait généralement le centre. Il a été évident que ces masses étaient formées par les granulations dégénérées d

1 de coutume, présentait à sa surface l'aspect que lui donnent des masses cancéreuses contenues dans son épaisseur; mais un

contenu dans ces poches, ils auraient été dissipés par la présence de masses ou tubercules cancéreux, qui offraient tous les d

nération : ainsi plusieurs présentaient les caractères ordinaires des masses cancéreuses du foie : c'est-à-dire un tissu spong

le, une perte de substance circulaire que remplissait une rondelle de masse cancéreuse. Cette rondelle adhérait à la dure-mèr

itude innombrable de tubercules non ramollis, qui étaient groupés par masses . On voyait çà et là quelques petites cavernes. L'

meurs mélaniques TM, TM, qui constituent les deux tiers environ de la masse que présentait le foie. Les coupes obliques pra

ns, tels que le foie, les poumons, et comment le cancer se montre par masses isolées, au milieu de parties qui sont dans l'éta

uche du corps thyroïde d'une consistance osseuse. La section de cette masse a montré qu'elle était constituée par des cellule

me, fréquente chez les animaux. C'est un sillon qui sépare de petites masses de lobules. D'une autre part, les lobules pulmo

re de l'ulcère. Les ganglions axillaires du côté malade formaient une masse circonscrite , très dure, qu'il aurait été facile

uvraient plusieurs tuyaux bronchiques. Les poumons présentaient des masses et tubercules cancéreux. Une grosse masse était t

s poumons présentaient des masses et tubercules cancéreux. Une grosse masse était traversée par des vaisseaux sanguins et par

atrisation. Tous les autres organes étaient sains à l'exception de la masse encéphalique qui présentait trois tumeurs de natu

face cérébrale de la tumeur était déprimée en godet à la manière des masses marronnées du foie. La deuxième tumeur également

si l'on aime mieux, la guérison la moins complète consistait dans des masses blanches, sphéroïdales,marbrées de lignes et de p

de points noirs, séparées par des lamelles fibreuses, noirâtres. Ces masses blanches étaient formées par une matière, semblab

résente une multitude de tumeurs variqueuses sous la forme de petites masses bleuâtres, molles, flétries, s'affaissant en part

les plus graves, si le pus se mêlait au sang et en infectait toute la masse ; il est probable que dans ce cas surviendraient,

, distinctes; là, lamelleuses, non séparables; ailleurs, disposées en masses mamelonnées, dont les renflemetis arrondis proémi

se, qui n'offrait nullement l'aspect linéaire, constituait de petites masses d'une très grande densité qu'on aurait pu prendre

ées au sein des fibres charnues, si ce n'eût été la continuité de ces masses avec le tissu du cœur. La transformation fibreuse

P très résistante et remplie de concrétions sanguines qui forment une masse assez peu cohérente et non lamellée. Ces concréti

non dans un autre sens. Ventricule droit. — Il était occupé par une masse qui se prolongeait dans l'artère pulmonaire : cet

é par une masse qui se prolongeait dans l'artère pulmonaire : cette masse adhérait mécaniquement aux parois du cœur, à laid

qu'il est assez rare de rencontrer, dans le cas de cancer utérin, des masses cancéreuses dans le foie ou dans d'autres organes

foie ou dans d'autres organes : or, tout récemment, ayant trouvé des masses cancéreuses dans le foie et dans les poumons d'un

oreillette du côté droit. L'oreillette droite ODO est remplie par une masse cancéreuse MC, lobulée qui se prolonge d'une part

es macules de sang que présente leur surface; on voit parfaitement la masse de lobules qui s'enfonçaient dans la cavité formé

'il déprime. Ce tubercule peut donner une idée de la manière dont les masses cancéreuses extérieures aux veines envahissent le

se du foie qui occupait la convexité de l'organe ou qui consistait en masses disséminées dans son épaisseur, avait exercé une

arotidien. La fig. 1 représente la tumeur dans ses rapports avec la masse encéphalique : on voit qu'elle exerce une compres

ous se rallient autour de la compression exercée par la tumeur sur la masse encéphalique; mais, pour bien concevoir les effet

points du cerveau correspondans à la tumeur, mais bien du cerveau en masse . Or, il est de fait que les effets de cette com

reinte crânienne et animée du mouvement qu'impriment les artères à la masse encéphalique puisse agir sur les os à la manière

ité générale et que la myotilité n'ont point été intéressées, tant la masse encéphalique s'habitue à toutes les causes de com

ous le rapport clinique ; car le danger vient de la compression de la masse encéphalique, et nullement du travail morbide pur

le, comme d'ailleurs dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien de la masse encéphalique. J'ai également vu plusieurs fois de

, mais terre à terre en traînant les pieds : elle tomberait comme une masse si on cessait delà soutenir : les deux membres in

opreté. Indépendamment du torticolis, tout son corps ne fait qu'une masse inflexible. Je veux la faire mettre sur un fauteu

rice? Est-ce une des nombreuses formes de dégénération cancéreuse par masses disséminées? Je reste dans le doute à cet égard.

quement la même altération, c'est-à-dire une transformation grise par masses disséminées TG, TG. Paraplégie incomplète du se

nal vertébral, que le kyste manquait au dedans de ce canal, et que la masse hydatique appuyait directement contre la dure-mèr

ut-on pas supposer, si toutefois on admet la vie de ces corps, que la masse contenue dans le kyste a été formée par plusieurs

volume d'un gros pois disséminées à la surface des intestins, par des masses tuberculeuses amorphes, déposées çà et là entre l

nales : c'est surtout dans le bassin qu'on trouve et les plus grosses masses , et les adhérences les plus intimes. Il était au

me fut facile de voir qu'elles occupaient la surface libre. Quant aux masses tuberculeuses, elles existent au sein des adhéren

ieur droit est dans un état complet de résolution; il tombe comme une masse inerte, quand on le soulève; mais la malade le re

s mamillaires participaient à la même altération. Tout le reste de la masse encéphalique était sain. Je ne pus examiner que l

ubercules était constitué par une poche fibreuse contenant une grosse masse calcaire irrégulière. Si l'on considère que la

auche par l'effet de ce chatouillement. Les membres tombent comme une masse inerte; coma qui ressemble à un sommeil profond.

e de granulations GR. Il ne restait de ces hémisphères que de petites masses DC, très denses, disposées en cylindres irrégulie

ux-mêmes et comme gau-dronnés. On reconnaît aisément dans ces petites masses la substance cérébrale, mais indurée, d'une coule

ce débris des hémisphères cérébraux se voit de chaque côté une grosse masse formée par la couche optique et le corps strié. P

éminées sur une membrane brunâtre. La figure 1' représente toute la masse encéphalique extraite du crâne et vue par sa face

avaient été conservées; dans le cas représenté fig. 1 et 2% toute la masse encéphalique fait défaut et est remplacée par de

considère comme constituant le débris du cerveau et du cervelet. La masse encéphalique tout entière est représentée par ces

e encéphalique tout entière est représentée par ces débris et par une masse globuleuse C qui se voit au-dessus du trou occipi

, et ces défectuosités peuvent aller jusqu'à l'absence complète de la masse encéphalique. (1) Voyez Anai'omie descriptive ,

tumeur est la substance cérébrale. Il y avait donc encéphalocèle. La masse totale de l'encéphale, la moelle épinière non com

tière, et locaux, c'est-à-dire qu'ils portent sur une partie de cette masse encéphalique; que ces effets généraux et ces effe

vaisseaux. Cette altération était fort ancienne. Tout le reste de la masse encéphalique était parfaitement sain. Voici la

subdivisées en granulations. Le centre commun était constitué par une masse compacte, blanchâtre, très dense, aréolaire, trav

nguin, qui occupait le noyau cérébral proprement dit, c'est-à-dire la masse gangliforme constituée parla couche optique et le

e moins blanche, et les lobules atrophiés et indurés présentaient une masse homogène d'une coloration et d'une consistance co

e par M. Nélaton, l'un de ses membres les plus distingués. De petites masses tuberculeuses, qui ont été déposées, pour ainsi d

énérescence offrait les caractères propres au tissu squirreux, que sa masse , d'un pouce et demi de diamètre, avait un fond de

ssion une quantité énorme de suc cancéreux. Indépendamment de cette masse innombrable de tumeurs sous-cutanées, j'ai trouvé

sous-cutanées, j'ai trouvé sous le péritoine un assez grand nombre de masses mélaniques. Le foie en était exempt, mais il étai

jaune et avait passé complètement au gras. Rien à la rate. Plusieurs masses mélaniques adhéraient à la racine du rein; plusie

de petites tumeurs mélaniques grises, occupant la surface du poumon. Masse mélanique du volume d'une pomme ordinaire, tuberc

isiques, et on cite un cas dans lequel le nerf, situé au milieu d'une masse tuberculeuse avait éprouvé une solution de contin

ns nerveux est excessivement rare. Enveloppés de toutes parts par les masses cancéreuses du creux de l'aisselle, les nerfs du

dégénération, et, lors même qu'ils sont tellement confondus avec les masses dégénérées, qu'on ne peut plus les en séparer par

t plus les en séparer par une dissection attentive, les coupes de ces masses présentent encore le tissu nerveux propre intact.

tion située au dessus de l'ombilic. Cette hernie était formée par une masse considérable d'épiploon. Le doigt, introduit derr

Le doigt, introduit derrière l'ombilic, pénétrait au centre de cette masse épiploïque, qui était disposée en sac à large ouv

'"), formé de lamelles superposées, dont quelques-unes noires, et une masse amorphe non cristallisée, occupant la circonféren

ée, occupant la circonférence. La figure i" présente la coupe de la masse , et la figure i'" la coupe du noyau. Voici d'ai

au microscope, ce liquide présentait une agglomération de globules en masse , groupés comme le docteur Rayer représente ceux d

trémités de l'os, la dégénération a la forme de tubercules ou petites masses irrégulières, occupant des espèces de géodes, don

n ou dix-huit mois d'un traitement palliatif, on enleva de nouveau la masse cancéreuse et on cautérisa profondément avec le f

on trouvait de gros vaisseaux veineux qui ressemblaient à de petites masses de sang, et cette disposition vasculaire s'observ

re de toutes parts. L'autre mamelle était transformée en* une seule masse fibreuse et lobuleuse. Il y avait une couche épai

e des espèces de crevasses. Mamelle gauche remplacée par de petites masses agglomérées très dures. A la place du mamelon, tu

ncéreuse rouge, moins dense que les parties voisines. Des deux côtés, masses tuberculeuses étendues le long du bord inférieur

La malade parut guérie. L'état général était excellent. Deux petites masses cancéreuses, aplaties en forme de pustules , appa

on. Elle peut se faire par couches successives; elle peut se faire en masse . i° La pleurésie est fréquente dans le cancer m

ité de suc cancéreux. Le foie pesait huit livres: il était farci de masses maronnées,molles, encéphaloïdes : il s'était prol

suite d'un développement de cancer dans leur épaisseur; des faits de masses cancéreuses multiples des os du crâne survenues c

int de le dénaturer complètement et finalement de le convertir en une masse homogène, pulpeuse, qui se détruit et tombe par c

on séreuse qui s'en empare quelquefois : par elle sont dissociées les masses globuleuses qui, par leur groupement, leur tassem

fut facile de séparer par énucléation : cette tumeur était formée de masses globuleuses de différentes dimensions, dont plusi

laquelle serait tout-à-fait impossible si la tumeur se présentait en masse et non point par fragmens qui peuvent s'engager i

et mince qui supportait une tumeur au moins aussi considérable que la masse entière, car elle avait le volume de la tête d'un

étruit les tissus cancéreux couche par couche; tantôt elle envahit en masse les parties dégénérées. Dans l'un et l'autre ca

é des accidens. Dans d'autres circonstances, la gangrène envahit en masse les parties dégénérées, au point qu'il reste à

uence nécessaire de ces énormes destructions : tantôt elle envahit en masse une grande étendue de parties. La fig. i est le

s le même organe. Je me rappelle avoir trouvé dans un foie parsemé de masses cancéreuses une de ces tumeurs qui se continuait

é de masses cancéreuses une de ces tumeurs qui se continuait avec une masse non moins considérable de tissu érectile, si bien

ancéreux. — En étudiant cette région sus-claviculaire, je vis qu'à la masse formée par la tumeur déjà décrite, était annexée

nglions lymphatiques inguinaux et axillaires étaient convertis en des masses lobuleuses énormes; chacune de ces masses était u

es étaient convertis en des masses lobuleuses énormes; chacune de ces masses était un ganglion lymphatique cancéreux. —Les vai

vers les uretères dont la partie inférieure est souvent enveloppée de masses cancéreuses qui la compriment. Cette compression

noir de jais, ou gris noirâtre, tantôt miliaires, tantôt par petites masses irrégulières,quelquefois pénétrés de phosphate ca

es par couches les parties envahies par le cancer, tantôt s'empare en masse de toutes les parties dégénérées,si bien qu'il re

ence de cette désorganisation progressive. Dans le cas de gangrène en masse , l'invasion subite des symptômes les plus graves

je vis que la moitié latérale gauche du bassin était remplie par une masse indurée qui ne permettait aucune dissection. La

rectum, le vagin, et en partie l'utérus, étaient enveloppés par cette masse indurée. Ces organes ayant été incisés verticalem

vre antérieure, il y avait une sorte de tubercule ou plutôt de petite masse un peu plus dense, circonscrite par une traînée d

llissement était probablement le résultat de la présence de la petite masse tuberculeuse indiquée. Toute fluxion ramollit l'u

ermit de reconnaître que la partie inférieure de la poche offrait des masses bosselées extrêmement dures, même avant la poncti

faculté de marcher. Après la ponction, la tumeur était réduite à des masses dures, mobiles xxve livraison. i les unes sur

iers externes de la poche formée par l'ovaire étaient remplis par une masse spongieuse, aréolaire, blanc jaunâtre, qui m'a pr

ollesse presque fluctuante, je l'incisai, et je trouvai, fig. 6', une masse adipeuse mêlée de poils, dont un certain nombre é

avait qu'un seul foie FF, et je m'étonnais du peu de volume de cette masse , qui était censée représenter les deux foies réun

ci disséminés, lenticnlaires, pisiformes ; là agglomérés, formant des masses irrégulières, entremêlées de flocons de graisse q

ères que dans les organes les plus composés. Tous ces tubercules ou masses tuberculeuses présentent les caractères suivans:

isseau sanguin. Les plus petites granulations, comme les plus grosses masses , présentent la même texture que l'estomac et l'œs

se par l'anneau : elle est formée par l'épiploon E,qui est disposé en masses pédiculées , XXXVIIe LIVRAISON. I et qui a su

ces et demi de largeur et d'un pouce d'épaisseur. La section de cette masse donne une surface spongieuse aréo-laire,de laquel

itoine. Il y avait dans le bassin, entre le rectum et l'utérus, une masse cancéreuse considérable: c'était la tumeur que j'

ains. Réflexions. Le point de départ de la lésion me paraît être la masse cancéreuse contenue dans l'excavation du bassin.

ntenue dans l'excavation du bassin. Il est difficile de dire si cette masse cancéreuse était formée primitivement aux dépens

oint de départ. Les ovaires n'ont pu être retrouvés au milieu de la masse encéphaloïde énorme qui remplissait la plus grand

grande partie de l'abdomen. Ascite hémorrhagique consécutive à une masse encéphaloïde énorme, naissant du péritoine et rem

étaient contenus dans la cavité abdominale ; point de péritonite. Une masse encéphaloïde énorme, divisée en lobules, maculée

ins d'un enfant nouveau-né : il en était de même du gros intestin. La masse encéphaloïde naissait évidemment du petit bassin

sa moitié inférieure; il était sain dans sa moitié supérieure. Cette masse était d'une mollesse telle qu'elle se déchirait p

ies de cet épiploon qui répondaient à la tumeur. Au milieu de cette masse , il fut impossible de retrouver les ovaires et le

érisée parla coagulation du sang adhérent aux parois veineuses. Cette masse encéphaloïde était, en outre, parsemée d'une mult

par les ovaires ou par le péritoine, ce fait présente l'exemple d'une masse encéphaloïdé, naissant à la manière d'un champign

s aux cancers du péritoine. Ce qu'il y avait de remarquable dans la masse cancéreuse péritonéale que je viens de décrire, c

Rien n'est plus fréquent que la présence de foyers sanguins dans les masses encéphaloïdes en général, ce qui n'étonnera pas,

iploon divisé, j'ai vu qu'il était constitué comme de coutume par une masse graisseuse et que le suc cancéreux suintait par p

toine. 37e liv., pl. m, p. 3.— Ascite hémorrhagique consécutive à une masse encéphaloïde énorme, naissant du péritoine et rem

., pl. in, p. 4. — L'ascite est un des effets les plus ordinaires des masses carcinomateuses de l'abdomen. 37e liv., pl. iv, p

t par suffocation. 10e liv., pl. ni et iv, p. 4. — Cancer du foie par masses disséminées. Fréquence de cette affection. Ignora

épatiques ; tristesse ; anorexie ; marasme ; mort. Cancer au foie par masses disséminées (variété dure). 12e liv., pl. n et m,

oie ne déborde les côtes que quarante jours avant la mort. Cancer par masses disséminées du foie (variété molle). Ulcère cancé

mélanique. 19e liv., pl. m, iv, p. 6. — Cancer des os. Le cancer par masses disséminées des os est le plus souvent consécutif

20e liv., pl. 1» p. — Ses symptômes. Différences entre le cancer par masses disséminées et le cancer non circonscrit. Propaga

r de la mamelle gauche. Rupture spontanée des deux fémurs. Cancer par masses disséminées dans les os, le foie, le tissu cellul

. m.p. 5.—Considérations générales sur les cancers en-céphaloïdes par masses disséminées du foie. 37e liv. pl. iv, p. 1. —Sur

de développement. 37e liv., pl. iv, p. 2.—Sur les foyers sanguins des masses carcinomateuses. Effets de ces masses. = Masses e

2.—Sur les foyers sanguins des masses carcinomateuses. Effets de ces masses . = Masses encéphaloïdes du foie présentant l'aspe

s foyers sanguins des masses carcinomateuses. Effets de ces masses. = Masses encéphaloïdes du foie présentant l'aspect de boui

pl. v, p. 2. — Maladies du cervelet et de la protubérance annulaire. Masses tuberculeuses : Deux masses tuberculeuses dans le

cervelet et de la protubérance annulaire. Masses tuberculeuses : Deux masses tuberculeuses dans le lobe gauche du cervelet. Au

e l'altération granuleuse du foie. 12e liv., pl. t, p a. — Cancer par masses disséminées du foie : fréquence de celle affectio

es hépatiques; tristesse; anorexie; marasme; mort. Cancer au foie par masses disséminées ; variété dure. 12e liv:, pl. n, ni,

ie ne déborde les côtes que quarante jours avant la mort : cancer par masses disséminées du foie (variété molle), et ulcère ca

p. 3. — Considérations générales sur les cancers encéphaloïdes par masses disséminées du foie ; soit consécutifs ; soit pri

développement. 37e liv., pl. iv, p. 2. — Sur les foyers sanguins des masses carcinomateuses; = Masses encéphaloïdes du foie p

pl. iv, p. 2. — Sur les foyers sanguins des masses carcinomateuses; = Masses encéphaloïdes du foie présentant l'aspect de boui

os dans les kystes pileux. 18eliv., pl. m, iv, v, p. 5. — Cancer par masses disséminées des os ; il est le plus souvent consé

s. 20e liv., pl. 1, p. /.— Symptômes; différences entre le cancer par masses disséminées des os et le cancer non circonscrit.

