LONDE. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE L'ATTITUDE ET LA
MARCHE
DANS s L'11É111PLÉGIE HYSTÉRIQUE I Plus e
dans notre thèse inaugurale', à l'aide de la méthode graphique, la
marche
dans une série variée de maladies nerveuses. No
verions l'occasion 1. 1,,lit(les cliniques et physiologiques sur la
marche
. - La marche dans les maladies du système nerve
asion 1. 1,,lit(les cliniques et physiologiques sur la marche. - La
marche
dans les maladies du système nerveux étudiée pa
tériques. Archives de Neurologie 1886, p. loi. L L'ATTITUDE ET LA
MARCHE
DANS L'HEMIPLEGIE HYSTÉRIQUE. 3 La sensibilité
,'lU. : 1. y / ET LA MAllGHE DAi'i : S ... , L'A 'fl'I1'UDE ET LA
MARCHE
DANS L'HEMIPLEGIE HYSTERIQUE. r. r laieryprin
e droite étant paralysée. Tou- tefois, les crises disparurent et la
marche
s'améliora progressivement au point qu'il put a
e HYSTÉRIQUE l7cl.tlt.tyc et Lccl"l11cr, éditeur L'ATTITUDE ET LA
MARCHE
DANS L'HÉMIPLÉGIE HYSTÉRIQUE. 7 atteints autre
tion hystérique, nous avons la une excellente occasion d'étudier la
marche
dans la paralysie d'une moitié du corps relevan
nt compte toutefois à la caractéris- tique toute particulière de la
marche
. Occupons-nous d'abord de R..., qui peut être c
pas recommence toujours de la même façon. En résumé, le malade ne
marche
, ne progresse que d'un côté et ne fait dans ces
GIE Hystérique 1W I,th,tc et Lccrosnmr, éditeurs L'ATTITUDE ET LA
MARCHE
DANS L'HEMIPLEGIE HYSTÉRIQUE. 9 qui permettent
alytiques du pied. Il, ... réalise ainsi le type le plus complet de
marche
dans l'hémiplégie hystérique. Quant au second
pied en équin portantsur le sol par les quatre premiers orteils. La
marche
s'effectue d'ailleurs comme précédemment, les m
rticularité qui vient dans une certaine mesure mettre obstacle à la
marche
et en modifier le type Nous avons dit que le me
iffé- rentconduit donc G... aux mêmes résultats que R..., qui, lui,
marche
1. Nous n'avons pas tenu compte chez ces doux m
x malades de deux mensurations toujours relevées dans l'étude de la
marche
: l'écartement latéral et l'angle d'ouverture du
el des diverses variétés d'hémiplégie ? Si nous en croyons Todd, la
marche
, dans l'hémiplégie hystérique, serait véritable
actère spécial du mouvement de la jambe paralysée lorsque la malade
marche
, lequel, dans mon opinion, est caractéristique
nt décrire au pied un arc de cercle. Notre malade, au contraire, ne
marche
pas de cette façon; elle traîne après elle (clr
ucun effort d'aucune sorte pour le détacher du sol; pendant qu'elle
marche
le pied balaye (saueeps) le sol. Cela, je pense
aurions être aussi affirmatif que lui en répétant que la variété de
marche
qu'il a si bien étudiée est caractéristique parti
es on parahjsis, 2' édition. Londres, 1850, p. 20. L'ATTITUDE ET LA
MARCHE
DANS L'HÉMIPLÉGIE HYSTÉRIQUE. 11 commençant à s
ant toute sa durée l'hémiplégie est flasque et les caractères de la
marche
sont alors absolument analogues à ceux de l'hém
odique. On pourra d'ailleurs suivre toute l'évolution figurée de la
marche
dans l'hémiplégie ordinaire sur celle figure 10
- vail précité. Ce que l'on peut affirmer, c'est que le type de
marche
décrit par Todd est caractéristique de l'hémi-
ÊTRIÈRE. sorti paralysé, il est incontestable que ces caractères de
marche
seraient d'un grand secours. Ils permettraient
s reins qu'il ressent et qui l'em- pêche de se redresser. Lorsqu'il
marche
, il porte le poids du corps du côté droit malad
descend un escalier et qu'il a posé la pointe du pied droit sur une
marche
, le talon trépide trois ou quatre fois avant que
but de l'affection pour laquelle elle réclame nos soins. Début et
marche
. -Olympe était d'un caractère très violent, vif,
NOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. déformation empêchant la station et la
marche
. Celle situation se proton-, géant sans aucune
és en bonne position. Octobre 1887. La malade, complètement guérie,
marche
aisément el normalement; elle est sur le point
edressés; un léger degré de flexion des orteils persiste encore, la
marche
est encore difficile mais possible. Depuis, les
les progrès dans la progression sont rapides, et, le 13 juillet, la
marche
est facile; tous les mouvements du pied sur la ja
orteils qui peut-être nécessitera une troisième opération. La malade
marche
seule et sans béquilles et n'accuse aucune doul
séjour au lit. Puis la malade se lève malgré l'avis du médecin : la
marche
est pénible, claudicante, la jambe à demi contrac
i, je te le donne : au nom de Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et
marche
. » « Et l'ayant pris par la main droite, il le
comportait servait à l'un de nous pour étudier les caractères de la
marche
dans cette maladie, résultats consignés dans sa
t soeurs; il a marché J . Études cliniques et physiologiques sur la
marche
. -- La Marche dans les maladies du système nerv
e à la campagne où il est resté deux mois. A partir de ce moment la
marche
est devenue beaucoup plus difficile ; les mouveme
aire fermer les yeux, on lui dit de regarder le plafond. Pendant la
marche
, Seltz... écarte les jambes et frappe le sol du t
L peu et sans cause appréciable d'incoordination motrice pendant la
marche
; ses pa- rents ont remarqué « qu'elle marchait
om- berg devient encore plus marqué que précédemment. Lorsqu'elle
marche
, elle frappe le sol du talon et il lui est imposs
l'occasion des mouvements volontaires, el en particulier lors de la
marche
. Si l'on dit à la malade de se tenir debout, el
ue dateraientles troubles de la parole qui existent aujourd'hui; la
marche
était redevenue normale. Réglée il l'âge de tre
ète qui s'accentue encore dans certaines conditions, lorsque Aub...
marche
, par exemple, et l'un pourra juger de l'aspect
e le retenait ou si l'on n'ouvrait pas les paupières. La façon dont
marche
le malade est tout à fait particulière. Notons
peut progresser qu'avec sa canne; dans ces conditions mêmes, il ne
marche
que très difficilement, il lance les jambes en
rappelle celle d'un homme ivre. Il fixe toujours ses pieds quand il
marche
et il lui est impossible de marcher les yeux ferm
par de l'impotence fonctionnelle des membres inférieurs. Quoique la
marche
fût possible, elle se faisait avec des mouvements
médecin,, et obligea la malade à garder le lit un mois. Depuis, la
marche
devint de plus en plus difficile, puis impossib
ne incoordination très manifeste, et elle n'arrive pas au but. La
marche
est encore possible, mais seulement lorsque la ma
ous borner à leur simple énumération. Occupons-nous d'abord de la
marche
du sujet qui est atteint de la maladie de Fried
linique : « Nous aurions désiré é rapprocher, en ce qui concerne la
marche
, la maladie de Friedreich (ataxie locomotrice h
ne opinion, nous dirions volontiers que ce tracé se rapproche de la
marche
de l'ataxie combinée avec celle de la sclérose
re en effet un mélange bien particulier des caractères propres à la
marche
dans l'ataxie et dans la sclérose en plaques.
1. Gilles de la Tourette. Etudes cliniques et physiologiques sur la
marche
, loc. cit., p. 50. 5 02 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
en résultait un obstacle à peu près invincible à la station et à la
marche
. Il y avait lieu de croire-qu'une opération chi
omplètement guérie depuis longtemps, est pré- sentée au cours. Elle
marche
aussi bien qu'avant la maladie. Dans le cas qu'
1869; migraines assez fréquentes à la suite de fatigues. Début et
marche
. Le 9 octobre 1887, étant à la chasse, il veut sa
Iergott, il resta pendant deux mois et demi une impossibilité de la
marche
. Un malade de Weber conserva une paralysie inco
otées par M. Joffroy dans son observation. L'instabilité pendant la
marche
et la station debout, la déformation de la colo
ue. Revue de médecine, 1887. - Gilles de la Tourette, Études sur la
marche
, loc. cit., p. 49, fig. 17. 2. Certains hémiplé
. Gilles, de la Tourette. Eludes cliniques el physiologiques sur la
marche
. Paris, 1886. 2. Société médicale des hôpitaux,
du pied donnent lieu il des troubles plus ou moins marqués dans la
marche
de l'ataxique. Si la déformation est très dével
s; l'articulation n'était douloureuse que dans les mouvements de la
marche
. En mars 1888, la malade ressentit de vives dou
riciel intermédiaire aux deux bouts coupés. Après quelques jours de
marche
ou par des exercices variés, on voit la partie en
) I L' J : , T J'; H YEN T 1 () : 'i C 111 nu Tt r. 1( : .\ LE, lit
marche
graduée, les massages ou manipulations diverses,
par la persévérance dans l'emploi de ce moyen; bientôt on permet la
marche
modérée et progessive, avec l'aide d'une person
t VI, mais cela n'est pas toujours nécessaire. En même temps que la
marche
graduée est effectuée plusieurs fois dans la jo
portante qu'elle permet au malade des exercices, et que, pendant la
marche
, la mobilisation des articulations retourne à l
tendons fléchisseurs du gros orteil. Guérison. Rétablissement de la
marche
1. La nommée Blanche IL, âgée de vingï-cinq uns
tenir debout sans appui.- Électricité. Massage. 14 juin. - L'opérée
marche
dans la salle en s'aidant d'une chaise. Les ort
t au '1er août, grâce à l'emploi de l'électricité et du massage, la
marche
est devenue de plus en plus facile, elle s'exécut
vembre, elle sort de la Salpêtrière. Les orteils ne gênent plus la'
marche
qui est normale. H 150 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
on sous-cutanée des tendon d'Achille. Guérison. Rétablissement delà
marche
{Résumée). Madame Olympe P., âgée de trente-tro
chaise ; massage et électricité. Du 20 septembre ait 24 octobre. La
marche
devient de plus en plus facile, et la malade se
ésordres ont disparu depuis la fin de décembre et, actuellement, la
marche
est parfaite. Cas. III. Contracture hystérique
ire 152 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. quelques pas. La
marche
esl surtout difficile, car les pieds ne reposent
er 1888, elle donne de ses nouvelles par lettre, et prétend qu'elle
marche
aussi bien qu'avant sa maladie. III. Troisième
droite, le pied resta dans un équinisme très marqué et empêchant la
marche
. M. Coffin, le médecin de la malade, me pria de
s que le pied est sorti de l'appareil, la jeune fille s'exerce à la
marche
; la pointe du pied porte seule sur le sol au dé
des massages, un peu de violence, la plante appuie sur le sol. La
marche
s'est améliorée rapidement et cette jeune fille e
me est un frère âgé de treize ans qui se porte bien, écrit bien, et
marche
sans aucune anomalie. La troi- sième était une
e poitrine ; elle n'avait jamais été malade; rien d'anormal dans sa
marche
. La maladie actuelle de Pag... a débuté à l'àge
usses (ce qui ne lui fit ni bien ni mal). Quel- ques mois après, sa
marche
était tellement désordonnée, les chutes deve- n
fait un ou plusieurs pas de côté, après quoi il reprend sa ligne de
marche
. Ces mouvements sont plus ou moins fréquents et i
ns le lit ne sont pas moins troublés que dans la station ou dans la
marche
. Ils sont nettement ataxiques, et je ne crois pas
onvulsif. La tète fait de temps à autre (et surtout quand le malade
marche
, s'émotionne, parle) des séries de mouvements ant
t d'une sensation particulière à la plante des pieds, et pendant la
marche
, il lui semble, dit-il, qu'il marche sur du sable
lante des pieds, et pendant la marche, il lui semble, dit-il, qu'il
marche
sur du sable, sur du coton, que le terrain s'en
spiration est surtout diaphragmatique et costo-inférieur. Le malade
marche
bien, chasse sans difficulté des journées entière
la sensation de sable, de coton sous la plante des pieds pendant la
marche
. C'est là un fait très rare dans la maladie de
est consi- dérablement rapprochée du bassin (Pl. XL). , Le malade
marche
très difficilement, à demi fléchi : il lui est to
ation debout, il éprouve d'abord quelque peine à se tenir droit. 11
marche
à petits pas, un peu incliné en avant; mais il su
en dehors des cuisses, soit dans la sta- tion debout, soit dans la
marche
. Tous les auteurs signalent les effets des cont
és. Il dut bientôt entrer à l'hôpital, par suite de la gêne dans la
marche
et du gonflement progressif de toute la cuisse
sidérable. Le malade ressentit quelques douleurs sourdes pendant la
marche
, mais il n'avait pas de fièvre. Au bout de six mo
viennent plus fréquemment, les genoux se déforment peu à peu, et la
marche
est de plus en plus difficile. Il y a deux ans,
e nerveuse. Il suffit, pour réfuter cette théorie, de considérer la
marche
, les symptômes, les lésions anatomiques de l'ar
ient rapidement le- siège d'altérations permanentes qui rendront la
marche
pénible et difficile et qui, bien souvent, empê
dues, ou tout au moins être disposées de façon à ne pas empêcher la
marche
. Il est en effet fréquent de voir le sujet reco
leurs souvenirs, ne se souviennent l'avoir croisé dans les rues. Il
marche
seul, la canne en avant, raide et tout d'une pi
LLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. de leurs mouvements. Pendant la
marche
, tout le corps conserve cette même physionomie;
Les membres inférieurs sont également dans l'extension. Pendant la
marche
, ces caractères d'extension persistent. Les Fig
ttitude de la paralysie agitante dans la station debout et pendant la
marche
. Type de flexion. NOUVELLE ICONOGRAPHIE T.
ttitude de la paralysie agitante dans la station debout et pendant la
marche
. Type d'extension. '1 NOUVELLE ICONOGRAPHIE D
idait difficilement sa jambe droite; que celle-ci était, pendant la
marche
, involontairement projetée en avant d'une façon
peu. La force du membre était assez bien rétablie pour permettre la
marche
sans canne, DES SUITES ÉLOIGNÉES DES TRAUMATISM
miner notablement sur un ou plusieurs groupes musculaires. - , La
marche
s'accompagne d'une claudication légère; il marche
sculaires. - , La marche s'accompagne d'une claudication légère; il
marche
à petits pas. Il projette un peu la jambe droit
al, le 3 mars, il n'éprouvait plus aucun phé- nomène douloureux. La
marche
était devenue plus facile, la force musculaire
e fois, il ne se plaignait plus d'aucun phénomène douloureux, et la
marche
était devenue bien moins fatigante, de même que l
orce le sujet à s'arrêter immédiatement si elle survient pendant la
marche
. Elle durerait de dix minutes à deux heures et
ièrement le durillon du talon antérieur, le gênent beaucoup dans la
marche
. C'est la cause qui l'amène à la consultation d
à la suite, quand le malade commença à marcher. Il gêne beaucoup la
marche
par les douleurs qu'il provoque; il n'est pas d
embres inférieurs, lesquels résistent assez bien aux fatigues de la
marche
, mais flé- chissent dès que le malade veut soul
te des accidents douloureux, et pour les troubles consécutifs de la
marche
qu'il vient ré- clamer nos soins. État actuel
mbres inférieurs est diminuée surtout dans la jambe droite; M. B...
marche
habituellement avec l'aide de deux cannes; cepend
B... marche habituellement avec l'aide de deux cannes; cependant la
marche
est possible sans cannes. On sent quelques craque
Milan; sa mère mourut à vingt-trois ans à la suite d'une maladie à
marche
rapide; son père à plus de cinquante-sept ans d'u
n quelques années, s'accrut au point de lui rendre très pénible une
marche
de quelques minutes ; depuis quatre ou cinq ans d
criture dans la , 25; em- preinte du pied dans la - 24; tracés de
marche
dans la -, 26, 27. Hémiplégie (tracés de marche
a - 24; tracés de marche dans la -, 26, 27. Hémiplégie (tracés de
marche
dans l' flasque, 9; spasmodique, 10. Hystérie
riedreich 22, 23, 45, 46. Hystérique (contracture), 19; tracés de
marche
dans l'hémiplégie -, 7, 8. Mascaron du Pont-N
s de maladie de par Socca, 155, 133. Hystérique (l'attitude et la
marche
dans l'hémiplégie), par Gilles de la Tourette,
s 4 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. se manifestent surtout quand le malade
marche
quelque temps ou que l'on cherche à modifier l'
, une douleur sourde et continue, qui devient plus intense quand il
marche
ou qu'il reste quelque temps assis. La douleur
mois après le début des douleurs. Le malade souffre quand dans la
marche
le membre inférieur gauche vient poser sur le sol
la marche le membre inférieur gauche vient poser sur le sol ; il
marche
plus facilement avec une canne qu'il tient du côt
très nerveux, a souvent des cauchemars la nuit, se lève parfois et
marche
tout endormi. - Grand'mère maternelle morte à qua
amélioration : les douleurs sont devenues un peu moins vives et la
marche
plus facile. Etat actuel (22 juillet 1887). La
exaspérée par le moindre mou- vement du tronc, le rire, la toux. La
marche
augmente aussi la douleur. Les mouvements pro
ET DE L'ABASIE (INCOORDINATION MOTRICE POUR LA STATION ET POUR LA
MARCHE
(ClIAR- COT ET R1CIIEItI. - ATAXIE MOTRICE HYST
orbide dans lequel l'impossibilité de la station verticale et de la
marche
normale contraste avec l'intégrité de la sensib
- rieurs par défaut de coordination relative à la station et à la
marche
», et, depuis, M. Charcot en a fait à DE l'astas
ne deviennent ataxiques que dans la station debout et pendant la
marche
; on voit alors des contractions in- volontaires
inférieurs par défaut de coordination relative à la station et à la
marche
. » Cette affection atteint en particulier les e
tre, ou se fléchissent sur le bassin, ou encore, lors des essais de
marche
, il y a des mouvements désordonnés, il arrive e
en 1885, sous le titre « Para- plégie infantile du seul acte de la
marche
», une observation que nous reproduisons et la
VEUSE. tération que peut subir la fonction de la station et de la
marche
. Ainsi, dans les quatre premières observations,
ection nerveuse avant le début de la maladie actuelle. 1 Début et
marche
. Le 2 janvier 1883, en jouant avec ses cama- ra
térisés par une sorte de brouillard gênant la vue par moments. La
marche
est devenue peu à peu impossible; et depuis le
méliora- tion marquée : au bout de huit jours, la situation et la
marche
étaient redevenues faciles. Observation II. (
médecin qui l'examina à ce moment cons- tata l'impossibilité de la
marche
et remarqua que, couché, Charles pouvait imprim
- complissaient, du reste, régulièrement, mais la paralysie de la
marche
persistant, l'enfant fut amené à la consultation
fièvre muqueuse. L'année suivante, il eut la coqueluche. Début et
marche
. Au mois de mars 1887, Henri Gob... eut une bro
de diverses manières : il se laisse glisser de sa chaise a terre et
marche
très bien ci quatre pattes, ou bien encore, ass
nt dans le manque d'énergie et de coordination des mouvements de la
marche
. Il ne s'agissait pas d'une lésion anato- mique
ebout, elle oscille à droite et à gauche, et plus encore quand elle
marche
; pour se maintenir quand elle penche d'un côté,
Il n'y a pas de contracture, mais l'adaptation musculaire pour la
marche
et pour la station sont choses impossibles. Sur
s survinrent les troubles des membres inférieurs qui empêchèrent la
marche
. Les chirurgiens consultés diagnostiquèrent un
l y a impossibilité d'exécuter les mouve- ments nécessaires pour la
marche
. Dans la station, à l'aide de béquilles les mem
resta faible et sans sommeil une quinzaine de jours; puis reprit la
marche
peu à peu. Deux mois après surviennent d'étrang
pleurer, la solilude l'effraye ? 44 PATHOLOGIE NERVEUSE. Début et
marche
. Dans les derniers jours de l'année 1883, a la
Ir, où elle fut l'objet d'une leçon de M. Charcot. La station et la
marche
présentaient à à cette époque, les mêmes caract
reçoit à l'improviste un coup sec sur le creux du jarret. Dans la
marche
les troubles atteignent leur maximum. A chaque
et de rotation, et les avant-bras se fléchis- sent sur les bras. La
marche
est très pénible. 1;... éprouve des tiraillemen
fatigue, et elle est couverte de sueur. Aussi s'est-elle créée une
marche
spéciale qui lui permet la pro- gression, c'est
'abasie. 45 de progression : elle saule picds joints très aisément,
marche
facilement à quatre pattes. On ne peut provoq
ntes, et res- semblent un peu aux saccades qu'elle présente dans la
marche
, mais les mouvements de la tête sont beaucoup p
a connaissance pendant toute la durée de l'attaque. D'habitude la
marche
»devient plus facile après les attaques. Il y au
une sorte de balancement entre les attaques et la difficulté de la
marche
. Observation X. (Communiquée par mon ami le D
ade s'affais,-e. Il lui est impossible de des- cendre même quelques
marches
d'un escalier. Lorsque la malade est assise, on
Par suggestion je fais disparaître immédiatement les troubles de la
marche
, et la malade peut descendre un escalier de tro
Le soir cependant la gêne DE l'astasie ET DE l'abasie. 47 7 de la
marche
revient en partie. La SU C-"CSI i 0 Il est l'épét
s constants dans les membres inférieurs. Depuis la difficulté de la
marche
seule a persisté ainsi que les douleurs lombair
eur sensibilité, existe de plus des troubles de la station et de la
marche
paraissent indépendants de ces ces altérations. r
du bassin sur les cuisses et des cuisses sur les jambes. Pendant la
marche
ces mouvements s'exagèrent considérablement : l
le sol comme pour les para- plégiques ordinaires. La station et la
marche
sont impossibles les yeux fermés, car alors la
nait. Les troubles sont plus prononcés du côté gauche. La malade
marche
à l'aide de deux cannes, les yeux fixés constamme
inion. Disons cependant, par anticipation, que telle n'est pas la
marche
habituelle de la paralysie du sympathique cervi
erniers temps, plusieurs accès et vertiges précédés de course ou de
marche
. c M të- 2 P M Il M M '1 : 1
t comme une machine à vapeur; il faut mettre de l'huile pour que ça
marche
; ça marche toujours : c'est un entr'acte. D.
machine à vapeur; il faut mettre de l'huile pour que ça marche; ça
marche
toujours : c'est un entr'acte. D. On m'a assuré
uis, il retombe dans son mutisme et reprend son air absorbé. Mis en
marche
, il s'avance sans trop d'hésita- tion les bras
osé. C'est à cette dernière influence qu'il convient d'attribuer la
marche
extrêmement lente de la démence. ' § II. Cond
il faut leur choisir des aliments qui impriment à leur économie une
marche
ascendante au double point de vue matériel et m
elques se- maines plus tard, le malade se sert de son bras droit et
marche
à l'aide de deux cannes. Démarche spasmodique.
oration lente mais radicale. Cure à Bade-les- Bains. Aujourd'hui la
marche
est encore assez pénible ; elle cause une certa
res, dans la ville de Lauterbourg, distante à peu près d'un jour de
marche
de ce village, où une certaine jeune fille de R
que 20 à droite et 35° K. à gauche. Membres inférieurs. Le malade
marche
et court bien; cependant il lui semble que les
érations objectives; le DE LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE. 171 malade
marche
beaucoup et bien ; la jambe droite et plus lourde
T DE L'ABASIE 1 (Incoordination motrice pour la station ET pour la.
marche
(Ciiar- COT et IiICIIE11. Ataxie motrice hystér
xclusivement sur les actes asso- ciés de la station debout et de la
marche
, qui sont empêchés à des degrés divers. Mais il
cription. Dans certains cas, la station debout et, a fortiori, la
marche
sont complètement impossibles. Dès qu'on met le
te saisissant, le même malade, mis dans la position genu-pectorale,
marche
« à quatre pattes » sans aucune difficulté. D
es pieds se détachant à peine du sol ; ces mouvements n'ont de la
marche
que l'alternance des actes des deux membres et
t qui apprend à marcher. Il arrive aussi que, lors de ces essais de
marche
à l'aide de deux aides ou de béquilles, on cons
droit avec le tronc. Enfin, dans une autre forme, la station et la
marche
ne sont plus que gênées au plus haut degré tout
ir la chute. Ces troubles s'accen- tuent de plus en plus pendant la
marche
en restant semblables; il y a même flexion de l
bserve aussi qu'il'se produit, seulement pen- dant la station et la
marche
, des oscillations du corps 190 pathologie NERVE
t ne consister qu'en une sorte d'incertitude de la station et de la
marche
, figurant assez la marche pieds nus, sur un sol
orte d'incertitude de la station et de la marche, figurant assez la
marche
pieds nus, sur un sol'rocailleux, chez des indi
ressant à relever, c'est que des modes de progression autres que la
marche
normale peuvent persister : tels, le saut, l'ac
he normale peuvent persister : tels, le saut, l'acte de grimper, la
marche
à cloche-pied , la marche à quatre pattes. Nous
er : tels, le saut, l'acte de grimper, la marche à cloche-pied , la
marche
à quatre pattes. Nous n'avons pu faire d'observ
éciales de la DE l'astasie ET DE l'abasie. '19'1 station et de la
marche
, d'où la justification des termes astasie et ab
était insuffisante à expliquer-les troubles de la station et de la
marche
, qu'on pourrait considérer ici (Ous. X) comme é
e correspondant aux divers degrés auxquels les fonctions station et
marche
sont atteintes. Celles-ci sont, en effet, amoin
ns que, pour cela, l'individualité du type en soit compromise. La
marche
de cette affection est assez capricieuse ; ains
u- dions. Dans le cas où l'impossibilité de la station et de la
marche
n'est pas absolue, le contraste entre ce qui s'
absolue, le contraste entre ce qui s'observe au repos et lors de la
marche
peut faire songer à l'ataxie locomotrice; il y
jamais de façon à constituer l'obstacle unique à la progression. La
marche
du tabé- tique offre des particularités connues
le nystagmus, l'embarras de la parole, la perte des réflexes, la
marche
même de la maladie ne permettront pas de douter
'astasie, de par cette seule définition. Lorsque la station et la
marche
sont complètement impossibles, il serait permis
ements désor- donnés et contradictoires, pendant la station et la
marche
, leur apparence choréiforme pourrait donner le
couchée; enfin, lors de l'accès, tous les autres mouvements (saut,
marche
à cloche- pied) sont empêchés. L'erreur sera do
typique a été l'occasion de plusieurs des leçons de M. Charcot. La
marche
a lieu avec les mêmes alter- natives de flexion
le, deviennent à ce point incoor- donnés dans la station et dans la
marche
qu'ils rendent ces actes à peu près ou complète
quelques points relatifs à la physiologie de la station et de la
marche
considérées à l'état normal. Nous em- pruntons
niser '. » L'enfant qui commence à exécuter l'acte complexe de la
marche
fait d'abord maladroitement les mouve- ments ju
t finit par être accomplie sans effort et même sans conscience : la
marche
est devenue alors, comme on dit, une action aut
hent le sol \ Vulpian remarque, à cette occasion, que si l'homme ne
marche
pas dès sa nais- sance, c'est vraisemblablement
e image. Il compare les divers centres médul- laires, relatifs à la
marche
, à ces rouleaux de cuivre des boîtes à musique,
; et l'on conçoit qu'au lieu de commander soit la station, soit la
marche
, le groupe cérébral puisse mettre en jeu les gr
e la course ou du saut, etc. Cette théorie de la station et de la
marche
, envisa- llfaudsley. In loc. cit., p. 144. DE
chez certains animaux, le centre des mouvements coordonnés pour la
marche
est dans la moelle.-Si on coupe la tête d'un ca
s. 204 pathologie NERVEUSE. actes habituels, et en particulier la
marche
, exige- raient une multitude d'impulsions qui p
es membres inférieurs avait disparu au boutd'un certain temps et la
marche
était redevenue possible. Pendant plus d'un an,
pos du cas communiqué par M. Charcot. En résumé, la station et la
marche
s'apprennent, et l'apprentissage est long. Dans
omène initial ; mais l'appareil organisé pour la station, pour la
marche
, peut opérer de lui-même, sans participation de
e fonctionnement du mécanisme de l'ascension, de la descente, de la
marche
sur un plan, et, pour tel ou tel mode d'ascensi
t son ac- tion soit sur le centre cortical de la station ou de la
marche
- cas dans lequel l'impulsion initiale fera déf
en effet, par les détails de l'observa- tion, que dans l'acte de la
marche
la malade pouvait faire quelques pas normalemen
us l'influence de l'action inhibitrice supposée, la station et la
marche
seront tantôt impossibles, tantôt difficiles se
oir, dans le premier cas, suppression totale de la station ou de la
marche
, et, dans le second, désharmonie, incoordinatio
ogression; on comprend aussi que les mouvements spécialisés pour la
marche
et la station soient seuls affectés alors que l
s jambes fléchissent, et elle tomberait, si on ne la maintenait. La
marche
et la station sont impossibles. Il n'y a pas ét
sautant à pieds joints. Réveillée elle conserve l'impatience de la
marche
avec les mêmes caractères. Lorsqu'après avoir f
ces sujets l'idée d'une impuissance motrice complète, relative à la
marche
, et, de fait, la manifestation consiste en une
is au moins l'idée d'impuissance motrice pour la station et pour la
marche
se soit développée à l'insu du sujet, dans un r
e de phénomènes sensitivo-vaso-moteurs qui viennent compliquer la
marche
et obscurcir le diagnostic de la maladie. J'ai
près être descendu d'abord verticalement dans la deuxième frontale,
marche
en- suite parallèlement à elle vers son milieu
et en 1886. Dans les deux cas, la tem- pérature centrale a suivi la
marche
régulière signalée souvent par l'un de nous (lï
(;owers, On Epilepsg, p. 121.) : 2M" CLINIQUE NERVEUSE. montre la
marche
de la température dans un état de mal qui se te
at de mal qui se termine par la guérison; le second nous donne la
marche
de la température dans un cas d'étal de mal abo
né le 20 mars 18G. Ce malade a des vertiges diurnes accompagnés de
marche
. - Après les accès nocturnes il se lève parfois
s précédant immédiatement l'accès. - ¡\lor.... se frotte la tête et
marche
en disant : « Oh ! j'ai mal il la tète, je vais
t tumeurs blttliches. - Première dent « sept mois; parole Ii un an,
marche
11.lJuin ? e mois. Cotlitelzicite ci deux ails
insuffisante. En résumé, la Catatonie est une maladie cérébrale à
marche
1 changeant d'une façon cyclique, de telle sort
maniaques mul- tiples, manie simple ou véritable. A ces formes à
marche
cyclique on doit opposer tous les cas dans lesq
tielles) et ceux dans lesquels les symptômes sont changeants, et la
marche
non cyclique (folies généralisées sympathique,
physiques, mais plutôt sur un terrain prédisposé (anémie) et par sa
marche
cyclique et typique elle se différencie des ali
uer trois formes de Ca- tatonie : 1° une forme méningitique dont la
marche
prolongée est liée à des restes de méningite ;
tuel spécial avec réminiscences catatoniques par in- 'tervalles. La
marche
de la maladie est cyclique et s'accom- pagne d'
int de vue de leur relation et de leur succes- sion, être liés à la
marche
de la névrose vaso-motrice. Au point de vue cli
r, sans erreur, deux étals distincts, surtout au point de vue de la
marche
, de la durée et de la terminaison. M. CAMUSE co
é- rature des femelles en gestation, sur la vitalité du /'OEs et la
marche
de la grossesse. Brochure in-8° de 40 pages. Pa
s de la maladie que je me propose de décrire. Ses symptômes et sa
marche
en font une espèce morbide parfaitement Archive
gauche. Polyurie. En 1880, douleurs en ceinture . Incertitude de la
marche
. Sensations de gonflement des pieds et de dénivel
peaux comme ancien militaire et incor- poré dans le 34° régiment de
marche
. Frappé d'un coup de sabre au combat de Beaune-
t beaucoup les femmes et abusait des plaisirs vénériens. Début et
marche
de lamalaiie. -Le premier symptôme morbide appa
ut du lit, et elles s'apaisaient assez rapidement par le fait de la
marche
. Elles étaient très vives, SUR UN CAS DE PSEUDO
En même temps apparut un symptôme important : l'incertitude de la
marche
. Le malade s'aperçut d'abord qu'il lui était diff
ve à se maintenir en équilibre dans la station verticale ou dans la
marche
. Les douleurs surviennent par crises tous les d
dination motrice existe seulement dans les membres in- férieurs. La
marche
n'est pas impossible, mais elle est difficile.
t comme poussé violemment et la pro- cursion n'était pas une simple
marche
. Les accès survenus, les vertiges ont disparu e
mènes calatoni- ques se peuvent rencontrer ailleurs et parce que la
marche
est celle des vésanies typiques. Pour lui, la r
és, souvent bizarres, l'entêtement souvent systématique et enfin la
marche
cyclique de la maladie sur laquelle cependant q
ue dans les cas dits de catatonie, leur mode de développement, leur
marche
, leurs rapports avec les autres symptômes n'ont
qu'il y ait coïncidence du moindre phénomène catatonique. C. - La
marche
dite cyclique de la maladie ne présente non plu
usqu'à la stupeur. Prise dans son ensemble, ce serait, en somme, la
marche
générale par phases succes- sives des vésanies
ids. Et comme nous venons de voir plus haut qu'il assimile aussi la
marche
de la catatonie ' Hammond. Loc. cit. ' More).
as être consi- dérée comme une forme particulière, au moins pour sa
marche
. Nous avons vu, d'ailleurs, ce qu'on pouvait di
ntenant faire ressortir l'analogie du début, des symptômes et de la
marche
de la maladie dans nos deux observations. 1°
hent, les genoux sont en contact, les jambes très écartées. Dans la
marche
les membres inférieurs sont demi-fléchis, les c
qu'il ne convient et ils ne reposent pas en totalité sur le sol. La
marche
s'effectue à peu près en ligne droite et se com
nus, ce qu'ils déclarent moinsbien faire qu'avec leurs souliers. La
marche
n'est pas modifiée par l'occlusion des yeux.
'autre de nos malades n'a de vertiges et n'offre de nystagmus. La
marche
de l'atleétose double offre des caractères tout à
marcher en les soutenant sous les bras, enfin, on perfec- tionne la
marche
â l'aide du chariot. Chez nos deux malades nous
odifiée très avantageusement, mais non d'une maladie qui suit une
marche
progressivement ascendante du début à la mort.
lus tard une paraplégie, qui peut s'améliorer au point de rendre la
marche
possible, mais qui reparaît après une rémission
s chez nos malades pour qu'il soit nécessaire d'insister. Enfin, la
marche
des deux affec- tions n'est pas la même; d'une
chares) qui compliquent si souvent l'ataxie locomotrice. Enfin la
marche
des deux maladies ne présente aucune analogie.
les membres supérieurs et vont en augmentant progres- sivement. La
marche
, peu modifiée àl'origine, devientde plus en plu
la face, etc. ; les désordres de la motilité sont généralisés ; la
marche
s'améliore et n'est pas modifiée par l'occlusio
dans la situation assise chez les athétosiques. Debout ou dans la
marche
, l'agitation est encore plus pro- noncée : le c
n arrière, elle ne coexiste pas avec l'imbécillité ou l'idiotie. La
marche
des deux maladies n'est pas non plus compa- rab
e cette nutrition. La forme arrondie des plaques de vitiligo, et la
marche
excentrique de celles-ci, avec leur centre déco
de M. Séglas à présenter quelques idées ambitieuses. C'était là la
marche
prévue du délire, je n'y insiste pas. 111me S
séjour à l'asile de Vaucluse, il trouve, avec juste raison, cette
marche
un peu rapide. J'avais, pour ma part, sur cette m
u délire chronique et il donne comme exemple contradictoire de sa
marche
lente, progressive, méthodique, l'observation VII
Faut-il laisser ce groupe de malades à physionomie si personnelle à
marche
si régulière, à pronostic si constant, faut-il
le type, il s'en est tenu à la période d'état, négligeant ainsi la
marche
de la maladie. Il a indiqué, toutefois, la péri
re et surtout par son évolution ultérieure. Ils n'offrent jamais la
marche
systématique- ment méthodique du délire chroniq
nt entrer dans sa définition, il sérail hors de propos d'étudier sa
marche
décroissante ou de cher- cher des indications t
le caractère du détire, mais aussi les antécédents du malade et la
marche
de la maladie. Voyons à présent ce que pensait
Cotard, ne suffit pas au diagnostic, il faut aussi s'enquérir de la
marche
et de la succes- sion des idées délirantes. Cet
re en séparant du groupe général des persécutés un certain type à
marche
lente et progressive et c'est pour le même motif
ès les antécédents héréditaires et personnels et ensuite d'après la
marche
de la maladie. Si la famille sociétés savantes.
atleints. Vu la disposition anatomique du noyau de ces nerfs et la
marche
de leurs fibres, il ne peut guère y avoir qu'un
: « les phases de la maladie » par une expression générale : « la
marche
de la maladie » ? Ce serait, je pense, plus corre
sais tout à l'heure à M. Paris : Alors même qu'il y aurait le mot «
marche
», ce mot serait à peu près l'équivalent de l'a
e objection. M. Delsol. Si la folie est aiguë, il n'y a pas plus de
marche
que de phases ! 1 M. Paris. Il y a toujours,
été dit ! M. le Président. M. Paris propose de substituer le mot «
marche
» » au mot « phase J, La commission accepte-t-el
onse précise ; je ne puis pas deviner les intentions. M. PAYE. La
marche
suppose des phases ! M. LE Rapporteur. Une mala
PAYE. La marche suppose des phases ! M. LE Rapporteur. Une maladie
marche
toujours. Pour qu'il y ait des phases, il faut
aladie marche toujours. Pour qu'il y ait des phases, il faut que la
marche
ait été assez longue, qu'il y ait eu augmentati
été assez longue, qu'il y ait eu augmentation ou diminution dans la
marche
. En patholo- gie, c'est là précisément le sens
s la marche. En patholo- gie, c'est là précisément le sens du mot «
marche
». Je trouve que l'observation de M. Paris est
ve que l'observation de M. Paris est parfaitement juste. Le mot «
marche
» est peut-être plus médical. Quant au mot « phas
i, plus convenable. M. le Président. La commission accepte le mot «
marche
» au lieu du mot « phase » ; le Gouvernement ne
sident. SÉNAT. 489 M. DE Gavardie. C'est surtout l'article qui ne
marche
pas ! (Rires.) M. le Président. Je mets aux v
ieure et des muscles ani- més par le moteur commun ; aujourd'hui la
marche
est possible, la para- lysiedu releveur de la p
tensité des anesthésies ne répond pas à celle des paralysies, et la
marche
des premières n'est pas nécessairement suivie,
98 ÉTUDES DE PHYSIOLOGIE MORPHOLOGIQUE DE QUELQUES VARIÉTÉS DE LA
MARCHE
ET DE LA cor ? PAR Le D, PAUL RICHER. Avant
devrais régulièrement commencer par décrire le type ordinaire de la
marche
et de la course. Je ne le ferai point cependant
'10us n avons pas la prétention a etuaier toutes les variétés de la
marche
et de la course, car elles sont fort nombreuses
ariété dont il a été beau- coup parlé dans ces derniers temps, la
marche
et la course dites « en flexion. » Il importe d
rte de faire remarquer au préa- lable que toutes les variétés de la
marche
ou de la course se rattachent au type de la m
variétés de la marche ou de la course se rattachent au type de la
marche
ordinaire sur terrain horizontal, et que l'on p
rrain horizontal, et que l'on pourrait les classer, en prenant la
marche
type comme schéma, suivant qu'elles en exagèren
ons va- riées dans les mouvements si complexes dont se compose la
marche
; de même le moral s'y reflétera, donnant à cha
eurs, les soldats, les cavaliers, 1"ig. 2. - Différents temps DE la
marche
. Plg. 3. - Marche suit plan horizontal. Momen
Londe). QUELQUES VARIÉTÉS DE LA MAnGUE ET DE LA COURSE Gï ont une
marche
spéciale. Les vêtements et la forme des chaussure
Les vêtements et la forme des chaussures influent également sur la
marche
: on ne marche pas de même façon avec une robe,
et la forme des chaussures influent également sur la marche : on ne
marche
pas de même façon avec une robe, une soutane, o
rrain, uni ou inégal, montant ou descendant, en pente uniforme ou à
marches
d'escalier, influe également sur la marche. La
en pente uniforme ou à marches d'escalier, influe également sur la
marche
. La présence d'obstacles à vaincre, tels qu'il
tels qu'il s'en rencontre dans la mar- che contre le vent, dans la
marche
en tirant ou en poussant, modifie aussi le type
ntéressante au point de vue expérimental, nous voulons parler de la
marche
à reculons. " A. Marche A reculons. Nous avon
é là, par contraste, la confirmation des observations faites sur la
marche
en avant. Dans la marche à reculons (Fig. 4), au
onfirmation des observations faites sur la marche en avant. Dans la
marche
à reculons (Fig. 4), au mo- ment où le pied se
et, sur la série des images chronophotograpliiques d'un homme qui
marche
à reculons, que le torse est en général plus pe
ons, que le torse est en général plus penché en avant que dans la
marche
ordinaire. Les oscillations du torse dans le se
n- cline en arrière. Elles sont en somme de même sens que dans la
marche
ordinaire, mais plus accentuées. J'ajouterai qu
-être difficile, en présence de la série chronophotographique de la
marche
à reculons, de reconnaître le sens de la marche
hotographique de la marche à reculons, de reconnaître le sens de la
marche
, mais, en y regardant de près et surtout en la
regardant de près et surtout en la comparant avec les séries de la
marche
en avant, il est aisé de relever des différence
te le sol tout d'une pièce, à la manière de ce qui se passe dans la
marche
sur place, et non en roulant pour ainsi dire de
e de la pointe vers le talon en sens inverse de ce qui lieu dans la
marche
en avant. Il en résulte que la phase de double
en résulte que la phase de double appui est plus longue que dans la
marche
ordinaire et qu'on n'observe jamais,comme dans ce
icale, l'extension du membre portant est bien plus complète dans la
marche
à reculons que dans la marche en avant. En ou
ortant est bien plus complète dans la marche à reculons que dans la
marche
en avant. En outre de ces différences dans la p
ers le milieu du pas antérieur. Nous savons qu'à ce moment, dans la
marche
ordinaire, il se produisait une saillie énorme au
n du torse en avant d'autre part, que plusieurs des attitudes de la
marche
à reculons ressem- blent peut-être plus à l'att
à l'attitude généralement adoptée par les artistes pour figurer la
marche
que les attitudes correspondantes de la marche
stes pour figurer la marche que les attitudes correspondantes de la
marche
en avant. B. Marche avec un fardeau sur l'épa
fardeau sur l'épaule. Il n'y a pas de différences capitales dans la
marche
d'un homme, qu'il soit chargé d'un poids assez
vants : Le pas est en général plus court. QUELQUES VARIÉTÉS DE LA
MARCHE
ET DE LA COURSE 69 La période de double appui e
grande partie de leur étendue, c'est ainsi que tandis que, dans la
marche
ordinaire, les orteils de la jambe qui devient
des membres inférieurs, ils sont à peu près les mêmes que dans la
marche
ordinaire. Il en est de même des contractions m
col- tineurs, les charbonniers, les modifications apportées à la
marche
, à part une assez forte inclinaison de la tète
par l'attitude spéciale que prennent les membres inférieurs dans la
marche
dite « en flexion » et dont nous parle- rons pl
aide de la chronophotographie, et nous verrons plus loin que, si la
marche
en flexion diminue les oscillations Fin-. 5. -
in que, si la marche en flexion diminue les oscillations Fin-. 5. -
MARCHE
AVEC UK FARDEAU SUR L'u'AULE. avec du dou- su
con- sidérabie. C. Marche EN poussant OU EN tirant. Si l'homme
marche
en poussant devant lui un corps pesant ou en le
ui, les mouvements qu'il exécute sont bien différents de ceux de la
marche
ordinaire (Fig. 6). Il ne s'agit plus seulement
Un double pas de la mar- che en poussant. QUELQUES VARIÉTÉS DE LA
MARCHE
ET DE LA COURSE 11 1 plus énergique. Lors du pa
membre portant est tout à fait caractéris- tique. . Un homme qui
marche
à l'encontre d'un vent violent est tout à fait
grande ressemblance, dans les deux cas; entre les caractères de la
marche
. D. Marche en poussant une brouette chargée.
déplace qu'à la con- dition d'être poussée en avant. Cette forme de
marche
tient donc à la fois et de la marche avec farde
ussée en avant. Cette forme de marche tient donc à la fois et de la
marche
avec fardeau et de la marche en poussant (Fig. 8)
e marche tient donc à la fois et de la marche avec fardeau et de la
marche
en poussant (Fig. 8). C'est ce que démontrent d
flexion à l'appui, mais la flexion est moins prononcée que dans la
marche
en poussant et le pied touche le sol d'abord pa
double appui (d'après une phot. inst. de 111. Londe). Fig. 8. -
MARCHE
EX POUSSAIT wr MOUETTE cu.wcris.Iomentdu double
sé la verticale. La jambe oscillante d'abord fléchie, comme dans la
marche
ordinaire, ne so redresse jamais complètement.
. Marche sur un plan ascendant. Il y a plus d'une analogie entre la
marche
sur plan ascendant et la mar- che en poussant q
se du double appui. Ce qui fait que Fig. 9. - Un double pas de la
marche
sur plan ascen- dant. Fig. 10. - Marche sur P
ui (d'après une phot. inst. de M. Londe). quelques variétés DE la
marche
ET DE LA COURSE 13 dans ce cas, il existe un mo
oulève sur la pointe progressivement (Fig. 10), tandis que, dans la
marche
sur plan ho- rizontal, un semblable moment est
orse ne subit point l'inclinaison en avant que l'on observe dans la
marche
en poussant, mais il éprouve dans le sens antéro-
s antéro-postérieur des oscillations bien plus marquées que dans la
marche
sur un plan horizon- tal et dont le maximum d'a
, le mouvement des pieds ne diffère guère de ce qu'il est dans la
marche
sur un plan horizontal. Ils rou- lent sur le so
animé d'une certaine vitesse de chute, Fig.11.- Un double pas de la
marche
sur plan descendant. Fig. 12.-nLmc : uE sur p
M. Londe). 74 PAUL RICUER conséquence de l'inclinaison du plan de
marche
. Pendant tout le pas postérieur le membre porta
frein dans la descente. G. MONTEE D'UN ESCALIER. Cette variété de
marche
ascendante présente naturellement d'assez grand
ascendante présente naturellement d'assez grandes analogies avec la
marche
sur plan ascendant. Là aussi l'agent principal
t le temps du pas postérieur. Le pied arrive par la plante sur la
marche
. La phase de double appui est prolongée et pend
ui (d'après une phot. inst. de M. Londe). QUELQUES VARIÉTÉS DE LA
MARCHE
ET DE LA COURSE 15 H. DESCENTE D'UN escalier.
intéressantes à noter. Telles sont les principales variétés de la
marche
en tant que simple moyen de trans- port d'un li
essifs surajoutés au procédé de locomotion. En un mot, il y a des
marches
expressives, ou autrement dit des démarches, dont
. » t- Il est maintes circonstances dans 'lesquelles un homme qui
marche
poursuit en même temps un autre but que celui d
t en même temps un autre but que celui de la simple translation. Il
marche
tout en exécutant un acte quelconque. Il cause, i
s imprimeront à la démarche un caractère particulier. Au surplus la
marche
reflétera toujours les passions du marcheur, et s
ifs. Je n'ai pas ici à entrer dans l'exposé de toutes ces sortes de
marches
expressives dont l'étude d'ailleurs ne pourrait
ter un ou deux exemples pour montrer com- bien le type normal de la
marche
peut en être altéré. Prenons d'abord un type de
Notre modèle a exécuté devant notre objectif cette dernière dé-
marche
et, sur la série des pho- tographies, nous rele
se trouver à ce moment dans l'ex- tension complète comme dans la
marche
ordinaire. En résumé dans le pas postérieur, les
arer à la figure 3 pour saisir les différences qui existent avec la
marche
ordinaire. Prenons maintenant un autre exemple,
ui (diaprés une phot. inst. de M. Londe). QUELQUES variétés de la
marche
ET de la COURSE il Dans cette démarche, le corp
. 18). 1 On trouvera dans ces démarches quelques analogies avec les
marches
en poussant et en tirant que nous avons étudiée
ère commun à un bon nombre des démarches que nous venons d'étudier (
marche
contre le vent, en tirant ou en poussant, marche
venons d'étudier (marche contre le vent, en tirant ou en poussant,
marche
en montant, marche en tapinois, etc., marche su
marche contre le vent, en tirant ou en poussant, marche en montant,
marche
en tapinois, etc., marche sur un sol inégal, dans
tirant ou en poussant, marche en montant, marche en tapinois, etc.,
marche
sur un sol inégal, dans les labours, dans les b
gs. Indépendamment de l'effet qui résulle du travail surajouté à la
marche
, comme résistance à vaincre, ascension à opérer
arges à porter, le travail musculaire est plus considérable dans la
marche
en flexion que dans la marche ordinaire. La dém
culaire est plus considérable dans la marche en flexion que dans la
marche
ordinaire. La démonstration en est facile à faire
stration en est facile à faire. Nous savons, en effet, que, dans la
marche
ordinaire, la jambe oscil- lante arrive au cont
la démarche de nos ancêtres de l'époque quater- naire. Chez eux, la
marche
en flexion était nécessitée par leur genre de v
r que ceux, parmi les hommes actuels, qui ont à exécuter de longues
marches
dans des terrains accidentés ou avec des fardea
ommandant de Raoul, qui s'est occupé avec beau- coup d'ardeur de la
marche
du soldat, a préconisé toute une méthode d'entr
érience à former une allure spéciale qui n'est autre chose que la «
marche
en flexion » (1). Cette méthode consiste à main
haut, que le muscle quadriceps travaille plus énergiquement dans la
marche
en flexion que dans la marche ordinaire. De ce
travaille plus énergiquement dans la marche en flexion que dans la
marche
ordinaire. De ce chef, il nous parait impossible
nous parait impossible de ne pas admettre avec M. Manouvrier que la
marche
en flexion est plus fatigante que la marche ord
ec M. Manouvrier que la marche en flexion est plus fatigante que la
marche
ordinaire. On peut faire remarquer, d'ailleurs,
Infanterie, 15 août 1896. (2) Etude comparative entre la méthode de
marche
et de course dite en flexion et les allures ord
a durée delà contraction, C'est le cas du muscle quadriceps dans la
marche
en flexion. Il y a donc lieu de se demander si
commandant de Raoul ne sont pas dus aux conditions spéciales de la
marche
du fantassin. La charge qu'il porte sur les épa
, et cette obliquité du corps entraîne pour ainsi dire forcément la
marche
en flexion, et en même temps aux conditions spé
es,et qu'elle est actuellement abandonnée. K. Marche sportive. La
marche
sportive, c'est-à-dire exécutée dans le but de pa
moins de temps possible, offre des caractères très différents de la
marche
ordinaire. La seule règle imposée dans les concou
un mot, la période de double appui qui caractérise à elle seule la
marche
, doit être rigoureusement observée, et la chose v
ent de suspension, si court soit-il, tout signe distinctif entre la
marche
et la course aurait disparu. Mais toute autre m
paru. Mais toute autre modification des mouvements ordinaires de la
marche
est autorisée. Nous avons connaissance dé deux
la marche est autorisée. Nous avons connaissance dé deux formes de
marche
sportive entièrement différentes : l'une que no
cciag club, que nous avons vu tout récemment, a adopté une façon de
marche
qui porte à l'exagéra- tion tous les caractères
çon de marche qui porte à l'exagéra- tion tous les caractères de la
marche
vulgaire. Les membres inférieurs sont le plus p
e est droit, nullement penché en avant. Les QUELQUES variétés DE la
marche
ET DE la COURSE 81 bras accentuent violemment l
avec le mouvement des membres inférieurs comme cela a lieu dans la
marche
ordinaire. Par contre, les pédestrians anglais
dinaire. Par contre, les pédestrians anglais ont adopté un genre de
marche
tout différent qui rappelle l'amble des quadrup
s quadrupèdes et que le Dr IiJlchandy dé- crit ainsi : « Dans cette
marche
« toe-ancl-heel » le corps doit être droit; la
rieux que les Arabes trouvent de même un avan- tage à contrarier la
marche
naturelle et en diagonale de leurs chevaux et d
Marche pathologique. L'on comprend, d'après ce qui précède, que la
marche
est un phéno- (1) Le Monde médical, 1er octobre
comotion. Nous n'avons pas à faire ici la psycho- physiologie de la
marche
. Il nous suffit de rappeler que les maladies du
s maladies du système nerveux interviennent dans les troubles de la
marche
pour une part considérable, non moins grande qu
. Gilles de la Tourette, d'excellents résultats pour l'examen de la
marche
pathologique. MM. Quenuet Démeny ont appliqué à
étudier les modifications de la trajectoire que décrivent, dans la
marche
pathologique, les différents points du corps et d
e loca- lisation admise d'abord par Munchmeyer en s'appuyant sur la
marche
cli- nique de la maladie et sur quelques rares
is, survint une entérite ; mais il en guérit bien. La dentition, la
marche
et la parole commencèrent vers le 17e mois. C'e
s, sans localisation spé- ciale. On n'observe aucun trouble de la
marche
ni de l'équilibre quand l'épreuve est faite apr
uvé de l'emphysème se traduisant par un peu d'enhélation pendant la
marche
; pour nous, nous croyons que cette dyspnée était
es traumatismes nous ont semblé jouer un certain rôle et activer la
marche
de la myosite « chaque fois que je tombe, dit le
seux périarticulaire, les articles eux- mêmes restant indemnes ; la
marche
de la maladie envahissant par étapes successive
e terminer son service militaire. A ce moment, il remarque qu'il ne
marche
plus d'aplomb, qu'il trébuche facilement, qu'il o
st seul à s'en apercevoir, ce n'est que plus tard qu'on lui dit qu'il
marche
comme un homme ivre. UN CAS DE MALADIE DE FRI
émarche surtout titubante dépassant droite et il gauche la ligne de
marche
, avec quelques mouvements de projection comme che
vements de projection comme chez les ataxiques. Les yeux fermés, la
marche
est impossible, l'incoordination aug- mente. Va
avail ; il ne pouvait plus sortir, en raison de l'incertitude de sa
marche
, qu'en donnant le bras à une autre per- sonne,
quefois tellement aiguës, qu'elles l'arrêtent brus- quement dans sa
marche
; parfois même, elles sont si fortes qu'il sent
cardinaux. Le premier en date est la titubation. Ce désordre de la
marche
s'est développé d'une façon lente et progressiv
il se manifeste aussi bien pendant le stationnement que pendant la
marche
. La titubation est telle- ment prononcée qu'a d
un certain degré d'asthénie musculaire. Or un pareil désordre de la
marche
et de l'équilibration doit éveiller de prime ab
ai durable. Après une accalmie passagère, la maladie a poursuivi sa
marche
relativement lente, mais progressive. D'autre p
de Il mois au lit. Elle se mit à marcher ensuite, et actuellernenl
marche
, danse, fait même de la bicyclette, se tient à
eur droit et le membre inférieur gauche était de 23 centimètres. La
marche
s'effectuait avec nne béquille. A l'autopsie, M
24 ans, peu développé, d'intelligence retardée. Debout et lorsqu'il
marche
, il se tient penché en avant au niveau de la co-
e du fémur droit. Le malade peut du reste faire plusieurs heures de
marche
par jour. Mouvements de la mâchoire très diminu
n peu d'emphysème qui se traduit par un peu d'anhélation pendant la
marche
. Les autres fonctions s'exécutent bien. Examen
ité du maintien dans la station assise, le manque de sûreté dans la
marche
et des chutes fréquentes. Des deux côtés de la
artie s'ossifient; il en est de même en général de la raideur de la
marche
et des troubles de la motilité des membres supéri
s les creux axillaires, et, pendant l'apparition des troubles de la
marche
, il se développe à la hanche droite des tuber-
gauche et disparition de la flexion de la hanche. Depuis le malade
marche
facilement. Le 18 décembre,- Opération des végé
sur la poitrine et surtout sur le dos. Le corps se tient penché, la
marche
est très difficile. La tête est légèrement penc
aucune maladie sérieuse. Début. A cette époque, après la période de
marches
et de manoeuvres qui marquèrent la fin de son s
t et plus rarement dans le gauche à chaque fois qu'il se mettait en
marche
. La douleur survenait régulièrement lorsque, ap
s'accentuait il chaque pas, quand le pied frappait le sol ; puis la
marche
continuant, la douleur s'atté- nuait sans toute
ssis, ou debout sur la jambe droite il ne souffre pas; et même s'il
marche
lentement, à son aise, il ne survient pas de do
minutes la station debout sur la jambe gauche devient pénible ; la
marche
ordinaire peut être poursuivie longtemps ; la mar
t pénible ; la marche ordinaire peut être poursuivie longtemps ; la
marche
un peu rapide produit vite de la fatigue. La do
brusquement sous son pied quelque objet dur (noyau de fruit), s'il
marche
sur un petit caillou qui fait incliner semelle
la limitation des mouvements du maxillaire in- férieur. Enfin, la
marche
de la maladie n'a pas été continuellement progres
ne ; son pas ordinaire est de 25 cen- timètres. Avant de décrire sa
marche
, remarquons encore une fois, que lorsque Duf...
mbe gauche qui se met verticalement en extension, Fig. 6. - Dans la
marche
, la partie supérieure du corps est redressée lors
droites (E, F). Suivant que la longueur du pas et la rapidité de la
marche
sont plus ou moins forcés, les deux faits princ
arche sont plus ou moins forcés, les deux faits principaux de cette
marche
sont plus ou moins accentués ; ces deux faits s
tle absence de rotation du bassin constitue la 3e particularité de la
marche
de Duf... Cependant si on fait faire à Duf...
a besoin de s'accompagner d'aucun mouvement de rotation ; le malade
marche
avec 2 pieds, 2 genoux et une hanche. La com- p
par un pivot horizontal ne peut s'appliquer notre malade. Pour la
marche
en arrière, Duf... ne peut pas tirer un aussi bon
urs ce qui se produit d'ordi- naire, l'ankylose des vertèbres a une
marche
ascendante. Et ce sont les articulations de la
re demeurer assis. La soudure rachidienne s'effectue en suivant une
marche
ascendante. L'anky- lose du rachis dorsal ne se
; mais ne peut-il arriver que le processus d'ankylose poursuive sa
marche
envahissante en gagnant peu à peu les petites art
membres pourrait-elle donc gagner les autres articulations dans une
marche
acrotropique ? Il semble que l'on peul répondre a
est atteinte d'une hémi-hypertrophie faciale droite con- génitale à
marche
progressive. La joue droite tombe comme un pli ju
mois; l'ouïe, affaiblie de ce côté. est redevenue normale. L'enfant
marche
à 11 mois, parle à 15 mois. Denti- tion plus pr
ugmenté progressi- vement de volume, pendant que se ralentissait la
marche
de la dentition à la mâchoire supérieure du mêm
ans les organes. Expression du visage stupide. Maintient incertain,
marche
difficile. Thorax immobile, respiration abdomin
côtes. 7° année : raideur de plus en plus accusée, raideur dans la
marche
. Variole, rougeole et coqueluche ; pas de douleur
Rien de spécial. Etat de l'enfant le 8 juillet 1891 : raideur de la
marche
. Il peut se tenir debout, mais le moindre choc
ivent être comparées et superposées pour expliquer les signes et la
marche
des maladies. Conçues dans cet esprit, les leço
la partie moyenne de la cuisse, A gauche 42, à droite 43 1/2. La
marche
est possible et presque normale; la malade ne fau
rche est possible et presque normale; la malade ne fauche pas, mais
marche
en équerre déviant en dehors la pointe du pied ga
mère bien portants. Accouchement naturel. A 8 ans, difficulté de la
marche
par suite de la formation de noyaux indolo- res
.rpa les suivre. Le travail une fois commencé, il en surveillait la
marche
, pré- cisait une indication, corrigeait une err
(3 fig. et 1 pl.), 213. Richer (PAUL). De quelques variétés de la
marche
et de la course (18 lig.), 65. Sabrazès (J.) et
vous faisant connaître quelques détails complémentaires relatifs à la
marche
de l'affection ; et en même temps aux circonstanc
ce musculaire des membres inférieurs est assez prononcée ; quand elle
marche
on la voit, de temps à autre, lancer follement se
ur, et il put même continuer à faire son service, un peu gêné dans la
marche
toutefois, pendant près de trois quarts d'heure e
otre homme : à chaque pas il fléchit plus que cela ne se fait dans la
marche
physiologique la cuisse sur l'abdomen, et la jamb
allons en faire que, même en dehors des particularités relatives à la
marche
, ces affections ont bien des traits en commun. Ai
: disposition qui a pour effet de rendre pour ce membre l'acte de la
marche
moins difficile. Là, dans ce même membre, les t
on exercice, je m'efforçais, peut-être un peu naïvement, d'enrayer la
marche
si habituellement fatale de la maladie, par l'emp
sauter et l'agacent d'une façon épouvantable. Quand passe un train en
marche
, il ne peut voir tourner les roues des wagons san
en avant, ceux-ci retombant avec bruit sur le sol à chaque pas, elle
marche
au contraire à petits pas et comme en titubant. I
rfs optiques dans le tabes, aboutissant en dernier terme à la cécité,
marche
plus rapidement que cela. Quoiqu'il en soit, pr
les symptômes tabétiques, lorsqu'elle s'est produite, continuant leur
marche
progressive sans exaspération notable. Pas de cau
ille tabétique; l'amblyopie qui en est l'accompagnement symptomatique
marche
, quoiqu'on fasse, nécessairement à la cécité comp
e diplopie. — Peu de temps après,la démarche devient titubante ; elle
marche
* comme une femme prise de boisson ». De 18 à 20
mme une femme prise de boisson ». De 18 à 20 ans, la difficulté de la
marche
a été beaucoup plus prononcée qu'elle ne l'est ac
eçon d.u 11 décembre 1888, première, tantôt la seconde qui ouvre la
marche
. Bien souvent, j'ai vu les symptômes propres à la
contre, dans le cas qui nous occupe, la sclérose en plaques ouvrir la
marche
et céder le pas, au moins pour un temps, à l'hyst
te est tombante sur la poitrine ; la station est fort difficile et la
marche
impossible. L'enfant ne peut parler. Il éprouve u
jours est-il que, depuis 1870,1a malade se tient debout sans fatigue,
marche
aisément, fait même de longues courses en dehors
elle. Depuis 1870, donc, Rose B...ot — c'estainsi qu'elle se nomme—
marche
librement dans les cours de la maison, qui sont f
ffaiblir et devenir raides comme dans l'ancien temps, au point que la
marche
lui était devenue très difficile. J'avoue qu'au p
¿0 tête et du tronc en avant ; les jambes sont devenues raides ; la
marche
est réellement difficile ; dans les membres supér
quée qu'éprouvent les membres inférieurs dans l'accomplissement de la
marche
; il est facile de s'assurer, en effet, que les m
a zone hyperesthésiée, éveillent la douleur la plus vive, et, dans la
marche
, ce sont en partie des tiraillements de ce genre
attaques, ainsi que je vous l'ai dit, sont devenues plus rares ; il
marche
un peu moins mal qu'autrefois, ce qui semble indi
ccomplir l'acte sexuel. Myosis. Au bout de 29 suspensions,le malade
marche
beaucoup mieux; sa démarche, en réalité, est rede
nution extrêmement remarquable de l'incoordination motrice pendant la
marche
. Le malade, sans canne, peut monter facilement un
y a deux ans, fracture spontanée du péroné droit. Depuis deux ans, la
marche
est devenue difficile ; l'incoordination motrice
asseoir à chaque instant ; fort souvent, quand il est debout ou qu'il
marche
, ses jambes se dérobent sous lui tout à coup. Les
a deuxième séance, une certaine amélioration s'est manifestée dans la
marche
et dans la miction. A partir de cette époque, et
s'est améliorée encore. Le malade a pu descendre seul du tramway en
marche
, ce qui ne lui était pas arrivé depuis deux ans
fracture d'ataxique. Au malade : Parlez-moi, je vous prie, de votre
marche
; que s'est-il produit de ce côté? Le malade : J
e, de votre marche; que s'est-il produit de ce côté? Le malade : Je
marche
décidément beaucoup mieux. Je me tiens mieux debo
n sentiment de pesanteur qui existait dans les membres inférieurs; la
marche
paraît être un peu plus facile. Après la huitième
s facile. Après la huitième séance, amélioration très notable dans la
marche
qui est moins affectée par l'obscurité ; le malad
ons.Après la trente-sixième séance, on note de grands progrès dans la
marche
; le malade peut faire maintenant de longues cour
ne me servent à rien. Hier, je suis très bien descendu du tramway en
marche
. M. Charcot, au malade : Ne faites pas trop de
à l'âge de 15 ans. Début il y a deux ans par des difficultés dans la
marche
. Dérobement fréquent des membres inférieurs. Les
des séances a été de vingt-quatre. Une certaine amélioration dans la
marche
a commencé à se produire après la quatrième séanc
x le sol, qu'il n'a plus de sensation de coton dans les pieds ; qu'il
marche
mieux. Après la vingt-quatrième séance, les résul
me séance, les résultats acquis sont: un état très satisfaisant de la
marche
,de la miction et des sensations pathologiques qui
s les membres inférieurs et une difficulté rapidement prononcée de la
marche
. Signe de Westphal, signe de Romberg, signe d'Arg
atrième séance, il se produit une amélioration très manifeste dans la
marche
. Le malade peut marcher beaucoup plus longtemps q
.Chez presque tous, l'amélioration a commencé d'abord à porter sur la
marche
,sur l'incoordination.Elle s'est fait sentir dès l
nces. Les malades nous ont dit souvent qu'aussitôt après la séance la
marche
est plus facile, plus assurée.Cette amélioration
que le moindre mouvement imprévu de la tête sur le tronc, pendant la
marche
, aurait pour effet d'exaspérer le vertige, et d'u
lui paraît subir à chaque instant. » Ainsi, l'attitude du malade en
marche
traduit jusqu'à un certain point la lutte à laque
us a fait remarquer que souvent, pendant la station debout et dans la
marche
, sans qu'il éprouve la moindre sensation vertigin
s durant lesquelles se montrait fréquemment, pendant la station ou la
marche
, qui parfois exigeait l'emploi des béquilles, le
neux habituel, principalement dans la station verticale et surtout la
marche
; il lui semble que le sol s'élève par moments pu
laint d'être tout de suite fatigué lorsqu'il se tient debout ou qu'il
marche
; ses jambes sont très faibles, dit-il, et il y ép
s se dérobent et elle tombe sur les genoux, le gauche portant sur une
marche
. Elle peut se relever aussitôt et reconnaître que
prodromes bien marqués, il perd la conscience de ses actes, se met en
marche
résolument sans savoir cependant où il va, à la m
n billet pour Bercy où il a oublié de descendre. Le train continue sa
marche
et voici qu'en passant sur le pont National notre
qui est très raide, très étroit, tortueux, et, arrivée aux dernières
marches
, elle fait une chute et perd connaissance. 11 éta
é, qu'il a payé, qu'il n:a pas paru indisposé et qu'il s'est remis en
marche
vers son bureau. Cette absence avait duré environ
un menuisier qui tout à coup pose ses outils, abandonne son établi et
marche
sans s'arrêter pendant huit jours; il était allé
est resté depuis sujet à de véritables accès de vagabondage; il part,
marche
devant lui, sans conscience de ses actes, automat
sy. Journal of mental Science, January 1879. 2. Loc. cit. p. 111.
marche
presque toujours les yeux grands ouverts avec un
, s'habiller, faire sa toilette et descendre dans le jardin ; là elle
marche
les yeux ouverts, ne répondant pas aux questions
ladie persiste d'ailleurs foncièrement et continue progressivement sa
marche
vers le but fatal. II n'est guère en somme que l'
issement fort pénible. Illuifallait cependantmalgrétoutse remettre en
marche
, il n'était qu'à mi-chemin et, ses ressources péc
édiatement, Messieurs, lorsqu'il voudra exécuter les mouvements de la
marche
. Remarquez que je l'ai prié de marcher d'un pas
e convulsifs, il n'y a rien qui rappelle la souplesse des actes de la
marche
normale... Se détourner, pour lui, pendant qu'il
s actes de la marche normale... Se détourner, pour lui, pendant qu'il
marche
, ou plutôt court à petits pas, c'est une affaire
ossible. Si nous voulons arriver à comprendre le mécanisme de cette
marche
trépidante, comme je vous proposerai de la désign
t debout, tranquille, immobile, je le prie de se mettre de nouveau en
marche
. Il se montre d'abord tout hésitant, on dirait qu
anisme que je viens d'indiquer, il glisse sur le sol, plutôt qu'il ne
marche
, les jambes raides, ou pour le moins se fléchissa
t. En somme, les mouvements en question ne sont autres que ceux de la
marche
elle-même, à la vérité plus ou moins profondéme
essieurs, voilà un homme qui ne sait plus marcher, du moins, comme on
marche
dans l'état normal ; il a désappris la pratique d
ns l'état normal ; il a désappris la pratique des actes moteurs de la
marche
ordinaire. Ils sont remplacés chez lui par les mo
le dans son vrai jour. De tous les modes possibles de progression, la
marche
ordinaire, normale, vulgaire, comme vous voudrez
divers mécanismes relatifs aux mouvements de progression, tel que la
marche
, le saut, la danse,lanage, etc., etc., fussent au
te en naissant que, la prédisposition à exécuter les mouvements de la
marche
, et que, pour arriver à opérer régulièrement cet
ie— incoordination ou impuissance motrice relative au mécanisme de la
marche
, — il se montrait combiné à Yastasie — incoordina
rbres. A la fin du deuxième mois, la guérison survint tout à coup. La
marche
redevint soudain tout à fait normale. Ce fut comm
es inférieurs, par défaut de coordination relative à la station et la
marche
. C'est le premier essai,si je ne me trompe, d'une
ls ne deviennent « ataxiques que dans la station debout et pendant la
marche
; on voit alors « des contractions involontaires
lali en 1885 sous le nom de « paraplégie infantile du seul acte de la
marche
(6). » Mais le travail où vous trouverez les re
ment, je le répète, lorsqu'il se lève, ou lorsqu'il veut se mettre en
marche
que le désordre se manifeste ; souvent, le plus s
e se manifeste ; souvent, le plus souvent peut-être, la station et la
marche
sont aflectées simultanément et il peut arriver p
ements spécifiés pour la station aient été seuls affectés, ceux de la
marche
restant parfaitement indemnes. Mais, par contre,
complètement inexpérimenté encore dans l'exécution du mécanisme de la
marche
qui, soutenu par sa nourrice, s'exerce gauchement
ans les cas ci-dessus mentionnés, il semble que la fonction spéciale,
marche
ou station debout, soit purement et simplement su
réquemment chez les tabétiques dans la période préataxique. Dans la
marche
ces troubles atteignaient leur maximum. En efïet,
Les secousses dont il est question, rythmées comme l'est elle-même la
marche
normale dont elles ne sont, si l'on peut ainsi pa
exagérés et brusques des membres inférieurs, substitués à ceux de la
marche
normale, qui menacent à chaque pas l'équilibre, o
ouvements anormaux des membres inférieurs, dans la station et dans la
marche
,rappelleraient assez bien,en raison de leur ampli
exclusivement liés en pareil cas au mécanisme de la station et de la
marche
, conformément à la définition de l'astasie et l'a
désignerai sous le nom d'abasie trépidante la forme dans laquelle la
marche
est gênée par des mouvements d'exécution contradi
pes cellulaires divers qui président aux mouvements spécifiés pour la
marche
, la station, le saut, etc., constituent dans l'ax
appareils relatifs à l'exécution des mouvements de la station, de la
marche
, du saut, etc., comportent chacun deux centres ou
Je compare quelquefois les groupes cellulaires spinaux relatifs à la
marche
au saut, à la danse, etc., aux rouleaux hérissés
u contraire, pour en suspendre le mouvement. C'est ainsi que, dans la
marche
par exemple, le centre spinal, correspondant au j
ous forme d'accès : parfois si ces douleurs le prennent pendant qu'il
marche
, les jambes fléchissent tout à coup, involontaire
qui sont spécialisés pour un genre particulier de fonctionnement : la
marche
. Je relèverai d'ailleurs, et c'est par là que je
ement l'idée d'une impuissance relative, limitée aux mouvements de la
marche
et dont l'incoordination abasique sera en quelque
sentation mentale,à la fois visuelle et motrice, des mouvements de la
marche
normale. ¦ÃÎ. de la Ýîñ. de Òóð. - ^oizet-, . 8
ette trépidation qui autrefois s'étendait à tous les mouvements de la
marche
. Elle se manifeste encore lorsque, pendant qu'il
vements de la marche. Elle se manifeste encore lorsque, pendant qu'il
marche
, on vient inopinément le pousser par derrière. En
trer le malade complè- 31 tement débarrassé de ces troubles de la
marche
qui, jusqu'à aujourd'hui, n'avaient pas cessé mêm
orrecte, la trépidation plus rare. De nouveaux progrès, les leçons de
marche
continuant toujours, se sont effectués les jours
fait remarquer tout à l'heure plusieurs fois que si, pendant qu'il
marche
, on vient inopinément pousser le malade parle dos
adie, pour ainsi dire subaigu et qui contraste singulièrement avec la
marche
éminemment lente et traînante de l'ataxie locomot
faible,pour ne pas dire plus ; il n'a jamais pu apprendre à lire ; sa
marche
est gênée par l'existence de deux pieds-bots cong
ressivement dans les membres inférieurs au point que la station et la
marche
en deviennent de plus en plus difficiles. Ainsi
ce du moindre choc. — N..las, se plaint que, depuis quelque temps, la
marche
et la station lui sont devenues difficiles. Il de
d'amyotrophie progressive. Mais de quel genre d'atrophie musculaire à
marche
progressive s'agit-il ici ? L'affection myopathiq
tal doit comprendre les cas dans lesquels une myopathie généralisée à
marche
progressive se développe indépendamment de toute
sont susceptibles cependant... de se généraliser et d'affecter une «
marche
progressive. Parmi les amyotrophies de ce groupe,
de songer toutes les fois qu'il se présente une atrophie musculaire à
marche
progressive, non accompagnée de troubles marqués
répond à ce que j'ai proposé d'appeler du nom de type Aran-Duchenne :
marche
lente de l'amyotrophie progressive, absence de tr
évulsifs sur la région spinale, ou par tout autre moyen, d'arrêter la
marche
fatalement progressive de la myopathie. A cela, j
mée qui sortent de la cheminée d'une locomotive lorsqu'elle se met en
marche
. L'odeur était celle du soufre ou mieux de la pou
deNoisy,tant j'étais ahuri. M. Charcot: Le voilà donc qui se met en
marche
, boitant, traînant la jambe gauche, tout tremblan
2. Sestier, t. II p. 95. 3. Id. loc. cit. Les événements ont une
marche
beaucoup moins rapide quand il s'agit de la foudr
..cy, sa jambe gauche, au moment où il s'est relevé pour se mettre en
marche
se dérobait sous lui ; il ne la sentait plus guèr
l'a trouvée beaucoup plus accentuée que la veille ; la station et la
marche
étant devenues à peu près impossibles. C'est ici,
re avait beaucoup de peine aie porter, et que la station ainsi que la
marche
étaient devenues beaucoup plus difficiles que le
Voici maintenant ce qui est relatif à la paralysie motrice. Le malade
marche
en boitant, sans frotter le sol du pied, sans tra
manie : il lui arrive en effet de compter automatiquement, quand elle
marche
, les pavés sur lesquels elle pose les pieds. Elle
eutique est impuissante à l'arrêter, ne fut-ce qu'un instant, dans sa
marche
progressive. Il n'en est pas tout à fait de même
complètement inexpérimenté encore dans l'exécution du mécanisme de la
marche
, qui, soutenu par sa nourrice, s'exerce gauchemen
ossibles qu'avec le secours de béquilles. Puis vint une période où la
marche
pouvait s'exécuter simplement à l'aide, d'une can
e nécessairement l'abasie ; car on ne saurait marcher, du moins de la
marche
ordinaire, lorsqu'il est impossible de se tenir
le diagnostic est en général facile. D'autres fois, la station et la
marche
sont, comme dans notre cas d'aujourd'hui, absolum
érébelleuses, accompagnées de cette impuissance motrice relative à la
marche
, rappe 1. Voir la 16e leçon, p. 367 lant vous
est couché ou assis, et leur vicieuse adaptation aux mouvements de la
marche
qui constitue, en somme, le caractère le plus sai
saillant du trouble abasique; mais cette incoordination spéciale à la
marche
, je le répète, ne se montre pas constante : il fa
us ou moins longue, commence à s'amender : alors les phénomènes de la
marche
normale reparaissent par épisodes, d'abord,puis i
es cellulaires divers qui président aux mouvements spécifiés, pour la
marche
, la station, le saut, etc., constituent dans l'ax
rata, et qu'il montre bien que dans la séméiologie des troubles de la
marche
, il reste beaucoup à faire. 1. Sur l'hémianesth
ent avec elle. Les premiers désordres relatifs aux mouvements de la
marche
ont commencé à paraître chez lui il y a six ans,
t,il y avait une légère boiterie, ou plutôt un certain désordre de la
marche
, consistant principalement en ce que toujours il
urs. D'ailleurs,actuellement,le désordre des mouvements relatifs à la
marche
, autrefois localisé comme on l'a dit dans le memb
a trépidation que nous allons voir,tout à l'heure, se substituer à la
marche
normale. Quoi qu'il en soit, lorsqu'il s'agit de
brillamment. Étudions maintenant ce qui se passe à l'occasion de la
marche
vulgaire. Vous voyez se produire, dès l'origine,
e ce que la flexion du genou suivie d'élévation du pied, qui, dans la
marche
normale, inaugure chaque projection du membre en
ur la première fois, l'allure trépidante fait place par moments, à la
marche
normale ; il est vrai qu'après quelques pas, elle
premier chef, que les désordres abasiques concernent exclusivement la
marche
vulgaire, commune, automatique par excellence : t
tique par excellence : tandis que les autres modes moins usités de la
marche
, plus étudiés par conséquent et non automatiques
e transporter d'un point à un autre. Dans les rues, pour remplacer la
marche
vulgaire interrompue chez lui, à chaque instant,
resque le « grand écart» en avant, courant et sautant plutôt qu'il ne
marche
et portant vivement devant lui ses bras étendus,
ins, comme un original fieffé. A n'envisager que les troubles de la
marche
considérés en eux-mêmes et indépendamment des aut
aut dire encore que, chez lui, l'incoordination motrice relative à la
marche
né parait pas être, comme chez la plupart des aut
, le groupe cellulaire organisé pour mettre en jeu le mécanisme de la
marche
? J'avoue que je ne me sens pas suffisamment prép
liomatose produit dans la moelle sont indélébiles, irréparables. Leur
marche
est lentement progressive ; mais, autant qu'on en
ptômes poliomyéliques antérieurs, à savoir : amyotrophie musculaire à
marche
progressive, rappelant le typeDuchenne-Aran ; b.
s où celle-ci s'est accompagnée, en outre, de l'atrophie musculaire à
marche
lente, de divers troubles trophiques, tels que bu
quée par aucun épisode répondant, soit à un temps d'arrêt, soit à une
marche
précipitée des accidents. Je passe au second ca
istaient à surveiller les voitures de la Compagnie dans les trains en
marche
et à aider.au service des voyageurs. Cette existe
parfois même d'hallucinations. Tantôt il se croyait dans un train en
marche
, il parlait à haute voix, s'adressantaux voyageur
ffaibli. Le malade ne peut pas se tenir debout sur le pied droit ; il
marche
lentement, en s'aidant d'une canne ; il boite et
r sur le membre inférieur gauche,celui-ci fléchit aussitôt. Dans la
marche
, la jambe gauche est plus lente à exécuter les di
472. — paralytique, 364. — Sensibilité, 363. — Spécialisation à la
marche
vulgaire, 481. — Variétés, 364, 365, 366. Absin
umine disparut com- plètement des urines. On constata dès lors la
marche
suivante de la maladie jusqu'au jour de la mort
à droite paraît toutefois un peu plus petit que celui des fibres à
marche
inverse. En tout cas on peut affirmer qu'il y a
tres, véritable attaque apoplectil'orme sui- vie d'un trouble de la
marche
qui devint nettement titubante (titubation céré
énéral du malade et des attaques apo- plectiformes, ainsi que de la
marche
irrégulière de l'affection. On ne pensa pas à l
nt été notés. Il est surprenant de constater, en ce qui concerne la
marche
et le déve- loppement de la maladie, à quel poi
il est vrai, maints cas de déficits d'un hémisphère du cervelet, à
marche
lente et tout à fait latente. Edinger (2) vient
t persista six mois environ, au bout desquels les difficultés de la
marche
s'accentuèrent. Il dut se remettre au lit (tin 18
it (tin 1894) pour ne plus jamais le quitter. Les difficultés de la
marche
étaient en rapport non seulement avec une réell
e droit donnent à son profil l'allure d'un Z, ou mieux encore d'une
marche
d'escalier. La première branche à peu près 30 P
. sur le gon- flement anormal de son ventre. Depuis, l'exercice, la
marche
même, à l'hôpital, une marche un peu prolongée,
de son ventre. Depuis, l'exercice, la marche même, à l'hôpital, une
marche
un peu prolongée, ont provoqué le tympanisme. L
rapide, et la tumeur, ti- rant en arrière, gênait par son poids la
marche
de la malade qui devait, de ce fait, se pencher
ilatées ne réagissaient pas xiii 7 102 F. SOCA à la lumière. La
marche
était à peu près impossible, la malade se tenait
des premières douleurs fulgurantes, faiblesse des membres inférieurs,
marche
difficile. Six ans plus tard, démarche franchem
de faiblesse dans les membres inférieurs survenue subitement, et sa
marche
devint incertaine au point de trébucher souvent
tes, apparurent bientôt tous les jours sous la forme térébrante. La
marche
devient tout à fait hésitante, les jambes sont la
supérieurs. La sensibilité cutanée, la sensation du sol pendant la
marche
ou dans la station sont normales. Il est est de
ans plus tard, arthropathie de la hanche gauche. Impossibilité de la
marche
. Quinze ans après, fracture spontanée des deux
douleur sourde dans l'articulation coxo-fémorale gauche. En 1871 la
marche
devint tout à coup presque impossible. Le 1er nov
ns, troubles vésicaux. A 33 ans, arthropathie de la hanche droite :
marche
difficile. Premier examen à 37 ans, en 1884. Si
is elle jette davantage les jambes en avant et en dehors pendant la
marche
. Celle-ci est un peu hési- ' tante en effet : l
pendant la marche. Celle-ci est un peu hési- ' tante en effet : la
marche
à reculons est encore possible. Elle est totaleme
détail intéressant à signaler. L'amaigrissement s'est accentué, la
marche
est devenue de plus en plus difficile, gênée par
ée, en raison des arthropathies de la hanche et du genou droits. La
marche
est impossible : les jambes sont lancées follem
nts : a) Motilité. - Les membres supérieurs sont normaux. Le malade
marche
avec peine, à cause de son ataxie et du raccour
a salle Achard-Esperonnier, le 13 mai 1899, pour des troubles de la
marche
. Dans sa famille, rien de pathologique à noter.
he, in- dolore. Après quelques jours, elle se lève, et depuis lors,
marche
en boitant. Actuellement, au niveau de la hanch
ffrît que de la gêne que cette tuméfaction énorme apportait dans la
marche
, il consulta plusieurs méde- cins, et fut, sans
s intel- lectuels. Le malade se plaint d'une légère fatigue dans la
marche
, mais on ne constate ni steppage, ni abolition
hie plus marquée à la racine des membres, bras et cuisse. Le malade
marche
sans steppage mais se fatigue facilement ; la r
t 1893, engourdissement dans le pied gauche, puis incertitude de la
marche
; en octobre faiblesse dans les bras. A cette é
ules. Le 15 avril, elle commence à se tenir debout, le 6 juin, elle
marche
seule, mais à la fin de juillet 1895, elle stop
ncéphale et des nerfs bulbai- res, la gravité de l'état général, la
marche
rapide, le pronostic grave caractérisent cetles
ébut de la ma- ladie, son évolution et surtout les caractères de la
marche
dont nous allons parler à présent ont légitimé
ystérique de l'hémiplégie. En effet,cette malade présentait dans la
marche
une allure toute spéciale, laquelle permettait
légie est devenu très facile. Voici comment Todd (1) a décrit cette
marche
: Je désire, dit-il dans ses Leçons, appeler pa
tère spécial des mouvements de la jambe paralysée lorsque la malade
marche
, lequel, dans mon opinion, est caractéristique de
nt décrire au pied un arc de cercle. Notre malade, au contraire, ne
marche
pas de cette façon ; elle traîne après elle (drag
n effort d'aucune ' sorte pour le détacher du sol ; pendant qu'elle
marche
, le pied balaye (sweeps) le sol. Cela, je pense
malade pour étudier à l'aide du cinématographe les caractères de la
marche
chez elle et les comparer à ceux tracés par la
us les au- teurs. Je ne veux pas revenir ici sur les éléments de la
marche
normale. En tenant compte des recherches de Mar
ous allons facilement comprendre les modi- fications apportées à la
marche
par l'hémiplégie hystérique; mais il faut . tou
e hystérique; mais il faut . tout d'abord distinguer l'allure de la
marche
suivant que la jambe .ma- lade est oscillante o
du talon avec abaissement cor- (1) G. Maiunesco, Les troubles de la
marche
dans l'7aeo71ylé,rie organique étudiés à l'aide
l'articulation tibio-tarsienne pendant les différentes phases de la
marche
. Dans le pas postérieur, le pied est horizontal
p plus rapidement (fig. II). Si on examine à présent l'allure de la
marche
lorsque la jambe maladeest portante, on constat
antérieur publié dans la Semaine Blérlicale, sur les troubles de la
marche
dans l'hémiplégie organique, j'ai mis en relief
12 182 M. G. 111AnIl'iESCO Si on examine à présent l'allure delà
marche
lorsque la jambe malade est portante, on consta
re qu'emploie la malade pour transporter sa jambe inerte pendant la
marche
. Dans l'hémiplégie organique, comme je l'ai const
rise par conséquent l'hémiplégie hystérique et les trou- bles de la
marche
dans cette affection, c'est la paralysie flasque
ements propres du membre paralysé dans les différentes phases de la
marche
, mais seulement des mouvements passifs qui lui
nature hystérique de l'hémiplégie et étudié les ca- ractères de la
marche
, je me suis demandé si en traitant par la psycho-
nouveau, de sorte que sur la même bande pelliculaire nous avons la
marche
pendant sa maladie, puis la malade sous l'empir
, par les douleurs, les troubles fonctionnels et généraux et par la
marche
progres- sivement envahissante ; la terminaison
ion de toute boisson alcoolique ne fut suivie d'aucun arrêt dans la
marche
de la maladie. La théorie la plus généralement
on constata qu'elle traînait la jambe gauche, assez pour rendre la
marche
difficile. La mère dut la promener dans une petit
e il peut prononcer quelques mots. Deux jours plus tard il cause et
marche
sans difficulté. Observation V. Un jardinier,
le fond de l'oeil est normal. Le côté gauche est paralysé, l'enfant
marche
avec difficulté, il traîne la jambe et avance l
arquée. Cepen- dant la face est complètement guérie, mais le malade
marche
avec une bé- quille, la jambe gauche étant nota
le de fléchir la jambe sur la cuisse au delà de l'angle droit. La
marche
se fait à petits pas, avec peine ; le malade est
ne et présente seulement de l'hé- mispasme glosso-labié. Quand il
marche
, le malade porte son membre en avant fout d'une p
be et le pied ne quitte pour ainsi dire pas le sol. 3° Enfin ici la
marche
de la maladie a, été la marche classique de l'hém
nsi dire pas le sol. 3° Enfin ici la marche de la maladie a, été la
marche
classique de l'hémiplé- gie organique. Etablie
ieure de la colonne cervi- cale. Depuis quelques mois, une tumeur à
marche
rapide s'est montrée dans les deux aisselles.
elle ressentit un malaise ' général ; elle devint hésitante dans sa
marche
, pâlit, s'évanouit et tomba à terre. Elle resta
'hôpital. En 1896 et en 1897 la malade avait de l'instabilité de la
marche
, éprouvait , de vives douleurs fulgurantes à pa
ois après incertitude de plus en plus grande de la station et de la
marche
, avec inclinaison latérale. Phénomène du genou
diplopie. En 1882, en descendant un escalier, il glissa sur trois
marches
avec sa jambe gauche : à ce moment, il ressenti
lui une incertitude de plus en plus grande de la station et de la
marche
. Un examen pra- tiqué deux ans plus tard, révél
ée. En 1881, apparition de mouvements vacillants des jambes dans la
marche
, marche les jambes écartées, tendance à tomber
881, apparition de mouvements vacillants des jambes dans la marche,
marche
les jambes écartées, tendance à tomber en avant
s de diplopie. En 1881, il remarqua d'abord de l'hésitation dans la
marche
: celle-ci s'exé- cute les jambes de plus en pl
cée à tomber en avant, un vacillement notable dans la station et la
marche
: il ne peut pour marcher se passer d'une canne
issent. Ferme-t-il les yeux, des oscillations se pro- duisent. La
marche
est extrêmement difficile et hésitante, sauf peut
tèbres, ni une mobilité anormale des unes sur les autres. Dans la
marche
, ou la station debout, le malade peut arriver à d
soi-même, en inclinant on même temps le thorax à droite. Pendant la
marche
on ne constate rien d'anormal au bassin. L'ex
sensibilité plantaire. In- certitude de la station debout et de la
marche
. En 1880, marche les jambes écar- tées, talonna
taire. In- certitude de la station debout et de la marche. En 1880,
marche
les jambes écar- tées, talonnante. En 1883, en
sensibilité plantaire, incertitude de la station de- bout et de la
marche
surtout dans l'obscurité, sensation de dérobement
surtout dans l'obscurité, sensation de dérobement du sol. En 1880,
marche
talonnante, les jambes écartées. En 1883, survi
tude et vacille : les yeux fer- més, il chancelle prêt à tomber. Il
marche
maladroitement en lançant les jambes de côté. L
t le tabes. Si l'on commande au malade d'interrompre brusquement sa
marche
ou de faire un demi-tour, le corps entier oscil
erforants symétriques aux talons. A 39 ans, premiers troubles de la
marche
. Depuis l'âge de 40 ans, amaigrissement rapide et
et l'autre talon. En 1892, surviennent les premiers troubles de la
marche
. Le sol lui paraît moins résistant, ses jambes
as du tout d'incoordination motrice dans les membres supérieurs. La
marche
est très peu hésitante, elle est effectuée il pet
aussi et le rebord costal vient au contact de la crête iliaque. La
marche
est possible grâce au peu d'ataxie des membres
rs fulgurantes. Début de l'ataxie des membres inférieurs. A 45 ans,
marche
impossible, troubles passagers de la miction, tro
e incoordination motrice sans cesse progressive. Sept ans après, la
marche
était devenue complètement impossible. A cette
tembre 1897, M. P... présente une ataxie des mieux confir- mées. La
marche
sans appui est totalement impossible. Les pupille
rs' en ceinture, crises gastriques. 49 ans, premiers troubles de la
marche
. A 52 ans, déviation progressive et insidieuse
après. Depuis la même époque, les érection ses sont supprimées. La
marche
LES 0STÉ0-ARTHR0PATHIES VERTÉBRALES DANS LE TAB
jambes, ses pieds lui paraissent serrés comme avec une corde. Il
marche
, les yeux ouverts ou fermés, avec très peu d'hési
jusqu'à l'extrémité des orteils en bas, elles sont exagérées par la
marche
, augmentent de violence dans les changements de
on motrice z assez accentuée existe dans les membres inférieurs. La
marche
est d'habitude mal assurée, talonnée, elle est
gérer l'une ou l'autre des déviations scoliotique ou cyphotique. Il
marche
plié en deux au niveau des reins, le thorax immob
epuis plusieurs mois. Il n'existe pas de perturbation notable de la
marche
, les yeux ouverts. Un peu d'incertitude apparaî
la marche, les yeux ouverts. Un peu d'incertitude apparaît, dans la
marche
, les yeux fermés. La station debout sur une seu
omme sur l'autre, le. malade vacille et menace de tomber. Le malade
marche
à petits pas en talon- nant assez fortement, ma
assin ; celui-ci est même entraîné quand le mouvement s'exagère. La
marche
est possible, le malade présente peu d'incoor-
de la paralysie agitante. Dans les mouvements du rachis ou dans la
marche
, il est impossible de perce- voir le moindre cr
e, Jditeurs Ti : ' v i ? t ? 1 1t- 1 : \ ? . ? 1, 1't ," . LA
MARCHE
DANS LES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX (A propo
'Académie des sciences (4 décembre 1899) dans laquelle il étudie la
marche
dans l'hémiplégie hystérique. Ce n'est là que l
Ce n'est là que la suite d'une série d'articles de l'auteur sur la
marche
dans les maladies du système nerveux, dont j'aura
l'Ecole .. de la Salpêtrière ont mis en valeur les caractères de la
marche
des person- nes atteintes d'hémiplégie fonction
r à ces expériences. J'ai consacré deux ans à des recherches sur la
marche
dans les maladies du système nerveux en m'aidan
(2) Gilles de la Touiiette, Eludes cliniques et physiologiques sur la
marche
. La 294 GILLES DE LA TOURETTE Bien plus,le pr
hie de la Salpêtrière, je l'ai consacré a l'élude de l'attitude et la
marche
dans l'IaénaihlPgiehgstériyce(-I).11. lVlarines
le crois pas, car sa citation d'un pas- sage de Todd, consacré à la
marche
dans l'hémiplégie hystérique (p.178), est ident
le publié par la Semaine médicale (2) étu- diant les troubles de la
marche
dans l'hémiplégie organique, après quelques con
onque j'aurais été conduit à émettre quelques considérations sur la
marche
dans l'hémiplégie organique et rien de plus. J'au
cette époque un historique presque négatif de cette question : « La
marche
dans les mala- dies du système nerveux », je lu
re j'ai dû en- treprendre à ce sujet une série de recherches sur la
marche
normale dont la physiologie était alors à peine
les recherches que j'avais faites à ce dernier point de vue. .
marche
dans les maladies du système nerveux étudiée par
a Société de biologie). (1) Gilles de la TOUBETTE, L'altitude el la
marche
dans l'hémiplégie hystérique. Nouvelle Iconogra
a Salpêtrière, t. I, 1888, p. 1. (2) I\L\lmEbCO, Les lroubles de la
marche
dans l'hémiplégie organique étudiés à l'aide de
de la cinématographie. Semaine médicale, p. 225, n° 29, 1899. LA
MARCHE
DANS LES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX 295 Dans u
ce que j'avais observé au point de vue physiologique, j'étudiais la
marche
dans les maladies du système nerveux où ces rec
rand'chose à ma description. Je signale que j'ai traité aussi de la
marche
dans les hémiplégies accompagnées d'hémichorée ou
e un troisième article (1) de M. Marinesco sur « les troubles de la
marche
dans les paraplégies organiques ». Là encore au
ndique cependant que, le premier, j'ai décrit trois degrés à la dé-
marche
spasmodique. Mais il oublie d'ajouter que j'ai no
ier qu'il ne semble pas avoir envisagée. J'y joignais l'étude de la
marche
dans l'ataxie locomotrice et la paralysie agita
s. M. Marinesco écrit en français, il connaît mes recherches sur la
marche
dans les maladies du système nerveux longtemps
s recherches scientifiques. (1) Marinesco, Sur les troubles de la
marche
dans les paraplégies organiques. Se- maine médi
en s'y substituant, ce qui a lieu invariablement lorsqu'on suit la
marche
inverse, c'est-à-dire si l'on commence par le ble
leu sale avec un noyau presque expulsé. La déformation cellulaire
marche
de pair avec la fonte des blocs chromato- phile
- perçut tout d'abord que la fatigue survenait plus vite pendant la
marche
; elle (1) Thomas, Le cervelet. Th. Doctorat, 1
erniers temps, elle devint de moins en moins sûre d'elle pendant la
marche
, et la fatigue se produisait de plus en plus vi
oïde 1lI du p..ëd;-ulde fiïfotüle. Troubles de l'équilibre et de la
marche
. Au moment de se lever, le corps est agité d'os
besoin d'avoir quelqu'un près d'elle pour s'appuyer et se diriger. La
marche
est très incertaine, le tronc oscille constamme
J. DEJERINE ET A. THOMAS rythme, de la cadence, de la mesure de la
marche
normale, il ne s'agit pas d'autre part d'une ti
-t-on quelques fai- bles oscillations du tronc ; de même pendant la
marche
; la suppression du con- trôle de la vue n'exag
, l'émission de chaque syllabe plus difficile et plus saccadée ; la
marche
plus hésitante, les oscillations plus nombreuse
e l'é- quilibration. A cause de cette difficulté croissante de la
marche
et de l'équilibration, la malade restait confin
rique que personne dans sa famille n'a présenté de trou- bles de la
marche
ou de l'équilibre. Il n'a eu qu'un enfant mort-
ent même de cette contrariété, ou de la période de neurasthénie, sa
marche
était correcte, son équilibre normal. 11 y a de
dissements. Depuis cette époque les troubles de la station et de la
marche
ne firent qu'em- pirer ; il se plaint constamme
uelque position qu'il se trouve ; assise, couchée, debout, pendant la
marche
; en tout cas ils n'augmentent pas dans ces deu
ar en faire un exposé et nous étudierons ensuite les troubles de la
marche
et les troubles de la sta- tion consécutifs aux
ion entraînant brus- quement le corps d'un côté ou de l'autre. La
marche
est entièrement altérée ; il est à remarquer tout
'occlusion des yeux n'augmente que très légèrement les troubles de la
marche
. Il avance ordinairement sans regarder ses pied
he. Il avance ordinairement sans regarder ses pieds : si pendant la
marche
, on place un écran au-dessus de ses yeux, de fa
modification de sa démarche; d'autre part, il se rend compte qu'il
marche
plus difficilement quand il fixe un objet, ce que
u en avant. Lorsqu'il fait tous ces exercices, ou après un temps de
marche
un peu pro- longé, il sent venir la fatigue, et
ite que pour la rotation à gauche. D'autre part, les troubles de la
marche
et de la statique n'augmentent- pas sensiblemen
dérable, l'espace qui sépare les talons est de 37 centi- mètres. Il
marche
à petits pas, chaque pied se détache brusquement
rapidement. L'occlusion des yeux augmente un peu les troubles de la
marche
, mais c'est surtout pendant la station debout,
rvations sur les troubles de l'équilibre dans la station el dans la
marche
ou mieux dans les mouvements auxquels participe t
eu dans la position assise ou dans la station debout, que le malade
marche
ou passe de la position assise il la position cou
imminente s'il ne trouve près de lui un point d'appui. Pendant la
marche
, les jambes sont écartées, les membres supérieurs
it pas incertaine. Une soeur plus vieille tomba malade à 30 ans, la
marche
était hésitante, elle ne pouvait maintenir la t
ernant deux frères. 1 Leur mère avait une affection semblable, la
marche
était incertaine, la parole altérée, la vue tro
é, il se faisait remarquer par les oscillations du corps pendant la
marche
, l'incertitude des extrémités dans tous les actes
alades atteints de paralysie pseudo-bulbàire ont des troubles de la
marche
, « marclie à petits pas », associés à une diminut
sente rien de particu- lier, mais lorsqu'elle est debout et qu'elle
marche
elle tire un peu la jambe. Son état mental est
n du côté des bras. Depuis cette époque, les phénomènes suivent une
marche
lente mais pro- gressive ; les membres supérieu
lle du thorax ; par contre les mollets grossissent. Quand le malade
marche
, il semble concentrer toute son attention sur l'a
extension forcée. Malgré ces troubles fonctionnels multiples et la
marche
lentement progres- sive de l'affection, le mala
s bras s'é- loignent du corps, les mains sont étalées. Pendant la
marche
, le malade se dandine, augmente encore son ensell
hénomènes oculo-moteurs, ni début par les extrémités des membres et
marche
vers la racine comme dans le type névritique do
t que de leur instabilité dans la station, de l'incertitude de leur
marche
et rapportent le tout à l'incoordination motrice
le nom de période des déviations simples. Plus tard en raison de la
marche
progressive des lésions, de leur localisation pin
ion des courbures patlio;c ? lve dans la station debout, pendant la
marche
, à l'ins- tabilité nouvelle ajoutée à l'incoord
ésentant, sinon toute vraisemblance, les éta- pes successives de la
marche
progressive des lésions. Il n'en est cependant
e lentement, avec peine et précautions, tout d'une pièce. Dans la
marche
, le thorax s'enclave plus profondément dans le ba
re à plusieurs intervalles éloignés. L'affection reprend bientôt sa
marche
torpide et indolente. Elle est parvenue à sa dern
es mouvements délicats des doigts : difficile à ap- précier dans la
marche
,à cause des artropathies.Le malade depuis plusieu
marche,à cause des artropathies.Le malade depuis plusieurs mois, ne
marche
plus qu'avec des béquilles : ses articulations de
étique, que quelques troubles sensitifs légers. Les désordres de la
marche
relèvent chez lui non pas de l'ataxie mais de l
eille la folie de ses jambes, il se penche en avant pour diriger sa
marche
et ja- 510 JEAN ABADIE lonner le chemin à par
ssité, il le sera bientôt définitivement. Et si l'incertitude de la
marche
commande déplus l'aide d'une canne, il s'appuie
rieurs et de la résistance du sol dans la station debout et dans la
marche
. Elles sont le point d'application de deux forc
ize mois après l'accident, voici ce que nous écrit le malade : « La
marche
est très pénible, surtout à la descente. La vue e
oite = 45 ; à gauche = 22. Sensibilité égale des deux côtés. La
marche
est encore incertaine et la jambe gauche un peu r
u dessus de sa tête, ce qui n'est pas possible volontairement, à la
marche
, il y a un léger sautillement avec propulsion â d
. Les mouvements sont conservés dans toute leur intégrité. Le sujet
marche
bien, se tient facile- ment debout sur la jambe
rmal sauf la fistule crânienne persistante. Après ce laps de temps la
marche
devient difficile, on est obligé de la conduire
iche réseau dans la substance grise. Lorsque la myélite aiguë a une
marche
foudroyante, elle s'arrête seulement à la phase h
s avoir réalisé le tableau clinique de la myélite aiguë, a pris une
marche
subaiguë. J'ai eu l'occasion d'observer, au poi
ement. Les mouvements des membres se font très convenablement. La
marche
est normale ; la petite malade court et s'amuse p
endent que de tout temps ils ont eu une attitude spéciale : dans la
marche
, pour se guider, ils rejettent fortement la têt
de me la montrer, me l'amène aujourd'hui (5 mai 1900) parce qu'elle
marche
encore moins bien de- puis quelques semaines. E
sieurs années : il faut souligner chez cette enfant le retard de la
marche
qui n'est pas sans importance au point de vue d
un corset plâtré qui fut laissé 2 mois ; vers la fin d'octobre, la
marche
devint difficile ; l'enfant trébuchait et traîn
cinématographe, par G. MA- rinesco (4 fig.), 116. Hémiplégie (La
marche
de l'), par Gilles DE la TOURETTE, 293. Hémip
ographie (3 pl. en photocollogr.), 145. Gilles de la TOURETTE. La
marche
dans l'hémiplégie, 293. Guillain G. et G. GAs
ant des frictions stimulantes, du massage, etc. Pour régulariser la
marche
de ceux qui ont des mouvements irréguliers, incoo
tituent un groupe spécial (Idiotie athétd-siq ue). Dès qu'un enfant
marche
sans aide, il doit être envoyé à la Petite École,
mars 1899. A l'entrée (3 ans, 1899), idiotie complète avec gâtisme,
marche
et parole nulles. Aujourd'hui (1905) il marche
mplète avec gâtisme, marche et parole nulles. Aujourd'hui (1905) il
marche
seul s^amuse avec ses cama-rades reconnaît toutes
,diplègie, mar-che et parole nulles, gâtisme. Aujourd'hui, l'enfant
marche
seul, mange, s'habille et se déshabille sans avoi
delà nuit et paraît souffrir continuellement. Aujourd'hui, l'enfant
marche
bien, comprend un peu, aime à être tenu dans le
0, entré le 22 juillet 1902. A l'entrée, l'enfant, âgé de 2 ans, ne
marche
pas, sa parole-est nulle, gâtisme. Aujourd'hui,
ne marche pas, sa parole-est nulle, gâtisme. Aujourd'hui, l'enfant
marche
, court, monte et descend les escaliers, mange seu
nt d'idiotie com-'plète avec paraplégie et gâtisme. Aujourd'hui, il
marche
, court, monte et descend les esca-liers, comprend
égard. D'autres fois, des accidents imprévus viennent compromettre la
marche
en avant qui s'annonçait comme définitive. Tel es
ue, fait défiler à la fin de ces exercices les enfants aux sons d'une
marche
, participe au Concert Lionnct, etc. Concerts. —
ent des exercices d'assouplissement, exercices gradués aux appareils,
marches
. Tous ces ? exercices se font aussi avec chant et
lus arriérés). — Exercices d'assouplissement. 1° exercices d'ordre,
marche
. 2° mouvements des bras sans flexion et avec fl
.— Ce groupe exécute les exercices suivants : 1° exercices d'ordre,
marches
, contre-marches. 2° exercices d'assouplissement a
maigrissement, affaiblis-sement progressif des forces, troubles de la
marche
, tremblements, hébétude de la physionomie (pupill
e doit employer, dans la mesure de ses possibilités : exercices de la
marche
, des jointures, massage, gym-nastique, exercices
in, barres d'entrainement, haltères, barre à sphère ; exercices de la
marche
au chariot, de l'es-cabeau ,du saut ; gymnastique
ro dent, dentition complète. Début et évolution de la parole, de la
marche
, de la propreté : signes par lesquels l'enfant in
ptysie. Circulation; troubles vaso-moteurs. Motilitè : troubles de la
marche
tremblement Sensibilité générale : froid, chaleur
édé le placement. Chez .les hémiplégiques : préciser le début et la
marche
de là paralysie, sa diminution, son aggravation ;
férieurs : forme, attitude, état des jointures, des orteils; station,
marche
, voûte plantaire. (' Mouvements volontaires. Ex
IPLÉGIE : 1° Attitude des membres paralysés : a) au repos, b) dans la
marche
. 2° Mensurations comparatives des membres des d
le 23 juillet 1892 à l'âge de 4 ans. Il était atteint d'idiotie ; la
marche
était très défec-tueuse, la parole et l'attention
e la part de ses camarades le nom de « ?petite misère ». 1893. — La
marche
devient normale; l'attention s'éveille et la gaît
ues mots, papa, maman, pain et soupe, sont articulés nette-ment. — La
marche
est assez bonne pour lui permettre de suivre les
it immobile dans un coin. Actuellement, le petit malade mange seul,
marche
et court ibrement. Il exécute bien les trois prem
et à de fréquents vertiges, ce qui lui rendait presque im-possible la
marche
, et le faisait tomber à tout instant. U était dan
. Idiotie complète avec mïcrocé-phalie très pronon-cée. La parole, la
marche
, la préhension, la propreté, l'at-tention étaient
er seul, et y arrive. Ses jambes se sont fortifiées et aujourd'hui il
marche
(Fig. 6). Fig. 7. — Maz..., à 8 ans (1892) Fi
ensibles à l'école. 1900. — 8 ans et demi : l'enfant est propre, la
marche
est normale. La physionomie réfléchie, froide et
décembre 1896. A l'entrée, est atteint d'idiotie complète. Parole et
marche
nulles. Gâtisme. L'enfant est inca-pable de mange
nca-pable de manger seul. 1897. — L'état de l'enfant s'améliore, il
marche
aujour-d'hui sans presque être soutenu. Le vocabu
là-haut. Il com-prend bien mieux tout ce qu'on lui dit. 1898. — Il
marche
aujourd'hui seul. A appris à boire seul. Le gâtis
progrès pour l'écriture, il reproduit tous les modèles, la lecture ne
marche
pas de pair, cependant nous constatons plus d'att
age et serait resté ainsi indéfiniment. Aujourd'hui (1900), Pard...
marche
seul et court souvent; monte et descend les escal
\\i(Fig. 14). A son arrivée, il gâtait nuit et jour; la parole et la
marche
étaient nulles. Ne mangeant pas seul, restant tou
le 21 mai 1894. Imbécillité avec myopie, tris prononcées. Parole et
marche
singulières, gâte quelquefois le jour, toujours l
enir debout dans un chariot et à se servir de la cuiller. En 1898, la
marche
est devenue plus assu- rée, les mains moins mal
nt jour et nuit. Actuellement (1901), il a plus d'équilibre dans la
marche
, il est tout à fait propre le jour; s'habille com
ité de le faire écrire empêche tous les exercices d'aller de pair. La
marche
semble être plus assurée. XXXVII. Beauti... (H.
s progrès ne se sont pas bornés aux études classiques; la gymnastique
marche
de pair, elle.exécute avec agilité et souplesse,
ge de 9 ans, atteinte A'idiotie profonde avec surdi-mutité, parole et
marche
nulles, gâtisme complet. — Cette enfant ne compre
âtisme a pu être supprimé. Elle a également suivi les exercices de la
marche
: barres parallèles, chariots, balançoire, trempli
rallèles, chariots, balançoire, tremplin, etc., de sorte que l'enfant
marche
seule, suit les enfants au préau et dans les dive
malgré tout, qu'elle est notablement améliorée au point de vue de la
marche
, du gâtisme et de l'habillement (Dec. 1905). LV
quilibrée sur ses jpmbes; en gifle une autre snns aucune raison, elle
marche
pr.rfois sur les petites qui-oui sur son passage.
a, pipi, ou popo, caca, » selon le besoin qu'elle éprouve. L'enfant
marche
maintenant toute seule, elle trottine par-tout av
r cœur des petites fables. Elle est vive, alerte dans ses mouvements;
marche
, court, saute avec agilité; parle facilement, s'e
le 15 juillet 1891. A son entrée, elle était gâteuse, la parole et la
marche
étaient nulles, elle ne savait ni s'habiller ni s
nt pour les syllabes on et en qu'elle prononce fortement du nez. La
marche
est bonne; Kr... sait courir, monter et desceiu d
e se maintient. Elle s'alimente bien toute seule et mange proprement,
marche
avec facilité, monte et descend seule les escalie
lle est douce et très affectueuse. Amélioration au point de vue de la
marche
, de la iiarole et de l'alimentation. LXIX. Bul.
1899. Idiotie complète. — A l'entrée, le 19 septembre 1902, parole et
marche
nulles, • gâtisme absolu; malgré cela, elle avait
e affectueuse et cares-sante pour les personnes qui la soignent, elle
marche
seule et court de tous côtés comme un vrai furet.
fondation en octobre 1900, atteinte d'idiotie complète, avec gâtisme,
marche
et parole à peu près nulles. Les progrès faits
entrée à la Fondation en juin 1901, atteinte à!idiotie avec gâtisme,
marche
et -parole nulles. Les progrès faits par cette
suite, incompréhensibles même pour les personnes de son entourage, la
marche
était mauvaise, à peine pouvait-elle faire quelqu
ait en elle: Gâtisme, colères, caprices tout a disparu. Elle parle et
marche
très bien. En classe les progrès sont notables, e
n. 1905. — Rien de particulier à signaler. Cette enfant est propre,
marche
et parle bien, ses progrès sont lents en classe;
ée à la Fondation, en juin .1901, atteinte d'idiotie avec hémiplégie,
marche
nulle, parole limitée à ces deux mots; papa, mama
bras à une infirmière et quelquefois même à une autre enfant, Yvonne
marche
assez bien; se rend ainsi en classe, au préau, au
able sous tous les rapports. 1905. — L'enfant suit toujours la même
marche
vers une amélioration notable. La parole s'est en
te qu'elle tient à présent des conversations avec ses compagnes. Elle
marche
bien, monte et descend facilement les escaliers,
. C'est surtout sous le rapport de la propreté, de la parole et de la
marche
que les progrès de cette enfant sont sensibles.
connaît les chiffres et les lettres et commence à les assembler. Elle
marche
et parle de mieux en mieux. Amélioration notable.
, elle retient les airs de chansons avec une facilité étonnante. Elle
marche
très bien seule, monté et descend les escaliers t
'améliorer, la sensibilité tactile est toujours très développée. Elle
marche
et parle de mieux en mieux, le gâtisme a complète
fant s'est nota-blement améliorée sous le rapport de la parole, de la
marche
, de l'alimentation et du gâtisme. LXXXVIII. Idi
e entend, connaît les enfants et les personnes de son entourage. Elle
marche
très bien, court partout. Elle est gaie et joueus
ation comme les enfants de son âge. Elle a appris à marcher seule, la
marche
est bonne, elle court, saute à la corde, monte et
ions les progrès l'an-née dernière, continue à s'améliorer. Parole,
marche
, nulles au début; gâtisme complet, cette enfant a
ul point l'intéressait, c'était sa toilette. Elle était lente dans sa
marche
et dans ses mouvements. En classe, elle ne connai
nt autant physique qu'intellec-tuel s'est produit en peu de temps. La
marche
et la parole ont été très rapides; le gâtisme a c
Il en était ainsi pour tout ce qu'elle demandait. Vu sa paralysie, la
marche
était nulle, elle ne se tenait debout que sur le
petite con-versation; répond directement à ce qu'on lui demande. Elle
marche
bien, tout en tramant sa jambe malade, ce qui ne
ogrès sous tous les rapports: classe, ateliers, soins du ménage, tout
marche
de pair. Aucun accident nerveux à signaler, très
e des économies de linge pour l'adminis-tration ;—2°l'éducation de la
marche
, de l'habillement, delà toilette, de la préhensio
les autres mouvements sont normaux. Membres inférieurs. La malade
marche
sans assurance, en faisant de petits pas : la d
scalmaient plus ou moins, mais en général, la maladie continuant sa
marche
progressive empira. Après un séjour de trois mo
ment. Le 25 février, j'ai eu l'occasion de revoir ma ma- lade. La
marche
ultérieure de la maladie confirma complètement
ènes d'une paralysie atrophique en sont presque disparus. La malade
marche
assez bien, c'est surtout dans l'articulation d
as troublée, l'écriture n'est pas changée, pas d'ataxie : le malade
marche
aussi bien les yeux fermés. Pas de dou- leurs
'existence d'un processus de ce genre, surtout en se rappelant la
marche
de la maladie dans le cas précédent, où le symp
ption de quel- ques éruptions sur la tête et le corps, ayant eu une
marche
aiguë pendant l'enfance du malade. 36 PATHOLO
tendances manifestes la paralysie générale, embarras de la parole,
marche
difficile, chants fré- quents, à cela, s'ajoute
ent; par conséquent, il est difficile d'incriminer l'action de la
marche
. L'ulcération plantaire s'est développée, chez
a maladie, de la forme particulière qu'elle pourra revêtir et de la
marche
spéciale qu'elle pourra suivre. D'ailleurs, l
nce des phénomènes particuliers (dits catatoniques plus tard) et la
marche
spéciale de l'affection comme liée à un état de d
olie. Mais parce que dans ce dernier cas, la maladie a pu suivre la
marche
indiquée par Kalhbaum, c'est à dire passer par
ie attonita, ils ne forment pas un ensemble régulier soit dans leur
marche
, soit dans leur forme ou même dans leurs caract
l'état de mélancolie plus ou moins profonde, le reste (symptômes ou
marche
) n'ayant rien de spécial, nous pensons que jusq
ces derniers temps, son pied bot intermittent parait avoir nui à sa
marche
. Il s'agit en somme d'une affection autonome, c
toujours agi d'hommes âgés de quarante à cinquante ans, de plus la
marche
de la maladie a affecté son allure habituelle, en
traumatiques. Le traumatisme peut avoir une taction funeste sur la
marche
de la névropathie. La névropathie ne peut pas ê
ui était plus affecté : ce qui contribuait beaucoup à lui rendre la
marche
plus difficile encore, c'était un tremblement i
il se trouvait au marché, la violence du tremblement lui rendait la
marche
très difficile : plus il faisait d'efforts pour
ême chose doit avoir lieu pour l'autre membre : toutefois le malade
marche
sans appui. Tous les mouvements réflexes provoq
ement le sol; un tremblement involontaire contri- buait à rendre la
marche
bien plus difficile ; car il survenait à chaque
lioré au point qu'après vingt jours, c'est-à-dire le 22 juillet, il
marche
sans béquilles; il frotte moins le sol ; il tra
it dans un état stationnaire. Etat du malade le 15 juillet 1884. Il
marche
sans appui quel- conque. La paralysie est bien
ce que c'est de la jambe droite que le malade frotte le sol dans sa
marche
. 11 a des secousses fréquentes pendant la nuit,
s d'un trem- blement involontaire qui contribuait aussi à rendre la
marche
plus difficile. Le 20 juillet 1883, l'amélior
il n'a pu marcher qu'à l'aide d'un bâton. Le 3 septembre, le sujet
marche
sans appui, mais depuis lors, l'amélioration s'ar
hose arrive pour le membre opposé, de sorte que le malade a dans sa
marche
un balancement tout particulier. Chaque membre
malade a été presque guéri. Etat actuel (20 août 1884). Le malade
marche
bien sans boiter : impossible de reconnaître un
ment monte jusqu'aux côtes gauches. La même sensation ayant la même
marche
ascendante arrive au côté droit. Le malade marc
n ayant la même marche ascendante arrive au côté droit. Le malade
marche
très bien, sans vertiges ni mal de tête, ni embar
bien plus tremblants, plus lourds, les genoux s'enclavaient dans la
marche
, ce qui la rendait bien plus difficile encore.
'172 CLINIQUE NERVEUSE. Etat actuel le 15 juillet 1886. Le malade
marche
toujours sans bâton; sa démarche est fortement
spinale existe aussi spontanée, surtout au réveil, après une longue
marche
et sous l'influence de causes morales, émotions
5 janvier 1873, c'est-à-dire cinq mois et demi après l'accident, il
marche
sans béquilles, mais difficilement, et en boi-
issent pendant un temps variable. A la fin du mois de septembre, il
marche
sans bâton, tout en boitant cependant et en fro
ulation survenait moins vite. Etat actuel (15 mars 1884). Le malade
marche
parfaitement bien ; il constate seulement qu'ap
rieurs ; anesthésie ; rétention d'urines et de selles. Le 48 juizz,
marche
ci l'aide d'un appui, secousses. Le 27 juin, ma
Le 48 juizz, marche ci l'aide d'un appui, secousses. Le 27 juin,
marche
sans appui, tremblement involontaire. Etat actu
l y a une paraplégie plus pro- noncée au membre inférieur droit. La
marche
qui se fait sans appui i quelconque ne présente
e est survenu brusque et complet, dès le moment de son invasion. Sa
marche
a été si rapidement rétrogressive que chez le m
n qu'avant l'invasion de son aphasie motrice. La rapi- dité de la
marche
rétrogressive de l'aphasie devient surprenante
ôt après au-dessous de l'apo- physe xiphoïde, après avoir suivi une
marche
ascen- dante. 6.) Gonflement gazeux de l'esto
adjacents, mais il est très probable que dans l'OBSERVATION IV, la
marche
ultérieure de la maladie présentera ce tableau.
mptômes secon- daires, deutéropathiques. 1 Le sens de la pression
marche
ordinairement côte à côte avec le sens du tact
ablement d'après les symptômes qui l'accompa- gnaient et d'après sa
marche
à la méningite chronique, qui est venue compliq
six ans. 1882. 17 mars. A son entrée, on constate que Maisonh...
marche
avec difficulté et s'affaisse souvent sur lui-mêm
nde. 12 juillet. Maisonh... peut se tenir sur ses jambes, mais la
marche
est titubante et il tomberait si on ne l'aidait.
84. 18 juillet. - Augmentation considérable du nombre des accès. La
marche
est redevenue impossible et n'est possible qu'à
énua plus tard de manière à permettre quoique incomplè- tement la
marche
. Ces symptômes : prédominance des convulsions e
le noyau caudé et le noyau lenticulaire », ' Il est démontré par la
marche
progressive de la paralysie atteignant dans la
dégénéré qui ne s'est pas entre-croisé au collet du bulbe, suit une
marche
verticalement descendante dans la partie intern
es antérieures est-elle p2,i- naitive ? Elle donne naissance, si la
marche
de la maladie est aiguë, au type paralysie spin
ême maladie d'appellation différente par l'âge seul du sujet; si la
marche
de la maladie est chronique, le type atrophie m
s- ceau de Meynert. Nous suivrons les fibres sensitives dans leur
marche
centripète, les prenant à la périphérie pour les
eu des convulsions dans l'enfance et qu'elle est épileptique. La
marche
et la durée des délires établissent encore une
ne fois ébranlé, n'écha- faude pour son propre compte un délire. La
marche
du délire communiqué sera donc des plus irrégul
éné. Il en est tout autrement du malade actif. Son délire aura la
marche
et la durée justement en rapport avec la forme
TIONVIIl, lesquels ayant commencé par le pied gauche et suivi une
marche
rapidement ascendante, arrivent jusqu'aux côtes
rouble du rectum qui apparaît et qui, à de rares ex- ceptions près,
marche
de concert avec la rétention d'urines, et comme
sons-le tout de suite, sous le rapport de leur évolution et de leur
marche
. Cela posé, passons maintenant à la description
barres de fer. 6.) Démarche spasmodique. L'intensité de la dé-
marche
spasmodique varie suivant que la paraplégie est
t de loin le bruit tout particulier que ces malades font pendant la
marche
en frottant le sol, trahit ce syndrome sans le
spasmodique s'ajoutent à l'état morbide. Poursuivons maintenant la
marche
de ce syndrome, arrivé à ce point de son évolut
, arrivé à ce point de son évolution. Pour la plupart des cas, sa
marche
est rétrogressive et le syndrome de la para- pl
- tinué son chemin. Le malade de ! 'OBSERVATION IV, le 2 juillet,
marche
en s'appuyant sur deux béquilles ; ses membres
soustraits aux excès, surtout aux excès alcooliques qui enrayent la
marche
rétrogressive de la maladie, cette rétrogressio
DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 363 rait son chemin. La
marche
rétrogressive de la para- plégie spasmodique pe
par un nouvel accident paraplégique. En effet, au cours de cette
marche
essentiellement rétrogressive, le malade fait u
SE. fois arrivée aux points que nous avons longuement décrits, la
marche
ultérieure de ce syndrome dans l'immense majori
n XI, s'atténuent, se frustrent, au sur et à mesure que l'affection
marche
et arrive à une étape ultérieure et, dansungran
première étape de l'affection, ne font pas non plus exception à la
marche
éminemment rétrogressive de la maladie; ils dim
in de défécation à peine senti. Cela démontre une fois de plus la
marche
éminemment rétrogressive de la maladie. 0 f).
, symptômes positifs et symptômes négatifs de l'étape ultérieure,
marche
de l'affection qui, en règle géné- rale, est ré
4 novembre, il DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 371 1
marche
à l'aide de deux appuis. Le 24 novembre, il march
APHANDRES. 371 1 marche à l'aide de deux appuis. Le 24 novembre, il
marche
avec un seul appui. Etat actuel, le 2 avril 1
e, il marche avec un seul appui. Etat actuel, le 2 avril 1883. Il
marche
sans appui, démarche spasmodique, d ! /scampsMa
ictives, à la base du thorax. Etat actuel (2 avril 1883). Le malade
marche
sans appui. Un coup d'oeil suffit pour constate
ade de fermer les yeux, il oscille énormément ; les yeux fermés, la
marche
devient impossible, il n'y a pas d'atro- phie m
qui lui était si désagiéable. La fermeture des yeux qui rendait la
marche
presque impossible n'a presque plus d'influence
l'anes- thésie et de la rétention d'urines et de selles. 18 ? ntti,
marche
avec un seul appui. Le 28 mai, possibilité de l
18 ? ntti, marche avec un seul appui. Le 28 mai, possibilité de la
marche
sans appui. Etat actuel (2 juin 1886). Allures
alade a pu mar- cher en s'appuyant sur un seul bâton. Le 28 mai, il
marche
sans appui. Etat actuel (2 juin ±8SG). Le malad
ant dans le lit, perd la notion de la position de ces membres. La
marche
devient très incertaine lorsqu'il ferme les yeux.
souvent comme d'un tremblement rythmique. D'un moment à l'autre, sa
marche
devenait plus libre. Le 2 juin, il a pu marcher
n. ce moment, il avait aussi des secousses; d'un jour à l'autre, la
marche
devenait plus libre, mais, par contre, il a été
en plus parétique, ce qui fait boiter le malade. En effet, quand il
marche
, il est obligé de s'ap- puyer sur le membre gau
ès une longue course, le membre droit tremble et sur- tout quand il
marche
sur un plan incliné; rarement le malade tremble
us rares et moins intenses. Le signe de Romberg est très marqué. La
marche
devient très diffi- cile en fermant les yeux et
lité de marcher avec un appui. Au mois de murs de la même année, il
marche
sans appui. Etat actuel (30 janvier 1885). - Sy
- bilité de marcher sans appui. Etat actuel (31 janvier 1885). Il
marche
sans appui. De loin, on peut distinguer que la
uelque peu amoindrie. Le malade oscille quand il ferme les yeux, il
marche
avec beaucoup de difficulté sans le concours de
r droit. Le 4 avril, possibilité de se tenir debout, Le 7 avril, il
marche
à l'aide d'un seul appui ; le soir, crise de do
s sur lesquelles il pouvait marcher en s'appuyant. Le 7 avril, il
marche
à l'aide d'un seul appui. Ce jour-là, le malade
a une paraplégie des membres inférieurs qui prédomine à droite. La
marche
du malade est nette- ment spasmodique, il s'app
ferme les yeux; dans ce cas-là, aussi bien que dans l'obscurité, il
marche
difficilement. Le malade est pris, maintes fois
I. e). ? Mr6CM ? Dans la majorité des cas, la rétention de selles
marche
de pair avec la réten- tion d'urines, c'est le
ue nous étudions. Il est regrettable que nos connaissances sur la
marche
des voies sensitives dans la moelle épinière no
ent après l'entrée des racines dans la moelle épinière et de leur
marche
ultérieure dans la substance blanche et grise.
ATION V à anesthésie générale de la moitié externe de la main. La
marche
de la maladie est généralement lente, mais souv
ts par lesquels passe le malade ne donnent qu'un coup de fouet à la
marche
plus rapide du processus, mais la vraie cause d
on avec la proposition exprimée plus haut. Mais dans ces cas-là, la
marche
de la maladie, l'exis- tence des symptômes indu
ieur par exemple (OBSERV. IV), il se peut nie par les données de la
marche
, les antécédents, indiquant, qu'au dé- but, il
adie chez une de nos malades, chez laquelle nous avons pu suivre la
marche
ultérieure de la therma- nesthésie, ne laissant
ra- t-on peut-être à contribuer par quelque moyen à l'arrêt de sa
marche
progressive. Le traitement symptomatique est au
de côtés et d'autres, d'une durée quelquefois d'une heure, ou d'une
marche
d'un pas rapide dans le corridor; 2° soit en mo
res étaient limités en étendue, environ six pieds de diamètre. La
marche
était quelquefois chancelante sans paralysie. La
e rencontrée à l'autopsie, locomotion involontaire, rotation, dé-
marche
chancelante, bégaiement et tremblement de la pa
au bout d'un temps plus ou moins long, des accès à type commun; la
marche
est alors celle de l'épilepsie commune. Il semb
t, en effet, peu atteinte et la mémoire semble bien conservée. La
marche
et la dii2ée sont celles de l'épilepsie ordi- n
? ). Pas de consanguinité. Vas... a 70 centimètres de hauteur; il
marche
seul, lourdement, lentement. Sa physionomie est
moelle sans léser les méninges; 21 le tubercule solitaire ouvrit la
marche
des accidents, la tuberculose généralisée suiva
r-Marvaise. Mais nous sommes à un moment où il faut que le tribunal
marche
vite. Il doit statuer d'urgence : car c'est une
ieur. Malheureusement la sclérose amyotrophique est une affection à
marche
progressive, le plus souvent même à marche rapi
ique est une affection à marche progressive, le plus souvent même à
marche
rapidement progressive, et par suite à siège to
ntaires ; le premier symptôme de sa maladie a été l'incertitude de la
marche
, la jambe droite étant particulièrement maladro
be soulevée, le pied tombe, la pointe en bas et en de- dans. La
marche
est très difficile ; le malade fléchit fortemen
me temps il lui devenait difficile de porter des objets lourds ; la
marche
produisait vite une sensation de fatigue et de
t, mais la faiblesse musculaire alla en augmentant et des essais de
marche
prolongée furent suivis de douleurs dans les rein
repos au lit lui était toujours favorable, tandis que les essais de
marche
étaient constamment suivis de dou- leurs dans l
t normal. Mais la mère s'est aperçue que dès son tout jeune âge, la
marche
de son enfant était faible, « il avait les rein
à ces rétractions qui viennent lui donner un point d'appui pour la
marche
. Etat actuel en novembre 1901. - Le malade est
s) nor- maux, intelligence bien développée. , Marché. - Le malade
marche
sur la pointe des pieds, les cuisses fléchies s
puisqu'au con- traire le thorax est incliné en haut ; 2° le malade
marche
en digitigrade sans steppage. Station assise.
tégrité des or- teils nous explique d'ailleurs la possibilité de la
marche
. La peau est normale, sans adipose sous-cutanée
te, affaiblie au contraire il gau- che, d'où léger steppage dans la
marche
. La (lexion active a conservé une ri- gueur suf
'affection, le début sans étiologie manifeste dans le jeune âge, la
marche
progressive à début par les muscles de la racin
ions, iemyopatbique conserve l'aspect classique du myopathique ; il
marche
en steppant, en se dandinant pour déplacer son ce
râce a l'intégrité des muscles releveurs de la pointe du pied, mais
marche
cependant en se dandinant, le corps incliné en
s membres inférieurs dont la mobilité est le grand obstacle dans la
marche
. Aussi notre malade peut-il marcher avec facilité
ui utile l'apparition de ses rétractions musculaires. Tout enfant, il
marche
avec peine, se lève avec difficulté; bientôt l'
peu différentes du mécanisme physiologique de l'ensellure et de la
marche
des myopathiques, les uns insistant sur la flac
s quatre cas, a toujours eu lieu vers l'âge de 13 à 14 ans ; enfin la
marche
des accidents a été identique. » Ainsi les ré
force musculaire assez énergique à tel point que notre jeune malade
marche
avec un pied vams équin, L'immobilisation n'est d
diminuer, d'une manière surtout remar- quable dans la station ou la
marche
. En même temps et proportionnellement, d'après
ination pour la station, c'est-à-dire qu'elle est astasique. Elle
marche
passablement, même sans canne, mais elle se sert
plus assurée. Sans canne elle tombe sou- vent et facilement. Cette
marche
n'a rien de bien spécial, la malade détache san
elle ne talonne pas du tout, et se dan- dine visiblement pendant la
marche
. Il est fort difficile de dire si la vue inter-
e si la vue inter- vient d'une façon anormale dans la station ou la
marche
. Dans la station si la malade prend un appui qu
les yeux fermés. Elle peut marcher avec les yeux fermés et alors la
marche
n'est pas notablement modifiée. Dans le lit.
ement sur place, absence de rétraction tendineuse, steppage dans la
marche
caractère familier très probable. Cependant l
ent et le malade commença à marcher avec une canne ; au début de la
marche
, le malade marchait difficilement; les jambes é
bes apparaissait une faiblesse progressive et le malade tombait. La
marche
prolongée provoquait des douleurs sourdes aux gen
pures, quoiqu'elle ait beaucoup de com- mun avec celles-ci dans sa
marche
progressive de la disposition symétrique. L'e
soir. Il changeait de banquette, au moment où le train s'est mis en
marche
; la portière n'étant pas encore fermée, il fut pr
e la lésion (hématomyélie). d) Inversement, un début insidieux, une
marche
lente et progressive des accidents, parlent plu
ce. Puis, le retard général du développement de la dentition, de la
marche
, du langage, de l'intelli- gence, révèle un éta
vrai que dans certains cas, les plus fréquents, la maladie suit une
marche
progres- sive en diminuant, il est d'autres cas
ried Jakob, est extrêmement intéressant, parce qu'il nous montre la
marche
en sens inverse, des symptômes que présente un
e époque une amélioration notable et spontanée se produit, l'enfant
marche
de nouveau seul. L'état de guérison se maintient
at de guérison se maintient pen- dant six mois et insidieusement la
marche
disparaît, et l'enfant nous est amené (service
urs ont reparu inté- gralement, Arthur peut faire les mouvements de
marche
, écarter les jambes, monter un escalier alors q
le diagnostic de sclérose en plaque doit être écarté, à cause de la
marche
régulière vers la guérison. Serait-ce une lésio
état empirait de jour en jour. Opéré il y a 3 ans. Actuellement, il
marche
à l'aide de béquilles et tout 144 GASTON DANIEL
tanément. Un garçon de 7 ans (pli. XIX, E et F), né avant terme, ne
marche
pas du tout; c'est un cas de Little non spontan
int de l'écorce commande le langage, tel autre point la'danse et la
marche
, sans différer pour cela en tant qu'écorce céré
iparésie droite, léger s troubles de la parole, mais pas d'aphasie;
marche
rapide, coma et mort. A l'autopsie, tumeur glio
ment s'en servir, puis la jambe est de- venue faible ; cependant la
marche
, quoique difficile, reste possible. Au commence
re est exagéré, et il y a de la trépidation épileptoïde. ' ? fit La
marche
est impossible, d'une part à cause de la parésie
rocessus néoplasique, il semble qu'on puisse inter- préter ainsi la
marche
du processus pathologique. Il se fait d'abord aut
ue celui-ci, d'ailleurs, si son début date de ce moment, ait eu une
marche
vraiment très rapide ; car, même en laissant de c
: « de même, dit-il, que l'harmonie de l'innervation actionnant la
marche
nor- male peut être altérée par des causes diff
Ce n'est pas un oubli de la station assise analogue à l'oubli de la
marche
dans l'astasie, c'est un désir, une impulsion à
s mêmes symptômes de l'an- goisse ; il n'est donc calme que dans la
marche
. Bien mieux, la marche elle-même n'est pas touj
- goisse ; il n'est donc calme que dans la marche. Bien mieux, la
marche
elle-même n'est pas toujours indemne d'an- gois
gé d'une commission, s'il doit se rendre à un endroit déterminé, la
marche
devient immédiatement pénible, il a des contors
er assis. Ce qu'il lui faut en somme pour être tranquille, c'est la
marche
indéterminée, vague, en errant çà et là, sans b
hor- riblement gêné et a fait naître de telles souffrances dans la
marche
qu'à l'âge de 33 ans il a fallu l'amputer (ampu
oyés de bureau présenter dans ces circonstances des impulsions à la
marche
, dont il ne faut pas faire des fugues ; d'autres
ler. Tous ces troubles, tics, crampes des écrivains, impulsion à la
marche
, récriminations mentales, comme les angoisses e
istance maxima entre les deux sujets et cela dans la position de la
marche
normale. La distance minima est pour lui, celle
. Un oncle de sa mère, berger de son état, avait des troubles de la
marche
depuis son enfance ; le malade le sait parce qu
t qu'il ne pouvait les pour- chasser grâce à cette difficulté de la
marche
. S'agit-il d'une impotence fonction- nelle cong
abord continues, moins fré- quentes et moins vives depuis 4 ans. La
marche
rendue dangereuse par le dérobement des jambes
n 1882, crises gastriques. En 1888, accentuation des troubles de la
marche
. En 1895, zona intercostal (6e espace). Etat
érieurs et quatre ans plus tard, c'est-à-dire à l'âge de 57 ans, la
marche
était devenue impossible. Dans les 8 dernières
vation IV. Pall... 55 ans (1). Tabes remontant à plusieurs années à
marche
lente. Signes classiques. Incoordination des me
us lentement et progressivement. - Etat actuel 1900. Troubles de la
marche
, la malade talonne et lance les jambes. Signe d
assique. Début de la maladie à l'âge de 37anspar des troubles de la
marche
: cependant à l'âge de 30 ans elle avait eu une
ctuel (1896). Incoordination des membres inférieurs, troubles de la
marche
; abolition des réflexes tendineux aux membres sup
puis vertiges, dérobement des jambes, chutes ; depuis huit mois la
marche
est devenue extrêmement difficile, c'est à pein
a 5 ans apparition de troubles sphinctériens, et des troubles de la
marche
. Depuis deux ans douleurs très vives dans les j
is un affaiblis- sement progressif de la vue; il y a quatre mois la
marche
devint plus difficile en même temps que les dou
cée les yeux fermés. Sensibilité peu altérée. Troubles légers de la
marche
et de la station debout les pieds rapprochés. Aux
crivait sous le nom de Catatonie (1) un com- plexus symptomatique à
marche
changeant d'une façon cyclique et pré- sentant,
escription de cet auteur, est un stade de dépression mélancolique à
marche
lente, de symptomatologie assez com- mune. Au d
e. Berlin, 1874. DÉMENCE PRÉCOCE ET CATATONIE 331 En raison de sa
marche
clinique, de sa symptomatologie spéciale, la ca
endre ce qu'on lui dit, car il obéit aux ordres qu'on lui donne. Il
marche
, mais lentement, avec des pauses et se fige encor
fuit, en route- pour Eddo. Un soir, fatigué d'une longue journée de
marche
, il aperçut sur le chemin une maison qui avait
; tirant son sabre, il en tua deux; mais, exténué par sa journée de
marche
, il allait succomber sous les efforts des quatr
t d'un travail publié dans la Revue Neurologi- que en juin 1901. La
marche
des accidents, suivie avec soin depuis cette ép
tionnels à certains mouvements complexes et coordonnés* tels que la
marche
et l'écriture. t L'analogie se traduit encore p
met le pied en varus équin. Ce spasme se produit au maximum dans la
marche
, et disparaît dans la course, ou du moins ne semb
ute, sans difficulté, d'une assez grande hauteur. En dehors de la
marche
et de l'écriture, le bras et la jambe exécutent,
aire est conservée. Il se produit spontanément mais surtout dans la
marche
, de la tachycardie et de l'oppression sans lési
nsion (1) Au début le spasme ne se manifestait qu'après un temps de
marche
. M. Marie a fait la même remarque au sujet des
arche. M. Marie a fait la même remarque au sujet des troubles de la
marche
dans l'hérédo-ataxie. (2) Scléroses systém. de
SMODIQUE 389 paraît conservée, et cependant la station debout et la
marche
amènent rapide- ment une lassitude extrême et u
mais qui apparaissent dès qu'il se met en mouvement. « Si le malade
marche
, dit Soca (1), la tête se met à branler tout de
st continu ou à peu près, que le malade soit assis, debout ou qu'il
marche
, il ne cesse que quand il est couché. Dans d'autr
les autres acci- dents ; Une attitude spéciale des pieds, dans la
marche
. Des mouvements involontaires de la tète et du
la même époque. C'est d'abord la crampe des écrivains qui ouvre la
marche
, vers t'age de 9 ans, lorsque l'enfant commence
d'abord, et plus tard des deux côtés, entraînant des troubles de la
marche
. Nous assistons à la même évolution dans les de
t garde le lit pendant 4 jours. En janvier 1900, les troubles de la
marche
reparaissent, cette fois dans les deux jambes.
s les deux jambes. Il peut courir sans difficultés, tandis que la
marche
au pas est de plus en plus pénible. Il dit auss
alon, à l'arrivée ; le droit appuie par son bord externe. Le malade
marche
du bassin. A chaque pas, le tronc se jette en arr
l'hyperexcitabilité électrique. Le torticolis s'exagère pendant la
marche
, et le spasme de la joue apparaît. Il est facil
la joue apparaît. Il est facile de s'assurer que ces troubles de la
marche
sont plutôt le fait de l'asynergie que de la pa
pieds semblent avoir plus de peine à se détacher du sol. Dans la
marche
à reculons, le mouvement des jambes est plus libr
LE SYNDROME DU TORTICOLIS SPASMODIQUE 397 était plus facile que la
marche
au pas et de cet autre fait que les oscillations
mmissure droite. - Dans les mouvements volontaires, quand le malade
marche
ou écrit, il se produit un spasme tonique et pe
sont normaux. Il y a de la tachycardie et de ['oppression, dans la
marche
. Pas de vertiges. Dermographisme très marqué.
'excitabilité de certains muscles et l'attitude des membres dans la
marche
. Il y a une prédominance d'action des muscles h
à l'oeil de l'observateur. 1 L'excitabilité faradique suit la même
marche
que la galvanique, il y la la même augmentation
ôté gauche de la face, survenant à l'occasion des mouvements, de la
marche
, de l'écriture, à l'occasion d'un effort ou d'une
s le sol en retombant. Elle n'est pas non plus cérébelleuse. Vig.ne
marche
pas les jambes écartées et en titubant ; il n'e
le tronc est porté en arrière, les reins sont cambrés, et le malade
marche
du bassin. En même temps, la tête et le tronc s
SPASMODIQUE 405 avec la maladie de Thomsen. Nous avons noté que la
marche
est plus gênée, plus spasmodique dans les premi
diagnostic s'imposerait chez Vig., s'il existait seulement, dans la
marche
, quelques traces de titubation, et de l'incoordin
à tout propos, pour les membres infé- rieurs et supérieurs, dans la
marche
, l'écriture ; pour la tète, le tronc,dans la st
mouvements complexes destinés à des fonctions prévues telles que la
marche
, la course, la préhension des objets, l'articul
mains,des muscles de la face, l'occasion de fonctions déterminées (
marche
, écriture, parole). On peut concevoir les tro
ient par cela même un tabes qui ne diffère du tabes vrai que par sa
marche
et son étiologie; mais le sort de l'élément ner
mmatoire est tout différent suivant la nature de l'inflammation, sa
marche
et sa durée. Nous voilà bien loin de l'écraseme
ctive, son élection pour les racines postérieures ; en raison de sa
marche
lente et progressive et de son peu de tendance à
urs eu une prédilection marquée pour un côté, que par conséquent la
marche
n'est point celle que suit habituellement la mala
malade reprit . son travail chez elle ; bientôt les désordres de la
marche
s'aggravèrent au point que F..., pour se déplac
à gauche qu'à droite. ' - . Un peu plus tard, des troubles de la
marche
sont apparus. Leur aggra- vation progressive a
le a subi une certaine amélioration. Je vous répète qu'une pareille
marche
se conçoit t mal, dans l'hypothèse d'une lésion d
nçoit que si l'on admet l'existence d'une polynévrite radiculaire à
marche
extensive, ou encore une com- pression croissan
et surtout par son siège en hauteur. Enfin, il n'est pas jusqu'à la
marche
des accidents, qui ne plaide en AFFECTIONS DE L
ure j'in- sistais sur la progressivité d'évolution, relevée dans la
marche
des accidents présentés par notre précédent mal
est concevable que dans l'hypothèse d'une polynévrite radiculaire à
marche
extensive. Or, chez notre dernier malade les ci
e les circonstances sont précisément inverses ; ce n'est plus à une
marche
progressive que nous avons affaire. Les choses
et il tomberait de ce côté s'il était abandonné à lui-même. Dans la
marche
les membres inférieurs sont écartés l'un de l'a
en- dre un objet, une grande incertitude des membres supérieurs. La
marche
est impossible sans soutien ; la démarche est é
che passagère qui avait laissé une très légère hési- tation dans la
marche
et à laquelle fut attribuée cette atrophie. Il
ilisé en équin varus ; il est considérablement épaissi, et, dans la
marche
, les points d'appui sont constitués par les ortei
exes normaux. Force musculaire au dynamomètre un peu diminuée. La
marche
, comme aussi tous les mouvements et gestes sont p
regarde son jeune fardeau et le porte d'un pas allègre ; tantôt il
marche
à demi-courbé, comme écrasé sous un poids colos
us ou à en descendre. Il ne pouvait surtout le faire, la voiture en
marche
; plusieurs fois il en a tenté l'es- sai, mais
pendant le siège de Paris, dans la garde ^nationale ; au début des
marches
il avait de la peine à suivre ses camarades, et é
es difficultés au début de tous les exercices, soit pour suivre les
marches
, soit pour faire les autres manoeuvres, ce qui
se est très grande et se manifeste, non seulement lorsque le malade
marche
ou est debout, mais encore lorsqu'il est couché d
de placier pendant 7 mois. En mars 1887 la faiblesse reparaît, la
marche
redevient pénible, et en mai, il entre de nouve
iculté très marquée pour se lever de sa chaise et pour se mettre en
marche
. Cette gêne se manifeste encore à un très haut
t res- sembler, jusqu'à un certain point, à celle d'un ataxique. Il
marche
, en effet, en écartant les jambes et en les lan
troubles augmentent encore par l'occlusion des yeux. Si, pendant la
marche
, son pied vient à rencontrer un obstacle, l'effor
tombe lourdement par terre, le corps raidi dans sa totalité. Aussi,
marche-t
-il habituellement avec une canne pour maintenir
n à ce moment. Les forces ont augmenté et au moment de sa sortie il
marche
sans canne. Jamais depuis son entrée il n'a eu
eul espoir qui nous est permis d'avoir, la possibilité d'arrêter la
marche
du processus morbide n'est qu'un desideratum dont
es apparences de bénignité, le traitement énergique peut activer la
marche
du processus morbide; tandis qu'une hyperhémie et
de 36. Dans tous les cas, les douleurs lancinantes ont disparu, la
marche
était améliorée, tout en laissant beaucoup à dé
urs d'interruption, dans l'autre après 15 jours; les troubles de la
marche
et le signe de Romherg étaient plus accusés (to
é de ces fièvres, on peut en grouper d'autres qui ne suivent ni une
marche
uniforme ni un type déterminé et dont la forme
ments symptomatiques, mais il en est aussi qui présentent dans leur
marche
des symptômes assez étranges pour que leur abse
ents. Ceux-ci persistent plus ou moins longtemps surtout pendant la
marche
dans laquelle les orteils fléchis vers le sol à a
Pendant tout ce temps les orteils ne cessent de mouvoir. Le malade
marche
plus facilement étant déshabillé et nu-pieds que
marche plus facilement étant déshabillé et nu-pieds que chaussé, la
marche
ne paraît pas être influencée parce qu'on le re
nlar- cher, on observe un léger degrédelordose lombaire, le malade
marche
comme une femme enceinte. Pas de signes de Romb
parait rentrer dans les épaules. Ainsi placé le malade se met en
marche
, dandinant les épaules comme l'on f it lorsque
mment la raideur qui joue le plus grand rôle. Cette raideur rend la
marche
difficile et quelquefois impossible. Elle peut
arche dans la maladie, on peut dire que dans la moitié des faits la
marche
est res- tée possible, mais dans des limites tr
vait se relever. Il se débattait alors sur le sol. Se mettait-il en
marche
, il se produisait des mouvements excessivement bi
e sans qu'il pût se retenir à quelque objet. » Les troubles de la
marche
peuvent s'installer de bonne heure, d'une maniè
t des cas et chez quel- ques-uns ils atteignent un tel degré que la
marche
devient définitivement et pour toujours impossi
Aux mains, aux pieds et à la face surtout quand la malade parle ou
marche
, c'est de l'athétose pure, avec ses mouvements,
l'autre, ainsi que les cuisses, les pieds en varus équin, la malade
marche
sur la pointe du pied, c'est la démarche spasmodi
la, où les désordres centraux n'ont fait qu'augmenter et suivre une
marche
progressive. De plus, on peut rencontrer ces tr
nés en dedans, reposant sur leur pointe et leurs bords externes. La
marche
s'exécute par secousses, par sauts. C'est plus qu
La marche s'exécute par secousses, par sauts. C'est plus que de la
marche
spasmodique classique. Pendant cet exercice les m
jours les disjoint, comme vous allez le voir, au point de rendre la
marche
impossible et cela à peu près sans douleur, san
laudication assez prononcée. De plus t le malade se sent, lorsqu'il
marche
, entraîné par le poids du corps en avant et { 1
umatisme, déboîtement de la hanche. droite ; immobilisation iuutile ;
marche
restée possible avec une canne, malgré le racco
bossue ». Vers la même époque, douleurs fulgurantes. « En 1871, la
marche
devient tout il coup beaucoup plus difficile ».
s symptômes tabétiques nefs semblent dater de 1870 : troubles de la
marche
, douleurs fulgurantes. « A la fin de 1882, sans
rse en arrière. Depuis ce temps, il a tendance à choir en avant, la
marche
esl difficile, il ne peul se passer d'une canne.
n 1882, il glissa en descendant un escalier, et dégringola quelques
marches
. 11 aurait t Ù ce moment perçu un cra- quement
nt perçu un cra- quement dans les lombes. Mais il put poursuivre sa
marche
sans douleur, et continua sou métier. Cependant
gurantes, émoussemcl de la sensibilité plantaire, incertitude de la
marche
. En 1880, démarche talonnante. En 1883, hissant
ps debout et il se tenait fortement penché. Le corset lui rendit la
marche
facile, toute réserve faite pour les troubles d
uelque temps. Les symptômes vési- caux joints à la difficulté de la
marche
qu'entraînait la flexion du tronc étaient de na
les douleurs, tout en étant vives, ne vont pas jusqu'à empêcher la
marche
. On distingue depuis le travail de M. Brissaud,
aussi que son début pouvait se manifester de différentes façons. La
marche
de l'athétose double est donc à peu près connue e
s vertébrales manquent dans la chorée chronique. Mais revenons à la
marche
de notre maladie. Le plus souvent elle reste en
ntement et progressivement, et suivent dans une certaine mesure une
marche
parallèle aux troubles moteurs. Au début l'in-
intentionnels, mais augmentent d'intensité et de fré- quence par la
marche
et par les impressions morales, qu'ils se calment
o- phie musculaire manquent toujours dans la chorée chronique. La
marche
de la maladie est plus régulièrement progressive
a hanche du côté sain. Quoi qu'il en soit, la station et surtout la
marche
sont beaucoup plus difficiles que dans la varié
- teint de sciatique, et qui, pour soulager ses douleurs pendant la
marche
, pouvait imprimer à son rachis lombaire soit un
s sujets atteints d'athétose double, s'observe même en dehors de la
marche
et « peut aller quelquefois jusqu'à un opisthot
d'une myopathie généralisée, progressi- vement accrue, empêchant la
marche
depuis deux années, et offrant avec quelques lé
é opposé. L'évolution de ces déviations parait être solidaire de la
marche
des trou- bles musculaires qui les engendrent.
que quelques instants; l'aspect général est le même que pendant la
marche
, les membres inférieurs restent accolés l'un à
coude ; c'est aussi pour combattre cette rigi- dité que pendant la
marche
, il fait imprimer à son bras un mouvement conti-
clinée aussi fortement du côté gauche que du côté droit. Pendant la
marche
, le tronc et la tête ne semblent former qu'une se
membre supérieur gauche. , Le membre inférieur fléchit pendant la
marche
; le pied se détache mal et frotte Contre le so
ens ; aujourd'hui, le doute est peut-être encore permis, quoique la
marche
de la maladie fasse beau- coup incliner de ce c
, puis la jambe gauche est à son tour portée en avant comme dans la
marche
physio- logique ; la cadence du pas se précipit
sclérose, le.sont rarement chez nos malades. Les contractures et la
marche
spasmodique sont communs aux deux maladies. La
cartées en chancelant comme un homme ivre. A une période avancée la
marche
et la station debout de- viennent impossibles.
la station debout de- viennent impossibles. Nous sommes loin de la
marche
spasmodique de l'a- thétose double. A l'ataxi
une chez les filles que chez les garçons. Dans les deux maladies la
marche
est lente et progressive et l'on ne con- naît p
t l'ensemble des mouvements communiqués au corps par une voiture en
marche
. Un de mes auditeurs, le Dl' Jégu, me proposa d
que l'on ressent lorsqu'on estassis sur la banquette d'un wagon en
marche
. L'appareil installé, M. Jégu CONSIDÉRATIONS SU
malade se sent plus léger, il semble que sa raideur ait disparu, il
marche
mieux qu'avant. Phénomène presque constant, les
est difficile à la Salpêtrière. Le mécanisme du fauteuil est mis en
marche
par un moteur électrique et trois fois par semain
..cI ? tDITLUPS CONSIDÉRATIONS SUR LA MÉDECINE VIBRATOIRE. 271 en
marche
fait entendre un bruit continu, sorte de bourdonn
reil posé sur la tète d'un sujet sain est parfaitement toléré et sa
marche
ne cause aucune gène. Au bout de 7 à 8 minutes on
ont été obtenus et la vibration semble avoir complètement enrayé la
marche
d'un accès qui, à l'époque où le traitement ava
les parties latérales ainsi que l'indique la figure 36. La mise en
marche
, les fils posés, se détermine en actionnant d'u
cceptant plus que, des fruits aci- des et l'amaigrissement prit une
marche
rapide. : Interrogée sur les motifs de sa résolut
qu'aux chevilles sont le siège d'un oedème assez prononcé et que la
marche
exagère; ils sont enflés depuis un mois, le doigt
lléoles, le malade les com- pare à des piqûres, à un broiement ; la
marche
et la pression des chaussures les exaspèrent, d
l y a eu à partir, de ce moment un accroissement très manifeste. La
marche
est pénible et le sujet se fatigue très vite. L
entée (PL XXXIX). Il y a dix mois, il a été obligé de renoncer à la
marche
et à son métier. En effet il a ressenti des dou
et les poignets. Aux pieds, ces douleurs étaient provoquées par la
marche
. A peine avait-il marché durant un quart d'heure,
xion, d'exten- sion et d'abduction. Malgré ces troubles moteurs, la
marche
est possible : elle est cependant gênée, steppa
n ensemble symptomatique pres- que toujours identique à lui-même, à
marche
fixe, à pronostic connu, à diagnostic certain ;
Berck, il en est revenu gros, sans changement au point de vue de la
marche
et il avait perdu quelques mots qu'il prononçait.
nt se tient debout à la condition de tenir une chaise. Mardis. A la
marche
, qui ne peut avoir lieu que si on le maintient so
nt. - Bains salés. Sirop iodure de fer, et quelques exercices de la
marche
et de la parole. Demi-école. Le 7 novembre 1887
des, n'ont guère plus d'importance que les divisions fondées sur la
marche
de la maladie, sur la localisation ou la nature d
ur qu'au membre inférieur, et gênant beau- coup la préhension et la
marche
du côté droit. Cependant, la force musculaire é
vié en dedans, en varus équin, de sorte que ni la préhension, ni la
marche
n'était plus possible du côté droit, la contractu
a fesse droite, de façon à ne pas remuer. La station debout et la
marche
sont complètement impossibles, tant il cause de
ement la contracture du côté droit, mais sans permet- tre encore la
marche
. Le 10 mai. Application de l'aimant en permanen
arités étaient nombreuses, quand on étudiait le mode de début et la
marche
de l'affection ; nous y reviendrons plus loin. Ce
e crises convulsires. Nous insisterons davantage sur le début et la
marche
de l'affection. L'hémichorée qui dure depuis 7 an
indres détails de ses troubles fonctionnels. Vous avez observé la
marche
du malade : lente, raide, la tête fixe, les yeu
cace dans le tabes dorsal. Il calme ici les dou- leurs et amende la
marche
. L'ataxie souvent disparaît parfaitement après
simulant un torticolis dans la -), 26, 21, 28, (Altitude pendant la
marche
dans la - ), 29 ; (Déformation de la main simu-
mois d'intervalle (fig. 2 et 3). Examen du malade debout et dans la
marche
. Dès que le malade se lève, ses membres inférie
qu'il tomberait en arrière, si on continuait l'expérience. Dans la
marche
, le tremblement per- siste, mais il ne s'exagèr
l, se sen- tant mal à la tête, il se leva et sortit se promener. La
marche
, dit-il, était gênée par une douleur qu'il ress
ouvent, le jour ou la nuit, il est pris d'une peur folle, pari et .
marche
devant lui sans en avoir conscience. Depuis cette
t qui se communique au corps tout entier, la têle exceptée. Dans la
marche
, le trem- blement s'accuse encore davantage; pa
e la peine à détacher ses pieds du sol. Pas de signe de Romberg. La
marche
est possible les yeux fermés. Les réflexes rotu
ontrarié, fatigué. Il porte un verre à la bouche sans secousses; il
marche
sans trembler, en traînant légè- rement la jamb
usion des yeux ne paraît pas augi-nen ter l'instabilité. Pendant la
marche
, le tremblement augmente et le malade ne saurait
ce, du tremblement plus accusé qu'aujourd'hui, puisqu'il rendait la
marche
impossible. Enfin, il a eu des vertiges, des trou
ans un état de contraction réflexe, de demi-contracture. Pendant la
marche
, les oscillations sont bien plus marquées. On n
Mais, comme il est des scléroses en plaques à tableau incomplet, à
marche
lente, on aurait posé ce diagnostic sans hésita
ur tous les usages de la vie. En outre, son attitude voûtée dans la
marche
avait beaucoup diminué, ainsi que la dou- leur,
ne trépidation qui se manifestait principalement à l'occasion de la
marche
, et qui, marquée surtout dans la jambe gauche, s'
ques jours, après chaque appli- cation de pointes de feu. Enfin, la
marche
elle-même est un peu plus facile qu'avant l'emp
d'une trépidation qui devient de plus en plus forte à mesure que la
marche
se prolongeai qui finirait par s'é- tendre à to
re fatigue après avoir dormi au moins deux heures. Il écrit bien et
marche
bien à son réveil, mais dix à quinze minutes aprè
parole rede- vient pénible et difficile. Il en est de même pour la
marche
et l'écriture. Etat actuel. « La sensibilité es
l, ce n'est plus le même homme, il parle, articule parfaitement, il
marche
sans difficulté, etc. Au bout de dix minutes, il
vation des signes antérieurs. Deux ou trois ans avant son entrée, sa
marche
était incertaine dans l'obscurité, accès de tro
obre 1878, amélioration importante de tous les symptômes. Le malade
marche
seul, se sert de ses membres supérieurs, parle
mois, N... se plaint de faiblesse dans les membres inférieurs ; la
marche
est devenue difficile et il tombe souvent. Il y a
grande faiblesse dans les membres inférieurs et d'incertitude dans la
marche
, il pouvait cependant se promener seul dans le
ui de ses voisins de lit. En novembre, il com- mença à se lever. Il
marche
les jambes écartées, poussant lentement ses pie
peu ou pas. Les membres inférieurs tremblent également au repos. Il
marche
seul, il petits pas, les genoux à peine fléchis;
repos. Il marche seul, il petits pas, les genoux à peine fléchis; il
marche
même les yeux fermés. Les membres inférieurs ne
bres inférieurs ne tremblent plus dans la station debout ni dans la
marche
. Aux membres supérieurs les mouvements sont acc
a malade va apparemment très bien; elle ne se sert plus de canne et
marche
très bien. » Buzzard persiste néanmoins dans so
lle n'a pas l'aspect malade ; elle se plaint de difficultés dans la
marche
et de troubles oculaires. Je remarque qu'elle ne
rganiques. M. Playfair me répondit : « X... va complètement bien et
marche
très aisément, mais j'ai « peur qu'elle ne reto
enoux se relèvent assez bien et les pieds se déta- chent du sol. Il
marche
, bien entendu, très lentement et ne peut monter u
sol. Il marche, bien entendu, très lentement et ne peut monter une
marche
d'escalier. Néanmoins, le malade considère ce qu'
(des soldats, sans doute), et scande avec sa tête le rhythme, de la
marche
que l'on joue. De même si l'on imite le sifflet d
des sutures est anticipée; mais alors mème qu'on admettrait que la
marche
de l'ossification dépend surtout de l'activité
que que nous avons en vue sont constamment agités, qu'ils soient en
marche
, qu'ils se tiennent debout ou assis, par des se
cil- lent dans le sens vertical (fig. 97). Quand le sujet se met en
marche
, le tremblement redouble encore. Il avance ou b
iG. 27. Rlumberfi... Tremblement de la tête (malade au repos, puis en
marche
). F.r. 28. Malade assis. Tremblement du membre
lade affecté de cette forme de tremblement se lever et se mettre en
marche
, on peut, au premier abord, se croire en présen
dessus et au-dessous de cette ligne fictive. , Les mouvements de la
marche
s'exécutent à peu près normalement, bien que le
Cet état persista plusieurs mois et s'amenda au point de rendre la
marche
possible. Seul le tremblement des membres supér
blème. Bref, rien ne doit être négligé; l'état actuel, le passé, la
marche
doivent être interrogés minutieusement et à diver
e. L'observation de Bristowe se rapproche de la précédente par la
marche
extrêmement lente de l'affection. Caractère parti
aigries : excepté la goutte qui le tient aux pieds, il paraît qu'il
marche
bien. Réflexes patellaires normaux; ni engourdi
ient à surveiller les voitures de la compa- gnie dans les trains en
marche
et à aider au service des voyageurs. Cette exis-
arfois même d'hallucinations. Tantôt il se croyait dans un train en
marche
, il parlait il haute voix, s'adressant aux voyage
les oscillations se font dans le sens vertical. Étudions d'abord la
marche
du tremblement quand la malade laisse reposer s
ieur droit ne l'empêche pas non plus de courir, de faire de longues
marches
. Tremblement. Le membre supérieur droit est le
nstam- ment. Parfois, que la malade soit assise, debout, ou bien en
marche
, le membre supérieur reste en repos; la main dr
supé- rieur ; il existe donc deux modes de début : l'un bulbaire à
marche
descendante, l'autre médullaire à marche ascend
de début : l'un bulbaire à marche descendante, l'autre médullaire à
marche
ascendante. Début par L'olatloaLnaoplégie. Troi
on) qui attire tout d'abord l'attention du malade. Dès le début, la
marche
essentiellement chronique de l'affec- tion s'af
d'arrêt de six mois, un an, quatre ans même, l'affection reprend sa
marche
progressive et gagne la colonne grise antérieure
ule se prennent tour à tour suivant un ordre régulier, rappelant la
marche
graduellement ascendante de l'amyotrophie dans
uatre membres et dans le cou.... » L'atrophie poursuivit si bien sa
marche
envahissante, qu'au moment de l'examen, c'est-à
ophie, qui tantôt reste cantonnée à un seul membre, tantôt suit une
marche
envahissante. Celle-ci ne porte pas également s
ion cutanée est intacte et l'état général n'est pas modifié. . La
marche
ultérieure de la polioencéphalomyélite chronique
malade, tout en procédant avec une extrême lenteur elle poursuit sa
marche
envahissante et cela depuis plusieurs années (c
premier phénomène en date : c'est elle qui détermine la gêne de la
marche
et de la station debout, la gêne des mouvements
n qu'en trois mois la fixité du regard fut presque complète, que la
marche
et la station debout devinrent impossibles et q
la simple faiblesse, s'accusant par une fatigue rapide à la moindre
marche
, jusqu'à l'impotence complète et l'usage forcé
de penser chez lui à un effet de l'intoxication saturnine. Enfin la
marche
de l'atrophie, la durée de son évolution, la pr
ispensables à la vie; et en supposant même qu'elle s'arrête dans sa
marche
ou rétrocède en partie, elle n'en reste pas moi
matin; pas de troubles moteurs, sauf une certaine incertitude de la
marche
dans l'obscurité. Bientôt après, diplopie, puis
ine faiblesse autour des genoux. Celte faiblesse s'accroît et rend la
marche
impossible. Jamais le malade n'a éprouvé de dou
erg est très net, ainsi que la suppression du réflexe tendineux. La
marche
est incertaine, mais nullement désordonnée ni ata
e coordination des membres inférieurs. Oscillation les yeux fermés;
marche
en piétinant. Sensibilité paraissant intacte, que
trés. Redressement complet des deux membres. - Rétablissement de la
marche
. Mme P..., âgée de quarante-sept ans, habile or
esque complètement debout. Actuellement, 10 janvier 1891, la malade
marche
debout et droite, les plantes du pied reposent
re) peut se combiner à une amyotrophie plus ou moins généralisée, à
marche
tantôt subaiguë, tantôt lente et progressive, d
, la seule, en réalité, qui soit justifiée par les caractères et la
marche
de cette paraplégie. Cas. XL (G. Zeni, in Ga ?
ment des membres supérieur et inférieur gauches, avec gène dans la
marche
, qu'on attribuait surtout il la douleur du dos.
end l'habitude d'incliner le tronc vers le côté droit, soit qu'elle
marche
, soit qu'elle se tienne couchée au lit. C'est une
seulement persiste mais s'étend à tout le tronc du côté gauche. La
marche
devient de plus en plus difficile, et il y a deux
qués sur la région spinale et sur- le côté gauche du dos. La malade
marche
inclinée à droite avec l'aide d'une béquille; ell
être prise souvent de trépidation des membres inférieurs quand elle
marche
. Depuis quelques semaines, elle a la sensa- tio
lations assez manifestes et semble menacée de tomber. La gêne de la
marche
paraît déterminée par la douleur autant que par l
même, vers neuf heures et demie, lors de la prise de la douche, la
marche
avait été aussi pénible que de cou- tume et rie
r, qui avait revu la malade, confir- mait cette amélioration : « la
marche
se fait régulièrement pour le membre inférieur
des membres est peu prononcée ; au contraire, depuis que la malade
marche
, l'hémihyper- esthésie gauche est bien plus pro
sent et, avec un peu d'emportement, lui disait qu'il fallait qu'elle
marche
ou qu'elle serait remise seule à Auteuil. A par
ersonnes qui étaient dans la chambre voisine l'entendirent crier : Je
marche
, je marche ! et en effet elle marchait comme au
étaient dans la chambre voisine l'entendirent crier : Je marche, je
marche
! et en effet elle marchait comme aujourd'hui san
embre 1881 (Etat actuel). La malade est venue chez M. Charcot; elle
marche
sans appui, mais en frottant le pied gauche contr
aine plus tard, la même chose arrive au membre inférieur gauche. La
marche
est possible pen- dant tout le mois de juin; au
leurs articu- laires dans les membres, et à partir de ce moment, la
marche
est devenue difficile. Cette difficulté a augme
e a pu ensuite se relever et marcher, mais avec difficulté; dans la
marche
, les membres infé- rieurs et la région lombaire
marqué quelque temps après qu'elle était voûtée. Les troubles de la
marche
ont été en pro- gressant peu à peu, de sorte qu
t les phénomènes suivants : Etal actuel. Paraplégie spasmodique. La
marche
est très difficile ; la malade ne progresse qu'
ntécédents héréditaires et personnels du malade, sur le début et la
marche
de l'affection, qu'il faudra se baser dans les
, au point que, en juin, elle peut sortir seule de l'hôpital : elle
marche
sans appui, tout en ayant une certaine raideur.
animés d'une trépidation analogue à celle des spasmo- diques. Elle
marche
ainsi assez bien. Le saut à pieds joints, n'est p
bien. Le saut à pieds joints, n'est pas pos- sible, pas plus que la
marche
à quatre mains, etc. Pas d'abasie en un mot. Ou
aser sur les antécédents, les anamnestiques, le mode de début et la
marche
. Démontrer dans ces conditions difficiles que le
ieux; apyrexie complète, mais insensiblement les jambes refusent la
marche
et la station debout. « Il y a là, nous écrit M
spasmes mus- culaires, des accès'de'trépidation provoquée et de la
marche
saccadée et tétanique que je portai le diagnost
salle. Quelques heures après, il descend seul un escalier de vingt
marches
et va se promener 1. Nous devons faire remarque
jours suivants, la guéri- sun ne se dément pas, elle s'accentue; il
marche
, court, joue avec ses cama- rades, comme s'il n
embre infé- rieur du côté gauche semble avoir été un peu touché. La
marche
était im- possible et l'a toujours été depuis.
se met à sauter à pieds joints et à remonter ainsi une vingtaine de
marches
. Quinze jours après, l'amélioration est telle que
ses pieds du sol et monter un escalier, suivant le mécanisme de la
marche
ordinaire. Elle éprouve toutefois une certaine
le même état jusqu'au 10 septembre. Ce jour-là, elle se leva et sa
marche
était abso- lument normale. Le 16 septembre, ét
son côté droit est paralysé, que sa jambe traîne, qu'elle refuse la
marche
et elle est obligée de se recoucher. Quelques j
nous devions en croire aveuglément nos anciens maitres. Du reste la
marche
et le traite- ment décideront de quel côté se t
Le 1node de début est souvent brusque ou rapide dans la névrose; sa
marche
capricieuse, variable. La terminaison par guériso
inition suivante : « État morbide dans lequel l'impossibilité de la
marche
normale contraste avec l'intégrité de la sensibil
sie des membres inférieurs faisait des progrès ; parfois, durant la
marche
, ses jambes se dérobaient sous ÉTUDE DES SYNDRO
DE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 383 elle. En 1883, la
marche
est devenue plus gênée; elle a été obligée de mar
dire certain, qu'il s'agit, dans ce cas, d'hystérie simulatrice. La
marche
de l'affection, l'état psychique spécial, l'int
première vue, chez ce .malade, c'est son incoordination motrice. Il
marche
péniblement, les mem- bres inférieurs un peu fl
astriques ne s'accompagnent jamais de vomissements. État actuel. La
marche
, les yeux ouverts, ne traduit pas d'incoordina-
du col vésical. De plus, la rétention d'urine dans la névrose a une
marche
très irrégulière, elle peut durer quelques heures
ineux, vient lever tous les doutes. L'étude du mode de début, de la
marche
, de la 1. Voy. les n', 9, Z, 4, 5, 1891. iv.
r exemple, les circonstances dans lesquelles èlle s'est montrée, sa
marche
rapide, sa rétrocession considérable étant en con
clé- ments pour le diagnostic : c'est sur son mode de début, sur sa
marche
, sur sa terminaison, sur ses apparitions et dis
même ses réactions élec- triques qui pourrontmettre sur la voie. Sa
marche
présente un élément différentiel plus sérieux :
nsi que Michel Clarke (31) insiste surtout sur l'amélioration de la
marche
et du signe de Romberg, et ne place qu'en seconde
cinantes en particulier. Par sa fréquence, l'amélioration dans la
marche
ne vient qu'après les névralgies. Quant aux par
n'a été, immédiatement tout au moins, suivie d'aucun trouble de la
marche
pouvant faire soupçonner une myélite ou une polyn
s intentionnels. Tandis que chez Louise V..., l'impossibilité de la
marche
et (1) Deux autopsies de maladie de Friedreich,
e spasmodique, avec exagération des réflexes, procédant suivant une
marche
irrégulière, interrompue par des temps d'arrêt.
stait avec son teint habituel. Elle mène une vie assez active; elle
marche
, se promène volontiers, bien que ses petits pie
s avec béquilles furent incertains, réclamant une rééducation de la
marche
, bien que la coaptation des fragments fut parfa
courue de la partie blessée à son seg- ment médullaire. 3° Par sa
marche
. Elle a un commencement et une fin, une période d
n fauteuil et faire quelques pas avec deux cannes. En novembre elle
marche
seule à petits pas sans canne. Les sensations spé
s escaliers sans appui. Nous suivons aussi, comme un indice dans la
marche
des événements, les progrès d'un sillon unguéal
t une paraplégie flasque, complète mais passagère, active ; 5° La
marche
à la guérison. Nous disons la guérison. C'est e
re, revendiquer les honneurs du succès, soit comme ayant enrayé une
marche
progressive, soit comme ayant été un adjuvant é
si- gnes capitaux, parole scandée, troubles de l'équilibre dans la
marche
, mouvements en détente brusque, asthénie précoc
aucun trouble pupillaire mais des per- turbations profondes dans la
marche
, la station, l'écriture et la parole. D.... a g
écarts avec ses bras en guise de balancier. Il n'a pu reprendre la
marche
après l'ictus du début que lorsqu'il eut fait u
anciers. Je ne crois user d'une trop vive métaphore en disant qu'il
marche
avec ses bras. L'occlusion des yeux n'aug- ment
bles. Il n'a jamais eu de sensation vertigineuse (PI. IV). Quand il
marche
, les jambes se détendent comme un ressort, cepend
un ressort, cependant il n'y a pas de spasmodicité véritable. D...
marche
plutôt comme un ataxique. Les réflexes sont dim
rébelleuse, on les retrouve en majeure partie chez D... 1° Dans la
marche
, le tronc, en arrière, ne suit pas ou suit mal le
mains, il n'en faisait rien lorsqu'on l'attirait en avant, pendant la
marche
. 2° Dans la station, si on fait porter le tronc
s'arrêter pour le faire, et une fois exécuté, il peut reprendre sa
marche
. J'ai multiplié ces épreuves, ces exercices, et
ion motrice et volitionnelle est dans la station et surtout dans la
marche
entièrement accaparée et occupée par les images d
st un trouble profond de l'équilibre cyiiétiqite {station debout et
marche
) égale- ment 'réparti aux deux moitiés du corps
de médecine, 1899, n° S, 10 mai. ROLE DES MUSCLES SPINAUX DANS LA
MARCHE
NORMALE CHEZ L'HOMME (1) PAR HENRI LAMY Méd
MALE CHEZ L'HOMME (1) PAR HENRI LAMY Médecin des Hôpitaux. La
marche
de l'homme a été étudiée d'une façon très minutie
acte d'une coordination si merveilleuse et si com- plexe qu'est la
marche
, bien peu de muscles sans doute ne prennent pas
membres inférieurs sont loin d'être les seuls à pren- dre part à la
marche
; ceux du tronc y concourent activement, et en pa
fin de déterminer sa signification et son utilité dans l'acte de la
marche
. J'ai fait part à mon maître et ami M. P. Riche
e Boulogne ne s'est point occupé de l'action de ces muscles dans la
marche
; il les désigne seulement comme extenseurs et flé
rticulier sa belle collection de photographies instan- tanées de la
marche
qui ont été recueillies en collaboration avec M.
nc en avant, et qu'il est le principal agent de l'équilibre dans la
marche
. » On voit que Gerdy ne s'est pas borné à signa
lè\'ede Marey ,auquel nous devons une très remarquable étude sur la
marche
, exécutée au moyen de la méthode graphique, et qu
and soin la trajectoire des principaux points du corps pen- dant la
marche
, reproduit dans son travail l'opinion de Gerdy qu
cile d'apprécier sur soi-même ce phénomène en appliquant pendant la
marche
les deux poings sur la région lombaire au-dessu
du côté portant, mais moins énergique (effort de station). Dans la
marche
normale en attitude droite, la masse sacro-lomb
ompeurs dans le cas particulier. Il est vrai toutefois que, dans la
marche
penchée en avant, dans l'ascension d'un plan in
s épi- neux situés au-dessous d'elle. Quoi qu'il en soit, dans la
marche
normale sur un plan horizontal, ce dernier phén
nécessaire, lorsqu'on veut étudier un phénomène quel- conque de la
marche
normale, de bien s'assurer qu'il est constant et
isée de la masse sacro-lombaire par rapport au pied portant dans la
marche
, celte remarque a moins d'im- portance à la vér
; car c'est un phénomène constant dans toutes les va- riétés de la
marche
; démarche cambrée, balancée, marche en arrière,
ns toutes les va- riétés de la marche ; démarche cambrée, balancée,
marche
en arrière, en montant, en descendant, etc. Je
nt, etc. Je ne l'ai jamais vu faire défaut, sauf peut- être dans la
marche
en arrière, en attitude très cambrée, avec ensell
des reliefs musculaires du dos dans la station droite et pendant la
marche
. - Il est évident que la configuration des sail
nt de la verticale » : la contraction de la masse complétées sur la
marche
, à la lin du livre récent de Il. UUU015-ItE'nlovD
s demander maintenant quelle est l'utili- té, dans l'économie de la
marche
, de cette contraction répétée à chaque pas, de
d'un côté du corps, du côté qui reste suspendu en l'air pendant la
marche
, nous suggère de rechercher qu'elle peut bien ê
le dire en passant, l'élévation du'bassin du côté oscillant dans la
marche
n'est rien moins qu'un fait démontré. Les auteurs
dy, « chacun des côtés s'abaisse et s'élève alternativement dans la
marche
, et c'est toujours du côté correspondant au pied
on de Gerdy au sujet du rôle de la masse sacro- lombaire pendant la
marche
. Ainsi,' non seulement le muscle en question n'
us avons fait allusion plus haut à l'intervention possible, dans la
marche
, des muscles spinaux à litre d'extenseurs du tron
dans la marche, des muscles spinaux à litre d'extenseurs du tronc (
marche
inclinée en avant, ascension d'un plan incliné)
rale, la contraction unilatérale de la masse sacro-lombaire dans la
marche
n'est nullement liée à la progression, mais se
l'oscillation sur place, dans la station sur un pied, que dans la
marche
. Il n'est même pas nécessaire que le pied se dé-
sacro-lombaire passer d'un côté à l'autre, absolument comme dans la
marche
en avant ; et elle se produit là aussi toujours
sur le rôle que la masse sacro-lombaire est appelée à jouer dans la
marche
. Quand tout le poids du corps se porle sur un s
i une véritable contraction « frénatrice ». Ainsi en est-il dans la
marche
. Elle n'est autre chose qu'une série d'oscillat
à ce rôle d'équilibration du corps dans le sens latéral pendant la
marche
que je crois la masse sacro-lombaire préposée : c
nstant précis où le poids du corps se porte du côté opposé. Dans la
marche
, on dirait d'un véritable réflexe croisé, provoqu
t là d'un de ces réflexes locomoteurs, liés à la coordination de la
marche
, qui ont été récemment étudiés par Philippson (1)
ant de rechercher comment se comportent les muscles spinaux dans la
marche
dans un certain nombre d'états pathologiques. N
'incoordination de ces muscles joue un rôle dans les troubles de la
marche
. Je n'ai point encore à cet égard d'expérience
ns que j'ai pu faire incidemment chez les malades, que, tant que la
marche
est possible sans appui, les fonctions des musc
, je signalerai les contractions des muscles de la nuque pendant la
marche
. On peut en faire aisément aussi l'observation
t la pulpe des doigts réunis sur les muscles de la nuque pendant la
marche
. On sent nettement ces muscles se gonfler et se
t ces muscles se gonfler et se durcir à chaque pas, surtout dans la
marche
un peu active, la tête in- clinée en avant. Ici
. Il y a là un phénomène compara- ble à ce qui va se passer dans la
marche
des quadrupèdes, et qu'il est bien facile d'obs
s et long dorsal) se contractent énergiquement à chaque pas dans la
marche
normale sur un plan horizon- tal ; 2° Cette c
e temps de l'oscillation de la jambe. 4° Cette contraction, dans la
marche
, est liée, non à la progression, mais à la tran
s la même forme aussi bien dans l'oscillation sur place que dans la
marche
en avant. 5° Son rôle, dans la marche, est d'as
ation sur place que dans la marche en avant. 5° Son rôle, dans la
marche
, est d'assurer l'équilibration latérale du tron
e quel est le côté sur lequel porte le poids du corps, soit dans la
marche
, soit dans l'oscillation sur place. HOSPICE D
périeure se rapproche de l'horizontale. Parfois, surtout pendant la
marche
, lorsque le malade veut redresser la tête, la con
nous croyons pouvoir les attribuer à la distorsion des parties. La
marche
est chronique, progressive et les malades succomb
ples, surtout provoquées par la pression sur les os et ren- dant la
marche
difficile ou impossible, flexibilité et déformati
vi- ron. Plus tard, apparaissent progressivement des troubles de la
marche
, puis du langage ; le malade prévoit, dès lors,
rée de la jambe sur la cuisse, dénotant une certaine asynergie delà
marche
; la ligne de ses pas est irrégulière : Vous av
i synthétiser le tableau clinique de ce ma- lade. Désordres de la
marche
assez semblables à ceux qu'on a coutume de dé-
plus ou moins marquée des jambes pendant la station et pen- dant la
marche
; parfois cependant, on a noté, comme premiers ph
n dans les membres supérieurs que dans les membres inférieurs. La
marche
était impossible tant en raison de cette faibless
ement jusqu'à l'âge de 14 ans ; il présenta alors de troubles de la
marche
qui nécessitèrent son entrée à la clinique médica
3e et 5e vertèbres lombaires étaient dou- loureuses à la pression ;
marche
spastique parétique ; légère ataxie ; réflexes
it, des soubresauts musculaires le faisaient dévier de la ligne. La
marche
, de plus en plus difficile, lui devint impossible
orps. Les troubles morbides que nous venons de détailler ont eu une
marche
progressive mais irrégulière, présentant des ex
terne inférieure. Les hémorrhagies nous permettent de comprendre la
marche
irrégulière de la maladie. Mais il-nous reste :
, ni atrophie muscu- laire, ni autre trouble trophique. Le malade
marche
à petits pas, les jambes écartées et raides, l'éq
s pas, les jambes écartées et raides, l'équilibre dynamique dans la
marche
est toujours menacé et on note de la latéropulsio
outre une déformation en baguettes de tambour très nette. L'enfant
marche
en trainant sa jambe gauche, son avant-bras gauch
tic qui fut plus tard confirmé par la séro- réaction de Vidal. La
marche
de l'infection typhique fut typique pour ce qui c
sionnelle est une incoordination de l'écriture au même degré que la
marche
ataxique du tabétique est une incoordination des
une incoordination des mouvements des membres inférieurs pendant la
marche
. Nous avons ici cinq échantillons d'écri- ture
xiques tabétiques ou chez les hémiplégiques. Tant que l'ataxique ne
marche
pas, il va bien ; mais il suffit de le mettre d
musculaire de deux groupes antagonistes. Dans le cas présent, cette
marche
à suivre est la plus justifiée. Nous massons donc
ercices de la rééducation, il faut, comme dans la rééducation de la
marche
, s'assurer d'abord à quel genre d'ataxie on a a
persuadé que les modifications des exercices sont provoquées par la
marche
progressive de l'amélioration. Ici comme dans l
ment du tube digestif et sur le système nerveux, aident beaucoup la
marche
progressive de la rééducation. Dans quelques ca
é signalé par Remak (1), à propos d'un homme de 10 ans qui, dans la
marche
, se tenait incliné, tantôt à droite, tantôt à g
odiques sont généralisés au point de rendre la station debout et la
marche
impossibles. Le malade reste alité,toujours eup
s csciatique ». En même temps les mictions étaient difficiles et la
marche
devenait de plus en plus pénible. Le diagnostic
s réflexes patellaires, plantaires et crémastériens sont nuls. M...
marche
en talonnant et en écartant les jambes ;'il prése
eux si on ne le conduit pas aux cabinets ; il reste cependant levé,
marche
bien. Le 7 juin il était levé ; après son diner
de ce moment, elle accuse une faiblesse très accentuée, rendant la
marche
difficile et tout exercice musculaire très péni
nger, se coiffer, se laver, etc.) sont extrê- mement difficiles. La
marche
est pénible, très lente et la fatigue survient si
ons intéressantes dans les différents mouvements coordon- nés. La
marche
est difficile, lente, et s'effectue avec une sort
r Dejerine et on obtint une certaine amélioration de l'asthénie. La
marche
en particulier devint plus facile et certains c
t les réactions de l'in- dican et des éthers sulfuriques eurent une
marche
parfaitement paral- lèle aux phénomènes cutanés
(u. tubéreuse) qui a précisément son siège dans l'hypo- derme. La
marche
! C'est la même tendance à la guérison rapide. Le
de siège. En général Dejerine et Thomas (85) affirment que dans la
marche
des maladies de la moelle on observe parfois des
reconnaissent comme unique étiologie une cicatrice qui empê- che la
marche
de la lymphe dans ses vaisseaux ; il s'agit toujo
éléphantiasis au point de vue de la morphologie, comme à celui delà
marche
(1) ; analogie si parfaite que Meige (133) avant
le simple fait de pencher la tête arrêtait le mouvement. Pendant la
marche
, il suffisait d'un ouvrage en tricot ou d'une fle
cules et les malformations du sternum, Shorstein, le retard dans la
marche
; nous verrons plus loin ce que nous devons pense
heuthauer) ou de poulet (Gross, Hirtz et Louste), du retard dans la
marche
(Hirtz et Louste,Gross), du développement anorm
stitution et ge- nèse de la tumeur cérébrale ; ganglions crâniens ;
marche
générale du processus méningitique. Dégénéresce
rence marquée, non dans la nature même de l'affection, mais dans sa
marche
générale. La face présente quelques caractères
. Si l'on veut arriver à un résultat positif et suivre pas à pas la
marche
des événements, il faut examiner les coupes de
verses particularités sur lesquelles nous reviendrons plus loin. La
marche
des événements nous conduit à examiner, au préa
conjonctif qui se trouve dans le sillon postérieur. La propagation
marche
lentement : la multiplication des vaisseaux extra
le canal de l'épendyme et le comble en partie ; continuant même sa
marche
en a'vant, il traverse la paroi antérieure et t
376 RABAUD d) Nature des lésions. Telle est, dans son ensemble, la
marche
des proces- sus que l'on observe dans la moelle
s extérieures suffit simplement à provoquer des différences dans la
marche
des phénomènes. Ces différences, d'ailleurs, sont
a partie moyenne de la moelle, le processus méningitique reprend sa
marche
progressivement crois- sante ; dès ce moment, s
ne saurait être vraiment comprise que si l'on a suivi pas à pas la
marche
du processus inflammatoire, ainsi que nous veno
s avons surpris le début dans la moelle et dont nous avons suivi la
marche
pro- gressive en remontant des segments médulla
aires les plus inférieurs aux seg- ments les plus élevés ; c'est la
marche
complète du processus inflammatoire vers la scl
à la barrière, assez faible en somme, que la dure-mère oppose à la
marche
du processus. Nous verrons, dans le troisième c
ce qui a trait à l'étude histologique, d'indiquer à grands traits la
marche
des phénomènes sur l'ensemble du système nerveu
cédant ainsi nous avons suivi une mar- che exactement inverse de la
marche
réelle. Il ressort des faits eux-mêmes que le f
e crânienne le provoque indirectement, et l'on peut reconstituer la
marche
des phénomènes de la façon suivante : La méning
nous sera fourni dans un instant; mais il importe de retenir cette
marche
progressive qui nous permettra de comprendre de l
n'en existe pas de traces. Il n'est pas malaisé de reconstituer la
marche
des phénomènes. Ce cas doit être rapproché des
éninges spinales. La néoformation vasculo-conjonc- tive, suivant sa
marche
ordinaire, s'est étendue en dehors, respectant le
il faut considérer aussi que la propagation de la méningite suit une
marche
exactement inverse et que, à part les cas à rec
d'ataxie. Démarche : elle tient la jambe droite un peu raide, elle
marche
lentement, frottant les talons par terre. Les
lsif : la parole devient difficile et peu claire. Incertitude de la
marche
avec raideur. Etat actuel : Intelligence très d
des détails précis nous manquent, mais qui parla dif- ficulté de la
marche
et le tremblement peut faire penser à une affecti
ne même affection, d'abord des troubles d'origine cérébelleuse (dé-
marche
ébrieuse, légère explosivité de la parole), qui d
es membres supérieurs ou inférieurs qui ont faibli les premiers. La
marche
devenait toujours plus difficile, après avoir fai
Mais depuis, elle a continué à se fatiguer, à souf- frir pendant la
marche
, à ne pas pouvoir, dit-elle, appuyer le pied par
e avec régularité. En entrant dans la salle de consultation, elle
marche
avec peine, le pied gauche fléchi, n'appuyant q
'intensité. Ce n'est qu'au 5e jour, pendant la promenade, après une
marche
de 4 kilomètres environ, que l'enfant se plaignit
La station debout, immobile, est fatigante, peu stable. Quant à la
marche
sans appui, elle est peu près impossible, très
t non à droite, côté qui se pliait pendant la station debout. Cette
marche
est très gênée, mais indolente. Vu en avant, le
inine, pour obtenir une amélioration notable de l'attitude et de la
marche
. Mais si, pendant qu'agissait l'extension, le tro
amais une scoliose proprementdite, même énorme, ne trouble ainsi la
marche
. Nous devions donc chercher du côté de certaines
reprises, et au bout de deux mois il lui permit de se lever. Mais la
marche
était presque aussi pénible qu'auparavant et le
idement, qu'elle guérira sûrement. Le lendemain l'enfant se lève et
marche
déjà sans tituber. Les douleurs ont, dit-elle,
n coup on redressa le genou en prononçant le célèbre : Lève- toi et
marche
. L'air ahuri, le gamin s'assit, regarda quelques
nsibilité objective, il présente pourtant le signe de Biernacki. La
marche
est difficile, le malade boite et se dandine.
un peu pâle, qui tient la tête baissée, comme un peu soudée, et qui
marche
par instant d'un air mal assuré. Il présente au
de la MÉNINGITE. A ces lésions anatomiques, tardives ou précoces, à
marche
lente ou rapide, correspondent nécessairement u
ntre, mais la moelle tout entière; et l'envahis- sement n'a pas une
marche
déterminée : les lésions hémorragiques ou autres
dymaire. Il faut croire que le tentorium cerebelli l'arrêta dans sa
marche
à l'ex- térieur. Cela nous semble d'autant plus
x normaux. Rien de spécial du côté du système nerveux. Cette enfant
marche
étant sou- tenue ; elle commence à parler et ne
du système nerveux serait prépondérante : cet appareil réglerait la
marche
des processus. C'est peut-être ainsi qu'il en e
es tissus nerveux et en de- hors vers le revêtement cutané. Dans sa
marche
en dehors, on peut suivre PATHOGÉNIE DE LA PSEU
ne solution de continuité d'une grande étendue ; que, chez tous, la
marche
du processus serait inverse de la marche réelle
endue ; que, chez tous, la marche du processus serait inverse de la
marche
réelle. La conception des adhérences primitives
rés dans l'envahissement de la méningite, soit une variante dans la
marche
du processus. Toutes constituent un groupe comp
surrénales (6 fig.), 176. Lwxr. Rôle des muscles spinaux dans la
marche
normale chez l'homme (1 pi., 6 fig.), 49. LAM
tale (PoRAI; et Du- RA1'o'TE), LII à LVI. Muscles spinaux dans la
marche
(LAnr), VIII. Myasthénie hypotonique mortelle
Dentition complète à (/). Début de la parole à 14 mois. Début de la
marche
à 18 mois. Propre il 3 ans. Pas de convulsions.
1906, L. XXI. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. A partir de décembre 1897,
marche
progressivement difficile avec chutes, affaibli
rébuche fréquemment, tombe facilement, ses jambes fléchissent, elle
marche
mas, aussi bien le jour que la nuit. En même te
e jours après sa sortie de l'hôpital, c'est-à-dire en mars 1808, la
marche
devient encore plus difficile, la parole un peu
s la station verticale, elle estsoute- nue sous les aisselles, elle
marche
, mais cette marche est incertaine, vacillantte
ale, elle estsoute- nue sous les aisselles, elle marche, mais cette
marche
est incertaine, vacillantte ; l'enfant avance,
rait été peu près normale. III. La maladie aurait débuté à 12 ans :
marche
trébuchante, étourdissements, sommeil mauvais,
d'accidents qui pouvaient faire craindre une méningite. A 13 ans,
marche
de plus en plus difficile, embarras de la parol
lle était élevée, on a continué de la prendre chaque jour. Voici sa
marche
: .' 22 pathologie nerveuse. un peu plus pe
sommeil agité par des cauchemars, gâtisme. La déchéance physique
marche
de pair avec la déchéance intellectuelle. La pr
e de la paralysie générale qui lui paraît rendre mieux compte de la
marche
. du pronostic et des ictus apoplectiques, épile
- tique s'efforce de faire en déterminant d'une façon certaine la
marche
de la syphilis. Quand cela sera connu avec cer-
palliatif, puisque nous ne possédons au- cun moyen d'influencer la
marche
du mal à travers la moelle épinière. Il en Va d
r toutes ces variétés cliniques de psychose aiguë en ce sens que la
marche
aiguë et l'issue mortelle d'une psychose, tout
mouvements dans les articula- tions du genou et de la hanche, et la
marche
est possible sur le bord externedu pied avec un
, d'abord faire des petits pas, puis accé- lérer progressivement la
marche
. S'il veut accélérer brusquement le pas, ses ja
se raidissent, et il tomberait s'il voulait conti- nuer. Pendant la
marche
aussi, alors que la première raideur s'est diss
marche aussi, alors que la première raideur s'est dissipée et qu'il
marche
d'un pas alerte, une émotion sou- daine, un app
che légèrement, s'ar- rête une dizaine de secondes puis continue la
marche
, sans gène apparente. Se maintient parfaitement
Midi. Depuis 15 ans ? Tabès ; douleurs fulgurantes, troubles de la
marche
. Alcoolisme ; 2 litres de vin au moins, absinth
au moins, absinthe, marc ; employé depuis 24 ans sur les trains én
marche
au P. L. M., comme conducteur. ' Examen mental.
rtaines eschares latérales ; auraient-elles aussi une action sur la
marche
c de la maladie, et leur évolution serait-elle
us chez nos malades a coexisté avec des rémissions notables dans la
marche
de la pa- ralysie générale. Si l'on s'en rappor
é l'influence bienfaisante des suppurations et de leur cure pour la
marche
de la ma- ladie, nombre d'observations ont été
taxie, une hypotonie très marquée des membres inférieurs rendant la
marche
presque impossible : mem- bres supérieurs éparg
PATHOLOGIE NERVEUSE. 113 la laiblesse augmenta. Cet état n'a ni la
marche
de la lrichi- nose, ni celle du rhumatisme musc
ment la cuisse. En certains cas, la pares- thésie douloureuse de la
marche
monte à la région inguinale et SOCIÉTÉS SAVAN
le est obligée de chercher un appui pour ne pas tomber. Pen- dantia
marche
, ses jambes se dérobent sous elle, el elle tombe
x. Pas de signe de Ba- binski. - L'incoordination motrice dans la
marche
, qui pourrait faire son- ger au tabès, n'est ac
'épilepsie. Aucun l rouble nerveux ne vient entraver ni modifie) la
marche
du travail, qui est régulière et simplement ralen
calme relatif : l'affection nerveuse a repris les caractères et la
marche
qu'elle présentait avant l'accouchement. La tem
anés s'ils n'ont pas la même étendue ; s'il y a de l'ataxie dans la
marche
, elle doit être attribuée à la maladresse du sy
ir choisir le personnel chargé d'assurer, sous ses ordres, la bonne
marche
des services de l'établissement. Le directeur e
peine s'il s'en produit une par an. La crise survient lorsqu'elle
marche
un peu vite ou qu'il y a un vent violent ou lorsq
s septicémies, ont une action incontestable sur l'évo- lution et la
marche
des névroses, action très probablement d'or- dr
e 23 juillet 1892 à l'âge de 4 ans. Il était atteint d'idiotie ; la
marche
était très défec- tueuse, la parole et l'attent
de la part de ses camarades le nom de « petite misère ». 1893. La
marche
devient normale; l'attention s'éveille et la ga
mots, papa, maman, pain et soupe, sont articulés nette- ment. - La
marche
est assez bonne pour lui permettre de suivre le
immobile dans un coin. Actuellement, le petit malade mange seul,
marche
et court librement. Il exécute bien les trois p
à de fréquents vertiges, ce qui lui rendait presque im- possible la
marche
, et le faisait tomber à tout instant. Il était
otie complète avec 11licrocéPltalie TRÈS PRONON- CÉE. La parole, la
marche
, la préhension, la propreté, l'at- tention étai
seul, et y arrive. Ses jambes se sont fortifiées et aujourd'hui il
marche
(Fig. 14). , TRAITEMENT MÉDICO-PÉDAGOGIQUE DE
ensibles à l'école. 1900. - 8 ans et demi : l'enfant est propre, la
marche
est normale. La physionomie réfléchie, froide e
écembre 1896. A l'entrée, est atteint d'idiotie complète. Parole et
marche
nulles. Gâtisme. L'enfant est inca- pable de ma
- pable de manger seul. 1897. - L'état de l'enfant s'améliore, il
marche
aujour- d'hui sans presque être soutenu. Le voc
aut. Il com- \ prend bien mieux tout ce qu'on lui dit. 1898. - Il
marche
aujourd'hui seul. A appris à boire seul. Le gât
ogrès pour l'écriture, il reproduit tous les modèles, la lecture ne
marche
pas de pair, cependant nous constatons plus d'a
ge et serait resté ainsi indéfiniment. Aujourd'hui (1900), Pard ?
marche
seul et court souvent; monte et descend les esc
2 (Fig. 22).A son arrivée, il gâtait nuit et. jour; la parole et la
marche
étaient nulles. Ne mangeant pas seul, restant t
le 21 mai 1894. Imbécillité avec myopie, très prononcées. Parole et
marche
singulières, gâte quelquefois le jour, toujours
ir debout dans un chariot et à se servir de la cuiller. En 1898, la
marche
est devenue plus assu- TRAITEMENT MI·.D1C0-Pi
nt jour et nuit. Actuellement (1901), il a plus d'équilibre dans la
marche
, il est tout à fait propre le jour; s'habille c
é de le faire écrire empêche tous les exercices d'aller de pair. La
marche
semble être plus assurée. XXXVII. BrAUTI ? (H.
progrès ne se sont pas bornés aux études classiques; la gymnastique
marche
de pair, elle exécute avec agilité et souplesse
de 9 ans, atteinte d'idiotie profonde avec surdi-mutité, parole et
marche
nulles, gâtisme complet. - Cette enfant ne comp
isme a pu être supprimé. Elle a également suivi les exercices de la
marche
: barres parallèles, chariots, balançoire, trem
llèles, chariots, balançoire, tremplin, etc., de sorte que l'enfant
marche
seule, suit les enfants au préau et dans les di
algré tout, qu'elle est notablement améliorée au point de vue de la
marche
, du gâtisme et de l'habillement (Dec. 1905). LV
ilibrée sur ses jambes; en gifle une autre sans aucune raison, elle
marche
parfois sur les petites qui -om sur son passage
est survenue progressivement à 40 ans une titubation ébrieuse de la
marche
. Quatorze ans après (janvier 1898) l'examen cli
spéciaux, état nerveux particulier, longue durée de ces affections,
marche
progressive dans certains cas, avec signes indé
arlatine, luxa- tion de l'épaule ; 2° Varioloïde (causes, signes et
marche
de la maladie) - Signes et diagnostic de la her
son sur les maladies mentales en en arrêtant, ou en en atténuant la
marche
terrible. Prix CitJ1'ieu,c, -800 francs. Questi
vation lVlll. - Ily a 27mois,a étéjeté au bas d'un esca- lier de 37
marches
, en faisant son service de nuit au chemin de fe
résulter d'une cause antérieure à l'acci- dent ? 3° Quelle est la
marche
de la blessure au point de vue de l'avenir des
la- dies est manifeste depuis le commencement jusqu'àla fin de la
marche
de leurs attaques. Toutes les deux sont presque
de l'action défavorable que les rapports sexuels exercent sur la
marche
de l'épilepsie ; tous les neuropathologistes re
pipi, ou popo, caca, » selon le besoin qu'elle éprouve. L'enfant
marche
maintenant toute seule, elle trottine par- tout
oeur des petites fables. Elle est vive, alerte dans ses mouvements;
marche
, court, saute avec agilité; parle facilement, s
15 juillet 1891. A son entrée, elle était gâteuse, la parole et la
marche
étaient nulles, elle ne savait ni s'habiller ni
pour les syllabes on et en qu'elle prononce fortement au nez. La
marche
est bonne; Kr ? sait courir, monter et descen-
se maintient. Elle s'alimente bien toute seule et mange proprement,
marche
avec facilité, monte et descend seule les escal
e est douce et très affectueuse. Amélioration au point de vue de la
marche
, de la parole et de l'alimentation. LXIX. BuL ?