r de la mamelle gauche. Rupture spontanée des deux fémurs. Cancer par masses disséminées dans les os, le foie, le tissu cellul

oine. 37e liv., pl. m, p. 3. — Ascile hémorrhagique consécutive à une masse encéphaloïde énorme, naissant du péritoine et rem

mphatiques. 2e liv., pl. 1, p. i, 3. — Tubercules pulmonaires. ~ Deux masses tuberculeuses dans le lobe gauche du cervelet. Au

Michel est assez bien conformé, les épaules sont carrées, mais les masses musculaires sont très peu développées et atonique

ire de compensation. Les hanches sont plutôt étroites et fines, les masses musculaires des fesses sont très peu déve- lopp

omme chez les enfants, l'avant-bras est un peu plus lourd, mais les masses musculaires de cette région sont molles et flas

inférieures sont plutôt allongées en comparaison avec le tronc. Les masses musculaires sont ici encore très peu développées

gauclies inférieures étaient douloureuses. Atrophie appréciable des masses musculaires fessières et diminution de leurs mo

ux du pied et des orteils sont tout à fait normaux. 62 FLATAU Les masses musculaires de la jambe gauche sont atrophiées et

res (II, III, IV) lom- baires douloureuses et la constatation d'une masse néoplasique englobant ces vertèbres en avant ne

ession des racines lombaires en de- hors du canal rachidien par une masse néoplasique. Les troubles urinaires minimes de

rs, surtout avec celui du côté gauche. La jambe droite est levée en masse à la hauteur de 7 cen- timètres au-dessus du li

is en général tous ces cas ne font qu'exception. Le plus souvent la masse néoplasique des vertèbres passe par les méninge

peuvent être différentes selon la manière dont se com- portent les masses néoformées ; pénètrent-elles dans le canal rachid

moelle peut naître sans qu'il y ait une localisation médullaire des masses néoformées. IL Les tumeurs vertébrales malignes

des cas décrits ci-dessus. Dans l'un d'eux (obs. I) on constata des masses cancéreuses diffuses dans la colonne verté- bra

de même la rnoelle. Il y a toute une série de cas décrits où les masses néoformées dans les vertèbres augmentent dans l

e-mère et attaquent la moelle épinière même. Ce sont les cas où les masses néoformées, après avoir envahi la dure- mère, p

s de sarcome. Schle- singer constate à l'autopsie la diminution des masses sarcomateuses (le lymphosarcome) dans les os (m

ment du tiers moyen ; en effet l'avant-bras est plus arrondi et les masses musculaires sont plus prononcées. On peut dire

és et va en diminuant de la périphérie à la racine des membres. Les masses musculaires du tronc sont un peu moins développée

e certaine rondeur correspondant à une nutrition plus abondante des masses musculaires. Il est très important à relever qu

é d'atrophie que nous avons pu constater chez les autres. Ici les masses musculaires ne sont pas totalement disparues.Les

m, on voyait une tumeur adhérente au sommet du poumon droit et à la masse néoplasique située derrière le poumon gauche. D

he la tumeur passait au-dessous du sternum et se réunissait avec la masse néoformée sur la face postérieure des côtes. Da

térieure et supé. rieure de la cavité thoracique est occupée par la masse néoformée molle, rosée, constituée par une quan

et les gros vaisseaux. Le médiastin antérieur est'occupé par cette masse de même que le médiastin postérieur, la tumeur

se. Colonne ver- tébrale : au niveau de la Ire lombaire on voit une masse néoformée adhérente au corps de la vertèbre. Su

line a presque complètement disparu, il ne reste que des traces de masses granuleuses produits de la myéline dégénérée, ç

u-dessous de la tumeur jusqu'au XIIe segment dorsal on remarque des masses noires dispersées dans toute la coupe, surtout gr

et dans le faisceau de Hoche (gauche). Dans la moelle lombaire, les masses noires sont plutôt accumulées dans le fascicule

(à aspect aréolaire cribriforme, fig. 7). Par places se voient des masses rondes rouges ou roses qui ne sont autre chose qu

lés ou des fibres gonflées et dégénérées. Dans quelques-unes de ces masses on peut distinguer un point plus rouge (cylindr

lus rouge (cylindraxe) et une zone rosée (la gaine de myéline). Les masses roses les plus grandes sont amorphes et se colo

uelques foyers, les petits précisément, on voit une mosaïque de ces masses roses, c'est-à-dire qu'elles se pressent l'une

indraxe gonflé. 2. Hémorragie. 5. Maille vide de la névroglie. 3. Masse dégénérée. 6. Vaisseau sanguin infiltré. 152 `I

ébraux n'ont pas été sciés) ni le canal rachidien ne contenaient de masses néoformées. La moelle épinière était normale à

coloration par la fuchsine et par l'hématoxyline- éosine décèle des masses rondes plus ou moins colorées (roses et rouges).

èle des masses rondes plus ou moins colorées (roses et rouges). Ces masses étaient constituées par les fibres dégénérées (cy

ut à fait en dehors de la moelle, cette dernière peut être lésée, Les masses néoplasiques n'ont pas eu le temps de pénétrer

XIe côtes ou espaces intercostaux se trouve au sein des muscles une masse néoplasique, en partie rouge et en partie jaunâtr

s latérales des corps vertébraux et des arcs sont remplacées par la masse néoplasique qui passe par ici dans le canal rachi

i dans le canal rachidien sous forme d'un tissu mou, blanchâtre. La masse adhère à la dure-mère et au niveau de la IX" ve

de pus. Intestins normaux. Au niveau de la Xi* vertèbre dorsale la masse néopla- sique pénètre au-dessus des muscles et

ans ces derniers on réussit (en employant le diaphragme) à voir une masse amorphe, finement granulée. Des corpuscules amy

tz, ocul. 1, obj. 6 = 255 X) montrent dans le foyer une quantité de masses myélt- niques gonflées, irrégulières, de grande

t. (Sur les coupes colorées par la méthode de v. Gieson ce sont des masses gonflées rose-rou- geâtre, des fibres nerveuses

it nulle part avec le sarcome. Eu dehors de la dure-mère on voit la masse néoplasique qui dans un endroit seulement adhère

n endroit seulement adhère à la dure- mère. (La localisation de ces masses correspond au faisceau postérieur droit et laté

t un peu de tissu néoplasique (en arrière et à droite). Ces petites masses néoformées se trouvent à une certaine distance

hérie (correspond à la direction des vaisseaux ou des cloisons). La masse néoplasique adhérente à la dure-mère de dehors

cordons postérieurs,des foyers irréguliers, étoilés. Nulle part de masses néoplasiques. Depuis le IVe segment lombaire jusq

s parois ou de thrombus. Les alvéoles sont vides ou contiennent des masses irrégulières, rondes et en même temps angulaires

ns, on note leur présence même tout à fait isolée.) Les unes de ces masses sont les cylindraxes gon- flés ; les autres doi

ce de toute la fibre nerveuse. Il est exceptionnel de voir dans ces masses énormes un cylindraxe gonflé au centre. Le plus

phes. Tout ce XXIII 11 Fig. 11. i. Vaisseaux sanguins. 2-4-7. Masses gonflées (cylindraxes gonflés, masses dégénérées)

i. Vaisseaux sanguins. 2-4-7. Masses gonflées (cylindraxes gonflés, masses dégénérées). 3-5-6. Mailles élargies de la névr

s). 3-5-6. Mailles élargies de la névroglie (vides ou contenant les masses dégénérées). 162 FLATAU qu'on peut y voir c'e

ulation (les coupes colorées par l'héma- toxyline-alun montrent les masses bleues indistinctement stratifiées). Les contou

les masses bleues indistinctement stratifiées). Les contours de ces masses sont parfois tellement irréguliers qu'ils rappell

it sans doute localisée uniquement en dehors du canal rachidien. La masse néo- plàsiclue principale occupait en avant aus

s. L'examen microscopique démontra qu'il s'agissait d'un sarcome.La masse néoplasique avait une influence sur la moelle.

ogues. Le fait que les foyers de lésion se trouvent au niveau de la masse néoplasique peut être expliqué par ceci, que le

'autopsie on a trouvé : les deux poumons remplis d'une multitude de masses néoplasiques du volume d'une noix ou plus petites

, les ganglions lymphatiques sont très gros et transfor- més en une masse grisâtre, molle, entourant ! 'oesophage ; les cor

ant ! 'oesophage ; les corps vertébraux et cervicaux sont pleins de masses néoplasiques, qui atteignent la dure-mère et co

priment la moelle. L'examen macroscopique de la moelle montra : des masses néoplasiques molles dans la partie cervicale qu

lasiques molles dans la partie cervicale qui entoure la moelle. Les masses intraver- tébrales étaient réunies directement

es intraver- tébrales étaient réunies directement avec de pareilles masses extravertébrales. Pendant qu'on faisait sortir

moelle on a vu dans cette région un liquide laiteux s'écouler. Les masses néoplasiques s'étendaient le long du côté gauche

cordons postérieurs. Dans le II" segment cervical on note déjà des masses néoplasiques surtout du côté gauche dans le faisc

s sont bien conservées. Dans le Il[,, segment cervical 'on voit des masses néoplasiques surtout du côté gauche de la moell

ies. Il n'y a pas de foyers isolés. Dans le Ve segment cervical les masses néoplasiques sont disposées du côté gauche de l

les ner- veuses sont normales. Dans le VIII° segment cervical les masses néoplasiques se trouvent du côté gauche et en a

nvoient leurs prolongements dans le tissu voisin. Ici également les masses néoplasiques sont placées du côté gauche de la mo

un cylindraxe Des cylindraxes gonflés se voient aussi ainsi que des masses rosées rondes et mates (produits de la fibre ne

rées par l'hématoxyline alunée démontrent comment se comportent les masses néoplasiques envers la moelle et les méninges. El

cés entre Fig. 12. Sarcome alvéolaire de la moelle épinière. 1. Masses néoplasiques autour de la moelle épinière. 2. A

le processus morbide se voit au niveau du Il. segment cervical. Les masses néo- plasiques ont ici détruit tout à fait les

corne .gauche, c'est-à-dire du côté du plus grand développement des masses néoplasiques et de la plus grande compression. Da

n an à peu près après le début de la maladie. L'autopsie montra une masse néo- TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COL

le de la moelle entourant la dure- mère surtout du côté gauche. Les masses se réunissaient avec de sembla- bles néoplasmes

ns antéro-latéraux et du côté gauche c'est-à-dire à l'endroit où la masse néoplasique était le mieux dé- veloppée et comp

plus prononcé et il yavait des ilôts de cylindraxes gonflés ou des masses constituées par les fibres nerveuses dégénérées

cellules nerveuses de la corne antérieure gauche, là où les grandes masses néoplasiques comprimaient la moelle. Quant au

les grandes masses néoplasiques comprimaient la moelle. Quant aux masses sarcomateuses et à leur rapport avec la moelle, o

uche était causée par les nerfs périphériques lésés par les grandes masses néoplasiques extra- vertébrales. Mais les sympt

où il n'était pas question d'line compression de la moelle par les masses néo- plasiques. Il faut donc supposer que ces

brale elle-même restait in- tacte. Dans un de nos cas (obs. IX) les masses néoplasiques ne se bor- naient pas à occuper le

emple un carci- nome de l'estomac et des ganglions cervicaux et des masses cancéreuses qui du cou pénètrent dans le canal

il y a d'autres localisations. Dans nos observations XII et XIII les masses néoplasiques sortaient de la région cervicale e

vertèbres dorsales et les côtes, en arrière et en avant). De là les masses néoplasiques pénétraient à travers les trous de c

e un tableau de lésion médullaire, mais l'autopsie ne montre pas de masses néoplasiques daus le canal rachidien. TUMEURS D

édullaires sans intervention de la compression de la moelle par les masses néoplasiques. .Ces faits sont très importants e

ent la moelle, nous pouvons constater à un niveau correspondant des masses néoplasiques entourant la dure- mère (il s'agit

arcomes ou de tumeurs rapprochées de ceux-ci par la structure). Les masses néoplasiques se disposent le plus souvent sur l

quelquefois lui adhèrent intimement. La compression exercée par ces masses sur la moelle est ordinairement faible. Dans de

rarement un peu épaissies. L'examen -microscopique démontre que les masses néoplasiques restent en dehors de la dure-mère

TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET UE LA COLONNE VERTÉBRALE 179 les masses néoplasiques ont infiltré les méninges molles et

la tumeur tandis qu'elle se laisse très facilement envahir par les masses tuberculeuses et syphilitiques. Schlesinger par c

re et les méninges molles et pénètre dans la moelle, tandis que les masses carcinomateuses d'après lui ne traversent presq

foyers de dégénérescence apparaissent dans la moelle au niveau des masses néoplasiques et dans leur voisinage immédiat. Ils

c les restes de myéline dispersés, des cylin- draxes gonflés et des masses dégénérées, des cellules granuleuses, quelque-

lquefois élargis. Outre ces lésions on peut constater au niveau des masses néoplasiques qui compriment la moelle épinière

ns les méninges). Dans quelques cas rares on trouvait au niveau des masses néoplasiques ou dans leur voisinage une lésion

nte). A côté de ces lésions qui correspondent topographiquement aux masses néoplasiques (ou aux régions voisines), d'autre

e : dans la moelle dorsale médiane et inférieure on ob- servait des masses dégénérées dispersées dans toute la coupe transve

alogues à ceux qui se produisent dans les moelles entourées par les masses néoplasiques. Ce fait t nous aide à comprendre

e peuvent naître indé- pendamment de la compression exercée par les masses néoplasiques sur la dure-mère. Dans le cas cité

es (dans la région cervicale) correspondaient à la localisation des masses néoplasiques extra vertébrales (dans la moitié

e lymphatique médullaire et des méninges molles. Par conséquent les masses qui entourent la dure-mère ne peuvent pas produir

pouvons dire que dans les cas de tumeurs extraver- tébrales où les masses néoplasiques entourent la dure-mère comme la gra-

s l'avons dit plus haut, les lésions médullaires provoquées par les masses néoplasiques qui entourent la dure-mère sont peu

es fatigues, qui certainement pourraient sembler supérieures à leur masse , à leur contour- lIlation, Cela nous est confir

es tubercules quadrijumeaux et thalamiques changés en une espèce de masse grise. Enfin, Nonne, dans la dernière édition

face assez faible. Conditions générales de la nutrition, passables. Masses musculaires et tissu adipeux suffisamment dével

Dans certains foyers on voit des cylindraxes gonflés et beaucoup de masses roses rondes et mates. La névroglie ne présente p

égère dégénérescence secondaire des voies pyramidales croisées. Les masses produites par cette dégénérescence sont fraîche

du pied droit s'épuise. La malade peut mouvoir tous les orteils en masse , mais ces mouvements sont très faibles. La toni

BRALE 325 la malade ne sent ni les mouvements de tous les doigts en masse , ni ceux de l'articulation du genou et de la cu

abilité). Les coupes colorées par la méthode de Marchi montrent des masses dégé- nérées dans le cordon postérieur gauche q

à propos de la coloration de Weigert. Un nombre peu considérable de masses dégé- nérées se trouvent également dans le cord

on con- state encore au niveau des segments dorsaux inférieu rs des masses dégénérées dans le faisceau pyramidal gauche la

Tandis qu'au niveau des segments lombaires inférieurs et sacrés les masses dégénérées ne se rencontrent plus. Les coupes c

les modifications suivantes : au lieu du réseau normal, on voit une masse grise indistincte parcourue par les fibres nerv

e présentent des mo- difications considérables (déniyéliiiisatio[i, masses de myéline dégénérée, libres nerveuses rompues)

t devenue méconnaissable ; quanta la substance blanche, on y voit des masses plus ou moins grandes de la myéline claire ou p

U t des faisceaux pyramidaux latéraux de deux côtés. De plus, des masses noires dans les cordons antéro-latéraux plus no

nière. 342 FLATAU Presque toute la coupe est constituée par une masse néoplasique dont les dimensions étaient 1 cent.

u sont 0 cent.l : 0. 3 cent. La tumeur se présente sous forme d'une masse grise rosâtre, qui, dans le voisinage de la moe

in de la tumeur des grands espaces vides, remplis en partie par une masse rosàtre amorphe sans aucune structure. Çà et là

rosàtre amorphe sans aucune structure. Çà et là on voit dans cette masse des agglo- mérations de globules sanguins. Les

t tout d'un coup s'arrêtent. Les lacs sont vides ou remplis par une masse rosâtre, amorphe. Par place on y remarque des pet

8, 9, H, 13. Traces de fibres radiculaires postérieures au sème de la masse néoplasique. - 5. Tumeur. 7. La veineuse dans l

à peu. ' Les coupes colorées par la méthode de Marchi montrent des masses rondes dégénérées dans les cordons (de Goll) po

érébelleux gauche dans la région dorsale et cervicale. Le nombre de masses à gauche est plus grand qu'à droite. Mais même à

de masses à gauche est plus grand qu'à droite. Mais même à gauche ces masses ne sont pas très nombreuses, le tableau corresp

es secondaires chroniques. En descendant on voit un petit nombre de masses dégénérées dans le faisceau pyramidal gauche. L

s sont complè- tement vides ou remplies en partie seulement par une masse amorphe ; ça et là vers les parois on rencontre

pide. Le soir, le malade est mort. A l'autopsie on a constaté des masses néoplasiques, situées en dehors de la dure-mère

e lésions principalement dans la région du 181, segment dorsal. Les masses néoplasiques s'y trouventà droite en dehors de la

es foyers se répète ici : grand nombre d'alvéo- les vides, larges ; masses rondes, produit de dégénérescence des fibres ner-

dans le cordon latéral gauche. Çà et là sont dispersées les petites masses noires peu nombreuses. On remarque aussi une lé

oyers alvéolaires. Beaucoup de mailles larges, en partie vides, des masses grandes rondes, etc. Les coupes coloriées par la

radiculaire gauche dégénérée. 8. Foyer allongé alvéolaire avec des masses dégénérées. 9. Foyer alvéolaire dans le cordon la

chi ne démontrent pas de dégé- nérescences secondaires. On voit des masses rondes dispersées sur toute la coupe, leur nomb