9. Idiotie complète. - A Ventrée, le 19 septembre 1902, parole et
marche
nulles, gâtisme absolu; malgré cela, elle avait l
ffectueuse et cares- sante pour les personnes qui la soignent, elle
marche
seule et court de tous côtés comme un vrai fure
ndation en octobre igoo, atteinte d'idiotie complète, avec gâtisme,
marche
et parole à peu près nulles. Les progrès faits
voya- ges sera demandée aux Compagnies de chemins de fer. Des dé-
marches
seront faites auprès des principaux hôteliers et
eut encore se tenir debout et marcher en se servant d'un bâton ; il
marche
à tout petits pas sans, pour ainsi dire, détach
ces dans le domaine du maxillaire supérieur gauche. Puis gêne de la
marche
, ensuite des mains en troisième lieu, gêne de l
e très marquée à droite, surtout au niveau du grand pectoral. Dé-
marche
spasmodique, il marche en écartant les jambes, dé
te, surtout au niveau du grand pectoral. Dé- marche spasmodique, il
marche
en écartant les jambes, déta- chant à peine les
de confusion partielle avec hébétude profonde et désorientation. La
marche
devient de plus en plus difficile et il lui fau
ntrée à la Fondation en juin 1901, atteinte d'idiotie avec gâtisme,
marche
et parole nulles. Les progrès faits par cette e
e, incompréhensibles même pour les personnes de son entourage, la
marche
était mauvaise, à peine pouvait-elle faire quelqu
en elle : Gâtisme, colères, caprices tout a disparu. Elle parle et
marche
très bien. En classe les progrès sont notables,
n. 19°5- Rien de particulier à signaler. Cette enfant est propre,
marche
et parle bien, ses progrès sont lents en classe;
ée à la fondation en juin 1901, atteinte d'idiotie avec hémiplégie,
marche
nulle, parole limitée à ces deux mots; papa, ma
s à une infirmière et quelquefois même à une autre enfant, Yvonne
marche
assez bien; se rend ainsi en classe, au préau,
le sous tous les rapports. 1905. - L'enfant suit toujours la même
marche
vers une amélioration notable. La parole s'est
qu'elle tient à présent des conversations avec ses compagnes. Elle
marche
bien, monte et descend facilement les escaliers
est surtout sous le rapport de la propreté, de la parole et de la
marche
que les progrès de cette enfant sont sensibles.
nnaît les chiffres et les lettres et commence à les assembler. Elle
marche
et parle de mieux en mieux. Amélioration notabl
le retient les airs de chansons avec une facilité étonnante. Elle
marche
très bien seule, monte et descend les escaliers t
méliorer, la sensibilité tactile est toujours très développée. Elle
marche
et parle de mieux en mieux, le gâtisme a complè
t s'est nota- blement améliorée sous le rapport de la parole, de la
marche
, de l'alimentation et du gâtisme. LXXXVIII. I
entend, connaît les enfants et les personnes de son entourage. Elle
marche
très bien, court partout. Elle est gaie e : jou
n comme les enfants de son âge. Elle a appris à marcher seule, la
marche
est bonne, elle court, saute à la corde, monte et
s les progrès l'an- née dernière, continue à s'améliorer. Parole,
marche
, nulles au début; gâtisme complet, cette enfant
point l'intéressait, c'était sa toilette. Elle était lente dans sa
marche
et dans ses mouvements. En classe, elle ne conn
autant physique qu'intellec- tuel s'est produit en peu de temps. La
marche
et la parole ont été très rapides; le gâtisme a
l en était ainsi pour tout ce qu'elle demandait Vu sa paralysie, la
marche
était nulle, elle ne se tenait debout que sur l
con- versation ; répond directement à ce qu'on lui demande. Elle
marche
bien, tout en traînant sa jambe malade, ce qui ne
ès sous tous les rapports : classe, ateliers, soins du ménage, tout
marche
de pair. Aucun accident nerveux à signaler, trè
es économies de linge pour l'adminis- tration;- 20 J'éducation delà
marche
, de l'habillement, dela toilette, de la préhens
C'est probablement de la mê- me manièrequ'on devrait interpréter la
marche
rapide de certains cas de sclérose latérale amy
luent en- fin que les modifications du sang sont en rapport avec la
marche
et le caractère spécial de la maladie causale.
endus propres (3) ; un a appris à manger seul (4). Dès qu'un enfant
marche
sans aide, il est envoyé il la petite école, d'
(Fig. 1), elle ne nous fournit pas, ici, d'indications précises. Sa
marche
a été tout à fait irrégulière. Le tracé ne ress
ujours la tête inclinée sur le tronc, mais le corps reste droit. Il
marche
lentement, traine ses pieds et se talonne. Jama
de dents. S'il est assis, il se balan- ce continuellement. Dans la
marche
, la jambe gauche reste toujours en arrière. L'e
icaire ; diar- rhée ; - ascaride ; - affaiblissement prog ressif. -
marche
impossible. - Tuberculose pulmonaire; mort. A
. Limonade purgative. 22 décembre. Depuis quelques jours l'enfant
marche
dif- ficilement, et paraît souffrir de la cuiss
evée au sein par sa mère, et sevrée à 22 mois. - Dentition normale,
marche
à un an. Pas de convulsions pendant les cinq pr
ère aurait remarqué qu'elle avait une cer- taine difficulté dans la
marche
; l'enfant se buttait au moin- dre obstacle.
tition complète est inconnue. - Début de la parole à 18 mois, de la
marche
à deux ans, difficile par suite de la faiblesse
nt limités à ce même côté. V. Les accès n'ont pas cessé d'avoir une
marche
croissante et ont abouti à un état de mal, abso
è. - Inégalité d'âge de 10 ans. Première dent à 4 mots. Début de la
marche
et de la parole à un an; cessation de la marche
4 mots. Début de la marche et de la parole à un an; cessation de la
marche
et de la parole. Gâtisme ; incapacité de s'habi
de cris. - Tics; se mord les mains ; accès de colère. Progrès de la
marche
. Etat syncopal subit; mort rapide. AUTOPSIE.
e à Il mois sans difficulté. - Première- dent à 4 mois. Début de la
marche
et de la parole vers un an, mais à la suite d'u
l'habille, qu'on la nettoie et surtout avant de s'endormir. Elle ne
marche
point, mais se tient assez droite dans le chari
huile de foie de morue deux bains salés par semaine ; exercices de
marche
. 15 décembre. L'enfant fait cles progrès au poi
e. 15 décembre. L'enfant fait cles progrès au point de vue, do la
marche
; elle se tient mieux et exécute quelques pas en
gauche et de la joue gauche, suppuration prolon- . gée. - Parole et
marche
complètes à 3 alls. - Rougeole et coqueluche à
llure d'un véritable délire. V. La fièvre typhoïde a eu d'abord une
marche
bénigne qui faisait espérer une issue favorahle
ique (Fig. 2) est très-inté- ressant car il indique avec netteté la
marche
de la température au début de la fièvre typhoïd
Le 2 juin l'enfant a eu 15 accès. - La température a pré- senté la
marche
suivante : Etat DE MAL épileptique. 93 l'enfa
t meurt dans la journée. La température après la mort a présenté la
marche
suivante. - Après la mort : 39°; - 9 /4 d'heure
parole toujours limitée it quelques mois ic 33 mots. - Début de la
marche
z. la même époque. - Premièl'es convulsions à 8
ts de dents. - Balancement. - /lave. - Gâtisme. . 1892. Rubéole :
marche
de la température. - Description de la malade.
complète il Début de la parole à 33 mois, papa, ni ohé ! et de la
marche
à la même époque : elle serait partie tout d'un c
it très grosse et qu'elle a sucé jusqu'à son admission. » Dans la
marche
, elle ne butait pas, courait, s'arrêtait s'il y
t disparu sans la moin- dre complication. La fig. li, relative à la
marche
de ! ' tempé- rature, indique que l'on a eu aff
Le gauche est peut-être un peu p'us développé que le droit. - La
marche
est dillicile, hésitante. La peau du tronc est
du tronc, attitude particulière et contracture légère des mains,
marche
difficile et hésitante, gâtisme. L'en- fant a s
e la vie. - Athrepsie. - Premières dents vers six mois, début de la
marche
à 4 ans : -' côté gauche plus faible que l'autr
5me n'en possèdent chacun qu'une seule. L'enfant se ¡ tient debout,
marche
seul, mais en traînant un peu la jambe . gauche
noncé : parole bornée à deux mots même mal appli- qués, gâtisme,
marche
tardive, affaiblissement paré- tique des membre
ct monstrueux de la tête et de la face à la naissance.- Début de la
marche
à 15 mois,- de la parole à18mois,-de la propret
in par sa mère et ne fut sevré qu'à 15 mois environ. Le début de la
marche
fut à 15 mois; celui de la parole à 18 mois. Il
arfois ses manies, ils le virent monter les escaliers en dehors des
marches
en s'accrochant à la rampe ; la mère d'un autre
a de la classe aux cabinets de la cour sans qu'on le con- duise. Il
marche
le corps droit les mains tendues en avant. Il n
ion complète de 15 à 18 mois. - Début de la parole à 18 mois, de la
marche
à un an. Premières et uniques convulsions à un
- tique. Fig. 13. (Août 1891). 1893. Janvier. - Aggravation. La
marche
devient de plus en plus difficile et le gâtisme
t. Décembre. - Co ? ît7*acfure des membres inférieurs qui rend la
marche
impossible. La parole se limite progressi- veme
s notes annuelles, le maladeest de plus en plus en déchéance; il ne
marche
plus, ne DESCRIPTION DU MALADE. 153 parle plu
oqués peu étendus, la station debout tout à fait impos- sible. - La
marche
, possible il y a quelques années, n'existe plus
ade meurt à 11 heures du soir. La température après la mort a eu la
marche
suivante : 156 II·.NI\GO-NCÉPHAL1TR. Autopsie
'a fait que s'accentuer progressivement jusqu'à l'issue fatale ; la
marche
, de plus en plus difficile, devient enfin impos
e; le gâtisme, de plus en plus fréquent, devient permanent. V. La
marche
de la température après la mort, ici, confirme
2 heures de l'après- midi, tremblement, faiblesse et sueurs. Deb...
marche
dillici- lement. Sueurs dans la nuit. Urine de
prononciation est meilleure ; les lèvres sont moins violacées ; la
marche
qui d'habitude était lente et pesante semble de
tion imparfaite et en retard. - Encore malpropre à l'entrée. - Ne
marche
pas seule. Premiers mots à 2 ans. - Affectivité
séjour (elle est devenue propre au bout de quelques semaines). Elle
marche
assez bien, à la condition d'être toujours tenu
5, 192 . THÉRAPEUTIQUE. - n 2'a';juillet. - L'appétit est bon, la
marche
est plus assurée, : la physionomie est plus éveil
le teint est moins jaunâtre. Septembre. Gangl ? est plus alerte, la
marche
est deplus en plus ferme, elle prête plus d'att
es mouvements s'assouplissent. La préhension est moins lente ; la
marche
plus légère et plus rapide. La taille se déve-
re- mière dent Ù six mois ; dentition complète à ving-huit mois ;
marche
à seize mois. - Propre à dedans. Début de la pa
à six mois, dentition complète à vingt-huit mois sans accidents ;
marche
à seize mois (plus tard que ses frères et soeurs)
établissement des règles, les progrès intel- lectuels ont suivi une
marche
ascendante. C'est alors aussi que s'est produit
du thorax et de la colonne vertébrale. Le début a été insidieux, la
marche
lentement envahissante, sans manifestations doulo
rière, sautant d'un pied sur l'autre, accélérant ou ralentissant sa
marche
, et élevant les bras qu'elle agite au- dessus d
ujets normaux. De même, M. P. Richer analysant chez l'homme sain la
marche
et les diffé- rentes variétés d'attitude, en mo
égion du centre ovale qui est sous-jacente au ventricule sphénoïdal
marche
de dedans en dehors, sous la forme d'une lame hor
sa sortie de l'hôpital le malade était incapable de manger seul. La
marche
a toujours été possible, et le malade n'a jamais
bre inférieur gauche s'est progressivement affaibli au point que la
marche
est impossible actuellement. État actuel. 21 dé
les mouvements ; il n'est nullement atteint par la paralysie. La
marche
est impossible sans appui. Le pied gauche se plac
DE LA SALPÊTRIÈRE REVUE DES MYOPATHIES" DE LA STATION ET DE LA
MARCHE
' CHEZ LES 311'O1'ATI31QUES Les malades attei
ttitudes, de leurs différents mouvements, et en particulier de leur
marche
, des irrégularités intéressantes qui, ana- lysé
l'étranger, nous donnons une intéressante étude sur la station et la
marche
des uyo- spathiques comparées à celles des suje
pathologie, il sera bon de faire précéder son étude par celle de la
marche
physiologique dont j'exposerai rapidement les p
sur quelques faits importants au point devue de la station et de la
marche
. D'abord, l'état des muscles des membres inféri
US-OPTIQUE. L. BATTAILLE FT C' 'DI'" URS DE LA STATION ET DE LA
MARCHE
CHEZ LES MYOPATHIQUES 133 Si en effet le gastro
Les mêmes conditions d'équilibre persistant DE LA STATION ET DE LA
MARCHE
CHEZ LES MYOPATHIQUES S 135 chez les atroplliqu
g. 12. '136 NOUVELLE ICONOGRAPHIE Il LA SALPÊTRIÈRE E II. - De la
marche
. Avant de décrire les traits principaux de la d
la cause physiologique, je dois entrer dans quelques détails sur la
marche
chez les sujets sains. 1° Élude de la marche ch
lques détails sur la marche chez les sujets sains. 1° Élude de la
marche
chez les sujets normaux. Grâce aux remarquables
de la clinique, j'ai pu entreprendre une étude très complète de la
marche
normale, étude qui confirme pour la plupart les
eux pas entrer ici dans tous les détails d'une étude complète de la
marche
et je me bornerai aux côtés de la question dire
yopathies. Si l'on veut mettre quelque clarté dans une étude sur la
marche
, il faut d'abord nettement définir ce qu'on ent
ne façon précise la nomenclature de ces éléments constitutifs de la
marche
, la marche après tout n'étant qu'une succession
écise la nomenclature de ces éléments constitutifs de la marche, la
marche
après tout n'étant qu'une succession de pas. Or q
gne aussi par pas l'espace qui s'étend d'un pied à l'autre quand on
marche
. Ainsi dans le langage ordinaire un pas est con
ou d'un pas, et réciproquement. Fig. 43, DE LA STATION ET DE LA
MARCHE
CI ! EX LES MYOPATHIQUES s 137 Il est un moment
LA MARCHE CI ! EX LES MYOPATHIQUES s 137 Il est un moment, dans la
marche
, comme le démontrent très nette- ment nos photo
latéral. Celle période est beaucoup plus longue que la première. La
marche
se com- pose donc d'une succession dédoubles ap
LA SALPÊTRIÈRE 1° Période du double appui. DE LA STATION ET DE LA
MARCHE
CHEZ LES MYOPATHIQUES 139 la jambe portante dan
rse en avant et en ar- rière, mais il est fort peu accentué dans la
marche
normale. Puis un mouvement de rotation sur son
sversal du bassin est parfaitement perpendiculaire à la ligne de la
marche
. Puis l'obliquité se reproduit à nouveau mais en
occupe la périphérie. Mais ce n'est pas tout. Le bassin pendant la
marche
reste-t-il parfaite- ment horizontal ? N'inclin
atholo- gique, opposition ni contradiction. Pour en finir avec la
marche
normale, je dois encore signaler un mou- vement
nuation ou leur exagération, impriment pour une bonne part à la dé-
marche
de chacun de nous son caractère particulier. Les
des muscles du bassin et en parti- culier des fessiers, pendant la
marche
. Les muscles antérieurs du bassin concourent à
Le grand fessier joue un rôle très restreint, tout au moins dans la
marche
sur terrain horizontal. On peut le constater de
s il n'en est pas de même des moyens fessiers dont l'action dans la
marche
est capitale. On voit les moyens fessiers entrer
clinait du côté oscillant, mais très légèrement. ' 2° Élude de la
marche
chez les myopathiques. Nous sommes maintenant e
er. Fig. 16. Inclinaisons opposées du tronc et du bassin pendant la
marche
: D, G, chez un sujet normal ; D', G', chez un
sujet normal ; D', G', chez un myopathique. DE LA STATION ET DE LA
MARCHE
CHEZ LES MYOPATHIQUES 141 La démarche en canard
persiste. Telles sont les considérations auxquelles l'élude de la
marche
normale nous conduit pour trouer l'explication
et a été caractérisée surtout par l'impotence fonctionnelle dans la
marche
, l'action de se relever, etc ? par une altitude c
que l'habitus des malades, leur démarche, leurs attitudes, etc. la
marche
et le développement delà maladie, l'hérédité, P
Jusqu'ici il n'a été question que de troubles de la station et de la
marche
. A 18 ans les membres supérieurs furent atteint
ment sont assez atteints pour qu'il y ait chute du pied pendant la
marche
. Il en résulte due les chaussures de la malade
mblement des mains. Mais les jambes naeollelit par- fois pendant la
marche
. La déglutition et la mastication se font régul
). > r 5° Les modifications survenues dans la station et dans la
marche
, j 6° L'hérédité de la malade. ' ) - - - ** **~
elle révèle cependant des modifications dans la station et dans la
marche
qui sont l'indice d'une altération incontestable
complet de la pseudo-hypertrophie dans la station debout, clans la
marche
, dans l'acte de se relever, et qui cependant, qua
cher, monter et descendre des escaliers sans trop de difficulté. Il
marche
« en canard » en se balançant il l'excès. Cette i
but est lent, progressif. La maladie s'observe chez les adultes, sa
marche
est chronique; l'éminence thénar est la localisat
d dans la mor- phologie du corps et de la face, dans l'attitude, la
marche
et les mouve- ments des sujets qui en sont atte
scases, Avril 1893, n° 4, p. 252. F. Raymond. Atrophie musculaire à
marche
progress., chez des syphilitiques. Soc. med. de
core assez librement en s'appuyant sur une canne. Il déclare que la
marche
n'est pas douloureuse et qu'il serait bien plus a
nt impossible d'en découvrir chez lui le moindre vestige. Cet homme
marche
d'un pas délibéré sans fatigue, sans la plus pe
uleur est nulle. sauf par périodes d'une très courte durée, mais la
marche
est pos- sible. Malgré la dislocation extraordi
mais aperçue de trou- bles dans sa démarche ni de gène aucune ;« sa
marche
, dit-elle, n'avait ja- mais changé » avant son
a jusllu'au 29 décembre. Depuis lors, de plus en plus gênée dans la
marche
, elle a passé dans divers services hospitaliers
blyopie légère, et depuis six mois difficultés plus grandes dans la
marche
. Elle marche avec un bâton depuis son retour de L
e, et depuis six mois difficultés plus grandes dans la marche. Elle
marche
avec un bâton depuis son retour de Lourdes et a
ure ressenties surtout dans le talon et dans les doigts de pied. La
marche
était normale. C'est il cette époque que le malad
. C'est vers cette même époque qu'apparaissent des troubles dans la
marche
, la sensation d'épais tapis sous les pieds, le
ant un matin, le genou céda brusquement et à partir de ce moment la
marche
sans béquilles ou sans canne devient impossible
d'incoordination motrice apparente dans les membres inférieurs, la
marche
sans béquilles est impossible par suite des art
llet fil cul. Le malade peut se tenir sur cette jambe et, lorsqu'il
marche
avec ses béquilles, c'est elle seule qui soutie
les tégu- ments décolorés et présentant la teinte jaune paille. La
marche
est difficile et il existe de l'anorexie électi
du rachis, on ne voit pas de courbure compensatrice (PI. XXXV). La
marche
du malade n'est pas gênée par la difformité ; i
yotrophie visible, les troubles trophiques, la cypho-scio- lose, la
marche
lente de l'affection, la dissociation de la sensi
tingue par certaines particularités du type commun. Tout d'abord la
marche
; l'affection a débuté par des lésions trophiques
É 279 D'abord, on peut admettre que la raideur des jambes après une
marche
exces- sive phénomène bien connu de nous tous e
er un ordre sommaire il la moelle qui l'exécute dans son entier. Je
marche
en vous parlant, mais mon cerveau ne calcule pas
duit, pour des raisons mal connues, des névritespéri-articutaires à
marche
ascendante; ces faits, si intéressants, différe
articulaires longtemps répétés seront nécessaires : dans ces cas la
marche
et l'im- portance de l'amélioration à espérer d
tait complète, celle du genou gauche incomplète; elles rendaient la
marche
complètement impossible; M. Jeannel réséqua le ge
e réu- nion osseuse complète et rectiligne; la station debout et la
marche
rede- vinrent possibles, ainsi que M. Jeannel l
faits publiés, toute influence fâcheuse de l'interven- tion sur la
marche
de la lésion médullaire. A. Chipault. LES MIR
tique, les forces physiques sont relativement bien conservées. Elle
marche
comme tout le monde, avec des mouvements un peu
riger avec une grande logique. L'incohérence des mouvements dans la
marche
et l'attitude ébrieuses n'est qu'apparente. L'i
nt exalté. Malgré cette intégrité relative, la station debout et la
marche
sans aide sont impossibles; la malade est insta
ôté gauche, au point de tomber, si on ne la retient pas. Quand elle
marche
, elle traîne la jambe, mais ne penche pas. On not
ver seule de sa chaise, se tenir debout sans menace de' chute. Elle
marche
dans la salle en s'appuyant aux lits : sans cet
jours de suite. Depuis le 24 janvier il ne peut plus rien faire. Il
marche
plus difficilement et de plus sa parole s'est e
v. Henri arrive en traînant la jambe droite péniblement. Pendant la
marche
le pied droit est porté en avant avec une certa
qu'on lui dit. La motilité de la langue est toujours intacte. 3. La
marche
devient de plus en plus difficile et le malade pe
les, formés selon toute vraisemblance d'un grand nombre de filets à
marche
parallèle, qui ne se sépareront, que d'une part
tré ; et, deux ou trois jours après, je lui permets de se lever. La
marche
est d'abord pénible ; le malade est obligé de s
232, 286. BICHER (Paul), De la station, z. De la station et de la
marche
chez les myopathiques, 130. Rtcttt : e (Paul)
ant des frictions stimulantes, du massage, etc. Pour régulariser la
marche
de ceux qui ont des mouvements irréguliers, incoo
Bonnav..., Rio.., Mart... — (3) Bonnav..., Jeun... Dès qu'un enfant
marche
sans aide, il doit être envoyé à la Petite École,
pas, et ne mangeait pas seul; il était grand gâteux. Actuellement, il
marche
, parle, raisonne même bien, s'habille et se désha
orts. D'autres fois, des accidents imprévus-viennent com-promettre la
marche
en avant qui s'annonçait comme définitive. Tel es
nom des notes, il sait qu'il a la note do sur lui (le dos), que l'on
marche
sur le (.soi),que Za, si (la scie) est chez le me
ue, fait défiler à la fin de ces exercices les enfants aux sons d'une
marche
, participe au Concert Lionnet, etc. Concerts. —
ent des exercices d'assouplissement, exercices gradués aux appareils,
marches
. Tous ces exercices se font aussi, avec chant et
maigrissement, affaiblis-sement progressif des forces, troubles de la
marche
, (1) Pour faciliter la surveillance tics enfant
guisements du Mardi-gras et de la Mi-carême. Menuiserie. Fait les
marches
de l'escalier des ateliers, 4 tremplins, une pout
doit employer, clans la mesure de ses possibilités : exercices de la
marche
, des jointures, massage, gym-nastique, exercices
cabinets»; la nuit il lui arrive rarement d'uriner au lit. — L'enfant
marche
maintenant seule, elle trottine partout, monte et
eul point l'intéressait c'était sa toilette. Elle était lente dans sa
marche
et dans ses mouve-ments. En classe, ellencconnais
en était ainsi pour tout ce qu'elle demandait. Vu sa paralysie, la
marche
était nulle, elle ne se tenait debout que sur le
petite conversation; répond directement à ce qu'on lui demande. Elle
marche
bien, tout en traînant sa jambe malade, ce qui ne
, elle retient les airs de chansons avec une facilité étonnante. Elle
marche
très bien seule, monte et descend les escaliers t
avec ses petites compagnes, recon-naît les personnes au parler, à la
marche
. La sensibilité tacti-le est aussi très développé
e entend, connaît les enfants et les personnes de son entourage. Elle
marche
très bien, court partout comme un vrai furet. Ell
tte. Aujourd'hui, elle s'est améliorée sous bien des rapports; elle
marche
seule, trottine du matin au soir, fait aller ses
somme, l'amélioration est notable au point de vue intellectuel, de la
marche
et du caractère. Imbécillité avec turbulence, v
te qu'elle tient à présent des conversations avec ses compagnes. Elle
marche
bien, monte et descend facilement les escaliers,
C'est surtout sous le rapport de la propreté, de la paro-le et de la
marche
que les progrès de cette enfant sont sensi-bles.
endre part aux exercices scolaires et dont la présence retarderait la
marche
des études et serait une cause de désordre, parfo
. On commence l'éducation de la propreté et on fait l'éducation de la
marche
, par l'éducation des réflex-es et en créant des h
renant à monter et à descendre l'escalier, à sau-ter une, deux, trois
marches
, à se débarbouiller tout seul, à faire de petits
— Première dent à 7 mois. — Dentition complète à 2 ans. — Début de la
marche
et de la parole à 17 mois. — Propreté à 18 mois.
— Première dent à 7 mois ; dentition complète à 2 ans. — Début de la
marche
et de la parole à 17 mois. — Propreté à 18 mois.
ique et physiologi-que n'offre aucune particularité. Attitude bonne ;
marche
, course, saut, préhension, fonctions digostives,
ompagne les paroles qu'il prononce d'un dandinement du corps ou d'une
marche
saccadée. Il apporte à tous ses actes une grande
eur, 8 cent.; circonférence, 8 cent, et demi. — Le malade s'affaisse,
marche
la tête inclinée, le corps penché. [Fig. 12.) F
. Dentition complète à (?). Début de la parole à 14 mois. Début de la
marche
à 18 mois. Propre à 3 ans. Pas de convulsions. Ir
puis les premiers jours de la naissance. A partir de décembre 1897,
marche
progressivement difficile avec chutes, affaibliss
trébuche fréquemment, (om'je facilement, ses jambes fléchissent, elle
marche
mal, aussi bien le jour que la nuit. En môme temp
nze jours après sa sortie de l'hôpital, c'est-à-dire en mars 1898, la
marche
devient encore plus difficile, la parole un -pe
dans la station verticale, elle estsoute-nue sous les aisselles, elle
marche
, mais cette marche est incertaine, vacillantte ;
ticale, elle estsoute-nue sous les aisselles, elle marche, mais cette
marche
est incertaine, vacillantte ; l'enfant avance, le
it été à peu près normale. III. La maladie aurait débuté à 12 ans :
marche
trébuchante, étourdissements, sommeil mauvais, ré
t d'accidents qui pouvaient faire craindre une méningite. A 13 ans,
marche
de plus en plus difficile, embarras de la parole,
elle était élevée, on a continué de la prendre chaque jour. Voici sa
marche
: Matin. Soir. 17 mars......... 37°( 37=7 1
mmeil agité par des cauchem ars, gâ t i s me. La déchéance physique
marche
de pair avec la déchéance intellectuelle. La préh
r la fièvre typhoïde (1), on a bien rarement l'occasion d'observer la
marche
do la température durant le stade initial ou des
tion fut complète. — Elle ne connait pas le début de la parole, de la
marche
et de la propreté. C'est à 4 ans qu'ont débuté
repas il ru-mine les dernières bouchées et les crache sur le sol. La
marche
est ferme, droite, le sommeil n'est jamais troubl
ication imparfaite. VI. Malgré le traitement l'épilepsie a suivi sa
marche
habituelle : augmentation annuelle des accès ; dé
ques ennuis. — Accou-chement et naissance: rien. — Dentition tardive,
marche
îi 2 ans. Jamais de convulsions. Normal jusqu'à 1
edans, pieds-bots envarus équin réductibles par une pression modérée,
marche
possible, mais lente, l'enfant ne peut sauter ni
on a continué à la prendre régulièrement. (Voir p. 138). Elle a eu la
marche
suivante : Matin, Soir. 17 décembre I" jour .
es points. Elle se tient toujours mal, courbe son corps on avant mais
marche
un peu mieux, en se dandinant. L'enfant a fait
ordres donnés, elle ne s'y soumet pas et fait tout le contraire. — La
marche
serait meilleure si l'enfant voulait se donner la
ière de l'affection estmanil'ostement congénitale. La dentition et la
marche
ont été tardives. Survient la chute à onze mois.
inférieurs avec déformation paralytique des pieds en varus-équin. La
marche
de l'enfant à été de ce fait retardée et toujours
V A, P A et un peu du lobe paracentral. De pair avec cette parésie
marche
l'idiotie de l'enfant, le gâtism e, la difficulté
. Séglas (.1.). — De l'influence des maladies intercurrentes sur la
marche
de l'épilepsie. Thèse de Paris. 1881. Ridel-S
ues pas pour gagner doucement la grande allée, il s'aperçoit que sa
marche
s'accélère malgré lui et qu'il lui est impossib
s, tous les muscles sont le siège de contractions irrégulières ; la
marche
est gênée, difficile, saccadée ; aussi la malad
endant la maigreur est extrême. Il n'y a rien de régulier dans la
marche
de la chorée ; cer- tains jours, la malade est
'accrocher des deux mains aux deux roues de derrière d'un fiacre en
marche
. S'il est au lit, quelquefois on observe les ph
en raison de l'état intellectuel de. V..., de lui faire préciser la
marche
exacte de cette sensation.. On peut seulement s
urs fois des convulsions ; n'a pas été en retard pour la parole, la
marche
et la propreté. De cinq à douze ans, il a été e
Asphyxie à la naissance; convulsions ri dix-huit mois,. - parole et
marche
tardives; - rougeole; - ophthalmie. - Premier a
Coma. Pas de troubles intellectuels à la suite des accès. Voici la
marche
des accès : DE l'épilepsie PROCURSIVE. 73 Pas
rsifs, et ici nous n'enten- dons pas parler des actes automatiques (
marche
, etc.), observés fréquemment après les accès, s
erniers temps, plusieurs accès et vertiges précédés de course ou de
marche
. 94 DE l'épilepsie procursive. DE PROCURSIVE.
près cire descendu d'abord verticalement dans la deuxième frontale,
marche
en- suite parallèlement à elle vers son milieu
t en 1886. Dans les deux cas, la tena- pérature centrale a suivi la
marche
régulière signalée souvent par l'un de nous (tî
rs, On Epilepsy, p. 121.) de l'épilepsie procursive 111 montre la
marche
de la température dans un état de mal qui se te
at de mal qui se termine par la guérison; le second nous donne la
marche
de la température dans un cas d'état de mal abo
é le 20 mars 1876. Ce malade' a des vertiges diurnes accompagnés de
marche
. - Après les accès nocturnes il se lève parfois
ues précédant immédiatement l'accès. - Mor.... se frotte la tête et
marche
en disant : « Oh ! j'ai mal à la tête, je vais
tumeurs blanches. - Première dent ci sept mois; parole ci un cacz,
marche
à quinze mois. - Coqueluche à deux ans et demi,
t comme poussé violemment et la pro- cursion n'était pas une simple
marche
. Les accès survenus, les vertiges ont disparu e
ix ans. 1882. 17 mars. - A son entrée, on constate que Maisonh...
marche
avec difficulté et s'affaisse souvent sur lui-mêm
e. 12 juillet. - Maisonh... peut se tenir sur ses jambes, mais la
marche
est titubante et il tomberait si on ne l'aidait.
1884. 18 juillet. Augmentation considérable du nombre des accès. La
marche
est redevenue impossible et n'est possible qu'à l
énua plus tard de manière à permettre quoique incomplè- tement la
marche
. Ces symptômes : prédominance des convulsions e
de côté et d'autres, d'une durée quelcluefois d'une heure, ou d'une
marche
d'un pas rapide dans le corridor; - 2° soit en
res étaient limités en étendue, environ six pieds de diamètre. La
marche
était quelquefois chancelante sans paralysie. La
e rencontrée à l'autopsie, locomotion involontaire, rotation, dé-
marche
chancelante, bégaiement et tremblement de la pa
au bout d'un temps plus ou moins long, des accès à type commun; la
marche
est alors celle de l'épilepsie commune. Il semb
t, en effet, peu atteinte et la mémoire semble bien conservée. La
marche
et la durée sont celles de l'épilepsie ordi- na
remière enfance. - Placé en hospice à huit ans. - Difficultés de la
marche
et chutes par exagération des mouvements des ja
lente des mouve- ments sous l'influence de l'hydrothérapie et de la
marche
avec le chariot. - Transfert du malade aux viei
loréique. L'enfant ne peut, seul, se soutenir sur les jambes ; s'il
marche
ou remue les bras, il ne peut prendre une direc
acilités pour le calcul qui ne sont pas les mêmes pour la lecture ;
marche
moins difficile. - 1864. Février : Il épèl(eL r
rfois il est entraîné malgré lui de côté, et tombe très souvent. La
marche
est plus difficile quand on le re- garde. « Çà
e petites secousses rappelant celles des pantins à ressort. Dans la
marche
, D... porte le tronc un peu en arrière et incliné
vements de ses doigts. Tandis que seul, sans aucun secours, il ne
marche
que lentement, dans son chariot, il peut marcher
. Le signe de Rom- berg n'existe pas : le malade se tient debout et
marche
aussi bien les yeux bandés que lorsqu'il a les
n arsenicale. - Susceptible d'éducation, affectueux. - Exercices de
marche
; hydrothérapie. - Améliora- lion progressive. -
e d'habitude son temps couché ou assis sur un fau- teuil. Parole et
marche
nulles. - Traitement : toniques; exercices de m
uil. Parole et marche nulles. - Traitement : toniques; exercices de
marche
; de plus, on le placera trois fois par jour sur l
lm,35. Hydro- thérapie du 4·' avril au 11 octobre, et exercices de
marche
. le, juillet. - On le descend dans la cour tous
r au bassin. On le fait descendre tous les jours dans la cour où il
marche
à l'aide d'un chariot. Sa mère a pu le prendre
lument comme chez le malade de la pre- mière observation. Dans la
marche
, qui n'est possible qu'avec un aide, Lem... sou-
sur la pointe et le bord interne. Chez Lem..., les caractères de la
marche
sont absolument sem- blables à ceux que nous av
us avons constatés chez Derno... avec cette seule différence que la
marche
est beaucoup plus imparfaite. Sous l'influence
Au dynamomètre Mathieu moyen, on trouve 5 des deux côtés. Dans la
marche
à pieds nus, on constate de nouveau que les pie
le sol et que les orteils sont animés de mouvements d'athétose. La
marche
ne parait pas modifiée, lorsque les yeux sont f
ntenant faire ressortir l'analogie du début, des symptômes et de la
marche
de la maladie dans nos deux observations. 1°
hent, les genoux sont en contact, les jambes très écartées. Dans la
marche
les membres inférieurs sont demi-fléchis, les c
qu'il ne convient et ils ne reposent pas en totalité sur le sol. La
marche
s'effectue à peu près en ligne droite et se com
nus, ce qu'ils déclarent moinsbien faire qu'avec leurs souliers. La
marche
n'est pas modifiée par l'occlusion des yeux.
'autre de nos malades n'a de vertiges et n'offre de nystagmus. La
marche
de l'athétose double offre des caractères tout à
marcher en les soutenant sous les bras, enfin, on perfec- tionne la
marche
à l'aide du chariot. Chez nos deux malades nous
odifiée très avantageusement, mais non d'une maladie qui suit une
marche
progressivement ascendante du début à la mort.
lus tard une paraplégie, qui peut s'améliorer au point de rendre la
marche
possible, mais qui reparait après une rémission
s chez nos malades pour qu'il soit nécessaire d'insister. Enfin, la
marche
des deux affec- tions n'est pas la même; d'une
chares) qui compliquent si souvent l'ataxie locomotrice. Enfin la
marche
des deux maladies ne présente aucune analogie.
les membres supérieurs et vont en augmentant progres- sivement. La
marche
, peu modifiée il l'origine, devientde plus en p
la face, etc. ; les désordres de la motilité sont généralisés ; la
marche
s'améliore et n'est pas modifiée par l'occlusio
dans la situation assise chez les athétosiques. Debout ou dans la
marche
, l'agitation est encore plus pro- noncée : le c
n arrière, elle ne coexiste pas avec l'imbécillité ou l'idiotie. La
marche
des deux maladies n'est pas non plus compa- rab
yal et achète pour cinq sous de jambon et quatre sous de pain. Il
marche
toute la nuit sans parler à personne, dit-il. Le
cité. Il jette des cailloux aux petits enfants, jamais aux grands ;
marche
à grands pas dans la cour, s'arrête parfois tou
lendemain il entrait à l'infirmerie, incapable vu la difficulté de la
marche
, de faire son service; puis à l'hôpital pendant
ale chose dont il se plaint est une difficulté considérable dans la
marche
. Il peut l'aire d'assez lon- gues promenades à
est-à-dire à l'é- poque où sont survenus des troubles sérieux de la
marche
. Le malade en effet éprouve des lassitudes cons
vu leur réflexes s'exa- gérer considérablement; sous l'influence de
marches
fatigantes la trépida- tion spinale s'est montr
tions à la vérité discrètes de la syphilis médullaire, mais dont la
marche
n'en est pas moins inéluctable et peut en somme
souvent et beaucoup plus sûrement que les myélites spasmodiques il
marche
lente et insidieuse. Nous avons observé dans le
1892. 22 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Etat actuel et
marche
de la le DrValmontvoit l'enfant pour la premièr
t allongée ; le pied légèrement tourné en dedans, traîne pendant la
marche
, conformément à la description de Todd, plutôt
formément à la description de Todd, plutôt qu'il ne fauche. Mais la
marche
elle-même ne de- vient possible pour le petit m
d'avoir il lui raconter une série de faits aussi étranges dans leur
marche
et dans leurs caractères. C'est précisé- ment c
deux ordres : les contractures tardives dont le début est lent, la
marche
graduelle comme celle de la paralysie primi- ti
primitive, tandis que les troubles trophiques sont rares. Enfin, la
marche
de cette contracture est capricieuse, sa durée va
les de sensibilité qui accompagnent cette monoplégie. Plus tard, la
marche
alternante, la guérison brusque de l'affection
ne se rencontrent pas dans les aphasies organiques, et ceux où, la
marche
de l'affection étant intermittente, on a eu affai
e la cause ou du mode de début et celles où t'affection a suivi une
marche
progressive, un certain embarras de la parole a
t ten- dance à disparaître. Le retour de la sensibilité poursuit sa
marche
toujours ) lente, mais progressive. En somme,
IIQUES Observation I. Tabès dorsal. Troubles de la station, de la
marche
et de la sensibilité. A1,thropathies multiples.
ahit toute l'articulation, mais ce n'est que cinq mois après que la
marche
devient presque impossible. A plusieurs reprise
aux extrémités inférieures. La malade peut se tenir debout et si la
marche
est difficile, c'est à cause des déformations a
dont l'histoire est la suivante : Née avec des pieds normaux, elle
marche
à 16 mois et se porte bien jusqu'à l'âge de 4 ans
présen- ter la moindre apparence d'un processus inflammatoire. La
marche
en est à peine gênée. La déformation allant progr
llement (février 1893) elle est âgée de 18 ans, elle se porte bein,
marche
sans difficulté, mais le pied est resté raccourci
pas de rétrécissement du champ visuel. Extrémités inférieures : La
marche
et même la station sont complètement impossible
qu'il n'en est pas dont les ca- ractères soient aussi variables, la
marche
aussi capricieuse. Serait-ce trop s'avancer que
eudo-méningite hystérique procède par crises et soubresauts dans sa
marche
, que les antécédents du sujet et la re- cherche
rculeuse. L'auteur de cette observation intéressante affirme que la
marche
des ac- cidents méningitiques constitue ici une
ibilité, n'était pas très incom- modé par ces lésions, même dans la
marche
. En février de cette même année (à 44 ans), un
de et du repos absolu, et d'aggravation pendant l'hiver et après la
marche
. Il n'a cependant pas dépassé la largeur d'une pi
as de douleurs spontanées. Les lésions gran- dissent en hiver. La
marche
n'est en rien gênée par ces ulcères. Cependant, l
des jambes ; fourmillements et picotements sur les pieds pendant la
marche
. Troubles du sens musculaire. B..... éprouve de
membres inférieurs et aux membres supérieurs. Aucun trou- ble de la
marche
, ni de la miction, ni de la défécation. Tandis qu
anormale. Il n'y a pas d'empalement autour des hanches. Jean Moneg
marche
avec peine, il se déhanche ; la fatigue vient rap
philis, dans les centres nerveux, paraissait suivre fréquemment une
marche
descendante. Nous verrons plus loin comment celte
les lésions syphilitiques, dans les centres nerveux, suivaient une
marche
descendante. Il semble que cli- niquement il so
'état est le suivant : cessation complète des douleurs du côté ; la
marche
est meilleure. Mme M. peut aller et venir en s'ap
le- ci est apparue également à gauche, légère et n'entravant pas la
marche
. Etat t stationnaire de la paralysie oculaire.
une faiblesse croissante des jambes, surtout de la jambe droite. La
marche
a été difficile de- puis cette époque; mais jam
e de la faiblesse et du spasme dans le membre in- férieur droit. La
marche
est possible ; elle se fait même assez bien et as
nt est bien revenu, surtout dans les mem- bres supérieurs ; mais la
marche
est restée pénible. Actuellement (février 1893)
que, douleurs très ives tout le long de la colonne vertébrale. La
marche
est restée bonne cependant ; mais ce qui la renda
, rien d'anormal. Les réflexes sont présents, sans exagération ; la
marche
est parfaite, sans incoordination aucune. La mala
s complètement fermé. La diplopie maintenant gêne la malade dans la
marche
. L'amélioration s'accentue graduellement pendan
tation, il marchait seul avec l'aide de deux béquilles. Ce matin la
marche
est tout à fait impossible ; la paraplégie est de
locomotrice, l'atrophie musculaire sous toutes ses formes. Charcot
marche
avec lui dans cette voie féconde, et son tour, de
de stigmates physiques tirés des troubles de la sensibilité, de la
marche
de la température, au-dessus de toute contestat
ais cependant il n'a été obligé de reprendre le lit de nouveau, et la
marche
a toujours été possible depuis lors. Mais la ra
e présente plus de traces extérieures de l'infection spécifique. La
marche
est possible, même sans canne : mais elle est v
arder le lit quelques jours. La paralysie n'est pas complète, et la
marche
est bien- tôt possible de nouveau ; mais celle-
rveux. Poussée aiguë de ménin- gite cérébro-spinale syphilitique, à
marche
manifestement descendante. Ultérieurement parap
cervicale l'avaient été : le malade ne pouvait plus se baisser ; la
marche
était bonne cependant. Mais 2 ou 3 jours après
s. Il se présente avec une paraplégie légère qui n'empê- che pas la
marche
. Quand on lui commande de marcher lentement, et
tire l'attention il première vue. Mais vient-il il hâter le pas, la
marche
est visiblement gênée. Il traîne légèrement la ja
e est raide, elle se plie diffi- cilement dans les mouvements de la
marche
. Par instants, on observe une légère trépidatio
; Ballière 1892. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 261 pieds. Sa
marche
était mal assurée, il titubait. Réformé en mai 18
en juin 1890. Un beau matin ses jambes se dérobent sous lui, et la
marche
devient impossible. Il fut transporté à l'hôpital
Paraplégie spasmodique évidente, plus accentuée du côté gauche. La
marche
se fait bien, à l'aide d'une simple canne ; il
ol. La jambe gauche surtout est raide, ne se fléchit pas pendant la
marche
. La force musculaire est conservée dans les mem
urd'hui, le malade a commencé à ressentir une certaine gêne dans la
marche
. C'était une faiblesse légère accompagnée de raid
se d'un café, il est tombé par terre en se levant pour se mettre en
marche
. Souvent ses jambes s'embarrassaient l'une dans l
érieurs est devenue de jour en jour plus mar- quée, au point que la
marche
est devenue presque impossible sans canne. Mais
canne. Mais jamais le malade n'a été obligé de garder le lit. La
marche
de l'affection a été graduellement progressive, s
ne le condamne pas à garder le lit cependant ; car il se lève seul,
marche
dans la salle avec l'aide d'une simple canne. Seu
septembre 1892, le malade est toujours dans le même état. Même dé-
marche
spasmodique, môme absence de troubles de la sensi
ifiée sen- siblement. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 263 La
MARCHE
de la paraplégie syphilitique, dans sa forme la p
as ; et, dans la plupart d'entre eux, malgré la gêne évidente de la
marche
, due à l'état spasmodique des membres inférieurs,
légie syphilitique reste bénigne, si elle permet le plus souvent la
marche
, il n'en est pas toujours de même ; et il y aur
s que l'in- fluence du traitement spécifique ait modifié en rien la
marche
du mal. L'évolution de ces paraplégies graves,
t fort pénible. Il lui fallait cependant malgré tout se remettre en
marche
: il n'était qu'à mi-chemin, et ses ressour- ce
st telle qu'on ne sait jamais si cet homme va rire ou pleurer. Il
marche
à tous petits pas, le dos raidi, légèrement voûté
S . LE JUIF-ERRANT A LA SALPÊTRIÈRE 285 veaux pays il a dirigé sa
marche
vagabonde ? A quels médecins il a été répéter s
catalepsie, analogue à celle que nous voyons à la moitié droite. La
marche
de l'excitation vers le centre ne change pas la
Les données annmncsliqties auxquelles on a joint la description de la
marche
de la maladie jusqu'au ler février 1801, sonl f
tion, ni aux maladies aiguës citées plus haut. Le développement, la
marche
et l'issue de la maladie ne permet pas d'admett
ins. Chez lui la « plaque sacrée » est spécialement douloureuse. Il
marche
raidi et évite de ployer l'échiné. Les douleurs
assis que debout, et plus aussi quand il est immobile que quand il
marche
. Les changements de temps, les orages surtout exa
ontracture, pas de paralysie. La pression des mains est forte. La
marche
est normale. On remarque cependant une certaine r
, ce fait que les douleurs dont il souffre sont moindres pendant la
marche
que pendant le repos. On pourrait trouver ta un
ent, pour ainsi dire, par accident. Les lésions ont ainsi suivi une
marche
graduelle et envahissante et, actuellement, le ma
qui paraît bien possible, étant donnée la symétrie des lésions et la
marche
delà maladie, on ne la connaît du moins pas encor
s au point de vue nosographique. Je veux parler de l'étiologie, de la
marche
et de la durée, du pronostic, etc. C'est une ma
t les mouvements des jambes. Le bras droit n'est pas agité pendant la
marche
, mais pend toujours, comme inerte, le long du cor
la main, au repos, est celle que nous décrivions plus haut pendant la
marche
. L'index et le petit doigt seuls sont indemnes de
ovoquées par la mise enjeu des actes nécessaires à la station et à la
marche
, ne sont pas chose très vulgaire dans la sclérose
nir le feu du fourneau, debout sur la plate-forme de la locomotive en
marche
, subissant une trépidation continuelle et les sec
re, le malade est debout sur place ; dans la moitié droite, il est en
marche
. Quand le malado est assis, les mains et la têt
ie, la paralysie ou la contracture. Dans ce dernier cas, l'œdème bleu
marche
de pair avec les autres phénomènes locaux et disp
même très fort, n'est perçu que sous forme de léger picotement. La
marche
et la succession des accidents sont bien nettes c
ment notable du pied droit. Chute du pied très manifeste pendant la
marche
. Le pied se pose en deux temps sur le sol. La mal
le du pied gauche. Ce pied laissait traîner sa pointe à terre dans la
marche
. Le malade affirme formellement qu'auparavant il
xagérée pour empêcher les orteils de traîner à terre, lorsque dans la
marche
il porte le membre inférieur gauche en avant. En
re en deux temps, comme cela se produit souvent chez les steppers. Il
marche
assez lentement, posant le pied gauche sur le sol
de la jambe. Démarche.— Le pied est complètement tombant. La malade
marche
difficilement. Elle craint de tomber en accrochan
du nerf, accompagnées de sensation d'engourdissement et de froid. La
marche
était encore facile, lorsqu'il y a quatre mois l'
genou droit plus que le genou gauche, steppe du côté droit ; quand il
marche
un peu vite, il traîne la pointe du pied sur le s
e façon exagérée, car la pointe du pied qui tombe accroche contre les
marches
. Il en résulte une légère claudication. Elle rema
le Duchenne (de Boulogne), le 22 avril 1890, pour la difficulté de la
marche
, et les douleurs qu'elle ressent dans le membre i
se de la douleur que provoque la pression du pied sur le sol, elle ne
marche
pas franchement par pas égaux. Le membre inféri
douleurs « en coup de canif » plus fortes au début et à la fin de la
marche
. C'est au niveau delà partie externe de la jambe
Le malade présente une légère déviation du tronc vers la gauche. Il
marche
-en traînant la face plantaire du pied droit sur l
pour déterminer de toutes pièces le développement de la maladie ; les
marches
forcées, le séjour longtemps assis dans une voitu
ent au creux poplité (nerf poplité externe), assez vive pour gêner la
marche
et rendre fort pénible la manoeuvre de la machine
, existaient spontanément et étaient exacerbées par la pression et la
marche
. Elle indique aussi vaguement les points fessier,
mais le pied reste tombant, il butte contre le moindre obstacle et la
marche
est très pénible. C'est devant la persistance et
Le talon ne touche pas le sol, mais il en est très peu distant. La
marche
se ressent de la faiblesse de la jambe droite et
ieure du tendon d'Achille est douloureuse à la pression et pendant la
marche
. Dans le pied et la jambe, sensations de picote
ensuite et a remonté pour ainsi dire vers la racine du membre. Par la
marche
ascendante, notre observation se rapproche de l'o
e supérieure se combine à une amyotrophie plus ou moins généralisée à
marche
tantôt subaiguë, tantôt lente et progressive. C'e
ie externe se trouve combinée à une atrophie musculaire généralisée à
marche
lente et progressive, reproduisant à peu près les
ostic de l'amyotrophie progressive du type Duchenne-Aran. L'affection
marche
lentement, mais progresse à peu près fatalement,
es genoux se relèvent assez bien et les pieds se détachent du sol. Il
marche
, bien entendu, très lentement et ne peut monter u
du sol. Il marche, bien entendu, très lentement et ne peut monter une
marche
d'escalier. Néanmoins, le malade considère ce qu'
la maladie. Cet auteur donne avec quelques détails complémentaires la
marche
des accidents jusqu'au mois de mai 1890 et l'état
rogressive. Chez le second, le nommé Peyn..., elle a plutôt suivi une
marche
subaiguë avec rémissions, Enfin, dans le troisièm
e la simple faiblesse, s'accusant par une fatigue rapide à la moindre
marche
, jusqu'à l'impotence complète et l'usage forcé de
e de penser chez lui à un effet de l'intoxication saturnine. Enfin la
marche
de l'atrophie, la durée de son évolution, la prés
rsque la paralysie n'est pas complète, c'est-à-dire lorsque le malade
marche
encore, on trouve le signe de Rom-berg et la déma
qu'ils existent, la sensation nette de la nature du sol sur lequel il
marche
. En dehors de ces moments où les fourmillements e
aine difficulté à se mettre en équilibre sur ses deux pieds. Quand il
marche
, ses mouvements ne sont pas incoordonnés du tout,
d il marche, ses mouvements ne sont pas incoordonnés du tout, mais il
marche
à la manière d'un paralytique alcoolique, steppan
e faire ce mouvement anormal du step-page, destiné à empêcher dans la
marche
la pointe du pied tombante de traîner sur le sol.
75 pour une affection nerveuse consistant en une incoordination de la
marche
liée à une faiblesse de toute la moitié gauche du
et il craint qu'on ait dit vrai. En effet, la façon anormale dont il
marche
n'est pas sans analogie avec celle du tabès: il l
t une certaine incohérence, et le malade est obligé de regarder où il
marche
et de calculer tous les pas qu'il fait du pied ga
la trépidation épi-leptoïde provoquée. D'ailleurs, le trouble de la
marche
est accompagné de crampes douloureuses partant de
ade veut poser la plante du pied sur le sol, il n'y parvient pas ; il
marche
sur le bord externe de son pied, comme s'il avait
rononcée au bras et à la jambe, mais davantage à la jambe. Pendant la
marche
, l'avant-bras est à demi fléchi, la jambe est rai
Sommaire. — L'hémiplégique organique vulgaire par lésion cérébrale
marche
« en fauchant. » Observations de Todd. Explicatio
s de Todd. Explication de celte démarche. — L'hémiplégique hystérique
marche
en traînant le pied paralysé, qui derrière lui ba
est fléchi et en supination, la main fermée. Voyez comme cette malade
marche
« en fauchant » de la jambe gauche. Aussi bien, j
ite de lésion organique du cerveau, vous remarquerez que, lorsqu'elle
marche
, elle offre une allure particulière qui a pour bu
ant. Le premier est atteint d'hémiplégie gauche, depuis six ans. Il
marche
le corps penché en avant, traînant la jambe derri
Mais reprenons la clinique de Todd. « L'autre malade, ajoute-t-il, ne
marche
pas de la même façon. Elle traîne le membre paral
oiture, qu'il n'a pas subi le moindre traumatisme. Peu à peu — car sa
marche
a été progressive — l'hémiplégie se développa, pl
à la catégorie des maladies fatalement progressives et incurables. Sa
marche
, en effet, est souvent entrecoupée par des rémiss
Uhthoff, ayant pu avoir des renseignements sur le mode de début et la
marche
des troubles visuels chez vingt-quatre de ses mal
els qui vous mettront sur la voie et finalement vous ferez appel à la
marche
si originale de l'affection. Une investigation ai
la sortie de la malade, qui eut lieu le 2 septembre. A ce moment, la
marche
était encore impossible; il y avait une incoordin
hôpital qu'une rémission se produisit: le tremblement s'atténua et la
marche
devint possible. Depuis lors, cette amélioration
t effacée et difficile à lire. En effet, le tremblement a disparu, la
marche
n'est plus profondément troublée, l'intelligence
ladie date déjà de neuf ans ; il a été marqué par de la gêne clans la
marche
qui est vite devenue titubante et fortement troub
cauchemars la nuit. Elle tombe dans la Seine, elle descend plusieurs
marches
et tombe soudain dans un trou, etc. Il a été impo
Sommaire. — L'hémiplégique organique vulgaire par lésion cérébrale
marche
« en fauchant. » Observations de Todd. Explicatio
s de Todd. Explication de cette démarche. — L'hémiplégique hystérique
marche
en traînant le pied paralysé, qui derrière lui ba
ement, c'est-à-dire entre le chiasma et l'écorcc cérébrale.- , La
marche
des fibres nerveuses qui constituent le nerf opti
ga- nisme, par la découverte d'une tuberculose préexistante, par la
marche
de la température qu'on peut arriver au diagnos
soin de mesurer le degré de la paralysie oculaire et d'en suivre la
marche
progressive ou régressive en projetant une sphè
n demande au malade de regarder du côté paralysé, l'oeil atteint ne
marche
pas, tandis que l'oeil sain se porte en adduction
AUPIÈRES. 105 musculaire et d'un ptosis plus ou moins complet. Elle
marche
par accès qui durent 10 minutes environ. Gerlie
ut sortir seul. Les troubles visuels l'arrêtent brusquement dans sa
marche
. En quelques instants, le brouillard passe, la
En quelques instants, le brouillard passe, la vision revient et la
marche
reprend. Les obnubi- lations intermittentes peu
rdive. Le début peut être lent, ce qui est rare. Le plus souvent la
marche
est rapide, amenant la surdité en quelques jour
débute le plus souvent dans la position debout, surtout pendant la
marche
ou la course, et diminue ou cesse quand le sujet
n train à l'arrêt et que nous regardons un autre train se mettre en
marche
, nous avons la sensation illusoire de notre dép
t, la vue de la campagne ou surtout de gril- iages dans un train en
marche
, par exemple, provoquent facilement des sensati
e connaissance, de choc, en un mot l'intensité moindre du coma. Une
marche
violente, une atteinte profonde des différentes
se lève, va, vient, travaille, exécute souvent des actes dangereux (
marche
dans des conditions d'équi- libre fort difficil
parence les plus insignifiants, les prodromes, le mode de début, la
marche
et l'évolution de l'affection mentale actuelle. N
anentes et progressives, la perte de la mémoire se fait suivant une
marche
régulière, suivant la loi de la régression de l
oubles du mouvement. - La préhension des objets est dif- ficile, la
marche
, le saut sont ignorés du malade dans l'idiotie co
ie complète. Dans les idioties moins marquées, les mouvements et la
marche
existent, mais sont hésitants et difficiles. Ch
ard quand on constate le retard dans l'évolution, le retard dans la
marche
, le retard élans la dentition, la difficulté de m
; Bour- IH'yiJ1e distingue : 1° L'idiotie complète ou absolue. La
marche
, la préhension, la parole, l'attention sont nul
égétative. T L'idiotie profonde. La motilité est moins atteinte, la
marche
est possible; l'appétit existe, quelquefois exa
'hémiplégie au début, mais ensuite elle all'ecte habituellement une
marche
différente. Le plus sou- vent elle ne dure que
ais plus rarement, elle peut durer pendant des années et suivre une
marche
légèrement régressive et parallèle aux troubles
oins atteintes qui recupèrent les pre- mières leur sensibilité ; la
marche
vers la guérison se fait ici de la racine vers
s douleurs sont calmées par le repos, d'autres par le mouvement, la
marche
, certaines positions. Ces différentes notions,
vent la douleur est extrêmement violente, elle est exaspérée par la
marche
et la station debout. En effet, les phénomènes dy
est essentiellement caractérisé par ce fait/que les troubles de la
marche
, la lourdeur, la faiblesse des. membres et les se
ons anormales subjectives, ne surviennent qu'après la fatigue de la
marche
. Ils apparaissent après un temps de marche variab
u'après la fatigue de la marche. Ils apparaissent après un temps de
marche
variable suivant l'ancienneté de l'affection, t
l'on pourrait même décrire une véritable cachexie névralgique. La
marche
et l'évolution des névralgies ne peuvent être sch
érieure de la cuisse. La névralgie s'accompagne de difficulté de la
marche
, de contractions involontaires du cremaster, pa
terne de la jambe, au bord interne du pied jusqu'au gros orteil. La
marche
est difficile et rappelle les paroxysmes doulou
musculaires. Les douleurs de la coccygodvnie sont augmentées par la
marche
, la station assise, la défécation. Le toucher r
nerf sciatique. Des troubles moteurs sont fréquemment observés. La
marche
est par- fois presque impossible à cause des do
des autres les têtes métatarsiennes réveille aussi des douleurs. La
marche
est difficile pendant les crises douloureuses. On
ombaire et de la moelle abdominale. Nous avons suivi jusqu'ici la
marche
de l'excitation qui a porté sur les tendons pat
e l'équilibre ; parfois enfin il s'agit d'une sorte de phobie de la
marche
, d'une astasie-abasie d'origine psychique (Grasse
plégie peut être flasque ou spasmodique.' Dans le pre- mier cas, la
marche
est d'ordinaire impossible; elle est possible tm
aladie est à ce prix, et la connaissance précise des troubles de la
marche
permettra l'appréciation à distance des formes mê
ment il ne s'agit plus d'un simple ralentissement de la course : la
marche
est gênée par la raideur croissante des muscles.
ouve entravée davantage. Les pieds raidis ne permettent plus que la
marche
digitigrade. L'équilibre est difficile il maint
quinisme et la -trépidation nécessitent l'aide de cannes. Le malade
marche
avec des oscillations latérales du tronc [démar
s escarres sont fréquentes, en effet, dans les affections aiguës, à
marche
fébrile, rapide, telles que les méningo-myélite
. Lorsque le malade atteint l'est de façon peu intense et lente, la
marche
est parfois possible. Elle est à la vérité péni
d'abord les éléments du diagnostic différentiel des troubles de la
marche
; nous séparerons ensuite les paraplégies, flasq
le plus compréhensif. Nous ferons remarquer que les paraplégies il
marche
aiguë correspondent à peu près aux paraplégies
ticité ne joue aucun rôle dirimant; dans d'autres circonstances, la
marche
est impos- sible, sans qu'il v ait à proprement
Certains tabétiques arrivent ainsi à présenter une difficulté de la
marche
dont sont responsables il la fois l'ataxie, la pa
mbres semblent raidis, parais- sent avoir oublié le mécanisme de la
marche
. Ils s'avancent trémulants, absurdes. Parfois,
le malade, abandonnant ses béquilles ou lâchant le, bras de l'aide,
marche
comme tout le monde. Un arrêt, et le cycle se r
être provoqué au lit par flexion brusque du pied. Troubles de la
marche
par contractures ou rigidités de nature diverse
l que cette rigidité intermittente apporte un obstacle sérieux à la
marche
. Certaines impotences d'origine strictement, lo
s, même lorsque ceux-ci ne présentent aucun trouble fonctionnel. La
marche
est souvent possible encore; le malade fréquemm
naturellement pendant ces périodes où la contracture diminue, où la
marche
est facile. Le diagnostic est aisé lorsqu'avec.
ter aux envies d'uriner. ' Lorsque surviennent les troubles de la
marche
, on constate une altéra- tion variable de celle
smodicité. On peut,' à vrai dire; observer exactement l'inverse. La
marche
est lente : il faut des mois pour atteindre l'é
as remarquablement graves pour que' la paraplégie soit totale et la
marche
impossible. La D. R. est plus précoce que dans
rophie d'origine névritique. Les malades ont de la difficulté de la
marche
plutôt qu'une impuissance véritable. On peut défi
exister très rapidement une atrophie suffisante pour em- pêcher la
marche
. Dans ces différents cas, la lésion musculaire se
rmittente. Ce syndrome est ainsi caractérisé; au bout d'un temps de
marche
variable, temps qui va se raccourcissant avec les
igne croissantes. Il existe des paresthésies notables et bientôt la
marche
devient impossible. On peut constater un degré
re par exemple à quelque sciatique douloureuse avec impotence de la
marche
. Un examen approfondi de la sensibilité permett
c, On a beaucoup discuté son rôle dans la station debout et dans la
marche
. Le grand fessier est relâché dans la station d
chenne, ce muscle n'intervient ni dans la station debout ni dans la
marche
sur un terrain plat; il a un rôle utile au cont
ur un des membres inférieurs (station hanchée, deuxième temps de la
marche
), ils se contractent pour empêcher le poids du
moment où le corps repose sur le membre inférieur atteint. Dans la
marche
, quand le pied du côte paralysé doit se, porter e
roduit la flexion directe de la cuisse, mouvement important dans la
marche
. Quand le psoas ou le tenseur du fascia lata sont
eur du fascia lata sont seuls paralysés, on observe que, pendant la
marche
, la pointe du pied se dévie en dedans ou en deh
ehors suivant les cas; quand ils sont l'un et l'autre paralysés, la
marche
devient extrêmement difficile. D'après Maissiat
ment ; dans la station debout, l'instabilité est très prononcée; la
marche
est très difficile; la montée d'un escalier imp
s ont une action dans la flexion de la cuisse qui a lieu pendant la
marche
. Lorsqu'ils sont paralysés, la pointe du pied p
la marche. Lorsqu'ils sont paralysés, la pointe du pied pendant la
marche
est déviée en dedans. Quand le chef interne du
a cuisse. L'extension de la hanche est très nécessaire pen- dant la
marche
. Quand ces muscles sont paralysés, l'extension de
s, l'extension de la hanche pendant la station debout et pendant la
marche
n'est plus pos- sible, aussi le malade rejette
rs. Le biceps, le demi-tendineux et le -demi- membraneux pendant la
marche
fléchissent le genou et élèvent le pied au-dess
l'extenseur commun sont paralysés, il en résulte des troubles de la
marche
. Le pied ne pouvant se fléchir frotte par sa po
action très limitée sur la partie interne de l'avant-pied. Dans la
marche
, il est indispensable que le talon antérieur ap
pensable que le talon antérieur appuie énergiquement sur le sol, la
marche
ne serait pas possible si le long péronier laté
ante du pied en avant et en dedans de la malléole externe après une
marche
un peu longue, des durillons douloureux qui se
le corps tout entier, ces muscles ont un rôle pri- mordial dans la
marche
, le saut. Les deux jumeaux contribuent légère-
t soutenir le poids du corps en se tenant sur la pointe du pied, la
marche
est très difficile. Enfin, au bout d'un certain
ace plantaire des orteils ne prend plus appui sur le sol pendant la
marche
ou la station debout ; il en résulte des douleurs
la flexion simple de la cuisse; ces muscles ont une action dans la
marche
. Le muscle psoas-iliaque, en prenant son point
r la notion étiologique,par la symptomatologie concomitante, par la
marche
de la maladie et surtout son mode de début. Ave
ie qui se montrent avec 1 appa- rence d'une monoplégie brachiale il
marche
lente et progressive. Dans les cas de syringomy
d'abduction de la pointe du pied sont presque impossibles. Dans la
marche
le malade est obligé de fléchir la cuisse sur le
neux et demi-membraneux (voir page : in4) ; dans ces conditions, la
marche
est presque impossible. Les troubles vaso-moteu
queuse du larynx et peuvent même localiser les points touchés. La
marche
est variable : incurable et progressive dans les
ntersiitielle. On comprend que la prolifération interstitielle, qui
marche
de pair avec l'atrophie des fibres, puisse pren
ritiques ; enfin l'évolu- tion de la racine vers l'extrémité est la
marche
normale de l'atrophie myélopathique Werdnig-lIo
ifficilement. Si elle a débuté chez un enfant qui marchait déjà, la
marche
devient plus pénible, plus lente, plus prudente;
ed va reposer sur le sol; il peut être plus prononcé et donner à la
marche
l'apparence plus ou moins nette du steppage, il
tébrales déter- mine la même attitude et les mèmes troubles de la
marche
et des mouve- ments que la paralysie pseudo-hyp
res, des cas enfin où l'en- vahissement progressif n'a pas suivi la
marche
ordinaire : des observa- tions de ces formes an
ont habiles de leurs membres, et comme ils supportent facilement la
marche
même prolongée; nous avons connu un amyotro- ph
ie, sont sans doute tout différents de l'atrophie Charcot-Marie. La
marche
de la maladie est extrêmement lente : arrivée à u
es inférieurs, par le début parfois précoce, avant vingt ans; et la
marche
excessivement lente jusqu'à un âge très avancé, p
t parfois précoce, débutant dès la première semaine, et affecte une
marche
subaiguë; presque toujours elle est tardive et
. 46 [A. LÉRI 722 ATROPHIES MUSCULAIRES. hallante du pied et la
marche
en steppant; les muscles du mollet et ceux de l
ssance » dès. les premiers stades de la vie embryonnaire et dont la
marche
progressive paraît fatale. , . L'électricité n'
t par des chaussures spéciales, on peut diminuer les troubles de la
marche
dus à la déformation des pieds; des ténotomies
er la section du tendon d'Achille; elles ne rendent pas toujours la
marche
plus aisée pour un temps durable, et, en revanc
Rendu), comme il est le seul qui paraisse susceptible d'entraver la
marche
progressivement envahissante de l'atro- phie, c
deur diminue et souvent dispa- rait, le muscle s'assouplit. Dans la
marche
, par exemple, les premiers pas se font len- t
se reproduit chaque fois que, après un arrêt, le sujet se remet en
marche
. Ces troubles de la contractilité volontaire ne
es plus complexes sont ceux qui déplacent le corps entier, comme la
marche
, la course, la danse, le saut, mouvements auxqu
de et donnait de la précision au mouvement. C'est surtout dans la
marche
que l'ataxie des membres infé- rieurs devient
nt caractéristique, ou du moins c'est dans les mouve- ments de la
marche
qu'elle se révèle le plus précocement parce q
alaue « ta- lonne », il use ses chaussures par le talon. Pendant la
marche
il regarde avec obstination ses pieds ; la déma
mouvement (mouvement de demi-tour par exemple ou mou- vement de la
marche
), soit dans la station debout sur les deux pieds
bits et imprévus que dans les mouvements presque automatiques de la
marche
. 2° Faire monter et descendre un escalier. C'es
surtout par les oscillations du tronc dans les mouvements, dans la
marche
en particulier, ou dans la station debout et le
llure nettement aiguë et devient très prononcée en peu de jours. La
marche
progressive de l'ataxie n'est pas fatalement prog
tre tout à fait excessive et empêcher complètement non seulement la
marche
et la station, mais même tout mouvement utile des
cérébelleuse se manifeste surtout dans la station debout et dans la
marche
. Pour se tenir debout, le malade écarte notable
que la lésion atteint le pédoncule cérébelleux moyen. Pendant la
marche
, tous les symptômes s'exagèrent : le malade avanc
nnante », inégale ; les tracés des empreintes plantaires pendant la
marche
sont très caractéristiques. Quand les oscillati
ergie), elle peut, au contraire, arriver à empêcher complètement la
marche
et à rendre il peu près inutilisables la plupar
ements isolés, mais surtout par des troubles de l'équilibre dans la
marche
et dans la station. Ces affections forment un g
abès vulgaire par les membres inférieurs : aussi les troubles de la
marche
sont parmi les premiers symptômes; ils sont d'abo
sont alors très caractéristiques. Comme un cérébelleux, le malade
marche
les jambes écartées, en titubant, en festonnant
ement qualifiée de tabéto-cérébel- leuse. Souvent aussi, pendant la
marche
, la tête oscille d'avant en arrière comme chez
peu près les mêmes caractères que dans la maladie de Friedreich. La
marche
est lente, incertaine, ébrieuse et festonnante
iques ont des vertiges, de l'hésitation et de l'in- certitude de la
marche
, parfois une véritable démarche en zigzag, plus
des groupes de muscles qui entrent enjeu dans la station ou dans la
marche
présente, pris isolément ou dans les autres mou
mes un procédé de progression bien plus difficile à exécuter que la
marche
ordinaire et dans lequel entrent généralement en
nte) ; mais ces mouvements compliquent un trouble fonctionnel de la
marche
, ils n'en sont pas la cause, et, à notre sens, l'
variétés de cette affection sont à décrire avec les troubles de la
marche
. [A. LÉRI.] 782 INCOORDINATIONS. TABLEAU DE
poids du corps et son main- tien en équilibre, et des exercices de
marche
. L'importance relative qu'il convient de donner
maintien en équilibre sur une seule jambe plus prolongé que dans la
marche
, con- stituent une complication des exercices d
le cercle, autant que possible sans le toucher. Les exercices de
marche
peuvent être pour la plupart exécutés [A LÉRI,]
côté, à droite et à gauche : mouvements plus faciles que ceux de la
marche
en avant, parce que le corps se maintient [tins
nd les malades exécutent bien seuls les principales modalités de la
marche
, il. peut être utile de les associer entre eux et
et de faire exécuter il plusieurs malades ensemble des exercices de
marche
en avant ou de côté, à volonté ou au commandeme
ambes, mais le raccourcissement des intervalles) néces- saires à la
marche
normale consiste à placer les malades l'un derriè
éplacer mutuellement, etc. Comme appareil pour la rééducation de la
marche
, Frenkel emploie une croix de bois, surmontée o
ibre sur les membres inférieurs étant absolument indispensable à la
marche
. En lait, un seul appareil est vraiment nécessa
un seul appareil est vraiment nécessaire pour la rééducation de la
marche
, c'est un escalier de deux ou trois degrés bas et
exercices des membres inférieurs , exercices au lit et exercices de
marche
, il sera parfois utile de faire exé- cuter quel
sensibilité superficielle et profonde. Aussi, pour les exercices de
marche
, il importera que les femmes soient vêtues d'un c
qui leur permette de voir leurs pieds. Pourtant un homme normal ne
marche
pas en regardant ses pieds, et, pour que la cure
a certainement un intérêt pratique moindre, mais encore manifeste (
marche
la nuit, etc.); on y recourra ou TECHNIQUE. 795
ensable de la rééducation des mouvements des membres inférieurs. La
marche
n'est possible que grâce au maintien en équilib
u à gauche. Mais c'est surtout dans la station verticale et dans la
marche
que les mouvements propres du tronc devront êtr
t parfois être plus avantageux que nui- sibte dans ces exercices de
marche
, parce qu'un faible genu recurvatum fait mieux
ment sur la statique des hanches. Pour soutenir le tronc pendant la
marche
, Leyden et Goldscheider recommandent l'emploi d
BULBAIRES. ' 805 Paralysie labio-glosso-palato-laryngée (Charcot) à
marche
lente. Poliencéphalite inférieure chronique («'
en plaques ou la syringomyélie, le syndrome labio-glosso-laryngé il
marche
lente s'observe également dans certaines affect
entes a vrai dire. Une syncope interrompt souvent brutalement cette
marche
progressive ; mais lorsque le malade succombe a
e au syndrome purement nucléaire. Paralysie labio-glosso-laryngée à
marche
rapide. Poliencéphalite inférieure aiguë. - Le
r des vertiges violents. Rien n'est plus variable d'ailleurs que la
marche
, que le grou- pement des accidents dans les com
longue période d'état stationnaire, la maladie peut reprendre, une
marche
progressive, inéluctable cette fois. Diagnost
nuque, les crises bul- baires, les rémissions, l'irrégularité de la
marche
permettent également de séparer la myasthénie d
Quoi qu'il en soit, on peut, d'une façon générale, distinguer à la.
marche
des troubles deux étapes distinctes : l'une bul
répètent. Nous ne reviendrons pas sur l'évolution de la maladie. La
marche
peut être lente, aiguë, coupée de rémissions. C
n. Nous avons défini les convulsions des accès. C'est dire que leur
marche
est essentiellement paroxystique : les accès co
puisement ou du fait du processus causal. Aussi importante que la
marche
proprement dite est la notion d'exten- sion des
nsité est telle qu'elle empêche presque le mouvement volontaire, la
marche
devient diffi- cile, il faut une analyse minuti
des divers segments d'un membre dans un mouvement complexe comme la
marche
par exemple. Les asynergiques présentent égalem
s'accentue, il entrave l'ali- j\mcntation du malade, il empêche la
marche
et l'oblige à garder le lit. A côté du tremblem
membres inférieurs et entrer pour une part dans les troubles de la
marche
. Ce tremblement est minime au repos ; à différe
de pédale, quelquefois le tremblement est assez accenlué et rend la
marche
difficile. La méthode graphique a montré qu'en
évi- dence, quelquefois le tremblement est tellement intense que la
marche
des malades devient très difficile et les membr
uvements, le tremblement prend une amplitude plus grande rendant la
marche
et l'écriture difficiles, la langue est atteint
curiels sont semblables entre eux, leur début est le plus souvent à
marche
lente et progressive et ils sont varia- bles il
rait et très rapidement. Quand les membres inférieurs sont pris, la
marche
devient difficile, elle ressemble à un sautille
e, dans le projettement du pied hors de la ligne médiane pendant la
marche
, dans l'élévation trop grande de la jambe, quelqu
r- vient au moment de leur croissance, les contractions suivent une
marche
parallèle à la fièvre quand celle-ci survient d
est brusque, quand il est progressif, la maladie se révèle par une
marche
inhabile ou par la maladresse des mains. Quand
il celle de la paralysie générale (Osier, Facklam). Évolution. La
marche
de la chorée chronique héréditaire est fataleme
ar des troubles de la sensibilité. L'intelligence est intacte. La
marche
de la maladie est progressive au début, mais arri
xiste d'une façon constante une élé- vation de la température. La
marche
de la maladie est rapide, les secousses et les ac
on, ou fonction plus ou moins développée par l'éducation, connue la
marche
, la phonation, la natation ; elle peut être anorm
Tics des membres inférieurs. Les plus fréquents sont les lies de la
marche
, caractérisés par des mouvements très divers qui
isés par des mouvements très divers qui interrompent brusquement la
marche
: coup de pied donné par un pied sur la chevill
nt être rapprochées de ces tics (Meige). Comme nous l'avons dit, la
marche
est généralement irrégulière et accélérée chez
e chez les tiqueurs, sans qu'il y ait de tic propre- ment dit de la
marche
. Tics de la déglutition. Tics dysphagiques, eff
ar un mouve- ment amorphe » ; les mouvements choréiques suivent une
marche
serpi- gineuse, interrompue par les écarts les
et : passage de la position assise à la position couchée ou debout,
marche
, élévation, abaissement des bras, etc.... Pendant
. Les yeux fixes, le regard perdu, atone, le cataleptique se met en
marche
quand on le pousse, l'ait quelques pas, puis s'
ttre de comprendre mieux certains phéno- mènes les troubles de la
marche
, le dérobcment des jambes (giving way of thc
obilité des vertèbres peut éga- lement provoquer dcs troubles de là
marche
. L'hypotonie des muscles abdominaux entraîne un
de deux ordres, les unes sont des arthrites infectieuses banales, à
marche
aiguë, aux suites redoutables; les autres ont u
est l'accélération de la respiration. Le pouls suit en général une
marche
parallèle à la température : cepen- dant cette
t les plus opposées, par exemple le repos prolongé chez les uns, la
marche
chez les autres, par les températures élevées o
obligeront absolument. INFECTIONS URINAIRES. 96 ! 1 Symptômes et
marche
. - La prostatite ne présente pas de carac- tère
era il des évacuations régulières dont la répétition dépendra de la
marche
de la maladie et de l'abondance de l'urine rete
ière. Nous n'insisterons pas sur les troubles des réflexes et de la
marche
des tabétiques, sur les dissociations de la sensi
ent oublié quand se déroulent tous les signes d'un ramollissement à
marche
souvent rapide. Ajoutons que celte indigestion
luisante. Le rhumatisme chronique blennorragique prend au pied une
marche
assez spéciale : c'est la gaine du tendon d'Ach
» ; la flexion forte des orteils est un obstacle important pour la
marche
. Les déformations sont presque toujours beaucou
eux comme tous les pieds-bots spasmodiques orga- niques ; le malade
marche
« en draguant » et non en fauchant (Charcol). I
cquis. Les pieds-plats congénitaux ne se révèlent qu'à Page de la
marche
, parce que normalement le pied de l'enfant est pl
d de l'enfant est plat; la voûte plantaire ne se forme que quand il
marche
. Le pied-plat congénital est simple ou plus ou
thologique; bien ? des sujets, notamment dans les campagnes où l'on
marche
sans chaussures, conservent des pieds-plats pen
ne un pied-plat varus, qui devient valgus quand sujet est debout ou
marche
(par suite du glissement de l'astragale sur le
D'un côté, se classent de petits acci- dents comme, le retard de la
marche
, le strabisme et le nystagmus, la mobilité anor
eloppement physique peut subir des retads et des imperfections : la
marche
et les dents sont retardées, la croissance est pé
A maintes reprises, on a noté des troubles de l'équilibre et de la
marche
qui devenait ébrieuse, titubante et pouvait même
i, constante et préma- turée dans celle-là. L'extrême lenteur de la
marche
, son irrégularité, la conservation de l'état gé
d'eau a sa bouche et même écrire; la force musculaire augmenta, la
marche
s'améliora, mais dune façon moins sen- sigle ;
du traitement, s'atténuer les douleurs et la flexion du tronc, 1; !
marche
redevint possible malgré la rigidité persistante
ulièrement cette évolution de la DR dans les affections nerveuses à
marche
progressive, comme la sclérose latérale ainyolr
ou moins rapidement suivant la nature de l'affection et suivant la
marche
des lésions; dans certains cas elle peut déjà e
oit faire valoir des considérations analogues. Dans les affections il
marche
progressive, comme la sclérose 1;U ? rale muyot
ue comme au point de vue pathologique il y a intérêt à connaître la
marche
suivie par le régime décroissant de la résistance
fixer sur la répartition des lésions, sur leur intensité et sur la
marche
qu'elles suivront selon toute probabilité. Pend
e la part qui. dans cette évolution, revient au traitement ou il la
marche
naturelle de la maladie. Le traitement électriq
latérale ccoroln'opl.ilze le processus morbide suit en général une
marche
beaucoup plus rapide. On pourra essayer de mettre
t de l'atrophie; généralement l'évolution pro- gressive continue sa
marche
et aboutit à une terminaison fatale, en moyenne
1%(XY'2G, le traitement électrique pourra se montrer plus utile; la
marche
de cette affection est beaucoup plus lente et s
Les myopathies sont des affections qui par leur nature. suivent une
marche
plus ou moins lente mais presque toujours progres
t dans l'enfance, dans l'adoles- cence ou plus tard encore, ont une
marche
lente et une durée souvent très longue. C'est e
cérébelleuse. Décomposition des mouvements. Grande asynergie. Dé-
marche
type, 769. Petite asynergie, 770. Signe de la f
nécessaires,. 787. Technique, exercices au lit, 789. Exercices de
marche
, 791. Exercices du tronc, . 795. Exercices des
. à inarche lente. Poliencéphalite infé- rieure chronique, 805. à
marche
rapide. Poliencéphaliteinférietire aiguë, 805
générales, 788. - Technique, exercices au lit, 789. Exercices de
marche
, 7 ! H. - Exercices du tronc, 795. - Exercices
Influence pathogé- nique, 885. Titubation cérébelleuse. Station,
marche
, 767. - Syndrome cérébelleux de Du- chenne, 7
'année des engelures aux pieds ce qui a retardé les pro- grès de la
marche
. Car... (Camille), à Ventrée, ne s'était jamais
- (4) Pop... Jacq... Petite ÉCOLE. V seul et dit papa, maman. Il
marche
seul depuis 1899. Son attention était très diff
ne parlant pas, grand gâteux et ne se servant pas de ses mains. Il
marche
seul, comprend un peu ; si on le gronde il s'en
ours à peu près autant de vertiges. Dès qu'un enfant de ce groupe
marche
sans aide, il doit être envoyé à la Petite Écol
de fréquents ver- i tiges, ce qui lui rendait presque impossible la
marche
, et le faisait tomber à tout instant. Il était
ir debout dans un chariot et à se servir de la cuiller. En 1898, la
marche
est devenue plus assurée, les mains moins malad
souvent jour et nuit. Actuellement il a plus d'équilibre dans la
marche
, il est tout à fait propre le jour ; s'habille
12° Ctinno.. (Victor) Idiotie profonde, entré en 1892; parole et
marche
nulles, ne mangeant pas seul, restant toute la
s, et enfin cette année, il passe à la lecture courante. L'écriture
marche
à peu près de pair et est devenue lisible. Il
lèves signalés précédemment comme lisant cou- ramment ont suivi une
marche
ascensionnelle, lente mais sans arrêt ; leur tr
Un enfant est atteint d'idiotie complète, c'est-à- dire qu'il ne
marche
pas, ne se sert pas de ses mains ; qu'il faut l
leurs chaussures : brosse, brosser, cirage, cirer, etc.. L'enfant
marche
, est devenu propre, en même temps xx Traitement
s fréquents, qu'un grand nombre d'enfants doivent être exercés a la
marche
, soumis au massage, LXXÏV Personnel DU service
autant physique qu'intellec- tuel s'est produit en peu de temps. La
marche
et la parole ont été très rapides ; le gâtisme
ans : traitement physique 1 d'abord (exercices de la station, de la
marche
, des jointures, massage, bains, hydrothérapie),
le de certains, nous avons le plaisir de constater que Vidée est en
marche
et que notre oeuvre de propa- gande commence à
dent, dentition complète. - Début et évolution de la parole, de la
marche
, de la propreté. Alcoolisme de la nourrice ;
le place- ment. Chez les hémiplégiques : préciser le début et la
marche
de la paralysie, sa diminution, son aggravation
rieurs : forme, attitude, état des jointures, des orteils; station,
marche
, voûte plantaire. Instructions 91ÉDIC0-PEDAGOGI
ment très soigné, très propre. Rachel était absente. Voir page 11
marche
des accidents épileptiques. Réflexions. - I. L'
ois. Dentition complète ri ! ' Début de la parole à un an ; - de la
marche
à quatorze mois. Propre de bonne heure. Intelli
grand refroi- dissement ( ? ). A la suite de quelques exercices de
marche
, cette con- tracture a disparu. C'est alors qu'
réglée. Pas d'ona- nisme. Mich... parle, comprend et répond bien,
marche
lentement, pa- rait absorbée, court bien, mais
aissance. - Première dent à six mois. - Début de la parole et de la
marche
à dix mois. - Convulsions internes à sept mois. -
hement, naissance, rien de notable. . Retard de la dentition, de la
marche
et de la parole. - Gâtisme jusqu'à 6 ans. Sévic
e qui l'irritait. - lire dentition en retard. Parole à vingt mois ;
marche
à vingt-un mois. Gâtisme jusqu'à six ans ; aura
rences sont au contraire marquées. L'attitude indique la gêne de la
marche
et le peu d'activité des mus- cles. Les pilastr
s, la pression y est plus intense en raison des modifications de la
marche
. Le membre sain supporte une 11·,·.s.sion plus
nt dit. » C'est ainsi que s'ex- prime M. Letort(t) qui a analysé la
marche
chez l'enfant et qui s'est inspiré dans cette é
urette. La lJ1'ession est plus intense sur le membre sain. La dé-
marche
décrite précédemment le prouve déjà, car, en résu
du rôle important joué par l'activité des mouve- (1) Troubles de la
marche
chez l'enfant (Jouve, 1891). Le fémur. 65 men
poids brut de la masse supportée. Les muscles sont nécessaires à la
marche
: pendant longtemps on a cru avec les frères Wo
la force du système musculaire est amoindrie, le type normal de la
marche
sera défiguré, l'hémiplégique modifiant en cons
aminant les photographies représentant diverses altitudes durant la
marche
; ils per- mettent d'affirmer le rôle bien diffé
ou 18 ans un purpura tout à fait comparable comme aspect, siège et
marche
, à celui ' de sa fille, consécutivement à une v
nt deux heu- res. L'an dernier (juin), marchait à peu près seul; il
marche
moins bien parce que l'hiver précédent on l'a m
tète avec la main gauche. Membres inférieurs bien déve- loppés. Il
marche
tenu par la main. Respiration, circulation, dig
de foie de morue. Il a fait quelques progrès au point de vue de la
marche
. Le pied gauche qui se renversait sur le bord i
ne est devenu plus solide et ne se renverse plus que rarement. G...
marche
assez bien tenu par la main; il soulève moins b
bres (flexion et extension), frictions stimulantes, exercices de la
marche
. 29 août. - L'enfant se tient bien seul et marc
exercices de la marche. 29 août. - L'enfant se tient bien seul et
marche
facile- ment, s'il est tenu par la main. 5 dé
huile de ricin L'enfant toujours la teigne. Pas de progrès pour la
marche
. Quand on veut le faire marcher, il porte ses p
e côté. 30 septembre. Recommence à faire quelques progrès pour la
marche
. - Traitement : 3 bains salés par semaine. Sirop
s de testicules dans les bourses. - Exercice des jointures et de la
marche
; douches. 1896. Sjuillet. -Continuar les douche
; elle n'a pas encore toutes ses dents. Propre à un an. Début de la
marche
à 14 mois, de la parole à 18 mois. Jamais de
s cette forme d'idiotie. Elle a été en retard pour la dentition, la
marche
, la parole qui ne s'est jamais développée compl
Première dent à 13 mois. Dentition complète à deux ans ? Parole,
marche
, propreté nulles. Convulsions à 15 jours. Aucun
ent réductibles au pied et au genou, ne le sont pas à la hanche. La
marche
est absolument impossible. Les réflexes sont tr
on constate que l'enfant est atteinte d'idiotie complète. Elle ne
marche
pas. Elle est gâteuse de nuit et de jour ; elle s
int de vue clinique, il s'agit d'un cas d'idiotie complète (parole,
marche
, propreté nulles.) En outre, l'état de contract
la mère, rendant la station verticale, et a plus forte raison la
marche
, impossibles. La contracture n'aurait paru qu'à
. SÉCHAS (J.). De l'influence des maladies intercurrentes sur la.
marche
de l'épilepsie. Thèse de Paris. Bourneville.. C
e chez lequel il n'y avait qu'une impotence mnscu- laire légère. La
marche
était facile el nullement rilc)(11liée. Bournev
uoi qu'on en ait dit. Il y a un tabès de surmenés des jambes par la
marche
, comme il y a un tabès des trépidés. Ainsi je m
6 et de 1870, et ils les ont attribués aux fatigues excessives, aux
marches
exagérées que ces campagnes ont entraînées '. D
rois ou quatre jours après, il sent les jambes fléchir sous lui; la
marche
de- vient difficile et déjà incoordonnée. On ap
mentanée ; il lui semble par moment que ses genoux vont fléchir. Il
marche
en jetant ses jambes, talonne au moins par mome
ux restent ouverts. Si au contraire les yeux sont fermés, le malade
marche
beau- coup plus mal, titube facilement, lance s
t vite si quel- qu'un n'était pas là pour le soutenir. Pendant la
marche
, et dans la position debout, il ne fixe pas ses
- servé sa position première. Je lui ai commandé d'avancer, et la
marche
a eu lieu sans perte d'équilibre et cependant, il
ent. Parmi les premiers, je vous citerai l'incoordination dans la
marche
, l'influence de l'occlusion des yeux sur les mouv
es, tout le poids du corps porte sur la pointe du pied gauche. En
marche
, les mouvements sont ceux de la station debout; m
ues aux autres membres et au tronc ; voilà qui est d'accord avec la
marche
envahissante de la ma- ladie. Les mouvements se
trouve aucune anomalie, ni dans le coeur, ni dans les vaisseaux.
MARCHE
DE la maladie. A partir du moment de son entré*
seulement l'hystérie était la cause de tous ces phénomènes. ' La
marche
de la maladie a de tous points confirmé notre idé
périphérie externe du bulbe sans cependant pouvoir déterminer leur
marche
ultérieure. Quelques cellules envoient aussi le
la plus externe de Meynert. P. K. XI. RECHERCHES anatomiques SUR la
marche
DES FIBRES DE la SUBSTANCE GRISE CENTRALE DES C
panaris analgésiques. Les troubles de , SOCIÉTÉS SAVANTES. 135 la
marche
et du langage datent de sept ans ; la sudation d'
il ligamenteux s'associèrent des grandes douleurs, qui rendirent la
marche
impos- sible à la malade. On constata à l'exame
jambe : Les dou- leurs cessèrent, elle regagna la possibilité de la
marche
.. Discussion : M. le Dr W. Rora insiste sur le
t, l'influence exercée par les émo.tions sur le développement et la
marche
des maladies BIBLIOGRAPHIE. z7 nerveuses et m
miste ; il s'agit d'une lésion organique, spinale, téphromyélique à
marche
progressive et fatale; la seconde optimiste : l
x, ou mieux du passage brusque de la lumière à l'obscu- rité sur la
marche
et la station des tabétiques. C'est souvent un
es et à tous ses degrés. Il faut d'abord voir s'il existe dans la
marche
; tandis que le patient se déplace, vous lui fe
celle-ci chez lui étant malade, il lui est impos- sible pendant la
marche
de parcourir un journal, de prendre part à une
n, en un mot, de porter son attention sur un autre sujet que sur sa
marche
. C'est dans ce sens qu'il faut comprendre le pa
ls ont besoin de toute leur atten- tion cérébrale pour diriger leur
marche
; la moelle épinière, chez eux, ne peut plus y
ique nécessaire du signe de Romberg, et pourquoi l'ataxique aveugle
marche
souvent mieux que l'ataxique qui y voit, ou en
gle marche souvent mieux que l'ataxique qui y voit, ou en tout cas,
marche
beaucoup mieux que l'ataxique ordinaire à qui o
érience, comme vous l'avez vu, est parfaitement démons- trative. La
marche
, la station debout restent possibles, quoique u
le premier cas, elle s'effondre, dans le second, elle continue la
marche
, en jetant plus follement ses jambes. L'explica
perte ou l'altération du sens mus- culaire, n'ait une action sur la
marche
ou la station, les yeux étant fermés ; mais il
ilement vaincue, c'est peut-être la cause pour laquelle, quand elle
marche
, elle tourne assez facilement son pied en dedan
; elle ne peut plus soulever les bras. Aux membres inférieurs, la
marche
en steppant devient caractéristique. L'ascensio
d'un moment à l'autre, des dénivel- lements qui concordent avec la
marche
des accidents d'as- thénie nerveuse générale, a
nge de côté et l'oreille la meilleure peut devenir la pire. Cette
marche
par à-coups, ces oscillations brusques sont abs
'en a eu qu'un seul cette semaine et se sent bien plus sûre dans la
marche
. 4 avril. Légère sensation de tournoiement fuga
t avec les doigts des mouvements bizarres et incohé- rents. Dans la
marche
, il traîne toujours le pied gauche et tourne pl
re. - Noies de l'école. - Phvsionomie douce, yeux à demi fermés. Il
marche
en sautant, traînant le pied gauche et tournant
r, mais toujours en arrière. Cette démarche est assez analogue à la
marche
de l'escrime. Parfois, lorsqu'on veut le faire al
ler vite, il porte les pieds en avant l'un de l'autre comme dans la
marche
ordinaire, mais toujours en trainant, alors il
ablement actifs, tandis qu'il laisse traîner le pied gauche dans sa
marche
ordi- naire, et que la main correspondante Hott
central (exemple : maladresse tardive et toute particulière de la
marche
). En somme la névrose traumatique n'est pas une e
le diagnostic repose sur l'examen de l'espèce, de l'étendue, de la
marche
de la paralysie des - muscles des yeux et la si
rs fulgurantes et par une incoordination mo- trice ne permettant la
marche
qu'à condition d'être aidé. La suspension amena
a cinquantième séance, une amélioration légère se produisit dans la
marche
; cette amé- lioration s'accentua progressivemen
ffection débute à la première année de la vie, par une paralysie, à
marche
subaiguë ou chronique, des muscles 282 SOCIÉTÉS
cters. Intégrité de la sensibilité. Toujours chez tous les malades,
marche
symétrique, chronique, progressive. Sans exceptio
lus de vie aux descriptions. P. SOLFIER. VIII. Les troubles de la
marche
dans les maladies nerveuses, par le Dr P. BLOCQ
e la valeur qu'ont au point de vue séméiologique les troubles de la
marche
dans les maladies du système nerveux. En faisan
re une oeuvre intéressante. Il rappelle d'abord les principes de la
marche
normale. tant au point de vue physiologique qu'
la multiplicité des associations néces- saire; à la fonction de la
marche
, associations qui peuvent être atteintes isolém
elles affections du système nerveux on rencontre des troubles de la
marche
, puis aborde un des cha- pitres les plus import
leur pathogénie. Il désigne d'une façon générale les troubles de la
marche
sous le nom de dysbasie. Les fonctions du systè
ures, spasmes). Les dysbasies sensitives sont tantôt anesthésiques (
marche
ataxique), tantôt presthésiques (titubation), t
e peut guère, à mon avis, les faire rentrer dans les troubles de la
marche
. Les dysbasies trophiques se distinguent de mêm
hypertrophiques (maladie de Thomsen). Les différents troubles de la
marche
étant ainsi clairement classés, l'auteur consac
ls que pour les types principaux. A cet égard, il divise d'abord la
marche
pathologique en unilatérale et bilaté- rale, su
che est ou non spasmodique, ce qui donne lieu à sous-division. La
marche
unilatérale non spasmodique peut être douloureuse
, dans l'hémiplégie flasque hystérique avec démarche hélicopode. La
marche
unilaté- rale spasmodique (marche hélicopode ou
ique avec démarche hélicopode. La marche unilaté- rale spasmodique (
marche
hélicopode ou en fauchant) se rencontre dans le
tre dans les dégénérations descendantes du faisceau pyramidal. La
marche
bilatérale, rectiligne, non spasmodique peut affe
udo-tabes, myopathies); le type ataxique (ataxie locomotrice). - La
marche
bilatérale spasmodique se divise en deux classe
trois types également : saltatoire, choréique et orthétosique. La
marche
abasique forme un groupe intermédiaire et peut êt
), ou ataxique et alors tantôt choréi- forme, tantôt trépidante. La
marche
titubante non spasmodique se rencontre dans les
e mesure, et donner alors lieu à un groupe que M. Blocq appelle :
marches
mixtes. C'est ainsi que les scléroses combinées o
e en trouver la raison. Pas de -trépidation épileptoïde du pied. La
marche
est parfaite. , , 17 février. Nouvel examen : d
ollets : puis peu à peu l'émaciation survint, n'é- pargnant dans sa
marche
que la face; c'est dans cet état que ce jeune g
ns les bras, mais surtout manifeste dans les membres inférieurs. La
marche
n'est guère possible qu'avec deux béquilles; ai
es, au tronc et s'accentue un peu plus aux membres su- périeurs. La
marche
devient alors complètement impossible, même ave
rester debout que lorsqu'il se tient ferme à quelque chose et il ne
marche
Archives, t. XXV. 21 Fig. Fi ? 11. 370 RE
rqué avec ou sans phéno- mènes cataleptiformes. Le plus souvent, la
marche
de la maladie consiste en un mélange déréglé de
lissement des facultés; 3° état chronique de démence; 4° mort après
marche
aiguë ou chronique, le plus souvent par pneumonie
; l'aspect du malade est particulier. La paralysie générale, même à
marche
aiguë, s'accompagne de troubles somatiques plus
s'accompagne de troubles somatiques plus prononcés et présente une
marche
spé- ciale. Dans le délire des dégénérés, il
le délire alcoolique sera fondé sur les antécédents, la durée et la
marche
de la ma- ladie. Pour la mélancolie avec stupeu
e et la marche de la ma- ladie. Pour la mélancolie avec stupeur, la
marche
lente et la présence de symptômes réellement mé
re, et le vulgaire la connaît si bien dans ses symptômes et dans sa
marche
constam- ment fatale, que les membres des famil
maire, est cause de la diffé- Fig. 53. Instantané. - Le malade en
marche
. 444 Il. RECUEIL DE FAITS. rence de coloratio
rtement, ils sont dans une situation à peu près normale. Pendant la
marche
, on ne relève aucune modification ; elle s'acco
pulsion ou de latéropulsion : d'ailleurs M... descend et gravit les
marches
de l'escalier avec la plus grande facilité, sans
mouve- ments lents; pas de propulsion ou de rétropulsion, mais, en
marche
, G.... se sent comme entraîné en avant. Assis,
- logique, dans des conditions déterminées, prenne une tout autre
marche
ou n'arrive pas au même degré de développement et
et contractures hystéri- ques, par Richer, 304; - troubles de la
marche
dans les maladies nerveuses, par Blocq, 306;
ogiques,— historique, — anatomiepathologique, étioiogie, symptômes, —
marche
, — durée, — terminaisons, — diagnostic, — pronost
complet de la maladie. L'historique et la critique, les symptômes, la
marche
, les indications thérapeutiques, tout s'y trouve,
est aperçue que les cous-de-pied devenaient roides, ce qui rendait la
marche
plus difficile. Peu après sont apparues des doule
pendant quarante-huit heures, avec des exacerbalions. A 45 ans, la
marche
était tout àfait impossible. En 1865, Le B... est
crises sont quelquefois assez fortes pour faire pleurer la malade. La
marche
est impossible ; les jambes se jettent en dehors,
périeure et interne du moignon; ponction. La cicatrisation du lambeau
marche
avec len-teur. La plaie crurale bourgeonne assez
ous font voir l'influence considérable de l'hydrate de chloral sur la
marche
des accidents tétaniques. Nous voyons aussi que c
l'existence de ces contractions n'exclut pas l'apyrexie. Quoique la
marche
rapide des accidents tétaniques n'ait permis de r
puis fièvre intense. (Chipault.) Ou bien ce sont des fatigues, des
marches
prolongées et forcées. M. Gosselin a beaucoup ins
. Roser demande pour-quoi les jeunes soldats, si souvent soumis à des
marches
forcées, ne présentent pas, et fréquemment, ces a
araît donner les résultats les plus favorables. » Il ne parle pas des
marches
for-cées, et sur ce point on ne peut répondre aux
leurs spontanées. Période de déformation. La maladie poursuivant sa
marche
, il se produit des luxations qui varient selon l'
il, se rattache à la fatigue que supportent ces articulations dans la
marche
; car ce sont les jointures dont le malade fait
est pas ainsi pour les genoux, qui fonctionnent tous les deux dans la
marche
; on voit donc l'arlhropathie s'établir indiffére
genou. Destruction des cartilages, atrophie, usure considérable, à
marche
rapide, des os eux-mêmes ;— telles sont plus tard
aut d'une manière presque absolue dans l'arthropathie. D'ailleurs, la
marche
de la maladie dissi-pera les doutes qui pourraien
anciennes. Or le début spontané, le gonflement indolore du membre, la
marche
des accidents dans l'arthropathie n'ont rien qui
omotrice ancienne. — Arthropathie de Vépaule droite (1866) : début,
marche
; ponctions: caractères du liquide. —Etat de la jo
de la poitrine, L'extension des jambes était encore possible, mais la
marche
im-possible. Le jour suivant les mains, les genou
arse........ 20 — 21 — Longueur du pied............. 21 — 22 — La
marche
se fait assez bien, sans trop de fatigues; mais d
llures n'offrent aucun signe d'excentricité. — Les accès ont suivi la
marche
suivante : Année 186G. . . . '14 accès. Année 1
s que nous avons faites, les auteurs n'auraient pas jusqu'ici noté la
marche
de la température dans l'éclampsie puerpérale. Le
1° sur la température peu après le début de 1 eclàmpsie ; '2° sur la
marche
de la température dans le cours de l'état de mal
non; cela fait, elle prend l'aiguille de la main gauche et la besogne
marche
vite. Elle est coloriste et passe pour habile dan
quelque tendance à la flexion, les jointures sont libres. — La malade
marche
en boitant, en raison du raccourcisse-ment du mem
ait eu des convulsions et peu après ses membres se sont recourbés. La
marche
n'était plus possible qu'à l'aide de béquilles.
nt, et ces cautérisations répétées ne modifièrent pas sensiblement la
marche
envahissante du mal. Des flèches au chlorure de
de. La gravité de cette forme, la singularité de ses symptômes, de sa
marche
, ses lésions multiples, une certaine mode lui ont
réalité de l'urémie étant bien démontrée, jetons un coup d'œil sur la
marche
de la température. Quelques minutes après le dé
ade. Que va-t-il arriver? L'affec-tion, sans nul doute, va suivre une
marche
lentement envahissante ; probablement elle tendra
ies par un gonflement douloureux qui rendait le coït impossible et la
marche
très-pénible. A ces phénomènes se joignaient de l
e. II. Erysipèle. Il a été curieux surtout par l'irrégularité de sa
marche
, sa récidive à la face, son apparition tardive au
u périnée. — La figure 2 de la planche XXIV nous indique nettement la
marche
de la tempe-rature et nous montre que, en général
LLITE AIGUË) par culot, interne ees hopitaux de paris. - FI.V -
marche
, durée, terminaisons. La médullite ne suppure p
inaison tout exceptionnelle sur laquelle il ne faut pas compter. La
marche
de la maladie est fort variable. Dans les cas sim
grands et la guérison plus facile. Dans une autre série de faits, la
marche
est toute diffé-rente : les accidents généraux pr
r avec une intensité très-variable. Dans un certain nombre de cas, la
marche
est surai-guë. Un enfant observé par Bœckel meurt
collées, les fusées puru-lentes, jouent encore un grand rôle clans la
marche
et les terminai- sons de la maladie, tant par l
eur ne peut être évitée que par une étude soigneuse du début et de la
marche
de la maladie, par un exa-men approfondi du malad
s qui, dans certains cas, assez rares du reste, pour-ront prendre une
marche
aiguë et suppurer assez rapidement. On les reconn
ut à fait indéterminée.—Le début est lent, ordinairement inaperçu, la
marche
progressive, détermi-nant des accidents plus ou m
notable. Les douleurs sont moins fortes, les accès plus éloignés, la
marche
est devenue pos-sible, môme sans soutien. La pres
hiée, ramollie dans les cas aigus, endurcie quand la maladie suit une
marche
chronique. En même temps que ces lésions, on en t
'abduction. La sensibilité est nor-male, la même des deux côtés. T...
marche
avec facilité; cependant elle traîne encore la ja
symptomatologique. Il nous montre l'ërysi-pèle épidémique suivant une
marche
forcée et se comportant à la manière des fièvres
lade que nous avons interrogé à plusieurs reprises sur le début et la
marche
de sa tumeur, nous a toujours affirmé qu'il ignor
s fréquentes de l'hypérémie. V. Marche, durée et terminaisons. — La
marche
et la durée de la congestion de la rate varient s
augmente dans les mouvements, par la toux, par l'éternu-ment, par la
marche
; la pression l'exaspère, dans quelques cas, elle
que la science possède actuellement. IV. Marche et durée. —Dans la
marche
de la splénite aiguë nous devrons considérer plus
a pas tenu compte ou qui même a échappé. III. Marche et durée. — La
marche
est lente et continue ; la durée en est très-vari
ette à des variations d'intensité, mais elle affecte, en général, une
marche
progressive, les cas de guérison spontanée sont r
tête devront être très-variés ; dès lors, certains actes, tels que la
marche
, pourront devenir difficiles et donneront lieu à
ue tout désir vénérien, et ressentit bientôt un trouble profond de la
marche
, surtout dans l'obscurité. La vue s'est notable
particularités qui le caractérisent, je crois devoir vous exposer la
marche
que suit le plus habituellement la maladie. L'a
s que les lésions de ce genre ne paraissent pas en général suivre une
marche
progressive. Enfin, la tuméfaction du membre, et
suraiguë, dans laquelle la mort arrive immédiatement, et la forme à
marche
moins rapide, dans laquelle la vie se prolonge.
plètement. Il ne faut pas oublier d'ailleurs que, le plus souvent, la
marche
des acci-dents est telle que, par leur excessive
'inférieur. La parcsie de ce dernier entraîne une gêne réelle de la
marche
et de la station. Lorsque le malade se tient de
clos, ce qui dénote une altération du sens musculaire. Pen- dant la
marche
, le malade traîne la jambe droite directement d'a
du Dictionnaire encyclopédique, p. 560. ' 30 clinique NERVEUSE.
marche
par exemple ; par conséquent il n'appartient pas
ations plus intenses. Pendant sept ou huit mois, on note, durant la
marche
et par intervalles, une projection en avant, vi
elques mois la jambe droite, ne s'appuyant sur ce membre pendant la
marche
qu'avec la plus grande difficulté. Durant les
vant de l'ouvrir, de faire cinq pas en cercle avant de se mettre en
marche
. » J'ai vu, il y a un an, une dame qui, à certa
ticularités qui rendent cette observation intéressante sont : 1° la
marche
rapide de l'affection (moins de deux ans); 2° la
ation telle qu'un ins- tant l'auteur crut à une simulation, mais la
marche
de la maladie, et de nouvelles séances démontrè
influence d'un régime tonique, cet état s'améliore, et le malade
marche
d'abord avec des béquilles : actuellement il gagn
la sénilité; dans ces cas, -l'atrophie des fibres intracorticales
marche
de pair avec les lésions athéromateuses. Nous avo
superficiels; anesthésie partielle; absence de douleurs fulgurantes
marche
graduellement progressive de la faiblesse motrice
mbes empê- chant de marcher; amélioration au bout de trois séances,
marche
seul après six séances; 2° tabes, depuis dix mo
rechute; 3° tabes depuis trois mois : amélioration notable dans la
marche
, apaise- ment des douleurs ; 4° tabes depuis qu
tabes depuis quinze ans et demi, amélio- ration considérable de la
marche
, des douleurs, de la sensibilité; 5° tabès depu
nt musculaire et l'atrophie musculaire suivant la disposition et la
marche
des anesthésies, et débutant de préférence par le
me très fort, .n'est perçu que sous forme de léger picotement. La
marche
et la succession des accidents sont bien - nett
ment notable du pied droit. Chute du pied très manifeste pendant la
marche
. Le pied se pose eu deux temps sur le sol. La m
du pied gauche. Ce pied laissait traîner sa pointe à terre dans la
marche
. Le malade affirme formellement qu'auparavant il
gérée pour empêcher les orleils de trainer à terre, lorsque dans la
marche
il porte le membre inférieur gauche en avant. E
en deux temps, comme cela se produit souvent chez les sleppers. Il
marche
assez lentement, posant le pied gauche sur le s
e la jambe. Démarche. Le pied est complètement tombant. La malade
marche
difficilement. Elle craint de tomber en accrochan
ble paralysie des extenseurs de la jambe. Le pied tombant, la dé-
marche
de steppe ? \ l'absence de résistance aux mouve-
nerf, accompa- gnées de sensation d'engourdissement et de froid. La
marche
était encore facile, lorsqu'il y a quatre mois
enou droit plus que le genou gauche, steppe du côté droit; quand il
marche
un peu vite, il traîne la pointe du pied sur le
çon exagérée, car la pointe du pied, qui tombe, accroche contre les
marches
. Il ..en résulte une légère claudication. Elle
lle Duchenne (de Boulogne), le 22 avril 1890, pourlaifficulté de la
marche
, et les douleurs qu'elle ressent dans le membre i
e la douleur que provoque la pres- sion du pied sur le sol, elle ne
marche
pas franchement par pas égaux. Le membre inféri
douleurs « en coup de canif » plus fortes au début et à latin de la
marche
. C'est au niveau de la partie externe de la jam
malade présente une légère déviution du tronc vers la gauche. Il
marche
en traînant la face plantaire du pied droit sur l
hénomènes tout à fait tran- sitoires, la motilité est régulière, la
marche
en particulier s'ac- complit normalement. C'e
er sa main ou de soulever son membre inférieur. C'est dire que la
marche
est impossible, même avec l'aide d'une canne ;
êmement ac- cusée, sous la forme similaire; développement tardif;
marche
chronique et progressive, aboutissant le plus sou
ssi, mais exceptionnel- lement, chez les adolescents. Elle suit une
marche
lente et pro- gressive et s'accompagne presque
ngue survie, son pronostic est grave, non seulement en raison de sa
marche
graduelle et progressive (on ne connaît pas jus
n de chaleur, l'attitude spéciale, font ici défaut. La malade, en
marche
, n'est point animée de ce mouvement de propulsion
traction musculaire soit accom- pagnée de déplacement comme dans la
marche
ou un mou- vement quelconque, ou bien qu'elle s
xemple dans la position assise, dans la station debout ou durant la
marche
. Pareille modalité s'ob- serve , dans la plupar
uche, avec prédominance au niveau de l'extrémité cépha- lique. La
marche
est difficile et la malade, livrée à elle-même,
rammes par jour et parait s'en bien trouver : elle tremble moins et
marche
mieux; ce matin, elle a pu mar- cher seule en n
. - Comme M. Brissaud le fait très justement remarquer, et comme la
marche
des accidents permet de le supposer, les autops
nts fibril- laires, réaction dégénérative complète, localisation et
marche
spéciale des phénomènes. P. K. VIII. DES phén
ulier. Les excès sexuels, l'abus du tabac influent seulement sur la
marche
de la maladie. Comme dans la syphilis cérébrale
tits in- tervalles n'influencent guère l'ondulation d'une courbe en
marche
; 6° les excursions des courbes sont amples qua
r mystique relatives au spiritisme, troubles de la mémoire et de la
marche
, qui ont per- sisté après les autres et détermi
les actions automatiques secondaires. En effet, les troubles de la
marche
et de la station debout qu'elle présente réalis
qui avait absolument l'aspect d'une démenle et qui était impotente,
marche
seule et sans appui, coud, travaille, se rappel
ralysie générale et la manie. Il faut intervenir rapidement, car la
marche
et la gravité de l'affection mentale ne sont pas
insuffisante pour nous renseigner exactement sur la nature et la
marche
du phénomène maladif. Il n'y aurait donc pas une
(B.) 296 varia. thodes pour étudier les différents troubles de la
marche
, de la sensibilité, du mouvement, des réflexes,
Pourquoi décrire d'abord et d'une façon séparée les troubles de la
marche
, et passer ensuite à ceux de la sensibilité, po
uant l'appel de Broca, je crois devoir m'applaudir d'avoir suivi la
marche
que j'ai adoptée, car il n'est pas douteux que
tielle. Nous avons obtenu ainsi la courbe suivante qui exprime la
marche
de la perceptibilité différentielle à des inten
du jour. Les deux méthodes donnent les mêmes relations pour la
marche
générale de la courbe, mais non pour ses valeur
la courbe. Nous avons étudié chez plusieurs malades la courbe de la
marche
de la perceptibilité différentielle à différent
Nous noterons ceci que cette malade, qui ne peut se tenir debout,
marche
« à quatre pattes » ou progresse en faisant avanc
ges- tion il l'état de veille. Ce que nous avons dit à propos de la
marche
en est du reste la confirmation. Elle ne paraît
s étendus et dans lesquels viennent rentrer les modifications de la
marche
et de FOLIE puerpérale; AMNÉSIE, ETC. 397 la
s inférieurs pendant la locomotion, et c'est ainsi que l'acte de la
marche
réalise le type parfait de ce qu'on appelle les
s une disparition des faits de la mémoire orga- nique relatifs à la
marche
et à la station debout. Il est d'autres actes a
e son amnésie relative aux mouvements de la station debout et de la
marche
. Comment les représenta- tions mentales des mou
marche. Comment les représenta- tions mentales des mouvements de la
marche
pourraient-elles être restées intactes chez une
tre malade ne soit pas encore très ingambe, elle se tient debout et
marche
en écartant les jambes, afin d'élargir sa base
non seulement sur un terrain plat, mais elle peut même monter des
marches
d'escalier. Elle coud bien, fait du crochet. D'
ieux comprendre les règles que nous venons d'exposer. - 1 Pour la
marche
, par exemple, nous avons d'abord tâché de révei
mages motrices par des mouvements passifs re- produisant ceux de la
marche
. Mais il ne faut pas oublier que ces acquisitio
tout d'abord, en lui recommandant de regarder les mouvements de la
marche
chez les autres personnes, ceux qu'elle accompl
les autres personnes, ceux qu'elle accomplit lorsqu'elle simule la
marche
assise, lors- qu'on lui fait marquer le pas, et
rticulière. Pour ce qui est du cas de la mémoire intellectuelle, la
marche
que nous avons suivie a été la même. Pour perme
t, de tomber sur le ventre. Il se relevait lui-même et reprenait sa
marche
. Il avait une très grande difficulté à se nourr
UE DE PATHOLOGIE MENTALE. LXI. CONTRIBUTION A la connaissance DE la
marche
ET DE L'ÉTIO- LOGIE DE la paralysie générale; p
35 et 50 ans, >ont morts entre 40 et 45. La paralysie géné- rale
marche
plus vite chez les jeunes hommes (de 20 à 35 ans)
utit à un désordre dans les idées qui diminue à son tour dès que la
marche
de la maladie se ralentit Ceci prouve que, si p
de la Deutsche Medicinische Wochenschrif 1890, n° 35, p. 781.) La
marche
habituelle de la thlombose veineuse cunsisle à s'
e de dames appartenant au Comité de vigilance étudient la meilleure
marche
à suivre pour porter secours aux femmes faibles
ation, par Char- pentier, 288 ; avec tabès, par Struempell, ;1; -
marche
et etiotogie de la par Ascher, 442; températu
ir debout à l'aide Fig. 1. - Balançoire-tremplin. Education DE la
marche
. V des barres parallèles (Fig. 2) ; à marcher,
t des frictions stimulantes, du massage, etc. Pour régulariser la
marche
de ceux qui ont des mouvements irréguliers, inc
s nombreuses améliorations. (Voir les notes p. v). Dès qu'un enfant
marche
sans aide, il doit être envoyé à la Petite Écol
marchant pas et privé de la parole. Actuellement, il parle bien, il
marche
. Sa tenue est propre et soignée, et il se donne
te-rendus précédents comme très améliorés ont continué à suivre une
marche
ascendante; le travail scolaire a été bon penda
Un enfant est atteint d'idiotie complète, c'est-à- dire qu'il ne
marche
pas, ne se sert pas de ses mains : qu'il faut l
t (barres parallèles) ; à marcher (chariot, etc.), à régulariser sa
marche
(échelles plates), et à lui apprendre à devenir
rès utile pour les enfants plus avancés qui savent lire. L'enfant
marche
, est devenu propre ; en même temps qu'on lui en
fait défiler il la fin de ces exercices les enfants aux sons d'une
marche
avec musique et clai- rons. Concerts et bals.
grissement, affaiblis- sement progressif des forces, troubles de la
marche
, tremblements, hébétude de la physionomie (pupi
doit employer, dans la mesure de ses possibilités : exercices de la
marche
, des jointures, massage, gym- nastique, de la p
exerci- ces de notre enseignement : exercices de la parole, de la
marche
, traitement du gâtisme, etc. Peu à peu la physi
pa, pipi, ou popo, caca selon le besoin qu'elle éprouve. L'enfant
marche
maintenant toute seule, elle trottine par- tout
Idiotie complète. -A l'en- trée, le 19 septembre 190 ? , parole et
marche
nulles, gâtisme' absolu; malgré cela, elle avai
affectueuse et caressante pour les personnes qui la soignent, elle
marche
sjuleet court de tous côtés comme un vrai furet
des petites fables. L'enfant est vive, alerte dans ses mouvements;
marche
, court, saute avec agilité; parle facilement, s
as de raison pour que nous changions avec les enfants anormaux la
marche
indiquée par la nature elle-même. Les labiales
enfant des redoublements, tels que papa, toto, caca, etc. Pour la
marche
à suivre, nous renvoyons au tableau d'articulat
cependant que l'on puisse toujours suivre d'une façon rigoureuse la
marche
que nous indiquons. Un certain nombre d'idiots
CXXXVI Traitement DII : DICO-PÎ3D : 1GOGIQUE. Nous aurions suivi la
marche
indiquée avec Julie L.... Marguerite A..., nous
tard notable dans l'apparition de la parole, de la dentition, de la
marche
et de la propreté. Sa puberté présente un léger
pendant les différents traitements et les suspensions, ainsi que la
marche
de la croissance.Nous avons les mê- mes tableau
ien à relever à la conception ni pendant la grossesse. Début, de la
marche
à 2 ans ; début de la parole à 6 ans. Gâtisme à
e, céphalal- gics, syncopes. Première dent à 8 mois ; début de la
marche
à 12 mois ; propre avant 18 mois, début de la p
ernational des aliénistes de 1889 ; il était alors idiot com- plet (
marche
, préhension, attention, parole nulles, gâtisme);
infantilisme. La médication thyroïdienne n'a pus eu d'action sur la
marche
dr. l'épilepsie (JB5. XXIV. - -ILCRqDCEF'11.%I.
) Dentition complète à 2 ans.Début de la parole vers 18 mois, delà
marche
, 2 ans. - Pas de convulsions, aucune perversion
de régulière. Arti- culations, orteils, voûte plantaire, normaux et
marche
nor- male. Thorax : volumineux, large, bombé
le siège ; circulaires du cordon. Pas de convulsions. Début de la
marche
à 6 ans, de la parole à 7 ans ; accès de colère à
s. L'attitude, les arti- culations de ces membres, la station et la
marche
sont nor- males. Plante du pied et orteils norm
se et accouchements normaux. Convulsions il. 2 mois. Retard dans la
marche
et la parole. Taille normale à sept ans. Dans
Première dent il -13 mois. Dentition complète il 2 ans. Début de la
marche
il 3 ans. Elle ne parle pas encore et ne sait dir
, enfant très grosse ? Convulsions à six semaines. - Retard dans la
marche
. Gâtisme. Manies. Co- lères. Sommeil troublé, .
. Première dent à six mois, dentition complète à 2 ans. L'enfant ne
marche
pas encore et n'est pas propre. La parole, limi
Aucune modification des organes génitaux. Quelques progrès pour la
marche
et la parole. 1895. Aucune modification des o
s organes génitaux exter- nes. Progrès marqué de la parole et do la
marche
. , 116. - 7'tto ? Les mamelles se sont un peu d
Il juillet. - Amélioration delà teigne. Progrès notables pour la
marche
et surtout pour la parole. Lcholalic. L'enfant
s ni peurs ni coups. Première dent a 13 mois. - Dentition complète,
marche
, propreté, tardives. - Début de la parole à 15
rapport à mes autres enfants. Elle a été aussi plus tardive pour la
marche
qui n'a eu lieu qu'iL 18 mois. Elle n'a été pro
ont un aspect rouge et rugueux. Réflexe rotulien nor- mal. L'enfant
marche
bien, mais lentement. Elle ne court pas; monte
ntellectuel, a été lente et retardataire en tous points (dentition,
marche
, propreté, parole), et cela, pourrait-on dire,
e s'est éveillée, la croissance, arrêtée, s'est accrue, a repris sa
marche
physiologique; l'adipose, exagérée, s'est consi
ment : lait, oeufs, farine lactée; exercices des jointures et de la
marche
; bains salés; sirop de glycéro-phosphate de cha
ut est légè- rement penchée à droite, en raison de la paralysie. La
marche
s'exécute bien, mais il y a une boiterie de la
s, avec mouvement d'élévation du bras et de flexion de la jambe. La
marche
d'un vertige est la suivante : l'enfant devient
mple Tard..., est en tout semblable à l'épilep- tique ordinaire qui
marche
vers la démence. Les considérations qui précède
- à huit mois; dentition complète à deux ans et demi. - Début de la
marche
, de la parole, de la propreté à dix mois. - Eta
che con- . sécutive et arrêt de l'intelligence. - Suppression de la
marche
gui ne revient qu'à cinq ans. - Coqueluche à qu
s. Dentition complète à deux ans et demi. Début de la parole, de la
marche
et de la propreté à dix mois. Pas de renseignem
sonnels. 251 vingt-quatre heures. Mais le père peut mal préciser la
marche
de la maladie. Il semble cependant qu'avec l'âg
exagéré; trépidation spinale. Réflexe de Babiushi en extension. La
marche
se fait pres- que en équinisme, le talon toucha
8 -71oix, répétées - Début des accès à 8 ans. Etat de mal en 100J :
marche
de la température. Parotidite double consécutiv
esticules, aux organes génitaux. Poids des organes. ÉPILEPSIE :
marche
DES accès. 309 III. Les accès ont débuté à 6 an
mois. La den- tition n'est pas complète. L'enfant ne parle pas, ne
marche
pas et n'est pas propre. Antécédents morbides
utique. Elixir polybromuré 1 c. à dessert. Bains salés. Exercice de
marche
, puis exercice des jointures. - L'enfant a été
SÉGLAS (J.). - De l'influence des maladies intercurrentes sur la
marche
de l'épilepsie. Thèse de Paris. 1881. RIDEL-S
e ? né le 29 octobre 1894, admis le 31 mars 1899. Idiotie complète;
marche
, préhension, parole, etc., nulles. Gâtisme. Sai
. 3° né le 7 juin 1895, admis le 30 mars 1899. Idiotie complète :
marche
, préhension, nulles; gâtisme. Il va et vient, à
gâtisme (1), cinq ont appris à manger seuls (2). Dès qu'un enfant
marche
sans aide, il est envoyé à la petite école, le
om de « petite misère »). Actuellement, le petit malade mange seul,
marche
et court librement, il exécute bien les trois p
le. xi Geor... (Fernand), 9 ans -et demi, l'enfant est propre, la
marche
est normale. L'enfant a une physionomie réfléch
ait une physionomie ahurie, souffreteuse, l'attitude mauvaise et la
marche
lente. La parole était presque nulle, le gâtism
a parole est plus coin- préhensible. - Le gâtisme a disparu. - La
marche
est plus vive et l'attitude de l'enfant est bon
e était sombre et restait accroupi dans un coin. Actuellement, il
marche
, court, joue et tient bien conversation. Il a a
ait sombre, Pr... restait accroupi dans un coin. Actuellement, il
marche
, court, joue et tient bien conver- sation. Il a
e, ont été également très amendés sous le rapport du gâtisme, de la
marche
et de la parole. Tous les enfants sont exercés
ion comme les enfants de son âge. Elle a appris à marcher seule, la
marche
est bonne, elle court. sautera la corde, monte
démateuse. A son entrée cette enfant était gâteuse, la parole et la
marche
étaient nulles, elle ne savait ni s'habiller ni
pour les syllabes on et en qu'elle prononce fortement du nez. La
marche
est bonne ; Kr... sait courir, monter et descendr
. Deve... (Rose), 8 ans, atteinte d'idiotie avec gâtisme, parole,
marche
, mastication nulles, l'enfant était alimentée au
tres enfants. La mastication est bonne quoique un peu lente. D...
marche
bien, son pas est assuré ; elle monte et descend
que de fréquentation. 52 sont arriérés pour cause de retard dans la
marche
des études. 136 arriérés pédagogiques purs.
dominal durant la grossesse. - Asphyxie à la naissance. - Parole et
marche
tardives. Convulsions il un an. - Hémiplégie dr
nous rendre compte de l'action que pouvait avoir l'éosinate sur la
marche
ultérieure de la maladie et en particulier dura
le dos voûté, l'épaule gauche plus basse que la droite. Lorsqu'elle
marche
, elle s'appuie davantage sur le côté gauche, qu
ce côté, en sorte que le pied appuie sur le sol par la pointe. Elle
marche
difficilement seule, avance lentement, en s'app
xagérés, trépidation épileptoïde, état de contracture du membre. La
marche
est difficile. Grez.... avance lentement, en s'
xécutent normalement. Dans la station debout, l'attitude assise, la
marche
, tendance à se voûter. Lorque Gabriel a eu plus
e voûter. Lorque Gabriel a eu plusieurs attaques consécu- tives, il
marche
les cuisses serrées l'une contre l'autre, les g
ent, l'enfant peut apprendre de petits morceaux de récitation. - La
marche
est maintenant nor- male. On constate la dispar
de vie. » L'enfant a eu un développement physique normal ; pour la
marche
et la parole, on a cependant constaté un léger
mouvements volontaires paraissent s'accomplir normale- ment. lt...
marche
, court et saute facilement. Les fonctions diges
nt se lève brusquement, en rejetant loin de lui ses couvertures. Il
marche
en raidissant le corps, se dirige vers le lit v
e des quatre membres, prédominant à droite ; tremblement des mains,
marche
impossible, déviation de l'oeil droit. - Dispar
ais pas de la fourchette. Il boit d'ordinaire de la main gauche. La
marche
a tou- jours été défectucuse ; il tombe fréquem
tremblement diminuerait. Après, la tète tremble davantage. Dans la
marche
, qui se fait en fau- chant, il écarte beaucoup
môme les consonnes 1, g, p. Pas de douleurs fulgurantes. Station et
marche
non modi- fiées par l'occlusion des yeux ni l'o
ravaux qui exigent un déploiement sérieux de force musculaire. La
marche
, un peu titubante, s'effectue sans diffi- culté
étique n'offre pas toujours la même inten- sité. Parfois, le malade
marche
avec assez d'aisance, d'autres fois lourdement
de véritables accès d'épilepsie. VII. Les rémissions notées dans la
marche
de la maladie, portant sur le tremblement les s
nnels la sclérose en plaques, qui débute dans l'enfance, aurait une
marche
bien plus lente que la sclérose en plaques de l
u point de vue intellectuel et a enrayé dans une certaine mesure la
marche
de la sclérose en plaques. Cette maladie a offe
rouble de la sensibilité générale ni des sens. 144 Description ET
marche
DES attaques. Juin. - Description d'une nouvell
des douches. De plus, école et gymnastique. Ses attaques ont eu la
marche
suivante : Décembre 1888, 8 ; - 1889, en janvie
mbres du côté 168 Antécédents héréditaires. gauche. - Préhension,
marche
nulles. ? -Cachexie tuber- culeuse progressive,
uve nents provoqués sont normaux. L'enfant se tient debout, mais ne
marche
pas. Lasaie-t-on de la faire avancer, eu la sou
deu bains salés par semaine. Gymnastique : exercices du saut, de la
marche
, des jointures. lî2 Idiotie symptomatique. 18
dominait à gauche et se compliquait de contracture avait rendu la
marche
impossible et la préhension très limitée. La pa
35°,8. Après le décès (5 mai) elle était de 38°,5 et a eu enfin la
marche
suivante : Sclérose tubéreuse. 189 tale est d
ni rires ; - paralysie avec contracture des quatre membres, partant
marche
impossible, mouvements des mains très limités ;
u ignore à quelle époque la dentition a été complète. - Début de la
marche
à 9 mois, de la parole à 1 1 mois. Propre à 3 a
ssise est seule possible et encore ne peut guère se prolonger. L La
marche
est absolument impossible. Le goût n'est pas tr
gulières, et nous a fourni des ren- seignements intéressants sur la
marche
de son mal. Le tableau des accès (p. 242 et 243
C1l1'- Marche ET -complications DE l'épilepsie. 2t9 rentes sur la
marche
de l'épilepsie. Dans des cas malheureusement tr
l'épilepsie 250 VIE sexuelle ET descendance idiopathique, avec sa
marche
classique. Si les accès n'ont pas augmenté nota
ptique savaient ce qu'est cette épouvantable maladie, quelle est sa
marche
souvent fatale, quelles sont ses conséquences,
SÉGLAS (J.). - De l'influence des maladies intercurrentes sur la
marche
de l'épilepsie. Thèse de Paris. BOURNEVILLE Con
ant des frictions stimulantes, du massage, etc. Pour régulariser la
marche
de celles qui ont des mouvements irréguliers, inc
d'hémiplégie; 2 de paralysie infantile ; 2 de diplégie; 2 qui ont la
marche
semblable aux ataxiques; 3 sont atteintes do doub
a famille doit employer, dans la mesure du possible : exercices de la
marche
, des jointures, massage, gymnastique, exer-cices
d'elle. Aujourd'hui (7 mars 1907), l'enfant est bien changée. Elle
marche
seule, trotine toute la journée dans le service d
ans, est entrée en août 1906. — Atteinte d'idiotie complète, gâlisme.
marche
nulle, parole limitée aux mots: «papa, maman, du
e qu'elle saura se servir de cet objet dans le courant de l'année. La
marche
est en retard, l'enfant ayant lesjambes très faib
s notes semestrielles. D'abord sa physionomie était plus éveillée, sa
marche
plus assurée, elle montait seule les escaliers. E
t déterminé chez la malade de la paralysie. Il en est de même pour la
marche
, l'enfant remuait bien les jambes, mais ne marcha
nnelle sans contractures, ni raideur articulaires. La station et la
marche
sont nulles. La voûte plantaire est bien cambrée.
sirop d'iodure de fer; traitement spécial du gâtisme; exercices de la
marche
; douches et bains. En juillet 1901, l'état de
a, maman », Elle gâte nuit et jour, et ne fait aucun pro-grès pour la
marche
; les jambes sont toujours molles et la sta-tion
rend deux bains salés par semaine, avec exercices préliminaires de la
marche
. On lui donne en outre du sirop d'iodure de fer,
état général est relativement satisfaisant, mais ce-pendant la malade
marche
rapidement vers la déchéance la plus profonde. La
e courte rémission de 7 h. à 9 h. du soir, la température reprend une
marche
ascendante atteignant 41° à 5 heures du matin, pu
de cris, durant les quatre premières semaines; de là un retard de la
marche
, de la propreté, de la pa-role. Signalons aussi l
lui faire perdre lepeu d'intelligence qu'elle pos-sédait. IV. — La
marche
de l'épilepsie a été grave. Les ac-cès et les ver
de la température après le décès. VIII. — La figure 4 représente la
marche
des accès et la marche cle la température. Durant
le décès. VIII. — La figure 4 représente la marche des accès et la
marche
cle la température. Durant les 6 premières heures
bien portant; n'a pas eu de convul-sions; « il comprend tout, mais ne
marche
pas encore tout seul, il n'a pas du tout la même
ne cuillère mais ne sait pas s'en servir. — Traitement : exercices de
marche
, 2 bains salés par semaine, sirop d'iodure de fer
e; maxillaires bien développées. Traitement : exercer l'enfant à la
marche
, 2 bains salés par semaine, frictions sur les mem
es jointures ; sirop d'iodure de fer. 1887. G septembre. — L'enfant
marche
mieux que lors de sonentrée; il marche tenu sous
1887. G septembre. — L'enfant marche mieux que lors de sonentrée; il
marche
tenu sous les aisselles, en avançant assez bien s
, sirop d'iodure de fer, 3 bains salés; continuer les exercices de la
marche
, de plus exer-cices des jointures. lel'aôut. —
conférence, 5 cent, de longueur; anus normal. — 29 juillet : l'enfant
marche
seul ; poids 20 kgr., taille ln,09. •1894. Janv
au externe, de la grosseur d'un œuf de merle. — 23 juillet : l'enfant
marche
, il est propre, il commence à faire la petite gym
ppé; anus normal. — L'enfant a fait des progrès au point de vue do la
marche
et de la propreté. Traitement : huile de foie do
. — Amélioration déplus en plus marquée de l'enfant : actuellement il
marche
seul, ne gâte plus, se sert de la cuillère et de
s. Séglas (j.). — De l'influence des maladies intercurrentes sur la
marche
de l'épilepsie. Thèse do Paris. 1881 Pudel-Sa
est quelques douleurs dans les reins et dans le bas-ventre pendant la
marche
et la sta-tion verticale. L'accouchement se fait
ie, des douleurs dans les reins et dans les aines, surtout pendant la
marche
. En même temps, un abondant écoulement de flueurs
t dans le bas-ventre spontanées et provoquées par la pression, par la
marche
et par la sta-tion. La langue est rouge, sans e
aits, physionomie tout à fait singulière de l'ensemble symptomatique,
marche
toujours aiguë de la maladie, caractères nécrosco
plutôt pour attaquer la maladie dans son essence et l'enrayer dans sa
marche
, que M. Bouillaud applique à la fièvre typhoïde s
ication mercurielle employée dans le but d'arrêter la maladie dans sa
marche
, de la faire avorter : c'est ainsi que les fricti
bcès sous-muqueux ou d'un fragment de cartilage en partie détaché. La
marche
de l'affection est en général très rapide. Sestie
u'elles présen-tent habituellement, dans leurs symptômes et dans leur
marche
, des différences notables. On a constaté que les
. E. Durée de la maladie, convalescence. — En temps d'épi-démie, la
marche
du typhus fever peut être, ainsi que nous l'avons
us avons pris pour point de départ de notre description, affecter une
marche
lente et insidieuse, qui rappelle l'allure habitu
e souvent alors, con-trairement à ce que nous avons vu dans les cas à
marche
ra-pide, que la convalescence traîne en longueur
tuellement volumineuse et ra-mollie. La maladie affectait souvent une
marche
relativement rapide; elle était transmissiblepar
qui dominent en pareils cas. — D'autres fois, la maladie affecte une
marche
moins rapide, et il y a plus de chances de guéris
s de l'année ne paraissent pas avoir eu une influence décisive sur la
marche
, la durée et l'in-tensité des épidémies de peste
tous les obstacles qu'on lui a vainement opposés, en suivant dans sa
marche
, dirigée, à l'origine, de l'orient vers l'occiden
il est plus convenable d'exprimer les modifications survenues dans la
marche
de la maladie en disant qu'elle s'est compliquée
aractères les plus importants de la fièvre jaune peut être tiré de sa
marche
; nous voulons parler de ce temps d'arrêt qui se
s, endémiques ou sporadiques, elle donne, au début de la maladie, une
marche
ou une physio-nomie insidieuse qui rendent le tra
La fièvre jaune se présente avec des allures toutes spéciales, une
marche
toujours aiguë, des symptômes qui, sans lui être
me soulevée ; il reste alors une ulcération superficielle, rouge, qui
marche
assez vite vers la cicatrisation. L'apparition de
grand développement de l'épiderme, dévelop-pement qui a gêné dans sa
marche
l'éruption des poils. L'épi-derme est en effet, d
s doute de plusieurs années. C'est un nouvel exemple de ces tumeurs à
marche
très lente, qui laissent intactes les fonctions c
observe ordinairement dans des cas semblables; comme dans ces cas, la
marche
de la pa-ralysie nous a offert quelque chose de s
mort, il cessa de vomir complètement ; il est vrai qu'affaibli parla
marche
rapide de ses tubercules, parla fièvre, par une d
tait naturelle et le pouls, avant que ses tubercules eussent pris une
marche
rapide, était normal : ce sont là les principales
ingénieusement aux astronomes qui calculent et suivent exactement la
marche
des mouvements des astres, prédisent et fixent le
'est-ce pas en vain, le plus souvent, qu'on tenterait d'en enrayer la
marche
, d'en supprimer les périodes ? La médecine agissa
indiquer le résultat de son action relativement à la mortalité, à la
marche
lente ou rapide delà maladie ; et, pour atteindre
s nombreux, et faits sans le moindre parti pris, vins-sent établir la
marche
naturelle, la durée et les différentes cir-consta
ies, il serait indispensable qu'on connût exacte-ment quelles sont la
marche
, la durée et la terminaison la plus fréquente de
e tend pas nécessairement à une terminai-son funeste : loin de là, sa
marche
naturelle paraîtrait la diri-ger, en général, ver
bs. I. — Homme de trente-deux ans. Début lent après refroi-dissement;
marche
avec des béquilles depuis deux ans. Amélio-ration
et fait quelques pas, bien que difficile-ment. Le 24, progrès dans la
marche
. Le 29, le malade fait quel-ques pas sans aide (d
Rapide augmentation de la paralysie, état plus grave depuis un mois,
marche
difficile. Amélioration notable par le nitrate d'
ées. Les conjonctives sont moins sensibles que dans l'état normal. La
marche
est abso-lument impossible; la malade, soulevée p
tion de la motilité et de la sensibilité était des plus profondes. La
marche
était à peu près impossible ; la malade se souten
nt soutenue sous les deux bras, et l'on a vu que les mouvements de la
marche
étaient bien plus réguliers. 20 mai. — La malad
Il y a, en somme, une amélioration très con-sidérable. 3 juin. — La
marche
devient de jour en jour plus facile: la malade ne
savoir: chaleur pendant la nuit et sueurs abondantes. Dès l'origine,
marche
difficile; les jambes se projetaient sans cesse e
réflexes convulsifs intenses. La station, et à plus forte raison la
marche
, sont tout à fait impossibles: dès que la malade,
lieu avant le traitement. — Il y a eu encore quelques progrès dans la
marche
et dans la station. Roth peut se tenir quelques i
-bres inférieurs paraît avoir tout à fait disparu. — La station et la
marche
sont dans le même état que ces jours passés. Du
9 au 20 mai. —Il n'y a pas eu de nouveaux progrès. La sta-tion et la
marche
sont dans le même état que le 9 mai. — L'appé-tit
verticale sous les deux bras, la malade exécute les mouvements de la
marche
, mais elle projette sans mesure ses jambes, qui s
és. Elle reconnait dans quel sens sont croisés ses pieds. Lorsqu'elle
marche
, soutenue sous les deux bras, elle ne lance plus
une légère amélioration ; mais l'affection re-prend bientôt après sa
marche
progressive, et la malade est admise à l'hospice
pendant plusieurs instants près de son lit, sans aucun soutien ; elle
marche
dans la salle à l'aide d'une chaise qu'elle pouss
temps à autre. Depuis 1848, surdité incomplète. Il y a sept ans, la
marche
était devenue tout à fait impossible. Elle fut so
deux ou trois pas soutenue sous les deux bras ; les mouvements de la
marche
sont déréglés. Pendant le cours de l'affection
mence à manger davantage et à engraisser. Depuis quelques jours, elle
marche
dans la salle en s'appuyant sur une chaise, se ti
et le remonte quelque temps après, soutenue par deux personnes ; elle
marche
tenue très-légèrement par les mains. Jamais depui
ues pas dans les salles, soutenues par des infirmières. L'une d'elles
marche
pendant près d'un quart d'heure sans l'aide de pe
ataxiques des mem-bres inférieurs, d'abord très prononcés pendant la
marche
, ont cessé de se manifester ou sont à peine appré
g-temps stationnaire, ou encore elle avait suivi sans interruption sa
marche
progressive. Or, dans tous ces cas, la médication
s moins graves et moins avancés, on pourra enrayer la maladie dans sa
marche
, ou obtenir tout au moins un amendement équi-vale
dans la profondeur des membres. La faiblesse augmenta peu à peu ; la
marche
devint difficile: la malade traînait péniblement
nnaissances, d'autant plus que pour produire un effet sensible sur la
marche
de la maladie, il faut administrer l'argent penda
s membres. Des faits aussi remarquables et aussi peu conformes à la
marche
ordinaire de cette affection redoutable, auraient
avons obtenu le retour pres-que complet à l'état normal, et la malade
marche
aujourd'hui sans béquilles. Bans ce second fait,
on- cerai ainsi : Une paralysie grave, plus ou moins généralisée, à
marche
aiguë ou subaigué, accompagnée de douleurs spon
état général était bon. * . .... Aujourd'hui le malade se lève,
marche
,se promène, mange et dort bien. Il relève encor
mités vers les racines des membres; presque toujours, elle suit une
marche
symé- trique. Elle met ainsi deux ou trois se
, il faisait un premier pas, puis un second. Après quelques pas, la
marche
devenait de plus en plus facile et enfin normale.
rouvait bien encore de temps en temps un peu de gêne au début de la
marche
, mais il n'avait plus besoin de s'appuyer sur u
ai- et des jambes ; dé- jambes ; démarche gnenl. blesse et tremble-
marche
vacillante, vacillante, ment des mains ; dipl
rieurs. Mais même dirigé en bas et à le dernier temps la droite.
marche
progressive de ces phénomènes ne s'est pas ar
aisles pas les sens, bien qu'elle peu lourde. sont petits et pré-
marche
avec un. Pas de phénomè- cipités. On remar- , c
émarche : de l'incertitude a )a la jambe droite (ge- titube surtout
marche
. Souvent nou contusionné). quand il tourne. en
asmodi- ques. Les yeux fermés Idem. Idem. l'incertitude de la
marche
augmente. L'Altitude de Ne présente rien Léger
peut vaincre la contrac- ture des pieds qui reste permanente. La
marche
est impossible. En maintenant l'enfant dans la po
l'hôpital St-André de Bor- deaux, pour une tuberculose pulmonaire à
marche
rapide; il est de plus atteint d'une atrophie m
on séant et pour monter des escaliers même lorsque la hau- teur des
marches
n'excède pas dix centimètres. Dans la station ass
ssible sans point d'appui. Depuis longtemps déjà ces troubles de la
marche
s'accentuaient progressivement; le tronc avait
es avant-bras, tel est l'ordre d'envahissement des parties. Dans sa
marche
progressive, la sclérodermie intéresse donc à l
t il leur aspect extérieur et leur musculature. Aucun trouble de la
marche
. La station debout sur un pied est facile, ainsi
la marche. La station debout sur un pied est facile, ainsi que la z
marche
à reculons les yeux fermés. ATROPHIE MUSCULAIRE
est frappé d'impotence presque absolue et que l'atrophie prend une
marche
plus rapide. A 25 ans, intervient une fractur
les symptômes suivants : Le signe de Romberg et l'incertitude de la
marche
dans l'obscurité, l'agoraphobie et la claustrop
int de l'écorce commande le langage, tel autre point la danse et la
marche
, sans différer pour cela en tant qu'écorce céré-
urs chez les tabétiques. Il en est de même de l'incertitude de la
marche
dans l'obscurité. Quand la vue, qui fixe notre
nos mouvements de progression, la sécurité et la certitude de notre
marche
, s'en ressentent. Ce signe, comme le signe de R
côté de l'oreille atteint. Je sa- vais le père atteint d'un tabès à
marche
très lente, qui avait débuté autre- fois par du
du vertige, de la diplopie et un certain degré d'incertitude de la
marche
dans l'obscurité. Ces phénomènes existaient chez
te l'une des formes du signe de Rom- berg, de l'incertitude dans la
marche
comme dans la station, mais souvent aussi une v
rsal, un tabes labyrinthique dont l'évolution pourra emprunter à la
marche
particulière du tabès, des caractères qui le dist
tion, pas de troubles cardiaques, pas de gène à la respiration... La
marche
est difficile; la station debout nécessite un p
ment soigné son portrait. Debout devant le lit, un pied posé sur la
marche
qui le précède, le gros homme se détourne pour
chronique chez la femme adulte, de cette forme de myxoedème qui ne
marche
pas fatalement vers la cachexie, compatible ave
us les âges. Je ne dirai rien des cas dans lesquels l'hypothyroïdie
marche
sûrement et visiblement vers le myxoedème franc
vice pour varices volumi- neuses, pour varicocèles pouvant gêner la
marche
. La théorie mécanique de la formation des varic
tites d'un ou des deux côtés ; elles noircissent de bonne heure. La
marche
est tardive chez ces enfants ; il n'est point rar
s. L'hypothyroï- die bénigne chronique existe sans ces symptômes.
MARCHE
DE LA MALADIE. L'hypothyroïdie chez les enfants
ade se sent plus dégagée. Elle n'est plus si enserrée la taille. La
marche
et la respira- tion sont bien plus faciles, les
ion persiste encore Le 25 août, le poids est tombé à 76 kg. 200. La
marche
et la respiration sont maintenant faciles et no
a ma- lade que quelque chose descend. A certains moments, en pleine
marche
, elle est forcée de s'arrêter brusquement, immo
la chagrine beaucoup. La souffrance, très intense au dé- but de la
marche
, se calme petit il petit par l'exercice, pour rev
is au bout de peu de temps, il répond à une question antérieure. Il
marche
convenablement, n'a aucun signe d'incoordination,
ncé, la plante du pied est complètement portée en dedans, le malade
marche
sur le bord externe du pied, les jambes un peu
pu observer un véritable arrêt du développement intellectuel. La
marche
de la maladie est lente : c'est un de ses caractè
. Elle s'est manifestée par des douleurs en ceinture, rapidement la
marche
est devenue difficile. A la suite d'une chute, en
levait le pied pour avancer elle croyait être tirée en arrière. La
marche
devenant de plus en plus difficile, la malade vie
arrivait à tomber quand elle voulait se lever; dans l'obscurité la
marche
était difficile. Fig. 1. - Schéma du champ visu
l (Observation III). Entrée le 20 octobre 1896 à la Salpêtrière, la
marche
étant devenue impos- sible, elle fut soignée pa
rtain soulage- ment, mais les crises de diarrhée persistèrent et la
marche
ne s'améliora pas sensiblement. Etat actuel.
seulement, des douleurs fulgurantes dans les jambes. La gène de la
marche
a débuté à ce moment, mais elle n'en a pas moins
squ'en octobre dernier. Depuis cette époque, et très rapidement, la
marche
est devenue impossible, surtout dans l'obscurité,
ers le côté externe. Cette attitude permanente provoque, pendant la
marche
, d'horribles souffrances depuis plusieurs année
du pied malade, elle l'a vu peu à peu se déformer jusqu'à rendre la
marche
impossible. Peu intelligente, elle a été émotio
nt au pied un accident très comparable au précédent. Ce jeune homme
marche
également avec peine, car il res- sent au bout
alement avec peine, car il res- sent au bout de quelques minutes de
marche
une grande souffrance dans la jambe droite. Il
n seulement au mollet, mais encore à la cuisse. Après 10 minutes de
marche
, la jambe est entièrement raide et l'on croit obs
le ma- lade est couché ou quand, étant debout, il ne pense ni à la
marche
ni à sa 356 F. RAYMOND ET PIERRE JANET jambe.
au grand étonnement du malade, nous lui faisons constater que, s'il
marche
pieds nus en cher- chant à bien sentir le sol a
disparu complètement au moment où s'est développé le trouble de la
marche
, il y a à peu près s trois ans. Ce trouble aura
nt. Les mouvements des bras et des jambes se font bien. Le malade
marche
bien. Les omoplates ne sont pas saillantes. T
est surtout douloureuse dans le bras gauche et au cou. Le malade
marche
assez bien ; même les yeux fermés, il peut se ten
ude, fait un mouvement d'extension et arrive à s'asseoir. Le malade
marche
assez facilement, sans grande modification de la
. Le malade marche assez facilement, sans grande modification de la
marche
physiologique. Le mouvement pour amener la ma
8 il remarqua que ses membres inférieurs fléchissaient pen- dant la
marche
; environ trois semaines après il ressentit une s
Membres inférieurs considérablement atrophiés, toutefois le malade
marche
encore facilement : tous les mouvements sont po
l, a un poids énorme. Même sensation subjective de poids pendant la
marche
. Le malade se tient debout, bien que titubant u
ant un peu ; il peut se tenir sur un pied, même les yeux fermés. Il
marche
encore assez facilement, mais lourde- ment, et
jambe gauche. Il put se relever aussitôt et faire une assez longue
marche
après l'accident. La plaie guérit rapidement, mai
e. Les muscles s'atrophièrent beaucoup au mollet et à la cuisse, la
marche
devint impossible. Après une saison il Aix, la ma
ez les adultes ainsi que l'hémisection de la moelle accé- lèrent la
marche
de l'atrophie musculaire dans le membre correspon
ndant dont une articulation a été lésée, mais n'influent pas sur la
marche
de l'a- trophie dans le membre opposé, si les a
don- leurs fulgurantes très intenses. Rapidement, en deux mois, la
marche
est de- venue difficile, et pour piquer à la ma
, la malade entra à la Salpêtrière il y a deux ans; il ce moment la
marche
était impossible, les jambes sautant dans tous
olument normaux, se sont troublés à leur tour et, bientôt après, la
marche
est devenue impossible ; depuis ce temps les do
aiblesse dans les deux jambes; elle chancelait dans l'obscurité, la
marche
devint de plus en plus difficile. A ce moment ell
pas de diplopie. , A son entrée dans le service de M. Raymond, la
marche
était devenue im- possible. Elle a suivi un t
asmodique généralisée; les mouvements sont maladroits, saccadés. La
marche
est très raide ; la rigi- dité est notablement
plus larges, la jambe est devenue un peu lourde à mouvoir, mais la
marche
n'en a ja- mais été sérieusement gênée. Au de
out d'un mois ou six semaines, les accidents disparais- saient ; la
marche
et le travail redevenaient possibles, bien que ]'
, c'est le même oedème blanc, dur, indolore, qui laisse possible la
marche
et ne cause d'autre désagrément que la né- cess
e la jambe. Cette observation diffère notablement des nôtres par la
marche
et les caractères de l'affection. Les phénomènes
des chevilles, sans envahir les pieds. Cependant, à la suite de la
marche
, le dos des pieds se tuméfiait également; mais l'
La malade était artério-scléreuse avec des symptômes d'asystolie à
marche
très lente. La description de l'oedème ainsi qu
férieur droit a été diminuée. Les caractères, la localisation et la
marche
de cet oedème paraissent ici semblables à ceux
ent la même dans les deux cas : c'est le temps de l'adolescence. La
marche
est lentement progressive jusqu'à une limite qu
éprouve pas de douleur dans la jambe et n'en a jamais éprouvé. Elle
marche
facilement et sans fatigue, elle danse, et toutes
lourde que l'autre : mais lorsqu'elle n'éprouve pas de fatigue elle
marche
sans boiter. La jambe droite, le tronc, les bra
position in- termédiaire à la pronation et à la supination. Dans la
marche
, les mains sont ballantes, portées beaucoup plu
cune répercussion dans les doigts. Membres inférieurs. - Pendant la
marche
, le pied droit est traîné et fauche légèrement;
e malade se tient debout les yeux fermés, mais incoordination de la
marche
dans ces conditions. La partie antérieure des c
lors si soudainement, si inopinément; pourquoi ces affections ont une
marche
si rapide, tantôt emportant les petits malades en
is l'exposé dogmatique de l'étiologie, de la symptomatologie, de la
marche
, des terminaisons, de l'anato-mie pathologique, d
de l'os; elle a dû être causée par un tubercule enkysté, qui, dans sa
marche
envahissante, a détruit la substance spongieuse e
l offre d'intéressant : il est double. Le pus, à partir de sa source,
marche
dans deux directions, et va se colliger dans les
mple d'une affection qui, quoique abandonnée à elle-même, a suivi une
marche
assez heureuse. Ce second malade est encore plu
mets, au contraire, les supports dans la station verticale et dans la
marche
. Je proscris d'une manière absolue les exercices
r de ces moyens, c'est le temps ; la douleur disparaît souvent par la
marche
spontanée de la maladie; le second, c'est le repo
n action. IIe CAS : MAL VERTÉBRAL AVEC PARALYSIE. — Quelle est la
marche
spontanée de la paralysie produite par le mal ver
de guérison spontanée. L'enfant n'a point eu d'abcès. Vous voyez la
marche
favorable de l'affection abandonnée à elle-même c
moindre. La paralysie dépendant du mal vertébral présente, dans sa
marche
, des irrégularités qui la différencient des autre
attribuées aux moyens thérapeutiques. Une autre cause influe sur la
marche
de la paralysie. On ne voit pas, en général, surv
complète, a diminué, et aujourd'hui l'enfant peut se tenir debout et
marche
avec facilité. Aussitôt qu'une amélioration se
ON. — NOUS avons peu de ressources certaines contre ce symptôme; la
marche
en est plus grave que celle de la paralysie. Ab
termédiaire. Bien que nous n'ayons eu en vue jusqu'à présent que la
marche
des abcès par congestion, nous avons déjà recueil
re modifier la suppuration. Nous comprenons toutefois que, lorsque la
marche
de la maladie donne des inquiétudes sérieuses mal
tint pas de guérison , et retarda seulement l'époque de la mort. La
marche
de l'abcès n'est pas toujours la même après l'emp
éprouve quelque embarras à poser ici des règles formelles. La science
marche
, et la question n'est pas assez complètement réso
i préviendra l'ouverture directe et fistuleuse qui se produit dans la
marche
naturelle de 1; maladie. (1) J'arrive à l'exame
out très-douloureux dans l'affection osseuse; la moindre secousse, la
marche
sont une cause de souffrance. On observe chez ces
ute sur la véritable nature du mal. C'est surtout en ayant égard à la
marche
des deux affections, qu'on peut résoudre ce probl
nement et l'expérience ; je n'y reviens pas. Si vous observez bien la
marche
de la maladie, vous verrez qu'elle est exactement
ans cet hôpital, une salle consacrée aux sujets scrofuleux; suivez la
marche
de leur maladie, et vous observerez des phénomène
rouva un tour de reins douloureux et ensuite de la difficulté dans la
marche
et de la claudication. Le récit assez vague de ce
st dans la flexion considérable des genoux dans la station et dans la
marche
. Si l'enfant maintenait droits ses membres abdomi
norme ensellure, cette saillie considérable du ventre; la station, la
marche
, n'étaient possibles qu'à cette condition. Les
ont plus fortement compromises qu'elles ne l'ont été dans ce cas ; la
marche
devient impossible. Il est plus probable que la c
duire une difformité nouvelle. Vous voyez l'attitude du pied, dans la
marche
, chez cette jeune personne qui est affectée de lu
convulsions-de l'enfance sont une cause si fréquente de pied bot. La
marche
de la maladie est, dans ce cas, presque uniforme.
qui constitue le pied plat n'a point d'inconvénient sensible pour la
marche
, quand ce n'est qu'un pied large, ou quand l'abdu
Aucun des enfants que je vous présente n'accuse de souffrance dans la
marche
, et ces deux derniers peuvent fournir une course
jet à des entorses, à des chutes, et l'empêche d'accomplir une longue
marche
. Enfin la peau, comprimée douloureusemeut vis-à-v
membres supérieurs et inférieurs, déformation qui n'empêcha point la
marche
jusqu'à l'âge de trente (1) Troisième leçon , 6
que sur la partie antérieure du bord externe ; vous comprenez quelle
marche
vacillante doit en résulter. La main n'est pas
suite de la contracture de son long extenseur. Chez cette femme, la
marche
n'est pas difficile comme chez la précédente, par
ère, vers l'articulation médio-tarsienne, qui est très-résistante. La
marche
se fait chez elle comme avec un pilon ; aussi y a
y a une demi-ankylose des articulations tarso-mé-tatarsiennes, et la
marche
s'exécute sur la pointe du pied ; on voit une lar
res. Il n'y a pas de callosités sur ce pied, parce que cette femme ne
marche
pas. Étude des éléments anatomiques du pied bot
main , et il en est résulté jusqu'ici quelque amélioration. L'enfant
marche
sur la pointe du pied. Il ne s'est rien passé,
e sustentation est bien plus défavorable que celle du varus; aussi la
marche
est-elle moins assurée et plus pénible que dans c
ersement du pied. Quand ce renversement est considérable, le sujet ne
marche
plus que sur le côté interne du calcanéum, du sca
du pied pose sur le sol; le talon est à peine soulevé. Mais, dans la
marche
, la jambe ne peut accomplir en entier son mouveme
e pied, nous trouvons un pied équin à peu près direct, quand l'enfant
marche
; un valgus, quand il appuie à terre; et enfin, qu
te du premier orteil, qui, néanmoins, cède assez facilement. L'enfant
marche
en partie sur les orteils, dont les ongles sont u
ur la pointe du pied, et le talon pose bien plus que celle-ci dans la
marche
. Les tendons des fléchisseurs se soulèvent et se
nière. C'est surtout par l'ensemble des symptômes, et en observant la
marche
de ces affections, qu'on distinguera leur effet l
s, jusqu'à l'invention de la lénotomie. Il faut avoir médité sur la
marche
de l'esprit humain , il faut se rappeler que Fult
à celle du traitement et retarder encore la guérison. Aussi la cure
marche-t
-elle souvent avec beaucoup de lenteur, lorsqu'on
paralysies et les contractures sont telles qu'après la ténotomie, la
marche
doive devenir plus facile, il faudra opérer; il e
ermettait aux malades d'exécuter régulièrement les divers temps de la
marche
. Un exemple de varus plus prononcé est celui-ci
lusieurs semaines. En janvier 1841, les pieds posaient à plat dans la
marche
; mais le résultat était encore imparfait ; l'exte
du grand acte de la nutrition qui crée la substance osseuse; c'est la
marche
anormale de l'ossification, de la formation des o
plus de courbures du bras, si les enfants avaient été plus jeunes. La
marche
a une influence réelle sur le développement des c
uence, et je ne sais si l'on peut dire avec M. Rufz (1) que, avant la
marche
, la déformation porte plus souvent sur les membr
mbres inférieurs offrent, de haut en bas, une courbure en S. L'enfant
marche
, mais se fatigue promptement. IIe cas. — Ce sec
des connaiss. mèdic. du 10 novembre 1856. accueillie jusque sur les
marches
des trônes. Fortune étrange assurément , si l'hom
arqué que, pendant l'été et sous l'influence d'un air pur, la maladie
marche
moins vite. Il est donc important de transporter,
s à des efforts qui dépassent leur résistance. On ne permettra pas la
marche
aux enfants dont les tibias sont flexibles, à moi
r l'étendue de la déformation. C'est une fdle de quatorze ans, qui ne
marche
plus depuis six ans. Les membres inférieurs sont
rmée; le rachis est droit, ainsi que les membres supérieurs. L'enfant
marche
, et vous ne pensez probablement pas trouver sur e
gravité tombe en avant et fort au delà de la base de sustentation; la
marche
n'est plus possible qu'à l'aide d'un bâton ; parf
insi, dans la grossesse, une lordose commençante sera arrêtée dans sa
marche
si la femme a soin de rester peu debout, de se re
et fortement fléchis sur le tronc, si l'on est accroupi comme dans la
marche
des nains d'Amoros, comme dans certains exercices
ifiée par la nature de sa cause , la scoliose type, celle qui suit la
marche
régulière, comme on dirait d'une maladie aiguë, n
es. Il est moins rare de voir l'aorte abdominale affecter seule cette
marche
flexueuse. Si la courbure dorsale est à gauche,
férents qui constituent, lorsque la déviation ne s'arrête pas dans sa
marche
, autant de périodes successives, savoir : 1° A
s'ajouteraient plus tard des courbures secondaires, suivrait la même
marche
. Dans les autres formes de déviation, telles que
ouvement actif, dans tout effort musculaire un peu prolongé, dans une
marche
rapide , dans la course , dans les efforts expira
qu'à l'âge de dix ans, et est encore aujourd'hui au premier degré. Sa
marche
a été lente; ce n'est presque qu'une courbure aor
iner s'il n'y a pas une thérapeutique spontanée , et quelle en est la
marche
. Beaucoup de médecins s'en remettent au temps,
sidérables. J'ai eu maintes occasions de suivre pendant des années la
marche
croissante de la scoliose, depuis sa première app
scolioses par flexion. Mais plusieurs circonstances influent sur la
marche
de la vraie scoliose, sur la rapidité et la durée
mouvements capables d'exercer régulièrement le système musculaire. La
marche
, la course, les mouvements spontanés des enfants
n restreignant néanmoins l'usage, les exercices d'équilibre, comme la
marche
sur un plan étroit et vacillant; son but était de
ant garder pendant d'autres exercices, dans les différentes sortes de
marche
, par exemple ; car elle remédie à l'inconvénient
es de l'affection : si elle est à son début, il faut s'enquérir de sa
marche
, considérer les antécédents, l'état général, et p
e toute l'importance de ce résultat, il faut se rappeler que, dans la
marche
progressive, régulière de la scoliose, la déviati
le degré d'épaisseur et de volume de ces objets ; un escabeau de 5
marches
, ayant pour but d'apprendre aux enfants à monte
èrement bouffies. Gr.. a delà répugnance au mouvement, surtout à la
marche
; ainsi il n'aime pas les promenades, sauf celle
te plantaire est CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 27 à peine marquée; la
marche
est difficile, lourde, mais cependant possible
uche etle lobule de l'oreille gauche ; rien aux lèvres. L'érysipèle
marche
de droite à gauche; langue humide; nuit tranquill
in. Poids : 20 kil. 700. Juin. - Amélioration au point de vue de la
marche
; il est plus solide sur les jambes, mais manif
Bagnols. On lui fait fabriquer une canne afin d'arriver à ce qu'il
marche
seul. Th... s'est amé- lioré sous le rapport de
tte dernière époque que semble remonter le début de l'affection; la
marche
, la parole, etc., loin de progresser, diminuère
ie : parole limitée à quelques monosyllabes; défaut d'at- tention ;
marche
très difficile; gâtisme ; inertie physique. - Ery
hysique et intellectuel. - Idiotie com- plète ; alitement; gâtisme;
marche
et parole nulles ; bouffissure de ' Charpentier
hyroïde, tuméfactions lipomateuses sus-claviculaires et axillaires;
marche
lente, indécise et chancelante ; parole lente e
etite distance, mais souvent elle tombe subitement; aussi elle e ne
marche
jamais sans appui à sa portée. Les jambes semblen
iennes de onze mois à quatre ans. - Abolition de la parole et de la
marche
.; Retour de la parole à trois ans, et de la mar
parole et de la marche.; Retour de la parole à trois ans, et de la
marche
à cinq ans. - Coqueluche, rougeole. - Langue et l
ncte ; la paralysie a persisté pendant deux mois ; actuellement, il
marche
en traînant un peu la jambe droite, soulève le
céphalie; épaississement des lèvres; absence de signes de puberté ;
marche
nulle. 11 s'agit d'un nommé Pot..., né à la Cha
- Absence d'antécédents héréditaires. - Idiotie complète; parole et
marche
nulles; teinte cachectique de la peau; brachycé
z les crétineux où la dégénérescence de la glande peut avoir eu une
marche
et une distribution inégales; il va de soi que
éveloppe en un an. La force des mains diminue, surtout à droite; la
marche
s'appe- santit, face vultueuse. Jambes infiltré
pératoire est plus favorable que celui du myxoedème médical dont la
marche
paraît fatalement progressive, si l'on en juge
UES. 125 10r mai. La préhension se fait mal de la main gauche. La
marche
s'accompagne de titubation avec tendance à tomber
atégories des tu- bercules de la protubérance au point de vue de la
marche
: 1° Tubercules évoluant sans symptômes jusqu'a
de la tuberculose (Obs. V et VI). 2° Tuberculose protubérantielle à
marche
intermittente, évoluant lente- ment et par pous
r poussées successives comme chez notre ma- lade. - 3° Tubercules à
marche
continue et progressive. Quelle que soit d'aill
les à marche continue et progressive. Quelle que soit d'ailleurs la
marche
, la symptomatologie est extrêmement variable et
vue de la généralisation de la tuberculose, au point t de vue de la
marche
insidieuse de la méningite tubercu- leuse, et a
renseignement, on pense qu'il est suscep- tible d'amélioration. Il
marche
en traînant la jambe droite, qui est raide. E
portant, et ne différait pas sensiblement des enfants de son âge.
MARCHE
DE LA TEMPÉRATURE. z IL C'est dans le cours de
vation. IV. Les accidents auxquels a succombé l'enfant ont eu une
marche
insidieuse. Durant la première quinzaine d'avri
éningite était de nature tuberculeuse. La température a suivi une
marche
ascensionnelle dont les caractères sont bien mi
roduites par l'alcoolisme. Les troubles intellectuels ont suivi une
marche
rapide MÉNINGO-ENCÉPHALITE GÉNÉRALISÉE. ! 53
e ulcéreuse.- Balancement; grincements de dents; parole nulle ; -
marche
à 4 ans ; salacité ; - phimosis ; gâ- tisme ; i
rs heures, et on a beaucoup de peine à le ren- dormir. Depuis qu'il
marche
, il crie moins la nuit, mais continue à crier d
qui marohait en- core seul à son entrée à Bicêtre (fin novembre) ne
marche
plus. La peau est recouverte d'un duvet fin et
r- rompu par des « cris sauvages », que la parole était nulle, la
marche
impossible ; enfin elle vit s'ajouter à tous ces
SOMMAIRE. - Idiotie : crises convulsives ; contractures ; gâtisme;
marche
, parole, mastication nulles. Mo- 7oi-cltidie ;
Premières dents à deux ans. - Ophthalmic. - Rougeole. - Parole et
marche
nulles; gâtisme ; marche impossible ; grima- ce
ans. - Ophthalmic. - Rougeole. - Parole et marche nulles; gâtisme ;
marche
impossible ; grima- ces ; strabisme; balancemen
d'iodure de fer; sirop antiscorbutique ; bains salés; exercices de
marche
. 24 octobre. Revacciné sans succès. 25 octobr
t qu'il avait quittée momentanément pour aller à l'in- firmerie. Il
marche
encore avec une certaine difficulté. Qn est obl
dre lui-même le gobelet et à boire seul. Il devient plus fort et sa
marche
est plus assurée. On lui a en- tendu prononcer
poque de son admission dans le service, pourrait se résumer ainsi :
marche
et parole nul- les, nécessité de l'habiller, de
observation nous semble comporter les remarques suivantes : I. La
marche
de l'épilepsie mérite d'attirer l'attention. No
. Mais M. le Dr Witkowski contestant ce que nous avons dit sur la
marche
de la température dans les accès sériels, comme
- noncées par un assez grand nombre d'accès isolés qui ouvrent la
marche
(1) : et c'est tantôt au cours de ces accidents c
. Nous avons insisté sur la TEMPÉRATURE DANS L'ÉTAT DE MAL. 237
marche
, la durée, le traitement et l'anatomie pathol9,.
dans son type le plus parfait. La figure 23, qui repré- sente la
marche
de la température centrale, nous offre deux asc
ise à des intervalles rapprochés dans ce cas d'état de mal, dont la
marche
a un peu différé des cas ordinaires, ce qu'il e
ocherons de ce tracé celui que représente la fig. 27 ; il montre la
marche
de la température dans un état de mal qui s'est
ue nous avons reproduits permettent d'avoir une idée exacte do la
marche
de la température dans les principales formes d
les marcheurs en jouant de temps en temps des pas redoublés et des
marches
militaires, Grande école; éducation physique. I
n les exerce au moyen d'un escabeau il sau- ter de la hauteur d'une
marche
d'abord, puis de 2, etc... Un chariot particuli
ons au jardin toutes les fois que le temps le permet, mouvements et
marches
avec chants. C'est par ces moyens qu'on occupe
n- net. - En septembre, 40 enfants de la Société de jeux font une
marche
militaire et parcourent 26 kilomètres ; une voi
urant la grossesse. - Lymphatisme. - Idiotie complète : parole et
marche
nulles; gâtisme; aucune connaissance des per- s
s. - Rougeole à la période d'incubation, au moment de l'admission ;
marche
de la température; - Otite précé- dée d'une asc
e la nourrice n'a pas fait connaître la vérité. III. Signalons la
marche
de la température dans la rougeole et en partic
cris. Cognements de tête contre les murs. - Blépharite. - Parole et
marche
nulles : jambes de plus en plus faibles. 1891
c pas sourde. Elle aurait présenté fréquemment du stra- bisme. Elle
marche
tenue par la main. Elle a même fait un pas ou d
de morue. Deux bains salés de 10 minutes chacun. - Exercices de la
marche
. 3 juillet. - L'enfant maintenant marche seule
chacun. - Exercices de la marche. 3 juillet. - L'enfant maintenant
marche
seule ; elle semble moins colère, et est devenu
mois. - Début de la parole à 18 mo8 Premières dents à 6 mois. - Ne
marche
pas. - Gâtisme complet. - Paraplégie inférieure
la tendance à l'équinisme des deux côtés, mais surtout à gauche. La
marche
est impossible, l'en- fant ne peut se tenir deb
i concerne l'évolution de la tuberculose intestinale qui a suivi la
marche
torpide de la plupart des maladies des idiots g
des maladies des idiots gâteux, nous nous bornerons à signaler la
marche
de la température. (Fig. 1.) IV. A l'autopsie,
côté droit avec impossibilité de parler. - Retour progressif de la
marche
et de la parole. - Début précoce de l'athétose.
ilepsie : le syndrôme était ainsi complet. L'épilepsie a suivi la
marche
que l'on observe d'or- dinaire chez les hémiplé
Première dent à un an; den- tition complète à 3 ans. - Début de la
marche
et de la parole à 2 ans et demi. - Les premiers
16 mois. Il se tient actuellement un peu sur les jambes, mais il ne
marche
pas. Les premières convulsions se sont montrées
ux. Il reconnait ses parents et se montre affectueux ( ? ). Il ne
marche
pas, ne dit que «papa» et « maman et pousse des
normale. 21 771C - Traitement : 3 bains salés. - Exercices de la
marche
et des jointures. 25 juin. - Revaccine sans suc
Les selles sont régulières et bonnes. Il n'a pas de diarrhée. Il ne
marche
pas et tient continuellement dans son lit ses j
fait glisser et accomplit ainsi le tour de la salle. Avril. - S...
marche
presque seul et se promène sur le balcon du pav
nfin, St.. faisait des progrès incontestables au point de vue de la
marche
. Le traitement wéclieo-pécLa.goiq2e, bien qu'il
3 ans. Dentition complète à 10 ans. - Parole ' nulle. - Début de la
marche
à Sans. - Accès de cris datant probablement de
est indiqué comme non microcéphale; il ne parle pas, ne mange et ne
marche
pas seul; il est gaucher. Le 24 mars 1891, 152
dents. Bave continuelle. l'as d'onanisme. Sommeil bon. L'enfant t
marche
seul. On fixe assez facilement son attention. - T
157 8 octobre. La tuberculose fait tous les jours des progrès. La
marche
est rapide. L'amaigrissement et la faiblesse s'ac
extrême lenteur de la dentition qui ne fut achevée qu'à 10 ans ;
marche
à un âge avancé (8 ans) ; parole limitée à quel
maine; I cuillerée par jour de sirop d'iodure de fer ; exercices de
marche
quotidiens. 18 avril. - L'enfant entre à l'infi
es physiques ont disparu. 31 mat. - L'enfant a fait des progrès; il
marche
seul, pro- nonce quelques mots : « maman, papa.
l'autre. Genu valgum droit. L'enfant remue bien ses jambes, mais ne
marche
pas. Sensibilité générale normale, sauf pour la
a eu de la diplopie qui a duré deux mois, et de l'incertitude de la
marche
durant trois mois Acuité visuelle naturelle. Pas
hexie, cécité. - Leucome total adhérent des deux côtés. Parole et
marche
nulles. - Entérite à deux reprises. Méningite a
l'aine gauche est le siège d'un érythème assez intense. L'enfant ne
marche
pas, mais tous les mouvements, spontanés et pro
r comme une lésion concomitante de la méningite (2). (1) Voici la
marche
de la température du 30 juin au 8 juillet, qui ne
- tes. Sirop iodure de fer; sirop antiscorbutique et exercices de
marche
; 4 teinture de Kola. 20 juin. - Légère améliora
1 : 3 bains salés ; sirop d'iodure de fer; massage et exercices de
marche
. État actuel. L'enfant est pâle, peu adipeux, d
vue clinique l'enfant était atteint d'idiotie complète : parole et
marche
nulles, gâtisme, etc. L'existence de contractur
te. - Nouveau* accidents couculsifs à partir de 13 ans. - Parole et
marche
nulles; - gâtisme incomplet Atrophie des membre
igraines ; hydrocéphalie. 239 ble que l'enfant se tient debout et
marche
seulement quand celalui plaît. Elle est trèsjal
rogressif et rapide de la tête (Hydrocéphalie). 25 juin. - L'enfant
marche
de plus en plus mal. Elle ne peut même plus se
ui était gaie, tranquille, devient capricieuse, jalouse, colère. La
marche
qui s'était un peu amélio- rée à la Fondation V
it avec les doigts des mouvements bizarres et incohérents.. Dans la
marche
, il traîne toujours la pied gauche et tourne pl
cembre. Notes de l'école. Physionomie douce, yeux à demi fermés. Il
marche
en sautant, (rainant le pied gauche et tournant
mais toujours en arrière. Cette démar- che est assez analogue à la
marche
de l'escrime. Parfois, lors- qu'on veut le fair
ler vite, il porte les pieds en avant l'un de l'autre comme dans la
marche
ordinaire, mais toujours en traînant, alors il
ablement actifs, tandis qu'il laisse trainer le pied gauche dans sa
marche
ordinaire, et que la main correspondante flotte
ent et on ne la fait lâcher qu'avec la plus grande difficulté. Elle
marche
les bras demi-fléchis et en avant, le tronc inc
aves, ontoffert une grande lenteur et même des rémissions dans leur
marche
. La, vie aurait donc pu se. prolonger encore s'
cachexie, cécité.- Leucome total adhérent desdeuxcotës. - Parole et
marche
nulles. - Entérite à deux reprises. - Méningite
s. - Début de la parole à 18 mois. - Premières dents à 6 mois. - Ne
marche
pas. - Gâtisme complet. - Paraplégie inférieure
durant la grossesse. - Lymphatisme - Idiotie complète : parole et
marche
nulles; gâtisme; aucune connaissance des per- s
. -Roac(/eole ta période d'incubation, au moment de l'ncln21sssioi;
marche
de la température. Otite précé- dée d'une ascen
° mois de ta grossesse. Asphyxie à ta nais- sance. Première dent et
marche
à 14 mois. - Premières convulsions à un mois. R
it à propos de ses photographies; est devenu tout à fait propre. Il
marche
, court et saute. La parole s'est notablement dé
es durant le 1 cr et le 2c mois de la grossesse. Dentition, parole,
marche
nulles. Convulsions à 5 mois suivies du dévelop
Tics de la langue et rotation de la tête; mastication défectueuse;
marche
, parole, atten- tion, nulles. Balancement de la
lternatives de diarrhée et de constipation. . Connaissance, parole,
marche
, préhension nulles. -Klep- tomanie; grincement
Emotion vive durant la grossesse. Parole, attention, pré- tension)
marche
, mastication nulles. Amélioration pour la parol
sion) marche, mastication nulles. Amélioration pour la parole et la
marche
. Invagination intestinale ; mert. AUTOPSIE. -
TRAITEMENT CHIRURGICAL. 31 Première dent à mois. - Début de la
marche
et de la parole à à un an. Bronchite à 1 an; ce
marche et de la parole à à un an. Bronchite à 1 an; cessation de la
marche
et de la parole. Gâtisme. - Incapacité de s'hab
de cris. Tics; se mord les mains; accès de colère. -Progrès de la
marche
. AUTOPSIE. - Adhérences de la dure-mère aux os;
COJne112en1S de tête .contre les Lic·s. -131e1haile, : - Parole et
marche
nulles, -jambes déplus en plus faibles. * ? 1
- Début de la parole à 18 mois. - Premières dents à f 111()i ? - Ne
marche
pas. G'a(t's)ne co))ip/e<. Paraplégie inféri
ments du cerveau au niveau de lafontanelle antérieure. retard de la
marche
. ^~ Débutde la pa1·ole à 5 alls.- Blépharite ci
ves, ont offert une grande lenteur et même des rémissions dans leur
marche
. La vie aurait donc-pu se prolonger encore .s'i
ent à 3 ans. Dentition complète à 10 ans. Parole nulle. Début de la
marche
à. 8 ans. Accès de cris datant probablement de
u sur une infirmière ; en second lieu, photographie faite dès qu'il
marche
seul; en troisième lieu, quand il est devenu pr
issement, on s'est aperçu qu'il respirait encore. - Cessation de la
marche
après ces accidents. Retour de la marche à 3 an
encore. - Cessation de la marche après ces accidents. Retour de la
marche
à 3 ans J2. Sentiments traitement MÉDICO-PÉDAGO
u front. Asphyxie à la naissance. Convulsions à 2 ans. -Début de la
marche
à 14 mois, de la parole vers 2 ans. Propre vers
t des progrès continus. Il apporte du goût à tout ce qu'il fait. Il
marche
, court, saute, exécute bien tous les mouvements
doigts épais, en boudin. Membres inférieurs. - Volume, attitude,
marche
, mouve- ments provoqués et volontaires, normaux
sa poitrine. Voix basse, peu agréable. Attitude inclinée en avant,
marche
trem- blante, traîne les pieds, ne court pas, n
t, augmente et rend l'écriture impossible; les forces diminuent, la
marche
est de plus en plus pénible et traînante; un ét
de s'aide en ' marchant d'une petite canne qui a 46 cm. de long. Il
marche
en se dandinant à la façon des canards. VII.
sversal, très large. Au-delà de ce pli de passage, elle continue sa
marche
Hydrocéphalie : cerveau. 4ô5' jusqu'au sillon
Faiblesse de la jambe droite. - Début de la parole à.15 mois, de la
marche
à 2 ans 1/2; marche seul à 8 ans. Déviation du
e droite. - Début de la parole à.15 mois, de la marche à 2 ans 1/2;
marche
seul à 8 ans. Déviation du pied droit à 7 ans.
re tendance à s'aggraver, c'est ainsi qu'il devint gâteux et que sa
marche
fut de plus en plus défectueuse. 196 Hydrocép
faisait à la tête. On a constaté aussi, durant cette année, que la
marche
devenait de plus en plus défectueuse et que le
du pied. A tous les égards, il y avait un arrêt de développement :
marche
à trois ans , parole presque nulle, attention d
re allaité au sein. Il fut sevré à 15 mois. Il n'a pas de dents, ne
marche
, ni ne parle. - A5 mois, convulsions : ni paral
s en plus considérable. '' Poids après décès : 5 k. 200. Voici la
marche
de la température du 6 au 26 avril. Hydrocéphal
nts. Les réflexes patellaires ne sont ni diminués, ni' exagérés. La
marche
est correcte et ne présente rien de'- particuli
; contracture; cécité. 533 pas allé à la garde-robe. Le début de la
marche
n'eut lieu' qu'à 6 ans. - La première dent appa
ande où il a mal, il porte la main au front et à l'occiput. Dans la
marche
, il traîne tout jours un peu la jambe gauche. S
Première dent à 16 mois; dentition complète à 4 ans. Début de la
marche
, 3 ans et demi. Début de la parole, 4 ans. Conv
-Première dent à 16 mois. Dentition com- plète à 4 ans. Début de la
marche
à 3 ans lj2. A 4 ans, il com- mence à parler, m
ci `t alls 1/2. - Disparition des convulsions à 5 ans. Début de la
marche
à un an et demi; de la parole à 3 ans. Strabism
nvexe du crâne de Ber... 1 i ! ' Observation. 317 t dans leur
marche
. La vie aurait donc pu se prolonger encore s'il
. La pré- hension s'exécute le plus souvent avec régularité. - La
marche
qui, chez les plus jeunes et les plus atteints
et déve- loppé, n'a commencé à marcher qu'à 4 ans. En général, la
marche
est lourde, traînante, compliquée d'une sorte d
té déplacé en avant par le poids cle sa tête. Quant au retard de la
marche
chez les enfants qui se sont développés malgré
333 ans. Première dent à 5 mois. Dentition complète à 2 ans. - Ne
marche
pas. - Rougeole à 5 ans. Varioloïde à 7 ans. Ét
r ; huile de foie de morue, 2 bains salés par semaine. Exercices de
marche
. Juin. - Amélioration légère de sa santé généra
tère plus doux, mais aucune amélioration du gâtisme. Évolution ET
marche
de l'hydrocéphalie. - Après avoir examiné les d
uent à se développer. V... envoie des baisers, sourit, saisit tout,
marche
assez bien, dit distinctement papa et maman. Po
t'es lourde, poupée, joujou, toutou, mouton, baba (pour bas.) Elle
marche
tenue par une seule main. Des battements sont t
te droite, semble être heureuse d'avoir une belle robe, se tient et
marche
presque seule. Son voca- bulaire est le même. P
e que l'autre. Première dentition complète. 28 octobre. L'enfant,
marche
maintenant absolument seule. Poids : 12 k., 500
ment vues. 10 juillet. - L'enfant va actuellement très bien. Elle
marche
seule et longtemps sans fatigue, court sans tombe
ec irradiation dorsale et exagération par la pression et pendant la
marche
. Elle consulta au bout de six mois un médecin q
plus trace,de hernie, ni de trajet herniaire. Mais après une longue
marche
, elle éprouve dans la région hypo- gastrique ga
oite qu'à gauche. Aux membres inférieurs la force est conservée; la
marche
s'accomplit bien. Il existe quelques craquements
ci reparaissent bien vite, et la psychose reprend inexorablement sa
marche
. La durée est illimitée. Il est impossible de f
res, chez des sujets jusque-là bien pondérés, et parcourant dans sa
marche
progressive les quatre stades d'inquiétude, de
est encore parfois capable de mémoire. Quand la maladie affecte une
marche
moins aiguë, les hallucinations, moins pressées
des hallucinations sensorielles abondantes et fantaisistes, mais la
marche
en est généralement rapide ; il n'est pasimposs
stinguerait dé la folie systématique vraie ou Verrüclalaeit, par sa
marche
, l'ac- tivité de la sensibilité morale, la mobi
station debout, sans appui; 4° les exercices préparatoires pour la
marche
, dans la station debout; 5° des exercices de ma
atoires pour la marche, dans la station debout; 5° des exercices de
marche
. P. K. 48 SOCIÉTÉS SAVANTES. XIII. UN mot sur
e qui ressemblent à une para- lysie générale mais sans présenter la
marche
maligne de celle-ci. Je me souviens d'observati
cent habituellement à la période de convales- cence, présentent une
marche
régulièrement croissante, mais se terminent cep
servations que nous allons rapporter ont trait à des troubles de la
marche
, liés à des affections ner- veuses diverses. No
if, dort bien- la nuit suivante. Le lendemain, il s'aperçoit que la
marche
le fatigue d'une manière excessive. Ce phénomène
qui vient de se pro- duire. De ce moment datent les troubles de la
marche
qui persistent encore aujourd'hui. Ils sont all
alade devant nous; voici ce qui se passe. Au moment de se mettre en
marche
, il regarde le soi à quelques pas devant lui, p
soudainement enhardi, le malade se met résolument et franchement en
marche
, d'une allure normale, à enjambées régulières.
après quelques secondes, il se remet en route. Ces alternatives de
marche
régulière et de piétinement se renouvellent ainsi
rmal; intelligence intacte. L'origine mentale de ces troubles de la
marche
nous parait indiscutable malgré l'absence de to
d nous a obligeamment communiquée, se rapporte à des troubles de la
marche
liés à la neurasthénie; elle est écrite par le
la paralysie ? Puis-je améliorer mon état ou seulement retarder la
marche
toujours ascendante de la maladie ? Je voudra
n dorso-spinale avec douleur dans les jambes et grande gêne pour la
marche
, et des poussées de phosphaturie alternant avec
rement des jambes qui se dérobent au bout de six ou huit minutes de
marche
, rendant la station debout fort pénible et néce
de s'amender dans l'avenir, je pense que les exercices forcés, les
marches
prolongées, le surmenage physique en un mot, sont
es. Quelle est la part de cette influence sur les désordres de la
marche
, dans le cas présent ? C'est ce que nous ne sauri
seur Charcot, en 189t, au sujet d'une gêne qu'il éprouve pendant la
marche
. Il déclare que sa santé a toujours été parfait
oeuvres d'oc- tobre; mais dès le premier jour, après deux heures de
marche
, il est contraint de s'arrêter, éprouvant aux m
DYSBASIES D'ORIGINE NERVEUSE. 87 vaut; saison pendant laquelle les
marches
militaires sont rares. Mais en mars 1891, ils s
xamine le malade, et voici les résultats de cet examen. A. Avant la
marche
. M. X..., est bien constitué, d'apparence robus
particulier dans cette région ni dans les bourses. B. Pendant la
marche
. Nous invitons le malade à marcher sous nos yeu
« steppage » léger. Bientôt le malade abandonne l'allure rapide, et
marche
d'un pas modéré. Interrogé sur ce qu'il éprouve
t-pied est comme doublé de ouate sur la face plantaire. C. Après la
marche
. Aucune modification objective dans les membres
ste chez ce malade, mais elle était peu accusée. Les troubles de la
marche
étaient d'ailleurs infiniment moins marqués que
int de se reposer de temps en temps, ses jambes devenant, après une
marche
de faible durée, un peu raides et surtout impot
et, depuis quelque temps aussi, dans la main droite. Troubles de la
marche
. En même temps que les phénomènes douloureux, o
phénomènes douloureux, ou à peu près, ont apparu des troubles de la
marche
. Après une heure, deux heures de marche seuleme
t apparu des troubles de la marche. Après une heure, deux heures de
marche
seulement à certains jours ; mais, d'autres jou
pied dans l'eau froide. Elle survenait d'or- dinaire à la suite de
marches
, même peu prolongées (marche durant une heure,
survenait d'or- dinaire à la suite de marches, même peu prolongées (
marche
durant une heure, par exemple). Mais ces phénom
tions de brûlure qui se montrent spontanément ou à la suite de la
marche
. - Sensibilité de la peau conservée, sauf une b
NTALE. montre exclusivement chez les héréditaires et présente une
marche
défavorable, abstraction faite de quelques cas do
le des maladies ayant préalablement affaibli l'éco- nomie, enfin la
marche
(épisodique ou non), des perturbations intellec
ulaire aigu. D'ailleurs l'intérêt n'est pas purement doctrinal : la
marche
, le pronostic, le traitement de la maladie, son
tion fut grande. Toute la journée elle fit des courses et des dé-
marches
. A 7 heures du soir, elle fut toute surprise de
ité des processus syphilitiques pour les méninges de la base, et la
marche
de la maladie, le diagnostic porté fut : plaque
iehen professe que la paranoia acuta non hallucinatoire affecte une
marche
extrêmement aiguë, qu'elle dure rarement plus d
y a clonus patellaire et achilléen. Elle traîne à terre pendant la
marche
, la pointe du pied raclant le sol. Le mollet dr
ds entiers est le siège d'une suda- tion abondante. Au début, une
marche
, même courte, et la station debout pro- voquaie
sences, il eut des convulsions et des mouvements automatiques de la
marche
; je ne les constatai pas pour ma part et ils n
c émotionnel violent, tel qu'une tentative grave de suicide, sur la
marche
d'une maladie mentale. Parfois l'influence est
atique. Voici par exemple un groupe de faits caractérisés par une
marche
toute particulière, rapide et atténuée, dans lesq
stance des symptômes, impulsivité des mouvements, la rapidité de la
marche
et la vivacité des éléments symptomatiques qui
s antérieurs d'ordre épileptique, les excès d'agents toxiques, la
marche
insidieuse de la maladie. Si l'on lie trouve pas
es symptômes, l'évolution psychologique (folie des négations) et la
marche
clinique. Dans un chapitre des plus intéressant
s intoxications, n'ont aucune influence, comment com- prendre cette
marche
à rechute des héréditaires francs. Comment comp
qui ne pouvait avoir pour résul- tat que d'arrêter momentanément la
marche
envahissante du mal. Dès ce moment, il se savai
des gran- deu7,s'7,écèe le délire des persécutions^ mais non que la
marche
soit absolument invariable et suive une loi uni
se construit pas sur un, fond de dégénérescence mentale, mais la
marche
en est très variable. L'évolution, par exacerba
traités dans ce cha- pitre (étiologie, symptomatologie, pathogénie,
marche
, ter- minaison ; pronostic, nature) ont été exa
de grandeurs ? Cramer ne nie pas qu'iln'y ait des cas de paranoïa à
marche
subaiguë et à caractère dépressif, se rapprocha
halalgie et les vertiges. Résultat nul du traitement spécifique. La
marche
devient si mauvaise que le ma- lade ne peut fai
02) et irrégulier, nouvelles attaques convulsives suivant la même
marche
et descendant cette fois dans la jambe, toujours
e, il est rede- venu valide après sept mois du même traitement : il
marche
quel- que temps,sans trop de fatigue; un sentim
rousseaux unis- sant les deux centres; 3° la rétrogression suit une
marche
variable suivant le type des cellules nerveuses
qui peut survenir dans les accès nombreux et répétés et surtout la
marche
et l'évolution postérieure de ces accidents don
e sa force, la jambe seule reste atteinte. A partir du 15 mars elle
marche
en traînant la jambe, puis tout disparaît à peu
a commencé à avoir nettement le démarche spas- modique. En 1893, la
marche
se fait par des petits pas sautillants, les jam
arfois- même rien ne persiste; puis au bout d'un certain temps la
marche
devient irrégulière. Les malades traînent la jamb
e par poussées successives, 376 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. plus la
marche
devient difficile; elle finit par être complète-
la paralysie générale qui succède à la syphilis ne présente dans sa
marche
aucun symptôme spécial caractéristique de la sy
n reparaît quand la psychopathie s'améliore ou quand elle prend une
marche
chronique ou dans la démence secondaire; elle r
it perron auquel on accède par une série ÉLÉMENTS COMMUNS. 419 de
marches
; c'est très coquet. Malheureusement cette entrée
le des pavillons du pensionnat; le petit perron, la marquise et les
marches
recevront des suspensions et des vases de fleur
que les agités, les malpropres et l'infirmerie où on accède par des
marches
, c'est également par des marches qu'elle commun
l'infirmerie où on accède par des marches, c'est également par des
marches
qu'elle communiquera avec la cour. On voit par
anifestations épileptiques. Cette variation de la toxicité urinaire
marche
d'ailleurs parallèlement aux symp- tômes gastri
la durée de cette hyperexcitabilité due à l'état inflammatoire, sa
marche
et d'autres questions se rattachant à l'épilepsie
ur l'autre. De sorte que si on veut se rendre un compte exact de la
marche
de la maladie, il faut rechercher jour- nelleme
e myxoedème l'auteur indique que, dans les cas qu'il a observés, la
marche
générale de l'affection mentale a été à peu prè
ement du côté droit du corps, mais trop peu prononcé pour rendre la
marche
impos- sible. ' La marche était assez facile,
, mais trop peu prononcé pour rendre la marche impos- sible. ' La
marche
était assez facile, en effet, mais elle s'accompa
et hébété. Il ne peut fournir aucun renseignement exact, ni sur la
marche
de sa maladie, ni sur les sensations qu'il épro
de paralysie faciale. Les divers sphincters fonctionnent bien. La
marche
est mal assurée ; le malade s'en va un peu voûté
ns le cerveau lui-même, soit dans la cavité cranienne. Quant à la
marche
clinique, elle nous paraît trop classique pour qu
xication qu'il faudra mettre en avant. Un rapide coup d'oeil sur la
marche
des accidents et l'évo- lution de la maladie, n
intoxication, sans préjuger du reste de l'origine du poison. Or, la
marche
des accidents est très différente dans ces deux
démence épileptique. Nous avons dit que celle-ci pouvait avoir une
marche
progressivement croissante dans certains cas, au
ment croissante dans certains cas, au lieu que dans les autres elle
marche
par poussées successives avec des rémissions. E
ues à aura, sont des épileptoïdes et non des épileptiques vrais. La
marche
de la maladie en effet n'est pas la même et la
e la grossesse, de l'accouchement et des suites de cou- ches sur la
marche
d'une psychose chronique antérieure. Cinq obser
alité n'exercerait d'après l'auteur pas la moindre influence sur la
marche
ultérieure des psychoses chroniques. Il n'a vu
ent point lieu à une expertise. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 57 Leur
marche
est-elle chronique ? le rapport de cause à effet
coordination, ou par un accès maniaque que termine la dé- mence. La
marche
de ces psychoses est chronique. Au cours de la
xièmes paires. Etat général mauvais, le malade se tient voûté et il
marche
mal, sans que, pourtant, les muscles des membre
rédité neuropathique, une soeur a été myopathique. A quinze ans, la
marche
commence à devenir défectueuse, la malade s'aff
elle court d'une façon ridi- cule qui fait rire. Les troubles de la
marche
vont en s'accentuant, à dix-huit ans elle n'est
isse. Mouvements des pieds très faibles, chute des pieds pendant la
marche
, les extenseurs étant surtout atteints. Rétract
pertrophie); les modifications survenues dans la station et dans la
marche
; enfin l'hérédité de la malade. - Cvmuset. IX
nditions pareilles, on n'avance pas vite, et la montée seule des 60
marches
qui conduisent au parvis de l'église de Saint-
pas de raison pour que nous changions avec des enfants anormaux la
marche
indiquée par la nature elle-même. Les labiales
tudier les malades et les suivre, tâcher de découvrir quelle est la
marche
que suivent chez eux les accidents (accès isolé
e transformer en épilepsie infectieuse et prendre ses symptômes, sa
marche
et sa terminaison ; 7° Dans l'épilepsie par i
ez ce malade l'insuffisance du carré et du triangulaire du menton
marche
avec celle du peaucier du cou du côté gauche : in
ur les athropathies nerveuses. CAMUSET. XVII. DE la station ET delà
marche
chez LES 3rYOPATHIQUES; par M. Paul RICaEa. (No
) Considérations cliniques et physiologiques sur la station et la
marche
chez les myopathiques, à propos d'une femme myopa
ale la station des myopathiques et des atrophiques. L'étude de la
marche
des myopathiques est précédée d'une étude physi
arche des myopathiques est précédée d'une étude physiologique de la
marche
, laquelle n'est pas la reproduction simple des
ver cependant que le grand fessier a un rôle très restreint dans la
marche
. Les moyens fessiers entrent au con- traire en
rarement heureuse. Presque toujours, la psychose existante suit sa
marche
ordinaire et si la ménopause agit sur elle, c'est
La dégénérescence des fibres nerveuses dans les cordons laté- raux
marche
parallèlement avec la propagation du processus tu
oméningite et de tuberculisation de la moelle. En récapitulant la
marche
des symptômes cliniques. et en les comparant av
elle s'est présentée sous les symptômes d'une tumeur de la moelle à
marche
lente. Les cas subaigus seule- ment se ressembl
il se plaint d'une certaine fatigue aux reins après le travail. La
marche
devient un peu lourde. Au mois de février 1886,
uveau, le 14 juillet de la même année, à l'hôpital de Stuttgart. Sa
marche
est encore plus difficile, les jambes sont affa
vait quelquefois que la jambe gauche se détendait d'elle-même. La
marche
du malade ressemble à celle d'un coq (Hahnentrill
mais plus avec les yeux fermés qu'avec les yeux ouverts. Pendant la
marche
, la jambe gauche reste étendue et traînante sur
la jambe gauche reste étendue et traînante sur le sol; du reste, la
marche
n'a pas le caractère spasmodique. Il n'y a pas
pour la chronicité du proces- sus morbide, comme le prouve aussi la
marche
clinique. La moelle a été certainement atteinte
égations plus fréquentes chez les vieillards mélancoliques et de la
marche
irrégulière du délire sénile des persécutions,
u corroborer dans un petit nombre de cas. Quand le tabes, qui a une
marche
ascendante, atteint les corps restiformes, il m
plus niaises chez le paralytique général ; et, en fin de compte, la
marche
de la maladie est bien différente dans les deux
me (M. Pitres en rapporte deux cas); 2° Le besoin psychique de la
marche
se rencontre chez les vaga- bonds. Ces vagabond
coordi- nation d'une part et le degré moins accentué, l'absence de
marche
progressive des symptômes intellectuels d'une p
par des exercices raisonnés, de près de trois pouces. Méthode et
marche
suivies par 31. Séguin. Ce rapport acquerrait t
dans ces trois cas; la dégénérescence qui a suivi l'arrêt dans la
marche
du processus inflammatoire n'indique pas néces-
s, de plus en plus espacées et faibles, et de l'in- certitude de la
marche
. Vers 1885, les douleurs cessèrent presque comp
nt, sauf pourtant les crises entéralgiques, mais les troubles de la
marche
ont continué à faire des progrès, si bien que d
bles et durent plusieurs heures. Dans l'intervalle des crises, W...
marche
un peu en poussant une chaise devant lui, mais
énuent et disparaissent vers le mois de juillet; les troubles de la
marche
au contraire s'accentuent au point de con- * fi
érieurs. Diplopie. Crises de diarrhée avec coliques. En juillet, la
marche
devient difficile; troubles urinaires. , En j
de décrire (F. Raymond, Sur quelques cas d'atro- phie musculaire à
marche
progressive chez des syphilitiques, Soc. méd. d
grossesse; d. chorée des vieillards. En général dans ce groupe, la
marche
n'est pas progressive et la gué- rison peut sur
cès de colère inhabituels, davantage de spontanéité, par pé- riodes
marche
plus rapide. La voix s'est modifiée quant au timb
pas d'estomac, etc. Son état s'est aggravé depuis quelque temps, il
marche
vers la démence. sociétés savantes. 325 La qu
es ci-jointes. Pas de mouvement au niveau des orteils. Quand R...
marche
, on constate que cet acte s'accomplit assez dif
rophie évolue chroniquement (type Duchenne-Aran vrai), soit qu'elle
marche
avec plus de rapi- bibliographie. 34b dite (p
e. 375 rement dans le département de la Seine, suivi toujours une
marche
parallèle à celle dont nous avons tracé les progr
malades s'accoutument au chloralose et celui-ci s'accumule; 3° La
marche
de la maladie n'est pas influencée par le chloral
pilep- tiques sont, sauf de rares exceptions, sans influence sur la
marche
de l'épilepsie chronique vers la folie; 2° Le
aux qui débutent. Ils forment le centre de chaque foyer : la lésion
marche
ainsi pas à pas du centre à la péri- phérie. Ce
es et les cylindraxes présentent de plus grosses tumé- factions, la
marche
du processus est .moins graduelle. Dans la form
t son développement complet qu'au moment où la station debout et la
marche
deviennent possibles. Chez les oiseaux, qui mar
de développement est déjà très avancé à la naissance, que l'animal
marche
ou ne marche pas en naissant. (The alienist and
ment est déjà très avancé à la naissance, que l'animal marche ou ne
marche
pas en naissant. (The alienist and l1eUl'ologis
agités opposaient souvent une résistance désespérée à gravir les
marches
, ici ce sera à cause de la faiblesse des jambes.
n brancard et auxquels il ne serait pas prudent de faire gravir des
marches
d'entrée ou d'escalier. Bien que le quartier so
s. Première dent ci six mois; dentition complète à vingt-huit mois;
marche
à seize mois ? IMBÉCILLITÉ PRONONCÉE; SPASMES M
à six mois, dentition complète à vingt-huit mois sans acci- dents,
marche
à seize mois (plus tard que ses frères et soeurs)
r très marqué des forces dans les membres inférieurs, permettant la
marche
. Absence totale du réllexe rotulien. Les troubl
re de gravité, ou prédominer les uns sur les autres. Le début, la
marche
,, la durée et la terminaison de la psychose pol
de la main gauche. Depuis lors l'atrophie muscu- laire a suivi une
marche
progressive. Les interosseux, les muscles de l'
it. Au point de vue psychique : état de confusion; la station et la
marche
sont possibles; mouvements compliqués des mains
sement au dehors et qu'ils exercent une puissante influence sur la
marche
de la lutte contre le fléau de l'alcoolisme. Il a
gressive, par Souques, 66. NYOP.1T111QUE5. De la station et de la
marche
chez les -, par P. ni- cher, 148. Myxoedème i
404. Etiologie et svmptômes de la-, par Gudden, 405. Explosion ,
marche
, durée, terminaison de la , par Kaes, 405. Du
liora rapidement, elle retrouva le sommeil. Elle faisait de longues
marches
et montait fréquemment à cheval. Au bout de cin
inférieurs par défaut de coordination relative à la station et à la
marche
3. » L'année suivante M. Charcot revient dans plu
ans une observation nommée * Paralysie infantile du seul acte de la
marche
8 », exposent les mêmes symptômes en 1885. '
souffrait depuis 3 ans d'atta- ques d'épilepsie; les troubles de la
marche
dataient de la même époque. La marche devient i
épilepsie; les troubles de la marche dataient de la même époque. La
marche
devient impossibleen novembre 1889, à la suite
a malade se présente à notre observation, la station debout et la
marche
ne se faisaient qu'avec une sorte de tibulation t
el après chaque crise, ainsi qu'une amélioration considérable de la
marche
. Cette amé- lioration était notée par les paren
quelques heures après un accès, nous remar- quons, en effet, que la
marche
est presque régulière. L'enfant t marche bien e
quons, en effet, que la marche est presque régulière. L'enfant t
marche
bien et ne trébuche un peu qu'en faisant la manoe
xagé- ration des réflexes rotuliens ; trépidation épileptoïde. La
marche
devenait depuis cette date moins facile, et si on
me s'il voulait danser la scottish. En février de cette année, la
marche
devient tout à fait impos- sible, ; dès que le
, il survient une amélioration notable, et en mai, la station et la
marche
sont re- 64 CLINIQUE NERVEUSE devenues possib
s d'un tremblement rythmé, identique à celui qu'il avait pendant la
marche
. Tantôt spontané, tantôt pro- voqué par l'exten
lantes déterminait ce spasme ; mais en réalité, ses mou- vements de
marche
et son attitude debout n'avaient rien d'incoor-
'est fait justement chez le malade présent. D - Chez ce dernier, la
marche
trépidante débutait vingt-deux jours après son
s,chaque fois que cet individu essaie marcher plus de cent pas ; la
marche
est revenue en 1876 et en 1883, disparaissant d
yndrome se montre lent, chez l'enfant de z ans ; les fautes de la
marche
débutent en même temps que l'épilepsie en 1886, l
s de la marche débutent en même temps que l'épilepsie en 1886, la
marche
devient impossible en 1887, après une fièvre typh
e gaUChe ou singe. 1, le membre postérieur est avancé comme dans la
marche
. - 2, flexion avec rota- tion en dehors de la c
es, la formation pathologique des idées suivant dans ce cas la même
marche
que le processus physio- logique normal. Ceci s
que, dans la pluralité des cas, tout trouble du sens de la pression
marche
de pair avec un trouble minime du sens de' ` la
t intermédiaire à la veille et au sommeil sur la production et la
marche
des hallucinations; de la puberté sur la producti
aître, les mouvements de son membre gauche en vue de l'acte de la
marche
, qui n'est plus chez lui un acte automatique, mai
n'est pas absolument épargné, il est un peu tremblant, indécis; la
marche
est donc très difficile, puisqu'une jambe est à
resque en même temps que les douleurs apparurent des troubles de la
marche
; il y a donc de cela trois ans environ. D'abor
as au juste), l'usage de deux cannes devint indispensable. Ainsi la
marche
était déjà, il y a deux ans, fort troublée, et
emne de tout trouble musculaire ; il regarde avec attention où il
marche
, sa jambe gauche est brusquement élevée par un re
aucoup moins prononcées, se compli- quera d'une atrophie musculaire
marche
relativement rapide. Il est enfin un dernier or
» GRATIOLET. « Si nous considérons avec attention l'origine et la
marche
de^ ces fibres, il sera difficile de méconnaîtr
rte exclusivement sur les actes associés pour la station et pour la
marche
, qui sont em- pêchés à des degrés variés, et qu
forces mus- culaires aux fonctions spéciales de la station et de la
marche
. Ces anomalies se déclarent quand on invite le
eut observer des'va- riétés dans celles-ci. La station debout et la
marche
peuvent être absolument impossibles ; la person
i commencent à apprendre à marcher (Blocq). Enfin, la station et la
marche
tout en étant possibles, peuvent toutes les deu
re, phénomène plus curieux, qui, peuvent marcher à très grands pas [
marche
dramatique,), et ne peuvent marcher normalement
e cette affection, selon que les fonc- tions de la station et de la
marche
sont abolies, amoindries ou troublées. Ce derni
définition de M. Charcot; les mêmes troubles de la station et de la
marche
des autres observations seraient secondaires à
s mouvements acquis. Le plus grand nombre des centres fonctionnels (
marche
, station, course natation, saut, jeu de divers
dé- terminer le fonctionnement. Blocq admet pour la station et la
marche
, dont l'apprentissage est long, des groupes cellu
ppareils relatifs à l'exécution des mouvements de la station, de la
marche
, du saut, etc., comportent chacun deux centres
portant son action sur le centre cortical de la station et de la
marche
ou sur le centre spinal. Blocq conclut (loc. cit.
s muscles pou- vant occasionner des troubles de la station et de la
marche
, ainsi les cas où les mouvements peuvent être p
raison, tandis que l'hypochondriaque ne comprend pas pour- quoi la
marche
lui fait peur; d'autre part, on devient agora-
ce. Quand Haeclcel dit 2, que par le langage articulé et que par la
marche
à deux pieds, nous avons commencé à nous distin
peut conclure donc à ce dernier point de vue par analo- gie, que la
marche
à deux pieds n'est pas plus naturelle aux homme
d on frappait la porte du laboratoire, ni aux bruits de pas sur les
marches
, ce qui déterminait auparavant de vives démonst
était tard le soir, j'enlevai la lumière du laboratoire, montai les
marches
et fermai la porte. Plusieurs fois, j'ai ouvert l
nts choréiques intenses dans les différents groupes musculaires. La
marche
en est rendue difficile. Cependant, dans les mo
res et inférieures. Clini- quement, le processus spinal a ouvert la
marche
; les lésions de l'ap- pareil périphérique moteu
dépassées chez les criminels. Mais le cerveau ne suit aucunement la
marche
du développement du crâne ; il ne saurait donc
de la moelle entraîne la dégénérescence des nerfs périphériques qui
marche
ensuite de la périphérie au centre. On en a une
ue le chloralamide administré aux paralytiques généraux imprime une
marche
suraiguë à la maladie. Le médi- cament n'a poin
gine hystérique de ces tremblements à leur mode de début, à leur
marche
, et aux symptômes concomitants. En résumé, les
harcot. Tout à coup, il abandonne son travail, sort de'sa maison et
marche
à travers les rues, toujours droit devant lui e
diaire à la veille et au som- meil influant sur la production et la
marche
des hallucinations (1842), les syndromes de dég
certain point, sinon diriger le délire, du moins en modi- fier la
marche
par des procédés divers. M. Mesnet avait bien n
affreuse grimace dont ses amis ont ri. Puis la troupe s'est mise en
marche
en chantant. Plus tard la musique a joué et à c
L'action des impressions sensorielles est évidente, elle modifie la
marche
du délire et ajoute des tableaux nouveaux à ceu
peur de tomber à l'eau. Mélie, viens. Nini, viens, prends garde, ne
marche
pas au bord. Ma petite soeur, j'ai toujours eu
e la phase passionnelle de l'attaque hystérique on peut modifier la
marche
des hallucinations et en créer de nouvelles à l
n lui fait lâcher les mains, aussitôt l'animal manque de tomber. La
marche
n'est presque effectuée que par les mains, le s
les moins volontaires, comme ceux nécessités pour la station et la
marche
coordonnée et qui, comme nous l'avons vu dans l
ppa- raissant subitement, involontairement, interrompent ainsi la
marche
des idées du malade, s'imposent à l'attention ave
la convulsion.- Du coté de la motilité, il y a des troubles dans la
marche
, l'écriture, et la contractilité électro- muscu
donnent à l'ensemble du tableau clinique un aspect multicolore. La
marche
de la confusion aiguë présente, dans la plupart
à la dépression, tantôt à l'excitation. Sa SOCIÉTÉS SAVANTES. 463
marche
est remarquablement uniforme et ne présente pas d
g (Simpheropol) a lu un travail « sur le type 7-écui,- rent dans la
marche
des certaines formes de la folie aiguë ». La mar-
s ont guéri. Etant données les par- ticularités singulières dans la
marche
de l'affection dans ces cas, il est permis de l
nce des affections de l'organe de l'ouïe sur le développement et la
marche
des maladies mentales ». L'auteur a recueilli vin
c'est à la face que la paralysie est le moins accentuée ; la malade
marche
en fauchant, les membres sont contracturés et les
nçoit quand on sait que les lésions du tabès suivent d'habitude une
marche
ascendante et débutent par les racines les plus i
beaucoup de sujets. Ordinai- rement alors les troubles suivent une
marche
ascendante, le réflexe, d'extension de l'avant-
, ! () ! 3). Ils les considèrent comme liés à l'acte complexe de la
marche
et les appellent « réflexes d'automatisme médul
quelles je désire insister et que je vais énumér'er. : a) Dans la
marche
, le côté droit présente l'allure habituelle : lor
els étant ceux qui jouent dans un acte le rôle fondamental. Dans la
marche
, par exemple, les mouvements des membres inféri
ouvement accessoire fai- sant habituellement partie de l'acte de la
marche
, fasse défaut dans la monoplégie brachiale orga
tinctifs dans son mode d'évolution. Dans l'hémiplégie organique, la
marche
de la maladie est régulière, la contracture succè
ements automatiques complexes dont le mécanisme est un mécanisme de
marche
. » M. Walshe, sans être d'accord avec les auteu
e poursuit, ensuite, mais lentement. En juin 1914, on note : « Elle
marche
toute seule, sans canne, pas très vite il est v
x » et constituent des manifestations de l'automatisme spinal de la
marche
. Les neurologistes anglais contestent l'exactit
tions essentielles de la moelle, c'est-à-dire à l'automatisme de la
marche
. » J'ai cherché précédemment à faire ressortir
onc été conservée. Mais il y a intérêt aussi, au point de vue de la
marche
, à ce que la réaction ne soit pas de longue durée
ré plusieurs mois, le malade est pris en février 1920, au cours d'une
marche
, d'une crampe violente dans la jambe droite, qu
role, le nystagmus, la titubation, la perturbation profonde dans la
marche
qui contraste avec l'intégrité de la force muscu-
omène il est utile de considérer au préalable l'acte complexe de la
marche
chez l'individu sain. Il n'est pas nécessaire,
autre à la translation du reste du corps. L'exécution normale de la
marche
implique l'intégrité des muscles qui opèrent ces
i commande de marcher, on constate que, dans le premier temps de la
marche
, la flexion de la cuisse sur le bassin est bien
s désordres dans les membres inférieurs sont plus graves; le malade
marche
avec les jambes écartées, en oscillant continue
corps sans lui imprimer de mouvements, il est invité à se mettre en
marche
. Or, dès son premier pas il est arrêté. La cuis
reste inerte tandis que les membres inférieurs fonctionnent, et la
marche
n'est possible que si d'une façon ou d'une autr
ire la contre-partie de ce qui se produisait tout à l'heure dans la
marche
. b) Lorsque le malade, après s'être couché à pl
ouve le malade d'associer, comme à l'état normal, dans l'acte de la
marche
, la translation du corps à la flexion de la cui
ait en effet être attribuée à une paralysie des muscles qui dans la
marche
impriment au tronc une propulsion, puisque la for
cérébelleux atteints de titubation, d'asy- nergie, leur rendant la
marche
très difficile et qui placés dans l'attitude re
dans ce fait, « les troubles de l'équilibre, de la station et de la
marche
, le nystag- mus, la scansion de la parole étaie
r, le cou tendu, le corps pelotonné, il fait le gros dos et parfois
marche
en arrière ; il a une tendance marquée à garder
s mouvements réactionnels. DÉVIATION ANGULAIRE La déviation de la
marche
constitue un mouvement réactionnel com- plexe.
iste une anomalie de l'appareil statique, les déviations pendant la
marche
directe, et les déviations généralement plus cons
cte, et les déviations généralement plus considérables pen- dant la
marche
à reculons, vont s'additionner jusqu'à la fin de
a du nystagmus horizontal. Le réflexe à la lumière est aboli. La
marche
, pénible il est vrai, à cause de l'état de faible
ment, le malade sort de son état de demi-prostration, il se lève et
marche
sans soutien. Cette amélioration, obtenue consé
les si l'on a affaire à une tumeur susceptible de s'arrêter dans sa
marche
après avoir produit des dégâts irréparables, te
.'u traitement spécifique, même intensif, n'arrête pas forcément la
marche
d'un oedème des papilles lié à une néoplasie sy
-même le malade, augmentent le spasme. Les mouvements et surtout la
marche
ont encore plus d'action peut-être. Dès les pre
éterminent au contraire aucune syncinésie du côté malade. Dans la
marche
, le sujet avance et lève l'épaule gauche et tous
, à ces troubles s'associèrent des bour- donnements d'oreille et la
marche
devint encore plus difficile. Le malade déclare q
ain peut obtenir sans qu'une chute s'en suive. (Examen pendant la
marche
.) - Lorsque 1-1. M., soutenu des deux côtés, cher
même sens en forme d'arc. Fig. 16. Attitude du malade pendant la
marche
, soutenu par deux aides. 2)O AFFECTIONS DU CERV
nit par se poser à peu près à l'endroit qu'il devrait occuper si la
marche
était normale. Il faut bien remarquer que le su
ps, de lui imprimer en même temps une légère impulsion en avant. La
marche
est encore possible si un seul aide placé devant
ue le trouble le plus saillant que l'on note pendant les efforts de
marche
. Sensibilité. La sensibilité au tact, à la doul
ait ahan- 3gô ". AFFECTIONS DU CERVELET donné à lui-même. Dans la
marche
les membres inférieurs sont écartés l'un de l'aut
e en plaques à forme destructive. 9° La sclérose en plaques dont la
marche
est d'habitude éminemment chronique peut présen
rimant plus difficilement que la première fois où je l'avais vu; la
marche
est possible, mais elle est hésitante et les mo
jours normaux, l'hémiparésie avec raideur musculaire persiste et la
marche
, très difficile, est pourtant possible ; le mal
é une malade atteinte, depuis huit ans envi- ron, de troubles de la
marche
liés à une lésion de la moelle dorsale. En 1912
xe cutané plantaire sont normaux et il n'existe aucun trouble de la
marche
. (') J. Babinski,. Société de Neurologie de Par
reproduisit sept ou huit fois pendant les 4 jours qui suivirent ; la
marche
devint rapi- dement difficile, et, le 20 mars,
nomènes s'accentuent, et se montrent au membre inférieur gauche. La
marche
est alors très gênée, la malade ne peut plus que
igio. A ce moment, il est pris brusquement, au lever, de gêne de la
marche
, il a des crampes quand il étend les jambes et
ambes et ressent des fourmillements dans les genoux et les pieds ; il
marche
pourtant, mais se fatigue vite et la raideur s'
rêter ne pouvant même pas tenir le fouet ou les guides. De plus, sa
marche
est devenue pénible depuis quatre mois; ses membr
rise d'entérite. En igos, à 4 ans, elle présenta des troubles de la
marche
se manifestant delà façon suivante : elle se fa
se de rétention d'urine qui nécessita le cathétérisme. Examen. La
marche
est pénible, la malade avance à petits pas, elle
e d'intervalle nous avait montré qu'il s'agissait d'une affection à
marche
progressive, à évolution relativement lente, d'
eurs se sont accrus ensuite très lentement et dans l'été de tuât la
marche
devint tout à fait impossible. Nous examinons
us-ombilicale droite, et que serait apparue une certaine gêne de la
marche
. Toutefois, d'après quelques observations faite
qu'il est manifeste pour nous, pour la malade et les siens qu'elle
marche
bien plus facilement qu'avant l'opération. Da
d'avril igi3. Le la juin 1[)14 : la malade vient nous voir. Elle
marche
toute seule, sans canne, pas très vite, il est vr
t en juin 1925 elle se rend compte nettement de la difficulté de sa
marche
. « Je ne pouvais pas m'élancer », dit-elle. E
affection évolue lentement, progressivement. En décembre, la malade
marche
avec une grande difficulté ; les troubles de la s
autre per- sonne. Le 28 octobre, nous l'examinons à nouveau ; elle
marche
lentement mais cor- rectement, appuyée sur le b
1 incoordination de la jambe droite a totalement disparu. La malade
marche
presque normalement. Voici la note concernant 1
, les troubles étaient sans doute moins prononcés ; toute- fois, la
marche
était déjà très difficile, et les troubles de la
t des douleurs en ceinture. En outre se manifestent des troubles delà
marche
, des dérobements des jambes provoquant des chut
roubles s'accentuent pro- gressivement et, depuis décembre 1924, la
marche
est tout à fait impossible, tandis que les doul
type facio- scapulo-huméral : il a le « masque myopathique » et il
marche
en se dandinant. On constate de l'amyotrophie q
, en effet, que, dans la tuberculose, une fatigue quel- conque, une
marche
d'une demi-heure peut provoquer une élévation de
s'aperçoit qu'un soi-disant paraplégique se tient sur ses jambes et
marche
quand il croit ne pas être observé ; mais les sim
qu'il est couché, elle peut même s'accentuer sous l'influence de la
marche
. Outre le changement de teinte des téguments, l
trémité. Il est aisé de constater que la réduction des oscillations
marche
de pair avec le refroidissement cutané ; aussi
dans les mouve- ments. Le blessé lève-t-il brusquement les bras ou
marche-t
-il, la main malade pend et oscille comme un cor
uggestion permit de faire disparaître rapidement ces troubles de la
marche
qui portaient la signature de l'hys- térie, mai
exion dorsale forcée. Puis il passe à la section d'entraînement. Il
marche
, court, saute 3 à 4 heures par jour pendant plu
s du tabes, telles que les douleurs fulgurantes, les troubles de la
marche
, sont susceptibles d'être exagérées par l'interve
mais disparu. Un peu plus tard il remarqua de l'incertitude dans la
marche
. Au mois d'avril de l'année dernière ont apparu d
de la plante des pieds donne lieu à de l'extension des orteils. La
marche
est légèrement incoor- donnée ; on note le sign
s et la lésion oculaire ne fit plus aucun progrès. Les troubles de la
marche
se sont aussi atténués. Il est incontestable
lation de cause à effet entre l'usage du mercure et l'arrêt dans la
marche
de la sclé- rose, mais cela me paraît bien vrai
e mirent à évoluer progressivement à partir de la fin de 19 1 7. La
marche
devint petit à petit de plus en plus difficile ;
ongtemps un obstacle à la mobilisa- tion. Quanta la station et à la
marche
, elles sont encore impossibles sans aide et la
s 7o ans, ce confrère se dit en mesure de monter dans les tramways en
marche
et d'en descendre. Une autre malade (3), chez
e lan- cinant, parfois très violentes ; elles sont exagérées par la
marche
, les mouvements du tronc. Un médecin, consulté
éprouver une sensation de fatigue aux membres inférieurs après une
marche
un peu prolongée ; puis ce trouble s'accentue.