- saux. Par places, dans le premier segment dorsal par exemple, ces masses sont surtout groupées le long des cloisons qui

ngue plus la pie-mère]de l'arachnoïde. Ensem- ble elles forment une masse gommeuse. Cette grande tumeur gommeuse contient

douleurs devenaient plus faibles et elle marchait mieux. Ainsi les masses néoplasiques trouvées le long de la moelle, qui a

ongements ont disparu. Quelques cellules ne sont plus qu'une petite masse pigmentaire avec très peu de proto- plasme. Trè

la clavicule, et en dehors jusqu'à la ligne mamillaire. De cette masse se détache, au niveau du 2° espace intercostal, e

. La patiente est de moyenne taille ; le pannicule adi- peux et les masses musculaires sont modérément développés. Pas d'ano

on cervicale supérieure. L'allas et l'axis sont soudés en une seule masse ,au niveau du corps,de l'apo- physe odontoïde (s

e,au niveau du corps,de l'apo- physe odontoïde (sauf à gauche), des masses latérales, de la partie postérieure de l'arc et

rique est encore plus large. Le reste de la coupe est occupé par la masse néoplasique qui n'y est plus uniformément noire

respondante à la partie centrale de la substance grise, on voit une masse compacte, jaune-brunâtre ; en arrière, le reste

oit une masse compacte, jaune-brunâtre ; en arrière, le reste de la masse spongieuse molle décrite plus haut. En arrière de

médiatement au-dessous de l'arachnoïde, on voit une zone étroite de masse noire (dans la pie-mère). La coupe passant à tr

cervical décèle dans la région ceu- trale de la substance grise une masse brunâtre, rond-ovalaire, de consistance compact

ro-latéraux. Les cordons postérieurs se présentent sous forme d'une masse grise, molle, se trouvant en rapport avec la ma

sous forme d'une masse grise, molle, se trouvant en rapport avec la masse néoplasique. Lorsqu'on distend la coupe latéralem

asique. Lorsqu'on distend la coupe latéralement on voit : 1° que la masse néoplasique se sépare nettement du tissu nerveux

te de la structure normale du tissu nerveux. Par contre on voit des masses bru- 462 FLATAU nâtres ou grises, irrégulière

toute la moitié gau- che de la moelle se présente sous forme d'une masse brunâtre molle que l'on trouve aussi dans la ré

droite. Au niveau du VIle segment dorsal.on voit le reste de cette masse molle et la fente syringomyélique dans la parti

que dans la région de la corne postérieure gauche. Il n'y a plus de masse brunâtre. La même fente devient de plus en plus

un endroit, plus foncée daus d'autres. On voit des accumulations des masses pigmentées rondes plus ou moins grandes. Les co

e nombreux pigments de diffé- rentes formes. Ce sont par places des masses rondes brunâtres, foncées, qui rappellent les c

t les corps granuleux mis en évidence par la méthode de Marchi. Ces masses ont le plus souvent des contours irréguliers, par

rtant sont disposées de manière à former une sorte de saucisse. Les masses plus claires laissent voir qu'elles sont consti

à et là parmi les cellules sarcomateuses. Ce pigment (sous forme de masses isolées ou agglomérées, de faisceaux ou de poud

vations personnelles. Eh bien, à part notre XIXe observation où les masses néoplasiques entouraient la moelle sans la défo

otre XIV- observa- tion. On y constatait au niveau de la tumeur une masse difforme, mélange de substance blanche et grise

ce zone du tissu normal (R. Schulz). Dans des cas exceptionnels les masses sarcomateuses en même temps que les racines méd

ly, dans lequel on trouva sur la face dorsale du corps calleux; une masse graisseuse qui s'étendait en avant au-dessus du

res- pond à peu près au genou. Celui-ci n'est constitué que par une masse de fibres transversales longue d'environ deux c

onsiste encore en ce que quelquefois la moelle est couverte par une masse gélatineuse. Au premier coup d'oeil on peut pre

une masse gélatineuse. Au premier coup d'oeil on peut prendre cette masse pour la tumeur. Nous ne connaissons pas du tout l

es élastiques sont rompues, brisées, dégénérées, englobées dans les masses en prolifération (fig. 7). Celles qui composent l

. La partie supérieure de cette paroi est occupée en partie par une masse de fibres très compacte qui se développe rapideme

rlue de l'hémisphère normal. Il entre dans la constitution de cette masse blanche, des fibres appartenant sans doute à plu-

e la couronne rayonnante. A part ce contingent de fibres calles, la masse complexe de la paroi interne renferme des libre

surplombe la bandelette optique et le plus supérieur s'accole à la masse de fibres située au-dessus du ventricule. - E

érique. Le ventricule n'est donc plus clos sur la ligne médiane. La masse de fibres située à l'angle supérieur du ventricul

ubstance profonde de la circonvo- lution limbique est occupé par la masse de fibres complexe que nous avons déjà décrite

et l'enfant se sert très peu du pouce, surtout du pouce droit. Les masses musculaires, les thénariennes surtout, sont min

de sorte que cette partie de la plante du pied avait l'aspect d'une masse amorphe, au milieu de laquelle on ne pouvait di

lions nerveux, les cellules sont accumulées comme des grains dans une masse de sable, sans paraître communiquer soit avec les

plus de rapports entre elles. Ainsi, dans les animaux qui offrent une masse centrale formée de ganglions distincts, plus les

rts, et plus on pourra concevoir de perfection dans l'action de cette masse centrale (1). 11 y a plus de véritable philosop

aîne nerveuse, séparés dans l'origine, se confondent graduellement en masses communes pendant la métamorphose qui les conduit

es d'ana-lomie et de physiologie. Paris, 1839, t. 111, p. 349. 1 es masses nerveuses moindres sont attirées en quelque sorte

placés en regard des vertèbres qui leur correspondent. Mais quand la masse encéphalique prend un plus grand accroissement, c

Dans le Crocodilus lucius que nous avons sous les yeux, une première masse médiane et symétrique est logée dans l'anneau sup

ouvre en général d'autant plus que ses deux moitiés sont en regard de masses nerveuses supérieures plus puissantes. Fig. 4.

re les filets nerveux, par rapport auxquels ils joueraient le rôle de masses « de renforcement, ne satisfait pas la physique d

l'adulte. Chez l'enfant nouveau-né l'axe gris forme presque toute la masse du renflement lombaire, et l'enveloppe que consti

le cervelet qui recouvre le quatrième ventricule. La seconde est la masse des tubercules quadrijumeaux, qui est au-dessus d

'hémisphères cérébraux. Quant à la quatrième, elle consiste en deux masses grises, au centre desquelles est un prolongement

st un prolongement de l'étage supérieur des ventricules latéraux. Ces masses sont les lobes olfactifs. Les choses étant ains

ii. 4 pent de chaque côté en un gros faisceau qui plonge dans la masse du cervelet, sous le nom de pédoncule cérébelleux

avait point de cervelet. Dans les oiseaux, où cet organe n'a point de masses latérales, la protubérance n'est en aucune façon

eau qu'elles composent s'aplatit et s'imprime de plus en plus dans la masse du pédoncule, au point d'en être chez l'adulte tr

à de Yanse, la concavité du pavillon pédonculaire contient une grosse masse convexe ellipsoïde, qui en est comme le noyau. La

du pédoncule, qui touche à la ligne médiane, un prolongement de cette masse grise dépasse en arrière cette limite, et s'incli

t s'inclinant vers une production symétrique, s'unit avec elle en une masse grise médiane qui enveloppe la saillie de l'enton

nveloppe la saillie de l'entonnoir du ventricule intermédiaire. Cette masse est le tubercule cendré, tuber cinereum. Quant au

ans les singes et la plupart des autres mammifères, elles forment une masse unique, souvent fort saillante, au côté postéri

rémité un tubercule semblable à un champignon d'un gris rougeâtre. La masse de ce tubercule est divisée en deux lobes, que le

complètement recouvert par une voûte de fibres blanches, qui porte la masse des tubercules quadrijumeaux. Cette voûte a pou

emann l'a fort à propos observé, ils commencent à se distinguer de la masse de ces faisceaux latéraux vers la région des oliv

symétriquement. Deux sillons, disposés en croix, séparent ces quatre masses l'une de l'autre; l'un d'eux est médian, et parfa

constamment doubles et symétriques; elles s'enroulent autour des deux masses terminales de l'axe. Les premières, les médiane

GANGLIONS SURAJOUTÉS A L'AXE. § 4. Du cervelet. Le cervelet est une masse à surface grisâtre, surajoutée à l'axe au-dessus

t la composition des racines du cervelet. Vue dans son ensemble, la masse du cervelet dans l'homme a la forme d'un cœur. La

s , par lesquels les troncs des racines du cervelet pénètrent dans sa masse . La pointe du cœur est dirigée en avant, cette

r. L'une, antérieure, comprend la pointe du cœur, et une partie de sa masse ; l'autre, postérieure, répond aux lobes du cœur.

de la comparaison en anatomie zoologique. Nous distinguons, dans la masse générale du cervelet, trois masses secondaires, s

ogique. Nous distinguons, dans la masse générale du cervelet, trois masses secondaires, savoir : 1° Une niasse médiane dil

e rappelle grossièrement celle des poissons du genre des Raies. Cette masse , en conséquence, a un corps et une queue. Le corp

e inférieure du cervelet, est le vermis du cervelet médian. 2° Deux masses latérales. Ces masses, comprises dans les deux an

et, est le vermis du cervelet médian. 2° Deux masses latérales. Ces masses , comprises dans les deux angles que le corps du c

. Chaque cervelet latéral a un corps et une queue. Le corps est une masse pyriforme, dont la base répond aux deux lobes du

en passant par les quadrumanes, la série des mammifères. Les trois masses , dont nous venons de parler, sont subdivisées en

YHypsi-prymnus murinus, enfin, les parties latérales s'atrophient en masse , ou laissent prédominer les vermis latéraux et, e

velet dans ces résultats anormaux d'une germination avortée, aura une masse moindre et des divisions moins compliquées, car l

et l'on peut le considérer comme l'élément fondamental du corps des masses latérales. hesAtèles échappent à cette règle; che

s deux moitiés du noyau cérébral, auquel elles sont attachées par une masse énorme de fibres intermédiaires. Les parois des

misphères. Vus d'en haut, ils composent, par leur rapprochement, une masse ovoïde dont la grosse extrémité est en arrière. L

, parmi elles, celle du grand Descartes. Ce n'est pas une question de masse qui domine dans un édifice d'un ordre aussi relev

ure où il touche aux champs olfactifs, il se dilate en arrière en une masse divisée par quelques an-fractuosités irrégulières

r. On sait que dans les enfants nouveau-nés la sub- (1) C'est cette masse grise qui a conduit M. Longet à considérer la pro

hées de la moelle pour se terminer dans le vaste épanouissement des masses cérébelleuses ; nouveau mode d'épuisement des fai

sûr, d'expression plus mal choisie. L'endroit noir a pour base une masse grise amorphe, au milieu de laquelle l'œil distin

izontal, on constate immédiatement qu'il est formé à son centre d'une masse blanche, d'où partent des lames, des lamelles et

parties, savoir : 1° l'olive du cervelet qui est au centre, et 2° les masses de fibres blanches qui l'enveloppent. 1° De l'o

rvelet antérieur. Il y a donc entre ce plan de la protubérance et les masses latérales du cervelet antérieur un rapport nécess

t en rapport avec telle ou telle partie de la protubérance. Ainsi les masses du cervelet latéral sont-elles surtout en rapport

dans une étendue d'autant plus grande qu'il y a relativement plus de masses médianes et de vermis, et moins de masses latéral

il y a relativement plus de masses médianes et de vermis, et moins de masses latérales, car parmi celles-ci les corps des cerv

léphant, un développement équivalent des hémisphères, eu égard à leur masse , détermine dans l'un et dans l'autre le développe

rotubérance, du plan superficiel surtout, et par conséquent aussi des masses latérales du cervelet, et celui des hémisphères c

avons vu plus haut que le cerveau, proprement dit, est divisé en deux masses latérales appelées Hémisphères. Leur partie essen

sens. Nous croyons que ce nom de centre ovale conviendrait mieux à la masse entière des noyaux blancs des hémisphères. Quoi

s'y terminer pour la plupart. Cette couche touche immédiatement à la masse blanche qui occupe le centre de l'hémisphère (1).

fficile d'en démontrer l'existence. Ils s'engagent, en effet, dans la masse du corps strié supérieur, et, pour arriver à leur

semble ne devoir agir sur le cerveau que par l'intermédiaire de deux masses ganglionnaires, savoir: les lobes optiques et les

vec précision quelle est la nature des impressions transmises par les masses ganglionnaires. Si nous jugions cette question d'

s le cas qui nous occupe, ces impressions optiques transmises par des masses grises intermédiaires, pourraient bien réveiller

lle subsiste pendant toute la vie. Les fibres qui pénètrent dans la masse des lobes olfactifs sont, outre les fibres commis

. La quatrième est terminale et rudimentaire ; elle a pour corps la masse de l'cthmoïde, pour lames supérieures les os du n

rface du bulbe, dans l'épaisseur d'une cloison fibreuse qui sépare la masse des faisceaux antérieurs, de celle des faisceaux

dans les coupes heureuses on peut les voir se prolonger à travers la masse du faisceau moyen, jusqu'aux noyaux à cellules mu

rd postérieur de la protubérance. On peut suivre ses racines entre la masse des faisceaux antérieurs et celle des faisceaux m

issent probablement aux cellules multipolaires si apparentes de cette masse grise. Quoi qu'il en soit, ce nerf appartient évi

décidera aisément pour l'affirmative. Dans l'homme, par exemple, la masse des fibres dans le centre ovale de Vieussens est

et leur nombre dans les prolongements qui leur correspondent dans la masse du centre ovale de Vieussens, et nous portent à a

Or, de ce mouvement de développement qui transforme en même temps la masse de l'encéphale et ses plus petits éléments, résul

oques de la vie fœtale, est le cerveau moyen de Baër, c'est-à-dire la masse des tubercules quadrijumeaux ou lobes optiques de

rière, finira par recouvrir l'ensemble des régions postérieures de la masse encéphalique. Ces réflexions m'ont paru nécessair

lleux. L'aqueduc de Sylvius était dilaté en une vaste ampoule sous la masse des lobes optiques. Tiedemann a représenté un c

dépression légère, rudiment de la scissure de Sylvius, séparait de la masse frontale. Les lobes olfactifs étaient grands, per

it intérieurement une couche grise fort épaisse était remplie par une masse énorme hérissée d'inégalités et pareille à un cor

énorme hérissée d'inégalités et pareille à un corps spongieux, cette masse est le plexus choroïde. Un si grand volume oblige

, très-certainement dans le cervelet de l'homme, le développement des masses latérales devance celui des parties médianes. A

u au corps des cervelets latéraux, ils demeurent, sous la forme d'une masse presque lisse, dans une sorte de repos et attenda

ularisées dans la science. Cependant, tout en demeurant, quant à sa masse , fort inférieur au cerveau, le cervelet acquiert,

illon de Rolando. Celui-ci sépare nettement, dès le sixième mois, les masses pariétales d'avec le lobe frontal. Ce lobe n'a po

be occipito-sphénoïdal externe se développent. Souvent, alors que les masses principales des plis frontaux sont bien dessinées

nsé ; cette sorte de parallélisme n'étant établi que pour chacune des masses encéphaliques prise en particulier, et nullement

différences. Chez tous, à la naissance, ces tubercules forment quatre masses distinctes; l'homme ne l'emporte sur aucun d'eux.

encore à peine indiqué, la commissure antérieure était très-grêle. La masse des tubercules quadrijumeaux était simplement div

eux moitiés par un sillon médian ; enfin le cervelet, partagé en deux masses latérales, n'offrait encore aucune trace de vermi

Enfin le cervelet, grand par ses parties médianes et réduit dans ses masses latérales, est sillonné de plis nombreux. Quant a

bercules quadrijumeaux, ils sont, dès cette époque, divisés en quatre masses parfaitement distinctes, et le cervelet, bien que

Mais il est très-certainement établi que dans les grands animaux la masse du cerveau ne croît pas en raison de la taille. A

des plis assez simples, et d'ailleurs leur cerveau est, eu égard à la masse du corps, extrêmement petit. Ainsi la quantité de

de ce viscère qui sans ces dispositions serait écrasé par sa propre masse et déchiré par les moindres ébranlements (1). P

s animaux la grandeur de la faux est toujours en raison directe de la masse des hémisphères. passent à droite et à gauche d

e du cerveau, et les accompagnent profondément dans l'épaisseur de sa masse nerveuse (4). (b) Nous ne dirons rien ici des v

à l'infini dans la pie-mère encéphalique avant de se ramifier dans la masse cérébrale. Toutefois elles donnent quelques petit

après un encéphale extrait du crâne, ramolli, atfaissé sous sa propre masse , juger de sa forme primitive? Heureusement cette

e fond de la vertèbre ethmoïdalc, s'atténuent peu à peu. Enfin, les masses ethmoïdales qu'enveloppaient en partie les région

M. de Blainville et comme l'a depuis accepté M. Owen; ce corps est la masse entière de l'ethmoïde lui-même. Il est aisé de s'

d'autre part certains auteurs habiles, se fondant sur ce fait que la masse cérébrale s'accroît d'avant en arrière en recouvr

point d'accepter celte manière de voir. Ainsi, la considération de la masse seule est stérile, et c'est H. 20 une question

elle d'un développement poussé aussi loin que possible, eu égard à la masse du noyau cérébral et des centres blancs des hémis

Bien que la question de forme l'emporte à nos yeux sur la question de masse , nous sommes loin de penser qu'il faille négliger

escence n'est pas nécessairement proportionnelle à la réduction de la masse encéphalique. On consultera avec fruit sur ce poi

frontal de 25mm. Cette tête, quoique étroite et longue, eu égard à sa masse , ne présentait pas, quant à sa capacité, les cond

is ses parois sont minces. Que si l'épaisseur du frontal augmente, sa masse est spongieuse et creusée de sinus aériens, en so

de chacune de ces vertèbres avec une certaine partie primitive de la masse du cerveau, on observe que les penchants et la vo

r à l'étude directe de leur cerveau. Il ne suffit pas d'en mesurer la masse ; rien ne doit être négligé dans un problème de ce

Nous laisserons ici de côté les mouvements alternatifs qui agitent la masse cérébrale. Ces mouvements, qui ont peut-être sur

vertébrés que dans les an-nelés(4). Or, dans la moelle épinière, les masses grises qui forment les plexus celluleux sont enve

hez ces derniers, elles se rendent, pour la plus grande part, dans la masse des tubercules quadrijumeaux. Mais dans les prima

. Ce développement du cervelet est d'ailleurs indépendant, quant à la masse , de celui du cerveau. Le cervelet suit le dévelop

l'intelligence s'éteignent toutes à la fois à mesure qu'on détruit la masse des hémisphères. L'idée que l'âme réside dans un

tives. Ces particules, dit Willis, se dégageant comme une fleur d'une masse plus grossière, s'unissent, s'emparent de conduit