uelques pas. Quelques semaines après, elle sort de l'hôpital ; elle
marche
alors d'une manière normale et ne tarde pas à gué
quelques pas, mais les jambes se croisent l'une l'autre pendant la
marche
. Le 25 novembre, il fait quelques pas sans appu
direction, de tourner sur lui-même, sans le secours de personne; la
marche
est encore chancelante et maladroite. Le membre
franchir sans se reposer une distance d'une vingtaine de mètres; la
marche
, il est vrai, est lente, pénible, et l'état des
douleurs sur le trajet des nerfs sciatiques ont disparu ; le malade
marche
sans se servir de cannes et il est en mesure de f
it, cet enfant, que je soumets de nouveau à l'examen de la Société,
marche
aujourd'hui d'une façon presque normale ; il es
er 1907, nouvelle crise aiguë. Le malade souffrait tellement que la
marche
était impossible. La scoliose existait, toujour
nt ; le malade se tient droit. Le malade est revu le 3o mars : il
marche
sans canne pendant 3 ou ft heures. Le réflexe e
spéciale- ment dans le membre inférieur gauche. Les troubles de la
marche
sont très accentués. Le malade porte le poids d
es sans en avoir besoin. Le 2 avril, le malade, complètement guéri,
marche
sans canne et très délibérément. De l'ensemble
t ni troubles des sens, ni altération des sphincters, ni gène de la
marche
, etc. Étal actuel (décembre 1887). - A première
ortement courbé en avant dans la station debout. Celle-ci, comme la
marche
, ne tarde pas à provoquer une sensation doulour
ambes tous les mouvements sont possibles, mais sans force. Aussi la
marche
est-elle très pénible. Le malade marche à petit
, mais sans force. Aussi la marche est-elle très pénible. Le malade
marche
à petits pas, les pieds écartés, sans traîner la
Ajoutons que les jambes deviennent rapidement bleuâtres pendant la
marche
. Les réflexes sont conservés, sinon légèrement
n du sacrum sont localisés aux deux membres inférieurs. La malade
marche
difficilement et les mouvements des membres infér
té donne les résultats suivants : Le sol n'est pas senti pendant la
marche
. Au lit, la situation des jambes est nettement
e métatarsien. La malade dit que ses pieds enflent pour peu qu'elle
marche
. Enfin, signalons ce fait, qu'au moment de notr
agissent bien sous l'influence de l'électricité galvanique. Le malade
marche
assez facilement, il traîne légèrement la jambe
Dans une observation, oedème des extrémités inférieures pendant la
marche
(observation V). Deux fois, nous avons rencontr
, n'avaient- persisté chez aucun d'eux. Des lésions médullaires à
marche
ascendante se sont montrées chez un de nos mala
chez un de nos malades. Du moins c'est ce que semble démontrer la
marche
des phénomènes : signes de lésion uni-latérale dr
te et le plus complet, la catatonie serait, une maladie cérébrale à
marche
changeant d'une façon cyclique et présentant comm
crampe. Le stade initial est un stade de dépression mélancolique à
marche
lente, ne différant guère de la mélancolie comm
a au point de vue du dia- gnostic ? 10 Il est incontestable' que la
marche
de la maladie est ici aussi conforme que possib
que nous disions en terminant notre précédent tra- vail, que ni la
marche
ni les symptômes de la catatonie de Kahlbaum ne
u début du traitement, l'amélioration porte presque toujours sur la
marche
, sur l'incoordination lorsqu'elle existe; elle se
remières séances. Les malades disent qu'aussitôt après la séance la
marche
est plus facile, plus assurée; cette amélioration
le premier mois il y eut une amélioration marquée portant sur la
marche
et sur la miction , puis survint une rechute cara
avec morsure de la langue. Il a aussi des crises dans lesquelles il
marche
au hasard sans conscience, et à la suite desque
celui d'une faiblesse marquée et en voie d'augmentation ; la malade
marche
en traînant les jambes comme une vieille femme.
que par suite de leur poids les bras se fatiguaient rapidement; la
marche
serait devenue lourde et sans élasticité. Une s
MALADES DANS L'ART. 153 d'une main'et un verre plein de l'autre et
marche
vers le )iL C'est le traitement qui commence. '
araissait nettement constitué en une maladie à types fixes avec une
marche
prévue et fatale conduisant à la découverte certa
de lui, il fait à peine attention aux questions qu'on lui pose. Il
marche
la tête penchée en avant, le dos arrondi, les j
derniers, nous notons un certain degré d'incoordination qui rend la
marche
lente et hé- sitante. Les réflexes rotuliens so
nts, sa coiffure, ses instruments de travail. De temps en temps, sa
marche
était titubante, mais il ne s'est jamais plaint d
epuis l'attaque du 6 janvier 1888. État actuel (28 février). - B...
marche
encore passablement en traînant la jambe droite
idie et scandée qui les fait ressem- bler, lorsqu'ils se mettent en
marche
, à des automates en mouvement. Ils vont ainsi,
dessins-représentant ce malade dans la station debout et pendant la
marche
. Il suffit de jeter un coup d'oeil sur ces figure
que les quatre membres forment comme des barres rigides. Pendant la
marche
, cet état d'extension persiste; . les membres s
ndance à courir. lui arrivait fréquemment, quand elle se mettait en
marche
, de se sentir comme poussée en avant, ses pas s
donne à la malade un air de majesté très singulier. ' Pendant la
marche
, toute cette altitude persiste cl, comme le membr
il est impossible il la malade de s'asseoir : elle mange debout et
marche
sur le talon, la pointe du pied relevée. Pend
creux, grâce auquel le durillon ne porte pas sur le sol, pendant la
marche
. On lui fait faire des lotions avec une solutiou
ed gauche pour l'empêcher de se briser en tombant sur les degrés de
marche
en marche. Sa langue est presque aussi percluse q
pour l'empêcher de se briser en tombant sur les degrés de marche en
marche
. Sa langue est presque aussi percluse que tout le
rces, elle lève ses béquilles en l'air et avance à grands pas, elle
marche
si vite qu'elle eût pu, dit-elle, suivre un carro
naugurale qu'au moment précis où, dans l'hémi- plégie organique, la
marche
commençait à pouvoir s'effectuer, le membre inf
me s'il s'agissait d'une pièce de matière inanimée; pendant qu'elle
marche
, le pied balaye le sol; cela, je pense, est car
itus acutus » 'ï 1 . 1. hludes cliniques et physiologiques sur la
marche
. - La marche dans les maladies du système nerve
'ï 1 . 1. hludes cliniques et physiologiques sur la marche. - La
marche
dans les maladies du système nerveux étudiée pa
° éd., Londres 1856, p. 20. Gilles de la Tourette, L'attitude et la
marche
dans l'hémiplégie hystérique. Nouvelle Iconograph
et les lèvres du côté droit. État actuel (^8 octobre 1889). - C...
marche
avec une béquille placée sous le bras gauche, l
té avec l'atrophie. Chez Bill... (Obs. II), elles ont accompagné la
marche
ascendante de l'atrophie partant des muscles de
jambe est immo- bilisée en extension, de telle sorte que la malade
marche
péniblement en soulevant son membre tout d'une
c leur disparition. Cet oedème très variable n'augmentait ni par la
marche
ni par la station debout prolongée; il siégeait
gue (deux ans et plus, obs. I) elle paraît surtout subordonnée à la
marche
de la paralysie ou de la contracture sous-jacen
de ces derniers ; Pendant l'état de mal, les excrétions suivent une
marche
dont la courbe permet à elle seule de prévoir l
ie : début in- sidieux, à un fige peu avancé, atrophie musculaire à
marche
lente et progressive, abolition dans certaines
liens très exagérés des deux côtés, mais sans phénomène du pied, la
marche
est très suffisante; toutefois les pieds se dét
et par de légers phénomènes de contracture, mis en évidence dans la
marche
, au moment du changement des pas. Au contraire de
ent aussitôt la chute, agitent les membres inférieurs. Pendant la
marche
, appuyé à une autre personne, il manifeste 'son a
suivante : le tronc, penché en avant, comme s'jl précédait dans la
marche
les membres inférieurs forme avec ceux-ci un angl
très éloignés, ce qui donne une large amplitude au pas. Pendant la
marche
, les membres font des mouvements ataxiques et la
tremblement augmente considérablement, 8 CHAGAS lorsque le malade
marche
. Le malade cherche avec la vue à maintenir son
ise d'entérite. En 1908, à 41 ans, elle présenta des troubles de la
marche
se manifestant de la façon suivante : elle se fat
de rétention d'urine qui nécessita le cathétérisme. EXAMEN. - La
marche
est pénible, la malade avance a petits pas, elle
d'in- tervalle nous avait montré qu'il s'agissait d'une affection à
marche
pro- gressive, à évolution relativement lente,
e descend pas les escaliers aussi facilement t qu'autrefois,mais il
marche
bien et longtemps, n'a pas de dérobement des jamb
bles cardiaques (allorythmie et arythmie). Dans le milieu d'août il
marche
avec des béquilles, conserve l'équilibre un insta
fin de mai, les douleurs aug- mentent ; plus prononcées pendant la
marche
, elles apparaissent dans le mol- let droit et d
les mouvements, est cependant légèrement affaiblie. Il avance, mais
marche
lentement à petits pas, parfois il a l'air de tra
pied gauche sont conservés mais dans une proportion très limitée ;
marche
à caractère paréto- spastique ; il ne peut déjà
ils n'est plus que légèrement atteinte. 5-21 septembre. -'Le malade
marche
seul sans symptômes de paralysie ou caractère s
les mouvements des genoux et l'articulation de la hanche. La malade
marche
, mais la démar- che devient de moins en moins c
cles. - Parfait pour le développement musculaire. Station debout et
marche
correctes. Aucun trouble de la coordination, au
Marinesco (3). Mais il n'y a que peu d'années que l'on a analysé la
marche
de flanc dans l'hémiplégie et Schnller (4), à q
contribution dans ce sens, est arrivé à croire que l'épreuve de la
marche
latérale pou- vait rendre des services jusqu'à
d la façon par laquelle se réalise chez l'homme nor- mal ce type de
marche
. Placé devant l'observateur, les pieds rapprochés
chés, l'individu incline le tronc dans le sens opposé à celui de la
marche
, de façon à décharger le poids du corps sur un
iques sur la marclie, Paris, 1885 (3) Maiunesco, Les troubles de la
marche
dans l'hémiplégie oiganique étudiés à l'ai- de
flanc se passerait, d'après Schiiller, de la façon suivante : si la
marche
a lieu vers le côté malade, il n'y a aucune dif
'après Grasset, attribuer le trouble décrit par Schüller pendant la
marche
de flanc dans l'hémiplégie organique. Bien au c
r (abducteurs de la cuisse) qu'on doit attribuer l'embarras dans la
marche
vers, le côté malade. Entre le type Schüller et
a grandeur du pas latéral est égale, dans n'importe quel sens de la
marche
. Ayant eu l'occasion d'étudier de notre côté, c
Rio de Janeiro et à l'asile St-François d'Assise la question de la
marche
de flanc, voici les points qui nous ont paru di
té sain, tout en changeant de cette manière le sens géné- ral de la
marche
, qui devient tout à fait en avant, si l'on ne pre
type Grasset. Mais comme dans ce dernier type, la difficulté de la
marche
est plus grande vers le côté paralysé, le corps
ns la démarche de flanc. La figure 1 et la Planche XVI reproduit la
marche
vers le côté sain ; on y voit le raclement du b
ongitudinal de ce pied, avec tendance au change- ment du sens de la
marche
. N'oublions pas que la marche latérale a été d'
dance au change- ment du sens de la marche. N'oublions pas que la
marche
latérale a été d'autre part proposée comme moye
dans l'hémiplégie hystérique, quelle que soit la direc- tion de la
marche
, soit que le malade chemine vers le côié hémiplég
observe dans l'hémiplégie organique. En conclusion, l'étude de la
marche
latérale dans l'hémiplégie devient très utile p
uis quelque temps, nous avons l'habitude d'employer l'épreuve de la
marche
latérale parmi les exer- cices indiqués pour dé
iqués pour dépister l'ataxie au début. Comme il s'agit d'un type de
marche
absolument inusité dans le cas normal, ce moyen
s (Bonardi), ce sont ces attaques qui précèdent les convulsions. La
marche
est rapide et xxvi 6 86 MONIZ la mort s'ens
tiques et la maladie présente dans l'un et dans l'autre cas la même
marche
. La sensibilité est normale dans les deux cas, la
usses égales à celles déjà décrites dans les autres positions. La
marche
de la malade est normale. Elle est altérée seulem
. De temps en temps elle s'arrête pour continuer, tout de suite, sa
marche
régulière. D'autres fois elle fait un pas incompl
fille très développée, intelligente, qui raconte avec précision la
marche
de sa maladie. La menstruation, qui a apparu à
t des faux pas ou frappe le sol avec le pied. Néanmoins la malade
marche
et peut traverser les rues sans grandes diffi-
tion, etc., peuvent les augmenter; le sommeil, des distractions, la
marche
, les occupations usuelles, ont, au contraire, une
es, au contraire quand elle exécute quelques mouvements, quand elle
marche
, par exemple, les contractions diminuent. Les d
urait une influence favorable à la production de la myoclonie. La
marche
est. continue et progressive. Le pronostic est
s crises de secousses musculaires. On peut encore rappeler que la
marche
des chorées est différente de la marche des myo
peut encore rappeler que la marche des chorées est différente de la
marche
des myoclonies et que la mentalité des choréiques
ns. Etat d'hypo- manie (pas de fureur maniaque). Hype¡'myasthénie :
marche
alerte,parole facile et claire, mimique active,
alade, âgé actuellement de 74 ans,est un hypomaniaque typique. Il
marche
d'un pas alerte ; il parle avec facilité. « Ma sa
le mène au sépulcre de celle façon : que le guidon de l'archevêque
marche
devant, puis la croix, les moines el le clergé.
n souffle et vous vivrez. » « Le cercueil de Charles-Quint ferma la
marche
. Avant qu'il occupât l'urne qui lui était desti
e position, il tend à tomber soit en avant,soit en arrière. Dans la
marche
, il a l'allure d'un véritable ivrogne et ne suit
on ne réussit pas à provoquer les rotuliens et les achilléens ; la
marche
est normale. L'enfant ré- siste à une longue ma
achilléens ; la marche est normale. L'enfant ré- siste à une longue
marche
et il reste levé toute la journée. Les différente
s ; laissé debout, il a de la tendance à tomber, Candis que dans la
marche
il a l'allure d'un ivrogne : le ton normal de la
des tendons, le vertige dans la position debout et surtout dans la
marche
, sont autant de phénomènes qui parfois se ren-
ficultés dysarthriques, commençait à se fatiguer facilement dans la
marche
; les objets lui tombaient souvent des mains. D'u
ectromercurol qui pa- raissent avoir donné une amélioration dans la
marche
, par suite d'une meilleure équilibration. Le
ussi la tendance à tomber à gauche, quand il reste debout; quand il
marche
, il traîne la jambe gauche ; la ligne de sa mar
debout; quand il marche, il traîne la jambe gauche ; la ligne de sa
marche
présente une déviation à gauche. Avec le diagno
chez noire malade, il vient de se produire un chan- gement dans la
marche
de l'affection. Tandis qu'auparavant la maladie
accès de suffocation, un peu pluslard un changement s'opère dans la
marche
de la maladie ; notre patiente commence il engrai
eu de l'estomac et du foie. Il y a 23 ans, en sautant d'un train en
marche
, il a eu la cuisse. gauche écrasée. Le Dr Leblu
la mâchoire inférieure sont petites et striées transversalement. La
marche
est normale, ainsi que la sensibilité et la réf
force de résistance des membres supérieurs et inférieurs droits. La
marche
est en apparence normale. Pas de flexion combinée
supérieurs et inférieurs, la motilité spontanée est nor- male ; la
marche
se fait sans difficulté, mais le membre supérieur
tre au mois d'octobre 1912 pour idiotie complète, station debout et
marche
impossi- bles, par défaut d'équilibre. Son inte
manger seul, et porte avec difficulté les objets à sa bouche; il ne
marche
pas et replie ses jambes sur lui-même si on veu
pieds, augmentant de cetle façon son polygone de susten- tation. La
marche
est traînante, lenle, avec le même écartement des
phy- siologie révèle la diminution de la force, la difficulté de la
marche
, etc. La séparation qu'on faisait autrefois ent
saillie ni déviations pathologiques. Le bassin semble normal. La
marche
et l'attitude du malade debout n'ont rien de spéc
s longs ne 450 KLIPPEL ET FELSTEIN sont augmentés ni déformés, la
marche
est normale. Rappelons pourtant, à cause du car
tal pour la faiblesse des jambes qui est tellement prononcée que la
marche
est tout à fait impossible. Il nie la syphilis.
s. 9. Le signe de de Graefe n'est plus constatable. 28. Le malade
marche
seul sans s'aider, mais à petits pas. Le pied est
ment attribués à la syphilis. De même dans plusieurs observations à
marche
e chronique, le traitement anti-syphilitique a
letant. Le délire a suivi, si nous pouvons nous exprimer ainsi, une
marche
ascendante. La crainte d'être inhumé vivant ne
l. » Puis, peu à peu, l'amélioration se fait. Mais, là encore, la
marche
suivie est curieuse ; les voix deviennent intérie
gie droite avec ophtalmoplégie externe double, en même temps que la
marche
est titubante. Le syndrome nerveux s'était étab
auleet dubras; elle adéjàenvahi quelques musclesde l'avant- bras et
marche
insensiblement vers une myopathie généralisée.
ophie et cette parésie linguales ne semblent pas avoir présenté une
marche
progressive. (Revue neurologique, avril 1896.)
aiguës : d'abord on sait que pour les intoxications chroniques leur
marche
pst fort différente au point de vue clinique; e
rès l'accident on constate un état d'affaiblissement intellectuel à
marche
progressive, intéressant surtout la mémoire. Le
le, dit Rostan, de distinguer cette maladie du ramollissement; même
marche
graduelle, identité des symp- tômes. Les signes
médico-physiologiques. C'est ce qui a eu lieu pour notre malade; la
marche
, le grou- pement, l'aspect des symptômes ont tr
aient fatalement croire à une para- lysie générale pure et simple à
marche
rapide, sans délire et terminée en quelques moi
en présence de malades supposés atteints de paralysie géné- rale à
marche
rapide avec ictus multiples, s'il y a quelque s
voie du chemin de fer et se pré- cipita sous un wagon d'un train en
marche
. Il eut dû être broyé, par un hasard extraordin
certaines conditions physiologiques antérieures. Après une longue
marche
, le phénomène du genou est habituellement exagéré
traite- ment par la méthode de Frenkel. Chez le tabétique qui ne
marche
plus, la période des exercices au lit durera natu
ces au lit durera naturelle- ment plus longtemps que chez celui qui
marche
encore. Mais quel que soit le degré de l'incoor
lade est debout, le médecin se tient à côté de lui. Si le malade ne
marche
plus on le soutiendra à l'aide de la ceinture d
cher les genoux ' fléchis; 9° marcher sur la pointe des pieds ; 10°
marche
sur commandement avec arrêt brusque ou changeme
andement avec arrêt brusque ou changement brusque de direction; 11°
marche
avec obstacles. On pose par terre des morceaux
e à la fatigue. Le malade n'éprouve aucune fatigue même après une
marche
de plusieurs kilomètres. Le D'' Frenkel nous a ré
dans lequel il vit la nage est aussi indispensable que pour nous la
marche
. Mais ceux qui ont appris à nager dans un âge,
us ou moins de difficultés, étant forcés d'être soutenus pendant la
marche
(les malades de nos six autres observations).
r debout et à plus forte raison de faire un pas. Actuellement, elle
marche
comme tout le monde, et fait sans appui, sans c
'arthro- pathie s'aggraver considérablement au point de rendre la
marche
impossible à la suite de notre traitement. Les tr
bilité s'aggrave tous les jours, comme c'est le cas dans le tabes à
marche
rapide, comment le malade pourra-t-il arriver à
e. Nous conseillons donc de s'abstenir de tout exercice, même de la
marche
, pendant ces périodes. On fera mieux de laisser
ticulations des pieds. Le malade nous dit y qu'il a des jours où il
marche
moins bien, mais en général l'amélioration obte
ue durée de la paralysie générale tient le plus souvent à ce que sa
marche
, au lieu d'être progres- sive présente des rémi
e cellules sont dans la cave; on y descend par un escalier de vingt
marches
, éclairé au tournant par un bec de gaz. Trois d
ôt il fut précédé de mani- festations spasmodiques qui, suivant une
marche
progressive, gagnèrent d'abord la tête et le tr
rands dentelés, tous les muscles du thorax, atteint parfois dans sa
marche
pro- gressive, ceux de la paroi abdominale; le
, quoique complètement différents dans le fond, affectent dans leur
marche
des carac- tères communs. Bien que les accident
vous, d'avoir un corps de médecins con- sultants ? 27. Décrire la
marche
suivie habituellement à l'admission d'un malade
s stcppent simplement. Jamais on n'observe d'incoordination dans la
marche
, c'est à peine si parfois l'on rencontre, et à
e, ni atrophie 304 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. , musculaire, la
marche
n'est pas ataxique, mais elle est moins assurée
la rigidité caractéristique des muscles de la face et du tronc, la
marche
normale, la flexion des doigts (qui existe et q
gion dorsale, suite d'une infec- tion blennorrhagique. c Voici la
marche
de l'affection, à partir de ce début. La réten-
a pointe et un peu avec le bord externe. Locomotion. La malade ne
marche
pas. Soutenue des deux côtés sous les bras elle
est également vite corrigé. Mais quant à la station debout et à la
marche
, les progrès sont plus lents. Ce n'est que pénibl
eau très rapide. Voici quel était son état le 1 ? avril : la malade
marche
dans la salle seule, sans canne. Elle s'assoit et
oordination s'améliore de plus en plus. La malade reste debout et
marche
les yeux fermés. La marche est devenue tout à f
lus en plus. La malade reste debout et marche les yeux fermés. La
marche
est devenue tout à fait normale. Cependant un c
a malade convenablement droite. Nous passons alors aux exercices de
marche
. Soutenue par deux personnes, la malade apprend
du reste est fait chez cette malade et nous sommes persuadés que sa
marche
pourra être encore considérablement améliorée.
ui pendant deux à trois minutes. Observation IV. Tabes dorsalis à
marche
rapide. Développement rapide de l'incoordinatio
x membres inférieurs. Elle perd les jambes dans son lit. Quand elle
marche
elle ne sent pas bien le sol et croit toujours
ou monte un escalier. Elle ne peut plus bien mesurer la hauteur des
marches
, ni proportionner ses mouvements, aussi lui arr
e est considérable quand la malade est debout et surtout quand elle
marche
. Debout la malade ne peut pas se tenir immobile
e dans la station verticale. Le signe de Rom- berg est très net. En
marche
le pied est lancé en avant sans fléchir le geno
, no us limitons ce traitement aux exercices debout et exercices de
marche
. Dès les premiers jours du traitement, le progr
sans canne dans le jardin. Au bout d'un mois de traitement sa dé-
marche
a presque complètement perdu le caractère ataxiqu
x fermés, cependant son corps chancelle toujours un peu. Quand elle
marche
les yeux fermés, la démarche est moins sûrc et
ment. En février 1893 premiers symptômes d'ataxie. Troubles de la
marche
débutant par de la fatigue; lassitude dans les me
malade dit ressentir manifestement une grande amélioration dans la
marche
. Les douleurs fulgurantes ont cependant reparu
st intacte. Le signe de Romberg est très prononcé. Locomotion. La
marche
, quoique moins gênée qu'autrefois, s'exécute pa
ion, elle se retient à un lit voisin pour opérer ce mouvement. Elle
marche
en frappant du talon le sol et en dépla- çant l
t la malade affirme qu'elle se sent plus ferme sur ses jambes. Elle
marche
sans canne, sort dans le jardin, fait des petit
monte difficilement l'escalier, les pieds s'enchevêtrent pendant la
marche
. A la même époque forte constipation et difficult
Les yeux fermés le malade tombe comme une masse. Locomotion. - La
marche
est tout à fait impossible. Soutenu des deux cô
ait excel- lent marcheur s'aperçoit qu'il se fatigue facilement. La
marche
lui devient pénible. Il a la sensation comme si
r sur une chaise longue pendant un mois. A partir de ce moment la
marche
s'aggrave rapidement. Le malade ne sort plus seul
sans aucune diffi- culté et sans regarder ses pieds. Dans la rue il
marche
seul sans donner le bras en s'appuyant sur sa c
de, l'arthropa- thie du genou gauche a beaucoup augmenté et rend la
marche
très difficile. Observation VIII. Tabes dorsa
corps en arrière. Il a l'air de marcher sur de la glace. Pendant la
marche
les genoux fléchissent brusquement, tantôt une
tienne et sans qu'il ait besoin de regarder ses pieds. Le malade
marche
assez convenablement à l'aide d'une canne dans la
abite la province, l'état du malade va toujours en s'améliorant. Il
marche
de mieux en mieux. Le malade continue les exerc
noncé. Locomotion. Le malade peut marcher seul sans canne. La dé-
marche
est franchement ataxique. Il talonne fortement. L
de contractures ni de trouble de la motilité ni de la sensibilité;
marche
et articulation des mots assez bien conservées; a
nd le malade marchait ou faisait de grands mouvements. Peu après la
marche
devint difficile, et l'enfant se mit à se courber
geant peu, la miction se fait à moitié, tandis que sur un navire en
marche
, les mouvements étant étendus et nombreux, la m
couché. Le malade peut marcher, mais avec peine et en steppant; la
marche
ne produit dans les genoux ni douleurs, ni craq
tout à fait guéri, mais il ne peut se procuter aucun détail sur la
marche
de l'affection depuis la fin de 1893. Le point
voir sur la localisation et la REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. -16l
marche
des processus infectieux, sans que la question so
sie vaso-motrice d'un organe splanchnique sur la localisation et la
marche
d'un proces- sus infectieux agissant sur cet or
ystème ner- veux périphérique, il semble très commode de décrire la
marche
de chaque faisceau en le suivant à travers les
R. post mortem.40 ? 8. (Fig. 1). Les accès d'épilepsie ont eu la
marche
suivante : En 1879, 83 accès. En 1880, 393 accè
est médiocrement dé- formé, et ne repose que sur la pointe dans la
marche
. Peau : cheveux noirs, clair-semés, sourcils et
i. T. R. 38°,2. Soir : T. R. 38°. 13 mai. - T. R. i>8". La plaie
marche
vers la cicatrisa- tion complète. - Soir : T. R
s à 10 h. du soir. T. R. post mortem : 41°,6. Les accès ont eu la
marche
suivante : janvier, 4 ; fé- vrier, 27 ; - mars,
ence. En effet, de dix-huit mois à quatre ans, Dub... se développe,
marche
librement, parle sans difficulté, est propre, a
entra comme infirmier à la Pitié. A ce moment, la maladie prit une
marche
rapide, Cher..., tombait 5 à 6 fois par jour ;
en- fin d'un affaiblissement de la mémoire. - Les accès ont eu la
marche
suivante : . 30 imbécillité. MICROCÉPHALIE. 3
survenue à 18 ans, sans aucun prodro- me, à la suite d'une peur, sa
marche
semble avoir été assez singulière. Il y aurait
- Deux frères : Mobilité. Idiotie. Microcéplialie. - Epilepsie :
marche
des accès. - Quelques succès d'ëducaitO) ? O'o
ceau, après avoir paru très longtemps étranger au mécanisme de sa
marche
, il laisse voir, aujourd'hui, la volonté de le co
OTIE ET ÉPILEPSIE. violents et plus nombreux. Voici d'ailleurs leur
marche
de 1850 à 1860 : microcéphalie. 41 paraisse
hystérique, etc.), prédominant à gauche. Description des attaques;
marche
. Traitement par l'hydrothérapie. - Guérison.
'attaques. Sa santé générale est très bonne.-Les attaques ont eu la
marche
suivante : 64 HYSTÉRO-ÉP ILEPSIE. HYSTÉRO-ÉPI
nationale, Del..., fut réformé pour cause de dilïi- cultés dans la
marche
: « ses pieds se jetaient en avant quand il mar
eu le plus souvent dans l'épilepsie vulgaire. Voici d'ailleurs leur
marche
de 1871 1 à 1881. ATROPHIE DES CIRCONVOLUTION
n mot ne faisait pressentir l'existencedes lésions pulmo- naires, à
marche
chronique, que nous avons rencontrées à l'autop
bligée pendant 8 ou 10 jours de garder le lit. Habituellement, elle
marche
peu, son allure dénote une fatigue rapide. Actu
e devient souriante; on lui dit d'aller le chercher : elle se lève,
marche
un peu courbée, rit, et se décide dire qu'elle
ec une fréquence assez variable, mais sans aucune périodicité. 90
MARCHE
DES ACCÈS. OBSTRUCTION INTESTINALE : MORT. 91
tir de là que les accès et les vertiges, dont nous avons donné la
marche
pendant une longue période, ont sensiblement di-
Pas d'aura, ni de stertor. ROUGEOLES SIMPLES. 101 L'enfant mange,
marche
et s'habille seul, commence à lire : habitudes
es d'une descente progressive : la rougeole, d'ailleurs, a eu une
marche
simple et régulière. Observation IV. - Idiotie
demi-heure, on observait une faiblesse de la jambe gauche dans la
marche
. En dehors des accès, celle-ci était nor- male.
1879. 29 octobre. Etat actuel. Conjonctivite granuleuse ; gâtisme,
marche
normale; parole presque nulle; l'enfant répète
mométriques par une élévation mo- mentanée, ces cinq cas ont eu une
marche
régulière. Nous entrerons plus loin dans quelqu
même mouvement. Le libre exer- cice des membres inférieurs, dans la
marche
, était égale- ment soustrait à l'action de sa v
ire du- rant la rougeole et la tuberculose les accès ont suivi la
marche
ci-après : SCLÉROSE. CÈRÈHRALE ATROPHfQUE. 125
uccédé à une douzaine de reprises. Mond... a toujours été idiot. La
marche
, qui toujours est restée incomplète, et la paro
le, avril. L'enfant a fait de grands progrès au point de vue de la
marche
; il porte lui-même les aliments à sa bou- che.
1880. 22 Janvier. Ch... a fait des progrès au point de vue de la
marche
. -Aujourd'lmi, on ouvre un abcès déve- loppéà l
tite. En résumé, cette rougeole a évolué normalement et suivi une
marche
heureuse jusqu'à la convalescence. Bientôt cell
rusquement interrompue par l'ap- parition d'accidents pulmonaires à
marche
rapide et in- BOURN. 4A ¡ (il - ÉPIDÉMIE DE R
a- ladie, et c'est alors qu'elle modifie, à proprement parler, la
marche
de l'épilepsie ; 4° C'est surtout quand il s'ag
e l'apprécie que dans la station verticale, et surtout pendant la
marche
. Alors, on' voit que le malade fait porter tout
quefois, pour la voir apparaître, de faire marcher le malade. La
marche
, il est vrai, est souvent impos- sible. 2° Le
et instinctive au-dessus du sol (liq. 12j. Dans ces conditions, la
marche
est impossible ; on conçoit même que la simple
ant de cloche ; c'est l'attitude dite « cloche-pied ». Or, quand on
marche
, ou plutôt, quand on saute à ' Clinical lecture
de la seule jambe dont on se sert. Si, au lieu de sauter, le sujet
marche
alternati- vement sur le pied déchaussé et sur
re plus. Son appréhension est même si vive et si persistante, qu'il
marche
encore en hésitant, même après qu'il s'est rend
la station debout se tenait incliné du côté de sa scia- tique ; la
marche
, qui était très pénible, accentuait cette attit
eu, d'abord tolérable, puis plus intense, surtout après les longues
marches
; alors il boitait. Le foyer le plus dou- loure
impossible. Le membre inférieur gauche était comme ankylosé, et la
marche
ne s'effectuait que par un mouvement très pénib
se rendre compte que l'articulation coxo- fémorale est indemne. La
marche
est toujours impossible ; le pied gauche reste
ment disparu. Le malade se déclare guéri. Il recommence à se lever,
marche
sans souffrir, mais se fatigue promptement. L
urs spontanées ont cessé de se faire sentir depuis quinze jours. La
marche
est aisée. Lorsqu'elle se prolonge, il en résul
dans le cas de la névralgie lombo-sciatique spasmodique gauche, la
marche
est presque impossible, le sujet évitant toujou
peu près impossible la sta- tion debout et, à plus forte raison, la
marche
. Si le malade veut marcher, il prend l'attitude
e-astasie. 41 chaise,' fait très bien les mouvements de natation,
marche
à grands pas, comme un acteur de mélodrame, en
r de mélodrame, en un mot, a conservé toutes les allures, sauf la
marche
vulgaire, normale. Ce cas m'avait beaucoup inté
premier accès il a conservé la suggestion de l'impossibilité de la
marche
, comme nous allons le voir. Le malade attribu
sque je suis assis et couché, je suis parfaitement bien, mais si je
marche
ou reste debout quelques miuutes, ou si je parle
je circulais. Il y a longtemps que je ne transpire plus. Lorsque je
marche
un peu et que je commence à me fatiguer, sans r
faisait en dedans, sur- tout à la naissance de la nuque, lorsque je
marche
quelques pas de trop. A deux reprises différe
es circonstances qui accom- pagnèrent cette reprise passagère de la
marche
, et il m'apprit que c'était après avoir été dur
dages. J'ai maigri un peu, mais je ne sens point de progrès pour la
marche
quoiqu'on s'y attendît et qu'on s'y attende enc
al du malade. Ce n'estpas lui qui s'attend à une amélioration de sa
marche
. Il a l'auto-sug- gestion qu'il ne peut pas mar
llabes. -Pas de phénomène de Romberg. -Les yeux fermés, le malade
marche
dans sa chambre et va directement au but, comme
s qui accompagnent les lésions cérébrales ou spinales. En outre, la
marche
de la maladie, ainsi que les accidents étranges
cté- risée par le choc subit inhibitoire qui l'arrête net dans sa
marche
. C'est une abasie sous forme d'attaques. Bien q
int- une paralysie complète des membres inférieurs, au point que la
marche
et la station étaient devenues impossibles. Son
e dès le premier moment de son invasion, et son évolution spéciale (
marche
éminemment et spon- tanément rétrogressive, dis
t été prises régulièrement, depuis le 15 août. Les crises ont eu la
marche
suivante : DE T.'HISTRItO-EPII,EPSIE. 103 Hie
ortant de paralysie générale. M. Moeli a, comme il le dit, suivi la
marche
de la maladie chez des patients ne présentant d
Science, janvier 1886.) Les modifications heureuses apportées à la
marche
d'un cas de paralysie générale par l'apparition
ers a observé de ces idiots, atteints d'incoordination motrice avec
marche
titubante ressemblant à des vieux alcoor liques
rouve des imbéciles, souvent affectés de la même hésitation dans la
marche
, avec le regard hébété, ressemblant à celui d'u
et qui offraient l'aspect d'alcooliques, avec hésitation dans la
marche
, et délire maniaques à certains moments. Il faut
- nine comme un agent curatif de la pa,ralysiel générale, sur ! a
marche
de laquelle il ne semble pas avoir d'action autre
t là l'oeuvre de toute une génération. Mais il montre au moins la
marche
à suivre, en distinguant les individualités morbi
d'une dégénérescence des nerfs périphériques moteurs et sensitifs à
marche
ascendante; lésion semblable des racines antérieu
e de chaque délivrance, empiraient à chaque nouvelle conception. La
marche
, pénible, occasionnait des douleurs : elle rapp
geants; il il est vrai qu'il s'agit ici surtout de tabes récents, à
marche
relative- ment rapide, et que les malades consi
es. L'encéphalite ordinaire, qui résulte d'une plaie (traumatique),
marche
lentement; elle est caractérisée par une lente
faisait. Affaiblissement très marqué des muscles qui présidentà la
marche
; il vacillait constamment; insensibilité des pup
t de par des lésions apo- plectiques ou névritiques. La forme et la
marche
de la P. G. spéci- fique ne sont pas celles de
liénistes connaissent bien sous le nom de paranvio : . ' 2° De la
marche
progressive et continue de cette affection dont
h. Paris, 1885. SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. 317 i malade
marche
encore, on trouve le signe de Rom- berg et la d
'ils existent, la sensation nette de la nature du sol sur lequel il
marche
. En dehors de ces moments où les fourmillements
ne difficulté à se mettre en équilibre sur ses deux pieds. Quand il
marche
, ses' mouvements ne sont pas incoordonnés du to
l marche, ses' mouvements ne sont pas incoordonnés du tout, mais il
marche
à la manière d'un paralytique alcoolique, stepp
aire ce mouvement anormal du step- page, destiné à empêcher dans la
marche
la pointe du pied tombante de traîner sur le so
té prise peu à peu et sans cause appréciable d'incoordination de la
marche
; ses parents ont remarqué qu'elle marchait de tra
omberg devient encore plus marqué que pré- cédemment. Lorsqu'elle
marche
elle frappe le sol du talon, et il lui est im-
prononçons du même coup sur ce fait controversé, qui a trait à la
marche
de la sclérose et qui consiste à déterminer si
ont envoyées dans les différents centres de perception, et, si-leur
marche
s'arrête dans ces centres, la perception est fa
: cette parésie a progressé len- tement et après quelque temps, la
marche
est devenue impos- sible. Le malade a accusé de
des idiots, qui se maintient régulièrement, bien qu'elle suive une
marche
décrois- sante, s'explique surtout, sinon entiè
dres. En ce qui concerne le système nerveux, il s'agit d'un tabès à
marche
ascendante (par le mé- canisme de la pachy et l
leaux symptomatiques qui se ressemblent par plus d'un élément, leur
marche
et leur pathogénie révèlent, il l'analyse clini
llaires du lapin qui président aux mouvements asso- ciés (saccades,
marche
, piétinement, course) occupent le bulbe du chie
t ainsi qu'avec certaines formes de rhumatisme et le gigantisme. La
marche
en est longue, le pronostic fatal, le traitemen
s mouve- ments des jambes. Le bras droit n'est pas agité pendant la
marche
, mais pend toujours comme inerte le long du cor
employé au point de vue du réta- blissement des mouvements et de la
marche
, de la diminution de volume des têtes osseuses
Par contre, le tremblement peut acquérir une intensité telle que la
marche
des malades devient difficile, incertaine. De mêm
squ'il est très prononcé, peut aussi amener des difficultés dans la
marche
et la station debout. Voici du moins ce que nou
oduire et le sujet demandait in- stamment à s'asseoir. Pendant la
marche
, ces flexions brusques et involontaires des jambe
ir le feu du fourneau, debout sur la plateforme de la locomotive en
marche
, subissant constamment l'effet des trépidations
'improviste, dans la salle, un appareil électrique, dont la mise en
marche
renforcée pour la circonstance, faisait un brui
e plus que lm53. Elle a donc perdu neuf centimètres. - De plus la
marche
devint de plus en plus difficile. Outre les dou-
hique dont les muscles sacro- lombaires n'agiraient plus, se met en
marche
, le tronc absolument rigide, les mouvements de
se met en marche, le tronc absolument rigide, les mouvements de la
marche
se passant exclusivement dans Nouvelle Iconogra
absence de participation des muscles du tronc aux mouvements de la
marche
lui donne l'air de marcher comme un canard. I
ralgie le long des deux cuisses et au niveau des fesses. Toute la
marche
des lésions se dessine sous les yeux du clinicien
dérobement des jambes cesse de se pro- duire et le sujet reprend sa
marche
ordinaire. 2° Le tremblement est apparu chez ce
roit. Les zones hystérogènes précédemmentjudiqnées persistent. La
marche
et la station debout sont toujours un peu troublé
sion ont été possibles, mais avec le secours de béquilles. Enfin la
marche
put s'exécuter simplement à l'aide d'une canne.
e, n'obéissait plus au com- mandement et ne pouvait plus suivre les
marches
militaires. Aussi fut-il placé à la cantine, ex
auchemars la nuit. Elle tombe dans la Seine, elle descend plusieurs
marches
et tombe soudain dans un trou, etc. Il a été
it caractéristiques font au contraire défaut. Au point de vue de la
marche
générale, on note bien en effet l'existence de
inale antérieure aiguë de l'adulte, paralysie spinale de l'adulte à
marche
subaiguë ou chronique, et paralysie générale sp
aire hypertrophié jusqu'à atteindre le volume d'une pomme d'api. La
marche
rapide de l'amblyopie dans notre cas s'explique
ins étroitement cantonnée ; 3° L'affection paraît revêtir alors une
marche
plus rapide. ' Dr IL SUR111ONT, Chef de Clini
tuelle. 'Pas plus que l'instabilité des mains et les troubles de la
marche
, les ' troubles du langage ne sont dus chez les
à Saint-Louis, elle part pour le Vésinet dans l'état suivant : elle
marche
sans boiter, le bras droit n'est plus paralysé,
bien que la température y soit normale. La température a suivi une
marche
très irrégulière les jours suivants. 18 janvier
ujours indemnes. La malade vaque comme autrefois à ses occupations,
marche
une partie de la journée et se sert de ses main
sol et distingue bien le tapis, la terre, le plancher sur lequel il
marche
. Tlternto-anesthésie (Fig. 66, 67). - Les extré
eurs, de l'autre, et remonter ainsi de proche en proche suivant une
marche
pa- rallèle. Il est juste encore d'ajouter que
ellent plusieurs fois par jour. Elle est à peine réveillée par la
marche
, qui n'est pas sensiblement gênée; les mouvemen
n exercée au niveau de ces points d'élection ne la réveille pas; la
marche
est également indolente et peu gênée par la doule
plétera cette aride description. Cette attitude vicieuse donne à la
marche
un aspect tout à fait spécial et indescriptible
cté. Le malade marche'sans boiter, avec une allure particulière; il
marche
sans douleur, mais il se fatigue assez vite; en
u'aux change- ments de température (froid, pluie, humidité). t La
marche
est aisée et indolore. SUR DEUX CAS DE GUÉRISON
279 accélératrice que la section des cordons latéraux exerce sur la
marche
de l'atrophie d'origine arthropathique. » Que
elle avait été rejoindre son mari en Bourgogne. Un jour, après une
marche
excessive à travers champs, elle fut prise de viv
la douleur, des crampes dans les jambes avec fatigue rapide dans la
marche
. En 187, elle aurait eu une sciatique double ac
trière. bulbaire supélieure, que nous suivrons tout d'abord dans sa
marche
progressive, s'attaque successivement à chacun
tein- heim qui se rapprochent des faits d'ophthalmoplégie externe à
marche
descendante; il ne s'agit plus ici de paralysie
e ou a frigore sans songer à la rattacher à une lésion centrale. La
marche
de la maladie nous aurait peut-être égaré davan
tour, ainsi que les noyaux du trijumeau et du facial gauche. Cette
marche
hésitante, serpigineuse méritait d'être indiquée.
int par asphyxie. Dans les cas rapportés par de Graefe, Bresgen, la
marche
de l'a(lëc- tion nucléaire fut moins lente et e
e commence à se plaindre de douleurs de tête et de difficulté de la
marche
(lourdeur), symptômes qui peuvent dépendre de l
guérison. Ois. XXII. Paralysie bulbaire supérieure et inférieure à
marche
aiguë. Guérison (P. Etter'). Dans l'espace de
tale if, début glossoplégique. - La paralysie bulbaire inférieure à
marche
ascendante est le pendant de la paralysie bulba
che ascendante est le pendant de la paralysie bulbaire supérieure à
marche
descendante et peut, comme cette der- nière, in
ver combinée à une atrophie musculaire plus ou moins généralisée, à
marche
tantôt subaiguë, tantôt lente et progressive : c'
ans son origine et sa cause. Nous jugeons de son évolution par la
marche
stationnaire ou pro- gressive des symptômes : o
res ( : ),) ; (; ont appris il man- ger seuls (4). Dès qu'un enfant
marche
sans aide, il est envoyé à la petite école, d'a
con- tinuant et aucune réponse n'arrivant au sujet de la mise en
marche
des appareils de chauffage, nous avons prié M.
degré. La motilité est moins atteinte que dans le premier degré. La
marche
est possible, parfois exubérante. La préhension
e ce second groupe du précédent, c'est l'existence du mouvement, la
marche
et la préhension, qui les rend dangereux pour e
'éclat, mais ne fuit, ni ne se perd dans le vague. Le mouvement, la
marche
, la préhension, la sensibilité générale, la sen
éguliers. Le pied est plat. Dans la station verticale qui, comme la
marche
, n'est possible qu'avec des béquilles, la jambe
l et ne repose sur le sol que par la pointe du gros orteil. Dans la
marche
, Il... avance ses béquilles simultanément, les
23 mois, très bien portante, semblant tout à fait naturelle ; elle
marche
bien, a 12 dents, prononce presque tous les mot
me est peu .considérable. Pansement phéniqué. 24 ? ? ou. La plaie
marche
vers la cicatrisation, qui est Marche DR la mal
'il faut attribuer le retard de la dentition, de la parole et de la
marche
, ainsi que l'incontinence nocturne d'urine, nou
nt a eu la variole. Il aurait eu ses dents de bonne heure ( ? ). La
marche
aussi fut précoce ( ? ). Durant la poussée de s
E VRAIE ET FAUSSE. personnels de ce malade, ni sur le début de la
marche
, des lésions qui ont déterminé l'idiotie. II. L
tition complète et début de la parole à 2 ans 1 j ? . - Début de la
marche
à 18 mois, de la propreté à 8 mois. Premières
omplète à 2 ans et demi. - Début de la parole à la môme date, de la
marche
à 18 mois, de la propreté à 6 mois. A l'âge de
). Photographies et spécimens de l'écriture permettent de suivre la
marche
de la maladie. La température rectale a oscillé
140 battements par minute. Dans ces conditions, on comprend qu'une
marche
rapide, qu'un brusque effort puisse aboutir a u
rence normale à la naissance. Première dent à 8 mois. Gâtisme. - Ne
marche
pas seule. - Préhension très lente. - Croûtes d
d'être complète. Bor.. n'a jamais marché seule. Sa mère dit qu'elle
marche
très lentement et lourdement en la tenant par l
lés, sirop d'iodure de fer, huile de foie de morue, exercices de la
marche
. Nous avons l'habitude de faire prendre la temp
g d'un banc, d'une table, se plait beaucoup dans son chariot, enfin
marche
tenue par la main. Elle comprend bien le jeu, e
gênée pour respirer. L'intelligence est obnubilée, La parole et la
marche
sont restées ce qu'elles étaient à la fin de ju
t. Sa physionomie expressive la rapproche des enfants normaux. Elle
marche
bien, tenue à la main et il est probable que, s
plus propre, elle n'a pas gâté une seule fois depuis 15 jours. Elle
marche
en tenant légèrement par le doigt ; la crainte
relativement vifs surtout quand l'enfant est en colère. L'enfant ne
marche
pas seule mais se traine lourdement en s'appuya
rte de la bonne volonté pour les exercices de la parole. Quant à la
marche
, elle préfère s'y essayer le long d'un lit ou à
Mat. - Bien qu'elle ait de la répugnance pour les exercices de la
marche
, on est parvenu à lui faire faire, seule, quelque
e, frappe ses camarades. Enfin elle n'a pas fait de progrès pour la
marche
. La température est redescendue entre 36° et 37
le médicament qu'a- vec difficulté, le prend bien maintenant. Elle
marche
seule, mais encore par caprices : s'il y a des
re demande le vase ; elle gâte encore la nuit. 31 octobre. - Elle
marche
de mieux en mieux; on dirait une « poupée à res
(1). Les cheveux tombent, les ongles poussent naturellement. Elle
marche
très-bien, trotte sans cesse, grimpe partout, aus
se sont éloignés. Son vocabulaire s'enrichit, quoique lentement. La
marche
s'exécute d'une manière normale et l'inertie a
en avant. Au membre inférieur la paralysie est incomplète, l'enfant
marche
, court même, en trainant la jambe. Il n'y a pas
(J kilogrammes. Elevé au sein par sa mère, sevré iL quatorze mois,
marche
à treize mois, mais n'a bien marché qu'à trois
de montrer de l'ac- tivité, mais pour un moment seulement. Quand il
marche
, il fléchit sur ses jambes, et prend le bras de
lour- dement ; on craint à chaque instant qu'il ne tombe. Dans la
marche
, le tronc est animé d'un balancement et le côté g
ment des jambes. Le talon gauche ne porte pas sur le sol. Dans la
marche
le tronc est incliné légèrement en avant, les c
dique où les membres ont l'attitude en X..Le malade assure que la
marche
ne le fatigue pas et on sait qu'il a pu aller ais
cé : physionomie égarée, ne dénotant aucune intelligence; parole et
marche
nulles ; incapacité de s'aider en quoi que cc s
er en quoi que cc soit, gâtisme, etc. A la fin de cette période, la
marche
commence à devenir possible, la parole débute,
ent sur le sol, tandis qu'à gauche l'arrière-pied est soulevé. - La
marche
s'effectue sans fatigue, et sans aucun soutien
tandis que ce n'était, à vrai dire, qu'un phénomène consécu¬tif à la
marche
envahissante du mal. Le 20 décembre 1869, notre
té de la mâchoire. Le développement a suivi, dans les deux cas, une
marche
com¬plètement identique : la tumeur, localisée pe
MENT. Un mouvement d'horlogerie de 5 à 5 centimètres de diamètre, à
marche
très-régulière, mis en action et arrêté à volonté
dentée, qui s'engrène sur le pignon du mouvement, et reçoit ainsi une
marche
circulaire qu'il communique au cylindre inscripte
par une petite plaque noire, de 1 centimètre carré de surface. VII.
MARCHE
DE L'APPAREIL. L'instrument étant monté avec sa
e très-long, 1 mètre, par exemple, car on peut remonter l'appareil en
marche
. L'encre bleue ou l'encre de Chine sont les meill
ple, citons le remarquable travail de M. Prompt, sur la théorie de la
marche
. Ce n'est pas sans quelque complaisance que nou
niers nous avons déjà signalé celui de M. Prompt sur la Théorie de la
marche
; nous ne ferons qu'énumérer les plus importants d
fut pris d'un intertrigo de la face interne de la cuisse gauche ; la
marche
fut impossible pendant trois jours, et pénible du
ade est sur une route qui descend. Notons encore que X..., pendant la
marche
, a sous la plante des pieds la sensation d'un cor
os salles. En résumé, lésion ayant débuté avec lenteur et suivi une
marche
insidieuse, provoquée par un durillon de la paume
nt issue à un liquide d'une nature caracté¬ristique, c'est bien là la
marche
d'une inflammation des gaines sy¬noviales tendine
nomènes mor¬bides, si surtout on les envisage au point de vue de leur
marche
, on voit qu'ils se rapportent parfaitement à ceux
lis.— Syphilide croûteuse en coquillages : caractères, distribu¬tion,
marche
. — Érysipèle delà face. Krusk... (Frédérique),
al proportionnées, nous n'avons remarqué qu'un ralentissement dans la
marche
des accidents. II. Expériences sur les animaux.
ntième de sulfate d'a¬tropine. — 10h5-15 : poil hérissé; tremblement;
marche
titubante ; parésie du train postérieur ; mâchonn
onvulsions s'étendent. Même faiblesse du train pos¬térieur. — 10h55 :
marche
plus assurée. —11 heures : rétabli. 26 avril. I
ures : encore des convulsions par moments ou si on l'excite. — 8h30 :
marche
avec peine. — 9 heures : de mieux en mieux. 9 m
. — 5h30 : les convulsions ont une inten¬sité de plus en plus grande,
marche
impossible ; décubitus sur le ventre, les patte
se traîner et parait beaucoup plus faible du côté droit qui, dans la
marche
, repose en partie sur le sol. — 7b10 : Y hémiplég
ds, transformés en masses informes, gonflés, douloureux, rendaient la
marche
impos¬sible. La main gauche, encore plus malade e
des conditions étiologiques, nous voyons que la scrofule a suivi une
marche
rapide et a donné lieu à des manifesta¬tions vari
'accouchement ; de la fièvre de lait. Les auteurs qui ont étudié la
marche
de la température chez les femmes en couches sont
vives, s'irradiant vers les cuisses et le petit bassin, et rendant la
marche
pénible et difficile. Ces symptômes se sont accru
ans la séance du 23 mars 1870. Observation I. Tétanos traumatique à
marche
lente traité par le Moral. — Amélioration. — Rech
ns la séance du 4 mai 1870. Observation II. — Tétanos traumatique a
marche
lente. — Trai¬tement par le chloral. — Améliorati
core à la Salpêtrière, et chez laquelle nous avons suivi nous-même la
marche
de la maladie. Observation I. — Ataxie locomotr
de ces crises. — Arthropathie de l'épaule droite : début, symptômes,
marche
, état actuel. (Observa¬tion personnelle.) Mén..
le sol et souvent lui faisait craindre de tomber ; progressivement la
marche
devint de plus en plus difficile. — A part les mi
la malade en décembre 1864. — Membres inférieurs. Re¬lativement à la
marche
, nous n'avons rien à ajouter à ce qui a été dit p
bservé cette affection sur les bords du Nil : nous en avons étudié la
marche
, et, autant qu'il nous a été possible de le faire
de l'œil, avec toutes leurs conséquences. Telle est, en gé¬néral, la
marche
de l'ophlhalmie que nous appellerons spontanée, m
n gé¬néral, la marche de l'ophlhalmie que nous appellerons spontanée,
marche
que nous avons pu suivre et étudier au Caire, à l
chin, fit usage de ce médicament dans un cas de tétanos traumatique à
marche
rapide. Nous allons résumer les résultats du trai
ie (séance du 4 mai 1870). Observation III. — Tétanos traumatique à
marche
rapide. — Trai¬tement par le chloral. — Mort par
oisième observation, rapportée en détail, est relative à un tétanos à
marche
lente et qui a cédé à l'administration du chloral
tration du chloral. En voici le résumé. Observation IV.-- Tétanos à
marche
lente.— Traitement par le chloral à doses élevées
ultiples causées par l'explosion d'une mine. Les plaies suivaient une*
marche
régulière, lorsque le 24 mars, le blessé accuse u
fait beau¬coup souffrir. Du 8 au 22 mai, les symptômes suivent une
marche
décroissante très-peu marquée. Pendant tout ce te
violacées1. » Ce passage nous apprend peu de chose, en somme, sur la
marche
de la température dans la péritonite puerpérale g
spasmodique de cette forme a présenté les mêmes caractères dans sa
marche
que celui de la forme centrale spinale latérale
tape ultérieure de la ma- ladie comme caractères partiels, enfin la
marche
de l'affection qui est dans la plupart des cas
s lui. Cette faiblesse augmentait d'un jour à l'autre et rendait la
marche
difficile, surtout quand il faisait obscur. E
urtout quand il faisait obscur. Etat actuel (13 juillet 1886). La
marche
du malade est nette- ment ataxique, il projette
qu'il est obligé de les ouvrir pour éviter de tomber en arrière. La
marche
est impossible sans le concours de la vue. Il a d
lover subitement d'une chaise basse pour se mettre immédiatement en
marche
, à ce moment, nous observons une certaine hésit
quand il essaye de se tenir sur une jambe. Il ne peut, lorsqu'il
marche
, ni s'arrêter brusquement, ni se retourner très v
avec une grande circonspection, en s'aidant de la rampe (signe). Il
marche
très difficilement, sans le concours de la vue.
, les malades tombaient en arrière. Il est inutile d'ajouter que la
marche
devenait très difficile, parfois même impossibl
ver subitement d'une chaise basse pour se mettre immédiatement en
marche
, la peine qu'il éprouve à se tenir debout, les
té de s'arrêter brusquement ou de se retourner très vite pendant la
marche
sans osciller, la grande difficulté de marcher
de ce syndrome, à l'étude du développement de ce syndrome, de sa
marche
et de sa terminaison, en un mot.nous allons abo
ure de ce syndrome, Chez les trois malades, il tend à s'aggraver et
marche
vers l'ataxie. Le signal de son arrivée est mar
description de l'évolution du syndrome tabétoïde par l'étude de sa
marche
ultérieure et de ses terminaisons chez nos troi
toïde, les symptômes négatifs comme caractères partiels, enfin la
marche
qui deux fois a été éminemment rétrogres- sive
es. Retards dans la sensibilité. Signe de Romberg. Difficulté de la
marche
dans l'obscurité et les yeux fermés. Perle de not
sorti du bateau pour prendre de l'air, il a constaté que pendant la
marche
, il ne sentait pas le sol; il croyait, dit-il, qu
nifestes, déterminées dans l'équilibre par l'occlusion des yeux. Il
marche
avec difficulté dans l'obscurité elles yeux fermé
s d'oscillation par l'occlusion des yeux. Pas de difficulté dans la
marche
sans le concours de la vue. Pas de perte de la
sentir delà fatigue à son membre inférieur droit, qui alors, si la
marche
se continue encore, commence à trembler et bien
instant de continuer, le malade, le 20 juillet, quitte le bâton et
marche
sans appui. Au mois d'août son membre est dégagé
rasses de profondeur et 15 à 20 minutes de séjour et l'amélioration
marche
rapidement au point que, au bout de dix jours,
ion marche rapidement au point que, au bout de dix jours, le malade
marche
sans bâton. Là, l'amé- z lioration s'arrête, ca
décompression de sentir son membre plus fatigue, plus lourd, et sa
marche
devenait alors tiès difficile. En outre, dans l
e, c'est-à-dire son mode d'invasion, ses symptômes associés et sa
marche
. a). Mode d'invasion. La monoplégie du membre
- veau, je puis affirmer que, dans l'immense majorité des cas, la
marche
de la monoplégie est essentielle- ment rétrogre
ours, et enfin chez celui de l'OBSERYATiON XXVII de deux mois. La
marche
rétrogressive de la monoplégie une fois arrivée
positifs et les symptômes négatifs de l'étape ultérieure, enfin la
marche
de l'affection qui, dans la majorité des cas, e
colie stupide. M. Dittmar signale dans une épidémie qu'il a vue la
marche
irré- guiière de la fièvre. Séance du 30 octo
s peu; ataxie très prononcée dans les membres inférieurs pendant la
marche
et pendant les mouve- ments au lit. Lorsqu'elle
une sensation d'engourdissement et des fourmillements ; quand elle
marche
, la malade a sous les pieds l'impression d'un tap
a à remarquer que l'urine s'échappait involontairement pendant la
marche
. Etat actuel. Outre les symptômes que nous veno
lement et peut-être légère apparence d'a- taxie ; à part cela, elle
marche
bien. Quelquefois elle ressent dans les jambes,
prescrit de l'eau colorée, ut aliquid fiât, pour ne pas empêcher la
marche
naturelle de l'accident. J'ai recommandé à son
profondeur de 20 brasses, dix mi- nutes de séjour; fatigue due à la
marche
et ci la lutte contre le cou- rant de mer. Plus
sensation de brûlure qui commençait des pieds et suivant alors une
marche
ascendante, remontait à la tête. Presque en mêm
tait à la naissance, grosse comme une cerise. Pas de troubles de la
marche
de la parole, de la sensibilité ni des organes
e. Quatre observations. Diagnostic possible par les stigmates et la
marche
de l'accès, en ce qui concerne l'épilepbie.l'Ilys
sent complètement avec la reslitutio ad inte- grum du facial. Cette
marche
est caractéristique. Examen et dia- gnostic tra
ude microscopique parait démontrer que le processus anato- mique ne
marche
que par poussées. Ce qu'on trouve presque tou-
05 l. ARNDT (de Greisswald). De la représentation graphique de la
marche
des psychoses.-C'estla reproduction du développem
tat délirant. Pour lui aussi, ce délire est brusque, ou chronique à
marche
irrégulière, polymorphe, intermittente, survenant
dans la cicatrice. Ou a peu étudié les premières altérations et la
marche
de la dégénération secondaire. Les altérations
la terminaison fatale est survenue souvent après peu de jours ; la
marche
de l'affection a été souvent obscure; tout enfi
accès de fièvre intermittente) et après cela, les troubles dans la
marche
devinrent si violents qu'il ne put plus travail
t debout avec peine, et quand il ferme les yeux, il tombe. Sa dé-
marche
est très caractéristique : ses. jambes, font une
, le malade marchait seul, à l'aide d'une canne; maintenant il ne
marche
que soutenu par une autre personne et, de temps à
re des cas typiques de tabes sans syphilis dans les antécédents. La
marche
de la mala- die, de même, ne parle pas contre l
lesquels le commencement de la maladie a été très aigu et dont la
marche
a été assez rapide. Ce qui pourrait' encore par
cent, etc.). Qu'est-ce qui peut donc décider le diagnostic dans une
marche
relative- ment si rapide du tabès ? 1) l'autops
de bateau agité), terminai- son par des nausées. Le malade avait la
marche
titubante, comme si, d'après son récit, il avai
s Ancuiviis, t. XVII. 26 4(M CLINIQUE NERVEUSE. enrayée dans sa
marche
par les médications de sul- fate de quinine, de
tômes spastiques,' 408 CLINIQUE NERVEUSE. sont spasmodiques ». La
marche
de la paraplégie spasmodique survenant par l'em
ent dissipé. Je ne l'avais soumis à aucun traitement pour suivre la
marche
naturelle de soif accident. . , . Enfin, la l
tat actuel (10 juin 1881). Le malade a un léger boitement, quand il
marche
, il frotte le sol de temps en temps, il élève un
temps, il élève un peu ses hanches et enfin il a les allures d'une
marche
spasmodique à peine esquissée. Dyscampsie légèr
t, mais progressivement. Etat actuel, 3 septembre 1883. Le malade
marche
bien, on ne peut pas distinguer le moindre boit
ent pas par la mort, le paralytique scaphandrier survit. Quant à la
marche
ultérieure de ces paralysies et leurs pronostic
tion vitale, qu'aucune force compensatrice n'a pu enrayer dans leur
marche
, qui n'ont pas un moment de rémission, la dénut
triste, apathique, il est pris de trem- blements, de secousses ; sa
marche
est incertaine, enfin survien- nent des contrac
e. L'abstention lui paraissait nécessaire. C'était là sans doute la
marche
rationnelle, et ni. Ribot a eu raison de ne s'e
é de Psychiatrie Il s'agit ici de la représentation graphique de la
marche
de l'aliénation mentale, obtenue à l'aide de co
hoses, périodiques, par Mendel, 311; reproduction graphique de la
marche
des -, par Arndt, 30; formes initiales des -, p
ccasionnait des souffrances insuppor-tables. La station verticale, la
marche
étaient impossibles. Ces dou-leurs se dissipèrent
ris à temps et que les mucosités étaient expulsées par un vomitif, la
marche
ulté-rieure de la maladie était modérée et l'issu
plissement de la respiration. Aussi, pour que la bronchite capillaire
marche
vers la résolution, doit-on entretenir la liberté
s sur les reins, mais neuf mois auparavant elle avait dégringolé huit
marches
d'escalier. Santé excellente d'ailleurs. Elle aur
qui s'en distingue principalement par sa durée, par la lenteur de sa
marche
, par des crachats muco-puru-lents et par des râle
Le nommé Pierre X..., 57 ans, soldat au 57e régiment d'infanterie de
marche
, fut atteint par la dysenterie qui régnait épidém
uite d'une forte ingestion de Hachisch, des chiens présentèrent une
marche
incertaine et vacillante, puis s'endormirent (Léa
t instantané, brusque, puis immédiatement la circulation reprenait sa
marche
. Chez une forte grenouille, qui, pend'ant tout le
nt que la masse encéphalique. Puis la moelle se replie sur elle-même,
marche
alors d'arrière en avant et parvient ainsi à l'or
ho-rizontalement d'arrière en avant, puis, se recourbant sur lui-même
marche
alors d'avant en arrière pour revenir près du poi
. Mais, au lieu de se diriger presque horizontalement en avant, cette
marche
étant impossible, elles descendent presque vertic
de cel- (1) Voy. Colin, Obs. de cancer eneéphaloïde du péritoine à
marche
aiguë [Gaz. hebd.,m%, p 712). Iules plates, ne
ries sans médication éner-gique et représentant, suivant l'auteur, la
marche
naturelle de la pneumonie.— Je remarque que dans
n que, au bout de peu de temps, le malade dut cesser tout travail. La
marche
était devenue fort difficile, tant à cause du poi
dilatation variqueuse de quelques veines delà jambe de ce côté. La
marche
n'est pas absolument impossible ; le malade peut
uses de la diathôse, on est peut-être encore trop porté à décrire une
marche
spéciale, et toujours la même, à l'infiltration t
vrier qui est obligé de gagner sa vie chaque jour par son travail. La
marche
de la maladie est lente; de plus, elle récidive f
gt minutes. Tous les jours il prend un bain.—Après 7 bains, le malade
marche
beaucoup mieux; le tremblement a beaucoup diminué
; l'amélio-ration des jambes est moins sensible. \0 juin. Le malade
marche
maintenant d'un pas assuré; ses mains ne tremblen
ière. Elle est entrée à la Salpêtrière en 1869 ; nous suivons donc la
marche
de sa maladie depuis quatre ans. Quelle est sa
a femme était bon. Sous l'influence du repos, la tumeur qui gênait la
marche
par son poids diminua notablement, si bien que M.
(Voy. planche XVIII.) Mouvements. — H... se traîne plutôt qu'il ne
marche
; encore pour opérer cet acte est-il obligé d'adap
n. B. La désorganisation du col ne s'oppose pas nécessairement à la
marche
régulière de la grossesse, car le développement d
hogno-monique de cette affection, mais l'ensemble des symptômes, leur
marche
rapide et leur disparition quelquefois subite, su
rieure différente la même analogie qu'il y a entre une locomotive qui
marche
sur des rails unis et égaux, et celle qui fait
des résistances extérieures mo-difieront facilement et rapidement la
marche
de la première loco-motive, tandis que la seconde
ésenté à notre observation, et exposer ensuite le mode de début et la
marche
de la tumeur. REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITA
érer. Voici les renseignements qu'il nous donne sur les débuts etda
marche
de la maladie. Rien dans sa famille qui puisse fa
cette époque, l'ulcération, précédée de condylomes tt d'engorgement,
marche
avec rapidité; la suppuration devient abondante,
lètement cessé. Depuis 1870, le mal n'a pas eu de temps d'arrêt; sa
marche
en-vahissante a détruit d'abord le prépuce, puis
. —L'enfant ra-conte, qu'il y a huit jours, en descendant la dernière
marche
d'un escalier, elle est tombée sur des dalles, la
en portant le corps en avant et inclinant le tronc de chaque côté. La
marche
n'est cependant pas trop pénible, et l'en-fant a
e, une pesanteur insurmon-table qui augmentait quand elle faisait une
marche
un peu longue ou qu'elle restait longtemps debout
un mal de reins presque continuel, un poids sur le bassin qui rend la
marche
difficile. Elle fut obli-gée, dès ce moment, de s
ps les douleurs s'exaspérè-rent dans les lombes et dans les aines, la
marche
devint de plus en plus difficile. Dans le mois de
le pessaire et les métrorrhagies.—Douleurs périodiques; anorexie.— La
marche
est devenue impossible, à cause de l'exaspération
tionnels que présente madame X. sont les suivants : Sur-tout après la
marche
, douleurs très-vives au bas-ventre, peu prononcée
gie, ni anévrysme, ni altération des parois, la cicatrisation suit sa
marche
habituelle. Telles sont les conclusions de la pre
llusion. Observation. —Huit semaines de convulsions hystériformes à
marche
apy-rêtique et sans danger apparent. — Revirement
ccupant une pareille étendue en largeur. L'état de santé du sujet, la
marche
lente et le caractère de la maladie indiquaient c
ous avons suivi, aussi régulièrement que cela nous a été possible, la
marche
de la température. Après avoir rapporté en en-tie
el-ligence est conservée, la vision est moins nette. En même temps la
marche
devient difficile, les jambes fléchissent et ne p
une grande partie de la journée à lire. Le tremblement a diminué; la
marche
est assez facile, les mouvements des bras sont pl
outenue, elle exécute des mouvements de laté-ralité involontaires. La
marche
est difficile, chancelante ; la préhension des ob
ans, à l'occasion d'une troisième grossesse, la tu-meur a repris une
marche
extensive, a beaucoup augmenté de vo-lume et s'es
ter. Quand on songe au pronostic terrible de celte affection, et à sa
marche
toujours progressive, on peu!, avec raison, consi
vre opératoire quelcon-que, le toucher même, suffit pour imprimer une
marche
inflamma-toire suraiguë et susceptible, par son e
d'un livre. Le bras droit est toujours plus agité que le gauche ; la
marche
n'a plus d'in-certitude. — 2 février. L'améliorat
t où le médicament a été administré. 15 août. Soubresauts violents;
marche
incertaine, difficile. Céphalagie. Les pilules de
Lorsque cette disposition s'exagérait (à la suite d'un effort, de la
marche
prolongée ou d'une fatigue quelconque) la pressio
térieures dans la présentation du sommet, et de leur influence sur la
marche
du travail de l'accouchement. » C'est le mémoire
éninges déterminent les mêmes symptômes que le mal de Pott, mais leur
marche
est plus régulièrement progressive. Quant à la
bides (anatomiques ou fonctionnelles), leur expression insolite, leur
marche
irrégulière, une réaction languissante ou vio-len
rs orteils. Il s'agissait ici d'un molluscum pendulum. , Pendant la
marche
, la tumeur se rabat sur la plante du pied, vers s
e alimentation contenant une certaine proportion de seigle ergoté ; à
marche
aiguë , très-rarement chro-nique; se traduisant p
ère chez les divers malades. Mais ces variétés dans le détail de la
marche
de la lésion n'empêchent nullement l'unité anat
étaillée des symptômes, principaux et accessoires, l'histoire de la
marche
, de l'évolution des phénomènes, les diverses va
t qui enlèvera alors le diagnostic. . Dans le tabès combiné, tout
marche
au contraire, comme dans les maladies systémati
ibles représentent les ac- tions soi-disant inconscientes (comme la
marche
, les différentes poses du corps, etc.), ces act
myélite des cornes antérieures, intermédiaire au point de vue de sa
marche
entre la paralysie spinale de l'adulte et la para
a paralysie spinale de l'adulte et la paralysie générale spinale, à
marche
diffuse et curable, décrite par Lan- douzy et D
ant à la maladie; et même, dans quelques « cas rares, l'étude de la
marche
de la maladie peut seule tran- « cher la questi
'une iritis syphilitique, alors que, sous son influence, la démence
marche
rapidement ; c'est tout au plus si l'on est en
qui se confondent avec ceux-ci ou se montrent par 1 évolution et la
marche
moins correctes de la psy- chose (aggravation,
èrement bouffies. Gr.. a delà répugnance au mouvement, surtout à la
marche
, ainsi il n'aime pas les promenades, sauf celle
ysé , et M. Féréol fit construire pour lui, un pilon avec lequel la
marche
devint possible; le 10 août, nouvelle crise car
par 158 CLINIQUE NERVEUSE. un cerceau d'acier; lorsque le malade
marche
, il avance le membre inférieur droit en prenant
mment Todd s'exprime en comparant l'attitude que présente dans la
marche
un sujet atteint d'hémiplégie organique et cell
atteint d'hémiplégie hystéri- que'. « Si l'on examine, pendant la
marche
, une per- sonne atteinte d'hémiplégie en conséq
de telle sorte que le pied décrit un arc de cercle. L'hystérique ne
marche
pas de cette façon, elle traîne lourdement (she
remonte à plus de quatre mois. Ainsi donc, en ce qui concerne la
marche
de cette amyotrophie, voici ce qui nous semble
faut tenir compte de la longue durée de la maladie et surtout de sa
marche
régulière, sans saccades, du tronc vers la périph
térieures de la corne posté- rieure, ce qui montre que le processus
marche
, dans la corne postérieure, de la périphérie il
d'un long repos le patient veut se mouvoir,il il existe pendant la
marche
, principalement quand l'exercice a obligé à des
mémoire ; depuis neuf mois, dé- revue DE pathologie nerveuse. 233
marche
raide attribuée à des douleurs dans les genoux ;
s atteints de la même forme morbide, ayant exactement suivi la même
marche
, sévis- REVUE DE pathologie nerveuse. 237 7 s
servée. Ses accès tombent de 36 en 1875 à 6 en 1882, en suivant une
marche
pro- gressivement décroissante. 28 cas. Sur une
ts catatoniques entrecoupés d'attaques congestives répétées; ici la
marche
est extraordinairement traînante; dans le seul
Neurologie, t. XI, p. 265. SOCIÉTÉS SAVANTES. 251 t semble de la
marche
de Id maladie, connue sous la dépendance du mêm
marcher auprès de son lit, les jambes toujours courbées; mais il ne
marche
que d'après l'ordre pressant. Il se met sur les
les du dos et des jambes. Les jambes sont encore faibles; après une
marche
de peu de du- rée, on les voit trembler. Il ser
ujours la même faiblesse et le même tremblement des jambes après la
marche
. L'anam- nèse montre que le malade a éprouvé le
tibio-tarsienne et dans celle du genou, de manière que le malade ne
marche
que sur le bord externe du pied. QUELQUES CAS D
quilles; les contractures per- sistaient encore. Au mois de mai, il
marche
avec une canne; en marchant, il ccurbe le dos e
e plaint de maux de tête, de reins et de l'insomnie. Le 23 mars, il
marche
facile. ment; le bras au coude et la main fléch
n'est resté qu'une rigidité des muscles à peine visible pendant la
marche
. Considérant les faits de l'anamnèse, l'anesthé
s sans qu'on puisse y remarquer de tremble- ments ; mais lors qu'il
marche
, les muscles deviennent rigides, re qui fait qu
arche, les muscles deviennent rigides, re qui fait que le malade ne
marche
que sur la pointe du pied en les faisant glisse
, etc. 11 en est de même pour les membres inférieurs. Néanmoins, il
marche
facilement , sans aucun symptôme d'ataxie, auss
même que jusqu'au 2 février, excepté une seule amélioration, qu'il
marche
tout àfaitfacile- ment les yeux ouverts et ferm
le; QUELQUES CAS D'HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 291 quand il
marche
, on voit que l'autre jambe est aussi contractur
sont de longueur égale. La voûte plantaire est à peine marquée; la
marche
est difficile, lourde, mais cependant possible
uche et le lobule de l'oreille gauche; rien aux lèvres. L'érysipèle
marche
de droite à gauche; langue humide; nuit tranquill
in. Poids : 20 kil. 700. Juin. - Amélioration au point de vue de la
marche
; il est plus solide sur les jambes, mais manif
Bagnols. On lui fait fabriquer une canne afin d'arriver à ce qu'il
marche
seul. Th... s'est amé- lioré sous le rapport de
tte dernière époque que semble remonter le début de l'affection; la
marche
, la parole, etc., loin de progresser, diminuère
tie : parole limitée à quelques monosyllabes; défaut d'at- tention;
marche
très difficile; gâtisme; inertie physique. Ery-
physique et intellectuel. Idiotie com- plète ; alitement ; gdtisme;
marche
et parole nulles; bouffissure de 1 Charpentier.
hyroïde, tuméfactions lipomateuses sus-claviculaires et axillaires;
marche
lente, indécise et chancelante; parole lente et
petite distance, mais souvent elle tombe subitement; aussi elle ne
marche
jamais sans appui à sa portée. Les jambes semblen
iennes de onze mois à quatre ans. - Abolition de la parole et de la
marche
; Retour de la parole à trois ans, et de la marc
a parole et de la marche; Retour de la parole à trois ans, et de la
marche
à cinq ans. - Coqueluche, rougeole. Langue et lèv
ncte ; la paralysie a persisté pendant deux mois ; actuellement, il
marche
en traînant un peu la jambe droite, soulève le
céphalie; épaississement des lèvres; absence de signes de puberté ;
marche
nulle. 11 s'agit d'un nommé Pot..., né à la Cha
. Absence d'antécédents héréditaires. - Idiotie complète; parole et
marche
nulles; teinte cachectique de la peau; brachycé
z les crétineux où la dégénérescence de la glande peut avoir eu une
marche
et une distribution inégales; il va de soi que
éveloppe en un an. La force des mains diminue, surtout à droite; la
marche
s'appe- santit, face vultueuse. Jambes infiltré
pératoire est plus favorable que celui du myxoedème médical dont la
marche
parait fatalement progressive, si l'on en juge
anisme des facultés intellectuelles ne subit aucun arrêt, ou, si la
marche
en est pervertie, n'est pas anéanti. Le genre e
pour obtenir que la lumière complète soit faite sur la forme, la
marche
et le traitement convenable de la maladie. Si d
s'est perfectionnée, que la préhension s'opère. Dès qu'un enfant
marche
sans aide, il est envoyé à la petite école, d'a
22 mois. - Bégaiement à 4 ans après une émotion vive. - Début de la
marche
à 15 mois. - Incontinence nocturne d'urine jusq
is, quand elle s'est mariée avec G... qui l'a adopté. - Début de la
marche
à 15 mois, de la parole à 18 mois, époque où il
de stra- bisme. - Odorat, assez sensible. Motilité : l'el.... ne
marche
que lorsqu'il est soutenu, ou lors- qu'il est d
minimum. Il est vrai que le même jour il dégringola une douzaine de
marches
d'escalier. État actuel (13 octobre). - Cet enf
i. - Première dent à 16 mois. - Dentition complète à 3 ans. Elle ne
marche
pas, a com- mencé à dire : papa, maman, à 3 ans
: Bains salés tous les deux jours. Exercices des jointures et de la
marche
; sirop d'iodure de fer. '. 1891. 25 octobre. De
p. 162. , 64 Antécédents héréditaires. , complèteà3ans. - Parole,
marche
, nulles. z gâtisme Accès de colère auec cogneme
é parla propagation des bruits laryngés. La brusquerie du début, la
marche
de la température, les résultats négatifs de la
examiné. D'une façon générale, on peut dire que leur épaississement
marche
de pair avec les lésions corticales sous-jacent
Asphyxie à la naissance. - Première dent à sept mois. - Début de la
marche
à. '2 ! mois, de la propreté à 2 ans, de la par
ère dent à 7 mois. - Début de la parole à 4 ans seulement ; - de la
marche
il 21 mois ; - de la propreté à 2 ans. Entre
s ; mains et ongles normaux. Membres inférieurs, musclés; le malade
marche
bien. Mouvements réflexes normaux. Thorax bie
onvulsions à 6 mois. - Dentition con- plète à 2 atzs. - Début de la
marche
à 14 mois. - Rougeole à 6 ans. - Vacciné deux f
s, dont le maximum aurait été de 3 ou 4 en 24 heures. Début de la
marche
à 14 mois. - A la maison, elle allait et venait
ne souvent sous elle. - Lorsqu'elle revient à elle, elle se lève et
marche
avec précipitation. Elle est toujours altérée a
décès. Tableau DU poids, DE la taille ET DES accès. 103 Voici la
marche
des accès en 1896 et 1897. Tableau des accès.
r développement même, est en harmonie avec la per- sistance de la
marche
, de la course, de l'activité incessante de la m
lle a une petite fille de 18 mois, très belle et bien portante, qui
marche
et parle. - Rien à signaler dans le reste de la
mois. Début de la parole à 2 ans, dit « papa, maman. » Début de la
marche
à 10 mois. L'enfant se porta fort bien et fut c
nc ; succion des mains, bave, grima- ces ; strabisme intermittent ;
marche
et préhension nul- les. - Insomnie. - Intellige
on est possible, mais l'usage des mains très imparfait. L'enfant ne
marche
que si on le soutient. Les ongles ne sont pas r
'ac- croissement des accès. Physionomie hébétée, pupilles égales,
marche
titubante, parole nulle ? , bave constante. 7 n
t dernière, il a eu 17 accès. A partir de là, les accès ont eu la
marche
suivante : 142 Etat de MAL. z L'enfant, très
rentes articulations est aisé. Réflexes rotu- liens normaux. Pid...
marche
bien, mais sa marche est lente et traînante. Lo
est aisé. Réflexes rotu- liens normaux. Pid... marche bien, mais sa
marche
est lente et traînante. Lorsqu'il descend un es
. Lorsqu'il descend un escalier, il pose les deux pieds sur la même
marche
, avant de descendre la marche sui- vante. Il ne
r, il pose les deux pieds sur la même marche, avant de descendre la
marche
sui- vante. Il ne sait pas sauter et court 1<
glas intitulée : lie l'influence des maladies intercurrentes sur la
marche
de l'épilepsie. Paris, 1881. XII. Idiotie com
nls de tête (Krouomanie) . - Pas de convulsions ( ? ). A l'entrée
marche
et parole nulles. - Gâtisme, - Salacité - Préhe
ditions de nombres simples. Il répond nettement aux questions. - La
marche
, la course, le saut, la montée et la descente d
ris à marcher, à développer son système musculaire (exercices de la
marche
, du saut, de la montée et descente des escalier
s. SÉGLAS (J.). De l'influence des maladies intercurrentes sur la
marche
de l'épilepsie. Thèse de Paris. BOURNEVILLE. -
tifor- mes provoquées (PI. II). Pas de vertiges, ni de titubation ;
marche
facile, ferme et assurée ; pas d'incoordination
ent, s'installe une cer- taine gêne dans les membres inférieurs, la
marche
est pénible, et, peu à peu, la jeune fille rema
les s'aggravent lentement mais d'une façon continue, si bien que la
marche
devient tout à fait impossible et que la malade,
moins souple, se courbe malgré elle, et, depuis 18 mois déjà, elle
marche
avec la plus grande difficulté, se traînant à l'a
de l'aspect que pré- sente cette singulière paraplégique. Elle ne
marche
pour ainsi dire pas et on la porte plutôt qu'on n
arvient à faire faire quelques pas à la malade, on remarque qu'elle
marche
comme les personnes normales,en mobilisant la cui
rritoire des nerfs du dos et du cou, sciatique. L'ankylose suit une
marche
progressivement descendante ; elle respecte habit
ur d'un axe transversal passant à la fois par les deux genoux ». La
marche
est donc toujours difficile et pénible. La mala
transversale. Hématoxyline-éosine. Oc. III, obj. 6. 56 LONG la
marche
de la maladie après une douzaine d'années d'évolu
ession de l'organisme ; leurs symptômes ont un début insidieux, une
marche
régulière, lente et progressive, ils ne subissent
nt pas à une maladie intercurrente, ils peuvent s'arrêter après une
marche
extensive plus ou moins longue, car il est à re
e, mais s'en sert le plus habituellement. Sa démarche est lente, il
marche
avec les jambes un peu écartées, il titube et s
jamais eu d'ictus, de crises laryngées gastriques ou rectales. La
marche
du malade est difficile et tout à fait particuliè
emble qu'il y a là une démarche titubante et ataxo-spasmodique. La.
marche
est possible sans le secours d'une canne ; tout
ini (1), et le cas IV de la thèse de Tho- mas où on lit « le malade
marche
en titubant et en lançant les jambes, et (1) Mi
I, H. 1. S. 76, 1905. xx 6 82 ITALO ROSSI surtout la droite; il
marche
suivant une ligne brisée (démarche ébrieuse) ;
réveillée par la palpation. Bientôt le genou augmente de volume, la
marche
devient de plus en plus difficile, presque impo
intelligente et raconte bien les diverses phases de sa maladie. La
marche
est difficile et hésitante, en raison des douleur
au cours des principaux actes de la vie de relation, la station, la
marche
, la course, et les mouvements simples des membr
érents modes de station chez l'homme sain, celle des Variétés de la
marche
et de la course (marches sur plan horizontal, e
chez l'homme sain, celle des Variétés de la marche et de la course (
marches
sur plan horizontal, en poussant, en tirant, en
sur plan horizontal, en poussant, en tirant, en portant un fardeau,
marches
sur plan ascendant ou descendant, sur escalier,
ulement l'exposé du mécanisme physiologique de,la station, et de la
marche
, mais décrivant, représentant par la plume et l
ucider les causes des anomalies de la forme, de la station ou de la
marche
dans certaines affections, comme les myopathies
jamais éprouvé de douleurs lanci- nantes, ni de maux de tête. La
marche
est normale ; aucun trouble de coordination des m
lade ne peut se tenir debout sans béquilles, mais avec celles-ci il
marche
encore assez bien, en usant du membre inférieur d
car le gauche pend presque inerte et ne touche pas le sol. Dans la
marche
, seule la partie antérieure du pied droit, fort
ymétrie ni de para- lysie appréciable du voile du palais. Dans la
marche
la jambe droite étendue reste toujours en arrière
toujours en arrière de la gau- clie ; le malade ne fauche pas, mais
marche
d'une façon très spéciale, « obli- quement » po
dique chronique (exaltation énorme des réflexes, signe de Babinski,
marche
spasmodique et quel- quefois impossible, du moi
l'examinai de nouveau et j'observai une grande amélioration dans la
marche
parce qu'elle ne déviait pas le pied, et que le
Face et cou : tous les muscles sont normaux. Démarche : L'enfant
marche
les jambes écartées en se dandinant, et en fais
la jambe gauche est devenue raide à son tour et depuis six mois la
marche
est très difficile. Il y a un peu plus de deux
très accusé; on ne peut interpréter correctement ces troubles de la
marche
des séniles où les désordres de l'équilibration s
de la sénilité cérébrale ; que les vertiges en font partie, que la
marche
à « petits pas », caractéristique a-t-on dit des
ême, et qui paraît nette et bilatérale. La motilité est normale, la
marche
régulière, la force musculaire très grande. Ain
, régulière,sans modifications dans la coloration des téguments. La
marche
était un peu gênée par cette tuméfaction. En mê
vations de ce genre. Dans l'urticaire, l'oedème lymphatique avec sa
marche
aiguë s'accompagne de phénomènes vaso-moteurs; da
il s'agit d'affections tenaces, changeantes, capricieuses, dont la
marche
oscillante demande à être surveillée au jour le j
identepar l'élévation de l'épaule droite,visible surtout pendant la
marche
. Cependant le malade est toujours capable d'aba
e, dé- placer une chaise, etc. , 466 HENRY MEIGE ' - Pendant la
marche
, la rotation de la tête à gauche s'accentue davan
. La persévérance dans les efforts, une exacte connais- sance de la
marche
de la maladie et une juste compréhension du trait
étaient aisés. A peine remarquait-on une légère raideur. Pendant la
marche
la tête se tient com- plètement droite. Aux e
dant avec correction tous ses exercices devant miroir, y compris la
marche
. Il a atteint 100 secondes d'immobilité ab- sol
ons, mais né par- vient pas toujours à ramener sa tête à droite. La
marche
dans la rue est très difficile, le malade ne po
mobilité; mais il répète très bien tous ses exercices, y compris la
marche
, qui se fait sans*aucune faute, même en l'absen
te tourne toujours à gauche; quand il a répété plusieurs fois cette
marche
devant le miroir, il peut marcher un certain te
effort dans cette position. Les exercices se font correctement ; la
marche
est beaucoup plus aisée. 1 17 janvier 1903. L'a
prenant des immobilisations toutes les fois que ma tête tourne. La
marche
est devenue, même devant miroir, complètement inc
te étant rigoureu- sement fixée en rotation à gauche et en haut, la
marche
était difficile et hési- tante. Je me suis couc
s de ces exer- cices (boire en position correcte, etc.) et quelques
marches
devant la glace et en dehors. En ce moment, je
arrivé à réussir même les exercices debout et j'allais commencer la
marche
; mais, depuis le début de la semaine, une certa
je marque le pas atten- dant le moment favorable pour reprendre la
marche
en avant. 3° L'exacerbation que 'je viens de vo
stable. Cependant, je n'étais pas très satis- fait de mon état : la
marche
et les repas demeuraient toujours pénibles, et ce
pas toujours. J'attends ainsi un moment favorable pour reprendre la
marche
en avant dans la progression des exercices. S'i
isparu des symptômes d'ag- gravation. L'important est de voir si la
marche
générale est bonne ou mau- vaise, et pour l'ins
s de mer au lieu de l'installer à proximité de moi. En résumé, je
marche
très lentement, mais j'ai un peu avancé. Il faut
lques secousses l'entraînant quelquefois à gauche.J'ai commencé les
marches
; mais, 492 HENRY MEIGE sauf dans les très bo
re un peu plus sûr de moi. En somme, je ne suis pas mécontent de la
marche
de mes exercices, je vais très lentement, mais
bulletin,est toujours plus mauvais à la fin qu'au commencement ; la
marche
est devenue encore plus pénible, le renversemen
nt la tête en arrière sont plus violentes et toniques comme dans la
marche
. Voilà, aussi fidèlement rapporté que possible,
nutes et je m'en tiendrai là lorsque j'y serai arrivé. Pendant la
marche
et pour obtenir plus d'assouplissement, j'exécute
après mon bulletin du mois dernier, j'ai entrepris les exercices de
marche
à l'intérieur, je suis assez rapidement arrivé à
40 minutes environ). De 8 h. 1/4 progressivement jusqu'à 9 heures,
marche
à l'extérieur. De 9 heures à 10 h. 1/2, lecture
e n'ai pas eu dans cette période de nouvelles améliorations dans la
marche
, les repas, plutôt au contraire un peu de fléch
; les mouvements de rotation à droite com- binés notamment avec la
marche
et les mouvements respiratoires sont très diffi
s de bonnes conditions et que ce ne sera que du temps perdu pour la
marche
en avant, mais il me tarde bien d'en être certa
gagnait la station debout ou assise en suivant abso- lument la même
marche
; les contractions ne se produisaient plus, en gé
elque peu l'oesophage. Insensi- blement cette raideur diminuait, la
marche
devenait possible, puis de plus en plus facile,
son complète , sauf récidive. Ce qui m'a le plus surpris dans cette
marche
lente, mais continue, vers le progrès, c'est qu
n complète à droite n'est pas toujours possible, surtout pendant la
marche
. La roideur des muscles du cou augmente lorsque
du corps. Les mouvements, au lieu d'avoir une régularité absolue de
marche
, s'accompagnent souvent de faibles accélérations
om- plètement à droite en marchant etc... De telle sorte que, si la
marche
actuelle continue, on peul prévoir que, dans si
e l’art nouveau. Quels que soient les préjugés qui s’opposent à Ift
marche
do la découverte nouvelle * si vous pouve* offrir
car il est question de la santé, il s’agit de la vie. Sahs doute la
marche
sera lente. Une voix ne peut rien d’abord contre
ies que nous avons eu à traiter. Mous croyons que c’est là la seule
marche
rationnelle. Disons d’abord qu’il n’est pas facil
die se caractériser et la prendre ensuite lorsqu’elle a un nom. Notre
marche
sera plus assurée. On sait d’ailleurs que le magn
ce qui se prépare? Cherchez-la dans les sciences; considérez bien la
marche
de la chimie, de l’astronomie même, et vous verre
ez obtenir des résultats qui dépasseront vos prévisions. Lorsque la
marche
de ces affections languit, lorsque les éruptions
que, dans les affections chroniques qu’on a le bonheur de guérir, la
marche
rétrograde du mal suit exactement le chemin qu’il
s surdités aussi, mais en petit nombre. On pouvait toujours suivre la
marche
et se rendre compte du travail critique qui avait
ès de Mme Fern, qui était en couches depuis qua-ranle-huit heures. La
marche
des douleurs ordinaires était irrégulière et elle
acceptera les conséquent es; alors notre force sera ang-mentée, et la
marche
de la lumière grandira en raison des moyens inves
., etc., tout fut inutile, ou du moins né parvint point à entraver la
marche
de la maladie. M. le professeur Fou-quinr, appelé
ion humaine, des lois qui président au développement des êtres, de la
marche
ordinaire des maladies, et enfin des propriétés n
ture est illustrée ainsi que son auteur. En remontant ainsi par une
marche
simple aux plus grandes opérations de la nature,
DE LA MATIÈRE. J’entends par espace l’absence de tout obstacle à la
marche
de la matière dans tous les ser* qu’elle puisse s
espace, j’entends les dimensions de cette même matière mouvante ou en
marche
. J’emploie la marque = pour signifier équivaut
pace, c'est-à-dire le nombre de fois que les dimensions d’un atome en
marche
peuvent élre répétées. Proposition. L’anéanti
es qu’on rencontre en magnétisant plus facile et éclaire un peu votre
marche
. J’en ui dit assez sur ce point; plus tard je par
es sur lesquels on agit ou qui reçoivent l’influence magnétique. La
marche
, comme vous voyez ici, devient déjà plus facile,
auteurdecettecommunication n’aitdonné aucun délail sur l'espèce et la
marche
critique d“ ces affections. Cependant, on sait qu
e cette lumière som-nambulique, et vous le pouvez en étudiant bien la
marche
du magnétisme, sa force, sa direction ; et vous a
gMjiip. VOYAGE A SAINT-PÉTERSBOURG. La vérité m’a dit : « Marche,
marche
s'en t’arré-ter... » Et j’ai marché sans pouvoir
mme dans une hôtellerie... Voyez aux portes les valets galonnés : les
marches
ont des tapis, ces couloirs sont chauffés avec so
cé par lune, demain il commencera par l’autre, il changera ensuite sa
marche
et les frappera toutes deux en môme temps. Diminu
nsée, je vais porter le désordre dans le désordre, contrarier dans sa
marche
l'agent du tourment terrible, et le forcer enli
plus désagréables sont ceux qui n'offrent aucun signe physique de la
marche
de la nature; bientôt la confiance du malade l’ab
savoir bien distinguer ce qui est le produit de vos efforts ou de la
marche
naturelle d’une maladie dont la gravité se manife
andies des sciences humaines tous les matériaux propres à éclairer la
marche
de ceux qui cherchent les lois du magnétisme. Voi
t nécessaire pour obtenir ce résultat. Pourquoi cette lenteur dans la
marche
d’une découverte aussi importante que l’est celle
i rappeler l’histoire de toutes les découvertes, les suivre dans leur
marche
; un semblable travail n’apprendrait rien de nouve
ais insister sur la cause physique qui le produit. Il sembleque cette
marche
est facile, cependant elle présente des difficult
Voyons d’abord quels sont !es procédés à suivre dans les cas où notre
marche
n’est point éclairée par l’apparition de phénomèn
x de la face, idées noires et chagrines. Fatigue extrême à 1a moindre
marche
, besoin de la solitude. Peau couverte de petites
tarder davantage, il se lève,prend la lumière et le suit; le fantôme
marche
d’un pas lent, comme si le poids des chaînes l’eû
ouchée depuis huit ou neuf ans et ne pouvant faire un seul pas ; elle
marche
maintenant, grâce au magnétisme. Le général Pacli
picotements aux paupières, et pendant un trajet d’un quart d’heure de
marche
l’épanchement s’était complètement produit. Mais
loi du progrès, l'esprit humain, insatiable el pacifique conquérant,
marche
, marche encore, marche toujours en avant. 11 renv
progrès, l'esprit humain, insatiable el pacifique conquérant, marche,
marche
encore, marche toujours en avant. 11 renverse les
it humain, insatiable el pacifique conquérant, marche, marche encore,
marche
toujours en avant. 11 renverse les barrières qu’é
onnaires, intelligences indolentes, ne niez pas le progrès quand lout
marche
autour de vous! Ne niez pas ce que votre cerveau
Vous ne devez pas vous en étonner; il n’y a pas contradiction dans sa
marche
, quoique cela apparaisse ainsi à notre faible int
alme parfait. L’estime de soi vient ensuite; la magnétisée se lève,
marche
, prend des attitudes dédaigneuses el critique ave
ayant planté quinze cents en octobre. « J'en abandonnai cinq à leur
marche
naturelle, et je magnétisai le sixième (un rosier
sera d’abord différente, el, le nouveau magnétiseur ne suivant pas la
marche
du premier, le travail critique qui s’opérait dan
l'ordinaire , petit à petit on efface son devancier et le traitement
marche
. Ce n’est donc, vous lo voyez, qu’avec précauti
qu’au bout du chemin où l’erreur les mène; nous, qui considérons leur
marche
, cherchons à soulager les malades victimes de leu
afin que je puisse venger la vérité de ses oppresseurs. Telle est la
marche
de l’esprit humain que ces jours de combat sont i
pour sonder le champ des découvertes. L'immobilité, tandis que tout
marche
, vous place en arrière; et ceux qui, en magnétism
ui contestent vos assertions et les propriétés de votre être. Celte
marche
offre sans doute des difficultés; quelques magnét
j’eus des moments do découragement; cependant j’étais convaincu de la
marche
régulière du traitement; je n’espérais sa continu
quelques instants de magnétisation, elle sc sent presque guérie; clic
marche
, et sa joie esl difficile à dépeindre, car 011 l’
Le mé-dtein qui lui avait prodigué inutilement ses soins suivit la
marche
du traitement magnétique avec attention. el se mo
out de 10-46 jours sous des phénomènes d'apathie, de somnolence, de
marche
chancelante, de spasmes cloniques et tétaniques.
uvements associés. Ces mouvements apparaissent sur- tout pendant la
marche
et dans la station debout et ils disparaissent co
es inférieurs ; d'autre part dans les mouvements passifs et dans la
marche
, le malade se plaint de souffrir de son pied, et'
vent il n'y a pas grand changement dans l'état de la paralysie ; la
marche
est presque impossible à cause de l'impotence du
ants et chez les adultes dans la force de l'âge, il est rare que la
marche
ne soit pas possible au bout de peu de temps et
ntemporaines ou antérieures, ils diffèrent par leur étendue et leur
marche
. - Notre cas par sa symptomatologie et sa patho
le soir, à partir de quatre heures, un engourdissement qui rend la
marche
impossible. Nous ferons remarquer d'abord qu'il
, à travers la plus grande complexité, il est donné de voir la même
marche
des faits : la qualité de l'ornementation est éga
décembre 1905, il ne présente presque aucune trace d'hémiplégie. Il
marche
normalement pour un aveugle, est aussi fort de
leurs des omoplates, de l'oedème des membres inférieurs, enfin, la
marche
devenail de plus en plus difficile. En janvier
vertèbre dorsale, et comprimait la moelle. Mais, le plus souvent,la
marche
des accidents est plus lente : 1 an chez notre
allet, à l'IIûtel-Dieu. 1 1 8 LAIGNEL-LAVASTINE Le 22 février, la
marche
est impossible sans aide ; la malade s'écroule su
les muscles y sont atrophiés et non paraly- sés et il n'y a'pas une
marche
progressive de l'extrémité des membres vers 1eu
extension les mouvements actifs et pas- sifs sont très limités, la
marche
est très difficile, le malade fauche. Le fait i
omme sérieuse. Le lendemain elle se rendait à la ville voisine ; la
marche
rendit la douleur au pudendum si intense que la
omplet, l'intelligence est nulle, la physionomie indiffé- rente, la
marche
n'est possible qu'à quatre pattes; la parole est
ctère spécial du mouvement de la jambe paralysée, lorsque le malade
marche
, mouvement qui, dans mon opinion, est caractérist
nt décrire au pied un arc de cercle. Notre malade, au contraire, ne
marche
pas de cette façon : elle traîne après elle (« dr
tion,ne fait aucun effort pour le détacher du sol ; pendant qu'elle
marche
, lepied balaye (« sweeps ») le sol. « Cela, je
e, avec la méthode des empreintes, dit : lorsque le sujet se met en
marche
(supposant qu'il s'agit d'hémiplégie droite) la j
inerte. Les tracés de Gilles de la Tourelle montrent bien que la
marche
ne s'effectue que d'un seul côté. Toutefois,
ÉRIQUE 233 Avant tout il faut dire que l'hémiplégique hystérique ne
marche
pas tou- jours de la manière classique décrite
e la jambe paralysée seulement dans la partie presque passive de la
marche
, c'est-à-dire dans le pas postérieur. L'hémiplé
in d'être toujours la même. Quelquefois l'hémi- plégique hystérique
marche
sans même toucher le sol avec sa jambe ma- lade
ne à tous les hémiplégiques hystériques, mais chacun de ces malades
marche
d'une manière qui lui est propre et constamment
égique. Cette malade, qui gardait le lit depuis plu- sieurs années,
marche
maintenant presque normalement après avoir pré-
t les malades atteints de sciatique. M. Oppenheim, à propos de la
marche
dans la coxalgie hystérique, ob- serve que les
ltat dans la coxalgie hystérique. Dans cette dernière affection, la
marche
présente aussi quelque chose de très spécial. S
de tout le membre inférieur, dans lesquels le patient, lors- qu'il
marche
, boite, jette la jambe en avant on en dehors, un
nt est complètement guérie, j'ai relevé presque les mêmes signes de
marche
paradoxale que je viens de décrire. Ici encore
ui souffrait au mollet gauche et qui, au lieu d'incliner pendant la
marche
son tronc sur le côté sain pour graviter sur la j
i se plaignait de vives douleurs au mollet gauche et qui pendant la
marche
se penchait avec le tronc sur le côté malade. C
plus variées, comme l'abasie, dans laquelle l'impos- sibilité de la
marche
contraste avec l'intégrité plus ou moins complète
service de M. le professeur Brissaud un jeune homme qui, pendant la
marche
, par une sorte d'état spasmodique, tenait le me
ements rythmiques et absurdes à la fois qui nous frap- pent dans la
marche
de ces malades et qui par là indiquent tellement
se dite mazurka ». Je viens de cinématographier un malade dont la
marche
ressemble tout à fait à la « valse ». ' Lorsq
mment dans le service de M. Babinski une femme présen- tant dans la
marche
ordinaire une claudication exagérée. M. Babinski
: tandis que toute une série de maladies organiques impriment à la
marche
de sujets qui en sont atteints des modifications
le soit sensitif, soit paralytique ; chaque hystérique au contraire
marche
d'une manière propre à lui, d'une manière non s
Bulletin de la Société médicale des hô- pitaux, 1892. Blocs. - La
marche
dans les maladies nerveuses. Archives de Neurolog
Gilles DE la TOURETTE. - Eludes cliniques et physiologiques sur la
marche
. - L'altitude et la marche dans l'hémiplégie hy
ludes cliniques et physiologiques sur la marche. - L'altitude et la
marche
dans l'hémiplégie hystérique. Iconographie de la
MANNEsco. Application du cinématographe à l'élude des troubles de la
marche
dans les maladies nerveuses. ROMNICE.1\0 et B
he dans les maladies nerveuses. ROMNICE.1\0 et BOLINT\;\E.\XO. La
marche
dans la cozo-luberculose étudiée à l'aida du ci
ts sous forme de crampes occasionnant une gêne très prononcée de la
marche
. Elles persistent en dehors de tout retentissem
- La diplopie s'accentue. Aussi le malade demeure-t-il au lit,; la
marche
est impossible, et, rapporte-t-il, quand il voula
bon. Intelligence peu déve- loppée ; caractère difficile. L'enfant
marche
en traînant légèrement la jambe droite ; il n'e
ard. L'hémiplégie ne se modifie pas, elle demeure flasque, l'enfant
marche
en se tenant aux murs. - L'intelligence ne se
ère blennorrhagie. Après sa libération, les douleurs diminuent, la (
marche
est possible même sans boiterie, mais il avait
nt, le regard seul se déplace quand il veut voir de côté. Lorsqu'il
marche
, il s'appuie sur une canne, et avance sans que le
et Mendel-Betcherew sont négatifs des deux côtés. Station debout et
marche
. La patiente se tient debout sans aide, même av
sur un seul pied et aussi facilement d'un côté que de l'autre. La
marche
n'a rien de caractéristique, en dehors de ce très
egré d'affaiblissement de la mémoire. Le caractère est triste. La
marche
est difficile, les mouvements lents et les membre
chir, par exemple. Babinski,plus fort à gauche qu'à droite. La malade
marche
à petits pas,quand on la soutient ; seule, elle
agnostic dépas- sant la probabilité. La somnolence très accusée, la
marche
par à-coups de la maladie, faisaient penser à u
nonce quelques mots, il se mon- tre d'une docilité extrême, mais il
marche
avec beaucoup de difficulté ; on est obligé de
hébétude ou la plus parfaite indifférence. Ses gestes sont nuls. Sa
marche
est lente, maladroite et traînée. Il se tient vol
état catatonique, ni troubles de la contraction musculaire, mais la
marche
est maladroite et bizarre : le malade traîne les
et, du lobe frontal droit et de la base (Oppenheim) ont souvent une
marche
extrêmement lente et qui peut s'étendre jusqu'à
ent lente et qui peut s'étendre jusqu'à une dizaine d'années. Celle
marche
lente et pro- longée se vérifie surtout pour qu
argument qui parle contre l'hypothèse d'une tumeur est donné par la
marche
de la maladie; après la première poussée d'hypert
s complète et alors le diagnostic se fait a poste- riori d'après la
marche
de la maladie. Plus souvent la maladie passe à
ue) et chez lesquels, après quel- ques semaines ou quelques mois de
marche
intermittente, on obtint la guérison sous l'act
n traitement mercuriel. Mais bien plus souvent la maladie prend une
marche
tout à fait chro- nique et aboutit, comme dans
ale qui se dévoile par le volume et la forme anormale du crâne ; la
marche
souvent caracté- risée par des rémissions et in
ue a écrit récemment quelques magistrales cliniques, affirme que la
marche
caracté- risée par de longues et fréquentes rém
ué qu'on observe très souvent dans ces formes des accès de fièvre à
marche
irrégulière (sans cause apparente), des douleurs
iagnostic d'une forme spécifique. Pour ce diagnostic parle enfin la
marche
rémittente de la maladie qui avec le temps ne m
posent en faveur de notre dernière hypothèse diagnostique et que la
marche
même de la .maladie parle en ce sens; si nous r
rant plantaire. Le signe de Romberg existe, mais peu marqué. · La
marche
est assez ferme, mais la malade avance brusquemen
de certains tabes de l'adulte . Les deux affections ont suivi une
marche
inverse. Le tabes a évolué comme s'il avait été
Par contre le tabes ne semble pas avoir eu d'influence nette sur la
marche
de la paralysie générale. Examen du SVSTÈMENERV
xvii 1 2 RAYMOND quatre malades vous fera connaître, en outre, la
marche
et révolution de la maladie ; vous pourrez,du m
uis les membres inférieurs : la ri- gidité est devenue telle que la
marche
et même la station verticale sont impossibles :
supination. Même len- teur et même gêne des membres inférieurs ; il
marche
à petits pas, en traînant les pieds, comme font
lements des jambes cessent pendant la station verticale, pendant la
marche
. J'attire toute votre attention sur la lenteur
t ; je vais vous le montrer ; rappelez- vous le mode de début et la
marche
des accidents ; les symptômes ont fait leur app
s. I. Un homme de 43 ans est atteint d'une paraplégie douloureuse à
marche
rapide, dont les premiers symptômes débutent subi
es débutent subitement le 10 no- vembre 1902. Le 20 janvier 1903 la
marche
est impossible; les troubles de sphincter se mo
malade examiné en 1902-1903 présentait la triade symptomatique, dé-
marche
avec traînement des jambes, paraplégie, extension
ns, début à 35 ans par des douleurs de tête, de l'incertitude de la
marche
,de l'am- blyopie et de la diplopie. Vers 36 ou
ions et des déformations pathologiques. (1). Les empreintes dans la
marche
ont donné des documents précieux pour la symptoma
. (2) Gilles DE la TOURETTE, Etude clinique et physiologique sur la
marche
, th. 1886. (3) Cn. Féré et G. DEMANTKÉ, Note
la plante du pied sous l'influence du repos, de la station et de la
marche
(C. R. de la Soc. de Biologie, 1891, p. 387).
t avec l'encre d'imprimerie est peu avan- tageux pour l'étude de la
marche
. Si l'enduit est trop épais, il ne permet pas d
eurs dans les cuisses quand il était cou- ché, disparaissant par la
marche
. Il y a 2 ans (à l'âge de 32 ans), douleurs art
arrière Pour ramasser un objet à terre il doit plier les genoux. La
marche
se fait les jambes écartées avec oscillations d
Simples raideurs des mouvements; pas de raideur objective. Quand il
marche
, sent ses bras lourds. Les autres articulations n
tte différence qu'ici l'expression de la face n'est pas altérée. La
marche
se fait les jambes écartées, les genoux déjetés e
y a-t-il une différence entre les divers spondylitiques pendant la
marche
, l'attitude devant être alors plus ou moins rai
sensiblement inclinés à droite. Cette attitude s'exagère pendant la
marche
. Dès qu'une jambe quitte le sol, il y a menace de
re suffisamment compte des symptômes mor- bides. Les troubles de la
marche
et l'exagération des réflexes rotuliens avec éb
e, la déviation du corps et de la tête à droite, les troubles de la
marche
, les troubles de la parole, voire les tremblement
ayant présenté uniquement une tendance à dévier à droite pendant la
marche
(Mesnet) (1). D'autre part Ferrier a obtenu un
comme on le voit, un cas typique de maladie de Friedreich ; par sa
marche
, par son évolution, par ses symptômes, par les
les, et de la main droite, il bénit le possédé. Celui-ci, à demi-nu,
marche
vers eux les jambes demi-fléchies; un petit dém
glandes vasculaires sanguines insiste sur ce fait que la glycosurie
marche
de pair avec l'hyperthyroïdisation, et il la co
rvés et paraissent semblables à ceux du côté droit. Cependant si la
marche
est pos- sible, on constate quelques différence
ent les deux jambes, le pied gauche traîne particulièrement dans la
marche
de flanc. Les réflexes rotuliens sont égaux : i
séjour à l'hôpital, la malade est considérablement amélio- rée : la
marche
est possible sans appui, mais reste un peu pénibl
eu pénible et la ma- lade traîne un peu la jambe surtout quand elle
marche
de flanc vers la gauche. La participation de la
n cas de tro- phoedème acquis chez une jeune fille de 28 ans, où la
marche
s'est faite par poussées successives,subaiguës
tronc et dans les bras. - Eu 1896 on constate peu de troubles de la
marche
: l'ataxie fait défaut, mais la fatigue survien
bres inférieurs, de la difficulté pour uriner. Les trou- bles de la
marche
ont débuté il y a 4 ans ; celle-ci est devenue to
ois un affaiblissement progressif de la vue ; il y a quatre mois la
marche
devint plus difficile, en même temps que les do
cée les yeux fermés. Sensibilité peu altérée. Troubles légers de la
marche
et de la station debout les pieds rapprochés. A
inq ans apparition des troubles sphinctériens et des troubles de la
marche
. Depuis deux ans douleurs très vives dans les jam
du dérobement des jambes, de l'agoraphobie; puis les troubles de la
marche
s'installent et en quelques semaines la malade de
ue la vue com- mença à baisser. Après survinrent les troubles de la
marche
qui allèrent tou- jours en s'accentuant, si bie
un vieil air populaire, très simple, bien rythmé, qui se prête à la
marche
aussi bien qu'à la danse, un air guilleret, sauti
our, celui sur lequel chacun s'efforce de se régler, est plutôt une
marche
qu'une danse : trois pas en avant, un pas en ar
n place dans le long cortège ambulant pour en assurer l'ordre et la
marche
. On leur obéit comme on peut : ceux qui suivent
aut encore gravir, toujours dansant et sautant, les soixante-quatre
marches
, étroites et raides, qui conduisent à l'église ;
ypothèse que la procession dansante peut être rattachée à « quelque
marche
militaire et nationale des Frisons ou Saxons, à
méra- lion des travaux signés de son nom : En 1888, L'élude et la
marche
de l'hémiplégie hystérique étu- diée par /et mé
itaire de la moelle, en col- laboration avec Durante. En 1900, La
marche
dans l'hémiplégie. Gilles de la Tourelle a égal
tendues. Un traitement de massage et de gymnastique, d'exercices de
marche
et de douches écossaises, aggrave rapidement la
s masticateurs . L'élévation des bras est absolument impossible; la
marche
est très difficile, sans aide, et par moment, n
rche est très difficile, sans aide, et par moment, non seulement la
marche
, mais même la position debout : la malade, sans
ais d'un autre côté l'absence de compression des nerfs optiques, la
marche
de l'affection qui semble arrêtée depuis quelque
ère année. A l'âge de 18 mois il tombe, et à partir de ce moment il
marche
mal, parce que sa jambe gauche se déforme, malg
ère. Douleurs vagues. Examen de 1888 : Difficulté pour se mettre en
marche
, impossibilité de s'arrêter brusquement. Signe
aissent des troubles de la locomotion : des oscillations pendant la
marche
, qui se manifestent d'abord au départ ou en fai
mme on le sait, l'accélération des associations d'idées du maniaque
marche
aux dépens de la profondeur de celles-ci. Les com
but. Dans son travail ultérieur, la malade cède complètement à une
marche
d'idées accélérée et facilitée. C'est ainsi q
amelltÙ¿ Meynel'ti), mais de l'une de ses formes, plus favorable, à
marche
plus rapide. Dans la période d'incohérence la mal
malade à travailler soient rationnelles dans les nombreux cas d'une
marche
aussi aiguë du mal. Néanmoins il est incontestabl
le laisser aller de la maniaque qui, complètement domi- née par une
marche
facilitée de processus psychiques, brode sur sa b
étrangers. Ce fut bientôt une institution dont l'Etat réglementa la
marche
, veillant à l'exécution d'un programme longueme
r, de préférence le voisinage des enveloppes des nerfs optiques. La
marche
n'estnullement progressive, en ce sens qu'une dég
édominante du faisceau direct. Pour Moxter (1) comme pour Popoff la
marche
serait centripète, le début se ferait dans la r
s mains et parfois même son ouvrage lui échappait. En même temps la
marche
devenait plus difficile et elle fut atteinte bi
nes de la syringomyélie mais dont on peut cependant reconstituer la
marche
et la filiation. Si dans d'autres cas il est plus
mble pénétrer par la péri- phérie et gagner le centre de la moelle,
marche
inverse de celle qui se réalise- rait dans le p
pri- mordial et direct ; il est le point de départ et il dirige la
marche
du processus cavitaire. L'intervention du sys
e l'écriture chez les paralytiques généraux indiquent exactement la
marche
et le degré de l'affection. Pour faire pendant
malade s'inquiète beaucoup de ces déformations qu'il redoute pour la
marche
et les signale lui-même. 26 juin 1896. Opérat
YOTONIE AVEC ATi(0)'i) ! H nru-cur..wn. 451 de tabes. La gêne de la
marche
et la faiblesse générale augmentant progressi-
mbe la première, puis le talon qui frappe fortement le sol : aussi la
marche
est-elle gênée par ce steppage très accusé. Du
marcher, les premiers pas sont toujours un peu difficiles, puis la
marche
devient normale tout en s'accompagnant du dandine
aques, de même que l'ataxie locomotrice, est le plus souvent, dans sa
marche
, fatalement progressive. Mais là s'arrêtent les a
s moteurs élémentaires, asyner-gie qui a pour résultat de troubler la
marche
, la station, et même de les rendre impossibles.
es débuts, on peut espérer qu'il sera moins difficile d'en enrayer la
marche
. Cepen-dant, à cette époque, elle est fort souven
fatigue. Seulement, quand la malade ferme les yeux, la station et la
marche
devien-nent un peu plus difficiles. 2° Coud...
ent de la vue, comme la lésion qui l'a produite, se distingue par une
marche
à peu près fata-lement progressive et envahissant
que celle-ci affecte, comme vous le voyez, dans le nerf optique, une
marche
centripète, tandis que les lésions cor-respondant
onsécutive des éléments nerveux ; le processus morbide affecte là une
marche
plus aiguë que dans le cas de la névrite optique
de cette apparition, pour ainsi dire constante et régulière, dans la
marche
delà maladie spinale, car c'est là un premier arg
ions. Il n'y avait pas de douleur locale et, bien qu'un peu gênée, la
marche
était possible. L'incoordination ne commença à se
e qui sont pris, et la hanche ne vient qu'en 3e ou 4e li-gne. S0 La
marche
de l'arthrite sèche est nécessairement progres-si
aient apparaître sur les bords du rachis. Mais, en général, c'est une
marche
inverse que l'on observe : Des tumeurs de diverse
èrent. 11 en est de même, à plus forte raison, de la station et de la
marche
qui deviennent bientôt tout à fait im-possibles.
sentiment de constriction, douleurs articulaires, etc.), ouvrent la
marche
. IV. Les troubles moteurs, en tout cas, ne ta
uivant le mode aigu ou même suraigu. Dans l'autre, elle prend dans sa
marche
, les allures d'une maladie primitivement chroniqu
membres inférieurs ; qu'il pouvait même se faire que la station et la
marche
re-devinssent possibles avec le secours d'apparei
ndance mar- quée du tronc à s'incliner dans la station debout et la
marche
vers le côté droit, tels sont actuellement les se
te centrale, spontanée ou trauma- i Voir Leçon I, p. 13. tique, à
marche
chronique, doivent entrer dans cette énumé-ration
ns plus ou moins profondes et, par ce fait, l'atrophie muscu-laire, à
marche
progressive, viendra figurer dans la sympto-matol
oculaire des centres ner-veux, viennent se joindre des amyotrophies à
marche
pro-gressive . 6° Mais la forme pathologique qu
peu près comme dans les conditions normales, la station debout et la
marche
. 2° L'envahissement primitif du tronc est beauc
sculaires, ne s'opposait pas d'une façon absolue à la station et à la
marche
. Je ne puis m'empêcher de voir, dans ce cas, un e
ès rare. C. On peut avancer que, dans les conditions régulières, la
marche
de la maladie est très lente : c'est par exceptio
tion in griffe. — Membres supérieurs non atrophiés ; la station et la
marche
ont été possi-bles presque jusqu'au dernier momen
che. — Les membres inférieurs ne sont affectés de manière à rendre la
marche
impossible que depuis cinq ou six ans. — Pas de c
nfantile, et l'observation VI, remarquable par le début fébrile et la
marche
rapide de l'affection, me semble se rapporter nat
ent, ne tarde pas à s'y ajouter, rendent impossibles la station et la
marche
. Ce qui tout d'abord n'est qu'un phénomène tran
progressant promptement, fait que, en peu de temps, la station et la
marche
sont impossibles. A ces symptômes se joint une ri
lle ne présente pas le mode régulier d'envahissement, non plus que la
marche
pour ainsi dire fatalement progressive, propres à
les membres inférieurs, soit par les supérieurs, d'où il s'ensuit une
marche
tantôt ascen-dante, tantôt descendante. L'inertie
ic n'est pas absolue. Dans certains cas, en effet, la maladie dans sa
marche
ascendante, peut envahir le bulbe et y déterminer
amen-dements illusoires et à des rechutes. Cette irrégularité dans la
marche
de la maladie mérite de fixer l'attention du mé-d
ccupé dans nos dernières leçons, de se généraliser et d'affec-ter une
marche
progressive. Parmi les amyotrophies de ce groupe,
e nous offre, vous le voyez, un exemple de myopathies généralisées, à
marche
progressive, se développant en dehors de toute in
qué sur l'un d'eux, et qui n'a d'autre effet d'abord que de rendre la
marche
, surtout le matin au sortir du lit, un peu diffic
encore lorsque le malade sort du lit et se tient debout. Elle gêne la
marche
de plus en plus à mesure que, par suite de l'aggr
l'occasion des actes volontaires, dans la station et surtout dans la
marche
, ces mou-vements contradictoires, désordonnés, de
e Oss...2. Vous voyez comment, appuyée sur ses béquilles, cette femme
marche
, le tronc incliné en avant, littéralement sur la
e, une fois constitué, peut-il rétrogra-der spontanément ou encore sa
marche
peut-elle être enrayée par l'action des moyens th
e forment à la région sacrée, et décident la terminaison fatale. La
marche
de cette forme de la myélite est d'ordinaire suba
rtigineux s'est établi d'une façon permanente, de manière à rendre la
marche
, la station même impossibles et à nécessiter le c
a main gauche, s'efforce de se tenir debout immobile ou se livre à la
marche
. Le corps tout entier est alors, vous le voyez, a
é, mais s'exaspérant considérablement pendant la station debout et la
marche
, les accès spontanés, commencent par le membre in
it, dans le lit, sans douleur, une luxation de la hanche droite. La
marche
, à partir de cette époque, fut rendue difficile,
ielle). Il y aurait lieu, par consé-quent, d'appliquer aux myélites à
marche
aiguë ou subaiguë la distinction fondamentale pro
nt le séjour au lit, mais ils pou-vaient se produire aussi pendant la
marche
, et ils étaient assez vio-lents pour faire exécut
e la poitrine. Cependant les membres inférieurs sont volumineux, la
marche
est toujours assez facile. La gêne de la respirat
e la respiration qui est notablement augmen-tée par les efforts et la
marche
. La malade ne peut monter un es-calier sans avoir
une nouvelle tentative pour sortir du lit n'a pas plus de succès ; la
marche
et la station sont à peu près impossibles par sui
fut suspendu au bout de trois semaines. Il n'avait entravé en rien la
marche
envahissante de la maladie, au contraire, la faib
e des membres inférieurs et supérieurs avait progressé rapidement, la
marche
était devenue tout à fait impossible ; la voix ét
ses auxquelles il est possible de plier le corps et les membres, la
marche
, la course, le saut, les évolutions avec ou san
e et les enfants en traitement étaient astreints à des exercices de
marche
pour aller prendre leurs repas. Là, ont commenc
l'infirmerie. Un certain nombre de ces enfants ont été exercés à la
marche
: tantôt avec le con- cours du personnel du ser
appeler l'attention sur un phénomène clinique encore peu connu : la
marche
de la température dans la maladie bleue. Obse
22 novembre. - L'enfant est faible et très amaigri. Ce- pendant il
marche
si on le tient par la main. Les extrémités sont
ropos de la sympto- matologie, quelques observations relatives à la
marche
de la température chez les cyanotiques.On sait
s présenter le résumé de quatre observations dans les- quelles la
marche
de la tempé- rature a offert quelques parti-
rsistance du trou de Botal.Pas de persistance du canal artériel. La
marche
de la température est indiquée par le tableau s
sont de longueur égale. La voûte plantaire est à peine marquée ; la
marche
est dif- ficile, lourde, mais cependant possibl
stitué. Il fait, à la gymnastique Pichery, les exercices suivants :
marche
en avant et en arrière, une échelle de corde te
escriptions d'attaques qui, toutes, peuvent être rapportées pour la
marche
, à un type invariable, et ne diffèrent les unes
n d'essentiel des attaques spontanées. Il nous reste à parler de la
marche
qu'ont suivie ces attaques et de 1'-épilepsie d
lier en ce qui concerne l'homme. Cette coïncidence a déjà été si-
MARCHE
DES ATTAQUES. 43 le nombre des attaques qui peu
bre) aucune attaque ne s'est produite. Quant aux attaques, voici la
marche
qu'elles auraient suivie depuis l'entrée à Bicê
se de bromure ; l'accès poursuivait sans la moindre modification sa
marche
ordinaire. IV. Action sur Sur 10 épileptiques,
e chiffre que le bromure d'éthyle exerce une action certaine sur la
marche
de l'épilepsie. Nous devons en terminant cette
et, actuellement (mars 1881), l'enfant se- tient sur les jambes et
marche
, soutenu par les mains. Son état général est d'
l'enfant, du côté du père, est morte épileptique. Interrogée sur la
marche
de sa grossesse, la mère raconte qu'elle n'a su
d'éthyle poussées jusqu'à l'anesthésie dans le but de modifier la
marche
des accès épileptiques. Cette médication parut
IE DU CRANE ET DU CERVEAU. VI. Les accès, chez ce malade, ont eu la
marche
sui- vante : VIII. Idiotie. - Gâtisme. - Er
omba dès le lendemain à 38°. L'érysipèle fut ainsi arrêté dans sa
marche
, mais l'enfant s'affaiblit rapidement, et bien qu
s. Séglas (J.).-De l'influence des maladies intercurrentes sur la
marche
de l'épilepsie. In-8' de 56 pages. Ces trois th
. Voir Charcot. BOUDET de PARIS (M.). Des actes musculaires dans la
marche
de l'homme. Brochure in-8 de 12 pages - Prix :
t. LONGUET (F.-E.-M.). De l'influence des maladies du foie sur la
marche
des traumatismes. In-8 de 124 pages, 4 fr. Pour n
... 2 fr. SEGLAS. De l'influence des maladies intercurrentes snr la
marche
de l'épilepsie. Un vol. in-8° de 60 pages. Pari
and on le prononce devant lui. La température après avoir suivi une
marche
régulièrement décroissante est aujourd'hui norm
eil droit et parésie du droit interne ; il voit double et, quand il
marche
, couvre son oeil droit ; pas de sensibilité du
e malade peut soulever légèrement la jambe et la cuisse gauches; la
marche
est impossible. Il n'y a pas de contractures bi
hé- nomènes paralytiques n'y présentent pas la distribution ni la
marche
régulière qui les caractérisent dans l'hémorrhagi
t pouvait primitivement rendre incertain le diagnostic : depuis, la
marche
des phénomènes paralytiques ne subissant pas de
uctive de nature nécrobiotique : c'est le type à début brusque et à
marche
chronique. Trois mois plus tard, survient une d
toute autre affection somatique soii étiologie, ses symptômes, sa
marche
, son diagnostic et son pronostic. Si l'on admet
ases successives d'excitation et de dépression est évidente avec la
marche
des phénomènes dans l'ivresse alcoolique ou che
e temps à autre de longues et profondes inspirations. Variétés et
marche
. Tels sont les différents symptômes qui traduis
tes. La constitution de variétés cliniques, au point de vue de la
marche
des accidents, est plus légitime. La plus commune
abituellement les auteurs dans leurs descrip- tions, est la forme à
marche
rapide et continue, aboutissant à la mort en tr
vue symptomatique, le sexe ne parait avoir aucune influence sur la
marche
de l'acétonémie. En a-t-il une sur sa fréquence
l'hérédité directe ou collatérale. Le pronostic est grave, car la
marche
est lente mais continue. La pathogénie reste in
on centrifuge. Ceci posé, il existe des cas de manie idiopathique à
marche
typique (une observ.), de ma- nie périodique (u
a région lombaire, faiblesse des jambes rendant de temps à autre la
marche
et la station debout impossibles, avec sensation
malade ? combien de temps et dans quelle attitude (station assise,
marche
, piomenade en voiture) ? L'a-t-il respiré pendant
part, il résulte de l'examen minu- tieux des sept cas cités, que la
marche
de la paralysie générale n'est nullement influe
'une manie ; par les rapports qui existaient, dans ce cas, entre la
marche
et la terminaison de la folie et la marche et l
dans ce cas, entre la marche et la terminaison de la folie et la
marche
et la terminaison d'un abcès qui s'ouvrit par l
es et le début de l'aliénation mentale de B... Voyons maintenant la
marche
et le mode de terminaison de celle-ci. L'agit
re en même temps; et si nous les étudions comparativement dans leur
marche
, nous voyous le développement de la tuméfaction
Une relation aussi intime dans le développement, l'apparition, la
marche
et la terminaison prouve qu'il y a plus qu'une
et sur le cerveau, réalisant ainsi une méningo-encéphatite. Mais la
marche
de cette maladie nous montre que cette méningo-
période d'irritation et a rétrocédé ensuite,ainsi que le prouve la
marche
sui- il,,) PATHOLOGIE MENTALE. vie par les tr
nt dans la manie simple. D'ailleurs, l'étude comparative entre la
marche
de l'aliénation mentale et celle des lésions in
é- nation mentale'se lié intimement, dans son développe- ment, sa
marche
et sa'terminaison, à des lésions inflam- matoir
nation mentale de B... se lie intimement dans son développement, sa
marche
et sa terminaison à des lésions inflammatoires
sclérose des faisceaux postérieurs; mais les autres symptômes et la
marche
de l'affection ramenaient presque invinciblemen
ossaises et de la strychnine. Brusquement, en huit ou dix jours, la
marche
devient très difficile. M. Charcot, consulté al
oides, 'du seigle ergoté et des pointes de feu (décembre 18881). Il
marche
encore beau- coup et vient à Paris à pied de Sa
i reviennent du reste encore, mais plus rarement qu'autrefois. La
marche
est absolument impossible les yeux fermés. Les
ions spontanées, involontaires, des crampes. Ce qui gêne le plus la
marche
, c'est la raideur des jambes. Le malade sent lu
arret, comme des cordons tendus qui le retiennent; en fait, dans la
marche
, la cuisse et la jambe se con- tracturent en ex
he est moins fort que le droit (elle boite quelquefois quand elle
marche
vite) et que, à certains jours, son poignet gauch
Mont- pellier, 1875. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 251 Dans la
marche
, il se cogne les jambes et tombe souvent. 11 est
maces incessantes, mouvements continuels des bras, des jambes. La
marche
est difficile, titubante; les pieds s'appuient ma
8). Les grimaces sont intermittentes. La parole est plus libre. La
marche
est plus assurée, il ne se cogne ni ne tombe pl
arole libre, absence de grimaces, mouvements des membres réguliers,
marche
na- turelle : cependant sa mère dit qu'il lui a
ertion de l'au- teur d'après laquelle, quand il y a eu syphilis, la
marche
de la maladie est très rapide. M. ZEKKER rapp
uel. Patient de belle prestance, de bon embonpoint, bien musclé, ne
marche
que sur la pointe des pieds, le talon demeurant
s jambes ». A inoël 1883, inappétence passagère, genoux faibles, la
marche
provoque de la sueur. Les articulations des gen
second malade, indemne aussi de syphilis, accuse des troubles de la
marche
depuis à peu près deux ans, à la suite de la guér
pression : réaction normale des pupilles. Le troisième tabétique
marche
comme un estropié; cela depuis quatre ans; il n
; bonne instruction. Depuis plusieurs années de dyspnée violente, à
marche
tantôt aiguë, tantôt chronique, atteignant parf
ichit d'un nouveau genre de mécanisme qui permet d'en éclairer la
marche
plus vivement que dans d'autres cas. » C'est, du
rieurs deviennent vacillants et se fatiguent après quelques pas. La
marche
est incertaine, hésitante, maladroite et réclame
nerfs. La parésie des membres inférieurs est devenue telle que la
marche
ou la station debout sont impossibles. Le malade
ême nature peuvent être produites par la diphthérie. Toutefois la
marche
clinique des accidents observés chez le malade
des savants (Ferrier, Heidenhain, Bernheim, etc.) con- sidèrent la
marche
comme un réflexe spinal (ou sub- cortical) en a
ne fait pas attention à chaque pas aux petits mouvements dont la
marche
est composée; même on dépasse le but quand on e
sée; même on dépasse le but quand on est absorbé dans ses idées. La
marche
et les actions homologues ne sont que relativem
gré : mala- dresse, oscillations dans les mouvements, indécision,
marche
incertaine et chancelante, difficultés à se tenir
et encore nous trouvons dans le tableau, pour lui, « troubles de la
marche
» sans détails; ce qui est in- suffisant pour é
ale. Chez les sujets nerveux, le delirium tremens peut ou suivre sa
marche
ordinaire ou changer rapidement de caractère, e
érations a priori : l'expérience n'a pas confirmé les premières; la
marche
de la science a renversé la base sur laquelle s
ion sous le nom de sclérose en plaques à forme destructive. Si la
marche
de la sclérose en plaques est d'ordinaire éminem-
ux), des troubles des organes des sens. Ces accidedts aflectent une
marche
qu'on peut diviser en deux périodes : période d
es malades prennent pour augmenter leur champ visuel et rendre leur
marche
plus aisée. Ce point noté par M. Souques distingu
ns pas, comme M. Sicard, que ce soit là une preuve d'organicité. La
marche
n'est pas très gênée, et nos malades arrivent à f
ez mes malades la titubation vraie ne fut pas constatée. Pendant la
marche
leur allure variait beaucoup, non seulement dans
blessure des troubles purement fonctionnels mais très accusés de la
marche
. Ducosté a signalé lui aussi des cas se rapproc
obli- geant à changer de position. Cette sensation s'exagère par la
marche
, lës efforts : sa persistance, son caractère pr
es pour cacher un retard ; VI (R. + M.), troubles hystériques de la
marche
sura- joutés à la déformation de la main ; VIII
été envoyés de nouveau, l'un parce qu'il présentait une gêne de la
marche
due à une certaine sensibilité de la plante du
du pied dans la station debout, un autre parce que le trouble de la
marche
était dû surtout à la cicatrice de blessure du cr
retourné au front; il en fut évacué de nouveau pour une gêne de la
marche
due à un peu de sensibilité de la plante du pie
burn, l'hérédité d'orteils et de doigts surnuméraires affecta cette
marche
, la normale y fut successivement à l'anormalité
érations, croissantes ou décroissantes, elles suivent - souvent une
marche
des plus irrégulières dans leur intensité. Lors
éanmoins, et malgré leur ignorance du français et alors même que la
marche
ait eu lieu travers champs, la caravane ne se per
s irrésistibles de dormir, mais moins forts qu'autrefois. Dans la
marche
, le pied droit se lève plus haut que le gauche. L
: 37°2. 22. Le malade fléchit légèrement sur les genoux pendant la
marche
. Evacué sur l'intérieur. Examen de liquide cé
latéraux. Pas de température. 20. - Fléchissement des genoux à la
marche
. 28. - Réflexe du genou vif assez trépidant à g
ent, l'état s'améliore considérablement. Au moment de la sortie, la
marche
est facile, le malade un peu faible. sur ses jamb
douleurs s'accompagnent de raideur des jambes et de difficulté à la
marche
. Le premier jour, aurait eu 39° de fièvre, puis
ôtés ; clonus vrai des deux pieds indéfini. Pas de Babinski. , La
marche
est difficile ; en contracture avec une sorte de
s exagérés, phénomènes du pied très marqués, surtout à gauche. A la
marche
, les yeux fermés, le malade se porte fortement en
légèrement renforcés à gauche. Le clonus du pied n'existe plus, la
marche
est encore hésitante, mais parfai- tement soupl
ouplesse parfaite dans les deux jambes. Réflexes normaux. Le malade
marche
facilement. Orteils en extension. Deux ou trois
droite. T. : 38°3. Embarras gastrique. 4. - Va beaucoup mieux. La
marche
est encore hésitante ; les forces in- suffisant
ué; ébauche de quelques tré- pidations du pied. Plus de douleur. La
marche
est plus ferme, plus assurée. 1 : 3. - Peut éle
ant l'escalier. 30. Réflexe du genou plus vif à droite ; et dans la
marche
nuance de raideur, surtout dans le membre infér
t est limité et hésitant, surtout à gauche, moins à droite. 4. La
marche
est possible, mais difficile, les pieds traînent.
re est un peu plus marqué à droite. Le malade, très fatigué par une
marche
de 600 mètres, fléchit sur la jambe gauche. O
auche. Orteils en flexion à droite. Légère extension à gauche. A la
marche
, sensation de faiblesse. Le malade se tient dif
ccom- pagnent d'emblée de raideur des jambes et de difficulté de la
marche
. Dans l'observation VIII, dès le premier jour,
démarche lente et fléchissante, avec fatigue et impossibilité de la
marche
après quelques pas : troubles qui, après quelqu
que dès le début, on a noté de la difficulté et de la raideur de la
marche
; à l'entrée xxviii 15 5 218 ETIENNE au ser
rs, le malade ne pouvant que difficilement fléchir les jambes, avec
marche
spasmodique. De même, la démarche est tout à fa
é plus longue. Par exemple dans l'observa- tion IX, au 20e jour, la
marche
est très limitée par la sensation de faiblesse
les jambes fléchissantes; au 30e jour, démarche hésitante; au 33e,
marche
légèrement talonnante avec fléchissement sur le
t du tremblement d'où est venu plus tardivement parésie des jambes,
marche
difficile et avec des jambes écartées, quelquefoi
l n'a jamais entendu dire qu'aucun parent ait eu des troubles de la
marche
ou de l'atrophie des membres. Le 20 mai 1915,
cette bascule elle-même est sans doute due à ce que le malade, qui
marche
en équin, redresse instinctivement son tronc en
déformation de compensa- tion ; elles sont d'ailleurs légères. La
marche
se fait sur la pointe du pied droit ; elle se fai
mitée aux membres inférieurs ; mais même dans ces cas l'amyotrophie
marche
plus vite et, au bout de quelques années, les m
'hui une véritable asthénie. Le travail est devenu impossible et la
marche
difficile. Tels sont les détails de l'observati
n, en parti- culier la contracture des adducteurs' de la cuisse, la
marche
sur la pointe des pieds et la strabisme ; par c
rable, puisque nous avons constaté une améliora- lion notable de la
marche
, des mouvements de la main et de la parole, sur
développée pendant trois semaines ? Toute la symptomatologie et la
marche
de la maladie donnaient même l'impression de l'ex
énomènes locaux d'excitation ou de perte de fonctions, ainsi que la
marche
totale de la maladie. Mais aussi, si l'on consi
alement averti de la névrite hypertrophique .par des troubles de la
marche
. L'affection décrite à la Salpêtrière est héréd
e soumet à une séance quotidienne d'exercices d'assouplissement, de
marche
et de course durant une heure. · Il s'agit là
remerciait avec effusion. Les jours suivants, il est exercé dans la
marche
et la course : il conserve une attitude normale
tentes dans la région lombaire , lorsqu'il est couché ou pendant la
marche
; il n'y a aucun trouble de la sen- sibilité su
de quelques rares céphalées. Il se fatigue vite, dit-il, pendant la
marche
et la station debout. - La sensibilité object
de fai- blesse dans les reins, disant qu'il se fatigue vite dans la
marche
et qu'il ne peut se tenir longtemps debout. Le
ver... fait une chute le 30 août 1914 : il est tombé au cours d'une
marche
dans un ravin profond d'une dizaine de mètres. Il
, le malade est redressé. Les jours suivants, il est exercé dans la
marche
et la course, et il conserve l'attitude normale
est tout à fait redressé. Les jours suivants) on l'exerce dans la
marche
, la course, la gymnastique ; l'attitude normale
rso-lombaire, accompagné de douches d'air chaud et d'exer- cices de
marche
. Au boutade 30 minutes; le malade est redressé co
dessus de l'ombilic. Cette incur- , vation ne change pas pendant la
marche
. On n'arrive pas à redresser le sujet dans la s
te restant en extension. Cette incurvation ne change pas pendant la
marche
. Pas de plis transversaux sur l'abdomen. Il n'y a
lié sur le bassin avec un pli transversal passant par l'ombilic. Il
marche
à petits pas, sans aucun soutien, la tête dans
e douleur variable d'intensité dans la ré- gion lombaire pendant la
marche
et de souffrir dans la région sacrée. Le 30 sep
s, pendant quelques semaines, à des exercices d'assouplissement, de
marche
et de course, avant d'être renvoyé à son dépôt.
uche et en avant, il boite légèrement de la-jambe gauche pendant la
marche
, et l'incli- naison du tronc à gauche est. marq
rer la guérison, à des exercices quotidiens d'assou- plissement, de
marche
et de course. La guérison s'est maintenue intégra
ible d'obtenir de plus nombreuses améliorations. Dès qu'un enfant
marche
sans aide, il doit être envoyé à la Petite Ecol
et ne cède pas. lin 1890 et 97, nous constatons des progrès pour la
marche
qui devient moins titubante, l'enfant tombe moi
une notable amélioration. Les progrès scolaires ont suivi aussi une
marche
ascendante, la lecture est en bonne voie, l'écr
té signalé déjà les années précédentes, avait continué à suivre une
marche
ascendante, lorsque la mort nous la enlevé. Il
Un enfant est atteint d'idiotie complète, c'est-à- dire qu'il ne
marche
pas, ne se sert pas de ses mains : il faut le f
Jours chaussures : brosse, brosser, cirage, cirer, etc.. L'enfant
marche
, est devenu propre, en môme temps -qu'on lui en
et fait défiler la fin de ces exercices les- enfants aux sons d'une
marche
. La Fanfare et l'Orphé- xxu Traitement 11 : : D
rissement, affaiblis- sement progressif clés forces, troubles de la
marche
, tremblements, hébétude de la physionomie (pupi
tion en septembre 1900, atteinte d'idiotie complète avec gâtisme;
marche
et parole nulles. L'amélioration produite chez ce
erbe. Les jambes jadis très faibles sont devenues solides, l'enfant
marche
et courtsans aucune fatigue, aime faire la gymn
ation en octobre 1900, atteinte d'idiotie complète, avec gâtisme,
marche
et parole à peu près nulles. Les progrès faits
ntrée à la Fondation en juin 1901, atteinte d'idiotie avec gâtisme,
marche
et parole nulles. Les progrès faits par cette e
incompréhensibles même pour les personnes de son entou- rage, la
marche
était mauvaise, à peine pouvait-elle faire quel
en elle : Gâtisme, colères, caprices tout a disparu. Elle parle et
marche
très bien. En classe les progrès sont notables,
ée à la Fondation en juin 1901, atteinte d'idiotie avec hémiplégie,
marche
nulle, parole limitée à ces deux mots : papa, m
stera assise, mais ne se joindra pas à ses compagnes pour jouer. La
marche
est lente, les jambes sont écartées, les genoux
mière dent à 10 mois ( ? ¡; dentition complète à 2 ans ? Début dela
marche
e21 mois. - Pro- pre à deux ans. Normal jusqu'à
ne, la par- tie supérieure penchée en avant et la tête baissée ; il
marche
à grands pas irréguliers, le jarret tendu, les
e. Première dent à 11 mois, dentition complète à 3 ans. Parole et
marche
nulles. L'enfant n'a jamais eu d'accès de colèr
nt : Sirop de fer, douche ; huile de foie de morue. Exercices de la
marche
et des jointures. w Température à l'entrée. I
ement thyroïdien. 99 midi, tremblement, faiblesse et sueurs. Deb...
marche
diffici- lement. Sueurs dans la nuit. Urines de
prononciation est meilleure ; les lévres sont moins violacées ; la
marche
, qui, d'habitude, était lente et pesante, sembl
ru postérieurement par suite d'une altération cadavérique. Voici la
marche
suivie pour la recherche de la mucine. La peau
intervalles variables. La course, le saut s'exécutent bien. Dans la
marche
, elle frappe des pieds, principalement du droit
on à une petite de marcher sur le bitume, elle répétait : « Oui,
marche
sur le bitte, bitte au cul, bitume », et en même
d'onycophagie. ' Membres inférieurs, rien à noter; la station et la
marche
régulières. Mouvements volontaires et provoqués
iande, demande de l'eau dans son vin. Ses mouve- ments ainsi que sa
marche
sont lents. T. R. 3ï°,3 et 37°,5. 18 mars. R...
s Première dent à cinq mois. Dentition complète à ? . Début de la
marche
à 20 mois, de la parole à 2 ans, de la propreté
s détails précis font défaut. Première dent à 5 mois. Début de la
marche
à 20 mois, de la parole à 2 ans. Propre à 3 ans.
eurs, normaux; mouvements volontaires et provoqués, diminués ; « il
marche
du bout des pieds » qu'il soulève péniblement e
upe. Il cause peu, avec difficulté, ne répond pas aux questions. Il
marche
sur la pointe des pieds, le corps penché en ava
avec les autres enfants qu'il griffe (1) et mord très souvent. -La
marche
est moins titubante, l'enfant tombe moins souve
outes les couleurs, compte jusqu'à 20, place bien les bâtonnets. La
marche
est beaucoup plus assu- rée, l'enfant ne tombe
on cahier un certain nombre de mots imprimés, tels que : cou- 216
MARCHE
DE la maladie. leurs, nombres, surfaces, famill
raction avec retenue sans en comprendre l'applica- tion. La lecture
marche
de pair. Cet élève, contrairement à la plupart
r une plcu- (1) Ces symptômes n'ont qu'une valcurrelatice. L'enfant
marche
, parle, est propre, plus ou moins tôt suivnnt q
itablement squelettique. Le tableau ci-dessus permet d'apprécier la
marche
de l'hypothermie, qui dans ce cas s'est prolong
S¡' : GLAS (J.). De l'influence des maladies intercurrentes sur la
marche
de l'épilepsie. Thèse de Paris. BOURNEVILLE. -
s névroses, n'offrent d'accessible à l'analyse que l'ensemble et la
marche
des manifestations phénomé- nales ? Dans les de
e l'extase et de la catalepsie.^ Le frère aîné caractérise ainsi la
marche
de l'affec- tion. Des méditations et des abstin
confusion due à l'ébranlement continue, si même elle ne suit une
marche
ascensionnelle. Chez Justine, on ne voit aucune
de, tout devient étrange, conceptions et actes. Comme personne ne
marche
à son unisson, Ill"" K... se persuade bientôt q
on essaye de les faire lever, ils se tiennent à peine debout, et la
marche
est tout à fait impossible. Il y a bien évidemm
s de force : à droite 9 kilogr., à gauche 12 kilogr. ; cependant il
marche
seul toute la journée et peut sans grande peine
DES FORCES CHEZ LES HEMIPLEGIQUES, 41 station verticale et dans la
marche
. Je me contente de signaler pour le moment cett
'agitation s'accuse davantage ; G... sort de sa chambre en chemise,
marche
à grands pas dans le corridor, parlant, criant,
mort est le résultat du choc de la tête sur l'angle de la première
marche
de l'escalier du grenier déterminé par la chute
entra comme infirmier à la Pitié. A ce moment, la maladie prit une
marche
rapide, Cher... tombait cinq à six fois par jou
ait enfin d'un affaiblissement de la mémoire. - Les accès ont eu la
marche
suivante : 56 RECUEIL DE FAITS. régulière, sy
t survenue à 18 ans, sans aucun prodrome, à la suite d'une peur; sa
marche
semble avoir été assez singu- lière. Il y aurai
plus en plus et prenait également un certain degré de rigidité. La
marche
était devenue très difficile mais il pouvait en
rapprochés, et ne s'écartant qu'avec-une certaine difficulté, et la
marche
était devenue très pénible. C'est dans cet état
a trente-neuf ans, il a commencé à souffrir d'incoordination de la
marche
à vingt et un ans, aujourd'hui l'ataxie a gagné
ans, est aussi affecté : parole scandée, un peu d'instabilité de la
marche
, perte des réflexes. Ainsi sur huit enfants, qu
circonstances étiologiques établira facilement le diagnostic. La
marche
est essentiellement chronique et fatalement pro-
fréquemment des pneumonies du sommet et que l'évolution, suivant la
marche
de la température, ne dépasse pas quelques jour
é les 71,8 p. 100 de guérisonsde cette sorte de perturba- tions, la
marche
est-elle plus longue que pour aucune des vésani
s du décubitus avec fièvre, sans que la périeticéplialite prenne la
marche
aiguë : ces différen- ces doivent tenir et à la
: a) le malade étant assis le prier de se lever et de se mettre en
marche
aussitôt levé; b) faire mar- cher le malade en
emporaire sur l'ensemble de la maladie qu'il parait arrêter dans sa
marche
au moins momentanément; tantôt enfin le traitem
te note per- mettent, il nous semble, de comprendre facilement la
marche
que nous avons suivie; ils font connaître en mê
rme de vésame l'une des mieux connues dans ses symptômes, dans sa
marche
et ses terminaisons; il suffit de rappe- ler, a
ent d'eux-mêmes qu'alla troisième personne. Chez les persécutés, la
marche
est inverse. L'hypochondrie du début est surtou
etc. Ces deux hypochondries ne diffèrent pas, seulement par leur
marche
; l'hypochondrie des anxieux porte le cachet de
persécuté. J'arrive, pour terminer ce parallèle, à l'étude de la
marche
de la maladie. Le délire des persécutions est e
oppe d'une manière lente et progressive et dure toute la vie. Cette
marche
rémittente est déjà manifeste dans l'hypochondr
p- position, dont Guislain a signalé le fâcheux pronostic. Par sa
marche
, par son début, par sa terminaison brusque, qua
urg. L'influence des affections génitales sur la production et la
marche
de la folie et des maladies nerveuses chez les
en janvier 1879 par une violente congestion cérébrale. Depuis lors
marche
progressive des accidents. Les habitudes alcool
vements se rétablir dans le côté paralysé assez pour per- mettre la
marche
à l'aide d'une béquille; mais en même temps la
psychopathiques, sui- vant de préférence l'hérédité (dix faits). La
marche
de la maladie est paroxystique (intermittences
sitifs des extrémités sont remar- quables par leur symétrie et leur
marche
ascendante vers la racine des membres. Les conv
econnaissent comme avant-coureur de leur accès apoplectiforme. La
marche
de la maladie de Ménière est bien faite aussi p
gulière, l'oedème du poumon survint et le malade mourut. D'après la
marche
de la maladie, il n'était pas douteux que le ma
elle survenue dans le système nerveux central chez l'homme, dont la
marche
a été suivie attentivement et contrôlée pour l'
loin pour éveiller l'idée d'une affection médullaire (Lasègue). La
marche
s'embarrasse, les mouvements sont lents,, pénib
u sens mus- culaire, caractérisée par un manque d'assurance dans la
marche
, surtout dans l'obscurité. Ce symptôme peut s'a
monter l'escalier sans moitié e les deux pieds ensemble sur la même
marche
, tant la faiblesse du genou droit est grande. I
ensation de pesanteur; à chaque moment, il sent sa jambe fléchir et
marche
timidement. Il a souvent des crampes localisées
le cerveau est menacé par les caries de la voûte de la caisse. La
marche
de l'encéphalite suppurée varie suivant qu'elle
nées après les maladies aiguës. Les symptômes différaient, par la
marche
favorable qu'ils prirent, finissant, dans la gran
géographie et l'arithmétique, l'écriture, le dessin, la musique, la
marche
au pas et les exercices militaires. En outre to
l'évolution des traumatismes chirurgicaux et leur influence sur la
marche
de la maladie. Nous ne pouvons faire mieux que
s du crâne jouent le rôle de cause déterminante; ils précipitent la
marche
de la ma- ladie déjà en évolution. Le pronostic
intérêt, ont vieilli soit par le progrès ou la modification dans la
marche
des idées sur les questions qu'il a étudiées, s
o-myé- tite en foyers). 383. Moelle épiniere (sarcome de la), à
marche
latente siégeant au point d'émergence du plexus
. séminées, et les altérations du nerf optique suivent plutôt une
marche
descendante qu'une marche ascendante comme dans
ations du nerf optique suivent plutôt une marche descendante qu'une
marche
ascendante comme dans le tabès ; les lésions pa
s apparences d'un véritable accès vésanique2. Dans d'autres cas, la
marche
est moins aiguë et l'on assiste à une évolution
force irrésistible, dit-il, le malade est contraint de suivre cette
marche
pathologique des idées qui devient de plus en p
essus du segment sous- jacent, s'il ignorait les divers types de la
marche
afin de tirer le meilleur parti possible des re
s existe seule ou du moins est seule responsable des troubles de la
marche
, comme si la station et surtout la locomotion é
du bassin, ne pourrait pas prétendre faire de la rééducation de la
marche
; parmi les exercices indiqués, on aurait pu me
LA RÉÉDUCATION MOTRICE. 69 taires, à analyser le mécanisme de la
marche
afin de pres- crire des exercices vraiment conf
ment variée pour qui l'examine de près, comme si les troubles de la
marche
, les localisations de l'incoordination, de l'hy
pour chaque groupe mus- culaire. 4° La physiologie normale de la
marche
, c'est-à-dire de la fonction qu'on veut rétabli
s bien vite elle montre combien les descriptions classiques de la
marche
des ataxiques, même les mieux faites et les plus
io- logie normale de la fonction qu'on veut rétablir, celle de la
marche
par exemple, car trop souvent nous avons vu com-
ocomotion de la machine humaine, de même aussi la rééducation de la
marche
comprendra des exercices de trois ordres, les u
ux conditions de l'équilibre du corps humain au repos ou pendant la
marche
. Les exercices du premier genre consisteront en
mais surtout les mouvements qui trouvent leur application dans la
marche
et notamment dans le type de marche que l'on pr
ouvent leur application dans la marche et notamment dans le type de
marche
que l'on propose au malade; les uns comme les a
de rééduquer : plus tard viennent les exer- cices de station et de
marche
. Il ne peut être question d'énu- mérer ici les
eut rapprocher les appareils qui offrent au malade un appui dans la
marche
; l'emploi de ces derniers doit être plus discre
, tandis que, dans d'autres cas, l'impossibilité même absolue de la
marche
tient au défaut d'action d'un petit nombre seul
et éviter même de porter l'uniforme. Au commencement de 1901, il
marche
encore seul mais avec incertitude et sans se pass
n sont apparus et l'ont depuis forcé à renoncer à l'activité. Il ne
marche
seul que quelques instants, s'appuie ordinairem
ans. Incoordination motrice depuis quatorze mois. Celle-ci dont la
marche
a été rapide s'est accentuée à ce point que dep
quarante-cinq ans, horloger. Tabétique depuis 1890. Troubles de la
marche
depuis 1896. Le traitement rééducateur est comm
le-ci s'accentue rapidement et au commencement de jan- vier 1902 la
marche
et la station debout sont impossibles; on doit
à deux ans. Le traitement est commencé en avril 4902. Le malade ne
marche
alors qu'en s'appuyant d'une main sur sa canne
ns, ingénieur. Tabétique depuis 1895. En août 1900 incoordination à
marche
rapide appa- rue en quinze jours et assez accen
le membre inférieur gauche. Le LA RÉÉDUCATION MOTRICE. 85 malade
marche
seul encore, mais sans assurance et avec des dépl
. J... disparaissent une à une. Aujourd'hui, quand il s'observe, il
marche
tout à fait bien. Seuls les mouvements de flexion
ou de la paralysie générale, dès que ces derniers apparaissent, la
marche
de la maladie, surtout de la paralysie générale
nte du pied, type Joffroy-Condoléon, avec griffe des orteils; et la
marche
de l'amyotrophie débutant par les petits muscles
syndrome prin- cipal, un état hystérique, et tous deux suivent une
marche
distincte, n'ayant aucune relation de cause à l
s, parce que cette même idée de suicide la tenaille à nouveau; elle
marche
longtemps sans savoir de quel côté elle se diri
de trop l'isoler. Il fit du syndrome une maladie distincte avec une
marche
progressive et un pronostic défini : l'incu- ra
bres supérieurs sont intacts., . Pas de tremblement du larynx. La
marche
se fait à petits pas. Le malade présente l'attitu
er abord, on peut croire qu'il s'agit de dyspepsie flatulente. La
marche
est irrégulière comme dans toutes les manifestati
vu de prolongement ventriculaire des tumeurs de l'hypopbise. Cette
marche
rapide, évolution et mort en quatre ou cinq ans
crois pas pour ma part, malgré le peu de fixité des symptômes de la
marche
, du pronostic et du traitement. La prédisposi
- tion passagère et transitoire, l'autre, une maladie organique à
marche
progressive et fatale dans l'immense majorité des
tres. Dans presque tous les cas le paroxysme douloureux affecte une
marche
anato- miquement ascendante. Il est rare cepe
ement des faisceaux de Goit(dans la moelle cervicale), telle est la
marche
de la lésion de bas eu haut, progressivement. L
u bout de trois mois et demi. L'amélioration du goût suit la même
marche
dans le cas de destruction bilatérale insignifian
s est modi- fiée, mais cette modification est assez distincte de la
marche
aba- sique {Revue neurologique, septembre 1902)
tre caractère essentiel des myopathies familiales communes est leur
marche
progressive et envahissante. A côté des myopath
t bien cliniquement une myo- pathie dont le caractère commun est la
marche
paroxystique. D'ailleurs il existe des relation
contribue à tuer rapidement les chiens opérés des deux vagues. La
marche
de flanc chez les hémiplégiques. MM. 0. Crouzon
zon et C.-\i. CaurnELL présentent les résultats d'un examen de la «
marche
de flanc » (Flankengang) chez des hémi- plégiqu
ne) a consacré récemment un travail. Ils n'ont jamais trouvé que la
marche
de flanc faisait ressortir une hémiplégie que la
vé que la marche de flanc faisait ressortir une hémiplégie que la
marche
en avant n'eût également décelée; mais d'accord a
lement décelée; mais d'accord avec M. Schùller ils pensent que la n
marche
de flanc » peut aidera è. établir le diagnostic
difficile. L'ouvrage se termine par quelques pages consacrées à la
marche
méthodique, puis à des remarques générales sur
, et la malheureuse, retournée presque à l'état sauvage,.rampe et
marche
à quatre pattes comme un animal.'On ignore d'où e
, il se forme chez elle des abcès du foie, dont elle nous décrit la
marche
inégale, les alternatives de reprise et de rémi
une période continue parfois très longue, mais cette allure dans la
marche
de la névralgie ne s'est guère présentée qu'une
logiques, mai- décembre 1902). E. Blin. XVI. Paralysie générale à
marche
rapide avec crises d'angoisse; par le D LONDE.
ale et tachycardie à 140 marqua le début d'une paralysie générale à
marche
rapide dont la durée n'excéda pas trois mois. L
ale presque tous les moteurs sont des érotiques. e. Dans toute sa
marche
et toutes ses allures capricieuses, la vie sexu
bes exprimant les valeurs de ces deux sensibilités suivent une même
marche
ascen- dante ou descendante. » 3° La sensibil
eure actuelle. En conclusion, nous voyons dans ce cas évoluer d'une
marche
différente les symptômes asthéniques et les sym
e obèse, affection qui se serait aggra- vée a la suite d'une longue
marche
. Elle avait « l'esprit naturellc- ' \'écrologec
rmale. Ils créent entre celles-ci des liens si intimes que, par une
marche
inverse de phénomènes, ils permet- tent à certa
e troubles somatiques : caractère incertain, vaguement ébrieux delà
marche
. Légère exagération des réflexes tendineux. Cép
de l'hérédité. Nous n'insisterons pas sur le chapitre consacré à la
marche
, à la durée, au pronostic, à la terminaison des
hapitre, ils étudient l'étiologie des impulsions, le diagnostic. la
marche
et la durée, le pronostic et le traitement de c
maturé avec présentation du siège, retard de la dentition, de la
marche
, du langage, de l'intelligence. Infantilisme héré
ion debout a semblé une condition favorable à son développement, la
marche
et le repos le faisaient disparaitre. Les trois
: ataxie à caractère cérébelleux dans les extrémités gauches, dé-
marche
cérébelleuse avec tendance à tomber à droite. Rét
bserver qu'il s'agit là d'une mélancolie intermit- tente, variété à
marche
très particulière. On électrise des malades att
Egger, 293. - générale. Voir 7'"iA<'o<) ! ft/oe. générale a
marche
rapide avec crises d'angoisse, ])arLon()e. 373.
couches externes de cette gaine. Le plus souvent, toutefois, cette
marche
est indiquée d'une façon moins nette ; mais ce
nt toutes la même orientation, il est facile de s'assurer que cette
marche
envahissante se fait toujours dans le même sens
ondant aux nerfs d'un membre,,on remarque une certaine gêne dans la
marche
'de l'animal : ' Les 'musclés d'un côté sont to
m- bre postérieur, pour les mouvements de nage et de 'saut ? ' La
marche
elle-même ne s'exécute plus avec une 'entière r
impor- tante qui va nous permettre de comprendre la station et la
marche
des ataxiques. Dans la station dcbout, un grand
on des objets, aussi bien que ceux des membres infé- rieurs dans la
marche
. Lorsqu'un sujet atteint d'incoordination motri
um. De tous les mouvements étudiés chez les ataxiques, ceux de la
marche
sont certainement les plus intéres- sants parce
re dans la rotation en dehors comme chez les ataxiques pendant la
marche
. Chez eux, en effet, il ne s'agit pas simplemen
modes de perturbations psychiques; et le délire chro- nique avec sa
marche
méthodique, lente et progressive, avec ses cara
ment , le délire chronique n'est nullement modifié et poursuit sa
marche
d'un pas égal, absolument comme chez tout autre
indépen- dants, facilement séparables avec leur pathogénie, leur
marche
, leurs caractères symptomatiques propres. Mais
impuissance motrice ; - gâlisme Attitude des membrcs. -Méningite :
marche
de la température centrale; - Pneumonie. -Autop
PAR LES AIMANTS. 93 grande difficulté, et à une faible hauteur. Il
marche
en remor- quant laborieusement sa jambe malade.
ctes et complètes. Tout trouble de la motilité a disparu. Le malade
marche
, et même court facilement sans traîner la jambe
es mouvements volontaires. L'animal se tient sur ses quatre pattes,
marche
, court, remue la queue. On le sacrifie, et l'au
ient à son enseignement, les principes qui le guideraient dans sa
marche
. C'était là le programme naturel d'une leçon inau
localisation initiale. C'est ici le lieu de faire remarquer que la
marche
du processus est précisément inverse dans la dé
érative paraissait donc ici remonter des extrémités vers le centre,
marche
ascendante constatée dans certains faits de sec
·r7 ? o,. ? 7jfnn r 1 . (Y vent durer fort longtemps. Cette mise en
marche
, si on ? . ·LllJl>I GW1U '1.1...1 ,JJ lU 'u'-t
enteune concavité très'accusée (p : 'e.&o< varus). La malade
marche
néanmoins sans boiter, appuyant surtout sur le ta
et et' isthme, 150 gr.' Rien de particulier.' z Les accès ont eu la
marche
suivante : janviér 9; février, 4 ; ' mars, 4 et
sium qui ,avait déjà été prescrit 'sans 'résuItaU-f La Iatlcisie, à
marche
, t .'f f Ir . n H ' Pi . m R rr i *)t', -fï 1a
progressif. `l' i R. 39°. Mort le 26 mai. - Voici qu'elle a été la
marche
des accès : 226 CLINIQUE mentale. Cervelet et
s'accentua encore de janvier à décembre 1870. A compter de 1871, la
marche
était devenue impossible, la malade restait dan
depuis trois mois. Les accès et surtout les vertiges ont suivi une
marche
ascendante très remarquable dans les quatre der
879 survint une pleurésie droite qui n'aurait influé en rien sur la
marche
des accès. Au mois d'oc- tobre, la sonorité éta
itre certains phénomènes physiologiques nouveaux, au moins par leur
marche
et leur enchaînement; de l'autre, le procédé ph
it, il est impossible jusqu'ici de déterminer aucune loi réglant la
marche
de ces divers phénomènes. Le seul point actuell
ements choréiques diminuèrent beaucoup d'intensité, de sorte que la
marche
et la parole furent améliorés d'autant. Il rest
'automne de la même année, se développa une pneumonie ulcéreuse à
marche
rapide, avec accidents putrides et une tuberculos
DE' PATHOLOGIE ! NERVEUSE; 295 XI.. CAS GRAVE'' de PROSOPOSPASMB A'
marche
singulière;' par .t-M : A.. EULENBURG de Greiss
àch ? s'a 'caÍ.ise appréciable..L'enfant .est bien développée. Elle
marche
les genoux en, dedans, le pied : gauche ppée. E
duisit par paroxysmes.JPuis; survinrent un certain trouble dans- la
marche
et un affaiblissement de la vue. En août, on co
e. Les troubles de la(motilité, la faiblesse, la difficulté de la
marche
, peuvent apparaître plus ou moins rapidement; en
e façon peu intelligible. Vers la même époque, il s'essayait à 0 la
marche
: et dès lors apparaissait très nettement une p
né par nous-même, comme le précédent, et nous avons ainsi établi la
marche
de la température, en maintenant le thermomètre
héréditaires négatifs. Premières convulsions à six mois. - Parole,
marche
nulles. Aucune manifestation intellectuelle. - Gâ
ssesse. Convulsions. Maladie bleue. - Idiotie. - Amélioration de la
marche
par les exerci- ces. Affaiblissement progressif
ques pas. On l'a tenu cons- tamment au lit depuis son entrée; aussi
marche-t
-il moins bien que quand il était chez ses paren
aille est de 0m.93. 22 nov. L'enfant est très amaigri. Cependant il
marche
ÉTUDE SUR L'IDIOTIE. 399 si on le tient par l
attendu ) du côté sain la distance auditive avait varié suivant une
marche
inverse. De sorte que, au moment où l'audition
graduellement (par l'effet de l'anesthésie de retour), suivant une
marche
analogue. En résumé, il semblait que la somme t
ontrer sur le tronc; tandis que l'anesthésie envahit, sui- vant une
marche
semblable le côté du corps primitivement sensib
lement être réduits à zéro avant les autres. Lorsque l'on suit la
marche
de la maladie chez une hystéri- que, on voit la
é, et en cas d'amélioration se rétablir suivant l'ordre inverse. La
marche
est exactement la même quand on rétablit la sen
l'on assiste à une évolution en sens contraire qui, suivant la même
marche
et dans le même temps, remet les choses dans l'
ine gagné quelques millimètres dans le sens transversal. Suivons la
marche
de la bande du bras, après que son extrémité su
ngt ou trente minutes. Pour suivre, sans trop de tâtonne- ments, la
marche
de la sensibilité, on fait rapidement sur la ré
s des jambes, que le malade ne peut réprimer qu'à grand'peine. La
marche
ou le décubitus la font disparaître. Cette incomm
a face inférieure de la langue recourbée et la lèvre inférieure. La
marche
ne peut s'exécuter qu'avec un bâton, un lit, un
ocilité de l'enfant empêcha l'examen des oreilles. Le 4 octobre, la
marche
était redevenue possible. Au commencement de
ignale de trois ordres : différences symptomatiques, différences de
marche
, différence de pronostic. Pour la dernière, nul
sser par- fois après elle un léger affaiblissement intellectuel. La
marche
du mal a des caractères absolument inverses dan
ximum dès le début et tend constamment à s'améliorer. En un mot, la
marche
de la première est progressive, celle de la sec
l'instruction de groupes organisés et, dans les intempéries, les
marches
et les rondes qui s'exécutent dans les cours àl'a
ntées en commun, par des groupes plus ou moins nom- breux, dans des
marches
et des rondes, qu'on peut varier à l'infini, el
juillet 1866, l'incoordination était assez prononcée pour rendre la
marche
difficile. Un- de ces accès3'qui eut bûr;en.jul
l'THD.'t-tnfT, ftn nd m ,· j · o· 1`'n ! Vers la même' époque ? la
marche
devint diffi'cile et malà- droit^.1 Il 's'accro
ucune notion de la situation de ses jambes. Depuis cette époque, la
marche
à l'obscurité .est ^devenue impossible. 3tsnys
on.apogéei : iincoordiriâtion' énorme dés membres inférieurs p s la
marche
est impossible. Violentes crises fulgurantesrdans
la vue1.111-11'' .frmSix-moisr,apres le début de ces accidents, la
marche
com- 0mencaaajêtrerincer,tai,ne, le^. pieds, se
les signes Il'une ataxie. locomotrice. Incoordination notable de la
marche
, avec conservation' de' larorcë ? musculair'6 d
uran.tes.le sommeil est revenu, l'état général es'meilléTûf, ais lâ
marche
.reste ..toujours désordonnée quoique,'d après a
tre, et action d'arrêt la perturbation que celui-ci apporte dans la
marche
des phéno- mènes. ' Voilà un premier fait. M.
ervée, a perdupar places son contenu dont larésorp- tion, en pleine
marche
jusqu'au -0° jour, est suivie de la disparition
pratique à l'inutilité de la sur la réparation médullaire ni sur la
marche
de l'atrophie et de la dégénérescence névro-mus
r le seul examen aria-' tomiqueauxconclusions suivantes : La lésion
marche
de bas en haut.' Les altérations procèdent très
jumeaux, pédoncules cérébelleux, protubérauce) et la périphérie. La
marche
de l'ataxie locomo- trice héréditaire, essentie
es malades, la sensibilité redevenue normale per- sistait malgré la
marche
ininterrompue de la maladie, et, dans 602 REVUE
isent quand on est resté longtemps assis ou debout, jamais après la
marche
. La sensation douloureuse commence à la hanche
une psychose antérieure. D'ailleurs si la folie n'influe ni sur la
marche
, ni sur la terminaison de lagravidité, elle mod
lus sévère. M. LUI. DE L'INFLUENCE DES maladies cérébrales SUR la
marche
DE LA PHTHISIE pulmonaire; par le Dr BAUMLER, d
'amaurose hystérique. Deux observations montrent l'influence sur la
marche
de l'hystéro-épilepsie des maladies intercurren
ecine. SI : GLA9. De l'influence des maladies intercurrentes sur la
marche
de l'épilepsie, 1 vol. ici , - 3- de 60 pages.
n. L... n'a que rarement des vertiges (1 ) ; les accès ont suivi la
marche
ci-après : (l) Sur les registres on a noté 10 v
certitude dans les mouvements du bras le renversement du pied dans la
marche
, etc. Puis, au bout de quelques mois, d'un an...,
quelque tendance à la flexion, les jointures sont libres. — La malade
marche
en boitant, en raison du raccourcissement du memb
t que difficilement sur la jambe qui répond au bras paralysé. Dans la
marche
, l'enfant traîne cette jambe, le pied se renverse
le bras et la jambe du côté droit. Trois mois se passent, alors elle
marche
en traînant la jambe et quelques mouvements redev
l; il paraît que l'opération aurait eu pour avantage de faire qu'elle
marche
moins sur la pointe du pied. A cinq ans, taenia;
e à demi fléchi et repose sur le devant du tronc (ceinture) durant la
marche
. Quelquefois, ilest pendant,presque allongé. Pa
grimacer et les muscles du côté gauche du cou se convulser. Dans la
marche
, Gr..., à chaque pas, frappe du pied. Le talon po
u pied. On ne remarque presque pas de mouvements choréiformes dans la
marche
. Gauche. Droit Circonférence delà cuisse au n
hase de fatigue avec retour de la raison (4 ou 5 minutes;. Voici la
marche
des accès de 1865 à 1877. 1865.................
e-ci à l'extrémité de l'orteil médian.......... 16,5 16,5 Dans la
marche
, le talon est relevé de plus de 10 centimètres ;
Dans la marche, le talon est relevé de plus de 10 centimètres ; S...
marche
tout à fait sur la pointe du pied qui décrit un l
nous devons faire une remarque très-importante au point de vue de la
marche
de la maladie. Durant une période variable, assez
...... 33 37 Distance de celle-ci à l'orteil médian. 14 15,5 T...
marche
en détachant assez facilement le pied du sol. D'h
e du pied; quelquefois , pourtant, le pied s'appuie entièrement. Elle
marche
en fauchant (à droite) et fléchit plus de la jamb
au pénil. — Pas d'onanisme? T. a des accès et desvertiges; voici la
marche
qu'ils ont suivie : Années. Accès. Vertiges.
en eu; elle n'y pensait pas(?).» On assure, en tous cas, que, dans la
marche
, elle ne traînait pas la jambe. • Environ un an p
re inférieur gauche est rigide; le pied est en varus équin. La malade
marche
7 sans aide, mais en boitant. — Parfois, le m
contracture a varié, tantôt plus, tantôt moins intense. P... se lève,
marche
en traînant la jambe et offre une attitude vraime
. Cet agent suspendait les accès, mais n'a pas exercé d'action sur la
marche
de la maladie. A partir du 14 novembre, P... a
in droite. — Les jointures du membre inférieur gauche sont libres. La
marche
est à peine gênée lorsque P... n'a pas de contrac
er ; nous en décrirons, plus loin, les principales variétés. Voici la
marche
qu'ils ont suivie depuis quinze ans (1). (t) On
sques, assez rares, de la tête ; — mains sans cesse agitées ; dans la
marche
, flexion fréquente des jambes, surtout de la gauc
é. Les membres inférieurs sont plus affectés que les supérieurs. V...
marche
en titubant, se bouscule contre les portes, se co
é à l'intérieur à la dose de 15 à 43 gouttes n'a nullement modifié la
marche
des attaques. — Le 20 mars, nous observons une mo
quand on l'a pliée. Au repos, le membre est porté en dehors. Dans la
marche
, qui n'est possible qu'à l'aide de deux personnes
—hémianalgésie gauche. —Les jambes sont solides ; toutefois, dans fa
marche
, X... est obligée de regarder son pied droit, san
.. prétend ne pas sentir ses jambes ; la droite reste rigide. Dans la
marche
, le pied droit tourne, ce qui la fait chanceler.
sayé de s'étrangler. (Maniehystérique). Les attaques ont affecté la
marche
suivante : du 15 au 30 juin, 707 ; — en juillet,
s rencontrée chez les ascendants. II. — Les accidents ont suivi une
marche
progressive, au point de vue de leur gravité. A l
gauche (fig. 1). Le 16 mars 1898, la paraplégie s'est aggravée; la
marche
n'est plus possible qu'avec l'appui d'un bâton;
du professeur Erb, d'après qui, « la suspen- sion agit bien sur la
marche
générale de la maladie, et sur quelques symptôm
, tout en admettant l'in- fluence salutaire de la suspension sur la
marche
du tabes dorsalis, croit à l'action suggestive
mais, il n'admet point que la suspension puisse faire retrocéder la
marche
anatomo-pathologique de l'affection médullaire.
firmation, que la sus- pension a une influence réelle active sur la
marche
générale des affections nerveuses, et surtout s
ersaire de la suspension parce qu'elle est impuissante à arrêter la
marche
de la lésion anatomo-pathologique du tabes. Le
ut aux membres inférieurs. Exagération des réflexes patellaires. La
marche
- HÉMORRAGIE MÉNINGÉE SPINALE. 43 laisse à dé
ls. Les jours suivants, les troubles intellectuels augmentent et la
marche
est plus difficile. Les mains sont maladroites
a torpeur cérébrale. Un jour, il s'affaisse brusquement durant la
marche
, ne peut regagner seul son lit, a de l'incontinen
brement et .sans douleur mouvoir ses jambes et ses pieds; dès qu'il
marche
, ou du moins au bout de quelques minutes, les s
l'état d'activité; d'où l'apparition des symptômes au moment de la
marche
. Dans le cas actuel, la claudication intermitte
te influence pathogène antérieure, elle ont un début insidieux, une
marche
lente et pro- gressive. Si elles atteignent plu
au contraire calmes et tran- quilles une fois debout ou pendant la
marche
. Ces malades seraient des neurasthéniques dont
rdose au lieu d'une xyphose, le début brusque dans le jeune âge, la
marche
plutôt régressive que progressive montrent qu'i
les segments périphé- riques sont surtout atteints, le petit malade
marche
comme un névritique. Il y aurait des réserves à
ce des symptômes généraux, par la rapidité de son évolution, par la
marche
ascendante de la paralysie, par la terminaison
e de début, des manifestations bul- baires, de l'évolution et de la
marche
de la paralysie, de la persis- tance des phénom
en particulier. Elle influence directement ou indirectement sur la
marche
générale de l'affection et rend un service indé
llo et Pchikhodsky, Tripier, Renz et Guttmann. Amélioration de la
marche
et de l'incoordination : Magnan, Hammond, Bonjo
eil gauche et d'une raideur des muscles du pied, lui empêchant la
marche
. A la suite de fatigue, ou d'un changement de sai
lté de se tourner sur place, les deux pieds se cognaient pendant la
marche
; impossible de marcher sur une ligne droite, les
x heures sans arrêter. Marche sur une ligne droite sans difficulté,
marche
avec facilité, en décomposant la marche en troi
gne droite sans difficulté, marche avec facilité, en décomposant la
marche
en trois temps, monte mieux l'escalier, et le des
, le fléchissement des genoux, les pieds tournaient en mar- chant ;
marche
, par conséquent, défectueuse. On l'a soigné à cet
mbre nous avons déjà pu noter une amélioration très notable de la
marche
; le malade exécuta les premiers exercices facile
10 octobre 1901. - Le malade n'a plus eu de douleurs; il dort bien,
marche
mieux, sent facilement la différence du sol. Le
Grâce à la pendaison l'état de la malade n'a jamais empiré. Elle
marche
aussi bien qu'au début de l'affection, continue à
rcot, « chez tous l'amélioration a commencé d'abord à porter sur la
marche
, sur l'incoordination ». Ham- mond, Martin, Eul
que le malade pouvait faire le tour de la salle les yeux fermés et
marche
sans difficulté en arrière. La statistique du p
rale, en arrêtant le développement de l'atrophie et en éloignant la
marche
progressive de l'affection. » Une telle - actio
dans les membres inférieurs avec lourdeur et fatigue, empêchant la
marche
. Cet état dura six semaines. Un confrère, consu
athologiques. résumé par eux. Examen clinique : paralysie spinale à
marche
lente et progressive survenue chez un sujet aya
fait quelques remarques. Il voit parfois des cas de tabès évident à
marche
rapide dans lesquels le mercure et l'iodure amè
gressives, dans ce dernier cas la disparition des souvenirs suit la
marche
inverse de leur fixation (noms propres, substan
oms propres, substantifs, adjectifs et faits) leur réapparition, la
marche
inverse de leur disparition. En général, plus u
i subit des rechutes, mais Unit par triompher du mal et poursuit sa
marche
progressive vers la bonne santé. , Eu novembr
s; accouchement pénible. Louis, né à terme, élevé au sein maternel,
marche
de bonne heure, parle et fait ses dents un peu
. L'intoxication palustre semble avoir hâté, d'une façon notable la
marche
de la maladie, des accès paludiens ayant sou- v
ssage de l'influx nerveux. Le début avait été assez rapide, mais la
marche
très lente et les deux femmes avaient présenté
mordre, se faire frapper, serrer, sans aucune douleur, cette femme
marche
mollement comme les myopathiques ; elle s'abat
inution de l'excitabilité électrique. Pied plano-valgus. Pendant la
marche
les genoux prennent l'aspect de valgum. Dissoci
ntion sur ce fait que dans cette observation les lésions ont eu une
marche
ascendante. En effet, la malade a été présentée
apparut une douleur dans l'articulation du cou-de-pied pen- dani la
marche
et à la station debout, puis sensation de froid à
ribue à l'idée le rôle toujours prépondérant dans l'obsession. La
marche
de l'obsession par accès, par. crises plus ou m
e. C'est pour la première fois que je note d'une façon si suivie la
marche
de mon état particulier ; je le fais à la deman
force de s'opposer à l'ennemi extérieur. Si on pèse l'origine et la
marche
de ce cas si singulier de trouble- mental, on n
, le signe de Romberg, du ralentissement du pouls, une somnolence à
marche
aiguë. Le pouls augmente de fréquence, elle suc
eil gauche, en tombant, alors qu'il-était ivre, d'un escalier de 20
marches
, n'avait pas de paralysie nucléaire, encore moi
lle méthode de fixation des empreintes des pieds pour l'étude de la
marche
; par 0. Moenkf.moeller et L. Kàpi..%N. (Neurolo
: pupilles elliptiques, angu- laires, etc. Parfois on observe une
marche
régulière des troubles pupillaires : paresse de
élirantes qui cons- tituent la base même des conceptions morbides ;
marche
très len- tement progressive; absence d'évoluti
'altération de l'innervation de l'iris, la pre- mière étape daus la
marche
régressive de cette innervation ; elle précède
re à tendances aiguës, les lymphocytes un processus inflammatoire à
marche
subaiguë ou chronique. Dans les divers états vé
no (Gutzmann), bégaiement REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 387 de la
marche
(Piper, Bruns) ; bégaiement généralisé (Bruns). L
hilitique. Bien que la comparaison des conditions de l'hérédité, la
marche
des processus dystrophique et toxique dans les
rales sont bien connues. L'auteur recherche ensuite quelle est la
marche
générale des symptômes nerveux de la syphilis.
les manifestations nerveuses de la maladie n'échappent pas à cette
marche
alternante. Un autre point à noter c'est que le
en cemture. Aucune lésion des nerfs ci àniens. En ce qui louche la
marche
et le pronostic, chez tous les malades de l'auteu
out rentra dans l'ordre sauf les troubles d'origine bulbaire. Cette
marche
écarte l'idée d'une maladie de Landry. A noter
ns sa thèse. ' Les symptômes ne présentent rien de particulier ; la
marche
en est rapide et peut même être foudroyante. L'
L'auteur cite comme formes cliniques : une forme de dissociation à
marche
typique pour les deux maladies ; deux formes de
ont nous ignorons positivement l'origine exacte, et distraite de sa
marche
normale dépourvue le plus souvent t de toute pr
(paralysie générale il forme mélancolique avec idées de négation, à
marche
rapide). Marié depuis vingt ans, il a cinq enfa
nsation lumineuse; 3° la diminution du champ pour le blanc suit une
marche
parallèle, mais peut-être est-elle plus précoce
e la papille et de formation d'un segment d'atrophie autour d'elle,
marche
avec une extrême lenteur. Dans les cas très rares
une malade atteinte depuis 1897 d'une sclé- rose en plaques dont la
marche
a fait hésiter au début entre le diagnostic rée
ont vu qu'un fait banal, accidentel, une simple particularité de la
marche
delà folie. Dès cette époque, cependant, plusie
e en 1893, classe dans les maladies constitutionnel- les incurables
marche
chronique, à côté de la folie systématisée, les
la sensibilité. Cicatrisation de l'ulcération plantaire. La malade
marche
depuis trois semaines, sans présenter aucune nouv
démarche spasmodique ; 7 ont peu ou pas de .spasmodicité, 4 ont la
marche
absolument nor- male, 4 ont renoncé au traiteme
- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 41 fuelles des intoxications. La
marche
des phénomènes aurait été la suivante : affecti
Serge Soukhanoff. Si la paralysie générale présente d'ordinaire une
marche
pro- gressive, il est des cas où l'évolution su
l et 46 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. en particulier d'une P. e.
marche
assez spéciale lente au début très rapide il la
LLEUSE. 87 nel, strabisme bilatéral, maladresse, incertitude delà
marche
, due probablement « à une disposition conti- nu
ansd'hémorrhagie méningée, n'avait présenté que de la lenteur de la
marche
. L'observation de Hitzig per- met de saisir le
e, ataxie des quatre membres; obs. de Lévèque : incertitude de la
marche
, rétropulsion, impossibilité de la station. Par
ux pupilles. Car si, d'ordinaire, l'ophtalmoplégie interne suit une
marche
progressive : parésic du réflexe pupiliaire à l
lexe accommodateur, très souvent aussi le trouble oculaire suit une
marche
irrégulière et les deux yeux ne sont pas attein
al cette loi que, « si les troubles de la vision ne suivent pas une
marche
parallèle aux lésions oculaires, les lésions du
nfluencent les unes favorablement, les au- tres défavorablement, la
marche
des symptômes ocu- lo-pupillaires. En général
prédomi- nants au membre inférieur ; il n'en reste bientôt que la
marche
à petits pas, parfois la marche, en traînant les
ieur ; il n'en reste bientôt que la marche à petits pas, parfois la
marche
, en traînant les pieds,parfois une légère malad
très accusé. On ne peut interpréter correctement ces troubles de la
marche
des séniles 122 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNIST
conclure qu'il s'agit d'un trouble de l'automatisme moteur, de la
marche
inconsciente, delà coordination cérébrale plu-
marche inconsciente, delà coordination cérébrale plu- tôt que de la
marche
volontaire et consciente de la volonté motrice,
ires forme, en effet, un contraste frappant avec les troubles de la
marche
; il était très intéressant de signaler, comme l'
S ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. fait M. Grasset, l'intégrité de la «
marche
volontaire » avec une altération prononcée de l
é de la « marche volontaire » avec une altération prononcée de la «
marche
automatique ». M. Léri, répondant à M. Raymond
ation des muscles des membres inférieurs produit le trouble de la
marche
, si l'incoordination des muscles des membres su-
de vient nous faire une visite à l'hôpital, pour nous montrer qu'il
marche
comme tout le monde, qu'il se sert normalement
des doigls s'exécutent môme parfaite- ment bien. La motilité et la
marche
des membres inférieurs sont absolument normales
c'est moi qui serai l'apôtre de la vérité ! » Peu à peu, durant la
marche
, la constriction thoracique diminue, le malade va
s conseils, » Le malade étant rentré à Paris,son délire reprend une
marche
plus active, grâce à des éléments nouveaux dans
, ne présenta rien d'anormal. Les membres s'allongaienl : mais la
marche
n'était pas possible ni même la station debout, l
tenir en équilibre sur une jambe (ce qui est indis- pensablepour la
marche
normale et pour la station debout, qui n'est le
ne soit atteint d'incoor- dination très considérable, et le malade
marche
librement (en apparence). Le tabétiqueatteint
ier jette les jambes follement, à droite, à gauche, en avant, et sa
marche
saccadée et irrégulière attire l'attention des
iment prolongée, d'exercices desmembres inférieurs,ou d'exercice de
marche
(tels que ceux indiqués par Frenkel. par exempl
quel labeur pour ces malades, s'ils son sou- mis à des exercices de
marche
, d'ascension, d'équilibre, sans point d'appui,
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 217 Nouvelle méthode de 1'ééducation de la
marche
chez les ataxi- qtles, par LEWÈVRE. Hémorragi
rtains cas, elle est fonction d'une complication de l'otite dans sa
marche
envahissante. Il s'agit de lésions simplement os-
nifestent au même instant, suivent chez l'un et l'autre sujet une
marche
absolument identique et sont caractérisés par le
eloppées parallèle- ment chez les deux ; de même pour la parole, la
marche
, la pro- preté au lit durant le sommeil : égale
re interprété ainsi : l'influence sûre et régulière du brome sur la
marche
de l'opération ne peut pas être éta- blie, cepe
de 3G,S.> 0/0. La courbe des jours avec du brome présente une
marche
analogue, seulement l'opération est ici plus ré
e aussi par l'épreuve avec 8 gr. de brome. VII. Recherches sur la
marche
. Pour pousser plus loin encore les recherches d
une heure seulement dans N. II et B. III. Pour être plus sûr que la
marche
coïncide avec les quarts d'heure de l'influence
temps d'observation trop court. Dans le 2e groupe on a l'ait une
marche
d'une heure tous les quatre jours d'expérience,
xpérience, et on a pris 100 réactions, pendant 13 minutes, avant la
marche
, et 300 réactions, 42 minutes après. Tous les d
ut d'abord le nombre des fausses réactions est plus gros pendant la
marche
que d'ordinaire, et puis le nombre augmente pré
normaux et ceux avec du brome dans les réactions obtenues après la
marche
. En un mot, les résultats donnés par les épreuv
s démarche N I et B IL lOG et 172 s, dans celle avec une heure de
marche
, N Il et B III 180 et 220 a. D'après ce résultat,
vec B ? dans laquelle les chiffres montrent, immédiatement après la
marche
, un prolongement des taux et non pas une abrévi
'est éten- due si loin que le contraste n'a plus aucune force. La
marche
ultérieure des recherches normales a été un peu
s additions, sur le déchaîne- ment central des mouvements et sur la
marche
des mou- vements musculaires, et de même sur le
forme foute l'école ; on évite de cons- truire des escaliers et des
marches
. Les portes ont un système spécial d'ouverture
ents sur la première dent, ni sur la den- ? on complète ; Début de la
marche
vers la troisième année, en même temps que l'en
les mouvements : assis, debout, en avant, en arrière et saute trois
marches
. En récréation, elle n'est ni bruyante, ni turb
vespérale d'un degré en plus, jusqu'au 25, puis la courbe suit une
marche
ascen- sionnelle jusqu'à atteindre, le 28 septe
es premiers temps de la vie. L'idiotie se carac- térise peu à peu :
marche
, préhension, propreté tar- dives, inattention,
ement, elle constata que la jambe gauche était « raide '' et que la
marche
était imposable. Quelque li'nip^ après, K. consta
néral de X... ne laissait rien il désirer ; la station debout et la
marche
étaient possibles, mais elles exigeaient de grand
e jusque dans la figuration des mouvements, et en particulier de la
marche
, qu'elle a étrangement altérée. Mais, en art, cet
cunement. Il fait fort correcte- ment oeuvre de ses douze doigts et
marche
sur ses douze orteils sans la moin- dre gêne.
s de toutes sortes produites par les chaus- sures grossières et les
marches
exagérées, lésions peu. graves, mais très doulo
; les réflexes tendineux aux membres supérieurs diminués. Le malade
marche
facilement, mais à petits pas ; il n'y a pas de
plus de 8 ans que sa colonne vertébrale a commencé il se dévier. La
marche
qui était devenue .difficile est complètement a
ouvât la moindre douleur. En 1889, il a remarqué des troubles de la
marche
plus ou moins intermittents. Il lui est arrivé
érieurs sont abolis, les réflexes patel- laires exagérés. Le malade
marche
sans difficulté, pas de signe de Romberg. Il n'
orsqu'il rencontre un chariot. Il veut éviter ce chariot, manque la
marche
, tombe et roule jusqu'au bas de l'escalier (une
marche, tombe et roule jusqu'au bas de l'escalier (une vingtaine de
marches
environ). Il ne perdit pas connaissance complèt
ois qui suivit l'accident, cet homme éprouva un peu de gène dans la
marche
. Cette gène disparut vite. D'ailleurs il n'a ja
ement osseux; l'épiphyse est prise secondairement à la diaphyse. La
marche
de l'hypertrophie est centrifuge. Remarquons néan
ret, la besace et la chaussure informe, disent assez la misère, les
marches
douloureuses et leurs cuisantes blessures. (1)
ec juste raison, la cachexie tabétique. Enfin il existe des tabes à
marche
aiguë qui semblent, à quelque époque que ce soit,
présentaient une incoordination motrice assez marquée : chez 10 la
marche
a pu se ré- tablir dans des conditions satisfai
° Cervicales en* haut. Une observation deWerner (2), va ouvrir la
marche
aux faits de 6 grou- pes. Il est vrai que dans
bien des tendons. Les articulations sont parfaitement mo- biles. La
marche
ne détermine aucune fatigue ; jamais cette dame n
évroglique fait souvent son apparition et suivant qu'elle aura une'
marche
ascendante ou descendante, l'atrophie musculaire
égion cervicale inférieure et dorsale supérieure. Or, comme dans sa
marche
, elle détruit la corne antérieure, il est facile
e. La plupart des auteurs n'ont pas accordé assez d'importance à la
marche
ultérieure de l'atrophie musculaire : tout au m
iste chez les syringomyéliques une atrophie du type Aran-Duchenne à
marche
ascendante qui envahit dans un certain ordre le
eront moins pris. Je ne prétends pas affirmer par là que dans celte
marche
ascendante les exten- seurs se comporteront tou
tandis que les fléchisseurs le sont moins. En opposition avec cette
marche
ascendante de l'atrophie musculaire il existe d
nte de l'atrophie musculaire il existe des cas où celle-ci suit une
marche
inverse. Elle débute au niveau de l'épaule et e
emps leurs fonctions. Enfin dans des as plus rares l'atrophie a une
marche
diffuse et frappe indistinctement, ies muscles
ux des muscles fléchisseurs. En effet, dans ce 'que j'appellerai la
marche
normale de la gliose péri-épendymaire, elle se
vec la topographie des cavités syringomyé- liques. En étudiant la
marche
progressivement envahissante de l'atrophie'mus-
tte atrophie musculaire présente une topo- graphie commandée par la
marche
de la gliose. Celte marche de la lésion nous pe
sente une topo- graphie commandée par la marche de la gliose. Celte
marche
de la lésion nous permet de résoudre quelques p
ui cependant ne sont pas des actes corticaux; il en est ainsi de la
marche
des réflexes défensifs... L'inhibition est possib
ssociés : telles, la déviation conjuguée de la tète et des yeux, la
marche
chez le canard décapité, etc. On conçoit dont u
rieur ; polygone cortical), p. 3S. 230 GRASSET ture volontaire,
marche
volontaire, etc., en un mot toute la vie libre.
du opude ou du poignet ; pas d'atrophie. Membre inférieur droit;
marche
..Ni ankylose ni atrophie. OBS.11. Monoplégie br
ie. Membre inférieur droit spasmodique, sans arthrite ni atrophie ;
marche
. Cas. IV. Hé1n1]Jlégie gauche, ankylose de l'ép
ètres ; bras gauche, 3. Rien à l'avant-bras ni au membre inférieur;
marche
. ! , '. i 1 OBS. VI. - Hémiplégie droite ; demi
la mobilisation incomplète qu'elle effectua elle-même ? La malade
marche
; rien au membre inférieur droit. OBS. VII. - Hé
nférieur gauche, trépidation spinale; pas d'atrophie ni d'arthrite;
marche
. ,' ' ! \ Cas. VII. - Hémiplégie gauche. Ankylo
emier espace interosseux et du thénar. Rien au membre inférieur ;
marche
. HÉMIPLÉGIE GAUCHE. ARTHRITE DE L'EPAULE, ATROP
cidité musculaire sans atrophie ni arthrite concomitante. Le malade
marche
. OBS. X. Hémiplégie droite. Ankylose de toutes
t-bras. Atrophie en masse de tous les muscles de la main. Le malade
marche
en fauchant. Réflexes rotu- liens très forts sa
fectuaient avec une parfaite régularité. Le sujet pouvait faire des
marches
de deux heures, même sur un sol glissant, mais
ie musculaire, courbature généralisée, difficulté plus grande de la
marche
. Cet état persista jusqu'au 15 décembre 1892, é
es, du côté gau- che le bassin pénètre dans les côtes. Pendant la
marche
, B... se sert seulement de la jambe droite. Les a
pied, surtout à gauche, à la suite de la station verticale ou de la
marche
. Les poils en outre sont inégalement répartis,
ut, le membre inférieur du côté hémiplé- gique ne sert plus pour la
marche
, les sujets restent confinés au lit. Or, lorqu'
ur. Trépidation spinale ; pas d'arthrite ni d'atrophie. Le ma- lade
marche
. Restent les trois malades du dernier groupe. C
aralysie flasque, la con- tracture se montre. Le malade se lève, il
marche
en fauchant, mais il marche dans la majorité de
acture se montre. Le malade se lève, il marche en fauchant, mais il
marche
dans la majorité des cas. Il mobilise donc de ce
un phénomène secondaire à l'arthropathie. Descosses a montré que la
marche
de l'atrophie musculaire répondait à la distrib
ant d'arriver à des exercices plus difficiles : fixation pendant la
marche
, pendant que les mains feuillettent un livre d'
ntôt, et sa tête se met à tourner au bout de peu de temps ; dans la
marche
lente, le regard fixé sur un objet éloigné ou rap
objet éloigné ou rap- proché, il n'y a plus de spasme. Mais dans la
marche
rapide, une qua- 410 FEINDEL rantaine de mètr
dossé, les bras ballants ; encore plus tard, il est debout, puis il
marche
. Dans ces diverses positions il s'évertue à mai
inu- tion des réflexes et des secousses fibrillaires accusées. La
marche
de l'affection est très lente puisqu'elle dure dé
boisson. A gauche, un homme de belle allure se tient debout sur les
marches
d'un escalier, tenant à la main un panier de pr
t s'accuser d'abord par des troubles médullaires : difficulté de la
marche
, liée à une parésie des membres inférieurs. Les
s irradiées vers l'abdomen et les membresinfé- rieurs, et gênant la
marche
. Au bout de 6 mois, on constatait en outre, de
ombaires provoquées par les mouvements de la colonne vertébrale, la
marche
, la station verticale un peu prolongées. Deux m
époque une paralysie flasque des deux membres inférieurs. Le malade
marche
avec peine à l'aide d'un bâton, à petits pas, le
ssive, et souvent subaiguë, ou bien après quelques trou- bles de la
marche
, la paraplégie apparaît brusquement ou du moins,
jambes, et en s'accroupissant sans fléchir la colonne .vertébrale,
marche
à petits pas, craignant les heurts, et, dans la
repos surtout la nuit, sont exagérées par la pres- sion, rendent la
marche
pénible. Aucun trouble du mouvement ou de la sens
e retrouve dans presque toutes les observations ; exaspérées par la
marche
, la station verticale prolongée, elles sont calmé
qu'elle sera bilatérale, à caractères radiculaires, exagérée par la
marche
et la station verticale prolongées, at- ténuée
s fléchir le tronc, et s'appuyant sur les mains pour se relever. La
marche
est caractéristique, surtout par la len- teur,
dire, M. Broca présente à ses auditeurs une fillette de 10 ans qui
marche
avec aplomb et souplesse, se baisse pour ramasser
éformations extrêmement prononcées des petites jointures et par une
marche
différente. La spondylose rhizomélique se disting
qu'à 9 ans, mais après elle a été affectée d'une grave maladie : la
marche
devint progressivement difficile, et, au bout d
uchement heureux. Venu au monde, son développement était normal, il
marche
à 1 an 1/2, sevrage à 3 ans. Il pa- raît que la
lorsqu'il accélère le pas, fait un effort, ou monte l'escalier. La
marche
et tous les mouvements s'exécutent difficilement
ce musculaire a beaucoup diminué dans les derniers mois et quand il
marche
il n'avance que très lentement et avec beaucoup
à part, plus nettement rachitique. En effet, chez cette malade qui
marche
à 18 mois seulement,qui estmalingre,chétive,se
appuyait unique- ment sur le bord externe du pied. De 4 à 10 ans la
marche
est restée embar- 140 KLIPPEL rassée et sa so
embre inférieur, leur bord externe est très épaissi et durci par la
marche
défecteuse. La concavité de la voûte plantaire es
et osseuses sont encore douloureuses à la pression. Troubles de la
marche
: la marche est anormale. La malade marche sur le
sont encore douloureuses à la pression. Troubles de la marche : la
marche
est anormale. La malade marche sur le bord exte
pression. Troubles de la marche : la marche est anormale. La malade
marche
sur le bord externe du pied et trébuche souvent
consistent en diminution des masses musculaires indiquée plus haut,
marche
hésitante et faiblesse générale. D'ailleurs, la c
cot, dans le service du professeur Raymond, pour des troubles de la
marche
. On est tout d'abord frappé par la petite taill
pêtrière : elle présente depuis plus de deux ans des troubles de la
marche
; au printemps de l'année 1903, elle s'est aperçu
une véritable difficulté qu'elle éprouve à se lever et à se mettre en
marche
lors- qu'elle est restée quelque temps assise ;
jambes, douleurs assez vives mais diffuses, apparaissant pendant la
marche
, il n'y a aucun trouble de la sensibilité et en
à élucider la pathogénie des accidents moteurs, les troubles de la
marche
, la spasmodicité caractérisée par de l'exagératio
e à 18 ans. Mais en quelques jours il fut atteint de troubles de la
marche
et il garda le lit. C'est alors qu'il présenta
'est pas douteux. Le malade n'avait rien, et, après peu de jours de
marche
avec des béquilles, surviennent les phénomènes
IV; celles qui sont marquées T provien- nent d'un cas de tétanos à
marche
très rapide (6 jours) chez un homme de 25 ans,
tôt le désaccord entre les phénomènes corporels et psychiques, leur
marche
inverse forcèrent à abandonner ce dia- gnostic.
u syndrome sont constitués par une faiblesse musculaire extrême, la
marche
est gravement compromise, les malades marchent
ent de points d'appui, se font aider. Dans les cas plus avancés, la
marche
devient impossible et l'alitement nécessaire. A
apparition. La terminaison est fatale, précédée d'une décrépitude à
marche
galopante, souvent hâtée par une com- plication
n droit de rapprocher, sinon d'identifier ces deux syndromes,l'un à
marche
subaiguë : le morbus climatericus, l'autre à allu
le de ces faibles pressions. - Evolution. Pour être progressive, la
marche
de cette affection n'en est pas moins d'une exc
litement devient nécessaire du fait de l'affaiblissement moteur qui
marche
de pair avec l'amyotrophie. La flexion des memb
enfin il est facile de retrouver un passé rhumatismal évident ; la
marche
de la maladie se fait par poussées irrégulières s
est certain, c'est qu'il n'avait jamais présenté de troubles de la
marche
avant d'être atteint de l'artlaropathie. En 190
L'auteur en concluait à l'existence des névrites périphéri- ques à
marche
lente, se développant au bout de quelques mois da
iques). Réunion sans suppuration. Pas de troubles consécutifs de la
marche
. L'animal reste en bonne santé jusqu'au 15 mars
oculaires, etc. ; elle s'accompagne plutôt de paralysie ; enfin sa
marche
n'est pas la même que celle de la sclérose en p
ours de se tenir couché sur le dos. Depuis lors il s'aperçut que sa
marche
devenait pénible et qu'il traînait la jambe droit
ître la musique qu'elle écoute, prenant le Clair de lune pour « une
marche
funèbre », la Marseillaise pour une musique grave
Joffroy (4), etc. En présence d'hémiplégies à.début apoplectique, à
marche
rapide, s'accompagnant de myosis (ce qui peut f
ons pas,malgré cer- tains points de contact : l'âge des malades, la
marche
insidieuse, indolore, le gonflement du dos des
ait de la parésie des membres inférieurs empêchant la station et la
marche
; de la parésie,mais moins marquée, du membre s
E DE LA PREMIÈRE ENFANCE 453 trent de plus que, même dans ces cas à
marche
rapide,il'n'y a aucune lésion inflammatoire des
ment. Son équilibre est instable, .il titube, steppe légèrement et
marche
la tête baissée, comme un automate. Il va tantô
n des mains, mais pas d'inégalité apparente ni fai- blesse marquée;
marche
normale, culture nulle et débilité mentale évi-
utons que ce pauvre aveugle est encore estropié aux jambes et qu'il
marche
le genou gauche fléchi sur un pilon. Un instrum
et révéla l'existence d'une névrite interstitielle hypertrophique à
marche
ascendante, ayant successivement atteint les nerf
chait de prendre les lettres dans les cassetins. Les troubles de la
marche
avaient continué à progresser, surtout lorsque le
à progresser, surtout lorsque le malade se levait pour se mettre en
marche
, il titubait alors et oscillait sur ses jambes.