'emparent de conduits particuliers qu'elles se creusent dans toute la masse du corps, et consli- (1) Sept. Flor. Tertullian

matière subtile dont la flamme bouillonne dans le corps, en agite la masse épaisse et lui communique ses propres mouvements,

ement homogène et continu ; mais vient-il à s'arrêter brusquement, la masse qu'il contenait ne revient à l'équilibre que par

véritables convulsions accompagnées de craquements. Enfin, la lourde masse se meut, et son mouvement, d'abord très-lent, dev

nt involontairement, ces frémissements se communiquent lentement à la masse qu'elles touchent. De là, des vibrations qui, obs

sément dans le sens que vous aurez déterminé par avance. Ainsi, cette masse auparavant presqu'inébranlable, sera déplacée et

e dans un pot de terre à feu qu'il fallait pousser jusqu'au rouge. La masse était ensuite refroidie et de nouveau pulvérisée

s dans le mets qui leur était réservé, et intimement mélangés avec sa masse ; cela fait, on se tint aux aguets. Quelques mi

qu'il est l'organe essentiel de l'intelligence, ne dépend point de la masse totale de l'encéphale, mais de celle du centre ov

ue va ici de pair avec l'anal) se psychologique la plus subtile. La masse des fibres blanches qui composent le centre ovale

nsaisissables des fibres et des molécules animées qui en composent la masse . Or, ces modifications sont invisibles chez un

e de l'homme? Il ne s'agit donc ici ni de complication de plis, ni de masse ; il ne s'agit point d'une différence de proportio

Par la palpation, on sent dans tout le côté droit de l'abdomen, une masse dure résistante. La région du foie est douloureus

ureuse. A la palpation, -, on sent dans la fosse iliaque droite une masse , une sorte de corde.Le palper de la région épig

ntre, avec diarrhée, dilitation veineuse à la surface de l'abdomen, masse dans la fosse iliaque droite et consécutive- me

te tuberculeuse, fausses membranes. On ne peut retrouver dans cette masse , l'appendice coecal. A la coupe, on voit que to

ure. / Les digitations de l'inslila sont au nombre de quatre. Les masses centrales, le ventricule latéral, la corne d' : l

ion y fait naitre une fluctuation très marquée. Lorsqu'on dépose la masse encé- phalique sur le plan de la table, les hém

. -Ceruelet, bulbe et protubérance de Ber... En T et T'on voit deux masses néoplasiques Daraissant faire hernie en dehors du

points de pénétration du plexus choroïdien du 4° ventricule. En T", masse néoplasiqu.e faisant her- nie à la partie infér

tement au-dessous des pédoncules cérébelleux moyens, il existe deux masses néo- plasiques volumineuses. Il en existe une é

du plancher du quatrième ventricule, se continue en haut avec une masse de même nature qui oblitère complètement la cavit

sique à ce niveau. Dans l'espace perforé postérieur il a une petite masse néoplasi- que de peu d'épaisseur. Après secti

erfs crâniens sont normaux. Examen microscopique (M. Alon : vx). La masse néoplasique qui occupe le 4° v.entricule, ainsi

ur. Les cellules, C, sont arrondies à noyaux a-ssez volumineux. Une masse granuleuse, G, sépare les celllules. Il n'existe

ventricule faite au niveau de la partie su- périeure des olives. La masse néoplasique T oblitère complètement la ca- vité

ulaire est considérable alors que la cellule ne forme qu'une petite masse irrégulière dont les prolongements ont presque

e au grand nombre de ses éléments embryonnaires, est formée par une masse caséeuse, friable et irrégulière, ne se coloran

t est légèrement incurvé à ses extrémités. En arrière se trouve une masse un peu irrégulière de 3 centi- mètres de large

Le dernier de ces plis, qui répond à la 2e frontale, est séparé en masses quadrilatères par des sillons tout à fait super

asses quadrilatères par des sillons tout à fait superficiels et ces masses sont ridées. FI envoie à son origine un pli de

ent 176 Description DU cerveau. se confondre complètement avec la masse de la circonvolution frontale ascendante et par

ulé au bout, laissant ainsi à découvert le lobule de l'insula. La masse de la frontale et de la pariétale ascendantes est

duquel on trouve : 1° le long du bord supérieur de l'hémisphère une masse quadrangulaire; 2° au-dessous d'elle, une masse

de l'hémisphère une masse quadrangulaire; 2° au-dessous d'elle, une masse allongée descendant jusqu'au bord inférieur de

où elle reçoit en avant le lobe temporal; 3° en arrière de ces deux masses , une masse trian- gulaire répondant au lobe occ

it en avant le lobe temporal; 3° en arrière de ces deux masses, une masse trian- gulaire répondant au lobe occirital. v

nde limite la partie postérieure de la perforation. Ces différentes masses sont plis- sées par places et parcourues par de

sillons qui les subdivi- sent. Le lobe temporal se compose d'une masse ovoïde, séparée en avant et incomplètement par

au bout de 3 centimètres, se courbe en S pour venir s'insérer à la masse des circonvolutions frontales et pariétales asc

liptique, dont nous avons parlé, elle laisse voir dans son fond une masse elliptique, blanche, arron- POTIEXCÉPHALIE vrai

longé sur la face externe et que nous avons décrit en arrière de la masse des circonvolutions ascendantes, frontale et pa

sse des circonvolutions ascendantes, frontale et pariétale. Cette masse longitudinale nous paraît répondre à une partie d

n non sinueuse ; elle envoie un pli à l'extrémité postérieure de la masse formée par la lro frontale et le lobule paracentr

la lro frontale et le lobule paracentral. En arrière, on trouve une masse quadrilatère, le lobule qua- drilatère, qui pré

le. La partie anté- rieure, répondant à la corne d'Ammon, forme une masse arron- die, uniforme. La couche optique sembl

de 30 millimètres sur 7 millimètres. Cet orifice est comblé par une masse grisâtre qui est probablement le corps strié. D

strié et la couche optique. Celte membrane laisse entre elle et les masses grises un petit espace de 1 il 2 milli- mètres.

vement saillantes et rentrantes. A la partie inférieure se voit une masse de substance blanche, volumi- neuse, arrondie,

ui paraît correspondre aux ganglions céré- braux. En avant de celle masse existe une autre saillie ter- minée en arrière

ns déformées. Le lobe frontal et la frontale ascendante forment une masse irrégulièrement quadrilatère, où il existe des

isphère droit. Face convexe. - Lobe frontal : Il se com- pose d'une masse , de forme ovoïde, de circonvolutions à bords si

de circonvolutions à bords sinueux. Un sillon profond sépare cette masse d'une seconde, composée de circonvolutions qui

esque rectilignes. Un sillon large et profond sépare cette deuxième masse de la moitié postérieure de la face con- vexe.

igine antérieure où le lobule de l'in- sula présente l'aspect d'une masse bombée avec trois digita- tions irrégulière, el

vexe, qui se replient sur le lobe orbitaire. On trouve sept petites masses faisant partie des circonvolutions et se présen

xterne du ventricule latéral. Face interne. On trouve d'abord une masse quadrangu- laire de 3 cent. 1/2 de large sur 2

s -comme celles du lobe orbitaire. En arrière se trouve une autre masse quadrangulaire de 2 cent. 1/2 de large suri cen

profond, mais qui n'aboutit pas au sillon calloso-marginal. Cette masse offre de petits sillons superficiels. Les deux pr

te masse offre de petits sillons superficiels. Les deux pre- mières masses semblent correspondre à la 1"' frontale. Vient

s masses semblent correspondre à la 1"' frontale. Vient ensuite une masse allongée, ovoïde, correspondant au lobule parac

bord de l'hémis- Description DU cerveau. 189- plier présente une masse irrégulière, vestige probable de la jrontale as

ando, le vestige de la pariétale ascendante. Au-delà, on trouve une masse de deux petites circonvolutions rayonnant vers

t se continuant sur la face interne. Au-dessous d'elles, une grosse masse de circonvolutions repliées sur elles- même et

partant du bord inférieur de l'hémisphère. En arrière se trouve une masse quadrilatère de circonvolutions reliée par deux

uadrilatère de circonvolutions reliée par deux plis de passage à la masse précédente. Enfin une circonvolution se continu

ciel, antéro-postérieur. Le lobule pariétal inférieur, comprend une masse triangulaire séparée de la partie moyenne de- l

dessous desquelles s'en trouve une troisième repliée. En bas, cette masse est séparée par la DESCRIPTION DU cerveau. 191

et vient se continuer en bas avec la scissure par-' rallèle. Cette masse représente le lobule du pli courbe. En arrière

représente le lobule du pli courbe. En arrière se trouve une autre masse quadrilatère composée de deux circonvolutions p

eux plis de passage à la 3me temporale en arrière où elle forme une masse commune avec cette 3"le temporale. Elle est sép

amais présenté d'aphasie. Et : e est formée en avant par une petite masse bilobée, puis une circonvolution repliée sur el

térieur, pour se continuer avec la 3° frontale. En arrière de celte masse se trouve un sillon assez marqué, vertical ; pu

e masse se trouve un sillon assez marqué, vertical ; puis une autre masse en forme de quadrilatère allongé verticalement

et élargi en haut, séparé par un sillon très profond d'une dernière masse postérieure. Celte masse coupée, en doux par un

par un sillon très profond d'une dernière masse postérieure. Celte masse coupée, en doux par un sillon antero- postérieu

s. Lobule pariétal supérieur assez bien développé, forme d'u- une masse de circonvolutions assez sinueuses, mais peu sail

n qui se noie dans la scissure parallèle et qui est divisé en trois masses , une supérieure quadrilatère, une carrée au- de

à la scis- sure parallèle. Lobe occipital. - Il se compose d'une masse irrégulière comprise entre la scissure perpendi

.- Cuneus à peine marqué. Le lobe occipital se compose d'une petite masse de cir- convolutions séparées par un sillon éto

hyroïde ne paraît pas exister. Au-dessus des clavicules, il y a des masses graisseuses. La circonférence de la tète est de

es qui, en outre, semblent oedémateuses. Le cou est très court, les masses lipomateuscs des joues et des creux suscla- vic

st volumineux et court (circonférence : 42 cent.) ; il n'y a pas de masse pseudo- 224 IDIOTIE POLTSIItCIQUE. lipomateus

de la main droite étant placés sous le cervelet, on attire à soi la masse encéphalique que l'on dépose ensuite sur sa con

et à gauche des apophyses épineuses et des lames des vertèbres, les masses musculaires spinales. Cet enlèvement des masses

des vertèbres, les masses musculaires spinales. Cet enlèvement des masses musculaires doit être fait avec soin, et en racla

e de. Vieus- Une fois cette coupe pratiquée, il suffit d'inciser la masse blanche de chaque côté et parallèlement au corp

tudier non plus la morphologie proprement dite du cerveau, mais les masses ganglionnaires, ainsi que les faisceaux de subs-

décelée qu'à l'aide de coupes, ou bien enfin la corticalité et les masses centrales sont à la fois lésées. Mais, quel que

phère par une série de coupes successives, et à diviser ensuite les masses centrales, au moyen de coupes verticales plus o

hori- zontales, et d'avoir montré leur importance pour l'étude des masses cen- trales et de la capsule interne en particu

'hémisphère en bloc, à ne pas obtenir un durcissement suffisant des masses centrales, ou encore à avoir au bout de quelques

rs. La paraffine pénètre entre les fentes du collodion et, lorsque la masse est solidifiée, la pièce se trouve fixée très s

masse est solidifiée, la pièce se trouve fixée très solidement. La masse de paraffine employée dans cette opération est

Coloration dcia nc- croglic lnar le car- min. Coloration en masse île Fond. 1° Séjour dans un cristallisoir conte

en anato- mie pathologique <le la méthode de colo- ration en masse de Forel. Procédé de Malas- sez et Chaslin.

issance, par suite d'une prolifération de ses cellules, il une petite masse pleine, premier rudiment du cristallin (lig. 16

cerebri), qui donneront naissance à l'écorce grise du cerveau, à la masse blanche sous-jacente, au corps calleux, au sept

es sur une grande étendue, peuvent arriver à ne former qu'une seule masse impaire et médiane. Une fois développée, la cou

ed du pédoncule. - Le corps strié^&forme au début, qu'une seule masse de substance grise que segmentent frienfot1' de

damentale donnant naissance à la région sous-optique de Forel. - MB, masse blanche sous- ' jacente à l'écorce cérébrale. -

mbique le, lame cornée. - 11., lame terminale embryon- naire. - MB, masse blanche sous-jacente à l'écorce cérébrale. - A'C,

leuses, soit au système des fibres d'association ; elles forment la masse blanche sous-jacente à l'écorce céré- brale, et

arition puis tardive, et n'intéressent que l'écorce cérébrale et la masse blanche sous-jacente. Vers le milieu du cinquiè

Chez les poissons cartilagineux, le cerveau antérieur se réduit à une masse ; épaisse et volumineuse, qui limite en avant le

r un point du noyau pour constituer le cylindre-axe. La volumineuse masse protoplasmique qui entoure une cellule germinat

t montré simultanémcnt en 1847. Chez les vertébrés supérieurs, la masse protoplasmique se déjette sur un des côtés de l

t, vers le troisième mois de la vie intra-utérine, sous la forme de masses elliptiques à grand axe radiaire, granuleuses,

- plasma se condense, quelques prolongements se différencient de la masse protoplasmique granuleuse, prennent un aspect r

que nous l'avons vu précé- demment, pour étudier le trajet dans les masses blanches encéphalo-mé- dullaires de certains fa

1 1 i- i. i' les gouttelettes se contondent avec la grande masse de la myéline (fig. 118); peu colorée par l'aci

on- dant; de plus il existe des granulations de myélino dans la masse de proto- plasma située au voisinage du noyau

es ganglions périphériques et constitue un peu moins du tiers de la masse totale de l'axe encéphalo-médullaire. Elle est

constitue l'écorce. Elle représente à peu près les 9 dixièmes de la masse totale de la substance grise de l'axe encéphalo

s les systèmes des fibres de projection ne constituent pas toute la masse blanche de l'axe encéphalo-médullaire. A côté des

rs couches superposées. Chaque cellule épendymaire est formée d'une masse protoplasmique cubique, peu granuleuse; elle co

indre trace de division, sauf toutefois au voisinage immédiat de la masse protoplasmique qui entoure le noyau, et qui s'éte

e- axne; il ne nous reste donc a étudier ici que la structure de sa masse pro- toplasmique. Le corps de la cellule nerv

pro- toplasmique. Le corps de la cellule nerveuse est formé d'une masse de protoplasma à striation nettement fibrillair

on nouvelles, en particulier à l'aide de la méthode de \issu, cette masse de protoplasma se trouve constituée par un déli

longements dendritiques ou cylindre- axile, s'entrecroisent dans la masse cellulaire, et se perdent au voisinage du noyau

pinion de Golgi. Opinion de Nôlli- ker. ! S Structure de la masse protoplasmi- i que de la cellule ner- vousc.

s tubes possèdent un noyau saillant à leur surface et logé dans une masse de protoplasma(fig. 1 23, E, c,) qui s'étend à

n général, qu'un seul noyau situé à sa face interne, et entouré d'une masse protoplasmique étalée. Chez les poissons, cette

ent et s'enchevêtrent en tous sens, et forment dans le ganglion une masse granuleuse, comparable au premier abord à la su

r les nerfs périphériques, mais encore sur les fibres nerveuses des masses blanches du névraxe : aussi les considèrent-ils c

vier), sur la fibre nerveuse vivante, dont la myéline constitue une masse homogène et visqueuse; ils n'apparaissent que s

Waldcyer, fait partie constituante du cylindre-axe. Elle forme une masse consistante et homogène d'après Tiüllil;er, Jacob

consistante et homogène d'après Tiüllil;er, Jacobi et Retzius; une masse d'aspect réticulé pour Joseph; d'après Kupffer, M

Joseph; d'après Kupffer, Maly et Boveri, enfin, il s'agirait d'une masse liquide. Leydig et Nansen admettent que chez le

recouvertes par des noyaux allongés et ovalaires et entourés d'une masse protoplasmique. Traitées par le picro-carmin aprè

distinctes, et il serait possible que ces noyaux appartinssent à une masse protoplasmique unique [et très étendue, sorte d

iderme de la peau et l'épithélium des muqueuses, soit au sein d'une masse granuleuse spéciale, comme dans les éminences t

te par la gaine de sarcolemme (fig. 144). Elle est formée d'une masse granuleuse ren- fermant de nombreux noyaux de

ur du corps ne représente pas d'une façon correcte l'ensemble de la masse orga- nique ; un homme et une femme, par exempl

de l'encéphale non pas à la taille ou au poids du corps, mais à une masse active du corps, c'est-à- dire à des termes ana

vements, des opérations cérébrales en un mot, sont indépendants de la masse de l'organisme. De ce que le volume de l'encé

nullement que la capacité intellectuelle soit proportionnelle à la masse et au volume de l'encéphale. L'activité cérébra

fet, est le résultat de tant de facteurs autres que le volume et la masse de l'encéphale, qu'on ne peut guère évaluer l'int

ert a isolé et pesé séparément le manteau cérébral (écorce grise et masse blanche sous- jacente), le cervelet et le tronc

psychiques supérieures. Densité de l'encéphale. - La densité de la masse encéphalique est d'environ 1030; elle augmente

d'Anthrop. 2'' série, t. I, 1873). DARESTE, Sur les rapports de la masse encéphalique avec le développement de l'intellige

RPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 243 bien plus dans l'espèce de régions, que de masses lobulées nettement circon- scrites. La division

ente de grandes irrégu- larités individuelles dans ses origines, sa masse et sa terminaison. Elle se présente plutôt sous

et la deuxième circonvolution temporale ('1'2) forment souvent une masse lobulée, rectangulaire, étendue de l'extrémité

LOGIE CÉRÉBRALE. 29H . il Le pli lingual inférieur forme une petite masse lobulée, à grand axe antéro-postérieur, entaill

présente quinze il vingt incisures verti- cales, qui fragmentent sa masse en autant de petites saillies ou bosselures. La

postéro-interne; il est constitué de chaque côté (fig. 190) par une masse volumineuse de gros fais- ceaux de fibres, éten

en bas avec le pédoncule cérébral (P), et s'irradie en haut dans la masse blanche des hémisphères (CO), le long du bord sup

m de radiations du corps calleux (RCc); celles-ci pénètrent dans la masse blanche des hémisphères, s'y irradient et s'entre

s bords latéraux du corps calleux pénètrent horizontalement dans la masse blanche des hémisphères, con- tournent l'angle

I/o ! /au call1{( : (NêlT], KG') se présentent sous la forme d'une masse grise, légèrement saillante, qui occupe la partie

te ligne d'insertion sépare la partie du noyau caudé entouré par la masse blanche du lobe frontal, de sa partie intra- ve

sa totalité (noyau caudé et noyau lentictilaii,6 ? strié forme une masse grise ovoïde, dont la grosse extrémité dirigée en

au niveau de l'extrémité antérieure du corps strié, ils forment une masse 24 ,k Forme du corps itrici. La. capsul

extra-ventriculaire située au-dessous et qui esten rapport avec la masse blanche des circonvolutions orbitaires. p, ponts

te ligne d'insertion sépare la partie du noyau caudé entouré par la masse blanche du lobe frontal, de sa partie intra- ve