usculaires sont plus diminuées qu'à gauche. La station debout et la
marche
sont possibles, mais à l'aide de souliers spé-
mais à l'aide de souliers spé- ciaux et d'une canne (pieds nus, la
marche
est presque impossible). Sans canne pour s'appu
. Les mus- cles-présentent des contractions fibrillaires. Le malade
marche
en talon- nant,lançant légèrement ses jambes en
alon- nant,lançant légèrement ses jambes en avant et de côté, il ne
marche
pas en ligne droite, mais en festonnant comme u
ité et intensité de douleur. Il lui arrive assez souvent, lorsqu'il
marche
, d'être pris tout d'un coup dans les membres iufé
te douleur est tellement aiguë qu'elle l'arrête brusquement dans sa
marche
, parfois même elle est si forte, qu'il sent ses j
buter : elles ont suivi en quelque sorte pour les nerfs moteurs une
marche
ascendante. Racines postérieures. Rien n'est pl
Début de l'affection entre sept et huit ans par des troubles de la
marche
. Atrophie musculaire des quatre membres diminuant
des réflexes, la diminution de la sensibilité, la difficulté de la
marche
et de la station debout, l'atrophie musculaire et
r- culeuse. ' 55 ans, douleurs lombaires vagues, exagérées par la
marche
, la station verti- cale prolongée, les mouvemen
ur hauteur, durant jour et nuit, exacerbée par les mouvements et la
marche
. Deux mois environ après le début, brusque réte
ue, lorsqu'il fut pris de douleurs dor- solombaires exagérées parla
marche
, les trépidations, les mouvements du tronc Il c
e chose : . - La paraplégie spasmodique présente, généralement, une
marche
irrégu- lière avec des alternatives d'améliorat
ans l'observa- tion I (compression osseuse) elle avait présenté une
marche
progressive, une absence complète de rémissions
est caractérisée par une grande irrégularité de distribution et de
marche
. 5° L'artério-sclérose peut causer dans la moel
orsque le neurone est lésé en un point éloigné de sa cellule; cette
marche
qui s'évalue en années, même en dizaines d'anné
our son âge. Sa taille ne me- sure que 134 centimètres (PI. lI), il
marche
comme tous les aveugles avec des yeux hagards e
E O\l'CI.PTTA1.TQUT. q ! ) retard de la première dentition et de la
marche
, vu les troubles gastro- intestinaux de la prem
justifiant le diagnostic de tumeur cérébrale, mais où plus tard la
marche
de l'affection ou l'autopsie même sont venues dém
cerveau chez l'un et du cervelet chez l'autre. Pour le premier, la
marche
de la maladie, chez le second l'examen microsco
devant ses yeux sans pouvoir préciser dans quelle direction. Sa dé-
marche
devient incertaine. Il marche en zig-zag de sorte
réciser dans quelle direction. Sa dé- marche devient incertaine. Il
marche
en zig-zag de sorte que ceux qui le voyaient di
LE J'S peut pas marcher sur une distance de plus d'un kilomètre. La
marche
est titubante. Il fait de petits pas irrégulier
le processus inflammatoire n'estpas intense, ce qui expliquerait la
marche
relativement favorable de celle méningite. Da
axie cérébelleuse ; on y trouve les troubles de la station et de la
marche
désignés sous le nom d'ataxie cérébelleuse, l'ins
les analyser. On sait d'ailleurs que, quel que soit le type de la
marche
, il y a des détails que seul l'oeil exercé dans
ien profité de ce progrès pour la description mi- iitiiietise de la
marche
dans l'hémiplégie organique, dans les paraplégies
e Medicin, 1901, 70 Band, p. 86). (3) Marinesco, Les troubles de la
marche
dans l'hémiplégie organique étudiés à l'aide du
du cinématographe (Sem. méd., 1899, p. 255) ; Sur les troubles de la
marche
dans les paraplégies organiques (Sem. méd., 190
paraplégies organiques (Sem. méd., 1900, p. 71) ; Les troubles de la
marche
dans l'ataxie locomotrice progressive (Sem. méd
à la Polyclinique générale de Rio-de-Janeiro, pour l'analyse de la
marche
dans l'athétose, nous pouvons présenter quelques
nte des pieds, si les phéno- mènes spasmodiques sont très forts. La
marche
est d'aulant plus pénible que la rigidité est p
t s'élèvent latéralement à une grande distance du tronc, pendant la
marche
, en oscillant comme des balanciers, les mains dan
on des membres supérieurs, surtout bien visible quand on regarde la
marche
de devant ou par derrière, est toujours plus fort
a un rayon beaucoup plus exagéré que les simples oscillations de la
marche
normale, et ainsi la dé- nomination proposée pa
01 au 15 février 1902. La faiblesse de la main gauche a suivi une
marche
progressive : elle sert encore pour les ouvrage
e la jambe. Les troubles moteurs qui en résultent produisent la dé-
marche
classique du steppage. A droite, les mêmes troubl
1891) ont fixé définitivement la notion d'une atrophie musculaire à
marche
lente, débutant par les extrémités des membres in
s. Intégrité des muscles du bras et de l'épaule droits. Arrêt de la
marche
de la maladie après une douzaine d'années d'évolu
oureuse, le rendait incapable de tout métier un peu actif, de toute
marche
ou de toute statian debout prolongée. La tête e
st nor- male, mais, pour élargir sa base de sustentation, le malade
marche
en portant en dehors la pointe du pied (PI.XLVI
r la fatigue » ; tout travail devient de plus en plus difficile, la
marche
est fort gênée ; il y a des crampes dans les mo
hez un jardinier, ce qui été fait. Antécédents personnels,-L'enfant
marche
à quinze mois,se porte bien mal- gré un écoulem
de ses conclusions. Cependant l'uni latéralité des symptômes et la
marche
non progressive existent également dans deux de
lle esl grêle, comme étriquée; visiblement le même processus est en
marche
ainsi que le dé- montre d'ailleurs le cas où ce
s mouvements des membres supérieurs et inférieurs sont normaux ; la
marche
ne présente rien de particulier. La sensibilité
ment incohérents, il menace les inlirmiers et tente de les frapper,
marche
à grands pas en vociférant. Il devient plus calme
es changements histo-pathologiques avec le tableau clinique dans sa
marche
initiale et dans sa période de dévelop- pement
ncé à trembler, mais seule- ment à l'occasion des mouvements, de la
marche
, après une fatigue. Les trois doigts internes (
rie opposée de précautions qu'elle prend pour se coucher. La malade
marche
difficilement, mais elle marche ; d'abord comme l
le prend pour se coucher. La malade marche difficilement, mais elle
marche
; d'abord comme les cuis- ses sont presque fixé
ieux les petits mouvements, c'est lui seul qui fait les frais de la
marche
et le corps pour ainsi dire le suit, avec des inc
isparaissent laissant la mobilité respective diminuée. La malade ne
marche
plus. 1904 (Photographie;. - Entre le corps du
re. Il y a un an et demi est apparu un certain déséquilibre dans la
marche
. Quand il se promenait avec ses amis il les heu
as tomber. xxv 213 418 E M0N1Z II e sent faible des jambes : la
marche
devient de plus en plus pénible et hésitante. I
fait avec un grande difficulté. Les vertiges, qui lui rendent la
marche
difficile, ne l'ont jamais fait tomber. Ils sur
subi à 17 ans une amygdalotomie. Observation actuelle. Marche. - Il
marche
avec la préoccupation constante de suivre bien
ttention pour arriver à son but. Quand il se lève pour commencer sa
marche
, elle est plus hésitante et ressemble à la marc
pour commencer sa marche, elle est plus hésitante et ressemble à la
marche
, d'un ivrogne. On remarque, presque toujours, qu'
rche, d'un ivrogne. On remarque, presque toujours, qu'il a, dans sa
marche
, une déviation a droite ; mais ce n'est pas const
e n'est pas constant parce qu'il s'efforce de se corriger. Quand il
marche
les yeux fermés la déviation à droite est const
yeux fermés la déviation à droite est constante, aussi bien dans la
marche
en avant que dans la marche en arrière. Il y
roite est constante, aussi bien dans la marche en avant que dans la
marche
en arrière. Il y a ébauche de Romlmrg. TROI
, généralement, à droite. Les yeux fermés tout cela s'aggrave. La
marche
sur un seul pied est difficile à gauche, impossib
ès, les impressions de la tête se transformèrent en céphalées et la
marche
commença à être difficile et hésitante. En même
la direction de cette rotation. Au commencement de cette période de
marche
difficile, quand elle se pro- menait dans la ru
droite. Parfois il est forcé d'abandonner les trottoirs. Quand il
marche
le pied droit se lève excessivement pour retomber
lève excessivement pour retomber avec précipitation (dysmétrie). La
marche
en arrière, les yeux ouverts, se fait ré- guliè
se maintenir sur la jambe droite seule, même les yeux ouverts. La
marche
à cloche-pied est possible sur le pied gauche, to
des vertiges, quelques troubles de l'équilibre. Les troubles de la
marche
sont disproportionnés avec les signes d'hémiplégi
du côté hémiplégie. La motilité est fortement touchée; cependant la
marche
est possible. Du côté des yeux pas de signe d'Arg
ce est conservée à tous les segments du membre inférieur. Le malade
marche
bien. La force est conservée également au niveau
SOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 443 3 Sensibilité normale,
marche
bonne. Rien de très notable à l'examen viscéral
es relations éventuelles de la syphilis avec certaines amyotrophies a
marche
progressive. l3ull. et Mém. de la Société médic
ux affections, puisque la première impose à la seconde sa forme, sa
marche
, et presque sa terminaison. Mais nous croyons q
de la tuméfaction limitée aux jambes, aux cuisses et aux fesses, la
marche
ascendante^de l'affection, l'impossibilité du p
us propres (.3) ; 3 ont appris à manger seuls (4). Dès qu'un enfant
marche
sans aide, il est envoyé à la petite école, le
la naissance. - Première dent à 8 mois. Début de la parole et de la
marche
à 18 mois. Pro- pre à 16 mois. - Varicelle à 18
nzième mois. Première ! dent iL 8 mois; début de la parole et de la
marche
il, 18 mois. Propre iL 16 mois. Varicelle à 2 a
ncés au niveau de la cuisse. Néammoins la station est dillicile, la
marche
absolument impossible. " Description DE la mala
ture des mains est moins marquée du côté droit. Le malade, soutenu,
marche
en fau- chant. Les réflexes cutanés sont norm
coléreux, très grossier, essaie d'égratigner, de mordre, etc. Il
marche
en se dandinant, les pieds se renversent en dehor
ion au niveau de-l'ctrèmité du5emétatarsien. (l'iedbotvartcs.) La
marche
est à peu près impossible sans béquilles. Avec
bot varus très prononcé. (PL. IV). Les renseignements donnés sur la
marche
(p. 43) ne laissent aucun doute sur la réalité
- Frère mort de convulsions. Première dent à 6 mois, - Début de la
marche
-Il 9 mois, de la parole à un an. - Rougeole à
s. Première dent à 6 mois ; dentition complète à 2 ans. Début de la
marche
à 9 Antécédents personnels. 67 mois, de la pa
tion du malade. Idiotie complète : parole, atten- tion, préhension,
marche
, nulles; tics ; gâtisme. Rachi- trisme. Amaigri
bes ne peuvent le supporter et lorsqu'on veut tenter un exercice de
marche
en le soutenant, il s'affaisse. - Préhension nu
eux cas se sont produits. Le tableau suivant donne une idée de la
marche
de l'épidémie. 102 Épidémie DE fièvre typho
? )h))ade depuis le 7 décembre. Forme atténuée de dothionentéric ;
marche
régulière de la maladie. Guérison. -'l'rnilemen
u marqué ; l'agitation du malade empêche de suivre régulièrement la
marche
de la température. Guérison. Comme nous l'avons
mes bornés dans les observations pré- cédentes au seul exposé de la
marche
cle la lièvre typhoïde. Dans les suivantes, con
lbuminurie. Il sort guéri le 17 décembre. (La fig. 10 représente la
marche
de la température.) 18Q 1. 20 janvier, zig... q
urant la rougeole et la scarlatine afin que l'on puisse comparer la
marche
de la température dans ces deux maladies et mie
n ce qui concerne cette dernière maladie nous n'avons qu'à noter la
marche
de la température avec -e trois abaissements à
hoïde, sauf une période passagère d'agitation, paraissait avoir une
marche
régulière quand, brusquement, sans autres accid
ulaires du cordon autour du cou. Début de la parole à quatre (le la
marche
à trente, mois; propre : 1 trois ans. - Méningi
ntrée "1 Bicêtre qu'il prononce quelques mots correctement. Ch... a
marche
il trente mois et a été propre il trois ans. A
e à l'infirmerie. Interrogé, il ne sait dire où il souffre, mais il
marche
plié en deux, les mains appliquées sur l'abdome
lie ont eu pour conséquence l'idiotie méningitique : retard de la
marche
, de la parole, de la propreté, cognements de (I
ttent de se rendre compte de l'influence des complications sur la
marche
de la fièvre. Ils pourront être comparés à un (
1880, intitulée : De l'influence des maladies intercurrentes sur la
marche
de l'épilepsie, . 168 Epidémie DE fièvre typh
onner des soins de toilette. Traitement : toniques, exercices de la
marche
, bains. le, avril. - Diarrhée verte. 'C. R. 380
: maman; se lient très bien sur ses jambes et aime l'exercice de la
marche
. Elle se laisse débarbouiller plus facilement ;
lative portant sur l'atten- tion, le caractère, l'affectivité et la
marche
. IV. La sclérose 11 ! /pert1'ophirjue ou tubére
SI"GLAS (J.). - De l'influence des maladies intercurrentes sur la
marche
de L'épilepsie. Thèse de Paris. ! 30GRNEVILLE, -
tion dont il est atteint consiste exclusivement dans un trouble de la
marche
, et c'est, comme vous allez le voir, l'usage du m
Il y a un an environ que le malade souffre de cette difficulté de la
marche
. L'examen méthodique nous fait reconnaître ce q
he, pour suppléer à l'impossibilité de l'extension du genou droit. Il
marche
sans appui, mais vous remarquerez quelque chose d
outre, une tendance de la pointe du pied à tomber, et qui rendait la
marche
encore plus difficile : cette paré-sie des muscle
sation ; et c'est alors seulement qu'il se ût un amendement et que la
marche
est devenue moins difficile. La relation qui ex
pendant de longs mois stationnaire, malgré les divers traitements. La
marche
est plus facile, etc.; mais, chose remarquable, e
ur le côté gauche et glissa comme une masse inerte sur une dizaine de
marches
. Deux de ses compagnes l'ont relevée aussitôt; el
lléole externe du côté gauche. Mais, immédiatement après la chute, la
marche
était devenue très difficile, et la raison de cel
s le triceps crural du côté droit, et qui rend depuis cette époque la
marche
très difficile. Les lésions traumatiques ne son
'est le rhumatisme noueux des auteurs ; il affecte, dès le début, une
marche
chronique et présente une tendance presque invinc
t survenu un amaigrissement rapide et une grande faiblesse rendant la
marche
extrêmement difficile, et il s'est vu obligé d'ab
utant plus accentuée que l'amyotrophie est elle-même plus marquée. La
marche
est difficile, plutôt en raison de la parésie amy
e vous pouvez en juger à distance par la direction du pied. La malade
marche
assez bien, et quand elle a fait quelques pas, el
a langue qui est animée de mouvements fibrillaires, incertitude de la
marche
, titubation. C'est la paralysie générale sans ali
ments terminent la scène, et tout rentre dans l'ordre. Telle est la
marche
ordinaire des phénomènes, dans la migraine ophtha
he un certain degré d'impuissance motrice, gênant considérablement la
marche
et la station et qui ne pouvait pas être rapporté
le 8 novembre dernier, dans l'état où nous le voyons aujourd'hui. Il
marche
habituellement, à l'aide d'une canne qu'il tient
Duchenne, que ces muscles ont pour action, dans la station et dans la
marche
1 fixer le bassin de manière à l'empêcher de s'i7
he du sol son pied droit, comme pour exécuter le deuxième temps de la
marche
; vous voyez qu'à ce moment, le bassin ainsi que
ent où le pied droit se détache pour exécuter le deuxième temps de la
marche
, le bassin devrait, par suite de l'action du moye
oite, ce qui n'a pas lieu ici, tout au contraire. Lorsque le malade
marche
, cette insuffisance du moyen fessier est mise dan
membre inférieur droit se prendre à son tour, sous l'influence d'une
marche
forcée. Pour ce qui est de la médication, elle s'
uez bien, Messieurs, cette influence de la station verticale et de la
marche
, elle peut contribuer à fixer le diagnostic. Le
les douleurs s'exaspèrent dans la station verticale, au point que la
marche
est presque impossible ; il y a entre la douleur
ée, qui est presque nulle au repos, et les douleurs provoquées par la
marche
, une disproportion qu'on ne rencontre pas dans le
ral ; 3° l'exaspération de la douleur lorsque la malade est debout et
marche
, ainsi que la sensibilité à la pression et à la p
l en résultait un obstacle à peu près invincible à la station et à la
marche
. Il y avait lieu de croire qu'une opération chi
que cela a lieu dans le mal de Pott, 1. Pendant plusieurs mois, la
marche
est restée pénible à cause de l'affaiblissement d
lication qui, seule désormais, mettrait obstacle à la station et à la
marche
. ONZIÈME LEÇON Sur un cas de /6ecité verbale.
e, aucune trace de paralysie des membres supérieurs et inférieurs. La
marche
est libre, il peut se tenir aussi bien sur un pie
l fait des progrès journaliers. Voici un tableau qui met en relief la
marche
assez régulièrement croissante des progrès accomp
rarement dans l'enfance. Elle peut présenter quelquefois, bien que sa
marche
soit habituellement progressive, des temps d'arrê
muscles de la jambe, la pointe du pied tombe quand la malade, dans la
marche
, relève son membre inférieur pour le porter en av
actéristique qu'il saute immédiatement aux yeux (fig. 31). Pendant la
marche
, qui est celle du pseudo-hyper-trophique typique,
brale a succédé à l'agitation factice du début ; depuis longtemps, la
marche
et la station debout sont devenues impossibles ;
ions prises chez la femme, les phénomènes sont mobiles, fugaces et la
marche
capricieuse de l'affection est fréquemment interr
'ayant placée sur ses pieds, on lui dit: « marchez » et voilà qu'elle
marche
. C'est là un exemple de guérison « miraculeuse »
dans le premier cas est cependant suffisamment démontrée : 1° par la
marche
de la maladie, qui se termine par une guérison co
ave, datant de longs mois, alors même que celle-ci aurait présenté la
marche
la plus favorable. Remarquez maintenant que la
ur vive à la hanche et au genou, raccourcissement apparent; la malade
marche
à l'aide de béquilles, posant à peine à terre la
nant compte de l'opinion des médecins antérieurement consultés, de la
marche
singulière de la maladie et en particulier des ré
alade est sous le coup d'une lésion bulbaire organique, indélébile, à
marche
progressivement fatale, tandis 1. Leçon recueil
nt sur les objets environnants ; mais, au bout de quelques heures, la
marche
est devenue absolument normale. Néanmoins, Pane
s mouvements des membres inférieurs, ne s'est pas démentie; le malade
marche
de mieux en mieux ; il est sorti plusieurs fois d
isme (2) et trois ont appris à manger seuls (3). Dès qu'un enfant
marche
sans aide, il doit être en- voyé à la petite éc
Est entré dans le service atteint d'idiotie complète avec gâtisme ;
marche
et parole nulles. Aujourd'hui, il parle, marche
lète avec gâtisme ; marche et parole nulles. Aujourd'hui, il parle,
marche
, s'habille et se désha- bille seul, et se rend
ntage et serait resté ainsi indéfiniment. .4u;0 ! t)'dntt. Pard..
marche
seul et court souvent; monte et descend les esc
ions les progrès l'année dernière continue à s'améliorer. Parole,
marche
, nulles au début; gâtisme complet, cette enfant
exécutent en tous sens mais péniblement et lentement. L'en- fant ne
marche
pas mais se tient debout en prenant un point d'
35 .5 coutume. L'évolution des dents paraît suivre maintenant une
marche
normale. A la mâchoire inférieure les prémolaires
à faire quelques pas.-On insiste beaucoup sur cette éducation de la
marche
. .liai. L'enfant va en congé dans sa famille. A
e parle mieux, son répertoire de mots paraît plus vaste. Quant à la
marche
, on ne constate aucun progrès. 1900. Le trait
le 15 décembre. Félicie n'a fait que très peu de progrès pour la
marche
. Elle est très paresseuse, pleure dès qu'on la me
en on ins- tituait une éducation spéciale des mouvements et de la
marche
. Chaque fois que cette éducation a été pour- su
a obtenu une amélioration dans la station debout et même dans la
marche
. Malheureusement, à chaque retour de con- gé, o
dents ont fait leur apparition de bonne heure, pas de retard de la
marche
, ni de la parole, propre de bonne heure. Anté
entes. Après chacune d'elles l'enfant titube comme un homme ivre et
marche
courbé en deux. Depuis l'âge de 10 ans, l'intel
t développés régulièrement, la station debout est possible, mais la
marche
est ataxique, les pas sont incertains, le malad
a été sevré il 18 mois. Première dent à 8 mois, n'a jamais parlé,
marche
a 26 mois, gâtisme. Gourmand et vorace, mastica-
ux rapports quand il avait bu. Description DU malade. 61 l'enfant
marche
tantôt assez bien, tantôt il s'arrète tout d'un
l a été sevré iL 18 mois. - Première dent h li mois. Le début de la
marche
a eu lieu à l'âge de 13 mois ; quant à la parol
que de balancier droite et il gauche. Examen fonctionnel : L'enfant
marche
bien, fait tous les mouvements. Les mouvements
it fort pour son âge. Le développement de la taille aurait subi une
marche
ré- gulière (fig. 9). Le père dit que dès les
avec une T. R. de 40°,5. La température après la mort a offert la
marche
ci-après : 90 Idiotie microcéphalique. Tête.
mbres inférieurs paraissent assez bien développés, mais l'enfant ne
marche
pas. Nulle inégalité de développe- ment entre l
aissance. - Première dent à 2 ans. Jamais de convulsions. Parole et
marche
nulles. Consti- pation habituelle. Réunion de t
tite. Première dent à 4 mois. Dentition complète à an ? Parole et
marche
nulles. Gâtisme. - Accès de colère. Tics. Rouge
Première dent à 5 mois. Dentition complète à 22 mois. = Parole et
marche
nulles. Gâtisme. Jamais de convulsions. - A 14
ur... 188 Traitement médico-pédagogique. beaucoup de mots usuels,
marche
seul, se sert de la cuiller et de la fourchette
arfois la nuit ; l'écolage était absolument nul. Actuellement, la
marche
est libre. Elle s'habille et se désha- bille se
s. SÜLA'3 (J.). De l'influence des maladies intercurrentes sur la
marche
de l'épilepsie. Thèse de Paris. l3owLVU,r,e. -
s leur évolution lente à travers l'organisme un processus morbide à
marche
fatale vers la démence, susceptible de laisser
isser au support quelques moments de répit, mais inexorable dans sa
marche
progressive. Je me range entièrement à l'avis d
permettant de les distinguer l'une de l'autre. La prédisposition à
marche
fatale ne tranche pas par des symptômes particu
mais détruites. Si, dans ces cas, la folie offre des rémissions, la
marche
éclairera, je le recon- nais ; la mémoire, l'at
sont à même de les comparer à eux-mêmes. Si la démence avait une
marche
toujours fatale, si les premières altérations p
amptique ne saurait être distinguée de l'attaque épileptique; et la
marche
de la température rapproche l'accès d'éclampsie
! mon Dieu ! », et c'est tout. Elle peut continuer à agir. Si elle
marche
, elle ne s'arrête pas, elle peut même monter sur
ous conduisent ' Le Ilolland. De l'influence de la grossesse sur la
marche
de l'hys- térie et de l'épilepsie. Thèse, 1879,
nique, et se tranformer en épilepsie vulgaire. Quelle que soit leur
marche
, il est important, au point de vue du pronostic
profonde concentration de la pensée. Les mouvements sont lents, la
marche
se fait à petits pas. les pieds se soulèvent à
hondriaques, des idées de persécution, des idées de grandeur, ni la
marche
du délire, ni la nature des idées délirantes, ni
s, dont le délire d'ailleurs, n'a pas la même coordination, la même
marche
continue et progressive, la CAS DE MELANCOLIE A
différentes idées spéciales énoncées ci-dessus; puis, à cause de la
marche
différente de la maladie et de son mode de débu
Quoiqu'il en soit, une fois l'affection constituée, elle suit une
marche
distincte. La mélancolie anxieuse est une vésan
tante des fibres du corps restiforme, ou du faisceau cunéiforme qui
marche
avec lui, trouve une fin provisoire dans les gr
e, .soixante et onze ans ? Faiblesse d'un eoié du porps ? néanmoins
marche
possible, étourdissements. 22 octobre, perteq d
ques' appropriées permettant jusqu'à un certain point d'entraver la
marche
de la maladie ; mais à la période de persécutio
dévier du type normal ; avec elle, if toujours'"s6n délire avec sa
marche
habituelle et l'automa- tisme en plus. " ' ' &g
bien elle s'arrête, ou bien elle poursuit, sans interrup- tion, sa
marche
dans le lit même du sillon occipital supérieur.
générale est une inflammation interstitielle vraie du cerveau, à
marche
subaiguë ou chronique ; qu'elle est en somme une
e sur l'affection mentale, a donné les résultats suivants : 10 La
marche
de la convalescence mentale n'a reçu, chez les
dont il s'âpit^ce sont des vomissements violents qui ont ouvertla
marche
; ensuite est venue l'hypertrophie du corps thyroï
s le même stade;prodromique;,en fait de"sympt6,mqs, ellealîecte unç
marche
différentgy L'ajcoqljsme cjironique.,n]estj pro
rechutes sont spontanées, la, mqrt, y9 constituant la règle ; 7°La
marche
de l'alcoolisme chronique est, .comparativement,
agissaitfnoiï plus'd'unc évolution chronique ordinaire,' mais d'une
marche
aiguë et souvent' sur'aigûë confinant à-i'habit
ue diverses circonstances telles que la température, la fatigue, la
marche
antérieure, une lension involontaire, peuvent m
ade depuis cinq ans, présentait depuis trois ans des troubles de la
marche
. Quatorze jours avant son entrée à l'hôpital, i
e, soif intense. Le 12, la jambe gauche reste en arrière pendant la
marche
. Le 13, vomissements, chute suivie d'un assou-
e raidissent, il doit attendre plusieurs secondes pour se mettre en
marche
et ses premiers pas sont lents. La même raideur
re marcher; durant un an, il marcha en traînant la jambe; enfin, la
marche
redevint régulière. La main, à l'origine, était
oureuse que la droite. Un mois après l'état de mal, la raison et la
marche
étaient redevenues ce qu'elles étaient auparava
s on constata une hémiplégie gauche. Celle-ci alla s'améliorant, la
marche
redevint régulière, et, sauf une contras- ture
tômes de paralysie générale qui constituent le tableau clinique; la
marche
typique aboutit en deux années à une issue mort
myéline, puis elles se montrent dans l'écorce. Leur développe- ment
marche
, sans désemparer, du centre de la périphérie ;
té atteint. Suivante. 1 letcher Beach, voici qu'elle paraît être la
marche
des faits : D'abord, à la suite d'une inflammat
t-ce une tro- phonévrose ? On ne sait. Mais le mode de genèse et la
marche
per- mettent de consigner une certaine analogie
ans leur développement pour ainsi dire v6 ovo est corroborée par la
marche
de la paralysie gé- nérale; car, telle est, dès
s facultés rétrogradent d'une façon très prononcée, la parole et la
marche
deviennent difficiles, si bien que, lorsque le
lièrement dans les extrémités inférieures; il se produit pendant la
marche
un branlement de toutes les parties du corps le
dérée ; un troisième était en- levé par une paralysie progressive à
marche
rapide. Deux vivent encore, mais ils ont été hé
provoquée par le courant faradique direct ou indirect affecte une
marche
ondulatoire essentiellement différente des contra
e de l'ictus aurait disparu, tandis que l'ataxie aurait continué sa
marche
. La discussion que cette observation comporte e
s longtemps (processus d'involution). Toutes les modalités de cette
marche
sont identiques à celles de l'évolution de la d
est formulé que' toute psychose présente, comme toute névrose, une
marche
chronique, que les formes transitoires ne sont
ique hépatique ; par BouR- DICIION. (Ibid.) Considérations sur la
marche
et sur la durée de l'ataxie locomo- rice ; par
1; - (concours des), 270; -(influence de la gran- deur des sur la
marche
des cdsanies), 349; - (du prix des grands et
ez les vieillards qu'on rencontre ces dégénérescences de l'es-tomac à
marche
trompeuse, qui ne sont accompagnées ni de vomisse
la fièvre jaune, a désigné sous le nom de Walking cases (cas où l'on
marche
), expression pittoresque, mais à peu près intradu
permettent, — mieux peut-être que tout autre procédé, — de suivre la
marche
du processus morbide, et d'en reconnaître les di-
rompeur, et le soir même ou le lendemain matin, la maladie reprend sa
marche
. La tem-pérature remonte à 40 degrés; lorsqu'elle
, car la fièvre, dans la pneumonie (même lobaire), n'ob-serve pas une
marche
rigoureusement continue ; il y a des rémittences
reviendrons plus tard ; mais, une fois constituées, elles suivent une
marche
parallèle, sans jamais se rencontrer. Ce sont, au
iques, le phlegmon, l'érysipèle, viennent quelquefois en accélérer la
marche
, et provoquer brusquement des retours inattendus.
fait exceptionnelle ; la grippe, la pneumonie, le typhus ont ici une
marche
insolite, et cette dernière affection est presque
sur la présence d'une concrétion tophacée de l'oreille externe, et la
marche
ulté-rieure des accidents vint confirmer complète
et de la diarrhée, Mais, comme nous l'avons déjà fait pressentir, la
marche
de l'affection est plus lente, et son pronostic
point un phé-nomène critique. 2° L'affection inflammatoire suit sa
marche
concurremment avec la goutte, sans éprouver de mo
tour de plusieurs jointures, Garrod a vu se développer une phthisie à
marche
1. Prout, loc cil., p. 492. ~. Wunderlich. —
t, selon Wunderlich, fournir aucune donnée précise relati-vement à la
marche
de la maladie ; cependant on observe le plus souv
aiguë, nous ne voyons ici qu'une seule analogie à signaler : c'est la
marche
irrégu-lière et paroxystique de la maladie. Parto
ns le rhumatisme articulaire, on peut dire que les choses suivent une
marche
à peu près inverse. En effet, l'un des ca-ractère
n, l'oppression était permanente; elle augmentait beaucoup pendant la
marche
. Depuis que l'affection thoracique avait acquis
rites. — Généra-lisation d'emblée, fréquente chez les jeunes sujets :
marche
progressive chez les sujets âgés. — Déformation c
: chez les sujets plus âgés, de quarante à soixante ans, elle suit la
marche
progressive que nous venons de si-gnaler. Dans le
cas, la maladie présente une évolution rapide ; dans le second, elle
marche
lentement. Il n'y a ce-pendant rien d'absolu sous
es. Deux cas peuvent se présenter : a. Chez les jeunes sujets, la
marche
de la maladie est rapide, et les contractions spa
on pas un dépôt tophacé, comme dans la goutte. Symptômes généraux ;
marche
de la maladie. A. L'hématologie, l'étude chimiq
e sur ce point. B. Au point de vue de la réaction générale et de la
marche
des accidents, il y a lieu de reconnaître deux fo
ci, le plus souvent, d'un rhumatisme chronique d'emblée, mais dont la
marche
présente quelques-uns des caractères de l'état ai
se montra dans l'articu-lation coxo-fémorale droite, et peu après la
marche
devint extrêmement difficile. Le membre s'était r
ade éprouve une douleur spontanée, assez vague, qui se dissipe par la
marche
, mais qui, à la longue, finit par s'exaspérer.
avec succès : mais, le plus souvent, on est impuissant à entraver la
marche
progressive de la maladie. Les alcalins à haute
on lente. Elle ne saurait jouer un rôle prédominant dans une fièvre à
marche
rapide, comme dans celle que détermine cette pneu
aleur, et qui s'observe même dans nos climats lorsqu'une armée est en
marche
, par un temps chaud et humide ; les malheureux fr
combattre, quelquefois dès le début, n'ont jamais paru entra-ver leur
marche
. Enfin l'autopsie ne nous a jamais fait cons-tate
ous étudions. Avant de montrer la manière dont ils s'enchaînent et la
marche
qu'ils suivent, nous allons les passer successive
membres inférieurs sont très sou-vent assez libres pour permettre la
marche
. Haygarth a donné, dans son Traité de la nodosité
forcée. La demi-flexion aurait d'ailleurs l'avantage de permettre la
marche
à l'aide de béquilles, si les fonctions des membr
déviations se prononcent le plus rapidement (Obs. I, Il et V). Cette
marche
précipitée ne peut-elle pas être attribuée en par
des muscles, les lésions articulaires se développent et suivent leur
marche
. C'est alors que le tissu cellulaire de nouvelle
aient de nature peut-être à faire prévoir, dès les premiers temps, la
marche
toujours croissante, et, en quelque sorte, fatale
prononcées. Nous venons d'opposer l'un à l'autre les deux cas où la
marche
est la plus différente ; on conçoit qu'il existe
x intermédiaires. Dans la première des observations qui suivent, la
marche
de la maladie a été relativement très rapide ; on
ur niveau, et leur extension complète est impossible. Aussi la malade
marche-t
-elle courbée sur elle-même, elle ne peut guère fa
elle ne peut guère faire plus de 200 pas ; elle monte quelquefois des
marches
d'escalier. Le genou présente une sorte de gonfle
tré, à deux types à peu près cons-tants. L'affection a présenté une
marche
très lente et a déterminé peu de douleurs, lorsqu
résenté pendant longtemps des rémis-sions plus ou moins complètes, la
marche
est devenue enfin continue avec des exacerbatio
préférence sur les petites jointures des extrémités ? Pourquoi cette
marche
pres-que toujours fatalement envahissante? Pourqu
d'un an de séjour dans ce lieu, Maul éprouve tout à coup, pendant la
marche
, une douleur tellement vive dans l'articulation d
t d'un an de séjour dans ce lieu,Maul éprouve tout-à-coup, pendant la
marche
, une douleur tellement vive dans l'articulation d
ons des membres inférieurs sont encore assez libres pour permettre la
marche
. Les déformations des jointures et les déviatio
ve des mouvements, la variété peut-être moins grande des grimaces, la
marche
essentielle-ment chronique. Alten... a 71 ans; la
hrites. — Généralisation d'emblée, fréquente chez les jeunes sujets :
marche
progressive chez les sujets âgés. — Défor-mation
ures, 376 : — progression des symptômes, 378, 397 ; — ob-servation de
marche
rapide, 379, 382, 385 ; —rémissions, exacerbation
, 239, 555 ; — forme atrophique, 240: — lésions arti-culaires, 241; —
marche
, 244; — symptômes généraux, 244, 244; — évolution
est typiqueipeut s'éterniser et même s'arrêter spontanément dans sa
marche
. 9 ? -. La syphilis, provoque, aussi, tmais moi
par le^ traitement , spécifique, ..que les myélites spasmodiques à
marche
lente'et insidieuse. - 46 - REVUE DE PATHOLOGIE
ans."L'aS'ection a débuté à dix-huit ans par de la difficulté de la
marche
,' puis elle a progressivement' évolué 'jusqu'au
t un ans, syphilitique, tabès ancien avec les symptômes ordinaires,
marche
ataxique. Troubles urinairesl etoculaires. Cris
trabisme léger, ni nystagmus, ni rétrécissement du champ visuel. La
marche
et même la station sont impossibles, il y a par
t fruste, le diagnostic un peu hasardé, car on ne peut savoir si la
marche
est ataxique. Mais noter qu'une soeur du malade
délire sys- lématique chronique (paranoïa) par la différence de la
marche
, de la terminaison, du début (élude de Kroepeli
aiguë : les accidents aigus persistent une à six semaines- dès lors
marche
traînante, cessation graduelle des hallucinatio
ans les tempes. Il ne perd pas positivement connaissance, mais s'il
marche
, il est obligé de s'ar- rêter, s'il parle, il l
siologie pathologique, la symplomatologie générale, l'étiologie, la
marche
, l'anatomie pathologique et le traitement. l.
mes d'ataxie. Jamais de douleurs fulgurantes. Pas de troubles de la
marche
. Garçon de café de seize à vingt-trois ans, a f
e.s mains; 4° pas de signe de Romberg. Pas d'incoordination dans la
marche
, se tient bien à cloche-pied. Croise bien les jam
faiblissement psychique sans délire.- 26 avril 1893. Troubles de la
marche
. Station debout peu so- lide ; Tremblement des
t des jambes. Pas d'ataxie proprement dite, mais hésitation dans la
marche
; surtout quand il tourne sur lui-même. Tremble
n centripète des prolongements protoplasmiques. Peut-être encore la
marche
de ces lésions s'expliquerait-elle aussi par le
es cellules de l'écorce, mais elles semblent en général suivre la
marche
que nous venons d'indiquer. Ce sont surtout les g
ément, c'est-à-dire un retard, un trouble ou une perversion dans la
marche
de l'influx nerveux, quel que soit sa nature.
ses banales. La neurasthénie, une J'ois décla- rée, ne suit pas une
marche
régulière; elle s'atténue ou même disparaît au
essembler à la neurasthénie commune. Toutefois il faut noter que la
marche
de la neurasthénie palustre diffère, au début d
e pour empêcher ce double résultat, ne reculant devant aucune dé-
marche
dans ce but. Comme leur requête pour obtenir que
tion. Puis la maladie s'aggrave ; la démence devient complète et la
marche
impossible : la parole se réduit à quelques mot
la fois sur l'ensemble des symptômes physiques et moraux et sur la
marche
de ces affections. L'autre, Baillarger, a publi
urs de Pinel et d'Esquirol, ils ont marqué la seconde étape dans la
marche
progressive de la psychiatrie, et ce n'est pas
uite d'une émotion, d'une amnésie rétro-antérograde très étendue, à
marche
progressive, et où la névrose hystérique ne sem
ue consé- cutif à l'accident, se développer peu à peu et suivre une
marche
progressive, car la malade a pu pendant un cert
t plus incorrecte lorsque le sens de la vue ne peut s'exercer. Elle
marche
et se tient en équilibre assez facilement quand
ut que la mémoire organique était en partie con- servée. Ainsi elle
marche
, elle mange en se servant avec une cer- taine a
alade peut ne pas avoir la physionomie psychique d'une démente. La.
marche
de cette amnésie générale. parait progressive., L
? L'ancienneté de 1'.am'nésiê, 'qui, daté' de plusieurs années,' sa
marche
progrès-' sive et l'âge avancé'de la' malade fo
ont au second étage et il faut fran- chir un nombre considérable de
marches
pour y arriver. Elles sont par suite dénuées de
dividu présente les apparences d'un sujet normal ; il voit, entend,
marche
, parle, raisonne, se souvient, combine et exécu
des classes ouvrières. La consommation crois- sante de l'eau-de-vie
marche
de pair avec la mauvaise qualité de la nourritu
Réduction du nombre des débits. Comme la consommation de l'alcool
marche
parallèlement au n'ombre des débits, il parait su
ts puissants de débilitation (excès, veilles, fatigues, émotions,
marches
prolongées, etc.) présenter un accès de manie ou
al reste intact jusqu'au jour où se développe la maladie, le délire
marche
sans trêve ni arrêt, suivant systématiquement t
-même, les conceptions délirantes ne s'étaient pas déployées en une
marche
progressive, souvent des idées hypo- chondriaqu
Le diagnostic devient d'ailleurs facile si l'on tient compte de la
marche
et de la périodicité des accès, de l'intégrité
-il pas aussi pendant ces périodes de rémission qui interrompent la
marche
de la paralysie générale à la première période
antes et qu'il ne fait que traverser la couche optique, qu'il a une
marche
directe, ininterrompue depuis les noyaux opposé
la dégénérescence wallé- rienne. L'intensité de la névrite et sa
marche
ultérieure paraissent dé- pendre, entre autres
Fait remarquable, il présentait une amélioration très marquée de la
marche
et la disparition du signe de Romberg. L'examen
dico-pédagogique : .' 10 traitement du gâtisme ; 2° éducation de la
marche
(barres parallèles, chariot, etc.) ; 3° exercic
une attaque survenue dans l'après-midi, au retour de quelques dé-
marches
faites par la malade à l'occasion de l'ordre que
euxième, quelques kilos de poudre de pyrèthre et surtout la mise en
marche
d'une étuve à désinfection repousseraient victo
int de vue scienti- fique et médico-légal. On suivra de la sorte la
marche
des maladies et les migrations des malades : on
iens nombreuses, importantes, sont pour ainsi dire individualisées;
marche
lente et régressive. Enfin la troisième forme,
es, appar- tiennent la conscience complète de l'idée, de la mise en
marche
, de la fugue et le souvenir complet de tous ses
r elles paralysies spinales se produisent. Cette évolution, cette
marche
descendante de la méningite syphilitique du cerve
ants. Les formes cliniques les plus communes, de beaucoup ont une
marche
chronique. On est encore le plus souvent en pré-
se passe dans les myélites centrales aiguës, ou dans les myélites à
marche
rapide des syphilitiques. N'avons-nous pas vu q
côté de cela, le premier qui ait parlé du développement et de la
marche
aiguë de la Verrùcktheit, il n'a pas caractérisé
maladie, en en établissant le genèse, la description, l'analyse, la
marche
, la terminaison, plus encore que dans les mala-
de la folie systématique. Il mentionne également l'existence d'une
marche
aiguë de cette maladie, indépendamment de sa ge
sans description ni délimitation, d'une folie systématique aiguë à
marche
rapide est la cause, pour la plus grande partie
dont nous avons parlé plus haut pouvant exister dans l'amentia. La
marche
de la folie systématique aiguë est donc rapide;
iétés de folie systématique (paranoïa) ? Examinons l'ensemble de la
marche
de ces délires; quelle en est l'analogie avec l
e types morbides SOCIÉTÉS SAVANTES. 501 caractérisés d'après leur
marche
et qui par suite doivent chacun recevoir une dé
entia, par 111endel délire hallucitaatoire,présente fréquemment une
marche
suraiguë et favorable, quand elle est consécuti
ées déli- rantes sont corrigées ou mises en doute par le malade. La
marche
finales peut être favorable, mais il n'est pas
ntré en effet que, sans préjudice de l'extraordinaire variété de la
marche
, on pouvait coordonner un nombre infini de cas
des impulsions, etc., sont les symptômes de cet état sénile, qui
marche
lentement vers la démence. J. Noir. IX. L'Hypno
une demi-heure en moyenne, et ne se produisait jamais pendant la
marche
; en même temps que ces contractures passagères i
is eu du côté droit. On ne constate pas d'atrophie des membres ; la
marche
n'est possible qu'avec une chaise que la malade
s autres symptômes de la maladie. De là la grande variabilité de la
marche
et la multi- plicité des formes de la sclérose
te d'une atonie des membres supérieurs et d'une instabilité dans la
marche
. « Le 19 avril 1875, son état était comme il su
ulement quand elle était observée par d'autres, cela Ini rendait la
marche
un peu titubante. D'ailleurs, pas de tremble- m
e une écriture tremblante et un certain degré de titubation dans la
marche
à des circonstances spéciales, de sorte que nou
formes et épileptiformes avec les symptômes psychiques, et enfin la
marche
rémissionnelle et si originale de la maladie, n
e faisait de longues courses sans la moindre claudication, ayant la
marche
parfaitement normale, enfin étant complètement
issus en même temps qu'il diminue l'élimina- tion de l'azote. Cette
marche
parallèle dans l'élimination des phosphates, so
re à ce rapport. Malgré cela, on comprend que nous ayons dans cette
marche
parallèle imprimée par la nutrition générale à
natomie ET DE PHYSIOLOGIE. VI. CONTRIBUTION A la connaissance DE la
marche
DES FIBRES dans LE corps STRIÉ; parL. EDINGER.
é d'excitabilité pour les courants d'induction magnéto- électriques
marche
parallèlement à celui de l'excitabilité [pour l
est porteur d'une atrophie des nerfs optiques datant de trois ans à
marche
lentement progressive; cécité, absence de phéno
ité, absence de phénomène du genou, sans ataxie évidente pendant la
marche
; finalement sitiophobie, oedème pulmonaire; mo
ée à la violence du vent et de ses coups ; si la direction de notre
marche
est contraire à celle de la pression aérienne,
une maladie à début successif, continuelle- ment progressive, et à
marche
relativement rapide ; elle commence dans les ex
pourrait croire, le début bulbaire n'est nulle- ment l'indice d'une
marche
fatalement rapide; dans notre OBSERVATION Il, e
tre contestée, le début par le bulbe n'indique pas fatalement une
marche
rapide. La sclérose latérale a donc franchi une
ysique, intellectuel et moral. Remarquons en- core ici une sorte de
marche
graduelle dans l'expression des phénomènes de d
suivantes que nous avons recueillies, le fait de dégénérescence, sa
marche
sont encore plus évidents, l'état d'hérédité mo
pt mois; - peur à dix ans : premier accès d'épilepsie. Caractère et
marche
des accès ; fièvre continue à douze ans. - Desc
monter un escalier, il a beaucoup de peine à franchir la première
marche
, il s'élève moins péniblement sur la deuxième,
traduisent, l'ab- sence de fièvre- et d'amaigrissement, et enfin la
marche
de la maladie sont des contre-indications de la
maigrissait pas et conservait ses joues. Cette irrégularité dans la
marche
de la maladie est peut être le fait des product
t. Archives, t. X. 15 226 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. mais la
marche
de l'atonie parait en être accélérée. Cette concl
nouveaux accidents cérébraux. XXVI. UN cas DE MYÉLOPATIIIE AIGUE.\
MARCHE
ascendante, rappelant la paralysie ascendante a
re attribuée, d'après l'auteur, à une altération de l';ixe spinal à
marche
ascendante, dans la patho- génie de laquelle la
nt les, signes, cliniques sont, encore .assez mal détermines-^ une,
marche
lente et insidieuse, il, existe dans la science u
accident qu'il, faut faire remonter la formation de l'abcès dont la
marche
lente et pro- gressive a fini par déterminer la
is la faiblesse, restée à un haut degré dans les jambes, rendait la
marche
dif- ficile. Néanmoins 0... put reprendre ses o
ption citée, on voit que les symptômes les plus remarquables sont :
marche
spastique, rigidité des muscles, leur trembleme
bes dorsal spasmodique. Une supposition pareille s'affirme par la
marche
lente de la maladie, par son cours de bas en ha
se reprend ses qualités normales. Un coup d'oeil superficiel sur la
marche
de la sclé- rose dans la moelle épinière de not
malade sentit ces symptômes aussi dans la jambe gauche. Ensuite sa
marche
prit un caractère spastique. L'examen démontra
res vésaniques en particulier, est très mau- vais conseiller ; s'il
marche
au feu, c'est qu'il fait par ruse, pour n'être
s convulsions à huit mois; secondes convulsions à neuf mois, etc. ;
marche
à sept ans et demi; bave, succion, parole nulle
souvent, suce toujours ses doigts, ne bave plus; pas d'onanisme. Il
marche
seul et mange seul, mais avec ses mains; il est
l n'est plus salace, ne pleure plus quand on l'ap- proche ; dans la
marche
, il a conservé l'habitude de plier et de releve
urs aux environs de 38°, sans rien présenter de particulier dans sa
marche
. 362 clinique mentale. 8 mai. L'éruption est
ent prédominant au membre inférieur gauche. Tuberculose pulmonaire,
marche
des accès. - Autopsie incomplète. Gui... (Eugèn
nifeste des idées d'empoisonnement. 20. - Le tremblement diminue la
marche
est possible. Pen- dant toute cette période la
surtout sensible vers les extrémités infé- rieures, et qui rend la
marche
difficile, sinon impossible. Cette parésie, qui
nce dans le sang d'une quantité excessive de sucre, augmente par la
marche
et cède à la médication alcaline.. Chez notre m
es vertiges, une faiblesse extrême des jambes, qui lui rendait la
marche
difficile et presque impossible. Chez la deuxiè
connaît pas de facteur étio- logique auxiliaire, mais elle suit une
marche
tout spécialement pernicieuse.La paralysie géné
tement antisyphilitique; pas de particularités spéciales quant à la
marche
; un seul malade était porteur de lésions spécif
une encéphalite chronique intersti- tielle, diffuse, généralisée à
marche
progressive. Il n'en est pas de même dans l'idi
ottement d'une main contre l'autre ; d'autres fois encore, c'est la
marche
en avant, la malade pénètre sans but, mais le s
l'état psychique ne se modifie point pendant que la fièvre typhoïde
marche
, les idées délirantes ne disparaissent que lors
ne lui a pas permis d'étudier avec fruit les particu- larités de la
marche
et de l'évolution des psychoses chez les sujets
ze, ? 30; -(tabes dorsal avec atrophie), 230. lyélopathie aiguë à
marche
ascen- dante, rappelant la paralysie as- cend
te l'idée qui a fixé son attention. Lorsque le malade est debout et
marche
, ce sont des séries composées de deux ou trois
dyspeptiques notables. A l'âge de cinq ans, la malade, chez qui la
marche
se fit tardivement et avec difficultés, fut app
ieures et posté- rieures, résultent des symptômes qui affectent une
marche
des plus chroniques. Ce sont : l'affaiblissemen
t morte ; si elle avait vécu plus longtemps, il est probable que la
marche
des phéno- mènes aurait révélé plus clairementl
ysie générale. Ces accidents sé- vissent surtout sur des troupes on
marche
, ils affectent de préfé- rence des soldats déjà
centres corticaux, mais elle ne souffre aucune modification dans sa
marche
, quand on isole les uns des autres, par de profon
our d'un centre une section complète, on ne trouble pas non plus la
marche
normale des convulsions musculaires, par conséque
ons dans les territoires musculaires correspondants; 240 Quant à la
marche
des convulsions, les acquisitions de la clinique
to-gastriquc,du glosso-pharyngien. 11. Srmea (d'lleidelbcr). Sur lu
marche
a reculons de la yn - nouille. Enlevez l'encéph
e village, il trouve trois enfants qui jouent dont une fillette. Il
marche
à cette der- ARCHIVES, t. la. 8 11 se SOCIÉTÉ
peut être rejetée en arrière que par les oscillations du tronc. La
marche
était vacillante plutôt à cause de la faiblesse
muscles fut rapide et eut lieu peu de temps après l'accident. La
marche
et le caractère de l'atrophie prouvaient qu'ell
resque entièrement guéris : nous en reparle- rons en traitant de la
marche
de la maladie. Toutefois, empiétant sur ce chap
lorsqu'elle siège dans les membres supérieurs, par exemple, ou la
marche
lorsqu'elle siège dans les membres inférieurs.
des inconvénients que peut créer un état aussi anormal. §111. La
marche
de cette affection, ainsi qu'on a pu en juger e
es se déroulent à diverses dates d'apparition, le tout, suivant une
marche
assez régulière. Cependant, en faisant l'histoi
d'une variété d'incoordination limitée aux muscles de la face, à
marche
chronique et qui, par opposition à la névralgie
s ci six ans. Accès deux mois plus tard. Retard de la parole, de la
marche
, de la propreté. Teigne. Chute du rectum. Trait
revenue dans le côté droit. La jambe seule reste traînante dans la
marche
. 17 janvier. Nouvelle aggravation. Les forces p
histologiques qui, dans le déve- loppement de la moelle, ferment la
marche
, c'est-à-dire les sys- tèmes où se forment le p
mêmes éléments. Le mécanisme du processus nous échappe, mais sa fin
marche
de pair avec 1'liyper-ènèse du tissu conjonctif
écihquc. 2o Cependant elle possède certaines particularités dans sa
marche
et sa terminaison. Les entités les plus fréquen
se ordinaire et, comme chez les indi- vidus qui en sont frappés, la
marche
est rapide quand il s'y joint des troubles ment
a peur de passer d'une pièce dans une autre; elle demande qu'on ne
marche
pas légèrement près d'elle, les surprises l'eff
des malades, sauf dans certains cas d'affaiblissement intellectuel;
marche
rapide san< améliora- tion notable; terminai
ons, leurs idées, leur genre de vie, sans les adapter au siècle qui
marche
et auquel ils deviennentpromptementétrangers. L
une notion enfantine. Cet affaiblissement intellectuel précoce avec
marche
rétroga.de du discernement vers l'enfance nous
- bilité dans les cas d'airail)lisenieiit intellectuel ; parfois la
marche
est moins rapide que dans les autres formes de
EXPÉRIMENTALE. ans. La traction du nerf sciatique améliora la dé-
marche
. Weltrubsky1 (1882) entreprit, dans la clinique
se serait pas réveillée spontanément dans un délai si court. . La
marche
des troubles fonctionnels est graduelle- ment d
e se prolonge un certain temps, n'y a-t-il pas dans la nature et la
marche
des symptômes des caractères capables de faire
es du fait que nous avons rapporté, est d'établir nettement dans la
marche
cli- nique deux périodes, celle des phénomènes
N DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 315 d'excitation, ils n'ont pas empêché la
marche
vers la guérison de s'accentuer. La seconde pér
uis l'entrée du malade à Bicêtre jusqu'en 1877, les accès ont eu la
marche
progressive trop souvent habituelle ; decette é
ent compte de cette élévation momen- tanée et tout accidentelle une
marche
progressive évidente. Le résultat des différent
us retiré de l'hydrothérapie le bénéfice des années précédentes. La
marche
des accès est du reste, depuis -novembre 1882 a
le lit et passe des journées entières dans un fau- teuil, mais elle
marche
encore avec difficulté. On observe aussi une lé
lente terreur qu'il faut le rapporter chez lui; la difficulté de la
marche
augmente. Le 7 septembre, on constate de l'ince
augmente. Le 7 septembre, on constate de l'incertitude de la dé-
marche
, surtout pour monter les escaliers; le phénomène
es, surtout dans celle de droite; faiblesse dans la main gauche. La
marche
n'est pas particulièrement pénible. La vessie f
bourrés de leucocytes. La grande majorité des faits concernent une
marche
d'ordinaire lente, les malades sont tués en tro
ypergenèse de noyaux). Une troisième série comprend les cas rares à
marche
traînante : ici il y a sclé- rose étendue de l'
que de presque tous les exercices^corporels et en particulier de la
marche
, de la course, du saut, de la danse, de l'équit
eu leur corps se prêter aux diverses attitudes de la station, de la
marche
, du saut, etc. Une fois ces premier-, résultats a
mence à reprendre son empire, la gymnastique de- vient active : aux
marches
, aux mouvements d'assouplissement succèdent le
honoré confrère, de bien vou- loir nous adresser votre avis sur la
marche
à suivre dans l'organi- sation du Congrès et no
ay sont en bonne voie de guérison, et que sa convalescence suit une
marche
favorable. Asiles d'aliénés DE la Seine. Ai. le
251. Gheel (sa colonie), 407. Graphique (représentation - de la
marche
des maladies mentales), par ltégis, 87. Gymna
vue (ombres, lettres grecques étincelantes). Il résume lui- même la
marche
de tous ces symptômes en disant que ce fut d'ab
30. - Légère parésie des membres inférieurs, n'empêchant point la
marche
. Persistance des hallucinations. 1er septembre.
ante se trouve dans l'état d'extension ; cette extrémité pendant la
marche
ne montre aucun signe des mouvements volontaires.
e beau- coup plus difficiles que dans l'extrémité droite; le cobaye
marche
sur les quatre pattes, quoique boitant visiblem
ction dans la cuisse, légèrement tendue et traîne un peu pendant la
marche
. La sensibilité et les autres phénomènes sont l
n, - Le cobaye est couvert de poils. On remarque à peine pendant la
marche
une certaine faiblesse daus l'extrémité qui ava
complètement si on l'abandonne à elle-même. La station debout et la
marche
sont par conséquent impossibles. Notre diagno
quement sur les mou- vements associés de la station debout et de la
marche
, tous les autres mouvements étant parfaitement
à marcher appuyée sur deux aides. On dirait que l'éducation de la
marche
est refaire; les pieds se détachent du sol avec d
douleurs lom- baires plus vives qu'elle attribue à la fatigue et la
marche
devient de nouveau impossible. Les attaques d'h
- lue pour les mouvements associés de la station 'debout et de la
marche
, coïncidant avec l'intégrité de l'énergie muscula
cessus épileptogène dans les centres correspondants de l'écorce. La
marche
de l'accès d'épilepsie corticale suit une voie
e nie point la participation ac- tive de la moelle allongée dans la
marche
ordinaire du dévelop- pement de l'accès : , 1
c'est en réalité l'altération des fibres myé- iiniques qui ouvre la
marche
. P. K. XV. LE strabisme dans la rigidité articu
les paralysies partielles mais durables, la démence croissante, la
marche
progressive, le début à l'âge de vingt ou trent
u trente ans, la durée deux ou trois ans. Les cysticerques par : la
marche
irrégulière, le début à quarante ou cinquante a
ence une bonne période. Les forces sont revenues : -. P... se lève,
marche
, dort, mange et boit comme une personne en bonn
ganes pelviens sont en bon ordre. 21. Le cobaye se porte bien. Il
marche
assez vite, surtout à l'aide des extrémités ant
ieure reste un peu affaissée quoique toujours suspendue ; le cobaye
marche
facilement et en même temps le pied postérieur
Etat aussitôt après l'opération : Le cobaye se porte bien; quand il
marche
et quand il est en repos le baisin est couché par
-dirc l'extrémilé gauche postérieure pendant le repos et pendant la
marche
se trouve dans AncumES, t. X\II. 13 3 Fi]. 22
e, point de changement. 9. Le cobaye pendant le repos et pendant la
marche
s'appuie quelquefois sur l'extrémité paralysée.
baye s'appuie sur ses quatre pattes. Pendant le repos et pendant la
marche
, l'extrémité gauche postérieure est un peu tend
che, l'extrémité gauche postérieure est un peu tendue et pendant la
marche
reste un peu en arrière, quoique les mouvements
t sans changements. , 5 février. Le cobaye est faible. Pendant la
marche
, les mouvements de l'extrémité gauche postérieu
ns les deux extrémités postérieures. Le cobaye se lient debout et
marche
; on remarque le même affaiblissement du côté .
ine faiblesse est restée, de même qu'une petite rigidité pendant la
marche
. Opération Il. - Les ]le, Ille et IVe vertèbres
ou irrégulièrement mélangés; on constate aussi le simulacre de la
marche
ou du manège. Amnésie complète, même de la tenta-
e masque de la méningo-encéphalite, mais s'en séparant assez par la
marche
, - la gravité et même les lésions anatomiques p
core qu'au début de la maladie. Habituellement la maladie suivra la
marche
progressive, mais par- fois le régime et l'hygi
ion. 4° L'excitabilité musculaire est portée à son maximum. 5° La
marche
de l'affection est également caractéristique ; le
t également caractéristique ; les rémis- sions sont fréquentes ; la
marche
, par suite, en est plus lente, sauf les cas d'a
s. Les inconvé- nients paraissent nuls. L'augmentation des globules
marche
paral- lèlement à l'augmentation du poids. La p
yeux, notre malade a des hallucinations dont l'intensité a suivi la
marche
progressive de l'atrophie de la rétine. Ce dern
nt au point de vue de la physio- logie psychologique repose dans la
marche
progressive et'la géné- ralisation des tioubles
tercostal gauche. Est-ce dans ces conditions un tabes au début et à
marche
des plus insolites ? est-ce au contraire l'indi
'ayant jamais pu marcher comme les enfants normaux. A douze ans, la
marche
devient encore plus difficile; à quinze ans, il
lus difficile; à quinze ans, il fait une chute et, consécutivement,
marche
encore moins bien. Sa mère est atteinte de lupu
uité à l'horlogerie. Sa démarche est incertaine et chancelante ; il
marche
les jambes écartées, levant les pieds plus haut q
es. Il ne lui est possible de marcher qu'à l'aide d'un appui ; elle
marche
alors les jambes écartées, en vacillant et en l
pes portèrent l'empreinte de l'épuisement de l'activité mentale. La
marche
est toujours lente, la durée est au minimum de
s la jambe du côté contusionné et bientôt une certaine gêne dans la
marche
. Ces engourdissements et cette gêne ont gagné e
ommencé à donner des signes de folie. Sa maladie mentale a suivi la
marche
classique : après un scandale dans un café de P
membre; C... ne boite pas et il supporte, sans fatigue, de longues
marches
. Admis à l'École centrale, C... n'a pu obtenir
développement inné des vais- seaux superficiels de l'utérus, ce qui
marche
de front avec d'autres anomalies du système vas
sur un terrain pré- 374 RECUEIL DE FAITS disposé : retard dans la
marche
et la parole, incontinence noc- turne d'urine,
mières dents à six mois ; parole à quinze mois; propre à trois ans;
marche
ci trois ans. - Peurs à treize ans. - Cauchemars,
resse péniblement sur son séant. Il se relève enfin complètement et
marche
en trébuchant. Il est pâle et respire difficile
enir, on commence par préparer du mercaptol éthylique en suivant la
marche
que nous avons indiquée, puis on l'agite avec u
citabilité réflexe des pupilles, tandis que la catalepsie de l'iris
marche
de pair avec l'ab- sence de réflexe tendineux d
lle a été prise de douleurs de reins, accompagnées d'une gêne dans la
marche
qui a toujours été en augmentant, à tel point qu'
à sa grosseur la gêne et la difficulté de la station debout et de la
marche
. — Quand elle quitte ses béquilles sa marche est
station debout et de la marche. — Quand elle quitte ses béquilles sa
marche
est assez solide mais oscillante. Pas de gibbos
c'est lui qui m'a surtout « déterminé à pratiquer l'opération. « La
marche
de cette maladie est donc des plus insidieuses» «
uissons après la miction; douleurs dans la station et surtout dans la
marche
qui est devenue très pénible, impossible même dep
ur pourra rester petite pendant dix et vingt ans : ces épithéliômes à
marche
lente se cicatrisent, même parfois à leur centre,
es éloignés. L'épithéliôme lobule du col de l'utérus a tout à fait la
marche
du cancer. L'épithéliôme perlé n'a généralement
ccessible à la fatigue lorsque l'enfant la met à contribution pour la
marche
; la station debout lui est très pénible. Gomme
Ce symptôme n'existe qu'au début du mal ; 5° Cette maladie, dont la
marche
naturelle est très rapide, se termine en peu d'he
diagnostiquer des autres affections musculaires de l'enfance dont la
marche
et le pronostic sont essentiellement différents.
ience de l'hygiène, et pour la médecine légale elle-même, à suivre la
marche
et les progrès de l'industrie, et à étudier l'inf
e leur disposition symétrique, de leur mode de développement, de leur
marche
et des particularités qu'elles offrent à un exame
eau. La seconde variété, au contraire, le molluscum pen-dulum, par sa
marche
lente, et son accroissement souvent excessif, ren
eu dans le courant de cet ouvrage l'occasion de dire quelle était la
marche
de cette singulière affection qui serait hérédita
l qui les mine et dont ils connaissent l'inexorable terminaison. La
marche
de tous ces accidents est continue mais intermit
de tous; le changement de climat réussit ordinairement à entraver la
marche
de la maladie. On a recommandé les bains, les soi
avec un de ses amis une excursion dans les environs ; trois heures de
marche
en plein soleil amenèrent d'abondantes transpirat
uls s'élève et, le 12, on voit apparaître une éruption de variole qui
marche
rapidement. Elle présente ceci de particulier q
de leur configuration ou dans le détail de leur production et de leur
marche
, les tumeurs dont le type fondamental se trouve e
ion causée par la présence, à la face, d'un ncevus vasculaire dont la
marche
toujours croissante a déjà modifié la conformatio
ue. Nous avons suivi, dans ce cas, sur les conseils de M. Charcot, la
marche
de la rigidité cadavérique. Elle a offert les par
En ce qui concerne la première nous appellerons l'attention sur sa
marche
ascensionnelle (fig. 2) qui a été très rapide, pu
gonflement diminua un peu des deux côtés, le malade put reprendre la
marche
et se sentit propre à retourner à ses anciens tra
Dans tous les cas, on peut considérer comme un phénomène ultime de la
marche
de l'éléphantiasis l'envahissement du tissu osseu
dernières, le lecteur puisera d'utiles conseils sur les symptômes, la
marche
de la maladie, et sur les appareils les plus avan
lent à leurs idées conscientes, logiques et associées, troublent la
marche
de ces dernières, et, par là, causent des inqui
. Apparaître subitement et involontairement, en interrom- pant la
marche
des idées du malade; faire irruption dans la co
e l'idée fixe est clair; on peut remonter à sa genèse conforme à la
marche
de l'asso- ciation des idées et suivre l'enchaî
hésie tactile très grande. Les dou- leurs étaient exaspérées par la
marche
. A la suite du traitement .54 REVUE DE PATHOLOG
st alors trouvée, et la convalescence mentale, un instant' enrayée,
marche
rapidement vers une guérison définitive. Nous n
oouÈs (E.) et Sirol (.1.). - Un cas de maladie d'AlYtn-Duchenne il.
marche
anormale. Brochure in-8° de 8 pages. Toulouse, 18
brusquement, et présente une évolution courte, ou bien elle a une
marche
chronique ; ou enfin, elle se montre il l'origine
le. Sa femme et ses complices actionnent une machine électrique qui
marche
continuellement et de plus en plus fort, paraly
in, des membres inférieurs ne diffèrent pas d'un côté à l'autre. La
marche
se fait sans aucune irrégularité. L'asymétrie
t ; de plus, elle était nettement intermittente et subordonnée à la
marche
: régu- lièrement, vingt minutes de marche la p
ente et subordonnée à la marche : régu- lièrement, vingt minutes de
marche
la provoquaient : pour la faire disparaître, un
ndent aux conditions suivantes : 1° Les deux affections suivent une
marche
parallèle ; 2U La phtisie et la folie obéissent
lté d'élocution, la connaissance restant entière. Dans la soirée la
marche
devint impossible et il se montra de la somnole
ente. Nous retrouvons cet état dans notre observation 1 : la malade
marche
devant elle, la physionomie inquiète et avec un
ême côté plus prononcée, enfin une hémiplégie totale. Au lieu d'une
marche
aussi régulière- ment progressive on peut voir,
hésie. Les troubles de la sensibilité suivent assez généralement la
marche
des phénomènes paralytiques. Dans les cas où l'
II). Dans les cas où la paralysie s'est établie progressivement, la
marche
des troubles sensitifs n'est pas toujours bien
tions fortes) et de lucidité de durée variable. Si l'on envisage la
marche
générale des symptômes l'on voit qu'elle peut ê
e coma primitif» peut ne pas exister et néanmoins le cas, de par sa
marche
générale, doit entrer dans cette forme ainsi la
ogression. Dès lors, comme au point de vue des symptômes et de la
marche
on trouve tous les intermédiaires entre l'apoplex
14 PATHOLOGIE NERVEUSE. Quant à l'absence de coma primitif et il la
marche
pro- gressive de l'apoplexie, on devrait les ex
de la partie in- férieure des ganglions, au lieu de continuer leur
marche
vers la scissure de Sylvius, elles suivent une
ation étroite de l'hémorragie dans celle région comme cause de la
marche
progressive des symptômes. Cette conclusion est b
nerveuses, altérées par suite de la section du nerf correspondant,
marche
plus vite quand les deux bouts du nerf parvienn
le et à la destruction complète du cerve- let : 1° les tracés de la
marche
; 2° les tracés des contractions mus- culaires.
ebout ou en REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 220
marche
, s'il penche rapidement la tète en avant, en arri
non ataxique, non titubante, sûre, même les yeux fermés. Pendant la
marche
en avant, l'inclinaison de la tête de gauche à
ilité de se tenir sur une seule jambe à droite ou à gauche. Dans la
marche
en avant, titubation toujours vers la -.gauche;
Sclultess l'allon- gement du ligament rotulien en est la cause La
marche
est difficile, ne peut se faire qu'avec des béqui
t se faire qu'avec des béquilles, les genoux se croisent pendant la
marche
, les doigts trainent par terre. Les membres sup
agonistes. Le traitement chirurgical, la science systématique de la
marche
et l'orthopédie bien appliqués donnent t de bon
es l'opération il ne faut pas oublier la science systématique de la
marche
. L'auteur a observé bien longtemps dans la clin
uteur les a vu opérer et a assisté il la science systématique de la
marche
. G. DE Majewska. XVI. Des'principes essentiel
née. Le symptôme labyrinthique (signe de liomberg, difficulté de la
marche
dans l'obscurité, surdité, bourdonnement, verti
pas trace d'hystérie, sans aucune hémiplégie ni parésie et dont la
marche
évolutive a suivi jusqu'à la guérison la marche
parésie et dont la marche évolutive a suivi jusqu'à la guérison la
marche
inverse des chorées post ou pré- hémiplégiques
e aigu. Après cette étape d'acuité survient peu à peu un syndrome à
marche
lente en tout semblable à la confusion mentale.
énomènes mor- bides sont en grande partie bien atténués : la malade
marche
sans être soutenue; l'ataxie est peu prononcée,
r lui et qui évolua sous la forme d'une myélite par com- pression à
marche
rapide, sans aucuns symptômes cérébraux. On con
nte-trois ans, en état d'ébriélé, voulut monter sur un tombereau en
marche
; il s'y prit si maladroitement qu'il tomba à c
l'étiologie ou l'anatomie patholo- gique n'expliquent pas, c'est la
marche
régulière de ces paralysies, marche progressive
ique n'expliquent pas, c'est la marche régulière de ces paralysies,
marche
progressive de bas en haut, atteignant successi
tels. Mais resterait toujours inexpliqué ce fait mystérieux de la
marche
progressivement ascendante des lésions. Sans vo
ne s'accompagnerait jamais de troubles sensitifs, présenterait une
marche
plus rapide, une extension précoce aux noyaux b
nte semble pouvoir expli- quer, mieux que toute autre hypothèse, la
marche
ascen- dante et progressive des lésions, la col
xécutent normalement. Dans la station debout, l'attitude assise, la
marche
, tendance à se voûter. Lorsque Gabriel a eu plu
se voûter. Lorsque Gabriel a eu plusieurs attaques consécutives, il
marche
les cuisses serrées l'une contre l'autre, les g
vient, l'enfant peut apprendre de petits morceaux de récitation. La
marche
est maintenant normale. On constate la dispa- r
venaient quotidiennement les trou- bles suivants à l'occasion de la
marche
et surtout de la station debout : c'est d'abord
nt vives. Chaque paroxysme dure de dix à quinze minutes, rend toute
marche
impossible, oblige la malade à s'asseoir ou à s
ent continuellement, il est cependant possible de s'expliquer cette
marche
progressive quand on range le tabes et la paral
base, de lésion de la protubérance. Et d'ailleurs ce n'était pas la
marche
d'une de ces diplégies-là. On ne peut songer à
mer, visite les îles inconnues, pêche des poissons fantastiques et
marche
sur du sable parsemé de diamants. Ou bien à la
Impossibilité de se tenir debout les yeux fermés. I roubles de la
marche
peu accentués, appréciables seulement en faisan
sa capacité et son quantum d'oxygène ; la formation de la fibrine
marche
de pair avec la fixation de l'oxygène libre. On d
ns. Réflexes tout à fait normaux. C'est tout au plus si, pendant la
marche
, on constate un léger affaiblissement de la jam
eau. Mais, surtout, ce malade offre des troubles particuliers de la
marche
: la station debout est possible sans appui, le
ntraîne ainsi le malade en arrière. Or, l'on sait bien que, dans la
marche
normale, la partie supé- rieure du corps doit s
yromanie, le secret de la lutte douloureuse de son esprit contre la
marche
envahissante de la folie, nul ne soupçonnera so
equel il n'y a pas de signes d'affaiblissement intel- lectuel a une
marche
très lente avec des exacerbations et des rémiss
aussi des hallucinations auditives, mais très vagues. Ce délire à
marche
irrégulière, ne s'accompagne pas non plus de sign
e groupes ' : 1° La forme hypochondriaque déjà décrite par Morel, à
marche
chronique, avec des rémissions typiques. Les tr
- sions et d'hallucinations.- 2° La forme chronique àdébutlent, à
marche
rémittente. Les hallucinations et le délire de pe
Westphal et décrivent en plus une forme hystérique analogue dans sa
marche
à l'hypochondriaque, mais sans les rémissions t
dmet pas l'existence des formes aiguës, tout en décrivant des cas à
marche
aiguë, guérissant en quelques semaines ou quelq
dinaire, il existe des maladies à invasion brus- que et inopinée, à
marche
essentiellement irrégulière et ne pro- cédant g
chose systématique progressive » aurait l'avantage d'indiquer cette
marche
ipar stades successifs, mais j'avoue qu'elle es
la majorité des accusés. L'instruction ne' parait pas influencer la
marche
de 120 BIBLIOGRAPHIE. cette criminalité qui v
elle; Lobe cérébral antérieur. Questions orales : 1° Symp- tômes et
marche
de la scarlatine régulière ; anthrax; 2° Signes e
ment par suite de secousses dans les muscles du tronc. Pendant la
marche
, sans appui, il se produit, bien plus souvent q
es dans les jambes et quelquefois aussi dans le dos, ce qui rend la
marche
difficile, quelquefois même impossible; si au c
trémités inférieures et du tronc, au point de rendre quelquefois la
marche
à peu près impossible. Il en était de même chez
frayeur, un camarade l'ayant poussé dans l'eau ; aussitôt après, la
marche
, qui était en train de s'amé- liorer, redevint
bes qui lui causait des difficultés pour marcher. Insensiblement la
marche
devint de plus en plus pénible, au bout de quat
comme un homme ivre. Enfin, depuis deux ans déjà, non seulement la
marche
mais aussi la station sont devenues tout à fait
marcher. Il sent du reste très bien la nature du sol sur lequel il
marche
. Les membres supérieurs, présentent des phénomè
lieu de sa course un très léger mouvement de recul, puis reprend sa
marche
. Il n'existe aucun trouble de la sensibilité. L
r lui l'expression d'un état mental faible par leur étiologie, leur
marche
continue et rémittente, etc. D'ailleurs, l'exer
ont que l'interprétation ou naissent de l'inconscient. Il étudie la
marche
de la systé- matisation, surtout dans le délire
ola 1 (1883) montrent le développement spécial de ces délires, leur
marche
chronique sans démence proprement dite, leur cu
int culminant de la maladie. Le déve- loppement, les caractères, la
marche
, les transformations ou associations, les termi
eil, tendance à affecter une situation latérale du côté gauche ; la
marche
et la station debout ne sont possibles qu'à l'aid
apha- sie ; démence croissante, cécité, ptyalisme, troubles de la
marche
, accentuation des réflexes tendineux à droite, ab
t, la main gauche amène 28, la droite 24 (côté paralysé). La malade
marche
maintenant sans traîner la jambe; elle a repris
e à soutenir qu'il y a lieu de distinguer une vésanie ou psychose à
marche
progressive et chronique dont les périodes succ
les soient soumises à une incubation lente, et qu'elles suivent une
marche
, une coordination et une systématisa- tion spei
er sur le caractère essentiel de cette maladie mentale, à savoir sa
marche
systémati- quement progressive par stades invar
s'accrocher des deux mains au deux roues de derrière d'un fiacre en
marche
. S'il est au lit, quelquefois on observe les ph
en raison de l'état intellectuel de V..., de lui faire préciser la
marche
exacte de cette sensation. On peut seulement sa
ication éthérée. Amélioration de l'état mental coïncidant avec la
marche
de la tuberculose pulmonaire. Mort. Autopsie. -
les bras collés le long du corps. Dans la salle il ne se lève et ne
marche
que quand on le pousse dans la direction où il
ur ses genoux ou bien debout ayant les bras le long ZD du corps. Ne
marche
que si on le pousse et souvent il reste suspend
ourdonnements d'oreille, qu'elle était d'abord très inégale dans sa
marche
; mais qu'il n'avait jamais eu ni d'écoulement p
t pour détruire les adhérences, réduire la déformation et rendre la
marche
possible. Peut-être pourrait-on aller beaucoup
rit froid, sentit dans les mollets un frisson et des pincements; la
marche
lui était un peu difficile à cause des sensatio
ours eu dans les mollets une sorte de serrement, qui lui rendait la
marche
un peu difficile; il continuait cependant à mar
s de l'étiologie, de l'évolution, du complexus symptomatique, de la
marche
. Pour lui, il n'y a pas là plus d'hérédité qu'a
persécution pour certains, de grandeur pour d'autres. Quant à la
marche
, quelques auteurs n'admettent-ils pas des délires
t à la marche, quelques auteurs n'admettent-ils pas des délires à
marche
aiguë, chose incompatible avec une idée de dégéné
occasionnelle constatable ou de tout état morbide émotif, qui a une
marche
ni uniforme ni continue, mais cependant essenti
rative par suite de la tare héréditaire ou constitutionnelle, de sa
marche
chronique et à début insidieux, de sa symptomat
. Toutes ces variétés peuvent se combiner et nous aurions ainsi une
marche
: . 1 LA. PARANOÏA. 397 Salemi-Pace (1885) di
anie. On retrouve des deux côtés la même symptomatologie, la même
marche
(hallucinations surtout de l'ouïe, nature et évol
a délirante, les délires des dégénérés et le délire chronique. Leur
marche
, très longue, aboutit rarement à une démence vé
ession; aucun accident pupillaire ni vésical. Phthsiie pulmonaire à
marche
rapide. Autopsie. Dégé- nérescence des cordons
eur, et il est heureux de pouvoir ainsi prpvoquer le rire. Quand il
marche
, son allure est très disgracieuse : il renverse
jouter que le délire chronique n'est pas la seule forme délirante à
marche
chronique dont l'exemple nous soit fourni par l
d’un fait isolé peut nous faire voir une confusion apparente dans la
marche
de la nature : pour faire disparaître cette confu
temps et de tous les lieux, la seule peut-être dont l’oubli arrête la
marche
de toutes les autres. CLINIQUE MAGNÉTIQUE. SE
« N’y a-t-il pas, en tout cela, un:symptôme manifeste d’arrôt dans la
marche
grandiose imprimée au «/•nie humain par les hom
. En ajoutant une connaissance à celles que vous possédez déjà, votre
marche
sera moins incertaine, vous aurez plus de lumière
t vouloir rappeler l’histoire de ce sa-ve’ticr, voulant contredire la
marche
des planètes. « parce qu’il avait constamment les
C’est ainsi que la science s’est constituée; elle n'eut point d’aulre
marche
. Voyez Galilée, Harvcy, Jenner et mille autres :
tendîmes jeter. Nous la trouvâmes couchée sur le dos en travers des
marches
de l’escalier, le tronc roide comme une barre d
ur ramasser une vérité précieuse, qui pourrait les éclairer dans leur
marche
; laissons les médecins au chevet des agoni&a
in, ne sont point destinées à ceux qui les punissent. Le magnétisme
marche
donc vers ses fins; chaque jour le bien qu’il peu
rce dans la vigne où je l’avais conduit. Après un moment d’examen, de
marches
, de contre marches, il en a indiqué une un peu
ù je l’avais conduit. Après un moment d’examen, de marches, de contre
marches
, il en a indiqué une un peu au-dessus de celle
le point de réunion, formant un V, soit entre elles deux. Le sourcier
marche
, et dès qu’il arrive sur nn endroit où se trouve
rience ; c’est celle-ci : Quelle est l’influence du traitement sur la
marche
des maladies? « Dans les hôpitaux comme dans la
sage; mais, sachez-le bien, la maladie suit le plus habituellement sa
marche
, sans être influencée par la médication dirigée c
il se promène dans son officine en s’écriant : « Voyez, Mesdames, je
marche
; plus « de douleur : je Crois aü magnétisme, je m
, Mesdames, je marche; plus « de douleur : je Crois aü magnétisme, je
marche
. » Le l*c jaiîlet on vit M. B**“ savourer les dél
» le ‘22, elle s’écriait en courant vers sa mère: « Oh ! mon Dieu, je
marche
, « mais je ne sens plus rien de mon mal... je mar
h ! mon Dieu, je marche, « mais je ne sens plus rien de mon mal... je
marche
... « Voyez, mère, je marche; mes jambes sont dése
ais je ne sens plus rien de mon mal... je marche... « Voyez, mère, je
marche
; mes jambes sont désen- « fiées. » Le 25, les j
hoir. « C’est encore au signal donné par un spectateur que Prudence
marche
en avant ou en arrière, selon que la volonté de M
, sans compter, j’en ai brûlé « pour des sommes considérables. « Ma
marche
, dans les États de Votre Majesté, a « toujours ét
tter la France, et «c’est ce qu’on appelle inhumanité.: comme si ma «
marche
n’avait pas été forcée ! « Dans la balance de l
. dormez... » La magnétisée pousse un grand éclat de rire, se lève,
marche
dans le salon et fredonne une romance. Le magnéti
lus en plus ; elle s’y soustrait un instant par un violent effort, et
marche
cette fois dans la direction du magnétiseur, qui
cessa ; et, se sentant beaucoup mieux, elle se lève, prend un bâton,
marche
, en tenant les meubles et la muraille, une partie
n risque un pas, puis deux ; la confiance en elle-même revient ; elle
marche
, danse, gesticule en tous sens; sa joie était au
A sept heures et demie du matin elle me rend visite sans bâton ; elle
marche
sans douleur ni roideur. Rentrée à sa maison, ell
eu de l'accueillir d’une insulte banale, Sonnez, hérauts, sonnez sa
marche
triomphale : C’est l'aigle qui prend son essor.
chirèrent les langes qui le retenaient au berceau et imprimèrent à sa
marche
naissante une ardeur juvénile. Cedurant,station
à calculer la force et la vitesse îles courants magnétiques ; cette
marche
est la plus positive qu’on puisse prendre, mais m
la nuit et île s’occuper d’aucun travail pendant le jour. La moindre
marche
, la moindre fatigue, augmentaient encore son mal,
vers lequel nous tendons sans cesse. On travaille pour se reposer; on
marche
pour goûter on sommeil plus doux ; on pense pour
iplôme et sans patente, sauver l’humanité de l'erreur et accélérer sa
marche
dans la route du progrès. Peu ont la modestie de
questions, que jusqu’ici elle n’avait pu résoudre, sur la cause et la
marche
do sa maladie. e Je puis aujourd’hui, me dit-el
trouvaient dans la loge. Je lui demandai alors quelle avait été la
marche
de la guérison. « L’humeur psorique, me répondit-
onnaissances acquises, mais bien dans une louable émulation, dans une
marche
incessante et continue vers le progrès. « A M.
u du chant, fait parfaitement sa partie dans les morceaux d’ensemble,
marche
, agit et fait des gestes, suivant les exigences d
e peut remplacer les bons et mauvais effets de leurs actions. Cette
marche
est la seule qui puisse faire contracter à l’homm
che jamais le rivage, qu’il ne trouve jamais le fond, que toujours il
marche
, et que presque toujours avant d’arriver il succo
les nôtres. S’il étudiait davantage les faits que nous produisons, sa
marche
n’en serait que plus certaine, plus assurée. FA
re cesser ce somnambulisme, mais personne n’y songea. Le magnétisme
marche
, marche ! — Le magnétisme aujourd’hui occupe tou
ce somnambulisme, mais personne n’y songea. Le magnétisme marche ,
marche
! — Le magnétisme aujourd’hui occupe tous les esp
encore être demain, et que c’est en vain qu’on se plaindra. La vérité
marche
à pas do géant; une découverte s’est faite, vous
toutes parts ; il pénètre à travers toutes les fissures sociales; la
marche
progressive des sciences, les merveilles de nos d
aussi elle a de peine à s’établir. L’histoiro montre lentes dans leur
marche
toutes celles qui entraînaient de grandes réforme
son impétuosité s’accroît de la résistance, et, l'obstacle vaincu, sa
marche
n’en esl que plus rapide; semblable au coursier d
un cas de Labadie-Lagrave [cité en thèse Fréchou (4)], a arrêté la
marche
de l'affection dans un cas de Lannelongue. Mais
t particulière et qui frappe tout de suite l'observateur. La malade
marche
d'une façon un peu gênée sans aucune altération
duite au prorata de la remarquable atrophie musculaire. Notre femme
marche
en maintenant sa tête un peu en arrière dans une
te rétro-sternale appa- raissait et forçait le malade s'arrêter; la
marche
un peu longue était de même impossible, non cau
les crises angineuses s'espacèrent et diminuèrent d'intensité ; la
marche
fut-plus facile, la tension artérielle se relev
s géographiques, au moins pendant quelques minutes consécutives. La
marche
lente ne s'accompagne pas de douleurs du côté du
que de douleurs et sensation de froid dans le pied droit pendant la
marche
. En janvier 1906, il ressentit des douleurs trè
là contraction répétée et exagérée de ces mus- cles dans la mise en
marche
des baguettes. On pourrait multiplier les exemp
capacités fonctionnelles pour tous les actes qui exigent la mise en
marche
des mêmes muscles que ceux qui agissent dans l'ex
te que tous les actes de la vie courante qui nécessitent la mise en
marche
des extenseurs sont mal exécutés, ou bien le ma
ent que l'aveu d'une erreur est le moyen le plus sûr d'accélérer ta
marche
vers la connaissance de la vérité. z(1) Henry M
on chronique; pas de signes ou de symptômes de pellagre. Début et
marche
de la maladie. - Dans le mois de juin 1908, quelq
poque. La crampe des écrivains, quelle que' soit sa forme, suit une
marche
généralement progressive, dans les cas où elle
exercice, mais n'apparaît point en dehors de la profession, pour la
marche
notamment. Le docteur de Ranse a bien voulu nou
cependant ce phénomène n'apparaissait pas dans les mouvements de la
marche
ou dans les autres mouvements volontaires. La m
che et en bas pendant la lecture, mais de temps en temps pendant la
marche
ou la position de- bout, la même inclinaison de
obtenus. 6° Dar..., 21 ans. Début précoce de l'affection. L'enfant
marche
tard, vers 6 ans seulement; jusque vers 9 ans,
. L'enfant marche tard, vers 6 ans seulement; jusque vers 9 ans, il
marche
assez bien, mais ne peut pas courir. A partir d
ficulté telle qu'il a dû finalement aban- donner toute tentative de
marche
. Il garde le fit, ou reste assis sur une chaise
s, se limitent à un petit nombre de jointures et n'of- frent pas la
marche
extensive et progressive qui caractérise le rhuma
é- flexes se font normalement. Pas de trouble de l'équilibre ; la
marche
est lente ; la malade semble lever difficilemen
précis de l'existence de la côte cervicale. Le tableau clinique et la
marche
de la maladie de leur côté témoignent clairemen
chez les tabétiques ou les hémiplégiques : « Tant que l'alaxique ne
marche
pas, il va bien ; mais il suffit de le met- tre
ar l'absence de causes appréciables, infectieuses ou autres, par la
marche
progressive et fatale de l'affection. Mme Mic
allons relater, le malade a été emporté par une syphilis nerveuse à
marche
rapide, la moelle présente les lésions d'une my
, sans localisation précise, et le tronc en ceinture. Peu à peu, la
marche
devenait difficile, les mictions pénibles, nécess
les symptômes qui pouvaient se rapporter à une mé- ningite, sur la
marche
de la maladie au début et, en outre, sur la premi
s symptômes s'étaient amé- liorés, mais ils persistent encore. Elle
marche
assez bien, même pendant 10 kilomètres, si on l
s petite, elle est seulement un peu affaiblie. En conséquence, elle
marche
aussi assez bien. Le réflexe patellaire a dispa
al de la malade pendant les premiers temps passés à la clinique, la
marche
des troubles moteurs correspond parfaitement à
ucun autre symptôme que la parésie du 6° nerf à droite. L'enfant ne
marche
pas bien, sans montrer toutefois aucun trouble
as bien, sans montrer toutefois aucun trouble caractéristique de la
marche
. Les réflexes tendineux et plantaires sont norm
n haut fait courber le corps en avant. On se rend bien compte de la
marche
des réflexes. Pas de réflexe maxillaire. La sen
se fatiguait beaucoup plus facilement qu'avant ; de plus pendant la
marche
, il était obligé de prendre une attitude particul
nous nous fatiguons plus dans la station debout fixe que pendant la
marche
; dans la station debout l'énergie motrice se c
énergie motrice se consomme sans se renouveler, tandis que, dans la
marche
, grâce aux vibrations incessantes, les cellules s
ce d'autre maladie que la rougeole ; il n'eut pas de retard dans la
marche
; il peut toujours marcher et courir normalement.
vie (il est mort à l'âge de soixante dix ans) il avançait avec une
marche
qui rappelait celle du fils. Mais cesparticular
t se continuer encore pendant plusieurs années . Si nous suivons la
marche
de la convalescence aussi dans les autres cas o
- bisme interne de l'oeil gauche. Vers la fin de l'année 1906, la
marche
déjà difficile, par suit" des déforma- UN CAS D
Depuis lors, jusqu'au moment de l'examen actuel, les troubles de la
marche
se sont accentués ; l'équilibre est devenu très
ed droit. Il traîne cette jambe en marchant, il présente pendant la
marche
aussi bien que pendant la station verticale de
illeure, il se maintient mieux dans la position verticale. 26. La
marche
est moins sûre, il doit être soutenu, autrement i
culaires s'exécutent assez bien, mais avec une certaine lenteur. La
marche
. Le malade ne peut marcher que soutenu, et alors
et les pieds écarlés. Le pied droit tourne en dedans pendant qu'il
marche
, de sorte que le malade s'appuie sur le bord exte
he, de sorte que le malade s'appuie sur le bord externe du pied. La
marche
est très irrégulière et spasmodique. Le tronc ne
e conserve l'attitude fléchie des membres inférieurs. Soutenue,elle
marche
avec les genoux en flexion, les pieds écartés,
noter une amélioration manifeste de son état intellectuel et de la
marche
. Nous avons également observé une amé- lioratio
empêcha pas de marcher et ne lui occasionna au- cun trouble dans la
marche
. Ses pieds étaient restés quelque peu déviés avec
lis anticus, les péronilis de droit et les gastro-cnemii. Dans la
marche
le patient steppe d'une manière évidente; il osci
ule- ment ne s'est pas améliorée, mais le sens de faiblesse dans la
marche
a toujours augmenté et il s'est aperçu aussi de
et des jambes), est très faible. MU 43 654 ALESSANDRINl Dans la
marche
le patient manifeste un évident steppage ; il osc
s, il se porta toujours bien sans aucun trouble appréciable dans la
marche
; à partir de ce moment il commença à se produi
es réflexes profonds, l'absence d'importants troubles sensitifs, la
marche
plutôt lente, les secous- ses fibrillaires. D
eut pas s'agir d'une poliomyélite chronique, soit en considérant la
marche
, soit parce que paralysie et atrophie muscu- la
lent l'abolition des réflexes profonds supérieurs et inférieurs, la
marche
de la maladie, et l'intégrité des nerfs moteurs
non plus d'une myopathie prothopathique par la 656 ALESSANDRlIVI
marche
de la maladie, qui a progressé de l'extrémité dis
ype Charcot-Marie par l'absence de troubles sensitifs, parce que la
marche
est relativement plus rapide et enfin parce que
omyélie en considérant l'absence de notables troubles sensitifs, la
marche
relativement rapide et la grande extension des
ire, qui est suivi par une atrophie musculaire ; celle-ci prend une
marche
progressive et, petit à petit, atteint un grand
ni lui, ni sa parenté ne se rap- pelaient les particularités de la
marche
de la maladie ; toutefois il est certain que le
letrapéze, les scalènes, les intercostaux ne sont pas atteints. La
marche
de la maladie dans notre cas a été chronique,prog
omme dans l'atrophie du type Aran Duchenne. Il y a encore des cas à
marche
rapide récidivante comme ceux décrits par Lando
es envi- ronnants ceux atteints en premier lieu, et n'avait pas une
marche
progres- sive. Toutefois, comme il arrive le pl
. Thèse de Paris, 1881. LANDouzy et DRJERiNE. Paralysie spinale à
marche
rapide. Revue de médecine, 1882, Ne 8-12. Bal
à peu près nor- male. Les mouvements des épaules sont normaux. La
marche
est légèrement parétique. Les muscles du tronc so
nomme ataxie aiguë. Car il a observé dans 5 cas des troubles de la
marche
qu'il veut expliquer comme une ataxie. Toutefoi
, Wickman a également observé une ataxie, une fois une ataxie de la
marche
d'un type cérébelleux et deux fois une ataxie d
e détermine pas la fonction des organes, mais les met simplement en
marche
. La cellule nerveuse est adaptée à la fonction
PL1NDIN, 682. Moelle (Lésions dans une syphilis du nc·'- vraxe a
marche
rapide) (2 pl.), par AL- QUIER, 368. Myasthén
pation), par Macé de Lépinay, 65, 189, 289. Syphilis du névraxe à
marche
rapide, le- sions de la moelle (2 pl.), par Alq
ésions de la moelle épinière dans un cas de syphilis du névraxe à
marche
rapide (2 pl.), 368. - et F,vunç-I3r.wur.rcu. A
ure scapulaire (Rimbaud et ANGLADA), XVIII. Syphilis du névraxe à
marche
rapide ALQUlER), XLI et XLII. Tatoués : leur
35°,8. Après le décès (5 mai) elle était de 38 ? i et a eu enfin la
marche
suivante : SCLÉROSE TUBÉREUSE. 35 Sur la face
normales; les autres sens sont intacts. Pas de paralysie ; l'enfant
marche
et court sans assistance. Il est sou- vent malp
t pas été modifiés. Pour les 3 autres, les tableaux montreront la
marche
des accès avant et après le traitement. 86 THÉR
; c'est ce que nous observons le plus clairement en com- parant la
marche
élastique d'un soldat hien discipliné à la lour
exercer notamment les groupes de muscles dont la faiblesse rend la
marche
impossible, est une chose que nous rencontrons
s sont aussi fréquentes qu'en 1890-91, elles ont exactement la même
marche
et le même caractère (bras, face, jambe gauches
ofiter de la présomption prépondérante, ce qui fut fait. Mais si la
marche
fut ce qu'elle est toujours en pareil cas même
e rétention d'urine, et en 1898, une parésie des jambes qui rend la
marche
très difficile. A l'heure actuelle, la démarche
n ignore à quelle époque la denti- tion a été complète. Début de la
marche
à neuf mois, de la parole à onze mois Propre à
e syphilitique spinale d'Erb avec quelques diffé- rences quant à la
marche
: incoordination légère des mouvements des jamb
la capsule interne. Les fibres de la région maculaire n'ont pas une
marche
spéciale dans les voies optiques où elles suive
lade n'est pas celle que Strumpell lui attribue. Le pronostic et la
marche
sont les mêmes qu'il y ait ou non intervention
s se ressemblent par leurs symptômes, leur mode de production, leur
marche
, c'est qu'ils ont la même cause. Sans doute, di
SOCIÉTÉS SAVANTES. 163 atteint après son frère, de pronostiquer la
marche
de la folie chez lui par l'observation de ce qu
égénératif, survenant d'une manière tout à fait irrégulière et sans
marche
ni évolution précise, ce qui n'est pas ici le c
ne part des signes de tabes, abolition des réflexes, troubles de la
marche
, troubles capillaires, douleurs fulgurantes et
aient présenter une importance. Ce sont des faits qui tiennent à la
marche
si souvent 220 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
. 1 flOO, na 10.) Chez une souris endormie par suite d'une longue
marche
, l'écorce du cerveau ne présente pas, d'après :
et des aliénés qu'ils sont parvenus à suivre le dévelop- pement, la
marche
évolutive des facultés intellectuelles, et puis,
nt, la marche évolutive des facultés intellectuelles, et puis, leur
marche
régressive, les conditions dans lesquelles ces fa
is- sent certaines modifications spéciales des symptômes et de la
marche
de la maladie. C'est donc par erreur que quelques
et fantastique des idées délirantes et enfin la tendance ou à une
marche
circulaire ou à une démence progressive. Toutes c
par l'absence d'idées de grandeurs et de délire ambitieux et par sa
marche
plus lente.' Un grand nombre d'auteurs lui assi
cas de névrose d'angoisse, ne saurait douter que le tableau et la
marche
cliniques diffèrent absolument de la neurasthénie
ellules. Les maladies caractérisées par un état d'agitation ont une
marche
plus modérée; dans les asiles, où le système d'
mme suffisant. Or, on peut montrer que non seulement la forme et la
marche
du phénomène se comprennent au mieux par l'expl
ystérique par son étiologie, par les symptômes concomitants, par la
marche
1 Remarquons que tout le monde est d'accord pou
ul Riciiiiii et LoNDE (de Paris). Les mouvements d'en- semble de la
marche
se présentent sous deux formes principales : ty
aniaque- dépressive n'apparaitqu'àlapériode d'involution sénile. La
marche
remarquablement rapide et favorable de l'accès
rcice qui a causé sa chute. Comme appui pour la rééducation de la
marche
, nous nous servons d'abord de la béquille ; plus
sans l'aide d'une seconde personne. - Les premiers exercices de la
marche
consistent en exécution des mouvements cardinau
ts bancs, jusqu'à ce qu'il arrive à mettre son pied sur la première
marche
de la plate-forme (fig. 7), qui lui servira pou
tement mécanothérapique DES hémiplégiques. 359 la rééducation de la
marche
. Grâce à lui, nos hémiplégiques arrivent à marc
is donné de bons résultats. En ce qui concerne la rééducation de la
marche
, nous ne partageons pas également l'opinion de
iangle de stabilité. D'où il résulte, que pour la rééducation de la
marche
chez les hémi- plégiques, il faut obtenir une l
ltante de deux autres pieds. Parfois on est obligé de décomposer la
marche
en trois, quatre, cinq temps, etc. Dans un cas,
ulu nous confier, nous fûmes obligés de commencer l'éducation de la
marche
par la pose- du pied en quatre temps, le malade
eut être placée à volonté sur la plus grande, qui forme la première
marche
de la plate-forme. Celle-ci est munie de deux c
rationnels, les facteurs indispensables pour la réédu- cation de la
marche
( De telle sorte, la mécanothérapie devient Fig.
ieur exige plus de temps et de sagacité, que la rééducation de la
marche
, car les mouvements du membre supérieur sont plus
DES HÉMIPLÉGIQUES ? 569t; tures qui forment souvent des freins à la
marche
propres-. sive de l'amélioration chez les hémip
r ne se myélinisent pas en même temps ; 2° la loi de Flechsig de la
marche
cellulifuge de la myélinisation n'a pas été confi
re déterminé de régions d'après leur myélinisation, étant donnée la
marche
con- tinue du procédé; 5° on retrouve encore ch
ÉDECINE. Application du cinématographe à l'élude des troubles de la
marche
dans les maladies nerveuses; par Marinesco (de
M... rappelle les travaux de Muybrige, Marey, Paul Richer, sur la
marche
normale, ceux de Gilles de la Tourelle sur la mar
Richer, sur la marche normale, ceux de Gilles de la Tourelle sur la
marche
pathologique. La méthode des empreintes qu'empl
s, suivant la juste remarque de P. Richer. M. Marinesco étudie la
marche
dans l'hémiplégie organique et dans la paraplég
marche dans l'hémiplégie organique et dans la paraplégie organique,
marche
qui comporte un certain nombre de variétés. L'a
est remarquable non seulement au point de vue du mécanisme de la
marche
, mais a aussi son intérêt par sa signification an
légie hystérique, il y a lieu de remar- quer que le mécanisme de la
marche
n'est pas toujous le même, comme l'avait admis
es désignent souvent par ces formules significatives : « mon esprit
marche
malgré moi; il y It deux personnes en moi », es
travailler, sont réunis dans les cours de l'hospice et exercés à la
marche
comme les soldats à l'exercice. L'imitation est u
cette action conduit à d'autres. 446 VARIA. « Pour commander les
marches
et les évolutions, je n'emploie jamais aucun su
un malade dont les tendances doivent être irrésistibles puisqu'il
marche
dans la vie dépouillé du sexe qu'il extériorise s
on épileptoïde, le signe de Babinski indiquent une altération de la
marche
(1 rC étape de la myélite typhoïdique). L'exi
nt voisin deux employés pour le surveiller et il remit son train en
marche
, tandis que la sonnette d'alarme, agitée fréné-
r Erb, ayant été mis à même de suivre jour par jour, dès le début, la
marche
des symptômes, a vu, le neuvième jour, la contrac
l n'est pas rare, dans les cas de cegenre,que l'atrophie musculaire à
marche
ra-pide, foudroyante en quelque sorte, annoncée p
s la paralysie motrice qui, dans la grande majorité des cas, ouvre la
marche
, le premier fait qu'on constate en semblable occu
: 1 ° La première est relative aux lésions en foyer ou diffuses, à
marche
aiguë ou subaiguë, qui intéréressent, dans une gr
invasion des premiers symptômes. L'émacia-tion des masses musculaires
marche
d'ailleurs avec rapidité et devient bientôt manif
mple, et pour ainsi dire d'une manière accidentelle. L'amyotrophie, à
marche
progressive dans ce second cas, peut être dite sy
juillet 1866, l'in-coordination était assez prononcée pour rendre la
marche
difficile. Un de ces accès, qui eut lieu en juin
rendant difficiles et parfois impossibles la station verticale et la
marche
. En revanche, quand elles sont au repos et qu'auc
signalés parmi les symptômes les plus importants de la maladie. La
marche
de la paralysie agitante est lente, progressive.
sprit et de corps, et fréquemment, sans qu'il en ait conscience. La
marche
, même s'il s'agit des membres supérieurs, l'actio
d'hébétude empreinte sur la physionomie. La parole est libre. Dans la
marche
, qui se l'ait à petits pas, la malade a les bras
peine de leur siège, hési-ter durant quelques secondes à se mettre en
marche
, puis, une fois lancées, prendre malgré elles l'a
ition aux malades dont nous venons de par-ler, il en est qui, dans la
marche
, tendent à reculer ou à se ren-verser en arrière,
tronc incliné en avant, enfin elle se décide. Lente tout d'abord, la
marche
progressivement s'accélère, et, après un parcours
même légèrement, a lïmproviste, par sa jnpe, pour que, aussitôt, elle
marche
en arrière et que le mouvement rétrograde se préc
l'on pourrait appeler période terminale. L'affection pour-suivant sa
marche
, la difficulté des mouvements augmentant, les mal
re lorsque la névroglie fait place au tissu fibrillaire, bien qu'elle
marche
alors d'un pas plus rapide. L'hyperplasie des par
ythmique tout spécial dont sa tête et ses membres étaient, pendant la
marche
, violemment agités. Vous avez constaté égalemen
il contribue parfois, pour une bonne part, à rendre la station ou la
marche
titubante, presque impossible. 11 ne faut pas con
'abord. Il paraît lourd, difficile à mouvoir ; le pied tourne dans la
marche
, au moindre osbtacle, ou le membre entier fléchit
rement que soutenue par deux aides, on a noté ce qui suit: Pendant la
marche
, les pieds sont un peu projetés « comme chez les
r son siège que par son mode d'envahissement, l'atrophie musculaire à
marche
progressive. 11 m'a été donné de reconnaître deux
s suivants au point de vue de l'ataxie locomotrice : difficulté de la
marche
, les yeux étaient fermés: nolion de position îles
esser dans son lit oupour en descendre et met-tre te pied à terre. La
marche
, que n'interdit pas toujours d'une façon absolue
mière. Elle est entrée à la Salpêtrière en 1869; nous suivons donc la
marche
cle sa maladie depuis quatre ans. Quelle est la
palement dans le pied qui se renversait en dedans. Novembre. Berthe
marche
sans boiter; le pied droit se renverse encore que
lusion. Observation. — Huit semaines de convulsions hystériformes à
marche
apy ré-tique et sans danger apparent. — Revjjxyie
genoux se fléchissent, puis se redressent à chaque instant ; si elle
marche
, elle est à tout moment menacée de tomber. Les mo
e problèmes difficiles (1). 1. Voici quelques renseignements sur la
marche
ultérieure des accidents chez la malade qui a fai
et à marcher après hésitation, s'avance d'abord à petits pas, puis la
marche
se précipite, il y a propulsion. « Parfois, dit G
. Charcot, de tirer légè-rement la malade par sa jupe. Aussitôt, elle
marche
à reculons et avec une vitesse telle qu'elle ne t
Pour se retourner, la malade hésite encore plus que pour se mettre en
marche
. Le tremblement est à peine accusé, surtout au
ison latérale qui fait que la moitié droite du corps précède, dans la
marche
, la moitié gauche. Maintenant les lèvr'es sont
e dans mon cabinet, j'ai été frappé immédiatement de la lenteur de sa
marche
et, en général, de tous ses mouvements. Son attit
également quelque chose de tout à fait caractéristique. Il se tient,
marche
et s'assied tout d'une pièce ; on le dirait empot
reste, pas traces d'em-barras dans l'articulation des mots. M. R..
marche
le corps incliné en avant; il progresse à petits
et raideurs musculaires. — Bave. — Attitude générale. — Lenteur de la
marche
. — Latéropulsion. — Aspect de la phy-sionomie. —
e vers le côté gauche. {Latéro-pulsion.) Au repos, comme pendant la
marche
, la tête reste immobile, lé-gèrement fléchie. Les
syphilis, ni alcoo-lisme. A la fin de 1871, R... a remarqué que la
marche
était parfois chancelante et qu'il se produisait
ndre son service jusqu'en 1873. Alors reparurent la dif-ficulté de la
marche
, surtout après une station debout prolongée, et l
ettre debout, les membres décri-vent de légères oscillations. Dans la
marche
, les jambes fléchis-sent souvent tout à coup et l
ement, ecchymoses, etc. Peu de temps après, fenflure et ta gêne de la
marche
persistant encore, elle s'aperçutque son pied tre
ns pas besoin de faire remarquer que ce n'est pas précisément là la
marche
obser- vée dans les cas plus récemment publiés.
oudre la question de l'influence que les deux maladies ont sur la
marche
l'une de l'autre, il ne croit pas possible de « r
s en exprimant l'idée que la paralysie géné- rale paraît arrêter la
marche
de l'ataxie locomotrice; il cite le cas d'un ma
locomotrice ». Dans d'autres cas les deux maladies suivraient leur
marche
parallèlement. Quoi qu'il en soit, bien que Bai
uvénile vient de s'imposer lorsqu'une aggravation très rapide de la
marche
de la maladie nous permit de trouver à l'autops
s fonctionner car on n'entend plus de bruit. Au port voisin rien ne
marche
plus; dans la fabrique voisine tout est arrêté,
en était en réalité. Observation II. Sommaire : Folie périodique à
marche
irrégu- lière ayant débuté en 1882. Hérédité vé
écédents et par exclusion des autres causes. L'affection suit une
marche
progressive ascendante pouvant durer plusieurs
nérale sans délire est très commune. J'ajouterai que la forme et la
marche
de la démence de la paralysie générale ont une
ongue période préparatoire. De plus, cette paralysie générale est à
marche
lente, comporte des rémissions, des intermissio
hésies sus-iudiquéesne se montrent maintenant qu'à l'occasion de la
marche
et de la sta. tion debout, elles cessent dès qu
(thyroïdectomie, ligature des artères thyroï- diennes, etc.). La
marche
de la maladie est mal connue, les malades restant
suit que cette atrophie présente une topographie commandée par la
marche
de la gliose. Cette marche de la lésion nous perm
résente une topographie commandée par la marche de la gliose. Cette
marche
de la lésion nous permet de résoudre quelques p
x membres. Après l'accident, le malade regagne seul son domicile et
marche
droit. Peu à peu il se plaint de violentes doul
s, la paralysie des bras disparait presque complètement; le patient
marche
sans appui. La force motrice n'a pas subi d'attei
lutition et, plus tard, des symptômes ou lésions de la base. , La
marche
ultérieure de notre observation dira si l'on est
iodure, etc.), la malade ne bénéfi- ciait d'aucune amélioration; la
marche
de l'affection était toujours progressive. Au
ment en sens inverse : la paralysie s'étendait de bas en haut. La
marche
de l'affection est aussi variable suivant le cas.
est aussi variable suivant le cas. D'après l'avis de Westphal, une
marche
rapide aboutissant à une mort précoce serait la
taloff et Nikiforoff vingt et un jours. Nous voyons cependant une
marche
bien différente dans le cas d'Ollivier, où la d
de cette partie. Les condi- tions étaient les mêmes dans les cas à
marche
rapide, publiés par les auteurs ; le sarcome ne
roubles psychiques post-opéra- toires, on ne saurait leur fixer une
marche
ni un pronostic définis. A ce point de vue, cha
folie 218 SOCIÉTÉS SAVANTES. post-opératoire n'a pas suivi une
marche
proportionnelle à la dimi- nution de la suppura
ent électrique qui aggrave son état, se développer une phobie de la
marche
. Tandis que chez lui il marche assez facilement
at, se développer une phobie de la marche. Tandis que chez lui il
marche
assez facilement, il ne peut sortir de chez lui n
s, trépanés depuis plusieurs années et dont les accès ont suivi une
marche
progressivement croissante aboutitssant dans qu
es mollets etdu visage, sont affectés chez le lépreux. En outre, la
marche
de l'atrophie chez ce patient n'est pas compara
nt. L'atrophie optique précoce correspond aux ataxies tardives et à
marche
lente. A. M. LXXII. Étiologie des névroses; par
e joue tant que le courant veineux circule, tant que la respiration
marche
. Autant dire qu'il y a des milliers de petites
éprochable fraîcheur. P. KERaVaL. XVIII. DE QUELQUES variétés DE la
MARCHE
ET DE la course; par le Dr P. BICHER. (Nouv. lc
ues sans raccourci. L'auteur laisse de côté le type ordinaire de la
marche
et de la course qu'il a décrit antérieurement; il
mpensations, les réactions qu'il entraîne, successivement, dans les
marches
banales (à recu- lons, avec un fardeau sur l'ép
gée, sur un plan ascendant, descendant, dans un escalier), dans les
marches
expressives (enthousiaste, sournoise), dans la
r), dans les marches expressives (enthousiaste, sournoise), dans la
marche
« en flexion », la marche sportive et la marche
ssives (enthousiaste, sournoise), dans la marche « en flexion », la
marche
sportive et la marche pathologique. A propos de
sournoise), dans la marche « en flexion », la marche sportive et la
marche
pathologique. A propos de la marche en flexion,
ion », la marche sportive et la marche pathologique. A propos de la
marche
en flexion, dont il a été beau- coup parlé réce
ey et de M. Laveran, qu'elle est en réalité plus fati- gante que la
marche
ordinaire et susceptible même de produire des t
paralysie très irrégulière dans son mode de pro- duction et dans sa
marche
. Dans les commencements elle est pas- usagère,
malade, pour la première fois surtout il n'est pas renseigné sur la
marche
des accidents survenus dans le cours de l'épile
à étudier l'influence d'une lésion hépa- tique intercurrente sur la
marche
et la symptomatologie de la folie chronique et,
ronique, d'une affection du foie n'en modifie ordinai- rement ni la
marche
ni les symptômes. Tout au plus le trouble hépat
le cours de la folie chronique n'en modifie pas nécessairement la
marche
et la symptomatologie. Elle peut cependant pro-
e altérée et diminue-t-elle au sur et à mesure des progrès et de la
marche
de la lésion du mouve- ment, se demande M. Dago
ôt les fibres d'un troisième. Aucune régularité, aucune loi dans la
marche
de ce processus à l'allure désordonnée, qui sem
res à l'âge, aux conditions des vaisseaux, à l'installation ou à la
marche
de la maladie mentale même. Il semble plutôt tr
dans ces connexions produit un trouble mental. Nous connaissons la
marche
des excitations nerveuses de la périphérie au c
me, produisait une modification de la tension musculaire rendant la
marche
difficile, du tremblement des mains en écrivant
e (Mendel) et d'autres troubles du côté du système nerveux ; 12° la
marche
et le mode d'apparition de la maladie ne se dis
érébrales et celle de la circnlation du cerveau suivent chacune une
marche
propre. La fermeté de l'attention se manifeste
de la deuxième semaine qui suit la section de la moelle (méthode de
marche
) ; elle atteint dans les faisceaux directs céré
uicides des mineurs s'accroissait de 17G p. 100 ( ! ), devançant la
marche
si accélérée et si attrayante des adultes. Ce phé
au, qui servent à fixer l'idée mélancolique; elles entretiennent la
marche
du délire ou l'état d'angoisse. Les organes d
laire est notablement diminuée. Les réflexes rotuliens diminués. La
marche
est lente et difficile di cause de la diminutio
aires sont LES MÉLANCOLIQUES. 4't douloureux à -la pression. La
marche
est normale. Les autres organes sont sains. La
ars 1895, ne présen- tant rien de pathologique du côté physique; la
marche
est un peu difficile, ce qui tient à l'état psy
Les réflexes des fléchisseurs et des extenseurs sont augmentés.' La
marche
est bonne. Les réflexes rotuliens exagérés. La
a force musculaire est diminuée. Le réflexe rotulien est normal. La
marche
n'est aucunement troublée. La sen- sibilité gén
ements aux membres supérieurs. La force musculaire est diminuée. La
marche
est normale. Le réflexe rotulien est aboli. La
nts de la langue et des doigts. La parole courante et normale. La
marche
est bonne. Le réflexe pharyngien parait un peu di
stic n'en reste pas moins démontré par l'ensemble des symptômes, la
marche
de la maladie et la des- cription anatomo-patho
choréique '.identiquement aux deux cas ci-dessus, même forme, même
marche
, senium précoce, démence, a une fille athétosiq
tion, par flaccidité de la capsule articu- laire. La capacité de la
marche
s'aggrave quand l'hypotonie est inégalement gra
ment et de la même manière sans cause connue, et qu'elle a pris une
marche
tout à fait égale, rend pro- bable la suppositi
si important ; cette polynévrite était intéressante en outre par sa
marche
extensive qui la rappro- chait de la maladie de
ux central. Parmi les premiers, les néoplasmes intra-craniens où la
marche
de la tempé- rature peut être la même que dans
forte chaîne passée deux fois autour de sa ceinture et fixée à une
marche
d'un escalier. La pauvre femme gisait sur une p
l'étendue du corps, localise mal. Le goût et l'odorat pervertis. La
marche
lente et sans sûreté. Comme parole il est à not
érien presque abolis. Il n'y a pas de trépida- tion épileptoïde. La
marche
est normale. La sensibilité générale conservée
ne sont pas augmentés. Il n'y a pas de trépidation épileptoïde. La
marche
normale. La sensibilité générale paraît relardé
minués, presque abolis. Il n'y a pas de trépidation épileptoïde. La
marche
est difficile. Le malade marchant les yeux ferm
s indications dignes d'intérêt. Dans un cas de paralysie générale à
marche
rapide, les prépara- tions faites par l'auteur,
du tact à mesure que les troubles moteurs sont plus accusés et la
marche
croissante de l'anormalité avec l'accentuation de
deux éléments écologiques étaient tout, l'alcool surtout, c'est la
marche
inverse que nous aurions trouvée : le maximum d
onstate à la première période des troubles du tact, n'auront ni une
marche
aiguë ni une longue évolution de leur maladie;
nitiale, augmente de fréquence à mesure que l'affection paralytique
marche
pour atteindre son maximum à la période termina
on maximum à la période terminale. Quant aux affaiblissements, leur
marche
s'est relevée plus capri- cieuse et parait écha
la première période, à en juger par l'évolution de nos cas, que la
marche
de la paralysie générale ne sera ni suraiguë ni
aigu est à faire avec la fièvre typhoïde qui s'en distingue par la
marche
régulière de la température, l'éruption, la dia
de fièvre, au caractère conscient du délire, à ses prodromes, à sa
marche
, etc. L'anatomie pathologique est mal connue et
oxo-fémorale ; les articulations du genou prennent seules part à la
marche
et le malade, pour éviter une position fatigant
Le petit nombre de cas observés ne perm -t pas encore de fixer la
marche
de la maladie. Jusqu'ici aucune autopsie n'a pu ê
onnaissance. Rien, ni dans les antécédents de la malade, ni dans la
marche
des accidents, n'a permis de soupçonner une lés
e l'évolution systématique et la complexité croissante, suivant une
marche
cyclique. D'autre part, les psychoses ordinaire
y a déjà chan- gement du ton de la personnalité, d'où, le délire à
marche
divergente; tandis que le persécuté reste toujo
tiques homologues se ressem- blent tous, affectant même début, même
marche
et terminai- son brusque. Pendant l'accès, le m
e sur des jambes de coton. 111. V... marchait avant la chute; il ne
marche
plus après le traumatisme. C'est donc le trauma
r sur ces diverses lésions (basophobie) et enrayer cérébralement la
marche
. C'est donc le traumatisme et l'immobi- lisatio
xique immobilisé par trau- matisme. La gymnastique de Frenckel, les
marches
et exercices réglés et bien dirigés, le massage
BLESSURE DE LA MOELLE. 353 en extension forcée, et le pied, dans la
marche
s'appuie seul par les extrémités des doigts (éq
peu connue : « Une paralysie grave, plus ou moins géné- ralisée, à
marche
aiguë ou subaiguë, accompagnée de douleurs spon
ion, et ce n'est qu'après avoir tout prévu, tout organisé et mis en
marche
, qu'il demanda luirmeme à être relevé de ses fo
se plaint surtout de ce qu'elle appelle une très grande fatigue. La
marche
est pénible ; il me semble, dit-elle, que les m
s de la partie antérieure de la cuisse furent pris à leur tour ; la
marche
devint alors absolument impossible. Aux membres
au contraire; pas de trépidation épileptoïde du pied; pas de dé-
marche
spasmodique, mais du steppage. Donc, raisons pour
de la parole, les patésies durables à gauche, la persistance et la
marche
progressive du trem- blement, l'atrophie muscul
nt complet, à la vieillesse, le second. Même dans le cours de cette
marche
suivie de recul, 430. BIBLIOGRAPHIE. l'acti
la sensibilité; tels les convulsions, les tics, les troubles de la
marche
, les paralysies psychiques, qui ne peuvent pas
euse. Dès lors il n'y a rien d'extraordinaire à lui voire suivre la
marche
des affections nerveuses. La statistique a mont
intégrité des sphincters, urines nor- males. La paralysie suit une
marche
rapidement ascendante, mais respecte la face. L
uin varus; leur pointe et leur bord externe sont seuls', pendant la
marche
, en contact avec le sol qu est raclé, pour ainsi
iminue ; cette amélio- ration est plus marquée aux jambes ; mais la
marche
est toujours difficile, et lorsque, tenu parles
jours plus tard. On l'apporte à l'Hôtel-Dieu deux semaines après ;
marche
impossible, stupeur marquée, intelligence obtus
semblables à ceux qui exis- taient dans notre observation IV et la
marche
progressive de cette paralysie ascendante pouva
phie considérable des deux membres inférieurs, paraplégie complète,
marche
impos- sible, pieds tombants; la malade ne peut
s de lui donner une certaine allure martiale. Il se tient droit, la
marche
est ferme, même un peu raide et n'a rien de l'a
eure, des acci- dents convulsifs qui, par leurs prodromes, par leur
marche
et aussi la bénignité des phénomènes consécutif
teur dans la parole et les idées. La voix est nasillarde. La malade
marche
en se dandinant, avec hésitation, se gardant bi
de lenteur. Sans présenter une hésitation proprement dite dans la
marche
, la malade n'osait plus trop s'aven- turer dans
ue, aux bras et aux jambes. La force musculaire était affaiblie, la
marche
chancelante, la préhension peu énergique. Il ex
nation dans les mouvements des membres supérieurs et inférieurs. La
marche
, les yeux fermés, était incertaine, et dans la
nférieurs. La marche, les yeux fermés, était incertaine, et dans la
marche
ordinaire, la malade fixait constamment le sol,
ois d'épithélioma ulcéreux du col de l'utérus. Celte affection a sa
marche
ordinau·e. ? , 1 t , Le 11 septembre 1878, cett
les extrémités supérieures au repos, de la titubation pendant la
marche
et à la fois l'attitude de la femme grosse (rejet
s vomissements, la dyspnée intense, précèdent, puis accompagnent la
marche
graduelle- ment croissante des troubles moteurs
s éléments nerveux à des stades divers qui suivent, elles aussi, la
marche
de l'agrandis- sement de l'octasie centrale.
nclinée en avant et fixe , le tronc était aussi penché en avant; la
marche
était difficile. La force mus- culaire et la se
; en même temps la rigidité et le tremblement disparaissaient ; la
marche
devenait plus animée; la tète et le tronc se re
icularités remarquables : l'intensité des phénomènes nerveux ; la
marche
de l'affection, procédant, pour ainsi dire, par
d'ataxie locomotrice avec anes- thésie plantaire, ce qui rendait la
marche
très difficile, particulièrement avec les yeux
la science, cette opi- nion nous paraît la plus vraisemblable. La
marche
de l'affection est ordinairement lente; il est
blement par la fièvre. Ce fait semble- rait donc indiquer que si la
marche
de l'hystéro- épilepsie est modifiée par certai
le plus souvent dans l'épi- lepsie vulgaire. Voici d'ailleurs, leur
marche
de 1871 à 1881 : RECUEIL DE FAITS. 185 III. L
mot ne faisait pres- sentir l'existence des lésions pulmonaires, à
marche
chronique, que nous avons rencontrées à l'autop
si muette pendant des mois ; une troisième croit remarquer que la
marche
et la station provoquent des sensations douloureu
tique la place qu'elles avaient presque abandonnée ; en un mot tout
marche
à souhait pendant plusieurs jours..., quand aus
diminution de la sensibilité, de la difficulté consécutive, de la
marche
, de la sensation de « corps élastique » qu'il épr
nnonce d'un incendie; une autre, atteinte de paraplégie, se lève et
marche
à la rencontre d'un frère qu'elle n'avait pas vu
ence, de la constipation, il accuse une certaine difficulté dans la
marche
, etc., et cependant on décou- vre que l'enfant
ossesse, sauf une frayeur violente dès le début, aurait affecté une
marche
normale. La nécropsie démontre : de l'anémie de
ibuts d'une intoxication cérébrale; angoisse extrême des prodromes,
marche
impétueuse, hallucinations, états exta- tiques,
vingt ans. Le principal intérêt de cette observation réside dans la
marche
de la maladie, l'affection se présentant au début
abduction, permet à peine l'ouverture de la mâchoire, s'oppose à la
marche
; langue étroite et pointue, dysphagie. Intégrité
as progressivement comme la chorée vulgaire. Ces caractères de la
marche
la différencient encore des chorées rhythmiques d
en distingue par quelques-uns de ses symp- tômes, et surtout par sa
marche
et sa terminaison. Cil. F. XI. Le délire des gr
gauche. Le pied était fortement ren- versé en dedans, et pendant la
marche
, ilreposait sur le sol par son bord externe. Le
s prononcée au membre inférieur; la jambe traîne à peine pendant la
marche
, le malade peut même se tenir debout sur le pie
cu- laire ne dépasse pas encoie cinq divisions au dynamomètre; la
marche
est plus facile. Les phénomènes locaux ne s'ame
est médiocrement déformé, et ne repose que sur la pointe dans la
marche
. Peau : cheveux noirs, clair-semés', sourcils e
il mai. T. R. 38°,2. Soir : T. R. 38". 13 mai. T. R. 38°. La plaie
marche
vers la cicatrisation com- plète. - Soir : T. R
à 10 h. du soir. T. R. post nzortcnz : 411,6.- Les accès ont eu la
marche
suivante : janvier, 4 ; février» 27; mars, 14;
ence. En effet, de dix-huit mois à quatre ans, Dub... se développe,
marche
librement, parle sans difficulté, est propre, a
des autres cas par leur mode de début, leur symptomatologie, leur
marche
et leur pronostic. Dans la pseudo-paralysie des a
mme, la pseudo-paralysie des alcooliques se distingue autant par sa
marche
que par ses symptômes; elle parait aussi distinct
lle n'avait pas marché plus de 3 minutes de suite, le mouvement de la
marche
exaspérant ses douleurs. Je procédai par insinu
usses, les préjugés qui peuvent, sinon entraver, du moins retarder la
marche
du progrès scientifique. Il importe peu, il est
a avec une fierté justifiable qu'il avait supporté les fatigues d'une
marche
forcée et toutes les épreuves de la bataille. Com
ontingent. Les médecins ont constaté des analogies frappantes dans la
marche
comparative de ces deux formes morbides. Elles se
inuera à faire des victimes ; cependant, si nous tentons d'enrayer la
marche
du mal. nous aurons déjà fait quelque chose d'uti
berté apparaît plus tard chez eux ; mais dès quelle a commencée, elle
marche
d'un pas plus rapide et se termine en même temps
basés sur l'étiologie et l'évolution de l'accès, sur son invasion, sa
marche
, ton délire, sur la forme et le contenu du délire
lire, sur la nature des intermittences qui séparent les accès, sur la
marche
générale des accès, que ceux-ci soient simples, i
nés de diverses manières, mais présentant toujours une évolution, une
marche
et des caractères généraux communs qui les réunis
longue phase de là maladie. Après avoir passé en revue l'invasion. la
marche
, le déclin de l'accès de folie intermittente et i
'est la transformation du délire, le persécuté devenant ambitieux. La
marche
de la maladie est progressive, sa durée longue, s
la seule progression normale, en respec-tant d'autres t'ourles Je la
marche
. On doit donc considérer ces troubles comme des s
e des signes associés et non pas responsables des modifications de la
marche
De même Binswanger n'admet pas la conception de C
un trouble — de nature hystérique probablement - de la fonction de la
marche
, Binswanger croit qu'il s'agit d'une obsession an
de mystique relatives au spiritisme, troubles de la mémoire et de la
marche
. A l'entrée, la malade est incapable, même souten
me les actions automatiques secondaires. En effet. les troubles de la
marche
et de la station debout qu'elle présente réalisen
ui avait tout à fait l'aspect d'une j démente et qui était impotente,
marche
aujourd'hui seule et sans appui, coud, travaille,
, une véritable entité morbide, à trois périodes distinctes, ayant sa
marche
, ses terminaisons et son pronostic propres, était
espace vide existait dans le cerveau et que j'allais mourir. Quand je
marche
et que les mauvaises idées me prennent, je dois m
faible, visage rouge, yeux larmoyants, tremblements dans les muscles,
marche
difficile, vomissements tous les matins, douleur
suggestion est suivie d'effet pendant 2 heures, le travail reprend sa
marche
naturelle jusqu'à onze heures du matin. A onze
le travail de l'enfantement, cette expérience a réussi a suspendre la
marche
de l'accouchement pendant trois heures, les contr
stion, c'est tout d'abord la suppression de l'inertie utérine et la
marche
de l'accouchement régularisée sans avoir recours
euses que j'ai faites, à plusieurs reprises, d'arrêt prolonge dans la
marche
du travail n'ont eu pour but que d'établir ce fai
nt d'horûtons nouveaux. Le livre de M. Tarde marque une étape dans la
marche
de la science pénale. On pourrait l'appeler la sy
es nominaux ou secondaires. Les crimes, comme le» délits, suivent une
marche
ascendante, et cela parce que toutes les circonst
le moindre cri si je ne lui avais pas affirmé que cela activerait la
marche
de l'accouchement. Elle avait cependant beaucoup
hement en état hypnotique, on s'est borné à constater quelle était la
marche
du travail, mais sans faire de suggestion relativ
fait jusque maintenant les expérimentateurs, à observer quelle est la
marche
de l'accouchement dans les différents étals hypno
la tète en avant, et son pied se prit entre le nez et le giron d'une
marche
. Elle s'était fait une entorse terrible. Je banda
nt ni plus courtes, ni plus longues. — Chez un sujet réchauffé par la
marche
, les vapeurs des doigts s'élevaient au double et
assurée pour 1891. Les progrès de l'Association ont donc suivi une
marche
régulièrement ascendante. NOUVELLES Société d
ements combinés, tels que le frottement d'une main contre l'autre, la
marche
en avant sans pouvoir s'arrêter; d'autres fois en
verra un peu plus tard. Cette malade dans l'état où elle est (état B)
marche
très bien, sans boiter; elle est hystérique et pr
. Dans l'état A, la malade, qui tout à l'heure marchait parfaitement,
marche
péniblement et est astasique abasique, trouble am
. 5° Le médecin adjoint entre alors dans la chambre en simulant une
marche
irrégulière (boitant) et s asseyant avec difficul
eur avait à peu près disparu au repos, mais elle se réveillait par la
marche
, et la malade continuait & se tenir inclinée
er pendant son sommeil, lui suggérant l'absence de douleur pendant la
marche
et la possibilité de redresser le corps, de s'inc
gênent la respiration ot s'exagèrent par le simple toucher. La malade
marche
courbée en deux et ne peut pas se redresser, comm
épigastrique et ombilicale sans déterminer de douleur. Mais la malade
marche
encore courbée en deux, et si on veut la redresse
ovoqué. Mais je ne puis immédiatement déraciner la douleur pendant la
marche
. Aussitôt qu'elle veut se redresser, soit pendant
jambe sont possibles, mais les mouvements sont douloureux. Le malade
marche
très péniblement, le eorpt fortement incliné à
gauche et en avant, les deux mains appuyées sur un bâton ; pendant la
marche
, le membre reste dans l'extension, en abduction,
des douleurs et la possibilité de marcher normalement. Au réveiL il
marche
sans bâton, à peu prés droit, penchant beaucoup m
uie les trois quarts de la plante du pied sur le sol. 18 mars. — Il
marche
aujourd'hui sans canne et appuie toute la plante
cuisse ne détermine plus de doulour. 2* suggestion. — Au réveil, il
marche
tout à faii bien. 19 mars. — Idem. N'accuse plu
, guéri. En résumé, des douleurs diffuses dans la caisse rendant la
marche
presque impossible, datant de douze jours, ont ét
bre inférieur droit lui semble alors plus court que le gauche ». La
marche
lui était possible jusqu'aujourd'hui; il ne se fa
Je l'ai vu le 18 septembre. Il a maigri, ne quitte plus son lit. La
marche
est possible mais lente, difficile. Le malade é
Varsovie. Un mois avant sa mort il nequitteplus son lit, quoique la
marche
lente soit encore possible. Une forte douleur d
mil- lement) dans le dos, le ventre et les membres inférieurs. Elle
marche
difficile- ment à cause des douleurs qui augmen
ochondre droit, où les sensations sout un peu con- fuses. La malade
marche
sans appui, tient raide sa colonne vertébrale. Qu
très douloureuse. Au mois de sep- tembre l'état persiste. La malade
marche
en se tenant raide. La force muscu- laire des m
ortes dans la position assise, dans la position de- bout et dans la
marche
. Quand le malade se reposait couché elles se calm
DE la COLONNE vertébrale 61 Etat actuel.- Le malade est amaigri. Il
marche
lentement, boitant un peu du côté gauche (comme
t TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTEBRALE 63 la
marche
elles se calmaient et s'exaspéraient la nuit. Au
le malade ne peut pas marcher sans être aidé. Tenu sous les bras,il
marche
lentement avec effort. La marche est paréto-spast
s être aidé. Tenu sous les bras,il marche lentement avec effort. La
marche
est paréto-spastique. La jambe est plus touchée
r apparaît quand on comprime la Ire. vertèbre lombaire. Le matin il
marche
habituellement mieux. La nuit les jambes se plien
temps il y a des secousses, surtout dans la jambe droite. 23. - La
marche
est toujours la même. La nuit, contractions muscu
niens et les membres supérieurs ne présen- tent rien de notable. La
marche
est paréto-spastique, impossible sans aide, la
courant élec- trique, s'échauffe, le malade reste couché dessus ou
marche
avec, la com- presse recevant le courant électr
casion de voir de près et d'étu- dier sur place, quelques heures de
marche
du village, le plus saisissant tableau morbide
route de sa maison à l'école du village, situé à une bonne heure de
marche
au bas de la montagne. Selon les renseignements
13ERTOLOTTt Bientôt cette forme de steppage alla en empirant et la
marche
devint im- possible sans le soutien des béquill
selon moi, est due simplement à la disposition des pieds pendant la
marche
, alors que cette marche avec des béquilles étai
ement à la disposition des pieds pendant la marche, alors que cette
marche
avec des béquilles était encore possible chez ell
l'odorat. Le sens stéréognostique est conservé. L'équilibre et la
marche
sont normaux. Pas de signe de Romberg. Léger tr
ARCHAND et convulsifs : ils ont présenté une symptomatologie et une
marche
sem- blables à celles des accès mélancoliques a
s, dont l'origine n'est pas connue. Résumé. Dans le cas actuel la
marche
de la maladie fut tellement atypique qu'on a fa
s disparaissaient pour quelques jours. Elles croissaient pendant la
marche
et le travail. Le malade est allé Bousk, où il
tout le membre inférieur gauche. Les douleurs augmentaient dans la
marche
à tel point que le malade était obligé de reste
ymptomatiques des tendances des savants contemporains. Cependant la
marche
en avant ne pourra s'opérer tant que le cerveau n
te du mécanisme com- plet, d'emblée parfait, tel le mécanisme de la
marche
chez le poussin ; c'est alors l'hystérique de n
incomplet qui a besoin d'être perfectionné, tel le mécanisme de la
marche
chez l'homme. Est-il besoin de faire remarquer
travail. Il présentait entre autres le trouble suivant : pendant la
marche
, la cuisse gauche était immobilisée en flexion su
urbure de compensation de la colonne. Donc par le seul examen de la
marche
et de.la station debout on arrivait à cette con
la hanche en flexion, se produisant seulement à l'occa- sion de la
marche
. Le reste de l'examen confirmait l'hypothèse de s
mouvements mettent en évidence la raideur de tout ce côté. L'enfant
marche
à petits pas, en plongeant du côté droit, les m
GÉNITALE 237 cinquième. La malformation n'a aucune influence sur la
marche
; le quatrième métatarsien n'a en effet qu'un r
paralysé des deux membres inférieurs; actuellement, dit la mère, il
marche
, apprend à lire, mais urine au lit. Les deux de
e parlait. La première dent n'apparut qu'à 13 mois; la parole et la
marche
commencèrent à plus de deux ans ; le gâtisme ne c
os rond, légèrement voûté au niveau de la région cervico-dorsale et
marche
à petits pas. Dès qu'on l'aperçoit, on est immé
de sensibilités, des troubles de la parole, confusion, voix faible,
marche
impossible et enfin, bien que l'on continuât la
sistance plus grande que la normale. Pas de grands troubles dans la
marche
. On XXIII 20 Fio. 1, - Montre l'hémiparésie g
s quelques jours seulement, l'objection tombe quand on considère la
marche
de la maladie dans mon second cas. Là, le patient
aussi on voit un notable affaiblissement. Le pied est immobile. La
marche
est impossible. La sensibilité est affaiblie de
lant jusqu'à une li- mite nette sur l'abdomen et en premier lieu la
marche
fatale toujours progressive de l'affection, tou
ssez longtemps le malade continue sa manière de vivre habituelle et
marche
sans difficulté. Il est à noter que .même à une
é de l'hôpital. Deux mois plus tard il y est de nouveau rentré ; la
marche
était devenue tout à fait impossible et la limite
enfler, parfois elle était obligée de se servir d'une canne tant la
marche
était difficile. Depuis 8 mois, elle garde le l
rtie supérieure du corps parlaient contre la sclérose en plaque. La
marche
de la maladie ne correspondait pas à l'affectio
degré que la malade ne pouvait mettre ni de souliers, ni de bas. La
marche
était encore possible et ne causait pas de fatigu
* 350 FLATAU debout, on le soutient ou il s'appuie sur le lit. Il
marche
avec difficulté en chancelant. Etant couché, il
ériostaux de même, pas d'atrophies. Membres inférieurs. - La malade
marche
en boitant du côté droit, comme si elle avait l
ement des douleurs pendant un certain temps et l'amélioration de la
marche
, la malade ne boitait pas. Peu après l'état s'e
lus vif), les achilléens faibles. Les plantaires normaux. La malade
marche
, mais avec des grandes précautions, lentement,
des grandes précautions, lentement, en se plaignant de douleurs. Sa
marche
rappelle celle des mala- des souffrant de coxit
née à terme, a été nourrie par sa mère. La dentition, la parole, la
marche
, se montrèrent chez elle en temps normal. A 13
arquée dans la déambulation : incertitude qui s'accentue quand elle
marche
dans l'obscurité. De temps en temps, dans ces d
ES ARTHROPATHIES TABETIQUES DE LA COLONNE VERTÉBRALE 4<9 Dans la
marche
, les mouvements sont un peu incertains et incoor-
e à s'arrêter brusquement ou à tourner sur elle-même tandis qu'elle
marche
, on observe de brusques oscillations de tout le
ations encore plus manifestes quand l'ordre est donné pen- dant une
marche
à yeux clos. La patiente ne réussit pas à se teni
aduel des membres inférieurs amenait l'impossibilité complète de la
marche
. On observe ensuite des contractures des membre
ule. Elle descend seule l'escalier. Cinq mois après l'opération, sa
marche
s'était tellement améliorée que per- sonne n'eû
, sa jambe gauche devient raide d'une manière sporadique pendant la
marche
, les dou- leurs envahissent cette jambe de même
- dement que dans le cas de tumeur. Dans quelques cas la sclérose à
marche
chronique que nous avons pu observer les derniè
issait bien moindre. Il est connu que les tumeurs méningées ont une
marche
oujours progressive, il part de courtes période
face dorsale et repose en partie sur l'un de ses voisins dévié. La
marche
n'est en rien gênée. L'axe des segments phalang
après, l'amélioration était bien évidente ; deux mois plus tard, la
marche
était possible. Une malade de Schullze pouvait
ant duré huit ans en- viron. Le début se fit par des troubles de la
marche
qui augmentèrent petit à petit, puis survinrent
isés aux abords des petits vaisseaux. On peut très bien suivre la
marche
envahissante de l'inflammation de- puis l'adven
arler ; la pousse.de ses dents ne montre qu'un léger retard et elle
marche
déjà assez bien. L'examen somatique systématiqu
e garde quelques instants la position qu'on imprime ses membres. La
marche
est impossible surtout à cause de la rétraction t
lysé) ces mêmes mouvements passifs s'exécutent facile- ment. - La
marche
est impossible. La sensibilité douloureuse est
a sénescence, ou invo- lution sénile du cerveau, sur la forme et la
marche
des psychoses, est peu connue. Pourtant la pres
t grossièrement leur expérience journalière. En outre, l'éclosion, la
marche
et la terminaison sont totalement différentes d
uand il est arrivé à sa maison, et qu'il a voulu monter la première
marche
de l'escalier, la douleur est devenue très forte
fet, d'une tumeur s'infiltrant clans- la masse cérébrale et dont la
marche
envahissante ne fut nullement arrêtée par l'opé
gement de l'appareil et l'évolution du processus réparateur eut une
marche
oscillante avec les applications d'air chaud. Pen
cessives. Peut-être les images étaient.elles distribuées pendant la
marche
du cor- tège par certains figurants : cela para
lésion spécifique on peut attribuer ces bras en écharpe et ces dé-
marches
pénibles ; le rhumatisme syphilitique si rare, au
ôtés, stase papillaire bilatérale, tituba lion en station debout et
marche
, penche a droite, réflexe patellaire dr. plus for
R. Pourquoi faire ? On répète l'ordre. Il exécute le mouvement. Il
marche
sur injonction, tou- jours avec la même attitud
me une sénile, mais ne présente aucun trouble caractérisé de la dé-
marche
. Elle n'a pas en particulier la démarche des lacu
supérieurs et inférieurs aussi bien à droite qu'à gauche. La malade
marche
avec lenteur comme une grande sénile, mais il n'y
s plats, ce qui d'ailleurs ne le gêne pas pour accomplir de longues
marches
. Membres supérieurs. Grande envergure : 1 m. 88
rd et raconte sans cesse ses prouesses amoureuses et les nombreuses
marches
qu'il a faites à pied sans la moindre fatigue.
à le provoquer en exerçant une pression sur le nerf trijumeau. La
marche
de la maladie, son début à l'âge de l'adolescence
u thymus. Malgré cela la maladie porte le caractère d'une maladie à
marche
lente. Il faut noter également que notre malade
rs 17 ans. En octobre 1879, au moment de son entrée à St-Julien, la
marche
était pos- sible, mais pénible ; la malade avai
Si nous demandons au malade de marcher avec les yeux ouverts, il
marche
assez facilement, à moins que son ataxie ne soit
t, à moins que son ataxie ne soit pas trop avancée. Dans ce cas, la
marche
est plus difficile, les pieds sont écartés de 20
aire nous prions le même malade de marcher avec les yeux fermés, sa
marche
devient immédiatement beaucoup plus difficile :
nant le bras, ou en lui donnant une canne pour s'appuyer, le malade
marche
beau- coup plus facilement, l'équilibre est mie
bles consécutifs à l'hypotonie dans la station bipède et pendant la
marche
; mais il nous semble qu'on ne la trouve que rar
jouent le rôle principal dans l'altitude de station bipède et dans la
marche
. Nous disions tout à l'heure que si le malade p
tement. On comprend maintenant que, si le malade est debout ou s'il
marche
, n'étant plus fixé dans ses articulations, surtou
qu'ils trouvent un point d'appui pendant les différents temps de la
marche
, leur corps risque moins de perdre son équilibr
urs articulations et, quand il s'agit de la station bipède et de la
marche
, de l'absence de fixité de la tête du fémur dans
tandis qu'avant ils présentaient le signe de Romberg. Si le malade
marche
, on observe que, quoique ses pas soient limités,
auparavant. En somme, notre malade, quoique se servant d'une canne,
marche
tout seul, descend l'escalier, sort dans la rue
deviennent avec le temps des parétiques. La station debout et la
marche
deviennent de plus en plus difficiles, la stati
a station sur un pied, soit restant sur place, soit quand le malade
marche
et doit s'appuyer à un moment donné seulement s
fant, qui avait alors quatre ans et demi, se serait endormi sur les
marches
d'un escalier de pierre ; à son réveil. son nez
n'y a pas eu de mortification. A présent que nous -avons indiqué la
marche
des lésions, nous pouvons décrire leurs différe
s de Guiraud), qui nous a paru avoir une influence favorable sur ia
marche
de l'affection. 402 AKA LT LAFON Il nous pa
xtrémités un peu refroidies et cyaniqlles,d'une fatigue rapide à la
marche
, d'un peu d'abaissement de la température central
nctionuement. Cette répercussion paraît des plus capricieuses et sa
marche
ne peut être déterminée. V. Conclusions. On d
s vu d'exemple, je fis des recherches pour connaître la cause et la
marche
de cette singulière maladie : je vais en présen-
hez plusieurs militaires de la garde impériale : elle a suivi la même
marche
que celle qui s'est déclarée en Egypte ; et nou
ixtes méthodiquement institués avaient été impuissants à arrêter la
marche
de la maladie. Gi..., S2 ans, porteur aux Halle
-Charles, n° 12. Il vient à l'Hôtel-Dieu parce qu'il est faible, et
marche
difficilement... Vieil habitué des salles d'hôp
he de la maladie. Etat en mai 1908 (1). - C'est un homme voûté, qui
marche
difficilement, courbé eu avant, la tète relevée
itué il plusieurs reprises sans succès. 456 GOUGEROT ET GY - - La
marche
devient de plus en plus pénible, le malade se voû
n comparables au début avec les douleurs fulgurantes. Rapidement la
marche
est devenue difficile et LE MÉCANISME DE L'ATAX
s faire réfléchir un instant. Nous' savons, depuis Duchesne, que la
marche
est une réunion de mouvements combinés que nous
servations suivantes. Car, il ne suffit pas d'exécuter pen- dant la
marche
tous les mouvements combinés, coordonnés dans un
étendue, une vitesse et une alternance bien régulière, pour que la
marche
soit parfaite. Déjà au membre supérieur nous av
plus grande qu'il ne fallait. Si nous considérons que pendant la
marche
de pareils malades - que nous verrons immédiate
omprend alors com- LE MÉCANISME DE L'ATAXIE TABÉTIQUE 491 Lien la
marche
chez l'ataxique, présentant les deux groupes des
de l'incontinence d'urine. Avec tous ces phénomènes de tabès, la
marche
était encore satisfaisante jus- qu'à il y a cin
us venons de voir. Ce qui frappe en observant la station bipède, la
marche
, la façon de s'asseoir, ou la façon de se lever
car il pouvait marcher assez bien, mais depuis,et petit à petit, la
marche
a commencé à redevenir difficile, de sorte qu'i
de est très ataxique, et que par conséquent la station bipède et la
marche
sont très difficiles, nous le voyons souvent marc
te des phénomènes ataxiques pendant la station bipède et pendant la
marche
. Nous regrettons de ne pouvoir disposer d'un ci
r est différente de celle d'une per- sonne normale qui se trouve en
marche
. L'homme sain se lève déjà sur la pointe du pie
ments coordonnés, comme il en est pour le mouvement coordonné de la
marche
, et tant de mouvements délicats et fins que nou
'IDIOTIE MYXOEDEMATEUSE. I tremblement, faiblesse et sueurs. Deb...
marche
difficilement. Sueurs dans la nuit. Urines de v
la prononciation est meilleure; les lèvres sont moins violacées; la
marche
, qui d'habi- tude était lente et pesante, sembl
entition imparfaite et en retard. - Encore malpropre à l'entrée. Ne
marche
pas seule. - Premiers mots à deux ans. Affectiv
séjour (elle est devenue propre au bout de quelques semaines). Elle
marche
assez bien, à la condition d'être toujours tenue
e; sa parole est plus nette : . 25 juillet. - L'appétit est bon, la
marche
est plus assurée, la physionomie est plus éveil
teint est moins jaunâtre. Septembre. Gang ! ... est plus alerte, sa
marche
est de plus en plus ferme, elle prêle plus d'at
s mouvements s'assouplissent : la préhension est moins lente ; la
marche
plus légère et plus rapide. La taille se déve-
ois que nous voyons Delannoy, à Mazas, il simule les troubles de la
marche
que l'on observe chez les individus atteints de
des mouvements, dépasse le but ou ne l'atteint pas, aussi, quand il
marche
, a-t-il continuellement les yeux fixés sur ses
les yeux fixés sur ses pieds pour en régler la direction; Delannoy
marche
le nez en l'air regardant de droite et de gauch
le nez en l'air regardant de droite et de gauche. L'ataxique a une
marche
caractéris- tique, il lance ses jambes en avant
ce sujet. Huit jours plus tard, à notre seconde visite, Delannoy
marche
mieux et avoue se rappeler, quoique vaguement, av
ne savait pas ce qu'il faisait. A notre troisième visite, Delannoy
marche
à peu près cor- rectement, en sorte que si nous
mplètement édifiés à cet égard. L'ataxie locomotrice en effet a une
marche
progressive, elle est incu- rable ; Delannoy a
uin en août 1894. 46 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. - reprendre la
marche
sans béquilles. Dans le soixante-deuxième congr
ce de tout phénomène syphilitique ou tuberculeux, aussi bien que la
marche
assez rapide de la tumeur amenèrent l'auteur à
pieds et le signe d'Aryll Robertson. En revanche la rapidité de la
marche
de la maladie, sa terminaison funeste par des cri
nal of mental Science, juillet 1895.) , Par ses symptômes, par sa
marche
, par sa terminaison, par les' altérations const
ymptômes constituerait une entité morbide, une maladie type dont la
marche
est le plus souvent chronique. Tous les malades
it 9 kilogrammes. Elevé au sein par sa mère, sevré à quatorze mois,
marche
à treize mois, parole de bonne heure, mais n'a
e de montrer de l'activité, mais pour un moment seulement. Quand il
marche
, il fléchit sur ses .ïambes, et prend le bras d
lésion locale. Elle peut être insidieuse dans son début et dans sa
marche
, mais plus communément son apparition est tardi
isolée : ses symptômes sont irréguliers dans leur apparition, leur
marche
et leur terminaison, et leurs rapports entre eu
sur la respiration). L'hydrate d'amylène n'a pas d'influence sur la
marche
ordinaire de l'épilepsie, mais il est ulile dan
puis six mois, projection de la tête en avant et à droite durant la
marche
. Affaiblissement et amai- grissement. A l'exa
t de l'inquiétude, et s'accompagnent de perte de connais- sance. Il
marche
rapidement dans la chambre, en vociférant des p
tandis qu'un néoplasme cérébelleux débuterait par de l'ataxie de la
marche
. P. Iil : nnvaL. LVII. Des troubles DE la sensi
la progression de la névrite ascendante qui affecte, justement, la
marche
propre aux maladies infectieuses. Ajoutons avec
cins soucieux de connaître et d'apprécier la nature, la forme, la
marche
et la gravité des troubles si complexes et si var
chez les hommes de cou- leur, une forme beaucoup plus active et une
marche
notablement plus rapide. Les formes très chroni
plus considérable dans la race nègre que dans la race blanche. - La
marche
de la maladie est plus rapide chez le nègre. -
iniquement à une infection primitive, c'est l'hystérie qui ouvre la
marche
par des accidents convulsifs et de la stupeur.
t à une idée de dégénérescence, car elle représente bien plutôt une
marche
en avant sur le chemin de la perfection, car, c
l'enfance - 2° il survient et cesse brusquement - 3° il n'a pas la
marche
intermittente 4° il persiste pendant que cessent
Observation II. Jeune garçon de sèpt ans. Coxalgie tuberculeuse, à
marche
trainante, avec fistule incurable. Puis hyperth
é les premières atteintes de l'affection ; peu après le début de la
marche
et surtout pendant la station debout, il éprouv
de crises étant assis ou couché; pas plus, du reste, que pendant la
marche
accélérée et pendant la course. E. B. LXXIII.
et parfois dans ici ! gauche, tendance à tomber à gauche pendant la
marche
, ataxie dans les mouvements des membres du côté
ssent un élancement dans la cuisse du même côté; après une longue
marche
, une station debout prolongée, les muscles parais
il n'a pas non plus d'action sur les accidents subjectifs ni sur la
marche
de l'accès : par suite, c'est une migraine opht
fectieuses et avec un appareil fébrile, la seconde par pous- sées à
marche
traînante. Aucun des éléments anatomiques ne peut
a la suite de l'infection, des symp- tômes de début, du mode de la
marche
ultérieure. C'est bien affaire d'espèce cliniqu
adultes, par exemple. L'hérédité et le cachet familial manquent. La
marche
de la maladie. est éminemment lente; les paraly
ent où elle part de la peau pour arriver au ganglion intervertébral
marche
en effet vers le centre du neurone qui forme le
éguliers. Le pied est plat. Dans la station verticale qui, comme la
marche
, n'est possible qu'avec des béquilles, la jambe
l et ne repose sur le sol que par la pointe du gros orteil. Dans la
marche
, B... avance ses béquilles simultanément, les m
es, l'état intellectuel, celui de la motilité, le mode de début, la
marche
, la durée de la maladie, sa prétendue curabilit
is vient la dystasie à type cérébelleux, ensuite ces troubles de la
marche
qui ne se produisent qu'au début de chaque mouv
caractérise ainsi : maladie infectieuse aiguë du système nerveux à
marche
progressivement ascendante suivie de rétrocessi
alade en question la basophobie se superpose à l'hémi- plégie et la
marche
déjà rendue difficile par une lésion organique
s le cours d'une fièvre typhoïde. Il s'agit d'une fièvre typhoïde à
marche
absolument anormale qui donna lieu à une erreur
EXPLICATION DES PLANCHES. Planche 1. La ligne rouge indique la
marche
de la température. La ligne bleue indique les m
s atteint de splénisation. ractères anatomiques et de déterminer la
marche
et la nature du processus. Ainsi que nous le verr
t à l'existence de la péri-bronchite. En terminant cet exposé de la
marche
et de la palhogénie des lésions broncho-pneumoniq
il a un peu de fièvre le soir, un peu de toux, d'oppression quand il
marche
, d'ailleurs l'expectoration est peu abondante, mu
lade s'affaiblit de plus en plus. Un peu de toux, anhélation quand il
marche
, fièvre hectique le soir. Le 25, les crachats s
aître dans ses premiers développements, il sera possible d'enrayer sa
marche
progressive. Les exemples de guérison qu'on cite
nie lo-baire par leurs caractères cliniques principaux et même par la
marche
de la température, il existe une forme subaiguë q
ou diffuse, qui ne se différencie de la phtisie subai-guë que par une
marche
plus lente. La pneumonie catarrhale peut interven
de Laënnec. — Doctrine allemande. — Opinion de l'au-teur. — Phtisie à
marche
rapide simulant la pneumonie pseudo-lobaire. — Ph
nombre de faits qu'il a rassemblés et où il s'agit de ces phtisies à
marche
rapide et simulant, aussi bien anatomi-quement qu
s de la motilité vont de pair avec ces symptômes d'hyperesthésie ; la
marche
est difficile, en partie, sans doute, en raison d
nt en même temps qu'ils s'affaiblissent encore, et un jour, enfin, la
marche
et la station même sont devenus tout à fait impos
sent, déjà depuis longtemps, beaucoup de pesanteur, surtout quand il
marche
, l'existence d'une tumeur volumineuse que nous au
rps des taches ecchymotiques et des sudamina. La maladie présente une
marche
continue et reproduit, souvent à s'y mé-prendre,
e, au point que la ma-lade put quitter le lit le vingtième jour; à la
marche
, elle ne se plaignit que de faiblesse et d'engour
t de l'aorte ont été nettement consta-tées à l'ouverture du corps, la
marche
de la maladie et les symptômes ne ressemblaient g
estation (c'est-à-dire lorsqu'il existait des ab-cès) on a observé la
marche
suivante : 1° Une période d'inva-sion caractérisé
algré leur étendue, ne se révèlent par aucun symptôme extérieur. La
marche
de celte affection est essentiellement chronique,
opiques ne sont pas les mêmes au début de la maladie ; d'ailleurs, la
marche
des accidents diffère complète-ment de ce que l'o
uéri par la méthode de Brasdor, Dans les anévrismes de ce genre, la
marche
de l'affection est plus rapide que dans ceux de l
smes de l'aorte. Cette affection, presque toujours mortelle, suit une
marche
régulièrement progressive, et se termine, dans la
seau, plus les phénomènes de com-pression seront pénibles, et plus la
marche
de la maladie sera rapide. Traitement. — Nous v
inale, cette forme spéciale n'a pas une gravité exceptionnelle, et sa
marche
est à peu près la même que celle de l'anévrysme o
'observe que des phénomè-nes de claudication intermittente ; l'animal
marche
bien quand il n'est pas fatigué, mais il commence
e était sujet à des accès de paralysie dou loureuse, provoqués par la
marche
, et dissipés par le repos. Celte oblitération ava
ne de la circulation n'est qu'un épiphéno-mène de la maladie, dont la
marche
dépend essentiellement de la nature et du progrès
car les vais-seaux, et surtout les artères, résistent en général à la
marche
envahissante des tumeurs malignes; mais la scienc
t ce temps, les symptômes se sont dissipés rapidement, et bien-tôt la
marche
est redevenue possible ; mais au bout d'une ving-
e est en repos, couché, assis, ou même dans la station verticale ; la
marche
seule les pro-voque, et encore faut-il qu'elle so
moins mar-quée. Ces accès de paralysie douloureuse, produits parla
marche
, mais disparaissant après quelques minutes de rep
des accès qui se déclaraient soudai-nement et à coup sûr, pendant la
marche
, alors que celle-ci avait duré un quart d'heure o
ent lorsque le malade était en repos, ou lorsqu'il s'était livré à la
marche
pendant moins d'un quart d'heure. Un repos de que
te-ment, ils se reproduisaient plus promptement sous l'influence delà
marche
; ils étaient aussi plus intenses. En dernier lieu
rsque les muscles fonctionnent, lorsqu'ils se contractent, pendant la
marche
ou la course, ces actes chimi-ques s'exécutent av
ctions énergiques et prolongées, comme le sontcelles que nécessite la
marche
ou la course. Les muscles subissent alors, très v
sentiment de froid, qui se faisaient sentir exclusi-vement pendant la
marche
, et qui ne se manifestaient jamais pendant le rep
ar le fonctionnement du membre, c'est-à-dire pendant l'exercice de la
marche
. A cet égard, il s'agit, vous le voyez, d'une isc
fait, sous l'excitation du fouet, tous ses efforts pour continuer la
marche
malgré la boiterie, pré-sente des symptômes qui,
iez détrompés, car au bout de quelques minutes, d'un quart d'heure de
marche
, tout recommence, la crise reparaissant avec tous
e sorte une infirmité incu-rable. Ainsi, voilà un cheval qui, au pas,
marche
avec une al-lure normale; mais à peine a-t-il été
que voici : dans le membre inférieur droit, après un quart d'heure de
marche
, fai-blesse, engourdissement, puis raideur généra
troubles après un repos de cinq à dix minutes. Avec la reprise de la
marche
, retour des accidents. Ce sont bien là, vous le v
de crampe. Après quelques minutes de repos, la douleur cessait et la
marche
re-devenait possible, pendant cinq minutes, et ai
icu-laire aigu, avait succombé à la suite d'une affection cérébrale à
marche
aiguë, et caractérisée surtout par du subdélirium
oir, rap-pelons que, dans des circonstances où la maladie affecte une
marche
très aiguë, l'apparition de la gangrène est parfo
tre question, M. Charcot en a observé d'autres que, en raison de leur
marche
, il désigne sous le nom de pneumonies abortives —
de Laënnec. — Doctrine allemande. — Opinion de l'au-teur. — Phtisie à
marche
rapide simulant la pneumonie pseudo-lobaire. — Ph
il y a de la trépidation épileptoïde à droite, pas de trouble de la
marche
, instabilité légère les yeux fermés, pas d'inco
4 diamètre filière Charrière, li droite très dilatée 21, pendant la
marche
léger affaissement du côté gauche. Le 16, paraî
ent les mêmes et l'évolution de la maladie paraît devoir garder une
marche
assez lente. Du sens génital étudié chez les' m
se dit usé jusqu'à la corde; il prétend n'avoir pas de force et il
marche
toute la journée; à l'entendre son tube digesti
ais la durée et le degré de la fièvre n'ont aucune influence sur la
marche
et l'issue de la maladie. En effet, celui des c
up inclinent à nier abso- lument le rôle de l'individualité dans la
marche
des événements historiques. D'après eux, l'indi
ation d'une époque, il ne peut donc avoir d'influence active sur la
marche
des événements historiques. Ces événe- ments, p
il l'affirme dans l'humanité, et c'est l'éducation qui en presse la
marche
, en mettant en jeu et en dirigeant le mécanisme
enfin synthétique. L'enfant doit suivre dans son évolution la même
marche
qu'a suivie l'humanité dans l'histoire. Il faudra
prêtre officiait. Puis avant qu'on pût l'en empêcher, il gravit les
marches
de l'autel et, se tournant vers les fidèles, il
tley sous le nom d'actions automatiques secondaires est conservée :
marche
,exercices manuels, professionnels, etc... Le
valeur. Il y a peu de maladies spinales chroniques qui suivent la
marche
lente de ces tumeurs spinales. Une laminectomie e
ère du type habituel de l'une et l'autre de ces deux affections. La
marche
de la poliomyé- lite antérieure habituelle est
ire épargnés. Dans aucune de ces deux affections -nous ne notons la
marche
nettement progres- sive de la maladie de Landry
nt la paralysie de Landry, disait qu'elle était caractérisée par sa
marche
ascendante progressive avec terminaison fatale,
bilité électrique et par les résul- tats négatifs de l'autopsie. La
marche
ascendante progressive est essentielle; mais, c
hten regarde les lésions de la syringomyélie comme démontrant cette
marche
des divers faisceaux sensitifs.Dans notre premi
faut aussi le distinguer du délirant systématisé progressif dont la
marche
diffère et dont tout l'ensemble de la mentalité
ité n'en ressort pas moins : même origine, mêmes phénomènes, même
marche
, mêmes effets. ' * Nous voyons là combien les t
nt : une étude som- maire mais suffisante des lois qui régissent la
marche
des rayons lumineux (réllection et réfraction),
ui tient parfois une place inutile, et souvent on le pousse et on y
marche
carrément dessus, sans qu'elle en éprouve la mo
e. Pas de phé- nomène de Babinski ni de signe de Schoeffer. Dans la
marche
, le membre ne décrit pas d'arc de cercle, il tr
est vraiment un grand peuple qu'autant qu'on contribue à activer la
marche
du 246 SOCIÉTÉS SAVANTES. monde moral dans la
rès les recherches anatomiques et expérimentales de Mari- nesco. La
marche
des lésions histologiques répond à l'évolution
entendre par délire aigu. Si l'on tient un compte rigoureux, Ne la
marche
de la maladie et de son aspect cliniqne, on s'exp
ou 18 ans un purpura tout à fait comparable, comme aspect, siège et
marche
, à celui de sa fille, consécutivement à une vio
s et une minerve dont il se sert pendant ses crises pour assurer sa
marche
ou redresser sa tête. Il n'a aucun stigmate d'h
ie, n'en ont pas eu davantage sous l'influence de la cocaïne; 9° La
marche
atoujours été possible chez nos mala- des. Elle
cas, les malades ont présenté une véri- table titubation pendant la
marche
. Mais tous ces malades étaient en proie à un ét
récèdent et annoncent l'ap- parition de l'idée. D'un autre côté, la
marche
de l'obsession par accès, le défaut de rapports
st entré dans-le service atteint d'idiotie complète, avec gâtisme ;
marche
et parole nulles. Accjo2n'- d'hui, il parle, ma
avec gâtisme ; marche et parole nulles. Accjo2n'- d'hui, il parle,
marche
, s'habille et se déshabille seul, et se rend ut
avantage el serait resté ainsi indéfiniment. Aujour l'hzci, Pard...
marche
seul et court souvent; monte et descend les esc
'est malheureux d'être comme cela. Il ne sait plus même son âge. Il
marche
difficilement; les membres du côté droit sont r
. Les membres du côté droit étaient très rigides, ce qui rendait la
marche
difficile. MÉNINGO-ENCÉPHALITE. 399 15 novemb
tait pas accompagnée d'euphorie, ce qui s'observe ordinairement. La
marche
était très gênée, et, du côté opposé à l'inflam
: nous ne pouvons pas le suivre dans les détails qu'il donne sur la
marche
des idées et des lois en Angleterre à propos de c
mélancolie aiguë au début, la pression artérielle pré- sentait une
marche
plus ou moins définie. Au début de l'attaque, à
En somme, il semble que la majorité des cas de mélancolie suive une
marche
définie avant de guérir ou de devenir chronique.
quelquefois au contraire être un « tournant » dans la maladie, qui
marche
dès lors vers la guérison. On connaît la fréque
fous incurables avoir des dermatoses incurables aussi : souvent la
marche
de l'un des éléments soit cutané, soit mental,-fo
otypies des différentes parties du corps, 3° les stéréotypies de la
marche
, 4° certains actes automatiques ( ? ). Il ne s'
Donnez-moi une cigarette, M'sieu Madame. » 3° Stéréotypies dans la
marche
1, - Un malade se promène constamment dans un e
manière si uniforme que les traces de ses pas formentun sentier. Il
marche
« pour faire perdre sa piste. » D'autres malade
division, à cause du grand nombre de stéréotypies existant dans la
marche
et surtout parce que la marche est à la fois un
bre de stéréotypies existant dans la marche et surtout parce que la
marche
est à la fois un mouvement partiel et un mouvem
malade du service de M. Séglas nous offre un exemple typique de la
marche
qui vient d'être décrite. B..., est entré en
eur a causé. Il va se placer devant la provision de charbon, et là,
marche
rythmiquement, accompagnant chaque pas de sa pl
plus tard, toutefois, elle perd quelque chose de la précision de sa
marche
, et peut, soit produire des tissus à développemen
z l'homme l'équilibre de tout le corps dans la sta- tion et dans la
marche
: ils entreraient en jeu par exemple dans une c
n nouvel appoint à théorie infectieuse des myélites et éclairent la
marche
de l'infection. Au point de vue du traitement,
lles que soient les peines qui menacent de vous atteindre. L’humanité
marche
vers une rénovation, et le magnétisme arrive à ce
êlées d’ombre. Cependant, j’ose me permettre une observation sur la
marche
que vous avez suivie. Les choses révélées doivent
ure reconnaissance. Puissé-je lever le doute que vous concevez sur la
marche
que j’ai suivie ; je me suis bien gardé de touche
le des choses inconnues et qui, un jour, seront rendues sensibles. Je
marche
aussi à la découverte d’un monde, plus difficile,
le sommeil magnétique, aussi légère qu’une ombre. Voulez-vous qu’elle
marche
sur des fleurs sans les fouler ou sur des œufs sa
naître, de sérieux embarras. Un somnambule peut être dérangé dans sa
marche
par mille accidents impossibles à prévoir ; ses s
e assez d’autres misères à secourir. » Le magnétisme en Suède. — La
marche
des sciences n’est pas toujours progressive; elle
te et ingambe (ici le témoin, pour joindre la preuve à son assertion,
marche
avec animation dans le prétoire. —Hilarité parmi
ait en Europe et nous voyons avec plaisir que M. Esdaile suit la même
marche
dans l’Inde. Nous lisons en effet dans le Delhi G
e maintint. A 2 heures 5 minutes il fut porté dehors et assis sur les
marches
de l’hôpital. Un bhêëstie fut placé plusieurs mar
t assis sur les marches de l’hôpital. Un bhêëstie fut placé plusieurs
marches
au-dessus de lui et reçut ordre de lui vider douc
ffirmativement : celle de savoir si l’on doit expérimenter en public,
marche
à grands pas vers la même solution. Il y a trois
ville (Lunéville) comme ceux de Paris lui conseillaient uniquement la
marche
, le grand air, un régime doux. Mais il fallait po
roisième fois, et non-seulement il peut se soutenir aisément, mais il
marche
de manière à faire douter des souffrances qu’il e
Cabale. — Destinée. — 11 y a quelque chose de si invariable dans la
marche
de certains événements qu’on peut sans peine croi
sse régulièrement, rien ne s’oppose a ia possibilité d’en calculer la
marche
et d en prévoir l’issue. Sans prétendre en rien d
s X (1859), le pain sclève h un prix excessif : 1 fr. 50 c. 1 7. Im
marche
rétrograde du gouvernement, après de magnifiques
du paiu s’élève à un taux excessif : au avril, 1 fr. 24 «*. 7. I.a
marche
rétrograde du gouvernement, après de magnifiques
attraction se fait sentir sur le lac Saginaga, où un bateau chargé ne
marche
qu’avec beaucoup de difficulté. Ces faits extraor
ans leur état normal; les jambes étant revenues d’égale longueur elle
marche
très-faeilement. 5° Un autre enfant de la commu
ur venaient du dehors. L’école médicale de Madras vient de suivre une
marche
toute contraire; elle a évoqué cette grande quest
au lieu de suivre la tradition qui fermait la porte à la vérité, elle
marche
à sa rencontre. Mais, comme les bons exemples ne
il reconnut parfaitement les symptômes de sa maladie et eu indiqua la
marche
avec précision ; quant au remède il ne le vit pas
oir qu’une marque de notre amour de la vérité, le désir d’éclairer la
marche
par la comparaison des faits, afin d’arriver à un
ent de cette crise comme toutes choses. Mais ce temps d’arrêt dans sa
marche
progressive ne durera pas longtemps ; son étude a
éther, absolument dense, constituerait un obstacle plus efficace à la
marche
d’une planète qu’un éther de diamant ou d’acier.
sance qui ne viennent que de son apparente irréfutabilité. Une étoile
marche
; qu’importe que l’étoile passe à travers l’éther,
peuvent s'étendre aux locomoteurs. Au tendon d’Achille on suspend la
marche
. Augenou le jeu de l’articulation cesse, et un ef
nce du mouvement politique simultané des nationalités européennes, la
marche
progressive de magnétisme a élé enrayée. Il impor
t du règlement dontles dispositions n’étaient plusen harmonie avec la
marche
que les circonstances obligent de suivre. Cette r
. — Nous sommes en retard avec nos abonnés ; nous avons ralenti notre
marche
. Au milieu des tristes événements qui nous ont ac
he de voir le droit chemin ; tu appelles en vain des guides assurés :
marche
, marche toujours, ils sont comme toi et ne voient
ir le droit chemin ; tu appelles en vain des guides assurés : marche,
marche
toujours, ils sont comme toi et ne voient pas plu
de triomphe en vous adressant à l’opinion publique : continuez cette
marche
. Elle n’eut point été rationnelle dans d’autres t
e contient des idées très-saines sur la •pratique du magnétisme el la
marche
des crises, opinions tout à fait conformes à cell
ortent au critérium de l’observation. Des théories prématurées que la
marche
des faits venait démentir, des médica- lions ré
descendre la réaction générale d’un degré d’intensité, favorisera la
marche
delà maladie et empêchera le tissu pulmonaire de
es, que très-souvent le médecin troublait la nature, pervertissait sa
marche
et rendait plus longue, incurable ou mortelle que
beaudib. Chronique. — Les événements politiques, qui ont entravé la
marche
progressive du magnétisme en France, sont sans ef
tive des médicaments. En vain des théories superbes proclameront la
marche
ascensionnelle de 1 humanité vers la perfection,
qui se rattache à l’ordre moral pivote sur une base intellec-tuelleet
marche
vers un but. Ce but, c’est l’immortalité, qui sup
nnant des pieds, dit : Mais je ne sais pas précisément dans quoi je
marche
. C’est comme de la vase très-molle, cependant ce
emblent bouleverser les idées reçues jusqu’à ce jour, et indiquer une
marche
différente pour arriver à ces effets de magnétism
à Paris, s améliore sensiblement. La propagande reprend peu à peu sa
marche
normale, les séances expérimentales des sociétés
que son oppresseur en éprouve. En effet, depuis qu’il a adopté cette
marche
, ce génie malfaisant ne néglige rien pour l’en d
ils découvriront la nature de leur affection, et en détermineront la
marche
et la terminaison. Le traitement qu’indiqueront c
ore les prévisions qui sont de son domaine. Dans tout ceci il y a une
marche
dont tons les dé-grés sont rationels. Que l’instr
état, et se ferme rapidement. 11 s’assied maintenant sur son lit, et
marche
; il mange bien, et va mieux de jour en jour. »
ment très soigné, très propre. Rachel était absente. Voir page 11
marche
des accidents épileptiques. RÉFLEXIONS. I. U hé
six mois. Dentition complète à ? Début de la parole à un an ; de la
marche
à quatorze mois. - Propre de bonne heure. Intel
n grand refroi- dissement ( ? ). Ala suite de quelques exercices de
marche
, cette con- tracture a disparu. C'est alors qu'
réglée. Pas d'ona- nisme. Mich... parle, comprend et répond bien,
marche
lentement, pa- rait absorbée, court bien, mais
naissance. Première dent ci six mois. Début de la parole , et de la
marche
à dix mois. Convulsions internes à sept mois. -
donner ce 'diagnostic ? Plus tard, les phénomènes cérébraux et leur
marche
imposèrent l'idée du foyer de ramollissement si
e, on peut établir une courbe qui a son intérêt dans des maladies à
marche
lente comme le tabes.. * ' Cet appareil aura
te pour caractériser le « lacunaire » que' quelques troubles : la «
marche
à petits pas », l'impossibilité de boutonner un
, en proie- une crise occasionnée sans doute par la fatigue et la
marche
. Ses compagnons se précipitèrent et essayèrent de
belleuse. Ataxie du bras droit (Photographie instantanée pendant la
marche
). 84 -il - CLINIQUE NERVEUSE. 1 , 4 , bisme e
6. Paralysie du droit supérieur gauche. 86 ' ' CLINIQUE NERVEUSE.
marche
; le malade talonne de cette jambe comme un tabéti
e jambe comme un tabétique. Les oscillations sont telles pendant la
marche
avec des propulsions ou des rétropulsions comme
suivant les fibres observées, aspect qui correspond assez bien à la
marche
progressi- vement envahissante de la tumeur. De
re des réserves sur ce cas négatif, puisqu'il concerne une tumeur à
marche
extensive ayant entraîné la mort quatre mois ap
main droite, talonne- ment et ataxie de la jambe droite pendant la
marche
, enfin en asynergie dans les divers mouvements
en conformé, il n'a pas de tremblement intentionnel des membres. Il
marche
facile- ment, n'a pas de Romberg. Cependant la
iminue la durée de la perception. Si l'on applique un diapa- son en
marche
non directement sur le crâne, mais en interpo-
es sont appliquées les unes contre les autres, posez le diapason en
marche
sur le pariétal de la première, vous trouverez
yeux, des membres et du tronc. L'auteur base son diagnostic sur la
marche
lente et progressive de la maladie, sur la symétr
is la face. L'hémiatrophie est donc totale. Le processus a eu une
marche
lente à début insensible. Chez l'un des malades i
uleuse primitive. Il Lionne rapporte un cas de paralysie générale à
marche
rapide avec crises d'angoisse. M. Leredde rev
est une oeuvre vraiment remarquable ; il a fixé nos idées sur la
marche
de la paralysie générale, sur ses variétés habitu
cun ouvrage.. · Etat présent. Sa face a un aspect d'un masque, elle
marche
mal, en chancelant ; ses mouvements sont maladr
sion formée dans le cerveau, l'image du diable, n'a pas continué sa
marche
à l'extérieur en traversant le nerf optique, en
ays devinent la présence d'un puits situé à deux ou trois heures de
marche
; même à cette distance ; ils sentent l'odeur d
onc penché en avant, avec des oscillations d'avant en arrière. En
marche
, il titube et festonne comme un homme ivre; il es
ements bilieux; il est très obtus, se tient difficilement debout et
marche
péniblement ; mais pas de contracture ni de paral
tions professionnelles, puis le 8 mai, on « constate au lever qu'il
marche
difficilement en traînant la jambe SUR UN CAS D
t aucun mot. Aujourd'hui, le gâtisme a totalement disparu. L'enfant
marche
seul. Enfin il pro- nonce tous les mots usuels
eux. Aujourd'hui il est pro- pre, mange seul et dit papa, maman. Il
marche
seul depuis 1899. Son attention était très diff
Est entré dans le service atteint d'idiotie complète avec gâtisme ;
marche
et parole nulles. Aujour- d'hui, il parle, marc
te avec gâtisme ; marche et parole nulles. Aujour- d'hui, il parle,
marche
, s'habille et se déshabille seul ; il se rend u
- tion. Il est vrai que dans trois autres cas la tumeur avait une
marche
bien plus envahissante et destructive. ' Les
les caractères. M. Dupré communique une observation qui confirme la
marche
rapide attribuée généralement à la paralysie gé
oclonus multiplex comme une manifestation purement hystérique. La
marche
de la maladie, le tempérament des malades, la gué
uchement, naissance, rien de notable. Retard de la dentition, de la
marche
et de la parole. Gâtisme . jusqu'à G ans. futée
, ce qui l'irritait. Ire dentition en retard. Parole à vingt mois ;
marche
à vingt-un mois. Gâtisme jusqu'à six ans ; aura
nnelles des émotions morales, des bois- sons chaudes ou froides, la
marche
, une secousse matérielle. Il y a six mois, il s
tion de ce phénomène, il faut se rappeler que l'acte complexe de la
marche
se compose de deux ordres principaux de mouveme
utre à la translation du reste du corps. L'exécution, normale de la
marche
implique l'intégrité des muscles qui opèrent ce
la conscience (sic) de mon corps qui est comme en avant de moi. Je
marche
, j'ai bien conscience que je dois marcher, mais
e n'ai pas conscience de ma propre identité, que c'est bien moi qui
marche
. Je fais des efforts pour me prouver que c'est
a marché automatiquement sans avoir pu saisir la transition de la
marche
voulue à la marche automatique ». Le voilà alor
quement sans avoir pu saisir la transition de la marche voulue à la
marche
automatique ». Le voilà alors pris d'angoisse ;
Mais est-ce que c'est bien moi qui suis ici ? Est-ce bien moi qui
marche
? Et alors je fais des efforts inouïs d'appli-
(hic) pour me rendre bien compte que je fais les mouvements de la
marche
. Si bien qu'à un moment, pendant cette sorte de
es faisceaux constitutifs des cordons antérieurs. Inté- grité de la
marche
et de l'excitabilité électrique de la région cor-
conducteurs sensibles (période préataxique), mais généralementla
marche
ultérieure du tabès s'accuse par l'atteinte des v
entielle, elle intervient cependant pour en modifier quelque peu la
marche
et le tableau clinique habituels. Dans un autre
ernières années se rapportent en réalité à la démence précoce. La
marche
de la démence précoce est rapide en ce sens que
s’exaltent; l’erreur est alors contagieuse; la vérité, au contraire,
marche
à pas lents , elle se dérobe à la foule, ne sédui
ec un bâton ; douze séances, cessation des douleurs, facilité dans la
marche
, sans bâton... « Femme de vingt-quatre ans, par
int qu’il faut à cette personne un quart-d’heure pour monter quatorze
marches
d’escalier ; deux séances produisent une améliora
usieurs abcès. La malade était arrêtée depuis un au ; maintenant elle
marche
bien, et ne ressent plus qu’une légère douleur.
e devance les conséquences. 11 paraît que vous n’avez pas cru cette
marche
applicable à l’étude de l’âme libre; car, au lieu
oix, et jusqu’aux paroles de scs interlocuteurs. Cbantert-on, rit-on,
marche-t
-on? Elle fait immédiatement la même chose, et l'i
son triomphe est assuré: une entrave partielle ne saurait arrêter sa
marche
générale. Nous sommes arrivés aux résultats d’ens
ssé la dernière année, surtout, dans des souffrances continuelles. II
marche
avec la plus grande difficulté, il dort peu, et,
u des articulations, et le patient peut les mouvoir sans souffrir. Il
marche
sans souffrance, mais non sans gêne; car l’enflur
té du côté externe qui est encore sensible à la pression. Du 15. 11
marche
très-bien, même sur une surface inégale, et ne so
ain reste toujours fermée, mais on peut l’ouvrir aisément. Du 7. II
marche
de nouveau sans bâton; mais la jambe engourdie of
douleur clans les reins, et le derrière des épaules, qui lui rend la
marche
pénible. 11 devient parfois furieux. A mesméris
gez donc point, Messieurs, l'humanité a trop besoin de votre aide. La
marche
du magnétisme pourra bien encore être ralentie
es qu’à retarder l’avénement du magnétisme, au lieu d’en accélérer la
marche
. Avancer des choses qu’on ne peut pas prouver, c’
aire qui le neutralise. D’après cela, il est facile de s’expliquer la
marche
du choléra, et de trouver ses causes dans tout fo
i ne font qu’empêcher l’action dévorante de la terre et ralentir la
marche
de la putréfaction; les usines à gaz, d’où s’écha
e malade meurt au bout de quelques heures. D’autres fois la maladie
marche
plus lentement; elle est d’abord annoncée par des
de no pouvoir appliquer ce traitement à tous ses clients. Celte dame
marche
rapidement vers sa convalescence, lille n’a plus
ucun isolement, sensibilité extrême, exaltation cérébrale, agitation,
marche
et mouvement volontaires. Les yeux sont ouverts e
r une de ces personnes, prend un mouvement de rotation quand celle-ci
marche
sur un courant d’eau, ou seulement quand elles ti
esser d’être homme, de ne point y appliquer toutes mes facultés. Ma
marche
sera sans doute vacillante, je n’ai point de maît
t possédée par lui, après ses discours viendront ses faits : c’est la
marche
rationnelle pour prouver ; et, d’ailleurs, il a d
, qui est d’un mince volume comparée à l’autre, et la pauvre fille ne
marche
qu’à l’aide d’une béquille. Durant les premiers h
ans notre mission, si vous ne voulez que l’humanité n’éprouve dans sa
marche
un temps d’arrêt. Que vos moyens , surtout, soien
iècle à siècle, pus à pas..... Astre, esprit, ou météore, Marche,
marche
, marche encore ... — Ne vois-tu plus rien là-ba
siècle, pus à pas..... Astre, esprit, ou météore, Marche, marche,
marche
encore ... — Ne vois-tu plus rien là-bas'/ —
cux, Décrivant, astre splendide, l)es signes mystérieux,... Dans sa
marche
solennelle, L’humanité se révèle A qui ne s’ave
s nombreux magné-tistes qui n’ont pu assister à cette solennité. Tout
marche
donc au gré de nos désirs ; l’avenir appartient à
enu vermeil ; il lient sa tétc droite sur ses épaules, il mange bien,
marche
assez bien pour sa position. Je crois mon enfan
ntateur étendit les bras horizontalement, puis traça avec ses pas une
marche
circulaire : son sujet l’imita aussitôt. Mais voi
er dans le voisinage de si dangereux reptiles; mais, à moins qu’on ne
marche
sur eux ou qu’on ne les irrite, ils ne sont nulle
ne saurait être inutile de montrer en quoi le mesmérisme secondait la
marche
de ces révolutionnaires mystiques dont nous cherc
t de différence sensible avec ceux suivis en Europe ; c’est la même
marche
, et à peu près la même durée. Là s’arrête le ré
oral, en est restée aux premiers âges de notre histoire; lorsque tout
marche
autour d’elle, nous voyons son char embourbé dans
ue est excitée par les récits des prodiges magnétiques. La propagande
marche
maintenant avec une activité surprenante ; le nom
ccessivement disparu ; ma jambe commence à devenir plus maniable ; je
marche
dans les appartements à l’aide d’une seule canne,
genou gauche , qui a été démis durant le séjour au lit, empêchant la
marche
; celui de l'index droit ayant amené l’immobilité
s les calomnies des hommes qui cherchent à jeter des embûches dans la
marche
que M. de Rovère s’est proposée de suivre, il est
s ces visages; mais ton destin te cuuduil. Je nu baurais arrêter la
marche
; j'ai voulu seulement le faire connaître les écue
comme 1111 enfant indocile aux conseils de la sagesse, il continue sa
marche
. Non , le novateur ne s'appartient point. Une i
er de tous les pouvoirs. Nous ferons moins de bien, sans doute, et la
marche
sera plus lente; mais nous arriverons envers et c
s. Déjà, dans ses extases, elle devient d’une légèreté telle, qu’elle
marche
sur les objets les plus fragiles,... se promène s
ues pas pour gagner doucement la grande allée, il s'aperçoit que sa
marche
s'accélère malgré lui et qu'il lui est impossib
és, tous les muscles sont le siège de contractions irrégulières; la
marche
est gênée, difficile, saccadée ; aussi la malad
endant la maigreur est extrême. Il n'y a rien de régulier dans la
marche
de la chorée ; cer- tains jours, la malade est
t mis en usage, à l'état physiologique, pour les mouvements de la
marche
et de la préhension. E. Fournie (Physiol. du sy
aussi insolite. Néanmoins l'analogie absolue des symptômes et de la
marche
de ce cas, comparé aux précédents, ne laisse su
ntes. La jambe gauche est le siège de vives douleurs qui rendent la
marche
impossible et forcent même le malade à garder l
t encore à découvrir, il en décrit avec précision les symptômes, la
marche
, les terminaisons, le pronostic et le traitemen
: ne serait-ce pas la pseudo-paralysie générale alcoolique, dont la
marche
diffère notablement de celle de la paralysie gé
RALE. 219 jamais je n'ai vu la paralysie générale enrayée dans sa
marche
. Il y a mieux : quand, en même temps que les
Asphyxie à la naissance ; convulsions à dix-huit mois; - parole et
marche
tardives ; - rougeole; - ophthalmie. - Premier
oma. - Pas de troubles intellectuels à la suite des accès. Voici la
marche
des accès : 1 A la fin de la période clonique,
rsifs, et ici nous n'enten- dons pas parler des actes automatiques (
marche
, etc.), observés fréquemment après les accès, s
urs fois des convulsions ; n'a pas été en retard pour la parole, la
marche
et la propreté. De cinq à douze ans, il a été e
la manifes- tation d'une lésion déjà ancienne et insidieuse dans sa
marche
progressivement envahissante. M. Motet termin
é latéralement; engourdissements dans les mains et les pieds; dé-
marche
incertaine, parole anxieuse avec bégaiement. Diag
placé dans une maison desanté particulière si sa maladie prend une
marche
défavorable d'où il pourrait résulter un danger
réditaires de ces femmes abondent de conditions favorables pour une
marche
anormale du développement et même pour son arrê
comme le seul processus connu, qui par sa localisation et par la
marche
de la maladie, correspondait aux symp- tômes cl
entelle d'une maladie chirurgicale (panaris, frac- ture de l'os), à
marche
indolente, ou bien une appari- ' lion de troubl
aiblesse de la jambe droite qui se fatiguait et tremblait après une
marche
prolongée ; il était alors forcé de s'arrêter pou
première enfance. Placé en hospice à huit ans. - Difficultés de la
marche
et chutes par exagération des mouvements des ja
nte des mouve- , ments sous l'influence de l'hydrothérapie et de la
marche
avec le chariot. Transfert du malade aux vieill
hloréique. L'enfant ne peut, seul, se soutenir sur les jambes; s'il
marche
ou remue les bras, il ne peut prendre une direc
acilités pour le calcul qui ne sont pas les mêmes pour la lecture ;
marche
moins difficile. 1864. Février : Il l épèleet r
e petites secousses rappelant celles des pantins à ressort. Dans la
marche
, D... porte le tronc un peu en arrière et incliné
vements de ses doigts. Tandis que seul, sans aucun secours, il ne
marche
que lentement, dans son chariot, il peut marcher
. Le signe de Rot- berg n'existe pas : le malade se tient debout et
marche
aussi bien les yeux bandés que lorsqu'il'a les
ion arsenicale. - Susceptible d'éducation, affectueux. Exercices de
marche
; hydrothérapie. Améliora- tion progressive. - I
e d'habitude son temps couché ou assis sur un fau- teuil. Parole et
marche
nulles. Traitement : toniques; exercices de mar
teuil. Parole et marche nulles. Traitement : toniques; exercices de
marche
; de plus, on le placera trois fois par jour sur l
1 m,55. Hydro- thérapie du {** avril au 11 octobre, et exercices de
marche
. fer juillet. On le descend dans la cour tous l
- Malade tranquille, a fait quelques progrès sous le rapport de la
marche
, de la préhension, etc. Puberté. - Moustache fi
le faisons marcher pour constater ses progrès sous ce rap- port. Il
marche
en se tenant aux lits; il rit largement et pousse
s pour exprimer son contentement de montrer ce qu'il sait faire. Sa
marche
est gênée considérable- ment par les mouvements
r au bassin. On le fait descendre tous les jours dans la cour où il
marche
à l'aide d'un chariot. Sa mère a pu le prendre
lument comme chez le malade de la pre- mière observation. Dans la
marche
, qui n'est possible qu'avec un aide, Lem... sou-
sur la pointe et le bord interne. Chez Lem..., les caractères de la
marche
sont absolument sem- blables à ceux que nous av
us avons constatés chez Derno... avec cette seule différence que la
marche
est beaucoup plus imparfaite. Sous l'influence
Au dynamomètre Mathieu moyen on trouve 5 des deux côtés. Dans la
marche
à pieds nus, on constate de nouveau que les pie
le sol et que les orteils sont animés de mouvements d'athétose. La
marche
ne parait pas modifiée, lorsque les yeux sont f
e nous ferons ressortir l'analogie du début, des symptômes et de la
marche
de la maladie chez les deux sujets qui font l'o
de con- firmer les conclusions qu'il avait formulées en 1870 sur la
marche
de la température dans l'épilepsie, conclusions
auxJautres ! »-«`Ainsi; ajuutc- - «Lt-ilf1nous 'puiserons dans'Ua-
marche
('der5la'>maladie ,c¡}es' éléments' les pius'
ltéra- tion f ? e/c't/M sentiment. ' . , , Lei plus souvent, tout
marche
"par., une évolution lente,' progressive; le pl
ion de l'état de conscience dans un cas de manie linter- mittente à
marche
progressive ? 2 , 36 .. JV'>l,w""i') PATnOLO
l aiguë éclata-à la suite d'un accouchement-pénible et a- suivi la,
marche
rémittente. La ma- 'ladre' a'ia conscience clai
autres. 141 ? ,Lou. : . déplorez son état,1 s'afflige surtout de la
marche
croissante de'som alfec-'rr fui tion et croit à
ence s'obs- curcit parallèlement. Aujourd'hui, cette jeune personne
marche
à la démence, elle a pourtant encore, par. inst
e pauvre femme est dans mon service ? à"'peine hUIt mOIS, 'elle a
marche
rapidement vers la démence. Les maux de tête 11'à
veau'après' avoir'paru très long- temps étranger au mécanisme de sa
marche
, il laisse voir, aujour- - d'hui, la volonté de
3Ó 'àJlS"ÚO : lIu1'" o ,1JJJ '1.1 .HI ? } ? }\U,'\ ( ? I\ \ -'1-1 1
marche
dé 180 âJ13G0 n iI, ...r¡h 1 II ylt,t en'c Slftat
et l'on recon- naîtra d'abord un même fond morbide, puis une même
marche
pathologique. 11 suffit, en effet, de prêter at
aspects, les moments divers d'une évolution vésa- nique, laquelle
marche
suivant sa loi caractéristique, 'outen se prêta
u mouvement. La sensation de résistance du sol devint obtuse, et la
marche
devint hésitante et incertaine, surtout dans l'
re. · Le réflexe rotulien est totalement aboli des deux côtés. La
marche
est un peu hésitante, surtout lorsque les yeux
s fourmillements dans les membres inférieurs, surtout il droite. La
marche
était gênée, difficile, et la jambe droite plia
laires. Quoi qu'il en soit, il y a une différence radicale entre la
marche
centripète des névrites spontanées, liées aux a
rminés par l'expérimen- tation, les névrites ont, au contraire, une
marche
extrê- mement variable. Elles peuvent, en quelq
re part, tandis que les dégénérations wallériennes ont toujours une
marche
centrifuge, les névrites peuvent prendre naissa
otalement dans les troncs nerveux; elles paraissent ainsi avoir une
marche
ascendante centripète. Même dans les cas où ces
tE KELLER. Le caractère de parité que nous avons constaté pour la
marche
de la maladie, nous le constaterons de même 'v.
tion brusquement, l'observation plus rigoureuse des symptômes et la
marche
de la maladie suffiront pour les dissiper. No
ntre eux n'était plus particulièrement sujet à la céphalalgie. La
marche
de la maladie a été la même dans presque tous l
adie s'est de nouveau manifestée; mais, cette fois, poursuivre la
marche
lentement progressive qu'elle a présentée dans
intellec- tuelle s'est accusée : il est devenu gâteux, vonace ; la
marche
s'effec- tuait difficilement, il désaprit l'usa
t 44°. Poids, 12 kilogr. 800. Les accès et les vertiges ont eu la
marche
ci-après : IDIOTIE ET ÉPILEPSIE PARTIELLE. 243
re affaiblie et ensuite presque nulle, difficulté progressive de la
marche
, bave, gâtisme, perte des sentiments affectifs,
ntéressantes sur ses causes, son mode de début, ses symptômes et sa
marche
. Cependant, nous préférons réserver l'étude cli
une commission de trois médecins soit tellement infaillible, que la
marche
de toutes les psychoses soit assez invariable et
t la suivante : La knk-kè est constituée par une névrite multiple à
marche
subaiguc produite par un poison spécial. La n
t s'en faut; il n'y a jamais eu ni rougeur, ni craquements, et là
marche
serait restée possible si d'autres articulations
droit commença à se défor- mer et à se tordre en dedans pendant la
marche
qui devint sur- tout gênée alors par l'incoordi
HYSIOLOGIE. prononciation que nous nous sommes convaincu de cette
marche
des processus. Les enfants qui substituent, com
nisme de succion pour le langage futur. , L'individualité dans la
marche
du développement du langage se manifeste assez
ination, en tant que manifestation des délires chroniques, suit une
marche
parallèle aux conceptions délirantes, et comme
luence du traitement, le délire chronique paraît devoir suivre sa
marche
progressive pour aboutir après sa phase ambi- t
nsive. Les hallucinations suivent en général, sous ce rapport, la
marche
du délire, et c'est ainsi que nous avons vu sur
uses ont diminué progressivement d'intensité, suivant en cela une
marche
inverse aux secondes qui d'abord, très rares, s
tion ambitieuse du délire; en un mot elles suivent celui-ci dans sa
marche
progressive. D'autre part il n'y a nulle différ
un dérangement pareil apparut dans le pied gauche, ce qui rendit la
marche
très pénible. Sur l'or- donnance d'un médecin,
er; la moindre irrégularité du sol peut le faire tomber. Pendant la
marche
, les jambes sont rapprochées, le bout des pieds
ter ; ce n'est qu'après un peu de repos qu'il peut se remettre en
marche
; la fatigue et les émotions rendent ses mouvemen
déclarée : a-t-elle commencé dans la moelle épinière en suivant une
marche
ascendante ? Est- elle apparue dans les hémisph
commencé à ressentir souvent des vertiges pendant la station et la
marche
. Ces vertiges sont devenus si pénibles que depuis
t rate normaux. Poids, 23 lui. 600 ; taille, 1 mètre 16. Cet enfant
marche
très bien, grimpe partout, mais ne sait pas des
ans l'espèce de 20 p. 100. Dans la plupart des cas le pouls suit la
marche
de la température et souvent dans les mêmes rap
hez des personnes qui tra- vaillent beaucoup intellectuellement. La
marche
de la maladie est la suivante : Trois ans apr
ouvent très actif provoquent des accidents qui viennent troubler la
marche
de la maladie principale. M. Garnier. Il y a pe
blables; l'isolement supprimé, il a obtenu une issue favorable, une
marche
rapide. M. de Rinecker rappelle qu'une conclusi
ne satis- faction à ses exigences maladives qui ont ainsi suivi une
marche
progressive. Depuis quinze ans, elle reste pr
eprenaient leur empire. Ce cas fort instructif donne une idée de la
marche
en quelque sorte naturelle des syndromes épisod
l chancelle et ne' peut se tenir debout. A partir' de ce moment, la
marche
et la station sont impossibles, et la paralysie
son père. - Il est très robuste et d'un assez fort embonpoint. Il
marche
lourdement, mais la motilité est intacte, aucune
te. Trois mois après l'accident il devient épileptique. L'épilepsie
marche
toujours en s'aggra- vant et aujourd'hui, neuf
, d'un tremble- ment intentionnel qui affecte surtout les mains; la
marche
n'est atteinte que chez trois. Pas d'autres ano
te et prudente, le tronc s'infléchissant for- tement en avant et la
marche
ne pouvant dépasser cent à deux cents pas. ' '
rologie. Revues analytiques. « Id. v 88 ' SOCIÉTÉS savantes. la
marche
d'une psychose infectieuse aiguë avec les trois s
d'amélioration sérieuse. Presque toujours la maladie poursuivait sa
marche
ou les malades succombaient. Voici maintenant
eur réfléchie il développe chez sesauditeurs l'esprit de progrès et
marche
lui-même de l'avant. Telles sont les réflexions
, en descendant l'escalier, il s'arrête et remonte brusquement deux
marches
, en descend cinq ou six et en remonte encore de
vant continuer à descendre sur un mauvais mot il avait remonté deux
marches
. En pénétrant dans le cabinet, il s'est égaleme
onnels '. On ne pourrait pas assigner de règles fixes, quant à la
marche
du scotôme scintillant et; en général, il en est
les attaques d'amblyopie transitoire, ces dernières présentent une
marche
très irrégu- lière, l'amblyopie peut ne se prés
s rarement des troubles de la sensibilité ou de la motilité. - La
marche
de la migraine ophtalmique est très variable. E
Béard, un rôle considérable sinon exclusif, dans l'évolution et la
marche
irrégulière des phéno- . mènes neurasthéniques.
otrice et envahit les muscles d'après un mode correspondant à cette
marche
succes- sive. Si la première irritation porte
la plus utile aux chercheurs. Un autre chapitre est consacré à la
marche
, à la durée et à la REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYS
tabético- paralytique ; c'est une amblyopie alcoolicotabétique. La
marche
confirme ce diagnostic ; début graduel, amélior
s muqueuses. Intégrité de la molilité et des réflexes. Titube, mais
marche
les yeux fermés. Dysaconsie à droite seulement
qu'il est partiel chez le persécuté à idées d'empoi- sonnement. La
marche
de ce délire est d'abord franchement inter- mit
nérale, quand il se prolonge, imprime une rapidité plus grande à la
marche
de cette affec- tion. M. Régis (de Bordeaux).
'apparition successive ou simultanée des idées déli- rantes, par la
marche
plus ou moins rapide et régulière de l'affec- t
des recherches ultérieures précise- ront dans leurs symptômes, leur
marche
, leur étiologie, ainsi qu'il a été fait pour-le
d'autres où il sur- vient plus rapidement. Mais ces cas, quoique de
marche
différente, ne sont nullement contradictoires d
ution survenant chez des dégénérés ont de la tendance à affecter la
marche
rémittente qu'ont d'ordinaire les troubles ment
senté aucun symptôme de mélancolie; sauf cela, l'aspect général, la
marche
de la maladie, l'eussent fait considérer comme
urnine. En effet, on a donné comme caractérisant cette affection la
marche
parallèle vers la guérison de l'intoxication et d
aralysie générale se sont montrés de nouveau. La maladie a suivi la
marche
ordinaire de la paralysie générale pour aboutir a
ns, dit M. Bourneville, se sont pleinement réalisées : Henri Maz...
marche
, court et saute, il est tout à fait propre, aide
t le malade, qu'il y a alors en moi deux personnes, l'une qui agit,
marche
, parle, mais comme si c'était une autre ; l'aut
bien et on put enlever les points de suture le cinquième jour. La
marche
de la guérison est identique à celle du premier c
nt un peu à droite et à gauche (dans le sens des orteils pendant la
marche
), afin d'empêcher le rappro- chement des chairs
procher. Mais le fan- tôme, à l'ébahissement du Sultan, continua sa
marche
errante et disparut au détour d'un couloir. «
mbes. Elle ne peut pas marcher sans l'aide d'un bâton. Pen- dant la
marche
elle traine ses jambes à la manière des paraly-
s. La même chose arrive pour les membres inférieurs droits. Si F...
marche
peu d'instants, on ne remarque rien d'anormal,
arche peu d'instants, on ne remarque rien d'anormal, mais après une
marche
un peu prolongée, il traîne sa jambe droite d'u
de migraine ophtalmique, en laissant la migraine vulgaire suivre sa
marche
ordinaire. La pathogénie de la migraine reste e
de migraine ophtalmique ce sont les troubles visuels qui ouvrent la
marche
, ' Forster. Ueber Rindblindheit (et v. Gme(e's
ce sujet. Plus difficile, sans doute, est le pronostic, quant à la
marche
, la durée et la signification de l'affection. R
la signification de l'affection. Rien de caractéris- tique dans la
marche
et la durée, puisque la fréquence et l'in- tens
comme une machine qui n'a plus de ressort. « « Il me semble que je
marche
, que je parle, disait Berthe, mais je ne sais p
je marche, que je parle, disait Berthe, mais je ne sais pas ce qui
marche
, ce qui parle en moi, car moi, je ne fais plus
ue je laisse mes mains et mes jambes marcher toutes seules; quandje
marche
, je suis comme un ballon qui rebondit tout seul
suis comme un ballon qui rebondit tout seul, ce n'est pas moi qui
marche
... Quand je veux chanter moi-même c'est impos-
tale, et présente un tremblement généralisé, surtout accusé dans la
marche
qui est impossible sans bâton. A partir de cett
lla- tions à la seconde.) Les secousses s'accroissent encore par la
marche
qui est d'ailleurs très difficile : John fortem
mente et, chose intéressante, l'aug- mentation des globules du sang
marche
parallèlement à l'aug- mentation du poids. 48
elle éprouve de la faiblesse dans les jambes; il lui semble qu'elle
marche
sur du feutre. A ces accidents se sont successi
ales ou se produisant dès la plus tendre enfance, et présentant une
marche
aiguë, le plus souvent accompagnées de convulsi
uvement de rétropulsion très accentué. C'est le tabès qui ouvrit la
marche
; la paralysie agitante suivit. M. MENDEL. Co
CHARCOT. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. BLOCQ (P.). Les troubles de la
marche
dans les maladies nerveuses. Volume m-12, carto
t à ce moment des abcès dans les deux oreilles et sur la tête. La
marche
ne commença qu'à 21 mois. Un peu de retard dans l
ns, les pieds aug- mentent de volume sous l'influence du froid. Une
marche
prolongée les fait augmenter aussi ; ils resten
es signes conco- mitants d'hystérie. La coloration bleue de la peau
marche
de pair avec l'oedème : et celui-ci est bien un
contraste avec l'atrophie du côté gauche.' L'affection a suivi sa
marche
progressive habituelle, avec toutefois, sem- bl
u sciatique poplité interne était un peu douloureuse de même que la
marche
. Il n'y avait aucun trouble de la motilité, de
és, mais celle de nos bras ou de nos jambes, et que, lorsqu'on nous
marche
sur le pied, nous localisions la douleur au gro
hô- pital, le malade se plaint d'éprouver un peu de raideur dans la
marche
. D'ailleurs aucun signe de paraplégie spasmodiq
s visibles faisaient défaut, mais sachant les irrégularités dans la
marche
de la syphilis héré- ditaire, les surprises de
icile à établir. L'évolution morbide a été caractérisée ici par une
marche
chronique très lente, une limitation secondaire,
chez l'homme par la sclé- rose symétrique des lobes occipitaux. La
marche
lente de l'affection, la lésion définitive qui
hamps visuels. L'émia- nopsie gauche apparut en même temps, mais sa
marche
fut plus lente; les deux moitiés gauches des ch
es. Les réflexes cornéens et conjonc- tivaux sont conservés. ' La
marche
et l'équilibre sont normaux. Pas de paralysie. La
de ces dernières/ tels sont les différents degrés déterminés par la
marche
de l'affection Notre malade, malgré l'étendue d
des de masturbation. Histoire de la maladie. Le malade, une fois la
marche
établie (à 4 ans) allait, venait, courait comme
Pas d'instabilité dans la sta- tion debout. Pas d'incertitude de la
marche
, même à reculons ; pas de signe de Romberg ; pa
professeur Kirmisson pratique une opération destinée à faciliter la
marche
. En effet la différence de longueur des mem- br
ns aujourd'hui à distance confirmer l'excellence, puisque le malade
marche
très facilement avec un appareil orthopédique a
s étendus de flexion et d'extension, d'adduction et d'abduction. La
marche
se fait 126 BALBRON facilement avec un pilon
- médullaires est souvent complexe, et dans le cas particulier , la
marche
et le développement des accidents ont présenté
névroglique épendy- maire. 4° L'envahissement des méninges et la
marche
rapide de la maladie nous font ranger ce cas da
ginienne, atteints par un ventilateur au moment où il se mettait en
marche
; guérison rapide sans cicatrices apparentes, mai
s mouvements de son hras droit en se servant d'une canne pendant la
marche
. Examen actuel. - Jeune homme bien portant, de
le est cependant capable de faire une longue course, pourvu qu'elle
marche
lentement. Elle se livre à de menus travaux de
an elle eut la coqueluche. Sa première dentition a été normale. La
marche
a été tardive, elle n'a commencé que vers 18 mois
es mouvements du bras et de la main se font avec aisance. Dans la
marche
, la jambe droite est plus faible et le pied droit
motrice dans les mouvements commandés. Mais les mouvements dans la
marche
sont désordonnés, presque ataxiques. Pas de sig
s flous. Au point de vue fonctionnel, l'état est parfait; le malade
marche
parfaite- ment avec un soulier dont la semelle
xtrémités se faisaient sans douleur et tout à fait correctement. Sa
marche
était tout à fait régulière et aisée. De temps
chiv, 1883). De même que l'harmonie de l'innervation, entraînant la
marche
normale ou l'état normal de rester debout, peut
: « De même, dit-il, que l'harmonie de l'innervation actionnant la
marche
normale peut être altérée par des causes différ
r amnésie ou paralysie fonctionnelle d'un centre correspondant à la
marche
, de même il peut y avoir amnésie ou paralysie fon
Ce n'est pas un oubli de la station assise analogue à l'oubli de la
marche
dans l'astasie, c'est un désir, une impulsion à
les mêmes symptômes de l'angoisse ; il n'est donc calme que dans la
marche
. Bien mieux, la marche elle-même n'est pas touj
angoisse ; il n'est donc calme que dans la marche. Bien mieux, la
marche
elle-même n'est pas toujours indemne d'angoisse.
gé d'une commission, s'il doit se rendre à un endroit déterminé, la
marche
devient immédiatement pénible, il a des contorsio
assis. Ce qu'il lui faut, en somme, pour être tranquille, c'est la
marche
indéterminée, vague, en errant çà et là, sans but
és de bureau présenter, dans ces circonstances, des impulsions à la
marche
, dont il ne faut pas faire des fugues; d'autres
ler. Tous ces troubles, tics, crampe des écrivains, impulsions à la
marche
, ré- criminations mentales, comme les angoisses
n théorique : de même que l'harmonie de l'innervation actionnant la
marche
normale peut être altérée, etc., qui se trouve à
ons parmi les aboulies sans phénomènes émotionnels (impulsions à la
marche
, crampe des écrivains, tic, etc.), comme ils no
ntement à la désagrégation psychique et d'une démence para- noïde à
marche
plus rapide avec phénomènes catatoniques. Mais, c
route pendant les : haltes ; les accès se reproduiseut pendant une
marche
à tous les arrêts et ne cessent qu'au départ. L
au retour du travail ; en route, manifeste pen- dant les premières
marches
une fatigue réelle, refuse la nourriture et lèche
ndant les étapes à pied et indépendamment de la fatigue, lorsque la
marche
étant automatique, le sujet poursuit quelques rêv
riération intellectuelle. VI. La tuberculose intestinale a eu une
marche
très lente. Elle existait déjà fort probablemen
. C'est à cette époque seulement qu'il commença à parier. Quanta la
marche
, elle n'a débuté qu'à 3 Il n'était t pas propre
roite et 2 de la main gauche) : il ne peut serrer un objet. Dans la
marche
, l'en- fant traine ses pieds sans les soulever,
résie du côté droit et des ac-'ë-s d'épilepsie.. Ceux-ci ont eu une
marche
assez 32 RÉFLEXIONS. singulière. Après avoir
s fonctionnels sont les mêmes qu'aux membres supé- rieurs. L'enfant
marche
difficilement. Les mouvements sont lents. Il ne
itpas comme les autres enfants, qu'il se servaitmal de ses bras. La
marche
survint tardivement, à 4 ans; le malade a comme
n peu retardé : à 7 ans il lisait mal et n'écrivait pas du tout. La
marche
et les mouve- ments des membres supérieurs ne p
it après cela un séjour de 2 mois à l'hôpital de la Roche-Guyon. La
marche
devenait de jour en jour plus diffi- cile. Il t
l'affaiblissement des membres infé- rieurs a été en augmentant. La
marche
est de plus en plus hésitante, l'enfant ne peut
ves, ont offert une grande lenteur et même des rémissions dans leur
marche
. La vie aurait donc pu se prolonger encore s'il
ère atteint d'une maladie chronique est à l'hôpital de Délémont; il
marche
avec deux béquilles. 5 soeurs bien portantes].
on veut percuter le tendon. Pas de trou- bles de la sensibilité. La
marche
est assez difficile; T... est peu solide sur se
épidémie de rougeole, etc., p. 105, avec la figure représentant la
marche
de la tempé- rature chez Jean... ) 70 Idiotie
à droite. La percus- sion à ce niveau parait douloureuse. L'enfant
marche
avec difficulté, comme s'il souffrait, il a les
it, il a les cuisses fléchies, il faut lui tenir les deux mains. Il
marche
sur la pointe des pieds ce qui est dû à l'exist
ons, il ne nous est ja- mais arrivé de voir une atténuation dans la
marche
dégénérative des familles par une alliance bien
c la période des attaques. Le tableau suivant permet d'apprécier la
marche
des acci- dents depuis 1880 jusqu'à 188 (1).
Après le siège il fut licencié et incorporé dans les bataillons de
marche
de la Commune. Pendant les 2 mois de la Commune
r. Jan. exécute maintenant quelques mou- vements à la gymnastique :
marche
à l'échelle en avant et en arrière; se balance
oracité, pas de rumination. Pas d'ona- nisme. (PL. VII). Voici la
marche
des accès d'épilepsie : 140 Description du mala
plement réalisées. Henri Maz.. est devenu tout t à fait propre ; il
marche
et court; il mange et se déshabille seul ; il sai
e lors de la conception. Chagrins pendant la grossesse. Parole et
marche
nulles. Gâtisme. - Convulsions répétées depuis
servir de ses mains. Tel qu'on le pose sur son lit, il reste..11 ne
marche
pas.. - Organes génitaux bien conformés.- Gland
personnels du malade. 27 mai. - L'enfant, hémiplégique à droite, ne
marche
pas, ne parle pas, ne sait ni se laver, ni s'ha
re du tissu sous-cutané. Pouls à 88. Température normale. La malade
marche
en se dandinant un peu. Elle se sert de ses mai
s mollets, rappelle la paralysie pseudo-hypertrophique. La malade
marche
en se dandinant; elle fait tout délibérément, m
e gâte pas la nuit. Il semble content quand on lui rend service. Il
marche
à condition d'ètre aidé, lourdement, en raison
ésultats obtenus par le traitement hydrothérapique à Bicêtre sur la
marche
de l'épilepsie durant les années 1880 et 1881,
'une note sur l'influence des maladies irtter7 ? ztre ? ltes sur la
marche
de l'épilepsie. - Vol. de 264 pages. Paris, 1882.
82. - Dans l'intervalle des traitements les accès re- prennent leur
marche
. Observation II. Epilepsie idiopathique. - Dé
rvations. 31 32 traitement hydrothérapique. La maladie a suivi sa
marche
progressive. Du 1er août au 14 octobre 1881, l'
ôté droit (bras et jambe); il fut ensuite envoyé à Berck dès que la
marche
fut de nouveau possible; à son retour (18 mois
) 3G (3 v.) 45 Nous n'avons obtenu aucun résultat satisfaisant ; la
marche
des accès a été la même que l'année précédente.
Bourneville), que l'amélioration a pu coïncider avec le début de la
marche
décroissante de la maladie. C'est à Bicêtre, cr
cette observation ne semble pas avoir subi de modifications dans sa
marche
, la suite de l'usage de l'aimant (1). Depuis
ecins eux-mêmes, l'extrême variabilité des phé- nomènes nerveux, la
marche
trompeuse des maladies, l'influence cachée du t
t sous les bras : il saute tout le temps, dit-elle, plutôt qu'il ne
marche
. Il peut tenir un objet entre les mains, mais s
s n'avons rien de particulier à en dire ; la maladie avait suivi sa
marche
ascendante ; les accès et les vertiges étaient
Attaque, - Période épileptoïde. En descendant l'esca- lier de cinq
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qui mène aux latrines, l'attaque éclate ; il sa
et de l'exer- cice, l'enfant a fait des progrès sensibles, mais ne
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pas encore seul. Traitement : Suppression des d
u soutenu par les épaules. 10 juin. Légère amélioration. Cont....
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assez bien, mais à la condition qu'on lui donne
u mois. (Voir les poids et la taille, p. 58). - Les accès ont eu la
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suivante : PARALYSIE TOXIQUE. 141 1 La para
marcher, soutenu par les deux bras et alors on a noté que, dans la
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, il frappait le sol à la façon des ataxiques.
té et de la force mus- culaire, l'intégrité des réflexes ; l'enfant
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seul sans soutien ; parfois il trébuche, mais n
63 lo poids et la taille). Depuis son admission les accès ont eu la
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ci-après : 148 PARAPLÉGIE TOXIgUE. celle des
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