ée de celle du côté opposé que par le septum lucidum, repose sur la masse blanche du lobe frontal et sur les radiations d

enticulaire (NL3) intimement uni au noyau caudé (NC), repose sur la masse blanche de ce lobe, constituée en dedans par le

dont la convexité regarde en bas et en dedans et qui repose sur la masse blanche du lobule orbitaire (fig. 243 et 281). Le

émité postérieure, la couche optique ou thalamus (Th) constitue une masse volumineuse de substance e grise, irrégulièreme

e pulvinar, on peut reconnaître, avec Burdach, trois noyaux dans la masse grise qui constitue la couche optique. Un noyau

, fig.. 28 i, 304-305). Ces noyaux ne constituent cependant pas des masses distinctes complètement isolées les unes des' aut

du faisceau de Vicq d'Azyr, où ces deux noyaux ne font qu'une seule masse . En de- hors il est limité par la lame médullai

tion occipitale (0,) et du cunéus (C). , Substance blanche. Dans la masse blanche de l'hémisphère, il y a peu de . , déta

coupe intéresse le centre ovale qui se présente sous l'aspect d'une masse fusiforme foncée, striée de languettes claires;

éral (VI), mais en avant et en arrière, on le voit pénétrer dans la masse blanche des circonvolutions, dont il se disting

n trouve la couronne rayonnante (CR) qui apparaît sous l'aspect d'une masse fon- cée, irrégulière, nettement délimitée en d

nd insensiblement en arrière, au niveau du corps cal- leux, avec la masse des fibres d'association des hémisphères. En avan

obliques, au milieu des- quelles, on trouve disséminées des petites masses de substance grise, appartenant au putamen (NL3

e- ' - ment délimitée; en avant elle se perd insensiblement dans la masse des fibres d'association du lobe frontal, tandi

ué nettement limité en; ùeda ",0 ? '1J.2 peut recon- naître dans la masse blanche sous-jacente à l'écorce, aucun faisceau d

e portent en arrière dans la couche sagittale du lobe occipital. La masse blanche du lobe occipito-lemporal est formée par

t en rapport avec Yopercule rolandique (OpR). Substance blanche. La masse blanche sous-jacente à l'écorce de cette coupe

CERVEAU. 403 queue (NC). Il forme avec ce dernier une seule et même masse , ainsi que les coupes sagittales, certaines cou

laire superficielle d'Arnold (Lms), l'autre profonde, formée par la masse blanche des circonvolutions. En avant et en deh

genou du corps calleux (Ce). Le corps calleux (Ce) est situé dans la masse blanche du lobe frontal, il forme la limite ant

brale. .É20 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Substance blanche. - La masse blanche du lobe occipital est considéra- blemen

s vestiges du faisceau occipito-frontal (OF) qui se confond avec la masse blanche du lobe frontal. A sa partie interne, app

genou du corps cal- lenT : (Ce) sont encore reconnaissables dans la masse blanche du lobe frontal. Entre les fibres du co

u cill ! lulwn(Cing [a]) qui ne se différencient pas du reste de la masse blanche du lobe frontal. La couche sagittale du

ventriculaire, ou noyau lenticulaire. Substance blanche. Dans la masse blanche de cette série de coupes FiG. 23'J. Cou

maire (Sge) qui le sépare du faisceau occipito-frontal (OF). ' . La masse blanche de cette coupe (n° 55) (fig. 243) diffère

iquement en bas et en dedans. Le corps calleux (Ce) pénètre dans la masse blanche des hémisphères, et se confond au nivea

limbiquè' antérieur (apla) et posté- rieur (7up1p) en haut. Sa' masse blanche est cons- tituée en grande partie par

première circonvolution frontale (mu,,), se confond en bas par sa masse blan- che avec la partie anté- rieure de la p

for- 490 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. nient qu'une seule et même masse (NC ? NL3). Le noyau caudé (NC) fait saillie da

e noyau caudé (NC) fait saillie dans la cavité ventriculaire, et la masse commune concourt il former il la base de l'hémi

te (n° 5, lig. 268). Par sa face supérieure il est en contact avec la masse blanche du lobe limbique, en particulier avec l

de coupes est très légèrement oblique en bas et en dehors.) Dans la masse blanche du cervelet, nous trouvons l'olive cérébe

nté que par deux îlots de substance grise situés en a et en , et la masse blanche du lobe frontal ne forme, avec celle de

e la circonvolution pariétale supérieure (Pj), qu'une seule et même masse . La scissure pariéto-ocçi.lzilale (po), est int

Azur (V) se présente avec beaucoup de netteté dans cette région. La masse blanche du cunéus et du lobule lingual (Lg) se

n godronnée. Le corps calleux (Ce) a pénétré dans la profondeur des masses blanches des circonvolutions, mais sa limite su

e externe du corps rhomboïdal ou de l'olive cérébelleuse (Oc) et la masse blanche, au niveau du point où elle donne naiss

de cette scissure ou scissure perpendiculaire externe, mais dans la masse blanche de l'hémisphère, on trouve en deux endroi

appartient aux libres de la couronne rayonnante (CR). Le reste de la masse 500 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fit.. 271.

circon- volution frontale par le sillon marginal antérieur (ma). La masse blanche du lobule fusiforme (Fus) s'est fusionn

nsula, sectionnée parallèlement à son axe, se confond en haut avec la masse blanche de l'opercule rolandique (OpR). La circ

t avec celle des circonvolutions antérieures de l'insula (la). La masse blanche du lobe frontal et des circonvolutions ro

e intéresse les trois circonvolu- tions de ce lobe (T,,T2,T3). La masse blanche ne présente rien de particulier il noter.

s d'association qui tapissent les fonds des sillons. Le reste de la masse blanche est formé par l'intime intrication des

Dans le lobe frontal, le deuxième sillon frontal (f.,) subdivise la masse blanche de ce lobe, et dans le lobe temporo-par

'AIDE DE COUPES MICROSCOPIQUES SÉRIÉES La texture si complexe de la masse encéphalique ne peut être étudiée, aujourd'hui,

ffet très nettement : 1° Les rapports de l'écorce cérébrale avec la masse blanche sous-jaccnte; la façon dont les fibres

s parallèlement il leur axe : c'est le cingulum (Cing) qui forme la masse blanche de la première circonvolution limbique

ors de la couche des fibres de la couronne rayonnante, on trouve la masse des fibres d'association de cette région, formée

es fibres de projection, se groupent en fascicules et traversent la masse blanche du lobe frontal pour se rendre, soit da

nne rayonnante, soit dans la couronne rayonnante elle-même. Dans la masse blanche du lobe frontal, soit de la troisième, so

. Le noyau caudé (NC) et le putamen (NL3) sont formés par une seule masse de substance grise, réunie'parde nombreux ponts

Vsph). Le corps calleux (Ce), le faisceau occipito-frontal (OF), la masse blanche des circonvolutions l'olondiques (Fa, P

putamen (NL.,). Ces trois noyaux ne forment sur cette coupe qu'une masse unique limi- tée en avant par le pédoncule infé

(Ce), auquel il est intimement uni, se présente sous l'aspect d'une masse rectangulaire, formée de fibres sectionnées en

n'intéresse donc aucun noyau gris de la base, mais exclusivement la masse blanche des circonvolutions temporales et parié-

x couches sagittales de la corne occipitale, pour se rendre dans la masse blanche des cir- convolutions avoisinantes. F

s sagittales du lobe temporo-occipital comprennent, en allant de la masse blanche vers la cavité ventriculaire : le faisc

mmissure pos- térieure. ,;sa ANATOM1E DES CENTRES NERVEUX. La masse blanche du lobe temporo-occipilccl a considérable

(fg) et l'extrémité posté- rieure du sillon, olfactif (l ? ). La masse blanche du lobe frontal est considérablement rédu

pe. Le putamen (NLs) et le noyau caudé (NC) ne forment qu'une seule masse , qui apparaît à l'extérieur (CNC) entre l'écorc

ntre l'écorce cérébrale et la lame terminale embryonnaire (lt). Cette masse com- mune est limitée en avant, par des fibres

ant un trajet un peu onduleux. On les voit s'entre- croiser avec la masse de fibres qui occupent la substance innominée de

ule latéral. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. j77 sagittales, la masse blanche du lobe temporal comprend l'intime enchev

à montrer les apparences diverses sous lesquelles apparaissent les masses centrales de l'hémisphère, examinées à différente

nent un grand nombre délires radiées qui pénè- trent toutes dans la masse blanche; celles qui proviennent du fond des sillo

nnent des crêtes des circonvolutions pénètrent profondément dans la masse blanche, et peuvent être suivies sur une assez

bres radiées des crêtes des circonvolutions, qui se perdent dans la masse des fibres blanches, dès qu'elles ont dépassé l

dépassé le fond des sillons. La partie externe et postérieure de la masse blanche est formée sur cette coupe par des fibres

puis se perdent sans limites précises dans l'enche- vêtrement de la masse blanche sous-corticale. Ces fascicules sont sépar

(scc) ; à ce niveau il se confond avec les fibres enchevêtrées de la masse blanche sous-corticale. Les radiations calleu

e que l'on se porte en dehors, et se perdent insensiblement dans la masse blanche sous-corticale non différenciée. Coupe

imentaire et avortée, qui constitue les nerfs de Lancisi (NL). - La masse des fibres d'association est toujours extrêmement

et qui constitue tout le tiers externe de la coupe, appartient à la masse blanche de l'opercule sylviGn. Cette coupe pass

rconvolutions de l'insula. Le faisceau arqué (Arc), qui limite la masse blanche de l'opercule en dedans, est facilement

Arc), et se continue insensiblement en avant et en arrière, avec la masse des libres non différenciées du lobe frontal et d

septum lucidum (SI) et le ventricule de la cloison (VS1). Dans la masse des libres non différenciées de l'écorce cérébral

ule interne (Cia, Cip). Quelques îlots se groupent, pour former une masse irrégulière de substance grise, nettement délim

noyau caudé (NC) et le putamen (NL.,) ne sont qu'une seule et même masse de substance grise, incomplètement divisée en d

xtrémité anté- rieure du thalamus. Les fibres qui naissent de cette masse grise, commune au noyau caudé et au putamen (NC

- yone (Tga) et la commissure antérieure (coa), sont situés dans la masse grise sous- épendymaire qui forme de chaque côt

du noyau lenticulaire (NL,) va disparaître, et sera remplacé par une masse de substance grise, la substance innominée de R

e de Gratiolet. Nous tenons àfaire remarquer qu'il s'agit ici d'une masse de substance grise diffuse, non réunie en noyau

ies interne et externe. En dedans du corps de Luys, au milieu de la masse de fibres constituée sur la coupe précédente (voy

Embryologie, p. 110). Le corps strié (NC) est réduit il une petite masse de substance grise, sillon- née par les dernièr

enant à cette région. En avant, le corps strié est en contact avec la masse blanche du lobe orbitaire, au sein duquel se tr

sont rapprochés. Le tubercule mamillaire esl formé par deux petites masses ganglionnaires : l'une externe, le tubercule ma

re externe ou latéral (Tml), il apparaît sous la forme d'une petite masse grise, oblongue, qui s'insinue entre la commissur

de Meynert (CM) et le pied An pédoncule cérébral (P). Cette petite masse grise donne naissance au pédoncule du tubercule

t on y constate nettement que le tubercule olfactif est formé d'une masse grise centrale, entourée de fibres à myéline fo

Iteil médian (Rm). Le pulvinar (Pul) ne forme plus qu'une petite masse grise peu considé- rable, mais qui reçoit du se

fibres de projection corticales du globus pallidus. La plus grande masse des fibres du segment rétro-lenticulaire est form

en avant avec le noyau amygdalien (NA) et l'avant-11tw' (AM), et la masse de substance grise formée par ces trois noyaux se

mi-cir- cularis. Le corps genouillé. interne (Cgi) forme une petite masse oblongue, très réduite de volume, entourée d'un

ndent presque parallèlement le long du raphé, et se perdent dans la masse de fibres Au pédoncule, cérébelleux supérieur.

s assez long une légère teinte violacée. Les fibres nerveuses de la masse blanche des hémisphères ne se recouvrent en eff

andique. possible de constater de visu son perfectionnement dans la masse blanche des hémisphères. Il est probable qu'ell

ent de l'intel- ligence. Si les progrès de la myélinisation de la masse blanche des hémisphères ne sont guère appréciab

ournent la corne sphénoïdale, et entrent dans la constitution de la masse blanche du subiculum (fig. 359). Les fibres de

s. Les glomérules olfactifs (lig. 370, gl), représentent de petites masses sphériques, ovoïdes ou elliptiques, Lobe lyrifo

sans déviation dans leur trajet, la base de la circonvolution et la masse blanche sous-jacente. Le fond des sillons n'est

n est pas de même des longues fibres d'association, situées dans la masse blanche commune des hémisphères, où elles sont

jal). Ces fibres de pro- jection traversent toute l'épaisseur de la masse blanche des hémisphères; arrivées au niveau du

6 et p. 743); elles forment quelquefois, presque à elles seules, la masse blanche de certaines circonvolutions, telles que

a face profonde de la couche des fibres en U est en rapport avec la masse blanche propre de la région, formée par l'enche

e se recouvrent de myéline chez l'enfant et ne se distinguent de la masse générale des fibres nerveuses, que lorsque l'éduc

erne de l'hémisphère et qui concourt à former, en grande partie, la masse blanche des première et deuxième circonvolu- ti

qui se recourbent à leurs deux extré- mités pour se porter dans les masses blanches des circonvolutions environ- nantes, e

corps calleux (Ce), au niveau du point où celui-ci pénètre dans la masse blanche du centre ovale (CO) ; son sommet corresp

limité en dehors et en bas, où il se confond insensiblement avec la masse blanche des circonvolutions de l'opercule sylvi

blement par l'hématoxyline et se dif- férencie difficilement, de la masse blanche de la base des circonvolutions de l'ope

la corne frontale, c'est-à-dire du genou du corps calleux et de la masse blanche du lobe frontal; se réuniraient en un f

rès facilement des radiations thalamiques (RTh) et des fibres de la masse blanche du lobe temporo-occipital, grâce au gros

ant donné le peu de développe- ment que présentent chez le singe la masse blanche des hémisphères et en particulier les f

lésions portant non plus sur la corticalité occipitale, mais sur la masse blanche sous-jacente et en particulier dans les

sépare du faisceau longitudinal inférieur et forme à elle seule la masse blanche des plis cunéo-limbiques. Ses fibres re

ur individualité, de telle sorte que la || plus grande partie de la masse blanche du lobe frontal est formée par l'intime

interne (Bal- kcnbuudcl der innerenKapsel), qui, se détachant dela masse blanchcdu lobe frontal et du genou du corps cal

limitées à l'écorce cérébrale et épargnent presque complètement la masse blanche, qui n'est le siège que de dégé- néresc

). Les dégénérescences intéressent le stratum calcarinum (strK), la masse blanche du cunéus (C), les radiations thalamiqu

eté sur cette coupe. La dégénérescence du stratum calcarinum, de la masse blanche du cunéus et la zone de dégénérescence

t pas été préparées en vue de l'étude des fibres dégénérées dans la masse blanche de l'hémisphère sain. De l'ensemble d

ituation fort complexe, je me limiterai au cerveau, c'est-à-dire à la masse de substance nerveuse, composée de deux hémisphèr

'une couche de substance grise. La partie centrale est formée par une masse de subs-tance blanche dans laquelle sont creusées

ers la partie corticale des hémi-sphères. Ils sont compris entre deux masses de substance grise, l'une interne et supérieure (

, vous vous souvenez avoir vu, faisant saillie sur leur plancher deux masses de substance grise ; l'une antérieure et externe

é sont séparées par la profondeur du troisième ventricule. Ces deux masses grises, intra-ventriculaires, le noyau caudé du c

e substance gélatineuse interposée entre eux, com-poseraient toute la masse delà névroglie. Nous aurons à dis-cuter, par la s

Le second système est le système central ou des ganglions centraux ( masses grises centrales). Les vaisseaux qui entrent dans

dante, et la plus grande par-tie de la circonvolution de Tinsula. Les masses centrales étaient indemnes. les expériences de

u lobule "ipital proprement dit. SEPTIÈME LEÇON Circulation des masses centrales (noyaux gris et capsule interne). Som

eux parties : ^a) Le tiers antérieur, plus obtus et constitué par une masse uniforme de substance grise, se confond à son ext

les relations qui viennent d'être indi-quées, que les trois noyaux ou masses grises centrales, couche optique, noyau caudé, no

et son ganglion optique. —A, commissure dans la cavité centrale de la masse de substance grise. — G, pilier descendant do la

isolées des noyaux gris Sommaire. — Origine du système artériel des masses ganglionnaires centrales — Participation, dans de

rt, vous ne l'avez pas oublié, à la formation du système artériel des masses ganglionnaires centrales ; mais elles y prennent

s, aux parois ventriculaires, etc., fournit, en ce qui concerne les masses centrales, aux régions suivantes : Io à la partie

t les serrer de plus près, en commençant par ceux qui concer-nent les masses ganglionnaires centrales. A. — a) Le système to

ie du tronc artériel principal. Alors, le ramollissement porte sur la masse des noyaux gris tout entière ou peu s'en faut, —

corps opto-striés, — ainsi a-t-on désigné quelquefois l'ensemble des masses centrales — n'est autre que Vhémiplégie cérébrale

ésistance plus grande des parois crâniennes, du côté de l'insula, les masses centrales, pour ainsi dire énucléées, sont refoul

tic régional des diverses parties qui entrent dans la composition des masses ganglionnaires centrales du cerveau. 1° Pour ce

e transitoire de la paralysie résultant de ces lésions partielles des masses ganglionnaires centrales peut indiquer, ainsi que

ief que, dans le diagnostic régional relatif aux diverses parties des masses centrales du cerveau, c'est la participation ou l

l'exposé qui précède, le rôle prédominant qui, dans la pathologie des masses centrales, appartient aux lésions des deux gtands

ath. der Krankk., etc., p, 119, fig. 82. Zurich, 1873. périeure des masses centrales, celles-ci attenant encore aux diverses

couronne rayonnante sans s'être arrêtées dans la substance grise des masses centra-les ; c'est, de plus, ainsi que cela resso

ulu un ressort, est intro-duit à travers la paroi crânienne, dans les masses centrales, à un e profondeur et dans une directio

rectement, sans être entrés en communication avec les noyaux gris des masses centrales, à la formation de la couronne rayonnan

tes directes, c'est-à-dire ne s'arrêtant pas dans les noyaux gris des masses centrales et qui, à l'issue de la capsule interne

s ventricules latéraux. (Meynert 1 composent pour une bonne part la masse centrale blanche appelée centre ovale, que l'écor

sont désignées d'après Gratiolet, qui, lèpre-pas la totalité de cette masse . Celle-ci contient, en outre, des faisceaux tout

ues ou pulvinar, en dedans le corps ge-nouillé interne, en dehors une masse grise un peu plus volu-mineuse qui est le corps g

secondaires. Sommaire. — Région antérieure ou lenticulo-striée des masses centrales (cap-sule interne dans ses deux tiers a

ement porter de nouveau notre atten-tion sur la région antérieure des masses centrales, afin d'étudier de plus près, au point

e fibres qui s'étendent de la substance corticale aux noyaux gris des masses centrales. Nous supposerons que les diverses fi

les lésions qui demeurent limitées à la substance des noyaux gris des masses cérébrales, à savoir : le noyau lenticulaire, le

éressants, dont voici l'énoncé : 2° Les foyers situés en dehors des masses centrales, dans le centre ovale de Vieussens, pou

sions-là, dis-je, alors même qu'il n'existe aucune partici-pation des masses centrales, déterminent, dans de certaines (1) L

Ramollissement ischémique du système cortical, sans participation des masses centrales. — H, le foyer de ramollissement. — J,

ulée d'origine cérébrale, qu'en tant qu'elle dépend d'une lé-sion des masses centrales ; je voudrais maintenant m'arrêter un i

raverseraient la capsule interne sans entrer dans les noyaux gris des masses centrales, et ne s'arrêteraient, par conséquent,

mois iaprès l'ablation des parties antérieures d'un hémisphère, — les masses centrales,couche optique etcorps strié, étant dem

ément mentionné que le ramollissement avait complètement respecté les masses centrales : couches optiques, noyau caudé, noyau

use et qu'on lui imprime quelques oscillations, on croirait tenir une masse gélatineuse, de la colle de pâte. L'examen hist

ez l'adulte. Les éléments cellulaires y sont en grand nombre, et leur masse protoplas-mique (comme l'ont montré MM. Parrot et

émisphère. On peut tout d'abord reconnaître sa présence au milieu des masses ganglionnaires opto-striées, dans la région qu'on

res complètes, t. iv, Localisations. 14 la couche optique. Mais les masses ganglionnaires internes (couche optique et corps

onnaires internes (couche optique et corps strié) sont séparées de la masse ex-terne (noyau lenticulaire) par un gros tractus

développées, il n'affecterait aucune relation de continuité avec les masses ganglionnaires adjacentes ; et si, par la pensée,

s différences de couleur qui correspondent aux diverses régions de la masse cérébrale suivant l'âge de ces nouveau-nés. Il es

uger d'après l'étude du cerveau d'enfants moins âgés), repose sur les masses ganglionnaires centrales, où il paraît avoir son

ionnellement et pathologiquemcnt dis-tinctes. Ce sont, d'un côté, les masses ganglionnaires centrales, Ciiarcot. OEuvres com

stance grise qui les recouvre. 1° Arrêtons-nous en premier lieu aux masses grises centra-les. Une analyse très sommaire de l

ion de la capsule interne est donc, en ce qui concerne les foyers des masses centrales, la condition sine quà non de la produc

ent de la discussion qui précède; c'est que, en tant qu'il s'agit des masses grises centrales, les lésions destructives, porta

ons en foyer dites périphériques, c'est-à-dire siégeant en dehors des masses opto-striées, ces lésions ne déterminent la produ

eul, tant s'en faut, la tota-lité des faisceaux de Burdach. La grande masse de ces fais-ceaux est formée, au contraire, par d

s des particularités anatomi-ques qu'offre à considérer la région des masses centrales, car c'est dans cette région que se fai

ravaux de M. Duret, les disposi- tions des artères nourricières des masses centrales, vous rele-vez surtout ce qui suit. L

se et le manteau, les vais-seaux qui s'insinuent dans l'épaisseur des masses centrales ne sont pas, quant à la structure et à

ux lenticulo-striés, une fois qu'ils ont pénétré dans l'épaisseur des masses cen-trales, peut être aisément mise en relief par

ent cortica-les, c'est-à-dire qu'elles occupent le manteau et non les masses centrales. En outre, l'hémisphère cérébral affect

rincipalement par de la rigidité ou de la contracture spasmodique des masses musculaires ; tandis que d'autres sont marquées p

lysie spasmodique. En effet, si l'on examine de près ce qui reste des masses musculaires du bras et de l'avant-bras, on distin

rvation I du profes-seur de Berlin (1). « Aux membres inférieurs, les masses musculaires ne sont pas précisément atrophiées, m

.............................. 5~ SEPTIÈME LEÇON. Circulation des masses centrales (noyaux gris et capsule interne). Som

secondaires. Sommaire. — Région antérieure ou lenticule—striée des masses centrales (cap-sule interne dans ses deux tiers a

ontestable pour les agglomérations organiques considérées par grandes masses , c'est-à-dire pour les appareils et les organes.

dans une épaisseur proportionnée à celles de ces enveloppes et de la masse des muscles dont elles supportent les vaisseaux.

de courtes fibres aponévrotiques, de larges surfaces d'insertions aux masses musculaires : telles sont les deux fosses iliaque

de forme conique. Au tronc la direction verticale s'observe dans les masses des muscles extenseurs et dans les muscles fléchi

segment compris entre l'enveloppe extérieure et l'angle rentrant des masses apophysaires des vertèbres. Ainsi, dans sa stru

r le côté, du trapèze, du grand dorsal et du romboïde en arrière ; la masse du sacro-spinal et de ses annexes formant une gai

re, l'aponévrose postérieure du transverse, prolongement flexible des masses apophysaires des vertèbres, constitue par son tri

titue par son triple feuillet les gaines du carré des lombes et de la masse du sacro-spinal. Elle est fortifiée par deux autr

rême ténuité, la communication de ses cellules et sa distribution par masses , comme moyen commun d'union et de remplissage dan

utes celles de nature cancéreuse, est la seule qui se confonde en une masse commune avec les tissus voisins. La substance spo

illiers de petits séquestres sont masqués par l'aspect fougueux de la masse commune. Dans toutes ces affections du tissu os

teront, à divers degrés de consistance et sous des formes variées, en masses , infiltrées ou enkystées. Celles qui restent flui

d'origine, l'aorte et la veine cave inférieure, sont environnés d'une masse cellulaire et des grands chapelets de ganglions l

es précautions pour que les vaisseaux et leurs enveloppes forment une masse dense, analogue aux cicatrices fibreuses. C'est d

a myologie par régions, les muscles, qui, par leur volume, forment la masse principale de l'enveloppe viscérale périphérique

est fréquemment affectée de tumeurs cancroides, ou même de cancer en masse , dont l'ablation suivant le volume, donne lieu de

partie postérieure du cou constituant la nuque, elle se compose de la masse des muscles extenseurs de la tête, limitée en hau

ophyses épineuses et le liga-gament cervical sur le plan moyen, et la masse apophysaire sur le plan latéral. Ces muscles sont

oses et de perforations produites par les fongus de la dure-mère. Les masses postérieures des vertèbres sont quelquefois le si

ons sternale et sous-claviculaire, son étendue est représentée par la masse du muscle grand pectoral, sur laquelle s'applique

A peine rudimentaire chez l'homme, cet organe dans la femme forme une masse demi-sphérique, inégale, granulée, située sous le

entre les deux sillons verticaux du sterno-pubien en avant, et de la masse du sacro-spinal en arrière. Étranglée au contour,

3° l'aponévrose lombo-iliaque, forte lame fibreuse d'insertion de la masse du sacro-spinal; 4° l'épaisseur du sacro-spinal;

r les lombaires dont les branches postérieures se distribuent dans la masse du sacro-spinal , les muscles superficiels et la

sistante, la tunique albuginée, il se compose, dans sa texture, d'une masse de canaux séminifères soutenus par des cloisons f

inue en avant, au-dessous du pubis, par les racines du pénis, dont la masse forme une longue saillie médiane rétrécie entre l

e plus dense ou l'aponévrose lombo-iliaque, surface d'insertion de la masse du sacro-spinal. Les muscles forment deux couches

rfs composant la queue du cheval. Dans l'enfant, la non réunion des masses apophysaires sacrées sur le plan moyen en permett

xtérieur la région fessière dans son ensemble se compose d'une grande masse ovalaire, aplatie en haut et en dehors, et termin

laire. Les muscles sont disposés sur deux plans, superficiellement la masse commune des deux muscles confondus à tort sous la

ituée à la partie postérieure de l'épaule et du thorax, formée par la masse triangulaire de l'omoplate, revêtue de ses muscle

ral et le pli de l'aisselle, elle présente extérieure-rnentune grande masse verticale ellipsoïde en saillie, formée par le bi

et du grand rond, occupée dans toute la hauteur, en arrière , par la masse du triceps brachial, bombée dans sa portion charn

llie moyenne du biceps et du brachial antérieur qu'ils séparent de la masse des supinateurs en dehors, et de celle des pronat

e la saignée. Les sillons latéraux sont surmontés et protégés par les masses d'insertions humerales des muscles; pour l'intern

ires; au milieu sur les côtés sont les insertions carpiennes des deux masses charnues latérales; 3° sur le ligament palmaire l

ée en ellypse par les tubercules latéraux et le ligament palmaire, la masse des tendons des trois fléchisseurs et le nerf méd

ormée par les muscles inter-osseux et les crêtes des os métacarpiens. Masses latérales. En dehors l'éminence thénar est consti

7 et 8. T. VI. l'extérieur, elle manifeste la saillie de ces deux masses musculaires séparées par celle du droit antérieur

s leurs gaines fibreuses ; et d'un plan profond formé de deux grandes masses triangulaires, séparées en diagonale par le grand

ue forme la crête antérieure du tibia. Enfin, sur les côtés, outre la masse solide antéro-posté-rieure formée par les extrémi

une dépression médiane, dite le creux du jarret, comprise entre deux masses latérales formées par lecartement des muscles flé

URE EXTERNE'. Situation, configuration, délimitation. Formée par la masse des muscles fléchisseurs du pied, compris dans la

tendue à toute la face postérieure de la jambe, dont elle renferme la masse musculaire principale, elle est limitée en haut p

inégales : l'une postérieure ou tarso-métatarsienne, qui en forme la masse principale, solide et fixe; l'autre antérieure ou

dans la partie moyenne, par les cinq os métatarsiens maintenus en une masse solide par les trois plans de leurs ligamens dors

ent pour une phalange terminale ou pour un orteil, et, en plus grande masse , dans toutes les lignes transversales articulaire

aceidens nerveux, qui sont le résultat des déchirures en plus grande masse . Toutefois, comme la même innocuité suit en génér

r cas, la portion de tissu déjà endurcie doit être englobée avec la masse des parties à enlever. 3° Dissection en dédolan

rudent à s'abstenir d'opérer. division par striction. LIGATURE EN MASSE . La division par striction s'opère par ligature

l'aide d'instrumens dans les cavités. Mode d'action. La ligature en masse est employée, suivant les cas, pour deux indicati

libres. 10 Faire choix d'une ligature d'une force proportionnée à la masse et à la résistance des parties qu'elle doit embra

blir des intervalles égaux entre les aiguilles, qu'à circonscrire des masses égales pour les ligatures partielles. Les aiguill

soin ses effets sur la tumeur. Si cette dernière renferme une grande masse de fluides, il se produit un boursoufflenient con

gaz, indices d'une putréfaction commençante, se développent; toute la masse tombe enfin, après un laps de temps d'une à deux

er immédiatement la tumeur par l'instrument tranchant. La ligature en masse , en pareille circonstance, n'est employée que tem

t de leur contact les parties déclives. Appliquée ainsi par grandes masses sur des tumeurs spongieuses d'un grand volume, la

d'arsenic, etc., pétris en une pâte que l'on fait sécher par petites masses de forme conique ou cylindrique. Pour s'en servir

pportent. Dans des cas variés de lésions traumatiques au travers de masses charnues, il est assez commun que des faisceaux d

e striction trop forte convertit un moyen unissant en une ligature en masse , dont la conséquence est l'étranglement et la sec

t à mesure qu'ils se déroulent, en refoulant par la pression les deux masses charnues latérales l'une à la rencontre de l'autr

'artère, tandis crue, la voûte de la main embrassant le membre ou les masses musculaires voisines, le pouce réagit en sens opp

(Pl. 20), agit par le lacs circulaire à la manière d'une ligature en masse . Pour rendre la pression plus directe, la bande o

doit être présentée horizontalement entre le sterno-mastoïdien et la masse médiane laryngo-trachéale, presque directe d'arri

fonde, appuie sur le pubis , au fond du triangle, qui a pour côtés la masse du psoas iliaque en dehors, celle du premier addu

ne qui se mêle et sèche en magma avec le sang, se transforment en une masse à mille pointes solides, qui titille et irrite le

x du premier, du second ou du cinquième orteils se développent en une masse gris-verdâtre, feuilletée, plus ou moins irréguli

avec une scie d'horloger, on enlève avec des tenailles incisives les masses proéminentes (Dupuytrcn.), et on égalise à la lim

i, d'après la manière dont il est comprimé, s'incline et s'enfonce en masse ou d'un seul côté. Le dernier cas est le plus com

se caustique, en nombre, en volume et en situation proportionnés à la masse et à la configuration des parties molles exubéran

e tenu avec un porte-crayon, une pince, ou de toute autre manière. La masse de métal doit être assez considérable pour renfer

tout frais et bien fluide n'offre d'abord qu'un aspect homogène d'une masse cristalline et glutineuse ; mais, après quelques

ieur; il laisse mal à propos le fluide renfermé dans le tube avec une masse d'air proportionnellement considérable, qui peut

Avec une petite compresse pliée en huit ou dix doubles, façonner une masse de linge en forme de tampon, la tremper dans l'ea

or. Faire immerger dans l'eau bouillante une tête de marteau ou toute masse de métal offrant une surface polie, jusqu'à l'imp

bre avec la tête, de manière à ce qu'ils ne puissent se mouvoir qu'en masse , sans causer le moindre tiraillement sur la plaie

leurs mouvemens. Dans l'histologie, nous verrons quelle est, pour les masses musculaires en particulier, l'effet anatomique cl

supérieure, en bas l'artère occipitale, isole et refoule en avant la masse de la glande parotide dans la profondeur ou à la

isseaux eux-mêmes, par soustraction ou déplacement d'une partie de la masse sanguine : dans le premier cas l'art agit physiqu

rse ensuite le verre sur la peau où elles ne tardent pas à prendre en masse . Le mieux est de laisser déborder le linge au deh

te exprimés de la partie renfermée sous la cloche et refoulés vers la masse du corps. Ainsi, en résumé, dans toute pression

édiatement, clans une étendue considérable du système capillaire, une masse de sang d'une à plusieurs livres , que l'on retie

lement une plaie à une veine dans le but thérapeutique de diminuer la masse du sang générale ou locale. Appareil. i° L'inst

rs assez facile à déterminer sous la peau en déprimant en arrière les masses musculaires. Quelle que soit l'élévation dont les

tés par des aides, faire déprimer en arrière, par un aide de face, la masse du triceps sural, puis, la peau tendue par lecart

est facile et il répond aux cas les plus nombreux. Néanmoins quand la masse du triceps sural est très volumineuse, au lieu de

vasculaire poplité traverse verticalement la losange inscrite par les masses musculaires des fléchisseurs de la jambe pour le

re et en dehors, ramener, avec ce doigt faisant office de crochet, la masse des cordons vasculaircs en avant et en dedans : t

s ont été. La ligature du tronc qui se rend à l'une des moitiés de la masse encéphalique devait donner lieu immédiatement à d

oéminent, l'incliner du côté opposé pour faire retomber en ce sens la masse intestinale. Un aide est chargé de comprimer 1 ao

aire remonter par un aide, avec la pression des deux mains à plat, la masse intestinale vet*- le flanc du côté opposé, puis,

ire, et en particulier l'artère à ses battemens. Enfin le poids de la masse viscérale étant bien supporté par la main d'un ai

le distend outre mesure. Par l'effet de cette compression toute cette masse commune s'enflamme, se gangrène, s'ulcère ou enfi

trouve fermé, c'est le cas de M. Frcer, soit, dans une dilatation en masse , par un canal accidentel au travers des couches f

à Pelletan, Sabatier, Delpech et M. Roux. Et cependant, malgré cette masse d'imposans témoignages et la véracité des auteurs

on se contente, pour comprimer, de boulettes de charpie accumulées en masse et maintenues par des compresses longuettes, surm

rocédé, par exemple, celui de M. Lallemand, modifié de la ligature en masse et que nous en avons rapproché nous-mêmes comme d

nt par deux, trois ou quatre élémens mêlés et confondus dans une même masse ; 2° de tendre à envahir les tissus voisins qu'ell

prolongée, Y irritation inflammatoire, Y étranglement, la ligature en masse et la ligature des artères. 2°Aux moyens de destr

t de sang s'écoule, qui détermine aussitôt l'affaissement de toute la masse . Si, par exception, une partie de la tumeur resta

contact mécanique de la compression im médiate, une inflammation en masse des vaisseaux exsangues qui soit suivie de leur o

ules donnent issue à un pus sanieux et sanguinolent. Il semble que la masse entière va tomber en sphacèle. Néanmoins une infl

nie et luisante, comme celle qui succède à une brûlure. Ligature en masse (tumeurs vasculaires). Nous avons peu de chose à

ous ce chef l'excision, qui n'est que la même méthode appliquée à une masse moindre. L'extirpation seule, quand elle peut ê

érations sur la tête que dans celles sur les membres. 5° Dès que la masse principale est enlevée, on doit examiner avec soi

gement douteux il mène plus loin, dans un espace celluleux, à quelque masse ou noyau d'induration dans un état de dégénéresce

emble les extrémités, on soulève de la main gauche, dans son anse, la masse dermo-tendineuse postérieure, et il est facile, e

es isoler clans toute l'étendue des parties malades. Pour isoler la masse dermo-tendineuse antérieure, la main peut être la

iaux et cubitaux. Une nouvelle compresse rassemblant dans son anse la masse dermo-tendineuse antérieure, on écarte et on dénu

plaie par première intention, il suffit de laisser retomber les deux masses charnues, que l'on réunit sur les deux plaies à l

et de l'avant-bras, il ne reste plus qu'à extraire l'articulation en masse au travers des plaies latérales dont les bords so

re externe et supérieur, formé par la peau et la majeure partie de la masse charnue du deltoïde. — Second temps. Pendant qu'u

eux chefs cle celle-ci ramenés en bas et en arrière écartent toute la masse charnue inférieure, composée des muscles qui form

cle la capsule articulaire. On glisse alors la scie à chaîne entre la masse charnue inférieure et l'humérus, de manière à pra

2° Lorsque l'hémorragie est très difficile à arrêter, la ligature en masse , vantée par M. Mayor, serait peut-être avantageus

es molles détachées une petite compresse longuette qui embrassera une masse charnue antérieure composée par la peau, le faisc

entre les chairs et les os une compresse longuette qui embrassera une masse charnue postérieure constituée par la peau, les t

nes des articulations malléolaires et isole jusqu'à l'articulation la masse des deux extrémités osseuses, ou bien divise les

mités, si leur état de gonflement ne lui permet pas de les enlever en masse et d'un seul coup. L'opération est achevée si l'a

idérer seulement les divers degrés de rétraction des fibres prises en masse . 11 faut ajouter que l'on doit surtout se mettre

Le malade assis et fixé par des aides, saisir avec la main gauche la masse musculaire antérieure constituée par le biceps et

ier. Amputation du pouce. Le premier os métacarpien, caché par la masse de 1 eminenec thénar vers la face palmaire, n'est

y comprendre le tendon extenseur, ramener en dehors cette peau et la masse des muscles de l'éminence hypothénar, et, d'un au

en dehors l'épicondyle, dont la première, du double en hauteur et en masse , et saillante sous la peau, est le point le plus

ère, depuis le coraco-brachial jusqu'au grand rond ; faire relever la masse musculaire, couper la capsule et les tendons rota

re d'abord interrompue. Alanson faisait comprimer par une ligature en masse ; il avoue que son procédé offre de la difficulté

en position, saisir et soulever avec les doigts de la main gauche la masse du deltoïde, glisser horizontalement, sous la bas

eraient résistance. 3° Les articulations étant ouvertes, les luxer en masse en faisant basculer avec le pouce aplat le métata

niveau de l'anse poplitée de l'ovale, la relever et faire remonter la masse des tégumens par un aide. 3° L'articulation revêt

e, avec le couteau offert à plein tranchant inciser d'un seul coup la masse des muscles internes par un mouvement de bascule

— Ponctions, 80, 81. — Division par déchirure, 81, 82. — Ligature en masse , 82—85. — Cautérisation, 85 — 90. — Compression,

mpression, 194. — Séton, étranglement par des épingles, ligature en masse , 195. — Section circulaire, ligature des artère

ombaire, et intéresse latéralement les psoas, le carré des lombes, la masse du sacro-spinal et du transversaire épineux, et l

des lombes. 4. Section du transversaire épineux. 5. Section de la masse du sacro-spinal. 6. Aponévrose du grand dorsal.

ES ET DES CHIFFRES. RÉGION LOMBAIRE. Côté gauche. A. Loge de la masse commune du sacro-spinal. 1. Feuillet moyen de l

ux. 4. Sections de la cloison aponévrotique qui limite en dehors la masse du sacro-spinal, et unit l'aponévrose du transv

cir-convoisines , comprenant, 1° le creux axillaire inscrit entre les masses du grand pectoral en avant, du grand rond et du g

égion brachiale interne et supérieure. 1° Creux de l'aisselle. 5. Masse de ganglions lymphatiques, encastrée dans du ti

ère est prise sous le corps de la mâchoire, au-devant de l'attache du masse ter. Ce procédé, outre qu'il prend l'artère plus

tiers supérieur du fémur. Le fragment inférieur s'est enfoncé dans la masse des adducteurs; le fragment supérieur est venu fa

d'une sorte d'hypertrophie spongieuse du tissu osseux converti en une masse de canaux aréolaires, qui rappelle le tissu érect

ôte; un second maintient les deux chefs de la bande, I, qui écarte la masse charnue postérieure et supporte le malade qu'il t

et placé en avant du membre, soulève de la main gauche la bande de la masse charnue supérieure, J, tandis que de la droite il

plaie par plusieurs points de suture entortillée. La dépression de la masse deltoïdienne indique l'absence de la tête huméral

istouri qui achève la section des ligamens. Figure l\. RÉSECTION EN MASSE DE L'ARTICULATION TIBIO-TABSIENNE. ( Procédé de

'isolement des deux os pour leur extraction partielle, l'opération en masse ne pouvant être pratiquée qu'autant qu'on n'enlèv

Dans cette manière d'opérer, les parties molles sont séparées en deux masses , antérieure et postérieure, où les divers organes

'avant-bras. A. Anse formée par une bande qui soulève et détache en masse toutes les parties molles de la région antérieu

is d'isoler la surface de l'articulation , et de glisser, sous chaque masse antérieure et postérieure, une bande ployée en do

ans la même situation, est vu par sa face interne. E, bande de la masse charnue antérieure. — D, bande contentive de la m

E, bande de la masse charnue antérieure. — D, bande contentive de la masse charnue postérieure. — F, scie à chaîne occupée à

rticale opérée dans le scaphoïde par l'ostéotome de Heine, toute la masse interne de l'os étant enlevée. (f) . Section pa

qui sert de trame à des petits vaisseaux, ils se convertissent en une masse fibreuse, intermédiaire aux extrémités des divers

es chairs et des tendons sur la face palmaire. Figure 2. Section en masse des quatre os métacarpiens par la face dorsale. L

postérieure, pour avoir un lambeau cutané plus étendu en regard delà masse la plus épaisse, les muscles ont été coupés circu

des nerfs crâniens. Enfin, j'ai montré la disposition d'ensemble des masses centrales et indiqué quelle est la direction géné

e lentement devant lui pour occuper les espaces laissés libres par la masse cérébrale, tandis que le cerveau se porte vers la

, d'étudier la structure des amas et des noyaux qu'elle forme dans sa masse , de déterminer le rôle que ces éléments jouent da

ytes. Les cellules nerveuses se présentent sous l'aspect de petites masses triangulaires, variables dans leur grandeur de 25

bstance grise des noyaux centraux — La substance grise forme, dans la masse médullaire du cerveau vers la région médiane et c

limètres environ; il a une forme sphéroïdale et l'aspect d'une petite masse de substance blanchâtre. Ces centres ou noyaux

n'ont pas une structure histologique particulière et différente de la masse générale. Leur forme et leur délimitation sont du

. Corps strié. Le corps strié {corpus striatum) (Pl. VI, 4) est une masse ellipsoïdale de substance grise rougeâtre, d'une

formation du plancher des ventricules latéraux (Pl. XVI, 5). Cette masse grise volumineuse est incomplètement séparée en d

u extra-ventriculaire ou noyau lenticulaire [nucleus lentiformis). Sa masse représente une pyramide triangulaire dont la base

ise réunissent dans la partie inférieure ces deux portions de la même masse . La face inférieure du noyau lenticulaire est c

. Les fibres nerveuses ne se subdivisent pas dans l'intérieur de la masse médullaire ; elles ne forment pas par suite de ré

isceau principal, se sépare en deux groupes de fibres : l'un gagne la masse du corps qu'elle aborde par la face interne et su

férent de ce plan général. Ce faisceau relie aux régions centrales la masse de substance corticale des circonvolutions de l'h

subit par suite différentes dispositions des diverses parties de sa masse qui changent sa forme; elle apparaît sous l'aspec

le plancher du quatrième ventricule ; elle forme, de chaque côté des masses grises appar-tenant à la base delà corne antérieu

ntricule moyen, la substance grise centrale s'épaissit, constitue une masse cendrée appelée tuber cinereum et se termine en a

pe faite au niveau de l'émergence du nerf trijumeau, plongent dans la masse même des fibres transversales cérébelleuses, et s

ramide que forme le noyau lenticulaire; une partie pénètre dans cette masse grise et s'étale en éventail, sous l'aspect de fi

lent, se perdent dans le réseau de cellules nerveuses que renferme sa masse grise et émergent sous la forme d'un faisceau eff

érieures et antérieures (6-6'), qui se relèvent pour pénétrer dans sa masse et se fusionner avec les fibres de la capsule int

onvergentes des régions anté-rieures et inférieures (9) traversent sa masse et la séparent (10) de la substance grise du noya

és. Celles du lobule orbitaire se portent (9 et 10, Pl. VIII) vers la masse grise du corps strié et vont participer à la form

putamen. Les corps genouillés occupent la région postérieure de la masse ganglionnaire centrale. La substance grise du cor

es cortico-thalamiques ont déjà détaché le noyau caudé du reste de la masse de substance grise. Les fibres convergentes secti

e mode de pénétra-tion des fibres convergentes dans l'intérieur de sa masse et la forme du centre anté-rieur (10, Pl. XVI11)

e par les fibres du taenia semi-circularis qui s'épanouissent dans sa masse . 15. — Centre moyen de la couche optique; des f

bres convergentes postérieures plonge et s'épanouit en partie dans sa masse . Le fascicule antérieur de ce faisceau se dirige

u milieu de la fente cérébrale de Bichat. Ils sont constitués par une masse de substance grise, recouverte d'une écorce de su

-laires ont la disposition transversale de fibres commissurantes ; la masse de la sub-stance grise corticale est beaucoup plu

protubérance annulaire, pénètrent dans sa Gavoy. — Encéphale. 15 masse et s'entre-croisent sur la ligne médiane, sous le

aires externes contournent sa région externe et se dispersent dans sa masse . En haut et en dedans est la coupe des bande-lett

nt ses trois segments, séparés par les arcades externe et interne; sa masse est sillonnée de petits filaments très déliés pro

es très déliées serpentent et s'épuisent en pointe effilée dans leurs masses . 9. — Substance grise du noyau eau dé du corps

nvergentes et les fibres spinales antérieures rayonnent dans toute la masse de ces deux noyaux du corps strié. 11. — Sectio

des régions antérieures traversent, dans presque toute sa hauteur, la masse du corps strié, qu'elles divisent en noyau intra-

ire ou tête du corps strié. Les fibres convergentes pénètrent dans sa masse sous l'aspect de filaments très déliés ; quelques

fiés des fibres convergentes des régions antérieures dissocient cette masse de substance grise ; les fibres convergentes des

toute la cavité de la corne frontale des a^entri-cules latéraux ; sa masse est traversée par des fibrilles : les unes sont c

ans la substance grise du corps strié. Ces fibres s'immergent dans sa masse sous la forme de petits filaments très déliés et

s- cence considérable des cellules nerveuses et leur disparition en masse , dans la région où se continue le noyau de Mona

e du thorax; crampes dans les membres inférieurs, douleurs dans les masses musculaires, douleurs arthralgiclues. ' NEUROFI

ent confiné au lit ; on le trouve étendu, sans mouvement, comme une masse inerte et inintelligente par suite d'une extrêm

t fusiformes. D'assez nombreux capillaires sillonnent en tous sens la masse fibreuse. Enfin par places et d'une façon incon

ibre normale a côté de fibres très dégénérées réduites à une petite masse informe atrophiée. Les fibres atrophiées ont le

s avons pu étudier les lésions du tissu musculaire. A l'oeil nu les masses musculaires ne nous avaient paru modifiées ni c

oisines sont très touchées ; toutes ces fibres sont noyées dans une masse interstitielle vaguement fibrillaire assez rich

nt se trouvent disposés comme les branches d'un T renversé (j). Les masses lipomateuses peuvent atteindre de telles proporti

e et à sommet supérieur (Hayem). Quel que soit le développement des masses graisseuses, elles ne dépas- sent jamais, à la

Schmidt; ses épaules sont extraordinairement élargies par 2 énormes masses qui couvrent le deltoïde et descendent jusqu'à mi

palpation attentive permet parfois de constater, au mi- lieu de la masse encore peu développée, l'existence de noyaux mal

mie perni- cieuse progressive à longue échéance » (Lejars). , Les masses lipomateuses ne coïncident avec aucune modificati

s tumeurs. Dans quelques cas cependant (Brodie, Baker), on a vu les masses lipo- mateuses diminuer au point de devenir pre

tête (régions rétro- mastoïdiennes), à la nuque-et aux aines. De la masse inguinale descend, le long de la face interne d

axillaire inférieur par un sillon. En avant sur la ligne médiane la masse lipomateuse mesure cent. 1/2 de hauteur. Au nivea

e menton et descendant plus bas à droite qu'à gauche; on y sent des masses dures donnant la sensation de ganglions hy- per

) ; il est circonscrit, mo- bile, adhérent à la peau. Deux autres masses graisseuses sont situées au niveau des avant-bras

ire. La peau présente de nombreux plis horizontaux, et il reste une masse assez volumineuse, mollasse, sessile, s'étendan

nt le volume ne pouvait être déterminé, recouvert lui- même par une masse fibro-lipomateuse plus ou moins considérable. L'i

is on ne peut pas détacher la base. Ceci est dû à la présence d'une masse néoplasique qui soude la partie centrale de la

supérieure. Cette face est augmentée par la présence à droite d'une masse osseuse, tourmentée de formes, lisse dans sa port

res, ainsi placées forment une excavation, limitée en dehors par la masse osseuse de la deuxième lombaire, en dedans par

on tiers la- téral droit : les autres tiers sont transformés en une masse , simplement dépolie dans sa partie supérieure f

a partie supérieure fortement rugueuse partout ailleurs : c'est cette masse qui comble la cavité formée par la face supérie

avité formée par la face supérieure de la troisième lombaire. Cette masse est limitée en avant et en arrière par deux petit

raissent sur la face interne de l'articulation qui est augmentée en masse , régulièrement par ailleurs, sauf cependant à l

eur bord interne. L'articulation de la hanche est occupée par une masse dure, lisse, globuleuse, indolente, du volume d

d'adulte, il est uniformément tuméfié. A la palpation, on sent une masse dure épaississant, semble-t-il, le plateau tibi

érieure. Entre le bord interne du fémur et le bassin, se trouve une masse osseuse irré- gulière d'opacité normale. Obse

mberg,ni signe de Lasègue, ni douleurs spontanées ou provoquées des masses musculaires du mollet, ni trouble de la sensibili

On ne constate ni douleurs le long des trajets nerveux ou dans les masses musculaires, ni troubles de la sensibi- lité, n

et de froid au niveau de la main et du pied droit. Les nerfs et les masses musculaires ne sont pas douloureux à la pression.

s secondaires Démarche et station verticale impossible, vacillante, masses musculaires des jambes douloureuses il la press

du facial gau- che. Hyperesthésie intense des troncs nerveux et des masses musculaires. Pas de troubles objectifs de la se

tion des réflexes rotulien et plantaire. Douleurs à la pression des masses musculaires et des nerfs des membres inférieurs

vo-motrice subaiguëavecdou- leurs spontanées et provoquées dans les masses musculaires, engourdisse- ments des extrémités,

galvanique. Il faut remarquer que Fordyce a constaté la DR dans les masses musculaires du mollet tandis que la DR faisait

ts dans les extrémités, sans douleur à la pression des nerfs et des masses musculaires, avec une abolition des réflexes tend

oite au niveau de la pointe de l'omoplate et se décom- .pose en une masse principale postérieure, et une masse accessoire s

late et se décom- .pose en une masse principale postérieure, et une masse accessoire s'enga- geant dans le creux axillair

rgissent en réalité que dans les cas exceptionnels où les premières masses lipomateuses diffuses apparaissent dans des régio

ongénitaux, qui eux aussi peuvent s'infiltrer profondément dans les masses musculaires du cou, se distinguent par leur appar

psulée, dont le volume n'atteint jamais les proportions énormes des masses que nous avons précédemment décrites. Leur mult

urs oscillations de volume, leur coexistence possible avec d'autres masses graisseuses siégeant en différentes régions du co

l'extirpation, on trouva au mi- heu des lobules graisseux plusieurs masses crétacées et calcaires arrondies et un gros gan

on lymphatique, il. Tuffier voulut bien nous permettre d'examiner ces masses crétacées qui représentaient sans aucun doute d

es (Payr) (I), ne permet pas de comprendre le mode de formation des masses graisseuses observées dans la maladie qui nous oc

ns nerveuses, rhumatismales ou rhumatoïdes; la deuxième a Irait aux masses lipomateuses qui naissentet évoluent sans s'accom

ottmuller a essayé d'établir une relation entre la distribution des masses lipomateuses et celle des rameaux nerveux. Henn

mphatiques. Marçais constate que l'infiltration graisseuse dans les masses cervicales se fait autour des vaisseaux comme cen

tard un ratatinement de la glande, il se forme autour de l'organe une masse de graisse qui devient souvent abondante et plu

au milieu des cloisons et du tissu conjonctif, tantôt sous forme de masses plus con- sidérables, creusées de cavités kysti

iiuaires aux périnéphrites graisseuses. « On trouve alors d'énormes masses graisseuses présentant G à 7 centi- mètres d'ép

illaires, rétromasloïdiennes, préamiculaires, etc.). L'ablation de la masse sous-maxillaire gauche, du volume d'un oeuf de

dorsales dans les régions mammaires et pubienne ; dos capitonné de masses graisseuses. On enlève les tumeurs situées derr

ette région, les ré- gions sus et sous-épineuses sont excavées. Les masses musculaires sont molles. Quand on fait tourner

toutes parts par le tissu graisseux et rendus invisibles dans cette masse jaune diffuse. uns. Y1V(Pl. XXXVII).-A. Pitre

récidivé. On en peut bien juger à la nuque. Je crois plutôt que la masse générale a augmenté de volume. Nouv. Iconogra

tion a une consistance molle, dépressible ; on- y trouve de petites masses lobulées, plus fermes et roulant sous le doigt.

masses lobulées, plus fermes et roulant sous le doigt. Ces petites masses ressemblent à des noyaux ganglionnaires durs, n

masses ressemblent à des noyaux ganglionnaires durs, noyés dans une masse gélatineuse ou lipomateuse. , La tumeur, submat

uatue travers de doigt au-dessus du pli du coude, existe une petite masse allon- gée, longue de quatre à cinq centimètres

ambes dont les mouvements sont tout à fait incoordonnés et dont les masses musculaires ont subi une notable réduction de v

es unes des autres, et on a l'impression sous le doigt de plusieurs masses calleuses, contribuant pour une grande part à l

la troisième vertèbre dorsale : il semble donc qu'il y ait ici des masses calleuses qui les réunissent ou bien que les ve

é du quadriceps à la percussion. Il n'existe pas de déformation des masses musculaires ou des articulations. La malade épr

st penché en avant, le dos voûté, les lombes saillent en arrière ; la masse sacro- lombaire gauche est beaucoup plus bombée

guer des blocs isolés ; le plus souvent le liséré est formé par une masse homogène, compacte, résultant de la réunion des

use ont été prélevés, pour être traités par la méthode du carmin en masse ou de Forel et coupés après inclusion à la pa-

levés au niveau des lobes semi-lunaires et colorés par le carmin en masse . 1° Couche médullaire. - Cette couche est const

des fibres d'association ; il en est très peu qui pénètrent dans la masses blanche des hémisphères ; on peut en suivre que

é en 338 ' J. DEJERINE ET A. THOMAS arrière, puis pénètre dans la masse blanche des hémisphères ; c'est le corps restif

nt très faciles à suivre à cause de la disparition des fibres de la masse blanche des hémisphères ; on peut ainsi en dist

aire, et examinés soit par la méthode de Pal, soit par le carmin en masse , a donné des résultats négatifs : il n'existe pas

dans quelles pro- portions, car les fibres qui ont disparu dans la masse blanche du cervelet n'appartiennent pas seuleme

ésumé. - Le névraxe est en général petit. Il existe une atrophie en masse de l'écorce cérébelleuse, plus marquée dans les

e 379 2° Une zone siégeant autour du trajet et constituée par de la masse cé- rébrale spongieuse. 3° Une zone de matièr

ctoral, etc.) que ceux du bras et de l'avant-bras réduits dans leur masse et d'une dureté singulière, ils donnent l'impre

SSIVE 417 Les mensurations donnent : 418 ABADIE ET DENOYÉS deux masses globuleuses correspondant aux sous-épineux, de mê

ut au niveau de la cicatrice que l'on trouve sur le côté gauche. La masse sacro-lom- baire fait saillie. Les membres su

es, épaissies et saillantes. Elles donnent la sensation deplusieurs masses calleuses que le loucher sépare difficilement les

poudre précieuse. Leurs tabatières sont larges et ventrues et leur masse s'exalte en flancs rebondis. (1) Voir dans notr

che. a) Région supérieure. - Sur bien des préparations on reçut une masse de cellules névrogliques imprégnées et de vais-

des globules noirs. Dans la substance blam partout on peut voir une masse de grains et de points noirs de différente dimen-

gation très prononcée de fibres myéliniques et avec formation d'une masse de globules granuleux. Çà et là, on peut voir que

es dégé- nérées. Ce qui saute aux yeux ici principalement, c'est la masse de globules granuleux, qui sont tantôt parsemés

e, tout le champ de vue dans la substance blanche est parsemé d'une masse de points noirs de différentes dimensions, par

qui saute aux yeux c'est que les cellules nerveuses contiennent une masse de globules noirs. Ici les cellules avec des glob

foyers menus de ramollissement, qui provoquaient l'apparition d'une masse de glo- bules granuleux. Dans la région motrice

mollissement avec désagrégation de fibres myé- liniques et avec une masse de globules granuleux. IV. Pédoncules cérébraux

mmuns. - La désagrégation des fibres à myéline avec formation d'une masse de globules granuleux saute aux yeux dans la régi

côté droit. Par toute la coupe transversale on rencontre aussi une masse de blocs noirs disséminés. Les cellules'nerveuses

n rencontre de petits foyers de ramollissement avec formation d'une masse de globules granuleux. Sur toutes les coupes ex

hancrure entre la corne postérieure et la corne latérale. Parmi une masse de fibres dégénérées on ren- contre des groupes

e faisceau de Tùrck. Les cellules de Clarke con- tiennent aussi une masse de globules noirs, quoiqu'elles en sont moins rem

es fibres nerveuses et dans l'existence des cellules, contenant une masse de globules noirs. Par places, surtout plus prè

LYSIE GÉNÉRALE 489 seaux. Dans la substance blanche, on observe une masse de points et de glo- bules noirs, souvent dispo

hrose. Des deux côtés le creux poplité est comblé en partie par des masses irrégulières, qui masquent au doigt les battement

nnaît, sur la ligne médiane et légèrement en de- dans, deux petites masses dures, plates, allongées, qui semblent dues soit

t latéral ; il ne reste de lui qu'une moitié, souvent un tiers. Une masse pesante semble avoir aplati un de ses côtés. Le

ontinuent au lieu de la limiter, enfin et surtout à la présence des masses ostéophytiques largement implantées sur sa circ

agne même l'îlot protoplasmique dans lequel estlogé lé noyau, cette masse protoplasmique s'aplatit sur la vacuole ; la vési

gauche, on produit aussi facilement des secousses, muscles sur les masses de l'avant-bras. Artères dures. Réflexes tend

ig. 9), de sorte que les cellules nerveuses se perdent dans cette masse de leucocytes. L'ia- filtration se présente par

ysie ascendante de Landry. La cellule nerveuse est en- tourée d'une masse de leucocytes mononucléaires, qui constituent un

travées sont formées par de petites granulations bien colorées. La masse de granulation qui forme comme une espèce d'atm

granuleuse qui entoure le corps de la cellule ? S'agit-il là d'une masse qui ne lui appartienne pas et qui serait venue

une dépression superficielle, mais on sent plus pro- fondément une masse qui ne se laisse pas déprimer. A la cuisse, on tr

la peau. - Sur le front, au niveau delà bosse frontale droite, une masse sous-cutanée dure, aplatie, du volume d'une petit

peine la peau ; au niveau de la bosse frontale gauche, deux petites masses de même aspect. Au dire des parents, ces petites

eux petites masses de même aspect. Au dire des parents, ces petites masses auraient été remarquées dans la première année de

c, peu colorée et mal limitée. Au niveau du pli du coude droit, une masse sous-cutanée faisant saillir la peau, du volume

quelquefois je les ai vus s'agglomérer et se fusionner en une seule masse chromatique continue, ce qui n'avait pas encore

s la circulation générale. Là, les microcytes tombent au milieu d'une masse comparativement énorme de globules ordinaires, et

e l'avait parfaitement reconnu M. Laborde3, le volume et la forme des masses musculaires peuvent être jusqu'à un certain point

culées. L'examen post mortem fit voir que ces tumeurs formaient des masses sphériques qui naissaient delà couche profonde du

plus loin, elle réside dans le défaut de cul-ture intellectuelle des masses , dans le vice de notre éducation, qui _ nous préd

considérable que celle de l'hémi-sphère droit. Si, au-dessous de la masse encéphalique extra-crânienne, masse formée par la

ère droit. Si, au-dessous de la masse encéphalique extra-crânienne, masse formée par la partie moyenne et la partie postéri

formant au-dessous d'elles une sorte de cordon plus résistant que la masse encéphalique. Puis la moelle se replie sur elle-m

face con-tinue, inégale, qui formait entre eux une sorte de gorge. La masse morbide ne jouissait d'aucune mobilité propre, et

es molles qui l'entourent, la tumeur se pré-sente sous la forme d'une masse jaunâtre, irrégulière, hérissée de saillies, les

observée pendant la vie vers son extrémité externe. La forme de la masse morbide est trop irrégulière pour qu'il soit poss

. La marche était devenue fort difficile, tant à cause du poids de la masse morbide, que de la douleur qu'occasionnait la pre

e considérable, dont la base très-large s'implante sur le reste de la masse morbide. Voici d'ailleurs quelques chiffres qui d

ètre transversal................ 0m,85 0»,43 0™,o7 Cette énorme masse (voy. Planche Xill), nous venons de le dire, fait

mur; à ce niveau, elle est dure et donne à la main la sensation d'une masse fibreuse. La main, appli-quée sur un point de la

indiquent bien que de grandes cavités sont creusées au sein de celte masse ; mais, vu l'épaisseur des tissus, on ne saurait d

scles de la partie antérieure de la cuisse glisser à la surface de la masse morbide et lui communiquer de légers mouvements d

, et se couvre de bourgeons charnus. En revanche, il existe entre les masses musculaires de la face pos-térieure de la cuisse,

le a disparu. Enfin, disons en terminant que le poids de cette énorme masse , y compris la jambe, était de 17 kilogrammes. E

a scissure de Sylvius. Dans les poumons, cavernes aux deux sommets, masses tubercu-leuses plus ou moins ramollies dans toute

rouvons deux beaux exemples. Dans l'un « le testicule ne forme qu'une masse homogène, ovoïde, avec l'épididyme, sans limite d

ux de la glande ont tout à fait disparu et ont été rem-placés par une masse compacte de tubercules crus. On dirait, à la coup

épais et s'en détache avec facilité. Il est constitué par une épaisse masse de tissu spongieux recouvert d'une mince lamelle

mal. L'axe de la vulve était fortement dévié à gauche. La forme de la masse morbide était celle d'une poire, dont la petite e

artielle du liquide qui, dans sa pensée, devait se trouver dans cette masse . De plus, croyant, avec raison, qu'une opération

n volume normal ; on sent manifestement dans son épaisseur une petite masse char-nue de la grosseur d'un marron qui, vraisemb

: que tout prolapsus du cordon est empêché; que la fuite des eaux en masse est arrêtée ; que le décollement du placenta ne p

ter. (Union médi-cale, 1872. ) — Par le fait même de la grossesse, la masse totale du sang augmente chez la femme enceinte: i

souvent en nombre et en volume tels, qu'elles peuvent en décupler la masse et en altérer complète-ment la forme. On a vu des

externe, elle fait saillie en dehors de la fesse, sous la forme d'une masse épaisse, charnue, convexe et arrondie sur les bor

ules ont peu de résistance, quoique l'ensemble de la tumeur forme une masse assez dure. Nulle part on ne sent de fluctuation,

ntre ces deux kilogrammes aucune différence; ils représentent la même masse et le même poids ; ils ont la même quantité. Mais

uantité d'eau chauffée dépend de la grandeur de la chaudière et de la masse de charbon brûlée ; mais la force de projection

ment que les 10 kilomètres. Mais si, pendant ce trajet, elles ont des masses considérables à traîner, elles produiront ce trav

y en a qu'une, et plus il y aura de locomo-tives, plus facilement les masses seront enlevées, ou, ce qui revient au même, plus

u R. P. Secchi, nous comparons le courant électrique au courant d'une masse d'eau. Supposons un récipient R (Fig. 5) rempli

illeurs général et s'accompagne de la dis-parition quasi complète des masses musculaires, aussi bien aux membres thoraciques q

vaisseaux sont extrêmement épaissies. Nulle part, on ne rencontre de masse caséeuse ni de granulation mi-liaire. L'examen mi

a conservation du périoste, il obtient la reconstitution de nouvelles masses osseuses qui, en s'arliculant en-tre elles, assur

ant plus énergiquement que les résistances soit moléculaires, soit de masse , sont moindres. Ces faits nous montrent l'impor

rmée surtout aux dépens des parties molles et appa-raissant comme une masse flasque appenduc au membre. (Voy. Planche XXII.)

accidentellement et d'une manière plus régulière, en général. Cette masse semble formée d'un tissu mollasse ; elle donne à

e très-bien l'état des parties, ce qui frappe tout d'abord, c'est une masse ul-cérée prenant naissance au niveau du pubis, à

e l'état normal. Agauche et inférieurement, entre les bourses et la masse ulcérée, on voit une partie plus sombre que les p

uits. Ces petits tubercules se réunissent pour ne former qu'une seule masse qui augmente rapidement de volume et finit par s'

On ne voyait pas dans ces gros troncs de globules sanguins, mais des masses irrégulières dont l'aspect physique et la forme r

on eût affaire là à des cellules épithéliales, mais bien plutôt à des masses irré-gulières de globules rouges décolorés et sou

gulières de globules rouges décolorés et soudés entre eux par petites masses ^ sans qu'il ait été possible, il est vrai, de rec

mpossible de découvrir paries réactifs colorants aucun noyau dans ces masses d'aspect épithélial. Ne serait-il pas possible

é générale. — Actuellement, la tumeur se présente sous l'aspect d'une masse végétante qui occupe la région de la glande parot

ollections purulentes développées à la partie la plus saillante de la masse . Les bords on sont actuellement constitués par un

elques dépressions anfractueuses. Aucune odeur ne s'exhale de cette masse . La sensibilité cutanée est abolie en certains po

ns la tumeur elle-même. Ce premier temps de l'opé-ration terminé,. la masse tient encore aux parties profondes par une base l

ce moment, il n'a plus coulé, pour ainsi dire, une goutte de sang. La masse en tombant laisse à découvert une vaste plaie cir

ant au-devant des vais-seaux du cou, a véritablement énucléé toute la masse morbide. Voici le résultat à"\m examen microsco

ent, d'apparence fibreuse, et, au milieu, se trouvent agglomérées des masses blanchâtres ou jaunâtres, de volume variable, dep

c, anastomosés entre eux et remplis de tissu épithélial. « Dans les masses jaunâtres, à aspect grenu, l'on trouve presque ex

pe alcalin, a diminué au profit de la créatine. » En considérant la masse énorme du système musculaire, on com-prend qu'une

ielles et de causes morales gé-nérales. Ce que dit excellemment des masses M. Bergeron : « Pour que des masses cèdent aux en

es. Ce que dit excellemment des masses M. Bergeron : « Pour que des masses cèdent aux entraînements de l'ivrognerie, il faut

u'on puisse élucider le point de savoir si la ligature a été faite en masse ou sur une branche artérielle. En tout cas, dans

bord antérieur du sterno-mastoïdien, on fait cesser les battements en masse de la tumeur, les mouvements d'expansion disparai

ésorption, doivent subir au préalable l'altération graisseuse de leur masse . D'après cette donnée, l'emploi des substances st

vice, en décembre 1871, toute l'extré-mité du nez est envahie par une masse croûteuse, sèche, grisâtre ; elle se prolonge plu

s mêmes amas purulents. Au microscope, on reconnaît que ces petites masses sont consti-tuées uniquement par des leucocythes

risation légère, étendue aux feuillets pariétal et viscéral. Toute la masse intestinale plongeant dans le petit bassin est ré

sans prolongement, remplie à moitié d'un liquide lactescent et d'une masse pulpeuse d'un blanc grisâtre et jaunâtre à la foi

molles du thorax, formées par des faisceaux musculaires épars dans la masse connective, après avoir dénudé la cage thoracique

se compose de deux pièces principales : une qui forme le corps et la masse laté-rale gauche, supportant une apophyse odontoï

e dont le sommet cartilagineux non soudé ; une seconde pièce forme la masse latérale droite. La face antérieure de l'axis reg

antérieure de l'axis regarde notablement à droite. De chaque côté des masses de l'axis part un ligament fibreux pour la clavic

té très marquée de la cuisse et de la jambe. Notez enfin que ni les masses musculaires, ni les nerfs ne sont douloureux, q

au point de former fréquemment, surtout autour des vais- seaux, des masses épaisses, des cl tourbillons-» ; elle ne rappelle

own-Séquard. Dans notre cas, les membres inférieurs ont été pris en masse dès le début, à gauche pour la motilité, à droi

ions de 0,05 de calomel dans un gramme de vaseline liquide dans les masses musculaires sacro- lombaires, injections bien s

y concourent activement, et en par- ticulier les muscles du dos. La masse sacro-lombaire se contracte à chaque pas d'une

, le long dorsal et le sacro-lombaire, réunis inférieurement en une masse com- mune, la masse sacro-lombaire, qui s'étend

le sacro-lombaire, réunis inférieurement en une masse com- mune, la masse sacro-lombaire, qui s'étend de l'os iliaque et du

es vont en diminuant de volume vers le haut. Bien que réunis en une masse commune dans leur partie lombaire, ils n'en son

ette note, savoir : la contraction énergique et très évidente de la masse sacro-lombaire du côté correspon- dant il la ja

ment indiqué Gerdy dans la citation que j'en ai faite plus haut, la masse sacro-lombaire se contracte énergiquement à chaqu

cription de Gerdy. A l'instant précis où le talon frappe lesol,la masse sacro-lombaire entre en contraction du côté opp

(effort de station). Dans la marche normale en attitude droite, la masse sacro-lombaire reste décontractée du côté porta

du corps en avant ne soit très pro- noncée. Il ne semble pas que la masse sacro-lombaire y prenne une part active, et peu

sujet d'expérience. En ce qui concerne la contraction croisée de la masse sacro-lombaire par rapport au pied portant dans

tique chez les sujets maigres pour nous renseigner sur l'état de la masse sacro-lombaire. On trouvera dans le livre de M.

), dont les deux côtés inférieurs répondent au bord externe de la masse à a droite et à gauche,et. dont les deux côtés

cielle. C'est dans ce losange qu'est inscrite, en quelque sorle, la masse charnue puissante qui représente le sacro- lomb

ne marqués, ou même.pas du tout. Dans l'attitude droite normale, la masse sacro-lombaire, bien que sail- lante, est relâc

le sous-jacent. Le sujet vient-il a cambrer le tronc en arrière, la masse mus- culaire devient plus flasque, et les plis

ant qu'on appelle « moment de la verticale » : la contraction de la masse complétées sur la marche, à la lin du livre réc

ous constations tout à l'heure dans la contraction bilatérale de la masse sacro-lombaire (rig. 2) se produit seulement du c

omie de la marche, de cette contraction répétée à chaque pas, de la masse sacro-lombaire. Le fait qu'elle est constante dan

ment pé- remptoire contre l'opinion de Gerdy au sujet du rôle de la masse sacro- lombaire pendant la marche. Ainsi,' non

que tesacro-tombaire et le long dosai. Quant à la contraction de la masse sacro-lombaire croisée par rapport au côté port

xtension de la colonne vertébrale, la contraction unilatérale de la masse sacro-lombaire dans la marche n'est nullement l

pied sur l'autre. Dans ces conditions, on voit la contraction de la masse sacro-lombaire passer d'un côté à l'autre, abso

- cillation sur place ne doive nous renseigner sur le rôle que la masse sacro-lombaire est appelée à jouer dans la marche

nfléchir tout à fail et de s'affaisser latéralement, si ce n'est la masse sacro-lombaire et le long dorsal du côté opposé.

ion du corps dans le sens latéral pendant la marche que je crois la masse sacro-lombaire préposée : ce qu'il y a de remar

ors du pied portant sur le sol. 6° La contraction unilatérale de la masse sacro-lombaire s'accuse par un changement d'asp

en avant des ischions qui sont très difficiles à palper travers les masses mus- culaires. Aussi dans l'ensemble, les dimen

tion stéréognostique, le sens articulaire ne sont pas modifiés. Les masses mus- culaires, les troncs nerveux sont indolore

NCE DE TUMEURS 143 substance blanche qui a perdu en épaisseur ; Les masses grises des ganglions de la base, la capsule int

ne pourrait plus se distinguer de celle d'une coupe normale. Les masses grises basales (Thaï. opt. N. C. et N. L.) présen

a un réti- cule de vacuoles dans les différents pédoncules, dans la masse même du cervelet. Donc ici aussi perte de fibre

DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 157 par contre les masses grises de la base et de la protubérance ont un as

ue faite à l'aide de méthodes communes (Weigert-Pal, picrocarmin en masse ) nous a révélé les particularités suivantes : L

divers systèmes de fibres et de cel- lules détruites à savoir : la masse ganglionnaire de la substance grise de l'nque-

outiennent les auteurs an- glais et allemands, la destruction de la masse ganglionnaire des tubercu- les quadrijumeaux av

,simplement dilatés à la périphérie, sont forcés, au centre, par la masse sanguine qui s'est répandue entre les cellules gl

iation n'est parfois pas visible, sont bordées de files, de petites masses rondes fortement colorées par les réactifs nucl

lmaire des deux pouces ; cette disposition nous permet de suivre la masse charnue de ces petits muscles entre leurs points

rçoit sur la photographie correspond à un très léger déplacement en masse du train postérieur suivant le côté d'inclinais

pelviens. t Ludwig Mann (2) croit à la paralysie des muscles de la masse dorso- lombaire, du côté malade pour la scolios

es réflexes pupillaires sont conservés. La langue est tremblante en masse ,la parole si embarrassée qu'elle est presque in

par les solutions salines, et qui agissent en propor- tion de leur masse . Douées d'un énorme pouvoir osmotique, en passant